les invertébrés, j'ai étudié la chaîne ganglionaire et les principaux
ganglions
; chez les vertébrés, la moelle épinière et l'enc
na est assez parfait, pour que l'on ne s'étonne pas de l'existence de
ganglions
nerveux; on y découvre, en effet, une membrane do
Le système nerveux des mollusques a pour caractère d'être composé de
ganglions
réunis entre eux par des anses nerveuses et fourn
te à ceux qui s'élèvent davantage, soit par le développement de leurs
ganglions
, soit par la perfection de leurs sens; ainsi, je
ver place ici. mille des acéphales sans coquilles, n'ont qu'un seul
ganglion
et quelques nerfs ; ce ganglion est oblong, placé
ales sans coquilles, n'ont qu'un seul ganglion et quelques nerfs ; ce
ganglion
est oblong, placé dans l'épaisseur de la tunique
on-née,asuivi les filets nerveux qui, parlant d'une source unique, le
ganglion
, vont se rendre aux branchies, à l'œsophage et au
respiration, de la circulation et de la sensation du4oucber. Un même
ganglion
préside à ces diverses fonctions, il réunit des p
, Lam. Acépha-lophores lamellibranches, Blain. Dans cette classe, les
ganglions
se multiplient, et suivant la remarque de M. Garn
is il a décrit les nerfs comme étant des vaisseaux cbylifères, et les
ganglions
comme étant les réservoirs du chyle. La ténuité d
a complété , sur ce point, les recherches de Mangili et de Poli. Le
ganglion
labial des acéphales testacés est toujours double
pre alcune specie di conchigUe ilvalvi. Milan, 18o/r, in-8, fig. le
ganglion
labial est situé un peu en arrière de la bouche;
s environnantes; il est en communication directe avec les deux autres
ganglions
. I^e ganglion branchial est simple dans les huî
il est en communication directe avec les deux autres ganglions. I^e
ganglion
branchial est simple dans les huîtres, les mu-let
comme je l'ai dit tout-à-l'heure, il communique par un filet avec le
ganglion
labial ; ainsi, la plupart de ses filets sont des
e ses filets sont destinés aux organes de la nutrition, tandis que le
ganglion
labial, donnant les nerfs des tentacules, apparti
nnant les nerfs des tentacules, appartient à la vie de relation. Le
ganglion
pédieux. est toujours simple; il n'existe que che
up de filets à cette partie, et il communique par deux filets avec le
ganglion
labial : c'est le ganglion de la locomotion. La
, et il communique par deux filets avec le ganglion labial : c'est le
ganglion
de la locomotion. La spécialité de fonctions po
anglion de la locomotion. La spécialité de fonctions pour les trois
ganglions
dont sont pourvus les acéphales testaeés, est pro
nt; toutefois, pour avoir une destination particulière, chacun de ces
ganglions
doit-il être considéré comme ayant une propriété
e ? eu en d'autres termes, la sensation est-elle dévolue seulement au
ganglion
labial, la locomotion au ganglion pédieux, la nut
ation est-elle dévolue seulement au ganglion labial, la locomotion au
ganglion
pédieux, la nutrition au ganglion branchial? Non,
u ganglion labial, la locomotion au ganglion pédieux, la nutrition au
ganglion
branchial? Non, carie ganglion labial ne distribu
n au ganglion pédieux, la nutrition au ganglion branchial? Non, carie
ganglion
labial ne distribue pas ses filets seulement aux
ses filets seulement aux tentacules, mais aussi aux muscles;, car le
ganglion
branchial donne également des filets à des organe
ervent pas à la nutrition. A ce sujet, M. Garner fait observer que le
ganglion
pédieux et le ganglion branchial communiquent c
. A ce sujet, M. Garner fait observer que le ganglion pédieux et le
ganglion
branchial communiquent chacun directement avec le
ux et le ganglion branchial communiquent chacun directement avec le
ganglion
labial, et que parla ils doivent faire participer
ropriétés dont ils sont doués, et recevoir à leur tour l'influence du
ganglion
labial. Icirevient la question dont je parlais en
l'œsophage, mais à une hauteur variable, et il présente un nombre de
ganglions
qui diffère presque dans chaque espèce. Quelquefo
anglions qui diffère presque dans chaque espèce. Quelquefois tous les
ganglions
de l'animal sont réunis par des anneaux, et group
s par des anneaux, et groupés autour de l'œsophage, d'autres fois ces
ganglions
sont épars, et il n'en reste que deux qui sont al
au, et fournissent des nerfs aux tentacules et aux yeux ; ce sont les
ganglions
, qu'à l'exemple de M. Garner j'ai appelés labiaux
; mais ici, dans les gastéropodes, ils mériteraient plutôt le nom de
ganglions
céphaliques, en raison des fonctions comparativem
aient exception à cette règle, et manqueraient, d'après M. Garner, de
ganglions
céphaliques. Je n'ai pas été à même de vérifier c
s spécialement au toucher et à la vision n'exclut pas l'existence des
ganglions
céphaliques; car, parmi les articulés, le lombric
de terre, qui est dépourvu d'yeux et de tentacules, a néanmoins deux
ganglions
céphaliques très marqués, et qui ont la plus gran
pour leur position et leur forme, avec ceux de l'es cargol. Mais ces
ganglions
ne peuvent être vus qu'à l'aide du miscroscope,
s'être pas servi de cet instrument, que M. Garner n'a pu découvrir de
ganglions
céphaliques, chez l'oscabrion. Un seul ganglion
'a pu découvrir de ganglions céphaliques, chez l'oscabrion. Un seul
ganglion
, entourant l'œsophage, existe chez le buccin; il
et réunis par un filet nerveux qui complète l'anneau ; il part de ces
ganglions
environ douze nerfs allant aux yeux, aux tentacul
, aux viscères, et aux organes de la génération. Les patelles ont six
ganglions
, tous compris dans le même anneau ; deux de ces g
les ont six ganglions, tous compris dans le même anneau ; deux de ces
ganglions
sont supérieurs et fournissent chacun trois paire
rois paires de nerfs, dont une paire pour les tentacules ; les autres
ganglions
fournissent des nerfs, l'un aux viscères, l'autre
sent des nerfs, l'un aux viscères, l'autre au pied; ces deux derniers
ganglions
sont situés au-dessous de l'œsophage. Un seul gan
deux derniers ganglions sont situés au-dessous de l'œsophage. Un seul
ganglion
, mais très considérable, fournit, chez les thethy
masse charnue du corps. Au-dessous de l'œsophage, il existe un autre
ganglion
qui fournit les nerfs des viscères. L'anneau ne
Dans les acères et les aplysies, le système nerveux consiste en deux
ganglions
réunis par un filet transverse, placé au-dessus d
n filet transverse, placé au-dessus de l'œsophage, et en un troisième
ganglion
communiquant avec les deux précédens, et situé pr
ux précédens, et situé près de l'esto-maci Les deux premiers sont les
ganglions
céphaliques, le dernier est le ganglion viscéral
i Les deux premiers sont les ganglions céphaliques, le dernier est le
ganglion
viscéral ou branchial. L'escargot a cinq gangli
le dernier est le ganglion viscéral ou branchial. L'escargot a cinq
ganglions
et quarante*et-un nerf (l). Malgré la forme spiré
ande régularité ; c'est autour de l'œsophage que sont placés les cinq
ganglions
: deux à la partie supérieure et latérale de l'an
ns : deux à la partie supérieure et latérale de l'anneau, ce sont les
ganglions
céphaliques; deux à sa partie inférieure et moyen
ions céphaliques; deux à sa partie inférieure et moyenne, ce sont les
ganglions
viscéral et pédieux qui semblent se confondre, et
, comme cela a lieu chez la plupart des autres mollusques. Les deux
ganglions
céphaliques réunis par une commissure , forment l
organes olfactifs, à la peau et aux muscles; un sixième nerf naît du
ganglion
situé à droite, tout près du nerf optique, et va
, et va se porter à la verge qui, située de ce côté,touche presque le
ganglion
céphalique. A la naissance du nerf optique, il y
e ganglion céphalique. A la naissance du nerf optique, il y a, sur le
ganglion
cépha- (i) Voyez pl. ire. Tous les nerfs de l'e
rcevoir qu'à l'aide du microscope. J'ai dit que la réunion des leux
ganglions
céphaliques forme la partie supérieure de l'annea
elatif de celte partie avec celui des nerfs qui en partent. Le double
ganglion
céphalique mesuré, sà mesure réduite en millimètr
llimètres cubes, m'a donnée 7,00 Les nerfs qui partent de ce double
ganglion
, au nombre de onze, ont pour les diamètres des ci
n tout. . . . , . . . 2,82 Ce qui donne, pour le rapport du volume du
ganglion
céphalique, au diamètre des nerfs qui en partent,
là 0,403 Outre les nerfs dont je viens de parler, il sort de chaque
ganglion
céphalique un cordon qui unit ce ganglion au gang
e parler, il sort de chaque ganglion céphalique un cordon qui unit ce
ganglion
au ganglion viscéral, et qui complète ainsi l'ann
sort de chaque ganglion céphalique un cordon qui unit ce ganglion au
ganglion
viscéral, et qui complète ainsi l'anneau œsophagi
nt il se compose est, en millimètres, de. . . 1,48 Or, le volume du
ganglion
céphalique étant, comme il a été dit tout-à-l'h
s des cordons de Vanneau de................... 1,48 Le rapport du
ganglion
à ces cordons est celui de....................
o,2ll A la partie inférieure de l'anneau œsophagien, se trouve le
ganglion
viscéral qui est uni au ganglion pédieux d'une ma
l'anneau œsophagien, se trouve le ganglion viscéral qui est uni au
ganglion
pédieux d'une manière assez intime, ces ganglions
céral qui est uni au ganglion pédieux d'une manière assez intime, ces
ganglions
n'étant séparés que dans une partie de leur étend
ns une partie de leur étendue,-par un vaisseau artériel. De ce double
ganglion
parlent comme autant de rayons, un grand nombre d
dans toutes les directions. A l'aide du microscope, j'ai compté à ces
ganglions
, trente-deux nerfs outre les quatre cordons qui,
nerfs outre les quatre cordons qui, formant l'anneau, se porlent aux
ganglions
céphaliques. Le ganglion viscéral fournit aux org
rdons qui, formant l'anneau, se porlent aux ganglions céphaliques. Le
ganglion
viscéral fournit aux organes de la digestion , de
considérables au collier et aux muscles de la coquille, tandis que le
ganglion
pédieux donne presque exclusivement ses filets au
exclusivement ses filets au pied. Ne pouvant mesurer séparément le
ganglion
viscéral et le ganglion pédieux, à cause de leur
s au pied. Ne pouvant mesurer séparément le ganglion viscéral et le
ganglion
pédieux, à cause de leur intime adhérence, je les
rlent, est de. .................. 9,72 Ce qui établit le rapport du
ganglion
aux nerfs égal à celui de...............• • là 0,
0,972 La différence que donnent ces chiffres, entre le rapport des
ganglions
céphalique et viscéral, et les nerfs qui en émane
al, et les nerfs qui en émanent, exprime l'importance relative de ces
ganglions
. Dans les deux cas, le volume du ganglion l'empor
importance relative de ces ganglions. Dans les deux cas, le volume du
ganglion
l'emporte sur le diamètre des nerfs, mais, pour l
volume du ganglion l'emporte sur le diamètre des nerfs, mais, pour le
ganglion
céphalique, la différence est beaucoup plus grand
nglion céphalique, la différence est beaucoup plus grande que pour le
ganglion
viscéro-pédieux. Le ganglion céphalique est en so
nce est beaucoup plus grande que pour le ganglion viscéro-pédieux. Le
ganglion
céphalique est en somme le plus petit, mais, eu é
le; il peut donc avoir sur ses nerfs une action plus puissante que le
ganglion
viscéro-pédieux n'en a sur les siens; il est le c
lleurs et plus utilement. Dans certains gastéropodes, le nombre des
ganglions
nerveux s'élève jusqu'à onze : c'est ce qui a lie
; mais le plus ordinairement on en rencontre cinq qui sont : les deux
ganglions
céphaliques, le ganglion pharyngien , le pédieux,
nt on en rencontre cinq qui sont : les deux ganglions céphaliques, le
ganglion
pharyngien , le pédieux, et le branchial ou viscé
x, et le branchial ou viscéral ; dans les patelles, il y a de plus un
ganglion
labial. k° Plëropodes. « Dans le clio boréal, l
sophage; de chacun d'eux naît un petit filet qui se renfle en un gros
ganglion
, lequel l'unit à son correspondant sous l'œsophag
ganglion, lequel l'unit à son correspondant sous l'œsophage. Ces deux
ganglions
donnent chacun plusieurs filets aux parties envir
nantes ; deux de ces filets, un de chaque côté, se renflent encore en
ganglions
, qui s'unissant ensemble par un nouveau filet qui
plus grande analogie entre le clio et les gastéropodes. Le nombre des
ganglions
du clio est en effet de cinq. 5° Céphalopodes.
eux des céphalopodes varie suivant les espèces, et pour le nombre des
ganglions
et pour le volume respectif de chacun d'eux \ il
ntité vers l'orifice de l'oesophage. Là, en effet, se trouvent et les
ganglions
les plus considérables, et les nerfs les plus nom
ifères, et l'organe de l'ouïe est venu s'ajouter aux autres sens. Les
ganglions
principaux^ sont encore placés autour de l'œsopha
cipaux^ sont encore placés autour de l'œsophage ; mais l'un d'eux, le
ganglion
céphalique a, dans le poulpe, un volume qu'on ne
rirai d'après l'excellente gravure qiven a publiée M. Owen (1), a six
ganglions
dé chaque côté, en tout douze ganglions, dont hui
a publiée M. Owen (1), a six ganglions dé chaque côté, en tout douze
ganglions
, dont huit sont réunis autour de l'œsophage, deux
situés vers les lèvres, et deux autres au milieu des vis*-cères, Les
ganglions
, placés autour de l'œsophage, sont le céphalique,
e, les deux autres au-dessous. Les nerfs qui en partent sont, pour le
ganglion
céphalique, les nerfs linguaux et maxillaires; po
nes, les nerfs infundibulaires, et un cordon de communication avec le
ganglion
labial ; pour le sub-œsopbagien postérieur, les n
la coquille, les nerfs des viscères et de la veine cave. Le cinquième
ganglion
ou labial fournit des nerfs aux tentacules labiau
cules labiaux internes , et les nerfs de l'olfaction ; enfin, le même
ganglion
ou ganglion viscéral donne des nerfs aux branchie
x internes , et les nerfs de l'olfaction ; enfin, le même ganglion ou
ganglion
viscéral donne des nerfs aux branchies et aux vis
t aux viscères ; c'est ce dernier qui représente, chez le nautile, le
ganglion
sympathique des vertébrés. Parmi ces ganglions,
, chez le nautile, le ganglion sympathique des vertébrés. Parmi ces
ganglions
, l'optique seul a une destination spéciale , cell
des organes de la digestion. Le volume des nerfs comparé à celui des
ganglions
, est très considérable , ainsi le nerf optique, q
érité le plus gros de tous, a un diamètre qui égale les deux tiers du
ganglion
optique, et qui est presque semblable au diamètre
iers du ganglion optique, et qui est presque semblable au diamètre du
ganglion
céphalique. Dans la seiche se trouvent des gang
au diamètre du ganglion céphalique. Dans la seiche se trouvent des
ganglions
correspondant â ceux du nautile, mais avec des mo
ions correspondant â ceux du nautile, mais avec des modifications. Le
ganglion
céphalique, qui, dans le nautile, ne consiste guè
ucoup plus considérable ; il consiste , chez ce dernier animal, en un
ganglion
bilobé, central, et se distinguant nettement du g
nimal, en un ganglion bilobé, central, et se distinguant nettement du
ganglion
optique, ce qui n'a pas lieu chez le nautile. Le
ettement du ganglion optique, ce qui n'a pas lieu chez le nautile. Le
ganglion
optique est très volumineux, le ganglion sub-œsop
pas lieu chez le nautile. Le ganglion optique est très volumineux, le
ganglion
sub-œsophagien antérieur, appelé aussi patte d'oi
qui vont aux viscères et au cloaque, il est en communication avec le
ganglion
viscéral ou ganglion étoile. Ce dernier est l'ana
s et au cloaque, il est en communication avec le ganglion viscéral ou
ganglion
étoile. Ce dernier est l'analogue de celui qui, c
ue de celui qui, chez le nautile, donne les nerfs des branchies. Le
ganglion
céphalique donne des nerfs qui sont au pourtour d
s nerfs optiques qui, avant de pénétrer dans l'œil, se renflent en un
ganglion
qui l'emporte de beaucoup en volume sur tous les
i l'emporte de beaucoup en volume sur tous les autres, et même sur le
ganglion
céphalique; il est enfin en communication avec le
cation avec le reste de l'anneau, par une double bande nerveuse. Le
ganglion
sub-œsophagien postérieur, outre les nens dont j'
qui vont aux organes extérieurs de la génération, ne naissent pas du
ganglion
céphalique, comme cela a lieu chez les gastéropod
uve également et même à un degré plus avancé chez le poulpe. Quatre
ganglions
principaux existent chez le poulpe (1) :1e céphal
l'optique uni au premier par le nerf optique ; le sous- œsophagien ou
ganglion
en patte d'oie, qui est le point où aboutissent p
oie, qui est le point où aboutissent presque tous les nerfs, enfin le
ganglion
étoile qui se trouve au milieu des viscères et do
ouve au milieu des viscères et donne principalement à la bourse. Le
ganglion
céphalique donne des nerfs qui vont à la base des
ase des pieds, à la bouche et aux lèvres, d'autres qui vont former un
ganglion
secondaire que je désignerai sous le nom de labia
re que je désignerai sous le nom de labial, enfin le nerf optique. Le
ganglion
céphalique est divisé transversalement par un sil
let : j'examinerai plus loin la légitimité de ces dénominations. Le
ganglion
optique, uni par le nerf du même nom au ganglion
dénominations. Le ganglion optique, uni par le nerf du même nom au
ganglion
précédent, a un volume très considérable, il est
gane de la vision qui est très volumineux chez les céphalopodes. Le
ganglion
en patte d'oie fournit à lui seul, comme je l'ai
on, au mouvement, à la respiration et à hmutrition. J'ai dit que le
ganglion
étoile allait principalement à la bourse, organe
Cuvier, description que je prends pour guide, le poulpe a donc quatre
ganglions
, et les nerfs principaux qui en émanent sont au n
t qui complètent le collier, en réunissant autour de l'œsophage, le
ganglion
céphalique et le ganglion en patte d'oie. Ce cord
r, en réunissant autour de l'œsophage, le ganglion céphalique et le
ganglion
en patte d'oie. Ce cordon a cela de particulier q
er qu'il est uniquement destiné à établir une communication entre les
ganglions
oesophagiens; il ne s'en détache jamais aucun ner
étendue. RÉSUMÉ. 1. Le système nerveux des mollusques consiste en
ganglions
, en nerfs et en cordons de communication. 2. Un
e en ganglions, en nerfs et en cordons de communication. 2. Un même
ganglion
peut fournir à-îa-fois des nerfs à tout l'organis
ut fournir à-îa-fois des nerfs à tout l'organisme. 3. Cependant les
ganglions
ont de la tendance à devenir spéciaux; les uns ét
de la nutrilion, d'autres enfin aux organes de la locomotion. h. Le
ganglion
duquel émanent les nerfs de la vue, du goût et de
de l'ouïe, quand il existe, reçoit le nerf qui lui est destiné, d'un
ganglion
situé à côté ou au-dessus de l'œ-sophage, lequel
stiné, d'un ganglion situé à côté ou au-dessus de l'œ-sophage, lequel
ganglion
est commun aux nerfs viscéraux et locomoteurs.
equel ganglion est commun aux nerfs viscéraux et locomoteurs. 6. Le
ganglion
le plus considérable n'est jamais le ganglion cép
et locomoteurs. 6. Le ganglion le plus considérable n'est jamais le
ganglion
céphalique. 7. La situation du ganglion céphali
onsidérable n'est jamais le ganglion céphalique. 7. La situation du
ganglion
céphalique, son volume, les nerfs qu'il fournil,
i des centres nerveux, auquel leurs troncs viennent aboutir. 9. Les
ganglions
œsophagiens, qui sont les ganglions principaux, s
troncs viennent aboutir. 9. Les ganglions œsophagiens, qui sont les
ganglions
principaux, sont toujours symétriques; les autres
eurs de la génération reçoivent des nerfs qui viennent directement du
ganglion
céphalique. 11. La chaîne qui réunit les gangli
nt directement du ganglion céphalique. 11. La chaîne qui réunit les
ganglions
de l'anneau œsophagien se compose de deux cordons
mais non confondus, et il ne s'en détache jamais aucun nerf. 12. Le
ganglion
céphalique, comparativement aux nerfs qu'il fourn
aux nerfs qu'il fournit, est beaucoup plus volumineux que les autres
ganglions
. § IL STRUCTURE DU SYSTÈME NERVEUX DES MOLLUSQU
our en découvrir la composition organique. En effet, la petitesse des
ganglions
, la ténuité, la transparence des filets nerveux p
es mollusques, on peut suivre chaque nerf jusque dans la substance du
ganglion
, voir si les filamens qui vont aux organes des se
férente de ceux qui vont aux muscles ou aux organes nutritifs. Chaque
ganglion
paraît avoir des fonctions spéciales, le ganglion
s nutritifs. Chaque ganglion paraît avoir des fonctions spéciales, le
ganglion
céphalique, par exemple, donne particulièrement
ouvement , les fournit-il de sa propre substance, ou les reçoit-il du
ganglion
pédieux ou moteur, avec lequel il est en communic
e toujours d'accord avec M. Ehrenberg. La partie centrale de chaque
ganglion
de l'escargot, est formée d'une matière ponctuée,
t l'origine. Chaque nerf a une sorte d'épanouissement rayonné dans le
ganglion
, et cet épanouissement est la racine du nerf. Ent
Entre les racines des différens nerfs, iln'existe dans l'intérieur du
ganglion
, aucune communication directe, pas plus qu'avec l
s plus qu'avec les cordons du collier. Ainsi, pour ce qui concerne le
ganglion
céphalique, les nerfs qu'il fournit aux organes d
pre substance, et ne viennent pas, comme on aurait pu le supposer, du
ganglion
pédieux ou moteur; le double cordon formant de ch
le collier œsophagien, va se rendre directement dans la substance du
ganglion
, et c'est de celte même substance que partent, ch
u, les nerfs moteurs et les nerfs sensitifs. Une commissure réunit le
ganglion
cépha lique du côté droit à celui du côté gauch
rmer les nerfs, et naissant, comme elles, de la portion globuleuse du
ganglion
. Le ganglion viscéro-pédieux a une structure anal
s, et naissant, comme elles, de la portion globuleuse du ganglion. Le
ganglion
viscéro-pédieux a une structure analogue à celle
lion. Le ganglion viscéro-pédieux a une structure analogue à celle du
ganglion
céphalique. Les nerfs et les cordons de communi
de la sensation et ceux du mouvement; entre les nerfs qui naissent du
ganglion
céphalique et ceux qui naissent du ganglion viscé
les nerfs qui naissent du ganglion céphalique et ceux qui naissent du
ganglion
viscéral ou du ganglion pé-dieux. Chacun de ces n
u ganglion céphalique et ceux qui naissent du ganglion viscéral ou du
ganglion
pé-dieux. Chacun de ces nerfs a, quant à sa struc
on, depuis l'origine commune à chacune d'elle, c'est-à-dire depuis le
ganglion
, jusqu'à la partie à laquelle elle est destinée.
e nerf optique de l'escargot, un des plus volumineux que fournisse le
ganglion
céphalique , n'a pas plus de 0,2. Il est donc de
urs vaisseaux piqués ou dilacérés. La couleur et la consistance des
ganglions
et des nerfs, chez les mollusques, varient beauco
rfs, chez les mollusques, varient beaucoup. Le plus ordinairement les
ganglions
sont opaques, les uns blancs, les autres grisâtre
tandis que les nerfs sont plutôt transparens. Chez les phallusies, le
ganglion
nerveux, unique dans ces animaux , est jaunâtre;
celui de l'onchidie , parmi les gastéropodes, est d'un jaune brun. Le
ganglion
céphalique et les nerfs qui en émanent directemen
ation des parties analogues appartenant à des animaux plus élevés. Le
ganglion
céphalique est généralement assez ferme, et les n
les nerfs qu'il fournit sont rarement transparens. RESUME 1. Les
ganglions
nerveux des mollusques sont composés de matière g
frent pas de différence appréciable. U. Les nerfs, qui sortent d'un
ganglion
, appartiennent tous à ce ganglion ; ainsi les
U. Les nerfs, qui sortent d'un ganglion , appartiennent tous à ce
ganglion
; ainsi les nerfs moteurs, qui viennent du gah-gl
eurs, qui viennent du gah-glion céphalique, ne sont pas fournies à ce
ganglion
par ses filets de communication avec le ganglion
nt pas fournies à ce ganglion par ses filets de communication avec le
ganglion
pédieux : un même ganglion possède donc à-la-fois
on par ses filets de communication avec le ganglion pédieux : un même
ganglion
possède donc à-la-fois des propriétés différentes
and sympathique des vertébrés. La disposition de la masse nerveuse en
ganglions
et en nerfs donne, sous le point de vue descripti
rveau, au cervelet ou à la moelle rachidienne des vertébrés, et leurs
ganglions
épars, commit niquant les uns avec les autres p
s nerveux, ont, au premier aspect, une parfaite ressemblance avec les
ganglions
du grand sympathique. D'autres analomistes, plus
ue. D'autres analomistes, plus préoccupés de la fonction assignée aux
ganglions
que de leur forme, n'ont pas hésité à donner le n
leur forme, n'ont pas hésité à donner le nom de cerveau, à celui des
ganglions
qui, placé au-dessus de l'œsophage, reçoit les ne
lles de la partie dont il s'agit d'établir la valeur. Ainsi, pour les
ganglions
des mollusques, il faut considérer leur situation
quels nerfs en émanent et à quelles parties se rendent ces nerfs. Les
ganglions
du grand sympathique fournissent, chez les vertéb
urnissent, chez les vertébrés, les nerfs de la vie organique ; que le
ganglion
céphalique des mollusques lui soit assimilé, le n
d'abord le vice du raisonnement qui y conduit. Au lieu de prendre le
ganglion
pour point de départ, que l'on prenne l'œil, le n
ributions ; mais pour continuer la comparaison avec les vertébrés, le
ganglion
céphalique devient la couche optique, ou l'un d
uveraient jamais, dans l'objet simple, de terme de comparaison. Les
ganglions
et les nerfs des mollusques ne sont donc pas les
nt pour l'affirmative; Cuvier, dans la description qu'il a donnée des
ganglions
nerveux du poulpe, indique, chez cet animal, non-
ais encore un cervelet. Une dépression placée transversalement sur le
ganglion
sus-œsophagien, sépare ce ganglion en deux partie
ion placée transversalement sur le ganglion sus-œsophagien, sépare ce
ganglion
en deux parties : dont l'antérieure serait le cer
it le cerveau, et la postérieure le cervelet. M. Owen appelle ce même
ganglion
, chez le nautile , cerveau ou commissure central
celui des poissons. Le cerveau des mollusques est divisé en plusieurs
ganglions
placés autour de l'œsophage ; or, d'après M. Garn
urs ganglions placés autour de l'œsophage ; or, d'après M. Garner, le
ganglion
supérieur ou sus-œsophagien n'est aulre que le lo
aulre que le lobe optique des poissons, et la partie antérieure de ce
ganglion
est peut-être un rudiment des hémisphères cérébra
aris, 1810, in-4° t. ' p. I09* (6) Op. cit. (7) Op. cit. 3 au
ganglion
labial , lequel ganglion labial fournit un grand
I09* (6) Op. cit. (7) Op. cit. 3 au ganglion labial , lequel
ganglion
labial fournit un grand nombre de nerfs destinés
s nerfs respiratoire externe y acoustique et brattchiOAdscéral, ët le
ganglion
pédieux qui fournit aux Fibres musculaires du pie
ntré Cuvier, une véritable cavité crânienne dans laquelle est logé le
ganglion
céphalique. Je n'adopte pas, sans restriction,
et non à tous les mollusques; ensuite, je nierai posilivement que le
ganglion
céphalique des mollusques, puisse être désigné so
ale, et de plus, elle est vraiment une commissure. Toutefois, dans le
ganglion
céphalique des mollusques, il n'y a pas seulement
es vertébrés ; et d'ailleurs, je ne voudrais pas que l'on désignât ce
ganglion
sous le nom de moelle allongée, ce qui serait lui
rts avec un cerveau et un cervelet ; mais je lui laisserais le nom de
ganglion
céphalique , sous lequel il a été désigné et qui
ar Cuvier, je n'appellerai donc pas cervelet la partie postérieure du
ganglion
céphalique du poulpe, parce qu'il n'est pas démon
e dérogent cependant pas au principe établi par M. Carus; un de leurs
ganglions
préside à tous les autres, c'est le ganglion céph
r M. Carus; un de leurs ganglions préside à tous les autres, c'est le
ganglion
céphalique qui, placé au-dessus de l'œsophage , o
phage , occupe véritablement le pôle lumineux ; tandis que les autres
ganglions
de ces animaux , placés au-dessous du tube alimen
facultés secondaires. M. Serres a soutenu, sur la signification du
ganglion
céphalique des mollusques, une opinion qui est to
à celle de Cuvier et de MM. Garner et Carus. Pour cet anato-miste, le
ganglion
dont il s'agit, est l'analogue du ganglion appart
. Pour cet anato-miste, le ganglion dont il s'agit, est l'analogue du
ganglion
appartenant au nerf trijumeau des animaux vertébr
autres nerfs cérébraux. A ce raisonne ment, M. Serres ajoute : « le
ganglion
œsophagien n'est pas l'analogue du cerveau, car l
sseuses ou cartilagineuses; or, rien de semblable n'existe autour des
ganglions
des animaux articulés. Les mollusques, les insect
ns peuvent concourir à la respiration, donc, chez les invertébrés, le
ganglion
de la cinquième paire peut devenir le siège et le
re peut présider à des fonctions très variées, mais nullement que son
ganglion
soit l'analogue du ganglion céphalique des invert
ions très variées, mais nullement que son ganglion soit l'analogue du
ganglion
céphalique des invertébrés ; car ce ganglion céph
glion soit l'analogue du ganglion céphalique des invertébrés ; car ce
ganglion
céphalique est un organe central, excitateur et s
phalique est un organe central, excitateur et sensitif, tandis que le
ganglion
du nerf trijumeau n'est, en quelque sorte, qu'un
, même dans l'hypothèse de M. Serres, il faudrait ne pas s'arrêter au
ganglion
de la cinquième paire, mais remonter jusqu'au poi
son congénère, et former une commissure qui rappelle la commissure du
ganglion
céphalique. «Le ganglion œsophagien, dit encore
e commissure qui rappelle la commissure du ganglion céphalique. «Le
ganglion
œsophagien, dit encore M. Serres, n'est pas l'ana
écrit le crâne du poulpe, et M. Garner fait observer que les nerfs du
ganglion
céphalique des céphalopodes, traversent des trous
le nerf optique des insectes et des mollusques se sépare isolément du
ganglion
céphalique; il n'est pas, à son origine, uni à d'
ue; il n'est pas, à son origine, uni à d'autres nerfs, et il va de ce
ganglion
s'épanouir en entier dans la rétine, absolument c
ente, c'est de se renfler dans certaines espèces d'invertébrés, en un
ganglion
plus ou moins considérable, et placé à une distan
glion plus ou moins considérable, et placé à une distance variable du
ganglion
céphalique, mais qui ne fournit pas de filets que
it inadmissible. Le cordon œsophagien double de chaque côté, et les
ganglions
auxquels ils vont s'unir, représentent la moelle
e épinière des vertébrés. Le long de cette chaîne, règne une série de
ganglions
correspondant au volume et au nombre des cirrhes
olume et au nombre des cirrhes de l'animal ; supposez réunis tous les
ganglions
latéraux, en une seule masse ganglionaire central
latéraux, en une seule masse ganglionaire centrale, et vous aurez le
ganglion
vis-céro-pédieux de l'escargot; réunissez au cont
contraire les deux colonnes nerveuses le long de laquelle régnent les
ganglions
, et vous aurez une moelle analogue à celle des an
osition que je fais, relativement à la réunion en une seule masse des
ganglions
placés en dehors des cordons œsophagiens, se trou
une véritable chaîne ganglionaire, jusqu'au maïa qui a seulement deux
ganglions
, l'un céphalique et l'autre abdominal. MM. Audoui
ils ont, entre eux, une très grande analogie pour la disposition des
ganglions
nerveux ; comparez également l'escargot au maïa,
eux va progressivement en se rapprochant de l'un ou de l'autre. Les
ganglions
spinaux sont considérés par M. E. H. We-^ ber (1)
ux sont considérés par M. E. H. We-^ ber (1), comme les analogues des
ganglions
des invertébrés, ce Les nerfs spinaux, dit M, Web
podes, la moelle n'existe plus, les nerfs seuls persistent avec leurs
ganglions
. Les filets qui, chez les vertébrés, partent des
avec leurs ganglions. Les filets qui, chez les vertébrés, partent des
ganglions
pour aller à la moelle, et constituent les racine
joint entre elles les deux parties la^-térales, dont se composent les
ganglions
des invertébrés.» Cette manière de voir se rappro
approche de celle que M. Serres a adoptée relativement à la valeur du
ganglion
de la cinquième paire qui serait, d'après cet ana
re du cordon médullaire des articulés. Treviranus (2) comparait les
ganglions
des invertébrés aux (t) Anat. comp, nervisympat
. Leips. 1817, in-80. (2) Journ. compl, des se. méd, t. 18. p. a5o.
ganglions
spinaux des vertébrés et à ia moelle épinière; il
ut trouver, mais un organe remplissant une fonction spéciale. Or, les
ganglions
spinaux sont-ils bien l'organe que nous cherchons
les racines postérieures de la moelle, et vous ôtez toute action aux
ganglions
spinaux. La moelle est l'organe central pour les
spinaux. La moelle est l'organe central pour les vertébrés, comme les
ganglions
le sont pour les invertébrés, et c'est en eux que
g, ne retrouvant rien de semblable à des tubes articulés, ni dans les
ganglions
, ni dans les cordons, ni dans les fdets nerveux d
sensation, toute sensibilité, est, par cela seul, inadmissible. Le
ganglion
céphalique, par sa contexture, ses relations et s
titude à la légitimité de cette détermination. En effet, le volume du
ganglion
céphalique de l'escargot que j'ai pris pour exemp
le , est aux nerfs qui en partent, comme 1 est à 0,403, tandis que le
ganglion
viscéro-pédieux est à ses nerfs comme 1 à 0,977,
-pédieux est à ses nerfs comme 1 à 0,977, ce qui établit en faveur du
ganglion
céphalique une prééminence marquée sur le ganglio
ablit en faveur du ganglion céphalique une prééminence marquée sur le
ganglion
pédieux, et répète la loi déjà citée de Sœmmering
te loi, que Soemmering a posée pour l'encéphale, s'applique aussi aux
ganglions
dont la sphère d'action s'étend en raison directe
e par les deux doubles cordons qui ferment l'anneau œsophagien et les
ganglions
qui interrompent la continuité de ces cordons ou
pas l'analogue du système ganglionaire des vertébrés. 2. Le double
ganglion
céphalique n'est pas l'analogue des lobes cérébra
ganglion céphalique n'est pas l'analogue des lobes cérébraux. S. Ce
ganglion
est toujours situé au côté lumineux de l'animal ,
, tandis que les autres sont généralement du côté terrestre. 4. Le
ganglion
céphalique n'est pas l'analogue du ganglion appar
u côté terrestre. 4. Le ganglion céphalique n'est pas l'analogue du
ganglion
appartenant au nerf trijumeau des vertébrés. 5.
ogue du ganglion appartenant au nerf trijumeau des vertébrés. 5. Le
ganglion
céphalique des mollusques représente chez ces ani
existe-t-il aussi pour l'olfaction. 7. Le cordon œsophagien et les
ganglions
que ces cordons réunissent, sont les analogues de
s, sont les céphalopodes, c'est-à-dire ceux des mollusques qui ont le
ganglion
céphalique le plus considérable. U. Tous les mo
x. On ne rencontre que très rarement, chez les animaux articulés, des
ganglions
épars, subordonnés en quelque sorte à l'existence
pour former une longue chaîne renflée de distance en dislance par des
ganglions
. A la simple vue, on reconnaît que le cordon médu
re de ces animaux se rapproche de la moelle spinale des vertébrés. Le
ganglion
céphalique, et suriout les organes des sens acqui
e chez les uns, il est plus compliqué chez d'autres ; il présente des
ganglions
qui ne varient pas moins par leur nombre que par
euvent les faire considérer comme des nerfs munis de renflemens et de
ganglions
. » Malgré l'autorité de M. J. Cloquet, je n'admet
présentent aucunement l'aspect d'un nerf, et je n'y ai reconnu aucun
ganglion
; cependant j'avais pris toutes les précautions po
les invertébrés, tous les anatomistes en conviennent, il n'y a que le
ganglion
céphalique qui se trouve au-dessus de l'œsophage
n le voit clairement, le résultat d'une idée préconçue. La forme du
ganglion
céphalique, tel qu'il a été décrit par les auteur
nerveux complet pour chacun des anneaux de l'animal, c'est-à-dire un
ganglion
et des nerfs qui vont à toutes les parties occupa
ge, tout près de la ventouse orale, se trouve de chaque côté un petit
ganglion
mamilla#e ; une commissure réunit ces deux gangli
que côté un petit ganglion mamilla#e ; une commissure réunit ces deux
ganglions
qui communiquent avec la moelle ventrale par deux
'anneau œsophagien. Du point de réunion du cordon de l'anneau avec le
ganglion
céphalique, naissent deux nerfs qui se portent en
s , vers la ventouse orale. Je n'ai pas vu d'autre nerf partant de ce
ganglion
. L'anneau n'est pas formé par un double cordon co
nale , il est par conséquent le même d'un bout du corps à l'autre. Un
ganglion
, situé près de l'anus, termine la moelle en arriè
tué près de l'anus, termine la moelle en arrière. (1) Sangsue (2). Le
ganglion
céphalique de la sangsue (1) M.Cams, dans son T
escription du système nerveux du lombric de terre; on n'y voit pas le
ganglion
céphalique, ni les doubles racines des nerfs spir
l'œsophage et former le commencement de la moelle. Cette moelle a des
ganglions
très distincts, bien visibles à l'œil nu et fourn
bles à l'œil nu et fournissant chacun deux paires de nerfs. Entre les
ganglions
, on ne trouve aucune racine nerveuse. Ainsi, deux
istent entre le lombric de terre et la sangsue : dans le lombric, des
ganglions
peu distincts et des paires de nerfs qui alternen
ires de nerfs qui alternent doubles et simples ; dans la sangsue, des
ganglions
véritables et pas de nerfs intermédiaires. Une li
ment séparables l'un de l'autre dans to ut l'espace compris entre les
ganglions
; mais, sur ces ganglions, interception complète
autre dans to ut l'espace compris entre les ganglions ; mais, sur ces
ganglions
, interception complète de la séparation, et même
eption complète de la séparation, et même de la ligne médiane (1). Un
ganglion
anal termine la moelle ; il est très rapproché de
manière de patte d'oie. La double paire de nerfs qui naît de chaque
ganglion
est l'une au-devant de l'autre dans la sangsue co
fs spinaux, chez les vertébrés. La substance de ces nerfs et de ces
ganglions
est blanche et opaque, tandis que nous l'avons vu
ariété dans la disposition du système nerveux : il en est qui ont des
ganglions
isolés très analogues à ceux des gastéropodes ; d
autres qui ont une double chaîne ganglionaire ; d'autres enfin où les
ganglions
, placés successivement les uns après les autres,
ions , placés successivement les uns après les autres, rappellent les
ganglions
de la sangsue et s'élèvent même jusqu'à ceux des
successives qu'éprouve la matière nerveuse pour passer de la forme de
ganglions
isolés à la double chaîne ganglionaire. Je ne pui
r de l'animal. Tantôt, au contraire, il se compose uniquement de deux
ganglions
ou renflemens noueux, dissemblables par leur form
eule masse ganglionaire ; mais les deux cordons nerveux qui lient ces
ganglions
entre eux restent encore parfaitement distincts.
te espèce de centralisation du système nerveux, car non-seulement les
ganglions
sont devenus impairs par l'union des deux noyaux
système nerveux est portée à un plus haut degré encore, parce que les
ganglions
ne présentent plus de traces de division sur la l
les cordons inter-ganglionaires de l'abdomen se raccourcissent et les
ganglions
se rapprochent les uns des autres.Dans le palémon
lte concentration se fait remar quer; les trois dernières paires de
ganglions
s'agglomèrent entre elles; il en est de même des
langouste un degré encore plus grand de centralisation, car tous les
ganglions
thoraciques sont, pour ainsi dire, soudés bout à
s quelques détails sur ce qui concerne l'écrevisse et le homard. Le
ganglion
céphalique de l'écrevisse a une forme quadrilatèr
deux tubercules mamelonnés semblables à ceux que l'on trouve sur les
ganglions
thoraciques et abdominaux du même animal. J'aurai
-glions, et à la région abdominale par six. Dans l'intervalle de ces
ganglions
, les colonnes nerveuses sont séparées naturelleme
à l'autre, mais ne se confondent pas : c'est le contraire dans les
ganglions
, la séparation ne peut s'y opérer sans déchirure,
les ganglions, la séparation ne peut s'y opérer sans déchirure, Les
ganglions
thoraciques sont plus considérables que les gangl
échirure, Les ganglions thoraciques sont plus considérables que les
ganglions
abdominaux ; ils sont aussi plus rapprochés les u
niers ; ils correspondent en procédant d'avant en arrière, le premier
ganglion
aux pinces, les quatre autres aux quatre paires d
queue de l'écrevisse, se rencontrent, à des distances régulières, six
ganglions
égaux entre eux pour le volume; le dernier gangli
régulières, six ganglions égaux entre eux pour le volume; le dernier
ganglion
seul fait exception ; il est très rapproché de ce
très rapproché de celui qui le précède et très volumineux. Chacun des
ganglions
de l'abdomen répond à l'un des segmens dont se co
nerfs fournis par la chaîne ganglionaire sont deux paires pour chaque
ganglion
et une paire pour chaque espace inter-ganglionair
des nerfs sortent de la chaîne ganglionaire dans les intervalles des
ganglions
: on sait que Gall s'est efforcé de prouver que l
ubstance grise, et que les nerfs ont toujours pour point d'origine un
ganglion
. Le tiers des nerfs du ver de terre et de l'écrev
copique de la chaîne ganglionaire des animaux articulés. Le dernier
ganglion
termine, sans aucun prolongement médullaire, la c
cun prolongement médullaire, la chaîne de l'écrevisse ; il sort de ce
ganglion
douze nerfs qui s'étalent en manière de patte d'o
distinctes, en raison du volume plus considérable de l'animal. Les
ganglions
nerveux des crustacés sont blanchâtres ou transpa
chaîne ganglionaire; le maia, animal large et court, a seulement deux
ganglions
qui donnent leurs filets tout autour d'eux et en
et l'abdomen arrondi se termine sans aucun renflement caudiforme. Les
ganglions
thoraciques sont réunis en une seule masse qui el
horaciques sont réunis en une seule masse qui elle-même est soudée au
ganglion
céphalique; un double cordon part de la masse ner
, F. aussi Léon Dufonr, Strauss, etc. que et va se terminer dans le
ganglion
abdominal. Le ganglion céphalique donne des nerfs
Strauss, etc. que et va se terminer dans le ganglion abdominal. Le
ganglion
céphalique donne des nerfs pour les organes mandu
rayonnée, envoie, par chacun de ses rayons, des nerfs aux pattes; le
ganglion
abdominal fournit aux intestins, aux branchies ,
ar le volume comparativement plus considérable de quelques-uns de ses
ganglions
. D'ailleurs, même parmi les arachnides pulmonaire
de deux cordons parallèles, réunis de distance en distance , par des
ganglions
; c'est le cas des scorpions. (2) 5° Insectes.
e en une chaîne ganglionaire, mais le nombre et surtout le volume des
ganglions
varie beaucoup suivant le genre d'insecte et suiv
état de chenille jusqu'à celui de papillon. Dans la chenille , douze
ganglions
sont séparés, à l'exception des deux derniers, pa
delberg, in-4°, iSi8. 1 5 dans la chrysalide, un même nombre de
ganglions
, mais plus rapprochés et plusieurs tendant à s'un
chés et plusieurs tendant à s'unir ; dans le papillon, seulement sept
ganglions
, mais l'un d'eux, plus gros que tous les autres,
utres, formé par la concentration en une seule masse de plusieurs des
ganglions
isolés de la chenille (1). Ces faits, qu'a publié
la chenille du bois de saule est formé, d'après Lyonet (3), de treize
ganglions
dont le céphalique est le plus considérable et do
gitudinaux, l'un à droite et l'autre à gauche, unissent entre eux ces
ganglions
; ils sont tout-à-fait séparés dans les quatre pre
es, et séparés seulement en partie dans le reste de leur étendue. Les
ganglions
sont biîobés, deux paires de nerfs naissent de ch
. Les ganglions sont biîobés, deux paires de nerfs naissent de chaque
ganglion
et se portent en dehors. Le deuxième et le troisi
chaque ganglion et se portent en dehors. Le deuxième et le troisième
ganglions
sont soudés l'un à l'autre, le douzième et le tre
e dans plusieurs autres insectes, il y a des nerfs intermédiaires aux
ganglions
et qui paraissent tirer leur origine des cordons
a une double colonne nerveuse réunie de distance en distance par neuf
ganglions
; le ganglion supérieur ou céphalique donne des n
lonne nerveuse réunie de distance en distance par neuf ganglions ; le
ganglion
supérieur ou céphalique donne des nerfs optiques
nnent à l'abdomen. Les filets nerveux qui en émanent sortent tous des
ganglions
, il ne s'en détache aucun des colonnes médullaire
s'en détache aucun des colonnes médullaires. Le hanneton (2) a six
ganglions
qui se réunissent en deux groupes principaux ; au
ssent en deux groupes principaux ; au premier groupe appartiennent le
ganglion
céphalique et le ganglion sous-œsophagien, auxque
cipaux ; au premier groupe appartiennent le ganglion céphalique et le
ganglion
sous-œsophagien, auxquels il faut ajouter les gan
phalique et le ganglion sous-œsophagien, auxquels il faut ajouter les
ganglions
optiques ; au second groupe, les ganglions du cor
xquels il faut ajouter les ganglions optiques ; au second groupe, les
ganglions
du corselet et de l'abdomen. Le ganglion céphaliq
ues ; au second groupe, les ganglions du corselet et de l'abdomen. Le
ganglion
céphalique donne cinq paires de nerfs, savoir : l
ette description, comme étant les analogues de la cinquième paire. Le
ganglion
optique, très considérable comme chez tous les in
sidérable comme chez tous les insectes, donne uniquement aux yeux. Le
ganglion
sous-œsophagien , regardé par M. Strauss comme fa
rnit des nerfs à la bouche et à plusieurs organes des sens. Quant aux
ganglions
du corselet, du thorax et de l'abdomen, ils donne
d nombre qui vont à toutes les parties du corps. M. Strauss a vu deux
ganglions
impairs placés sur l'œsophage, qui distribuaient
. qui diffère beaucoup l'un de l'autre (1). La nèpe cendrée a trois
ganglions
réunis par deux cordons nerveux distincts et sépa
fixer notre attention : le petit nombre et le volume considérable des
ganglions
, la multiplicité des nerfs destinés à la vision,
e de nerfs, chez le pentatome et la nèpe cendrée, qui a lieu loin des
ganglions
. Ce dernier fait, si l'on s'en rapporte à une sim
réfutation à l'opinion de ceux qui font toujours venir les nerfs des
ganglions
. Je me contente de signaler ici celte observation
es bien au-dessus de tous les autres, c'est la prépondérance de leurs
ganglions
céphaliques. Ces ganglions sont tellement volumin
es autres, c'est la prépondérance de leurs ganglions céphaliques. Ces
ganglions
sont tellement volumineux qu'ils constituent véri
qu'ils constituent véritablement une tête, surtout si l'on y joint le
ganglion
optique. On voit, d'après ce qui précède, qu'il
ure de cette chaîne est placée sur l'œsophage et renflée en un double
ganglion
, quelquefois même en un plus grand nombre ; le re
veux. k. Les annelides sont pourvus d'une chaîne ganglionaire; leur
ganglion
céphalique donne des nerfs qui partent de l'endro
ques ; les nerfs de la chaîne ganglionaire viennent non-seulement des
ganglions
, chez les sangsues, mais aussi des cordons inter-
crustacés servent à expliquer comment ce changement s'opère. 6. Le
ganglion
céphalique des crustacés donne des nerfs qui vont
comme chez quelques annelides, les nerfs ne sortent pas seulement des
ganglions
, mais aussi des cordons inter-ganglionaires. 8.
s cordons inter-ganglionaires. 8. Chez les arachnides le nombre des
ganglions
est très borné, la matière nerveuse montre de la
se montre de la tendance à se réunir vers*la tête. 9. Le nombre des
ganglions
qui entrent dans la composition du système nerveu
cte est à l'état de chenille , de chrysalide ou de papillon. 10. Le
ganglion
le plus considérable, chez les insectes, est touj
Le ganglion le plus considérable, chez les insectes, est toujours le
ganglion
céphalique. 11. Le ganglion céphalique des crus
ble, chez les insectes, est toujours le ganglion céphalique. 11. Le
ganglion
céphalique des crustacés est comparative* ment pl
sangsue, de l'ccrevisse, du grillon domestique et de l'abeille. Le
ganglion
céphalique du ver de terre est une double eminenc
re par l'entremise d'un cordon. Examiné au microscope, on voit que ce
ganglion
est composé de matière globuleuse et de filamens.
es fibres de la commissure se rendent de la substance globuleuse d'un
ganglion
à la même substance du ganglion opposé. Le cord
ndent de la substance globuleuse d'un ganglion à la même substance du
ganglion
opposé. Le cordon œsophagien du ver de terre es
épart ailleurs que dans le cordon ; on peut les suivre jusque dans le
ganglion
céphalique. Arrivés l'un près de l'autre au-desso
la moelle se renfle de distance en distance et forme là une espèce de
ganglion
. En dehors de ce renflement, il se détache deux n
parties fondamentales du système nerveux du ver de terre sont : 1° le
ganglion
céphalique ; 2° les fibres longitudinales composa
le, fibres qui se continuent dans l'anneau œsophagien pour arriver au
ganglion
céphalique ; 3° de fibres transverses qui se trou
ans le ver de terre, resteraient isolées jusqu'à leur entrée dans les
ganglions
spinaux? C'est une question intéressante et qui t
quant à la forme et quant à la structure de leur système nerveux. Le
ganglion
sur-œsophagien ou céphalique est le même dans ces
ès intimement unis. La moelle de la sangsue est pourvue de véritables
ganglions
placés de distance en distance sur le trajet des
nglions placés de distance en distance sur le trajet des cordons. Ces
ganglions
sont de forme lenticulaire, et en les examinant a
cordons, des fibres transverses qui sont, pour les nerfs émanant des
ganglions
, une sorte de commissure ; enfin une substance g
rtion de la chaîne ganglionaire de la sangsue (fig. lre) et un de ses
ganglions
grossi au microscope (fig. 2). En haut et en bas
deux colonnes nié dullaires bien isolées l'une de l'autre ; dans le
ganglion
lui-même on suit ces cordons, on les voit s'y éta
fibres transverses qui croisent les premières à angle droit. Tous les
ganglions
de la sangsue, le ganglion oral et le ganglion an
ent les premières à angle droit. Tous les ganglions de la sangsue, le
ganglion
oral et le ganglion anal exceptés, sont semblable
angle droit. Tous les ganglions de la sangsue, le ganglion oral et le
ganglion
anal exceptés, sont semblables à celui que l'on v
lables à celui que l'on voit sur la planche ; le premier ressemble au
ganglion
correspondant du ver de terre, le dernier, plus c
ez les sangsues, de nerfs autres que ceux qui partent directement des
ganglions
. Les fibres des cordons médullaires ventraux co
les faisceaux longitudinaux, des fibres longitudinales , et pour les
ganglions
, des fibres transverses qui croisent les première
r la plus légère traction. Trois paires de nerfs naissent de chaque
ganglion
: deux en sortent directement, la troisième suit
ongitudinaux qu'elle abandonne dans l'espace inter-gan-glionaire. Les
ganglions
placés au thorax , ceux d'où naissent les nerfs d
e lobe est pyramidal, ayant sa base en dedans tournée vers la base du
ganglion
correspondant et la pointe suivant la direction d
rajet des nerfs et tout près de leur origine, il existe une espèce de
ganglion
secondaire que l'on pourrait comparer aux ganglio
iste une espèce de ganglion secondaire que l'on pourrait comparer aux
ganglions
spinaux des vertébrés. J'ai pu isoler une des fib
elle ventrale et se continuant par l'anneau œsophagien jusque dans le
ganglion
céphalique , des fibres transverses faisant commu
s espaces inter-ganglio-naires, mais venant aussi de la substance des
ganglions
. Chez le grillon domestique et chez l'abeille,
et l'autre à gauche ; ces cordons sont réunis par l'intermédiaire des
ganglions
et seu lement à l'endroit où se trouvent les ga
médiaire des ganglions et seu lement à l'endroit où se trouvent les
ganglions
, car partout ailleurs ils sont ou naturellement s
suis moi-même en doute. Vus à l'œil nu ou grossi avec la loupe, les
ganglions
de l'abeille ont une apparence lenticulaire, ains
duite (1); mais examinés au microscope, on les voit formés, comme les
ganglions
de la sangsue, de fibres entrecroisées, les unes
es entrecroisées, les unes transverses, les autres longitudinales. Le
ganglion
céphalique de l'abeille, qui est beaucoup plus co
de l'abeille, qui est beaucoup plus considérable que tous les autres
ganglions
du même animal, n'a pas une forme assez régulière
nsectes, l'un des plus élevés en intelligence et l'un de ceux dont le
ganglion
céphalique est le plus volumineux; mais encore ce
canaliculées, et par la pression on en fait sortir des globules. Les
ganglions
de ces animaux sont opa- (i) Voyez pl, i*\ li
res sont transparens ainsi que les nerfs. On peut voir à l'œil nu les
ganglions
de quelques insectes , on aperçoit aussi, quoique
incts l'un de l'autre, et ordinairement séparés dans l'intervalle des
ganglions
. 3. Le croisement des fibres longitudinales ave
es fibres longitudinales avec les fibres transverses s'opère dans les
ganglions
. h. Les fibres longitudinales d'un côté ne se c
s d'un côté ne se croisent pas avec celles du côté opposé. , 5° Les
ganglions
nerveux des animaux articulés sont formés de subs
sortir par expression. 8° Les fibres nerveuses naissent toutes des
ganglions
. 9° Les nerfs ont pour la plupart une double or
ales des cordons médullaires, l'autre dans les fibres transverses des
ganglions
. 10° H n'y a d'exception à cette règle que pour
ption à cette règle que pour ce qui con -cerne les nerfs provenant du
ganglion
céphalique. La commissure de ce ganglion qui répè
cerne les nerfs provenant du ganglion céphalique. La commissure de ce
ganglion
qui répète les fibres transverses des ganglions a
e. La commissure de ce ganglion qui répète les fibres transverses des
ganglions
abdominaux, ne communique directement avec aucun
les fibres de cette moelle se prolongeant en avant jusqu'à un double
ganglion
que réunit une commissure. Chez l'homme, une colo
ux origines ; cette colonne se divisant pour aller se rendre dans les
ganglions
encéphaliques, lesquels ganglions sont réunis par
isant pour aller se rendre dans les ganglions encéphaliques, lesquels
ganglions
sont réunis par des commissures. Sur quelles part
res. Sur quelles parties portent les principales différences? Sur les
ganglions
encéphaliques, simples et très peu développés dan
e paire. Quant aux nerfs optiques, ils restent, dans les deux cas, au
ganglion
céphalique. Plusieurs anatomistes parmi lesquel
opté, car les insectes ont un cerveau, un prolongement rachidien, des
ganglions
et des nerfs; et les diverses parties paraissent
sur les noms qu'il emploie. Ce n'est pas le cerveau que représente le
ganglion
céphalique des invertébrés, c'est l'encéphale ; l
es de nerfs rachidiennes, un renflement qui constituait une espèce de
ganglion
(2). Comme (1) Recherches anatom. et phys.sur l
s'était moins attaché à la forme et plus à la structure. La forme des
ganglions
est très variable, chez la sangsue ils sont lenti
nte, la matière globuleuse qui forme la substance caractéristique des
ganglions
, au lieu d'être agglomérée, se répand plus ou moi
, l'axe nerveux des invertébrés ne représente donc pas la réunion des
ganglions
spinaux des vertébrés, car chez les vertébrés, la
t (i) Ànat, comp, du cerveau, t. 2, p 120. entre la moelle et les
ganglions
, et non en dehors de ces ganglions. Pour être con
2, p 120. entre la moelle et les ganglions, et non en dehors de ces
ganglions
. Pour être conséquent avec l'interpréta don que v
re des articulés, si celte chaîne représente comme vous le dites, les
ganglions
spinaux des vertébrés, les nerfs terminaux de l'a
nt de contrôle à tout ce que j'ai dit sur ce sujet. RÉSUMÉ. 1. Le
ganglion
céphalique des animaux articulés représente, pour
e. 3. Les cordons formant l'anneau œsophagien, et qui s'étendent du
ganglion
céphalique à la chaîne ganglionaire, représentent
Chez les mollusques inférieurs, les ascidies, par exemple , un seul
ganglion
est chargé de présider à toutes les fonctions de
ns de l'économie; en remontant parmi les animaux de cette classe, les
ganglions
se multiplient, et il leur est départi des foncti
s prévenir que cette coloration n'est pas un caractère distinclif des
ganglions
; car, avec les progrès de l'âge, ils finissent pa
blancs les uns que les autres. En procédant d'avant en arrière, les
ganglions
encéphaliques sont : 1° les ganglions olfactifs;
océdant d'avant en arrière, les ganglions encéphaliques sont : 1° les
ganglions
olfactifs; 2° les ganglions cérébraux; 3° les gan
les ganglions encéphaliques sont : 1° les ganglions olfactifs; 2° les
ganglions
cérébraux; 3° les ganglions optiques; 4° les tube
sont : 1° les ganglions olfactifs; 2° les ganglions cérébraux; 3° les
ganglions
optiques; 4° les tubercules quadriju-meaux; 5° le
s optiques; 4° les tubercules quadriju-meaux; 5° le cervelet ; 6° les
ganglions
du nerf trifacial ; 7° les ganglions des nerfs de
u-meaux; 5° le cervelet ; 6° les ganglions du nerf trifacial ; 7° les
ganglions
des nerfs de la septième et de la huitième paire
l'encéphale, en arrière du croisement des nerfs optiques, deux autres
ganglions
qui sont les ganglions inférieurs. 1° Ganglions
du croisement des nerfs optiques, deux autres ganglions qui sont les
ganglions
inférieurs. 1° Ganglions olfactifs. Presque tou
tiques, deux autres ganglions qui sont les ganglions inférieurs. 1°
Ganglions
olfactifs. Presque toujours distincts des autres,
, parfois même doubles de chaque côté, on les voit aussi se réunir au
ganglion
cérébral. Dans ce dernier cas, il n'existe au dev
connaître puisqu'ils donnent naissance aux nerfs optiques, qu'un seul
ganglion
, comme cela a lieu dans la baudroie, la morue, et
ale-renard, il y a au contraire une séparation bien tranchée entre le
ganglion
olfactif et le ganglion cérébral, ce sont des org
ntraire une séparation bien tranchée entre le ganglion olfactif et le
ganglion
cérébral, ce sont des organes tout-à-fait distinc
rébral, ce sont des organes tout-à-fait distincts l'un de l'autre. Le
ganglion
olfactif se sous-divise lui-môme dans certains po
sous-division, ainsi que le congre ou anguille de mer. La couleur des
ganglions
olfactifs est d'un gris rosé, cependant j'ai vu c
eur des ganglions olfactifs est d'un gris rosé, cependant j'ai vu ces
ganglions
entièrement blancs chez une vieille carpe. Lorsqu
ssent les nerfs, du même nom, en arrière ils sont en contact avec les
ganglions
cérébraux; en bas ils sont implantés sur les prol
antérieurs de la moelle épinière; chez les raies et les squales, ces
ganglions
sont creusés d'une cavité ainsi que les prolongem
t creusés d'une cavité ainsi que les prolongemens qui les unissent au
ganglion
cérébral. 2° Ganglions cérébraux. Placés en arr
insi que les prolongemens qui les unissent au ganglion cérébral. 2°
Ganglions
cérébraux. Placés en arrière des précédens, ils l
ir leur commissure , il suffit d'écarter l'un de l'autre les lobes ou
ganglions
cérébraux, la scissure qui sépare ces lobes est t
etit filet blanc très ténu, qui va se rendre dans le centre de chaque
ganglion
. De même que le ganglion olfactif, les ganglions
u, qui va se rendre dans le centre de chaque ganglion. De même que le
ganglion
olfactif, les ganglions cérébraux sont implantés
s le centre de chaque ganglion. De même que le ganglion olfactif, les
ganglions
cérébraux sont implantés sur le prolongement anté
t implantés sur le prolongement antérieur de la moelle épinière. 3°
Ganglions
optiques. Haller, Vicq-d'Azyr, M. Cams, les ont a
ulins, M.Gottsche, etc. lobes optiques. Chezbeaucoup de poissons, les
ganglions
optiques sont les plus considérables, ils ont tou
on incise ces lobes, on voit qu'ils ne constituent pas réellement un
ganglion
, mais qu'ils sont formés par une lame fibreuse as
olongemens antérieurs de la moelle qui régnent au-dessous de tous les
ganglions
encéphaliques auxquels ils servent de base, laiss
(tori semi-circulares de Haller, bourrelet demi-circulaire de Cuvier,
ganglions
antérieurs internes de Carus), qui est l'analogue
examine l'encéphale de la carpe, on voit en arrière et en dedans des
ganglions
optiques, deux corps oblongs qui ne sont autre ch
du nerf trifacial. Lobus posterior, pons ma-millaris de Iïaller. Ces
ganglions
n'existent pas à beaucoup près chez tous les pois
e, sans qu'il existe à la partie médiane aucune trace de division. Ce
ganglion
a été considéré à tort par quelques anatomistes c
tort par quelques anatomistes comme une dépendance du cervelet. 7°
Ganglions
des nerfs pneumo-gastriques. Lobus vagi, lobus st
es. Lobus vagi, lobus striatus de Iïaller. Tout-à-fait en arrière des
ganglions
précédens et concourant à former les parois du ve
rois du ventricule cérébelleux ou quatrième ventricule, sont d'autres
ganglions
de la partie extérieure desquels naissent les ner
a partie extérieure desquels naissent les nerfs pneumogastriques. Ces
ganglions
n'existent pas constamment, et quand ils existent
ard au rouget. Parfois les nerfs facial et labyrinthique ont aussi un
ganglion
à leur point d'origine, mais plus rarement que le
t d'origine, mais plus rarement que les nerfs pneumo-gastriques. 8°
Ganglions
inférieurs. Les derniers ganglions dont il me res
les nerfs pneumo-gastriques. 8° Ganglions inférieurs. Les derniers
ganglions
dont il me reste à parler sont, chez certains poi
reste à parler sont, chez certains poissons, aussi volumineux que les
ganglions
cérébraux; on les trouve, après avoir enlevé l'en
.,Serres, qui prétend les avoir souvent vus réunis en formant un seul
ganglion
, ce Dans mes recherches sur le système nerveux de
d'accord sur la détermination, ni même sur l'existence de chacun des
ganglions
dont je viens de parler. Le ganglion cérébral a é
e sur l'existence de chacun des ganglions dont je viens de parler. Le
ganglion
cérébral a été confondu avec les ganglions olfact
dont je viens de parler. Le ganglion cérébral a été confondu avec les
ganglions
olfactifs; j'ai dit qu'il s'en distinguait par la
t par la présence d'une commissure dont il est pourvu, tandis que les
ganglions
olfactifs n'en ont jamais. On a nié l'existence d
nsi que Gall et Spurzheim l'ont parfaitement démontré; tandis que les
ganglions
inférieurs de l'encéphale des poissons, sont des
is que les ganglions inférieurs de l'encéphale des poissons, sont des
ganglions
implantés sur les prolongemens de la moelle épini
t corps analogue à la glande pinéale ; et sous l'encéphale, entre les
ganglions
inférieurs, on trouve un corps pituitaire. (i)
proîongemens médullaires qui établissent une communication entre les
ganglions
olfactifs et les ganglions cérébraux, et c'est ce
ui établissent une communication entre les ganglions olfactifs et les
ganglions
cérébraux, et c'est ce qui a fait dire à quelques
ens ne sont pas lesnerfs olfactifs. Ceux-ciontleur origine au-delà du
ganglion
dont ils portent le nom, et vont directement aux
erfs optiques. Ils naissent de la partie inférieure et antérieure des
ganglions
optiques, £ar deux racines dont l'une s'étale sur
eux racines dont l'une s'étale sur la partie interne et supérieure du
ganglion
correspondant, et l'autre sur la partie inférieur
les voit à la base de l'encéphale, en dehors et un peu en arrière des
ganglions
inférieurs; ils sortent des prolongemens de la mo
ment à la moelle de laquelle ils émanent sans l'intermédiaire d'aucun
ganglion
. Lf Paire, nerfs pathétiques. Ces nerfs si grêl
hez tous les poissons; ils ont deux racines distinctes, l'une dans le
ganglion
qui esl situé immédiatement derrière le cervelet,
fs de la cinquième paire, et ont presque toujours, à leur origine, un
ganglion
plus ou moins considérable. Le ganglion, situé à
toujours, à leur origine, un ganglion plus ou moins considérable. Le
ganglion
, situé à la partie supérieure de la moelle, en ar
-L'encéphale des poissons consiste-il seulement dans pettg réunion de
ganglions
que nous trouvons dans leur crâne, ou bien faut-i
de celle du brochet. Je n'ai pas tenté de peser séparément chacun des
ganglions
encéphaliques, parce que la démarcation entre ces
hacun des ganglions encéphaliques, parce que la démarcation entre ces
ganglions
n'est pas assez nette, pour que l'on puisse les e
rties dont il s'agit, on y découvre une différence complète. Dans les
ganglions
des articulés, il existe des fibres longitudinale
inales, des fibres transverses , et une substance granulée propre aux
ganglions
. Dans les renflemens de la moelle de l'anguille,
séparés des autres sortaient du canal et allaient se confondre en un
ganglion
commun. De ces deux nerfs, l'un venait du côté fu
ême classe. (2) RÉSUMÉ. 1. L'encéphale des poissons se compose de
ganglions
distincts, implantés sur les prolongemens antérie
sur les prolongemens antérieurs de la moelle épinière. 2. Outre les
ganglions
, il existe chez les poissons et notamment chez le
•?) .Te réunirai dans un môme article ce que j'ai à dire touchan 1 le
ganglions
spinaux des poissons et ceux des autres animaux v
ent sur la moelle épinière de l'anguille, n'indiquent pas la trace de
ganglions
. 11. Chez quelques poissons, la moelle épinière
la substance médullaire du cerveau humain ; c Que la substance des
ganglions
qui sont dans l'intérieur du même cerveau ; c Q
ouvera sans doute aussi sur d'autres animaux de leur classe. C'est un
ganglion
qui existe dans l'épaisseur de la moelle, à la na
de la moelle, à la naissance des racines spinales; la présence de ce
ganglion
ôteàla moelle épinière de la carpe, la simplicité
croisent à angle droit, pour aller d'un côté à l'autre (V. pl. 1, le
ganglion
de la sangsue). Ne nous laissons pas arrêter par
laissons pas arrêter par cette objection; dans les articulés, chaque
ganglion
constitue un tout, les ganglions sont semblables
objection; dans les articulés, chaque ganglion constitue un tout, les
ganglions
sont semblables entre eux ou au moins très analog
s une prééminence marquée les uns sur les autres excepté toutefois le
ganglion
céphalique ; chez les poissons, au contraire, la
mens de la moelle de l'anguille. M. Carus compare ces ren-flemens aux
ganglions
des invertébrés; mais il n'a pour étayer cette op
é. L'étude de la structure comparée de la moelle de l'anguille et des
ganglions
de la sangsue par exemple, fait parfaitement juge
aitement juger de la différence qu'il y a entre ces parties. Dans les
ganglions
de la sangsue, (i) Op, cit. toujours des fibr
s organes auxquels ils sont destinés, au moment où ils se séparent du
ganglion
dont ils émanent. La matière granulée, dont j'a
ngitudinales, ne peuvent-elles pas provenir de la substance grise des
ganglions
encéphaliques, car ce qu'il faut à l'hypothèse de
e la moelle épinière des poissons, plonge dans la substance grise des
ganglions
encéphaliques. M. Cruveilhier, raison, que la s
ui se trouve dans l'intérieur de la moelle. Ce noyau est un véritable
ganglion
; il a la même structure que les ganglions auxque
. Ce noyau est un véritable ganglion ; il a la même structure que les
ganglions
auxquels Gall et Spurzheim ont donné le nom de ga
ture que les ganglions auxquels Gall et Spurzheim ont donné le nom de
ganglions
de renforcement. Des fibres de la moelle viennent
oelle : ainsi, c'est avec raison que l'on peut appeler ce noyau gris,
ganglion
de renforcement. Sa structure n'est pas fibreuse,
t des racines spinales sont simples et il n'y a pour elles qu'un seul
ganglion
; quelques-unes sont doubles , elles ont deux gang
lles qu'un seul ganglion; quelques-unes sont doubles , elles ont deux
ganglions
. Cette différence dans le mode d'origine des raci
eaucoup plus compliquée que celle de la moelle épinière; les nombreux
ganglions
dont il se compose méritent tous une mention spéc
stérieures, et les corps restiformes vont ensemble se rendre dans les
ganglions
postérieurs de la moelle et dans le cervelet, tan
un peu, puis rencontre une masse de substance granulée, un véritable
ganglion
(le corps strié) où ses fibres échappent complète
es fibres échappent complètement à l'observateur ; mais au-delà de ce
ganglion
, on les retrouve suivant la même direction que le
'interruption apparente à cette communication que dans l'intérieur du
ganglion
; je dis interruption apparente, car les fibres q
environ le double du faisceau qui émane de la moelle, de façon que le
ganglion
placé à la partie inférieure de la lame optique e
ue le ganglion placé à la partie inférieure de la lame optique est un
ganglion
de renforcement comme les ganglions spinaux dont
férieure de la lame optique est un ganglion de renforcement comme les
ganglions
spinaux dont il a été précédemment question. Pour
ritable commissure. De chaque côté, ces fibres se continuent jusqu'au
ganglion
de la lame optique en croisant la direction des f
formée, 1° D'un pédoncule venant de la moelle épinière ; 2° D'un
ganglion
de renforcement; 3° De fibres qui, par leur réu
pédoncule est tout trouvé, c'est le pédoncule cérébral; l'analogue du
ganglion
de renforcement, c'est le corps strié et la couch
s'avance et se divise en autant de faisceaux secondaires qu'il y a de
ganglions
; ainsi un faisceau pour le ganglion inférieur, u
sceaux secondaires qu'il y a de ganglions ; ainsi un faisceau pour le
ganglion
inférieur, un autre pour le ganglion cérébral, un
ions ; ainsi un faisceau pour le ganglion inférieur, un autre pour le
ganglion
cérébral, un troisième pour le ganglion olfactif,
n inférieur, un autre pour le ganglion cérébral, un troisième pour le
ganglion
olfactif, et un quatrième si ce ganglion olfactif
rébral, un troisième pour le ganglion olfactif, et un quatrième si ce
ganglion
olfactif est double. Dans chacun de ces gan gli
ment, pour ces lobes, une véritable commissure; la plupart des autres
ganglions
de l'encéphale des poissons sont pourvus de fibre
yramides postérieures, vont se perdre dans la substance de chacun des
ganglions
. Le croisement que l'on voit dans cet endroit rap
-près la forme d'un X ; l'une de ses extrémités, la supérieure, va du
ganglion
de la lame optique au centre du ganglion inférieu
émités, la supérieure, va du ganglion de la lame optique au centre du
ganglion
inférieur, et ainsi pour la seconde , de telle fa
ur la seconde , de telle façon que cette commissure unit entre eux le
ganglion
inférieur droit avec la lame optique gauche, et r
du microscope, au moins pour ce qui regarde cette double origine. Les
ganglions
inférieurs ont une autre commissure que j'ai déjà
ernière commissure dont j'ai également parlé, unit entre eux les deux
ganglions
cérébraux. Le mode d'origine de ces commissures
ssures en forme de cordon est partout le même : au centre de tous les
ganglions
, ¡I existe un point où se rendent les fibres de c
ssi de même en recherchant l'origine des autres nerfs; ainsi dans les
ganglions
postérieurs du cervelet, j'ai vu entrer des fibre
res longitudinales, l'autre par des fibres transverses (v. pl. 1er le
ganglion
de la sangsue), tandis que des nerfs rachidiens d
n avis. En récapitulant ce qui précède, concernant la structure des
ganglions
encéphaliques , nous trouvons pour chacun de ces
ucture des ganglions encéphaliques , nous trouvons pour chacun de ces
ganglions
un prolongement de la moelle épinière , pour chac
un prolongement de la moelle épinière , pour chacun d'eux excepté les
ganglions
olfactifs, une commissure; pour les ganglions pla
hacun d'eux excepté les ganglions olfactifs, une commissure; pour les
ganglions
placés en arrière du cervelet; pour les lobes opt
'est pourquoi je n'en fais pas mention; je n'aipas vunon plus que les
ganglions
inférieurs fournissent des racines au nerf optiqu
cerebelli ad testes. Une différence importante qui existe entre les
ganglions
encéphaliques, différence indiquée par M. deBlain
contraire pour d'autres. En tête de ces derniers , il faut placer le
ganglion
antérieur au lobe optique et que j'ai appelé gang
faut placer le ganglion antérieur au lobe optique et que j'ai appelé
ganglion
cérébral; ensuite vient le ganglion inférieur, pu
u lobe optique et que j'ai appelé ganglion cérébral; ensuite vient le
ganglion
inférieur, puis le cervelet, et peut-être dans la
racines sur les tubercules quadrijumeaux. La substance blanche des
ganglions
, comme celle de la moelle rachidienne, est fibreu
tomie comparée ou Tableau de l'organisa- qu'elles appartiennent aux
ganglions
, à la moelle épinière ou aux nerfs ; elles ne son
servées de cette manière, il arrive que les fibres de l'intérieur des
ganglions
encéphaliques et les fibres transverses de la par
presque rectilignes ; que les fibres des commissures qui unissent les
ganglions
cérébraux, sont un peu plus grosses que les précé
cervelet, celles qui croisent la moelle au niveau du cervelet et des
ganglions
cérébraux postérieurs, celles qui forment l'admir
rence. 3° Pour les fibres de la commissure diffuse du cervelet, des
ganglions
postérieurs; pour les fibres de la lame optique e
x fibres transverses et à celles qui se trouvent dans l'intérieur des
ganglions
cépha-liques. Je dois, en terminant, faire rema
les fibres des nerfs et les fibres de la moelle, l'intermédiaire d'un
ganglion
. 6. Il n'y a aucun entrecroisement des faisceau
L'extrémité céphalique de la moelle épinière va se terminer dans les
ganglions
cérébraux ; aux ganglions du nerf vague et du ner
la moelle épinière va se terminer dans les ganglions cérébraux ; aux
ganglions
du nerf vague et du nerf trifacial et au cervelet
bercules quadrijumeaux, aux lobes optiques, aux lobes inférieurs, aux
ganglions
cérébraux et aux ganglions olfactifs, vont se ren
lobes optiques, aux lobes inférieurs, aux ganglions cérébraux et aux
ganglions
olfactifs, vont se rendre les faisceaux fulcraux
lame optique, dans le corps calleux et dans le nerf optique. 8. Les
ganglions
sont composés de substance fibreuse et de substan
ibres de la moelle, que naissent les commissures. 10. Pour tous les
ganglions
céphaliques, le ganglion olfactif excepté, il exi
issent les commissures. 10. Pour tous les ganglions céphaliques, le
ganglion
olfactif excepté, il existe des fibres transverse
ibres transverses qui forment leur commissure. 11. A l'exception du
ganglion
cérébral et du cervelet, (i) Histoire naturelle
) Histoire naturelle des poissons, art. Scombbe maquereau. tous les
ganglions
encéphaliques donnent naissance à des nerfs. 12
pour les fibres transverses de la moelle allongée et pour celles des
ganglions
encéphaliques. 14. Les fibres canaliculées cont
lité de faire une appréciation rigoureuse de la forme et du volume du
ganglion
céphalique, chez la plupart de ces animaux, ne m'
us considérable que dans les autres squales et que dans les raies; le
ganglion
céphaliqne est moindre dans la petite roussette o
présente les plus notables différences ; lisse comme tous les autres
ganglions
chez les poissons osseux, sa surface présente dan
ble, tandis que d'autres fois il existe à peine ou se confond avec le
ganglion
cérébral. Il est très petit dans la baudroie, le
ns la morue. Chez le xiphias, il est cinq à six fois plus gros que le
ganglion
olfactif, et il est double de celui du cervelet.
t double de celui du cervelet. Je ne connais aucun poisson qui ait le
ganglion
cérébral, comparé aux autres ganglions encéphaliq
onnais aucun poisson qui ait le ganglion cérébral, comparé aux autres
ganglions
encéphaliques , plus considérable que le xiphias.
qui concerne son encéphale, que le brochet. Chez le brochet, c'est le
ganglion
optique qui l'emporte sur les autres, chez le squ
optique qui l'emporte sur les autres, chez le squale-renard, c'est le
ganglion
cérébral ; le cervelet du squale-renard est énorm
publiée par Arsaky (1), toutefois on y peut distinguer de très petits
ganglions
olfactifs, des ganglions cérébraux très considéra
outefois on y peut distinguer de très petits ganglions olfactifs, des
ganglions
cérébraux très considérables , des tubercules opt
mbreux et considérables, proportion gardée, vont se rendre à un petit
ganglion
; tandis que chez les reptiles, ce sont des nerfs
s, ce sont des nerfs moins considérables, et des centres nerveux, des
ganglions
plus gros. Ainsi, chez les reptiles, prédominance
Dans tous les reptiles, le cerveau l'emporte en volume sur les autres
ganglions
céphaliques ; il est allongé, pyriforme; sa gross
renouille, par exemple, il existe en avant du lobe cérébral, un petit
ganglion
olfactif qui se continue directement avec le prol
us, on voit les faisceaux de la moelle épinière se prolonger sous les
ganglions
cérébraux, sans se confondre, ni passer d'un côté
le de les observer au-delà de leur point d'insertion. Il n'y a pas de
ganglions
à leur origine, comme chez les poissons. Ce sont
ustique. 10e paire. Nerfs vagues ou pneumo-gasfriques. Dépourvus de
ganglions
extérieurs, à leur origine, ainsi que les nerfs d
largie. L'augmentation de volume de la moelle, supplée donc alors aux
ganglions
situés sous le cervelet, ou en arrière de cet org
rgane, chez les poissons. Quelques reptiles conservent des traces des
ganglions
dont il s'agit ; le crocodile est dans ce cas.
. La circonscription des différentes parties de la moelle épinière en
ganglions
distincts, n'est donc pas vraie, et avec le mode
possible. RÉSUMÉ. 1. L'encéphale des reptiles se compose de trois
ganglions
principaux, réunis entre eux par des commissures.
s ganglions principaux, réunis entre eux par des commissures. 2. Le
ganglion
le plus considérable de l'encéphale des reptiles
quelques-uns seulement, ce quatrième ventricule conserve la trace des
ganglions
postérieurs des poissons. 5. La moelle allongée
de la moelle et jamais au dehors. Chez aucun reptile, je n'ai vu de
ganglion
particulier pour les filets d'origine des nerfs r
r, et la tendance à l'unité du second. Dans les poissons, beaucoup de
ganglions
inégaux, en nombre variable, et ganglion cérébral
s les poissons, beaucoup de ganglions inégaux, en nombre variable, et
ganglion
cérébral souvent inférieur, quant à son volume, à
ion cérébral souvent inférieur, quant à son volume, à tous les autres
ganglions
; dans les reptiles, nombre de ganglions plus res
on volume, à tous les autres ganglions ; dans les reptiles, nombre de
ganglions
plus restreint, le même chez tous les animaux de
le même chez tous les animaux de celle classe, grande prédominance du
ganglion
cérébral, infériorité relative des ganglions opti
e, grande prédominance du ganglion cérébral, infériorité relative des
ganglions
optiques et ténuité du cervelet. Ce dernier organ
z le ménopoma (7), le crocodile, le boa (8), où il forme un véritable
ganglion
, mais toujours d'un petit volume et constamment d
OISEAUX. L'étude des vertébrés inférieurs nous a appris qu'avec des
ganglions
encéphaliques très petits correspondaient des fac
des objets matériels. En avançant, nous allons voir se développer le
ganglion
cérébral, et, dans une progression analogue, s'ét
mi* nores, Ups, Ò79Ç, nion de Vicq d'Azyr sur la nature du premier
ganglion
encéphalique est partagée par Cuvier (1), qui reg
corps calleux des mammifères. Il appelle couches optiques les petits
ganglions
placés en avant des lobes optiques ; il indique d
petits ganglions placés en avant des lobes optiques ; il indique des
ganglions
placés à l'origine des nerfs acoustiques, et comp
outé aux autres, la couche optique a un autre usage , c'est d'être un
ganglion
de renforcement pour les pédoncules cérébraux. A
gues l'un de l'autre. Le corps strié est un organe supplémentaire, un
ganglion
de renforcement, pour me servir de l'expression e
s inférieures des vertébrés, l'augmentation considérable de volume du
ganglion
cérébral, les dépressions vasculaires qui se rema
dépressions vasculaires qui se remarquent à la face supérieure de ce
ganglion
chez plusieurs oiseaux, le recouvrement, partiel
c pas. (1) RÉSUMÉ. 1. L'encéphale des oiseaux se compose de trois
ganglions
principaux, le cerveau, le cervelet, les lobes op
lions principaux, le cerveau, le cervelet, les lobes optiques et d'un
ganglion
supplémentaire, la couche optique : des commissur
e la substance grise, mais elle y est disséminée, et n'y forme pas de
ganglion
ou d'amas analogue au corps olivaire. On ne trouv
u'une, celle de la moelle épinière dont les fibres, renforcées par un
ganglion
, vont former une sorte d'anse entre les lobes op
ures du cerveau. Chez les poissons, le cerveau consiste en un petit
ganglion
placé toul-à-fait en avant des autres ganglions c
u consiste en un petit ganglion placé toul-à-fait en avant des autres
ganglions
cérébraux; chez les reptiles, il est creusé d'une
.'...... rectiligne du nerf auditif ....... 0,00783 / /........ du
ganglion
du nerf auditif...... 0,00917 ld......... du ne
sacrées sont rougeâtres, épaissies dans leur partie qui précède le
ganglion
; elles sont réunies par des adherences, au cul
entoure.Cette teinte rougeâtre disparait au contraire, au niveau du
ganglion
. L'examen histologique de la moelle a montré l'
té sur les racines de la queue de cheval avant leur entrée dans les
ganglions
rachidiens. Il ne s'agit pas, dans l'espèce, d'
ANGLIONNAIRES DU TABES 291 trophique, c'est-à-dire de la cellule du
ganglion
rachidien, soit à une lé- sion étroitement loca
ine ? Dans la plupart des recherches qui ont eu pour but l'étude du
ganglion
rachidien, les résultats furent négatifs ; en t
ulaires, il fallut abandonner l'idée d'une affec- tion primitive du
ganglion
, à moins de supposer une lésion purement dynami
es comprimant et les écrasant un peu avant leur pénétration dans le
ganglion
(Nageotte). Une autre théorie a été soutenue pl
ur trajet intra et juxtaganglion- naire, au-dessus et au-dessous du
ganglion
; nous avons été aussi amenés à étudier le gang
t au-dessous du ganglion ; nous avons été aussi amenés à étudier le
ganglion
et à rechercher les altérations cellulaires. Ap
utile de rappeler d'abord, très brièvement, le schéma anatomique du
ganglion
spinal. Interposé sur le trajet des racines posté
lion spinal. Interposé sur le trajet des racines posté- rieures, le
ganglion
constitue une petite masse oblongue, allongée sui
périphériques de ces cellules se réunissent à l'autre extrémité du
ganglion
en faisceaux compacts qui,poursuivant leur 292
s racines postérieures au même titre que celles qui s'éten- dent du
ganglion
à la moelle, on est conduit à diviser au point de
en trois portions : une portion sus- ganglionnaire, de la moelle au
ganglion
, une portion intra-ganglionnaire, une portion s
t la dure-mère. Ce deuxième segment s'étend jusqu'au voisi- nage du
ganglion
. Un peu avant de l'atteindre, le feuillet viscé
ès court (8 à 15 millim.) qui s'étend du cul-de-sac arachnoïdien au
ganglion
, la racine est entourée d'une gaine fibreuse un
ors, la pie-mère en dedans, sorte d'épinèvre qui se poursuit sur le
ganglion
et le bout périphérique (névrilemne). , C'est c
. rieuresur des coupes transversales de plus en plus rapprochées du
ganglion
, non seulement on voit, dans chacune de ses por
t se dissocient et s'écartent au moment de leur pénétration dans le
ganglion
pour se dis- tribuer en divers points du parenc
ibles dans le groupement des fibres. Après leur pénétration dans le
ganglion
, les fibres de la racine posté- rieure restent
isceaux avant de se disséminer. Il y a la, à l'extrémité interne du
ganglion
, une zone étroite plutôt radiculaire que cellul
un volumineux faisceau qui émerge du pôle périphérique et quitte le
ganglion
pour se réunir bientôt aux fibres de la racine
hniques. 10 Orientation des coupes. On peut étudier à la fois et le
ganglion
et les portions attenantes des racines au moyen
ir, au préalable, bien orienté la pièce. Le mieux est de séparer le
ganglion
avec les racines attenantes et de le sec- tionn
ment ces altérations dans les différents segments des racines et du
ganglion
. C'est pourquoi Nageotle conseille d'y avoir ex
e de nos pièces, avons-nous adopté cette technique. On sectionne le
ganglion
en deux parties, perpendiculairement à son gran
uisse pratiquer des coupes transversales sériées de la racine et du
ganglion
. 2° Méthodes de fixation et de coloration. - Le
ou encore par l'emploi de l'acide osmique. Aussi la plupart de nos
ganglions
après durcis- sement prolongé dans le liquide d
nt préci- sément eu pour objet l'examen par la méthode de Nissl des
ganglions
spi- naux dans le tabes. Nous aurons à discuter
. Morte de cachexie le 27 novembre 1899. ' Examen anatomique. Douze
ganglions
ont été examinés : quatre ganglions dorsaux,-se
899. ' Examen anatomique. Douze ganglions ont été examinés : quatre
ganglions
dorsaux,-sept ganglions lombaires essacrés, un
. Douze ganglions ont été examinés : quatre ganglions dorsaux,-sept
ganglions
lombaires essacrés, un ganglion cervical. Ces gan
s : quatre ganglions dorsaux,-sept ganglions lombaires essacrés, un
ganglion
cervical. Ces ganglions ont été coupés suivant
dorsaux,-sept ganglions lombaires essacrés, un ganglion cervical. Ces
ganglions
ont été coupés suivant leur grand diamètre, c'e
de Weigert, le picrocarmin, l'éosine et l'hématoxyline. Le premier
ganglion
dorsal et le sixième cervical ont été débités e
postérieures, depuis leur entrée dans le sac durai jusqu'au delà du
ganglion
. Dans tous ces examens, l'atrophie de la racine
re depuis son trajet dans le cul-de-sac arachnoïdien jusque dans le
ganglion
. Trajet sus-ganglionnaire. Dans plusieurs cas l
usieurs cas les racines postérieures se rendent directement dans le
ganglion
, sans être deviées dans leur trajet par des tra
voit pas de gros exsudat ou de lésions inflammatoires. Au-dessus du
ganglion
quel- ques fascicules radiculaires se renflent
de pénétrer dans l'in- térieur de l'organe. Dans la traversée du
ganglion
, les racines se comportent différemment au pôle
ueur depuis le cul-de-sac arachnoïdien jusque dans l'inté- rieur du
ganglion
; plusieurs sont plus atrophiées au niveau de leu
lusieurs sont plus atrophiées au niveau de leur pénétration dans le
ganglion
, tandis que dans leur trajet intra-arachnoïdien,
s, et plus particulièrement au niveau de leur pénétra- tion dans le
ganglion
ou même un peu au-dessus, les fibres nerveuses so
sciculaires dans l'espace qui s'étend entre le cul-de sac arach- Ce
ganglion
présente dans son tiers interne une volumineuse c
ant un champ considérable (ch). Fig. 2. - MOLLLN ... (Observ. I). -
Ganglion
lombaire coupé longitudinalement. Coloration pa
Zeiss. Obj. 0. var. Oc. 1. 300 THOMAS ET IIAUSEII noidien et le
ganglion
; on n'y trouve que du tissu fibreux adulte plus
- 4 Racine dorsale. Coupe transversale, immédiatement au-dessus du
ganglion
. Colorât. Ilématéine-éosine. Zeiss. Obj. a3, Oc
des trousseaux fibreux ; il n'existe en tout cas qu'au voisinage du
ganglion
et ne remonte pas sur le trajet sus-ganglionnai
ubi la transformation hyaline.' Deux fois, il existait au-dessus du
ganglion
, une cavité à paroi fibreuse ex- trêmement épai
t ni exsudât, ni amas nucléaires, ni pigment sanguin. Dans un autre
ganglion
il existait une cavité remplie de sang occupant
embryonnaires, mais ils sont plutôt rares. Le tissu interstitiel du
ganglion
n'est pas augmenté. Les vais- seaux y sont mala
ophiée, hyaline, les noyaux plus nombreux ; sur quelques-uns de ces
ganglions
, les vaisseaux paraissent plus nombreux et sont
de sang. Les racines antérieures sont saines. L'examen du premier
ganglion
dorsal coupé perpendiculairement et en série, e
ls augmentent considérablement de volume au voisinage immé- diat du
ganglion
(fig. 3) ; au reste, dans toute cette région qui
j. D. Oc. 2.) Un fascicule de la racine postérieure au voisinage du
ganglion
. Le périnèvre, très épaissi, contient un grand
quelques capsules péricellulaires sont très hypertrophiées. Dans le
ganglion
les vaisseaux ne sont pas malades. La racine an
s en novembre 1899 Examen anatomique. Nous avons examiné environ 18
ganglions
, dont 8 pour la région dorsale, 6 pour la régio
le, 6 pour la région cervicale, 4 pour la région lombaire. Tous les
ganglions
de la région dorsale ont été colorés en masse au
de Muller. L'inclusion a été faite à la paraffine et la plupart des
ganglions
ont été débités en coupes sé- riées, perpendicu
même coupe l'entrée et la sortie de la racine postérieure. Pour les
ganglions
de la région cervicale, la coloration en masse au
égnation pendant 10 jours dans le liquide de Marchi. Enfin les deux
ganglions
lombaires ont été colorés directement sur lame pa
le bout sus-ganglion- naire et se poursuit jusqu'au pôle central du
ganglion
. Elle paraît même plus accentuée, pour les 10e
postérieures, au voisinage immédiat, qu'à une certaine distance du
ganglion
. Avant d'aborder le ganglion, les racines posté
édiat, qu'à une certaine distance du ganglion. Avant d'aborder le
ganglion
, les racines postérieures se divisent en un cer-
ines. L'altération radiculaire se poursuit dans l'intérieur même du
ganglion
sur les fascicules qui après leur pénétration s
eures existe à un degré analogue. On voit également au voisinage du
ganglion
ces racines se dissocier en fascicules bien iso
e leurs tuniques). L'atrophie peut aussi être suivie jusque dans le
ganglion
au point où les fibres se disséminent. Les ra
actes. Région dorsale supérieure. - Les coupes longitudinales du 2e
ganglion
dorsal permettent de voir les racines postérieu
ne laissent pas apercevoir de cylindraxes. Dans le bout central du
ganglion
on rencontre également des fibres altérées; par
ntre également des fibres altérées; par contre la majeure partie du
ganglion
, et les racines posté- rieures à leur sortie so
t leur trajet. L'atrophie des racines postérieures jusque dans le
ganglion
ressort encore de l'examen des autres ganglions
eures jusque dans le ganglion ressort encore de l'examen des autres
ganglions
de la région. Les méninges sont généralement un
A ce point de vue la 3° racine dorsale est normale au voisinage du
ganglion
. Ce n'est qu'un peu au-dessus qu'apparaît l'épa
le des racines postérieures. La méthode de Marchi employée pour ces
ganglions
ne permet de déceler aucun corps granuleux. D
t dorsale, l'atrophie des racines postérieures se poursuit jusqu'au
ganglion
, et dans l'intérieur même du gan- glion, mais a
s caractères normaux, ainsi qu'en témoigne notamment l'examen du 2*
ganglion
dorsal. Le degré d'atrophie des fibres radicu
cialement envisagée. 11 reste sensiblement égal, ou diminue vers le
ganglion
; toutefois à l'inverse de ce qui semble la règ
-11 racines dorsales sont plus atteintes au voi- sinage immédiat du
ganglion
qu'à distance. II. - ETUDE histologique DES lés
oint de vue le résultat est invariable à proximité et à distance du
ganglion
. Les vaisseaux contenus dans les racines postér
neau fibreux épais ; il n'y a pas d'épaississement de la capsule du
ganglion
ni du tissu conjonctif interstitiel. Enfin on p
dans leur portion sus-ganglionnaire .et même dans le parenchyme du
ganglion
voisin de leur point de pénétration. Au contraire
e position, etc. Examen anatomique. - Cet examen a porté sur quatre
ganglions
dorsaux, deux ganglions lombaires, trois gangli
anatomique. - Cet examen a porté sur quatre ganglions dorsaux, deux
ganglions
lombaires, trois ganglions sacrés, deux ganglions
porté sur quatre ganglions dorsaux, deux ganglions lombaires, trois
ganglions
sacrés, deux ganglions cervicaux. Les coupes lo
ons dorsaux, deux ganglions lombaires, trois ganglions sacrés, deux
ganglions
cervicaux. Les coupes longitudinales, ont été c
'éosine et l'hématéine. Les lésions que nous avons trouvées sur les
ganglions
dorsaux, lombaires et sacrés sont très comparab
acine postérieure est atrophiée sur tout son trajet, jusque dans le
ganglion
(fig. 5). Dans sa portion sus-ganglionnaire, la r
fascicules d'autant plus nombreux qu'elle se rapproche davantage du
ganglion
(au niveau du nerf radiculaire). La dure-mère e
sci- cules radiculaires, depuis l'arachnoïde jusqu'à l'intérieur du
ganglion
et cela sans qu'ils soient déviés ou interrompu
ans leur trajet par des tractus con- jonctifs. Dans la traversée du
ganglion
, les racines postérieures se comportent très di
Dans le bout central aes racines postérieures et le poie centrai uu
ganglion
les uuic.) ont presque entièrement disparu. Ell
resque entièrement disparu. Elles reparaissent à l'autre extrémité du
ganglion
et dans le bout périphérique de la racine (rp b
cine antérieure normale. I'ig. 5. - BLI&\(.. (Observ. 111). - 3
ganglion
sacré coupé longitudinalement. Colorât, par la
t d'autant plus qu'on l'exa- mine dans des plans plus rapprochés du
ganglion
. Le tissu conjonctif s'y pré- sente sous l'aspe
r la méthode de Pal et le picro-carmin. (Zeiss. Obj. a'. Oc. 2.) 5e
ganglion
lombaire au voisinage de la pénétration des racin
sons qui en dépendent, et ils conservent cette disposition jusqu'au
ganglion
, au voisinage duquel ils sont dissociés par de
u-dessous du cul-de,-sac arachnoïdien, sur d'autres au voisinage du
ganglion
; dans ce cas les fascicules radiculaires restent
térieure qui peut être poursuivie jusque dans le pôle médullaire,le
ganglion
rachidien ne présente pas d'altérations importan-
gaine dure-mérienne et s'atté- nuent au moment où elles côtoient le
ganglion
. Les fibres nerveuses ne sont nullement dégénér
devenue gâteuse. Mort subite en mai 1901. Examen anatomique. - Huit
ganglions
ont été examinés après coloration par (1) Nous
Pal, l'éosine et l'hématoxyline, le picro-car- miu, etc.. Premier
ganglion
lombaire gauche, coupé longitudinalement. Dans
- il n'existe pas de différence appréciable entre les deux pôles du
ganglion
. Les méninges sont légèrement épaissies. Dans
eu plus nombreux par places sur la racine postérieure, au-dessus du
ganglion
. Le ganglion ne présente rien de particulier à
x par places sur la racine postérieure, au-dessus du ganglion. Le
ganglion
ne présente rien de particulier à signaler : les
x ne sont pas très altérés. Racine antérieure normale. - Deuxième
ganglion
lombaire gauche (coupé longitudinalement). Dans
inalement). Dans la portion sus-ganglionnaire et le pôle central du
ganglion
la racine pos- térieure est légèrement atrophié
pes, celles-ci paraissent même moins nombreuses il l'entrée dans le
ganglion
, que dans des plans plus rapprochés de la moelle,
raissent plus nombreux et plus tassés. Dans le pôle périphérique du
ganglion
et la portion sous-ganglionnaire, la ra- cine p
eux, proliférés, leur paroi est épaissie, volumineuse, hya- line.
Ganglion
normal. Autour de la racine antérieure, il exis
postérieure, mais elles sont moins intenses et cessent au niveau du
ganglion
. - Quatrième ganglion lombaire gauche (coupé lo
sont moins intenses et cessent au niveau du ganglion. - Quatrième
ganglion
lombaire gauche (coupé longitudinalement). La r
ophiée dans sa portion sus-ganglionnaire et dans le pôle central du
ganglion
, normale dans le pôle périphérique du gan- LÉSI
chyme ganglionnaire et la racine antérieure sont normaux. Cinquième
ganglion
lombaire gauche (coupé transversalement). L'atr
e postérieure peut être suivie sur toutes les coupes jusque dans le
ganglion
, tandis que dans le pôle périphérique du ganglion
es jusque dans le ganglion, tandis que dans le pôle périphérique du
ganglion
et la portion sous-ganglionnaire, la racine pos
e contient des amas nucléaires et des vaisseaux malades. Dans les
ganglions
, il existe quelques amas nucléaires et quelques c
épaissies, mais la plupart des cellules sont normales. - Troisième
ganglion
lombaire droit (coupé longitudinalement). (Fig, 6
ans toute sa portion sus-ganglion- naire et dans le pôle central du
ganglion
, mais dans le pôle périphérique et au- dessous
ntral du ganglion, mais dans le pôle périphérique et au- dessous du
ganglion
elle est normale. L'atropliie de la racine post
on de Nageotte, les altérations de périnévrite font défaut. Dans le
ganglion
, plusieurs cellules paraissent petites, atrophiée
st nullement dégénérée. Ces lésions ne descendent pas au-dessous du
ganglion
. Les racines postérieures sont remarquables par
tions nucléaires sur leur trajet. Fig. 6.- PALL... (Observ.IV).- 3°
ganglion
lombaire droit coupé longitudinalement. Colorat
on par la méthode de ,Veigert-Pal. (Zeiss. Obj. a'. Oc. i.) A. - 4e
ganglion
lombaire droit. Coupe des racines antérieure et p
érieure et postérieure immédiatement avant leur pénétration dans le
ganglion
, ' La racine postérieure est subdivisée en un g
gure, sont saines. 13. - Mêmes racines à leur sortie, au-dessous du
ganglion
. Tout à fait normales, aussi bien les racines p
eur LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 315 Quatrième
ganglion
lombaire droit (coupé perpendiculairement) (PI.XL
ophiée dans toute sa portion sus-ganglionnaire. Un peu au-dessus du
ganglion
elle est dissociée en de nombreux fascicules par
également très riche en faisceaux fibreux. Dans le pôle central du
ganglion
la racine postérieure est également atrophiée,
ule.Par conséquent il existe des altérations de péri- névrite. Le
ganglion
est normal. Sur la racine antérieure, il existe
des altérations très nettes de périnévrite, au-dessus du niveau du
ganglion
rachidien, malgré cela les fibres nerveuses ne
cela les fibres nerveuses ne sont nullement dégénérées. Septième
ganglion
cervical droit (coupes longitudinales). Atrophi
oblitérés et ont subi la transformation calcaire. Le parenchyme du
ganglion
est normal. Sur le trajet de la racine antérieu
mais malgré cela les fibres ne sont nullement dégénérées. - Sixieme
ganglion
cervical droit : normal. Obseuvation V. Four.
atières fécales. Signe d'Argyll-Robertson. Examen ANATOMIQUE. - Les
ganglions
sacrés ont été coupés : cinq longitu- dinalemen
gert, par l'hématoxyline et l'éosine, par le carmin. Sur tous ces
ganglions
la racine postérieure est atrophiée dans toute sa
sa lon- gueur depuis la portion intra-arachnoïdienne jusque dans le
ganglion
. Ganglions coupés longitudinalement. Dans la po
eur depuis la portion intra-arachnoïdienne jusque dans le ganglion.
Ganglions
coupés longitudinalement. Dans la portion sus-gan
e de l'épinèvre et de la racine pos- térieure. Le pôle central du
ganglion
contient peu de fibres à myéline ; il est, en eff
e et peut être considéré comme sain. Dans le pôle périphérique du
ganglion
et la portion sous-ganglionnaire, les racines p
es récents ; les vaisseaux sont pour la plupart malades, sclérosés.
Ganglions
. - Un certain nombre de capsules ganglionnaires s
ensiblement atrophiées. Les racines antérieures sont normales. Un
ganglion
et ses racines ont été coupés transversalement et
breux autour de chaque fascicule. Cette disposition persiste jusqu'au
ganglion
, Epaississement de l'enveloppe conjonctive de l
paisse, ils sont entourés de noyaux plus ou moins nombreux. Dans le
ganglion
, les cellules nerveuses ne présentent pas d'altér
n fibres, les vaisseaux n'y sont pas très malades. A la sortie du
ganglion
, les fibres sont parsemées de noyaux appartenant
i séparent les fascicules des racines postérieures à leur sortie du
ganglion
sont épaisses, les noyaux y sont abon- dants ;
de l'intelligence. Troubles de la parole. Examen anatomique. - Les
ganglions
examinés sont les 2° sacré droit ; 1er, 3 ? 4°
par la méthode de Pal, le picro-carmin, l'hématoxyline-éosine. 2°
ganglion
sacré (Coupes transversales sériées des racines p
sacré (Coupes transversales sériées des racines postérieures et du
ganglion
). Les fibres radiculaires sont à peine altérées
au-dessus LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 319 du
ganglion
un peu plus fines et plus dissociées qu'à l'état
es, les écarte et les dissocie (Fig. 8). A mesure qu'on approche du
ganglion
on voit la réaction inflammatoire interstitiell
hyaline de leurs tuniques. A leur émergence du pôle périphérique du
ganglion
, les racines postérieures sont compactes et hom
eur nombre ne semblent nullement diminués. Région lombaire. - Les 3
ganglions
ont été coupés longitudinalement. Les racines p
les coupes longitudinales des 1 ? 3°, o°, 1 le et 12" dorsales, le
ganglion
et les racines postérieures ne présentent aucune
, sauf peut-être un peu d'épaississement de leurs capsules. Le 81
ganglion
dorsal nous a permis d'observer des altérations d
ueur.Sur les coupes trans- versales des racines un peu au-dessus du
ganglion
, on voit à la place des fibres nerveuses, une m
ar, Oc. 1.) A. - 8e racine dorsale. Coupe transversale au-dessus du
ganglion
(portion iuit"o-arac¡'lIoidiC111U). Il n'y a pa
cines postérieures (r). B. - Mêmes racines sectionnées plus près du
ganglion
. Les fibres des racines postérieures (rp) sont
les mêmes caractères sur le trajet des racines postérieures du 10r
ganglion
dorsal. Sur ce ganglion coupé longitudinalement o
r le trajet des racines postérieures du 10r ganglion dorsal. Sur ce
ganglion
coupé longitudinalement on peut voir qu'il exis
dégénérescence. Région cervicale. - Représentée seulement par le 6°
ganglion
cervical droit. Les fibres radiculaires sont no
oires. Mort en 1001. Examen anatomique. Cet examen a porté sur cinq
ganglions
dorsaux coupés perpendiculairement à l'axe et e
xiste dans toute la portion sus-ganglionnaire et le pôle central du
ganglion
, elle disparaît dans le pôle périphérique du ga
le central du ganglion, elle disparaît dans le pôle périphérique du
ganglion
et la portion sous-ganglionnaire. Dans sa porti
ent sur eux-mêmes. 322 THOMAS ET HAUSER Dans le pôle central du
ganglion
, l'atrophie des racines postérieures se voit en
es racines postérieures se voit encore nettement, mais sur quelques
ganglions
elle est moins accentuée que dans la portion su
s-ci sont plus nombreuses dans trois cas à la pé- nétration dans le
ganglion
. Dans chaque fascicule, les fibres sont groupées
reux, comme s'il y avait eu une néo- formation. ' ' Dans quelques
ganglions
les cellules et les capsules péricellulaires so
ules et les capsules péricellulaires sont normales, dans d'autres
ganglions
les capsules sont extrème- ment épaissies, les
ascicules envahis par le tissu libreux ; (l'autre part tout près au
ganglion
, quelques lascicuies sont 1"Ig. 9. - UELAVACQ..
ombe à une congestion pulmonaire, en 1899. Examen ANATOMIQUE.- Un
ganglion
lombaire coupé en série et à la paraffine, aprè
on dans le sac durai, les der- nières par les racines au-dessous du
ganglion
, avant leur réunion et la consti- tution du ner
t atrophiée dans la portion sus-ganglionnaire et le pôle central du
ganglion
, normale au contraire dans le pôle périphérique e
nnaire, l'atrophie diminue à mesure que la ra- cine se rapproche du
ganglion
. Un peu au-dessus de sa pénétration dans le gan
e rapproche du ganglion. Un peu au-dessus de sa pénétration dans le
ganglion
, la racine postérieure est dissociée en plusieurs
es-ci sont moins atrophiées et plus nombreuses en remontant vers le
ganglion
. Une quantité assez notable de gaines de Schwan
i- blit assez rapidement et succombe. Examen anatomique. - Quatre
ganglions
, avec les racines correspon- dantes, ont été ex
glions, avec les racines correspon- dantes, ont été examinés : deux
ganglions
dorsaux et deux ganglions lombaires. Coloration
orrespon- dantes, ont été examinés : deux ganglions dorsaux et deux
ganglions
lombaires. Coloration par la méthode de Weigert
s, et perpendiculaires à l'axe après inclusion à la celloïdine ; un
ganglion
est cou- pé longitudinalement. Dans tous ces ca
ine dorsale, l'atrophie di- minue et disparaît en remontant vers le
ganglion
: sur la 2° région lombaire, au contraire, l'at
au contraire, l'atrophie est plus nette immédiatement au-dessus du
ganglion
(au niveau du nerf radiculaire de Nageotte),ce
creusée par une cavité contenant un exsudat amorphe au voisinage du
ganglion
; les fibres ner- veuses y sont plus grêles ; e
Les vaisseaux ne présentent pas d'altérations manifestes. Dans le
ganglion
les cellules paraissent plutôt un peu petites, et
nglion les cellules paraissent plutôt un peu petites, et dans le 2e
ganglion
lombaire quelques capsules sont épaissies et leur
après 14 ans de maladie. Examen anatomique. L'examen a porté sur 5
ganglions
lombaires, droits ou gauches fixés au sublimé o
icrique et colorés ensuite par le picro-carmin en masse. Selon le
ganglion
examiné les lésions radiculaires se montrent fort
mbaire gauche, elle est au contraire très prononcée au voisinage du
ganglion
sur les 31, li", 50 racines lom- baires. 30 L
om- baires. 30 Lombaire gauche. - Les coupes longitudinales du 3e
ganglion
lombaire gauche et ses racines antérieures et p
la racine postérieure qui reste presque indivise avant d'aborder le
ganglion
. Les fibres radiculaires qui émergent du pôle g
ures est très nette jusqu'au gan- glion. A une petite distance du
ganglion
, l'inflammation des méninges est d'une intensit
exercer sur les fascicules une certaine compression. Plus près du
ganglion
cette zone inflammatoire disparaît, et l'on ne tr
lus nettement à mesure qu'on examine des coupes plus rapprochées du
ganglion
; car les fascicules se dissocient, s'élargisse
ccroît encore lorsqu'on arrive aux coupes immédiatement voisines du
ganglion
. Non seulement l'épinèvre forme à la racine une
Mort en 1902. Examen ANATOMIQUE.- Ont été colorés et examinés les 3
ganglions
suivants : 2e et 3e Lombaires (ganglion bilobé)
colorés et examinés les 3 ganglions suivants : 2e et 3e Lombaires (
ganglion
bilobé) ; 1,10 dorsal. LÉSIONS RADICULAIRES ET
t dans une atrophie très considérable qui peut être suivie jusqu'au
ganglion
et en des lésions des méninges et des vaisseaux
un faisceau aussi dense, aussi compact qu'à l'état normal. Dans le
ganglion
même, la région du pôle central est pauvre en f
s différentes enveloppes des racines jusqu'à la pénétration dans le
ganglion
. La dure-mère est épaissie jusqu'au ganglion. I
la pénétration dans le ganglion. La dure-mère est épaissie jusqu'au
ganglion
. Il est assez remarquable de voir cette pachyméni
à peu près au niveau où les racines postérieures pénètrent dans le
ganglion
. Cette particula- rité semble d'ailleurs se rep
la méningite de la dure- mère ne se poursuit, ni sur la capsule du
ganglion
, ni sur les racines antérieu- res qui lui sont
ibres saines soient un peu plus nombreuses au voisinage immédiat du
ganglion
qu'un peu plus haut vers la moelle ; mais il en
u contraire plus atteinte dans sa portion immédiatement contiguë au
ganglion
. Aussi, des légères variations régionales observé
aquelle l'atrophie augmenterait ou diminuerait de la moelle vers le
ganglion
. Au reste presque toujours, au point de pénétra
anglion. Au reste presque toujours, au point de pénétration dans le
ganglion
l'atrophie se montre avec netteté, et l'on peut
les alté- rations radiculaires ne puissent en aucun cas franchir le
ganglion
? Cela n'est pas démontré, mais dans aucun cas
es, il est donc nettement établi que leur atrophie s'étend jusqu'au
ganglion
rachidien et- même dans le parenchyme ganglionn
- sac arachnoïdien, mais bien le segment terminal, compris entre le
ganglion
et le cul-de-sac séreux, le nerf radiculaire. A
t sur ces mêmes cas, à partir du point où les racines s'accolent au
ganglion
. Quant au processus intersti- tiel, il est à pe
ine fréquence soit au niveau des racines postérieures, soit dans le
ganglion
. Nous avons vu, par les obs. I, IV et VI que des
parenchyme ganglionnaire. Nos constatations sur les altérations du
ganglion
seront brièvement résumées. Nous n'avons guère
ntré de lésions du stroma qui mérite d'être signalée. La capsule du
ganglion
n'est pas épaissie, non plus que les cloisons con
st l'effet d'une fixation dé- fectueuse, et peut s'observer sur des
ganglions
normaux. La surcharge ou le défaut de pigment s
le tabès les racines postérieures soient atrophiées jusque dans le
ganglion
, et c'est une particularité qui a été LÉSIONS R
o- phie radiculaire pouvait être suivie jusque dans l'intérieur des
ganglions
, et les coupes longitudinales démontrent très n
ue que l'atrophie des racines pos- térieures remonte jusque dans le
ganglion
; sur quelques racines coupées en série dans de
ssurer déjà que l'atrophie radiculaire diminue en se rapprochant du
ganglion
et ce fait tendrait à prouver que la fibre est
gagne progressivement le bout central. Cependant, sur plusieurs des
ganglions
et des racines que nous avons examinés, les fib
avons examinés, les fibres étaient plus grêles au voisinage même du
ganglion
que quelques millimètres plus haut, ce qui laisse
existe pas du côté du centre trophique commun, c'est-à-dire dans le
ganglion
rachidien, quelque lésion qui puisse être la ca
z difficile de saisir le début de l'atrophie cellulaire, car sur un
ganglion
normal les dimensions des cellules sont déjà très
aurait plus y avoir d'hésitation, surtout si l'on compare plusieurs
ganglions
enlre eux.Ces lésions d'ailleurs ne sont pas co
re sont plus atrophiées dans le trajet sus-ganglionnaire et dans le
ganglion
lui-même. - D'autre part, des recherches ont ét
ur accorde pas une grande impor- tance : en effet, les cellules des
ganglions
spinaux subiraient très vite des altérations à
ées d'atrophie. Nos connaissances plus récentes sur la structure du
ganglion
rachidien laissent entrevoir qu'il s'agit d'un
le prolongement se bifurque un grand nombre de fois sans quitter le
ganglion
et se termine autour des cellules par des arbor
ifier les anciennes doc-1, trines sur la constitution anatomique du
ganglion
rachidien. Si, toutes les cellules ganglionnair
mholtz : ils ont examiné avec de très grands soins le 31° et le 32°
ganglions
du lapin : dans le premier, aux 3173 fibres de
son prolongement protoplasmique dirigée de la périphérie cutanée au
ganglion
et son axone, la fibre radiculaire. Que la cellul
ments.Quoi qu'il en soit,ces expériences montrent que la cellule du
ganglion
spinal se comporte différemment suivant que la se
lle qui invoque un trouble dynamique ou fonctionnel des cellules du
ganglion
spinal puise dans les considérations précédente
la cellule nerveuse. Pour d'autres auteurs, ce n'est pas dans le
ganglion
rachidien, mais sur le trajet même de la racine
chidien, mais sur le trajet même de la racine postérieure depuis le
ganglion
jusqu'à la moelle qu'il faut chercher la cause
nt dans son trajet médullaire, mais dans toute son étendue jusqu'au
ganglion
rachidien, à moins d'admettre qu'en deçà de la
résultats de l'obs. II ; les racines sont ma- lades jusque dans le
ganglion
et pourtant les lésions de périnévrite et d'end
i restent libres de toute lésion de périnévrite jusqu'à l'entrée du
ganglion
alors que d'autres sont entourés de véritables
les au- tres sont dégénérées, atrophiées jusque dans l'intérieur du
ganglion
, sans qu'il y ait de différence à ce point de v
e point de vue entre ceux-ci et ceux-là. Prenons pour exemple le 8"
ganglion
dorsal de notre obs. VI; nous avons constaté su
et les racines postérieures sont dégénérées parfois jusque dans le
ganglion
alors que les lésions de périnévrite sont en plei
ractère particulier de ne pas dépasser le niveau du pôle central du
ganglion
; quelquefois cependant les tubes nerveux sont p
ait envisager l'atrophie des fibres radiculaires à l'inté- rieur du
ganglion
comme une atrophie rétrograde, et l'on ne conçoit
ssus du nerf radiculaire peut être suivie et rester la môme dans le
ganglion
(obs. II). Enfin, on peut lui faire encore le g
n de structure constante des racines postérieures, car sur quelques
ganglions
normaux elle fait complètement défaut ; et d'autr
ièce constituée par le bulbe, le cervelet, la protu- bérance et les
ganglions
de la base. Une fois durcie, cette pièce a été dé
ses dans l'intestin grêle et le colon ; tubercules caséifiés dans les
ganglions
mésentériques. Testicules très diminués de vo
c'est seulement un anneau formé de fibres tendineuses. i serait le
ganglion
. i le cordon de communication entre chaque gang
. i serait le ganglion. i le cordon de communication entre chaque
ganglion
. 3 le nerf émanant du ganglion. Colimaçon. Le
cordon de communication entre chaque ganglion. 3 le nerf émanant du
ganglion
. Colimaçon. Le système nerveux de cet animal se
onaire entourant l'œsophage et de nerfs qui partent exclusivement des
ganglions
. \. Ganglion céphalique double , réuni par une
l'œsophage et de nerfs qui partent exclusivement des ganglions. \.
Ganglion
céphalique double , réuni par une commissure médi
phage. i. Double cordon de communication entourant l'œsophage. 3.
Ganglion
viscéral;derrière lui, et par conséquent invisibl
errière lui, et par conséquent invisible sur la planche, se trouve le
ganglion
pédieux. Ces deux derniers ganglions sont placés
ible sur la planche, se trouve le ganglion pédieux. Ces deux derniers
ganglions
sont placés au-dessous de l'œsophage. Les nerfs
anglions sont placés au-dessous de l'œsophage. Les nerfs partant du
ganglion
céphalique vont à l'orifice oral, aux tentacules,
génération, un nerf que l'on ne retrouve pas à gauche. Les nerfs du
ganglion
viscéral vont, pour la plupart , aux organes de l
nes de la nutrition; les cinq petits filets que l'on voit derrière le
ganglion
viscéral et qui se dirigent à gauche, vont au pie
s plus gros et les seuls visibles à l'œil nu, de ceux qui naissent du
ganglion
pédieux. Nautile (d'après M. Richard Owen). Ann
açon et présentant les trois renflemens ganglionaires i, 3 et 4- i.
Ganglion
céphalique. i. Ganglion du nerf optique, placé
is renflemens ganglionaires i, 3 et 4- i. Ganglion céphalique. i.
Ganglion
du nerf optique, placé en dehors de l'anneau. (
ées, d'autres sont grossies par la loupe , ou par le microscope. 3.
Ganglion
sub-œsophagien antérieur. l\. Ganglion sub-œsopha
e , ou par le microscope. 3. Ganglion sub-œsophagien antérieur. l\.
Ganglion
sub-œsophagien postérieur. 5. Nerfs des tentacu
s tentacules labiales externes. 7. Nerfs de communication entre les
ganglions
la- biaux (8) et les ganglions sub-œsophagiens
7. Nerfs de communication entre les ganglions la- biaux (8) et les
ganglions
sub-œsophagiens antérieurs ( 3 ). 8. Ganglion l
- biaux (8) et les ganglions sub-œsophagiens antérieurs ( 3 ). 8.
Ganglion
labial interne. 9. Nerfs des tentacules labiale
scles de la coquille. Nerf viscéral. 15. Nerfs des branchies. 16.
Ganglions
et branches nerveuses viscérales. 17. Nerfs qui
ent sur les parois de la veine cave. Poulpe (d'après Cuvier). Les
ganglions
de l'anneau œsophagien sont beaucoup plus considé
rables que chez les deux mollusques précé-dens. Cuvier divise même le
ganglion
céphalique en cerveau et en cervelet, mais cette
ffisamment motivée ( V. t. 1, p. 35). i. Cerveau. 1. Cervelet. 3.
Ganglion
en patte d'oie. 4. Collier œsophagien. 5. Gan
Cervelet. 3. Ganglion en patte d'oie. 4. Collier œsophagien. 5.
Ganglion
optique, situé dans l'orbite. 6. Nerfs destinés
ques-uns des muscles des pieds. 7. Nerf qui va se rendre à un petit
ganglion
situé près de la bouche. 8. Faisceau qui unit
glion situé près de la bouche. 8. Faisceau qui unit le cerveau au
ganglion
en patte 'd'oie. 9. Faisceau plus large que le
ier 10. Nerfs des pieds. 11. Nerf optique venant de la portion du
ganglion
céphalique que Cuvier appelle cervelet. 1 ir
céphalique que Cuvier appelle cervelet. 1 ir Nerf qui va former le
ganglion
étoile. ] 3. Grand nerf des viscères. i4- Nerf ac
iscères. i4- Nerf acoustique. Lombric de terre, un peu grossi. i.
Ganglions
céphaliques ou œsophagiens. 1. Cordon formant l
double. 4. Nerf unique. Sangsue. Fig. 1. Chaîne ganglionaire. i.
Ganglion
. 2; Cordon inter-ganglionaire. 3. Nerf. Fig.
e. i. Ganglion. 2; Cordon inter-ganglionaire. 3. Nerf. Fig. 2. Un
ganglion
de la sangsue, légèrement aplati entre deux lames
légèrement aplati entre deux lames de verre et vu au microscope. 1.
Ganglion
formé de fibres longitudinales, défibres transv
nglionaire formé de deux fais- ceaux qui se réunissent au centre du
ganglion
. 3. Nerfs ayant une de leurs origines dans les
transverses. Anatife (d'après Cuvier et M. Martin Saint-Ange). 1.
Ganglion
. 2. Cordon de communication. 3. Nerfs. . 4-
nge). 1. Ganglion. 2. Cordon de communication. 3. Nerfs. . 4-
Ganglion
supplémentaire. Talitre (d'après MM. Audouin et
upplémentaire. Talitre (d'après MM. Audouin et Milne Edwards). i.
Ganglion
céphalique. 1. Cordon. 3. Nerf. Maïa (d'après l
halique. 1. Cordon. 3. Nerf. Maïa (d'après les mêmes auteurs). i.
Ganglion
céphalique. 1. Nerf optique. 3. Nerf oculo-mote
ité d'ana-tomie comparée de M. Carus, pl. VII, fig. 2,5 et 26. ) 1.
Ganglion
céphalique. 2. Cordon inter-ganglionaire. 3.
26. ) 1. Ganglion céphalique. 2. Cordon inter-ganglionaire. 3.
Ganglion
et nerfs. Chrysalide du même papillon. 1. Gan
lionaire. 3. Ganglion et nerfs. Chrysalide du même papillon. 1.
Ganglion
. 2. Cordon. 3. Nerf. Papillon. 1. Ganglio
ême papillon. 1. Ganglion. 2. Cordon. 3. Nerf. Papillon. 1.
Ganglion
. 2. Cordon. 3. Nerf. On voit la chaîne gang
la chaîne ganglionaire se raccourcir de la chenille au papillon, les
ganglions
se rapprocher progressivement les uns des autres
re plusieurs ensemble. Hanneton ( d'après M. Straus-Durckeim). 1.
Ganglion
céphalique. 2. Nerf des antennes. 3. Nerf opt
es. 3. Nerf optique. 4. Anneau œsophagien. 5. Première paire de
ganglions
sous-œsophagiens. 6. Cordon de la chaîne gangli
hagiens. 6. Cordon de la chaîne ganglionaire. 7. Seconde paire de
ganglions
. 8. 9 et 10. Troisième, quatrième et cinquième
e ganglions. 8. 9 et 10. Troisième, quatrième et cinquième paire de
ganglions
. Nèpe cendrée (d'après M. LéonDufour). 1. Gan
ième paire de ganglions. Nèpe cendrée (d'après M. LéonDufour). 1.
Ganglion
céphalique. 2. Ganglion ec nerf optiques. 3.
Nèpe cendrée (d'après M. LéonDufour). 1. Ganglion céphalique. 2.
Ganglion
ec nerf optiques. 3. Ganglion prothoracique. 4-
four). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion ec nerf optiques. 3.
Ganglion
prothoracique. 4- Ganglion métathoracique. Pent
ique. 2. Ganglion ec nerf optiques. 3. Ganglion prothoracique. 4-
Ganglion
métathoracique. Pent atome gris (d'après le mêm
lion métathoracique. Pent atome gris (d'après le même auteur). 1.
Ganglion
céphalique. 2. Ganglion et nerf optique princip
t atome gris (d'après le même auteur). 1. Ganglion céphalique. 2.
Ganglion
et nerf optique principal. 3. Rétine et nerf op
f optique principal. 3. Rétine et nerf optique des ocelles. 4 et 5.
Ganglions
thoraciques. Bourdon (d'après Tréviranus). t.
. 4 et 5. Ganglions thoraciques. Bourdon (d'après Tréviranus). t.
Ganglion
céphalique. 2. Nerf optique. 3. Ganglions tho
'après Tréviranus). t. Ganglion céphalique. 2. Nerf optique. 3.
Ganglions
thoraciques. 4- Ganglions abdominaux. Abeille d
anglion céphalique. 2. Nerf optique. 3. Ganglions thoraciques. 4-
Ganglions
abdominaux. Abeille domestique (d'après Ratzebu
Ganglions abdominaux. Abeille domestique (d'après Ratzeburg). 1.
Ganglion
céphalique. 2. Ganglion optique. 3. Ganglion
beille domestique (d'après Ratzeburg). 1. Ganglion céphalique. 2.
Ganglion
optique. 3. Ganglion thoracique. 4. Ganglions
rès Ratzeburg). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion optique. 3.
Ganglion
thoracique. 4. Ganglions abdominaux. Araignée
ion céphalique. 2. Ganglion optique. 3. Ganglion thoracique. 4.
Ganglions
abdominaux. Araignée (d'après Tréviranus). 1.
que. 4. Ganglions abdominaux. Araignée (d'après Tréviranus). 1.
Ganglion
céphalique. 2. Ganglion thoracique. 3. Gangli
naux. Araignée (d'après Tréviranus). 1. Ganglion céphalique. 2.
Ganglion
thoracique. 3. Ganglion abdominal. Morue. Enc
Tréviranus). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion thoracique. 3.
Ganglion
abdominal. Morue. Encéphale de ce poisson, vu p
gré de développement chez l'homme. Il relie le manteau cérébral aux
ganglions
infracorticaux, au rhombencéphale et à la moell
bre de fibres d'association, des fibres de projection destinées aux
ganglions
infra-corticaux. Les fibres de la couche sagitt
rayonnante. - 1 1', faisceau de Turck. Fus, lobule fusiforme. - Gh,
ganglion
de l'habe- nula. - 11, circonvolution de l'hipp
RCE CÉRÉBRALE. as flexe de Meynert. Fus, lobule fusiforme. - GQp,
ganglion
du tubercule quadrijumeau pos- térieur. - Il, c
re-croisement ventral de la calotte pédonculaire de Fore ! . - Gip,
ganglion
interpédonculaire.- Lit. locus niger. - NI, noy
s antérieures. - Fl'op, fibres protubérantielles postérieures. - Gip,
ganglion
interpédonculaire. - Le, locus casruleus. A'cs,
rétroflexe de Meynert. - Fmp, faisceau mamillaire principal. - Gip,
ganglion
interpédonculaire. - Ln, locus niger. N7 ! , noya
a couche optique jusqu'au plan vertico-transversal qui passe par le
ganglion
de l'iiabenula. Ce mode de pénétration des libr
OJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 61 Fig. 42. - Coupe sagittale des
ganglions
de la base et de la partie adjacente du tronc e
lon fimbrio-godronné. Fli, faisceau longitudinal infé- rieur. - Gh,
ganglion
de l'habenula. - /t, sillon de l'hippocampe. - la
tudinal postérieur. - 7'W, faisceau rétro- flexe de Meynert. - GQp,
ganglion
du tubercule quadrijumeau postérieur. - h, sillon
chevêtrent avec elles et peuvent être suivies jusqu'au voisinage du
ganglion
de l'habenula (Gh) (Fig. 45). Dans son trajet à
de la capsule interne. - 7·'Cle, faisceau thalamique de Forel. - Gh,
ganglion
de l'habénula. - II, hippocampe. - Ir, sillon d
rte en bas, en dedans et en arrière, et aborde la partie externe du
ganglion
du tubercule quadrijumeau postérieur, dans lequel
ectement dans le pied du pédoncule cérébral sans s'arrêter dans les
ganglions
centraux. Elles passent par le segment postérie
e la corticalilé cérébrale, sans interruption aucune, au niveau des
ganglions
centraux, et provienne» dit secteur moyen de l'hé
on de le', zu et 3e ordres) et par deux relais ganglionnaires : les
ganglions
de la base du cer- veau (corps opto-striés, tub
es et noyaux des nerfs crâniens). L'écorce cérébrale était reliée aux
ganglions
de la base par le système de projection de prem
projection de premier ordre dont les fibres abordaient cha- cun des
ganglions
de la base par une de leur face ou pôle (pôle cen
Fia.. 50). La couche optique recevait Fie. 50. - Les connexions des
ganglions
de la baseaveclacorticalité cérébrale et avec
urnée vers le tronc encéphalique (pâle périphérique de Meynert) les
ganglions
de la base émettaient le système de projection de
ttaient le système de projection de deuxième ordre qui unissait ces
ganglions
à la substance grise centrale croisée; de cette d
ctement uu peuoncute cérébral au lobe H"UllLt11 sans passer par les
ganglions
centraux et qu'il désigne sous le nom de faisceau
ent de très nombreuses fibres de projection dans le thalamus et les
ganglions
qui en dépendent, mais n'en envoient pas dans le
la partie ventrale du noyau externe (Ne) du thalamus. Intégrité du
ganglion
de l'habénula (Gh) intégrité du noyau lenticula
en bas et en dehors et à peu près parallèle au plan de section des
ganglions
de la base du cas Schweigoffer (Fig. 116) passe p
orencéphalie a complètement séparé la convexité des hémisphères des
ganglions
de la base, lesquels ne sont reliés au manteau qu
n aurait pu s'attendre à ne pas trouver de capsule interne dans les
ganglions
de la base. Or il n'en est rien. La capsule inter
le ventricule latéral. Remarquer la situation du trigone entre les
ganglions
de la base, l'éperon saillant formé par le fond d
oeuf de pigeon, à surface finement réticulée et qui correspond aux
ganglions
de la base du cerveau (corps opto-striés). Plus
ligne médiane par la scissure interhémisphérique (sih), entoure les
ganglions
de la base et les sépare du fond de la scissure d
. Coupe vertico-trausversale passant par les noyaux rouges (NR), le
ganglion
de l'habenula (Gh), le faisceau rétroflexe (F.1),
que dans sa partie inférieure et antérieure, celle qui contient le
ganglion
de la cloison; il se présente sous l'aspect d'u
association et de com- missure, et sans connexion aucune avec les
ganglions
de la base. L'écorce du rhinencéphale (circonvo
s le corps ou les piliers antérieurs. L'indépendance complète des
ganglions
de la base d'avec le manteau cérébral nous indi
ennent leur origine ou se terminent dans les corps opto-striés. Les
ganglions
de la base et la partie adjacente de l'écorce cér
-latéral paraît également moins riche en fibres à myéline. 2° Les
ganglions
de la base du cerveau (Fig. 202 à 207) séparés l'
large (Fig. 203); on reconnait en outre le tænia thalami (tth), le
ganglion
de l'habenula (Gh, Fig.20G) avec son faisceau r
e abord, lorsqu'on songe il l'atrophie extrême que subit parfois ce
ganglion
à la suite de lésions corticales destructives, su
l'encéphale. La ligne a a indique la direction suivant laquelle les
ganglions
de la base ont été débitées les coupes hori- zo
inférieure repliée de la face externe de l'hémisphère droit. - GB,
ganglions
de la base (corps ol)10-sti,iés). - Hg, les cir
cérébral. Remarquer la situation du trigone cérébral (Tg) entre les
ganglions
de la base (GB) et ses connexions en avant avec l
que présente, comme dans le cas Longery, deux saillies ovoïdes, les
ganglions
de la base ou corps opto-striés séparés l'un de l
cloison verticale et médiane que les coupes montrent formée par le
ganglion
du septum lucidum (SI), cloison qui s'étend (Fi
llirent en outre que, à un certain stade de leur développement, les
ganglions
de la base, en particulier le putamen, sont intra
'est que secondairement, après la soudure du manteau céré- bral aux
ganglions
de la base dans la région où la capsule interne s
de la scissure iiiteiliémisphérique; elle est limitée en bas par les
ganglions
de la base (corps opto-strié), le trigone céréb
érébral a été débité en coupes vertico-transver- sales sériées, les
ganglions
de la base avec la région oibitaire du lobe front
au inférieur (CSgt) poursuit son trajet antéro-postérieur jusqu'aux
ganglions
de la base où il se divise en deux parties : l'
r, postérieur et supérieur de la cou- ronne rayonnante abordent les
ganglions
de la base en concourant à former les seg- ment
pto-striés à cause de la porencéphalie et de l'absence de soudure des
ganglions
de la base au centre ovale - elles changent de
ante, deviennent sagittales et les quelques fibres qui arrivent aux
ganglions
de la base empruntent la voie des segments antéri
rale et Ilydro- céphalie. Coupe horizontale oblique passant par les
ganglions
de la base et l'écorce du lobe orbitaire. Cet
s s'épanouissent dans la membrane épendymaire (Ep) qui recouvre les
ganglions
de la base ; un certain nombre de fibres entren
ment postérieur de la couronne rayonnante se divisent en abordant les
ganglions
de la base en deux parties inégales : l'une se
r nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉ13 U A LE. 213 Les
ganglions
de la base (Fig. 220 à 230) comprennent un noyau
épanouissent dans l'épaisse membrane épendymaire qui recouvre les
ganglions
de la base (comparer les Fig. 22G et 227 avec l
ermine en s'arborisant dans la couche optique, et que de ce dernier
ganglion
partent des fibres destinées aux diffé- rents m
pédoncule antérieur de la couche optique s'épuisant dans ce dernier
ganglion
. Ce fait que nous avons pu vérifier dans plusie
rne (Cip), Gowers la localisait dans la couche optique. Ci (dernier
ganglion
est en effet lésé en même temps que le segment po
onduction de la sensibilité, contrairement à Luys qui faisait de ce
ganglion
le centre du sensorium commune, c'est-à-dire l'
thalamus n'est pas indiquée, on ne peut affirmer l'intégrité de ce
ganglion
; car, dans toutes ces observations, il s'agit d
faut encore que cette lésion siège dans une région spé- ciale de ce
ganglion
, à savoir, en avant du pulvinar, dans la partie p
fornix transversus, ou commis- sure psalterienne du trigone. - GGJ,
ganglion
dorsal de la calotte de Gudden. GGp, ganglion p
ne du trigone. - GGJ, ganglion dorsal de la calotte de Gudden. GGp,
ganglion
profond de la calotte de Gudden. Gip, ganglion in
otte de Gudden. GGp, ganglion profond de la calotte de Gudden. Gip,
ganglion
interpédonculaire. G/t, ganglion de l'habenula.
fond de la calotte de Gudden. Gip, ganglion interpédonculaire. G/t,
ganglion
de l'habenula. - II, circonvolution de l'hippocam
et pulvinar) par l'intermé- diaire du taenia semicircularis; 3° au
ganglion
de l'habenula par le faisceau septo-thalamique
ans la constitution du taenia thalami. Il s'irradie ensuite dans le
ganglion
de l'habenula et dans la partie moyenne et inte
ilobée. Dans les deux cas le corps du trigone occupe entre les deux
ganglions
de la Lase la paroi inférieure de la cavité ven
stérieure, peu élevée, qui sépare à leur partie antérieure les deux
ganglions
de la base. Cette cloison n'est autre que la pa
antéro- supéro-externe du tubercule mamillaire et qui constitue le
ganglion
ou noyau externe du tubercule mamillaire . Ces
mamillaire. Toutes ces coupes montrent avec beaucoup de netteté les
ganglions
interne et externe du tubercule mamillaire et l
cule mamillaire et les connexions du pilier antérieur avec ces deux
ganglions
. A priori, il paraît étrange qu'un faisceau aus
umineux que l'est le pilier antérieur du trigone se termine dans un
ganglion
aussi petit que le tubercule mamillaire. Ces co
re cas, l'atrophie porte sur tout le tubercule mamil- laire, sur le
ganglion
interne comme sur le ganglion externe. Chez l'hom
out le tubercule mamil- laire, sur le ganglion interne comme sur le
ganglion
externe. Chez l'homme, le pilier antérieur du t
de la circonvo- lution de l'hippocampe. ^eb connexions avec les
ganglions
interne et externe du tubercule mamll- tair
rentlée du thalamus. La partie postérieure du taenia thalami el le
ganglion
de l'habenula sont. normaux, et ce fait ne peul d
partie interne de la couche optique, le tubercule mamillaire et le
ganglion
de la cloison. (Méthode de Weigert-Pal.) C. c
de la calotte de Gudden. - Fol, faisceau olfactif du trigone. - Gh,
ganglion
de l'habenula. - GSL, ganglion du septum lucidum.
faisceau olfactif du trigone. - Gh, ganglion de l'habenula. - GSL,
ganglion
du septum lucidum. - Na, Ne, Ni, les noyaux ant
s dernières établiraient une connexion entre la corne d'Ammon et le
ganglion
de l'habenula (fibres cortico-hccbeatc- laris d
la miquo postérieur. 298 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. . Le
ganglion
interno du tubercule mamil- laire donne naiss
e tubercule mamillaire comprend, comme Gudden l'a bien montré, deux
ganglions
: l'un interne, l'autre externe (Tm, Tml, Fig. 27
x ganglions : l'un interne, l'autre externe (Tm, Tml, Fig. 275). Le
ganglion
ou noyau interne l'orme la partie principale du t
ise centrale, mince sur la ligne médiane et il la partie interne du
ganglion
interne, beaucoup plus épaisse au-dessus de ce
interne du ganglion interne, beaucoup plus épaisse au-dessus de ce
ganglion
. Une capsule de libres plus épaisse a la partie s
le de libres plus épaisse a la partie supérieure et Fic. 273. - Les
ganglions
interne et externe du tubercule mamillaire de l'h
et externe du tubercule mamillaire de l'homme et les connexions du
ganglion
externe avec le pilier antérieur du trigone. - Co
troisième ventricule. Tga, pilier antérieur du trigone. - 1'c>z,
ganglion
interne du tubercule mamillaire. - Tint, gangli
gone. - 1'c>z, ganglion interne du tubercule mamillaire. - Tint,
ganglion
externe du tubercule mamillaire. - VA, faisceau d
pare de la substance grise cen- trale du troisième ventricule et du
ganglion
ou noyau externe du tuber- cule mamillaire. Le
icule et du ganglion ou noyau externe du tuber- cule mamillaire. Le
ganglion
ou noyau externe, beaucoup plus petit, est pyri
long sur 0,12 de large et occupe la partie antéro-supéro-ealernc du
ganglion
interne sur lequel il se moule en général, mais
al, le tuber- cule mamillaire accessoire (Tma, Fig. 254, 333). Le
ganglion
interne conlient des cellules triangulaires ou ét
s de l'olive céré- belleuse ou bulbaire (Kôlliker). Les cellules du
ganglion
externe sont beaucoup plus volumineuses et mesu
leurs cylindres-axes dans le pédoncule du tubercule mamillaire. Le
ganglion
externe reçoit les fibres terminales du pilier
rne reçoit les fibres terminales du pilier antérieur du trigone, le
ganglion
interne donne naissance à un volumineux faiscea
s. Dans la région sous-thalamique, à la hauteur du corps de Luys Le
ganglion
eu- ternereçuitlepiiicr aiitérieur du tri,-on
ri,-one et émet le pvdonculo dl ! tubercule. Structure de ces
ganglions
. Faisceau mamil- ]aire principal. Son traje
ue côté du raphé, en avant du faisceau longitudinal postérieur : le
ganglion
profond de la calolle de Gudden (GGp, Fig. 252)
one du même côté (Fig. 277), mais il tire son origine principale du
ganglion
externe du tubercule mamillaire el du tubercule m
il médian, une autre enfin s'épanouit en éventail dans la région du
ganglion
interpédon- culaire, entoure le faisceau rétrof
nt finalement dans deux amas ganglionnaires décrits par Gudden, les
ganglions
profond et dorsal de la calotte (Fig. 252). Le
udden, les ganglions profond et dorsal de la calotte (Fig. 252). Le
ganglion
profond, qui reçoit en outre des fibres du fais
al supérieur de l'homme (Voy. For- mation réticulée,lII°parlie). Le
ganglion
dorsal est situé dans la substance grise centra
tricule, en arrière du faisceau longitu- dinal postérieur. C'est un
ganglion
arrondi, entouré d'une capsule de fibres, qui r
d'une capsule de fibres, qui reçoit un certain nombre de fibres du
ganglion
interpédoncu- laire et duquel émanent des fibre
zscheii. Arch. f. Psych. II, 1870. Du même. Jlzttheilzcng uber rias
ganglion
interpedonculare. Arch. f. Psych., Bd. XI, 1880.
ntérieur du trigone. C. R. Soc. Biol., 1898, p. 20G. CHAPITRE VII
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ, COUCHE OPTIQUE, R
Golgi. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
GANGLIONS
INFRACOHTICAUX : COnPS STRIÉ. 307 quables par l
ires du corps strié. Foetus humain de 6 mois. Méthode de Golgi.
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 309 corps strié
- Il', zone de \\'CI Zr, Zone réticulée. - ? bandelette optique.
GANGLIONS
INFIIACOITTICAUX : CORPS STRIE. 311 une atrophi
it pas plutôt de fibres lezzticulo-caudécs, de fibres de projection
GANGLIONS
I\113 : 1COR'I'IC : 1U1 : CORPS STRIÉ. 313 ou d
enticulaire de Forel et du corps de Luys (CL). (Méthode de Marchi.)
GANGLIONS
INFIIACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 31. 3° Une dég
'.)). Bibliothèque des Internes ' en Médecine de la Salpêtrière
GANGLIONS
IN11ACORTICAUY : CORPS STRIÉ. 317 -1 A ces dégé
égénérées du globus pallidus s'épuise dans la substance grise de ce
ganglion
, une autre partie entre dans la constitution de
ez les vertébrés non mammifères, le corps strié, connu sous le nom de
ganglion
basai du cerveau antérieur, représente un amas
de projection dans les cerveaux intermédiaire et moyen à travers le
ganglion
basal; la capsule interne fait par conséquent déf
ints déterminés du noyau caudé el du noyau lenticulaire. Les fasci-
GANGLIONS
INFRAC013TIC1U1 : CORPS STRIÉ. 319 cules du noy
nante et la région thalamique delà capsule interne. Cette coupesec-
GANGLIONS
I\rl3ACORTICAD : CORPS STRIÉ. 321 tionne le str
éresse les radial ions du noyau caudé et du putamen. La partie supé
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 323 rieure du glo
aenia thalami. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Zi, zona incerta.
GANGLIONS
L\FBACORTlCA[jX : CORPS STRIÉ. 325 la moitié in
r nature. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtri,
GANGLIONS
1NlItlCOItTICAU\ : COIiPS STRIÉ. 327 triculaire
illé externe. - Cgi, corps genouillé interne. - Cip, segment posté-
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 329 rieur ; Cirl,
culaire de Reichert et qui est connue depuis Meynert sous le nom de
ganglion
de l'anse pédonculaire. Arrivée au tuber cinere
u thalamus (PiTh) les fibres les plus longues atteignent le plan du
ganglion
de l'habenula (Gh) ; une autre partie se porte
u caudé, tandis que l'anse lenticulaire proviendrait des trois seg-
GANGLIONS
INFII,ICORTICAUX : CORPS STRIÉ. 331 ments du no
par la dégénérescence et il en est de même des parties interne et.
GANGLIONS
1111ACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 333 Cas Ronse. 1°
com- missure antérieure. Méthode de Marchi. 2/1 grandeur nature.
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 335 6) Une dégéné
nature. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 337 ticulier le f
partie externe et à la partie interne du ruban de Reil médian dans
GANGLIONS
IIVrRICOR'fICAUI : CORPS STRIÉ. 339 son trajet
interne, du pilier antérieur du trigone (Tga). (Méthode de Marchi.)
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 341 pédoncule c
ntre médian de Luys (Nm), du noyau semi-lunaire de Flechsig (nif), du
ganglion
de l'habenula (Gh) de la partie interne du corp
du pied du pédoncule appartiennent au pes lemniscus superficiel.
GANGLIONS
INFRACORTICAUX. : CORPS STRIÉ. 343 3° Que l'ans
à la couche optique quatre noyaux principaux, les noyaux antérieur,
GANGLIONS
INII ACORTICAU : COUCHE OPTIQUE. 345 externe, i
trinsèques, tels sont les corps genouillés externe et interne et le
ganglion
de l'habenula. Les cellules nerveuses des diffé
es tha- Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
GANGLIONS
INFRA CORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 341 lamo-cort
. t3, p. 63), la limite entre ces deux noyaux est constituée par le
ganglion
de l'habenula (Gh) et le centre médian de Luys
348 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. FiG. 310.- Coupe sagittale-des
ganglions
de la base et de la partie adjacente du tronc e
ébrale de Bichat. ? 7-'f ? substance grise de l'aqueduc de Sylvius.
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 349 Sgc, subst
ale. dans le plan vertico-transversal et dans le plan horizontal du
ganglion
, de l'habenula (Gh). En dehors et en arrière, i
inct, mais s'entremêlent dans toute la longueur de leur trajet avec
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 331 d'autres c
lunaire de Flechsig. Elle envoie un grand nombre de ses fibres dans
GANGLIONS
tNFRACOR'HCAUX : COUCHE OPTIQUE 3 : i3 la régio
ière, le noyau externe se continue avec le pulvinar, mais la fusion
GANGLIONS
I\l'R : 1CORTICIUI : COUCHE OPTIQUE. Sa ! ) de
l et Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrièr<
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. : ¡ : ;7 la pa
genouillé externe (Câc), (Fig. 312 et 47, p. G9). La partie posté-
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 359 Fic. 312.
rt. FT, faisceau de Tûrck. Fth, fais- ceau thalamique de Forel. Gh,
ganglion
de l'habenula. Il, hippocampe. i, sillon insula
mentale riche en fibres à myéline. Ces fibres s'entre-croisent dans
GANGLIONS
INFHACOHTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 361 tous les s
ite par le pulvinar (Fig. 311, 282); les autres, les rapports de ce
ganglion
avec les corps genouillés (Fig. 47, 312,24 et F
sversale passant par la commissure postérieure (cop), en arrière du
ganglion
de l'habenula (Gh). Son bord interne, véritable
interne. Plus bas (Fig. 43, p. G3), la limite est constituée par le
ganglion
de l'habenula (Gh) et le centre médian de Luys
êtement zonal de la couche optique, affectent surtout une direction
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 363 FIG. 313.
petits groupes et entourées d'un feutrage intercellulaire abondant,
GANGLIONS
I.NFRACORTIC.UX : COUCIIE OPTIQUE. 36 finement
t plus voisines du sommet du corps genouillé externe. La base de ce
ganglion
est en rapport avec la substance grise du pulvina
ficielles passent les unes au-dessus, les autres au-des- sous de ce
ganglion
, l'enchâssent dans une véritable capsule et l'ent
former en grande partie les lamelles médullaires qui sillonnent ce
ganglion
. Elles se terminent, de même que les fibres super
pul- Bibliothèque des Internes , en Médecine de la Salpêtrière
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 367 vinar repr
adrijumeaux antérieur et postérieur (BrQa, BrQp). Le bras du tuber-
GANGLIONS
OEFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 369 cule quadr
tical; le faisceau de Vicq d'Azyr, le taenia semi-circularis et le
ganglion
de l'habenula, assurent ses connexions avec les
pe toute la couche ventrale du thalamus assure les connexions de ce
ganglion
avec le cervelet et le tronc encéphalique. 1.
ent que le pulvinar et le corps genouillé externe, c'est-à-dire les
ganglions
centraux de la vision, con- tiennent surtout de
st en rapport avec l'écorce entière de chaque hémisphère puisqu'une
GANGLIONS
INFRACOHTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 371 4 lésion
ibres radiées du thalamus, mais encore toute la substance grise de ce
ganglion
qui est piqueté de grains noirs de dimensions v
e la partie externe de la capsule du noyau rouge sous forme de gros
GANGLIONS
INIR1CORTICAUt : COUCHE OPTIQUE. 313 fascicules
bercule quadrijumeau postérieur et, par son intermédiaire, au ruban
GANGLIONS
I\'IRACORTICAU : COUCHE OPTIQUE. : 3ï : ; de Re
s le gan- glion de l'habenula, la commissure inlerhahenulaire et le
ganglion
de l'habenula du côté croisé (Fig. 320), mais l
avec le Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrièrt
GANGLIONS
INFHACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 311 -i rhomben
lamus, concourent à former le lænia thalami et se terminent dans le
ganglion
de l'habenula du même côté et du côté croisé. G
nt dans le ganglion de l'habenula du même côté et du côté croisé.
GANGLION
DE L'HABENULA (Gh), SYSTÈME HABÉNULAIRE Le gang
côté croisé. GANGLION DE L'HABENULA (Gh), SYSTÈME HABÉNULAIRE Le
ganglion
de l'habenula (G) est un petit renflement fusifor
cialement par Slieda (18G9), il doit son nom à Meynert (1870). Le
ganglion
de l'habenula est situé immédiatement en avant du
de pédoncule antérieur , rêne ou habena de la glande pinéale. Le
ganglion
de l'habenula représente une formation phylogéné-
beaucoup plus volu- mineux chez les mam- mifères osmatiques. Ce
ganglion
reçoit les arborisations ter- minales du taen
(Fig. 321) qui le relie a la caiowe peuoncuiaire, en particulier au
ganglion
lIueJ1JNWnCUlalJ'e; 11 est uni enfin au ganglio
en particulier au ganglion lIueJ1JNWnCUlalJ'e; 11 est uni enfin au
ganglion
de l'habenula du côlé opposé, par un faisceau d
nterhabenulaire ou Décussation dorsale du thalamus. La structure du
ganglion
de l'habenula, ses connexions avec le lmnia tha
G. 318. - Les éléments cellulaires des noyaux interne et externe du
ganglion
de l'habenula du chien nouveau- né (d'après Caj
, cylindre-axes des cellules du noyau externe. - c, collatérales.
GANGLIONS
INFRACORTICAU : COUCHE OPTIQUE. 379 Gudden avai
e des- cendante du faisceau rétroflexe, à la suite d'extirpation du
ganglion
de l'habenula, mais v. Gehuchten constata le pr
ceau rétroflexe de Meynert prennent leur origine dans les cellules du
ganglion
de l'habenula et se terminent par des arborisat
de l'habenula et se terminent par des arborisations libres dans le
ganglion
interpédon- culaire. Ces résultats ont été depu
riées au caimin ou d'aprèi les méthodes de Weigert ou de Pal, le
ganglion
de l'habenula se compose chez les mammifères
orisations terminales du tænia th al a- mi dans le noyau interne du
ganglion
de l'habenula du lapin de huit jours (d'après C
aspect sur les coupes vertico-trans- crsales. noyau interne du
ganglion
de l'habenula, se trouvent réunies par groupes
ans lésons de la largeur pour s'amincir de nouveau, au voisinage du
ganglion
de l'habenula, en un faisceau à surface de sect
glion de l'habenula. Un certain nombre le traversent simplement, ou
GANGLIONS
Il\'FRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 381 le recou
pe la partie externe du tænia thalami et qu'elle se termine dans le
ganglion
de l'habenula homolatéral et dans celui du côté o
lles; il y en a de profondes qui se rendent au l;¡mia thalami et au
ganglion
de t'habenula en suivant le trajet des fibres r
ules de la substance innominée sous-lenticulaire qui constituent le
ganglion
de l'anse pédon- culaire ou des cellules de la
e des fibres dégénérées se termine autour des noyaux cellulaires du
ganglion
de l'habe- nula (Gh) du même côté, une autre pa
e dans la commissure interha- bénulaire (Cih) et se termine dans le
ganglion
de l'habenula du côté croisé. (Méthode de March
ns le ganglion de l'habenula du côté croisé. (Méthode de Marchi.)
GANGLIONS
INFRACORTIC AUX : COUCHE OPTIQUE. 383 4. Les au
nodi et Honegger, le taenia thalami recevrait du nerf optique et du
ganglion
optique basai quelques fibres qui abandonneraient
foré antérieur, traverseraient le tuber cinereum et arriveraient au
ganglion
de l'habenula avec les fibres du pédoncule infé
es pupillaires. D'après Mendel l'arc irido-réllexe passerait par le
ganglion
de l'habenula, et l'iridectomie totale, pratiquée
jours après la naissance, entraînerait une atro- phie partielle du
ganglion
de l'habenula. Darkschewitch admet de même des
kschewitch admet de même des connexions entre le nerf optique et le
ganglion
de l'habenula, mais pour cet auteur, les fibres
rendre à la commissure pos- térieure et à la partie postérieure du
ganglion
de l'habenula. Cajal nie, par contre, toute con
ula. Cajal nie, par contre, toute connexion du nerf optique avec le
ganglion
de l'habe- nula, en se basant sur l'intégrité d
de de Marchi, nous n'avons jamais pu constater de dégénérescence du
ganglion
de l'habenula soit du même côté, soit du côté o
toute la série des verté- brés. Elle relie le taenia thalami et le
ganglion
de l'habenula au ganglion homologue du côté opp
brés. Elle relie le taenia thalami et le ganglion de l'habenula au
ganglion
homologue du côté opposé et à la moitié opposée
s du taema thalami. Le nerf optique n'envoie pas de fibres au
ganglion
do : 1 ha- benula. Commissure inter- habenu
La commissure interhabe- nulaire reçoit en outre quelques fibres du
ganglion
de l'habenula et du faisceau rélrotlexc de Meyn
es fibres, après avoir dépassé la ligne médiane, se termine dans le
ganglion
de l'habenula du côté opposé et constitue de vé
crit par Meynert. qui le désigna d'abord sous le nom de faisceau du
ganglion
de l'habenula à la calotte (lïaubenbûndcl des g
faisceau du ganglion de l'habenula à la calotte (lïaubenbûndcl des
ganglions
habenula;), puis sous celui de faisceau rétrofl
ement de haut en bas, d'arrière en avant et de dehors en dedans, du
ganglion
de l'habenula, où il prend son origine, au gangli
s en dedans, du ganglion de l'habenula, où il prend son origine, au
ganglion
interpédonculaire dans lequel une partie de ses
faisceau de Meynert affecte les rapports suivants. Au voisinage du
GANGLIONS
I\'IRACORTICAU1 : GOUCIIE OPTIQUE. 3si gangli
u voisinage du GANGLIONS I\'IRACORTICAU1 : GOUCIIE OPTIQUE. 3si
ganglion
de l'habenula, ce faisceau est situé (Fig. 47, p.
gitu- dinal postérieur. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - Gh,
ganglion
de l'habenula. - Ln, locus niger. - DIoT3, memb
Ses deux espèces de libres. -- Leurs lieux de ter- minaisons.
Ganglion
interpé- douculawe des ron- geurs. ganglion
ter- minaisons. Ganglion interpé- douculawe des ron- geurs.
ganglion
impair, médian et symétrique, le ganglion interpé
uculawe des ron- geurs. ganglion impair, médian et symétrique, le
ganglion
interpédonculaire (Gip), situé dans l'espace pe
r et découvert par Gudden. Nettement accusé chez les mammifères, ce
ganglion
est insignifiant chez l'homme. Le faisceau ré
e, prennent leur origine dans les cel- lules du noyau externe de ce
ganglion
(B). Chez les mammifères autres que l'homme et
mammifères autres que l'homme et les primates, le noyau interne du
ganglion
de l'habenula ainsi que le ganglion inter-pédoncu
s primates, le noyau interne du ganglion de l'habenula ainsi que le
ganglion
inter-pédonculaire sont bien développés, les fi
e il constater sur les coupes horizontales sériées. Au voisinage du
ganglion
de l'habenula, le faisceau rétroflexe se compos
ndiqué et que v. Gehuchten et Cajal l'ont constaté de visu, dans le
ganglion
interpédon- culaire (Fig. 322). La prédominance
g. 322). La prédominance de ces fibres chez les mammifères, dont le
ganglion
interpédonculaire est bien développé, milite comp
troflexe n'est pas en rapport avec le développement rudimentaire du
ganglion
interpé- donculaire. C'est là du reste une opin
puis par Honnegger et à laquelle nous nous rallions complètement.
Ganglion
interpédonculaire (Gip). - Le ganglion interpédon
nous rallions complètement. Ganglion interpédonculaire (Gip). - Le
ganglion
interpédonculaire est un petit ganglion triangu
terpédonculaire (Gip). - Le ganglion interpédonculaire est un petit
ganglion
triangulaire, très bien développé chez les rongeu
l se Bibliothèque des Internes en P ? weirne du la S : 1pêtTiè]
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 387 voit très
ici, du moins chez les rongeurs et les mammifères inférieurs, d'un
ganglion
nettement délimité qui sert de noyau de termina
v. Gudden, bien décrit par Forel, puis par Mayser et par Ganser, le
ganglion
interpédonculaire a été étudié à l'aide de la mét
fères. Les fibres du faisceau rétroflexe de Meynert qui abordent le
ganglion
interpédoncu- laire, se recourbent brusquement
n dedans, pénètrent dans la partie anté- rieure et supérieure de ce
ganglion
et l'entourent d'une sorte de fer à cheval. Elles
açant avec celles du côté opposé, elles forment dans l'intérieur du
ganglion
interpédonculaire un système de fibres parallèles
. - Coupe vertico-transversale un peu oblique en bas et en arrière du
ganglion
interpédonculaire de la souris de quatre jours
erpédonculaire de la souris de quatre jours (d'après Cajal, 1896). Le
ganglion
interpédonculaire est limité de chaque côté par
des fibres du faisceau rétroflexe de Meynert (A). - il, cellules du
ganglion
interpédonculaire vues de champ. C, arborisatio
du gan- glion intcrpddoncu- lairc. Leurs connexions avec les
ganglions
do la calotte de Gndden. Glande pinéale.
rit plusieurs méandres horizontaux qui occupent toute la largeur du
ganglion
et sont situés sur plusieurs plans vertico-tran
faisceau de Meynert décrivent des 8 de chiffre dans l'épaisseur du
ganglion
interpédonculaire. Dans la première partie de l
n bouton terminal. Quelquefois, la fibre se bifurque en abordant le
ganglion
, et les deux branches se comportent comme nous
occupent des plans vertico-transversaux distincts. Les cellules du
ganglion
interpédonculaire qui entrent en contact avec les
lus ou moins flexueux. Elles occupent la périphérie et le centre du
ganglion
interpédoncu- laire et sont pourvues de trois à
lules les plus périphériques sont parallèles à la surface* libre du
ganglion
et affectent souvent l'aspect d'un fuseau. Les ce
firmée par Kôlliker chez le lapin. C'est le faisceau segmentaire du
ganglion
interpéclonculaire (Ilaubenbiindel des ganglion i
isceau segmentaire du ganglion interpéclonculaire (Ilaubenbiindel des
ganglion
inter- pedunculare de Ganser) dont les fibres s
glion inter- pedunculare de Ganser) dont les fibres se détachent du
ganglion
de chaque côté de la ligne médiane (Fig. 332),
s de Galien, au-dessus de la commissure postérieure, entre les deux
GANGLIONS
1\NFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 389 tubercule
nt à Meynert et à llage- mann qui considéraient cet organe comme un
ganglion
nerveux. D'après Bizzozero, un certain nombre d
achten Gebilcle im Gehirn des Henschen und der Saugethicrc. Recueil
GANGLIONS
INPB1COR'l'I( : AUX : COUCHE OPTIQUE. 391 zoolo
86. - Wernicke. Lehrbuch der Gehirn krunkheiten, Bd. 1881, p. 79.
Ganglion
de l'habenula. -Ganglion iuterpëdonculaire. Cajal
der Gehirn krunkheiten, Bd. 1881, p. 79. Ganglion de l'habenula. -
Ganglion
iuterpëdonculaire. Cajal. Bs<)'uc<M)'a del
'habenula. -Ganglion iuterpëdonculaire. Cajal. Bs<)'uc<M)'a del
ganglion
de la habenula de los Mamiferos. Anales de la S
téléostéens. La Cellule, t. X, 1893. - GULDEN. Mittheilung ùbea das
ganglion
iiiteipedtincitlai-e. Arch. f. Psych., Bd. XI, 18
linaison de sa base que les coupes horizontales, qui passent par la
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 39 : 3 pa
t le dense feutrage de fibres qui sillonne la moitié ventrale de ce
ganglion
et n'est en réalité que la partie inférieure, é
ure, épaissie, de ce feutrage. Les faisceaux thalamique et lenticu-
GANGLIONS
1\rR.ICOR'l'ICAU\ : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 393 la
e fais- Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
GANGLIONS
IFRACOUTfCAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 397 ceau t
- Zi, zona in- rerta. Zn, zone réticulée. - ? bandelette optique.
GANGLIONS
1NII1ACORTICAU1 : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 399 p. 3
c les fibres strio-luysiennes, puis abordent le corps de Luys, dans
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 401 leque
e de la méthode de Marchi dans quelques cas de lésions destructives
GANGLIONS
INFRACORTICAU : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 403 du noy
exus choroïdes : sa ligne d'arrêt correspond au tiL'nia thalami, tu
ganglion
de l'habenula et à la face supérieure de la gland
on épaisseur n'est pas partout la même : mince sur la ligne médiane
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 403 de la
ant de chaque côté sur la lame terminale embryonnaire, on trouve le
ganglion
sus-optique de Lenhossek, qui se fusionne avec
nereum en arrière du chiasma, et que Meynert désigna sous le nom de
ganglion
optique basal. En avant du tubercule mamillaire
nereum (Lenhossek), éminences latérales hypencéphaliques (Retzius),
ganglions
optiques basaux (Kulliker). Un diverticule du t
partiennent aux radiations olfac- tives profondes ou aux fibres des
ganglions
du tuber cinereum. Ses amas ganglion- naires.
s, mais Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrièr,
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 407 conti
one qui s'y entre-croisent; par des fibres directes et croisées des
ganglions
interne, externe et accessoires des tubercules
pied du pédoncule cérébral; Darkschewitsch et Pribytkow la mettent
GANGLIONS
INFRA CORTICAUX : REGION SOUS-OPTIQUE. 409 en c
rsqu'on sectionne, chez le chat, la bandelette optique et la partie
GANGLIONS
INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 411 adjac
rveuses périphériques et disséminées, non groupées en couches ou en
ganglions
, profondément enclavées entre les cellules épit
, 1, Fig. 327) ; ils sont reliés au cerveau moyen par le système du
ganglion
de l'habenula (Gh) : faisceau septo-thalamique
ami puis s'arborisent dans la partie moyenne du thalamus et dans le
ganglion
de l'habenula (Gh). Du ganglion de l'habenula l
rtie moyenne du thalamus et dans le ganglion de l'habenula (Gh). Du
ganglion
de l'habenula le courant sensoriel olfactif est
t (FM) (neurone de lye ordre) ; puis aux fibres (ve neurone) que le
ganglion
inter-pédonculaire envoie aux noyaux de Gudden
fornix transversus, ou commis- sure psalterienne du trigone. - GGd,
ganglion
dorsal de la calotte de Gudden. - GGp, ganglion
du trigone. - GGd, ganglion dorsal de la calotte de Gudden. - GGp,
ganglion
profond de la calotte de Gudden. Gip, ganglion in
te de Gudden. - GGp, ganglion profond de la calotte de Gudden. Gip,
ganglion
interpédonculaire. - Gh, ganglion de l'habenula
ond de la calotte de Gudden. Gip, ganglion interpédonculaire. - Gh,
ganglion
de l'habenula. - If, circonvolution de l'hippocam
ans son intérieur et concourt il former les lames médullaires de ce
ganglion
. Une partie des fibres s'y termine ; une autre
voi- sinage. Quelques rares fibres tapissent la surface libre de ce
ganglion
, la plupart s'enfoncent dans sa profondeur ou s
Les deux segments de l'appareil visucl se réunissent donc dans les
ganglions
de la base du cerveau (corps genouillé externe, p
vinar et se rendraient par la com- missure interhabénulaire dans le
ganglion
de l'habenula croisé. De là, les impulsions pup
méthode de Marchi, nous n'avons jamais constaté de dégénération du
ganglion
de l'habenula croisé après énucléation d'un seu
\'o-m 0 ll'ices , d'origine sympa- thique; elles proviendraient du
ganglion
ciliairc, du ganglion cervical supérieur et du
rigine sympa- thique; elles proviendraient du ganglion ciliairc, du
ganglion
cervical supérieur et du cordon sympathique, se
dans le chiasma; elles se comporteraient donc comme les libres des
ganglions
rachidiens. Leur origine dis- cutée. Les co
tuées de chaque côté de la commissure postérieure appartiennent aux
ganglions
de l'habenula. - em, échancrure marsupiale. - e
r. xl<', entre-croisement ventral de la calotte de Fore). - Gip,
ganglion
inter-pédonculaire. - Ln, locus niger. - NI, no
lion- naire situé sur le trajet du pédoncule cérébelleux supérieur (
ganglion
du pédoncule cérébelleux supérieur). Il occup
du vermis de nombreuses fibres qui participent à la Fig. 365. - Les
ganglions
centraux (noyau du toit, embole, olive cérébelleu
d'une couche d'épaisseur inégale, qui régularise les contours de ce
ganglion
el dont toutes les fibres sont for- tement colo
médian les fasci- cules aberrants de la voie 'pédonculaire. - G1ZJ,
ganglion
inter-pédonculaire. - Le, locus ceruleus. - ive
al postérieur. - FPoa, fibres protubérantielles antérieures. - Gip,
ganglion
interpédonculaire. - Le, locus coeruleus. - NI, n
res, d'obliques quelles étaient, deviennent verticales, abordent le
ganglion
du tubercule quadrijumeau postérieur (GQp) par
ntre-croisement ventral de la calotte pédonculaire de Forel. - Gip,
ganglion
interpédonculaire. - Ln, locus mger. - NI, noya
issant dans la région du trou borgne pédonculo-proLubérantiel. - Gih,
ganglion
inter pédonculaire. - Le, locus cteruleus. NI,
araît comme une bande compacte de fibres qui s'étend du raphé et du
ganglion
inter-pédonculaire (Gip) au sillon latéral de l
es antérieures. - FPop, fibres protubérantielles postérieures. - Gip,
ganglion
interpédonculaire. - Le, locus coeruleus. Ncs,
ATIERES. TABLE DES MATIÈRES. TABLE DES MATIERES. CHAPITRE VII
GANGLIONS
SIN F H AC 0 1\ T J C A U X : CORPS STRIÉ, COUCHE
rps quadrijumeau antérieur et du pulvinar de la couche optique. Ces
ganglions
fournissent une grande partie des radiations sagi
rtie dorsale ou supé- rieure de ce faisceau renferme, au niveau des
ganglions
de la base, des fibres de projection, mais la p
al dans la partie supérieure de son segment vertical (au niveau des
ganglions
de la base) proviennent, selon Starokotlitzki,
Redlich, un faisceau de projection et assure les connexions entre les
ganglions
sous-corticaux et l'écorce des circonvolutions
tale interne. Il est certain que, dès que l'on aborde la région des
ganglions
de la base et des divers segments de la capsule
e reconnaît aucune disposition nettement déterminable au niveau des
ganglions
de la base ; il est en effet dissocié par toute
isement qui s'accentue au sur et à mesure que l'on se rapproche des
ganglions
de la base. Peu appréciable dans la région temp
ontinue sur toute l'étendue comprise entre le pôle occipital et les
ganglions
de la base ; enfin, au niveau du carrefour ventri
Cajal (alcool-ammoniaque et argent réduit), appliquée à l'étude des
ganglions
et des racines des tabétiques,1 permet de const
; 2° les curieux phénomènes de régénération qui se passent dans les
ganglions
et dans les racines postérieures pendant toute
sulaires et intracapsulaires,découvertes par Ramon y Cajal dans les
ganglions
rachidiens à l'état normal ; nous verrons que c
nt par la méthode de Cajal. Nous verrons aussi qu'il existe dans le
ganglion
une vigoureuse repousse de fibres assendantes des
deux nerfs radiculaires de la : 1. r8 paire sacrée ainsi que leurs
ganglions
, ont seuls été recueillis ; le droit a été étudié
ques gonflements de cylindraxes très discrets, et il n'y a, dans le
ganglion
, pas plus de massues d'accroissement qu'à l'état
la suit également sur les fibres radiculaires qui pénètrent dans le
ganglion
, mais de ce côté on la perd bientôt. Malheureus
re, distincte de celle qui a produit les massues visi- bles dans le
ganglion
, mais cette hypothèse est peu vraisemblable. Je r
témoigne la présence de massues de régénération abondantes dans le
ganglion
, les cylindraxes ne présentent que des traces ins
lements analogues dans le nerf sensible périphérique à sa sortie du
ganglion
; 3° elle se retrouve avec la même topographie et
racines postérieures et massues de croissance encapsulées dans les
ganglions
rachidiens et dans la substance grise de la moe
substance grise de la moelle. La néoformation de fibres dans les
ganglions
et dans les racines posté- rieures des tabétiqu
s pu élucider. Sur les coupes transversales et longitudinales des
ganglions
et des nerfs radiculaires les régénérations app
portion ex- tra-capsulaire de l'axone, dans la substance blanche du
ganglion
. Elles sont manifestement attirées par la moell
ombre d'entre elles s'engagent ; mais la plupart ne quittent pas le
ganglion
, et leurs massues terminales s'accumulent à son e
mes et se F1G, 1. - Massues terminales de la substance blanche d'un
ganglion
, avec leurs capsules nucléées, dans un cas de t
este à étudier la répartition de ces formations dans l'intérieur du
ganglion
et des racines, qui est fort intéressante. D'une
ns le tabes incipiens, on les voit monter vers le pôle supérieur du
ganglion
, où elles s'accumulent; le pôle inférieur en es
nt dans la portion de la racine postérieure la plus rappro- chée du
ganglion
; mais, bien que les espaces conjonctifs paraissen
assues rétrogrades ne sont même pas plus nombreuses qu'au centre du
ganglion
, loin du foyer inflam- matoire. Le seul fait qu
cine postérieure, qui en contient toutefois infiniment moins que le
ganglion
. Je n'ai pas pu préciser exactement jusqu'à que
contrer, mais il doit être exceptionnel. Pour compléter l'étude des
ganglions
tabétiques j'indiquerai que les cellules nerveu
rit des massues qui ont même forme, même aspect que les massues des
ganglions
rachidiens, sauf l'absence de capsule, et qui t
ues sont des néoformations ; il est non moins évident que, dans les
ganglions
des tabétiques, cette production de fibres nouvel
les partagent d'ailleurs ce caractère avec les boules norma- les du
ganglion
et de la substance grise de la moelle, dont nous
rien- tation des massues et leur accumulation au pôle supérieur des
ganglions
. Quant aux massues qui existent dans la substan
ns, il existe déjà de nombreuses mas- sues de régénération dans les
ganglions
(1). Régénération collatérale à l'état normal.
très abondante néoformation de fibres terminées en massue dans les
ganglions
; la régénération est encore à une phase peu avan
'existe que peu de massues dans les fascicules du pôle supérieur du
ganglion
; par contre les massues sont extrêmement abondan
tain que ces formations n'appartiennent pas aux seules cellules des
ganglions
; les recherches ultérieures montreront sans dout
génération collatérale normale, qui s'observe facile- ment dans les
ganglions
rachidiens et sympathiques de l'homme et des an
on collatérale pathologique peut être étudiée faci- lement dans les
ganglions
rachidiens des tabétiques, où elle tend à sup-
raphie d'une portion de substance blan- che au pôle supérieur du 4"
ganglion
lombaire ; massues de croissance. Méthode de Ca
al. Fig. 1. - Obs. III (tabes incipiens). Coupe longitudinale du 4°
ganglion
lombaire et de son nerf radiculaire ; accumulat
XXXIV, fig. 1 (figure demi-sché- matique). Fig. 2. Même cas, même
ganglion
; répartition des lésions cylindraxiles dans les
ipiens). Trois massues de croissance dans la substance blanche d'un
ganglion
sacré. L'une d'elles termine une fibre dont on vo
apsules des massues. Fig. 7. - Obs. II (tabes avancé). Cellule d'un
ganglion
sacré. Le cylindraxe fenêtre, part de la cellul
upe longitudinale d'un fascicule radiculaire au pôle supérieur d'un
ganglion
sacré. Très nombreuses fibres néoformées ; plusie
ous rendre compte de l'influence que pouvaient avoir sur l'état des
ganglions
spi- naux, des nerfs cutanés et des sympathique
ement après leur sortie de la dure-mère, à une certaine distance du
ganglion
, lequel n'a jamais été découvert. Chez le chat
estés toujours, plus encore qu'à la région thoracique, très loin du
ganglion
spinal. Les sutures ont été faites sur trois pl
fixée l'extrémité supérieure des filets radicu- laires attenant aux
ganglions
, filets qui avaient gardé à peu près leur colora-
les .chiens X et XI, sacrifiés au 15e jour), nous avons prélevé les
ganglions
spinaux correspondant aux racines section- nées
lions spinaux correspondant aux racines section- nées ainsi que les
ganglions
symétriques. (1) Joseph, Zur Physiologie der sp
vons pris spécialement.les nerfs efférents du pôle périphérique des
ganglions
, avant leur fusion avec la racine anté- rieure.
Nous verrons ultérieurement la technique utilisée pour l'étude des
ganglions
spinaux. Examens des nerfs périphériques. Ava
érieures, Benucci examinant le nerf sortant du pôle périphérique du
ganglion
, le trouva atrophié. Dans un cas seulement sur
ts le prolongement de la racine postérieure au pôle périphérique du
ganglion
de même que les nerfs cutanés. Presque en même
4. 302 ROUX ET HEITZ dégénérations des nerfs périphériques et des
ganglions
consécutives à la section expérimentale des rac
PÉRIMENTALE DES RACINES POSTERIEURES 305 Examens des cordons et des
ganglions
sympathiques. L'influence de la section des rac
vées dans le sympathique. Elles ne dégénèrent qu'après ablation du
ganglion
spinal, ce qui prouve bien qu'elles sont origin
inal, ce qui prouve bien qu'elles sont originaires des cellules de ce
ganglion
(J.-Ch. Roux) (2). Le cordon sympathique du côt
du côté gauche dans son trajet intra-dural). La coupe représente le
ganglion
au voisi- nage du pôle médullaire. A droite de
sse, Obj. 4,ocul. I, Sliassnié). Fio. 2. Coupe longitudinale du 1er
ganglion
sacré droit (même observation, chat adulte, la
, la racine postérieure correspondante est restée normale). Région du
ganglion
à peu près analogue à celle représentée 6gaz Le
sissement). Fio. 3. Détail à plus fort grossissement de la coupe de
ganglion
représentée figure 1. On voit sur cette figure
t la fragmentation (Obj. 7, ocul. 2). Fic. 4. Détail de la coupe de
ganglion
représentée figure 2, pour servir de compa- rai
nt normaux (obj. 7, ocul. 2). FiG. 5. - Coupe transversale du 10*
ganglion
thoracique droit (observ. V, chat adulte, sacri
durai). La coupe est située aux environs de la por- tion moyenne du
ganglion
. Les cellules sont normales en nombre, dimensions
me technique, obj. 4, ocul. 2). FiG. 6. Coupe transversale du 10,
ganglion
thoracique gauche (même observation, la racine
t 11e n'ont montré au total qu'une seule fibre dégénérée (1). Les
ganglions
semilunaires, examinés chez les deux animaux I et
t intéressant à noter chez le chat I, où les fibres afférentes à ce
ganglion
étaient partiellement lésées. Il semble donc ré
sur l'état des cellules ganglionnaires sous-jacentes. ' Examens des
ganglions
spinaux. L'état histologique des ganglions spin
acentes. ' Examens des ganglions spinaux. L'état histologique des
ganglions
spinaux après section des racines posté- rieure
concluait que lorsque l'opération avait été pratiquée assez loin du
ganglion
et sans trop grands délabrements anatomiques, l
z loin du ganglion et sans trop grands délabrements anatomiques, le
ganglion
restait indemne de toute altération. Mêmes cons
es animaux sacrifiés au 5° mois. En 1883, Vegas (3), opérant sur le
ganglion
jugulaire et la 2e cervicale, puis en 1887, Jos
t de l'existence dans les rami de fibres fines à myéline issues des
ganglions
sympathiques et se diri- geant vers la moelle p
oc. cit. (5) LUGARO, Sur les altérations des cellules nerveuses des
ganglions
spinaux à la suite de la section de la branche
die patolog. nerv. mentale, 1896. , 308 ROUX ET HEITZ dans les
ganglions
, aucune altération cellulaire (fixation sublimé,
t de 14 jours, et l'ayant sa- crifié 4 mois plus tard, nota dans le
ganglion
correspondant à la racine section- née, une rar
ièrement intense au pôle médullaire et le long du bord dorsal et du
ganglion
. A la place des cellules disparues s'étendait d
de chromatolyse fine ou en amas dans un grand nombre de cellules du
ganglion
, chromatolyse portant habituellement sur tout l
t à la place occupée par les cel- lules disparues, et l'ensemble du
ganglion
paraissait légèrement réduit de vo- lume. Quant
plus considérable. Sa technique histologique consistait à fixer les
ganglions
par le réactif de Van Gehuchten, et à colorer au
iforme de ses éléments peuvent se voir également des deux côtés; le
ganglion
spinal contiendrait à l'état physiologique un c
jusqu'entre les éléments normaux. Comme Kleist, Koster considère le
ganglion
comme de volume réduit dans son ensemble. Les l
n'y avait même pas un degré identique de lésion dans les différents
ganglions
du même animal. Au sujet des lésions des fibres
ne croit pas à une influence directe de l'acte opéra- toire sur le
ganglion
, n'ayant jamais aperçu ce dernier dans aucune de
retrouvé ultérieurement qu'un peu d'épaississement de la capsule du
ganglion
. Il admet avec Kleist que les différences entre s
nes postérieures déterminait des modifications des cellules, et des
ganglions
spinaux, lorsqu'on laissait vivre les animaux ass
as (obs. I et V), comme dans les expériences de Küster, sans que le
ganglion
ait été approché. Chez les autres animaux, nous
glions, et nous avons noté aux autopsies dans tous les cas que les
ganglions
n'avaient pas été compris dans les adhérences c
n'avaient pas été compris dans les adhérences cicatricielles. Les
ganglions
prélevés ont été, en partie, fixés par l'alcool f
rsales selon les cas, mais toujours dans le même sens pour les deux
ganglions
de la même paire. Nous n'avons pas recherché pa
et Hauser (2), que la méthode de Nissl ne peut pas fournir pour le
ganglion
spinal des résultats aussi concluants que pour la
médicale, 18 avril 1906. (2) Thomas ET Hauser, Les altérations du
ganglion
rachidien chez les labétiques. Nouv. Iconog. de
e générale, nous n'avons jamais remarqué de diminution de volume du
ganglion
. Nous n'y avons jamais remarqué non plus d'augmen
côtés, et nous n'avons jamais constaté de zones dépeuplées dans les
ganglions
du côté opéré. Il est d'ailleurs aisé de se rendr
est d'ailleurs aisé de se rendre compte de l'identité d'aspect des
ganglions
symétriques d'après les figures 1 et 2 de la pl
s 1 et 2 de la planche XLV III (coupes longitudinales des premie rs
ganglions
sacrés gauche et droit du chat IV survie 382 jo
es figures 5 et 6 de la même planche (coupes transversales des 10es
ganglions
thoraciques droit et gauche du chat V, survie 3
e l'ont bien vu tous les auteurs qui ont travaillé l'histologie des
ganglions
spinaux, aux rétractions du corps cellulaire dans
aire. Nous avons remarqué cependant sur quelques préparations du 2e
ganglion
sacré gauche (chat IV), une ou deux cellules d'
ules sont extrêmement rares, et en examinant les coupes en série du
ganglion
symétrique du côté sain, nous avons pu y retrou
Marinesco (1) a déclaré qu'il était rare de ne pas trouver dans les
ganglions
spinaux quelques cellules altérées, reliquat de
le différence réelle que nous avons pu trouver entre les coupes des
ganglions
du côté opéré et de ceux du côté sain, a été, che
res éga- lement tout à fait normales du pôle périphérique des mêmes
ganglions
. La pré- sence de ces fibres dégénérées indique
tion expérimentale a bien porté sur les racines correspondantes à ces
ganglions
. -Retenons donc ce fait intéressant qu'après un
il était impossible de trouver de différence appréciable entre les
ganglions
du côté opéré et les glanglions du côté témoin.
int à les mettre en évidence au 9° et au 46° jour sur des coupes du
ganglion
jusqu'au voisinage du pôle périphérique de ce d
de dégénérescence allant en diminuant d'intensité de la section au
ganglion
. La description de Koster nous montre, au March
e revêtaient l'aspect que nous avons déjà étudié sur les coupes des
ganglions
spinaux (voir le dessin des dissociations, fig.
rale, s'engageaient dans les racines postérieures et traversant les
ganglions
sans s'y arrêter, passaient enfin dans "les ner
sme opératoire. Dans une seconde série d'expériences, il réséqua le
ganglion
spinal. Au 33e jour, il existait dans le bout m
centripètes. FiG. 8 et (obs. X). - Dissociation du nerf efférent du
ganglion
, continuant la racine postérieure, au niveau de
vre ces fibres centrifuges dégénérées jusqu'au pôle périphérique du
ganglion
spinal. Plus récemment ni Kohnstamm (1), ni Kle
dégénérées que nous avons pu suivre jusque dans le nerf efférent du
ganglion
un peu avant sa fusion avec laracine antérieure
peuvent se trouver dans la partie de la racine com- prise entre le
ganglion
et le niveau de la section. Il faudrait admettre
llulaire lui-même, et ceci d'autant plus que l'examen des coupes du
ganglion
nous a montré leur conservation normale (2).
me grossissement). 1 cc. 7 à 9. - Dissociations du bout attenant au
ganglion
de la 2° racine sacrée posté- rieure gauche (ob
ême grossissement). FIG.f1 et 12. Dissociations du bout attenant au
ganglion
de la même racine, Ire sacrée postérieure gauch
années. Sans doute, Guizetti, Dinkler, Maragliano consi- dèrent les
ganglions
spinaux comme habituellement intacts dans le tabe
. f. allg. Path., 1894. (5) Thomas et IIAUSGR, Les altérations du
ganglion
rachidien chez les tabétiques. Nouv. Iconogr. S
sont habituel- lement indemnes (Dejerine) (1). Le nerf efférent du
ganglion
est toujours intact (Thomas et Hauser) (2), quo
stérieures détermine des altérations des nerfs périphériques et des
ganglions
tout à fait semblables à celles du tabes, et qu
les retrouver sous forme dé boules éparses dans le nerf qui sort du
ganglion
pour fusionner avec la racine antérieure. 2° La
mence à dégénérer suivant un processus rétrograde. Les cellules des
ganglions
spinaux, que certains auteurs ont décrites, à c
térieures gauches. - Survie 247 jours. - Intégrité des cellules des
ganglions
spinaux ; dégénérescence partielle du cordon symp
ophiés. Les racines antérieures sont intactes. Nous prélevons les
ganglions
spinaux correspondant aux trois racines section-
rdons sympathiques au-dessus de la dernière racine sectionnée ; les
ganglions
semilunaires ; les trois nerfs intercostaux (tron
mifications cutanées), des deux côtés. Examens HISTOLOGIQUES. - Les
ganglions
spinaux droits sont examinés sur coupes colorée
igmentées et quelques-unes en état de chromato- lyse partielle. Des
ganglions
gauches (côté opéré) les deux premiers ont été ex
res altérations cellulaires ne se distinguant en rien de celles des
ganglions
droits. Pas d'atrophie ni de raréfaction des cell
fication des capsules endothéliales ni du tissu interstitiel. Le 3e
ganglion
thoracique fixé à l'acide osmique, coloré au carm
s (soit un déficit de 69 grosses fibres et 678 fibres fines). Les
ganglions
semilunaires ne présentaient pas d'altérations no
s, du côté gauche. - Survie 212 jours. - Intégrité des cellules des
ganglions
spinaux; figures de dégénérescence wallériennedan
bout inférieur des racines posté- rieures sectionnées aboutit au 2°
ganglion
sacré et aussi sans doute au 3-. Nous prélevons
° ganglion sacré et aussi sans doute au 3-. Nous prélevons les deux
ganglions
spinaux corresoondants de chaque côté ; SECTION
et de la cuisse, les nerfs de la queue. Examens histologiques. Les
ganglions
spinaux (Nissl, hématoxyline- éosine) présenten
sacrées posté- rieures gauches. - Survie 252 jours. - Intégrité des
ganglions
spinaux ; nombreuses fibres dégénérées dans les
Les racines antérieures sont intactes. Nous prélevons les 2e et 3e
ganglions
sacrés des deux côtés, et dissé- quons, symétri
t des jambes, à la région plantaire. Examens iustologiques. - Les
ganglions
spinaux, examinés au Nissl et à l'hématéine-éos
sectionnées ; fibres efférentes normales au pôle pétiphé1 igue des
ganglions
; nombreuses fibres régénérées dans le bout médu
enlevées et fixées par le sublimé-osmique. L'extrémité attenant aux
ganglions
de ces mêmes racines est également prélevée dan
nes antérieures sont vérifiées intactes. Nous prélevons aussi le 5e
ganglion
lombaire et les trois premiers gan- glions sacr
e la jambe et de la plante de la patte. Examens IrISTOLOGIQUES. Les
ganglions
spinaux des deux côtés, ont été coupés dans le
anche XLVIII, montre une portion de la coupe longitudi- nale du ler
ganglion
sacré gauche. On distingue à la droite de la figu
la racine antérieure normale. Les fibres à myéline del'intérieur du
ganglion
sont en majorité saines, mais entremêlées de fibr
s postérieures, prolongements cen- traux des cellules bipolaires du
ganglion
. Ces altérations des fibres myélinisées n'ont é
élinisées n'ont été constatées que sur les coupes des deux premiers
ganglions
sacrés du côté gauche. Il a été impossible de t
ver des figures de dégénérescence au niveau du pôle périphérique du
ganglion
, où les fibres efférentes apparaissent comme tout
1 avec la figure 2, laquelle représente une coupe longitudinale du
ganglion
symétrique du côté droit, orientée de la même ma-
oisie comme celle du côté gauche, au niveau de la partie moyenne du
ganglion
sectionné. L'examen de chacune des 4 paires de
oyenne du ganglion sectionné. L'examen de chacune des 4 paires de
ganglions
ne montre aucune différence du nombre ni de la
utre. Nous devons constater seulement que sur quelques coupes du 2e
ganglion
sacré gauche, nous avons pu relever en tout 2 o
corps manifestement rétracté. En examinant avec soin les coupes du
ganglion
symé- trique, nous avons dû constater, du côté
ostérieures ont été examinées par dissociation. Le bout attenant au
ganglion
(tig. 11 et 12 de la planche L), présentait beauc
rnative- ment, que nous leur avons vu dans l'intimité des coupes du
ganglion
. Elles étaient aussi fragmentées par places. A
ures, du côté droit. - Survie 338 jours. Intégrité des cellules des
ganglions
spinaux des deux côtés, avec dégénérescence rétro
scence rétrograde partielle des fibres à myéline sur les coupes des
ganglions
droits ; intégrité des splanchniques el des gan
es coupes des ganglions droits ; intégrité des splanchniques el des
ganglions
semi-lunaires, zone de raréfaction des fibres f
s, et que les racines antérieures sont normales. Nous prélevons les
ganglions
thoraciques 10e et 41e des deux côtés, les nerfs
la section et au-dessus de celle-ci des deux côtés, enfin les deux
ganglions
semilunaires. Nous prélevons du côté droit, com
des rameaux cutanés issus de ces nerfs. Examens IIISTOLOGIQUES. Les
ganglions
spinaux ont été examinés sur coupes transversal
ntral jusqu'au pôle périphérique. L'examen comparatif des coupes du
ganglion
droit (côté des racines section- nées), et du g
es coupes du ganglion droit (côté des racines section- nées), et du
ganglion
gauche (côté sain), n'a montré aucune différence
d'atrophie. Sur les coupes de la racine postérieure au voisinage du
ganglion
nous avons pu vérifier que sur cet animal comme
lasmique. Nous avons pu suivre ces fibres malades sur les coupes du
ganglion
droit, moins facilement que chez l'animal IV, vu
Survie 77 jours. Intégrité des cellules et des fibres à myéline des
ganglions
correspondants ; dans les racines posté- rieure
cilement le bout inférieur des racines sectionnées, aboutissant aux
ganglions
. L'extrémité mé- dullaire de ces racines se voi
aussi les racines symétriques du côté droit et les deux pre- miers
ganglions
sacrés de chaque côté. Enfin nous disséquons de
postérieure de la cuisse et de la jambe. Examens HISTOLOGIQUES. Les
ganglions
spinaux des deux côtés ont été fixés au sublimé
, on ne distingue aucune sorte d'altération cellulaire spéciale aux
ganglions
du côté gauche (côté opéré). On note sur quelqu
ées, et ratatinées d'une manière manifeste. Il existe donc dans ces
ganglions
quelques cellules en voie d'atrophie comme celles
e celles que nous avions remarquées, très rares également, dans les
ganglions
du chat IV. Nous n'avons rencontré, sur les cou
es ganglions du chat IV. Nous n'avons rencontré, sur les coupes des
ganglions
du côté droit, non plus que sur les coupes de l
ches. - Survie 97 jours. - Intégrité des cellules et des fibres des
ganglions
spinaux correspondants ; persistance de fibres à
e la cuisse et du genou, des deux côtés. Examens histologiques. Les
ganglions
spinaux, traités par le sublimé- osmique, puis
e fibres dégénérées, lesquelles se retrouvent dans nerf efférent du
ganglion
, avant sa réunion avec la racine antérieure. Qu
ajet intradural. . D'autre part, nous suivons ces racines jusqu'aux
ganglions
correspondants, et nous prenons séparément la p
nons séparément la portion extradurale de la racine postérieure, le
ganglion
, et le nerf efférent de ce ganglion avant sa réun
le de la racine postérieure, le ganglion, et le nerf efférent de ce
ganglion
avant sa réunion à la racine anté- rieure, pour
se retrouvent enfin, aussi nombreuses, dans les nerfs efférents des
ganglions
3e, 4° et 5e sacrés, avant leur réunion aux racin
ées ; présence des fibres fines dégénérées dans le nerf efférent du
ganglion
. - Chien de 11 kilos, opéré le 10 mai 1906 (chl
s (côté gauche). On prélève également les racines postérieures, les
ganglions
et le nerf efférent du pôle périphérique de ces
ures, les ganglions et le nerf efférent du pôle périphérique de ces
ganglions
. Les racines sectionnées paraissent avoir été c
t 5e raci- nes dorsales postérieures gauches, entre la moelle et le
ganglion
. L'animal se rétablit sans paralysie. Autopsi
mps il portait une ulcération syphilitique au pharynx, il avait les
ganglions
indurés et de la périostite du tibia droit. L'a
dis- parition de leur fonctionnement spécifique. Cerveau, moelle,
ganglions
du grand sympathique, corps thyroïde. Ces diffé
ullaire. L'une des racines posté- rieures a été sectionnée entre le
ganglion
et la moelle. L'examen micros- copique de la ci
e toutes ces massues, mt, mt', mt", mt ? nZt ? mi ? se dirigent des
ganglions
vers la moelle, il n'y a que la massue,mh. qui
é sur les muscles, les nerfs périphériques, les troncs nerveux, les
ganglions
, les racines nerveuses et la moelle. 1° Muscles
lions rachidiens, également par la méthode de Pal. Les coupes du 5°
ganglion
cervical 2° ganglion dorsal 2° lombaire montrent
lement par la méthode de Pal. Les coupes du 5° ganglion cervical 2°
ganglion
dorsal 2° lombaire montrent : Atrophie très con
bsolument normales, avec gaines de myéline très bien colorées. 4°
Ganglions
. Les cellules des ganglions rachidiens, étudiés p
nes de myéline très bien colorées. 4° Ganglions. Les cellules des
ganglions
rachidiens, étudiés par le Nissl et le carmin,
ons postérieurs : la dure-mère ne présente aucune altération. Les
ganglions
rachidiens sont très notablement hypertrophiés. -
uelque sorte gigantesques : le grand sympathique cervical (avec ses
ganglions
) et le pneu- mogastrique atteignent des dimensi
cine lombaire an'érieure droite à égale distance de la moelle et du
ganglion
. Color. par l'hématoxyline-éosine. NÉVRITE INTE
les racines antérieures et les racines postérieures au voisinage du
ganglion
rachi- dien. C'est ainsi qu'immédiatement au-de
on rachi- dien. C'est ainsi qu'immédiatement au-dessus du cinquième
ganglion
lombaire gauche, alors que les fibres radiculai
ux de la racine antérieure au voisinage de la moelle. Au-dessous du
ganglion
l'aspect de la racine postérieure se rapproche da
t plus jeunes qu'on se rapproche davantage des centres ner- veux.
Ganglions
rachidiens. Le nombre des cellules est légèreme
E HYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 493 L'hypertrophie des
ganglions
est due uniquement à l'augmentation de volume d
ment à l'augmentation de volume des fibres qui les traversent. Le
ganglion
sympathique cervical moyen, très hypertrophié, pr
la dure-mère périradiculaire ; parfois cependant, elle envahit les
ganglions
spinaux. La moelle peut être atteinte de différ
péritoine, mais sans tuberculose, non plus qu'aux poumons. L'un des
ganglions
trachéo-bronchiques, du volume d'un haricot, prés
pendant toute l'évolution. Autopsie. Tuberculose pulmonaire et des
ganglions
trachéo-bronçhiques ; caverne tuberculeuse des
rs cylindres-axes, sclé- rose variable d'une racine à l'autre ; les
ganglions
présentent des cellules en chromatolyse. Dans l
uleuse rapidement mortelle. Autopsie. Tuberculose pulmonaire et des
ganglions
trachéo-bronchiques. Méningite cérébro-spinale
r leur siège et leur intensité, avec les lésions des racines. Les
ganglions
spinaux n'ont pu être examinés que dans un trop p
vait soigneusement séparées du faisceau longitudinal) destinées aux
ganglions
infracorticaux. » Il ressort de tout cela que l
ié- tales postéro-inférieures et les circonvolutions temporales aux
ganglions
infra- corticaux (de la région sous-optique du
l ? le ramollisement ne s'étend dans la profondeur qu'au niveau des
ganglions
de la base, où il atteint la couche sagittale ext
ouche sagittale externe occipitale, il s'agit soit d'une lésion des
ganglions
infracorticaux, soit d'un foyer profond des régio
ccipitales également belles, et en plus de décoloration intense des
ganglions
correspondants. Mais, ce qu'il est difficile de c
; elle acquiert de par le fait, une certaine ressemblance avec les
ganglions
rachidiens et crâniens (ganglions de Gasser, ga
ne certaine ressemblance avec les ganglions rachidiens et crâniens (
ganglions
de Gasser, ganglions acoustiques, cellule olfacti
nce avec les ganglions rachidiens et crâniens (ganglions de Gasser,
ganglions
acoustiques, cellule olfactive). Bref, la rétine
mier neurone, le type moteur (centre cortical) et le type sensitif (
ganglion
cérébro-rachidien). Nous n'avons pas l'intentio
t, les éléments superposés ressemblent aux formations nerveuses des
ganglions
crâniens ou aux arborisations périphériques. La
La cellule bipolaire est certaine- ment l'analogue des cellules des
ganglions
acoustiques ; les cônes et bâtonnets rappellent
nakow, environ 80 0/0 des fibres rétiniennes. Nous croyons que ce
ganglion
primaire de la vision représente un ensemble fo
e fonctionnel, qu'il est comme la rétine une formation atypique, un
ganglion
composé. Il correspond (au point de vue de notr
e létino-quadrigémi- nal affecte, cependant, des relations avec les
ganglions
de la base et présente des caractères morpholog
ique. On sait que le lobe occipital envoie de nombreuses fibres aux
ganglions
in- fracorticaux : corps genouillé externe, cor
is, le nerf optique étant sensoriel, il est préférable de comparer le
ganglion
visuel central au noyau acoustique ventral (ner
ces faits, dans un travail ultérieur. Enfin, nous avons vu que ce
ganglion
optique primaire est le point de dé- part d'un
s de la bandelette optique s'enche- vêtrent tellement au niveau des
ganglions
de la base qu'il est impossible de préciser le
Quoi qu'il en soit, toutes les fibres optiques se terminent dans les
ganglions
primaires de la vision et nous croyons que le c
culaires qui s'entrecroisent de nouveau et vont s'irradier dans les
ganglions
corres- pondants du côté opposé; des libres gen
des fascicules aberrants, mais elle ne reçoit aucun contingent des
ganglions
de la base ou des noyaux du tronc encéphali- qu
ux; des lésions des cellules de la moelle, l'atrophie scléreuse des
ganglions
rachidiens. Dans le cerveau, il observe des lés
céreuse dans les 400 trous de conjugaison lombaires, comprimant les
ganglions
et les racines de la 40 paire lombaire. Le noyau
lobuleuses, leurs prolongements, ont disparu. Nous avons examiné le
ganglion
rachidien de la 5° paire dorsale. A son inté- r
ur, quoiqu'il nous manque malheureusement la preuve des lésions des
ganglions
intracardiaques et du tronc du pneumogastrique, q
e dégénérescence bien nette des racines postérieures ainsi que d'un
ganglion
radiculaire, lésions que tous les auteurs qui l
60 par jour. A ce moment le malade fut pris d'un adénophlegmon d'un
ganglion
sous- maxillaire, et maigrit notablement. Mais
bétique ? Se trouve-t-il dans la moelle, sur les racines ou dans le
ganglion
rachidien- ? . Dans un précédent travail (1), nou
abes nous avons incidemment signalé des altérations cellulaires des
ganglions
rachidiens ; nous nous étions en effet attachés
la publication de ces premiers faits, nous avons repris l'étude des
ganglions
rachidiens des tabétiques, mais cette fois, en no
l'avons-nous exclusivement employée. - Nous avons examiné quelques
ganglions
sur des coupes perpendiculai- res à l'axe, mais
ns une vue d'ensemble le racines à leur entrée et à leur sortie des
ganglions
, et d'apprécier l'état des cellules nerveuses,
édianes qui sont les plus proches des racines à leur entrée dans le
ganglion
(pôlecentral ou médullaire); les cellules du pOle
entielles et médianes les plus proches des racines à leur sortie du
ganglion
. Nous verrons plus loin que cette distinction n
quelques rares exceptions, restées négatives en ce qui concerne les
ganglions
spinaux et la plupart des au- teurs ont proclam
spinaux et la plupart des au- teurs ont proclamé que la cellule du
ganglion
spinal reste intacte. Lorsque la méthode de Nis
sceptible de fournir des résultats aussi concluants dans l'étude du
ganglion
rachidien que. dans l'étude de l'écorce cérébra
cela pour plusieurs raisons. Tout d'abord, il existe dans chaque
ganglion
spinal, d'après la plupart des auteurs, des typ
ssl a rendu des services appréciables dans l'étude expérimentale du
ganglion
rachidien, quel crédit faut-il lui accorder en
uteurs, et Marinesco entre autres, ont reconnu que les cellules des
ganglions
spinaux subissent très vite des altérations à l
s, qui ont le plus souvent permis de constater des lésions dans les
ganglions
rachidiens des tabétiques, et c'est grâce à l'e
On peut employer les deux procédés suivants : A. 1° Suspendre les
ganglions
fendus longitudinalement dans un mélange de : .
ique on constate les lésions caractéristiques du tabes et plusieurs
ganglions
sont prélevés, sans être exac- tement repérés,
limé et colorés sur coupes parle carmin ou l'hématoxyline-éosine.
Ganglions
lombaires(3 ganglions ont été examinés).-Les raci
upes parle carmin ou l'hématoxyline-éosine. Ganglions lombaires(3
ganglions
ont été examinés).-Les racines postérieures son
complètement décolorées (sublimé osmique) dans la moitié interne du
ganglion
ou pôle central ; très bien colorées au contraire
-mêmes; à ce point de vue il y a quelques différences entre les trois
ganglions
examinés : sur l'un d'eux les proliférations ca
peu malades. La capsule ganglionnaire est passablement épaissie. ,
Ganglions
dorsaux (3 ganglions ont été examinés). Les lésio
ule ganglionnaire est passablement épaissie. , Ganglions dorsaux (3
ganglions
ont été examinés). Les lésions sont peu près le
été examinés). Les lésions sont peu près les mêmes. Sur l'un de ces
ganglions
il existe en outre une congestion très intense,
s par de larges travées de tissu conjonctif fibreux ou hyalin. Le
ganglion
cervical est également très intéressant, on y tro
CONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. T. XVII PL. XXXI. LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACHIDIEN 213 cellules a disparu, d'autres sont
sont vésiculeuses et même très volumi- neuses. De même que dans les
ganglions
lombaires et dorsaux, il y a des terri- toires
de début, il était intéressant de porter nos investigations sur les
ganglions
sacrés. Nous avons ainsi prati- qué l'examen de
es ganglions sacrés. Nous avons ainsi prati- qué l'examen de quatre
ganglions
sacrés, de deux ganglions lombaires, d'un gangl
avons ainsi prati- qué l'examen de quatre ganglions sacrés, de deux
ganglions
lombaires, d'un ganglion dorsal et d'un ganglio
xamen de quatre ganglions sacrés, de deux ganglions lombaires, d'un
ganglion
dorsal et d'un ganglion cervical. Tous ces gangli
s sacrés, de deux ganglions lombaires, d'un ganglion dorsal et d'un
ganglion
cervical. Tous ces ganglions ont été fixés par
lombaires, d'un ganglion dorsal et d'un ganglion cervical. Tous ces
ganglions
ont été fixés par le sublimé osmique, puis colo
les autres en coupes longitudinales. Région sacrée. Comme type de
ganglion
malade nous prendrons le 3e ganglion sacré droi
Région sacrée. Comme type de ganglion malade nous prendrons le 3e
ganglion
sacré droit (fig. 1). Ce ganglion a été examiné
ion malade nous prendrons le 3e ganglion sacré droit (fig. 1). Ce
ganglion
a été examiné sur des coupes perpendiculaires à l
paru, dans la région circonférencielle et dans la région médiane du
ganglion
, mais surtout dans la première. Les cellules disp
anglionnaire n'est pas notablement hypertrophiée. Dans les autres
ganglions
sacrés (2° sacré droit, 2° sacré et 3e sacré gauc
Région lombaire. Les altérations sont moins marquées que dans les
ganglions
sacrés, mais elles sont de même ordre, avec quelq
férences. Fia. 1. - Obs. II. Bret... Tabes datant de huit ans. 3e
ganglion
sacré droit. Disparition d'un grand nombre de cel
transformation hyaline du tissu interstitiel. LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACniDIEN 215 Tout d'abord, l'atrophie des raci
Tout d'abord, l'atrophie des racines postérieures dans l'intérieur du
ganglion
est moins marquée. La prolifération des cellule
nt des boules de graisse colorées en noir. " Région dorsale. ? Le
ganglion
examiné est beaucoup moins malade que les gangl
on dorsale. ? Le ganglion examiné est beaucoup moins malade que les
ganglions
lombaires et sacrés, mais les lésions y sont de m
. Elle succombe en juin 1903. Examen anatomique. - La plupart des
ganglions
examinés appartiennent à la région lombaire et
aires droits, les 2e, 3e, 4° lombaires gauches. La plupart de ces
ganglions
ont été débités en coupes longitudinales. Sur t
es ganglions ont été débités en coupes longitudinales. Sur tous ces
ganglions
l'atrophie des racines postérieures dans le bout
lionnaires assez considé- rable, plus marquée à la circonférence du
ganglion
que dans les régions mé- dianes. Quelques cellu
elettes de graisse colorées en noir par l'acide osmique. Dans le 3e
ganglion
lombaire droit, il existe des boules noires plus
éléments ne diffèrent en rien des corps granuleux.' La capsule des
ganglions
n'est pas en général très épaissie. Ces lésions
pas en général très épaissie. Ces lésions varient un peu suivant le
ganglion
examiné. Sur tel ganglion les proliférations ca
ie. Ces lésions varient un peu suivant le ganglion examiné. Sur tel
ganglion
les proliférations capsulaires sont plus nettes
trophie est plus manifeste : mais ce qui est constant dans tous ces
ganglions
, c'est la diminution de nombre des cellules et
rouve dans ces gan- glions le même genre d'altérations que dans les
ganglions
lombaires : tou- tefois l'examen du lor sacré d
'orienter Fic. 2. - Obs. III. Car... Tabes datant de dix ans. 1er
ganglion
sacré droit. - Cellules nerveuses contenues dans
ans une capsule épaissie, fibreuse et hyaline. LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACHIDIEN 217 et il est possible que l'on se tr
opie. Ici les lésions prédominent très nettement à la périphérie du
ganglion
. On voit d'une part des cloisons conjonctives é
voit d'une part des cloisons conjonctives émanées de la capsule du
ganglion
péné- trer dans la profondeur de celui-ci, d'au
ames fibreuses la fibre à myéline qui y prend naissance. Dans le 2°
ganglion
sacré gauche les lésions sont un peu moins accu
ont un peu moins accusées, mais très analogues. Région dorsale. Les
ganglions
(9° dorsal gauche, 5° dorsal droit) sont beauco
imum. Région cervicale. Il y a peu de chose à signaler dans le 1 er
ganglion
cer- vical droit, les racines paraissent saines
t en 1902. Examen anatomique. Ont été colorés et examinés les trois
ganglions
sui- vants : 2e et 3e lombaires, Il,, dorsal.
min. Inclusion à la paraffine. Coupes longitudinales. Sur ces trois
ganglions
, les racines postérieures ne contiennent plus qu'
ons accordé lors de notre premier examen. En effet, dans les deux
ganglions
lombaires, quelques cellules ont complète- ment
poser Fm. 3. - Obs. IV. Riv..... Tabes remontant à trente ans. 3°
ganglion
lombaire. - Atrophie de quelques cellules. - Dégé
aisseuse des cellules. Proliférations capsulaires. ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACHIDIEN DANS LE TABES [Thomas et Hauser). LES
LION RACHIDIEN DANS LE TABES [Thomas et Hauser). LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACHIDIEN 219 qu'un certain nombre de cellules
. La capsule ganglionnaire n'est pas sensible- ment augmentée. Le
ganglion
dorsal présente les mêmes altérations ; comme pou
02 après quatorze ans de maladie. Examen anatomique. La plupart des
ganglions
ont été traités par fixation au sublimé osmique
ls ont été colorés ensuite par le picrocarmin en masse. Seuls les
ganglions
lombaires ont été examinés (le', 2° ganglions lom
en masse. Seuls les ganglions lombaires ont été examinés (le', 2°
ganglions
lombaires droits ; 2", 3e et 5° lombaires gauch
baire gauche, elle est au contraire très prononcée au voisinage du
ganglion
sur les 3e et 5e lombaires gauches. Les altér
Les altérations ganglionnaires sont plus intenses dans les 3e et 5e
ganglions
lombaires gauches que dans les autres. " Dans
5e ganglions lombaires gauches que dans les autres. " Dans le 3e
ganglion
lombaire gauche, les racines postérieures, à leur
anglion lombaire gauche, les racines postérieures, à leur sortie du
ganglion
(bout central), sont extrêmement atrophiées : cep
ns sont en général plus marquées à la circonférence qu'au centre du
ganglion
. Le tissu interstitiel n'est pas très développé
est pas très développé : Les vaisseaux sont peu malades. Dans le 5e
ganglion
lombaire gauche, les cellules ont disparu par zon
sont nettement proliférées (fig. 4). z ' 'Au contraire, dans le 4ar
ganglion
lombaire droit, racines et cellules parais- sen
, racines et cellules parais- sent à peu près normales : dans le 2e
ganglion
lombaire droit, quelques cellules sont atteinte
. Il existe un certain degré de sclérose interstitielle. Dans le 2e
ganglion
lombaire gauche on constate des phénomènes analog
ais la sclérose interstitielle est encore plus nette. Dans tous ces
ganglions
les vaisseaux sont peu malades. , 1 Fin. 4. O
ssissement du tissu interstitiel. Aspect hyalin. LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACHIDIEN 221 OBs.VI. Delp... entre au mois d'o
ière. Cystite tuberculeuse. Mort en 1903. Examen anatomique. Quatre
ganglions
ont été examinés, deux à la région dorsale, deu
rien affirmer de précis, tant ces altérations sont légères, et ces
ganglions
ne diffèrent pas sensiblement des ganglions nor
ns sont légères, et ces ganglions ne diffèrent pas sensiblement des
ganglions
normaux. Ce fait est à rapprocher du peu de durée
s de localisation. Incontinence d'urine. Examen anatomique. -Deux
ganglions
lombaires ont été examinés : l'un coupé longitu
es assez larges ; en quelques points il est devenu hyalin. Sur le
ganglion
qui a été coupé perpendiculairement les lésions s
2 mars 1904. Examen anatomique. Nous avons pratiqué l'examen du 8e
ganglion
cer- vical droit, des 1er, 6e, Ile, 1° ganglion
iqué l'examen du 8e ganglion cer- vical droit, des 1er, 6e, Ile, 1°
ganglions
dorsaux gauches, des 2e, 3e, 4e gan- glions lom
rsaux gauches, des 2e, 3e, 4e gan- glions lombaires droits, du leur
ganglion
sacré droit. Tous ces gauglions ont été coupés
e et coloration en masse par le picrocarmin. Région lombaire. Les
ganglions
examinés sont inégalement malades. Les lésions
sont inégalement malades. Les lésions sont plus intenses dans le 3e
ganglion
lombaire gauche et dans le 4e ganglion lombaire
ont plus intenses dans le 3e ganglion lombaire gauche et dans le 4e
ganglion
lombaire droit. Dans ces deux ganglions, l'atro
baire gauche et dans le 4e ganglion lombaire droit. Dans ces deux
ganglions
, l'atrophie des racines postérieures dans le bout
lions, l'atrophie des racines postérieures dans le bout central des
ganglions
est des plus nettes, au contraire les racines pos
e les racines postérieuras sont saines dans le bout périphérique du
ganglion
. L'atrophie des racines pos- térieures est la m
es est occupée par quelques cellules capsulaires LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACHIDIEN 223 délimitant encore une loge extrêm
lésions sont également accusées à la circonférence et au centre des
ganglions
. Dans les deux autres ganglions lombaires, les
la circonférence et au centre des ganglions. Dans les deux autres
ganglions
lombaires, les lésions sont très comparables, m
à-dire que leur atrophie est plus prononcée dans le pôle central du
ganglion
et au niveau du nerf radicu- laire que dans le
i concerne les cellules, ce sont les mêmes altérations que pour les
ganglions
lombaires et au même degré ; peut-être les caps
proliféré, les vaisseaux sont peu malades. Région dorsale. Le 12"
ganglion
dorsal gauche est le plus malade. Dans le pôle
ganglion dorsal gauche est le plus malade. Dans le pôle central du
ganglion
les racines postérieures sont très atrophiées, el
un certain degré de congestion plus marquée dans le pôle central du
ganglion
. Le lue ganglion dorsal présente le même aspect
congestion plus marquée dans le pôle central du ganglion. Le lue
ganglion
dorsal présente le même aspect, les lésions y son
ont un peu moins avancées : il manque moins de cellules. Dans le 6°
ganglion
dorsal, les altérations cellulaires sont encore
ue quelques cellules baignent dans des lacs sanguins. Dans le 1 ?
ganglion
dorsal qui par son importance et son aspect se ra
l qui par son importance et son aspect se rappro- che davantage des
ganglions
cervicaux que des ganglions dorsaux, il y a beau-
son aspect se rappro- che davantage des ganglions cervicaux que des
ganglions
dorsaux, il y a beau- coup de cellules saines e
ules les plus volumineuses occupent surtout le pôle périphérique du
ganglion
. Malgré cela, quelques cellules sont extrême- m
s racines postérieures sont très atrophiées dans le pôle central du
ganglion
et dans leur trajet sus-ganglion- naire. Les lé
que sorte réduites à leur minimum. Région cervicale. L'examen du Se
ganglion
cervical droit donne lieu aux mêmes observation
on cervical droit donne lieu aux mêmes observations que celui du 1"
ganglion
dorsal. , 224 THOMAS ET HAUSER En résumé, les
s de myéline, ne diminuait pas progressivement en se rapprochant du
ganglion
, elle était au contraire plus accentuée au niveau
ccentuée au niveau du nerf radi- culaire et dans le pôle central du
ganglion
que dans le trajet sous-arach- noïdien : ceci n
e. De même les lésions sont presque toujours plus intenses dans les
ganglions
sacrés et lombaires que dans les ganglions dorsau
s plus intenses dans les ganglions sacrés et lombaires que dans les
ganglions
dorsaux et davan- tage dans les ganglions dorsa
et lombaires que dans les ganglions dorsaux et davan- tage dans les
ganglions
dorsaux que dans les ganglions cervicaux. Les gan
ions dorsaux et davan- tage dans les ganglions dorsaux que dans les
ganglions
cervicaux. Les gan- glions cervicaux sont fréqu
èlement, les racines postérieures sont également LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACHIDIEN 225 saines ou moins atrophiées ; tout
e un degré d'intensité assez élevé. Ce qui frappe le plus, dans les
ganglions
malades, c'est une diminution du nombre des cel
'est une diminution du nombre des cellules, par comparaison avec un
ganglion
normal pris au même niveau, il suffit par consé
circonférentielle que dans la zone mé- diane,et même pour certains
ganglions
dans le pôle central que dans le pôle périphéri
s fibreux, et la comparaison se soutient d'autant mieux que dans le
ganglion
tabétique les groupes cellulaires disparus sont q
l'atrophie cellulaire est parfois assez délicate, parce que dans le
ganglion
normal les cellules sont de dimensions inégales;
u à nous poser cette question. Il y en effet, dans la plu- part des
ganglions
, un tel nombre de cellules en voie d'atrophie qu'
normaux de petite taille, surtout si on fait la comparaison avec un
ganglion
normal. Les cellules atrophiées 226 TUOMAS ET H
que encore cette recherche, c'est que dans le tissu interstitiel du
ganglion
rachidien, normal ou pathologique, il existe tou-
rolifération capsulaire prédominent suivant les cas dans tel ou tel
ganglion
, mais il arrive aussi qu'elles soient associées s
égions. L'hypertrophie capsulaire avec transfor- LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACUID1EN 227 mation fibreuse ou Iibro-lyaline
s rare; elle se voit surtout dans les régions circonférentielles du
ganglion
et dans ce cas la trame conjonc- tive est épais
véritable caractère pathologique ; nous l'avons rencontré dans des
ganglions
de sujets âgés non tabétiques, mais le nombre des
t très peu considérables par rapport à ce que nous avons vu sur les
ganglions
des tabétiques. Le pigment est généralement trè
abondant ; mais on sait qu'il existe en proportion notable dans les
ganglions
normaux, surtout chez les sujets* âgés. Le no
egré de l'altération cellulaire et le nombre des LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
UACUIDIEN 229 cellules atteintes d'une part et
e, mais on peut affirmer néanmoins, en règle générale, que dans les
ganglions
les plus malades le nombre des cellules saines es
ntes et variables d'un cas à l'autre - et même pour chaque cas d'un
ganglion
à l'autre- ce sont : la pigmentation et la dégéné
eurs auteurs et quelques-uns, parmi. eux, ont décrit des lésions du
ganglion
rachidien très analogues à celles que nous avon
ique. En outre, même quand il existe des lésions considé- rables du
ganglion
, le nombre des cellules saines est toujours de be
en llinlel'st¡'wl(jsel'k1"allkullfJ, Iéna, 1897. LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACH1DIEN 231 fait disparu. Quelques cellules m
nous estimons,avec Redlich, si nous nous rapportons à l'aspect des
ganglions
normaux, qu'il s'agit le plus souvent d'un artifi
la sensibilité était très atteinte dans le domaine du trijumeau, le
ganglion
de Gasser correspondant était le siège de grave
toutes les lésions qui ont été relevées par ceux qui ont étudié les
ganglions
des tabétiques, celles qui ont le plus de valeur
août 1891. (1) BAI3ES und KREMNITZEti, L'anatomie microscopique des
ganglions
spinaux et la pathogénie du tabès. Arch. des sc
core récem- ment insisté : il est en effet assez rare d'examiner un
ganglion
rachidien dans lequel il n'y ait pas quelques c
cela n'a rien de comparable avec ce que nous avons observé dans les
ganglions
spi- naux des tabétiques. On est revenu plus ré
nerveuses chez les animaux âgés, et on a prétendu trouver dans les
ganglions
spinaux des vieillards une confirmation de l'hypo
von prof. Obersleiner. Leipzig und Wicn, 1002. . LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
HACU)D)EX 233 koff, van Gehuchten et Nélis (1)
dans la paralysie générale progressive. Elles ont été vues dans les
ganglions
des ta- bétiques par tous ceux qui les ont exam
vé quelques cellules attein- tes de la même dégénérescence dans des
ganglions
normaux où nous l'avons nous-mêmes constatée pl
devoir s'appliquer aux cas que nous venons de mention- ner, car les
ganglions
correspondants^ ne présentaient aucune autre alté
en moins nom- breuses que les cellules normales; 2° La cellule du
ganglion
spinal étant une cellule bipolaire donnant nais
cours d'embolies expérimentales, put obtenir de grosses lésions des
ganglions
spinaux qui avaient eu pour conséquence la dégéné
séquence la dégénération wal- lérienne des libres qui traversent le
ganglion
et qui en sortent. De ces deux ordres d'argumen
elles étaient minimes, mais lorsque ces lésions LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACIIIDIEN 333 sont telles qu'elles entraînent
érescence des racines, des lésions méningées ceux-ci à la sortie du
ganglion
, ceux-là à l'entrée dans la moelle (Nageotte, O
e ; nous avons été très sur- pris nous-mêmes, en examinant certains
ganglions
, de nous trouver en présence d'une raréfaction
erveuses, alors que les fibres qui émergent au pôle périphérique du
ganglion
sont nor- males ; est-ce parce que ces faits so
re au premier abord : l'étude de l'anatomie et de la physiologie du
ganglion
rachidien nous réserve sans doute bien des surp
surprises ; nos connaissances les plus récentes sur la structure du
ganglion
rachidien ne nous laissent-elles pas entrevoir
Cassirer, Anderson, Kleist, on a admis jusqu'ici que la cellule du'
ganglion
spinal se comporte différemment après la section
rellement enclin à ne pas considérer les altérations cellulaires du
ganglion
rachidien comme des altérations secondaires. Il y
'homme ; de ce que la première ne détermine aucune réaction dans le
ganglion
rachi- dien correspondant il ne s'ensuit pas qu
d'autres auteurs n'ont observé aucune modification des cellules du
ganglion
rachidien après la section de la racine pos- té
lJe1'iplte/'en Neruen, Neurol. Centralb., 1903. LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACHIDIEN 237' nération différente est-elle en
trograde de la racine postérieure a pu être suivie jus- que dans le
ganglion
. Les expériences de Lugaro nous autorisaient, d
ans une certaine mesure, à envisager les altérations cellulaires du
ganglion
rachidien comme des altérations primitives ou t
ne sommes pas en état d'affirmer si les lésions \cellù'M laires du
ganglion
tahétique sont primitives ou secondaires à l'atrb
ie de la racine postérieure, c'est que jus- qu'ici la pathologie du
ganglion
rachidien a été en général délaissée et qu'il e
r très grande prédominance et à leur plus grande intensité dans les
ganglions
des tabétiques ; c'est, qu'en outre, comme l'on
re, comme l'ont démontré Ielmholtz, Gaule et Lewin, les cellules du
ganglion
spinal sont beaucoup plus nombreuses que les fi
onséquent pas naissance à une fibre radiculaire, il existe dans les
ganglions
rachidiens à côté des cellules bipolaires ; des c
: 1° Qu'il existe fréquemment des altérations cellulaires dans les
ganglions
rachidiens des tabétiques. Ces lésions consiste
s et ne pas faire partie du processus tabétique. LES ALTÉRATIONS DU
GANGLION
RACHIDIEN 239 LÉGENDES DE3 PLANCHES . Planche
LÉGENDES DE3 PLANCHES . Planche XXXI. ' Van de 8... (obs. I).
Ganglion
lombaire. - Coupe perpendiculaire à l'axe. Fixati
ssu interstitiel quia un aspect fibrohyalin. Bret... (obs. II). 2
Ganglion
sacré droit. Coupe perpendiculaire à l'a.r.e. - F
sement du tissu interstitiel . Planche XXXII Aud... (obs. VII).
Ganglion
lombaire. - Coupe longitudinale. Fixation parle s
s- sement du tissu conjonctif interstitiel. Lel... (obs. V). 3e
Ganglion
lombaire gauche. - Coupe longitudinale. Fixation
vait été prélevé pour être examiné histologiquement. L'examen des
ganglions
semi-lunaires, contrastant avec l'intégrité des g
ste du système nerveux, moelle épinière et méninges rachi- diennes,
ganglions
rachidiens et nerfs périphériques, ne présente au
de quelques racines postérieures que nous avons poursuivie jusqu'au
ganglion
. À droite, la sensibilité est atteinte dans les
ir rien pré- senté à la verge : on lui aurait extirpé deux fois des
ganglions
et trois fois on l'aurait cautérisé au thermo-c
Ergothérapie et psychothérapie, par Marco LÉVI-BIANCHI1\"I, 136.
Ganglion
rachidien chez les tabétiques. (les altérations
sante (4 planches), 88. HAusER et A. Thomas. Les altérations du
ganglion
rachidien chez les tabétiques (2 pl., 4 dessins
hoedème (1 planche), 189. Thomas et G. HAUSER. Les altérations du
ganglion
rachidien chez les tabétiques (2 planches, 4 de
Dentiste, tableau d'Andréa Céfaly (M.Lévi- ]31ANciii,Ni), LXIV.
Ganglion
rachidien dans le tabes (Thomas et Hauser), XXX
les circonvolutions orbitaires le nerf olfactif (OL), terminé par un
ganglion
en massue, le bulbe olfactif (OLB). Les circonv
constitué par les fibres des deux bandelettes optiques (BO) venues de
ganglions
profondément situés. À partir du chiasma optique,
l'hippocampe; Bf, fente de Bichat; TM, tubercules mamillaires ; GIP,
ganglions
interpédonculaires; PP, pédoncules cérébraux; M0C
s mamillaires, on reconnaît parfois deux petites éminences (GIP), les
ganglions
interpédon-culaires; et derrière ceux-ci, au fond
ère,elles se confon daient avec la substance blanche qui tapisse ce
ganglion
dans la cavité du carrefour ventriculaire, et com
; DF, pilier descendant de la voûte; TM, tuljercule majnillaire; GIP,
ganglion
interpédonculaire ; NaC, noyau antérieur du thala
NaC, noyau antérieur du thalamus; NiC, noyau interne du thalamus; GH,
ganglion
de l'habénule; IIAB, habénule; CM, commissure mol
, dont la grosse extrémité régulièrement arrondie est en arrière : le
ganglion
de ïhabénule (GH). Son extrémité antérieure, très
pinéale. Nous avons vu, d'autre part, que l'habénule fait suite à un
ganglion
de l'étage supérieur de la couche optique (GI1).
pinéale, située sur la ligne médiane, se confond latéralement avec le
ganglion
de l'habénule (G1I) ; et l'habénule (HAB) n'est q
que le prolongement superficiel fibreux de la masse grise commune au
ganglion
de l'habénule et à la glande pinéale. CA. La co
quadrijuraeau antérieur; CP, commissure blanche postérieure ; GII,
ganglion
de l'hahénule; 1IAB, habénule; NiC, noyau interne
du ruban de Reil (LM1, LM2, LM3^ LM4, LM5). G, glande pinéale; GU,
ganglion
de l'habénule; NiC, noyau interne du thalamus; ZS
de l'habénule; NiC, noyau interne du thalamus; ZS, stratum zonale du
ganglion
de l'habénule; SG, substance grise de l'aqueduc d
sont formés par le tubercule interne de la couche optique (NiC) et le
ganglion
de l'habénule (GH), recouvert par le stratum zona
, la ligne médiane en avant des deux rubans précédents, passe sous le
ganglion
de l'habénule (GH), croise à ce niveau un faiscea
ion de l'habénule (GH), croise à ce niveau un faisceau descendu de ce
ganglion
(le pédoncule du ganglion de l'habénule (HAP) ; p
oise à ce niveau un faisceau descendu de ce ganglion (le pédoncule du
ganglion
de l'habénule (HAP) ; puis il suit, de dedans en
inar (BP). Il recouvre la partie la plus postérieure et inférieure du
ganglion
de l'habénule, comme le faisceau précédent recouv
recouvrait le tubercule quadrijumeau antérieur. Mais cette portion du
ganglion
de l'habénule n'est pas visible sur la figure, el
t dans la substance grise de l'espace perforé postérieur, où un petit
ganglion
(pair et symétrique), le ganglion interpédonculai
ace perforé postérieur, où un petit ganglion (pair et symétrique), le
ganglion
interpédonculaire, les reçoit en majeure partie.
ncule. Nous les retrouverons sur toutes les coupes suivantes jusqu'au
ganglion
interpédonculaire (GIP, pl. XXVUI, fig. 103). L
la base de la glande pinéale (G. 68) et la partie la plus interne du
ganglion
de l'habé-nule (GH, 71, 72). Mais le repli de toi
u ansa inter-genicularis de Rauber (AI, pl, XXII, fig, 68), GII. Le
ganglion
de l'habénule (fig. 71, 72), ainsi nommé parce qu
le. On n'en aperçoit encore ici que la partie la plus postérieure. Ce
ganglion
sera étudié à l'occasion des figures de la planch
ure sous le frein de l'habénule (IlAB, 69) et, plus en avant, sous le
ganglion
de l'habénule (Gll, 71). Plus loin encore (fig. 7
mmissure (FCP) sans se mélanger avec elles. Th, thalamus; Gll, le
ganglion
de l'iiabé-nule, dont le stratum zc-nale fournit
'en est que momentanément séparé par un nouveau faisceau, descendu du
ganglion
de l'habénule (le fascicule rétroflexe FRF), dont
cule cérébral ; QA, QP, tubercules quadrijumeaux ; Pul, pulvinar; GH,
ganglion
de l'habénule; G, glande pinéale ; CP, commissure
rrompt la continuité du faisceau de la commissure (FCP) au-dessous du
ganglion
de l'habénule (GH). Ce nouveau faisceau, appelé p
fasciculus re-troflex ou retroflexus, part de la face postérieure du
ganglion
de l'habénule, empruntant au stratum zonale de ce
érieure du ganglion de l'habénule, empruntant au stratum zonale de ce
ganglion
la majeure partie de ses fibres; il se porte en b
nt la direction du fasciculus retroflexus. PV, pont de Varole ; GH,
ganglion
de l'habénule; G, glande pinéale ; QA, QP, tuberc
elle. Mais on remarquera, sur la face interne de l'hémisphère, que le
ganglion
de l'habénule (GH, fig. 76) forme une convexité q
u'à la ligne médiane, au-dessus de la commissure postérieure (CP). Le
ganglion
de l'habénule, en eflet, se prolonge, ainsi que l
it voirie schéma 107, jusque dans le pédicule de la glande Les deux
ganglions
de l'iiabénule, vus d'en haut, adliérents aux cou
e de leur face interne. La coupe 73 passe à travers le thalamus et le
ganglion
de l'habénule, de façon à laisser un vide, une ex
de la planche xxiu. pinéale. Sur la coupe 73, la substance grise du
ganglion
du côté droit se confond avec celle du ganglion d
la substance grise du ganglion du côté droit se confond avec celle du
ganglion
du côté gauche : les deux ganglions de l'habénule
ôté droit se confond avec celle du ganglion du côté gauche : les deux
ganglions
de l'habénule Ibrment donc à leur partie postéro-
peu plus en avant sur la coupe 78, par exemple (schéma 107), les deux
ganglions
sont nettement distincts; leur convexité interne
nettement définie, puisqu'elle ne vise que la saillie postérieure du
ganglion
dans un espace vide. Considéré au point de vue de
couche optique forme la paroi du troisième ventricule. Le fait que le
ganglion
de l'habénule est complètement enveloppé de subst
-basilaire. Il ne faut donc pas le confondre avec le pulvinar. GII.
Ganglion
de l'habénule. On dit, en général, que le ganglio
e pulvinar. GII. Ganglion de l'habénule. On dit, en général, que le
ganglion
derhabénule (GH, lig. 77) est mal limité chez l'h
ue et rend très évident, sur les coupes verLicales, l'isolement de ce
ganglion
, moins évident à sa surface. On peut voir que l
évident à sa surface. On peut voir que la partie posléro-externe du
ganglion
de l'habénule (GH, fig. 76) arrive presque au con
lig. 80). Nous avons signalé l'excavation fissuraire qui sépare le
ganglion
de l'habénule du thalamus et qui forme l'angle in
et qui forme l'angle inféro-interne du ventricule moyen (fig. 73). Le
ganglion
de l'habénule fait, en quelque sorte, le tour de
iquée. Le schéma MO rendra Riijipoils do la partie iiostérieiire du
ganglion
de l'habénule (Gll). 1° En J)as et en dedans : Aq
is de la comuaissure postérieure on voit la partie la plus reculée du
ganglion
de l'habénule (GH), conl'ondne avec la base de la
rradiations du stratum zonale (ZS). En dedans et au-dessous d'eux, le
ganglion
de l'iia-bénule (GH) contribuant à former la pai'
. Ce ventricule envoie un diverticule ( VM) entre les deux parties du
ganglion
do l'habénule (GH, GU), qui vont se fusionner sur
teg-irientum (TEG). Aq, aqiiednc de Sylvius; Th, thalamus; GU,
ganglion
de l'habénule; Cl', commissure postérieure; T
s'y arrêtent aussi, car on les perd de vue à la face antérieure de ce
ganglion
. Lm. La lamina medialis (lig. 74, 75) fait de p
NeC. Le noyau externe du thalamus (fig. SI), voy. pl. XXlIL GII. Le
ganglion
de l'habénule (fig. 79, 80) fait saillie dans le
Stilling, noyau rouge de la calotte, olive supérieure, nucleus ruber,
ganglion
du pédoncule cérébelleux supérieur, sont les expr
ux supérieur et où celui-ci est toujours reconnaissable, intéresse le
ganglion
ou le respecte. Mais on est toujours sûr de coupe
au longitudinal postérieur ; TEG, tegmentum ; Th, thalamus; GH,
ganglion
de l'habénule. lopper le noyau rouge, elles von
que l'origine supérieure de ce faisceau correspond très exactement au
ganglion
de l'habénule (GH) (il résulte môme de la converg
môme de la convergence des fibres qui forment le stratum zonale de ce
ganglion
). Souvent il est interrompu, dès sa sortie du gan
G, la glande pinéale reposant sur les tubercules antérieurs ; GH, le
ganglion
de l'habénule; lIAB, l'habénule ou pédoncule anté
us après s'être renforcés d'un certain nombre de fdjres empruntées au
ganglion
de l'habénule (GH). HAP. Pédoncule transversal de
IIAP représente le [pédoncule transversal de la glande pinéale et du
ganglion
de l'habénule (Gll). Celui-ci n'est déjà plus aus
confond d'ailleurs avec le stratum zonale, mais il est certain que le
ganglion
lui-même fournit des fibres à ce pédoncule. L'ext
res à ce pédoncule. L'extrémité externe passe nettement au-dessous du
ganglion
, au-dessous de la couche optique. Il se confond e
ourir d'arrière en avant, entre la couche optique (Th, fig. 83) et le
ganglion
de l'habénule (GH), représentant dans ce trajet p
lis aquœducti peut, ici encore, être distingué (fîg. 80) à la base du
ganglion
de l'habénule, mais ce n'est plus que son extrémi
XV COUPE VERTICO-TRANSVERSALE PASSANT PAR l'eXTRÊMITÊ ANTÉRIEURE DU
GANGLION
DE l'hARÉNULE Écorce. Sur toute l'étendue du
5, 88, 89) augmente d'abord de largeur. C'est, en eflet, au-devant du
ganglion
de l'habénule qu'elle présente son dianuMre trans
yau interne du thalamus (fig. 85, 87, 89). Après la la disparition du
ganglion
de l'habénule, il forme la paroi du ventricule mo
llaire externe (LML, fig. 88). Gll. Extrémité la plus antérieure du
ganglion
de l'habénule (fig- 85). NR. Le noyau de la cal
TEG Projection sagittale du noyau rouge de la calotte (NR). Ce
ganglion
est abordé en arrière par le pédoncule cérébelleu
. A la face interne de la couche optique (Th, fig. 94), et entre ce
ganglion
et le noyau rouge de la calotte (NR) on reconnaît
de la substance grise corticale. Nous verrons plus loin apparaître un
ganglion
important, le noyau amygdalien (NA) à la terminai
01) dans la substance grise de l'espace perforé postérieur et dans le
ganglion
interpédonculaire (GIP, pl. XXVIII, fig. 103).
tre elles s'arrêtent au corpus album subrotundwn. Nous verrons que ce
ganglion
reçoit, plus en avant, par sa face inférieure, le
in, noyau ainygdaliforme, bandelelle accessoire de Volive supérieure,
ganglion
de la capsule interne, corps de Forel, a surtout
iner au-dessus et en dedans du trou borgne dans la substance grise du
ganglion
inter-pédonculaire (vov. pl. XXVJII, fig. 105).
ais lcnti-formis (DL) et elle a pour limite interne, au-dessous de ce
ganglion
, la lamina tegnicnti (LTE), qui pénètre dans la s
iformis, ce qui semble démontrer que le faisceau capsulaire aborde le
ganglion
par sa face supérieure. On est assez mal renseign
eure. On est assez mal renseigné sur les connexions du faisceau et du
ganglion
(nous venons de dire que la région supérieure du
antérieure de la queue du noyau caudé a pu faire admettre que ce gros
ganglion
était un renflement terminal du corps strié. Il n
r la terminaison de la racine inférieure du thalamus (Thl). G1P. Le
ganglion
interpédonculaire est une masse ganglionnaire (fi
Il s'agit là d'un mode de structure qui est commun à presque tous les
ganglions
de l'hémisphère et qui nous semble pouvoir être p
e, est la surface adhérente au feuillet vasculairc de l'embryon? Le
ganglion
intcrpédonculaire, lorsqu'il laisse entrevoir à l
106) ou substance grise basilaire fait suite, d'arrière en avant, au
ganglion
intcrpédonculaire, comme le ganglion intcrpédoncu
it suite, d'arrière en avant, au ganglion intcrpédonculaire, comme le
ganglion
intcrpédonculaire faisait suite au noyau rouge de
e grise de l'espace perforé postérieur (SG), en avant et en dehors du
ganglion
intcrpédonculaire. GAP. Le noyau de l'anse (fig
é par les lames concentriques de substance blanche qui enveloppent le
ganglion
interpédonculaire (GIP) et qui peuvent être consi
a lieu avant ou après la pénétration du fascicuîus retroflex dans le
ganglion
interpédonculaire. LTE. La lamina tegmenti (fig
aisceau de très petit calibre dirigé d'avant en arrière, en dehors du
ganglion
interpédonculaire. Elle est encore facile à recon
ergeant du pied du pédoncule en dehors de la lamina tegmenti ; G1P,
ganglions
interpédoncu-laires. Celui du côté gaucho reçoi
lamina media-lis (LM). perforé postérieur, et qui correspondent aux
ganglions
interpédon-culaires G1P. Derrière elles s'avancen
t de largeur, aux renflements de substance grise qui représentent les
ganglions
interpédonculaires. Ces deux tractus clairs ne so
a substance grise de l'espace perforé postérieur, glisse en dehors du
ganglion
inlerpédonculaire (GIP). CAO. Le faisceau tegme
s paru possible de déterminer d'une façon absolue son origine dans ce
ganglion
. D'autre part, les coupes horizontales de l'hémis
dus; les autres remontent, accolées à la face supero-interne de ces
ganglions
, dans la couronne rayonnante, probablement jusqu'
ritable capsule blanche, arrivent jusqu'à la partie postérieure de ce
ganglion
. Un grand nombre d'entre elles se perdent dans la
e, et que de ce dernier part un faisceau compact qui se jette dans le
ganglion
antérieur de la couche optique. Vicq-d'Azyr croya
a surface une sorte de capsule et iraient ensuite se terminer dans le
ganglion
externe et postérieur (5). Quelques fibres encore
du tubercule antérieur de la couche optique (1) sans s'arrêter, ni au
ganglion
interne ni au ganglion externe. Enfin un autre fa
de la couche optique (1) sans s'arrêter, ni au ganglion interne ni au
ganglion
externe. Enfin un autre faisceau (10) coupé trans
alotte. Un faisceau plus volumineux (12) et situé plus haut, émané du
ganglion
externe et postérieur, suivrait, parallèlement au
compagnerait jusque dans l'aqueduc, avec la couche de Reil. Enfin, du
ganglion
antérieur et interne proviendrait un petit faisce
ci au moment où elle va pénétrer dans le pied du pédoncule. GAP, le
ganglion
de l'anse, prolongement interne et inférieur dupu
e de ce tubercule (fig. 109) et dans la substance grise (fig. 111) du
ganglion
lui-même. Dans la première partie de son trajet d
bandonné une notable portion de ses fibres à la capsule blanche de ce
ganglion
, et particulièrement au stratum zonale qui s'insi
située maintenant (fig. 109) à la partie supérieure et externe de ce
ganglion
. Puis, lorsque le noyau caudé a disparu (fig. 110
oyau caudé a disparu (fig. 110), elle se place à la partie externe du
ganglion
amygdalien (NA), hermétiquement accolée à sa surf
plus claire et plus diffuse. Elle pénètre en effet peu à peu dans le
ganglion
au fur et à mesure qu'elle s'épanouit à sa surfac
té inférieure et en se réunissant, tout près de la face antérieure du
ganglion
, avec les lames à convexité supérieure venues de
s à convexité supérieure venues de la partie supéro-externe. Ainsi le
ganglion
amygdalien se trouve complètement enveloppé par l
ns le globus medialis (GLM, fig. 115). En réalité, il passe devant ce
ganglion
et se mêle au segment antérieur de la capsule int
te au globus medialis. Mais, vers l'extrémité interne ou sommet de ce
ganglion
, l'anse du noyau lenticulaire change de direction
, sans présenter aucune connexion avec l'écorce de Sylvius. GBO. Le
ganglion
basai optique est un petit groupe de cellules, à
rmine dans la substance grise de la lame terminale (LAT) au-dessus du
ganglion
basai optique (GBO, 128). ANL. L'anse du noyau
à la partie inférieure du corps strié, ne forment pas la limite de ce
ganglion
. Elles sont séparées de la capsule externe (CE) p
la capsule externe (CE) par le prolongement temporal du putamen, ou
ganglion
de l'anse pédonculaire (GAP), dont nous avons pré
elles n'ont de connexion qu'avec le pulvinar (Pul, fig. 2). GIP. Le
ganglion
interpédonculaire situé, immédiatement en dehors
sa partie postérieure : c'est le fasciculus retroflexus, descendu du
ganglion
de l'habénule et qu'on verra se dessiner plus net
qui passe au-dessus et en dehors du noyau de l'anse (GAP). GAP. Le
ganglion
ou noyau de l'anse pédonculaire est une couche gr
rne du putamen jusqu'à la substance grise du troisième ventricule; ce
ganglion
se confond en avant avec la substance grise du se
pas dans le noyau rouge se réunissent avec celles qui ont traversé ce
ganglion
et forment le faisceau cérébello-thalamique (CEO)
traverse parfois, marche d'arrière en avant et de haut en bas vers le
ganglion
interpédonculaire (GIP). Il est limité en dehors
us; on ne voit que la proéminence de substance grise qui le réunit au
ganglion
de l'habénule. Gll. Le ganglion de l'habénule (
de substance grise qui le réunit au ganglion de l'habénule. Gll. Le
ganglion
de l'habénule (fig. 5), adjacent à l'encoche qui
erdu dans la substance grise du septum lucidum (GSL). , coupe 6, le
ganglion
de l'habénule (GII) est enveloppé par des fibres
à l'habénule (HAB). Les unes et les autres prennent naissance dans le
ganglion
. NC. Le noyau caudé, séparé du putamen (PUT, fi
mus (fig. 6) est, immédiatement au-dessus, en dehors et en arrière du
ganglion
de l'habénule; c'est la masse grise où se confond
a convexité interne; sur la der- . nière coupe, il longe en dehors le
ganglion
de l'habénule (GII), où il. prend naissance. BP
opto-striée s'est rendue indépendante de l'étage supérieur. GH. Le
ganglion
de l'habénule (fig, 7) est encore représenté par
l de l'hémisphère, n'est autre chose que le triangle de Vhabénule. Ce
ganglion
est situé en avant du noyau postérieur du thalamu
eC) par la lame médullaire interne (LMI), semble se confondre avec le
ganglion
de l'habénule. Il en est séparé par les fibres du
n de l'habénule. Il en est séparé par les fibres du stratum zonale du
ganglion
de l'habénule, qui, sur la figure 9, sont représe
ommissure postérieure (CP), on distingue l'amas de substance grise du
ganglion
de l'habénule (GH). Substance blanche CA. La
té ne lui appartient pas en propre) et qui forme la limite externe du
ganglion
de l'habénule (GH) ; 2" un faisceau moyen, qui re
, où l'on reconnaît la convexité supérieure du noyau rouge (NR) et le
ganglion
de l'habénule (GH). Substance blanche. Tout c
amygdalicn de Stilling, bandelette accessoire de l'olive supérieure,
ganglion
de la capsule interne. DO. Désert olfactif. D
sceau de Vicq d'Azyr. G. Glande pinéale, épiphyse, conarium. GAP.
Ganglion
do l'anse pédonculaire, prolongement temporal du
ominée sous-lenticulaire. GAQ. Substance grise de l'aqueduc. GBO.
Ganglion
basai optique. GC. Genou du corps calleux. Gc
ascendante. GFs. Genou supérieur de la frontale ascendante. GIl.
Ganglion
de l'habénule. GI. Corps genouillé interne. G
GIl. Ganglion de l'habénule. GI. Corps genouillé interne. GIP.
Ganglion
interpédonculaire. GLA. Globus accessoire du no
nde pinéale. IIAP. Pédoncule transversal de la glande pinéale et du
ganglion
de l'habénule. Ilfd. Ililo du fascia denlata.
us. NR. Nudeus ruher, noyau rouge de Stilling, noyau de la calotte,
ganglion
du pédoncule cérébelleux supérieur. 0'. Premièr
Gi. Stratum zonale du corps genouillé interne. ZII. Stratum zonale du
ganglion
de l'habénule. ZO. Stratum zonale de la bandelett
. . 505 „ G Gaine de la commissure antérieure.............. 347
Ganglion
basai optique (GBO)................ 410 Ganglio
............ 347 Ganglion basai optique (GBO)................ 410
Ganglion
de la capsule interne (DL).............. 311 Ga
....... 410 Ganglion de la capsule interne (DL).............. 311
Ganglion
de l'anse pédonculaire (Gi\.P).......... 331, 363
.. 311 Ganglion de l'anse pédonculaire (Gi\.P).......... 331, 363
Ganglion
de l'habénule (GH)............ xxr, 226, 243 Ga
6, 243 Ganghon du pédoncule cérébeUeux supérieur (NR)........ 259
Ganglion
interpédonculaire (GIP)..........vni, 332, 429
..... 214 Pédoncule transversal ou moyen de la glande pinéale et du
ganglion
de l'habénule (HAP)................ 264 Pentago
edunculi de Gudden (TP)........ x, 245 Triangle de l'habénule (voy.
Ganglion
de l'habénule). . . . . xxi, 440 Stratum lacuno
ale du corps genouillé interne (ZGI)......... 206 Stratum zonale du
ganglion
de l'habénule (ZH, HAB). . . . 255, 245 Strise
groupes et à s'entourer d'une enveloppe commune pour 1er de petits
ganglions
, reliés les uns aux autres par de fines commis-
angentielle, puis il tra- le nerf sans se ramifier, pénètre dans le
ganglion
et s'y termine par des arborisations libres dans
é, à un cordon moniliforme situé du côté ventral de al, et dont les
ganglions
sont réunis par de fines commissures verti- t t
ace des muscles, les autres forment les commissures qui relient lès
ganglions
entre eux, ils se terminent tous par des arborisa
ux, ils se terminent tous par des arborisations libres soit dans le
ganglion
où siège la cellule d'origine (Retzius, v. Lenhos
cellule d'origine (Retzius, v. Lenhossek, de Nabias), soit dans un
ganglion
plus ou moins éloigné. Ces arborisations termin
ux des neurones périphéri- ques ; elles forment dans l'intérieur du
ganglion
une substance finement granuleuse, véritable fe
e chaque côté de la colonne vertébrale, pour, «ffi-^1 a stituer les
ganglions
Les neurones centraux concourent- à former Taxe
continue avec urie'tYlr2 de Remak, laquelle se porte, soit dans un
ganglion
sympathique ou céri.'1Wo rachidien voisin, soit
tudiées avec ces régions. Le second assure les connexions entre les
ganglions
infra-corticaux et les centres nerveux inférieu
tive était altérée dans son segment central, le segment attenant au
ganglion
persistant intact. Waller arriva à l'aide de se
ntact. Waller arriva à l'aide de ses expériences, à conclure que le
ganglion
spinal est le centre trop/tique du nerf sensiti
l'aide d'une petite scie et d'un ciseau à froid. Pour extraire les
ganglions
spinaux, il sera nécessaire de mettre les trous d
n genou, son segment antérieur et postérieur, ses rapports avec les
ganglions
de la base, y sont très fidèlement reproduits.
n- volutions temporales, le pied des circonvolutions frontales, les
ganglions
de la base, le pédoncule et la partie correspon
es variable. Au bout d'une heure, il commence à exa- miner quelques
ganglions
et arrive, par tâtonnements, à reconnaître au b
rébro-spinal. ' Le cordon inter- médiaire donne nais- sance aux
ganglions
cérébro-spinaux et sympathiques. Occlusion
. Ce cordon donne naissance, ainsi que M. Duval ` l'a montré, aux
ganglions
cé- Téb1'o-1'achidiens et secondai-. rementau
tré, aux ganglions cé- Téb1'o-1'achidiens et secondai-. rementaux
ganglions
sympa- thiques (cordon ganglionnaire etplexus
que. (D'après Mathias Duval.) CM, canal neural ou médullaire. - GS,
ganglion
spinal. - EC, premiers rudiments des cellules d
in. 20). Vésicules auditives.] 3. Fig. 19, 20, 21. - Encéphale et
ganglions
.' . cérébraux d'un embryon humain d'en- ? viro
sale. - Fic. 21. Encéphale vu de face. AC, arrière-cerveau. - AF,
ganglion
acous- tico-facial.- CA, cerveau antérieur. - C
n.' - Fol, fossette olfactive. /M, fente en forme de selle. - GG,
ganglion
de Gasser. - Gc, ganglion ciliaire. - GI, gangl
ive. /M, fente en forme de selle. - GG, ganglion de Gasser. - Gc,
ganglion
ciliaire. - GI, ganglion du pre- mier nerf cerv
de selle. - GG, ganglion de Gasser. - Gc, ganglion ciliaire. - GI,
ganglion
du pre- mier nerf cervical. - HCa, hémisphère c
H, vésicule dos . hémisphères. VO, vésicule oculaire secondaire. X,
ganglion
du pueumo -gastrique. IX. ganglion du glosso-ph
, vésicule oculaire secondaire. X, ganglion du pueumo -gastrique. IX.
ganglion
du glosso-pharyngien . - La ligne pointillée de
ormc. - fst. l'ente en forme de selle. -Fol, fossette olfactive. -Gs,
ganglions
spinaux. . - Is, isthme du cerveau postérieur.
téral du 48 ventricule. - V4 4- ventricule. - XII, hypoglosse. - X,
ganglion
du pneumo-gastrique. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME N
de la lame fondamentale; les nerfs sensitifs dans les cellules des
ganglions
crâniens; les ganglions crâniens se développent
; les nerfs sensitifs dans les cellules des ganglions crâniens; les
ganglions
crâniens se développent aux dépens de la partie
e chaque côté du cerveau postérieur et de l'arrière- cerveau, trois
ganglions
dont deux sont situés en avant et un en arrière
s en avant et un en arrière de la vésicule auditive (fig. 19). Le
ganglion
antérieur représente le ganglion de Gasser rudime
la vésicule auditive (fig. 19). Le ganglion antérieur représente le
ganglion
de Gasser rudimentaire, dont une parcelle donne
nglion de Gasser rudimentaire, dont une parcelle donne naissance au
ganglion
ciliaire. Le ganglion moyen représente le gangl
taire, dont une parcelle donne naissance au ganglion ciliaire. Le
ganglion
moyen représente le ganglion acou.stico-facial de
nne naissance au ganglion ciliaire. Le ganglion moyen représente le
ganglion
acou.stico-facial de Bis, aux dépens duquel se
ion acou.stico-facial de Bis, aux dépens duquel se développent : le
ganglion
spiral du nerf cochléaire, l'in- tumescence gaz
l'in- tumescence gazzgliforme de Scarpa du nerf vestibulaire, et le
ganglion
déni- culé du facial. Le ganglion postérieur
rpa du nerf vestibulaire, et le ganglion déni- culé du facial. Le
ganglion
postérieur se subdivise de très bonne heure, et d
postérieur se subdivise de très bonne heure, et donne naissance au
ganglion
d'Andersch du glosso-pharyngien et au ganglion
t donne naissance au ganglion d'Andersch du glosso-pharyngien et au
ganglion
jugulaire du pneumo-gastrique. L'origine réel
duc de Sylvius et entre dans la constitution du ruban de Reil. Le
ganglion
du tubercule quadrijumeau postérieur, dont les li
tion du ruban de Reil, existe dans toute la série des vertébrés. Ce
ganglion
forme chez les mammifères le tubercule quadriju
ercule quadrijumeau antérieur. Chez les poissons et les oiseaux, le
ganglion
du tubercule quadrijumeau postérieur se réduit à
EUX. loi. 1 1 i renferment chez les vertébrés supérieurs, plusieurs
ganglions
thalamiques . qui rétrécissent d'autant la cavi
du diverticule pinéal, ils donnent naissance de chaque côté, iL un
ganglion
constant dans la série des vertébrés, le gangli
haque côté, iL un ganglion constant dans la série des vertébrés, le
ganglion
de l'habenula qui reçoit le tÆnia thalami. Glan
pinéale ou commissure dorsale du thalamus, laquelle relie les deux
ganglions
de l'haúenula. Le diverticule sous-pinéal, tr
pto-striée primaire et destinées à montrer le mode de formation des
ganglions
centraux, de la capsule interne, du corps calle
de son développement, destinées à montrer le mode de formation des
ganglions
centraux, de la capsule interne, du corps calle
e, qui prend un grand accroissement et qui est connu sous le nom de
ganglion
du septum lucidum. Ce volumineux ganglion est l
est connu sous le nom de ganglion du septum lucidum. Ce volumineux
ganglion
est loin d'être « lucidum », aussi est-il préfé
t-il préférable de le désigner. avec Mi- halkovicz sous le nom de
ganglion
de la cloison. Chez l'homme, les bords du sep
de Sylvius, dont le développement est intime- ment lié à celui des
ganglions
de la base du ccrveau antérieur, et dont les pr
mite en avant le tube encéphalique, et qui représente à la fois les
ganglions
de la base (corps strié) et l'écorce céré- bral
te la série des vertébrés autres que les poissons cartilagineux, un
ganglion
volumineux qui occupe la base du cerveau, et en
sens et deviennent libres de l'autre côté de la ligne médiane. C.
GANGLIONS
CÉRÉBRO-RACHIDIENS. - NERFS SENSITIFS. NERFS SY
ées sous le nom de ganylio- blastes. Les ganglioblastes de tous les
ganglions
, soit rachidiens, soit crâ- niens, sont fusifor
x prolongements cylindre-axiles lui traversent comme un méridien le
ganglion
; l'un se dirige vers la moelle, 'autre vers la
irige vers la moelle, soit un rameau connectif qui se porte dans le
ganglion
sympathique voisin, soit enfin une fibre du gra
llules mésodermiques, qui vont con- stituer le tissu conjonctif des
ganglions
, la capsule ganglionnaire, la gaine de Schwan
rs. L'unipolarisa- tion se rencontre également dans les cellules de
ganglions
craniens, tels que le ganglion de. Gasser, le g
ntre également dans les cellules de ganglions craniens, tels que le
ganglion
de. Gasser, le ganglion géniculé du facial, le ga
cellules de ganglions craniens, tels que le ganglion de. Gasser, le
ganglion
géniculé du facial, le ganglion d'And('l'sclt d
tels que le ganglion de. Gasser, le ganglion géniculé du facial, le
ganglion
d'And('l'sclt du glosso-pharyngien, le plexus g
haryngien, le plexus gangliforme du pneumogas- trique, etc. Seul le
ganglion
auditif présente d'une façon permanente des cel
térieur primitif. Fi(;. 86. - Celltiles et groupes de fibres du
ganglion
spinal d'un embryon humain de quatre semaines e
'. His.) 148 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres centrales des
ganglions
cra- niens. Racines caudales des v^, tXe et
e alaire, où elles se terminent librement. Les fibres centrales des
ganglions
craniens atteignent la surface du bulbe un peu
u (ixe paire) et du vague (x° paire), forment, comme les fibres des
ganglions
spinaux, un faisceau longitudinal, qui descend
lle au début, devient bientôt plus profonde, au sur et à FIG. 87. -
Ganglion
cervical du grand-sympathique adhérent à une raci
vical du grand-sympathique adhérent à une racine antérieure et à un
ganglion
spinal. Coupe horizontale d'un embryon de poulet
re rachidienne. - D, rameau antérieur de la paire rachidienne. - F,
ganglion
sympathique. a, cellule bipolaire du gan- glion
erf acoustique et les nerfs du goût, prennent leur origine dans les
ganglions
cérébro-rac7ai- diens, ils pénètrent dans le né
périphéri- ques et tronc des nerfs mixtes. Fia. 88. - Nerfs et
ganglions
crâniens d'un embryon humain d'environ quatre s
re semaines et mesurant 10 millim. de long. (D'après W. Bis.) Gc,
ganglion
ciliaire. - Gh, vésicule ^auditive. - III, nerf m
. - III, nerf mo- teur oculaire commun, - il, nerf pathétique. - V,
ganglion
de Gassor. - VII et VIII, ganglion acoustico-fa
mun, - il, nerf pathétique. - V, ganglion de Gassor. - VII et VIII,
ganglion
acoustico-facial. IX, nerf glosso-pharyngien. l
. - SI, nerf spinal. - A77, nerf grand hyporlosse. - 1, 2, 3, 4, 5,
ganglions
spinaux des cinq premiers nerfs cervicaux. lo
e : le nerf vague dans son trajet thoracique. Les trois branches du
ganglion
de Gasser et le nerf facial sont de même rectilig
es sur les côtés du corps, en avant des segments médullaires et des
ganglions
dont ils reçoivent les branches. - § IL - DEU
montrée par Golgi. Les cellules ganglionnaires siè- gent dans les
ganglions
rachidiens et sympathiques. Elles présentent,
dre toutefois les dimensions des cellules géantes. Les cellules des
ganglions
rachidiens sont encapsulées et unipolaires, et do
centrale avec une fibre radi- culaire postérieure. Les cellules du
ganglion
auditif (ganglion spirale et intumescence gangl
fibre radi- culaire postérieure. Les cellules du ganglion auditif (
ganglion
spirale et intumescence ganglif01'171e de Scarp
intumescence ganglif01'171e de Scarpa) sont bipolaires, celles des
ganglions
il Cellules nerveuses centrales. Cellules
grains. Cellules ganglion- naires. Cellules unipolaires des
ganglions
rachi- diens. Cellules bipolaires du gangli
nipolaires des ganglions rachi- diens. Cellules bipolaires du
ganglion
auditif.' FiG. 95. - Cellules nerveuses de la m
itifs occupent chez les Vertébrés, où elles siègent toutes dans les
ganglions
cérébro- rachidiens (fig. 99). La cellule olf
partiennent aux racines postérieures (c'est-à-dire aux cellules des
ganglions
rachidiens) ou aux « cellules des cordons » de
rve par exemple autour des corps des cellules uni ou bipolaires des
ganglions
cérébro-rachidiens ou sympathiques, et autour des
décrit la division en T du cylindre-axe des cellules unipolaires des
ganglions
spinaux, dont une branche se dirige vers la moe
cervelet; d'autres enfin sont unipolaires, comme les cellules des
ganglions
rachidiens et comme certaines cellules du typ
orisation avortée et di- gitiforme (6g. 111, c). Les cellules des
ganglions
rachidiens sont dépourvues de dendrites ; elles
s régions de l'écorce cérébrale ou cérébel- . leuse, ou de certains
ganglions
plus ou moins accessibles aux instruments, on o
ue résultent d'une division en T du cylindre-axe de la cellule d'un
ganglion
rachidien. Lorsqu'on arrache un nerf sensitif,
nc que : 1° Les cellules nerveuses de la moelle, du cerveau, ou des
ganglions
, sont toutes isolées au début, sans connexion a
peut siéger, soit dans l'axe encéphalo-médul- laire, soit dans les
ganglions
, soit à la périphérie (cellule olfactive). Le c
neurone sensitif de premier ordre est représenté par la cellule du
ganglion
spinal (GS) dont le cylindre-axe périphérique s'a
font défaut, comme dans les cellules unipolaires ou bipolaires des
ganglions
cérébro-rachidiens, les ramifications terminales
ier et de v. Lenhossek, nous savons en effet que chaque cellule des
ganglions
rachidiens est entourée d'une capsule endothélial
te structure est commune, non seule- ment à toutes les cellules des
ganglions
rachidiens, mais encore à celles des ganglions
tes les cellules des ganglions rachidiens, mais encore à celles des
ganglions
craniens (pneumo-gastrique, glosso-pharyngien, fa
ur la Reproduction des nerfs et sur la structure et les fonctions des
ganglions
spinaux. Milliers Archiv, 1852. CHAPITRE IV
ubstance grise, riche en cellules et en fibres nerveuses, forme les
ganglions
périphériques et constitue un peu moins du tiers
u système nerveux : ainsi le système nerveux périphérique (nerfs et
ganglions
), présente une consistance autrement ferme que
le tissu conjonctif abonde, comme par exemple dans les nerfs et les
ganglions
périphériques, la consistance soit de la substanc
forme extrêmement variable, qu'on désigne sous le nom générique de
ganglions
cérébraux ou encéphaliques. Ces ganglions sont,
sous le nom générique de ganglions cérébraux ou encéphaliques. Ces
ganglions
sont, tantôt nettement circonscrits, comme les
les corps opto-striés, le corps de Luys, les corps genouillés, les
ganglions
des tubercules quadrijumeaux, les olives du bul
Substance grise centrale. 1 Substance grise périphérique.
Ganglions
eCl'é- lraux ou cncyhali- ques, ou noyaux cen
de la moelle épinière, relie l'écorce cérébrale et cérébelleuse aux
ganglions
encéphaliques et ces derniers à la substance gr
centrale. L'ensemble des fibres qui relient l'écorce cérébrale aux
ganglions
encé- phaliques forme la couronne rayonnante ou
ection de ? ordre de Meynert. L'ensemble des fibres qui relient les
ganglions
encéphaliques à la substance grise centrale con-
ien qu'une injection poussée dans ces régions n'arrive pas dans les
ganglions
voisins. l'our certains auteurs, ces gaines fer
-vasculairc est toujours entouré d'un manchon de névro- glie.
Ganglions
cérèbro rachuticnsctsym- pathiques. . 1'nlc
pathiques. . 1'nlcs cn T rlc Itan- vier. fc Les cellules des
ganglions
c{ : .rtll1'()- 1'.ICllilI1CI15 sont uni- pol
u' SFS'l'Î3111 NHRVELX P É I ! 1 1' II K R I Q U E I. Structure des
ganglions
nerveux. Les ganglions nerveux peuvent être div
É I ! 1 1' II K R I Q U E I. Structure des ganglions nerveux. Les
ganglions
nerveux peuvent être divisés, au point de vue de
ure et de leurs fonctions physiologiques, en deux variétés : A. Les
ganglions
c'e& ? 'o- ? '6 ! c/</f/ ! eK; B. Les ga
s : A. Les ganglions c'e& ? 'o- ? '6 ! c/</f/ ! eK; B. Les
ganglions
sympathiques. A. GANGLIONS CÉRÉBRO-RACHIDIENS.
A. GANGLIONS CÉRÉBRO-RACHIDIENS. Les cellules nerveuses adultes des
ganglions
cérébro-rachidiens, à l'exception, toutefois, des
tes des ganglions cérébro-rachidiens, à l'exception, toutefois, des
ganglions
acoustiques, sont unipolaires et d'aspect pirif
nn et présente un étranglement annulaire (fig. 124). La cellule des
ganglions
rachidiens occupe donc la partie centrale d'un
ivisions en T de Ranvier. Fig. 124. Deux cellules nerveuses des
ganglions
spinaux du lapin, iso- lées par dissociation ap
toujours la rilirc centrale. Pour Cajal et Van la cellule des
ganglions
eéré- liro- rachidiens est coniparabteauuccel
entoure, comme ce dernier, d'une gaine de myé- line. La cellule des
ganglions
rachidiens serait, d'après ces auteurs, tout à
acule auditive ou de V organe de Corli . Les cellules nerveuses des
ganglions
acoustiques (ganglion spirale du nerf cochléair
organe de Corli . Les cellules nerveuses des ganglions acoustiques (
ganglion
spirale du nerf cochléaire, intumescence gangli
f vestibulaire) sont bipo- laires, comme les cellules nerveuses des
ganglions
rachidiens des poissons. Elles donnent naissanc
ules bipolaires sont encapsulées comme les cellules unipolaires des
ganglions
rachidiens, elles occupent la partie centrale d
ogique qui existe entre les cellules bipolaires des poissons et des
ganglions
acoustiques d'une part, et les cellules unipolair
ganglions acoustiques d'une part, et les cellules unipolaires [les
ganglions
cérébro-rachidiens des autres Vertébrés d'autre p
que réelle. Nous avons vu en effet, plus haut, que les cellules des
ganglions
rachidiens sont bipolaires au début et que, dans
laires définitives (lig. 87, p. 14.8). Les cellules unipolaires des
ganglions
rachidiens se rétractent, comme les cellules mu
ale du globe ganglionnaire, ne se retrouve pas lorsqu'on durcit les
ganglions
dans une solution d'acide chromique à 2 p. 1000.
es nerveuses ne sont pas répandues d'une, manière uniforme, dans le
ganglion
rachidien ou cérébral. On peut les distinguer en
veux en T qui en émanent, la majeure partie des éléments nerveux du
ganglion
. A côté de ces fibres qui .naissent dans le gan
nts nerveux du ganglion. A côté de ces fibres qui .naissent dans le
ganglion
, il s'en trouve d'autres qui ne font que le tra-
rveusos traversant le gan- glion - Froud, Jo- seph. FiG. 125.
Ganglion
spinal de la raie [Raja bâtis) dissocié dans le s
racines postérieures, après leur section en dedans ou en dehors du
ganglion
spinal, faite par Joseph, plaide toutefois en f
tre dans la racine postérieure, où on peut le poursuivre au delà du
ganglion
spinal. Les ganglions cérébro-rachidiens sont e
érieure, où on peut le poursuivre au delà du ganglion spinal. Les
ganglions
cérébro-rachidiens sont entourés d'une capsule co
x et aux vaisseaux et augmentent considérablement la consistance du
ganglion
. Un réseau capillaire, il mailles relativement
la capsule endothéliale qui recouvre la cellule ganglionnaire. B.
ganglions
sympathiques. - Jusqu'aux travaux récents de Caja
ala, basés sur la méthode de Golgi, on considérait les cellules des
ganglions
sympathiques des mammifères comme formées de ce
Gehuchten, Retzius et Sala, que les cellules nerveuses adultes des
ganglions
sympathiques centraux des mammifères sont compara
se continue avec une fibre de Remak, laquelle se porte soit vers un
ganglion
voisin {fibre commissurale ou interganglionnaire)
e), et ne présente en général pas de branches collatérales, dans le
ganglion
même où siège sa cellule d'origine. Les cellule
leur prolongement cylindre-axile unique, on trouve encore, dans le
ganglion
sympathique, des faisceaux compacts de libres, qu
sympathique, des faisceaux compacts de libres, qui tra- versent le
ganglion
en tous sens (fig. 87, p. 148). Les couches les p
tous sens (fig. 87, p. 148). Les couches les plus superficielles du
ganglion
sont formées, en outre, de fibres nerveuses amyé-
ur trajet de fines collatérales ; ces dernières s'enfoncent dans le
ganglion
et se mettent en contact avec les prolongements
uperficielles. Ces fibres nerveuses qui traversent ou recouvrent le
ganglion
s)'l11pa- Prolongemonts longs ou cylindre-
ulaire avec fibrilles proto plasmiques. Fibres traversant les
ganglions
sympa- thiques. . Fie. 1>G. - Cellule symp
ganglions sympa- thiques. . Fie. 1>G. - Cellule sympathique du
ganglion
cervical inférieur d'un chien adulte. (D'après
ne lamcllcusc. i 1 Vaisseaux. . Itiseau veineux de Kanvier.
Ganglions
sympa- thiques | viscéraux. a thique appart
es autres enfin aux rameaux communicants ou fibres centrales. Les
ganglions
reçoivent en outre de la moelle, par les racines
qui se terminent par des arborisations libres dans l'épaisseur des
ganglions
(fig. 87). Ils présentent également, ainsi que
s'entrecroisent et s'enchevêtrent en tous sens, et forment dans le
ganglion
une masse granuleuse, comparable au premier abo
premier abord à la substance ponctuée, décrite par Leydig dans les
ganglions
ner- veux des Invertébrés. Ces fibrilles variqu
toure la cellule sympathique d'une sorte de nid péri-cellulaire. Le
ganglion
sympathique, comme les cordons sympathiques et le
xile et de nombreux prolongements protoplasmiques, les cellules des
ganglions
sympathiques viscéraux n'en possèdent qu'une se
testin (Cajal), des cellules nerveuses isolées, qui constituent les
ganglions
sympathiques interstitiels. Ces cellules ner- v
de place en place des étranglements découverts par Ranvier en 1871.
Ganglions
sympa- tlii.11les interstitiels. Nerfs cérébr
osos del intestino de los mamiferos. Madrid, 1893. - Du Même. Sur les
ganglions
et plexus nerveux de l'intestin. Mem. Soc. Biol
lon limbrio-godronné. - Fi, fimbria. - Fus, lobule fusiforme. - Gh,
ganglion
de l'habénula. - Il, circonvolution de l'hippocam
érieure libre de la couche optique, où elles se terminent dans deux
ganglions
pro- fondément enclavés dans la couche optique,
interne Pi. 1·'11, fasciculus l'ctl'utl0.Xl1 de Meynert se rendant au
ganglion
int.Cl'-pl'dnl1cu- laire Gi.p. 1lCv, hémisphère
- coa, commissure antérieure. - com, commissure postérieure. - Gh,
ganglion
de l'habénula. - Gp, glande pinéale. - Ifa. Ifp,
e cérébral on trouve, dans la commissure grise de la base, un petit
ganglion
réniforme, qui ne fait qu exceptionnellement sail
horculo mamillairo latéral. i 322 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Ganglion
iutcr- pédonculaire. Fascicuiusrutro- llexi
pace inter-pédonculaire est occupe, chez les rongeurs, par un petit
ganglion
impair et médian, décrit par Gudden et par Fore
et par Forel, la gang lion inter-pédonculaire (Gip, fig. -184). Ce
ganglion
, très peu visible chez l'homme, occupe chez ce de
e médiane, une bandelette étendue du tubercule mamillaire médian au
ganglion
inter-pédonculaire (fig. 184). Région des pédon
mmissure postérieure. - Ftp, faisceau longitudinal postérieur. - Gip,
ganglion
inter-pédonculaire. - Ln, locus niger. - N1V, n
missure de Mcyncrt. - F,11, fasciculus rctrot1exus de Meynert. - Gip,
ganglion
intcr-pédon- culaire. - IICv, hémisphère cérébe
de la valvule de Vieussens. Tic. 194. - Tubercules quadrijumeaux,
ganglion
de l'habenula, pédoncules cérébelleux supérieur
u de la coupe de Meynert. fVV, freins de la valvule de Vieussens. Ch,
ganglion
de l'li rhcnula. l, Insuta. - iep, ligne le lon
téro-inférieure du cerveau moyen des Vertébrés inférieurs, un petit
ganglion
arrondi, qui est l'homologue du tubercule quadrij
. f. Psychiatrie, Bd XI, 1880. - Du MÊMF. 311l- theilzuzg Übel' das
ganglion
interpedunculare. Arch. f. Psychiatrie, Bd I. -Do
n, ou troisième ventricule (V1) et, de chaque côté, deux volumineux
ganglions
de substance grise, la couche optique (Th) en d
- coa, commissure antérieure. - coin, commissure postérieure. - Gh,
ganglion
de l'habénula. - Gp, glande pinéale, - Ifa, Ifp,
lle. - Cv, cervelet. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Gh,
ganglion
de l'lmtbénula. - Gp, glande pinéale. - I, infund
lp, faisceau longitudinal postérieur. - fs, fissura serotina. - Gh,
ganglion
de l'habénula. Gp, glande pinéale. /, infundibu
régulière; elle correspond en grande partie au noyau externe de ce
ganglion
(Ne) et présente en avant, au voisinage du trou
ndi. coa, commissure antérieure. com, commissure postérieure. - Gh,
ganglion
de l'habénula. Gp, glande pinéale. - Ifs, Ifp,
E DES CENTRES NERVEUX. Son sommet. Sa base. Ticnia thalami et
ganglion
de l'habé- nnla. Toile choroïdien ne. Plexu
ieure de la couche optique, et dont les fibres se terminent dans le
ganglion
de /7c'</f<(Gh). Ce ganglion, découvert p
nt les fibres se terminent dans le ganglion de /7c'</f<(Gh). Ce
ganglion
, découvert par Serres (1824-1826) et dénommé pa
issure postérieure... ? E¥,erg0t de Mora-nd.Ft ? forceps major. - Gh,
ganglion
de l'habé- . ' nula. Gp, glande pinéale. lip, l
ngle de l'lcabézztcla, ainsi nommé à cause de son voisinage avec le
ganglion
de l'habénula (Gh), situé sur le trajet du tæni
- rieur. Pulvinar. j I i Triangle de l'habé-¡ nula. i
Ganglion
de l'ha- bénula. 1 Sa face interne. , S
missure postérieure. EM, ergot de Morand. - Fm, forceps major.-Gh,
ganglion
de l'habé- nula. - Gp, glande pinéale. - Lip, l
re et postérieure de ce noyau interne, que se trouve situé le petit
ganglion
de l'habénula (Gh) (lig. 226, 253, z187, 307, 3
es faisceaux, soit des rapports que ces derniers affectent avec les
ganglions
de la base, ces coupes sont totalement insuffi-
trou de Monro. Elle intéresse le pli cunéo-linabi jzce ( ? lg), le
ganglion
de l'Itabénula( Gh) et la glande pinéale (Gp).
de Nlcy·nert. - Fin', faisceau inférieur ou minor du forceps. - Gh,
ganglion
de l'habénula. Gp, glande pinéale. -la, Ip, ins
optique (Th) on reconnaît les noyaux externe (Ne) et interne et le
ganglion
de l'habénula (Gh), situé à la partie interne de
re et appartient à la face postérieure et libre du pulvinar (Pul). Le
ganglion
de l'habénula est limité en dehors par le fasci
(FM) qui apparaît sous l'aspect d'un faisceau foncé; en dedans, le
ganglion
de l'habénula est réuni à celui du côté opposé
, faisceau uncinatus. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Gh,
ganglion
de l'lialpcnula. - H, hippocampe. i, sillon de l'
ral, et qui comme telles décrivent un arc autour de l'insula et des
ganglions
de la base. (Voy. tig. 177, 179, 182.) La surfa
ond au lobe sphénoïdal ; la partie moyenne est occupée par les gros
ganglions
de la base qui forment avec la face interne du
stance grise de l'espace perforé antérieur (Epa), ainsi qu'avec les
ganglions
de la base (coupe n° 66, fig. 246), et, à la pl
ent interne (NL2) fait partie du globus pallidus, qui représente un
ganglion
analogue à la couche optique; il est séparé du pu
-253) se porte en haut et en dehors. Il se termine en effet dans le
ganglion
de l'habénula (Gh) qui se trouve sectionné sur
0 (sM) exisle encore, sur la coupe n° 86 (lig. 253) apparaissent le
ganglion
de l'habénula (Gh), la commissure postérieure (co
. FM, faisceau rétroflexe de Mcynert.- Fus, lobule fusiforme. - Gh,
ganglion
de l'hahenula. Gsm, circonvolution marginale su
xe de Illerlner't (FM) qui atteint sur la coupe n° 86 (fig. 253) le
ganglion
de l'habénula (Gh). En dehors de la calotte, no
Sur les coupes nos 86 et 88 (lif;. 253-254) il se présente comme un
ganglion
arrondi, enclavé dans la couche optique (Th), sit
faisceau rétroflexe de Jfe ! JneJ't (FM), au moment où il aborde le
ganglion
, de l'habénula situé en dedans de la coupe. La
yau caudé (NC') représente sur cette coupe le der- nier vestige des
ganglions
de base. Cependant, au-dessous du sillon marginal
fait d'après une photographie.) 522 ANATOM1E DES CENTRES NERVEUX.
ganglions
centraux. Autour de la substance grise sous-épend
ique ; c'est le (oenia thalami (tth) qui se rend en arrière dans le
ganglion
de Yhabénula et établit la limite entre la face i
NERVEUX. dedans. Ce faisceau prend son origine dans les cellules du
ganglion
de l'ItaÚI;- nula et se termine par des arboris
Forel); il dégénère à la suite de la lésion Ou de la destruction du
ganglion
de l'habénula. Le centre médian de Luys est sillo
térieur. - ft. fibres tangentielles. - Fus, lobule fusiforme. - Gh,
ganglion
de l'habénula. Gsm, gyrus supra- marginalis. H,
a protubérance. Au-dessus de l'aqueduc de Sylvius (Aq) on trouve le
ganglion
de l'habérrrrlrt (Gh) et la crrzrzrrzi ? stcre po
de Meynert (CM) et en avant du pied du pédon- cule cérébral (P), le
ganglion
du tubercule mamillairc latéral (Tml). De ce gang
érébral (P), le ganglion du tubercule mamillairc latéral (Tml). De ce
ganglion
partent des fibres qui contournent la partie an
passe par le trou de Monro (Tl), le centre médian de Luys (Nm), le
ganglion
de l'habe'nzcla (Gh) et intéresse les trois segme
r (Pul) et du noyau interne du thalamus (Ni), on rencontre un petit
ganglion
surajouté, saillant à la face interne de la cou
lion surajouté, saillant à la face interne de la couche optique, le
ganglion
de l'lw/ilillllla (Gh). Ce ganglion esl formé p
nterne de la couche optique, le ganglion de l'lw/ilillllla (Gh). Ce
ganglion
esl formé par la réunion de petits amas de substa
e semi-lunaire à concavité postérieure (Voy. fig. 308 et 309). Le
ganglion
de Vhabéuula (Gh) sert de limite entre les faces
halamus. Toute la partie de la couche optique située en avant de ce
ganglion
fait partie de la paroi latérale du troisième ven
ou de J/01/l'o. La partie de la couche optique située en arrière du
ganglion
de l'habénula appartient à la surface extra-ventr
des segments interne et externe du globus pallidus (NL2, NI,, Le
ganglion
de l'habénula (Gh) divise la couche optique (Th)
t. FT, faisceau de Türck. - Fllt, faisceau thalamique de Forel. Gh,
ganglion
de l'habénula. - H, hippocampc. - h, sillon de l'
Zt', zone réticulée ou grillagée. tricule (V3), lequel s'étend du
ganglion
de l'habénula (Gh) jusqu'au pilier antérieur du
se confond avec le centre médian de Luys (Nm), et il est séparé du
ganglion
de l'habénula (Gh) el du tubercule quadri jumea
s retroflexus). La partie de la couche optique située en arrière An
ganglion
de l'habénula (Gh) Comprend le Jtulviuar (Pul),
adrijunicau antériettr· (Qa), qui apparaît entre le pulvinar et, le
ganglion
de l'habénula. Sur cette coupe, le tubercule qu
nert. FT, faisceau de Turck. Fth, faisceau thalamique de Forel. Gh,
ganglion
de l'habénula. H, hippocampe. i, sillon insulaire
ncement de la commissure postérieure (cop) et le dernier vestige du
ganglion
de l'habénula (Gh). Le faisceau rélroflexe de 1lc
A). Cette substance in- nominée de Reichert constitue le soi-disant
ganglion
de l'anse pédonculaire de Gratiolet. Nous tenon
èlement, qui s'irradient dans un petit noyau de substance grise, le
ganglion
du tubercule, (Iii(idi-i.].iiit( ? au 1)osléi-i
ur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fus, lobule fusiforme. GQp,
ganglion
du tubercule quadrijumeau postérieur. H, circonvo
tuée. La partie postérieure du ruban de Reil médian (Rm) aborde, le
ganglion
du tubercule quadrijumeau Jostreieun (GQp). L'a
1 S. Celle coupe intéresse la région sous-thalamique supérieure, le
ganglion
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 63o de l'
longitudinal inférieur. - Fth, faisceau thalamique de Forel. - Gh,
ganglion
de l'habénula. la, insula antérieur. Ip, insula p
us (Nm), que l'on intéresse toujours, dès que la coupe passe par le
ganglion
, de l'habénula (Gh). Ce dernier forme, un petit
iquée immédiatement au-dessous de la commissure molle, passe par le
ganglion
de l'habénula (Gh), la partie inférieure, de la
ceau rétroflexc de Meynert. Fllz, faisceau thalamique de Forel. Gh,
ganglion
de l'habénula. -i, sillon de l'insula. la, insu
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le t,l'nia thalami a disparu dans le
ganglion
de. l'habénula (Gh). Ce dernier donne naissance
, qui apparaît formé par une dizaine de fascicules, situés entre le
ganglion
de l'habénula (Gh) et le centre médian de Luys
), le faisceau rétroflexe de Meynert, (FM), la partie inférieure du
ganglion
de l'habénula et les fibres de la commissure post
iculaire (Al) et le pilier antérieur du trigone (Tga), on trouve le
ganglion
du tubercule mamillaire latéral (Tml). Les fibres
avant la bandelette optique (II), dont les fibres s'irradient dans ce
ganglion
, et dont quelques-unes ne font que le traverser
oupe de cellules nerveuses assez abon- dantes, qui appartiennent au
ganglion
inter-pédonculaire de Gudden (voy. coupe suivan
, au contraire, la substance grise se groupe en un noyau ovalaire, le
ganglion
du tubercule quadrijumeau postérieur (NQp). Mal
d dans la substance grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius (SgAq), ce
ganglion
du tubercule quadrijumeau postérieur est, par c
a commissure postérieure. rlp, faisceau longitudinal postérieur. Gip,
ganglion
inter-pédonculaire. L ? t, locus niger. XIV, no
d'association et probablement d'autres libres nerveuses, venant des
ganglions
centraux ou des centres infra-corticaux ; 6°
eux; 3° des fibres de projection qui relient l'écorce cérébrale aux
ganglions
centraux, à la région sous-optique, à la protub
e arborisation variqueuse et libre entre les cellules propres de ce
ganglion
(Cajal). 4° Fibres centripètes ou terminales.
rne. coa, commissure anté- rieure. - F2t, faisceau uncinatus. - Gh,
ganglion
de l'hab("l1nla. .VA, noyau amygdalien. - Na, n
qu'ils étaient terminés par une extrémité renflée en manière de petit
ganglion
; que ces filamens s'allongent et se renflent, ap
GANGLIONNAIRES. Transformation fibreuse et développement énorme des
ganglions
cervicaux du grand sympathique et du tronc nerveu
x du grand sympathique et du tronc nerveux de communication entre ces
ganglions
. (planche iii, irc livraison.) Des élèves de
a colonne cervicale. M. Bérard croit au premier abord que ce sont des
ganglions
lymphatiques malades ; mais quel n'est pas son ét
il reconnaît que ces volumineuses tumeurs sont formées aux dépens des
ganglions
nerveux cervicaux du grand symphatique! Il s'empr
latérale gauche, il existe une série de tumeurs occupant la place des
ganglions
cervicaux, communiquant entre elles et avec les b
t près d'un pouce de long et demi-pouce de diamètre. Elle remplace un
ganglion
nerveux qui existe assez souvent, et qu'on peut a
e un ganglion nerveux qui existe assez souvent, et qu'on peut appeler
ganglion
cervical supérieur accessoire. Ce ganglion reçoit
ent, et qu'on peut appeler ganglion cervical supérieur accessoire. Ce
ganglion
reçoit en effet et émet une partie des branches q
oit en effet et émet une partie des branches que reçoit et qu'émet le
ganglion
cervical supérieur, dont le volume est alors sens
*je n'ai pas pu le vérifier. 2°. La tumeur fusiforme IG remplace le
ganglion
cervical supérieur ; elle a deux pouces trois lig
e pour former une tumeur triangulaire 2G, qui m'a paru représenter le
ganglion
cervical moyen. Cette tumeur 2G se continue par u
ux que son cordon d'origine pour aller communiquer avec la tumeur 3G,
ganglion
cervical inférieur en partie masqué par l'artère
urs que nous venons de décrire sont réellement formées aux dépens des
ganglions
cervicaux du grand sympathique. La figure 2 va fa
e espèce de doute a cet égard, en nous montrant les connexions de ces
ganglions
avec les nerfs cervicaux. Ici les ganglions ont é
ant les connexions de ces ganglions avec les nerfs cervicaux. Ici les
ganglions
ont été portés en dehors et renversés de telle ma
e que leur face postérieure est devenue antérieure. La tumeur i'G, ou
ganglion
cervical supérieur accessoire, est seule restée e
un filet a qui va s'anastomoser avec le nerf carotidien fourni par le
ganglion
cervical supérieur IG; 20 deux ou trois filets b,
un petit plexus duquel naissent des rameaux qui vont se jeter dans le
ganglion
cervical supérieur IG. Le ganglion cervical sup
ameaux qui vont se jeter dans le ganglion cervical supérieur IG. Le
ganglion
cervical supérieur IG donne naissance à un grand
t le développement, sans être précisément proportionnel à celui de ce
ganglion
, est néanmoins beaucoup plus considérable que dan
le mauvais état de la pièce. 20. C'est par son bord externe que le
ganglion
cervical supérieur reçoit les rameaux qui établis
e et la deuxième paires cervicales, accrus par les filets indiqués du
ganglion
cervical supérieur accessoire; les autres naissen
quable formée par la deuxième et la troisième paires cervicales. Le
ganglion
cervical moyen 2G reçoit deux branches considérab
osition n'a pu être figurée ici. Le gros cordon de communication du
ganglion
cervical moyen au ganglion cervical inférieur reç
ici. Le gros cordon de communication du ganglion cervical moyen au
ganglion
cervical inférieur reçoit un rameau considérable
droit de cette union se voit un renflement marqué. 3G représente le
ganglion
cervical inférieur renversé en dehors de manière
oit manifestement sa forme anguleuse, sa continuation avec le premier
ganglion
thoracique, un gros cordon de communication avec
ganglion thoracique, un gros cordon de communication avec le deuxième
ganglion
thoracique qui ne dépasse pas le volume ordinaire
t l'artère sous-clavière, et les nombreux rameaux de communication du
ganglion
cervical inférieur et du premier ganglion thoraci
rameaux de communication du ganglion cervical inférieur et du premier
ganglion
thoracique réunis avec la sixième, la septième et
me et même la huitième paires cervicales. La figure 4 représente le
ganglion
cervical supérieur IG divisé longitudinalement da
ilème. Cette texture fibreuse était commune à toutes les tumeurs ; le
ganglion
cervical supérieur accessoire IG' avait seul une
vait seul une dureté cartilagineuse. Les cordons de communication des
ganglions
entre eux avaient le même aspect que les ganglion
communication des ganglions entre eux avaient le même aspect que les
ganglions
; les cordons de communication avec les paires ce
ions. — Il résulte de la description qu'on vient de lire : i° que les
ganglions
nerveux sont sujets à une altération organique qu
le; i° que les troncs nerveux qui s'étendent de l'un à l'autre de ces
ganglions
sont aussi susceptibles de la même transformation
questions se présentent à résoudre. Cette augmentation de volume des
ganglions
peut-elle être regardée comme une hypertrophie? e
anatomie de texture nous apprend qu'il entre dans la composition d'un
ganglion
nerveux, i° une membrane fibreuse d'enveloppe , 2
ellules ou aréoles fibro-celluleuses qui s'injectent à la manière des
ganglions
lymphatiques , 3° une substance grise éminemment
stance grise; les nerfs proprement dits comprimés ont disparu, et des
ganglions
nerveux ont présenté absolument la même structure
le développement considérable des branches de communication entre les
ganglions
transformés et les paires cervicales confirme ple
nombre de racines de l'arbre cérébro-rachidien. En effet, puisque les
ganglions
cervicaux sont transformés en tissu fibreux, et n
il est clair que, si les branches de communication provenaient de ces
ganglions
, elles devraient être atrophiées. J'ai d'ailleurs
iées. J'ai d'ailleurs démontré anatomique-ment dans mon Cours que les
ganglions
du grand sympathique émanent des paires spinales.
ation se détacher des branches spinales antérieures , et se rendre au
ganglion
correspondant en suivant une direction quelquefoi
bien propre à éveiller l'attention sur les lésions si peu connues des
ganglions
nerveux. 1ère Livraison, Pl. 4. MALADIES DU R
oyant le canal mtooûudl, je fus frappé du volume d'un grand nombre de
ganglions
mésentériques GI, GI, GI ; ils étaient indurés, r
s VL, VL', etc. (fig. i), partaient de ces plaques pour se rendre aux
ganglions
lymphatiques correspondans, dans lesquels ils se
ssible de les suivre au milieu de la matière concrète en laquelle ces
ganglions
semblaient être transformés. D'autres vaisseaux V
lis par une matière tuberculeuse qu'ils auraient pompée, non dans les
ganglions
mésentériques, l'ordre de la circulation s'y oppo
ramifier sous la membrane péritonéale, et se rendre en définitive aux
ganglions
mésentériques. La figure 5 représente grossis l
ui partaient d'ulcérations intestinales et qui se rendaient jusqu'aux
ganglions
mésentériques. Il n'en a jamais vu au-delà de ces
jusqu'aux ganglions mésentériques. Il n'en a jamais vu au-delà de ces
ganglions
, et je n'en ai jamais vu non plus ; i°. dans des
jectés par du mercure ; 3°. dans d'autres vaisseaux qui partaient des
ganglions
inguinaux et se rendaient, distendus par une mati
aient, distendus par une matière d'un blanc mat, jusqu'à un groupe de
ganglions
lombaires qui étaient transformés en une masse ca
utérin en détritus. Ici se rapporte le beau cas de vaisseaux et de
ganglions
lymphatiques injectés de pus, que j'ai consigné a
eurs été donnée par M. Magendie. Toutefois je ferai remarquer que les
ganglions
inguinaux et lombaires auxquels se rendaient les
res détenus. A l'ouverture, nous trouvons qu'il existait au milieu de
ganglions
bronchiques volumineux, à la racine du poumon dro
uée en dehors du poumon, était formée en grande partie aux dépens des
ganglions
bronchiques indurés, et communiquait avec la trac
icatrice du cordon testiculaire n'a présenté rien de particulier; les
ganglions
lombaires ne dépassaient pas leur volume naturel.
ent à une petite distance de la valvule iléo-cœcale. Un bon nombre de
ganglions
mésentériques étaient tuméfiés, rouges; plusieurs
ulcérations voisines de la valvule iléo-ccecale et l'inflammation des
ganglions
mésentériques. Je dois appeler l'attention des
des parois de cette poche; ils étaient remarquables par le volume des
ganglions
et des nerfs de communication, soit de ces gangli
ar le volume des ganglions et des nerfs de communication, soit de ces
ganglions
entre eux, soit des ganglions avec les nerfs inte
des nerfs de communication, soit de ces ganglions entre eux, soit des
ganglions
avec les nerfs intercostaux. Leur tissu était trè
laient avoir disparu au milieu du tissu fibreux. Cette altération des
ganglions
nerveux doit être plus fréquente qu'on ne l'imagi
icatrice du cordon testiculaire n'a présenté rien de particulier. Les
ganglions
lombaires ne dépassaient pas leur volume naturel.
de droit CA était dénudée, érodée, en partie osseuse. Du reste, les
ganglions
lymphatiques situés sur les côtés du larynx sont
es tubercules miliaires dans le poumon, le foie, la rate; et quelques
ganglions
lymphatiques, tuberculeux. Méningites sous-arac
cicatrice à laide de brides fibreuses BF, BF. gn représente un petit
ganglion
nerveux distinct du précédent. O Le malade qui
devenue plane et même légèrement convexe. La figure 4 représente le
ganglion
nerveux GN divisé en deux parties égales par une
rpiller dans l'épaisseur du renflement et s'y perdre à la manière des
ganglions
nerveux. A. Charal. del. Lith. de l'hatier.
ale et du colon ascendant participent à l'altération. Constamment les
ganglions
du mésentère qui correspondent à l'intestin malad
orme ulcéreuse ; 4° sous la forme gangreneuse : 5° l'inflammation des
ganglions
mésentériques, qui paraît n'être qu'accessoire, c
les formes d'entérite folliculeuse aiguë que je viens d'énumérer, les
ganglions
mésentériques correspondais participent plus ou m
t Serres. Or il se rencontre des cas dans lesquels l'inflammation des
ganglions
mésentériques paraît la lésion principale, l'infl
lliculeuse n'étant nullement en rapport soit avec l'altération de ces
ganglions
, soit avec les symptômes. Or les ganglions mésent
t avec l'altération de ces ganglions, soit avec les symptômes. Or les
ganglions
mésentériques principalement affectés sont i° ceu
o-colique); i° ceux qui avoisinent la fin de l'iléon; 3° un groupe de
ganglions
qui occupent le bord adhérent du mésentère et par
semi-tuberculeux. Il n'est pas rare de voir tous ou presque tous les
ganglions
mésentériques d'un rouge intense et comme pénétré
ce interne; de même qu'à l'inspection du mésentère on juge l'état des
ganglions
contenus dans son épaisseur. Dans d'autres cas, i
siège était bien évidemment dans les follicules du gros intestin. Les
ganglions
mésentériques (GL, GL, GLO) qui avoisinent la val
e, les uns couleur lie de vin, les autres blanchâtres ; dans tous ces
ganglions
, il y avait évidemment mélange de sang et de pus,
. Mort le 16 à neuf heures du matin. Ouverture du cadavre. Tous les
ganglions
mésentériques , et principalement ceux qui avoisi
me du pus concret. Les vaisseaux sous-péritonéaux qui environnent les
ganglions
mésentériques sont très-injectés. L'intestin ouve
ient des follicules isolés F, F, sous la forme de granulations. — Les
ganglions
lymphatiques correspondans du mésentère GL, GL ét
mineux que de coutume. De l'angle iléo-colique partait une traînée de
ganglions
qui gagnaient la colonne vertébrale, le long de l
la colonne vertébrale, le long de laquelle ils se prolongeaient; ces
ganglions
étaient remplis d'un pulpe lie de vin. — Quant au
étruites et remplacées par de vastes ulcérations. La multiplicité des
ganglions
lymphatiques enflammés, et l'intensité de cette i
s caroncules qui auraient servi plus tard de base à la cicatrice. Les
ganglions
mésentériques étaient à peu près revenus à leur é
neuf jours.—Recrudescence des symptômes. —Hallucination.—Mort. — Les
ganglions
mésentériques paraissent le siège principal de la
l'état naturel; thorax sain; dans l'abdomen, un très-grand nombre de
ganglions
lymphatiques GL, GL qui partent de l'angle iléo-c
matière concrète blanc-rougeâtre semblable à du pus concret; l'un des
ganglions
ouverts GLO présente à son centre une matière jau
rées, pustuleuses, des ulcérations folliculeuses, des engorgemens des
ganglions
mésentériques. Il est malheureux que nous n'ayons
at de ses organes. Ici l'altération portait au moins autant sur les
ganglions
lymphatiques que sur le canal intestinal. Il ne s
S 1 ET 3 (**). Petite fille de quatre ans, ayant un engorgement des
ganglions
lymphatiques et une ophthalmie, est apportée à l'
e et surtout celle du genou sont excessivement douloureuses. Quelques
ganglions
de l'aine sont engorgés. Le 12 janvier, sueurs ab
céphaloïde : le cordon était sain ; point d'engorgement manifeste des
ganglions
lombaires ou iliaques : la douleur fessière, qui
qui constatent la présence du pus en nature dans les vaisseaux et les
ganglions
lymphatiques, parce qu'on pourrait les récuser à
bre de cas, et regarder le pus contenu dans ces vaisseaux et dans ces
ganglions
comme le produit de leur inflammation. Mais je mo
uelque rôle dans cette circulation : je dois dire que dans ce cas les
ganglions
lymphatiques de laine étaient très-volumineux et
légère de la vésicule faisait pleuvoir la bile dans le duodénum; des
ganglions
lymphatiques cancéreux qui comprimaient le canal
r se recourber de dehors en dedans. Tous ces vaisseaux se rendent aux
ganglions
lymphatiques G L, GL, placés au-devant de la vein
G L, GL, placés au-devant de la veine cave VGetde l'aorte A A. Les
ganglions
lombaires sont complètement injectés de pus. Je m
ssu de l'utérus. Tous les vaisseaux lymphatiques ne gagnent pas les
ganglions
lombaires GL, GL; mais ils se divisent en plusieu
sont représentés sur cette figure; les autres se dirigent du côté des
ganglions
sacrés et des ganglions pelviens antérieurs. Je d
te figure; les autres se dirigent du côté des ganglions sacrés et des
ganglions
pelviens antérieurs. Je dois signaler ici un gang
sacrés et des ganglions pelviens antérieurs. Je dois signaler ici un
ganglion
constant qui occupe l'orifice interne de la goutt
n seul vaisseau. Le pus ne m'a paru franchir que dans un seul cas les
ganglions
qui sont en général la limite# Le pus s'arrête qu
elquefois dans les vaisseaux lymphatiques à une certaine distance des
ganglions
; dans certains cas, il ne dépasse pas les ligamen
qu'on poussait le liquide depuis l'origine de ces vaisseaux jusqu'aux
ganglions
lymphatiques, on n'éprouvait aucun obstacle; mais
répondaient aux valvules, et le liquide ne pouvait pas circuler. Les
ganglions
lymphatiques étaient aussi bien injectés par le p
ur, jusque dans le bassin; ils étaient remplis de pus juqu'auprès des
ganglions
lymphatiques de la région lombaire : mais ces der
XIV. L'inaltérabilité des vaisseaux lymphatiques est partagée par les
ganglions
injectés de pus auxquels ces vaisseaux aboutissen
les ganglions injectés de pus auxquels ces vaisseaux aboutissent. Les
ganglions
injectés de pus ressemblent exactement aux gangli
aboutissent. Les ganglions injectés de pus ressemblent exactement aux
ganglions
mésentériques pendant le travail de la chylifîcat
ns mésentériques pendant le travail de la chylifîcation. Le tissu des
ganglions
ne présente ni ramollissement ni coloration sangu
oration sanguine insolite; comme il. n'est pas rare de rencontrer les
ganglions
lymphatiques pelviens enflammés dans ce genre de
enre de maladie, j'ai pu établir immédiatement le parallèle entre les
ganglions
gonflés par le pus dont la source vient d'ailleur
ganglions gonflés par le pus dont la source vient d'ailleurs, et les
ganglions
pénétrés d'un pus formé au sein même de ces gangl
illeurs, et les ganglions pénétrés d'un pus formé au sein même de ces
ganglions
par l'effet d'un travail inflammatoire. XV. Je
omme chose démontrée, la circulation du pus dans les vaisseaux et les
ganglions
lymphatiques sains. Mais il ne découle pas nécess
bre abdominal étaient remplis de pus dans toute leur étendue , et les
ganglions
inguinaux étaient injectés. Jusqu'au tiers moyen
mation ou de fluxion quelconque dans le tissu cellulaire ambiant. Les
ganglions
inguinaux injectés de pus , étaient d'ailleurs pa
s en effet directement dans le sang: ils traversent nécessairement un
ganglion
lymphatique, ou même plusieurs ganglions lymphati
traversent nécessairement un ganglion lymphatique, ou même plusieurs
ganglions
lymphatiques, espèces de filtres vivants, où le l
enflamment, mais rarement se déclare-t-il des symptômes généraux : le
ganglion
est une barrière à l'infection. Lorsqu'existent d
ompes et des ovaires étant pleins de pus, on suivait le pus jusqu'aux
ganglions
lymphatiques lombaires qui étaient eux-mêmes inje
dérable, moniliformes, pleins de pus, lequel n'arrivait pas jusqu'aux
ganglions
lombaires, et disparaissait brusquement au niveau
t au niveau de l'extrémité inférieure du rein droit, en sorte que les
ganglions
lombaires n'étaient nullement injectés. Les lig
ne au niveau du détroit supérieur et par conséquent n'atteint pas les
ganglions
lombaires. Ces vaisseaux ouverts donnent issue à
les veines. Plusieurs de ces vaisseaux lymphatiques aboutissaient aux
ganglions
qui occupent le trou sous-pubien. Les parois des
ont dans l'état commun aux cholériques. Le plexus solaire et tous les
ganglions
abdominaux sont parfaitement sains. XXI. Les sy
iculier. Tous les autres organes sont sains. Le plexus solaire et les
ganglions
abdominaux ont été examinés avec beaucoup de soin
elle épinière, saine ; ses diverses coupes sont sablées de rouge. Les
ganglions
semi-lunaires, les plexus solaires, les ganglions
blées de rouge. Les ganglions semi-lunaires, les plexus solaires, les
ganglions
du grand sympathique, les ganglions inter-verté-b
unaires, les plexus solaires, les ganglions du grand sympathique, les
ganglions
inter-verté-braux, les nerfs pneumo-gastriques, l
rrible assassinat vient d'enlever à la science, a pu trouver dans les
ganglions
semi-lunaires des traces d'inflammation. Résumé
vroses. i° Une erreur anatomique, la coloration rosée naturelle des
ganglions
semi-lunaires a pu faire croire à une inflammatio
s ganglions semi-lunaires a pu faire croire à une inflammation de ces
ganglions
. 3° L'altération du sang que la plupart des obs
. Le vésicule du fiel contient au lieu de bile un mucus incolore. Des
ganglions
lymphatiques , indurés et volumineux, entourent l
même tumeur partent les racines nerveuses R N qui vont constituer les
ganglions
et nerfs sacrés. La fig. 4' offre les mêmes dét
lombaires et des nerfs sacrés, filets d'origine qui se rendent à des
ganglions
lombaires et sacrés très développés GL,GL,GS, GS,
rière le trou obturateur. La lere avait évidemment son siège dans les
ganglions
lombaires ; la 2e dans les vaisseaux lymphatiques
es ; la 2e dans les vaisseaux lymphatiques eux-mêmes ; la 3e dans les
ganglions
lymphatiques situés au niveau du trou obturateur.
l'inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins et ovariques et des
ganglions
correspondants avec celle de la synoviale du geno
ns plus nombreuses et plus étendues du gros intestin. Tuméfaction des
ganglions
mésentériques, mais point de tubercules. Consid
ules dans d'autres parties du corps, sur-tout dans les poumons ou les
ganglions
mésentériques: ils peuvent cependant en être indé
épendants. Dans deux cas soumis à mon observation, les poumons et les
ganglions
mésentériques étaient parfaitement sains. Des t
s le cerveau succède presque toujours aux tubercules des poumons, des
ganglions
lymphatiques externes et internes. Dans l'un et
lles fibreuses qui la divisent en lobules. La fig. 4 représente les
ganglions
inguinaux profonds qui entourent l'artère crurale
rofonds qui entourent l'artère crurale AC et la veine crurale VC. Ces
ganglions
présentent tous la disposition lobuleuse propre a
anique: on sera frappé de l'identité qui existe entre l'aspect de ces
ganglions
lymphatiques et celui des tubercules du cœur, bie
on. Cancer mélanique des grandes et petites lèvres. Développement des
ganglions
inguinaux superficiels et profonds. Mort dans le
vagin, pour explorer l'état de ce conduit et celui du col utérin. Les
ganglions
inguinaux des deux côtés s'engorgèrent bientôt :
quelques taches noires étaient disséminées dans son épaisseur. Les
ganglions
inguinaux présentaient tous les caractères du can
poumon présentait quelques tumeurs mélaniques peu considérables ; les
ganglions
bronchiques avaient évidemment subi la même altér
considérablement amincies et fragiles au niveau de ces tumeurs. Les
ganglions
bronchiques étaient volumineux et noirs ? il est
et étaient en partie logées dans son épaissseur. Un grand nombre de
ganglions
mésentériques ; plusieurs ganglions lombaires ava
épaissseur. Un grand nombre de ganglions mésentériques ; plusieurs
ganglions
lombaires avaient subi la même dégénération. Ces
a matière mélanique sans nuire à la crépitation, et la coloration des
ganglions
bronchiques qui se concilie avec l'état d'intégri
rité de ces organes. Les vaisseaux lymphatiques qui aboutissent à ces
ganglions
, ou qui en émergent, sont quelquefois teints de l
ière. C'est à tort qu'on a considéré comme affectés de mélanose les
ganglions
bronchiques noirs : car leur tissu est presque to
douteux que la fréquence de ces dépôts de liquide mélanique, dans les
ganglions
bronchiques , ne soit en rapport avec les fonctio
ns des poumons relatives à l'hématose. J'ai rencontré quelquefois les
ganglions
lymphatiques lombaires d'une couleur aussi complè
lymphatiques lombaires d'une couleur aussi complètement noire que les
ganglions
bronchiques. Ala coloration mélanique des tissu
illes intestinales, dans celle des membranes séreuses, dans celle des
ganglions
bronchiques. Les cicatrices du sommet des poumons
épinière était comprimée. Tous les autres organes étaient sains. Les
ganglions
lombaires, le canal déférent du côté opéré étaien
use de l'intestin grêle, à un pied environ de la valvule ilio-cœcale;
ganglions
du mésentère tuméfiés, d'un rouge livide, mais no
s ganglionnaires. Transformation fibreuse et développement énorme des
ganglions
cervicaux du grand sympathique et du tronc nerveu
x du grand sympathique et du tronc nerveux de communication entre ces
ganglions
............. Maladies de la moelle épinière. Ap
breux renflements fusi- formes. . Les racines rachidiennes et les
ganglions
rachidiens sont normaux. La moelle volumineuse
fs cutanés et musculaires, grand sympathique cervical, raci- , ' et
ganglions
rachidiens). Les nerfs fixés par le Muller, dur
s avons examinés sauf au grand sympathique cervical, aux racines et
ganglions
rachidiens au sujet desquels nous n'avons pu sa
IPOMATOSE SYMÉTRIQUE 45 raison de ces tuméfactions avec des amas de
ganglions
lymphatiques est souvent indiquée par les obser
Bowlby, etc.). - Au voisinage des tumeurs, on trouve parfois des
ganglions
lymphatiques petits et durs. De plus, chez no
semble s'en développer d'autres plus profondes autour des nombreux
ganglions
lymphatiques accumulés dans cette région. Ils c
ite qu'à gauche; on y sent des masses dures donnant la sensation de
ganglions
hy- pertrophiés. Des petits lipomes symétriques
durés ; à la périphérie on constate presque toujours la présence de
ganglions
ou de troncs lymphatiques hypertrophiés : de pl
isseux plusieurs masses crétacées et calcaires arrondies et un gros
ganglion
lymphatique, il. Tuffier voulut bien nous permett
aminer ces masses crétacées qui représentaient sans aucun doute des
ganglions
lymphatiques altérés. Cette observation ne rent
er, « d'une production graisseuse, hpomateuse, développée autour de
ganglions
malades et simulant un lipome vrai, simple, cla
accompagnant de productions lipomateuses diffuses en rapport avec les
ganglions
et les vaisseaux lymphatiques. La désignation «
méfactions au niveau des régions où .existe normalement de nombreux
ganglions
lymphatiques, l'apparition souvent signalée de
r- tébrale, épigastre, pubis) où on ne décrit pas habituellement de
ganglions
lymphatiques ; mais ceux-ci n'en existent pas m
es ; mais ceux-ci n'en existent pas moins. On trouve, en effet, des
ganglions
lymphatiques sur la face externe du deltoïde, le
t s'observer en des points où l'on ne décrit pas habituellement des
ganglions
normaux : au cuir chevelu, à la région cla- vic
la jambe. La patho- logie a également fait connaître l'existence de
ganglions
lymphatiques en pleine joue (Pr Fournier, Ponce
s'étonner de la localisation fréquente des lipomes au voisinage des
ganglions
non ordinairement décrits dans les classiques.
t est fourni par la présence, au milieu des mas- ses infiltrées, de
ganglions
plus ou moins volumineux et plus ou moins nombr
essentielle- ment composée de tissus graisseux renfermant de petits
ganglions
noirâ- tres ». De plus, dans les tumeurs dévelo
r la lobulation de la tu- meur adipeuse peut simuler la présence de
ganglions
lymphatiques, L'ADÉNO-LIPOMATOSE SYMÉTRIQUE 193
hères ganglionnaires habituelles, on a pu sentir soit nettement des
ganglions
lymphatiques, soit au moins un noyau central dur.
e l'existence d'une infiltration cancé- reuse ( ? ) généralisée des
ganglions
sous-maxillaires, axillaires, mésentéri- ques e
lymphatiques et assimiler les tu- méfactions aux psendolipomes des
ganglions
signalés par Weber ? Faut-il, au conlraire, inY
e la nuque, des creux axillaires et inguinaux, régions si riches en
ganglions
et en ré- seaux lymphatiques. Nous croyons donc
nous poursuivons des re- cherches d'une part sur la topographie des
ganglions
lymphatiques et d'autre part sur les relations
mphatiques et d'autre part sur les relations qui existent entre ces
ganglions
et le tissu adipeux. 196 P. E. LAUNOtS ET R. BE
essentiel- lement composée de tissus graisseux renfermant de petits
ganglions
noi- râtres. OBS. XVIII (PI. XXX). Malade de
ième partie une analyse critique et la descrip- tion des coupes des
ganglions
plexi formes et de la région bulbaire en connex
cité plus haut : 1° Fixation des pièces pendant 1/2 heure pour les
ganglions
spinaux du lapin dans le liquide de Gilson ;
et Nelis, Quelques pointa concernant la structure des cellules des
ganglions
spinaux. La Cellule, tome XIV, 2° fasc., 1898, p.
traités de la même façon. C'est ce qui a lieu par exemple pour les
ganglions
symétriques. Les mensurations n'auront alors év
, les cellules ca- ryochromes n'entrant pas dans la composition des
ganglions
etdes noyaux moteurs du pneumogastrique. Le n
concerne la structure de la substance achromatique des cellules des
ganglions
.il s'ex- prime, en effet, comme suit : « Les re
s faites nous-même sur la structure du protoplasme des cellules des
ganglions
spinaux ne nous ont pas conduit à des résultats
ns le protoplasma cellulaire. « Ce qui caractérise les cellules des
ganglions
spinaux, dit V. Gehuch- ten dans son rapport de
tique se trouve dans les cellules motrices et dans les cellules des
ganglions
spinaux, qui ne diffèrent entre elles à ce point
as essentielles. Il suffit en effet de parcourir quelques coupes du
ganglion
plexiforme en voie de réparation après la résec
avec une exactitude parfaite des types bien définis de cellules des
ganglions
cérébro-spinaux. Si l'on examine un ganglion no
finis de cellules des ganglions cérébro-spinaux. Si l'on examine un
ganglion
normal, on y trouve toute une série de types ce
e foncée à la cellule claire de Lugaro. Il en est de même dans le
ganglion
en réparation. On y voit simultané- ment des ce
dont le champ est très étendu. Tandis que les vues d'ensemble des
ganglions
plexiformes permettaient parfaitement l'emploi
as de réunion des deux bouts du nerf. 1 La moelle allongée et les
ganglions
plexiformes droit et gauche sont enlevés immédi
ns pu suivre plus rigoureusement ce phénomène dans les cellules des
ganglions
plexiformes. Aussi n'insisterons-nous pas pour le
astrique, mais elle atteint une telle netteté dans les cellules des
ganglions
plexiformes qu'il est impossible de la contester
ndrons sur ce sujet lorsque nous décrirons la chromatolyse dans les
ganglions
. b) Ganglion plexiforme droit (coupes transv.).
sujet lorsque nous décrirons la chromatolyse dans les ganglions. b)
Ganglion
plexiforme droit (coupes transv.). - Toutes les c
anglion plexiforme droit (coupes transv.). - Toutes les cellules du
ganglion
droit (PI,XLV, G. p. d. I), à quelques très rares
e cellulaire et nucléaire. En parcourant les nombreuses coupes du
ganglion
plexiforme du lapin sa- crifié sept jours après
que nous venons de décrire est le plus largement represemLe dans le
ganglion
que nous étudions, il s'observe sur les trois qua
servé son volume normal. On rencontre enfin dans les coupes de ce
ganglion
des cellules représentant le stade ultime de ré
sur 100 environ) démesurément agran- dies. Comparées à celles du
ganglion
gauche, les cellules du ganglion plexiforme dro
ran- dies. Comparées à celles du ganglion gauche, les cellules du
ganglion
plexiforme droit, nous donnent à très peu de ch
triques lues, ce qui facilite la lecture de ces nombreux chiffres :
Ganglion
plexiforme droit. Pathologique. Lapin 7 jours.
llules mesurées sur 4 coupes. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 321
Ganglion
plexiforme gauche. Normal. Lapin 7 jours. 105 c
re du relief au noyau ; le nucléole est très foncé. Les coupes du
ganglion
plexiforme droit présentent encore un petit nombr
i profondément désor- ganisées. - On rencontre du reste dans tout
ganglion
normal des cellules en voie de régression. No
ment. Nous n'avons rencontré aucune cellule vacuolaire dans tout le
ganglion
. L'examen attentif de nos coupes ne nous a jama
mètres cellulaires des éléments normaux et pa- thologiques des deux
ganglions
plexiformes, car le ganglion gauche était aussi
s normaux et pa- thologiques des deux ganglions plexiformes, car le
ganglion
gauche était aussi pathologique. Il présentai
enues pour les cellules des deux séries après l'étude des coupes du
ganglion
gauche b) Ganglion plexiforme gauche (coupe tra
ules des deux séries après l'étude des coupes du ganglion gauche b)
Ganglion
plexiforme gauche (coupe transv.). Le vago-symp
(PI.XLV, G. p. g. Il), montre la chromatolyse dans toute l'étendue du
ganglion
qui ne renferme que de rares cellules normales.
normales. La chromatolyse y est toutefois moins avancée que dans le
ganglion
droit. Quelques cellules cependant sont arrivée
e nous allons donner permettent encore de comparer les cellules des
ganglions
plexiformes à deux stades différents de la chroma
trouvé aucun gonflement quelconque des cellules en réaction dans le
ganglion
gauche, pas plus que dans le ganglion droit, comm
cellules en réaction dans le ganglion gauche, pas plus que dans le
ganglion
droit, comme nous l'avons déjà dit. Nous devo
e sur la comparaison des cellules saines et pathologiques d'un même
ganglion
, car nous n'avions pas dans ce cas, comme chez
r nous n'avions pas dans ce cas, comme chez le lapin et le chat, un
ganglion
normal du côté non opéré à comparer au ganglion
apin et le chat, un ganglion normal du côté non opéré à comparer au
ganglion
pathologique opéré. Les mensurations ont été fa
nt les diamètres cellulaires. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 325
Ganglion
plexiforme droit. Pathologique. Chien, 22 jours
u nerf réséqué, il y a au bout central un névrome volumineux. Les
ganglions
plexiformes droit et gauche sont enlevés immédiat
avail. Examen microscopique, analyse et discussion des coupes. a)
Ganglion
plexiforme droit (coupe transversale. PI.XLVI, G.
n plexiforme droit (coupe transversale. PI.XLVI, G. p. d. III).- Ce
ganglion
présente deux ordres de cellules parfaitement car
rés (PI. XLVI, g. h. i). Çà et là, on rencontre dans les coupes des
ganglions
(Pl. XLVI, G. p. d. III), des noyaux de cellule
ûr la rage. Nous avons constaté ces mêmes lésions dans une série de
ganglions
cérébro-spinaux de lapins morts de la rage par
ucune cellule vacuolaire dans toute la série des coupes de nos deux
ganglions
plexiformes. Nous n'avons pas parlé de turgesce
bleau permettront de comparer simultanément les élé- ments des deux
ganglions
entre eux et dans leurs rapports avec le diamètre
ont pas été converties en p. pour la raison ci-dessus indiquée. .
Ganglion
plexiforme droit. Pathologique. Jeune chat, l48
llules mesurées sur 4 coupes. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 329
Ganglion
plexiforme gauche. Normal. Jeune chai, 118 jour
bulbe, la protubérance et le cervelet, l'isthme de l'encéphale et les
ganglions
centraux. Le manteau cortical est également con
nces trophiques des centres nerveux, c'est-à-dire, des cellules des
ganglions
spinaux. C'est pour cela que la partie intra-médu
sible à l'influence trophique de la part des cellules nerveuses des
ganglions
spinaux. La paralysie générale donne un tableau
bout central. Immédiatement après la mort, la moelle allongée, les
ganglions
plexiformes droit et gauche sont portés dans un
ormol à S 0/0, renouvelée plusieurs fois. Après cinq jours pour les
ganglions
et douze jours pour la moelle les objets sont s
reste ces cellules s'observent aussi bien à gauche qu'à droite. b)
Ganglion
plexiforme droit (coupe longitudinale). Ce gang
'à droite. b) Ganglion plexiforme droit (coupe longitudinale). Ce
ganglion
est franchement entré dans la phase de réparation
déformé, froissé ou aplati. On observe également dans les coupes du
ganglion
noueux droit tous les de- grés du processus de
des gan- glions du lapin. Nulle part la capsule des cellules des
ganglions
n'est envahie par des élé- ments figurés du tis
lules en voie de réparation. Les mensurations comparatives entre un
ganglion
sain et un ganglion en chromatolyse seraient as
aration. Les mensurations comparatives entre un ganglion sain et un
ganglion
en chromatolyse seraient assurément plus proban
ous n'avons pu les faire dans cette quatrième expérience puisque le
ganglion
gauche lui-même, comme nous allons le voir, est
'une façon quelconque. Le nombre des cellules de l'un et de l'autre
ganglion
est approximativement le même ; en tous cas, il
e même ; en tous cas, il ne présente pas de différence sensible. c)
Ganglion
plexiforme gauche (coupe longitudinale). Le gan
sensible. c) Ganglion plexiforme gauche (coupe longitudinale). Le
ganglion
gauche, comme nous venons de le dire, est manifes
.LXXVI, G. p. g. IV), il se présente à un stade moins avancé que le
ganglion
du côté droit. ' La grande majorité des cellule
tif. Comme on va le voir, les chiffres obtenus pour les cellules du
ganglion
plexiforme gauche en chromatolyse ne sont pas s
ent différents de ceux fournis par les mensurations des éléments du
ganglion
droit en pleine phase de réparation. Nos mens
e de la cellule en question. . XIII Si '522 -2 CHARLES LADAME
Ganglion
plexiforme droit, pathologique. Chien adulte, 1
riphérique d'au moins un demi-centimètre. La moelle allongée, les
ganglions
plexiformes droit et gauche sont mis immé- diat
les mesurées sur 6 coupes. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 525 b)
Ganglion
plexi for me gauche (coupe longitudinale). Ce g
YSE 525 b) Ganglion plexi for me gauche (coupe longitudinale). Ce
ganglion
est nettement en réparation ; on peut s'en rendre
s résistants. Nous avons rencontré, çà et là, dans nos coupes de ce
ganglion
quelques cel- lules vacuolaires (PI. LXXVII, f)
Nous nous bornons donc à signaler ici, les cellules vacuolaires du
ganglion
gauche chez le chat, pour mémoire. Il résulte
vague au cou, une diminution du nombre des éléments nerveux dans le
ganglion
plexiforme 526 CHARLES LADAME du côté opéré ;
e,-puisque nous avons pu comparer ici les éléments pathologiques du
ganglion
gauche avec les cellules du ganglion droit qui
les éléments pathologiques du ganglion gauche avec les cellules du
ganglion
droit qui sont restées saines. Nous donnons dan
les saines. Ces dimensions sont très sensiblement les mêmes pour le
ganglion
droit comme pour le ganglion gauche; il ressort
nt très sensiblement les mêmes pour le ganglion droit comme pour le
ganglion
gauche; il ressort nettement de ce tableau que le
lion gauche; il ressort nettement de ce tableau que les cellules du
ganglion
pathologique ne sont ni en turgescence, ni diminu
res sont ceux des divisions micrométriques directement transcrites.
Ganglion
plexiforme droit. Non opéré Chat adulte, 147 jo
es mesurées sur trois coupes. LE PHÉNOMÈNE DE LA CUROMATOLYSE 527
Ganglion
plexiforme gauche. Opéré. Chat adulte, 147 jour
ur 3 coupes. 528 CHARLES LADAME Tandis que toutes les cellules du
ganglion
gauche sont loin même d'avoir entrepris la répa
me d'avoir entrepris la réparation de leurs pertes chromatiques, le
ganglion
droit est rentré dans l'ordre, d'où l'on peut c
illimètres sépare les deux bouts du nerf. La moelle allongée et les
ganglions
plexiformes droit et gauche sont portés immédia
onctif ou d'éléments de néo-formation d'origine névroglique. v b)
Ganglion
plexiforme droit (coupe transversale). ' Nous s
orme droit (coupe transversale). ' Nous sommes ici en présence d'un
ganglion
qui a activement réparé ses per- tes de substan
ents figurés du tissu conjonctif ou migration de leu- cocytes. Le
ganglion
droit présente une diminution manifeste du nombre
us ait fourni un tel résultat tant pour le noyau dorsal que pour le
ganglion
. Nous avons fait quelques mensurations comparat
rs diamètres transcrits en chiffre gras dans le tableau suivant :
Ganglion
plexiforme droit. Normal. Lapin, 198 jours. 30
ement pendant des mois puis s'aggravant, à gauche de l'occipital un
ganglion
large et ramolli. En marchant il se sert d'une
cas de rage chez l'homme, il y avait des lésions intenses dans les
ganglions
spinaux, dans les ganglions jugulaire et sympau
l y avait des lésions intenses dans les ganglions spinaux, dans les
ganglions
jugulaire et sympaunque, et aans celui de Gas
ehuchten et Nélis sous le nom de nodules ou tubercules rabiques des
ganglions
spinaux,n'est pas spécifique de la rage, car el
ux dégénérés. Aussi j'ai rencontré fréquemment ces nodules dans les
ganglions
jugulaires des sujets morts de tuberculose, apr
ont très variables quant à leur intensité et à leur forme. Dans les
ganglions
spinaux, les cellules, comme l'ont fait remarquer
ifération des cellules endothéliales de la capsule des cellules des
ganglions
spinaux, dans un cas de diabète insipide ; elle
de lésions encore plus étendues, et on les rencontre dans tous les
ganglions
cérébro-spinaux et dans ceux du sympathique cer
elle épinière, dans le bulbe, dans la protubérance. Les lésions des
ganglions
cérébro-spinaux sont identiques à celles qui on
tiques à celles qui ont été décrites par Golgi, par Nepveu dans les
ganglions
de Gasser et sur l'importance desquelles Van Gehu
dans le bulbe. Par contre, dans la plupar des cas, les cellules des
ganglions
spinaux présentaient une achromatose qui parfoi
z ce : derniers animaux montrerait que ce n'est pas à la lésion des
ganglion
; spinaux qu'il faut rapporter les paralysies ra
es paralysies rabiques. Je pourrais ajoute] que si les lésions, des
ganglions
cérébro-spinaux sont vraiment très inten ses et
cependant que les lésions rabiques de Babès et les altérations des
ganglions
spinaux, telles qu'elles ont été décrites derni
jour après la section de la ligature des nerfs sur les cellules des
ganglions
rachidiens et sur les cellules multipolaires. La
a chromatolyse, puisque celle-ci se manifeste dans les cellules des
ganglions
plexiformes chez le chien, du côté opposé à la
ule motrice de la corne antérieure de la moelle et une cellule d'un
ganglion
spinal réagissent à la section de leur prolonge-
tait plus ou moins complète ou même parachevée, aussi bien dans les
ganglions
noueux que dans les noyaux moteurs de la moelle
riences nous avons constaté le même phénomène dans les cellules des
ganglions
noueux comme dans celles des noyaux moteurs. Ch
8e jour une réparation complète des noyaux moteurs. D'autre part le
ganglion
plexiforme répa- rait activement ses pertes de
il y avait aussi bon nombre de cellules en voie d'atrophie dans ce
ganglion
. Nos autres cas nous ont donné des résultats ex
réparation est un fait indiscutable pour les cellules sensibles des
ganglions
plexiformes après la résection du pneumogastrique
cherches que nous avons faites sur le lapin de l'expérience VI. Les
ganglions
plexiformes de cet animal ont été traités simulta
ans la paraffine. Enfin le traitement ultérieur des coupes des deux
ganglions
a été le même. Ils étaient donc dans des conditio
érique ou des réac- tifs devraient donc agir également sur les deux
ganglions
, et si la vacuo- lisation en avait été la consé
ncontrée des deux côtés. Or, ça n'a pas été le cas. Les cellules du
ganglion
normal n'en présentaient pas trace, tandis que
n présentaient pas trace, tandis que de très nombreuses cellules du
ganglion
pathologique en étaient profondément atteintes.
n étaient profondément atteintes. THÈSES . 1. La chromatolyse des
ganglions
plexiformes et des noyaux bulbaires du vague es
rice. - 8. Le nombre des cellules est sensiblement le même dans les
ganglions
plexiformes normaux et pathologiques chez le ch
nt le pneu- mogastnque a été réséqué. ' 11. Le noyau dorsal et le
ganglion
plexiforme du nerf vague, chez le lapin au 195'
sus de dégénération cellulaire. 15. Chez le chat au 147e jour, le
ganglion
plexiforme dont le nerf a été fortement lésé en
tôt après avoir traversé la gaine de la dure-mère, se rendent dans un
ganglion
; à leur sortie de ce ganglion, elles s'accolent a
ine de la dure-mère, se rendent dans un ganglion; à leur sortie de ce
ganglion
, elles s'accolent aux racines antérieures et cons
stance grise présentant histologiquement une grande analogie avec les
ganglions
spinaux. Sur une coupe faite vers le niveau des
ance corticale du lobe sphénoïdal. Ce noyau, désigné sous le nom de
ganglion
olfactif, de noyau amygdalien (nucleus amygdaleus
animaux; sur quelques-uns même, comme sur la raie, il forme un énorme
ganglion
bilobé libre à l'extrémité antérieure du névraxe,
trémité antérieure du névraxe, bien en avant des lobes frontaux. Ce
ganglion
, chez la raie, reçoit directement le fascicule de
ris, il a été décrit pour la première fois par M. Luys sous le nom de
ganglion
olfactif [Y). Cet amas de substance grise a l'a
subs-tance perforée antérieure et par le fascicule qui se détache du
ganglion
olfactif, se porte en arrière et contourne la cou
he optique sous le nom de tsenia semi-circularis. § 4. En outre des
ganglions
olfactifs, la substance grise centrale du névraxe
ent; l'externe est beaucoup plus volumineux que l'interne. Ces deux
ganglions
reçoivent chacun des fibres nerveuses périphériqu
essivement en deux fascicules qui vont s'amortir séparément dans leur
ganglion
, sous la forme de lignes concentriques régulièrem
V, 18; XXXIX) (Microph., Pl. A, fig. IV). Ces fibres afférentes aux
ganglions
ressortent dans une direction opposée sous la for
posée sous la forme de petits fascicules blanchâtres. Le fascicule du
ganglion
interne s'épanouit (1) Luys, Recherches sur le
ans la substance grise du tubercule quadrijumeau postérieur, celui du
ganglion
externe dans la substance grise du tubercule quad
orticale du tuber cinereum; 2° une racine postérieure qui traverse un
ganglion
et va se rendre dans la substance grise centrale
re de la corne d'Ammon ou grand hippo-campe, et la substance grise du
ganglion
olfactif. Au-dessus est la coupe de la ban-delett
l'ex-trémité antérieure de la corne d'Ammon est la substance grise du
ganglion
olfactif (7) ou noyau amygdalien (nucleus amygdal
ou hippocampe, séparée, par un petit sillon, de la substance grise du
ganglion
olfactif. La voûte que forme le corps calleux n
nte sa coupe plus bas (13). Elle est contiguë à la substance grise du
ganglion
olfactif (14), qui reçoit les fibres radiculaires
de la corne d'Ammon, séparée par un sillon, est la substance grise du
ganglion
olfactif (14, Pl. X). Les fibres radiculaires ext
rtenant au pilier postérieur du trigone. 8. — La substance grise du
ganglion
olfactif offre des dimensions moins étendues que
ircularis ; ce petit faisceau de fibres blanches prend son origine au
ganglion
olfactif (9, Pl. XII), parcourt toute l'étendue d
nouillé externe. En dehors apparaît la coupe de la face supérieure du
ganglion
olfactif et le mode d'épanouissement des fibres d
s du tœnia semi-circularis dans l'intérieur de sa substance grise. Ce
ganglion
, du volume d'une noisette, est formé par un amas
t des pédoncules cérébraux (voir Pl. XXIX). 8. — Substance grise du
ganglion
olfactif. En dehors est le dernier vestige de la
bres du taenia semi-circularis à leur sortie de la substance grise du
ganglion
olfactif, elles se groupent en un faisceau qui ga
s la cavité sphénoïdale. Un sillon la sépare de la substance grise du
ganglion
olfactif. 11. — Substance grise centrale du pla
st complètement détachée. On ne trouve plus que la substance grise du
ganglion
olfactif et celle de la corne d'Ammon (hippocampe
e de la cavité sphénoïdale. 12. — Vestiges de la substance grise du
ganglion
olfactif. 13. — Fibres des pédoncules cérébelle
lôt la cavité sphénoïdale. 5. — Apparition de la substance grise du
ganglion
olfactif. 6. — Section de la bandelette optique
la région du lobe sphénoïdal qu'elle occupait, la substance grise du
ganglion
olfactif. Les fibres olfactives radiculaires exte
olfactives radiculaires externes pénétrant dans la substance grise du
ganglion
olfactif. 11. — Substance grise du noyau caudé,
ires externes, traversent la région externe de la substance grise des
ganglions
olfactifs (10 PL XLIV). La protubérance annulai
nt la face externe du noyau lenticulaire. 7. — Segment antérieur du
ganglion
olfactif recevant les fibres radiculaires externe
sont atteints par la section (17, Pl. XLVI). La substance grise du
ganglion
olfactif est réduite à une couehe extrêmement min
nches externes ou longues; elles proviennent de la substance grise du
ganglion
olfactif (7, Pl. XLVI et PL XLVII). Ces troncs
... 32 § 2. Tubercules quadrijumeaux..................... 36 § 3.
Ganglions
olfactifs........................ 36 § 4. Corps
des branches à cinq des muscles de l'orbite et une (courte racine) au
ganglion
ophtalmique, par l'intermédiaire duquel il donne
rfs rachidiens la racine sensitive présente un rendement gangliforme (
ganglion
de Casser) d'où partent les trois branches princi
au-dessus des muscles innervés par la septième paire. Quatre petits
ganglions
contenant de la substance grise sont en connexion
ilet du grand sympathique prend le nom de nerf Vidien et va dans le
ganglion
de Meckel constituer une de ses racines) à des mu
a postérieure est plus considérable que l'antérieure; elle possède un
ganglion
et est composée uniquement de fibres destinées à
ons sensitives au cerveau. La racine antérieure qui ne possède pas de
ganglion
est composée de fibres qui transmettent le mouvem
s émanant des nerfs rachidiens près de leur origine et se rendant aux
ganglions
du grand sympathique ont été omises ici pour la c
anastomoses avec le système des nerfs cérébro-rachidiens. Les petits
ganglions
en connexion avec la cinquième paire crânienne so
mis ici. Sont encore considérés comme appartenant à ce système, les
ganglions
en communication avec le nerf glosso-pharyngien e
i que ceux des veines postérieures des nerfs rachidiens. A part les
ganglions
ci-dessus mentionnés, le système du grand sympath
cervicale jusqu'à la région coccygienne, où elles se terminent en un
ganglion
(ganglion impair). Chaque chaîne est généraleme
jusqu'à la région coccygienne, où elles se terminent en un ganglion (
ganglion
impair). Chaque chaîne est généralement constit
que chaîne est généralement constituée par vingt-quatre ou vingt-cinq
ganglions
, symétriquement disposés de chaque côté de la col
triquement disposés de chaque côté de la colonne vertébrale. Chaque
ganglion
est en communication avec celui qui se trouve au-
en et de la cavité pelvienne. Dans ces plexus sont situés plusieurs
ganglions
, dont chacun est considéré comme un centre de for
guins à la manière d'un (1) On peut, ce nous semble, considérer les
ganglions
du grand sympathique comme des centres à? automat
au point où l'atteint le nerf grand splanchnique, se trouve placé le
ganglion
semi-lunaire; des plexus secondaires qui en dériv
NCHE V. Imp. Monrocq, Paris. PLANCHE VI. Imp. Monrocq, Paris.
Ganglions
cervicaux GANGLIONS THORACIQUES GANGLIONS LOM
, Paris. PLANCHE VI. Imp. Monrocq, Paris. Ganglions cervicaux
GANGLIONS
THORACIQUES GANGLIONS LOMBAIRES GANGLIONS SAC
Imp. Monrocq, Paris. Ganglions cervicaux GANGLIONS THORACIQUES
GANGLIONS
LOMBAIRES GANGLIONS SACRÉS GANGLION IMPAIR OU
Ganglions cervicaux GANGLIONS THORACIQUES GANGLIONS LOMBAIRES
GANGLIONS
SACRÉS GANGLION IMPAIR OU COCCIGIEN PLANCHE V
ux GANGLIONS THORACIQUES GANGLIONS LOMBAIRES GANGLIONS SACRÉS
GANGLION
IMPAIR OU COCCIGIEN PLANCHE VII. Imp. Monrocq
prouvent que le prolongement central cylindraxile des cellules des
ganglions
spinaux pénètre dans la moelle épinière. Les fibr
cordons postérieurs dérivent donc anatomiquement des cellules des
ganglions
spinaux. Déjà Waller avait trouvé que le ganglion
des cellules des ganglions spinaux. Déjà Waller avait trouvé que le
ganglion
spinal était le centre trophique des racines po
ne affection des neurones. Il est fort douteux que les cellules des
ganglions
spinaux représentent, comme l'admettent P. Marie
assant par les cellules des glanglions spinaux. 2° Les cellules des
ganglions
spinaux (Stroebe, Oppenheim, Marie, Babes). Les
n. D'ailleurs, dans le cas d'une lésion de déficit des cellules des
ganglions
spinaux, les nerfs sensibles périphériques devrai
onstatons rien d'anormal sur les valvules et l'en- docarde. * Les
ganglions
trachéo-bronchiques sont assez volumineux, avec
xamen microscopique minutieux de chaque segment, des racines et des
ganglions
spinaux, toute altération due soit directement
altérations des racines, même des zones de Lissauer et surtout des
ganglions
, qui coïncident parfois avec des altérations lé
ité entre les altérations de la moelle, des racines, voire même des
ganglions
. Cela posé, je suis porté (me basant sur 16 cas
ctions mé- dullaires. Recherches sur les lésions des cellules des
ganglions
spineaux dans le tabès. Au nom de M. MARINESCO,
e : J'avais examiné en 1895, à l'aide de la méthode de Nissl, les
ganglions
spinaux dans deux cas de tabès associé à la paral
clure d'une façon certaine une influence trophique des cellules des
ganglions
spinaux. Peu de temps après, Stroebe, en trouvant
de temps après, Stroebe, en trouvant une somme de lésions dans les
ganglions
chez les tabétiques, a voulu donner la consécra
'année 1898, Schaffer et puis Inliusburger et Meyer ont examiné des
ganglions
spinaux des tabétiques par la méthode de Nissl.
e façon systéma- tique à l'aide des méthodes les plus récentes, les
ganglions
spinaux dans 9 cas de tabes. Dans presque tous
an Gehuchten ont montré que la section de la branche centrifuge des
ganglions
spinaux ou crâniens ne donne pas lieu à des réa
erminer à la longue des modifica- tions légères dans la cellule des
ganglions
spinaux, mais je pense SOCIÉTÉS SAVANTES. 89
influence de différents agents morbides. En effet, les cellules des
ganglions
spinaux subissent très vite les altérations à l
rd elles existent. M. Marie n'a jamais constaté de lésions dans les
ganglions
spi- naux donc le tabès ne débute pas dans ces
s dans les ganglions spi- naux donc le tabès ne débute pas dans ces
ganglions
et les lésions de ces ganglions ne peuvent donc
onc le tabès ne débute pas dans ces ganglions et les lésions de ces
ganglions
ne peuvent donc pas expliquer les altérations m
des cordons postérieurs de lamoelle, c'est-à-dire des cellules des
ganglions
spinaux intervertébraux. Wollenberg cons- tata
lg. Pathol. u. patt. Anat. Comment se comportent les cel- lules des
ganglions
spinaux ? centre trophique des racines postérieur
tabes, la lésion initiale doit être localisée dans les cellules des
ganglions
spinaux, et que la dégénération des cordons posté
porter un jugement un peu assuré sur les lésions des cellules des
ganglions
spinaux dans le^ tabès, qu'après avoir institué d
ent de localiser la lésion primitive du tabes dans les cellules des
ganglions
spinaux; mais les résultats de l'investigation
théorique. Dès 1 896, Schaffer commença d'étudier les cellules des
ganglions
spinaux de ces ganglions correspondant à la hau
haffer commença d'étudier les cellules des ganglions spinaux de ces
ganglions
correspondant à la hauteur du processus labétique
et du nucléole, disparition totale et destruction des cellules des
ganglions
spinaux, hyperplasie et prolifération nucléaire
dans la moelle épinière. Les nerfs sensibles périphériques issus du
ganglion
étaient beaucoup moins dégénérés; ils l'étaient
'étaient pourtant manifestement. Ces altérations des cel- lules des
ganglions
spinaux font supposer qu'une lésion primaire de c
culaires postérieures et celle des nerfs sensitifs périphériques du
ganglion
spinal. Il est toujours licite, de supposer une
ujours licite, de supposer une lésion partielle des cellules de ces
ganglions
. Cliiari, dans tous les cas graves de tabès, a
ques. Marinesco a constaté de la chromatolyse dans les cellules des
ganglions
spinaux, de l'homogé- nisation de leur protopla
ation totale des racines postérieures, des lésions des cellules des
ganglions
spinaux. De même Wollenberg (atrophie, pigmentati
tabes. Erb admet d'ailleurs que des altérations des cellules de ces
ganglions
, échappant à tous nos moyens d'investigation, n
que, attendu que si l'on rencontre, dans le tabes, des cellules des
ganglions
spinaux d'aspect clair à fines granulations, il
utées avec la coloration de Nissl, c'est que, dans les cellules des
ganglions
spinaux des tabétiques, il s'en rencontre à pei
résentent la plus complète dégénération, les cellules nerveuses des
ganglions
spi- naux se montrent avec leur forme normale,
lée par Marinesco : il incline plutôt à croire que les cellules des
ganglions
spinaux dont les corpuscules de Nissl paraissent
ux. On doit donc, si ce phénomène fait défaut dans les cellules des
ganglions
spinaux, rechercher la lésion initiale du tabès
du tabès en dehors de ces cellules. Et d'abord, si les cellules du
ganglion
spinal étaient primitivement lésées, le prolong
fer écrit qu'après les résultats négatifs relatifs aux cellules des
ganglions
spinaux « le point de départ de l'affection tab
aquelle laisserait intacte la branche périphérique des cellules des
ganglions
spinaux, aurait l'avantage d'être en accord par
es expérimentales de Lugaro 2. suivant lesquelles les .cellules des
ganglions
spinaux, qui subissent une altération pro- 1 We
chromatique ne différait en rien de celui des cellules normales des
ganglions
spinaux. Ni le noyau ni le nucléole ne trahissa
ue la lésion initiale du tabes se trouve en dehors des cellules des
ganglions
spinaux, et cela parce que ces neurones ne prés
neurones ne présentent pas de chromatotyse ? « Si la cellule des-
ganglions
spinaux était le siège de la lésion initiale, ava
a branche périphérique entraîne la dégénérescence de la cellule des
ganglions
spinaux, tandis que cette cellule reste normale
ouvelles expériences "démontrent t si, en réalité, les cellules des
ganglions
spinaux demeurent bien normales (ce que ne sout
dériverait, dans le tabes, d'une lésion primitive des cellules des
ganglions
spinaux, c'est l'absence de chromatolyse dans c
espérer rencontrer des phénomènes de chromatolyse des cellules des
ganglions
spinaux chez des malades décédés tout à fait au
nt nous nous représentons les choses : la fonction des cellules des
ganglions
spinaux consiste à métamorphoser, de nécessité,
le changement de forme et la diminution de nombre des cellules des
ganglions
spinaux dans le tubes venaient à être reconnus
ro et par Schaffer, l'absence de chromatolyse dans les cellules des
ganglions
spinaux chez les tabétiques : la lésion initial
est déclaré Leyden, que l'origine de l'affection soit périphérique (
ganglion
spinal), car, dit-il, le nerf sensitif issu du
riphérique (ganglion spinal), car, dit-il, le nerf sensitif issu du
ganglion
spinal est presque toujours normal, même dans l
ration ascendante d'un nerf sensible s'arrêterait à la cel- lule du
ganglion
spinal dont il est, dit-on, le prolongement cylin
trale ou périphérique, entraine, avec l'altération des cellules des
ganglions
spinaux cor- respondants dans les amputations,
est comme ramassé dans la considération de l'état des cellules des
ganglions
spinaux, c'est-à- dire du centre trophique et f
théorie gan- glionnaire ». Les légères altérations des cellules des
ganglions
con- sécutives à la section des racines postéri
ent quelque ressemblance avec celles de la structure cellulaire des
ganglions
spinaux dans le tabes. » Tout le monde convient
ructurales, au moins suffisamment décelables, dans les cellules des
ganglions
spinaux'. Gull indiqua le premier, semble-t-il,
ue Marie reçu,3 de Strümpell, les cellules nerveuses des différents
ganglions
des nerfs rachidiens et des nerfs crâniens, quelq
s rachidiens et des nerfs crâniens, quelque distants que soient ces
ganglions
, ou leurs analogues (rétine, mu- queuse olfacti
res nerveux, de celles en particulier des cel- .Iules nerveuses des
ganglions
des nerfs crâniens, analogues aux -ganglions de
.Iules nerveuses des ganglions des nerfs crâniens, analogues aux -
ganglions
des nerfs rachidiens. Klippel a décrit et reprodu
Klippel a décrit et reproduit les lésions des cellules nerveuses du
ganglion
d'Andersch qui se trouve sur le trajet du nerf
des cellules olfac- tives de la muqueuse pituitaire représentant le
ganglion
du nerf olfactif, enfin celles des cellules du
ésentant le ganglion du nerf olfactif, enfin celles des cellules du
ganglion
de Gasser, lésions qui commandaient naturelleme
pillaires ». Les branches afférentes et efférentes des cellules des
ganglions
d'Andersch et de Gasser étaient altérées histolog
des lobes temporaux, pariétaux, occipitaux, frontaux, ainsi que des
ganglions
de la base, il existe des parties pâles irrégul
lules nerveuses de l'écorce datent d'une époque où les éléments des
ganglions
sont proportionnellement bien développés et où
ière dorsale qui vient s'écraser sur le col de la première côle. Le
ganglion
rachidien dans la traction exercée sur le bras
hysiques, sans spécificité propre, dans tout le neurone et dans les
ganglions
périphériques. La physiologie pathologique de l
tendant à tout le système nerveux central périphérique. L'aspect du
ganglion
nerveux du vague des animaux morts delà rage de
là rage des rues est si spécial, que l'examen microscopique de ce
ganglion
n'en reste pas moins actuellement le moyen le plu
gélatineux. Le thymus persiste ; il est symétrique et, normal. Les
ganglions
sympathiques sont volumineux et distincts. L'
érique de leurs éléments normaux. Les cel- lules ganglionnaires des
ganglions
sympathiques sont fortement pigmentées. z- R. D
- mogastrique et l'hypoglosse sont étroitement en rapport avec le
ganglion
cervical supérieur du sympathique. Sur un cliché
ions à mesure que l'on s'éloignait de l'arachnoïde. Le fait que les
ganglions
de la base ne paraissaient pas congestionnés, du
: les recherches ne permettent pas de retrouver la filaire dans les
ganglions
lymphatiques ni dans le canal thoracique ; mais
. Sano déclare que l'examen histologique des centres nerveux et des
ganglions
cérébro-spimaux (ganglions du nerf vague except
histologique des centres nerveux et des ganglions cérébro-spimaux (
ganglions
du nerf vague excepté) ne lui ont pas permis de
tologie et du diagnostic. Ayant examiné dans ces derniers temps les
ganglions
cérébro-spinaux et sympathiques de deux chiens
a constaté une fois de plus que seules les lésions capsulaires des
ganglions
notamment de ganglions noueux du nerf vague exi
plus que seules les lésions capsulaires des ganglions notamment de
ganglions
noueux du nerf vague existent du façon constant
mort on puisse établir avec une certitude absolue, par l'examen des
ganglions
nerveux du nerf vague l'existence ou la non-exi
substance blanche sous-jacente ; 2° basale, lésions atteignant les
ganglions
de la base. Les altérations secondaires intéres
lexes, démence progressive, mort à trente ans. Lésion primitive des
ganglions
de la base à gauche (couche optique), atrophie
e (couche optique), atrophie de l'hémisphère gauche englobant les
ganglions
de la base, consécutivement : atrophie de la pyra
des circonvolutions centrales de l'hémisphère gauche. Intégrité des
ganglions
de la base. En conséquence : atrophie du faisce
protubérance, le bulbe et la moelle. Quand la lésion intéresse les
ganglions
de la base, il y a atrophie de la moitié opposé
n orifice de la grandeur d'une pièce de cinquante centimes. - Les
ganglions
de la base étaient atrophiés, surtout dans la c
RS. ninfiite pottidue, par.1'ouclie, 87. Lésions des cellules des
ganglions
spinaux dans)e,parMar ! nesco, 88. Un cas dea
rf, de même un grand nombre de cellules nerveuses agrégées forment un
ganglion
. Les ganglions, eu égard à la forme et au groupem
grand nombre de cellules nerveuses agrégées forment un ganglion. Les
ganglions
, eu égard à la forme et au groupement des cellule
au groupement des cellules, sont de quatre ordres. 1° Dans certains
ganglions
nerveux, les cellules sont accumulées comme des g
paraître communiquer soit avec les fibres nerveuses qui traversent le
ganglion
, soit les unes avec les autres. On ignore complèt
une seule fibre nerveuse, du moins en apparence. 3° Souvent dans un
ganglion
une cellule reçoit une seule fibre nerveuse, et e
i lui sont particulières. Ces cellules se retrouvent surtout dans les
ganglions
excentriques, tels que les ganglions intervertébr
s se retrouvent surtout dans les ganglions excentriques, tels que les
ganglions
intervertébraux. On leur a donné le nom de cellul
le feuillet nerveux de la lame spirale du limaçon. 4° Dans d'autres
ganglions
, les cellules nerveuses émettent des prolongement
tre, unissant en un réseau très-compliqué tous les éléments d'un même
ganglion
; d'autres se continuent avec l'axe de certaines
fuses que révèle l'étude du mouvement réflexe. Ces quatre ordres de
ganglions
sont les éléments de cet ensemble d'appareils con
placés très-bas dans l'échelle, tantôt à chaque anneau correspond un
ganglion
distinct (ex. le lombric terrestre), tantôt il y
n ganglion distinct (ex. le lombric terrestre), tantôt il y a un seul
ganglion
pour un nombre déterminé d'anneaux (ex. les hirud
nt idéal, est-il un segment réel ? y a-t-il pour chaque vertèbre un
ganglion
nerveux central? C'est là une question importante
ts, lesquels « sont de la longueur de chaque vertèbre. C'est de ces «
ganglions
que tous les nerfs de la moelle épinière tirent «
s de la moelle épinière doi-« vent donc être regardés comme autant de
ganglions
propres « à des systèmes nerveux particuliers, qu
ogue, par suite de la brièveté des anneaux; chaque segment portant un
ganglion
, et les segments étant très-courts, il en résulte
vant ce grand homme, en effet, les filets de communication entre deux
ganglions
ou centres nerveux sont d'autant plus nombreux, d
les. Ainsi, dans les animaux qui offrent une masse centrale formée de
ganglions
distincts, plus les filets qui uniront ces gangli
ntrale formée de ganglions distincts, plus les filets qui uniront ces
ganglions
seront nombreux, gros et courts, et plus on pourr
s de nos jours; en effet, dans la plupart des animaux inférieurs, les
ganglions
sont épars, ou du moins très-distants. Ils se rap
s les animaux qui sont plus élevés; dans la plupart des insectes, les
ganglions
de la chaîne nerveuse, séparés dans l'origine, se
amorphose qui les conduit à l'état parfait. Cette fusion de plusieurs
ganglions
en un seul est donc un signe de supériorité, et c
étrique est logée dans l'anneau supérieur de la vertèbre. C'est là un
ganglion
supérieur qui n'est autre chose qu'un segment de
ui n'est autre chose qu'un segment de la moelle épinière. Un deuxième
ganglion
également médian et symétrique est logé dans l'an
que est logé dans l'anneau inférieur, avec le système vasculaire : ce
ganglion
est l'un des éléments de la chaîne du sympathique
me nerveux. missures, l'une à droite, l'autre à gauche, unissent le
ganglion
supérieur au ganglion inférieur. Cet ensemble a l
, l'une à droite, l'autre à gauche, unissent le ganglion supérieur au
ganglion
inférieur. Cet ensemble a la forme d'un anneau. S
e premier anneau la place que le cerveau occupe dans le second; et le
ganglion
du sympathique représentera dans le premier le ga
second; et le ganglion du sympathique représentera dans le premier le
ganglion
qui, dans l'autre, est appelé ganglion pédieux. L
eprésentera dans le premier le ganglion qui, dans l'autre, est appelé
ganglion
pédieux. Les commissures latérales sont semblable
es segments. Dans quelques animaux privilégiés, les mammifères, les
ganglions
médullaires supérieurs condensés et attirés en qu
e, l'anneau est fermé par une commissure qui unit les deux moitiés du
ganglion
inférieur; Fig. 3. mais du coccyx à la tête,
itiés du ganglion inférieur; Fig. 3. mais du coccyx à la tête, ce
ganglion
du sympathique se divise; l'anneau s'ouvre, et s'
ig. 4. Dans ce cas les commissures qui unissent les deux moitiés du
ganglion
inférieur paraissent manquer, et l'anneau est div
au système nerveux inférieur, et supposer que dans ce cas, au lieu du
ganglion
inférieur, ce sera le ganglion supérieur qui se d
t supposer que dans ce cas, au lieu du ganglion inférieur, ce sera le
ganglion
supérieur qui se divisera, l'anneau nerveux s'ouv
de supposer un rapprochement plus ou moins grand entre ces moitiés du
ganglion
supérieur ainsi divisé, et les ganglions du systè
ns grand entre ces moitiés du ganglion supérieur ainsi divisé, et les
ganglions
du système inférieur qui leur correspondent. Le s
embryologiques viennent en aide à celte manière de voir. En effet, le
ganglion
inférieur est divisé chez les vertébrés et séparé
ussi pourrait-on rappeler à ce sujet ce fait de l'existence de petits
ganglions
collatéraux aux ganglions médians de la chaîne ch
à ce sujet ce fait de l'existence de petits ganglions collatéraux aux
ganglions
médians de la chaîne chez les ponbdellcs. il. 2
ais nous donnerons une attention toute particulière à cette série des
ganglions
supérieurs que les anatomistes ont désignée sous
lo-rachidien § 1. De la moelle épinière en général. La chaîne des
ganglions
qui composent l'axe nerveux céphalo-rachidien for
iologistes qui se soient occupés du système nerveux, a faites sur les
ganglions
des racines postérieures. Ces ganglions sont rema
ème nerveux, a faites sur les ganglions des racines postérieures. Ces
ganglions
sont remarquables à un autre point de vue, c'est
es gros globules de la substance « grise, dans le cerveau et dans les
ganglions
, sont ou non unis les uns « avec les autres. — L'
laires de la tige médullaire rappellent assez bien l'organisation des
ganglions
dans les animaux inférieurs, et ressemblent encor
ien que les tubercules quadrijumeaux appartiennent à la catégorie des
ganglions
surajoutés, ils sont unis de tant de manières aux
rtitude les premières probabilités. CHAPITRE III. DESCRIPTION DES
GANGLIONS
SURAJOUTÉS A L'AXE. § 4. Du cervelet. Le cervel
roi de la bourse et de ses noyaux accessoires paraît formée de petits
ganglions
gris que séparent les uns des autres de petits fa
utres de petits faisceaux de fibres transverses. Chacun de ces petits
ganglions
est à son tour formé de petites cellules nerveuse
ure de l'isthme, nous la compléterons en traitant de la structure des
ganglions
encéphaliques surajoutés. CHAPITRE V. STRUCTU
des ganglions encéphaliques surajoutés. CHAPITRE V. STRUCTURE DES
GANGLIONS
SURAJOUTÉS. § 1. Structure du cervelet. Lorsq
ées des nerfs de sensations spéciales; 6° Des irradiations nées des
ganglions
accessoires tels que les tubercules quadrijumeaux
pressions adéquates, tandis que dans ces communications indirectes de
ganglions
en ganglions, ces intermédiaires peuvent substitu
quates, tandis que dans ces communications indirectes de ganglions en
ganglions
, ces intermédiaires peuvent substituer à la stimu
dans le sillon latéral antérieur de la moelle, elle ne porte point de
ganglions
; la racine postérieure porte un ganglion, de là l
lle, elle ne porte point de ganglions; la racine postérieure porte un
ganglion
, de là le nom de racine ganglionnaire; elle se ra
sse. Le pneumogastrique et le glossopharyngien, qui sont pourvus d'un
ganglion
analogue aux ganglions intervertébraux, représent
e et le glossopharyngien, qui sont pourvus d'un ganglion analogue aux
ganglions
intervertébraux, représentent les racines postéri
veuse antérieure se compose, a, du nerf de la cinquième paire dont le
ganglion
est parfaitement analogue aux ganglions intervert
de la cinquième paire dont le ganglion est parfaitement analogue aux
ganglions
intervertébraux et qui, par sa grosse racine, rep
rmale. Elle comprend les divisions du nerf trijumeau qui émanent du
ganglion
de Gasser. Nerf trijumeau. Cinquième paire de W
trois paires crâniennes; en conséquence, elle donne, à partir de son
ganglion
, plusieurs branches divergentes qui vont à ces tr
s les Herbivores surtout, se porte de l'organe de Jacobson à un petit
ganglion
situé sur la face supérieure du lobe. On pourra c
halique. Mais ceux de la dernière catégorie appartiennent surtout aux
ganglions
surajoutés. Ainsi le nerf acoustique a rapport au
n de M. de Blainville qui, dominé par les idées de Gall, appelait les
ganglions
encéphaliques surajoutés, ganglions sans appareil
r les idées de Gall, appelait les ganglions encéphaliques surajoutés,
ganglions
sans appareil extérieur (l). Suivant cet habile a
ant cet habile auteur, l'automate était parfait indépendamment de ces
ganglions
; ceux-ci étaient surajoutés, et n'apparaissaient
traire que l'animal est d'autant plus élevé, que ce rapport entre les
ganglions
surajoutés et les organes des sens supérieurs, es
n'y a d'ailleurs, au début de la vie fœtale, aucune trace visible de
ganglions
surajoutés. Ceux-ci se développent plus tard so
du trijumeau, savoir: 1° de la grosse racine avant sa fusion dans le
ganglion
de Gasser; 2° du ganglion lui-même; 3° de la bran
de la grosse racine avant sa fusion dans le ganglion de Gasser; 2° du
ganglion
lui-même; 3° de la branche ophthalmique. Cet habi
ouvelle. Suivant M. Carus, dont les travaux sont les plus récents, le
ganglion
antérieur du cerveau, qui correspond aux hémisphè
, est l'organe de l'esprit en tant qu'il connaît, compare et juge; le
ganglion
moyen, correspondant aux tubercules quadrijumeaux
ions dont on n'a pas conscience, et l'organe du sentiment ; enfin, le
ganglion
postérieur, qui correspond au cervelet et à l'org
aîne ganglionnaire des animaux articulés. Chez ces derniers, le petit
ganglion
qui répond à chaque groupe naturel d'anneaux entr
un temps, et quelquefois maintient la vie dans une zoonite isolée. Ce
ganglion
est donc un centre de réactivité, un centre si pa
paralyser tel ou tel segment d'une sangsue, en détruisant tel ou tel
ganglion
, et qu'en divisant la chaîne ganglionnaire en plu
Consult. Van Deen. Loc. cit., p. 120. (4) Voir sur la structure des
ganglions
des annelés, Helmhotz, De fabricâ nervorum everte
. des se. nat, 4me série t. V et VI.) — Au sujet des fonctions de ces
ganglions
on consultera, avec le plus grand fruit, le curie
lte sa singulière industrie ? Les plis que présente la surface de ses
ganglions
cérébraux comme l'a vu, il y a peu d'années, notr
ière............................ 82 CHAPITRE III. — Description des
ganglions
surajoutés à l'axe.............................
nce et du pédoncule................ 141 CHAPITRE V. — Structure des
ganglions
surajoutés..... 153 § 1. Structure du cervelet.
s du bulbe et du noyau de l'encéphale....... ib. § 2. Fonctions des
ganglions
surajoutés............. 365 TROISIÈME PARTIE. D
eux ans et demi, douleurs à la colonne cervicale avec engorgement des
ganglions
cervicaux : cet engorgement s'est dissipé à la su
ce du saindoux. J'ai rencontré maintes fois l'utérus cancéreux ou des
ganglions
lymphatiques cancéreux offrant absolument le même
oir classer, parmi les parotides proprement dites, l'inflammation des
ganglions
lymphatiques parotidiens, dont plusieurs sont con
culier, qu'elles sont limitées à la glande, et dans quelques cas, aux
ganglions
lymphatiques correspondans. Voici une observation
ndans. Voici une observation de cancer de la glande parotide et des
ganglions
sous-maxillaires avec intégrité de tous les autre
de en général. Cancer ulcéré mélanique de la glande parotide et des
ganglions
sous-maxillaires. Loret (Marguerite), 5i ans, e
seconde tumeur ? était-ce la glande sous-maxillaire ? étaient-ce les
ganglions
sous-maxillaires ? Je restai dans le doute à cet
er mélanique. La tumeur sous-maxillaire était formée aux dépens des
ganglions
lymphatiques et nullement aux dépens de la glande
sous-maxillaire , qui était parfaitement saine ; la dégénération des
ganglions
était identique avec celle de la glande parotide.
l'état normal. Le long de l'œsophage, on voyait un petit nombre de
ganglions
bronchiques, la plupart du volume d'une amande, r
de grumeaux noirâtres, dégénérés de leur organisation primitive. Ces
ganglions
ne comprimaient nulle part l'œsophage. Réflexio
ent formées par une matière noire, que je comparais alors à celle des
ganglions
bronchiques, parce que, dans ce temps, je n'établ
e facilité. Sa couleur n'offrait rien de remarquable. G, G sont des
ganglions
lymphatiques qui tenaient à la séreuse par une es
aient à la séreuse par une espèce de lien cellnleux. Ce sont bien des
ganglions
lymphatiques, et leur présence sur la grosse tubé
qu'une anomalie. 11 n'est pas rare, en effet, de rencontrer ainsi des
ganglions
lymphatiques sous-séreux sur des points autres (j
es l'autopsie du sujet de cette curieuse observation , la plupart des
ganglions
lymphatiques du canal digestif et un assez grand
ganglions lymphatiques du canal digestif et un assez grand nombre de
ganglions
lymphatiques des extrémités avaient considérablem
temps il se manifesta une tuméfaction légèrement douloureuse dans les
ganglions
lymphatiques inguinaux, et surtout dans ceux de l
nt une angine tonsillaire à la suite de laquelle se développèrent des
ganglions
indolens qui finirent par occuper tout le pourtou
ut le pourtour de la mâchoire inférieure. « Depuis le moment où les
ganglions
ont commencé à se développer, il y a toujours eu
on. Autour de la mâchoire inférieure se trouve un chapelet continu de
ganglions
lymphatiques serrés les uns contre les autres, et
uns contre les autres, et allant de l'une à l'autre oreille. Nombreux
ganglions
sur les côtés et à la partie postérieure et supér
ns sur les côtés et à la partie postérieure et supérieure du col. Ces
ganglions
sont assez consistans, un peu élastiques, arrondi
aisselles et au pli des aines, sur les côtés du thorax , aux jarrets,
ganglions
lymphatiques, assez nombreux, semblables , pour l
. — Stomatite et entérite chronique avec inflammation sympathique des
ganglions
lymphatiques correspondans. — Traitement. Les phé
e ulcération s'est établie sur la face interne de la joue droite; les
ganglions
lymphatiques correspondans sont devenus plus volu
elle du mésentère, la plus petite trace de vaisseaux lactés. ce Les
ganglions
lymphatiques qui sont annexés aux diverses partie
ramollir ; enfin il en est qui sont à l'état de pulpe rougeâtre. Les
ganglions
correspondans à la joue ulcérée sont plus volumin
unes contiennent un mucus purulent. A leur origine se voient quelques
ganglions
bronchiques et assez gros. Le cœur est un peu vol
gauche est un peu épaissi ; les testicules sont à l'état normal ; les
ganglions
lymphatiques des aisselles et du pli de l'aine de
e particularité de cette maladie est le développement remarquable des
ganglions
lymphatiques Evidemment il avait pour point de dé
e phlogose ne sont point caractéristiques ; mais le développement des
ganglions
dans le mésentère était le même que celui des gan
loppement des ganglions dans le mésentère était le même que celui des
ganglions
sous-maxillaires. Or, ces derniers étaient évidem
on. Mais pourquoi cette entérite a-t-elle, dans ce cas, influencé les
ganglions
plus qu'elle ne fait ordinairement? Peut-être le
nourriture auxquels cet homme a été soumis, ont-ils prédisposé les
ganglions
à contracter une inflammation lente, comme cela a
l un rapport entre l'hypertrophie des follicules et le gonflement des
ganglions
. Toujours est-il que la ganglite a été sympathiqu
le que, malgré une inflammation d'une durée de cinq à six mois, aucun
ganglion
n'a présenté le plus faible aspect tuberculeux.
endant remarquer que la coïncidence du développement considérable des
ganglions
abdominaux et du développement des follicules de
Les engorgemens ganglionaires n'étaient pas exclusivement bornés aux
ganglions
correspondans au canal alimentaire. On en voyait
es ne trouve-t-on pas, altérés et même profondément désorganisés, des
ganglions
lymphatiques qui correspondent à des muqueuses pa
s, l'altération de la muqueuse a pu se dissiper, tandis que celle des
ganglions
persistant présente tous les caractères d'une lés
e une lésion purement symptomatique ; mais on voit tous les jours des
ganglions
se développer autour d'une muqueuse ou d'une peau
ns se développer autour d'une muqueuse ou d'une peau saine. Voyez les
ganglions
sous-maxillaires, les ganglions cervicaux, etc. Q
queuse ou d'une peau saine. Voyez les ganglions sous-maxillaires, les
ganglions
cervicaux, etc. Qui n'a rencontré des ganglions m
sous-maxillaires, les ganglions cervicaux, etc. Qui n'a rencontré des
ganglions
mésentériques, désorganisés de manière à former d
séquer le corps de deux sujets, chez lesquels le plus grand nombre de
ganglions
lymphatiques avaient subi une dégénération que j'
, sans qu'aucun autre organe présentât la plus légère altération. Les
ganglions
de l'aine et les ganglions axillaires constituaie
e présentât la plus légère altération. Les ganglions de l'aine et les
ganglions
axillaires constituaient des tumeurs monstrueuses
ger que par la description fidèle de M.Briquet et par les deux petits
ganglions
, qui étaient restés adhérens à l'estomac. Eh bien
ient restés adhérens à l'estomac. Eh bien! l'idée m'est venue que ces
ganglions
pouvaient bien avoir subi la dégénération cancére
ervation le titre ai adénite chronique, décrit ainsi l'altération des
ganglions
: «¦ tissu assez homogène, légèrement rosé pour l
ar le pancréas, la rate et le duodénum. Fistule gastro-duodénale.—Les
ganglions
lymphatiques qui entourent la partie supérieure d
Elle est assez commune à la suite des splénites intermittentes. Les
ganglions
lymphatiques qui entourent la portion de l'aorte
ng des vertèbres thoraci-ques, on distinguait très bien la chaîne des
ganglions
du grand sympathique qui étaient d'un blanc parfa
raînait avec lui un lambeau du mésentère : une fois on y a reconnu un
ganglion
mésen-térique, et une autre fois un fragment d'ép
ration, « la matière noire était infiltrée au loin dans ce tissu, les
ganglions
lymphatiques correspon-« dans étaient noirs. »
J'ai rencontré très souvent encore cette couleur ardoisée dans les
ganglions
lymphatiques, mésentériques et lombaires lesquels
gris et de noir, et présentent une identité presque complète avec les
ganglions
bronchiques qui, comme on le sait, offrent si sou
ches pulmonaires s'applique parfaitement à la coloration ardoisée des
ganglions
bronchiques; car il est aussi rare de rencontrer
ns bronchiques; car il est aussi rare de rencontrer chez l'adulte ces
ganglions
non colorés en noir, qu'il est rare de rencontrer
s, la matière noire ardoisée est si abondante dans l'épaisseur de ces
ganglions
, qu'elle constitue de véritables foyers. Indépe
iciles à décrire. A l'ouverture, je trouvai (Planche 2, fig. 1) les
ganglions
lymphatiques qui avoisinent l'angle iléo-ccecal e
ant. Les follicules agminés et isolés étaient parfaitement sains. Les
ganglions
lymphatiques correspondans n'avaient pas sensible
dix à douze ans, mort avec des tubercules dans les poumons, dans les
ganglions
bronchiques et dans les ganglions abdominaux. A l
bercules dans les poumons, dans les ganglions bronchiques et dans les
ganglions
abdominaux. A la racine de la rate se voient plus
les ganglions abdominaux. A la racine de la rate se voient plusieurs
ganglions
tuberculeux G T. La rate est parsemée de tubercul
ant de quatre ans, mort phthisique avec dégénération tuberculeuse des
ganglions
mésentériques. Le foie était parsemé d'une multit
ultiloculaire; les parois de cette cavité étaient constituées par des
ganglions
axillaires dégénérés, qui semblaient se continuer
foyer gangreneux s'établit sur la partie inférieure de l'ulcère. Les
ganglions
axillaires du côté malade formaient une masse cir
dure, qu'il aurait été facile d'enlever. Du coté sain , il y avait un
ganglion
axillaire très dur. Dans les derniers jours de se
de réunion se voyait une érosion qui conduisait dans l'épaisseur d'un
ganglion
bronchique et de là dans une bronche. Evidemment
eur d'un ganglion bronchique et de là dans une bronche. Evidemment le
ganglion
bronchique avait usé la bronche. Dans le même p
e poumon se voyaient çà et là de petits tubercules enkystés. Tous les
ganglions
bronchiques étaient indurés; ici pierreux; là d'u
lagineuse, noirs et marbrés au centre, blancs à la circonférence. Ces
ganglions
devaient être impropres à remplir leurs fonctions
s accoutumées. On ne tient pas un assez grand compte de l'état de ces
ganglions
dans les ouvertures cadavériques et dans l'interp
tain nombre de cavernes pulmonaires est le résultat d'une maladie des
ganglions
et de l'ouverture de la poche formée par ces gang
ne maladie des ganglions et de l'ouverture de la poche formée par ces
ganglions
dans la bronche correspondante usées. D'autres ca
es : ainsi dans les cancers du corps de l'utérus, j'ai souvent vu les
ganglions
lombaires dégénérés, qui entourent la veine cave
effet, bien qu'elle soit entourée d'un beaucoup plus grand nombre de
ganglions
lymphatiques que la veine cave, bien qu'elle para
e, bien qu'elle paraisse quelquefois comme ensevelie au milieu de ces
ganglions
dégénérés, l'aorte, dis-je, échappe constamment à
e de voir la veine intéressée par suite de l'altération d'un seul des
ganglions
quil'avoisinent. Je ne doute pas que cette extens
les poumons d'une femme morte de cancer utérin, je vis quatre ou cinq
ganglions
lombaires cancéreux adhérant à la veine cave asce
e cave ascendante: j'ouvris cette veine et je trouvai que l'un de ces
ganglions
avait en quelque sorte traversé les parois veineu
itue le moyen de l'adhérence. J'ai constamment trouvé dans ce cas les
ganglions
bronchiques tuberculeux, et dans un cas, en même
et dans un cas, en même temps que la péricardite tuberculeuse et les
ganglions
lymphatiques tuberculeux, il y avait absence comp
x nerfs de la cinquième paire m'ont paru altérés et gris au sortir du
ganglion
de Casser. La couleur grise se prolongeait dans l
e ces tubercules, que c'est presque toujours ainsi que guérissent les
ganglions
lymphatiques abdominaux , on sera porté à admettr
ral, depuis la mamelle jusqu'au creux de l'aisselle qui est rempli de
ganglions
volumineux et extrêmement durs. Le membre supérie
tissu cellulaire sous-cutané. Il y avait, en outre, du côté droit, un
ganglion
sus-claviculaire du volume d'un œuf de poule, et
itivement envahies : utérus, mamelles, etc., ou dans leur atmosphère (
ganglions
, lymphatiques, peau des parties voisines). Il sem
avec ratatinement ou atrophie des deux mamelles, avec induration des
ganglions
axillaires, tubercules cancéreux à la peau de tou
cules, dont un certain nombre présente la disposition linéaire. Les
ganglions
lymphatiques G L, situés sous le grand pectoral e
un grand nombre de tubercules analogues à ceux représentés pl. 2. Les
ganglions
axillaires sus et sous-claviculaires ne sont pas
elle, existe un grand nombre de tubercules et de tumeurs cutanés. Les
ganglions
axillaires sont volumineux. Le foie est énorme:
souvent décrit. Les tubercules cutanés offrent la même structure. Les
ganglions
axillaires sont mous et pénétrés d'une plus grand
éphaloïde, sont bien manifestes dans le fait qu'on vient de lire. Les
ganglions
axillaires et les tumeurs hépatiques sont encépha
l'utérus; on l'observe aussi dans la vessie, dans le rectum, dans les
ganglions
lymphatiques, et même dans les os du bassin eux-m
e dans les os du bassin eux-mêmes, lorsque la vessie , le rectum, les
ganglions
lymphatiques et les os du bassin ont été envahis.
de gangrène primitive. Dans plusieurs cas, le caractère cancéreux des
ganglions
lymphatiques pelviens et lombaires a pu seul étab
ltré dans V épaisseur des parois du vagin aux limites de la gangrène.
Ganglions
lymphatiques pelviens cancéreux. Françoise Houg
r gangreneux, le tissu du vagin était pénétré de suc cancéreux. Les
ganglions
lymphatiques du bassin étaient cancéreux. La vein
u cancer ? La propagation si facile de la dégénération cancéreuse aux
ganglions
lymphatiques qui sont en communication avec les o
né avec soin le système lymphatique : voici ce' que j'ai observé. Les
ganglions
lymphatiques pelviens sont presque toujours affec
e toujours affectés dans le cancer utérin. Je signalerai surtout deux
ganglions
situés l'un à droite, l'autre à gauche, sur les p
l'échancrure sciatique, et qui sont souvent les seuls dégénérées. Les
ganglions
lymphatiques lombaires participent bien plus rare
es lombaires participent bien plus rarement à la dégénération que les
ganglions
pelviens : souvent même, ces derniers ganglions s
dégénération que les ganglions pelviens : souvent même, ces derniers
ganglions
sont volumineux, rouges, sans présenter aucune tr
eux, rouges, sans présenter aucune trace d'altération cancéreuse. Les
ganglions
lymphatiques inguinaux ne sont cancéreux que lors
, ce ne peut être que par le moyen des vaisseaux lymphatiques que les
ganglions
sont affectés, mais on cherche vainement une lési
sont affectés, mais on cherche vainement une lésion intermédiaire aux
ganglions
et à l'organe. — J'examine le canal thoracique à
dans un grand nombre de vaisseaux lymphatiques qui répondaient à des
ganglions
lymphatiques dégénérés. Je vais rapporter ici ces
s de foyers. Cancer de l'utérus , de la vessie et de la plupart des
ganglions
lymphatiques abdominaux et susclavi- culaires.
amincie et transparente qui la recouvrait. Un très grand nombre de
ganglions
lymphatiques cancéreux, mais d'un petit volume, c
de suc cancéreux dans sa cavité. Il adhérait intimement en bas à des
ganglions
lymphatiques cancéreux qui le comprimaient; en ha
ques cancéreux qui le comprimaient; en haut, il était rétréci par des
ganglions
dégénérés qu'il traversait pour se jeter dans les
érés qu'il traversait pour se jeter dans les veines jugulaires. Les
ganglions
qui longent la partie lombaire de la colonne vert
s , le long des veines iliaques internes jusque dans le bassin. Les
ganglions
mésentériques, surtout ceux qui occupent la base
eux qui occupent la base du mésentère, étaient très volumineux: à ces
ganglions
aboutissaient plusieurs vaisseaux lymphatiques vi
en distance des nodosités formées par du suc cancéreux concret. Les
ganglions
lymphatiques situés dans le mésentère, ceux qui l
e splénique, étaient petits, pénétrés de suc cancéreux comme tous les
ganglions
lymphatiques qu'il m'a été donné d'apercevoir.
nt susceptibles de la dégénération cancéreuse tout aussi bien que les
ganglions
; car si le premier fait rapporté plus haut, semb
hatique lui-même. Cette sorte d'indépendance d'altération entre les
ganglions
et les vaisseaux lymphatiques, sous le rapport
uverait qu'il y a autre chose que des vaisseaux lymphatiques dans ces
ganglions
: il y a, en effet, un système capillaire veineux
e ou l'organe de formation du pus, des tubercules et du cancer de ces
ganglions
. J'ai vu dernièrement, dans les pavillons de la
ment, dans les pavillons de la Faculté, un sujet jeune, dont tous les
ganglions
lymphatiques inguinaux et axillaires étaient conv
rtis en des masses lobuleuses énormes; chacune de ces masses était un
ganglion
lymphatique cancéreux. —Les vaisseaux lymphatique
s débris de matière cancéreuse échappés à la gangrène ou par quelques
ganglions
lymphatiques carcinomateux, situés dans le bassin
stance du cartilage, et n'était pénétrée d'aucune espèce de sucs. Les
ganglions
lymphatiques situés derrière l'arcade crurale et
s. Les ganglions lymphatiques situés derrière l'arcade crurale et les
ganglions
lombaires, étaient volumineux , rougeâtres et fra
indurations ordinaires, suite de phlegmasies chroniques. L'état des
ganglions
lymphatiques correspondans, qui si souvent révèle
casion de faire cette remarque. Souvent, au centre des mamelles ou de
ganglions
axillaires cancéreux, on rencontre des flocons d'
eux. Parotide suppurée.—Cancer ulcéré mélanique de la parotide et des
ganglions
sous-maxillaires.—Atrophie des muscles propres de
mmédiatement. — Cancer de l'utérus, de la vessie et de la plupart des
ganglions
lymphatiques abdominaux et sus-claviculaires. Vai
, pl. i, n, m, p. y.— La circulation du pus dans les vaisseaux et les
ganglions
lymphatiques sains ne prouve pas que le pus y ait
/.—Cancer mélanique des grandes et petites lèvres. Développement des
ganglions
inguinaux superficiels et profonds. Mort dans le
ltré dans l'épaisseur des parois du vagin aux limites de la gangrène.
Ganglions
lymphatiques pelviens cancéreux. m Cancer des par
ar le pancréas, la rate et le duodénum. Fislule gaslro-duodénale. Les
ganglions
lymphatiques qui entourent la partie supérieure d
immédiatement.= Cancer de l'utérus, de la vessie et de la plupart des
ganglions
lymphatiques abdominaux et sus-claviculaires. Vai
v., pl. m, p 4.— Cancer ulcéré mélanique de la glande parotide et des
ganglions
sous-maxillaires. 39e liv., pl. v, p. 3. — Cancer
iv, p. 4. — Dans toutes les formes d'eniérite folliculeuse aiguë, les
ganglions
mésenlériques correspondans, participent plus ou
nl neuf jours ; recrudescence des symptômes; hallucination; mort; les
ganglions
mésenlériques paraissent le siège principal de la
r le pancréas , la raie et le duodénum. Fislule gastro-duodénale. Les
ganglions
lymphatiques qui entourent la partie supérieure d
e organe de l'instincl de la reproduction. 15e liv., pl. v, p. 2.
GANGLIONS
. Part que prennent les ganglions mésentériques à
oduction. 15e liv., pl. v, p. 2. GANGLIONS. Part que prennent les
ganglions
mésentériques à l'entérite folliculeuse aiguë. 7e
iguë. 7e liv., pl. 1, n, m, IV, p. 5. — Tumeurs mélaniques dans les
ganglions
inguinaux, lombaires et mésentériques. 19e liv.,
ux, lombaires et mésentériques. 19e liv., pl. m, iv, p. 2, 3. — Les
ganglions
lymphatiques sont susceptibles de dégénération ca
n, p. g. ; 27e liv., pl. n, p. 2, 3. — Développement remarquable des
ganglions
lymphatiques. 34e liv., pl. ii, m, p- GANGRÈNE.
aisseaux lymphatiques. 17e liv., pl. m, p. 6%. — Les vaisseaux et les
ganglions
lymphatiques sont susceptibles de dégénération ca
m , iv, p. 4. — Cancer ulcéré mélanique de la glande parotide et des
ganglions
sous-maxillaires. 39e liv., pl. y, p. 3. MÉMOIR
ganglionnaires : transformation fibreuse et développement énorme des
ganglions
cervicaux du grand sympathique et du tronc nerveu
x du grand sympathique et du tronc nerveux de communication entre ces
ganglions
. lre liv., pl. m, p. t.\—Etat de l'appareil nerve
, pl. v, p. 2. — Cancer ulcéré mélanique de la glande parotide et des
ganglions
sous-maxillaires. 39e liv., pl. v, p. 3. PATHOL
tré dans l'épaisseur des parois du vagin, aux limites de la gangrène.
Ganglions
lymphatiques pelviens cancéreux. = Cancer des par
immédiatement.^Cancer de l'utérus, de la vessie et de la plupart des
ganglions
lymphatiques abdominaux eisous-claviculaires.Vais
ltré dans l'épaisseur des parois du vagin aux limites de la gangrène.
Ganglions
lymphatiques pelviens cancéreux. 24e liv., pl. i,
ulièrement de l'réc1. llous- say (10) établissent l'homodynamie des
ganglions
de la ligne latérale et (1) His, Zur Entwicklun
eural est fragmenté clans toute sa longueur et fournit la rangée de
ganglions
neuraux, qui sont les spinaux dans le tronc et
moins pour le métamère auriculaire, on retrouve la signification du
ganglion
spinal dans le gan- glion de Scarpa=Corti. Le r
né- galement. Dans la région céphalique ou branchiale, il forme les
ganglions
latéraux, qui sonl les ganglions crâniens ; au
alique ou branchiale, il forme les ganglions latéraux, qui sonl les
ganglions
crâniens ; au delà il reste indivis et continue
tion branchiale entoclermique qui avorte sous l'expansion rapide du
ganglion
latéral auriculaire. Celui-ci s'interpose entre
laste sensoriel localement amplifié. Si, comme l'admet Houssay, les
ganglions
crâniens, olfactif ciliaire, trijumeau, faciaux
iculaire, glossopharyngien et vagues, n'ont rien de commun avec les
ganglions
spinaux des racines postérieures, issus du ru-
ral, et comme nous devons retrouver dans la tète les homologues des
ganglions
spinaux pour expliquer les analogies remar- qua
s épiblastiques com- mentseront représentés, même virtuellement, le
ganglion
spinal du tronc, le ganglion latéral crânien, l
nt représentés, même virtuellement, le ganglion spinal du tronc, le
ganglion
latéral crânien, les rameaux supra, pra) et posth
n de noter que cette masse ganglionnaire est de même origine que le
ganglion
facial auquel elle est primitivement soudée ; d'a
ortent de leur côté : Houssay a décrit un rameau postbran- chial du
ganglion
auriculaire, qui semble devoir s'effacer par la s
aux et périphériques de cellules bipolaires identiques à celles des
ganglions
spinaux et que le nerf labyrintique se conduit,
yaux médullai- res comme une racine spinale postérieure. Si donc le
ganglion
auriculaire primitif est le jumeau du ganglion
térieure. Si donc le ganglion auriculaire primitif est le jumeau du
ganglion
facial, qui, lui, semble bien naître de la chaî
' il affirme néanmoins de plus en plus par la suite son identité de
ganglion
spinal. ' Cet organe branchial auriculaire, qui
tube médullaire, à l'élément nerveux près. Neurotome médullaire,
ganglion
auriculaire neuro-latéral etépaississe- ment au
lule nerveuse. On la trouve dans le neurotome médullaire et dans le
ganglion
auriculaire neuro-latéral. Elle manque dans la pa
e infusoriforme ciliée sans la péné- trer, et que là comme dans les
ganglions
centraux, il y ait uniquement rap- ports de con
lial, un morceau d'ectoderme rentré comme la moelle à son début, le
ganglion
neuro-latéral se distingue dès le début des forma
ontraire convexe et plein, et s'enfonce sous l'ectoderme, comme les
ganglions
spinaux. Dans le tronc ses homologues deviennen
omme les ganglions spinaux. Dans le tronc ses homologues deviennent
ganglions
spinaux des racines rachidiennes postérieures;
postérieures; dans le métamère auriculaire de la tète, il de- vient
ganglion
neural auriculaire, et l'invagination de la fosse
léments 344 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE bipolaires du
ganglion
neural ; les autres unissent les éléments neuraux
r quelques auteurs comme une racine postérieure médullaire, dont le
ganglion
spinal se fragmenterait à mesure que se divisent
ditif. LE NERF LABYRINTHIQUE : H5 III Formations neurales. Le
ganglion
neural auriculaire, ganglion spinal, reste assez
E : H5 III Formations neurales. Le ganglion neural auriculaire,
ganglion
spinal, reste assez longtemps soudé à celui du
reste assez longtemps soudé à celui du facial, puis le facial et le
ganglion
géniculé s'en isolent ; la masse qui correspond
on géniculé s'en isolent ; la masse qui correspond véritablement au
ganglion
auriculaire se frag- mente pour former le gangl
véritablement au ganglion auriculaire se frag- mente pour former le
ganglion
vestibulaire, le ganglion cochléaire et un gang
auriculaire se frag- mente pour former le ganglion vestibulaire, le
ganglion
cochléaire et un ganglion intermédiaire qui cor
pour former le ganglion vestibulaire, le ganglion cochléaire et un
ganglion
intermédiaire qui correspondra au saccule et à l'
u saccule et à l'ampoule posté- rieure. Cannieu (1) a montré que ce
ganglion
, dit de Boettcher, n'était qu'une émanation dir
ce ganglion, dit de Boettcher, n'était qu'une émanation directe du
ganglion
vestibulaire ou de Scarpa. Les papilles labyrin
yrinthiques n'étant que des formations purement ecto- dermiques, ce
ganglion
neural est tout à fait assimilable à un ganglion
cto- dermiques, ce ganglion neural est tout à fait assimilable à un
ganglion
sous-ectodermique émettant ses prolongements am
piller. On a donné le nom de centres trophiques aux cellules de ces
ganglions
neuraux. Toute cellule est centre trophique pou
rs. (1) Cannieu, Recherches sur le nerf auditif, ses rameaux el ses
ganglions
, 1894. 31G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI
ur pro- gressivement il mesure qu'ils s'approchent des cellules des
ganglions
mé- dullaires. Cannieu a bien montré que la s
aires. Cannieu a bien montré que la seule fragmentation complète du
ganglion
neural auriculaire était celle qui correspondai
- avec le gan- glion de Scarpapour le premier et celui de Corti ou
ganglion
spiral pour le second. Il serait facile de divi
le second. Il serait facile de diviser, au moins virtuellement, le
ganglion
de Scarpa, ou ganglion vestibulaire, en autant
acile de diviser, au moins virtuellement, le ganglion de Scarpa, ou
ganglion
vestibulaire, en autant de ganglions qu'il y a de
ment, le ganglion de Scarpa, ou ganglion vestibulaire, en autant de
ganglions
qu'il y a de faisceaux se rendant aux taches cr
nous suffira de retrouver dans la fragmentation des faisceaux et du
ganglion
un vestige de la fragmen- tation des papilles l
che criblée moyenne et se jette dans le prolongement de la masse du
ganglion
de Scarpa (Cannieu) dont Bôltcher avait voulu f
du ganglion de Scarpa (Cannieu) dont Bôltcher avait voulu faire un
ganglion
indépen- dant. De l'ampoule postérieure ou sagi
criblée de Reichert un rameau indépendant qui aboutit également au
ganglion
de Scarpa et forme avec le précédent le rameau
e Schwalbe. Corti et Schwalbe avaient également cru devoir faire un
ganglion
isolé du prolon- gement du ganglion de Scarpa (
t également cru devoir faire un ganglion isolé du prolon- gement du
ganglion
de Scarpa (Cannieu). Cet auteur a aussi décrit
e chez la soit- risetqu'on retrouvechez l'homme, émanée égaiementdu
ganglion
de Scarpa, et émettant des fibres qui se distri
n certain parcours dans la rampe spi- rale osseuse, aux cellules du
ganglion
de Corti, formant le rameau inférieur de Sr,hua
e pouvons reconnaître aucune différence entre les deux fragments du
ganglion
primitif, sauf dans le groupement des éléments bi
rimitif, sauf dans le groupement des éléments bi- polaires. Ceux du
ganglion
de Scarpa sont disséminés dans le tronc vesti-
- bulairependant toute l'étendue du conduit auriculaire interne, le
ganglion
s'étirant sous t'écartement des faisceaux vesti
faisceaux vestibulaires divisés au niveau des biles osseux. Ceux du
ganglion
de Corti sont rangés en colonne spirale dense e
es des racines anté- rieures de la moelle, encombré des éléments du
ganglion
de Scarpa, occupe une position supéro-postérieu
e façon, et que cette formation mixte, placée entre les cellules du
ganglion
de Corti (ganglion spinal des racines postérieu
te formation mixte, placée entre les cellules du ganglion de Corti (
ganglion
spinal des racines postérieures), et les cellules
s abon- dante. Tous ces prolongements centripètes des cellules du
ganglion
auriculaire neural, divisé en ganglions de Scar
centripètes des cellules du ganglion auriculaire neural, divisé en
ganglions
de Scarpa et de Corti, et qui sont les homolo-
rtie anté- rieure du corps restiforme. On en a fait l'homologue. du
ganglion
spinal (Onufrowicz). Il ne s'en rapproche par a
ents. Ce caractère seul, avec un aspect encapsulé, le rapproche des
ganglions
spinaux, mais comment admettre deux formations
nglionnaires sur la même racine postérieure, car nous savons que le
ganglion
de Corti a déjà la signification d'un ganglion
r nous savons que le ganglion de Corti a déjà la signification d'un
ganglion
spinal ? Sa partie inférieure contient des cell
- ciellement, se trouve le tubercule acoustique, tubercule latéral,
ganglion
acoustique superficiel, formé de petits élément
hterew) ; ce serait en effet un prolongement direct des cellules du
ganglion
de Scarpa atteignant les noyaux cérébelleux. S'il
contenait dans sa cavité un peu de liquide séro-sanguignolent. Les
ganglions
mésentériques- étaient augmentés de volume et l
- tions, ni de siJlrttions hémorragiques. Pas de péritonite. Pas de
ganglions
. 'l'. \W'. l'I. \I11 OUVfclI.h ICONOGRAPHIE D
des cordons postérieurs et latéraux; ils ont montré l'intégrité des
ganglions
et de leurs cellules et révélé des altérations de
à ce que la communication entre le centre optique du manteau et les
ganglions
a été interrompue. Il ne paraît point probable
s, et d'amyotrophie. Pas de cicatrices, de lépromes, d'ulcérations.
Ganglions
aux aisselles, à la nuque, aux coudes, aux plis
riche en eau et pauvre en colloïde. Le cytoplasma des cellules des
ganglions
nerveux et sympathiques de tous les mammifères
e to- nalité brun clair, gris neutre et gris bleu. Les cellules des
ganglions
sympathiques prélevés sur l'animal vivant et di
re ullramicrosco- pique que nous avons notées pour les cellules des
ganglions
spinaux. Il y a cependant deux sortes de cellul
e de l'animal. Chez les petites grenouilles, ce qui domine dans les
ganglions
spinaux ce sont les cellules plus ou moins diapha
En dehors des granulations lumineuses, on voit dans la cellule des
ganglions
spinaux de grenouille, des granulations pigment
us n'avons pas constaté le même polychromisme dans les cellules des
ganglions
spinaux à la tempé- rature de 39° prolongée.laq
entres nerveux chez les différents animaux. En effet, même dans les
ganglions
spinaux de jeunes chiens ou de jeunes chats, no
quelques données sur la consistance du cyloplasma des cellules des
ganglions
spinaux. Tout d'ahord, nous constatons que le c
sieurs auteurs. Malgré que nous ayons examiné quelques centaines de
ganglions
spi- naux et sympathiques de chiens et chats no
soutenu par Gaidukow dans son livre intéressant. Les cellules des
ganglions
spinaux examinés à la température de la chambre
ans le sérum de l'animal ou bien dans la lymphe lorsqu'il s'agit de
ganglions
de grenouille n'offrent jamais, tout au moins la
'ULTRAMICROSCOPE 205 Comme nous venons de le voir, les cellules des
ganglions
spinaux et sympathiques et des centres nerveux
on seulement se rapprochent de celles que nous connaissons dans les
ganglions
fixés et colorés par la méthode de Nissl, mais en
uit la précipitation des corpuscules de Nissl dans les cellules des
ganglions
spinaux correspondant à ceux décrits par Lugaro e
si la cellule est encore vivante. En effet, si on pratique dans les
ganglions
des injections intravitales de rouge neutre et de
n traite par des matières colorantes ou ba- siques les cellules des
ganglions
spinaux s'il y a un certain trouble dans l'équi
e qu'après les sections nerveuses, lorsqu'on traite des cellules de
ganglions
greffés par le bleu de méthylène ou par le roug
puscules de Nissl. Le même phénomène a lieu lorsque l'on traite des
ganglions
en autolyse depuis assez longtemps. Dans ces con-
forme de corpuscules de Nissl par le traitement des cellu- les des
ganglions
avec les agents indiqués plus haut constitue tout
ces en solutions isotoniques mises en contact avec les cellules des
ganglions
spinaux. Nous avons uti- lisé tout d'abord des
dante. D'autres fois, nous avons gardé pendant un temps variable le
ganglion
entier dans la solution pour le dissocier ensuite
avec ceux donnés par l'éclairage direct. Les cellules nerveuses des
ganglions
spinaux dissociées dans l'acide acétique et exa
tique du noyau est légèrement atténué. En prolongeant l'examen, les
ganglions
ou les cellules conservés dans le sérum hyperto
la préparation s'est évaporé (fig. 13, PL XXVI). Si l'on traite le
ganglion
conservé dans le sérum hypertonique par l'eau d
e volume inégal, mais en tout cas supérieur à celui des cellules du
ganglion
conservé et dissocié dans le sérum hyper- toniq
er une perturbation dans les résultats de ces expériences. Ici, les
ganglions
extra ils de l'animal 1 Nouvelle Iconographie D
Lorsqu'au lieu d'examiner les cellules immédiatement, on garde le
ganglion
dans l'eau distillée pendant un quart d'heure à u
qui existent à l'étal normal ne sont-elles pas si effacées dans le
ganglion
gardé dans l'eau pendant une heure el les lésions
ile à expliquer, car on devrait s'attendre à ce que les cellules du
ganglion
ayant séjourné plus longtemps dans l'eau distil
ue, mais une solution hypertonique. C'est ainsi par exem- ple qu'un
ganglion
conservé dans l'ammoniaque pendant 12 minutes ne
ensuite traitées par la glycérine. En effet, après avoir traité un
ganglion
spinal par le chlorure de calcium pendant 23 mi
LEGENDE DES PLANCHES Planche XXV FIG. 1. Cellules normales d'un
ganglion
sacré de petit chien Comme on le voit, la figui
au est invisible et le nucléole inactif. FiG. 2. - Deux cellules du
ganglion
sympathique d'un petit chien, examinè d.ms le s
assez grosses précisément à cause de l'objectif employé. Fig. 3.
Ganglion
ciliaire du chien. FIG. 4. Quatre cellules d'un
Fig. 3. Ganglion ciliaire du chien. FIG. 4. Quatre cellules d'un
ganglion
de chien nouveau-né comprimé à l'aide d'une pin
YEN DE L'ULTRAMICROSCOPE 221 FiG. 5. Quatre cellules provenant d'un
ganglion
de petit chien examinées dans le sérum du même
a luminosité et du volume des granulations. FiG. 6. Cellules d'un
ganglion
dorsal de petit chien offrant des modifications t
urvue de deux arcs lumineux. Planche XXVI Fin. 9. - Cellules d'un
ganglion
spinal traité par l'acide chlorydrique en solutio
les cel- lules une région circulaire vide. Fic.. 10. Cellule d'un
ganglion
spinal traité par l'acide chlorydrique en solutio
visible avec contour lumineux et brillant. Fie. 12. - Cellules d'un
ganglion
spinal de petit chien ayant séjourné dans l'alcoo
ns et sa luminosité est di- minuée. Fie. 13. - Cinq cellules d'un
ganglion
conservé dans le sérum hypertonique et dis- soc
érente. Planche XXVII. Fio. 14. Groupe de cellules provenant d'un
ganglion
conservé dans le sérum hy- pertonique et puis d
la cellule. Vide nucléaire atténué. FiG. t5. - Trois cellules d'un
ganglion
spinal d'un chien jeune, dissociées dans l'eau
examen après 5 minutes. Planche XXVIII. FiG. 18. - Cellules d'un
ganglion
de petit chien traitées par l'urée en solution is
la périphérie est plus touchée. FiG. 19. Cellules résistantes d'un
ganglion
spinal traité par l'ammoniaque à 1/200, les gra
cellules le nucléole est lumineux et granuleux. F20. Cellules d'un
ganglion
spinal ayant séjourné 4 heures dans du sérum prop
volume des cellules ne parait ps augmenté. Fin. 21. - Cellule d'un
ganglion
de petit chien âgé de 3 mois, dissocié dans le bi
série de segments médullaires, des racines rachidiennes avec leurs
ganglions
spinaux, des troncs nerveux périphériques et de
ne radiculaire des nerfs, plusieurs racines rachidiennes avec leurs
ganglions
spinaux ont été débitées en coupes longitudinal
ue de cheval examinés au-dessous du côue terminal. C'est près des
ganglions
spinaux qu'apparaissent les lésions (PI. XL). Il
lle s'observent déjà plusieurs millimètres avant le pôle central du
ganglion
rachidien, tandis que les racines S 1, et S 2, so
nettement sur les filets moteurs. Sur des coupes longitudinales des
ganglions
spinaux, nous avons parfois pu suivre le trajet
ont systématisées, elles atteignent les racines antérieures près du
ganglion
spinal et les nerfs mixtes; les nerfs cutanés e
ltérées. Ces lésions font défaut dans les nerfs cutanés et dans les
ganglions
spinaux. Cas DE Dubreuilh (2). - Publiés peu ap
grité des racines postérieures ; diminu- tion des cellules dans les
ganglions
spinaux ; dans les nerfs périphériques, diminut
ation) ; intégrité des racines antérieures et posté- rieures et des
ganglions
spinaux ; lepto-méningite postérieure chronique.
de l'épendyme, parfois état criblé de la substance grise. Dans les
ganglions
spinaux, atrophie cellulaire, dégé- nérescence
ant jusqu'à la RD. Examen histologique : Moelle nor- male. Dans les
ganglions
spinaux, les racines antérieures montrent une dim
atrophiées. Hypertrophie considérable des racines rachidiennes, des
ganglions
spinaux, des nerfs crâniens, rachidiens, spinaux
ètres). Planche XL Fio. la. - Racine rachidienne L3, au-dessus du
ganglion
spinal. Dégénérescence de la racine antérieure
ns que l'un de nous avec Pitulesco (1) a noté des alté- rations des
ganglions
solaires chez les paralytiques généraux, D'aill
eu irrégulier, qui se prolonge au-dessus ; il semble que ce soit un
ganglion
sus-épitrochléen ; on peut se demander si l'on n'
ateuses sont nombreuses, nettement dévelop- pées, et cependant, les
ganglions
lymphatiques n'existent pas dans ces régions. 1
ation d'adéno-lipome pour un lipome sus- elaviculaire englobant des
ganglions
calcifiés et concrétés, M. Delbet repoussait ce
meurs sont des lipomes périglan- dulaires se développant autour des
ganglions
comme des lipomes péri vis- céraux, périrénaux
masses occupent des régions du corps où normalement il n'y a pas de
ganglions
. UN cas d'adénolipomatose 487 M. Nattan-Larri
s points lymphatiques sont assez nombreux, mais on ne trouve pas de
ganglions
proprement dits. ' Quelle que soit l'étiologi
fre les mêmes lésions dans le lobe inférieur, mais moins avancées
Ganglions
bronchiques sains. - ' Examen histologique :
et personnels. Irascibilité. Violences. .Am/gdaHte. Engorgement des
ganglions
rétro-maxillai- res. Laryngite. Eczéma de la fa
njonctivite purulente. Diarrhée. Exa- mens du sang. Tuberculose des
ganglions
contenus dans le thorax et l'abdomen, des poumo
he. 2 : 3 {éeriei', - Amygdalite simple; un peu d'engorgement des
ganglions
rétro-maxillaires. La toux est rauque, la voix
odure de fer. 4 avril. - Revaccination sans succès. 18 avril. Les
ganglions
rétro-maxillaires ont en grande partie disparu
de 7 cent. de hauteur sur 8 cent. de largeur ; elle se compose d'un
ganglion
antérieur le plus gros, et de deux autres posté
t. 5 de haut et de large. Dans l'aisselle gauche, il y a un amas de
ganglions
tuméfiés de 5 cent. 5 de large et de long; enfi
5 cent. 5 de large et de long; enfin dans l'aisselle droite est un
ganglion
du volume d'une petite noix. On ne constate rien
sse sous-maxil- laire droite a, au contraire, diminuéde volume. Les
ganglions
sont isolés et durs. De temps à autre, l'enfant
sont décolorées. Au niveau des régions sous-maxil- laires, tous les
ganglions
tuméfiés forment des masses énormes au-dessous
hypertrophie ganglionnaire est surtout mar- quée à gauche, où deux
ganglions
ont acquis le volume d'un oeuf de poule, princi
jusqu'au triangle sus-claviculaire. A droite, cette tuméfaction des
ganglions
du cou est moins marquée ; deux d'entre eux ont
chaîne se continue de même jusqu'au triangle sus- claviculaire. Les
ganglions
sous-maxillaires des deux côtés ont le volume d
e prolonge dans l'aisselle jusqu'à son sommet; elle est formée de
ganglions
du volume d'un oeuf de poule au plus. A sa surfac
rs ganglionnaires du volume d'une petite noix. On ne constate aucun
ganglion
tuméfié dans les aînés. Les veines thoraciques
appendice xiphoïde. en avant du péritoine pariétal, il y a un petit
ganglion
de la grosseur d'un noyau de cerise. Tous les g
y a un petit ganglion de la grosseur d'un noyau de cerise. Tous les
ganglions
rétro-sternaux sont hypertrophiés et caséeux. -
. Adhérence totale des deux plèvres avec cloisonne- ment, à gauche.
Ganglions
bronchiques hypertrophiés, ainsi que tous ceux
tient de la graisse et quelques gan- glions hypertrophiés, Tous les
ganglions
situe ? au niveau de la petite courbure et de l
de courbure de l'estomac, sont hypertrophiés, volumineux.- Tous les
ganglions
}né.setté2'i- qne8 le sont également, 31n ? i q
périeur de la même côte. Disons enfin que l'examen histologique des
ganglions
du cou, nous a révélé au centre de ceux-ci la p
ès congestionnée, et farcie de tubercules caséeux et crus. Tous les
ganglions
péri-spléniques et tous ceux qui sont situés au
t très hypertrophiée, et se confond à sa partie inférieure avec les
ganglions
caséeux. Le rein gauche (90 gr.) se décortique
ns volumineuse que la gauche; elle n'est qu'en partie caséeuse; les
ganglions
du hile sont également caséeux, comme ceux de g
duodénum et l'estomac ne présentent rien de partiou- lier. Tous les
ganglions
iléo-coecaux sont hypertrophiés et caséeux. Int
s d'ori- gine tuberculeuse. Le long du canal thoracique, tous les
ganglions
sont hypertrophiés, caséeux, mais les parois du
ns doute aux troubles de compression occasionnés parla présence des
ganglions
volumineux du cou. IV. La maladie (adénie ou
IV. La maladie (adénie ou tuberculose) a. commencé par envahir les
ganglions
du cou puis s'est généralisée à la presque tota
s ganglions du cou puis s'est généralisée à la presque totalité des
ganglions
(aisselle, thorax, mésentère). Cette affection
aire, comme semblent le prouver : 1" l'examen bactériologique des
ganglions
du cou; fait post-mortem, examen que nous avons
nce des bacilles tubercu- lcuse ; 2° la dég6nérescencc caséeuse des
ganglions
du cou, des ganglions rétro-sternaux et abdomin
- lcuse ; 2° la dég6nérescencc caséeuse des ganglions du cou, des
ganglions
rétro-sternaux et abdominaux ; 3° l'évolution c
sémateux est légèrement congestionné à sa partie posté- rieure. Les
ganglions
du hile sont durs à la coupe, non tumé- fiés.
t obligé d'arracher avec lui une masse volumineuse de graisse et de
ganglions
, adhérente au hile. Il est volumi- neux, allong
ation de la région gauche de l'abdomen est douloureuse, on sent des
ganglions
mais la résistance des parois n'est pas augmentée
es ganglions mais la résistance des parois n'est pas augmentée. Les
ganglions
du pli de l'aine gauche sont mieux palpables qu
iration stridente. Aux organes abdomi- naux rien de notable. Pas de
ganglions
dans l'aisselle ou dans le pli de l'aine. L'art
ouge-brunâtre. La rate est augmentée, rouge, se déchire facilement.
Ganglions
bronchiques très augmentés, à la coupe lisses e
'une consistance cérébrale. Au cou, le long des gros vaisseaux, les
ganglions
lymphatiques sont très gros et transfor- més en
multiples du corps, par exemple un carci- nome de l'estomac et des
ganglions
cervicaux et des masses cancéreuses qui du cou
! ) et comprimait les nerfs et les vaisseaux dans le voisinage des
ganglions
spinaux. Il existe une autre catégorie de tumeu
e vertébrale même, y causant la compression des nerfs (non loin des
ganglions
spinaux) et des vaisseaux, et par suite, des lési
uelle, la fréquence des engelures graves, la tuméfaction froide des
ganglions
. (A suivre.) OSPEDALE AGGIORE DI BOLOGNA SE
ours après. L'autopsie fit consta- ter un ramollissement ancien des
ganglions
de la base de droite, des hémor- ragies récente
des ganglions de la base de droite, des hémor- ragies récentes des
ganglions
de la base de gauche et une endoartérite de plu
plus exactement, des prolongements sensitifs ectodermiques issus du
ganglion
de sa racine postérieure ; 2° le îzffitiîts-7jy
buer avec certitude à une lésion de la racine postérieure entre son
ganglion
et son entrée-dans la moelle. Comment peut-on
ganglionnaire de His (ou de son prolongement encéphalique), futurs
ganglions
des racines postérieures, les cellules ganglion
ut-être, la patho- génie des naevi. Il suffit de rappeler que le'
ganglion
de la racine postérieure et le gan- glion sympa
nt pour aller constituer de chaque côté de la colonne vertébrale le
ganglion
de la chaîne sympathique ; soit, qu'avec M. Bar
rbieri, on fasse surgir du système du grand sympathique lui-même le
ganglion
nerveux des racines postérieures. Quoi qu'il en s
un rameau périphérique, soit un rameau intermédiaire allant vers le
ganglion
sympathique voisin. Il y a, en somme, communica
et des fibres médullaires centripètes (Langley, Roux) ; et avec le
ganglion
de la racine postérieure par des filets centrif
ilets centrifuges et centripètes, sans compter de véritables petits
ganglions
sym- pathiques accolés au ganglion de la racine
ns compter de véritables petits ganglions sym- pathiques accolés au
ganglion
de la racine postérieure (Marinesco). Donc cont
mon et Moche (2), systématisée à tous les nerfs périphériques, aux
ganglions
rachidiens et à tout le système sympathique, à
s arthropathies. Encéphale, 1908, n° 5, mai. 2) SimoN et Hoche, Les
ganglions
nerveux des racines postérieures appartiennent-
erritoire innervé par un nerf centripète. Si la lésion porte sur un
ganglion
sympathique, la répercussion se produira sur le
nglion sympathique, la répercussion se produira sur les cellules du
ganglion
de la racine postérieure du même métamère, dont
e névritique. Il en sera de même si la lésion initiale porte sur le
ganglion
de la raci ne postérieure, ou sur un groupe de
un peu de douleur; il n'y a ni douleur provoquée, ni empâtement, ni
ganglions
inguinaux. Cet état date d'en- viron huit mois
ques tubercules crus de la grosseur d'une forte tête d'épingle. Les
ganglions
hilaires ne sont pas hyper- trophiés. Les fac
gros intestin, l'appendice, le grêle, le pancréas sont normaux. Les
ganglions
mésentériques et pararachîdiens ne sont pas hyper
z prononcée d'origine inconnue. L'examen du coeur, du poumon, des
ganglions
n'a révélé aucun phénomène spécial. Il ne se
hémisphère, on ne rencontre rien du côté des circonvolutions et des
ganglions
de la base. Une section horizontale, passant à
pé- rieur de l'hémisphère, montre toutes les circonvolutions et les
ganglions
cen- traux normaux : les circonvolutions de l'i
e de Anton et Zingerle) ; 3° une partie inférieure qui recouvre les
ganglions
de la base. L'auteur admet d'ailleurs que son f
a couche optique gauche est extrêmement saillante, d'autre part les
ganglions
de la base semblent parfaitement normaux. L'hém
on longitudinale irrégulièrement rhombique, au fond de laquelle les
ganglions
de la base font saillie. La corne occipitale est
typiques sont nettement re- connaissables. La glande pinéale el le
ganglion
de l'habénula font défaut. Le troisième ventric
pêtrière). I. ORIGINE DES COURTS nerfs ciliaires chez L'HOMME. Le
ganglion
ciliaire, situé sur le bord externe du nerf optiq
nimes sur les rapports des noyaux de l'o- culo-moteur commun et des
ganglions
ciliaires avec les nerfs ciliaires, c'est-à-dir
éressante de l'innervation de l'iris et de l'anatomo-physiologie du
ganglion
ciliaire, et ayant surtout ici pour but de mettre
x muscles iriens et au muscle ciliaire, en traversant simplement le
ganglion
ciliaire, ou bien s'arrêtent-elles dans ce dern
ion de faire un examen histologique complet des nerfs ciliaires, du
ganglion
ciliaire, de la IIIe paire et du trijumeau ains
du ganglion ciliaire, de la IIIe paire et du trijumeau ainsi que du
ganglion
de Gasser. La malade est morte à l'âge de 55 an
extrême- ment prononcée ; l'examen de la moelle, des racines et des
ganglions
n'a pas encore été fait. Les nerfs optiques é
us caverneux et coloré par l'acide os- mique el le picro-carmin. Le
ganglion
ciliaire avec les courts nerfs ciliaires (jusqu
é fixés ensemble par l'acide osmique. Il a été fait de même pour le
ganglion
de Gasscr. La portion de la Ille paire, compr
t été faites aux deux extrémités. L'ensemble des nerfs ciliaires,du
ganglion
ciliaire du nasal, des rameaux de la IIIe paire
ion ciliaire du nasal, des rameaux de la IIIe paire, des racines du
ganglion
ciliaire jusqu'à leur coalescence avec leur bra
paraffine, ce qui représente un total de près de 2.000 coupes. Le
ganglion
de Gasser a été débile en coupes longitudinales s
V, D. F). Il en est d'ailleurs de même des longs nerfs ciliaires.
Ganglion
ciliaire. - Les cellules apparaissent dans les ne
. - Les cellules apparaissent dans les nerfs ciliaires avant que le
ganglion
ciliaire ne soit définitivement constitué. A mesu
n examine des coupes de plus en plus rapprochées du pôle central du
ganglion
, les fibres à myéline diminuent, surtout dans la
saines y sont très rares (PI. LXIV, E). A la limite supérieure du
ganglion
on distingue un petit filet nerveux qui se diri
ontant vers l'émergence du sillon interpédonculaire. Trijumeau et
ganglion
de Gasser. Le bout central de la racine sen- si
rescence peut être poursuiviejusquedans le nerf. Le pôle central du
ganglion
de Gasser est creusé de fissures qui ont respecté
éduire que les courts nerfs ciliaires prennent leur origine dans le
ganglion
ciliaire et non dans les noyaux mésencéphalique
motrice du trijumeau de l'intégrité de la racine dite sensitive du
ganglion
ciliaire, on ne peut que confirmer l'opinion cl
nfirmer l'opinion classique d'après laquelle la ra- cine fournie au
ganglion
ciliaire par le trijumeau est formée défibres cen
ment, à la suite des travaux de Marina,-on tend à localiser dans le
ganglion
ciliaire ou les nerfs ciliaires la lésion qui d
ina a trouvé en effet une diminution dans le nombre des cellules du
ganglion
ophtalmique, mais la principale altéra- tion co
topsie, quatre jours dans un cas. Dans ces deux cas j'ai étudié les
ganglions
et les nerfs ciliaires, et ce sont les résultats
e sujet du présent travail. J'ai examiné également les nerfs et les
ganglions
ciliaires dans.un troisième cas de tabes, mais il
boli. Examen histologique. - D'un côté les nerfs ciliaires avec les
ganglions
et les racines ont été imprégnés par la méthode
par l'acide osmique et le picro-carmin. a) Examen par l'argent. Le
ganglion
ciliaire ne présente aucune diffé- rence avec u
rgent. Le ganglion ciliaire ne présente aucune diffé- rence avec un
ganglion
normal, traité par la même méthode. Celle-ci perm
interstitielle. Sur les coupes passant par le pôle périphérique du
ganglion
ou par les nerfs ciliaires, à leur émergence (P
liers. Les coupes transversales des courts nerfs ciliaires entre le
ganglion
et leur pénétration dans la sclérotique sont ma
en voie d'évolution ou à l'état de cicatrisation. Les racines du
ganglion
sont normales (PI. LXVI, A), de même que toutes
les coupes, en particulier celle dont provient la racine motrice du
ganglion
ciliaire. , Les longs nerfs ciliaires sont norm
amen par l'acide osmique et le picro-carmin. - Aucune altération du
ganglion
ciliaire, de ses racines, de la Ille paire, des n
Dejerine (Voy. fig. 306 à 319, p. 621 à 627). Dans ce cas un seul
ganglion
ciliaire, avec les nerfs ciliaires (à leur origin
'absence de dégénération dans les nerfs ciliaires et les racines du
ganglion
ciliaire ; par contre, elle ne permet pas d'ap-
abes a été vérifié à l'autopsie. D'un côté, les nerfs ciliaires, le
ganglion
ciliaire et les racines ont été impré- gnés par
imprégnées, les nerfs ciliaires sont absolument intacts, de même le
ganglion
: peut-être manque-t-il quelques rares fibres d
tout cas la différence avec la normale est à peine appréciable. Le
ganglion
de l'autre côté a été fixé par le sublimé osmique
s fascicules peuvent être considérés comme normaux. Les cellules du
ganglion
ciliaire ne présentent aucune altération, de même
l existe de dégénérescence dans les courts nerfs ciliaires, dans le
ganglion
ciliaire et dans les racines que ce dernier reç
'elle est in- demne de toute lésion. Nous n'avons-pas examiné les
ganglions
ciliaires par la méthode de Nissl, et on pourra
r cette méthode est bien difficile lorsqu'il s'agit de cellules des
ganglions
. Si de ces trois observations on peut conclure
Robertson peut se manifester sans qu'il existe de lésions dans le
ganglion
ciliaire, dans ses racines et dans les courts ner
actère ni même les relations exactes, se dirige en arrière vers les
ganglions
de la base, occupant il peu près le même siège à
grise qui relie l'écorce de la face médiane au tuber cinereum et aux
ganglions
de la base. La partie supérieure de cette paroi
V-D,et fig.3) est quelque peu modifiée, et on a l'impression que ce
ganglion
a subi dans sa totalité un mou- vement de rotat
yau dorsal de la couche optique et le long de la face médiane de ce
ganglion
, une abondance d'altérations vasculaires, et on
et se déploie plutôt à la façon de l'alveus de la corne d'Ammon. Le
ganglion
de l'habénula fait une saillie moins considérable
interruption jusque dans l'épaisseur du corps genouillé interne. Ce
ganglion
se détache avec un relief peu ordinaire grâce à
stologique que l'écorce. Correspondant au développement maximum des
ganglions
de la base et à l'arrivée sur la ligne médiane
ssez épaisse et très vasculaire, qui adhère à la face interne de ce
ganglion
sur toute sa longueur et qui représente très pr
la couche optique, mais toujours en côtoyant la face interne de ce
ganglion
dont elle n'est séparée que par un repli de la
nde pinéale, épiphyse, conarium. GC. Genou du corps calleux. GIP.
Ganglion
interpédonculaire. GMA. Gyrus métopique antérie
. G. Glande pinéale, 223. GE. Corps genouillé externe, 225. GH.
Ganglion
de l'habénule, 226. GI. Corps genouillé interne
sensitif externe, 255, 254. FSi. Faisceau sensitif interne, 255. GH.
Ganglion
de l'habénule, 245. Hip. Circonvolution de l'hipp
Faisceau sensitif interne, 270. GE. Corps genouillé externe, 258. GH.
Ganglion
de l'habénule, 258, 264. HAP. Pédoncule transve
le, 258, 264. HAP. Pédoncule transversal de la glande pinéale et du
ganglion
de l'habénule, 264, 265. IS. Stratum intermediu
nsitif externe, 548. FVA. Faisceau de Yicq d'Azyr, 552, 555. GAP.
Ganglion
de l'anse pédonculaire, 551. GIP. Ganglion inte
d'Azyr, 552, 555. GAP. Ganglion de l'anse pédonculaire, 551. GIP.
Ganglion
interpédonculaire, 552, 555. GLM. Globus medial
tus, 572, 575. FYA. Faisceau de Yicq-d'Azyr, 557, 559, 567, 568. GAP.
Ganglion
de l'anse pédonculaire, substance innominôe sous-
F. Faisceau pariéto-frontal, 588. FU. Fasciculus uncinatus, 587. GAP.
Ganglion
de l'anse pôdonculaire, 577. GLM. Globus medial
. Faisceau diffus du fornix, 406. FU. Fasciculus uncinatus, 405. GAP.
Ganglion
de l'anse pédonculaire, 591, 405. GUI. Globus med
frontal. FF. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet, 417. GAP.
Ganglion
de l'anse pédonculairc, 409. GRO. Ganglion basa
en crochet, 417. GAP. Ganglion de l'anse pédonculairc, 409. GRO.
Ganglion
basai optique, 410. GR. Gyrus rectus, 412. GS
sensitif interne, 453. 1 VA. Faisceau de Vicq d'Azyr, 429, 455. GAP.
Ganglion
de l'anse pédonculaire, 450. GE. Corps genouillé
Corps genouillé externe, 429. GI. Corps genouillé interne, 429. G1P.
Ganglion
interpédonculaire. 429. GSL. Substance grise du s
58. FS. Faisceau sensitif. FSe. Faisceau sensitif externe. GII.
Ganglion
de l'habénule, 455, 458. GLM. Globus medialis,
Faisceau sensitif interne, 452. GC. Genou du corps calleux. GII.
Ganglion
de l'habénule, 452. GLM. Globus medialis, 455.
. Faisceau sensitif externe. FSi. Faisceau sensitif interne. GAP.
Ganglion
de l'anse pédonculaire, 458. GE. Corps genouill
Meynert. FU. Fasciculus uncinatus, faisceau en crochet, 459. GAP.
Ganglion
de l'anse pédonculaire. GE. Corps genouillé ext
vertical. FS. Faisceau sensitif. FU. Fascicidus uncinatus. GAP.
Ganglion
de l'anse pédonculaire. hFd. Hile du fascia den
Faisceau sensitif interne. GE. Corps genouillô externe, 465. GH.
Ganglion
de l'habénule. Laq. Laqueus. LC. Lamina convo
ncinatus, faisceau en crochet. FVA. Faisceau de Vicq-d'Azyr. GAP.
Ganglion
de l'anse pédonculaire. GE. Corps genouillé ext
Ganglion de l'anse pédonculaire. GE. Corps genouillé externe. GH.
Ganglion
de l'habénule. GI. Corps genouillé interne. G
umons (consolidation of the limgs). succombent au typhus fever. Les
ganglions
mésentériques sont quelquefois volumineux, très v
gère tuméfaction due au développement exagéré d'un certain nom-bre de
ganglions
lymphatiques. Souvent la santé n'est pas, à propr
longtemps attendre. Il peut arriver cependant que l'inflammation des
ganglions
lymphatiques intérieurs soit devenue le point de
minatrice. Parfois, les vaisseaux lymphatiques, et successivement les
ganglions
du membre où siège la tumeur, s'enflamment et se
ueur, se développer dans toutes les régions du corps où il existe des
ganglions
lymphatiques peu profondément situés ; mais c'est
la rigidité cadavérique est parfois très prononcée (Rigaud). 6. Les
ganglions
lymphatiques des diverses cavités du corps et ceu
idité cadavérique est peu prononcée, la putréfaction hâtive. — 6. Les
ganglions
lymphatiques qui forment les bubons et la plupart
u même de pus. Si le bubon est inguinal, ce sont, à l'in-térieur, les
ganglions
pelviens et lombaires qui se gonflent surtout et
ui se gonflent surtout et se ramollissent; ce sont, au contraire, les
ganglions
sous-sternaux, médiaslins et bronchiques qui se t
res, dans les cas où la nature de la maladie est restée douteuse, les
ganglions
lymphatiques profonds à peu près partout tumé-fié
anes muqueuses et séreuses, sont tachetées de larges ecchymoses ; les
ganglions
lymphatiques du mésentère, de la région lom-baire
as de zona du cou avec altération des nerfs du plexus cervical et des
ganglions
correspondants des racines spinales postérieures
ouvées en ces points-là rouges, tuméfiées, évidemment enflammées. Les
ganglions
intervertébraux présentaient des altérations anal
e plexus, évidemment sous l'influence de l'affeclion des nerfs ou des
ganglions
spinaux. Observation I. — Cancer du sein. — Dou
double : mort. — Autopsie : Noyau cancéreux du sein, des plèvres, des
ganglions
de l'aisselle droite, des côles répondant au sein
affaissement de la quatrième vertèbre cervicale ; — alté-rations des
ganglions
spinaux de la région cervicale droite ; — exa-men
spinaux de la région cervicale droite ; — exa-men histologique de ces
ganglions
. Il s*agit d'une femme âgée de 78 ans (Elisabet
i se sont développés tout récemment, au dire de la malade. Plu-sieurs
ganglions
volumineux très durs se rencontrent dans l'ais-se
ferment une certaine quantité de liquide séro-purulent; à droite, les
ganglions
de l'aisselle ont subi la dégénérescence cancéreu
comme à gauche, leur volume et leur coloration normales à droite, les
ganglions
spinaux, ainsi que les troncs ner-veux formés par
es particularités sont surtout remar-quables lorsque l'on compare les
ganglions
et les nerfs cervicaux du côté droit aux mêmes pa
lets nerveux émanant du plexus cervical. L'examen microscopique des
ganglions
et des troncs nerveux, rouges et tuméfiés, a démo
troncs nerveux, rouges et tuméfiés, a démontré ce qui suit : dans les
ganglions
, les cellules nerveuses ne présentaient pas d'alt
ations appréciables portaient exclusivement sur le tissu lamineux des
ganglions
et des nerfs et consistaient en un injection vive
e celle-ci avait été déterminée par la pression qu'exerçaient sur les
ganglions
et sur les troncs nerveux, au niveau des trous de
rensprung examine avec soin ces nerfs, ainsi que leurs racines et les
ganglions
intervertébraux correspondants. Les ganglions des
ue leurs racines et les ganglions intervertébraux correspondants. Les
ganglions
des cinquième et neuvième racines dorsales étaien
es racines antérieures et aussi les racines postérieures, entre les
ganglions
spinaux et la moelle, n'étaient nullement altérés
par leur coloration pâle, avec les branches nerveuses spinales et les
ganglions
. A ne considérer que l'altération des nerfs et
ique, à savoir la compression exercée parles parties osseuses sur les
ganglions
intervertébraux et sur les branches nerveuses dan
sculaire et l'hypergénèse du tissu lamineux sont restées limitées aux
ganglions
ainsi qu'aux nerfs spinaux et à leurs divisions p
soit aux racines antérieures, soit aux racines postérieures, entre le
ganglion
et la moelle. Ces dernières circonstances ont é
opi-nion que c'est surtout, sinon exclusivement, à l'inflammation des
ganglions
intervertébraux qu'il faut rapporter, dans les ca
en connexion directe. Nos connaissances concernant la structure des
ganglions
des racines postérieures des nerfs rachidiens et
nt en effet à démontrer que, chez les mammifères et chez l'homme, les
ganglions
des racines pos-térieures rachidiennes sont formé
es tubes nerveux venus de la moelle épinière ne font que traverser le
ganglion
. Le rameau afférent est constitué en partie par l
tubes du rameau afférent pro-venant de la moelle, qui ont traversé le
ganglion
, et en partie par des tubes émanés des cellules g
ieures ou sur ceux qui constituent les racines posté-rieures entre le
ganglion
et la moelle. Dans les cas patholo-giques qui nou
é, il est certain que les tubes nerveux qui ne font que traverser les
ganglions
et qui n'ont pas de communication visible entre l
racine postérieure d'un nerf rachidien,entre la moelle épinière et le
ganglion
, voit la partie de la racine qui tient à la moell
oelle s'altérer, tandis que le segment qui demeure en rapport avec le
ganglion
, conserve sa structure intacte. (Yulpian, loc. ci
du lieu d'origine de ces nerfs. Or, il est à peine admissible que les
ganglions
des racines postérieures 'soient affectes en pare
tion de ces nerfs et sans l'in-tervention obligée d'une affection des
ganglions
des racines postérieures. Mais quelles sont les c
s simples de l'estomac ; — Ulcération tuberculeuse de l'intestin, des
ganglions
mésentériques et des poumons. Le nommé Bitrac (
euses ulcérations tuberculeuses et plusieurs tubercules sous-muqueux.
Ganglions
mésentériques tuberculeux. Les autres organes a
de zona du cou avec altération des nerfs du plexus cervical et des
ganglions
correspondants des racines spinales postérieures.
3; — char-bons, 103, 105 ; — pétéchies, 105; — nécroscopie, 105 ; —
ganglions
lymphatiques, 106, 107 ; — rate, 106; — ecchymose
côtés très évidents. On peut palper et aper- cevoir facilement les
ganglions
inguinaux. La musculature du bassin et des memb
ître et un très volumineux thymus. Le coeur était hypertrophié, les
ganglions
lym- phatiques tuméfiés et les follicules splén
surrénale droite, le tissu adipeux du rein droit, le pancréas, les
ganglions
bronchiques, les deux corps thyroïdes et divers
nche de la moelle épi- nière et une dégénérescence des cellules des
ganglions
spinaux; en outre, il existe une atrophie impor
le professeur Pierre Marie) RECHERCHES CYTOPATHOLOGIQUES SUR LES
GANGLIONS
RACHIDIENS DANS DEUX CAS DE PARALYSIE SPINALE
typemonopiégique, l'autre à type paraplégique, nous avons pris les
ganglions
rachidiens de toutes les ré- gions (cervicale,
ues il nous été donné de constater la présence des lésions dans les
ganglions
rachidiens correspondant aux membres malades. Ain
le premier cas de paralysie spinale à type monopiégique, seuls les
ganglions
de la région cervicale du côté correspondant au
. Dans le deuxième cas de paralysie spinale à type paraplégique les
ganglions
de la région lombo-sacrée sont les seuls altérés.
proposons de décrire les lésions microsco- piques trouvées dans ces
ganglions
. Nous étudierons successivement : 1° les lésion
i-cellulai- res (altération des vaisseaux de la capsule fibreuse du
ganglion
et des capsules endothéliales). Avant d'entre
ULAIRES Les altérations rencontrées dans les cellules nerveuses des
ganglions
rachidiens de la région malade portent sur l'ap
même position, on peut la retrouver dans les cellules normales des
ganglions
sympathiques, des cornes antérieures de la moel
ole n'est pas, bien entendu, un phé- nomène propre aux cellules des
ganglions
rachidiens car on peut l'observer aussi dans d'
pyramidales de l'écorce cérébrale de même que dans les cellules des
ganglions
rachidiens on peut constater les mêmes phénomèn
généralisée de la substance chroma- tophile, dans les cellules des
ganglions
rachidiens, ce déplacement a lieu comme nous l'
urs d'aucune hypothèse, nous croyons pouvoir démontrer que dans les
ganglions
rachidiens, il y a deux sortes d'émigrations nucl
ucléole est un phénomène très fréquent dans toutes les cellules des
ganglions
rachidiens. Il est à peu près impossible d'exam
près impossible d'examiner une coupe, et surtout une coupe fine, de
ganglions
rachidiens sans pouvoir constater dans grand no
ait accord avec ce que nous avons constaté sur toutes nos coupes de
ganglions
rachidiens. Tout prouve que cette émigration pas-
qu'il se présente .sous le microscope. En exami- nant une coupe de
ganglion
rachidien, l'attention est attirée tout de suite
omène d'émigration passive s'observe très souvent sur les coupes de
ganglions
rachidiens qui, au point de vue cellulaire et pér
ire. (1) L'homogénéisation du noyau s'observe très souvent dans les
ganglions
rachidiens des individus âgés. 284 JONNESCO
r être à l'abri de toute interprétation erronée, il existe dans les
ganglions
rachidiens de la paralysie spinale, infantile, un
re Nouvelle Iconographie DE la SALPÉTRIkRE. T. XXIV Pl. XCI LES
GANGLIONS
RACHIDIENS DANS LA PARALYSIE SPINALE INFANTILE
après Ileuser, la membrane RECHERCHES (7TOPa1'fH0l.(7GIQUES SUR LES
GANGLIONS
RACHIDIENS 287 serait poreuse; pour Van Beneden
as de paralysie spinale infantile. Sur un grand nombre de coupes de
ganglions
rachidiens provenant d'individus morts au Cours
le valeur s'opposent : 1° Fait capital, dans certaines cellules des
ganglions
rachidiens, il existe normalement t des granula
i bien par les co- lorants acides et basiques. Dans les coupes de
ganglions
rachidiens d'individus âgés, morts au cours de
employant les mêmes méthodes de colora- tion,mais sur des coupes de
ganglions
de polyomyélite, les noyaux en état de dégénére
vacuolaires a été démontrée par un grand nombre d'auteurs dans les
ganglions
rachidiens de l'homme et des vertébrés. Ces cellu
s de l'homme et des vertébrés. Ces cellules se rencontrent dans les
ganglions
d'apparence normale et dans différents états pa
et Nelis (1898) (1) ont décrit des cellules vacuo- laires dans les
ganglions
rachidiens de lapin, et les considèrent comme app
pe cellulaire spécial ; Nelis (1899) retrouve ces cellules dans les
ganglions
rachidiens des animaux atteints de rage et croit
ue. Athias (190G) (3) décrit les cellu- laires vacuolaires dans les
ganglions
spinaux des animaux normaux (chiens, chats, cob
'elles présentent et la manière (Ion[ elles sont réparties dans les
ganglions
rachidiens examinés. Les cellules ainsi altérées
oins élevé mais toujours supérieur à celui qu'on rencontre dans les
ganglions
normaux. Ces vacuoles sont de forme arrondie, o
et NELIB, Quelques points concernant la structure des cellules des
ganglions
spinaux, 13ull. de l'Acad. royale de médecine de
ner- vosa mentale, 1900. (3) Athias, La vacuole des cellules des
ganglions
spinaux chez les animaux à l'état normal, Anat.
78, 1906. Nouvelle Iconographie DE la SALPLTRILRE. rig 4 , LES
GANGLIONS
RACHIDIENS DANS LA PARALISIEvSPINALE iVl'AVTILE
s les cellules nerveuses petites et moyennes de la zone centrale du
ganglion
, tandis que dans la zone périphérique ces cellu
s ganglionnaires. -- Dans le cyto- plasma de certaines cellules des
ganglions
rachidiens correspondant au membre paralysé il
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRitRE. T. XXIV. PI. XVIII LES
GANGLIONS
RACHIDIENS DANS LA PARALYSIE SPINALE INFANTILE
es lésions péri- cellulaires qui portent sur la capsule fibreuse du
ganglion
, les vaisseaux et les capsules endothéliales de
res. Examinons cha- cune de ces parties : 1° la capsule fibreuse du
ganglion
est considérable- ment épaissie et sillonnée d'
grand nombre de vaisseaux capillaires. En comparant deux coupes de
ganglions
appartenant à la même paire rachi- dienne,maisd
au côté paralysé et l'autre au côté sain, par exemple les sixièmes
ganglions
cervicaux du cas de paralysie spinale type mono
monoplénique, il est facile de constater que la capsule fibreuse du
ganglion
de la région paralysée est trois ou quatre fois p
trois ou quatre fois plus épaisse et plus vascularisée que celle du
ganglion
du côté sain. 2° Les modifications de la capsul
ue exclusivement immédiatement en dessous de la capsule fibreuse du
ganglion
; an sur et à mesuie qu'on s'éloigne de cette c
ous-capsulaire, La présence de ces nodules a été constatée dans les
ganglions
rachidiens des animaux inoculés avec le virus pol
adili, G. Froin et J. Pignot (1) ayant eu l'occasion d'examiner les
ganglions
rachidiens d'un individu ayant succombé à la su
uë insistent sur « la ressemblance frappante » qui existe entre ces
ganglions
et ceux de la rage humaine expérimentale. En ce q
e les auteurs que nous venons de citer. L'aspect que présentent ces
ganglions
est en tous (1) Sur un cas parisien de Poliomyé
Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXIV. Pl. XLIV LES
GANGLIONS
RACHIDIENS DANS LA PARALYSIE SPINALE INFANTILE
e l'appareil réticulé (Cajal, Mari- nesco) (1). 3° Enfin tous les
ganglions
examinés sont très vascularisés à parties nombr
ense de périartérite scléreuse autour de tou- tes les artérioles du
ganglion
. En résumé, l'aspect général que présente une c
est le suivant : a) A la périphérie on voit la capsule fibreuse du
ganglion
très épaissie et abondamment vascularisée ; b)
I. FiG. 1. Fixation Dominici. Triple coloration Mallory. Coupe du V
ganglion
cervical. En (c) capsule fibreuse du ganglion ;
n Mallory. Coupe du V ganglion cervical. En (c) capsule fibreuse du
ganglion
; (n, n, n" nodules poliomyéliques (n"') un nod
ment représentent le nucléole. Fio. 2. Même technique. Coupe du Vle
ganglion
cervical. En (c) capsule fibreuse ; (v) vaissea
e Mallory. coupe du Il' gan- glion sacré. En (c) capsule Obreuse du
ganglion
; (ni deux nodules poliomyéliques fusionnés; (n
v' v") vaisseaux capillaires. Etc. 2. Même technique Coupe du IV'
ganglion
lombaire; (e) commencement d'envahissement de l
ceptionnellement présenté des signes de scrofule ou de tuberculose (
ganglions
, otites, rachitisme). Enfin, en règle générale,
e et d'une longue convales- cence ; enfin il eut de 24 à 27 ans des
ganglions
cervicaux peu apparents, non suppurés. Pas d'al
isurrénal est graisseux et légèrement scléreux, on ne trouve pas de
ganglion
nerveux. Pancréas. - Le pancréas est sclérosé,
ndaires métastatirlues multiples) (3 pl,), par Caryopiullis, 440.
Ganglions
rachidiens (Recherches cylopallto- log igues su
ralysie spinale infantile (llecherehes ryto- pathologi(lues sur les
ganglions
rachidiens dans deux cas de - de date ancienne)
). 472. Jonnesco (Victor). Recherches cytopatholo- giques sur les
ganglions
rachidiens dans deux cas le paralysie spinale i
et LUI. Fête des fous du musée de Blois (Tnenrt.), XXIV et XXV.
Ganglions
rachidiens dans la paralysie in- f,mtile de dat
copique a pu être pratiqué sont rares; en outre les altérations des
ganglions
sympathiques peuvent encore prêter à discussion
On trouva en outre des lésions du grand sympathique cervical. Le
ganglion
cervical supérieur du côté droit est notablement
ERVEUSE. tenu. En somme sclérose ot dégénérescence graisseuse des
ganglions
. Nous avons rapporté cette observation avec que
m- pathique cervical droit et du sympathique gauche, sauf pour le
ganglion
cervical supérieur. Celui-ci atteignait un volume
res du sympathique n'étaient altérées ni au-dessus ni au-dessous du
ganglion
. Cette observation nous paraît être la seule da
nutes. La pupille réagit normalement à la lumière. Une lésion des
ganglions
du sympathique cervical reste possible : la pre
inférieure toutefois ce dernier est sain. Mais lorsqu'on arrive au
ganglion
cervical inférieur, il faut en quelque sorte sc
reflet de laplè- vre. Le tronc du sympathique cervical est sain; le
ganglion
cer- vical moyen est un peu plus gros de ce côt
du côté gauche; à gauche le sympathique est également normal. Le
ganglion
cervical inférieur est très développé, mesure env
sséminés. Les autres viscères sont sains. Examen microscopique du
ganglion
cervical inférieur, du côté malade. (Voir planc
eur, du côté malade. (Voir planche V'.) - L'enveloppe fibreuse du
ganglion
est normale; elle n'est pas épaissie et les vésic
es tractus celluleux qui partent de cette enveloppe exté- rieure du
ganglion
pour se diriger vers le centre sont plus volumi
ts sont seulement composés de fibres qui dissocient les éléments du
ganglion
sans présenter de cellules de nouvelle formatio
antage l'acide pi- crique. Les fibres nerveuses qui traversent le
ganglion
sont parfai- tement saines. Dans l'intérieur
le ganglion sont parfai- tement saines. Dans l'intérieur même du
ganglion
on trouve, au milieu du tissu conjonctif, quelq
s adipeuses bien colorées en . noir par l'acide osmique. Les autres
ganglions
cervicaux du sympathique sont sains. Ils ne pré
eux du côté gauche l'infiltration nucléaire que l'on trouve dans le
ganglion
cervical inférieur du côté malade. - Le tronc d
umé, prolifération nucléaire abondante, compression des cellules du
ganglion
qui s'atrophient : telles sont les deux altérat
que dans ces cas il y a quelque altération d'un ou de plusieurs des
ganglions
cervicaux du sym- pathique. Nous reviendrons pl
, les nerfs crâniens dits dorsaux engendrent à leur périphérie un
ganglion
qui adhère intimement il 1'épiderme. En cet endro
stance blanche ni que la névroglie. Présentation de préparations de
ganglions
spinaux de chat et de chien et de coupes de moe
de montrer que les cellules nerveuses normales présentent dans les
ganglions
et la moelle des réactions colorées différentes
tite cicatrice, située un peu au-dessous du pli inguinal droit; les
ganglions
de l'aine sont lé- gèrement augmentés de volume
n'existe pas du côté gau- che ; pas de cicatrices sur le pénis. Les
ganglions
de la nuque sont à peine augmentés, ceux du cou
trice de l'aine est restée après une suppuration anté- cédente d'un
ganglion
que le malade rattache à la brûlure de la fesse
res irido-dilatatrices, après s'être réu- nies au niveau du premier
ganglion
thoracique aux 1 Fr. Flanck. - Dict. encyclopéd
éphidrose. 11. Vulpian a, en effet, montré qu'après avoir excité le
ganglion
cervical su- LI CLINIQUE NERVEUSE. périeur et
ont ceux, par exemple, dans lesquels on constate une altération des
ganglions
sympathiques (notre observation II) et dans les
périences, à de nouvelles observations. Quant aux altérations des
ganglions
du grand sym- pathique cervical qui ont été sig
es autopsies de leurs malades certaines altérations portant sur les
ganglions
cervicaux et no- tamment sur le ganglion cervic
térations portant sur les ganglions cervicaux et no- tamment sur le
ganglion
cervical supérieur du sym- pathique. Ces lésion
pathique. Ces lésions peuvent-être ramenées à une hypertrophie du
ganglion
avec sclérose, altérations cellulaires consista
la paralysie générale une pigmentation marquée et une sclérose des
ganglions
du sympathique, et il n'est pas éloigné de cher
ication des phénomènes morbides qu'il a observés. Ces lésions des
ganglions
ne paraissent pas cepen- dant être toujours en
qu'il y eût eu d'éphidrose. Alarcacci a trouvé une injection des
ganglions
cer- vicaux avec une abondante prolifération nu
ce travail, les altérations que nous avons trouvées en examinant le
ganglion
cervical inférieur de notre malade. Ce sont j
à l'opinion des auteurs que nous venons de citer. Une lésion des
ganglions
cervicaux du sympathique peut amener une éphidr
face. Celle-ci est la conséquence de l'excitation des cellules du
ganglion
ou des filets nerveux qui la traversent. il e
clure, que des lésions de l'encéphale de la moelle, du tronc et des
ganglions
du grand sympathique cervical peuvent détermine
mental science, 1884, t. IL EXPLICATION DE LA PLANCHE V. Coupe du
ganglion
cervical inférieur du grand sympathique. A. Env
n cervical inférieur du grand sympathique. A. Enveloppe fibreuse du
ganglion
. B. Tubes nerveux intéressant le ganglion. C.
A. Enveloppe fibreuse du ganglion. B. Tubes nerveux intéressant le
ganglion
. C. Tissu cellule-adipeux et vaisseaux. D. Cl
et entourant des cellules ganglionnaires. E. Cellules normales du
ganglion
. F. Prolifération embryonnaire comprimant. G.
. Prolifération embryonnaire comprimant. G. Les cellules malades du
ganglion
. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE' ; Par BOURNEVILLE
grise sont bien distinctes ; elles paraissent inaltérées. Plusieurs
ganglions
rachidiens, enlevés avec la gouge dans les trou
gaison se 'présentent avec la forme, le volume et la consistance de
ganglions
normaux. La moelle a été plongée aussitôt après
; état de mal. Pyo-piieuino-thoi-ax consécutif. Mort. AUTOPSIE. -
Ganglions
iléo-crecaux calcifiés; - pyo-pneumo- thorax ;
anormal dans la cavité abdominale. Sur le mésentère on trouve trois
ganglions
iléo-coecaux complètement calcifiés. L'estomac
blié à part 1. M. Joseph. Recherches relatives à la physiologie des
ganglions
spinaux. Conclusions. - 1° Les fibres motrices
Un certain nombre de fibres ner- veuses directes qui traversent le
ganglion
, sans entrer en relation avec les cellules de c
ans la moelle. Ainsi s'explique la dégénérescence partielle dans le
ganglion
et le nerf périphérique après la section centra
erfs, et la dégénéres- cence de la racine postérieure avec celle du
ganglion
après la section périphérique des nerfs. - 3° L
celle du ganglion après la section périphérique des nerfs. - 3° Le
ganglion
spinal confient un centre trophique autonome po
mais il n'y a pas d'argument sérieux à l'appui de l'opinion que le
ganglion
contient un centre pour les organes périphériques
DES PLANCHES. PLANCHE VI DES Jl'lllDJ\OS¡¡S DE LA FACE Coupe du
ganglion
cervical inférieur du grand sympathique. A. Env
n cervical inférieur du grand sympathique. A. Enveloppe fibreuse du
ganglion
. B. Tubes nerveux intéressant le ganglion. C.
A. Enveloppe fibreuse du ganglion. B. Tubes nerveux intéressant le
ganglion
. C. Tissu celliilo-adipeux ut vaisseaux. D. C
et entourant des cellules ganglionnaires. E. Cellules normales du
ganglion
. F. Prolifération embryonnaire comprimant. G.
. Prolifération embryonnaire comprimant. G. Les cellules malades du
ganglion
. Ê%Ieux. I.b. ILbIt183hY, nup. - 588. Archive
lésions très avancées dans le grand sympa- thique, surtout dans les
ganglions
. Plus tard (1888), Krafft- Ebing, après avoir f
d nerf pétreux superficiel, qui, par le nerf vidien, les apporte au
ganglion
de Meckel, et elles gagneraient ensuite le cervea
e branche du trijumeau, par le petit nerf pétreux superficiel et le
ganglion
otique, soit, comme d'autres l'imaginent, au maxi
tout lieu de croire, en effet, que cette masse devait comprimer le
ganglion
géniculé du facial et que l'abolition du goût -n'
ût, pourquoi ces deux nerfs ont-ils, comme les nerfs sensitifs, des
ganglions
, qui sont l'homologue des ganglions spi- naux ?
comme les nerfs sensitifs, des ganglions, qui sont l'homologue des
ganglions
spi- naux ? Si la corde du tympan n'était pas u
ut avoir que le rôle d'un conducteur centripète, puisqu'il émane du
ganglion
géniculé ? De même pour la neuvième paire, dont
mane du ganglion géniculé ? De même pour la neuvième paire, dont le
ganglion
a la structure d'un ganglion spinal. Est-il pos
même pour la neuvième paire, dont le ganglion a la structure d'un
ganglion
spinal. Est-il possible d'admettre que le petit n
er deux fois deux groupes de gan- gelions : 1° celles du facial, le
ganglion
géniculé et le ganglion- de Meckel; 2° celles d
iculé et le ganglion- de Meckel; 2° celles de la neuvième paire, le
ganglion
d'Andersch e le ganglion otique. Ce serait là
Meckel; 2° celles de la neuvième paire, le ganglion d'Andersch e le
ganglion
otique. Ce serait là un fait exceptionnel, déro
es prolongements de cellules ganglionnaires semblables à celles des
ganglions
spinaux. ' Ces mêmes cellules donnent naissance
acines postérieures). Le nerf transmet les impressions sensibles au
ganglion
dont il émane, et de là elles gagnent le cerveau
nts. Ce nerf est à l'ori- gine, indépendant du lingual, il émane du
ganglion
géniculé; en sa qualité de nerf sensitif, c'est
nglion géniculé; en sa qualité de nerf sensitif, c'est bien vers ce
ganglion
qu'il doit diriger l'influx nerveux. De même, l
nerveux. De même, le grand nerf pétreux superfi- ciel émane du même
ganglion
, et ce n'est que très tard qu'il entre en rappo
ijumeau. De même encore, le nerf de Jacob- son est une émanation du
ganglion
d'Ander : ch. Si ces nerfs con- duisaient les s
ienne . est peu accusée, il faut sectionner le sympathique entre le
ganglion
,cervical moyen et le supérieur; quand le goitr
and le goitre est plus accusé, la section doit porter au-dessous du
ganglion
moyen ; alors seulement que la tachycardie est
il faut descendre encore plus bas et couper les filets efférents du
ganglion
inférieur. L'ablation et l'extirpation totale (
tra-craniennes (résection du nerf maxillaire inférieur, ablation du
ganglion
de Gasser), les résultats sont toujours incerta
L'opération a consisté en la résection de la partie inférieure du
ganglion
cervical supérieur avec 3 centimètres et demi à 4
t que la section du sympathique, l'excision et les tiraillements du
ganglion
cervical supérieur ont déterminé une excitation
as observé d'éruptions cutanées, pas de plaques dans la bouche. Ses
ganglions
sous-maxillaires se sont un peu hypertrophiés e
niques et sur qui M. Quénu a pratiqué la résection bilatérale du
ganglion
cervical supérieur du grand sympathique et du tro
croit pouvoir admettre au moins trois types de cel- lules dans les
ganglions
spinaux : Le premier type comprend surtout de g
il y a eu, pendant l'opération, lésion du grand sympa- thique et du
ganglion
cervical supérieur. Chose particulière, il n'y
sseaux que par l'apla- tissement des masses qui sont le vestige des
ganglions
cen- traux. Hémisphère droit. La configuratio
s. A l'autopsie, on trouve un cancer du corps du pancréas; quelques
ganglions
mésen- tériques et rétro-péritonéaux augmentés
es, au contraire, paraissent contenir une substance caséeuse. Les
ganglions
péribronchiques sont aussi augmentés de volume; q
on démontrent la nature tuberculeuse de la substance caséeuse des
ganglions
et des capsules surrénales. Les recherches hist
ature cancéreuse du néoplasme du pancréas ainsi que des nodules des
ganglions
du mésentère, des ganglions rétro-péritonéaux e
e du pancréas ainsi que des nodules des ganglions du mésentère, des
ganglions
rétro-péritonéaux et de ceux des capsules surré
gi, on sait que les cellules nerveuses de la chaîne ventrale et des
ganglions
de ces êtres vivants, quoiqu'appartenant surtou
e aux muscles. Mais, de sa cellule d'ori- gine jusqu'à sa sortie du
ganglion
abdominal, ce prolongement (Staminfoî,satz) 611
ne convient pas d'affirmer erieq d'absolu touchant les cellules des
ganglions
abdominaux ebque chaque cas doit être examiné à
ion apportée par les libres terminaisons des nerfs sensitifs dgub e
ganglion
, et la transformation de la sensation en impuisio
encore être appelées de ce nom : ce ne sont point les cellules des
ganglions
spinaux, qu'on a appelées apolaires, car il n'e
es poissons sont des diaxones. On rencontre des polyaxones dans les
ganglions
viscéraux du sympathique, la couche moléculaire
non seulement des cellules ner- veuses adendriliques (cellules des
ganglions
spinaux, etc.), mais aussi des prolongements ne
Golds- cheider. Toutefois l'accord subsiste quant aux cellules des
ganglions
spinaux, l'hypothèse des excitations périphériq
donné récemment une descrip- tion de la structure des cellules des
ganglions
spinaux, provenant de la moelle épinière d'un s
ment à la structure de la substance fondamentale des cel- lules des
ganglions
spinaux, chez l'homme et chez d'autres mam- mif
s souvent 6 ta. Com- parés aux autpes noyaux, ceux des cellules des
ganglions
spinaux sont d'une structure plus développée. L
e branche périphérique et en une branche centrale. Les cellules des
ganglions
spinaux de l'homme sont fortement pigmentés. Ce
effet trouvé ces éléments : ils occupent la couche moyenne de ces
ganglions
; ce sont de petites cellules fusiformes d'où sort
seul le courant nerveux dans le sens cellulifuge, de la cellule du
ganglion
dans la moelle épinière; le prolongement périphér
riphérique conduit dans la direction cellulipète l'onde nerveuse au
ganglion
, c'est-à-dire les impressions tactiles, thermiq
fient dans la peau. Il en est ainsi chez l'amphioxus (Retzius). Les
ganglions
spi- naux font défaut; les cellules sensitives
e de Smirnow : à côté des cellules d'origine, qui envoient vers les
ganglions
centraux leur long prolongement cylindraxile, i
erveux ou cylindraxiles. La fibre sensitive qui, d'une cellule d'un
ganglion
spmal pénètre dans la moelle épinière, y émet,
e la moelle épinière. Grâce à ces collatérales, chaque cellule d'un
ganglion
spinal peut déployer son activité sur un do- ma
eehules d'origine du nerf pathétique, unipolaires, des cellules des
ganglions
cérébro-spinaux en général (ganglions interver-
unipolaires, des cellules des ganglions cérébro-spinaux en général (
ganglions
interver- tébraux, ganglions de Gasser, etc.).
ganglions cérébro-spinaux en général (ganglions interver- tébraux,
ganglions
de Gasser, etc.). Quant à la question de sovoir
se comportait d'une manière z identique à celui des cellules de ces
ganglions
, s'il présentait la division en deux rameaux à
on du noyau. Le même phénomène se manifeste dans les cellules des
ganglions
intervertébraux. Dans le bulbe et la moelle épini
réquentes fut opéré par M. Jaboulay, qui fit l'extirpation des deux
ganglions
sympathiques supérieurs. Après l'opération, les
s. En effet, tandis que les cellules des cordons postérieurs et des
ganglions
interverté- braux ne présentaient pas d'anomali
s la protubérance, le bulbe, la partie supérieure de la moelle, les
ganglions
sympa- tliiqties. Foi,i ? ie ai2atoiniqiie; 2
à une lésion du neurone sen- sitif direct par altération, soit d'un
ganglion
rachidien ou prolon- gement périphérique d'où u
mesure qu'on examine les segments de la racine plus rapprochés du
ganglion
, si bien qu'elle atteint son maximum dans la ré
ns histologiques se multiplieront. Dans ces deux cas, sitôt que les
ganglions
rachidiens eurent été extraits de leur canal os
E ET RÉFLEXES TENDINEUX. J ! 1 leur volume relativement énorme; ces
ganglions
avaient, pour la plupart, triplé de dimension,
'à l'état normal, l'espace sous-arachnoï- dien se continue jusqu'au
ganglion
, en envoyant des diver- ticules à travers les f
génie des symptômes catatoniques, en envisageant l'excitalion des
ganglions
sous-corticaux comme cause de l'affaiblissement
de Meynert concernant la dépendance des mouvements automatiques des
ganglions
corticaux.- , En profitant des connaissances
orce cérébrale qui, en influant d'une manière d'inhibition sur- les
ganglions
sous-corticaux, communique aux mouvements la ré
nditions de la distri- bution des conducteurs entre l'écorce et les
ganglions
sous- corticaux (Brissaud, Bechtereff). Je pens
MUSGRAVE-CLAY. II. Influence des recherches récentes concernant les
ganglions
des racines postérieures sur l'étiologie du tab
le Dr Orr venait de montrer à l'aide de projections lumineuses, les
ganglions
des racines posté- rieures et les altérations q
onnes postérieu- res de la moelle avait pour siège les cellules des
ganglions
des ra- cines postérieures, et l'on décrivait l
des maladies du système nerveux, Sir William Gowers disait que les
ganglions
sont généralement normaux et que les lésions de
on décrit d'abord les types de cellules que l'on rencontre dans les
ganglions
normaux, puis on indique les modifications subi
es lésions signalées sont très communes dans les états morbides des
ganglions
spinaux, et qu'il n'a rien trouvé qui fut parti
moelle et le peu d'importance relative des lésions des cellules des
ganglions
des racines posté- rieures, on est conduit à af
se, revêt la forme de névrite périaxillairede Gombault. 3. Dans les
ganglions
intervertébraux, les cellules sont atteintes de c
dans la para- lysie faciale, et il subsiste après l'extirpation du
ganglion
de Gas- ser. Faits à l'appui. Le tremblement fi
ment sur les lésions des racines postérieures de la moelle et des
ganglions
rachitiques dans onze cas de tabes confirmé, vena
ression veineuse axillaire par une récidive du néoplasme dans les
ganglions
. On tenta une nouvelle opération avec curettage
nduration de la peau à la partie supérieure de cette cicatrice. Les
ganglions
axillaires correspondants sont immobilisés, hyp
res ne soient de cet ordre et que ce que nous constatons pour les
ganglions
accessibles à nos moyens d'investigation, soit ég
sibles à nos moyens d'investigation, soit éga- lement vrai pour les
ganglions
profonds du thorax et de l'abdomen. Ainsi expli
ncers végétants du sein, à cause de leurs rapports intimes avec les
ganglions
de l'aisselle, les cancers de l'utérus, ceux de
. Tous les organes abdominaux sont farcis de ces nodules ; certains
ganglions
sont hypertrophiés et dans quelques points se d
es grosses bronches, et, la base de la trachée est engainée par les
ganglions
du médiastin hypertrophiés. Nous avions donc l'
ier, pourront également dès le début de leur évolution, envahir les
ganglions
de cette région. La veine axillaire est presque
es- sion des l'ami communicantes du sympathique avec le pre- mier
ganglion
dorsal. Ce signe ne saurait donc exister que lo
LE SYSTÈME NERVEUX. 293 depuis la sortie des nerfs mixtes hors des
ganglions
rachi- diens, étaient englobés dans une masse c
ranien. Il semble y avoir une Fig. 12. Coupe du racial au niveau du
ganglion
génicnlé. 1, B, envahissement de la gaine de He
mitif qui leur a donné naissance, soit avec des vaisseaux ou des
ganglions
lymphatiques nettement envahis. Ce sont d'aille
et des racines et si les espaces lymphati- ques des méninges et des
ganglions
spinaux ne sont pas en rapport de communication
ns spinaux ne sont pas en rapport de communication étroite avec les
ganglions
abdo- minaux. - D'ailleursla phlébite cancére
e faire primitivement du côté des racines et îles méninges, par les
ganglions
et les lymphatiques prévertébraux; l'atteinte d
e-mère àce niveau, le cancer peut facile- ment pénétrer la gaine du
ganglion
spinal et les cellules epilLéliales envahissent
es trous de conjugaison. Le tissu cancéreux est en noir plein. A,
ganglion
lympalhique; B. ganglion spinal; C, dure-mère : n
Le tissu cancéreux est en noir plein. A, ganglion lympalhique; B.
ganglion
spinal; C, dure-mère : n. corps rrléLral; E,apo
r place, on rencon- tra une généralisation à tous les viscères. Les
ganglions
médiastinaux, mésentriques, prévertébraux, pelv
st épaisse, surtout au niveau des racines dorsales inférieures, les
ganglions
spinaux sont hypertro- phiés. (Fig. 1'). A l'
sseaux lymphaliques prévertébraux, rencontrait la r21ne mixte et le
ganglion
rilchi,liRI1. Celui-ci, entouré d'une gangue si
ction progressive des racines postérieures, depuis les cellules des
ganglions
rachidiens où elles naissent jusqu'aux centres gr
bulbe où elles se terminent, le processus marchant de la moelle aux
ganglions
. La lésion consiste en une atrophie lente qui f
abordent la dure-mère et celui où la racine postérieure aboutit au
ganglion
. Le tabes est la conséquence d'un envahisse- me
moelle la vessie avait obéi à une excitation spasmodique venue des
ganglions
sympa- thiques ou des cellules nerveuses conten
alement une exagération de la phosphores- cence du côté paralysé.
Ganglions
rachidiens dans le tabès : ' M. Thomas a examin
M. Thomas a examiné systématiquement et comparativement avec des
ganglions
de sujets indemnes de myélopathie des gan- glio
reux tabétiques. Il a toujours trouvé les cellules nerveuses de ces
ganglions
altérées et, cela d'autant plus, qu'on se rappr
ef une découverte faite il y a plusieurs années parM.Morat dans les
ganglions
spinaux de la grenouille. Il s'agis- sait de go
Le réflexe s'accomplit par les voies sensitives de l'articulation,
ganglions
spinaux, centres trophiques vaso-moteurs de la mo
ganglions spinaux, centres trophiques vaso-moteurs de la moelle,
ganglions
sympathiques et nerfs vaso-moteurs. Les altératio
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ce qui touche les cellules des
ganglions
spinaux postérieurs. Ces cellules, on le sait,
lz (.h·anl, 31B , Fnlr·.nnEmn. Voir Liquide céphalo- rachidien.
Ganglions
. Voir Tabes dorsalis. r.i .hidieiis dans ietduc
ares dorsalis. Influence des re- cherches récentes concernant les
ganglions
des racines postérieures sur l'étiologie du dor
des branches du trijumeau et 92 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. du
ganglion
sphéno-palatin dans l'olfaction; telle l'observat
struction des lobes olfactifs), Prévost (destruction successive des
ganglions
sphéno-palatins : et des lobes olfactifs). L'ex
e surplus d'atrésie ou d'inégalité de développement de tel ou tel
ganglion
ou système appelle une nouvelle induction physiol
réflexe du tubercule bi ju- meau antérieur, les relations avec les
ganglions
de la sphère visuelle corticale du corps genoui
du corps strié, mais bien isolée de l'écorce et du territoire des
ganglions
de la base sains. Intégrité de l'insula, de la ca
et parfaitement isolé également par du tissu médullaire sain des
ganglions
de la base. Nulle dégénérescence dans les organes
ses enveloppes. Clarl; appelle l'attention sur l'en- rorgement des
ganglions
cervicaux profonds, et il parait que les médeci
ment d'une altération primitive siégeant dans la moelle ou dans les
ganglions
rachidiens. Les névrites traumatiques et les dé
hérie vers le centre, et atteindre par une migration centripète les
ganglions
rachidiens et la moelle elle-même. , Les alté
elles qui infiltrent normalement les cel- lules de la moelle et des
ganglions
. Ces granulations, qui mesurent en moyenne de 1
de la fibre et renflements fusiformes (type 3). Les racines et les
ganglions
n'ont pas été examinés. Réflexions. Mêmes remar
t le onzième espace intercostal droits. Altération des nerfs, des
ganglions
et des racines postérieures. Un hasard d'autops
cation dans leur volume, leur consistance et leur coloration. Les
ganglions
, les racines et les portions de moelle corres-
rer un noyau irrégulier et vivement coloré par le carmin. Sixième
ganglion
dorsal. Ce ganglion a été étudié au moyen de co
ier et vivement coloré par le carmin. Sixième ganglion dorsal. Ce
ganglion
a été étudié au moyen de coupes perpendiculaire
ainsi obtenues les fibres de la racine sensitive, qui traversent le
ganglion
, sont intéressées transversalement à leur direc
ossissement, (obj. 2 de Verick) on compare ces coupes à celles d'un
ganglion
normal, on est immédiatement frappé par la dimi
de la coloration de la myéline étant bien moins abondants dans le
ganglion
correspondant au zona que dans l'autre. A un plus
aucune modification appréciable. Racines correspondantes au sixième
ganglion
droit. Les racines antérieure et postérieure qu
son aspect, est devenue jaunâtre et finement granuleuse. Onzième
ganglion
dorsal droit. Ce ganglion, étudié comme le préc
jaunâtre et finement granuleuse. Onzième ganglion dorsal droit. Ce
ganglion
, étudié comme le précédent, après action de l'a
rf intercostal, dans les fibres nerveuses qui traversent le sixième
ganglion
rachidien et dans la racine postérieure attenan
ème ganglion rachidien et dans la racine postérieure attenante à ce
ganglion
. Le onzième nerf intercostal est aussi profondé
Le onzième nerf intercostal est aussi profondément altéré, mais son
ganglion
et les racines qui s'y rendent sont normaux. Le
on ganglion et les racines qui s'y rendent sont normaux. Les autres
ganglions
et les autres nerfs intercostaux sont sains.
oter dans le foie, la iate et les reins. Pas de tubercules dans les
ganglions
mésentériques, seulement un peu volumineux. Rie
exister dans l'oeil des centres nerveux particuliers, analogues aux
ganglions
intra-car- diaques. La putréfaction détruit le
r ? Chandelux,5,- ont .décrit des altérations interstitielles des
ganglions
rachidiens correspondant a Jât distribution du
l)i, servations rattachent l'éruption cutanée aux altérations des
ganglions
rachidiens. ,«, C'est [surtout, dit,Boercns-; p
tivement anciennes de Boerensprung et de MM..Charçpt et Cotard, les
ganglions
présentaient., un.,certain degré) de proliférat
TIQUES. 291 de M. Chandelux, le nerf intercostal correspondant au
ganglion
i, altéré n'a. pas été suffisamment étudié- : il
n 1 qui' 'rattache;, le 1 zonai, à, des altérations primitives' des
ganglions
rachidiens1' ne" repose' donc pas 'encore* sur
ion des nerfs est plus importante et plus Constante1' que celle des
ganglions
-rachidiens : A ce point de vuespéeial, l'obser
Ulfi '9'/tp"'f(P 1/ mi/ « ? < ., ? n...... . , .. .rations, des
ganglions
et,de la racine postérieure fussent t ? o ? o n
dent que,le,,zona n'est pas;nécessairement lie â^dés'1 lésions5 des
ganglions
rachtdiens;f·étqu'ilapeut 'tf m'cl`tlllttUJll4t
V " phériques,i avec- ou,saiisi altratioiis.,coiiconiitaiites des
ganglions
et des racines correspondants. au ùili.i Jaa 11
l.zé'iq Eii>iflJH'I10/B 0 mi il, . ttlli ? u - . 1 1 'Tilt Les
ganglions
lymphatiqueshnej présentent1 nu ! )e' part'uno
nches'' anastoinotiques- à -l'hypoglosse, .au j pneumogastrique, au
ganglion
cervical supérieur; M S, branche mastoïdienne sup
du cerveau directement en traversant le canal carotidien ou par les
ganglions
et plexus centraux, M. Rosenthal imagine la con
eil d'innervation cen- trale angiomusculaire, par la dépression des
ganglions
centraux 352' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. v
Foville, Bonnet. et Poinearré qui le rattachent à des lésions du
ganglion
cervical du grand sympathique, et termine en cita
iatus de Fallope avec ses orifices accessoires et la fossette pour le
ganglion
de Gasser. La face endocrânienne postérieure li
e du canal carotidien, on aperçoit la fossette pyramidale qui loge le
ganglion
d'Andersen, l'orifice externe de l'aqueduc du lim
et atteignaient le sommet de la pyramide. Au niveau de la fossette du
ganglion
de Gasser, il existait une cellule assez volumine
du conduit, soit par continuité, en suivant la voie lymphatique. Les
ganglions
parotidiens, en effet, qu'on divise en superficie
à la trompe d'Eustache, en bas au trou déchiré antérieur, en haut au
ganglion
de Gasser, en dedans au conduit auditif interne d
en. Il loge le nerf facial, le nerf intermédiaire de Wrisberg avec le
ganglion
géniculé, et l'artère stylo-mastoïdienne. Il mesu
et le limaçon, et s'élargit à son extrémité externe pour recevoir le
ganglion
géniculé. Elle s'engage ensuite entre le bec de c
rendre aux muscles du voile du palais sans interruption, au niveau du
ganglion
de Maekel ou sphéno-palatin. « Cette doctrine ana
dixième, onzième et douzième paires gauches étaient écrasées par des
ganglions
cancéreux. Le nerf facial gauche fut trouvé absol
aux fibres du facial, les libres de la corde du tympan atteignent le
ganglion
géniculé qui constitue réellement, d'après Retziu
éniculé qui constitue réellement, d'après Retzius et V. Lenhossek, un
ganglion
périphérique. Le prolongement des cellules unipol
ganglion périphérique. Le prolongement des cellules unipolaires de ce
ganglion
se bifurque en une fibre périphérique ou cellulip
enfoui dans une couche de tissu cellullaire et recouvert de quelques
ganglions
lymphatiques, souvent engorgés. Une fois bien iso
es pédonculaires. Les fibres de projection afférentes proviennent des
ganglions
infracorticaux (thalamus, tubercules quadrijumeau
vent à l'écorce ou en partent, en établissant des connexions avec les
ganglions
infracorticaux et le rhombencéphale. Elle compren
des fibres olfactives. L'abcès du lobe temporal pourra comprimer le
ganglion
de Gasser et produire des douleurs névralgiques d
par les prolongements internes ou centraux des cellules bipolaires du
ganglion
de Scarpa. Après avoir pénétré dans le bulbe, ent
fibres du faisceau rétro-réflexe de Meynert, et, finalement, avec les
ganglions
de la base et l'écorce cérébrale parles fibres ru
é d'embryologie. Paris, 1900. Hilgermann (R.), Die Betheiligung des
Ganglion
Gasseri bei Mittelohreiterungen. Zeitschrift fur
t « logique- ment » admettre que cette restitution a lieu par les
ganglions
de labase, c'est-à-dire par les couches optiques
lobe occipital, surtout à la lésion des faisceaux optiques qui, des
ganglions
d'origine des tractus optiques, gagnent les lob
ance, d'une dégénération secondaire descendante, d'une atrophie des
ganglions
du mésocéphale consécutive à une large destruct
substratum anatomique, les uns l'écorce cé- rébrale, les autres les
ganglions
de la base. Mais les expériences de Munk nous p
che, petite plaque. idée. Pas de croûtes dans les cheveux. Quelques
ganglions
cer- vicaux. Quelques macules sur la peau. Les
l'alopécie, plusieurs taches brunâtres dans les cheveux ; quelques
ganglions
cervicaux ; une légère éro- sion du pilier anté
maîtres. Privation de vin et de promenade. - 31 aotît. - Quelques
ganglions
cervicaux et inguinaux. Rien aux organes génita
organes génitaux, ni dans la gorge. 22 novembre ? Encore quelques
ganglions
cervicaux à gauche. - Aucune syphilide. Prend r
insolent, grossier à la moindre observation. 0 Il porte quelques
ganglions
indurés dans les aisselles et dans les aines,-e
le cer- velet. P. KERAYAL. VII. Contribution A la physiologie des
ganglions
spinaux; par M. Joseph. (Neui,ol. Ceatralbl., 1
entre dans la moelle même. Quant à la raison de l'intercalation des
ganglions
spinaux sur le trajet, dans la continuité des r
Wal- er, CI. Bernard et de l'auteur, démontrent simplement que le
ganglion
en question possède une certaine puissance trophi
r ces nerfs un vrai centre trophique ? Sectionnant un nerf entre le
ganglion
et la périphérie, Joseph a vu que le gros de la
it, qu'il y avait, autrement dit, des fibres directes traversant le
ganglion
sans prendre d'attache avec les cellules et pui
le pied du pédoncule; c'est au pulvinar de la couche optique et aux
ganglions
de la bandelette optique qu'il se rend. M. PE
e- ment, l'étude des cordons médullaires, des nerfs craniens, des
ganglions
, de la couronne rayonnante, des fibres corticales
nt. La guérison des troubles intellectuels conduit à penser que les
ganglions
hémisphériques n'ont pas été intéressés, et que
ent son siège dans la couche optique et dans d'autres parties des
ganglions
d'ordre inférieur avec lesquels le nerf optique e
s seuls et uniques centres des muscles volon- taires, c'est que les
ganglions
de la base, les corps- striés en particulier, s
rvé que ce qu'il y avait encore d'automatique, d'organisé, dans les
ganglions
de la base. Ferrier ruine ainsi radicalement la
nclure avec nécessité, disent ex- pressément ces auteurs, que « les
ganglions
basilaires, 376 PHYSIOLOGIE. et spécialement
es de l'idéation », comme toutes les autres régions corticales, aux
ganglions
sous-corticaux. Les auteurs italiens se défende
urs d'attribuer une nouvelle fonction - une fonction psychique- aux
ganglions
de la base : il leur suffit, disent-ils, d'avoi
pour eux des faits bien et dûment prouvés) qu'il existe, entre les
ganglions
de la base et les « centres psychiques », des r
que pour édifier leur hypothèse des fonctions psycho-motrices des
ganglions
de la base, et des corps striés en parti- culie
moteurs, et l'on a attribué l'hémiplégie typique à la lésion de ces
ganglions
. On sait aujourd'hui que les paralysies motrice
oute. De ce que les fonctions motrices, si longtemps attribuées aux
ganglions
de la base, doivent être revendiquées, à titre
ènes de paralysie peut s'ef- fectuer, au moins en partie, grâce aux
ganglions
de la base. Luciani note même que, chez un chie
nt se comportent l'ensemble des cir- convolutions cérébrales et les
ganglions
de la base chez les divers animaux ? Où commenc
e cerveau antérieur des Cyclostomeset des Téléootéens se compose du
ganglion
de la base et des origines Archives, t. XVIII.
SOCIÉTÉS SAVANTES. des nerfs olfactifs. Le manteau qui recouvre le
ganglion
de la base consiste en une mincelamelle.lmpossi
aractéristiques du cerveau des vertébrés élevés en organisation. Le
ganglion
de la base, lui-même bien construit (noyau sphé
rs linéaments), d'une voûte à trois piliers. Chez les oiseaux, le
ganglion
de la base a atteint un volume inconnu chez les
rojeter de haut en bas en tous sens, aboutit à la dissocia- tion du
ganglion
de la base; au lieu de l'organe rudimentaire qui,
iste pas dans ces organes de centre d'action. Si l'on transperce le
ganglion
de la base au milieu du noyau caudé, on a de la
e tubercule auditif et le noyau antérieur de ce nerf; mais ces deux
ganglions
servent non seule- ment à cette racine, mais en
Fugues inconscientes chez les hys- tériques, par .1. Voisin, 277.
Ganglions
(physiologie des - spi- naux), par Joseph, 150
des tubercules mamillaires, traverse simplement ceux-ci, entre le
ganglion
médian et le ganglion latéral, sans affecter plus
laires, traverse simplement ceux-ci, entre le ganglion médian et le
ganglion
latéral, sans affecter plus ample connexion ave
que se dirige intérieurement d'avant en arrière, et se rend dans le
ganglion
médian du tubercule mamillaire, d'où part un se-
ommé par de Gudden pédoncule du corps mamillaire, qui appartient au
ganglion
latéral sus- énoncé, et que l'on peut suivre à
tubercule antérieur correspondant, du faisceau de Vicq d'Azyr, du
ganglion
médian du corps mamillaire et du faisceau de la c
faisceau de Vicq d'Azyr, notamment dans le voi- sinage immédiat du
ganglion
atrophié ; la même observation peut être faite
ganglion atrophié ; la même observation peut être faite à propos du
ganglion
médian. Pourquoi ? Voici le résultat des recher
lation, les restes sus-men- tionnés demeurent intacts. C'est que le
ganglion
médian n'est pas simple ; il se compose, à son
nglion médian n'est pas simple ; il se compose, à son tour, de deux
ganglions
: un ganglion ventral postérieur, un ganglion d
'est pas simple ; il se compose, à son tour, de deux ganglions : un
ganglion
ventral postérieur, un ganglion dorsal antérieu
à son tour, de deux ganglions : un ganglion ventral postérieur, un
ganglion
dorsal antérieur. Le ganglion ven- Archives, t.
: un ganglion ventral postérieur, un ganglion dorsal antérieur. Le
ganglion
ven- Archives, t. XL 7 98 SOCIÉTÉS SAVANTES.
end du faisceau deVicqd'Azyr, il disparait avec ce dernier. Mais le
ganglion
dorsal antérieur, qui en est indépendant, persi
a paroi crânienne la cou- vexilé du cerveau, pour aller détruire le
ganglion
dorsal antérieur. Cette démonstration de l'exis
démonstration de l'existence dans chaque corps mamillaire de trois
ganglions
indépendants l'un de l'autre n'enlevé rien aux
e cérébral normal ; de là l'atrophie partielle du nerf lui-même. Le
ganglion
ventral postérieur meurt après le faisceau de V
de l'autre côté, conserve, verse du côté de la lacune produite ; le
ganglion
dorsal antérieur du même côté (opéré) fait de m
ôté (opéré) fait de même et présente son segment ven- tral entre le
ganglion
latéral de son côté et le ganglion ventral post
e son segment ven- tral entre le ganglion latéral de son côté et le
ganglion
ventral postérieur de l'autre côté ; il est com
n arrière ets'en- trecroise avec le faisceau de Meynert,qui unit le
ganglion
del'habe- nula (petit noyau grissuperficiel de
int où la commissure postérieure pénètre dans la couche optique) au
ganglion
interpédonculaire découvert par de Gudden'. Il
n, mais sur le dos du faisceau longitudinal postérieur, il y a deux
ganglions
volumineux dont les connexions et les dépendanc
s dépendances sont encore totalement inconnues. La destruc- tion du
ganglion
dorsal antérieur précité entraine la mort du gan-
calotte situés inférieurement, ainsi que de la portion ventrale du
ganglion
qui occupe le plan ventral du faisceau longitud
. (Voyez supra l'atrophie par compression de la portion ventrale du
ganglion
dorsal antérieur du corps mamillaire.) M. Gudde
ieur du corps mamillaire.) M. Gudden propose de donner son nom au
ganglion
situé sur le ventre du faisceau longitudinal post
écutive à la section du trijumeau est retardée par l'extirpation du
ganglion
cervical supérieur, mais cela provient de la pa
u, d'après laquelle la chorée indiquerait simplement une lésion des
ganglions
sous-corticaux, au sens strict du mot, c'est-à-
izontales du cerveau, la variété des sources d'irradiation dans les
ganglions
de la base et notamment les irradiations qui issu
L'examen des racines antérieures des quatrième, cinquième, sixième
ganglions
cervicaux, des deuxième et troisième ganglions
, cinquième, sixième ganglions cervicaux, des deuxième et troisième
ganglions
lombaires montre un très petit nombre de fibres
ration. Les racines postérieures des troisième, sixième, septième
ganglions
cervicaux , et des quatrième et cinquième gan -
'hypoglosse et du pneumo- gastrique et les diverses altérations des
ganglions
sympathiques observées par Echeverria, ne const
Poumons : congestion et oedème à la base, emphysème au sommet. -
Ganglions
péribronchiques indurés. Nombreuses plaques de
aurait une action spécifique opposée à celle de l'autre (action des
ganglions
dans les névroses viscérales). L'excitation dir
les névroses viscérales). L'excitation directe parles courants des
ganglions
vaso-moteurs et, par suite, le choix du genre d
ne cause de compression des vaisseaux sanguins ou lymphatiques. Les
ganglions
inguinaux sont nor- maux. L'absence de varice
; un des lobes supérieurs montre une réaction fibreuse intense. Les
ganglions
trachéaux sont tuméfiés, non caséeux. Il en est
nglions trachéaux sont tuméfiés, non caséeux. Il en est de même des
ganglions
mésentériques. Les autres or- ganes montrent de
ncore fermé en arrière pour le squelette avec le cône Lerntin.tl, les
ganglions
sen- sitifs et les nerfs. - t, Ics les deux <
erfs. - t, Ics les deux <'pendîmes du cône terminal; 2, 3, nerl et
ganglion
sac ré intérieurs; 4, aileron sacre; 5, ganglio
nal; 2, 3, nerl et ganglion sac ré intérieurs; 4, aileron sacre; 5,
ganglion
du sympathique sacré; 6, ganglion scnsitti sacré
intérieurs; 4, aileron sacre; 5, ganglion du sympathique sacré; 6,
ganglion
scnsitti sacré supérieur; 7, nerf sortant par l
comme sectionné, tout à fait indépendant de celui du côté opposé.
Ganglions
spinaux. Contrairement au névraxe le système de
pposé. Ganglions spinaux. Contrairement au névraxe le système des
ganglions
spinaux sensitissest Fig. 2. Les différentes co
gaine qu'envoie celte membrane au pourtour du trou osseux. Les dits
ganglions
sont très dé- veloppés à la racine des membres
tion normale et à distribution tout à fait typique. De chacun des
ganglions
(Schéma 2) du côté central part un petit tronc
ques millimètres s'arrêtent comme amputés. Il y a de même de gros
ganglions
spinaux lombaires et sacrés qui forment des ple
es et sacrés qui forment des plexus lombaire et sacré normaux ; ces
ganglions
ne sont pas fusionnés, mais réunis entre eux pa
es (Schéma 3). A la région dorsale on ne trouve par côté que 4 ou S
ganglions
, et 2 ou 3 seulement à la région cervicale. Les
ganglions, et 2 ou 3 seulement à la région cervicale. Les derniers
ganglions
sacrés et les coccygiens sont trouvés dans un s
complètement clos en arrière Schéma no 2. D. M. dure-mère. - g s.
ganglion
sensitif. 0 s. plan osseux. - N. phr. nerf phré
Cône terminal avec ses 2 épendymes et sur ses côtés les derniers
ganglions
sacrés. UN CAS d'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 139
UN CAS d'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 139 près du cône terminal. Ces
ganglions
présentent des neurones typiques, avec noyau ce
romatolyse. On constate très souvent dans la gangue fibreuse de ces
ganglions
des foyers hémorrhagiques ; les troncs nerveux
mais sans qu'il y ait encore de myélinisation. Sur les côtés de ces
ganglions
on trouve toujours des fibres nerveuses, qui repr
ieures accolées ; mais la dissection ne pouvait les sé- parer de ce
ganglion
et nulle part nous ne les avons trouvées distinct
sympathique a son développement normal tout le long du rachis ; ses
ganglions
ont des neurones normaux, qui envoient des rami
ui envoient des rami-communicantes à tous les nerfs qui émanent des
ganglions
sen- sitifs. Les nerfs émanés des ganglions s
nerfs qui émanent des ganglions sen- sitifs. Les nerfs émanés des
ganglions
sensitifs peuvent être suivis jusque dans la pe
s, une section plane ; dans l'orbite ils s'accolent inti- mement au
ganglion
ophtalmique et de là vont se distribuer normale-
oteur oculaire externe se fusionne avec les précédents au niveau du
ganglion
ophtalmi- que et, de là, va se distribuer au mu
ont la portion intradurale flottante est bien visible, se rend à un
ganglion
de Gasser d'où divergent les trois nerfs ophtalmi
laire inférieur. Le nerf facial est trouvé en avant et en dehors du
ganglion
de Gasser ; après un court trajet inlra-dural i
urt trajet inlra-dural il se jette tout entier dans un volumi- neux
ganglion
géniculé ; puis il traverse le rocher en rapport
au du trou déchiré postérieur ils conver- gent dans un seul et même
ganglion
. Ils en sortent- séparés et se distri- buent no
ou à part, en arrière du précédent; alors il vient se jeter dans le
ganglion
des nerfs précédents, puis s'en sépare et se di
sans anomalie. La dissociation de ces différents nerfs au niveau du
ganglion
commun était possible, mais à la condition de s
u ganglion commun était possible, mais à la condition de séparer ce
ganglion
lui-même en plu- sieurs parties ; cependant la
athique, car tous sont en rapport avec le système ganglion- naire :
ganglion
ophtalmique pour les nerfs moteurs de l'oeil, gén
Scm : n ? no 5. - C P. cavité pathologique. - D \i. dure-mère. - G S.
ganglion
sensitif. M. muscle. - G. Sy. grand sympathique
l'existence des nerfs moteurs crâniens et, en outre, au devant des
ganglions
spinaux, l'existence d'une racine antérieure, mot
ux, l'existence d'une racine antérieure, motrice, dis- tincte de ce
ganglion
. Il a relevé dans toutes ces formations la présen
s manoeuvres et le nombre répété d'examens dont il a été l'objet.
Ganglions
inguinaux très développés dans l'aine corresponda
ture normale de l'écorce était' presque partout bien conservée. Les
ganglions
centraux et les noyaux dentelés montraient les
altérations anatomiques sont également les plus prononcées dans les
ganglions
sous- corticaux. Après cette courte récapitul
les caractères sont décrits plus haut et qui est localisé dans les
ganglions
centraux. Observation II. 1 Kr..., 45 ans, en
Tuberculose des poumons. Le long des grands vaisseaux cervicaux des
ganglions
lymphatiques bruns ; également dans la porta he
créas, consistance augmentée, brun jaune. Le long du pancréas des '
ganglions
lymphatiques bruns. Cerveau (1.210 gr.). - Dure
x névrogliques clairs et déformés dans l'écorce et surtout dans les
ganglions
centraux et dans les noyaux dentelés le rapproche
ers, Wilson, etc. Mentionnons les foyers de désintégration dans les
ganglions
centraux, qui ne ressemblent nullement à l'imag
ge dans la méninge dure. A travers cette membrane, elle comprime le
ganglion
de la racine postérieure correspondante. La r
atteignant les couches sagit- tales très en avant, et tout près des
ganglions
de la base, ce foyer profond se trouve à interr
ent corticale et sous- corticale, c'esl-à-dire sans implication des
ganglions
infracorticaux. Sur ce grand nombre de cas il n
lesquels atteignent surtout le voisinage du bord supé- rieur de ce
ganglion
. - Les trois coupes microscopiques consacrées à
la couche optique, ainsi que l'affaissement du bord supérieur de ce
ganglion
. L'implication de la couronne rayonnante a rf-t
DU NOYAU ROUGE 207 à intensifier l'atrophie du bord supérieur de ce
ganglion
. Le corps du trigone demeure parfaitement incol
e optique. Sur les coupes passant par l'extrémité postérieure de ce
ganglion
, on constate que la lésion temporo-occipitale a d
optique, on remarque une atrophie notable du bord snpé- rieur de ce
ganglion
et une dégénérescence du stratum zonale, de la la
oyenne de la pariétale,ascendante. Le lobe temporo-occipital et les
ganglions
de la base sont absolument intacts. Bien qu'il
on remarque une atrophie déformante plus ou moins généralisée de ce
ganglion
, une décoloration très intense du noyau interne e
aire d'un grand nombre de fibres de projection destinées à d'autres
ganglions
. Ainsi, dans les lé- sionsde laface inféro-inte
la dégénérescence secondaire se porte en bas et en dedans vers les
ganglions
de la base en passant par la couronne rayonnante
le antérieur et les autres noyaux du bord dorsal ou supérieur de ce
ganglion
. Quant au noyau rouge, la dégé- nérescence seco
r ou len- ticulo-thalamiquede la capsule interne pour se rendre aux
ganglions
cen- traux et au pied du pédoncule cérébral. Ce
la couche optique (Charroi et Raymond), ou même à l'intérieur de ce
ganglion
, .surtout dans son serment po-Lél'o-inrél'ieur.
gument contre l'existence d'un centre de la mimique au niveau de ce
ganglion
. Il est possible que le rire et le pleurer spasmo
ers mi- nuscules bu du moins très circonscrits de la hase et de ses
ganglions
, qui semh ! ent déterminer ces diverses perlurh
e relation de cause à effet. La cause est la lésion zostérienne des
ganglions
spinaux, qui se propage vraisem- blablement à l
em- blablement à la racine antérieure. Les rapports internes de ces
ganglions
et de ces racines antérieurs expliquent facilem
facial (dans le canal intra-vilreux inextensible et étroit) par le
ganglion
géniculé, infecté et augmenté de volume. (1)
vant-mur sont sans altérations bien appré- ciables. Les cellules du
ganglion
ansae peduncularis ont l'aspect retrouvé dans l
ont les faisceaux entourent le noyau externe, le stratum zonale, le
ganglion
haberiulæ, la commissura posterior et tout le r
écorce cérébrale el cérébelleuse est intacte. Ce n'est que dans les
ganglions
in fr a- corticaux que nous trouvons des proces-
es' hémisphères sont examinés en coupes sériées. Ce sont encore les
ganglions
sous-corticaux qui montrent les altérations les
de, par suite d'un trouble quelconque (troubles congénitaux dans le
ganglion
inférieur du nerf sympathique ou peut-être de c
sympathique (d'après Wiener, la glande thyroïde est innervée par le
ganglion
inférieur du nerf sympathique, d'après Asher et
supérieur et inférieur, d'après Garnier et Villemin par différents
ganglions
du nerf sympathique et par le. nerf laryngé sup
fatigue de la cellule nerveuse, cérébrale, médullaire, ou même des
ganglions
sympathiques, parce que la débilité nerveuse es
ations pupillaires appréciables. ' P. K. III. DE l'importance DES
ganglions
intervertébraux (Re- cherche expérimentale et h
es et antérieures avant l'extrémité inférieure de la moelle, et les
ganglions
spinaux; il porte encore sur quelques ganglions
e la moelle, et les ganglions spinaux; il porte encore sur quelques
ganglions
et sur quelques troncs nerveux en arrière. Il e
de la substance grise est simplement l'effet de la séparation des '
ganglions
spinaux en connexion avec les racines postérieure
erait qu'il s'agit d'un trouble trophique qui, après la section des
ganglions
, se pro- page le long des racines postérieures
g des racines postérieures coupées vers le centre de la moelle. Les
ganglions
intervertébraux serviraient donc de foyer troph
du processus dégénératif, plus loin que la sphère commandée par les
ganglions
sectionnés , cette ascension serait non pas le
ascension serait non pas le résultat direct de la sépara- tion des
ganglions
, mais un phénomène de propagation par contiguït
- tive qui n'est pas immédiatement produite par la séparation des
ganglions
spinaux, mais qu'elle émane de la destruction d
en sillonnant la capsule interne de nombreux faisceaux, jusqu'aux
ganglions
de la région subthalamique ; d'autres, sans entre
onzième que voici : chez tous les animaux munis d'un amnios, les
ganglions
des deux paires antérieure et postérieure sont
ions corticales, et dérivent de la vésicule moyenne du cerveau. Les
ganglions
postérieurs sont des agglomérations annexées po
sous celle de paire antérieure des tu- bercules quadrijumeaux. Les
ganglions
postérieurs sont cachés chez la plupart des rep
. En général, leur développement est en raison inverse de celui des
ganglions
antérieurs, si bien que, chez les mammifères, l
ui sépare les tubercules antérieurs. En outre de ces deux paires de
ganglions
, il en existe une troi- sième paire chez les re
ment le genre de courants nécessaire. 8° Un état patholo- gique des
ganglions
spinaux peut, par action réflexe sur la moelle, ê
réflexe émanée de la queue de cheval ma- lade, c'est-à-dire de ses
ganglions
spinaux. - 100 L'aggravation bien connue des sy
ectrique). - Il,- L'électrisation de l'encéphale, de la moelle, des
ganglions
et du revê- tement cutané exerce une action pui
origine dans les organes centraux ou exceptionnel- lement, dans les
ganglions
. Elles se comportaient à l'égard des deux espèc
te une quantité considérable de tissu adipeux sur la dure-mère, les
ganglions
intervertébraux et les racines qui touchent à c
euse, facile détacher. Au mi- croscope, l'encéphale, la moelle, les
ganglions
intervertébraux, les ganglions du grand sympath
roscope, l'encéphale, la moelle, les ganglions intervertébraux, les
ganglions
du grand sympathique durcis (bichromate de potass
res de l'écorce, les cellules cérébelleuses de Purkinje, celles des
ganglions
spinaux et sympathiques; la dégénérescence y es
s; la dégénérescence y est simplement moins étendue; c'est dans les
ganglions
spinaux qu'elle est le moins accusée. Les vaiss
Menton rond. , ? rn . ' : .1 m" " l "'1 1(, Cou régulier, u^petit
ganglion
au niveau du sterno-mastoïdien gauche. le TIt9'
é de l'altération, ils font défaut. Intégrité des cellules des gros
ganglions
, de la protu- bérance, des noyaux, qui commande
he pigmentaire au-dessus du condyle interne du fémur gauche; pas de
ganglions
. Dynamomètre Mathieze : AI. D = 70,5 - M. G. 70
et à droite, une au haut du sillon interfessier. Rien à la verge :
ganglions
inguinaux très développés des deux côtés (syphi
s taches sont complètement effacées ; il ne reste plus que quelques
ganglions
dans les aines. 30 juin. Poids, 28 kil. 9; tail
n'y a rien dans la gorge, ni à l'anus; pas d'alo- pécie : quelques
ganglions
seulement dans les deux aines de l'ais- selle d
ernière molaire droite; menton très pointu. - - Cou grêle, pas de
ganglions
, pas de cicatrices. - Thorax peu développé, mai
ieurs grêles, bien conformés; mains violacées, doigts longs; pas de
ganglions
axillaires. Membres inférieurs maigres, sans dé
violacées et froides, doigts longs, voûte plantaire normale; pas de
ganglions
inguinaux. Organes génitaux. Verge petite, norm
rencontra également des nodules tuberculeux dans la rate; enfin les
ganglions
bronchiques étaient augmentés de volume, induré
rate, le rein gauche, ainsi qu'au voisinage du pan- créas, dans les
ganglions
abdominaux. Chez ce malade, les symptômes céréb
e praoépileptiyue, 121. Folies héréditaires, 111, 215, 48, 432.
Ganglions
intervertébraux, par Bech- terew, Hosenbach et
aisseaux du nerf congestionnés et remplis de globules. A l'abord du
ganglion
de Gasser, le tronc du trijumeau gauche ne prés
; il en est de même pour les branches terminales. Les cellules du
ganglion
de Gasser ont conservé leur forme régulière, el
érences pleurales anciennes et néo-membranes récentes à droite. Les
ganglions
bronchiques sont volumineux et indurés. Foie
. Gieson (de New-York) : « Normal and palhological Cy lology of the
Ganglion
Cells. » 2. Pathogénie et anatomie pathologique
centripète de la moelle (cordons postérieurs, racines postérieures,
ganglions
spinaux). Cette première lésion même la plus ét
NCE ascendante sur LES nerfs MIXTES, SUR LES CELLULES NERVEUSES DES
GANGLIONS
, SUR LES RACINES POS- TÉRIEURES ET SUR LA CORNE
donner lieu à une dégénération ascendante, pouvant atteindre les
ganglions
et même la moelle. Aussi pour se mettre à l'abri
ines postérieures et la corne antérieure. C'est aux altérations des
ganglions
postérieurs qu'il consacre le plus d'intérêt. Il
ique ou à sa ligature. Ses examens ont porté sur les racines et les
ganglions
de la région lombaire, ainsi que sur les portions
dans ces conclusions : Les altérations des cellules ganglionnaires (
ganglions
des racines postérieures), consécutives à une s
enant les cordons postérieurs, les cornes grises adjacentes, et les
ganglions
rachidiens. L'étude topographique des lésions m
niveau des cordons postérieurs, des cornes grises adjacentes ou des
ganglions
rachidiens. Or, ces systèmes de fibres ou de ce
er système comprend toutes les fibres qui, parties des cellules des
ganglions
rachidiens, abordent le cordon postérieur au ni
sentent pas moins de variétés. Nous avons le groupe des cellules du
ganglion
vertébral - celui des colonnes de Clarke - celu
? A quelle période se prennent les fibres endogènes ? Les cellules (
ganglion
rachidien, colonnes de Clarke, corne postérieur
nt plus près du sillon médian qu'il appartient à une racine dont le
ganglion
est placé plus bas (loi de Kahler). Ainsi est
racines postérieures, sur les cordons de la moelle, enfin sur les
ganglions
rachidiens. Pour les racines, nous avons pra- t
OGIE NERVEUSE. daire. Enfin, des coupes sériées, pratiquées sur les
ganglions
rachidiens choisis à différents niveaux, nous o
t, dès le début du tabès, au niveau du tube nerveux ; la cellule du
ganglion
vertébral reste intacte; ces lésions parenchyma
acines postérieures, les cordons correspondants et les cellules des
ganglions
rachidiens. La dissociation des racines postéri
période de la disparition totale du tube nerveux). Les cellules des
ganglions
vertébraux nous ont paru remar- quablement inta
nous empêchent de croire à une lésion importante des cellules du
ganglion
rachidien, au cours du processus tabétique. De
ERVEUSE. paire ; la corde du tympan rejoindrait le trijumeau par le
ganglion
sphéno-palatin. Quelque temps après, Ja sixième
ve pas de troubles oculaires trophiques comme dans les lésions du
ganglion
de Gasser. La sixième paire passe près de l'origi
elle allongée, de la substance blanche de la moelle épinière et des
ganglions
intervétébraux sont comparativement insignifian
antérieur ou pallium et du^cervelet ne sont, elles aussi,, que deux
ganglions
nerveux situés chacun au sommet d'un arc diasta
troisième jour elle fut atteinte d'une stomatite fort intense. Les
ganglions
cervicaux étaient engorgés; les conjonctives co
st jamais montée à celle que l'on a rencontrée avant l'excision des
ganglions
stellaires. On observe, au contraire, quelquefo
ues fibres accélératrices; ainsi, si nous coupons en même temps les
ganglions
stellaires et le vago-sympa- thique, on n'obtie
sceaux des racines postérieures. Les modifications des cellules des
ganglions
inter-vertébraux, dans cette dégénérescence asc
rvation du goût signifie que la lésion porte sur le bout central du
ganglion
géniculé ; par conséquent, l'altération occupe
onséquent, l'altération occupe la partie du facial située entre' ce
ganglion
et le noyau du facial. Mais l'ouïe est troubl
et la récidive se montrer. La résection partielle étendue aux deux
ganglions
et au cordon intermédiaire, allant jusqu'au-desso
f une très légère tachycardie. La résection partielle et limitée au
ganglion
supérieur et à une petite partie du cordon qui
adie, etc.). La résection totale et bilatérale comprenant les trois
ganglions
et leur cordon intermédiaire est l'intervention
dirque ne peuvent être réelle- ment obtenus que par l'enlèvement du
ganglion
cervical inférieur d'où partent d'importants et
TES. 525 pourquoi l'opération idéale doit être celle qui détruit le
ganglion
cervical inférieur et le nerf vertébral qui en
voir aller plus loin et détruire les filets efférenls cardiaques du
ganglion
cervical inférieur, pour voir cesser la tachyca
is, ou, pour mieux dire, c'est probablement la peur de toucher à ce
ganglion
cervical inférieur difficile à extraire, le nol
totale et bilatérale du sympathique cervical, comprenant les trois
ganglions
et leur cordon intermédiaire. L'excellent résulta
n liquide sangui- nolent. On entend des râles dans la poitrine, les
ganglions
sont t tuméfiés. Les mouvements passifs sont sa
r le côté externe du noyau strié '1'Jz.JJ'a-ventriculairc, entre ce
ganglion
et la capsule externe, et il existerait un rapp
ait sur le côté externe du corps strié extraventriculaire, entre ce
ganglion
et la capsule externe, dans les fibres qui sépa
onvolutions de l'insula; mais, venant de la partie in- férieure des
ganglions
, au lieu de continuer leur marche vers la sciss
la section du nerf vague dans la région cervicale, les cellules du
ganglion
noueux de ce nerf, après la phase de chromatoly
. P. KERAVAL. XL \11. Contribution à la pathologie des cellules des
ganglions
spi- naux ; par 0. JULIUSI3URGER et E. MEYER. (
(iveuuolog. Centrulblatt, XVII, 1898.) 1° Examen des cellules des
ganglions
spinaux dans la région lombaire d'un idiot de d
l'alun hématique donnent de très belles images. Les cellules des
ganglions
spinaux sont entourées d'une capsule de tissu c
ule est en rapport immédiat avec le tissu conjonctif fibrillaire du
ganglion
, très développé ici, et carac- térisé par une r
tit nombre, à l'inverse des nerfs et des racines. Les cellules du
ganglion
spinal étaient surtout arrondies, quel- REVUE D
postérieur ne dépende point d'un trouble primitif de la cellule du
ganglion
spinal. En effet, le processus tabétique est lent
'on se fasse de la cause spéciale de ce processus, les cellules des
ganglions
spinaux peuvent continuer à recevoir de la péri
tions anormales, la capacité métamorphique normale de la cellule du
ganglion
spinal est modifiée de telle sorte qu'au lieu q
ne action nocive. Cette modification de l'activité de la cellule du
ganglion
spinal aurait lieu non tout d'un coup mais par
ue. La modification de forme et le rapetissement de la cellule du
ganglion
, s'ils étaient constants, montreraient simplement
cordons postérieurs émanait d'un trouble primitif des cellules des
ganglions
spinaux. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
ions sont le plus prononcées chez les cobayes ; 3° Les cellules des
ganglions
spinaux subissent des altérations analogues, ma
un peu plus tard. Les cellules de l'écorce céré- bi aie, des grands
ganglions
et des noyaux des nerfs crâniens sont le moins
ême qu'une moyenne. Ainsi que l'un de nous l'a rappelé à propos des
ganglions
rachi- clients2@ l'aspect d'une cellule nerveus
ions rachi- clients2@ l'aspect d'une cellule nerveuse prise dans un
ganglion
spinal et examinée à l'état frais, avec ou sans
les cliromatophyles de Nissl. A l'état frais les cellules d'un même
ganglion
spinal ne présentent entre elles aucune différe
vue médicale. A. Fenayrou. XVI. La manière d'être des cellules ;des
ganglions
spinaux dans le tabes éclairée par la méthode d
ratum propre de la matière tinctoriale de Nissl. Ceci dit, dans les
ganglions
spinaux normaux, le protoplasma est intimement
3° La cellule intermédiaire aux deux premières espèces. Dans les
ganglions
spinaux tabétiques, il n'y a guère de cel- lule
ue la lésion initiale du tabes ne doit pas être cher- chée dans les
ganglions
spinaux. P. Keraval. XVII. Recherches sur la mo
able à celui des cellules nerveuses de la moelle anencéphale et des
ganglions
spinaux. Elles tranchent, par leur grandeur, su
quelques-unes dans le tissu cartilagineux de l'axe du limaçon. Le
ganglion
spiral existe donc. On voit nettement à l'oeil nu
veau et à la moelle. Les cellules sont dégénérées. Les cellules des
ganglions
spinaux présentent en effet une dilatation de l'e
presque vide. Les mêmes altérations existent dans les cellules des
ganglions
du grand sympathique. En ce qui concerne les co
llules placées sur le côté du noyau du pathétique, que l'on appelle
ganglion
de l'isthme (Edinger), ganglien optique pos- té
es de ce faisceau dans le gan- glion de l'isthme ? En détruisant le
ganglion
seul ou avec d'autres organes tels que le cerve
es hauteurs du cerveau moyen et du cerveau inter- 'médiaire. Par le
ganglion
de l'isthme, il fournit, à travers le cer- veau
des fibres centrales des noyaux terminaux sensitifs et moteurs. Le
ganglion
de l'isthme devient ainsi le centre d'un arc réfl
ques, acoustiques et sensitives d'autres centres aux cellules de ce
ganglion
; celles-ci les renvoient aux fibres du fais- ce
existe un ramollissement dont le pourtour seul atteint la zone des
ganglions
centraux et la capsule interne. Intégrité des a
sauf une otite moyenne chronique du côté gauche, la tuméfaction de
ganglions
du cou, de fréquentes angines. L'évo- lution, d
ou d'une névrite ganglionnaire, non par compression (le volume des
ganglions
et la région s'y opposent) mais par propa- gati
osent) mais par propa- gation. L'affection pharyngée a enflammé les
ganglions
qui, a leur tour, ont enflammé le nerf (Erb, Mo
de l'imbécillité devant la loi, par Huches, 330. Fou. Un 76.
Ganglions
spinaux. Contribution àla pathologie des cellul
lll1thique, pal' Bounier, 310. La manière d'être des cellules des
ganglions
spinaux dans le-- éclairée par la méthode de
es nerveuses, Forel se demande pourquoi l'on continuait à parler de
ganglions
d'interruption des fibres nerveuses, de réseau
es nerfs et centres nerveux des tabétiques, en particulier dans les
ganglions
correspondants au centre tro- phique des fibres
es fibres nerveuses. Pour les nerfs rachidiens ces centres sont les
ganglions
intervertébraux; pour les nerfs craniens il exi
es ganglions intervertébraux; pour les nerfs craniens il existe des
ganglions
qui sont les analogues de ceux-ci. Nous avons e
ur enveloppe' de myéline, sont plus grêles qu'à l'état normal. Le
ganglion
d'Andersch qui se trouve sur le trajet de ce ne
ne des hôpitaux, sont la reproduction. Les cellules nerveuses de ce
ganglion
sont nombreuses, mais petites, à contours très
s granulations, soit invisible. Sur les coupes qui intéres- sent le
ganglion
suivant son 'grand axe longitudinal, on voitles
qui entrent et les fibres qui sortent de ce centre ner- Fig. il, -
Ganglions
d'Andersch (glosso-phal'yngien). 276 CLINIQUE N
caractères signalés dans le nerf lui-même. Le système vasculaire du
ganglion
est très développé. Les vais- seaux sont gorgés
très développé. Les vais- seaux sont gorgés de sang. La sclérose du
ganglion
est douteuse. - Nerf olfactif. - On y constat
e trouve dans les racines qui vont du bulbe olfactif au cerveau. Le
ganglion
de ce nerf est représenté, on le sait, par les
leur. Nous n'avons donc rien à dire à ce sujet. Nerf trijumeau. Les
ganglions
de Gasser ont été examinés au microscope par le
des lésions intenses, mais pas exactement semblables à celles du
ganglion
d'Andersch. La plupart des cellules étaient atrop
tait trans- formé en corps granuleux. Mais toutes les cellules du
ganglion
étaient loin de présenter cette lésion qui étai
e le système de la sensibilité est pris dans son ensemble. Ainsi le
ganglion
d'An- dersch situé sur le trajet du glosso-phar
'encé- phale on trouvait encore des lésions. Il en est de même du
ganglion
de Gasser et de ses branches afférentes ou effére
it lieu, pensait-on, qu'à la terminaison de ce prolongement dans un
ganglion
, et la cellule d'origine d'un nerf était censée
e de cette cellule. On sait aujourd'hui qu'une cellule nerveuse des
ganglions
spinaux peut influencer tous les territoires de
ts nerveux. Dans les éléments qui, comme les cellules nerveuses des
ganglions
spinaux ou les spon- gioblastes de la rétine, s
es proviennent, comme l'a établi W. His, des cellules nerveuses des
ganglions
spinaux intervertébraux. Dans la capsule endoth
raux. Dans la capsule endothéliale qui enveloppe chaque cellule des
ganglions
cérébro- spinaux, entre cette capsule et le pro
RIE DES NEURONES. 285 plasmique, suivant Cajal, des cellules de ces
ganglions
, courant transmis à la moelle épinière par la b
iniennes, bipolaires sensitives des vers, bipolaires sensitives des
ganglions
spinaux des poissons), l'expansion périphérique
. De même pour la branche périphérique des cellules unipolaires des
ganglions
spinaux des batraciens, reptiles, oiseaux, mamm
qui distingue les cellules cérébrales de celles de la moelle et des
ganglions
, n'est pas dans la forme extérieure, mais sans
nerveuses que protopla- miques, du cervelet, du bulbe olfactif, des
ganglions
acoustiques centraux, du lobe optique, etc., pr
e dans la vision, dit M. L... La glande pinéale, ses pédoncules, le
ganglion
habenula; et la com- missure postérieure ne pré
Cellules disséminées, ou sporadoneures. b). Cellules rassemblées en
ganglions
ou ganglioneures. 2° Éléments associateurs, ou
opsie, lésions habituelles de la méningo- encéphalite, atrophie des
ganglions
de la base. 3° Fille de vingt-six ans. Mère : s
à 1185 (homme de vingt ans). Alzheimer insiste sur les lésions des
ganglions
de la hase (dégénérescence). 9° Fréquence de la
T. a trouvé, avec la méthode de Nissl, une légère chromophilie des
ganglions
spinaux, sans altérations de structure, une col
résultats communs suivants : 1° intégrité relative des cellules des
ganglions
spinaux par rapport aux cellules motrices; 2° per
outes les parties de l'écorce du cerveau et du cervelet et dans les
ganglions
centraux, mais jamais dans la capsule interne.
, dans ses dernières publications sur la structure des cellules des
ganglions
spinaux, admet, dans la subs- tance chromatophi
asiques, s'amassent danslescellules motrices, dans les cellules des
ganglions
sympathi- ques, de la rétine, du corps genouill
is pour des tumeurs : tératome de la cavité abdminale, sarcomes des
ganglions
sus-claviculaires et du testicule gauche. Au mo
térieures : fibres extrinsèques - exogènes (Pierre-Marie) fibres du
ganglion
vertébral, fibres centripètes du protoneurone s
e la queue du noyau caudé. Au point de vue de ses rapports avec les
ganglions
, la capsule interne dans les coupes frontales p
ges classiques ou dans les traités spéciaux les plus réputés. Les
ganglions
sont des confluents où les conducteurs de la fo
ons, les prolongements, les irradiations de la capsule interne. Les
ganglions
ne sont par rap- port à ces expansions que des
nous voyons une infinité de rayons unissant l'écorce cérébrale aux
ganglions
; mais, s'il existait réellement des feuillets d
dé et lenticulaire de la cou- ronne rayonnante, c'est-à-dire si les
ganglions
étaient le point d'arrivée des fibres hémisphér
e nombre de ces fibres et les parties les plus volumineu- ses des
ganglions
. Or, c'est le contraire qu'on observe. La tête
inité de rayons rectilignes reliant toute la surface du manteau aux
ganglions
de la base et à la capsule. CONSTITUTION DU CEN
isberg, qui se con- tinue avec elle sans interruption, à travers le
ganglion
géniculé. Enfin le nerf de Wrisberg naît d'un a
quelques filets de la corde. 2° La section du facial en arrière du
ganglion
géniculé, amènerait, contrairement à l'opinion
sensibilité spéciale de la corde du tympan lui serait donnée par le
ganglion
géniculé. L'auteur reconnaît que les expé- rien
ulenburg) ; trouble vaso-moteur de la région (Stilline) ; lésion du
ganglion
sphéno- palatin déterminant une constriction de
s la structure des nerfs, érecteurs ou à leur^ compression par, des
ganglions
hypertrophiés. ? » ? ,. ? , , ? h .. 1 1111 ')
brale se mon-, trer de nouveau, mais, alors, ce n'est'plus dans les
ganglions
, cérébraux qu'est son siège de prédilection, c'
tre tumeur de la grosseur d'une prune sur le rocher, englo- bant le
ganglion
de Gasser et le trijumeau, et comprimant le sin
elles trouvent d'abord ,un siège spécia- lisé dans un ou'plusieurs
ganglions
elles acquièrent ensuite plus de perfection dan
ieurs ganglions elles acquièrent ensuite plus de perfection dans un
ganglion
, le ganglion céphalique. Ce ganglion envoie en
ns elles acquièrent ensuite plus de perfection dans un ganglion, le
ganglion
céphalique. Ce ganglion envoie en arrière une e
e plus de perfection dans un ganglion, le ganglion céphalique. Ce
ganglion
envoie en arrière une expansion, avec laquelle il
taines propriétés, qu ? ),antérieurement .étaignt : collmunes aux
ganglions
. Graduellement, l'axe centralise ces propriétés d
'axe centralise ces propriétés dans extrémité antérieure et dans-le
ganglion
céphalique. En même temps que s'opère cette cen
e temps que s'opère cette centralisation, la fonction réflexe des
ganglions
nbn" éplialiqueà, îe propage dans" la ? moelle] e
zrieurs,7a,peception, et la ,.volition[ne sontpasconfinéesldans,,le
ganglion
céphalique ou ficerveau.2B igdmoiius eb Jnstv i
émÿ (Soc. anat. deParzs,,18î5"p.,158),dans lesquels des lésions des
ganglions
intra-cérébraux ou du pont de Varole aient été
onne rayonnante est le point d'émergence des pédoncules au-dessus des
ganglions
cérébraux. On peut caractériser cette disposition
t brièvement, sauf à y revenir plus tard, la situation respective des
ganglions
cérébraux par rap-port à cet éventail. Lorsque,
ces divers troncs artériels que naissent les artères nourricières des
ganglions
centraux : corps striés et couches optiques. Ce
ales; — vaisseaux nourriciers. — Système des artères centrales ou des
ganglions
centraux. Artère sylvienne ; ses branches : art
laire sous-jacente. Le second système est le système central ou des
ganglions
centraux (masses grises centrales). Les vaisseaux
clature de M. Ch. Robin. Ce caractère les distingue des vaisseaux des
ganglions
centraux qui s'en-foncent dans la substance .blan
ères nourricières. Nous verrons encore que le système des artères des
ganglions
centraux est construit tout entier et rigoureusem
al. — Analogies entre les artères de la protubérance, du bulbe et des
ganglions
centraux. — Leur mode d'origine explique la prédo
e d'origine et de distribution des artères de la protu-bérance et des
ganglions
centraux, une des raisons d'ordre mécanique, capa
qui concerne les artères cen-trales. 1° Le chemin du cœur aux gros
ganglions
de la base est rès court. Les artères qui se rend
ganglions de la base est rès court. Les artères qui se rendent à ses
ganglions
émanent en qn3lqu3 sorte directement des artères
e : 1° de fibres de la cou-ronne rayonnante qui se terminent dans les
ganglions
; 2° de fibres qui, partant des ganglions, se rép
e qui se terminent dans les ganglions ; 2° de fibres qui, partant des
ganglions
, se répandent dans la cou-ronne rayonnante. Se
aux pédonculairesdirects qui traversent la capsule sans s'arrêter aux
ganglions
; 2° Par des faisceaux pédonculaires indirects.
psule interne. — C A, commissure antérieure. — H, nerf optique et son
ganglion
optique. —A, commissure dans la cavité centrale d
de Goll. — V, W, Racines antérieures — H, W, Racine postérieure. — G,
Ganglion
intervertébral (d'après Kolliker). b) Ceux-ci n
moelle épiriière, sur les racines de la queue de cheval, au-dessus du
ganglion
; elle consiste en une tumeur sarcomateuse ou myx
pas la périphérie de la racine, c'est-à-dire 14 portion attenante au
ganglion
, mais bien la partie centrale, celle qui tient à
centre trophique, pour les nerfs sensitifs, doit être cherché dans le
ganglion
intervertébral ; cela est si vrai que, si l'on, e
e ganglion intervertébral ; cela est si vrai que, si l'on, extirpe ce
ganglion
, la dégénération frappe la racine tout en-tière e
ales; — vaisseaux nourriciers. — Système des artères centrales ou des
ganglions
centraux. Artère sylvienne: ses branches : artè
al. — Analogies entre les artères de la protubérance, du bulbe et des
ganglions
centraux. — Leur mode d'origine explique la prédo
opliques. N, nerf optique ; R, noyaux réflexes du mésocéphale ; GO,
ganglion
ophtal- mique. 'En Irait plein : voies optiques
e cérébrale des cunéus en deux étapes. Elles font un arrêt dans les
ganglions
du 111(,Isocéphile (corps gcnouillé externe, co
ouche optique, tubercule quadri- jjlueau antérieur). C'est dans ces
ganglions
, et particulièrement dans le tubercule quadriju
topsies, des hallucinations visuelles. , Hémianopsie par lésion des
ganglions
centraux. Les symptômes associés auxquels donne
ômes associés auxquels donnent lieu les hémianopsies par lésion des
ganglions
centraux sont, à vrai dire, mal connus. Les para-
sont fréquentes. ' Le corps genouillé externe paraît être le seul
ganglion
dont la lésion donne l'hémianopsie (Henchcn). D
de la moitié voyante. Si, au contraire, la lésion siège en deçà des
ganglions
du méso- céphale, entre ceux-ci et la rétine, c
t par le sympathique cervical, mais bien vite viennent rejoindre le
ganglion
de Casser. Les uns et les autres se rencontrent
le ganglion de Casser. Les uns et les autres se rencontrent donc au
ganglion
de Casser, cl vont ensuite ensemble à l'iris, p
. Les filets irido-moteurs, avant d'arriver à l'iris, traversent un
ganglion
, le ganglion ophtalmique. De plus, autour de l'
irido-moteurs, avant d'arriver à l'iris, traversent un ganglion, le
ganglion
ophtalmique. De plus, autour de l'iris existe u
duquel se voient un grand nombre de cellules ganglionnaires. Ces
ganglions
exercent certainement une action importante sur l
émontré l'action tonique irido-constrictive et irido-dilatatrice du
ganglion
ophtalmique, ainsi que son action réflexe irido-d
ydriase incomplète. Si on sectionne les nerfs ciliaires en avant du
ganglion
, la mydriase est complète. Pourquoi cette diffé
la mydriase est complète. Pourquoi cette différence ? Parce que le
ganglion
ophtalmique, après section du I. 0. C., continu
pupillaire très léger; l'excitation des nerfs ciliaires en avant du
ganglion
donne une irido-constriction très marquée. Les fo
tions du M. 0. C. se trouvent donc modifiées, amplifiées au delà du
ganglion
. Ces exemples, pris entre beaucoup d'autres, on
A, pédoncules cérébraux; C, protubérance; B, bulbe; M, moelle; GS,
ganglion
sympathique cervical; 1. GG, ganglion gtuucute
nce; B, bulbe; M, moelle; GS, ganglion sympathique cervical; 1. GG,
ganglion
gtuucute et origine des trois branches du trijume
almique , du trijumeau; M, moteur oculaire commun; V, carotide; G0,
ganglion
ophtalmique; I, iris ' avec, c, le constricteur
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. tenir compte de l'existence de ces
ganglions
, quand il s'agit d'expliquer un trouble pupilla
e cela est de règle, la paralysie du M. 0. C. s'arrête au relais du
ganglion
ophtalmique. La cocaïne, excitatrice des termin
r sont intactes, c'est-à-dire si la lésion siège avant le relais du
ganglion
cervical supérieur. L'ésérine produit un myosis
faut se rappeler il ce propos les expériences de F. Franck, sur le
ganglion
ophtalmique. La section des nerfs ciliaires il le
se produire que dans les lésions du système ner- veux, en avant du
ganglion
ophtalmique ou il son niveau. méningites. Abcès
convergence, nullement altéré, transmet toujours ses incitations au
ganglion
ophtalmique tout entier, et par suite excite le
es sécrétoires se détachent du facial, dans le rocher, au niveau du
ganglion
géniculé. De là elles passent dans le grand ner
pétreux superficiel, le nerf vidien qui lui fait suite, arrivent au
ganglion
splié.no-palatin, le traversent, pénètrent dans
res sécré- toires des larmes venant du facial. A, nerf facial; IL
ganglion
géniculé ; C, corde du tympan; D, grand nerf pé
iculé ; C, corde du tympan; D, grand nerf pétreux superficiel; E,
ganglion
sphéno-palatin ; F, ganglion de uasser el les t
D, grand nerf pétreux superficiel; E, ganglion sphéno-palatin ; F,
ganglion
de uasser el les trois branches du trijumeau; G
ant par le facial, le grand pétreux superficiel, le nerf vidien, le
ganglion
le nerf maxillaire supérieur et son rameau orbi
rauss, la diminu- tion de la sécrétion lacrymale après résection du
ganglion
de Casser, serait due à la lésion concomitante
cune modification de la sécrétion lacrymale après deux ablations du
ganglion
de Casser. Enfin je pourrais ajouter encore l'a
que persisterait dans les lésions postérieures du trijumeau (tronc,
ganglion
de Casser, tronc ophtalmique); elle manquerait au
tumeurs corticales. Tumeurs cérébrales centrales avec lésion des
ganglions
centraux. - Ilémianopsie à caractères spéciaux
es (mydriase, inégalité) (p. 87) : l'onctions respectives des trois
ganglions
de la base (corps genouillé externe, tubercule
tuent bientôt pénètre dans le conduit auditif interne, traverse le
ganglion
de Scarpa et s'unit au rameau auditif de la coc
petits plexus nerveux qui se forment il leur niveau rencontrent le
ganglion
de Corti dans le canal de liusunilull et forment
eurs. G, noyau rouge. - H, cerveau. 4. nerf vestibulaire avec 1',
ganglion
de Scarpa. 2, 2', 2", noyaux bulbaires des fi
la zone sensitivo-motrice du cerveau. a, nerf cochléaire avec a',
ganglion
de Corti. b, b', noyau antérieur et tubercule
urs on sait actuellement que les interventions chirurgicales sur le
ganglion
de Casser peuvent déterminer une otite neuro-para
tion de I'o1'allc l1C Corii s'accompagne d'atrophie des cellules du
ganglion
de Rosentilai. La lésion est probablement d'ori
1111(' action SUI' fp l'('I'\L'all 011 SUI' la 1l1O¡;f1(" SUI' Il'
ganglion
cl'I'YÍcal infl'rieur, SIII' l" centre de l'aud
t IJJ'('Y ! 'IIS 0111 décrit des lésions de. chronialolyse dans les
ganglions
de Corti et de Scarpa pouvant aller jusqu'à la
e l'olfaction dans les lésions du trijumeau, après l'extirpation du
ganglion
de Gasser, par exemple. On sait que Magendie av
ffet, le relais des voies sensitives, qui toutes s'arrêtent dans le
ganglion
avant de gagner le cortex et on sait aujourd'hui
trices intéressées, ce qui se comprend, étant donné qu'il partir du
ganglion
rachidien les fibres sensitives sont intimement
E. - 3M rameaux accompagnent la branche interne du .spinal jusqu'au
ganglion
plexiforme du pneumogastrique et se détachent v
exiforme du pneumogastrique et se détachent vraisemblablement de ce
ganglion
en suivant le nerf pharyngé qui n'est que la cont
parcourt d'arrière en avant la fenle sphéno-axillaire A, au-dessus du
ganglion
sphéno- palatin C et de l'artère maxillaire int
l'épaule, mouvements qui produisent les paralysies radiculaires, le
ganglion
rachi- dien tond à faire hernie hors de la gain
ait de l'hyperacousie douloureuse. Une lésion siégeant au niveau du
ganglion
géniculé déterminerait, d'après certains auteur
iale indiquerait que le siège de celle-ci se trouve au voisinage du
ganglion
genicnle; cette hypoacousie dénoterait en effet
ie inférieure du coli- maçon séparée du nerf facial au voisinage du
ganglion
géniculé par une épaisseur de paroi osseuse qui
cas de paralysie faciale alors que la lésion siège au voisinage du
ganglion
géniculé. Lorsque la lésion siège au-dessus du
oisinage du ganglion géniculé. Lorsque la lésion siège au-dessus du
ganglion
géniculé on observe le tableau clinique précédent
et le digastrique, il s'agit le plus souvent de compression par les
ganglions
tributaires de l'appareil auditif; 5° entre le
ranche médullaire, ils pénètrent clans cette ouverture, ou se voit le
ganglion
jugulaire, accompagnés par le glosso-pharyngien
ire interne, l'hypoglosse, le grand sympathique et d'assez nombreux
ganglions
lymphatiques. Ce qui nous intéresse le plus c'est
ue, immédiatement au-dessous du trou déchiré postérieur présente le
ganglion
plexiforme qui reçoit à sa partie supérieure et e
ler innerver le sterno-cléido-mastoïdien et le trapèze. C'est de ce
ganglion
que partent les nerfs pharyngiens supérieur et
où prendront naissance les nerfs du voile du palais. C'est aussi du
ganglion
plexiforme, à sa partie inférieure, que naît le
ences ont pour point de dé- part la fusion qui s'opère au niveau du
ganglion
plexiforme entre le pneu- mogastrique et la bra
, mais l'examen radiographique ayant l'ait constater la présence de
ganglions
dans le médiastin, on ne peut s'em- lipeher de
gauche dans un cas d'adduction bilatérale. Les tumeurs du cou, gros
ganglion
tuberculeux, tumeurs cancéreuses des ganglions,
tumeurs du cou, gros ganglion tuberculeux, tumeurs cancéreuses des
ganglions
, de l'oesophage ou du corps thyroïde, goitres vol
S'il ne s'agit pas d'anévrisrne, on trouvera dans le médiastin des
ganglions
hypertrophiés, de l'adénopathie trachéo-bronchi
as englobé dans une pleurésie séro-fibrineuse du sommet ou dans des
ganglions
trachéaux (Lubet-Barbon). Osier a insisté sur les
erne commandé par le trijumeau) par les nerfs pharyngiens émanés du
ganglion
plexiforme et provenant des racines de la branc
'ois sur l'hypoglosse et sur le pl1l'llmo-gas- trique au-dessous du
ganglion
plexiforme, alors que les filets des nerfs phar
stin et principalement les hypertrophies plus ou moins durables des
ganglions
lymphatiques : la toux coqueluchoïde de l'adéno
due à l'intoxication, où elle peut être due à la compression par un
ganglion
tuberculeux. La névrite du pneumogastrique peut
eant le plus souvent à la verge; 4° Cette lésion est accompagnée de
ganglions
rarement suppures; 5° C'est une lésion d'assez
dénopathies secondaires ou secondo-tertiaires, sous forme de petits
ganglions
durs roulant sous le doigt. Examen de la peau.
section de la branche sous-orbitaire du trijumeau, l'enlèvement du
ganglion
de Casser, du ganglion cervical supérieur du gr
sous-orbitaire du trijumeau, l'enlèvement du ganglion de Casser, du
ganglion
cervical supérieur du grand sympathique; chacune
récidives, ou même des opérations plus graves comme la résection du
ganglion
de (lasser. Depuis quelques années, les injecti
cessive- ment,, avec de fins ciseaux, les racines rachidiennes. Les
ganglions
rachidiens doivent être soigneusement disséqués
, INCLUSIONS. 155t de petits fragments (système nerveux central,
ganglions
, nerfs périphé- riques). Ces petits fragments s
smique, est recommandée par A. Thomas et G. Hauser pour l'élude des
ganglions
rachidiens chez les tabétiques. « Cette méthode
Hauser conscillent les deux procédés suivants : A) 1° Suspendre les
ganglions
fendus longitudinalement dans un mélange de :
lésion cor- ticale, 52. par lésion sous-corticale, par lésion des
ganglions
centraux, 55. par lésion de la bandelette, par
nce de Samuel : —Chez un lapin, deux aiguilles sont appliquées sur le
ganglion
de Casser et l'on laitpasserun courant d'inductio
sion de l'œil. La mort arriva inopinément. A l'autopsie, on trouva le
ganglion
de Gasser du côté droit, volumineux et très dur.
à droite plusieurs stéatomes du volume d'un haricot, d'une amande. Le
ganglion
de Gasser et les trois branches du trijumeau sont
comparée du cer-veau, t. IL, p. 67;, malgré l'altération profonde du
ganglion
de Casser, et des raci-nes de la grosse portion d
aupières, obnubilation et plus tard opacité complète de la cornée. Le
ganglion
de Casser du côté droit était d'un jaune gris, tu
oit était d'un jaune gris, tuméfié, imbibé de sérosité. La portion du
ganglion
d'où part le nerf ophtal-mique était rouge et inj
de la petite branche, restée saine. Les trois nerfs, à leur issue du
ganglion
, offraient une coloration jaune, qui cessait d'ex
mais en ouvrant les trous de conjugaison du côté droit, on trouva les
ganglions
spinaux et les troncs nerveux eux-mêmes., tuméfié
naître une multiplication très accentuée des éléments nucléaires. Les
ganglions
et les nerfs correspon-dants du côté gauche ne pr
ès remarquable de voir l'inflam-mation, encore exactement limitée aux
ganglions
et aux nerfs spinaux, se produire spontanément, s
as de zona du cou avec altération des nerfs du plexus cervical et des
ganglions
correspondants des racines spinales post Mém. de
ontané se développent à la suite d'une névrite de ce genre (2). — Les
ganglions
spinaux ont été trouvés aussi fortement altérés,
séeux, laquelle se prolongeait jusque sur les gaines des nerfs et des
ganglions
spinaux. La dure-mère, elle-même, était épaissie
t aussi prononcées à droite qu'à gauche, cependant les 9e, ÏÙC et 11°
ganglions
dorsaduux côté gauche étaient seuls tuméfiés et p
ent seuls des altérations apprécia-bles au microscope. Dans ces trois
ganglions
, les cellules ner-veuses avaient disparu, et, au
rnes postérieures de la substance grise ; 4° lésions irri-tatives des
ganglions
spinaux ou des nerfs périphériques ; car ces doul
tériole, distendue à l'excès par le thrombus, avait comprimé •soit le
ganglion
spinal, soit une branche d'origine du nerf sciati
verte de végé-tations d'apparence fibrineusc, molles, rougeàtres. Les
ganglions
du mésentère sont un peu rouges et tuméfiés, mai;
e : il pense que la moelle épinière ne joue ici aucun rôle et que les
ganglions
spinaux ou les nerfs périphé-rique sont seuls en
ient à la région sacrée, et assurément sans participation directe des
ganglions
spinaux ou des nerfs périphériques. Les casd'héma
ons irritatives des nerfs périphériques, et peut-être aussi celle des
ganglions
spi-naux, ne puissent avoir quelquefois pour effe
évelopper dans le lobe supérieur du poumon à la suite delà section du
ganglion
du nerf vague. (Wunderlich's Archiv, 6, Jahr. 8.
ber (4). Tout récemment encore, M. Sinitzin, après l'extirpation du
ganglion
cervical supérieur d'un côté, aurait vu l'introdu
ait d'ailleurs fait remarquer depuis longtemps déjà que l'ablation du
ganglion
cervical supérieur parait retarder l'apparition d
ple, que les nerfs trophiques ont tous leur origine centrale dans les
ganglions
spinaux postérieurs ou dans les ganglions analogu
r origine centrale dans les ganglions spinaux postérieurs ou dans les
ganglions
analogues des nerfs crâniens, car les cas sont no
lysie agitante, 187 ; — dans la sclérose en plaques, note, 272. G
Ganglion
cervical supérieur (Effets résultant cle l'extirp
ons irritatives, 13, 17 ; — ocu-laires consécutives à l'irritation du
ganglion
de Gasser, 14, 17; — à la section dn nerf trijume
té des si- gnes de déficit cérébelleux, dans les tumeurs de ce gros
ganglion
. Je résumerai d'abord l'observation du malade d
urtout à la région dorso-lombaire, sont épaissies et adhérentes. /)
Ganglions
spinaux. Leur capsule fibreuse est hypertrophiée,
substance blanche qui a perdu en épaisseur ; Les masses grises des
ganglions
de la base, la capsule interne, la couronne ray
le trigone ascendant où elles sont parallèles aux fibres ; dans les
ganglions
de la base elles sont rondes. Elles ne manquent
se. La moelle lombaire, examinée au Nissl, est normale. Nerfs. Un
ganglion
spinal gauche, examiné, est normal. Le sciatique
yaux qui semblent un peu augmentés de nombre. Sympathique. Dans les
ganglions
senti-lmcaires, les cellules nerveuses sont nor
le doublée de volume et une hy- pertrophie considérable de tous les
ganglions
et nerfs sympathiques (5), etc..... , De ce q
iarrhée et de constipation. Poumons. -Sommets soufflants, matité.
Ganglions
inguinaux volumineux et durs. Cicatrice pigment
aire paraît normale. Les vaisseaux des racines sont très dilatés.
Ganglion
rachidien. Il présente une infiltration extrêmeme
fig. 10). Les racines postérieures sont également enflammées; leurs
ganglions
présen- tent une infiltration intense de petite
mo- philes bien colorées. Leurs prolongements sont peu apparents.
Ganglions
rachidiens. Les vaisseaux sont atteints de périar
s sont bourrés de noyaux embryonnaires, surtout à la périphérie des
ganglions
. Les symptômes provoqués par les lésions partie
moitié correspondante de la langue, et une augmentation du poids de
ganglion
lymphatique correspondante » (Luciani). Ces d
me nerveux central, et d'autres qui localisent ces centres dans les
ganglions
spinaux [Morat (140)], et d'autres encore dans
er soutient que les vasomoteurs subissent une interruption dans les
ganglions
du sympathique, Stricker, Bonozzi, Bagliss ont
de l'épendyme) ; constitution et ge- nèse de la tumeur cérébrale ;
ganglions
crâniens ; marche générale du processus méningi
nification de l'hémicranie Destruction des centres et persistance des
ganglions
. Préliminaires L'évolution des idées sur la P
errons plus loin à quel point cette assertion est justifiée que les
ganglions
spinaux ne sont intéressés qu'à la dernière extré
On ne saurait trop insister sur cette intégrité presque absolue des
ganglions
spinaux, intégrité relevée par différents auteu
XLV ter-M). Les processus sont donc ici très avancés. Eu outre, les
ganglions
spinaux, contrairement au cas général, offrent
e la tumeur, sur laquelle on a si longtemps discuté sans aboutir.
Ganglions
crâniens. Que les processus inflammatoires aient
s que présente la peau, mais aussi par l'envahissement tar- dif des
ganglions
nerveux. Nous avons noté ce fait, pour ce qui est
e exemple. Au niveau de l'encéphale, la même intégrité relative des
ganglions
se retrouve; elle se retrouve tout particulière
ntégrité relative de l'oeil, et, d'une façon plus générale, celle des
ganglions
cérébro-rachidiens, n'est pas seulement due, se
Dm. Dure-mère. Rp. Racines postérieures. Rc. Revêtement cutané. Gg.
Ganglion
rachidien. 392 RABAUD ganglion. Dans l'ensemb
ures. Rc. Revêtement cutané. Gg. Ganglion rachidien. 392 RABAUD
ganglion
. Dans l'ensemble, on n'a sous les yeux qu'une néo
lus intéressante, mais la plus importante, est la persis-^ tance du
ganglion
rachidien. Ce n'est pas une disposition banale qu
asculaires plus ou moins dilatés, ressort nettement la section d'un
ganglion
(PI. XLV-F). Sans doute, l'inté- grité de ce ga
section d'un ganglion (PI. XLV-F). Sans doute, l'inté- grité de ce
ganglion
est gravement compromise ; les colorations au Nis
figure ; néanmoins ces cellules existent encore et montrent que le
ganglion
rachidien est, de toutes les parties du système
lammation de l'oeil ; tout cela n'est rien à côté de ce fait que le
ganglion
persiste encore, alors que de toutes parts, il es
oire à son début. En outre, en dehors de la dure-mère, existent des
ganglions
rachidiens caractérisés par une prolifération con
ons que l'on distingue par endroits, tant avec la moelle qu'avec le
ganglion
rachidien. Quant à ce dernier, il est gravement
achidien, respectant, comme il fallait s'y attendre, l'ensemble des
ganglions
et des nerfs qui en émanent. Pendant que se désag
ure, nullement douloureux. Aucune saillie osseuse anormale, aucun
ganglion
enflammé. A l'examen de la bouche,on constate d
gauche. Aucune atrophie musculaire au niveau du quadriceps, au- cun
ganglion
dans l'aine, aucune douleur par pression au nivea
. Dans la première l'au- teur observa une atrophie des nerls et des
ganglions
intervertébraux correspondants à une ptérobrach
e sans encombre ; l'examen histologique des organes, aussi bien des
ganglions
nerveux et de l'oeil que des organes somatiques
DE L'ANENCÉPHALIE 695 6. Destruction des centres et persistance des
ganglions
. - L'absence de système nerveux chez les pseude
s-uns - de l'axe cérébro-spinal n'entraînait pas la disparition des
ganglions
rachidiens et crâniens. On s'est étonné de voir l
très avancé de différenciation ; on s'est étonné de re- trouver les
ganglions
spinaux en état d'intégrité relative, bien que en
l ; il s'est formé, il s'est développé, tandis que nais- saient les
ganglions
et que les prolongements nerveux apparaissaient e
venu, c'est que, par le fait même de la suppression du névraxe, les
ganglions
ne dégénèrent pas eux-mêmes rapidement. Il semb
en effet, qu'il dût en être ainsi; que les yeux aussi bien que les
ganglions
spinaux ne dussent pas attendre la pro- pagatio
r que non seulement la mort du névraxe n'en- traîne pas la mort des
ganglions
, mais que, même, ceux-ci continuent de se diffé
nclure que l'état de différenciation où nous trouvons l'oeil et les
ganglions
a été acquis bien après l'invasion de la méning
nes conclusions de faits purement pathologiques. La persistance des
ganglions
a donné lieu à des considérations d'un autre or
erveux est parfaitement sain. Des raisons analogues valent pour les
ganglions
spinaux ; bien qu'ils existent, ils sont toujou
ins, car, en ce qui concerne l'estomac, la lésion n'affectait que les
ganglions
situés le long de la petite courbure et la portio
produit une légère stimulation de tout le système grand sympathi-que,
ganglions
cardiaques, filets vaso-moteurs, etc., et par son
mmuniquent entre elles, ou même s'il n'existe pas une poche unique. —
Ganglions
inguinaux de volume normal. La flexion de la cu
e glissait facile-ment sur la tumeur. —Le cordon paraissait sain, les
ganglions
voisins n'étaient pas engorgés. Le toucher rectal
GANES GÉNITAUX est recouvert d'un sablé de granulations grises; les
ganglions
mé-sentériques sont infiltrés. Les organes géni
e masse compacte de tubercules crus. On dirait, à la coupe, un de ses
ganglions
, semblable à une châtaigne ouverte, qui ont été c
tissu se déchire avec la plus grande faci-lité; il en est de même des
ganglions
mésentériques. Le sang est profondément modifié
démontre, au niveau du col de l'utérus, l'existence de deux ou trois
ganglions
. Un exemple nous en est fourni par une des plan-c
r une des plan-ches qui se trouvent à la tin de sa Ihèse. Lorsque ces
ganglions
n'existent pas, on peut voir clans le même point
-sac vaginal latéral. Or, nous ferons remarquer avec l'auteur que les
ganglions
ou le plexus correspondent « au point où se dével
de l'excavation pelvienne, sans adhérence avec les os du bassin. Les
ganglions
inguino-cruraux n'étaient point engorgés ; l'état
des réseaux lymphatiques et des troncs qui vont des réseaux jusqu'aux
ganglions
? ou l'érysipèle n'est-il, comme le prétend M. Tr
lesrhéophores brusquement. Il en est de même lors-qu'on électrise les
ganglions
cervicaux ou la partie supérieure de la moelle :
est que la sonde qu'on en retire est chargée de sang et de pus. Les
ganglions
de l'aine et surtout ceux de gauche sont engorgés
rce que les limites en sont difficiles à préciser et que du reste les
ganglions
de l'aine sont pris. — Cette solution ne plaît pa
e est altérée, sanieuse ; les corps caverneux sont altérés aussi. Les
ganglions
de l'aine sont engorgés, ceux du pelvis ne présen
s, mais suivies d'une longue traînée de cellules lymphoïdes? Un des
ganglions
inguinaux engorgés n'a pas offert d'autre signe d
ccompagné de douleurs ou d'hémorrhagies, ni de retentissement sur les
ganglions
lymphatiques voisins, ni d'altération de la santé
tement qu'en bas, au voisinage du lobule. Engorgement dou-loureux des
ganglions
cervicaux. G mai. L'œdème a diminué, on peut s'
le du côté correspondant de la face et du pavillon de l'oreille ; les
ganglions
cervicaux les plus élevés soit en avant, soit en
atif sur la nuque ; on peut agir aussi efficacement en électrisant le
ganglion
cervical supérieur. Les phosphènes et les vertige
s phosphènes et les vertiges que l'on peut produire en électrisant le
ganglion
cervical en sont une preuve certaine. Mais cette
ur conséquent une circulation plus active. Si au lieu d'agir sur le
ganglion
cervical supérieur, on met un des pôles sur le fr
ment obtenu une amélioration notable, et uniquement en électrisant le
ganglion
cervical supérieur. Dans d'autres cas, la maladie
rfs qui émergent du canal vertébral sont relativement gros. Plusieurs
ganglions
sympathiques sontvisibles à la partie supérieure
croissement d'é-nergie des battements du cœur par leur action sur les
ganglions
de Remak, et l'augmentation immédiate de la tensi
te de la tension dans les vais-seaux, par suite de leur effet sur les
ganglions
intra-cardiaques et sur les vaso-moteurs à leur o
ion cervicale posté- rieure, surtout du côté gauche, la présence de
ganglions
de moyen volu- me, isolés, roulant sous le doig
sente aucun des grands caractères de l'adénopathie spécifique : les
ganglions
ne sont pas durs, nettement indépendants des part
ion nucléaire disposée comme plus haut et qu'on put suivre jusqu'au
ganglion
spinal ; d'ans ce ganglion même, on constata par
e plus haut et qu'on put suivre jusqu'au ganglion spinal ; d'ans ce
ganglion
même, on constata par places une augmenta- tion
es une augmenta- tion nucléaire assez considérable. Les cellules du
ganglion
spinal étaient en' partie d'une teinte très pâl
acines sont seulement infiltrées on les suit facilement jus- qu'aux
ganglions
spinaux. Pas plus que les racines ils ne semblent
elle-même, dans l'espace sous-arachnoïdien, dans les racines et les
ganglions
où les , LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS
s de la rate, des poumons, des os, de la peau, des muqueuses et des
ganglions
décrites pré- cédemment, absolument comparable
es, libres, les vaisseaux n'y sont pas anormalement dé- veloppés.
Ganglions
normaux. Pie-mère, n'adhère pas à la moelle à c
stension exagérée des vaisseaux qui sont dans leur intérieur. Les
ganglions
entourés d'une coque fibreuse très épaisse sont i
s qui ont envahi tous les espaces laissés libres entre elles. Les
ganglions
paraissent moins infiltrés que dans les coupes pr
méninges, les vaisseaux dans toute la hauteur de l'axe spinal, les
ganglions
correspondent exactement au type normal que nou
t dite est normale dans ses divers éléments, de même les racines et
ganglions
sont sains. La pie-mère infiltrée de cellules r
n, quoique encore persistante, est beaucoup moins considérable. Les
ganglions
sont extraordinairement infiltrés par des cellule
su embryonnaire qui les entoure sont à peine reconnaissables. Les
ganglions
sont normaux dans la plupart des points. On remar
s pressées les unes contre les autres et situé juste au milieu d'un
ganglion
; des prolongements irréguliers prolongent la l
la moelle proprement dite, soit dansiez méninges, les racines, les
ganglions
. Mais ces vaisseaux ont une paroi mince, leur l
pées autour d'un vaisseau forment une véritable gomme miliaire. Les
ganglions
sont non moins atteints. Ils sont contenus dans u
ssent à leur forme cylindrique; on peut encore suivre en partant du
ganglion
extérieur au canal rachidien une racine nerveuse
et ce qui dépend du tissu transformé de l'espace extradural.. Les
ganglions
sont beaucoup moins bouleversés, on reconnaît net
te de l'état normal des méninges, des vaisseaux, des racines et des
ganglions
. Observation XIII, 25 mars 1896 (Broca). Foet
isceaux des racines antérieures sont encore nettement visibles. Les
ganglions
sont évidemment altérés, les cellules nerveuses p
est absolument normale ainsi que ses enveloppes, les racines et les
ganglions
. Observation XX, 15 juin 1896 (Broc : ¡). Foe
es le long des septa conjonctifs qui séparent les fascicules. Les
ganglions
ont une coque très épaissie, fibreuse avec ça et
rfaitement libres, distinctes des méninges, et les unes des autres.
Ganglions
ni fibreux ni infiltrés. Pie-mère, face interne
nes sont remplies de cellules embryon- naires. Les racines et les
ganglions
sont normaux. La pie-mère est peu épaisse, non
tement disparu sous le processus néoplasique qui les englobe. Les
ganglions
sont toujours infiltrés, mais leurs cellules nerv
). - Peau blanche et laiteuse ; che- veux châtains blonds, quelques
ganglions
inguinaux engorgés à droite (lymphatisme). - La
Thorax. Le pédicule pulmonaire gauche est resserré par de nombreux
ganglions
tuberculeux. A droite, ces ganglions sont dans
e est resserré par de nombreux ganglions tuberculeux. A droite, ces
ganglions
sont dans le même état, mais moins nombreux. To
ces ganglions sont dans le même état, mais moins nombreux. Tous ces
ganglions
sont durs. Les deux plèvres viscérales portent
e mésentère et les appendices épiploïques du gros intes- tin. Les
ganglions
mésentériques sont gros et rosés. Au niveau de
ques sont gros et rosés. Au niveau de l'angle iléo-coeeal existe un
ganglion
nettement caséeux. L'appendice vermiculaire rem
dice iléocoecal; sain et libre, a environ 6 c/m. de longueur. - Les
ganglions
mésentériques offrent une masse d'aspect cérébr
ne masse d'aspect cérébroïde qui ne pèse pas moins de 170 gr. Ces
ganglions
ont à leur centre de volumineux foyers caséeux,
coupes. - Pancréas (10 gr), dur, volumineux. Kate(55gr.) : quelques
ganglions
caséeux au niveau de son hile; pulpe splénique,
ccipital gauche. VIII. Mentionnons enfin l'adénopathie énorme des
ganglions
mésentériques surtout au niveau du coecum ' et
hyroïde sont normaux. - On remarque de nombreux et assez volumineux
ganglions
péri- traciléo-bronchiques. - Thymus : pas de r
ieur. Pas de traces de tubercules dans les poumons.-Engorgement des
ganglions
péri-rachéo-bron- chitiques : plusieurs ont le
bron- chitiques : plusieurs ont le (volume d'une petite noix. Ces
ganglions
, à la coupe, ne sont pas caséeux et n'offrent pas
ure de la base ; dépression cicatricielle assez étendue du sommet ;
ganglion
interbronchique caséeux présentant le volume d'
r.) en putréfaction. - Pancréas (14 gr.). Le mésentère contient des
ganglions
volumineux, nombreux, rosés, sans induration. V
est épaissie, adhérente par places. - Pas de lésions intestinales.
Ganglions
mésentériques hypertrophiés et assez durs. - Le
érence 22 centimètres. Corps thyroïde vaguement perceptible. Petits
ganglions
sous-maxillaires à gauche. Thorax à peu près
onie en foyers disséminés dans les deux poumons. Hypertrophie des
ganglions
périlrachéo-bronchiques. Watteb... (Edouard, Gu
naire coupé en cet endroit et plongé dans l'eau reste au fond. I es
ganglions
péri-trachéo-bron- chiques. surtout ceux situés
pas caséeux ; ils sont seulement le siège d'une vive congestion. Un
ganglion
situé à gauche de la trachée atteint le volume
re, sans oedème. Les jambes sont d'une couleur érythémateuse. Les
ganglions
des aines ne sont pas engorgés. l.a douleur est
e le sternum, à la place du thymus qui a disparu, on trouve un gros
ganglion
de la dimension d'une grosse noix pesant 5 gram
part. - Broncho-pneumonie en foyers disséminés. - Hypertrophie des
ganglions
péritra- chéo-bronchiques. il) L'observation
es tubercules quadriju- meaux, où on peut le suivre jusque dans les
ganglions
situés sous l'aqueduc de Sylvius. » IV. CONNE
es agents de leur généralisation », c'est-à-dire, sans doute, des
ganglions
de la base, du bulbe et de la moelle. Cette inter
ipitales se propage horizontalement à travers l'écorce, non par les
ganglions
de la base. Un autre disciple de Munk, Ziehen,
ques de la sensibiliié et du mouvement croissent en complexité, des
ganglions
de la moelle épinière à ceux des corps opto-str
thalamus opticus et aux noyaux du corps strié, et ce que sont les
ganglions
de la base à la moelle épinière. » Lussana avait
ntuellement, par le fait de la généralisation du processus, que les
ganglions
sous- corticaux entreraient en activité. Bref,
tiques par l'excitation directe des hémisphères cérébraux ou des
ganglions
sous-corticaux. On arrive au même résultat, d'une
ent l'accès d'épilepsie, les premières dérivent de l'excitation des
ganglions
sous-corticaux, les secondes de celle de l'écor
ques que Ziehen fait ré- sulter de la transmission des courants aux
ganglions
infra-cor- ticaux 2. Dans une observation cli
es. Toutefois, à l'instar de Luciani, Seppilli ne nie pas que les
ganglions
de la base, le pont de Varole, le bulbe et la moe
ulbaire et dans le cordon latéral gauche de la moelle épinière. Les
ganglions
opto-striés étaient normaux. Des considérations
ine mesure, les aires motrices détruites de l'écorce cérébrale. Ces
ganglions
de la base, dont les fonc- tions motrices ne di
es des noyaux de la protubérance. La protubérance, en somme, est un
ganglion
intercalé entre le système intellectuel et les
ec les fibres croisées. P. K. XX. CONTRIBUTION A la PHYSIOLOGIE DES
ganglions
infra- corticaux ET A LEURS relations avec l'at
on enlève les hémisphères cérébraux et le trigone pour agir sur les
ganglions
de la base. Voici la conclusion de ces inter- v
êt. - La convulsion tétanique paraît ré- sulter de l'irritation des
ganglions
infra-corticaux, tandis que la convulsion cloni
du cerveau pour aller à la moelle ne passent pas par la station des
ganglions
opto-striés. Il y a com- munication directe ent
n avec la corne d'Ammon. Luys mène la racine olfactive jusqu'à un
ganglion
(noyau amygdalien) qui serait situé à l'origine
de l'écorce grise des circon- volutions par la substance grise des
ganglions
opto-striés, rappe- lant le petit circuit et le
A l'autopsie, on a trouvé une tumeur de la dure- mère comprimant le
ganglion
de Gasser, les branches du nerf trijumeau et, e
ôté droit, il demeurait très net. La pression et l'électrisation du
ganglion
cervical supérieur du nerf sympathique gauche g
e 1 degré relativement au côté droit.' La pression exercée sur le
ganglion
cervical supérieur du nerf sympathique gauche cau
ôté affecté de la face et sensibilité à la pression exercée sur les
ganglions
cervicaux du sympathique droit. Les observati
tion dans le système veineux. G. D. XXIX. Valeur pathologique DES
ganglions
DE CASSER lenticulaire, spinal ET cardiaque. (O
diac ganglict); par Hale W111TE. (Drain., vol. LI, oct. 1890.) Le
ganglion
de Gasser a été examiné dans trente-six cas de ma
Wyss et Kaposi ont trouvé de la névrite de ce gan- glion. Quant au
ganglion
lenticulaire, les altérations de ses cellules p
de ses cellules paraissent avoir une grande valeur. Les troubles du
ganglion
spinal ont été vus dans un cas d'herpès soster.
lion spinal ont été vus dans un cas d'herpès soster. Des lésions du
ganglion
cardiaque ont été trouvées en différents cas :
ogénie de la - circulaire, par Schubert, 410. Fulguration, 453.
Ganglions
, physiologie des-infra- corticaux, par Ziehen,
tour, plusieurs branches au segment supérieur des deux nerfs, au
ganglion
cervical supérieur du sympa- thique et au plexu
l- ques-unes, ascendantes. A leur extrémité supérieure, .les deux
ganglions
recoivent des filets des pharyn- giennes, et en
poussée dans la jugulaire. Sur une pièce bien réussie, on trouve le
ganglion
cervical supérieur et le plexus gauliforme du p
es thyroïdiennes supérieures; plus haut encore au niveau des deux
ganglions
, la circulation en retour suit une triple voie;
upe. En haut, un troncule veineux, qui s'intercale entre les deux
ganglions
, et reçoit, à droite et à gauche, une série de
cription, qui ne souffre que de légères variantes, les veines des
ganglions
du pneumogastrique et du sympathique sont tou
me nerf (comme, par exemple, tumeur de la dure-mère comprimant le
ganglion
de Gosser et les branches du trijumeau dans l'obs
cachectique déterminé par un cancer du sein avec engor- gement des
ganglions
axillaires. R. M. C. XII. LE cas DE MALTER TAYN
e de l'aqueduc de Fallope, et se retrouve en s'atté- nuant jusqu'au
ganglion
géniculé. Au-dessus du ganglion, le nerf est to
retrouve en s'atté- nuant jusqu'au ganglion géniculé. Au-dessus du
ganglion
, le nerf est tout à fait normal; le ganglion lu
géniculé. Au-dessus du ganglion, le nerf est tout à fait normal; le
ganglion
lui-même est intact. Le névri- lemne ne présent
aux tissus du voisinage, et notamment au. grand sympathique et au
ganglion
semi-lunaire. La première question parait, prov
's Archiv., t. CXIV) a publié deux observations dans lesquelles les
ganglions
étaient fortement altérés. L'un des cas était c
altérés. L'un des cas était caractérisé par la dégénérescence du
ganglion
entier ; de nombreux vaisseaux y étaient atteints
oint épaissies que la lumière des conduits était obturée et que les
ganglions
étaient parsemées d'hémorrhagies. Depuis cette ép
nombre d'examens ont été publiés; dans la plupart de ces faits, le
ganglion
semi-lunaire était intact. M. KAHLDEN n'a cessé
ddison typique. Dans ces deux faits, il n'y avait pas de lésion des
ganglions
semi-lunaires, ni d'autres ganglions sus-jacent
il n'y avait pas de lésion des ganglions semi-lunaires, ni d'autres
ganglions
sus-jacents du grand sympathique. En revanche, da
lure que la maladie d'Addison soit produite par des altérations des
ganglions
semi-lunaires et du grand sympathique, quoi qu'
ion : M. FLEINER. - Les altérations décrites par l'orateur dans les
ganglions
semi-lunaires, il les a trouvées, mais l'interpré
de la dégénérescence des fibres myéliniques et des altérations des
ganglions
spinaux (infiltration de cellules rondes, pigme
la sensibilité, sur le nerf lui-même, et probablement aussi sur les
ganglions
et les racines spinaux. Mais, y a-t-il une douleu
même de la nigrosine. Cette parti- cularité est générale. Mais les
ganglions
du cerveau, le cervelet, les régions les puis d
c'est-à-dire de la couche blanche, intermédiaire à l'écorce et aux
ganglions
, qui rayonne dans le premier segment du système d
rendre que l'ar- ticle externe ou putamen, c'est-à-dire la coque du
ganglion
appelé jus- qu'ici noyau lenticulaire; on réser
aux lignes de projection périphériques ou radiaires par rapport aux
ganglions
d'où elles elles rayonnent. P. KERAVAL. XIV.
, de forte odeur dans la plèvre droite. Tuméfaction pro- noncée des
ganglions
du cou, du reste non suppurés. Pas de suppu- ra
ties les plus éloignées de leurs centres nutritifs altérés dans les
ganglions
spinaux postérieurs, les parties lointaines éta
axie frontale; 3° l'étiologie. DU 11uSGRHE-CLAY. XXV. Excision du
ganglion
cervical sympathique supérieur doit dans un cas
e glaucome, avec une revue des travaux publiés sur la chirurgie des
ganglions
cervicaux; par James Moire BILL, L'D11N C. Rena
six ans, sourde muette, et atteinte de glaucome. L'extir- pation du
ganglion
cervical sympathique donna d'excellents résul-
lète de la vue. La revue des travaux publiée sur la chirur- gie des
ganglions
cervicaux, qui termine le travail est intéressant
auche. P. KEnAVaL. III. Remarques sur la structure des cellules des
ganglions
spinaux; par M. de Lenhossek. (Neural. Centnal6
férent de la structure de chacune des cellules ner- veuses dans les
ganglions
spinaux (cellules obscures, cellules claires, c
olorabilités, densités, granulifications des cellules nerveuses des
ganglions
spinaux, purement et simplement. En ce qui co
nsi serait justifiée l'hypothèse que le nucléole des cel- lules des
ganglions
spinaux est constitué par un composé voisin de
stance fondamentale, c'est-à-dire du proto- plasma des cellules des
ganglions
spinaux qui existe entre les mottes de tigroïde
vait déjà reconnue dans le cylindraxe et la partie de la cellule du
ganglion
spinal désignée sous le nom de cône originel. 1
sant et l'on durcit, ainsi, par l'intérieur, les hémisphères et les
ganglions
cen- traux. L'introduction de la canule dans
E PATHOLOGIQUES. 149 XI. De la structure des cellules nerveuses des
ganglions
spinaux; par E. Heimann. (Neurolog. Centralbl.,
ossek. La fixation au sublimé est une bonne chose, et le séjour des
ganglions
spinaux du lapin dans ce liquide pendant vingt-
voies centrales et les relais suivis par les impressions du son, du
ganglion
cochléaire à l'écorce du télencéphale, les foncti
résumer ainsi. Chaque segment du corps de cet animal est armé d'un
ganglion
divisé en deux parties, réunies par une commiss
issure transverse de fibres, affectées à chaque moitié du corps. Le
ganglion
se compose d'un manteau de cellules, la plupart
s (Bethe, de Lenhos- sek). Les racines nerveuses pénètrent dans les
ganglions
; elles y REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
s, les fibres motrices émanant des prolonge- ments des cellules des
ganglions
, les fibres réceptrices arrivant des cellules s
t dans les antennules un court prolongement périphérique et dans le
ganglion
un long prolongement central qui est la fibre s
physiologique, les cellules nerveuse de l'écrevisse sont, dans les
ganglions
, séparées par un certain espace du neuro- pile
des animaux vertébrés. Dans les préparations au bleu de méthyle des
ganglions
de la sangsue, Apâthy a vu des anastomoses, mai
aune clair. Les con- tours des noyaux et leurs foyers dans les gros
ganglions
sont bien accusés de même que l'écorce. Chez
eurolog. Centralbl., XVII, 1898.) Expériences tendant à détruire le
ganglion
de l'isthme du pigeon. L'aiguille en pénétrant
médullaire. Au point le plus rapproché du noyau du pathétique et du
ganglion
de l'isthme, ces fibres s'entre-croisent partie
latéral de la paroi de l'infundibulum; il occupe, à la hauteur du
ganglion
ecto-mamillaire d'Edinger, la partie postérieure
du ganglion ecto-mamillaire d'Edinger, la partie postérieure de ce
ganglion
, dont il n'est séparé que par une couche étroite
n reste négatif, la palpation de l'abdomen ne fait pas découvrir de
ganglions
mésentériques volu- mineux. Diagnostic : tuberc
humides disséminés dans les poumons plus nombreux aux sommets. Les
ganglions
du cou, Archives, 2' série, t. IX. 32 498 REC
ar Hubbell, 528. CELLULLES. Remarques sur la struc- ture (les-des
ganglions
spinaux, par Lenhossrll, liO. Contnbu- tions
r Lnitlden et Sorgo. 1 l6. De la structure des - lier- veuses des
ganglions
spinaux, par lIelll1ann, 149. La-nerveuse rep
hipault, 257. Fumeurs et fumeuses d'opium, par Bérillon, 177. 1
Ganglions
spinaux. De la structure des cellules nerveuses
Gigantisme et acromégalIe, par Achard, 533. Glaucome. Excision du
ganglion
cervical sympathique dans un cas de -, par Bo
devoir.attribuer à une hypertrophie de la glande thyroïde ou des
ganglions
lymphatiques. L'enfant, âgée de dix ans, était né
érique; la peau n'est ni chaude, ni douloureuse à la pression ; les
ganglions
sous-iiiaxii. laires ne sont ni tuméfiés, ni do
Dans l'aine gauche, on trouve deux paquets ganglionnaires, et un
ganglion
isolé dans une masse graisseuse. CACHEXIE PACHY
rouver trace du corps thyroïde. Les nerfs grands splanchniques, les
ganglions
semi-lunaires, la partie inférieure du grand sy
la région thoracique parait normal ; au cou, on ne trouve que deux
ganglions
; l'inférieur a une lon- gueur d'un centimètre e
e dure, lourde, gênant la parole. - Eu 1882, tuberculose, abcès des
ganglions
lymphatiques cervicaux. Matité aux sommets. 4
; circonférence 4 cent. 5. Foie et rate normaux à la percussion.
Ganglions
lymphatiques non hypertrophiés. Peau bistrée, a
s. -Estomac oesophage, pancréas : rien de particu- lier. Péritoine,
ganglions
mésentériques, sains. AUTOPSIE. 113 Larynx et
ourcils. Sourcils noirs assez épais ; cils longs et noirs. Quelques
ganglions
lymphati- ques se sentent sous le doigt à la nu
, TUBERCULOSE GÉNÉRALISÉE. 137 aux deux bases pulmonaires. Deux
ganglions
bronchi- ques sont hypertrophiés et caséeux. Po
enticulaires et irrégulières, surtout dans les fosses iliaques. Les
ganglions
du mésentère sont hypertrophiés, rosés sur une
nges, la plèvre, les poumons, le péritoine, le foie, la rate, les
ganglions
et enfin la colonne vertébrale. Laissant de côté
; cils noirs, assez abon- dants. 14 juin. - Faciès pâle, plombé ;
ganglions
sous-maxil- laires très augmentés de volume; oe
bondant et épais. - Foie (205 gr.), vési- cule biliaire, intestins,
ganglions
mésentériques et pan- ATROPHIE CÉRÉBRALE; PSEUD
ume d'une petite olive ; léger phimosis ; méat nor- mal. Nombreux
ganglions
des deux côtés du cou, surtout à gauche, avec c
icarde et l'aorte. Poumons : droit : 180 gr. ; gauche : 170 gr. Les
ganglions
bronchi- ques forment des masses caséeuses asse
ie des plaques do Peyer sans ulcérations ; tuméfaction légère des
ganglions
mésentériques(l). Tête. Le cuir chevelu offre u
dans les parties 214 ' autopsie. où on ne trouve pas d'adhérence.
Ganglions
du médias- tin postérieur mélaniques, sans augm
sent, de desquamation furfuracée. Pas d'hypertrophie sen- sible des
ganglions
. La sensibilité générale semble légèrement obtu
senter comme corps thyroïde soit du thymus de mouton, soit même des
ganglions
lymphatiques.) Enfin, pour les mêmes motifs que
nécessitent l'énucléation des glandes malades des deux côtés : les
ganglions
extirpés furent reconnus tuberculeux. Le premie
Pour l'étude microscopique, on a pris le cerveau et la moelle, les
ganglions
intervertébraux, les parties cervicale et thoraci
dessous des parties oedématiées et quelques muscles de la main. Les
ganglions
du grand sympathique ont été congelés et examin
tout un tableau parfaitement normal. Aucune modi- fication dans les
ganglions
intervertébraux et sympathiques. Il en est de m
cal Times, avril 1895.) C'est l'observation d'un matelot opéré pour
ganglion
tubercu- leux du cou par un curettage avec la c
nnées nous apprennent que les cellules nerveuses de la rétine et du
ganglion
spinal cochléaire sont des constructions homologu
on spinal cochléaire sont des constructions homologues à celles des
ganglions
spinaux; ces cellules envoient tous les cylin-
périphérique, le tabès dorsal étant une maladie qui débute par les
ganglions
spinaux et leurspro- longements cylindraxiles d
donc bien les homologues de ceux-ci. La structure des cellules des
ganglions
spinaux, unipolaire, n'est qu'une apparence, comm
gue des prolongements protoplasmiques de cellules rétiniennes et du
ganglion
spinal cochléaire. Les ganglions spinaux correspo
iques de cellules rétiniennes et du ganglion spinal cochléaire. Les
ganglions
spinaux correspon- dent au ganglion rétinien et
anglion spinal cochléaire. Les ganglions spinaux correspon- dent au
ganglion
rétinien et au ganglion spinal cochléaire. Les
e. Les ganglions spinaux correspon- dent au ganglion rétinien et au
ganglion
spinal cochléaire. Les racines postéiieures et
de la moelle, se retrouve dans le lobe optique des oiseaux, dans le
ganglion
dorsal optique (ganglion dorsal du nerf optique
dans le lobe optique des oiseaux, dans le ganglion dorsal optique (
ganglion
dorsal du nerf optique ? et il est permis de supp
otrices sont toujours atteintes; quant aux lésions des cellules des
ganglions
spinaux on n'en a pas encore de preuves certain
nt dendritique celui qui, par- tant d'un des pôles d'une cellule du
ganglion
intervertébral, s'en va à travers le nerf sensi
dérer le prolon- gement périphérique du tube en T, de la cellule du
ganglion
intervertébral. L'embryologie démontre d'ailleu
bres de la sensibilité dans leur trajet compris entre la cellule du
ganglion
intervertébral et la péri- phérie, comme consti
pression sensible au moment où elle part de la peau pour arriver au
ganglion
intervertébral marche en effet vers le centre d
he en effet vers le centre du neurone qui forme les cellules de ces
ganglions
; elle doit donc suivre les prolongements dendri
drites qui constituent les nerfs sensibles ; son centre est dans le
ganglion
intervertébral; son prolongement neural, après
es branches collatérales. Où débute la lésion ? Est-ce au niveau du
ganglion
ainsi que les premiers observateurs des lésions
ne représente, à la partie supé- rieure de l'axe cérébro-spinal, un
ganglion
intervertébral. Le fait qui, à première vue, pe
le est dans la moelle, le bulbe, le cerveau, au lieu d'être dans le
ganglion
intervertébral. Disons tout de suite que les lé
dendrites se mettent en contact avec le cylindraxe d'un neurone du
ganglion
intervertébral qui par- vient jusqu'au bulbe en
e règle que la lésion respecte à peu près la racine postérieure, le
ganglion
invertébral ainsi que la zone de Lissauer. Seul
urone, c'est-à-dire ni dans les circonvolutions motrices ni dans le
ganglion
intervertébral, mais au contraire dans les neur
iendrait un nodus gris, allongé en avant en forme de coin, sorte de
ganglion
termi- nal des fibres optiques, de celles qui o
uellement comme manifestation sy- philitique qu'une tuméfaction des
ganglions
du cou et des ganglions épi- trochléens qui att
ation sy- philitique qu'une tuméfaction des ganglions du cou et des
ganglions
épi- trochléens qui atteignent le volume d'une
phie des hémisphères cérébraux ; 3° une atrophie presque totale des
ganglions
cérébraux centraux (le pulvinar, les corps geno
dification pathologique. Les poumons sont farcis de tubercules. Les
ganglions
trachéo-bronchi- ques agglomérés en amas volumi
manifestation cutanée, ni dans les nerfs périphériques ni dans les
ganglions
spinaux. « Dans ces conditions, il est permis d
oires que vous savez n'a rien à voir avec l'influence trophique des
ganglions
ou de l'axe gris médullaire. Il faut se garder de
gation des racines postérieures, à cause de la position oblique des
ganglions
qui leur permet de se redresser, nous permet de d
n plutôt que de destruction avec retentisse- ment probable dans les
ganglions
rachidiens et dans les neurones sensitifs médul
gique, de la physiologie et de la clinique. Anatomie. De tous les
ganglions
crâniens, aucun n'affirme plus nette- ment sa p
ns, aucun n'affirme plus nette- ment sa parenté avec le système des
ganglions
rachidiens que le ganglion auriculaire, surtout
te- ment sa parenté avec le système des ganglions rachidiens que le
ganglion
auriculaire, surtout dans la période ontogénéti
s'est pas encore fractionné en deux amas nucléaires principaux, le
ganglion
de Scarpa, et le ganglion de Corti. Il appartie
né en deux amas nucléaires principaux, le ganglion de Scarpa, et le
ganglion
de Corti. Il appartient à la formation neurale de
, et le ganglion de Corti. Il appartient à la formation neurale des
ganglions
spinaux et dénonce de bonne heure sa significat
rai pas sur ce point que j'ai longuement développé ailleurs (1). Ce
ganglion
auriculaire est donc le centre d'un protoneurone
l'adaptation fonctionnelle de l'appareil labyrin- thique ; puis les
ganglions
se sont fragmentés à leur tour. C'est ainsi que
onvaincu, une place de plus en plus importante. On décrit donc au
ganglion
auriculaire deux grands rameaux périphé- riques
s nerfs ampullaires, l'utriculaire et le sacculaire. De son côté le
ganglion
de Corti, la partie du ganglion auriculaire qui s
re et le sacculaire. De son côté le ganglion de Corti, la partie du
ganglion
auriculaire qui s'en- roule dans le moyeu du li
limaçon, le long du canal de Rosenthal, s'est tout à fai t isolé du
ganglion
de Scarpa, le vieux ganglion rachidien resté dans
Rosenthal, s'est tout à fai t isolé du ganglion de Scarpa, le vieux
ganglion
rachidien resté dans le trou auriculaire, légèr
uement ce qu'on appelle le protoneurone centripète, c'est-à-dire le
ganglion
spinal et ses branches afférentes et efférentes
onsidérable de ces protoneurones hulbo-médullaires, c'est-à-dire le
ganglion
auricu- laire deScarpa-Corti, et les branches d
yenne, de l'oreille interne, des papilles, des rameaux afférents du
ganglion
de Scarpa, de ses rameaux eflerents ou tronc vest
il : ce serait répéter ce qui a été dit pour la coupe précédente.
Ganglions
SPINAUX. - Nous avons pu pratiquer l'examen du on
Ganglions SPINAUX. - Nous avons pu pratiquer l'examen du onzième
ganglion
spinal du côté droit. La coloration en a été fait
tait à peu près intacte. Les cellules des cornes antérieures et des
ganglions
spinaux étaient manifestement atrophiées. Les ner
nt celles qui ont été décrites dans le labes incipiens. Lésions des
ganglions
spinaux et des racines. - Dans le cas de Marine
. Fig. 1. - Coupe du nerf péronier (lésion maximum). L'examen des
ganglions
spinaux fait par nous, nous permet d'admettre u
it par nous, nous permet d'admettre une altération des cellules des
ganglions
; elles sont tout à fait compara- bles à celles
ces par- ties. D'après Huguenin, c'est la région supérieure de ce
ganglion
, précisément dans celle qui se localise dans l
identiques à la substance grise de la moelle épinière, ainsi qu'aux
ganglions
cérébro-spinaux. Horbaczewski ` (v. Rente, loc.
eux-mêmes, il est facile de s'assurer que ces cellules servent de
ganglions
ou noyaux, à des branches nerveuses très fines,
merger du corps restiforme, l'îlot de subtance grise qui servait de
ganglion
à cette branche, occupait une assez vaste étend
ditif cesse de présenter des îlots de subs- tance grise, servant de
ganglions
aux fils nerveux. Comme' je J'ai dit ailleurs;
t le noyau accessoire de Schwalbe, on pourrait encore ajouter les
ganglions
, microscopiques localisés dans le tronc du nerf
Rien de nouveau, que les cellules ganglionnaires, c'est-à-dire les
ganglions
ou noyaux respectifs qu'on trouve sur le parcou
on trouve sur le parcours des fils nerveux. Sans nous arrêter aux
ganglions
microscopiques nombreux, tels que le ganglion d
s nous arrêter aux ganglions microscopiques nombreux, tels que le
ganglion
de Casser, les ganglions géniculés, le DE LA ST
glions microscopiques nombreux, tels que le ganglion de Casser, les
ganglions
géniculés, le DE LA STRUCTURE DU TRONC DU NERF
glions géniculés, le DE LA STRUCTURE DU TRONC DU NERF AUDITIF. 49
ganglion
jugulaire, le ganglion pétreux, les ganglions d
DE LA STRUCTURE DU TRONC DU NERF AUDITIF. 49 ganglion jugulaire, le
ganglion
pétreux, les ganglions des nerfs sympathiques,
NC DU NERF AUDITIF. 49 ganglion jugulaire, le ganglion pétreux, les
ganglions
des nerfs sympathiques, rappelons-nous que Pouc
s sympathiques, rappelons-nous que Pouchet et Tourneux ' citent des
ganglions
sur le trajet du nerf lingual, et sur les fibre
du nerf inter- médiaire de Wrisberg, prennent naissance dans les
ganglions
microscopiques enclavés dans le nerf au- ditif
teurs, le nerf intermédiaire de Wrisberg se relie définitivement au
ganglion
géniculé du nerf facial il en ressortirait, com
e' le considère au point de vue de branche de communication avec le
ganglion
genouillé; Schwalbe', Arnold et Bischoff s'acco
choff s'accordent à lui recon- naître le rôle de filet d'origine du
ganglion
genouillé, quoiqu'ils ne se décident pas à le c
es ventricules latéraux d'où sourd un liquide clair; l'atrophie des
ganglions
de la base, des tubercules qua- drijumeaux, l'a
dentiques à ceux du poumon droit. Le lobe supérieur est intact. Les
ganglions
péribronchiques sont volumineux, indurés et anl
alpation, un empâtement profond. La pression y est douloureuse. Les
ganglions
cervicaux ne sont point engorgés. Le toucher de
dt pense que les phénomènes tendi- neux sont des réflexes, dont les
ganglions
spinaux sont le centre ; Brissaud en fait des r
lymphoïdes et conjonctifs polymorphes, représentent évidemment des
ganglions
lymphati- ques, comme le montrent leur situatio
ervation qui fait l'objet de ., ce travail de rechercher l'état des
ganglions
spinaux et des filets sensitifs'. cutanés et de
la substance blanche sous-corticale et même plus bas, au niveau des
ganglions
centraux, voir même dans le pédoncule. On objec
ssement inflammatoire dans le pédoncule, des petits foyers dans les
ganglions
centraux, dans la capsule interne et dans le ce
te lésion sur la cellule centrale du protoneurone, siégeant dans le
ganglion
de la racine postérieure. Une fois admise la
s de la formation embryologique des gan- glions cérébro-rachidiens,
ganglions
des racines postérieures de la moelle et des ne
n ganglionnaire de Ilis, quelques ganglioblastes s'éloignent de ces
ganglions
et vont constituer de chaque côté de la colonne v
ra- meau périphérique, soit un rameau intermédiaire allant vers le
ganglion
sympathique voisin. Quelques cellules du syst
neuro-fibromatose généra- lisée à tous les nerfs périphériques, aux
ganglions
rachidiens et à tout le système sympathique, à
t cylindraxile signalé plus haut réunissant certaines cellules d'un
ganglion
sympathique à celles des ganglions voisins. Et
éunissant certaines cellules d'un ganglion sympathique à celles des
ganglions
voisins. Et ceci nous explique pourquoi la réacti
es Sciences, 9 avril 1900 et 2 mars 1903. (2) Simon et Hoche, Les
ganglions
nerveux des racines postérieures appartiennent-
, soit sur les filets iriens de ce nerf jusqu'à leur entrée dans le
ganglion
ciliaire. De même les signes de la mydriase spa
le cervicale ou des filets sympathiques jusqu'à leur entrée dans le
ganglion
ciliaire. Nous connaissons bien ces deux for- m
ste, car les muscles iriens sont en réalité sous la dépen- dance du
ganglion
ciliaire. Les expériences faites sur les mammifèr
oteur oculaire commun n'agit sur les muscles de l'iris que grâce au
ganglion
ciliaire, qui reçoit l'excitation de ce nerf et
esse, « ici comme ailleurs, les muscles lisses sont innervés par un
ganglion
sympathique sous la dépen- dance d'un nerf mote
s les troubles moteurs de l'iris à des lésions siégeant en amont du
ganglion
ciliaire, il est logique d'admettre l'existence
organiques ayant leur origine soit t dans les cellules motrices du
ganglion
ciliaire, soit dans les filets moteurs des nerf
es symptômes des troubles morbides, qui peuvent se produire dans ce
ganglion
ou dans ses nerfs centrifuges. Ce que nous en sav
ective se manifeste par la destruction des cellules sympathiques du
ganglion
ciliaire ; cette lésion a pour conséquence la p
ation nous démontre que la paralysie des cel- lules sympathiques du
ganglion
ciliaire ou celle des terminaisons nerveu- ses
cas de mydriase due à un trouble paralytique siégeant soit dans le
ganglion
ciliaire, soit dans les nerfs qui en émanent.
laire commun ou du grand sympathique cervical, sans tenir compte du
ganglion
ciliaire ; la paralysie de la IIIe paire ne pouva
le du côté lésé. Le professeur Bouchard (2), après avoir arraché le
ganglion
cervical supé- rieur gauche à un jeune lapin, a
r des fibres anastomoti- ques directes, soit par la racine grise du
ganglion
ophtalmique. L'inflam- mation de ces filets sym
ances anatomiques et embryologiques entre les corps cellulaires des
ganglions
sensitifs craniens ou rachidiens issus de la cr
ens ou rachidiens issus de la crête de Sagemehl et les cellules des
ganglions
sympathiques du même système métamérien ou des
cun indice de dégénéralion ; le cervelet, la moelle épinière et les
ganglions
vertébraux étaient absolument normaux. Cette in
lutions des grands hémisphères du cerveau ainsi que la position des
ganglions
basais et des sutures crâniennes (2). Un hémi
eux, fait qui est à rapprocher de la présence de lipomes autour des
ganglions
tuberculeux, de l'adénolipomatose, etc. Ces dif
logés les veines superficielles, les vaisseaux lymphatiques et leurs
ganglions
. 3° Les loges musculaires : en général elles ne c
sseux, les vaisseaux sanguins sous-cutanés, les lymphatiques et leurs
ganglions
. 3° La couche musculaire est formée,dans la circo
re, sont environnés d'une masse cellulaire et des grands chapelets de
ganglions
lymphatiques, et cernés, seulement à distance, pa
es, les tumeurs tuberculeuses ou encé-phaloïdes, développées dans les
ganglions
mésentériques, et les anévrismes de l'aorte, qui
ymphatiques, est fortifiée vers sa base par l'application de nombreux
ganglions
. Vers la face fémorale du contour aponévrotique d
e des vaisseaux et se trouve fermée au-dessus par l'encastrement d'un
ganglion
lymphatique. Ainsi, à partir du bassin, les vaiss
vaisseaux, les diverses espèces d'anévrismes ; pour les muscles, les
ganglions
lymphatiques et le tissu cellulaire, les abcès, l
e des deux ou trois rameaux lymphatiques, qui vont se rendre dans les
ganglions
parotidiens. Sur la surface périostique rampent l
ternes et temporaux. A la glande parotide se rapportent également les
ganglions
lymphatiques dits paroticliens, disposés en deux
s et veine sub-mentales, l'origine des faciales et les linguales. Les
ganglions
lymphatiques y forment le chapelet sub-mental et
lon des gros vaisseaux, le pneumo-gastrique, le grand sympathique, le
ganglion
cervical inférieur, et les nombreux filets cardia
er le muscle grand pectoral et les traînées lymphatiques qui vont aux
ganglions
de l'aisselle. 6° Squelette. Il est formé, pour c
des parties génitales, et vont se jeter dans la rangée supérieure des
ganglions
inguinaux. 6° Nerfs. Fournies par le plexus lomba
s externes, et des vaisseaux lymphatiques, qui vont se jeter dans les
ganglions
inguinaux. Les nerfs, d'origine différente, se co
du corps caverneux. Les lymphatiques superficiels se rendent dans les
ganglions
inguinaux, disposition anatomique qui est la caus
iennent fréquemment variqueuses; les lymphatiques se rendent dans les
ganglions
inguinaux. Les neris sont fournis superficielle
quoique assez nombreux, sont sans importance; ils se rendent dans les
ganglions
inguinaux ou dans ceux du bassin. 6° Nerfs. Ils s
renferme clans ses mailles agrandies en petites loges spéciales, les
ganglions
lymphati- 1 Planche i, n" 3i ; et planches 7 et
n peu au-dessous, sur le trajet des gros vaisseaux, sont disposés les
ganglions
delà rangée inférieure dont il sera parlé plus lo
d nombre cle maladies et d'opérations. Au fascia superficialis et aux
ganglions
lymphatiques, se rapportent les abcès phleg-moneu
elques-unes forment des enveloppes dans lesquelles sont encastrés des
ganglions
lymphatiques. Épais de trois à quatre lignes au c
et lymphatiques qui s'y ramifient. Dans ses loges sont renfermés les
ganglions
inguinaux superficiels de la rangée inférieure, d
ieures, et, au milieu, les articulaires moyennes ; (d) trois à quatre
ganglions
lymphatiques et leurs rameaux entourant les gros
dens locaux, tels que l'engorgement des vaisseaux et des chapelets de
ganglions
lymphatiques au-dessus de l'incision, et les acci
e: au-dessous est une couche de tissu cellulaire fibreux entremêlé de
ganglions
et de gros vaisseaux lymphatiques; écarter ce tis
rne ; au-devant est le fascia-superficialis rempli de vaisseaux et de
ganglions
lymphatiques, et la peau. Rien de plus facile que
ibreuses en écartant avec le bec de la sonde les flocons adipeux, les
ganglions
lymphatiques et les troncs des artères et veines
voie la céphalique; 3° une couche de tissu cellulaire remplie par les
ganglions
et les vaisseaux lymphatiques des chapelets jugul
ehors, puis rompre et écarter le tissu cellulaire et les vaisseaux et
ganglions
lymphatiques ; porter ensuite vers l'un des angle
c la sonde cannelée, la veine jugulaire interne en dedans, en bas les
ganglions
lymphatiques et les vaisseaux scapulaires supérie
igt et le bec de la sonde diviser le tissu cellulaire en écartant les
ganglions
lymphatiques. On tombe alors sur le faisceau vasc
x se présentent les veines thyroïdiennes moyenne et inférieure et les
ganglions
lymphathiques, que l'on écarte; puis, en dehors d
c cette veine par le péritoine pariétal postérieur, les chapelets des
ganglions
lymphatico-chylifères lombaires, puis par une gaî
en arrière sur les ligamens antérieurs du rachis'dont la séparent des
ganglions
et vaisseaux lymphatiques et les origines des art
tendineuses. Ces dernières sont connues sous le nom très impropre de
ganglions
. Kystes synoviaux sous-cutanés. Les évacuer par
vre, etc., sur lequel on frappe un coup sec. Sabatier, sur les petits
ganglions
, se contentait d'appliquer un pouce et comprimait
rtère carotide, appliquées sur la face antérieure de l'aponévrose. 7.
Ganglions
lymphatiques jugulaires, également vus en transpa
accidentellement passage aux viscères. Il est bouché en dedans par un
ganglion
lymphatique, qui fait obstacle à la hernie crural
sous-maxillaire. 1. Artère et veine sous-mentales, accompagnées de
ganglions
lymphatiques, et rampant sur le plan du muscle my
chiale interne et supérieure. 1° Creux de l'aisselle. 5. Masse de
ganglions
lymphatiques, encastrée dans du tisaU adipeux.
euillet fibreux complémentaire qui revêt les vaisseaux (A). 14. 14.
Ganglions
lymphatiques inguinaux encastrés dans de petites
u. 2. Section du fascia superficialis, très épais en ce point. 3.
Ganglions
lymphatiques, écartés du trajet du bistouri. 4.
re enlevée, et l'incision continuée vers l'aisselle sur le trajet des
ganglions
lymphatiques , qu'il est le plus habituellement n
que sur l'inégalité des papilles dans les affections des poumons, des
ganglions
bronchiques et du péri-carde, etc., etc., etc.
a-pillaires, recouvertes de croûtes jaunâtres. (Voy. Planche XVII.)
Ganglions
mobiles, non douloureux, dans l'aisselle correspo
llipse, la queue de l'ellipse se prolonge du côté de l'aisselle ; les
ganglions
et le sein sont ainsi extirpés. On panse à plat a
a clinique, permet d'af-firmer l'existence d'un cancer du sein. Les
ganglions
avaient l'aspect d'une bouillie blanchâtre; ils r
aires. Ses forces avaient di-minué. On enleva la tumeur ainsi que les
ganglions
. Le tissu mor- 1 T. W. Nunn, dans un travail in
pidement. Le docteur Brunker hésitait à recommander l'extirpation des
ganglions
axillaires. Toutefois, le malade insistait pour q
eur, — ou bien des fractures diaphysaires assez rares d'ailleurs. Les
ganglions
lymphatiques res-tent indemnes ; les gros troncs
pus caséeux, laquelle se prolongeait sur les gaines des nerfs et des
ganglions
spinaux. La dure-mère elle-même était épaissie et
es à droite qu'à gauclie, cepen-dant les neuvième, dixième et onzième
ganglions
dorsaux du côté gauche étaient seuls tuméfiés et
ient seuls des altérations appréciables au microscope. Dans ces trois
ganglions
, les cellules nerveuses avaient disparu et, au vo
litaires gonflés, mais pas de gonflement des plaques de Peyer, ni des
ganglions
mé-sentériques; autour du bout inférieur de l'int
-cléido-masloïdien. — En un mot, elle paraît complètement limitée aux
ganglions
qui avoi-sinent l'angle du maxillaire inférieur.
gion occupée par la tumeur, le chirurgien procède à la dissection des
ganglions
sarcomateux ; il détruit avec ses doigts les adhé
ble manifestement constituée par l'agglomération d'un grand nombre de
ganglions
lymphatiques. On panse la plaie avecl'eau de Pa
ion. A la coupe, elles offrent une coloration laiteuse, identique aux
ganglions
lymphatiques en-flammés et ramollis. Les deux tum
l'amygdale droite présente un léger degré d'hypertrophie ; jamais les
ganglions
n'auraient été engorgés. État actuel (juillet 4
à un moindre degré, sont envahis par le cancer. Il en est de même des
ganglions
mésentéri-ques, qui sont hypertrophiés. — La muqu
st altéré, squirrheux et mesure près d'un centimètre d'épaisseur; les
ganglions
voisins sont hypertro-phiés et cancéreux.— Les in
7 l'enfant voyant à peine. Cheveux blonds, bien implantés. Petit
ganglion
sous-maxillaire à gauche. Petits ganglions de l
ds, bien implantés. Petit ganglion sous-maxillaire à gauche. Petits
ganglions
de la chaîne carotidienne à droite et à gauche.
ongestion intense. Ce poumon ne présente pas de turbercu- les.- Les
ganglions
du médiastin sont un peu tuméfiés. Abdomen. Foi
te CHRONIQUE. 23 de 101lgueUl ? Intestins. vessie normaux. Quelques
ganglions
sous le mésentère. Causes de la mort. Méningi
ussi sur l'existence de quelques lésions irrita- tives au niveau du
ganglion
spinal, l'auteur estime que ce fait vient à l'a
centrale des centres corticaux vaso-trophi- ques (.}olf'¡-oy), des
ganglions
tnop7ziqzces spinaux (Dé- jeriné),ou des racine
définies de l'écorce du cerveau ; c) par l'irritation de quel- ques
ganglions
centraux et du pédoncule cérébral ; d) par l'irri
nnue : on sait seulement que quelques centres cél'éhro.spi, naux et
ganglions
périphériques, en s'épuisant, cessent de réagir
longement des racines postérieures et. naissent des cellules des
ganglions
intervertébraux. Chaque fibre des racines postéri
périphérique. Résection chez le lapin du nerf va- gue au-dessous du
ganglion
jugulaire. Du 9° au 284e jour, les cellules des
dessous du ganglion jugulaire. Du 9° au 284e jour, les cellules des
ganglions
spinal et jugulaire subissent le processus atro
s, lapins, des racines postérieu- res ou du nerf vague au-dessus du
ganglion
jugulaire. L'atrophie des cellules des ganglion
vague au-dessus du ganglion jugulaire. L'atrophie des cellules des
ganglions
spinaux ne commence qu'au début du 3e mois. Du
.jour pour croître continuelle- ment jusqu'au z. A celle époque, le
ganglion
devenu plus pe- tit renferme encore un très gra
a dégénérescence rétrograde de la racine postérieure jusque dans le
ganglion
spinal. On note aussi des troubles trophiques t
ble est l'influence du prolongement central intact des cellules des
ganglions
spinaux sur leur structure et sur leur fonc- ti
ticulièrement accentuées de la corticalité. Granulie gé- néralisée,
ganglions
trachéo-broncluques caséeux. Ce que les au- teu
la nervosité chez la mère. Otorrhée dans l'enfance. Conjonctivites,
ganglions
cervicaux suppures. Crise de rhumatisme articul
ijumeau n'exercent aucune influence sur le phénomène. L'ablation du
ganglion
de Casser qui supprime toute conductibilité de
? roloqique, 1O,i.) E. fiLIN, LVI. Névralgie faciale et tumeur du
ganglion
de Gas- ser ; par Henri Verger et IL GRENIER de
r ; par Henri Verger et IL GRENIER de CARDENAC. Les compressions du
ganglion
de Gasser ou des racines de la cinquième paire
EUSE. 421 queutes. Il est plus rare de constater l'envahissement du
ganglion
lui-même par un néoplasme. C'est un cas de ce g
résulter que la névralgie faciale symptomatique des néo- plasmes du
ganglion
de Casser révèle une physionomie spéciale qui s
algiques disparaître à une certaine époque, quand la destruction du
ganglion
ou de la ra- cine est complète. (Revue neurolog
inesco, 42. Névralgie. Voir Epileptique. - - faciale et tumeur du
ganglion
de Casser, 420. Les courants continus dans la
rôle secondaire à la moelle allongée, aux centres inférieurs et aux
ganglions
du cerveau, et s'il est, peut-être, permis de se
chen ruber. Gaule, par toute une série d'expéri- mentations sur les
ganglions
inter-vertébraux et sympathiques, ainsi que sur
autre désordre dans les centres de la moelle épinière, ou dans les
ganglions
qui s'y rattachent. Ces désordres se transmette
e articulaire, comme dans le cas d'Henry, d'après Munchmeyer. Les
ganglions
correspondants à la région malade sont gros, tumé
es veines profondes du membre, l'engor- gement aigu et passager des
ganglions
situés au-dessus du groupe muscu- laire affecté
aissant pas entraîner par les torrents lymphatiques jusque dans les
ganglions
et les viscères. S'agit-il d'une tumeur ou d'un
corne antérieure et entre les cellules des cordons de Clarke et des
ganglions
intervertébraux. Ces dernières sont d'une grand
i sin- gulier, tandis que les cellules des cordons de Clarke et des
ganglions
in- tervertébraux se sont développées normaleme
-à-dire au cinquième mois de la vie intra-utérine, les cellules des
ganglions
inler-verlébraux sont déjà tout à fait bien dév
n noyau d'origine réelle en dehors de l'axe cérébro-spinal, dans le
ganglion
de Corti et dans le ganglion de Scarpa. Du fond
ehors de l'axe cérébro-spinal, dans le ganglion de Corti et dans le
ganglion
de Scarpa. Du fond du conduit auditif interne l
droite ; roséole ; plaques muqueuses amygdaliennes, engorgement des
ganglions
cervicaux ». Il a suivi deux mois un traitement
nes ; autopsie partielle 12 heures après la mort : Hypertrophie des
ganglions
mésentériques ; pas d'athérome dans les vaisseaux
ulmonaire. Au sommet du poumon droit des foyers caséeux ramollis.
Ganglions
bronchiques caséifiés ; il en est de même des gan
x ramollis. Ganglions bronchiques caséifiés ; il en est de même des
ganglions
mésenté- riques. La paroi antérieure du ventric
n de la hanche est respectée ; le genou devient raide. 21 juin. -
Ganglions
poplités et cruraux sensibles. Infiltration de la
du pouce, sont normaux. Membre inférieur gauche. - A l'aine li à 5
ganglions
indolores, gros comme une amande. Résistance os
landes salivaires gauches. 11 n'y a rien de spécial dans l'état des
ganglions
du cou ni des carotides. L'oeil droit présente
t ; G, côté gauche. 3 : it J. SABRAZÈS ET C. CABANNES contient un
ganglion
du volume d'nne olive ; malgré la salivation abon
tres. Un observe également des modifications intéressantes dans les
ganglions
céré- braux centraux. La partie du cerveau atte
rant l'aspect de filaments fins; à la partie supérieure on voit des
ganglions
intervertébraux bien développés. Comme exemple
le noyau médian et le noyau latéral ; dans le premier se trouve le
ganglion
de l'Irabi- nula d'où part le ténia du : 3e ven
es cellules était bi- zarre : mais pour ce qui est des cellules des
ganglions
inter-vertébraux, qui se développent tout à fai
, eczéma de la tête ayant occasionné probablement le gonflement des
ganglions
du cou ; un gonflement du côté gauche du dos a ap
re des veines superficielles dilatées et ne peut pas être pincée. Les
ganglions
de l'aisselle gauche sont beaucoup plus gros dr
, il a constaté une tumeur diffuse s'accompagnant du gonflement des
ganglions
cervicaux. En quelques semaines, la tuméfaction s
, un con- duit lymphatique ossifié ( ? ). Dans l'aisselle gauche, 3
ganglions
tuméfiés, mais petits. 22 novembre 1895. Les
sclérose bien moins considérable que le tronc de ce nerf. 3° Les
ganglions
de Gass< ! 1', des deux côtés, renferment un c
épi. La peau ne présente ni cicatrices, ni nævi. On ne constate de
ganglions
en aucune région. Sa tête, de forme normale,
térieur. Les plans qui passent par la portion la plus antérieure du
ganglion
de l'habénula contiennent des libres dégénérées
. Keraval. XII. Piqûre de la 3° paire dorsale gauche au niveau du
ganglion
spinal parA. VALLI ? NBERG(\Teccrolng. CtJl1tra/ú
é au point où il sort delà colonne vertébrale, c'est-à-dire près du
ganglion
spinal. On constate : 1° une faible hypo-osthes
laires sclérosées. G. 1). '111. Hypertrophie et lésions (tumeur) du
ganglion
sym- pathique cervical dans un prétendu cas de
oie, des reins, de la rate, etc.,et un volumineux fibro- sarcome du
ganglion
supérieur du sympathique cervical gauche. Les c
dans la cavité thoracique, il s'unissait à d'autres nerfs issus du
ganglion
étoile, que, finalement entre l'aorte et l'artère
et anatomiques dé- montrent que ce nerf sient du pôle supérieur du
ganglion
jugu- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOL
t pour localisation principale la région bulbaire, la moelle et les
ganglions
spinaux. Les expériences exécutées par l'auteur o
ée qui fait innerver le porisLahhylin externe par les libres que le
ganglion
otique reçoit du trijumeau. Ces atrophies dans
donc point périostique. S(,clioiiiie-[-oti les racines sensibles du
ganglion
de Casser, on ne l'obtient plus, encore que l'e
nnervés par le facial subsiste et soit même exagérée. L'ablation du
ganglion
de Gasser produit le même effet : seule- ment c
et léthalité anormales. M 11. CHAPON. LXXXti. Les altérations du
ganglion
rachidien chez les tabétiques ; par Thomas el U
eclterrite ? ltisLolu,itlue portant spécialement sur la cellule des
ganglions
rachidiens chez, les tabétiques, desquelles les a
tes : 1° il existe fréquemment des altérations cellulaires dans les
ganglions
rachidiens des lahé- tiques. Ces lésions consis
nt, centre des t uso-moleurs. Il en part une impulsion qui, par les
ganglions
sympathiques, gagne le système vasculaire de la
ralytiques des extrémités dans les foyers de ramollis- sement des
ganglions
sous-corticaux, par A. IIOMBURGF Il. (Neurolog.
n'entraînent pas d'incontinence. 5° Le ramollissement bilatéral des
ganglions
en question s'ac- compagne de troubles caractér
, sur le bord antérieur de la protubérance, ils sont séparés par le
ganglion
interpédonculaire, d'ailleurs très puissamment
dans la circonvolution sig- ]Y0'i(le de l'écorce, en traversant les
ganglions
de la base, prenant 1, contact avec les libres
lyti- ques des extrémités dans les foyers de ramollissement des
ganglions
sous-corticaux, par liomburger, 37. sexuelle.
nument à ? 4LG. Piqûre de la 3" paire dorsale gauche au niveau du
ganglion
spinal, par Wallenberg, 54. Plexus. Voir Para
. et rééducation,parDufour,449. Tabétique. Voir Douleurs.' Voir
Ganglion
rachidien. 1'vcn.·Ue la détermination du sens
mités droites. - Autopsie. Tumeur occupant à gauche une partie des
ganglions
centraux et de la couronne rayonnante du lobe t
érébral et, chez la femme, de l'hyperémie cérébrale notamment des
ganglions
centraux et de l'écorce. Cinq observations à l'ap
clanché à 40 éléments). Le pôle positif était appliqué au niveau du
ganglion
cervical supérieur du grand sympathique, et le
roscopique : mais il existait une petite hémorrhagie intéressant le
ganglion
lenticulaire gauche, et une extravasation sangu
té. Les plus externes gagnent le noyau anté- rieur de l'acoustique (
ganglion
acoustique); les moyens et une partie des inter
ndirects de ces racines, on voit : 1° des faisceaux qui joignent le
ganglion
acoustique au noyau interne; 2" des fais- ceaux
ns profonds ; 50 des fais- ceaux du corps trapézoïde, sont venus du
ganglion
de l'acous- tique (Flechsig). La couche intermé
devoir attribuer à une hypertrophie de la glande thyroïde ou des
ganglions
lymphatiques. L'enfant, âgée de dix ans, était né
gment du facial compris à l'intérieur du canal de Fallope, entre le
ganglion
gentculé et l'origine du rameau destiné du musc
les couches optiques au milieu de la commissure postérieure et du
ganglion
de l'habenula, mais sans en altérer la substance
et moral, qui restent pendant un certain temps paralysés; quand les
ganglions
centraux de la base du cerveau sont au contrair
érique; la peau n'est ni chaude, ni douloureuse à la pression ; les
ganglions
sous-maxil- laires ne sont ni tuméfiés, ni doul
Dans l'aine gauche, on trouve deux paquets ganglionnaires, et un
ganglion
isole dans une masse graisseuse. 312 CLINIQUE N
rouver trace du corps THYROÏDE. Les nerfs grands splanchniques, les
ganglions
semi-lunaires, la partie inférieure du grand sy
la région thoracique parait normal ; au cou, on ne trouve que deux
ganglions
; l'inférieur a une lon- gueur d'un centimètre e
Poids avec la pie-mère, après ouverture des ventricules : 1,435 gaz
Ganglions
de la base, corps quadrijumeaux, normaux. Tes
e dure, lourde, gênant la parole. - En 1882, tuberculose, abcès des
ganglions
lymphatiques cervicaux. Matité aux sommets. 4
de puerpéralité normale, l'auteur a trouvé une forte hyperplasie du
ganglion
cervical de l'utérus (ganglion de Frankenhoeusu
ur a trouvé une forte hyperplasie du ganglion cervical de l'utérus (
ganglion
de Frankenhoeusu)2 ; dans les stades plus avan-
iltrés de graisse. Dans la paramétrite chronique, M. Freund a vu le
ganglion
qui nous occupe, comprimé par des tractus de ti
et péritonéale. Mort. * Autopsie : tuberculose du péritoine, des
ganglions
mésen- lériques, de l'intestin, des ganglions p
ose du péritoine, des ganglions mésen- lériques, de l'intestin, des
ganglions
péribrozchiques, 4 Imbécillité. des poumons.
sur le péritoine intestinal, nombreux tuber- cules caséi/'iés. Les
ganglions
mésentériques sont hypertro- phiés, caséettx, f
ormant des grappes énormes demi-molles. C'est surtout au niveau des
ganglions
répondant à l'iléon, que cette hypertrophie est
épondant à l'iléon, que cette hypertrophie est la plus marquée. Les
ganglions
épiplôiques, ainsi que les ganglions situés au
ophie est la plus marquée. Les ganglions épiplôiques, ainsi que les
ganglions
situés au niveau de la petite cour- bure de l'e
par- ticulier. Rate légèrement hypertrophiée, dure, ainsi que les
ganglions
périspléniques (100 gr). Rein gauche (700 gr.),
s du coeur : 100 grammes. - Larynx, oesoplwge, trachée, entourés de
ganglions
volumineux, caséeux pour la plupart. Corps thyr
tiques. - Coma. Mort. Autopsie. Tuberculisation des poumons, des
ganglions
trachéaux, de la pie-mère. ,- Tubercules assez
thyroïde est petit; le thymus a disparu; le larynx est normal; les
ganglions
trachéaux et bronchiques sont caséeux.- Il exis
gestif, sain. Pancréas, rate (60 gr.) foie (1000 gr.), normaux. Les
ganglions
mésentériques sont caséeux. Rein droit (80 gr.)
ccidents convulsifs. Croûtes dans les cheveux avec hypertrophie des
ganglions
cervicaux, sans suppuration. Otites des deux cô
ésion ainsi que la vésicule. Légère congestion de l'intestin et des
ganglions
mésenté- riques. Tête. Crâne mince ; bosse fr
tance blanche, volumi- neuse, arrondie, qui paraît correspondre aux
ganglions
céré- braux. En avant de celle masse existe une
érieure où ses libres se met- tent en rapport avec les ,cellules du
ganglion
optique basai de Meynert. Il se-prolonge parfoi
ne trouve de vraies granulations isolables, ni de gros tubercules.
Ganglions
Iraelléo-bronchiques simplement ardoisés,sans t
s plus remarquables ont été d'ailleurs obtenus sur les cellules des
ganglions
spinaux des mammifères. Ce n'est plus, il est v
parallèle, donnant l'impression de raies. Non.Dans les cellules des
ganglions
spinaux du boeuf, du chat, du lapin, on voit un
que des grilles fibrillaires bien développées dans les cellules des
ganglions
spinaux. Chez un foetus de 4 mois, de 15 centim
sus pathologique périphérique ; en second lieu, une altéra- tion du
ganglion
ciliaire ou du noyau de l'oculo-moteur commun.
vaisseaux et les capillaires du noyau dentelé du cerve- let et des
ganglions
centraux du cerveau présentent la dégéné- resce
nerveuse du premier neu- rone (nommé aussi protoneurone) occupe le
ganglion
spinal ; celle du second (nommé également deuto
paralytiques généraux hypochondriaques ont présenté des lésions des
ganglions
semi-lunaires et des nerfs splanchniques (Laign
ves,que le point de départ sera plus haut placé, plus rapproché des
ganglions
rachidiens,des centres nerveux. Evolution. PR
s fibres parties d'un membre étant identique dans tous les cas. les
ganglions
altérés et les libres médullaires consécutiveme
me centripète (névrite rabique ascen- \tante), sur les nerfs étales
ganglions
spinaux (\epveu, z) (1), permet, dans les cas t
mis- phères cérébraux augmente en fonction de la diminu- tion des
ganglions
de la base, à mesure que les fonctions - psychi
la diminution des voies conductrices qui sont en rap- port avec les
ganglions
de la base. En résumé, la cons- cience se dével
myélinisées dès le huitième mois, elles vont de la péri- phérie aux
ganglions
et à l'écorce (2). Parmi elles, les voies condu
pyramidal qui implique une absencedecor- tex, c'est donc grâce aux
ganglions
cérébraux que la vie peut se maintenir chez les
te du système nerveux « se compose simplement de la moelle avec ses
ganglions
rachidiens, du bulbe, de la protubérance, moins
1[6, 408 si,, LES PHÉNOMÈNES DE CONSCIENCE DANS L'ONTOGENESE. 299
ganglions
rachidiens eu bon état fonctionnel chez l'anen-
umé l'anencéphale de MM. Vaschide et Vurpas possédait un bulbe sans
ganglions
cérébraux. Ces gan- glions qui, avec le cortex,
rave erreur logique sinon phy- siologique. Nous devons accorder aux
ganglions
infé- rieurs les.fonctions les moins élevées, t
idio-musculaires confirment le rôle que la physiologie assigne aux
ganglions
cérébraux. Les ganglions inférieurs sont des ce
t le rôle que la physiologie assigne aux ganglions cérébraux. Les
ganglions
inférieurs sont des centres réflexes des- quels
inférieurs sont des centres réflexes des- quels se distinguent les
ganglions
antérieurs que Wandt appelle « de coordination
ion, nous ne devons y voir que leproduit del'entrée en fonction des
ganglions
cérébraux. Il n'y a rien de psychique dans l'ac
t des lésions secondaires dans le rein droit, les deux poumons, les
ganglions
trachéo-bronchiques et qui présenta des trouble
pour expliquer le pro- cessus, car une compression exercée entre le
ganglion
spinal et la moelle, si elle eût laissé intacte
contiguité médiate ou immédiate avec toutes les fibres issues du
ganglion
spinal en bas, et de l'écorce cérébrale en haut.
me une noix. La même coupe de l'hémisphère gauche révèle contre les
ganglions
centraux une zone triangulaire longue de 2 cent
ils ont enlevé les sympathiques sur toute leur longueur, sauf les
ganglions
inférieurs. Une amélioration notable s'est produi
cordons postérieurs de la moelle. Les altérations des cellules des
ganglions
intervertébraux sont insigni- fiantes, ce qui p
territoire de la protubérance, des pédoncules cérébraux et des gros
ganglions
, avec localisation principale autour du canal c
riques, les branches et le tronc du trijumeau, et peut être même le
ganglion
de Gasser et ses racines. A. FENAYROU. XXIII.
moins grave et plus facile. La sym- palhicotomie, ou l'ablation du
ganglion
cervical supérieur, telle qu'il la pratique, es
ue cervical. La résection lotale ne met, pas plus que la section du
ganglion
cervical supérieur, à l'abri des récidives, par
que l'autopsie l'a établi, par un écrasement du vago-spmal par des
ganglions
cancéreux avec intégrité absolue du facial et d
nue graduellement, tandis que le néoplasme récidivait au niveau des
ganglions
axillaires et sus-claviculaires. Deux ans avant c
de Lyon). - Depuis qu'Alexander a préconisé en 1889 la résection du
ganglion
cervical supérieur comme moyen de traitement de
uvent dans l'état de développement embryonnaire. Les cel- lules des
ganglions
intervertébraux ne sont pas altérées. . Secréta
corps genouillé externe, tubercules quadrijumeaux anté- rieurs), le
ganglion
de l'babenula, la commissure postérieure, le no
, la commissure postérieure, le noyau irien, la troisième paire, le
ganglion
ophtalmique, les nerfs ciliaires. 2° Mouvemen
au réflexe lumineux irien, et se pas- sant comme lui au niveau des
ganglions
de la base. Mais il est à remarquer que le réfl
que des modifications dans le prolongement central des cellules des
ganglions
intervertébraux; 4° la toxine diphtérique agit
es cordons postérieurs comme secondaire, soit à une affection des
ganglions
spinaux ou des racines postérieures, soit à de la
Lissauer du même côté. 3. Il n'y a pas de voie directe allant des
ganglions
spinaux (racines postérieures) au cervelet. 4
ts qui partent de lui. De plus le corps cellulaire du neurone des
ganglions
spinaux est' volumineux parce qu'il remplit une
dans la constitution du facial ont leurs cellules d'origine dans le
ganglion
géniculé. Ces fibres sensitives appartiennent d
plète des réflexes des membres inférieurs, puisque les cellules des
ganglions
spinaux et les cellules radiculaires de la corn
s la plus grande partie du lobe frontal. Malgré cela, intégrité des
ganglions
de la base. En certains endroits des destructio
ialement des voies d'union de la partie cérébrale extirpée avec les
ganglions
sous-corticaux. Les dégénérescences constatées
thyroïde (4 gr). sain. - Coeur et péricarde : Rien de particulier.
Ganglions
trachéo-bronchiques et péribronchiques infiltré
t du poumon droit, infiltration caséeuse du reste du poumon. - Gros
ganglions
caséeux au niveau. de la , tête du pancréas.
sommet; les deux autres lobes sont fortement congestionnés. - Les
ganglions
1 ? -acliéo-brbiiciiiqttes sont volumineux et c
inale postérieure. - Pas de trace d'ulcérations sur l'intestin. Les
ganglions
mèsentéri- ques sont légèrement tuméfiés. - Le
tations qui laissent s'écouler, il l'incision, un liquide purulent.
Ganglions
méscntériques engorgés. Rate : normale. - Reins
très congestionné ; la pression fait sourdre un liquide purulent. -
Ganglions
trachéo-bronchiques engorgés. . ' IDIOTIE `CO
z long, mesure vingt-cinq centimètres de cir- conférence ; quelques
ganglions
roulant-sous- le doigt sur les parties latérale
onformé : auscultation des pou- mons et du coeur négative. Quelques
ganglions
dans les ais- selles. " ' Les membres sont no
ts au sommet gauche. Angine érbylhématcuse, amygdales volumineuses;
ganglions
sous- maxillaires et latéraux-cervicaux assez v
Cou, circonférence 25 centimètres ; à la palpation quelques petits
ganglions
le long des parties latérales. Membres supérieu
s étranger; l'appendice est perméable dans toute son étendue. - Les
ganglions
mësett- lériques sont très peu engorgés, au con
ganglions mësett- lériques sont très peu engorgés, au contraire les
ganglions
péricoecaux sont volumineux mais mous. - Foie v
che, glabre; aucune cicatrice de vaccin; absence complète de poils.
Ganglions
assez nombreux au cou et dans les plis de l'ain
es éléments ner- veux en général et dans les cellules nerveuses des
ganglions
sympathiques en particulier; par le D' SOU&
gie, 1902, n° 25). De l'examen d'un très grand nombre de coupes des
ganglions
sympathiques, l'auteur conclut que le réseau de
quelle insiste Du. Soukhanoff, est que le réseau endocellulaire des
ganglions
sympathiques ne présente pas des rejetons sembl
urtant on voit çà et là, à la périphérie du réseau des cellules des
ganglions
sympathiques, de petits appendices qui rappelle
par conséquent qu'elle est une fonction des couches corticales, des
ganglions
de la base, et du système nerveux tout entier.
e propre des fonc- tions réflexes et des fonctions d'inhibition des
ganglions
qui siè- gent en des régions beaucoup plus bass
arties extérieures du corps par l'intermédiaire de la moelle et des
ganglions
spéciaux, absolument de la même manière que le
sur le corps par l'intermédiaire de l'écorce sensitivo-motrice, des
ganglions
spé- ciaux et de la moelle ; . 12° Finalement
ui parait à cause de cela être le i-iège de la mentalité, jusqu'aux
ganglions
les plus primitifs de la moelle, qui ne conserv
racines semble up ? u..diltrimleé; xu niveau des altéra- tions. Les
ganglions
des racines postérieures sont d'apparence norma
e l'amnésie, etc., tout ceci indique un processus aigu occupant les
ganglions
de la base, le cerveau et la moelle. Les mêmes
ieux témoignant d'une réaction interstitielle aiguë ou subaiguë des
ganglions
. Ce qui parait ressortir de ces observations, c
ion sur les centres vaso- moteurs, qu'elle se fasse sentir dans les
ganglions
du sympathi- que, dans la moelle, dans le bulbe
rales et d'une congestion simultanée d'autres régions. Pour eux les
ganglions
de la base se congestionneraient, tandis que l'
ou et la branche postérieure de la capsule interne, sont, comme les
ganglions
de la base, indemnes de tout foyer de ramol- li
pas de foyers de ramollissemeut dans la capsule interne et dans les
ganglions
de la base, et que le centre du membre iiiré- ·
PATHOLOGIQUES. XXXVI. De l'influence de l'écorce du cerveau et des
ganglions
sous- corticaux sur la contraction de la rate,
moelle sur l'or- gane diminue graduellement de haut en bas. 15° Le
ganglion
semi-lunaire contient un centre dont l'activité
ntérieurs. Si l'on consi- dère ces derniers comme étant surtout des
ganglions
réflexes, tan- dis que les premières seraient s
ganglions réflexes, tan- dis que les premières seraient surtout des
ganglions
intercalaires entre les tractus optiques et le
rps du pancréas paraissant primitif, cancer secondaire du foie, des
ganglions
lym- phatiques péri-pancréatiques, pré-rénaux,
. Voir Lobes pré- frortlaux. Friedreich. Voir Maladie nerveuse.
Ganglions
sympathiques. Voir < ? 0t. GIESSEn. La clini
es éléments nerveux en général et dans les cellules nerveuses des
ganglions
sympa- thiques en particulier, par Son. 6ltan
Bikeles, 433 Rate. De l'influence de l'écorce du cerveau et ries
ganglions
sous- corticaux sur la contraction de la - ,
siège d'un pro- cessus atrophique et destructif. On trouve dans les
ganglions
ra- chidiens la fragmentation cellulaire et la
glas. XII. - Le mode de formation de.la cellule nerveuse dans les
ganglions
spinaux du poulet ; par CARI.0 BESTA. (In Rivis
s de poulet. L'étude de laformation de la cellule nerveuse dans les
ganglions
spinaux a été faite sur les poulets à la 60e he
la méthode de Ramon y Cajal pour les fibrilles. La formation des
ganglions
spinaux est due à la migration des neuroblastes
res des nerfs sensitifs. A la fin du 3'jour, les neu- roblastes des
ganglions
sont bipolaires, ont une forme en fuseau, et so
raissent plus tard. Le résultat indiscutable est que la cellule des
ganglions
est due à l'évolution et au perfectionnement pro-
oppement des fibres nerveuses périphé- riques et centrales dans les
ganglions
épinaux et dans les ganglions céphaliques de l'
riphé- riques et centrales dans les ganglions épinaux et dans les
ganglions
céphaliques de l'embryon du poulet : par Giacom
s se transforment vraisemblablement en noyaux de Schwann ; 8° Les
ganglions
spinaux et céphaliques se différencient dans le
1'li,téi-otopie. Ce développe- ment doit se faire au moment où les
ganglions
nerveux entrent en connexion avec les parois du
ière, le bulbe, la protubérance, les noyaux gris du cervelet et les
ganglions
. C, Coloration DU réticulum péricellulaire. Fix
on à l'étude du réseau endocellulaire dans les éléments nerveux des
ganglions
spinaux par le procédé de Korsch) ; z 4" A Van
.)° Albert 3licliotte. La libre nerveuse et sa bifurcation dans les
ganglions
spinaux (méthode de Cajal). 10° A. Van Gehuchte
é que les opérations sur les nerfs, en particulier l'arrachement du
ganglion
de Casser sont souvent suivies de la perte de l
appelée « glande du cornet » et pour éviter la confusion avec des
ganglions
pr<Jtraehéo-llI'onl'hi'IUCS, Nous apprenons
Le boucher ne connaissanl pas lui même la glande, lui délivrait des
ganglions
. L'n an s'élail presque écoulé sans qu'aucune amé
ty, chez ce même bouclier, qu'on a pu constater qu'il délivrait des
ganglions
. L'interne du service se rendit alors chez le b
s le foyer initial a été les lésions del'appareil pulmonaire et des
ganglions
tractieo-hronchiques. G. Carrier. XL \'1.- Mé
ou- let, par Besta, p. 139. Le mode de formation de la dans les
ganglions
spinaux du pou- let, par Besta, p. 140. spi-
loppe- ment des nerveuses péri- phériques et centrales dans les
ganglions
épinaux et dans les ganglions céphaliques de l'
- phériques et centrales dans les ganglions épinaux et dans les
ganglions
céphaliques de l'em- bryon du poulet, par Pighi
en avant : gencives saines. - Menton rond. Cou régulier, un petit
ganglion
au niveau du sterno-mastoïdien gauche. Thorax :
he pigmentaire au-dessus du condyle interne du fémur gauche; pas de
ganglions
. Dynamomètre illcctlticzc : M. D = 70,5 M. G. 7
et à droite, une au haut du sillon interfessier. Rien à la verge :
ganglions
inguinaux très développés des deux côtés (syphi
es taches sont complètement effacées; il ne reste plus que quelques
ganglions
dans les aînés. 30 juin. Poids, 28 kil. 9; tail
n'y a rien dans la gorge, ni à l'anus; pas d'alo- pécie : quelques
ganglions
seulement dans les deux aines de l'ais- selle d
dernière molaire droite; menton très pointu. - Cnzc grêle, pas de
ganglions
, pas de cicatrices. - Thorax peu développé, mai
ieurs grêles, bien conformés; mains violacées, doigts longs; pas de
ganglions
axillaires. Membres inférieurs maigres, sans dé
violacées et froides, doigts longs, voûte plantaire normale; pas de
ganglions
inguinaux. Organes génitaux : verge petite, nor
t comme l'expression des fonctions appartenant à ses nerfs et à ses
ganglions
symétri- quement disposés des deux côtés de l'o
a monomanie exaltée et leur évolution; Nouvelles recherches sur les
ganglions
du cerveau et la base de cet organe. .M. Krafft
ur. Ces dessins nous montrent en même temps la transformation des
ganglions
nerveux. Sur la figure 8 nous voyous les gangli
sformation des ganglions nerveux. Sur la figure 8 nous voyous les
ganglions
du côté sain avec leurs cellules multipolaires
s radiés et leurs noyaux ronds pour la plupart. Sur la figure 9 les
ganglions
sont transformés en fuseaux bipo- laires, allon
noyaux ont, sans exception, la forme ovalaire. f La plupart de ces
ganglions
transformés avaient la forme de navettes de tis
t progressive de la tumeur qui avait produit cette métamorphose des
ganglions
et leur diminution de volume.1, v " ' ? v ' ' I
ésultats de la mensuration micrométrique en largeur et longueur des
ganglions
des deux moitiés de la moelle, d'après les coup
ignorait pourtant ce fait, que non seulement les nerfs, mais les
ganglions
aussi pouvaient être modifiés dans leur forme. sa
ns leur forme. sans subir aucune altération fonctionnelle. Nerfs et
ganglions
réduits à une petite fraction de leur volume na
ur sa capacité fonctionnelle, et pourtant la plus grande partie des
ganglions
do la corne antérieure, qui innervent le bras,
de la force à la masse souffre une exception pour la substance des
ganglions
. A cette exception nous pouvons en ajouter une
sych. M. 1\'ervenk, II, 1880.) Les examens que l'auteur a fait de
ganglions
périphériques et de nerfs chez le lapin, les ét
e nerfs chez le lapin, les études auxquelles il s'est livré sur les
ganglions
cseliaques de cadavres humains pris au hasard n
tique ne seraient pas anormales; on rencontre, en effet, dans les
ganglions
coeliaques d'individus quelconque vieux ou jeunes
ions coeliaques d'individus quelconque vieux ou jeunes, ou dans les
ganglions
spineux des lapins, des proliférations cel- lul
1. Forces (état des) chez les hémiplé- giques, par Pitres, 26.
Ganglions
périphériques, 367. Gaucher aphasique, 121. G
tubercules. Le cœur, de volume normal, est parfaitement sain. Les
ganglions
bronchiques sont peu volumineux et ne contien-nen
i sont pleines d'un liquide purulent, blanchâtre et très épais. Les
ganglions
bronchiques sont hypertrophiés, mais ne contien-n
branes pleurales, sans adhéren-ces, l'emphysème et la tuméfaction des
ganglions
bron-chiques. M. Charcot complète ensuite cette
l'organisme. On les a retrouvées, en semblable circonstance, dans les
ganglions
mésentériques, les veines mésaraïques, la veine p
aient été atteintes et colorées par le charbon sont les poumons, les
ganglions
bron-chiques et les plèvres *. Il en a été de m
tion présentaient la même couleur. Il en était de même aussi pour les
ganglions
lymphatiques du hile. On eût dit que toutes les p
lus ou moins foncée, des deux poumons; coloration également noire des
ganglions
bronchiques. 2° Présence au sein des organes de
ffirait de faire remarquer que, clans la chalicose physiologique, les
ganglions
lymphatiques du pou-mon contiennent de la silice,
silice, après s'être accumulée dans le poumon, pénètre de là dans les
ganglions
lymphatiques, suivant ainsi le même trajet que la
n, le méca-nisme de leur formation a été décrit plus haut. Dans les
ganglions
lymphatiques, dans la muqueuse du larynx, à la pe
rties du parenchyme, dans le feuillet viscéral de la plèvre, dans les
ganglions
trachéo-bronchiques. L'adénopathie frachéo-bronch
nce, qui sont des granulations tuberculeuses simples ou composées. Le
ganglion
lymphatique, lui aussi, contient nombre de granu-
f l'a démontré, les tubercules des ulcérations intestinales jusqu'aux
ganglions
mésentériques. Le système lymphatique peut être
eurs, un tissu d'apparence réticulée, rappelant le tissu cytogène des
ganglions
lymphatiques, si, toutefois, ce dernier aspect n'
qu'il n'existait pas chez notre ma-lade d'hypertrophie du foie ou des
ganglions
lymphatiques ; que les troubles intestinaux ont é
étendue, n'ont rien pré-senté de remarquable : aucune tuméfaction des
ganglions
lym-phatiques. La rate a conservé sa l'orme nat
ntes ; viennent en-suite le foie, le cerveau, et enfin les reins, les
ganglions
lym-phatiques, etc. La rate est volumineuse, d'
rés. — Les reins, assez volumi-neux, ne paraissent pas altérés. — Les
ganglions
lymphatiques, exa-minés en plusieurs points, et p
eyer dont quel-ques-unes sont envoie de cicatrisation. Gonflement des
ganglions
mésentériques. D'une veine sacrée moyenne part un
; les cancers du médiastin, les masses tuberculeuses du poumon ou des
ganglions
bronchiques, les tumeurs abdominales, les ané-vry
té opposé. Le segment médian du ruban de Reil prend racine dans les
ganglions
de la base (noyau lenticu- laire2),.le segment
éléments nerveux. Dans la microcéphalie, les nerfs des sens, les
ganglions
de la base sont normaux ou presque normaux, le ce
ives, t. XVII. iS 274 'REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. régions. Les
ganglions
intervertébraux ne sont pas atteints. L'intensi
e le centre trophique des cordons postérieurs ne siège pas dans les
ganglions
intervertébraux, et qu'il est difficile de préc
en rapport avec le sym- pathique cervical, puis elles se rendent au
ganglion
de Gaxer, et' 'REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 28
287 sortent avec le trijumeau. La section du trijumeau au delà du
ganglion
supprime la dilatation directe. Ces fibres passen
du sympathique ; la section des ciliaires courts et l'a- blation du
ganglion
ciliaire ne produisent rien. Une partie de ces
iIUIIELL.1 (Centralbl. f. \'e)'Uelilteflfi., 1887). Cette étude des
ganglions
de la base et de leurs organes des- cendants es
envoient un fort prolongement (fasciculus subépiphysaire) dans le
ganglion
de l'habenula'. Mentionnons finalement les fibres
pouvons les distinguer nettement de celles qui appar- tiennent aux
ganglions
sous-corticaux (corps striés et couches optique
'animaux n'est pas réparti de la même manière entre l'écorce et les
ganglions
sous-corticaux, de sorte que les phénomènes de
resthésie et anesthésie dans le domaine du même nerf. Lésions des
ganglions
des nerfs périphériques dans la lèpre. Aucuives
observé que dans la Icpro les cap- sules des cellules nerveuses des
ganglions
sont épaissies; leur endothélium desquame, prol
s'agissait d'une névrite multiple parenchymateuse. Altérations, des
ganglions
du nerf vague dans les maladies infectieuses. S
nerf vague dans les maladies infectieuses. Suivant 11. Levine, les
ganglions
du nerf vague sont des lieux d'élection des lés
f vague sont habituellement attribuables à la compres- sion par des
ganglions
tuméfiés. . Lésions du système, nerveux sympath
dans la paralysie générale. -L'examen microscopique du nerf et des
ganglions
sympathiques dans la paralysie générale a fait
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. jonctif périvasculaire interstitiel des
ganglions
, indices d'une inflammationchronique interstiti
jietvsÀ-y, 50 an., fasc. 11, 1888, Célérichy. Du rôle trophique des
ganglions
intervertébraux. Jourta. de illiei-jiews4-y, 5°
us-cutané présente un aspect muqueux avec sclérose des nerfs et des
ganglions
. Il y avait anesthésie, la glande thyroïde étai
se des cellules épithéliales, des capsules péricellulaires dans les
ganglions
rachidiens. Le Marchi montre, dans les cellules
s, mais les causes du phénomène doivent se chercher en dehors de ce
ganglion
et probablement dans l'écorce.. Pour Oppenhei
côté gauche du thorax est affaissé, aplati, rétracté en masse. Les
ganglions
de la région sus et sous-claviculaire gauche sont
; les autres siègent dans l'épaisseur dn muscle grand pectoral. Les
ganglions
lymphati- ques des régions sous-claviculaire et
angue cancéreuse développée aux dépens du poumon, de la plèvre, des
ganglions
lymphatiques et adhérente à la colonne vertébra
es centres nerveux ne présentaient aucune lésion macroscopique. Les
ganglions
rachidiens et les racines antérieures et postérie
a moelle cervicale, la moelle dorsale et la moelle lombaire ; sur ces
ganglions
rachidiens et les racines antérieures et postér
ur les muscles des membres inférieurs (Pl. L). ' La moelle et les
ganglions
rachidiens furent fixés soit par l'alcool-formol
; encore tout récemment nous l'avons constatée dans des cellules de
ganglions
rachidiens humains au cours de la rage (1) ; nous
rtout lorsque à ces lésions s'ajoutent une cause d'intoxication. 2°
Ganglions
rachidiens. Les ganglions rachidiens ne présenten
s s'ajoutent une cause d'intoxication. 2° Ganglions rachidiens. Les
ganglions
rachidiens ne présentent que fort peu de lésion
ns noté un certain nombre de cellules en chro- molyse au niveau des
ganglions
rachidiens lombo-sacrés. Toutefois les gan- gli
Salpêtr,, 1898. 4,\ ? - .356. DUSTIN ? ? ',«. "" En résumé les
ganglions
rachidiens tant lombo-sacrés que cervico-dorsaux
tré que des excitants mécaniques, même légers, portés au niveau des
ganglions
sympathiques par exemple, donnent lieu à des ph
lule et dégénère, et la multiplication des cellules capsulaires des
ganglions
rachidiens se faisant parallèlement à l'atrophie
ême que nous voyons les lésions rabiques atteindre profondément les
ganglions
rachidiens, les ganglions du pneumogastrique ou l
sions rabiques atteindre profondément les ganglions rachidiens, les
ganglions
du pneumogastrique ou les cellules de la corne
culaires, 'les racines antérieures, les racines postérieures et les
ganglions
rachidiens ne sont guère altérés. La guérison
st pas le cas pour les autres parties de la colonne vertébrale. Les
ganglions
sous-occipitaux sont uu peu gonflés et douloure
la méthode de Cajal des fragments du bulbe et de la moelle, et des
ganglions
rachidiens, mais, sans doute en raison des altéra
riques, nous n'avons pas pu obtenir de résultats satisfaisants. Les
ganglions
spinaux étaient normaux. Nous avons étudié le n
érique de un ou plusieurs nerfs spinaux. Il admettait une lésion du
ganglion
spinal, théorie à laquelle se ralliè- rent Gerb
axe du membre. Quant aux naevi liés à une altération congénitale du
ganglion
spinal,ou plutôt des cellules ganglionnaires de
, qu'un certain nombre de racines postérieures ne traversent pas le
ganglion
spinal, mais cheminent simplement accolées à so
que, d'autre part, certaines fibres radiculaires pénètrent dans le
ganglion
, mais ne s'y arrêtent pas, leur centre trophique
dans la région cervicale supérieure. A l'examen microscopique du
ganglion
de la région lombaire, il a été trouvé beaucoup
te oblitérante; leur lumière est parfois complètement oblitérée. Ce
ganglion
montre, dans un endroit, un morceau de tissu osse
on cervicale de la moelle épinière ainsi que son adhérence avec les
ganglions
intervertébraux. Les racines dorsales supérieures
ait une dégénérescence des racines posté- rieures, des cellules des
ganglions
intervertébraux et des faisceaux de Collet deBu
médiocres et flasques. La stature est de 1 m. 50. On palpe quelques
ganglions
lymphatiques légèrement augmentés de volume au
res myéliniques sont dégénérées, détruites; atteinte symétrique des
ganglions
centraux et de la pointe voisine de la face infér
ble suivant la localisation ou apoplexie quand la lésion occupe les
ganglions
centraux, des troubles de la respira- tion dépe
nt aux ialtérationslide, la moelle. (Pas d'altérations marquées des
ganglions
spinaux. D gpb aasr . msmrltlJ ut 1, P. Ils. z
B&h 9f ifàbioà ne hifi r'oIO^· rs op la - XIII. DE,L'ÉT.1'rpDES
GANGLIONS
'SPINAUX DANS LE TABES DORSAL; par 'il R.9WOLEN
*sin / · que de P 1 .. de be - e u p l e q. dali^ ne tient pas au
ganglion
, spinal ..Tous les,éléments du;ganglion sont alté
e q. dali^ ne tient pas au ganglion, spinal ..Tous les,éléments du;
ganglion
sont alté- rés et la destruction de, ses cellul
l'intermédiaire dés racines postérieures, ils- qu'aux cellules des
ganglions
spinaux, où finalement elle produit q z . , ...
suite, REVUE D'ANATOMIE.ET^DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.' -203 du
ganglion
. Témoins, ces, cas (obs. 4. et ) dans , 'lesquels
e cen- trale, qui, parties, du, lobe , .occipital, ^rejoignent- les
ganglions
optiques sous-corticaux. En avant d'elles s'inf
et ont tout l'aspect identique de celles qui'se rencontrent dans le
ganglion
intervertébral. Leur nombre est petit; on en tr
, " . ...., i" t n ........p.. , XLII. Recherches sur l'état, DES
ganglions
spinaux dans LE tabès . - dorsal; par R. VOLLEU
i ? cAM(., XXIV, 2.) , Quatorze observations. Tous les éléments des
ganglions
en ques-' lion sont altérés : hyperplasie et ré
par continuité, par les racines postérieures jusqu'aux cellules des
ganglions
spinaux où elle occasionne ses ravages. Mieux e
ne la destruction des éléments nerveux (fibres, puis cellules), des
ganglions
spinaux. L'atteinte du tissu conjonctif interst
a. On s'assurera ensuite de l'état des parois ventriculaires et des
ganglions
' Bull. Soc. Anal., 876, p. 1753 et 777. De p
onomie physique ? - · ? ? . "t) .. z ' f7ffDânsyéÿttë'tlTéôrie; les
ganglions
sont des centres supplémen- taires/atime'ntês'p
pat" en haut; tracer 'une incision circulaire contournant les gros
ganglions
et gagnant le prolongement inférieur du ventricul
les redeviendront alors perpendiculaires aux circonvolu- tions;'Aux
ganglions
âeutivâui"on appliquei·â le traitement accou- t
des ventricules, qui n'attaque pas la capsule interne et les;gros..
ganglions
, et ne détruit pas. les,points , de(repère,à l'ai
de.-lleclisiâlindispensableipoura déterminer les;rapports des gros
ganglions
, ;de la capsule ii n terne,, de,lâ,câpsulë exte
s nombreuses,fil ewestiune : que ? nons : rencôn-1 trons dans des;,
ganglions
spinaux.- Son- corps cellulair6ousproto-, plasm
ernière ? zSirdonc, cbmme'1'a'sign'alé Flesch ? lës"cellules"d'un ?
ganglion
spinal sont colorées à des degrés "divers7'cèlà
mie '< pathologique du dorsal, par rs Redlich, 199;' état des,
ganglions
Iz . . 1 "2 ..i . spinaux dans le par Wollen-
- diaire. Il a pu suivre ce nerf jusque dans les prolongements du
ganglion
, et la corde du tympan a pu aussi être séparée du
acial ; 3° Sa fonction sensorielle spéciale a son origine dans le
ganglion
situé sur le nerf de Wrisberg dans le protoplasma
ruit. Si le nerf de Wrisberg est coupé dans l'aqueduc en arrière du
ganglion
, le sens du goût est perdu. L'auteur fait remar
stence des filets gustatifs dans le facial mais au choc transmis au
ganglion
du nerf de Wrisberg. On ne doit jamais perdre d
n microscopique de cerveaux de serpents a prouvé à l'auteur que les
ganglions
postérieurs avaient même forme et même structur
es arrondies avec de fins prolongements comme on en trouve dans les
ganglions
sensoriels. L'irritation des paires postérieure
l'homme seulement. La paire posté- rieure étant représentée par un
ganglion
lenticulaire caché et chez quelques pythons par
ar une paire distincte. Il est très probable, dit l'auteur, que les
ganglions
postérieurs sont en relation avec le sens du ta
on avec le sens du tact parce que : 1° Leur structure est celle des
ganglions
sensoriels; 2° Leur origine embryonnaire vient
s noyaux sensitifs du trijumeau; 3° Le faisceau en rapport avec ces
ganglions
peut être suivi jusqu'aux colonnes postérieures
à ce sens par le sens du toucher. Il semble à M. Spitzka, quepeu de
ganglions
se prêtent aussi merveilleusement que les tuber
disease, à savoir que les faisceaux qui vont sans interruption aux
ganglions
supérieurs sont précédés dans leur développemen
, dont les veines pré- sentaient un développement considérale. -Les
ganglions
voisins étaient indemnes ; on nota seulement un
ge : 4§ J'WrltetiPJÎâ.4.e.s.fJ}yPPSl0AsesJcda^si| lesj fibres i .et
ganglions
, sénsitifs,"qui X< ? tJdE ! s. couches ? opt
te aies; expliquer en disante que; dans ces cas, le filet moteur du
ganglion
ophthalmiql1e èst fourni 'par'la sixième paire
t en masse, mais certains points de la base sont plus denses. Les
ganglions
du hile sont de volume normal et non caséeux. F
ts, ainsi que les sour- cils. La peau est normale. On sent quelques
ganglions
dans les aines. , , Le cou est un peu raide ;
cédé à cette étude par la dissection seule; ainsi, il mentionne des
ganglions
nerveux à l'entrée du trou nourricier ; M. Rémy
ie vaso-motrice par suite de section, d'altération des nerfs ou des
ganglions
sym- pathiques. Plus souvent, elle est due à de
nodosités de même nature le long des membres inférieurs et dans les
ganglions
de l'aine. La malade était dans un coma presque
q fois un anévrysme ; et enfin, dans un autre cas, il s'agissait de
ganglions
lymphatiques volumineux comprimant les récurren
; sous cette influence, il y aurait des troubles circulatoires des
ganglions
qui se trouvent dans la paroi même de l'intesti
oscope pigmen- 496 REVUE DE thérapeutique. tation des cellules du
ganglion
et dilatation des capillaires sanguins ; ces lé
segment supérieur(.de rrhémisphèreqest, enjqeque sorte, eisoléides
ganglions
cérébraux : îles fibres^qui en, partent, à l'état
tance grise ? qui -.s'interpose aentre,le lobe pariétal, Pv et les ,
ganglions
cérébraux, -, et nej permet aucune relation, dire
, tension ganglionnaire très-accusée, mais indolente; à droite, trois
ganglions
, dont l'un est gros comme une noisette, et les de
ros comme une noisette, et les deux autres plus petits ; à gauche, un
ganglion
du volume d'une grosse noisette. L'urètre est s
voisines, muscles, os, etc., comme le représente la planche V. Les
ganglions
lymphatiques sont le plus souvent dégénérés dans
a pression indique un amas de petites tumeurs donnant la sensation de
ganglions
lymphatiques de volume variable depuis la grosseu
de l'omoplate, on trouve de chaque côté une tumeur analogue à un gros
ganglion
lymphatique hypertrophié. Elle est mobile en tous
antiasis. On a constaté, dans la plupart des cas, une tuméfaction des
ganglions
du creux poplité, de l'aine, un amincissement d
, avec dilatation de leur cavité. Ces deux lésions, tuméfaction des
ganglions
, dilatation des vaisseaux, s'accordent bien avec
la peau et des couches sous-cutanées empêche de constater l'état des
ganglions
lymphatiques de cette région. Le scrotum souvent
xerçant de retentissement appréciable que sur les lymphatiques ou les
ganglions
qui lui correspondent; pendant un certain temps i
raît juste et équitable de rappeler que Huxley, en comparant chaque
ganglion
nerveux d'une écrevisse à une boîte à musique,
es premiers qu'une seule impulsion portée par un nerf sensitif à un
ganglion
peut provoquer une contraction musculaive isolé
nombreux tubercules à des stades différents de leur évolution. Les
ganglions
spinaux étaient également le siège de lésions inf
es l'ont conduit aux conclusions suivantes : 1° La chromatolyse des
ganglions
plexdbrmes et des noyaux bulbaires du vague est
5° Le chien au 22e et au 122° jour présente la chromatolyse dans le
ganglion
dont le nerf n'a pas été lésé aussi bien que dans
t d'une paralysie périphérique par compression du grand hypoglosse (
ganglions
tuberculeux). Thennogénèse des tabétiques. MM
E et B. ElDE ont pu étudier par la méthode de Nissl les allures des
ganglions
rachidiens dans cinq cas de poly- névrite très
nt à cette conclusion : Au cours des polynévrites, les cellules des
ganglions
rachidiens ne sont pas prises avec la même cons
ment., 1900, fa=c. 2.) XXXVIII. Sur la pathologie des cellules des
ganglions
sensitifs; par Luz.no. (Riv. di pul. 7zeiv. et
sommes-nous complètement éclairés sur les connexions et le rôle des
ganglions
centraux et de toutes les parties du mésencé- p
L'affection étant uni-latérale, la lésion doit siéger au niveau des
ganglions
centraux, au voisinage du segment posté- rieur
; le centre du tonus volontaire peut être placé à la fois dans les
ganglions
basilaires et dans l'écorce cérébrale. Le tonus
pendyme de leur plancher et de leur plafond était affecté; mais les
ganglions
de la base étaient normaux. La tumeur n'était p
soit vraiment radicale. R. de Musgrave-Clay. IV. La chirurgie du
ganglion
sympathique cervical supérieur ; par George-F.
(The New York Médical Journal, 24 fé- vrier 1900.) L'excision du
ganglion
sympathique cervical supérieur a été tentée dan
que revient l'honneur d'avoir le premier conseillé l'excision de ce
ganglion
dans le glaucome, et c'est certainement un des
ome et constate que, sauf dans la forme hémorragique, l'excision du
ganglion
sympathique cervical supérieur est indiquée dan
de réduire la tension. En résumé, la résection de l'un ou des deux
ganglions
sympa- thiques cervicaux supérieurs constitue d
- par la putré- faction, par Banlsky, 223. Patho- logie des - des
ganglions
sen- sitifs, par Luzaro, 23 ? ner- veuses à d
d'un , 367. Traite- ment du en Perse, 534. par- ricide, 546. ,
Ganglion
sympathique. Chirurgie du cervical supérieur, p
és, l'enfant ayant refusé de se laisser déshabiller. Il présente un
ganglion
rétro-cervical à gauche. Les réflexes patellair
érés, et à la surface opposée de la scissure de Sylvius droite. Les
ganglions
centraux droits étaient aussi envahis par la tu
proposé à la malade, qui souffrait terriblement, l'extirpation du
ganglion
de Gasser; elle refusa, il ne l'a plus revue (pho
ires de la salive. An niveau 164 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. du
ganglion
géniculé, elles se détachent en avant, et s'en vo
n avant, et s'en vont par le grand nerf pétreux superficiel vers le
ganglion
sphéno-pala- tin. Le trijumeau ne joue, par rap
l'oeil. La destruction, chez tous ces ani- maux, du facial jusqu'au
ganglion
géniculé, n'entraîne pas la dégé- nérescence du
éciaux qui se trouvent successivement dans les neurones inférieurs (
ganglions
et cornes antérieures de la substance grise), d
ire), dans les deuxièmes neurones de relais (cervelet, mésocéphale,
ganglions
de la base du cervea.u) et dans les neurones su
ques ou déformantes, mais on ne saurait, ce semble, accorder ici au
ganglion
de Gasser le rôle essentiel et primitif qui lui
en, non par des troubles trophiques dérivant d'une action propre au
ganglion
de Gasser, mais par des perturbations fonctionn
ctement en rapport avec les centres trophiques que constituerait le
ganglion
de Gasser. 4° Dans tous les cas, il paraît résu
ectionnés à leur point de pénétration dans la tumeur. d) Dans les
ganglions
nerveux, les amas épithéliaux envahissent le st
s nerveux, les amas épithéliaux envahissent le stroma conjonctif du
ganglion
, se groupent dans les fentes con- jonctives, et
ar complet envahis- sement. Malgré un envahissement considérable du
ganglion
, ur. certain nombre de tubes nerveux y conserve
ngites ou de phlébites cancéreuses. Les racines rachidiennes et les
ganglions
nerveux intervertébraux sont alors les premiers
bjecte encore que la seule voixana- tomique descendante reliant les
ganglions
lombaires au la moelle - est, dans l'état actue
de santé, expression intelli- gente. Cheveux châtain clair. Pas de
ganglions
. Crâne de volume moyen, symétrique, ni bosses,
s qui avait produit l'herpès zoster, s'est localisé dans le premier
ganglion
dorso-spinal et ainsi affecté la substance gris
oelle épinière, les cellules du sympathique, certaines cellules des
ganglions
spi- naux et certaines cellules cérébrales; dan
s différents réacliïs, tels que les granules noirs des cellules des
ganglions
spinaux ; 2° les granulations erytlirophiles ; 3°
s. Dégéné- rescence des racines correspondantes. Lésions des quatre
ganglions
spinaux cervico-inférieurs. Entre la moelle et
quatre ganglions spinaux cervico-inférieurs. Entre la moelle et les
ganglions
en question, lésion des manchons de myéline, pe
l inférieur ? mais, en cet endroit, 'la1capsule externe et les gros
ganglions
sont intacts ? 4 ? Associcatiolad'une dysacomielg
cipital. L'examen microscopique montre la diminu- tion du nombre de
ganglions
et l'absence des cellules de ces der-, niers da
e 'des élémeilts`ânatômiques.,L'excavationqui` occupe'le" contre du
ganglion
semble formée par simple écarter ment des" tiss
le prolifération du tissu intersti- tiel. Intégrité des cellules et
ganglions
spinaux. Atrophie du cor- don postérieur corres
xcitation constante qui les sollicite. Elles entretiennent dans les
ganglions
spinaux des modifications biologiques qui se trad
tate -iL l'autopsie de l'hyperplasie du corps thyroïde, de tous les
ganglions
lymphatiques, du typhus, et'1'ostéomalacie SOCI
LOGIE MENTALE 387 la région rolandique de l'écorce cérébrale et les
ganglions
du corps strié : il est le lien d'origine des c
és, surtout à gauche. Atrophie des pyramides correspondant aux gros
ganglions
du côté gauche et se propageant surtout dans la
ette égalité se maintient en ce qui touche le siège de ces lésions (
ganglions
delà base ou couches superficielles) : on peut
ieu de croire'que l'extrémité des nerfs'sensitif; provoque dans les
ganglions
spinaux des modifications biologiques,' probabl
dent aussi à l'altération des fibres que les cellules nerveuses des
ganglions
spinaux envoient à la moelle. Ainsi s'explique
de de nutrition des parties atteintes, peut-être aussi parce que le
ganglion
exerce sur elles une influence distincte ; 8° les
lion exerce sur elles une influence distincte ; 8° les cellules des
ganglions
spinaux restent en apparence indemnes (Criedlende
mén, Van Lair et moi-même). Ceci prouve que les centres trophiques (
ganglions
spinaux) peuvent conserver leur constitution anat
t une force de résistance spé- cifique moindre que les cellules des
ganglions
spinaux; 10" dans le cordon postérieur, il y a
déterminé la dégénérescence descen- date,du' bout central, entre le
ganglion
géniculé et le noyau du 7t ' I . I ? t ·1· ...
s.enqstion ? v1'Tptm^·t7 ! ! il ? ....i ? \. ? 00 11 se compose dos
ganglions
sympathiques, des ganglions spinaux et des raci
il ? ....i ? \. ? 00 11 se compose dos ganglions sympathiques, des
ganglions
spinaux et des racines postérieures,' normaux,
sceaux de Meynert qui se, confondent avec lui, sont, de même que le
ganglion
, interpédonculaire où se terminent ces derniers
menté de volume, mais il n'est pas douloureux à la pression. Les
ganglions
inguinaux augmentés de volume. Etat psychique.
manifestations. Rien d'anormal aux autres viscères et organes. Les
ganglions
inguinaux sont un peu augmentés de volume. "
ise l'endroit où on le pique. L'odorat et le goût sont normaux. Les
ganglions
inguinaux paraissent engor- gés de deux côtés,
e le côté gauche du cou une cicatrice ver- ticale, restes d'anciens
ganglions
strumeux suppurés. Les téguments sont pâles, le
bruits cardiaques faibles. Rien aux autres organes et viscères. Les
ganglions
ingui- naux pris de deux eûtes, ont les caractè
es ganglions ingui- naux pris de deux eûtes, ont les caractères des
ganglions
engorgés spécifiques de la syphilis. Les os tib
pression. Rien de pathologique aux autres viscères et organes. Les
ganglions
inguinaux sont pris de deux côtés sans être pourt
xe rotulien exagéré. Il n'y a pas de trépidation épilepsoïde. Les
ganglions
inguinaux, axillaires et cervicaux sont pris, san
tout à la mâchoire supérieure. La voûte du palais très excavée. Les
ganglions
lympha- tiques tous pris, mais sans présenter d
é piqué. Aucun souffle au coeur. Les autres organes sont sains. Les
ganglions
inguinaux pris des deux côtés, paraissent spéci
hypocondre droit est douloureuse, de même celle de l'épigastre. Les
ganglions
ingui- naux sont petits, durs, nombreux, mais n
iaques rare=, le pouls petit, étroit, 60 pulsations par minute. Les
ganglions
inguinaux sont pris des deux côtés, mais sans p
acide citrique a un goût amer. Odorat est normal. Pas d'ovarie. Les
ganglions
cervicaux et inguinaux sont de volume habituel.
pouls faible. Rien de pathologique du côté des autres organes. Les
ganglions
inguinaux pris de chaque côté, surtout du côté
un peu cyanosés. Les battements cardiaques sont irré- gulier. Les
ganglions
inguinaux sont spécifiques de la syphilis, les
maire des territoires primordiaux se développe, sans exception, des
ganglions
de la base vers l'écorce; ceci est surtout appa
a protubérance, l'écorce - SOCIÉTÉS SAVANTES.. 1133 et les gros
ganglions
des hémisphères. Le cervelet est l'endroit le m
ale ni dans la patholo- gique. Les fibres centripètes provenant des
ganglions
rachi- diens en arrivant au cordon postérieur n
de cinq jours. L'autopsie démontra une tuberculose très avancée des
ganglions
bronchiques dont quelques-uns ont acquis le vol
s' du cou et- au i niveau dmmé- diàstin, il y avait tuméfaction des
ganglions
lymphatiques,'hr;1 ...1 1- l, leli'i Ht ' 1 ["¡
influence, de, l'incitation, produite surale pneumogastrique parles
ganglions
tuméfiés situés au;voisinage de ce nerf. Peut-ê
'fn'.9,l,Mf,fL¡tI11 Il In 1 l. mn 1. servation. On trop oublie, les
ganglions
nerveux, do la pase, du ? r,yp,.1 ? I3" ? ux, J c
animaux"privés,de) toute la portion des hémisphères supérieurs aux
ganglions
de la uae.3Peut;on sans,efiort,,n,pas,,tourner
ropage l'anomalie à l'ensemble du manteau des hémisphères jusqu'aux
ganglions
de la base ; 5° par cela qu'ils sont congénitau
- BIBLIOGRAPHIE. 159 tions corticomotrices et des altérations des
ganglions
et de la cap- sule interne, produits de la caus
de divers troncs nerveux des membres inférieurs, enfin plusieurs
ganglions
lombaires et sacrés avec les racines correspondan
is; rien ne permettait à l'oeil nu de les distinguer de nerfs et de
ganglions
tout à fait normaux. DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQUES
miné les racines rachidiennes attenantes aux troisième et quatrième
ganglions
lombaires droits et gauches. Les fibres des rac
e la myéline (type 1). Mais les tubes normaux sont en majorité. Les
ganglions
eux-mêmes n'ont pas été exa- minés. 2° Nerfs
ppréciable. - Archives, t. VI. 13 19 le PATHOLOGIE NERVEUSE. 6°
Ganglions
lombaires et sacrés, correspondant au plexus sa
permis une étude rigoureuse de l'état des fibres nerveuses dans ces
ganglions
. Les coupes, pratiquées sur ceux de ces organes
e modification notable des cellules. 7° Racines correspondant à ces
ganglions
. Les racines antérieures sont absolument saines
l'acide osmique que sur les coupes après action du bichromate. 9"
Ganglions
lombaires et sacrés, correspondant au plexus sa
r les congénères du côté gauche. 101 - Racines correspondante ces
ganglions
. - Les fibres des racines sont en très grande m
semblance, les autres parties de la région corticale, ainsi que les
ganglions
centraux, n'offrent pas d'altérations visibles
du bord inférieur de l'opercule ; on voit sur cette coupe les gros
ganglions
du cer- veau et entre eux la capsule interne'.
s. Pas de poils aux aisselles, au pubis, ni sur les membres. Pas de
ganglions
au cou, aux aisselles, ni aux aines. Sensibil
pression qui ne permettait de perce- voir aucune néoformation. Les
ganglions
sous-maxil- laires n'étaient nullement engorgés
rganisation des êtres vivants », ont émigré, au cours des âges, des
ganglions
de la moelle épinière, dans le mésocéphale et l
aines phrénopathies; 2° par irritation retentissant directement des
ganglions
de la base et du bulbe sur les centres moteurs
ns le bulbe latéral. Dans le point où elles se détournent existe un
ganglion
, le ganglion profond du mésocéphale, noyau du rub
atéral. Dans le point où elles se détournent existe un ganglion, le
ganglion
profond du mésocéphale, noyau du ruban de Reil.
ôté, au milieu même des fibres qui s'entre-croisent existe un autre
ganglion
, le ganglion profond médian du mésocéphale. Exi
u même des fibres qui s'entre-croisent existe un autre ganglion, le
ganglion
profond médian du mésocéphale. Existe-t-il des
e des sons, tandis que le tubercule quadrijumeau inférieur est un
ganglion
de l'acoustique, il en résulte que le corps genou
amens anatomiques qu'il a pratiqués sur ce nerf lui-même et sur ses
ganglions
. 11 décrit tout d'abord les lésions his- tologi
quelles sont les fonctions que l'on peut attribuer au nerf et à ses
ganglions
, puis, au point de vue pathologique, les symptô
xophtalmique. Le même plan est ensuite suivi en ce qui concerne les
ganglions
, et surtout les ganglions extrinsèques que cons
est ensuite suivi en ce qui concerne les ganglions, et surtout les
ganglions
extrinsèques que constitueraient le corps thyroïd
la caryocinèse dans les cellules nerveuses de l'écorce et des gros
ganglions
. Encore moins abondante est celle des cellules
midales de l'é- corce cérébrale - cellules de Purkinje du cervelet-
ganglions
du nerf optique) possèdent un prolongement cylm
ement à des lésions cérébrales sans aucune modification du côté des
ganglions
spinaux, que cette atro- phie peut coïncider av
dessus dans la région temporale inférieure et de l'hippocampe, les
ganglions
de la base, les pédoncules et les autres parties
phère gauche sans la plus légère participation des pédoncules ni de
ganglions
de la base. Ces expériences prouvent que les fo
: Hypertrophie bien apppréciahle de la glande thyroïde. Nombreux
ganglions
dans la région cervicale, quelques-uns volumineux
mbreux ganglions dans la région cervicale, quelques-uns volumineux.
Ganglions
volumineux sous les aisselles et dans les régions
la moelle, puis latéralement sur le pourtour des racines jusqu'aux
ganglions
et enfin sur la face antérieure. MÉNINGITE CERV
tif à des lésions nerveuses périphériques, lors de l'extirpation de
ganglions
sous-maxillaires. hémiatrophie linguale 35 La
enne. Pression artérielle 12 maxima au Puchon et 9 minima. Pas de
ganglions
. Appareil urinaire. - Pas de polyurie. Ni sucre
t exagère la douleur qui n'est pas très marquée ; ni empâtement, ni
ganglions
, ni sécrétion, ni température, ni phénomènes gé
cultation attentive montre des som- mets absolument sains. Pas de
ganglions
au niveau des carrefours. Aucun signe d'hérédo-sy
ndrome d'Addison, à côté des lésions d'une capsule surrénale et des
ganglions
sympathiques voisins, un corps thyroïde très peti
a les (Licht- witz, Haushalter, Spillmann), soit à des troubles des
ganglions
mésentéri- ques (Schwerdt), soit encore à l'hyp
u à l'exploration la plus minutieuse ; de même on note l'absence de
ganglions
lymphatiques perceptibles. A l'inspection du th
ux-mêmes par une altération organique ou fonctionnelle du troisième
ganglion
sympathique cervical (Brissaud). Nous ne pouvon
ogressi- vement, sans réaction inflammatoire, sans hypertrophie des
ganglions
, avec tendance à l'ulcération et à la cicatrisa
se causer une pression anormale sur les vaisseaux sanguins ; pas de
ganglions
tuméfiés dans les aines, pas de varices aux jam
lésions ; il en est de même de la substance blanche sous-jacente.
Ganglions
centraux. - La destruction du Noyau lenticulaire
PI. L Fio. A. Coupe horizontale passant par le tiers supérieur des
ganglions
centraux. , Destruction de l'insu la. de la cap
zontale de l'hémisphère gauche passant par la partie inférieure des
ganglions
centraux, destinée à montrer la lésion de l'insul
. FIG. b.- Coupe horizontale passant par l'extrémité supérieure des
ganglions
centraux. Vaste lésion ayant détruit le noyau l
es de régénération situés sur le trajet du nerf facial au niveau du
ganglion
géniculé dans deux cas d'hémispasme facial post
Enfant chétif, peu développé, pâle, très émotif, portant au cou des
ganglions
volumineux. Il urine au lit depuis la première en
ère souffreteux, de mine tuberculeuse. Enfant chétive, scrofuleuse,
ganglions
suppurés au cou à sept ans; abcès avec nécrose
, avec les centres trophiques des nerfs de la sensibilité, dans les
ganglions
intervertébraux, et que les nerfs trophiques ac
t dans l'hémisphère en déterminant une vaste perte de substance des
ganglions
de la base et du lobe temporal. L'auteur termin
s cellules du groupe moyen de la région dor- sale. Les cellules des
ganglions
spinaux étaient normales, de même celles de la
u velus, on ne peut trouver ni cicatrice, ni tache suspecte; pas un
ganglion
engorgé, pas une aspérité osseuse du tibia, rie
même tomber, on a alors des plaies fistuleuses avec engorgement des
ganglions
de l'aisselle, ce qui donne au sein hystérique to
plusieurs branches du trijumeau, on dut recourir à l'extirpation du
ganglion
de Gasser qui seule mit fin aux crises douloure
uelque temps après l'opération. Il ne semble donc pas prouvé que le
ganglion
de Gasser exerce sur la cornée une influence tr
UE. absence de troubles trophiques cornéens, malgré l'ablation du
ganglion
de Gasser. A. lVi. . V. Crétinisme ET extrait t
s suivantes : Dépression, faiblesse générale, muqueuses décolorées,
ganglions
lymphatiques engorgés, muscles flasques. Les mu
ant son tronc nerveux, soit dans l'oreille du lapin en extirpant le
ganglion
cervical supérieur de cet animal, après quoi on
il faut extirper le plexus ca;liaque. Mais comme l'extirpa- tion du
ganglion
coeliaque inférieur seul suffit pour provoquer de
rience une survie assez prolongée, c'est à l'extirpation de ce seul
ganglion
inférieur que les auteurs eurent recours. Voici l
façon dont ils rendent compte de leurs expériences. Extirpation du
ganglion
coeliaque inférieur sur cinq lapins. Deux d'ent
toute localisation morbide dans le foie prouve, incidemment, que le
ganglion
coeliaque inferieur n'est pas un centre d'innerva
ein à l'infection était d'autant plus certaine que l'extirpation du
ganglion
coeliaque inférieur, par lequel passent presque
corticales, et peut-être aussi celles de la capsule interne et des
ganglions
cé- rébraux, ont été obturées. Ces embolies ont
s du corps : au cou, dans les régions inguinales et axillaires. Les
ganglions
sont durs, mobiles, indépendants les uns des au-
ont réduits. La perméabilité pulmonaire est normale, on perçoit les
ganglions
du médiastin. Le peu de développement du pénis
AIRES 209 \ 10. -'Sein gauche gonflé, sensible à la pression. Aucun
ganglion
dans l'aisselle, sans adhérence de la peau. D
queduc de Fallope. L'intermédiaire se jette dans l'angle interne du
ganglion
géniculé et le facial sort par le trou stylo-ma
motrice delà Ve paire, mais de sa grosse racine sensitive avec son
ganglion
de Gasser. Les auteurs ont en effet montré qu'e
in dans aucun autre endroit. Il faut signaler, en particulier,que les
ganglions
centraux étaient tout à fait demeurés en dehors
s branches de l'artère cérébrale moyenne droite, qui monte vers les
ganglions
fondamentaux, changée en un anévrisme, dont la
'abord prendre pour un anévrisme, mais qui, en réalité, n'est qu'un
ganglion
lymphatique, auquel l'artère carotide communique
mptômes : 1° Une cicatrice pulsatile, qui, par l'intermédiaire d'un
ganglion
lym- phatique, amplifie les battements carotidi
otide s'explique par l'élasticité bien connue des artères. Le petit
ganglion
en avant de l'artère, dont il rend plus visibles
ue la 3' paire, qui innerve le sphincter de la pupille à travers le
ganglion
ciliaire, est indemne. - Nous rappellerons ic
s des premiers et seconds segments thoraci- ques et entrent dans le
ganglion
cervical 'inférieur du sympathique cer- vical p
cs. De là, elles montent dans le nerf sympathique cervical jusqu'au
ganglion
de Gasser, se rendent alors à l'orbite, le long
le en suivant les longs nerfs ciliaires. Elles ne traversent pas le
ganglion
ciliaire. Pour que la cocaïne donne la mydriase
périthyroïdienne supérieure de Garnier et Villemin (2), qui née du
ganglion
cervical supérieur se réfléchit autour de la fa
à réactions égales. Pouls à il2. Em- pâtement de la nuque à gauche.
Ganglions
au-dessous et en avant de l'angle maxillaire ga
risations. Ces lésions sont surtout mani- festes du côté droit. Les
ganglions
bronchiques sont tous hypertrophiés,durs à la c
i- ques à ceux du poumon droit. Le lobe supérieur est intact. Les
ganglions
péribronchiques sont volumineux, indurés et ant
huile de foie de morue. 1er février. Blépharite. Tuméfaction des
ganglions
du cou. 4 février. Persistance de l'adénopathie
inférieur. Tout le parenchyme est infiltré de tubercules mous. Les
ganglions
bronchiques sont ramollis; quelques-uns sont ca
testin est normal, sans vascularisation; il en est de même pour les
ganglions
mésentériques, et de la vessie. ' Tête. La ba
, l'enfant tousse encore. A la région cervicale, on trouve quelques
ganglions
scrofuleux indurés. L'oeil gauche est le siège
ice). , Thorax : L'appareil picuro-pulmonaire est sain ; quelques
ganglions
bronchiques sont augmentés de volume; deux d'en
niveau. A gauche, bronches avec arborisations vasculaires. Un des
ganglions
bronchiques, à droite, a le volume d'une amande
vertiges. EOSINATE DE SODIUM, 2t gauche, ainsi que sur le menton.
Ganglions
sous-mentaux engorgés et douloureux. Sur la mai
sence d'une adénopa- thie dans l'aisselle. C'est la présence de ces
ganglions
engorgés qui était la cause unique de la douleu
ices de petites dimensions, disséminées sur le cuir chevelu. Pas de
ganglions
ni de cicatrices sur le reste du corps. Visag
Dans le reste de poumon, on trouve de petits noyaux ramollis. - Les
ganglions
du hile sont hypertrophiés ; quelques-uns attei
facile d'énudéer complètement cette ma-se : c'était, en somme, un
ganglion
tuberculeux sur le thymus , ce dernier organe n
n reste négatif, la palpation de l'abdomen ne fait pas découvrir de
ganglions
mésentériques volumineux. Diagnostic ; tubercul
humides disséminés dans les poumons, plus nombreux aux sommets. Les
ganglions
du cou, des aines, des aisselles sont augmentés
urrénales n'offrent rien de particulier. Le pancréas est entouré de
ganglions
tuberculeux. La vessie est remplie d'urine ; au
vifs et brillants, La peau est blanche, pas de cicatrices) pas de
ganglions
. Les cheveux sont bruns, bien implantés. Le crâ
es à gauche. Adhérences plus rares et pas de tubercules à droite. -
Ganglions
du médiastin engorgés ; quelques-uns sont casée
issement et en outre on fit des coupes horizontales passant par les
ganglions
centraux. 1° Sur les coupes frontales, qui pass
. . 3° Sur les coupes horizontales, qui passent par la région des
ganglions
centraux, on voit près du foyer de ra- mollis
aux dépens de la tunique interne des vaisseaux lymphatiques et des
ganglions
. Cornil et Ranvier (3), dans leur première édit
s d'autres organes (capillaires sanguins, vaisseaux lym- phatiques,
ganglions
, enfin glandes elles-mêmes, parotide, testicule,
eur aux cellules névrogliques. Van Gehuchten et Nelis, étudiant les
ganglions
nerveux dans l'infec- tion rabique, ont signalé
t, d'autre part, la prolifération des cellules de la capsule de ces
ganglions
. Ici donc, on trouve la réaction de deux élé- m
s et de divers déments. Tout au contraire Pugnat (S), examinant des
ganglions
d'animaux, fait intervenir les leucocytes seuls
n des pédoncules cérébelleux moyens et ab- sence presque totale des
ganglions
protubérantiels. Le cervelet était atrophié, se
e la légion dorsale. P, Coupe de la région lombaire - G. Coupe d'un
ganglion
rachidien (lombaire). Masson & Ctr, Editeur
amen de la moelle si nous ne donnions maintenant une description de
ganglions
rachidiens qui peuvent être considé- rés comme
mme une portion extériorisée de la moelle. L'examen a porté sur des
ganglions
cervicaux, dorsaux et lombaires droits et gauches
vec le picro-carmin (Voy. Pl. Ll. Fig. 6). D'une façon générale les
ganglions
ne présentent aucune atrophie, analogue à ce qu
s inflammatoire médullaire et périmédullaire semble avoir gagné les
ganglions
. Les vaisseaux qui les entourent et les pénètrent
embryonnaires leur forment un manchon, envahissent la substance du
ganglion
et s'étendent dans les interstices laissés entr
e les cellules. Des hémorrhagies abondantes occupent l'intérieur du
ganglion
; et par place les éléments anatomiques baignen
alomo-physiologiques actuelles rapprochées de cette cons- (1) Mort,
Ganglions
et centres nerveux. Archives de physiologie, 1895
l'on ne constate de causes de compression : ventre souple ; pas de
ganglions
engorgés ; foie et rate de volume normal. Les o
niveau du bord postérieur et du lobe inférieur, pas de tubercules,
ganglions
bronchiques volumineux. Poumon gauche, adhérenc
estin : muqueuse ramollie et épaissie. - Mésen- tère vascularisé. -
Ganglions
mésentériques normaux. Épilepsie ; démence. 33
, est de même vide et rétracté. Mésentère : injecté, présentant des
ganglions
engorgés. Gros intestin : contient peu de gaz;
- Le péritoine contient un peu de liquide; pas de granulations. Les
ganglions
mévente- riqttes sont engorgés, rouges et gros.
nces pleurales à droite. - OEdème des poumons. Hypertro- phie des
ganglions
du mésentère. .Sctorose atrophique des deux lob
ésentère est vascularisé et présente une hy- pertrophie de tous ses
ganglions
, qui se suivent en certains endroits comme en c
seaux que par l'aplatissement des masses qui sont le vestige des
ganglions
centraux. Hémisphère droit. - La configuration
on, sauf une légère desquamation eczémateuse. On trouve deux petits
ganglions
dans la région sous-maxillaire gauche ; rien ai
cavité abdominale. Péritoine pariétal et viscéral lisse et intact.
Ganglions
mésentériques normaux. La vessie, rétractée, co
he, petite plaque, 2 déc. Pas de croûtes dans les cheveux. Quelques
ganglions
cer- vicaux. Quelques macules sur la peau. Les
l'alopécie, plusieurs taches brunâtres dans les cheveux ; quelques
ganglions
cervicaux ; une légère éro- sion du pilier anté
ses maîtres. Privation de vin et de promenade. 31 août. Quelques
ganglions
cervicaux et inguinaux. Rien aux organes génita
organes génitaux, ni dans la gorge. 22 novembre. Encore quelques
ganglions
cervicaux à gauche. Aucune syphilide. Prend rég
st insolent, grossier à la moindre observation. Il porte quelques
ganglions
indurés dans les aisselles et dans les aines, e
dans l'iode, la fuchsine et l'acide acétique. -- L'hypertrophie du
ganglion
cervical supérieur du grand sympathique porte p
ppe tout d'abord, c'est une hyper- trophie considérable de tous les
ganglions
et de tous les nerfs qui le constituent. Portio
ions et de tous les nerfs qui le constituent. Portion cervicale. Le
ganglion
cervical supérieur gauche est très volu- mineux
nférieure partent plusieurs rameaux : le plus volumineux aboutit au
ganglion
moyen qui est placé très bas, immé- diatement a
ganglion moyen qui est placé très bas, immé- diatement au-dessus du
ganglion
cervical inférieur; ce dernier étalé transver-
ue dans toute cette région forme un cordon présentant au niveau des
ganglions
de légers renflements; il mesure 5 millimètres
ne mesurant que 4 millimètres. Au lieu de trouver une succession de
ganglions
réunis par des filcls nerveux plus ou moins imp
piliers du diaphragme, vient se jeter à l'angle supérieur gauche du
ganglion
semi-lunaire; il se continue il plein canal à sa
- glion avec une branche volumineuse du pneumogastrique droit. Le
ganglion
semi-lunaire et le plexus solaire mesurent 45 mil
eur, au point d'émergence des nerfs trijumeaux, 4 cent. 5. Les gros
ganglions
centraux mesurent sur la coupe principale (45"
âtre. Largeur 32 cent. Estomac très large, muqueuse très plissée.
Ganglions
mésentériques légèrement augmentés de volume, un
conclusion de K. Cet auteur constata, enfin, que, au 30e jour, les
ganglions
spinaux ne présentaient pas trace de dégénérati
érieures détermine des altérations des nerfs péri- phériques et des
ganglions
semblables à celles du tabes; la diffé- rence n
ns radiculaires. " z Nouvelles recherches sur l'histologie fine des
ganglions
et des racines postérieures dans le tabès. MM
INESCO et J. 1-11Nr- : L (de Bucarest). -Nous venons d'examiner les
ganglions
spinaux et les racines postérieures dans 5 nouv
nérées et celui des fibres de nouvelle forma- tion à l'intérieur du
ganglion
et du nerf radiculaire interne. Dans les gangli
à l'intérieur du ganglion et du nerf radiculaire interne. Dans les
ganglions
sacrés, où le processus tabétique est plus anci
fibres finissent par une massue ter- minale, soit à l'intéiieur du
ganglion
, soit dans le nerf radicu- laire ; on les tiouv
sui tout le trajet de la branche centrale jusqu'à l'intérieur du
ganglion
, renflements dus à l'accumulation de substances i
ccüonné ou com- primé car d'une part il existe dans l'iiitérieui du
ganglion
des fibres en état de dégénérescence et plus la
. Les ventri- cules contenaient un liquide trouble ; la surface des
ganglions
de la base était veloutée. Après durcissement
quer l'abolition des réflexes patellaires, il faut supposer que les
ganglions
intervertébraux ou les nerfs périphériques étaien
ll, - dans le faisceau radiculaire et le tronc du M. O. C ? dans le
ganglion
ciliaire, - dans les nerfs ciliaires, dans le n
qui l'ont les premiers décrite y voient une affection primitive des
ganglions
lymphatiques, Mayer a rencontré chez un même su
sur les tempes ; deux épis, l'un à droite, l'autre à gauche. Pas de
ganglions
, pas de cica- trices, pas d'éruptions, pas de n
e du crâne, par Ruml : e, p. 383. Fugues. Voir Démence précoce.
Ganglions
. Voir Tabès. Gangrené. Voir Mélancolie. symét
par Long, p. 162. Nouvelles recherches sur l'histologie fine des
ganglions
et des racines postérieures dans le -, par Ma
bies ainsi que de leurs toxines, sur les nerfs périphériques, les
ganglions
spinaux et la moelle épinière, parle Professeur
E. 81 s sont une pile. Plus loin, il est dit que la moelle et les
ganglions
ne constituent guère, chez l'homme que des appe
ssus est connu depuis longtemps. Déjà. en 181l,\1'yss. voit dans un
ganglion
de Casser, des globules de pus s'accoler à des
ie, qui revêt un aspect dif- férent dans les centres nerveux et les
ganglions
, ne peut se produire dans les cellules saines.
de fréquence dé- croissante, dans : écorce etganglions de la base ;
ganglions
céré- bro-spinaux et sympathiques ; bulbe et mo
du cerveau et de l'ensemble des centres nerveux de la moelle et des
ganglions
spéciaux sur les systèmes organi- ques du corps
e plutôt qu'à une compression par tumeur. Lésions des racines des
ganglions
rachidiens et des nerfs dans un cas de maladie
eur trouve, en effet, chez les Rotifères, «au'dessus du pharynx, un
ganglion
céré- bral simple ou bilobé». Il se demande si
al simple ou bilobé». Il se demande si « de la simpli- cité de leur
ganglion
cérébral », on peut « conclure à la simplicité
vers « à la vérité les comprend dans la même description que ceux à
ganglion
bilobé » (p. 93'. 1 Mais quittons provisoirem
ogique, elles existent à l'état normal : Cajal en a décrit dans les
ganglions
rachidiens et sympathiques, l'auteur en a trouv
et des muscles masticateurs. MM. Marinesco et liIINEA : Etude des
ganglions
spinaux dans un nouveau cas de tabes. - M. NoïcA
ense qu'il s'agit de lésions périphériques dues à l'inflammation du
ganglion
ciliaire et du moteur oculaire externe dans son t
bies ainsi que de leurs toxines, sur les nerfs périphériques, les
ganglions
spinaux et la moelle épinière ; par Homen, p. 4
la - ; par Campbell, p. 51. FIIIEDREICII. Lésions des racines des
ganglions
rachidiens et des nerfs dans un cas de maladie
e de la des libres nerveuses périphériques ; par BesLa, p. 252.
Ganglions
spinaux ; voir Bac- téries. rachidiens ; voir F
, comme on le voit déjà dans le bulbe, la simplicité relative des
ganglions
de la moelle épinière; mais ce qu'il y a de fon
ules nerveuses, Forel se demande pourquoi l'on continue à parler de
ganglions
d'interruption des fibres nerveuses, de rapport
; il y a donc apparence que les fonctions, si controversées, de ces
ganglions
seraient surtout motrices. Inutile d'insister s
ns transversales. Ces trois régions, en rapports définis avec les
ganglions
de la base, sont appelées par Corti : 1° région
n des racines postérieures une série des fibres qui entrent dans le
ganglion
intervertébral avaient au sein même de ce gangl
entrent dans le ganglion intervertébral avaient au sein même de ce
ganglion
continué à subir la dégénérescence. Là s'arrêta
cervelet, la protubérance, le bulbe, la moelle, les racines et les
ganglions
spinaux, quelques fragments de muscles, de coeu
rose occupe plus régulièrement l'étendue du faisceau cérébelleux.
Ganglions
spinaux. Les ganglions spinaux ne sont pas tout
lièrement l'étendue du faisceau cérébelleux. Ganglions spinaux. Les
ganglions
spinaux ne sont pas tout à fait normaux ; on y
l. Les vaisseaux semblent hypertrophiés en cer- tains endroits. Les
ganglions
spinaux n'offrent rien d'anormal ; il en esl de
des ponts filiformes sont jetés entre ces raies concentriques : le
ganglion
étoilé des seiches en fournit un remarquable ex
réalité ; M. Frommann vient de trouver ce réseau connectif dans le
ganglion
étoilé de la seiche. La plupart des cellules sont
r le front, avançant sur les tempes; deux épis, l'un à gauche. Pas de
ganglions
, pas de cicatrices, pas d'éruptions, pas de nœvi.
'oreille et le bord antérieur du sterno-masloïdicn huit cicatrices de
ganglions
anciennement suppures. (Fig. 6) Rkflexions. — I
hypothermie (35°,2), à l'iige de 15 ans. Autopsie. — Tuberculose des
ganglions
trachèo-bronchi-ques, des plèvres, des deux poumo
eau blanche, glabre sans cica- triées ni traces de vaccin. Nombreux
ganglions
, cervicaux, sous-sterno-mastoïdïens, axillaires,
hyroïde normal, un peu volumineux. — Thymus inappréciable. Thorax —
Ganglions
trachéo-bronchi/pies gros, la plupart tubercule
s taches pigmentaires. Cheveux roux, bien plantés, nombreux. Pas de
ganglions
. Crâne en forme de tronc de cône. Bosses pariét
. Tourbillon postérieur un peu à gauche de la ligne médiane. Pas de
ganglions
lymphatiques perceptibles au toucher. Crâne plu
'avant-coin, le coin sont bien limités sans altération notable. Les
ganglions
centraux offrent un volume plus considérable qu
gement 216 .- ? : Hydrocéphalie : crâne.' - - -" l) chronique des
ganglions
carotidiens et axillaires. Vene voluminuex et d
gr.), gauche (60 gr.), fortement congestionnés, surtout aux bases.
Ganglions
péribronchiques engorgés à gauche. - Plèvres no
ignantes, le tout est recouvert d'une épaisse couche de muguet. Les
ganglions
submaxillaires sont très engorgés. Lavages répé
. AUTOPSIE. - Congestion et oedème des poumons. Engor- gement des
ganglions
du mésentère. État spongoïde des os du crâne. M
e. Abdomen. - Quelques adhérences entre les anses intesti- nales.
Ganglions
du mésentère tuméfiés et engorgés. Foie (705 gr
t de 5 ans. Cette enfant, assez maladive et très myope, a de petits
ganglions
engorgés à la région cervicale postérieure. Ell
cavités, se terminent dans les noyaux des couches optiques, dans le
ganglion
de l'habenula, dans le ganglion optique du la b
oyaux des couches optiques, dans le ganglion de l'habenula, dans le
ganglion
optique du la base, dans le corps de Luys, dans
isceau, plus gros, qui va directement dans la couche optique et les
ganglions
nerveux adjacents ; dans la cap- sule interne m
atrophiés de la couronne rayon- nante entrent directelllentdans les
ganglions
. Atrophie encore plus avancée du corps genouill
use; bien que le trijumeau ait été lésé entre la protubérance et le
ganglion
de Casser, on y trouve l'atrophie des deux orga
nterne. Il ne peut aussi observer l'existence du faisceau allant au
ganglion
habenulaë, que le D'' Darkschevitsch envisage c
et des nerfs optiques. Tout de même la question sur le rapport du a
ganglion
habenulaë » au réflexe pupil- laire ne peut êtr
eon osseux hyperplasié se prolongeait vers le centre jusque dans le
ganglion
spiral (d'où la surdité absolue); 3° dans les c
l du côté gauche ; il existait, en outre, de petits foyers dans les
ganglions
de la base. L'examen microscopique révéla dans
part, en examinant attentivement les nombreux foyers minuscules des
ganglions
de la base, nous y retrouvons les mêmes caractè
traumatisme chimique. Chez une dame de vingt ans, présentant des
ganglions
tuberculeux du cou, à droite ; on injecte, dans l
vale du côté droit un ramollissement gélatineux, et au ni- veau des
ganglions
de la base, une tumeur qui avait pris leur plac
l'étude spéciale du rôle que jouent dans les con- duits visuels les
ganglions
optiques subcorticaux : le corps genouillé exte
u cheval. La lésion des nerfs périphériques, après avoir envahi les
ganglions
spinaux, entraine la dégénérescence ascendante
ériennes autant que les fibres accommodatrices se terminent dans le
ganglion
ciliaire, et, par suite, ne desservent qu'indir
indre effort de mastication. M. Jaboulay a pratiqué la résection du
ganglion
cervical supérieur du sympathique le 14 octobre
r que le courant agit profondément sur le trijumeau, et même sur le
ganglion
de Gasser par cette voie. REVUE D'ANATOMIE ET
formuler que le tabès émane d'une lésion primitive des cellules des
ganglions
spi- naux, qui aboutit à la nécrose des extrémi
11. De l'hémiatrophie faciale dans ses rapports avec les lésions du
ganglion
cervical inférieur ; par le D 130UVi' : YnoN. S
nes, estime que l'hemiatrophie faciale est fonction de la lésion du
ganglion
cervical inférieur. Les rapports immédiats de ce
t dans les cellules de la moelle épinière que dans les cellules des
ganglions
spinaux. L'aspect externe du réseau intra-cellu
u recours à la ligature de la carotide primitive, à la résection du
ganglion
cervical supérieur, mais la plupart se sont arr
s se sont appliqués à une intervention plus sérieuse, l'ablation du
ganglion
de Gasser. - Rappelons que cette opération fut
e déclare au Congrès de 1900 avoir pratiqué 24 fois la résection du
ganglion
de Gasser et n'avoir perdu que 2 malades. Tous
tement du.nez, la mauvaise conformation des dents, la présence d'un
ganglion
occi- pital, M. Clément pense à de la syphilis
tion sur les centres vaso-moteurs, qu'elle se fasse sentir dans les
ganglions
du sympa- thique, dans la moelle, dans le bulbe
iphérique, sans doute à la suite d'une blessure de la bronche ou du
ganglion
du nerf sympathique pen- dant l'opération de la
pTR01'111E. De l' - faciale dans ses rapports avec les lésions du
ganglion
cervical inférieur, par liouveyron, '-186. Cas
elle-même ; ce sont des avertissements envoyés au sensorium par les
ganglions
spinaux que la volonté a mis en activité. Il a
correspond à l'endroit où les racines pos- térieures sont unies aux
ganglions
intervertébraux. La lésion de celte région entr
les trophiques dans uotre cas, écarte toute idée d'altération de ce
ganglion
. Les anomalies de la sécrétion de la sueur s'ex
n de la sueur s'expliquent par le retentissement de l'affection des
ganglions
intervertébraux et des racines postérieures sur
esthésie, l'intégrité de la capsule interne, du centre ovale et des
ganglions
centraux démontre qu'il s'agissait d'une hémia-
par une lésion pri- mitive des racines postérieures spinales et des
ganglions
ner- veux intervertébraux. Cette maladie, dont
érescence secondaire des faisceaux pyramidaux; par consé- quent les
ganglions
centraux (globus pallidus du noyau lenticu- cul
des faisceaux pyramidaux, des fibres corticales qui se rendent aux
ganglions
centraux et servent à transmettre les ordres de
il s'agit des mêmes variétés de colorations, pour les cellules des
ganglions
spi- naux, du ganglion de Gas-er, des ganglions
iétés de colorations, pour les cellules des ganglions spi- naux, du
ganglion
de Gas-er, des ganglions du grand sympa- thique
ur les cellules des ganglions spi- naux, du ganglion de Gas-er, des
ganglions
du grand sympa- thique. Cela dépend des variété
s de structure antérieures du protoplasma. (Voyez principalement le
ganglion
de Gasser du boeuf et du veau.) L'es- pace péri
égulière. Tourbillon normale- ment situé. Pas de cicatrices. Pas de
ganglions
. Crâne symétrique, brachycéphale, saillie marqu
présente sur les parties latérales de grosses masses adipeu- ses.
Ganglions
cervicaux. Corps thyroïde peu appréciable. Thor
neuses. Rien du côté des organes génitaux ni de la vessie. Nombreux
ganglions
mésentériques. Grand épiploon épais, volumineux
réquente chez les enfants anormaux, la tuberculose du poumon et des
ganglions
trachéo-bronchiques, la péritonite purulente; d
bien s'assurer que les bouchers ne fournissent pas, à sa place,des
ganglions
ou des glandes salivaires. Les capsules des hôp
épi. La peau ne présente ni cicatrices, ni nævi. On ne constate de
ganglions
en aucune région. Sa. tête, de forme normale,
autres que deux cicatrices vacci- nales sur le bras gauche. Petits
ganglions
cervicaux très, perceptibles. H4 Description
s olives paraissent normales. Abdomen : Rien au péritoine. Quelques
ganglions
mésen- tériques légèrement engorgés. L'estomac
oïde (8 gr.) assez volumi- neux. Rien de particulier au larynx. Les
ganglions
médiasti- naux et cervicaux ne sont pas tuméfié
accumulation de leucocytes (tuber- cula rabica de l3abès). Dans les
ganglions
spinaux l'accumulation des leucocytes, la multi
ement embryonnaire du cerveau. Les hémisphères cérébraux avec les
ganglions
sous-corticaux procèdent de la vésicule cérébrale
tion des artères qui nourrissent les hémisphères cérébraux avec les
ganglions
sous-corticaux et qui forment à la base du cerv
squ'à la partie antérieure de la langue, ainsi que le veut Carl. Du
ganglion
pétreux les fibres, par le nerf tympanique ou d
e là, les unes, par le petit nerf pétreux superficiel, s'en vont au
ganglion
otique et, par suite, au nerf lingual, tandis que
artie, par le rameau communiquant du plexus tympanique, arrivent au
ganglion
géniculé et, de là, par le nerf de la septième
équent, la station terminale des libres gustatives issues de divers
ganglions
. En ce cas il faudrait admettre que les fibres
stérieure seulement. Les lésions qu'elle avait pro- voquées dans ce
ganglion
central n'avaient ainsi produit que des symptôm
fant de cinq ans LXXI. De l'influence de l'écorce du cerveau et des
ganglions
sons corticaux sur la contraction de l'utérus d
xe ne produit pas de lésions spéciales; 2° que le nodule rabique du
ganglion
est une manifestation particulière de l'inflamm
ux périphérique (filets du spinal, tronc du sympa- thique cervical,
ganglions
cervicaux inférieur et supérieur). Pas de lésio
iveau du système nerveux périphé- rique (filets du spinal, tronc et
ganglions
du sympathique cervical) ne permet pas non plus
s digestifs, diarrhée, troubles menstruels. La partie inférieure du
ganglion
cervical supérieur a été résé- quée. L'améliora
veugle-née, par Taty et Giraud, 242. De l'influence de l'- et des
ganglions
sous-corticaux sur la contraction de l'utérus d
o i t ; infiltration p u r u l e n t e des deux poumons; nombreux
ganglions
t r a c h é o - b r o n c h. Opposition à l'aut
ssion; l'enfant voyant à peine. Cheveux blonds, bien implantés. Petit
ganglion
sous-maxillaire à gauche. Petits ganglions de la
onds, bien implantés. Petit ganglion sous-maxillaire à gauche. Petits
ganglions
de la chaîne carotidienne à droite et à gauche.
e congestion intense. Ce poumon ne présente pas de turbercu-les.— Les
ganglions
du médiaslin sont un peu tuméfiés. Abdomen.— Fo
; les cheveux descendent très bas dans le cou ; corps glabre ; petits
ganglions
sous-angulo-maxillaires et le long du bord postér
pî^endice a 5 cent, de longueur.— Intestins, vessie normaux. Quelques
ganglions
sous le mésentère. Causes de la mort. Méningite
t des plaques de Peyer. Dans le nésentère se trouvent quelques petits
ganglions
engorgés, peu volumineux. — Foie gras, volumineux
ous nous efforçons enfin de détruire, en laissant intacts de grands
ganglions
du cerveau, sa paroi inférieure de devant, l'an
l'hémiplégie chez eux est la conséquence sur- tout des lésions des
ganglions
centraux, qui sont pour lui les centres des mou
cas de lésion de l'écorce du cerveau que dans ceux des lésions des
ganglions
de la base. Katz (1) a fait les mêmes observati
compression nerveuse déterminée par une production tuberculeuse (un
ganglion
lymphatique infiltré et hyper- trophié du creux
qu'on en trouve relaté un cas par Babinski où, justement un de ces
ganglions
exerçait une compression sur la branche externe d
u'à l'état normal, mais elles n'étaient pas proémi- nentes. Un seul
ganglion
lymphatique, pas très gros, pouvait être palpé
ohn) et les autres dans le noyau rouge (van Gehuchten), ou dans les
ganglions
opto-striés (Crocq) ? Faut-il alors assimiler le
lésions disséminées des cordons antéro-latéraux ; les cellules des
ganglions
spinaux étaient atrophiées, la pie-mère épaissie.
ctomisés, Wlaieff (1) a trouvé une hypertrophie de la thyroïde, des
ganglions
lymphatiques, du foie, des capsules surrénales
evés en notre absence, nous n'avons pas eu à notre disposi- tion de
ganglion
rachidien pour y rechercher les lésions décrites
vé nulle trace d'infection, jamais de tuméfaction, même légère, des
ganglions
. Je soignais dans le même moment une rôntgenode
de la même asepsie de la plaie, du même défaut de réaction dans les
ganglions
correspondants. M. Oudin avait aussi remarqué l
arque encore que ces plaies ne donnent jamais de la tuméfaction des
ganglions
correspondants, jamais de fièvre, jamais d'inje
trelepont, à un moment donné, avait quatre-vingts plaies, et pas un
ganglion
, pas de fièvre (1). Comment expliquer cela s'il
de rattacher chaque point de l'écorce à la moelle épi- nière ou aux
ganglions
de la base. Cette brillante con- ception a serv
ux ou troisjours, sur un hémisphère, en ayant soin de respecter les
ganglions
de la base. 11 obtient une atrophie de la bande
isation morbide recommande à l'attention, ou au niveau desquels les
ganglions
du grand sympathique sont plus accessi- ])les.
uence. La séance se termine par l'électrisa- tion de la tête et des
ganglions
cervicaux du sympathique; ici c'est la main de
ude, ou, s'il s'agit des tempes et des yeux (paupières closes), des
ganglions
cervicaux, il touche chacune de ces parties ave
injectée ? mais 'ne présentait pasrdautre anomalie.31 sur uust Les
ganglions
cervicaux supérieurs ! (qui, : malheureusement,'o
éréscéhce''grise du nerf optique que l'on pouvaitpouMuivé jusqu'aux
ganglions
! On devrait, selon lui,3"accepter là'pathogéni
e n'avoir pas parlé de l'insula. On la range actuellement parmi les
ganglions
de la base sous le titre générique de lobe de l
e rarement aux phases ultimes. C'est sur les cellules nerveuses des
ganglions
spi- naux du grand sympathique que l'on constat
ou une stimula- tion musculaire, - peut affecter exclusivement les
ganglions
de la base, ou bien pénétrer dans l'écorce, et
roite, légère plaque violacée qui repose sur une induration. Pas de
ganglions
sous-maxillaires du côté correspondant. - Bouch
bitude constante de grincer des dents . Cou, pas de goitre, ni de
ganglions
; circonférence : 30 cen. timètres. Membres s
nfant dessine des mouvements nets de défense. On ne constate pas de
ganglions
dans les aines. - A gauche, on peut fléchir suc
cte. Oreilles assez grande-- it ourlet épais. Cou moyen, quelques
ganglions
sous-sterno-mastoïdiens tuméfiés, tant à droite
châtain clair, régulièrement plantés, tourbillon au centre, pas de
ganglions
. - Le crâne est régulièrement conforme, symétri
courbure. Les intestins sont petits, rata- tinés, sans lésions. Les
ganglions
mésentériques sont un peu hypertrophiés. Le pér
de. Des masses pseudo-lipo- matheuses, mal délimitées, parsemées de
ganglions
légè- rement hypertrophiés, s'observent constam
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