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1 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
les invertébrés, j'ai étudié la chaîne ganglionaire et les principaux ganglions ; chez les vertébrés, la moelle épinière et l'enc
na est assez parfait, pour que l'on ne s'étonne pas de l'existence de ganglions nerveux; on y découvre, en effet, une membrane do
Le système nerveux des mollusques a pour caractère d'être composé de ganglions réunis entre eux par des anses nerveuses et fourn
te à ceux qui s'élèvent davantage, soit par le développement de leurs ganglions , soit par la perfection de leurs sens; ainsi, je
ver place ici. mille des acéphales sans coquilles, n'ont qu'un seul ganglion et quelques nerfs ; ce ganglion est oblong, placé
ales sans coquilles, n'ont qu'un seul ganglion et quelques nerfs ; ce ganglion est oblong, placé dans l'épaisseur de la tunique
on-née,asuivi les filets nerveux qui, parlant d'une source unique, le ganglion , vont se rendre aux branchies, à l'œsophage et au
respiration, de la circulation et de la sensation du4oucber. Un même ganglion préside à ces diverses fonctions, il réunit des p
, Lam. Acépha-lophores lamellibranches, Blain. Dans cette classe, les ganglions se multiplient, et suivant la remarque de M. Garn
is il a décrit les nerfs comme étant des vaisseaux cbylifères, et les ganglions comme étant les réservoirs du chyle. La ténuité d
a complété , sur ce point, les recherches de Mangili et de Poli. Le ganglion labial des acéphales testacés est toujours double
pre alcune specie di conchigUe ilvalvi. Milan, 18o/r, in-8, fig. le ganglion labial est situé un peu en arrière de la bouche;
s environnantes; il est en communication directe avec les deux autres ganglions . I^e ganglion branchial est simple dans les huî
il est en communication directe avec les deux autres ganglions. I^e ganglion branchial est simple dans les huîtres, les mu-let
comme je l'ai dit tout-à-l'heure, il communique par un filet avec le ganglion labial ; ainsi, la plupart de ses filets sont des
e ses filets sont destinés aux organes de la nutrition, tandis que le ganglion labial, donnant les nerfs des tentacules, apparti
nnant les nerfs des tentacules, appartient à la vie de relation. Le ganglion pédieux. est toujours simple; il n'existe que che
up de filets à cette partie, et il communique par deux filets avec le ganglion labial : c'est le ganglion de la locomotion. La
, et il communique par deux filets avec le ganglion labial : c'est le ganglion de la locomotion. La spécialité de fonctions po
anglion de la locomotion. La spécialité de fonctions pour les trois ganglions dont sont pourvus les acéphales testaeés, est pro
nt; toutefois, pour avoir une destination particulière, chacun de ces ganglions doit-il être considéré comme ayant une propriété
e ? eu en d'autres termes, la sensation est-elle dévolue seulement au ganglion labial, la locomotion au ganglion pédieux, la nut
ation est-elle dévolue seulement au ganglion labial, la locomotion au ganglion pédieux, la nutrition au ganglion branchial? Non,
u ganglion labial, la locomotion au ganglion pédieux, la nutrition au ganglion branchial? Non, carie ganglion labial ne distribu
n au ganglion pédieux, la nutrition au ganglion branchial? Non, carie ganglion labial ne distribue pas ses filets seulement aux
ses filets seulement aux tentacules, mais aussi aux muscles;, car le ganglion branchial donne également des filets à des organe
ervent pas à la nutrition. A ce sujet, M. Garner fait observer que le ganglion pédieux et le ganglion branchial communiquent c
. A ce sujet, M. Garner fait observer que le ganglion pédieux et le ganglion branchial communiquent chacun directement avec le
ux et le ganglion branchial communiquent chacun directement avec le ganglion labial, et que parla ils doivent faire participer
ropriétés dont ils sont doués, et recevoir à leur tour l'influence du ganglion labial. Icirevient la question dont je parlais en
l'œsophage, mais à une hauteur variable, et il présente un nombre de ganglions qui diffère presque dans chaque espèce. Quelquefo
anglions qui diffère presque dans chaque espèce. Quelquefois tous les ganglions de l'animal sont réunis par des anneaux, et group
s par des anneaux, et groupés autour de l'œsophage, d'autres fois ces ganglions sont épars, et il n'en reste que deux qui sont al
au, et fournissent des nerfs aux tentacules et aux yeux ; ce sont les ganglions , qu'à l'exemple de M. Garner j'ai appelés labiaux
; mais ici, dans les gastéropodes, ils mériteraient plutôt le nom de ganglions céphaliques, en raison des fonctions comparativem
aient exception à cette règle, et manqueraient, d'après M. Garner, de ganglions céphaliques. Je n'ai pas été à même de vérifier c
s spécialement au toucher et à la vision n'exclut pas l'existence des ganglions céphaliques; car, parmi les articulés, le lombric
de terre, qui est dépourvu d'yeux et de tentacules, a néanmoins deux ganglions céphaliques très marqués, et qui ont la plus gran
pour leur position et leur forme, avec ceux de l'es cargol. Mais ces ganglions ne peuvent être vus qu'à l'aide du miscroscope,
s'être pas servi de cet instrument, que M. Garner n'a pu découvrir de ganglions céphaliques, chez l'oscabrion. Un seul ganglion
'a pu découvrir de ganglions céphaliques, chez l'oscabrion. Un seul ganglion , entourant l'œsophage, existe chez le buccin; il
et réunis par un filet nerveux qui complète l'anneau ; il part de ces ganglions environ douze nerfs allant aux yeux, aux tentacul
, aux viscères, et aux organes de la génération. Les patelles ont six ganglions , tous compris dans le même anneau ; deux de ces g
les ont six ganglions, tous compris dans le même anneau ; deux de ces ganglions sont supérieurs et fournissent chacun trois paire
rois paires de nerfs, dont une paire pour les tentacules ; les autres ganglions fournissent des nerfs, l'un aux viscères, l'autre
sent des nerfs, l'un aux viscères, l'autre au pied; ces deux derniers ganglions sont situés au-dessous de l'œsophage. Un seul gan
deux derniers ganglions sont situés au-dessous de l'œsophage. Un seul ganglion , mais très considérable, fournit, chez les thethy
masse charnue du corps. Au-dessous de l'œsophage, il existe un autre ganglion qui fournit les nerfs des viscères. L'anneau ne
Dans les acères et les aplysies, le système nerveux consiste en deux ganglions réunis par un filet transverse, placé au-dessus d
n filet transverse, placé au-dessus de l'œsophage, et en un troisième ganglion communiquant avec les deux précédens, et situé pr
ux précédens, et situé près de l'esto-maci Les deux premiers sont les ganglions céphaliques, le dernier est le ganglion viscéral
i Les deux premiers sont les ganglions céphaliques, le dernier est le ganglion viscéral ou branchial. L'escargot a cinq gangli
le dernier est le ganglion viscéral ou branchial. L'escargot a cinq ganglions et quarante*et-un nerf (l). Malgré la forme spiré
ande régularité ; c'est autour de l'œsophage que sont placés les cinq ganglions : deux à la partie supérieure et latérale de l'an
ns : deux à la partie supérieure et latérale de l'anneau, ce sont les ganglions céphaliques; deux à sa partie inférieure et moyen
ions céphaliques; deux à sa partie inférieure et moyenne, ce sont les ganglions viscéral et pédieux qui semblent se confondre, et
, comme cela a lieu chez la plupart des autres mollusques. Les deux ganglions céphaliques réunis par une commissure , forment l
organes olfactifs, à la peau et aux muscles; un sixième nerf naît du ganglion situé à droite, tout près du nerf optique, et va
, et va se porter à la verge qui, située de ce côté,touche presque le ganglion céphalique. A la naissance du nerf optique, il y
e ganglion céphalique. A la naissance du nerf optique, il y a, sur le ganglion cépha- (i) Voyez pl. ire. Tous les nerfs de l'e
rcevoir qu'à l'aide du microscope. J'ai dit que la réunion des leux ganglions céphaliques forme la partie supérieure de l'annea
elatif de celte partie avec celui des nerfs qui en partent. Le double ganglion céphalique mesuré, sà mesure réduite en millimètr
llimètres cubes, m'a donnée 7,00 Les nerfs qui partent de ce double ganglion , au nombre de onze, ont pour les diamètres des ci
n tout. . . . , . . . 2,82 Ce qui donne, pour le rapport du volume du ganglion céphalique, au diamètre des nerfs qui en partent,
là 0,403 Outre les nerfs dont je viens de parler, il sort de chaque ganglion céphalique un cordon qui unit ce ganglion au gang
e parler, il sort de chaque ganglion céphalique un cordon qui unit ce ganglion au ganglion viscéral, et qui complète ainsi l'ann
sort de chaque ganglion céphalique un cordon qui unit ce ganglion au ganglion viscéral, et qui complète ainsi l'anneau œsophagi
nt il se compose est, en millimètres, de. . . 1,48 Or, le volume du ganglion céphalique étant, comme il a été dit tout-à-l'h
s des cordons de Vanneau de................... 1,48 Le rapport du ganglion à ces cordons est celui de....................
o,2ll A la partie inférieure de l'anneau œsophagien, se trouve le ganglion viscéral qui est uni au ganglion pédieux d'une ma
l'anneau œsophagien, se trouve le ganglion viscéral qui est uni au ganglion pédieux d'une manière assez intime, ces ganglions
céral qui est uni au ganglion pédieux d'une manière assez intime, ces ganglions n'étant séparés que dans une partie de leur étend
ns une partie de leur étendue,-par un vaisseau artériel. De ce double ganglion parlent comme autant de rayons, un grand nombre d
dans toutes les directions. A l'aide du microscope, j'ai compté à ces ganglions , trente-deux nerfs outre les quatre cordons qui,
nerfs outre les quatre cordons qui, formant l'anneau, se porlent aux ganglions céphaliques. Le ganglion viscéral fournit aux org
rdons qui, formant l'anneau, se porlent aux ganglions céphaliques. Le ganglion viscéral fournit aux organes de la digestion , de
considérables au collier et aux muscles de la coquille, tandis que le ganglion pédieux donne presque exclusivement ses filets au
exclusivement ses filets au pied. Ne pouvant mesurer séparément le ganglion viscéral et le ganglion pédieux, à cause de leur
s au pied. Ne pouvant mesurer séparément le ganglion viscéral et le ganglion pédieux, à cause de leur intime adhérence, je les
rlent, est de. .................. 9,72 Ce qui établit le rapport du ganglion aux nerfs égal à celui de...............• • là 0,
0,972 La différence que donnent ces chiffres, entre le rapport des ganglions céphalique et viscéral, et les nerfs qui en émane
al, et les nerfs qui en émanent, exprime l'importance relative de ces ganglions . Dans les deux cas, le volume du ganglion l'empor
importance relative de ces ganglions. Dans les deux cas, le volume du ganglion l'emporte sur le diamètre des nerfs, mais, pour l
volume du ganglion l'emporte sur le diamètre des nerfs, mais, pour le ganglion céphalique, la différence est beaucoup plus grand
nglion céphalique, la différence est beaucoup plus grande que pour le ganglion viscéro-pédieux. Le ganglion céphalique est en so
nce est beaucoup plus grande que pour le ganglion viscéro-pédieux. Le ganglion céphalique est en somme le plus petit, mais, eu é
le; il peut donc avoir sur ses nerfs une action plus puissante que le ganglion viscéro-pédieux n'en a sur les siens; il est le c
lleurs et plus utilement. Dans certains gastéropodes, le nombre des ganglions nerveux s'élève jusqu'à onze : c'est ce qui a lie
; mais le plus ordinairement on en rencontre cinq qui sont : les deux ganglions céphaliques, le ganglion pharyngien , le pédieux,
nt on en rencontre cinq qui sont : les deux ganglions céphaliques, le ganglion pharyngien , le pédieux, et le branchial ou viscé
x, et le branchial ou viscéral ; dans les patelles, il y a de plus un ganglion labial. k° Plëropodes. « Dans le clio boréal, l
sophage; de chacun d'eux naît un petit filet qui se renfle en un gros ganglion , lequel l'unit à son correspondant sous l'œsophag
ganglion, lequel l'unit à son correspondant sous l'œsophage. Ces deux ganglions donnent chacun plusieurs filets aux parties envir
nantes ; deux de ces filets, un de chaque côté, se renflent encore en ganglions , qui s'unissant ensemble par un nouveau filet qui
plus grande analogie entre le clio et les gastéropodes. Le nombre des ganglions du clio est en effet de cinq. 5° Céphalopodes.
eux des céphalopodes varie suivant les espèces, et pour le nombre des ganglions et pour le volume respectif de chacun d'eux \ il
ntité vers l'orifice de l'oesophage. Là, en effet, se trouvent et les ganglions les plus considérables, et les nerfs les plus nom
ifères, et l'organe de l'ouïe est venu s'ajouter aux autres sens. Les ganglions principaux^ sont encore placés autour de l'œsopha
cipaux^ sont encore placés autour de l'œsophage ; mais l'un d'eux, le ganglion céphalique a, dans le poulpe, un volume qu'on ne
rirai d'après l'excellente gravure qiven a publiée M. Owen (1), a six ganglions dé chaque côté, en tout douze ganglions, dont hui
a publiée M. Owen (1), a six ganglions dé chaque côté, en tout douze ganglions , dont huit sont réunis autour de l'œsophage, deux
situés vers les lèvres, et deux autres au milieu des vis*-cères, Les ganglions , placés autour de l'œsophage, sont le céphalique,
e, les deux autres au-dessous. Les nerfs qui en partent sont, pour le ganglion céphalique, les nerfs linguaux et maxillaires; po
nes, les nerfs infundibulaires, et un cordon de communication avec le ganglion labial ; pour le sub-œsopbagien postérieur, les n
la coquille, les nerfs des viscères et de la veine cave. Le cinquième ganglion ou labial fournit des nerfs aux tentacules labiau
cules labiaux internes , et les nerfs de l'olfaction ; enfin, le même ganglion ou ganglion viscéral donne des nerfs aux branchie
x internes , et les nerfs de l'olfaction ; enfin, le même ganglion ou ganglion viscéral donne des nerfs aux branchies et aux vis
t aux viscères ; c'est ce dernier qui représente, chez le nautile, le ganglion sympathique des vertébrés. Parmi ces ganglions,
, chez le nautile, le ganglion sympathique des vertébrés. Parmi ces ganglions , l'optique seul a une destination spéciale , cell
des organes de la digestion. Le volume des nerfs comparé à celui des ganglions , est très considérable , ainsi le nerf optique, q
érité le plus gros de tous, a un diamètre qui égale les deux tiers du ganglion optique, et qui est presque semblable au diamètre
iers du ganglion optique, et qui est presque semblable au diamètre du ganglion céphalique. Dans la seiche se trouvent des gang
au diamètre du ganglion céphalique. Dans la seiche se trouvent des ganglions correspondant â ceux du nautile, mais avec des mo
ions correspondant â ceux du nautile, mais avec des modifications. Le ganglion céphalique, qui, dans le nautile, ne consiste guè
ucoup plus considérable ; il consiste , chez ce dernier animal, en un ganglion bilobé, central, et se distinguant nettement du g
nimal, en un ganglion bilobé, central, et se distinguant nettement du ganglion optique, ce qui n'a pas lieu chez le nautile. Le
ettement du ganglion optique, ce qui n'a pas lieu chez le nautile. Le ganglion optique est très volumineux, le ganglion sub-œsop
pas lieu chez le nautile. Le ganglion optique est très volumineux, le ganglion sub-œsophagien antérieur, appelé aussi patte d'oi
qui vont aux viscères et au cloaque, il est en communication avec le ganglion viscéral ou ganglion étoile. Ce dernier est l'ana
s et au cloaque, il est en communication avec le ganglion viscéral ou ganglion étoile. Ce dernier est l'analogue de celui qui, c
ue de celui qui, chez le nautile, donne les nerfs des branchies. Le ganglion céphalique donne des nerfs qui sont au pourtour d
s nerfs optiques qui, avant de pénétrer dans l'œil, se renflent en un ganglion qui l'emporte de beaucoup en volume sur tous les
i l'emporte de beaucoup en volume sur tous les autres, et même sur le ganglion céphalique; il est enfin en communication avec le
cation avec le reste de l'anneau, par une double bande nerveuse. Le ganglion sub-œsophagien postérieur, outre les nens dont j'
qui vont aux organes extérieurs de la génération, ne naissent pas du ganglion céphalique, comme cela a lieu chez les gastéropod
uve également et même à un degré plus avancé chez le poulpe. Quatre ganglions principaux existent chez le poulpe (1) :1e céphal
l'optique uni au premier par le nerf optique ; le sous- œsophagien ou ganglion en patte d'oie, qui est le point où aboutissent p
oie, qui est le point où aboutissent presque tous les nerfs, enfin le ganglion étoile qui se trouve au milieu des viscères et do
ouve au milieu des viscères et donne principalement à la bourse. Le ganglion céphalique donne des nerfs qui vont à la base des
ase des pieds, à la bouche et aux lèvres, d'autres qui vont former un ganglion secondaire que je désignerai sous le nom de labia
re que je désignerai sous le nom de labial, enfin le nerf optique. Le ganglion céphalique est divisé transversalement par un sil
let : j'examinerai plus loin la légitimité de ces dénominations. Le ganglion optique, uni par le nerf du même nom au ganglion
dénominations. Le ganglion optique, uni par le nerf du même nom au ganglion précédent, a un volume très considérable, il est
gane de la vision qui est très volumineux chez les céphalopodes. Le ganglion en patte d'oie fournit à lui seul, comme je l'ai
on, au mouvement, à la respiration et à hmutrition. J'ai dit que le ganglion étoile allait principalement à la bourse, organe
Cuvier, description que je prends pour guide, le poulpe a donc quatre ganglions , et les nerfs principaux qui en émanent sont au n
t qui complètent le collier, en réunissant autour de l'œsophage, le ganglion céphalique et le ganglion en patte d'oie. Ce cord
r, en réunissant autour de l'œsophage, le ganglion céphalique et le ganglion en patte d'oie. Ce cordon a cela de particulier q
er qu'il est uniquement destiné à établir une communication entre les ganglions oesophagiens; il ne s'en détache jamais aucun ner
étendue. RÉSUMÉ. 1. Le système nerveux des mollusques consiste en ganglions , en nerfs et en cordons de communication. 2. Un
e en ganglions, en nerfs et en cordons de communication. 2. Un même ganglion peut fournir à-îa-fois des nerfs à tout l'organis
ut fournir à-îa-fois des nerfs à tout l'organisme. 3. Cependant les ganglions ont de la tendance à devenir spéciaux; les uns ét
de la nutrilion, d'autres enfin aux organes de la locomotion. h. Le ganglion duquel émanent les nerfs de la vue, du goût et de
de l'ouïe, quand il existe, reçoit le nerf qui lui est destiné, d'un ganglion situé à côté ou au-dessus de l'œ-sophage, lequel
stiné, d'un ganglion situé à côté ou au-dessus de l'œ-sophage, lequel ganglion est commun aux nerfs viscéraux et locomoteurs.
equel ganglion est commun aux nerfs viscéraux et locomoteurs. 6. Le ganglion le plus considérable n'est jamais le ganglion cép
et locomoteurs. 6. Le ganglion le plus considérable n'est jamais le ganglion céphalique. 7. La situation du ganglion céphali
onsidérable n'est jamais le ganglion céphalique. 7. La situation du ganglion céphalique, son volume, les nerfs qu'il fournil,
i des centres nerveux, auquel leurs troncs viennent aboutir. 9. Les ganglions œsophagiens, qui sont les ganglions principaux, s
troncs viennent aboutir. 9. Les ganglions œsophagiens, qui sont les ganglions principaux, sont toujours symétriques; les autres
eurs de la génération reçoivent des nerfs qui viennent directement du ganglion céphalique. 11. La chaîne qui réunit les gangli
nt directement du ganglion céphalique. 11. La chaîne qui réunit les ganglions de l'anneau œsophagien se compose de deux cordons
mais non confondus, et il ne s'en détache jamais aucun nerf. 12. Le ganglion céphalique, comparativement aux nerfs qu'il fourn
aux nerfs qu'il fournit, est beaucoup plus volumineux que les autres ganglions . § IL STRUCTURE DU SYSTÈME NERVEUX DES MOLLUSQU
our en découvrir la composition organique. En effet, la petitesse des ganglions , la ténuité, la transparence des filets nerveux p
es mollusques, on peut suivre chaque nerf jusque dans la substance du ganglion , voir si les filamens qui vont aux organes des se
férente de ceux qui vont aux muscles ou aux organes nutritifs. Chaque ganglion paraît avoir des fonctions spéciales, le ganglion
s nutritifs. Chaque ganglion paraît avoir des fonctions spéciales, le ganglion céphalique, par exemple, donne particulièrement
ouvement , les fournit-il de sa propre substance, ou les reçoit-il du ganglion pédieux ou moteur, avec lequel il est en communic
e toujours d'accord avec M. Ehrenberg. La partie centrale de chaque ganglion de l'escargot, est formée d'une matière ponctuée,
t l'origine. Chaque nerf a une sorte d'épanouissement rayonné dans le ganglion , et cet épanouissement est la racine du nerf. Ent
Entre les racines des différens nerfs, iln'existe dans l'intérieur du ganglion , aucune communication directe, pas plus qu'avec l
s plus qu'avec les cordons du collier. Ainsi, pour ce qui concerne le ganglion céphalique, les nerfs qu'il fournit aux organes d
pre substance, et ne viennent pas, comme on aurait pu le supposer, du ganglion pédieux ou moteur; le double cordon formant de ch
le collier œsophagien, va se rendre directement dans la substance du ganglion , et c'est de celte même substance que partent, ch
u, les nerfs moteurs et les nerfs sensitifs. Une commissure réunit le ganglion cépha lique du côté droit à celui du côté gauch
rmer les nerfs, et naissant, comme elles, de la portion globuleuse du ganglion . Le ganglion viscéro-pédieux a une structure anal
s, et naissant, comme elles, de la portion globuleuse du ganglion. Le ganglion viscéro-pédieux a une structure analogue à celle
lion. Le ganglion viscéro-pédieux a une structure analogue à celle du ganglion céphalique. Les nerfs et les cordons de communi
de la sensation et ceux du mouvement; entre les nerfs qui naissent du ganglion céphalique et ceux qui naissent du ganglion viscé
les nerfs qui naissent du ganglion céphalique et ceux qui naissent du ganglion viscéral ou du ganglion pé-dieux. Chacun de ces n
u ganglion céphalique et ceux qui naissent du ganglion viscéral ou du ganglion pé-dieux. Chacun de ces nerfs a, quant à sa struc
on, depuis l'origine commune à chacune d'elle, c'est-à-dire depuis le ganglion , jusqu'à la partie à laquelle elle est destinée.
e nerf optique de l'escargot, un des plus volumineux que fournisse le ganglion céphalique , n'a pas plus de 0,2. Il est donc de
urs vaisseaux piqués ou dilacérés. La couleur et la consistance des ganglions et des nerfs, chez les mollusques, varient beauco
rfs, chez les mollusques, varient beaucoup. Le plus ordinairement les ganglions sont opaques, les uns blancs, les autres grisâtre
tandis que les nerfs sont plutôt transparens. Chez les phallusies, le ganglion nerveux, unique dans ces animaux , est jaunâtre;
celui de l'onchidie , parmi les gastéropodes, est d'un jaune brun. Le ganglion céphalique et les nerfs qui en émanent directemen
ation des parties analogues appartenant à des animaux plus élevés. Le ganglion céphalique est généralement assez ferme, et les n
les nerfs qu'il fournit sont rarement transparens. RESUME 1. Les ganglions nerveux des mollusques sont composés de matière g
frent pas de différence appréciable. U. Les nerfs, qui sortent d'un ganglion , appartiennent tous à ce ganglion ; ainsi les
U. Les nerfs, qui sortent d'un ganglion , appartiennent tous à ce ganglion ; ainsi les nerfs moteurs, qui viennent du gah-gl
eurs, qui viennent du gah-glion céphalique, ne sont pas fournies à ce ganglion par ses filets de communication avec le ganglion
nt pas fournies à ce ganglion par ses filets de communication avec le ganglion pédieux : un même ganglion possède donc à-la-fois
on par ses filets de communication avec le ganglion pédieux : un même ganglion possède donc à-la-fois des propriétés différentes
and sympathique des vertébrés. La disposition de la masse nerveuse en ganglions et en nerfs donne, sous le point de vue descripti
rveau, au cervelet ou à la moelle rachidienne des vertébrés, et leurs ganglions épars, commit niquant les uns avec les autres p
s nerveux, ont, au premier aspect, une parfaite ressemblance avec les ganglions du grand sympathique. D'autres analomistes, plus
ue. D'autres analomistes, plus préoccupés de la fonction assignée aux ganglions que de leur forme, n'ont pas hésité à donner le n
leur forme, n'ont pas hésité à donner le nom de cerveau, à celui des ganglions qui, placé au-dessus de l'œsophage, reçoit les ne
lles de la partie dont il s'agit d'établir la valeur. Ainsi, pour les ganglions des mollusques, il faut considérer leur situation
quels nerfs en émanent et à quelles parties se rendent ces nerfs. Les ganglions du grand sympathique fournissent, chez les vertéb
urnissent, chez les vertébrés, les nerfs de la vie organique ; que le ganglion céphalique des mollusques lui soit assimilé, le n
d'abord le vice du raisonnement qui y conduit. Au lieu de prendre le ganglion pour point de départ, que l'on prenne l'œil, le n
ributions ; mais pour continuer la comparaison avec les vertébrés, le ganglion céphalique devient la couche optique, ou l'un d
uveraient jamais, dans l'objet simple, de terme de comparaison. Les ganglions et les nerfs des mollusques ne sont donc pas les
nt pour l'affirmative; Cuvier, dans la description qu'il a donnée des ganglions nerveux du poulpe, indique, chez cet animal, non-
ais encore un cervelet. Une dépression placée transversalement sur le ganglion sus-œsophagien, sépare ce ganglion en deux partie
ion placée transversalement sur le ganglion sus-œsophagien, sépare ce ganglion en deux parties : dont l'antérieure serait le cer
it le cerveau, et la postérieure le cervelet. M. Owen appelle ce même ganglion , chez le nautile , cerveau ou commissure central
celui des poissons. Le cerveau des mollusques est divisé en plusieurs ganglions placés autour de l'œsophage ; or, d'après M. Garn
urs ganglions placés autour de l'œsophage ; or, d'après M. Garner, le ganglion supérieur ou sus-œsophagien n'est aulre que le lo
aulre que le lobe optique des poissons, et la partie antérieure de ce ganglion est peut-être un rudiment des hémisphères cérébra
aris, 1810, in-4° t. ' p. I09* (6) Op. cit. (7) Op. cit. 3 au ganglion labial , lequel ganglion labial fournit un grand
I09* (6) Op. cit. (7) Op. cit. 3 au ganglion labial , lequel ganglion labial fournit un grand nombre de nerfs destinés
s nerfs respiratoire externe y acoustique et brattchiOAdscéral, ët le ganglion pédieux qui fournit aux Fibres musculaires du pie
ntré Cuvier, une véritable cavité crânienne dans laquelle est logé le ganglion céphalique. Je n'adopte pas, sans restriction,
et non à tous les mollusques; ensuite, je nierai posilivement que le ganglion céphalique des mollusques, puisse être désigné so
ale, et de plus, elle est vraiment une commissure. Toutefois, dans le ganglion céphalique des mollusques, il n'y a pas seulement
es vertébrés ; et d'ailleurs, je ne voudrais pas que l'on désignât ce ganglion sous le nom de moelle allongée, ce qui serait lui
rts avec un cerveau et un cervelet ; mais je lui laisserais le nom de ganglion céphalique , sous lequel il a été désigné et qui
ar Cuvier, je n'appellerai donc pas cervelet la partie postérieure du ganglion céphalique du poulpe, parce qu'il n'est pas démon
e dérogent cependant pas au principe établi par M. Carus; un de leurs ganglions préside à tous les autres, c'est le ganglion céph
r M. Carus; un de leurs ganglions préside à tous les autres, c'est le ganglion céphalique qui, placé au-dessus de l'œsophage , o
phage , occupe véritablement le pôle lumineux ; tandis que les autres ganglions de ces animaux , placés au-dessous du tube alimen
facultés secondaires. M. Serres a soutenu, sur la signification du ganglion céphalique des mollusques, une opinion qui est to
à celle de Cuvier et de MM. Garner et Carus. Pour cet anato-miste, le ganglion dont il s'agit, est l'analogue du ganglion appart
. Pour cet anato-miste, le ganglion dont il s'agit, est l'analogue du ganglion appartenant au nerf trijumeau des animaux vertébr
autres nerfs cérébraux. A ce raisonne ment, M. Serres ajoute : « le ganglion œsophagien n'est pas l'analogue du cerveau, car l
sseuses ou cartilagineuses; or, rien de semblable n'existe autour des ganglions des animaux articulés. Les mollusques, les insect
ns peuvent concourir à la respiration, donc, chez les invertébrés, le ganglion de la cinquième paire peut devenir le siège et le
re peut présider à des fonctions très variées, mais nullement que son ganglion soit l'analogue du ganglion céphalique des invert
ions très variées, mais nullement que son ganglion soit l'analogue du ganglion céphalique des invertébrés ; car ce ganglion céph
glion soit l'analogue du ganglion céphalique des invertébrés ; car ce ganglion céphalique est un organe central, excitateur et s
phalique est un organe central, excitateur et sensitif, tandis que le ganglion du nerf trijumeau n'est, en quelque sorte, qu'un
, même dans l'hypothèse de M. Serres, il faudrait ne pas s'arrêter au ganglion de la cinquième paire, mais remonter jusqu'au poi
son congénère, et former une commissure qui rappelle la commissure du ganglion céphalique. «Le ganglion œsophagien, dit encore
e commissure qui rappelle la commissure du ganglion céphalique. «Le ganglion œsophagien, dit encore M. Serres, n'est pas l'ana
écrit le crâne du poulpe, et M. Garner fait observer que les nerfs du ganglion céphalique des céphalopodes, traversent des trous
le nerf optique des insectes et des mollusques se sépare isolément du ganglion céphalique; il n'est pas, à son origine, uni à d'
ue; il n'est pas, à son origine, uni à d'autres nerfs, et il va de ce ganglion s'épanouir en entier dans la rétine, absolument c
ente, c'est de se renfler dans certaines espèces d'invertébrés, en un ganglion plus ou moins considérable, et placé à une distan
glion plus ou moins considérable, et placé à une distance variable du ganglion céphalique, mais qui ne fournit pas de filets que
it inadmissible. Le cordon œsophagien double de chaque côté, et les ganglions auxquels ils vont s'unir, représentent la moelle
e épinière des vertébrés. Le long de cette chaîne, règne une série de ganglions correspondant au volume et au nombre des cirrhes
olume et au nombre des cirrhes de l'animal ; supposez réunis tous les ganglions latéraux, en une seule masse ganglionaire central
latéraux, en une seule masse ganglionaire centrale, et vous aurez le ganglion vis-céro-pédieux de l'escargot; réunissez au cont
contraire les deux colonnes nerveuses le long de laquelle régnent les ganglions , et vous aurez une moelle analogue à celle des an
osition que je fais, relativement à la réunion en une seule masse des ganglions placés en dehors des cordons œsophagiens, se trou
une véritable chaîne ganglionaire, jusqu'au maïa qui a seulement deux ganglions , l'un céphalique et l'autre abdominal. MM. Audoui
ils ont, entre eux, une très grande analogie pour la disposition des ganglions nerveux ; comparez également l'escargot au maïa,
eux va progressivement en se rapprochant de l'un ou de l'autre. Les ganglions spinaux sont considérés par M. E. H. We-^ ber (1)
ux sont considérés par M. E. H. We-^ ber (1), comme les analogues des ganglions des invertébrés, ce Les nerfs spinaux, dit M, Web
podes, la moelle n'existe plus, les nerfs seuls persistent avec leurs ganglions . Les filets qui, chez les vertébrés, partent des
avec leurs ganglions. Les filets qui, chez les vertébrés, partent des ganglions pour aller à la moelle, et constituent les racine
joint entre elles les deux parties la^-térales, dont se composent les ganglions des invertébrés.» Cette manière de voir se rappro
approche de celle que M. Serres a adoptée relativement à la valeur du ganglion de la cinquième paire qui serait, d'après cet ana
re du cordon médullaire des articulés. Treviranus (2) comparait les ganglions des invertébrés aux (t) Anat. comp, nervisympat
. Leips. 1817, in-80. (2) Journ. compl, des se. méd, t. 18. p. a5o. ganglions spinaux des vertébrés et à ia moelle épinière; il
ut trouver, mais un organe remplissant une fonction spéciale. Or, les ganglions spinaux sont-ils bien l'organe que nous cherchons
les racines postérieures de la moelle, et vous ôtez toute action aux ganglions spinaux. La moelle est l'organe central pour les
spinaux. La moelle est l'organe central pour les vertébrés, comme les ganglions le sont pour les invertébrés, et c'est en eux que
g, ne retrouvant rien de semblable à des tubes articulés, ni dans les ganglions , ni dans les cordons, ni dans les fdets nerveux d
sensation, toute sensibilité, est, par cela seul, inadmissible. Le ganglion céphalique, par sa contexture, ses relations et s
titude à la légitimité de cette détermination. En effet, le volume du ganglion céphalique de l'escargot que j'ai pris pour exemp
le , est aux nerfs qui en partent, comme 1 est à 0,403, tandis que le ganglion viscéro-pédieux est à ses nerfs comme 1 à 0,977,
-pédieux est à ses nerfs comme 1 à 0,977, ce qui établit en faveur du ganglion céphalique une prééminence marquée sur le ganglio
ablit en faveur du ganglion céphalique une prééminence marquée sur le ganglion pédieux, et répète la loi déjà citée de Sœmmering
te loi, que Soemmering a posée pour l'encéphale, s'applique aussi aux ganglions dont la sphère d'action s'étend en raison directe
e par les deux doubles cordons qui ferment l'anneau œsophagien et les ganglions qui interrompent la continuité de ces cordons ou
pas l'analogue du système ganglionaire des vertébrés. 2. Le double ganglion céphalique n'est pas l'analogue des lobes cérébra
ganglion céphalique n'est pas l'analogue des lobes cérébraux. S. Ce ganglion est toujours situé au côté lumineux de l'animal ,
, tandis que les autres sont généralement du côté terrestre. 4. Le ganglion céphalique n'est pas l'analogue du ganglion appar
u côté terrestre. 4. Le ganglion céphalique n'est pas l'analogue du ganglion appartenant au nerf trijumeau des vertébrés. 5.
ogue du ganglion appartenant au nerf trijumeau des vertébrés. 5. Le ganglion céphalique des mollusques représente chez ces ani
existe-t-il aussi pour l'olfaction. 7. Le cordon œsophagien et les ganglions que ces cordons réunissent, sont les analogues de
s, sont les céphalopodes, c'est-à-dire ceux des mollusques qui ont le ganglion céphalique le plus considérable. U. Tous les mo
x. On ne rencontre que très rarement, chez les animaux articulés, des ganglions épars, subordonnés en quelque sorte à l'existence
pour former une longue chaîne renflée de distance en dislance par des ganglions . A la simple vue, on reconnaît que le cordon médu
re de ces animaux se rapproche de la moelle spinale des vertébrés. Le ganglion céphalique, et suriout les organes des sens acqui
e chez les uns, il est plus compliqué chez d'autres ; il présente des ganglions qui ne varient pas moins par leur nombre que par
euvent les faire considérer comme des nerfs munis de renflemens et de ganglions . » Malgré l'autorité de M. J. Cloquet, je n'admet
présentent aucunement l'aspect d'un nerf, et je n'y ai reconnu aucun ganglion ; cependant j'avais pris toutes les précautions po
les invertébrés, tous les anatomistes en conviennent, il n'y a que le ganglion céphalique qui se trouve au-dessus de l'œsophage
n le voit clairement, le résultat d'une idée préconçue. La forme du ganglion céphalique, tel qu'il a été décrit par les auteur
nerveux complet pour chacun des anneaux de l'animal, c'est-à-dire un ganglion et des nerfs qui vont à toutes les parties occupa
ge, tout près de la ventouse orale, se trouve de chaque côté un petit ganglion mamilla#e ; une commissure réunit ces deux gangli
que côté un petit ganglion mamilla#e ; une commissure réunit ces deux ganglions qui communiquent avec la moelle ventrale par deux
'anneau œsophagien. Du point de réunion du cordon de l'anneau avec le ganglion céphalique, naissent deux nerfs qui se portent en
s , vers la ventouse orale. Je n'ai pas vu d'autre nerf partant de ce ganglion . L'anneau n'est pas formé par un double cordon co
nale , il est par conséquent le même d'un bout du corps à l'autre. Un ganglion , situé près de l'anus, termine la moelle en arriè
tué près de l'anus, termine la moelle en arrière. (1) Sangsue (2). Le ganglion céphalique de la sangsue (1) M.Cams, dans son T
escription du système nerveux du lombric de terre; on n'y voit pas le ganglion céphalique, ni les doubles racines des nerfs spir
l'œsophage et former le commencement de la moelle. Cette moelle a des ganglions très distincts, bien visibles à l'œil nu et fourn
bles à l'œil nu et fournissant chacun deux paires de nerfs. Entre les ganglions , on ne trouve aucune racine nerveuse. Ainsi, deux
istent entre le lombric de terre et la sangsue : dans le lombric, des ganglions peu distincts et des paires de nerfs qui alternen
ires de nerfs qui alternent doubles et simples ; dans la sangsue, des ganglions véritables et pas de nerfs intermédiaires. Une li
ment séparables l'un de l'autre dans to ut l'espace compris entre les ganglions ; mais, sur ces ganglions, interception complète
autre dans to ut l'espace compris entre les ganglions ; mais, sur ces ganglions , interception complète de la séparation, et même
eption complète de la séparation, et même de la ligne médiane (1). Un ganglion anal termine la moelle ; il est très rapproché de
manière de patte d'oie. La double paire de nerfs qui naît de chaque ganglion est l'une au-devant de l'autre dans la sangsue co
fs spinaux, chez les vertébrés. La substance de ces nerfs et de ces ganglions est blanche et opaque, tandis que nous l'avons vu
ariété dans la disposition du système nerveux : il en est qui ont des ganglions isolés très analogues à ceux des gastéropodes ; d
autres qui ont une double chaîne ganglionaire ; d'autres enfin où les ganglions , placés successivement les uns après les autres,
ions , placés successivement les uns après les autres, rappellent les ganglions de la sangsue et s'élèvent même jusqu'à ceux des
successives qu'éprouve la matière nerveuse pour passer de la forme de ganglions isolés à la double chaîne ganglionaire. Je ne pui
r de l'animal. Tantôt, au contraire, il se compose uniquement de deux ganglions ou renflemens noueux, dissemblables par leur form
eule masse ganglionaire ; mais les deux cordons nerveux qui lient ces ganglions entre eux restent encore parfaitement distincts.
te espèce de centralisation du système nerveux, car non-seulement les ganglions sont devenus impairs par l'union des deux noyaux
système nerveux est portée à un plus haut degré encore, parce que les ganglions ne présentent plus de traces de division sur la l
les cordons inter-ganglionaires de l'abdomen se raccourcissent et les ganglions se rapprochent les uns des autres.Dans le palémon
lte concentration se fait remar quer; les trois dernières paires de ganglions s'agglomèrent entre elles; il en est de même des
langouste un degré encore plus grand de centralisation, car tous les ganglions thoraciques sont, pour ainsi dire, soudés bout à
s quelques détails sur ce qui concerne l'écrevisse et le homard. Le ganglion céphalique de l'écrevisse a une forme quadrilatèr
deux tubercules mamelonnés semblables à ceux que l'on trouve sur les ganglions thoraciques et abdominaux du même animal. J'aurai
-glions, et à la région abdominale par six. Dans l'intervalle de ces ganglions , les colonnes nerveuses sont séparées naturelleme
à l'autre, mais ne se confondent pas : c'est le contraire dans les ganglions , la séparation ne peut s'y opérer sans déchirure,
les ganglions, la séparation ne peut s'y opérer sans déchirure, Les ganglions thoraciques sont plus considérables que les gangl
échirure, Les ganglions thoraciques sont plus considérables que les ganglions abdominaux ; ils sont aussi plus rapprochés les u
niers ; ils correspondent en procédant d'avant en arrière, le premier ganglion aux pinces, les quatre autres aux quatre paires d
queue de l'écrevisse, se rencontrent, à des distances régulières, six ganglions égaux entre eux pour le volume; le dernier gangli
régulières, six ganglions égaux entre eux pour le volume; le dernier ganglion seul fait exception ; il est très rapproché de ce
très rapproché de celui qui le précède et très volumineux. Chacun des ganglions de l'abdomen répond à l'un des segmens dont se co
nerfs fournis par la chaîne ganglionaire sont deux paires pour chaque ganglion et une paire pour chaque espace inter-ganglionair
des nerfs sortent de la chaîne ganglionaire dans les intervalles des ganglions : on sait que Gall s'est efforcé de prouver que l
ubstance grise, et que les nerfs ont toujours pour point d'origine un ganglion . Le tiers des nerfs du ver de terre et de l'écrev
copique de la chaîne ganglionaire des animaux articulés. Le dernier ganglion termine, sans aucun prolongement médullaire, la c
cun prolongement médullaire, la chaîne de l'écrevisse ; il sort de ce ganglion douze nerfs qui s'étalent en manière de patte d'o
distinctes, en raison du volume plus considérable de l'animal. Les ganglions nerveux des crustacés sont blanchâtres ou transpa
chaîne ganglionaire; le maia, animal large et court, a seulement deux ganglions qui donnent leurs filets tout autour d'eux et en
et l'abdomen arrondi se termine sans aucun renflement caudiforme. Les ganglions thoraciques sont réunis en une seule masse qui el
horaciques sont réunis en une seule masse qui elle-même est soudée au ganglion céphalique; un double cordon part de la masse ner
, F. aussi Léon Dufonr, Strauss, etc. que et va se terminer dans le ganglion abdominal. Le ganglion céphalique donne des nerfs
Strauss, etc. que et va se terminer dans le ganglion abdominal. Le ganglion céphalique donne des nerfs pour les organes mandu
rayonnée, envoie, par chacun de ses rayons, des nerfs aux pattes; le ganglion abdominal fournit aux intestins, aux branchies ,
ar le volume comparativement plus considérable de quelques-uns de ses ganglions . D'ailleurs, même parmi les arachnides pulmonaire
de deux cordons parallèles, réunis de distance en distance , par des ganglions ; c'est le cas des scorpions. (2) 5° Insectes.
e en une chaîne ganglionaire, mais le nombre et surtout le volume des ganglions varie beaucoup suivant le genre d'insecte et suiv
état de chenille jusqu'à celui de papillon. Dans la chenille , douze ganglions sont séparés, à l'exception des deux derniers, pa
delberg, in-4°, iSi8. 1 5 dans la chrysalide, un même nombre de ganglions , mais plus rapprochés et plusieurs tendant à s'un
chés et plusieurs tendant à s'unir ; dans le papillon, seulement sept ganglions , mais l'un d'eux, plus gros que tous les autres,
utres, formé par la concentration en une seule masse de plusieurs des ganglions isolés de la chenille (1). Ces faits, qu'a publié
la chenille du bois de saule est formé, d'après Lyonet (3), de treize ganglions dont le céphalique est le plus considérable et do
gitudinaux, l'un à droite et l'autre à gauche, unissent entre eux ces ganglions ; ils sont tout-à-fait séparés dans les quatre pre
es, et séparés seulement en partie dans le reste de leur étendue. Les ganglions sont biîobés, deux paires de nerfs naissent de ch
. Les ganglions sont biîobés, deux paires de nerfs naissent de chaque ganglion et se portent en dehors. Le deuxième et le troisi
chaque ganglion et se portent en dehors. Le deuxième et le troisième ganglions sont soudés l'un à l'autre, le douzième et le tre
e dans plusieurs autres insectes, il y a des nerfs intermédiaires aux ganglions et qui paraissent tirer leur origine des cordons
a une double colonne nerveuse réunie de distance en distance par neuf ganglions ; le ganglion supérieur ou céphalique donne des n
lonne nerveuse réunie de distance en distance par neuf ganglions ; le ganglion supérieur ou céphalique donne des nerfs optiques
nnent à l'abdomen. Les filets nerveux qui en émanent sortent tous des ganglions , il ne s'en détache aucun des colonnes médullaire
s'en détache aucun des colonnes médullaires. Le hanneton (2) a six ganglions qui se réunissent en deux groupes principaux ; au
ssent en deux groupes principaux ; au premier groupe appartiennent le ganglion céphalique et le ganglion sous-œsophagien, auxque
cipaux ; au premier groupe appartiennent le ganglion céphalique et le ganglion sous-œsophagien, auxquels il faut ajouter les gan
phalique et le ganglion sous-œsophagien, auxquels il faut ajouter les ganglions optiques ; au second groupe, les ganglions du cor
xquels il faut ajouter les ganglions optiques ; au second groupe, les ganglions du corselet et de l'abdomen. Le ganglion céphaliq
ues ; au second groupe, les ganglions du corselet et de l'abdomen. Le ganglion céphalique donne cinq paires de nerfs, savoir : l
ette description, comme étant les analogues de la cinquième paire. Le ganglion optique, très considérable comme chez tous les in
sidérable comme chez tous les insectes, donne uniquement aux yeux. Le ganglion sous-œsophagien , regardé par M. Strauss comme fa
rnit des nerfs à la bouche et à plusieurs organes des sens. Quant aux ganglions du corselet, du thorax et de l'abdomen, ils donne
d nombre qui vont à toutes les parties du corps. M. Strauss a vu deux ganglions impairs placés sur l'œsophage, qui distribuaient
. qui diffère beaucoup l'un de l'autre (1). La nèpe cendrée a trois ganglions réunis par deux cordons nerveux distincts et sépa
fixer notre attention : le petit nombre et le volume considérable des ganglions , la multiplicité des nerfs destinés à la vision,
e de nerfs, chez le pentatome et la nèpe cendrée, qui a lieu loin des ganglions . Ce dernier fait, si l'on s'en rapporte à une sim
réfutation à l'opinion de ceux qui font toujours venir les nerfs des ganglions . Je me contente de signaler ici celte observation
es bien au-dessus de tous les autres, c'est la prépondérance de leurs ganglions céphaliques. Ces ganglions sont tellement volumin
es autres, c'est la prépondérance de leurs ganglions céphaliques. Ces ganglions sont tellement volumineux qu'ils constituent véri
qu'ils constituent véritablement une tête, surtout si l'on y joint le ganglion optique. On voit, d'après ce qui précède, qu'il
ure de cette chaîne est placée sur l'œsophage et renflée en un double ganglion , quelquefois même en un plus grand nombre ; le re
veux. k. Les annelides sont pourvus d'une chaîne ganglionaire; leur ganglion céphalique donne des nerfs qui partent de l'endro
ques ; les nerfs de la chaîne ganglionaire viennent non-seulement des ganglions , chez les sangsues, mais aussi des cordons inter-
crustacés servent à expliquer comment ce changement s'opère. 6. Le ganglion céphalique des crustacés donne des nerfs qui vont
comme chez quelques annelides, les nerfs ne sortent pas seulement des ganglions , mais aussi des cordons inter-ganglionaires. 8.
s cordons inter-ganglionaires. 8. Chez les arachnides le nombre des ganglions est très borné, la matière nerveuse montre de la
se montre de la tendance à se réunir vers*la tête. 9. Le nombre des ganglions qui entrent dans la composition du système nerveu
cte est à l'état de chenille , de chrysalide ou de papillon. 10. Le ganglion le plus considérable, chez les insectes, est touj
Le ganglion le plus considérable, chez les insectes, est toujours le ganglion céphalique. 11. Le ganglion céphalique des crus
ble, chez les insectes, est toujours le ganglion céphalique. 11. Le ganglion céphalique des crustacés est comparative* ment pl
sangsue, de l'ccrevisse, du grillon domestique et de l'abeille. Le ganglion céphalique du ver de terre est une double eminenc
re par l'entremise d'un cordon. Examiné au microscope, on voit que ce ganglion est composé de matière globuleuse et de filamens.
es fibres de la commissure se rendent de la substance globuleuse d'un ganglion à la même substance du ganglion opposé. Le cord
ndent de la substance globuleuse d'un ganglion à la même substance du ganglion opposé. Le cordon œsophagien du ver de terre es
épart ailleurs que dans le cordon ; on peut les suivre jusque dans le ganglion céphalique. Arrivés l'un près de l'autre au-desso
la moelle se renfle de distance en distance et forme là une espèce de ganglion . En dehors de ce renflement, il se détache deux n
parties fondamentales du système nerveux du ver de terre sont : 1° le ganglion céphalique ; 2° les fibres longitudinales composa
le, fibres qui se continuent dans l'anneau œsophagien pour arriver au ganglion céphalique ; 3° de fibres transverses qui se trou
ans le ver de terre, resteraient isolées jusqu'à leur entrée dans les ganglions spinaux? C'est une question intéressante et qui t
quant à la forme et quant à la structure de leur système nerveux. Le ganglion sur-œsophagien ou céphalique est le même dans ces
ès intimement unis. La moelle de la sangsue est pourvue de véritables ganglions placés de distance en distance sur le trajet des
nglions placés de distance en distance sur le trajet des cordons. Ces ganglions sont de forme lenticulaire, et en les examinant a
cordons, des fibres transverses qui sont, pour les nerfs émanant des ganglions , une sorte de commissure ; enfin une substance g
rtion de la chaîne ganglionaire de la sangsue (fig. lre) et un de ses ganglions grossi au microscope (fig. 2). En haut et en bas
deux colonnes nié dullaires bien isolées l'une de l'autre ; dans le ganglion lui-même on suit ces cordons, on les voit s'y éta
fibres transverses qui croisent les premières à angle droit. Tous les ganglions de la sangsue, le ganglion oral et le ganglion an
ent les premières à angle droit. Tous les ganglions de la sangsue, le ganglion oral et le ganglion anal exceptés, sont semblable
angle droit. Tous les ganglions de la sangsue, le ganglion oral et le ganglion anal exceptés, sont semblables à celui que l'on v
lables à celui que l'on voit sur la planche ; le premier ressemble au ganglion correspondant du ver de terre, le dernier, plus c
ez les sangsues, de nerfs autres que ceux qui partent directement des ganglions . Les fibres des cordons médullaires ventraux co
les faisceaux longitudinaux, des fibres longitudinales , et pour les ganglions , des fibres transverses qui croisent les première
r la plus légère traction. Trois paires de nerfs naissent de chaque ganglion : deux en sortent directement, la troisième suit
ongitudinaux qu'elle abandonne dans l'espace inter-gan-glionaire. Les ganglions placés au thorax , ceux d'où naissent les nerfs d
e lobe est pyramidal, ayant sa base en dedans tournée vers la base du ganglion correspondant et la pointe suivant la direction d
rajet des nerfs et tout près de leur origine, il existe une espèce de ganglion secondaire que l'on pourrait comparer aux ganglio
iste une espèce de ganglion secondaire que l'on pourrait comparer aux ganglions spinaux des vertébrés. J'ai pu isoler une des fib
elle ventrale et se continuant par l'anneau œsophagien jusque dans le ganglion céphalique , des fibres transverses faisant commu
s espaces inter-ganglio-naires, mais venant aussi de la substance des ganglions . Chez le grillon domestique et chez l'abeille,
et l'autre à gauche ; ces cordons sont réunis par l'intermédiaire des ganglions et seu lement à l'endroit où se trouvent les ga
médiaire des ganglions et seu lement à l'endroit où se trouvent les ganglions , car partout ailleurs ils sont ou naturellement s
suis moi-même en doute. Vus à l'œil nu ou grossi avec la loupe, les ganglions de l'abeille ont une apparence lenticulaire, ains
duite (1); mais examinés au microscope, on les voit formés, comme les ganglions de la sangsue, de fibres entrecroisées, les unes
es entrecroisées, les unes transverses, les autres longitudinales. Le ganglion céphalique de l'abeille, qui est beaucoup plus co
de l'abeille, qui est beaucoup plus considérable que tous les autres ganglions du même animal, n'a pas une forme assez régulière
nsectes, l'un des plus élevés en intelligence et l'un de ceux dont le ganglion céphalique est le plus volumineux; mais encore ce
canaliculées, et par la pression on en fait sortir des globules. Les ganglions de ces animaux sont opa- (i) Voyez pl, i*\ li
res sont transparens ainsi que les nerfs. On peut voir à l'œil nu les ganglions de quelques insectes , on aperçoit aussi, quoique
incts l'un de l'autre, et ordinairement séparés dans l'intervalle des ganglions . 3. Le croisement des fibres longitudinales ave
es fibres longitudinales avec les fibres transverses s'opère dans les ganglions . h. Les fibres longitudinales d'un côté ne se c
s d'un côté ne se croisent pas avec celles du côté opposé. , 5° Les ganglions nerveux des animaux articulés sont formés de subs
sortir par expression. 8° Les fibres nerveuses naissent toutes des ganglions . 9° Les nerfs ont pour la plupart une double or
ales des cordons médullaires, l'autre dans les fibres transverses des ganglions . 10° H n'y a d'exception à cette règle que pour
ption à cette règle que pour ce qui con -cerne les nerfs provenant du ganglion céphalique. La commissure de ce ganglion qui répè
cerne les nerfs provenant du ganglion céphalique. La commissure de ce ganglion qui répète les fibres transverses des ganglions a
e. La commissure de ce ganglion qui répète les fibres transverses des ganglions abdominaux, ne communique directement avec aucun
les fibres de cette moelle se prolongeant en avant jusqu'à un double ganglion que réunit une commissure. Chez l'homme, une colo
ux origines ; cette colonne se divisant pour aller se rendre dans les ganglions encéphaliques, lesquels ganglions sont réunis par
isant pour aller se rendre dans les ganglions encéphaliques, lesquels ganglions sont réunis par des commissures. Sur quelles part
res. Sur quelles parties portent les principales différences? Sur les ganglions encéphaliques, simples et très peu développés dan
e paire. Quant aux nerfs optiques, ils restent, dans les deux cas, au ganglion céphalique. Plusieurs anatomistes parmi lesquel
opté, car les insectes ont un cerveau, un prolongement rachidien, des ganglions et des nerfs; et les diverses parties paraissent
sur les noms qu'il emploie. Ce n'est pas le cerveau que représente le ganglion céphalique des invertébrés, c'est l'encéphale ; l
es de nerfs rachidiennes, un renflement qui constituait une espèce de ganglion (2). Comme (1) Recherches anatom. et phys.sur l
s'était moins attaché à la forme et plus à la structure. La forme des ganglions est très variable, chez la sangsue ils sont lenti
nte, la matière globuleuse qui forme la substance caractéristique des ganglions , au lieu d'être agglomérée, se répand plus ou moi
, l'axe nerveux des invertébrés ne représente donc pas la réunion des ganglions spinaux des vertébrés, car chez les vertébrés, la
t (i) Ànat, comp, du cerveau, t. 2, p 120. entre la moelle et les ganglions , et non en dehors de ces ganglions. Pour être con
2, p 120. entre la moelle et les ganglions, et non en dehors de ces ganglions . Pour être conséquent avec l'interpréta don que v
re des articulés, si celte chaîne représente comme vous le dites, les ganglions spinaux des vertébrés, les nerfs terminaux de l'a
nt de contrôle à tout ce que j'ai dit sur ce sujet. RÉSUMÉ. 1. Le ganglion céphalique des animaux articulés représente, pour
e. 3. Les cordons formant l'anneau œsophagien, et qui s'étendent du ganglion céphalique à la chaîne ganglionaire, représentent
Chez les mollusques inférieurs, les ascidies, par exemple , un seul ganglion est chargé de présider à toutes les fonctions de
ns de l'économie; en remontant parmi les animaux de cette classe, les ganglions se multiplient, et il leur est départi des foncti
s prévenir que cette coloration n'est pas un caractère distinclif des ganglions ; car, avec les progrès de l'âge, ils finissent pa
blancs les uns que les autres. En procédant d'avant en arrière, les ganglions encéphaliques sont : 1° les ganglions olfactifs;
océdant d'avant en arrière, les ganglions encéphaliques sont : 1° les ganglions olfactifs; 2° les ganglions cérébraux; 3° les gan
les ganglions encéphaliques sont : 1° les ganglions olfactifs; 2° les ganglions cérébraux; 3° les ganglions optiques; 4° les tube
sont : 1° les ganglions olfactifs; 2° les ganglions cérébraux; 3° les ganglions optiques; 4° les tubercules quadriju-meaux; 5° le
s optiques; 4° les tubercules quadriju-meaux; 5° le cervelet ; 6° les ganglions du nerf trifacial ; 7° les ganglions des nerfs de
u-meaux; 5° le cervelet ; 6° les ganglions du nerf trifacial ; 7° les ganglions des nerfs de la septième et de la huitième paire
l'encéphale, en arrière du croisement des nerfs optiques, deux autres ganglions qui sont les ganglions inférieurs. 1° Ganglions
du croisement des nerfs optiques, deux autres ganglions qui sont les ganglions inférieurs. 1° Ganglions olfactifs. Presque tou
tiques, deux autres ganglions qui sont les ganglions inférieurs. 1° Ganglions olfactifs. Presque toujours distincts des autres,
, parfois même doubles de chaque côté, on les voit aussi se réunir au ganglion cérébral. Dans ce dernier cas, il n'existe au dev
connaître puisqu'ils donnent naissance aux nerfs optiques, qu'un seul ganglion , comme cela a lieu dans la baudroie, la morue, et
ale-renard, il y a au contraire une séparation bien tranchée entre le ganglion olfactif et le ganglion cérébral, ce sont des org
ntraire une séparation bien tranchée entre le ganglion olfactif et le ganglion cérébral, ce sont des organes tout-à-fait distinc
rébral, ce sont des organes tout-à-fait distincts l'un de l'autre. Le ganglion olfactif se sous-divise lui-môme dans certains po
sous-division, ainsi que le congre ou anguille de mer. La couleur des ganglions olfactifs est d'un gris rosé, cependant j'ai vu c
eur des ganglions olfactifs est d'un gris rosé, cependant j'ai vu ces ganglions entièrement blancs chez une vieille carpe. Lorsqu
ssent les nerfs, du même nom, en arrière ils sont en contact avec les ganglions cérébraux; en bas ils sont implantés sur les prol
antérieurs de la moelle épinière; chez les raies et les squales, ces ganglions sont creusés d'une cavité ainsi que les prolongem
t creusés d'une cavité ainsi que les prolongemens qui les unissent au ganglion cérébral. 2° Ganglions cérébraux. Placés en arr
insi que les prolongemens qui les unissent au ganglion cérébral. 2° Ganglions cérébraux. Placés en arrière des précédens, ils l
ir leur commissure , il suffit d'écarter l'un de l'autre les lobes ou ganglions cérébraux, la scissure qui sépare ces lobes est t
etit filet blanc très ténu, qui va se rendre dans le centre de chaque ganglion . De même que le ganglion olfactif, les ganglions
u, qui va se rendre dans le centre de chaque ganglion. De même que le ganglion olfactif, les ganglions cérébraux sont implantés
s le centre de chaque ganglion. De même que le ganglion olfactif, les ganglions cérébraux sont implantés sur le prolongement anté
t implantés sur le prolongement antérieur de la moelle épinière. 3° Ganglions optiques. Haller, Vicq-d'Azyr, M. Cams, les ont a
ulins, M.Gottsche, etc. lobes optiques. Chezbeaucoup de poissons, les ganglions optiques sont les plus considérables, ils ont tou
on incise ces lobes, on voit qu'ils ne constituent pas réellement un ganglion , mais qu'ils sont formés par une lame fibreuse as
olongemens antérieurs de la moelle qui régnent au-dessous de tous les ganglions encéphaliques auxquels ils servent de base, laiss
(tori semi-circulares de Haller, bourrelet demi-circulaire de Cuvier, ganglions antérieurs internes de Carus), qui est l'analogue
examine l'encéphale de la carpe, on voit en arrière et en dedans des ganglions optiques, deux corps oblongs qui ne sont autre ch
du nerf trifacial. Lobus posterior, pons ma-millaris de Iïaller. Ces ganglions n'existent pas à beaucoup près chez tous les pois
e, sans qu'il existe à la partie médiane aucune trace de division. Ce ganglion a été considéré à tort par quelques anatomistes c
tort par quelques anatomistes comme une dépendance du cervelet. 7° Ganglions des nerfs pneumo-gastriques. Lobus vagi, lobus st
es. Lobus vagi, lobus striatus de Iïaller. Tout-à-fait en arrière des ganglions précédens et concourant à former les parois du ve
rois du ventricule cérébelleux ou quatrième ventricule, sont d'autres ganglions de la partie extérieure desquels naissent les ner
a partie extérieure desquels naissent les nerfs pneumogastriques. Ces ganglions n'existent pas constamment, et quand ils existent
ard au rouget. Parfois les nerfs facial et labyrinthique ont aussi un ganglion à leur point d'origine, mais plus rarement que le
t d'origine, mais plus rarement que les nerfs pneumo-gastriques. 8° Ganglions inférieurs. Les derniers ganglions dont il me res
les nerfs pneumo-gastriques. 8° Ganglions inférieurs. Les derniers ganglions dont il me reste à parler sont, chez certains poi
reste à parler sont, chez certains poissons, aussi volumineux que les ganglions cérébraux; on les trouve, après avoir enlevé l'en
.,Serres, qui prétend les avoir souvent vus réunis en formant un seul ganglion , ce Dans mes recherches sur le système nerveux de
d'accord sur la détermination, ni même sur l'existence de chacun des ganglions dont je viens de parler. Le ganglion cérébral a é
e sur l'existence de chacun des ganglions dont je viens de parler. Le ganglion cérébral a été confondu avec les ganglions olfact
dont je viens de parler. Le ganglion cérébral a été confondu avec les ganglions olfactifs; j'ai dit qu'il s'en distinguait par la
t par la présence d'une commissure dont il est pourvu, tandis que les ganglions olfactifs n'en ont jamais. On a nié l'existence d
nsi que Gall et Spurzheim l'ont parfaitement démontré; tandis que les ganglions inférieurs de l'encéphale des poissons, sont des
is que les ganglions inférieurs de l'encéphale des poissons, sont des ganglions implantés sur les prolongemens de la moelle épini
t corps analogue à la glande pinéale ; et sous l'encéphale, entre les ganglions inférieurs, on trouve un corps pituitaire. (i)
proîongemens médullaires qui établissent une communication entre les ganglions olfactifs et les ganglions cérébraux, et c'est ce
ui établissent une communication entre les ganglions olfactifs et les ganglions cérébraux, et c'est ce qui a fait dire à quelques
ens ne sont pas lesnerfs olfactifs. Ceux-ciontleur origine au-delà du ganglion dont ils portent le nom, et vont directement aux
erfs optiques. Ils naissent de la partie inférieure et antérieure des ganglions optiques, £ar deux racines dont l'une s'étale sur
eux racines dont l'une s'étale sur la partie interne et supérieure du ganglion correspondant, et l'autre sur la partie inférieur
les voit à la base de l'encéphale, en dehors et un peu en arrière des ganglions inférieurs; ils sortent des prolongemens de la mo
ment à la moelle de laquelle ils émanent sans l'intermédiaire d'aucun ganglion . Lf Paire, nerfs pathétiques. Ces nerfs si grêl
hez tous les poissons; ils ont deux racines distinctes, l'une dans le ganglion qui esl situé immédiatement derrière le cervelet,
fs de la cinquième paire, et ont presque toujours, à leur origine, un ganglion plus ou moins considérable. Le ganglion, situé à
toujours, à leur origine, un ganglion plus ou moins considérable. Le ganglion , situé à la partie supérieure de la moelle, en ar
-L'encéphale des poissons consiste-il seulement dans pettg réunion de ganglions que nous trouvons dans leur crâne, ou bien faut-i
de celle du brochet. Je n'ai pas tenté de peser séparément chacun des ganglions encéphaliques, parce que la démarcation entre ces
hacun des ganglions encéphaliques, parce que la démarcation entre ces ganglions n'est pas assez nette, pour que l'on puisse les e
rties dont il s'agit, on y découvre une différence complète. Dans les ganglions des articulés, il existe des fibres longitudinale
inales, des fibres transverses , et une substance granulée propre aux ganglions . Dans les renflemens de la moelle de l'anguille,
séparés des autres sortaient du canal et allaient se confondre en un ganglion commun. De ces deux nerfs, l'un venait du côté fu
ême classe. (2) RÉSUMÉ. 1. L'encéphale des poissons se compose de ganglions distincts, implantés sur les prolongemens antérie
sur les prolongemens antérieurs de la moelle épinière. 2. Outre les ganglions , il existe chez les poissons et notamment chez le
•?) .Te réunirai dans un môme article ce que j'ai à dire touchan 1 le ganglions spinaux des poissons et ceux des autres animaux v
ent sur la moelle épinière de l'anguille, n'indiquent pas la trace de ganglions . 11. Chez quelques poissons, la moelle épinière
la substance médullaire du cerveau humain ; c Que la substance des ganglions qui sont dans l'intérieur du même cerveau ; c Q
ouvera sans doute aussi sur d'autres animaux de leur classe. C'est un ganglion qui existe dans l'épaisseur de la moelle, à la na
de la moelle, à la naissance des racines spinales; la présence de ce ganglion ôteàla moelle épinière de la carpe, la simplicité
croisent à angle droit, pour aller d'un côté à l'autre (V. pl. 1, le ganglion de la sangsue). Ne nous laissons pas arrêter par
laissons pas arrêter par cette objection; dans les articulés, chaque ganglion constitue un tout, les ganglions sont semblables
objection; dans les articulés, chaque ganglion constitue un tout, les ganglions sont semblables entre eux ou au moins très analog
s une prééminence marquée les uns sur les autres excepté toutefois le ganglion céphalique ; chez les poissons, au contraire, la
mens de la moelle de l'anguille. M. Carus compare ces ren-flemens aux ganglions des invertébrés; mais il n'a pour étayer cette op
é. L'étude de la structure comparée de la moelle de l'anguille et des ganglions de la sangsue par exemple, fait parfaitement juge
aitement juger de la différence qu'il y a entre ces parties. Dans les ganglions de la sangsue, (i) Op, cit. toujours des fibr
s organes auxquels ils sont destinés, au moment où ils se séparent du ganglion dont ils émanent. La matière granulée, dont j'a
ngitudinales, ne peuvent-elles pas provenir de la substance grise des ganglions encéphaliques, car ce qu'il faut à l'hypothèse de
e la moelle épinière des poissons, plonge dans la substance grise des ganglions encéphaliques. M. Cruveilhier, raison, que la s
ui se trouve dans l'intérieur de la moelle. Ce noyau est un véritable ganglion ; il a la même structure que les ganglions auxque
. Ce noyau est un véritable ganglion ; il a la même structure que les ganglions auxquels Gall et Spurzheim ont donné le nom de ga
ture que les ganglions auxquels Gall et Spurzheim ont donné le nom de ganglions de renforcement. Des fibres de la moelle viennent
oelle : ainsi, c'est avec raison que l'on peut appeler ce noyau gris, ganglion de renforcement. Sa structure n'est pas fibreuse,
t des racines spinales sont simples et il n'y a pour elles qu'un seul ganglion ; quelques-unes sont doubles , elles ont deux gang
lles qu'un seul ganglion; quelques-unes sont doubles , elles ont deux ganglions . Cette différence dans le mode d'origine des raci
eaucoup plus compliquée que celle de la moelle épinière; les nombreux ganglions dont il se compose méritent tous une mention spéc
stérieures, et les corps restiformes vont ensemble se rendre dans les ganglions postérieurs de la moelle et dans le cervelet, tan
un peu, puis rencontre une masse de substance granulée, un véritable ganglion (le corps strié) où ses fibres échappent complète
es fibres échappent complètement à l'observateur ; mais au-delà de ce ganglion , on les retrouve suivant la même direction que le
'interruption apparente à cette communication que dans l'intérieur du ganglion ; je dis interruption apparente, car les fibres q
environ le double du faisceau qui émane de la moelle, de façon que le ganglion placé à la partie inférieure de la lame optique e
ue le ganglion placé à la partie inférieure de la lame optique est un ganglion de renforcement comme les ganglions spinaux dont
férieure de la lame optique est un ganglion de renforcement comme les ganglions spinaux dont il a été précédemment question. Pour
ritable commissure. De chaque côté, ces fibres se continuent jusqu'au ganglion de la lame optique en croisant la direction des f
formée, 1° D'un pédoncule venant de la moelle épinière ; 2° D'un ganglion de renforcement; 3° De fibres qui, par leur réu
pédoncule est tout trouvé, c'est le pédoncule cérébral; l'analogue du ganglion de renforcement, c'est le corps strié et la couch
s'avance et se divise en autant de faisceaux secondaires qu'il y a de ganglions ; ainsi un faisceau pour le ganglion inférieur, u
sceaux secondaires qu'il y a de ganglions ; ainsi un faisceau pour le ganglion inférieur, un autre pour le ganglion cérébral, un
ions ; ainsi un faisceau pour le ganglion inférieur, un autre pour le ganglion cérébral, un troisième pour le ganglion olfactif,
n inférieur, un autre pour le ganglion cérébral, un troisième pour le ganglion olfactif, et un quatrième si ce ganglion olfactif
rébral, un troisième pour le ganglion olfactif, et un quatrième si ce ganglion olfactif est double. Dans chacun de ces gan gli
ment, pour ces lobes, une véritable commissure; la plupart des autres ganglions de l'encéphale des poissons sont pourvus de fibre
yramides postérieures, vont se perdre dans la substance de chacun des ganglions . Le croisement que l'on voit dans cet endroit rap
-près la forme d'un X ; l'une de ses extrémités, la supérieure, va du ganglion de la lame optique au centre du ganglion inférieu
émités, la supérieure, va du ganglion de la lame optique au centre du ganglion inférieur, et ainsi pour la seconde , de telle fa
ur la seconde , de telle façon que cette commissure unit entre eux le ganglion inférieur droit avec la lame optique gauche, et r
du microscope, au moins pour ce qui regarde cette double origine. Les ganglions inférieurs ont une autre commissure que j'ai déjà
ernière commissure dont j'ai également parlé, unit entre eux les deux ganglions cérébraux. Le mode d'origine de ces commissures
ssures en forme de cordon est partout le même : au centre de tous les ganglions , ¡I existe un point où se rendent les fibres de c
ssi de même en recherchant l'origine des autres nerfs; ainsi dans les ganglions postérieurs du cervelet, j'ai vu entrer des fibre
res longitudinales, l'autre par des fibres transverses (v. pl. 1er le ganglion de la sangsue), tandis que des nerfs rachidiens d
n avis. En récapitulant ce qui précède, concernant la structure des ganglions encéphaliques , nous trouvons pour chacun de ces
ucture des ganglions encéphaliques , nous trouvons pour chacun de ces ganglions un prolongement de la moelle épinière , pour chac
un prolongement de la moelle épinière , pour chacun d'eux excepté les ganglions olfactifs, une commissure; pour les ganglions pla
hacun d'eux excepté les ganglions olfactifs, une commissure; pour les ganglions placés en arrière du cervelet; pour les lobes opt
'est pourquoi je n'en fais pas mention; je n'aipas vunon plus que les ganglions inférieurs fournissent des racines au nerf optiqu
cerebelli ad testes. Une différence importante qui existe entre les ganglions encéphaliques, différence indiquée par M. deBlain
contraire pour d'autres. En tête de ces derniers , il faut placer le ganglion antérieur au lobe optique et que j'ai appelé gang
faut placer le ganglion antérieur au lobe optique et que j'ai appelé ganglion cérébral; ensuite vient le ganglion inférieur, pu
u lobe optique et que j'ai appelé ganglion cérébral; ensuite vient le ganglion inférieur, puis le cervelet, et peut-être dans la
racines sur les tubercules quadrijumeaux. La substance blanche des ganglions , comme celle de la moelle rachidienne, est fibreu
tomie comparée ou Tableau de l'organisa- qu'elles appartiennent aux ganglions , à la moelle épinière ou aux nerfs ; elles ne son
servées de cette manière, il arrive que les fibres de l'intérieur des ganglions encéphaliques et les fibres transverses de la par
presque rectilignes ; que les fibres des commissures qui unissent les ganglions cérébraux, sont un peu plus grosses que les précé
cervelet, celles qui croisent la moelle au niveau du cervelet et des ganglions cérébraux postérieurs, celles qui forment l'admir
rence. 3° Pour les fibres de la commissure diffuse du cervelet, des ganglions postérieurs; pour les fibres de la lame optique e
x fibres transverses et à celles qui se trouvent dans l'intérieur des ganglions cépha-liques. Je dois, en terminant, faire rema
les fibres des nerfs et les fibres de la moelle, l'intermédiaire d'un ganglion . 6. Il n'y a aucun entrecroisement des faisceau
L'extrémité céphalique de la moelle épinière va se terminer dans les ganglions cérébraux ; aux ganglions du nerf vague et du ner
la moelle épinière va se terminer dans les ganglions cérébraux ; aux ganglions du nerf vague et du nerf trifacial et au cervelet
bercules quadrijumeaux, aux lobes optiques, aux lobes inférieurs, aux ganglions cérébraux et aux ganglions olfactifs, vont se ren
lobes optiques, aux lobes inférieurs, aux ganglions cérébraux et aux ganglions olfactifs, vont se rendre les faisceaux fulcraux
lame optique, dans le corps calleux et dans le nerf optique. 8. Les ganglions sont composés de substance fibreuse et de substan
ibres de la moelle, que naissent les commissures. 10. Pour tous les ganglions céphaliques, le ganglion olfactif excepté, il exi
issent les commissures. 10. Pour tous les ganglions céphaliques, le ganglion olfactif excepté, il existe des fibres transverse
ibres transverses qui forment leur commissure. 11. A l'exception du ganglion cérébral et du cervelet, (i) Histoire naturelle
) Histoire naturelle des poissons, art. Scombbe maquereau. tous les ganglions encéphaliques donnent naissance à des nerfs. 12
pour les fibres transverses de la moelle allongée et pour celles des ganglions encéphaliques. 14. Les fibres canaliculées cont
lité de faire une appréciation rigoureuse de la forme et du volume du ganglion céphalique, chez la plupart de ces animaux, ne m'
us considérable que dans les autres squales et que dans les raies; le ganglion céphaliqne est moindre dans la petite roussette o
présente les plus notables différences ; lisse comme tous les autres ganglions chez les poissons osseux, sa surface présente dan
ble, tandis que d'autres fois il existe à peine ou se confond avec le ganglion cérébral. Il est très petit dans la baudroie, le
ns la morue. Chez le xiphias, il est cinq à six fois plus gros que le ganglion olfactif, et il est double de celui du cervelet.
t double de celui du cervelet. Je ne connais aucun poisson qui ait le ganglion cérébral, comparé aux autres ganglions encéphaliq
onnais aucun poisson qui ait le ganglion cérébral, comparé aux autres ganglions encéphaliques , plus considérable que le xiphias.
qui concerne son encéphale, que le brochet. Chez le brochet, c'est le ganglion optique qui l'emporte sur les autres, chez le squ
optique qui l'emporte sur les autres, chez le squale-renard, c'est le ganglion cérébral ; le cervelet du squale-renard est énorm
publiée par Arsaky (1), toutefois on y peut distinguer de très petits ganglions olfactifs, des ganglions cérébraux très considéra
outefois on y peut distinguer de très petits ganglions olfactifs, des ganglions cérébraux très considérables , des tubercules opt
mbreux et considérables, proportion gardée, vont se rendre à un petit ganglion ; tandis que chez les reptiles, ce sont des nerfs
s, ce sont des nerfs moins considérables, et des centres nerveux, des ganglions plus gros. Ainsi, chez les reptiles, prédominance
Dans tous les reptiles, le cerveau l'emporte en volume sur les autres ganglions céphaliques ; il est allongé, pyriforme; sa gross
renouille, par exemple, il existe en avant du lobe cérébral, un petit ganglion olfactif qui se continue directement avec le prol
us, on voit les faisceaux de la moelle épinière se prolonger sous les ganglions cérébraux, sans se confondre, ni passer d'un côté
le de les observer au-delà de leur point d'insertion. Il n'y a pas de ganglions à leur origine, comme chez les poissons. Ce sont
ustique. 10e paire. Nerfs vagues ou pneumo-gasfriques. Dépourvus de ganglions extérieurs, à leur origine, ainsi que les nerfs d
largie. L'augmentation de volume de la moelle, supplée donc alors aux ganglions situés sous le cervelet, ou en arrière de cet org
rgane, chez les poissons. Quelques reptiles conservent des traces des ganglions dont il s'agit ; le crocodile est dans ce cas.
. La circonscription des différentes parties de la moelle épinière en ganglions distincts, n'est donc pas vraie, et avec le mode
possible. RÉSUMÉ. 1. L'encéphale des reptiles se compose de trois ganglions principaux, réunis entre eux par des commissures.
s ganglions principaux, réunis entre eux par des commissures. 2. Le ganglion le plus considérable de l'encéphale des reptiles
quelques-uns seulement, ce quatrième ventricule conserve la trace des ganglions postérieurs des poissons. 5. La moelle allongée
de la moelle et jamais au dehors. Chez aucun reptile, je n'ai vu de ganglion particulier pour les filets d'origine des nerfs r
r, et la tendance à l'unité du second. Dans les poissons, beaucoup de ganglions inégaux, en nombre variable, et ganglion cérébral
s les poissons, beaucoup de ganglions inégaux, en nombre variable, et ganglion cérébral souvent inférieur, quant à son volume, à
ion cérébral souvent inférieur, quant à son volume, à tous les autres ganglions ; dans les reptiles, nombre de ganglions plus res
on volume, à tous les autres ganglions ; dans les reptiles, nombre de ganglions plus restreint, le même chez tous les animaux de
le même chez tous les animaux de celle classe, grande prédominance du ganglion cérébral, infériorité relative des ganglions opti
e, grande prédominance du ganglion cérébral, infériorité relative des ganglions optiques et ténuité du cervelet. Ce dernier organ
z le ménopoma (7), le crocodile, le boa (8), où il forme un véritable ganglion , mais toujours d'un petit volume et constamment d
OISEAUX. L'étude des vertébrés inférieurs nous a appris qu'avec des ganglions encéphaliques très petits correspondaient des fac
des objets matériels. En avançant, nous allons voir se développer le ganglion cérébral, et, dans une progression analogue, s'ét
mi* nores, Ups, Ò79Ç, nion de Vicq d'Azyr sur la nature du premier ganglion encéphalique est partagée par Cuvier (1), qui reg
corps calleux des mammifères. Il appelle couches optiques les petits ganglions placés en avant des lobes optiques ; il indique d
petits ganglions placés en avant des lobes optiques ; il indique des ganglions placés à l'origine des nerfs acoustiques, et comp
outé aux autres, la couche optique a un autre usage , c'est d'être un ganglion de renforcement pour les pédoncules cérébraux. A
gues l'un de l'autre. Le corps strié est un organe supplémentaire, un ganglion de renforcement, pour me servir de l'expression e
s inférieures des vertébrés, l'augmentation considérable de volume du ganglion cérébral, les dépressions vasculaires qui se rema
dépressions vasculaires qui se remarquent à la face supérieure de ce ganglion chez plusieurs oiseaux, le recouvrement, partiel
c pas. (1) RÉSUMÉ. 1. L'encéphale des oiseaux se compose de trois ganglions principaux, le cerveau, le cervelet, les lobes op
lions principaux, le cerveau, le cervelet, les lobes optiques et d'un ganglion supplémentaire, la couche optique : des commissur
e la substance grise, mais elle y est disséminée, et n'y forme pas de ganglion ou d'amas analogue au corps olivaire. On ne trouv
u'une, celle de la moelle épinière dont les fibres, renforcées par un ganglion , vont former une sorte d'anse entre les lobes op
ures du cerveau. Chez les poissons, le cerveau consiste en un petit ganglion placé toul-à-fait en avant des autres ganglions c
u consiste en un petit ganglion placé toul-à-fait en avant des autres ganglions cérébraux; chez les reptiles, il est creusé d'une
.'...... rectiligne du nerf auditif ....... 0,00783 / /........ du ganglion du nerf auditif...... 0,00917 ld......... du ne
2 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
sacrées sont rougeâtres, épaissies dans leur partie qui précède le ganglion ; elles sont réunies par des adherences, au cul
entoure.Cette teinte rougeâtre disparait au contraire, au niveau du ganglion . L'examen histologique de la moelle a montré l'
té sur les racines de la queue de cheval avant leur entrée dans les ganglions rachidiens. Il ne s'agit pas, dans l'espèce, d'
ANGLIONNAIRES DU TABES 291 trophique, c'est-à-dire de la cellule du ganglion rachidien, soit à une lé- sion étroitement loca
ine ? Dans la plupart des recherches qui ont eu pour but l'étude du ganglion rachidien, les résultats furent négatifs ; en t
ulaires, il fallut abandonner l'idée d'une affec- tion primitive du ganglion , à moins de supposer une lésion purement dynami
es comprimant et les écrasant un peu avant leur pénétration dans le ganglion (Nageotte). Une autre théorie a été soutenue pl
ur trajet intra et juxtaganglion- naire, au-dessus et au-dessous du ganglion ; nous avons été aussi amenés à étudier le gang
t au-dessous du ganglion ; nous avons été aussi amenés à étudier le ganglion et à rechercher les altérations cellulaires. Ap
utile de rappeler d'abord, très brièvement, le schéma anatomique du ganglion spinal. Interposé sur le trajet des racines posté
lion spinal. Interposé sur le trajet des racines posté- rieures, le ganglion constitue une petite masse oblongue, allongée sui
périphériques de ces cellules se réunissent à l'autre extrémité du ganglion en faisceaux compacts qui,poursuivant leur 292
s racines postérieures au même titre que celles qui s'éten- dent du ganglion à la moelle, on est conduit à diviser au point de
en trois portions : une portion sus- ganglionnaire, de la moelle au ganglion , une portion intra-ganglionnaire, une portion s
t la dure-mère. Ce deuxième segment s'étend jusqu'au voisi- nage du ganglion . Un peu avant de l'atteindre, le feuillet viscé
ès court (8 à 15 millim.) qui s'étend du cul-de-sac arachnoïdien au ganglion , la racine est entourée d'une gaine fibreuse un
ors, la pie-mère en dedans, sorte d'épinèvre qui se poursuit sur le ganglion et le bout périphérique (névrilemne). , C'est c
. rieuresur des coupes transversales de plus en plus rapprochées du ganglion , non seulement on voit, dans chacune de ses por
t se dissocient et s'écartent au moment de leur pénétration dans le ganglion pour se dis- tribuer en divers points du parenc
ibles dans le groupement des fibres. Après leur pénétration dans le ganglion , les fibres de la racine posté- rieure restent
isceaux avant de se disséminer. Il y a la, à l'extrémité interne du ganglion , une zone étroite plutôt radiculaire que cellul
un volumineux faisceau qui émerge du pôle périphérique et quitte le ganglion pour se réunir bientôt aux fibres de la racine
hniques. 10 Orientation des coupes. On peut étudier à la fois et le ganglion et les portions attenantes des racines au moyen
ir, au préalable, bien orienté la pièce. Le mieux est de séparer le ganglion avec les racines attenantes et de le sec- tionn
ment ces altérations dans les différents segments des racines et du ganglion . C'est pourquoi Nageotle conseille d'y avoir ex
e de nos pièces, avons-nous adopté cette technique. On sectionne le ganglion en deux parties, perpendiculairement à son gran
uisse pratiquer des coupes transversales sériées de la racine et du ganglion . 2° Méthodes de fixation et de coloration. - Le
ou encore par l'emploi de l'acide osmique. Aussi la plupart de nos ganglions après durcis- sement prolongé dans le liquide d
nt préci- sément eu pour objet l'examen par la méthode de Nissl des ganglions spi- naux dans le tabes. Nous aurons à discuter
. Morte de cachexie le 27 novembre 1899. ' Examen anatomique. Douze ganglions ont été examinés : quatre ganglions dorsaux,-se
899. ' Examen anatomique. Douze ganglions ont été examinés : quatre ganglions dorsaux,-sept ganglions lombaires essacrés, un
. Douze ganglions ont été examinés : quatre ganglions dorsaux,-sept ganglions lombaires essacrés, un ganglion cervical. Ces gan
s : quatre ganglions dorsaux,-sept ganglions lombaires essacrés, un ganglion cervical. Ces ganglions ont été coupés suivant
dorsaux,-sept ganglions lombaires essacrés, un ganglion cervical. Ces ganglions ont été coupés suivant leur grand diamètre, c'e
de Weigert, le picrocarmin, l'éosine et l'hématoxyline. Le premier ganglion dorsal et le sixième cervical ont été débités e
postérieures, depuis leur entrée dans le sac durai jusqu'au delà du ganglion . Dans tous ces examens, l'atrophie de la racine
re depuis son trajet dans le cul-de-sac arachnoïdien jusque dans le ganglion . Trajet sus-ganglionnaire. Dans plusieurs cas l
usieurs cas les racines postérieures se rendent directement dans le ganglion , sans être deviées dans leur trajet par des tra
voit pas de gros exsudat ou de lésions inflammatoires. Au-dessus du ganglion quel- ques fascicules radiculaires se renflent
de pénétrer dans l'in- térieur de l'organe. Dans la traversée du ganglion , les racines se comportent différemment au pôle
ueur depuis le cul-de-sac arachnoïdien jusque dans l'inté- rieur du ganglion ; plusieurs sont plus atrophiées au niveau de leu
lusieurs sont plus atrophiées au niveau de leur pénétration dans le ganglion , tandis que dans leur trajet intra-arachnoïdien,
s, et plus particulièrement au niveau de leur pénétra- tion dans le ganglion ou même un peu au-dessus, les fibres nerveuses so
sciculaires dans l'espace qui s'étend entre le cul-de sac arach- Ce ganglion présente dans son tiers interne une volumineuse c
ant un champ considérable (ch). Fig. 2. - MOLLLN ... (Observ. I). - Ganglion lombaire coupé longitudinalement. Coloration pa
Zeiss. Obj. 0. var. Oc. 1. 300 THOMAS ET IIAUSEII noidien et le ganglion ; on n'y trouve que du tissu fibreux adulte plus
- 4 Racine dorsale. Coupe transversale, immédiatement au-dessus du ganglion . Colorât. Ilématéine-éosine. Zeiss. Obj. a3, Oc
des trousseaux fibreux ; il n'existe en tout cas qu'au voisinage du ganglion et ne remonte pas sur le trajet sus-ganglionnai
ubi la transformation hyaline.' Deux fois, il existait au-dessus du ganglion , une cavité à paroi fibreuse ex- trêmement épai
t ni exsudât, ni amas nucléaires, ni pigment sanguin. Dans un autre ganglion il existait une cavité remplie de sang occupant
embryonnaires, mais ils sont plutôt rares. Le tissu interstitiel du ganglion n'est pas augmenté. Les vais- seaux y sont mala
ophiée, hyaline, les noyaux plus nombreux ; sur quelques-uns de ces ganglions , les vaisseaux paraissent plus nombreux et sont
de sang. Les racines antérieures sont saines. L'examen du premier ganglion dorsal coupé perpendiculairement et en série, e
ls augmentent considérablement de volume au voisinage immé- diat du ganglion (fig. 3) ; au reste, dans toute cette région qui
j. D. Oc. 2.) Un fascicule de la racine postérieure au voisinage du ganglion . Le périnèvre, très épaissi, contient un grand
quelques capsules péricellulaires sont très hypertrophiées. Dans le ganglion les vaisseaux ne sont pas malades. La racine an
s en novembre 1899 Examen anatomique. Nous avons examiné environ 18 ganglions , dont 8 pour la région dorsale, 6 pour la régio
le, 6 pour la région cervicale, 4 pour la région lombaire. Tous les ganglions de la région dorsale ont été colorés en masse au
de Muller. L'inclusion a été faite à la paraffine et la plupart des ganglions ont été débités en coupes sé- riées, perpendicu
même coupe l'entrée et la sortie de la racine postérieure. Pour les ganglions de la région cervicale, la coloration en masse au
égnation pendant 10 jours dans le liquide de Marchi. Enfin les deux ganglions lombaires ont été colorés directement sur lame pa
le bout sus-ganglion- naire et se poursuit jusqu'au pôle central du ganglion . Elle paraît même plus accentuée, pour les 10e
postérieures, au voisinage immédiat, qu'à une certaine distance du ganglion . Avant d'aborder le ganglion, les racines posté
édiat, qu'à une certaine distance du ganglion. Avant d'aborder le ganglion , les racines postérieures se divisent en un cer-
ines. L'altération radiculaire se poursuit dans l'intérieur même du ganglion sur les fascicules qui après leur pénétration s
eures existe à un degré analogue. On voit également au voisinage du ganglion ces racines se dissocier en fascicules bien iso
e leurs tuniques). L'atrophie peut aussi être suivie jusque dans le ganglion au point où les fibres se disséminent. Les ra
actes. Région dorsale supérieure. - Les coupes longitudinales du 2e ganglion dorsal permettent de voir les racines postérieu
ne laissent pas apercevoir de cylindraxes. Dans le bout central du ganglion on rencontre également des fibres altérées; par
ntre également des fibres altérées; par contre la majeure partie du ganglion , et les racines posté- rieures à leur sortie so
t leur trajet. L'atrophie des racines postérieures jusque dans le ganglion ressort encore de l'examen des autres ganglions
eures jusque dans le ganglion ressort encore de l'examen des autres ganglions de la région. Les méninges sont généralement un
A ce point de vue la 3° racine dorsale est normale au voisinage du ganglion . Ce n'est qu'un peu au-dessus qu'apparaît l'épa
le des racines postérieures. La méthode de Marchi employée pour ces ganglions ne permet de déceler aucun corps granuleux. D
t dorsale, l'atrophie des racines postérieures se poursuit jusqu'au ganglion , et dans l'intérieur même du gan- glion, mais a
s caractères normaux, ainsi qu'en témoigne notamment l'examen du 2* ganglion dorsal. Le degré d'atrophie des fibres radicu
cialement envisagée. 11 reste sensiblement égal, ou diminue vers le ganglion ; toutefois à l'inverse de ce qui semble la règ
-11 racines dorsales sont plus atteintes au voi- sinage immédiat du ganglion qu'à distance. II. - ETUDE histologique DES lés
oint de vue le résultat est invariable à proximité et à distance du ganglion . Les vaisseaux contenus dans les racines postér
neau fibreux épais ; il n'y a pas d'épaississement de la capsule du ganglion ni du tissu conjonctif interstitiel. Enfin on p
dans leur portion sus-ganglionnaire .et même dans le parenchyme du ganglion voisin de leur point de pénétration. Au contraire
e position, etc. Examen anatomique. - Cet examen a porté sur quatre ganglions dorsaux, deux ganglions lombaires, trois gangli
anatomique. - Cet examen a porté sur quatre ganglions dorsaux, deux ganglions lombaires, trois ganglions sacrés, deux ganglions
porté sur quatre ganglions dorsaux, deux ganglions lombaires, trois ganglions sacrés, deux ganglions cervicaux. Les coupes lo
ons dorsaux, deux ganglions lombaires, trois ganglions sacrés, deux ganglions cervicaux. Les coupes longitudinales, ont été c
'éosine et l'hématéine. Les lésions que nous avons trouvées sur les ganglions dorsaux, lombaires et sacrés sont très comparab
acine postérieure est atrophiée sur tout son trajet, jusque dans le ganglion (fig. 5). Dans sa portion sus-ganglionnaire, la r
fascicules d'autant plus nombreux qu'elle se rapproche davantage du ganglion (au niveau du nerf radiculaire). La dure-mère e
sci- cules radiculaires, depuis l'arachnoïde jusqu'à l'intérieur du ganglion et cela sans qu'ils soient déviés ou interrompu
ans leur trajet par des tractus con- jonctifs. Dans la traversée du ganglion , les racines postérieures se comportent très di
Dans le bout central aes racines postérieures et le poie centrai uu ganglion les uuic.) ont presque entièrement disparu. Ell
resque entièrement disparu. Elles reparaissent à l'autre extrémité du ganglion et dans le bout périphérique de la racine (rp b
cine antérieure normale. I'ig. 5. - BLI&\(.. (Observ. 111). - 3 ganglion sacré coupé longitudinalement. Colorât, par la
t d'autant plus qu'on l'exa- mine dans des plans plus rapprochés du ganglion . Le tissu conjonctif s'y pré- sente sous l'aspe
r la méthode de Pal et le picro-carmin. (Zeiss. Obj. a'. Oc. 2.) 5e ganglion lombaire au voisinage de la pénétration des racin
sons qui en dépendent, et ils conservent cette disposition jusqu'au ganglion , au voisinage duquel ils sont dissociés par de
u-dessous du cul-de,-sac arachnoïdien, sur d'autres au voisinage du ganglion ; dans ce cas les fascicules radiculaires restent
térieure qui peut être poursuivie jusque dans le pôle médullaire,le ganglion rachidien ne présente pas d'altérations importan-
gaine dure-mérienne et s'atté- nuent au moment où elles côtoient le ganglion . Les fibres nerveuses ne sont nullement dégénér
devenue gâteuse. Mort subite en mai 1901. Examen anatomique. - Huit ganglions ont été examinés après coloration par (1) Nous
Pal, l'éosine et l'hématoxyline, le picro-car- miu, etc.. Premier ganglion lombaire gauche, coupé longitudinalement. Dans
- il n'existe pas de différence appréciable entre les deux pôles du ganglion . Les méninges sont légèrement épaissies. Dans
eu plus nombreux par places sur la racine postérieure, au-dessus du ganglion . Le ganglion ne présente rien de particulier à
x par places sur la racine postérieure, au-dessus du ganglion. Le ganglion ne présente rien de particulier à signaler : les
x ne sont pas très altérés. Racine antérieure normale. - Deuxième ganglion lombaire gauche (coupé longitudinalement). Dans
inalement). Dans la portion sus-ganglionnaire et le pôle central du ganglion la racine pos- térieure est légèrement atrophié
pes, celles-ci paraissent même moins nombreuses il l'entrée dans le ganglion , que dans des plans plus rapprochés de la moelle,
raissent plus nombreux et plus tassés. Dans le pôle périphérique du ganglion et la portion sous-ganglionnaire, la ra- cine p
eux, proliférés, leur paroi est épaissie, volumineuse, hya- line. Ganglion normal. Autour de la racine antérieure, il exis
postérieure, mais elles sont moins intenses et cessent au niveau du ganglion . - Quatrième ganglion lombaire gauche (coupé lo
sont moins intenses et cessent au niveau du ganglion. - Quatrième ganglion lombaire gauche (coupé longitudinalement). La r
ophiée dans sa portion sus-ganglionnaire et dans le pôle central du ganglion , normale dans le pôle périphérique du gan- LÉSI
chyme ganglionnaire et la racine antérieure sont normaux. Cinquième ganglion lombaire gauche (coupé transversalement). L'atr
e postérieure peut être suivie sur toutes les coupes jusque dans le ganglion , tandis que dans le pôle périphérique du ganglion
es jusque dans le ganglion, tandis que dans le pôle périphérique du ganglion et la portion sous-ganglionnaire, la racine pos
e contient des amas nucléaires et des vaisseaux malades. Dans les ganglions , il existe quelques amas nucléaires et quelques c
épaissies, mais la plupart des cellules sont normales. - Troisième ganglion lombaire droit (coupé longitudinalement). (Fig, 6
ans toute sa portion sus-ganglion- naire et dans le pôle central du ganglion , mais dans le pôle périphérique et au- dessous
ntral du ganglion, mais dans le pôle périphérique et au- dessous du ganglion elle est normale. L'atropliie de la racine post
on de Nageotte, les altérations de périnévrite font défaut. Dans le ganglion , plusieurs cellules paraissent petites, atrophiée
st nullement dégénérée. Ces lésions ne descendent pas au-dessous du ganglion . Les racines postérieures sont remarquables par
tions nucléaires sur leur trajet. Fig. 6.- PALL... (Observ.IV).- 3° ganglion lombaire droit coupé longitudinalement. Colorat
on par la méthode de ,Veigert-Pal. (Zeiss. Obj. a'. Oc. i.) A. - 4e ganglion lombaire droit. Coupe des racines antérieure et p
érieure et postérieure immédiatement avant leur pénétration dans le ganglion , ' La racine postérieure est subdivisée en un g
gure, sont saines. 13. - Mêmes racines à leur sortie, au-dessous du ganglion . Tout à fait normales, aussi bien les racines p
eur LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 315 Quatrième ganglion lombaire droit (coupé perpendiculairement) (PI.XL
ophiée dans toute sa portion sus-ganglionnaire. Un peu au-dessus du ganglion elle est dissociée en de nombreux fascicules par
également très riche en faisceaux fibreux. Dans le pôle central du ganglion la racine postérieure est également atrophiée,
ule.Par conséquent il existe des altérations de péri- névrite. Le ganglion est normal. Sur la racine antérieure, il existe
des altérations très nettes de périnévrite, au-dessus du niveau du ganglion rachidien, malgré cela les fibres nerveuses ne
cela les fibres nerveuses ne sont nullement dégénérées. Septième ganglion cervical droit (coupes longitudinales). Atrophi
oblitérés et ont subi la transformation calcaire. Le parenchyme du ganglion est normal. Sur le trajet de la racine antérieu
mais malgré cela les fibres ne sont nullement dégénérées. - Sixieme ganglion cervical droit : normal. Obseuvation V. Four.
atières fécales. Signe d'Argyll-Robertson. Examen ANATOMIQUE. - Les ganglions sacrés ont été coupés : cinq longitu- dinalemen
gert, par l'hématoxyline et l'éosine, par le carmin. Sur tous ces ganglions la racine postérieure est atrophiée dans toute sa
sa lon- gueur depuis la portion intra-arachnoïdienne jusque dans le ganglion . Ganglions coupés longitudinalement. Dans la po
eur depuis la portion intra-arachnoïdienne jusque dans le ganglion. Ganglions coupés longitudinalement. Dans la portion sus-gan
e de l'épinèvre et de la racine pos- térieure. Le pôle central du ganglion contient peu de fibres à myéline ; il est, en eff
e et peut être considéré comme sain. Dans le pôle périphérique du ganglion et la portion sous-ganglionnaire, les racines p
es récents ; les vaisseaux sont pour la plupart malades, sclérosés. Ganglions . - Un certain nombre de capsules ganglionnaires s
ensiblement atrophiées. Les racines antérieures sont normales. Un ganglion et ses racines ont été coupés transversalement et
breux autour de chaque fascicule. Cette disposition persiste jusqu'au ganglion , Epaississement de l'enveloppe conjonctive de l
paisse, ils sont entourés de noyaux plus ou moins nombreux. Dans le ganglion , les cellules nerveuses ne présentent pas d'altér
n fibres, les vaisseaux n'y sont pas très malades. A la sortie du ganglion , les fibres sont parsemées de noyaux appartenant
i séparent les fascicules des racines postérieures à leur sortie du ganglion sont épaisses, les noyaux y sont abon- dants ;
de l'intelligence. Troubles de la parole. Examen anatomique. - Les ganglions examinés sont les 2° sacré droit ; 1er, 3 ? 4°
par la méthode de Pal, le picro-carmin, l'hématoxyline-éosine. 2° ganglion sacré (Coupes transversales sériées des racines p
sacré (Coupes transversales sériées des racines postérieures et du ganglion ). Les fibres radiculaires sont à peine altérées
au-dessus LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 319 du ganglion un peu plus fines et plus dissociées qu'à l'état
es, les écarte et les dissocie (Fig. 8). A mesure qu'on approche du ganglion on voit la réaction inflammatoire interstitiell
hyaline de leurs tuniques. A leur émergence du pôle périphérique du ganglion , les racines postérieures sont compactes et hom
eur nombre ne semblent nullement diminués. Région lombaire. - Les 3 ganglions ont été coupés longitudinalement. Les racines p
les coupes longitudinales des 1 ? 3°, o°, 1 le et 12" dorsales, le ganglion et les racines postérieures ne présentent aucune
, sauf peut-être un peu d'épaississement de leurs capsules. Le 81 ganglion dorsal nous a permis d'observer des altérations d
ueur.Sur les coupes trans- versales des racines un peu au-dessus du ganglion , on voit à la place des fibres nerveuses, une m
ar, Oc. 1.) A. - 8e racine dorsale. Coupe transversale au-dessus du ganglion (portion iuit"o-arac¡'lIoidiC111U). Il n'y a pa
cines postérieures (r). B. - Mêmes racines sectionnées plus près du ganglion . Les fibres des racines postérieures (rp) sont
les mêmes caractères sur le trajet des racines postérieures du 10r ganglion dorsal. Sur ce ganglion coupé longitudinalement o
r le trajet des racines postérieures du 10r ganglion dorsal. Sur ce ganglion coupé longitudinalement on peut voir qu'il exis
dégénérescence. Région cervicale. - Représentée seulement par le 6° ganglion cervical droit. Les fibres radiculaires sont no
oires. Mort en 1001. Examen anatomique. Cet examen a porté sur cinq ganglions dorsaux coupés perpendiculairement à l'axe et e
xiste dans toute la portion sus-ganglionnaire et le pôle central du ganglion , elle disparaît dans le pôle périphérique du ga
le central du ganglion, elle disparaît dans le pôle périphérique du ganglion et la portion sous-ganglionnaire. Dans sa porti
ent sur eux-mêmes. 322 THOMAS ET HAUSER Dans le pôle central du ganglion , l'atrophie des racines postérieures se voit en
es racines postérieures se voit encore nettement, mais sur quelques ganglions elle est moins accentuée que dans la portion su
s-ci sont plus nombreuses dans trois cas à la pé- nétration dans le ganglion . Dans chaque fascicule, les fibres sont groupées
reux, comme s'il y avait eu une néo- formation. ' ' Dans quelques ganglions les cellules et les capsules péricellulaires so
ules et les capsules péricellulaires sont normales, dans d'autres ganglions les capsules sont extrème- ment épaissies, les
ascicules envahis par le tissu libreux ; (l'autre part tout près au ganglion , quelques lascicuies sont 1"Ig. 9. - UELAVACQ..
ombe à une congestion pulmonaire, en 1899. Examen ANATOMIQUE.- Un ganglion lombaire coupé en série et à la paraffine, aprè
on dans le sac durai, les der- nières par les racines au-dessous du ganglion , avant leur réunion et la consti- tution du ner
t atrophiée dans la portion sus-ganglionnaire et le pôle central du ganglion , normale au contraire dans le pôle périphérique e
nnaire, l'atrophie diminue à mesure que la ra- cine se rapproche du ganglion . Un peu au-dessus de sa pénétration dans le gan
e rapproche du ganglion. Un peu au-dessus de sa pénétration dans le ganglion , la racine postérieure est dissociée en plusieurs
es-ci sont moins atrophiées et plus nombreuses en remontant vers le ganglion . Une quantité assez notable de gaines de Schwan
i- blit assez rapidement et succombe. Examen anatomique. - Quatre ganglions , avec les racines correspon- dantes, ont été ex
glions, avec les racines correspon- dantes, ont été examinés : deux ganglions dorsaux et deux ganglions lombaires. Coloration
orrespon- dantes, ont été examinés : deux ganglions dorsaux et deux ganglions lombaires. Coloration par la méthode de Weigert
s, et perpendiculaires à l'axe après inclusion à la celloïdine ; un ganglion est cou- pé longitudinalement. Dans tous ces ca
ine dorsale, l'atrophie di- minue et disparaît en remontant vers le ganglion : sur la 2° région lombaire, au contraire, l'at
au contraire, l'atrophie est plus nette immédiatement au-dessus du ganglion (au niveau du nerf radiculaire de Nageotte),ce
creusée par une cavité contenant un exsudat amorphe au voisinage du ganglion ; les fibres ner- veuses y sont plus grêles ; e
Les vaisseaux ne présentent pas d'altérations manifestes. Dans le ganglion les cellules paraissent plutôt un peu petites, et
nglion les cellules paraissent plutôt un peu petites, et dans le 2e ganglion lombaire quelques capsules sont épaissies et leur
après 14 ans de maladie. Examen anatomique. L'examen a porté sur 5 ganglions lombaires, droits ou gauches fixés au sublimé o
icrique et colorés ensuite par le picro-carmin en masse. Selon le ganglion examiné les lésions radiculaires se montrent fort
mbaire gauche, elle est au contraire très prononcée au voisinage du ganglion sur les 31, li", 50 racines lom- baires. 30 L
om- baires. 30 Lombaire gauche. - Les coupes longitudinales du 3e ganglion lombaire gauche et ses racines antérieures et p
la racine postérieure qui reste presque indivise avant d'aborder le ganglion . Les fibres radiculaires qui émergent du pôle g
ures est très nette jusqu'au gan- glion. A une petite distance du ganglion , l'inflammation des méninges est d'une intensit
exercer sur les fascicules une certaine compression. Plus près du ganglion cette zone inflammatoire disparaît, et l'on ne tr
lus nettement à mesure qu'on examine des coupes plus rapprochées du ganglion ; car les fascicules se dissocient, s'élargisse
ccroît encore lorsqu'on arrive aux coupes immédiatement voisines du ganglion . Non seulement l'épinèvre forme à la racine une
Mort en 1902. Examen ANATOMIQUE.- Ont été colorés et examinés les 3 ganglions suivants : 2e et 3e Lombaires (ganglion bilobé)
colorés et examinés les 3 ganglions suivants : 2e et 3e Lombaires ( ganglion bilobé) ; 1,10 dorsal. LÉSIONS RADICULAIRES ET
t dans une atrophie très considérable qui peut être suivie jusqu'au ganglion et en des lésions des méninges et des vaisseaux
un faisceau aussi dense, aussi compact qu'à l'état normal. Dans le ganglion même, la région du pôle central est pauvre en f
s différentes enveloppes des racines jusqu'à la pénétration dans le ganglion . La dure-mère est épaissie jusqu'au ganglion. I
la pénétration dans le ganglion. La dure-mère est épaissie jusqu'au ganglion . Il est assez remarquable de voir cette pachyméni
à peu près au niveau où les racines postérieures pénètrent dans le ganglion . Cette particula- rité semble d'ailleurs se rep
la méningite de la dure- mère ne se poursuit, ni sur la capsule du ganglion , ni sur les racines antérieu- res qui lui sont
ibres saines soient un peu plus nombreuses au voisinage immédiat du ganglion qu'un peu plus haut vers la moelle ; mais il en
u contraire plus atteinte dans sa portion immédiatement contiguë au ganglion . Aussi, des légères variations régionales observé
aquelle l'atrophie augmenterait ou diminuerait de la moelle vers le ganglion . Au reste presque toujours, au point de pénétra
anglion. Au reste presque toujours, au point de pénétration dans le ganglion l'atrophie se montre avec netteté, et l'on peut
les alté- rations radiculaires ne puissent en aucun cas franchir le ganglion ? Cela n'est pas démontré, mais dans aucun cas
es, il est donc nettement établi que leur atrophie s'étend jusqu'au ganglion rachidien et- même dans le parenchyme ganglionn
- sac arachnoïdien, mais bien le segment terminal, compris entre le ganglion et le cul-de-sac séreux, le nerf radiculaire. A
t sur ces mêmes cas, à partir du point où les racines s'accolent au ganglion . Quant au processus intersti- tiel, il est à pe
ine fréquence soit au niveau des racines postérieures, soit dans le ganglion . Nous avons vu, par les obs. I, IV et VI que des
parenchyme ganglionnaire. Nos constatations sur les altérations du ganglion seront brièvement résumées. Nous n'avons guère
ntré de lésions du stroma qui mérite d'être signalée. La capsule du ganglion n'est pas épaissie, non plus que les cloisons con
st l'effet d'une fixation dé- fectueuse, et peut s'observer sur des ganglions normaux. La surcharge ou le défaut de pigment s
le tabès les racines postérieures soient atrophiées jusque dans le ganglion , et c'est une particularité qui a été LÉSIONS R
o- phie radiculaire pouvait être suivie jusque dans l'intérieur des ganglions , et les coupes longitudinales démontrent très n
ue que l'atrophie des racines pos- térieures remonte jusque dans le ganglion ; sur quelques racines coupées en série dans de
ssurer déjà que l'atrophie radiculaire diminue en se rapprochant du ganglion et ce fait tendrait à prouver que la fibre est
gagne progressivement le bout central. Cependant, sur plusieurs des ganglions et des racines que nous avons examinés, les fib
avons examinés, les fibres étaient plus grêles au voisinage même du ganglion que quelques millimètres plus haut, ce qui laisse
existe pas du côté du centre trophique commun, c'est-à-dire dans le ganglion rachidien, quelque lésion qui puisse être la ca
z difficile de saisir le début de l'atrophie cellulaire, car sur un ganglion normal les dimensions des cellules sont déjà très
aurait plus y avoir d'hésitation, surtout si l'on compare plusieurs ganglions enlre eux.Ces lésions d'ailleurs ne sont pas co
re sont plus atrophiées dans le trajet sus-ganglionnaire et dans le ganglion lui-même. - D'autre part, des recherches ont ét
ur accorde pas une grande impor- tance : en effet, les cellules des ganglions spinaux subiraient très vite des altérations à
ées d'atrophie. Nos connaissances plus récentes sur la structure du ganglion rachidien laissent entrevoir qu'il s'agit d'un
le prolongement se bifurque un grand nombre de fois sans quitter le ganglion et se termine autour des cellules par des arbor
ifier les anciennes doc-1, trines sur la constitution anatomique du ganglion rachidien. Si, toutes les cellules ganglionnair
mholtz : ils ont examiné avec de très grands soins le 31° et le 32° ganglions du lapin : dans le premier, aux 3173 fibres de
son prolongement protoplasmique dirigée de la périphérie cutanée au ganglion et son axone, la fibre radiculaire. Que la cellul
ments.Quoi qu'il en soit,ces expériences montrent que la cellule du ganglion spinal se comporte différemment suivant que la se
lle qui invoque un trouble dynamique ou fonctionnel des cellules du ganglion spinal puise dans les considérations précédente
la cellule nerveuse. Pour d'autres auteurs, ce n'est pas dans le ganglion rachidien, mais sur le trajet même de la racine
chidien, mais sur le trajet même de la racine postérieure depuis le ganglion jusqu'à la moelle qu'il faut chercher la cause
nt dans son trajet médullaire, mais dans toute son étendue jusqu'au ganglion rachidien, à moins d'admettre qu'en deçà de la
résultats de l'obs. II ; les racines sont ma- lades jusque dans le ganglion et pourtant les lésions de périnévrite et d'end
i restent libres de toute lésion de périnévrite jusqu'à l'entrée du ganglion alors que d'autres sont entourés de véritables
les au- tres sont dégénérées, atrophiées jusque dans l'intérieur du ganglion , sans qu'il y ait de différence à ce point de v
e point de vue entre ceux-ci et ceux-là. Prenons pour exemple le 8" ganglion dorsal de notre obs. VI; nous avons constaté su
et les racines postérieures sont dégénérées parfois jusque dans le ganglion alors que les lésions de périnévrite sont en plei
ractère particulier de ne pas dépasser le niveau du pôle central du ganglion ; quelquefois cependant les tubes nerveux sont p
ait envisager l'atrophie des fibres radiculaires à l'inté- rieur du ganglion comme une atrophie rétrograde, et l'on ne conçoit
ssus du nerf radiculaire peut être suivie et rester la môme dans le ganglion (obs. II). Enfin, on peut lui faire encore le g
n de structure constante des racines postérieures, car sur quelques ganglions normaux elle fait complètement défaut ; et d'autr
ièce constituée par le bulbe, le cervelet, la protu- bérance et les ganglions de la base. Une fois durcie, cette pièce a été dé
ses dans l'intestin grêle et le colon ; tubercules caséifiés dans les ganglions mésentériques. Testicules très diminués de vo
3 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
c'est seulement un anneau formé de fibres tendineuses. i serait le ganglion . i le cordon de communication entre chaque gang
. i serait le ganglion. i le cordon de communication entre chaque ganglion . 3 le nerf émanant du ganglion. Colimaçon. Le
cordon de communication entre chaque ganglion. 3 le nerf émanant du ganglion . Colimaçon. Le système nerveux de cet animal se
onaire entourant l'œsophage et de nerfs qui partent exclusivement des ganglions . \. Ganglion céphalique double , réuni par une
l'œsophage et de nerfs qui partent exclusivement des ganglions. \. Ganglion céphalique double , réuni par une commissure médi
phage. i. Double cordon de communication entourant l'œsophage. 3. Ganglion viscéral;derrière lui, et par conséquent invisibl
errière lui, et par conséquent invisible sur la planche, se trouve le ganglion pédieux. Ces deux derniers ganglions sont placés
ible sur la planche, se trouve le ganglion pédieux. Ces deux derniers ganglions sont placés au-dessous de l'œsophage. Les nerfs
anglions sont placés au-dessous de l'œsophage. Les nerfs partant du ganglion céphalique vont à l'orifice oral, aux tentacules,
génération, un nerf que l'on ne retrouve pas à gauche. Les nerfs du ganglion viscéral vont, pour la plupart , aux organes de l
nes de la nutrition; les cinq petits filets que l'on voit derrière le ganglion viscéral et qui se dirigent à gauche, vont au pie
s plus gros et les seuls visibles à l'œil nu, de ceux qui naissent du ganglion pédieux. Nautile (d'après M. Richard Owen). Ann
açon et présentant les trois renflemens ganglionaires i, 3 et 4- i. Ganglion céphalique. i. Ganglion du nerf optique, placé
is renflemens ganglionaires i, 3 et 4- i. Ganglion céphalique. i. Ganglion du nerf optique, placé en dehors de l'anneau. (
ées, d'autres sont grossies par la loupe , ou par le microscope. 3. Ganglion sub-œsophagien antérieur. l\. Ganglion sub-œsopha
e , ou par le microscope. 3. Ganglion sub-œsophagien antérieur. l\. Ganglion sub-œsophagien postérieur. 5. Nerfs des tentacu
s tentacules labiales externes. 7. Nerfs de communication entre les ganglions la- biaux (8) et les ganglions sub-œsophagiens
7. Nerfs de communication entre les ganglions la- biaux (8) et les ganglions sub-œsophagiens antérieurs ( 3 ). 8. Ganglion l
- biaux (8) et les ganglions sub-œsophagiens antérieurs ( 3 ). 8. Ganglion labial interne. 9. Nerfs des tentacules labiale
scles de la coquille. Nerf viscéral. 15. Nerfs des branchies. 16. Ganglions et branches nerveuses viscérales. 17. Nerfs qui
ent sur les parois de la veine cave. Poulpe (d'après Cuvier). Les ganglions de l'anneau œsophagien sont beaucoup plus considé
rables que chez les deux mollusques précé-dens. Cuvier divise même le ganglion céphalique en cerveau et en cervelet, mais cette
ffisamment motivée ( V. t. 1, p. 35). i. Cerveau. 1. Cervelet. 3. Ganglion en patte d'oie. 4. Collier œsophagien. 5. Gan
Cervelet. 3. Ganglion en patte d'oie. 4. Collier œsophagien. 5. Ganglion optique, situé dans l'orbite. 6. Nerfs destinés
ques-uns des muscles des pieds. 7. Nerf qui va se rendre à un petit ganglion situé près de la bouche. 8. Faisceau qui unit
glion situé près de la bouche. 8. Faisceau qui unit le cerveau au ganglion en patte 'd'oie. 9. Faisceau plus large que le
ier 10. Nerfs des pieds. 11. Nerf optique venant de la portion du ganglion céphalique que Cuvier appelle cervelet. 1 ir
céphalique que Cuvier appelle cervelet. 1 ir Nerf qui va former le ganglion étoile. ] 3. Grand nerf des viscères. i4- Nerf ac
iscères. i4- Nerf acoustique. Lombric de terre, un peu grossi. i. Ganglions céphaliques ou œsophagiens. 1. Cordon formant l
double. 4. Nerf unique. Sangsue. Fig. 1. Chaîne ganglionaire. i. Ganglion . 2; Cordon inter-ganglionaire. 3. Nerf. Fig.
e. i. Ganglion. 2; Cordon inter-ganglionaire. 3. Nerf. Fig. 2. Un ganglion de la sangsue, légèrement aplati entre deux lames
légèrement aplati entre deux lames de verre et vu au microscope. 1. Ganglion formé de fibres longitudinales, défibres transv
nglionaire formé de deux fais- ceaux qui se réunissent au centre du ganglion . 3. Nerfs ayant une de leurs origines dans les
transverses. Anatife (d'après Cuvier et M. Martin Saint-Ange). 1. Ganglion . 2. Cordon de communication. 3. Nerfs. . 4-
nge). 1. Ganglion. 2. Cordon de communication. 3. Nerfs. . 4- Ganglion supplémentaire. Talitre (d'après MM. Audouin et
upplémentaire. Talitre (d'après MM. Audouin et Milne Edwards). i. Ganglion céphalique. 1. Cordon. 3. Nerf. Maïa (d'après l
halique. 1. Cordon. 3. Nerf. Maïa (d'après les mêmes auteurs). i. Ganglion céphalique. 1. Nerf optique. 3. Nerf oculo-mote
ité d'ana-tomie comparée de M. Carus, pl. VII, fig. 2,5 et 26. ) 1. Ganglion céphalique. 2. Cordon inter-ganglionaire. 3.
26. ) 1. Ganglion céphalique. 2. Cordon inter-ganglionaire. 3. Ganglion et nerfs. Chrysalide du même papillon. 1. Gan
lionaire. 3. Ganglion et nerfs. Chrysalide du même papillon. 1. Ganglion . 2. Cordon. 3. Nerf. Papillon. 1. Ganglio
ême papillon. 1. Ganglion. 2. Cordon. 3. Nerf. Papillon. 1. Ganglion . 2. Cordon. 3. Nerf. On voit la chaîne gang
la chaîne ganglionaire se raccourcir de la chenille au papillon, les ganglions se rapprocher progressivement les uns des autres
re plusieurs ensemble. Hanneton ( d'après M. Straus-Durckeim). 1. Ganglion céphalique. 2. Nerf des antennes. 3. Nerf opt
es. 3. Nerf optique. 4. Anneau œsophagien. 5. Première paire de ganglions sous-œsophagiens. 6. Cordon de la chaîne gangli
hagiens. 6. Cordon de la chaîne ganglionaire. 7. Seconde paire de ganglions . 8. 9 et 10. Troisième, quatrième et cinquième
e ganglions. 8. 9 et 10. Troisième, quatrième et cinquième paire de ganglions . Nèpe cendrée (d'après M. LéonDufour). 1. Gan
ième paire de ganglions. Nèpe cendrée (d'après M. LéonDufour). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion ec nerf optiques. 3.
Nèpe cendrée (d'après M. LéonDufour). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion ec nerf optiques. 3. Ganglion prothoracique. 4-
four). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion ec nerf optiques. 3. Ganglion prothoracique. 4- Ganglion métathoracique. Pent
ique. 2. Ganglion ec nerf optiques. 3. Ganglion prothoracique. 4- Ganglion métathoracique. Pent atome gris (d'après le mêm
lion métathoracique. Pent atome gris (d'après le même auteur). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion et nerf optique princip
t atome gris (d'après le même auteur). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion et nerf optique principal. 3. Rétine et nerf op
f optique principal. 3. Rétine et nerf optique des ocelles. 4 et 5. Ganglions thoraciques. Bourdon (d'après Tréviranus). t.
. 4 et 5. Ganglions thoraciques. Bourdon (d'après Tréviranus). t. Ganglion céphalique. 2. Nerf optique. 3. Ganglions tho
'après Tréviranus). t. Ganglion céphalique. 2. Nerf optique. 3. Ganglions thoraciques. 4- Ganglions abdominaux. Abeille d
anglion céphalique. 2. Nerf optique. 3. Ganglions thoraciques. 4- Ganglions abdominaux. Abeille domestique (d'après Ratzebu
Ganglions abdominaux. Abeille domestique (d'après Ratzeburg). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion optique. 3. Ganglion
beille domestique (d'après Ratzeburg). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion optique. 3. Ganglion thoracique. 4. Ganglions
rès Ratzeburg). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion optique. 3. Ganglion thoracique. 4. Ganglions abdominaux. Araignée
ion céphalique. 2. Ganglion optique. 3. Ganglion thoracique. 4. Ganglions abdominaux. Araignée (d'après Tréviranus). 1.
que. 4. Ganglions abdominaux. Araignée (d'après Tréviranus). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion thoracique. 3. Gangli
naux. Araignée (d'après Tréviranus). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion thoracique. 3. Ganglion abdominal. Morue. Enc
Tréviranus). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion thoracique. 3. Ganglion abdominal. Morue. Encéphale de ce poisson, vu p
4 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
gré de développement chez l'homme. Il relie le manteau cérébral aux ganglions infracorticaux, au rhombencéphale et à la moell
bre de fibres d'association, des fibres de projection destinées aux ganglions infra-corticaux. Les fibres de la couche sagitt
rayonnante. - 1 1', faisceau de Turck. Fus, lobule fusiforme. - Gh, ganglion de l'habe- nula. - 11, circonvolution de l'hipp
RCE CÉRÉBRALE. as flexe de Meynert. Fus, lobule fusiforme. - GQp, ganglion du tubercule quadrijumeau pos- térieur. - Il, c
re-croisement ventral de la calotte pédonculaire de Fore ! . - Gip, ganglion interpédonculaire.- Lit. locus niger. - NI, noy
s antérieures. - Fl'op, fibres protubérantielles postérieures. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus casruleus. A'cs,
rétroflexe de Meynert. - Fmp, faisceau mamillaire principal. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Ln, locus niger. N7 ! , noya
a couche optique jusqu'au plan vertico-transversal qui passe par le ganglion de l'iiabenula. Ce mode de pénétration des libr
OJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 61 Fig. 42. - Coupe sagittale des ganglions de la base et de la partie adjacente du tronc e
lon fimbrio-godronné. Fli, faisceau longitudinal infé- rieur. - Gh, ganglion de l'habenula. - /t, sillon de l'hippocampe. - la
tudinal postérieur. - 7'W, faisceau rétro- flexe de Meynert. - GQp, ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur. - h, sillon
chevêtrent avec elles et peuvent être suivies jusqu'au voisinage du ganglion de l'habenula (Gh) (Fig. 45). Dans son trajet à
de la capsule interne. - 7·'Cle, faisceau thalamique de Forel. - Gh, ganglion de l'habénula. - II, hippocampe. - Ir, sillon d
rte en bas, en dedans et en arrière, et aborde la partie externe du ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur, dans lequel
ectement dans le pied du pédoncule cérébral sans s'arrêter dans les ganglions centraux. Elles passent par le segment postérie
e la corticalilé cérébrale, sans interruption aucune, au niveau des ganglions centraux, et provienne» dit secteur moyen de l'hé
on de le', zu et 3e ordres) et par deux relais ganglionnaires : les ganglions de la base du cer- veau (corps opto-striés, tub
es et noyaux des nerfs crâniens). L'écorce cérébrale était reliée aux ganglions de la base par le système de projection de prem
projection de premier ordre dont les fibres abordaient cha- cun des ganglions de la base par une de leur face ou pôle (pôle cen
Fia.. 50). La couche optique recevait Fie. 50. - Les connexions des ganglions de la baseaveclacorticalité cérébrale et avec
urnée vers le tronc encéphalique (pâle périphérique de Meynert) les ganglions de la base émettaient le système de projection de
ttaient le système de projection de deuxième ordre qui unissait ces ganglions à la substance grise centrale croisée; de cette d
ctement uu peuoncute cérébral au lobe H"UllLt11 sans passer par les ganglions centraux et qu'il désigne sous le nom de faisceau
ent de très nombreuses fibres de projection dans le thalamus et les ganglions qui en dépendent, mais n'en envoient pas dans le
la partie ventrale du noyau externe (Ne) du thalamus. Intégrité du ganglion de l'habénula (Gh) intégrité du noyau lenticula
en bas et en dehors et à peu près parallèle au plan de section des ganglions de la base du cas Schweigoffer (Fig. 116) passe p
orencéphalie a complètement séparé la convexité des hémisphères des ganglions de la base, lesquels ne sont reliés au manteau qu
n aurait pu s'attendre à ne pas trouver de capsule interne dans les ganglions de la base. Or il n'en est rien. La capsule inter
le ventricule latéral. Remarquer la situation du trigone entre les ganglions de la base, l'éperon saillant formé par le fond d
oeuf de pigeon, à surface finement réticulée et qui correspond aux ganglions de la base du cerveau (corps opto-striés). Plus
ligne médiane par la scissure interhémisphérique (sih), entoure les ganglions de la base et les sépare du fond de la scissure d
. Coupe vertico-trausversale passant par les noyaux rouges (NR), le ganglion de l'habenula (Gh), le faisceau rétroflexe (F.1),
que dans sa partie inférieure et antérieure, celle qui contient le ganglion de la cloison; il se présente sous l'aspect d'u
association et de com- missure, et sans connexion aucune avec les ganglions de la base. L'écorce du rhinencéphale (circonvo
s le corps ou les piliers antérieurs. L'indépendance complète des ganglions de la base d'avec le manteau cérébral nous indi
ennent leur origine ou se terminent dans les corps opto-striés. Les ganglions de la base et la partie adjacente de l'écorce cér
-latéral paraît également moins riche en fibres à myéline. 2° Les ganglions de la base du cerveau (Fig. 202 à 207) séparés l'
large (Fig. 203); on reconnait en outre le tænia thalami (tth), le ganglion de l'habenula (Gh, Fig.20G) avec son faisceau r
e abord, lorsqu'on songe il l'atrophie extrême que subit parfois ce ganglion à la suite de lésions corticales destructives, su
l'encéphale. La ligne a a indique la direction suivant laquelle les ganglions de la base ont été débitées les coupes hori- zo
inférieure repliée de la face externe de l'hémisphère droit. - GB, ganglions de la base (corps ol)10-sti,iés). - Hg, les cir
cérébral. Remarquer la situation du trigone cérébral (Tg) entre les ganglions de la base (GB) et ses connexions en avant avec l
que présente, comme dans le cas Longery, deux saillies ovoïdes, les ganglions de la base ou corps opto-striés séparés l'un de l
cloison verticale et médiane que les coupes montrent formée par le ganglion du septum lucidum (SI), cloison qui s'étend (Fi
llirent en outre que, à un certain stade de leur développement, les ganglions de la base, en particulier le putamen, sont intra
'est que secondairement, après la soudure du manteau céré- bral aux ganglions de la base dans la région où la capsule interne s
de la scissure iiiteiliémisphérique; elle est limitée en bas par les ganglions de la base (corps opto-strié), le trigone céréb
érébral a été débité en coupes vertico-transver- sales sériées, les ganglions de la base avec la région oibitaire du lobe front
au inférieur (CSgt) poursuit son trajet antéro-postérieur jusqu'aux ganglions de la base où il se divise en deux parties : l'
r, postérieur et supérieur de la cou- ronne rayonnante abordent les ganglions de la base en concourant à former les seg- ment
pto-striés à cause de la porencéphalie et de l'absence de soudure des ganglions de la base au centre ovale - elles changent de
ante, deviennent sagittales et les quelques fibres qui arrivent aux ganglions de la base empruntent la voie des segments antéri
rale et Ilydro- céphalie. Coupe horizontale oblique passant par les ganglions de la base et l'écorce du lobe orbitaire. Cet
s s'épanouissent dans la membrane épendymaire (Ep) qui recouvre les ganglions de la base ; un certain nombre de fibres entren
ment postérieur de la couronne rayonnante se divisent en abordant les ganglions de la base en deux parties inégales : l'une se
r nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉ13 U A LE. 213 Les ganglions de la base (Fig. 220 à 230) comprennent un noyau
épanouissent dans l'épaisse membrane épendymaire qui recouvre les ganglions de la base (comparer les Fig. 22G et 227 avec l
ermine en s'arborisant dans la couche optique, et que de ce dernier ganglion partent des fibres destinées aux diffé- rents m
pédoncule antérieur de la couche optique s'épuisant dans ce dernier ganglion . Ce fait que nous avons pu vérifier dans plusie
rne (Cip), Gowers la localisait dans la couche optique. Ci (dernier ganglion est en effet lésé en même temps que le segment po
onduction de la sensibilité, contrairement à Luys qui faisait de ce ganglion le centre du sensorium commune, c'est-à-dire l'
thalamus n'est pas indiquée, on ne peut affirmer l'intégrité de ce ganglion ; car, dans toutes ces observations, il s'agit d
faut encore que cette lésion siège dans une région spé- ciale de ce ganglion , à savoir, en avant du pulvinar, dans la partie p
fornix transversus, ou commis- sure psalterienne du trigone. - GGJ, ganglion dorsal de la calotte de Gudden. GGp, ganglion p
ne du trigone. - GGJ, ganglion dorsal de la calotte de Gudden. GGp, ganglion profond de la calotte de Gudden. Gip, ganglion in
otte de Gudden. GGp, ganglion profond de la calotte de Gudden. Gip, ganglion interpédonculaire. G/t, ganglion de l'habenula.
fond de la calotte de Gudden. Gip, ganglion interpédonculaire. G/t, ganglion de l'habenula. - II, circonvolution de l'hippocam
et pulvinar) par l'intermé- diaire du taenia semicircularis; 3° au ganglion de l'habenula par le faisceau septo-thalamique
ans la constitution du taenia thalami. Il s'irradie ensuite dans le ganglion de l'habenula et dans la partie moyenne et inte
ilobée. Dans les deux cas le corps du trigone occupe entre les deux ganglions de la Lase la paroi inférieure de la cavité ven
stérieure, peu élevée, qui sépare à leur partie antérieure les deux ganglions de la base. Cette cloison n'est autre que la pa
antéro- supéro-externe du tubercule mamillaire et qui constitue le ganglion ou noyau externe du tubercule mamillaire . Ces
mamillaire. Toutes ces coupes montrent avec beaucoup de netteté les ganglions interne et externe du tubercule mamillaire et l
cule mamillaire et les connexions du pilier antérieur avec ces deux ganglions . A priori, il paraît étrange qu'un faisceau aus
umineux que l'est le pilier antérieur du trigone se termine dans un ganglion aussi petit que le tubercule mamillaire. Ces co
re cas, l'atrophie porte sur tout le tubercule mamil- laire, sur le ganglion interne comme sur le ganglion externe. Chez l'hom
out le tubercule mamil- laire, sur le ganglion interne comme sur le ganglion externe. Chez l'homme, le pilier antérieur du t
de la circonvo- lution de l'hippocampe. ^eb connexions avec les ganglions interne et externe du tubercule mamll- tair
rentlée du thalamus. La partie postérieure du taenia thalami el le ganglion de l'habenula sont. normaux, et ce fait ne peul d
partie interne de la couche optique, le tubercule mamillaire et le ganglion de la cloison. (Méthode de Weigert-Pal.) C. c
de la calotte de Gudden. - Fol, faisceau olfactif du trigone. - Gh, ganglion de l'habenula. - GSL, ganglion du septum lucidum.
faisceau olfactif du trigone. - Gh, ganglion de l'habenula. - GSL, ganglion du septum lucidum. - Na, Ne, Ni, les noyaux ant
s dernières établiraient une connexion entre la corne d'Ammon et le ganglion de l'habenula (fibres cortico-hccbeatc- laris d
la miquo postérieur. 298 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. . Le ganglion interno du tubercule mamil- laire donne naiss
e tubercule mamillaire comprend, comme Gudden l'a bien montré, deux ganglions : l'un interne, l'autre externe (Tm, Tml, Fig. 27
x ganglions : l'un interne, l'autre externe (Tm, Tml, Fig. 275). Le ganglion ou noyau interne l'orme la partie principale du t
ise centrale, mince sur la ligne médiane et il la partie interne du ganglion interne, beaucoup plus épaisse au-dessus de ce
interne du ganglion interne, beaucoup plus épaisse au-dessus de ce ganglion . Une capsule de libres plus épaisse a la partie s
le de libres plus épaisse a la partie supérieure et Fic. 273. - Les ganglions interne et externe du tubercule mamillaire de l'h
et externe du tubercule mamillaire de l'homme et les connexions du ganglion externe avec le pilier antérieur du trigone. - Co
troisième ventricule. Tga, pilier antérieur du trigone. - 1'c>z, ganglion interne du tubercule mamillaire. - Tint, gangli
gone. - 1'c>z, ganglion interne du tubercule mamillaire. - Tint, ganglion externe du tubercule mamillaire. - VA, faisceau d
pare de la substance grise cen- trale du troisième ventricule et du ganglion ou noyau externe du tuber- cule mamillaire. Le
icule et du ganglion ou noyau externe du tuber- cule mamillaire. Le ganglion ou noyau externe, beaucoup plus petit, est pyri
long sur 0,12 de large et occupe la partie antéro-supéro-ealernc du ganglion interne sur lequel il se moule en général, mais
al, le tuber- cule mamillaire accessoire (Tma, Fig. 254, 333). Le ganglion interne conlient des cellules triangulaires ou ét
s de l'olive céré- belleuse ou bulbaire (Kôlliker). Les cellules du ganglion externe sont beaucoup plus volumineuses et mesu
leurs cylindres-axes dans le pédoncule du tubercule mamillaire. Le ganglion externe reçoit les fibres terminales du pilier
rne reçoit les fibres terminales du pilier antérieur du trigone, le ganglion interne donne naissance à un volumineux faiscea
s. Dans la région sous-thalamique, à la hauteur du corps de Luys Le ganglion eu- ternereçuitlepiiicr aiitérieur du tri,-on
ri,-one et émet le pvdonculo dl ! tubercule. Structure de ces ganglions . Faisceau mamil- ]aire principal. Son traje
ue côté du raphé, en avant du faisceau longitudinal postérieur : le ganglion profond de la calolle de Gudden (GGp, Fig. 252)
one du même côté (Fig. 277), mais il tire son origine principale du ganglion externe du tubercule mamillaire el du tubercule m
il médian, une autre enfin s'épanouit en éventail dans la région du ganglion interpédon- culaire, entoure le faisceau rétrof
nt finalement dans deux amas ganglionnaires décrits par Gudden, les ganglions profond et dorsal de la calotte (Fig. 252). Le
udden, les ganglions profond et dorsal de la calotte (Fig. 252). Le ganglion profond, qui reçoit en outre des fibres du fais
al supérieur de l'homme (Voy. For- mation réticulée,lII°parlie). Le ganglion dorsal est situé dans la substance grise centra
tricule, en arrière du faisceau longitu- dinal postérieur. C'est un ganglion arrondi, entouré d'une capsule de fibres, qui r
d'une capsule de fibres, qui reçoit un certain nombre de fibres du ganglion interpédoncu- laire et duquel émanent des fibre
zscheii. Arch. f. Psych. II, 1870. Du même. Jlzttheilzcng uber rias ganglion interpedonculare. Arch. f. Psych., Bd. XI, 1880.
ntérieur du trigone. C. R. Soc. Biol., 1898, p. 20G. CHAPITRE VII GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ, COUCHE OPTIQUE, R
Golgi. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS INFRACOHTICAUX : COnPS STRIÉ. 307 quables par l
ires du corps strié. Foetus humain de 6 mois. Méthode de Golgi. GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 309 corps strié
- Il', zone de \\'CI Zr, Zone réticulée. - ? bandelette optique. GANGLIONS INFIIACOITTICAUX : CORPS STRIE. 311 une atrophi
it pas plutôt de fibres lezzticulo-caudécs, de fibres de projection GANGLIONS I\113 : 1COR'I'IC : 1U1 : CORPS STRIÉ. 313 ou d
enticulaire de Forel et du corps de Luys (CL). (Méthode de Marchi.) GANGLIONS INFIIACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 31. 3° Une dég
'.)). Bibliothèque des Internes ' en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS IN11ACORTICAUY : CORPS STRIÉ. 317 -1 A ces dégé
égénérées du globus pallidus s'épuise dans la substance grise de ce ganglion , une autre partie entre dans la constitution de
ez les vertébrés non mammifères, le corps strié, connu sous le nom de ganglion basai du cerveau antérieur, représente un amas
de projection dans les cerveaux intermédiaire et moyen à travers le ganglion basal; la capsule interne fait par conséquent déf
ints déterminés du noyau caudé el du noyau lenticulaire. Les fasci- GANGLIONS INFRAC013TIC1U1 : CORPS STRIÉ. 319 cules du noy
nante et la région thalamique delà capsule interne. Cette coupesec- GANGLIONS I\rl3ACORTICAD : CORPS STRIÉ. 321 tionne le str
éresse les radial ions du noyau caudé et du putamen. La partie supé GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 323 rieure du glo
aenia thalami. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Zi, zona incerta. GANGLIONS L\FBACORTlCA[jX : CORPS STRIÉ. 325 la moitié in
r nature. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtri, GANGLIONS 1NlItlCOItTICAU\ : COIiPS STRIÉ. 327 triculaire
illé externe. - Cgi, corps genouillé interne. - Cip, segment posté- GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 329 rieur ; Cirl,
culaire de Reichert et qui est connue depuis Meynert sous le nom de ganglion de l'anse pédonculaire. Arrivée au tuber cinere
u thalamus (PiTh) les fibres les plus longues atteignent le plan du ganglion de l'habenula (Gh) ; une autre partie se porte
u caudé, tandis que l'anse lenticulaire proviendrait des trois seg- GANGLIONS INFII,ICORTICAUX : CORPS STRIÉ. 331 ments du no
par la dégénérescence et il en est de même des parties interne et. GANGLIONS 1111ACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 333 Cas Ronse. 1°
com- missure antérieure. Méthode de Marchi. 2/1 grandeur nature. GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 335 6) Une dégéné
nature. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 337 ticulier le f
partie externe et à la partie interne du ruban de Reil médian dans GANGLIONS IIVrRICOR'fICAUI : CORPS STRIÉ. 339 son trajet
interne, du pilier antérieur du trigone (Tga). (Méthode de Marchi.) GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 341 pédoncule c
ntre médian de Luys (Nm), du noyau semi-lunaire de Flechsig (nif), du ganglion de l'habenula (Gh) de la partie interne du corp
du pied du pédoncule appartiennent au pes lemniscus superficiel. GANGLIONS INFRACORTICAUX. : CORPS STRIÉ. 343 3° Que l'ans
à la couche optique quatre noyaux principaux, les noyaux antérieur, GANGLIONS INII ACORTICAU : COUCHE OPTIQUE. 345 externe, i
trinsèques, tels sont les corps genouillés externe et interne et le ganglion de l'habenula. Les cellules nerveuses des diffé
es tha- Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS INFRA CORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 341 lamo-cort
. t3, p. 63), la limite entre ces deux noyaux est constituée par le ganglion de l'habenula (Gh) et le centre médian de Luys
348 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. FiG. 310.- Coupe sagittale-des ganglions de la base et de la partie adjacente du tronc e
ébrale de Bichat. ? 7-'f ? substance grise de l'aqueduc de Sylvius. GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 349 Sgc, subst
ale. dans le plan vertico-transversal et dans le plan horizontal du ganglion , de l'habenula (Gh). En dehors et en arrière, i
inct, mais s'entremêlent dans toute la longueur de leur trajet avec GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 331 d'autres c
lunaire de Flechsig. Elle envoie un grand nombre de ses fibres dans GANGLIONS tNFRACOR'HCAUX : COUCHE OPTIQUE 3 : i3 la régio
ière, le noyau externe se continue avec le pulvinar, mais la fusion GANGLIONS I\l'R : 1CORTICIUI : COUCHE OPTIQUE. Sa ! ) de
l et Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrièr< GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. : ¡ : ;7 la pa
genouillé externe (Câc), (Fig. 312 et 47, p. G9). La partie posté- GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 359 Fic. 312.
rt. FT, faisceau de Tûrck. Fth, fais- ceau thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habenula. Il, hippocampe. i, sillon insula
mentale riche en fibres à myéline. Ces fibres s'entre-croisent dans GANGLIONS INFHACOHTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 361 tous les s
ite par le pulvinar (Fig. 311, 282); les autres, les rapports de ce ganglion avec les corps genouillés (Fig. 47, 312,24 et F
sversale passant par la commissure postérieure (cop), en arrière du ganglion de l'habenula (Gh). Son bord interne, véritable
interne. Plus bas (Fig. 43, p. G3), la limite est constituée par le ganglion de l'habenula (Gh) et le centre médian de Luys
êtement zonal de la couche optique, affectent surtout une direction GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 363 FIG. 313.
petits groupes et entourées d'un feutrage intercellulaire abondant, GANGLIONS I.NFRACORTIC.UX : COUCIIE OPTIQUE. 36 finement
t plus voisines du sommet du corps genouillé externe. La base de ce ganglion est en rapport avec la substance grise du pulvina
ficielles passent les unes au-dessus, les autres au-des- sous de ce ganglion , l'enchâssent dans une véritable capsule et l'ent
former en grande partie les lamelles médullaires qui sillonnent ce ganglion . Elles se terminent, de même que les fibres super
pul- Bibliothèque des Internes , en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 367 vinar repr
adrijumeaux antérieur et postérieur (BrQa, BrQp). Le bras du tuber- GANGLIONS OEFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 369 cule quadr
tical; le faisceau de Vicq d'Azyr, le taenia semi-circularis et le ganglion de l'habenula, assurent ses connexions avec les
pe toute la couche ventrale du thalamus assure les connexions de ce ganglion avec le cervelet et le tronc encéphalique. 1.
ent que le pulvinar et le corps genouillé externe, c'est-à-dire les ganglions centraux de la vision, con- tiennent surtout de
st en rapport avec l'écorce entière de chaque hémisphère puisqu'une GANGLIONS INFRACOHTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 371 4 lésion
ibres radiées du thalamus, mais encore toute la substance grise de ce ganglion qui est piqueté de grains noirs de dimensions v
e la partie externe de la capsule du noyau rouge sous forme de gros GANGLIONS INIR1CORTICAUt : COUCHE OPTIQUE. 313 fascicules
bercule quadrijumeau postérieur et, par son intermédiaire, au ruban GANGLIONS I\'IRACORTICAU : COUCHE OPTIQUE. : 3ï : ; de Re
s le gan- glion de l'habenula, la commissure inlerhahenulaire et le ganglion de l'habenula du côté croisé (Fig. 320), mais l
avec le Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrièrt GANGLIONS INFHACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 311 -i rhomben
lamus, concourent à former le lænia thalami et se terminent dans le ganglion de l'habenula du même côté et du côté croisé. G
nt dans le ganglion de l'habenula du même côté et du côté croisé. GANGLION DE L'HABENULA (Gh), SYSTÈME HABÉNULAIRE Le gang
côté croisé. GANGLION DE L'HABENULA (Gh), SYSTÈME HABÉNULAIRE Le ganglion de l'habenula (G) est un petit renflement fusifor
cialement par Slieda (18G9), il doit son nom à Meynert (1870). Le ganglion de l'habenula est situé immédiatement en avant du
de pédoncule antérieur , rêne ou habena de la glande pinéale. Le ganglion de l'habenula représente une formation phylogéné-
beaucoup plus volu- mineux chez les mam- mifères osmatiques. Ce ganglion reçoit les arborisations ter- minales du taen
(Fig. 321) qui le relie a la caiowe peuoncuiaire, en particulier au ganglion lIueJ1JNWnCUlalJ'e; 11 est uni enfin au ganglio
en particulier au ganglion lIueJ1JNWnCUlalJ'e; 11 est uni enfin au ganglion de l'habenula du côlé opposé, par un faisceau d
nterhabenulaire ou Décussation dorsale du thalamus. La structure du ganglion de l'habenula, ses connexions avec le lmnia tha
G. 318. - Les éléments cellulaires des noyaux interne et externe du ganglion de l'habenula du chien nouveau- né (d'après Caj
, cylindre-axes des cellules du noyau externe. - c, collatérales. GANGLIONS INFRACORTICAU : COUCHE OPTIQUE. 379 Gudden avai
e des- cendante du faisceau rétroflexe, à la suite d'extirpation du ganglion de l'habenula, mais v. Gehuchten constata le pr
ceau rétroflexe de Meynert prennent leur origine dans les cellules du ganglion de l'habenula et se terminent par des arborisat
de l'habenula et se terminent par des arborisations libres dans le ganglion interpédon- culaire. Ces résultats ont été depu
riées au caimin ou d'aprèi les méthodes de Weigert ou de Pal, le ganglion de l'habenula se compose chez les mammifères
orisations terminales du tænia th al a- mi dans le noyau interne du ganglion de l'habenula du lapin de huit jours (d'après C
aspect sur les coupes vertico-trans- crsales. noyau interne du ganglion de l'habenula, se trouvent réunies par groupes
ans lésons de la largeur pour s'amincir de nouveau, au voisinage du ganglion de l'habenula, en un faisceau à surface de sect
glion de l'habenula. Un certain nombre le traversent simplement, ou GANGLIONS Il\'FRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 381 le recou
pe la partie externe du tænia thalami et qu'elle se termine dans le ganglion de l'habenula homolatéral et dans celui du côté o
lles; il y en a de profondes qui se rendent au l;¡mia thalami et au ganglion de t'habenula en suivant le trajet des fibres r
ules de la substance innominée sous-lenticulaire qui constituent le ganglion de l'anse pédon- culaire ou des cellules de la
e des fibres dégénérées se termine autour des noyaux cellulaires du ganglion de l'habe- nula (Gh) du même côté, une autre pa
e dans la commissure interha- bénulaire (Cih) et se termine dans le ganglion de l'habenula du côté croisé. (Méthode de March
ns le ganglion de l'habenula du côté croisé. (Méthode de Marchi.) GANGLIONS INFRACORTIC AUX : COUCHE OPTIQUE. 383 4. Les au
nodi et Honegger, le taenia thalami recevrait du nerf optique et du ganglion optique basai quelques fibres qui abandonneraient
foré antérieur, traverseraient le tuber cinereum et arriveraient au ganglion de l'habenula avec les fibres du pédoncule infé
es pupillaires. D'après Mendel l'arc irido-réllexe passerait par le ganglion de l'habenula, et l'iridectomie totale, pratiquée
jours après la naissance, entraînerait une atro- phie partielle du ganglion de l'habenula. Darkschewitch admet de même des
kschewitch admet de même des connexions entre le nerf optique et le ganglion de l'habenula, mais pour cet auteur, les fibres
rendre à la commissure pos- térieure et à la partie postérieure du ganglion de l'habenula. Cajal nie, par contre, toute con
ula. Cajal nie, par contre, toute connexion du nerf optique avec le ganglion de l'habe- nula, en se basant sur l'intégrité d
de de Marchi, nous n'avons jamais pu constater de dégénérescence du ganglion de l'habenula soit du même côté, soit du côté o
toute la série des verté- brés. Elle relie le taenia thalami et le ganglion de l'habenula au ganglion homologue du côté opp
brés. Elle relie le taenia thalami et le ganglion de l'habenula au ganglion homologue du côté opposé et à la moitié opposée
s du taema thalami. Le nerf optique n'envoie pas de fibres au ganglion do : 1 ha- benula. Commissure inter- habenu
La commissure interhabe- nulaire reçoit en outre quelques fibres du ganglion de l'habenula et du faisceau rélrotlexc de Meyn
es fibres, après avoir dépassé la ligne médiane, se termine dans le ganglion de l'habenula du côté opposé et constitue de vé
crit par Meynert. qui le désigna d'abord sous le nom de faisceau du ganglion de l'habenula à la calotte (lïaubenbûndcl des g
faisceau du ganglion de l'habenula à la calotte (lïaubenbûndcl des ganglions habenula;), puis sous celui de faisceau rétrofl
ement de haut en bas, d'arrière en avant et de dehors en dedans, du ganglion de l'habenula, où il prend son origine, au gangli
s en dedans, du ganglion de l'habenula, où il prend son origine, au ganglion interpédonculaire dans lequel une partie de ses
faisceau de Meynert affecte les rapports suivants. Au voisinage du GANGLIONS I\'IRACORTICAU1 : GOUCIIE OPTIQUE. 3si gangli
u voisinage du GANGLIONS I\'IRACORTICAU1 : GOUCIIE OPTIQUE. 3si ganglion de l'habenula, ce faisceau est situé (Fig. 47, p.
gitu- dinal postérieur. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - Gh, ganglion de l'habenula. - Ln, locus niger. - DIoT3, memb
Ses deux espèces de libres. -- Leurs lieux de ter- minaisons. Ganglion interpé- douculawe des ron- geurs. ganglion
ter- minaisons. Ganglion interpé- douculawe des ron- geurs. ganglion impair, médian et symétrique, le ganglion interpé
uculawe des ron- geurs. ganglion impair, médian et symétrique, le ganglion interpédonculaire (Gip), situé dans l'espace pe
r et découvert par Gudden. Nettement accusé chez les mammifères, ce ganglion est insignifiant chez l'homme. Le faisceau ré
e, prennent leur origine dans les cel- lules du noyau externe de ce ganglion (B). Chez les mammifères autres que l'homme et
mammifères autres que l'homme et les primates, le noyau interne du ganglion de l'habenula ainsi que le ganglion inter-pédoncu
s primates, le noyau interne du ganglion de l'habenula ainsi que le ganglion inter-pédonculaire sont bien développés, les fi
e il constater sur les coupes horizontales sériées. Au voisinage du ganglion de l'habenula, le faisceau rétroflexe se compos
ndiqué et que v. Gehuchten et Cajal l'ont constaté de visu, dans le ganglion interpédon- culaire (Fig. 322). La prédominance
g. 322). La prédominance de ces fibres chez les mammifères, dont le ganglion interpédonculaire est bien développé, milite comp
troflexe n'est pas en rapport avec le développement rudimentaire du ganglion interpé- donculaire. C'est là du reste une opin
puis par Honnegger et à laquelle nous nous rallions complètement. Ganglion interpédonculaire (Gip). - Le ganglion interpédon
nous rallions complètement. Ganglion interpédonculaire (Gip). - Le ganglion interpédonculaire est un petit ganglion triangu
terpédonculaire (Gip). - Le ganglion interpédonculaire est un petit ganglion triangulaire, très bien développé chez les rongeu
l se Bibliothèque des Internes en P ? weirne du la S : 1pêtTiè] GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 387 voit très
ici, du moins chez les rongeurs et les mammifères inférieurs, d'un ganglion nettement délimité qui sert de noyau de termina
v. Gudden, bien décrit par Forel, puis par Mayser et par Ganser, le ganglion interpédonculaire a été étudié à l'aide de la mét
fères. Les fibres du faisceau rétroflexe de Meynert qui abordent le ganglion interpédoncu- laire, se recourbent brusquement
n dedans, pénètrent dans la partie anté- rieure et supérieure de ce ganglion et l'entourent d'une sorte de fer à cheval. Elles
açant avec celles du côté opposé, elles forment dans l'intérieur du ganglion interpédonculaire un système de fibres parallèles
. - Coupe vertico-transversale un peu oblique en bas et en arrière du ganglion interpédonculaire de la souris de quatre jours
erpédonculaire de la souris de quatre jours (d'après Cajal, 1896). Le ganglion interpédonculaire est limité de chaque côté par
des fibres du faisceau rétroflexe de Meynert (A). - il, cellules du ganglion interpédonculaire vues de champ. C, arborisatio
du gan- glion intcrpddoncu- lairc. Leurs connexions avec les ganglions do la calotte de Gndden. Glande pinéale.
rit plusieurs méandres horizontaux qui occupent toute la largeur du ganglion et sont situés sur plusieurs plans vertico-tran
faisceau de Meynert décrivent des 8 de chiffre dans l'épaisseur du ganglion interpédonculaire. Dans la première partie de l
n bouton terminal. Quelquefois, la fibre se bifurque en abordant le ganglion , et les deux branches se comportent comme nous
occupent des plans vertico-transversaux distincts. Les cellules du ganglion interpédonculaire qui entrent en contact avec les
lus ou moins flexueux. Elles occupent la périphérie et le centre du ganglion interpédoncu- laire et sont pourvues de trois à
lules les plus périphériques sont parallèles à la surface* libre du ganglion et affectent souvent l'aspect d'un fuseau. Les ce
firmée par Kôlliker chez le lapin. C'est le faisceau segmentaire du ganglion interpéclonculaire (Ilaubenbiindel des ganglion i
isceau segmentaire du ganglion interpéclonculaire (Ilaubenbiindel des ganglion inter- pedunculare de Ganser) dont les fibres s
glion inter- pedunculare de Ganser) dont les fibres se détachent du ganglion de chaque côté de la ligne médiane (Fig. 332),
s de Galien, au-dessus de la commissure postérieure, entre les deux GANGLIONS 1\NFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 389 tubercule
nt à Meynert et à llage- mann qui considéraient cet organe comme un ganglion nerveux. D'après Bizzozero, un certain nombre d
achten Gebilcle im Gehirn des Henschen und der Saugethicrc. Recueil GANGLIONS INPB1COR'l'I( : AUX : COUCHE OPTIQUE. 391 zoolo
86. - Wernicke. Lehrbuch der Gehirn krunkheiten, Bd. 1881, p. 79. Ganglion de l'habenula. -Ganglion iuterpëdonculaire. Cajal
der Gehirn krunkheiten, Bd. 1881, p. 79. Ganglion de l'habenula. - Ganglion iuterpëdonculaire. Cajal. Bs<)'uc<M)'a del
'habenula. -Ganglion iuterpëdonculaire. Cajal. Bs<)'uc<M)'a del ganglion de la habenula de los Mamiferos. Anales de la S
téléostéens. La Cellule, t. X, 1893. - GULDEN. Mittheilung ùbea das ganglion iiiteipedtincitlai-e. Arch. f. Psych., Bd. XI, 18
linaison de sa base que les coupes horizontales, qui passent par la GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 39 : 3 pa
t le dense feutrage de fibres qui sillonne la moitié ventrale de ce ganglion et n'est en réalité que la partie inférieure, é
ure, épaissie, de ce feutrage. Les faisceaux thalamique et lenticu- GANGLIONS 1\rR.ICOR'l'ICAU\ : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 393 la
e fais- Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS IFRACOUTfCAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 397 ceau t
- Zi, zona in- rerta. Zn, zone réticulée. - ? bandelette optique. GANGLIONS 1NII1ACORTICAU1 : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 399 p. 3
c les fibres strio-luysiennes, puis abordent le corps de Luys, dans GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 401 leque
e de la méthode de Marchi dans quelques cas de lésions destructives GANGLIONS INFRACORTICAU : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 403 du noy
exus choroïdes : sa ligne d'arrêt correspond au tiL'nia thalami, tu ganglion de l'habenula et à la face supérieure de la gland
on épaisseur n'est pas partout la même : mince sur la ligne médiane GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 403 de la
ant de chaque côté sur la lame terminale embryonnaire, on trouve le ganglion sus-optique de Lenhossek, qui se fusionne avec
nereum en arrière du chiasma, et que Meynert désigna sous le nom de ganglion optique basal. En avant du tubercule mamillaire
nereum (Lenhossek), éminences latérales hypencéphaliques (Retzius), ganglions optiques basaux (Kulliker). Un diverticule du t
partiennent aux radiations olfac- tives profondes ou aux fibres des ganglions du tuber cinereum. Ses amas ganglion- naires.
s, mais Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrièr, GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 407 conti
one qui s'y entre-croisent; par des fibres directes et croisées des ganglions interne, externe et accessoires des tubercules
pied du pédoncule cérébral; Darkschewitsch et Pribytkow la mettent GANGLIONS INFRA CORTICAUX : REGION SOUS-OPTIQUE. 409 en c
rsqu'on sectionne, chez le chat, la bandelette optique et la partie GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 411 adjac
rveuses périphériques et disséminées, non groupées en couches ou en ganglions , profondément enclavées entre les cellules épit
, 1, Fig. 327) ; ils sont reliés au cerveau moyen par le système du ganglion de l'habenula (Gh) : faisceau septo-thalamique
ami puis s'arborisent dans la partie moyenne du thalamus et dans le ganglion de l'habenula (Gh). Du ganglion de l'habenula l
rtie moyenne du thalamus et dans le ganglion de l'habenula (Gh). Du ganglion de l'habenula le courant sensoriel olfactif est
t (FM) (neurone de lye ordre) ; puis aux fibres (ve neurone) que le ganglion inter-pédonculaire envoie aux noyaux de Gudden
fornix transversus, ou commis- sure psalterienne du trigone. - GGd, ganglion dorsal de la calotte de Gudden. - GGp, ganglion
du trigone. - GGd, ganglion dorsal de la calotte de Gudden. - GGp, ganglion profond de la calotte de Gudden. Gip, ganglion in
te de Gudden. - GGp, ganglion profond de la calotte de Gudden. Gip, ganglion interpédonculaire. - Gh, ganglion de l'habenula
ond de la calotte de Gudden. Gip, ganglion interpédonculaire. - Gh, ganglion de l'habenula. - If, circonvolution de l'hippocam
ans son intérieur et concourt il former les lames médullaires de ce ganglion . Une partie des fibres s'y termine ; une autre
voi- sinage. Quelques rares fibres tapissent la surface libre de ce ganglion , la plupart s'enfoncent dans sa profondeur ou s
Les deux segments de l'appareil visucl se réunissent donc dans les ganglions de la base du cerveau (corps genouillé externe, p
vinar et se rendraient par la com- missure interhabénulaire dans le ganglion de l'habenula croisé. De là, les impulsions pup
méthode de Marchi, nous n'avons jamais constaté de dégénération du ganglion de l'habenula croisé après énucléation d'un seu
\'o-m 0 ll'ices , d'origine sympa- thique; elles proviendraient du ganglion ciliairc, du ganglion cervical supérieur et du
rigine sympa- thique; elles proviendraient du ganglion ciliairc, du ganglion cervical supérieur et du cordon sympathique, se
dans le chiasma; elles se comporteraient donc comme les libres des ganglions rachidiens. Leur origine dis- cutée. Les co
tuées de chaque côté de la commissure postérieure appartiennent aux ganglions de l'habenula. - em, échancrure marsupiale. - e
r. xl<', entre-croisement ventral de la calotte de Fore). - Gip, ganglion inter-pédonculaire. - Ln, locus niger. - NI, no
lion- naire situé sur le trajet du pédoncule cérébelleux supérieur ( ganglion du pédoncule cérébelleux supérieur). Il occup
du vermis de nombreuses fibres qui participent à la Fig. 365. - Les ganglions centraux (noyau du toit, embole, olive cérébelleu
d'une couche d'épaisseur inégale, qui régularise les contours de ce ganglion el dont toutes les fibres sont for- tement colo
médian les fasci- cules aberrants de la voie 'pédonculaire. - G1ZJ, ganglion inter-pédonculaire. - Le, locus ceruleus. - ive
al postérieur. - FPoa, fibres protubérantielles antérieures. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus coeruleus. - NI, n
res, d'obliques quelles étaient, deviennent verticales, abordent le ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur (GQp) par
ntre-croisement ventral de la calotte pédonculaire de Forel. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Ln, locus mger. - NI, noya
issant dans la région du trou borgne pédonculo-proLubérantiel. - Gih, ganglion inter pédonculaire. - Le, locus cteruleus. NI,
araît comme une bande compacte de fibres qui s'étend du raphé et du ganglion inter-pédonculaire (Gip) au sillon latéral de l
es antérieures. - FPop, fibres protubérantielles postérieures. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus coeruleus. Ncs,
ATIERES. TABLE DES MATIÈRES. TABLE DES MATIERES. CHAPITRE VII GANGLIONS SIN F H AC 0 1\ T J C A U X : CORPS STRIÉ, COUCHE
5 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
rps quadrijumeau antérieur et du pulvinar de la couche optique. Ces ganglions fournissent une grande partie des radiations sagi
rtie dorsale ou supé- rieure de ce faisceau renferme, au niveau des ganglions de la base, des fibres de projection, mais la p
al dans la partie supérieure de son segment vertical (au niveau des ganglions de la base) proviennent, selon Starokotlitzki,
Redlich, un faisceau de projection et assure les connexions entre les ganglions sous-corticaux et l'écorce des circonvolutions
tale interne. Il est certain que, dès que l'on aborde la région des ganglions de la base et des divers segments de la capsule
e reconnaît aucune disposition nettement déterminable au niveau des ganglions de la base ; il est en effet dissocié par toute
isement qui s'accentue au sur et à mesure que l'on se rapproche des ganglions de la base. Peu appréciable dans la région temp
ontinue sur toute l'étendue comprise entre le pôle occipital et les ganglions de la base ; enfin, au niveau du carrefour ventri
Cajal (alcool-ammoniaque et argent réduit), appliquée à l'étude des ganglions et des racines des tabétiques,1 permet de const
; 2° les curieux phénomènes de régénération qui se passent dans les ganglions et dans les racines postérieures pendant toute
sulaires et intracapsulaires,découvertes par Ramon y Cajal dans les ganglions rachidiens à l'état normal ; nous verrons que c
nt par la méthode de Cajal. Nous verrons aussi qu'il existe dans le ganglion une vigoureuse repousse de fibres assendantes des
deux nerfs radiculaires de la : 1. r8 paire sacrée ainsi que leurs ganglions , ont seuls été recueillis ; le droit a été étudié
ques gonflements de cylindraxes très discrets, et il n'y a, dans le ganglion , pas plus de massues d'accroissement qu'à l'état
la suit également sur les fibres radiculaires qui pénètrent dans le ganglion , mais de ce côté on la perd bientôt. Malheureus
re, distincte de celle qui a produit les massues visi- bles dans le ganglion , mais cette hypothèse est peu vraisemblable. Je r
témoigne la présence de massues de régénération abondantes dans le ganglion , les cylindraxes ne présentent que des traces ins
lements analogues dans le nerf sensible périphérique à sa sortie du ganglion ; 3° elle se retrouve avec la même topographie et
racines postérieures et massues de croissance encapsulées dans les ganglions rachidiens et dans la substance grise de la moe
substance grise de la moelle. La néoformation de fibres dans les ganglions et dans les racines posté- rieures des tabétiqu
s pu élucider. Sur les coupes transversales et longitudinales des ganglions et des nerfs radiculaires les régénérations app
portion ex- tra-capsulaire de l'axone, dans la substance blanche du ganglion . Elles sont manifestement attirées par la moell
ombre d'entre elles s'engagent ; mais la plupart ne quittent pas le ganglion , et leurs massues terminales s'accumulent à son e
mes et se F1G, 1. - Massues terminales de la substance blanche d'un ganglion , avec leurs capsules nucléées, dans un cas de t
este à étudier la répartition de ces formations dans l'intérieur du ganglion et des racines, qui est fort intéressante. D'une
ns le tabes incipiens, on les voit monter vers le pôle supérieur du ganglion , où elles s'accumulent; le pôle inférieur en es
nt dans la portion de la racine postérieure la plus rappro- chée du ganglion ; mais, bien que les espaces conjonctifs paraissen
assues rétrogrades ne sont même pas plus nombreuses qu'au centre du ganglion , loin du foyer inflam- matoire. Le seul fait qu
cine postérieure, qui en contient toutefois infiniment moins que le ganglion . Je n'ai pas pu préciser exactement jusqu'à que
contrer, mais il doit être exceptionnel. Pour compléter l'étude des ganglions tabétiques j'indiquerai que les cellules nerveu
rit des massues qui ont même forme, même aspect que les massues des ganglions rachidiens, sauf l'absence de capsule, et qui t
ues sont des néoformations ; il est non moins évident que, dans les ganglions des tabétiques, cette production de fibres nouvel
les partagent d'ailleurs ce caractère avec les boules norma- les du ganglion et de la substance grise de la moelle, dont nous
rien- tation des massues et leur accumulation au pôle supérieur des ganglions . Quant aux massues qui existent dans la substan
ns, il existe déjà de nombreuses mas- sues de régénération dans les ganglions (1). Régénération collatérale à l'état normal.
très abondante néoformation de fibres terminées en massue dans les ganglions ; la régénération est encore à une phase peu avan
'existe que peu de massues dans les fascicules du pôle supérieur du ganglion ; par contre les massues sont extrêmement abondan
tain que ces formations n'appartiennent pas aux seules cellules des ganglions ; les recherches ultérieures montreront sans dout
génération collatérale normale, qui s'observe facile- ment dans les ganglions rachidiens et sympathiques de l'homme et des an
on collatérale pathologique peut être étudiée faci- lement dans les ganglions rachidiens des tabétiques, où elle tend à sup-
raphie d'une portion de substance blan- che au pôle supérieur du 4" ganglion lombaire ; massues de croissance. Méthode de Ca
al. Fig. 1. - Obs. III (tabes incipiens). Coupe longitudinale du 4° ganglion lombaire et de son nerf radiculaire ; accumulat
XXXIV, fig. 1 (figure demi-sché- matique). Fig. 2. Même cas, même ganglion ; répartition des lésions cylindraxiles dans les
ipiens). Trois massues de croissance dans la substance blanche d'un ganglion sacré. L'une d'elles termine une fibre dont on vo
apsules des massues. Fig. 7. - Obs. II (tabes avancé). Cellule d'un ganglion sacré. Le cylindraxe fenêtre, part de la cellul
upe longitudinale d'un fascicule radiculaire au pôle supérieur d'un ganglion sacré. Très nombreuses fibres néoformées ; plusie
ous rendre compte de l'influence que pouvaient avoir sur l'état des ganglions spi- naux, des nerfs cutanés et des sympathique
ement après leur sortie de la dure-mère, à une certaine distance du ganglion , lequel n'a jamais été découvert. Chez le chat
estés toujours, plus encore qu'à la région thoracique, très loin du ganglion spinal. Les sutures ont été faites sur trois pl
fixée l'extrémité supérieure des filets radicu- laires attenant aux ganglions , filets qui avaient gardé à peu près leur colora-
les .chiens X et XI, sacrifiés au 15e jour), nous avons prélevé les ganglions spinaux correspondant aux racines section- nées
lions spinaux correspondant aux racines section- nées ainsi que les ganglions symétriques. (1) Joseph, Zur Physiologie der sp
vons pris spécialement.les nerfs efférents du pôle périphérique des ganglions , avant leur fusion avec la racine anté- rieure.
Nous verrons ultérieurement la technique utilisée pour l'étude des ganglions spinaux. Examens des nerfs périphériques. Ava
érieures, Benucci examinant le nerf sortant du pôle périphérique du ganglion , le trouva atrophié. Dans un cas seulement sur
ts le prolongement de la racine postérieure au pôle périphérique du ganglion de même que les nerfs cutanés. Presque en même
4. 302 ROUX ET HEITZ dégénérations des nerfs périphériques et des ganglions consécutives à la section expérimentale des rac
PÉRIMENTALE DES RACINES POSTERIEURES 305 Examens des cordons et des ganglions sympathiques. L'influence de la section des rac
vées dans le sympathique. Elles ne dégénèrent qu'après ablation du ganglion spinal, ce qui prouve bien qu'elles sont origin
inal, ce qui prouve bien qu'elles sont originaires des cellules de ce ganglion (J.-Ch. Roux) (2). Le cordon sympathique du côt
du côté gauche dans son trajet intra-dural). La coupe représente le ganglion au voisi- nage du pôle médullaire. A droite de
sse, Obj. 4,ocul. I, Sliassnié). Fio. 2. Coupe longitudinale du 1er ganglion sacré droit (même observation, chat adulte, la
, la racine postérieure correspondante est restée normale). Région du ganglion à peu près analogue à celle représentée 6gaz Le
sissement). Fio. 3. Détail à plus fort grossissement de la coupe de ganglion représentée figure 1. On voit sur cette figure
t la fragmentation (Obj. 7, ocul. 2). Fic. 4. Détail de la coupe de ganglion représentée figure 2, pour servir de compa- rai
nt normaux (obj. 7, ocul. 2). FiG. 5. - Coupe transversale du 10* ganglion thoracique droit (observ. V, chat adulte, sacri
durai). La coupe est située aux environs de la por- tion moyenne du ganglion . Les cellules sont normales en nombre, dimensions
me technique, obj. 4, ocul. 2). FiG. 6. Coupe transversale du 10, ganglion thoracique gauche (même observation, la racine
t 11e n'ont montré au total qu'une seule fibre dégénérée (1). Les ganglions semilunaires, examinés chez les deux animaux I et
t intéressant à noter chez le chat I, où les fibres afférentes à ce ganglion étaient partiellement lésées. Il semble donc ré
sur l'état des cellules ganglionnaires sous-jacentes. ' Examens des ganglions spinaux. L'état histologique des ganglions spin
acentes. ' Examens des ganglions spinaux. L'état histologique des ganglions spinaux après section des racines posté- rieure
concluait que lorsque l'opération avait été pratiquée assez loin du ganglion et sans trop grands délabrements anatomiques, l
z loin du ganglion et sans trop grands délabrements anatomiques, le ganglion restait indemne de toute altération. Mêmes cons
es animaux sacrifiés au 5° mois. En 1883, Vegas (3), opérant sur le ganglion jugulaire et la 2e cervicale, puis en 1887, Jos
t de l'existence dans les rami de fibres fines à myéline issues des ganglions sympathiques et se diri- geant vers la moelle p
oc. cit. (5) LUGARO, Sur les altérations des cellules nerveuses des ganglions spinaux à la suite de la section de la branche
die patolog. nerv. mentale, 1896. , 308 ROUX ET HEITZ dans les ganglions , aucune altération cellulaire (fixation sublimé,
t de 14 jours, et l'ayant sa- crifié 4 mois plus tard, nota dans le ganglion correspondant à la racine section- née, une rar
ièrement intense au pôle médullaire et le long du bord dorsal et du ganglion . A la place des cellules disparues s'étendait d
de chromatolyse fine ou en amas dans un grand nombre de cellules du ganglion , chromatolyse portant habituellement sur tout l
t à la place occupée par les cel- lules disparues, et l'ensemble du ganglion paraissait légèrement réduit de vo- lume. Quant
plus considérable. Sa technique histologique consistait à fixer les ganglions par le réactif de Van Gehuchten, et à colorer au
iforme de ses éléments peuvent se voir également des deux côtés; le ganglion spinal contiendrait à l'état physiologique un c
jusqu'entre les éléments normaux. Comme Kleist, Koster considère le ganglion comme de volume réduit dans son ensemble. Les l
n'y avait même pas un degré identique de lésion dans les différents ganglions du même animal. Au sujet des lésions des fibres
ne croit pas à une influence directe de l'acte opéra- toire sur le ganglion , n'ayant jamais aperçu ce dernier dans aucune de
retrouvé ultérieurement qu'un peu d'épaississement de la capsule du ganglion . Il admet avec Kleist que les différences entre s
nes postérieures déterminait des modifications des cellules, et des ganglions spinaux, lorsqu'on laissait vivre les animaux ass
as (obs. I et V), comme dans les expériences de Küster, sans que le ganglion ait été approché. Chez les autres animaux, nous
glions, et nous avons noté aux autopsies dans tous les cas que les ganglions n'avaient pas été compris dans les adhérences c
n'avaient pas été compris dans les adhérences cicatricielles. Les ganglions prélevés ont été, en partie, fixés par l'alcool f
rsales selon les cas, mais toujours dans le même sens pour les deux ganglions de la même paire. Nous n'avons pas recherché pa
et Hauser (2), que la méthode de Nissl ne peut pas fournir pour le ganglion spinal des résultats aussi concluants que pour la
médicale, 18 avril 1906. (2) Thomas ET Hauser, Les altérations du ganglion rachidien chez les labétiques. Nouv. Iconog. de
e générale, nous n'avons jamais remarqué de diminution de volume du ganglion . Nous n'y avons jamais remarqué non plus d'augmen
côtés, et nous n'avons jamais constaté de zones dépeuplées dans les ganglions du côté opéré. Il est d'ailleurs aisé de se rendr
est d'ailleurs aisé de se rendre compte de l'identité d'aspect des ganglions symétriques d'après les figures 1 et 2 de la pl
s 1 et 2 de la planche XLV III (coupes longitudinales des premie rs ganglions sacrés gauche et droit du chat IV survie 382 jo
es figures 5 et 6 de la même planche (coupes transversales des 10es ganglions thoraciques droit et gauche du chat V, survie 3
e l'ont bien vu tous les auteurs qui ont travaillé l'histologie des ganglions spinaux, aux rétractions du corps cellulaire dans
aire. Nous avons remarqué cependant sur quelques préparations du 2e ganglion sacré gauche (chat IV), une ou deux cellules d'
ules sont extrêmement rares, et en examinant les coupes en série du ganglion symétrique du côté sain, nous avons pu y retrou
Marinesco (1) a déclaré qu'il était rare de ne pas trouver dans les ganglions spinaux quelques cellules altérées, reliquat de
le différence réelle que nous avons pu trouver entre les coupes des ganglions du côté opéré et de ceux du côté sain, a été, che
res éga- lement tout à fait normales du pôle périphérique des mêmes ganglions . La pré- sence de ces fibres dégénérées indique
tion expérimentale a bien porté sur les racines correspondantes à ces ganglions . -Retenons donc ce fait intéressant qu'après un
il était impossible de trouver de différence appréciable entre les ganglions du côté opéré et les glanglions du côté témoin.
int à les mettre en évidence au 9° et au 46° jour sur des coupes du ganglion jusqu'au voisinage du pôle périphérique de ce d
de dégénérescence allant en diminuant d'intensité de la section au ganglion . La description de Koster nous montre, au March
e revêtaient l'aspect que nous avons déjà étudié sur les coupes des ganglions spinaux (voir le dessin des dissociations, fig.
rale, s'engageaient dans les racines postérieures et traversant les ganglions sans s'y arrêter, passaient enfin dans "les ner
sme opératoire. Dans une seconde série d'expériences, il réséqua le ganglion spinal. Au 33e jour, il existait dans le bout m
centripètes. FiG. 8 et (obs. X). - Dissociation du nerf efférent du ganglion , continuant la racine postérieure, au niveau de
vre ces fibres centrifuges dégénérées jusqu'au pôle périphérique du ganglion spinal. Plus récemment ni Kohnstamm (1), ni Kle
dégénérées que nous avons pu suivre jusque dans le nerf efférent du ganglion un peu avant sa fusion avec laracine antérieure
peuvent se trouver dans la partie de la racine com- prise entre le ganglion et le niveau de la section. Il faudrait admettre
llulaire lui-même, et ceci d'autant plus que l'examen des coupes du ganglion nous a montré leur conservation normale (2).
me grossissement). 1 cc. 7 à 9. - Dissociations du bout attenant au ganglion de la 2° racine sacrée posté- rieure gauche (ob
ême grossissement). FIG.f1 et 12. Dissociations du bout attenant au ganglion de la même racine, Ire sacrée postérieure gauch
années. Sans doute, Guizetti, Dinkler, Maragliano consi- dèrent les ganglions spinaux comme habituellement intacts dans le tabe
. f. allg. Path., 1894. (5) Thomas et IIAUSGR, Les altérations du ganglion rachidien chez les tabétiques. Nouv. Iconogr. S
sont habituel- lement indemnes (Dejerine) (1). Le nerf efférent du ganglion est toujours intact (Thomas et Hauser) (2), quo
stérieures détermine des altérations des nerfs périphériques et des ganglions tout à fait semblables à celles du tabes, et qu
les retrouver sous forme dé boules éparses dans le nerf qui sort du ganglion pour fusionner avec la racine antérieure. 2° La
mence à dégénérer suivant un processus rétrograde. Les cellules des ganglions spinaux, que certains auteurs ont décrites, à c
térieures gauches. - Survie 247 jours. - Intégrité des cellules des ganglions spinaux ; dégénérescence partielle du cordon symp
ophiés. Les racines antérieures sont intactes. Nous prélevons les ganglions spinaux correspondant aux trois racines section-
rdons sympathiques au-dessus de la dernière racine sectionnée ; les ganglions semilunaires ; les trois nerfs intercostaux (tron
mifications cutanées), des deux côtés. Examens HISTOLOGIQUES. - Les ganglions spinaux droits sont examinés sur coupes colorée
igmentées et quelques-unes en état de chromato- lyse partielle. Des ganglions gauches (côté opéré) les deux premiers ont été ex
res altérations cellulaires ne se distinguant en rien de celles des ganglions droits. Pas d'atrophie ni de raréfaction des cell
fication des capsules endothéliales ni du tissu interstitiel. Le 3e ganglion thoracique fixé à l'acide osmique, coloré au carm
s (soit un déficit de 69 grosses fibres et 678 fibres fines). Les ganglions semilunaires ne présentaient pas d'altérations no
s, du côté gauche. - Survie 212 jours. - Intégrité des cellules des ganglions spinaux; figures de dégénérescence wallériennedan
bout inférieur des racines posté- rieures sectionnées aboutit au 2° ganglion sacré et aussi sans doute au 3-. Nous prélevons
° ganglion sacré et aussi sans doute au 3-. Nous prélevons les deux ganglions spinaux corresoondants de chaque côté ; SECTION
et de la cuisse, les nerfs de la queue. Examens histologiques. Les ganglions spinaux (Nissl, hématoxyline- éosine) présenten
sacrées posté- rieures gauches. - Survie 252 jours. - Intégrité des ganglions spinaux ; nombreuses fibres dégénérées dans les
Les racines antérieures sont intactes. Nous prélevons les 2e et 3e ganglions sacrés des deux côtés, et dissé- quons, symétri
t des jambes, à la région plantaire. Examens iustologiques. - Les ganglions spinaux, examinés au Nissl et à l'hématéine-éos
sectionnées ; fibres efférentes normales au pôle pétiphé1 igue des ganglions ; nombreuses fibres régénérées dans le bout médu
enlevées et fixées par le sublimé-osmique. L'extrémité attenant aux ganglions de ces mêmes racines est également prélevée dan
nes antérieures sont vérifiées intactes. Nous prélevons aussi le 5e ganglion lombaire et les trois premiers gan- glions sacr
e la jambe et de la plante de la patte. Examens IrISTOLOGIQUES. Les ganglions spinaux des deux côtés, ont été coupés dans le
anche XLVIII, montre une portion de la coupe longitudi- nale du ler ganglion sacré gauche. On distingue à la droite de la figu
la racine antérieure normale. Les fibres à myéline del'intérieur du ganglion sont en majorité saines, mais entremêlées de fibr
s postérieures, prolongements cen- traux des cellules bipolaires du ganglion . Ces altérations des fibres myélinisées n'ont é
élinisées n'ont été constatées que sur les coupes des deux premiers ganglions sacrés du côté gauche. Il a été impossible de t
ver des figures de dégénérescence au niveau du pôle périphérique du ganglion , où les fibres efférentes apparaissent comme tout
1 avec la figure 2, laquelle représente une coupe longitudinale du ganglion symétrique du côté droit, orientée de la même ma-
oisie comme celle du côté gauche, au niveau de la partie moyenne du ganglion sectionné. L'examen de chacune des 4 paires de
oyenne du ganglion sectionné. L'examen de chacune des 4 paires de ganglions ne montre aucune différence du nombre ni de la
utre. Nous devons constater seulement que sur quelques coupes du 2e ganglion sacré gauche, nous avons pu relever en tout 2 o
corps manifestement rétracté. En examinant avec soin les coupes du ganglion symé- trique, nous avons dû constater, du côté
ostérieures ont été examinées par dissociation. Le bout attenant au ganglion (tig. 11 et 12 de la planche L), présentait beauc
rnative- ment, que nous leur avons vu dans l'intimité des coupes du ganglion . Elles étaient aussi fragmentées par places. A
ures, du côté droit. - Survie 338 jours. Intégrité des cellules des ganglions spinaux des deux côtés, avec dégénérescence rétro
scence rétrograde partielle des fibres à myéline sur les coupes des ganglions droits ; intégrité des splanchniques el des gan
es coupes des ganglions droits ; intégrité des splanchniques el des ganglions semi-lunaires, zone de raréfaction des fibres f
s, et que les racines antérieures sont normales. Nous prélevons les ganglions thoraciques 10e et 41e des deux côtés, les nerfs
la section et au-dessus de celle-ci des deux côtés, enfin les deux ganglions semilunaires. Nous prélevons du côté droit, com
des rameaux cutanés issus de ces nerfs. Examens IIISTOLOGIQUES. Les ganglions spinaux ont été examinés sur coupes transversal
ntral jusqu'au pôle périphérique. L'examen comparatif des coupes du ganglion droit (côté des racines section- nées), et du g
es coupes du ganglion droit (côté des racines section- nées), et du ganglion gauche (côté sain), n'a montré aucune différence
d'atrophie. Sur les coupes de la racine postérieure au voisinage du ganglion nous avons pu vérifier que sur cet animal comme
lasmique. Nous avons pu suivre ces fibres malades sur les coupes du ganglion droit, moins facilement que chez l'animal IV, vu
Survie 77 jours. Intégrité des cellules et des fibres à myéline des ganglions correspondants ; dans les racines posté- rieure
cilement le bout inférieur des racines sectionnées, aboutissant aux ganglions . L'extrémité mé- dullaire de ces racines se voi
aussi les racines symétriques du côté droit et les deux pre- miers ganglions sacrés de chaque côté. Enfin nous disséquons de
postérieure de la cuisse et de la jambe. Examens HISTOLOGIQUES. Les ganglions spinaux des deux côtés ont été fixés au sublimé
, on ne distingue aucune sorte d'altération cellulaire spéciale aux ganglions du côté gauche (côté opéré). On note sur quelqu
ées, et ratatinées d'une manière manifeste. Il existe donc dans ces ganglions quelques cellules en voie d'atrophie comme celles
e celles que nous avions remarquées, très rares également, dans les ganglions du chat IV. Nous n'avons rencontré, sur les cou
es ganglions du chat IV. Nous n'avons rencontré, sur les coupes des ganglions du côté droit, non plus que sur les coupes de l
ches. - Survie 97 jours. - Intégrité des cellules et des fibres des ganglions spinaux correspondants ; persistance de fibres à
e la cuisse et du genou, des deux côtés. Examens histologiques. Les ganglions spinaux, traités par le sublimé- osmique, puis
e fibres dégénérées, lesquelles se retrouvent dans nerf efférent du ganglion , avant sa réunion avec la racine antérieure. Qu
ajet intradural. . D'autre part, nous suivons ces racines jusqu'aux ganglions correspondants, et nous prenons séparément la p
nons séparément la portion extradurale de la racine postérieure, le ganglion , et le nerf efférent de ce ganglion avant sa réun
le de la racine postérieure, le ganglion, et le nerf efférent de ce ganglion avant sa réunion à la racine anté- rieure, pour
se retrouvent enfin, aussi nombreuses, dans les nerfs efférents des ganglions 3e, 4° et 5e sacrés, avant leur réunion aux racin
ées ; présence des fibres fines dégénérées dans le nerf efférent du ganglion . - Chien de 11 kilos, opéré le 10 mai 1906 (chl
s (côté gauche). On prélève également les racines postérieures, les ganglions et le nerf efférent du pôle périphérique de ces
ures, les ganglions et le nerf efférent du pôle périphérique de ces ganglions . Les racines sectionnées paraissent avoir été c
t 5e raci- nes dorsales postérieures gauches, entre la moelle et le ganglion . L'animal se rétablit sans paralysie. Autopsi
mps il portait une ulcération syphilitique au pharynx, il avait les ganglions indurés et de la périostite du tibia droit. L'a
dis- parition de leur fonctionnement spécifique. Cerveau, moelle, ganglions du grand sympathique, corps thyroïde. Ces diffé
ullaire. L'une des racines posté- rieures a été sectionnée entre le ganglion et la moelle. L'examen micros- copique de la ci
e toutes ces massues, mt, mt', mt", mt ? nZt ? mi ? se dirigent des ganglions vers la moelle, il n'y a que la massue,mh. qui
é sur les muscles, les nerfs périphériques, les troncs nerveux, les ganglions , les racines nerveuses et la moelle. 1° Muscles
lions rachidiens, également par la méthode de Pal. Les coupes du 5° ganglion cervical 2° ganglion dorsal 2° lombaire montrent
lement par la méthode de Pal. Les coupes du 5° ganglion cervical 2° ganglion dorsal 2° lombaire montrent : Atrophie très con
bsolument normales, avec gaines de myéline très bien colorées. 4° Ganglions . Les cellules des ganglions rachidiens, étudiés p
nes de myéline très bien colorées. 4° Ganglions. Les cellules des ganglions rachidiens, étudiés par le Nissl et le carmin,
ons postérieurs : la dure-mère ne présente aucune altération. Les ganglions rachidiens sont très notablement hypertrophiés. -
uelque sorte gigantesques : le grand sympathique cervical (avec ses ganglions ) et le pneu- mogastrique atteignent des dimensi
cine lombaire an'érieure droite à égale distance de la moelle et du ganglion . Color. par l'hématoxyline-éosine. NÉVRITE INTE
les racines antérieures et les racines postérieures au voisinage du ganglion rachi- dien. C'est ainsi qu'immédiatement au-de
on rachi- dien. C'est ainsi qu'immédiatement au-dessus du cinquième ganglion lombaire gauche, alors que les fibres radiculai
ux de la racine antérieure au voisinage de la moelle. Au-dessous du ganglion l'aspect de la racine postérieure se rapproche da
t plus jeunes qu'on se rapproche davantage des centres ner- veux. Ganglions rachidiens. Le nombre des cellules est légèreme
E HYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 493 L'hypertrophie des ganglions est due uniquement à l'augmentation de volume d
ment à l'augmentation de volume des fibres qui les traversent. Le ganglion sympathique cervical moyen, très hypertrophié, pr
la dure-mère périradiculaire ; parfois cependant, elle envahit les ganglions spinaux. La moelle peut être atteinte de différ
péritoine, mais sans tuberculose, non plus qu'aux poumons. L'un des ganglions trachéo-bronchiques, du volume d'un haricot, prés
pendant toute l'évolution. Autopsie. Tuberculose pulmonaire et des ganglions trachéo-bronçhiques ; caverne tuberculeuse des
rs cylindres-axes, sclé- rose variable d'une racine à l'autre ; les ganglions présentent des cellules en chromatolyse. Dans l
uleuse rapidement mortelle. Autopsie. Tuberculose pulmonaire et des ganglions trachéo-bronchiques. Méningite cérébro-spinale
r leur siège et leur intensité, avec les lésions des racines. Les ganglions spinaux n'ont pu être examinés que dans un trop p
vait soigneusement séparées du faisceau longitudinal) destinées aux ganglions infracorticaux. » Il ressort de tout cela que l
ié- tales postéro-inférieures et les circonvolutions temporales aux ganglions infra- corticaux (de la région sous-optique du
l ? le ramollisement ne s'étend dans la profondeur qu'au niveau des ganglions de la base, où il atteint la couche sagittale ext
ouche sagittale externe occipitale, il s'agit soit d'une lésion des ganglions infracorticaux, soit d'un foyer profond des régio
ccipitales également belles, et en plus de décoloration intense des ganglions correspondants. Mais, ce qu'il est difficile de c
; elle acquiert de par le fait, une certaine ressemblance avec les ganglions rachidiens et crâniens (ganglions de Gasser, ga
ne certaine ressemblance avec les ganglions rachidiens et crâniens ( ganglions de Gasser, ganglions acoustiques, cellule olfacti
nce avec les ganglions rachidiens et crâniens (ganglions de Gasser, ganglions acoustiques, cellule olfactive). Bref, la rétine
mier neurone, le type moteur (centre cortical) et le type sensitif ( ganglion cérébro-rachidien). Nous n'avons pas l'intentio
t, les éléments superposés ressemblent aux formations nerveuses des ganglions crâniens ou aux arborisations périphériques. La
La cellule bipolaire est certaine- ment l'analogue des cellules des ganglions acoustiques ; les cônes et bâtonnets rappellent
nakow, environ 80 0/0 des fibres rétiniennes. Nous croyons que ce ganglion primaire de la vision représente un ensemble fo
e fonctionnel, qu'il est comme la rétine une formation atypique, un ganglion composé. Il correspond (au point de vue de notr
e létino-quadrigémi- nal affecte, cependant, des relations avec les ganglions de la base et présente des caractères morpholog
ique. On sait que le lobe occipital envoie de nombreuses fibres aux ganglions in- fracorticaux : corps genouillé externe, cor
is, le nerf optique étant sensoriel, il est préférable de comparer le ganglion visuel central au noyau acoustique ventral (ner
ces faits, dans un travail ultérieur. Enfin, nous avons vu que ce ganglion optique primaire est le point de dé- part d'un
s de la bandelette optique s'enche- vêtrent tellement au niveau des ganglions de la base qu'il est impossible de préciser le
Quoi qu'il en soit, toutes les fibres optiques se terminent dans les ganglions primaires de la vision et nous croyons que le c
culaires qui s'entrecroisent de nouveau et vont s'irradier dans les ganglions corres- pondants du côté opposé; des libres gen
des fascicules aberrants, mais elle ne reçoit aucun contingent des ganglions de la base ou des noyaux du tronc encéphali- qu
6 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
ux; des lésions des cellules de la moelle, l'atrophie scléreuse des ganglions rachidiens. Dans le cerveau, il observe des lés
céreuse dans les 400 trous de conjugaison lombaires, comprimant les ganglions et les racines de la 40 paire lombaire. Le noyau
lobuleuses, leurs prolongements, ont disparu. Nous avons examiné le ganglion rachidien de la 5° paire dorsale. A son inté- r
ur, quoiqu'il nous manque malheureusement la preuve des lésions des ganglions intracardiaques et du tronc du pneumogastrique, q
e dégénérescence bien nette des racines postérieures ainsi que d'un ganglion radiculaire, lésions que tous les auteurs qui l
60 par jour. A ce moment le malade fut pris d'un adénophlegmon d'un ganglion sous- maxillaire, et maigrit notablement. Mais
bétique ? Se trouve-t-il dans la moelle, sur les racines ou dans le ganglion rachidien- ? . Dans un précédent travail (1), nou
abes nous avons incidemment signalé des altérations cellulaires des ganglions rachidiens ; nous nous étions en effet attachés
la publication de ces premiers faits, nous avons repris l'étude des ganglions rachidiens des tabétiques, mais cette fois, en no
l'avons-nous exclusivement employée. - Nous avons examiné quelques ganglions sur des coupes perpendiculai- res à l'axe, mais
ns une vue d'ensemble le racines à leur entrée et à leur sortie des ganglions , et d'apprécier l'état des cellules nerveuses,
édianes qui sont les plus proches des racines à leur entrée dans le ganglion (pôlecentral ou médullaire); les cellules du pOle
entielles et médianes les plus proches des racines à leur sortie du ganglion . Nous verrons plus loin que cette distinction n
quelques rares exceptions, restées négatives en ce qui concerne les ganglions spinaux et la plupart des au- teurs ont proclam
spinaux et la plupart des au- teurs ont proclamé que la cellule du ganglion spinal reste intacte. Lorsque la méthode de Nis
sceptible de fournir des résultats aussi concluants dans l'étude du ganglion rachidien que. dans l'étude de l'écorce cérébra
cela pour plusieurs raisons. Tout d'abord, il existe dans chaque ganglion spinal, d'après la plupart des auteurs, des typ
ssl a rendu des services appréciables dans l'étude expérimentale du ganglion rachidien, quel crédit faut-il lui accorder en
uteurs, et Marinesco entre autres, ont reconnu que les cellules des ganglions spinaux subissent très vite des altérations à l
s, qui ont le plus souvent permis de constater des lésions dans les ganglions rachidiens des tabétiques, et c'est grâce à l'e
On peut employer les deux procédés suivants : A. 1° Suspendre les ganglions fendus longitudinalement dans un mélange de : .
ique on constate les lésions caractéristiques du tabes et plusieurs ganglions sont prélevés, sans être exac- tement repérés,
limé et colorés sur coupes parle carmin ou l'hématoxyline-éosine. Ganglions lombaires(3 ganglions ont été examinés).-Les raci
upes parle carmin ou l'hématoxyline-éosine. Ganglions lombaires(3 ganglions ont été examinés).-Les racines postérieures son
complètement décolorées (sublimé osmique) dans la moitié interne du ganglion ou pôle central ; très bien colorées au contraire
-mêmes; à ce point de vue il y a quelques différences entre les trois ganglions examinés : sur l'un d'eux les proliférations ca
peu malades. La capsule ganglionnaire est passablement épaissie. , Ganglions dorsaux (3 ganglions ont été examinés). Les lésio
ule ganglionnaire est passablement épaissie. , Ganglions dorsaux (3 ganglions ont été examinés). Les lésions sont peu près le
été examinés). Les lésions sont peu près les mêmes. Sur l'un de ces ganglions il existe en outre une congestion très intense,
s par de larges travées de tissu conjonctif fibreux ou hyalin. Le ganglion cervical est également très intéressant, on y tro
CONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. T. XVII PL. XXXI. LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACHIDIEN 213 cellules a disparu, d'autres sont
sont vésiculeuses et même très volumi- neuses. De même que dans les ganglions lombaires et dorsaux, il y a des terri- toires
de début, il était intéressant de porter nos investigations sur les ganglions sacrés. Nous avons ainsi prati- qué l'examen de
es ganglions sacrés. Nous avons ainsi prati- qué l'examen de quatre ganglions sacrés, de deux ganglions lombaires, d'un gangl
avons ainsi prati- qué l'examen de quatre ganglions sacrés, de deux ganglions lombaires, d'un ganglion dorsal et d'un ganglio
xamen de quatre ganglions sacrés, de deux ganglions lombaires, d'un ganglion dorsal et d'un ganglion cervical. Tous ces gangli
s sacrés, de deux ganglions lombaires, d'un ganglion dorsal et d'un ganglion cervical. Tous ces ganglions ont été fixés par
lombaires, d'un ganglion dorsal et d'un ganglion cervical. Tous ces ganglions ont été fixés par le sublimé osmique, puis colo
les autres en coupes longitudinales. Région sacrée. Comme type de ganglion malade nous prendrons le 3e ganglion sacré droi
Région sacrée. Comme type de ganglion malade nous prendrons le 3e ganglion sacré droit (fig. 1). Ce ganglion a été examiné
ion malade nous prendrons le 3e ganglion sacré droit (fig. 1). Ce ganglion a été examiné sur des coupes perpendiculaires à l
paru, dans la région circonférencielle et dans la région médiane du ganglion , mais surtout dans la première. Les cellules disp
anglionnaire n'est pas notablement hypertrophiée. Dans les autres ganglions sacrés (2° sacré droit, 2° sacré et 3e sacré gauc
Région lombaire. Les altérations sont moins marquées que dans les ganglions sacrés, mais elles sont de même ordre, avec quelq
férences. Fia. 1. - Obs. II. Bret... Tabes datant de huit ans. 3e ganglion sacré droit. Disparition d'un grand nombre de cel
transformation hyaline du tissu interstitiel. LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACniDIEN 215 Tout d'abord, l'atrophie des raci
Tout d'abord, l'atrophie des racines postérieures dans l'intérieur du ganglion est moins marquée. La prolifération des cellule
nt des boules de graisse colorées en noir. " Région dorsale. ? Le ganglion examiné est beaucoup moins malade que les gangl
on dorsale. ? Le ganglion examiné est beaucoup moins malade que les ganglions lombaires et sacrés, mais les lésions y sont de m
. Elle succombe en juin 1903. Examen anatomique. - La plupart des ganglions examinés appartiennent à la région lombaire et
aires droits, les 2e, 3e, 4° lombaires gauches. La plupart de ces ganglions ont été débités en coupes longitudinales. Sur t
es ganglions ont été débités en coupes longitudinales. Sur tous ces ganglions l'atrophie des racines postérieures dans le bout
lionnaires assez considé- rable, plus marquée à la circonférence du ganglion que dans les régions mé- dianes. Quelques cellu
elettes de graisse colorées en noir par l'acide osmique. Dans le 3e ganglion lombaire droit, il existe des boules noires plus
éléments ne diffèrent en rien des corps granuleux.' La capsule des ganglions n'est pas en général très épaissie. Ces lésions
pas en général très épaissie. Ces lésions varient un peu suivant le ganglion examiné. Sur tel ganglion les proliférations ca
ie. Ces lésions varient un peu suivant le ganglion examiné. Sur tel ganglion les proliférations capsulaires sont plus nettes
trophie est plus manifeste : mais ce qui est constant dans tous ces ganglions , c'est la diminution de nombre des cellules et
rouve dans ces gan- glions le même genre d'altérations que dans les ganglions lombaires : tou- tefois l'examen du lor sacré d
'orienter Fic. 2. - Obs. III. Car... Tabes datant de dix ans. 1er ganglion sacré droit. - Cellules nerveuses contenues dans
ans une capsule épaissie, fibreuse et hyaline. LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACHIDIEN 217 et il est possible que l'on se tr
opie. Ici les lésions prédominent très nettement à la périphérie du ganglion . On voit d'une part des cloisons conjonctives é
voit d'une part des cloisons conjonctives émanées de la capsule du ganglion péné- trer dans la profondeur de celui-ci, d'au
ames fibreuses la fibre à myéline qui y prend naissance. Dans le 2° ganglion sacré gauche les lésions sont un peu moins accu
ont un peu moins accusées, mais très analogues. Région dorsale. Les ganglions (9° dorsal gauche, 5° dorsal droit) sont beauco
imum. Région cervicale. Il y a peu de chose à signaler dans le 1 er ganglion cer- vical droit, les racines paraissent saines
t en 1902. Examen anatomique. Ont été colorés et examinés les trois ganglions sui- vants : 2e et 3e lombaires, Il,, dorsal.
min. Inclusion à la paraffine. Coupes longitudinales. Sur ces trois ganglions , les racines postérieures ne contiennent plus qu'
ons accordé lors de notre premier examen. En effet, dans les deux ganglions lombaires, quelques cellules ont complète- ment
poser Fm. 3. - Obs. IV. Riv..... Tabes remontant à trente ans. 3° ganglion lombaire. - Atrophie de quelques cellules. - Dégé
aisseuse des cellules. Proliférations capsulaires. ALTÉRATIONS DU GANGLION RACHIDIEN DANS LE TABES [Thomas et Hauser). LES
LION RACHIDIEN DANS LE TABES [Thomas et Hauser). LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACHIDIEN 219 qu'un certain nombre de cellules
. La capsule ganglionnaire n'est pas sensible- ment augmentée. Le ganglion dorsal présente les mêmes altérations ; comme pou
02 après quatorze ans de maladie. Examen anatomique. La plupart des ganglions ont été traités par fixation au sublimé osmique
ls ont été colorés ensuite par le picrocarmin en masse. Seuls les ganglions lombaires ont été examinés (le', 2° ganglions lom
en masse. Seuls les ganglions lombaires ont été examinés (le', 2° ganglions lombaires droits ; 2", 3e et 5° lombaires gauch
baire gauche, elle est au contraire très prononcée au voisinage du ganglion sur les 3e et 5e lombaires gauches. Les altér
Les altérations ganglionnaires sont plus intenses dans les 3e et 5e ganglions lombaires gauches que dans les autres. " Dans
5e ganglions lombaires gauches que dans les autres. " Dans le 3e ganglion lombaire gauche, les racines postérieures, à leur
anglion lombaire gauche, les racines postérieures, à leur sortie du ganglion (bout central), sont extrêmement atrophiées : cep
ns sont en général plus marquées à la circonférence qu'au centre du ganglion . Le tissu interstitiel n'est pas très développé
est pas très développé : Les vaisseaux sont peu malades. Dans le 5e ganglion lombaire gauche, les cellules ont disparu par zon
sont nettement proliférées (fig. 4). z ' 'Au contraire, dans le 4ar ganglion lombaire droit, racines et cellules parais- sen
, racines et cellules parais- sent à peu près normales : dans le 2e ganglion lombaire droit, quelques cellules sont atteinte
. Il existe un certain degré de sclérose interstitielle. Dans le 2e ganglion lombaire gauche on constate des phénomènes analog
ais la sclérose interstitielle est encore plus nette. Dans tous ces ganglions les vaisseaux sont peu malades. , 1 Fin. 4. O
ssissement du tissu interstitiel. Aspect hyalin. LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACHIDIEN 221 OBs.VI. Delp... entre au mois d'o
ière. Cystite tuberculeuse. Mort en 1903. Examen anatomique. Quatre ganglions ont été examinés, deux à la région dorsale, deu
rien affirmer de précis, tant ces altérations sont légères, et ces ganglions ne diffèrent pas sensiblement des ganglions nor
ns sont légères, et ces ganglions ne diffèrent pas sensiblement des ganglions normaux. Ce fait est à rapprocher du peu de durée
s de localisation. Incontinence d'urine. Examen anatomique. -Deux ganglions lombaires ont été examinés : l'un coupé longitu
es assez larges ; en quelques points il est devenu hyalin. Sur le ganglion qui a été coupé perpendiculairement les lésions s
2 mars 1904. Examen anatomique. Nous avons pratiqué l'examen du 8e ganglion cer- vical droit, des 1er, 6e, Ile, 1° ganglion
iqué l'examen du 8e ganglion cer- vical droit, des 1er, 6e, Ile, 1° ganglions dorsaux gauches, des 2e, 3e, 4e gan- glions lom
rsaux gauches, des 2e, 3e, 4e gan- glions lombaires droits, du leur ganglion sacré droit. Tous ces gauglions ont été coupés
e et coloration en masse par le picrocarmin. Région lombaire. Les ganglions examinés sont inégalement malades. Les lésions
sont inégalement malades. Les lésions sont plus intenses dans le 3e ganglion lombaire gauche et dans le 4e ganglion lombaire
ont plus intenses dans le 3e ganglion lombaire gauche et dans le 4e ganglion lombaire droit. Dans ces deux ganglions, l'atro
baire gauche et dans le 4e ganglion lombaire droit. Dans ces deux ganglions , l'atrophie des racines postérieures dans le bout
lions, l'atrophie des racines postérieures dans le bout central des ganglions est des plus nettes, au contraire les racines pos
e les racines postérieuras sont saines dans le bout périphérique du ganglion . L'atrophie des racines pos- térieures est la m
es est occupée par quelques cellules capsulaires LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACHIDIEN 223 délimitant encore une loge extrêm
lésions sont également accusées à la circonférence et au centre des ganglions . Dans les deux autres ganglions lombaires, les
la circonférence et au centre des ganglions. Dans les deux autres ganglions lombaires, les lésions sont très comparables, m
à-dire que leur atrophie est plus prononcée dans le pôle central du ganglion et au niveau du nerf radicu- laire que dans le
i concerne les cellules, ce sont les mêmes altérations que pour les ganglions lombaires et au même degré ; peut-être les caps
proliféré, les vaisseaux sont peu malades. Région dorsale. Le 12" ganglion dorsal gauche est le plus malade. Dans le pôle
ganglion dorsal gauche est le plus malade. Dans le pôle central du ganglion les racines postérieures sont très atrophiées, el
un certain degré de congestion plus marquée dans le pôle central du ganglion . Le lue ganglion dorsal présente le même aspect
congestion plus marquée dans le pôle central du ganglion. Le lue ganglion dorsal présente le même aspect, les lésions y son
ont un peu moins avancées : il manque moins de cellules. Dans le 6° ganglion dorsal, les altérations cellulaires sont encore
ue quelques cellules baignent dans des lacs sanguins. Dans le 1 ? ganglion dorsal qui par son importance et son aspect se ra
l qui par son importance et son aspect se rappro- che davantage des ganglions cervicaux que des ganglions dorsaux, il y a beau-
son aspect se rappro- che davantage des ganglions cervicaux que des ganglions dorsaux, il y a beau- coup de cellules saines e
ules les plus volumineuses occupent surtout le pôle périphérique du ganglion . Malgré cela, quelques cellules sont extrême- m
s racines postérieures sont très atrophiées dans le pôle central du ganglion et dans leur trajet sus-ganglion- naire. Les lé
que sorte réduites à leur minimum. Région cervicale. L'examen du Se ganglion cervical droit donne lieu aux mêmes observation
on cervical droit donne lieu aux mêmes observations que celui du 1" ganglion dorsal. , 224 THOMAS ET HAUSER En résumé, les
s de myéline, ne diminuait pas progressivement en se rapprochant du ganglion , elle était au contraire plus accentuée au niveau
ccentuée au niveau du nerf radi- culaire et dans le pôle central du ganglion que dans le trajet sous-arach- noïdien : ceci n
e. De même les lésions sont presque toujours plus intenses dans les ganglions sacrés et lombaires que dans les ganglions dorsau
s plus intenses dans les ganglions sacrés et lombaires que dans les ganglions dorsaux et davan- tage dans les ganglions dorsa
et lombaires que dans les ganglions dorsaux et davan- tage dans les ganglions dorsaux que dans les ganglions cervicaux. Les gan
ions dorsaux et davan- tage dans les ganglions dorsaux que dans les ganglions cervicaux. Les gan- glions cervicaux sont fréqu
èlement, les racines postérieures sont également LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACHIDIEN 225 saines ou moins atrophiées ; tout
e un degré d'intensité assez élevé. Ce qui frappe le plus, dans les ganglions malades, c'est une diminution du nombre des cel
'est une diminution du nombre des cellules, par comparaison avec un ganglion normal pris au même niveau, il suffit par consé
circonférentielle que dans la zone mé- diane,et même pour certains ganglions dans le pôle central que dans le pôle périphéri
s fibreux, et la comparaison se soutient d'autant mieux que dans le ganglion tabétique les groupes cellulaires disparus sont q
l'atrophie cellulaire est parfois assez délicate, parce que dans le ganglion normal les cellules sont de dimensions inégales;
u à nous poser cette question. Il y en effet, dans la plu- part des ganglions , un tel nombre de cellules en voie d'atrophie qu'
normaux de petite taille, surtout si on fait la comparaison avec un ganglion normal. Les cellules atrophiées 226 TUOMAS ET H
que encore cette recherche, c'est que dans le tissu interstitiel du ganglion rachidien, normal ou pathologique, il existe tou-
rolifération capsulaire prédominent suivant les cas dans tel ou tel ganglion , mais il arrive aussi qu'elles soient associées s
égions. L'hypertrophie capsulaire avec transfor- LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACUID1EN 227 mation fibreuse ou Iibro-lyaline
s rare; elle se voit surtout dans les régions circonférentielles du ganglion et dans ce cas la trame conjonc- tive est épais
véritable caractère pathologique ; nous l'avons rencontré dans des ganglions de sujets âgés non tabétiques, mais le nombre des
t très peu considérables par rapport à ce que nous avons vu sur les ganglions des tabétiques. Le pigment est généralement trè
abondant ; mais on sait qu'il existe en proportion notable dans les ganglions normaux, surtout chez les sujets* âgés. Le no
egré de l'altération cellulaire et le nombre des LES ALTÉRATIONS DU GANGLION UACUIDIEN 229 cellules atteintes d'une part et
e, mais on peut affirmer néanmoins, en règle générale, que dans les ganglions les plus malades le nombre des cellules saines es
ntes et variables d'un cas à l'autre - et même pour chaque cas d'un ganglion à l'autre- ce sont : la pigmentation et la dégéné
eurs auteurs et quelques-uns, parmi. eux, ont décrit des lésions du ganglion rachidien très analogues à celles que nous avon
ique. En outre, même quand il existe des lésions considé- rables du ganglion , le nombre des cellules saines est toujours de be
en llinlel'st¡'wl(jsel'k1"allkullfJ, Iéna, 1897. LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACH1DIEN 231 fait disparu. Quelques cellules m
nous estimons,avec Redlich, si nous nous rapportons à l'aspect des ganglions normaux, qu'il s'agit le plus souvent d'un artifi
la sensibilité était très atteinte dans le domaine du trijumeau, le ganglion de Gasser correspondant était le siège de grave
toutes les lésions qui ont été relevées par ceux qui ont étudié les ganglions des tabétiques, celles qui ont le plus de valeur
août 1891. (1) BAI3ES und KREMNITZEti, L'anatomie microscopique des ganglions spinaux et la pathogénie du tabès. Arch. des sc
core récem- ment insisté : il est en effet assez rare d'examiner un ganglion rachidien dans lequel il n'y ait pas quelques c
cela n'a rien de comparable avec ce que nous avons observé dans les ganglions spi- naux des tabétiques. On est revenu plus ré
nerveuses chez les animaux âgés, et on a prétendu trouver dans les ganglions spinaux des vieillards une confirmation de l'hypo
von prof. Obersleiner. Leipzig und Wicn, 1002. . LES ALTÉRATIONS DU GANGLION HACU)D)EX 233 koff, van Gehuchten et Nélis (1)
dans la paralysie générale progressive. Elles ont été vues dans les ganglions des ta- bétiques par tous ceux qui les ont exam
vé quelques cellules attein- tes de la même dégénérescence dans des ganglions normaux où nous l'avons nous-mêmes constatée pl
devoir s'appliquer aux cas que nous venons de mention- ner, car les ganglions correspondants^ ne présentaient aucune autre alté
en moins nom- breuses que les cellules normales; 2° La cellule du ganglion spinal étant une cellule bipolaire donnant nais
cours d'embolies expérimentales, put obtenir de grosses lésions des ganglions spinaux qui avaient eu pour conséquence la dégéné
séquence la dégénération wal- lérienne des libres qui traversent le ganglion et qui en sortent. De ces deux ordres d'argumen
elles étaient minimes, mais lorsque ces lésions LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACIIIDIEN 333 sont telles qu'elles entraînent
érescence des racines, des lésions méningées ceux-ci à la sortie du ganglion , ceux-là à l'entrée dans la moelle (Nageotte, O
e ; nous avons été très sur- pris nous-mêmes, en examinant certains ganglions , de nous trouver en présence d'une raréfaction
erveuses, alors que les fibres qui émergent au pôle périphérique du ganglion sont nor- males ; est-ce parce que ces faits so
re au premier abord : l'étude de l'anatomie et de la physiologie du ganglion rachidien nous réserve sans doute bien des surp
surprises ; nos connaissances les plus récentes sur la structure du ganglion rachidien ne nous laissent-elles pas entrevoir
Cassirer, Anderson, Kleist, on a admis jusqu'ici que la cellule du' ganglion spinal se comporte différemment après la section
rellement enclin à ne pas considérer les altérations cellulaires du ganglion rachidien comme des altérations secondaires. Il y
'homme ; de ce que la première ne détermine aucune réaction dans le ganglion rachi- dien correspondant il ne s'ensuit pas qu
d'autres auteurs n'ont observé aucune modification des cellules du ganglion rachidien après la section de la racine pos- té
lJe1'iplte/'en Neruen, Neurol. Centralb., 1903. LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACHIDIEN 237' nération différente est-elle en
trograde de la racine postérieure a pu être suivie jus- que dans le ganglion . Les expériences de Lugaro nous autorisaient, d
ans une certaine mesure, à envisager les altérations cellulaires du ganglion rachidien comme des altérations primitives ou t
ne sommes pas en état d'affirmer si les lésions \cellù'M laires du ganglion tahétique sont primitives ou secondaires à l'atrb
ie de la racine postérieure, c'est que jus- qu'ici la pathologie du ganglion rachidien a été en général délaissée et qu'il e
r très grande prédominance et à leur plus grande intensité dans les ganglions des tabétiques ; c'est, qu'en outre, comme l'on
re, comme l'ont démontré Ielmholtz, Gaule et Lewin, les cellules du ganglion spinal sont beaucoup plus nombreuses que les fi
onséquent pas naissance à une fibre radiculaire, il existe dans les ganglions rachidiens à côté des cellules bipolaires ; des c
: 1° Qu'il existe fréquemment des altérations cellulaires dans les ganglions rachidiens des tabétiques. Ces lésions consiste
s et ne pas faire partie du processus tabétique. LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACHIDIEN 239 LÉGENDES DE3 PLANCHES . Planche
LÉGENDES DE3 PLANCHES . Planche XXXI. ' Van de 8... (obs. I). Ganglion lombaire. - Coupe perpendiculaire à l'axe. Fixati
ssu interstitiel quia un aspect fibrohyalin. Bret... (obs. II). 2 Ganglion sacré droit. Coupe perpendiculaire à l'a.r.e. - F
sement du tissu interstitiel . Planche XXXII Aud... (obs. VII). Ganglion lombaire. - Coupe longitudinale. Fixation parle s
s- sement du tissu conjonctif interstitiel. Lel... (obs. V). 3e Ganglion lombaire gauche. - Coupe longitudinale. Fixation
vait été prélevé pour être examiné histologiquement. L'examen des ganglions semi-lunaires, contrastant avec l'intégrité des g
ste du système nerveux, moelle épinière et méninges rachi- diennes, ganglions rachidiens et nerfs périphériques, ne présente au
de quelques racines postérieures que nous avons poursuivie jusqu'au ganglion . À droite, la sensibilité est atteinte dans les
ir rien pré- senté à la verge : on lui aurait extirpé deux fois des ganglions et trois fois on l'aurait cautérisé au thermo-c
Ergothérapie et psychothérapie, par Marco LÉVI-BIANCHI1\"I, 136. Ganglion rachidien chez les tabétiques. (les altérations
sante (4 planches), 88. HAusER et A. Thomas. Les altérations du ganglion rachidien chez les tabétiques (2 pl., 4 dessins
hoedème (1 planche), 189. Thomas et G. HAUSER. Les altérations du ganglion rachidien chez les tabétiques (2 planches, 4 de
Dentiste, tableau d'Andréa Céfaly (M.Lévi- ]31ANciii,Ni), LXIV. Ganglion rachidien dans le tabes (Thomas et Hauser), XXX
7 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
les circonvolutions orbitaires le nerf olfactif (OL), terminé par un ganglion en massue, le bulbe olfactif (OLB). Les circonv
constitué par les fibres des deux bandelettes optiques (BO) venues de ganglions profondément situés. À partir du chiasma optique,
l'hippocampe; Bf, fente de Bichat; TM, tubercules mamillaires ; GIP, ganglions interpédonculaires; PP, pédoncules cérébraux; M0C
s mamillaires, on reconnaît parfois deux petites éminences (GIP), les ganglions interpédon-culaires; et derrière ceux-ci, au fond
ère,elles se confon daient avec la substance blanche qui tapisse ce ganglion dans la cavité du carrefour ventriculaire, et com
; DF, pilier descendant de la voûte; TM, tuljercule majnillaire; GIP, ganglion interpédonculaire ; NaC, noyau antérieur du thala
NaC, noyau antérieur du thalamus; NiC, noyau interne du thalamus; GH, ganglion de l'habénule; IIAB, habénule; CM, commissure mol
, dont la grosse extrémité régulièrement arrondie est en arrière : le ganglion de ïhabénule (GH). Son extrémité antérieure, très
pinéale. Nous avons vu, d'autre part, que l'habénule fait suite à un ganglion de l'étage supérieur de la couche optique (GI1).
pinéale, située sur la ligne médiane, se confond latéralement avec le ganglion de l'habénule (G1I) ; et l'habénule (HAB) n'est q
que le prolongement superficiel fibreux de la masse grise commune au ganglion de l'habénule et à la glande pinéale. CA. La co
quadrijuraeau antérieur; CP, commissure blanche postérieure ; GII, ganglion de l'hahénule; 1IAB, habénule; NiC, noyau interne
du ruban de Reil (LM1, LM2, LM3^ LM4, LM5). G, glande pinéale; GU, ganglion de l'habénule; NiC, noyau interne du thalamus; ZS
de l'habénule; NiC, noyau interne du thalamus; ZS, stratum zonale du ganglion de l'habénule; SG, substance grise de l'aqueduc d
sont formés par le tubercule interne de la couche optique (NiC) et le ganglion de l'habénule (GH), recouvert par le stratum zona
, la ligne médiane en avant des deux rubans précédents, passe sous le ganglion de l'habénule (GH), croise à ce niveau un faiscea
ion de l'habénule (GH), croise à ce niveau un faisceau descendu de ce ganglion (le pédoncule du ganglion de l'habénule (HAP) ; p
oise à ce niveau un faisceau descendu de ce ganglion (le pédoncule du ganglion de l'habénule (HAP) ; puis il suit, de dedans en
inar (BP). Il recouvre la partie la plus postérieure et inférieure du ganglion de l'habénule, comme le faisceau précédent recouv
recouvrait le tubercule quadrijumeau antérieur. Mais cette portion du ganglion de l'habénule n'est pas visible sur la figure, el
t dans la substance grise de l'espace perforé postérieur, où un petit ganglion (pair et symétrique), le ganglion interpédonculai
ace perforé postérieur, où un petit ganglion (pair et symétrique), le ganglion interpédonculaire, les reçoit en majeure partie.
ncule. Nous les retrouverons sur toutes les coupes suivantes jusqu'au ganglion interpédonculaire (GIP, pl. XXVUI, fig. 103). L
la base de la glande pinéale (G. 68) et la partie la plus interne du ganglion de l'habé-nule (GH, 71, 72). Mais le repli de toi
u ansa inter-genicularis de Rauber (AI, pl, XXII, fig, 68), GII. Le ganglion de l'habénule (fig. 71, 72), ainsi nommé parce qu
le. On n'en aperçoit encore ici que la partie la plus postérieure. Ce ganglion sera étudié à l'occasion des figures de la planch
ure sous le frein de l'habénule (IlAB, 69) et, plus en avant, sous le ganglion de l'habénule (Gll, 71). Plus loin encore (fig. 7
mmissure (FCP) sans se mélanger avec elles. Th, thalamus; Gll, le ganglion de l'iiabé-nule, dont le stratum zc-nale fournit
'en est que momentanément séparé par un nouveau faisceau, descendu du ganglion de l'habénule (le fascicule rétroflexe FRF), dont
cule cérébral ; QA, QP, tubercules quadrijumeaux ; Pul, pulvinar; GH, ganglion de l'habénule; G, glande pinéale ; CP, commissure
rrompt la continuité du faisceau de la commissure (FCP) au-dessous du ganglion de l'habénule (GH). Ce nouveau faisceau, appelé p
fasciculus re-troflex ou retroflexus, part de la face postérieure du ganglion de l'habénule, empruntant au stratum zonale de ce
érieure du ganglion de l'habénule, empruntant au stratum zonale de ce ganglion la majeure partie de ses fibres; il se porte en b
nt la direction du fasciculus retroflexus. PV, pont de Varole ; GH, ganglion de l'habénule; G, glande pinéale ; QA, QP, tuberc
elle. Mais on remarquera, sur la face interne de l'hémisphère, que le ganglion de l'habénule (GH, fig. 76) forme une convexité q
u'à la ligne médiane, au-dessus de la commissure postérieure (CP). Le ganglion de l'habénule, en eflet, se prolonge, ainsi que l
it voirie schéma 107, jusque dans le pédicule de la glande Les deux ganglions de l'iiabénule, vus d'en haut, adliérents aux cou
e de leur face interne. La coupe 73 passe à travers le thalamus et le ganglion de l'habénule, de façon à laisser un vide, une ex
de la planche xxiu. pinéale. Sur la coupe 73, la substance grise du ganglion du côté droit se confond avec celle du ganglion d
la substance grise du ganglion du côté droit se confond avec celle du ganglion du côté gauche : les deux ganglions de l'habénule
ôté droit se confond avec celle du ganglion du côté gauche : les deux ganglions de l'habénule Ibrment donc à leur partie postéro-
peu plus en avant sur la coupe 78, par exemple (schéma 107), les deux ganglions sont nettement distincts; leur convexité interne
nettement définie, puisqu'elle ne vise que la saillie postérieure du ganglion dans un espace vide. Considéré au point de vue de
couche optique forme la paroi du troisième ventricule. Le fait que le ganglion de l'habénule est complètement enveloppé de subst
-basilaire. Il ne faut donc pas le confondre avec le pulvinar. GII. Ganglion de l'habénule. On dit, en général, que le ganglio
e pulvinar. GII. Ganglion de l'habénule. On dit, en général, que le ganglion derhabénule (GH, lig. 77) est mal limité chez l'h
ue et rend très évident, sur les coupes verLicales, l'isolement de ce ganglion , moins évident à sa surface. On peut voir que l
évident à sa surface. On peut voir que la partie posléro-externe du ganglion de l'habénule (GH, fig. 76) arrive presque au con
lig. 80). Nous avons signalé l'excavation fissuraire qui sépare le ganglion de l'habénule du thalamus et qui forme l'angle in
et qui forme l'angle inféro-interne du ventricule moyen (fig. 73). Le ganglion de l'habénule fait, en quelque sorte, le tour de
iquée. Le schéma MO rendra Riijipoils do la partie iiostérieiire du ganglion de l'habénule (Gll). 1° En J)as et en dedans : Aq
is de la comuaissure postérieure on voit la partie la plus reculée du ganglion de l'habénule (GH), conl'ondne avec la base de la
rradiations du stratum zonale (ZS). En dedans et au-dessous d'eux, le ganglion de l'iia-bénule (GH) contribuant à former la pai'
. Ce ventricule envoie un diverticule ( VM) entre les deux parties du ganglion do l'habénule (GH, GU), qui vont se fusionner sur
teg-irientum (TEG). Aq, aqiiednc de Sylvius; Th, thalamus; GU, ganglion de l'habénule; Cl', commissure postérieure; T
s'y arrêtent aussi, car on les perd de vue à la face antérieure de ce ganglion . Lm. La lamina medialis (lig. 74, 75) fait de p
NeC. Le noyau externe du thalamus (fig. SI), voy. pl. XXlIL GII. Le ganglion de l'habénule (fig. 79, 80) fait saillie dans le
Stilling, noyau rouge de la calotte, olive supérieure, nucleus ruber, ganglion du pédoncule cérébelleux supérieur, sont les expr
ux supérieur et où celui-ci est toujours reconnaissable, intéresse le ganglion ou le respecte. Mais on est toujours sûr de coupe
au longitudinal postérieur ; TEG, tegmentum ; Th, thalamus; GH, ganglion de l'habénule. lopper le noyau rouge, elles von
que l'origine supérieure de ce faisceau correspond très exactement au ganglion de l'habénule (GH) (il résulte môme de la converg
môme de la convergence des fibres qui forment le stratum zonale de ce ganglion ). Souvent il est interrompu, dès sa sortie du gan
G, la glande pinéale reposant sur les tubercules antérieurs ; GH, le ganglion de l'habénule; lIAB, l'habénule ou pédoncule anté
us après s'être renforcés d'un certain nombre de fdjres empruntées au ganglion de l'habénule (GH). HAP. Pédoncule transversal de
IIAP représente le [pédoncule transversal de la glande pinéale et du ganglion de l'habénule (Gll). Celui-ci n'est déjà plus aus
confond d'ailleurs avec le stratum zonale, mais il est certain que le ganglion lui-même fournit des fibres à ce pédoncule. L'ext
res à ce pédoncule. L'extrémité externe passe nettement au-dessous du ganglion , au-dessous de la couche optique. Il se confond e
ourir d'arrière en avant, entre la couche optique (Th, fig. 83) et le ganglion de l'habénule (GH), représentant dans ce trajet p
lis aquœducti peut, ici encore, être distingué (fîg. 80) à la base du ganglion de l'habénule, mais ce n'est plus que son extrémi
XV COUPE VERTICO-TRANSVERSALE PASSANT PAR l'eXTRÊMITÊ ANTÉRIEURE DU GANGLION DE l'hARÉNULE Écorce. Sur toute l'étendue du
5, 88, 89) augmente d'abord de largeur. C'est, en eflet, au-devant du ganglion de l'habénule qu'elle présente son dianuMre trans
yau interne du thalamus (fig. 85, 87, 89). Après la la disparition du ganglion de l'habénule, il forme la paroi du ventricule mo
llaire externe (LML, fig. 88). Gll. Extrémité la plus antérieure du ganglion de l'habénule (fig- 85). NR. Le noyau de la cal
TEG Projection sagittale du noyau rouge de la calotte (NR). Ce ganglion est abordé en arrière par le pédoncule cérébelleu
. A la face interne de la couche optique (Th, fig. 94), et entre ce ganglion et le noyau rouge de la calotte (NR) on reconnaît
de la substance grise corticale. Nous verrons plus loin apparaître un ganglion important, le noyau amygdalien (NA) à la terminai
01) dans la substance grise de l'espace perforé postérieur et dans le ganglion interpédonculaire (GIP, pl. XXVIII, fig. 103).
tre elles s'arrêtent au corpus album subrotundwn. Nous verrons que ce ganglion reçoit, plus en avant, par sa face inférieure, le
in, noyau ainygdaliforme, bandelelle accessoire de Volive supérieure, ganglion de la capsule interne, corps de Forel, a surtout
iner au-dessus et en dedans du trou borgne dans la substance grise du ganglion inter-pédonculaire (vov. pl. XXVJII, fig. 105).
ais lcnti-formis (DL) et elle a pour limite interne, au-dessous de ce ganglion , la lamina tegnicnti (LTE), qui pénètre dans la s
iformis, ce qui semble démontrer que le faisceau capsulaire aborde le ganglion par sa face supérieure. On est assez mal renseign
eure. On est assez mal renseigné sur les connexions du faisceau et du ganglion (nous venons de dire que la région supérieure du
antérieure de la queue du noyau caudé a pu faire admettre que ce gros ganglion était un renflement terminal du corps strié. Il n
r la terminaison de la racine inférieure du thalamus (Thl). G1P. Le ganglion interpédonculaire est une masse ganglionnaire (fi
Il s'agit là d'un mode de structure qui est commun à presque tous les ganglions de l'hémisphère et qui nous semble pouvoir être p
e, est la surface adhérente au feuillet vasculairc de l'embryon? Le ganglion intcrpédonculaire, lorsqu'il laisse entrevoir à l
106) ou substance grise basilaire fait suite, d'arrière en avant, au ganglion intcrpédonculaire, comme le ganglion intcrpédoncu
it suite, d'arrière en avant, au ganglion intcrpédonculaire, comme le ganglion intcrpédonculaire faisait suite au noyau rouge de
e grise de l'espace perforé postérieur (SG), en avant et en dehors du ganglion intcrpédonculaire. GAP. Le noyau de l'anse (fig
é par les lames concentriques de substance blanche qui enveloppent le ganglion interpédonculaire (GIP) et qui peuvent être consi
a lieu avant ou après la pénétration du fascicuîus retroflex dans le ganglion interpédonculaire. LTE. La lamina tegmenti (fig
aisceau de très petit calibre dirigé d'avant en arrière, en dehors du ganglion interpédonculaire. Elle est encore facile à recon
ergeant du pied du pédoncule en dehors de la lamina tegmenti ; G1P, ganglions interpédoncu-laires. Celui du côté gaucho reçoi
lamina media-lis (LM). perforé postérieur, et qui correspondent aux ganglions interpédon-culaires G1P. Derrière elles s'avancen
t de largeur, aux renflements de substance grise qui représentent les ganglions interpédonculaires. Ces deux tractus clairs ne so
a substance grise de l'espace perforé postérieur, glisse en dehors du ganglion inlerpédonculaire (GIP). CAO. Le faisceau tegme
s paru possible de déterminer d'une façon absolue son origine dans ce ganglion . D'autre part, les coupes horizontales de l'hémis
dus; les autres remontent, accolées à la face supero-interne de ces ganglions , dans la couronne rayonnante, probablement jusqu'
ritable capsule blanche, arrivent jusqu'à la partie postérieure de ce ganglion . Un grand nombre d'entre elles se perdent dans la
e, et que de ce dernier part un faisceau compact qui se jette dans le ganglion antérieur de la couche optique. Vicq-d'Azyr croya
a surface une sorte de capsule et iraient ensuite se terminer dans le ganglion externe et postérieur (5). Quelques fibres encore
du tubercule antérieur de la couche optique (1) sans s'arrêter, ni au ganglion interne ni au ganglion externe. Enfin un autre fa
de la couche optique (1) sans s'arrêter, ni au ganglion interne ni au ganglion externe. Enfin un autre faisceau (10) coupé trans
alotte. Un faisceau plus volumineux (12) et situé plus haut, émané du ganglion externe et postérieur, suivrait, parallèlement au
compagnerait jusque dans l'aqueduc, avec la couche de Reil. Enfin, du ganglion antérieur et interne proviendrait un petit faisce
ci au moment où elle va pénétrer dans le pied du pédoncule. GAP, le ganglion de l'anse, prolongement interne et inférieur dupu
e de ce tubercule (fig. 109) et dans la substance grise (fig. 111) du ganglion lui-même. Dans la première partie de son trajet d
bandonné une notable portion de ses fibres à la capsule blanche de ce ganglion , et particulièrement au stratum zonale qui s'insi
située maintenant (fig. 109) à la partie supérieure et externe de ce ganglion . Puis, lorsque le noyau caudé a disparu (fig. 110
oyau caudé a disparu (fig. 110), elle se place à la partie externe du ganglion amygdalien (NA), hermétiquement accolée à sa surf
plus claire et plus diffuse. Elle pénètre en effet peu à peu dans le ganglion au fur et à mesure qu'elle s'épanouit à sa surfac
té inférieure et en se réunissant, tout près de la face antérieure du ganglion , avec les lames à convexité supérieure venues de
s à convexité supérieure venues de la partie supéro-externe. Ainsi le ganglion amygdalien se trouve complètement enveloppé par l
ns le globus medialis (GLM, fig. 115). En réalité, il passe devant ce ganglion et se mêle au segment antérieur de la capsule int
te au globus medialis. Mais, vers l'extrémité interne ou sommet de ce ganglion , l'anse du noyau lenticulaire change de direction
, sans présenter aucune connexion avec l'écorce de Sylvius. GBO. Le ganglion basai optique est un petit groupe de cellules, à
rmine dans la substance grise de la lame terminale (LAT) au-dessus du ganglion basai optique (GBO, 128). ANL. L'anse du noyau
à la partie inférieure du corps strié, ne forment pas la limite de ce ganglion . Elles sont séparées de la capsule externe (CE) p
la capsule externe (CE) par le prolongement temporal du putamen, ou ganglion de l'anse pédonculaire (GAP), dont nous avons pré
elles n'ont de connexion qu'avec le pulvinar (Pul, fig. 2). GIP. Le ganglion interpédonculaire situé, immédiatement en dehors
sa partie postérieure : c'est le fasciculus retroflexus, descendu du ganglion de l'habénule et qu'on verra se dessiner plus net
qui passe au-dessus et en dehors du noyau de l'anse (GAP). GAP. Le ganglion ou noyau de l'anse pédonculaire est une couche gr
rne du putamen jusqu'à la substance grise du troisième ventricule; ce ganglion se confond en avant avec la substance grise du se
pas dans le noyau rouge se réunissent avec celles qui ont traversé ce ganglion et forment le faisceau cérébello-thalamique (CEO)
traverse parfois, marche d'arrière en avant et de haut en bas vers le ganglion interpédonculaire (GIP). Il est limité en dehors
us; on ne voit que la proéminence de substance grise qui le réunit au ganglion de l'habénule. Gll. Le ganglion de l'habénule (
de substance grise qui le réunit au ganglion de l'habénule. Gll. Le ganglion de l'habénule (fig. 5), adjacent à l'encoche qui
erdu dans la substance grise du septum lucidum (GSL). , coupe 6, le ganglion de l'habénule (GII) est enveloppé par des fibres
à l'habénule (HAB). Les unes et les autres prennent naissance dans le ganglion . NC. Le noyau caudé, séparé du putamen (PUT, fi
mus (fig. 6) est, immédiatement au-dessus, en dehors et en arrière du ganglion de l'habénule; c'est la masse grise où se confond
a convexité interne; sur la der- . nière coupe, il longe en dehors le ganglion de l'habénule (GII), où il. prend naissance. BP
opto-striée s'est rendue indépendante de l'étage supérieur. GH. Le ganglion de l'habénule (fig, 7) est encore représenté par
l de l'hémisphère, n'est autre chose que le triangle de Vhabénule. Ce ganglion est situé en avant du noyau postérieur du thalamu
eC) par la lame médullaire interne (LMI), semble se confondre avec le ganglion de l'habénule. Il en est séparé par les fibres du
n de l'habénule. Il en est séparé par les fibres du stratum zonale du ganglion de l'habénule, qui, sur la figure 9, sont représe
ommissure postérieure (CP), on distingue l'amas de substance grise du ganglion de l'habénule (GH). Substance blanche CA. La
té ne lui appartient pas en propre) et qui forme la limite externe du ganglion de l'habénule (GH) ; 2" un faisceau moyen, qui re
, où l'on reconnaît la convexité supérieure du noyau rouge (NR) et le ganglion de l'habénule (GH). Substance blanche. Tout c
amygdalicn de Stilling, bandelette accessoire de l'olive supérieure, ganglion de la capsule interne. DO. Désert olfactif. D
sceau de Vicq d'Azyr. G. Glande pinéale, épiphyse, conarium. GAP. Ganglion do l'anse pédonculaire, prolongement temporal du
ominée sous-lenticulaire. GAQ. Substance grise de l'aqueduc. GBO. Ganglion basai optique. GC. Genou du corps calleux. Gc
ascendante. GFs. Genou supérieur de la frontale ascendante. GIl. Ganglion de l'habénule. GI. Corps genouillé interne. G
GIl. Ganglion de l'habénule. GI. Corps genouillé interne. GIP. Ganglion interpédonculaire. GLA. Globus accessoire du no
nde pinéale. IIAP. Pédoncule transversal de la glande pinéale et du ganglion de l'habénule. Ilfd. Ililo du fascia denlata.
us. NR. Nudeus ruher, noyau rouge de Stilling, noyau de la calotte, ganglion du pédoncule cérébelleux supérieur. 0'. Premièr
Gi. Stratum zonale du corps genouillé interne. ZII. Stratum zonale du ganglion de l'habénule. ZO. Stratum zonale de la bandelett
. . 505 „ G Gaine de la commissure antérieure.............. 347 Ganglion basai optique (GBO)................ 410 Ganglio
............ 347 Ganglion basai optique (GBO)................ 410 Ganglion de la capsule interne (DL).............. 311 Ga
....... 410 Ganglion de la capsule interne (DL).............. 311 Ganglion de l'anse pédonculaire (Gi\.P).......... 331, 363
.. 311 Ganglion de l'anse pédonculaire (Gi\.P).......... 331, 363 Ganglion de l'habénule (GH)............ xxr, 226, 243 Ga
6, 243 Ganghon du pédoncule cérébeUeux supérieur (NR)........ 259 Ganglion interpédonculaire (GIP)..........vni, 332, 429
..... 214 Pédoncule transversal ou moyen de la glande pinéale et du ganglion de l'habénule (HAP)................ 264 Pentago
edunculi de Gudden (TP)........ x, 245 Triangle de l'habénule (voy. Ganglion de l'habénule). . . . . xxi, 440 Stratum lacuno
ale du corps genouillé interne (ZGI)......... 206 Stratum zonale du ganglion de l'habénule (ZH, HAB). . . . 255, 245 Strise
8 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
groupes et à s'entourer d'une enveloppe commune pour 1er de petits ganglions , reliés les uns aux autres par de fines commis-
angentielle, puis il tra- le nerf sans se ramifier, pénètre dans le ganglion et s'y termine par des arborisations libres dans
é, à un cordon moniliforme situé du côté ventral de al, et dont les ganglions sont réunis par de fines commissures verti- t t
ace des muscles, les autres forment les commissures qui relient lès ganglions entre eux, ils se terminent tous par des arborisa
ux, ils se terminent tous par des arborisations libres soit dans le ganglion où siège la cellule d'origine (Retzius, v. Lenhos
cellule d'origine (Retzius, v. Lenhossek, de Nabias), soit dans un ganglion plus ou moins éloigné. Ces arborisations termin
ux des neurones périphéri- ques ; elles forment dans l'intérieur du ganglion une substance finement granuleuse, véritable fe
e chaque côté de la colonne vertébrale, pour, «ffi-^1 a stituer les ganglions Les neurones centraux concourent- à former Taxe
continue avec urie'tYlr2 de Remak, laquelle se porte, soit dans un ganglion sympathique ou céri.'1Wo rachidien voisin, soit
tudiées avec ces régions. Le second assure les connexions entre les ganglions infra-corticaux et les centres nerveux inférieu
tive était altérée dans son segment central, le segment attenant au ganglion persistant intact. Waller arriva à l'aide de se
ntact. Waller arriva à l'aide de ses expériences, à conclure que le ganglion spinal est le centre trop/tique du nerf sensiti
l'aide d'une petite scie et d'un ciseau à froid. Pour extraire les ganglions spinaux, il sera nécessaire de mettre les trous d
n genou, son segment antérieur et postérieur, ses rapports avec les ganglions de la base, y sont très fidèlement reproduits.
n- volutions temporales, le pied des circonvolutions frontales, les ganglions de la base, le pédoncule et la partie correspon
es variable. Au bout d'une heure, il commence à exa- miner quelques ganglions et arrive, par tâtonnements, à reconnaître au b
rébro-spinal. ' Le cordon inter- médiaire donne nais- sance aux ganglions cérébro-spinaux et sympathiques. Occlusion
. Ce cordon donne naissance, ainsi que M. Duval ` l'a montré, aux ganglions cé- Téb1'o-1'achidiens et secondai-. rementau
tré, aux ganglions cé- Téb1'o-1'achidiens et secondai-. rementaux ganglions sympa- thiques (cordon ganglionnaire etplexus
que. (D'après Mathias Duval.) CM, canal neural ou médullaire. - GS, ganglion spinal. - EC, premiers rudiments des cellules d
in. 20). Vésicules auditives.] 3. Fig. 19, 20, 21. - Encéphale et ganglions .' . cérébraux d'un embryon humain d'en- ? viro
sale. - Fic. 21. Encéphale vu de face. AC, arrière-cerveau. - AF, ganglion acous- tico-facial.- CA, cerveau antérieur. - C
n.' - Fol, fossette olfactive. /M, fente en forme de selle. - GG, ganglion de Gasser. - Gc, ganglion ciliaire. - GI, gangl
ive. /M, fente en forme de selle. - GG, ganglion de Gasser. - Gc, ganglion ciliaire. - GI, ganglion du pre- mier nerf cerv
de selle. - GG, ganglion de Gasser. - Gc, ganglion ciliaire. - GI, ganglion du pre- mier nerf cervical. - HCa, hémisphère c
H, vésicule dos . hémisphères. VO, vésicule oculaire secondaire. X, ganglion du pueumo -gastrique. IX. ganglion du glosso-ph
, vésicule oculaire secondaire. X, ganglion du pueumo -gastrique. IX. ganglion du glosso-pharyngien . - La ligne pointillée de
ormc. - fst. l'ente en forme de selle. -Fol, fossette olfactive. -Gs, ganglions spinaux. . - Is, isthme du cerveau postérieur.
téral du 48 ventricule. - V4 4- ventricule. - XII, hypoglosse. - X, ganglion du pneumo-gastrique. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME N
de la lame fondamentale; les nerfs sensitifs dans les cellules des ganglions crâniens; les ganglions crâniens se développent
; les nerfs sensitifs dans les cellules des ganglions crâniens; les ganglions crâniens se développent aux dépens de la partie
e chaque côté du cerveau postérieur et de l'arrière- cerveau, trois ganglions dont deux sont situés en avant et un en arrière
s en avant et un en arrière de la vésicule auditive (fig. 19). Le ganglion antérieur représente le ganglion de Gasser rudime
la vésicule auditive (fig. 19). Le ganglion antérieur représente le ganglion de Gasser rudimentaire, dont une parcelle donne
nglion de Gasser rudimentaire, dont une parcelle donne naissance au ganglion ciliaire. Le ganglion moyen représente le gangl
taire, dont une parcelle donne naissance au ganglion ciliaire. Le ganglion moyen représente le ganglion acou.stico-facial de
nne naissance au ganglion ciliaire. Le ganglion moyen représente le ganglion acou.stico-facial de Bis, aux dépens duquel se
ion acou.stico-facial de Bis, aux dépens duquel se développent : le ganglion spiral du nerf cochléaire, l'in- tumescence gaz
l'in- tumescence gazzgliforme de Scarpa du nerf vestibulaire, et le ganglion déni- culé du facial. Le ganglion postérieur
rpa du nerf vestibulaire, et le ganglion déni- culé du facial. Le ganglion postérieur se subdivise de très bonne heure, et d
postérieur se subdivise de très bonne heure, et donne naissance au ganglion d'Andersch du glosso-pharyngien et au ganglion
t donne naissance au ganglion d'Andersch du glosso-pharyngien et au ganglion jugulaire du pneumo-gastrique. L'origine réel
duc de Sylvius et entre dans la constitution du ruban de Reil. Le ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur, dont les li
tion du ruban de Reil, existe dans toute la série des vertébrés. Ce ganglion forme chez les mammifères le tubercule quadriju
ercule quadrijumeau antérieur. Chez les poissons et les oiseaux, le ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur se réduit à
EUX. loi. 1 1 i renferment chez les vertébrés supérieurs, plusieurs ganglions thalamiques . qui rétrécissent d'autant la cavi
du diverticule pinéal, ils donnent naissance de chaque côté, iL un ganglion constant dans la série des vertébrés, le gangli
haque côté, iL un ganglion constant dans la série des vertébrés, le ganglion de l'habenula qui reçoit le tÆnia thalami. Glan
pinéale ou commissure dorsale du thalamus, laquelle relie les deux ganglions de l'haúenula. Le diverticule sous-pinéal, tr
pto-striée primaire et destinées à montrer le mode de formation des ganglions centraux, de la capsule interne, du corps calle
de son développement, destinées à montrer le mode de formation des ganglions centraux, de la capsule interne, du corps calle
e, qui prend un grand accroissement et qui est connu sous le nom de ganglion du septum lucidum. Ce volumineux ganglion est l
est connu sous le nom de ganglion du septum lucidum. Ce volumineux ganglion est loin d'être « lucidum », aussi est-il préfé
t-il préférable de le désigner. avec Mi- halkovicz sous le nom de ganglion de la cloison. Chez l'homme, les bords du sep
de Sylvius, dont le développement est intime- ment lié à celui des ganglions de la base du ccrveau antérieur, et dont les pr
mite en avant le tube encéphalique, et qui représente à la fois les ganglions de la base (corps strié) et l'écorce céré- bral
te la série des vertébrés autres que les poissons cartilagineux, un ganglion volumineux qui occupe la base du cerveau, et en
sens et deviennent libres de l'autre côté de la ligne médiane. C. GANGLIONS CÉRÉBRO-RACHIDIENS. - NERFS SENSITIFS. NERFS SY
ées sous le nom de ganylio- blastes. Les ganglioblastes de tous les ganglions , soit rachidiens, soit crâ- niens, sont fusifor
x prolongements cylindre-axiles lui traversent comme un méridien le ganglion ; l'un se dirige vers la moelle, 'autre vers la
irige vers la moelle, soit un rameau connectif qui se porte dans le ganglion sympathique voisin, soit enfin une fibre du gra
llules mésodermiques, qui vont con- stituer le tissu conjonctif des ganglions , la capsule ganglionnaire, la gaine de Schwan
rs. L'unipolarisa- tion se rencontre également dans les cellules de ganglions craniens, tels que le ganglion de. Gasser, le g
ntre également dans les cellules de ganglions craniens, tels que le ganglion de. Gasser, le ganglion géniculé du facial, le ga
cellules de ganglions craniens, tels que le ganglion de. Gasser, le ganglion géniculé du facial, le ganglion d'And('l'sclt d
tels que le ganglion de. Gasser, le ganglion géniculé du facial, le ganglion d'And('l'sclt du glosso-pharyngien, le plexus g
haryngien, le plexus gangliforme du pneumogas- trique, etc. Seul le ganglion auditif présente d'une façon permanente des cel
térieur primitif. Fi(;. 86. - Celltiles et groupes de fibres du ganglion spinal d'un embryon humain de quatre semaines e
'. His.) 148 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres centrales des ganglions cra- niens. Racines caudales des v^, tXe et
e alaire, où elles se terminent librement. Les fibres centrales des ganglions craniens atteignent la surface du bulbe un peu
u (ixe paire) et du vague (x° paire), forment, comme les fibres des ganglions spinaux, un faisceau longitudinal, qui descend
lle au début, devient bientôt plus profonde, au sur et à FIG. 87. - Ganglion cervical du grand-sympathique adhérent à une raci
vical du grand-sympathique adhérent à une racine antérieure et à un ganglion spinal. Coupe horizontale d'un embryon de poulet
re rachidienne. - D, rameau antérieur de la paire rachidienne. - F, ganglion sympathique. a, cellule bipolaire du gan- glion
erf acoustique et les nerfs du goût, prennent leur origine dans les ganglions cérébro-rac7ai- diens, ils pénètrent dans le né
périphéri- ques et tronc des nerfs mixtes. Fia. 88. - Nerfs et ganglions crâniens d'un embryon humain d'environ quatre s
re semaines et mesurant 10 millim. de long. (D'après W. Bis.) Gc, ganglion ciliaire. - Gh, vésicule ^auditive. - III, nerf m
. - III, nerf mo- teur oculaire commun, - il, nerf pathétique. - V, ganglion de Gassor. - VII et VIII, ganglion acoustico-fa
mun, - il, nerf pathétique. - V, ganglion de Gassor. - VII et VIII, ganglion acoustico-facial. IX, nerf glosso-pharyngien. l
. - SI, nerf spinal. - A77, nerf grand hyporlosse. - 1, 2, 3, 4, 5, ganglions spinaux des cinq premiers nerfs cervicaux. lo
e : le nerf vague dans son trajet thoracique. Les trois branches du ganglion de Gasser et le nerf facial sont de même rectilig
es sur les côtés du corps, en avant des segments médullaires et des ganglions dont ils reçoivent les branches. - § IL - DEU
montrée par Golgi. Les cellules ganglionnaires siè- gent dans les ganglions rachidiens et sympathiques. Elles présentent,
dre toutefois les dimensions des cellules géantes. Les cellules des ganglions rachidiens sont encapsulées et unipolaires, et do
centrale avec une fibre radi- culaire postérieure. Les cellules du ganglion auditif (ganglion spirale et intumescence gangl
fibre radi- culaire postérieure. Les cellules du ganglion auditif ( ganglion spirale et intumescence ganglif01'171e de Scarp
intumescence ganglif01'171e de Scarpa) sont bipolaires, celles des ganglions il Cellules nerveuses centrales. Cellules
grains. Cellules ganglion- naires. Cellules unipolaires des ganglions rachi- diens. Cellules bipolaires du gangli
nipolaires des ganglions rachi- diens. Cellules bipolaires du ganglion auditif.' FiG. 95. - Cellules nerveuses de la m
itifs occupent chez les Vertébrés, où elles siègent toutes dans les ganglions cérébro- rachidiens (fig. 99). La cellule olf
partiennent aux racines postérieures (c'est-à-dire aux cellules des ganglions rachidiens) ou aux « cellules des cordons » de
rve par exemple autour des corps des cellules uni ou bipolaires des ganglions cérébro-rachidiens ou sympathiques, et autour des
décrit la division en T du cylindre-axe des cellules unipolaires des ganglions spinaux, dont une branche se dirige vers la moe
cervelet; d'autres enfin sont unipolaires, comme les cellules des ganglions rachidiens et comme certaines cellules du typ
orisation avortée et di- gitiforme (6g. 111, c). Les cellules des ganglions rachidiens sont dépourvues de dendrites ; elles
s régions de l'écorce cérébrale ou cérébel- . leuse, ou de certains ganglions plus ou moins accessibles aux instruments, on o
ue résultent d'une division en T du cylindre-axe de la cellule d'un ganglion rachidien. Lorsqu'on arrache un nerf sensitif,
nc que : 1° Les cellules nerveuses de la moelle, du cerveau, ou des ganglions , sont toutes isolées au début, sans connexion a
peut siéger, soit dans l'axe encéphalo-médul- laire, soit dans les ganglions , soit à la périphérie (cellule olfactive). Le c
neurone sensitif de premier ordre est représenté par la cellule du ganglion spinal (GS) dont le cylindre-axe périphérique s'a
font défaut, comme dans les cellules unipolaires ou bipolaires des ganglions cérébro-rachidiens, les ramifications terminales
ier et de v. Lenhossek, nous savons en effet que chaque cellule des ganglions rachidiens est entourée d'une capsule endothélial
te structure est commune, non seule- ment à toutes les cellules des ganglions rachidiens, mais encore à celles des ganglions
tes les cellules des ganglions rachidiens, mais encore à celles des ganglions craniens (pneumo-gastrique, glosso-pharyngien, fa
ur la Reproduction des nerfs et sur la structure et les fonctions des ganglions spinaux. Milliers Archiv, 1852. CHAPITRE IV
ubstance grise, riche en cellules et en fibres nerveuses, forme les ganglions périphériques et constitue un peu moins du tiers
u système nerveux : ainsi le système nerveux périphérique (nerfs et ganglions ), présente une consistance autrement ferme que
le tissu conjonctif abonde, comme par exemple dans les nerfs et les ganglions périphériques, la consistance soit de la substanc
forme extrêmement variable, qu'on désigne sous le nom générique de ganglions cérébraux ou encéphaliques. Ces ganglions sont,
sous le nom générique de ganglions cérébraux ou encéphaliques. Ces ganglions sont, tantôt nettement circonscrits, comme les
les corps opto-striés, le corps de Luys, les corps genouillés, les ganglions des tubercules quadrijumeaux, les olives du bul
Substance grise centrale. 1 Substance grise périphérique. Ganglions eCl'é- lraux ou cncyhali- ques, ou noyaux cen
de la moelle épinière, relie l'écorce cérébrale et cérébelleuse aux ganglions encéphaliques et ces derniers à la substance gr
centrale. L'ensemble des fibres qui relient l'écorce cérébrale aux ganglions encé- phaliques forme la couronne rayonnante ou
ection de ? ordre de Meynert. L'ensemble des fibres qui relient les ganglions encéphaliques à la substance grise centrale con-
ien qu'une injection poussée dans ces régions n'arrive pas dans les ganglions voisins. l'our certains auteurs, ces gaines fer
-vasculairc est toujours entouré d'un manchon de névro- glie. Ganglions cérèbro rachuticnsctsym- pathiques. . 1'nlc
pathiques. . 1'nlcs cn T rlc Itan- vier. fc Les cellules des ganglions c{ : .rtll1'()- 1'.ICllilI1CI15 sont uni- pol
u' SFS'l'Î3111 NHRVELX P É I ! 1 1' II K R I Q U E I. Structure des ganglions nerveux. Les ganglions nerveux peuvent être div
É I ! 1 1' II K R I Q U E I. Structure des ganglions nerveux. Les ganglions nerveux peuvent être divisés, au point de vue de
ure et de leurs fonctions physiologiques, en deux variétés : A. Les ganglions c'e& ? 'o- ? '6 ! c/</f/ ! eK; B. Les ga
s : A. Les ganglions c'e& ? 'o- ? '6 ! c/</f/ ! eK; B. Les ganglions sympathiques. A. GANGLIONS CÉRÉBRO-RACHIDIENS.
A. GANGLIONS CÉRÉBRO-RACHIDIENS. Les cellules nerveuses adultes des ganglions cérébro-rachidiens, à l'exception, toutefois, des
tes des ganglions cérébro-rachidiens, à l'exception, toutefois, des ganglions acoustiques, sont unipolaires et d'aspect pirif
nn et présente un étranglement annulaire (fig. 124). La cellule des ganglions rachidiens occupe donc la partie centrale d'un
ivisions en T de Ranvier. Fig. 124. Deux cellules nerveuses des ganglions spinaux du lapin, iso- lées par dissociation ap
toujours la rilirc centrale. Pour Cajal et Van la cellule des ganglions eéré- liro- rachidiens est coniparabteauuccel
entoure, comme ce dernier, d'une gaine de myé- line. La cellule des ganglions rachidiens serait, d'après ces auteurs, tout à
acule auditive ou de V organe de Corli . Les cellules nerveuses des ganglions acoustiques (ganglion spirale du nerf cochléair
organe de Corli . Les cellules nerveuses des ganglions acoustiques ( ganglion spirale du nerf cochléaire, intumescence gangli
f vestibulaire) sont bipo- laires, comme les cellules nerveuses des ganglions rachidiens des poissons. Elles donnent naissanc
ules bipolaires sont encapsulées comme les cellules unipolaires des ganglions rachidiens, elles occupent la partie centrale d
ogique qui existe entre les cellules bipolaires des poissons et des ganglions acoustiques d'une part, et les cellules unipolair
ganglions acoustiques d'une part, et les cellules unipolaires [les ganglions cérébro-rachidiens des autres Vertébrés d'autre p
que réelle. Nous avons vu en effet, plus haut, que les cellules des ganglions rachidiens sont bipolaires au début et que, dans
laires définitives (lig. 87, p. 14.8). Les cellules unipolaires des ganglions rachidiens se rétractent, comme les cellules mu
ale du globe ganglionnaire, ne se retrouve pas lorsqu'on durcit les ganglions dans une solution d'acide chromique à 2 p. 1000.
es nerveuses ne sont pas répandues d'une, manière uniforme, dans le ganglion rachidien ou cérébral. On peut les distinguer en
veux en T qui en émanent, la majeure partie des éléments nerveux du ganglion . A côté de ces fibres qui .naissent dans le gan
nts nerveux du ganglion. A côté de ces fibres qui .naissent dans le ganglion , il s'en trouve d'autres qui ne font que le tra-
rveusos traversant le gan- glion - Froud, Jo- seph. FiG. 125. Ganglion spinal de la raie [Raja bâtis) dissocié dans le s
racines postérieures, après leur section en dedans ou en dehors du ganglion spinal, faite par Joseph, plaide toutefois en f
tre dans la racine postérieure, où on peut le poursuivre au delà du ganglion spinal. Les ganglions cérébro-rachidiens sont e
érieure, où on peut le poursuivre au delà du ganglion spinal. Les ganglions cérébro-rachidiens sont entourés d'une capsule co
x et aux vaisseaux et augmentent considérablement la consistance du ganglion . Un réseau capillaire, il mailles relativement
la capsule endothéliale qui recouvre la cellule ganglionnaire. B. ganglions sympathiques. - Jusqu'aux travaux récents de Caja
ala, basés sur la méthode de Golgi, on considérait les cellules des ganglions sympathiques des mammifères comme formées de ce
Gehuchten, Retzius et Sala, que les cellules nerveuses adultes des ganglions sympathiques centraux des mammifères sont compara
se continue avec une fibre de Remak, laquelle se porte soit vers un ganglion voisin {fibre commissurale ou interganglionnaire)
e), et ne présente en général pas de branches collatérales, dans le ganglion même où siège sa cellule d'origine. Les cellule
leur prolongement cylindre-axile unique, on trouve encore, dans le ganglion sympathique, des faisceaux compacts de libres, qu
sympathique, des faisceaux compacts de libres, qui tra- versent le ganglion en tous sens (fig. 87, p. 148). Les couches les p
tous sens (fig. 87, p. 148). Les couches les plus superficielles du ganglion sont formées, en outre, de fibres nerveuses amyé-
ur trajet de fines collatérales ; ces dernières s'enfoncent dans le ganglion et se mettent en contact avec les prolongements
uperficielles. Ces fibres nerveuses qui traversent ou recouvrent le ganglion s)'l11pa- Prolongemonts longs ou cylindre-
ulaire avec fibrilles proto plasmiques. Fibres traversant les ganglions sympa- thiques. . Fie. 1>G. - Cellule symp
ganglions sympa- thiques. . Fie. 1>G. - Cellule sympathique du ganglion cervical inférieur d'un chien adulte. (D'après
ne lamcllcusc. i 1 Vaisseaux. . Itiseau veineux de Kanvier. Ganglions sympa- thiques | viscéraux. a thique appart
es autres enfin aux rameaux communicants ou fibres centrales. Les ganglions reçoivent en outre de la moelle, par les racines
qui se terminent par des arborisations libres dans l'épaisseur des ganglions (fig. 87). Ils présentent également, ainsi que
s'entrecroisent et s'enchevêtrent en tous sens, et forment dans le ganglion une masse granuleuse, comparable au premier abo
premier abord à la substance ponctuée, décrite par Leydig dans les ganglions ner- veux des Invertébrés. Ces fibrilles variqu
toure la cellule sympathique d'une sorte de nid péri-cellulaire. Le ganglion sympathique, comme les cordons sympathiques et le
xile et de nombreux prolongements protoplasmiques, les cellules des ganglions sympathiques viscéraux n'en possèdent qu'une se
testin (Cajal), des cellules nerveuses isolées, qui constituent les ganglions sympathiques interstitiels. Ces cellules ner- v
de place en place des étranglements découverts par Ranvier en 1871. Ganglions sympa- tlii.11les interstitiels. Nerfs cérébr
osos del intestino de los mamiferos. Madrid, 1893. - Du Même. Sur les ganglions et plexus nerveux de l'intestin. Mem. Soc. Biol
lon limbrio-godronné. - Fi, fimbria. - Fus, lobule fusiforme. - Gh, ganglion de l'habénula. - Il, circonvolution de l'hippocam
érieure libre de la couche optique, où elles se terminent dans deux ganglions pro- fondément enclavés dans la couche optique,
interne Pi. 1·'11, fasciculus l'ctl'utl0.Xl1 de Meynert se rendant au ganglion int.Cl'-pl'dnl1cu- laire Gi.p. 1lCv, hémisphère
- coa, commissure antérieure. - com, commissure postérieure. - Gh, ganglion de l'habénula. - Gp, glande pinéale. - Ifa. Ifp,
e cérébral on trouve, dans la commissure grise de la base, un petit ganglion réniforme, qui ne fait qu exceptionnellement sail
horculo mamillairo latéral. i 322 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ganglion iutcr- pédonculaire. Fascicuiusrutro- llexi
pace inter-pédonculaire est occupe, chez les rongeurs, par un petit ganglion impair et médian, décrit par Gudden et par Fore
et par Forel, la gang lion inter-pédonculaire (Gip, fig. -184). Ce ganglion , très peu visible chez l'homme, occupe chez ce de
e médiane, une bandelette étendue du tubercule mamillaire médian au ganglion inter-pédonculaire (fig. 184). Région des pédon
mmissure postérieure. - Ftp, faisceau longitudinal postérieur. - Gip, ganglion inter-pédonculaire. - Ln, locus niger. - N1V, n
missure de Mcyncrt. - F,11, fasciculus rctrot1exus de Meynert. - Gip, ganglion intcr-pédon- culaire. - IICv, hémisphère cérébe
de la valvule de Vieussens. Tic. 194. - Tubercules quadrijumeaux, ganglion de l'habenula, pédoncules cérébelleux supérieur
u de la coupe de Meynert. fVV, freins de la valvule de Vieussens. Ch, ganglion de l'li rhcnula. l, Insuta. - iep, ligne le lon
téro-inférieure du cerveau moyen des Vertébrés inférieurs, un petit ganglion arrondi, qui est l'homologue du tubercule quadrij
. f. Psychiatrie, Bd XI, 1880. - Du MÊMF. 311l- theilzuzg Übel' das ganglion interpedunculare. Arch. f. Psychiatrie, Bd I. -Do
n, ou troisième ventricule (V1) et, de chaque côté, deux volumineux ganglions de substance grise, la couche optique (Th) en d
- coa, commissure antérieure. - coin, commissure postérieure. - Gh, ganglion de l'habénula. - Gp, glande pinéale, - Ifa, Ifp,
lle. - Cv, cervelet. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Gh, ganglion de l'lmtbénula. - Gp, glande pinéale. - I, infund
lp, faisceau longitudinal postérieur. - fs, fissura serotina. - Gh, ganglion de l'habénula. Gp, glande pinéale. /, infundibu
régulière; elle correspond en grande partie au noyau externe de ce ganglion (Ne) et présente en avant, au voisinage du trou
ndi. coa, commissure antérieure. com, commissure postérieure. - Gh, ganglion de l'habénula. Gp, glande pinéale. - Ifs, Ifp,
E DES CENTRES NERVEUX. Son sommet. Sa base. Ticnia thalami et ganglion de l'habé- nnla. Toile choroïdien ne. Plexu
ieure de la couche optique, et dont les fibres se terminent dans le ganglion de /7c'</f<(Gh). Ce ganglion, découvert p
nt les fibres se terminent dans le ganglion de /7c'</f<(Gh). Ce ganglion , découvert par Serres (1824-1826) et dénommé pa
issure postérieure... ? E¥,erg0t de Mora-nd.Ft ? forceps major. - Gh, ganglion de l'habé- . ' nula. Gp, glande pinéale. lip, l
ngle de l'lcabézztcla, ainsi nommé à cause de son voisinage avec le ganglion de l'habénula (Gh), situé sur le trajet du tæni
- rieur. Pulvinar. j I i Triangle de l'habé-¡ nula. i Ganglion de l'ha- bénula. 1 Sa face interne. , S
missure postérieure. EM, ergot de Morand. - Fm, forceps major.-Gh, ganglion de l'habé- nula. - Gp, glande pinéale. - Lip, l
re et postérieure de ce noyau interne, que se trouve situé le petit ganglion de l'habénula (Gh) (lig. 226, 253, z187, 307, 3
es faisceaux, soit des rapports que ces derniers affectent avec les ganglions de la base, ces coupes sont totalement insuffi-
trou de Monro. Elle intéresse le pli cunéo-linabi jzce ( ? lg), le ganglion de l'Itabénula( Gh) et la glande pinéale (Gp).
de Nlcy·nert. - Fin', faisceau inférieur ou minor du forceps. - Gh, ganglion de l'habénula. Gp, glande pinéale. -la, Ip, ins
optique (Th) on reconnaît les noyaux externe (Ne) et interne et le ganglion de l'habénula (Gh), situé à la partie interne de
re et appartient à la face postérieure et libre du pulvinar (Pul). Le ganglion de l'habénula est limité en dehors par le fasci
(FM) qui apparaît sous l'aspect d'un faisceau foncé; en dedans, le ganglion de l'habénula est réuni à celui du côté opposé
, faisceau uncinatus. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Gh, ganglion de l'lialpcnula. - H, hippocampe. i, sillon de l'
ral, et qui comme telles décrivent un arc autour de l'insula et des ganglions de la base. (Voy. tig. 177, 179, 182.) La surfa
ond au lobe sphénoïdal ; la partie moyenne est occupée par les gros ganglions de la base qui forment avec la face interne du
stance grise de l'espace perforé antérieur (Epa), ainsi qu'avec les ganglions de la base (coupe n° 66, fig. 246), et, à la pl
ent interne (NL2) fait partie du globus pallidus, qui représente un ganglion analogue à la couche optique; il est séparé du pu
-253) se porte en haut et en dehors. Il se termine en effet dans le ganglion de l'habénula (Gh) qui se trouve sectionné sur
0 (sM) exisle encore, sur la coupe n° 86 (lig. 253) apparaissent le ganglion de l'habénula (Gh), la commissure postérieure (co
. FM, faisceau rétroflexe de Mcynert.- Fus, lobule fusiforme. - Gh, ganglion de l'hahenula. Gsm, circonvolution marginale su
xe de Illerlner't (FM) qui atteint sur la coupe n° 86 (fig. 253) le ganglion de l'habénula (Gh). En dehors de la calotte, no
Sur les coupes nos 86 et 88 (lif;. 253-254) il se présente comme un ganglion arrondi, enclavé dans la couche optique (Th), sit
faisceau rétroflexe de Jfe ! JneJ't (FM), au moment où il aborde le ganglion , de l'habénula situé en dedans de la coupe. La
yau caudé (NC') représente sur cette coupe le der- nier vestige des ganglions de base. Cependant, au-dessous du sillon marginal
fait d'après une photographie.) 522 ANATOM1E DES CENTRES NERVEUX. ganglions centraux. Autour de la substance grise sous-épend
ique ; c'est le (oenia thalami (tth) qui se rend en arrière dans le ganglion de Yhabénula et établit la limite entre la face i
NERVEUX. dedans. Ce faisceau prend son origine dans les cellules du ganglion de l'ItaÚI;- nula et se termine par des arboris
Forel); il dégénère à la suite de la lésion Ou de la destruction du ganglion de l'habénula. Le centre médian de Luys est sillo
térieur. - ft. fibres tangentielles. - Fus, lobule fusiforme. - Gh, ganglion de l'habénula. Gsm, gyrus supra- marginalis. H,
a protubérance. Au-dessus de l'aqueduc de Sylvius (Aq) on trouve le ganglion de l'habérrrrlrt (Gh) et la crrzrzrrzi ? stcre po
de Meynert (CM) et en avant du pied du pédon- cule cérébral (P), le ganglion du tubercule mamillairc latéral (Tml). De ce gang
érébral (P), le ganglion du tubercule mamillairc latéral (Tml). De ce ganglion partent des fibres qui contournent la partie an
passe par le trou de Monro (Tl), le centre médian de Luys (Nm), le ganglion de l'habe'nzcla (Gh) et intéresse les trois segme
r (Pul) et du noyau interne du thalamus (Ni), on rencontre un petit ganglion surajouté, saillant à la face interne de la cou
lion surajouté, saillant à la face interne de la couche optique, le ganglion de l'lw/ilillllla (Gh). Ce ganglion esl formé p
nterne de la couche optique, le ganglion de l'lw/ilillllla (Gh). Ce ganglion esl formé par la réunion de petits amas de substa
e semi-lunaire à concavité postérieure (Voy. fig. 308 et 309). Le ganglion de Vhabéuula (Gh) sert de limite entre les faces
halamus. Toute la partie de la couche optique située en avant de ce ganglion fait partie de la paroi latérale du troisième ven
ou de J/01/l'o. La partie de la couche optique située en arrière du ganglion de l'habénula appartient à la surface extra-ventr
des segments interne et externe du globus pallidus (NL2, NI,, Le ganglion de l'habénula (Gh) divise la couche optique (Th)
t. FT, faisceau de Türck. - Fllt, faisceau thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habénula. - H, hippocampc. - h, sillon de l'
Zt', zone réticulée ou grillagée. tricule (V3), lequel s'étend du ganglion de l'habénula (Gh) jusqu'au pilier antérieur du
se confond avec le centre médian de Luys (Nm), et il est séparé du ganglion de l'habénula (Gh) el du tubercule quadri jumea
s retroflexus). La partie de la couche optique située en arrière An ganglion de l'habénula (Gh) Comprend le Jtulviuar (Pul),
adrijunicau antériettr· (Qa), qui apparaît entre le pulvinar et, le ganglion de l'habénula. Sur cette coupe, le tubercule qu
nert. FT, faisceau de Turck. Fth, faisceau thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habénula. H, hippocampe. i, sillon insulaire
ncement de la commissure postérieure (cop) et le dernier vestige du ganglion de l'habénula (Gh). Le faisceau rélroflexe de 1lc
A). Cette substance in- nominée de Reichert constitue le soi-disant ganglion de l'anse pédonculaire de Gratiolet. Nous tenon
èlement, qui s'irradient dans un petit noyau de substance grise, le ganglion du tubercule, (Iii(idi-i.].iiit( ? au 1)osléi-i
ur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fus, lobule fusiforme. GQp, ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur. H, circonvo
tuée. La partie postérieure du ruban de Reil médian (Rm) aborde, le ganglion du tubercule quadrijumeau Jostreieun (GQp). L'a
1 S. Celle coupe intéresse la région sous-thalamique supérieure, le ganglion COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 63o de l'
longitudinal inférieur. - Fth, faisceau thalamique de Forel. - Gh, ganglion de l'habénula. la, insula antérieur. Ip, insula p
us (Nm), que l'on intéresse toujours, dès que la coupe passe par le ganglion , de l'habénula (Gh). Ce dernier forme, un petit
iquée immédiatement au-dessous de la commissure molle, passe par le ganglion de l'habénula (Gh), la partie inférieure, de la
ceau rétroflexc de Meynert. Fllz, faisceau thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habénula. -i, sillon de l'insula. la, insu
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le t,l'nia thalami a disparu dans le ganglion de. l'habénula (Gh). Ce dernier donne naissance
, qui apparaît formé par une dizaine de fascicules, situés entre le ganglion de l'habénula (Gh) et le centre médian de Luys
), le faisceau rétroflexe de Meynert, (FM), la partie inférieure du ganglion de l'habénula et les fibres de la commissure post
iculaire (Al) et le pilier antérieur du trigone (Tga), on trouve le ganglion du tubercule mamillaire latéral (Tml). Les fibres
avant la bandelette optique (II), dont les fibres s'irradient dans ce ganglion , et dont quelques-unes ne font que le traverser
oupe de cellules nerveuses assez abon- dantes, qui appartiennent au ganglion inter-pédonculaire de Gudden (voy. coupe suivan
, au contraire, la substance grise se groupe en un noyau ovalaire, le ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur (NQp). Mal
d dans la substance grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius (SgAq), ce ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur est, par c
a commissure postérieure. rlp, faisceau longitudinal postérieur. Gip, ganglion inter-pédonculaire. L ? t, locus niger. XIV, no
d'association et probablement d'autres libres nerveuses, venant des ganglions centraux ou des centres infra-corticaux ; 6°
eux; 3° des fibres de projection qui relient l'écorce cérébrale aux ganglions centraux, à la région sous-optique, à la protub
e arborisation variqueuse et libre entre les cellules propres de ce ganglion (Cajal). 4° Fibres centripètes ou terminales.
rne. coa, commissure anté- rieure. - F2t, faisceau uncinatus. - Gh, ganglion de l'hab("l1nla. .VA, noyau amygdalien. - Na, n
9 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
qu'ils étaient terminés par une extrémité renflée en manière de petit ganglion ; que ces filamens s'allongent et se renflent, ap
GANGLIONNAIRES. Transformation fibreuse et développement énorme des ganglions cervicaux du grand sympathique et du tronc nerveu
x du grand sympathique et du tronc nerveux de communication entre ces ganglions . (planche iii, irc livraison.) Des élèves de
a colonne cervicale. M. Bérard croit au premier abord que ce sont des ganglions lymphatiques malades ; mais quel n'est pas son ét
il reconnaît que ces volumineuses tumeurs sont formées aux dépens des ganglions nerveux cervicaux du grand symphatique! Il s'empr
latérale gauche, il existe une série de tumeurs occupant la place des ganglions cervicaux, communiquant entre elles et avec les b
t près d'un pouce de long et demi-pouce de diamètre. Elle remplace un ganglion nerveux qui existe assez souvent, et qu'on peut a
e un ganglion nerveux qui existe assez souvent, et qu'on peut appeler ganglion cervical supérieur accessoire. Ce ganglion reçoit
ent, et qu'on peut appeler ganglion cervical supérieur accessoire. Ce ganglion reçoit en effet et émet une partie des branches q
oit en effet et émet une partie des branches que reçoit et qu'émet le ganglion cervical supérieur, dont le volume est alors sens
*je n'ai pas pu le vérifier. 2°. La tumeur fusiforme IG remplace le ganglion cervical supérieur ; elle a deux pouces trois lig
e pour former une tumeur triangulaire 2G, qui m'a paru représenter le ganglion cervical moyen. Cette tumeur 2G se continue par u
ux que son cordon d'origine pour aller communiquer avec la tumeur 3G, ganglion cervical inférieur en partie masqué par l'artère
urs que nous venons de décrire sont réellement formées aux dépens des ganglions cervicaux du grand sympathique. La figure 2 va fa
e espèce de doute a cet égard, en nous montrant les connexions de ces ganglions avec les nerfs cervicaux. Ici les ganglions ont é
ant les connexions de ces ganglions avec les nerfs cervicaux. Ici les ganglions ont été portés en dehors et renversés de telle ma
e que leur face postérieure est devenue antérieure. La tumeur i'G, ou ganglion cervical supérieur accessoire, est seule restée e
un filet a qui va s'anastomoser avec le nerf carotidien fourni par le ganglion cervical supérieur IG; 20 deux ou trois filets b,
un petit plexus duquel naissent des rameaux qui vont se jeter dans le ganglion cervical supérieur IG. Le ganglion cervical sup
ameaux qui vont se jeter dans le ganglion cervical supérieur IG. Le ganglion cervical supérieur IG donne naissance à un grand
t le développement, sans être précisément proportionnel à celui de ce ganglion , est néanmoins beaucoup plus considérable que dan
le mauvais état de la pièce. 20. C'est par son bord externe que le ganglion cervical supérieur reçoit les rameaux qui établis
e et la deuxième paires cervicales, accrus par les filets indiqués du ganglion cervical supérieur accessoire; les autres naissen
quable formée par la deuxième et la troisième paires cervicales. Le ganglion cervical moyen 2G reçoit deux branches considérab
osition n'a pu être figurée ici. Le gros cordon de communication du ganglion cervical moyen au ganglion cervical inférieur reç
ici. Le gros cordon de communication du ganglion cervical moyen au ganglion cervical inférieur reçoit un rameau considérable
droit de cette union se voit un renflement marqué. 3G représente le ganglion cervical inférieur renversé en dehors de manière
oit manifestement sa forme anguleuse, sa continuation avec le premier ganglion thoracique, un gros cordon de communication avec
ganglion thoracique, un gros cordon de communication avec le deuxième ganglion thoracique qui ne dépasse pas le volume ordinaire
t l'artère sous-clavière, et les nombreux rameaux de communication du ganglion cervical inférieur et du premier ganglion thoraci
rameaux de communication du ganglion cervical inférieur et du premier ganglion thoracique réunis avec la sixième, la septième et
me et même la huitième paires cervicales. La figure 4 représente le ganglion cervical supérieur IG divisé longitudinalement da
ilème. Cette texture fibreuse était commune à toutes les tumeurs ; le ganglion cervical supérieur accessoire IG' avait seul une
vait seul une dureté cartilagineuse. Les cordons de communication des ganglions entre eux avaient le même aspect que les ganglion
communication des ganglions entre eux avaient le même aspect que les ganglions ; les cordons de communication avec les paires ce
ions. — Il résulte de la description qu'on vient de lire : i° que les ganglions nerveux sont sujets à une altération organique qu
le; i° que les troncs nerveux qui s'étendent de l'un à l'autre de ces ganglions sont aussi susceptibles de la même transformation
questions se présentent à résoudre. Cette augmentation de volume des ganglions peut-elle être regardée comme une hypertrophie? e
anatomie de texture nous apprend qu'il entre dans la composition d'un ganglion nerveux, i° une membrane fibreuse d'enveloppe , 2
ellules ou aréoles fibro-celluleuses qui s'injectent à la manière des ganglions lymphatiques , 3° une substance grise éminemment
stance grise; les nerfs proprement dits comprimés ont disparu, et des ganglions nerveux ont présenté absolument la même structure
le développement considérable des branches de communication entre les ganglions transformés et les paires cervicales confirme ple
nombre de racines de l'arbre cérébro-rachidien. En effet, puisque les ganglions cervicaux sont transformés en tissu fibreux, et n
il est clair que, si les branches de communication provenaient de ces ganglions , elles devraient être atrophiées. J'ai d'ailleurs
iées. J'ai d'ailleurs démontré anatomique-ment dans mon Cours que les ganglions du grand sympathique émanent des paires spinales.
ation se détacher des branches spinales antérieures , et se rendre au ganglion correspondant en suivant une direction quelquefoi
bien propre à éveiller l'attention sur les lésions si peu connues des ganglions nerveux. 1ère Livraison, Pl. 4. MALADIES DU R
oyant le canal mtooûudl, je fus frappé du volume d'un grand nombre de ganglions mésentériques GI, GI, GI ; ils étaient indurés, r
s VL, VL', etc. (fig. i), partaient de ces plaques pour se rendre aux ganglions lymphatiques correspondans, dans lesquels ils se
ssible de les suivre au milieu de la matière concrète en laquelle ces ganglions semblaient être transformés. D'autres vaisseaux V
lis par une matière tuberculeuse qu'ils auraient pompée, non dans les ganglions mésentériques, l'ordre de la circulation s'y oppo
ramifier sous la membrane péritonéale, et se rendre en définitive aux ganglions mésentériques. La figure 5 représente grossis l
ui partaient d'ulcérations intestinales et qui se rendaient jusqu'aux ganglions mésentériques. Il n'en a jamais vu au-delà de ces
jusqu'aux ganglions mésentériques. Il n'en a jamais vu au-delà de ces ganglions , et je n'en ai jamais vu non plus ; i°. dans des
jectés par du mercure ; 3°. dans d'autres vaisseaux qui partaient des ganglions inguinaux et se rendaient, distendus par une mati
aient, distendus par une matière d'un blanc mat, jusqu'à un groupe de ganglions lombaires qui étaient transformés en une masse ca
utérin en détritus. Ici se rapporte le beau cas de vaisseaux et de ganglions lymphatiques injectés de pus, que j'ai consigné a
eurs été donnée par M. Magendie. Toutefois je ferai remarquer que les ganglions inguinaux et lombaires auxquels se rendaient les
res détenus. A l'ouverture, nous trouvons qu'il existait au milieu de ganglions bronchiques volumineux, à la racine du poumon dro
uée en dehors du poumon, était formée en grande partie aux dépens des ganglions bronchiques indurés, et communiquait avec la trac
icatrice du cordon testiculaire n'a présenté rien de particulier; les ganglions lombaires ne dépassaient pas leur volume naturel.
ent à une petite distance de la valvule iléo-cœcale. Un bon nombre de ganglions mésentériques étaient tuméfiés, rouges; plusieurs
ulcérations voisines de la valvule iléo-ccecale et l'inflammation des ganglions mésentériques. Je dois appeler l'attention des
des parois de cette poche; ils étaient remarquables par le volume des ganglions et des nerfs de communication, soit de ces gangli
ar le volume des ganglions et des nerfs de communication, soit de ces ganglions entre eux, soit des ganglions avec les nerfs inte
des nerfs de communication, soit de ces ganglions entre eux, soit des ganglions avec les nerfs intercostaux. Leur tissu était trè
laient avoir disparu au milieu du tissu fibreux. Cette altération des ganglions nerveux doit être plus fréquente qu'on ne l'imagi
icatrice du cordon testiculaire n'a présenté rien de particulier. Les ganglions lombaires ne dépassaient pas leur volume naturel.
de droit CA était dénudée, érodée, en partie osseuse. Du reste, les ganglions lymphatiques situés sur les côtés du larynx sont
es tubercules miliaires dans le poumon, le foie, la rate; et quelques ganglions lymphatiques, tuberculeux. Méningites sous-arac
cicatrice à laide de brides fibreuses BF, BF. gn représente un petit ganglion nerveux distinct du précédent. O Le malade qui
devenue plane et même légèrement convexe. La figure 4 représente le ganglion nerveux GN divisé en deux parties égales par une
rpiller dans l'épaisseur du renflement et s'y perdre à la manière des ganglions nerveux. A. Charal. del. Lith. de l'hatier.
ale et du colon ascendant participent à l'altération. Constamment les ganglions du mésentère qui correspondent à l'intestin malad
orme ulcéreuse ; 4° sous la forme gangreneuse : 5° l'inflammation des ganglions mésentériques, qui paraît n'être qu'accessoire, c
les formes d'entérite folliculeuse aiguë que je viens d'énumérer, les ganglions mésentériques correspondais participent plus ou m
t Serres. Or il se rencontre des cas dans lesquels l'inflammation des ganglions mésentériques paraît la lésion principale, l'infl
lliculeuse n'étant nullement en rapport soit avec l'altération de ces ganglions , soit avec les symptômes. Or les ganglions mésent
t avec l'altération de ces ganglions, soit avec les symptômes. Or les ganglions mésentériques principalement affectés sont i° ceu
o-colique); i° ceux qui avoisinent la fin de l'iléon; 3° un groupe de ganglions qui occupent le bord adhérent du mésentère et par
semi-tuberculeux. Il n'est pas rare de voir tous ou presque tous les ganglions mésentériques d'un rouge intense et comme pénétré
ce interne; de même qu'à l'inspection du mésentère on juge l'état des ganglions contenus dans son épaisseur. Dans d'autres cas, i
siège était bien évidemment dans les follicules du gros intestin. Les ganglions mésentériques (GL, GL, GLO) qui avoisinent la val
e, les uns couleur lie de vin, les autres blanchâtres ; dans tous ces ganglions , il y avait évidemment mélange de sang et de pus,
. Mort le 16 à neuf heures du matin. Ouverture du cadavre. Tous les ganglions mésentériques , et principalement ceux qui avoisi
me du pus concret. Les vaisseaux sous-péritonéaux qui environnent les ganglions mésentériques sont très-injectés. L'intestin ouve
ient des follicules isolés F, F, sous la forme de granulations. — Les ganglions lymphatiques correspondans du mésentère GL, GL ét
mineux que de coutume. De l'angle iléo-colique partait une traînée de ganglions qui gagnaient la colonne vertébrale, le long de l
la colonne vertébrale, le long de laquelle ils se prolongeaient; ces ganglions étaient remplis d'un pulpe lie de vin. — Quant au
étruites et remplacées par de vastes ulcérations. La multiplicité des ganglions lymphatiques enflammés, et l'intensité de cette i
s caroncules qui auraient servi plus tard de base à la cicatrice. Les ganglions mésentériques étaient à peu près revenus à leur é
neuf jours.—Recrudescence des symptômes. —Hallucination.—Mort. — Les ganglions mésentériques paraissent le siège principal de la
l'état naturel; thorax sain; dans l'abdomen, un très-grand nombre de ganglions lymphatiques GL, GL qui partent de l'angle iléo-c
matière concrète blanc-rougeâtre semblable à du pus concret; l'un des ganglions ouverts GLO présente à son centre une matière jau
rées, pustuleuses, des ulcérations folliculeuses, des engorgemens des ganglions mésentériques. Il est malheureux que nous n'ayons
at de ses organes. Ici l'altération portait au moins autant sur les ganglions lymphatiques que sur le canal intestinal. Il ne s
S 1 ET 3 (**). Petite fille de quatre ans, ayant un engorgement des ganglions lymphatiques et une ophthalmie, est apportée à l'
e et surtout celle du genou sont excessivement douloureuses. Quelques ganglions de l'aine sont engorgés. Le 12 janvier, sueurs ab
céphaloïde : le cordon était sain ; point d'engorgement manifeste des ganglions lombaires ou iliaques : la douleur fessière, qui
qui constatent la présence du pus en nature dans les vaisseaux et les ganglions lymphatiques, parce qu'on pourrait les récuser à
bre de cas, et regarder le pus contenu dans ces vaisseaux et dans ces ganglions comme le produit de leur inflammation. Mais je mo
uelque rôle dans cette circulation : je dois dire que dans ce cas les ganglions lymphatiques de laine étaient très-volumineux et
légère de la vésicule faisait pleuvoir la bile dans le duodénum; des ganglions lymphatiques cancéreux qui comprimaient le canal
r se recourber de dehors en dedans. Tous ces vaisseaux se rendent aux ganglions lymphatiques G L, GL, placés au-devant de la vein
G L, GL, placés au-devant de la veine cave VGetde l'aorte A A. Les ganglions lombaires sont complètement injectés de pus. Je m
ssu de l'utérus. Tous les vaisseaux lymphatiques ne gagnent pas les ganglions lombaires GL, GL; mais ils se divisent en plusieu
sont représentés sur cette figure; les autres se dirigent du côté des ganglions sacrés et des ganglions pelviens antérieurs. Je d
te figure; les autres se dirigent du côté des ganglions sacrés et des ganglions pelviens antérieurs. Je dois signaler ici un gang
sacrés et des ganglions pelviens antérieurs. Je dois signaler ici un ganglion constant qui occupe l'orifice interne de la goutt
n seul vaisseau. Le pus ne m'a paru franchir que dans un seul cas les ganglions qui sont en général la limite# Le pus s'arrête qu
elquefois dans les vaisseaux lymphatiques à une certaine distance des ganglions ; dans certains cas, il ne dépasse pas les ligamen
qu'on poussait le liquide depuis l'origine de ces vaisseaux jusqu'aux ganglions lymphatiques, on n'éprouvait aucun obstacle; mais
répondaient aux valvules, et le liquide ne pouvait pas circuler. Les ganglions lymphatiques étaient aussi bien injectés par le p
ur, jusque dans le bassin; ils étaient remplis de pus juqu'auprès des ganglions lymphatiques de la région lombaire : mais ces der
XIV. L'inaltérabilité des vaisseaux lymphatiques est partagée par les ganglions injectés de pus auxquels ces vaisseaux aboutissen
les ganglions injectés de pus auxquels ces vaisseaux aboutissent. Les ganglions injectés de pus ressemblent exactement aux gangli
aboutissent. Les ganglions injectés de pus ressemblent exactement aux ganglions mésentériques pendant le travail de la chylifîcat
ns mésentériques pendant le travail de la chylifîcation. Le tissu des ganglions ne présente ni ramollissement ni coloration sangu
oration sanguine insolite; comme il. n'est pas rare de rencontrer les ganglions lymphatiques pelviens enflammés dans ce genre de
enre de maladie, j'ai pu établir immédiatement le parallèle entre les ganglions gonflés par le pus dont la source vient d'ailleur
ganglions gonflés par le pus dont la source vient d'ailleurs, et les ganglions pénétrés d'un pus formé au sein même de ces gangl
illeurs, et les ganglions pénétrés d'un pus formé au sein même de ces ganglions par l'effet d'un travail inflammatoire. XV. Je
omme chose démontrée, la circulation du pus dans les vaisseaux et les ganglions lymphatiques sains. Mais il ne découle pas nécess
bre abdominal étaient remplis de pus dans toute leur étendue , et les ganglions inguinaux étaient injectés. Jusqu'au tiers moyen
mation ou de fluxion quelconque dans le tissu cellulaire ambiant. Les ganglions inguinaux injectés de pus , étaient d'ailleurs pa
s en effet directement dans le sang: ils traversent nécessairement un ganglion lymphatique, ou même plusieurs ganglions lymphati
traversent nécessairement un ganglion lymphatique, ou même plusieurs ganglions lymphatiques, espèces de filtres vivants, où le l
enflamment, mais rarement se déclare-t-il des symptômes généraux : le ganglion est une barrière à l'infection. Lorsqu'existent d
ompes et des ovaires étant pleins de pus, on suivait le pus jusqu'aux ganglions lymphatiques lombaires qui étaient eux-mêmes inje
dérable, moniliformes, pleins de pus, lequel n'arrivait pas jusqu'aux ganglions lombaires, et disparaissait brusquement au niveau
t au niveau de l'extrémité inférieure du rein droit, en sorte que les ganglions lombaires n'étaient nullement injectés. Les lig
ne au niveau du détroit supérieur et par conséquent n'atteint pas les ganglions lombaires. Ces vaisseaux ouverts donnent issue à
les veines. Plusieurs de ces vaisseaux lymphatiques aboutissaient aux ganglions qui occupent le trou sous-pubien. Les parois des
ont dans l'état commun aux cholériques. Le plexus solaire et tous les ganglions abdominaux sont parfaitement sains. XXI. Les sy
iculier. Tous les autres organes sont sains. Le plexus solaire et les ganglions abdominaux ont été examinés avec beaucoup de soin
elle épinière, saine ; ses diverses coupes sont sablées de rouge. Les ganglions semi-lunaires, les plexus solaires, les ganglions
blées de rouge. Les ganglions semi-lunaires, les plexus solaires, les ganglions du grand sympathique, les ganglions inter-verté-b
unaires, les plexus solaires, les ganglions du grand sympathique, les ganglions inter-verté-braux, les nerfs pneumo-gastriques, l
rrible assassinat vient d'enlever à la science, a pu trouver dans les ganglions semi-lunaires des traces d'inflammation. Résumé
vroses. i° Une erreur anatomique, la coloration rosée naturelle des ganglions semi-lunaires a pu faire croire à une inflammatio
s ganglions semi-lunaires a pu faire croire à une inflammation de ces ganglions . 3° L'altération du sang que la plupart des obs
. Le vésicule du fiel contient au lieu de bile un mucus incolore. Des ganglions lymphatiques , indurés et volumineux, entourent l
même tumeur partent les racines nerveuses R N qui vont constituer les ganglions et nerfs sacrés. La fig. 4' offre les mêmes dét
lombaires et des nerfs sacrés, filets d'origine qui se rendent à des ganglions lombaires et sacrés très développés GL,GL,GS, GS,
rière le trou obturateur. La lere avait évidemment son siège dans les ganglions lombaires ; la 2e dans les vaisseaux lymphatiques
es ; la 2e dans les vaisseaux lymphatiques eux-mêmes ; la 3e dans les ganglions lymphatiques situés au niveau du trou obturateur.
l'inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins et ovariques et des ganglions correspondants avec celle de la synoviale du geno
ns plus nombreuses et plus étendues du gros intestin. Tuméfaction des ganglions mésentériques, mais point de tubercules. Consid
ules dans d'autres parties du corps, sur-tout dans les poumons ou les ganglions mésentériques: ils peuvent cependant en être indé
épendants. Dans deux cas soumis à mon observation, les poumons et les ganglions mésentériques étaient parfaitement sains. Des t
s le cerveau succède presque toujours aux tubercules des poumons, des ganglions lymphatiques externes et internes. Dans l'un et
lles fibreuses qui la divisent en lobules. La fig. 4 représente les ganglions inguinaux profonds qui entourent l'artère crurale
rofonds qui entourent l'artère crurale AC et la veine crurale VC. Ces ganglions présentent tous la disposition lobuleuse propre a
anique: on sera frappé de l'identité qui existe entre l'aspect de ces ganglions lymphatiques et celui des tubercules du cœur, bie
on. Cancer mélanique des grandes et petites lèvres. Développement des ganglions inguinaux superficiels et profonds. Mort dans le
vagin, pour explorer l'état de ce conduit et celui du col utérin. Les ganglions inguinaux des deux côtés s'engorgèrent bientôt :
quelques taches noires étaient disséminées dans son épaisseur. Les ganglions inguinaux présentaient tous les caractères du can
poumon présentait quelques tumeurs mélaniques peu considérables ; les ganglions bronchiques avaient évidemment subi la même altér
considérablement amincies et fragiles au niveau de ces tumeurs. Les ganglions bronchiques étaient volumineux et noirs ? il est
et étaient en partie logées dans son épaissseur. Un grand nombre de ganglions mésentériques ; plusieurs ganglions lombaires ava
épaissseur. Un grand nombre de ganglions mésentériques ; plusieurs ganglions lombaires avaient subi la même dégénération. Ces
a matière mélanique sans nuire à la crépitation, et la coloration des ganglions bronchiques qui se concilie avec l'état d'intégri
rité de ces organes. Les vaisseaux lymphatiques qui aboutissent à ces ganglions , ou qui en émergent, sont quelquefois teints de l
ière. C'est à tort qu'on a considéré comme affectés de mélanose les ganglions bronchiques noirs : car leur tissu est presque to
douteux que la fréquence de ces dépôts de liquide mélanique, dans les ganglions bronchiques , ne soit en rapport avec les fonctio
ns des poumons relatives à l'hématose. J'ai rencontré quelquefois les ganglions lymphatiques lombaires d'une couleur aussi complè
lymphatiques lombaires d'une couleur aussi complètement noire que les ganglions bronchiques. Ala coloration mélanique des tissu
illes intestinales, dans celle des membranes séreuses, dans celle des ganglions bronchiques. Les cicatrices du sommet des poumons
épinière était comprimée. Tous les autres organes étaient sains. Les ganglions lombaires, le canal déférent du côté opéré étaien
use de l'intestin grêle, à un pied environ de la valvule ilio-cœcale; ganglions du mésentère tuméfiés, d'un rouge livide, mais no
s ganglionnaires. Transformation fibreuse et développement énorme des ganglions cervicaux du grand sympathique et du tronc nerveu
x du grand sympathique et du tronc nerveux de communication entre ces ganglions ............. Maladies de la moelle épinière. Ap
10 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
breux renflements fusi- formes. . Les racines rachidiennes et les ganglions rachidiens sont normaux. La moelle volumineuse
fs cutanés et musculaires, grand sympathique cervical, raci- , ' et ganglions rachidiens). Les nerfs fixés par le Muller, dur
s avons examinés sauf au grand sympathique cervical, aux racines et ganglions rachidiens au sujet desquels nous n'avons pu sa
IPOMATOSE SYMÉTRIQUE 45 raison de ces tuméfactions avec des amas de ganglions lymphatiques est souvent indiquée par les obser
Bowlby, etc.). - Au voisinage des tumeurs, on trouve parfois des ganglions lymphatiques petits et durs. De plus, chez no
semble s'en développer d'autres plus profondes autour des nombreux ganglions lymphatiques accumulés dans cette région. Ils c
ite qu'à gauche; on y sent des masses dures donnant la sensation de ganglions hy- pertrophiés. Des petits lipomes symétriques
durés ; à la périphérie on constate presque toujours la présence de ganglions ou de troncs lymphatiques hypertrophiés : de pl
isseux plusieurs masses crétacées et calcaires arrondies et un gros ganglion lymphatique, il. Tuffier voulut bien nous permett
aminer ces masses crétacées qui représentaient sans aucun doute des ganglions lymphatiques altérés. Cette observation ne rent
er, « d'une production graisseuse, hpomateuse, développée autour de ganglions malades et simulant un lipome vrai, simple, cla
accompagnant de productions lipomateuses diffuses en rapport avec les ganglions et les vaisseaux lymphatiques. La désignation «
méfactions au niveau des régions où .existe normalement de nombreux ganglions lymphatiques, l'apparition souvent signalée de
r- tébrale, épigastre, pubis) où on ne décrit pas habituellement de ganglions lymphatiques ; mais ceux-ci n'en existent pas m
es ; mais ceux-ci n'en existent pas moins. On trouve, en effet, des ganglions lymphatiques sur la face externe du deltoïde, le
t s'observer en des points où l'on ne décrit pas habituellement des ganglions normaux : au cuir chevelu, à la région cla- vic
la jambe. La patho- logie a également fait connaître l'existence de ganglions lymphatiques en pleine joue (Pr Fournier, Ponce
s'étonner de la localisation fréquente des lipomes au voisinage des ganglions non ordinairement décrits dans les classiques.
t est fourni par la présence, au milieu des mas- ses infiltrées, de ganglions plus ou moins volumineux et plus ou moins nombr
essentielle- ment composée de tissus graisseux renfermant de petits ganglions noirâ- tres ». De plus, dans les tumeurs dévelo
r la lobulation de la tu- meur adipeuse peut simuler la présence de ganglions lymphatiques, L'ADÉNO-LIPOMATOSE SYMÉTRIQUE 193
hères ganglionnaires habituelles, on a pu sentir soit nettement des ganglions lymphatiques, soit au moins un noyau central dur.
e l'existence d'une infiltration cancé- reuse ( ? ) généralisée des ganglions sous-maxillaires, axillaires, mésentéri- ques e
lymphatiques et assimiler les tu- méfactions aux psendolipomes des ganglions signalés par Weber ? Faut-il, au conlraire, inY
e la nuque, des creux axillaires et inguinaux, régions si riches en ganglions et en ré- seaux lymphatiques. Nous croyons donc
nous poursuivons des re- cherches d'une part sur la topographie des ganglions lymphatiques et d'autre part sur les relations
mphatiques et d'autre part sur les relations qui existent entre ces ganglions et le tissu adipeux. 196 P. E. LAUNOtS ET R. BE
essentiel- lement composée de tissus graisseux renfermant de petits ganglions noi- râtres. OBS. XVIII (PI. XXX). Malade de
ième partie une analyse critique et la descrip- tion des coupes des ganglions plexi formes et de la région bulbaire en connex
cité plus haut : 1° Fixation des pièces pendant 1/2 heure pour les ganglions spinaux du lapin dans le liquide de Gilson ;
et Nelis, Quelques pointa concernant la structure des cellules des ganglions spinaux. La Cellule, tome XIV, 2° fasc., 1898, p.
traités de la même façon. C'est ce qui a lieu par exemple pour les ganglions symétriques. Les mensurations n'auront alors év
, les cellules ca- ryochromes n'entrant pas dans la composition des ganglions etdes noyaux moteurs du pneumogastrique. Le n
concerne la structure de la substance achromatique des cellules des ganglions .il s'ex- prime, en effet, comme suit : « Les re
s faites nous-même sur la structure du protoplasme des cellules des ganglions spinaux ne nous ont pas conduit à des résultats
ns le protoplasma cellulaire. « Ce qui caractérise les cellules des ganglions spinaux, dit V. Gehuch- ten dans son rapport de
tique se trouve dans les cellules motrices et dans les cellules des ganglions spinaux, qui ne diffèrent entre elles à ce point
as essentielles. Il suffit en effet de parcourir quelques coupes du ganglion plexiforme en voie de réparation après la résec
avec une exactitude parfaite des types bien définis de cellules des ganglions cérébro-spinaux. Si l'on examine un ganglion no
finis de cellules des ganglions cérébro-spinaux. Si l'on examine un ganglion normal, on y trouve toute une série de types ce
e foncée à la cellule claire de Lugaro. Il en est de même dans le ganglion en réparation. On y voit simultané- ment des ce
dont le champ est très étendu. Tandis que les vues d'ensemble des ganglions plexiformes permettaient parfaitement l'emploi
as de réunion des deux bouts du nerf. 1 La moelle allongée et les ganglions plexiformes droit et gauche sont enlevés immédi
ns pu suivre plus rigoureusement ce phénomène dans les cellules des ganglions plexiformes. Aussi n'insisterons-nous pas pour le
astrique, mais elle atteint une telle netteté dans les cellules des ganglions plexiformes qu'il est impossible de la contester
ndrons sur ce sujet lorsque nous décrirons la chromatolyse dans les ganglions . b) Ganglion plexiforme droit (coupes transv.).
sujet lorsque nous décrirons la chromatolyse dans les ganglions. b) Ganglion plexiforme droit (coupes transv.). - Toutes les c
anglion plexiforme droit (coupes transv.). - Toutes les cellules du ganglion droit (PI,XLV, G. p. d. I), à quelques très rares
e cellulaire et nucléaire. En parcourant les nombreuses coupes du ganglion plexiforme du lapin sa- crifié sept jours après
que nous venons de décrire est le plus largement represemLe dans le ganglion que nous étudions, il s'observe sur les trois qua
servé son volume normal. On rencontre enfin dans les coupes de ce ganglion des cellules représentant le stade ultime de ré
sur 100 environ) démesurément agran- dies. Comparées à celles du ganglion gauche, les cellules du ganglion plexiforme dro
ran- dies. Comparées à celles du ganglion gauche, les cellules du ganglion plexiforme droit, nous donnent à très peu de ch
triques lues, ce qui facilite la lecture de ces nombreux chiffres : Ganglion plexiforme droit. Pathologique. Lapin 7 jours.
llules mesurées sur 4 coupes. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 321 Ganglion plexiforme gauche. Normal. Lapin 7 jours. 105 c
re du relief au noyau ; le nucléole est très foncé. Les coupes du ganglion plexiforme droit présentent encore un petit nombr
i profondément désor- ganisées. - On rencontre du reste dans tout ganglion normal des cellules en voie de régression. No
ment. Nous n'avons rencontré aucune cellule vacuolaire dans tout le ganglion . L'examen attentif de nos coupes ne nous a jama
mètres cellulaires des éléments normaux et pa- thologiques des deux ganglions plexiformes, car le ganglion gauche était aussi
s normaux et pa- thologiques des deux ganglions plexiformes, car le ganglion gauche était aussi pathologique. Il présentai
enues pour les cellules des deux séries après l'étude des coupes du ganglion gauche b) Ganglion plexiforme gauche (coupe tra
ules des deux séries après l'étude des coupes du ganglion gauche b) Ganglion plexiforme gauche (coupe transv.). Le vago-symp
(PI.XLV, G. p. g. Il), montre la chromatolyse dans toute l'étendue du ganglion qui ne renferme que de rares cellules normales.
normales. La chromatolyse y est toutefois moins avancée que dans le ganglion droit. Quelques cellules cependant sont arrivée
e nous allons donner permettent encore de comparer les cellules des ganglions plexiformes à deux stades différents de la chroma
trouvé aucun gonflement quelconque des cellules en réaction dans le ganglion gauche, pas plus que dans le ganglion droit, comm
cellules en réaction dans le ganglion gauche, pas plus que dans le ganglion droit, comme nous l'avons déjà dit. Nous devo
e sur la comparaison des cellules saines et pathologiques d'un même ganglion , car nous n'avions pas dans ce cas, comme chez
r nous n'avions pas dans ce cas, comme chez le lapin et le chat, un ganglion normal du côté non opéré à comparer au ganglion
apin et le chat, un ganglion normal du côté non opéré à comparer au ganglion pathologique opéré. Les mensurations ont été fa
nt les diamètres cellulaires. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 325 Ganglion plexiforme droit. Pathologique. Chien, 22 jours
u nerf réséqué, il y a au bout central un névrome volumineux. Les ganglions plexiformes droit et gauche sont enlevés immédiat
avail. Examen microscopique, analyse et discussion des coupes. a) Ganglion plexiforme droit (coupe transversale. PI.XLVI, G.
n plexiforme droit (coupe transversale. PI.XLVI, G. p. d. III).- Ce ganglion présente deux ordres de cellules parfaitement car
rés (PI. XLVI, g. h. i). Çà et là, on rencontre dans les coupes des ganglions (Pl. XLVI, G. p. d. III), des noyaux de cellule
ûr la rage. Nous avons constaté ces mêmes lésions dans une série de ganglions cérébro-spinaux de lapins morts de la rage par
ucune cellule vacuolaire dans toute la série des coupes de nos deux ganglions plexiformes. Nous n'avons pas parlé de turgesce
bleau permettront de comparer simultanément les élé- ments des deux ganglions entre eux et dans leurs rapports avec le diamètre
ont pas été converties en p. pour la raison ci-dessus indiquée. . Ganglion plexiforme droit. Pathologique. Jeune chat, l48
llules mesurées sur 4 coupes. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 329 Ganglion plexiforme gauche. Normal. Jeune chai, 118 jour
bulbe, la protubérance et le cervelet, l'isthme de l'encéphale et les ganglions centraux. Le manteau cortical est également con
nces trophiques des centres nerveux, c'est-à-dire, des cellules des ganglions spinaux. C'est pour cela que la partie intra-médu
sible à l'influence trophique de la part des cellules nerveuses des ganglions spinaux. La paralysie générale donne un tableau
bout central. Immédiatement après la mort, la moelle allongée, les ganglions plexiformes droit et gauche sont portés dans un
ormol à S 0/0, renouvelée plusieurs fois. Après cinq jours pour les ganglions et douze jours pour la moelle les objets sont s
reste ces cellules s'observent aussi bien à gauche qu'à droite. b) Ganglion plexiforme droit (coupe longitudinale). Ce gang
'à droite. b) Ganglion plexiforme droit (coupe longitudinale). Ce ganglion est franchement entré dans la phase de réparation
déformé, froissé ou aplati. On observe également dans les coupes du ganglion noueux droit tous les de- grés du processus de
des gan- glions du lapin. Nulle part la capsule des cellules des ganglions n'est envahie par des élé- ments figurés du tis
lules en voie de réparation. Les mensurations comparatives entre un ganglion sain et un ganglion en chromatolyse seraient as
aration. Les mensurations comparatives entre un ganglion sain et un ganglion en chromatolyse seraient assurément plus proban
ous n'avons pu les faire dans cette quatrième expérience puisque le ganglion gauche lui-même, comme nous allons le voir, est
'une façon quelconque. Le nombre des cellules de l'un et de l'autre ganglion est approximativement le même ; en tous cas, il
e même ; en tous cas, il ne présente pas de différence sensible. c) Ganglion plexiforme gauche (coupe longitudinale). Le gan
sensible. c) Ganglion plexiforme gauche (coupe longitudinale). Le ganglion gauche, comme nous venons de le dire, est manifes
.LXXVI, G. p. g. IV), il se présente à un stade moins avancé que le ganglion du côté droit. ' La grande majorité des cellule
tif. Comme on va le voir, les chiffres obtenus pour les cellules du ganglion plexiforme gauche en chromatolyse ne sont pas s
ent différents de ceux fournis par les mensurations des éléments du ganglion droit en pleine phase de réparation. Nos mens
e de la cellule en question. . XIII Si '522 -2 CHARLES LADAME Ganglion plexiforme droit, pathologique. Chien adulte, 1
riphérique d'au moins un demi-centimètre. La moelle allongée, les ganglions plexiformes droit et gauche sont mis immé- diat
les mesurées sur 6 coupes. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 525 b) Ganglion plexi for me gauche (coupe longitudinale). Ce g
YSE 525 b) Ganglion plexi for me gauche (coupe longitudinale). Ce ganglion est nettement en réparation ; on peut s'en rendre
s résistants. Nous avons rencontré, çà et là, dans nos coupes de ce ganglion quelques cel- lules vacuolaires (PI. LXXVII, f)
Nous nous bornons donc à signaler ici, les cellules vacuolaires du ganglion gauche chez le chat, pour mémoire. Il résulte
vague au cou, une diminution du nombre des éléments nerveux dans le ganglion plexiforme 526 CHARLES LADAME du côté opéré ;
e,-puisque nous avons pu comparer ici les éléments pathologiques du ganglion gauche avec les cellules du ganglion droit qui
les éléments pathologiques du ganglion gauche avec les cellules du ganglion droit qui sont restées saines. Nous donnons dan
les saines. Ces dimensions sont très sensiblement les mêmes pour le ganglion droit comme pour le ganglion gauche; il ressort
nt très sensiblement les mêmes pour le ganglion droit comme pour le ganglion gauche; il ressort nettement de ce tableau que le
lion gauche; il ressort nettement de ce tableau que les cellules du ganglion pathologique ne sont ni en turgescence, ni diminu
res sont ceux des divisions micrométriques directement transcrites. Ganglion plexiforme droit. Non opéré Chat adulte, 147 jo
es mesurées sur trois coupes. LE PHÉNOMÈNE DE LA CUROMATOLYSE 527 Ganglion plexiforme gauche. Opéré. Chat adulte, 147 jour
ur 3 coupes. 528 CHARLES LADAME Tandis que toutes les cellules du ganglion gauche sont loin même d'avoir entrepris la répa
me d'avoir entrepris la réparation de leurs pertes chromatiques, le ganglion droit est rentré dans l'ordre, d'où l'on peut c
illimètres sépare les deux bouts du nerf. La moelle allongée et les ganglions plexiformes droit et gauche sont portés immédia
onctif ou d'éléments de néo-formation d'origine névroglique. v b) Ganglion plexiforme droit (coupe transversale). ' Nous s
orme droit (coupe transversale). ' Nous sommes ici en présence d'un ganglion qui a activement réparé ses per- tes de substan
ents figurés du tissu conjonctif ou migration de leu- cocytes. Le ganglion droit présente une diminution manifeste du nombre
us ait fourni un tel résultat tant pour le noyau dorsal que pour le ganglion . Nous avons fait quelques mensurations comparat
rs diamètres transcrits en chiffre gras dans le tableau suivant : Ganglion plexiforme droit. Normal. Lapin, 198 jours. 30
ement pendant des mois puis s'aggravant, à gauche de l'occipital un ganglion large et ramolli. En marchant il se sert d'une
cas de rage chez l'homme, il y avait des lésions intenses dans les ganglions spinaux, dans les ganglions jugulaire et sympau
l y avait des lésions intenses dans les ganglions spinaux, dans les ganglions jugulaire et sympaunque, et aans celui de Gas
ehuchten et Nélis sous le nom de nodules ou tubercules rabiques des ganglions spinaux,n'est pas spécifique de la rage, car el
ux dégénérés. Aussi j'ai rencontré fréquemment ces nodules dans les ganglions jugulaires des sujets morts de tuberculose, apr
ont très variables quant à leur intensité et à leur forme. Dans les ganglions spinaux, les cellules, comme l'ont fait remarquer
ifération des cellules endothéliales de la capsule des cellules des ganglions spinaux, dans un cas de diabète insipide ; elle
de lésions encore plus étendues, et on les rencontre dans tous les ganglions cérébro-spinaux et dans ceux du sympathique cer
elle épinière, dans le bulbe, dans la protubérance. Les lésions des ganglions cérébro-spinaux sont identiques à celles qui on
tiques à celles qui ont été décrites par Golgi, par Nepveu dans les ganglions de Gasser et sur l'importance desquelles Van Gehu
dans le bulbe. Par contre, dans la plupar des cas, les cellules des ganglions spinaux présentaient une achromatose qui parfoi
z ce : derniers animaux montrerait que ce n'est pas à la lésion des ganglion ; spinaux qu'il faut rapporter les paralysies ra
es paralysies rabiques. Je pourrais ajoute] que si les lésions, des ganglions cérébro-spinaux sont vraiment très inten ses et
cependant que les lésions rabiques de Babès et les altérations des ganglions spinaux, telles qu'elles ont été décrites derni
jour après la section de la ligature des nerfs sur les cellules des ganglions rachidiens et sur les cellules multipolaires. La
a chromatolyse, puisque celle-ci se manifeste dans les cellules des ganglions plexiformes chez le chien, du côté opposé à la
ule motrice de la corne antérieure de la moelle et une cellule d'un ganglion spinal réagissent à la section de leur prolonge-
tait plus ou moins complète ou même parachevée, aussi bien dans les ganglions noueux que dans les noyaux moteurs de la moelle
riences nous avons constaté le même phénomène dans les cellules des ganglions noueux comme dans celles des noyaux moteurs. Ch
8e jour une réparation complète des noyaux moteurs. D'autre part le ganglion plexiforme répa- rait activement ses pertes de
il y avait aussi bon nombre de cellules en voie d'atrophie dans ce ganglion . Nos autres cas nous ont donné des résultats ex
réparation est un fait indiscutable pour les cellules sensibles des ganglions plexiformes après la résection du pneumogastrique
cherches que nous avons faites sur le lapin de l'expérience VI. Les ganglions plexiformes de cet animal ont été traités simulta
ans la paraffine. Enfin le traitement ultérieur des coupes des deux ganglions a été le même. Ils étaient donc dans des conditio
érique ou des réac- tifs devraient donc agir également sur les deux ganglions , et si la vacuo- lisation en avait été la consé
ncontrée des deux côtés. Or, ça n'a pas été le cas. Les cellules du ganglion normal n'en présentaient pas trace, tandis que
n présentaient pas trace, tandis que de très nombreuses cellules du ganglion pathologique en étaient profondément atteintes.
n étaient profondément atteintes. THÈSES . 1. La chromatolyse des ganglions plexiformes et des noyaux bulbaires du vague es
rice. - 8. Le nombre des cellules est sensiblement le même dans les ganglions plexiformes normaux et pathologiques chez le ch
nt le pneu- mogastnque a été réséqué. ' 11. Le noyau dorsal et le ganglion plexiforme du nerf vague, chez le lapin au 195'
sus de dégénération cellulaire. 15. Chez le chat au 147e jour, le ganglion plexiforme dont le nerf a été fortement lésé en
11 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
tôt après avoir traversé la gaine de la dure-mère, se rendent dans un ganglion ; à leur sortie de ce ganglion, elles s'accolent a
ine de la dure-mère, se rendent dans un ganglion; à leur sortie de ce ganglion , elles s'accolent aux racines antérieures et cons
stance grise présentant histologiquement une grande analogie avec les ganglions spinaux. Sur une coupe faite vers le niveau des
ance corticale du lobe sphénoïdal. Ce noyau, désigné sous le nom de ganglion olfactif, de noyau amygdalien (nucleus amygdaleus
animaux; sur quelques-uns même, comme sur la raie, il forme un énorme ganglion bilobé libre à l'extrémité antérieure du névraxe,
trémité antérieure du névraxe, bien en avant des lobes frontaux. Ce ganglion , chez la raie, reçoit directement le fascicule de
ris, il a été décrit pour la première fois par M. Luys sous le nom de ganglion olfactif [Y). Cet amas de substance grise a l'a
subs-tance perforée antérieure et par le fascicule qui se détache du ganglion olfactif, se porte en arrière et contourne la cou
he optique sous le nom de tsenia semi-circularis. § 4. En outre des ganglions olfactifs, la substance grise centrale du névraxe
ent; l'externe est beaucoup plus volumineux que l'interne. Ces deux ganglions reçoivent chacun des fibres nerveuses périphériqu
essivement en deux fascicules qui vont s'amortir séparément dans leur ganglion , sous la forme de lignes concentriques régulièrem
V, 18; XXXIX) (Microph., Pl. A, fig. IV). Ces fibres afférentes aux ganglions ressortent dans une direction opposée sous la for
posée sous la forme de petits fascicules blanchâtres. Le fascicule du ganglion interne s'épanouit (1) Luys, Recherches sur le
ans la substance grise du tubercule quadrijumeau postérieur, celui du ganglion externe dans la substance grise du tubercule quad
orticale du tuber cinereum; 2° une racine postérieure qui traverse un ganglion et va se rendre dans la substance grise centrale
re de la corne d'Ammon ou grand hippo-campe, et la substance grise du ganglion olfactif. Au-dessus est la coupe de la ban-delett
l'ex-trémité antérieure de la corne d'Ammon est la substance grise du ganglion olfactif (7) ou noyau amygdalien (nucleus amygdal
ou hippocampe, séparée, par un petit sillon, de la substance grise du ganglion olfactif. La voûte que forme le corps calleux n
nte sa coupe plus bas (13). Elle est contiguë à la substance grise du ganglion olfactif (14), qui reçoit les fibres radiculaires
de la corne d'Ammon, séparée par un sillon, est la substance grise du ganglion olfactif (14, Pl. X). Les fibres radiculaires ext
rtenant au pilier postérieur du trigone. 8. — La substance grise du ganglion olfactif offre des dimensions moins étendues que
ircularis ; ce petit faisceau de fibres blanches prend son origine au ganglion olfactif (9, Pl. XII), parcourt toute l'étendue d
nouillé externe. En dehors apparaît la coupe de la face supérieure du ganglion olfactif et le mode d'épanouissement des fibres d
s du tœnia semi-circularis dans l'intérieur de sa substance grise. Ce ganglion , du volume d'une noisette, est formé par un amas
t des pédoncules cérébraux (voir Pl. XXIX). 8. — Substance grise du ganglion olfactif. En dehors est le dernier vestige de la
bres du taenia semi-circularis à leur sortie de la substance grise du ganglion olfactif, elles se groupent en un faisceau qui ga
s la cavité sphénoïdale. Un sillon la sépare de la substance grise du ganglion olfactif. 11. — Substance grise centrale du pla
st complètement détachée. On ne trouve plus que la substance grise du ganglion olfactif et celle de la corne d'Ammon (hippocampe
e de la cavité sphénoïdale. 12. — Vestiges de la substance grise du ganglion olfactif. 13. — Fibres des pédoncules cérébelle
lôt la cavité sphénoïdale. 5. — Apparition de la substance grise du ganglion olfactif. 6. — Section de la bandelette optique
la région du lobe sphénoïdal qu'elle occupait, la substance grise du ganglion olfactif. Les fibres olfactives radiculaires exte
olfactives radiculaires externes pénétrant dans la substance grise du ganglion olfactif. 11. — Substance grise du noyau caudé,
ires externes, traversent la région externe de la substance grise des ganglions olfactifs (10 PL XLIV). La protubérance annulai
nt la face externe du noyau lenticulaire. 7. — Segment antérieur du ganglion olfactif recevant les fibres radiculaires externe
sont atteints par la section (17, Pl. XLVI). La substance grise du ganglion olfactif est réduite à une couehe extrêmement min
nches externes ou longues; elles proviennent de la substance grise du ganglion olfactif (7, Pl. XLVI et PL XLVII). Ces troncs
... 32 § 2. Tubercules quadrijumeaux..................... 36 § 3. Ganglions olfactifs........................ 36 § 4. Corps
12 (1888) Atlas schématique du système nerveux : origines, ramifications, anastomoses des nerfs : leur distribution dans les muscles et la peau
des branches à cinq des muscles de l'orbite et une (courte racine) au ganglion ophtalmique, par l'intermédiaire duquel il donne
rfs rachidiens la racine sensitive présente un rendement gangliforme ( ganglion de Casser) d'où partent les trois branches princi
au-dessus des muscles innervés par la septième paire. Quatre petits ganglions contenant de la substance grise sont en connexion
ilet du grand sympathique prend le nom de nerf Vidien et va dans le ganglion de Meckel constituer une de ses racines) à des mu
a postérieure est plus considérable que l'antérieure; elle possède un ganglion et est composée uniquement de fibres destinées à
ons sensitives au cerveau. La racine antérieure qui ne possède pas de ganglion est composée de fibres qui transmettent le mouvem
s émanant des nerfs rachidiens près de leur origine et se rendant aux ganglions du grand sympathique ont été omises ici pour la c
anastomoses avec le système des nerfs cérébro-rachidiens. Les petits ganglions en connexion avec la cinquième paire crânienne so
mis ici. Sont encore considérés comme appartenant à ce système, les ganglions en communication avec le nerf glosso-pharyngien e
i que ceux des veines postérieures des nerfs rachidiens. A part les ganglions ci-dessus mentionnés, le système du grand sympath
cervicale jusqu'à la région coccygienne, où elles se terminent en un ganglion (ganglion impair). Chaque chaîne est généraleme
jusqu'à la région coccygienne, où elles se terminent en un ganglion ( ganglion impair). Chaque chaîne est généralement constit
que chaîne est généralement constituée par vingt-quatre ou vingt-cinq ganglions , symétriquement disposés de chaque côté de la col
triquement disposés de chaque côté de la colonne vertébrale. Chaque ganglion est en communication avec celui qui se trouve au-
en et de la cavité pelvienne. Dans ces plexus sont situés plusieurs ganglions , dont chacun est considéré comme un centre de for
guins à la manière d'un (1) On peut, ce nous semble, considérer les ganglions du grand sympathique comme des centres à? automat
au point où l'atteint le nerf grand splanchnique, se trouve placé le ganglion semi-lunaire; des plexus secondaires qui en dériv
NCHE V. Imp. Monrocq, Paris. PLANCHE VI. Imp. Monrocq, Paris. Ganglions cervicaux GANGLIONS THORACIQUES GANGLIONS LOM
, Paris. PLANCHE VI. Imp. Monrocq, Paris. Ganglions cervicaux GANGLIONS THORACIQUES GANGLIONS LOMBAIRES GANGLIONS SAC
Imp. Monrocq, Paris. Ganglions cervicaux GANGLIONS THORACIQUES GANGLIONS LOMBAIRES GANGLIONS SACRÉS GANGLION IMPAIR OU
Ganglions cervicaux GANGLIONS THORACIQUES GANGLIONS LOMBAIRES GANGLIONS SACRÉS GANGLION IMPAIR OU COCCIGIEN PLANCHE V
ux GANGLIONS THORACIQUES GANGLIONS LOMBAIRES GANGLIONS SACRÉS GANGLION IMPAIR OU COCCIGIEN PLANCHE VII. Imp. Monrocq
13 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
prouvent que le prolongement central cylindraxile des cellules des ganglions spinaux pénètre dans la moelle épinière. Les fibr
cordons postérieurs dérivent donc anatomiquement des cellules des ganglions spinaux. Déjà Waller avait trouvé que le ganglion
des cellules des ganglions spinaux. Déjà Waller avait trouvé que le ganglion spinal était le centre trophique des racines po
ne affection des neurones. Il est fort douteux que les cellules des ganglions spinaux représentent, comme l'admettent P. Marie
assant par les cellules des glanglions spinaux. 2° Les cellules des ganglions spinaux (Stroebe, Oppenheim, Marie, Babes). Les
n. D'ailleurs, dans le cas d'une lésion de déficit des cellules des ganglions spinaux, les nerfs sensibles périphériques devrai
onstatons rien d'anormal sur les valvules et l'en- docarde. * Les ganglions trachéo-bronchiques sont assez volumineux, avec
xamen microscopique minutieux de chaque segment, des racines et des ganglions spinaux, toute altération due soit directement
altérations des racines, même des zones de Lissauer et surtout des ganglions , qui coïncident parfois avec des altérations lé
ité entre les altérations de la moelle, des racines, voire même des ganglions . Cela posé, je suis porté (me basant sur 16 cas
ctions mé- dullaires. Recherches sur les lésions des cellules des ganglions spineaux dans le tabès. Au nom de M. MARINESCO,
e : J'avais examiné en 1895, à l'aide de la méthode de Nissl, les ganglions spinaux dans deux cas de tabès associé à la paral
clure d'une façon certaine une influence trophique des cellules des ganglions spinaux. Peu de temps après, Stroebe, en trouvant
de temps après, Stroebe, en trouvant une somme de lésions dans les ganglions chez les tabétiques, a voulu donner la consécra
'année 1898, Schaffer et puis Inliusburger et Meyer ont examiné des ganglions spinaux des tabétiques par la méthode de Nissl.
e façon systéma- tique à l'aide des méthodes les plus récentes, les ganglions spinaux dans 9 cas de tabes. Dans presque tous
an Gehuchten ont montré que la section de la branche centrifuge des ganglions spinaux ou crâniens ne donne pas lieu à des réa
erminer à la longue des modifica- tions légères dans la cellule des ganglions spinaux, mais je pense SOCIÉTÉS SAVANTES. 89
influence de différents agents morbides. En effet, les cellules des ganglions spinaux subissent très vite les altérations à l
rd elles existent. M. Marie n'a jamais constaté de lésions dans les ganglions spi- naux donc le tabès ne débute pas dans ces
s dans les ganglions spi- naux donc le tabès ne débute pas dans ces ganglions et les lésions de ces ganglions ne peuvent donc
onc le tabès ne débute pas dans ces ganglions et les lésions de ces ganglions ne peuvent donc pas expliquer les altérations m
des cordons postérieurs de lamoelle, c'est-à-dire des cellules des ganglions spinaux intervertébraux. Wollenberg cons- tata
lg. Pathol. u. patt. Anat. Comment se comportent les cel- lules des ganglions spinaux ? centre trophique des racines postérieur
tabes, la lésion initiale doit être localisée dans les cellules des ganglions spinaux, et que la dégénération des cordons posté
porter un jugement un peu assuré sur les lésions des cellules des ganglions spinaux dans le^ tabès, qu'après avoir institué d
ent de localiser la lésion primitive du tabes dans les cellules des ganglions spinaux; mais les résultats de l'investigation
théorique. Dès 1 896, Schaffer commença d'étudier les cellules des ganglions spinaux de ces ganglions correspondant à la hau
haffer commença d'étudier les cellules des ganglions spinaux de ces ganglions correspondant à la hauteur du processus labétique
et du nucléole, disparition totale et destruction des cellules des ganglions spinaux, hyperplasie et prolifération nucléaire
dans la moelle épinière. Les nerfs sensibles périphériques issus du ganglion étaient beaucoup moins dégénérés; ils l'étaient
'étaient pourtant manifestement. Ces altérations des cel- lules des ganglions spinaux font supposer qu'une lésion primaire de c
culaires postérieures et celle des nerfs sensitifs périphériques du ganglion spinal. Il est toujours licite, de supposer une
ujours licite, de supposer une lésion partielle des cellules de ces ganglions . Cliiari, dans tous les cas graves de tabès, a
ques. Marinesco a constaté de la chromatolyse dans les cellules des ganglions spinaux, de l'homogé- nisation de leur protopla
ation totale des racines postérieures, des lésions des cellules des ganglions spinaux. De même Wollenberg (atrophie, pigmentati
tabes. Erb admet d'ailleurs que des altérations des cellules de ces ganglions , échappant à tous nos moyens d'investigation, n
que, attendu que si l'on rencontre, dans le tabes, des cellules des ganglions spinaux d'aspect clair à fines granulations, il
utées avec la coloration de Nissl, c'est que, dans les cellules des ganglions spinaux des tabétiques, il s'en rencontre à pei
résentent la plus complète dégénération, les cellules nerveuses des ganglions spi- naux se montrent avec leur forme normale,
lée par Marinesco : il incline plutôt à croire que les cellules des ganglions spinaux dont les corpuscules de Nissl paraissent
ux. On doit donc, si ce phénomène fait défaut dans les cellules des ganglions spinaux, rechercher la lésion initiale du tabès
du tabès en dehors de ces cellules. Et d'abord, si les cellules du ganglion spinal étaient primitivement lésées, le prolong
fer écrit qu'après les résultats négatifs relatifs aux cellules des ganglions spinaux « le point de départ de l'affection tab
aquelle laisserait intacte la branche périphérique des cellules des ganglions spinaux, aurait l'avantage d'être en accord par
es expérimentales de Lugaro 2. suivant lesquelles les .cellules des ganglions spinaux, qui subissent une altération pro- 1 We
chromatique ne différait en rien de celui des cellules normales des ganglions spinaux. Ni le noyau ni le nucléole ne trahissa
ue la lésion initiale du tabes se trouve en dehors des cellules des ganglions spinaux, et cela parce que ces neurones ne prés
neurones ne présentent pas de chromatotyse ? « Si la cellule des- ganglions spinaux était le siège de la lésion initiale, ava
a branche périphérique entraîne la dégénérescence de la cellule des ganglions spinaux, tandis que cette cellule reste normale
ouvelles expériences "démontrent t si, en réalité, les cellules des ganglions spinaux demeurent bien normales (ce que ne sout
dériverait, dans le tabes, d'une lésion primitive des cellules des ganglions spinaux, c'est l'absence de chromatolyse dans c
espérer rencontrer des phénomènes de chromatolyse des cellules des ganglions spinaux chez des malades décédés tout à fait au
nt nous nous représentons les choses : la fonction des cellules des ganglions spinaux consiste à métamorphoser, de nécessité,
le changement de forme et la diminution de nombre des cellules des ganglions spinaux dans le tubes venaient à être reconnus
ro et par Schaffer, l'absence de chromatolyse dans les cellules des ganglions spinaux chez les tabétiques : la lésion initial
est déclaré Leyden, que l'origine de l'affection soit périphérique ( ganglion spinal), car, dit-il, le nerf sensitif issu du
riphérique (ganglion spinal), car, dit-il, le nerf sensitif issu du ganglion spinal est presque toujours normal, même dans l
ration ascendante d'un nerf sensible s'arrêterait à la cel- lule du ganglion spinal dont il est, dit-on, le prolongement cylin
trale ou périphérique, entraine, avec l'altération des cellules des ganglions spinaux cor- respondants dans les amputations,
est comme ramassé dans la considération de l'état des cellules des ganglions spinaux, c'est-à- dire du centre trophique et f
théorie gan- glionnaire ». Les légères altérations des cellules des ganglions con- sécutives à la section des racines postéri
ent quelque ressemblance avec celles de la structure cellulaire des ganglions spinaux dans le tabes. » Tout le monde convient
ructurales, au moins suffisamment décelables, dans les cellules des ganglions spinaux'. Gull indiqua le premier, semble-t-il,
ue Marie reçu,3 de Strümpell, les cellules nerveuses des différents ganglions des nerfs rachidiens et des nerfs crâniens, quelq
s rachidiens et des nerfs crâniens, quelque distants que soient ces ganglions , ou leurs analogues (rétine, mu- queuse olfacti
res nerveux, de celles en particulier des cel- .Iules nerveuses des ganglions des nerfs crâniens, analogues aux -ganglions de
.Iules nerveuses des ganglions des nerfs crâniens, analogues aux - ganglions des nerfs rachidiens. Klippel a décrit et reprodu
Klippel a décrit et reproduit les lésions des cellules nerveuses du ganglion d'Andersch qui se trouve sur le trajet du nerf
des cellules olfac- tives de la muqueuse pituitaire représentant le ganglion du nerf olfactif, enfin celles des cellules du
ésentant le ganglion du nerf olfactif, enfin celles des cellules du ganglion de Gasser, lésions qui commandaient naturelleme
pillaires ». Les branches afférentes et efférentes des cellules des ganglions d'Andersch et de Gasser étaient altérées histolog
des lobes temporaux, pariétaux, occipitaux, frontaux, ainsi que des ganglions de la base, il existe des parties pâles irrégul
lules nerveuses de l'écorce datent d'une époque où les éléments des ganglions sont proportionnellement bien développés et où
ière dorsale qui vient s'écraser sur le col de la première côle. Le ganglion rachidien dans la traction exercée sur le bras
hysiques, sans spécificité propre, dans tout le neurone et dans les ganglions périphériques. La physiologie pathologique de l
tendant à tout le système nerveux central périphérique. L'aspect du ganglion nerveux du vague des animaux morts delà rage de
là rage des rues est si spécial, que l'examen microscopique de ce ganglion n'en reste pas moins actuellement le moyen le plu
gélatineux. Le thymus persiste ; il est symétrique et, normal. Les ganglions sympathiques sont volumineux et distincts. L'
érique de leurs éléments normaux. Les cel- lules ganglionnaires des ganglions sympathiques sont fortement pigmentées. z- R. D
- mogastrique et l'hypoglosse sont étroitement en rapport avec le ganglion cervical supérieur du sympathique. Sur un cliché
ions à mesure que l'on s'éloignait de l'arachnoïde. Le fait que les ganglions de la base ne paraissaient pas congestionnés, du
: les recherches ne permettent pas de retrouver la filaire dans les ganglions lymphatiques ni dans le canal thoracique ; mais
. Sano déclare que l'examen histologique des centres nerveux et des ganglions cérébro-spimaux (ganglions du nerf vague except
histologique des centres nerveux et des ganglions cérébro-spimaux ( ganglions du nerf vague excepté) ne lui ont pas permis de
tologie et du diagnostic. Ayant examiné dans ces derniers temps les ganglions cérébro-spinaux et sympathiques de deux chiens
a constaté une fois de plus que seules les lésions capsulaires des ganglions notamment de ganglions noueux du nerf vague exi
plus que seules les lésions capsulaires des ganglions notamment de ganglions noueux du nerf vague existent du façon constant
mort on puisse établir avec une certitude absolue, par l'examen des ganglions nerveux du nerf vague l'existence ou la non-exi
substance blanche sous-jacente ; 2° basale, lésions atteignant les ganglions de la base. Les altérations secondaires intéres
lexes, démence progressive, mort à trente ans. Lésion primitive des ganglions de la base à gauche (couche optique), atrophie
e (couche optique), atrophie de l'hémisphère gauche englobant les ganglions de la base, consécutivement : atrophie de la pyra
des circonvolutions centrales de l'hémisphère gauche. Intégrité des ganglions de la base. En conséquence : atrophie du faisce
protubérance, le bulbe et la moelle. Quand la lésion intéresse les ganglions de la base, il y a atrophie de la moitié opposé
n orifice de la grandeur d'une pièce de cinquante centimes. - Les ganglions de la base étaient atrophiés, surtout dans la c
RS. ninfiite pottidue, par.1'ouclie, 87. Lésions des cellules des ganglions spinaux dans)e,parMar ! nesco, 88. Un cas dea
14 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
rf, de même un grand nombre de cellules nerveuses agrégées forment un ganglion . Les ganglions, eu égard à la forme et au groupem
grand nombre de cellules nerveuses agrégées forment un ganglion. Les ganglions , eu égard à la forme et au groupement des cellule
au groupement des cellules, sont de quatre ordres. 1° Dans certains ganglions nerveux, les cellules sont accumulées comme des g
paraître communiquer soit avec les fibres nerveuses qui traversent le ganglion , soit les unes avec les autres. On ignore complèt
une seule fibre nerveuse, du moins en apparence. 3° Souvent dans un ganglion une cellule reçoit une seule fibre nerveuse, et e
i lui sont particulières. Ces cellules se retrouvent surtout dans les ganglions excentriques, tels que les ganglions intervertébr
s se retrouvent surtout dans les ganglions excentriques, tels que les ganglions intervertébraux. On leur a donné le nom de cellul
le feuillet nerveux de la lame spirale du limaçon. 4° Dans d'autres ganglions , les cellules nerveuses émettent des prolongement
tre, unissant en un réseau très-compliqué tous les éléments d'un même ganglion ; d'autres se continuent avec l'axe de certaines
fuses que révèle l'étude du mouvement réflexe. Ces quatre ordres de ganglions sont les éléments de cet ensemble d'appareils con
placés très-bas dans l'échelle, tantôt à chaque anneau correspond un ganglion distinct (ex. le lombric terrestre), tantôt il y
n ganglion distinct (ex. le lombric terrestre), tantôt il y a un seul ganglion pour un nombre déterminé d'anneaux (ex. les hirud
nt idéal, est-il un segment réel ? y a-t-il pour chaque vertèbre un ganglion nerveux central? C'est là une question importante
ts, lesquels « sont de la longueur de chaque vertèbre. C'est de ces « ganglions que tous les nerfs de la moelle épinière tirent «
s de la moelle épinière doi-« vent donc être regardés comme autant de ganglions propres « à des systèmes nerveux particuliers, qu
ogue, par suite de la brièveté des anneaux; chaque segment portant un ganglion , et les segments étant très-courts, il en résulte
vant ce grand homme, en effet, les filets de communication entre deux ganglions ou centres nerveux sont d'autant plus nombreux, d
les. Ainsi, dans les animaux qui offrent une masse centrale formée de ganglions distincts, plus les filets qui uniront ces gangli
ntrale formée de ganglions distincts, plus les filets qui uniront ces ganglions seront nombreux, gros et courts, et plus on pourr
s de nos jours; en effet, dans la plupart des animaux inférieurs, les ganglions sont épars, ou du moins très-distants. Ils se rap
s les animaux qui sont plus élevés; dans la plupart des insectes, les ganglions de la chaîne nerveuse, séparés dans l'origine, se
amorphose qui les conduit à l'état parfait. Cette fusion de plusieurs ganglions en un seul est donc un signe de supériorité, et c
étrique est logée dans l'anneau supérieur de la vertèbre. C'est là un ganglion supérieur qui n'est autre chose qu'un segment de
ui n'est autre chose qu'un segment de la moelle épinière. Un deuxième ganglion également médian et symétrique est logé dans l'an
que est logé dans l'anneau inférieur, avec le système vasculaire : ce ganglion est l'un des éléments de la chaîne du sympathique
me nerveux. missures, l'une à droite, l'autre à gauche, unissent le ganglion supérieur au ganglion inférieur. Cet ensemble a l
, l'une à droite, l'autre à gauche, unissent le ganglion supérieur au ganglion inférieur. Cet ensemble a la forme d'un anneau. S
e premier anneau la place que le cerveau occupe dans le second; et le ganglion du sympathique représentera dans le premier le ga
second; et le ganglion du sympathique représentera dans le premier le ganglion qui, dans l'autre, est appelé ganglion pédieux. L
eprésentera dans le premier le ganglion qui, dans l'autre, est appelé ganglion pédieux. Les commissures latérales sont semblable
es segments. Dans quelques animaux privilégiés, les mammifères, les ganglions médullaires supérieurs condensés et attirés en qu
e, l'anneau est fermé par une commissure qui unit les deux moitiés du ganglion inférieur; Fig. 3. mais du coccyx à la tête,
itiés du ganglion inférieur; Fig. 3. mais du coccyx à la tête, ce ganglion du sympathique se divise; l'anneau s'ouvre, et s'
ig. 4. Dans ce cas les commissures qui unissent les deux moitiés du ganglion inférieur paraissent manquer, et l'anneau est div
au système nerveux inférieur, et supposer que dans ce cas, au lieu du ganglion inférieur, ce sera le ganglion supérieur qui se d
t supposer que dans ce cas, au lieu du ganglion inférieur, ce sera le ganglion supérieur qui se divisera, l'anneau nerveux s'ouv
de supposer un rapprochement plus ou moins grand entre ces moitiés du ganglion supérieur ainsi divisé, et les ganglions du systè
ns grand entre ces moitiés du ganglion supérieur ainsi divisé, et les ganglions du système inférieur qui leur correspondent. Le s
embryologiques viennent en aide à celte manière de voir. En effet, le ganglion inférieur est divisé chez les vertébrés et séparé
ussi pourrait-on rappeler à ce sujet ce fait de l'existence de petits ganglions collatéraux aux ganglions médians de la chaîne ch
à ce sujet ce fait de l'existence de petits ganglions collatéraux aux ganglions médians de la chaîne chez les ponbdellcs. il. 2
ais nous donnerons une attention toute particulière à cette série des ganglions supérieurs que les anatomistes ont désignée sous
lo-rachidien § 1. De la moelle épinière en général. La chaîne des ganglions qui composent l'axe nerveux céphalo-rachidien for
iologistes qui se soient occupés du système nerveux, a faites sur les ganglions des racines postérieures. Ces ganglions sont rema
ème nerveux, a faites sur les ganglions des racines postérieures. Ces ganglions sont remarquables à un autre point de vue, c'est
es gros globules de la substance « grise, dans le cerveau et dans les ganglions , sont ou non unis les uns « avec les autres. — L'
laires de la tige médullaire rappellent assez bien l'organisation des ganglions dans les animaux inférieurs, et ressemblent encor
ien que les tubercules quadrijumeaux appartiennent à la catégorie des ganglions surajoutés, ils sont unis de tant de manières aux
rtitude les premières probabilités. CHAPITRE III. DESCRIPTION DES GANGLIONS SURAJOUTÉS A L'AXE. § 4. Du cervelet. Le cervel
roi de la bourse et de ses noyaux accessoires paraît formée de petits ganglions gris que séparent les uns des autres de petits fa
utres de petits faisceaux de fibres transverses. Chacun de ces petits ganglions est à son tour formé de petites cellules nerveuse
ure de l'isthme, nous la compléterons en traitant de la structure des ganglions encéphaliques surajoutés. CHAPITRE V. STRUCTU
des ganglions encéphaliques surajoutés. CHAPITRE V. STRUCTURE DES GANGLIONS SURAJOUTÉS. § 1. Structure du cervelet. Lorsq
ées des nerfs de sensations spéciales; 6° Des irradiations nées des ganglions accessoires tels que les tubercules quadrijumeaux
pressions adéquates, tandis que dans ces communications indirectes de ganglions en ganglions, ces intermédiaires peuvent substitu
quates, tandis que dans ces communications indirectes de ganglions en ganglions , ces intermédiaires peuvent substituer à la stimu
dans le sillon latéral antérieur de la moelle, elle ne porte point de ganglions ; la racine postérieure porte un ganglion, de là l
lle, elle ne porte point de ganglions; la racine postérieure porte un ganglion , de là le nom de racine ganglionnaire; elle se ra
sse. Le pneumogastrique et le glossopharyngien, qui sont pourvus d'un ganglion analogue aux ganglions intervertébraux, représent
e et le glossopharyngien, qui sont pourvus d'un ganglion analogue aux ganglions intervertébraux, représentent les racines postéri
veuse antérieure se compose, a, du nerf de la cinquième paire dont le ganglion est parfaitement analogue aux ganglions intervert
de la cinquième paire dont le ganglion est parfaitement analogue aux ganglions intervertébraux et qui, par sa grosse racine, rep
rmale. Elle comprend les divisions du nerf trijumeau qui émanent du ganglion de Gasser. Nerf trijumeau. Cinquième paire de W
trois paires crâniennes; en conséquence, elle donne, à partir de son ganglion , plusieurs branches divergentes qui vont à ces tr
s les Herbivores surtout, se porte de l'organe de Jacobson à un petit ganglion situé sur la face supérieure du lobe. On pourra c
halique. Mais ceux de la dernière catégorie appartiennent surtout aux ganglions surajoutés. Ainsi le nerf acoustique a rapport au
n de M. de Blainville qui, dominé par les idées de Gall, appelait les ganglions encéphaliques surajoutés, ganglions sans appareil
r les idées de Gall, appelait les ganglions encéphaliques surajoutés, ganglions sans appareil extérieur (l). Suivant cet habile a
ant cet habile auteur, l'automate était parfait indépendamment de ces ganglions ; ceux-ci étaient surajoutés, et n'apparaissaient
traire que l'animal est d'autant plus élevé, que ce rapport entre les ganglions surajoutés et les organes des sens supérieurs, es
n'y a d'ailleurs, au début de la vie fœtale, aucune trace visible de ganglions surajoutés. Ceux-ci se développent plus tard so
du trijumeau, savoir: 1° de la grosse racine avant sa fusion dans le ganglion de Gasser; 2° du ganglion lui-même; 3° de la bran
de la grosse racine avant sa fusion dans le ganglion de Gasser; 2° du ganglion lui-même; 3° de la branche ophthalmique. Cet habi
ouvelle. Suivant M. Carus, dont les travaux sont les plus récents, le ganglion antérieur du cerveau, qui correspond aux hémisphè
, est l'organe de l'esprit en tant qu'il connaît, compare et juge; le ganglion moyen, correspondant aux tubercules quadrijumeaux
ions dont on n'a pas conscience, et l'organe du sentiment ; enfin, le ganglion postérieur, qui correspond au cervelet et à l'org
aîne ganglionnaire des animaux articulés. Chez ces derniers, le petit ganglion qui répond à chaque groupe naturel d'anneaux entr
un temps, et quelquefois maintient la vie dans une zoonite isolée. Ce ganglion est donc un centre de réactivité, un centre si pa
paralyser tel ou tel segment d'une sangsue, en détruisant tel ou tel ganglion , et qu'en divisant la chaîne ganglionnaire en plu
Consult. Van Deen. Loc. cit., p. 120. (4) Voir sur la structure des ganglions des annelés, Helmhotz, De fabricâ nervorum everte
. des se. nat, 4me série t. V et VI.) — Au sujet des fonctions de ces ganglions on consultera, avec le plus grand fruit, le curie
lte sa singulière industrie ? Les plis que présente la surface de ses ganglions cérébraux comme l'a vu, il y a peu d'années, notr
ière............................ 82 CHAPITRE III. — Description des ganglions surajoutés à l'axe.............................
nce et du pédoncule................ 141 CHAPITRE V. — Structure des ganglions surajoutés..... 153 § 1. Structure du cervelet.
s du bulbe et du noyau de l'encéphale....... ib. § 2. Fonctions des ganglions surajoutés............. 365 TROISIÈME PARTIE. D
15 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
eux ans et demi, douleurs à la colonne cervicale avec engorgement des ganglions cervicaux : cet engorgement s'est dissipé à la su
ce du saindoux. J'ai rencontré maintes fois l'utérus cancéreux ou des ganglions lymphatiques cancéreux offrant absolument le même
oir classer, parmi les parotides proprement dites, l'inflammation des ganglions lymphatiques parotidiens, dont plusieurs sont con
culier, qu'elles sont limitées à la glande, et dans quelques cas, aux ganglions lymphatiques correspondans. Voici une observation
ndans. Voici une observation de cancer de la glande parotide et des ganglions sous-maxillaires avec intégrité de tous les autre
de en général. Cancer ulcéré mélanique de la glande parotide et des ganglions sous-maxillaires. Loret (Marguerite), 5i ans, e
seconde tumeur ? était-ce la glande sous-maxillaire ? étaient-ce les ganglions sous-maxillaires ? Je restai dans le doute à cet
er mélanique. La tumeur sous-maxillaire était formée aux dépens des ganglions lymphatiques et nullement aux dépens de la glande
sous-maxillaire , qui était parfaitement saine ; la dégénération des ganglions était identique avec celle de la glande parotide.
l'état normal. Le long de l'œsophage, on voyait un petit nombre de ganglions bronchiques, la plupart du volume d'une amande, r
de grumeaux noirâtres, dégénérés de leur organisation primitive. Ces ganglions ne comprimaient nulle part l'œsophage. Réflexio
ent formées par une matière noire, que je comparais alors à celle des ganglions bronchiques, parce que, dans ce temps, je n'établ
e facilité. Sa couleur n'offrait rien de remarquable. G, G sont des ganglions lymphatiques qui tenaient à la séreuse par une es
aient à la séreuse par une espèce de lien cellnleux. Ce sont bien des ganglions lymphatiques, et leur présence sur la grosse tubé
qu'une anomalie. 11 n'est pas rare, en effet, de rencontrer ainsi des ganglions lymphatiques sous-séreux sur des points autres (j
es l'autopsie du sujet de cette curieuse observation , la plupart des ganglions lymphatiques du canal digestif et un assez grand
ganglions lymphatiques du canal digestif et un assez grand nombre de ganglions lymphatiques des extrémités avaient considérablem
temps il se manifesta une tuméfaction légèrement douloureuse dans les ganglions lymphatiques inguinaux, et surtout dans ceux de l
nt une angine tonsillaire à la suite de laquelle se développèrent des ganglions indolens qui finirent par occuper tout le pourtou
ut le pourtour de la mâchoire inférieure. « Depuis le moment où les ganglions ont commencé à se développer, il y a toujours eu
on. Autour de la mâchoire inférieure se trouve un chapelet continu de ganglions lymphatiques serrés les uns contre les autres, et
uns contre les autres, et allant de l'une à l'autre oreille. Nombreux ganglions sur les côtés et à la partie postérieure et supér
ns sur les côtés et à la partie postérieure et supérieure du col. Ces ganglions sont assez consistans, un peu élastiques, arrondi
aisselles et au pli des aines, sur les côtés du thorax , aux jarrets, ganglions lymphatiques, assez nombreux, semblables , pour l
. — Stomatite et entérite chronique avec inflammation sympathique des ganglions lymphatiques correspondans. — Traitement. Les phé
e ulcération s'est établie sur la face interne de la joue droite; les ganglions lymphatiques correspondans sont devenus plus volu
elle du mésentère, la plus petite trace de vaisseaux lactés. ce Les ganglions lymphatiques qui sont annexés aux diverses partie
ramollir ; enfin il en est qui sont à l'état de pulpe rougeâtre. Les ganglions correspondans à la joue ulcérée sont plus volumin
unes contiennent un mucus purulent. A leur origine se voient quelques ganglions bronchiques et assez gros. Le cœur est un peu vol
gauche est un peu épaissi ; les testicules sont à l'état normal ; les ganglions lymphatiques des aisselles et du pli de l'aine de
e particularité de cette maladie est le développement remarquable des ganglions lymphatiques Evidemment il avait pour point de dé
e phlogose ne sont point caractéristiques ; mais le développement des ganglions dans le mésentère était le même que celui des gan
loppement des ganglions dans le mésentère était le même que celui des ganglions sous-maxillaires. Or, ces derniers étaient évidem
on. Mais pourquoi cette entérite a-t-elle, dans ce cas, influencé les ganglions plus qu'elle ne fait ordinairement? Peut-être le
nourriture auxquels cet homme a été soumis, ont-ils prédisposé les ganglions à contracter une inflammation lente, comme cela a
l un rapport entre l'hypertrophie des follicules et le gonflement des ganglions . Toujours est-il que la ganglite a été sympathiqu
le que, malgré une inflammation d'une durée de cinq à six mois, aucun ganglion n'a présenté le plus faible aspect tuberculeux.
endant remarquer que la coïncidence du développement considérable des ganglions abdominaux et du développement des follicules de
Les engorgemens ganglionaires n'étaient pas exclusivement bornés aux ganglions correspondans au canal alimentaire. On en voyait
es ne trouve-t-on pas, altérés et même profondément désorganisés, des ganglions lymphatiques qui correspondent à des muqueuses pa
s, l'altération de la muqueuse a pu se dissiper, tandis que celle des ganglions persistant présente tous les caractères d'une lés
e une lésion purement symptomatique ; mais on voit tous les jours des ganglions se développer autour d'une muqueuse ou d'une peau
ns se développer autour d'une muqueuse ou d'une peau saine. Voyez les ganglions sous-maxillaires, les ganglions cervicaux, etc. Q
queuse ou d'une peau saine. Voyez les ganglions sous-maxillaires, les ganglions cervicaux, etc. Qui n'a rencontré des ganglions m
sous-maxillaires, les ganglions cervicaux, etc. Qui n'a rencontré des ganglions mésentériques, désorganisés de manière à former d
séquer le corps de deux sujets, chez lesquels le plus grand nombre de ganglions lymphatiques avaient subi une dégénération que j'
, sans qu'aucun autre organe présentât la plus légère altération. Les ganglions de l'aine et les ganglions axillaires constituaie
e présentât la plus légère altération. Les ganglions de l'aine et les ganglions axillaires constituaient des tumeurs monstrueuses
ger que par la description fidèle de M.Briquet et par les deux petits ganglions , qui étaient restés adhérens à l'estomac. Eh bien
ient restés adhérens à l'estomac. Eh bien! l'idée m'est venue que ces ganglions pouvaient bien avoir subi la dégénération cancére
ervation le titre ai adénite chronique, décrit ainsi l'altération des ganglions : «¦ tissu assez homogène, légèrement rosé pour l
ar le pancréas, la rate et le duodénum. Fistule gastro-duodénale.—Les ganglions lymphatiques qui entourent la partie supérieure d
Elle est assez commune à la suite des splénites intermittentes. Les ganglions lymphatiques qui entourent la portion de l'aorte
ng des vertèbres thoraci-ques, on distinguait très bien la chaîne des ganglions du grand sympathique qui étaient d'un blanc parfa
raînait avec lui un lambeau du mésentère : une fois on y a reconnu un ganglion mésen-térique, et une autre fois un fragment d'ép
ration, « la matière noire était infiltrée au loin dans ce tissu, les ganglions lymphatiques correspon-« dans étaient noirs. »
J'ai rencontré très souvent encore cette couleur ardoisée dans les ganglions lymphatiques, mésentériques et lombaires lesquels
gris et de noir, et présentent une identité presque complète avec les ganglions bronchiques qui, comme on le sait, offrent si sou
ches pulmonaires s'applique parfaitement à la coloration ardoisée des ganglions bronchiques; car il est aussi rare de rencontrer
ns bronchiques; car il est aussi rare de rencontrer chez l'adulte ces ganglions non colorés en noir, qu'il est rare de rencontrer
s, la matière noire ardoisée est si abondante dans l'épaisseur de ces ganglions , qu'elle constitue de véritables foyers. Indépe
iciles à décrire. A l'ouverture, je trouvai (Planche 2, fig. 1) les ganglions lymphatiques qui avoisinent l'angle iléo-ccecal e
ant. Les follicules agminés et isolés étaient parfaitement sains. Les ganglions lymphatiques correspondans n'avaient pas sensible
dix à douze ans, mort avec des tubercules dans les poumons, dans les ganglions bronchiques et dans les ganglions abdominaux. A l
bercules dans les poumons, dans les ganglions bronchiques et dans les ganglions abdominaux. A la racine de la rate se voient plus
les ganglions abdominaux. A la racine de la rate se voient plusieurs ganglions tuberculeux G T. La rate est parsemée de tubercul
ant de quatre ans, mort phthisique avec dégénération tuberculeuse des ganglions mésentériques. Le foie était parsemé d'une multit
ultiloculaire; les parois de cette cavité étaient constituées par des ganglions axillaires dégénérés, qui semblaient se continuer
foyer gangreneux s'établit sur la partie inférieure de l'ulcère. Les ganglions axillaires du côté malade formaient une masse cir
dure, qu'il aurait été facile d'enlever. Du coté sain , il y avait un ganglion axillaire très dur. Dans les derniers jours de se
de réunion se voyait une érosion qui conduisait dans l'épaisseur d'un ganglion bronchique et de là dans une bronche. Evidemment
eur d'un ganglion bronchique et de là dans une bronche. Evidemment le ganglion bronchique avait usé la bronche. Dans le même p
e poumon se voyaient çà et là de petits tubercules enkystés. Tous les ganglions bronchiques étaient indurés; ici pierreux; là d'u
lagineuse, noirs et marbrés au centre, blancs à la circonférence. Ces ganglions devaient être impropres à remplir leurs fonctions
s accoutumées. On ne tient pas un assez grand compte de l'état de ces ganglions dans les ouvertures cadavériques et dans l'interp
tain nombre de cavernes pulmonaires est le résultat d'une maladie des ganglions et de l'ouverture de la poche formée par ces gang
ne maladie des ganglions et de l'ouverture de la poche formée par ces ganglions dans la bronche correspondante usées. D'autres ca
es : ainsi dans les cancers du corps de l'utérus, j'ai souvent vu les ganglions lombaires dégénérés, qui entourent la veine cave
effet, bien qu'elle soit entourée d'un beaucoup plus grand nombre de ganglions lymphatiques que la veine cave, bien qu'elle para
e, bien qu'elle paraisse quelquefois comme ensevelie au milieu de ces ganglions dégénérés, l'aorte, dis-je, échappe constamment à
e de voir la veine intéressée par suite de l'altération d'un seul des ganglions quil'avoisinent. Je ne doute pas que cette extens
les poumons d'une femme morte de cancer utérin, je vis quatre ou cinq ganglions lombaires cancéreux adhérant à la veine cave asce
e cave ascendante: j'ouvris cette veine et je trouvai que l'un de ces ganglions avait en quelque sorte traversé les parois veineu
itue le moyen de l'adhérence. J'ai constamment trouvé dans ce cas les ganglions bronchiques tuberculeux, et dans un cas, en même
et dans un cas, en même temps que la péricardite tuberculeuse et les ganglions lymphatiques tuberculeux, il y avait absence comp
x nerfs de la cinquième paire m'ont paru altérés et gris au sortir du ganglion de Casser. La couleur grise se prolongeait dans l
e ces tubercules, que c'est presque toujours ainsi que guérissent les ganglions lymphatiques abdominaux , on sera porté à admettr
ral, depuis la mamelle jusqu'au creux de l'aisselle qui est rempli de ganglions volumineux et extrêmement durs. Le membre supérie
tissu cellulaire sous-cutané. Il y avait, en outre, du côté droit, un ganglion sus-claviculaire du volume d'un œuf de poule, et
itivement envahies : utérus, mamelles, etc., ou dans leur atmosphère ( ganglions , lymphatiques, peau des parties voisines). Il sem
avec ratatinement ou atrophie des deux mamelles, avec induration des ganglions axillaires, tubercules cancéreux à la peau de tou
cules, dont un certain nombre présente la disposition linéaire. Les ganglions lymphatiques G L, situés sous le grand pectoral e
un grand nombre de tubercules analogues à ceux représentés pl. 2. Les ganglions axillaires sus et sous-claviculaires ne sont pas
elle, existe un grand nombre de tubercules et de tumeurs cutanés. Les ganglions axillaires sont volumineux. Le foie est énorme:
souvent décrit. Les tubercules cutanés offrent la même structure. Les ganglions axillaires sont mous et pénétrés d'une plus grand
éphaloïde, sont bien manifestes dans le fait qu'on vient de lire. Les ganglions axillaires et les tumeurs hépatiques sont encépha
l'utérus; on l'observe aussi dans la vessie, dans le rectum, dans les ganglions lymphatiques, et même dans les os du bassin eux-m
e dans les os du bassin eux-mêmes, lorsque la vessie , le rectum, les ganglions lymphatiques et les os du bassin ont été envahis.
de gangrène primitive. Dans plusieurs cas, le caractère cancéreux des ganglions lymphatiques pelviens et lombaires a pu seul étab
ltré dans V épaisseur des parois du vagin aux limites de la gangrène. Ganglions lymphatiques pelviens cancéreux. Françoise Houg
r gangreneux, le tissu du vagin était pénétré de suc cancéreux. Les ganglions lymphatiques du bassin étaient cancéreux. La vein
u cancer ? La propagation si facile de la dégénération cancéreuse aux ganglions lymphatiques qui sont en communication avec les o
né avec soin le système lymphatique : voici ce' que j'ai observé. Les ganglions lymphatiques pelviens sont presque toujours affec
e toujours affectés dans le cancer utérin. Je signalerai surtout deux ganglions situés l'un à droite, l'autre à gauche, sur les p
l'échancrure sciatique, et qui sont souvent les seuls dégénérées. Les ganglions lymphatiques lombaires participent bien plus rare
es lombaires participent bien plus rarement à la dégénération que les ganglions pelviens : souvent même, ces derniers ganglions s
dégénération que les ganglions pelviens : souvent même, ces derniers ganglions sont volumineux, rouges, sans présenter aucune tr
eux, rouges, sans présenter aucune trace d'altération cancéreuse. Les ganglions lymphatiques inguinaux ne sont cancéreux que lors
, ce ne peut être que par le moyen des vaisseaux lymphatiques que les ganglions sont affectés, mais on cherche vainement une lési
sont affectés, mais on cherche vainement une lésion intermédiaire aux ganglions et à l'organe. — J'examine le canal thoracique à
dans un grand nombre de vaisseaux lymphatiques qui répondaient à des ganglions lymphatiques dégénérés. Je vais rapporter ici ces
s de foyers. Cancer de l'utérus , de la vessie et de la plupart des ganglions lymphatiques abdominaux et susclavi- culaires.
amincie et transparente qui la recouvrait. Un très grand nombre de ganglions lymphatiques cancéreux, mais d'un petit volume, c
de suc cancéreux dans sa cavité. Il adhérait intimement en bas à des ganglions lymphatiques cancéreux qui le comprimaient; en ha
ques cancéreux qui le comprimaient; en haut, il était rétréci par des ganglions dégénérés qu'il traversait pour se jeter dans les
érés qu'il traversait pour se jeter dans les veines jugulaires. Les ganglions qui longent la partie lombaire de la colonne vert
s , le long des veines iliaques internes jusque dans le bassin. Les ganglions mésentériques, surtout ceux qui occupent la base
eux qui occupent la base du mésentère, étaient très volumineux: à ces ganglions aboutissaient plusieurs vaisseaux lymphatiques vi
en distance des nodosités formées par du suc cancéreux concret. Les ganglions lymphatiques situés dans le mésentère, ceux qui l
e splénique, étaient petits, pénétrés de suc cancéreux comme tous les ganglions lymphatiques qu'il m'a été donné d'apercevoir.
nt susceptibles de la dégénération cancéreuse tout aussi bien que les ganglions ; car si le premier fait rapporté plus haut, semb
hatique lui-même. Cette sorte d'indépendance d'altération entre les ganglions et les vaisseaux lymphatiques, sous le rapport
uverait qu'il y a autre chose que des vaisseaux lymphatiques dans ces ganglions : il y a, en effet, un système capillaire veineux
e ou l'organe de formation du pus, des tubercules et du cancer de ces ganglions . J'ai vu dernièrement, dans les pavillons de la
ment, dans les pavillons de la Faculté, un sujet jeune, dont tous les ganglions lymphatiques inguinaux et axillaires étaient conv
rtis en des masses lobuleuses énormes; chacune de ces masses était un ganglion lymphatique cancéreux. —Les vaisseaux lymphatique
s débris de matière cancéreuse échappés à la gangrène ou par quelques ganglions lymphatiques carcinomateux, situés dans le bassin
stance du cartilage, et n'était pénétrée d'aucune espèce de sucs. Les ganglions lymphatiques situés derrière l'arcade crurale et
s. Les ganglions lymphatiques situés derrière l'arcade crurale et les ganglions lombaires, étaient volumineux , rougeâtres et fra
indurations ordinaires, suite de phlegmasies chroniques. L'état des ganglions lymphatiques correspondans, qui si souvent révèle
casion de faire cette remarque. Souvent, au centre des mamelles ou de ganglions axillaires cancéreux, on rencontre des flocons d'
eux. Parotide suppurée.—Cancer ulcéré mélanique de la parotide et des ganglions sous-maxillaires.—Atrophie des muscles propres de
mmédiatement. — Cancer de l'utérus, de la vessie et de la plupart des ganglions lymphatiques abdominaux et sus-claviculaires. Vai
, pl. i, n, m, p. y.— La circulation du pus dans les vaisseaux et les ganglions lymphatiques sains ne prouve pas que le pus y ait
/.—Cancer mélanique des grandes et petites lèvres. Développement des ganglions inguinaux superficiels et profonds. Mort dans le
ltré dans l'épaisseur des parois du vagin aux limites de la gangrène. Ganglions lymphatiques pelviens cancéreux. m Cancer des par
ar le pancréas, la rate et le duodénum. Fislule gaslro-duodénale. Les ganglions lymphatiques qui entourent la partie supérieure d
immédiatement.= Cancer de l'utérus, de la vessie et de la plupart des ganglions lymphatiques abdominaux et sus-claviculaires. Vai
v., pl. m, p 4.— Cancer ulcéré mélanique de la glande parotide et des ganglions sous-maxillaires. 39e liv., pl. v, p. 3. — Cancer
iv, p. 4. — Dans toutes les formes d'eniérite folliculeuse aiguë, les ganglions mésenlériques correspondans, participent plus ou
nl neuf jours ; recrudescence des symptômes; hallucination; mort; les ganglions mésenlériques paraissent le siège principal de la
r le pancréas , la raie et le duodénum. Fislule gastro-duodénale. Les ganglions lymphatiques qui entourent la partie supérieure d
e organe de l'instincl de la reproduction. 15e liv., pl. v, p. 2. GANGLIONS . Part que prennent les ganglions mésentériques à
oduction. 15e liv., pl. v, p. 2. GANGLIONS. Part que prennent les ganglions mésentériques à l'entérite folliculeuse aiguë. 7e
iguë. 7e liv., pl. 1, n, m, IV, p. 5. — Tumeurs mélaniques dans les ganglions inguinaux, lombaires et mésentériques. 19e liv.,
ux, lombaires et mésentériques. 19e liv., pl. m, iv, p. 2, 3. — Les ganglions lymphatiques sont susceptibles de dégénération ca
n, p. g. ; 27e liv., pl. n, p. 2, 3. — Développement remarquable des ganglions lymphatiques. 34e liv., pl. ii, m, p- GANGRÈNE.
aisseaux lymphatiques. 17e liv., pl. m, p. 6%. — Les vaisseaux et les ganglions lymphatiques sont susceptibles de dégénération ca
m , iv, p. 4. — Cancer ulcéré mélanique de la glande parotide et des ganglions sous-maxillaires. 39e liv., pl. y, p. 3. MÉMOIR
ganglionnaires : transformation fibreuse et développement énorme des ganglions cervicaux du grand sympathique et du tronc nerveu
x du grand sympathique et du tronc nerveux de communication entre ces ganglions . lre liv., pl. m, p. t.\—Etat de l'appareil nerve
, pl. v, p. 2. — Cancer ulcéré mélanique de la glande parotide et des ganglions sous-maxillaires. 39e liv., pl. v, p. 3. PATHOL
tré dans l'épaisseur des parois du vagin, aux limites de la gangrène. Ganglions lymphatiques pelviens cancéreux. = Cancer des par
immédiatement.^Cancer de l'utérus, de la vessie et de la plupart des ganglions lymphatiques abdominaux eisous-claviculaires.Vais
ltré dans l'épaisseur des parois du vagin aux limites de la gangrène. Ganglions lymphatiques pelviens cancéreux. 24e liv., pl. i,
16 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
ulièrement de l'réc1. llous- say (10) établissent l'homodynamie des ganglions de la ligne latérale et (1) His, Zur Entwicklun
eural est fragmenté clans toute sa longueur et fournit la rangée de ganglions neuraux, qui sont les spinaux dans le tronc et
moins pour le métamère auriculaire, on retrouve la signification du ganglion spinal dans le gan- glion de Scarpa=Corti. Le r
né- galement. Dans la région céphalique ou branchiale, il forme les ganglions latéraux, qui sonl les ganglions crâniens ; au
alique ou branchiale, il forme les ganglions latéraux, qui sonl les ganglions crâniens ; au delà il reste indivis et continue
tion branchiale entoclermique qui avorte sous l'expansion rapide du ganglion latéral auriculaire. Celui-ci s'interpose entre
laste sensoriel localement amplifié. Si, comme l'admet Houssay, les ganglions crâniens, olfactif ciliaire, trijumeau, faciaux
iculaire, glossopharyngien et vagues, n'ont rien de commun avec les ganglions spinaux des racines postérieures, issus du ru-
ral, et comme nous devons retrouver dans la tète les homologues des ganglions spinaux pour expliquer les analogies remar- qua
s épiblastiques com- mentseront représentés, même virtuellement, le ganglion spinal du tronc, le ganglion latéral crânien, l
nt représentés, même virtuellement, le ganglion spinal du tronc, le ganglion latéral crânien, les rameaux supra, pra) et posth
n de noter que cette masse ganglionnaire est de même origine que le ganglion facial auquel elle est primitivement soudée ; d'a
ortent de leur côté : Houssay a décrit un rameau postbran- chial du ganglion auriculaire, qui semble devoir s'effacer par la s
aux et périphériques de cellules bipolaires identiques à celles des ganglions spinaux et que le nerf labyrintique se conduit,
yaux médullai- res comme une racine spinale postérieure. Si donc le ganglion auriculaire primitif est le jumeau du ganglion
térieure. Si donc le ganglion auriculaire primitif est le jumeau du ganglion facial, qui, lui, semble bien naître de la chaî
' il affirme néanmoins de plus en plus par la suite son identité de ganglion spinal. ' Cet organe branchial auriculaire, qui
tube médullaire, à l'élément nerveux près. Neurotome médullaire, ganglion auriculaire neuro-latéral etépaississe- ment au
lule nerveuse. On la trouve dans le neurotome médullaire et dans le ganglion auriculaire neuro-latéral. Elle manque dans la pa
e infusoriforme ciliée sans la péné- trer, et que là comme dans les ganglions centraux, il y ait uniquement rap- ports de con
lial, un morceau d'ectoderme rentré comme la moelle à son début, le ganglion neuro-latéral se distingue dès le début des forma
ontraire convexe et plein, et s'enfonce sous l'ectoderme, comme les ganglions spinaux. Dans le tronc ses homologues deviennen
omme les ganglions spinaux. Dans le tronc ses homologues deviennent ganglions spinaux des racines rachidiennes postérieures;
postérieures; dans le métamère auriculaire de la tète, il de- vient ganglion neural auriculaire, et l'invagination de la fosse
léments 344 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE bipolaires du ganglion neural ; les autres unissent les éléments neuraux
r quelques auteurs comme une racine postérieure médullaire, dont le ganglion spinal se fragmenterait à mesure que se divisent
ditif. LE NERF LABYRINTHIQUE : H5 III Formations neurales. Le ganglion neural auriculaire, ganglion spinal, reste assez
E : H5 III Formations neurales. Le ganglion neural auriculaire, ganglion spinal, reste assez longtemps soudé à celui du
reste assez longtemps soudé à celui du facial, puis le facial et le ganglion géniculé s'en isolent ; la masse qui correspond
on géniculé s'en isolent ; la masse qui correspond véritablement au ganglion auriculaire se frag- mente pour former le gangl
véritablement au ganglion auriculaire se frag- mente pour former le ganglion vestibulaire, le ganglion cochléaire et un gang
auriculaire se frag- mente pour former le ganglion vestibulaire, le ganglion cochléaire et un ganglion intermédiaire qui cor
pour former le ganglion vestibulaire, le ganglion cochléaire et un ganglion intermédiaire qui correspondra au saccule et à l'
u saccule et à l'ampoule posté- rieure. Cannieu (1) a montré que ce ganglion , dit de Boettcher, n'était qu'une émanation dir
ce ganglion, dit de Boettcher, n'était qu'une émanation directe du ganglion vestibulaire ou de Scarpa. Les papilles labyrin
yrinthiques n'étant que des formations purement ecto- dermiques, ce ganglion neural est tout à fait assimilable à un ganglion
cto- dermiques, ce ganglion neural est tout à fait assimilable à un ganglion sous-ectodermique émettant ses prolongements am
piller. On a donné le nom de centres trophiques aux cellules de ces ganglions neuraux. Toute cellule est centre trophique pou
rs. (1) Cannieu, Recherches sur le nerf auditif, ses rameaux el ses ganglions , 1894. 31G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI
ur pro- gressivement il mesure qu'ils s'approchent des cellules des ganglions mé- dullaires. Cannieu a bien montré que la s
aires. Cannieu a bien montré que la seule fragmentation complète du ganglion neural auriculaire était celle qui correspondai
- avec le gan- glion de Scarpapour le premier et celui de Corti ou ganglion spiral pour le second. Il serait facile de divi
le second. Il serait facile de diviser, au moins virtuellement, le ganglion de Scarpa, ou ganglion vestibulaire, en autant
acile de diviser, au moins virtuellement, le ganglion de Scarpa, ou ganglion vestibulaire, en autant de ganglions qu'il y a de
ment, le ganglion de Scarpa, ou ganglion vestibulaire, en autant de ganglions qu'il y a de faisceaux se rendant aux taches cr
nous suffira de retrouver dans la fragmentation des faisceaux et du ganglion un vestige de la fragmen- tation des papilles l
che criblée moyenne et se jette dans le prolongement de la masse du ganglion de Scarpa (Cannieu) dont Bôltcher avait voulu f
du ganglion de Scarpa (Cannieu) dont Bôltcher avait voulu faire un ganglion indépen- dant. De l'ampoule postérieure ou sagi
criblée de Reichert un rameau indépendant qui aboutit également au ganglion de Scarpa et forme avec le précédent le rameau
e Schwalbe. Corti et Schwalbe avaient également cru devoir faire un ganglion isolé du prolon- gement du ganglion de Scarpa (
t également cru devoir faire un ganglion isolé du prolon- gement du ganglion de Scarpa (Cannieu). Cet auteur a aussi décrit
e chez la soit- risetqu'on retrouvechez l'homme, émanée égaiementdu ganglion de Scarpa, et émettant des fibres qui se distri
n certain parcours dans la rampe spi- rale osseuse, aux cellules du ganglion de Corti, formant le rameau inférieur de Sr,hua
e pouvons reconnaître aucune différence entre les deux fragments du ganglion primitif, sauf dans le groupement des éléments bi
rimitif, sauf dans le groupement des éléments bi- polaires. Ceux du ganglion de Scarpa sont disséminés dans le tronc vesti-
- bulairependant toute l'étendue du conduit auriculaire interne, le ganglion s'étirant sous t'écartement des faisceaux vesti
faisceaux vestibulaires divisés au niveau des biles osseux. Ceux du ganglion de Corti sont rangés en colonne spirale dense e
es des racines anté- rieures de la moelle, encombré des éléments du ganglion de Scarpa, occupe une position supéro-postérieu
e façon, et que cette formation mixte, placée entre les cellules du ganglion de Corti (ganglion spinal des racines postérieu
te formation mixte, placée entre les cellules du ganglion de Corti ( ganglion spinal des racines postérieures), et les cellules
s abon- dante. Tous ces prolongements centripètes des cellules du ganglion auriculaire neural, divisé en ganglions de Scar
centripètes des cellules du ganglion auriculaire neural, divisé en ganglions de Scarpa et de Corti, et qui sont les homolo-
rtie anté- rieure du corps restiforme. On en a fait l'homologue. du ganglion spinal (Onufrowicz). Il ne s'en rapproche par a
ents. Ce caractère seul, avec un aspect encapsulé, le rapproche des ganglions spinaux, mais comment admettre deux formations
nglionnaires sur la même racine postérieure, car nous savons que le ganglion de Corti a déjà la signification d'un ganglion
r nous savons que le ganglion de Corti a déjà la signification d'un ganglion spinal ? Sa partie inférieure contient des cell
- ciellement, se trouve le tubercule acoustique, tubercule latéral, ganglion acoustique superficiel, formé de petits élément
hterew) ; ce serait en effet un prolongement direct des cellules du ganglion de Scarpa atteignant les noyaux cérébelleux. S'il
17 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
contenait dans sa cavité un peu de liquide séro-sanguignolent. Les ganglions mésentériques- étaient augmentés de volume et l
- tions, ni de siJlrttions hémorragiques. Pas de péritonite. Pas de ganglions . 'l'. \W'. l'I. \I11 OUVfclI.h ICONOGRAPHIE D
des cordons postérieurs et latéraux; ils ont montré l'intégrité des ganglions et de leurs cellules et révélé des altérations de
à ce que la communication entre le centre optique du manteau et les ganglions a été interrompue. Il ne paraît point probable
s, et d'amyotrophie. Pas de cicatrices, de lépromes, d'ulcérations. Ganglions aux aisselles, à la nuque, aux coudes, aux plis
riche en eau et pauvre en colloïde. Le cytoplasma des cellules des ganglions nerveux et sympathiques de tous les mammifères
e to- nalité brun clair, gris neutre et gris bleu. Les cellules des ganglions sympathiques prélevés sur l'animal vivant et di
re ullramicrosco- pique que nous avons notées pour les cellules des ganglions spinaux. Il y a cependant deux sortes de cellul
e de l'animal. Chez les petites grenouilles, ce qui domine dans les ganglions spinaux ce sont les cellules plus ou moins diapha
En dehors des granulations lumineuses, on voit dans la cellule des ganglions spinaux de grenouille, des granulations pigment
us n'avons pas constaté le même polychromisme dans les cellules des ganglions spinaux à la tempé- rature de 39° prolongée.laq
entres nerveux chez les différents animaux. En effet, même dans les ganglions spinaux de jeunes chiens ou de jeunes chats, no
quelques données sur la consistance du cyloplasma des cellules des ganglions spinaux. Tout d'ahord, nous constatons que le c
sieurs auteurs. Malgré que nous ayons examiné quelques centaines de ganglions spi- naux et sympathiques de chiens et chats no
soutenu par Gaidukow dans son livre intéressant. Les cellules des ganglions spinaux examinés à la température de la chambre
ans le sérum de l'animal ou bien dans la lymphe lorsqu'il s'agit de ganglions de grenouille n'offrent jamais, tout au moins la
'ULTRAMICROSCOPE 205 Comme nous venons de le voir, les cellules des ganglions spinaux et sympathiques et des centres nerveux
on seulement se rapprochent de celles que nous connaissons dans les ganglions fixés et colorés par la méthode de Nissl, mais en
uit la précipitation des corpuscules de Nissl dans les cellules des ganglions spinaux correspondant à ceux décrits par Lugaro e
si la cellule est encore vivante. En effet, si on pratique dans les ganglions des injections intravitales de rouge neutre et de
n traite par des matières colorantes ou ba- siques les cellules des ganglions spinaux s'il y a un certain trouble dans l'équi
e qu'après les sections nerveuses, lorsqu'on traite des cellules de ganglions greffés par le bleu de méthylène ou par le roug
puscules de Nissl. Le même phénomène a lieu lorsque l'on traite des ganglions en autolyse depuis assez longtemps. Dans ces con-
forme de corpuscules de Nissl par le traitement des cellu- les des ganglions avec les agents indiqués plus haut constitue tout
ces en solutions isotoniques mises en contact avec les cellules des ganglions spinaux. Nous avons uti- lisé tout d'abord des
dante. D'autres fois, nous avons gardé pendant un temps variable le ganglion entier dans la solution pour le dissocier ensuite
avec ceux donnés par l'éclairage direct. Les cellules nerveuses des ganglions spinaux dissociées dans l'acide acétique et exa
tique du noyau est légèrement atténué. En prolongeant l'examen, les ganglions ou les cellules conservés dans le sérum hyperto
la préparation s'est évaporé (fig. 13, PL XXVI). Si l'on traite le ganglion conservé dans le sérum hypertonique par l'eau d
e volume inégal, mais en tout cas supérieur à celui des cellules du ganglion conservé et dissocié dans le sérum hyper- toniq
er une perturbation dans les résultats de ces expériences. Ici, les ganglions extra ils de l'animal 1 Nouvelle Iconographie D
Lorsqu'au lieu d'examiner les cellules immédiatement, on garde le ganglion dans l'eau distillée pendant un quart d'heure à u
qui existent à l'étal normal ne sont-elles pas si effacées dans le ganglion gardé dans l'eau pendant une heure el les lésions
ile à expliquer, car on devrait s'attendre à ce que les cellules du ganglion ayant séjourné plus longtemps dans l'eau distil
ue, mais une solution hypertonique. C'est ainsi par exem- ple qu'un ganglion conservé dans l'ammoniaque pendant 12 minutes ne
ensuite traitées par la glycérine. En effet, après avoir traité un ganglion spinal par le chlorure de calcium pendant 23 mi
LEGENDE DES PLANCHES Planche XXV FIG. 1. Cellules normales d'un ganglion sacré de petit chien Comme on le voit, la figui
au est invisible et le nucléole inactif. FiG. 2. - Deux cellules du ganglion sympathique d'un petit chien, examinè d.ms le s
assez grosses précisément à cause de l'objectif employé. Fig. 3. Ganglion ciliaire du chien. FIG. 4. Quatre cellules d'un
Fig. 3. Ganglion ciliaire du chien. FIG. 4. Quatre cellules d'un ganglion de chien nouveau-né comprimé à l'aide d'une pin
YEN DE L'ULTRAMICROSCOPE 221 FiG. 5. Quatre cellules provenant d'un ganglion de petit chien examinées dans le sérum du même
a luminosité et du volume des granulations. FiG. 6. Cellules d'un ganglion dorsal de petit chien offrant des modifications t
urvue de deux arcs lumineux. Planche XXVI Fin. 9. - Cellules d'un ganglion spinal traité par l'acide chlorydrique en solutio
les cel- lules une région circulaire vide. Fic.. 10. Cellule d'un ganglion spinal traité par l'acide chlorydrique en solutio
visible avec contour lumineux et brillant. Fie. 12. - Cellules d'un ganglion spinal de petit chien ayant séjourné dans l'alcoo
ns et sa luminosité est di- minuée. Fie. 13. - Cinq cellules d'un ganglion conservé dans le sérum hypertonique et dis- soc
érente. Planche XXVII. Fio. 14. Groupe de cellules provenant d'un ganglion conservé dans le sérum hy- pertonique et puis d
la cellule. Vide nucléaire atténué. FiG. t5. - Trois cellules d'un ganglion spinal d'un chien jeune, dissociées dans l'eau
examen après 5 minutes. Planche XXVIII. FiG. 18. - Cellules d'un ganglion de petit chien traitées par l'urée en solution is
la périphérie est plus touchée. FiG. 19. Cellules résistantes d'un ganglion spinal traité par l'ammoniaque à 1/200, les gra
cellules le nucléole est lumineux et granuleux. F20. Cellules d'un ganglion spinal ayant séjourné 4 heures dans du sérum prop
volume des cellules ne parait ps augmenté. Fin. 21. - Cellule d'un ganglion de petit chien âgé de 3 mois, dissocié dans le bi
série de segments médullaires, des racines rachidiennes avec leurs ganglions spinaux, des troncs nerveux périphériques et de
ne radiculaire des nerfs, plusieurs racines rachidiennes avec leurs ganglions spinaux ont été débitées en coupes longitudinal
ue de cheval examinés au-dessous du côue terminal. C'est près des ganglions spinaux qu'apparaissent les lésions (PI. XL). Il
lle s'observent déjà plusieurs millimètres avant le pôle central du ganglion rachidien, tandis que les racines S 1, et S 2, so
nettement sur les filets moteurs. Sur des coupes longitudinales des ganglions spinaux, nous avons parfois pu suivre le trajet
ont systématisées, elles atteignent les racines antérieures près du ganglion spinal et les nerfs mixtes; les nerfs cutanés e
ltérées. Ces lésions font défaut dans les nerfs cutanés et dans les ganglions spinaux. Cas DE Dubreuilh (2). - Publiés peu ap
grité des racines postérieures ; diminu- tion des cellules dans les ganglions spinaux ; dans les nerfs périphériques, diminut
ation) ; intégrité des racines antérieures et posté- rieures et des ganglions spinaux ; lepto-méningite postérieure chronique.
de l'épendyme, parfois état criblé de la substance grise. Dans les ganglions spinaux, atrophie cellulaire, dégé- nérescence
ant jusqu'à la RD. Examen histologique : Moelle nor- male. Dans les ganglions spinaux, les racines antérieures montrent une dim
atrophiées. Hypertrophie considérable des racines rachidiennes, des ganglions spinaux, des nerfs crâniens, rachidiens, spinaux
ètres). Planche XL Fio. la. - Racine rachidienne L3, au-dessus du ganglion spinal. Dégénérescence de la racine antérieure
ns que l'un de nous avec Pitulesco (1) a noté des alté- rations des ganglions solaires chez les paralytiques généraux, D'aill
eu irrégulier, qui se prolonge au-dessus ; il semble que ce soit un ganglion sus-épitrochléen ; on peut se demander si l'on n'
ateuses sont nombreuses, nettement dévelop- pées, et cependant, les ganglions lymphatiques n'existent pas dans ces régions. 1
ation d'adéno-lipome pour un lipome sus- elaviculaire englobant des ganglions calcifiés et concrétés, M. Delbet repoussait ce
meurs sont des lipomes périglan- dulaires se développant autour des ganglions comme des lipomes péri vis- céraux, périrénaux
masses occupent des régions du corps où normalement il n'y a pas de ganglions . UN cas d'adénolipomatose 487 M. Nattan-Larri
s points lymphatiques sont assez nombreux, mais on ne trouve pas de ganglions proprement dits. ' Quelle que soit l'étiologi
18 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
fre les mêmes lésions dans le lobe inférieur, mais moins avancées Ganglions bronchiques sains. - ' Examen histologique :
et personnels. Irascibilité. Violences. .Am/gdaHte. Engorgement des ganglions rétro-maxillai- res. Laryngite. Eczéma de la fa
njonctivite purulente. Diarrhée. Exa- mens du sang. Tuberculose des ganglions contenus dans le thorax et l'abdomen, des poumo
he. 2 : 3 {éeriei', - Amygdalite simple; un peu d'engorgement des ganglions rétro-maxillaires. La toux est rauque, la voix
odure de fer. 4 avril. - Revaccination sans succès. 18 avril. Les ganglions rétro-maxillaires ont en grande partie disparu
de 7 cent. de hauteur sur 8 cent. de largeur ; elle se compose d'un ganglion antérieur le plus gros, et de deux autres posté
t. 5 de haut et de large. Dans l'aisselle gauche, il y a un amas de ganglions tuméfiés de 5 cent. 5 de large et de long; enfi
5 cent. 5 de large et de long; enfin dans l'aisselle droite est un ganglion du volume d'une petite noix. On ne constate rien
sse sous-maxil- laire droite a, au contraire, diminuéde volume. Les ganglions sont isolés et durs. De temps à autre, l'enfant
sont décolorées. Au niveau des régions sous-maxil- laires, tous les ganglions tuméfiés forment des masses énormes au-dessous
hypertrophie ganglionnaire est surtout mar- quée à gauche, où deux ganglions ont acquis le volume d'un oeuf de poule, princi
jusqu'au triangle sus-claviculaire. A droite, cette tuméfaction des ganglions du cou est moins marquée ; deux d'entre eux ont
chaîne se continue de même jusqu'au triangle sus- claviculaire. Les ganglions sous-maxillaires des deux côtés ont le volume d
e prolonge dans l'aisselle jusqu'à son sommet; elle est formée de ganglions du volume d'un oeuf de poule au plus. A sa surfac
rs ganglionnaires du volume d'une petite noix. On ne constate aucun ganglion tuméfié dans les aînés. Les veines thoraciques
appendice xiphoïde. en avant du péritoine pariétal, il y a un petit ganglion de la grosseur d'un noyau de cerise. Tous les g
y a un petit ganglion de la grosseur d'un noyau de cerise. Tous les ganglions rétro-sternaux sont hypertrophiés et caséeux. -
. Adhérence totale des deux plèvres avec cloisonne- ment, à gauche. Ganglions bronchiques hypertrophiés, ainsi que tous ceux
tient de la graisse et quelques gan- glions hypertrophiés, Tous les ganglions situe ? au niveau de la petite courbure et de l
de courbure de l'estomac, sont hypertrophiés, volumineux.- Tous les ganglions }né.setté2'i- qne8 le sont également, 31n ? i q
périeur de la même côte. Disons enfin que l'examen histologique des ganglions du cou, nous a révélé au centre de ceux-ci la p
ès congestionnée, et farcie de tubercules caséeux et crus. Tous les ganglions péri-spléniques et tous ceux qui sont situés au
t très hypertrophiée, et se confond à sa partie inférieure avec les ganglions caséeux. Le rein gauche (90 gr.) se décortique
ns volumineuse que la gauche; elle n'est qu'en partie caséeuse; les ganglions du hile sont également caséeux, comme ceux de g
duodénum et l'estomac ne présentent rien de partiou- lier. Tous les ganglions iléo-coecaux sont hypertrophiés et caséeux. Int
s d'ori- gine tuberculeuse. Le long du canal thoracique, tous les ganglions sont hypertrophiés, caséeux, mais les parois du
ns doute aux troubles de compression occasionnés parla présence des ganglions volumineux du cou. IV. La maladie (adénie ou
IV. La maladie (adénie ou tuberculose) a. commencé par envahir les ganglions du cou puis s'est généralisée à la presque tota
s ganglions du cou puis s'est généralisée à la presque totalité des ganglions (aisselle, thorax, mésentère). Cette affection
aire, comme semblent le prouver : 1" l'examen bactériologique des ganglions du cou; fait post-mortem, examen que nous avons
nce des bacilles tubercu- lcuse ; 2° la dég6nérescencc caséeuse des ganglions du cou, des ganglions rétro-sternaux et abdomin
- lcuse ; 2° la dég6nérescencc caséeuse des ganglions du cou, des ganglions rétro-sternaux et abdominaux ; 3° l'évolution c
sémateux est légèrement congestionné à sa partie posté- rieure. Les ganglions du hile sont durs à la coupe, non tumé- fiés.
t obligé d'arracher avec lui une masse volumineuse de graisse et de ganglions , adhérente au hile. Il est volumi- neux, allong
19 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
ation de la région gauche de l'abdomen est douloureuse, on sent des ganglions mais la résistance des parois n'est pas augmentée
es ganglions mais la résistance des parois n'est pas augmentée. Les ganglions du pli de l'aine gauche sont mieux palpables qu
iration stridente. Aux organes abdomi- naux rien de notable. Pas de ganglions dans l'aisselle ou dans le pli de l'aine. L'art
ouge-brunâtre. La rate est augmentée, rouge, se déchire facilement. Ganglions bronchiques très augmentés, à la coupe lisses e
'une consistance cérébrale. Au cou, le long des gros vaisseaux, les ganglions lymphatiques sont très gros et transfor- més en
multiples du corps, par exemple un carci- nome de l'estomac et des ganglions cervicaux et des masses cancéreuses qui du cou
! ) et comprimait les nerfs et les vaisseaux dans le voisinage des ganglions spinaux. Il existe une autre catégorie de tumeu
e vertébrale même, y causant la compression des nerfs (non loin des ganglions spinaux) et des vaisseaux, et par suite, des lési
uelle, la fréquence des engelures graves, la tuméfaction froide des ganglions . (A suivre.) OSPEDALE AGGIORE DI BOLOGNA SE
ours après. L'autopsie fit consta- ter un ramollissement ancien des ganglions de la base de droite, des hémor- ragies récente
des ganglions de la base de droite, des hémor- ragies récentes des ganglions de la base de gauche et une endoartérite de plu
plus exactement, des prolongements sensitifs ectodermiques issus du ganglion de sa racine postérieure ; 2° le îzffitiîts-7jy
buer avec certitude à une lésion de la racine postérieure entre son ganglion et son entrée-dans la moelle. Comment peut-on
ganglionnaire de His (ou de son prolongement encéphalique), futurs ganglions des racines postérieures, les cellules ganglion
ut-être, la patho- génie des naevi. Il suffit de rappeler que le' ganglion de la racine postérieure et le gan- glion sympa
nt pour aller constituer de chaque côté de la colonne vertébrale le ganglion de la chaîne sympathique ; soit, qu'avec M. Bar
rbieri, on fasse surgir du système du grand sympathique lui-même le ganglion nerveux des racines postérieures. Quoi qu'il en s
un rameau périphérique, soit un rameau intermédiaire allant vers le ganglion sympathique voisin. Il y a, en somme, communica
et des fibres médullaires centripètes (Langley, Roux) ; et avec le ganglion de la racine postérieure par des filets centrif
ilets centrifuges et centripètes, sans compter de véritables petits ganglions sym- pathiques accolés au ganglion de la racine
ns compter de véritables petits ganglions sym- pathiques accolés au ganglion de la racine postérieure (Marinesco). Donc cont
mon et Moche (2), systématisée à tous les nerfs périphériques, aux ganglions rachidiens et à tout le système sympathique, à
s arthropathies. Encéphale, 1908, n° 5, mai. 2) SimoN et Hoche, Les ganglions nerveux des racines postérieures appartiennent-
erritoire innervé par un nerf centripète. Si la lésion porte sur un ganglion sympathique, la répercussion se produira sur le
nglion sympathique, la répercussion se produira sur les cellules du ganglion de la racine postérieure du même métamère, dont
e névritique. Il en sera de même si la lésion initiale porte sur le ganglion de la raci ne postérieure, ou sur un groupe de
un peu de douleur; il n'y a ni douleur provoquée, ni empâtement, ni ganglions inguinaux. Cet état date d'en- viron huit mois
ques tubercules crus de la grosseur d'une forte tête d'épingle. Les ganglions hilaires ne sont pas hyper- trophiés. Les fac
gros intestin, l'appendice, le grêle, le pancréas sont normaux. Les ganglions mésentériques et pararachîdiens ne sont pas hyper
z prononcée d'origine inconnue. L'examen du coeur, du poumon, des ganglions n'a révélé aucun phénomène spécial. Il ne se
hémisphère, on ne rencontre rien du côté des circonvolutions et des ganglions de la base. Une section horizontale, passant à
pé- rieur de l'hémisphère, montre toutes les circonvolutions et les ganglions cen- traux normaux : les circonvolutions de l'i
e de Anton et Zingerle) ; 3° une partie inférieure qui recouvre les ganglions de la base. L'auteur admet d'ailleurs que son f
a couche optique gauche est extrêmement saillante, d'autre part les ganglions de la base semblent parfaitement normaux. L'hém
on longitudinale irrégulièrement rhombique, au fond de laquelle les ganglions de la base font saillie. La corne occipitale est
typiques sont nettement re- connaissables. La glande pinéale el le ganglion de l'habénula font défaut. Le troisième ventric
pêtrière). I. ORIGINE DES COURTS nerfs ciliaires chez L'HOMME. Le ganglion ciliaire, situé sur le bord externe du nerf optiq
nimes sur les rapports des noyaux de l'o- culo-moteur commun et des ganglions ciliaires avec les nerfs ciliaires, c'est-à-dir
éressante de l'innervation de l'iris et de l'anatomo-physiologie du ganglion ciliaire, et ayant surtout ici pour but de mettre
x muscles iriens et au muscle ciliaire, en traversant simplement le ganglion ciliaire, ou bien s'arrêtent-elles dans ce dern
ion de faire un examen histologique complet des nerfs ciliaires, du ganglion ciliaire, de la IIIe paire et du trijumeau ains
du ganglion ciliaire, de la IIIe paire et du trijumeau ainsi que du ganglion de Gasser. La malade est morte à l'âge de 55 an
extrême- ment prononcée ; l'examen de la moelle, des racines et des ganglions n'a pas encore été fait. Les nerfs optiques é
us caverneux et coloré par l'acide os- mique el le picro-carmin. Le ganglion ciliaire avec les courts nerfs ciliaires (jusqu
é fixés ensemble par l'acide osmique. Il a été fait de même pour le ganglion de Gasscr. La portion de la Ille paire, compr
t été faites aux deux extrémités. L'ensemble des nerfs ciliaires,du ganglion ciliaire du nasal, des rameaux de la IIIe paire
ion ciliaire du nasal, des rameaux de la IIIe paire, des racines du ganglion ciliaire jusqu'à leur coalescence avec leur bra
paraffine, ce qui représente un total de près de 2.000 coupes. Le ganglion de Gasser a été débile en coupes longitudinales s
V, D. F). Il en est d'ailleurs de même des longs nerfs ciliaires. Ganglion ciliaire. - Les cellules apparaissent dans les ne
. - Les cellules apparaissent dans les nerfs ciliaires avant que le ganglion ciliaire ne soit définitivement constitué. A mesu
n examine des coupes de plus en plus rapprochées du pôle central du ganglion , les fibres à myéline diminuent, surtout dans la
saines y sont très rares (PI. LXIV, E). A la limite supérieure du ganglion on distingue un petit filet nerveux qui se diri
ontant vers l'émergence du sillon interpédonculaire. Trijumeau et ganglion de Gasser. Le bout central de la racine sen- si
rescence peut être poursuiviejusquedans le nerf. Le pôle central du ganglion de Gasser est creusé de fissures qui ont respecté
éduire que les courts nerfs ciliaires prennent leur origine dans le ganglion ciliaire et non dans les noyaux mésencéphalique
motrice du trijumeau de l'intégrité de la racine dite sensitive du ganglion ciliaire, on ne peut que confirmer l'opinion cl
nfirmer l'opinion classique d'après laquelle la ra- cine fournie au ganglion ciliaire par le trijumeau est formée défibres cen
ment, à la suite des travaux de Marina,-on tend à localiser dans le ganglion ciliaire ou les nerfs ciliaires la lésion qui d
ina a trouvé en effet une diminution dans le nombre des cellules du ganglion ophtalmique, mais la principale altéra- tion co
topsie, quatre jours dans un cas. Dans ces deux cas j'ai étudié les ganglions et les nerfs ciliaires, et ce sont les résultats
e sujet du présent travail. J'ai examiné également les nerfs et les ganglions ciliaires dans.un troisième cas de tabes, mais il
boli. Examen histologique. - D'un côté les nerfs ciliaires avec les ganglions et les racines ont été imprégnés par la méthode
par l'acide osmique et le picro-carmin. a) Examen par l'argent. Le ganglion ciliaire ne présente aucune diffé- rence avec u
rgent. Le ganglion ciliaire ne présente aucune diffé- rence avec un ganglion normal, traité par la même méthode. Celle-ci perm
interstitielle. Sur les coupes passant par le pôle périphérique du ganglion ou par les nerfs ciliaires, à leur émergence (P
liers. Les coupes transversales des courts nerfs ciliaires entre le ganglion et leur pénétration dans la sclérotique sont ma
en voie d'évolution ou à l'état de cicatrisation. Les racines du ganglion sont normales (PI. LXVI, A), de même que toutes
les coupes, en particulier celle dont provient la racine motrice du ganglion ciliaire. , Les longs nerfs ciliaires sont norm
amen par l'acide osmique et le picro-carmin. - Aucune altération du ganglion ciliaire, de ses racines, de la Ille paire, des n
Dejerine (Voy. fig. 306 à 319, p. 621 à 627). Dans ce cas un seul ganglion ciliaire, avec les nerfs ciliaires (à leur origin
'absence de dégénération dans les nerfs ciliaires et les racines du ganglion ciliaire ; par contre, elle ne permet pas d'ap-
abes a été vérifié à l'autopsie. D'un côté, les nerfs ciliaires, le ganglion ciliaire et les racines ont été impré- gnés par
imprégnées, les nerfs ciliaires sont absolument intacts, de même le ganglion : peut-être manque-t-il quelques rares fibres d
tout cas la différence avec la normale est à peine appréciable. Le ganglion de l'autre côté a été fixé par le sublimé osmique
s fascicules peuvent être considérés comme normaux. Les cellules du ganglion ciliaire ne présentent aucune altération, de même
l existe de dégénérescence dans les courts nerfs ciliaires, dans le ganglion ciliaire et dans les racines que ce dernier reç
'elle est in- demne de toute lésion. Nous n'avons-pas examiné les ganglions ciliaires par la méthode de Nissl, et on pourra
r cette méthode est bien difficile lorsqu'il s'agit de cellules des ganglions . Si de ces trois observations on peut conclure
Robertson peut se manifester sans qu'il existe de lésions dans le ganglion ciliaire, dans ses racines et dans les courts ner
actère ni même les relations exactes, se dirige en arrière vers les ganglions de la base, occupant il peu près le même siège à
grise qui relie l'écorce de la face médiane au tuber cinereum et aux ganglions de la base. La partie supérieure de cette paroi
V-D,et fig.3) est quelque peu modifiée, et on a l'impression que ce ganglion a subi dans sa totalité un mou- vement de rotat
yau dorsal de la couche optique et le long de la face médiane de ce ganglion , une abondance d'altérations vasculaires, et on
et se déploie plutôt à la façon de l'alveus de la corne d'Ammon. Le ganglion de l'habénula fait une saillie moins considérable
interruption jusque dans l'épaisseur du corps genouillé interne. Ce ganglion se détache avec un relief peu ordinaire grâce à
stologique que l'écorce. Correspondant au développement maximum des ganglions de la base et à l'arrivée sur la ligne médiane
ssez épaisse et très vasculaire, qui adhère à la face interne de ce ganglion sur toute sa longueur et qui représente très pr
la couche optique, mais toujours en côtoyant la face interne de ce ganglion dont elle n'est séparée que par un repli de la
20 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
nde pinéale, épiphyse, conarium. GC. Genou du corps calleux. GIP. Ganglion interpédonculaire. GMA. Gyrus métopique antérie
. G. Glande pinéale, 223. GE. Corps genouillé externe, 225. GH. Ganglion de l'habénule, 226. GI. Corps genouillé interne
sensitif externe, 255, 254. FSi. Faisceau sensitif interne, 255. GH. Ganglion de l'habénule, 245. Hip. Circonvolution de l'hipp
Faisceau sensitif interne, 270. GE. Corps genouillé externe, 258. GH. Ganglion de l'habénule, 258, 264. HAP. Pédoncule transve
le, 258, 264. HAP. Pédoncule transversal de la glande pinéale et du ganglion de l'habénule, 264, 265. IS. Stratum intermediu
nsitif externe, 548. FVA. Faisceau de Yicq d'Azyr, 552, 555. GAP. Ganglion de l'anse pédonculaire, 551. GIP. Ganglion inte
d'Azyr, 552, 555. GAP. Ganglion de l'anse pédonculaire, 551. GIP. Ganglion interpédonculaire, 552, 555. GLM. Globus medial
tus, 572, 575. FYA. Faisceau de Yicq-d'Azyr, 557, 559, 567, 568. GAP. Ganglion de l'anse pédonculaire, substance innominôe sous-
F. Faisceau pariéto-frontal, 588. FU. Fasciculus uncinatus, 587. GAP. Ganglion de l'anse pôdonculaire, 577. GLM. Globus medial
. Faisceau diffus du fornix, 406. FU. Fasciculus uncinatus, 405. GAP. Ganglion de l'anse pédonculaire, 591, 405. GUI. Globus med
frontal. FF. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet, 417. GAP. Ganglion de l'anse pédonculairc, 409. GRO. Ganglion basa
en crochet, 417. GAP. Ganglion de l'anse pédonculairc, 409. GRO. Ganglion basai optique, 410. GR. Gyrus rectus, 412. GS
sensitif interne, 453. 1 VA. Faisceau de Vicq d'Azyr, 429, 455. GAP. Ganglion de l'anse pédonculaire, 450. GE. Corps genouillé
Corps genouillé externe, 429. GI. Corps genouillé interne, 429. G1P. Ganglion interpédonculaire. 429. GSL. Substance grise du s
58. FS. Faisceau sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe. GII. Ganglion de l'habénule, 455, 458. GLM. Globus medialis,
Faisceau sensitif interne, 452. GC. Genou du corps calleux. GII. Ganglion de l'habénule, 452. GLM. Globus medialis, 455.
. Faisceau sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif interne. GAP. Ganglion de l'anse pédonculaire, 458. GE. Corps genouill
Meynert. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet, 459. GAP. Ganglion de l'anse pédonculaire. GE. Corps genouillé ext
vertical. FS. Faisceau sensitif. FU. Fascicidus uncinatus. GAP. Ganglion de l'anse pédonculaire. hFd. Hile du fascia den
Faisceau sensitif interne. GE. Corps genouillô externe, 465. GH. Ganglion de l'habénule. Laq. Laqueus. LC. Lamina convo
ncinatus, faisceau en crochet. FVA. Faisceau de Vicq-d'Azyr. GAP. Ganglion de l'anse pédonculaire. GE. Corps genouillé ext
Ganglion de l'anse pédonculaire. GE. Corps genouillé externe. GH. Ganglion de l'habénule. GI. Corps genouillé interne. G
21 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
umons (consolidation of the limgs). succombent au typhus fever. Les ganglions mésentériques sont quelquefois volumineux, très v
gère tuméfaction due au développement exagéré d'un certain nom-bre de ganglions lymphatiques. Souvent la santé n'est pas, à propr
longtemps attendre. Il peut arriver cependant que l'inflammation des ganglions lymphatiques intérieurs soit devenue le point de
minatrice. Parfois, les vaisseaux lymphatiques, et successivement les ganglions du membre où siège la tumeur, s'enflamment et se
ueur, se développer dans toutes les régions du corps où il existe des ganglions lymphatiques peu profondément situés ; mais c'est
la rigidité cadavérique est parfois très prononcée (Rigaud). 6. Les ganglions lymphatiques des diverses cavités du corps et ceu
idité cadavérique est peu prononcée, la putréfaction hâtive. — 6. Les ganglions lymphatiques qui forment les bubons et la plupart
u même de pus. Si le bubon est inguinal, ce sont, à l'in-térieur, les ganglions pelviens et lombaires qui se gonflent surtout et
ui se gonflent surtout et se ramollissent; ce sont, au contraire, les ganglions sous-sternaux, médiaslins et bronchiques qui se t
res, dans les cas où la nature de la maladie est restée douteuse, les ganglions lymphatiques profonds à peu près partout tumé-fié
anes muqueuses et séreuses, sont tachetées de larges ecchymoses ; les ganglions lymphatiques du mésentère, de la région lom-baire
as de zona du cou avec altération des nerfs du plexus cervical et des ganglions correspondants des racines spinales postérieures
ouvées en ces points-là rouges, tuméfiées, évidemment enflammées. Les ganglions intervertébraux présentaient des altérations anal
e plexus, évidemment sous l'influence de l'affeclion des nerfs ou des ganglions spinaux. Observation I. — Cancer du sein. — Dou
double : mort. — Autopsie : Noyau cancéreux du sein, des plèvres, des ganglions de l'aisselle droite, des côles répondant au sein
affaissement de la quatrième vertèbre cervicale ; — alté-rations des ganglions spinaux de la région cervicale droite ; — exa-men
spinaux de la région cervicale droite ; — exa-men histologique de ces ganglions . Il s*agit d'une femme âgée de 78 ans (Elisabet
i se sont développés tout récemment, au dire de la malade. Plu-sieurs ganglions volumineux très durs se rencontrent dans l'ais-se
ferment une certaine quantité de liquide séro-purulent; à droite, les ganglions de l'aisselle ont subi la dégénérescence cancéreu
comme à gauche, leur volume et leur coloration normales à droite, les ganglions spinaux, ainsi que les troncs ner-veux formés par
es particularités sont surtout remar-quables lorsque l'on compare les ganglions et les nerfs cervicaux du côté droit aux mêmes pa
lets nerveux émanant du plexus cervical. L'examen microscopique des ganglions et des troncs nerveux, rouges et tuméfiés, a démo
troncs nerveux, rouges et tuméfiés, a démontré ce qui suit : dans les ganglions , les cellules nerveuses ne présentaient pas d'alt
ations appréciables portaient exclusivement sur le tissu lamineux des ganglions et des nerfs et consistaient en un injection vive
e celle-ci avait été déterminée par la pression qu'exerçaient sur les ganglions et sur les troncs nerveux, au niveau des trous de
rensprung examine avec soin ces nerfs, ainsi que leurs racines et les ganglions intervertébraux correspondants. Les ganglions des
ue leurs racines et les ganglions intervertébraux correspondants. Les ganglions des cinquième et neuvième racines dorsales étaien
es racines antérieures et aussi les racines postérieures, entre les ganglions spinaux et la moelle, n'étaient nullement altérés
par leur coloration pâle, avec les branches nerveuses spinales et les ganglions . A ne considérer que l'altération des nerfs et
ique, à savoir la compression exercée parles parties osseuses sur les ganglions intervertébraux et sur les branches nerveuses dan
sculaire et l'hypergénèse du tissu lamineux sont restées limitées aux ganglions ainsi qu'aux nerfs spinaux et à leurs divisions p
soit aux racines antérieures, soit aux racines postérieures, entre le ganglion et la moelle. Ces dernières circonstances ont é
opi-nion que c'est surtout, sinon exclusivement, à l'inflammation des ganglions intervertébraux qu'il faut rapporter, dans les ca
en connexion directe. Nos connaissances concernant la structure des ganglions des racines postérieures des nerfs rachidiens et
nt en effet à démontrer que, chez les mammifères et chez l'homme, les ganglions des racines pos-térieures rachidiennes sont formé
es tubes nerveux venus de la moelle épinière ne font que traverser le ganglion . Le rameau afférent est constitué en partie par l
tubes du rameau afférent pro-venant de la moelle, qui ont traversé le ganglion , et en partie par des tubes émanés des cellules g
ieures ou sur ceux qui constituent les racines posté-rieures entre le ganglion et la moelle. Dans les cas patholo-giques qui nou
é, il est certain que les tubes nerveux qui ne font que traverser les ganglions et qui n'ont pas de communication visible entre l
racine postérieure d'un nerf rachidien,entre la moelle épinière et le ganglion , voit la partie de la racine qui tient à la moell
oelle s'altérer, tandis que le segment qui demeure en rapport avec le ganglion , conserve sa structure intacte. (Yulpian, loc. ci
du lieu d'origine de ces nerfs. Or, il est à peine admissible que les ganglions des racines postérieures 'soient affectes en pare
tion de ces nerfs et sans l'in-tervention obligée d'une affection des ganglions des racines postérieures. Mais quelles sont les c
s simples de l'estomac ; — Ulcération tuberculeuse de l'intestin, des ganglions mésentériques et des poumons. Le nommé Bitrac (
euses ulcérations tuberculeuses et plusieurs tubercules sous-muqueux. Ganglions mésentériques tuberculeux. Les autres organes a
de zona du cou avec altération des nerfs du plexus cervical et des ganglions correspondants des racines spinales postérieures.
3; — char-bons, 103, 105 ; — pétéchies, 105; — nécroscopie, 105 ; — ganglions lymphatiques, 106, 107 ; — rate, 106; — ecchymose
22 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
côtés très évidents. On peut palper et aper- cevoir facilement les ganglions inguinaux. La musculature du bassin et des memb
ître et un très volumineux thymus. Le coeur était hypertrophié, les ganglions lym- phatiques tuméfiés et les follicules splén
surrénale droite, le tissu adipeux du rein droit, le pancréas, les ganglions bronchiques, les deux corps thyroïdes et divers
nche de la moelle épi- nière et une dégénérescence des cellules des ganglions spinaux; en outre, il existe une atrophie impor
le professeur Pierre Marie) RECHERCHES CYTOPATHOLOGIQUES SUR LES GANGLIONS RACHIDIENS DANS DEUX CAS DE PARALYSIE SPINALE
typemonopiégique, l'autre à type paraplégique, nous avons pris les ganglions rachidiens de toutes les ré- gions (cervicale,
ues il nous été donné de constater la présence des lésions dans les ganglions rachidiens correspondant aux membres malades. Ain
le premier cas de paralysie spinale à type monopiégique, seuls les ganglions de la région cervicale du côté correspondant au
. Dans le deuxième cas de paralysie spinale à type paraplégique les ganglions de la région lombo-sacrée sont les seuls altérés.
proposons de décrire les lésions microsco- piques trouvées dans ces ganglions . Nous étudierons successivement : 1° les lésion
i-cellulai- res (altération des vaisseaux de la capsule fibreuse du ganglion et des capsules endothéliales). Avant d'entre
ULAIRES Les altérations rencontrées dans les cellules nerveuses des ganglions rachidiens de la région malade portent sur l'ap
même position, on peut la retrouver dans les cellules normales des ganglions sympathiques, des cornes antérieures de la moel
ole n'est pas, bien entendu, un phé- nomène propre aux cellules des ganglions rachidiens car on peut l'observer aussi dans d'
pyramidales de l'écorce cérébrale de même que dans les cellules des ganglions rachidiens on peut constater les mêmes phénomèn
généralisée de la substance chroma- tophile, dans les cellules des ganglions rachidiens, ce déplacement a lieu comme nous l'
urs d'aucune hypothèse, nous croyons pouvoir démontrer que dans les ganglions rachidiens, il y a deux sortes d'émigrations nucl
ucléole est un phénomène très fréquent dans toutes les cellules des ganglions rachidiens. Il est à peu près impossible d'exam
près impossible d'examiner une coupe, et surtout une coupe fine, de ganglions rachidiens sans pouvoir constater dans grand no
ait accord avec ce que nous avons constaté sur toutes nos coupes de ganglions rachidiens. Tout prouve que cette émigration pas-
qu'il se présente .sous le microscope. En exami- nant une coupe de ganglion rachidien, l'attention est attirée tout de suite
omène d'émigration passive s'observe très souvent sur les coupes de ganglions rachidiens qui, au point de vue cellulaire et pér
ire. (1) L'homogénéisation du noyau s'observe très souvent dans les ganglions rachidiens des individus âgés. 284 JONNESCO
r être à l'abri de toute interprétation erronée, il existe dans les ganglions rachidiens de la paralysie spinale, infantile, un
re Nouvelle Iconographie DE la SALPÉTRIkRE. T. XXIV Pl. XCI LES GANGLIONS RACHIDIENS DANS LA PARALYSIE SPINALE INFANTILE
après Ileuser, la membrane RECHERCHES (7TOPa1'fH0l.(7GIQUES SUR LES GANGLIONS RACHIDIENS 287 serait poreuse; pour Van Beneden
as de paralysie spinale infantile. Sur un grand nombre de coupes de ganglions rachidiens provenant d'individus morts au Cours
le valeur s'opposent : 1° Fait capital, dans certaines cellules des ganglions rachidiens, il existe normalement t des granula
i bien par les co- lorants acides et basiques. Dans les coupes de ganglions rachidiens d'individus âgés, morts au cours de
employant les mêmes méthodes de colora- tion,mais sur des coupes de ganglions de polyomyélite, les noyaux en état de dégénére
vacuolaires a été démontrée par un grand nombre d'auteurs dans les ganglions rachidiens de l'homme et des vertébrés. Ces cellu
s de l'homme et des vertébrés. Ces cellules se rencontrent dans les ganglions d'apparence normale et dans différents états pa
et Nelis (1898) (1) ont décrit des cellules vacuo- laires dans les ganglions rachidiens de lapin, et les considèrent comme app
pe cellulaire spécial ; Nelis (1899) retrouve ces cellules dans les ganglions rachidiens des animaux atteints de rage et croit
ue. Athias (190G) (3) décrit les cellu- laires vacuolaires dans les ganglions spinaux des animaux normaux (chiens, chats, cob
'elles présentent et la manière (Ion[ elles sont réparties dans les ganglions rachidiens examinés. Les cellules ainsi altérées
oins élevé mais toujours supérieur à celui qu'on rencontre dans les ganglions normaux. Ces vacuoles sont de forme arrondie, o
et NELIB, Quelques points concernant la structure des cellules des ganglions spinaux, 13ull. de l'Acad. royale de médecine de
ner- vosa mentale, 1900. (3) Athias, La vacuole des cellules des ganglions spinaux chez les animaux à l'état normal, Anat.
78, 1906. Nouvelle Iconographie DE la SALPLTRILRE. rig 4 , LES GANGLIONS RACHIDIENS DANS LA PARALISIEvSPINALE iVl'AVTILE
s les cellules nerveuses petites et moyennes de la zone centrale du ganglion , tandis que dans la zone périphérique ces cellu
s ganglionnaires. -- Dans le cyto- plasma de certaines cellules des ganglions rachidiens correspondant au membre paralysé il
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRitRE. T. XXIV. PI. XVIII LES GANGLIONS RACHIDIENS DANS LA PARALYSIE SPINALE INFANTILE
es lésions péri- cellulaires qui portent sur la capsule fibreuse du ganglion , les vaisseaux et les capsules endothéliales de
res. Examinons cha- cune de ces parties : 1° la capsule fibreuse du ganglion est considérable- ment épaissie et sillonnée d'
grand nombre de vaisseaux capillaires. En comparant deux coupes de ganglions appartenant à la même paire rachi- dienne,maisd
au côté paralysé et l'autre au côté sain, par exemple les sixièmes ganglions cervicaux du cas de paralysie spinale type mono
monoplénique, il est facile de constater que la capsule fibreuse du ganglion de la région paralysée est trois ou quatre fois p
trois ou quatre fois plus épaisse et plus vascularisée que celle du ganglion du côté sain. 2° Les modifications de la capsul
ue exclusivement immédiatement en dessous de la capsule fibreuse du ganglion ; an sur et à mesuie qu'on s'éloigne de cette c
ous-capsulaire, La présence de ces nodules a été constatée dans les ganglions rachidiens des animaux inoculés avec le virus pol
adili, G. Froin et J. Pignot (1) ayant eu l'occasion d'examiner les ganglions rachidiens d'un individu ayant succombé à la su
uë insistent sur « la ressemblance frappante » qui existe entre ces ganglions et ceux de la rage humaine expérimentale. En ce q
e les auteurs que nous venons de citer. L'aspect que présentent ces ganglions est en tous (1) Sur un cas parisien de Poliomyé
Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXIV. Pl. XLIV LES GANGLIONS RACHIDIENS DANS LA PARALYSIE SPINALE INFANTILE
e l'appareil réticulé (Cajal, Mari- nesco) (1). 3° Enfin tous les ganglions examinés sont très vascularisés à parties nombr
ense de périartérite scléreuse autour de tou- tes les artérioles du ganglion . En résumé, l'aspect général que présente une c
est le suivant : a) A la périphérie on voit la capsule fibreuse du ganglion très épaissie et abondamment vascularisée ; b)
I. FiG. 1. Fixation Dominici. Triple coloration Mallory. Coupe du V ganglion cervical. En (c) capsule fibreuse du ganglion ;
n Mallory. Coupe du V ganglion cervical. En (c) capsule fibreuse du ganglion ; (n, n, n" nodules poliomyéliques (n"') un nod
ment représentent le nucléole. Fio. 2. Même technique. Coupe du Vle ganglion cervical. En (c) capsule fibreuse ; (v) vaissea
e Mallory. coupe du Il' gan- glion sacré. En (c) capsule Obreuse du ganglion ; (ni deux nodules poliomyéliques fusionnés; (n
v' v") vaisseaux capillaires. Etc. 2. Même technique Coupe du IV' ganglion lombaire; (e) commencement d'envahissement de l
ceptionnellement présenté des signes de scrofule ou de tuberculose ( ganglions , otites, rachitisme). Enfin, en règle générale,
e et d'une longue convales- cence ; enfin il eut de 24 à 27 ans des ganglions cervicaux peu apparents, non suppurés. Pas d'al
isurrénal est graisseux et légèrement scléreux, on ne trouve pas de ganglion nerveux. Pancréas. - Le pancréas est sclérosé,
ndaires métastatirlues multiples) (3 pl,), par Caryopiullis, 440. Ganglions rachidiens (Recherches cylopallto- log igues su
ralysie spinale infantile (llecherehes ryto- pathologi(lues sur les ganglions rachidiens dans deux cas de - de date ancienne)
). 472. Jonnesco (Victor). Recherches cytopatholo- giques sur les ganglions rachidiens dans deux cas le paralysie spinale i
et LUI. Fête des fous du musée de Blois (Tnenrt.), XXIV et XXV. Ganglions rachidiens dans la paralysie in- f,mtile de dat
23 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
copique a pu être pratiqué sont rares; en outre les altérations des ganglions sympathiques peuvent encore prêter à discussion
On trouva en outre des lésions du grand sympathique cervical. Le ganglion cervical supérieur du côté droit est notablement
ERVEUSE. tenu. En somme sclérose ot dégénérescence graisseuse des ganglions . Nous avons rapporté cette observation avec que
m- pathique cervical droit et du sympathique gauche, sauf pour le ganglion cervical supérieur. Celui-ci atteignait un volume
res du sympathique n'étaient altérées ni au-dessus ni au-dessous du ganglion . Cette observation nous paraît être la seule da
nutes. La pupille réagit normalement à la lumière. Une lésion des ganglions du sympathique cervical reste possible : la pre
inférieure toutefois ce dernier est sain. Mais lorsqu'on arrive au ganglion cervical inférieur, il faut en quelque sorte sc
reflet de laplè- vre. Le tronc du sympathique cervical est sain; le ganglion cer- vical moyen est un peu plus gros de ce côt
du côté gauche; à gauche le sympathique est également normal. Le ganglion cervical inférieur est très développé, mesure env
sséminés. Les autres viscères sont sains. Examen microscopique du ganglion cervical inférieur, du côté malade. (Voir planc
eur, du côté malade. (Voir planche V'.) - L'enveloppe fibreuse du ganglion est normale; elle n'est pas épaissie et les vésic
es tractus celluleux qui partent de cette enveloppe exté- rieure du ganglion pour se diriger vers le centre sont plus volumi
ts sont seulement composés de fibres qui dissocient les éléments du ganglion sans présenter de cellules de nouvelle formatio
antage l'acide pi- crique. Les fibres nerveuses qui traversent le ganglion sont parfai- tement saines. Dans l'intérieur
le ganglion sont parfai- tement saines. Dans l'intérieur même du ganglion on trouve, au milieu du tissu conjonctif, quelq
s adipeuses bien colorées en . noir par l'acide osmique. Les autres ganglions cervicaux du sympathique sont sains. Ils ne pré
eux du côté gauche l'infiltration nucléaire que l'on trouve dans le ganglion cervical inférieur du côté malade. - Le tronc d
umé, prolifération nucléaire abondante, compression des cellules du ganglion qui s'atrophient : telles sont les deux altérat
que dans ces cas il y a quelque altération d'un ou de plusieurs des ganglions cervicaux du sym- pathique. Nous reviendrons pl
, les nerfs crâniens dits dorsaux engendrent à leur périphérie un ganglion qui adhère intimement il 1'épiderme. En cet endro
stance blanche ni que la névroglie. Présentation de préparations de ganglions spinaux de chat et de chien et de coupes de moe
de montrer que les cellules nerveuses normales présentent dans les ganglions et la moelle des réactions colorées différentes
tite cicatrice, située un peu au-dessous du pli inguinal droit; les ganglions de l'aine sont lé- gèrement augmentés de volume
n'existe pas du côté gau- che ; pas de cicatrices sur le pénis. Les ganglions de la nuque sont à peine augmentés, ceux du cou
trice de l'aine est restée après une suppuration anté- cédente d'un ganglion que le malade rattache à la brûlure de la fesse
res irido-dilatatrices, après s'être réu- nies au niveau du premier ganglion thoracique aux 1 Fr. Flanck. - Dict. encyclopéd
éphidrose. 11. Vulpian a, en effet, montré qu'après avoir excité le ganglion cervical su- LI CLINIQUE NERVEUSE. périeur et
ont ceux, par exemple, dans lesquels on constate une altération des ganglions sympathiques (notre observation II) et dans les
périences, à de nouvelles observations. Quant aux altérations des ganglions du grand sym- pathique cervical qui ont été sig
es autopsies de leurs malades certaines altérations portant sur les ganglions cervicaux et no- tamment sur le ganglion cervic
térations portant sur les ganglions cervicaux et no- tamment sur le ganglion cervical supérieur du sym- pathique. Ces lésion
pathique. Ces lésions peuvent-être ramenées à une hypertrophie du ganglion avec sclérose, altérations cellulaires consista
la paralysie générale une pigmentation marquée et une sclérose des ganglions du sympathique, et il n'est pas éloigné de cher
ication des phénomènes morbides qu'il a observés. Ces lésions des ganglions ne paraissent pas cepen- dant être toujours en
qu'il y eût eu d'éphidrose. Alarcacci a trouvé une injection des ganglions cer- vicaux avec une abondante prolifération nu
ce travail, les altérations que nous avons trouvées en examinant le ganglion cervical inférieur de notre malade. Ce sont j
à l'opinion des auteurs que nous venons de citer. Une lésion des ganglions cervicaux du sympathique peut amener une éphidr
face. Celle-ci est la conséquence de l'excitation des cellules du ganglion ou des filets nerveux qui la traversent. il e
clure, que des lésions de l'encéphale de la moelle, du tronc et des ganglions du grand sympathique cervical peuvent détermine
mental science, 1884, t. IL EXPLICATION DE LA PLANCHE V. Coupe du ganglion cervical inférieur du grand sympathique. A. Env
n cervical inférieur du grand sympathique. A. Enveloppe fibreuse du ganglion . B. Tubes nerveux intéressant le ganglion. C.
A. Enveloppe fibreuse du ganglion. B. Tubes nerveux intéressant le ganglion . C. Tissu cellule-adipeux et vaisseaux. D. Cl
et entourant des cellules ganglionnaires. E. Cellules normales du ganglion . F. Prolifération embryonnaire comprimant. G.
. Prolifération embryonnaire comprimant. G. Les cellules malades du ganglion . DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE' ; Par BOURNEVILLE
grise sont bien distinctes ; elles paraissent inaltérées. Plusieurs ganglions rachidiens, enlevés avec la gouge dans les trou
gaison se 'présentent avec la forme, le volume et la consistance de ganglions normaux. La moelle a été plongée aussitôt après
; état de mal. Pyo-piieuino-thoi-ax consécutif. Mort. AUTOPSIE. - Ganglions iléo-crecaux calcifiés; - pyo-pneumo- thorax ;
anormal dans la cavité abdominale. Sur le mésentère on trouve trois ganglions iléo-coecaux complètement calcifiés. L'estomac
blié à part 1. M. Joseph. Recherches relatives à la physiologie des ganglions spinaux. Conclusions. - 1° Les fibres motrices
Un certain nombre de fibres ner- veuses directes qui traversent le ganglion , sans entrer en relation avec les cellules de c
ans la moelle. Ainsi s'explique la dégénérescence partielle dans le ganglion et le nerf périphérique après la section centra
erfs, et la dégénéres- cence de la racine postérieure avec celle du ganglion après la section périphérique des nerfs. - 3° L
celle du ganglion après la section périphérique des nerfs. - 3° Le ganglion spinal confient un centre trophique autonome po
mais il n'y a pas d'argument sérieux à l'appui de l'opinion que le ganglion contient un centre pour les organes périphériques
DES PLANCHES. PLANCHE VI DES Jl'lllDJ\OS¡¡S DE LA FACE Coupe du ganglion cervical inférieur du grand sympathique. A. Env
n cervical inférieur du grand sympathique. A. Enveloppe fibreuse du ganglion . B. Tubes nerveux intéressant le ganglion. C.
A. Enveloppe fibreuse du ganglion. B. Tubes nerveux intéressant le ganglion . C. Tissu celliilo-adipeux ut vaisseaux. D. C
et entourant des cellules ganglionnaires. E. Cellules normales du ganglion . F. Prolifération embryonnaire comprimant. G.
. Prolifération embryonnaire comprimant. G. Les cellules malades du ganglion . Ê%Ieux. I.b. ILbIt183hY, nup. - 588. Archive
24 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lésions très avancées dans le grand sympa- thique, surtout dans les ganglions . Plus tard (1888), Krafft- Ebing, après avoir f
d nerf pétreux superficiel, qui, par le nerf vidien, les apporte au ganglion de Meckel, et elles gagneraient ensuite le cervea
e branche du trijumeau, par le petit nerf pétreux superficiel et le ganglion otique, soit, comme d'autres l'imaginent, au maxi
tout lieu de croire, en effet, que cette masse devait comprimer le ganglion géniculé du facial et que l'abolition du goût -n'
ût, pourquoi ces deux nerfs ont-ils, comme les nerfs sensitifs, des ganglions , qui sont l'homologue des ganglions spi- naux ?
comme les nerfs sensitifs, des ganglions, qui sont l'homologue des ganglions spi- naux ? Si la corde du tympan n'était pas u
ut avoir que le rôle d'un conducteur centripète, puisqu'il émane du ganglion géniculé ? De même pour la neuvième paire, dont
mane du ganglion géniculé ? De même pour la neuvième paire, dont le ganglion a la structure d'un ganglion spinal. Est-il pos
même pour la neuvième paire, dont le ganglion a la structure d'un ganglion spinal. Est-il possible d'admettre que le petit n
er deux fois deux groupes de gan- gelions : 1° celles du facial, le ganglion géniculé et le ganglion- de Meckel; 2° celles d
iculé et le ganglion- de Meckel; 2° celles de la neuvième paire, le ganglion d'Andersch e le ganglion otique. Ce serait là
Meckel; 2° celles de la neuvième paire, le ganglion d'Andersch e le ganglion otique. Ce serait là un fait exceptionnel, déro
es prolongements de cellules ganglionnaires semblables à celles des ganglions spinaux. ' Ces mêmes cellules donnent naissance
acines postérieures). Le nerf transmet les impressions sensibles au ganglion dont il émane, et de là elles gagnent le cerveau
nts. Ce nerf est à l'ori- gine, indépendant du lingual, il émane du ganglion géniculé; en sa qualité de nerf sensitif, c'est
nglion géniculé; en sa qualité de nerf sensitif, c'est bien vers ce ganglion qu'il doit diriger l'influx nerveux. De même, l
nerveux. De même, le grand nerf pétreux superfi- ciel émane du même ganglion , et ce n'est que très tard qu'il entre en rappo
ijumeau. De même encore, le nerf de Jacob- son est une émanation du ganglion d'Ander : ch. Si ces nerfs con- duisaient les s
ienne . est peu accusée, il faut sectionner le sympathique entre le ganglion ,cervical moyen et le supérieur; quand le goitr
and le goitre est plus accusé, la section doit porter au-dessous du ganglion moyen ; alors seulement que la tachycardie est
il faut descendre encore plus bas et couper les filets efférents du ganglion inférieur. L'ablation et l'extirpation totale (
tra-craniennes (résection du nerf maxillaire inférieur, ablation du ganglion de Gasser), les résultats sont toujours incerta
L'opération a consisté en la résection de la partie inférieure du ganglion cervical supérieur avec 3 centimètres et demi à 4
t que la section du sympathique, l'excision et les tiraillements du ganglion cervical supérieur ont déterminé une excitation
as observé d'éruptions cutanées, pas de plaques dans la bouche. Ses ganglions sous-maxillaires se sont un peu hypertrophiés e
niques et sur qui M. Quénu a pratiqué la résection bilatérale du ganglion cervical supérieur du grand sympathique et du tro
croit pouvoir admettre au moins trois types de cel- lules dans les ganglions spinaux : Le premier type comprend surtout de g
il y a eu, pendant l'opération, lésion du grand sympa- thique et du ganglion cervical supérieur. Chose particulière, il n'y
sseaux que par l'apla- tissement des masses qui sont le vestige des ganglions cen- traux. Hémisphère droit. La configuratio
s. A l'autopsie, on trouve un cancer du corps du pancréas; quelques ganglions mésen- tériques et rétro-péritonéaux augmentés
es, au contraire, paraissent contenir une substance caséeuse. Les ganglions péribronchiques sont aussi augmentés de volume; q
on démontrent la nature tuberculeuse de la substance caséeuse des ganglions et des capsules surrénales. Les recherches hist
ature cancéreuse du néoplasme du pancréas ainsi que des nodules des ganglions du mésentère, des ganglions rétro-péritonéaux e
e du pancréas ainsi que des nodules des ganglions du mésentère, des ganglions rétro-péritonéaux et de ceux des capsules surré
gi, on sait que les cellules nerveuses de la chaîne ventrale et des ganglions de ces êtres vivants, quoiqu'appartenant surtou
e aux muscles. Mais, de sa cellule d'ori- gine jusqu'à sa sortie du ganglion abdominal, ce prolongement (Staminfoî,satz) 611
ne convient pas d'affirmer erieq d'absolu touchant les cellules des ganglions abdominaux ebque chaque cas doit être examiné à
ion apportée par les libres terminaisons des nerfs sensitifs dgub e ganglion , et la transformation de la sensation en impuisio
encore être appelées de ce nom : ce ne sont point les cellules des ganglions spinaux, qu'on a appelées apolaires, car il n'e
es poissons sont des diaxones. On rencontre des polyaxones dans les ganglions viscéraux du sympathique, la couche moléculaire
non seulement des cellules ner- veuses adendriliques (cellules des ganglions spinaux, etc.), mais aussi des prolongements ne
Golds- cheider. Toutefois l'accord subsiste quant aux cellules des ganglions spinaux, l'hypothèse des excitations périphériq
donné récemment une descrip- tion de la structure des cellules des ganglions spinaux, provenant de la moelle épinière d'un s
ment à la structure de la substance fondamentale des cel- lules des ganglions spinaux, chez l'homme et chez d'autres mam- mif
s souvent 6 ta. Com- parés aux autpes noyaux, ceux des cellules des ganglions spinaux sont d'une structure plus développée. L
e branche périphérique et en une branche centrale. Les cellules des ganglions spinaux de l'homme sont fortement pigmentés. Ce
effet trouvé ces éléments : ils occupent la couche moyenne de ces ganglions ; ce sont de petites cellules fusiformes d'où sort
seul le courant nerveux dans le sens cellulifuge, de la cellule du ganglion dans la moelle épinière; le prolongement périphér
riphérique conduit dans la direction cellulipète l'onde nerveuse au ganglion , c'est-à-dire les impressions tactiles, thermiq
fient dans la peau. Il en est ainsi chez l'amphioxus (Retzius). Les ganglions spi- naux font défaut; les cellules sensitives
e de Smirnow : à côté des cellules d'origine, qui envoient vers les ganglions centraux leur long prolongement cylindraxile, i
erveux ou cylindraxiles. La fibre sensitive qui, d'une cellule d'un ganglion spmal pénètre dans la moelle épinière, y émet,
e la moelle épinière. Grâce à ces collatérales, chaque cellule d'un ganglion spinal peut déployer son activité sur un do- ma
eehules d'origine du nerf pathétique, unipolaires, des cellules des ganglions cérébro-spinaux en général (ganglions interver-
unipolaires, des cellules des ganglions cérébro-spinaux en général ( ganglions interver- tébraux, ganglions de Gasser, etc.).
ganglions cérébro-spinaux en général (ganglions interver- tébraux, ganglions de Gasser, etc.). Quant à la question de sovoir
se comportait d'une manière z identique à celui des cellules de ces ganglions , s'il présentait la division en deux rameaux à
on du noyau. Le même phénomène se manifeste dans les cellules des ganglions intervertébraux. Dans le bulbe et la moelle épini
réquentes fut opéré par M. Jaboulay, qui fit l'extirpation des deux ganglions sympathiques supérieurs. Après l'opération, les
s. En effet, tandis que les cellules des cordons postérieurs et des ganglions interverté- braux ne présentaient pas d'anomali
s la protubérance, le bulbe, la partie supérieure de la moelle, les ganglions sympa- tliiqties. Foi,i ? ie ai2atoiniqiie; 2
à une lésion du neurone sen- sitif direct par altération, soit d'un ganglion rachidien ou prolon- gement périphérique d'où u
25 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mesure qu'on examine les segments de la racine plus rapprochés du ganglion , si bien qu'elle atteint son maximum dans la ré
ns histologiques se multiplieront. Dans ces deux cas, sitôt que les ganglions rachidiens eurent été extraits de leur canal os
E ET RÉFLEXES TENDINEUX. J ! 1 leur volume relativement énorme; ces ganglions avaient, pour la plupart, triplé de dimension,
'à l'état normal, l'espace sous-arachnoï- dien se continue jusqu'au ganglion , en envoyant des diver- ticules à travers les f
génie des symptômes catatoniques, en envisageant l'excitalion des ganglions sous-corticaux comme cause de l'affaiblissement
de Meynert concernant la dépendance des mouvements automatiques des ganglions corticaux.- , En profitant des connaissances
orce cérébrale qui, en influant d'une manière d'inhibition sur- les ganglions sous-corticaux, communique aux mouvements la ré
nditions de la distri- bution des conducteurs entre l'écorce et les ganglions sous- corticaux (Brissaud, Bechtereff). Je pens
MUSGRAVE-CLAY. II. Influence des recherches récentes concernant les ganglions des racines postérieures sur l'étiologie du tab
le Dr Orr venait de montrer à l'aide de projections lumineuses, les ganglions des racines posté- rieures et les altérations q
onnes postérieu- res de la moelle avait pour siège les cellules des ganglions des ra- cines postérieures, et l'on décrivait l
des maladies du système nerveux, Sir William Gowers disait que les ganglions sont généralement normaux et que les lésions de
on décrit d'abord les types de cellules que l'on rencontre dans les ganglions normaux, puis on indique les modifications subi
es lésions signalées sont très communes dans les états morbides des ganglions spinaux, et qu'il n'a rien trouvé qui fut parti
moelle et le peu d'importance relative des lésions des cellules des ganglions des racines posté- rieures, on est conduit à af
se, revêt la forme de névrite périaxillairede Gombault. 3. Dans les ganglions intervertébraux, les cellules sont atteintes de c
dans la para- lysie faciale, et il subsiste après l'extirpation du ganglion de Gas- ser. Faits à l'appui. Le tremblement fi
ment sur les lésions des racines postérieures de la moelle et des ganglions rachitiques dans onze cas de tabes confirmé, vena
ression veineuse axillaire par une récidive du néoplasme dans les ganglions . On tenta une nouvelle opération avec curettage
nduration de la peau à la partie supérieure de cette cicatrice. Les ganglions axillaires correspondants sont immobilisés, hyp
res ne soient de cet ordre et que ce que nous constatons pour les ganglions accessibles à nos moyens d'investigation, soit ég
sibles à nos moyens d'investigation, soit éga- lement vrai pour les ganglions profonds du thorax et de l'abdomen. Ainsi expli
ncers végétants du sein, à cause de leurs rapports intimes avec les ganglions de l'aisselle, les cancers de l'utérus, ceux de
. Tous les organes abdominaux sont farcis de ces nodules ; certains ganglions sont hypertrophiés et dans quelques points se d
es grosses bronches, et, la base de la trachée est engainée par les ganglions du médiastin hypertrophiés. Nous avions donc l'
ier, pourront également dès le début de leur évolution, envahir les ganglions de cette région. La veine axillaire est presque
es- sion des l'ami communicantes du sympathique avec le pre- mier ganglion dorsal. Ce signe ne saurait donc exister que lo
LE SYSTÈME NERVEUX. 293 depuis la sortie des nerfs mixtes hors des ganglions rachi- diens, étaient englobés dans une masse c
ranien. Il semble y avoir une Fig. 12. Coupe du racial au niveau du ganglion génicnlé. 1, B, envahissement de la gaine de He
mitif qui leur a donné naissance, soit avec des vaisseaux ou des ganglions lymphatiques nettement envahis. Ce sont d'aille
et des racines et si les espaces lymphati- ques des méninges et des ganglions spinaux ne sont pas en rapport de communication
ns spinaux ne sont pas en rapport de communication étroite avec les ganglions abdo- minaux. - D'ailleursla phlébite cancére
e faire primitivement du côté des racines et îles méninges, par les ganglions et les lymphatiques prévertébraux; l'atteinte d
e-mère àce niveau, le cancer peut facile- ment pénétrer la gaine du ganglion spinal et les cellules epilLéliales envahissent
es trous de conjugaison. Le tissu cancéreux est en noir plein. A, ganglion lympalhique; B. ganglion spinal; C, dure-mère : n
Le tissu cancéreux est en noir plein. A, ganglion lympalhique; B. ganglion spinal; C, dure-mère : n. corps rrléLral; E,apo
r place, on rencon- tra une généralisation à tous les viscères. Les ganglions médiastinaux, mésentriques, prévertébraux, pelv
st épaisse, surtout au niveau des racines dorsales inférieures, les ganglions spinaux sont hypertro- phiés. (Fig. 1'). A l'
sseaux lymphaliques prévertébraux, rencontrait la r21ne mixte et le ganglion rilchi,liRI1. Celui-ci, entouré d'une gangue si
ction progressive des racines postérieures, depuis les cellules des ganglions rachidiens où elles naissent jusqu'aux centres gr
bulbe où elles se terminent, le processus marchant de la moelle aux ganglions . La lésion consiste en une atrophie lente qui f
abordent la dure-mère et celui où la racine postérieure aboutit au ganglion . Le tabes est la conséquence d'un envahisse- me
moelle la vessie avait obéi à une excitation spasmodique venue des ganglions sympa- thiques ou des cellules nerveuses conten
alement une exagération de la phosphores- cence du côté paralysé. Ganglions rachidiens dans le tabès : ' M. Thomas a examin
M. Thomas a examiné systématiquement et comparativement avec des ganglions de sujets indemnes de myélopathie des gan- glio
reux tabétiques. Il a toujours trouvé les cellules nerveuses de ces ganglions altérées et, cela d'autant plus, qu'on se rappr
ef une découverte faite il y a plusieurs années parM.Morat dans les ganglions spinaux de la grenouille. Il s'agis- sait de go
Le réflexe s'accomplit par les voies sensitives de l'articulation, ganglions spinaux, centres trophiques vaso-moteurs de la mo
ganglions spinaux, centres trophiques vaso-moteurs de la moelle, ganglions sympathiques et nerfs vaso-moteurs. Les altératio
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ce qui touche les cellules des ganglions spinaux postérieurs. Ces cellules, on le sait,
lz (.h·anl, 31B , Fnlr·.nnEmn. Voir Liquide céphalo- rachidien. Ganglions . Voir Tabes dorsalis. r.i .hidieiis dans ietduc
ares dorsalis. Influence des re- cherches récentes concernant les ganglions des racines postérieures sur l'étiologie du dor
26 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des branches du trijumeau et 92 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. du ganglion sphéno-palatin dans l'olfaction; telle l'observat
struction des lobes olfactifs), Prévost (destruction successive des ganglions sphéno-palatins : et des lobes olfactifs). L'ex
e surplus d'atrésie ou d'inégalité de développement de tel ou tel ganglion ou système appelle une nouvelle induction physiol
réflexe du tubercule bi ju- meau antérieur, les relations avec les ganglions de la sphère visuelle corticale du corps genoui
du corps strié, mais bien isolée de l'écorce et du territoire des ganglions de la base sains. Intégrité de l'insula, de la ca
et parfaitement isolé également par du tissu médullaire sain des ganglions de la base. Nulle dégénérescence dans les organes
ses enveloppes. Clarl; appelle l'attention sur l'en- rorgement des ganglions cervicaux profonds, et il parait que les médeci
ment d'une altération primitive siégeant dans la moelle ou dans les ganglions rachidiens. Les névrites traumatiques et les dé
hérie vers le centre, et atteindre par une migration centripète les ganglions rachidiens et la moelle elle-même. , Les alté
elles qui infiltrent normalement les cel- lules de la moelle et des ganglions . Ces granulations, qui mesurent en moyenne de 1
de la fibre et renflements fusiformes (type 3). Les racines et les ganglions n'ont pas été examinés. Réflexions. Mêmes remar
t le onzième espace intercostal droits. Altération des nerfs, des ganglions et des racines postérieures. Un hasard d'autops
cation dans leur volume, leur consistance et leur coloration. Les ganglions , les racines et les portions de moelle corres-
rer un noyau irrégulier et vivement coloré par le carmin. Sixième ganglion dorsal. Ce ganglion a été étudié au moyen de co
ier et vivement coloré par le carmin. Sixième ganglion dorsal. Ce ganglion a été étudié au moyen de coupes perpendiculaire
ainsi obtenues les fibres de la racine sensitive, qui traversent le ganglion , sont intéressées transversalement à leur direc
ossissement, (obj. 2 de Verick) on compare ces coupes à celles d'un ganglion normal, on est immédiatement frappé par la dimi
de la coloration de la myéline étant bien moins abondants dans le ganglion correspondant au zona que dans l'autre. A un plus
aucune modification appréciable. Racines correspondantes au sixième ganglion droit. Les racines antérieure et postérieure qu
son aspect, est devenue jaunâtre et finement granuleuse. Onzième ganglion dorsal droit. Ce ganglion, étudié comme le préc
jaunâtre et finement granuleuse. Onzième ganglion dorsal droit. Ce ganglion , étudié comme le précédent, après action de l'a
rf intercostal, dans les fibres nerveuses qui traversent le sixième ganglion rachidien et dans la racine postérieure attenan
ème ganglion rachidien et dans la racine postérieure attenante à ce ganglion . Le onzième nerf intercostal est aussi profondé
Le onzième nerf intercostal est aussi profondément altéré, mais son ganglion et les racines qui s'y rendent sont normaux. Le
on ganglion et les racines qui s'y rendent sont normaux. Les autres ganglions et les autres nerfs intercostaux sont sains.
oter dans le foie, la iate et les reins. Pas de tubercules dans les ganglions mésentériques, seulement un peu volumineux. Rie
exister dans l'oeil des centres nerveux particuliers, analogues aux ganglions intra-car- diaques. La putréfaction détruit le
r ? Chandelux,5,- ont .décrit des altérations interstitielles des ganglions rachidiens correspondant a Jât distribution du
l)i, servations rattachent l'éruption cutanée aux altérations des ganglions rachidiens. ,«, C'est [surtout, dit,Boercns-; p
tivement anciennes de Boerensprung et de MM..Charçpt et Cotard, les ganglions présentaient., un.,certain degré) de proliférat
TIQUES. 291 de M. Chandelux, le nerf intercostal correspondant au ganglion i, altéré n'a. pas été suffisamment étudié- : il
n 1 qui' 'rattache;, le 1 zonai, à, des altérations primitives' des ganglions rachidiens1' ne" repose' donc pas 'encore* sur
ion des nerfs est plus importante et plus Constante1' que celle des ganglions -rachidiens : A ce point de vuespéeial, l'obser
Ulfi '9'/tp"'f(P 1/ mi/ « ? < ., ? n...... . , .. .rations, des ganglions et,de la racine postérieure fussent t ? o ? o n
dent que,le,,zona n'est pas;nécessairement lie â^dés'1 lésions5 des ganglions rachtdiens;f·étqu'ilapeut 'tf m'cl`tlllttUJll4t
V " phériques,i avec- ou,saiisi altratioiis.,coiiconiitaiites des ganglions et des racines correspondants. au ùili.i Jaa 11
l.zé'iq Eii>iflJH'I10/B 0 mi il, . ttlli ? u - . 1 1 'Tilt Les ganglions lymphatiqueshnej présentent1 nu ! )e' part'uno
nches'' anastoinotiques- à -l'hypoglosse, .au j pneumogastrique, au ganglion cervical supérieur; M S, branche mastoïdienne sup
du cerveau directement en traversant le canal carotidien ou par les ganglions et plexus centraux, M. Rosenthal imagine la con
eil d'innervation cen- trale angiomusculaire, par la dépression des ganglions centraux 352' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. v
Foville, Bonnet. et Poinearré qui le rattachent à des lésions du ganglion cervical du grand sympathique, et termine en cita
27 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
iatus de Fallope avec ses orifices accessoires et la fossette pour le ganglion de Gasser. La face endocrânienne postérieure li
e du canal carotidien, on aperçoit la fossette pyramidale qui loge le ganglion d'Andersen, l'orifice externe de l'aqueduc du lim
et atteignaient le sommet de la pyramide. Au niveau de la fossette du ganglion de Gasser, il existait une cellule assez volumine
du conduit, soit par continuité, en suivant la voie lymphatique. Les ganglions parotidiens, en effet, qu'on divise en superficie
à la trompe d'Eustache, en bas au trou déchiré antérieur, en haut au ganglion de Gasser, en dedans au conduit auditif interne d
en. Il loge le nerf facial, le nerf intermédiaire de Wrisberg avec le ganglion géniculé, et l'artère stylo-mastoïdienne. Il mesu
et le limaçon, et s'élargit à son extrémité externe pour recevoir le ganglion géniculé. Elle s'engage ensuite entre le bec de c
rendre aux muscles du voile du palais sans interruption, au niveau du ganglion de Maekel ou sphéno-palatin. « Cette doctrine ana
dixième, onzième et douzième paires gauches étaient écrasées par des ganglions cancéreux. Le nerf facial gauche fut trouvé absol
aux fibres du facial, les libres de la corde du tympan atteignent le ganglion géniculé qui constitue réellement, d'après Retziu
éniculé qui constitue réellement, d'après Retzius et V. Lenhossek, un ganglion périphérique. Le prolongement des cellules unipol
ganglion périphérique. Le prolongement des cellules unipolaires de ce ganglion se bifurque en une fibre périphérique ou cellulip
enfoui dans une couche de tissu cellullaire et recouvert de quelques ganglions lymphatiques, souvent engorgés. Une fois bien iso
es pédonculaires. Les fibres de projection afférentes proviennent des ganglions infracorticaux (thalamus, tubercules quadrijumeau
vent à l'écorce ou en partent, en établissant des connexions avec les ganglions infracorticaux et le rhombencéphale. Elle compren
des fibres olfactives. L'abcès du lobe temporal pourra comprimer le ganglion de Gasser et produire des douleurs névralgiques d
par les prolongements internes ou centraux des cellules bipolaires du ganglion de Scarpa. Après avoir pénétré dans le bulbe, ent
fibres du faisceau rétro-réflexe de Meynert, et, finalement, avec les ganglions de la base et l'écorce cérébrale parles fibres ru
é d'embryologie. Paris, 1900. Hilgermann (R.), Die Betheiligung des Ganglion Gasseri bei Mittelohreiterungen. Zeitschrift fur
28 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t « logique- ment » admettre que cette restitution a lieu par les ganglions de labase, c'est-à-dire par les couches optiques
lobe occipital, surtout à la lésion des faisceaux optiques qui, des ganglions d'origine des tractus optiques, gagnent les lob
ance, d'une dégénération secondaire descendante, d'une atrophie des ganglions du mésocéphale consécutive à une large destruct
substratum anatomique, les uns l'écorce cé- rébrale, les autres les ganglions de la base. Mais les expériences de Munk nous p
che, petite plaque. idée. Pas de croûtes dans les cheveux. Quelques ganglions cer- vicaux. Quelques macules sur la peau. Les
l'alopécie, plusieurs taches brunâtres dans les cheveux ; quelques ganglions cervicaux ; une légère éro- sion du pilier anté
maîtres. Privation de vin et de promenade. - 31 aotît. - Quelques ganglions cervicaux et inguinaux. Rien aux organes génita
organes génitaux, ni dans la gorge. 22 novembre ? Encore quelques ganglions cervicaux à gauche. - Aucune syphilide. Prend r
insolent, grossier à la moindre observation. 0 Il porte quelques ganglions indurés dans les aisselles et dans les aines,-e
le cer- velet. P. KERAYAL. VII. Contribution A la physiologie des ganglions spinaux; par M. Joseph. (Neui,ol. Ceatralbl., 1
entre dans la moelle même. Quant à la raison de l'intercalation des ganglions spinaux sur le trajet, dans la continuité des r
Wal- er, CI. Bernard et de l'auteur, démontrent simplement que le ganglion en question possède une certaine puissance trophi
r ces nerfs un vrai centre trophique ? Sectionnant un nerf entre le ganglion et la périphérie, Joseph a vu que le gros de la
it, qu'il y avait, autrement dit, des fibres directes traversant le ganglion sans prendre d'attache avec les cellules et pui
le pied du pédoncule; c'est au pulvinar de la couche optique et aux ganglions de la bandelette optique qu'il se rend. M. PE
e- ment, l'étude des cordons médullaires, des nerfs craniens, des ganglions , de la couronne rayonnante, des fibres corticales
nt. La guérison des troubles intellectuels conduit à penser que les ganglions hémisphériques n'ont pas été intéressés, et que
ent son siège dans la couche optique et dans d'autres parties des ganglions d'ordre inférieur avec lesquels le nerf optique e
s seuls et uniques centres des muscles volon- taires, c'est que les ganglions de la base, les corps- striés en particulier, s
rvé que ce qu'il y avait encore d'automatique, d'organisé, dans les ganglions de la base. Ferrier ruine ainsi radicalement la
nclure avec nécessité, disent ex- pressément ces auteurs, que « les ganglions basilaires, 376 PHYSIOLOGIE. et spécialement
es de l'idéation », comme toutes les autres régions corticales, aux ganglions sous-corticaux. Les auteurs italiens se défende
urs d'attribuer une nouvelle fonction - une fonction psychique- aux ganglions de la base : il leur suffit, disent-ils, d'avoi
pour eux des faits bien et dûment prouvés) qu'il existe, entre les ganglions de la base et les « centres psychiques », des r
que pour édifier leur hypothèse des fonctions psycho-motrices des ganglions de la base, et des corps striés en parti- culie
moteurs, et l'on a attribué l'hémiplégie typique à la lésion de ces ganglions . On sait aujourd'hui que les paralysies motrice
oute. De ce que les fonctions motrices, si longtemps attribuées aux ganglions de la base, doivent être revendiquées, à titre
ènes de paralysie peut s'ef- fectuer, au moins en partie, grâce aux ganglions de la base. Luciani note même que, chez un chie
nt se comportent l'ensemble des cir- convolutions cérébrales et les ganglions de la base chez les divers animaux ? Où commenc
e cerveau antérieur des Cyclostomeset des Téléootéens se compose du ganglion de la base et des origines Archives, t. XVIII.
SOCIÉTÉS SAVANTES. des nerfs olfactifs. Le manteau qui recouvre le ganglion de la base consiste en une mincelamelle.lmpossi
aractéristiques du cerveau des vertébrés élevés en organisation. Le ganglion de la base, lui-même bien construit (noyau sphé
rs linéaments), d'une voûte à trois piliers. Chez les oiseaux, le ganglion de la base a atteint un volume inconnu chez les
rojeter de haut en bas en tous sens, aboutit à la dissocia- tion du ganglion de la base; au lieu de l'organe rudimentaire qui,
iste pas dans ces organes de centre d'action. Si l'on transperce le ganglion de la base au milieu du noyau caudé, on a de la
e tubercule auditif et le noyau antérieur de ce nerf; mais ces deux ganglions servent non seule- ment à cette racine, mais en
Fugues inconscientes chez les hys- tériques, par .1. Voisin, 277. Ganglions (physiologie des - spi- naux), par Joseph, 150
29 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des tubercules mamillaires, traverse simplement ceux-ci, entre le ganglion médian et le ganglion latéral, sans affecter plus
laires, traverse simplement ceux-ci, entre le ganglion médian et le ganglion latéral, sans affecter plus ample connexion ave
que se dirige intérieurement d'avant en arrière, et se rend dans le ganglion médian du tubercule mamillaire, d'où part un se-
ommé par de Gudden pédoncule du corps mamillaire, qui appartient au ganglion latéral sus- énoncé, et que l'on peut suivre à
tubercule antérieur correspondant, du faisceau de Vicq d'Azyr, du ganglion médian du corps mamillaire et du faisceau de la c
faisceau de Vicq d'Azyr, notamment dans le voi- sinage immédiat du ganglion atrophié ; la même observation peut être faite
ganglion atrophié ; la même observation peut être faite à propos du ganglion médian. Pourquoi ? Voici le résultat des recher
lation, les restes sus-men- tionnés demeurent intacts. C'est que le ganglion médian n'est pas simple ; il se compose, à son
nglion médian n'est pas simple ; il se compose, à son tour, de deux ganglions : un ganglion ventral postérieur, un ganglion d
'est pas simple ; il se compose, à son tour, de deux ganglions : un ganglion ventral postérieur, un ganglion dorsal antérieu
à son tour, de deux ganglions : un ganglion ventral postérieur, un ganglion dorsal antérieur. Le ganglion ven- Archives, t.
: un ganglion ventral postérieur, un ganglion dorsal antérieur. Le ganglion ven- Archives, t. XL 7 98 SOCIÉTÉS SAVANTES.
end du faisceau deVicqd'Azyr, il disparait avec ce dernier. Mais le ganglion dorsal antérieur, qui en est indépendant, persi
a paroi crânienne la cou- vexilé du cerveau, pour aller détruire le ganglion dorsal antérieur. Cette démonstration de l'exis
démonstration de l'existence dans chaque corps mamillaire de trois ganglions indépendants l'un de l'autre n'enlevé rien aux
e cérébral normal ; de là l'atrophie partielle du nerf lui-même. Le ganglion ventral postérieur meurt après le faisceau de V
de l'autre côté, conserve, verse du côté de la lacune produite ; le ganglion dorsal antérieur du même côté (opéré) fait de m
ôté (opéré) fait de même et présente son segment ven- tral entre le ganglion latéral de son côté et le ganglion ventral post
e son segment ven- tral entre le ganglion latéral de son côté et le ganglion ventral postérieur de l'autre côté ; il est com
n arrière ets'en- trecroise avec le faisceau de Meynert,qui unit le ganglion del'habe- nula (petit noyau grissuperficiel de
int où la commissure postérieure pénètre dans la couche optique) au ganglion interpédonculaire découvert par de Gudden'. Il
n, mais sur le dos du faisceau longitudinal postérieur, il y a deux ganglions volumineux dont les connexions et les dépendanc
s dépendances sont encore totalement inconnues. La destruc- tion du ganglion dorsal antérieur précité entraine la mort du gan-
calotte situés inférieurement, ainsi que de la portion ventrale du ganglion qui occupe le plan ventral du faisceau longitud
. (Voyez supra l'atrophie par compression de la portion ventrale du ganglion dorsal antérieur du corps mamillaire.) M. Gudde
ieur du corps mamillaire.) M. Gudden propose de donner son nom au ganglion situé sur le ventre du faisceau longitudinal post
écutive à la section du trijumeau est retardée par l'extirpation du ganglion cervical supérieur, mais cela provient de la pa
u, d'après laquelle la chorée indiquerait simplement une lésion des ganglions sous-corticaux, au sens strict du mot, c'est-à-
izontales du cerveau, la variété des sources d'irradiation dans les ganglions de la base et notamment les irradiations qui issu
L'examen des racines antérieures des quatrième, cinquième, sixième ganglions cervicaux, des deuxième et troisième ganglions
, cinquième, sixième ganglions cervicaux, des deuxième et troisième ganglions lombaires montre un très petit nombre de fibres
ration. Les racines postérieures des troisième, sixième, septième ganglions cervicaux , et des quatrième et cinquième gan -
'hypoglosse et du pneumo- gastrique et les diverses altérations des ganglions sympathiques observées par Echeverria, ne const
Poumons : congestion et oedème à la base, emphysème au sommet. - Ganglions péribronchiques indurés. Nombreuses plaques de
aurait une action spécifique opposée à celle de l'autre (action des ganglions dans les névroses viscérales). L'excitation dir
les névroses viscérales). L'excitation directe parles courants des ganglions vaso-moteurs et, par suite, le choix du genre d
30 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
ne cause de compression des vaisseaux sanguins ou lymphatiques. Les ganglions inguinaux sont nor- maux. L'absence de varice
; un des lobes supérieurs montre une réaction fibreuse intense. Les ganglions trachéaux sont tuméfiés, non caséeux. Il en est
nglions trachéaux sont tuméfiés, non caséeux. Il en est de même des ganglions mésentériques. Les autres or- ganes montrent de
ncore fermé en arrière pour le squelette avec le cône Lerntin.tl, les ganglions sen- sitifs et les nerfs. - t, Ics les deux <
erfs. - t, Ics les deux <'pendîmes du cône terminal; 2, 3, nerl et ganglion sac ré intérieurs; 4, aileron sacre; 5, ganglio
nal; 2, 3, nerl et ganglion sac ré intérieurs; 4, aileron sacre; 5, ganglion du sympathique sacré; 6, ganglion scnsitti sacré
intérieurs; 4, aileron sacre; 5, ganglion du sympathique sacré; 6, ganglion scnsitti sacré supérieur; 7, nerf sortant par l
comme sectionné, tout à fait indépendant de celui du côté opposé. Ganglions spinaux. Contrairement au névraxe le système de
pposé. Ganglions spinaux. Contrairement au névraxe le système des ganglions spinaux sensitissest Fig. 2. Les différentes co
gaine qu'envoie celte membrane au pourtour du trou osseux. Les dits ganglions sont très dé- veloppés à la racine des membres
tion normale et à distribution tout à fait typique. De chacun des ganglions (Schéma 2) du côté central part un petit tronc
ques millimètres s'arrêtent comme amputés. Il y a de même de gros ganglions spinaux lombaires et sacrés qui forment des ple
es et sacrés qui forment des plexus lombaire et sacré normaux ; ces ganglions ne sont pas fusionnés, mais réunis entre eux pa
es (Schéma 3). A la région dorsale on ne trouve par côté que 4 ou S ganglions , et 2 ou 3 seulement à la région cervicale. Les
ganglions, et 2 ou 3 seulement à la région cervicale. Les derniers ganglions sacrés et les coccygiens sont trouvés dans un s
complètement clos en arrière Schéma no 2. D. M. dure-mère. - g s. ganglion sensitif. 0 s. plan osseux. - N. phr. nerf phré
Cône terminal avec ses 2 épendymes et sur ses côtés les derniers ganglions sacrés. UN CAS d'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 139
UN CAS d'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 139 près du cône terminal. Ces ganglions présentent des neurones typiques, avec noyau ce
romatolyse. On constate très souvent dans la gangue fibreuse de ces ganglions des foyers hémorrhagiques ; les troncs nerveux
mais sans qu'il y ait encore de myélinisation. Sur les côtés de ces ganglions on trouve toujours des fibres nerveuses, qui repr
ieures accolées ; mais la dissection ne pouvait les sé- parer de ce ganglion et nulle part nous ne les avons trouvées distinct
sympathique a son développement normal tout le long du rachis ; ses ganglions ont des neurones normaux, qui envoient des rami
ui envoient des rami-communicantes à tous les nerfs qui émanent des ganglions sen- sitifs. Les nerfs émanés des ganglions s
nerfs qui émanent des ganglions sen- sitifs. Les nerfs émanés des ganglions sensitifs peuvent être suivis jusque dans la pe
s, une section plane ; dans l'orbite ils s'accolent inti- mement au ganglion ophtalmique et de là vont se distribuer normale-
oteur oculaire externe se fusionne avec les précédents au niveau du ganglion ophtalmi- que et, de là, va se distribuer au mu
ont la portion intradurale flottante est bien visible, se rend à un ganglion de Gasser d'où divergent les trois nerfs ophtalmi
laire inférieur. Le nerf facial est trouvé en avant et en dehors du ganglion de Gasser ; après un court trajet inlra-dural i
urt trajet inlra-dural il se jette tout entier dans un volumi- neux ganglion géniculé ; puis il traverse le rocher en rapport
au du trou déchiré postérieur ils conver- gent dans un seul et même ganglion . Ils en sortent- séparés et se distri- buent no
ou à part, en arrière du précédent; alors il vient se jeter dans le ganglion des nerfs précédents, puis s'en sépare et se di
sans anomalie. La dissociation de ces différents nerfs au niveau du ganglion commun était possible, mais à la condition de s
u ganglion commun était possible, mais à la condition de séparer ce ganglion lui-même en plu- sieurs parties ; cependant la
athique, car tous sont en rapport avec le système ganglion- naire : ganglion ophtalmique pour les nerfs moteurs de l'oeil, gén
Scm : n ? no 5. - C P. cavité pathologique. - D \i. dure-mère. - G S. ganglion sensitif. M. muscle. - G. Sy. grand sympathique
l'existence des nerfs moteurs crâniens et, en outre, au devant des ganglions spinaux, l'existence d'une racine antérieure, mot
ux, l'existence d'une racine antérieure, motrice, dis- tincte de ce ganglion . Il a relevé dans toutes ces formations la présen
s manoeuvres et le nombre répété d'examens dont il a été l'objet. Ganglions inguinaux très développés dans l'aine corresponda
31 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ture normale de l'écorce était' presque partout bien conservée. Les ganglions centraux et les noyaux dentelés montraient les
altérations anatomiques sont également les plus prononcées dans les ganglions sous- corticaux. Après cette courte récapitul
les caractères sont décrits plus haut et qui est localisé dans les ganglions centraux. Observation II. 1 Kr..., 45 ans, en
Tuberculose des poumons. Le long des grands vaisseaux cervicaux des ganglions lymphatiques bruns ; également dans la porta he
créas, consistance augmentée, brun jaune. Le long du pancréas des ' ganglions lymphatiques bruns. Cerveau (1.210 gr.). - Dure
x névrogliques clairs et déformés dans l'écorce et surtout dans les ganglions centraux et dans les noyaux dentelés le rapproche
ers, Wilson, etc. Mentionnons les foyers de désintégration dans les ganglions centraux, qui ne ressemblent nullement à l'imag
ge dans la méninge dure. A travers cette membrane, elle comprime le ganglion de la racine postérieure correspondante. La r
atteignant les couches sagit- tales très en avant, et tout près des ganglions de la base, ce foyer profond se trouve à interr
ent corticale et sous- corticale, c'esl-à-dire sans implication des ganglions infracorticaux. Sur ce grand nombre de cas il n
lesquels atteignent surtout le voisinage du bord supé- rieur de ce ganglion . - Les trois coupes microscopiques consacrées à
la couche optique, ainsi que l'affaissement du bord supérieur de ce ganglion . L'implication de la couronne rayonnante a rf-t
DU NOYAU ROUGE 207 à intensifier l'atrophie du bord supérieur de ce ganglion . Le corps du trigone demeure parfaitement incol
e optique. Sur les coupes passant par l'extrémité postérieure de ce ganglion , on constate que la lésion temporo-occipitale a d
optique, on remarque une atrophie notable du bord snpé- rieur de ce ganglion et une dégénérescence du stratum zonale, de la la
oyenne de la pariétale,ascendante. Le lobe temporo-occipital et les ganglions de la base sont absolument intacts. Bien qu'il
on remarque une atrophie déformante plus ou moins généralisée de ce ganglion , une décoloration très intense du noyau interne e
aire d'un grand nombre de fibres de projection destinées à d'autres ganglions . Ainsi, dans les lé- sionsde laface inféro-inte
la dégénérescence secondaire se porte en bas et en dedans vers les ganglions de la base en passant par la couronne rayonnante
le antérieur et les autres noyaux du bord dorsal ou supérieur de ce ganglion . Quant au noyau rouge, la dégé- nérescence seco
r ou len- ticulo-thalamiquede la capsule interne pour se rendre aux ganglions cen- traux et au pied du pédoncule cérébral. Ce
la couche optique (Charroi et Raymond), ou même à l'intérieur de ce ganglion , .surtout dans son serment po-Lél'o-inrél'ieur.
gument contre l'existence d'un centre de la mimique au niveau de ce ganglion . Il est possible que le rire et le pleurer spasmo
ers mi- nuscules bu du moins très circonscrits de la hase et de ses ganglions , qui semh ! ent déterminer ces diverses perlurh
e relation de cause à effet. La cause est la lésion zostérienne des ganglions spinaux, qui se propage vraisem- blablement à l
em- blablement à la racine antérieure. Les rapports internes de ces ganglions et de ces racines antérieurs expliquent facilem
facial (dans le canal intra-vilreux inextensible et étroit) par le ganglion géniculé, infecté et augmenté de volume. (1)
vant-mur sont sans altérations bien appré- ciables. Les cellules du ganglion ansae peduncularis ont l'aspect retrouvé dans l
ont les faisceaux entourent le noyau externe, le stratum zonale, le ganglion haberiulæ, la commissura posterior et tout le r
écorce cérébrale el cérébelleuse est intacte. Ce n'est que dans les ganglions in fr a- corticaux que nous trouvons des proces-
es' hémisphères sont examinés en coupes sériées. Ce sont encore les ganglions sous-corticaux qui montrent les altérations les
de, par suite d'un trouble quelconque (troubles congénitaux dans le ganglion inférieur du nerf sympathique ou peut-être de c
sympathique (d'après Wiener, la glande thyroïde est innervée par le ganglion inférieur du nerf sympathique, d'après Asher et
supérieur et inférieur, d'après Garnier et Villemin par différents ganglions du nerf sympathique et par le. nerf laryngé sup
fatigue de la cellule nerveuse, cérébrale, médullaire, ou même des ganglions sympathiques, parce que la débilité nerveuse es
32 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ations pupillaires appréciables. ' P. K. III. DE l'importance DES ganglions intervertébraux (Re- cherche expérimentale et h
es et antérieures avant l'extrémité inférieure de la moelle, et les ganglions spinaux; il porte encore sur quelques ganglions
e la moelle, et les ganglions spinaux; il porte encore sur quelques ganglions et sur quelques troncs nerveux en arrière. Il e
de la substance grise est simplement l'effet de la séparation des ' ganglions spinaux en connexion avec les racines postérieure
erait qu'il s'agit d'un trouble trophique qui, après la section des ganglions , se pro- page le long des racines postérieures
g des racines postérieures coupées vers le centre de la moelle. Les ganglions intervertébraux serviraient donc de foyer troph
du processus dégénératif, plus loin que la sphère commandée par les ganglions sectionnés , cette ascension serait non pas le
ascension serait non pas le résultat direct de la sépara- tion des ganglions , mais un phénomène de propagation par contiguït
- tive qui n'est pas immédiatement produite par la séparation des ganglions spinaux, mais qu'elle émane de la destruction d
en sillonnant la capsule interne de nombreux faisceaux, jusqu'aux ganglions de la région subthalamique ; d'autres, sans entre
onzième que voici : chez tous les animaux munis d'un amnios, les ganglions des deux paires antérieure et postérieure sont
ions corticales, et dérivent de la vésicule moyenne du cerveau. Les ganglions postérieurs sont des agglomérations annexées po
sous celle de paire antérieure des tu- bercules quadrijumeaux. Les ganglions postérieurs sont cachés chez la plupart des rep
. En général, leur développement est en raison inverse de celui des ganglions antérieurs, si bien que, chez les mammifères, l
ui sépare les tubercules antérieurs. En outre de ces deux paires de ganglions , il en existe une troi- sième paire chez les re
ment le genre de courants nécessaire. 8° Un état patholo- gique des ganglions spinaux peut, par action réflexe sur la moelle, ê
réflexe émanée de la queue de cheval ma- lade, c'est-à-dire de ses ganglions spinaux. - 100 L'aggravation bien connue des sy
ectrique). - Il,- L'électrisation de l'encéphale, de la moelle, des ganglions et du revê- tement cutané exerce une action pui
origine dans les organes centraux ou exceptionnel- lement, dans les ganglions . Elles se comportaient à l'égard des deux espèc
te une quantité considérable de tissu adipeux sur la dure-mère, les ganglions intervertébraux et les racines qui touchent à c
euse, facile détacher. Au mi- croscope, l'encéphale, la moelle, les ganglions intervertébraux, les ganglions du grand sympath
roscope, l'encéphale, la moelle, les ganglions intervertébraux, les ganglions du grand sympathique durcis (bichromate de potass
res de l'écorce, les cellules cérébelleuses de Purkinje, celles des ganglions spinaux et sympathiques; la dégénérescence y es
s; la dégénérescence y est simplement moins étendue; c'est dans les ganglions spinaux qu'elle est le moins accusée. Les vaiss
Menton rond. , ? rn . ' : .1 m" " l "'1 1(, Cou régulier, u^petit ganglion au niveau du sterno-mastoïdien gauche. le TIt9'
é de l'altération, ils font défaut. Intégrité des cellules des gros ganglions , de la protu- bérance, des noyaux, qui commande
he pigmentaire au-dessus du condyle interne du fémur gauche; pas de ganglions . Dynamomètre Mathieze : AI. D = 70,5 - M. G. 70
et à droite, une au haut du sillon interfessier. Rien à la verge : ganglions inguinaux très développés des deux côtés (syphi
s taches sont complètement effacées ; il ne reste plus que quelques ganglions dans les aines. 30 juin. Poids, 28 kil. 9; tail
n'y a rien dans la gorge, ni à l'anus; pas d'alo- pécie : quelques ganglions seulement dans les deux aines de l'ais- selle d
ernière molaire droite; menton très pointu. - - Cou grêle, pas de ganglions , pas de cicatrices. - Thorax peu développé, mai
ieurs grêles, bien conformés; mains violacées, doigts longs; pas de ganglions axillaires. Membres inférieurs maigres, sans dé
violacées et froides, doigts longs, voûte plantaire normale; pas de ganglions inguinaux. Organes génitaux. Verge petite, norm
rencontra également des nodules tuberculeux dans la rate; enfin les ganglions bronchiques étaient augmentés de volume, induré
rate, le rein gauche, ainsi qu'au voisinage du pan- créas, dans les ganglions abdominaux. Chez ce malade, les symptômes céréb
e praoépileptiyue, 121. Folies héréditaires, 111, 215, 48, 432. Ganglions intervertébraux, par Bech- terew, Hosenbach et
33 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aisseaux du nerf congestionnés et remplis de globules. A l'abord du ganglion de Gasser, le tronc du trijumeau gauche ne prés
; il en est de même pour les branches terminales. Les cellules du ganglion de Gasser ont conservé leur forme régulière, el
érences pleurales anciennes et néo-membranes récentes à droite. Les ganglions bronchiques sont volumineux et indurés. Foie
. Gieson (de New-York) : « Normal and palhological Cy lology of the Ganglion Cells. » 2. Pathogénie et anatomie pathologique
centripète de la moelle (cordons postérieurs, racines postérieures, ganglions spinaux). Cette première lésion même la plus ét
NCE ascendante sur LES nerfs MIXTES, SUR LES CELLULES NERVEUSES DES GANGLIONS , SUR LES RACINES POS- TÉRIEURES ET SUR LA CORNE
donner lieu à une dégénération ascendante, pouvant atteindre les ganglions et même la moelle. Aussi pour se mettre à l'abri
ines postérieures et la corne antérieure. C'est aux altérations des ganglions postérieurs qu'il consacre le plus d'intérêt. Il
ique ou à sa ligature. Ses examens ont porté sur les racines et les ganglions de la région lombaire, ainsi que sur les portions
dans ces conclusions : Les altérations des cellules ganglionnaires ( ganglions des racines postérieures), consécutives à une s
enant les cordons postérieurs, les cornes grises adjacentes, et les ganglions rachidiens. L'étude topographique des lésions m
niveau des cordons postérieurs, des cornes grises adjacentes ou des ganglions rachidiens. Or, ces systèmes de fibres ou de ce
er système comprend toutes les fibres qui, parties des cellules des ganglions rachidiens, abordent le cordon postérieur au ni
sentent pas moins de variétés. Nous avons le groupe des cellules du ganglion vertébral - celui des colonnes de Clarke - celu
? A quelle période se prennent les fibres endogènes ? Les cellules ( ganglion rachidien, colonnes de Clarke, corne postérieur
nt plus près du sillon médian qu'il appartient à une racine dont le ganglion est placé plus bas (loi de Kahler). Ainsi est
racines postérieures, sur les cordons de la moelle, enfin sur les ganglions rachidiens. Pour les racines, nous avons pra- t
OGIE NERVEUSE. daire. Enfin, des coupes sériées, pratiquées sur les ganglions rachidiens choisis à différents niveaux, nous o
t, dès le début du tabès, au niveau du tube nerveux ; la cellule du ganglion vertébral reste intacte; ces lésions parenchyma
acines postérieures, les cordons correspondants et les cellules des ganglions rachidiens. La dissociation des racines postéri
période de la disparition totale du tube nerveux). Les cellules des ganglions vertébraux nous ont paru remar- quablement inta
nous empêchent de croire à une lésion importante des cellules du ganglion rachidien, au cours du processus tabétique. De
ERVEUSE. paire ; la corde du tympan rejoindrait le trijumeau par le ganglion sphéno-palatin. Quelque temps après, Ja sixième
ve pas de troubles oculaires trophiques comme dans les lésions du ganglion de Gasser. La sixième paire passe près de l'origi
elle allongée, de la substance blanche de la moelle épinière et des ganglions intervétébraux sont comparativement insignifian
antérieur ou pallium et du^cervelet ne sont, elles aussi,, que deux ganglions nerveux situés chacun au sommet d'un arc diasta
troisième jour elle fut atteinte d'une stomatite fort intense. Les ganglions cervicaux étaient engorgés; les conjonctives co
st jamais montée à celle que l'on a rencontrée avant l'excision des ganglions stellaires. On observe, au contraire, quelquefo
ues fibres accélératrices; ainsi, si nous coupons en même temps les ganglions stellaires et le vago-sympa- thique, on n'obtie
sceaux des racines postérieures. Les modifications des cellules des ganglions inter-vertébraux, dans cette dégénérescence asc
rvation du goût signifie que la lésion porte sur le bout central du ganglion géniculé ; par conséquent, l'altération occupe
onséquent, l'altération occupe la partie du facial située entre' ce ganglion et le noyau du facial. Mais l'ouïe est troubl
et la récidive se montrer. La résection partielle étendue aux deux ganglions et au cordon intermédiaire, allant jusqu'au-desso
f une très légère tachycardie. La résection partielle et limitée au ganglion supérieur et à une petite partie du cordon qui
adie, etc.). La résection totale et bilatérale comprenant les trois ganglions et leur cordon intermédiaire est l'intervention
dirque ne peuvent être réelle- ment obtenus que par l'enlèvement du ganglion cervical inférieur d'où partent d'importants et
TES. 525 pourquoi l'opération idéale doit être celle qui détruit le ganglion cervical inférieur et le nerf vertébral qui en
voir aller plus loin et détruire les filets efférenls cardiaques du ganglion cervical inférieur, pour voir cesser la tachyca
is, ou, pour mieux dire, c'est probablement la peur de toucher à ce ganglion cervical inférieur difficile à extraire, le nol
totale et bilatérale du sympathique cervical, comprenant les trois ganglions et leur cordon intermédiaire. L'excellent résulta
34 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n liquide sangui- nolent. On entend des râles dans la poitrine, les ganglions sont t tuméfiés. Les mouvements passifs sont sa
r le côté externe du noyau strié '1'Jz.JJ'a-ventriculairc, entre ce ganglion et la capsule externe, et il existerait un rapp
ait sur le côté externe du corps strié extraventriculaire, entre ce ganglion et la capsule externe, dans les fibres qui sépa
onvolutions de l'insula; mais, venant de la partie in- férieure des ganglions , au lieu de continuer leur marche vers la sciss
la section du nerf vague dans la région cervicale, les cellules du ganglion noueux de ce nerf, après la phase de chromatoly
. P. KERAVAL. XL \11. Contribution à la pathologie des cellules des ganglions spi- naux ; par 0. JULIUSI3URGER et E. MEYER. (
(iveuuolog. Centrulblatt, XVII, 1898.) 1° Examen des cellules des ganglions spinaux dans la région lombaire d'un idiot de d
l'alun hématique donnent de très belles images. Les cellules des ganglions spinaux sont entourées d'une capsule de tissu c
ule est en rapport immédiat avec le tissu conjonctif fibrillaire du ganglion , très développé ici, et carac- térisé par une r
tit nombre, à l'inverse des nerfs et des racines. Les cellules du ganglion spinal étaient surtout arrondies, quel- REVUE D
postérieur ne dépende point d'un trouble primitif de la cellule du ganglion spinal. En effet, le processus tabétique est lent
'on se fasse de la cause spéciale de ce processus, les cellules des ganglions spinaux peuvent continuer à recevoir de la péri
tions anormales, la capacité métamorphique normale de la cellule du ganglion spinal est modifiée de telle sorte qu'au lieu q
ne action nocive. Cette modification de l'activité de la cellule du ganglion spinal aurait lieu non tout d'un coup mais par
ue. La modification de forme et le rapetissement de la cellule du ganglion , s'ils étaient constants, montreraient simplement
cordons postérieurs émanait d'un trouble primitif des cellules des ganglions spinaux. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
ions sont le plus prononcées chez les cobayes ; 3° Les cellules des ganglions spinaux subissent des altérations analogues, ma
un peu plus tard. Les cellules de l'écorce céré- bi aie, des grands ganglions et des noyaux des nerfs crâniens sont le moins
ême qu'une moyenne. Ainsi que l'un de nous l'a rappelé à propos des ganglions rachi- clients2@ l'aspect d'une cellule nerveus
ions rachi- clients2@ l'aspect d'une cellule nerveuse prise dans un ganglion spinal et examinée à l'état frais, avec ou sans
les cliromatophyles de Nissl. A l'état frais les cellules d'un même ganglion spinal ne présentent entre elles aucune différe
vue médicale. A. Fenayrou. XVI. La manière d'être des cellules ;des ganglions spinaux dans le tabes éclairée par la méthode d
ratum propre de la matière tinctoriale de Nissl. Ceci dit, dans les ganglions spinaux normaux, le protoplasma est intimement
3° La cellule intermédiaire aux deux premières espèces. Dans les ganglions spinaux tabétiques, il n'y a guère de cel- lule
ue la lésion initiale du tabes ne doit pas être cher- chée dans les ganglions spinaux. P. Keraval. XVII. Recherches sur la mo
able à celui des cellules nerveuses de la moelle anencéphale et des ganglions spinaux. Elles tranchent, par leur grandeur, su
quelques-unes dans le tissu cartilagineux de l'axe du limaçon. Le ganglion spiral existe donc. On voit nettement à l'oeil nu
veau et à la moelle. Les cellules sont dégénérées. Les cellules des ganglions spinaux présentent en effet une dilatation de l'e
presque vide. Les mêmes altérations existent dans les cellules des ganglions du grand sympathique. En ce qui concerne les co
llules placées sur le côté du noyau du pathétique, que l'on appelle ganglion de l'isthme (Edinger), ganglien optique pos- té
es de ce faisceau dans le gan- glion de l'isthme ? En détruisant le ganglion seul ou avec d'autres organes tels que le cerve
es hauteurs du cerveau moyen et du cerveau inter- 'médiaire. Par le ganglion de l'isthme, il fournit, à travers le cer- veau
des fibres centrales des noyaux terminaux sensitifs et moteurs. Le ganglion de l'isthme devient ainsi le centre d'un arc réfl
ques, acoustiques et sensitives d'autres centres aux cellules de ce ganglion ; celles-ci les renvoient aux fibres du fais- ce
existe un ramollissement dont le pourtour seul atteint la zone des ganglions centraux et la capsule interne. Intégrité des a
sauf une otite moyenne chronique du côté gauche, la tuméfaction de ganglions du cou, de fréquentes angines. L'évo- lution, d
ou d'une névrite ganglionnaire, non par compression (le volume des ganglions et la région s'y opposent) mais par propa- gati
osent) mais par propa- gation. L'affection pharyngée a enflammé les ganglions qui, a leur tour, ont enflammé le nerf (Erb, Mo
de l'imbécillité devant la loi, par Huches, 330. Fou. Un 76. Ganglions spinaux. Contribution àla pathologie des cellul
lll1thique, pal' Bounier, 310. La manière d'être des cellules des ganglions spinaux dans le-- éclairée par la méthode de
35 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es nerveuses, Forel se demande pourquoi l'on continuait à parler de ganglions d'interruption des fibres nerveuses, de réseau
es nerfs et centres nerveux des tabétiques, en particulier dans les ganglions correspondants au centre tro- phique des fibres
es fibres nerveuses. Pour les nerfs rachidiens ces centres sont les ganglions intervertébraux; pour les nerfs craniens il exi
es ganglions intervertébraux; pour les nerfs craniens il existe des ganglions qui sont les analogues de ceux-ci. Nous avons e
ur enveloppe' de myéline, sont plus grêles qu'à l'état normal. Le ganglion d'Andersch qui se trouve sur le trajet de ce ne
ne des hôpitaux, sont la reproduction. Les cellules nerveuses de ce ganglion sont nombreuses, mais petites, à contours très
s granulations, soit invisible. Sur les coupes qui intéres- sent le ganglion suivant son 'grand axe longitudinal, on voitles
qui entrent et les fibres qui sortent de ce centre ner- Fig. il, - Ganglions d'Andersch (glosso-phal'yngien). 276 CLINIQUE N
caractères signalés dans le nerf lui-même. Le système vasculaire du ganglion est très développé. Les vais- seaux sont gorgés
très développé. Les vais- seaux sont gorgés de sang. La sclérose du ganglion est douteuse. - Nerf olfactif. - On y constat
e trouve dans les racines qui vont du bulbe olfactif au cerveau. Le ganglion de ce nerf est représenté, on le sait, par les
leur. Nous n'avons donc rien à dire à ce sujet. Nerf trijumeau. Les ganglions de Gasser ont été examinés au microscope par le
des lésions intenses, mais pas exactement semblables à celles du ganglion d'Andersch. La plupart des cellules étaient atrop
tait trans- formé en corps granuleux. Mais toutes les cellules du ganglion étaient loin de présenter cette lésion qui étai
e le système de la sensibilité est pris dans son ensemble. Ainsi le ganglion d'An- dersch situé sur le trajet du glosso-phar
'encé- phale on trouvait encore des lésions. Il en est de même du ganglion de Gasser et de ses branches afférentes ou effére
it lieu, pensait-on, qu'à la terminaison de ce prolongement dans un ganglion , et la cellule d'origine d'un nerf était censée
e de cette cellule. On sait aujourd'hui qu'une cellule nerveuse des ganglions spinaux peut influencer tous les territoires de
ts nerveux. Dans les éléments qui, comme les cellules nerveuses des ganglions spinaux ou les spon- gioblastes de la rétine, s
es proviennent, comme l'a établi W. His, des cellules nerveuses des ganglions spinaux intervertébraux. Dans la capsule endoth
raux. Dans la capsule endothéliale qui enveloppe chaque cellule des ganglions cérébro- spinaux, entre cette capsule et le pro
RIE DES NEURONES. 285 plasmique, suivant Cajal, des cellules de ces ganglions , courant transmis à la moelle épinière par la b
iniennes, bipolaires sensitives des vers, bipolaires sensitives des ganglions spinaux des poissons), l'expansion périphérique
. De même pour la branche périphérique des cellules unipolaires des ganglions spinaux des batraciens, reptiles, oiseaux, mamm
qui distingue les cellules cérébrales de celles de la moelle et des ganglions , n'est pas dans la forme extérieure, mais sans
nerveuses que protopla- miques, du cervelet, du bulbe olfactif, des ganglions acoustiques centraux, du lobe optique, etc., pr
e dans la vision, dit M. L... La glande pinéale, ses pédoncules, le ganglion habenula; et la com- missure postérieure ne pré
Cellules disséminées, ou sporadoneures. b). Cellules rassemblées en ganglions ou ganglioneures. 2° Éléments associateurs, ou
opsie, lésions habituelles de la méningo- encéphalite, atrophie des ganglions de la base. 3° Fille de vingt-six ans. Mère : s
à 1185 (homme de vingt ans). Alzheimer insiste sur les lésions des ganglions de la hase (dégénérescence). 9° Fréquence de la
T. a trouvé, avec la méthode de Nissl, une légère chromophilie des ganglions spinaux, sans altérations de structure, une col
résultats communs suivants : 1° intégrité relative des cellules des ganglions spinaux par rapport aux cellules motrices; 2° per
outes les parties de l'écorce du cerveau et du cervelet et dans les ganglions centraux, mais jamais dans la capsule interne.
, dans ses dernières publications sur la structure des cellules des ganglions spinaux, admet, dans la subs- tance chromatophi
asiques, s'amassent danslescellules motrices, dans les cellules des ganglions sympathi- ques, de la rétine, du corps genouill
is pour des tumeurs : tératome de la cavité abdminale, sarcomes des ganglions sus-claviculaires et du testicule gauche. Au mo
térieures : fibres extrinsèques - exogènes (Pierre-Marie) fibres du ganglion vertébral, fibres centripètes du protoneurone s
36 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
e la queue du noyau caudé. Au point de vue de ses rapports avec les ganglions , la capsule interne dans les coupes frontales p
ges classiques ou dans les traités spéciaux les plus réputés. Les ganglions sont des confluents où les conducteurs de la fo
ons, les prolongements, les irradiations de la capsule interne. Les ganglions ne sont par rap- port à ces expansions que des
nous voyons une infinité de rayons unissant l'écorce cérébrale aux ganglions ; mais, s'il existait réellement des feuillets d
dé et lenticulaire de la cou- ronne rayonnante, c'est-à-dire si les ganglions étaient le point d'arrivée des fibres hémisphér
e nombre de ces fibres et les parties les plus volumineu- ses des ganglions . Or, c'est le contraire qu'on observe. La tête
inité de rayons rectilignes reliant toute la surface du manteau aux ganglions de la base et à la capsule. CONSTITUTION DU CEN
isberg, qui se con- tinue avec elle sans interruption, à travers le ganglion géniculé. Enfin le nerf de Wrisberg naît d'un a
quelques filets de la corde. 2° La section du facial en arrière du ganglion géniculé, amènerait, contrairement à l'opinion
sensibilité spéciale de la corde du tympan lui serait donnée par le ganglion géniculé. L'auteur reconnaît que les expé- rien
ulenburg) ; trouble vaso-moteur de la région (Stilline) ; lésion du ganglion sphéno- palatin déterminant une constriction de
s la structure des nerfs, érecteurs ou à leur^ compression par, des ganglions hypertrophiés. ? » ? ,. ? , , ? h .. 1 1111 ')
brale se mon-, trer de nouveau, mais, alors, ce n'est'plus dans les ganglions , cérébraux qu'est son siège de prédilection, c'
tre tumeur de la grosseur d'une prune sur le rocher, englo- bant le ganglion de Gasser et le trijumeau, et comprimant le sin
elles trouvent d'abord ,un siège spécia- lisé dans un ou'plusieurs ganglions elles acquièrent ensuite plus de perfection dan
ieurs ganglions elles acquièrent ensuite plus de perfection dans un ganglion , le ganglion céphalique. Ce ganglion envoie en
ns elles acquièrent ensuite plus de perfection dans un ganglion, le ganglion céphalique. Ce ganglion envoie en arrière une e
e plus de perfection dans un ganglion, le ganglion céphalique. Ce ganglion envoie en arrière une expansion, avec laquelle il
taines propriétés, qu ? ),antérieurement .étaignt : collmunes aux ganglions . Graduellement, l'axe centralise ces propriétés d
'axe centralise ces propriétés dans extrémité antérieure et dans-le ganglion céphalique. En même temps que s'opère cette cen
e temps que s'opère cette centralisation, la fonction réflexe des ganglions nbn" éplialiqueà, îe propage dans" la ? moelle] e
zrieurs,7a,peception, et la ,.volition[ne sontpasconfinéesldans,,le ganglion céphalique ou ficerveau.2B igdmoiius eb Jnstv i
émÿ (Soc. anat. deParzs,,18î5"p.,158),dans lesquels des lésions des ganglions intra-cérébraux ou du pont de Varole aient été
37 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
onne rayonnante est le point d'émergence des pédoncules au-dessus des ganglions cérébraux. On peut caractériser cette disposition
t brièvement, sauf à y revenir plus tard, la situation respective des ganglions cérébraux par rap-port à cet éventail. Lorsque,
ces divers troncs artériels que naissent les artères nourricières des ganglions centraux : corps striés et couches optiques. Ce
ales; — vaisseaux nourriciers. — Système des artères centrales ou des ganglions centraux. Artère sylvienne ; ses branches : art
laire sous-jacente. Le second système est le système central ou des ganglions centraux (masses grises centrales). Les vaisseaux
clature de M. Ch. Robin. Ce caractère les distingue des vaisseaux des ganglions centraux qui s'en-foncent dans la substance .blan
ères nourricières. Nous verrons encore que le système des artères des ganglions centraux est construit tout entier et rigoureusem
al. — Analogies entre les artères de la protubérance, du bulbe et des ganglions centraux. — Leur mode d'origine explique la prédo
e d'origine et de distribution des artères de la protu-bérance et des ganglions centraux, une des raisons d'ordre mécanique, capa
qui concerne les artères cen-trales. 1° Le chemin du cœur aux gros ganglions de la base est rès court. Les artères qui se rend
ganglions de la base est rès court. Les artères qui se rendent à ses ganglions émanent en qn3lqu3 sorte directement des artères
e : 1° de fibres de la cou-ronne rayonnante qui se terminent dans les ganglions ; 2° de fibres qui, partant des ganglions, se rép
e qui se terminent dans les ganglions ; 2° de fibres qui, partant des ganglions , se répandent dans la cou-ronne rayonnante. Se
aux pédonculairesdirects qui traversent la capsule sans s'arrêter aux ganglions ; 2° Par des faisceaux pédonculaires indirects.
psule interne. — C A, commissure antérieure. — H, nerf optique et son ganglion optique. —A, commissure dans la cavité centrale d
de Goll. — V, W, Racines antérieures — H, W, Racine postérieure. — G, Ganglion intervertébral (d'après Kolliker). b) Ceux-ci n
moelle épiriière, sur les racines de la queue de cheval, au-dessus du ganglion ; elle consiste en une tumeur sarcomateuse ou myx
pas la périphérie de la racine, c'est-à-dire 14 portion attenante au ganglion , mais bien la partie centrale, celle qui tient à
centre trophique, pour les nerfs sensitifs, doit être cherché dans le ganglion intervertébral ; cela est si vrai que, si l'on, e
e ganglion intervertébral ; cela est si vrai que, si l'on, extirpe ce ganglion , la dégénération frappe la racine tout en-tière e
ales; — vaisseaux nourriciers. — Système des artères centrales ou des ganglions centraux. Artère sylvienne: ses branches : artè
al. — Analogies entre les artères de la protubérance, du bulbe et des ganglions centraux. — Leur mode d'origine explique la prédo
38 (1911) La pratique neurologique
opliques. N, nerf optique ; R, noyaux réflexes du mésocéphale ; GO, ganglion ophtal- mique. 'En Irait plein : voies optiques
e cérébrale des cunéus en deux étapes. Elles font un arrêt dans les ganglions du 111(,Isocéphile (corps gcnouillé externe, co
ouche optique, tubercule quadri- jjlueau antérieur). C'est dans ces ganglions , et particulièrement dans le tubercule quadriju
topsies, des hallucinations visuelles. , Hémianopsie par lésion des ganglions centraux. Les symptômes associés auxquels donne
ômes associés auxquels donnent lieu les hémianopsies par lésion des ganglions centraux sont, à vrai dire, mal connus. Les para-
sont fréquentes. ' Le corps genouillé externe paraît être le seul ganglion dont la lésion donne l'hémianopsie (Henchcn). D
de la moitié voyante. Si, au contraire, la lésion siège en deçà des ganglions du méso- céphale, entre ceux-ci et la rétine, c
t par le sympathique cervical, mais bien vite viennent rejoindre le ganglion de Casser. Les uns et les autres se rencontrent
le ganglion de Casser. Les uns et les autres se rencontrent donc au ganglion de Casser, cl vont ensuite ensemble à l'iris, p
. Les filets irido-moteurs, avant d'arriver à l'iris, traversent un ganglion , le ganglion ophtalmique. De plus, autour de l'
irido-moteurs, avant d'arriver à l'iris, traversent un ganglion, le ganglion ophtalmique. De plus, autour de l'iris existe u
duquel se voient un grand nombre de cellules ganglionnaires. Ces ganglions exercent certainement une action importante sur l
émontré l'action tonique irido-constrictive et irido-dilatatrice du ganglion ophtalmique, ainsi que son action réflexe irido-d
ydriase incomplète. Si on sectionne les nerfs ciliaires en avant du ganglion , la mydriase est complète. Pourquoi cette diffé
la mydriase est complète. Pourquoi cette différence ? Parce que le ganglion ophtalmique, après section du I. 0. C., continu
pupillaire très léger; l'excitation des nerfs ciliaires en avant du ganglion donne une irido-constriction très marquée. Les fo
tions du M. 0. C. se trouvent donc modifiées, amplifiées au delà du ganglion . Ces exemples, pris entre beaucoup d'autres, on
A, pédoncules cérébraux; C, protubérance; B, bulbe; M, moelle; GS, ganglion sympathique cervical; 1. GG, ganglion gtuucute
nce; B, bulbe; M, moelle; GS, ganglion sympathique cervical; 1. GG, ganglion gtuucute et origine des trois branches du trijume
almique , du trijumeau; M, moteur oculaire commun; V, carotide; G0, ganglion ophtalmique; I, iris ' avec, c, le constricteur
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. tenir compte de l'existence de ces ganglions , quand il s'agit d'expliquer un trouble pupilla
e cela est de règle, la paralysie du M. 0. C. s'arrête au relais du ganglion ophtalmique. La cocaïne, excitatrice des termin
r sont intactes, c'est-à-dire si la lésion siège avant le relais du ganglion cervical supérieur. L'ésérine produit un myosis
faut se rappeler il ce propos les expériences de F. Franck, sur le ganglion ophtalmique. La section des nerfs ciliaires il le
se produire que dans les lésions du système ner- veux, en avant du ganglion ophtalmique ou il son niveau. méningites. Abcès
convergence, nullement altéré, transmet toujours ses incitations au ganglion ophtalmique tout entier, et par suite excite le
es sécrétoires se détachent du facial, dans le rocher, au niveau du ganglion géniculé. De là elles passent dans le grand ner
pétreux superficiel, le nerf vidien qui lui fait suite, arrivent au ganglion splié.no-palatin, le traversent, pénètrent dans
res sécré- toires des larmes venant du facial. A, nerf facial; IL ganglion géniculé ; C, corde du tympan; D, grand nerf pé
iculé ; C, corde du tympan; D, grand nerf pétreux superficiel; E, ganglion sphéno-palatin ; F, ganglion de uasser el les t
D, grand nerf pétreux superficiel; E, ganglion sphéno-palatin ; F, ganglion de uasser el les trois branches du trijumeau; G
ant par le facial, le grand pétreux superficiel, le nerf vidien, le ganglion le nerf maxillaire supérieur et son rameau orbi
rauss, la diminu- tion de la sécrétion lacrymale après résection du ganglion de Casser, serait due à la lésion concomitante
cune modification de la sécrétion lacrymale après deux ablations du ganglion de Casser. Enfin je pourrais ajouter encore l'a
que persisterait dans les lésions postérieures du trijumeau (tronc, ganglion de Casser, tronc ophtalmique); elle manquerait au
tumeurs corticales. Tumeurs cérébrales centrales avec lésion des ganglions centraux. - Ilémianopsie à caractères spéciaux
es (mydriase, inégalité) (p. 87) : l'onctions respectives des trois ganglions de la base (corps genouillé externe, tubercule
tuent bientôt pénètre dans le conduit auditif interne, traverse le ganglion de Scarpa et s'unit au rameau auditif de la coc
petits plexus nerveux qui se forment il leur niveau rencontrent le ganglion de Corti dans le canal de liusunilull et forment
eurs. G, noyau rouge. - H, cerveau. 4. nerf vestibulaire avec 1', ganglion de Scarpa. 2, 2', 2", noyaux bulbaires des fi
la zone sensitivo-motrice du cerveau. a, nerf cochléaire avec a', ganglion de Corti. b, b', noyau antérieur et tubercule
urs on sait actuellement que les interventions chirurgicales sur le ganglion de Casser peuvent déterminer une otite neuro-para
tion de I'o1'allc l1C Corii s'accompagne d'atrophie des cellules du ganglion de Rosentilai. La lésion est probablement d'ori
1111(' action SUI' fp l'('I'\L'all 011 SUI' la 1l1O¡;f1(" SUI' Il' ganglion cl'I'YÍcal infl'rieur, SIII' l" centre de l'aud
t IJJ'('Y ! 'IIS 0111 décrit des lésions de. chronialolyse dans les ganglions de Corti et de Scarpa pouvant aller jusqu'à la
e l'olfaction dans les lésions du trijumeau, après l'extirpation du ganglion de Gasser, par exemple. On sait que Magendie av
ffet, le relais des voies sensitives, qui toutes s'arrêtent dans le ganglion avant de gagner le cortex et on sait aujourd'hui
trices intéressées, ce qui se comprend, étant donné qu'il partir du ganglion rachidien les fibres sensitives sont intimement
E. - 3M rameaux accompagnent la branche interne du .spinal jusqu'au ganglion plexiforme du pneumogastrique et se détachent v
exiforme du pneumogastrique et se détachent vraisemblablement de ce ganglion en suivant le nerf pharyngé qui n'est que la cont
parcourt d'arrière en avant la fenle sphéno-axillaire A, au-dessus du ganglion sphéno- palatin C et de l'artère maxillaire int
l'épaule, mouvements qui produisent les paralysies radiculaires, le ganglion rachi- dien tond à faire hernie hors de la gain
ait de l'hyperacousie douloureuse. Une lésion siégeant au niveau du ganglion géniculé déterminerait, d'après certains auteur
iale indiquerait que le siège de celle-ci se trouve au voisinage du ganglion genicnle; cette hypoacousie dénoterait en effet
ie inférieure du coli- maçon séparée du nerf facial au voisinage du ganglion géniculé par une épaisseur de paroi osseuse qui
cas de paralysie faciale alors que la lésion siège au voisinage du ganglion géniculé. Lorsque la lésion siège au-dessus du
oisinage du ganglion géniculé. Lorsque la lésion siège au-dessus du ganglion géniculé on observe le tableau clinique précédent
et le digastrique, il s'agit le plus souvent de compression par les ganglions tributaires de l'appareil auditif; 5° entre le
ranche médullaire, ils pénètrent clans cette ouverture, ou se voit le ganglion jugulaire, accompagnés par le glosso-pharyngien
ire interne, l'hypoglosse, le grand sympathique et d'assez nombreux ganglions lymphatiques. Ce qui nous intéresse le plus c'est
ue, immédiatement au-dessous du trou déchiré postérieur présente le ganglion plexiforme qui reçoit à sa partie supérieure et e
ler innerver le sterno-cléido-mastoïdien et le trapèze. C'est de ce ganglion que partent les nerfs pharyngiens supérieur et
où prendront naissance les nerfs du voile du palais. C'est aussi du ganglion plexiforme, à sa partie inférieure, que naît le
ences ont pour point de dé- part la fusion qui s'opère au niveau du ganglion plexiforme entre le pneu- mogastrique et la bra
, mais l'examen radiographique ayant l'ait constater la présence de ganglions dans le médiastin, on ne peut s'em- lipeher de
gauche dans un cas d'adduction bilatérale. Les tumeurs du cou, gros ganglion tuberculeux, tumeurs cancéreuses des ganglions,
tumeurs du cou, gros ganglion tuberculeux, tumeurs cancéreuses des ganglions , de l'oesophage ou du corps thyroïde, goitres vol
S'il ne s'agit pas d'anévrisrne, on trouvera dans le médiastin des ganglions hypertrophiés, de l'adénopathie trachéo-bronchi
as englobé dans une pleurésie séro-fibrineuse du sommet ou dans des ganglions trachéaux (Lubet-Barbon). Osier a insisté sur les
erne commandé par le trijumeau) par les nerfs pharyngiens émanés du ganglion plexiforme et provenant des racines de la branc
'ois sur l'hypoglosse et sur le pl1l'llmo-gas- trique au-dessous du ganglion plexiforme, alors que les filets des nerfs phar
stin et principalement les hypertrophies plus ou moins durables des ganglions lymphatiques : la toux coqueluchoïde de l'adéno
due à l'intoxication, où elle peut être due à la compression par un ganglion tuberculeux. La névrite du pneumogastrique peut
eant le plus souvent à la verge; 4° Cette lésion est accompagnée de ganglions rarement suppures; 5° C'est une lésion d'assez
dénopathies secondaires ou secondo-tertiaires, sous forme de petits ganglions durs roulant sous le doigt. Examen de la peau.
section de la branche sous-orbitaire du trijumeau, l'enlèvement du ganglion de Casser, du ganglion cervical supérieur du gr
sous-orbitaire du trijumeau, l'enlèvement du ganglion de Casser, du ganglion cervical supérieur du grand sympathique; chacune
récidives, ou même des opérations plus graves comme la résection du ganglion de (lasser. Depuis quelques années, les injecti
cessive- ment,, avec de fins ciseaux, les racines rachidiennes. Les ganglions rachidiens doivent être soigneusement disséqués
, INCLUSIONS. 155t de petits fragments (système nerveux central, ganglions , nerfs périphé- riques). Ces petits fragments s
smique, est recommandée par A. Thomas et G. Hauser pour l'élude des ganglions rachidiens chez les tabétiques. « Cette méthode
Hauser conscillent les deux procédés suivants : A) 1° Suspendre les ganglions fendus longitudinalement dans un mélange de :
lésion cor- ticale, 52. par lésion sous-corticale, par lésion des ganglions centraux, 55. par lésion de la bandelette, par
39 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
nce de Samuel : —Chez un lapin, deux aiguilles sont appliquées sur le ganglion de Casser et l'on laitpasserun courant d'inductio
sion de l'œil. La mort arriva inopinément. A l'autopsie, on trouva le ganglion de Gasser du côté droit, volumineux et très dur.
à droite plusieurs stéatomes du volume d'un haricot, d'une amande. Le ganglion de Gasser et les trois branches du trijumeau sont
comparée du cer-veau, t. IL, p. 67;, malgré l'altération profonde du ganglion de Casser, et des raci-nes de la grosse portion d
aupières, obnubilation et plus tard opacité complète de la cornée. Le ganglion de Casser du côté droit était d'un jaune gris, tu
oit était d'un jaune gris, tuméfié, imbibé de sérosité. La portion du ganglion d'où part le nerf ophtal-mique était rouge et inj
de la petite branche, restée saine. Les trois nerfs, à leur issue du ganglion , offraient une coloration jaune, qui cessait d'ex
mais en ouvrant les trous de conjugaison du côté droit, on trouva les ganglions spinaux et les troncs nerveux eux-mêmes., tuméfié
naître une multiplication très accentuée des éléments nucléaires. Les ganglions et les nerfs correspon-dants du côté gauche ne pr
ès remarquable de voir l'inflam-mation, encore exactement limitée aux ganglions et aux nerfs spinaux, se produire spontanément, s
as de zona du cou avec altération des nerfs du plexus cervical et des ganglions correspondants des racines spinales post Mém. de
ontané se développent à la suite d'une névrite de ce genre (2). — Les ganglions spinaux ont été trouvés aussi fortement altérés,
séeux, laquelle se prolongeait jusque sur les gaines des nerfs et des ganglions spinaux. La dure-mère, elle-même, était épaissie
t aussi prononcées à droite qu'à gauche, cependant les 9e, ÏÙC et 11° ganglions dorsaduux côté gauche étaient seuls tuméfiés et p
ent seuls des altérations apprécia-bles au microscope. Dans ces trois ganglions , les cellules ner-veuses avaient disparu, et, au
rnes postérieures de la substance grise ; 4° lésions irri-tatives des ganglions spinaux ou des nerfs périphériques ; car ces doul
tériole, distendue à l'excès par le thrombus, avait comprimé •soit le ganglion spinal, soit une branche d'origine du nerf sciati
verte de végé-tations d'apparence fibrineusc, molles, rougeàtres. Les ganglions du mésentère sont un peu rouges et tuméfiés, mai;
e : il pense que la moelle épinière ne joue ici aucun rôle et que les ganglions spinaux ou les nerfs périphé-rique sont seuls en
ient à la région sacrée, et assurément sans participation directe des ganglions spinaux ou des nerfs périphériques. Les casd'héma
ons irritatives des nerfs périphériques, et peut-être aussi celle des ganglions spi-naux, ne puissent avoir quelquefois pour effe
évelopper dans le lobe supérieur du poumon à la suite delà section du ganglion du nerf vague. (Wunderlich's Archiv, 6, Jahr. 8.
ber (4). Tout récemment encore, M. Sinitzin, après l'extirpation du ganglion cervical supérieur d'un côté, aurait vu l'introdu
ait d'ailleurs fait remarquer depuis longtemps déjà que l'ablation du ganglion cervical supérieur parait retarder l'apparition d
ple, que les nerfs trophiques ont tous leur origine centrale dans les ganglions spinaux postérieurs ou dans les ganglions analogu
r origine centrale dans les ganglions spinaux postérieurs ou dans les ganglions analogues des nerfs crâniens, car les cas sont no
lysie agitante, 187 ; — dans la sclérose en plaques, note, 272. G Ganglion cervical supérieur (Effets résultant cle l'extirp
ons irritatives, 13, 17 ; — ocu-laires consécutives à l'irritation du ganglion de Gasser, 14, 17; — à la section dn nerf trijume
40 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
té des si- gnes de déficit cérébelleux, dans les tumeurs de ce gros ganglion . Je résumerai d'abord l'observation du malade d
urtout à la région dorso-lombaire, sont épaissies et adhérentes. /) Ganglions spinaux. Leur capsule fibreuse est hypertrophiée,
substance blanche qui a perdu en épaisseur ; Les masses grises des ganglions de la base, la capsule interne, la couronne ray
le trigone ascendant où elles sont parallèles aux fibres ; dans les ganglions de la base elles sont rondes. Elles ne manquent
se. La moelle lombaire, examinée au Nissl, est normale. Nerfs. Un ganglion spinal gauche, examiné, est normal. Le sciatique
yaux qui semblent un peu augmentés de nombre. Sympathique. Dans les ganglions senti-lmcaires, les cellules nerveuses sont nor
le doublée de volume et une hy- pertrophie considérable de tous les ganglions et nerfs sympathiques (5), etc..... , De ce q
iarrhée et de constipation. Poumons. -Sommets soufflants, matité. Ganglions inguinaux volumineux et durs. Cicatrice pigment
aire paraît normale. Les vaisseaux des racines sont très dilatés. Ganglion rachidien. Il présente une infiltration extrêmeme
fig. 10). Les racines postérieures sont également enflammées; leurs ganglions présen- tent une infiltration intense de petite
mo- philes bien colorées. Leurs prolongements sont peu apparents. Ganglions rachidiens. Les vaisseaux sont atteints de périar
s sont bourrés de noyaux embryonnaires, surtout à la périphérie des ganglions . Les symptômes provoqués par les lésions partie
moitié correspondante de la langue, et une augmentation du poids de ganglion lymphatique correspondante » (Luciani). Ces d
me nerveux central, et d'autres qui localisent ces centres dans les ganglions spinaux [Morat (140)], et d'autres encore dans
er soutient que les vasomoteurs subissent une interruption dans les ganglions du sympathique, Stricker, Bonozzi, Bagliss ont
de l'épendyme) ; constitution et ge- nèse de la tumeur cérébrale ; ganglions crâniens ; marche générale du processus méningi
nification de l'hémicranie Destruction des centres et persistance des ganglions . Préliminaires L'évolution des idées sur la P
errons plus loin à quel point cette assertion est justifiée que les ganglions spinaux ne sont intéressés qu'à la dernière extré
On ne saurait trop insister sur cette intégrité presque absolue des ganglions spinaux, intégrité relevée par différents auteu
XLV ter-M). Les processus sont donc ici très avancés. Eu outre, les ganglions spinaux, contrairement au cas général, offrent
e la tumeur, sur laquelle on a si longtemps discuté sans aboutir. Ganglions crâniens. Que les processus inflammatoires aient
s que présente la peau, mais aussi par l'envahissement tar- dif des ganglions nerveux. Nous avons noté ce fait, pour ce qui est
e exemple. Au niveau de l'encéphale, la même intégrité relative des ganglions se retrouve; elle se retrouve tout particulière
ntégrité relative de l'oeil, et, d'une façon plus générale, celle des ganglions cérébro-rachidiens, n'est pas seulement due, se
Dm. Dure-mère. Rp. Racines postérieures. Rc. Revêtement cutané. Gg. Ganglion rachidien. 392 RABAUD ganglion. Dans l'ensemb
ures. Rc. Revêtement cutané. Gg. Ganglion rachidien. 392 RABAUD ganglion . Dans l'ensemble, on n'a sous les yeux qu'une néo
lus intéressante, mais la plus importante, est la persis-^ tance du ganglion rachidien. Ce n'est pas une disposition banale qu
asculaires plus ou moins dilatés, ressort nettement la section d'un ganglion (PI. XLV-F). Sans doute, l'inté- grité de ce ga
section d'un ganglion (PI. XLV-F). Sans doute, l'inté- grité de ce ganglion est gravement compromise ; les colorations au Nis
figure ; néanmoins ces cellules existent encore et montrent que le ganglion rachidien est, de toutes les parties du système
lammation de l'oeil ; tout cela n'est rien à côté de ce fait que le ganglion persiste encore, alors que de toutes parts, il es
oire à son début. En outre, en dehors de la dure-mère, existent des ganglions rachidiens caractérisés par une prolifération con
ons que l'on distingue par endroits, tant avec la moelle qu'avec le ganglion rachidien. Quant à ce dernier, il est gravement
achidien, respectant, comme il fallait s'y attendre, l'ensemble des ganglions et des nerfs qui en émanent. Pendant que se désag
ure, nullement douloureux. Aucune saillie osseuse anormale, aucun ganglion enflammé. A l'examen de la bouche,on constate d
gauche. Aucune atrophie musculaire au niveau du quadriceps, au- cun ganglion dans l'aine, aucune douleur par pression au nivea
. Dans la première l'au- teur observa une atrophie des nerls et des ganglions intervertébraux correspondants à une ptérobrach
e sans encombre ; l'examen histologique des organes, aussi bien des ganglions nerveux et de l'oeil que des organes somatiques
DE L'ANENCÉPHALIE 695 6. Destruction des centres et persistance des ganglions . - L'absence de système nerveux chez les pseude
s-uns - de l'axe cérébro-spinal n'entraînait pas la disparition des ganglions rachidiens et crâniens. On s'est étonné de voir l
très avancé de différenciation ; on s'est étonné de re- trouver les ganglions spinaux en état d'intégrité relative, bien que en
l ; il s'est formé, il s'est développé, tandis que nais- saient les ganglions et que les prolongements nerveux apparaissaient e
venu, c'est que, par le fait même de la suppression du névraxe, les ganglions ne dégénèrent pas eux-mêmes rapidement. Il semb
en effet, qu'il dût en être ainsi; que les yeux aussi bien que les ganglions spinaux ne dussent pas attendre la pro- pagatio
r que non seulement la mort du névraxe n'en- traîne pas la mort des ganglions , mais que, même, ceux-ci continuent de se diffé
nclure que l'état de différenciation où nous trouvons l'oeil et les ganglions a été acquis bien après l'invasion de la méning
nes conclusions de faits purement pathologiques. La persistance des ganglions a donné lieu à des considérations d'un autre or
erveux est parfaitement sain. Des raisons analogues valent pour les ganglions spinaux ; bien qu'ils existent, ils sont toujou
41 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ins, car, en ce qui concerne l'estomac, la lésion n'affectait que les ganglions situés le long de la petite courbure et la portio
produit une légère stimulation de tout le système grand sympathi-que, ganglions cardiaques, filets vaso-moteurs, etc., et par son
mmuniquent entre elles, ou même s'il n'existe pas une poche unique. — Ganglions inguinaux de volume normal. La flexion de la cu
e glissait facile-ment sur la tumeur. —Le cordon paraissait sain, les ganglions voisins n'étaient pas engorgés. Le toucher rectal
GANES GÉNITAUX est recouvert d'un sablé de granulations grises; les ganglions mé-sentériques sont infiltrés. Les organes géni
e masse compacte de tubercules crus. On dirait, à la coupe, un de ses ganglions , semblable à une châtaigne ouverte, qui ont été c
tissu se déchire avec la plus grande faci-lité; il en est de même des ganglions mésentériques. Le sang est profondément modifié
démontre, au niveau du col de l'utérus, l'existence de deux ou trois ganglions . Un exemple nous en est fourni par une des plan-c
r une des plan-ches qui se trouvent à la tin de sa Ihèse. Lorsque ces ganglions n'existent pas, on peut voir clans le même point
-sac vaginal latéral. Or, nous ferons remarquer avec l'auteur que les ganglions ou le plexus correspondent « au point où se dével
de l'excavation pelvienne, sans adhérence avec les os du bassin. Les ganglions inguino-cruraux n'étaient point engorgés ; l'état
des réseaux lymphatiques et des troncs qui vont des réseaux jusqu'aux ganglions ? ou l'érysipèle n'est-il, comme le prétend M. Tr
lesrhéophores brusquement. Il en est de même lors-qu'on électrise les ganglions cervicaux ou la partie supérieure de la moelle :
est que la sonde qu'on en retire est chargée de sang et de pus. Les ganglions de l'aine et surtout ceux de gauche sont engorgés
rce que les limites en sont difficiles à préciser et que du reste les ganglions de l'aine sont pris. — Cette solution ne plaît pa
e est altérée, sanieuse ; les corps caverneux sont altérés aussi. Les ganglions de l'aine sont engorgés, ceux du pelvis ne présen
s, mais suivies d'une longue traînée de cellules lymphoïdes? Un des ganglions inguinaux engorgés n'a pas offert d'autre signe d
ccompagné de douleurs ou d'hémorrhagies, ni de retentissement sur les ganglions lymphatiques voisins, ni d'altération de la santé
tement qu'en bas, au voisinage du lobule. Engorgement dou-loureux des ganglions cervicaux. G mai. L'œdème a diminué, on peut s'
le du côté correspondant de la face et du pavillon de l'oreille ; les ganglions cervicaux les plus élevés soit en avant, soit en
atif sur la nuque ; on peut agir aussi efficacement en électrisant le ganglion cervical supérieur. Les phosphènes et les vertige
s phosphènes et les vertiges que l'on peut produire en électrisant le ganglion cervical en sont une preuve certaine. Mais cette
ur conséquent une circulation plus active. Si au lieu d'agir sur le ganglion cervical supérieur, on met un des pôles sur le fr
ment obtenu une amélioration notable, et uniquement en électrisant le ganglion cervical supérieur. Dans d'autres cas, la maladie
rfs qui émergent du canal vertébral sont relativement gros. Plusieurs ganglions sympathiques sontvisibles à la partie supérieure
croissement d'é-nergie des battements du cœur par leur action sur les ganglions de Remak, et l'augmentation immédiate de la tensi
te de la tension dans les vais-seaux, par suite de leur effet sur les ganglions intra-cardiaques et sur les vaso-moteurs à leur o
42 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
ion cervicale posté- rieure, surtout du côté gauche, la présence de ganglions de moyen volu- me, isolés, roulant sous le doig
sente aucun des grands caractères de l'adénopathie spécifique : les ganglions ne sont pas durs, nettement indépendants des part
ion nucléaire disposée comme plus haut et qu'on put suivre jusqu'au ganglion spinal ; d'ans ce ganglion même, on constata par
e plus haut et qu'on put suivre jusqu'au ganglion spinal ; d'ans ce ganglion même, on constata par places une augmenta- tion
es une augmenta- tion nucléaire assez considérable. Les cellules du ganglion spinal étaient en' partie d'une teinte très pâl
acines sont seulement infiltrées on les suit facilement jus- qu'aux ganglions spinaux. Pas plus que les racines ils ne semblent
elle-même, dans l'espace sous-arachnoïdien, dans les racines et les ganglions où les , LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS
s de la rate, des poumons, des os, de la peau, des muqueuses et des ganglions décrites pré- cédemment, absolument comparable
es, libres, les vaisseaux n'y sont pas anormalement dé- veloppés. Ganglions normaux. Pie-mère, n'adhère pas à la moelle à c
stension exagérée des vaisseaux qui sont dans leur intérieur. Les ganglions entourés d'une coque fibreuse très épaisse sont i
s qui ont envahi tous les espaces laissés libres entre elles. Les ganglions paraissent moins infiltrés que dans les coupes pr
méninges, les vaisseaux dans toute la hauteur de l'axe spinal, les ganglions correspondent exactement au type normal que nou
t dite est normale dans ses divers éléments, de même les racines et ganglions sont sains. La pie-mère infiltrée de cellules r
n, quoique encore persistante, est beaucoup moins considérable. Les ganglions sont extraordinairement infiltrés par des cellule
su embryonnaire qui les entoure sont à peine reconnaissables. Les ganglions sont normaux dans la plupart des points. On remar
s pressées les unes contre les autres et situé juste au milieu d'un ganglion ; des prolongements irréguliers prolongent la l
la moelle proprement dite, soit dansiez méninges, les racines, les ganglions . Mais ces vaisseaux ont une paroi mince, leur l
pées autour d'un vaisseau forment une véritable gomme miliaire. Les ganglions sont non moins atteints. Ils sont contenus dans u
ssent à leur forme cylindrique; on peut encore suivre en partant du ganglion extérieur au canal rachidien une racine nerveuse
et ce qui dépend du tissu transformé de l'espace extradural.. Les ganglions sont beaucoup moins bouleversés, on reconnaît net
te de l'état normal des méninges, des vaisseaux, des racines et des ganglions . Observation XIII, 25 mars 1896 (Broca). Foet
isceaux des racines antérieures sont encore nettement visibles. Les ganglions sont évidemment altérés, les cellules nerveuses p
est absolument normale ainsi que ses enveloppes, les racines et les ganglions . Observation XX, 15 juin 1896 (Broc : ¡). Foe
es le long des septa conjonctifs qui séparent les fascicules. Les ganglions ont une coque très épaissie, fibreuse avec ça et
rfaitement libres, distinctes des méninges, et les unes des autres. Ganglions ni fibreux ni infiltrés. Pie-mère, face interne
nes sont remplies de cellules embryon- naires. Les racines et les ganglions sont normaux. La pie-mère est peu épaisse, non
tement disparu sous le processus néoplasique qui les englobe. Les ganglions sont toujours infiltrés, mais leurs cellules nerv
43 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
). - Peau blanche et laiteuse ; che- veux châtains blonds, quelques ganglions inguinaux engorgés à droite (lymphatisme). - La
Thorax. Le pédicule pulmonaire gauche est resserré par de nombreux ganglions tuberculeux. A droite, ces ganglions sont dans
e est resserré par de nombreux ganglions tuberculeux. A droite, ces ganglions sont dans le même état, mais moins nombreux. To
ces ganglions sont dans le même état, mais moins nombreux. Tous ces ganglions sont durs. Les deux plèvres viscérales portent
e mésentère et les appendices épiploïques du gros intes- tin. Les ganglions mésentériques sont gros et rosés. Au niveau de
ques sont gros et rosés. Au niveau de l'angle iléo-coeeal existe un ganglion nettement caséeux. L'appendice vermiculaire rem
dice iléocoecal; sain et libre, a environ 6 c/m. de longueur. - Les ganglions mésentériques offrent une masse d'aspect cérébr
ne masse d'aspect cérébroïde qui ne pèse pas moins de 170 gr. Ces ganglions ont à leur centre de volumineux foyers caséeux,
coupes. - Pancréas (10 gr), dur, volumineux. Kate(55gr.) : quelques ganglions caséeux au niveau de son hile; pulpe splénique,
ccipital gauche. VIII. Mentionnons enfin l'adénopathie énorme des ganglions mésentériques surtout au niveau du coecum ' et
hyroïde sont normaux. - On remarque de nombreux et assez volumineux ganglions péri- traciléo-bronchiques. - Thymus : pas de r
ieur. Pas de traces de tubercules dans les poumons.-Engorgement des ganglions péri-rachéo-bron- chitiques : plusieurs ont le
bron- chitiques : plusieurs ont le (volume d'une petite noix. Ces ganglions , à la coupe, ne sont pas caséeux et n'offrent pas
ure de la base ; dépression cicatricielle assez étendue du sommet ; ganglion interbronchique caséeux présentant le volume d'
r.) en putréfaction. - Pancréas (14 gr.). Le mésentère contient des ganglions volumineux, nombreux, rosés, sans induration. V
est épaissie, adhérente par places. - Pas de lésions intestinales. Ganglions mésentériques hypertrophiés et assez durs. - Le
érence 22 centimètres. Corps thyroïde vaguement perceptible. Petits ganglions sous-maxillaires à gauche. Thorax à peu près
onie en foyers disséminés dans les deux poumons. Hypertrophie des ganglions périlrachéo-bronchiques. Watteb... (Edouard, Gu
naire coupé en cet endroit et plongé dans l'eau reste au fond. I es ganglions péri-trachéo-bron- chiques. surtout ceux situés
pas caséeux ; ils sont seulement le siège d'une vive congestion. Un ganglion situé à gauche de la trachée atteint le volume
re, sans oedème. Les jambes sont d'une couleur érythémateuse. Les ganglions des aines ne sont pas engorgés. l.a douleur est
e le sternum, à la place du thymus qui a disparu, on trouve un gros ganglion de la dimension d'une grosse noix pesant 5 gram
part. - Broncho-pneumonie en foyers disséminés. - Hypertrophie des ganglions péritra- chéo-bronchiques. il) L'observation
44 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es tubercules quadriju- meaux, où on peut le suivre jusque dans les ganglions situés sous l'aqueduc de Sylvius. » IV. CONNE
es agents de leur généralisation », c'est-à-dire, sans doute, des ganglions de la base, du bulbe et de la moelle. Cette inter
ipitales se propage horizontalement à travers l'écorce, non par les ganglions de la base. Un autre disciple de Munk, Ziehen,
ques de la sensibiliié et du mouvement croissent en complexité, des ganglions de la moelle épinière à ceux des corps opto-str
thalamus opticus et aux noyaux du corps strié, et ce que sont les ganglions de la base à la moelle épinière. » Lussana avait
ntuellement, par le fait de la généralisation du processus, que les ganglions sous- corticaux entreraient en activité. Bref,
tiques par l'excitation directe des hémisphères cérébraux ou des ganglions sous-corticaux. On arrive au même résultat, d'une
ent l'accès d'épilepsie, les premières dérivent de l'excitation des ganglions sous-corticaux, les secondes de celle de l'écor
ques que Ziehen fait ré- sulter de la transmission des courants aux ganglions infra-cor- ticaux 2. Dans une observation cli
es. Toutefois, à l'instar de Luciani, Seppilli ne nie pas que les ganglions de la base, le pont de Varole, le bulbe et la moe
ulbaire et dans le cordon latéral gauche de la moelle épinière. Les ganglions opto-striés étaient normaux. Des considérations
ine mesure, les aires motrices détruites de l'écorce cérébrale. Ces ganglions de la base, dont les fonc- tions motrices ne di
es des noyaux de la protubérance. La protubérance, en somme, est un ganglion intercalé entre le système intellectuel et les
ec les fibres croisées. P. K. XX. CONTRIBUTION A la PHYSIOLOGIE DES ganglions infra- corticaux ET A LEURS relations avec l'at
on enlève les hémisphères cérébraux et le trigone pour agir sur les ganglions de la base. Voici la conclusion de ces inter- v
êt. - La convulsion tétanique paraît ré- sulter de l'irritation des ganglions infra-corticaux, tandis que la convulsion cloni
du cerveau pour aller à la moelle ne passent pas par la station des ganglions opto-striés. Il y a com- munication directe ent
n avec la corne d'Ammon. Luys mène la racine olfactive jusqu'à un ganglion (noyau amygdalien) qui serait situé à l'origine
de l'écorce grise des circon- volutions par la substance grise des ganglions opto-striés, rappe- lant le petit circuit et le
A l'autopsie, on a trouvé une tumeur de la dure- mère comprimant le ganglion de Gasser, les branches du nerf trijumeau et, e
ôté droit, il demeurait très net. La pression et l'électrisation du ganglion cervical supérieur du nerf sympathique gauche g
e 1 degré relativement au côté droit.' La pression exercée sur le ganglion cervical supérieur du nerf sympathique gauche cau
ôté affecté de la face et sensibilité à la pression exercée sur les ganglions cervicaux du sympathique droit. Les observati
tion dans le système veineux. G. D. XXIX. Valeur pathologique DES ganglions DE CASSER lenticulaire, spinal ET cardiaque. (O
diac ganglict); par Hale W111TE. (Drain., vol. LI, oct. 1890.) Le ganglion de Gasser a été examiné dans trente-six cas de ma
Wyss et Kaposi ont trouvé de la névrite de ce gan- glion. Quant au ganglion lenticulaire, les altérations de ses cellules p
de ses cellules paraissent avoir une grande valeur. Les troubles du ganglion spinal ont été vus dans un cas d'herpès soster.
lion spinal ont été vus dans un cas d'herpès soster. Des lésions du ganglion cardiaque ont été trouvées en différents cas :
ogénie de la - circulaire, par Schubert, 410. Fulguration, 453. Ganglions , physiologie des-infra- corticaux, par Ziehen,
45 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tour, plusieurs branches au segment supérieur des deux nerfs, au ganglion cervical supérieur du sympa- thique et au plexu
l- ques-unes, ascendantes. A leur extrémité supérieure, .les deux ganglions recoivent des filets des pharyn- giennes, et en
poussée dans la jugulaire. Sur une pièce bien réussie, on trouve le ganglion cervical supérieur et le plexus gauliforme du p
es thyroïdiennes supérieures; plus haut encore au niveau des deux ganglions , la circulation en retour suit une triple voie;
upe. En haut, un troncule veineux, qui s'intercale entre les deux ganglions , et reçoit, à droite et à gauche, une série de
cription, qui ne souffre que de légères variantes, les veines des ganglions du pneumogastrique et du sympathique sont tou
me nerf (comme, par exemple, tumeur de la dure-mère comprimant le ganglion de Gosser et les branches du trijumeau dans l'obs
cachectique déterminé par un cancer du sein avec engor- gement des ganglions axillaires. R. M. C. XII. LE cas DE MALTER TAYN
e de l'aqueduc de Fallope, et se retrouve en s'atté- nuant jusqu'au ganglion géniculé. Au-dessus du ganglion, le nerf est to
retrouve en s'atté- nuant jusqu'au ganglion géniculé. Au-dessus du ganglion , le nerf est tout à fait normal; le ganglion lu
géniculé. Au-dessus du ganglion, le nerf est tout à fait normal; le ganglion lui-même est intact. Le névri- lemne ne présent
aux tissus du voisinage, et notamment au. grand sympathique et au ganglion semi-lunaire. La première question parait, prov
's Archiv., t. CXIV) a publié deux observations dans lesquelles les ganglions étaient fortement altérés. L'un des cas était c
altérés. L'un des cas était caractérisé par la dégénérescence du ganglion entier ; de nombreux vaisseaux y étaient atteints
oint épaissies que la lumière des conduits était obturée et que les ganglions étaient parsemées d'hémorrhagies. Depuis cette ép
nombre d'examens ont été publiés; dans la plupart de ces faits, le ganglion semi-lunaire était intact. M. KAHLDEN n'a cessé
ddison typique. Dans ces deux faits, il n'y avait pas de lésion des ganglions semi-lunaires, ni d'autres ganglions sus-jacent
il n'y avait pas de lésion des ganglions semi-lunaires, ni d'autres ganglions sus-jacents du grand sympathique. En revanche, da
lure que la maladie d'Addison soit produite par des altérations des ganglions semi-lunaires et du grand sympathique, quoi qu'
ion : M. FLEINER. - Les altérations décrites par l'orateur dans les ganglions semi-lunaires, il les a trouvées, mais l'interpré
de la dégénérescence des fibres myéliniques et des altérations des ganglions spinaux (infiltration de cellules rondes, pigme
la sensibilité, sur le nerf lui-même, et probablement aussi sur les ganglions et les racines spinaux. Mais, y a-t-il une douleu
même de la nigrosine. Cette parti- cularité est générale. Mais les ganglions du cerveau, le cervelet, les régions les puis d
c'est-à-dire de la couche blanche, intermédiaire à l'écorce et aux ganglions , qui rayonne dans le premier segment du système d
rendre que l'ar- ticle externe ou putamen, c'est-à-dire la coque du ganglion appelé jus- qu'ici noyau lenticulaire; on réser
aux lignes de projection périphériques ou radiaires par rapport aux ganglions d'où elles elles rayonnent. P. KERAVAL. XIV.
, de forte odeur dans la plèvre droite. Tuméfaction pro- noncée des ganglions du cou, du reste non suppurés. Pas de suppu- ra
46 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ties les plus éloignées de leurs centres nutritifs altérés dans les ganglions spinaux postérieurs, les parties lointaines éta
axie frontale; 3° l'étiologie. DU 11uSGRHE-CLAY. XXV. Excision du ganglion cervical sympathique supérieur doit dans un cas
e glaucome, avec une revue des travaux publiés sur la chirurgie des ganglions cervicaux; par James Moire BILL, L'D11N C. Rena
six ans, sourde muette, et atteinte de glaucome. L'extir- pation du ganglion cervical sympathique donna d'excellents résul-
lète de la vue. La revue des travaux publiée sur la chirur- gie des ganglions cervicaux, qui termine le travail est intéressant
auche. P. KEnAVaL. III. Remarques sur la structure des cellules des ganglions spinaux; par M. de Lenhossek. (Neural. Centnal6
férent de la structure de chacune des cellules ner- veuses dans les ganglions spinaux (cellules obscures, cellules claires, c
olorabilités, densités, granulifications des cellules nerveuses des ganglions spinaux, purement et simplement. En ce qui co
nsi serait justifiée l'hypothèse que le nucléole des cel- lules des ganglions spinaux est constitué par un composé voisin de
stance fondamentale, c'est-à-dire du proto- plasma des cellules des ganglions spinaux qui existe entre les mottes de tigroïde
vait déjà reconnue dans le cylindraxe et la partie de la cellule du ganglion spinal désignée sous le nom de cône originel. 1
sant et l'on durcit, ainsi, par l'intérieur, les hémisphères et les ganglions cen- traux. L'introduction de la canule dans
E PATHOLOGIQUES. 149 XI. De la structure des cellules nerveuses des ganglions spinaux; par E. Heimann. (Neurolog. Centralbl.,
ossek. La fixation au sublimé est une bonne chose, et le séjour des ganglions spinaux du lapin dans ce liquide pendant vingt-
voies centrales et les relais suivis par les impressions du son, du ganglion cochléaire à l'écorce du télencéphale, les foncti
résumer ainsi. Chaque segment du corps de cet animal est armé d'un ganglion divisé en deux parties, réunies par une commiss
issure transverse de fibres, affectées à chaque moitié du corps. Le ganglion se compose d'un manteau de cellules, la plupart
s (Bethe, de Lenhos- sek). Les racines nerveuses pénètrent dans les ganglions ; elles y REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
s, les fibres motrices émanant des prolonge- ments des cellules des ganglions , les fibres réceptrices arrivant des cellules s
t dans les antennules un court prolongement périphérique et dans le ganglion un long prolongement central qui est la fibre s
physiologique, les cellules nerveuse de l'écrevisse sont, dans les ganglions , séparées par un certain espace du neuro- pile
des animaux vertébrés. Dans les préparations au bleu de méthyle des ganglions de la sangsue, Apâthy a vu des anastomoses, mai
aune clair. Les con- tours des noyaux et leurs foyers dans les gros ganglions sont bien accusés de même que l'écorce. Chez
eurolog. Centralbl., XVII, 1898.) Expériences tendant à détruire le ganglion de l'isthme du pigeon. L'aiguille en pénétrant
médullaire. Au point le plus rapproché du noyau du pathétique et du ganglion de l'isthme, ces fibres s'entre-croisent partie
latéral de la paroi de l'infundibulum; il occupe, à la hauteur du ganglion ecto-mamillaire d'Edinger, la partie postérieure
du ganglion ecto-mamillaire d'Edinger, la partie postérieure de ce ganglion , dont il n'est séparé que par une couche étroite
n reste négatif, la palpation de l'abdomen ne fait pas découvrir de ganglions mésentériques volu- mineux. Diagnostic : tuberc
humides disséminés dans les poumons plus nombreux aux sommets. Les ganglions du cou, Archives, 2' série, t. IX. 32 498 REC
ar Hubbell, 528. CELLULLES. Remarques sur la struc- ture (les-des ganglions spinaux, par Lenhossrll, liO. Contnbu- tions
r Lnitlden et Sorgo. 1 l6. De la structure des - lier- veuses des ganglions spinaux, par lIelll1ann, 149. La-nerveuse rep
hipault, 257. Fumeurs et fumeuses d'opium, par Bérillon, 177. 1 Ganglions spinaux. De la structure des cellules nerveuses
Gigantisme et acromégalIe, par Achard, 533. Glaucome. Excision du ganglion cervical sympathique dans un cas de -, par Bo
47 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
devoir.attribuer à une hypertrophie de la glande thyroïde ou des ganglions lymphatiques. L'enfant, âgée de dix ans, était né
érique; la peau n'est ni chaude, ni douloureuse à la pression ; les ganglions sous-iiiaxii. laires ne sont ni tuméfiés, ni do
Dans l'aine gauche, on trouve deux paquets ganglionnaires, et un ganglion isolé dans une masse graisseuse. CACHEXIE PACHY
rouver trace du corps thyroïde. Les nerfs grands splanchniques, les ganglions semi-lunaires, la partie inférieure du grand sy
la région thoracique parait normal ; au cou, on ne trouve que deux ganglions ; l'inférieur a une lon- gueur d'un centimètre e
e dure, lourde, gênant la parole. - Eu 1882, tuberculose, abcès des ganglions lymphatiques cervicaux. Matité aux sommets. 4
; circonférence 4 cent. 5. Foie et rate normaux à la percussion. Ganglions lymphatiques non hypertrophiés. Peau bistrée, a
s. -Estomac oesophage, pancréas : rien de particu- lier. Péritoine, ganglions mésentériques, sains. AUTOPSIE. 113 Larynx et
ourcils. Sourcils noirs assez épais ; cils longs et noirs. Quelques ganglions lymphati- ques se sentent sous le doigt à la nu
, TUBERCULOSE GÉNÉRALISÉE. 137 aux deux bases pulmonaires. Deux ganglions bronchi- ques sont hypertrophiés et caséeux. Po
enticulaires et irrégulières, surtout dans les fosses iliaques. Les ganglions du mésentère sont hypertrophiés, rosés sur une
nges, la plèvre, les poumons, le péritoine, le foie, la rate, les ganglions et enfin la colonne vertébrale. Laissant de côté
; cils noirs, assez abon- dants. 14 juin. - Faciès pâle, plombé ; ganglions sous-maxil- laires très augmentés de volume; oe
bondant et épais. - Foie (205 gr.), vési- cule biliaire, intestins, ganglions mésentériques et pan- ATROPHIE CÉRÉBRALE; PSEUD
ume d'une petite olive ; léger phimosis ; méat nor- mal. Nombreux ganglions des deux côtés du cou, surtout à gauche, avec c
icarde et l'aorte. Poumons : droit : 180 gr. ; gauche : 170 gr. Les ganglions bronchi- ques forment des masses caséeuses asse
ie des plaques do Peyer sans ulcérations ; tuméfaction légère des ganglions mésentériques(l). Tête. Le cuir chevelu offre u
dans les parties 214 ' autopsie. où on ne trouve pas d'adhérence. Ganglions du médias- tin postérieur mélaniques, sans augm
48 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sent, de desquamation furfuracée. Pas d'hypertrophie sen- sible des ganglions . La sensibilité générale semble légèrement obtu
senter comme corps thyroïde soit du thymus de mouton, soit même des ganglions lymphatiques.) Enfin, pour les mêmes motifs que
nécessitent l'énucléation des glandes malades des deux côtés : les ganglions extirpés furent reconnus tuberculeux. Le premie
Pour l'étude microscopique, on a pris le cerveau et la moelle, les ganglions intervertébraux, les parties cervicale et thoraci
dessous des parties oedématiées et quelques muscles de la main. Les ganglions du grand sympathique ont été congelés et examin
tout un tableau parfaitement normal. Aucune modi- fication dans les ganglions intervertébraux et sympathiques. Il en est de m
cal Times, avril 1895.) C'est l'observation d'un matelot opéré pour ganglion tubercu- leux du cou par un curettage avec la c
nnées nous apprennent que les cellules nerveuses de la rétine et du ganglion spinal cochléaire sont des constructions homologu
on spinal cochléaire sont des constructions homologues à celles des ganglions spinaux; ces cellules envoient tous les cylin-
périphérique, le tabès dorsal étant une maladie qui débute par les ganglions spinaux et leurspro- longements cylindraxiles d
donc bien les homologues de ceux-ci. La structure des cellules des ganglions spinaux, unipolaire, n'est qu'une apparence, comm
gue des prolongements protoplasmiques de cellules rétiniennes et du ganglion spinal cochléaire. Les ganglions spinaux correspo
iques de cellules rétiniennes et du ganglion spinal cochléaire. Les ganglions spinaux correspon- dent au ganglion rétinien et
anglion spinal cochléaire. Les ganglions spinaux correspon- dent au ganglion rétinien et au ganglion spinal cochléaire. Les
e. Les ganglions spinaux correspon- dent au ganglion rétinien et au ganglion spinal cochléaire. Les racines postéiieures et
de la moelle, se retrouve dans le lobe optique des oiseaux, dans le ganglion dorsal optique (ganglion dorsal du nerf optique
dans le lobe optique des oiseaux, dans le ganglion dorsal optique ( ganglion dorsal du nerf optique ? et il est permis de supp
otrices sont toujours atteintes; quant aux lésions des cellules des ganglions spinaux on n'en a pas encore de preuves certain
nt dendritique celui qui, par- tant d'un des pôles d'une cellule du ganglion intervertébral, s'en va à travers le nerf sensi
dérer le prolon- gement périphérique du tube en T, de la cellule du ganglion intervertébral. L'embryologie démontre d'ailleu
bres de la sensibilité dans leur trajet compris entre la cellule du ganglion intervertébral et la péri- phérie, comme consti
pression sensible au moment où elle part de la peau pour arriver au ganglion intervertébral marche en effet vers le centre d
he en effet vers le centre du neurone qui forme les cellules de ces ganglions ; elle doit donc suivre les prolongements dendri
drites qui constituent les nerfs sensibles ; son centre est dans le ganglion intervertébral; son prolongement neural, après
es branches collatérales. Où débute la lésion ? Est-ce au niveau du ganglion ainsi que les premiers observateurs des lésions
ne représente, à la partie supé- rieure de l'axe cérébro-spinal, un ganglion intervertébral. Le fait qui, à première vue, pe
le est dans la moelle, le bulbe, le cerveau, au lieu d'être dans le ganglion intervertébral. Disons tout de suite que les lé
dendrites se mettent en contact avec le cylindraxe d'un neurone du ganglion intervertébral qui par- vient jusqu'au bulbe en
e règle que la lésion respecte à peu près la racine postérieure, le ganglion invertébral ainsi que la zone de Lissauer. Seul
urone, c'est-à-dire ni dans les circonvolutions motrices ni dans le ganglion intervertébral, mais au contraire dans les neur
iendrait un nodus gris, allongé en avant en forme de coin, sorte de ganglion termi- nal des fibres optiques, de celles qui o
49 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
uellement comme manifestation sy- philitique qu'une tuméfaction des ganglions du cou et des ganglions épi- trochléens qui att
ation sy- philitique qu'une tuméfaction des ganglions du cou et des ganglions épi- trochléens qui atteignent le volume d'une
phie des hémisphères cérébraux ; 3° une atrophie presque totale des ganglions cérébraux centraux (le pulvinar, les corps geno
dification pathologique. Les poumons sont farcis de tubercules. Les ganglions trachéo-bronchi- ques agglomérés en amas volumi
manifestation cutanée, ni dans les nerfs périphériques ni dans les ganglions spinaux. « Dans ces conditions, il est permis d
oires que vous savez n'a rien à voir avec l'influence trophique des ganglions ou de l'axe gris médullaire. Il faut se garder de
gation des racines postérieures, à cause de la position oblique des ganglions qui leur permet de se redresser, nous permet de d
n plutôt que de destruction avec retentisse- ment probable dans les ganglions rachidiens et dans les neurones sensitifs médul
gique, de la physiologie et de la clinique. Anatomie. De tous les ganglions crâniens, aucun n'affirme plus nette- ment sa p
ns, aucun n'affirme plus nette- ment sa parenté avec le système des ganglions rachidiens que le ganglion auriculaire, surtout
te- ment sa parenté avec le système des ganglions rachidiens que le ganglion auriculaire, surtout dans la période ontogénéti
s'est pas encore fractionné en deux amas nucléaires principaux, le ganglion de Scarpa, et le ganglion de Corti. Il appartie
né en deux amas nucléaires principaux, le ganglion de Scarpa, et le ganglion de Corti. Il appartient à la formation neurale de
, et le ganglion de Corti. Il appartient à la formation neurale des ganglions spinaux et dénonce de bonne heure sa significat
rai pas sur ce point que j'ai longuement développé ailleurs (1). Ce ganglion auriculaire est donc le centre d'un protoneurone
l'adaptation fonctionnelle de l'appareil labyrin- thique ; puis les ganglions se sont fragmentés à leur tour. C'est ainsi que
onvaincu, une place de plus en plus importante. On décrit donc au ganglion auriculaire deux grands rameaux périphé- riques
s nerfs ampullaires, l'utriculaire et le sacculaire. De son côté le ganglion de Corti, la partie du ganglion auriculaire qui s
re et le sacculaire. De son côté le ganglion de Corti, la partie du ganglion auriculaire qui s'en- roule dans le moyeu du li
limaçon, le long du canal de Rosenthal, s'est tout à fai t isolé du ganglion de Scarpa, le vieux ganglion rachidien resté dans
Rosenthal, s'est tout à fai t isolé du ganglion de Scarpa, le vieux ganglion rachidien resté dans le trou auriculaire, légèr
uement ce qu'on appelle le protoneurone centripète, c'est-à-dire le ganglion spinal et ses branches afférentes et efférentes
onsidérable de ces protoneurones hulbo-médullaires, c'est-à-dire le ganglion auricu- laire deScarpa-Corti, et les branches d
yenne, de l'oreille interne, des papilles, des rameaux afférents du ganglion de Scarpa, de ses rameaux eflerents ou tronc vest
il : ce serait répéter ce qui a été dit pour la coupe précédente. Ganglions SPINAUX. - Nous avons pu pratiquer l'examen du on
Ganglions SPINAUX. - Nous avons pu pratiquer l'examen du onzième ganglion spinal du côté droit. La coloration en a été fait
tait à peu près intacte. Les cellules des cornes antérieures et des ganglions spinaux étaient manifestement atrophiées. Les ner
nt celles qui ont été décrites dans le labes incipiens. Lésions des ganglions spinaux et des racines. - Dans le cas de Marine
. Fig. 1. - Coupe du nerf péronier (lésion maximum). L'examen des ganglions spinaux fait par nous, nous permet d'admettre u
it par nous, nous permet d'admettre une altération des cellules des ganglions ; elles sont tout à fait compara- bles à celles
50 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ces par- ties. D'après Huguenin, c'est la région supérieure de ce ganglion , précisément dans celle qui se localise dans l
identiques à la substance grise de la moelle épinière, ainsi qu'aux ganglions cérébro-spinaux. Horbaczewski ` (v. Rente, loc.
eux-mêmes, il est facile de s'assurer que ces cellules servent de ganglions ou noyaux, à des branches nerveuses très fines,
merger du corps restiforme, l'îlot de subtance grise qui servait de ganglion à cette branche, occupait une assez vaste étend
ditif cesse de présenter des îlots de subs- tance grise, servant de ganglions aux fils nerveux. Comme' je J'ai dit ailleurs;
t le noyau accessoire de Schwalbe, on pourrait encore ajouter les ganglions , microscopiques localisés dans le tronc du nerf
Rien de nouveau, que les cellules ganglionnaires, c'est-à-dire les ganglions ou noyaux respectifs qu'on trouve sur le parcou
on trouve sur le parcours des fils nerveux. Sans nous arrêter aux ganglions microscopiques nombreux, tels que le ganglion d
s nous arrêter aux ganglions microscopiques nombreux, tels que le ganglion de Casser, les ganglions géniculés, le DE LA ST
glions microscopiques nombreux, tels que le ganglion de Casser, les ganglions géniculés, le DE LA STRUCTURE DU TRONC DU NERF
glions géniculés, le DE LA STRUCTURE DU TRONC DU NERF AUDITIF. 49 ganglion jugulaire, le ganglion pétreux, les ganglions d
DE LA STRUCTURE DU TRONC DU NERF AUDITIF. 49 ganglion jugulaire, le ganglion pétreux, les ganglions des nerfs sympathiques,
NC DU NERF AUDITIF. 49 ganglion jugulaire, le ganglion pétreux, les ganglions des nerfs sympathiques, rappelons-nous que Pouc
s sympathiques, rappelons-nous que Pouchet et Tourneux ' citent des ganglions sur le trajet du nerf lingual, et sur les fibre
du nerf inter- médiaire de Wrisberg, prennent naissance dans les ganglions microscopiques enclavés dans le nerf au- ditif
teurs, le nerf intermédiaire de Wrisberg se relie définitivement au ganglion géniculé du nerf facial il en ressortirait, com
e' le considère au point de vue de branche de communication avec le ganglion genouillé; Schwalbe', Arnold et Bischoff s'acco
choff s'accordent à lui recon- naître le rôle de filet d'origine du ganglion genouillé, quoiqu'ils ne se décident pas à le c
es ventricules latéraux d'où sourd un liquide clair; l'atrophie des ganglions de la base, des tubercules qua- drijumeaux, l'a
dentiques à ceux du poumon droit. Le lobe supérieur est intact. Les ganglions péribronchiques sont volumineux, indurés et anl
alpation, un empâtement profond. La pression y est douloureuse. Les ganglions cervicaux ne sont point engorgés. Le toucher de
dt pense que les phénomènes tendi- neux sont des réflexes, dont les ganglions spinaux sont le centre ; Brissaud en fait des r
51 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
lymphoïdes et conjonctifs polymorphes, représentent évidemment des ganglions lymphati- ques, comme le montrent leur situatio
ervation qui fait l'objet de ., ce travail de rechercher l'état des ganglions spinaux et des filets sensitifs'. cutanés et de
la substance blanche sous-corticale et même plus bas, au niveau des ganglions centraux, voir même dans le pédoncule. On objec
ssement inflammatoire dans le pédoncule, des petits foyers dans les ganglions centraux, dans la capsule interne et dans le ce
te lésion sur la cellule centrale du protoneurone, siégeant dans le ganglion de la racine postérieure. Une fois admise la
s de la formation embryologique des gan- glions cérébro-rachidiens, ganglions des racines postérieures de la moelle et des ne
n ganglionnaire de Ilis, quelques ganglioblastes s'éloignent de ces ganglions et vont constituer de chaque côté de la colonne v
ra- meau périphérique, soit un rameau intermédiaire allant vers le ganglion sympathique voisin. Quelques cellules du syst
neuro-fibromatose généra- lisée à tous les nerfs périphériques, aux ganglions rachidiens et à tout le système sympathique, à
t cylindraxile signalé plus haut réunissant certaines cellules d'un ganglion sympathique à celles des ganglions voisins. Et
éunissant certaines cellules d'un ganglion sympathique à celles des ganglions voisins. Et ceci nous explique pourquoi la réacti
es Sciences, 9 avril 1900 et 2 mars 1903. (2) Simon et Hoche, Les ganglions nerveux des racines postérieures appartiennent-
, soit sur les filets iriens de ce nerf jusqu'à leur entrée dans le ganglion ciliaire. De même les signes de la mydriase spa
le cervicale ou des filets sympathiques jusqu'à leur entrée dans le ganglion ciliaire. Nous connaissons bien ces deux for- m
ste, car les muscles iriens sont en réalité sous la dépen- dance du ganglion ciliaire. Les expériences faites sur les mammifèr
oteur oculaire commun n'agit sur les muscles de l'iris que grâce au ganglion ciliaire, qui reçoit l'excitation de ce nerf et
esse, « ici comme ailleurs, les muscles lisses sont innervés par un ganglion sympathique sous la dépen- dance d'un nerf mote
s les troubles moteurs de l'iris à des lésions siégeant en amont du ganglion ciliaire, il est logique d'admettre l'existence
organiques ayant leur origine soit t dans les cellules motrices du ganglion ciliaire, soit dans les filets moteurs des nerf
es symptômes des troubles morbides, qui peuvent se produire dans ce ganglion ou dans ses nerfs centrifuges. Ce que nous en sav
ective se manifeste par la destruction des cellules sympathiques du ganglion ciliaire ; cette lésion a pour conséquence la p
ation nous démontre que la paralysie des cel- lules sympathiques du ganglion ciliaire ou celle des terminaisons nerveu- ses
cas de mydriase due à un trouble paralytique siégeant soit dans le ganglion ciliaire, soit dans les nerfs qui en émanent.
laire commun ou du grand sympathique cervical, sans tenir compte du ganglion ciliaire ; la paralysie de la IIIe paire ne pouva
le du côté lésé. Le professeur Bouchard (2), après avoir arraché le ganglion cervical supé- rieur gauche à un jeune lapin, a
r des fibres anastomoti- ques directes, soit par la racine grise du ganglion ophtalmique. L'inflam- mation de ces filets sym
ances anatomiques et embryologiques entre les corps cellulaires des ganglions sensitifs craniens ou rachidiens issus de la cr
ens ou rachidiens issus de la crête de Sagemehl et les cellules des ganglions sympathiques du même système métamérien ou des
cun indice de dégénéralion ; le cervelet, la moelle épinière et les ganglions vertébraux étaient absolument normaux. Cette in
lutions des grands hémisphères du cerveau ainsi que la position des ganglions basais et des sutures crâniennes (2). Un hémi
eux, fait qui est à rapprocher de la présence de lipomes autour des ganglions tuberculeux, de l'adénolipomatose, etc. Ces dif
52 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
logés les veines superficielles, les vaisseaux lymphatiques et leurs ganglions . 3° Les loges musculaires : en général elles ne c
sseux, les vaisseaux sanguins sous-cutanés, les lymphatiques et leurs ganglions . 3° La couche musculaire est formée,dans la circo
re, sont environnés d'une masse cellulaire et des grands chapelets de ganglions lymphatiques, et cernés, seulement à distance, pa
es, les tumeurs tuberculeuses ou encé-phaloïdes, développées dans les ganglions mésentériques, et les anévrismes de l'aorte, qui
ymphatiques, est fortifiée vers sa base par l'application de nombreux ganglions . Vers la face fémorale du contour aponévrotique d
e des vaisseaux et se trouve fermée au-dessus par l'encastrement d'un ganglion lymphatique. Ainsi, à partir du bassin, les vaiss
vaisseaux, les diverses espèces d'anévrismes ; pour les muscles, les ganglions lymphatiques et le tissu cellulaire, les abcès, l
e des deux ou trois rameaux lymphatiques, qui vont se rendre dans les ganglions parotidiens. Sur la surface périostique rampent l
ternes et temporaux. A la glande parotide se rapportent également les ganglions lymphatiques dits paroticliens, disposés en deux
s et veine sub-mentales, l'origine des faciales et les linguales. Les ganglions lymphatiques y forment le chapelet sub-mental et
lon des gros vaisseaux, le pneumo-gastrique, le grand sympathique, le ganglion cervical inférieur, et les nombreux filets cardia
er le muscle grand pectoral et les traînées lymphatiques qui vont aux ganglions de l'aisselle. 6° Squelette. Il est formé, pour c
des parties génitales, et vont se jeter dans la rangée supérieure des ganglions inguinaux. 6° Nerfs. Fournies par le plexus lomba
s externes, et des vaisseaux lymphatiques, qui vont se jeter dans les ganglions inguinaux. Les nerfs, d'origine différente, se co
du corps caverneux. Les lymphatiques superficiels se rendent dans les ganglions inguinaux, disposition anatomique qui est la caus
iennent fréquemment variqueuses; les lymphatiques se rendent dans les ganglions inguinaux. Les neris sont fournis superficielle
quoique assez nombreux, sont sans importance; ils se rendent dans les ganglions inguinaux ou dans ceux du bassin. 6° Nerfs. Ils s
renferme clans ses mailles agrandies en petites loges spéciales, les ganglions lymphati- 1 Planche i, n" 3i ; et planches 7 et
n peu au-dessous, sur le trajet des gros vaisseaux, sont disposés les ganglions delà rangée inférieure dont il sera parlé plus lo
d nombre cle maladies et d'opérations. Au fascia superficialis et aux ganglions lymphatiques, se rapportent les abcès phleg-moneu
elques-unes forment des enveloppes dans lesquelles sont encastrés des ganglions lymphatiques. Épais de trois à quatre lignes au c
et lymphatiques qui s'y ramifient. Dans ses loges sont renfermés les ganglions inguinaux superficiels de la rangée inférieure, d
ieures, et, au milieu, les articulaires moyennes ; (d) trois à quatre ganglions lymphatiques et leurs rameaux entourant les gros
dens locaux, tels que l'engorgement des vaisseaux et des chapelets de ganglions lymphatiques au-dessus de l'incision, et les acci
e: au-dessous est une couche de tissu cellulaire fibreux entremêlé de ganglions et de gros vaisseaux lymphatiques; écarter ce tis
rne ; au-devant est le fascia-superficialis rempli de vaisseaux et de ganglions lymphatiques, et la peau. Rien de plus facile que
ibreuses en écartant avec le bec de la sonde les flocons adipeux, les ganglions lymphatiques et les troncs des artères et veines
voie la céphalique; 3° une couche de tissu cellulaire remplie par les ganglions et les vaisseaux lymphatiques des chapelets jugul
ehors, puis rompre et écarter le tissu cellulaire et les vaisseaux et ganglions lymphatiques ; porter ensuite vers l'un des angle
c la sonde cannelée, la veine jugulaire interne en dedans, en bas les ganglions lymphatiques et les vaisseaux scapulaires supérie
igt et le bec de la sonde diviser le tissu cellulaire en écartant les ganglions lymphatiques. On tombe alors sur le faisceau vasc
x se présentent les veines thyroïdiennes moyenne et inférieure et les ganglions lymphathiques, que l'on écarte; puis, en dehors d
c cette veine par le péritoine pariétal postérieur, les chapelets des ganglions lymphatico-chylifères lombaires, puis par une gaî
en arrière sur les ligamens antérieurs du rachis'dont la séparent des ganglions et vaisseaux lymphatiques et les origines des art
tendineuses. Ces dernières sont connues sous le nom très impropre de ganglions . Kystes synoviaux sous-cutanés. Les évacuer par
vre, etc., sur lequel on frappe un coup sec. Sabatier, sur les petits ganglions , se contentait d'appliquer un pouce et comprimait
rtère carotide, appliquées sur la face antérieure de l'aponévrose. 7. Ganglions lymphatiques jugulaires, également vus en transpa
accidentellement passage aux viscères. Il est bouché en dedans par un ganglion lymphatique, qui fait obstacle à la hernie crural
sous-maxillaire. 1. Artère et veine sous-mentales, accompagnées de ganglions lymphatiques, et rampant sur le plan du muscle my
chiale interne et supérieure. 1° Creux de l'aisselle. 5. Masse de ganglions lymphatiques, encastrée dans du tisaU adipeux.
euillet fibreux complémentaire qui revêt les vaisseaux (A). 14. 14. Ganglions lymphatiques inguinaux encastrés dans de petites
u. 2. Section du fascia superficialis, très épais en ce point. 3. Ganglions lymphatiques, écartés du trajet du bistouri. 4.
re enlevée, et l'incision continuée vers l'aisselle sur le trajet des ganglions lymphatiques , qu'il est le plus habituellement n
53 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
que sur l'inégalité des papilles dans les affections des poumons, des ganglions bronchiques et du péri-carde, etc., etc., etc.
a-pillaires, recouvertes de croûtes jaunâtres. (Voy. Planche XVII.) Ganglions mobiles, non douloureux, dans l'aisselle correspo
llipse, la queue de l'ellipse se prolonge du côté de l'aisselle ; les ganglions et le sein sont ainsi extirpés. On panse à plat a
a clinique, permet d'af-firmer l'existence d'un cancer du sein. Les ganglions avaient l'aspect d'une bouillie blanchâtre; ils r
aires. Ses forces avaient di-minué. On enleva la tumeur ainsi que les ganglions . Le tissu mor- 1 T. W. Nunn, dans un travail in
pidement. Le docteur Brunker hésitait à recommander l'extirpation des ganglions axillaires. Toutefois, le malade insistait pour q
eur, — ou bien des fractures diaphysaires assez rares d'ailleurs. Les ganglions lymphatiques res-tent indemnes ; les gros troncs
pus caséeux, laquelle se prolongeait sur les gaines des nerfs et des ganglions spinaux. La dure-mère elle-même était épaissie et
es à droite qu'à gauclie, cepen-dant les neuvième, dixième et onzième ganglions dorsaux du côté gauche étaient seuls tuméfiés et
ient seuls des altérations appréciables au microscope. Dans ces trois ganglions , les cellules nerveuses avaient disparu et, au vo
litaires gonflés, mais pas de gonflement des plaques de Peyer, ni des ganglions mé-sentériques; autour du bout inférieur de l'int
-cléido-masloïdien. — En un mot, elle paraît complètement limitée aux ganglions qui avoi-sinent l'angle du maxillaire inférieur.
gion occupée par la tumeur, le chirurgien procède à la dissection des ganglions sarcomateux ; il détruit avec ses doigts les adhé
ble manifestement constituée par l'agglomération d'un grand nombre de ganglions lymphatiques. On panse la plaie avecl'eau de Pa
ion. A la coupe, elles offrent une coloration laiteuse, identique aux ganglions lymphatiques en-flammés et ramollis. Les deux tum
l'amygdale droite présente un léger degré d'hypertrophie ; jamais les ganglions n'auraient été engorgés. État actuel (juillet 4
à un moindre degré, sont envahis par le cancer. Il en est de même des ganglions mésentéri-ques, qui sont hypertrophiés. — La muqu
st altéré, squirrheux et mesure près d'un centimètre d'épaisseur; les ganglions voisins sont hypertro-phiés et cancéreux.— Les in
54 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
7 l'enfant voyant à peine. Cheveux blonds, bien implantés. Petit ganglion sous-maxillaire à gauche. Petits ganglions de l
ds, bien implantés. Petit ganglion sous-maxillaire à gauche. Petits ganglions de la chaîne carotidienne à droite et à gauche.
ongestion intense. Ce poumon ne présente pas de turbercu- les.- Les ganglions du médiastin sont un peu tuméfiés. Abdomen. Foi
te CHRONIQUE. 23 de 101lgueUl ? Intestins. vessie normaux. Quelques ganglions sous le mésentère. Causes de la mort. Méningi
ussi sur l'existence de quelques lésions irrita- tives au niveau du ganglion spinal, l'auteur estime que ce fait vient à l'a
centrale des centres corticaux vaso-trophi- ques (.}olf'¡-oy), des ganglions tnop7ziqzces spinaux (Dé- jeriné),ou des racine
définies de l'écorce du cerveau ; c) par l'irritation de quel- ques ganglions centraux et du pédoncule cérébral ; d) par l'irri
nnue : on sait seulement que quelques centres cél'éhro.spi, naux et ganglions périphériques, en s'épuisant, cessent de réagir
longement des racines postérieures et. naissent des cellules des ganglions intervertébraux. Chaque fibre des racines postéri
périphérique. Résection chez le lapin du nerf va- gue au-dessous du ganglion jugulaire. Du 9° au 284e jour, les cellules des
dessous du ganglion jugulaire. Du 9° au 284e jour, les cellules des ganglions spinal et jugulaire subissent le processus atro
s, lapins, des racines postérieu- res ou du nerf vague au-dessus du ganglion jugulaire. L'atrophie des cellules des ganglion
vague au-dessus du ganglion jugulaire. L'atrophie des cellules des ganglions spinaux ne commence qu'au début du 3e mois. Du
.jour pour croître continuelle- ment jusqu'au z. A celle époque, le ganglion devenu plus pe- tit renferme encore un très gra
a dégénérescence rétrograde de la racine postérieure jusque dans le ganglion spinal. On note aussi des troubles trophiques t
ble est l'influence du prolongement central intact des cellules des ganglions spinaux sur leur structure et sur leur fonc- ti
ticulièrement accentuées de la corticalité. Granulie gé- néralisée, ganglions trachéo-broncluques caséeux. Ce que les au- teu
la nervosité chez la mère. Otorrhée dans l'enfance. Conjonctivites, ganglions cervicaux suppures. Crise de rhumatisme articul
ijumeau n'exercent aucune influence sur le phénomène. L'ablation du ganglion de Casser qui supprime toute conductibilité de
? roloqique, 1O,i.) E. fiLIN, LVI. Névralgie faciale et tumeur du ganglion de Gas- ser ; par Henri Verger et IL GRENIER de
r ; par Henri Verger et IL GRENIER de CARDENAC. Les compressions du ganglion de Gasser ou des racines de la cinquième paire
EUSE. 421 queutes. Il est plus rare de constater l'envahissement du ganglion lui-même par un néoplasme. C'est un cas de ce g
résulter que la névralgie faciale symptomatique des néo- plasmes du ganglion de Casser révèle une physionomie spéciale qui s
algiques disparaître à une certaine époque, quand la destruction du ganglion ou de la ra- cine est complète. (Revue neurolog
inesco, 42. Névralgie. Voir Epileptique. - - faciale et tumeur du ganglion de Casser, 420. Les courants continus dans la
55 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
rôle secondaire à la moelle allongée, aux centres inférieurs et aux ganglions du cerveau, et s'il est, peut-être, permis de se
chen ruber. Gaule, par toute une série d'expéri- mentations sur les ganglions inter-vertébraux et sympathiques, ainsi que sur
autre désordre dans les centres de la moelle épinière, ou dans les ganglions qui s'y rattachent. Ces désordres se transmette
e articulaire, comme dans le cas d'Henry, d'après Munchmeyer. Les ganglions correspondants à la région malade sont gros, tumé
es veines profondes du membre, l'engor- gement aigu et passager des ganglions situés au-dessus du groupe muscu- laire affecté
aissant pas entraîner par les torrents lymphatiques jusque dans les ganglions et les viscères. S'agit-il d'une tumeur ou d'un
corne antérieure et entre les cellules des cordons de Clarke et des ganglions intervertébraux. Ces dernières sont d'une grand
i sin- gulier, tandis que les cellules des cordons de Clarke et des ganglions in- tervertébraux se sont développées normaleme
-à-dire au cinquième mois de la vie intra-utérine, les cellules des ganglions inler-verlébraux sont déjà tout à fait bien dév
n noyau d'origine réelle en dehors de l'axe cérébro-spinal, dans le ganglion de Corti et dans le ganglion de Scarpa. Du fond
ehors de l'axe cérébro-spinal, dans le ganglion de Corti et dans le ganglion de Scarpa. Du fond du conduit auditif interne l
droite ; roséole ; plaques muqueuses amygdaliennes, engorgement des ganglions cervicaux ». Il a suivi deux mois un traitement
nes ; autopsie partielle 12 heures après la mort : Hypertrophie des ganglions mésentériques ; pas d'athérome dans les vaisseaux
ulmonaire. Au sommet du poumon droit des foyers caséeux ramollis. Ganglions bronchiques caséifiés ; il en est de même des gan
x ramollis. Ganglions bronchiques caséifiés ; il en est de même des ganglions mésenté- riques. La paroi antérieure du ventric
n de la hanche est respectée ; le genou devient raide. 21 juin. - Ganglions poplités et cruraux sensibles. Infiltration de la
du pouce, sont normaux. Membre inférieur gauche. - A l'aine li à 5 ganglions indolores, gros comme une amande. Résistance os
landes salivaires gauches. 11 n'y a rien de spécial dans l'état des ganglions du cou ni des carotides. L'oeil droit présente
t ; G, côté gauche. 3 : it J. SABRAZÈS ET C. CABANNES contient un ganglion du volume d'nne olive ; malgré la salivation abon
tres. Un observe également des modifications intéressantes dans les ganglions céré- braux centraux. La partie du cerveau atte
rant l'aspect de filaments fins; à la partie supérieure on voit des ganglions intervertébraux bien développés. Comme exemple
le noyau médian et le noyau latéral ; dans le premier se trouve le ganglion de l'Irabi- nula d'où part le ténia du : 3e ven
es cellules était bi- zarre : mais pour ce qui est des cellules des ganglions inter-vertébraux, qui se développent tout à fai
, eczéma de la tête ayant occasionné probablement le gonflement des ganglions du cou ; un gonflement du côté gauche du dos a ap
re des veines superficielles dilatées et ne peut pas être pincée. Les ganglions de l'aisselle gauche sont beaucoup plus gros dr
, il a constaté une tumeur diffuse s'accompagnant du gonflement des ganglions cervicaux. En quelques semaines, la tuméfaction s
, un con- duit lymphatique ossifié ( ? ). Dans l'aisselle gauche, 3 ganglions tuméfiés, mais petits. 22 novembre 1895. Les
56 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sclérose bien moins considérable que le tronc de ce nerf. 3° Les ganglions de Gass< ! 1', des deux côtés, renferment un c
épi. La peau ne présente ni cicatrices, ni nævi. On ne constate de ganglions en aucune région. Sa tête, de forme normale,
térieur. Les plans qui passent par la portion la plus antérieure du ganglion de l'habénula contiennent des libres dégénérées
. Keraval. XII. Piqûre de la 3° paire dorsale gauche au niveau du ganglion spinal parA. VALLI ? NBERG(\Teccrolng. CtJl1tra/ú
é au point où il sort delà colonne vertébrale, c'est-à-dire près du ganglion spinal. On constate : 1° une faible hypo-osthes
laires sclérosées. G. 1). '111. Hypertrophie et lésions (tumeur) du ganglion sym- pathique cervical dans un prétendu cas de
oie, des reins, de la rate, etc.,et un volumineux fibro- sarcome du ganglion supérieur du sympathique cervical gauche. Les c
dans la cavité thoracique, il s'unissait à d'autres nerfs issus du ganglion étoile, que, finalement entre l'aorte et l'artère
et anatomiques dé- montrent que ce nerf sient du pôle supérieur du ganglion jugu- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOL
t pour localisation principale la région bulbaire, la moelle et les ganglions spinaux. Les expériences exécutées par l'auteur o
ée qui fait innerver le porisLahhylin externe par les libres que le ganglion otique reçoit du trijumeau. Ces atrophies dans
donc point périostique. S(,clioiiiie-[-oti les racines sensibles du ganglion de Casser, on ne l'obtient plus, encore que l'e
nnervés par le facial subsiste et soit même exagérée. L'ablation du ganglion de Gasser produit le même effet : seule- ment c
et léthalité anormales. M 11. CHAPON. LXXXti. Les altérations du ganglion rachidien chez les tabétiques ; par Thomas el U
eclterrite ? ltisLolu,itlue portant spécialement sur la cellule des ganglions rachidiens chez, les tabétiques, desquelles les a
tes : 1° il existe fréquemment des altérations cellulaires dans les ganglions rachidiens des lahé- tiques. Ces lésions consis
nt, centre des t uso-moleurs. Il en part une impulsion qui, par les ganglions sympathiques, gagne le système vasculaire de la
ralytiques des extrémités dans les foyers de ramollis- sement des ganglions sous-corticaux, par A. IIOMBURGF Il. (Neurolog.
n'entraînent pas d'incontinence. 5° Le ramollissement bilatéral des ganglions en question s'ac- compagne de troubles caractér
, sur le bord antérieur de la protubérance, ils sont séparés par le ganglion interpédonculaire, d'ailleurs très puissamment
dans la circonvolution sig- ]Y0'i(le de l'écorce, en traversant les ganglions de la base, prenant 1, contact avec les libres
lyti- ques des extrémités dans les foyers de ramollissement des ganglions sous-corticaux, par liomburger, 37. sexuelle.
nument à ? 4LG. Piqûre de la 3" paire dorsale gauche au niveau du ganglion spinal, par Wallenberg, 54. Plexus. Voir Para
. et rééducation,parDufour,449. Tabétique. Voir Douleurs.' Voir Ganglion rachidien. 1'vcn.·Ue la détermination du sens
57 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mités droites. - Autopsie. Tumeur occupant à gauche une partie des ganglions centraux et de la couronne rayonnante du lobe t
érébral et, chez la femme, de l'hyperémie cérébrale notamment des ganglions centraux et de l'écorce. Cinq observations à l'ap
clanché à 40 éléments). Le pôle positif était appliqué au niveau du ganglion cervical supérieur du grand sympathique, et le
roscopique : mais il existait une petite hémorrhagie intéressant le ganglion lenticulaire gauche, et une extravasation sangu
té. Les plus externes gagnent le noyau anté- rieur de l'acoustique ( ganglion acoustique); les moyens et une partie des inter
ndirects de ces racines, on voit : 1° des faisceaux qui joignent le ganglion acoustique au noyau interne; 2" des fais- ceaux
ns profonds ; 50 des fais- ceaux du corps trapézoïde, sont venus du ganglion de l'acous- tique (Flechsig). La couche intermé
devoir attribuer à une hypertrophie de la glande thyroïde ou des ganglions lymphatiques. L'enfant, âgée de dix ans, était né
gment du facial compris à l'intérieur du canal de Fallope, entre le ganglion gentculé et l'origine du rameau destiné du musc
les couches optiques au milieu de la commissure postérieure et du ganglion de l'habenula, mais sans en altérer la substance
et moral, qui restent pendant un certain temps paralysés; quand les ganglions centraux de la base du cerveau sont au contrair
érique; la peau n'est ni chaude, ni douloureuse à la pression ; les ganglions sous-maxil- laires ne sont ni tuméfiés, ni doul
Dans l'aine gauche, on trouve deux paquets ganglionnaires, et un ganglion isole dans une masse graisseuse. 312 CLINIQUE N
rouver trace du corps THYROÏDE. Les nerfs grands splanchniques, les ganglions semi-lunaires, la partie inférieure du grand sy
la région thoracique parait normal ; au cou, on ne trouve que deux ganglions ; l'inférieur a une lon- gueur d'un centimètre e
Poids avec la pie-mère, après ouverture des ventricules : 1,435 gaz Ganglions de la base, corps quadrijumeaux, normaux. Tes
e dure, lourde, gênant la parole. - En 1882, tuberculose, abcès des ganglions lymphatiques cervicaux. Matité aux sommets. 4
de puerpéralité normale, l'auteur a trouvé une forte hyperplasie du ganglion cervical de l'utérus (ganglion de Frankenhoeusu
ur a trouvé une forte hyperplasie du ganglion cervical de l'utérus ( ganglion de Frankenhoeusu)2 ; dans les stades plus avan-
iltrés de graisse. Dans la paramétrite chronique, M. Freund a vu le ganglion qui nous occupe, comprimé par des tractus de ti
58 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
et péritonéale. Mort. * Autopsie : tuberculose du péritoine, des ganglions mésen- lériques, de l'intestin, des ganglions p
ose du péritoine, des ganglions mésen- lériques, de l'intestin, des ganglions péribrozchiques, 4 Imbécillité. des poumons.
sur le péritoine intestinal, nombreux tuber- cules caséi/'iés. Les ganglions mésentériques sont hypertro- phiés, caséettx, f
ormant des grappes énormes demi-molles. C'est surtout au niveau des ganglions répondant à l'iléon, que cette hypertrophie est
épondant à l'iléon, que cette hypertrophie est la plus marquée. Les ganglions épiplôiques, ainsi que les ganglions situés au
ophie est la plus marquée. Les ganglions épiplôiques, ainsi que les ganglions situés au niveau de la petite cour- bure de l'e
par- ticulier. Rate légèrement hypertrophiée, dure, ainsi que les ganglions périspléniques (100 gr). Rein gauche (700 gr.),
s du coeur : 100 grammes. - Larynx, oesoplwge, trachée, entourés de ganglions volumineux, caséeux pour la plupart. Corps thyr
tiques. - Coma. Mort. Autopsie. Tuberculisation des poumons, des ganglions trachéaux, de la pie-mère. ,- Tubercules assez
thyroïde est petit; le thymus a disparu; le larynx est normal; les ganglions trachéaux et bronchiques sont caséeux.- Il exis
gestif, sain. Pancréas, rate (60 gr.) foie (1000 gr.), normaux. Les ganglions mésentériques sont caséeux. Rein droit (80 gr.)
ccidents convulsifs. Croûtes dans les cheveux avec hypertrophie des ganglions cervicaux, sans suppuration. Otites des deux cô
ésion ainsi que la vésicule. Légère congestion de l'intestin et des ganglions mésenté- riques. Tête. Crâne mince ; bosse fr
tance blanche, volumi- neuse, arrondie, qui paraît correspondre aux ganglions céré- braux. En avant de celle masse existe une
59 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
érieure où ses libres se met- tent en rapport avec les ,cellules du ganglion optique basai de Meynert. Il se-prolonge parfoi
ne trouve de vraies granulations isolables, ni de gros tubercules. Ganglions Iraelléo-bronchiques simplement ardoisés,sans t
s plus remarquables ont été d'ailleurs obtenus sur les cellules des ganglions spinaux des mammifères. Ce n'est plus, il est v
parallèle, donnant l'impression de raies. Non.Dans les cellules des ganglions spinaux du boeuf, du chat, du lapin, on voit un
que des grilles fibrillaires bien développées dans les cellules des ganglions spinaux. Chez un foetus de 4 mois, de 15 centim
sus pathologique périphérique ; en second lieu, une altéra- tion du ganglion ciliaire ou du noyau de l'oculo-moteur commun.
vaisseaux et les capillaires du noyau dentelé du cerve- let et des ganglions centraux du cerveau présentent la dégéné- resce
nerveuse du premier neu- rone (nommé aussi protoneurone) occupe le ganglion spinal ; celle du second (nommé également deuto
paralytiques généraux hypochondriaques ont présenté des lésions des ganglions semi-lunaires et des nerfs splanchniques (Laign
ves,que le point de départ sera plus haut placé, plus rapproché des ganglions rachidiens,des centres nerveux. Evolution. PR
s fibres parties d'un membre étant identique dans tous les cas. les ganglions altérés et les libres médullaires consécutiveme
me centripète (névrite rabique ascen- \tante), sur les nerfs étales ganglions spinaux (\epveu, z) (1), permet, dans les cas t
mis- phères cérébraux augmente en fonction de la diminu- tion des ganglions de la base, à mesure que les fonctions - psychi
la diminution des voies conductrices qui sont en rap- port avec les ganglions de la base. En résumé, la cons- cience se dével
myélinisées dès le huitième mois, elles vont de la péri- phérie aux ganglions et à l'écorce (2). Parmi elles, les voies condu
pyramidal qui implique une absencedecor- tex, c'est donc grâce aux ganglions cérébraux que la vie peut se maintenir chez les
te du système nerveux « se compose simplement de la moelle avec ses ganglions rachidiens, du bulbe, de la protubérance, moins
1[6, 408 si,, LES PHÉNOMÈNES DE CONSCIENCE DANS L'ONTOGENESE. 299 ganglions rachidiens eu bon état fonctionnel chez l'anen-
umé l'anencéphale de MM. Vaschide et Vurpas possédait un bulbe sans ganglions cérébraux. Ces gan- glions qui, avec le cortex,
rave erreur logique sinon phy- siologique. Nous devons accorder aux ganglions infé- rieurs les.fonctions les moins élevées, t
idio-musculaires confirment le rôle que la physiologie assigne aux ganglions cérébraux. Les ganglions inférieurs sont des ce
t le rôle que la physiologie assigne aux ganglions cérébraux. Les ganglions inférieurs sont des centres réflexes des- quels
inférieurs sont des centres réflexes des- quels se distinguent les ganglions antérieurs que Wandt appelle « de coordination
ion, nous ne devons y voir que leproduit del'entrée en fonction des ganglions cérébraux. Il n'y a rien de psychique dans l'ac
t des lésions secondaires dans le rein droit, les deux poumons, les ganglions trachéo-bronchiques et qui présenta des trouble
60 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pour expliquer le pro- cessus, car une compression exercée entre le ganglion spinal et la moelle, si elle eût laissé intacte
contiguité médiate ou immédiate avec toutes les fibres issues du ganglion spinal en bas, et de l'écorce cérébrale en haut.
me une noix. La même coupe de l'hémisphère gauche révèle contre les ganglions centraux une zone triangulaire longue de 2 cent
ils ont enlevé les sympathiques sur toute leur longueur, sauf les ganglions inférieurs. Une amélioration notable s'est produi
cordons postérieurs de la moelle. Les altérations des cellules des ganglions intervertébraux sont insigni- fiantes, ce qui p
territoire de la protubérance, des pédoncules cérébraux et des gros ganglions , avec localisation principale autour du canal c
riques, les branches et le tronc du trijumeau, et peut être même le ganglion de Gasser et ses racines. A. FENAYROU. XXIII.
moins grave et plus facile. La sym- palhicotomie, ou l'ablation du ganglion cervical supérieur, telle qu'il la pratique, es
ue cervical. La résection lotale ne met, pas plus que la section du ganglion cervical supérieur, à l'abri des récidives, par
que l'autopsie l'a établi, par un écrasement du vago-spmal par des ganglions cancéreux avec intégrité absolue du facial et d
nue graduellement, tandis que le néoplasme récidivait au niveau des ganglions axillaires et sus-claviculaires. Deux ans avant c
de Lyon). - Depuis qu'Alexander a préconisé en 1889 la résection du ganglion cervical supérieur comme moyen de traitement de
uvent dans l'état de développement embryonnaire. Les cel- lules des ganglions intervertébraux ne sont pas altérées. . Secréta
corps genouillé externe, tubercules quadrijumeaux anté- rieurs), le ganglion de l'babenula, la commissure postérieure, le no
, la commissure postérieure, le noyau irien, la troisième paire, le ganglion ophtalmique, les nerfs ciliaires. 2° Mouvemen
au réflexe lumineux irien, et se pas- sant comme lui au niveau des ganglions de la base. Mais il est à remarquer que le réfl
que des modifications dans le prolongement central des cellules des ganglions intervertébraux; 4° la toxine diphtérique agit
es cordons postérieurs comme secondaire, soit à une affection des ganglions spinaux ou des racines postérieures, soit à de la
Lissauer du même côté. 3. Il n'y a pas de voie directe allant des ganglions spinaux (racines postérieures) au cervelet. 4
ts qui partent de lui. De plus le corps cellulaire du neurone des ganglions spinaux est' volumineux parce qu'il remplit une
dans la constitution du facial ont leurs cellules d'origine dans le ganglion géniculé. Ces fibres sensitives appartiennent d
plète des réflexes des membres inférieurs, puisque les cellules des ganglions spinaux et les cellules radiculaires de la corn
s la plus grande partie du lobe frontal. Malgré cela, intégrité des ganglions de la base. En certains endroits des destructio
ialement des voies d'union de la partie cérébrale extirpée avec les ganglions sous-corticaux. Les dégénérescences constatées
61 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
thyroïde (4 gr). sain. - Coeur et péricarde : Rien de particulier. Ganglions trachéo-bronchiques et péribronchiques infiltré
t du poumon droit, infiltration caséeuse du reste du poumon. - Gros ganglions caséeux au niveau. de la , tête du pancréas.
sommet; les deux autres lobes sont fortement congestionnés. - Les ganglions 1 ? -acliéo-brbiiciiiqttes sont volumineux et c
inale postérieure. - Pas de trace d'ulcérations sur l'intestin. Les ganglions mèsentéri- ques sont légèrement tuméfiés. - Le
tations qui laissent s'écouler, il l'incision, un liquide purulent. Ganglions méscntériques engorgés. Rate : normale. - Reins
très congestionné ; la pression fait sourdre un liquide purulent. - Ganglions trachéo-bronchiques engorgés. . ' IDIOTIE `CO
z long, mesure vingt-cinq centimètres de cir- conférence ; quelques ganglions roulant-sous- le doigt sur les parties latérale
onformé : auscultation des pou- mons et du coeur négative. Quelques ganglions dans les ais- selles. " ' Les membres sont no
ts au sommet gauche. Angine érbylhématcuse, amygdales volumineuses; ganglions sous- maxillaires et latéraux-cervicaux assez v
Cou, circonférence 25 centimètres ; à la palpation quelques petits ganglions le long des parties latérales. Membres supérieu
s étranger; l'appendice est perméable dans toute son étendue. - Les ganglions mësett- lériques sont très peu engorgés, au con
ganglions mësett- lériques sont très peu engorgés, au contraire les ganglions péricoecaux sont volumineux mais mous. - Foie v
62 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
che, glabre; aucune cicatrice de vaccin; absence complète de poils. Ganglions assez nombreux au cou et dans les plis de l'ain
es éléments ner- veux en général et dans les cellules nerveuses des ganglions sympathiques en particulier; par le D' SOU&
gie, 1902, n° 25). De l'examen d'un très grand nombre de coupes des ganglions sympathiques, l'auteur conclut que le réseau de
quelle insiste Du. Soukhanoff, est que le réseau endocellulaire des ganglions sympathiques ne présente pas des rejetons sembl
urtant on voit çà et là, à la périphérie du réseau des cellules des ganglions sympathiques, de petits appendices qui rappelle
par conséquent qu'elle est une fonction des couches corticales, des ganglions de la base, et du système nerveux tout entier.
e propre des fonc- tions réflexes et des fonctions d'inhibition des ganglions qui siè- gent en des régions beaucoup plus bass
arties extérieures du corps par l'intermédiaire de la moelle et des ganglions spéciaux, absolument de la même manière que le
sur le corps par l'intermédiaire de l'écorce sensitivo-motrice, des ganglions spé- ciaux et de la moelle ; . 12° Finalement
ui parait à cause de cela être le i-iège de la mentalité, jusqu'aux ganglions les plus primitifs de la moelle, qui ne conserv
racines semble up ? u..diltrimleé; xu niveau des altéra- tions. Les ganglions des racines postérieures sont d'apparence norma
e l'amnésie, etc., tout ceci indique un processus aigu occupant les ganglions de la base, le cerveau et la moelle. Les mêmes
ieux témoignant d'une réaction interstitielle aiguë ou subaiguë des ganglions . Ce qui parait ressortir de ces observations, c
ion sur les centres vaso- moteurs, qu'elle se fasse sentir dans les ganglions du sympathi- que, dans la moelle, dans le bulbe
rales et d'une congestion simultanée d'autres régions. Pour eux les ganglions de la base se congestionneraient, tandis que l'
ou et la branche postérieure de la capsule interne, sont, comme les ganglions de la base, indemnes de tout foyer de ramol- li
pas de foyers de ramollissemeut dans la capsule interne et dans les ganglions de la base, et que le centre du membre iiiré- ·
PATHOLOGIQUES. XXXVI. De l'influence de l'écorce du cerveau et des ganglions sous- corticaux sur la contraction de la rate,
moelle sur l'or- gane diminue graduellement de haut en bas. 15° Le ganglion semi-lunaire contient un centre dont l'activité
ntérieurs. Si l'on consi- dère ces derniers comme étant surtout des ganglions réflexes, tan- dis que les premières seraient s
ganglions réflexes, tan- dis que les premières seraient surtout des ganglions intercalaires entre les tractus optiques et le
rps du pancréas paraissant primitif, cancer secondaire du foie, des ganglions lym- phatiques péri-pancréatiques, pré-rénaux,
. Voir Lobes pré- frortlaux. Friedreich. Voir Maladie nerveuse. Ganglions sympathiques. Voir < ? 0t. GIESSEn. La clini
es éléments nerveux en général et dans les cellules nerveuses des ganglions sympa- thiques en particulier, par Son. 6ltan
Bikeles, 433 Rate. De l'influence de l'écorce du cerveau et ries ganglions sous- corticaux sur la contraction de la - ,
63 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
siège d'un pro- cessus atrophique et destructif. On trouve dans les ganglions ra- chidiens la fragmentation cellulaire et la
glas. XII. - Le mode de formation de.la cellule nerveuse dans les ganglions spinaux du poulet ; par CARI.0 BESTA. (In Rivis
s de poulet. L'étude de laformation de la cellule nerveuse dans les ganglions spinaux a été faite sur les poulets à la 60e he
la méthode de Ramon y Cajal pour les fibrilles. La formation des ganglions spinaux est due à la migration des neuroblastes
res des nerfs sensitifs. A la fin du 3'jour, les neu- roblastes des ganglions sont bipolaires, ont une forme en fuseau, et so
raissent plus tard. Le résultat indiscutable est que la cellule des ganglions est due à l'évolution et au perfectionnement pro-
oppement des fibres nerveuses périphé- riques et centrales dans les ganglions épinaux et dans les ganglions céphaliques de l'
riphé- riques et centrales dans les ganglions épinaux et dans les ganglions céphaliques de l'embryon du poulet : par Giacom
s se transforment vraisemblablement en noyaux de Schwann ; 8° Les ganglions spinaux et céphaliques se différencient dans le
1'li,téi-otopie. Ce développe- ment doit se faire au moment où les ganglions nerveux entrent en connexion avec les parois du
ière, le bulbe, la protubérance, les noyaux gris du cervelet et les ganglions . C, Coloration DU réticulum péricellulaire. Fix
on à l'étude du réseau endocellulaire dans les éléments nerveux des ganglions spinaux par le procédé de Korsch) ; z 4" A Van
.)° Albert 3licliotte. La libre nerveuse et sa bifurcation dans les ganglions spinaux (méthode de Cajal). 10° A. Van Gehuchte
é que les opérations sur les nerfs, en particulier l'arrachement du ganglion de Casser sont souvent suivies de la perte de l
appelée « glande du cornet » et pour éviter la confusion avec des ganglions pr<Jtraehéo-llI'onl'hi'IUCS, Nous apprenons
Le boucher ne connaissanl pas lui même la glande, lui délivrait des ganglions . L'n an s'élail presque écoulé sans qu'aucune amé
ty, chez ce même bouclier, qu'on a pu constater qu'il délivrait des ganglions . L'interne du service se rendit alors chez le b
s le foyer initial a été les lésions del'appareil pulmonaire et des ganglions tractieo-hronchiques. G. Carrier. XL \'1.- Mé
ou- let, par Besta, p. 139. Le mode de formation de la dans les ganglions spinaux du pou- let, par Besta, p. 140. spi-
loppe- ment des nerveuses péri- phériques et centrales dans les ganglions épinaux et dans les ganglions céphaliques de l'
- phériques et centrales dans les ganglions épinaux et dans les ganglions céphaliques de l'em- bryon du poulet, par Pighi
64 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
en avant : gencives saines. - Menton rond. Cou régulier, un petit ganglion au niveau du sterno-mastoïdien gauche. Thorax :
he pigmentaire au-dessus du condyle interne du fémur gauche; pas de ganglions . Dynamomètre illcctlticzc : M. D = 70,5 M. G. 7
et à droite, une au haut du sillon interfessier. Rien à la verge : ganglions inguinaux très développés des deux côtés (syphi
es taches sont complètement effacées; il ne reste plus que quelques ganglions dans les aînés. 30 juin. Poids, 28 kil. 9; tail
n'y a rien dans la gorge, ni à l'anus; pas d'alo- pécie : quelques ganglions seulement dans les deux aines de l'ais- selle d
dernière molaire droite; menton très pointu. - Cnzc grêle, pas de ganglions , pas de cicatrices. - Thorax peu développé, mai
ieurs grêles, bien conformés; mains violacées, doigts longs; pas de ganglions axillaires. Membres inférieurs maigres, sans dé
violacées et froides, doigts longs, voûte plantaire normale; pas de ganglions inguinaux. Organes génitaux : verge petite, nor
65 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t comme l'expression des fonctions appartenant à ses nerfs et à ses ganglions symétri- quement disposés des deux côtés de l'o
a monomanie exaltée et leur évolution; Nouvelles recherches sur les ganglions du cerveau et la base de cet organe. .M. Krafft
ur. Ces dessins nous montrent en même temps la transformation des ganglions nerveux. Sur la figure 8 nous voyous les gangli
sformation des ganglions nerveux. Sur la figure 8 nous voyous les ganglions du côté sain avec leurs cellules multipolaires
s radiés et leurs noyaux ronds pour la plupart. Sur la figure 9 les ganglions sont transformés en fuseaux bipo- laires, allon
noyaux ont, sans exception, la forme ovalaire. f La plupart de ces ganglions transformés avaient la forme de navettes de tis
t progressive de la tumeur qui avait produit cette métamorphose des ganglions et leur diminution de volume.1, v " ' ? v ' ' I
ésultats de la mensuration micrométrique en largeur et longueur des ganglions des deux moitiés de la moelle, d'après les coup
ignorait pourtant ce fait, que non seulement les nerfs, mais les ganglions aussi pouvaient être modifiés dans leur forme. sa
ns leur forme. sans subir aucune altération fonctionnelle. Nerfs et ganglions réduits à une petite fraction de leur volume na
ur sa capacité fonctionnelle, et pourtant la plus grande partie des ganglions do la corne antérieure, qui innervent le bras,
de la force à la masse souffre une exception pour la substance des ganglions . A cette exception nous pouvons en ajouter une
sych. M. 1\'ervenk, II, 1880.) Les examens que l'auteur a fait de ganglions périphériques et de nerfs chez le lapin, les ét
e nerfs chez le lapin, les études auxquelles il s'est livré sur les ganglions cseliaques de cadavres humains pris au hasard n
tique ne seraient pas anormales; on rencontre, en effet, dans les ganglions coeliaques d'individus quelconque vieux ou jeunes
ions coeliaques d'individus quelconque vieux ou jeunes, ou dans les ganglions spineux des lapins, des proliférations cel- lul
1. Forces (état des) chez les hémiplé- giques, par Pitres, 26. Ganglions périphériques, 367. Gaucher aphasique, 121. G
66 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
tubercules. Le cœur, de volume normal, est parfaitement sain. Les ganglions bronchiques sont peu volumineux et ne contien-nen
i sont pleines d'un liquide purulent, blanchâtre et très épais. Les ganglions bronchiques sont hypertrophiés, mais ne contien-n
branes pleurales, sans adhéren-ces, l'emphysème et la tuméfaction des ganglions bron-chiques. M. Charcot complète ensuite cette
l'organisme. On les a retrouvées, en semblable circonstance, dans les ganglions mésentériques, les veines mésaraïques, la veine p
aient été atteintes et colorées par le charbon sont les poumons, les ganglions bron-chiques et les plèvres *. Il en a été de m
tion présentaient la même couleur. Il en était de même aussi pour les ganglions lymphatiques du hile. On eût dit que toutes les p
lus ou moins foncée, des deux poumons; coloration également noire des ganglions bronchiques. 2° Présence au sein des organes de
ffirait de faire remarquer que, clans la chalicose physiologique, les ganglions lymphatiques du pou-mon contiennent de la silice,
silice, après s'être accumulée dans le poumon, pénètre de là dans les ganglions lymphatiques, suivant ainsi le même trajet que la
n, le méca-nisme de leur formation a été décrit plus haut. Dans les ganglions lymphatiques, dans la muqueuse du larynx, à la pe
rties du parenchyme, dans le feuillet viscéral de la plèvre, dans les ganglions trachéo-bronchiques. L'adénopathie frachéo-bronch
nce, qui sont des granulations tuberculeuses simples ou composées. Le ganglion lymphatique, lui aussi, contient nombre de granu-
f l'a démontré, les tubercules des ulcérations intestinales jusqu'aux ganglions mésentériques. Le système lymphatique peut être
eurs, un tissu d'apparence réticulée, rappelant le tissu cytogène des ganglions lymphatiques, si, toutefois, ce dernier aspect n'
qu'il n'existait pas chez notre ma-lade d'hypertrophie du foie ou des ganglions lymphatiques ; que les troubles intestinaux ont é
étendue, n'ont rien pré-senté de remarquable : aucune tuméfaction des ganglions lym-phatiques. La rate a conservé sa l'orme nat
ntes ; viennent en-suite le foie, le cerveau, et enfin les reins, les ganglions lym-phatiques, etc. La rate est volumineuse, d'
rés. — Les reins, assez volumi-neux, ne paraissent pas altérés. — Les ganglions lymphatiques, exa-minés en plusieurs points, et p
eyer dont quel-ques-unes sont envoie de cicatrisation. Gonflement des ganglions mésentériques. D'une veine sacrée moyenne part un
; les cancers du médiastin, les masses tuberculeuses du poumon ou des ganglions bronchiques, les tumeurs abdominales, les ané-vry
67 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
té opposé. Le segment médian du ruban de Reil prend racine dans les ganglions de la base (noyau lenticu- laire2),.le segment
éléments nerveux. Dans la microcéphalie, les nerfs des sens, les ganglions de la base sont normaux ou presque normaux, le ce
ives, t. XVII. iS 274 'REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. régions. Les ganglions intervertébraux ne sont pas atteints. L'intensi
e le centre trophique des cordons postérieurs ne siège pas dans les ganglions intervertébraux, et qu'il est difficile de préc
en rapport avec le sym- pathique cervical, puis elles se rendent au ganglion de Gaxer, et' 'REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 28
287 sortent avec le trijumeau. La section du trijumeau au delà du ganglion supprime la dilatation directe. Ces fibres passen
du sympathique ; la section des ciliaires courts et l'a- blation du ganglion ciliaire ne produisent rien. Une partie de ces
iIUIIELL.1 (Centralbl. f. \'e)'Uelilteflfi., 1887). Cette étude des ganglions de la base et de leurs organes des- cendants es
envoient un fort prolongement (fasciculus subépiphysaire) dans le ganglion de l'habenula'. Mentionnons finalement les fibres
pouvons les distinguer nettement de celles qui appar- tiennent aux ganglions sous-corticaux (corps striés et couches optique
'animaux n'est pas réparti de la même manière entre l'écorce et les ganglions sous-corticaux, de sorte que les phénomènes de
resthésie et anesthésie dans le domaine du même nerf. Lésions des ganglions des nerfs périphériques dans la lèpre. Aucuives
observé que dans la Icpro les cap- sules des cellules nerveuses des ganglions sont épaissies; leur endothélium desquame, prol
s'agissait d'une névrite multiple parenchymateuse. Altérations, des ganglions du nerf vague dans les maladies infectieuses. S
nerf vague dans les maladies infectieuses. Suivant 11. Levine, les ganglions du nerf vague sont des lieux d'élection des lés
f vague sont habituellement attribuables à la compres- sion par des ganglions tuméfiés. . Lésions du système, nerveux sympath
dans la paralysie générale. -L'examen microscopique du nerf et des ganglions sympathiques dans la paralysie générale a fait
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. jonctif périvasculaire interstitiel des ganglions , indices d'une inflammationchronique interstiti
jietvsÀ-y, 50 an., fasc. 11, 1888, Célérichy. Du rôle trophique des ganglions intervertébraux. Jourta. de illiei-jiews4-y, 5°
us-cutané présente un aspect muqueux avec sclérose des nerfs et des ganglions . Il y avait anesthésie, la glande thyroïde étai
68 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
se des cellules épithéliales, des capsules péricellulaires dans les ganglions rachidiens. Le Marchi montre, dans les cellules
s, mais les causes du phénomène doivent se chercher en dehors de ce ganglion et probablement dans l'écorce.. Pour Oppenhei
côté gauche du thorax est affaissé, aplati, rétracté en masse. Les ganglions de la région sus et sous-claviculaire gauche sont
; les autres siègent dans l'épaisseur dn muscle grand pectoral. Les ganglions lymphati- ques des régions sous-claviculaire et
angue cancéreuse développée aux dépens du poumon, de la plèvre, des ganglions lymphatiques et adhérente à la colonne vertébra
es centres nerveux ne présentaient aucune lésion macroscopique. Les ganglions rachidiens et les racines antérieures et postérie
a moelle cervicale, la moelle dorsale et la moelle lombaire ; sur ces ganglions rachidiens et les racines antérieures et postér
ur les muscles des membres inférieurs (Pl. L). ' La moelle et les ganglions rachidiens furent fixés soit par l'alcool-formol
; encore tout récemment nous l'avons constatée dans des cellules de ganglions rachidiens humains au cours de la rage (1) ; nous
rtout lorsque à ces lésions s'ajoutent une cause d'intoxication. 2° Ganglions rachidiens. Les ganglions rachidiens ne présenten
s s'ajoutent une cause d'intoxication. 2° Ganglions rachidiens. Les ganglions rachidiens ne présentent que fort peu de lésion
ns noté un certain nombre de cellules en chro- molyse au niveau des ganglions rachidiens lombo-sacrés. Toutefois les gan- gli
Salpêtr,, 1898. 4,\ ? - .356. DUSTIN ? ? ',«. "" En résumé les ganglions rachidiens tant lombo-sacrés que cervico-dorsaux
tré que des excitants mécaniques, même légers, portés au niveau des ganglions sympathiques par exemple, donnent lieu à des ph
lule et dégénère, et la multiplication des cellules capsulaires des ganglions rachidiens se faisant parallèlement à l'atrophie
ême que nous voyons les lésions rabiques atteindre profondément les ganglions rachidiens, les ganglions du pneumogastrique ou l
sions rabiques atteindre profondément les ganglions rachidiens, les ganglions du pneumogastrique ou les cellules de la corne
culaires, 'les racines antérieures, les racines postérieures et les ganglions rachidiens ne sont guère altérés. La guérison
st pas le cas pour les autres parties de la colonne vertébrale. Les ganglions sous-occipitaux sont uu peu gonflés et douloure
la méthode de Cajal des fragments du bulbe et de la moelle, et des ganglions rachidiens, mais, sans doute en raison des altéra
riques, nous n'avons pas pu obtenir de résultats satisfaisants. Les ganglions spinaux étaient normaux. Nous avons étudié le n
érique de un ou plusieurs nerfs spinaux. Il admettait une lésion du ganglion spinal, théorie à laquelle se ralliè- rent Gerb
axe du membre. Quant aux naevi liés à une altération congénitale du ganglion spinal,ou plutôt des cellules ganglionnaires de
, qu'un certain nombre de racines postérieures ne traversent pas le ganglion spinal, mais cheminent simplement accolées à so
que, d'autre part, certaines fibres radiculaires pénètrent dans le ganglion , mais ne s'y arrêtent pas, leur centre trophique
dans la région cervicale supérieure. A l'examen microscopique du ganglion de la région lombaire, il a été trouvé beaucoup
te oblitérante; leur lumière est parfois complètement oblitérée. Ce ganglion montre, dans un endroit, un morceau de tissu osse
on cervicale de la moelle épinière ainsi que son adhérence avec les ganglions intervertébraux. Les racines dorsales supérieures
ait une dégénérescence des racines posté- rieures, des cellules des ganglions intervertébraux et des faisceaux de Collet deBu
médiocres et flasques. La stature est de 1 m. 50. On palpe quelques ganglions lymphatiques légèrement augmentés de volume au
69 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
res myéliniques sont dégénérées, détruites; atteinte symétrique des ganglions centraux et de la pointe voisine de la face infér
ble suivant la localisation ou apoplexie quand la lésion occupe les ganglions centraux, des troubles de la respira- tion dépe
nt aux ialtérationslide, la moelle. (Pas d'altérations marquées des ganglions spinaux. D gpb aasr . msmrltlJ ut 1, P. Ils. z
B&h 9f ifàbioà ne hifi r'oIO^· rs op la - XIII. DE,L'ÉT.1'rpDES GANGLIONS 'SPINAUX DANS LE TABES DORSAL; par 'il R.9WOLEN
*sin / · que de P 1 .. de be - e u p l e q. dali^ ne tient pas au ganglion , spinal ..Tous les,éléments du;ganglion sont alté
e q. dali^ ne tient pas au ganglion, spinal ..Tous les,éléments du; ganglion sont alté- rés et la destruction de, ses cellul
l'intermédiaire dés racines postérieures, ils- qu'aux cellules des ganglions spinaux, où finalement elle produit q z . , ...
suite, REVUE D'ANATOMIE.ET^DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.' -203 du ganglion . Témoins, ces, cas (obs. 4. et ) dans , 'lesquels
e cen- trale, qui, parties, du, lobe , .occipital, ^rejoignent- les ganglions optiques sous-corticaux. En avant d'elles s'inf
et ont tout l'aspect identique de celles qui'se rencontrent dans le ganglion intervertébral. Leur nombre est petit; on en tr
, " . ...., i" t n ........p.. , XLII. Recherches sur l'état, DES ganglions spinaux dans LE tabès . - dorsal; par R. VOLLEU
i ? cAM(., XXIV, 2.) , Quatorze observations. Tous les éléments des ganglions en ques-' lion sont altérés : hyperplasie et ré
par continuité, par les racines postérieures jusqu'aux cellules des ganglions spinaux où elle occasionne ses ravages. Mieux e
ne la destruction des éléments nerveux (fibres, puis cellules), des ganglions spinaux. L'atteinte du tissu conjonctif interst
a. On s'assurera ensuite de l'état des parois ventriculaires et des ganglions ' Bull. Soc. Anal., 876, p. 1753 et 777. De p
onomie physique ? - · ? ? . "t) .. z ' f7ffDânsyéÿttë'tlTéôrie; les ganglions sont des centres supplémen- taires/atime'ntês'p
pat" en haut; tracer 'une incision circulaire contournant les gros ganglions et gagnant le prolongement inférieur du ventricul
les redeviendront alors perpendiculaires aux circonvolu- tions;'Aux ganglions âeutivâui"on appliquei·â le traitement accou- t
des ventricules, qui n'attaque pas la capsule interne et les;gros.. ganglions , et ne détruit pas. les,points , de(repère,à l'ai
de.-lleclisiâlindispensableipoura déterminer les;rapports des gros ganglions , ;de la capsule ii n terne,, de,lâ,câpsulë exte
s nombreuses,fil ewestiune : que ? nons : rencôn-1 trons dans des;, ganglions spinaux.- Son- corps cellulair6ousproto-, plasm
ernière ? zSirdonc, cbmme'1'a'sign'alé Flesch ? lës"cellules"d'un ? ganglion spinal sont colorées à des degrés "divers7'cèlà
mie '< pathologique du dorsal, par rs Redlich, 199;' état des, ganglions Iz . . 1 "2 ..i . spinaux dans le par Wollen-
70 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
- diaire. Il a pu suivre ce nerf jusque dans les prolongements du ganglion , et la corde du tympan a pu aussi être séparée du
acial ; 3° Sa fonction sensorielle spéciale a son origine dans le ganglion situé sur le nerf de Wrisberg dans le protoplasma
ruit. Si le nerf de Wrisberg est coupé dans l'aqueduc en arrière du ganglion , le sens du goût est perdu. L'auteur fait remar
stence des filets gustatifs dans le facial mais au choc transmis au ganglion du nerf de Wrisberg. On ne doit jamais perdre d
n microscopique de cerveaux de serpents a prouvé à l'auteur que les ganglions postérieurs avaient même forme et même structur
es arrondies avec de fins prolongements comme on en trouve dans les ganglions sensoriels. L'irritation des paires postérieure
l'homme seulement. La paire posté- rieure étant représentée par un ganglion lenticulaire caché et chez quelques pythons par
ar une paire distincte. Il est très probable, dit l'auteur, que les ganglions postérieurs sont en relation avec le sens du ta
on avec le sens du tact parce que : 1° Leur structure est celle des ganglions sensoriels; 2° Leur origine embryonnaire vient
s noyaux sensitifs du trijumeau; 3° Le faisceau en rapport avec ces ganglions peut être suivi jusqu'aux colonnes postérieures
à ce sens par le sens du toucher. Il semble à M. Spitzka, quepeu de ganglions se prêtent aussi merveilleusement que les tuber
disease, à savoir que les faisceaux qui vont sans interruption aux ganglions supérieurs sont précédés dans leur développemen
, dont les veines pré- sentaient un développement considérale. -Les ganglions voisins étaient indemnes ; on nota seulement un
ge : 4§ J'WrltetiPJÎâ.4.e.s.fJ}yPPSl0AsesJcda^si| lesj fibres i .et ganglions , sénsitifs,"qui X< ? tJdE ! s. couches ? opt
te aies; expliquer en disante que; dans ces cas, le filet moteur du ganglion ophthalmiql1e èst fourni 'par'la sixième paire
t en masse, mais certains points de la base sont plus denses. Les ganglions du hile sont de volume normal et non caséeux. F
ts, ainsi que les sour- cils. La peau est normale. On sent quelques ganglions dans les aines. , , Le cou est un peu raide ;
cédé à cette étude par la dissection seule; ainsi, il mentionne des ganglions nerveux à l'entrée du trou nourricier ; M. Rémy
ie vaso-motrice par suite de section, d'altération des nerfs ou des ganglions sym- pathiques. Plus souvent, elle est due à de
nodosités de même nature le long des membres inférieurs et dans les ganglions de l'aine. La malade était dans un coma presque
q fois un anévrysme ; et enfin, dans un autre cas, il s'agissait de ganglions lymphatiques volumineux comprimant les récurren
; sous cette influence, il y aurait des troubles circulatoires des ganglions qui se trouvent dans la paroi même de l'intesti
oscope pigmen- 496 REVUE DE thérapeutique. tation des cellules du ganglion et dilatation des capillaires sanguins ; ces lé
segment supérieur(.de rrhémisphèreqest, enjqeque sorte, eisoléides ganglions cérébraux : îles fibres^qui en, partent, à l'état
tance grise ? qui -.s'interpose aentre,le lobe pariétal, Pv et les , ganglions cérébraux, -, et nej permet aucune relation, dire
71 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
, tension ganglionnaire très-accusée, mais indolente; à droite, trois ganglions , dont l'un est gros comme une noisette, et les de
ros comme une noisette, et les deux autres plus petits ; à gauche, un ganglion du volume d'une grosse noisette. L'urètre est s
voisines, muscles, os, etc., comme le représente la planche V. Les ganglions lymphatiques sont le plus souvent dégénérés dans
a pression indique un amas de petites tumeurs donnant la sensation de ganglions lymphatiques de volume variable depuis la grosseu
de l'omoplate, on trouve de chaque côté une tumeur analogue à un gros ganglion lymphatique hypertrophié. Elle est mobile en tous
antiasis. On a constaté, dans la plupart des cas, une tuméfaction des ganglions du creux poplité, de l'aine, un amincissement d
, avec dilatation de leur cavité. Ces deux lésions, tuméfaction des ganglions , dilatation des vaisseaux, s'accordent bien avec
la peau et des couches sous-cutanées empêche de constater l'état des ganglions lymphatiques de cette région. Le scrotum souvent
xerçant de retentissement appréciable que sur les lymphatiques ou les ganglions qui lui correspondent; pendant un certain temps i
72 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
raît juste et équitable de rappeler que Huxley, en comparant chaque ganglion nerveux d'une écrevisse à une boîte à musique,
es premiers qu'une seule impulsion portée par un nerf sensitif à un ganglion peut provoquer une contraction musculaive isolé
nombreux tubercules à des stades différents de leur évolution. Les ganglions spinaux étaient également le siège de lésions inf
es l'ont conduit aux conclusions suivantes : 1° La chromatolyse des ganglions plexdbrmes et des noyaux bulbaires du vague est
5° Le chien au 22e et au 122° jour présente la chromatolyse dans le ganglion dont le nerf n'a pas été lésé aussi bien que dans
t d'une paralysie périphérique par compression du grand hypoglosse ( ganglions tuberculeux). Thennogénèse des tabétiques. MM
E et B. ElDE ont pu étudier par la méthode de Nissl les allures des ganglions rachidiens dans cinq cas de poly- névrite très
nt à cette conclusion : Au cours des polynévrites, les cellules des ganglions rachidiens ne sont pas prises avec la même cons
ment., 1900, fa=c. 2.) XXXVIII. Sur la pathologie des cellules des ganglions sensitifs; par Luz.no. (Riv. di pul. 7zeiv. et
sommes-nous complètement éclairés sur les connexions et le rôle des ganglions centraux et de toutes les parties du mésencé- p
L'affection étant uni-latérale, la lésion doit siéger au niveau des ganglions centraux, au voisinage du segment posté- rieur
; le centre du tonus volontaire peut être placé à la fois dans les ganglions basilaires et dans l'écorce cérébrale. Le tonus
pendyme de leur plancher et de leur plafond était affecté; mais les ganglions de la base étaient normaux. La tumeur n'était p
soit vraiment radicale. R. de Musgrave-Clay. IV. La chirurgie du ganglion sympathique cervical supérieur ; par George-F.
(The New York Médical Journal, 24 fé- vrier 1900.) L'excision du ganglion sympathique cervical supérieur a été tentée dan
que revient l'honneur d'avoir le premier conseillé l'excision de ce ganglion dans le glaucome, et c'est certainement un des
ome et constate que, sauf dans la forme hémorragique, l'excision du ganglion sympathique cervical supérieur est indiquée dan
de réduire la tension. En résumé, la résection de l'un ou des deux ganglions sympa- thiques cervicaux supérieurs constitue d
- par la putré- faction, par Banlsky, 223. Patho- logie des - des ganglions sen- sitifs, par Luzaro, 23 ? ner- veuses à d
d'un , 367. Traite- ment du en Perse, 534. par- ricide, 546. , Ganglion sympathique. Chirurgie du cervical supérieur, p
73 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
és, l'enfant ayant refusé de se laisser déshabiller. Il présente un ganglion rétro-cervical à gauche. Les réflexes patellair
érés, et à la surface opposée de la scissure de Sylvius droite. Les ganglions centraux droits étaient aussi envahis par la tu
proposé à la malade, qui souffrait terriblement, l'extirpation du ganglion de Gasser; elle refusa, il ne l'a plus revue (pho
ires de la salive. An niveau 164 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. du ganglion géniculé, elles se détachent en avant, et s'en vo
n avant, et s'en vont par le grand nerf pétreux superficiel vers le ganglion sphéno-pala- tin. Le trijumeau ne joue, par rap
l'oeil. La destruction, chez tous ces ani- maux, du facial jusqu'au ganglion géniculé, n'entraîne pas la dégé- nérescence du
éciaux qui se trouvent successivement dans les neurones inférieurs ( ganglions et cornes antérieures de la substance grise), d
ire), dans les deuxièmes neurones de relais (cervelet, mésocéphale, ganglions de la base du cervea.u) et dans les neurones su
ques ou déformantes, mais on ne saurait, ce semble, accorder ici au ganglion de Gasser le rôle essentiel et primitif qui lui
en, non par des troubles trophiques dérivant d'une action propre au ganglion de Gasser, mais par des perturbations fonctionn
ctement en rapport avec les centres trophiques que constituerait le ganglion de Gasser. 4° Dans tous les cas, il paraît résu
ectionnés à leur point de pénétration dans la tumeur. d) Dans les ganglions nerveux, les amas épithéliaux envahissent le st
s nerveux, les amas épithéliaux envahissent le stroma conjonctif du ganglion , se groupent dans les fentes con- jonctives, et
ar complet envahis- sement. Malgré un envahissement considérable du ganglion , ur. certain nombre de tubes nerveux y conserve
ngites ou de phlébites cancéreuses. Les racines rachidiennes et les ganglions nerveux intervertébraux sont alors les premiers
bjecte encore que la seule voixana- tomique descendante reliant les ganglions lombaires au la moelle - est, dans l'état actue
de santé, expression intelli- gente. Cheveux châtain clair. Pas de ganglions . Crâne de volume moyen, symétrique, ni bosses,
s qui avait produit l'herpès zoster, s'est localisé dans le premier ganglion dorso-spinal et ainsi affecté la substance gris
oelle épinière, les cellules du sympathique, certaines cellules des ganglions spi- naux et certaines cellules cérébrales; dan
s différents réacliïs, tels que les granules noirs des cellules des ganglions spinaux ; 2° les granulations erytlirophiles ; 3°
74 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
s. Dégéné- rescence des racines correspondantes. Lésions des quatre ganglions spinaux cervico-inférieurs. Entre la moelle et
quatre ganglions spinaux cervico-inférieurs. Entre la moelle et les ganglions en question, lésion des manchons de myéline, pe
l inférieur ? mais, en cet endroit, 'la1capsule externe et les gros ganglions sont intacts ? 4 ? Associcatiolad'une dysacomielg
cipital. L'examen microscopique montre la diminu- tion du nombre de ganglions et l'absence des cellules de ces der-, niers da
e 'des élémeilts`ânatômiques.,L'excavationqui` occupe'le" contre du ganglion semble formée par simple écarter ment des" tiss
le prolifération du tissu intersti- tiel. Intégrité des cellules et ganglions spinaux. Atrophie du cor- don postérieur corres
xcitation constante qui les sollicite. Elles entretiennent dans les ganglions spinaux des modifications biologiques qui se trad
tate -iL l'autopsie de l'hyperplasie du corps thyroïde, de tous les ganglions lymphatiques, du typhus, et'1'ostéomalacie SOCI
LOGIE MENTALE 387 la région rolandique de l'écorce cérébrale et les ganglions du corps strié : il est le lien d'origine des c
és, surtout à gauche. Atrophie des pyramides correspondant aux gros ganglions du côté gauche et se propageant surtout dans la
ette égalité se maintient en ce qui touche le siège de ces lésions ( ganglions delà base ou couches superficielles) : on peut
ieu de croire'que l'extrémité des nerfs'sensitif; provoque dans les ganglions spinaux des modifications biologiques,' probabl
dent aussi à l'altération des fibres que les cellules nerveuses des ganglions spinaux envoient à la moelle. Ainsi s'explique
de de nutrition des parties atteintes, peut-être aussi parce que le ganglion exerce sur elles une influence distincte ; 8° les
lion exerce sur elles une influence distincte ; 8° les cellules des ganglions spinaux restent en apparence indemnes (Criedlende
mén, Van Lair et moi-même). Ceci prouve que les centres trophiques ( ganglions spinaux) peuvent conserver leur constitution anat
t une force de résistance spé- cifique moindre que les cellules des ganglions spinaux; 10" dans le cordon postérieur, il y a
déterminé la dégénérescence descen- date,du' bout central, entre le ganglion géniculé et le noyau du 7t ' I . I ? t ·1· ...
s.enqstion ? v1'Tptm^·t7 ! ! il ? ....i ? \. ? 00 11 se compose dos ganglions sympathiques, des ganglions spinaux et des raci
il ? ....i ? \. ? 00 11 se compose dos ganglions sympathiques, des ganglions spinaux et des racines postérieures,' normaux,
sceaux de Meynert qui se, confondent avec lui, sont, de même que le ganglion , interpédonculaire où se terminent ces derniers
75 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
menté de volume, mais il n'est pas douloureux à la pression. Les ganglions inguinaux augmentés de volume. Etat psychique.
manifestations. Rien d'anormal aux autres viscères et organes. Les ganglions inguinaux sont un peu augmentés de volume. "
ise l'endroit où on le pique. L'odorat et le goût sont normaux. Les ganglions inguinaux paraissent engor- gés de deux côtés,
e le côté gauche du cou une cicatrice ver- ticale, restes d'anciens ganglions strumeux suppurés. Les téguments sont pâles, le
bruits cardiaques faibles. Rien aux autres organes et viscères. Les ganglions ingui- naux pris de deux eûtes, ont les caractè
es ganglions ingui- naux pris de deux eûtes, ont les caractères des ganglions engorgés spécifiques de la syphilis. Les os tib
pression. Rien de pathologique aux autres viscères et organes. Les ganglions inguinaux sont pris de deux côtés sans être pourt
xe rotulien exagéré. Il n'y a pas de trépidation épilepsoïde. Les ganglions inguinaux, axillaires et cervicaux sont pris, san
tout à la mâchoire supérieure. La voûte du palais très excavée. Les ganglions lympha- tiques tous pris, mais sans présenter d
é piqué. Aucun souffle au coeur. Les autres organes sont sains. Les ganglions inguinaux pris des deux côtés, paraissent spéci
hypocondre droit est douloureuse, de même celle de l'épigastre. Les ganglions ingui- naux sont petits, durs, nombreux, mais n
iaques rare=, le pouls petit, étroit, 60 pulsations par minute. Les ganglions inguinaux sont pris des deux côtés, mais sans p
acide citrique a un goût amer. Odorat est normal. Pas d'ovarie. Les ganglions cervicaux et inguinaux sont de volume habituel.
pouls faible. Rien de pathologique du côté des autres organes. Les ganglions inguinaux pris de chaque côté, surtout du côté
un peu cyanosés. Les battements cardiaques sont irré- gulier. Les ganglions inguinaux sont spécifiques de la syphilis, les
maire des territoires primordiaux se développe, sans exception, des ganglions de la base vers l'écorce; ceci est surtout appa
a protubérance, l'écorce - SOCIÉTÉS SAVANTES.. 1133 et les gros ganglions des hémisphères. Le cervelet est l'endroit le m
ale ni dans la patholo- gique. Les fibres centripètes provenant des ganglions rachi- diens en arrivant au cordon postérieur n
de cinq jours. L'autopsie démontra une tuberculose très avancée des ganglions bronchiques dont quelques-uns ont acquis le vol
76 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s' du cou et- au i niveau dmmé- diàstin, il y avait tuméfaction des ganglions lymphatiques,'hr;1 ...1 1- l, leli'i Ht ' 1 ["¡
influence, de, l'incitation, produite surale pneumogastrique parles ganglions tuméfiés situés au;voisinage de ce nerf. Peut-ê
'fn'.9,l,Mf,fL¡tI11 Il In 1 l. mn 1. servation. On trop oublie, les ganglions nerveux, do la pase, du ? r,yp,.1 ? I3" ? ux, J c
animaux"privés,de) toute la portion des hémisphères supérieurs aux ganglions de la uae.3Peut;on sans,efiort,,n,pas,,tourner
ropage l'anomalie à l'ensemble du manteau des hémisphères jusqu'aux ganglions de la base ; 5° par cela qu'ils sont congénitau
- BIBLIOGRAPHIE. 159 tions corticomotrices et des altérations des ganglions et de la cap- sule interne, produits de la caus
de divers troncs nerveux des membres inférieurs, enfin plusieurs ganglions lombaires et sacrés avec les racines correspondan
is; rien ne permettait à l'oeil nu de les distinguer de nerfs et de ganglions tout à fait normaux. DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQUES
miné les racines rachidiennes attenantes aux troisième et quatrième ganglions lombaires droits et gauches. Les fibres des rac
e la myéline (type 1). Mais les tubes normaux sont en majorité. Les ganglions eux-mêmes n'ont pas été exa- minés. 2° Nerfs
ppréciable. - Archives, t. VI. 13 19 le PATHOLOGIE NERVEUSE. 6° Ganglions lombaires et sacrés, correspondant au plexus sa
permis une étude rigoureuse de l'état des fibres nerveuses dans ces ganglions . Les coupes, pratiquées sur ceux de ces organes
e modification notable des cellules. 7° Racines correspondant à ces ganglions . Les racines antérieures sont absolument saines
l'acide osmique que sur les coupes après action du bichromate. 9" Ganglions lombaires et sacrés, correspondant au plexus sa
r les congénères du côté gauche. 101 - Racines correspondante ces ganglions . - Les fibres des racines sont en très grande m
semblance, les autres parties de la région corticale, ainsi que les ganglions centraux, n'offrent pas d'altérations visibles
du bord inférieur de l'opercule ; on voit sur cette coupe les gros ganglions du cer- veau et entre eux la capsule interne'.
s. Pas de poils aux aisselles, au pubis, ni sur les membres. Pas de ganglions au cou, aux aisselles, ni aux aines. Sensibil
77 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pression qui ne permettait de perce- voir aucune néoformation. Les ganglions sous-maxil- laires n'étaient nullement engorgés
rganisation des êtres vivants », ont émigré, au cours des âges, des ganglions de la moelle épinière, dans le mésocéphale et l
aines phrénopathies; 2° par irritation retentissant directement des ganglions de la base et du bulbe sur les centres moteurs
ns le bulbe latéral. Dans le point où elles se détournent existe un ganglion , le ganglion profond du mésocéphale, noyau du rub
atéral. Dans le point où elles se détournent existe un ganglion, le ganglion profond du mésocéphale, noyau du ruban de Reil.
ôté, au milieu même des fibres qui s'entre-croisent existe un autre ganglion , le ganglion profond médian du mésocéphale. Exi
u même des fibres qui s'entre-croisent existe un autre ganglion, le ganglion profond médian du mésocéphale. Existe-t-il des
e des sons, tandis que le tubercule quadrijumeau inférieur est un ganglion de l'acoustique, il en résulte que le corps genou
amens anatomiques qu'il a pratiqués sur ce nerf lui-même et sur ses ganglions . 11 décrit tout d'abord les lésions his- tologi
quelles sont les fonctions que l'on peut attribuer au nerf et à ses ganglions , puis, au point de vue pathologique, les symptô
xophtalmique. Le même plan est ensuite suivi en ce qui concerne les ganglions , et surtout les ganglions extrinsèques que cons
est ensuite suivi en ce qui concerne les ganglions, et surtout les ganglions extrinsèques que constitueraient le corps thyroïd
la caryocinèse dans les cellules nerveuses de l'écorce et des gros ganglions . Encore moins abondante est celle des cellules
midales de l'é- corce cérébrale - cellules de Purkinje du cervelet- ganglions du nerf optique) possèdent un prolongement cylm
ement à des lésions cérébrales sans aucune modification du côté des ganglions spinaux, que cette atro- phie peut coïncider av
dessus dans la région temporale inférieure et de l'hippocampe, les ganglions de la base, les pédoncules et les autres parties
phère gauche sans la plus légère participation des pédoncules ni de ganglions de la base. Ces expériences prouvent que les fo
78 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
: Hypertrophie bien apppréciahle de la glande thyroïde. Nombreux ganglions dans la région cervicale, quelques-uns volumineux
mbreux ganglions dans la région cervicale, quelques-uns volumineux. Ganglions volumineux sous les aisselles et dans les régions
la moelle, puis latéralement sur le pourtour des racines jusqu'aux ganglions et enfin sur la face antérieure. MÉNINGITE CERV
tif à des lésions nerveuses périphériques, lors de l'extirpation de ganglions sous-maxillaires. hémiatrophie linguale 35 La
enne. Pression artérielle 12 maxima au Puchon et 9 minima. Pas de ganglions . Appareil urinaire. - Pas de polyurie. Ni sucre
t exagère la douleur qui n'est pas très marquée ; ni empâtement, ni ganglions , ni sécrétion, ni température, ni phénomènes gé
cultation attentive montre des som- mets absolument sains. Pas de ganglions au niveau des carrefours. Aucun signe d'hérédo-sy
ndrome d'Addison, à côté des lésions d'une capsule surrénale et des ganglions sympathiques voisins, un corps thyroïde très peti
a les (Licht- witz, Haushalter, Spillmann), soit à des troubles des ganglions mésentéri- ques (Schwerdt), soit encore à l'hyp
u à l'exploration la plus minutieuse ; de même on note l'absence de ganglions lymphatiques perceptibles. A l'inspection du th
ux-mêmes par une altération organique ou fonctionnelle du troisième ganglion sympathique cervical (Brissaud). Nous ne pouvon
ogressi- vement, sans réaction inflammatoire, sans hypertrophie des ganglions , avec tendance à l'ulcération et à la cicatrisa
se causer une pression anormale sur les vaisseaux sanguins ; pas de ganglions tuméfiés dans les aines, pas de varices aux jam
lésions ; il en est de même de la substance blanche sous-jacente. Ganglions centraux. - La destruction du Noyau lenticulaire
PI. L Fio. A. Coupe horizontale passant par le tiers supérieur des ganglions centraux. , Destruction de l'insu la. de la cap
zontale de l'hémisphère gauche passant par la partie inférieure des ganglions centraux, destinée à montrer la lésion de l'insul
. FIG. b.- Coupe horizontale passant par l'extrémité supérieure des ganglions centraux. Vaste lésion ayant détruit le noyau l
es de régénération situés sur le trajet du nerf facial au niveau du ganglion géniculé dans deux cas d'hémispasme facial post
79 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Enfant chétif, peu développé, pâle, très émotif, portant au cou des ganglions volumineux. Il urine au lit depuis la première en
ère souffreteux, de mine tuberculeuse. Enfant chétive, scrofuleuse, ganglions suppurés au cou à sept ans; abcès avec nécrose
, avec les centres trophiques des nerfs de la sensibilité, dans les ganglions intervertébraux, et que les nerfs trophiques ac
t dans l'hémisphère en déterminant une vaste perte de substance des ganglions de la base et du lobe temporal. L'auteur termin
s cellules du groupe moyen de la région dor- sale. Les cellules des ganglions spinaux étaient normales, de même celles de la
u velus, on ne peut trouver ni cicatrice, ni tache suspecte; pas un ganglion engorgé, pas une aspérité osseuse du tibia, rie
même tomber, on a alors des plaies fistuleuses avec engorgement des ganglions de l'aisselle, ce qui donne au sein hystérique to
plusieurs branches du trijumeau, on dut recourir à l'extirpation du ganglion de Gasser qui seule mit fin aux crises douloure
uelque temps après l'opération. Il ne semble donc pas prouvé que le ganglion de Gasser exerce sur la cornée une influence tr
UE. absence de troubles trophiques cornéens, malgré l'ablation du ganglion de Gasser. A. lVi. . V. Crétinisme ET extrait t
s suivantes : Dépression, faiblesse générale, muqueuses décolorées, ganglions lymphatiques engorgés, muscles flasques. Les mu
ant son tronc nerveux, soit dans l'oreille du lapin en extirpant le ganglion cervical supérieur de cet animal, après quoi on
il faut extirper le plexus ca;liaque. Mais comme l'extirpa- tion du ganglion coeliaque inférieur seul suffit pour provoquer de
rience une survie assez prolongée, c'est à l'extirpation de ce seul ganglion inférieur que les auteurs eurent recours. Voici l
façon dont ils rendent compte de leurs expériences. Extirpation du ganglion coeliaque inférieur sur cinq lapins. Deux d'ent
toute localisation morbide dans le foie prouve, incidemment, que le ganglion coeliaque inferieur n'est pas un centre d'innerva
ein à l'infection était d'autant plus certaine que l'extirpation du ganglion coeliaque inférieur, par lequel passent presque
corticales, et peut-être aussi celles de la capsule interne et des ganglions cé- rébraux, ont été obturées. Ces embolies ont
80 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
s du corps : au cou, dans les régions inguinales et axillaires. Les ganglions sont durs, mobiles, indépendants les uns des au-
ont réduits. La perméabilité pulmonaire est normale, on perçoit les ganglions du médiastin. Le peu de développement du pénis
AIRES 209 \ 10. -'Sein gauche gonflé, sensible à la pression. Aucun ganglion dans l'aisselle, sans adhérence de la peau. D
queduc de Fallope. L'intermédiaire se jette dans l'angle interne du ganglion géniculé et le facial sort par le trou stylo-ma
motrice delà Ve paire, mais de sa grosse racine sensitive avec son ganglion de Gasser. Les auteurs ont en effet montré qu'e
in dans aucun autre endroit. Il faut signaler, en particulier,que les ganglions centraux étaient tout à fait demeurés en dehors
s branches de l'artère cérébrale moyenne droite, qui monte vers les ganglions fondamentaux, changée en un anévrisme, dont la
'abord prendre pour un anévrisme, mais qui, en réalité, n'est qu'un ganglion lymphatique, auquel l'artère carotide communique
mptômes : 1° Une cicatrice pulsatile, qui, par l'intermédiaire d'un ganglion lym- phatique, amplifie les battements carotidi
otide s'explique par l'élasticité bien connue des artères. Le petit ganglion en avant de l'artère, dont il rend plus visibles
ue la 3' paire, qui innerve le sphincter de la pupille à travers le ganglion ciliaire, est indemne. - Nous rappellerons ic
s des premiers et seconds segments thoraci- ques et entrent dans le ganglion cervical 'inférieur du sympathique cer- vical p
cs. De là, elles montent dans le nerf sympathique cervical jusqu'au ganglion de Gasser, se rendent alors à l'orbite, le long
le en suivant les longs nerfs ciliaires. Elles ne traversent pas le ganglion ciliaire. Pour que la cocaïne donne la mydriase
périthyroïdienne supérieure de Garnier et Villemin (2), qui née du ganglion cervical supérieur se réfléchit autour de la fa
à réactions égales. Pouls à il2. Em- pâtement de la nuque à gauche. Ganglions au-dessous et en avant de l'angle maxillaire ga
81 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
risations. Ces lésions sont surtout mani- festes du côté droit. Les ganglions bronchiques sont tous hypertrophiés,durs à la c
i- ques à ceux du poumon droit. Le lobe supérieur est intact. Les ganglions péribronchiques sont volumineux, indurés et ant
huile de foie de morue. 1er février. Blépharite. Tuméfaction des ganglions du cou. 4 février. Persistance de l'adénopathie
inférieur. Tout le parenchyme est infiltré de tubercules mous. Les ganglions bronchiques sont ramollis; quelques-uns sont ca
testin est normal, sans vascularisation; il en est de même pour les ganglions mésentériques, et de la vessie. ' Tête. La ba
, l'enfant tousse encore. A la région cervicale, on trouve quelques ganglions scrofuleux indurés. L'oeil gauche est le siège
ice). , Thorax : L'appareil picuro-pulmonaire est sain ; quelques ganglions bronchiques sont augmentés de volume; deux d'en
niveau. A gauche, bronches avec arborisations vasculaires. Un des ganglions bronchiques, à droite, a le volume d'une amande
82 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
vertiges. EOSINATE DE SODIUM, 2t gauche, ainsi que sur le menton. Ganglions sous-mentaux engorgés et douloureux. Sur la mai
sence d'une adénopa- thie dans l'aisselle. C'est la présence de ces ganglions engorgés qui était la cause unique de la douleu
ices de petites dimensions, disséminées sur le cuir chevelu. Pas de ganglions ni de cicatrices sur le reste du corps. Visag
Dans le reste de poumon, on trouve de petits noyaux ramollis. - Les ganglions du hile sont hypertrophiés ; quelques-uns attei
facile d'énudéer complètement cette ma-se : c'était, en somme, un ganglion tuberculeux sur le thymus , ce dernier organe n
n reste négatif, la palpation de l'abdomen ne fait pas découvrir de ganglions mésentériques volumineux. Diagnostic ; tubercul
humides disséminés dans les poumons, plus nombreux aux sommets. Les ganglions du cou, des aines, des aisselles sont augmentés
urrénales n'offrent rien de particulier. Le pancréas est entouré de ganglions tuberculeux. La vessie est remplie d'urine ; au
vifs et brillants, La peau est blanche, pas de cicatrices) pas de ganglions . Les cheveux sont bruns, bien implantés. Le crâ
es à gauche. Adhérences plus rares et pas de tubercules à droite. - Ganglions du médiastin engorgés ; quelques-uns sont casée
83 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
issement et en outre on fit des coupes horizontales passant par les ganglions centraux. 1° Sur les coupes frontales, qui pass
. . 3° Sur les coupes horizontales, qui passent par la région des ganglions centraux, on voit près du foyer de ra- mollis
aux dépens de la tunique interne des vaisseaux lymphatiques et des ganglions . Cornil et Ranvier (3), dans leur première édit
s d'autres organes (capillaires sanguins, vaisseaux lym- phatiques, ganglions , enfin glandes elles-mêmes, parotide, testicule,
eur aux cellules névrogliques. Van Gehuchten et Nelis, étudiant les ganglions nerveux dans l'infec- tion rabique, ont signalé
t, d'autre part, la prolifération des cellules de la capsule de ces ganglions . Ici donc, on trouve la réaction de deux élé- m
s et de divers déments. Tout au contraire Pugnat (S), examinant des ganglions d'animaux, fait intervenir les leucocytes seuls
n des pédoncules cérébelleux moyens et ab- sence presque totale des ganglions protubérantiels. Le cervelet était atrophié, se
e la légion dorsale. P, Coupe de la région lombaire - G. Coupe d'un ganglion rachidien (lombaire). Masson & Ctr, Editeur
amen de la moelle si nous ne donnions maintenant une description de ganglions rachidiens qui peuvent être considé- rés comme
mme une portion extériorisée de la moelle. L'examen a porté sur des ganglions cervicaux, dorsaux et lombaires droits et gauches
vec le picro-carmin (Voy. Pl. Ll. Fig. 6). D'une façon générale les ganglions ne présentent aucune atrophie, analogue à ce qu
s inflammatoire médullaire et périmédullaire semble avoir gagné les ganglions . Les vaisseaux qui les entourent et les pénètrent
embryonnaires leur forment un manchon, envahissent la substance du ganglion et s'étendent dans les interstices laissés entr
e les cellules. Des hémorrhagies abondantes occupent l'intérieur du ganglion ; et par place les éléments anatomiques baignen
alomo-physiologiques actuelles rapprochées de cette cons- (1) Mort, Ganglions et centres nerveux. Archives de physiologie, 1895
l'on ne constate de causes de compression : ventre souple ; pas de ganglions engorgés ; foie et rate de volume normal. Les o
84 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
niveau du bord postérieur et du lobe inférieur, pas de tubercules, ganglions bronchiques volumineux. Poumon gauche, adhérenc
estin : muqueuse ramollie et épaissie. - Mésen- tère vascularisé. - Ganglions mésentériques normaux. Épilepsie ; démence. 33
, est de même vide et rétracté. Mésentère : injecté, présentant des ganglions engorgés. Gros intestin : contient peu de gaz;
- Le péritoine contient un peu de liquide; pas de granulations. Les ganglions mévente- riqttes sont engorgés, rouges et gros.
nces pleurales à droite. - OEdème des poumons. Hypertro- phie des ganglions du mésentère. .Sctorose atrophique des deux lob
ésentère est vascularisé et présente une hy- pertrophie de tous ses ganglions , qui se suivent en certains endroits comme en c
seaux que par l'aplatissement des masses qui sont le vestige des ganglions centraux. Hémisphère droit. - La configuration
on, sauf une légère desquamation eczémateuse. On trouve deux petits ganglions dans la région sous-maxillaire gauche ; rien ai
85 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
cavité abdominale. Péritoine pariétal et viscéral lisse et intact. Ganglions mésentériques normaux. La vessie, rétractée, co
he, petite plaque, 2 déc. Pas de croûtes dans les cheveux. Quelques ganglions cer- vicaux. Quelques macules sur la peau. Les
l'alopécie, plusieurs taches brunâtres dans les cheveux ; quelques ganglions cervicaux ; une légère éro- sion du pilier anté
ses maîtres. Privation de vin et de promenade. 31 août. Quelques ganglions cervicaux et inguinaux. Rien aux organes génita
organes génitaux, ni dans la gorge. 22 novembre. Encore quelques ganglions cervicaux à gauche. Aucune syphilide. Prend rég
st insolent, grossier à la moindre observation. Il porte quelques ganglions indurés dans les aisselles et dans les aines, e
86 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
dans l'iode, la fuchsine et l'acide acétique. -- L'hypertrophie du ganglion cervical supérieur du grand sympathique porte p
ppe tout d'abord, c'est une hyper- trophie considérable de tous les ganglions et de tous les nerfs qui le constituent. Portio
ions et de tous les nerfs qui le constituent. Portion cervicale. Le ganglion cervical supérieur gauche est très volu- mineux
nférieure partent plusieurs rameaux : le plus volumineux aboutit au ganglion moyen qui est placé très bas, immé- diatement a
ganglion moyen qui est placé très bas, immé- diatement au-dessus du ganglion cervical inférieur; ce dernier étalé transver-
ue dans toute cette région forme un cordon présentant au niveau des ganglions de légers renflements; il mesure 5 millimètres
ne mesurant que 4 millimètres. Au lieu de trouver une succession de ganglions réunis par des filcls nerveux plus ou moins imp
piliers du diaphragme, vient se jeter à l'angle supérieur gauche du ganglion semi-lunaire; il se continue il plein canal à sa
- glion avec une branche volumineuse du pneumogastrique droit. Le ganglion semi-lunaire et le plexus solaire mesurent 45 mil
eur, au point d'émergence des nerfs trijumeaux, 4 cent. 5. Les gros ganglions centraux mesurent sur la coupe principale (45"
âtre. Largeur 32 cent. Estomac très large, muqueuse très plissée. Ganglions mésentériques légèrement augmentés de volume, un
87 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
conclusion de K. Cet auteur constata, enfin, que, au 30e jour, les ganglions spinaux ne présentaient pas trace de dégénérati
érieures détermine des altérations des nerfs péri- phériques et des ganglions semblables à celles du tabes; la diffé- rence n
ns radiculaires. " z Nouvelles recherches sur l'histologie fine des ganglions et des racines postérieures dans le tabès. MM
INESCO et J. 1-11Nr- : L (de Bucarest). -Nous venons d'examiner les ganglions spinaux et les racines postérieures dans 5 nouv
nérées et celui des fibres de nouvelle forma- tion à l'intérieur du ganglion et du nerf radiculaire interne. Dans les gangli
à l'intérieur du ganglion et du nerf radiculaire interne. Dans les ganglions sacrés, où le processus tabétique est plus anci
fibres finissent par une massue ter- minale, soit à l'intéiieur du ganglion , soit dans le nerf radicu- laire ; on les tiouv
sui tout le trajet de la branche centrale jusqu'à l'intérieur du ganglion , renflements dus à l'accumulation de substances i
ccüonné ou com- primé car d'une part il existe dans l'iiitérieui du ganglion des fibres en état de dégénérescence et plus la
. Les ventri- cules contenaient un liquide trouble ; la surface des ganglions de la base était veloutée. Après durcissement
quer l'abolition des réflexes patellaires, il faut supposer que les ganglions intervertébraux ou les nerfs périphériques étaien
ll, - dans le faisceau radiculaire et le tronc du M. O. C ? dans le ganglion ciliaire, - dans les nerfs ciliaires, dans le n
qui l'ont les premiers décrite y voient une affection primitive des ganglions lymphatiques, Mayer a rencontré chez un même su
sur les tempes ; deux épis, l'un à droite, l'autre à gauche. Pas de ganglions , pas de cica- trices, pas d'éruptions, pas de n
e du crâne, par Ruml : e, p. 383. Fugues. Voir Démence précoce. Ganglions . Voir Tabès. Gangrené. Voir Mélancolie. symét
par Long, p. 162. Nouvelles recherches sur l'histologie fine des ganglions et des racines postérieures dans le -, par Ma
88 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bies ainsi que de leurs toxines, sur les nerfs périphériques, les ganglions spinaux et la moelle épinière, parle Professeur
E. 81 s sont une pile. Plus loin, il est dit que la moelle et les ganglions ne constituent guère, chez l'homme que des appe
ssus est connu depuis longtemps. Déjà. en 181l,\1'yss. voit dans un ganglion de Casser, des globules de pus s'accoler à des
ie, qui revêt un aspect dif- férent dans les centres nerveux et les ganglions , ne peut se produire dans les cellules saines.
de fréquence dé- croissante, dans : écorce etganglions de la base ; ganglions céré- bro-spinaux et sympathiques ; bulbe et mo
du cerveau et de l'ensemble des centres nerveux de la moelle et des ganglions spéciaux sur les systèmes organi- ques du corps
e plutôt qu'à une compression par tumeur. Lésions des racines des ganglions rachidiens et des nerfs dans un cas de maladie
eur trouve, en effet, chez les Rotifères, «au'dessus du pharynx, un ganglion céré- bral simple ou bilobé». Il se demande si
al simple ou bilobé». Il se demande si « de la simpli- cité de leur ganglion cérébral », on peut « conclure à la simplicité
vers « à la vérité les comprend dans la même description que ceux à ganglion bilobé » (p. 93'. 1 Mais quittons provisoirem
ogique, elles existent à l'état normal : Cajal en a décrit dans les ganglions rachidiens et sympathiques, l'auteur en a trouv
et des muscles masticateurs. MM. Marinesco et liIINEA : Etude des ganglions spinaux dans un nouveau cas de tabes. - M. NoïcA
ense qu'il s'agit de lésions périphériques dues à l'inflammation du ganglion ciliaire et du moteur oculaire externe dans son t
bies ainsi que de leurs toxines, sur les nerfs périphériques, les ganglions spinaux et la moelle épinière ; par Homen, p. 4
la - ; par Campbell, p. 51. FIIIEDREICII. Lésions des racines des ganglions rachidiens et des nerfs dans un cas de maladie
e de la des libres nerveuses périphériques ; par BesLa, p. 252. Ganglions spinaux ; voir Bac- téries. rachidiens ; voir F
89 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
, comme on le voit déjà dans le bulbe, la simplicité relative des ganglions de la moelle épinière; mais ce qu'il y a de fon
ules nerveuses, Forel se demande pourquoi l'on continue à parler de ganglions d'interruption des fibres nerveuses, de rapport
; il y a donc apparence que les fonctions, si controversées, de ces ganglions seraient surtout motrices. Inutile d'insister s
ns transversales. Ces trois régions, en rapports définis avec les ganglions de la base, sont appelées par Corti : 1° région
n des racines postérieures une série des fibres qui entrent dans le ganglion intervertébral avaient au sein même de ce gangl
entrent dans le ganglion intervertébral avaient au sein même de ce ganglion continué à subir la dégénérescence. Là s'arrêta
cervelet, la protubérance, le bulbe, la moelle, les racines et les ganglions spinaux, quelques fragments de muscles, de coeu
rose occupe plus régulièrement l'étendue du faisceau cérébelleux. Ganglions spinaux. Les ganglions spinaux ne sont pas tout
lièrement l'étendue du faisceau cérébelleux. Ganglions spinaux. Les ganglions spinaux ne sont pas tout à fait normaux ; on y
l. Les vaisseaux semblent hypertrophiés en cer- tains endroits. Les ganglions spinaux n'offrent rien d'anormal ; il en esl de
des ponts filiformes sont jetés entre ces raies concentriques : le ganglion étoilé des seiches en fournit un remarquable ex
réalité ; M. Frommann vient de trouver ce réseau connectif dans le ganglion étoilé de la seiche. La plupart des cellules sont
90 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
r le front, avançant sur les tempes; deux épis, l'un à gauche. Pas de ganglions , pas de cicatrices, pas d'éruptions, pas de nœvi.
'oreille et le bord antérieur du sterno-masloïdicn huit cicatrices de ganglions anciennement suppures. (Fig. 6) Rkflexions. — I
hypothermie (35°,2), à l'iige de 15 ans. Autopsie. — Tuberculose des ganglions trachèo-bronchi-ques, des plèvres, des deux poumo
eau blanche, glabre sans cica- triées ni traces de vaccin. Nombreux ganglions , cervicaux, sous-sterno-mastoïdïens, axillaires,
hyroïde normal, un peu volumineux. — Thymus inappréciable. Thorax — Ganglions trachéo-bronchi/pies gros, la plupart tubercule
91 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
s taches pigmentaires. Cheveux roux, bien plantés, nombreux. Pas de ganglions . Crâne en forme de tronc de cône. Bosses pariét
. Tourbillon postérieur un peu à gauche de la ligne médiane. Pas de ganglions lymphatiques perceptibles au toucher. Crâne plu
'avant-coin, le coin sont bien limités sans altération notable. Les ganglions centraux offrent un volume plus considérable qu
gement 216 .- ? : Hydrocéphalie : crâne.' - - -" l) chronique des ganglions carotidiens et axillaires. Vene voluminuex et d
gr.), gauche (60 gr.), fortement congestionnés, surtout aux bases. Ganglions péribronchiques engorgés à gauche. - Plèvres no
ignantes, le tout est recouvert d'une épaisse couche de muguet. Les ganglions submaxillaires sont très engorgés. Lavages répé
. AUTOPSIE. - Congestion et oedème des poumons. Engor- gement des ganglions du mésentère. État spongoïde des os du crâne. M
e. Abdomen. - Quelques adhérences entre les anses intesti- nales. Ganglions du mésentère tuméfiés et engorgés. Foie (705 gr
t de 5 ans. Cette enfant, assez maladive et très myope, a de petits ganglions engorgés à la région cervicale postérieure. Ell
92 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cavités, se terminent dans les noyaux des couches optiques, dans le ganglion de l'habenula, dans le ganglion optique du la b
oyaux des couches optiques, dans le ganglion de l'habenula, dans le ganglion optique du la base, dans le corps de Luys, dans
isceau, plus gros, qui va directement dans la couche optique et les ganglions nerveux adjacents ; dans la cap- sule interne m
atrophiés de la couronne rayon- nante entrent directelllentdans les ganglions . Atrophie encore plus avancée du corps genouill
use; bien que le trijumeau ait été lésé entre la protubérance et le ganglion de Casser, on y trouve l'atrophie des deux orga
nterne. Il ne peut aussi observer l'existence du faisceau allant au ganglion habenulaë, que le D'' Darkschevitsch envisage c
et des nerfs optiques. Tout de même la question sur le rapport du a ganglion habenulaë » au réflexe pupil- laire ne peut êtr
eon osseux hyperplasié se prolongeait vers le centre jusque dans le ganglion spiral (d'où la surdité absolue); 3° dans les c
l du côté gauche ; il existait, en outre, de petits foyers dans les ganglions de la base. L'examen microscopique révéla dans
part, en examinant attentivement les nombreux foyers minuscules des ganglions de la base, nous y retrouvons les mêmes caractè
traumatisme chimique. Chez une dame de vingt ans, présentant des ganglions tuberculeux du cou, à droite ; on injecte, dans l
vale du côté droit un ramollissement gélatineux, et au ni- veau des ganglions de la base, une tumeur qui avait pris leur plac
l'étude spéciale du rôle que jouent dans les con- duits visuels les ganglions optiques subcorticaux : le corps genouillé exte
93 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u cheval. La lésion des nerfs périphériques, après avoir envahi les ganglions spinaux, entraine la dégénérescence ascendante
ériennes autant que les fibres accommodatrices se terminent dans le ganglion ciliaire, et, par suite, ne desservent qu'indir
indre effort de mastication. M. Jaboulay a pratiqué la résection du ganglion cervical supérieur du sympathique le 14 octobre
r que le courant agit profondément sur le trijumeau, et même sur le ganglion de Gasser par cette voie. REVUE D'ANATOMIE ET
formuler que le tabès émane d'une lésion primitive des cellules des ganglions spi- naux, qui aboutit à la nécrose des extrémi
11. De l'hémiatrophie faciale dans ses rapports avec les lésions du ganglion cervical inférieur ; par le D 130UVi' : YnoN. S
nes, estime que l'hemiatrophie faciale est fonction de la lésion du ganglion cervical inférieur. Les rapports immédiats de ce
t dans les cellules de la moelle épinière que dans les cellules des ganglions spinaux. L'aspect externe du réseau intra-cellu
u recours à la ligature de la carotide primitive, à la résection du ganglion cervical supérieur, mais la plupart se sont arr
s se sont appliqués à une intervention plus sérieuse, l'ablation du ganglion de Gasser. - Rappelons que cette opération fut
e déclare au Congrès de 1900 avoir pratiqué 24 fois la résection du ganglion de Gasser et n'avoir perdu que 2 malades. Tous
tement du.nez, la mauvaise conformation des dents, la présence d'un ganglion occi- pital, M. Clément pense à de la syphilis
tion sur les centres vaso-moteurs, qu'elle se fasse sentir dans les ganglions du sympa- thique, dans la moelle, dans le bulbe
iphérique, sans doute à la suite d'une blessure de la bronche ou du ganglion du nerf sympathique pen- dant l'opération de la
pTR01'111E. De l' - faciale dans ses rapports avec les lésions du ganglion cervical inférieur, par liouveyron, '-186. Cas
94 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
elle-même ; ce sont des avertissements envoyés au sensorium par les ganglions spinaux que la volonté a mis en activité. Il a
correspond à l'endroit où les racines pos- térieures sont unies aux ganglions intervertébraux. La lésion de celte région entr
les trophiques dans uotre cas, écarte toute idée d'altération de ce ganglion . Les anomalies de la sécrétion de la sueur s'ex
n de la sueur s'expliquent par le retentissement de l'affection des ganglions intervertébraux et des racines postérieures sur
esthésie, l'intégrité de la capsule interne, du centre ovale et des ganglions centraux démontre qu'il s'agissait d'une hémia-
par une lésion pri- mitive des racines postérieures spinales et des ganglions ner- veux intervertébraux. Cette maladie, dont
érescence secondaire des faisceaux pyramidaux; par consé- quent les ganglions centraux (globus pallidus du noyau lenticu- cul
des faisceaux pyramidaux, des fibres corticales qui se rendent aux ganglions centraux et servent à transmettre les ordres de
il s'agit des mêmes variétés de colorations, pour les cellules des ganglions spi- naux, du ganglion de Gas-er, des ganglions
iétés de colorations, pour les cellules des ganglions spi- naux, du ganglion de Gas-er, des ganglions du grand sympa- thique
ur les cellules des ganglions spi- naux, du ganglion de Gas-er, des ganglions du grand sympa- thique. Cela dépend des variété
s de structure antérieures du protoplasma. (Voyez principalement le ganglion de Gasser du boeuf et du veau.) L'es- pace péri
95 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
égulière. Tourbillon normale- ment situé. Pas de cicatrices. Pas de ganglions . Crâne symétrique, brachycéphale, saillie marqu
présente sur les parties latérales de grosses masses adipeu- ses. Ganglions cervicaux. Corps thyroïde peu appréciable. Thor
neuses. Rien du côté des organes génitaux ni de la vessie. Nombreux ganglions mésentériques. Grand épiploon épais, volumineux
réquente chez les enfants anormaux, la tuberculose du poumon et des ganglions trachéo-bronchiques, la péritonite purulente; d
bien s'assurer que les bouchers ne fournissent pas, à sa place,des ganglions ou des glandes salivaires. Les capsules des hôp
épi. La peau ne présente ni cicatrices, ni nævi. On ne constate de ganglions en aucune région. Sa. tête, de forme normale,
autres que deux cicatrices vacci- nales sur le bras gauche. Petits ganglions cervicaux très, perceptibles. H4 Description
s olives paraissent normales. Abdomen : Rien au péritoine. Quelques ganglions mésen- tériques légèrement engorgés. L'estomac
oïde (8 gr.) assez volumi- neux. Rien de particulier au larynx. Les ganglions médiasti- naux et cervicaux ne sont pas tuméfié
96 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
accumulation de leucocytes (tuber- cula rabica de l3abès). Dans les ganglions spinaux l'accumulation des leucocytes, la multi
ement embryonnaire du cerveau. Les hémisphères cérébraux avec les ganglions sous-corticaux procèdent de la vésicule cérébrale
tion des artères qui nourrissent les hémisphères cérébraux avec les ganglions sous-corticaux et qui forment à la base du cerv
squ'à la partie antérieure de la langue, ainsi que le veut Carl. Du ganglion pétreux les fibres, par le nerf tympanique ou d
e là, les unes, par le petit nerf pétreux superficiel, s'en vont au ganglion otique et, par suite, au nerf lingual, tandis que
artie, par le rameau communiquant du plexus tympanique, arrivent au ganglion géniculé et, de là, par le nerf de la septième
équent, la station terminale des libres gustatives issues de divers ganglions . En ce cas il faudrait admettre que les fibres
stérieure seulement. Les lésions qu'elle avait pro- voquées dans ce ganglion central n'avaient ainsi produit que des symptôm
fant de cinq ans LXXI. De l'influence de l'écorce du cerveau et des ganglions sons corticaux sur la contraction de l'utérus d
xe ne produit pas de lésions spéciales; 2° que le nodule rabique du ganglion est une manifestation particulière de l'inflamm
ux périphérique (filets du spinal, tronc du sympa- thique cervical, ganglions cervicaux inférieur et supérieur). Pas de lésio
iveau du système nerveux périphé- rique (filets du spinal, tronc et ganglions du sympathique cervical) ne permet pas non plus
s digestifs, diarrhée, troubles menstruels. La partie inférieure du ganglion cervical supérieur a été résé- quée. L'améliora
veugle-née, par Taty et Giraud, 242. De l'influence de l'- et des ganglions sous-corticaux sur la contraction de l'utérus d
97 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
o i t ; infiltration p u r u l e n t e des deux poumons; nombreux ganglions t r a c h é o - b r o n c h. Opposition à l'aut
ssion; l'enfant voyant à peine. Cheveux blonds, bien implantés. Petit ganglion sous-maxillaire à gauche. Petits ganglions de la
onds, bien implantés. Petit ganglion sous-maxillaire à gauche. Petits ganglions de la chaîne carotidienne à droite et à gauche.
e congestion intense. Ce poumon ne présente pas de turbercu-les.— Les ganglions du médiaslin sont un peu tuméfiés. Abdomen.— Fo
; les cheveux descendent très bas dans le cou ; corps glabre ; petits ganglions sous-angulo-maxillaires et le long du bord postér
pî^endice a 5 cent, de longueur.— Intestins, vessie normaux. Quelques ganglions sous le mésentère. Causes de la mort. Méningite
t des plaques de Peyer. Dans le nésentère se trouvent quelques petits ganglions engorgés, peu volumineux. — Foie gras, volumineux
98 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
ous nous efforçons enfin de détruire, en laissant intacts de grands ganglions du cerveau, sa paroi inférieure de devant, l'an
l'hémiplégie chez eux est la conséquence sur- tout des lésions des ganglions centraux, qui sont pour lui les centres des mou
cas de lésion de l'écorce du cerveau que dans ceux des lésions des ganglions de la base. Katz (1) a fait les mêmes observati
compression nerveuse déterminée par une production tuberculeuse (un ganglion lymphatique infiltré et hyper- trophié du creux
qu'on en trouve relaté un cas par Babinski où, justement un de ces ganglions exerçait une compression sur la branche externe d
u'à l'état normal, mais elles n'étaient pas proémi- nentes. Un seul ganglion lymphatique, pas très gros, pouvait être palpé
ohn) et les autres dans le noyau rouge (van Gehuchten), ou dans les ganglions opto-striés (Crocq) ? Faut-il alors assimiler le
lésions disséminées des cordons antéro-latéraux ; les cellules des ganglions spinaux étaient atrophiées, la pie-mère épaissie.
ctomisés, Wlaieff (1) a trouvé une hypertrophie de la thyroïde, des ganglions lymphatiques, du foie, des capsules surrénales
evés en notre absence, nous n'avons pas eu à notre disposi- tion de ganglion rachidien pour y rechercher les lésions décrites
vé nulle trace d'infection, jamais de tuméfaction, même légère, des ganglions . Je soignais dans le même moment une rôntgenode
de la même asepsie de la plaie, du même défaut de réaction dans les ganglions correspondants. M. Oudin avait aussi remarqué l
arque encore que ces plaies ne donnent jamais de la tuméfaction des ganglions correspondants, jamais de fièvre, jamais d'inje
trelepont, à un moment donné, avait quatre-vingts plaies, et pas un ganglion , pas de fièvre (1). Comment expliquer cela s'il
99 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
de rattacher chaque point de l'écorce à la moelle épi- nière ou aux ganglions de la base. Cette brillante con- ception a serv
ux ou troisjours, sur un hémisphère, en ayant soin de respecter les ganglions de la base. 11 obtient une atrophie de la bande
isation morbide recommande à l'attention, ou au niveau desquels les ganglions du grand sympathique sont plus accessi- ])les.
uence. La séance se termine par l'électrisa- tion de la tête et des ganglions cervicaux du sympathique; ici c'est la main de
ude, ou, s'il s'agit des tempes et des yeux (paupières closes), des ganglions cervicaux, il touche chacune de ces parties ave
injectée ? mais 'ne présentait pasrdautre anomalie.31 sur uust Les ganglions cervicaux supérieurs ! (qui, : malheureusement,'o
éréscéhce''grise du nerf optique que l'on pouvaitpouMuivé jusqu'aux ganglions ! On devrait, selon lui,3"accepter là'pathogéni
e n'avoir pas parlé de l'insula. On la range actuellement parmi les ganglions de la base sous le titre générique de lobe de l
e rarement aux phases ultimes. C'est sur les cellules nerveuses des ganglions spi- naux du grand sympathique que l'on constat
ou une stimula- tion musculaire, - peut affecter exclusivement les ganglions de la base, ou bien pénétrer dans l'écorce, et
100 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
roite, légère plaque violacée qui repose sur une induration. Pas de ganglions sous-maxillaires du côté correspondant. - Bouch
bitude constante de grincer des dents . Cou, pas de goitre, ni de ganglions ; circonférence : 30 cen. timètres. Membres s
nfant dessine des mouvements nets de défense. On ne constate pas de ganglions dans les aines. - A gauche, on peut fléchir suc
cte. Oreilles assez grande-- it ourlet épais. Cou moyen, quelques ganglions sous-sterno-mastoïdiens tuméfiés, tant à droite
châtain clair, régulièrement plantés, tourbillon au centre, pas de ganglions . - Le crâne est régulièrement conforme, symétri
courbure. Les intestins sont petits, rata- tinés, sans lésions. Les ganglions mésentériques sont un peu hypertrophiés. Le pér
de. Des masses pseudo-lipo- matheuses, mal délimitées, parsemées de ganglions légè- rement hypertrophiés, s'observent constam
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