nt à remercier sincèrement M. W. S. Tuke, d'avoir bien voulu, sous la
forme
d'une traduction à la fois élé-gante et fidèle, l
loppement de la science ; le naturisme, le stahlianisme et toutes les
formes
du vitalisme ancien et moderne, sans en excepter
aire grecque, exécutée par des artistes qui n'avaient observé que les
formes
extérieures, et dont toutes nos connaissances ana
eu près identique, indépendamment des causes qui le produisent et des
formes
diverses qu'il peut revêtir. Ce qui importait sur
pas être envisagée comme une ligne de démarcation absolue, puisque la
forme
aiguë et la forme chronique d'un seul et même éta
comme une ligne de démarcation absolue, puisque la forme aiguë et la
forme
chronique d'un seul et même état pathologique se
; — son rôle ne se borne pas non plus à dévoiler la raison cachée des
formes
anatomo-pathologiques, enregistrées et classées p
ir qu'il peut exister des lésions des éléments qui, sans altérer leur
forme
, s'opposent à ce mouvement organique sans lequel
ans lequel ses fonc-tions ne sauraient s'accomplir? Sans altérer leur
forme
, l'oxyde de carbone enlève aux globules rouges du
ologique, l'athé-rome artériel (1) tend à se séparer profondément des
formes
habituelles de l'atrophie sénile. Celles-ci parai
p. 898.) 3. « La phthisie chez le vieillard est remarquable par sa
forme
lente et in-sidieuse. » (Gillette, loc. cit., p.
urs affaires, jusqu'aux derniers moments de leur existence (1). Ces
formes
insidieuses ne sont donc pas exclusivement pro-pr
e tout à fait insolite. C'est ainsi que la pneumonie peut revêtir une
forme
larvée et se présenter tantôt avec les ap-parence
altération encéphalique. Chez l'en-fant, la pneumonie peut offrir une
forme
cérébrale, caractérisée par l'éclampsie ou le com
scriptions ; nous ferons allusion cependant plusieurs fois aux autres
formes
de l'état fébrile. 1. Les vieillards frissonn
cœur, la péricardite, les gangrènes séniles, le marasme, et diverses
formes
de cancer. Cet état d'algidité est un symp-tôme g
ds, une profonde analogie, il faut convenir que c'est surtout dans la
forme
chronique de ces deux affections que la ressembla
t difficile de distinguer la goutte du rhumatisme, surtout dans leurs
formes
chroniques; et le nom de rhumatisme goutteux, qu'
e plomb. Il faut éviter aussi de trop dessécher le sérum, car il se
forme
alors des cristaux de phosphate ammoniaco-magnési
moniaco-magnésien, sous 1. Medico-Chirurgical Transactions, 1848.
forme
de végétations très élégantes. Mais comme ce sel
stules de l'eczéma (Golding Bird) et dans la poussière blanche qui se
forme
quelquefois sur la peau des goutteux; elle se com
lus. Pendant les accès, les urines sont pâles et abondantes il ne s'y
forme
pas de dépôts, par le refroidisse-ment, aussi lon
lles ; mobiles latérale-ment, elles ne reproduisent pas exactement la
forme
et les VI. Les concrétions qui se forment dan
uel-quefois dans les mamelons; ils se présentent, au microscope, sous
forme
d'aiguilles cristallines; qui siégeraient, d'aprè
ent après les premières manifestations de la goutte. Ce serait là une
forme
viscérale de la maladie. Bien que les altératio
ouvent une conséquence. On peut observer chez les goutteux l'urémie à
forme
convulsive ou comateuse ; elle se rattache bien é
iathèse urique. -Goutte aiguë. — Goutte chronique. Sommaire. — Doux
formes
principales de la goutte : goutte aiguë, goutte c
que, tantôt aiguë, tantôt chronique, la goutte se présente sous deux
formes
principales, qui méritent l'une et l'autre une de
s accidents fluxionnaires. Ces douleurs se mon-trent brusquement sous
forme
d'élancements (twinges des auteurs anglais) ; ell
accès, sur le genou ou sur toute autre join-ture. 11 est enfin une
forme
de la maladie qui mérite une attention spéciale,
assez souvent chez les femmes et les sujets débilités. C'est alors la
forme
molle ou asfhénique de la goutte aiguë, dont le p
t observer, est une affection essentiellement chronique, même dans sa
forme
aiguë. 11 est donc indispensable d'étudier les ac
actère, et présente une tendance de plus en plus marquée à revêtir la
forme
chronique. On voit alors les grandes jointures su
venus plus longs, offrent une moins grande intensité; ils prennent la
forme
subaiguë, et sont accompagnés d'une réaction fébr
carac-tères de cette dernière affection. Goutte chronique. — Cette
forme
de la goutte a pour carac-tère essentiel de coïnc
ent les tophus se former de bonne heure, surtout aux mains ; c'est la
forme
fixe primitive de la goutte, dans laquelle les ac
ianus. A la seconde période, ces dépôts se solidifient et prennent la
forme
de masses dures, indolentes, plus ou moins arrond
sieurs, se termine l'histoire clinique de la goutte ré-gulière. Cette
forme
de lamaladie, ainsi que vous avez pu vous en conv
sera le plus facile à reconnaître. On ne saurait en dire autant des
formes
anomales, irrégulières ou larvées de la goutte ;
prouver que, sans perdre son identité, une maladie, peut revêtir les
formes
les plus variées. Il est généralement reconnu a
une réaction trop radicale, ont été jusqu'à nier l'existence de cette
forme
de la goutte. C'est là un scepticisme trop arbi-t
second lieu, l'affection viscérale se présente souvent sous l'une des
formes
qu'elle revêt habituellement lorsqu'elle coexiste
nentes. I. Nous allons maintenant étudier successivement les deux
formes
dégoutte viscérale que nous avons reconnues, dans
estomac. Il y a lieu de distinguer ici, avec Budd etScudamore, deux
formes
symptomatiques. Dans le premier cas, le mal s'ann
formes symptomatiques. Dans le premier cas, le mal s'annonce sous la
forme
cardialgique ou spasmodique ; il existe alors une
sont tolérés à haute dose. Dans le second cas, la maladie prend une
forme
inflamma-toire. Il existe une vive douleur épigas
ous venons de parler sembleraient en fournir la preuve. C. Aux deux
formes
de goutte stomacale que nous venons de décrire, c
es de goutte stomacale que nous venons de décrire, correspondent deux
formes
de dyspepsie intestinale: la première se caractér
ques modernes, le foie et la rate sont probablement les organes où se
forme
l'acide urique. Mais les caractères anatomiques
opale ; on voit se manifester des accidents cérébraux qui prennent la
forme
d'une apoplexie, bien qu'il n'y ait point d'hémor
x maladies marchent parallè-lement sous ce rapport, et que toutes les
formes
du rhumatisme cérébral se retrouvent dans la gout
ment décrites par Lynch(1), Garrod et Trousseau. Le délire aigu, ou
forme
méningitique du rhumatisme cé-rébral, se retrouve
d'après Scudamore, chez les goutteux. L'apoplexie rhumatismale, ou
forme
apoplectique du rhu-matisme cérébral, indiquée pa
la goutte ; seulement, dans le rhumatisme, elles affectent surtout la
forme
choréique ; dans la goutte, ce sont plutôt des co
t à la Société de médecine des hôpitaux. Mais il existe une seconde
forme
d'asthme goutteux, qui se rattache à des lésions
ode de la maladie. Elles sont rares, au contraire, dans les diver-ses
formes
du rhumalisme articulaire chronique. C'est là un
de Calvi), survient surtout chez les sujets débi-lités atteints de la
forme
chronique de la goutte, et présentant des tophus
rapidement le type adynamique. Ils paraissent exposés,d'ailleurs, aux
formes
graves de l'éry-sipèle et aux phlegmons diffus. A
M. Marchai (de Calvi) d'avoir un peu trop étendu le domaine de cette
forme
de diabète, et celui de la diathèse urique en gén
ter dans tous les climats, et se rencontre souvent aux Indes, sous la
forme
aiguë aussi bien que sous la forme chronique : au
ncontre souvent aux Indes, sous la forme aiguë aussi bien que sous la
forme
chronique : aussi, pour nous servir de l'expressi
, l'influence de l'hérédité. Ajoutons enfin que ce sont surtout les
formes
asténiques de la maladie qui prédominent dans le
a maladie est modifié par les conditions générales de l'organisme. La
forme
sthénique se rencontre surtout chez les individus
se rencontre surtout chez les individus sanguins et pléthoriques ; la
forme
asthénique, chez les femmes et les sujets nerveux
s sont donc les organes, quels sont les tissus aux dépens desquels se
forme
l'acide urique? Ici encore, nous nous trouvons en
s diverses lésions. — Modifications qui correspondent aux principales
formes
cliniques de la maladie. Messieurs, Après avo
utteux de Fuller (rheumatic gout) Les autres considèrent les diverses
formes
du rhumatism* noueux comme subordonnées à la gout
éder à la pneumonie aiguë. Il est vrai, toutefois, que nous voyons la
forme
chronique du rhumatisme articulaire se développer
re se développer presque toujours spontanément, et sans passer par la
forme
aiguë ; mais ce fait négatif ne saurait infirmer
sieurs affections différentes. Nous n'y voyons, au contraire, que les
formes
diverses d'une seule et même maladie. Pour n'en
de toute impossibi- lité d'établir une distinction réelle entre ces
formes
diverses du rhumatisme, et qu'il est souvent poss
e Landré-Beauvais ; les nodosités des jointures, de Haygarth. Cette
forme
est la plus grave ; elle entraîne des infirmités
n distinguer deux espèces. Tantôt primitive, tan-tôt consécutive à la
forme
aiguë (ce qui est rare), cette affec-tion peut êt
celles de Varthrite sèche, qui sont d'ailleurs communes à toutes les
formes
chroniques, sauf quelques modifications secondair
réquentes ; il en existe cependant quelquefois. C'est surtout dans la
forme
bénigne de la maladie qu'elles se rencontrent ; o
ntrent ; on voit survenir, chez quelques-uns de ces sujets, certaines
formes
d'asthme et d'affections cutanées. Il en est to
d'asthme et d'affections cutanées. Il en est tout autrement dans la
forme
maligne, qui ne com-porte guère d'affections visc
e, au moins par certains carac-tères. Il n'en est pas de même pour la
forme
que nous signa-lons ici. Personne, on peut le dir
emier lieu, de démontrer Yunité de cette affection ; car les diverses
formes
qu'elle peut revêtir se distinguent surtout par l
'ordre se-condaire. Elle nous permet, en second lieu, de rattacher la
forme
chronique du rhumatisme articulaire à la forme ai
lieu, de rattacher la forme chronique du rhumatisme articulaire à la
forme
aiguë ou subaiguë ; elle nous permet enfin d'étab
avail morbide qui caracté-rise le rhumatisme articulaire chronique.
forme
de fibrilles, puis ces fibrilles elles-mêmes disp
es altérations ; mais comme elles ne sont point communes à toutes les
formes
du rhumatisme articulaire, nous les étudirons en
s cellules embryonnaires de la moelle, et c'est à leurs dépens que se
forme
le nouveau tissu osseux. C'est ainsi que se pro
; mais il existe de nombreuses modifications à cet égard, suivant la
forme
clinique du rhumatisme qu'on en-visage et suivant
s les uns aux autres, et qui se vascularise à un moment donné ; il se
forme
alors une ankylose tantôt celluleuse, tantôt osse
bus coxse senilis (Adams). C. — Modifications qui correspondent aux
formes
principales du rhumatisme articulaire chronique
der ce sujet, nous voulons vous signaler les analogies qui relient la
forme
chronique du rhumatisme articulaire à la forme ai
alogies qui relient la forme chronique du rhumatisme articulaire à la
forme
aiguë. DOUZIÈME LEÇON Parallèle entre le rhum
carac-tères, du rhumatisme articulaire chronique. Ainsi, dans cette
forme
de maladie, les affections articulai-res ont plus
me articulaire aigu. Nous reconnaîtrons bientôt que les lésions de la
forme
chronique ne sont, pour ainsi dire, que la plus h
sont, pour ainsi dire, que la plus haute expression des lésions de la
forme
aiguë ; elles correspondent à une phase plus avan
e clinique comme au point de vue anatomique, une transition entre les
formes
aiguës et les formes chroniques du rhumatisme art
oint de vue anatomique, une transition entre les formes aiguës et les
formes
chroniques du rhumatisme articulaire. vent affe
ntestables, s'en rap-prochent encore davantage lorsqu'il s'agit de la
forme
subai-guë. Ainsi, dans des cas où le rhumatisme a
ana-tomique, la connexité étroite qui relie entre elles les diverses
formes
du rhumatisme articulaire. Ce ne sont point des a
gé donne lieu aux lésions suivantes : un épanchement séro-san-guin se
forme
dans la jointure; on y trouve même parfois du san
rent profondément des stalactites épaisses, à bords mousses, ayant la
forme
de gouttes de suif et généralement peu vascu-lair
directement d'une infection vénérienne. se rapprochent de certaines
formes
du rhumatisme chronique ; ces dernières sont les
taux libres. c', Même capsule : les cristaux sont dissous, et il se
forme
d'autres cristaux d'acide urique. c", Capsule d
aspect normal. Nous croyons avoir établi : 1° l'unité des diverses
formes
cliniques du rhumatisme articulaire chronique au
x ordinaires. Rien de plus rare en effet, chez les vieillards, que la
forme
aiguë du rhumatisme articulaire ; rien de plus fr
me articulaire ; rien de plus fréquent chez eux, au contraire, que la
forme
chronique de cette maladie : nous vous l'avons dé
sme articulaire aigu. Nous nous retrouvons ici en présence des deux
formes
dont nous avons déjà signalé l'existence: d'une p
igu (Garrod, Copland) ou capsulaire (Mac Leod). Il s'agit ici d'une
forme
de transition, comme nous l'avons déjà dit, dont
culaire aigu. Enfin, l'on peut établir une distinction entre ces deux
formes
de la ma-ladie, sous le rapport de la durée; elle
lac-tique, produit normal delà désassimilation des tissus fibreux, se
forme
en excès et donne naissance à tous les phénomènes
royons avoir démontré que le rhuma-tisme articulaire, sous toutes les
formes
diverses qu'il peut affecter, constitue une seule
du rhumatisme aigu se retrouvent, avec les mêmes caractères, dans les
formes
chroniques de la maladie. Pendant le cours des
eulement lorsque le retour incessant des accès commence à imprimer la
forme
chro-nique à la maladie, que l'on voit se dévelop
l'un des ca-ractères principaux de cette affection (au moins dans sa
forme
aiguë), c'est le développement prématuré de certa
passage. Le rhumatisme chronique primitif diffère à cet égard de la
forme
aiguë. L'existence de ces affections viscérales e
; et l'on peut dire que plus la maladie a de la tendance à revêtir la
forme
chronique, plus il est rare de voir de pareilles
le travail morbide débute par la tuméfaction du point malade : il s'y
forme
de petits mamelons qui sont constitués par les él
contraire. — Tantôt, enfin, l'ul-cération gagne en profondeur ; il se
forme
alors des perforations valvulaires qui donnent li
l s'agit d'une endocardite ulcéreuse ; mais, à propre-ment parler, la
forme
ulcéreuse de l'endocardite ne s'accom-pagne pas n
x valvules sigmoïdes, ces dépôts pathologiques prennent volontiers la
forme
d'une guirlande de végétations. Mais ce qu'il imp
entre les affections du cœur et le rhumatisme. C'est surtout dans la
forme
chronique que ce point est important à noter, com
ntrer que ces complications ne sont pas exclusivement propres à cette
forme
de la maladie. On les rencontre d'abord assez f
ologique permet d'établir, à cet égard, un rapport depárente entre la
forme
aiguë et la forme chronique du rhumatisme articul
établir, à cet égard, un rapport depárente entre la forme aiguë et la
forme
chronique du rhumatisme articulaire, qui prouve,
es rhumatisants chroniques, sans que la maladie ait jamais affecté la
forme
aiguë. Deux de ces faits sont consignés dans la t
ique. Mais nous reconnaîtrons bientôt que, par contre, cette dernière
forme
de la maladie comporte certaines affections presq
re subaigu et chronique; mais elle est beaucoup plus rare que dans la
forme
aiguë. La pneumonie aiguë est une complication
nte de l'arthro-rhumatisme aigu; je ne l'ai jamais rencontrée dans la
forme
chronique. J'ai observé, sans doute, quelques cas
1). Certaines affections thoraciques se présentent surtout dans les
formes
chroniques et mal définies du rhumatisme articu-l
ce d'une laryngite liée au rhumatisme aigu. Garrod a décrit aussi une
forme
particulière de laryngite chronique dans le rhuma
e parBurows, Mesnet, Griesinger, se trouve assez souvent associée aux
formes
sub-aiguës du rhumatisme. Des accidents de cett
ladies qui se rattachent à la moelle épi-nière se rencontrent dans la
forme
chronique du rhumatisme. La paralysie agitante,
elquefois des affec-tions abarticulaires ; il en est de même dans les
formes
aiguës et chroniques du rhumatisme. Ainsi les d
à la ibis dans la goutte et le rhumatisme, appartiennent surtout aux
formes
subaiguës et peu intenses de ces deux maladies. O
aussi dans le rhumatisme chronique. Elles sont peu communes dans la
forme
intense de cette maladie; on les trouve surtout d
leurs variétés. Marche de la maladie. — Altérations consécutives. —
Forme
atrophique ; — forme œdémateuse. — Perte des mo
e de la maladie. — Altérations consécutives. — Forme atrophique ; —
forme
œdémateuse. — Perte des mouvements. Déformation d
e ne sont point là, d'ailleurs, trois maladies distinctes, mais trois
formes
particulières d'une seule et môme maladie. Il n'e
t rentrer dans un cadre unique. Le rhumatisme noueux est aux autres
formes
de rhuma-tisme chronique ce que le rhumatisme aig
vient souvent se joindre même dès l'origine, phéno-mène qui, dans la
forme
aiguë, est loin de se manifester au même degré :
'articulation elle-même, le corps des os ou les muscles voisins, sous
formes
de cram-pes douloureuses. C'est alors qu'on con
hytes contribuent peu aux déformations articulaires. Enfin, dans la
forme
que nous étudions, il existe une im-mobilité plus
les plus ordinaires en pareil cas. Mais on peut distinguer ici deux
formes
tout opposées. Dans la forme atrophique, (Vidal)
cas. Mais on peut distinguer ici deux formes tout opposées. Dans la
forme
atrophique, (Vidal) il se produit une induration
t froide, pâle, lisse et polie, et ne se laisse plus rider. Dans la
forme
opposée, on voit une infiltration œdémateuse, qui
ntions ingénieuses, ces longues fourchettes dont les dimensions et la
forme
varient selon le degré d'infirmité des malades, m
i que les choses se passent. On peut invoquer à cet égard : 1° La
forme
même des déviations; ce sont des attitudes manife
des muscles interosseux, on voit quelquefois les membres prendre des
formes
qui sont de tout point semblables à celles qu'on
grave dit que le sang est couenneux; il l'est effective-ment dans les
formes
aiguës, mais on n'y trouve jamais d'acide uriqu
nérale et de la marche des accidents, il y a lieu de reconnaître deux
formes
essen-tiellement distinctes. Dans le rhumatisme
admettre ici que le rhumatisme d'abord aigu, a pris ultérieurement la
forme
chronique : cette opinion sou-tenue par divers au
ntre souvent cette affection vers l'époque de la méno- pause. Cette
forme
a été décrite par Geist(l), sous le nom de goutte
que dans l'état précédent. Nous avons comparé entre elles les deux
formes
extrêmes pour faire ressortir leurs analogies et
ndes articulations sont le plus souvent frappées. — Début insidieux ;
forme
chronique d'emblée. — Déformations articulaires.
scription des symptômes du rhumatisme chronique, par l'étude des deux
formes
principa-les de cette maladie, qui font suite au
eler les différences les plus caractéris-tiques qui séparent ces deux
formes
d'une seule et même affection. 1° Les articulat
e généralisé. 2° Les grandes jointures, et même celles qui, dans la
forme
précédente, ne sont que très exceptionnellement a
ptionnellement at-teintes, sont ici frappées le plus souvent. 3° La
forme
chronique d'emblée est ici la règle. Le début est
une hydarthrose assez considérable pour contribuer à la déformation (
Forme
hypertrophique d'Adams). Cette maladie a été su
et, le diagnostic peut alors offrir de grandes difficultés; car cette
forme
de rhumatisme peut simuler une luxation, une frac
ai point, messieurs, de vous donner une description en règle de cette
forme
du rhumatisme ; elle appartient surtout, comme je
s phénomènes morbides. Il s'agit, en pareille circonstance, d'une des
formes
du rhuma-tisme mono-articulaire. Deux cas peuvent
savons que le rhumatisme aigu pré-sente, en germe, les lésions de la
forme
chronique. B. Le début de l'arthrite déformante
avec fièvre et rétraction mus-culaire; puis la maladie persista, sous
forme
d'arthrite sèche ; en dernier lieu, des douleurs
erden. Nous allons maintenant nous occu-per des nodosités d'Heberden,
forme
spéciale du rhumatisme chronique, qui n'a pas enc
Pour moi, je professe une opinion tout opposée , et je dé-signe cette
forme
de rhumatisme sous le nom de nodosités d'Heberden
de faire à la Salpêtrière on retrouve ici, comme dans les deux autres
formes
de rhuma-tisme articulaire chronique, les altérat
ion d'ostéopbytes qui reproduisent à peu près, en les exagérant, leur
forme
et leurs contours naturels. Les tumeurs pisiforme
matisme partiel : preuve nou-velle de la parenté qui réunit ces trois
formes
d'une seule et même affection. Le rhumatisme d'
cipales du rhumatisme articulaire. — Elles sont communes à toutes les
formes
de celte maladie. — Pathologie historique. — Prép
En effet, sur le terrain de l'ôtiologie, nous verrons les di-verses
formes
de cette maladie se rapprocher et se confondre :
ge de vingt ans, comme nous l'avons déjà fait observer (p. 139); La
forme
aiguë du rhumatisme articulaire se présente rare-
l'appareil génital chez les femmes sur le développement des diverses
formes
du rhumatisme articulaire. Cela est vrai, non seu
humatisme puerpéral. Une autre condition dans laquelle les diverses
formes
du rhumatisme (surtout le rhumatisme sub-aigu ou
fférentiels qui séparent la goutte du rhumatisme articulaire. Dans la
forme
aiguë de cette dernière maladie, M. le professeur
r Monneret avait déjà démontré l'inutilité du colchique : et dans les
formes
diverses du rhumatisme chro- nique, j'ai pu m'a
e degré d'influence sur les autres inflammations, et sur les diverses
formes
du rhumatisme articulaire, ainsi que nous l'avons
e actuel (pointes de feu). Ce dernier moyen est surtout utile dans la
forme
partielle du rhumatisme chronique. Quant aux ea
Salpetrière. Dans la plupart des cas que j'ai vus, elle a re-vêtu la
forme
hémorrhagïque avec collapsus. Dans ces cas, les m
lus ou moins fréquents. 11 existe la plus grande analogie, quant à la
forme
et aux conséquences, entre ces accès et les accid
rve cette algidité centrale. En dehors de ces circonstances, dans les
formes
les plus diverses, la température reste au taux n
infection pendant quelques jours, et, si surtout la gangrène revêt la
forme
humide, on peut voir la température centrale s'ab
ciable. Cette variété decollapsus constitue un des caractères de la
forme
sidérante de la plupart des maladies pestilentiel
primitive, nodosités des jointures, rhumatisme articulaire chronique (
forme
primitive), etc. ÉTUDES POUR SERVIR A L'HISTOIR
IMITIVE nodosités des jointures rhumatisme articulaire chronique (
forme
primitive), etc. (Thèse de doctorat, 1853]. L
aurons à déterminer ; elle n'est pas mobile, elle ne paraît pas sous
forme
d'accès vérita-bles et ne se transporte jamais ra
er, au pourtour des petites jointures, des végétations osseuses, sous
formes
de tubercules, et qui ne circonscrivent jamais co
utôt maigreur ; mais il y a quelques saillies osseuses , tuberculi-
formes
, au niveau des petites jointures ; et on peut rec
de se servir pour coudre. La main gauche présente à peu près la même
forme
que la droite, mais la flexion y est beaucoup moi
méta-carpiens; les articulations des doigts sont toutes déformées; la
forme
de la main est extrêmement bizarre, et se rappro-
s points mêmes qu'ils occupaient au-paravant, de nombreux cristaux de
formes
très variées, mais qui nous ont paru pouvoir être
ulaire d'un goutteux où l'on voit la matière tophacée disposée sous
forme
d'amas de cristaux aciculaires d'une grande ténui
la matière tophacée se dé-poser dans l'épaisseur du cartilage et sous
forme
granuleuse, et sous forme de cristaux en aiguille
aisseur des cartilages que la matière des tophus peut se déposer sous
forme
cristalline. Garrod (toc. cit.) et Lehmann ont vu
ces aiguilles n'a pas été déterminée d'une manière exacte ; mais leur
forme
rappelait celle qu'on voit prendre souvent à l'ur
gle ou un grain de millet. Elles se présentent, d'ailleurs, sous deux
formes
principales. Dans une première forme, elles const
ésentent, d'ailleurs, sous deux formes principales. Dans une première
forme
, elles constituent de petites tumeurs sous-cutané
parence, la substance d'un blanc mat qui les compose. Dans la seconde
forme
, ce sont de petites plaques arrondies qui semblen
mer en leur place de nombreux cristaux affectant, pour la plupart, la
forme
rhomboïdale caractéristique de l'acide urique. En
s couches profondes du derme pré-sentaient de semblables dépôts, sous
forme
d'une fine poussière blanche. Aux genoux, les c
se trouvaient des masses opaques (Fig. 27, N et Fig. 28, C) ayant la
forme
et le volume des cellules cartilagi-neuses, et de
es opaques se dissolvaient en même temps qu'apparaissaient toutes les
formes
cristallines propres à l'acide urique (Fig. 27, v
res d'urate de soude. En c'les cristaux libres sont dissous, ci il se
forme
des cristaux d'acide uriquc,"u ; en c" la membran
cartilagineuses. Les urates sont dans l'intérieur des cellules, sous
forme
amorphe, et ces dernières, transformées en une ma
et ces dernières, transformées en une masse opaque qui con-serve leur
forme
arrondie ou ovalaire, servent elles-mêmes de cent
comme on le voit, les caractères qu'a assignés M. Rayer à la deuxième
forme
de la néphrite albiuni-neuse ; mais, en outre, on
itue comme le moule interne d'un tube urinifère dont elle conserve la
forme
et le volume. Cette masse amorphe, évidemment con
aisceaux, soit libres, par une de leurs extrémités, et disposées sous
formes
de rayons. La partie amorphe et la partie cristal
Ces infarctus rénaux, immédiatement liés à la goutte, présentent deux
formes
bien tranchées, suivant qu'ils sont constitués pa
néphrite albumineuse avec la goutte. Il s'agissait, dans ces cas, des
formes
chroniques d'albuminurie, dont on a voulu faire,
dans les calices. M. de Castelnau a, le premier, signalé la seconde
forme
de dépôts qu'on trouve dans le rein, dans un mémo
es ; ce n'est que dans des points très rares qu'on la trouve, sous la
forme
de granulations amorphes infiniment petites et to
n dans la goutte, et il s'efforce d'établir qu'il y a constamment une
forme
particulière de néphrite chronique qu'il appelle
eur d'avoir mis en relief, dans son bel ouvrage sur la goutte (1), la
forme
spé-ciale des dépôts d'urate de soude, dans le re
durs et granulés à leur surface chez les goutteux. Il distingue deux
formes
de lésion rénale, l'une portant sur le contenu ép
e perdit sa structure cristalline, devint amorphe, opaque, et prit la
forme
et le volume de tube urinifères. Une partie du co
ana-tomique quelquefois très avancée des reins, qui consiste dans une
forme
chronique de la néphrite albumineuse (néphrite pa
u-laire d'un goutteux, où l'on voit la matière tophacée disposée sous
forme
d'amas de cristaux d'une grande ténuité. En 1845,
ant lui, la matière déposée dans les cartilages se présente sous deux
formes
, tantôt granuleuse et amorphe, tantôt parfaitemen
es points mêmes qu'ils occupaient auparavant, de nombreux cristaux de
formes
très variées, mais qui nous ont paru pouvoir être
urface du cartilage, et de l'autre, pénétrait dans la profondeur sous
forme
d'îlots régulièrement disposés les uns auprès des
aussi de centres de cristallisation, et qui avaient le volume et la
forme
de cellules cartilagineuses parfaitement normales
ules de cartilage d'une part, dans les tubes urinifères d'autre part,
forme
la base du dépôt et devient le centre d'où s'irra
dans les cou-ches profondes du derme, les dépôts avaient toujours la
forme
de petits grains arrondis, solidement maintenus,
é, antérieurement au développement de la goutte, une ou plusieurs des
formes
de l'intoxication saturnine, et exer-çaient la pr
es ; derrière l'olécrâne,il existe de chaque côté une tumeur ayant la
forme
et l'apparence de l'hygroma, mais qui présente un
es des gros orteils et s'étaient montrées, à plusieurs reprises, sous
forme
d'accès à début brusque, du-rant chaque fois une
fec-tions rhumatismales qui ne diffèrent en rien, du moins quant à la
forme
, de celles qui se produisent spontanément (je fai
lisse-ment de cette fonction provoquent souvent le dévelop-pement des
formes
ordinaires du rhumatisme ; ainsi, la chlorose et
tion du rhumatisme noueux (Charcot; Trastour, etc.). « Grossesse. —
Formes
subaiguës du rhumatisme articu-laire. (Lorain) To
développer le rhumatisme com-mun. santé, puisqu'elle développe une
forme
morbide particulière, tantôt son rôle n'est qu'ac
tte peut, comme le rhu-matisme articulaire, revêtir dès l'origine, la
forme
chronique, pour spécitier les cas de ce genre, M.
rhumatisme. — On a dit que clans la goutte, la douleur se montre sous
forme
d'un point situé sur le côté de l'articulation et
de son évolution et le rhumatisme articulaire chronique d'emblée, de
forme
pro-gressive — (rhumatisme goutteux, rhumatisme n
ent qu'un fait du même genre, et parmi les cas très nombreux de cette
forme
de rhumatisme chronique que j'ai observés, dans l
utte, et qui, depuis cette époque, n'ont pas cessé de reparaître sous
forme
d'accès, une ou plusieurs fois chaque année, prin
arthrodiaux, où elle se présente tantôt à f'état amorphe, tantôt sous
forme
d'amas d'aiguilles cristallines. L'acide acétique
les couches profondes du derme présentaient de semblables dépôts sous
forme
d'une fine pous-sière blanche. L'examen microscop
uites par les concrétions tophacôes : celles-ci se présentent sous la
forme
de tumeurs irrégulièrement arrondies ou ovoïdes,
eau de ces jointures, dont elles ne reprodui-sent pas, d'ailleurs, la
forme
et les contours. La peau qui les recouvre, disten
ernier persiste fréquemment, après l'évacua-tion de son contenu, sous
forme
d'une tumeur arrondie, percée à son sommet d'un p
s relatives au rhumatisme articulaire chronique concernent toutes les
formes
et toutes les époques de la mala-die. Les cas sur
. Garrod —, mais aussi, d'après mes propres recher-ches, des diverses
formes
du rhumatisme articulaire chronique. Toutefois,
ette altération du sang se rencontre d'une manière habituelle dans la
forme
chronique de la maladie de Bright, dans certaines
aucune altération appréciable. Les chondroplastes ont conservé leurs
formes
et leurs dimen-sions normales; les éléments cellu
fait intervenir l'acide acétique, ils se dissolvent et bientôt il se
forme
sur les points qu'ils occu-paient des tables rhom
s éprouvent, soit d'une manière pour ainsi dire habituelle, soit sous
forme
d'accès, des douleurs rénales plus ou moins accu-
ncontre les lésions rénales de la ma-ladie de Brigh't, tantôt sous la
forme
de la néphrite parenchy-mateuse, tantôt sous cell
ertain que la néphrite albummeuse des goutteux peut, comme les autres
formes
de la maladie, s'accompagner des redoutables symp
ée au microscope et traitée par les réactifs convenables, offrait les
formes
cristallines et les caractères chimi-ques qui dis
hez la couleuvre, l'urate se dépose dans la cavité de l'estomac, sous
forme
d'une boue blanchâtre. 7° La plupart des jointure
hargée d'urate de soude qui, dans la vésicule du fiel, se sépare sous
forme
concrète. Ces faits de pathologie expérimentale
ète. Ces faits de pathologie expérimentale font connaître sous leur
forme
la plus accentuée les effets de la saturation uri
a couleuvre, l'urate se dépose même dans la cavité de l'estomac, sous
forme
d'une boue blanchâtre (voyez la note p. 329). Il
de vue du diagnostic, il est intéressant de remarquer que toutes les
formes
du rhumatisme cérébral, la céphalée, le délire ai
proposé de ramener, ainsi qu'il suit, à trois types fonda-mentaux les
formes
très variées sous lesquelles se présentent le rhu
n. Il n'est pas extrêmement rare, par exemple, de voir cette dernière
forme
succéder immédiatement, sans tempsd'arrêt, au rhu
généralement de rencon-trer l'endocardite et la péricardite, dans la
forme
chronique du rhumatisme articulaire. Cela, du moi
aire ; tantôt, au contraire, le rhumatisme a revêtu dès l'origine, la
forme
chronique, et l'on est conduit à reconnaître que
dans un de ces cas. Les valvules avaient conservé d'ailleurs leurs
formes
et leurs dimensions normales ; si bien que, penda
cœur, telles que l'endocardite et la péricardite, appartiennent à la
forme
généralisée du rhumatisme articulaire chronique,
dans les 1. Il s'agit des digitorum nodosi, d'Heberden. deux autres
formes
du rhumatisme articulaire chronique, les altérati
on d'ostéophytes qui reproduisent à peu près, en les exa-gérant, leur
forme
et leurs contours naturels. Les tumeurs pisiforme
minutieusement étudiées. Les chondroplastes s'hypertrophient et il se
forme
, dans leur inté-rieur, de nouvelles cellules cart
qu'indiquer les traits les plus généraux, sont communes aux diverses
formes
du rhu-matisme articulaire chronique. Seulement,
sme généralisé à évolution rapide, elles acquièrent parfois, dans ces
formes
lentes et particulièrement dans le rhumatisme par
emment ; il n'est pas rare de voir les malades, atteints des diverses
formes
de cette dernière affection, porter au cou des ci
l'on sait de la goutte (p. 627). Ressemblance des lésions dans les
formes
aiguës et chroniques du rhumatisme articulaire. —
de vue des lésions anatomiques, d'établir un rappro-chement entre les
formes
chroniques et la forme aiguë du rhu-matisme artic
miques, d'établir un rappro-chement entre les formes chroniques et la
forme
aiguë du rhu-matisme articulaire (p. 029-030).
cit,) (p. 630-631). Bons effets des alcalins à haute dose dans les
formes
aiguës, subai-guës et chroniques du rhumatisme. —
ntenue pendant plusieurs semaines, être suivie de bons effets dans la
forme
subaiguë de la maladie et aussi dans sa forme chr
de bons effets dans la forme subaiguë de la maladie et aussi dans sa
forme
chronique généralisée, au moment de ces exacerbat
M. Garrod (p. 617), les arthrites se développent souvent, dans cette
forme
du rhumatisme articulaire chronique, sans occasio
argée d'urate de soude, qui, dans la vésicule du fiel, se sépare sous
forme
con-crète (note, page 329 du Traité de Garrod et
M. Marchai (de Calvi) d'avoir un peu trop étendu le domaine de cette
forme
de diabète et celui de la diathèse urique en géné
suis porté à croire cependant, d'après ce que j'ai observé, que cette
forme
du diabète se distingue le plus souvent par sa bé
ans. La chorée vulgaire est-elle modifiée en quelque façon dans sa
forme
, lorsqu'elle est transplantée chez le vieillard ?
sme. On ne rencontre non plus chez les vieilles choréiques aucune des
formes
du rhumatisme articulaire chronique, qui s'observ
utte. — diathèse urique. — goutte aiguë. goutte chronique. f Deux
formes
principales de la goutte ; goutte aiguë, goutte c
diverses lésions. — Modifications qui correspondent aux principales
formes
cliniques de la maladie.......................,
eurs va-riétés. Marche de la maladie. — Altérations consécutives. —
Forme
atro-phique ; — forme œdémateuse. — Perte des mou
he de la maladie. — Altérations consécutives. — Forme atro-phique ; —
forme
œdémateuse. — Perte des mouvements. Déformation
ndes articulations sont le plus souvent frappées. — Début insidieux ;
forme
chronique d'emblée. — Déformations articulaires.
cipales du rhumatisme articulaire. — Elles sont communes à toutes les
formes
de cette maladie. —Pathologie historique. — Pré-p
rimitive, nodosités des jointures, rhuma-tisme articulaire chronique (
forme
primitive), etc. Historique ; synonymie........
escence graisseuse du cœur, 66, 545 ; — chez ies animaux, 69, 532 ; —
forme
fine pri-mitive de la —, 83 ; — déformations, 83;
érations dans la 571. Goutte gastrique, 92, 546 ; — lar-vée, 93 ; —
forme
cardiaïgique, 94, 479 ; — forme spasmodique, 94 ;
astrique, 92, 546 ; — lar-vée, 93 ; — forme cardiaïgique, 94, 479 ; —
forme
spasmodique, 94 ; — fréquence, 95 ; — erreurs de
, 542, 575;.— différence avec la goutte, 248; — siège, 282, 258.; —
forme
, 248; — début, 255;—anatomie pathologique, 255; —
ce, 38; — chez les vieillards, 295, 318 ; — collapsus dans la —, 345;
formes
algides de la —, 347. Porter, 147, 149; — fabri
allèle avec le rhumatisme articulaire aigu, 178; — unité des diverses
formes
cliniques, 191 ; — cardiopathies dans le —, 211 ;
onique partiel, 165, 248; — mode d'envahissement des jointures, 249; —
forme
hypertro-phique, 249 ; — début, 250; — symp-tômes
ns ; — 235 ; —ordre d'envahissement des articulations, 239, 555 ; —
forme
atrophique, 240: — lésions arti-culaires, 241; —
ns de leur collaboration active et éclairée. La suite de ces Leçons
forme
aujourd'hui une sorte de Traité pratique sur les
es vertèbres à une affection tuberculeuse. C'est là effectivement une
forme
très-commune du mal vertébral, surtout à l'hôpita
onsécutifs. Les efforts des observateurs doivent tendre à établir les
formes
symptomatiques qui correspondent à ces diverses a
e le corps de la vertèbre. C'est là un des effets ordinaires de cette
forme
de la maladie. Je me résume : on distingue dans
aussi profondément lésé sans entraîner de grands changements dans la
forme
du tronc. Un rapprochement s'opère entre les vert
on des douleurs. D'après ce que je viens de dire, le rachis perd sa
forme
; il décrit ordinairement des angles. Nous voyons
pas exception au fait général de l'affaissement; mais, à cause de la
forme
de la région, il a d'abord pour seul effet le red
marque au début, dans ces mêmes régions, des inflexions arrondies, en
forme
d'arcs réguliers, appartenant à un cercle d'un tr
ère, lorsque plusieurs vertèbres étant en partie détruites, aucune ne
forme
d'angle bien prononcé. Tel est l'aspect de la c
idemment? IIe cas. — Il s'agit ici de cavités qui n'altèrent pas la
forme
extérieure de la vertèbre, qui ne font que la per
du tronc. Les côtes présentent des changements remarquables dans leur
forme
: elles sont plus convexes en arrière ; leur cour
ononcée et un pli à gauche et en avant. Les poumons s'adaptent à la
forme
du thorax et se modifient dans leur configuration
résentent bien aussi quelques changements dans leur situation et leur
forme
; mais, moins importants que ceux des organes tho
Les enfants soumis à votre examen rendront sensibles ces différentes
formes
de gibbosité, que j'ai déjà signalées dans l'anat
ntes : Io Une seule apophyse épineuse soulève les téguments sous la
forme
d'une pointe plus ou moins saillante. La colonne
osité figure une courbe régulière, courte, d'un rayon variable. Cette
forme
se voit surtout à la région lombaire. h° La gib
urtout à la région lombaire. h° La gibbosité présente également une
forme
arrondie, parce qu'elle comprend plusieurs vertèb
des les plus avancées ; elle peut succéder à chacune des trois autres
formes
. (1) J'ai fait passer sons vos yeux, dans la pr
, dans la précédente séance, plusieurs enfants présentant différentes
formes
de bosse. Nous avons à examiner quelle est la v
parents n'avaient pas reconnue. Valeur diagnostique des différentes
formes
de gibbosités. — Toutes les fois qu'une vertèbre
n ne l'observe que dans le mal vertébral. Nous avons distingué deux
formes
de gibbosités en pointe. Une première forme repré
ous avons distingué deux formes de gibbosités en pointe. Une première
forme
représente, en quelque sorte, un angle géométriqu
re, le sommet de l'angle étant formé par une pointe. Dans la deuxième
forme
de gibbosité, l'angle est plus effacé; des concav
-dessous du point malade redressent le tronc. L'une et l'autre de ces
formes
ont la même valeur au point de vue du diagnostic.
iagnostic. Il y a en outre, comme nous l'avons dit, des gibbosités en
forme
d'arcs plus ou moins étendus. Si, dans cette cour
er, sans pointe sensible. Ce buste en plâtre en est un exemple. Cette
forme
n'a pas la même valeur diagnostique que les précé
édiane ; sur le second, une gibbosité postéro-latérale. Qu'est-ce qui
forme
cette bosse latérale? Ce sont les côtes fortement
ement courbées par suite de la torsion du rachis, dévié d'ailleurs en
forme
à'S en deux sens opposés, à chacun desquels corre
fut qu'après un examen long et minutieux que je pus constater par la
forme
de l'inflexion, par la douleur produite dans le
e migration, s'éloigne des vertèbres à mesure qu'il se produit; il se
forme
ce qu'on appelle un abcès par congestion, dont no
lé s'enflamme, s'indure, et finit par s'organiser en membrane ; il se
forme
une poche, l'abcès s'enkyste. Je ne décrirai pa
onçant alors les doigts, vous sentez l'abcès ; il se présente sous la
forme
d'une tumeur cylindrique, arrondie à son extrémit
bes, et vient en dernier lieu à la partie postérieure du tronc, où il
forme
les abcès cervicaux postérieurs, dorsaux et lomba
il forme les abcès cervicaux postérieurs, dorsaux et lombaires. Leur
forme
est peu régulière ; en général elle est globuleus
uleur à la peau ; ils n'offrent pas, en général, d'inflammation. Leur
forme
est variable, ordinairement globuleuse. Leur sièg
ons se mortifier par la présence du pus et paraître au dehors sous la
forme
de champignons. L'orifice de l'abcès ne devint ma
lement jusqu'à la paralysie complète. I. Mouvement réflexe. — Cette
forme
de la propriété excito-motrice qui produit l'acti
et l'irritabilité musculaire pourra être plus ou moins altérée. La
forme
la plus ordinaire de paralysie consiste, comme on
haut sur l'existence presque constante des foyers cachés. Les trois
formes
de mal vertébral que je viens d'indiquer sont reg
ineuses et ligamenteuses forment la deuxième catégorie. Cette seconde
forme
de la maladie a reçu différents noms; on l'a nomm
rthr algie est moins exclusif; mais il s'applique aussi à la première
forme
. Le nom de spondy lartfirocace a pris domicile da
vertébral, a conservé la position horizontale. Il y a, en effet, deux
formes
de luxation; l'une où l'atlas est incliné, l'autr
vital, n'est pas constamment mortelle. Elle peut même guérir dans sa
forme
la plus profonde et la plus grave. Voici une pi
se du pus épaissie. La guérison, disais-je, s'observe dans les deux
formes
de l'ar-thralgie sous-occipitale. Dans la synovit
ormations de la moelle peuvent également se trouver consacrées par la
forme
pathologique du canal, sans lésion des fonctions
ans les trois que comprend la région occipito-vertébrale. Une autre
forme
d'ankylose est la suivante : il y a glissement de
l'atlas sur l'axis et soudure des deux os dans cette position. Cette
forme
est la plus fréquente ; les faits de Duverney, ce
odontoïde à l'atlas, malgré leur écartement. On a observé d'autres
formes
d'ankylose ; elles sont dues à des déplacements l
s les deux articulations sous-occipitales. J'arrive à une quatrième
forme
de déplacement, qui consiste dans la rotation sim
à huit ans. En faisant l'histoire de cette enfant, je décrirai celte
forme
d'ankylose. La déformation résulte ici de ce que
latéral est énorme. Le plan tangent aux deux condyles de l'occipital
forme
un angle aigu avec l'axe du cou ; il y a eu rotat
les dans d'autres parties, la tête et le rachis. La nutrition et la
forme
de la tête sont modifiées. Lorsque l'affection du
ne inclinaison latérale, ce qu'on observe surtout fréquemment dans la
forme
unilatérale, il se fait uû arrêt de développeme
symptômes suivants : I. Douleur. — Elle se rencontre dans les deux
formes
du mal. Elle commence ordinairement d'une manière
u cou, la douleur se fait sentir dans toutes ces directions. De là la
forme
névralgique que présente généralement la douleur
er au prix de vives souffrances, mais elle retombe aussitôt. La nuque
forme
un pli considérable, au fond duquel on aperçoit d
; l'inclinaison latérale est peu sensible. La nuque, très-affaissée,
forme
un pli profond. Les muscles postérieurs, fortemen
déjà des exemples. Cette région présente ordinairement, dans les deux
formes
de la maladie, un sillon profond, plus marqué s'i
aire sous-cutané. Des abcès altèrent également, dans certains cas, la
forme
du cou. Ce qui doit nous arrêter surtout et ce
mais ces atteintes diverses se font sentir à de longs intervalles. La
forme
d'accès est donc un des meilleurs caractères dist
ilatérale. Le torticolis musculaire présente une attitude fixe, des
formes
spéciales, inhérentes aux muscles affectés et e
passe à la seconde variété, celle qui s'accompagne d'altération de la
forme
de ces organes. Le torticolis est souvent produit
ui indique une rétraction. La douleur articulaire manque dans cette
forme
. La plupart de ces caractères peuvent exister d
biguïté du langage, prétend qu'il ne faut pas donner à cette première
forme
de la maladie le nom d'arthrite, mais celui $arth
ais d'affection nerveuse articulaire simple. Je distinguerai quatre
formes
dans la synovite au point de vue du traitement, s
e affection tout à fait inconnue dans sa nature ; pour moi, c'est une
forme
de phlegmasie sui generis. On dit : le rhumatis
tions pathologiques, bien que ces lésions puissent présenter d'autres
formes
de pseudarthrose ; on ne la rencontre jamais dans
qui en est la partie la plus importante , et de laquelle dépendent la
forme
et les mouvements de la nouvelle articulation.
état parfait, si je puis ainsi dire. L'allongement est propre à deux
formes
de la maladie, les luxations congénitales et les
Les suppositions varient suivant l'opinion étiologique que l'on se
forme
de la maladie. On admet, dans un cas, qu'il n'y a
is à l'état d'allongement et de déplacement des attaches. La première
forme
donne lieu à cette disposition articulaire que j'
; ses fonctions sont conservées en grande partie. Dans cette première
forme
, la capsule, parfaitement intacte, renferme la tê
menteuse est propre aux pseudarthroses coxo-fémorales congénitales et
forme
un signe précieux pour différencier ces lésions d
fémur dans ces pseudarthroses congénitales, et je passe à la seconde
forme
des altérations de la capsule dans l'état parfait
uxations juxta-cotyloï-diennes. Il est souvent impossible, dans cette
forme
, de décider ti le déplacement est congénital, ou
C'est douteux. Je vous présente plusieurs exemples de cette seconde
forme
; celui-ci est le plus bel échantillon que je pos
la jointure. La disposition de la capsule est différente dans cette
forme
de luxation et dans là* syndesmose. Dans le premi
utre l'ilium et le fémur. B. Perforation de la capsule. — Une autre
forme
d'altération , la perforation de la capsule, se v
turelles, lorsqu'elles sont privées de leur modificateur habituel. Sa
forme
se modifie, change; de rond, il devient triangula
elle ne pouvait plus recevoir la tête du fémur, et présentait déjà la
forme
triangulaire. Il est au contraire des cas où l'ét
e la tête du fémur. Des changements considérables s'opèrent dans la
forme
de la tête et du col : la tête diminue souvent de
je signale ; elle montre l'influence des pressions mécaniques sur la
forme
des os. Les muscles ne jouent qu'un rôle secondai
écision, surtout chez l'enfant, qui offre de l'embonpoint et dont les
formes
sont arrondies. On détermine, quand on y a recour
te, au lieu des lignes courbes que décrit le ruban en s'adaptant à la
forme
des parties molles intermédiaires aux points dont
e une différence très-manifeste d'un côté à l'autre. La saillie que
forme
le grand trochanter du côté luxé est quelquefois
té sain, à cause des modifications que les os ont éprouvées dans leur
forme
. Deux autres causes d'erreur ont leur source dans
e luxation, elle devient accessible aux sens de la vue et du toucher,
forme
souvent une saillie arrondie et facilement reconn
econnaissable en dehors de l'épine iliaque antéro-supérieure. Dans la
forme
la plus ordinaire des luxations, son siège est ra
s fondées sur la dissection des parties, on devra, dans cette seconde
forme
, s'expliquer avec plus de réserve que dans la pre
s rapports constants entre les os. Le bassin, verticalement dirigé,
forme
une croupe saillante, surmontée d'une concavité
ations lombaires et sacro-vertébrale ; la portion lombaire de l'épine
forme
alors avec le bassin un angle aigu d'un côté, obt
mensions étendues. On ne voit là ni le rétrécissement du cotyle ni la
forme
triangulaire-de cette cavité, caractéristiques d'
doit être pris plus au sérieux; son ouvrage (l), remarquable pour la
forme
et pour le fond, contient dix-neuf observations ,
l locomoteur, et où se retrouve comme un abrégé complet de toutes les
formes
de maladies musculaires. Cette affection est le
parfaite, exige deux conditions : 1° pour chaque œil, que l'image se
forme
dans le prolongement de l'axe antéro-postérieur ;
gement de l'axe antéro-postérieur ; 2° pour les deux yeux, qu'elle se
forme
dans les points identiques des rétines, c'est-à-d
ne fréquence relative plus grande du strabisme convergent. A ces deux
formes
j'ajoute le strabisme parallèle simple ou double,
et un raccourcissement permanent. Il faut savoir reconnaître ces deux
formes
pendant la vie. Dans le strabisme par contraction
et les extenseurs se raccourcir par l'effet de cette attitude , il se
forme
un pied équin. L'usage des béquilles trop élevé
ente dans cet hôpital, c'est la contrac- (1) Diss. sur la meilleure
forme
des souliers, 1781, p. 28. (2) Ueber, etc., ou
s, p. 51, Gotha, 1796. ture des extrémités, qui se présente sous la
forme
aiguë ; les pieds sont portés dans une telle addu
es orteils; il y a effacement de la saillie sous-métatarsienne. Cette
forme
résulte d'une forte contraction des fléchisseurs
s le plus souvent avec d'autres vices de direction du pied. L'autre
forme
du pied creux s'éloigne moins de la conformation
x° Le varus vatgus ou adduction-abduction. a. Varus direct. — Cette
forme
est rare, surtout dans les déviations congeniales
s. Elle n'atteint jamais un très-haut degré, sans passer à la seconde
forme
. Voici ses caractères : les deux muscles jambiers
ppe au-dessous d'elle une bourse muqueuse. {?. Varus èquin. — Cette
forme
est beaucoup plus commune que la précédente. Elle
nous en établirons trois principaux. Dans le premier, l'avant-pied
forme
avec l'axe normal du pied un angle obtus. Dans
a partie antérieure du bord externe et sur le sommet de l'angle qu'il
forme
avec le calcanéum. Cet angle tend à se fermer dav
utre, de manière que l'extrémité postérieure du cinquième métatarsien
forme
une troisième saillie osseuse sur le côté convexe
rus direct, que le talon ne porte plus sur le sol. A la longue, il se
forme
un autre talon au sommet de l'angle médio-tarsien
rtout chez les nouveau-nés. Le pied peut perdre alors complètement ta
forme
allongée, devenir en quelque sorte circulaire, co
e époque, a transformé ce pied bot en varus du premier degré. Le pied
forme
un angle obtus avec la jambe ; le talon porte à p
opérée deux lois, à huit mois et à quatre ans, offre aujourd'hui des
formes
qu'on peut appeler artificielles. M. Duchenne a d
ion tout à fait comparable à celle des doigts, lorsqu'ils prennent la
forme
de griffes , suivant l'expression de M. Duchenne.
ormation existe au membre supérieur comme à l'inférieur. Remarquez la
forme
arrondie du poignet; la paume de la main s'appuie
terne du col. Dans un deuxième degré, la tète n'a déji plus la même
forme
; elle est un peu rélrécie et tend à devenir point
t est souvent indiqué par l'allongement de la substance osseuse, sous
forme
d'une apophyse styloïde, à l'angle inférieur inte
s articulaires astragaliennes et cuboïdienne du calcanéum changent de
forme
et de situation, par l'effet de la rotation de l'
fait remarquer les phalanges des ortei s repliées sur elles-mêmes en
forme
d'S, ce qui était dû en partie à cette influence
convexe, le bord interne concave. Le pied décrit dans son ensemble la
forme
d'un S. C'est ce que vous observez sur ce moule,
ois degrés principaux dans le valgus commun. Dans le premier, le pied
forme
avec son axe normal un angle très-obtus; le bord
3° le pied équin valgus, que je réunis au valgus équin. Suivant la
forme
et la direction de l'avant-pied, le pied équin es
el du talon dans la station , par l'extension permanente du pied, qui
forme
avec la jambe un angle obtus. 3° Dans le troisi
ération de sa convexité en avant. Le pied, vu de côté, offre alors la
forme
d'une S. C'est cette partie antérieure, fortement
son Orthopédie, n'a entendu désigner par le nom de pied équin qu'une
forme
particulière du pieel. Il ne fait pas même mentio
Des déviations particulières des orteils peuvent se joindre à cette
forme
commune du pied équin. La plus fréquente est l'ex
orteil avec flexion de la seconde. Quand plusieurs orteils ont cette
forme
, cela produit l'apparence de griffes, comme dans
sol. On l'a appelé par la même raison pied èquin en dessous. Celte
forme
de pied équin dorsal est rarement directe, mais e
tension et de l'abduction. Le long péronier ne peut seul produire ces
formes
de pieds bots, parce que, seul, il ne peut pas so
che, sans causes apparentes. C'est depuis lors que son pied a pris la
forme
d'un pied équin. Remarquez comme le talon est éle
t normal ; ceux du varus sont très-notablement déformés. Toutefois la
forme
des os se modilie également à la longue. Ainsi, c
araît de lui-même dès les premières semaines. Enfin, la direction, la
forme
des bords du pied sont déterminées par le degré d
talus pied creux congénital; mais il pourrait s'en présenter. Cette
forme
de pied bot s'est montrée jusqu'ici liée à la par
orteils peuvent être diversement déviés dans le talus. Us offrent la
forme
de griffe dans le talus pied creux, quand les mus
ntation est plus assurée dans le talus pied creux que dans les autres
formes
de pied bot. Les fonctions du membre sont cependa
rations de chirurgie, p. 530, Bruxelles, 1708. (3) Sur la meilleure
forme
des souliers, p. 51, 1781. Cependant Delpech, d
péroné. Voici une attelle coudée, portant une semelle de bois, qui
forme
avec elle un angle obtus. En fixant le pied sur l
sous les yeux deux appareils agissant en sens contraire pour les deux
formes
principales du pied bot. La mère de cet enfant a
noux, on peut les porter dans une extension tellement exagérée, qu'on
forme
un angle rentrant en avant, tandis que le jarret
a rotule droite est très-peu développée; on la trouve en dehors, sous
forme
d'un petit tuber- (1) Huitième leçon, 11 juille
vis est une vis sans fin ; elle fait marcher une partie dentée qui
forme
l'extrémité de la pièce opposée. Tel est le mécan
urs permanentes. Cette précaution est encore plus nécessaire, s'il se
forme
une phlyctène. Lorsqu'on n'a pu éviter la forma
uperficielle, celte lésion peut encore guérir sans suppuration; il se
forme
une croûte sèche, qui laisse, en se détachant, un
rectitude normale ; on pousse la flexion jusqu'au point où la sandale
forme
avec les montants un angle aigu. Il faut toutefoi
algus, il faut une disposition inverse. En outre, dans cette dernière
forme
, à l'aide d'une seule branche externe, d'une sort
hodes sont en présence. L'une a pour principe de diviser, dans chaque
forme
de pied bot, tous les tendons des muscles qui l'o
hille sur des chiens avec une aiguille à cataracte. Ténolomes. — La
forme
des instruments a quelque peu varié. Sauf de rare
, à la dépression, au vide que l'on sent entre eux. La gaîne fibreuse
forme
souvent une bride de chaque côté de cet intervall
e qu'on nomme gaîne du tendon. Cette gaîne, entamée par l'instrument,
forme
une sorte de canal cylindrique , adhérent aux deu
même volumineux, finit par être résorbé, et la cicatrice du tendon se
forme
comme à l'ordinaire; seulement la cavité de cette
tères de l'état normal, surtout si la déviation était congénitale. Sa
forme
conserve quelque chose de l'état primitif, ou s'a
de subluxations ; le calcanéum est placé horizontalement; le cuboïde
forme
seulement une légère saillie à la plante, et le b
rrête pas à son début, et qui, dans le cas contraire, constituent des
formes
ou des états différents. Je rattacherai toutes
a maladie ; et comme !c système osseux se présente sous une troisième
forme
quand la guérison a lieu, j'établirai en tout tro
ns les os courts et dans l'épaisseur des os larges. Le tissu compacte
forme
sur tous ces os une couche plus mince ; mais il o
lules précédentes, ainsi que leurs granules, sont groupées d'abord en
forme
d'îlots à grand axe longitudinal. Ces îlots finis
encore que, dans le rachitisme, les granules des deux couches ont des
formes
bizarres et beaucoup plus irrégulières que dans l
s. Il est évident que la persistance, l'étendue, la mollesse de ces
formes
transitoires du tissu osseux, concourent puissamm
ses caractères. Cette éburnation des os consacre définitivement les
formes
, les dimensions, que la maladie leur avait donnée
l'opposé de ce qui se passe dans le rachitisme, et le contraste qu'il
forme
avec cette dernière affection vous rendra plus se
de également, le bassin reste symétrique et sa circonférence prend la
forme
d'une ellipse transversale plus ou moins allongée
'est sans doute à cette dernière affection qu'on doit rapporter cette
forme
de resserrement transversal que vous avez sous le
ns osseuses qu'on rencontre le plus communément et qui sont autant de
formes
symptomaliques du rachitisme. 11 est aussi des co
courbures naturelles. Son col devient horizontal, quelquefois même il
forme
un angle aigu ; le grand trochanter est dirigé en
t le membre abdominal est dévié en dedans, des deux côtés, ils ont la
forme
de la lettre X. Dans ce cas, les genoux se touc
n, il existe une double courbure en S dans un seul membre ou d'autres
formes
plus bizarres. Sur les fœtus atteints de ce que j
orcs de Westphalie était héréditaire. Daubenton (1) se demande si les
formes
osseuses produites par un rachitisme ancien et gu
ît bien fait. Les membres inférieurs sont courbés en dehors et ont la
forme
d'une S. Les pieds ont la direction des valgus. C
plement mise en jeu ; 2° la courbure par déformation, résultant de la
forme
particulière des pièces du rachis. (1) Première
le ; 2° juvénile ; 3° sénile. J'examinerai, en particulier, ces trois
formes
, puis la cyphose symptomatique. I. Cyphose infa
spinaux concourt, avec la lésion rachitique, à la production de celte
forme
de cyphose. Ces muscles sont incapables de mainte
tit nombre de vertèbres ; mais elle est encore plus considérable , et
forme
presque un angle droit dans la région dorsale sup
est beaucoup plus fréquente aux vertèbres dorsales, disposées à cette
forme
de courbure par leur direction normale, de même l
par suite d'une disposition originelle , comme tout autre trait de la
forme
extérieure du corps , comme les traits du visage
affecter, comme dans celle-ci, sans érosion, sans mal vertébral, une
forme
presque anguleuse. (1) A. Roy, De Scoliosi, p.
, en examinant la région postérieure du tronc, afin de reconnaître la
forme
qu'ils lui impriment. On peut quelquefois , dais
qu'indiquer la lordose dépendant de cicatrices vicieuses; toutes les
formes
de courbure du rachis peuvent être déterminées pa
ndaire. Cette contracture se montre-t-elle à l'état chronique sous la
forme
permanente? La chose est possible, mais je n'en c
du cou et l'inclinaison en avant plus considérable. Un pli profond se
forme
à la nuque, qui est très-courte ; la face est dir
en le faisant asseoir et courber en avant, vous remarquez qu'il ne se
forme
plus de voussure physiologique. IIe et IIIe cas
ant est assise, tout disparaît; lorsqu'elle se courbe en avant, il se
forme
une cyphose dorsale physiologique, ce qui prouve
lexion brusque, une sorte d'angle arrondi, au-dessus duquel le rachis
forme
une ligne presque droite , fortement inclinée en
Guérir la paralysie est l'indication essentielle à remplir dans cette
forme
de lordose. Ne laisser le sujet debout que le moi
Tl est une lordose congénitale générale, remarquable en ce qu'elle
forme
à elle seule le trait le plus saillant de la mons
scoliose par déformation, qui diffèrent plus l'une de l'autre que les
formes
correspondantes de la cyphose. Ces deux espèces s
, ce qui nous intéresse spécialement, c'est (1) Voyez page 85. la
forme
, la direction de l'axe du rachis dans ses divers
ue ou pelvienne; sa courbure est simple, en forme de C, ou double, en
forme
d'S ; elle peut être verticale ou plus ou moins o
sont exactement parallèles ; la courbure a la même étendue et la même
forme
, que l'on considère le rachis du côté des corps v
, et dans toutes les œuvres d'art qui offrent cette pose, qu'il ne se
forme
généralement alors qu'une seule courbure. E. Ce
e, presque droite, qui répond à une partie de la région dorsale. La
forme
du tronc tient à la fois, dans ce cas, des courbu
S0 Flexion latérale par douleur. — Très-commune, elle revêt plusieurs
formes
qui rentrent dans les attitudes physiologiques qu
ytique avec inclinaison considérable du tronc en arrière. C'est cette
forme
que M. Duchenne (de Boulogne) rapporte à la paral
orsales moyennes, cette partie médiane est le point le plus courbé et
forme
une saillie très-prononcée en avant; la circonfér
respond exactement au côté gauche des Vertèbres , dans le point où se
forme
la courbure latérale normale. Cette déformation d
composée de deux courbures régulières, à peu près égales. C'est cette
forme
que Shaw (1), après Haller (2), appelait serpenti
ecs n'étant nullement notre S. On a comparé (U) assez justement cette
forme
de scoliose à un zêta (£), quand la petite déviat
ches très-ouvertes. La droite qui joint les deux extrémités du rachis
forme
la corde des deux courbes, qu'elle coupe à leur p
était le plus prononcée. Dans ce cas, la scoliose affecte d'abord la
forme
de la flexion physiologique ; les courbures secon
et hors de la ligne verticale passant par le centre de gravité. Cette
forme
de scoliose se voit surtout dans un âge avancé, e
de la ligne du centre de gravité; le rachis, dans son ensemble, a la
forme
d'une S qui serait fortement penchée à droite.
tant également jusqu'à leur plus haut degré, la déviation conserve la
forme
d'une S régulière (1). Mais cela est rare; la cou
, le rachis serpente d'un seul côté de ce plan, à sa droite, clans la
forme
que j'ai supposée. Au lieu de trois inclinaisons
son développement complet. La gibbosité est-elle posléro-gauche, la
forme
du rachis est retournée; la déviation procède d'u
contre. La courbure sous-aortique, la courbure lombaire gauche, de la
forme
sigmoïde peut devenir la courbure dominante, la d
s, toutes les combinaisons de courbures, qui donnent lieu à autant de
formes
différentes de scoliose. Dans un travail encore m
sur les difformités, j'avais porté à cinquante-trois le nombre de ces
formes
diverses, et j'en ai rencontré d'autres depuis. J
'un côté, celui de la concavité; ce qui donne aux vertèbres tantôt la
forme
des voussoirs ou des pierres qui composent une vo
ffectées, la courbe, comme comprimée à son sommet, se rapproche de la
forme
angulaire. Le rachitisme présente, de même que
on, comme le croyait Del-pech (1). L'existence de l'une ou de l'autre
forme
dépend moins de la nature de la scoliose que de s
uche; de là l'obliquité des côtés de la vertèbre, ce qui lui donne la
forme
d'un parallélogramme. Il n'y a pas toujours affai
aissement vertical dans celte variété, qu'il convient mieux de nommer
forme
rhomboïdate. Elle se rencontre particulièrement d
leur est commune, fait tourner le rachis sur lui-même et lui donne la
forme
d'un tire-bouchon. Vous en voyez un bel exemple s
qui les inclinent diversement sur les vertèbres ou qui altèrent leur
forme
, on comprendra l'étendue des désordres qu'on obse
torsion, autant de variétés de bosses. Voyons-en quelques-unes. La
forme
de déviation la plus commune dans les premières p
ales opposées correspondant à la convexité des deux courbes. Si cette
forme
persiste pendant l'accroissement de la déviation,
dorsale. En voici une d'une espèce assez rare, en ce que la scoliose
forme
presque un angle aigu comme la courbure du mal ve
es pièces sont des gibbosités dorsales gauches, répétant à gauche les
formes
qu'on voit le plus souvent à droite (2). Enfin
e plus souvent à droite (2). Enfin ces six pièces vous montrent une
forme
qui n'est pas rare, sans être cependant aussi com
transmettent ce mouvement à leurs cartilages, et ceux-ci changent de
forme
ainsi que la partie antérieure des côtes qui corr
ies courbes. La cavité thoracique est profondément modifiée dans sa
forme
et dans ses dimensions. Supposons une forte courb
prévoir les différences que ces caractères présentent dans les autres
formes
de scoliose; un coup d'œil rapide sur ces pièces
ou consécutive à des causes accidentelles, n'altère que lentement les
formes
du bassin. Les individus gib-beux, non rachitique
lle finit aussi, dans les fortes scolioses, par être modifiée dans sa
forme
. On observe quelquefois, dès le début, une inégal
tent et auxquels ils s'insèrent; leur situation, leur direction, leur
forme
, leur étendue subissent de tels changements, que
uttières vertébrales qui logent leurs faisceaux varient, en effet, de
forme
et de direction. En général, celle qui répond à l
subir l'influence de la courbure latérale de l'épine. Elle change de
forme
, en effet, avec son étui osseux; elle en suit les
gé, quelquefois comme ratatiné ou replié sur lui-même, il affecte les
formes
les plus variées. Son allongement et la réduction
nent au foie la figure d'un tricorne. Sur cet autre, au contraire, il
forme
la petite extrémité de l'organe (3). Plus les ver
la courbure, comme cela a lieu dans le cas figuré ici (4). Dans celte
forme
de déviation, le foie s'éloigne des vertèbres , e
modifiés par l'inégalité de pression des côtés droit et gauche, et la
forme
arquée de la tige osseuse devient permanente. Plu
écessaire de prouver que les muscles ne sauraient donner à l'épine la
forme
sigmoïde, inhérente au début même de la déviati
épaulrs ne sont que des effets de la diffé- BOUVIER. 28 rence de
forme
des plans du thorax sur lesquels elles reposent.
e les deux extrémités de chaque courbure. Je ne reviens pas sur les
formes
variées que les courbures peuvent revêtir dès la
rme de côte de melon. L'épaule correspondante la couvre d'abord et en
forme
le point culminant; mais, à la longue, l'omoplate
s, etc. C'est encore à la même époque que le sternum apparaît sous la
forme
d'une gibbosité médiane, comme dans la cyphose.
d des courbures secondaires, suivrait la même marche. Dans les autres
formes
de déviation, telles que la courbure lombaire ou
e par le degré de la difformité, et surtout par les proportions et la
forme
des gibbosités. L'examen de nombreux sujets, gi
é. Le creux du flanc gauche est également très-prononcé. Remarquez la
forme
anguleuse des côtes; c'est un des caractères du t
(1). — Nous n'avons encore considéré clans les sujets gibbeux que les
formes
extérieures sous lesquelles ils s'offrent à nos r
se produit dans ces circonstances en même temps que la différence de
forme
; le corps grandit dans un cas, se rapetisse dans
es, selon le sens dans lequel ils s'opèrent. Cela est subordonné à la
forme
du plan et au côté du corps qui lui correspond.
s sont, de toute nécessité, inégalement contractés. Ceux qui, dans la
forme
la plus commune, répondent à la convexité dorsale
viendrez à faire taire la contraction, aucun ne se présentera sous la
forme
d'une corde arrêtant l'effort, comme cela arrive
contraction chez les sujets bien conformés. Je vous ai fait voir les
formes
diverses que les fléchisseurs latéraux du tronc p
olonne vertébrale, dans les flexions latérales physiologiques. Or ces
formes
sont tout autres chez les sujets atteints de scol
st rendu imparfait par les changements survenus dans la direction, la
forme
, la mobilité des côtes, par la difficulté de l'ab
type de ce genre de difformité. Le mal de Pott s'écarte un peu de sa
forme
habituelle : au lieu d'être antéro-postérieur, co
rmé, la gibbosité postéro-gauche énorme; la dépression postéro-droite
forme
une excavation prononcée. Il y a une gibbosité an
oportionné aux membres. La face, tout en conservant quelque chose des
formes
arrondies de l'enfance, commence à présenter le c
ordre. La simple flexion n'est presque jamais double; son siège, sa
forme
sont les mêmes que dans la flexion physiologique
e; elle occupe généralement un autre siège, se présente sous d'autres
formes
que la flexion physiologique; elle produit des sa
une jeune fille placée sous vos yeux dans la dernière séance; mais la
forme
en S spéciale de la courbure vertébrale, les cara
ent au point de vue des courbures latérales qui peuvent en altérer la
forme
. Celte hygiène constitue une partie importante de
entraînement, à l'aide duquel on parvient à modifier profondément les
formes
et la proportion des divers systèmes organiques c
que la scoliose par déformation doit sa persistance au changement de
forme
des vertèbres et de leurs ligaments; mais, d'un a
paraître les courbures latérales du rachis : l'une est de rétablir la
forme
symétrique des pièces qui le constituent; l'autre
rgie possible aux muscles du rachis, que vous ne changeriez rien à la
forme
des vertèbres et de leurs ligaments; la courbure
èbres dans la station, et de changer, par une influence mécanique, la
forme
de ces os et de leurs ligaments. Ils comprennent
mais non du côté de la convexité, à moins que le plan ne présente une
forme
spéciale. La rencontre des épaules et du bassin a
, d'étendre son côté concave, de manière à favoriser le retour de ses
formes
normales ; mais il arrive alors ce que vous avez
é dorsale est à gauche. On peut utiliser cette attitude, dans cette
forme
de déviation, en la faisant répéter très-souvent
rachis, du côté de la convexité, une pression capable de modifier sa
forme
. Ces faits nous serviront à apprécier son degré d
elque sorte, créé cette branche de la gymnastique, en lui donnant une
forme
pédagogique. C'est surtout aux travaux des Gutsmu
palmaire et l'exposent à s'excorier. On leur donne ordinairement une
forme
cylindrique ; s'ils sont plats ou carrés, on évit
niques. — Agir par une force extérieure sur le rachis pour changer sa
forme
vicieuse, est une idée qui a dû se présenter de b
s vous savez que les anciens ne distinguaient pas clairement ces deux
formes
. A. Paré a reproduit le procédé d'Hippocrate po
et os, s'accroisse plus en proportion que le côté convexe, et que les
formes
s'améliorent ou reviennent à peu près à l'état no
t un peu compliqués; je préfère les ressorts. En voici'de plusieurs
formes
, depuis le ressort classique de Wurzbourg jusqu'a
il. Les pressions latérales ont à la fois pour objet de modifier la
forme
du thorax et de redresser les courbures du rachis
essité de cette dépression mécanique pour obtenir la restauration des
formes
du rachis ; ils ont vu que le moyen de l'effectue
ant et en arrière. L'efficacité de ces pressions , pour rétablir la
forme
du thorax, serait certainement très-grande si sa
rges, plus ou moins bombées ou excavées, suivant l'âge des sujets, la
forme
de la partie et son degré de sensibilité. Les plu
u bras, je donne ordinairement à cette seconde bande ou épau-lette la
forme
d'une croupière, dans laquelle on passe le membre
est bon qu'elle soit un peu évasée inférieurement pour s'adapter à la
forme
des hanches. Il faut des soins particuliers, dans
reil s'oppose à l'inclinaison de l'arc lombaire qui caractérise celte
forme
dans la troisième période de la scoliose. On ne s
t appliquée sur la convexité lombaire gauche. Étendre son usage à ces
formes
spéciales est un contre-sens dont les praticiens
formités de la scoliose : la mobilité des vertèbres, le changement de
forme
des pièces du rachis. Or, tout ce qui dépend de
s, est celle de l'arc ou plutôt de FS dorso-lombaire à droite dans la
forme
ordinaire de courbure dorsale principale. Elle en
s, sensiblement égales, l'une et l'autre peu prononcées, laissent les
formes
presque intactes ou ne leur portent que faiblemen
ode est plus avancée, si l'inclinaison est en partie maintenue par la
forme
des vertèbres et de leurs annexes, le résultat es
, lorsque cela a lieu. Dans la généralité des cas où le changement de
forme
des vertèbres est démontré par les saillies latér
la jeunesse, le sexe féminin, un développement encore incomplet, des
formes
minces et souples, favorise le redressement. Tout
e un âge plus avancé, le sexe masculin , un développement achevé, des
formes
robustes, y apporte plus d'obstacles. Mais l'état
e ; mais c'est la nutrition qui accomplit seule la restauration des
formes
, et, sous ce rapport, l'état fonctionnel joue un
système osseux, jusqu'à ce que le temps ait arrêté définitivement les
formes
du squelette; sinon une rechute est inévitable.
les viscères sont plus à l'aise. Le thorax, en particulier, change de
forme
comme de dimensions; ses deux moitiés s'éloignent
es plus légères, n'est jamais complètement détruite. La situation, la
forme
des côtes se modifient avantageusement, soit par
ériode...................... *' Valeur diagnostique des différentes
formes
de gibbosités...... 21 Diagnostic différentiel.
e une propriété générale du protoplasma vivant, elle est une simple
forme
de mouvement, elle n'est en effet, d'après l'expr
système nerveux, et que l'on voit certains éléments s'unir sous des
formes
déterminées, pour constituer les appareils de dig
ils profonde. cellules des neurones centraux peuvent affecter des
formes
varia- e sont des cellules tantôt multipolaires
ce a été suffisamment imprégnée par le collodion, et que ce dernier
forme
autour d'elle une couche résis- tante. d'enviro
creux, enchâssé par sa partie supérieure dans une cuve en zinc, de
forme
rectangulaire et à parois d'une hauteur de 8 ce
- let, de la seizième à la dix-huitième heure de l'incubation, sous
forme
d'un épaississement longitudinal de l'ectoderme
éphalique anté- rieure. Travaux .de Darestc. rieure, affecte la
forme
d'un court fuseau (fig. 13), et présente à son
evient le double de son diamètre antéro-postérieur; elle affecte la
forme
caractéristique d'un marteau (fig. Il, Vo), et
a fente qui entraîne la cyclopie, se fait très prématurément, il se
forme
à la partie antérieure de la/vésicule encéphaliqu
vexe contre le feuillet ectodermique, ne conserve pas longtemps sa
forme
, globuleuse (fig. 16, c). La face profonde du f
'étire. Vers la troi- sième semaine de la vie embryonnaire, son axe
forme
, avec celui de la vésicule oculaire (YO), un an
est très profonde, et la vésicule oculaire se- condaire affecte la
forme
d'un fer à cheval ouvert en bas et en arrière,
pha- liques secondaires. La troisième xé- sicule encéphalique
forme
le ventri- cule. I cule oculaire, avec la c
(Is) de His. Elle se caractérise surtout par l'amincissement et la
forme
losangique d'une partie de sa voûte, qui devient
térieur. Ci\ cristallin.' - Fol, fossette olfactive. /M, fente en
forme
de selle. - GG, ganglion de Gasser. - Gc, gangl
n'a pas lieu, la membrane obturatrice du quatrième ventricule ne se
forme
pas et la troisième vésicule encéphalique conse
deuxième vésicule encéphalique grossit rapidement ; elle prend une
forme
sphérique chez les oiseaux, hémisphérique chez le
ux, sa voûte aux tubercules quadrijumeaux, sa cavité se rétrécit et
forme
l'aqueduc de Sylvius; elle porte désormais le nom
éliale, que recouvre la future toile choroïdienne ; en arrière elle
forme
la glande pinéale et la commissure postérieure. S
es saillies; la saillie 1 La deuxième vé- sicule encéphalique
forme
par sa cavité l'aqueduc de 8)"1 \'in<, par
est plus haute que large (fig. 17); vue de profil, elle affecte la
forme
d'une cornue ou d'une poire légèrement courbée
mplète de la gouttière encéphalique, et l'axe longitudinal affecte la
forme
d'une ligne plusieurs fois coudée. Les inflexio
ers la sixième semaine. A cette époque, l'axe de la moelle allongée
forme
avec celui de la moelle épinière, un angle de p
g. 24), et les parties latérales du cerveau postérieur s'étirent en
forme
d'auricules, pour former les diverticules ou re
es encéphaliques, entraînent nécessairement des altérations dans la
forme
de la cavité du lube encéphale-médullaire. Ch
la quatrième semaine, la cavité de la moelle épi- nière affecte la
forme
d'une fente antéro-postérieure aplatie latéraleme
ve. V, voûte. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 77 ventricule. La
forme
est en général celle d'un prisme à cinq pans, sau
niveau de la plus grande largeur de la membrane obturatrice, où la
forme
de la cavité se rapproche de celle d'un prisme à
entraîne une déformation du canal central, qui n'affecte plus la
forme
d'une fente antéro-postérieure aplatie latérale
es radiées. 1111 Vésicule du qua- trième ventricule. Sa voûte
forme
la membrane obtura- trice du quatrième vent
git, les parois latérales s'étirent au niveau des plis de flexion en
forme
d'auricules, dans lesquelles la cavité du quatr
bulbaire, où elle est connue sous le nom d'aile blanche interne, la
forme
d'un triangle rectangle e.t répond au noyau d'o
ine du nerf grand hypoglosse. Dans sa partie protubérantielle, elle
forme
une saillie arrondie, l'enzinentia teres propreme
Dans la région protubérantielle, le segment jugal de la lame alaire
forme
au voisinage de l'aqueduc de Sylvius, le locus Co
e. La racine sensitive du trijumeau apparaît plus tardivement, elle
forme
au niveau de la substance gélatineuse de Iiolan
intimement au début au faisceau cérébelleux direct de Flechsig, et
forme
avec lui le tractus inter- medius de Mis. Ces f
e à la lame du cervelet. Le rudiment du cervelet apparaît sous la
forme
d'une lamelle courbe, qui réunit en arrière les
-lunaires, les valvules de Tarin. Quant au -vermis, il affecte la
forme
d'une lame recourbée sur son axe horizontal, do
et le commencement du troisième, trois saillies, dont l'inférieure
forme
le rudi- Fm. 36. - Moelle et encéphale d'un em-
ure du cervelet. Vers le cinquième mois, le cervelet a atteint sa
forme
définitive ; quatre sillons profonds divisent,
érieure de l'hémisphère cérébelleux, aux lobes amygdalien et cunéi-
forme
inférieur, en dehors au pédoncule du flocculus; l
u trijumeau s'hypertrophie considérablement chez la torpille, où il
forme
les lobes électriques, et que chez les poissons
ez les poissons, le noyau de terminaison du vague, très volumineux,
forme
une forte saillie dans le quatrième ventricule.
eau intermédiaire, s'élève un peu au-dessus du col de ce dernier et
forme
une sorte de fer à cheval, dont les branches la
ômes, quoique son volume présente les plus grandes variations. Elle
forme
en effet les volumineux lobes optiques des pois
uban de Reil, existe dans toute la série des vertébrés. Ce ganglion
forme
chez les mammifères le tubercule quadrijumeau p
région sous-thalamique de Forel ou de région du corps de Luys; elle
forme
la future bandelette optique et se continue avec
- CP, cerveau postérieur. - Cv, lame du cervelet. - (si, fente en
forme
de selle. - Gp, glande pinéale. - /, infundibu-
ncher du troisième ventricule n'est pas rectiligne, mais affecte la
forme
d'une ligne brisée dont le segment postérieur, pr
me d'une ligne brisée dont le segment postérieur, presque vertical,
forme
la lèvre antérieure de la fente en forme de selle
re du tuber cine- .i Le plancher du cer- veau intermédiaire z
forme
la membrane basilaire d'Aehy. Les deux segmen
cervelet. - fcit, fente choroïdienne du 4" ventricule. fst, fente en
forme
de selle. - fp, fissura prima. - Gp, glaude pin
rveau moyen. Le plancher du cerveau inter- médiaire affecte donc la
forme
d'un entonnoir aplati latéralement, étendu des
antérieure. - La partie postérieure ou rétro-pinéale est petite et
forme
la commissure postérieure; ses fibres apparaiss
ande pinéale apparaît, ainsi que nous l'avons vu plus haut, sous la
forme
d'un diverticule en doigt de gant connu sous le
ter-hémisphérique. En se développant, chaque vésicule hémisphérique
forme
en avant le lobe frontal, en haut le lobe parié
presque complet, ouvert seulement en bas et en avant, et affecte la
forme
d'un rein ou d'une fève, dont le hile correspond
ienne ou au futur lobule de l'insula. Le ventricule latéral suit la
forme
générale de la vésicule des hémi- sphères, et e
a. - FS, fosse sylvienne, - fs, fissura serotina. - fst, fente en '
forme
de selle. - BC, hémisphères cérébraux. - HCn, hém
one choroïdienne de His; elle est plus étendue que la précédente et
forme
avec elle un angle obtus, dont le sommet correspo
inter-hémisphérique la refoule en ar- rière en formant le pli falci
forme
de His, qui s'insinue profondément entre les co
factifs antérieur et postérieur, sont creux au début et leur cavité
forme
le plancher de la corne frontale du ventricule
lus distincte. Le lobe olfactif antérieur se recourbe en arrière et
forme
avec le lobe postérieur, un fer à cheval dont l
l'ouverture correspond à l'incisura prima (fig. 51 ). Il affecte la
forme
d'une petite pyramide aplatie d'avant en arrière,
du deuxième mois de la vie intra-utérine, le corps strié affecte la
forme
si caractéristique d'un anneau ouvert en avant et
la forme si caractéristique d'un anneau ouvert en avant et en bas,
forme
qui est propre pour ainsi dire aux organes dévelo
la limite en dedans et en dehors. Le sillon externe corres- 1 Sa
forme
générale en anneau ouvert. j 1 Son union et
port persiste chez l'adulte, où cette partie libre du corps strié
forme
le collicuills du noyau caudé. (Voy. noyau ca
reste toutes les parties qui appartiennent au cerveau antérieur, la
forme
générale d'un anneau ou- vert en bas et en avan
lles l'étage antérieur de la protubérance. Une partie de ces fibres
forme
ensuite la pyramide antérieure du bulbe, et s'en-
é se rend dans le cordon latéral du côté opposé de la moelle, où il
forme
le faisceau pyramidal croisé. § 3. Développemen
Ce ventricule n'existe que chez l'homme. Le corps calleux se
forme
aux dépens Le trigone naît du pli marginal.
n général adhé- rente à la face inférieure du corps calleux où elle
forme
la lyre de David ou le psalterizcm. Le trigon
gone est situé immédiatement au-dessus du sillon choroïdien dont il
forme
la lèvre supérieure ou dorsale; son bord externe,
ale. A ce niveau, le tronc du corps calleux se termine en pointe et
forme
un bec postérieur, mince et effilé, très analogue
allenx. ! i Il 1 du corps calleux, par le fornix transverse qui
forme
la lyre ou lepsalterium, et le mode de développ
que s'unit au sillon arqué antérieur de /7; il décrit une courbe en
forme
d'S qui entoure le genou et le bec du corps cal
1). Le sillon ammonique déprime fortement la paroi ventriculaire et
forme
dans la cavité ventriculaire la saillie de la c
me mois, la scissure pariélo-occi- pitale s'unit à la calcarine, et
forme
avec cette dernière un couché. La branche commu
re occipito-temp01'ale (ot), qui déprime la paroi ventriculaire, et
forme
dans la corne occipitale l'éoai- nence collatér
- térieure du sillon de l'hippocampe, reste lisse chez l'adulte, et
forme
une mince et étroite bandelette transversale qu
e vé- ritable limbe de l'hé- misphère. Sa partie origi- nollc
forme
la bau- de lette de Giacomini. 128 ANATOMIE D
t déjà vers la lin du premier mois de la vie intra-utérine, sous la
forme
d'une légère dépression, la fosse sylvienne. Ce
st plus étendu. Vers le troisième mois, la fosse sylvienne affecte la
forme
d'un arc vertical, dont les segments antérieur
, grâce au développement que prend le lobe fronto-pariétal, qui lui
forme
vers le cinquième mois une sorte d'opercule (fi
ivise l'insula en deux parties, l'une postérieure ou temporale, qui
forme
la circonvolution postérieure de l'in- sula, l'
le, en bas par la branche horizontale de la scissure de Sylvius; il
forme
à la face interne de l'hémisphère le præcuneus.
supérieure est - parallèle à la scissure ihter-hemisphérique; elle
forme
le bord supérieur du lobe pariétal et correspon
pa2,iéio-occipi- tale et le sillon occipital antérieur de Wernicke,
forme
à la face inféro-in- . terne le cuneus et le lo
: le corps strié et le manteau cérébral ou pallium. Le corps strié
forme
, dans toute la série des vertébrés autres que l
lières, d'autres cellules, volumineu- ses, arrondies, qui, par leur
forme
et leur protoplasma homogène et très transparen
tiplient par voie directe. Or, on ne rencontre, d'après Mis, aucune
forme
de transition entre les cellules épi- théliales
les épithéliales spongioblastes,. t La substance fi- rillaire
forme
la 6uche des colonnes. La substance claire
facilement par les réactifs co- lorants ; elle entoure les noyaux,
forme
à elle seule le prolongement central ou interne
de la cellule, (voile marginal de His), la sub- stance fibrillaire
forme
un fin reticulum, dans les mailles duquel on tr
erne, tantôt s'effile en pointe (fig. 80 et 81 Ct), tantôt revêt la
forme
en massue ou en poire, et émet un long et mince p
germinatives leur situation sous la membrane limitante interne, la
forme
irrégulière et la richesse en chromatine de leur
a moitié interne du noyau, se déjette sur la moitié externe, et y
forme
un cône qui se continue avec une longue fibre à
iane ni en avant ni en arrière; il en résulte que la couche interne
forme
à elle seule le plan- cher et la voûte de la mo
la planche et la voûte de la moelle. La couche grise externe
forme
les cornes de la 'moelle. Fio. 83. - Trois ne
eure, extrêmement nombreux, se disposent en groupes dont l'ensemble
forme
, dans toute la hauteur de la moelle, la largo c
r manque en effet le contingent des fibres de la corne latérale qui
forme
le spinal. La division de la colonne nucléaire
sma des cellules de la névroglie, donneraient à cette dernière leur
forme
ramifiée caractéristique. En d'autres termes, d
e méridien 1 de la section transversale de la moelle, et affecte la
forme
d'un cône,, décrit par Cajal chez le poulet et
Le canal central de la moelle ne conserve pas pendant longtemps la
forme
d'une fente aplatie telle que le présente la fig.
ne du septum postérieur n'est plus soufenable aujourd'hui. Il ne se
forme
pas en effet au niveau de la voûte, une scissure
disposition radiaire joue néanmoins un rôle très im- portant : elle
forme
en effet la charpente primordiale de l'axe encéph
t au début, vers le troisième mois de la vie intra-utérine, sous la
forme
de masses elliptiques à grand axe radiaire, gra
rois- sances en forme de pointes également granuleuses. Entre cette
forme
et les neuroblastes à protoplasma presque homog
oute une série d'intermédiaires (Vignal). Elles revêtent bientôt la
forme
de cellules étoilées richement ramifiées, prése
witz, Gierke, Ranvier, Renaut, Vignal, etc. Ce sont des cellules de
forme
étoilée, ri- chement ramifiées (cellules araign
ère d'un embryon de brebis, long de 0m,00. (D'après Vignal.) La
forme
de la cellule de droite est celle que Boll a dé
surface présente de petites pointes, on en trouve d'autres, dont la
forme
est très variable, et qui émettent dans toutes
es présentent, comme les cellules centrales, de grandes variétés de
forme
et de dimen- . sions, sans atteindre toutefois
ques des In- vertébrés. sympathiques sont très irrégulières comme
forme
et comme dimensions, elles donnent naissance à
drites impriment aux cellules nerveuses de très grandes variétés de
forme
, qui tiennent moins au volume du corps cel- lul
Le mode d'origine des dendrites imprime aux cellules de Deiters les
formes
les plus variées. Ces cellules peuvent être, en e
ipolaires, comme les cellules motrices des cornes antérieures ou fusi
formes
et bipolaires, comme les cellules olfactives et
la fibre nerveuse sont consti- tuées : le faisceau de fibrilles en
forme
le cylindre-axe ; il est entouré de protoplasma
ées le long de la fibre nerveuse. Sur d'autres enfin, elle revêt la
forme
de granulations isolées les unes des autres. A
yéline est assez développée dans la cellule connective pour qu'elle
forme
un petit seg-. ment inter-annulaire (segment in
rise. La substance grise, riche en cellules et en fibres nerveuses,
forme
les ganglions périphériques et constitue un peu
eux. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 191 Elle
forme
la plupart des nerfs périphériques ainsi que les
ventriculaires, recouvre la plus grande partie de sa périphérie et
forme
des amas disséminés dans son épaisseur. La subs
es frontale et occipitale. La substance grise périphérique revêt la
forme
d'une couche irréguliè- rement onduleuse, qui r
encéphale, con- stitue autant de noyaux de volume très inégal et de
forme
extrêmement variable, qu'on désigne sous le nom
fibres qui relient l'écorce cérébrale aux ganglions encé- phaliques
forme
la couronne rayonnante ou grand soleil de Reil, e
moelle et à la périphérie de la moelle et de l'encéphale, où elle .
forme
une couche continue d'environ 20 à 50 z. d'épaiss
trent avec une trop grande fréquence, une trop grande constance de
forme
et avec des dimensions trop variées, pour que l
lasma. 3" Cellules nerveuses. - Nous avons étudié plus haut les
formes
si variées de la cellule nerveuse, ainsi que le
ent en général un certain degré de rétraction et des altérations de
forme
. Lorsque la cellule n'est pas rétractée, elle occ
plus abondant dans la moelle que dans le cerveau. Dans la moelle il
forme
des travées péri-vasculaires rayonnant de la pé
1875 (fig'. 124). La cellule unipolaire adulte se présente sous la
forme
d'un globe assez régulièrement sphérique, entou
ces der- nières, les cellules ganglionnaires se présentent sous la
forme
de corps à contours très irréguliers, présentan
thiques sont donc multipolaires; elles varient entre elles par leur
forme
, par leur volume, ainsi que par le nombre et la d
indre-axe par des angles très aigus (fig. 129). Leur longueur, leur
forme
, leur nombre sont très variables; tantôt sim- p
dro-conique, la gaine de myéline coupée à ce niveau apparaîtra sous
forme
d'un anneau simple; si au contraire le tube ner
oplasma de Waldcyer, fait partie constituante du cylindre-axe. Elle
forme
une masse consistante et homogène d'après Tiüllil
fibres de Remak se présentent, après coloration par le carmin, sous
forme
d'îlots colorés en rouge, et chaque îlot est form
rotoplasma qui entoure leur noyau se répand il leur surface et leur
forme
une simple gaine. Lorsqu'elles sont formées par p
s se présente, ainsi que l'a montré Ranvier, en '18'72 ? trs-rÍ'Õis
formes
, à savoir : la gaine lamelleuse qui entoure un ce
après dissocia- .ion, apparaissent recourbées, conservant ainsi la
forme
qu'elles avaient mtour des tubes nerveux. Elles
différentes espèces de muscles ne dépendent en aucune manière de la
forme
de leurs terminaisons nerveuses. b) Corpuscules
à de nombreuses arborisations, qui se terminent par des boutons de
forme
irrégulière, généralement aplatis. Les arborisati
contournent de diverses façons, et se terminent par des boutons de
forme
et de dimensions variables. Quelquefois le nerf
upées en corpuscules. Ces ménisques tactiles, qui simulent par leur
forme
des feuilles de lierre, représentent un mode d'
ep- tion des fosses occipitales inférieures; il se présente sous la
forme
d'un ovoïde à grand axe antéro-postérieur, dont
-postérieur, dont la grosse extrémité serait dirigée en arrière. Sa
forme
est du reste variable, comme celle de la cavité
. Il se moule très exactement sur l'endocràne, et ses variations de
forme
sont, on le sait, particuliè- rcment fréquentes
artie antérieure et à sa partie postérieure (fig. 151). En avant il
forme
le genou (Cc[g]) et le bec ou roslrum (Cc[r], du
la face inférieure de l'hémisphère, franchement concave, affecte la
forme
d'un rein, répond au lobe sphéno- occipital (GT
exemple chez le singe ou à certaines époques de la vie foetale. Il se
forme
en effet des anastomoses, entre deux lobes ou c
, porte le nom d'opercule; (fig. 150, 1go, 161, 163, 173, etc.), il
forme
la lèvre supérieure de la scissure de Sylvius e
e recourbe en avant sur la face infé- rieure de l'hémisphère, où il
forme
le lobule orbitaire de Gratiolet (fig. 149, 157
, Broca). Les trois circonvolutions frontales se présentent sous la
forme
de trois plis antéro-postérieurs, plus ou moins
ur de l'hémisphère, borde la grande scissure inter-hémisphérique et
forme
une partie des circonvolutions (le la face inte
'elles concourent à former. Celte région, il peu près triangulaire,
forme
la face inférieure ou orbitaire du lobe frontal
dehors par le petit sillon fronto-marginal (fm), le lobule orbitaire
forme
en arrière la lèvre antérieure de la vallée de
reclus (oFJGr]). La partie externe est plus sinueuse, plus large et
forme
la limite interne d'un sillon irrégulier, affecta
rge et forme la limite interne d'un sillon irrégulier, affectant la
forme
d'un II, d'un K ou d'un X. C'est le sillon cruc
rconvolution frontale, ou circonvolution frontale supé- rieure (F,)
forme
un pli épais, large et sinueux, souvent divisé lo
igines, sa masse et sa terminaison. Elle se présente plutôt sous la
forme
d'un lobule que d'une circonvolution propre- me
irconvolution frontale. Partie orbitaire. La partie orbitaire
forme
le désert olfac- tif de Èroca. " . 160 à 162)
l (Hervé). De son origine elle se porte transversalement en dehors,
forme
la limite postérieure du lo- bule orbitaire (
après avoir décrit de nom- breuses flexuosités qui affectent la
forme
d'un M, à la partie tout fait in- férieure de
he transversale du sillon t1'Í1'adié ou de Y incisure en H (f 3) et
forme
le désert olfactif de Broca : tic. 159.-e'ace s
deux branches de la scissure de Sylvius, est caractéristique par sa
forme
et sa constance ; son sommet fait saillie dans
rtie operculaire (Op F 3)' se continue avec le cap de Broca sous la
forme
d'un pli étroit et allongé, qui tantôt se rétréci
Plis de passage. La face profonde du pli passage in- férienr
forme
l'oper- cule rolandique. Lc pli fronto-pa-
e ascendante (Fa) naît à la face interne de ,. l'hémisphère où elle
forme
la plus grande partie du lobule paracentral (Pa
re l'extrémité inférieure du sillon de Rolando ; sa ' face profonde
forme
l'opercule rolandique (OpR) et recouvre les circo
- hémisphérique, empiète sur la face interne de 1 hémisphère, où il
forme
le lobule paracentral (Parc); l'extrémité front
(Parc); l'extrémité frontale est épaisse, volumineuse, ovalaire, et
forme
presque il elle seule tout ce lobule ; Y extrémit
eurs lobes respectifs. , La circonvolution frontale ascendante (Fa)
forme
la lèvre antérieure de la scissure de Rolando,
olutions frontales.. ,. La circonvolution pariétale ascendante (Pa)
forme
la lèvre postérieure de la scissure de Rolando,
misphère, elle s'épanouit à la face interne de l'hémisphère où elle
forme
le précunéus ou lobule quadrilatère de Foville. C
Sillon occipital an- térieur. chez l'homme, se présente sous la
forme
d'une pyramide triangulaire, dont le sommet cor
168); le plus souvent il dépasse ce sillon, le coupe à angle droit,
forme
avec lui un sillon étoile et se prolonge jusqu'au
antérieure s'anastomose avec le lobule pariétal , supérieur (P,) et
forme
le premier pli de lia.s.wrrelirtniéto-occiyilrrl
? y ? f-&V.i-'t7r¡& ? f{çl'Jle de Gratiolet, I ? ll 0Éolle
forme
l'an- . 48/ de bifurcation j)OStél'18L11'e.
t. La deuxième cir- convolution occipi- tale (0.=) affecte la
forme
d'un S; après avoir formé le ra- meau descend
occupe la partie inférieure de l'hémisphère. Il se présente sous la
forme
d'une pyramide triangulaire très allongée, dont l
ccipitale de Schwalbe (fit.,150, 160, 161, 162). La face supérieure
forme
la lèvre infé- rieure de la scissure de Sylvius
upérieure constitue l'axe du pli courbe (t,), la branche inférieure
forme
le sillon occi- pital antérieur de Wernicke (oa
antérieur de Wernicke (oa) (fig. 170), tantôt enfin, affectant une
forme
étoilée (fig. 172), il reçoit le deuxième sillo
lobule marginal supérieur de Gratiolet (Gsm). Cette circonvolution
forme
la lèvre inférieure de la scissure de Sylvius;
te circonvolution, située profondément dans la scissure de Sylvius,
forme
la face supérieure du lobe temporal; elle ne de
dans la scissure de Sylvius, intimement uni au corps strié dont il
forme
l'écorce, le lobule de l'insula est recouvert c
. Chez le foetus, lorsque la scissure de Sylvius, largement étalée,
forme
la fosse sylvienne, le lobe de l'insula apparaî
ords de la scissure de Sylvius, l'irt- sula (I) se présente sous la
forme
d'une saillie irrégulièrement conique, dont le
a (Broca), se dirige en bas et en avant, et dont la base affecte la
forme
d'un triangle rectangle à bords supérieur, anté
, gulaire peut lui-même faire défaut et que la base peut revêtir la
forme
d'une conque. Mais quelle que soit sa forme, la
la base peut revêtir la forme d'une conque. Mais quelle que soit sa
forme
, la base est toujours nettement délimitée des l
re avec celle du côté opposé en avant du genou du corps calleux, et
forme
un angle ouvert en arrière. Sur cette base tria
ois premières circonvo- lutions des auteurs. met qui affecte la
forme
d'une crête, dont la direction est sensiblement
ière. Elle naît au niveau de la circonvolution du crochet (U), sous
forme
d'un pli étroit qui borde le sillon marginal post
obe occipital. Ces lobes sont tout unis à une circonvolution falci-
forme
, qui représente le grand lobe limbiqua de Broca,
e la scissure perpendiculaire externe de Gratiolet (p. 250), et qui
forme
une simple entaille à la face externe de l'hémi
saud, Oi. Le segment interne de la scissure pariéto-occipitale (po)
forme
la limite antérieure du lobe occipital et sépar
r toute l'épaisseur de la circonvolution limbique (L,), présente la
forme
d'un S italique très allongé. Elle commence au-
'est le sillon sus-orbitaire de Broca (so) (fig. 181, 182, 183). Il
forme
quelquefois, à la face externe, une encoche sit
tache un peu en avant du coude de la scissure calloso-marginale, et
forme
la limite antérieure du lobule paracentral, c'e
nier lobule de la circonvolution de l'hippocampe (L.=(lI) dont elle
forme
la limite externe. Cette scissure est quelquefois
orte en haut et en arrière, limite la scissure inter-hémispherique,
forme
le bord supé- supérieur de l'hémisphère, et se
remière circonvolution pariétale de la face externe de l'hémisphère
forme
à la face interne le précunéus (PrC) ou l'avant
e (L,) par le pli cunéo-limbique (-cl), sa face antérieure profonde
forme
la lèvre postérieure de la scissure pariéto-occ
atiolet (-poi) (lig. 182). Sa [face inférieure, profonde également,
forme
la lèvre supérieure de la scissure calcarine; e
interne et la face inférieure de l'hémisphère, se présente sous la
forme
d'une languette, large en arrière, étroite en a
ou moins si- nueux. Ce sillon occupe le sinus de l'angle obtus, que
forme
la face interne de l'hémisphère avec la face in
tre inférieure. Le pli lingual supérieur, sinueux, mince et étroit,
forme
la lèvre inférieure de la scissure calcarine, e
crochet. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 29H . il Le pli lingual inférieur
forme
une petite masse lobulée, à grand axe antéro-po
lon temporal (t3), cette circonvolution mérite véritablement par sa
forme
le nom de lobule fusiforme, et par sa situation
lution occipito-temporale, mérite d'être scindé ; le lobule lingual
forme
, en effet, comme nous venons de le voir, un petit
cique de Brissaud. En dedans, la deuxième circonvolution limbique
forme
la lèvre infé- rieure d'une anfractuosité profo
asciola cinerea. - fg, sillon limbrio-godronné. - Fus, lobule fusi-
forme
. - H(L-2), circonvolution de l'hippocampe ou deux
lution avortée, qui occupe le fond du sillon de l'hippocampe (h) et
forme
à la face inféro-interne de l'hémisphère le vér
rieur du trigone (Tgp) qui la recouvre. Elle apparaît alors sous la
forme
d'un cordon grisâtre, qui suit exactement la cour
ant, au niveau du vélum ter- minale d'Aeby (vl) (fig. 177), sous la
forme
d'une mince et petite bande- lette lisse, d'asp
iacomini (B G). La circonvolution godronnée on intra-limbique (C g)
forme
donc, autour du corps calleux et du pédoncule c
CNC) ; elle se prolonge à. la face interne de l'hémisphère, sous la
forme
d'une mince bandelette grise, com- prise entre
particulier chez le cheval, la cavité du lobe olfactif persiste, et
forme
un véritable ventricule olfactif, qui s'ouvre par
obes frontal et pariétal. A la face inféro-interne le lobule fusai-
forme
est désigné T4 par Ecker, 0, par Broca; le lobule
'entre-croisement incomplet des nerfs optiques, se présente sous la
forme
d'une petite lame quadrilatère, qui mesure e 5
rmcnz, son bord antérieur avec la lame sus-optique. Cette dernière,
forme
avec la substance grise qui recouvre la face supé
: > interne de la bandelette et le bord postérieur du chiasma et
forme
la commis- sure inférieure de la base du cervea
ou libre de la bandelette, il affecte sur une section transversale la
forme
d'un croissant à concavité supérieure et occupe
en effet avec les nerfs optiques que des rapports de voisinage. De
forme
triangulaire, cette lame est comprise dans l'écar
e perforé postérieur. a) Le tuber cinereum (Tc) se présente sous la
forme
d'une lame grise et molle, légèrement proéminen
l/dibulllln du troisième ventricule (fib. 188), se présente sous la
forme
d'un cordon rougeàtre de 4 millimétrés de long,
nus caverneux, en avant et en arrière par le sinus circulaire. De
forme
ellipsoïde, aplatie d'avant en arrière, à grand a
ou hypophyse proprement dite, revêt sur des coupes horizontales la
forme
d'un rein qui embrasse par sa concavité la moitié
ers. Ces tubercules reposent sur la commissure grise de la base qui
forme
la paroi inférieure du troisième ventricule. Il
inler-pédonculairc ou espace perforé postérieur (Spp, fig. 187), de
forme
triangulaire, s'enfonce par son sommet au-dessus
de Meynert [fasciculus ? o/7p;E ? ). Chez les rongeurs ce faisceau
forme
, de chaque côté de la ligne médiane, une bandel
, la région des pédoncules cérébraux affecte, dans son ensemble, la
forme
d'un triangle à sommet tronqué et à bords arron
les deux tiers postérieurs du pédoncule. Le locus niger affecte la
forme
d'un croissant à concavité postéro-interne dont l
bes ou les cuisses du cerveau, affecte, sur la coupe (fig. 189), la
forme
d'un croissant à concavité postéro-interne; il es
ement ascendante; leur bord postéro-externe est presque vertical et
forme
avec le bord supérieur de la ) Locus niger de
ire, de chaque côté de la substance perforée posté- rieure, sous la
forme
d'un petit faisceau de substance blanche, le pécl
térieure en dedans, région dont la face supérieure ou ventriculaire
forme
, avec celle du côté opposé, une gouttière antér
longitudinal des tubel'culesquadl'ijumeaux,s'élar- git en avant, et
forme
à la partie supéro-interne des tubercules quadrij
ont plus volu- mineux que les postérieurs. Ils présentent chacun la
forme
d'un ovoïde, à grand axe dirigé en avant et en
ventricule ou ventricule moyen (V3), cavité médiane, qui affecte la
forme
d'un entonnoir aplati latéralement. Sa paroi laté
s-tlzcclanzi yue de Forel. On se rend encore très bien compte de la
forme
générale des organes du seuil de l'hémisphère e
e ventricule de la cloison (VSl), puis le trigone cérébral (Tg) qui
forme
une seconde cloison transver- sale, dont la fac
r du corps strié, en dehors. La face interne de la couche optique
forme
la paroi latérale du troi- FIG. 195. - Coupe sa
ique et le noyau caudé d'un troisième noyau de substance grise,, de
forme
triangulaire, qui n'est en connexion avec aucun
nche des hémisphères circonscrite par l'écorce grise qui alfecte la
forme
d'une bordure sinueuse, et n'est interrompue qu
e et le centre ovale de l'hémisphère du côté opposé (lig. 199). Les
formes
, les connexions, les rapports des noyaux gris cen
hémis- phères (fig. 197), le corps calleux (Ce) se présente sous la
forme
d'une vaste commissure, d'une large cloison bla
adiations du corps calleux et, des fibres de la couronne rayonnante
forme
la limite externe des ventricules latéraux. - M
(fig. 151) séparant les deux hémisphères, le corps calleux affecte la
forme
leux. . d'une voûte, plus recourbée à sa partie
ns. - xll, chiasma des nerfs optiques. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 311
forme
le fond. Elle mesure 15 à 20 millimètres. Un sill
en plus grande que cette dernière, elle est tapissée par Yépendymc,
forme
la paroi supérieure ou voûte des ventricules laté
térieure du corps calleux, en s'infléchissant en bas et en arrière,
forme
le genou (Cc[g]) et le bec du corps calleux (Cc[r
i communique sur les côtés avec les ventricules latéraux, dont elle
forme
un véritable diverticule. Cette fente est connue
auteurs anciens, la bandelette géminée de Reil, se présente sous la
forme
d'un triangle isocèle à base postérieure (fig.
suite aux angles postérieurs du trigone ; ils se présentent sous la
forme
de deux rubans, aplatis de haut en bas, qui con
partie externe fait suite à la partie interne du corps du trigone et
forme
la couche blanche intraventriculaire ou l'cclve
pourtour, et juxtaposées simplement par leur partie cen- traie, qui
forme
le ventricule du septum lucidum. L'embryologie mo
couche optique, représente un véritable carrefour ventriculaire, de
forme
triangulaire : c'est le trigonum venlriculi later
le latéral, située en arrière du trou de Monro, se présente sous la
forme
d'une fente hori- zontale (le '1;) millimètres
la queue du I/o ! /au call1{( : (NêlT], KG') se présentent sous la
forme
d'une masse grise, légèrement saillante, qui occu
ississement de l'épen- dyme ventriculaire; elle se présente sous la
forme
d'une bandelette gri- sâtre, demi-transparente,
sillon collatéral ou occihito-tenzporal (ot). Le fond de ce sillon
forme
quelquefois une véritable saillie longitudinale,
présentent au niveau du carrefour ventriculaire un rendement fusi-
forme
, le glomus des frères Wenzel, dont le volume vari
ique en bas et en avant. Les parois latérales sont verticales et de
forme
triangulaire ; un sillon curviligne à concavité
chiasma des nerfs optiques (xll) et la lame sus-optique (, laquelle
forme
avec le chiasma un petit cul-de-sac ouvert en h
ganglion, découvert par Serres (1824-1826) et dénommé par Meynert,
forme
une petite saillie triangulaire, située à la pa
ulaire qui sépare le cerveau antérieur du cerveau intermédiaire. De
forme
triangulaire, à sommet antérieur, à base postér
est recouverte par le corps du trigone (Tg), dont elle présente la
forme
et les dimensions, et auquel elle est unie par
triculaire de la couche optique (Sexv); par sa partie moyenne, elle
forme
la limite supé- rieure du troisième ventricule,
a partie moyenne est une anfractuosité profonde et étroite, dont la
forme
rappelle celle du trigone, et qui sépare le cer
doncules du cerveau étaient traversés par des stries de différentes
formes
, a donné à toutes ces éminences le nom de corpom
idéré dans sa totalité (noyau caudé et noyau lentictilaii,6 ? strié
forme
une masse grise ovoïde, dont la grosse extrémité
xtrémité antérieure du corps strié, ils forment une masse 24 ,k
Forme
du corps itrici. La. capsule interne divise
corps strié en deux noyaux. 30 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Forme
du noyau caudé. unique située au-dessous du s
al, vertico-transversal et sagittal (fig. 281, 314, 319- 321). Elle
forme
en effet une légère saillie au niveau de l'espace
ule de l'insula. On ne peut se rendre compte de sa situation, de sa
forme
et de sa constitu- tion qu'en pratiquant des co
Considéré dans son ensemble, le noyau lenticulaire apparaît sous la
forme
d'un coin, dont le sommet situé en dedans et en b
s sagittales, sur lesquelles le noyau lenticulaire apparaît sous la
forme
d'une lentille biconvexe dont la partie moyenne
izontales (fig. 224 à 228). Il n'est pas rectiligne, mais coudé, et
forme
un angle obtus ouvert en dehors qui correspond
ert en dehors qui correspond au sommet du noyau lenticulaire. Cette
forme
du bord interne oblige la capsule interne à se
ières couches du noyau lenticulaire ,,(Iig. 222, 223, 242, 243). Il
forme
à lui seul l'extrémité postérieure effilée du n
- Sur les coupes vertico-transversales les deux noyaux affectent la
forme
d'un U majuscule, dont la convexité regarde en
imitée en dedans par un tractus médullaire d'un blanc éclatant, qui
forme
la limite enlre la face supérieure et la face i
antérieur. La face interne, verticale, plane ou légèrement convexe,
forme
la paroi latérale du troisième ventricule; elle
considérablement renflée, con- nue sous le nom de pulvinar (Pul) et
forme
une véritable face. Elle est libre, regarde en
e et en dedans. Le corps de Luys se présente sur les coupes sous la
forme
d'une lentille biconvexe, logée dans la concavi
et en dedans, sépare la tète du noyau caudé du noyau lenticulaire,
forme
le segment antérieur de la capsule interne et p
dents et fait saillie par sa base dans le ventricule latéral, où il
forme
le tubercule antérieur de la couche optique.
r (\Ta).-Sur les coupes sagittales, le noyau antérieur présente une
forme
analogue à celle du noyau caudé (Burdach). Plus
es vertico-transversales (fig. 241 à 252), elle se présente sous la
forme
d'une lame de substance blanche dirigée obliqueme
ne ligne brisée, ainsi que Vicq d'Azyr l'avait déjà remarqué ; elle
forme
en effet un angle obtus ouvert en dehors, dans le
eure de ce segment. Le segment postérieur proprement dit (Cip), qui
forme
à lui seul les quatre cinquièmes internes dupied
laire interne (po), enfin l'extrémité supérieure du cunéus (C), qui
forme
sur cette coupe un petit îlot complètement sépa
tale est occupée par la première circonvolution occipitale (0[),qui
forme
à la face interne le cunéus (C). A la face in
al. 39 ? ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. mente considérablement, et
forme
une couche épaisse, qui coiffe les extrémités - ,
lier, le faisceau occipito- frontal se réunit au cingulum (Cing) et
forme
un volumineux faisceau à direction antéro-posté
ous-épendymaire qui coiffe le carrefour ventriculaire (fig. 220) et
forme
il ce niveau, ainsi que le prouvent les cas de ma
on trouve le noyau caudé (NC) sectionné au niveau de son tronc; il
forme
dans cette coupe la plus grande partie de la pa
ux (sec), on trouve la section triangulaire du cingulum (Cing), qui
forme
, en ayanl et en arrière, un faisceau foncé nett
supérieur (Arc), et la partie supérieure de Y avant-mur (AM), sous
forme
d'une mince bandelette grise, légèrement feston
. - La tète du noyau c(tiid ? (NC) a conservé il peu près les mêmes
formes
et les mêmes dimensions que sur coupe précédente,
lée (Zr). ' La capsule interne (Cia, Cip, Cirl) se présente sous la
forme
d'une ligne brisée, on y reconnaît, quoique moi
t l'extension plus considérable que prend le cundus (C). Ce dernier
forme
avec le pli pariéto-lim- bique postérieur (-1tp
iculaire (NL3, XL2) qu'elle dépasse un peu en avant. C'est elle qui
forme
le lobule de l'insula proprement dit (lobule de
(Tgp) affecte sur cette coupe et sur toutes celles qui vont suivre la
forme
d'un crochet dont le bord effilé donne insertio
r de la cap- COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 403 queue (NC). Il
forme
avec ce dernier une seule et même masse, ainsi qu
ons temporales ('1' pT"). La circonvolution temporale profonde (Tp)
forme
une languette étroite, oblique en avant et en d
du lobe limbique (L,), un nouveau lobe, le lobule lingual (Lg); il
forme
la lèvre inférieure de la scissure calcarine (K),
ière, le noyau externe se continue avec le pulvinar (Pul), qui n'en
forme
qu'une dépendance, et qui est sillonné comme lui
onscrivent assez nettement le centre ovale (CO). Le cingulum (Cing)
forme
un faisceau compacte, sectionné transversalement,
lq,te. C'est dans cette région qu'elle affecte le plus nettement la
forme
d'une ligne brisée, dont l'angle obtus est ouvert
par le fae>71a tecta (tec) et le cingulum (Cing), qui affecte la
forme
d'un faisceau triangulaire nettement délimité. La
onné en avant parallè- lement à sa longueur, et se présente sous la
forme
d'un faisceau blanc qui double l'extrémité anté
ps calleux (Ce) est situé dans la masse blanche du lobe frontal, il
forme
la limite antérieure de la corne frontale, et con
s, dans l'épaisseur de la circonvolution de l'hippocampe (H), sous la
forme
d'un étroit diverticule, le divel,ticule du szc
e embryonnaire (lt) où elle se confond avec la substance grise, qui
forme
à la face inférieure du cer- veau la commissure
calloso-11wruinal (cm) et le sillon sus-orbitaire de Broca (so), et
forme
l'écorce de la face interne de la première circon
athologiques. La substance blanche de l'hippocampe le contourne, et
forme
autour de lui trois couches concentriques, assez
aux de fibres qui le composent. Le cingulum (Cing) apparaît sous la
forme
d'un faisceau triangulaire, dont le sommet se dir
a surface de section de la commissure antérieure (coa) qui revêt la
forme
d'un ovale, et se caractérise par son aspect blan
ns le tubercule mamillaire. Il se pré- sente sur les coupes sous la
forme
d'un faisceau lâchement fasciculé. Le pos- téri
e de l'espace perforé antérieur et le noyau caudé (NC). Ce noyau ne
forme
qu'un très petit îlot qui appartient à la tête
de la partie orbitaire de la troisième frontale (F). Cette dernière
forme
en effet (voy. Face inférieure du cerveau, fig.
mpe (II), en arrière du lobule lingual (Lg). Le lobule lingual (Lg)
forme
la pointe occipitale et se continue à la face e
u caudé (NC), qui fait saillie dans la corne frontale dont elle
forme
en grande partie la paroi externe. Le noyau c
ent antérieur de la capsule interne (Cia). Le système de projection
forme
la paroi externe de la corne frontale du ventri-
section trans- yersale du forceps an- léoieur (Foa), affecte la
forme
d'une raquette, dont la queue se con- fond au
aît sur la coupe n° 55 (fig. 243). La partie supérieure du cingulum
forme
dans toute la série des coupes vertico- transve
Néanmoins, l'ensemble des fibres d'association moyennes et courtes
forme
sur les coupes de cerveaux durcis par les bichr
ace inférieure du lobe temporal est constituée par le lobule f'usi-
forme
(Fus) et la troisième circonvolution temporale (T
ment (NL,) apparaît seul ici, sont intimement unis et présentent la
forme
d'un fer à cheval, dont la partie moyenne, située
ibre, de la tête du noyau caudé fait saillie dans le ventricule, et
forme
à elle seule la paroi externe du ventricule lat
et 71, fig. 244, 247-248). . Le ventricule latéral (VI) affecte une
forme
triangulaire à sommet inférieur. Sa paroi exter
MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 449 calleux (Cc). Le noyau caudé (NC) ne
forme
plus que la partie supérieure de sa paroi inter
n effet dans sa partie antérieure, au niveau du large coude qu'elle
forme
avant de pénétrer dans le lobe temporal. Elle e
frontale ascendante. - Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusi-
forme
. H, circonvolution de l'hippocampe. 1, insula. -L
fond est occupé par l'in- sula (I). L'opercule rolandique (OpR) en
forme
la lèvre supérieure, tandis que la lèvre inféri
re de la circonvolution du crochet (U). Cette dernière circonvolution
forme
la paroi inférieure du ventricule sphénoïdal (V
ique. 462 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. sur la fig. 249 sous la
forme
d'une lentille biconvexe, dirigée obliquement en
) et l'apparition de la deuxième circonvolution pariétale (P2), qui
forme
la lèvre supérieure de la scissure de Sylvius (
n pariétale inférieure (P.,) à la première circonvolution temporale
forme
la limite posté- rieure de la scissure sylvienn
) l'intéressent dans son segment rétro-lenticulaire (Cirl), elle ne
forme
plus ici une couche nettement distincte, mais dis
sphénoïdale. 472 2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. temporale (T3)
forme
le bord inféro-interne de l'hémisphère. A la face
TRES NERVEUX. : ' (fig. 258 et 259), cette circonvolution change de
forme
. La coupe intéresse en effet ici la partie post
259) intéressent sa partie postérieure; le pilier ptostérieur (Tgp)
forme
sur ces coupes la couche de substance blaiielie
- tricule latéral (VI) n'a pas varié. Sa face interne et inférieure
forme
la voûte du carrefour ventriculaire; sa face su
cule et changent de direction; elles se présentent en effet sous la
forme
de libres blanches, nacrées, sectionnées parall
ion temporale (TJ, l'interne au lobule fusiforme (Fus). Ce faisceau
forme
la couche sagittale externe du lobe occipital;
ution- temporale (T 3)' La troisième circonvolution temporale (T.,)
forme
le bord inférieur de l'hémisphère, elle s'étend
fig. 263, 264), le précunéus diminué sur.- les coupes suivantes, et
forme
sur. la coupe 137 (fig. 266) un îlot cortical,
mi- sphère. A la face externe de l'hémisphère, le Jmicllnéus (PrC),
forme
la circonvolution pariétale supérieure (P,). En
- 0.;) et le lobule lingual (Lg). Le cunéus (C) se présente sous la
forme
d'une languette triangulaire, limitée par deux
oit et profond sur les coupes nos 116 et 122 (fig. 263,26) où il ne
forme
la face interne qu'une mince languette qui corres
l. Situé au-dessous du cuxréus (C), en de- dans du lobule fusi-
forme
(Fus), limité en haut par la scis- sure calca
de); l'extrémité inférieure s'insinue dansle lobule lingual et
forme
un di- verticule assez pro- fond, le divertic
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. nzajor(Cc, Fm). Leur section affecte la
forme
d'un grosfaiscrauarrondi, présentant un aspect
de la première ci ? - convolution limbique (L¡). Son écorce grise
forme
dans cette région le gyrus rectus (oFj [Gr]),
rébral (P); la partie postéro-supérieure, beaucoup plus considérable,
forme
les tubercules quadrijumeaux (Qa, Qp) et la rég
e. Ces coupes sagittales montrent très nettement, l'angle droit que
forme
l'axe du cerveau intermédiaire avec celui du cerv
ce grise situés en a et en , et la masse blanche du lobe frontal ne
forme
, avec celle des circonvolutions rolandiques (Fa,
s, s'irradient seules sur celte coupe ; elles se présentent sous la
forme
d'un faisceau blanc, nacré, res- plendissant, i
s temporales (T3' T 2) et avec la circonvolution du crochet (U) qui
forme
la lèvre inférieure de la vallée de Sylvius (VS
de la face supérieure de la cipculIL'ulution de l'hippocampe (H) el
forme
la lèvre inférieure des parties latérales de la
r du trigone (Tgp). La corne sphénoïdale (Vsph) se présente sous la
forme
d'une mince fente verticale, aplatie d'avant en a
e optique (II) est ici très obliquement sectionnée, elle affecte la
forme
d'un triangle isocèle, extrêmement allongé, com
a coupe suivante n° 21 (ûg. 273), on se rend très bien compte de la
forme
en éventail assignée à la capsule interne. Le som
se reporte aux coupes horizontales, et que l'on songe au genou que
forme
la capsule interne, on comprend que les anciens a
llie dans l'étage inférieur du ventricule latéral; son écorce grise
forme
un îlot complètement séparé du reste de l'écorce
dale (Vsph), et l'étage inférieur du ventricule latéral affecte une
forme
très allongée et aplatie. Sa limite supérieure
le pied de la couronne rayonnante (pCR). La couronne rayonnante ne
forme
plus une couche aussi régu- lière que sur les c
râce à la courbe qu'il décrit (Voy. coupe n° 27, fig. 274), sous la
forme
d'une lamelle grise, étroite et curviligne, situé
portion orbitaire de la troisième circonvolution frontale (oF,) qui
forme
la lèvre antérieure de la scissure de Sylvius (S)
,). La face supérieure de la première circonvolution temporale (T,)
forme
la lèvre inférieure de la scissure de Sylvius (S)
ond de la scissure de Sylvius (S), sa surface de section affecte la
forme
d'un triangle, dont le sommet correspond à la val
nvolution tem- porale profonde de Heschl (Tp). Cette circonvolution
forme
il elle seule la région rétro-insulaire de Broc
de la corne sphénoïdale (Vsph), qui apparaît sur la figure, sous la
forme
d'une dépression irrégulière, recouverte par de
la face supérieure de la première circonvolution temporale (T,), qui
forme
l'oper- cule temporal (OpT,) et par la circonvo
ent se grouper les faisceaux importants de celte coupe, affecte une
forme
irrégulière ; elle est située plus près de la f
ectionnées parallèlement il leur axe : c'est le cingulum (Cing) qui
forme
la masse blanche de la première circonvolution
(tec). Au-dessus du genou du corps calleux, le cingulum affecte la
forme
d'un faisceau triangulaire ou pyriforme, dont le
l'hérnatoxyline. Au- dessous du genou du corps calleux, le cingulum
forme
un faisceau beaucoup plus petit (Cing'), dont l
ou partie commune au noyau caudé et au putamen. Le noyau caudé (NC)
forme
toute la paroi externe du ventricule latéral (V
inféro-interne par un large pont de substance grise et affectent la
forme
d'un U oblique en haut et en dehors. Le noyau
EUX. Les fibres du corps calleux (Ce) se portent en dehors, sous la
forme
de gros fascicules qui s'entre-croisent sous de
se présente au niveau de la partie externe du pu- lumen (NL3), sous
forme
d'une lame étroite et brisée qui se dédouble au n
Ces libres sillonnent la plus grande partie du globus pallidus sous
forme
d'un feutrage très dense. Au niveau du sommet d
ssent de nouveau au niveau de l'angle antérieur du septum,- sous la
forme
d'un faisceau assez compact connu sous le nom de
se trouve la section oblique de la commissure antérieure (coa) qui
forme
un petit faisceau ovalaire, entouré de nombreux o
nterne se divise en trois parties : la partie interne et supérieure
forme
le stmtllm zonale de la couche optique (strz); la
orme le stmtllm zonale de la couche optique (strz); la partie moyenne
forme
un faisceau allongé et effilé qui atteint presq
u amygdalien. (NA) fait saillie dans la corne sphénoïdale (Vsph) et
forme
la lèvre supérieure du diverlicule du subiculum.
fascicules ondulés, dont un très grand nombre se porte en dedans el
forme
, après COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 5t3
lotte du pédoncule cérébral. Il se présente sur cette coupe sous la
forme
d'un noyau arrondi, très irrégulier, étranglé sa
roi externe de la corne sphénoïdale, où elles se présentent sous la
forme
d'une couche de fibres forte- ment colorées, fo
du thalamus, un cerlain nombre se recourbe en dehors et en bas, et
forme
au-dessus de la lame cornée et des fibres du ta'n
n dehors; elle appartient atipilieposléîieiti dit trigone cérébral,
forme
à elle seule la paroi interne du carre- four ve
de la circonvolution godronnée (Cg); celle-ci s'épaissit ce niveau,
forme
la fasciola cinerea (Fc), puisse continue avec
la section transversale du cingulum (Cing) qui affecte toujours sa
forme
triangulaire caractéristique. Les fibres courtes
paroi interne est refoulée par le fond de la scissure calcarine qui
forme
l'ergot de Morand. La corne occipitale est entour
RES NERVEUX. et du forceps major du corps calleux (Fm) ; ce dernier
forme
, au niveau de l'angle supérieur de la corne occ
ur traverse le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne, puis
forme
les fibres les plus inférieures du segment post
, cette couche de fibres en U existe cependant à ce niveau, où elle
forme
le stratum calcarinum (voy. [strK], coupe suivant
re du p1'écunéus. La corne occipitale (Voc) présente ici encore une
forme
triangulaire et se trouve entourée par ses troi
igone entoure la partie supérieure de la corne d'Azmon (CA) dont il
forme
l'alvéus, puis il se continue avec la fimbria d
pCR) à direction verticale, et qui se présentent sur cette coupe sous
forme
de faisceaux de fibres coupés en travers. Entre
ct; prises dans leur ensemble, elles se présentent toujours sous la
forme
d'un faisceau large il sa partie moyenne, effil
le tronc (Ce) ou les radiations du corps calleux (RCc). Le tronc (Ce)
forme
la paroi interne du ventricule latéral (VI), et
le l[('nia tecta (tec). La couche de fibres non différenciées qui
forme
le centre ovale (CO) et qui constitue tout le t
iculairement à leur longueur, qui se présentent par conséquent sous
forme
d'un fin pointillé, et qui se groupent en fasci
au genou du corps calleux, \a partie postérieure au tronc (Ce) qui
forme
la voûte du ventricule latéral (VI). Le corps cal
s (Ne). Sur cette coupe, la du noyau caudé (NC) n'a guère changé de
forme
et de volume; elle est toujours coiffée au nive
mensions que sa partie antérieure. On se rend facilement compte de la
forme
de la partie postérieure de ce noyau antérieur,
ès grand nombre de faisceaux, sectionnés per- pendiculairement ; il
forme
la plus grande partie de la couche optique et reç
u externe du thalamus (Ne). Les fibres internes chemi- nent sous la
forme
d'un gros faisceau, jusqu'à la partie antérieure
z abondantes dans le tien posté- rieur, où elles se présentent sous
forme
d'un gros fascicule il direction oblique, qui l
te sur cette coupe comme sur toutes celles qui vont suivre, sous la
forme
d'une couche étroite, limitée en avant par la que
mboîte le corps genouillé externe qui se loge dans sa concavité; sa
forme
a été comparée par Wernicke à celle d'une corne d
microscopiques (voy. tin.387), le champ de Wernicke (W) affecte une
forme
irrégulièrement triangulaire à base inférieure;
aire à base inférieure; sur les coupes horizontales, il présente la
forme
d'une gouttière verticale ouverte en dedans, do
r (Pul). Le stratum zonale (strz) qui recouvre sa face libre ne lui
forme
pas une couche continue, et les libres qui le con
nt coupées perpendiculairement à leur axe, et se présentent sous la
forme
d'un pointillé ; au niveau de l'extrémité posté
trémité antérieure du thalamus, pénètre dans la couche optique sous
forme
d'un pinceau, dont les fibres embrassent la parti
aire et sur la couche optique. Le pulamen (NL.,) a peu changé comme
forme
, il s'est un peu rétréci, et n'envoie pas il la
ornée (le) la surface de section du tzenia semi-circularis, sous la
forme
d'un petit faisceau ovalaire; recouvert par la su
série de coupes un aspect caractéristique ; il se présente sous la
forme
d'un gros fais- ceau de libres, sectionnées trè
chesse en fibres. Le centre médian de Luys se présente donc sous la
forme
d'un noyau plus ou moins irrégulièrement arrondi,
i, enclavé profondément dans le thalamus. Il se présente sous cette
forme
, quelle que soit la direction des coupes (horiz
ittale ou vel'lico-tml1svl ! I'sale), et affecte par conséquent une
forme
sphérique. Il occupe les parties inférieures de l
: i fascicules de libres, dont la section transversale affecte une
forme
semi-lunaire à concavité postérieure (Voy. fig.
postérieur est composé de libres vues en section transversale, sous
forme
de faisceaux ou de fascicules, séparés les uns de
rieure (coa), sont situés dans la masse grise sous- épendymaire qui
forme
de chaque côté de la ligne médiane le seplum luci
u niveau du pédoncule cérébral. Le segment postérieur de la capsule
forme
en effet, il lui tout seul, l'étage inférieur du
se loge un amas de substance grise très nettement limité, ayant la
forme
d'une lentille biconvexe légèrement aplatie, et
vies jusque dans le noyau rouge (Voy. t. II). Le ruban de Reil (Rm)
forme
sur cette coupe n° 11 (fig. 310) un faisceau ir
ion sous-thalamique inférieure et dans la région pédonculaire , une
forme
curviligne, semi-lunaire et caractéristique. La
sceau réiroflexe de Meynert (FM), facile à reconnaître, grâce il sa
forme
et au gros diamètre de ses fibres. En avant du ru
visible ici où elle limite la bandelette optique (II) en dehors et
forme
la voûte de la partie antérieure du prolongemen
11u ! diall(BrQp +Rm). Le ruban de Reilzndiazz(Rm) présente déjà la
forme
semi-lunaire qui lui est propre dans tout son tra
divise en deux parties : la partie ventrale, se porte en dehors et
forme
dans la concavité du ruban delleil médian(Hm)nn
ent du faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui apparaît sous la
forme
d'un faisceau triangulaire constitué par de gros
rieur (Fli), c'est-à-dire jusqu'au niveau du coude, que ce faisceau
forme
à la base de la première circonvolution temporale
t représenté que par la couche de fibres qui double sa base, et qui
forme
l'anse du noyau lenticulaire (Al). Quelques- un
çoit le ruban de Reil médian (Rm) vu en section transversale, et de
forme
semi-lunaire. 11 se confond en avant et en deda
ère circonvolution limbique et la bandelette dia- oi7ale(bd), où il
forme
une petite saillie grise, le colliculus du noyau
tubercule mamillaire externe ou latéral (Tml), il apparaît sous la
forme
d'une petite masse grise, oblongue, qui s'insinue
que la coupe passe par le ganglion, de l'habénula (Gh). Ce dernier
forme
, un petit triangle de substance grise situé ent
e, formé de fibres parallèles, se recourbe en avant et en dedans et
forme
de chaque côté du ventri- cule un petit faiscea
érieur (Flp), qui fait sur cette coupe sa première apparition, sous
forme
d'un petit faisceau triangulaire dont le sommet
); elles se réunissent en un gros fascicule qui se porte en dehors,
forme
le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa
zone de Wernicke (W), considérablement accru de volume, et dont la
forme
correspond assez exactement il celle d'une corn
térieure du putamen (NL3). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli)
forme
la limite externe du segment rétro-lenticulaire
nage de l'extrémité effilée du faisceau longitudinal postérieur. Il
forme
le groupe ventral du noyau latéral de la troisièm
ceau longitudinal posté- rieur (Flp), dans la petite excavation que
forme
ce faisceau au niveau de la subs- tance grise d
rté du tubercule quadrijumeau anlénir.ur (Qa) et dans l'angle qu'il
forme
avec ce dernier, apparaît le corps genouillé in
rne (Cgi) et le noyau rouye (NR), le ruban de Reil présente déjà la
forme
en corne d'abondance ou en croissant, caractéri
i) est apparent il la surface extérieure du pédoncule cérébral, où il
forme
un petit noyau ovalaire de substance grise, ent
Qp), adossées au ruban de Iteil médian (Rm). Le pulvinar (Pul) ne
forme
plus qu'une petite masse grise peu considé- rab
rieur (Fli), se fusionne en avant avec le noyau amygdalien (NA) qui
forme
la paroi inférieure et extérieure du prolongeme
) et passent au-dessous du }Jutamel/ (\L.,). Le pulvinar (Pul) ne
forme
plus qu'un tout petit segment de substance grise,
bres du laenia semi-cir- cularis. Le corps genouillé. interne (Cgi)
forme
une petite masse oblongue, très réduite de volu
le; sa capsule est très réduite en dehors, tandis qu'en dedans elle
forme
un gros faisceau de fibres très serrées, sectio
dian (Rm) affectent dans les régions pédon- culaires inférieures la
forme
d'un large croissant qui se porte de plus en plus
dans, le pied Au pédoncule cérébral est limité par un faisceau arci
forme
(Tpo), composé de fibres horizontales qui s'inf
c le centre ovale, c'est la substance blanche ou médullaire dont la
forme
déter- mine celle de la circonvolution correspo
s exactement sur la substance blanche, l'entoure de toutes parts et
forme
l'écorce cérébrale. ° L'écorce cérébrale, mesur
s régulièrement stratifiées dans lesquelles les cellules varient en
forme
et en nombre; ce sont : 1" La couche granuleuse o
tte strie présente dans le lobe occipital une grande épaisseur et y
forme
une véritable couche, la troisième couche de ll
évroglie et de vaisseaux. Les cellules nerveuses présen- tent des
formes
très variées : elles sont en général pyramidale
surnuméraires. - C et D, cellules pluripôlaires plus petites et de
forme
presque arrondie. - a cylindres-aaes. - b, leurs
'associa- tion, soit avec une fibro de projection. Elles ont la
forme
d'un cône ou d'une pyramide, dont le sommet est
ir. Le noyau de la cellule est volumineux, arrondi, parfois même de
forme
conique ou triangulaire, et contient un nucléol
e ascendante de la dendrite. La réunion de toutes ces ramifications
forme
un réticulum très serré. Pour Golgi et Martinot
al. La cellule pyra- midale chez lcs Ver- téhrés. Variétés de
forme
des petites cellules pyramidales. cérébrale
uées immédiatement au-dessous de la zone moléculaire ne sont pas de
forme
véritablement pyramidale, mais plutôt polygonal
verruqueuses du cylindre-axe, jusqu'à celui où elles se montrent sous
forme
de rameaux dichotomisés et terminés par des ext
artinotti, les cellules à cylindre-axe ascendant. Les premières, de
forme
polygonale, envoient dans tous les sens leurs d
les fibres revêtues de leur gaine de myéline se présentent sous la
forme
d'une traînée blanche, étendue de la capsule in
l3olando. Ces cellules pyramidales géantes présentent rarement une
forme
nettement pyramidale (Obersteiner), et sont le
le (Obersteiner), et sont le plus souvent groupées entre elles sous
forme
de nids de deux à cinq cellules. Pour Bevann Lewi
he des petites et des grandes cellules pyramidales, des cellules de
forme
pyramidale ou irrégulière, dont la dendrite princ
inotti. La couche des cellules polymorphes renferme des cellules de
forme
et de dimension variables. A côté de cellules p
sinage de la substance blanche, un certain nombre de cellules fusi-
formes
, particulièrement nombreuses et serrées au voisin
. 693 1° La couche moléculaire; 2° La couche des cellules fusi-
formes
verticales; 3° La couche des fibres médul- la
léculaire, on trouve trois ou quatre rangées de petites cellules de
forme
ovoïde (fig. 346, d), allongées dans le sens vert
va se rami- fier dans la zone moléculaire, l'autre descendante qui
forme
une arbori- sation horizontale de trois ou quat
fig. 346). Immédiatement au-dessous de la couche des cellules fusi-
formes
verticales, se trouve le ruban de Vicq d'Azyr ou
la couche précédente (fig. 346, h), cellules triangulaires ou fusi-
formes
plus épaisses, caractérisées par la présence d'un
étendue (fig. 346, i). Avant d'aborder la couché des cellules fusi-
formes
, ce cylindre-axe fournit toujours quelques collat
riations dans la structure de l'é- corce du rhinencé- phalon.
Formes
atypiques. écorce de ! : ), pure- mière circo
férences ne portent que sur le nombre des couches ainsi que sur la
forme
et le volume des éléments qu'elles contiennent,
es modifications importantes du type normal. Ces modifications, ces
formes
atypiques, peuvent être la con- séquence soit d
m griseum du corps calleux; ce voile gris se renlle en dedans, sous
forme
d'une bande longitudinale, de 0,3 à z1 milli- m
circonvolution de l'hippocampe, qui fait suite au lobule fusiforme et
forme
la lèvre interne de la scissure collatérale, pr
(Cajal). La 2° couche ou couche des petites cellules pyramidales ne
forme
pas une couche régulière; elle s'emboîte en eff
vertico-transversale, la corne d'Ammon et le subiculum affectent la
forme
d'un S italique. La courbe inférieure de 1\S' cor
STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 705 1 dément modifiée, plissée en
forme
débourse dont l'ouverture ou hile regarde en ha
onnée, de telle sorte ; que l'écorce de la circonvolution godronnée
forme
la paroi de la bourse et 1 que l'écorce de la c
oïdale du ventricule latéral. ' . dales, le nombre et la variété de
forme
de ses cellules du type II de Golgi, sa richess
ant la corne d'Ammon, l'épaisse couche de fibres tangentielles, qui
forme
la lame médullaire superficielle du subiculum, se
tratum radiatum (fig. 352, R). Le stratum radiatum se présente sous
forme
d'une bande limitée en haut par le stratum lacuno
l'alvéus, et sont remar- quables parleurs grandes dimensions, leur
forme
étoilée, la direction radiée de leurs dendrites
médullaire moyenne (Cajal), stratum medullare médium (Obersteiner),
forme
le stratum lacuno- szcoz, relie entre eux les p
de l'hippocampe, ce galon se pose à plat sur l'écorce du crochet et
forme
la bandelette de Giacomini. Du sillon de l'hi
e de la corne d'Ammon, caractérisée surtout par l'irrégu- larité de
forme
de ses cellules pyramidales géantes. Nous avons v
cellules pyramidales géantes de la corne d'Ammon et s'y trans-
forme
en fibre mous- sue. convolution godronnée, lu
lle ou zone des cellules pyramidales, la zone moyenne ou plexi-
forme
et la zone profonde ou zone des cellules fusi-
ou plexi- forme et la zone profonde ou zone des cellules fusi-
formes
; ces deux derniè- res sont plus nettement dél
he des cellules polymorphes. Ce sont des cellules étoilées ou fusi-
formes
, dont les dendrites affectent en général une dire
llules névrogliques : des cellules araignées et des cellules fIlS/-
formes
. Les cellules araignées ou étoilées, bien décri
a région rolandique. Mais la structure intime du bulbe olfactif, la
forme
de ses élé- ments cellulaires, la constitution
t très rapprochés de la surface cérébrale, les autres affectent une
forme
ovoïde ou arrondie et occupent les couches prof
trouvent de préférence dans les îlots super- ficiels, elles sont de
forme
étoilée, plus petites que les petites cellules py
enferme un grand nombre de cellules volumineuses et irrégulières de
forme
, qui se comportent comme les cellules pyramidales
uche précédente, se continue profondément avec les faisceaux plexi-
formes
du corps strié. Ses fibres, qui sont la continuat
gentielles, on rencontre une couche mince de cellules nerveuses, de
forme
pyramidale et dont le prolongement principal es
misphères, malgré les entre-croisements multiples de ses fibres, ne
forme
pas un feu- trage inextricable, sauf toutefois
res. Que les fibres calleuses et de projection, alTectent toutes la
forme
de rayons (grand soleil de Reil), qui convergen
ssociation du rhinencéphalon. 750 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Forme
et trajet du cingulum. sous le nom de fornix
de la première circonvolution limbidue (L,). Il se présente sous la
forme
d'un faisceau arqué, qui contourne le bec, le gen
la racine olfactive externe, et cet auteur comparait le système du
Forme
du cingu- lum sur une coupe vertico-transvers
ur les. coupes vertico-transversales (fig. 281 à 283) il affecte la
forme
d'un faisceau irrégulicr, compris entre la capsul
f. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - fa(ip), fibres arci-
formes
du sillon inter-parital. - fa(pri), libres arcifo
bichromate ou dans l'alcool, le faisceau arqué ne se présente sous
forme
de faisceau [compact, que dans la région pariét
gions occipitale et pariéto-tempo- Le faisceau u'lJu présente une
forme
tl'iallg'ulail'c SUI' 1( ? coupes ycrtico-tl'
espond dans l'hémisphère nor- mal ce faisceau occipito-frontal, qui
forme
au niveau du carrefour ventri- culaire le tapet
rigine de ce fais ceau en avant. Le faisceau occi- pito-frontal
forme
le tapotum et s'irradie dans la face externe
Ces faits, que nous avons observés chez l'homme, sont du reste con-
formes
à ce que nous enseigne la pathologie expérimental
e sphéno-occipital et étendu du pôle occipital au pôle temporal. Il
forme
la couche externe des fibres sagittales du lobe
i- tal au lobe frontal. Faisceau longitu- dinal inférieur. Sa
forme
dans le* lobe temporal. 166 ANATOMIE DES CENT
e recouvrent (fig. 383 et 389). Pris dans son ensemble, ce faisceau
forme
, ainsi que Burdachl'amontru, une sorte de goutt
2]). Le faisceau longitudinal inférieur ne présente toutefois cette
forme
particulière que dans le lobe temporal; dans le
à faisceau longitudinal inférieur affecte dans le lobe occipital la
forme
d'un WkM anneau plus ou moins irrégulier et ang
ulier et anguleux (fig. 384 et 290), et dans le . lobe temporal, la
forme
d'une gouttière fortement coudée (fig. 383. Le .
nclusivement, soit le cunéus, le lobule lingual, ou le lobule fusi-
forme
, - et étudiés par la méthode des coupes microscop
l'ergot de Morand, la sépare du faisceau longitudinal inférieur et
forme
à elle seule la masse blanche des plis cunéo-li
le nom de raclia- tions calleuses (RCc); leur faisceau compact, qui
forme
la voûte des ven- tricules latéraux, constitue
ceau d'association occipito-frontal de Forel et Onufrowicz (OF), qui
forme
le tapetum du lobe sphénoïdal (fig. 381, p. 760
par les piliers antérieurs du trigone (Tga) (fig. 201 à 203). Elle
forme
avec ces derniers un espace triangulaire, la vulv
G BERTOLO'I Tl elle frappe avant tout par ses dimensions et par sa
forme
qui présente tous les caractères de l'acromégal
lat. Le gros orteil est très gros et carré. L'extrémité des orteils
forme
une ligne oblique très pro- noncée de façon que
aucune particula- rité, digne de remarque. L'examen de toutes les
formes
de sensibilité superficielle et profonde ne mon
le fond clair correspondant à la portion écailleuse du temporal. La
forme
et les dimensions de la selle turcique sont très
ont une disposition presque circulaire à convexité supé- rieure qui
forme
un tracé pointillé au-dessus de la selle turciqne
une altération de la struc- ture des phalangettes qui prennent une
forme
de petits plumeaux. Or, il suffit de regarder c
blions pas que parmi ces deux types principaux, on peut trouver des
formes
intermédiaires chez lesquelles les caractères p
décrit par M. Brissaud (infan- tilisme dysthyroïdien), soit sous la
forme
complète, soit sous la forme fruste. - M. Bau
- tilisme dysthyroïdien), soit sous la forme complète, soit sous la
forme
fruste. - M. Bauer pense donc comme 1\1. Bris
, aussi bien l'un que l'autre présentait le tableau classique de la
forme
clinique de Lorain ; forme clinique que je contin
re présentait le tableau classique de la forme clinique de Lorain ;
forme
clinique que je continuerai à appeler « Infanti
est atteinte d'un syndrome cérébral qui semble déterminé « par une
forme
d'hydro- céphalie idiopathique ou de méningite
cliniques ne sauraient être confondus si, au lieu de considérer les
formes
. mal caractérisées, on tient surtout compte des
nsidérer les formes. mal caractérisées, on tient surtout compte des
formes
typiques. Dans ses discussions, M. E. Levi para
ns ce sens, on com- prend bien qu'on peut avoir diverses espèces et
formes
de dystrophies. Les plus communes et les plus a
ive ou la dystrophie musculaire progressive, manifestée par tant de
formes
ou types cliniques. Entre toutes les formes de
manifestée par tant de formes ou types cliniques. Entre toutes les
formes
de dystrophie musculaire mises en évidence jusq
ute leur développement spécial : mais si on les distin- guait comme
formes
on les confondait comme origine. Winckler (18î1)
if chez les rachiliques foetaux et pour cela il avait dénommé cette
forme
rachitis micromelica. Mais c'est Parrot qui en
ca. Mais c'est Parrot qui en 1876 sépare nettement du rachitisme la
forme
foetale, la considé- rant comme une maladie spé
re dans le champ si inextricable des dystrophies osseuses. Ces deux
formes
, l'achondroplasie et le rachitisme, sont au moins
nanisme, le gigantisme, le crétinisme, etc., où l'on rencontre des
formes
qui ne se touchent le plus souvent que par un car
eul ca l'actère super- 1 ficiel décidait le classement dans une des
formes
citées. Ainsi parmi les i nains il y en avaitde
l. VII). L'achondroplasie peut être tenue jusqu'à présent comme une
forme
de maladie très rare. Il est vrai que depuis le
mées, leur longueur est de (i cen- timètres. La voûte palatine a la
forme
normale, Les dents ne représentent riend'arnoma
ro- ximal-micromélie rhizomélique de Pierre Marie. Les mains ont la
forme
typique pour l'achondroplasie, décrite par le m
ue d'ordinaire (Pierre Marie), ce qui crée un certain trouble de la
forme
de la région de l'articulation du genou. L'aulre
ès développés (Porak et Durante), existe aussi dans notre cas. La
forme
du thorax ne présente pas de troubles appréciable
cicatrice, sur le sternum, on palpe une induration de la peau sous
forme
d'une tumeur de la grandeur d'une prune. Des peti
is 5 ans à l'augmentation de son corps thyroïde ; finalement il s'y
forme
une tumeur. Depuis deux ans, une autre tumeur s
cervical, la moelle épinière comprimée d'avant en arrière a pris la
forme
d'un mince ruban, plus large à son bout gauche, p
interne elle y est mieux conservée. La substance grise conserve la
forme
caractéristique d'un H, mais elle est très clairs
ement assez étrange, et le trajet des différents faisceaux prend la
forme
en zig-zag. Les racines postérieures sont dégén
leur rapport mutuel, tandis qu'extérieurement la moelle a changé sa
forme
: elle est comprimée latéralement, et sa moitié
ers sclérosés on trouve des îlots des fibres normales qui vont sous
forme
d'étroites languettes vers le centre. On constate
le carcinome de la colonne vertébrale chez les femmes qui ont eu la
forme
spéciale (squirrhe) du carcinome, la néoformali
également a remarqué que le cancer de la colonne naît à la suite de
formes
dures du cancer du sein. Le temps, qui sépare l
leurs siègent dans la colonne vertébrale et se propagent de là sous
forme
des névralgies intercostales ou sciatiques. La
Il y a parfois des symptômes du côté des racines antérieures, sous
forme
de contractions spastiques, paralysies et atrop
s le tableau décrit ci-dessus nous avons donné la description d'une
forme
de néoformation : « cancer de la colonne vertébra
ructure anatomique de la. moelle frappée par la tumeur maligne. Une
forme
de tumeur bénigne, l'ostéome de la colonne vertéb
le cas d'Oppenheim et Krause). Le tableau clinique dans d'autres
formes
de tumeurs (échinocoque, angiome, endothéliome)
. La ressemblance est telle qu'il y a des auteurs qui décrivent une
forme
spéciale de sarcome vertébral sous le nom de ma
arcomateux (Haymond -Alq uier, cas de Poufain, Pfeiffer). C'est une
forme
bien rare, puisque Raymond et Alquier n'eu ont
ons suivantes pour distinguer la tumeur delà carie. Premièrement la
forme
de la saillie vertébrale (dans le cas de carie
matiquement à la réaction de Pirquet et de Calmette pour déceler la
forme
discrète de spondylite tuberculeuse. La réactio
piller). Dans un cas d'angiome sortant de l'os, la moelle a pris la
forme
d'un mince ruban (Gerhardt). , Nous avons déj
observé en Perse, en Asie centrale, en Indo-Chine et à Canton, où les
formes
tuberculeuses à prédominance culnée étaient au
le signe du cubital a une valeur capi- tale dans le diagnostic des
formes
nerveuses de la lèpre, le nerf, radial peut êtr
près complètement aveugle, elle n'est plus capable de distinguer la
forme
des objets. Si on lui place sous le nez un obje
et traînait ses pieds en marchant. 110 13ERTOLOTTt Bientôt cette
forme
de steppage alla en empirant et la marche devint
bien évidents. D'un côté des symptômes cérébraux qui rappellent les
formes
de la diplégie familiale, c'est-à-dire l'idioti
ue qui sont absolument identiques à ceux que l'on rencontre dans la
forme
amyotrophique spino-neurotique de Charcot-Marie.
importance et qui,bien qu'à l'étal d'ébauche, se retrouvent dans la
forme
Charcot-Marie. (1) ITIGIEIt, Deutche Zeitschrif
chapitre des maladies familiales amyotrophiqueset notamment dans la
forme
Charcot-Marie. - Avant de passer à cet ordre de
t analogue à celle d'IIigier et de même peut être classée parmi les
formes
de passage, c'est-à-dire à califourchon entre les
plan ; ils ont une importance de premier ordre et ils rappellent la
forme
de Charcot-Marie avec une analogie clinique tel
es cliniques qui existent entremes observations personnelles et les
formes
plus nettes d'amyotrophie Charcot-Marie. L'am
amyotrophie Charcot-Marie. L'amyotrophie Charcot-Marie, qui est une
forme
éminemment familiale et héréditaire (Lorens), d
ation topographique de l'atro- phie est classique : il s'agit d'une
forme
d'amyotrophie en manchette à l'avant-bras et en
ubles vasomoteurs très caractéristiques que l'on rencontre dans les
formes
d'amyotrophie Charcot-Marie à évolution déjà av
sale du pied. Et bien, tous les caractères les plus saillants de la
forme
Charcot-Marie sont très évidents chez nos trois
ore plus ; voyons en effet si parmi les symptômes aty- piques de la
forme
Charcot-Marie et les symptômes additionnels pré-
re que cette étude de rapprochement des symptô- mes atypiques de la
forme
Charcot-Marie est dans le cas actuel du plus ha
ui ont été con- sidérés jusqu'à présent comme exceptionnels dans la
forme
Charcot-Marie, peuvent être résumés de la façon
us avons énumérés dans la catégorie des altérations atypiques de la
forme
Charcot-Marie, nous les retrouvons dans mes obs
cessaire d'aborder l'élude analytique des symptômes atypiques de la
forme
Charcot-Marie pour deux raisons : avant tout pour
ait lieu de mettre un peu plus en évidence certains symptômes de la
forme
Charcot-Marie considérés à tort jusqu'ici d'une i
n des observateurs sur l'atro- phie primitive de la papille dans la
forme
familiale Charcot-Marie a été Vizioli qui, en 1
le constater, l'atrophie primitive de la pupille constitue dans la
forme
Charcot-Marie un (1) Vision, Dell'alrofia musco
a plupart des auteurs les al- térations oculaires communes aux deux
formes
ont été considérées comme un argument en faveur
plus courante, les altérations oculaires que l'on retrouve dans la
forme
Charcot-Marie ont un caractère nettement défini e
tude des autres symptômes atypiques que l'on peut retrouver dans la
forme
Charcot-Marie. En ce qui concerne les troubles
bérantiels quel'onpeutobser- ver d'une façon exceptionnelle dans la
forme
spino-névritique de Charcot- Marie, il faut rap
1) et de Marinesco (2), qui sont là pour démontrer comment dans les
formes
plus avancées de celte maladie l'atrophie muscu
piques de la réflectivité profonde que l'on peut rencontrer dans la
forme
Charcot-Marie, la plupart des auteurs sont d'ac
embres inférieurs, bien que rare, n'est pas exceptionnelle dans les
formes
Charcot-Marie. Ce qui est plus important encore à
ration des sensibilités subjectives. On a écrit souvent que dans la
forme
spino-névritique de Charcot-Ma- rie, l'atrophie
ai encore que Hoffmann (1) avait constaté l'atrophie des os dans la
forme
amyotrophique Charcot-Marie et que MM. Ballet et
itiques parfaite- ment identiques à ceux que l'on rencontre dans la
forme
classique de Charcot-Marie et enfin nous avons
res. Il s'agit ! ad'un symptôme qui n'a jamais été constaté dans la
forme
Charqot-Marie, même dans les cas les plus atypi
t très bien Strûmpell (1), les maladies familiales représentent une
forme
spéciale des maladies héréditaires des systè- m
éclose dans ce milieu consanguin présente tous les caractères d'une
forme
d'altération héré- ditaire étendue à plusieurs
et état des choses pouvoir ranger cette maladie fa- miliale dans la
forme
Charcot-Marie qui représente, selon moi, une mala
ante. Considérons en effet que, dans la grande majorité des cas, la
forme
Charcot-Marie peut rester à l'état fruste et êt
rift sur Nervenheilkunde, III, B. VI, Ileftl893. 134 BERTOLOTTI
forme
Charcot-Marie chez laquelle la dégénération nerve
faire de celle maladie familiale un échantillon type d'une nouvelle
forme
dégénérative du système nerveux, serait commettre
r mes observations dans un cadre morbide qui rappelle absolument la
forme
familiale de l'atrophie spino- névritique Charc
liens bien étroits d'affinité pathologique. Dans les différentes
formes
familiales, on doit distinguer avant tout l'ext
ion nerveuse. La conclusion logique qui en découle, c'est que toute
forme
dégénérative familiale, héréditaire ou non, s'e
es syndromes plus ou moins étendus selon les cas, et que à côté des
formes
plus systématisées el plus connues, il en existe
po-phalaugienne paraît normale. Comme autre déformation, on note la
forme
en boudin de l'annulaire droit, son extrémité éta
localisés et aussi prononcés que ceux présentés par notre sujet. La
forme
des accidents rappelait celle de la sclérodermi
s dor- saux.Dans le IVe segment dorsal le foyer de lésion avait une
forme
triangulaire à base orientée vers la périphérie
r la masse néoplasique qui passe par ici dans le canal rachidien sous
forme
d'un tissu mou, blanchâtre. La masse adhère à l
s petites, sous forme de fines granulations avec un grand nombre de
formes
intermédiaires. Au milieu du foyer, vaisseaux d
e ler et le 11, segment lombaire) les foyers changent de nouveau de
forme
et de localisation (fig. 9). On n'y voit plus de
gauche. Dans le droit se voit un grand foyer nettement limité sous
forme
d'un oeuf ; dans les cordons postérieurs,des fo
e, le gonflement des cellules, quelquefois même la cellule prend la
forme
de poire avec le noyau excentrique et un petit no
e de la moelle. Il nous semblait qu'il s'agissait dans ce cas d'une
forme
de myélite aiguë ou subaiguë. L'autopsie démo
térieurs, non loin du sillon longitudinal postérieur et un foyer en
forme
allongée allant de la périphérie vers le cordon
dans les segments cervicaux de la moelle. Elles ont eu sou- vent la
forme
de poires, présentèrent la cliromatolyse et dans
étaient bien conservés, les cellules en moins grand nombre mais de
forme
ordinaire, sans déplacement excentrique des noy
le tableau anatomo-pathologique. Les fibres nerveuses ont changé de
forme
(le plus souvent sont devenues fines) et de con
urs d'une compression mé- dullaire, des lésions peuvent naître sous
forme
d'élargissement des espaces lymphatiques (périv
une combinaison de tu- meurs extra et intravertébrales. Mais comme
forme
typique de ces tumeurs nous considérerons la tu
'examen microscopique a démontré un ancien foyer inflammatoire sous
forme
d'une raie dans la moelle cervicale, des petite
t postérieurs (quelquefois dans les antérieurs). Us affec- tent une
forme
en coin, ou en bandelette et correspondant à la d
ou dans leur voisinage une lésion profonde de la substance grise sous
forme
d'une hémorragie (Bregman -8 tei n ha us) ou mê
e. Le clinicien parfois est fort perplexe à l'autopsie de certaines
formes
de psychoses. Le malade présentait des symptôme
choses fonctionnelles ! Où classer les épilepsies ? car depuis les
formes
frustes jusqu'aux formes graves, progressives e
Où classer les épilepsies ? car depuis les formes frustes jusqu'aux
formes
graves, progressives et avec démence terminale,
blir anatomiquement la distinction qui existe entre les différentes
formes
de psychoses connues. Aucune de ces altératio
est à tel point que bien des auteurs ne veulent voir dans certaines
formes
que des syndromes et non des maladies bien dé-
le ; son action sur les muscles est purement réflexe et présente la
forme
la .plus classique du réflexe; là est son rôle
ns présente le phénomène de dermographisme sous ses deux aspects ou
formes
: rouge et hlanc. Nicolsky en opposant ces deux
x aspects ou formes : rouge et hlanc. Nicolsky en opposant ces deux
formes
trouve qu'elles sont le ré- sultat de deux acti
en présence d'un sujet qui présente le dermographisme sous ces deux
formes
et chez lequel on peut faire apparaître à volon
0 ROUDNEW Encore plus de difficulté présente le cas dans lequel une
forme
de der- mographisme fait place à l'autre où nou
tibles. Il lui aurait été facile de présenter ses idées sous une
forme
plus aisé- ment acceptable. « On trouve,sans
. Or, si parfois on peut voir apparaître des variations brusques de
forme
ou d'ornement (muta-' tions de de Vries),les va
he le réflexe rotulien et alors prend ordinairement le rythme et la
forme
de la trépidation épi- leploïde, Il se générali
faiblir pendant la dernière période de la maladie ». A propos de la
forme
anesthésique de la lèpre, Hardy et Labarraque,
les caractères de ces deux infirmes pourtant bien rapprochés par la
forme
et par le siège de leur infirmité, lescolioli-
èrement, se portent actuellement bien et ne souffrirent ja- mais de
formes
morbides particulières. Il n'a pas été possible
n occipitale. Visage. La mâchoire inférieure est bien développée et
forme
un angle aigu et fort proéminent. La.\supérieur
eur à l'ordinaire et dans les années suivantes il resta toujours de
forme
petite et de constitution assez grêle. La tête n'
ré de rotation). Il est difficile de bien évaluer les rap- ports de
forme
et de position des diverses parties qui constitue
mités distales des métacarpes sont très élar- gies et présentent la
forme
d'une feuille à plusieurs lobes. A l'articulation
s, courtes et grossières et elles présen- tent même spontanément la
forme
eu trident, décrite par M. P. Marie. Aucune ano
Le système musculaire est très développé et aux régions fessières il
forme
des proéminences très accentuées. Cette accentu
pi- tale du radius). Le radius dans son ensemble, vu de front, a la
forme
d'une S. Le sommet de la grande convexité de la
araison de leur longueur. Dans l'ensemble les os de la main ont une
forme
moins grossière que dans l'autre cas (Auguste C.)
les condyles, surtout l'in- terne. Il en résulte par conséquent une
forme
extrêmement baroque. Les cicatri- ces épiphysai
ieure de cet os est remarquablement déformée. La rotule apparaît de
forme
et de structure normales. Rien d'autre qui méri
ointe descend un peu plus bas que de coutume. - Le calcanéum est de
forme
massive. Les trabécules osseuses qui courent le
omme une interruption. Pied. (En position antéro-postérieure). La
forme
générale des os est lourde et grossière. L'extr
plasie. Nous savons en effet que les caractères principaux de cette
forme
morbide, qui a été si bien décrite pour la premiè
t manquer sont les anomalies relatives à la longueur des doigts, la
forme
en trident de la main, l'ensellure lombaire, l'
e rac- courcissement est dû surtout aux doigts. Elles présentent la
forme
en trident décrite par M. P. Marie, et chez le
-être a-t-il suggéré à M. Kaufmann sa classification bien connue en
formes
hyperplastique et hypoplastique (outre la forme
ion bien connue en formes hyperplastique et hypoplastique (outre la
forme
malacique), qu'il a décrites à propos de l'achond
eloppement très fort du tissu adipeux et cellulaire sous-cutané, la
forme
aplatie du nez et la basse stature ; mais quelque
stature ; mais quelques données suffisent à exclure cette dernière
forme
morbide. En premier lieu nous avons dit que la
aire. De plus l'examen radiographique repousse absolument une telle
forme
. Plus facile serait la confusion avec le rachit
aire le diagnostic d'achondroplasie chez un enfant qui présente des
formes
semblables, seulement à cause de ce qu'elles exis
s. Dans nos cas il n'y a rien qui puisse faire soupçonner une telle
forme
morbide. Dans le nanisme rachitique la tête est
bide. Dans le nanisme rachitique la tête est grosse, mais pas de la
forme
que nous avons décrite ; le tronc est très défo
nement si l'on peut hésiter entre l'achondroplasie et quelque autre
forme
morbide, c'est avec le rachitisme. Aussi avec c
- graphique. Môme dans l'achondroplasie, il existe certainement des
formes
incomplètes, bâtardes, et l'on a déjà décrit de
inement des formes incomplètes, bâtardes, et l'on a déjà décrit des
formes
mixtes intermédiaires au rachitisme, au myxoedè
ckstein 268 GIUSEPPE FRANCHINI ET MAURO ZANASI rapporte un cas de
forme
particulière d'achondroplasie qui selon nous pr
nt morts, l'un à 17 ans et l'autre à 27 ans, et ils avaient la même
forme
morbide. Si d'un côté le fait congénital, la form
avaient la même forme morbide. Si d'un côté le fait congénital, la
forme
familiale, la grosseur du corps de cette enfant
rémi- tés inférieures sont des données qui parlent aussi contre une
forme
parti- culière d'achondroplasie. Ce n'est pas
roître en épaisseur. Encore plus obscure est la pathogénie de cette
forme
morbide ; ce qu'on a pu bien établir, c'est qu'
lasie ait une tendance à se transmettre héréditai- rement, il ne se
forme
pas une race d'achondroplasiques, de même qu'il
l ne se forme pas une race d'achondroplasiques, de même qu'il ne se
forme
pas une race de tuberculeux ou une race de syphil
ent sup- porter impunément des fatigues et que sur eux les diverses
formes
mor- bides ont peu de prise. Dans ce fait impor
-il ici aussi faire des subdivisions en se basant à la fois sur les
formes
extérieures et sur l'examen histologique. Il po
is de l'examen de nos cas il faut reconnaître que l'existence d'une
forme
atavique a reçu une forte sanction. Il faut en
du front où elle surplombe les os de la face. Le visage affecte une
forme
à peu près rectangulaire, mais si on consi- dèr
arcades sourcilières ne sont pas saillantes, mais elles affectent une
forme
curieuse : on pourrait dire qu'elles sont en «
t en « sesto acuto », tellement l'ar- cade osseuse est élevée et de
forme
angulaire dans sa partie moyenne. Les fosses te
considérablement le menton de la femme en conférant à sa figure la
forme
rectangulaire déjà mentionnée. L'épaisseur du cor
de et manifestement ogivale. Le pavillon de l'oreille est mince, de
forme
et de consistance normales. Mesures du crâne et
pieds et les mains non seulement ne présentent aucune altération de
forme
ou de grandeur, mais, tant les premiers que les
LISATION CEPHALIQUE 283 le pagétisme représente essentiellement une
forme
tardive ou ultratardive de syphilis héréditaire
is après l'infection, le patient mourut. L'autopsie fit relever une
forme
vasculaire de syphilis cérébrale avec un ramoll
les injections, la céphalée, les douleurs ostéocopes, l'éruption en
forme
de roupie réapparurent, bien que le patient conti
ackson qui se manifestèrent dans la moitié gauche du corps, sous la
forme
de paresthésies, commençant au pied et à la main.
i la syphilis du cerveau. Les moments étioiogiques, qui. dans celle
forme
particulière de syphi- lis cérébrale, ont été i
, examinant minutieusement de nombreux cas de-syphilis cérébrale de
formes
diverses (artérite, méningite, méningo-encépha
de formes diverses (artérite, méningite, méningo-encépha 1 i le, et
formes
combinées) n'a pu trouver aucune tare héré- dit
bable qu'elle n'ait exercé son influence sur le développement de la
forme
; mais pour les motifs que je viens d'exposer,
èrede la syphilis cérébrale. L'importance de cette hérédité sur les
formes
multiples de maladies fonc- tionnelles et organ
ue de tous. 302 COSTANT1NI Pour ce qui regarde l'âge auquel cette
forme
se développe, de l'examen des cas que j'ai recu
tion, entre 33 et 58 ans; comme Pick, qui attribue la gravité de la
forme
qu'il a observée chez son malade, à l'âge mûr a
on trouve, dans l'anamnésie, des cas ayant les caractères de cette
forme
, c'est-à-dire à l'abus de l'alcool ; puisque âg
tres auteurs (Althaus, Neumann, Mingazzini, etc.), savoir : que les
formes
syphilitiques précoces malignes, particulièrement
supposer que cela ne soit d'aucune valeur aussi dans cette dernière
forme
. Sur la question de savoir si une cure spécifiq
ur, l'affection céré- brale apparaît plus ou moins vite et sous une
forme
parfois grave. En rapport avec la cure spécifiq
deurs uniques aient pu à eux seuls provoquer le développement d'une
forme
si maligne. L'on devrait peut-être, dans ce cas
omes (la substance blanche sort à tra- vers la pie-mère déchirée et
forme
des sortes de champignons à la périphérie de la
ons postérieurs. Ces foyers vont de la périphérie vers le centre sous
forme
de raies allongées, de coins, de segments ou so
là aussi il n'y a pas de cellules nerveuses. On les décèle sous la
forme
d'ombres de cellules que l'on reconnaît grâce aux
la région correspondant à la tumeur, la substance grise reprend sa
forme
caractéristique. Dans les segments dorsaux supé
tèbres dorsales inférieures. on voit une proéminence de la peau qui
forme
un pli assez gros dirigé avec ses deux bouts en
-dessous du bout inférieur de la suture opératoire. La tumeur a une
forme
ovale à grand axe, parallèle à la moelle.Son di
que l'antérieure qui recouvre la face antérieure de la tumeur sous
forme
d'une languette étroite. Les cordons postérieurs
anche dans les cordons postérieurs. Les foyers clairs affectent la-
forme
irrégulière ou fasciculaire. Ces lésions sont plu
antéro-latéraux aussi bien que les postérieurs. Elles affectent la
forme
de grands foyers de ramollissement d'aspect alvéo
inière à l'endroit où la tumeur la comprimait. La moelle y avait la
forme
d'un ruban ; la configuration interne de la sub
ent à reprendre leur configuration normale et la moelle épinière sa
forme
habituelle. En descendant, on pouvait consta- t
frontal 13 mm. 5, dans le plan sagittal 15 mm. 5. Elleaflectait la
forme
ronde-ovale, sa consistance était dure la surfa
amollie. Au niveau de la VIIe racine cervicale, la moelle a pris la
forme
d'un ruban. Au niveau des Y- et VI' racines cer
ent cervical (la ligne 5, fig. 18), la sub,tance grise reprendre sa
forme
normale. La moitié droite de la moelle au premi
e surtout notre attention, il est dévié en dehors à tel point qu'il
forme
avec le bord interne du pied un angle presque dro
travers le milieu de la tumeur. La moelle épinière se présente sous
forme
d'un mince ruban, elle était évidement comprimé
ce ni- veau sont 0 cent.l : 0. 3 cent. La tumeur se présente sous
forme
d'une masse grise rosâtre, qui, dans le voisina
localisation de la tumeur, on constate que son pôle supérieur sous
forme
d'une languette atteint le niveau où la IXe racin
rnière ne sont pas encore considérables (fig. 23). Elle adhère sous
forme
d'un corps allongé fusiforme à la moitié pos- t
, la tumeur diminue de volume et la moelle en même temps reprend sa
forme
habituelle. On voit le pôle supérieur de la tumeu
oyers on en cons- tataitd'autres dans le cordon latéral gauche sous
forme
des coins allant de la périphérie vers la profo
Dans les régions correspondantes à la tumeur,la moelle conservait sa
forme
et la configuration de la substance blanche et
côté des foyers anciens alvéolaires on en remarquait déplus frais en
forme
de coins constitués par les cellules granuleuse
comme les différentes couches de la dure-mère se sépa- rent et sous
forme
d'un exsudat pénètrent dans'le tissu néoplasique
. Cette infiltration pénétrait dans la profondeur de la moelle sous
forme
des prolongements en coin effilés. A côté de ce
veau des gommes assez grandes, la moelle conservait sur la coupe sa
forme
ronde et sa configuration normale. Au niveau du
au niveau de la partie la plus supérieure de la circonvolution. La
forme
des cellules est variable, cependant on peut re
osté- rieure de la cuisse gauche, partant de la région interne sous
forme
d'une bande fortement pigmentée pour s'étaler e
é comme sur la photographie (fig. 3,P1. XLl), le naevus présente la
forme
générale d'un triangle, limité en bas par une l
ons variant de celles d'une lentille à une pièce de 50 centimes, de
forme
arrondie; s'étendant d'arrière en avant et de hau
orme arrondie; s'étendant d'arrière en avant et de haut en bas sous
forme
d'une zone (ri-.10) ayant en moyenne la largeur a
LII. est constitué par deux par- ties symétriques, s'élargissant en
forme
d'ailes de papillon de chaque côté, les deux ai
lérose en plaques, ou d'un syndrome syringomyélique, ou enfin d'une
forme
polynévritique. En effet, à faire exclure la pr
rtèbres ne l'ait relever rien de caractéristique pour une semblable
forme
morbide et le résultat de l'examen neurologique
iographie est de grand secours. Nous savons toutefois que, dans ces
formes
morbides, dans lesquelles les courbures anormal
otre cas des conclusions spéciales relativement à l'époque où cette
forme
spéciale d'arthropathie se développe habituelle
ns son étude sur r le nanisme rachitique (1). « Le quatrième orteil
forme
une saillie sur la face dorsale du pied (des de
achis. La colonne dorsale inférieure et lombaire est normale ; elle
forme
une courbe à convexité antérieure et n'a pas de d
général est celui d'une infantile ou plutôt d'une gracile. La colonne
forme
une ensellure lombaire assez prononcée et se dé
inimum et à peine plus étroite que la base ; la tête est élargie et
forme
avec le corps un angle à sinus radiale. La surfac
s exostoses multiples, « généralement sy- métriques et analogues de
forme
», les pieds et les mains, dit le catalogue n'o
cordons antéro-latéraux. Les cordons postérieurs se présentent sous
forme
d'une masse grise, molle, se trouvant en rapport
A part cela toute la moitié gau- che de la moelle se présente sous
forme
d'une masse brunâtre molle que l'on trouve auss
gauche et les droites : .antérieure et postérieure (elle affecte la
forme
de II). La coupe microscopique à travers le seg
l'immersion la coupe présente de nombreux pigments de diffé- rentes
formes
. Ce sont par places des masses rondes brunâtres,
ment de la moelle. Pourtant le syndrome de Brown-Séquard dans sa
forme
pure est relativement rare. Beaucoup plus souvent
on reconnut d'une part que la sclérose en plaques peut affecter une
forme
tout à fait atypique et de l'autre que la tumeu
le plus souvent. Nous savons que la tuberculose peut présenter des
formes
atypiques d'inflammation des mé- (1) Ce cas fut
a1'r24at2GS. Une autre solution de continuité à bords nets, mais de
forme
irrégulière, se trouve dans le centre ovale cor
c. Deutsche Zeitsch. f. Nervenheil., Bd. 35. (3) Banti, 1 fasia sue
forme
. Lo sperimentale, 1886. (4) KUSS,)IAUL, Die SWr
corps calleux, que Muratoff appelle le faisceau sous-calleux et qui
forme
cette partie du tapétum située au-dessus et en
ar conséquent, une voie d'association fronto-occipitale directe. Il
forme
avec le tapétum un système d'association indivisi
ourrelet cortical ci-dessus décrit et se continue plus loin sous la
forme
d'une mince couche de fibres qui engaine plus ou
mince, recouvre la paroi interne de la corne temporo-occipitale et
forme
le tapëtulllll1édian, l'autre, beaucoup plus fo
MICROSOMIE ESSENTIELLE 11ÉRËDO-FAMILIALE. ' DISTINCTION DE CETTE
forme
CLINIQUE d'avec LES nanismes, ' LES infantilism
ETTE forme CLINIQUE d'avec LES nanismes, ' LES infantilismes ET LES
formes
mixtes DE CES différentes dystrophies. Par
mbre de cli- niciens de tous pays, qui en ont différencié plusieurs
formes
cliniques ayant probablement aussi une pathogén
nanismes, beau- coup moins étudiée, moins homogène et dont quelques
formes
échap- pent encore à toute identification clini
ÊRÉDO-FAM1LIALE 523 sujet nous trouvons la distinction de plusieurs
formes
de nanisme ; M. Sainton, par exemple, en admet
tent les carac- téristiques cliniques de l'infantilisme ; toutesces
formes
n'ontdonc aucun droit à être comprises dans une
quelle Brissaud a donné le nom d'infantiles du type Lorain. Ici les
formes
plastiques ne sont pas celles de l'enfance qui
èrement ici, c'est-à-dire, à la microsomie pure,qui correspond à la
forme
de pygméisme admise par Sainton. Tous les nai
r âge réel. Eh bien ! ces individus de très petite taille, mais aux
formes
nette- mentviriles ou féminines (à l'âge, adult
r les idées courantes à propos de la classification des différentes
formes
de dystrophies par défaut de déve- loppement, n
que cas d'arrêt de développement t somatique,cependant que ces deux
formes
cliniques doivent étrenettement séparées par le
sme et nous appellerons d'autre part, microsomies essentielles, les
formes
pures et simples de réduction de la taille. L
s, et sont normaux par l'époque de leur développement. Dans cette
forme
on ne constate en somme aucune déformation impor-
somme aucune déformation impor- tante en dehors de la petitesse uni
forme
du corps : les caractères sexuels et le psychis
ues par des exemples probants de l'existence de la plus rare de ces
formes
, la mi- crosomie pure. Von Hansemann voudrait
tons aussi ce qu'il dit à propos de l'association possible de cette
forme
de microsomie avec un ou plusieurs symptômes d'in
peu près. Naturellement nous n'en considérons pas moins pour cette
forme
comme étant d'origine congénitale, mais nous reco
nanisme n'a rien à faire avec l'infantilisme ; dans cette dernière
forme
on a généralement une micro- somie, déterminée
port avec l'in- fantilisme vrai. Quanta la microsomie, il sépare la
forme
essentielle, pure et simple, de la microsomie c
mière importance. M. Viola d'ailleurs considère le nanisme comme la
forme
la plus lé- gitime d'infantilisme : lout ce que
, s'exprime à ce sujet de la façon suivante : « En dehors des' deux
formes
de microsomie, essentielle et infantile, il exi
ormes de microsomie, essentielle et infantile, il existe encore une
forme
de microsomie qui n'est ni essentielle ni in- f
mblables à ceux qui'sonl propres à la mentalité infantile. Dans ces
formes
, en dehors des symptômes relatifs au psychisme et
urs non uniformes et irrégulières) s'observent dans les plus graves
formes
centrales destructives, telles que les poren- c
le. » M. Sainton et 1l.Launois admettent aussi l'existence de cette
forme
de 530 / ETTORE LEVI nanisme d'origine cérébr
nier l'existence d'une microsomie d'origine cé- rébrale, mais cette
forme
est, à notre avis, toujours facilement recon- n
clinique de l'idiotie, soit à celui de l'épilepsie pure. Dans ces
formes
de microsomie d'origine cérébrale, soit inflammat
, tous de très petite taille, dont plusieurs cependant étaient dif-
formes
. - Cardano dit avoir vu en 1551 un homme adulte
- rait être étroitement lié à la microcéphalie ; enfin il admet une
forme
de nanisme simple auquel appartiennent tous les
tre avis, qu'une étude clinique pro- fonde et systématique de cette
forme
de microsomie n'a pas encore été faite. Nous
t été défendue. Cependant cette collection unique de nains de toute
forme
éveilla nécessairement l'attention de tous ceux
es fondées sur un examen nécessairement superficiel des différentes
formes
de nanisme représentées dans la collection du J
eu plus explicite sur ce point si important; après avoir décrit les
formes
bien connues de nanisme, il ajoute : « en outre
e sujets ayant un développement minime avec har- monie complète des
formes
. Ce type serait réalisé par la.naine chantée pa
qu'un louis d'or. (Abrégé des Merveilles des Cieux) Des nains de
formes
aussi harmonieuses ont été figurés par Velasquez
plets ou partiels, par quelques nains rachitiques. En dehors de ces
formes
bien classées, nous avons été frappés comme uZ.
remarquerau lecteur que les documents cliniques sur cette dernière
forme
font complètement dé- faut, et c'est pour cela
esse extrême, qui est actuellement vivant, en excellente santé et qui
forme
l'objet de notre seconde observation. Deux an
ité. - Rien subjectivement. L'examen objectif montre que toutes les
formes
de sensibilité, superficielles et profondes, sont
sopbiies : 0. Lymphocytes : 22 0/0. Grands mononucléaires : 21 0/0.
Formes
de passage : 3 0/0. Examen radio graphique (PI.
ement. Tout est normal à l'examen objectif ; la sensibilité à toute
forme
de stimulation est partaite et prompte. Exame
c, et des différents segments des membres entre eux. L'harmonie des
formes
est dans ce cas plus évidente, car dans le prem
ilité. Rien subjectivement. L'examen objectif montre que toutes les
formes
de sensibilité superficielle et profonde sont nor
ophiles 1 0/0 ; lymphocytes 21 0/0 ; grands mononucléaires 15 0/0 ;
forme
de passage 3 0/0. Examen électrique. - Résultat
le réflexe photo-moteur ait disparu. ' (1) Dupuy-DUTE.)IPS, Sur une
forme
spéciale d'atrophie de l'iris au cours du labes e
sseuses d'apparition contemporaine. , D'une manière générale, cette
forme
acquise a un caractère moins « ré- gulier » que
ale, cette forme acquise a un caractère moins « ré- gulier » que la
forme
congénitale ; mais entre l'une et l'autre affecti
évié. La marche n'est en rien gênée. L'axe des segments phalangiens
forme
souvent avec l'axe normal un angle plus ou moin
accourci du quart ou du tiers de sa longueur nor- male. Il garde sa
forme
générale. La diaphyse est brève, souvent légère-
cente du corps semblent norma- les. La tête peut être elle aussi de
forme
à peu près normale (obs. p. I) mais, de règle,
ositions. La PREMIÈRE phalange du rayon raccourci a généralement sa
forme
et son volume habituels,sa longueur peut être s
cromélie, brachymélie ou, oligochondroplasie, une telle harmonie de
formes
, une modification si « finie » du type humain b
ne apparence ; il n'en est pas moins vrai, et bien qu'il existe des
formes
intermédiaires, qu'hypochondroplasie congénitale
e, en raccourcissant, tend à les égaliser, soit qu'ils gardent leur
forme
générale, soit que la dia- physe soit trapue et
essus morbide. Nous ignorons les lésions de métacarpiens dans cette
forme
particulière d'achondroplasie où le noyau osseu
eut créer non seulement des exostoses congénitales, mais encore une
forme
d'ostéite très prononcée (et symétrique) consista
pertrophie des épiphyses et en raréfaction du tissu osseux... Cette
forme
d'ostéite non inflammatoire... est confondue clin
s garderons bien de conclure que la brachymélie métapodiale est une
forme
fruste, atténuée, partielle d'une dystrophie gé
brachymélies seg- mentaires le plus souvent symétriques. Une des
formes
les plus typiques, la brachymélie humérale, a été
chymélie métapodiale, symétrique, congénitale, serait peut-être une
forme
atténuée, dissociée, de cette dystrophie cartil
compression peut- être. La brachymélie métapodiate serait alors la
forme
partielle, atténuée, monosymptomatique d'une dy
e doigt, sans modification de son axe, ni de sa direction, ni de sa
forme
, au moins dans la majorité des cas ...« Le méta
avec le doigt rentrant reste indemne (3) ». « Le doigt normal comme
forme
et (1) Péan, Th. de doctorat, Paris, 1860. ,
oluer ainsi d'une façon insidieuse vers la guérison. On connaît les
formes
atténuées de V ostéomyélite infantile : elle « re
n, carie sèche que l'on considère en général actuellement comme une
forme
spéciale de tuberculose. Le bacille de Koch peu
veloppement insidieux; elle n'est pas sans analogies avec diverses
formes
du « rachitisme tardif ». 2° La brachymélie M
aussi qu'après l'opération survient une aggravation passagère sous
forme
d'une paralysie flasque complète et d'affaiblisse
arition eut lieu à une époque bien déterminée de sa vie, et dont la
forme
, les carac- tères et la durée permettent à l'al
ement du cerveau malade, s'efforce d'expli- quer l'apparition et la
forme
des accidents mélancoliques, par les causes ban
entriculaire est légèrement symphysée et la sclérose se prolonge sous
forme
d'une traînée assez épaisse qui se dirige vers
les contours sont, comme nous l'avons dit, nettement tranchées sous
forme
d'une ligne irrégu- lière. Lésions épendynàir
us forme de petites saillies ou s'enfonçant vers la profondeur sous
forme
de pseudo-glandes. La réaction névroglique sous-j
re bouleverse naturellement toute l'ordonnance des couches. Il se
forme
des foyers d'infiltration, très riches en leucocy
s parois du vaisseau ; et d'autre part des gommes typiques. Cette
forme
d'aortite se complique rarement de lésions régres
que cel- les dont je viens de donner la description à propos de la
forme
floride. Mais comme il n'y a pas longtemps que
à ren- contrer des altérations dans l'aorte, ce sera bien plutôt la
forme
cicatri- cielle évoluée que l'on observe dans c
rganisation cicatricielle. C'est cependant un cas intermédiaire aux
formes
florides et cicatricielles. On constate çà et l
. Dans l'hémisphère droit ces lésions épendy- maires affectaient la
forme
de plaques soit linéaires, soit noueuses, légè-
g. 1) est constituée par un amas d'îlots de substance grise dont la
forme
est régulièrement sphérique Fc. 1. 634 ARCHAM
ssez considérable. La corne frontale (PI. LXXIII-B) affecte donc la
forme
d'une cavité étroite à direction oblique qui sé
deur de la circonvolution limbique augmente rapidement de vo- lume,
forme
une saillie globuleuse qui empiète progressivemen
érivés du plexus du troisième ventricule. La toile choroïdienne qui
forme
la voûte de ce ventricule a donc été en grande
le ventricule latéral redevient perméable dans sa totalité, mais ne
forme
toutefois qu'une cavité étroite transversalemen
'ensemble des fibres situées en dedans et au-dessus du ven- tricule
forme
un champ irrégulièrement rectangulaire qui se lai
irconvolution limbique où elles se dessinent très nettement sous la
forme
d'une bande verticale régulièrement striée. N
a corne temporo-occipitale présente deux saillies considérables, de
forme
arrondie et dont l'aspect général se rapproche
or- AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX '647 ragique assez considérable, de
forme
ovalaire et de date relativement récente, détru
lexe. En arrière de la lame terminale, le pilier antérieur du trigone
forme
un fascicule nettement isolé au milieu de la su
écorce médiane du lobe frontal. Ce sillon semble se prolonger sous la
forme
d'un septum mal défini qui pénètre dans l'épais
rieur du trigone ayant été évidemment comprimé, se présente sous la
forme
d'un croissant qui recouvre le tuhercule antérieu
de la toile choroïdienne est encore visible et se prolonge sous la
forme
de plexus choroïdiens dans la corne frontale et
Morand. Le faisceau sagittal médian (Ballcenlangsbündel de Probst)
forme
à ce niveau la plus interne des couches sagittale
deur de la circonvolution limbique où il se dessine nettement sous la
forme
d'une zone radiée.Le progrès de cette substitut
n à travers l'épaisseur du faisceau sagittal, le trigone affecte la
forme
d'une lyre (6g. 5) bien détachée en raison de s
le de la circonvo- lution limbique. Le cingulum se présente sous la
forme
d'un fascicule gracile, bien défini sur toute s
région interne de l'hémisphère, et, s'unissant au tapétum latéral,
forme
avec ce dernier un système de fibres indivisible
us de la lame terminale. L'épaississement qui en résulte affecle la
forme
d'un triangle dont la pointe, dirigée en avant, d
CROSOMIE ESSENTIELLE 11ÉRÉDO-FAMILIA LE. 4 DISTINCTION DE CETTE
forme
CLINIQUE d'avec LES nanismes, LES INFANTILISMES
CETTE forme CLINIQUE d'avec LES nanismes, LES INFANTILISMES ET LES
FORMES
mixtes DE CES différentes dystrophies. (Suite
nt quelques traits caracté- ristiques qui sont communs à toutes les
formes
pures de nanisme en général (les myxoedémateux
onc,en toute sûreté, éliminer pour nos sujets le diagnos- tic d'une
forme
soit totale, soit partielle ou fruste de nanisme
x. Le sujet de la première observation, tout en étant en général de
formes
très harmonieuses, évoque tout de même à premiè
nférieures. Afin d'établir les caractères cliniques propres à cette
forme
de microso- mie essentielle. nous nous borneron
s générations. En ce qui concerce le caractère héréditaire de cette
forme
de nanisme, nous ferons remarquer que dans les
taille moyenne mais à tout point de vue absolument normale. Celle
forme
de microsomie semble donc, selon notre expérience
i nous semblent pouvoir ai- der à l'identification clinique decette
forme
de nanisme. Chez les deux, en effet, le nez a u
logiques) qui nous permettent d'attribuer nos deux sujets à la môme
forme
de microsomie, nous pouvons conclure- que, à quel
r le diagnostic différentiel, non seule- ment entre les différentes
formes
de nanisme, mais surtout entre la mi- crosomie
gique, rien qui rappelle les caractères radiographiques propres aux
formes
de nanisme achondroplasique, rachi- tique ou po
nt tout symptôme de déficit relatif à ces organes ; on a décrit une
forme
d'infantilisme d'origine surrénale, mais jamais
ns reconnaître qu'en faveur de l'origine dysthyroï- dienne de cette
forme
de nanisme total, on pourrait invoquer un argu-
, soient suffisants aussi pour donner lieu à la détermination de la
forme
de microsomie pure que nos avons décrite. Nous
llement que la dysthyroïdie puisse être la cause déterminante de la
forme
de nanisme total dont nous avons traité dans ce
t eu des enfants dont la légitimité était prouvée par l'identité de
forme
de la microsomie qu'ils présentaient. Nous croy
pter, car il nous semble que l'existence indépendante de toutes ces
formes
secondaires n'est pas en- core suffisamment pro
it que nous ne les con- sidérions pas comme les représentants d'une
forme
pure de nanisme,mais comme des sujets chez lesq
infériorité sexuelle et psychique. Nous en dirons autant des autres
formes
de nanisme aux- quelles AI.Launois fait allusio
infantilisme de Lorain en discutant les idées de Schüller sur cette
forme
d'infantilisme que cet auteur voudrait appeler
exprimé de la façon suivante : « L'hy- pothèse que ces différentes
formes
cliniques soient toutes dépendantes d'une lésio
existaitpas. Nous n'admettons pas, en somme, qu'on puisse parler de
formes
pures soit de nanisme, soit de microsomie là où
isme mitral ; selon nous cette dé- nomination n'est pas exacte. Les
formes
de dystrophies générales d'ori- gine mitrale qu
ce mot. Les soi-disant nains mitraux ne sont, à notre avis, qu'une
forme
de cet infantilisme anangioplasique dont le dét
oires sur ce sujet nous croyons avoir suffisamment prouvé que cette
forme
a droit de cité enpatfologie etque ses représenta
e lieu surtout à l'infantilisme du type Lorain età la gracililé des
formes
. Je ne vous parlerai pas non plus du, nanisme lIl
au type achon- droplasique, soit surtout qu'ils appartiennent à la
forme
de microsomie que nous venons de décrire. Que
isme il appartient. Nous pouvons nous borner à discuter deux seules
formes
: l'infan- tilisme de Brissaud et l'infantilism
ilisme de Lorain ? - Non plus ! car notre petit sujet n'a pas les
formes
délicates et élancées du type Lorain, ni les fo
jet n'a pas les formes délicates et élancées du type Lorain, ni les
formes
anguleuses, ni les extrémités inférieures longu
e sujet ne rentre exactement ni dans l'une ni dans l'autre des deux
formes
les plus connues d'infantilisme ; en comparant
tant plus prononcée qu'il s'agirait d'un spécimen très net de cette
forme
; non seulement cette faiblesse psychiquen'existe
nt de ces symptômes ne nous permet point de l'attribuera aucune des
formes
680 ETTORE LKVI ` connues d'infantilisme, car
combinés tel que nous avons dit s'en trouver très souvent, car les
formes
combinées de microsomie et d'infantilisme sont, s
la sexualité des nains vrais et de l'héréditarité directe de cette
forme
. Sera-t-elle, dans l'avenir, une microsomienne
osomie essentielle, qui peut être héréditaire et familiale, est une
forme
caractérisée par un seul symptôme essentiel : la
vent se compliquer d'infantilisme, donnant lieu, de la sorte, à des
formes
mixtes et impures qui empruntent leurs caractèr
qui empruntent leurs caractères donzinants à l'une ou à Vautre des
formes
fondamentales. BIBLIOGRAPHIE Bauer. Infantili
emment normal, possède un noyau osseux supplémentaire. Ce noyau, de
forme
générale ovale et transparent comme une épiphys
ertations sur les nageoires des raies et les pattes des cétacés. La
forme
ancestrale de la main et du pied des mammifères n
otation autour de leur axe (fig. 10, 9) ; il existe encore d'autres
formes
de déformations, mais qui se rencontrent plus r
des vertèbres lombaires diminuées de nombre, avec lesquelles il ne
forme
aucune espèce de pro- montoir; ! ) se trouve en
rale, dans l'extrémité supérieure du tibia. Cette excavation, et la
forme
erronée des malléoles, démontrent une connaissanc
e la microsomie essentielle hérédo- familiale. Distinction de celte
forme
clinique d'avec les nanismes, les - et les fo
inction de celte forme clinique d'avec les nanismes, les - et les
formes
mixtes de ces différentes dystro- pliies) (7 pl
liale (Contribution à la connaissance de la . Distmction de celte
forme
clinique d'avec les nanismes, les infantilismes
elte forme clinique d'avec les nanismes, les infantilismes et les
formes
mixtes de ces différentes dystro- phies) (7 pl.
la microsomie essentielle hérédo-fa- miliale. Distinction de celle
forme
cli- nique d'avec les - les infantilismes et
n de celle forme cli- nique d'avec les - les infantilismes et les
formes
mixtes de ces différentes dys- trophies) (7 pl.
la microsomie essentielle héredo-familiale. Distinction de cette
forme
clinique d'avec les nanismes, les infantilismes
vérité mais cependant très nets chez le malade. D'autre part, la
forme
de sa paraplégie est bien typique : c'est celle
dans 80 0/0 des cas de syphilis médullaire, c'est dirions- nous la
forme
commune. A la vérité elle est surtout l'apanage d
é elle est surtout l'apanage des sujets plus vieux en syphilis, les
formes
flasques, douloureuses mais presque tou- jours
que tou- jours curables se montrant surtout précoces. Nous disons
formes
curables ; celle en effet que présente le malade
ait d'une autre nature. Elle appartient celle myélite syphilitique,
forme
commune dont l'anatomie pathologique est presque
un grand nom- bre de ces malades, carnous le répétons, c'est là la
forme
commune des my- élopathies syphilitiques et sou
lombaire n'en est pas moins incontestable. C'est associées à cette
forme
commune de la paraplégie spamodique qu'on obser
ue l'évolution de ces cas se rapproche beaucoup plus de celle de la
forme
commune de la myélite syphilitique que nous ven
au lieu d'être spasmodique. Il s'agit, comme nous le verrons, d'une
forme
de myélite syphilitique dont l'évolution est tout
anique des muscles sans réaction de dégénéres- cence ; néanmoins la
forme
de la contraction se rapproche de celle qu'on obs
s flasques d'origine syphilitique qui revêtent le plus sou- vent la
forme
de paraplégies ont des allures cliniques beaucoup
araplégies ont des allures cliniques beaucoup plus va- riées que la
forme
commune de la myélite spasmodique dont nous avons
es différents types de myopathie, et qui n'en font en somme que des
formes
diverses d'une seule et même affec- tion (1). Q
es distincts de myopathie : la paralysie pseudo-hypertrophique ; la
forme
juvénile de l'atrophie mus- culaire de Erb ; l'
M. Déjérine fondait définitivement l'anatomie pathologique de celle
forme
d'amyotrophie, connue communément aujour- d'hui
démontrer que ces trois espèces d'amyotrophies n'é- taient que des
formes
diverses d'une seule et même affection : la myopa
myopathie progressive primitive ; paralysie pseudo-hyperlrophique,
forme
juvénile de Br6, atrophie infantile héréditaire d
E 9 identité de nature de la paralysie pseudo-hypertrophiqueet delà
forme
de Erb, établie par Erb lui-même dans ses impor
i-même dans ses importants travaux; d'autre part également entre la
forme
de Erb et la forme facio-scapulo-humérale de La
ortants travaux; d'autre part également entre la forme de Erb et la
forme
facio-scapulo-humérale de Landouzy-Déjérine, id
son évolution, lorsque la face est prise en dernier lieu, un cas de
forme
facio-scapulo-humérale peut rester longtemps un
'autre les deux types extrêmes : paralysie pseudo-hypertrophique et
forme
de Lan- douzy-Déjérine. Mais la démonstration d
eut été encore plus écla- tante, si on avait pu faire pour ces deux
formes
ce que M. Erb avait fait pour la forme juvénile
vait pu faire pour ces deux formes ce que M. Erb avait fait pour la
forme
juvénile et la paralysie pseudo-hypertrophique. O
e de la pseudo-hypertrophie) ; il a montré l'hyper- trophie dans la
forme
juvénile de l'atrophie musculaire (myopathie avec
avec prédominance de l'atrophie). Il fallait faire de même pour la
forme
facio- scapulo-humérale, en constatant sa coexi
r une par- tie du muscle grand pectoral. Le creux sous-claviculaire
forme
un méplat dont les dimensions verticales sont s
cuisse, les mus- cles sont atrophiés. Le bord interne de la cuisse
forme
une ligne à concavité interne. A droite l'artic
il existât ou non, constaté chez ses malades, lorsqu'il décrivit la
forme
infantile héré- ditaire de l'atrophie musculair
élopathiques et que l'on sait aujourd'hui n'être autre chose que la
forme
facio-scapulo-humérale de la myopathie. Donc, à
a myopathie. Donc, à notre avis, ce cas rentre légitimement dans la
forme
facio-sca- pulo-humérale. Voici d'ailleurs la
ains muscles. OBS. II. (personnelle). Myopathie progressive de la
forme
{acio-scapulo-ll1l1Jlérale. Facies myopathique ty
déjà, à notre a-us, plaidassent en faveur de l'identité des diverses
formes
de myopathie, il manquait cependant, pour que l
tion de la combinaison possible de la pseu- do-hypertrophie avec la
forme
facio-scapulo-Ilumérale, comme cela existe pour
ie avec la forme facio-scapulo-Ilumérale, comme cela existe pour la
forme
scapulo-humérale ou jménilc de Erb, dont l'identi
par M. le professeur, Charcot, M. P. Marie et moi, à l'identité des
formes
diverses de myopathie : paralysie pseudo-hypert
des formes diverses de myopathie : paralysie pseudo-hypertrophique,
forme
juvénile de Erb, formé facio-scapulo-humérale d
tantôt associées comme dans la paralysie pseudo-hypertrophique,' la
forme
scapulo-humérale de Erb et la forme facio-scapu
ysie pseudo-hypertrophique,' la forme scapulo-humérale de Erb et la
forme
facio-scapulo-humérale de Landouzy-Déjérine. '
OT3TYPI'S ? r.Asirs A. LONDF. PHOTOCOLLOGRAPHIE C & L MYOPATHIE
FORME
FACIO-SCAPULO-HUMÉRALE r r NOUV. ICON. DE LA
Mère a dû être isolée dans sa jeunesse pour traitement d'hystérie il
forme
dé- lirante. Cette affection s'atténue pendant
elfet lui donner raison; la paralysie s'accentue, en conservant la
forme
hémiplé- gique et la flaccidité complète des me
is il existe des types moins complets d'hémiplégie spasmodique, des
formes
frustes où il y a dissociation et isolement des d
ographie de la lésion corticale provocatrice d'après seu- lement la
forme
de l'épilepsie ou de la contracture partielle. On
es peuvent exister dans l'hystérie, soit dans l'hystérie vulgaire à
forme
convulsive, soit dans l'hystéro-épilepsie. Chez
le deuxième, il s'agissait seulement d'un cas d'hystérie vulgaire à
forme
convulsive dans lequel une céphalée persistante
et Maisonneuve (2) (1803) avaient eu soin déjà de distin- guer des
formes
sympathiques d'épilepsie partielle dans lesquelle
forme. Tantôt l'épilepsie partielle d'origine hystérique affecte la
forme
hémiplé- gique, tantôt la forme monoplégique et
lle d'origine hystérique affecte la forme hémiplé- gique, tantôt la
forme
monoplégique et celle-ci peut se localiser unique
rganiques du cerveau. L'au- teur y rapporte quatre cas d'hystérie à
forme
d'épilepsie partielle dont l'un est relatif à u
par lésions organiques de la moelle qui affectent de préférence la
forme
paraplégique, il reste à imputer aux lésions orga
er aux lésions organiques du cerveau les contractures permanentes à
forme
hémiplégique ou monoplégique. Le type de la con
. Mais le mode d'in- vasion de la contracture se présente sous deux
formes
différentes. Le plus souvent, il est brusque, c
stinguer, pour les be- soins de l'analyse et de la description, une
forme
de contractures post- paralytiques et une forme
la description, une forme de contractures post- paralytiques et une
forme
de contractures pne-paralytiques, les rapports
ales du cerveau. Il n'y a de rapports il peu près fixes qu'entre la
forme
des paralysies partielles permanentes et le siège
es paralysies partielles, bien mieux que pour les contractures, des
formes
qui correspondent direc- tement aux lésions des
ique qui puissent simuler, dans leur processus et sous toutes leurs
formes
, les dif- férents types de monoplégie organique
organique par lésion limitée de l'écorce ? Si l'on tient compte des
formes
anormales de monoplégie hystérique, il est poss
e à part (diathèse de contracture). Nous préférons insister sur les
formes
vulgaires et mon- trer que même pour ces formes
ns insister sur les formes vulgaires et mon- trer que même pour ces
formes
, les erreurs sont faciles. « Les paralysies cor
initial. - C'est surtout la considération des carac- tères et de la
forme
de l'anesthésie qui fournit les éléments principa
syndrome complexe qu'il faut décomposer pour en sai- sir toutes les
formes
et les variantes. Cette complexité du syndrome re
sons pas que l'aphasie hystérique se présente toujours sous la même
forme
. Des études récentes ont nettement dégagé des a
la même forme. Des études récentes ont nettement dégagé des autres
formes
d'aphasie hystérique celle qui est considérée c
nservation de la mimique et de la fa- culté d'écrire, il existe des
formes
déviées, les unes avec un certain degré d'agrap
mutisme (1). D'autres fois l'aphasie chez les hystériques, revêt la
forme
de bégaiement. Celui-ci peut d'ailleurs se comb
ctéristique de ces deux syndromes, c'est la. paralysie alterne, cette
forme
de paralysie devant évoquer tout d'abord l'idée
inement autorisé aujourd'hui à établir une relation entre certaines
formes
d'amaurose, même bilatérale ! , et des lé- 48 N
ssant l'appareil sensitif dans son ensemble, principalement sous la
forme
d'hémianesthésie, peuvent donner lieu à l'anesthé
RIQUE (1). Le tabes dorsal peut être progressif ou stationnaire. La
forme
pro- gressive peut offrir une période parétique
n vaso-constrictrice; au contraire elle provoque en général dans la
forme
stationnaire comme dans les deux premières périod
la forme stationnaire comme dans les deux premières périodes de la
forme
progressive un amendement notable, quoiqu'elle ne
par un certain degré d'incurvation de l'ongle, mais surtout par la
forme
en massue que prennent les extrémités des doigts,
tout par la forme en massue que prennent les extrémités des doigts,
forme
qui résulte de troubles trophiques différents de
la moelle, la sensibilité est com- plètement abolie sous ses trois
formes
. Mais il y a encore, et c'est là que je veux en
regarder la maladie de Morvan soit comme un épisode, soit comme une
forme
atypique de la syringomyé- lie (1). Messieurs
n le noue sur le côté. L'ensemble de ce premier point (fil d'appui)
forme
un véritable cadre qui rapproche les deux extré
rmaux, ni douleur. L'articulation tibio-tarsienne gauche affecte la
forme
d'une baonnette.. Fig. 3. Détails de l'appareil
a vue est un peu diminuée des deux côtés. Les pupilles sont puncti-
formes
et présentent le signe d'Argyll Roberlson. Pas d'
de résultat appréciable. Observation III. Maladie de Friedreich.
Forme
fruste. Déformations caractériliques des pieds.
ce. Ces auteurs ont distingué dans les lésions un certain nombre de
formes
anatomiques auxquelles nous ferons allusion plu
pinales de la syphilis.- Nous nous bornerons à la description de la
forme
qui parait de beaucoup la plus commune, celle qui
s la littérature, nous avons acquis la conviction que c'est à cette
forme
anatomique que se rapportent la très grande major
u avancée, pour permettre d'a- percevoir la lésion en cause sous sa
forme
et dans sa localisation initiales. 90 NOUVELLE
ante ; et dans les pré- parations colorées par l'hématoxyline, elle
forme
, sur les coupes transversales, une bordure viol
spinale antérieure. Comme on peut le voir cette lésion considérable
forme
un contraste assez frappant avec l'intégrité ab
e présentent souvent comme des traînées de cellules 'embryonnaires en
forme
de triangles très allongés à base périphérique.
e dégénérescence très avancé : atrophie, absence des prolongements,
forme
ar- rondie, corps cellulaire rempli de granulat
entales ou traumatiques (Fromann, Charcot, Hayem, Joffroy etc.), La
forme
et la distribution de ces territoires de dégéné
erveux eux-mêmes. Mais nulle part, dans les cordons blancs, elle ne
forme
sur les .coupes transversales de larges lâches
, à l'aide du carmin d'alun, ces filets nerveux se montrent sous la
forme
d'amas de cellules embryonnaires au milieu desque
ganique ou dynamique des lésions de l'encéphale manifestées par des
formes
à peu près semblables de trou- bles oculo-moteu
lésions nucléaires. S'agit-il de paralysies associées, de certaines
formes
d'ophlalmoplégie ? Les lésions, quand elles ne so
e dû à une lésion hémisphérique du côté opposé. C'est donc la seule
forme
de paralysie dissociée qui, dans les paralysies d
her la blépharoptose isolée ou monoplé- gie palpébrale de certaines
formes
d'ophtalmoplégie indiquées plus haut et dont l'
est également sus-nucléaire. Telles sont en résumé les principales
formes
de paralysies oculaires, d'origine périphérique
se prêter à cette confusion est le ptosis pseudo-paralytique. Cette
forme
intéresse particuliè- rement l'enfance et peut
our, elle a des crises de nerfs plus fortes que d'habitude. Cette
forme
de ptosis est incomplète ; il y a de la photophob
s. Car, même à ce point de vue, il serait facile de prouver que les
formes
irrégulières signalées chez les adultes par M. Ch
re pas sans inté- rêt de faire ressortir au préalable que certaines
formes
d'hystérie se rap- prochent singulièrement du t
phénomène banal dans l'hystérie où on le rencontre sous toutes les
formes
. Quelquefois très mobile, la céphalalgie des hyst
ma- nifestée à l'occasion de l'établissement des règles et sous la
forme
d'accidents méningi tiques. 27 avril. Nuit ca
rages de pathologie médicale ont en général un chapitre réservé aux
formes
chroniques de la méningite; mais la plus grande c
confu- sion règne encore partout sur la délimitation exacte de ces
formes
et même sur la dénomination qu'il convient de l
que dans l'art grec, l'âme séparée du corps est représentée sous la
forme
d'une petite figure nue. Ici, comme sur les cél
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A
FORME
SYRINGOMYÉLIQIJE Dans une récente communicati
1) sur la valeur de l'examen bactériologique dans le diagnostic des
formes
fous- tes et anormales de la lèpre, l'un de nou
rate reste très volumineuse. Pendant LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A
FORME
SYRINGOMYÉLIQUE 123 cinq à six ans il exerce sa
ds taillés à pic et décollés, limitant un creux d'un centimètre, de
forme
ovalaire, coupant le pli articulaire méta- tars
ied gauche s'accompagne de la production d'un large ulcère cratéri-
forme
situé à deux travers de doigt en arrière des sill
normal ; les phalanges se sont un peu LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A
FORME
SYRINGOMYÉLIQUE 123 infléchies. Deux mois après
, et repousse à l'extrémité et sur le bord cubital du doigt sous la
forme
d'un bloc corné irrégulier. Le doigt est resté
totype négatif A. LONDfi PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne et LONOUET LÈPRE A
FORME
SYRINGOMYELIQUE J3ATTAJLLE 12T ^C raz ÉDITEUR
E 12T ^C raz ÉDITEURS r. éDITEURS LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A
FORME
S YR I NG OM YÉL1 Q UE 127 cuisses, les saillie
cère est absolu- ment anestbésique. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A
FORME
SYR1NGOVLYÉLIQUE 129 Pied gauche (fig. 8). Les
blés par une hernie circulaire du pannicule adipeux sous-cutané qui
forme
autour de l'ulcère un bourrelet d'aspect gélatine
et tout le pied sont Fig. J et 10. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A
FORME
SYRINGOMYÉLIQUE 131 absolument insensibles à la
nir dans ses mains les objets de petit volume ; il ne reconnaît ni la
forme
ni la nature de ce qu'on met entre ses doigts.
gative. (1) Séance du 23 août 1802. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A
FORME
SYRINGOMYÉLIQUE 133 Le procédé de Kalindero qui
tissu conjonctif s'est en grande partie substitué l'élément noble; il
forme
des travées épaisses, entrecroisées, infiltrées
irmé ce diagnostic bactériologique. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A
FORME
SYRIYG0111YÉLIQUE 135 III ' Le malade a été t
éunies en petits groupes de quatre à huit. Sur ces plaques, dont la
forme
et la distribution topogra- phiques sont indiqu
nalgésie. Les sensa- Fig. 13 et Il. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A
FORME
SIRINGU1111ELIQUE 137 tions thermiques sont seu
uve dans l'une et l'autre affection avec leurs localisations et leurs
formes
variées. Les dissociations sensitives que quelq
Urinary diseases, janvier 1890, p. 1. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A
FORME
SYXINGOMYÉLIQUE '139 2 ans et au Sénégal pendan
mpte d'une affection médullaire. 3. Dans les trois cas de lèpre à
forme
syringomyélique que nous venons de citer, on a
x, 1891. (2) Raichline, loc. cil, LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A
FORME
SYRING01111'ÉLIQUE 'Ht notre cas elles ont appa
miers phénomènes vésicaux, cela consistait soit en ténesme vésical (
formes
audias) ou en difficulté pour uriner. Il eut le
manifeste. Grâce à cet élar- gisement la ligne du bassin prend une
forme
arrondie exagérée comme dans le sexe féminin. M
partie postérieure de ces cordons, elles se sont présentées sous la
forme
de petits territoires circonscrits, disséminés en
que dans une faible hauteur. A 4 ou 5 millimètres de distance, leur
forme
, leur distribution sur les coupes se modifient
endues par des corps granuleux ainsi qu'on l'observe dans certaines
formes
de myélites aiguës. D'ailleurs nous avons signa
une dégénération primitive sont groupés par petits foyers, dont la
forme
et la disposition sont tout à fait en harmonie av
bservation qui précède peut être considérée comme réalisant sous la
forme
la plus commune le type anatomique de la maladie
édullaires consécutives aux précédentes . Nous ajouterons que cette
forme
anatomique correspond le plus souvent au type c
ne observation personnelle, ces auteurs décrivent avec détail cette
forme
de lésion anatomique. Ici les altérations ne so
t pas compte des lésions méningées, parfois très légères dans cette
forme
, à décrire à part la phlébite et l'artérite médul
auteurs s'accordent assez généralement aussi en ce qui concerne la
forme
initiale des lésions vasculaires. Dès qu'Heubner
différentiels des altérations syphilitiques mé- dullaires dans les
formes
que nous avons en vue ici, et cela pour la simp
n- trant une fois de plus l'analogie entre les deux infections. Les
formes
dif- fuses, dit M. Raymond, sont les plus fréqu
le gros tubercule de la moelle étant l'exception; et même dans ces
formes
diffuses, il n'est pas rare de trouver, à l'aid
e Biologie, Séance du 18 février 1893. (2) Raymond. Des différentes
formes
de lepto-niyéliles tuberculeuses (Revue de méde-
absolue : en même temps survien- nent des douleurs .spontanées sous
forme
d'élancements. Pendant les mois qui ont suivi,
la 2e jusqu'à la 5e racine. Dans cette région, la moelle présente une
forme
obli- que ovalaire; sa configuration sur la cou
dans la lumière du vaisseau, de grandes cellules endothéliales des
formes
les plus bizarres, renfermant 3, 4 noyaux et dava
a névroglie se condense autour des petits vais- seaux auxquels elle
forme
une bordure colorée en rouge sur les préparatio
cine dorsale, il n'en reste qu'un petit territoire ir- régulier, de
forme
triangulaire, dans le cordon postérieur droit. La
moelle dorsale in- férieure : les grandes cellules recouvrent leur
forme
, leurs dimensions : elles sont seulement chargé
rvation I. En un point, cette infiltration est circonscrite sous la
forme
d'un foyer gommeux- microscopique, situé dans le
es de sclé- rose triangulaires, à base périphérique, rappelant leur
forme
, les infiltra- tions gommeuses qui émanent de l
atéral du côté opposé, l'épaississement névroglique a f- fectait la
forme
d'une plaque triangulaire à base tournée en dehor
différents aspects sous lesquels se présente la démence, il y a une
forme
très simple qui réunit tous les symptômes princip
on peut remarquer des plis verticaux qui se dessinent légèrement en
forme
d'éventail et qui descendent de l'angle interne
ut la cornée ou elle y adhère à peine ; le lac lacrymal n'a plus la
forme
d'un golfe détaché, il se confond avec l'ouvertur
cles est générale- ment bien caractéristique et donne au visage une
forme
toute particulière ; le visage s'allonge, devie
c atten- tion ce genre de physionomies, on pourra constater que les
formes
du vi- sage changent positivement en relation d
7, mais avec moins d'in- tensité. On peut apprécier également les
formes
extérieures d'une physionomie pathologique en s
quatrième indice de la démence apathique : inégalité des pupilles,
forme
irrégulière, troubles dans les réflexes des mus
ns cherchent à déterminer lorsqu'ils disent : « le visage a prix la
forme
d'un masque et produit une impression de rudesse
psychose, aiguë ou chronique à son origine, commence à prendre une
forme
incurable. Le visage qui a subi toutes ces alté
n seulement dans la démence paralytique, mais aussi dans les autres
formes
de la démence secondaire. Deux phénomènes ser
cerne les muscles de la face spécialement, pour cette raison que la
forme
, la profondeur et la position des sillons naso-
tracture des muscles; Kraft-Ebing l'affirme également (2). Dans les
formes
bien déterminées de la démence que j'ai examiné
e dans des articles ultérieurs. En résumé, je puis avancer que la
forme
la plus simple de la démence, la démence apathi
'la démence paralytique et beaucoup moins souvent 1 dans les autres
formes
de la démence, en sorte qu'il peut être considéré
e. C'est surtout dans la démence paralytique et non dans les autres
formes
de la démence, que le nerf hypoglosse est attaqué
di- rigé par un savant fort compétent prouvent que, dans certaines
formes
de la paralysie générale progressive, c'est un
tée de turquoises, les cheveux à longues boucles coupés suivant une
forme
spé- ciale et recouverts d'un petit bonnet pers
nous laisse un portrait remarquable du Juif-Errant (3). Celui-ci ne
forme
qu'une partie de la planche dans laquelle on vo
ont les observations ne sont pas moins rares) pour nous limiter aux
formes
diffuses de la pachyménin- gite syphilitique.
s reste soudée aux faces latérales et postérieures de la moelle. La
forme
de celle-ci est parfaitement conservée : la subst
Cette dégé- nération non systématisée, s'étend dans la moelle sous
forme
d'un triangle, dont la base très élargie, répon
e façon il peu près constante à la région cervicale, el, dans cette
forme
plus que dans toute autre, la dure-mère prend p
ne des for- mes cliniques de la syphilis médullaire en regard d'une
forme
anatomique exactement déterminée. Le but du pré
ces variétés. Quoiqu'il en soit nous nous attacherons à décrire les
formes
les mieux caractérisées cli- niquement de syphi
vec la myélite, el que celle combinaison parait être de beaucoup la
forme
la plus fréquente. - Dans un grand nombre de ca
ent méconnue. Il semble que cela ait lieu plus fréquemment dans les
formes
graves, qui évoluent clinique- ment avec les al
directement et sans l'intermédiaire des enveloppes. C'est dans cette
forme
principalement que l'on tend aujourd'hui à fair
SYPIIILITIQUE 237 PÉRIODE DES PARALYSIES MÉDULLAIRES Des diverses
formes
de paraplégies syphilitiques. Quelqu'ait été le
(voir observa- tion III). Mais les statistiques montrent que cette
forme
est exception- nelle : dans le mémoire de MM. G
om- bre d'esquisses, identiques quant au fond, variables quant à la
forme
. Ru- bens, voulant faire un tableau représentan
osé, dans un groupe de faits, il ne prend pas les ex- ceptions, les
formes
frustes, comme il les appelle, viendront plus tar
écrit l'a- taxie locomotrice, l'atrophie musculaire sous toutes ses
formes
. Charcot marche avec lui dans cette voie fécond
but il ne vit rien de plus que ses devanciers dans ces paroxysmes à
formes
si changeantes, dans les convulsions de ce Protée
(Suite et fin) (1). I. Paraplégies SYPHILITIQUES communes. Cette
forme
de paralysies syphilitiques répond, avons-nous di
érisée, mais il re- connaît qu'elle est souvent combinée à d'autres
formes
cliniques de la sy- philis spinale ou cérébro-s
bien dégager des autres com- plexus plus ou moins analogues une des
formes
cliniques incontestable- ment les plus fréquent
que indiqué par Erb, s'il se présente parfois bien isolé et sous sa
forme
pure (l'observation précédente en est un exem-
partie postérieure du scapulum du même côté, deux cicatrices de même
forme
DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 259 que ce
eux par des transitions insensibles, et nous limitant toujours aux
formes
dans lesquelles les accidents médullaires sont
E SYPHILITIQUE 263 La MARCHE de la paraplégie syphilitique, dans sa
forme
la plus com- mune, est essentiellement chroniqu
e les trou- bles trophiques graves étaient exceptionnels dans cette
forme
. Ainsi que le fait remarquer Erb, la paralysie
ors d'une manière efficace. Bien que ce soit là, on peut dire, la
forme
la plus favorable, au point de vue du pronostic
en est pas toujours de même ; et il y aurait lieu de distinguer une
forme
grave de paraplé- gie syphilitique commune. 11
II due à M.' le Dl' Lancereaux, que l'on peut considérer comme une
forme
grave de la paraplégie syphilitique commune. En
t émis pendant longtemps des doutes au sujet des relations de cette
forme
extrêmement grave de la maladie avec la syphilis.
cubitus, etc.. Il reste encore à établir s'il s'agit là aussi d'une
forme
d'affection spinale syphilitique ». Actuellemen
ait allusion. Notre observa- tion I se rapporte précisément à cette
forme
de la maladie. Celte paraplégie grave se montre
. Mais il en est presque toujours ainsi particulièrement dans celte
forme
grave. Elle est généralement an- noncée par une
dans ses Leçons cliniques, a récemment appelé l'atten- tion sur ces
formes
de paraplégie à début rapide, en faisant ressorti
e. L'intensité des symptômes est ici tout autre que dans les autres
formes
(1) Julliard (loc. cil., page 50). (2) LANCER
rement affaiblis, le plus souvent abolis dès le début; et, dans les
formes
particulièrement graves, cette abolition des ré
excitabilité électrique dans les muscles appartien- nent encore aux
formes
suraigues. Souvent abolie (Déjerine, voir notre
à l'influence possible de la syphilis dans les cas de ce genre. Les
formes
de paraplégies ci-dessus décrites sont de beaucou
e concordance en- tre les différentes périodes de la syphilis et la
forme
des lésions spécifi- ques de la moelle épinière
ont les premières en date; elles commandent vi- siblement dans leur
forme
et dans leur répartition les désordres anatomi-
s particuliers aux méningo-myélites syphilitiques étudiées ici, les
formes
de lésions récentes seules peuvent donner des r
gie dans la plupart des myé- lites aiguës. Toutefois, même dans ces
formes
diffuses, l'examen micros- copique peut révéler
, peut donner lieu à des lésions semblables. Vit Cliniquement les
formes
les mieux caractérisées de méningo-myé- lite sy
me périodes celle des lésions médullaires. Ces paralysies, dans les
formes
les plus com- munes, se présentent sous l'aspec
semblable de supposer que, l'at- tention une fois attirée sur cette
forme
de névropathie, on puisse rencon- trer des cas
paraît avoir expé- rimenté la médication révulsive sous toutes ses
formes
: sinapismes, vésicatoi- res, pointes de feu, e
nnent le mieux. Elles sont terminées inférieurement par une scie de
forme
circulaire dont les dents sont bien affilées. Leu
une scie de forme circulaire dont les dents sont bien affilées. Leur
forme
est celle d'un cône tronqué. Cette disposition
i faire changer de position ; dans la région de la glabelle la peau
forme
des rides profondes : les yeux sont fermés ; il
ale s'incurve en formant une concavité antérieure; le ventre est en
forme
de voûte. Les mouvements passifs dans les articul
avec eschares au centre ; sur un troisième point, b) bulle ayant la
forme
et la grosseur de la moitié d'un pois, avec segme
ant à indiquer que, dans sa mar- che, la maladie tend à prendre une
forme
cyclique. En effet l'alternat des deux états, e
stéo-arthropathie, se retrouvent isolés ou réunis dans les diverses
formes
de maladies mentales et se rap- portent en part
friabilité, les modifications du tissu cellulaire sous-cutané, sous
forme
d'épaississement du tissu adipeux, de 330 NOUVE
hémorragie, crachements de sang; les modifications des muscles sous
forme
d'atrophie ou de tumeur sanguine, le ramollisse-
arthritis dé- formant s'est efforcé d'établir pour l'une et l'autre
forme
un lien réciproque entre la maladie cérébrale e
st-elle l'indice de quelque maladie constitutionnelle ou de quelque
forme
aiguë de lésions connues, telles que l'arthrite r
avorables au mécanisme d'une lésion traumatique dans telle ou telle
forme
; il ne peut être question ni de luxation, ni d'e
DE LA SALPÊTRIÈRE. est donc impossible de nous arrêter à aucune des
formes
de l'affection inflammatoire habituelle de l'ar
si bien défini et qui ont probablement quelque lien avec certaines
formes
déterminées de maladies mentales doivent nous suf
cidents nerveux similaires. L'hérédité en neuropathologie revêt des
formes
multiples. On voit se suivre ou s'entrecroiser
urasthéniques au premier chef. La céphalée est constante : c'est la
forme
en casque de Charcot enserrant la tête comme da
Qu'une idée soit suggérée alors, ou qu'elle germe spontanément sous
forme
d'impulsion, le malade s'y abandonnera tout ent
d'« Automatisme comitial ambulatoire » (1). « Il s'agit là d'une «
forme
» ou, comme on dit encore, d'un « équivalent ép
. Le Juif-Errant existe donc encore aujourd'hui ; il existe sous la
forme
qu'il avait prise aux siècles passés. Sa figure
imprimer les comptes rendus de ces séances hebdomadai- res. Le tout
forme
cinq gros volumes qui de son vivant eurent, chose
s, par IIenry Meige, 19t, 277, 333. Lèpre systématisée nerveuse à
forme
syrin- gomyélique par Pitres et Sabrages, 121.
IL à XXXI. Juif-Erranl à la Salpêtrière, XXIV à XXXV11. Lèpre à
forme
syringomyélique, XVII, XVIII. Dléningomyélile
ile syphilitique, coupes de la moelle, XIII, XIV, 'XV. Myopathie,
forme
facio-scapulo-humérale avec pseudohypertrophie
pseudohypertrophie des mollets et du deltoïde, II, III, IV, V. -
Forme
facio-scapulo-humérale avec pseu- dohypertrophi
oies bronchiques et du parenchtjme pulmonaire, considérées dans leurs
formes
très variées et très complexes ; tuberculose du p
, que l'on hésite plus d'une fois à décider si telle particularité de
forme
ou de structure appartient à l'une ou à l'autre.
s petits lobules qui, eux, ont à peine les dimensions d'un pois. La
forme
des lobules est aussi très variable. Les lobules,
ituent les bords tran-chants du poumon, ils offrent habituellement la
forme
d'un coin dont la base est tournée vers le centre
même peuvent être primitivement le siège de lésions importantes. Elle
forme
ce qu'on pourrait appeler dans le pou-mon, les es
ble dans la même proportion que celui des bronchioles terminales, ho.
forme
et les dimensions des acini se rapportent au cont
des divisions, ainsi produites, se termine par un renflement ayant la
forme
d'une ampoule. Il est facile, sur le modèle de
mique, et se terminent enfin par des extrémités aveugles, renflées en
forme
d'entonnoir. Le diamètre transverse des conduits
ndibules, soit dans les conduits alvéolaires, ont, chez l'enfant, une
forme
généra-lement globuleuse ; cependant, quelquefois
forme généra-lement globuleuse ; cependant, quelquefois, ils ont une
forme
polyédrique. Leurs dimensions sont différentes su
re que le diamètre des con-duits aériens devient plus étroit, mais la
forme
cylindrique est encore très accentuée dans les ce
ssu cellulaire lâche qui, au contact de l'épithélium, s'épaissit sous
forme
d'une membrane anhyste (membrane fondamentale). D
b) est, ici encore, très accentuée ; mais elle n'est plus continue et
forme
une série de petits sphincters sur les dernières
e jusqu'aux bronchioles (Fig. 7, d). A cet endroit, elles prennent la
forme
cubique et même, à la fin, au niveau de l'abouche
é-riaux que ceux des parois bronchiques, modifiés toutefois dans leur
forme
, leur nombre relatif et aussi dans leur mode d'a-
rve dans la broncho-pneu-monie subaiguë ou chronique simple — une des
formes
de la cirrhose du poumon — ou dans la broncho-pne
l'argent, vous le voyez, a dessiné des lignes noires dont la réunion
forme
des figures polygonales (b). Ces lignes se voient
eux qui n'avaient pas été distendus les cel-lules avaient conservé la
forme
cubique. Un résultat acquis par M. Kùtlner dans
s d'apparence fusiforme, jointes les unes aux autres par leurs bords,
forme
un revêtement sur toute l'étendue de la paroi de
ctif, dont ils ne représentent qu'une simple modi-fication quant à la
forme
, et dont ils possèdent, d'ailleurs, toutes les pr
ité directe avec le revêtement épithélial bronchique, il reproduit la
forme
des endotheliums; d'un autre côté, sous l'action
verticulum pulmonaire, présentant une extrémité terminale renflée qui
forme
la vésicule pulmonaire primitive. — St, estomac.
en. III. Il s'agira ici des modifications apportées par certaines
formes
du processus inflammatoire. Dans les inflammation
urs, les- divers phénomènes de la prolifération par scission. — Il se
forme
souvent, dans ces circonstances, de grandes plaqu
dans les cellules de l'endothélium ; localisation dans les acini sous
forme
lobulaire. Faits pathologiques qui montrent que
umo-nie fibroïde des tuberculeux (Thaonj ; carnisation (Legendre), ou
forme
pseudo-lobaire de la broncho-pneumonie ; caractèr
s cellules épithé-liales gonflées, tuméfiées et tendant à prendre une
forme
sphérique : leur protoplasma est trouble, grenu (
otre but, dans ces expériences, a été de re-produire chez l'animal la
forme
de pneumonokonioses qu'on désigne chez l'homme so
ains groupes d'acini voisins les uns des autres, c'est-à-dire sous la
forme
lobulaire, et non pas d'une façon diffuse. Sur ce
ssi en conséquence de l'épaississement des parois de l'alvéole, il se
forme
des petits noyaux d'induration lobulaire qui, à l
e plaques a noyaux ou cellules géantes. Je répé-terai que, dans cette
forme
de pneumonie épithéliale chroni-que primitive, le
cancer est constitué, ainsi que cela se voit du reste, pour d'autres
formes
du cancer du poumon, —par la paroi alvéolaire ell
place le revête-ment normal et qui, sur certains points, affectent la
forme
cuboïde tandis que, sur d'autres points, elles so
ueluche, ou même d'une broncho-pneumonie vulgaire. Il s'agit là d'une
forme
pseudo-lobaire de la broncho-pneumonie ; c'est di
'acini ou de groupes d'acini qui offrent encore des altérations de la
forme
aiguë ; il s'y dessine souvent des cloisons résul
accompagnements fréquents de ce genre d'altération. C'est là une des
formes
delà cirrhose du poumon, bien distincte, ainsi qu
pro-longée. Or, Messieurs, le grand caractère histologique dans la
forme
d'altération dont je viens de vous rappeler les p
e no-dules tuberculeux. N'est-il pas intéressant de voir dans cette
forme
subaiguë ou chronique de la broncho-pneumonie les
le revêtement épilhélial — issu de Yhypo-blasie —reprend lui aussi la
forme
qu'il présentait dans la vie intra-utérine. Cet
eçon précédente, un caractère anatomo-palhologique commun à certaines
formes
de la broncho-pneumonie subaiguë ou chronique. Yo
'hypoblaste, reprendre, sous l'influence d'un processus irritatif, la
forme
qu'il présentait dans la vie intra-utérine, en mê
-verticulum pulmonaire présentant une extrémité terminale renflée qui
forme
la vésicule pulmonaire primitive. •— St, estomac.
ent, sur plus d'un point. I. J'invoquerai d'abord l'exemple de la
forme
de néphrite interstitielle chronique qui, dans le
'au point de vue de la nosographie, une espèce distincte, d'une autre
forme
d'affection rénale, appartenant, elle aussi, à
loc. cit., pp. 297 et suiv. l'ancien cadre de la maladie de Bright,
forme
dans laquelle l'or-gane est également atrophié, c
caractère fondamental, et, si elle peut se rencontrer dans les autres
formes
de la sclérose rénale, elle n'y est jamais qu'un
, désormais la représente, diminue de diamètre et, du même pas, il se
forme
autour d'elle une couche conjonctive embryonnaire
Arch. de physiologie, 1870, p. 771). sorle, substitué au réseau que
forme
, dans l'état normal, l'a-nastomose des colonnes d
r entre les cirrhoses biliaires, la cirrhose broncho-pmumonique et la
forme
de néphrite interstitielle qui, dans le langage d
ologiques, par exemple, les épilhéliums peuvent se modifier dans leur
forme
, se régénérer, se multiplier sans le concours, ou
nté contracte bientôt des adhérences avec le tissu de granulation qui
forme
le fond de la plaie et que, consécutivement, on v
ique, regarde les parois du sac lymphatique (Fig. 29). Bientôt, il se
forme
autour du corps étranger une sorte de fausse memb
he de Malpighi. — c, c, Racine des poils, disposés irrégulièrement et
formes
de couches concentriques de cellules épithéliales
on est constitué d'abord par des cellules du même ordre que celle qui
forme
l'épithé-lium dont il provient. C'est sur ce mo
atomiques que cliniques qui séparent les unes des autres les diverses
formes
de maladies rénales, naguère encore en-globées so
énumération incomplète. Quant à présent, à la vérité, ces diverses
formes
de pneu-monie chronique, parfaitement séparées au
parlait de caractères analomiques spéciaux tels que Yhépatisationplan/
forme
, sans granulations; on relevait dans le domaine c
de Paris, 1850. Fardel. Il résulte de l'étude parallèle de ces deux
formes
que la pneumonie lobaire doit être séparée anatom
elles une description particulière. Mais, en somme, dans les diverses
formes
, les traits de ressemblance l'emportent sur les t
es poumons et sur les bords des lobes inférieurs. A gauche, la lésion
forme
une grande plaque uniforme; à droite elle est dis
riétés d'induration pulmonaire, et représentant à l'état chronique la
forme
aiguë de la pneumonie lobaire dégagée de toute co
les hôpitaux \ La pneumonie aiguë lobaire simple n'est pas la seule
forme
d'inflammation parenchymateuse aiguë du poumon qu
Forster8. — Hépa-tisation indurée: Lebert. — Les caractères de cette
forme
dif-fèrent peu de ceux qui appartiennent à l'hépa
altération. En effet, un des principaux caractères de cette dernière
forme
de la pneumonie est fondé, ainsi que nous le diro
microscope sont d'ailleurs à peu de chose près les mêmes que dans la
forme
précédente; ce sont des cellules épithéliales pré
les fusiformes. M. Lebert semble admettre que l'hépatisalion jaune se
forme
à la suite de l'induration rouge, et que celle-ci
que ces variétés de la pneumonie aiguë devront se retrouver dans les
formes
lentes et chroniques de la maladie; mais c'est Jà
te rendu de ta clinique médicale. Strasbourg, 1856. tomiquement les
formes
décidément chroniques de la pneu-monie, il n'en e
l'induration grise. Bien différente de l'hcpatisation aiguë et des
formes
de l'hô-patisation chronique dont nous venons d'i
ration graisseuse; ils se ramollissent ou suppurent. Par suite, il se
forme
un genre particulier d'abcès au centre des partie
parois thoraciques, la plèvre qui l'enveloppe de toutes parts et lui
forme
une espèce de coque fibreuse, est considérablemen
l'inférieur, mais il a certainement réuni dans une même catégorie des
formes
très diverses d'affections pul-monaires. Quoi qu'
chats des phtisi-ques avec cavernes, mais ne prenant pas cependant la
forme
num-mutaire. Ils sont extrêmement fétides et le m
emble, dési-gner sous le nom de pneumonie chronique ulcéreuse 2 cette
forme
de la maladie dans laquelle la fonte ichoreuse s'
c ulcérations. Une des cavernes contenait une concrétion solide d'une
forme
irrégulière. L'analyse démontra que ce calcul éta
ie ulcéreuse de Bayle, qui bien évidemment n'était autre chose qu'une
forme
de la gangrène du pou-mon. Charcot. Œuvres comp
n. Charcot. Œuvres complètes, t. y,Poumons. 10 II. Évolution. —
Formes
de la maladie. — Symptômes géné-raux. — La pneumo
chronique ulcéreuse paraît être plus rapidement fatale que les autres
formes
de la maladie. L'observation suivante, recueill
juillet très abon-dante. Les crachais ont jusqu'à un certain point la
forme
nummu-laire et l'apparence du pus, ils n'ont poin
'on cite jusqu'à présent n'appartiennent point, pour la plupart, à la
forme
chronique proprement dite; ce sont des cas de pne
ttrait déjà de reconnaître, dans la pneumonie chroni-que simple, deux
formes
principales: 1° la pneumonie chroni-que à forme d
oni-que simple, deux formes principales: 1° la pneumonie chroni-que à
forme
de phtisie lente; 2° la pneumonie chronique à for
onie chroni-que à forme de phtisie lente; 2° la pneumonie chronique à
forme
de phtisie rapide. Dans une nosographie organiq
nique est une inflammation parenchymateuse. On peut y distinguer deux
formes
ou plutôt deux degrés: 1° la pneumonie chronique
on le voit, rien de commun, anatomiquement parlant, avec les diverses
formes
de l'induration pulmonaire que nous avons décrite
tombe aujourd'hui généralement d'accord sur un point: c'est que cette
forme
d'ulcération pulmonaire doit être nettement disti
e des canalicules aériens, elle est un accompagnement habituel de ces
formes
variées d'affections pulmonaires que les anciens
anatomiques, la distinguent comme on voit très nettement des diverses
formes
de ïinduration pul-monaire. C. Affaissement pul
tion appréciable. Quoiqu'il en soit, et bien que l'existence de celte
forme
de pneumonie chronique décrite par Corrigan, sous
un bon nombre de cas : ainsi, pour ne citer qu'un exemple, dans cette
forme
de la mélanose que M. le professeur Nafalis Guill
atière charbonneuse. La maladie des aiguiseurs nous offre une autre
forme
de l'induration mélanique du poumon. Dans ce cas,
articuliers. Nous en parlerons donc très brièvement. La plupart des
formes
d'altération pulmonaire que nous avons décrites,
on est en général peu étendue, et, le plus communément, disposée sous
forme
d'une couche qui n'a guère que quelques lignes d'
hlegmasique. « Ou a aussi décrit Y infiltration gélatineuse comme une
forme
sous laquelle pouvait apparaître la matière tuber
ppées dans le même point. — Pneumonie lobaire récurrente: Exemples. —
Formes
de la lésion: induration rouge, induration grise
ion grise ou ardoisée. II. Broncho-pneumonie chronique. — Causes. —
Formes
. — Caractères histo-logiques. III. Pneumonies c
erruption bien marquée entre les deux phases de la maladie. Une autre
forme
de pneumonie chroni-que se rattache également à l
même point, la lésion s'offre toujours à l'observation sous les deux
formes
principales déjà mentionnées: Io L'induration r
sont encore manifestes. Le contenu des alvéoles rétrécis présente la
forme
de pelotons de cellules épithéliales englobées da
n liberté. Déjà l'épithélium tend à se régénérer : on le voit sous la
forme
de larges cellules polygonales ; on ne trouve pas
rétrécis; on voit souvent dans leur intérieur des végétations polypi
formes
de Ha paroi fibreuse, laquelle renferme un grand
re à con-naître. II. — De la broncho-pneumonie chronique '. Celte
forme
de pneumonie interstitielle est anatomique- 1 S
ais la distinction que veut établir M. Charcot entre les deux grandes
formes
de pneumonie chronique se trouve à peine ébauchée
ublié des observations intéressantes qui démontrent l'existence d'une
forme
de transition, d'une broncho-pneu-monie sub aiguë
ait, l'évolution régulière et fixe de la pneumonie lobaire. A côté de
formes
aiguës qui peuvent simuler la pneumonie lo-baire
ues principaux et même par la marche de la température, il existe une
forme
subaiguë qui se montre dès l'origine avec son car
indaration atrophique du poumon avec dilatation des bronches. Celte
forme
peut se présenter surtout après un catarrhe aigu
M. Charcot, après la fièvre typhoïde, bien que dans ce dernier cas la
forme
aiguë ou subaiguë soit en quelque sorte la règle.
uelque sorte la règle. L'étude macrosco-pique de la lésion dans cette
forme
subaiguë a clé bien faite par les auteurs, mais t
res, avec tendance remarquable à se fixer dans un. seul lobe, sous la
forme
pseudo-lobaire ; 2° coloration violacée» ou rosée
u'une broncho-pneumonie ; 3° enfin les nodules péri-bronchiques de la
forme
aiguë se retrouvent encore sous une forme atténué
ules péri-bronchiques de la forme aiguë se retrouvent encore sous une
forme
atténuée ou effacée. On distingue autour des bron
ie, sur le fond rosé et lisse de la coupe du poumon. Ainsi, dans la
forme
subaiguë, ce fond rosé ou violacé qui caractérise
é qui caractérise la carnisation correspond à la splénisation de la
forme
aiguë, en même temps que la présence des nodules
quée. M. Charcot suit pas à pas les analogies qui existent entre la
forme
aiguë et la forme subaiguë, et ce parallèle perme
suit pas à pas les analogies qui existent entre la forme aiguë et la
forme
subaiguë, et ce parallèle permet de mieux interpr
des phénomènes cli-niques qui peuvent contribuer à caractériser cette
forme
de pneumonie chronique: Io C'est d'abord l'hypert
émoptysies fréquentes (seize fois sur trente-neuf) ; accès fébriles à
forme
pseudo-intermittente ; enfin Biermer signale une
euse aiguë, chronique dans l'évolution tuberculeuse lente. Dans les
formes
rapides, on trouve des nodules fibrineux ou puru-
ibrineux ou puru-lents avec les lésions de la splénisation ; dans les
formes
chro-niques, le contenu alvéolaire et le tissu co
étranger qui est enjeu. Il y aura donc lieu de décrire séparément les
formes
sui-vantes : 1° Pneumonokonioses anthracosiques
des particules d'un métal, l'acier par exemple, et qui constitue une
forme
mixte. 3° Enfin il existe encore une pneumonoko
e. Ici, l'agent est l'oxyde de fer. anthracose pulmonaire : Cette
forme
est la plus commune, et c'est elle qui la pre-miè
ètre dans la profondeur du parenchyme et s'y fixe définitivement sous
forme
d'amas plus ou moins volumineux. Celte pénétratio
et des bords postérieurs qu'à la base, et qu'au sommet cette matière
forme
souvent des plaques au niveau desquelles il exist
libres, soit emprisonnés dans des cellules, des corpuscules noirs de
forme
anguleuse, en tout semblables à ceux que four-nis
urs caractères physiques et chimiques se modi-fient. Ils perdent leur
forme
discoïde, deviennent globuleux et réfractent plus
: 1° Dans l'anthracose, les particules charbon-neuses ont souvent une
forme
anguleuse spéciale ; elles pré-sentent toutes la
nt d'origine hématique, au contraire, les granulations ont toutes une
forme
plus ou moins arrondie, quelquefois même une appa
du sang, se présente au dernier terme de ses transformations, sous la
forme
de corpuscules noirs qui, par leur couleur et aus
ce cas, la substance pigmentaire noire qui infiltre les cellules se
forme
vraisemblablement dans la rate, aux dépens de la
le de Versailles, qu'on a préalablement humecté pour lui conserver la
forme
des empreintes. Lorsque ce moule est terminé, ava
mence à se développer, la lésion se présente, dans le poumon, sous la
forme
de petits nodules grisâtres, résistant au doigt,
1 millimètre 1/2 environ, et qui présentent le plus ordinairement la
forme
d'une feuille de trèfle, quel-quefois avec la tig
alvéoles pariétaux, et elle se termine par l'acinus. Chaque acinus
forme
une petite pyramide à base périphé-rique et a env
chiole acineuse, de un tiers de millimètre de diamètre environ, quien
forme
le pédicule, se divise en ra-meaux de plus en plu
coupe du lobule hépatique. Ce lobule pulmonaire se présente sous la
forme
d'un poly-gone auquel on peut reconnaître un cent
aire, mais d'une agglomération de nodules dont on distingue encore la
forme
: ce sont autant de cercles concen-triques, régul
ho-pneumonie grave pseudo-lobaire ; dans le second cas, une maladie à
forme
typhoïde avec prédominance des accidents thoraciq
it réapparaître. C'est jus- tement ce que fait la caséification. La
forme
même de la zone caséeuse donne à penser que la mo
i est déjà transformée en cavité cylindro-conique ouampullaire : elle
forme
comme le vestibule de la caverne et en fait ainsi
que sorte par la bron-che. La réunion de plusieurs cavernes acineuses
forme
les cavernes lobulaires qui occupent tout un lobu
ca-séeuse. Cependant, dit M. Charcot, le tubercule considéré sous ses
formes
les plus diverses est curable, ou tout au moins i
bles à toutes les périodes de leur développement et sous toutes leurs
formes
: 1° tubercules solitaires ; 2° agrégats tu-bercu
ec avait encore rai-son. Le tubercule fibreux se présente sous deux
formes
principales : tubercule miliaire et agglomération
s la phtisie essentielle-ment chronique, le tubercule fibreux sous la
forme
et avec les caractères des agglomérations tubercu
tre souvent limité à quelques parties du pa-renchyme, dans toutes les
formes
de phtisie à évolution un peu lente : suivant Tha
me de la granulation grise. La granulation grise, est, en effet, la
forme
qu'affecte la matière tuberculeuse émanée des foy
il s'agit d'un foyer superficiel, la traînée lymphatique qui, sous la
forme
d'un cordon noueux, relie le foyer pulmonaire pri
stitue la lésion la plus grave de la tuberculose : elle dé-termine la
forme
aiguë ou chronique. C'est elle qui règle l'état g
ssociées au processus tuberculeux, n'ont rien de particulier. Dans la
forme
aiguë, on trouve les nodules fi-brineuxou purulen
lents caractéristiques, avec les lésions de la splénisation ; dans la
forme
chronique, la carnification et toutes les variété
se contente pas de ces généralités, si l'on entre dans le détail des
formes
cliniques de la tuberculose pulmo-naire, on senti
de la pneumonie. La phtisie aiguë granuleuse se présente sous deux
formes
principales : Io une forme apyrétique, lente, o
aiguë granuleuse se présente sous deux formes principales : Io une
forme
apyrétique, lente, où les granulations s'accumule
nulle trace d'exsudats fibrineux ou purulents. Ainsi donc, dans cette
forme
de tuberculose pulmonaire, la pneu-monie manque s
e circonscrit, mais d'un genre à part. Ses carac-tères sont : 1° La
forme
nodulaire, l'arrangement concentrique des élé-
tour d'une bronche. Cette dernière localisation est constante dans la
forme
broncho-pneumonique de la tuber-culose, substratu
ie d'un côté, englobée de l'autre côté dans un tubercule aggloméré de
forme
semi-lunaire. Le plus petit côté de cette espèce
s la description de M. Virchow, Laënnec ne le connaissait que sous la
forme
de granulations grises, décrites par Bayle et que
la pneumonie » caséeuse; ils sont presque toujours présents, sous une
forme
» ou sous une autre ; mais ce n'est là qu'un fa
es points et d'accu-ser les traits plus vigoureusement. Ce sont les
formes
aiguës dites pneumoniques de la phtisie pulmonair
sa démonstration, par la raison que c'est sur-tout sur l'étude de ces
formes
là que se fonde la doctrine qu'il veut combattre.
ttre. «Sii'on parvenait, eneffet, à démontrer, dit-il, » que dans ces
formes
rapides de la phtisie qui prennent, cli-» niqueme
la doctrine en question. » Les auteurs qui professent que, dans ces
formes
de la phtisie destructive aiguë, la lésion pulmon
ontrer par la critique qu'aucune des observa-tions rapportées à cette
forme
et où la lésion aurait abouti à la formation de
secondaire tout à fait effacé. Ce qui vient d'être dit au sujet des
formes
aiguës de la pneumonie caséeuse, on peut le répét
on peut le répéter, à peu près mot à mot, et à fortiori, à propos des
formes
chroniques. Le tuber-cule qu'on a voulu bannir, m
chroniques. Le tuber-cule qu'on a voulu bannir, même de ces dernières
formes
, se présente là, cependant, avec les mêmes caract
les, la production de l'in- flammation vulgaire, celte fois sous la
forme
chronique ; tandis que dans les cas de phtisie pn
nfiltrée ou discrète, comme élé-» ment fondamental, dans les diverses
formes
de la phtisie » pulmonaire; rien de plus douteux,
cernent uniquement les cellules géantes qui se rencontrent dans cette
forme
particulière du tuber-cule improprement dénommé t
c que, sur chacune de ces trois coupes, la cellule géante a changé de
forme
et de constitution; de plus, détail important, el
pte pas celte hypothèse, on doit reconnaître tout au moins qu'il a la
forme
d'une petite massue, pourvue par conséquent d'un
l'adulte, dans le cours d'une phthisie générale aiguë qui a revêtu la
forme
typhoïde. Les cas du même genre sont sans doute a
bent à la tuberculisation aiguë, surtout quand la maladie a revêtu la
forme
typhoïde, le sang se présente habi-tuellement dan
lus particulièrement, mais non exclusivement, toutefois, aux diverses
formes
du cancer dur qu'il se rattache; on l'observe tou
tômes observés pendant la vie. Si, comme tout porte à le croire, la
forme
de paraplégie dont il s'agit, n'est pas tout à fa
rebord des côtes et 4 dans le flanc gauche ; en suivant une ligne qui
forme
avec la précédente un angle légèrement obtus, don
tre 0,0009 et 0,014 millim., plusieurs d'entre eux ont, en outre, une
forme
moins régulièrement sphérique, sphéroïdale ou pol
nt des globu-les blancs très nombreux qui les accompagnaient par leur
forme
polyédrique, et, en outre, par l'action de l'acid
dans les alcalis et dans les acides. Il en résulte des corpuscules de
forme
arrondie ou ovale, généralement très irrégulière,
varie de 0mm,003 à 0mm,012. En raison de l'irrégularité même de leur
forme
et de l'absence habituelle d'un noyau distinct, c
ées en manière de fuseau, tandis que les autres rappe-laient par leur
forme
et par leur aspect les globules blancs du sang. C
des plus irrégulières; ils ont des contours anguleux et pren-nent les
formes
les plus variées : on dirait des fragments vio-le
fin, on les voit assez souvent enveloppés d'une substance hyaline qui
forme
à leur pourtour une sorte d'aréole transparente.
ement. Peut-elle se surajouter à peu près indifféremment à toutes les
formes
de l'intoxication palustre ? Meckel est porté à p
iques de l'encéphale propres aux mélanémiques, se présentent sous des
formes
assez variées : ce sont, dans les cas légers, de
t s'adjoindre. Ces accidents, en effet, quelle que soit d'ailleurs la
forme
qu'ils revêtent: céphalalgie, vertiges, délire, c
s Morton, des Weiihofï, des Torti et de tant d'autres. Or, toutes ces
formes
graves de l'intoxication palustre, même dans leur
i devint complètement idiote après avoir éprouvé une fièvre tierce de
forme
côphalique. Les troubles cérébraux dépendraient-i
ersiste longtemps après la cessation des accès et revêt décidément la
forme
chronique Alors, d'après les observations de Frer
s principaux ca-ractères chimiques, et dont nous reproduisons ici les
formes
. [Figure 41.) Obs. — Nécroscopie d'un sujet leu
croscope (430 diamètres). Les plus petits de ces globules offrent une
forme
sphéroïdafe ; ceux qui sont inter-médiaires entre
er-médiaires entre ies petits et tes normaux ; présentent çà et là la
forme
discoïde. Tous les globules rouges se sont asse
attentif démontre bientôt que ce sont des octaèdres très allongés, a
formes
très régulières et assez uniformes i. Us ont d'ai
dimensions variées. Les grands cristaux ont 0mm,04 de longueur i La
forme
octaédrique devient évidente quand on fait tourne
ins complètement au bout de plusieurs heures, et présentent alors les
formes
indiquées dans la fig. 41, e. A une tem-pérature
és. Outre les cristaux octaédriques, il y a quelques gros cristaux de
formes
peu régulières, probablement constitués par du ca
t relatives aux cristaux du sang, et nous n'y avons pas rencontré des
formes
semblables à celles des cristaux que nous avons o
à plus forte raison, au bout de vingt-quatre heures. La substance qui
forme
ces cristaux est, eneffet, en dissolution dans le
nous y avons déjà noté l'existence d'un souffle hydrémique. Foie de
forme
et de volume normaux. — Rate hypertrophiée ; elle
e elle-même étant chauffée, puis traitée par l'acide nitrique, il s'y
forme
un abondant dépôt d'albumine. Le malade n'éprou
trant, du ventricule droit par une masse de sang noir coagulé, lequel
forme
presque à lui seul le contenu de l'oreillette et
de l'obser-vation précédente, existent dans le ventricule droit. Même
forme
, même pédicule, même contenu. 3° Femme de 25 an
s. Quelques petites tumeurs en tout analogues aux précédentes pour la
forme
et le mode de connexion, sont pleines et entièrem
trouve parfois en partie rempli par une sorte de tumeur fibrineuse de
forme
régulièrement ovoïde, à surface légèrement rugueu
a percus-sion reste également muette, et cela devait être, puisque la
forme
et le volume du cœur étaient à peu près normaux,
oloration d'un blanc mat. On ne remarque aucune particularité dans sa
forme
extérieure. Les ca-vités gauches paraissent seule
cavité est rem-plie dans ses deux tiers inférieurs, par une tumeur de
forme
ovoïde, bien régulière, à surface légèrement rugu
lé- gèrement accuminée et se prolonge dans la cavité de l'aorte sou
forme
d'un pédicule très délié qu'on peut suivre dans t
ne grosse noi-sette. IV. Note sur l'endocardite ulcéreuse aiguë à
forme
typhoïde à propos d'un cas d'affection ulcéreuse
yphoïde et formation d'abcès multiples dans les deux poumons '. Une
forme
de Y endocardite ulcéreuse aiguë est remarqua-ble
qui semblent devoir être rat-tachés à une septicémie profonde. Cette
forme
par excellence grave de l'endocardite 2 a été sur
biologie, 1861, p. 205. — En collaboration avec M. Vclpian. s Cette
forme
paraît correspondre à Yendocardite gangreneuse de
anguin. Il se produit ainsi des pertes de substance dont le siège, la
forme
, l'étendue, tant en largeur qu'en profondeur, var
cardiaques, ainsi que cela peut avoir lieu d'ailleurs dans toutes les
formes
de l'endocardite ulcé-reuse, coexistent habituell
a rate, des reins, du foie, ra-rement de véritables abcès ; certaines
formes
de ramollisse-ment cérébral et certaines ophthalm
Mais ce qui distingue plus particulièrement Xendocardite ulcéreuse à
forme
typhoïde, c'est précisément l'ensemble de symptôm
esse ou dans l'état puerpéral proprement dit où elle revêt parfois la
forme
ulcéreuse. Voir sur ce sujet : Virchow, Verkandl.
. Cette ouverture admet presque l'extrémité du petit doigt; elle a la
forme
d'une boutonnière à moitié béante; c'est l'orific
un grain de chènevis ou même moins. Les abcès les plus petits ont une
forme
sphéroïdale, les plus grands ont une configuratio
des poumons, soit dans leur profon-deur, on observe des ecchymoses de
forme
irrégulière, figurant, dans certains points, de p
'artère pulmonaire. La malière qui les emplit et les distend est sous
forme
d'un cylindre plein, ramifié si le canal est rami
on songe à la possibilité d'une affection ulcéreuse de l'endocarde à
forme
typhoïde. Pendant les derniers jours de la maladi
aque externe gauches,, dans toute leur étendue, se présentent sous la
forme
cle cordons volumineux, très durs au toucher. Leu
avec le coagulum de l'iliaque externe, il se termine par en haut sous
forme
d'un cône de plus d'un centimètre de long, libre
erne, un caillot aplati, déchiqueté, correspondant par l'aspect et la
forme
avec le caillot contenu dans l'artère pulmonaire;
euse, lequel se prolonge jusqu'à l'embouchure de l'hypogastrique sous
forme
d'un caillot encore récent, décoloré à la surface
sculaire d'ordre supérieur avec lequel cette veine s'abouche, sous la
forme
d'un appendice fibrineux, le plus souvent conique
, dans tous les sens, tout en conservant jus-qu'au dernier moment, la
forme
conique et une surface lisse et régulière ; final
évidemment de date ancienne, et représen-tant assez exactement par sa
forme
le moule interne du vais-seau où il s'est formé;
provoquer toutefois d'accidents sérieux, parce que, en raison de leur
forme
irrégulière, ils ne remplissaient pas complètemen
l'artère pulmonaire est devenue complète: 1° extension du corps sous
forme
d'un léger opistonos; 2° arrêt brusque du cœur; 3
rcée par la colonne sanguine, un caillot libre de toute adhérence, de
forme
irrégulière, et relativement d'un petit volume, t
ons artérielles; il nous suffira donc défaire observer que toutes les
formes
de cette altération peuvent se rencontrer sur l
irées, prendra le nom à"anévrisme mixte interne. L'existence de cette
forme
anatomique n'est guère admise par les pathologist
n suivie de la formation d'un abcès dans la paroi artérielle. — Cette
forme
particulière est d'une extrême rareté ; nous n'en
n anévrismes vrais, mixtes externes et mixtes internes, et d'après la
forme
exté-rieure, en fusiformes ou cylindroïdes, et en
ablies, nous allons procéder à une étude détaillée de cha-cune de ces
formes
anatomiques en particulier. {Fig. 46, etc.). À.
rifice sont lisses et recouverts par la membrane interne altérée. Les
formes
anatomiques que peut affecter cette espèce partic
se for-ment pas indifféremment dans tous les anévrismes aortiques; la
forme
et le volume de la tumeur ont une grande influenc
oit. D'après une note que M. Marey a bien voulu nous communi-quer, la
forme
du pouls artériel, indiquée par le sphygmogra-phe
urs d'une autre nature siègent de préférence à droite, et offrent des
formes
plus an-guleuses. Stokes fait observer avec rai
l'aorte (Hodgson) ; mais il faut, en pareil cas, que la tumeur ait la
forme
d'un sac, et permette au sang de sé-journer assez
a 30 qui appartiennent au deuxième degré. . Le troisième degré, ou
forme
complète de l'anévrisme dis-séquant, est beaucoup
s-séquant, est beaucoup plus rare. Ici le canal accidentel a pris une
forme
plus régulière ; il est tapissé d'une membrane qu
s que ceux de l'aorte as-cendante ; mais, à l'aorte abdominale, cette
forme
spéciale n'a pas une gravité exceptionnelle, et s
ce de cette condition anatomique qui donne à la poche ané-vrismale la
forme
disséquante ou la forme circonscrite. Symptômes
atomique qui donne à la poche ané-vrismale la forme disséquante ou la
forme
circonscrite. Symptômes. Aussitôt après la rupt
te. En dehors des tumeurs anévrismales, constituées par une poche à
forme
variable, mais dont les limites sont nettement tr
s, et à la confusion de ses contradicteurs. On trouva un polype d'une
forme
très régulière, au point qu'il avait indiqué; et,
-clavière gauche, deux kystes puriformes de cette espèce, offrant une
forme
ellipsoïde, et un volume à peu près égal à celui
t entre les lamelles qui constituent les parois du vaisseau, et il se
forme
un anévrisme disséquant. Lorsqu'au contraire les
us dire ce qu'ils sont chez le cheval, où ils se rencontrent sous une
forme
beaucoup plus accentuée et en quelque sorte presq
ent, chez un homme âgé de 26 ans, par des accidents généraux graves à
forme
typhoïde. APPENDICE APPENDICE i. Sur l'in
valeur de la qualification d'a-bortive donnée par moi à une certaine
forme
de pneumonies des vieillards: elle s'applique à c
dans les cellules de l'endothélium; localisation dans les acini, sous
forme
lobulaire. Faits pathologiques qui montrent que
umo-nie fibroïde des tuberculeux (Thaon) ; carnisation (Legendre), ou
forme
pseudo-lobaire de la broncho-pneumonie ; caractèr
ppées dans le même point. — Pneumonie lobaire récurrente: Exemples. —
Formes
de la lésion: induration rouge, induration grise
ion grise ou ardoisée. II. Broncho-pneumonie chronique. — Causes. —
Formes
. — Caractères histo-logiques. III. Pneumonies c
ouze ans................ 397 IV. Note sur l'endocardite ulcéreuse à
forme
typhoïde, à propos d'un cas d'affection ulcéreu
a méla-némie), 338. Acinus pulmonaire, 20, 23. 26, 236; — nombre,
formes
, dimensions, texture des —, 21. Adénopathie tra
tructure, 289; — prolongements, 291; — siège, 291; — noyaux, 292; —
forme
, 293; — accotement, 294. Cellule vaso-formatric
. Lobules pulmonaires, Il ; — indé-pendance réciproque, dimensions,
forme
, 12; — trame conjonctive des—, 12;— comparaison a
observations de —, 140 ; — traitement, 163 ; — nosogra-phie, 164;—
formes
, 165. Pneumonie chronique des nouveau-nés, 128.
2, 157; — doctrine de la dualité de la —,2; — curabilité delà—,253;—
forme
broncho-pneumonique de la —, 271; — miliaire, 272
stance grise, leur développement ou leur effacement progressifs; leur
forme
, leur volume, leur situation; leurs rapports entr
du système nerveux cérébro-spinal renfermée dans la cavité du rachis
forme
l'axe spinal ou moelle épinière, ses éléments con
interposée entre le cerveau et le cervelet; le repli pituitaire, qui
forme
une loge au corps pituitaire. Un prolongement en
hnoïde, la pie-mère se prolonge sur les expan-sions de l'encéphale et
forme
le névrilème des racines et des troncs des cordon
de l'encéphale, d'étudier la structure des amas et des noyaux qu'elle
forme
dans sa masse, de déterminer le rôle que ces élém
noyaux centraux. § 1. — La substance grise périphérique du cerveau
forme
une couche onduleuse de 2 à 4 millimètres d'épais
. Les cellules des régions profondes, les grandes cellules, ont une
forme
nettement pyramidale, à sommet tourné vers la sup
ttement apparent, dans les circonvolutions du lobe occipital, sous la
forme
d'une bandelette blanche. Cette bandelette, signa
jonctif, renfermant un grand nombre de noyaux, appelés myëlocytes, de
forme
sphérique ou ovoïde de 9 [/.à 11 ¡x, destinés à p
e (Microphotographie, Pl. A, fig. III). Ces cellules géantes ont la
forme
d'une pyramide allongée. Le corps a l'aspect fibr
substance médullaire des circonvolutions où il se revêt de myéline et
forme
le cylinder-axis d'une fibre nerveuse. Ces cell
(1). § 2. Substance grise des noyaux centraux — La substance grise
forme
, dans la masse médullaire du cerveau vers la régi
et de dehors en dedans. Le centre moyen est le plus volumineux, sa
forme
est arrondie, son diamètre transversal a une long
he optique ; son dia-mètre est de 7 à 8 millimètres environ; il a une
forme
sphéroïdale et l'aspect d'une petite masse de sub
re histologique particulière et différente de la masse générale. Leur
forme
et leur délimitation sont dues au mode de distrib
e externe du corps strié est plus volumineuse que la précédente. Elle
forme
le noyau extra-ventriculaire ou noyau lenticulair
qui embrasse les circonvolutions de l'insula, traverse l'avant-mur et
forme
une partie de la substance innommée (Pl. XXVIII,
t en haut : les unes vers le noyau lenticulaire ; les autres, sous la
forme
d'un faisceau conoide, contournent la face intern
système de fibres convergentes, il existe un faisceau de fibres d'une
forme
particulière, qui suit un trajet différent de ce
formée par l'en-roulement de fibres nerveuses afférentes. Ils ont la
forme
et le volume d'un gros pois, et sont situés en ar
à la substance corticale, d'un volume égal à celui d'un gros pois. Sa
forme
est celle d'un cône dont la base est tournée en a
ui est tendu de l'une à l'autre paroi (Pl. I, 16). Le cervelet a la
forme
d'un segment d'ellipsoïde, composé de deux lobes
ace postérieure du névraxe. Le lobe médian présente une éminence en
forme
d'arête antéro-postérieure, nommée vermis superio
sur le vermis superior et sur le vermis inferior, des lobules dont la
forme
et les limites ne sont pas toujours très nettes,
bstance grise du noyau central. § I. La substance grise du cervelet
forme
à sa périphérie une couche corticale pliée et rep
ements. § %. Substance grise du noyau central. — La substance grise
forme
en outre à l'intérieur de chaque lobe cérébelleux
ême lobe est formé par des fibres médullaires curvilignes, tendues en
forme
d'arcs à la base de chaque lamelle. Ce sont les a
prend une direction ascendante vers les tubercules quadriju-meaux; il
forme
les pédoncules cérébelleux supérieurs. Ces troi
interne des pédoncules cérébelleux inférieurs vient aboutir, sous la
forme
d'un petit faisceau, dans la substance grise du n
e, dans toute son étendue, de chaque côté de la ligne médiane sous la
forme
de deux colonnes grises à peu près prismatiques,
on médiane juxtaposée entre les sommets des deux colonnes pyramidales
forme
la commissure grise de la moelle. Sa partie antér
entes dispositions des diverses parties de sa masse qui changent sa
forme
; elle apparaît sous l'aspect d'agglomérations et
plus élevé, enclavé dans la boucle ou genou, le fasciculus teres, que
forme
le facial à la partie moyenne du sillon médian du
rise présente autour de l'aqueduc de Sylvius une disposition cordi-
forme
. Dans les angles arrondis delà partie supérieure,
eumogastrique et le glosso-pharyngien. Plus haut, cette colonne grise
forme
le noyau inférieur du facial et le noyau de la pe
llongée de bas en haut sur le plancher du quatrième ventricule ; elle
forme
, de chaque côté des masses grises appar-tenant à
es constituant les noyaux sensitifs des nerfs mixtes ; au-dessus elle
forme
la racine postérieure du nerf auditif, connue sou
et, plus particulièrement, dans un groupe de cellules éparses, d'une
forme
ovalaire, pourvues de prolongements très minces e
tiguë au canal central après la décussation des cordons de la moelle,
forme
à la partie supérieure de l'aqueduc de Sylvius de
rieur est mal limité; celui du tubercule quadrijumeau inférieur a une
forme
beaucoup plus nette. Ces noyaux renferment de pet
t chez certains animaux; sur quelques-uns même, comme sur la raie, il
forme
un énorme ganglion bilobé libre à l'extrémité ant
ordre particulier, qui partent du chiasma des nerfs optiques sous la
forme
d'un faisceau unique. Ce faisceau contourne le bo
fascicules qui vont s'amortir séparément dans leur ganglion, sous la
forme
de lignes concentriques régulièrement emboîtées l
fférentes aux ganglions ressortent dans une direction opposée sous la
forme
de petits fascicules blanchâtres. Le fascicule du
entrale des tubercules quadrijumeaux. La substance grise du névraxe
forme
par conséquent, depuis les régions les plus infér
contre une lamelle coudée de substance grise de même nature. Cet amas
forme
le grand noyau pyramidal de Stilling, ou noyau ju
jet des fibres du pédoncule cérébelleux inférieur, la substance grise
forme
une colonne allongée, mince, irrégulière, terminé
ph., Pl. G, fig. IV). § 2. Au-dessus des olives, la substance grise
forme
un amas ovoïde considérable dans la partie antéri
ssus du bord supérieur de la protubérance, un amas de substance grise
forme
, de chaque côté de la ligne médiane, dans chaque
unâtre, légèrement rosée; ce sont les noyaux rouges de Stilling. Leur
forme
est régulièrement sphérique; leur diamètre mesure
ouge de Stilling. Ce noyau, que nous appellerons corpus Luysii, a une
forme
semi-lunaire, renflée à sa partie médiane. Il e
ves. La portion motrice des pyramides pénètre dans le bulbe sous la
forme
d'un gros faisceau fascicule, à peu près arrondi,
ns du faisceau formé par la grosse racine du trijumeau. Elle prend la
forme
d'un croissant à concavité interne dirigée vers l
entée de volume, s'infléchit en avant et en dehors; elle présente une
forme
cylindrique, légèrement spiroïde. Elle n'a plus l
oncule cérébral semble ainsi partagé en deux moitiés blanches : l'une
forme
Y étage inférieur (pes, crusta) ; l'autre est app
uvement de torsion spiroïde, pour gagner le sommet de la pyramide que
forme
le noyau lenticulaire; une partie pénètre dans ce
cule cérébral se détachent du faisceau principal, se groupent sous la
forme
d'un faisceau volumineux parfaitement distinct, p
ling. Il occupe le plan le plus inférieur des pédoncules cérébraux et
forme
leur bord le plus interne. Il se dirige obliqueme
alotte. Ils lui assignent pour lieu d'origine un amas de cellules qui
forme
l'étage moyen de la substantia innominata de Reil
de cellules nerveuses que renferme sa masse grise et émergent sous la
forme
d'un faisceau efférent conoïde, ayant l'aspect on
s sa substance grise et en ressort par la face antéro-externe sous la
forme
de fibrilles efférentes irradiées, qui se mêlent
elle épinière. Ce gros amas de substance grise donne au névraxe une
forme
protubérancielle caractéristique; il constitue un
étreux supérieurs, en avant elle entoure la protubérance annulaire et
forme
avec la gouttière basilaire le trou ovale de Pacc
hippocampes. Ces deux scissures interceptent entre elles un lobule de
forme
triangulaire, appelé lobule occipital interne ou
dehors. La partie postérieure du corps cal-leux, épaisse et arrondie,
forme
le splenium ou bourrelet, qui constitue la lèvre
ison (voir Pl. LUI). 4. — La couche optique, thalamus opticus} a la
forme
d'un ovoide dirigé d'avant en arrière. Sa face su
a substance médullaire des circonvolutions, rend plus apparentes leur
forme
et leurs limites. En bas et en avant, on aperçoit
A la région postérieure, ces fibres sont unies avec la bandelette qui
forme
les piliers postérieurs du trigone. En avant, le
o-postérieure a enlevé la substance grisâtre de la couche optique qui
forme
la paroi du ventricule moyen. Elle montre la disp
t appelée étage supérieur (tegmentum). La protubérance annulaire a la
forme
d'un noyau ovoïde de substance grise, traversé ho
ubstance grise de ces noyaux. La protubérance annulaire conserve sa
forme
en noyau. Sa substance grise est traversée vertic
a section de la commissure blanche antérieure (5, Pl. VI) conserve sa
forme
circulaire; elle apparaît dans les noyaux jaunes
tale, de cavité digitale ou ancyroïde (3); le prolonge-ment inférieur
forme
la corne sphénoïdale, dans laquelle s'engage le p
ervelet. Les fibres médullaires efférentes se di-rigent en avant sous
forme
d'un gros faisceau. Le corps rhomboïdal (20) est
sseur, faite en dehors du plan médian. La substance grise corticale
forme
, à la périphérie de la coupe, une couche ondulée
it sillon, de la substance grise du ganglion olfactif. La voûte que
forme
le corps calleux n'est plus apparente ; les fibre
les faisceaux de fibres médullaires qui vont s'y distribuer sous une
forme
arborescente. XI. — Encéphale dont on a détaché
il. 12. — Section de la commissure blanche antérieure conservant la
forme
d'une bandelette circulaire. 13. — Section des
sseur, faite en dehors du plan médian. La substance grise corticale
forme
des traînées grises dans la substance médullaire.
aire une courbe ellipsoïde composée d'un grand nombre de replis. Elle
forme
avec la substance blanche une surface ovalaire, d
rémité postérieure, appelée bourrelet ou splenium, est arrondie; elle
forme
la lèvre supérieure de la fente cérébrale de Rich
unit au septum lucidum, puis elle s'arrondit, s'infléchit en bas sous
forme
d'un cordon, nommé pilier antérieur du trigone, p
es : celle qui est en rapport avec le ventricule latéral et celle qui
forme
la paroi de la cavité. 15. — Prolongement occip
us communément appelée capsule interne. L'intersection des deux plans
forme
le genou de la capsule interne. Le faisceau des f
nétra-tion des fibres convergentes dans l'intérieur de sa masse et la
forme
du centre anté-rieur (10, Pl. XVI11) qui a acquis
faisceau blanc appelé capsule interne : ces fibres pénètrent sous la
forme
de petits filaments dans la substance grise de ce
tricule moyen et gagne latéralement les cavités sphénoïdales, où elle
forme
l'origine des plexus choroïdes des ventricules la
cavité est nommée subiculmn; le corps frangé, corps bordant ou bordé,
forme
la fimbria. La substance grise remplit l'espace c
cicules isolés occupent la région lenti-culo-striée. Le fascicule qui
forme
la capsule externe (4) se porte le long de la fac
elette accessoire des noyaux rouges de Stilling. Ce petit noyau a une
forme
semi-lunaire, renflée à sa partie médiane. Il éme
es fibres spinales antérieures. 13. — Noyaux rouges de Stilling, de
forme
sphérique, constitués par un amas de substance gr
icules isolés dans la substance grise du corps strié. Le faisceau qui
forme
la capsule externe suit la face externe du noyau
ne naissance aux faisceaux efférents cérébelleux; le groupe supérieur
forme
les pédoncules cérébelleux supérieurs qui se diri
ace perforé posté-rieur, c'est-à-dire au sommet de l'infundibulum que
forme
le ventricule moyen. Ils sont constitués par un a
ulaire, par sa réunion à celui qui est fourni par le tronc basilaire,
forme
, à la base du cerveau, un cercle artériel appelé
). 5. — Tuber cinereum ou corps cendré. Cet amas de substance grise
forme
le plancher du ventricule moyen ; il constitue la
issurantes repose sur la face supérieure des noyaux opto-striés. Elle
forme
ainsi un espace libre que l'on appelle cavité des
tion est constituée par l'évasement du canal central de la moelle; sa
forme
est celle d'un losange que traverse le sillon méd
re ouputamen, séparée de Pavant-mur (6) par le faisceau de fibres qui
forme
la capsule externe (7). 8. — Section de la subs
e, connue sous le nom de grand noyau pyramidal de Stilling (31), a la
forme
d'une colonne aplatie, coudée à angle droit en de
a substance grise corticale circonscrit les fibres médullaires ; elle
forme
à l'inté-rieur l'écorce des circonvolutions de l'
érance, par la coupe du lobule du pneumogastrique, reconnaissais à la
forme
spéciale de ses arborisations. XLIII. — Encépha
rpus Luysii (16, Pl. XLÏ1) présente ses plus grandes dimensions et sa
forme
semi-lunaire. [1 reçoit des fibres cérébelleuses
isceaux de fibres arci-formes occipito-frontales. 6. — Faisceau qui
forme
la capsule externe. 7. — Segment externe du noy
ieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale
forme
autour du centre médullaire une sorte d'écorce pé
térieur ; elle est limitée en bas par la substance grise centrale qui
forme
le plancher du ventricule moyen. La portion hor
nte. Cet espace est diamétralement opposé à l'orifice nommé Anus, qui
forme
l'ouverture anté-rieure de l'aqueduc de Sylvius.
e sur le bord externe du gyrus rectus, dans la scissure olfactive, la
forme
triangulaire de la coupe du tronc des nerfs olfac
onvergentes des régions inférieures et internes. 5. — Fascicule qui
forme
la capsule externe. 6. — Substance grise de Pav
upérieur et parleur bord inférieur aux deux portions de la boucle que
forme
le genou du corps calleux (voir Pl. II). 10. —
upe du tronc du nerf olfactif dans la scissure olfactive, montrant sa
forme
triangulaire et la situation centrale de la subst
'Encéphale ne comprend que les lobes frontaux. La substance grise qui
forme
la couche corticale est moins abondante que dans
ce grise du corps strié. Ces fibres s'immergent dans sa masse sous la
forme
de petits filaments très déliés et onduleux. 4.
ricules latéraux. 8. — Coupe du tronc du nerf olfactif, montrant la
forme
triangulaire et la substance grise située à la ré
dant à l'anatomie descriptive et qui s'occupe des altérations dans la
forme
, la consistance, la couleur, en tant qu'elles peu
en travers, — il s'agit toujours du foie du porc, — se montrent sous
forme
d'espaces polygonaux, à cinq ou six côtés juxtapo
par une arrête. Cette description, un peu aride, vous montre que la
forme
revêtue par chaque ballon sera celle d'un octaèdr
Maladies du fuie. 2 capillaires, les cellules se dessinent sous la
forme
de quadrila-tères, dont les angles sont excavés d
es suivant le grand axe. Les cellules se présenteront alors sous la
forme
de rangée de rectan-gles allongés, séparés de cha
cellule hépatique que, jusqu'ici, nous connaissons seulement sous la
forme
schématique. Il importe, au point de vue anatomo-
ociation dans le foie de l'animal vivant, elles se présentent sous la
forme
de sphéroïdes à facettes, laissant voir, quand il
ier lieu, quelles sont les modifications qui peuvent survenir dans la
forme
des éléments. Supposons une distension permanente
vent la digestion, laquaulité de graisse infiltrée est telle qu'il se
forme
de grosses gouttelettes dont la présence a pour e
cellu-laire par le procédé que je viens de décrire peux revêtir deux
formes
principales : la forme aiguë ou même suraiguë, et
édé que je viens de décrire peux revêtir deux formes principales : la
forme
aiguë ou même suraiguë, et la forme lente. a) U
êtir deux formes principales : la forme aiguë ou même suraiguë, et la
forme
lente. a) Un exemple de la première forme nous
ë ou même suraiguë, et la forme lente. a) Un exemple de la première
forme
nous est donné par l'altération hépatique connue
rofondes clans la composition chimique du foie. C'est ainsi que, sous
forme
cristalline, on trouve, soit immédiatement, lors
tié du corps de la cellule. Telles sont, Messieurs, les principales
formes
des lésions élémentaires des cellules hépatiques.
-quels l'épithélium tend à s'aplatir progressivement et à pren-dre la
forme
cubique ; en même temps que le diamètre relatif d
fissures qui séparent les lobules. Ici encore, l'épithélium offre la
forme
cubique. Ces canaux composent, dans l'intervalle
eures, que, sur une pareille coupe, les cellules apparaissent sous la
forme
d'un rectangle à grand axe dirigé parallèlement a
njection que l'on re-trouve aussi dans l'intervalle des cellules sous
forme
d'un fin réseau 'Réseau d'Andrejevie et Mac Gilla
ysiologie, 1871 et Manuel danatomie pathologique. (3) Etude sur une
forme
de cirrhose hypertrophique du foie. Thèse de Pari
r que, dans quelques cas de cirrhose, appartenant principalement à la
forme
hypertrophique, les canaux biliaires interlobulai
oit dans le lobule, dont les cellules hépatiques ont dispa- dans la
forme
de cirrhose à laquelle je fais allusion (1). (Fig
où, en dehors même d'un état pathololgique, le pigment biliaire, sous
forme
grenue, s'est déposé dans leur cavité. 2° Mais,
es. Ainsi, sur certaines coupes, cinq ou six cellules épithéliales de
forme
pyramidale reposent par leur base sur le contour
autres éléments du lobule : c'est ce que l'on observe dans plusieurs
formes
de la cirrhose que, pour cette raison, on appelle
le foie, s'y observe au contraire très fréquemment, au moins sous la
forme
miliaire. Le microscope est souvent nécessaire po
rine. Cette substance nous intéresse spécialement, car c'est elle qui
forme
la presque totalité de la plupart des calculs bil
vi. Maladies du foie. 5 lantes, micacées, et, au microscope., sous
formes
de tablettes rhomboïdriques (système du prisme rh
raisses dans l'intestin. Tous les autres auteurs pensent qu'elle se
forme
dans d'autres régions de l'organisme et qu'elle e
me de la trombose ou de l'embolie des accidents dont la gravité et la
forme
dépendent du siège de la lésion. En résumé, il
une disposition cristalline nettement définie ou bien encore sous la
forme
de cristaux. On obtient ces derniers par l'action
c) Les deux sels sont obtenus, comme produit de labora-toire, sous
forme
cristalline. Les acides de chacun d'eux peuvent ê
esser d'être tenus en solution et se déposent au sein du liquide sous
forme
solide. a) C'est en particulier ce qui arrive p
es circonstances, la bilirubine peut se concréter, elle aussi, sous
forme
soit d'aiguilles cristallines, soit de masses amo
é les uretères, se rencontre en forte proportion dans la bile sous la
forme
d'urate de soude et se dépose même à l'état concr
à la pré-sence, dans les matières fécales, de sulfure de mercure sous
forme
pulvérulente. 6° On sait de longue date que, da
liaire, on trouvait un noyau pulpeux qui, lavé, se présentait sous la
forme
de filaments cylindriques, offrant des branches l
recueillie durant la vie et se retrouver cependant après la mort sous
forme
cristalline, non-seulement dans le foie mais enco
es précédents à l'atrophie jaune aiguë du foie. 11 s'agit ici d'une
forme
particulière de fièvre intermittente symptomatiqu
s des voies urinaires (fièvre intermittente cysto-néphrétique) et qui
forme
en quelque sorte le pendant de la fièvre hépatiqu
s'agissait soit de la fièvre intermittente simple, soit des diverses
formes
hépatiques de la fièvre intermittente symptomatiq
; l'urée ne se produit qu'en proportion minime et, à sa place, il se
forme
des substances moins élevées dans la série, à sav
z), dans la sueur, la salive, le liquide cérébro-spinal, etc. Mais se
forme-t
-elle au sein de ces liquides, ou au contraire se
te, j'entends la goutte véritable, dans laquelle l'acide urique, sous
forme
d'urate de soude, s'accumule dans le sang et figu
articulaire, la lésion locale est caractérisée par la présence, sous
forme
cristalline, de dépôts d'urate de soude dans l'ép
tic. 2° L'urate de soude se rencontre encore chez les goutteux sous
forme
concrète dans les viscères, sur la face interne d
en 1856 par M. Cl. Bernard. Elle se présente dans le laboratoire sous
forme
d'une poudre blanche, légère, amor-phe, qui, sous
n indirecte, en produi-sant, comme nous le dirons tout à l'heure, une
forme
parti-culière de glycosurie. Je ne m'arrêterai
entes altérations du foie ou des voies biliaires, telles que certaine
forme
de la cirrhose, l'an-giocholite catarrhale ou sup
t en quelque sorte sur la cavité de la vési-cule dont ils prennent la
forme
. — Les calculs multiples — et c'est là un point q
frent d'ordinaire des facettes planes ou arrondies. Quelquefois, la
forme
générale est ovoïde et les facettes évidemment pr
les cherche avec quelque attention. D'autres fois, chaque calcul aune
forme
pyramidale, tétraédiique, etc. Dans ce dernier ca
s en quantité relativement considérable (surtout chez les ruminants),
forme
des couches blanchâtres, paraissant, en dehors de
lestérine, dans les calculs biliaires, se montre d'ordi-naire sous la
forme
cristalline. C'est à cette circonstance, en défin
siquement. La cholestérine se reconnaît sans peine au microscope à la
forme
des petits fragments qu'on détache de la zone rad
morphe, plus ou moins mélangée avec la matière colorante pigmentaire,
forme
quelquefois des calculs entiers ou plus fréquemme
itution de la majorité des calculs. Toutefois, il est rare qu'elle en
forme
la plus grande partie. En général, c'est dans le
la trouve en quantité assez notable. Là elle se présente : 1° sous la
forme
de bilirubine pure, soluble dans le chloroforme e
une combinaison de biliverdine avec la chaux assimilable à celle que
forme
la bilirubine avec cette base. Les calculs, ass
liaires, doivent donc se précipiter. La Cholesterine se dépose sous
forme
cristalline ; la biliru-bine soit sous forme cris
lesterine se dépose sous forme cristalline ; la biliru-bine soit sous
forme
cristalline, soit combinée à la chaux. Cette dern
grumeaux de mucus pigmenté, le pigment biliaire lui-même déposé sous
forme
cristalline ou en masses amorphes, des cristaux d
toire de la migration des calculs biliaires par les voies naturelles,
forme
un ensemble très étendu et très complexe. Le temp
Il résulte de cette fusion un conduit unique, très court, dilaté sous
forme
d'ampoule et qu'on désigne communément sous le no
se présentent par conséquent, sur les coupes longitudinales, sous la
forme
de longues bandelettes. Sur les coupes transversa
ransversales, la surface de section de ces faisceaux apparaît sous la
forme
d'espaces arrondis. Il n'existe pas, ainsi que
crites dans un mé-moire spécial (1). Ce sont des convulsions épilepti
formes
qui affectent d'abord les muscles de la région ab
ge n'a pas amené d'ictère atteignaient le volume d'une noisette. La
forme
anguleuse des calculs ne peut pas être invoquée n
qu'il y ait eu jaunisse, il en est un certain nombre qui offraient la
forme
tétraédrique. Il est donc nécessaire de faire i
ou sans angïocholite concomitante. Je vous ai déjà entretenu de cette
forme
de fièvre intermittente symptomqtique, hépatique
migration des cholélithes par les voies biliaires, considérée dans sa
forme
régulière, me semblent suffisants; aussi, vais-je
le. La distension de la vési-cule est constamment présente dans cette
forme
d'hépato-macrosie et c'est là, vous le comprenez,
auxquels on a pratiqué la ligature. Je relèverai seulement que cette
forme
de cirrhose, qui a pour effet de rétrécir progres
suppuration qui succède à la péri-angiocholite se présente sous deux
formes
principales: 1° Tantôt, on voit survenir au voisi
; — marche chronique ; — terminaison. Analogies entre les diverses
formes
de fièvre hépatique et les accidents de la fièvre
nerai cet exposé symptomatologique par une brève description de cette
forme
de fièvre intermittente sympto --matique à laquel
recueillies dans divers auteurs, les caractères fondamentaux de cette
forme
de fièvre intermittente. Victère peut, actuelleme
enant, en quelques mots,les analogies qui existent entre les diverses
formes
de la fièvre hépatique et les accidents du même g
voquée revêtent dans quel-ques circonstances le caractère pernicieux,
forme
algide (Per-drigeon), forme apoplectique (Grisoll
es circonstances le caractère pernicieux, forme algide (Per-drigeon),
forme
apoplectique (Grisolle) (4). Ces accidents vari
les alté-rations des voies urinaires qui accompagnent les différentes
formes
de la fièvre uro-septique méritent d'être mises e
particu-lier, d'où dépendraient les accidents très spéciaux de cette
forme
de fièvre intermittente. (1) M. Charcot a vu ré
ées, dont nous devons actuellement entreprendre l'étude parce qu'elle
forme
un des chapitres les plus intéressants de la path
directes entre la vésicule et les parois abdo-minales, ou bien, il se
forme
un cloaque. L'ouverture s'opère quelquefois au ni
es et de certaines cirrhoses. Mais, je crois utile d'insister sur une
forme
d'angiocholite primitive, la plus intéressante pe
s attributs carac-téristiques. — c) Enfin, nous verrons que certaines
formes
de cirrhose se constituent quelquefois comme mala
yo-sclérotiques de la paralysie pseudo-hypertro-ptiique, les diverses
formes
de scléroses des centres ner-veux, la néphrite in
e scléroses des centres ner-veux, la néphrite interstitielle (une des
formes
de la maladie de Brigth); enfin, au premier rang,
nier point, en vous exposant succinctement le tableau de l'une de ces
formes
récemment décrites de l'hé-patite interstitielle
torique qui, d'ailleurs, n'est poinl étendue. Anatomiquement, cette
forme
d'hépatite diffère de la cirrhose vulgaire : 1° p
,920 gr. Il paraît pro-bable que jamais le volume du foie, dans cette
forme
, ne subit de réduction sensible, car les poids in
a cependant, nous le verrons, des réserves à faire à cet égard. La
forme
générale de l'organe n'est pas d'ailleurs sensibl
jouent les canalicules biliaires dans la production des lésions de la
forme
de cirrhose hypertrophiques que nous étu-dions.
parenchyme hépatique. Nous avons donc sous les yeux, en résumé, une
forme
de cirrhose dont le point de départ est dans les
é de l'ictère si souvent observées dans la clinique. Voilà donc une
forme
particulière d'obstruction des voies biliaires, c
que, reparaît dans l'étude clinique avec ses caractères spéciaux : la
forme
, le volume et quelques-uns des autres caractères
e l'espère, d'autant plus d'intérêt que de la comparaison de ces deux
formes
ressortira un contraste plus frappant. Un mot d
Charcot. Œuvres complètes, v. vi, Maladies du foie. 16 signer la
forme
d'altération du foie dont il s'agit ne doit pas ê
surtout sur les caractères cliniques, a émis l'avis qu'il existe une
forme
de cirrhose hypertrophique qui persiste telle que
i nous ont fait connaître les caractères anatomi-ques propres à cette
forme
de cirrhose, en particulier l'altéra-tion spécial
u scalpel, non plus que sur sa déformation générale qui lui donne une
forme
globuleuse, des bords mousses, etc. Mais, je dois
épaissie et opaque ou mieux, lorsque celle-ci a été enlevée, sous la
forme
de petites masses sphériques, ovoïdes, d'inégales
lir à eux seuls une ligne de démarcation tranchée entre les diver-ses
formes
de la cirrhose et qui, à mon sens, ont été surtou
e la cirrhose vulgaire, la cirrhose hypertrophique et quelques autres
formes
d'hépatite interstitielle. Ie Nous commencerons
irement à ce qu'écrivent certains auteurs qu1 ont confondu toutes les
formes
de cirrhose dans une môme description, le tissu c
à la fois intra-lobulaire et extra-lobulaire, Autour du lobule, elle
forme
des anneaux complets; mais en même temps, dans le
distinct, comme vous le voyez, du précédent, se rattache à certaines
formes
d'hépatite intersti-tielle encore assez mal déter
obstacle à la circulation hépatique, ces vaisseaux se dilatent. ïl se
forme
un courant principal. En général, c'est la veinul
rusque, heurtée, sans transition; on ne voit pas, comme dans d'autres
formes
de la cirrhose, la cirrhose hypertrophique par ex
bre variable de points, de foyers, où les cellules, ayant conservé la
forme
polygonale, sont devenues de très petites dimensi
s : Des tractus de second ordre, on voit partir des tra-vées ayant la
forme
d'un promontoire obtus ou acuminé à son extrémité
serai bref sur ce qui concerne l'état des voies biliaires, dans cette
forme
de cirrhose. Les canaux volumineux ne présentent
et la cir-rhose pourraient coïncider. La maladie de Bright, dans sa
forme
atrophique, est quel-quefois sous la dépendance d
t, le plus souvent, non pas avec des degrés successifs, mais avec des
formes
distinctes de la maladie. Avant d'aborder ce chap
respond pas exactement au point où le canal de Henle se recourbe sous
forme
d'anse ; tantôt, en effet, l'anse se fait aux dép
ap-pellent celles des tubuli contorti. Bientôt le conduit s'effile et
forme
alors le canal d'union qui s'abouche lui-même ave
e petits points fon-cés (glomérules, c) représentent le labyrinthe.
forme
de petits cônes moins colorés que ne le sont les
Rolliker compare ce tissu à celui de la névroglie qui, sui-vant lui,
forme
un véritable réticulum, un réseau de cellules; ma
és les plus superficiels de l'écorce. Dans les rayons médul-laires il
forme
un réseau capillaire à larges mailles, qui commun
elle se trouve à l'état de concentration extrême, c'est-à-dire, sous
forme
d'un dépôt cristallin. Charcot. Œuvres complète
ntournés. Étude des cylindres urinaires dans l'urine. — Variétés de
forme
et de volume. — Variétés suivant les caractères o
maladie de Bright. — Doctrine de l'unicité et de la mul-tiplicité des
formes
. — Caractères généraux des différentes formes: Gr
de la mul-tiplicité des formes. — Caractères généraux des différentes
formes
: Gros rein blanc; — Rein contracté; — Rein amyloï
s'observent fré-quemment chez les goutteux, en même temps qu'une des
formes
de la néphrite interstitielle chronique. Ces dépô
nique. Ces dépôts, qui sont visibles à l'œil nu, se dessinent sous la
forme
de petites stries d'un blanc crayeux dans la subs
. 2° A côté des infarctus uratiques cristallins, il faut placer une
forme
de gravelle qu'on pourrait appeler gravelle du re
lètes de M. Charcot, p. 425-457. (B). 3° Il existe encoró une autre
forme
d'infarctus uratiques, auxquels on a fait jouer u
ot), accumulées dans les canaux collecteurs, elles se présentent sous
forme
d'aigrettes sur la surface de section des pyramid
'a jamais vu les capsules de Bowmann obstruées par la matière qui les
forme
; mais en dehors de ce point, on les peut trouver
titution des cylindres. Ceux-ci se présentent au cen-tre du tube sous
forme
d'une masse amorphe transparente, quelquefois gra
ns les anses de Henle ; 3° On les rencontre surtout dans les diverses
formes
delà maladie de Bright. 4° Dans la stéatose phosp
es entrent dans la constitution des cylindres, qui se présentent sous
forme
d'un magna granulo-graisseux composé d'une masse
ux contournés devront être spécialement étudiés à propos des diverses
formes
anatomiques de la maladie de Bright ; mais il est
qui se sont formés dans ce liquide par le repos. a) Le volume et la
forme
des cylindres urinaires varient très vraisemblabl
de chose à ajouter concernant la signification clinique des diverses
formes
de cylindres urinaires. Je me bornerai aux remarq
tielle. Leur présence peut donc servir à éclairer le diagnostic de la
forme
, et même dans des cas douteux, le diagnostic abso
, l'occasion de revenir sur ce sujet à propos de l'étude des diverses
formes
de la maladie de Briglh. III. Je me propose a
utôt de la multiplicité en matière de maladie de Bright, les diverses
formes
d'altérations rénales révélées à l'autopsie corre
vement chroniques; car j'éloigne du cadre de la maladie de Bright les
formes
aiguës d'affections rénales que l'on rapporte hab
maladie. J'aurai plus tard à justifier cette exclusion. A. Première
forme
. — Etiologie. — La maladie se voit surfout chez l
parties oedématiées ; symptômes urémiques moins fréquents que dans la
forme
suivante, et souvent provoqués par un traitement
su conjonctif n'est altéré que secondairement quand il l'est. Celte
forme
, qui répond, au second stade des auteurs uni-tair
st sans doute familière, je crois de-voir la conserver. B. Deuxième
forme
. — Étiologie. — Les sujets succom-bent entre cinq
tes, elles constituent un des caractères les plus importants de cette
forme
; hypertrophie du cœur gauche, sans lésions val-v
ésions val-vulares ; rétinite albuminurique, presque spéciale à cette
forme
; hémorrhagies par diverses voies ; athérome arté
nt que consécutivement. C'est donc une néphrite interstitielle. Cette
forme
de néphrite, exception-nellement primitive, est l
-sinets doivent en être nosographiquement séparées. C. La troisième
forme
a été, dans tous les écrits récents,, nettement
à tout âge, mais surtout de vingt à trente ans. CUniquement, cette
forme
se rapproche de la précédente par la lenteur de l
lésions. Dans mon opinion, ainsi que je vous l'ai annoncé déjà, les
formes
variées d'altérations rénales dont il s'agit ne r
nterstitielle) d'autre part ; le troisième type est représenté par la
forme
amyloïde. I. La distinction que je vous propo
« J'ai été conduit à croire, dit-il quelque part, qu'il y a plusieurs
formes
de maladies subies par le rein dans l'hydropisie
bien sûr que ces vues soient correc-tes », et il ajoute que les trois
formes
qu'il a décrites ne sont peut-être que des modifi
la néphrite albumineuse, peuvent être, suivant lui, rattachées à six
formes
principales, « probablement succes-sives ». La
e maladie, à l'hydropisie qui est, pour ainsi dire, la rè-gle dans la
forme
caractérisée par le gros rein blanc. Cet ar-gumen
ule, p. 768, 1876. — Tous ces écrits concluent à. la multiplicité des
formes
do la maladie de Bright. Fig. 33. — Coupe faite
vergence parmi la grande majorité des auteurs qui ont séparé les deux
formes
de la maladie de Bright. Seul, M. G. Jonhson a so
rappelle ce qui a lieu pour les capillaires biliaires dans certaines
formes
de la cirrhose du foie, cl pour les parois des al
ois des alvéroles ondes conduits alvéolaires du poumon dans certaines
formes
de la broncho-pneumonie subaiguë ou chronique.
ode plus avancée, le glomérule a subi la transformation fibreuse ; sa
forme
est encore esquissée, mais il présente un aspect
tieuse que nous venons de faire des lésions du rein, dans la première
forme
de la maladie de Bright, peut servir à éclairer l
e. Ce caractère lire du chiffre peu élevé de l'albumine, dans celle
forme
de maladie de Bright, a été remarqué par tous les
right, a été remarqué par tous les auteurs qui ont distingué les deux
formes
et il a servi à accuser encore cette distinction.
que, suivant tous les auteurs qui ont songé à établir entre les deux
formes
de la maladie de Bright une séparation tranchée,
ignaler la prédominance très marquée des ac-cidents urémiques dans la
forme
interstitielle de la maladie de Briglit. A. — C
ésigne sous le nom fturémie chronique. Sans entrer dans le détail des
formes
qu'ils peuvent présenter, je vous en signalerai s
ut arriver que l'amhlyopie s'établisse d'une façon perma-nente. Cette
forme
d'amblyopie n'est souvent qu'un phéno-mène précur
euvent encore, dans la néphrite insterstitielle, se présenter sous la
forme
aiguë, avec des caractères insolites : Io un indi
ser la pression cardiaque ; en outre, par le fait de la fièvre, il se
forme
une quantité anormale d'urée qui, non excrétée su
acide urique, en pareille circonstance, s'accumule dans le sang, sous
forme
d'urate de soude, et telle paraît être, au moins
romaleuse des artères les lésions de la rétine, fréquentes dans cette
forme
de maladie de Bright et inconnues en quelque sort
ein blanc (Néphrite parenchymateusë). Sommaire. — Synonymie. — Deux
formes
: aiguë et chronique. Forme chronique. — Examen
eusë). Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique.
Forme
chronique. — Examen macroscopique: — tuméfaction,
Marche et durée. Messieurs, Nous étudierons aujourd'hui celle des
formes
de la mala-die de Bright que l'on désigne communé
ans l'affection dent il s'agit, contrairement à cé qui a lieu dans la
forme
précédemment étudiée, la lésion se localise tout
On reconnaît généralement, dans la néphrite parenchyma-teuse, deux
formes
bien distinctes au point de vue clinique : Io une
-teuse, deux formes bien distinctes au point de vue clinique : Io une
forme
aiguë ; 2° une forme chronique. Je n'envisage-rai
ien distinctes au point de vue clinique : Io une forme aiguë ; 2° une
forme
chronique. Je n'envisage-rai ici que les formes s
e forme aiguë ; 2° une forme chronique. Je n'envisage-rai ici que les
formes
subaiguë et chronique primitive. L'une des figu
aux, est ici effacée ; les vaisseaux ne se montrent que çà et là sous
formes
de rares taches disséminées. Sur des coupes, on r
e la substance corticale. B. Etude histologique. — 1° Lorsque cette
forme
se pré-sente dans toute sa pureté, les altération
right dans sa 3e planche (1), par Rayer dans sa 8e (2). C'est la 4e
forme
décrite par ce dernier auteur. Johnson appelle le
té, de sorte que, en pareil cas, la séparation établie entre les deux
formes
pourrait, au pre-mier abord, paraître arbitraire.
urs, les principaux états anatomiques qui doivent être rattachés à la
forme
de la maladie de Bright (1) Motley and tubercul
marcation subsiste sur le terrain de la clinique. À. Le début de la
forme
de maladie de Bright, qui se traduit anatomiqueme
odification appréciable. Valbuminurie est très accentuée dans cette
forme
de maladie de Brighl ; certains malades perdent d
omène le plus saillant ; elle est, pour ainsi dire, constante dans la
forme
de maladie de Brighl que nous étudions, et, déplu
e formulais en commençant cette série d'études, à savoir que les deux
formes
de maladie de Bright, caractérisées anatomiquemen
e la solu-tion, mais privée d'alcali, et elle se montre alors sous la
forme
d'une substance de consistance gélatineuse qui of
substance formée d'abord dans le sang, ou bien la matière amyloïde se
forme-t
-elle sur place aux dépens des tissus préexistants
les sont présentes, de soupçonner l'existence de l'une quelconque des
formes
d'altération amyloïde, en particulier l'altératio
comme causes possibles le rhumatisme articu-laire chronique, diverses
formes
de cancer ; il ne faut pas oublier que, dans plus
n intra-rénale du produit de la sécrétion urinaire, constituant une
forme
particulière d'ischurie ou d'anurie méritant vrai
me après l'extir-pation du rein. Il faut donc admettre que le rein le
forme
de toutes pièces, aux dépens de substances prée
asser du sang conte-nant de l'acide benzoïque et du glycocolle, il se
forme
dans le sang de l'acide hippurique. Cette synthès
ifiques de l'urine, urée et acide urique ; c'est là sans doute que se
forme
de toutes pièces l'acide hippurique qui ne préexi
arent, tandis que, dans celle qui contient l'albumine de l'œuf, il se
forme
à la surface une condensation jaunâtre qui repré-
pathogéniques générales de l'albuminurie avant d'aborder l'étude des
formes
anatomo-pathologiques de la néphrite albumineuse
r ligature du canal cholédo-que chez le cochon d'Inde). Différentes
formes
de la cirrhose du foie. — Les contours des lobule
; — marche chronique ; — terminaison. Analogies entre les diverses
formes
de fièvre hépatique et les accidents de la fièvre
ntournés. Étude des cylindres urinaires dans l'urine. — Variétés de
forme
et de volume. — Variétés suivant les caractères o
maladie de Bright. — Doctrine de l'unicité et de la mul-tiplicité des
formes
. — Caractères généraux des différentes formes: Gr
de la mul-tiplicité des formes. — Caractères généraux des différentes
formes
: Gros rein blanc; — Rein contracté ; — Rein amylo
ein blanc [Néphrite parenchymateuse). Sommaire. — Synonymie. — Deux
formes
: aiguë et chronique. Forme chronique. — Examen
euse). Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique.
Forme
chronique. — Examen macroscopique : — tuméfaction
odeur du chloro- DERMONEUROSE STÉREOSRAPHIQUE ET ÉRYTHRASMA. 11 1
forme
et de l'éther; mais sans reconnaître ces substanc
apparition d'une papule érytho- mateuse, répondant exactement comme
forme
et dimensions à la macule érythémateuse qui lui
cependant suivie de l'apparition d'une macule érythémateuse de même
forme
et de même dimension qui se recouvrit bientôt d'u
phie, 7t, 12. 188. Archives, t. XVII. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE.
formes
ou de croûtes de l'intertrigo et de l'eczéma de
ique pourrait en imposer; mais, alors même qu'il n'affecte pas la
forme
circinée qui lui est habituelle, il est plus roug
c'est-à-dire des symptômes qui peuvent figurer au tableau de cette
forme
; 2° des symptômes néga- tifs, c'est-à-dire des
nt et ne doivent même pas prendre part à la constitution de cette
forme
clinique d'accidents spinaux. A. Symptômes posi
même, il devient un des caractères majeurs et fondamentaux de cette
forme
; c'est encore une nou- velle confirmation de l
pas de ceux qui ont été observés au syndrome spasmodique de notre
forme
centrale spinale latérale, dont il est le seul
odique. L'étude de l'évolution., du syndrome spasmodique de cette
forme
a présenté les mêmes caractères dans sa marche
orme a présenté les mêmes caractères dans sa marche que celui de la
forme
centrale spinale latérale : à savoir un mois en
t même pas manquer de jouer son rôle dans la scène morbide de cette
forme
spinale. On a pu facilement remarquer que ce sy
dique un caractère fondamental. Ces deux syndromes caractérisent la
forme
centrale postéro-latérale. Le syndrome de sympt
Le syndrome de symptômes tabé- toïdes sert à la différencier de la
forme
centrale laté- raie. L'existence constante au c
e constante au contraire du syndrome spasmodique la distingue de la
forme
centrale posté- rieure. Les différents symptôme
dy- sesthésies ou anesthésies en plaques ; soit enfin changer de
forme
et se pervertir. Cette perversion est très curi
abétoïde qui constituent les deux caractères sine quia non de cette
forme
, passons à l'examen très rapide des symptômes n
a multiplicité et de la variabilité des symptômes du début de cette
forme
en d'autres termes le début est éminemment poly
ctères, dis-je, pris dans leur ensemble servent à spécialiser notre
forme
centrale spinale postéro-latérale. Car son tabl
éro-latérale. Car son tableau clinique, tel qu'il existe pour cette
forme
ne se rencontre dans aucune autre maladie connu
e dans aucune autre maladie connue du système nerveux central. C.
FORME
CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE. Observation XX (M
. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 39 PATHOLOGIE DE LA
FORME
CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE. Cette forme d'acc
ES. 39 PATHOLOGIE DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE. Cette
forme
d'accidents spinaux est bien moins fréquente qu
son observation, il nous a grandement secondé dans l'étude de cette
forme
clinique etje suis heureux de lui en témoigner
cas, essayons d'esquisser les grands traits de la pathologie de la
forme
centrale spinale posté- rieure. Avant de proc
vant de procéder à la description des différentes périodes de cette
forme
, je me hâte de remarquer que chez le malade de
ptôme que nous avons déjà vu dans la symptomatologie du début de la
forme
centrale spi- nale latérale (OBS. V). Elle a ét
étrospectif sur les trois observations qui forment la base de cette
forme
spinale, qu'on fixe son attention sur le mode d
s, présente généralement les mêmes caractères, quelle que soit la
forme
à laquelle elle appartient. En effet, chez les
tilité. Cette altération est repré- sentée chez nos malades sous la
forme
de paralysie. La 'sensibilité aurait été complè
du rectum figurées dans les trois observations ont revêtu la même
forme
que ceux de la vessie, à savoir : chez les deux
sentiel et fondamental, c'est l'aboutissant par excellence de notre
forme
cen- trale spinale postérieure. Passons mainten
légie spasmodique. Ce syndrome, qui était le seul aboutissant de la
forme
centrale spinale latérale et qui constituait av
tituait avec le syndrome tabétoïde la vraie caractéristique de la
forme
centrale spinale postéro-latérale fait au contrai
rme centrale spinale postéro-latérale fait au contraire défaut à la
forme
centrale spinale postérieure. b). Symptômes mya
essie et du rectum. A une étape plus ou moins ultérieure de cette
forme
, l'uniformité est encore plus prononcée chez no
is jamais progressive, tous ces caractères, dis-je, donnent à notre
forme
centrale spinale postérieure un cachet de spéci
ont servi à établir les grandes lignes de la pathologie de cette
forme
, il devient inutile et superflu de réfuter l'id
un scaphandrier, à la suite de la rupture de l'un des tubes. » D.
FORME
SPINALE POSTÉRIEURE. . Nous ne ferons que signa
E POSTÉRIEURE. . Nous ne ferons que signaler l'existence de cette
forme
, n'ayant à rapporter qu'une seule observation q
stant. Analyse. Si d'une part on ne peut nier l'exis- tence de la
forme
spinale postérieure d'accidents spi- naux prove
IDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. je blir la pathologie de cette
forme
, car un seul cas est loin d'y suffire. Nous nou
est ce qui arrive généralement chez les malades apparte- nant aux
formes
précédentes, comme aussi à celle qui suivra imm
un des symptômes qui appartiennent à la période du début des autres
formes
spinales. En effet, pas de symptômes céphalique
sera pas toutefois étonné de rencontrer des cas appartenant à cette
forme
dont le tableau cli- nique présente des symptôm
scaphan- dres et des symptômes de la période du début des autres
formes
spinales nous donne le droit de s'y attendre.
e de cas que j'espère rencontrer des malades appartenant, à cette
forme
et pouvoir alors constituer les grandes lignes
pouvoir alors constituer les grandes lignes de la pathologie de la
forme
spinale postérieure. E. FORME UNILATERALE. Su
ans la moelle épinière, soit dans les méninges, nous distinguons la
forme
intra-spiuale ou intra-myélitique et la forme e
nous distinguons la forme intra-spiuale ou intra-myélitique et la
forme
extra-spinale ou extra-myéiitiquë. A). Forme in
tra-myélitique et la forme extra-spinale ou extra-myéiitiquë. A).
Forme
intra-spinale ou intra-myélitique. D'après le p
, et puis, appuyé sur elles, nous établirons la pathologie de cette
forme
dans ses grandes lignes. Observation XXIV. -
E DE LA FORME' INTIIAMTÉLITIQUE . OU INTRASPINALE UNILATÉRALE. La
forme
intramyélitique ou intraspinale unilatérale est
es, afin d'esquisser les grandes lignes de la pathologie de cette
forme
. La symptomatologie et leur évolution ultérieur
re nous oblige à diviser en trois périodes la pathologie de cette
forme
: 1° la période des symptômes du dé- but ou ext
hisme du début qui constitue un des grands caractères de toutes les
formes
d'accidents spinaux provenant de l'emploi des s
est presque constamment troublée à cette période dans les autres
formes
spinales, parmi les quatre cas de la forme in-
période dans les autres formes spinales, parmi les quatre cas de la
forme
in- tramyélitique unilatérale, n'a été rencontr
cela même considéré comme le caractère principal, fondamental de la
forme
iutra- myélitique unilatérale, je me crois donc
syndrome spasmodique, qui est l'aboutissant par excellence de la
forme
intramyélitique unilatérale. Or, nous retrouvon
ici les deux grands caractères qui caractérisent presque toutes les
formes
d'accidents spinaux provenant de l'emploi des s
ale quelconque. ' variété extra-spinale OU EXTRA-MYËLlTIQUE DE la
forme
unilatérale Cette forme clinique doit être trop
é extra-spinale OU EXTRA-MYËLlTIQUE DE la forme unilatérale Cette
forme
clinique doit être trop rare pour que nous ne s
périeur droit, exaspération de ces douleurs, de temps à autre, sous
forme
d'attaque, rigidité musculaire du cou. Dans l'apr
étant permanentes, s'exaspéraient néanmoins de temps à autre, sous
forme
d'accès durant quelques minutes ; à ce moment l
urs ont beaucoup diminué d'inten- sité et leurs exaspérations, sous
forme
d'accès, sont devenues plus espacées et moins v
montré par la même manoeuvre. Au moment de sa contraction, il ne
forme
plus relief sous la peau et à la palpation, il es
u aux*vives douleurs, avec leur exaspération de temps à autre, sous
forme
d'accès, de la partie postérieure du cou, doule
existait pas*. Aujourd'hui, il nous semble donc indiscutable que la
forme
d'idiotie que nous avons décrite sous le nom d'
qué; chacun de ces états comprenant d'ailleurs un certain nombre de
formes
secondaires et laissant place pour les états mi
e. « Les phénomènes très complexes qu'on peut observer dans cette
forme
se soumettent difficilement à l'analyse. Ils ont
» M. Charcot, dans sa description, a laissé de côté à dessein les
formes
frustes, Les états mixtes, pensant qu'il était pr
de s'arrêter tout d'abord aux types réguliers, avant d'étudier les
formes
mal dessinées. M. Charcot ne rejette donc pas,
ssinées. M. Charcot ne rejette donc pas, tant s'en faut, les autres
formes
de l'hypnose. C'est ce dont on peut se convainc
eut se convaincre par l'exposé qu'a donné son élève, M. Richer, des
formes
frustes de l'hypnotisme. Il reconnaît même que
d hypnotisme, s'il répond au type parfait, représente cependant une
forme
rare. L'importance qu'il lui accorde tient donc
d hypnotisme constitue donc pour notre maître, nous le répétons, la
forme
la plus parfaite, la forme type de l'hypnotisme
pour notre maître, nous le répétons, la forme la plus parfaite, la
forme
type de l'hypnotisme, et c'est elle qui doit se
formation peut s'opérer. Mais, auparavant, nous devons indiquer les
formes
les plus importantes de l'hypnose dans lesquell
d'où plusieurs variétés possibles ; la cata- lepsie est, dans cette
forme
, la période qui nous parait man- quer le plus s
le il a observé l'état cataleptoïde les yeux fermés 1. Toutes ces
formes
que nous venons de signaler et qui cons- tituen
ns l'immense majorité des cas, chez des hystériques. Ces diverses
formes
du petit hypnotisme peuvent, comme nous l'avons
modifier suivant telle ou telle circonstance et se convertir en la
forme
type. La transformation peut être progressive.
nc, comme nous venons de le dire, un caractère qui est commun il la
forme
type et aux formes frustes que nous avons étudi
ons de le dire, un caractère qui est commun il la forme type et aux
formes
frustes que nous avons étudiées jusqu'à présent
i per- sistent dans toutes les'autres parties du corps. Outre les
formes
de l'hypnose que nous venons de passer en revue
econnaître l'existence d'une série d'états^ intermédiaires entre la
forme
type et la forme la plus effacée. Nous rappel
tence d'une série d'états^ intermédiaires entre la forme type et la
forme
la plus effacée. Nous rappellerons encore que
ints de vue comparer à l'attaque hystérique. De même que diverses
formes
convulsives ou psychiques, peuvent être rattachée
re, accès de rire, de larmes, qui peuvent être considérés comme des
formes
effacées de l'attaque hysté- rique. Ces cas cor
ecter un grou- pement spécial en trois états distincts. C'est là la
forme
la plus parfaite de l'hypnotisme, celle qu'on d
t de toute suggestion. 4° L'hypnotisme doit être considéré dans ses
formes
les plus parfaites comme un état pathologique.
ée en trois trousseaux distincts, la commissure postérieure qu'elle
forme
exclusivement, la couche optique et le lobe fro
orps de celles des cel- lules pyramidales qui possèdent encore leur
forme
et leurs pro- longements normaux, au lieu de co
'analogie des altéra- tion avec celles du pédoncule cérébral , leur
forme
au sein des cordons postérieurs , l'absence d'a
s'établit. L. Dans deux de ces cas la folie se présentait sous la
forme
de la mélancolie aiguë ; dans un autre, il s'ag
structure des vaisseaux cérébraux à l'état sain et dans quelques
formes
particulières d'aliénation. R. M. C. V. Fractur
epen- dant permis de démontrer qu'il existe précisément plusieurs
formes
de manie et de mélancolie. La manie reconnaîtrait
velet est relativement plus développé que normalement. Une autre
forme
d'atrophie est celle qui siège sur un hémisphère
asile s'engage- rait, en retour du prix de pension, à fournir, sous
forme
d'habi- tation, de mobilier, d'alimentation, de
te une genèse primitive, et une genèse secondaire, c'est-à-dire une
forme
primi- tive, une forme secondaire. La forme pri
, et une genèse secondaire, c'est-à-dire une forme primi- tive, une
forme
secondaire. La forme primitive existe sur- tout
daire, c'est-à-dire une forme primi- tive, une forme secondaire. La
forme
primitive existe sur- tout chez les alcooliques
ans les idées, hallucinatoire aigu, et finissent à la dé- mence. La
forme
secondaire (7 observations de M. radier) arrive
dans les idées hallucinatoire aigu. L'étiologie comporte : dans la
forme
primitive, outre l'alcoolisme, des inci- dents-
me, des inci- dents- occasionnels divers (2 observations) ; dans la
forme
secon- - daine, la séquestration antérieure (3
cérébrale, un priapisme. Les hallucinations, rares dans la première
forme
(elles sont simplement rares et fugitives au dé
itives au début de la maladie), accompagnent constamment la seconde
forme
. Conclusions : .' - 10 Le délire de jalousie pr
forme. Conclusions : .' - 10 Le délire de jalousie primitif est une
forme
de folie systéma- tique fondamentale, propre au
délire de jalousie secondaire apparaît à un âge plus avancé. 4° La
forme
primitive hante plutôt les hommes; la forme sec
âge plus avancé. 4° La forme primitive hante plutôt les hommes; la
forme
secondaire, surtout les femmes. 5° Le pronostic
femmes. 5° Le pronostic est généralement défavorable pour les deux
formes
dans les deux sexes. Discussion : M. Fuerst
antes. 11 n'y a donc pas de pur délire systématique de ce genre. La
forme
dite originelle ne doit pas seulement être rapp
ué, maissuractivé. Quanta la genèse, on peut en effet admettre deux
formes
de délire de jalousie. M. SCIIUELE rapporte un
maladies de l'appareil sexuel ne condui- sent pas forcément à cette
forme
de délire. Chez les veuves et les matrones on l
nquillité publiques ou leur propre sûreté, le préfet peut, dans les
formes
tracées par l'article 29 et sur l'avis du médec
ions à telle ou telle époque, pendant combien de temps, sous quelle
forme
, comment se comporte-t-elle maintenant ? Existe
s morbides observés. Quant aux agents nocifs, un tableau vient sous
forme
d'appendice, donner « un aperçu des professions i
qui existent entre la maladie et le crime : la criminalité est une
forme
de dégénérescence et c'est comme telle qu'on la
ratif auquel l'expérience semble favorable est l'assistance sous la
forme
du patronage familial, auquel l'auteur consacre
s pas a rapporter cette tétanisation cataleptique des muscles à une
forme
modifiée de t'hyperexcitabitité neuro-mus- cula
e malade qu'il vise est aliéné, qu'il est atteint de telle ou telle
forme
d'aliénation mentale, et qu'il est nécessaire q
e. Evreux. Ch. 11ÉRissry, imp,- 189. Z Tableau III. TABLEAU DE LA
FORME
CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE I ) ? - CATSARAS
E SPINALE POSTÉRIEURE I ) ? - CATSARAS. Tableau IV. TABLEAU DE LA
FORME
SPINALE UNILATÉRALE. Variété intramyélitique ou i
ainsi la région des faisceaux de Goll ; la seconde partie de fibres
forme
avant sa jonction à la substance blanche la par
. De l'Aphasie sensorielle. Dans les dernières an- nées, diverses
formes
d'aphasie ont été décrites par Wernicke', et au
fibres commissurales entre les centres visuels et auditifs 2. Ces
formes
particulières de troubles cérébraux peuvent êtr
comprendre les mots écrits ou imprimés qu'ils voient. Dans ces deux
formes
, c'est la phase passive de la faculté du langag
mité aux substantifs ou aux noms propres, et l'on a donné à cette
forme
le nom d'amnésie verbale. Bien que, peut-être,
rieure ne peut la faire revivre. La cécité verbale, est aussi une
forme
d'amnésie ver- bale, dans laquelle le malade a
de la vision des mots, ou plus généralement des signes écrits. La
forme
de cécité corticale qu'on a l'occasion d'observ
ALE TRANSITOIRE. Les paralysies qui appartiennent aux différentes
formes
décrites jusqu'à présent sont plus du moins dur
sent sont plus du moins durables. Les paralysies au contraire de la
forme
paralytique, que nous allons esquisser dans un
servations, qui suffi- sent amplement pour donner une idée de cette
forme
. Observation XXIX. Antoine Sorocos, âgé de tr
nous n'avons pu rien cons- tater. Comme on a pu le remarquer, cette
forme
peut se pré- senter sous trois types distincts
° le type de paralysie partielle. Quel que soit le type que cette
forme
puisse affecter, elle pré- sente toujours les m
n quelques heures ou en quelques jours. B. Accidents cérébraux ou
formes
cérébrales. Les accidents cérébraux qui peuvent
d'une pureté remar- quables. Ces cas nous permettent d'étudier les
formes
simples fondamentales, isolées de tout élément
ger et dégagées de tout mélange. Ce n'est qu'après avoir étudié ces
formes
simples qu'il nous sera facile d'analyser les c
que est constitué par des symptômes appartenant aux dif- férentes
formes
simples et fondamentales. Les cas qui sont tomb
ont tombés sous notre observation nous permettent de distinguer les
formes
simples et fondamentales suivantes : 1 , la for
e distinguer les formes simples et fondamentales suivantes : 1 , la
forme
aphasique; 2, la forme sensorielle; 3, la forme
imples et fondamentales suivantes : 1 , la forme aphasique; 2, la
forme
sensorielle; 3, la forme épileptiforme ; DES AC
suivantes : 1 , la forme aphasique; 2, la forme sensorielle; 3, la
forme
épileptiforme ; DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES
ptiforme ; DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 229 .4, la
forme
cérébrale paralytique; 5, la forme verti- gineu
PLOI DES SCAPHANDRES. 229 .4, la forme cérébrale paralytique; 5, la
forme
verti- gineuse ; 6, la forme de perte de connai
la forme cérébrale paralytique; 5, la forme verti- gineuse ; 6, la
forme
de perte de connaissance. 1. FORME APHASIQUE.
a forme verti- gineuse ; 6, la forme de perte de connaissance. 1.
FORME
APHASIQUE. On sait déjà que, parmi les symptôme
us allons les voir non plus à titre de symptômes, mais à titre de
forme
clinique. Les troubles de la parole font alors à
ulté du langage a présentées chez nos malades appartenant à cette
forme
, nous distinguons (a), l'aphasie motrice; (6),
des mots a figuré à titre de symptôme de la période du début de la-
forme
centrale spinale postérieure chez le malade de
de l'OBSER- VATION XXI. Nous allons maintenant la voir à titre de
forme
à part. Observation XXXV. Accident survenu le 3
ois eu tout. On assistait là à une aphasie mo- trice réitérée. 2.
forme
SENSORIELLE. Le lecteur aura déjà remarqué que
oculaires et auditifs peuvent figurer dans la sympto- matologie des
formes
diverses et multiples, provenant de l'emploi de
ont figuré comme symptômes de la période du début des différentes
formes
spinales ; en d'autres termes, à titre de symp-
soriels peuvent survenir chez les plongeurs à scaphandre à titre de
forme
clinique spéciale, autre- ment dit, ces symptôm
lors tout le tableau clinique. Il nous a été donné d'observer cette
forme
sensorielle soit sous la variété oculaire, soit
à la cécité provenant de l'emploi des scaphandres, soit à titre de
forme
clinique spéciale, soit à titre de symp- tôme.
e la période de début. Nous allons main- tenant les voir à titre de
forme
clinique spéciale, la symptomatologie de ce gen
complète et défi- unitive. Il a une rupture du tympan gauche. 3.
FORME
ÉPILEPTIFORME. Cette forme cérébrale doit certa
Il a une rupture du tympan gauche. 3. FORME ÉPILEPTIFORME. Cette
forme
cérébrale doit certainement être rare pour que
avons appris que depuis lors les accès n'ont jamais réapparu. 4.
FORME
CÉRÉBRALE PARALYTIQUE. Les différentes paralysi
voquée par M. Bernheim consiste à dire et à répéter, sous plusieurs
formes
différentes, qu'il n'a jamais pu repro- duire c
erexcitable; la suggestion ne fait dans ce cas que renouveler, sous
forme
d'images, le souvenir de l'excitation cutanée q
à savoir que cette assertion s'applique plus particulière- ment aux
formes
de l'hypnotisme étudiées par M. Charcot et GRAN
hoisi que des hystériques, par simple fantaisie, mais les grandes
formes
de l'hypnotisme peuvent' se rencontrer en dehors
d'après nous, à établir que, comme nous l'avons avancé, les grandes
formes
de l'hypnotisme sont sous la dépendance de l'hy
dont elles paraissent être une émanation. En ce qui concerne les
formes
frustes de l'hypnose, il semble souvent, il est
ance blanche de ces circonvolutions un grand' nombre de cellules en
forme
d'araignées. Quelquefois Béliakoff a trouvé de
e hémiplégie droite, sans aphasie, après deux attaques apoplecti-
formes
. A l'autopsie, on trouva une tumeur coiffant la m
et demi. La moelle comprimée, offrait par places snr une coupe, la
forme
d'un quart de lune, et pourtant, ses éléments h
ion fournie par une impul- sion antérieure, ne change en rien ni la
forme
ni la hauteur de la contraction. » Cette loi es
onnelle au nombre des excitations dans un temps déterminé. Ces deux
formes
se superposent ordinairement, mais elles peuven
es les terminaisons nerveuses ont une grande ressem- blance avec la
forme
simple des terminaisons des cellules ner- veuse
- /t6< ? 1887). Trois observations prouvant que, même dans les
formes
légères de paralysie faciale rhumatismale, il p
l ressort net- tement des dégénérescences typiques de l'idiotie, et
forme
un cercle fermé de l'écorce au cervelet et du c
central qu'il a observée chez une femme; atteinte de folie à double
forme
. C'est à celte lésion .qu'étaient 96 6 SOCIÉTÉS
ostic différentiel de la paralysie générale, dans la folie à double
forme
et je dois avouerque jel'ai vue aucontraire souve
hopathies qui en émanent, sont : en'première ligne, la mélancolie à
forme
stupide rarement la manie jamais la folie systé
rations, on peut, lorsqu'il existe une gros- sière altération de la
forme
du crâne (il ne saurait être ici question de fi
tion intime avec la folie, mais seu- lement chez les Allemands, une
forme
qui constitue au contraire un type normal dans
304 SOCIÉTÉS SAVANTES. un Allemand, un français, un Slave, cette
forme
permet de con- clure à l'ali;nation mentale.
une plus grande importance scientifique. M. 0. 111uEr,Lr·;a. Des
formes
initiales des psychoses.- Les premiers troubles
de volonté, l'énergie. Cet état peut, après avoir persisté sous une
forme
vague durant des années, disparaître par le rep
tion progressera souvent rapidement et d'une manière inattendue, la
forme
changeant (paralysie progressive, neuras- théni
mbre l88ï =. - Présidence DE M. LOEHR. ' M. MINDEL (de Berlin). Des
formes
périodiques de psychoses3. L'étude des auteurs
t dans la folie pé- riodique que la manie et la mélancolie de cette
forme
, auxquelles il convient cependant de joindre le
blissement psychique vrai. Quant à la transmutation des aspects des
formes
psychopathiques, la folie étant la maladie d'un
z. Toute cette question de la paranoia qui aujourd'hui embrasse des
formes
aiguës, alors que la folie systématique typique
incohérence dans les idées d'origine hallucinatoire et revêtant la
forme
morbide aiguë, entité morbide qui se prolonge,
les cas si nombreux aujourd'hui où la vio- lence a revêtu certaines
formes
: l'attaque par le vitriol ou par le revolver.
ur tout autre malade dont l'internement est provoqué et suivant les
formes
prescrites par les autres articles du projet de l
es observations, de savoir s'il fallait admettre avec M. Magnan une
forme
spéciale de délire chronique pour les dégénérés
diagnostic différentiel de la paralysie générale avec les diverses
formes
de la folie. Prix Beluomme. 1,000 francs. Quest
térature un peu touffue, si l'on n'a point présentes à l'esprit les
formes
diverses qu'ont traversées les doctrines de ces
de distinguer l'hémia- nopsie de l'héiiiiamblyopie. Les différentes
formes
de cécité chromatique ont échappé jusqu'ici à l
aitis; Membre de la Société )Iedico-psycliologiqtje de l'aiis. 0.
FORME
MENTALE. Cette forme ne doit pas être très rare
ociété )Iedico-psycliologiqtje de l'aiis. 0. FORME MENTALE. Cette
forme
ne doit pas être très rare. Nous avons entendu
dans la phréniatrie une espèce de manie aiguë qui se présente sous
forme
d'un accès caractérisé par une invasion brusque
herons d'expliquer alors les éléments de son tableau clinique. La
forme
mentale peut-elle revêtir d'autres types, et le
es types, et lesquels ? ... C'est ce que nous ne savons pas... 6.
FORME
VERTIGINEUSE Nous avons déjà rencontré les vert
, surtout parmi les symptômes de la période du début des diverses
formes
cliniques. Il ne me serait pas difficile de mul
de multiplier à l'infini les cas qui appartiennent aux différentes
formes
cliniques et dont la symptoma- tologie du début
plus à titre de symptôme d'importance secondaire, mais à titre de
forme
clinique dans laquelle le ver- tige est le symp
me de Ménière est à son origine, il se présente cliniquement sous
forme
de paroxysmes; en d'autres termes, le ver- tige
ysmes; en d'autres termes, le ver- tige fait son apparition sous la
forme
de crises distinctes, courtes et séparées par d
des sujets en proie depuis longtemps à la maladie de Ménière. 7.
FORME
DE PERTE DE CONNAISSANCE. ' La perte de connais
res, et surtout, dans la symptomatologie de la période du début des
formes
spinales. Les obser- vations suivantes nous mon
e peut figurer, non pas à titre de symp- tôme, mais bien à titre de
forme
clinique distincte. Elle constitue alors, à ell
BBRO-SPINALE. , Nous avons jusqu'à présent décrit les différentes
formes
des accidents spinaux et cérébraux, suivant que
moelle épinière ou bien au cerveau. En décrivant les différentes-
formes
spinales, nous avons, il est vrai, plusieurs fo
ermes nous sommes en présence des affections cérébro-spinales. La
forme
cérébro-spinale ne parait pas fréquente, nous a
, parait démontrer que la manie transitoire peut exister à titre de
forme
clinique à part, consti- tuant à elle seule tou
mme nous l'avons déjà bien des fois rencontré, mais bien à titre de
forme
clinique à part, c'est-à-dire que l'élément dou
rer dans la symptomatologie des malades appartenant aux différentes
formes
cliniques. Je dis seulement qu'il est rare de v
ixième jour, après avoir fait cinq immersions, son corps reprend la
forme
, c'est seulement les plaques noirâtres et les e
é les différentes DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 413
formes
cliniques, isolées de tout mélange, et déga- gé
est composée par des symptômes qui appar- tiennent aux différentes
formes
décrites. C'est ainsi que la surdité, par exemp
tranger et par cela même constituer la variété auriculaire de notre
forme
sensorielle, l'apha- sie qui, elle aussi, peut
l'avons déjà étudiée, simple et pure, de manière à constituer la
forme
aphasique. La perte de connaissance qui à son t
son tour peut, isolée de tout autre symptôme, figurer à titre de
forme
clinique. Ces trois symptômes, dis-je, l'aphasi
njonctives accompagnée de brûlure comme symptômes oculaires de la
forme
sensorielle; les douleurs aux lombes et à l'est
autre symptôme céphalique assez fréquent; l'aphasie motrice de la
forme
aphasique ; une véritable crise mentale de notr
otrice de la forme aphasique ; une véritable crise mentale de notre
forme
mentale; les vertiges de la forme vertigineuse;
éritable crise mentale de notre forme mentale; les vertiges de la
forme
vertigineuse; enfin une parésie des membres inf
de réten- tion d'urines qui, elle aussi, peut survenir à titre de
forme
clinique à part, formant alors à elle seule le ta
ont la plupart à l'état de simplicité, d'isolement, constituent les
formes
cliniques spéciales, peuvent coexister, se succ
iples qui, à l'état de simplicité et d'iso- lement, constituent les
formes
typiques et simples. Ces combinaisons, cette co
s analyser, comme nous l'avons déjà démontré; et quelle que soit la
forme
sous laquelle puisse se pré- senter ce Prothée,
té de le saisir et le reconnaître par la connais- sance précise des
formes
simples et typiques que nous avons déjà si long
s le possédons à fond, notre oeuvre est presque achevée. Toutes les
formes
atypiques et anor- males peuvent être aisément
re d'être atteint à différentes époques de son travail de la même
forme
d'accident, à preuve, par exemple, le malade de
dante, décompression extrêmement brusque. Accident appartenant à la
forme
centrale spinale latérale. Histoire. Demetres G
ents douloureux multiples; 2° Un accident cérébral appartenant à la
forme
pa- ralytique, type hémiplégique ; 3° Un acci
lytique, type hémiplégique ; 3° Un accident spinal appartenant à la
forme
cen- trale latérale. Observation LX. le, ac
entes. - Accident appartenant ci la variété inlramyé- litique de la
forme
spinale unilatérale. Le nommé Antoine Antonogim
accident survenant par l'emploi des sca- phandres, l'aphasie de la
forme
aphasique et l'hémi- plégie de la forme cérébra
phandres, l'aphasie de la forme aphasique et l'hémi- plégie de la
forme
cérébrale paralytique ont contribué à la consti
ransi- toire. Enfin le quatrième est un accident appartenant à la
forme
spinale unilatérale et plus spécialement à la v
latérale et plus spécialement à la variété intramyélitique de cette
forme
. De ces observations, on peut voir combien est
y a parfois un strabisme mani- feste. Le n° 66 est atteint d'une
forme
d'ophthalmoplégie externe que M. Parinaud regar
u nom d'ophthalinoplégie hystérique pour le distin- guer des autres
formes
. Dans cette ophthalmoplégie hys- térique, ce so
e de l'affection (polycéphalite supérieure de Vernick). C'est là la
forme
classique de l'ophthalmyplégie exter- ne, qui r
ns la substance grise. Les cellules sont granuleuses, opaques, leur
forme
est arrondie, elles sont privées de leurs prolo
son noyau. Une autre lésion est la vacuolisation : le protoplasma
forme
un mince réseau de filets qui s'étendent dans tou
de ces granula- tions, les unes sont dans le protoplasma et ont une
forme
irrégulièrement sphérique, les autres sont dans
la dégénérescence graisseuse des éléments nerveux. Dans les autres
formes
de l'aliénation mentale, on trouve exactement l
re vivant, et pour chaque moment de l'état du nerf, il existe une
forme
déterminée de la striation. VIII. FAITS CLINIQU
velles de l'Université de Varsovie, n° 4,1888. llloczouthowshy. Des
formes
hystériques de l'hypnotisme. Odessa, 1888. La
tie dégarnies supportent des dents noires, cariées, irrégulières de
forme
et d'implantation ; la chevelure noire peu abon
vres épaisses, langue volumineuse ; dents cariées irrégulières de
forme
et d'implantation ; joues pendantes ; cheveux peu
s rapportés précédem- ment, nous parait justifier la création d'une
forme
particu- lière d'idiotie, sous le nom d'idiotie
More), ce qui en souligne l'idée mai- tresse, ce qui, en un mot, en
forme
la clé de voûte. C'est parce que ce clinicien a
l propose, un certain groupe dénom- mé : jolies multiples. Que deux
formes
mentales se juxtaposent chez un même individu,
myosite parenchymateuse subaiguë. L'auteur conclut qu'il y a une
forme
de myopathie primitive aigué, voisine des formes
nclut qu'il y a une forme de myopathie primitive aigué, voisine des
formes
chroni- ques. M. le B. SACHES (de New-Yorl;).
ales progressives (1° type de la main; 2° type de la jambe dont une
forme
, la forme péronéale), Il. Dystrophies primitive
essives (1° type de la main; 2° type de la jambe dont une forme, la
forme
péronéale), Il. Dystrophies primitives progress
Il. Dystrophies primitives progressives (1° pseudo-hypertrophie; 2°
forme
d*Erb). Il range la forme Déjerine-Laudouzy dan
progressives (1° pseudo-hypertrophie; 2° forme d*Erb). Il range la
forme
Déjerine-Laudouzy dans la forme d'L : rb. M. le
ophie; 2° forme d*Erb). Il range la forme Déjerine-Laudouzy dans la
forme
d'L : rb. M. le De JACOBY pense que l'atrophie
onclusions conformes à la théorie. N'y a-t-il là qu'une question de
forme
, un procédé d'exposition qu'il était loisible de
toucher à la question du libre arbitre, poser la question sous une
forme
conciliable avec toute hypothèse et conclure sa
une mo- dification d'une impulsion extérieure, c'est-à-dire en une
forme
parti- culière de mouvement (Première partie :
ataxie décrite par Grasset. Le Dr lnapp pro- pose de donner à cette
forme
le nom de spasme du mouvement. - A. R. X% La
311; reproduction graphique de la marche des -, par Arndt, 30;
formes
initiales des -, par Mueller, 305. Rage (exam
ncéphalique, enveloppée encore par la dure-mère, se présenter sous la
forme
d'un ovoïde régulier, dont la grosse extrémité ré
mité au front. Cette masse encéphalique, solidement maintenue dans sa
forme
et ses dimensions par les méninges, se compose de
a boîte crânienne. Mais en réalité les hémisphères ne conservent leur
forme
qu'à la condition d'être enserrés par la pie-mère
rent les artères lenticulo-striées. L'espace perforé antérieur a la
forme
d'un quadrilatère dont les deux côtés antérieurs
u chiasma et qui sont (schéma 3) sectionnés dès leur origine, ont une
forme
régulièrement cylindrique. Le tuber cinereum (TC)
appelée lobule de l'hippocampe (I1L). Le lobule de l'hippocampe a une
forme
très caractéristique : c'est un fuseau légèrement
pe est la plus interne des circonvolutions temporales; c'est elle qui
forme
la limite externe de la base du cerveau; c'est el
onnel, en effet, que ce faisceau s'étale à la surface du pied sous la
forme
de bandelettes minces, plus ou moins dissociées.
n'étudierons que l'hémisphère cérébral. L'hémisphère cérébral a la
forme
d'un demi-ovoïde, dont la grosse extrémité répond
é verticalement d'avant en arrière (coupe sagittale), pour montrer la
forme
des cavités de l'hémisphère. — AQ, aqueduc de Syl
es on a donné le nom de ventricules. Pour se rendre bien compte de la
forme
et de l'étendue de ces orifices, il faut avoir so
le tuber cinereum. Mais on ne peut concevoir avec quelque netteté la
forme
générale des ventricules eux-mêmes qu'en pratiqua
s ventricules latéraux. Le schéma 8 (B) donne une idée générale de la
forme
du ventricule latéral droit. En avant, le ventr
er que le ventricule latéral est creusé dans la substance blanche qui
forme
la majeure partie de l'hémisphère. Cette substanc
anche à fibres transversales, présentant sur les coupes sagittales la
forme
d'un arc régulier à grand rayon, terminé en avant
médiatement en arrière du point de réflexion du trigone; ce noyau, de
forme
elliptique, est incliné en bas, en avant et en de
rémité antérieure, très mince, très effilée, rectiligne, horizontale,
forme
une crête saillante, Yhabénule (HAB) ou rêne, ou
ou moyenne (CM). Cette commissure n'est pas absolument constante; sa
forme
et son siège sont variables; quelquefois elle est
pied ou pédoncule du septum. psp. Le pied du septum pellucidum a la
forme
d'une petite bandelette blanche située en arrière
mal ici, sur le profil du cerveau, mais dont on conçoit facilement la
forme
et les rapports. Partie de la région postérieure
septum. Elle se compose de deux couches : une antérieure blanche, qui
forme
une véritable commis- 1. Il y a ici une confusi
; et derrière le corps genouillé externe on constate que le thalamus
forme
une grosse tuberosi té, libre dans le carrefour v
i pouvaient présenter certains caractères constants de rapports et de
forme
. La division de l'hémisphère en grands départemen
as et en avant : la scissure occipitale interne (Oi, schéma 14). Elle
forme
avec la calcarine un angle ouvert en arrière, don
position générale des plis de l'écorce commence à se rapprocher de la
forme
définitive. Il y a peu de modificji-tions à signa
ans la région antérieure ou frontale. La scissure limbique (L), qui
forme
la limite postérieure du lobe para-central (Pa) e
i a valu le nom de circonvolution de Vourlet. Un des plis de l'ourlet
forme
le pli de passage pariéto-limbique (tcL), qui réu
u temps séparé du premier sillon sous-frontal (sF) par un pli tardif,
forme
la limite antéro-supérieure du grand pli de passa
deuxième sillon sous-frontal (sf) la première circonvolution frontale
forme
le bord inférieur de l'hémisphère et le bord inte
la troisième circonvolution frontale (F=^), dont elles compliquent la
forme
et le trajet. La scissure de Rolande {R) augmente
Cette circonvolution fait le tour de la branche verticale de Sylvius,
forme
le cap (CAP), décrit une nouvelle courbe autour d
ux, et même monstrueux. La plupart du temps la monstruosité dans la
forme
a pour conséquence une irrégularité dans la fonct
de la moitié postérieure du corps calleux. Chacun de ces ourlets a la
forme
d'un petit pentagone; ils sont le plus souvent au
aucune anomalie1 ; cela n'empêche pas qu'il soit extraordinaire : sa
forme
, la multiplicité des sillons continus ou isolés q
e rameau (S'"), n'est autre chose que le cap. Mais le cap n'a plus sa
forme
schématique. S'il s'agissait d'un hémisphère gauc
onvolution est complètement modifié; on n'y reconnaît plus rien de la
forme
typique. Il suffit pourtant de constater que l'in
croissement du cerveau, aucune modification appréciable, ni dans leur
forme
, ni dans leur épaisseur. Il est donc plus que vra
ns ou les scissures apparaissent à des époques relativement fixes, la
forme
et le volume des circonvolutions qui les entouren
troisième frontale gauche ; mais nous avons vu combien de variétés de
formes
peuvent modifier le type schématique de cette cir
Mais si l'existence des scissures et des sillons est constante, leur
forme
, leur direction, leurs courbures, leur profondeur
upérieure est le prolongement supérieur du sillon post-rolandique; il
forme
la limite antérieure du lobule pariétal supérieur
diant l'anatornie descriptive de l'hémisphère, se rendre compte de la
forme
générale de la cavité ventriculaire. Nous avons d
ore deux coupes sagittales utiles à faire pour se rendre compte de la
forme
intérieure de la corne sphénoïdale. Mais on ne sa
mpe (Hip). Celle circonvolution, vue de la cavité ventriculaire, a la
forme
d'une pyramide à large base, occupant toute la mo
a, s'enroule sur elle-même et vient se montrer à l'extérieur, où elle
forme
le fascia dentala (Fd). On peut constate)' que la
me circonvolution frontale, qui la recouvre comme un U renversé. Elle
forme
avec la branche hori FACE EXTERNE DU CERVEAU.
antes et dont Broca a nettement précisé le siège : l'une, supérieure,
forme
un angle ouvert en arrière ; c'est le genou supér
e ouvert en arrière ; c'est le genou supérieur ; l'autre, inférieure,
forme
un angle également ouvert en arrière : c'est le g
x genoux des deux circonvolutions rolandiques, la scissure de Rolando
forme
un angle ouvert en avant, qu'on peut appeler le c
; il a une direction presque perpendiculaire à celle de ce sillon. Il
forme
la limite supérieure de la troisième circonvoluti
moyenne. fir Le sillon de la deuxième circonvolution frontale a une
forme
étoiléc. Il divise réellement la circonvolution e
mais on le retrouve au voisinage de la convexité, où il a encore une
forme
étoiléc. soe. Le sillon orbitaire externe sépar
quel vient se jeter l'extrémité antérieure du sillon pariétal (p). Il
forme
la limite antérieure du pied du lobule pariétal i
ve immédiatement au-dessous, en dehors et en arrière de ce pli ; elle
forme
la limite du pli courbe (PC) et de la première ci
(GPs) et le genou inférieur (GPi). En bas, la pariétale ascendante
forme
une moitié de l'opercule rolandique (OR) ; l'autr
re, est formée parla frontale ascendante (F). La pariétale ascendante
forme
aussi une moitié de l'opercule pariétal (OP) ; l'
ur de la calcarine (K'). 03. La troisième circonvolution occipitale
forme
le pôle occipital (PO). Elle se continue sans auc
enfin le pli courbe (PC). T2. La deuxième circonvolution temporale
forme
le pôle sphénoïdal (PS). Elle s'étend d'avant en
ième circonvolution occipitale (O3). C'est la même circonvolution qui
forme
le bord inférieur de l'hémisphère, depuis le pôle
passage externe de GratioleL (tcP), de telle sorte que le pli courbe
forme
deux saillies convexes au-dessous du sillon parié
où celle-ci se relève vers le bord de l'hémisphère. Elle présente la
forme
d'une étoile à trois branches, servant de limite
étal transverse (pt). BQ. Le bourrelet du lobe carré a également la
forme
d'un riangle, à très large base postérieure, repr
raî-uncique {PRU) et par le troisième sillon occipito-temporal, a une
forme
mamelonnée qui ne correspond pas à l'aspect qu'il
ronto-limbique (tcF). Déjà à ce niveau elle décrit un méandre dont la
forme
rappelle celle de l'ourlet antérieur (PEA), et où
(OT^), il devient indispensable de reproduire exactement la véritable
forme
de cette région, dont aucune figure schématique f
ès fréquemment dans cette région du sillon pariétal, qui présente une
forme
étoilée. P. La circonvolution pariétale ascenda
gyrus métopique postérieur (GMP). C'est la scissure limbique (L) qui
forme
la limite inférieure de ce pli. Mais, par compens
ux, prend un accroissement anormal; c'est elle qui, par compensation,
forme
le tubercule de jonction (TJ) et le gyrus vestibu
me les figures de la planche précédente, à montrer les différences de
forme
et de rapports des circonvolutions, et, du mémo c
e grand sillon métopique en est effacé; il ne se présente que sous la
forme
d'une double incisure, assez profonde d'ailleurs
yrus postérieur du lobe carré (GQA, GQP). 0^ Le cuneus présente une
forme
très compliquée. Cela tient à ce qu'il est parcou
le également large et épaisse, très sillonnée dans toute son étendue,
forme
le bord siqiérieur et interne de l'hémisphère. Le
' devant du tubercule du fascia dentata (Tf), s'amincit et prend une
forme
en croissant à concavité antérieure. Si l'on écar
d'anastomoses sont le plus inconstants, soit au point de vue de leur
forme
et de leurs anastomoses, soit au point de vue de
\ La troisième circonvolution temporale, très large, et qui cependant
forme
le bord inférieur de l'hémisphère, est repliée pl
, limitée en avant par le sillon prse-uncique (PRU), apparaît sous la
forme
d'un losange à grand axe antéro-postérieur et lég
volution temporale (T''). 0\ La troisième circonvolution occipitale
forme
le pôle occipital. Elle s'anastomose avec le gyru
mporal de la première figure. Cette dilïe-rence tient au nombre, à la
forme
et au siège des plis d'anastomose qui unissent la
erveau schématique, une bifurcation à branches transversales. Mais la
forme
de la quatrième circonvolution occipitale (0*) es
lement fait disparaître le trait transversal du sillon en //; mais la
forme
générale du lobule orbiiaire se reconnaît sans di
et en dehors, beaucoup plus loin que la tète du noyau caudé (NC) qui
forme
sa paroi externe. La corne postérieure du ventr
optique (NiC). Substance grise. NC. Le noyau caudé homogène a la
forme
d'un ovoïde; il fait saillie dans le ventricule f
nue en arrière avec la première temporale (T*) ; cette circonvolution
forme
une longue languette oblique en avant et en dehor
rizontales où il ne fait pas corps avec le noyau caudé, présente la
forme
d'un quadrilatère : le côté externe, le plus éten
le (2, Pl. X), les trois segments du noyau lenticulaire présentent la
forme
d'un triangle dont le sommet est représenté par l
arrière et en dehors du tubercule quadrijumeau antérieur, le thalamus
forme
une saillie à convexité interne, constituée par u
pitale. A la face externe, la deuxième circonvolution frontale (F*)
forme
un pli isolé; plus en arrière, elle se confond av
e la troisième temporale, le troisième sillon temporal (L), dédoublé,
forme
la limite antéro-externe de la quatrième circonvo
gris fronto-sphénoïdal est la substance grise du gyrus falciforme. Il
forme
la paroi supérieure de la vallée de Sylvius. 11 e
Le fascia dentata est la portion libre de l'écorce, dans le repli que
forme
la circonvolution de l'hippocampe (0^), au voisin
postérieure de l'hémisphère est plus variable que toute autre dans sa
forme
et dans ses dimensions. Toutefois, lorsqu'on fait
pôle occipital jusqu'au voisinage du pôle sphénoïdal, et qui, dans sa
forme
et ses connexions profondes, est toujours à peu p
interne, on reconnaît la scissure perpendiculaire interne {Oï)-, elle
forme
la limite supérieure du cuneus (0®), lequel est e
ipito-temporal {oQ et la troisième circonvolution temporale (T^), qui
forme
le bord inférieur de l'hémisphère. Cavité ventr
misphère. Cavité ventriculaire. Elle a sur le plan de section une
forme
rectangulaire, un bord supérieur, un bord inférie
e du cerveau; nous savons que, quand elle ne se présente plus sous la
forme
d'un carré, elle est reconnaissable encore au mil
est reconnaissable encore au milieu de la substance blanche, sous la
forme
d'une petite fente verticale à concavité interne.
us allongé dans le sens vertical, et se moule assez exactement sur la
forme
de la paroi externe du ventricule à laquelle il e
riculaire. Elle est plus large et plus haute, tout en conservant sa
forme
régulière de rectangle. Substance blanche. FS
ceau des fibres inférieures du forceps major (FOi) est plus épais. Il
forme
nettement la paroi supérieure de la cavité ventri
e particularité que son angle inléro-interne s'allonge en dedans sous
forme
d'une pointe, correspondant au sillon inféro-inte
itif, en s'incurvant au-dessous de la paroi inférieure du ventricule,
forme
en bas et en dehors une assez forte saillie, diri
ale, mais sans l'orieutation sur un liéniisplière donné. Mais si la
forme
et les dimensions des circonvolutions sont dilïér
scissures. Écorce. C'est toujours le sommet du lobe carré (Q) qui
forme
le bord supérieur de l'hémisphère. A la face inte
actement à ce que nous avons appelé le Cap (CQ). Le cap du lobe carré
forme
, comme on le voit sur la figure, un véritable ope
dehors du gyrus fusiforme, la troisième circonvolution temporale (T")
forme
le bord inférieur de l'hémisphère. A la partie
es n'ont pas encore pris cette direction, et on les distingue sous la
forme
d'une strie foncée, antéro-postérieure, aplatie e
és en revue sur la figure précédente. Cavité ventriculaire. 1^ De
forme
rectangulaire, elle n'ofirc de spécial que l'appa
toujours des plus simples. FOm. Le faisceau moyen du forceps major
forme
la voûte du ventricule latéral. Une partie seulem
en arrière; plus en avant, c'est le faisceau supérieur du forceps qui
forme
la paroi externe du ventricule (voy. fig. 10, FOs
cingulum. Cependant on constatera tonjours (jue ce dernier affecte la
forme
représentée sur la figure 8, la maj(Hire partie d
poral {t^). Enfin, la troisième circonvolution temporale (T% fig. 12)
forme
le bord inférieur de l'hémisphère. Cavité ventr
aire. Elle s'agrandit graduellement, mais en conservant toujours sa
forme
quadrangulaire. Substance blanche. FS. Le fai
rontale ascendante par la scissure de Rolando. A la face interne elle
forme
le lobule paracentral (Pa), lequel est limité en
ion qui réunit ces deux circonvolutions. Cavité ventriculaire. Sa
forme
, comme on peut le voir, se modifie notablement, s
fig. 14, 15 et suiv), à l'angle inféro-externe du ventricule, sous la
forme
d'un petit faisceau compact (FLi), vertical, situ
vent leur direction antéro-postérieure. Un notable changement dans la
forme
et la direction de ce faisceau se manifestera sur
ntricule, il se place en dehors du faisceau moyen du forceps (FOm) et
forme
la presque totalité du tapetum. Son extrémité inf
her de la cavité ventriculaire est légèrement bombé; la saillie qu'il
forme
ainsi, très variable suivant les sujets, dépend e
rtie de la longueur du cerveau, jusqu'au genou du corps calleux. Elle
forme
la limite inférieure de la circonvolution du corp
ieux séparé de lui à ce niveau. On voit ses fibres, disposées sous la
forme
d'un triangle à sommet inférieur, pénétrer dans l
cavité ventriculaire est notablement augmenté et se présente sous la
forme
d'un ovale blanc sur lequel se dessinent des stri
e-ci avait déjà fait son apparition (même planche, fig. 14) sous la
forme
d'un mince fuseau (FLi), dans une région correspo
les. Elle s'avance dans la cavité échancrée à ses deux extrémités, et
forme
une saillie qui, dans la terminologie adoptée dep
angles, le faisceau moyen du forceps proemine dans la cavité, dont il
forme
la paroi supérieure qui est en quelque sorte flot
bulbe », cxclusive- BRISSAUD. (J ment composé de fibres blanches,
forme
sur la voûte du ventricule deux saillies. La sail
ivant la direction générale indiquée par lastriation du faisceau, qui
forme
le plafond ventriculaire ; et il est facile de se
) n'a que l'aspect d'un pli superficiel. Cavité ventrieufaire. La
forme
quadrilatérale est toujours reconnaissable. Seule
e par le faisceau moyen du forceps, proéminant dans la cavité sous la
forme
d'une ligne sinueuse (BCP), marquant la section d
ions plus antérieures. On voit donc diminuer peu à peu la saillie que
forme
le bulbe de la corne postérieure. En même temps,
dans le plan de la section. — Les trois faisceaux en question ont une
forme
et une situation absolument constantes. 11 est fa
ite Broca, un seul et môme pli fondamental, modifié seulement dans sa
forme
, chez les primates et surtout chez l'homme, par l
supérieure du corps calleux (ce), composée de fibres transversales,
forme
en arrière une courbe à concavité postérieure app
t s'allonger entre le forceps et la bandelette cendrée (Fci), sous la
forme
d'un triangle à sommet supérieur, dont la pointe
eau moyen du forceps (FOm), celui des trois faisceaux du splenium qui
forme
la voûte de la corne occipitale. Les fibres ainsi
n de l'hippocampe. FPF. Le faisceau pariéto-frontal ne change ni de
forme
ni de rapports. Il prend de nouvelles insertions
st passé de la quatrième temporale à la cinquième, les rapports et la
forme
générale du sillon sont identiques à ce qu'ils ét
de la bandelette cendrée (fig. 31, Tf). Cavité ventriculaire. La
forme
quadrilatérale de la section ventriculaire, encor
diatement à la substance grise du grand sillon occipito-temporal (oQ,
forme
avec la face interne un angle ouvert en dehors et
onvolution de l'hippocampe. — Le grand sillon occipito-temporal (at^)
forme
toujours la limite inférieure et externe de la ci
ADRIJUMEAUX POSTÉRIEURS, PUIS ENTAMANT CES TUBERCULES. Écorce. La
forme
de la coupe et les rapports profonds des circonvo
téral, obliquement en haut et en dedans. On lui reconnaît toujours la
forme
quadrilatérale, mais avec de profondes modificati
nférieures du corps calleux se portent directement en dehors, sous la
forme
d'une bandelette blanche, qui va former, à la fac
A PARTIE MOYENNE DU TUBERCULE QUADRIJUMEAU POSTÉRIEUR. Écorce. La
forme
des surfaces de section est absolument la même qu
gion inférieure, où le plancher et ses deux angles conservent la même
forme
et les mêmes rapports. Dans la région supérieure,
s reculée de la couche optique apparaissent sur cette planche sous la
forme
d'un ovale (Th), foncé en dedans, clair en dehors
lleux augmente d'épaisseur sur les figures 37 et 38, puis diminue. La
forme
du splenium permet de comprendre ces Variations
une partie (TAP, fig. 37, 42) se réfléchit d'arrière en avant sous la
forme
d'une lamelle foncée, située verticalement dans l
facilement dans la région limbique (fig. 59, 41). Ses rapports et sa
forme
sont ceux que nous avons déjà signalés. Dans la
la circonvolution limbique, est très caractérisé. Nous connaissons sa
forme
de croissant; elle reste maintenant invariablemen
érieures, elle présente, au voisinage du pulvinar une irrégularité de
forme
qui tient surtout ici aux rapports de la fìmbria
tes elle disparaît; ses fibres antéro-postérieures, disposées sous la
forme
d'une bandelette excessivement ténue, courent sur
calleux à travers la lame médullaire du fasciola cinerea. Cette lame
forme
en bas, au-dessus du fascia dentata (Fd) la lame
e la corne d'Am-mon, ou substance réticulaire d'Arnold. En haut, elle
forme
le tractus de Lancisi (NEL), situé au-dessous du
cette couche grise à la partie supérieure de la corne d'Ammon. Elle y
forme
en effet (fig. 45, 46) un revêtement blanc, étalé
stance réticulaire dArnold ; elle ne se présente pas en effet sous la
forme
d'une enve- Fragment de la circonvolution de l'
rrogation horizontal. D'autre part, nous savons que le fascia dentata
forme
une série de saillies godrormées à la surface de
nt les points où on l'examine, de grandes différences de volume et de
forme
, mais partout continue avec elle-même, sans aucun
ait avec la face externe de la corne d'Ammon dans le ventricule. Elle
forme
la paroi interne du ventricule ; on la retrouve,
, 47) consiste surtout en fibres transversales dont la majeure partie
forme
le tapetum. Il en est ainsi dans toute la région
supéro-interne du ventricule ; elle descend vers la corne d'Ammon et
forme
l'alveus (ALY) ; une externe (FI), située en deda
scissure de Rolando (R) est sectionnée dans son axe même, là où elle
forme
une concavité antérieure (voy. Schéma, 81). Cette
eau rolan-dique ou faisceau arqué, remarquable par la constance de sa
forme
et de ses rapports. Laq. Le laqueus n'offre rie
n qui, par le fait du relèvement du fond de la scissure de Sylvius,
forme
une sorte de péninsule, est ce qui a été déjà étu
s les figures de cette planche), au niveau de son entrecroisement. Il
forme
à gauche de la ligne médiane un demi-cercle régul
rface des tubercules quadrijumeaux, dont elles indiquent vaguement la
forme
et le volume. La voussure des deux tubercules qua
e la planche XXI. BQP. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur
forme
une masse de fibres beaucoup plus importante que
e la calotte se présente toujours, sur les coupes verticales, sous la
forme
d'une lame de hache dont la convexité répond au l
n verlico-lransversalc do la moitié gauche de la calotte, montrant la
forme
en lame de hache du faisceau du tegmentum (TEG).
sous-optique. Mais les fibres transversales qui modifient le plus la
forme
de la bandelette sous-optique sont surtout celles
lum (fig. 64), régulièrement compact sur tout son trajet, présente la
forme
en croissant que nous avons déjà signalée (voy. p
tricule latéral s'aplatit de plus en plus. Elle conserve toutefois sa
forme
générale. La corne sphénoïdale diminue de haute
u sensitif interne (FSi, fig. 70). Dans cette région le thalamus ne
forme
donc d'abord qu'un seul noyau (fig. 68). Mais bie
. Le laqueus, nettement reconnaissable à sa coloration claire et à sa
forme
arquée (fig. 67), est limité en dedans par le teg
ct du corps genouillé interne, c'est le faisceau de Turck-Meyncrt qui
forme
la surface de la région du pont. A partir de cett
ongement de la fente de Bichat dans le ventricule. Elle a toujours la
forme
d'un croissant à concavité inférieure ; elle est
phénoïdal. TRI. Le trigone cérébral (fig. 68) diminue de largeur. H
forme
une mince languette de fibres obliques, ou presqu
(P^ fig. 67), se condense au-dessus de la scissure de Sylvius sous la
forme
triangulaire que nous retrouverons ultérieurement
interne de l'hémisphère, que le ganglion de l'habénule (GH, fig. 76)
forme
une convexité qui peut arrriver jusqu'à la ligne
4, 76, 77), libre dans la corne frontale du ventricule latéral, où il
forme
une proéminence régulièrement convexe, repose sur
proéminer en arrière, dans le carrefour ventriculaire, tantôt sous la
forme
d'un hémisphère assez régulier, tantôt sous l'asp
miné. 11 semble, toutefois, que cette-tubérosité, si variable dans sa
forme
extérieure et dans ses dimensions, ne doive pas ê
pulvinar proprement dit (Pul). Tout à fait en arrière, le pulvinar
forme
donc tout à la fois la face supérieure et la face
ue la coupe commence à entamer le noyau externe (NeC), le pulvinar ne
forme
plus que la face inférieure. 11 coiffe les deux c
qu'au-dessous de l'habénule, la substance grise de la couche optique
forme
la paroi du troisième ventricule. Le fait que le
omme. Assurément il est moins limité que chez certains animaux, où il
forme
une saillie quelquefois considérable. Mais si ses
on fissuraire qui sépare le ganglion de l'habénule du thalamus et qui
forme
l'angle inféro-interne du ventricule moyen (fig.
es uns des autres, suivre le même trajet, toujours du côté gauche. La
forme
et le mode de réunion de ces fascicules varient b
e l'encéphale et le corps genouillé externe. 11 est à la surface ; il
forme
la paroi supérieure de la fente de Richat. Ses fi
atum zonale du corps genouillé externe (fig. 75, ZGE) indique déjà la
forme
extérieure de ce noyau, dont la substance grise,
iscus (Lem) et du laqueus (Laq, fig. 75). • Il résulte de là que la
forme
en lame de hache perd de sa netteté au fur et à m
pl. XXÏI, p. 238). ARC. Le faisceau arqué (fig. 73, 77) présente la
forme
caractéristique d'un triangle dont le sommet le p
s leur ensemble, le faisceau dont la coupe vertico-transversale a une
forme
triangulaire si spéciale. Si la base du triangle
n petit fait assez important. Le corps genouillé externe, on le sait,
forme
au-dessous de la couche optique une saillie très
aux (FP et LTE). Pcs. Le pédoncule cérébelleux supérieur a perdu sa
forme
primitive de demi-cercle : ses fibres médianes s'
(FM, fig. 82, 83, 84). FSi. Le faisceau sensitif interne (fig. 79)
forme
la majeure portion des fibres qui passent au-dess
ps genouillé (GE, fig. 80), la couronne rayonnante apparaît sous la
forme
de stries claires insensiblement confondues avec
'étale dans le recessus antérieur du sillon de l'hippocampe dont elle
forme
le plancher. A ce niveau, avons-nous dit, elle co
g. 85, 87, 89). Après la la disparition du ganglion de l'habénule, il
forme
la paroi du ventricule moyen jusqu'au fond de la
alité, il ne se confond pas immédiatement avec la capsule interne; il
forme
même la limite de séparation de la capsule et de
supérieur du pédoncule cérébelleux inférieur (Pcs, 85) emprunte une
forme
circulaire à la convexité postérieure du noyau ro
sent. IS. Le stratum intermedium (Meynert), ainsi nommé parce qu'il
forme
une couche lamellaire de fd^res interposées entre
e (GE) ; ensuite il réapparaît à la face externe de ce noyau, sous la
forme
d'une crête rayonnante, foncée en dedans, claire
isceau pyramidal pénétrer directement dans la capsule interne sous la
forme
d'une masse compacte de fibres claires, limitée e
oupe supérieur va se perdre dans le centre ovale; le groupe inférieur
forme
une notable partie de la couronne rayonnante du n
'est pas encore désigné sur les coupes de la planche 25. Mais déjà sa
forme
se dessine : le faisceau sensitif externe le pénè
e bandelette sont dirigées d'avant en arrière, leur section, qui a la
forme
d'une lentille, offre une coloration foncée, très
faisceau longitudinal postérieur (91, 92, 94, 96) s'insinue, sous la
forme
d'une lamelle foncée, entre la couche optique et
doncule cérébelleux supérieur (Pcs) ; un étage supérieur qui, sous la
forme
d'un faisceau à section triangulaire, se prolonge
le et s'y mêle Coiiiio vertico - transversale destinée à montrer la
forme
constante du faisceau aniué (ARC). Ce faisceau
aillie au-dessus et en dehors du noyau interne (NiC, fig. 91). H a la
forme
d'une demi-sphère [corpus subrotundum) revêtue d'
deux couches : l'une, superficielle, recouvre le tubercule dont elle
forme
le stratum zonale; l'autre passe au-dessous de lu
l adhère intimement à toutes les autres parties qui l'environnent. Sa
forme
est celle d'un trapèze dont les deux côtés parall
. 11 s'agit là du faisceau sensitif externe lui-même; et la tache, de
forme
et de situation absolument constantes, représente
ntiformis (fig. 98, 99, 101) est un noyau gris parfaitement isolé, de
forme
très régulièrement lenticulaire, situé immédiatem
a surtout été bien décrit par M. Luys, du moins au point de vue de sa
forme
et de ses rapports généraux. Mais on est encore l
x de la calotte et du pédoncule qui l'environnent. Il a évidemment la
forme
d'une len-^ A, projection du discm lentiformis
rizontal. Sur le plan vertical (A), le plan de l'équateur du disque
forme
un angle de 35 degrés avec la ligne horizon-talc
en raison de leur direction antéro-postérieure, apparaissent sous la
forme
d'une bandelette foncée sur les coupes 101 et 102
nse du noyau lenticulaire (ANL). fig. 101, 102) dont il emprunte la
forme
. C'est môme à la présence des fibres du faisceau
jacente au ventricule sphénoïdal, marche de dedans en dehors, sous la
forme
d'une lame horizontale ; arrivée en dehors de la
gnes 101 et 102 sur le schéma 155). On voit aussi que ce faisceau, de
forme
triangulaire (fig. 102) est situé au-dessus et en
externe, que la troisième circonvolution frontale (F3, fîg. 105) qui
forme
l'opercule, se relève vers le deuxième sillon fro
LV). A la face interne de l'hémisphère, le trou borgne s'élargit et
forme
une excavation qui représente sur la coupe 104 l'
ouvre : sur ces deux dernières coupes, la substance grise affecte une
forme
ovalaire. La portion interne.de l'ovale, plus d
, situé au-dessus du cul-de-sac antérieur du lobe sphénoïdal, dont il
forme
la voûte, est longé en dehors par les fibres blan
, fig. 107, 108), et quelques fibres du taenia. Le noyau amygdalien
forme
une sorte de voûte à paroi épaisse au-dessus du c
fibres de l'étage supérieur, en dedans de la lame médullaire externe,
forme
cette sorte de treillage qu'on a appelé couche gr
dans le pied de la couronne rayonnante et dans le locus niger où elle
forme
le stratum inter-medium, est réduite ici à un fai
rte en bas vers l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 104) dont elle
forme
le bord externe à la partie antérieure de la prot
(LML). Elle traverse la capsule interne de dedans en dehors, sous la
forme
de stries parallèles, disposées comme les barreau
a circonvolution de l'hippocampe (Ts, fig. 108), où il se termine. Il
forme
lui-même le plancher du diverlicidmn sub subiculo
ntricule latéral (VS) est réduit à une fissure (fig. 112, 115), il en
forme
encore la paroi supérieure; et lorsque la coupe p
fig. 111); en dedans il est borné par le faisceau de Vicq-d'Azyr, qui
forme
, ainsi que nous l'avons vu, une véritable paroi,
pace perforé antérieur (schéma 172). Quant à la substance grise qui
forme
la couche intermédiaire, elle est commune à l'éte
u tuber cinereum; celle-ci, sur ses bords latéraux, s'amincit sous la
forme
d'une lamelle d'un quart de millimètre d'épaisseu
e pour concevoir avec quelque netteté ses connexions, son étendue, sa
forme
. La difficulté est de faire passer la laine du co
e point de départ, il rencontre la commissure antérieure qui, sous la
forme
d'un faisceau compact, suit la face inférieure du
deux faisceaux (fîg. 112, 115). Sur la coupe 115 le faisceau d'Arnold
forme
môme une masse fibreuse très remarquablement limi
gdalien, de telle sorte que la commissure antérieure (CA, schéma 178)
forme
une sorte de capsule autour de la racine inférieu
e autour de la racine inférieure du thalamus (ThI), comme celle-ci en
forme
une autour du noyau amygdalien (NA). CA. La com
mieux faire comprendre l'aspect qu'il présente sur les coupes, que sa
forme
générale est celle d'un éventail dont le plan aur
te au devant du turercule mamillaire Écorce. Nous avons vu que la
forme
du lobe frontal ne subissait plus de variations i
férieur s'allonge en dedans vers le tuber cinereum (TC, fig. 120); il
forme
ainsi le noyau de l'anse (GAP, 120) et est croisé
-laire. Ici le tubercule mamillaire n'est plus reconnaissable qu'à la
forme
arrondie du tuber cinereum (TC) accolé à sa conve
se. On voit la bandelette sous-optique filer transversalement sous la
forme
d'une mince lamelle (fig. 117), entre la substanc
, se termine en haut, entre le noyau caudé et la couche optique. Elle
forme
ici le faisceau le plus interne du segment postér
putamen. GAP. Le noyau de l'anse (fig. 121) s'amincit en avant; il
forme
un feuillet d'une très faible épaisseur, parfaite
e ; et s'il envoie des fibres à l'anse du noyau lenticulaire, sous la
forme
d'une lamelle blanche étalée à sa base, c'est que
racine antérieure de la couche optique (fig. 121, 122, 125, 125, 126)
forme
la partie la plus inférieure et interne de la c
nd avec la voûte (TRI, fig. 122). Un peu plus en avant (fig. 125), il
forme
le bord le plus antérieur du ventricule moyen et
pas tout : en même temps qu'elle change de direction, elle change de
forme
. Cylindrique dans la gouttière de Gratiolet, elle
ers l'insula dont la circonvolution la plus antérieure (IN, fig. 130)
forme
une languette accolée à la troisième frontale (F3
iste. La coupe vertico-transversale de ses fibres se présente sous la
forme
d'un croissant à concavité interne (fig. 130), em
d disposé comme sur toutes les coupes précédentes, c'est-à-dire qu'il
forme
la voûte de la corne frontale du ventricule et qu
le nom de roslrum ne peut s'appliquer qu'à une partie présentant une
forme
de bec; et telle est, en effet, la partie réfléch
um. La section sagittale du roslrum (schéma 196) ligure assez bien la
forme
générale et la cour- comme la siibslancc réticu
u, est toujours limitée en bas par le fasciculus uncinatus (FU). Elle
forme
au-dessous du putamen une anse véritable, dont le
, fig. 132). RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé présente la
forme
et la direction qui ont été déjà indiquées (voy.
, 132) garde, jusque dans les régions antérieures de l'hémisphère, sa
forme
caractéristique. On voit cependant qu'il diminue
vant du noyau caudé. Elle garde, jusqu'à son extrémité antérieure, la
forme
triangulaire. Toutefois sa paroi interne n'est pl
visible sur cette planche), elle se relève pour s'interposer, sous la
forme
d'une lame verticale, entre le putamen et le clau
erticale, entre le putamen et le claustrum. C'est sous cette dernière
forme
qu'elle s'était toujours présentée jusqu'à présen
fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé (lîNG). prennent la
forme
, l'aspect et la couleur que le faisceau de la cou
surtout sur ces dernières coupes, c'est que la substance blanche qui
forme
le manteau du carrefour garde partout sa colorati
t du tapetum. CL. L'avant-mur est étendu d'avant en arrière sous la
forme
d'une traînée grise, en dehors de la capsule ex
retroflexus (FRF). BOA. Le bras du tubercule quadrijumeau antérieur
forme
à la surface même de l'isthme cérébral, la paro
en avant vers le lobe sphénoïdal. Mais plus haut (iîg. 2 et 3), elle
forme
un gros tronc nerveux homogène, qui glisse sous l
e, apparaît ici, sur le plan de section horizontal, au moment où elle
forme
la partie postérieure de l'espace perforé antérie
putamen ne présente ici rien de spécial, si ce n'est le changement de
forme
qui se manifeste de la coupe 7 à la coupe 9. Sur
rsqu'il a disparu sur les coupes 8 et 9, c'est le globus pallidus qui
forme
la limite externe de la capsule interne. On le vo
couronne rayonnante du thalamus. NeC. Le noyau externe du thalamus
forme
, avec le noyau antérieur (NaC), toute la surface
te au niveau du passage du faisceau d'Arnold (AR). Pul. Le pulvinar
forme
la paroi antérieure de la fente de Bichat. Il éme
substance grise du noyau caudé (NC). CP. La commissure postérieure
forme
la limite antérieure du tubercule quadrijuineau a
eau antérieur (qui en réalité ne lui appartient pas en propre) et qui
forme
la limite externe du ganglion de l'habénule (GH)
rieur de la capsule (CIA), s'enfoncent dans la couche optique sous la
forme
de deux faisceaux diffus, l'un externe, l'autre i
utre chose que le cul-de-sac du sinus du corps calleux; 9° Enfin la
forme
et la direction des faisceaux inférieur et moyen
sur tout son pourtour, par une couche blanche. Cette couche, qui lui
forme
une sorte de capsule, le sépare, en dedans, de la
la surface la bandelette de Giacomini. Tous les détails relatifs à la
forme
et aux rapports de la corne d'Ammon sur les coupe
vrais Primates ou des Singes. Le problème se présentait ici sous des
formes
plus simples, et je comptais sur cette simplicité
e l'anatomie comparée ; enfin, une étude attentive de l'évolution des
formes
cérébrales a permis de déterminer avec plus de ce
eçu une sanction nouvelle de la considération de quelques-unes de ces
formes
imparfaites qui résultent d'une impuissance initi
mon illustre maître, M. de Blainville, toute fibre nerveuse complète
forme
un arc, une des plus compliquée que celle que j
nerveuses agrégées forment un ganglion. Les ganglions, eu égard à la
forme
et au groupement des cellules, sont de quatre ord
a moelle, dit-il, il existe des amas de subie stance pulpeuse sous la
forme
de renflements, lesquels « sont de la longueur de
a chaîne nerveuse des insectes représente par ses relations et par sa
forme
ce qu'on a appelé le nerf sympathique dans les an
issent le ganglion supérieur au ganglion inférieur. Cet ensemble a la
forme
d'un anneau. Si maintenant nous comparons cet ann
On peut s'expliquer ainsi l'importance de l'anneau œsophagien, et la
forme
particulière au système nerveux des insectes. Tel
ibution. Le premier anneau, l'anneau céphalique, conservera seul sa
forme
normale, dans tous les autres, les deux systèmes
La chaîne des ganglions qui composent l'axe nerveux céphalo-rachidien
forme
une longue tige renflée dans le crâne en un noyau
médiatement le sillon médian postérieur; un petit funicule accessoire
forme
dans ce cas la marge du sillon. Tels sont les f
la moelle, et se montre au fond du sillon latéral postérieur sous la
forme
d'une traînée grise longitudinale. Rolando a le
erfs, elles se laissent facilement déprimer, et reçoivent aisément la
forme
de fibres variqueuses. La transformation des fi
ni vu ni mesuré. Les cellules d'ailleurs variant beaucoup dans leur
forme
, on ne peut les comparer que d'une manière très-g
us avons négligé dans cette évaluation la cellule elle-même, dont les
formes
sont trop irrégulières pour se prêter à aucune me
lus renflées que les fibres qu'elles émettent. Ce système de cellules
forme
un plexus ganglionnaire qui s'étend jusque dans l
-mêmes, ainsi que nous l'avons déjà dit, ne se ressemblent ni pour la
forme
ni pour la grandeur. Les unes sont oblongues ou f
es que M. Rémak* compare aux globules du sang de la grenouille ; elle
forme
la base des cornes postérieures qui ont d'ailleur
apparente de la moelle; car en réalité elle se prolonge au delà sous
forme
d'un cordon grêle enveloppé d'un tube fibreux qu'
diminue évidemment chez l'adulte. Chez l'enfant nouveau-né l'axe gris
forme
presque toute la masse du renflement lombaire, et
La protubérance est peut-être plus facile à dessiner qu'à décrire. Sa
forme
générale est celle d'un trapézoïde à base très-la
pont. Elle présente, sur la ligne médiane, une petite échancrure qui
forme
la marge du trou borgne postérieur. Légèrement so
et gagnent le cervelet. Ces bords, dans leur ensemble, rappellent la
forme
d'un arc antique fortement bandé. C'est entre c
e le nom de noyau gris d'enroulement du cornet pédonculaire. Ce noyau
forme
le bouton terminal de chacune des moitiés de l'ax
aire. Assez aplatie dans l'homme, elle apparaît dans les singes, sous
forme
d'une colline oblongue , peu saillante, toute per
sa concavité existe la trace d'un sillon médian. La substance qui en
forme
le fond est d'un gris blanchâtre de couleur cendr
e deux substances dans le lobe supérieur, l'une extérieure, rougeâtre
forme
une couche épaisse de 2mm50 environ, et une intér
nds que les postérieurs, et formés en entier de substance grise. Leur
forme
est celle de deux ellipsoïdes juxtaposés, dont le
t se terminer dans un tubercule gris fort petit, mais saillant, et de
forme
arrondie. Ce tubercule se nomme Corps genouillé i
e de l'étage supérieur du ventricule intermédiaire, se porte, sous la
forme
d'un petit cordon nacré, vers les tubercules quad
ue; d'abord très-adhérente au noyau, elle s'en distingue bientôt sous
forme
d'un cordon où la substance blanche l'emporte de
ail en dehors de la couche optique, s'atténue peu à peu, descend sous
forme
d'un cordon grêle à la face inférieure de l'encép
tement au corps strié extra-ventricu-laire, je veux dire que celui-ci
forme
le centre, l'autre formant la ceinture. Ils ne so
épendamment de ces dilatations médianes, conserve quelque chose de sa
forme
tubuleuse. Mais de l'arc supérieur du tube naît,
sphénoïdales, occipitales. M. Foville a fort à propos remarqué que la
forme
des ventricules latéraux est le prototype de cell
t de chaque côté de la voûte au corps calleux, la paroi du ventricule
forme
, par l'adossement de deux lames symétriques, une
it dans le crâne, tant il est difficile de saisir le passage qui, des
formes
simples de la moelle, conduit aux formes si compl
e saisir le passage qui, des formes simples de la moelle, conduit aux
formes
si compliquées de l'encéphale. La malheureuse h
que, les habenœ de la glande pinéale, suivent ce mouvement. De là ces
formes
circulaires, ces zones enroulées autour des pédon
atéral ou pédoncule moijen ; 3° le processus cerebelli ad testes, qui
forme
le pédoncule supérieur. Telle est la composition
elet. Vue dans son ensemble, la masse du cervelet dans l'homme a la
forme
d'un cœur. La face postérieure ou supérieure du c
e l'échancrure marsupiale et de la vallée qui lui fait suite, sous la
forme
d'une colline intermédiaire, qui est le vermis mé
ent des feuilles', un groupe de feuilles, porté sur une lame commune,
forme
un lobule, un groupe de lobules est un lobe. 11 y
asses, comprises dans les deux angles que le corps du cervelet médian
forme
à droite et à gauche avec son vermis, sont les ce
est le vermis latéral ; elle se replie sur les côtés du cervelet, et
forme
en ce lieu des lobules accessoires. Pour se faire
rs, qui porte à sa face supérieure un certain nombre de feuilles et
forme
un petit lobule accessoire. Ce petit lobule, qu'o
périphérie et les tranchants confondus sur une lame basilaire. Cette
forme
distingue au premier aspect le lobe semilunaire d
e, dépassant de chaque côté la loge cérébrale, donnaient au crâne une
forme
bizarre. Chez les petits enfants, au contraire, l
t toutes choses, il est indispensable de dire ici quelques mots de la
forme
générale des hémisphères. Cette forme étant bien
de dire ici quelques mots de la forme générale des hémisphères. Cette
forme
étant bien définie, il sera plus facile d'étudier
orte le nom de lobe central ou d1Insula. L'ensemble de ces lobes a la
forme
d'un cratère dont le fond est légèrement soulevé.
elque sorte. Alors le cratère', dont le fond est elliptique, prend la
forme
d'une fosse triangulaire. Cette fosse, d'abord bé
qu'à la naissance ; à cette époque, le cerveau a à peu près acquis sa
forme
définitive ; toutefois, l'ovale des hémisphères e
11 s'en faut de beaucoup aussi, que dans les cas de microcephalic, la
forme
des hémisphères atrophiés se rapproche de la form
microcephalic, la forme des hémisphères atrophiés se rapproche de la
forme
fœtale. La marche du développement a été viciée.
nt ascensionnel n'a pas seulement été affaibli; il a produit d'autres
formes
, les formes d'une autre espèce qui meurt parce qu
nel n'a pas seulement été affaibli; il a produit d'autres formes, les
formes
d'une autre espèce qui meurt parce que, de peur q
ertain que ces poids soient l'expression d'une similitude absolue? La
forme
, les proportions des parties seront-elles les mêm
du précédent par une scissure profonde qui se bifurque en arrière en
forme
d'Y ; une flexuo- II. 8 site du pli frontal
ulaire externe, comprend deux plis, savoir : 1° un pli ascendant, qui
forme
la marge postérieure du sillon de Rolando; 2° un
ans les espèces inférieures, et en particulier dans les cynocéphales,
forme
dans l'Orang et dans le Chimpanzé un lobule consi
quelques anfractuosités. Son bord antérieur tranchant est prolongé en
forme
d'opercule au-dessus de la scissure perpendiculai
érieur de la corne postérieure du ventricule latéral, et suit sous la
forme
d'un rouleau un peu recourbé toute la longueur de
et la partie postérieure de la scissure des Hippocampes. Ce lobe, de
forme
triangulaire, est le lobe occipital interne. Le
és irrégulières que M. Foville a désignée dans l'homme, à cause de sa
forme
, sous le nom de lobule quadrilatère. Nous donnero
onvolution crêtée sous lequel il avait été décrit par Rolando. Ce pli
forme
l'étage inférieur du lobe fronto-pariétal. L'ét
aient seuls bien développés. Le crâne, à côté de ce désordre avait sa
forme
normale. La dure-mère elle-même s'était développé
sa forme normale. La dure-mère elle-même s'était développée sous une
forme
régulière, et l'enfant qui mourut quatre jours ap
venus. Ils jugeront s'il est prudent de conclure rigoureusement de la
forme
du crâne à celle des parties qu'il enferme, et si
ns les fosses ethmoïdales. La partie grêle des lobes olfactifs a la
forme
d'un prisme triangulaire, sa face inférieure est
dépression du faisceau antérieur. Comme nous avons déjà parlé de leur
forme
, de leur grandeur et de leurs relations, nous nou
. Le groupe du funicule accessoire du faisceau ou cordon latéral, qui
forme
, à la surface du groupe précédent, une région dis
restiforme qu'elles enveloppent; elles ont reçu le nom de fibres arci
formes
. Ces fibres n'ont point d'analogues dans la moell
rière est plus court que le plan profond qui demeure à découvert sous
forme
d'une bande plus ou moins large. Les fibres qui c
u côté gauche manquait absolument. Toutefois la protubérance avait sa
forme
et sa régularité habituelles, et la saillie du cô
érence totale. Toutefois, à côté des modifications, qui changent la
forme
sans altérer le type, existent des différences ré
quadrijumeaux s'anastomose sur la ligne médiane avec sa congénère et
forme
, au-dessous d'eux, une voûte qui recouvre l'aqued
ière autour de la commissure molle. Cette commissure des pédoncules
forme
le fond de la fosse interpédonculaire; ainsi les
pédonculaire s'unit à celle du bulbe au-devant de la protubérance, et
forme
avec elle un gros faisceau fibreux que les anatom
commissure, et s'étalent l'une et l'autre en une lame semi-grise qui
forme
la paroi propre du ventricule dans toute l'étendu
. Une petite artère pénètre avec elles dans l'intérieur de l'olive et
forme
sur ses parois un réseau très-délié. (1) Arnold
s l'autre le développement de la protubérance et du cervelet sous des
formes
à peu près semblables. Si nous pouvions, dès à
st ce que les anciens ont nommé écorce grise du cerveau. Cette écorce
forme
la paroi des deux bourses grises plus ou moins li
s, en sorte que la coupe médiane de l'espace compris entre elles a la
forme
d'un croissant irrégulier ; dans ce croissant est
éraux. Cette belle préparation fait voir, d'une manière admirable, la
forme
générale du noyau cérébral, et serait parfaite, à
se portent dans les plis de la région orbitaire du lobe frontal. Il
forme
une tige arrondie ; cette tige n'est point absolu
l'a récemment écrit, mais qui toutefois ne s'élève pas au-dessus des
formes
inférieures. C'est là, si je puis m'exprimer ains
sont organes d'intelligence, ils la manifestent, à coup sûr, sous une
forme
essentiellement inférieure. CHAPITRE VI. ORIG
e de leur trajet dépendrait uniquement des modifications que subit la
forme
des parties environnantes. (c) Nerf moteur ocul
ceaux moyens, et se terminent, en partie, dans la substance grise qui
forme
le plancher de l'aqueduc de Sylvius. Un ou deux f
plus petits éléments, résultent à la fois, et des changements dans la
forme
générale, et la distinction évidente de tissus do
ternelle obscurité du problème. § 3. Perfectionnement successif des
formes
. La partie dominante de Yencéphale, pendant les
. Il n'y a donc, à cet égard, aucune différence essentielle entre les
formes
de l'adulte et celles du fœtus, et si nous assimi
derrière, avait un aspect singulier. Il rappelait fort exactement la
forme
d'un mufle de lion. Les lobes optiques formaient
uis une plus grande épaisseur. Le cerveau intermédiaire avait déjà la
forme
qu'il conserve pendant toute la vie. Les deux moi
ème semaine que s'accomplissent les développements qui élèvent à leur
forme
typique la voûte et le corps calleux. Tiedemann a
aux lobes ou au corps des cervelets latéraux, ils demeurent, sous la
forme
d'une masse presque lisse, dans une sorte de repo
e de l'idiotisme. La description détaillée des modifications que la
forme
de l'encéphale subit à partir de la fin du sixièm
encéphale, a cru pouvoir déduire de ses observations que la série des
formes
transitoires qu'amènent ces développements, est p
nsitoires qu'amènent ces développements, est parallèle à la série des
formes
typiques de l'échelle des vertébrés. « Il est évi
ent peut-être mieux les Êtres que celles de l'âge adulte. Ainsi les
formes
primitives de l'embryon humain rappellent par leu
rganes. Or, ce parallélisme qu'il essaye d'établir entre la série des
formes
spécifiques et celle des formes fœtales, révèle-t
l essaye d'établir entre la série des formes spécifiques et celle des
formes
fœtales, révèle-t-il entre ces harmonies quelque
il se distingue, en effet, par une physionomie particulière, par une
forme
spéciale, par un ensemble de caractères qui ne so
certain vertébré, qui s'élève par des voies spéciales, qui tend à une
forme
future et ne ressemble absolument qu'à lui-même.
éjà indiquée, et aucune assimilation absolue n'est possible entre des
formes
achevées qui ont leur but en elles-mêmes, et ces
ble entre des formes achevées qui ont leur but en elles-mêmes, et ces
formes
transitoires qui préparent une forme future. ¦
leur but en elles-mêmes, et ces formes transitoires qui préparent une
forme
future. ¦ § S. Dn développement de chacune de
mportante question en déterminant, avec la plus grande attention, les
formes
d'ensemble que présente à ses différents degrés d
arquer, en premier lieu, qu'une différence fondamentale distingue les
formes
primitives de l'encéphale de l'homme à l'état d'e
, il faudrait en conclure qu'à une certaine époque de l'âge fœtal, te
forme
du cervelet humain donne à peu de chose près l'as
s au summum de leur grandeur relative. Tels sont les faits. Or, ces
formes
définitives du cervelet des singes ont-elles un m
ut les caractères généraux qui la distingueront plus tard. Ainsi, les
formes
premières ont un rapport admirable avec les forme
s tard. Ainsi, les formes premières ont un rapport admirable avec les
formes
futures; elles se compliquent, il est vrai, et ma
le cerveau de l'homme est semblable à celui des singes. C'est la même
forme
générale, ce sont les mêmes groupes de plis. Or,
rt, à trouver parmi les états successifs du cerveau humain, certaines
formes
voisines de celles que présentent certains sing
eloppements une série d'états intermédiaires, reproduisant toutes les
formes
que revêtent les hémisphères dans la série des Pr
une différence capitale. Dans la série des singes, l'achèvement de la
forme
générale précède les premiers vestiges des plis.
utes les époques diffère de celui de tous les mammifères adultes, ses
formes
ne diffèrent pas moins de celles que présentent c
un développement énorme; mais il n'y a encore, Voici donc, sous une
forme
inférieure, des signes de perfection commençante
nimai. B. Cette proposition, fondée sur une étude superficielle des
formes
de l'âge adulte, est d'ailleurs peu conforme aux
tête étaient d'une petitesse vraiment extraordinaire. D'ailleurs, la
forme
du corps était svelte et d'une rare élégance. Le
Il est donc absolument faux de dire, soit qu'on étudie la série des
formes
de l'échelle animale, soit qu'on envisage les dév
énérales sur les membranes qui l'enveloppent immédiatement, et sur la
forme
du crâne. § fl. BJe la pie-mère. Les centres
ns est fort simple. Elle embrasse immédiatement la moelle épinière et
forme
deux replis, dont l'un tapisse le fond du sillon
dans les ventricules du cerveau par la fente en fer à cheval, sous la
forme
d'un voile triangulaire formé de deux lames adoss
ux de Luschka et de Kôlliker (2). Je ne m'étendrai point ici sur la
forme
et sur les dimensions de ces cellules. Ces détail
uelques points à la première, elle s'en détache en certains lieux, et
forme
des replis qui, sous le nom de faux ou de tentes,
partout au feuillet périostique, il s'en détache en certains lieux et
forme
deux replis principaux. L'un de ces replis est
se le nœud de l'encéphale. L'autre repli est médian et vertical; sa
forme
est celle d'une lame de faux très-large. Son bord
petit sinus circulaire, logé dans la selle turcique du sphénoïde, en
forme
le centre. Ce sinus est le sinus coronaire. Il en
ique, demeure adhérent aux vertèbres du rachis; l'autre, le viscéral,
forme
une sorte de sac fort allongé qui est en quelque
es parties sans y adhérer. Le deuxième feuillet, feuillet pariétal,
forme
un second sac qui enveloppe le premier. Il adhère
o-spinal ou céphalo-rachidien. Dans le rachis, le feuillet viscéral
forme
à la moelle une enveloppe très-large que distend
divers nerfs rachidiens. » Non-seulement le liquide céphalo-spinal
forme
à la moelle et au cerveau une enveloppe liquide,
ravail important. CHAPITRE IX. DU CRANE, DE SA COMPOSITION, DE SA
FORME
DANS L'ESPÈCE HUMAINE, ET DE SES RAPPORTS AVEC LE
car le crâne enfermant le cerveau, sa cavité intérieure en exprime la
forme
comme une empreinte fidèle. Qui pourrait avec cer
extrait du crâne, ramolli, atfaissé sous sa propre masse, juger de sa
forme
primitive? Heureusement cette forme, perdue dans
sous sa propre masse, juger de sa forme primitive? Heureusement cette
forme
, perdue dans le cerveau, subsiste dans le crâne,
tendances, leurs instincts, leurs aptitudes natives, oiïrent dans la
forme
de la tête des différences non moins frappantes
civilisation (1), et qui ne se laissent aisément ramener à aucune des
formes
que présentent les peuples de l'ancien continent
tout mélange, tous les crânes se ressemblent. C'est dans tous la même
forme
et les mêmes proportions ; ainsi deux têtes de Di
ire avec la liberté. Ici l'individu se distingue dans sa race par une
forme
qui est à lui, par un caractère empreint d'une pe
'est plus malaisé au contraire que de déterminer le type normal de la
forme
des peuples capables de civilisation, tels que ce
é n'est rien autre chose que la perfection rendue intelligible par la
forme
. Les trois vertèbres qui composent le crâne, d'
seront d'un grand secours pour définir scientifiquement la meilleure
forme
du crâne dans l'homme; nous devrons nous appuyer
tude des régions caractéristiques de l'encéphale humain. § 3. De la
forme
dit crâne. D'après les principes que nous venon
t évident qu'une fois la vertèbre pariétale arrivée à son maximum, la
forme
la plus parfaite serait celle dans laquelle le ce
rquée de la région pariétale exprime un développement incomplet de la
forme
crânienne, en tant qu'elle est le signe d'un médi
pas seulement large en avant, elle est encore arrondie sur les côtés,
forme
qui s'éloigne essentiellement de celle des Alfour
u-dessus. Cette prédominance qui s'effacera bientôt, est un reste des
formes
fœtales. Or je sais bien que, chez l'enfant nouve
eut-être pas suffisamment remarqué, à savoir : la modification que sa
forme
générale subit depuis la naissance jusqu'à l'âge
té peu considérable; mais enfin il s'accroît, et très-certainement sa
forme
se modifie. Il est bien évident que le crâne d'un
ation de la masse seule est stérile, et c'est H. 20 une question de
forme
autant que d'étendue. S'ensuit-il que la phrénolo
quels sont mes sentiments à cet égard. D'ailleurs, si l'étude de la
forme
du crâne peut donner une idée générale de la form
, si l'étude de la forme du crâne peut donner une idée générale de la
forme
du cerveau, l'étude de sa table interne peut four
és. § 4. Dimensions et capacité du crâne. Bien que la question de
forme
l'emporte à nos yeux sur la question de masse, no
ence de la capacité intellectuelle; car il ne s'ensuivrait pas que la
forme
fût la même, que la complication des circonvoluti
ellectuel en développe la capacité en môme temps qu'il en améliore la
forme
. Le crâne des hommes distingués par l'esprit et p
ais (1). Ces mesures ne permettent pas d'apprécier le caractère de la
forme
, en tant qu'ils ont négligé de donner le rapport
u certains. § 5. Des déformations du crâne. Après avoir parlé des
formes
normales du crâne, disons quelques mots de ses dé
atténué que la tête, fort large en arrière, avait, vue d'en haut, la
forme
d'un cœur. Jamais cet enfant n'avait été soumis à
t et sur l'occiput qu'on aplatissait tous deux, et la tête prenait la
forme
d'un coin : telle est la déformation cunéiforme d
indique un crâne précieux figuré par Morton. Dans un second cas, la
forme
du crâne, assez semblable à la disposition cunéif
mprimée et dilatée. Dans un quatrième cas, on donnait à la tête une
forme
carrée. L'une des déformations les plus singuli
los Sacrificios. Un système compliqué de bandes donnait à la tête une
forme
trilobée. C'est là la cinquième déformation de M.
imée sur le front et sur les côtés de manière à donner au crâne une
forme
pyramidale, cette déformation produira la tête mo
dale, cette déformation produira la tête mongole, qui est la huitième
forme
anormale. Outres ces déformations, M. Gosse adm
avons donné plus haut la raison. 10° La tête aplatie sur les côtés.
Forme
dont les Abassiens du Caucase offrent un exemple
fois déformée sur les côtés et sur le front. Les Turcs préféraient la
forme
sphé-rique. Ailleurs, un lien ceint étroitement l
ons de race toltécane. Enfin, certains peuples donnaient à la tête la
forme
d'un cône tronqué, comme l'ont observé à Siam, MM
des enfants louches, et ainsi du reste pour toutes les variétés de la
forme
, où est l'empêchement qu'un macrocéphale n'engend
acro-céphale (1)? Il est certain que les hommes de Toulouse ont une
forme
de tête qui les distingue, et qui se transmet par
r rien. D'ailleurs, alors même que ces modifications singuliers de la
forme
du crâne sont acquises, il y a une question à rés
pas tenue pour battue, et le phénix a ressuscité mais sous une autre
forme
dans la nouvelle doctrine de Gall. Cette doctri
s, mais surtout de celle 'des poissons? Ici le crâne accuse si peu la
forme
réelle du cerveau, que de pareilles prétentions s
ne, si l'épaisseur de tous les crânes est la même; enfin, si pour une
forme
semblable, tous les cerveaux offrent à leur surfa
un de l'autre dans le détail de leurs circonvolutions : voici pour la
forme
; mais, après avoir donné à la matière ce qui lui
donné à la matière ce qui lui appartient, et tout en accordant que la
forme
visible du corps peut exprimer symboliquement, da
visible du corps peut exprimer symboliquement, dans certains cas, les
formes
invisibles de l'âme, le fera-t-elle jamais au poi
rieure suffit-elle au développement complet de leurs facultés, et des
formes
cérébrales qui trahiraient l'intelligence d'un bl
ce d'un blanc suffisent à ces faibles natures. Cette suffisance d'une
forme
cérébrale inférieure dans ces hommes inférieurs s
capacité du crâne, et qu'en vertu du principe de la suffisance d'une
forme
inférieure dans les êtres inférieurs, telle forme
la suffisance d'une forme inférieure dans les êtres inférieurs, telle
forme
peut être parfaite dans un sauvage qui serait dan
lorsque le corps a toute sa grandeur et toute sa puissance ; aussi la
forme
de la région occipitale du crâne subit-elle des v
is rerum ponit, prœter ato-« mos (1). » Pour d'autres, l'âme est la
forme
d'un corps vivant. Telle est l'opinion d'Aristote
llement que dans la matière qui est destinée à la recevoir. C'est une
forme
parfaite. Elle est l'essence du corps vivant comm
C'est une forme parfaite. Elle est l'essence du corps vivant comme la
forme
d'une hache est l'essence de la hache. Elle est d
le « témoignera de la vérité. Car si l'âme n'avait pas un corps, « la
forme
de l'âme ne serait pas l'image du corps. L'Écritu
pandue dans tout le corps, cette âme le pénètre et le meut. C'est une
forme
éthérée qui vit dans une forme corporelle, dont e
e âme le pénètre et le meut. C'est une forme éthérée qui vit dans une
forme
corporelle, dont elle est comme l'ombre ou la lar
se dans toutes les parties du système nerveux, l'âme sensitive a pour
forme
celle de ce système. Son centre principal est le
es matérielles, quoique chacune, prise séparément ou sous toute autre
forme
, n'ait pointeette faculté. La pensée serait donc
divisible et toujours active. Cette essence ne se manifeste ni par la
forme
, ni par la pesanteur, ni par aucune propriété que
ssort des corps élastiques, leur étendue, leur situation relative, la
forme
. — La troisième espèce comprend les sensations du
qu'on a pu lui attribuer les idées que les aveugles-nés se font de la
forme
des corps. Une expérience bien simple démontre
tement qui en résulte donne l'idée d'un mouvement. Mais quelle est la
forme
d'un corps en mouvement ? Voilà ce que notre aveu
'expérience le dément. Quand nous voulons dans l'obscurité toucher la
forme
d'un objet, nous ne l'appliquons point aux larges
pittoresque un compas à cinq branches. Ainsi, dans la perception delà
forme
, le toucher seul est impuissant. Il faut pour cel
ouve merits; or la trace de tout mouvement, c'est une figure ou une
forme
, Eldoç.. Cette forme, il la voit en lui-même ; et
trace de tout mouvement, c'est une figure ou une forme, Eldoç.. Cette
forme
, il la voit en lui-même ; et ce qui prouve peut-ê
idée de leurs relations successives. Ainsi nous ne connaissons pas la
forme
par la sensation du contact, mais par un sentimen
où il fait supposer l'existence de nerfs particuliers. L'idée de la
forme
suppose l'idée de l'étendue en général; mais elle
u'elle est le seul organe qui « nous donne des idées distinctes de la
forme
des corps. Le a toucher n'est qu'un contact de su
exact et précis « qui est nécessaire pour nous donner une idée de la
forme
« des corps. Si la main avait un plus grand nombr
st point exact; quand nous voulons loucher et apprécier exactement la
forme
des (1) Hist. nat. de fhomme. T. III de l'édit.
nt sous les doigts d'une certaine façon. Dans ce cas, nous jugeons la
forme
bien plus que nous ne la sentons. Si, par exemple
s de la main. 11 serait presque absolument impossible de découvrir la
forme
d'une canne que l'on tiendrait à pleine main, san
t une succession de contacts. Mais évidemment partout où l'idée de la
forme
suppose l'idée du nombre, c'est l'esprit qui la c
tion typique la plus élevée. Le jugement qui nous fait connaître la
forme
, nous fait aussi apprécier la résistance. Nous ju
résulte encore de cette étude rapide, que nous ne connaissons pas la
forme
des corps par le contact seul, mais par l'intelli
par le contact seul, mais par l'intelligence. Nous ne sentons pas la
forme
par le toucher, nous la concevons par l'esprit ;
n tire, l'esprit n'aurait aucune idée des choses; il ne saurait ni la
forme
, ni l'étendue, ni la résistance, ni le mouvemen
çues par un certain organe et un certain nerf, elles le sont sous une
forme
spéciale et éveillent en nous l'idée de bruit ou
me somme d'action. La symétrie se retrouve donc non-seulement dans la
forme
mais dans la tendance des organes. Il suit de là
as. Eh bien, nous affirmons qu'un pareil homme ne peut avoir ni de la
forme
, ni du mouvement des corps aucune idée possible.
us hardi pourrait-il admettre entre un son quelconque et des idées de
forme
, d'étendue, de surface, de solidité, de mouvement
Voilà pourquoi les sons et les voix sont, non pas l'essence, mais la
forme
la plus habituelle du langage ; enfin la faculté
avantage. A l'occasion de la vue l'âme a des idées de l'espace, de la
forme
, du mouvement et du temps; (railleurs la vue est
ments, qui ne peuvent d'ailleurs lui donner aucune idée distincte des
formes
, sont indéterminés et indécis ; en un mot, la per
qui est magnifique, tout ce qui étincelle d'harmonie, tout ce qu'une
forme
limite et distingue, tout ce qui se meut, tout ce
rmal par une a marche analogue à celle d'un ressort qui, écarté de sa
forme
« d'équilibre, revient à cette forme par des osci
e d'un ressort qui, écarté de sa forme « d'équilibre, revient à cette
forme
par des oscillations dé-« croissantes, en vertu d
les sympathies générales qu'elle éveille peuvent être ressenties sous
forme
d'inquiétude, de malaise général, ou de bien-être
naturelles de l'esprit. Un de mes amis, doué d'une telle mémoire des
formes
qu'il fait aisément de souvenir des portraits res
l entraîne incessamment des matières nouvelles dans le tourbillon des
formes
vivantes; de la matière qui formait le corps de l
rps de l'enfant, il ne reste plus un seul atome dans le vieillard. La
forme
, suivant Burdach, est l'essence et la matière l'a
La forme, suivant Burdach, est l'essence et la matière l'accident; la
forme
est l'entéléchie suprême, mais cette forme elle-m
la matière l'accident; la forme est l'entéléchie suprême, mais cette
forme
elle-même a changé. D'où vient donc ce sentiment
comme un écho des sensations antérieures. Elle les reproduit sous une
forme
nouvelle, mais avec des teintes plus faibles et q
ons les yeux quand nous voulons imaginer vivement des couleurs ou des
formes
absentes. De même, pour être plus complètement at
es sensations très-faibles seront d'autant plus aisément perçues sous
forme
d'idées, qu'elles auront antérieurement été éprou
tablir, des sensations très-faibles peuvent n'être comprises que sous
forme
d'idées. CHAPITRE V. DU SOMMEIL. § 1. Défin
fois de la vue et du souvenir, mais tout à coup au milieu d'elles une
forme
plus distincte se dessine, et le rêve commence.
ue instant à ceux qui s'amusent à considérer des uuagcs ou d'antres
formes
indécises. dormant, lorsque tout à coup j'aperç
i-même une idée distincte ; mais l'idée s'étant subitement revêtue de
formes
intelligibles, et ce travail obscur passant inape
er, des rêves commençant dès le début du sommeil. se changer en une
forme
hideuse. Que de déceptions, que d^ dégoûts puniss
s de sa chambre en mouvement. Cette illusion est fort commune dans la
forme
sardonique du délire. Souvent les malades voient
onge, celui qui dort, pensant encore veiller, voit accourir à lui des
formes
errantes, différentes, par la grandeur et par l'a
re cette merveilleuse perspicacité de certains songeurs qui, sous une
forme
ou sous une autre, semblent prévoir des maladies
âme, apercevant dans le repos des sens, mais le plus souvent sous une
forme
métaphorique, certaines modifications des viscère
Essentiellement, les rêves sont surtout des images, c'est-à-dire des
formes
, des idées. C'est la vue intérieure qui est la mè
eux fermés ou détruits sont pleins de lumières, phosphènes, spirales,
formes
kaléidoscopiques, taches, étincelles, ombres, tou
la pensée a toujours pour corps, si je puis ainsi dire, un son ou une
forme
imaginaire. a. Hallucinations de l'ouïe. De tou
ns excessivement faibles. Ici ce sont des pensées qui s'imposent sous
forme
interpellative et qui semblent des perceptions sa
nsations dont elles sont revêtues sont subtiles et raréfiées. Cette
forme
d'hallucinations dont on a de nombreux exemples e
'œil est le siège. Ces hallucinations ont dans la plupart des cas une
forme
toute particulière. Rarement l'objet fantastiqu
sortant sur le fond noir des ténèbres, et comme phosphorescent. Cette
forme
n'est pas absolument rare. Ces fantômes ont, ai
blancs sont assez rares dans les ténèbres absolues, mais ils sont la
forme
la plus habituelle des hallucinations crépusculai
Dion. LXI. contre cette logique irrécusable des faits qui, sous des
formes
diverses, éclaire les hommes sur l'avenir (1) ?
, comme l'a écrit M. Michéa, une figure distincte et connue, mais une
forme
pâle et blanche, semblable à un cône (1) Voy.,
e Cassius de Parme. fort allongé que surmonterait une sphère. Cette
forme
, assez mal définie d'ailleurs, était immobile, et
revenant un soir de la chasse, fut assez longtemps accompagné par une
forme
humaine enveloppée d'une sorte de suaire, elle ma
es hallucinations crépusculaires; mais celles-ci offrent aux yeux des
formes
pâles; les fantômes diurnes apparaissent au contr
urnes présentent aux personnes qui sont d'ailleurs bien portantes des
formes
belles et gracieuses. Ne serait-ce pas là l'origi
l'extase les objets extérieurs cessent d'être aperçus. De quelques
formes
particulières d'hallucinations diurnes. Dans la p
éressant; aussi nous réservons-nous d'y revenir ailleurs. Parmi les
formes
les plus remarquables d'hallucinations visuelles,
parut (2). Goethe raconte avoir eu une hallucination semblable. Cette
forme
est d'ailleurs assez fréquente dans le délire des
i par l'esprit, ces modifications pourraient-elles éveiller l'idée de
formes
intelligibles ? On a cité, il est vrai, certains
tramonium de si intéressantes recherches, c'est I'excitation. « Toute
forme
, tout accident du délire ou de la folie propre-«
dial qui sollicite des inspirations involontaires : ajoutez à cela la
forme
mystique des premiers désirs du cœur, et la fréqu
er sur des faits qui se reproduisent à chaque instant sous toutes les
formes
possibles. À une époque où des idées d'associat
expliquant les stigmates de saint François d'Assise. « L'âme, dit-il,
forme
et maîtresse « du corps, usant de son pouvoir sur
t « animé par cet esprit, et s'il ne lui sert, en quelque sorte, de «
forme
et d'instrument. Ces corps servent de base à l'es
e autour de leur corps, les « unit les uns aux autres. Quelquefois on
forme
une seconde «c chaîne en se tenant par les mains,
t se transmettre à ses descendants par la génération. Développée sous
forme
d'une inspiration individuelle, elle peut se chan
t, l'immobilité active du corps tendu vers cet objet révèle, sous une
forme
intelligible, l'état intérieur de l'âme. Ces si
ignore souvent le vrai sens. Outre ces expressions spontanées de la
forme
visible, il y a celles de la voix ; celles-ci ont
bêtes, mais ici s'arrête leur langage ; l'homme seul possède les deux
formes
supérieures. 3. Il y a chez les animaux des ves
e représentation complète d'un objet comprend la représentation de sa
forme
, l'imitation de certains sons, et, dans tous les
bstances, mais il a communiqué à l'homme seul le pouvoir de créer des
formes
et deles définir (1). (1) Voyez P. Jolly, De l'
ier abord inexplicable, des mémoires partielles. Tel a la mémoire des
formes
, tel autre celle des sons; l'un retient les mots,
remières................... 226 § 3. Perfectionnement successif des
formes
........... 229 § 4. Exposé des opinions de Tied
............... 278 CHAPITRE IX.—Du crâne, de sa composition, de sa
forme
dans l'espèce humaine, et de ses rapports avec le
. ib. % 2. Composition du crâne................... 288 g 3. De la
forme
du crâne................... 297 g 4. Dimensions
a vue donnant à la fois des sensations de lumière, de couleur et de
forme
, il faut éprouver séparément chacune de ces diver
tions (vision des couleurs) se perd, tandis que l'autre (vision des
formes
) est con- servée. ' EXPLORATION DE LA VISION
vée. ' EXPLORATION DE LA VISION CENTRALE Vision centrale pour les
formes
. - ' (Acuité visuelle centrale.) . L'acuité v
ve précédente est de mesu- rér la sensibilité de la^rétine pour les
formes
, l'acuité rétinienne. Or, cette sensibilité rét
ingent (hypermétropie), ou bien quand la cornée, au lieu d'avoir sa
forme
sphérique, prend la conformation d'un ellipsoïd
constater l'existence d'un scotome central, mais en déterminer la
forme
et l'étendue (fig. 5). ' Il ne suffit pas de re
ets environnant le point fixé vicn- l'ig. 6. Schéma pour montrer la
forme
du champ visuel. L'oeil fixant le point 0, les ob
grandes qu'elles sont faites en un point plus éloigné deJ'oeil. La
forme
d'une de ces sections est re- présentée sur le
ET DE LA RÉTINE. 13 Sensibilité de la rétine périphérique pour les
formes
. (Acuité rétinienne périphérique.) La rétine
macula, peut subir des altérations . portant sur sa sensibilité aux
formes
, aux couleurs, à la lumière. La meilleure métho
à la lumière. La meilleure méthode pour explorer la sensibilité aux
formes
de la rétine périphérique, serait d'employer, c
grandeurs. Mais la faculté dissociatrice, l'acuité visuelle pour les
formes
de* la rétine périphérique est si faible propor
qu'en aucun point de son étendue, elle ne permet de dis- tinguer la
forme
des lettres. Pour remédier à cet inconvénient,
hérique pour les couleurs. La rétine périphérique, peu sensible aux
formes
, l'est beaucoup plus aux couleurs. - Fréquemm
ergent. La ligne a L, marquant la direction pathologique de l'oeil,
forme
avec la ligne z0 0 un angle d proportionnel ! l
nte de la bougie. Mais, dans le cas actuel, l'image de la bougie se
forme
en un point excentrique de la cornée, en dehors
d'étendue dans le sens des muscles insuffisants, il mo- difiera sa
forme
(fig. 18 et 1J ? Prise du champ du regard. L'ob
ayon avec méridiens et cercles parallèles (tout à fait analogue comme
forme
aux schémas du champ visuel), est placé à ? 2 d
sparents, à mesure que l'objet se rapproche, l'image de celui-ci se
forme
toujours nette sur la rétine, quelle que soit s
25). - L'augmentation de réfraction est due à des modifications de
forme
du : c EXPLORATION DE LA 110TfLITL INTRINSÈQUE
£ F2 F3 les foyers de ces trois cristal- lins. Les modifications de
forme
du cristallin, suivant ses différents états de ré
uvre avec la main son oeil droit. Le medcjp examine l'oeil gauche. Il
forme
avec sa maiu gauche un écran derrière lequel se
t l'oeil du malade. Ils arrivent ainsi au niveau de la pupille sous
forme
d'un petit filet de lu- mière que l'on projette
s cérébraux. L'embolie de l'artère centrale de la rétine, certaines
formes
de névrite optique rétrobulbaire à début brusque,
bservé de l'achromatopsie hystérique. Les objets sont vus dans leur
forme
mais sans leurs couleurs. Ils ont une teinte gr
e est, en effet, dissociable. Une altération. de la vision pour les
formes
peut exister en même temps qu'une exagération d
point perçus. ' Les lacunes peuvent varier dans leur siège, leur
forme
et leur éten- due. Toutes ces variations sont .
peut siéger à la périphérie (lacune périphérique) et présenter des
formes
variées : lacune périphé- Fig. 34. Lacune cen
rs, il est dit relatif. Le scotome central se montre dans certaines
formes
de névrites toxi- ques, et dans les lésions mac
donne des renseignements très précis sur le siège, l'étendue et la
forme
de l'hémianopsie. (Voir p. 10.) , Caractères du
-cercle autour du point de fixation (fig. 41, B) ; , ú) Soit sous
forme
d'une bande plus ou moins épaisse longeant le me-
lacunes du champ visuel sont beaucoup plus étroites et prennent les
formes
d' hémianopsie en secteur (lig. 41, D), t\' hém
tance de la vision centrale. Dans l'hémianopsie, quelle que soit sa
forme
, la vision centrale persiste. Pour expliquer ce
La ligne de démarcation empiète un peu sur la moitié manquante sous
forme
d'une bande longeant le méridien vertical. " LA
tant beaucoup moins étendue que l'autre. Très souvent, dans cette
forme
d'hémianopsic, la portion restante du champ vis
parlé. C'est un mélange de l'aphasie de Broca et de Fanarthric. La
forme
d'aphasie la plus fréquente dans l'hémianopsie es
'habitude de passer journellement. Ce trouble ne paraît être qu'une
forme
de la perte de la mémoire visuelle et doit rentre
hinasale. On observe encore assez souvent une modification dans la
forme
et LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. i : , l'éten
leur [POULARD.] oli 1; TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.
forme
nodulaire ou diffuse, leur siège central ou périp
La migraine ophtalmique est d'ail- leurs productrice de scotomes de
formes
et de dimensions très diverses. Hystérie. Certa
alogiede l'hémianopsie avec l'amaurose uré- nuque. Pronostic. Les
formes
non organiques de l'hémianopsie (urémie, migrai
roduit (affection rénale, éclampsie, etc.). Il en est autrement des
formes
organiques; elles sont toujours sé- rieuses. Ce
htalmoplégie peut être aiguë, subaiguë ou chronique. , Un type de
forme
aiguë est la poliencéphalite aiguë hémorrhagique-
(céphalée, vomissements, vertiges, tendance au sommeil). ' Dans la
forme
chronique, plus fréquente, l'affection peut reste
es nerfs moteurs de l'oeil par des tractus nerveux, dont l'ensemble
forme
la voie des mouvements associés. Le siège des cen
veux que se produisent les mydriases spastiques qui accompagnent la
forme
spastique de l'hLlI11cranic les accès de dyspné
ontre le myosis dans les méningites, les méninge-encéphalites. Il
forme
un des caractères de Y hémiplégie du type Avellis
il la période aiguë, donne il la pupille une déformation légère, de
forme
ovalaire, sans angles. Le glaucome ancien, à la p
la paralysie générale, la syphilis cérébro-spinale sous toutes ses
formes
. Inégalité pupillaire congénitale. Certains ind
l'oeil est humide ; le bord palpébral. légèrement écarté du globe,
forme
avec celui-ci un fossé rempli de larmes; quelqu
DE L'APPAREIL OCULAIRE. baisse, le champ visuel se modifie dans sa
forme
et dans son étendue e (rétrécissement irrégulie
'influence d'une plus forte excitation. La cZ1J}lacOllSie est une
forme
de paracousie qui fait percevoir deux sons pour
o-pneumonie, la rougeole, etc. La tuber- culose fournit surtout les
formes
purulentes chroniques. Chez les enfants, plus r
écipiter à terre, avec ou sans perte de connaissance, comme dans la
forme
classique du vertige de Ménière. - Les lésions
lle plus lentement, niais avec la même symptomatologie que dans les
formes
rapides ou lentes delà syphilis acquise. On sait
porté ce chiffre il 55 pour 100. Elle est encore plus grave que la
forme
acquise et, sauf de rares exceptions, peut être
iliforme, et de nombreuses gaines vides. Il est fréquent dans celle
forme
de trouver la paralysie faciale associée à la s
ie les douleurs périauriculairc, qu'on trouve souvent au début, les
formes
récidivantes et les formes à bascule. Elle comman
airc, qu'on trouve souvent au début, les formes récidivantes et les
formes
à bascule. Elle commande l'examen de l'oreille
ra-duraux se rencontrent à peu près avec la même fréquence dans les
formes
chroniques et dans les formes aiguës. Le siège
près avec la même fréquence dans les formes chroniques et dans les
formes
aiguës. Le siège de la lésion auriculaire a une
ement à l'atténuation de l'affection otique. Il va de soi que cette
forme
bénigne n'a rien à faire avec les paralysies qu
s auteurs, et Gradenigo sur- tout, ont pensé qu'il s'agissait d'une
forme
de méningite séreuse loca- lisée, mais le prono
es odeurs. Elfes, sont guéris- sables par suggestion, alors que les
formes
organiques sont assez souvent incurables. c - .
alement suave ou agréable. La parosmie se présente fréquemment sous
forme
d'isosmie (Collet), la sensation étant toujours
es névralgies faciales qui sont extrêmement fré- quentes. Certaines
formes
de névralgie localisée doivent toujours faire s
e les précédents. On peut citer les éternuements et notamment cette
forme
curieuse de 1'(,,teintictiteizl posl-}J1'andial
u le remarquable rapport de Lannois et Chavanne (de Lyon) sur les «
formes
cliniques du syndrome de Ménière » ; cet importan
lques cas rares, au vertige intense fait suite une attaque épileli-
forme
. Syncope ou convulsion peuvent être soit une cons
surtout soit il leur début, soit il une période tardive et dans les
formes
adynamiques. On l'observe avec une graudc fréqu
des Icrbéliclcccs, qui est assez fréquent, prend le plus souvent la
forme
du vertige auriculaire, soit par suite de lésions
parlerons plus loin. Le vertige auriculaire peut prendre toutes les
formes
: y'raloirc lc plus souvent, il peut être oscil
lus ou moins longtemps, par des troubles subjectifs de l'ouïe, sous
forme
de bourdonnements, de sifflements, de tintements,
ion de l'appareil vestibulaire. Lannois et Chavanne distinguent des
formes
complètes, des formes atténuées, des formes fru
ibulaire. Lannois et Chavanne distinguent des formes complètes, des
formes
atténuées, des formes frustes et des formes psy
havanne distinguent des formes complètes, des formes atténuées, des
formes
frustes et des formes psychiques de ce syndrome.
s formes complètes, des formes atténuées, des formes frustes et des
formes
psychiques de ce syndrome. Parmi les formes com
s formes frustes et des formes psychiques de ce syndrome. Parmi les
formes
complètes, ils reconnaissent des variétés apopiec
rmi les formes complètes, ils reconnaissent des variétés apopiecti-
forme
, aiguë, paroxystique, chronique avec paroxysmes,
mie, de syphilis, de néphrite, d'art ério-sclérose, etc. Dans les
formes
non traumatiques, le début est brusque, apoplecti
Dans les formes non traumatiques, le début est brusque, apoplecti-
forme
, et survient chez un sujet dont l'audition est no
ion est normale. Ce vertige est précédé par une courte aura sous la
forme
d'un sifflement, aigu et stri- dent, parfois de
observe la « névrose de Ménière » décrite par Franid-Hochwart, les
formes
psychi- ques de Lannois et Chavanne : troubles
près complète; mais celle-ci est irrémé- diable. En dehors de ces
formes
complètes ou compliquées du syndrome de réméré,
compliquées du syndrome de réméré, on observe très fréquemment des
formes
atténuées se tradui- sant par une sensation d'é
certains bruits violents par exemple. Frankl-Hochwart a décrit des
formes
frustes où manquerait l'un des trois symptômes ca
on de dérobeinent du sol; la migraine otique est une variété de ces
formes
frustes (Lannois). Dans la plupart de ces cas,
îner une chute. Les vertiges des neurasthéniques peuvent revêtir la
forme
du syndrome de Ménière continu ou intermittent, p
omac et le larynx . f Le vertige stomacal peut prendre toutes les
formes
; généralement modéré, il peut être assez intens
aireux et alimentaires, et calmi; par ces vomissements. La première
forme
serait essentiellement névropathique : à la sec
tablit une hémiplégie évidemment caractérisée. Il existe encore une
forme
d'apo- plexie qui mérite d'être connue; c'est l
utre méningite, dans la méningite tuber- culeuse du nourrisson, une
forme
somnolente (Lesage et Alrami). Au début existen
e sommeil, dans les tumeurs cérébrales, peut se présenter sous deux
formes
. On observe soit des accès de somnolence passagèr
s individus présentant de grandes crises. Le malade tombe foudroyé (
forme
apoplec- tique), ou s'assoupit doucement (forme
ade tombe foudroyé (forme apoplec- tique), ou s'assoupit doucement (
forme
narcoleptique). Le sujet endormi ne ronfle pas.
e à l'origine de celle variété. 11 est autant de traitements que de
formes
d'insomnie. On traitera ce trouble morbide par
un cha- pitre spécial). Il existe tout il la fois un trouble de la
forme
extérieure du langage et un trouble intime de l
t d'abord sur les labiales, puis s'étendent à peu près à toutes les
formes
verbales 'selon que progressent les troubles paré
s troubles spastiques, si accusés, s'individualisent sous une autre
forme
dans le bégaiement. On entend de façon banale, so
'accorder sur ses symptômes et sur sa valeur. Mentionnons enfin une
forme
spéciale; de crampe phonatoire, l'aphlongie. Le
e se répartissent en deux groupes. Les uns intéressent le tracé, la
forme
de l'écriture; ce sont les troubles calh- graph
A) Troubles calligraphiques élémentaires. Le (racé des lettres la
forme
et, la direction des figues sont seuls modifiés i
est petite, menue, hésitante. Ces caractères, communs il toutes les
formes
, s'expli- quent par ce que le malade, pour écri
tions ou des zig-ziigs anguleux de faible amplitude en général. Les
formes
se modifient naturellement selon que le tremble
La chorée exagère beaucoup les modifications précédentes. Dans les
formes
les plus légères, le graphisme est compliqué de n
ro- chets, et l'écriture peut être encore déchiffrée. Mais dans les
formes
intenses, le tracé se réduit à des barres, à de
faciles pourvu qu'ils ne concernent point l'acte d'écrire. Dans la
forme
ordinaire ou spasmodique, à peine le malade a-t-i
ute écriture est bientôt impossible. Parfois des mouvements choréi-
formes
ou athétosiques, un tremblement plus ou moins vio
nt la difficulté du tracé. Dans certains cas, la crampe affecte une
forme
paralytique. La main s'engourdit et reste inert
L'écriture en miroir est donc disposée comme les caractères sur les
formes
d'imprimerie. Cette écriture est l'écriture nat
mais de désordres men- taux qui viennent troubler non seulement la
forme
générale du tracé, mais encore, modifier les id
On les rencontre avec leur plein développe- ment dans les diverses
formes
d'aliénation mentale. Nous reviendrons sur l'ap
'aliénation mentale à la fois sur le contenant, c'est-à-dire sur la
forme
du tracé, sur le contenu, c'est-à-dire sur les
tracé, sur le contenu, c'est-à-dire sur les pensées exprimées. La
forme
générale du tracé présente des caractères distinc
git en effet de faits isolés ou de variétés rares, souvent aussi de
formes
théoriquement dérivées d'un schéma et n'ayant p
plus la réalité des fails. Nous admettrons qu'il existe une" seule
forme
d'aphasie, dite aphasie intrinsèque (Pierre Mar
te aphasie intrinsèque (Pierre Marie) ou aphasie de Wernicke. Cette
forme
, carac- térisée par les troubles du langage int
assu- ciée à l'aphasie de Wernicke. ]1 existe donc, en résumé, cinq
formes
morbides de (roubles dits aphasiques du langage
(aphasies extrinsèques); deux syndromes : l'aphasie de Broca et une
forme
complexe alexie-aphasie de Wernicke. L'aphasie
e propre est particuliè- rement fréquente et significative dans ces
formes
de' reliquat. Anarthrie. Dans 1 anarthrie (corr
"anart/n'ie el de l'aphasie de TVl')'lIicloe. Le dosage de ces deux
formes
dans la cousti- tution du syndrome de Broca est
l'autre très prononcées, il s'agit, d'une aphasie de Broca maxima,
forme
que les anciens auteurs dési- gnaient sous le n
idenlificalion secondaire des objets. L'agnosique reconnaît donc la
forme
, les qualités sonores ou colorées d'un objet; i
les interpréter. 11 s'exprime d'ailleurs cor- rectement, et par la
forme
, et par le fond. Il n'est ni dément, ni apha- s
hasie sensorielle) le malade voit et reconnaît toujours au moins la
forme
géné- rale de l'écriture et de l'imprimé : il r
, l'excitation maniaque, les délires mégalonianiaques on observe la
forme
déclamatoire. Katubamn a attiré l'attention sur
iendra compte dans l'examen des écrits de l'aspect du papier, de la
forme
et de la dimension des lettres, de la signature
que le maniaque, sans s'installer, prend une plume ou un crayon et
forme
les lettres avec rapidité, que le mélancolique fa
e sur les modalités de la conduite des aliénés, sur les différentes
formes
cliniques de la pathologie men- tale. - 1° Ac
sistant dans la perception pathologique de paroles, non plus sous la
forme
d'images sensorielles auditives ou visuelles, d
elles auditives ou visuelles, de mots entendus ou lus, mais sous la
forme
d'images motrices à l'aille des mouvements adapté
cusateurs. Les idées d auto-accusation dans la confusion mentale il
forme
déli- mnte sont la résultante de l'automatisme
résultante de l'automatisme psychologique, le délire est mobile il
forme
de rêve. Dans le délire alcoolique aigu, délire h
t en rapport avec les hallucinations, elles sont mobiles (délire il
forme
de rêve de Lasègue). Elles se rapportent souvent
quand elles exis- tent, ont aussi un cachet démentiel. , Dans la
forme
paranoïde de la démence précoce et. chez certains
s sou- vent prédominantes dans le tableau clinique et réalisent une
forme
spé- ciale de cette affection, la mélancolie hy
inillen le et chez certains débiles. Elle s sont fréquentes dans la
forme
dépressive de la paralysie gélll'- rale, coexis
exté- rieur. Les idées de négation sont fréquentes dans certaines
formes
de mélan- colie et très systématisées. Elles ap
oire du moyen âge des cas nombreux de démonopathie; aujourd'hui ces
formes
cliniques de la paranoïa sont beaucoup plus rares
x l'alimentation forcée. L'hydrothérapie est employée sous diverses
formes
. Dans les états de dépression mélancolique on c
dre public ou la sûreté des per- sonnes, le préfet pourra, dans les
formes
tracées par le deuxième paragraphe de l'ar- tic
public ou la sûreté des personnes v seront également admis dans les
formes
, dans les circonstances et aux con- ditions qui
services financiers, la surveillance de la gestion du receveur, les
formes
de la comptabilité, sont applicables aux établi
nsi- rinations, et sera exclusivement destiné ;1 pourvoir, dans les
formes
el pour les cas déterminés dans l'article suiva
contenir les nom, prénoms, âge et domicile de la per- sonne qui la
forme
et de celle dont le placement est réclamé, ainsi
une région de circonvolutions; il en résulte une cavité ou porus en
forme
d'entonnoir. Cette perte de substance est, sui-
parfaite de la sen- sibilité au contact. 11 s'agit donc là de deux
formes
distinctes de sensibilité qui peuvent être nett
syringomyélie- que, il faut placer, d'après Strumpell, une nouvelle
forme
de dissociation de la sensibilité, dite du « ty
s peuvent également occuper la région nammaire et dorsale sous la
forme
E.1.lui plastron anesthésique. Ces roubles de
le tabès, exister seuls ou associés à des altérations les autres
formes
de la sensibilité. Dans les paraplégies, la sen
dons de reconnaître par la palpation et le toucher, la na- ture, la
forme
géométrique et les propriétés physiques, molécula
re un objet, il entre deux éléments différents : 1° La notion de la
forme
de l'objet; 2° la notion de la compréhension de c
forme de l'objet; 2° la notion de la compréhension de cet objet. La
forme
, en effet, ne constitue pas nécessairement pour n
nous voyons ou palpons pour la première fois. La perception de la
forme
des objets a été appelée identification pl'i- I
els du sens stéréognostique ; il pourra parfaitement reconnaître la
forme
, la dimension, l'état de lisse ou de rugueux d'
eulement de dire le nom de l'objet, mais encore d'en reconnaître la
forme
(stéréoagnosie), présenterait des troubles plus
cas, l'anes- thésie empiète sur le côté corres- pondant, sous la
forme
d'une zone d'hypoesthésie occupant le membre
onc elles membres) ou partielle, et revêtir, comme l'hémiplégie, la
forme
monoplébique. La sensibilité peut être touché
noncée avec contracture; elle peut comme cette dernière revêtir la
forme
monoplégique, ou encore se compliquer de phénom
n sensitive radiculaire des téguments. Celle-ci se présente sous la
forme
de bandes parallèles entre elles et nettement d
- tituée, ils manquent rarement. Au début, ils se présentent sous
forme
de bandes transversales d'anesthé- sie sur le
s, ils sont plus rarement unilatéraux; quelquefois ils revêtent une
forme
hémiplégique. Rarement. ils sont croisés par rapp
thésie de la région sacrée, de la plus grande partie des fesses en
forme
de fer à cheval avec branches descendantes le l
SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 345 oreillons, l'érysipèle. On a décrit dès
formes
« radiculo-méningées » dans le cancer vertébral
sont caractérisées par la dégénérescence des éléments nerveux. -
Formes
cliniques. De même que pour les névrites, on peut
ormes cliniques. De même que pour les névrites, on peut classer les
formes
cliniques des radiculites, suivant leur topograph
la prédominance spéciale de leurs symptômes. On distingue ainsi des
formes
presque exclusivement sensitives et des formes se
distingue ainsi des formes presque exclusivement sensitives et des
formes
sensitivo- motrices (ce sont les formes qui nou
usivement sensitives et des formes sensitivo- motrices (ce sont les
formes
qui nous intéressent ici), et enfin des formes
motrices (ce sont les formes qui nous intéressent ici), et enfin des
formes
motrices. Les formes sensitives peuvent, à le
rmes qui nous intéressent ici), et enfin des formes motrices. Les
formes
sensitives peuvent, à leur tour, se diviser en ra
étude est importante pour déterminer- la cause de l'algie. Dans les
formes
dites acroparesthésiques, les dou- leurs se loc
(scialique radiculaire) (Dejerine, Gauckler et Roussy). A côté des
formes
limitées, on admet encore des formes disséminées
auckler et Roussy). A côté des formes limitées, on admet encore des
formes
disséminées et généralisées, dont le diagnostic
ne franche. 'Mais il est à remarquer que cette limite supérieure ne
forme
pas une ligne perpendiculaire, mais oblique par
es ou multiples, distribués au liasard sur la surface cutanée; leur
forme
et leur dimension sont variables. [ ROUSSY.]
ie. Les troubles de la sensibilité sont également fréquents dans la
forme
de chorée dite : chorée hystérique. Dans le g
moteurs affectent le plus habituellement, chez les hystériques, la
forme
hémiplégique. Or, ceux de ces hémiplégiques qui
ale. Dans la paralysie générale progressive, ils peuvent prendre la
forme
hémiplégique ou monoptégique, et, dans le cas d
éphalée est un des symptômes prédominants de la syphilis cérébrale (
forme
artérielle ou méningée). On l'observe dans les
ès lourd, « céphalée en casque ». Elle peut être localisée, sous la
forme
de point ou de plaque, il l'occiput ou dans la
la céphalée prend la valeur d'un équivalent epifcp- tique, sous la
forme
de migraine, de tics douloureux, de chocs cépha-
raine; nous ne pouvons donc que signaler en passant les principales
formes
de migraines, dans la symptomatologie desquelle
pie périodique, l'amblyopie, la photophobie migraineuse en sont les
formes
principales; elles peuvent exister indépendamme
er également des crises de douleurs paroxystiques intestinales ou à
forme
d'angine de poitrine. Les organes génito-urinaire
2° Dans les névroses, les douleurs viscérales permanentes ou sous
forme
de crises sont communes dans le goitre exophtalmi
ue du corps, à la face, à la nuque, aux membres, au coccyx, sous la
forme
de zone douloureuse limitée, ne répondant pas à
ent être l'unique manifesta- tion du paludisme, réalisant ainsi une
forme
larvée névralgique. Les névralgies paludéennes
si parmi les (roubles trophiques les éruptions de zona qui, dans la
forme
ophtalmique en par- ticulier, peuvent avoir des
oitié de la face. Les troubles trophiques sont fréquents dans cette
forme
de névralgie. NÉVRALGIE CERVICO-OCCIPITALE La
ralgie ilr'o-scrotale; il faut dans cette affection distinguer deux
formes
cliniques : tantôt il s'agit d'une névralgie des
algies scrotales ou labiales, des névralgies fmo-perïa/cs. Dans une
forme
clinique spéciale ces névral- gies génitales so
logue. La scoliose homo- logue s'observerait principalement dans la
forme
de sciatique spasmodique de Hrissaud. Les dévia
malade se fatigue très facilement. On a opposé l'une à l'autre deux
formes
cliniques : la sciatique- névralgie et la sciat
beaucoup de cas. Brissaud et Lamy ont attiré l'attention sur une
forme
spéciale de sciatique, la sciatique spasmodique
diagnostic étiologique. Certaines céphalalgies se manifestent sous
forme
d'accès, ce sont les migraines. La migraine s
sie du nerf de la troisième paire du côté de l'hëmicrànie, c'est la
forme
clinique encore appelée; paralysie oculo-motric
hénii- parésie ou d'hémiplégie disparaissant rapidement. Dans les
formes
vaso-motrices de la migraine on constate des trou
nes névral- gies. L'hydrothérapie est utile spécialement dans les
formes
chroniques des névralgies. On conseillera, suiv
r fort, ont une extrémité court-taillée et un calibre presque fili-
forme
; celles qui sont destinées au trou grand rond on
rveux qui la renvoie par les voies centrifuges à la périphérie sous
forme
d'excitation motrice. Si le point de départ de
binaisons suivantes : a) Les deux réflexes sont abolis : c'est la
forme
la plus fréquente; b) Les deux réflexes sont tr
éléments du syndrome des scléroses combinées de la moelle dans la
forme
tabétique, dans les scléroses combinées de la par
, dans les scléroses combinées de la paralysie générale el dans les
formes
subaiguës. Dans la forme (abélique, elle est semb
nées de la paralysie générale el dans les formes subaiguës. Dans la
forme
(abélique, elle est semblable il celle du tabès
paraplégie, signe de Babinski (Pierre Marie et Crouzon). Dans les
formes
subaiguës : (scléroses combinées de l'anémie penn
s l'anémie perni- cieuse, soit à une période avancée, comme dans la
forme
décrite parles auteurs anglais; dans ce dernier
dineux. HESLLTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES REFLEXES..45') Dans la
forme
cérébelleuse de la sclérose en plaques, on peut o
faire le diagnostic de l'atteinte du nerf sciatique, soit dans les
formes
de sciatique névrite avec amyotrophie, soit dans
scence de la manie aiguë, à part la manie chronique et une certaine
forme
aiguë de la -paranoïa, l'abolition du réflexe p
léra, M. Galliard a examiné l'état des réflexes rotuliens. Dans les
formes
algides, l'abolition du réflexe rotulien existe d
ns suivantes : La sclérose en plaques, qu'elle se manifeste sous la
forme
spasmo- dique franche ou sous la forme eérébell
qu'elle se manifeste sous la forme spasmo- dique franche ou sous la
forme
eérébello-spaslllodiq1le, est caractérisée par
spaslllodiq1le, est caractérisée par l'exagération des réflexes. La
forme
cérébelleuse pure ne parait pas présenter cette
ilitique, l'exagération des réflexes est la caracté- ristique de la
forme
d'Erb : c'est la paraplégie; spasmodique des mem-
eurs associée à l'exagération des réflexes des membres infé- rieurs
forme
un ensemble caractéristique de la sclérose latéra
nérale est telle qu'elle peut permettre d'affirmer l'existence dune
forme
de sclérose latérale ou spasmodique : il y a al
s dans 29 pour 100 des cas. Il n'existe pas de concordance entre la
forme
de la lièvre typhoïde et l'état des réflexes. L
des réflexes. L'exagération se rencontre cependant surtout dans la
forme
alaxique et ataxo-adynamique, mais les réflexes
se tend et le vaste externe repoussé en avant donne à la cuisse une
forme
cylindrique. Ce réflexe du fascia lata peut coï
st atteinte, on a vu se produire quelquefois des mouvements cluwéi-
formes
ou riralléatoires, ou bien des troubles de la sen
s de caractères spéciaux permettant de distinguer sûrement ces deux
formes
d'hémiplégie, car on ne peut considérer comme a
ension. Le membre supérieur et le membre inférieur sont, dans cette
forme
, susceptibles de présenter une atrophie considéra
constate alors des troubles vaso-moteurs accentués. Dans une autre
forme
, il ne s'agit plus de contracture, mais d'hénn-
embres de ces malades ne présentent pas l'atrophie signalée dans la
forme
précédente. Du reste, d'une façon générale, les
ris, et, suivant lui, il a une valeur assez grande pour déceler les
formes
frustes de la maladie; nous avons pu nous-memc
l'adulte, avec atrophie, confirma notre diagnostic. C'est dans ces
formes
ambulatoires de méningite cérébro-spinale simulan
ticulièrement grave, car on le rencontre plus fré- quemment dans la
forme
mortelle ou suivie de rechutes. On le rencontre
au besoin cette étude. ' - Description du syndrome paraplégie et
formes
clini- ques. La paraplégie peut être flasque ou
ble; elle est possible tm peu plus souvent dans le second. Dans les
formes
aiguës, flaccides ou spas- tiques, elle devient
e des troubles de la marche permettra l'appréciation à distance des
formes
même atté- nuées. Tout à l'ait au début d'une
n pourra juger de la multiplicité et de la complexité de toutes ces
formes
. Tétraplégies. - Les quatre membres sont attein
rentes viciations l'ont place a une dissociation syringomyélique.
Formes
évolutives, aiguës, chroniques. Certaines paraplé
rver à titre exceptionnel de pressants besoins de défécation. Cette
forme
est susceptible de grandes améliorations, de guér
survenir égale- ment au cours de phénomènes bulbaires. , De cette
forme
chronique, il faut distinguer les formes subaiguë
mènes bulbaires. , De cette forme chronique, il faut distinguer les
formes
subaiguës, qui, justement, sont les types à déb
sont les types à début par accidents méningés. On signale aussi des
formes
curables à rechutes. Il est peu de chose à modi
dire s'ac- compagner d'atrophie. Pour le diagnostic, général de ces
formes
, nous nous reporterons aux paraplégies flasques
rs, les centres bulbaires. On se rapproche alors sensiblement de la
forme
suivante. Néanmoins, l'évolution de la meningo-
types. Tous peuvent, aboutir il l'impotence paraplégique, mais deux
formes
seulement réalisent ce syndrome de façon précoc
oprié, évoluer rapidement vers la guérison, d'autre part, certaines
formes
de paraplégie, Pott, sclérose en plaques, subisse
ils s'affaiblissent et succombent dans le marasme. A côté de cette
forme
avec ictus, on peut distinguer, d'après Lherini
a- tives déconcertantes d'amélioration et d'aggravation. Il est des
formes
frustes, d'autres d'emblée caractérisées et à g
'humérus en arrière, mais amènent une élévation moindre du bras qui
forme
un angle de 4J degrés avec l'horizon. Quant aux f
eur du cubitus. En bas, le tendon du muscle s'insère sur l'os pisi-
forme
. Innervation. Nerf cubital. " Physiologie. Le
fortement; c'est ainsi, connue ta l'ait remarquer Duchenne, que se
forme
la griffe si puissante pour déchirer avec les o
lon reposant sur le sol, le mouvement de rotation interne se trans-
forme
en abduction; il en est de même, d'ailleurs, pour
extrémité supérieure du tibia en avant de la tubérosité interne. Il
forme
là, avec les tendons du droit interne et du dem
nastomose avec un rameau provenant de la branche externe du spinal,
forme
une anse de la convexité de laquelle naissent de
élévation en dehors; modification de la ligne latérale qui prend la
forme
d'une Sa boucles très allongées; rétrécissement
aux charnus du diaphragme se détachent du centre phrénique qui a la
forme
d'un trèfle-. Les faisceaux antérieurs ou stern
fibres charnues une direction rectiligne, il leur faire perdre leur
forme
cintrée, ainsi est agrandi le diamètre vertical
ieur des sept ou huit dernières côtes par autant de digitations. 11
forme
un grand éven- tail, ses faisceaux supérieurs o
ieur sur la lèvre postérieure. Les intertransversaires du clos sont
formes
par des faisceaux étendus du sommet d'une apoph
l'oreille externe. Insertions. - Le muscle auri- culaire antérieur
forme
avec le temporal superficiel un muscle digas- t
étant saisi par la bouche à l'aide de l'orbiculaire et des incisifs
forme
un plan rigide qui permet la contraction d'avan
phénoïdal s'insère sur la partie de la grandc aile du sphénoïde qui
forme
la voûte de la fosse zygomatique, le faisceau i
iées avec facilité des paralysies du type e radiculaire. Quelques
formes
cliniques parmi les pai alysies radiculaires du p
quand les deux extrémités sont atteintes, rappelle l'attitude et la
forme
des nageoires d'un phoque (Ftossenstellung). Dans
r des lésions de la moelle, des racines ou des nerfs périphériques,
forme
une transition logique entre l'étude des paraly
e paralysie faciale repose surtout sur l'examen électrique. Dans la
forme
grave, on observe la réaction de dégénérescence
s la forme grave, on observe la réaction de dégénérescence; dans la
forme
bénigne il ny a a pas de modifications des réac
e il ny a a pas de modifications des réactions électriques; dans la
forme
moyenne, le nerf reste excitable, mais son exci
NERFS CRANIENS La paralysie faciale périphérique présente plusieurs
formes
cliniques dépendant du siège de la lésion. La p
iale périphérique. Dans la paralysie, faciale a (rigore, qui est la
forme
la plus habituellement observée en clinique, il
t 4 à 5 respirations par minute. J'ai décrit, avec Guy Laroche, une
forme
apnéique de la crise bulbaire des tabétiques qu
rès favorable , la guérison complète survient toujours. Parmi les
formes
cliniques de la paralysie radiale, une des plus i
n agit comme moyen de choix pour la suggestion dans l'hystérie. Les
formes
névritiques sont justiciables de l'électricité
dition éliologique l'hystérie, mais surtout la neurasthénie dans sa
forme
anxieuse et l'hypocondrie. Souvent ce sont des ma
lques heures et se répéter plusieurs fois dans la journée. Dans une
forme
plus sévère, celle du spasme suffocant, le malade
le temps de songer à pratiquer la trachéotomie. Mais même dans ces
formes
extrêmes, les accidents peuvent se dissiper avec
la respiration artificielle, les inhalations d'éther ou de chloro-
forme
, sont à essayer : le tubage du larynx ou la trach
l'épilcpsie où à côté des [LANNOIS.] 654 - MALADIES DU LARYNX.
formes
dites essentielles, il y a la série des cas sympt
mptouialiques, ce qui n'empêche pas d'ailleurs de décrire à part la
forme
idiopathique. Dans les cas désignés sous le nom
yngoscopique dans ces cas montre du spasme moins accusé que dans la
forme
précédente, prédominant tantôt sur un muscle, t
nerveuse chronique. Étudiée par Brissaud elle correspond à une des
formes
de la raucité vocale. Elle se voit chez de jeun
scles s'accompagne tout spécialement de pseudo-hypertrophie, et une
forme
topographique d'atrophie musculaire I- LÚn. Rcv
la simple inspection que l'on constate une atrophie musculaire, la
forme
du membre ou de la portion de membre est t modi
c'est sa physio- logie, c'est le fonctionnement du muscle et non sa
forme
ou sa dimen- sion qu'il faut interroger. Nous a
aissant dans le mode d'évolution la description classique d'une des
formes
de myopathie. 1. Ducm.,w ? Itecli. éleclro-phys
la séparation des paralysies et des amyotrophies d'origine spinale.
FORMES
CLINIQUES. - CLASSIFICATION - L'atrophie muscul
fait ordinairement, en myopalhiques, myélopathiques et neurotiques.
FORMES
CLINIQUES. CLASSIFICATION'. 665 Les diverses at
t de classer. L'atrophie musculaire progressive dite Aran-Duchenne,
forme
sous laquelle se présente presque toujours l'amyo
s fréquemment l'atrophie musculaire progressive se présente sous la
forme
d'une maladie de développement et en offre tous l
... Dans ce groupe des maladies de développement entrent toutes les
formes
des myopathies, c'est-à-dire des cas où ni clin
s de l'enfance et de l'adolescence : a) myopathiques : toutes les
formes
des myopathies : paralysie pseudo-hypertro- phi
ode avancée, il peut être impossible de reconnaître quelle a été la
forme
de 1 amyotro- phic; c'est l'étude des antécéden
ontré la dissemblance, il savoir : les myopathies avec toutes leurs
formes
topographiques. ks amyo- trophies progressives
-Ioffrriaiin, myélopathie, la paralysie pseudo-hypertrophique et la
forme
Leyden- Moebius, myopathies, qui débutent le pl
i débutent le plus souvent dans la première enfance, sont aussi les
formes
d'amyotrophies progressives le plus con- stamme
progressives le plus con- stamment héréditaires : ce sont aussi ces
formes
dont d'ordinaire l'évolu- tion est la moins len
us souvent héréditaires, plus souvent encore, familiales. Enfin, la
forme
scapulo-humérale d'Erb de la myopathie et la né
plus grand nombre des cas. Dans l'ensemble, les myopathies, dont la
forme
la plus commune est la forme facio-scapulo-humé
ns l'ensemble, les myopathies, dont la forme la plus commune est la
forme
facio-scapulo-humérale, sont héréditaires, d'aprè
arie plus ou moins caractérisée. Un fait à remarquer, c'est que les
formes
de myopathies qui débutent généralement le plus
myopathies qui débutent généralement le plus tardivement, comme la
forme
juvénile d'Erb, sont aussi celles qui paraissen
t le plus volontiers sauter une génération; il semble que, dans ces
formes
, les sujets puissent rester pendant toute leur
peu héréditaire de ces variétés il début tardif. Ce sont aussi ces
formes
qui paraissent se trans- former le plus volonti
tionnel. Cette transformation héréditaire se limite aux différentes
formes
de myopa- thrips : on n'a pas signalé jusqu'ici
ire que les malades et leurs descen- dants sont atteints de la même
forme
d'atrophie; chez les myopathiques, elle peut êt
une hérédité aussi indirecte, amyotrophie progressive, même sous sa
forme
habituellement héréditaire, paraît bien être ac
eyden-Moebius et dans le type Erb, elle semble l'être moins dans la
forme
Landouzy-Dejerine. L'amyotrophie Charcot-Marie
outurier; elle serait un élément important et caractéristique de la
forme
juvénile d'Erb. En réalité, l'hyper- trophie a
é, l'hyper- trophie a été signalée depuis le mémoire d'Erb dans des
formes
diverses de la myopathie, et en particulier dan
pseudo-hypertrophie est assez importante pour caractériser une des
formes
de la myopathie, la paralysie pseudo-hypertrophiq
a paralysie pseudo-hypertrophique ; elle est très fréquente dans la
forme
d'Erb, mais elle ne fait absolument dé- faut da
forme d'Erb, mais elle ne fait absolument dé- faut dans aucune des
formes
de la myopathie ; en revanche elle n'est consta
même, la pseudo-hypertrophie peut manquer, on a alors affaire à la
forme
dite Leyden-Wibius. Certains muscles y sont tou
fJON. J. o/' ne1'U. a. ment, dis., juin 1905. ' MYOPATHIES. 671 1
formes
de myopathies : elles sont surtout fréquentes dan
671 1 formes de myopathies : elles sont surtout fréquentes dans la
forme
Lan- douzy-Dejerine (Friedreich, Landouzy et De
s ordinaires d'investigation. Plus récemment, Gowers a décrit une «
forme
distale » de la myopathie (3), Quoi qu'il en so
rophie myélopathique Werdnig-lIof1'mann. L'évolution des diverses
formes
de la myopathie est en général d'une grande len
d'origine congénitale. Pourtant la lenteur est variable suivant les
formes
; la paralysie pseudo-hyperlrophique, qui est la p
ur l'accentuer au degré où on le rencontre parfois. Dans toutes les
formes
de myopathie, et en particulier dans la l'orme
vant à cause de la lordose lom- baire, ce qui donne aux malades les
formes
connues de la Vénus Callipyge : mais quand on m
udo-hypertrophique, mais ils ont été signalés aussi dans les autres
formes
(Fabre, Joffroy, etc.). En 1902, l'association si
à la myopathie classique, comme une variété de la myopathie. Les
formes
ordinaires de la myopathie peuvent se combiner en
e combiner entre elles; on observe non seulement toute une série de
formes
intermédiaires aux différents types, mais encor
s cas d'association de la paralysie pseudo-hy- pertrophique avec la
forme
facio-scapulo-humérale, que Souques (5), Wongts
, ont présenté des malades atteints à la fois des trois principales
formes
. Cette combinaison possible des diffé- rentes f
is principales formes. Cette combinaison possible des diffé- rentes
formes
n'est pas le moindre argument qu'on ait fait valo
fait valoir pour démontrer queues différents tvpes ne sont que des
formes
d'une seule et .même maladie, la dystrophie mus
Variété pseudo-hypertrophique ou myosclérosique de Duchenne. Cette
forme
atteint surtout et d'abord les membres inférieu
ophie. Or, la pseudo-hypertrolhic est un symptôme transitoire de la
forme
de Duchenne; aussi, de l'avis même de Leyden et
trophie » .. 5. Variété scapulo-humérale ou juvénile d'Erb. Cette
forme
atteint d'abord et surtout les muscles de la cein
édominante. Les atrophies, simples ou pseudo-hypertrophiques, de la
forme
scapulo- humérale déterminent des déformations
les omoplates sont détachées du tronc sur leur bord interne, il se
forme
entre leur bord interne et leur face antérieure
fois seul à l'atrophie de presque toute la musculature cer- vicale,
forme
de chaque côté du cou très aplati des saillies la
et aux membres supé- rieurs; elle envahit les mêmes muscles que la
forme
scapulo-humérale : trapèze, rhomboïde, grand de
mêmes pour le tronc et les membres, il une période avancée, dans la
forme
d'Erb et dans la forme Landouzy-Dejerine : seule
les membres, il une période avancée, dans la forme d'Erb et dans la
forme
Landouzy-Dejerine : seule leur période d'appari
ir complè- tement immobile. L'évolution est la même que dans la
forme
scapulo-humérale, en ce sens que la progression d
essif n'a pas suivi la marche ordinaire : des observa- tions de ces
formes
anormales sont journellement publiées et ne se
ar quelque maladie intercurrente. 2. Type Werdnig-Hoffmann. - Cette
forme
d'atrophie est extrêmement rare ; on n'en conna
'ENFANCE ET DE L'ADOLESCENCE Névrite interstitielle hypertrophique (
forme
Gom- bault-Dejerine-Sottas et forme Pierre Mari
interstitielle hypertrophique (forme Gom- bault-Dejerine-Sottas et
forme
Pierre Marie). Cette affec- tion est très rare,
.INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE.. 697 permis à Boveri d'en faire une
forme
spéciale, la forme Pierre Marie, différant par
ERTROPHIQUE.. 697 permis à Boveri d'en faire une forme spéciale, la
forme
Pierre Marie, différant par certains caractères
ale, la forme Pierre Marie, différant par certains caractères de la
forme
Gombault-Dejerine. - L'atrophie débute dans l'e
e progressive de l'adulte est presque toujours mye- lopalhillue. La
forme
presque constante, la seule bien différenciée, es
afoe est exactement le même que celui que nous avons décrit dans la
forme
scapulo-humérale de la myopathie; les dévia- ti
atrophie. Ils sont en général diminués dès le début; dans certaines
formes
d'atrophie Duchenne-Aran, dans la pachy- méning
hypertrophique, dans la sclérose latérale amyotro- pbique, dans la
forme
spasmodique de la syringomyélie, dans quelques
une importance assez considérable pour que Charcot ait décrit une «
forme
amyotrophique ». Pour Lejonne ('),.qui en a récem
que ». Pour Lejonne ('),.qui en a récem- ment repris l'étude, cette
forme
amyotrophique se distingue par certains caractè
ntionnel et massif, nystagmus, troubles de la vi- sion, etc.), la
forme
amyotrophique de la sclérose en plaques se cara
élie ne s'accompagne pas toujours du syndrome Aran- Duchenne ; la
forme
de la main est souvent celle de la « main de pr
Sottas, Dejerine et Mirallié). , La-maladie de Morvan n'est qu'une
forme
de syringomyélie ou de lèpre avec prédominance
ce de- troubles trophiques (panaris analgésique, etc.). La' lèpre à
forme
nerveuse ne s'accompagne pas toujours d'amyotro-
tologie était, en somme, assez restreinte; telle n'est nullement la
forme
ordinaire des am)'o- trophil's tabétiques; il é
terons seulement que, si le type Aran-Duchenne est de beaucoup la
forme
la plus fréquente de toutes ces amyotrophies, on
combinaison des troubles moteurs, sensitifs et trophiques des deux
formes
précédentes : paralysie atrophique des muscles
ésions vertébrales ou intra-rachidiennes peuvent simuler toutes les
formes
de paralysies des plexus que nous venons d'indiqu
se externe qui s'accompagnent d'amyo- trophie se présentent sous la
forme
de la « névrite ascendante ». (1.) Névrite infe
généralisée (polynévrites); on peut observer entre ces différentes
formes
tous les intermédiaires. La névrite localisée i
n ne le sont qu'exceptionnellement, très tar- divement, ou dans des
formes
très rapides, aiguës ou suraiguës, qui rap- pel
nie ne sont pas encore parfaitement élucidées. Dans les différentes
formes
de polynévrites les troubles sensitifs peuvent
ns noté déjà que l'atrophie du tabes se présente parfois sous cette
forme
et qu'elle est vraisemblablement due dans ce cas
radiculaires antérieures par la méningo-myélite syphilitique; cette
forme
d'atrophie ne diffère pas en effet de la forme my
syphilitique; cette forme d'atrophie ne diffère pas en effet de la
forme
myélopathique habituelle, et d'autre part Raymo
générescence et une atrophie des grandes cellules motrices. Mais la
forme
la plus ordinaire de l'amyotrophie tabétique es
est différente et c'est surtout au sujet de la pathogénie de cette
forme
que l'on a beaucoup discuté. L'amyotrophie tabé
1. Caractères de l'atrophie : Contractions fibrillaires (pas dans la
forme
\\'crdriig- Hoffmann) ; pas de pseudo-hypertrop
Erh, qui avait constaté ce fait sur des muscles de myopathiques à
forme
juvénile,- le croyait spécial aux myopathies et m
e juvénile,- le croyait spécial aux myopathies et même à leur seule
forme
juvénile. Ce qui est vrai, c'est que, en dehors d
ies myopathiques. Mais elle n'est pas un caractère particulier à la
forme
juvénile, elle s'observe aussi dans les autres
rticulier à la forme juvénile, elle s'observe aussi dans les autres
formes
et notamment dans la forme facio-scapulo-hu- ll
e, elle s'observe aussi dans les autres formes et notamment dans la
forme
facio-scapulo-hu- lllél'1C. L'hypertrophie pr
es muscles, soit sur des muscles différents. Il y a donc toutes les
formes
de passage entre la myopathie pure et la maladi
ogiquement constantes. Cliniquement : myopathies seulement, surtout
formes
Duchenne et Erb. Localisées : partielles ou tot
s de spasmodicité ou à l'extension des orteils (sclérose combinée à
forme
tabé- tique), tantôt la paraplégie spasmodique
ée seulement à un léger degré d'incoordination (sclérose combinée à
forme
spasmodique, paraplégie syphilitique d'Erb).
es mouvements isolés. Nous signalons dès maintenant ces différentes
formes
d'incoordination parce qu'il s'agit, selon toute
LLEUSE. 775 en arrière et de courber le tronc d'ans le même sens en
forme
d'arc. Un individu normal, en même temps qu'il
III. INCOORDINATION DANS LES MALADIES HÉRÉDITAIRES OU FAMILIALES (
FORMES
MIXTES) Nous avons réservé, pour les décrire en
l'a décrite avec ses élèves P. Riche et 111ocd, en distinguait une
forme
paralytique et une forme ataxique. En réalité,
ves P. Riche et 111ocd, en distinguait une forme paralytique et une
forme
ataxique. En réalité, il s'agit dans les deux c
és être paralysés. j La l'orme ataxique de Charcot ne diffère de la
forme
paralytique que par l'association de mouvements
ar l'association de mouvements hystériques surajoutés, soit choréi-
formes
(astasie-abasie clloréiforme), soit trépidants (a
rome bulbaire analogue ou hémiplégie alterne inférieure. Dans cette
forme
, les membres sont paralysés du côté opposé à la l
il vrai dire, assez super- ficielle. Elle porte uniquement sur les
formes
extérieures, sur le modelé de la face. Nous ver
Dans l'hémorragie du bulbe, le début est fréquemment al7ol71ecti-
forme
: la mort peut être foudroyante. Lorsque la mort
e de Cheyne-Stokes : cela est fort rare à la vérité. Évolution et
formes
cliniques. Certains malades présentent surtout
es provoquent peu de variations dans le syndrome étudié : certaines
formes
, chez les sujets jeunes il antécédents spécifiq
ie, porencéphalie. L'évolution du syndrome étudié, à s'en tenir aux
formes
observées chez l'adulte, est variable et irrégu
escriptions précédentes. Dans la paralysie bulbaire aiguë apoplecli
forme
, l'ictus est unique, sans perte de connaissance l
ingulière affection ne saurait être difficile. On la rencontre sous
forme
plus ou moins épidémique. en Suisse et au Japon
rminant l'intérêt qui s'attache à la recherche des symptômes et des
formes
de transition entre les myasthénies, les myopat
es de transition entre les myasthénies, les myopathies atrophiques (
forme
banale) et hypertrophiques (forme Thom- sen). T
nies, les myopathies atrophiques (forme banale) et hypertrophiques (
forme
Thom- sen). Toutes ces entités cliniques semble
e, diminution des polynucléaires, des lymphocytes, augmentation des
formes
âgées des mononucléaires; Pel (d'Amsterdam) a,
ent observé une hyperleuco- cytose. Diagnostic. Le diagnostic des
formes
bien caractérisées de la myasthénie est simple.
erveux, a agi sur lui. L'expérimenta- tion, en réalisant toutes les
formes
du mouvement musculaire, depuis la contraction
observe ici les évacuations involontaires plus souvent que dans les
formes
cloniques. Toniques ou cloniques, les convulsio
e attaque. Quelquefois l'accès est unique, particulièrement dans la
forme
tonique; d'autres fois des accès multiples se r
ée, sur le siège de la première secousse (signal-symptôme) dans les
formes
qui tendent il la généralisation, enfin et surtou
ussi le moyen d'agir à temps, énergiquement, non seulement dans les
formes
éclamptiques, simulant l'épilepsie, dont elles ne
longues que celles de l'épilepsie (encéplza- : apathie saturnine à
forme
convulsive), s'accompagnant de trismus; on a da
Nous ne mentionnons que pour être complet la fièvre pernicieuse il
forme
convulsive que connaissent les médecins des rég
nstituent en réalité le symptôme initial de l'accès et affectent la
forme
de troubles moteurs, sensitifs, sensoriels ou p
obnubilation de la vue pouvant aller jusqu'à la cécité, scotomes de
formes
et de couleurs diverses, vision grossie ou rapeti
sive ou de délire. Ici, comme dans l'épilepsie, il peut y avoir des
formes
irrégulières ou frustes d'attaques hystériques
maladie de Parkinson; il faut penser quelquefois au tremblement de
forme
parkinsonienne symptomatique d'une affection céré
esco, Société de Biologie, mai 1895). Tels sont les tremblements de
forme
parkinsonienne 1)('1" 011 posl-hémi plégiques.
net, etc. Enfin, dans la maladie de Parkinson, on peut observer des
formes
aty- piques, tels sont les cas des tremblements
ement hysté- rique peut être localisé à une partie du corps sous la
forme
hémiplégique ou une forme- paraplégique, sa dur
par seconde : ce sont les cas les plus nombreux qui revêtent cette
forme
, comme le dit Dutil, ce rythme moyen est le ryt
noma à la suite d'ulcé- rations de la langue, ou des lèvres, etc.
Formes
. La chorée peut se manifester suivant les deux fo
lèvres, etc. Formes. La chorée peut se manifester suivant les deux
formes
différentes, et les deux tableaux cliniques que
e diagnostic peu- vent se faire très facilement. II est une autre
forme
de chorée distincte de la forme moyenne que nou
e très facilement. II est une autre forme de chorée distincte de la
forme
moyenne que nous avons décrite, ce sont les cas
de la chorée en général. Cette évolution varie suivant chacune des
formes
que nous passerons en revue tout à l'heure. Nou
t d'habitude, se reproduit involontairement, en s'exagérant dans sa
forme
, dans son intensité et dans sa fréquence, mais
puisqu'il y aurait toujours quelques mouvements du côté sain et la
forme
la plus fréquente est donc la chorée à prédomin
ment fréquents. Ces troubles moteurs peuvent se présenter sous deux
formes
, ou bien il s'agit de la chorée paralytique ou
est semblable à un délire d'intoxication et qui se présente sous là
forme
d'un délire halluci- natoire aigu, d'un état ma
dégénérés à manifestations multiples qui. peut se présenter sous la
forme
de la mélancolie anxieuse ou d'une excitation man
e à la fièvre quand celle-ci survient dès le début de la maladie. '
Formes
. Le type qne nous venons de décrire est la chorée
es. Le type qne nous venons de décrire est la chorée vul- gaire. La
forme
grave de la chorée est caractérisée, comme nous l
ont le point de départ est souvent cutané. Plus intéressante est la
forme
à-laquelle nous avons déjà fait allusion, nous
ilatoff, etc., en ont publié des exemples. Nous décrivons ici cette
forme
de chorée car elle est toute spé- ciale au jeun
idité généralisée des membres ou quelques petits mouvements choréi-
formes
à intervalles éloignés : ou bien la. paralysie es
t. CHORÉE HYSTÉRIQUE ; La chorée hystérique se présente souvent 2
formes
: ta choyée rythmique et la chorée arythmique.
yée rythmique et la chorée arythmique. La chorée rythmique est la
forme
la plus fréquente, son siège est quel- quefois
forgeron). Elle, se- reproduit d'une manière intermittente et sous
forme
d'accès pouvant durer de quelques minutes il qu
802 CHORÉES. - ? La chorée est variable dans le temps et dans sa
forme
: on peut donc dire qu'elle est variable et pol
rphisme est caractérisé par l'irrégularité des mouvements dans leur
forme
et dans l'amplitude : ce sont des gestes illogiqu
, puisqu'il y a variabilité des mouvements dans le temps et dans la
forme
. La maladie peut durer longtemps et finir par g
calisés ou généralisés : s'ils sont localisés c'est surtout sous la
forme
, d'héiuichoréc. Cette hémichorée est pré ou pos
résente des caractères spéciaux qui justifient la distinction d'une
forme
infantile (Pierre Marie). Elle débute quelquefo
rès souvent associées entre elles : nous signalerons rapidement les
formes
les plus fréquentes, en suivant la description
exagèrent la dévia- tion. On peut observer tous les degrés dans la
forme
, dans l'intensité, dans la persistance de l'att
ues. Paris, H107) s'est efforce de disso- cier un certain nombre de
formes
de torticolis spasmodiques, d'après leur cause et
f-.icial périphérique post-piral y tique. Revive iieiii-ol., Idem.
Formes
cliniques des tics unilatéraux de la face. Congrè
parence de systéma- tisation fonctionnelle (gestes, mimique) ; leur
forme
spéciale, leur len- teur, leur développement «
s paralytiques flasques ; l'impotence au contraire évoque l'idée de
forme
paralytique, or elle est l'exception. De plus,
t encore préférable, il est le seul qui ne préjuge en rien ni de la
forme
clinique des troubles moteurs ni de leur pathog
ÉTUDE CLINIQUE ET PATHOGÉNIQUE La « crampe des écrivains » est la
forme
de beaucoup la plus fréquente et la mieux connu
rivent fort peu. Ces troubles moteurs peuvent se présenter sous des
formes
extrême- ment variées; pour la commodité de la
peut-être que pour son exactitude, on. en a distingué deux grandes
formes
, la forme spasmodique et la forme paralytique;
que pour son exactitude, on. en a distingué deux grandes formes, la
forme
spasmodique et la forme paralytique; comme vari
on. en a distingué deux grandes formes, la forme spasmodique et la
forme
paralytique; comme variétés de la première, de
étés de la première, de beaucoup la plus fréquente, on a décrit une
forme
tréinulente et une forme choréique. Mais il imp
eaucoup la plus fréquente, on a décrit une forme tréinulente et une
forme
choréique. Mais il importe de savoir que ces form
éinulente et une forme choréique. Mais il importe de savoir que ces
formes
sont loin d'être toujours pures, qu'elles alter
irréguliers, des pâtés, des piqûres du papier. La variété athétosi
forme
, aux mouvements peu étendus, ondoyants et serpigi
tendus, ondoyants et serpigineux, est beaucoup plus rare. Dans la
forme
paralytique, la main est rapidement ou lentement
atigue. l.es émotions exagèrent la crampe. La qualité du papier, la
forme
du porte-plume, le confortable de l'installa- t
nt dénommées « tics professionnels » : elles ont du lie, outre leur
forme
convulsive ordinaire, leur cause dans la répéti
ans les domaines du médian, du radial et du cubital. Dans certaines
formes
paralytiques, on a observé non seulement une im
dikt, etc.). Bencdikt n a même constaté des faits curieux : dans la
forme
paralytique, non seulement les muscles qui partic
ent tous. L'électricité ne parait guère efficace que dans certaines
formes
paralytiques. Le massage et les fric- tions son
fréquemment avec la catatonie. Ce syndrome complexe représente une
forme
évolutive de la démence précoce de Kroepelin, m
orteils. La peau est sèche, adhérente aux plans sous-jacents. Elle
forme
aux doigts une gaine étroite, leur donnant un a
s aigus et un groupe d'oedèmcs chroniques, innom- brables étant les
formes
de transition entre la trophonévrose oedéma- te
on du sang et à la gêne de la circulation dans les tissus. Ainsi se
forme
la main succulente des syringomyéliques. C'est
u cours d'affections classées. Il nous reste à mentionner certaines
formes
morbides dans lesquelles les oedèmes sont toute
rses, au prépuce, aux grandes lèvres. Il est parfois symétrique. Il
forme
tantôt une tuméfaction variable, en nappe sur les
une petite masse cornée accrochée au bout du doigt et recourbée en
forme
de griffe. La chute de l'ongle, parfois précédée
se réduit et finalement disparaît; il en. est ainsi dans certaines
formes
, de lèpre mutilante : les phalanges se résorben
on de corps étrangers intra-articulaires pédiculés ou libres. 11 se
forme
ainsi d'énormes poches ou s'entrechoquent des m
respiratoire. Ce rythme respiratoire pourra être troublé suivant la
forme
d'une polypnée ou accélération extrême de la re
névroses, dans la maladie de Basedow et enfin dans l'hystérie sous
forme
d'or- thopnéc on de polypnée : mais dans ces ca
serve dans toutes les variétés de cette maladie, aussi bien dans la
forme
fruste que dans la forme complète. Elle est, su
iétés de cette maladie, aussi bien dans la forme fruste que dans la
forme
complète. Elle est, suivant Brissaud, le symptôme
i la différencie de t'epitepsie; on l'observe passagèrement dans la
forme
léthargique ou lorsque la contracture des membr
découvrir que le globe vésical est distendu, et se présente sous la
forme
d'une tumeur médiane vohotn- RÉTENTIONS D'URINE
ène, beaucoup plus fréquent qu'on ne le croit, ne constitue pas une
forme
particulière d'incontinence (Rochet), mais comp
vésicale. Traitement. Les moyens généraux conviennent à toutes les
formes
dont chacune réclame en plus une thérapeutique
enfants et il les terroriser, il n'a pas de raison d'être pour les
formes
d'excitation ou d'atonie musculaire, et, dans la
écemment Cathelin a appliqué un traitement chirurgical aux diverses
formes
d'incontinence, ce sont les injections epidurates
e-caustique, sans produire de résultats encourageants. Dans celle
forme
, le traitement de beaucoup le plus efficace consi
dans ces affections nerveuses. L'infection vésicale revêt ici deux
formes
: tantôt le contenu de la vessie seul est infecté
ieures est rapide et grave d'emblée. La pyélo-néphrile affecte deux
formes
, aiguë et chronique, et est tou- jours ascendan
aiguë et chronique, et est tou- jours ascendante. Dans la première
forme
, c'est en général après un cathétérisme septiqu
tout le cortège, en un lll01, de l'intoxication urinaire aiguë. La
forme
chronique peut être tout à l'ait latente, se trad
a peu d'influence sur l'anurie ou l'oligurie hystérique. Dans celle
forme
connue dans les autres, les révulsifs, les dériva
bre d'affections cérébrales et médullaires, dans presque toutes les
formes
de l'aliénation mentale, chez les idiots, qu'el
emment la spermatorrée dans la compression lente de la moelle, sous
forme
du'1,1- culations involontaires non perçues, da
air, dépaysement, douches tièdes ou froides. L'électricité, sous la
forme
de courants de haute fré- 1(11enec, donne certa
vertes d'érosions polymorphes,- sillonnées, monstrueuses (canines à
forme
d'incisive), leur fragilité est souvent extrême.
out ce qu'il veut dire, mais un a peine à comprendre les mots qu'il
forme
incomplètement. L'affection a débuté généraleme
s ou un peu plus tardives; douleurs profondes, rétro-sternales. Une
forme
atténuée du spasme local du cardia accompagne l
douleurs, tantôt les vomissements peuvent manquer. On a décrit des
formes
cr,t»llm ? lcs, des crises sèches, des formes a
quer. On a décrit des formes cr,t»llm ? lcs, des crises sèches, des
formes
avec hématémèses. La défi- nition en est plus f
e lésion organique. Tétanie. En pratique on ne voit guère que des
formes
très bénignes, limitées aux mains. La contractu
st typique (main d'accoucheur), mais de faible intensité. De telles
formes
se rencontrent chez les dyspep- tiques, les hys
plusieurs heures; ils se reproduisent sans intervalles réglés. La
forme
généralisée de la tétanie survient surtout au cou
o-moteurs, de la. paresse intellectuelle consécutifs. Mais même ces
formes
graves s peuvent guérir [malades opérés en plei
mac. On prôné la gastrotomie temporaire en semblable cas. Une autre
forme
de gastro- plégie est réalisée par atrophie de
s'ensuit une constipation opiniâtre tant que dure ce spasme; celte
forme
d'hystérie demande à être dépistée avec soin. Ell
effet est simple, il suffit de manger. Insistons en passant sur cette
forme
; car elle peut déterminer les malheureux qui en
mard». La polydactylie est l'augmentation du nombre des doigts ; la
forme
la plus fréquente est l'existence d'un 6° doigt
es membres peuvent ;être congénitales : elles se présentent sous la
forme
d'hémihypertrophie partielle ou d'hémihyper- tr
Le plus souvent la main s'accroît « en large » ; elle prend la
forme
de main en battoir (fig. 2) ; elle est épaiss
ent et friables, sont élargis et convexes en tout sens, ils ont une
forme
« en verre de montre » et donnent aux doigts vu
celui de l'ostéo-ar- thropathie hypertrophiante pneumique. Il a une
forme
« en massue », « en tète de serpent », due à un
ou moins simultanées aux deux mains; Charcot a pourtant décrit une
forme
pendant un temps très prolongé ou même pendant
saillant au niveau de son articulation avec le métacarpe; il a une
forme
en croissant à concavité dorsale, de sorte 1. P
sorte 1. P. Marie et A. Liini. he rapport du Pr Teissier sur « les
formes
cliniques du rhumatisme chronique u. Congrès de
n bord externe continué avec celui du premier, métacarpien prend la
forme
d'un S très allongé. " .' La main typique ..du
dosités d'Heberden (fil. 8) : cesontdepe- tites nodosités fusi-
formes
, dures, qu'on observe souvent chez . des gens
ec les phalangines (fig. 8) ; il s'agirait, d'après Bouchard, d'une
forme
spéciale de rhumatisme chro- nique dû à l'auto-
étés du rhumatisme chronique ostéo-articulairc se joint souvent une
forme
de rhumatisme fibreux qui peut aussi être isolée,
ramollissement général du squelette; les doigts peuvent prendre une
forme
spéciale qui serait due aux ellorts que font le
ite syphilitique ou spina ventosa syphilitique se présente sous une
forme
analogue, un gonflement fusiforme d'un ou de plus
ORMITÉS ACQUISES. 1027 sieurs phalanges : les doigts prennent une
forme
« en fuseau », en rave ou « en radis ». Tardive
neurofibromatose ou maladie de Hel'Idin- ghausen, le névrome plexi
forme
, peut se développera la main sous lune de ses t
r Pierre Marie, tumeur, repli cutané, éléphantiasis. Cette dernière
forme
peut être aisément confondue avec toutes les va
laissant des ulcérations superficielles ; dans les deux cas, il se
forme
des cicatrices irrégulières, blanches, saillant
cissent, se raccornissent, se momifient, un sillon d'élimination se
forme
et de vastes escarres sèches, noires, tombent en
vasculaires qu'il produirait directement. Nous avons déjà parlé des
formes
mutilantes de la tuberculose et de la syphilis
s fréquentes. Les mains-botes sont congénitales ou acquises : les
formes
acquises sont paralytiques ou spasmodiques. les
quises : les formes acquises sont paralytiques ou spasmodiques. les
formes
congénitales peuvent être paralytiques, spasmod
rétractent, la main-bote paralytique devenant alors spasmodique. La
forme
la plus remarquable est la a main dé prédicat
e. Fig. 15. ? Main de prédicateur (main gauche). Syringomyélie il
forme
spas- modique.. , ATTITUDES. VICIEUSES. 'I
emière, parfois ils sont fléchis dans les trois phalanges ; dans la
forme
spasmodique de la syringomyélie décrite par Pie
ystérique flasque reste flasque, elle est beaucoup plus rare que la
forme
spasmodique. ' . La main contracturée des hém
t. L'arrêt du développement osseux caractérise généra- lement cette
forme
de main-bote paralytique. D - Fig. 16. Main eu
nières phalanges de l'index et du médius). La griffe radiale est la
forme
de beaucoup la plus coimnunedespamlysies saturn
és ou abolis, dans la seconde ils sont toujours exagérés. Certaines
formes
de méningo-myélile syphilitique produisent un s
iques les pieds sont gros et courts, mais il n'a pas été signalé de
forme
spéciale du pied analogue à celle de la main. L
contraire très épaissies, ueuoruanies, ue sorte que le cou-de-pied
forme
un gros bourrelet circulaire, que la partie inf
lle façon que l'articulation niétaearpo-phalangienne du gros orteil
forme
une saillie angulaire où se trouve parfois un d
les uns sur les autres. L'empreinte du pied tabétique présente' une
forme
spéciale en rapport avec ces déformations (J. Tei
e l'invasion du foyer par des germes saprogènes ou pyogènes. - La
forme
gangreneuse de l'ergotisme ressemble tout à fait
ique, la coïncidence chez le même malade ou chez d'autres sujets de
formes
convulsives, des signes généraux d'intoxi- cati
es. Les pieds-bots sont congénitaux ou acquis; dans les deux cas la
forme
la plus fréquente est le varus équin; dans les
de Little pro- prement dite : mais, en réalité, il existe entre ces
formes
des intermédiaires nombreux, et ces affections
vent soit le varus équin, soit l'équin direct. Dans les différentes
formes
du syndrome amyot1'ophie Amen- Duchenne (poliom
bots dont nous avons déjà parlé, ou à une griffe des orteils. Une
forme
spéciale de pied-creux congénital est la griffe p
normalement le pied de l'enfant est plat; la voûte plantaire ne se
forme
que quand il marche. Le pied-plat congénital est
elle de l'extenseur commun, le taltis pied-plat devient varus. La
forme
la plus importante de pied-plat est. le pied-plat
le plus souvent d'un certain degré de pied-bot équin. On observe sa
forme
paralytique dans certaines para- lysies, la par
certaines para- lysies, la paralysie alcoolique en particulier, sa
forme
spasmodique dans des cas rares d'hémiplégie ave
ous les relevons sur le. sujet, -l'autre traduit les variations des
formes
par des rapports numériques établis entre les c
la Ion- ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE. 1075 gucur, les proportions des
formes
et des masses musculaires qui entou- rent la ch
être effacés; néan- moins, cet examen portera principalement sur la
forme
et les dimensions des mains et des pieds, sur l
essive de toutes ses fonctions, à une déformation implacable de ses
formes
. Il n'est pas sans en éprouver un ressentiment ou
me parfois le syndrome des tumeurs cérébrales. Les crises épilepti-
formes
, les troubles visuels sont remarquablement fréque
tre utile de connaître enfin l'existence d'une syringo- myél ie à à
forme
pseudo-acromégalique, caractérisée par l'hypertro
i les signes d'une acromé- galie commençante. Le pronostic de cette
forme
est fatal à l'heure actuelle. [F. MOUTIER.] ]
ments établis dans ce chapitre. Ce sont des êtres gros et gras, à
formes
arron- dies, de taille beaucoup moins élevée qu
une régression véritable, et retourne en l'état du nourrisson. La
forme
générale est arrondie : le tronc est cylindrique,
ectuelle. Ils mènent une vie purement végétative. On voit que cette
forme
se distingue facilement des syndromes précé- de
précoces. Tête. Il faut examiner à. ce niveau, les anomalies de la
forme
et du volume, l'état des sutures et des fontane
). Au contraire, la précocité des soudures crée les anomalies de la
forme
. S'agit-il d'une synostose pré- coce interparié
, orhitaire. Absence d'iris, variations dans sa coloration, dans sa
forme
. Pupilles inégales (assez fréquent pour qu'il s
cyphosl' I\('réd 0- tl'a uma t iq ue) . Thorax. Les anomalies de
forme
en sont très nombreuses : thorax en gouttière (
: il ne faudrait pas confondre cette anomalie avec une viciation de
forme
due à l'onanisme, il s'agit ici d'une réelle hype
risation on trouve le vestige d'une induration cartilagineuse de la
forme
d'un pois ou quel- quefois de la forme d'une no
uration cartilagineuse de la forme d'un pois ou quel- quefois de la
forme
d'une noisette. On peut retrouver les adénopath
'existence des adénopathies secondaires ou secondo-tertiaires, sous
forme
de petits ganglions durs roulant sous le doigt.
la pigmentation brune ou noire : 5° Quand elles présentent une des
formes
suivantes : , A) La forme arrondie, l'orbicular
re : 5° Quand elles présentent une des formes suivantes : , A) La
forme
arrondie, l'orbicularité parfaite qui est synonym
La configuration arciforme en demi-lune, en arc de cercle. z C) La
forme
polycyclique dans laquelle la cicatrice est const
stituée par une série d'arcs de cercles réunis bout à bout. D) La
forme
serpigineuse à contours festonnés, sinueux, géogr
s non seulement par leur étendue, par leur pigmentation et par leur
forme
, mais encore par l'atrophie cicatricielle, l'as
tilisme ; quelquefois la réduc- tion de la taille et l'exiguïté des
formes
vont jusqu'au nanisme. Quelquefois le rachitism
ivant Fournier. C'est un crâne qui représente assez exacte- ment la
forme
des fesses : il est. renflé à la partie supéro-po
principe, d'une façon intensive. Peut- être y a-t-il dans certaines
formes
de myélite syphilitique un correctif à faire à
lus ou moins éloignés pendant plusieurs années; cela dépendra de la
forme
clinique et de l'évolution du cas observé. Le t
icaments employés varieront suivant l'âge de l'enfant et suivant la
forme
clinique de la syphilis. Des recherches récen
Gom- haut et llalbron avaient choisi des tabétiques de dates et de
formes
les plus variables. Depuis lors, ces résultat
Souques et Quiserne l'ont trouvée dans une méningite tuberculeuse à
forme
hémiplégique. Cependant quelques auteurs ont re
adulte et ne prend des proportions considérables que dans certaines
formes
chroniques, d'origine méningococciques (degré)
aiguë; presque tou- jours elle est irrégulière, intermittente. Ses
formes
les plus rapides durent volontiers 4 ou 6 semai
rlnic d'ailleurs contingente, de la durée relativement brève de ses
formes
aiguës et subaiguës, il est identique au syndrome
LAIRES. Le syndrome inflammatoire que nous venons d'étudier dans sa
forme
la plus générale présente un certain nombre de
n des phénomènes morbides est beaucoup moins dramatique que dans la
forme
précédente, : la fièvre ne dépasse pas 58 degré
en pareil cas, se présente naturellement à l'esprit. * Ependymite à
forme
clinique de tumeur cérébrale.- Le syndrome pseu
e pseudo-tumoral est tantôt généralisé, tantôt, partiel. Dans les
formes
généralisées, on trouve une céphalée diffuse et i
signes accessoires de 1 hyperten- sion intra-cranienne. Dans les
formes
unilatérales, il arrive que la céphalée se locali
extrême. . [G DELAnfARE] } 1158 SYNDROMES VENTRICULAIRES. La
forme
comateuse reconnue, on pensera naturellement à la
y a là qu'une indication, nullement un axiome permettant d'écrire :
forme
somnolente = tuberculose. Pour le croire, il faud
t être réalisé par des épendymites banales, et ne pas connaitre les
formes
hydrocéphaloïde et pseudo-tumorale de la tubercul
hode plus générale, susceptible de nombreuses applications dans les
formes
graves du tétanos (Pickerell. Choupin), de la dip
uses guérisons obtenues dans des circonstances presque désespérées (
forme
pselldo-suppuraliye de t'ependymite séreuse) pr
e par Hirschberg, étudiée par Merle, par Hirschberg et Grunmach. La
forme
caractéristique du crâne serait due à une synos
et assez profonds pour que la radiographie montre une caverne sous
forme
d'une lacune dans l'os, Le mal de Pott ne se révè
le rachis paraissent très excep- 1 ionllelles; Leyden a décrit une
forme
ulcéreuse analogue au mat de l'oit tuberculeux
rit une forme ulcéreuse analogue au mat de l'oit tuberculeux et une
forme
ostéophytiqut, plus ou moins semblable au rhuma
difficulté du diagnostic dans ces cas. Stefani signale de même une
forme
articulaire 1J\'l"labl;tiqup ayant l'aspect cli
l'aire du détroit supérieur. Raymond et Claude (') ont décrit, une
forme
de dyschondropldsie avec 1. et Claude. Société
nt au point de vue du dia- gnostic radiographique précoce. Dans les
formes
les [tins habituelles on trouve la couche compa
arrivée il son développement extrême est une maladie rare, mais ses
formes
ébauchées sont fréquentes; à coté de ces cas ex
comme électrode positive; il est très atténué si l'électrode qu'il
forme
est tour à tour employée connue électrode posi-
s électro- des plus grandes il ne peut être employé que si leur
forme
n'a pas besoin d'être modifiée pour épouser l
ions A donner aux électrodes. . Les électrodes peuvent affecter des
formes
et des dimensions très différentes suivant les
on rccomcrles de plusieurs doubles de peau de 'chamois, les unes on
forme
de tampon, les autres de forme olivaire. 1204
les de peau de 'chamois, les unes on forme de tampon, les autres de
forme
olivaire. 1204 APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ.
.\ ; APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. ' une électrode plus petite, de
forme
et de dimensions appropriées, sert à provoquer
t de préférence par un rouleau mobile autour d'un axe, affectant la
forme
d'un cylindre, d'une sphère, d'une ellipsoïde ou
tituée par un gros lil, relativement peu long et dont l'enroulement
forme
beaucoup moins de tours que dans la bobine préc
ttences fréquentes. Ce dernier modèle de chariot a été mis sous unc
forme
réduite dans une boîte avec deux piles sèches e
facteurs, par exemple de la fréquence des ondes faradiques, de leur
forme
qui varie suivant la self-induction et suivant le
s de la bobine induite sont reliés à deux électrodes semblables, de
forme
et de dimensions appropriées ; électrodes en form
et de dimensions appropriées ; électrodes en forme de tampons ou en
forme
d'olives. Ces deux électrodes, mouillées avec de
courant faradique était employé seul non seulement en raison de la
forme
de l'onde galvano-faradique représentée schémat
loyer ce mode d'association des deux courants. Si l'on considère la
forme
de l'onde faradique en pareil cas (fig. 56), on v
peuvent rester légères, mais assez souvent elles évoluent vers une
forme
plus grave, et la simple hyperexcitabilité élec
tion smfo-carbonéc, dans des paralysies alcooliques, dans certaines
formes
de paralysies diphtériques, etc.; le pronostic
s affections primitives des muscles. On l'observe dans les diverses
formes
de myopathies, proportionnelle au degré des altér
on. Les mêmes particularités peuvent se rencontrer dans cer- laines
formes
de myopathie, alors que les altérations musculair
e grouper et suivant leurs caractères particuliers, constituent des
formes
diverses auxquelles on pourra sans doute donner d
es affections qui suivent un processus aigu, la Ull affecte soit la
forme
appelée complète, soit seulement la forme parti
u, la Ull affecte soit la forme appelée complète, soit seulement la
forme
partielle. La DU n'est bien caractérisée qu'un
la DR sont les unes quantitatives, les autres qualitatives. Dans la
forme
complète de la DR, les altérations quantitatives
r, car elles sont plus particulièrement caractéris- tiques. Dans la
forme
complète de la 1)Il, elles ne se montrent que pou
soit conservée. Elles sont de deux ordres portant, d'une part, sur la
forme
de la contraction musculaire, et, d'autre part,
nversion polaire et l'équivalence polaire se voient plutôt dans les
formes
partielles de DR que dans la forme complète (2)
laire se voient plutôt dans les formes partielles de DR que dans la
forme
complète (2). Aux altérations quantitatives e
rtificielle, la contraction n'est généralement pas modifiée dans sa
forme
et qu'elle reste vive. Cette inversion artifici
le long péronier, les jumeaux, etc. 2. On voit parfois, dans ces
formes
de réaction de dégénérescence, la contraction r
caractérisées, aiusi qu'on l'observe parfois, mais plutôt dans les
formes
partielles de la DR que dans la forme complète.
arfois, mais plutôt dans les formes partielles de la DR que dans la
forme
complète. La DR partielle peut affecter un cert
forme complète. La DR partielle peut affecter un certain nombre de
formes
plus ou moins différentes qu'il ne nous paraît
llement pour les exci- tations avec l'un et l'autre pôle ; dans des
formes
atténuées de DR on voit parfois la lenteur de l
erf; les contractions ainsi obtenues sont aussi modifiées dans leur
forme
et se montrent plus ou moins lentes; enfin ces
des muscles est souvent augmentée, pendant un certain temps, ce qui
forme
contraste avec l'excitabilité faradique des mus
s toxiques, telles que la paralysie saturnine dans certaines de ses
formes
. En rapprochant ces données de l'électro-diagnost
igu ou chronique. La DR prend dans ces cas la ferme partielle ou la
forme
complète, suivant la gravité des lésions. Dans
oupes musculaires, faisant défaut ou ne se manifestant que sous une
forme
plus atténuée sur d'autres muscles qui sont cep
t peu étendue; c'est ce qu'on observe, par exemple, clans certaines
formes
de paralysies diphtériques, alors que dans d'au
la DR plus ou moins prononcée. Celle-ci peut faire défaut dans les
formes
légères de ces paralysies. Dans les affections
que la DR fasse défaut. Ainsi on ne l'observe pas dans les diverses
formes
de la myopathie, paralysie pseudo-hypertrophiqu
ne la reconnaîtra d'une façon positive et on ne pourra juger de sa
forme
et de son degré qu'après deux il trois semaines
e et l'inversion polaire peut. être peu accusée. J'ai observé cette
forme
de DR non seulement dans des lésions de nerfs pér
; elle comporte une signification pronostique plus favorable que la
forme
commune de la DR dans laquelle, il cette périod
tantes. Les contractions se trouvent, en effet, modifiées dans leur
forme
: au seuil de l'excitation, les contractions re
ent périphérique des paralysies cérébrales, le plus souvent sous la
forme
de galvanisation continue; une grande électrode
la région dorsale; la cathode est représentée par une électrode en
forme
de croissant, dont les deux cornes sont arrondies
naction. Poliomyélite antérieure aiguë. Qu'elle se présente sous la
forme
la plus fréquente de paralysie spinale infantil
forme la plus fréquente de paralysie spinale infantile, ou sous la
forme
plus rare de paralysie spinale antérieure des a
uivant le cas un pied, ou les deux pieds : l'autre électrode, sous la
forme
dune, large plaque, est appliquée sur la région
électrique peut généralement être commencé de bonne heure dans ces
formes
de polynévrites; il peut être sensiblement le m
tincelles. Les résultats de ces divers modes de traitement dans ces
formes
de polynévrite se mollirent généralement bons e
icatrice par le courant continu en la recouvrant avec la cathode de
forme
et de dimensions appropriées; il y a avantage à
diane ou sur le côté opposé à celui de la paralysie; la cathode, de
forme
et de dimensions appropriées. est placée sur le
ies primitives (Dystrophies musculaires progressives). Les diverses
formes
de la myopathie primitive, paralysie pseudo-hyper
nerveuses, de lésions des organes du bassin. Dans certaines de ces
formes
l'électri- sation peut être le traitement princ
ations particulières dont il sera question plus loin. Dans d'autres
formes
de névralgies l'examen anatomique ne fait pas r
ent tout particulièrement dans la période aiguë des névralgies; les
formes
et les dimensions des électrodes et les positio
ix dans les névralgies plus graves. Celles-ci comprennent plusieurs
formes
. Les unes ressemblent aux névralgies des autres n
ses parties. [E.HUET.] 1520 . ÉLECTROTUER.APOE. Dans une autre
forme
, la névralgie épileptiforme de Trousseau, les d
iaux on a affaire au tic douloureux de la face. Dans ces diverses
formes
de la névralgie faciale on a employé la galva-
ocalisée à une seule branche du nerf trijumeau. Cette électrode, en
forme
d'e, présente deux échancrures l'une au niveau de
masque facial de Bergonié, employer des électrodes plus petites, de
forme
et de dimensions appropriées aux régions qui sont
e rervico-dorsale; une électrode plus petite, de 10 cm2 environ, en
forme
de tampon, est placée il la partie supérieure d
que l'on venait d'inventer. 11 a continué à en être ainsi, sous des
formes
plus variées, il mesure que les nouvelles découve
ont parfois hystérogènes, ou bien de douleurs se présentant sous la
forme
de névralgies, ou encore de ces douleurs qu'on
ode, en forme de bouton de un centimètre de diamètre environ, ou en
forme
d'olive, est placée sur le cou, au-dessous du m
du cou, de manière qu'elle, recouvre bien tout le corps thyroïde; la
forme
la plus appropriée à donner à cette électrode p
ans les cas de chorée qui se prolongent. Lorsque la chorée prend la
forme
de chorée molle ou paralytique, l'électrisation
nnue procédé de traitement suggestif. Myoclonies. Dans les diverses
formes
de myoclotties et dans la maladie des tics, l'é
évropathie des troubles fonctionnels se manifestant surtout sous la
forme
de spasmes et de contractures. Ces troubles se dé
vre, délire, troubles ataxo-adynann- ques, principalement, dans les
formes
cliniques dites cérébrales de ces maladies (liè
après passage au xylol. Les libres à myéline appa- raissent sous la
forme
de petits cercles noirs, le fond de la préparatio
ires. Définition, 657. Signes, 658. Diagnostic différentiel, 661.
Formes
cliniques, classification, 662. Tableau de clas
brillaire de Morvan, 8G8. ^ de Sy- rlenlram, 854. Symptômes, 855.
Formes
. Complications, 858. Évolu- tion, 859. Diagnost
té objec- tive, 556. Description, 849. - Com- plications, 85'1. -
Formes
. Evolution, t ! 5. Diagnostic différentiel, 855
logie, 542. Crampes des écrivains, 205. - Furme spasmodique, 900.
Forme
paraly- tique, 901. Crampes professionnelles
suppurative à type d'abcès cérébral. pseudoméningilique, 1151·. - à
forme
clinique de tumeur cérébrale, 1155. I : pendy
j--és-a- myéline. Marie (Névrite interstitielle hypertro- phique,
forme
Pierre -), li9li. Masculisme, 1090. Masse com
phies consécu- tives, 7'19. interstitielle hyperlro- phique, 780.
Forme
Gombault- Dejerine-Sottas et forme Pierre Marie
itielle hyperlro- phique, 780. Forme Gombault- Dejerine-Sottas et
forme
Pierre Marie, 696. - Hypertrophie des troncs ne
e, phénomène des orteils, 452. - Examen du malade. Description et
formes
cliniques, 486. - Classification, 491. - Diagno
00. Pseudo-bulbaire (Paralysie -). Symp- tômes, 807. - Evolution.
Formes
cli- niques. Diagnostic, 811. Pséudo-péritoni
. Topographie radicu- laire. Radiculites. Causes, 544. Lésions.
Formes
cliniques. Valeur séméiologique, 545. - Réactio
et qualitatives, 1247. - Déplacement des points moteurs, 1248. -
Formes
de la réaction par- tielle, 1249. - Période ini
loration électrique, 1271. - périphérique. Sen- sibilité pour les
formes
, pour les cou- leurs, 13. - pour la lumière, 14
ébrales, 121. - - centrale, exploration. Vision centrale pour les
formes
, 2. - - pour les cou- leurs, 7. - pour la lumiè
parait le n et le 3o de chaque mois dans le format grand ion-8" et
forme
, chaque année, deux volumes d'environ 800 pages c
dans la maladie qui nous occupe. Voici maintenant un exemple de la
forme
hémiplégique de la maladie de Parkinson ; c'est
ant. Pour être complet, je devrais, Messieurs, vous dire un mot des
formes
frustes de la maladie, caractérisées par la pré
i présentés à mes leçons du mardi, des exemples de l'une et l'autre
forme
; je m'empresse de vous dire que ce sont là de
es muscles, associée aux ressources de l'élec- trothérapie, sous la
forme
du bain statique et de courants de haute fré- q
si que nous le verrons, celte zone varie beaucoup d'éten- due et de
forme
suivant les niveaux ; elle répond à la zone radic
nes ; c'est là le centre ovale de Flechsig, qui se retrouve avec sa
forme
et ses dimensions dans le tabes incipiens où il e
Le triangle sacré médian, qui dans cette moelle n'a pas du tout la
forme
triangulaire, est plus volumineux ; il occupe tou
cordons postérieurs, et qui envahissent même la commissure, sous la
forme
de petits fascicules arrondis séparés par un ré
élatineuse. 3° .Sacrée.- Le triangle médian en voie d'accroissement
forme
une bandelette à extrémité postérieure renflée,
bres radiculaires. Le long du septum, dans son 1/3 antérieur, il se
forme
une zone plus pâle, plus riche par conséquent e
5e Lombaire ? Le triangle médian a beaucoup diminué de volume ; il
forme
maintenant un tout petit faisceau linéaire situ
ostérieure commence à se regarnir de fibres. Ici le triangle médian
forme
une ligne minuscule vers l'u- nion du tiers pos
ière racine saine modifie considérable- ment l'aspect; cette racine
forme
un triangle rectangle dont l'hypothétiuse ex- t
er est nettement tranché, le second est plus flou.La zone dégénérée
forme
dans son ensemble une équerre, dont la bran- ch
lie par les libres radiculaires a augmenté de volume, en gardant sa
forme
; toutefois les fibres envahissent d'une façon d
niveau que l'on constate le dernier vestige du triangle médian, qui
forme
une ligne presque imperceptible vers l'extrémité
contact pour former deux languettes divergentes. 7° Dorsale. Il se
forme
eu avant, au niveau de la moitié antérieure du
à la 28 dorsale il s'en rapproche de nouveau ; à la 1r° dorsale il
forme
de chaque côté une petite languette qui se reco
tra- vail sur la pathogénie du tabes (1). 5e Sacrée. La sclérose
forme
une mince bande rectiligne située immédia- teme
t très mal délimitée. La 4e sacrée manque. 3e Sacrée. La sclérose
forme
un triangle au centre du cordon postérieur ; l'
iangle se prolonge jusqu'à l'entrée de la racine posté- rieure sous
forme
d'une bandelette très mince et très peu accusée.
s petits qu'à l'état normal. 2" Sacrée.- La dégénérescence prend la
forme
d'un triangle curviligne très mince, qui embras
te de la corne postérieure qu'elle contourne à distance. L'ensemble
forme
à droite un N, dont le 3° jambage est plus court
la partie externe de la figure précédente, qui prend à ce niveau la
forme
d'un triangle très mince, obliquement dirigé d'
par une ligne de sclérose dont l'intensité tranche sur le reste. Sa
forme
est sinueuse. ETUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POST
elette externe sclérosée augmente de volume tout en gardant la même
forme
. 8e Cervicale. La zone scléreuse est devenue tr
viligne limite un champ postéro-externe tout à fait analogue, comme
forme
, rapports et dimensions, au champ postéro-externe
i en décroissant. ' fil, Cervicale. Le cordon de Goll reprend une
forme
plus allongée d'avant en arrière. Les deux band
en dehors. ' : Plus haut, la bandelette prend de plus en plus la
forme
d'un croissant qui, à la partie inférieure du b
ble clés libres tntra-meaut- laires de chaque fascicule radiculaire
forme
une petite saillie arrondie qui fait une hernie
du septum médian, y pénètrent et dessinent à la région lombaire la
forme
d'un fuseau, à la région sacrée celle d'un triang
diane aux environs de la tre sacrée, qui s'élargit en descendant et
forme
plus bas le triangle de Gombault et Philippe. Dan
ui prend plus ou moins bas sa situation médiane, et qui affecte une
forme
variable dans la région sacrée. Mais il me faut d
CORDONS POSTÉRIEURS 39 renflement lombaire le champ ovale prend la
forme
d'un triangle dont le sommet est dirigé en avan
dans son passage à travers la région dorsale.sur les variations de
forme
du cordon de Goll aux différents niveaux de la ré
EXTERNE DE PIERRET. La bandelette externe affecte successivement la
forme
d'un triangle à la région lombo-sacrée, d'un tr
ale. C'est là un fait connu. Ce qui est moins bien établi, c'est la
forme
de la bandelette dans la région de transition e
(PL VI, 1 1., 12 d., 11 d.), la bandelette prend à cette région une
forme
très compliquée; elle constitue de chaque côté
résulte pas de quelque com- plication ; mais l'étude minutieuse des
formes
de transition entre cet M et le trajet inférieu
ale ; en effet, la bandelette est figurée, au même niveau. avec une
forme
analogue dans une observation de Westphal (1). D'
, je possède un 2° cas de tabès où la sclérose prend encore la même
forme
à la même région ; malheureusement dans ce cas,
second lieu, que la figure en question est un peu plus compliquéeet
forme
en réalité 2 M 'accolés, un dans chaque cordon.
fais- ceau descendant médio-périphérique, dont le trajet supérieur
forme
à la région dorsale le faisceau de Hoche. C.
corne posté- rieure ; elle prend à la région dorsale inférieure une
forme
compliquée qui représente un M de chaque côté.
e sa surface est diminuée si on la compare à une moelle normale; sa
forme
est modifiée : il existe un aplatissement de la r
et alors la moelle a l'aspect triangulaire; ou bien elle prend une
forme
losangique avec deux angles latéraux, un angle
au niveau des cordons postérieurs une zone de sclérose affectant la
forme
d'un triangle, à sommet antérieur et à base ven
2° et 3e cervicales. La lésion du cordon postérieur affecte la même
forme
triangulaire, mais semble plus limitée au cordon
sale. Dans les cordons postérieurs, la sclérose affecte toujours la
forme
d'un triangle dont la hauteur serait le sillon po
ninge postérieure. La sclérose du cordon postérieur affecte la même
forme
dans sa partie médiane ; mais au niveau des ang
sale. La moelle est considérablement diminuée de volume; elle a une
forme
quadrangulaire ; les quatre angles répondant aux
xternes des cor- dons latéraux d'autre part. Le cordon latéral a la
forme
d'un triangle avec un Fig. 1, 2, 3, 4. Coupes d
plus en plus déformée ; elle est très petite et tend à passer de la
forme
quadrangulaire à la forme triangulaire. La part
le est très petite et tend à passer de la forme quadrangulaire à la
forme
triangulaire. La partie postérieure du cordon l
n moindre degré, dans le cordon antérieur. 5° et 6e dorsales.- Même
forme
triangulaire de la moelle ; même étendue des lé
angulaire de la moelle ; même étendue des lésions. 7° dorsale. La
forme
reprend la forme quadrangulaire. Il existe une
oelle ; même étendue des lésions. 7° dorsale. La forme reprend la
forme
quadrangulaire. Il existe une méningite postéri
graphique des lésions. La moeelle est très grêle et prend tantôt la
forme
triangulaire, tantôt la forme quadrangulaire. 4
lle est très grêle et prend tantôt la forme triangulaire, tantôt la
forme
quadrangulaire. 4r° lombaire. Les dimensions de
aire. - La moelle cesse d'avoir un aspect' triangulaire. Elle a une
forme
nettement aplatie. La sclérose des cordons postér
ne cornu commissurale. Dans les cordons latéraux, la sclérose a une
forme
triangulaire qui s'étend davantage au niveau de
on dorsale, la moelle présente un calibre extrêmement diminué et sa
forme
rappelle celle des moelles précédentes. Le cordon
triangle prend le cordon de Goll. Au niveau du cordon latéral, même
forme
triangulaire de la zone sclérosée qui occupe la z
ieure. Au niveau du cordon latéral, la sclérose affecte toujours la
forme
triangulaire, occupant le faisceau cérébelleux et
stologique. Au niveau de la 2e Cervicale. La moelle a con- servé sa
forme
normale. On constate l'existence d'altérations sc
le territoire du faisceau pyramidal direct dans une zone affectant la
forme
et le siège du faisceau en croissant de P. Mari
cordons latéraux, la zone de sclérose u'est pas triangulaire, elle
forme
de nouveau une bande qui se prolonge en avant en
nale du faisceau de Burdach. Dans les cordons latéraux, sclérose de
forme
triangulaire occupant presque exclusivement le
plète en général. - - 6" Dorsale. Le cordon postérieur prend une
forme
triangulaire : la partie ventrale constitue la
ibres, sauf en une partie de la périphérie où elles persistent sous
forme
d'une zone bordante : les gaines sont conservées
yles inscripteurs : le graphique du réflexe planti-digital aura une
forme
différente suivant que ce réflexe sera constitu
manifeste sur les graphiques par des tracés variables. Cependant la
forme
habituelle du tracé est celle d'une courbe arro
venir insensiblement au niveau primitif du style. Le graphique a la
forme
générale d'une S horizontale et renversée, à bouc
our des excitations sensiblement identiques, peut présenter soit la
forme
en flexion pure, soit la forme en flexion et exte
t identiques, peut présenter soit la forme en flexion pure, soit la
forme
en flexion et extension consécutive,- soit une
pure, soit la forme en flexion et extension consécutive,- soit une
forme
intermédiaire. Aussi est-il difficile de détermin
lièrement le réflexe planti-digital, celui-ci se présente sous deux
formes
principales, de fréquence à peu près égale : :
us deux formes principales, de fréquence à peu près égale : : Une
forme
en flexion pure ; , Une forme en flexion et ext
réquence à peu près égale : : Une forme en flexion pure ; , Une
forme
en flexion et extension consécutive. ' Celle ex
tations plantaires n'amènent au- cune modification nouvelle dans la
forme
graphique de ces réflexes, en particulier du ré
nti-digital en flexion et extension consécu- tive, rappelant par sa
forme
générale le deuxième type normal. Quel- quefois
ce-' réflexe peut affecter indifféremment, chez le même malade, les
formes
graphiques suivantes : 1 ° Les deux formes norm
ez le même malade, les formes graphiques suivantes : 1 ° Les deux
formes
normales. 2° Une forme de flexion et d'extensio
ormes graphiques suivantes : 1 ° Les deux formes normales. 2° Une
forme
de flexion et d'extension consécutive du gros ort
sion étant toujours plus ample et plus longue que la flexion. Cette
forme
est la plus fréquente. 3° Une forme très rare d
longue que la flexion. Cette forme est la plus fréquente. 3° Une
forme
très rare d'extension pure, où l'extension est si
a plante, on n'obtient que des traces confuses donnant seulement la
forme
générale de l'empreinte de la a (1) Roumer, Les
me générale de l'empreinte de la a (1) Roumer, Les variations de la
forme
normale et pathologique de la plante du pied, é
1886. (3) Cn. Féré et G. DEMANTKÉ, Note sur les variations de la
forme
de la plante du pied sous l'influence du repos,
humides peuvent d'ailleurs être utilisés dans le même but (2). La
forme
de l'empreinte plantaire varie chez le même indiv
st facilement essoufflé. Debout, le malade se tient courbé ; le dos
forme
une convexité postérieure très marquée et très
ouleurs du début, il se rapproche des cas de rhumatisme vertébral à
forme
pseudo-névralgique décrits récemment par M. Fores
e la spondylose rhumatismale ou rhumatisme vertébral chronique ; sa
forme
ankylosante, Arch. gén. de médec., juillet-août 1
ceux de sciatiques avec scoliose au contraire très fréquents. La
forme
clinique de cette sciatique offre également, une
t cette sciatique peut légitimement être considérée comme étant une
forme
spasmodique. Le mode de début de cette sciatiqu
des organes du sciatique, comme dans les cas de névrites apoplecti-
formes
du plexus brachial observées par le professeur Dé
l'élément névropathique se surajoute, et alors il y a vraiment une
forme
pseudo-névratgique, comme j'en ai cité des exem
s articulaires ; c'est la période ankylosante, ou, si l'on veut, la
forme
ankylosante. En somme, la spondylose rhumatisma
e le rapprochement à faire entre la spondylose rhumatismale sous sa
forme
, ou si l'on préfère, à sa période pseudo-névral-
La ressemblance de ce cas avec ceux que j'ai classés sous le nom de
forme
pseudo-névralgique, a été notée par eux : pério
es appen- dices ayant un pédicule relativement long. - Quant à leur
forme
, les appendices collatéraux se présentent le pl
es collatéraux on observe aussi de petites épines ou des saillies à
forme
et à dimension variables. - Outre les formations
aississements et ces gonflements sont très variés de grandeur et de
forme
. Ils ne se succèdent pas avec régula- rité l'un
pas du tout, les appendices de ces dendrites sont piriformes ou en
forme
d'épingle. Plus souvent on peut voir sur ces de
ces gonflements n'atteignent pas une grande dimension, ils sont de
forme
variée; mais on ne peut parler ici d'un état moni
ortent toute une série de gonflements et d'épaissisements divers de
forme
et de grandeur, visibles déjà à un faible gross
s cellulaire et la grosse partie basilaire de la dendrite. Par leur
forme
les appendices collatéraux ont un aspect en mas
nsidérable d'appendices collatéraux. UN CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE A
FORME
PSYCHO-PARALYTIQUE DESTRUCTION DU NOYAU CAUDÉ ;
era peut-être une contribution à l'étude des tumeurs céré- brales à
forme
psycho-paralytique (1) et par une partie de ses s
ureux d'expri- mer ici tous nos remerciements. TUMEUR CÉRÉBRALE A
FORME
PSYCHO-PARALYTIQUE E 109 Poumons et coeur sains
; pas de paralysie de la musculature externe. TUMEUR CÉRÉBRALE A
FORME
PSYCHO-PARALYTIQUE 111 Pas de troubles de la ma
nt; l'aspect à la coupe paraît moins humide. ' TUMEUR CÉRÉBRALE A
FORME
PSYCIlO-PARALYTIQUE 113 Le pédoncule cérébellle
grise ; 2, coque fibreuse ; 3, tissu ostéoïne. TUMEUR CÉRÉBRALE A
FORME
PSYCHO-PARALYTIQUE 115 Fig. 3. - Insula droit :
leux gauche. Fig. 6. - Lobe cérébelleux droit. TUMEUR CÉRÉBRALE A
FORME
PSYCilO-PAHALYTlQU8 117 7 Les travées cellulair
u à des troubles mentauxinten- ses (2) etsi caractéristiques que la
forme
même de ces troubles devait fixer le diagnostic
e de Psychiatrie, février 1903 (Revue générale). TUMEUR CÉRÉBRALE A
FORME
PSYCHO-PARALYTIQUE 119 J diffuse. Malgré que no
réside très probablement dans le lobe frontal. La connaissance des
formes
psycho-paralytiques des tumeurs cérébra- les (1
agnons presque nécessaires; il y aurait presque opposition entre la
forme
épileptique et la forme psychique (Lan- nois).
es; il y aurait presque opposition entre la forme épileptique et la
forme
psychique (Lan- nois). Le nombre et la distri
ponto-cérébelleuse, Iconog. Salp., 1901, p. 341. TUMEUR CÉRÉBRALE A
FORME
PSYCHO-PARALYTIQUE 123 phére cérébelleux gauche
Société de neurologie de Paris, 10 janvier 1901. TUMEUR CÉRÉBRALE A
FORME
PSYCHO-PARALYTIQUE 128 serait constatée plus so
rutilant. En outre, les phénomènes cardiaques se sont produits sous
forme
d'exagéra- tion de l'arythmie eu salves. Une
es démences paralyti- ques et séniles, l'idiotie, toutes les autres
formes
(sauf certaines périodes transitoires ou aiguës
e d'un principe unique, - doivent être appliquées dans les diverses
formes
de maladie mentale. Nous connaissons certaines
second lieu parce que les femmes épileptiques et hébéphré- niques,
formes
où les impulsions sont plus fréquentes, atteigni-
aiguës par collapsus, traumatismes, infections, l'amentia sont des
formes
mentales qui se développent souvent accompagnée
végétative. z - 144 BIANCHINI TABLEAU III. - Proportion entre les
formes
cliniques totales et les travailleurs. ERGOTH
RAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE 145 TABLEAU V. Femmes. Proportion entre les
formes
cliniques et les travailleurs. 146 BIANCHINI
igner suivant les méthodes indiquées pour les psychoses aiguës, les
formes
de délire hallucinatoire alcoolique, de deliriu
nt été tout récem- ment bien illustrées par Diem (2) sous le nom de
formes
de démence simple de la démence primitive. Dans
, très rarement par des impulsions ». Tandis que dans les premières
formes
le travail n'est pas possible, on réussit très bi
appliquer dans' les secondes. On peut le faire aussi dans plusieurs
formes
mixtes, ltébéphrénico-catatoniques où l'état de
vailleurs avec un excédent de 22 0/0 des femmes sur les hommes. Les
formes
périodiques sont plus facilement traitables par
périodiques sont plus facilement traitables par le travail que les
formes
circulaires ; celles à type expansif plus que c
pour nous expliquer à souhait l'emploi de l'ergothérapie dans cette
forme
mentale. Je crois seulement pouvoir affirmer qu
observés. L'imbécillité inorale donne 40 0/0 de travailleurs. Cette
forme
, proba- blement congénitale, est une phrénastén
e démence ». Après ces données sur le travail appliqué aux diverses
formes
de psy- choses, nous allons examiner les rappor
portance secondaire à l'égard du critère exclusivement clinique qui
forme
la base de l'ergothérapie. Le médecin aliéniste
ît pas les objets, elle peut cependant grossièrement apprécier leur
forme
. Le sens des mouvements passifs et de la positi
l- laires, mais on les observe plus fréquemment dans les tabes sous
forme
d'infiltrations dures siégeant soit au pourtour
Le pseudo-oedème décrit par M. Dide (1) dans la démence précoce à
forme
catatonique, paraît un phénomène à peu près const
, inégalement réparties sur la nuque, le bras gauche, les fesses ; de
formes
irrégulières, de direction le plus souvent obli
es. Le semis pigmentaire est particulièrement abondant au cou où il
forme
col- lier ; largement répandu sur le tronc et l
nt dégénéré, la portion sous-ganglionnaire des racines postérieures
forme
un faisceau aussi dense, aussi compact qu'à l'é
celles qui restent, il en est un grand nombre qui sont régulières de
forme
, bien colorées, mais quelques-unes sont petites
distingue difficilement; mais elles peuvent t aussi conserver leur
forme
arrondie et quelques rares éléments sont si atro-
ier et très coloré : ces deux pigments qui présentent de nombreuses
formes
intermédiaires se colorent intensivement en noi
me nous avons pu le vérifier maintes fois, elles affectent les deux
formes
que nous avons pré- cédemment décrites. Peut-êt
colorant aussi en noir par l'acide osmique et se présentant sous la
forme
de grains de dimensions inégales et dont on voi
u déchiré dans sa partie antéro-latérale gauche, le VIII0 segment, de
forme
normale, ne présente plus qu'une petite infiltr
, à travers le VlIie segment cervical de la moelle. La moelle, de
forme
normale, ne présente plus qu'une petite infiltrat
lobuleuses présentent tous les degrés de la neuronophagie depuis la
forme
globuleuse régulière ou échancrée par une seule c
de cuivres stintillants et déchirants, dont certains affectent des
formes
et des dimensions redoutables ; pavillons monstru
ie aux Myélites syphilitiques. Enfin, il s'est efforcé d'isoler une
forme
morbide, « affection nerveuse caractérisée par
us- cles du tronc et des extrémités. Nous pouvons donc accepter une
forme
de début ophtalmoplégique, une autre bulbo-prol
n a été aiguë, en d'autres subaiguë, et en d'autres chronique. La
forme
ophtalmoplégique doit être distinguée de la migra
ique, en premier lieu, et ensuite de toutes les ophtalmoplégies. La
forme
bulbo-protubérantielle, de la paralysie bulbaire
sive de Duchenne et de la paralysie pseudo-bulbaire de Lépine. La
forme
spinale, de la neurasthénie spécialemenl, et de l
ieure hémorra- gique de Wernicke, qui pourrait se confondre avec la
forme
aiguë,' a un début apoplectique, où elle s'acco
. . La paralysie bulbaire progressive se distingue facilement de la
forme
bulbaire, par son évolution continue et la prés
s des symp- tômes cérébraux. La neurasthénie a de commun, avec la
forme
spinale, la fatigue ou as- Ihénie des extrémité
2° Par la localisation de ses premiers symptômes, elle peut être de
forme
ophtalmoplégique, bulbo-prolubérantielle ou spina
n sont limi- tés ; dans l'attitude d'extension maxima l'axe du bras
forme
encore avec l'axe de l'avant-bras, un angle de
85 carpienne est placée à 1 centimètre 1/2 en arrière de celle que
forme
la tête du 3° métacarpien. Ici encore, la rad
BORATOIRE DE M. PIERRE MARIE. - SUR L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE D'UNE
FORME
D'HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE PAR A. RYDEL (
montré le travail de M. Switalski. (6) P. LONDE, ZOC. Cit. UNE
FORME
D'HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 291 Douleurs extrê
t particulièrement dans l'orbicu- (1) A. Thomas et J. Houx, Sur une
forme
d'héénédo-ataxie cérébelleuse, Revue de méd., 1
endant tout le temps que j'ai travaillé dans son laboratoire. UNE
FORME
D'UÉRÉDO-A'PAXIE CÉRÉBELLEUSE 293 ` ? foi4 FU
altérations dans la coloration et dans le calibre des fibres. UNE
FORME
U'1lÉHIsDW A'CAX1E cÉnÉBELLEUSE 9Q5 Cordons pos
ach, tandis que celui de Goll montre une dégénérescence intense, de
forme
carac- téristique, et surtout marquée dans les
le formé par les cornes antérieures et postérieures et prend ici la
forme
d'un triangle dont le sommet est dirigé vers le c
mbaire supérieure elle envahit aussi l'espace jusqu'alors ÆI °UNE
FORME
D'UERÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 297 respecté entre
ubstance géla- tineuse. Dans les cordons antérieurs la dégénération
forme
une courbe dont une des extrémités se perd dans
au pyramidal croisé montre dans cette hauteur une raréfaction. La
forme
de ces lésions reste la même dans tout le reste d
é de la moelle qu'on trouve une plaque de sclérose périphérique, de
forme
oblongue, située immédiatement en arrière de l'
lète disparition du faisceau cérébelleux ni de la diminution si UNE
FORME
D'nÉRÉnO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 299 accentuée de l
les plus élevés de la moelle la dégénération des cordons antérieurs
forme
une bande-occupant plus que la moitié du cordon.
la substance gélatineuse du 5e ascend. qu'elle se présente sous la
forme
d'une plaque oblongue fortement sclérosée et qu
et latérale montre une sclérose, qui augmente d'arrière en avant et
forme
dans son extrémité antérieure une plaque sclérosé
forme dans son extrémité antérieure une plaque sclérosée, qui a la
forme
d'un triangle situé en arrière des olives. Dans l
versaux sont de la même grandeur, de sorte que la coupe a plutôt la
forme
carrée au lieu de s'amincir vers les pyramides.
comparant les observations cliniques de ces trois membres de la UNE
FORME
D'HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 301 famille Hand..
onnées anatomiques, envisager ces trois cas comme appartenant à une
forme
intermédiaire entre l'hérédo-ataxie cérébelleuse
iladelphia, 1894. (9) Brain, 1901, I. (10) Brain, 1898, IV. UNE
FORME
D'IiÉRÉDO-ATAX1E CÉRÉBELLEUSE 303 Chez François
it une atrophie de l'éminence thénar et de troubles trophiques sous
forme
d'une chute des ongles. Des atrophies musculair
r la manière dont travaillent les ma- lades affectés de différentes
formes
cliniques et l'application de ceux qui sont aff
eriodica ; dans les deux cas précédents le trouble a revêtu la même
forme
. La malade est affligée d'une hérédité très grave
i en présence de l'amentia (amelltÙ¿ Meynel'ti), mais de l'une de ses
formes
, plus favorable, à marche plus rapide. Dans la
ncohé- rents du malade affligé de l'ameutia. Nous passons à la 3°
forme
morbide, paranoïa chronica, représentée par Mme
e paranoïa chronica. Les caractères fondamentaux, typiques de cette
forme
de trouble mental viennent d'être indiqués : dé
es psychiques violentes qui se rapportent la plupart du temps à des
formes
de trouble psychique appelées curables, ne se ter
nent malheu- reusement pas toujours par la guérison. Chacune de ces
formes
laisse dans la population des hospices psychiat
port avec la provenance de l'imbécillité secondaire de différentes
formes
pri- maires de trouble mental. Nous reproduison
ne possédons pas d'ouvrages tant soit peu marquants dus à d'autres
formes
de trouble mental telles que la mélancolie, la
nage intéressant de l'ancienneté de la procession dansante, sous la
forme
qu'elle affecte encore aujourd'hui ; aux costum
relle, la Mania. Selon Platon, le délire prophétique n'est qu'une
forme
de la révélation qui peut aussi revêtir d'autre
e envoyée par Dionysos. Tel aussi le pouvoir des Muses, et enfin la
forme
la plus (1) C. Baglivi, Opéra omnia, etc., in-4
nades, et il montre combien ce délire était contagieux (2). Cette
forme
bruyante et convulsive de la Mania, l'Enthousiasm
nts de la vie agricole. « On les célébrait, dit Plutarque, avec des
formes
simples qui n'excluaient 'pas la gaieté on port
e manifeste encore de nos jours dans certaines campagnes sous cette
forme
primitive, exempte de tout symbolisme. On chant
s et mentales. Les uns, comme Calmeil, les ont décri- tes comme une
forme
de manie contagieuse. Les autres, depuis Charcot,
élan est irrésisti- ble. Elle donne aussi libre essor à toutes les
formes
de cette Mania des Grecs, dont le nom s'est per
asmes unilatéraux, en particulier au torticolis spasmodique et à la
forme
décrite par M. Bris- saud sous le nom de torlic
s'accompagnent de perte de connaissance et ont été rangés parmi les
formes
du petit mal comitial. Nous ne dirons rien du t
nterfibrillaire. Ils ont en général conservé leurs dimensions, leur
forme
globuleuse ou fusiforme, leur réseau de chromatin
ense soit par l'éosine, soit par le carmin, des masses homogènes de
forme
plus ou moins irrégulièrement cubique, parfois pl
à former du tissu graisseux. Sur les coupes longitudinales ce tissu
forme
de larges travées (ibro-grais- seuses, quelquef
n un peu de petitesse de la cellule, qui a conservé d'ail- leurs sa
forme
polygonale, ses prolongements, et dont le noyau s
es, on peut distinguer au point de vue de l'état des muscles, trois
formes
: une forme proprement atrophi- que, une forme
istinguer au point de vue de l'état des muscles, trois formes : une
forme
proprement atrophi- que, une forme pseudo-hyper
des muscles, trois formes : une forme proprement atrophi- que, une
forme
pseudo-hypertrophique, enfin une troisième forme,
atrophi- que, une forme pseudo-hypertrophique, enfin une troisième
forme
, sclé- reuse, accompagnée de rétractions ; c'ét
l est certain que le périmysium prolifère et que c'est bien lui qui
forme
la majeure partie du tissu conjonctif de rempla
vide du sarcolemme qui pourraient être interprétés à tort comme des
formes
de régression cel- lulaire. Aussi, malgré la
voir et d'analyser comment la fibre musculaire peut évoluer vers la
forme
fibroïde; 2° ce processus n'est pas le plus fré
des fléchisseurs et des muscles du tronc. Si bien qu'en face des
formes
pseudo-hypertrophique et atrophique simple des
schématique, les faits de passage étant nombreux entre les diverses
formes
, nous nous croyons autorisés à faire une place à
iverses formes, nous nous croyons autorisés à faire une place à une
forme
plus rare il est vrai, mais donc l'existence clin
ais donc l'existence clinique et anatomique nous parait établie, la
forme
scléreuse avec rétractions. x\it i 23 HOSPICE
ns les plus volumineuses et les plus bizarres sous le rapport de la
forme
(PI. XL1X, A). Outre les artères, les capillair
tion : en règle générale les vaisseaux ne présentent pas ici de ces
formes
de dégéné- rescence. Du reste, en soutenant la
ifuge ou de préférence centripète, mais elle peut se présenter sous
forme
d'îlots ou de plaques qui sur des coupes oc- cu
On peut dire en somme que toutes les opinions ont été émises sur la
forme
, la nature et l'origine des lésions de l'atrophie
au chiasma ; le chiasma baigne dans l'espace sous-arachnoïdien qui
forme
à ce niveau l'un des grands lacs de la base de
eaux sous- jacents, dans l'amaurose tabétique l'arachnoïde épaissie
forme
générale- ment un voile blanchâtre, opaque, à s
ui entoure immédiatement le nerf est aussi généralement épaissie et
forme
au nerf une enveloppe opaque, surtout dans les
tout cas nullement en proportion de la diminution du nerf,et il se
forme
entre la gaine durale et le nerf un espace plus o
enserrés dans les couches fibreuses. Quant au tissu granuleux qui
forme
le fond de la coupe presque tou- jours, en cher
ésions sont celles de toute sclérose syphili- tique, de beaucoup de
formes
de la syphilis tertiaire que l'on a dites para-
distinguer le jour de la nuit sans lui permettre de reconnaître la
forme
ou la couleur d'au- cun objet. Ainsi l'atroph
la veine (nerf de Bout..., par exemple), le quadrant dont l'artère
forme
le sommet est sensiblement moins sclérosé. Ce
aurotiques sont exactement les mêmes dans les scléroses combinées à
forme
tabétique avec amaurose que nous avons dans toute
ou non à leur centre d'un orifice, soit vide, (i) Il existerait une
forme
spéciale d'amaurose syphilitique curable par le t
ment l'axe de la corne postérieure. Mais bientôt elle apparaît sous
forme
d'une fissure ou d'une fente rectiligne et se p
antérieure. Un peu plus haut la lésion, tout en conservant la même
forme
et la même direction, perd contact avec la péri
d'épaisses nappes. Peut-être aussi faut-il chercher la cause de la
forme
parfois si régulièrement gaufrée et godronnée d
é est frappante : c'est l'état de leur tunique adventice. Elle leur
forme
une gaine trop large, séparée de la paroi par u
ne partie de son prolongement dans la corne postérieure gauche sous
forme
d'une mince tente à bords accolés sauf en un po
verse la corne postérieure et s'élargit légèrement en avant où elle
forme
une sorte de dilatation ampullaire (PI. LVI, fig.
dromyélie et la syringomyélie ont été reconnus peu valables et des
formes
de transition affirmées (Schlesinger). De l'aut
s épendymaires et de la prolifération névroglique,'et si la cavité se
forme
et s'agrandit c'est aux dépens de ce tissu path
u'autour des vaisseaux le tissu conjonctif anorma- lement développé
forme
des bandes, des tractus épais, sinueux, d'aspect
r de la cavité ; il ne reste donc que la périphérie du tractus sous
forme
d'une mince couche hyaline, qui est du tissu conj
actères les mieux étudiés de la syringyométie est bien le début, la
forme
, la topographie des cavités. Il est de notion ban
oubles circulatoires. Quant à la dégénérescence hyaline qui souvent
forme
de vastes placards, si elle semble rayonner aut
par le seul fait de l'écartement de feuillets adven- titiels. Il se
forme
en somme un kyste par dilatation d'un espace lymp
ésulter des variétés d'aspects qui en imposent bien à tort pour des
formes
histologiques différentes. Tantôt elle constitue
us ou moins épaisse limitant la cavité des tissus sains ; tantôt elle
forme
des nodules arrondis, disséminés, des plaques v
n, etc., d'utiles indications sur son état men- tal. D'une part, la
forme
des lettres, l'agencement des mots et des lignes
S DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 417 encore une autre
forme
possible d'aphasie motrice transitoire qu'il faud
vulsive. Cetle aphasie sensorielle, ai-je dit, peut se montrer sous
forme
d'atta- ques répétées, mais pas plus que l'apha
la prodigalité à ce caractère. L'ex- citation qui apparaît dans la
forme
apparaît aussi dans le fond ; car dans une autr
oigne, tant Fig. 3. Fig. 4. Fi £ ". 5. . 422 JOFFROY par la
forme
que par le fond, de l'excitation maniaque avec id
te celle particularité intéres- sante que certaines lettres sont de
forme
bizarre et contournées. Vous re- connaîtrez dan
voyez, d'écrire assez correc- tement quant aux idées et quant à la
forme
: cette lettre, dans laquelle il se plaint du b
malade ayant sous nos yeux, au cours d'une conversation, un ictus à
forme
vertigineuse, nous lui donnons une plume et du pa
ont simplement ce qu'ils étaient auparavant, des dysgraphiques. Les
formes
persistantes de diverses variétés d'aphasie 'ex
lati * 438 LÉIII ET-WILSON - ce qui tend à donner à la moelle une
forme
triangulaire à base antérieure, au lieu de la f
à la moelle une forme triangulaire à base antérieure, au lieu de la
forme
ovalaire normale. Mais ce qui frappe surtout, c'e
si la zone périphérique est moins colorée. La substance grise a une
forme
plus proche de la normale, mais les cornes anté
2°-3" dorsale. Toutes les lésions sont bien moindres, l'aspect et la
forme
de la moelle sont beaucoup plus normaux, quoiqu
us petite. Mêmes remarques que pour D *-2 sur la distribution et la
forme
des cel- lules dans les groupes cellulaires ant
accusées ; la moelle et ses cornes ont presque leur volume et leur
forme
habi- tuels. Néanmoins il n'y a qu'une ou deux
ans notre cas, être multiples, et se présenter cliniquement sous la
forme
de la paralysie ascendante aiguë. Un seul fait,
ette dernière. Voici d'abord l'observation. Atrophie musculaire à
forme
segmenlaire occupant les avant-bras et surtout
ie et du steppage. Abolition des réflexes rotuliens. - lllgotonie à
forme
de ma- ladie de Thomsen. Ch... Iânace,cocher,
Il y a encore un contraste très manifeste entre les mollets et les
formes
athlétiques des cuisses. Le même contraste ex
s. med. Wochensch., 1900. (5) Noeuds et Sirol, Maladie de Thomsen à
forme
fruste avec atrophie musculaire (Nouv. Icon. de
ue. 15 juillet. - Le fond de l'eschare se déterge lentement ; il se
forme
des bourgeons charnus. 22 août. L'ulcération
diot, 1893. 472 RUDLER ET CIIOMEL premier titre, les anomalies de
forme
et de volume du crâne et de la face (asymétries
ts d'I-Iippiatrique » de Bourge- lat (1751), les recherches sur les
formes
extérieures du cheval et l'étude de la mécaniqu
saillant, » Cadéac, Encyclop., t. VIII, p. 134) ; des anomalies de
forme
variables ; la mieux connue correspond à la pla
entes; mais elle n'empêche nullement l'observation d'ano- malies de
forme
, et celles-ci ont acquis, à la faveur de recherch
Face. Les asymétries de la face ne sont pas rares, asymétries de
forme
, de direction, de dimensions. Elles ne sont pas d
il, la déviation du nez, l'irrégularité du visage, de la bouche, la
forme
de la mâchoire in- férieure, et ces signes, rel
malies l'importance que leur attribuait Morel. Les irrégularités de
forme
de l'oreille externe ne sont pas rares chez l'a
rture plus ou moins grande de la fente palpébrale, les anomalies de
forme
et de volume des paupières, la saillie plus ou
constate, chez eux, des anomalies de structure (dents érodées), de
forme
(surdents), de direc- tion et d'évolution ; des
spécialement Ravigo, par Gladiateur et Alerte) ; de même aussi les
formes
, tares osseuses résultant de l'ostéite phalangien
ne ; le cheval Président présentait au membre postérieur gauche une
forme
qu'il tenait de son père Florin; Jacoulet fait
ées,répétées,indépendantes de mouvements de défense, sont l'une des
formes
les plus fréquentes de la rétivité chez les che
ion de Séglas (2) : « ils s'ob- servent d'ordinaire sous toutes les
formes
décrites en neuropathoiogie : paralysies, spasm
ne tranquillement sans.sepréoc- cuper de l'angoisse de la patiente,
forme
un relief très net,mais très naturel, avec l'ap
ccupe la partie latérale et inférieure droite du tableau, qui a une
forme
géométrique circulaire, encadré de volutes et de
81. Hérédo-ataxie cérébelleuse (sur l'anatomie pathologique d'une
forme
) (8 dessins), par A. RYDEL, 289. Hydropiques
pl.), par PAUL Sainton et Rogner Voisin, 189. Tumeur cérébrale à
forme
psycho-paraly- lique (7 fig.), par ED. Cornu, 1
cheval ; étude clinique,471. Cornu. Un cas de tumeur cérébrale à
forme
psycho-paralytique (7 figures), 106. CRouzoN. A
; étude clinique, 471. RYDRL. Sur l'anatomie pathologique d'une
forme
d'hérédo-ataxie cérébelleuse (8 des- sins), 289
cin qui l'a dé- crite et qui la considérait, bien à tort, comme une
forme
héréditaire de l'ataxie locomotrice. Depuis l
mitif, et je vous rappellerai que déjà, en 1896, je décri- vais des
formes
frustes, fragmentaires, et d'autre part des forme
décri- vais des formes frustes, fragmentaires, et d'autre part des
formes
hybrides, où la maladie emprunte de nouveaux sy
tous les types que nous aurons à considérer). La première est une
forme
classique de maladie de Friedreich. Louise V...
rche irrégulière, interrompue par des temps d'arrêt. S'il est des
formes
de maladie de Friedreich, rares d'ailleurs, que l
ières autopsies. L'illustre médecin crut voir dans cette maladie la
forme
héréditaire du 12 RAYMOND tabès dorsal is, no
éro-latéral et ses divers faisceaux. En 1896, je décrivais déjà des
formes
frustes et des formes hybrides de la maladie. C
ers faisceaux. En 1896, je décrivais déjà des formes frustes et des
formes
hybrides de la maladie. C'est ainsi que je prés
scuter, preuves à 1 appui, les rapports qui existent entre les deux
formes
de l'ataxie héréditaire, la forme spinale et la
orts qui existent entre les deux formes de l'ataxie héréditaire, la
forme
spinale et la forme cérébelleuse. UNIVERSITÉ DE
tre les deux formes de l'ataxie héréditaire, la forme spinale et la
forme
cérébelleuse. UNIVERSITÉ DE GENÈVE SCLÉROSE M
RANSVERSE, SEGMENTAIRE, DORSOLOMBAIRE GAUCHE, MÉTATIfAUIIIATIQUE.
FORME
CLINIQUE CURABLE. Fracture DU PIED DROIT. Quato
des membres supérieurs, de la nutrition musculaire, cutanée, de la
forme
du rachis, etc. L'absence de tremblement intent
rdons de Goll et de Burdach). Mais d'autres fois elle reste limitée
forme
transverse segmentaire - à son point d'arrivée,
ansverse segmentaire - à son point d'arrivée, sans se propager sous
forme
d'altérations secondaires ascen- (1) Traité de
le se manifestera par le syndrome Brown- Séquard plus ou moins pur,
forme
qui n'est pas très rare. Déjà mentionnée par Vu
dans leur passé un traumatisme, agent générateur peut-être méconnu,
formes
clini- ques variées mais unifiées, dans le cadr
ffections chroniques de la moelle en particulier. C'est donc là une
forme
clinique bien réelle,bien spéciale sur laquelle c
de Biologie, 1873) et par la clinique (Chauffard, Froin et Boidin,
Formes
curables des hémorragies méningées sous-arachno
ux, t. I, p. 672), nous demandons une heureuse exception pour cette
forme
qui, accidentelle dans ses causes et ses effets
pu leur faire éprou- ver. Enfin les cliniciens qui ignoraient cette
forme
de myélite, n'ont guère songé à se demander si
nviction d'ailleurs, établi le diagnostic de sclérose en plaques de
forme
fruste, d'une de ces formes, qu'après Char- cot
le diagnostic de sclérose en plaques de forme fruste, d'une de ces
formes
, qu'après Char- cot, M. Jaccoud a décrite et ét
ude criti- que, dont il fait suivre son observation, concernant les
formes
frustes ou anomales de la sclérose en plaques,
rguments qui peuvent servir ébranler fortement le diagnostic de ces
formes
. En 1885, le syndrome du déficit cérébelleux étai
tique a le grand avantage de faciliter l'étude et le classement des
formes
plus ou moins complexes. En clinique il est rare
ésence d'un syndrome absolument pur. Le plus souvent on observe des
formes
mixtes réunissant dans les proportions variable
à court trajet, soit les fibres de projection. De là ces nombreuses
formes
cliniques observées chaque jour, de là l'existe
lle est rarement pure, mais on peut la découvrir au milieu'd'autres
formes
d'aphasie qui l'ac- compagnent. Poursuivant c
ctés : la tre et la 2. temporale, lecunem, lobule lin- gual et fusi
forme
, les radiations optiques de Gratiolet. Il y a e
et X qu'il est bon de rappeler. OBS. IV. - Guido Banti (Afasia sue
forme
sperimentale). - Aphasie am- nésique très nette
ctement le moment pré- cis de leur action que par le changement des
formes
extérieures qu'en- traine leur contraction. L'i
ir montré quel parti on pouvait tirer de l'étude des changements de
forme
du corps dans leurs rapports avec l'état de con
ent à la palpation et ne donne pas lieu à un changement évident des
formes
extérieures, à moins que l'inclinaison du corps
te qui représente le sacro- lombaire et le long dorsal réunis, sous
forme
d'une saillie étendue 10llgitudiualement de cha
ère est un losange parfait, ses deux moitiés sont symétriques, sa
forme
varie seulement un peu suivant les sujets. Chez l
ent toujours symétriques. Semblable changement se produit dans la
forme
du losange dorso-lombaire, même dans l'attitude
duit, du côté des saillies musculaires du dos, par un changement de
forme
de notre losange dorso-lombaire, évident à premiè
é correspondant au côté oscillant devient plus étroite et prend une
forme
plus allongée ; son angle externe de ce côté devi
du corps d'un pied sur l'autre. Elle a lieu en effet sous la même
forme
, aussi bien dans l'oscillation sur place, dans
poids du corps d'un pied sur l'autre ; elle se produit sous la même
forme
aussi bien dans l'oscillation sur place que dans
tement du Trichterbrust. Mais le thorax ne présente pas toujours la
forme
typique que nous venons de lui décrire. Parfois
côtes. A la partie supérieure de l'abdomen, la région épigastrique
forme
une vous- sure transversale limitée en bas par
t sur la région dorsale. Le rachis, sauf dans la colonne cervicale,
forme
une courbure unique à con- vexité postérieure s
rites, mais moins accentuées ; elles correspondent sans doute à des
formes
encore en évolution, capables de s'accentuer pl
s des déformations des pseudo- Paget ; nous les décrirons comme des
formes
incomplètes. Dans les formes légères on retrouv
Paget ; nous les décrirons comme des formes incomplètes. Dans les
formes
légères on retrouve à l'état d'ébauche les déform
La cuvette n'est que faiblement indiquée, et c'est surtout dans ces
formes
DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA M
établir de confusion qu'au début de la maladie de Paget ou dans des
formes
atténuées de cette affection. Plus tard en effe
rivait : « Une attitude quelque peu semblable est présentée par une
forme
de ce que je suppose être une arthrite chronique
compensée par la flexion des cuisses sur le bassin et même dans les
formes
les plus accusées par la flexion des jambes sur l
En ce qui concerne l'ostéomalacie sénile, Meslay (3), qui en fait une
forme
spéciale d'ostéomalacie, résume les différentes
ste chez les vieillards Mais il est bien évident qu'à côté de cette
forme
on rencontre plus fréquemment une déformation t
s'accordent donc pour démontrer l'existence, parmi les innombrables
formes
des alté- rations de la Personnalité, d'un synd
émoire Sur la licorne. Il reconnaît qu'on n'est pas d'accord sur la
forme
de cet animal, sur le pays qu'il habite, mais il
distincte au premier abord et le type déjà décrit, il n'existe pas de
formes
de transition. Ces dernières, en effet, anneaux
la maladie de Friedreich et l'hérédo-ataxie. C'est encore une de ces
formes
hybrides, dont la fréquence a été si grande ces
n droit de se demander si ceux-ci ne sont pas l'exception. Si ces
formes
mixtes ont créé de sérieuses difficultés dans le
insuffisance de la clinique seule pour la classification exacte des
formes
hybrides et des cas frustes de l'ataxie hérédit
ans la maladie de Friedreich, dans le syn- drome de Marie, dans les
formes
de transition, des types morbides ayant tous co
dies du système ner- veux. Dans le tabes, par exemple, à côté de la
forme
inférieure, la plus commune, on distingue des f
e, à côté de la forme inférieure, la plus commune, on distingue des
formes
cervicales, cérébrobulbaires. Dans la sclérose
e en plaques, outre le type classique, cérébrospinal, il existe des
formes
frustes, cérébrale, spinale, bulbaire ou cérébell
tantôt spinale, tantôt bul- baire, et cependant on réunit les deux
formes
, quoique différentes dans leur symptomatologie
les variétés de l'ataxie familiale, il est permis d'ajouter que les
formes
aberrantes et compliquées de cette dernière ne
aire au cours de la maladie de Friedreich peut faire pressentir des
formes
de liaison avec les atrophies musculaires famil
de maladies familiales et les relations de ces mêmes types avec les
formes
de transition qui constituent avec eux comme le
l et fusiforme en partie et n'avait du reste que très peu altéré la
forme
extérieure du lobe occipital. Ses dimensions étai
tance toute particulière, car sa branche médiane est conservée sous
forme
d'un trait noir mince (Weigert), à proximité im
siformes (cou- pes vertico-transversales) plus rarement ronds, leur
forme
répondant à celle 01 ' Vr Fio. 2. AJI, avant-
re 1900 ce sont des animaux dont elle ne peut définir exactement la
forme
, qui remplissent son lit, la piquent et lui font
blent à des chiens ou des chats. Plus tard ces visions ont pris une
forme
plus déterminée : ce sont tantôt des hommes, ta
« moria » (tendance à l'iro- nie, aux mauvaises ripostes). 3° Une
forme
d'ataxie analogue à celles que produisent les lés
ert. 152 WEBER ET PAPADAKI - . du tronc encéphalique on change de
forme
et de position, mais il n'y a que peu de détrui
ur des cellules nerveuses; dans la blanche, partout des vacuoles de
formes
el de dimensions variables. Nous admettons que
quelques cellules sont un peu petites, mais elles ont conservé leur
forme
triangulaire, on peut voir l'entrecroisement des
puscules très brillants contiennent en leur centre des cristaux en
forme
d'aiguil- les diversement orientées.Tantôt ces
s du revêtement épithélial des houppes, vues de face,apparaissentsous
forme
de belles cellules plates à cinq pans, à noyau
e fait voir un double foyer de ra- mollissement ocre; l'un, sous la
forme
d'une ligne oblique en dehors et en avant, part
parfois assez marquée pour que Duchesneau ait proposé de créer une
forme
a)Kyo- trophique. Joffroy et Achard ont trouv
anvier, 3e édit., t. II, p. 228. (2) P. Sainton et Jean State, La
forme
douloureuse de l'acromégalie. Rev. Neuro- logiq
Quinke (1) a pour la première fois donné la descrip- tion de cette
forme
morbide : l'oedème circonscrit et aigu delà peau.
ent,et ces poussées peuvent se suivre pendant un temps varié. Cette
forme
morbide,dont je néglige l'his- toire bibliograp
nfirmé son existence. Mais, dans ces dernières années, une nouvelle
forme
d'oedème a été décrite chez les sujets qui, com
e série de pous- sée d'oedèmes circonscrits passagers, peu à peu se
forme
un oedème d'un membre, ou bien d'un segment de
2), qui a le premier appelé l'attention des pathologistes sur cette
forme
morbide, l'a nommée (à cause d'un de ses caract
aladie : cette affirmation on ne peut pas encore la faire. Ces deux
formes
morbides ont les caractères communs de surgir 1
ui fontsongerà l'influence du système nerveux. Selon Meige ces deux
formes
seraient la manifestation d'une maladie unique
maladie unique qui, dans la maladie de Quinke, se présente sous sa
forme
aiguë, et dans la forme décrite par Debove se p
s la maladie de Quinke, se présente sous sa forme aiguë, et dans la
forme
décrite par Debove se présente avec une allure ch
mands s'opposent à ces idées ; ils séparent très nettement les deux
formes
et nient qu'elles soient la manifestation d'une
celles émises par Meige et par tous les auteurs qui ont étudié ces
formes
morbides. J'exposerai ces idées dans une deuxiè
ns la première les liens cliniques étroits existant entre les trois
formes
en question. Je ferai précéder l'exposition thé
du genou le membre est nota- blement tuméfié : la jambe n'a plus sa
forme
normale, elle a la forme d'un cylindre de rayon
ta- blement tuméfié : la jambe n'a plus sa forme normale, elle a la
forme
d'un cylindre de rayon uniforme du haut en bas.
omme but d'établir les liens cliniques qui existent entre les trois
formes
morbides : urticaire, oedème de Quinke et trophoe
rofessionnelle dépendrait d'un trouble céré- bral. Il a décrit deux
formes
de crampes des écrivains : la forme spasmodi- q
e céré- bral. Il a décrit deux formes de crampes des écrivains : la
forme
spasmodi- que et la forme paralytique. Benedict
deux formes de crampes des écrivains : la forme spasmodi- que et la
forme
paralytique. Benedict de Vienne a ajouté une troi
ue et la forme paralytique. Benedict de Vienne a ajouté une troisième
forme
, la forme trémulente. Jaccoud a mentionné une q
me paralytique. Benedict de Vienne a ajouté une troisième forme, la
forme
trémulente. Jaccoud a mentionné une quatrième for
sième forme, la forme trémulente. Jaccoud a mentionné une quatrième
forme
, la forme ata- xique ou forme spasmodique réfle
e, la forme trémulente. Jaccoud a mentionné une quatrième forme, la
forme
ata- xique ou forme spasmodique réflexe. Vivi
te. Jaccoud a mentionné une quatrième forme, la forme ata- xique ou
forme
spasmodique réflexe. Vivian Poore attribue la c
s mouvements. Comme chez les tabétiques l'ataxie présente plusieurs
formes
et, suivant le degré d'ataxie, se déclare penda
sur la pointe du premier orteil chez les danseuses, etc. Dans les
formes
graves de crampes professionnelles, le spasme se
ation d'ataxie professionnelle. Cette ataxie peut présenter ici une
forme
paralyti- que, comme l'ataxie locomotrice d'imp
ne forme paralyti- que, comme l'ataxie locomotrice d'impotence, une
forme
spasmodique, comme l'ataxie locomotrice spasmod
ne forme spasmodique, comme l'ataxie locomotrice spasmodique et une
forme
t ? 'ému{ente,comme l'ataxie loco- motrice avec
venir impotente. Il y a un certain intervalle entre les différentes
formes
classiques d'ataxie locomotrice. Ces intervalles
ange de plumes à tout propos ; elle rechange ses porte-plumes, leur
forme
, leur poids, leur composition, leur épaisseur e
arfaite entre eux. L'écriture du terrassier est une écriture ataxique
forme
tré- mulante, comme l'écriture du premier compt
mier comptable ; l'écriture du journalier est une écriture ataxique
forme
spasmodique ; et, cependant, m l'un, ni l'autre d
se mettront à apprendre à bien écrire, leur écriture n'aura pas la
forme
de l'écriture ataxique. Au début des études Fig
t facilement de son bras droit, seule la main a conservé encore une
forme
disgracieuse par suite d'hy- potonie des extens
est la seule cause de l'écriture présentée par la figure 6 dont la
forme
ressemble à la crampe spasmodique des écrivains.
accompagné souvent d'uu effet nuisible. Zuber affirme que dans les
formes
tré- mulaute et paralytique l'application d'un
plus justifiée. Nous massons donc les Fig. 7. Crampe des écrivains (
forme
spasmodique). Fig. 8. Flexion du pouce sur le p
eur traitement, nous n'attachons pas une grande importance ici à la
forme
, ni à la composition des porte-plumes. Cepen- d
soit un porte-plume ordinaire, soit le porte-plume triangulaire. La
forme
de la plume a plus d'inté- rêt. Nous commençons
entionnels. LA CRAMPE PROFESSIONNELLE . 229 Crampe DES écrivains (
forme
trémulante) Fig. 9. - Avant le traitement. IL
. - Après le traitement (écriture ordinaire). CRAMPE DES ECRIVAINS (
FORME
SPASMODIQUE) Fig. 12. Avant le traitement. Fi
ion fâcheuse, dans laquelle elle l'a jeté. Au Crampe DES écrivains (
forme
paralytique) rééducateur de modifier cette situ
tronc se fait du côté du membre atteint de sciatique ; cette seconde
forme
appartiendrait surtout aux sciatiques spasmodiq
., 12 février 891 (Anal, in Rev. d'orthop.). · Voy. aussi IIWIER,
Forme
alternante involontaire de scoliose sciatique.
grise. Au Nissl. Les cellules grandes pyramidales ont conservé leur
forme
; les unes ont encore leurs grains chromatiques
A. VIOOUROUX et LIGNFL-L.\V.1STI\E. Contribut. à l'Étude de quelques
formes
de la paralysie générale. Congr. de Bruxelles,
es de Clarke présentent (méthode de Nissl) des altérations nettes :
forme
globuleuse, noyau périphérique. Les cor- dons a
territoire juxta-sulcique qui représente par sa situation et par sa
forme
le centre ovale de Flechsig. On observe cependant
té- rés. Les cellules nerveuses ont pour la plupart conservé leur
forme
et leur noyau. Les grains chromatiques sont net
l a été soigné à la Salpêtrière ; il avait eu une attaque épilepti-
forme
à la suite de laquelle il présenta une parésie fa
générescence; les cellules des cornes laté- rales ont conservé leur
forme
; on voit encore leurs grains chromatiques, mais
en dégénérescence hyaline. Les cellules nerveuses ont conservé leur
forme
ou sont en chromatolyse et neuronophagie. Au We
complexes de la cli- nique. ' Le névraxe, comme le foie, le rein,
forme
une unité réactionnelle que l'étude des process
es plus atrophiées. A leur niveau, la pie-mère est très épaissie et
forme
de nombreuses brides. Les circonvolutions sous-ja
radiaires paraissent normales. La névroglie est hyperplasiée ; elle
forme
au niveau de la partie la plus su- perficielle
est dans l'extension sur la cuisse, le pied dans l'extension forcée
forme
un pied-bot varus équin avec pied creux très cara
ues infruc- tueux, en particulier par la suggestion sous toutes ses
formes
) nous avait permis déjà d'écarter le diagnostic
oïdien : les fibres musculaires ont conservé leurs dimensions, leur
forme
, leurs affini- tés tinctoriales. Il n'existe pa
rdres intestinaux, tandis que cela n'arrive jamais pour la deuxième
forme
. Cassirer (13) qui a fait une splendide monograph
adies organiques du système nerveux (1). (1) Je laisse à part les
formes
hystériques des maladies dont nous parlons. Quoiq
ALOBRA comme une simple variété d'urticaire. Rapin (27) l'appelle «
forme
rare d'urticaire » : Courtois-Suffit(%8), « urt
paraurtica- rienne ». L'école allemande a séparé nettement les deux
formes
et elle a si bien réussi, qu'à présent, tandis
qui puisse être comparé à ce fait de la séparation nette entre deux
formes
dont l'étude même superficielle nous démontre l
par cet ordre d'idées. Cela n'est pas admis comme vrai dans l'autre
forme
. Nous avons vu cependant dans notre quatrième obs
s éléments de cet ordre : nous pouvons affirmer qu'il n'y a pas une
forme
morbide dans laquelle on a décrit des poussées
and nombre d'observa- tions, la fréquence de l'association des deux
formes
sur le même sujet nous donne la persuasion qui
pathique associée aux oedèmes de Quinke sont innombrables. Pour les
formes
symptomatiques nous relatons les faits suivants :
(12). Au point de vue clinique les rapports intimes entre les deux
formes
me semblent bien démontrés. Si elles peuvent se
ne peut pas comprendre pourquoi Cassirer, qui a si bien étudié ces
formes
, veut absolument les séparer en se basant seuie
Cette affirmation n'est pas seulement démontrée par le fait que la
forme
chronique peut suivre l'oedème aigu sans interv
CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 263 par l'observation que les deux
formes
peuvent se présenter simultanément sur le même
roisième observation d'llertoglae). Et pour les observations où les
formes
sont indépendantes, nous devons nous souvenir d
de la même famille) (69). Au point de vue du terrain sur lequel ces
formes
se développent, nous pouvons comparer les oedèm
'influence des mêmes circonstances et des mêmes causes ; toutes ces
formes
peuvent se présenter dans le même temps chez le m
ervations lesquelles forment une échelle de passage entre les trois
formes
et qui nous empêchent d'établir un seul caractère
re essentiel profond par lequel nous puissions distinguer les trois
formes
entre elles. Avant d'aborder la question délica
qui dirigent les fonctions de la peau ? Nous avons vu que les trois
formes
sont indépendantes des fonctions du coeur et de
s. Il nous sera facile au contraire de nous persuader que les trois
formes
d'oedème localisé dont nous poursuivons l'étude
ONIQUES 265 A ces données étiologiques, nous devons ajouter que ces
formes
sont presque toujours héréditaires. Au moins «
du tro- phoedème, alors que les oedèmes passagers sont propres des
formes
toxiques et névrosiques dans lesquelles des lés
pouvons aborder l'argument très intéressant de la pathogénie de ces
formes
. Pathogénie. Nous croyons avoir bien démontré n
croyons avoir bien démontré nos assertions, à savoir que les trois
formes
en question sont liées par des rapports très inti
ré d'oedème persistant : Le phénomène constant, et commun aux trois
formes
est donc l'oedème. Je désire parler avant tout
ulation lymphatique sous l'influence du système nerveux : les trois
formes
ont de ce côté de la pathogénie des caractères co
sang du fait de la [stase dans le système veineux. A côté de cette
forme
d'oedème on admettait une deuxième variété dont l
ire) rendent aussi le sang moins coagulable. L'étude de la deuxième
forme
, à savoir de l'oedème de Quinke, nous confirme
HRONIQUES 271 Nous avons vu les rapports étroits par lesquels cette
forme
est liée à l'urticaire. Nous savons que dans l'
efois d'en venir à une con- clusion certaine sur la thérapie de ces
formes
dans lesquelles Oppen- heim (104) aussi conseil
autre part par Schwimmer, Jrantzel, Besnier, Doyon, dans toutes les
formes
d'urticaire, cela avec des succès évidents. M
démontrés. Meige a bien compris que le trophoedème consti- tuait la
forme
chronique de l'oedème de Quinke; mais est-ce qu'i
rs, il est nécessaire de songer à une pathogénie différente pour la
forme
aiguë et pour la forme chronique de la même mal
e songer à une pathogénie différente pour la forme aiguë et pour la
forme
chronique de la même maladie. je crois plutôt q
à la périphérie en remplissant les lacunes lymphatiques ; dans les
formes
élé- phantiasiques qui sont, produites par le s
en demeurant à l'état latent dans les voies lymphatiques ; dans les
formes
qui suivent la staphylococcie de la peau (Sec-
suivent la tuberculose de la peau ou bien la syphilis (soit sous la
forme
de lymphangite spécifique, soit de gomme) ; dans
sous la forme de lymphangite spécifique, soit de gomme) ; dans les
formes
276 VALOBRA enfin qui reconnaissent comme uni
n) soit la vraie cause de l'éléphantiasis. Pour ce qui concerne les
formes
éléphantiasiques qui suivent les altérations du s
des réseaux qui forment un vrai tissu caverneux ». Dans toutes les
formes
on observe toujours en un premier temps l' « oe
Au deuxième temps, ce phénomène disparaît, un vrai tissu nouveau se
forme
, un tissu solide qui contient dans ses mailles
che (1) ; analogie si parfaite que Meige (133) avant d'éta- (1) Les
formes
de trophoedème chronique qui aboutissent à la gué
e tissu conjenctif. La conclusion de notre étude clinique des trois
formes
morbides en parole ' a été qu'elles présentent
toute une série de cas de passage par lesquels on peut passer d'une
forme
à l'autre sans aucune différence essentielle. L
aître aussi une pathogénie identique. Un élé- ment commun aux trois
formes
est précisément l'excito-sécrétion lympha- tiqu
pha- tique, laquelle associée ou non à la vasodilatation artérielle
forme
la base anatomique et physio-pathologique de l'
e et de la tur- gescence de l'oedème de Quinke. Tandis que dans ces
formes
s'agit d'une altération passagère, car la lymph
u'on ne peut plus considérer ces phénomènes comme constituant trois
formes
morbides indé- pendantes, mais seulement comme
uver jamais des autopsies ab- solument démonstratives dans ces deux
formes
. Cependant la fréquence de l'association de ces
st pas rare. « Cette éruption » est facile à reconnaître des autres
formes
d'ur- ticaire, car tandis que ces dernières son
L'oedème segmentaire. Presse Médicale, 28-5-02. 62. Rnrw. - Sur une
forme
d'hypertr. des membres. Nouv. Icon. de la Salp.,
1888. Des oedèmes dans la mal. de Basedow. 107. RAi'tN. De quelques
formes
rares d'urtic., Rev. de la Suisse rom., 1886, p.
'hydrothérapie. Nous avons employé l'hydrothérapie, d'abord sous la
forme
de douches chaudes à 37°-38% puis sous forme de d
fragments : un interne et un externe. Le fragment interne, dont la
forme
rappelle celle de la partie correspondante d'un
s, quoique légèrement plus marquées du côté atteint. Le crâne a une
forme
particulière. Son ossification a été tardive et l
iale assez marquée. Les omoplates sont très mobiles, affec- tent la
forme
de « scapulae alatoe » ; les fosses sus-épineuses
ensions très variables, le plus souvent inégales des deux côtés. Sa
forme
est celle d'un fragment de clavicule ou d'un cô
al et paracromial comme chez nos sujets ; ce dernier, conique ou de
forme
normale, est fortement t articulé avec l'acromi
bipariétal, sa parenté enfin nous autorisent à faire de ce type une
forme
fruste de l'affection au même titre que l'aplasie
oit être signa- lée à cause de sa rareté, ainsi que les différentes
formes
d'union des fragments claviculaires qui sont en
n- 326 M. VILLARET ET FRANCOZ t seigné sur certains détails de la
forme
du crâne, de la colonne lombaire et du bassin.
arpenter). - 8° Nous avons pensé qu'on pouvait considérer comme une
forme
fruste de dysostose cléido-crânienne le cas de
ns la série familiale suivant la remarque de M. P. Marie. Parmi les
formes
frustes doit aussi se placer le cas de la mère
, car il admet que la substance cérébrale apparaît dès l'abord sous
forme
d'un fluide transsudant des vaisseaux, au sein
placentaires qui provoquent cet arrêt de développement. Sous des
formes
différentes, cette conception mécanique a trouvé
de sorte que les matériaux faisant défaut, la voûte du crâne ne se
forme
pas. Le phénomème initial est très antérieur à la
ision ; s'ils concluent à une méningo-myélite,c'est presque sous la
forme
d'une hypothèse ; peu après la publication de son
lus profonde gratitude. Ce sont dix foetus répondant aux di- verses
formes
classiques ; leur examen comparatif m'a donné les
ur crânienne présente, dans certains cas, quant à son étendue ou sa
forme
extérieure, diverses particularités intéressantes
profonds en cinq lobes longitudinaux et parallèles entre eux. Elle
forme
un bourrelet saillant PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENC
pondant à l'os frontal ; la tumeur qui lui fait suite est un sac de
forme
ovoïde à pédicule sessile large de 62 millimètres
même nature que la tumeur elle-même. Quels que soient l'aspect, la
forme
et la disposition de la tumeur ou, d'une façon
a tumeur dans toute son étendue. Et il en est ainsi, en dépit de la
forme
et de la disposition de la tumeur, soit qu'elle
caillé et par- fois aussi une portion de l'écaille membraneuse sous
forme
d'une bande plus ou moins large, mais toujours
a complètement disparu ; il ne reste que l'occipital conservant sa
forme
et ses dispositions habituelles , mais dont l'é
ci- pital est alors constitué comme il suit : l'apopliyse basilaire
forme
un bloc co- hérent occupant la ligne médiane, e
son tour s'articule par son extrémité libre avec un bloc osseux de
forme
trapézoïdale, plus ou moins réduit suivant les
itué par des parties symétriques disjointes, l'occipital affecte la
forme
d'un arc de cercle ouvert en haut. Grâce à cet ét
tre, la portion cartilagineuse de l'écaille se retrouve, soit sous sa
forme
habi- tuelle, soit disjointe en deux blocs indé
un doute possible. Tous deux possèdent un fragment de pariétal sous
forme
d'une bandelette étroite, allant de l'occipital
-être celui d'un Pseudencéphalien, on remarque un petit pariétal de
forme
triangulaire reposant sur la base, sans connexion
manière de voir. Ajoutons que l'écaille du temporal existe sous la
forme
d'une lame dont le petit axe transversal est tr
os membraneux que nous venons de décrire ont totalement perdu leur
forme
habituelle. Il est très difficile d'admettre qu
sans doute d'une certaine exagération. Quoi qu'il eu soit, cette
forme
crânienne où l'écartement des parties est pouss
e bord postérieur du coronal s'articule avec les deux pariétaux, de
forme
quadrilatère, allongés transversalement, égalem
rs cas ; les variations portent sur les dimensions transversales ; la
forme
générale et les connexions restent les mêmes, a
s'articule directement avec les pariétaux ; il se présente sous la
forme
d'un cône très allongé, et les deux parties, droi
r E. Geoffroy-Saint-Ililaire. En admettant que l'épactal existe, il
forme
avec l'écaille du même côté une lame unique très
é droite est nettement séparée de la moitié gauche. Chaque moi- tié
forme
un triangle dont la base repose sur la masse laté
e la Pseudencéphalie, il n'y a pas passage réel et nécessaire d'une
forme
à l'autre. Chacune d'elles constitue des cas tr
enva- hit l'organisme foetal. Nous reviendrons sur ce point. Les
formes
à crâne complet doivent retenir notre attention à
omplet doivent retenir notre attention à un autre point de vue. Ces
formes
, nettement compliquées d'Exencéphalie, seront pou
éoc- cupés de la destinée des faisceaux blancs ou des variations de
forme
de la subs- tance grise, n'accordent pas aux fo
est notablement moin- dre, c'est une intensité moyenne : la moelle
forme
un tout cohérent enveloppé de la gaîne vasculai
e segmentaire a été déjà décrit par d'autres auteurs, mais sous une
forme
tout à fait différente qui indique une mécon- n
de tissu conjonctif embryonnaire d'épaisseur variable ; l'ensemble
forme
un tissu très cohérent, dans lequel prédominent
eur de la pie-mère, à la place de la moelle, un amas de débris sans
forme
, ayant-perdu toute cohérence. On ne reconnaît p
cas que nous avons examinés jusqu'ici, la moelle existait, sous une
forme
ou une autre, mais existait cependant, et c'est s
érer comme différente. Dans les cas de canal rachidien ouvert, deux
formes
sont à considérer : celle où ce canal rachidien
rvi- cales ; tout à fait en haut même, le tissu se présente sous la
forme
d'une membrane extrêmement mince. Un processus
sité, la tumeur pseudencéphalienne n'a pu se constituer que sous sa
forme
de début la plus atténuée. De toutes façons, au
ement méningitique tend à se faire dans son intérieur, tant sous la
forme
de prolifération conjonctive que de néoformation
gion intra-crânienne, par une masse de substance compacte. Ces deux
formes
présentent les mêmes caractères que la tumeur mén
es bien tranchées et qu'on rencontre entre les différents types des
formes
inter- médiaires qui conduisent insensiblement
t Guillain ont essayé d'isoler sous le nom de « maladie familiale à
forme
de sclérose en plaques ». Les différences que n
rantiels. Nous ne voulons en aucune façon faire de ce ta- bleau une
forme
nouvelle de maladie familiale ; mais nous pensons
Cestan et Guillain entre la paraplégie de Lorrain et leur maladie à
forme
de sclérose en plaque doit être maintenue. 1
Raymond et Souques, Bernhard) on retrouve des secousses nystagmi-
formes
, et des troubles oculo-pupillaires. La ressemblan
Il nous semble donc inutile de garder le nom de maladie familiale à
forme
de sclérose en plaques, qui rappelle un tableau
e absolument exact au point de vue clinique. Distinguer entre cette
forme
et la forme paraplégique pure serait comme si che
exact au point de vue clinique. Distinguer entre cette forme et la
forme
paraplégique pure serait comme si chez les adulte
érose en plaques on voulait faire une distinction absolue entre une
forme
paraplégique et une forme disséminée, alors qu'il
t faire une distinction absolue entre une forme paraplégique et une
forme
disséminée, alors qu'il est excep- tionnel de v
les. Londe a déjà montré il y a longtemps qu'il pouvait y avoir des
formes
intermédiaires à la maladie de Friedreich et à
ffections sous le nom d'hérédo- ataxie, en faisant du Friedreich la
forme
spinale, du type Marie la forme cérébelleuse d'
ataxie, en faisant du Friedreich la forme spinale, du type Marie la
forme
cérébelleuse d'une même affection. D'après Ed
xie de Marie, et cer- tains des signes du Friedreich et de quelques
formes
de maladies fami- liales spastiques. Touchant
ème musculaire créerait la myopathie, et ainsi s'expliqueraient les
formes
inférieures dans la première enfance, les forme
expliqueraient les formes inférieures dans la première enfance, les
formes
supérieures dans l'âge plus avancé. , En tous c
des affections telles que maladies spastiques familiales, maladie à
forme
de sclérose en plaques (Brissaud, Friedreich, C
s, en somme, une individualité absolue et qu'on peut rencontrer des
formes
intermé- diaires. Si, en admettant le type de m
s intermé- diaires. Si, en admettant le type de maladie familiale à
forme
de sclérose en plaques, on veut seulement rappe
ent à le maintenir. Mais il vaudrait peut-être mieux distinguer des
formes
spinale, bulbo-spinale et bulbo-cérébello- spin
ue toute contraction musculaire modifie dans une certaine mesure la
forme
de la région où elle se produit et, si l'on veut,
ontractions volon- taires sont normales, ce sont des changements de
forme
plutôt que des dé- formations ; il me semble na
ns ; il me semble naturel de réserver ce mot à des modifications de
forme
anormales. Or c'est ce qu'on constate ici ; on ob
ez dont la pointe se porte du côté malade et dont le bord antérieur
forme
une courbure à concavité tournée du même côté; ou
e l'orbiculaire. Il serait intéressant de rechercher si, sous cette
forme
, la synergie paradoxale appartient plus spécial
le, d'où le nom de lordose paralytique des muscles spino-iombaires,
forme
qu'on oppose à la lordose dépendant d'une paral
légère masse musculaire entourant l'humérus ; ils sont réduits à la
forme
de cylindres très fins, constitués presque partou
ystérie, cette grande capricieuse, ne rentrent souvent pas dans les
formes
habituelles, souvent même sont incompréhensibles,
on arrive seulement dans ces essais à tendre davantage la corde que
forme
le muscle sterno-mastoïdien. Les mouvements de dé
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 457 Nos observations concernent une des
formes
du torticolis hystérique, le torticolis par con
en, nous pouvions même affirmer qu'il n'y avait pas d'altération de
forme
des vertèbres, pas de torsion du râchis : compl
fmann (1893), basé sur 11 observations, qui cherche à établir trois
formes
distinctes en se-basant sur les dimensions et l
chez quelques individus du voisi- nage dont la taille exiguë et les
formes
athlétiques étaient de circonstance. Une statue
proportions caricaturales. Les bouffons de cour, chez lesquels les
formes
grotesques s'alliaient avec une intelligence pa
ndroplasie ait une tendance à se transmettre par hérédité, il ne se
forme
pas de races achondroplasiques, pas plus qu'il ne
il ne se forme pas de races achondroplasiques, pas plus qu'il ne se
forme
de races tuberculeuses ou de races syphilitique
dans quelqués cas exceptionnels dont nous parlerons plus loin lVoy.
formes
frustes), la micromélie porte également sur les q
aissie, sous-tendue par un abondant et ferme tissu cellulo-adipeux,
forme
des plis transversaux au |niveau des articulation
il encore prématuré d'établir un. diagnostic ferme il propos de ces
formes
anormales en l'absence de tout examen histologiqu
eté du médius qui souvent ne dépasse pas les deux doigs voisins. De
forme
irréguliè- rement conique, larges et au contact
ographique de l'achondroplasie permet, non seulement de vérifier la
forme
,et les dimensions des os que nous décrirons plus
é par le traitement thyroïdien. L'auteur tend à le rapprocher de la
forme
hypoplastique de Kaufmann. En l'absence d'examen
interligne articulaire, ce qui explique peut-être pourquoi la jambe
forme
avec la cuisse un angle ouvert en dedans. Fig.
rieures du radius et du cubitus. Il en résulte pour ces deux os une
forme
en if) ou mieux en N très allongé qui n'est pas
cher l'abaissement fréquent de la tête fémorale dont le col, petit,
forme
un angle presque droit avec le corps et con- tr
trémité céphalique présente le même caractère, le même aspect piri-
forme
que chez le nouveau-né. La face petite, cachée
s'assurer si l'achondroplasie est seule en cause ou s'il s'agit de
formes
mixtes où d'autres lésions osseuses sont venues c
LVI, fig. 16). LES MICROMÉLIES CONGENITALES 503 Dans les diverses
formes
d'achondroplasie ce sont les os longs qui sont al
aplaties et disposées concentriquement. Ces no- dnles qui, pour la
forme
et la structure, mériteraient le terme d'adénome,
- Ossification périostale chez un achondroplasique. La diaphyse se
forme
régulièrement aux dépens du périoste qui donne na
des faits publiés, groupent les observations, distinguent ces deux
formes
de dystrophies osseuses et cherchent à établir le
de fractures anciennes consolidées. Celles- ci se manifestent sous
formes
d'épaississements ou de viroles saillantes faisan
oyenne, prend un aspect en sablier caractéristique. Peut-être cette
forme
résulte-t-elle d'un début à une période embryon
rouvent dans les côtes et dans les os de la voûte du crâne. III
FORMES
ET COMPLICATIONS Le tableau que nous avons donn
ypes, mais il ne se réalise pas toujours exactement : 1° A côté des
formes
classiques, il existe des cas frustes où un certa
pophyses épi- neuses (Bouchacourt, Legry et Reguault). 3° A cette
forme
généralisée on peut opposer des formes partielles
egry et Reguault). 3° A cette forme généralisée on peut opposer des
formes
partielles et in- complètes. 1 Dans les obser
ous, être actuellement trop circonspect dans le dia- gnostic de ces
formes
anormales et surtout dans celui des formes partie
s le dia- gnostic de ces formes anormales et surtout dans celui des
formes
partielles, tant que l'examen histologique n'a
lasie et particulièrement l'achondroplasie fruste ou incomplète. 4°
Formes
complexes. Il est un petit nombre d'observations
chondroplasiques s'accompagnent d'ostéoporose diaphysaire. Ces deux
formes
pourraient donc exceptionnellement se combiner. C
t à un tronc normal, est un symptôme qui s'observe dans différentes
formes
de nanisme. On peut, en particulier, le rencont
er la parenté qui les relie, on reconnaît l'exis- tence.de ces deux
formes
pathologiques. Histologiquement, les lésions ra
chondroplasie et la dysplasie périostale, nous donnons ci-contre sous
forme
de tableau les caractères principaux de ces tro
nt fracturés. Toutefois, on ne saurait trop rappeler l'existence de
formes
frustes qui prê- tent à de faciles erreurs si l
l'examen histologique est indispensable, particulièrement dans les
formes
dites frustes qui peuvent être simulées par d'aut
clavicule/des côtes et de la calotte crânienne ne constitue pas une
forme
partielle de cette même affection. Dans la dysp
us sont fragiles comme d'autres sont hémophiles. S'agit-il là d'une
forme
fruste de dysplasie' périostale ? Nous nous bor
sidérées comme des entités morbides, ou ne constituent-elles que des
formes
spéciales d'autres affections banales ? L'ass
ères cliniques et surtout histologiques. Il est, à vrai dire, des
formes
frustes ou anormales, des cas limites où les de
doit être établie entre l'achondroplasie vraie et les micromélies à
forme
pseudo-achondroplasique. Les rapports existant
ntant comme une sclérose du car- tilage de conjugaison, affecte une
forme
histologique plus souvent réalisée par les infe
usculaire dans un cas, osseuse dans l'autre). Dans l'une et l'autre
forme
morbide, les altérations bistologiques constatées
ompliquer. Si, pour simplifier, on cherche une cause uni- que à ces
formes
complexes, on peut admettre que telle affection m
ueuses, des lésions cutanées, des gommes dans divers organes. Cette
forme
généralisée correspond à la transmission d'un v
us, de l'index et de l'annulaire ainsi que leur déviation. C'est la
forme
typique de la main en trident, de Pierre Marie.
érenciée avec le temps par les auteurs qui l'ont séparée des autres
formes
de nanisme et lui ont donné une indivi- dualité
autres dystrophies des cas de transition entre l'état normal et les
formes
les mieux caractérisées. On trouve encore, ains
ractérisées. On trouve encore, ainsi que nous l'avons déjà dit, des
formes
mixtes où l'achondroplasie se combine avec d'autr
antiles qui font penser à un certain degré d'hypothyroïdisme. Ces
formes
mixtes ainsi que les cas de transition méritent d
qui s'articule avec le scaphoïde et le grand os. Avec ce dernier il
forme
un espace triangulaire ouvert en bas dans leque
bas dans lequel nous trouvons placé le trapézoïde qui présente une
forme
nettement triangulaire; cet os est dépourvu de
hoïde qui est remplacée par un angle aigu. Le grand os présente une
forme
normale, mais il ne présente pas ses articulati
symétriques aux lésions décrites dans la main droite : anomalie de
forme
du trapèze, trapézoïde triangulaire avec lequel
: d'autant que certaines phalanges ne présentent presque plus leur
forme
nor- male ; mais elles sont aplaties et présent
euxième doigt radial qui se présente très longue, très mince et qui
forme
une espèce de capuchon à l'uni- que phalange vi
s orienter facilement. Le fait que le gros orteil se présente d'une
forme
normale et qu'il est suivi du côté externe par qu
tion se font ici particulièrement difficiles car les altérations de
forme
et des rapports sont très profondes. En corresp
ons congénitales du squelette : 1° Dans les mains : altération de
forme
et de structure des os du carpe ; po- lydactyli
et luxa- tion externe de son extrémité inférieure. 7° Anomalie de
forme
et de nombre des os du tarse du côté tibial. Poly
(59). Entre le métatarse et les phalanges des orteils un sillon se
forme
s'approfondissant sans réaction et sans dou- le
u contraire presque toujours en contact avec le fémur, quoiqu'il ne
forme
pas une articulation complète. Chez notre sujet
'autre théorie. Je veux parler de la fréquence de l'hérédité de ces
formes
tératologiques. Nous pouvons ob- server avant t
des mouvements en masse de va et vient, cependant ne change pas de
forme
si on invite le malade à le faire. Diplopie hom
omogène qu'à l'état normal. La couche névroglique sous-pie-mérienne
forme
une lisière assez large ; les septa qui s'en dé
èrement démons- trative à l'égard des relations possibles entre des
formes
anatomiques, qui étant isolées peuvent apparaît
une partie importante de son article du Traité (1) VIZIOLI, Sur une
forme
d'amyolropleie spinale progressive d'origine syph
tte étiologie aurait été signalée. Peut-être existe-t-il encore des
formes
liées à l'altération primitive de la corne antéri
loppes conjonctives et osseuses, en dedans vers l'axe nerveux sous
forme
d'un tissu conjonctivo-vasculaire sans rapport
l'écaillé s'effectue et l'on en retrouve les traces évidentes sous
forme
d'une lame plus ou moins large. Les cas qui par
pose sur le même plan que la face postérieure du corps vertébral et
forme
avec ce der- nier un très large plancher. Sur c
série de gonflements semés également d'aspérités. Les côtes ont une
forme
irrégulière ; elles sont de longueur et d'épaisse
mince, mesurant dans sa partie libre trois centimètres, affecte la
forme
d'une stalactite terminée en pointe ; la troisièm
parable par sa struc- 630 LAUNOIS ET TRÉMOLIÈRES ture à celui qui
forme
le cartilage articulaire ; il est dans sa partie
médecine, sur lequel A. Pic ne compta pas moins de 194 exosloses de
forme
et de volume très variables. Je citerai ensuite l
, de la largeur d'une pièce de dix centimes. 3° Une tumeur qui a la
forme
d'un bracelet entoure l'extrémité inférieure de
, selon le malade, surgirent presqu'en même temps. 7° Une tumeur de
forme
légèrement aplatie, large comme un écu d'argent
ter qu'un frère du grand-père eut 7 fils, qui présentèrent tous une
forme
morbide que l'on décrit ainsi : Jus- qu'à l'âge
que celles des cas précédents, à savoir : circons- tance pierreuse,
forme
ronde, indolente, tendance à l'accroissement tout
s les écrits du Morgagni. Dans le cas de Giommi, la tumeur avait la
forme
d'un cône irrégulier, avec de petites bosses ré
es et les enchondromes. Virchow rapporte en effet, la genèse de ces
formes
de tumeurs à une anormale transformation et ossi-
du carac- tère qu'Ollier a voulu relever, les deux tumeurs ont une
forme
plus ou moins irrégulièrement arrondie, une con
nous est donné, au contraire, par l'évolu- tion ultérieure des deux
formes
en question. Nous savons, en effet, que l'accro
ements de la cuisse, oedème, etc.). » Dans notre cas, le volume, la
forme
mamelonnée, l'indolence et les dérangements méc
stose de développement » (4 ). Ménétrier, dans son chapitre sur les
formes
anatomiques des tumeurs, énumère les exostoses
n du fait. Ziegler, toutefois, en parlant des exostoses, dit que la
forme
la plus simple de la néoformation osseuse est c
a raison pour laquelle dans les états d'irritation chronique, il se
forme
de la substance osseuse dans les tissus connect
s expectorations abondantes et une tante maternelle décédée par une
forme
morbide, dans laquelle la gonarthrite initiale, a
détritus protoplasmatiques contenant des microbes divers. L'épendyme
forme
une couche d'un millimètre et demi d'épaisseur,
méninge cérébelleuse au niveau du 4e ventricule se présente sous la
forme
d'un véritable enduit purulent ; cette infection
ainsi raréfiés les fibres elles-mêmes apparaissent non plus sous la
forme
d'un trait mince et régulier, mais d'un véritable
orale. Le 30 ventricule est également bien dilaté et altéré dans sa
forme
, aplati et évasé. L... était un alcoolique avér
araît, en raison de son siège, de l'époque de son apparition, de sa
forme
même, constituer le reliquat d'un mal de Pott. La
bras en croix. Elles accusent par leur relief et leur netteté, des
formes
musculaires puissantes et harmonieuses ; elles
paraître le sujet ailé. Les omoplates sont ailées. Chaque scapulum
forme
avec le thorax un angle fortement ouvert en deh
r chaque main. Le bord inférieur du grand dentelé se per- çoit sous
forme
d'un cordon dur et résistant fortement tendu au-d
d'at- tache à la neuvième côte. Le sus-épineux est très apparent et
forme
par sa contraction un boudin transversal volumi
n constate enfin, au toucher, la contraction des rhomboïdes sous la
forme
d'une barre allant des apophyses épineuses au b
fication soit intervenue dans son état. , S'agit-il de l'une des
formes
si variées, si complexes et encore mal con- nue
om de scapulce alatce constitue un signe diagnostique important des
formes
scapulo-humérales des myopathies ; mais cette dis
pe facio-scapulo-huméral de Landouzy-Dejerine ou plus simplement la
forme
juvénile d'Erb ; elle fait ici totalement défaut.
- laires de l'enfance et de la jeunesse. Ce sont, si l'on veut, des
formes
très frustes de dystrophies musculaires soit co
les trophiques notables dont on retrouverait la trace sous diverses
formes
. Nous entrons ainsi dans le vif d'une question
. Nous ne constatons aucune dysharmonie dans le développement de la
forme
extérieure du corps ; les proportions relatives
avec quelque attention cette théorie, sous l'une ou l'autre de ses
formes
, on est rapidement conduit à la rejeter entièreme
tement que les cas où une adhérence a été dûment constatée sous une
forme
ou une autre, loin d'être la majorité, sont au
ppement. - La pseudencéphalie ou l'anencéphalie sous leurs diverses
formes
ne sont autre chose qu'une mé- ningite cérébro-
mal consolidé, ces con- tractions déterminent des modifications de
forme
et des changements de situa- tion qui demeurent
est une erreur assez répandue que de considérer l'anomalie comme la
forme
spéciale de la maladie intra-utérine. L'exemple q
sains qui évoluent dans une voie ou dans une autre, conservant une
forme
spécifique ou acquérant une forme nouvelle ; mais
ou dans une autre, conservant une forme spécifique ou acquérant une
forme
nouvelle ; mais cette forme nouvelle est une fo
t une forme spécifique ou acquérant une forme nouvelle ; mais cette
forme
nouvelle est une forme primitive, d'emblée ; elle
ou acquérant une forme nouvelle ; mais cette forme nouvelle est une
forme
primitive, d'emblée ; elle n'est pas le résultat
ans la pseu- dencéphalie et dans l'anencéphalie, non seulement deux
formes
spéciales, aux- quelles il découvrait des carac
phales, pseudencéphales, dérencéphales et anencéphales. Toutes ces
formes
représentent, soit des degrés dans l'envahissemen
nt au moment de l'invasion. Il est donc sans intérêt de séparer des
formes
qui ne correspondent à rien de réel ; il est part
ernières, la moelle existe, souvent en bon état, mais affectant une
forme
générale qui s'é- carte sensiblement de la norm
lusieurs pieds et plusieurs têtes, ils deviennent des monstres par la
forme
et la dimension, ou bien leur silhouette forme
des monstres par la forme et la dimension, ou bien leur silhouette
forme
des têtes grimaçantes variées, selon le sens où
un de doubles bras à l'autre une tête à deux visages. A l'angle que
forme
le bras de la femme, apparaît un profil d'homme
sverse, segmen- laire, dorso-lombaire gauche, onélatrau- matique,
forme
clinique curable (6 fig.), par RÉVILLIOD, 17.
ns- verse segmentaire, dorso-lombaire gau- che, métatraumatique ;
forme
clinique curable (6 fig.), 17. Ruiler. Sainl-
avons nous-même respecté l'usage, . ...l'usaige « qui dans les
formes
du langaige règne en arbitre souverain ». Bie
heveux fins, les sourcils et les cils encore assez peu fournis. Les
formes
extérieures ne sont même pas celles d'un adolesce
l'infantilisme VRAI 7 la cachexie strumiprive opératoire ou de la
forme
expérimentale de cette cachexie à tel point qu'
scientifiquement, le plus hideux morphologiquement. Il conserva des
formes
foetales, mais il grandit, il fit ses dents, il p
les observations fort intéressantes de deux malades atteints d'une
forme
d'infantilisme spéciale à l'adulte. Ces deux mala
de la glande thyroïde explique non seule- ment la multiplicité des
formes
de l'infantilisme, mais encore (avec leurs spéc
u la complexité de leurs combinaisons. Depuis longtemps l'étude des
formes
frustes de la maladie de Basedow nous a rendu f
e, de maintien correct, affecteux le plus souvent, au moins dans la
forme
, mais sujets à des impulsions et sans ordre dan
Sanctis), la simultanéité de plusieurs lésions distinctes est con-
forme
à cette loi formulée par Geoffroy St-Hilaire, en
t immuables. L'Antinous du Vatican exprime la parfaite harmonie des
formes
juvéniles ; mais cette expression comporte une
extraits glandulaires, exerce une action miraculeuse sur toutes les
formes
du véritable infantilisme. En résumé, nous voyo
es (gestes, attitudes, paroles...). C'est généralement sous cette
forme
que se manifestent à l'observateur les états ca
de développement, ils peuvent cependant se rencontrer dans d'autres
formes
morbides. Nous nous occuperons d'abord du négat
epuis quelques mois des signes manifestes de paraly- sie générale à
forme
démente simple, lorsqu'est survenue une courte ph
- typée. 26 SÉGLAS Ces particularités ont persisté sous la même
forme
jusqu'à ce jour. En voici un exemple (novembre
d'ordinaire accompagné d'un geste stéréotypé qui se traduit sous deux
formes
différentes. La première est un geste des deux
émence, le malade ne manifeste plus ses idées de grandeur que sous la
forme
de la stéréotypie verbale suivante, qu'il répèt
omme une simple variété de rhumatisme chronique ? - Les principales
formes
qu'elles affectent peuvent-elles être rapprochées
mettre en contact avec le rebord osseux du bassin, et que le ventre
forme
un bourrelet qui retombe au-dessus de l'arcade
eschares, ecchymoses, etc., etc. Le tissu cel- lulaire sous-cutané
forme
partout une couche épaisse de plusieurs centimètr
es ganglions lymphati- ques, comme le montrent leur situation, leur
forme
et leur apparence géné- rale. Si leur réticulum
XVII, n° 2, p. 8S, 100, mars- avril 1904. ' (2) VfipfI00aEN, Les
formes
cliniques du rhumatisme chronique, Congrès de Liè
gressive et généralisée. Thèse. Paris, 1900. (2) P. Berger, Sur une
forme
encore peu connue d'affection ankylosante. Bull,
lorsqu'ils s'exécutent, de percevoir quelques craquements. Dans les
formes
pures, les autres arti- culations des membres s
avait attribuée au début, et qu'il existe entre eux de nom- breuses
formes
de transition. Notre cas ne répond pas absolument
ti- vement restreint, en les mettant en comparaison avec les autres
formes
cliniques des maladies dites familiales ou d'év
e anatomie pathologique spéciales,; on trouverait entre eux trop de
formes
inter- médiaires. On devra dans l'avenir recher
re chronique. Les cornes antérieures de la substance grise ont leur
forme
et leurs dimensions habituelles avec un réseau de
ctif intrafasciculaire. Ce dernier, plus abondant qu'à l'état normal,
forme
une gangue interstitielle, régulièrement répart
nerveu- ses y sont rares. Le tissu conjonctîf intrafasciculaire ne
forme
plus dans ces régions une gangue interstitielle
l'encre d'anthracène (fig. 5, 6, 7) : a) Les unes ont conservé leur
forme
normale, la gaine de Schwann n'est pas hypertro
cependant encore une gaine de myéline assez bien fournie quoique de
forme
irrégulière et crénelée. Cette variante aussi est
utour des fibres nerveuses même bien conservées le tissu conjonctif
forme
une gaine annulaire, comme dans les nerfs périp
fasciculaire n'est pas modifié. Nous retrouvons donc ici sous une
forme
atténuée le double processus : atrophique pour
e tissu conjonctif intra-fasciculaire remplit les vides, mais il ne
forme
pas de gaines fibreuses distinctes autour des é
nique, syringomyélie, sclérose latérale amyotrophique). Seules les
formes
où les nerfs périphériques ou les racines rachi
ttre de faire le diagnostic de lésions périphériques dans certaines
formes
cli- niques d'atrophies qui comme l'amyotrophie
es lésions des nerfs mixtes on voit qu'elles se présentent sous une
forme
typique : diminution du nombre des fibres à myé
eich ont servi dès 1889 à Hoffmann (1) à soutenir l'existence d'une
forme
dite neurotique ou neurale de l'atrophie muscul
ibles de la névrite interstitielle hypertrophique avec les diverses
formes
cataloguées en Allemagne atro- phie musculaire
être mises au premier rang et démontrer l'origine spinale de celle
forme
clinique. Inversement, des observations compa
servation ne vient après beaucoup d'autres que montrer une nouvelle
forme
de passage à côté des types cliniques que l'on cr
Londe, de Pauly et Bonne la mala- die : 1° atteint sans changer de
forme
plusieurs enfants d'une même gé- nération ; 2°
plus ou moins longue, car il est à remarquer que la plupart de ces
formes
cli- ques n'entraînent pas la mort par elles-mê
raînent pas la mort par elles-mêmes (En fait,il n'y a guère que les
formes
à localisations bulbaires qui puissent créer un d
ne étude d'ensemble. Les lésions essentielles se présentent sous la
forme
de dégénérescences le plus souvent systématisée
une extension des plus variables qui expliquent la multiplicité des
formes
cliniques. Pour ne citer que les cas résumés plus
ier la moelle est intacte, la névrite interstitielle périphé- rique
forme
autour des fibres nerveuses raréfiées des envelop
me augmentation. - On voit combien il serait difficile de créer une
forme
anatomo-clinique précise d'après ces documents.
d'en faire le diagnostic sur le vivant. La symptomatologie de cette
forme
répond à l'étendue des lésions ; en même temps
ns ici, elle peut, la chose est cer- taine, être regardée comme une
forme
très atténuée de la névrite inters- titielle hy
. ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 67 du cervelet, la
forme
clinique qui nous occupe ne laisse pas de subsist
nt des troubles de la sensibilité sub- jective et objective sous la
forme
de douleurs dans les membres infé- rieurs et de
s a offert l'occasion d'apporter une contribu- tion à l'étude d'une
forme
rare des atrophies cérébelleuses. Examen anatom
ais celles-ci sont très petites, manifestement atrophiées, avec une
forme
globuleuse dans la plupart. Le noyau n'est pas
sistant dans leur diminution de nombre, dans l'irrégularité de leur
forme
et dans leur inégale coloration ; et cela indép
nvenu d'appeler la maladie de Paget, et plus spéciale- ment à cette
forme
décrite par Paget et les auteurs anglais,et sur l
sur laquelle M. Lannelongue a tout spécialement attiré l'attention,
forme
limitée à un très petit nombre d'os et même à u
mort, et du mort écorché, cette chose inerte, flasque, qui prend la
forme
que l'on veut, qui se place où cela est commode
ns musculaires, on en parlait assurément en quelques mots ; mais la
forme
vivante, mais les modifications de cette forme
lques mots ; mais la forme vivante, mais les modifications de cette
forme
entrevue sous la peau, suivant les sujets, suivan
lus tôt. Ce dernier avait conçu le plan d'un ouvrage d'anatomie des
formes
ex- térieures du corps humain appliquée à la pe
'être vivant ; il faut donc, en écrivant l'anatomie, res- tituer la
forme
, animer le cadavre (1). » Et de fait, on entrevoi
st apparue à ceux qui, journellement, sont appelés à interpréter la
forme
humaine, et parmi eux, en première ligne, les cli
iquement son oeuvre. En 1890, Paul Richer publia sa Description des
formes
extérieures du corps humain au repos et dans le
cher établissait des relations « entre les portions profondes et la
forme
extérieure, entre les notions anatomiques et le n
tail l'anatomie descriptive, l'auteur inaugurait la description des
formes
extérieures du corps humain. Il enseignait le n
, chaque muscle se trouvait décrit avec ses insertions précises, sa
forme
, son volume, mais aussitôt après venait l'étude d
dire, une sorte de préjugé qui nous fait considérer l'anatomie des
formes
comme une science élémentaire qu'on abandonne v
mme de connaissan- ces anatomiques renferme implicitement celle des
formes
extérieures, et qu'il doit connaître la morphol
inutilement dans leurs souvenirs la raison anatomique de certaines
formes
imprévues, bien que parfaitement normales. « La
la machine humaine, ne le fait qu'à la condition d'en détruire les
formes
extérieures. La mort elle-même, dès les premières
re qu'elle compléterait très heureusement. En effet, l'anatomie des
formes
ne peut être étudiée que sur le vivant. Elle a
rvation du nu ; son but est de découvrir les causes multiples de la
forme
vivante et de la fixer dans une description ; ell
os les traces (1) PAUL RiCHER, Anatomie artistique. Description des
formes
extérieures du corps humain au repos et dans le
de la graisse et de la peau, ne saurait donner une idée exacte de la
forme
vivante. Paul Richer a d'ailleurs heureusemen
ir du tégument dont le rôle ne consisterait alors qu'à atténuer les
formes
trop heurtées, sans y rien changer d'essentiel.
ux, dont la présence, suivant les légions, modifie'complètement les
formes
de l'écorché " ('2). Etcela, non seulement chez
s. · Enfin, nouvelle et importante addition à la connaissance de la
forme
humaine vivante, la Physiologie de l'homme en m
mence; dès les premiers moments, à perdre l'accent individuel de la
forme
que seules peuvent donner la souplesse et la fer-
er- meté des tissus où circule la vie. « En un mot, l'étude de la
forme
est la synthèse vivante de l'anatomie du mort.
'anato-, mie est la même pour nous tous. Combien, au contraire,, la
forme
diffère avec chacun de' nous ! Et je ne parle p
ent du visage, mais du corps tout entier. Le corps, lui aussi, a sa
forme
et son expression ca-, ractéristiques. Nous rec
'anatomie est donc une généralisation, elle s'adresse à l'espèce ; la
forme
est particulière, elle s'adresse à l'individu.
être en mesure de les apprécier. - 1 Ainsi, après l'Anatomie des
formes
, s'impose la Physiologie des formes. Dans l'un
- 1 Ainsi, après l'Anatomie des formes, s'impose la Physiologie des
formes
. Dans l'un comme dans l'autre de ces ouvrages,
e humaine sous ses aspects les plus divers. Cette recherche de la
forme
extérieure dans le mouvement, générale- ment né
ntant par la plume et la photographie, les changements apportés aux
formes
extérieures suivant les attitudes et suivant le
de la Salpêtrière a publié également un article de Paul Richer : La
forme
du corps en mouvement (2), où l'on voit, étu- d
les chromo-photographies du vivant, les modifications apportées aux
formes
extérieures par les différents modes de contracti
linique : elles ont servi à élucider les causes des anomalies de la
forme
, de la station ou de la marche dans certaines a
r leur instruction anatomique par l'apprentissage de l'Anatomie des
formes
de l'homme normal vivant. Et il n'est pas témér
nouvelles. Qui sait si le simple fait d'attirer l'attention sur la
forme
humaine n'a pas suffi pour faire découvrir plus
n vivant. Ne sont-ils pas au premier chef appelés à compter avec la
forme
extérieure lorsqu'il s'agit de décider d'une inte
triompher. Elle avait été préconisée autrefois par Gerdy : « Les
formes
extérieu- res, disait-il, par leurs relations a
« Les formes extérieu- res, disait-il, par leurs relations avec les
formes
intérieures, montrent, à l'intelligence du chir
cutané permettant d'apprécier avec exactitude les modifications de
forme
et les change-- ments de rapport survenus dans
services les plus immédia- tement pratiques, vient de paraître sous
forme
d'un manuel conçu et réalisé encore par Paul Ri
sé surtout guider, dans l'étude des muscles, par leur action sur la
forme
extérieure. C'est ainsi que certains muscles, q
C'est ainsi que certains muscles, que j'appelle les « muscles de la
forme
», sont décrits avec détail, qu'ils soient superf
s une même description, parce qu'ils n'intéressent pas isolément la
forme
. « Ce nouveau manuel est justement fait pour fa
lette que pour les muscles reproduits plus particulièrement dans la
forme
même qu'ils ont sur le vivant. » (1) BRUANDET,
haque dessin du squelette ou des muscles correspond un dessin de la
forme
extérieure qui lui est superposable. Un simple
sants rapprochements entre l'anatomie descriptive et l'anatomie des
formes
. La figuration des muscles est cepen- dant enco
tion rationnelle des notions anatomiques à la com- préhension de la
forme
humaine date seulement d'hier. Car, il n'y a pa
qu'un légendaire cadavre dont les muscles desséchés revêtaient les
formes
les plus fantaisistes. L'élève de- vait s'effor
peu l'ai te pour faciliter la compréhension et la figuration de la
forme
humaine vivante. L'avènement de la science mo
nd à reconnaître comment ces os se révèlent à l'extérieur dans leur
forme
et dans leur situation exacte. En réalité, c'est
mais bien les muscles mêmes du sujet qui pose devant eux, dans leur
forme
réelle et vivante, avec leur accent individuel, e
es muscles ne saurait suffire aux artistes. Ils ont à reproduire la
forme
extérieure du corps humain : il faut leur en- s
e-même avec ses dépendances. De là une étude très détail- lée de la
forme
extérieure dont les moindres particularités sont,
onne conformation, ce qu'Ingres appelait justement la « santé de la
forme
» . Dans le cours oral, préparé et facilité par
ion du détail. C'est là que se trouvent t traitées les questions de
forme
extérieure avec toute l'ampleur désirable : var
OMIQUE 115 montréunhomme bien portant ? Etudier les altérations des
formes
sans con- naître la « santé de la forme », c'es
tudier les altérations des formes sans con- naître la « santé de la
forme
», c'est un véritable paradoxe pédagogique. L'e
pas de l'anthropologie tout entière; mais seulement de l'étude des
formes
extérieures, et c'est là le propre de la morpholo
s, leurs rapports, leur mode de répartition, etc... d'où résulte la
forme
indivi- duelle, et c'est ce qui constitue la mo
intéressés. On a surtout signalé la poliencéphalite totale dans les
formes
familiales et infantiles. Un deuxième point mér
dduction permanente de la cuisse ; le tendon d'Achille d'autre part
forme
au niveau du talon une corde absolument inexten
ontraire encore quelques restes du tronc du corps cal- leux sous la
forme
d'une mince lamelle ; la moitié antérieure du tro
disparues sous forme de petits blocs protoplasmiques homogènes, de
forme
irrégulière, prenant fortement les colorants. I
mpell (1), en 1884, frappé par les caractères cliniques de certaine
forme
de l'hémiplégie cérébrale infantile, fut amené à
ôt pour l'établir, sur les analogies de début et d'évolution que la
forme
par lui détachée du groupe cliniquement bien dé
la zone motrice de l'encéphale est le siège de l'affection dans la
forme
clinique d'hémiplégie cérébrale infan- tile don
e possible de l'hémiplégie cérébrale infantile et précisément de la
forme
ayant les particularités cliniques déjà men- ti
(1897) rapporte une épidémie de 18 cas de paralysie infan- tile, à
forme
tantôt spinale, tantôt cérébrale, survenue dans u
n'y a rien d'arbitraire à admettre qu'il existe dans l'enfance une
forme
d'encéphalite avec locali- sation prépondérante
de Strümpell-Leichlenstern, et qu'enfin il n'y a pas entre ces deux
formes
de l'encéphalite aiguë hémorragique des- limite
processus. On a observé en effet des cas où les symptômes des deux
formes
et leurs localisations se combinaient et des cas
autre; on rencontre en effet des cas où les symptômes de toutes ces
formes
sont réunies sur le même individu ; et des cas
rapports étiologiques, cliniques et anatomiques entre les diverses
formes
d'encéphalite aiguë hémorragique et la poliomyéli
colonne ver- tébralela chaîne ganglionnaire sympath ique, moni 1 i
forme
,dontles segments correspondent aux différents m
sympathique ainsi impressionné, se produira sur le membre lésé sous
forme
d'une manifestation du type segmentaire et non
, le Dur Rapin (2), de Genève, dans un travail intitulé : « Sur une
forme
d'hypertrophie des membres, dystrophie conjonct
e Iconographie de la Salpêtrière, no 6, 1901. 2. Rapin. - Sur une
forme
d'hypertrophie des membres (dystrophie conjonctiv
R nodulaire, mais il n'en est pas toujours ainsi et à côté de cette
forme
la plus communément observée on en décrit une a
, ne voyons-nous pas en effet dans l'acromégalie, dans les diverses
formes
de l'ostéo-arthropathie hypertrophiante, dans l
pouvaient donner que des idées assez vagues, sinon erronées, de la
forme
et des rapports muscu- laires. Eussent-ils été
pondent à leur but, qui est de faciliter l'analyse scientifique des
formes
corporelles, mais à une condition, bien entendu
intres et sculpteurs ont sans doute essayé d'étudier l'anatomie des
formes
. Et quelle anatomie ! ... L'aventure assurément
a graisse, qui, en certaines régions, joue un si grand rôle dans la
forme
extérieure. Il s'élevait surtout contre leurs i
re au contraire gonflé et volumineux. Il y a là, en somme, entre la
forme
donnée aux deux : muscles pectoraux une curieus
- ché de bien des erreurs parmi lesquelles il suffit de signaler la
forme
du grand pectoral droit, le modelé du genou, du
le sont ab- 178 UENRY MEIGE sentes. Les muscles fessiers ont même
forme
à droite et à gauche, alors que le sujet ne por
impossible, à l'aide de ce genou d'écorché de se rendre compte des
formes
extérieures du genou d'un modèle vivant placé dan
e faite du rôle très important de certains muscles profonds dans la
forme
extérieure. « On peut lui reprocher aussi quelq
ateur combattant tout en essayant de conserver l'aspect général des
formes
et du modelé ; et, pour cela, il n'a pas tenu c
ement aucun' compte des aponévroses pour la production de certaines
formes
. « Sur une vue prise de profil, vous pouvez con
n. Puis, on se rend compte que l'artiste s'est efforcé de rendre la
forme
vivante, comme en témoigne le modelé très exact
cher, dont il partageait entiè- rement les idées sur l'anatomie des
formes
.Malheureusement cette ébauche est incomplète.
re. « Sur aucune, la comparaison entre l'écorché superficiel et les
formes
extérieures, autrement dit la relation entre le
linlnly·le It·Ulinml, Pm UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 181 des et les
formes
superficielles. Il suffirait pour cela que le suj
trique, un seul côté fût « ana- tomisé », l'autre côté montrant les
formes
du nu. La comparaison serait ainsi facilement é
éléments. « 4° Enfin, comme ce qui nous intéresse surtout c'est la
forme
vivante, les muscles à découvert sur notre écor
vante, les muscles à découvert sur notre écorché devraient avoir la
forme
qu'ils ont sur le vivant, c'est-à-dire correspo
s simplement distendus. Et nous savons que pour un même muscle, une
forme
spéciale correspond à chacun de ces divers état
e modèle vivant et le cadavre disséqué aux muscles flasques et sans
formes
. » Eh bien ! cette statue de l'Ecorché vivant,
bosse cette sculpture d'enseignement qui matérialise en relief les
formes
exté- rieures de l'homme en vie. Evitant à dess
amment marqués. Innovation importante, ils sont représentés avec la
forme
réelle qui correspond à la pose du sujet. Sur l
la tête, sont seuls indiqués les muscles qui jouent un rôle dans la
forme
extérieure de cette région, le masséter et le tem
xactitude. On remarque en particulier dans la région thoracique, la
forme
du grand pectoral au repos, à la fois distendu
e les plus récentes acquisitions de la morphologie humaine sous une
forme
toute nouvelle, exactement adaptée à son but pé
e ce genre représentant le muscle en place et envie, et, à côté, la
forme
extérieure qui le révèle, pourrait être consultée
une hémianopsie ho- monyme latérale droite des plus nettes, avec sa
forme
habituelle et la légère encoche centrale de 10°
u'il s'agit d'un vaste foyer de ramollissement ancien. Ce foyer, de
forme
irrégulière, beaucoup plus étendu en hauteur qu
se des pressions et de la résorption de la substance altérée, a une
forme
serpentine ; la partie postérieure de la moelle s
en faciliter le diagnostic, il convient de grouper les cas en trois
formes
: la forme légère ou motrice systématisée, avec d
le diagnostic, il convient de grouper les cas en trois formes : la
forme
légère ou motrice systématisée, avec des al- té
objective, sans réaction de dégénération et d'un cours rapide ; la
forme
douloureuse ou sensitive ; et la forme grave, o
on et d'un cours rapide ; la forme douloureuse ou sensitive ; et la
forme
grave, ou mixte, avec des altérations profondes d
VRITE AIGUË INFANTILE 217 1er Cas. - Polynévrite aiguë généralisée,
forme
légère ou motrice. J. B..., âgé de trois ans, d
les enfants de son âge. 2* Cas. - Polynévrite aiguë généralisée,
forme
légère ou motrice. M. I..., âgé de 4 ans, de Sa
hyxie le quatrième jour. , 5° Cas. - Polynévrite aiguë généralisée,
forme
grave. J. Gar..., âgé de 5 ans, du département
portance diagnostique ; mais elles ne sont pas éviden- tes dans les
formes
légères ou motrices systématiques ; d'autre part
ans la paralysie spinale infantile, probablement quand il s'agit de
formes
associées, de neuronite. Dans les formes doulou
blement quand il s'agit de formes associées, de neuronite. Dans les
formes
douloureuses ou sensitives, et dans les formes gr
neuronite. Dans les formes douloureuses ou sensitives, et dans les
formes
graves ou mixtes, elles acquièrent une grande i
bserve nettement chez les enfants que dans les cas graves. Dans les
formes
légères, dans celles qu'on appelle motrices sys
ns doute, le moyen de la plus grande valeur diagnostique ; dans les
formes
légères, les contractions fara- diques sont nor
- diques sont normales ou à peine diminuées (cas 1 et 2) ; dans les
formes
douloureuses (cas 3 et 4), les muscles paralysé
ermeture du pôle négatif - sont diminuées seulement; enfin,dans les
formes
graves, il existe une complète réaction de dégéné
nous étions encore au temps où se succédèrent les descriptions des
formes
diverses des myopathies, que l'on distinguait soi
re que l'observation que nous rappor- tons ici est un exemple d'une
forme
particulière, non encore décrite de la paralysi
théorie actuel- lement admise : à savoir, que toutes les anciennes
formes
de la myopathie peuvent se combiner et se confo
nsemble de la physionomie l'aspect de tête d'oiseau. Le crâne a une
forme
spéciale : court dans le sens antéro-postérieur,
ur- bure à convexité antérieure exagérée ; de plus, le fémur gauche
forme
une courbure à convexité externe au niveau de l
ne présente ni tête, ni col ; elle con- tinue, sans modification de
forme
, la diaphyse.La tubérositébicipitale est à pein
s la dysostose, que l'on peut avec ces auteurs considérer comme une
forme
particulière de leur dyspla- sie périostale, il
ge (PI. XLVI). Ce malade, malgré son âge avancé, avait conservé les
formes
extérieures de l'enfance et donnait l'apparence
ence de la glande thyroïde, atrophiée, il est vrai, mais normale de
forme
et d'apparence, l'existence de deux testicules,
l paraissait être un gar- çon de 12 à 14 ans, il avait conservé les
formes
extérieures de l'enfance et aucun des caractère
fins sourcils existent. Les joues sont arrondies et fermes, leur
forme
donne à la face l'aspe( naire. La lèvre infér
tères différentiels que la plupart des auteurs assignent à ces deux
formes
. a) Mydriase paralytique (paralysie de la 1111,
nous est impossible de faire entrer notre cas dans une de ces deux
formes
de mydriase. Dans une circonstance analogue, Au
ent à l'étude de cette affection ; on peut néanmoins établir que la
forme
paralytique peut seprésenter sous deux types :
adruk et chandu, éga- lement employées à la pipe ; l'opium à manger
forme
une troisième variété également à part. Ces exp
la rapidité même. 1 Le délire aigu mortel avec épuisement rapide et
forme
galopante sub- fébrile peut s'observer, mais au
ce que la religion mahométane y pousse moins et que dans les autres
formes
de folie il est également rare chez l'Arabe. Au
4. DATES. - 30 septembre 1903 : premiers symptômes de maladie, sous
forme
d'attaque convulsive, précédée d'une semaine d'
cule droit. 280 WEBER Le 3e ventricule est surtout altéré dans sa
forme
; l'aqueduc de S. est ou- vert. .t,' \ Il s
sillon bulbo-cérébelleux droit, d'une tumeur à surface noueuse, de
forme
cylindrique il peu près. Diamètre : 2 cen- timè
, fig. 9 et 10). Cependant à droite aussi il y a eu rétention, sous
forme
d'une sorte de kyste (C.fig. 9 et 10) que l'on
soupape, si je puis dire ainsi, le crâne, même de l'adulte, altère sa
forme
pour faire de la place. Il ne faut pour cela qu
umpliry, et qui, après la cinquième semaine de la vie embryonnaire,
forme
, non encore dilrérenciés, les fléchisseur commun
nécessaire pour produire cette amputation, le tissu cicatriciel qui
forme
le fond du sillon agissant à la façon d'un lien
isphérique, portant à sa partie inférieure un très petit lobule, de
forme
arrondie, qui paraissait être un doigt rudimentai
s haut et sur un plan postérieur. Ces os présentent en raccourci la
forme
de leurs congénè- res : leurs extrémités supéri
arpien, glisse au-devant des muscles de l'é- minence hypothénar, et
forme
les deux collatérales de la branche interne de la
nt un moignon conique parfait. A l'extrémité de ce- lui-ci, la peau
forme
un ou deux replis, sortes de cicatrices, et il ex
u du pli de jonction de la jambe avec la cuisse ou jarret. Le talon
forme
un moignon qui vient se reposer sur la partie m
dedans et qui constitue le squelette du moignon. Cette masse a une
forme
quadrilatère; son bord supérieur est soudé au rad
cubitus- descend plus bas que le radius. La main est un moignon in-
forme
présentant, à sa partie inférieure, un petit appe
Radiographies : le radius, à part son incurvation, semble avoir une
forme
normale et paraît complet ; le cubitus, au cont
numérique DES TISSUS 327 "1 une masse plus volumineuse,rappelant la
forme
d'un sabot de cheval. On pcut supposer, d'après
il ne se termine pas en cupule comme un ra- dius, mais présente une
forme
qui lui donne une ressemblance éloignée avec l'
Le membre supérieur droit n'est représenté que par le bras dont l'os
forme
à son extrémité inférieure, comme une sorte de
s dans les antécédents. XXXVIII. - KLIPPEL et RABAUD (Et.), Sur une
forme
rare d'hémimélie radiale intercalaire. Nouv. Ic
comme due à des varices oesophagiennes qui sont fréquentes dans ces
formes
. Il est re- grettable que la malade n'ait pas v
oit une retraite précipitée devant l'assiégeant, ou bien encore une
forme
aiguë de scorbut. L'ictus émotionnel jouait san
o- naises, placées là pour ma perte. » ' « En ce qui concerne les
formes
d'aliénation, elles peuvent se répartir de la m
était précédée d'un complet épuisement de l'organisme causé par une
forme
aiguë de scorbut ; dans un cas la maladie appar
lexes rotuliens, dans deux cas le trouble de la sen- sibilité, sous
forme
d'hyperalgésie sans classement régulier. Jusqu'à
trois dans le courant de la semaine qui suivit la capitulation. Les
formes
de cette affection cérébrale étaient les suivan
matique avec des apparitions mélancoliques et un à la mélancolie de
forme
légère, ce que Korsakoff nomme dysthymia melanc
orie qui vient d'être énumérée demeurera in statu quo. Les autres
formes
de psychose étant uniques, n'exigent pas de descr
primaire dans les uns, secondaire dans les 8 autres cas. Toutes les
formes
d'aliénation développées pendant le siège sont em
de la réserve et de l'armée active souffrant de l'une ou de l'autre
forme
d'aliénation. TABLEAU II. 348 WLADYCZKO éta
la pleine mer sur ces sujets était différente, cela dé- pendait des
formes
d'aliénation. Tout d'abord le mal de mer fit troi
n- tale (dysnoia Korsakowi amentia Meynerti) ou de l'une ou l'autre
forme
de psychose alcoolique. La disposition ! au mal
) S. WLADYZCKO, Influence de la pleine mer et du roulis sur certaines
formes
de maladies mentales. Kiff, 1906, p. 144. 352
t chacune 4 cas. 5° Le siège imprima un cachet spécial à toutes les
formes
de psychose. C'est une dépression fortement acc
e presque inconnue en France, s'y mani- feste cependant encore sous
forme
d'hérédopellagre, ainsi que le récent travail d
e phase ultérieure, car la folie pellagreuse affecte fréquemment la
forme
chronique avec ou sans rémissions intercalaires
ts et que j'ai signalés comme en rapport avec la syphilis. Les deux
formes
peuvent cependant se combiner, c'est-à-dire qu'on
ns les trous de laquelle se logent les éléments de la couche plexi-
forme
». - 08r.RSTEIiri, loc. cit., p. 533. - VAl'<
ne formation identi- que située plus profondément. La lacune qui se
forme
au niveau de la couche des grains et de la subs
e et du front, déterminés par les mouvements, se présentant sous la
forme
d'élan- 366 souques cements ou de serrements.
due à un soulèvement osseux, a aug- menté de volume sans changer de
forme
. L'impotence motrice a fait de nouveaux progrès
point, la voûte crânienne infiltrée et repoussée en dehors sous la
forme
de tumeur osseuse, visible au niveau du vertex
l existe, d'ailleurs, entre les deux types cliniques, de nombreuses
formes
intermédiaires. Du fait que nous avons observ
LIE AVEC CHEIROMÉGALIE 377 teur de la IVe tranche cervicale sous la
forme
d'une fente mince, plus large en avant qu'en ar
la hauteur de C. VII, la cavité notablement plus développée prend la
forme
d'un croissant qui suit l'axe des cornes postér
res sont étalées. Plus bas, la cavité tout en conservant la même
forme
et les mêmes rap- ports occupe toute la longueu
78 - LHERMITTE ET ARTOM naissance à des diverticules d'aspect et de
formes
variés ; en outre on remar- que des colonnes co
épinière, existait une cavité syringomyélique qui com- mençait sous
forme
d'une fente au niveau de la III" cervicale, occup
edémateuse et ecchymotique des deux paupières prend abso- lument la
forme
d'un chémosis. Pas de lésion, d'altération de l
Et entre ces deux résultats d'une même lésion, nous trouvons comme
forme
de passage le zona hémorragique, constitué par
elle allongée chez le cobaye telle que la section d'un corps resti-
forme
, a obtenu des hémorragies sous-cutanées dans l'or
n arrêt de développement que d'une amputation intra-utérine, car la
forme
des os de l'avant-bras rappelle celle des os norm
al, à l'occasion du cas de Variot, disait : « Il existe plu- sieurs
formes
d'amputations congénitales ; les unes ont pour ca
pect des os nor- maux, à part les dimensions et quelques détails de
forme
; on y remarque entre autres particularités imp
mélie. Mais M. Et. Rabaud a montré que l'action mécanique, sous une
forme
quelconque, n'est pas capable de modifier la croi
liers. Ce n'est point le cas de l'hémimélie vraie où l'harmonie des
formes
persiste et où, à voir les choses superficielleme
e à se différencier du tissu voisin. b) Grand dorsal et grand rond,
forme
une masse analogue. a et b sont différenciés l'
commun des doigts s'allonge. Le "tendon du cubital posté- rieur se
forme
. Les deux radiaux ne sont pas encore séparés l'
ne, au contraire, les formations mus- culaires ont la situation, la
forme
et les connexions que nous avons trou- vées ; a
aphie de la Salpêtrière, 1906. Klippel et Rabaud (Etienne). Sur une
forme
rare d'hémimélie radiale intercalaire. Nouvelle
mètres de la scissure in- terhémisphérique, puis, se recourbant, il
forme
une crête mousse qui va se perdre en arrière au
rieure du vermis supérieur du cervelet. La pie-mère, très épaissie,
forme
comme un rideau étendu au-des- sus de cette cav
mine maintenant la paroi de la cavité, on voit que cette cavité, de
forme
assez irrégulière, mais dont l'axe. est cependant
cerveau. Le professeur Zernoff a pris pour hase de son invention la
forme
plus ou moins sphérique du crâne et du cerveau et
donne pourtant lieu à des erreurs, provenant de l'hypo- thèse de la
forme
de sphère géométrique de la tète. Comme ni le crâ
oscou, 1891. Thèse. 432 ROSSOLli)10 l'encéphale ne présentent la -
forme
précise d'une sphère géométrique, l'erreur sera
d'une sphère géométrique, l'erreur sera d'autant plus grande que la
forme
du crâne observé s'éloignera plus de la forme s
nt plus grande que la forme du crâne observé s'éloignera plus de la
forme
sphél'oïdale.C'est pourquoi l'exactitude de l'app
est pourquoi nous avons dû inventer un'appareil métallique ayant la
forme
d'une tonnelle (j) à base annulaire de caoutcho
sibilité est conservée entière sur tout le corps et dans toutes ses
formes
. L'examen des réactions pupillaires, du champ v
lie amyotrophique (Duchesneau), douloureuse (Sainton et State), une
forme
paralytique. Pour ce qui se rapporte à l'énorme
certains points ; et, de la sorte, elle a donné lieu à différentes
formes
d'exostose. Cette condition morbide, exceptionn
ormes d'exostose. Cette condition morbide, exceptionnelle, dans les
formes
typiques d'acromégalie, mérite d'être signalée
dans son cas, comme dans les autres d'ailleurs il ne s'agit pas des
formes
spéciales de poliomyélite aiguë ou chronique, for
s'agit pas des formes spéciales de poliomyélite aiguë ou chronique,
formes
dont la symptomatologie si bizarre a son explic
êtrière envisage l'eedème nerveux circonscrit de l'urticaire, de la
forme
de Quinckh et du trophoedème chronique, comme la
endue, plus ou moins profonde du derme ou bien de l'hypoderme. La
forme
de QUINCKE, serait le représentant type de ces oe
pertrophie secondaire du tissu conjonctif sous-cutané. Toutes ces
formes
représentent des types cliniques séparés, quoique
système lym- pho-sécréteur. L'auteur italien considère ces trois
formes
d'oedème nerveux « comme la conséquence d'une e
Iconogra- phie de la Salpêtrière, n° 2, 1907. 3. RAPIN. - Sur une
forme
d'hypertrophie des membres (dystrophie conjonctiv
ses manifestations convulsives suivant leur siège et suivant leurs
formes
. Enfin, on connaît moins bien' encore son évo-
ns observateurs l'on décrit comme un symptôme pathognomonique d'une
forme
spéciale de la paralysie faciale. Cette erreur,
end pas soin d'examiner de 1 A. Joffroy. De la paralysie générale à
forme
lctbélizte. (Nouvelle Iconographie de la Salpêt
1895.) - Klippel. Paralysie générale. Lésions el symptômes spinaux.
Formes
pinales. (Archives de Médecine expér., n° 1, 18
tes occupent la partie antérieure du cordon et affectent chacune la
forme
d'un triangle confinant par l'un des côtés à la
ci-dessus décrite. La substance grise ne parait pas altérée dans sa
forme
; mais il existe une diminution légère du nombre
d'autre du septum une zone symétrique. Cette zone sclé- reuse a la
forme
d'un triangle allongé dont la base la plus courte
tte région dégénérée, il existe encore quelques fibres saines. La
forme
, la disposition et la constitution de la lésion r
ons se détachent nettement sur l'ensemble du cordon postérieur sous
forme
d'un triangle isocèle ; sa base est périphériqu
indre la périphérie avec cette dernière. La lésion se présente sous
forme
d'une bande sclércuse large et très longue. Ell
don. Avant d'atteindre la périphérie, elle envoie une expansion en
forme
d'ergot dont l'axe se dirige vers la zone de Liss
ntégrité des fibres du centre ovale de Flechsig (quelle que soit la
forme
de leur groupement : virgule de Schulze, bandel
se trouve en présence d'une bande scléreuse dont la situation et la
forme
ne sont point celles du champ radiculaire antér
re pour base unique d'un diagnostic histologique la structure et la
forme
d'un faisceau qui, d'un individu à l'autre, peu
, ou parfois plus ou moins passager. C'est sous ces diffé- rentes
formes
que nous avons eu l'occasion de les noter dans
marquera que parfois elle répète successivement la même phrase sans
forme
affirmative puis sans forme négative, en généra
pète successivement la même phrase sans forme affirmative puis sans
forme
négative, en général à la suite d'une question
ils. Ce qui prédomine rapidement, ce sont des idées de négation, de
forme
hypochondriaque surtout, et portant sur la person
n'est pas là une expres- sion de mélancolique. Cette mégalomanie, à
forme
d'idées de grandeur des persécutés qu'on rencon
observation que M. Séglas donne ajuste titre comme rentrant dans la
forme
typique de Cotard . Annales médica-psychologiqu
ur ainsi dire qu'un voile jeté sur l'appauvrissement psychique, qui
forme
le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1L t fond
on delà sensibilité ; les troubles partant à la fois sur toutes les
formes
de la sensibilité, avec prédominance toutefois su
supérieurs, exagération des réflexes tendineux, etc.). Dans cette
forme
très grave et rare, à évolution rapide, il y a do
eler sens stéréognostique et qui consiste dans l'appréciation de la
forme
des objets. On est porté à croire qu'une fonction
de cette leçon clinique, l'auteur passe en revue les diffé- rentes
formes
d'hémiplégie qui peuvent se produire à la suite d
pithélium de la glande. Ces hémorrhagies surviennent souvent sous
forme
d'accès : il y a un aura ; à la suite d'une fat
extension de l'hyper- plasie des os et des tissus dans les diverses
formes
des altérations acromégaliques sont l'effet des
sychopathique déjà prouvée par des accidents antérieurs. Quant à la
forme
cataleptique des accidents cérébraux, on peut.
us l'intoxication urémique, l'expliquer par l'exagération, sous une
forme
particulière, à l'occasion de l'urémie, des tenda
manifestées par les malades. Dans les encéphalopathies toxiques, la
forme
des accidents est déterminée, en effet, au moin
ns centraux une zone triangulaire longue de 2 centimètres, ayant la
forme
d'une grappe de raisin et constituée par des mo
uvements voulus d'un extrémité se réfféchissent sur l'autre sous la
forme
de vives convulsions musculaires. P. IER : 1V1L
. lIl. Extirpation double du SY1P.IllIQLE cervical pour un cas de
forme
fruste DE maladie de 13ASEIJOW; par MM. CERKEZ et
Observation d'une jeuue fille de vingt et un ans, atteinte d'une
forme
fruste de maladie de Basedow, caractérisée par un
M. CHRISTIAN pense que ce qui est surtout caractéristique, c'est la
forme
du délire. Quelle que soit la condition sociale d
paralysie générale sans délire est très commune. J'ajouterai que la
forme
et la marche de la démence de la paralysie géné
es bulles remplies de sérosité ou de pus. Troubles vasomoteurs sous
forme
d'apparition de taches bleu- foncées, et de sen
es névrites très étendues, tandis que celles-ci font défaut dans la
forme
tubéreuse de lèpre, où la quan- tité de bacille
l n'en est rien; il s'agit dans ces cas d'une paralysie cérébrale à
forme
de paralysie générale, ou mieux d'une paralysie
certains symptômes, tels que l'agitation,' les attaques apoplecti-
formes
et épileptiformes, les auto-intoxications digesti
rdon latéral et le cordon postérieur à des' degrés divers, selon la
forme
et la durée de la maladie. L'un et l'autre de c
ieure, la substance grise, située en avant des cornes postérieures,
forme
un bloc, dans lequel on distingue à peine la sa
atrophiée n'a plus qu'un prolongement ou deux. Son corps a pris la
forme
d'un tube nerveux dans l'intérieur duquel il n'
s disparu. La cellule atrophiée revêt d'au- tres aspects; elle a la
forme
arrondie, sans prolongements, sans noyau et com
du cordon antéro-latéral.' La substance grise est modifiée dans sa
forme
générale et profondément altérée dans ses détai
d'une amélioration progressive. Dans notre observation, c'est une
forme
de manie qui a bénéficié également du fait de la
- influence salutaire du fait de cette fièvre éruptive. Les autres
formes
de folie, en général, n'ont pas été modi- fiées
trois hypothèses : altération de la substance nerveuse qui trans-
forme
anormalement l'excitation électrique, altération
te la moitié gauche de la face; s'accentuant graduellement, sous la
forme
de contraction tonique, puis décroissant de mêm
lques trousseaux musculaires ; les convulsions affectent parfois la
forme
tonique, surtout à l'occasion des mouve- ments
encéphalite hémorrhagique est, au point de vue morphologique, la
forme
de Wernicke, ou, si l'on préfère, la forme de Stt
de vue morphologique, la forme de Wernicke, ou, si l'on préfère, la
forme
de Sttümpell, modifiée à l'usage des pédoncules
qu'elle rencontre à l'endroit de la lésion et se manifeste sous la
forme
d'un mouvement très intense dont le rythme, par
ous l'influence d'une cause indéterminée il s'est développé une des
formes
d'hystérie latente chez lui; 3° les phénomènes
2G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. donnent à la main un aspect et une
forme
toute spéciale qui per- mettent de la désigner
7.) .) Observations. Homme de soixante ans, entaché de toutes les
formes
de l'hérédité névropathique et psychopathique ; a
ves, aggravation continue, mort. P. KERAVAL. XLVII. LÉREUTHOPHOB1E,
forme
particulière DE trouble névropa- thique; par W.
au moyen du traitement faradique, en grande partie, et quittait la
forme
d'anesthéoie à forme de gant constatée au début
nt faradique, en grande partie, et quittait la forme d'anesthéoie à
forme
de gant constatée au début. L'anesthésie hystér
st le traitement de choix du goitre exophtalmique, surtout dans les
formes
sans goitie, et dans les cas où l'indication se
'ans'Ve1'se, Projections lumineuses; par le U'' Brissaud, de Paris.
Forme
fruste de maladie de Parkinson; par le Dr Laffo
peutique : De 1'(ili- tentent (repos au lit) dans le tiaitement des
formes
aiguës de la folie et des modifications qu'il p
on des présents statuts. Il peut toujours être modifié dans la même
forme
. Professeur DELOOEUF de Liège; par Foret. (Zeit
ci la faculté de Moscou.) Il est indiscutable que l'étude de toute
forme
nosogra- phique doit être basée principalement
dans le lobe temporal gauche, on voit une tache brune rougeâtre, de
forme
ronde, d'un centimètre de diamètre; elle ne par
affaire à une néo-formation cellulaire. Les cellules présentent des
formes
et des dimensions diverses, mais ce sont les cell
pétrifiés. Par places on trouve même des vais- seaux de calibre en
forme
des anneaux calcaires. Alais outre les vaisseau
ériques de la moelle l'attention est attirée par des territoires de
forme
irrégulière, presque incolores, constitués d'un
ale l'attention est attirée par un contour sinueux, bien limité; sa
forme
rappelle un peu l'olive du cervelet. Le contour
dans la partie centrale de la moelle se trouve une grande cavité de
forme
irrégulière; ses parois sont constituées par de
pondant à la fente est occupé par une hyperplasie névroglique en
forme
d'un ruban sinueux, parallèle à la corne postérie
ans sa partie centrale l'amas de cellules sarcomateuses persiste en
forme
d'une tâche à bords diffus; les autres territoi
st que du côté gauche qu'elle continue jusqu'au sillon antérieur en
forme
d'un mince filet. Le stroma est traversé d'énor
la tumeur a pénétré dans sa sub- stance par la corne postérieure en
forme
d'un large coin détruisant le tissu nerveux. La
u très nombreux ; sur maintes coupes on en trouve 6-7 de différente
forme
et grandeur, tapissés d'un épithélium cylindriq
à sa répartition symétrique la néoformation revêt en cet endroit la
forme
d'un papillon. L'aire de la coupe ne parait plu
me diaphane; les tubes nerveux y sont rares tandis que la névroglie
forme
un réseau à mailles très vastes, tantôt vides,
s éléments du tissu sont dissociés par un transsu- dat coagulé, qui
forme
par places de grandes tâches claires; l'hyperém
ÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. H ! 3 croire que la névroglie qui
forme
la couche périphérique du cordon médullaire soi
ière. Sans doute, il importe de déterminer il quel groupe, à quelle
forme
appartient le cas soumis à l'examen; cette préc
peuvent survenir à la suite d'une opéra- tion, quelle que soit leur
forme
. Il y a lieu de distinguer ceux qui dépendent s
ue, les travaux parus jusqu'à ce jour, nous verrons les différentes
formes
que revêtent les troubles psy- chiques post-opé
cer- veau, manie avec tous ses degrés, mélancolie sous toutes ses
formes
, depuis la simple dépression jusqu'à la mélancoli
par se suicider. M. Le Dentu, en s'appuyant sur 68 cas, admet deux
formes
bien différentes de délires traumatiques : 1° l
admet deux formes bien différentes de délires traumatiques : 1° la
forme
agitée 2° la forme calme, dépressive, lypémania
bien différentes de délires traumatiques : 1° la forme agitée 2° la
forme
calme, dépressive, lypémaniaque. Dans l'un et l
eur pronos- tic dépendent des causes qui les ont fait naître et des
formes
qu'ils revêtent. M. Régis (de Bordeaux) ouvre
. On trouve dans cette thèse le résumé de six observations de cette
forme
spéciale du délire processif. L'auteur en a obs
vantes : « 1° 1\1 ? F... est atteinte depuis plusieurs années d'une
forme
spéciale d'aliénation mentale qui s'appelle en
fixité monotone du délire mélanco- lique, mais se présente sous la
forme
d'un système constitué par une série d'interpré
l'évolution est chronique, le délire systématisé persisle sous une
forme
stéréotypée; quelquefois il survient des idées de
rable. Enfin, le délire d'auto-accusation peut se présenter sous la
forme
de simples bouffées délirantes, à type de délir
ces cas aigus, les récidives sont fréquentes, souvent sous la même
forme
. Archives, 2e série, t. VI. 15 226 SOCIÉTÉS
ement de la mélancolie pour se rapprocher, au contraire, des autres
formes
connues du délire systématisé primitif. Mélan
rie de Charcot. 228 SOCIÉTÉS SAVANTES. 11 existe, du reste, une
forme
de sclérose primitive symétrique des tractus py
imitive symétrique des tractus pyramidaux dans leur ensemble. Cette
forme
de sclérose cérébro-spinale est surtout connue
mprises. Or, c'est ici qu'apparait nettement la parenté entre cette
forme
de paralysie générale et la sclérose latérale a
e cas particulier, s'ils pré- sentent bien les caractères d'une des
formes
transitoires de l'alié- nation mentale ou s'ils
paraît professer la même opinion. On admet donc en Allemagne qu'une
forme
au moins d'aliénatien mentale transitoire peut su
Lorsque ces lésions affectent dans le cerveau ou dans la moelle la
forme
diffuse (méningo-encéphalites, méningo-myélites t
s les dégé- nérescences primitives du téléneurone moteur (certaines
formes
de atrophie musculaire progressive), de l'archi
is ce qui nous semble actuellement inadmissible, c'est que dans les
formes
pures de paralysie générale il puisse exister d
ièrement dans l'artérite fémorale. Est-ce qu'un des symptômes de la
forme
sub- aiguë de cette artérite ne consiste pas pr
ian), ni par le mécanisme des paralysies réflexes, ni enfin par une
forme
d'hystéro-traumatisme. Il lui semble plus logique
Etude clinique sur l'obsession. MM. 1\1.-\.RIE et ViGouROUx. Les
formes
chroniques de ce syn- drome sont plus spécialem
manies dégénératives tardives en quelques sorte chroniques dont la
forme
persistante et même progressive cons- titue pre
E a décrit, en 1897, sous le nom de délire de l'evendi- cation, une
forme
particulière de délire systématisé des persécutés
persécuteurs, variété de la folie raisonnante. En dehors de cette
forme
type, il a rencontré quelquefois, à l'origine ou
iode démen- tielle terminale. 3° Elles peuvent se présenter sous la
forme
du délire systématisé ambitieux primitif et con
cérébral. En résumé, dans les quatre observations présentées, cette
forme
tardive du délire de revendication se rencontre
ns sont très importantes. Les cellules pyramidales ont perdu leur
forme
et leur volume. On les voit souvent avec un corps
éritées contre les directeurs-médecins, qu'elle revête toujours des
formes
parlementaires, un caractère courtois comme cel
rendre toute classification impossible, mêler ensemble toutes les
formes
de l'aliénation mentale, et cette confusion loin
tratum anatomique toujours le même, mais bien une des si nombreuses
formes
plus ou moins dégénérées ou frustes de la lèpre
siècles, ait perdu sa spécificité et qui ne présente, même dans ses
formes
les plus bénignes, ses traits cliniques caractéri
ut ailleurs, et par conséquent nous devrions rencontrer les mêmes
formes
dégénérées que constate Zambaco Pacha à Constanti
èrement dans les interosseux. Les mains (fig. 20 et 21) ont pris la
forme
de griffes à cause de la destruction de ces der-
côté gauche, ont presque totalement disparu. Le thorax présente la
forme
plate des myopathiques, non pas le thorax en bate
s par ce malade sont si clairs, leur ensemble tellement adapté à la
forme
classique, que le dia- gnostic de la syringomyé
u- leur qui n'a pas de comparaison avec le choc reçu . 1. Dans la
forme
anesthésique de la lèpre l'atrophie ne se limit
chef de l'asile de Jlaréwlle-ancv. Folie tuberculeuse. - Voilà une
forme
de folie que l'on est tenté d'admettre depuis q
et les grandes cellules du bulbe étaient très altérées dans leur
forme
et leur constitution intime. Il n'y avait aucune
ons et mettent en lumière les différences caractéristiques des deux
formes
morbides, au point de vue du développement sque
tutionnelles. L'auto-suggestibilité pathologique prédomine dans les
formes
. graves de l'hystérie. Les phénomènes hypnotiq
cause provocatrice de l'accès de rougeur. La psychothérapie, sous
forme
de suggestion ou d'autosuggestion, serait le seul
rait le seul traitement rationnel. LXXXV. Remarques sur certaines
formes
d'imbécillité; par J. TIIOIPSON. (Tretttment, m
attire l'attention sur les particula- rités offertes par certaines
formes
d'imbécillité qu'on observe chez les enfants.
rocéphalie se reconnaît à des signes assez caractéristiques dans la
forme
et les dimensions de la tête. La fun- tanelle a
que se produit la désintégration des éléments chromatophiles, il se
forme
, entre les granulations colorées, des fissures
e, entre les granulations colorées, des fissures claires, tantôt de
forme
allongée et disposées d'une façon concentrique
tare héréditaire ou personnelle Attaques complètes épileptiques, à
forme
dite essentielle, surve- nues brusquement, avec
évolu- tion de l'affection dans laquelle on constate telle ou telle
forme
de la réaction dégénérative. Bien plus, la même
elle ou telle forme de la réaction dégénérative. Bien plus, la même
forme
de réaction dégénérative se peut rencontrer aus
la contraction elle-même n'a pas encore été distinguée de certaines
formes
de la contrac- tion normale, par exemple, en ma
exemple, en matière de processus régéuératifs, Puis, il existe des
formes
de transition dégénératives, en particu- lier d
ente. Et il conviendrait de soumettre à un examen du même genre les
formes
dites de réaction dégénérative partielle. La ré
'interférence, principe de toute transformation de l'énergie, de la
forme
, du développement quelconque, a de nombreux emp
tent ou disponible, la transmission du sexe se fait non pas dans la
forme
mais par croisement des termes, par transmissio
tégra- lité de ses relations avec le milieu) se manifestent sous la
forme
électromotrice, par un appoint chimique. Celles
ctromotrice, par un appoint chimique. Celles de la femelle, sous la
forme
chimique, par un appoint électromoteur Chaque p
pnotisme 50 malades. Il cherche à dé. montrer que l'hypnose est une
forme
particulière de sommeil hyp- notique qu'on ne d
choc nerveux suivi de suspension de la respiration sous le chloro-
forme
: trachéotomie, le malade mourut deux mois et dem
son ne pourrait- on savoir quelles seraient la nature du délire, la
forme
et la durée des accidents. Il est cependant une
e se tromper : ce sont les alcooliques, chez qui la fréquence et la
forme
des troubles mentaux, à l'occa- sion d'un traum
sujets prédis- posés les rêves peuvent également donner lieu à des
formes
aiguës et même aussi à la folie systématisée. L
épileptique ; par H. Higier. (Nezcrolog. Centrnlbl., XVI, 1897.)
Forme
paralytique de l'épilepsse jacksonienne. Il s'agi
diffuse. 6) Quand l'épilepsie est ancienne (principalement dans la
forme
vertigineuse), l'intelligence et la mémoire son
les de la sensibilité, etc. (obs, 2, 3, 4, 11 et 12). b) Toutes les
formes
délirantes et la démence de cette maladie. C'es
SOCIÉTÉS SAVANTES. 339 A l'heure actuelle, il existe une cyphose de
forme
arrondie, accompagnée d'immobilité complète, de
à propos des mouvements volontaires. L'examen révèle une cyphose de
forme
, arrondie de la région interscapulaire et cervi
seulement. La moelle épinière se trans- 342 SOCIÉTÉS SAVANTES.
forme
alors en une mince pellicule de 1 millimètre d'ép
cérébelleux longitudinal (dans la partie caudale), le corps resti-
forme
(dans la partie proximale), et l'olive. Sur tout
issure grise, dans la moitié antérieure des cordons postérieurs; sa
forme
et son volume sont variables ; les cornes posté
s sa magistrale Anatomie artistique renfermant la des- cription des
formes
extérieures du corps humain au repos et dans les
ons normales du corps humain. Paul Richer connaissait trop bien ces
formes
pour ne pas essayer de les modeler à son tour.
érapeutique. - De l'alitement (repos au lit) dans le traitement des
formes
aiguës de la folie et des modifications qu'il pou
des délires systématisés, etc., qui peuvent ne différer en rien des
formes
semblables d'une autre origine, ou qui en diffè
oxémie est accessoire et , HÉPATISME ET PSYCHOSES. 357 alors la
forme
psychopatique est quelconque. Dans un petit nom
pas sans soulever des questions intéressantes. Et tout d'abord la
forme
mentale, à l'encontre de ce que l'on eût pu att
lire, dans le cas d'auto- intoxication hépatique, puisse revêtir la
forme
clinique qu'il a chez l'alcoolique, et les déli
ucina- tions si remarquables par leur mobilité, leur nombre, leur
forme
, il a, selon le mot de Lasègue, son inventivité q
le dit que ça la soulagerait de faire du mal à quelqu'un. Crises de
forme
léthargique : soudain elle se laisse tomber inert
is quelques instants après elle a été reprise d'une de ses crises à
forme
léthargique. Dans l'après-midi, excitation, cri
, droit de songer à l'intervention de cette maladie. Les crises à
forme
léthargique, en particulier, nous paraissent pouv
te de la malade et de l'hépatisme, et nous reconnaîtrions, sous une
forme
modifiée par le terrain, la torpeur habituelle
r qui, après s'être manifestée pendant de nombreuses années sous la
forme
atténuée de crises de forme léthargique, se ser
ée pendant de nombreuses années sous la forme atténuée de crises de
forme
léthargique, se serait établie à demeure sous l
la prédisposition ainsi créée, malgré l'existence d'une psychose de
forme
maniaque qui semble avoir été une première cons
aveu même des auteurs qui les ont publiées, se- présentent sous des
formes
délirantes variables et mul- tiples qui semblen
ons en plus ou moins selon les phases de l'affection ; dans quelles
formes
mentales ce sens est le plus modifié et dans le
jet ayant les yeux fermés on recherche s'il apprécie nette- ment la
forme
, la surface extérieure des objets dont il se sert
leau qui étonne, c'est l'état constam- ment normal du tact dans les
formes
purement dépressives avec conceptions délirante
RECHERCHES SUR LE SUICIDE EN GRANDE-BRETAGNE. 391 que dans la
forme
mixte, quand les conceptions délirantes dépress
n et de l'abolition du tact, s'étant rencontrées seulement dans les
formes
agitées, jamais dans les calmes. Il est assez c
fournit les proportions suivantes,- démontrant que c'est dans la
forme
expansive que les troubles du sens tactile sont l
s troubles du sens tactile sont les plus fréquents, ensuite dans la
forme
mixte agitée ; puis, serrant celles-ci d'assez
gitée ; puis, serrant celles-ci d'assez près, arrive, troisième, la
forme
démentielle tandis que dans les formes purement
z près, arrive, troisième, la forme démentielle tandis que dans les
formes
purement dépressives ainsi que dans les rémissi
mment interpréter les faits où elle se présente sous cette dernière
forme
? D'après Adarnkiévicz, c'est le liquide céphal
; mais cela ne suffit pas pour en infirmer l'existence en tant que
forme
clinique indépen- dante. Ce syndrome se rencont
ation aussi longtemps que possible, de peser soi- gneusement chaque
forme
de dérangement spécial, et de se rap- peler que
tive d'une déchéance individuelle. Dès lors, dans la généralité des
formes
424 REVUE DE thérapeutique. phrénasthénique
424 REVUE DE thérapeutique. phrénasthéniques, dans beaucoup de
formes
de démence sénile dans certaines formes de déme
théniques, dans beaucoup de formes de démence sénile dans certaines
formes
de démence chez des sujets jeunes ou adultes, i
sse être élevée à l'importance de lésion primitive dans certaines
formes
données d'aliénation mentale, soit que dans d'aut
les délirants), puis les divers modes de terminaison, ainsi que les
formes
variées : mélan- colie dépressive ou hypomélanc
pu à tous les détails du traitement général des psychoses, et si la
forme
[de mélancolie est peu grave. Le malade devra
qu'après cinq années d'exercice. Le tirage au sort a lieu dans les
formes
usitées pour les concours des hôpi- taux, en pr
Fa et Pa) intéres- sées par nos coupes, se trouvent des traînées de
formes
irrégulières se distinguant nettement du tissu
ême consti- tution histologique. On peut facilement distinguer deux
formes
principales en laissant décote ce que chacune d
n la prend dans telle ou telle autre ré- gion. Prenons une de ces
formes
dont le dessin fidèle est représenté 436 PATH
KCHE I. Nous la désignons pour plus de com- modité sous le titre de
forme
A. L'élément principal dans la constitution de
titre de forme A. L'élément principal dans la constitution de cette
forme
de foyer est représenté par les cellules de neu
. Nulle part nous n'avons vu ces espaces bordés par des cellules en
forme
de croissant (Randzellen de Friedmann) ou conte
rapports qui' existent entre les différents éléments constituant la
forme
du foyer que nous décrivons, voici ce que- nous
intermédiaire de leurs prolongements, fait qui est la règle dans la
forme
sui- vante. Quelques cellules nerveuses, atte
croire. Les cellules nerveuses qui présentent ce phénomène ont une
forme
de croissant et enveloppent pour ainsi dire le ca
eurs côtés se confondent avec la paroi capillaire. Ce changement de
forme
de la cellule nerveuse, s'adap- tant exactement
rd de faire ressortir la valeur de cette constatation. La seconde
forme
de foyer ou forme B occupe une plus large place
ortir la valeur de cette constatation. La seconde forme de foyer ou
forme
B occupe une plus large place dans nos préparat
tème ner- veux central. Comme morphologie, elles offrent toutes les
formes
imaginables; elles sont fusiformes, triangulair
mais transparent. Le noyau, dans n'importe laquelle des différentes
formes
de ces cellules, est situé à leur extrémité la
à l'inverse de ce que nous avons observé dans les cellules du foyer
forme
A, sont nombreux, très longs, minces et ramifié
possible de poursuivre plus loin son trajet ? En décrivant les deux
formes
de foyer précédentes, nous avons poussées d'e
tances étrangères. Les noyaux de ces cellules sont très gros, d'une
forme
ovalaire et bien colorés par le carmin. Dans un
nance sont difficiles à déterminer. Ce sont des corps cellulaires à
forme
très irrégulière ; leur protoplas- ma, clair et
n'avons parlé que de la substance grise. En effet, toutes les trois
formes
de foyers précédemment décrits siègent dans la
mieux définir certaines d'elles qu'en les comparant aux différentes
formes
que prennent les leucocytes lors de leur migrat
ules épithélioïdes. La fi- gure 6 donne le dessin de cette dernière
forme
. Le protoplasma de ces cellules est coloré très
les pâles et à contours vagues qu'elles étaient, elles prennent une
forme
de plus en plus déterminée, sont nettement limi
d'entre elles ont perdu leurs prolongements tout en conservant leur
forme
caractéristique. Enfin on en observe qui ont su
u'à la sclérose secondaire bien carac- térisée, en passant- par les
formes
intermédiaires. C'est pour ainsi dire un tablea
blir par voie expérimentale et anatOl1lO- pathologique une nouvelle
forme
d'encéphalite qu'il dénomme encéphalite hyperpl
e cellules-mères des corpuscules purulents. Ayant observé les mêmes
formes
cellulaires dans trois cas d'altérations pathol
uantité de fibres. et surtout dans celle de Proust (Des différentes
formes
de ramollissement cérébral, Paris, 1886) la plu
886) la plus riche bibliographie. ' (layem, Etudes sur les diverses
formes
d'encéphalite, 1SG8.. 444 pathologie nerveuse
ure avait avancé, nous voyons que cet auteur essaie d'établir une
forme
d'encéphalite tout à fait distincte de ce qu'on a
e Friedmann dans son travail va plus loin : il essaie d'établir une
forme
d'inflammation aiguë pour le cerveau, dans l'an
un rôle ou au moins un rôle tout à fait secondaire. Pour établir sa
forme
, Friedmann se base sur des expériences, sur les
ons personnelles. II avance que l'encéphalite expé- rimentale ou la
forme
subaiguë, comme il la nomme, présen- terait le
Friedmann, ni sur la portée en anatomie pathologique générale de la
forme
d'inflammation aiguë qu'il admet, cela n'entre
anatomo-cliniques de Friedmann et qui lui ont servi pour ériger sa
forme
d'encéphalite. Sur les 16 cas que cet auteur ra
s près des autres, ce qui fait que quelquefois elles prennent une
forme
allongée, irrégulière par compression réciproque.
arition des cellules épil hélioïdes. L'établissement d'une nouvelle
forme
d'encéphalite par Friedmann, au lieu de répondr
décrit l'encéphalite aiguë hémorragique qu'il pré- sente comme une
forme
inflammatoire différente de celle de Wernicke,
ë hémorragique de l'autre. Oppenheim2 s'oc- cupe du pronostic de la
forme
de StrÜmpel1. D'autres auteurs comme Murawielf3
des lésions qu'on rencontre dans ces deux prétendues différentes
formes
d'encéphalite aiguë nous conduirait plus sûrement
u'on a constaté sommairement dans l'une et dans l'autre de ces deux
formes
d'encéphalite des altérations microscopiques re
ance blanche était humide. Mais la véritable caractéristique de ces
formes
d'inflammation ' Leichtenstern, Deulschemed. Vo
prudents dans l'appréciation des altérations caractérisant les deux
formes
d'encéphalite que nous venons de passer en revu
halite aiguë en foyer. Cette confusion est surtout possible pour la
forme
décrite par Wernicke chez les alcoo- liques. Ce
sement; 2° de foyers inflammatoires décrits sous le titre de foyers
forme
il ; 3° de foyers inflammatoires forme B; 4° d'
rits sous le titre de foyers forme il ; 3° de foyers inflammatoires
forme
B; 4° d'une zone de dégénérescence autour des f
s mal définies du protoplasma cellulaire (Friedmann), mais sur la
forme
même du noyau de ces cellules. Ce dernier est trè
l'inflam- mation aiguë en général. 1 2. Les foyers inflammatoires
forme
A ne sont autre chose que ce qu'on a décrit sou
un avec les éléments de la paroi vasculaire ? : ' . 3. Les foyers
forme
B représentent le tableau fidèle de l'encéphali
dérer comme processus primitifs que les deux premiers; la troisième
forme
n'est que l'aboutissant des deux autres, partic
ogie NERVEUSE. que ces cellules constituent l'essence même de cette
forme
d'inflammation. Notre cas démontre que nous n'a
ntant pour cela les mêmes éléments qui caractérisent cette dernière
forme
. Jamais la prolifération des éléments névrogliq
foyers, spontanée, non suppurative et non hémorragique; 2° Celte
forme
d'encéphalite aiguë spontanée correspond à l'en
caractères anatomiques diffé- rents des premiers, tout en étant une
forme
atténuée. 456 psychologie. EXPLICATION DE L
précise '. Dans l'étude de ce phénomène nous trouvons toutes les
formes
de l'attention, depuis l'attention organique, aut
nce assez précise des premières nous éclairera sur le mécanisme des
formes
dites supérieures. Lorsqu'une image vient excit
cellules triangulaires différant des précédentes seulement par leur
forme
, leur plus grand volume, leur nombre plus grand
seconde et à la seconde qu'à la troisième période. 4. C'est dans la
forme
dépressive de la paralysie générale que le réfl
igine alcoolique, elles peuvent également se produire dans d'autres
formes
de trou blés mentaux. 1'. Keraval. XVII. Epil
uelques mots en rapport avec la question qu'on lui adresse, sous la
forme
de verbigération. Pendant l'angoisse elle répèt
sens moral faible, chez lesquels un mysticisme exa- géré donne une
forme
spéciale au délire ambulatoire dont ils sont po
et sont plus toxiques que celles des individus sains. Dans une même
forme
de maladie mentale, le coefficient REVUE D'AN
aigu ; i pal' CENI. (Riv. sp. di (l'en., fasc. IV, 1897.) Dans la
forme
de délire aigu, qui correspond cliniquement à c
testinale, et qu'ils ne peuvent avoir de valeur étiologique pour la
forme
morbide en question. J. SÉGLAS. LIV. Recherches
aline, qui revêtent en chimie des aspects très divers ont selon ces
formes
une action spéciale et distincte. Beaucoup d'al
OGIE PATHOLOGIQUES. 501 calleux; plus en arrière, la dégénérescence
forme
un dessin ver- tical à angle droit dans la subs
qui sont zigzagues, érodés. La résorption des granulations malades
forme
la vacuole, les mottes chromatiques intervacuo-
e d'étudier les modifi- cations d'un même type de cellules dans des
formes
variées d'af- feclion, et que, d'autre part, ce
primé un noyau atrophié. Ces cellules sont fréquemment réunies sous
forme
d'amas, ce qui permet de supposer un trouble lo
tres cellules, les minces corpuscules de Nissl sont disposés sous
forme
de tourbillons ayant le noyau pour centre. Quelqu
diculaire des cordons antérieurs. Chez l'homme ce système de fibres
forme
partie constituante du faisceau longitudinal post
rtiennent à un seul et même, système, qui change de situation et de
forme
aux diverses hauteurs de la moelle ; 9° La sect
rieures laisse après elle de l'ataxie. Toute différente que soit la
forme
de cette dernière suivant la variété de locomotio
association postérieure ; cette union est indispensable pour que se
forme
la conception du mot. A cette époque l'enfant c
dans le centre sensorio- moteur de l'écorce (région de Broca) et y
forme
la mémoire motrice d'articulation. A mesure que
isive du rôle de l'atavisme dans le crime. Or c'est bien sous cette
forme
, avec ce but d'utilité évidente pour le crimine
e viande de cochon, pensa que même sans enlever à ces dépouilles la
forme
humaine, on pou- vait arriver à les vendre pour
les-ci : « La réaction sociale pro- prement dite peut prendre trois
formes
: 10 celle de vengeance pu- blique, sociale et
un ordre de succession, de déri- vation régulière, entre les trois
formes
de réaction sociale. Et il assigne comme base à
Idées DE négation. Notes sur les - , par Trénel, 23. Imbécillité,
Formes
de l' -, par Thomson, 300. Impulsion tendant
inges, l'analogie singulière que présentent, dans tous ces êtres, les
formes
cérébrales. Le cerveau plissé de l'Homme et le ce
ne scissure de Sylvius enfermant un lobe central. Ainsi, il y a une
forme
du cerveau propre aux Singes et à l'Homme, et il
etrouve dans les exagérations de Cabanis, et semble renaître sous une
forme
nouvelle dans les travaux de MM. Purkinje et Vale
eter, à cet égard, dans des écarts infinis. Qui pourrait assigner une
forme
à ces contours indéterminés comme ceux d'un nuage
e trompe ; mais le travail de M. Tiedemann m'a toujours paru, sous sa
forme
anatomique en apparence , cacher une intention po
cerveau et va reparaître en bas, tout à côté du nerf optique, sous la
forme
du lobe de l'hippocampe (fig. 3, î, et fig. 5, i)
e perforé, mais à l'extrémité externe de cette marge antérieure. Elle
forme
successivement la lèvre antérieure, la lèvre supé
veau qui leur a servi de modèle était profondément affaissé; aussi la
forme
générale du cerveau est-elle rendue, dans leurs p
t de départ. § VII. LOBES ET plis DU CERVEAU DU callitriche. La
forme
du cerveau du Callitriche est trop irrégulière po
essous du lobe temporal s'unissant à ia face médiane de l'hémisphère,
forme
ce que nous appellerons la face interne de l'hémi
externe du champ olfactif. Elle se dirige transversalement en dehors,
forme
un coude, et, changeant de direction, sillonne la
ers séparés par deux sillons longitudinaux, réunis le plus souvent en
forme
d'H par un sillon transversal. Ces plis offrent d
Le pli temporal inférieur. Ce pli, situé au-dessous du précédent ee,
forme
le bord inférieur du lobe temporal et réunit le s
eur passe du deuxième pli ascendant au sommet du lobe postérieur ; il
forme
, en dehors, un coude fort remarquable i (fig. 2).
et du pli courbe. Il n'en est pas de même de la lèvre postérieure qui
forme
un des plis les mieux prononcés et les plus const
s. Ce pli, s'unissant à la lèvre antérieure au sommet de la scissure,
forme
avec elle ce que M. Foville a appelé dans l'Homme
amener; en effet, dans le cas dont il s'agit, la scissure de Sylvius
forme
un tel angle avec la partie supérieure du sillon
rgents ou convergents du noyau de l'encéphale. Cette ouverture a la
forme
d'un triangle à angles tronqués et arrondis. La
oire du développement cérébral est relatif à la mesure de l'angle que
forme
la scissure de Sylvius avec la ligne qui mesure l
toute son étendue, par la bandelette de la voûte à trois piliers; il
forme
le limbe de la couche corticale, dans toute l'éte
, et se termine, en arrière, au sommet du lobule quadrilatère. Ce pli
forme
, en avant, la marge de l'hémisphère ; il se réuni
occipital à la base du lobule quadrilatère. Ce pli est superficiel et
forme
une partie du bord supérieur de la scissure des h
en interne. Ce pli commence, en arrière, par une extrémité déliée, et
forme
dans toute son étendue la marge inférieure de la
éritent d'être signalées ; d'ailleurs, ce lobe conserve à peu près la
forme
qu'il a dans les Cercopithèques, il est plus long
ption leur convient également. Dans le Rhésus et dans le Maïmon, la
forme
générale du cerveau rappelle, à peu de chose près
faible à sa racine, mais à sa partie supérieure il se déve îoppe et
forme
un lobule assez grand. Ce caractère distingue à l
ssage; 2° La grandeur du deuxième pli de passage. Ce pli, en effet,
forme
un grand coude, descend, se relève, et vient se t
par des espaces immenses à la surface de la terre, différents par la
forme
, par la taille et peut-être aussi par les habitud
tion de l'alcool et des sels, a été préparé avec plus de méthode ; sa
forme
générale et les proportions relatives de ses part
aussitôt la branche descendante. Cette branche, large à son origine,
forme
un lobule de forme variable que divise, en sens d
e descendante. Cette branche, large à son origine, forme un lobule de
forme
variable que divise, en sens divers, une profonde
t les flexuosités singulières du pli supérieur de passage a. Ce pli
forme
un large pont entre le lobe pariétal et le lobe o
ur a servi de modèle ne leur a pas permis d'en apprécier la véritable
forme
. Placé dans des circonstances plus favorables, j'
it. Le cerveau du Troglodyte Chimpanzé diffère beaucoup, quant à sa
forme
générale, du cerveau de V Orang-Outang ; il est r
elle, qu'en se réunissant avec le bord antérieur du lobule frontal il
forme
un angle dont la saillie égale à peu près celle d
des flexuosités parallèles; mais, arrivé au-dessus du pli courbe, il
forme
un coude et s'étale en un large lobule qui se pro
ourbe, elle est très-grêle, à peine flexueuse, assez longue, et cette
forme
, qui s'éloigne de celle qu'on observe dans les Or
sité à les ranger dans le même genre, bien que la considération de la
forme
du crâne et du système dentaire eût pu faire déco
qui me manque par l'étude approfondie de deux moules représentant la
forme
de la cavité crânienne, le premier d'un Chimpanzé
'encéphale pris en masse, et permettent d'apprécier avec précision la
forme
réelle du cerveau. Ils permettent de constater,
ure, n'est point om/e comme celui de VOrang, mais presque elliptique,
forme
que rappelle celle du cerveau des Cynocéphales. A
ille de l'animal, beaucoup plus volumineux que celui du Gorilla. Sa
forme
, d'ailleurs, s'éloigne beaucoup de celle qu'on ob
ue. D'ailleurs le Chimpanzé paraît être, sous ce point de vue de la
forme
générale du cerveau, très-supérieur au Gorille, e
u des Cynocéphales et celui des Macaques; et ce fait, rapproché de la
forme
particulière du crâne des Gorilles, forme qui rap
et ce fait, rapproché de la forme particulière du crâne des Gorilles,
forme
qui rappelle, au premier abord, bien que sous des
e l'organisation, le physionomiste qui traduit les hiéroglyphes de la
forme
, proposent leurs hypothèses ; mais l'impossibilit
analogies. § XXIV. des plis cérébraux de l'homme. On connaît la
forme
du cerveau de l'Homme. La hauteur singulière, la
ce blanche, la régularité primitive disparaît, et, pour retrouver ces
formes
simples que nous présente le cerveau de la femme
ns ce point, présente, chez l'Homme, de nombreux replis dont la masse
forme
un lobule, souvent assez grand, qui remplit cet i
upérieure à nos yeux, si nous avions égard seulement à son type, à sa
forme
abstraite; si, calculant, dans cette harmonie, la
taux et reproduisant absolument, bien que sous un volume moindre, les
formes
que nous venons de signaler dans la Vénus hottent
ion de l'illustre M. Esquirol, j'ai retrouvé sur ces moules les mêmes
formes
plus réduites, plus simples, plus régulières enco
ont confirmées par une étude approfondie du cerveau considéré dans sa
forme
générale. Cette étude ne doit point être faite d'
que, dépouillé des enveloppes qui le soutenaient, il perd aussitôt sa
forme
naturelle. Aussi doit-on prendre, d'après les pro
tte empreinte, sauf un peu d'exagération dans le volume, reproduit la
forme
réelle du cerveau et permet d'apprécier de curieu
et permet d'apprécier de curieuses différences. En comparant ainsi la
forme
de l'intérieur du crâne dans la Vénus hottentote
à l'égard de la race blanche elle-même, qu'un sophisme dangereux. La
forme
sociale se perfectionne sans doute, les siences,
circonstances, ils demeurent néanmoins les mêmes en puissance, et la
forme
naturelle est invariable dans les siècles. Cett
e (au sud du Soudan) plusieurs espèces d'hommes caractérisées par des
formes
exceptionnelles. Les unes semblent confirmer Topi
les systèmes organiques. Dans tous ces systèmes, la suffisance d'une
forme
inférieure implique l'infériorité du type zoologi
cependant FOrang ne « parle pas. Le cerveau est absolument de la même
forme
et de la même proportion , et il ne pense pas. Y
terne sont faciles à reconnaître. La scissure perpendiculaire interne
forme
un angle droit avec la scissure des hippocampes,
ur manque; Le deuxième pli de passage, né du sommmet du pli courbe,
forme
un coude Irès-sensible et remonte jusqu'au sommet
xterne du cerveau a également une physionomie propre due surtout à la
forme
singulière du lobe occipital. Outre le cerveau
le, au premier abord, de les grouper dans la même catégorie. Par sa
forme
générale, ce cerveau rappelle assez bien celui de
ment excessif. Il semble nous dire que de la similitude apparente des
formes
extérieures on ne peut conclure à la similitude a
de la dégradation des plis cérébraux dans les Singes américains. Sa
forme
générale conserve le caractère qu'elle a dans tou
ital recouvre la totalité du cervelet. Ainsi, au point de vue de sa
forme
, de la proportion de son volume avec le corps tou
cisures, et la surface du cerveau est tout à fait unie. D'ailleurs sa
forme
générale ne se distingue en rien de celle du cerv
érisé par l'absence ou par la présence de plis cérébraux, mais par la
forme
intrinsèque du noyau cérébral et des hémisphères,
uite de degrés parallèles à ceux de l'échelle zoologique, passant des
formes
inférieures à des formes plus parfaites, et réali
à ceux de l'échelle zoologique, passant des formes inférieures à des
formes
plus parfaites, et réalisant ainsi d'une manière
Un pareil cerveau est, sous le rapport du développement général de la
forme
comme au point de vue de sa constitution his-tolo
e, très-inférieur à un cerveau d'Ouistiti. Il n'est point arrivé à sa
forme
définitive, bien loin de là; et cependant, malgré
ts sont I*" le développement histologique ; 2° le développement de la
forme
générale ou première ; 3° le développement des fo
eloppement de la forme générale ou première ; 3° le développement des
formes
accessoires surajoutées ou secondaires. En d'autr
avons à considérer à la fois les éléments anatomiques du cerveau, sa
forme
générale et ses plis. Pour que deux cerveaux so
e partielle ne peut résulter l'idée d'une ressemblance totale, car la
forme
générale du cerveau d'un foetus humain diffère al
dis-je ? le cerveau lisse d'un Ouistiti est complet et achevé dans sa
forme
générale, dans l'évolution de ses éléments anatom
mps avant d'être parfait dans sa constitution histologique et dans sa
forme
générale, le cerveau du foetus humain présente dé
a considération de ce système isolé, certaines concordances entre les
formes
d'un fœtus de mammifère d'un certain âge et celle
existence actuelle, mais par lesquels il doit vivre un jour sous une
forme
nouvelle. Ainsi, durant toute la vie fœtale, le p
scissure de Sylvius. On distingue aisément 1** le lobe frontal, qui
forme
l'extrémité antérieure de l'hémisphère. 2" Le lob
-sphénoïdal, situé au-dessous d'elle. 4° Enfin le lobe occipital, qui
forme
l'extrémité postérieure de l'hémisphère, et qu'un
rémité du pli frontal supérieur. 2" Le deuxième pli ascendant. Ce pli
forme
un coude à sa partie supérieure, se dilate plus o
re tous les deux cachés sous le bord antérieur du lobe occipital, qui
forme
alors, au-dessus de la scissure perpendiculaire,
partie postérieure, le pli de la zone interne se relève, s'élargit et
forme
le lobule quadrilatère dont les plis, quand ils e
u précédent, se confond avec le pli temporal inférieur externe, et ne
forme
, avec lui, qu'un seul pli, pli temporal inférieur
l, singulièrement refoulé, s'incline en arrière, et prend ainsi cette
forme
triangulaire qui est si remarquable dans l'espèce
à celui de l'Ouistiti vulgaire, les seuls dont j'aie pu restituer la
forme
d'après l'empreinte intérieure du crâne qui les c
ans l'alcool, ne peuvent exprimer que d'une manière très-éloignée les
formes
naturelles. b. Du lobe pariétal. Le lobe pari
ébraux. Mais, quels que soient ces mouvements, ces oscillations, la
forme
générale du cerveau demeure souvent à peu près la
Dans ces derniers temps, la crânioscopie a pris, en Allemagne, une
forme
et des allures plus scientifiques. On a pris cert
s de leur surface; mais il n'en est point ainsi. La boîte crânienne
forme
une vaste et libre cavité. C'est une voûte sous l
a dianoia de tout animal, (le tout individu, se développera, sous une
forme
spéciale, avec un caractère particulier. Ainsi,
fois résolue de deux manières : 1** En observant attentivement les
formes
intellectuelles, les moeurs des animaux, et en me
ier 1895. ? 95. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. D'UNE
FORME
HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAUD ` ET DE L'É
Ils peuvent devenir prédominants. Aussi a-t-on'pTi'tuFdécrire une
forme
vaso-motrice (hystérie vaso-motrice). Il est de n
i existent entre les deux affections. Ils permettent de séparer une
forme
hystérique de la maladie de Raynaud et de l'éry
servation. Maladie de Raynaud à la deuxième période, affec- tant la
forme
d'état de mal asphyxique, survenue et la suite d'
été prise sous ma direction par M. Turque, externe du service. °
FORME
HYSTÉRIQUE ET ER.YTHROMELALGIE. 3 à quinze ans,
tion normale se succédèrent ainsi régulièrement et c'est seulement
FORME
HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE- S, au bout de ce
région frontale une céphalalgie assez légère, mais persistante sous
forme
constrictive. La pression provoque une légère d
res très apparentes surtout au pli du coude, qui circonscrivent des
formes
géométriques ou irrégulières, FORME HYSTÉRIQUE
coude, qui circonscrivent des formes géométriques ou irrégulières,
FORME
HYSTÉRIQUE ET ÉRYTIiR0111ÉLALGIE. 7 comprenant
rande impression sur son esprit, et elle a peur de ne pas guérir.
FORME
HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 9 Vu les phénomè
elle recevait des lettres de son mari qui étaient toujours cause de
FORME
HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE. il chagrin. D'au
es menstrues revenant 2 fois par mois.... 12 CLINIQUE NERVEUSE.
FORME
HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 13 ventre. Elle
de vue. La même remarque s'applique aux cas d'érythromélalgie, au
FORME
HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 15 nôtre en part
oir ; il avait un pardessus garni de fourrure et un chapeau haut de
forme
. M. Grévy, d'ailleurs, était souvent venu à Joinv
quisition soup- çonneuse. La seconde, ouverriiel.tlieit primitive à
forme
amoe- nomaniaque, serait au contraire constitué
ent du désordre extrême de l'intelligence, et elle en fait, sous la
forme
d'entité morbide, la confusion mentale hallu- c
ais, attribue à la dégénérence mentale une notable influence sur la
forme
des psychopathies, décrit parmi les psy- chonév
tique.pleine.et entière, pure. Lemécanisme intellectuel est dans sa
forme
épargné ; le malade juge et conclut d'après des
e terme de Wahnsinn comme synonyme de paranoïa, dont il admet trois
formes
une forme aiguë une forme chronique une forme s
hnsinn comme synonyme de paranoïa, dont il admet trois formes une
forme
aiguë une forme chronique une forme stupide (id
ynonyme de paranoïa, dont il admet trois formes une forme aiguë une
forme
chronique une forme stupide (identique à la cat
dont il admet trois formes une forme aiguë une forme chronique une
forme
stupide (identique à la catatonie de Kahlbaum).
- tions du délire systématique chronique sont tout simplement des
formes
du Wahnsinn hallucinatoire aigu. M. Schuele n'a
identiques, sont donc alors adéquats aussi à Verrücktheit, dont la
forme
origi- nelle est une espèce, ainsi que le délir
lapsus. dans la confusion mentale hallucinatoire, et dans certaines
formes
du délire hallucinatoire (hallucinatorischer Wa
et des anomalies de l'hu- meur : le malade est tout désorienté. La
forme
aiguë se déve- loppe très vite, évolue favorabl
nsidère comme entendues malgré lui et non direc- tement. Quant à la
forme
chronique, elle se distinguerait dé la folie sy
x A côté de cela, M. Salgô voit dans la folie par obsessions une
forme
abortive de folie systématique, dans le sens de
membres inférieurs, mais ne peuvent se tenir debout ni marcher. Le
forme
la plus fréquente est la forme paralytique avec
uvent se tenir debout ni marcher. Le forme la plus fréquente est la
forme
paralytique avec forte diminution ou suppressio
u système nerveux périphérique. Dans la névrite aussi, il y a des
formes
bénignes etdes formes malignes; les premières gué
riphérique. Dans la névrite aussi, il y a des formes bénignes etdes
formes
malignes; les premières guérissent, les seconde
session que sa femme le trompe. Ils concluent qu'en raison de cette
forme
du délire des persécutions, ce persécuteur n'est
ral de dysbasies. Le terme d'abasie, créé par P. Blocq, désigne des
formes
symptomatiques bien définies; on ne saurait l'é
matiser, à se coordonner, à s'enchaîner, peut se traduire par cette
forme
de l'agitation qui peut, à bon droit, s'ap- pel
Westphal. Ici iln'y a pas d'affaiblissement intellectuel quanta la
forme
de l'idéogénèse; le fonctionnement mécanique re
ucinatoriscfier Wahnsinn). c Le délirium tre- mens, surtout dans sa
forme
prolongée, doit être tenu pour le type de ce dé
4errüclctheit) . Mais, entre ces deux groupes, il faut admettre des
formes
mixtes, par exemple la folie systématique primi
qui résume les différents tableaux morbides envisagés suprà. Il en
forme
une maladie, la paranoïa, qu'il divise en paran
exerçant une influence constante sur le tableau morbide. Ces deux
formes
sont tantôt aiguës, tantôt chroniques. La paran
ut y voir principalement un syndrome secondaire consécutif aux deux
formes
précédentes de la folie systématique, Wahnsinn
alorische l'e),zviî,2,theil) dont nous avons touché un mot dans les
formes
violentes de manie; quand celles-ci passent à l
'émotion du malade impressionné ou non par ses idées délirantes, la
forme
et les allures des hallucinations senso- rielle
e et ses relations effectives DE LA. PARANOÏA. 99 avec les autres
formes
de la paranoïa, s'explique d'elle-même, puisque
iehen examine ensuite la rapide succes- sion des idées qui, sous la
forme
de galop, se produit d'emblée à l'état de sympt
fait l'état du sentiment qui ne paraît pas atteint. Mais il y a une
forme
spéciale de paranoïa, dans laquelle cette incoh
les hallucinations peuvent apparaître à l'état intercurrent dans la
forme
de paranoïa où domine l'in- cohérence. C'est un
lucinatoire aiguë. Il convien- drait enfin d'admettre une troisième
forme
principale de para- noïa, la paranoïa simple av
wirrtheit les idées délirantes, polychromes, n'ont du délire que la
forme
, elles ne sont pas agencées, cons- truites, et
de la confusion mentale. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE. D'UNE
FORME
HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAUD ET DE L'ÉRY
l'intensité de la maladie. 1 Voir Archives de Neurologie, n° 95.
FORME
HYSTÉRIQUE ET ÉltYT11ROlÉrALGIr. '103 Le diagno
ce et ont donné les résultats suivants : 104 PATHOLOGIE NERVEUSE.
FORME
HYSTÉRIQUE ET EItY1'H11,0111ELALGIE. 105 106 PA
stérie sera plus souvent observée encore. ' Thèse, Paris, 1887.
FORME
HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 'ICI Ce que nous
propose l'introduction dans les cadres nosologiques d'une nouvelle
forme
d'hystérie, la forme vaso-motrice intermittente
dans les cadres nosologiques d'une nouvelle forme d'hystérie, la
forme
vaso-motrice intermittente. Au cours des accès de
u de l'idée fixe subconsciente. 1 Revue de l'hypnotisme, t. IV.
FORME
HYSTERIQUE ET Î.ftYTHR0 : 1ZFLALGIE. Il 0 'q Da
de gangrène symétrique des extrémités pendant un hiver rigoureux.
FORME
HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÈLALGIE. 'Ill longés. Bic
rs. Cette malade fit plus tard de la contracture presque subite ,
FORME
HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHR011fÉLALGIE. 113 des doigts
soutien. L'auteur, après avoir exclu le mal de Pott, à cause de la
forme
particulière de la déformation, l'absence delà
, l'absence delà douleur à la percus- sion de l'épine dorsale et la
forme
de la paralysie, se croit autorisé à considérer
s publiés récemment par Bechterew, il émet l'idée qu'à côté de la
forme
classique de la pachyméningite cervicale hyperlro
ngite cervicale hyperlrophique, il faut donner place à une nouvelle
forme
, qui se caractériserait ana- tomiquement par un
rations de la sensi- bilité. Les phénomènes paralytiques dans cette
forme
de la maladie seraient dus à la lésion des raci
ande entité morbide étiologiquement bien défi- nie, la lèpre et ses
formes
atténuées, entité qui dans son ensemble prendra
tes chroniques; 2° les myélites aiguës dont on peut distinguer deux
formes
: a, la forme nodulaire ; 6, la forme infiltrée
2° les myélites aiguës dont on peut distinguer deux formes : a, la
forme
nodulaire ; 6, la forme infiltrée ou diffuse.
dont on peut distinguer deux formes : a, la forme nodulaire ; 6, la
forme
infiltrée ou diffuse. L'observation rapportée
ifestations convulsives comme celles qu'on rencontre dans certaines
formes
de l'urémie. J'en trouve la preuve dans l'exist
usieurs années, constalé la fréquence de l'albumine dans, certaines
formes
de la paralysie générale, et aussi l'hypotoxicité
les simples, non compliquées de notre classification, admettent des
formes
de transition de toute sorte, formes intermédia
classification, admettent des formes de transition de toute sorte,
formes
intermédiaires de Jolly, de même que les épisodes
ndel) ? M. Jolly croit que dans les phénomènes aigus, il y en a une
forme
déli- rante et une forme systématisée. Entre le
e dans les phénomènes aigus, il y en a une forme déli- rante et une
forme
systématisée. Entre les deux il y aurait des fo
- rante et une forme systématisée. Entre les deux il y aurait des
formes
mixtes, et le même individu passerait alternative
sychoses fonctionnelles simples non compliquées, on se heurte à des
formes
intermédiaires, très voisines du Wahnsinn de Kr
émence aiguë. Chacun de ces groupes est rattaché au suivant par des
formes
de transition, dans un sens ou dans l'autre, su
ent chez les mélancoliques, etc. Le second groupe se relie, par les
formes
aiguës, aux délires fébriles et aux délires tox
x qui ne lui appartiennent pas. Si par exemple nous envisageons les
formes
aiguës et les formes chroniques du groupe paran
nnent pas. Si par exemple nous envisageons les formes aiguës et les
formes
chroniques du groupe paranoïa, il y a un certai
sychiatres paraissant avoir considéré la division de la paranoïa en
formes
simples et formes hallucinatoires comme la plus
t avoir considéré la division de la paranoïa en formes simples et
formes
hallucinatoires comme la plus opportune (Mendel)
(Mendel) ; du moins est-elle admise sans grande objection pour les
formes
chro- niques de la paranoïa. Quant à la paranoï
serait à désirer qu'on établit les élé- ments cliniques de ces deux
formes
. Le même travail est encor SOCIÉTÉS SAVANTES. 1
. Il est indubitable que chaque auteur a en vue, dans l'espèce, des
formes
psychopathiques tout à fait dis- tinctes ; pour
étés de secours mzctuels, 4861); De la paralysie générale ci double
forme
(Congrès international de Médecine mentale, 187
bles gastriques imputables à ces deux causes se présentent sous des
formes
diverses de dyspepsie. il semble qu'il existe u
relation entre ces troubles etles variétés de lypémanie : dans les
formes
dépressives, la dispepsie aslhénique semble dom
dans la forêt du Mans, le 5 août 1392 ; folie qui dure trente ans.
Forme
des rémissions : confusion mentale, comme on po
entif, mais sans manifester d'émotion. PATHOLOGIE NERVEUSE. D'UNE
FORME
HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAUD ' 1;T DG L'
nous ayons intérêt à aborder la question'. 13. - IL EST CERTAINE
FORME
D'ÉRYTHROMÉLALGIE QUI EST PUREMENT HYSTÉRIQUE.
biles. Le maxillaire supérieur est proéminent. L'oreille gauche, de
forme
triangulaire à base supérieure, est mal ourlée.
ce travail dans les conclusions suivantes : A. -1° Il est certaine
forme
de maladie de Raynaud qui est purement hystériq
olyurie; 4° La gangrène est vraisemblablement possible dans cette
forme
; 5° Les exemples de maladie de Raynaud chez les
hez deux soeurs, chez un père et sa fille. 13. - 6° Il est certaine
forme
d'érythromélalgie qui est pure- ment hystérique
asègue, qui en 1852 a décrit le délire des persécutions, et que les
formes
chro- niques de la paranoïa ont été magistralem
ères classes de dégénérés de Morel compren- nent presque toutes les
formes
qui plus tard ont été décrites sous le nom de d
tématisés primitifs. - A la même catégorie appartiennent encore les
formes
de folie avec prédominance du délire des grande
x névroses ; les délires par lésions organiques de l'encéphale; les
formes
délirantes élémentaires telles que la manie et
Telle est la synonymie française, reconnue par les Alle- mands, des
formes
chroniques du délire systématisé ou paranoïa ch
sé ou paranoïa chronique. Ils considèrent, qu'en ce qui a trait aux
formes
aiguës de la Paranoïa, c'est le récent travail
lui, le nom de confusion mentale primitive. Il la définit : .« une
forme
de maladie mentale, aiguë ordinairement, qui n'
doit être séparée de ce qu'on appelle la dégénérescence. C'est une
forme
intermédiaire entre les psychoses et les folies
écrite en France, en ajoutant primitive afin de la distinguer des
formes
où il y a aussi confusion, mais secondaire. Chasl
ourg dans sa séance du 5 avril '1886 (p. 176). Elle comprend treize
formes
: la mélan- colie ou folie sombre, la manie, -
es dérangements psychi- ques, j'ai en vue : 40 d'appliquer à chaque
forme
de dérangement mental une dénomination définie;
ion définie; 2° de fournir une classirica- tion satisfaisant par sa
forme
essentielle aux nécessités de la clinique. Le
ire primitif rapide dans son apparition et sa disparition. Ces deux
formes
-là se rapprochent beaucoup de l'amenlia déliran
st l'obnubilation de la conscience ; la paranoïa aiguë est donc une
forme
de transition entre la paranoïa chronique et l'
t dépressif et l'angoisse, le délire de- meure et s'organise. Les
formes
mixtes sont représentées par les observations d
les commémoratifs d'une personne chez laquelle-on soupçonne une des
formes
dégénératives héréditaires, il cherche avec soi
ment de près, et quisontréunis les uns aux autres par de nombreuses
formes
de transition et par des cas mixtes, types auxq
L'observation présentée par l'auteur est un nouvel exemple de cette
forme
de gangrène massive des extrémités, d'origine név
ité de ces agents toxiques serait en rapport avec les diffé- rentes
formes
cliniques de la paralysie générale. Quant aux p
les symp- tômes cérébraux que comporte cette intoxication dans les
formes
légères, et chez laquelle, brusquement, est app
es, et chez laquelle, brusquement, est apparu un délire d'une autre
forme
, faisant songer à un délire fébrile. Ce délire ai
ait permis de supposer que ce délire à début brusque, apyrétique, à
forme
12 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. maniaque, auq
celui de se procurer et de boire de l'alcool, quelle qu'en soit la
forme
; ceux que la police ramasse fréquem- ment dans
e n'est pas une affection purement locale, puisqu'elle engendre une
forme
spéciale de rhumatisme. Dans le numéro d'avril
sieurs cas de folie consécutive à l'infection blennorrhagique : les
formes
que revêt cette folie sont le plus souvent la s
ît certain, à l'heure actuelle, que la paralysie générale, dans ses
formes
typiques, peut être consécutive à une syphilis
re ; 3° parmi les psychoses ainsi transmises, la folie systématique
forme
le principal contingent; 4° la folie du contami
ont même jamais. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 219 C. A côté de la
forme
précédente à laquelle on peut donner le nom de
tués et, atteignant leur maximum d'intensité, se présentent sous la
forme
de véritables impulsions. En regard de ces impu
-vis des motrices; souvent même elles ne se présentent que sous une
forme
élémentaire ou commune. 4° En revanche, les hal
ordinaires chez ces malades, à l'inverse de ce qui se passe dans la
forme
sen- sorielle et, de plus, les visions du malad
aussi rencontrer chez ces malades des idées de persécution sous la
forme
ordinaire. Le diagnostic peut se faire : a. ave
. M. CIIRISTIAN fait une communication sur les attaques épilepti-
formes
dans la paralysie générale. Il n'est point part
Hesse, afin qu'on introduise les matières de la psychiatrie sous la
forme
d'un examen spécial (voy. Centralbl. f. Nervenh
re soumis aune surveillance continue. 4. Pour contenir ces diverses
formes
morbides il faut au moins deux quartiers séparé
acée. L'alcool est toujours nuisible, dans l'épilepsie et certaines
formes
de ladémence congénitale avecactesimpulsifs, il e
inquante à cinquante-six ans, c'est-à-dire à un age de la vie où la
forme
typique de la confusion mentale (Ve7,wo7-i-enhe
pas avec les cas dont il a été question. Comment distinguer cette
forme
de confusion mentale halluci- natoire aiguë de
ne âge, et l'autre à l'époque de la ménopause, ou bien ce sont deux
formes
différentes par l'aspect d'une même maladie mod
délire initial de la fièvre typhoïde parait se présenter sous deux
formes
différentes. La première forme ressemble aux idée
hoïde parait se présenter sous deux formes différentes. La première
forme
ressemble aux idées délirantes comparées aux rê
ohérents, confusion complète des idées qui rapproche cette première
forme
de la seconde. La seconde forme, en effet, se t
idées qui rapproche cette première forme de la seconde. La seconde
forme
, en effet, se traduit par une absolue confusion
ur famille et doivent être brûlés). Un trait commun réunit ces deux
formes
: c'est l'obtusion intellectuelle intense qui met
incohérente du paralytique général ne se tra- duit pas par la même
forme
de stupeur, il a une certaine liberté 234 SOCIÉ
ais ceci ne se révèle qu'à la limite de la perceptibilité, sous une
forme
floue et indistincte. Plus l'altération progres
ntes de négation, aussi bien dans la mélancolie que dans les autres
formes
d'aliénation mentale. Suivant que ces idées délir
aliéné au point de vue physique, délaissant presque complètement la
forme
d'aliénation mentale. De cette recherche découl
que les vertiges et les accès ne se présentent pas toujours sous la
forme
isolée, il est fréquent de les voir se grouper
que toute manifestation épileptique quelle que soit sa nature ou sa
forme
, vertiges, accès, trouble mental ou accidents l
e, avec de la céphalée et un malaise général qui peuvent revêtir la
forme
d'une violente migraine. Mais en tout cas, il y
(Analyse suivante). , 274 CLINIQUE j MENTALE. se,présente,sous,
forme
d'un magma ou dune poudre brunâtre, ayant ^ne,
isées que M. Ma- gnan lui a attribuées depuis pour caractériser une
forme
en- core plus tenace, successivement appelée pa
allemandes et étrangères; l'état symptomatique. · A côté de cette
forme
, il en est, sans nul doute, une troi- sième, qu
des trois types spéciaux. Bien mieux, suivant lui, il existe des
formes
initiales, mitigées et exagérées de chacun de ces
usion mentale susceptible aussi bien de se montrer seul que sous la
forme
de symptôme dans les deux autres. Pourquoi do
torique, des analogies 'qu'avaient trouvées les 'auteurs entre lés'
formes
de toute 'variante' qu'ils ont dû se représente
tandis qu'il place dans les dégénérescences mentales justement les
formes
chroniques, c'est-à- dire qu'il fait précisémen
aiioïa dege7 ? ci,(ttiva), n'envisagent la plupart du temps que les
formes
chroniques. Or l'évolution chronique type est u
tia de Meynert, Wille, Chaslin, il ne- parle en réalité que de deux
formes
de paranoïa. 1° La forme chronique ou verrüclct
in, il ne- parle en réalité que de deux formes de paranoïa. 1° La
forme
chronique ou verrüclctheit de Krafft-Ebing, ou
ppliquée par Kirchhoff à la folie systématique en général). 2° La
forme
aiguë : Elle serait au demeurant la Verwirrtheit
n).'1' Orch'ansky 'identifie1 'encore = davantage' entre elles les'
formes
aiguës' de trouble paranoïque fquand il dit que
our de la confusion mentale et le délirium tremens grave pour une
forme
suraiguë de confusion mentale. On peut accuser de
erstner, M. Briand). Les séniles font les frais aussi de toutes les
formes
de para- noïa, de même que de celles de la mani
a- nies à la suite de .traumatismes sont, également diffus; les..
formes
en sont mixtes. ,| , ., 1,1 A. ., .-j La .paran
guës fébriles. '' " ' lf'l l Il'est intéressant de présenter "sous,
forme
de tableau les points principaux du diagnostic
ans laquelle il est fait la part des trois types de pa- ranoïa, des
formes
de transition (inclassables suivant les méde- D
di Torino, 1883, p. 210.) ÂMADEi et Tonnini. La paranoïa et le site
forme
. (Archivio ita- liano per le malattic nervose,
ne fente plus ou moins allongée : les cellules épithéliales ont des
formes
assez irrégulières. Leur sommet, correspondant
ous du revê- tement épithélial, même lorsque celui-ci a conservé sa
forme
ty- pique, une disposition canaliculaire des él
erminé une excavation de un pouce de profondeur. La tumeur était de
forme
globuleuse, du diamètre de 4 centimètres enviro
auteur du mémoire qu'une variété de cerveau normal; ces variétés de
formes
n'impliquent point une anomalie de foiieLioliii
hénoïdale du plan Incliné à pic de de Krafft- Ebing. En réalité les
formes
et surfaces de ce plan (clivus) sont multiples.
endue de 1,2 à 1,5 centimètre (2 femmes); trois cas d'hyperostose à
forme
de tubercule ; enfin des diminutions de consist
s émotions et des passions ? En cas d'affirmative, quelles sont les
formes
de représentation affectées par ces souvenirs ? Q
ssaye de résoudre. Il y a 310 REVUE 'DE PATHOLOGIE MENTALE ? deux
formes
distinctes'de mémoire : la mémoire dite de conser
es facultés intellectuelles; lorsque la confusion mentale revêt une
forme
mélancolique, c'estàla suite d'hallucinations, de
atlièse acquise ou de la diathèse héréditaire; c'est cette dernière
forme
que rencontrent le plus souvent les aliénistes
types simples de>folie; le trouble mental le plus commun est une
forme
tranquille, subaigûë ou chronique sans excitati
en a publié un très bel exemple. Leur parole reste cohérente en la
forme
et courante, mais les propositions sont à peine
s'appuient sur des mots courants; ils revêtent presque toujours la
forme
de mots^ étrangers som.res. Ces malades ne vous
ivent. Il est impossible de trouver d'idées délirantes revêtant une
forme
saisissable. Ils seraient plutôt gais et contents
endant plusieurs lustres. Il est plus que probable que c'est là une
forme
particulière des pro- cessus dégénératifs qui c
toutes les pensées qui lui viennent, nous sommes en présence de la
forme
la plus légère de i'Jdee ! <c/t. C'est parce
utile du travail intellectuel. '' ' I M. H. DEiiio. De certaines
formes
de folie périodique. - Il existe des folies'pér
u moyen, d'électrodes, et cela aussi profondément que toute autre
forme
d'électricité ; naturellement, on peut aussi la l
terrompu. Il aurait une action très supérieure à celles 'des autres
formes
d'électricité, parce qu'en raison de l'énorme t
t. Puisqu'il n'y a pas de lésions, il s'agit, en pareils cas, d'une
forme
morbide toute particulière, d'une paralysie bulba
t, suivre pas à pas la technique, con- naître exactement toutes les
formes
de cellules, leurs altérations, et les causes d
bureaux du Progrès Médical. Lépine (R.). -Sur un cas d'hystérie ci
forme
particulière. Bioclitire. in-8° de 16 pages. Pa
thénie. Je veux parler du travail de MM. Déjerine et Vialet sur une
forme
spéciale d'hé- mianopsie fonctionnelle dans la
ue, février 1894, p. 121.) UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. 341
forme
hystérique. Les idées fixes constituent dans la p
lois. Une même idée chez le même malade peut passer par ces trois
formes
, il est. bon, sans doute, de les distinguer; mais
aissent pas de souvenirs nets; ou bien elles se manifestent sous la
forme
de phénomènes subconscients qui se développent
t à désigner ce groupe de phénomènes sous le nom « d'idées fixes de
forme
hystérique ». Les idées fixes de la malade que
malade que je vous décris se présen- taient de cette' manière sous
forme
d'attaques extrêmement curieuses, ! de somnambu
mentaux-qui; avaient disparu depuis longtemps-réapparurent sous une
forme
"au.moins singulière ? La rriâladelviïltse plain
phénomène qui a été jusqu'ici peu observé, la détermination d'une
forme
du champ visuel par l'idée fixe. Si cette expli
ij ifi pii;,«iwi t\> -ttttit ? gulièrement, des contractures» de
forme
étrangères paresies. "' .- ? Jw u r= · un ? ? M
o"m"])"e a la renverse. Sur, la droite, on voit une énorme plaie de
forme
longitudinale allantljûsqit'àr'l'épicrârië; fét
oubles moteurs qui peuvent, comme nous l'avons déjà dit, revêtir la
forme
d'une hémiplégie également passagère, mais elle
ue fait penser à la diplégie cérébrale (maladie de Little) dans ses
formes
tardives ou tabès spasmodique de Erb et Charcot
e) dans ses formes tardives ou tabès spasmodique de Erb et Charcot,
formes
de l'adulte. On sait en effet depuis les recher
lexe de la maladie. Il, On sait que souvent la chorée même dans des
formes
graves 's comme celle-ci guérit spontanément, a
lles sur le bras et l'épaule malades. En somme, bien que toutes les
formes
de monoplégies hysté- riques soient possibles,
non seulement à la singu- larité mais encore à la grande variété de
formes
sous lesquelles se 'manifestent les contraction
XLYI11. Athétose double; par les D5 BRISSAUD et Hallion. Certaines
formes
de l'athétose double et de la chorée chronique
ns l'été de 1886. L'auteur conclut à l'hystérie. P. K. XXXIV. DES
formes
DE l'aliénation mentale QUI ONT déterminé LES p
andis que la syphilis ne joue aucun -rôle important dans les autres
formes
de psychoses; 3° la paralysie progressive, qui
ce secondaire pour la paralysie progressive ; 6° parmi les diverses
formes
de la paralysie générale, la forme maniaque est d
ressive ; 6° parmi les diverses formes de la paralysie générale, la
forme
maniaque est de beaucoup la plus fréquente, pui
la forme maniaque est de beaucoup la plus fréquente, puis vient la
forme
démentielle, et finalement la forme mélancoliqu
a plus fréquente, puis vient la forme démentielle, et finalement la
forme
mélancolique ; 7° le pronostic n'a été dans auc
dans les psychoses intellectuelles aiguës à ferme stupide, dans les
formes
très graves de la manie, dans la mélancolie, dans
sidérablement élevée. Il n'y pas de différence essentielle entre la
forme
stuporodépression, et la forme exaltée avec exa
s de différence essentielle entre la forme stuporodépression, et la
forme
exaltée avec exagération de l'idéo-enèse : seul
énéral un peu plus basse dans l'a première que dans la dernière. La
forme
incohérente est marquée par des oscillations di
que on constate de semblables irrégularités oscillant comme dans la
forme
précédente, mais ces irrégularités y sont non-s
lle s'accompagne de grande incohérence, peut-être aussi des maintes
formes
de débilité mentale congénitale et acquise ; 10
sibles. Arrêté pour délit de grivellerie et en proie à un délire de
forme
ambitieuse, il fut séquestré en 1893. Deux mois
seize ans qui vient d'être lue, ne doit-elle pas, à raison de cette
forme
obsé- dante de dire certaines paroles et du tic
. Rabbas, Siemens, Sommer, Warschauer. La société se tiendra sous
forme
de congrès une ou deux fois par an ; elle rayonne
aiguë d'Esquirol, « confusion mentale », constitué en effet une des
formes
complexes de l'aliénation mentale' Tantôt elle
ques. 406 bibliographie. classiques, à la suite de telle ou telle
forme
d'aliénation dans laquelle on l'observait. Tant
et c'est l'opinion de notre con- frère, on l'a considérée comme une
forme
spéciale ayant ses carac- tères propres, anatom
ve, en 1843, fait remarquer que la stupidité est admise - comme une
forme
particulière caractérisée par l'inertie; il n'ac-
llarger, d'autres, avec Delasiauve, ne voulurent pas accepter cette
forme
comme une variété du délire mélancolique. Ce de
e symptomatique, une autre épisodique, une enfin essentielle ; la
forme
épisodique se produirait passagèrement, par exemp
une mélancolie simple à la suite du refus prolongé d'ali- ments, la
forme
symptomatique étant celle des délires toxiques,
brales, de l'urémie, de l'albuminu- rie, de la glycosurie, etc.. La
forme
essentielle, primitive, dont il 408 bibliograph
clut de la manière suivante : « On peut admettre l'existence d'une
forme
de trouble menlal dans laquelle le symptôme psych
n appelle la mélancolie avec stupeur. La description des di- verses
formes
que présente cette affection est fort intéressant
es Allemandsont désignésous le nom de acute V6f ? ? ? </tett une
forme
complète et moyenne caractérisée principalement p
ypés, bizarres, des impulsions su- bites. On trouve pour les autres
formes
d'aulres particularités, tantôt, c'est le troub
itée et stupide ; si c'est l'état somatique qui prédomine, on a les
formes
qui simulent le mieux une maladie infectieuse e
simulent le mieux une maladie infectieuse et que l'on peut appeler
formes
typhoïde ou méningitique. bibliographie. 409
els sont le délire de collapsus (collaps delirium de Kraepelin), la
forme
chronique désignée par Meynert sous le nom d'Am
e nous analysons, c'est l'état de confusion se manifestant sous les
formes
les plus variables. Si cet état est très peu ma
ctuelle hallucinatoire prend un développement marqué, on a enfin la
forme
que l'on peut désigner sous le nom de confusion
e sont occupés de cette question et qui ont essayé de classer cette
forme
de maladie; les discussions auxquelles elle a d
en suffit à la sur- veillance des moindres recoins; mais sous cette
forme
de glacis la cour revêt forcément une apparence
Nous avons été frappés de l'analogie qui existe entre les diverses
formes
de l'épilepsie et les intoxications; les points
sont nombreux et méritent d'attirer l'attention. Tout d'abord, la
forme
que revêtent les accidents épilep- tiques n'est
d, la forme que revêtent les accidents épilep- tiques n'est pas une
forme
commune; voilà des symptômes qui se présentent
s une forme commune; voilà des symptômes qui se présentent sous une
forme
critique. Ce sont des accès, des crises d'épile
a pris fin, le malade ne présente plus rien de particulier. Cette
forme
critique ne nous semble pas pouvoir s'accorder
t pouvoir établir que la scopolanine agit bien dans les différentes
formes
de convulsions, car dans ses onze expériences a
r l'étincelle négative est plus forte; 2° qu'elle n'a pas la même
forme
. La courbe du pôle négatif s'élève brusquement su
et rendre ces sujets violents, moroses ou mélancoliques, suivant la
forme
initiale de leur névropathie. L'addition de sub
sions de ce mémoire sont les suivantes : 1° L'hétérophorie sous une
forme
quelconque, latente ou mani- feste, peut être d
marques SUR LES EFFETS DE l'alimentation thyroïdienne DANS QUELQUES
FORMES
D'ALIÉNATION MENTALE; par LE'1S-C. PRUCE. . (Tl
eux maître de la chirurgie fran- çaise. Camuses. XXV. DE quelques
formes
DE l'intolérance DE l'alcool ET DE SON pronosti
; il ajoute un schéma qui doit expliquer l'association complexe qui
forme
cette représentation; un centre primaire serait
pensée se déroule dans un ordre logique, l'as- sociation revêt une
forme
que l'auteur appelle par étape ou cen- tralisée
che d'être unique- ment métaphysique. Lorsque la pensée revêt cette
forme
, les repré- sentations ont une intensité partic
donne un résumé des problèmes que soulève l'étude de cette dernière
forme
: ces pro- blèmes sont au nombre de 13; mais po
u'il appelle la prédisposition psychopathique de la paranoïa et des
formes
voisines. Sur ce point, je ne veux noter qu'une s
du système pileux chez ces enfants, s'effectuant d'après les quatre
formes
différentes suivantes dans leur ordre de fréque
. 1° Pour l'interprétation des actes apoplectiformes et épilepti-
formes
de la paralysie générale, il est peut être bon de
er de quelques-uns de ses amis, et à la fin, il eut croyance en une
forme
de folie dans laquelle le côté social était pri
nte dans la race blanche que chez les populations de couleur. Les
formes
les plus fréquentes de la folie sont la manie, da
2LSCIE. ? Psychiat, L. 5.) asiles d'aliénés. 489 Admissions des
formes
morbides. 490 asiles d'aliénés. pliquées : la
, 403; - psyclaatrulue de Berlin, par Iieraval, 137. Sorcellerie,
formes
d'aliénation mentale qui ont déterminé les pr
l supérieur par l'anse lenticulaire doit être rejeté Tout le facial
forme
un seul nerf ayant même origine corti- cale et
sourciliers se désinent et proéminent, leur réunion de chaque côté
forme
un oméga grec, la bouche contractée ; ils sont
la face sans rien sentir et sans y prêter attention. La première
forme
clinique constitue la mélancolie simple ou la m
délire proprement dit, sans hallucinations ni illusions ; c'est une
forme
passive, de même que 2° la mélan- colie avec st
ù il y a un arrêt complet de l'activité céré- brale, cette dernière
forme
souvent confondue avec la confu- sion mentale.
LANCOLIQUES. 37 stupeur complète. 3° La mélancolie anxieuse est une
forme
active avec agitation ; ici il y a des hallucin
suicides, destructions, se jettent par la fenêtre). Cette dernière
forme
est encore assez fréquente ; c'est elle qu'on o
abandonne, que les démons les ont saisis, possédés, etc. ; dans la
forme
nosomane et hypochondriaque, ce sont les préocc
lon les idées, délires, sensations qui prédominent, nous aurons des
formes
diverses de mélancolie. Lamélancolie est une
fection curable : ai0 et plus p. 100 de guérisons. Il n'y a que les
formes
qui se prolongent trop longtemps : plus que six
la mélancolie sont caractéristiques de l'incurabilité. Malgré les
formes
curables, il est à noter que la dépression mora
e constitue le raptus melaucolicus qu'on observe surtout dans- la
forme
anxieuse de la mélancolie. On combattra la siti
. Sur toute l'étendue du thorax nous trouvons une éruption acnéi-
forme
. Les pupilles sont égales, dilatées, le réflexe l
rvés au cours d'une même épidémie. La maladie a revêtu, tantôt la
forme
comateuse, tantôt la forme syncopale et pétécllia
épidémie. La maladie a revêtu, tantôt la forme comateuse, tantôt la
forme
syncopale et pétéclliale, d'autres foi5, une fo
teuse, tantôt la forme syncopale et pétéclliale, d'autres foi5, une
forme
abortive. Dans plusieurs cas, elle a eu une évolu
a permis a l'auteur de constater l'existence d'un microbe ayant la
forme
d'un coccus sphéroïde, tantôt isolé, tantôt gro
plégie avec ou sans contractures, sclérose eu plaques disséminées à
forme
hémiplégique, névralgie faciale droite, etc.).
ique héréditaire de dix-huit ans, chez qui l'affection a revêlu une
forme
rapide : en effet, la durée n'a été que de onze
la normale. L'examen du sang ne montra aucune modi- fication de la
forme
ou du diamètre des globules rouges, altéra- tio
uleuse, mais dispersés, comme on les observe ordinairement dans les
formes
anesthésiques. L'observation de ce cas confirme
e, le malade choréique '.identiquement aux deux cas ci-dessus, même
forme
, même marche, senium précoce, démence, a une fi
quarante ans. Aux hyperhidroses réflexes (cl. IV) : a) il joint des
formes
en rapport avec la dégénérescence mentale ; ce
el qui peut survenir à la suite d'une opération, quelle que soit la
forme
ou l'origine réelle de ce trouble psychique.
on retrouve encore les états d'excitation qui caractéri- saient les
formes
précédentes, mais on trouve, d'autre part, des
hronicité. Les états d'excitation sont caractérisés surtout par des
formes
maniaques avec ou sans délire, pouvant être eng
72 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ment aux états d'excitation, les
formes
mélancoliques ou anxieuses ne s'observent génér
A côté de ces états d'excitation et de dépression, il existe une
forme
spéciale de délire qui ne s'observe que dans une
es basilaires présentent sur leur parcours des dilatations momli-
formes
ou présentent des extrémités en forme de massue.
cas de tumeur du centre ovale avec des périodes d'évolution, l'un à
forme
cérébelleuse, l'autre simulant l'hémiplé- gie a
complet, de celte affection. Quatre autres malades présentent une
forme
fruste de cette maladie où l'incoordination motri
mi ceux-ci, l'intoxication alcoolique qui peut se présenter sous la
forme
de délirium tremens ou sous celle d'ivresse; l'
amen des urines; enfin l'attaque BIBLIOGRAPHIE. 81 hystérique à
forme
apoplectique ou comateuse où, dans l'absence d'
vrai et celui qu'avec Charcot l'auteur qualifie de neurasthénie à
forme
héréditaire, de neurasthénie constitutionnelle.
pe général. Il cite ensuite des exemples illustrant les différentes
formes
cliniques de cérébrasthénie etdomyélasthé- nie
nte et que, s'il parait exister de nombreuses ressemblances dans la
forme
entre ces deux affections : état neurasthénique
tement doit toujours être énergique et sévère quelle que soit la
forme
de l'affection, mais en se guidant sur la toléran
terne sera l'hydrothérapie qui peut être appliquée sous différentes
formes
et l'électricité. Quant au traite- '- ment médi
cier de la névralgie faciale simple tout en admettant cependant des
formes
de transition. L'étiologie est peu connue, bien
en général facile sauf toutefois avec les paroxysmes hystériques à
forme
de névralgie faciale où il faut souvent un oeil e
des diabétiques, le vertige épileplique, le paroxysme hystérique à
forme
de vertige labyrinthique. Le traitement est ent
galement toujours d'origine nerveuse et l'auteur passe en revue les
formes
principales. Dans l'un comme dans l'autre cas,
es et des synoviales de l'avant-pied et du talon. Neuvième leçon.
Formes
cliniques et traitement des myélites syphi- lit
s aiguës et les myélites chroniques d'emblée, parmi lesquelles la
forme
si fréquente connue sous le nom de -paraplégie sp
, déjà décrite par Charcot, et qu'il con- viendrait mieux d'appeler
forme
syphilitique commune. A côté de cette forme on
endrait mieux d'appeler forme syphilitique commune. A côté de cette
forme
on doit en placer une autre décrite par M. Gilles
n des réflexes rotuliens et parfois trépidation spinale. Enfin, des
formes
irrégulières, et parmi celles-ci, la forme amyo
ion spinale. Enfin, des formes irrégulières, et parmi celles-ci, la
forme
amyotrophique. La syphilis héréditaire de la mo
udo-tabes hystérique et neu- rasthénique, la myélite syphilitique à
forme
pseudo-tabétique. Le traitement du tabes est en
mes pris au hasard, et 100 femmes seulement atteintes de toutes les
formes
de psychoses. Sur les 200 hommes, 0/100 présent
les mélancoliques avec une proportion de 32/100. Dans les autres
formes
de psychoses, le nombre de ma- lades qui présen
u triangle occupant le front. Le crâne est aplati (pla-iocépliale),
forme
caractéristique de la syphilis héréditaire. La
, car la malade succombe le 12 octobre 1897. Ce cas entre dans la
forme
de mélancolies décrites sous le nom de mélancol
ntre de la cellule, vient s'adosser contre la paroi où il prend des
formes
très irrégulières. Ainsi comprimé et rata- tiné
rsque celle-ci est dé- truite, le corps cellulaire ne garde plus sa
forme
; le noyau ne peut se maintenir à sa place. La c
présentent une couleur générale uniforme; le noyau est diminué, de
forme
ovale ou triangulaire, homogène, de couleur som
o-spinal était stérile, et dans le reste des cas se trouvaient huit
formes
différentes de mi- cro-organismes, tantôt sépar
ez le poisson ; mais d'autre part, la simple couche épithéliale qui
forme
le manteau de l'hémisphère chez le poisson, pré
de froid) ; par le Dr DANA. Les sensations de froid constituent une
forme
rare de pares- thésie et ont été décrites sous
S. Les psychro-oesthésies de cette nature se rencontrent dans les
formes
légères de névrite, névrite alcoolique sciatique,
nier auteur cite quelques cas dans lesquels la douleur de certaines
formes
de dysménorrhée a été temporairement dissipée p
t, sans exception, plus tard que les fibres fondamen- tales ; il se
forme
donc des systèmes de diverses valeurs qui sui-
inguent le cerveau humain de celui des anthropoïdes, déterminent la
forme
du cerveau de l'homme. Il est bon de noter qu
lle-ci seule serait un territoire terminal ; toutefois, la zone qui
forme
la plus grande partie du lobule pariétal inféri
survenue à l'âge de dix ans, très fréquentes et revêtant parfois la
forme
grave (coma durant dix heures). Toute médicatio
. On sait, en effet, que les rémissions se montrent surtout dans la
forme
délirante de la P. G. On prétend que la paralys
98, G. Masson, éditeur.) L'auteur démontre que sous ses différentes
formes
(myxoedème infantile, opératoire spontané de l'
ons thérapeutiques découlant de ces recherches, la thyroïdothérapie
forme
le dernier chapitre et en quelque sorte la conc
. Favier. Le cazi7, dans la chorce ; M. Fichaux. Épilepsie larvée à
forme
gastrique. VARIA. Xe Congrès des médecins ali
t pas oublier que cette altéra- tion est surtout fréquente dans les
formes
agitées et que dans celles-là il y a toujours u
le fait, d'avoir toujours rencontré le tact normal sous toutes les
formes
mentales dépressives pures et même dans les for
sous toutes les formes mentales dépressives pures et même dans les
formes
mentales mixtes quand elles ne s'accompa- gnent
re attente, nous avons toujours noté l'état normal du tact dans les
formes
purement dépres- sives avec conception délirant
a été constaté quel que fût l'état des malades. XIII. C'est dans la
forme
expansive que les troubles du tact sont les plu
les plus fréquents, d'après nos constatations; ensuite viendrait la
forme
mixte agitée, et enfin la forme démentielle, ta
constatations; ensuite viendrait la forme mixte agitée, et enfin la
forme
démentielle, tandis que, dans les formes pureme
e mixte agitée, et enfin la forme démentielle, tandis que, dans les
formes
purement dépres- sives et mixte calme ainsi que
e de ses variétés ; 3° le délire toxi- infectieux, au moins dans sa
forme
habituelle de confusion men- tale subaiguë, est
ble en être la caractéristiqae clinique. A. t' N\.11'ROU. VI. Les
formes
atténuées de la folie périodique ; par le Dr Ho
mes atténuées de la folie périodique ; par le Dr Hoche. Entre les
formes
graves de la folie périodique et les oscillations
llations physiologiques de l'équilibre psychique se rencontrent des
formes
214 jl REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. de tran
4 jl REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. de transition qui constituent des
formes
plus ou'moins atténuées de la folie périodique.
s atténuées de la folie périodique. Les individus atteints de ces
formes
atténuées de la folie pério- dique ne sont pour
le diagnostic, la thérapeu- tique et surtout la prophylaxie de ces
formes
mentales. Ces der- nières, qui se rencontrent t
dégénéré, ne sont pas moins dangereuses pour la descendance que les
formes
sévères ; elles le sont même davantage car, en
i n'est souvent que le prélude de la masturbation ; mais à côté des
formes
d'auto-érotisme dans lesquelles le sujet prend
L'auteur, dans une intéressante élude, passe en revue toutes ces
formes
de l'auto-érotisme après avoir fait remarquer que
, ayant passé l'âge de la puberté, la masturbation, loin d'être une
forme
de vice, peut, pratiquée modérément, être salut
ies générales dégénératives, parfois spécifiques ; un paralytique à
forme
dégéné- 'rative peut rentrer d'ailleurs ultérie
'rative peut rentrer d'ailleurs ultérieurement dans le groupe des
formes
inflammatoires. 0 L'auteur tire de sa théorie d
nsi que des variétés en apparence contradictoires et disparates des
formes
expansives et euphoriques ou, au contraire, dép
onfirmée avec symptômes persistants. Avec les lésions spinales, les
formes
tabétiques, scléreuses, névritiques, amyotrophi
on traitement précoces ; et comme, d'autre part, un grand nombre de
formes
mentales débutent par des phéno- mènes de dépre
cliloral, le sulfonal, le trional, combattent avec succès certaines
formes
d'insomnie. Mais il ne faut pas négliger l'hygièn
. L'affection, étendue à 534 malades en trois épidémies, affecta la
forme
de névrites péri- phériques aigus avec myosites
à développement relativement rapide. Ces cas rentreraient dans des
formes
intermédiaires aux diverses formes classiques d
e. Ces cas rentreraient dans des formes intermédiaires aux diverses
formes
classiques décrites. M. Hamel. XXVII. Note su
présenté qu'une paralysie limitée au bras droit, apparaissant sous
forme
d'accès de courte durée et disparaissant sans l
surprise, à l'arrivée à l'hôpital, qui réussit bien dans toutes les
formes
de paralysie et de contrac- ture, dans l'astasi
de l'épilepsie, et c'est pour réaliser cet exercice sous toutes ses
formes
qu'ont été créées les installations variées de
ques multiples et qu'il n'est pas rationnel de généraliser diverses
formes
d'arrêt de développement sous un même terme d'i
rêt de développement de tout le cerveau, lequel apparait alors sous
forme
d'une vésicule ou d'une pellicule mince couvrant
1 et ! 2, 1882. mysticisme ET folie. 261 En ce qui concerne les
formes
de délires systématisés pri- mitifs, nous rappe
t typiques à notre point de vue. Il leur oppose en dernier lieu les
formes
primitives de Snell, pouvant affecter une forme
n dernier lieu les formes primitives de Snell, pouvant affecter une
forme
religieuse exaltée ? Hertz, Ripping, Nasse et S
en particulier place les délires religieux comme sous-variété de la
forme
originaire, de Sander, qu'il divise en hallucina-
édition 1873, p. 361, 363, 367. 3 Snell. Uber monoman als prizzzare
forme
der Talenslorung, 186.ï, Birh. * Hertz, Nasse
eund, XX. 262 CLINIQUE mentale. Kroepelin distinguant aussi des
formes
primaires de délires systématisés et d'autres s
es délires religieux du premier groupe'. Witkowski insiste- sur les
formes
secondaires et établit des modalités de transit
En Italie, Morselli8et Buccola (1883), distinguent aussi plusieurs
formes
de paranoïa; et à côté du délire des persé- cut
ons proprement dit(Querulenti e litiganti) ils décriventune seconde
forme
de couleur érotique ou religieuse. Amadei et To
nnini13 (1883) opposent en outre à ces paranoïa dégénéra- tives des
formes
psychoneurotiques; le délire religieux figure d
ation dans l'un et l'autre groupe à titre de sous-variété de chaque
forme
(originaire, primitive, tardive, hallucinatoire
hallucinatoire ou non). Riva et Tanzi7 dans leur tableau de sept
formes
de paranoïa, rangent la folie religieuse en troi-
paranoïa, rangent la folie religieuse en troi- sième lieu après les
formes
à délire de persécution ou ambi- tieux, et avan
rès les formes à délire de persécution ou ambi- tieux, et avant les
formes
érotiques. Pour eux, comme nous ' Kroepelin. Co
80.) (Torino, 1883-210.) 1 Amadei et Tonuini. La Paranoïa e le sue
forme
. (Archietal per le mal, nervo, 1883-1884.) 7
développée par Rosenbach, tan- dis que Greidemberg admet à côté des
formes
héréditaires, d'autres non dégénératives. les i
ux états mélancoliques, selon la variété de mé- lancolie primitive (
formes
hypocondriaques, anxieuses ou avec idées de per
a parfois décrit comme consécutives aux délires de persécution des
formes
en réalité secondaire à la mélan- colie avec id
ence. Donc dans un groupe, on peut ranger les délires religieux à
formes
dépressive (systématisation des mélancolies chro-
ou objectif de la personnalité). Notre premier groupe comprend les
formes
complètes des délires de négation, le deuxième,
rend les formes complètes des délires de négation, le deuxième, les
formes
religieuses du délire chronique de M. Magan. Le
soit de] l'exagération de l'amour de Dieu (théosophes et prophètes,
formes
délirantes exubé- rantes), soit de la crainte d
es, formes délirantes exubé- rantes), soit de la crainte de sa loi (
formes
dépressives) '. Au point de vue psychologique i
reste à dire quelques mots des états maniaques. « Il n'est aucune
forme
de maladie mentale, dit Cotard ', où les troubl
ndifféremment, voire même l'un et l'autre ensemble. A côté de ces
formes
de l'exaltation maniaque « dans les- quelles le
ositions agressives, le besoin de destruction et la fureur. « Ces
formes
irritables et violentes de la manie, sup- posen
tre les divers éléments psychiques un antagonisme qui rapproche ces
formes
de la manie des états impulsifs et hallucinatoi
rencontre dans la mélancolie peuvent, par suite se montrer dans ces
formes
maniaques. La longue citation de Cotard suffi
issance incohérente et non coordonnée. Dans la paralysie générale à
forme
dépressive mélanco- lique ou hypocondriaque les
ue ou hypocondriaque les délirants peuvent revêtir plus ou moins la
forme
religieuse , quelquefois même on observe des id
striction inverse des précédents (Klippel). Intoxications. Dans les
formes
les plus ordinaires où la panophobie avec zoops
, celles-ci peuvent coexister avec cette né- vrose qui n'est qu'une
forme
de dégénérescence. Ainsi que le dit Brodie, « l
, les auteurs mêmes qui opposent aux psychoses des héréditaires des
formes
de délire pathognono- miques d'un état non dégé
confirmation. Il y a plus, et nous croyons qu'à chacune des grandes
formes
280 PATHOLOGIE MENTALE. d'auto -intoxicatio
ulière et un type ca2,ac- téristique. Nous allons essayer, sous une
forme
concise, de les mettre en lumière l'un et l'aut
e, mais elle y est relativement rare et s'y présente plutôt sous la
forme
de sensations subjectives variées, traduites pa
s qu'elles soient, sont suscepti- bles d'être observées dans chaque
forme
d'auto-intoxication. Il semble néanmoins, que l
é, qu'une différence du plus au moins. Nous venons d'établir que la
forme
clinique des psychoses d'auto-intoxication est
to-intoxi- cations on trouve la même symptomatologie et les mêmes
formes
morbides que dans l'alcoolisme, depuis le tremble
stic et recon- naître sous le masque d'une mélancolie anxieuse, une
forme
larvée de la fièvre typhoïde avec confusion men
anatomie pathologique de la psychose polynévritique et de certaines
formes
de confusion mentale pri- mitive ; par 111\1. 6
le corps de la cellule ganglionnaire la fibre primitive conductrice
forme
un réseau mais n'a aucune connexion avec le noy
éaire est invisible. Le nucléole est quelquefois élargi, souvent de
forme
ovale et déporté vers le bord du noyau. A côt
le cadre des paralysies du grand-dentelé; 2° le trapèze scapulaire
forme
un muscle distinct anatomiquement, physiologiqu
nt il cite deux obser- vations intéressantes, se présentent sous la
forme
d'un choc brus- que dans la région céphalique,
e maintenir plus longtemps la théorie utérine de l'hystérie dans la
forme
primitive d'Hippocrate; mais nombre d'auteurs c
ée avec perte d'une molécule d'eau, laquelle urée est excrétée sous
forme
d'acide urique. L'expérimentation a montré que
ion, est transformé en carbonate d'ammonium et que c'est sous cette
forme
qu'il est rejeté de l'organisme. Si la quantité d
ue mais l'ammoniaque qui produit l'intoxication. Quelle que soit la
forme
sous laquelle il est introduit dans le tissu cell
ontenu dans le sang; mais, selon toutes probabilités, c'est sous la
forme
de carbamate d'ammonium qu'il manifeste ses eff
phique particulier; 7° Le début de la maladie se présente sous deux
formes
dis- tinctes ; il est aigu avec léger mouvement
nt les attitudes paradoxales qu'on leur impose comme par exemple la
forme
de V et l'équilibre sur la position iscliio-sacré
per- ceptions fausses, s'il n'avait été décrit, à l'étranger, une
forme
spéciale de cette maladie, la Manie hallucinatoir
de laquelle notre cas pourrait, à la rigueur, se ranger. Mais cette
forme
est loin d'être admise en tant qu'entité morbid
- ci, résultat premier de l'état somatiquc, est constitué par une
forme
d'affaiblissement et de dissociation intellectuel
dire parmi les psychoses du cerveau complètement développé, cette
forme
qu'il désigne sous le nom de lValansizia hallucin
cette distinction d'avec la manie ou la mélancolie que c'est là une
forme
de psychose chez un cer- veau invalide. On voit
sieurs reprises des symptômes d'hystérie (somnambulisme, crises à
forme
de contracture, sensation de boule). Cette dégéné
e aggravation marquée du délire chez les dégénérés alcoolisés, sous
forme
d'hallucinations ou plus fréquemment d'illusion
nous pouvons affirmer au point de vue du pronostic que c'est là une
forme
transitoire et curable, sans toutefois pouvoir
chute n'aura pas lieu dans un temps plus ou moins éloigné, sous une
forme
ou sous une autre de psychose, si certaines cau
rté, tel qu'on le pratique dans le service de l'Admission, pour les
formes
aiguës et subaiguës de la folie, calmer l'éréth
gressive des troubles sensoriels à s'effacer pour faire place à une
forme
plus franchement maniaque, sur- vient enfin la
fixée à d'autres et existe toujours au bout de deux années sous la
forme
de pla- ques. Un mois et demi après la blessure
IE NERVEUSE. LXI. Myopathie primitive et progressive avec autopsie (
Forme
tardive; type huméno-scnpiclo-Jiccical) ; par S
est des plus impor- tants. R. Ciiaron. L1V1. Maladie de Thomsen à
forme
fruste et avec atrophie muscu- laire ; par E. 1
ra pas un des moindres caractères se traduisant par une infinité de
formes
au milieu de conditions sociales multiples ! Ma
ystématisés, développés sur des états secon- daires aux principales
formes
d'aliénation mentale, notamment à la manie, à l
mentale, notamment à la manie, à la mélancolie, à la folie à double
forme
, aux névroses et aux intoxications. La réalité
orme, aux névroses et aux intoxications. La réalité clinique de ces
formes
psychopa- thiques est admise par la majorité de
de comparer l'opinion de Krafft-Ebing, qui les considère comme des
formes
de démence, à celle de Tonnini qui les assimile
s importants et les plus nom- breux. La mélancolie, sous toutes ses
formes
et à ses diverses périodes, se complique de dél
ême aux troubles sensoriels dont elles sont l'interpré- tation. Ces
formes
, les plus simples et les moins graves, pourraient
oit SOCIÉTÉS SAVANTES. 377 -1 de les considérer aussi comme des
formes
de transition entre les mélancolies franches et
ec d'autant plus de raison que le passage de l'une à l'autre de ces
formes
s'observe, chez le même malade, après plusieurs
nnalité. · 3° Délires systématisés secondaires à 1(t folie à double
forme
. Les délires systématisés affectionnent particu
le forme. Les délires systématisés affectionnent particuhèrementles
formes
inter- mittentes de la folie. Cela est vrai aus
mittentes de la folie. Cela est vrai aussi pour la folie à double
forme
. On y a observé des délires de négation. Nous avo
délirant systéma- tisé. Et le délire empruntait ses caractères aux
formes
post-mania- ques et aux formes post-mélancoliqu
délire empruntait ses caractères aux formes post-mania- ques et aux
formes
post-mélancoliques. 4° Délires systématisés sec
nfusion qui surviennent au début d'une para- noïa le plus souvent à
forme
aiguë. Mais on observe aussi des délires systém
ter que ces délires existent bien, qu'ils peuvent survenir sous des
formes
et dans des conditions différentes, après toute
rt de M. Anglade, demande à dire quelques mots sur certaines de ces
formes
délirantes mono- iliéiqnes, que M. Régis classe
ns les polynévrites alcooliques. Cette am- nésie n'était qu'une des
formes
de cette psychose dont aujourd'hui SOCIÉTÉS S
it les troubles polynévritiques, soit les troubles céré- braux. Les
formes
cliniques de la psychose polynévritique peuvent
bjectivant l'intoxication de la cellule cérébrale. C'est dans cette
forme
que l'on observe les délires systématisés dont no
cependant il ne présente aucun symptôme d'hystérie. 2° La deuxième
forme
clinique est la confusion men- tale dans sa for
e. 2° La deuxième forme clinique est la confusion men- tale dans sa
forme
classique avec association vicieuse des idées,
quelques années et même se terminer par la démence. 3° La troisième
forme
est la forme amnésique : altération mentale, ac
es et même se terminer par la démence. 3° La troisième forme est la
forme
amnésique : altération mentale, accompagnée ou
onnement si on ne fait appel qu'aux événements du moment. Ces trois
formes
cliniques se confondent souvent et forment des
es psychoses que l'on observe dans de tels cas affectent surtout la
forme
de la confusion mentale ; pour notre part, nous
se développer dans le sens du progrès de l'espèce, a dévié vers des
formes
pathologiques dout l'enchaîne- ment conduit à s
iations qui s'étaient peu de temps auparavant systématisées sous la
forme
onirique. Ainsi en présence d'une fausse angi
ES. '7" L'excitation du cervelet produit des mouvements nystagmi-
formes
des globes oculaires; ces mouvements très variés
ureux à la palpation. Du côté psychique, trouble de la mémoire sous
forme
d'amnésie et de faux souvenirs. Le malade ne se r
ens sont exagérés. Du côté psychique, troubles de la mémoire sous
forme
d'amnésie et de faux souvenirs, caractéristiques
entale n'est, d'après l'auteur, qu'un syndrome comme la stupeur; sa
forme
accentuée absorbe même un certain nombre de cas
terri- fiant. La confusion mentale a un domaine plus vaste; par sa
forme
moyenne et légère, elle englobe beaucoup de cas
e. C'est un état morbide de l'esprit mais non un délire. Il y a 3
formes
, légère, moyenne et accentuée. Associée à des i
ignalé n'est pas constant). L'étiologie est aussi indécise; dans sa
forme
isolée, elle est sou- vent d'origine toxique (d
érédité). L'évolution varie souvent il y a guérison même dans les
formes
accentuées; quelquefois il subsiste de l'affaibli
elle est l'instabilité mentale qui ne sera pas considérée comme une
forme
larvaire de troubles mieux déterminés et plus c
ble instabilité mentale. L'instabilité mentale se présente sous des
formes
variées. Elle peut être intellectuelle; sous l'
peut apparaître l'instabilité mentale. L'épilepsie est encore une
forme
d'instabilité. Elle est dans la plupart des cas
ésolution, la contradiction, l'instabilité du ton émotionnel, trois
formes
essentielles de l'Instabilité pathologique. Pie
hologique. De même la confusion mental ? , qui conduit à toutes les
formes
de l'aliénation, présentant comme caractères di
é extrême nait dans la plus grande instabilité, et dans la démence,
forme
la plus grave de l'aliénation mentale, nous tro
la plus complète. L'irritabilité psycho-pathologique revêt diverses
formes
selon l'âge, le sexe et le milieu social. Chaqu
les adolescents on peut trouver u peu près toutes, sinon toutes les
formes
de la folie' en particulier la manie ordinaire,
1culne de 1880-1898 qui contiennent des exemples' de la plupart des
formes
de la folie de l'enfant et de l'adolescent. 4
le délire d'auto-accusation n'est nullement caractéris- tique d'une
forme
mentale déterminée et peut se rencontrer dans b
tre que tout autre délire. Si l'on considère, en particulier, les
formes
systématiques de ce délire d'auto-accusation, n
: 1° des cas à évolution chro- nique; 2° des cas aigus revêtant la
forme
de délires d'emblée plus ou moins prolongés ou
par lui-même assez caractéristique. Il rappelle exactement celui de
formes
de délires systématisés primitifs qui nous sont
ssentiellement sur des interprétations délirantes : dans les cas de
forme
chronique que nous avons observés, nous n'avons
nous portent déjà à le considérer comme se rattachant plutôt à une
forme
particulière de folie systématique primi- tive
ique de la mélancolie, mais peut se rencontrer dans bien d'autres
formes
vésaniques au même titre que les autres délires d
cution, de grandeur, mystique, érotique, etc. Le diagnos- tic d'une
forme
vésanique quelconque ne doit pas reposer seule-
colie délirante aiguë. Il ne peut même pas être considéré comme une
forme
de délire systématisé secondaire, consécutif à
ffection. Quel est, en pareil cas, l'avenir des malades ? Dans la
forme
chronique que nous, avons en vue, le délire se
e, le délire se systématise progressivement, puis persiste sous une
forme
stéréotypée. Parfois surviennent, au bout d'un
élire d'auto-accusation à un délire de négation sté- réotypé. Cette
forme
délirante peut-elle aboutir à la démence ? Le f
des caractères que nous avons essayé de mettre en lumière pour les
formes
chroni- ques. Nous n'insisterons pas; nous diro
chent au contraire très nettement îles délires systéma- tisés aigus
forme
de bouffées délirantes. Il est d'ailleurs un fa
raissent au bout de quelques jours. Mais il est à remarquer que ces
formes
aiguës du délire systématisé d'auto-accusation,
les guérissent, sont sujettes à récidives et souvent sous la même
forme
. L'observation suivante en est une preuve. Mmc
é qu'une importance très secondaire, du moins en ce qui concerne la
forme
clinique revêtue par les troubles déli- rants.
et Lichtheim envisageaient d'une manière trop matérielle, sous la
forme
de schémas artificiellement construits, les mé-
par les images des lettres ou des mouvements'. Enfin, il existe des
formes
mixtes dans lesquelles les lésions orga- niques
lis. - A quarante-deux ans : première manifestation hystérique sous
forme
d'un accès de mu- tisme sans paralysie, sans cé
état présent ou qu'elles aient trait à sa vie antérieure. Dans les
formes
légères de la mélancolie, comme celle présentée
moment où s'est produit la première manifes- tation hystérique sous
forme
d'accès de mutisme. Mais s'il est rare de voir
chez les auteurs qui se sont occupés de cette question. Toutes ces
formes
et variétés pourraient bien être sous la dépendan
sur les virus rabiques, les auteurs ont isolé un micro-organisme de
forme
nettement bacillaire', se présentant généraleme
n ensemble de symptômes pathologiques très particuliers : les uns à
forme
aiguë, les autres plus ou moins graves à forme
iculiers : les uns à forme aiguë, les autres plus ou moins graves à
forme
chronique : contracture de la tête en opistotonos
ants des dégénérés, et. plus particulièrement, des fous moraux, les
formes
de débuts de SOCIÉTÉS SAVANTES. 481 l'alién
tre évitées facilement. 11 n'en est pas de même lorsqu'il s'agit de
formes
mal définies et comme M. Giraud, je crois que l
ondam- nations dont sont frappés quelques aliénés atteints de cette
forme
1 Nous avons eu, à Bicètre, un certain nombre d
até : paralysie hystérique, toxique ou infectieuse, polyné- vrite à
forme
de polyomyélite, polyomyélite antérieure subaiguë
nq ombres à contours non définis, ombres rappelant grossièrement la
forme
des doigts. Pour M. Baraduc cette image résulte
us les malades. Alitement (traitement par le repos au lit) dans les
formes
aiguës et sub-aiguës de l'alcoolisme. M. Magn
sub-aiguës de l'alcoolisme. M. Magnan. Le délire alcoolique est la
forme
mentale à laquelle convient le mieux le traitem
ir, si la porte s'ouvre, pris ' Magnan. De l'alcoolisme, des divers
formes
du. délire alcoolique et de leur traitement. Pa
t chez lui une manifestation bruyante, un état maniaque. C'est la
forme
qui prédomine habituellement dans les accès de de
, il reste immo- bile dans un état complet de stupeur. De ces trois
formes
stupide, mélancolique, maniaque, cette dernière
l'alcoolisme, ses avantages n'en sont pas moindres dans toutes les
formes
aiguës ou sub-aiguës de la folie et nous pensons
ns la convalescence de la ' fièvre typhoïde. M. DuFOUR. Parmi les
formes
de délire posl-typhique, on note surtout la mon
rasthénique ; ' par Lalanne. Méningite tuberculeuse de l'adulte à
forme
claoréo-ntlcétosique. M. Boinet. Marie M..., âg
latées à ce propos : VARIA. 513 c Nature de l'hypnotisme et ses
formes
(M. Bramwell). Du suicide ( statistique Silbald
et le traitement de l ? par Flavianos, 416. Alite- ment dans les
formes
aiguës de 1' ,par Magnan,489. Les effets de e
Manu, 27. De la - son début, par Croch- les' Claplrans ? ? 3. Les
formes
allé- nules de la - périodique, par Hoche, 21
la veine basilaire, par d'Astros, 403. tuberculeuse de l'adulte à
forme
choréo-athétosi- que, 495. Migraine. La fauss
l'a- iiatomie 1)zttliologiqie, de la psy- chose - et de cet Unies
formes
de confusion mentale primitive, par Ballet et
cki a constaté que l'acétophénone s'élimine par les urines, sous la
forme
d'hippurates provenant de l'acide benzoïque de l'
s, à l'asile depuis cinq ans. Accès violents d'agitation maniaque à
forme
consécutive, entée sur une idiotie considérable
édicament, l'agitation musculaire a été moindre que dans les autres
formes
d'aliénation mentale. Démence par athéromasie.
nous pourrions dire sur plus de trente cas), et cela peu importe la
forme
revêtue par l'alié- nation mentale, peu importe
ression ne sera pas inutile, quelques-uns niant cette maladie comme
forme
mor- bide spéciale, et la rattachant à des état
essentielle, carac- téristique de la maladie. Je sais qu'une telle
forme
morbide a été niée; les faits que j'ai observés
ne étiologie spéciale; elles relèvent toutes des mêmes causes et la
forme
qu'elles revêtent est plutôt déterminée par des
nstances et les milieux et qui, évoluant, aboutira à telle ou telle
forme
morbide, selon ces circonstances et ces milieux
n est parfois appelée à jouer un rôle capital dans la genèse de ces
formes
. Elle n'est en effet, en dernière analyse, au m
s excès de boissons ou des vols. L'impression aura dé- terminé la
forme
. De fait, l'expérience démontre que DE LA PYROM
existe donc un rapport indé- niable. Peut-être dans la genèse de la
forme
, l'imita- tion ,joue-t-elle ici encore le rôle
outit pas au bord supérieur de l'hémisphère. Celui de droite a la
forme
d'un S et se termine normalement à sa partie post
s- tomose au pli combe. A gauche, la circonvolution du pli courbe
forme
un vaste plateau où se dessinent deux fossettes a
ettes indiquent la place des sillons normaux. Le lobule paracenlral
forme
à gauche une large surface unie avec une simple
S. rare. Les lobules quadrilatères présentent quelques sillons en
forme
d'X à droite, et à gauche en forme de V. Ils sont
anes atteignent le poids de 1,450 gr. - «Le cerveau, dit M. Brunet,
forme
deux saillies prononcées à quelques centimètres
s du nom de Paranoïa, Verrûcktheit, Wahn- sinn. Bien que toutes ces
formes
aient été étudiées en France, on n'a pas envisa
folie systématisée ou de délire systématisé, qui englobe toutes les
formes
de Para- nota décrites par les auteurs ; qu'il
) ou passives (idées de persécution). On peut ainsi distinguer deux
formes
de folie systématisée. En plus Griesinger class
nt ainsi la formation et la perma- nence du délire. A côté de cette
forme
secondaire nous trouvons une autre forme Wahnsi
du délire. A côté de cette forme secondaire nous trouvons une autre
forme
Wahnsinn (p. 357), état d'exalta- tion mentale
niaque. A la même époque (185), Ellinger * admettait à côté de la
forme
secondaire une autre forme de folie systématisée
(185), Ellinger * admettait à côté de la forme secondaire une autre
forme
de folie systématisée (Verrückhait) primitive,
insiste sur la très grande fréquence de la systématisation dans ces
formes
, sur la rapidité de l'appari- tion et de la dis
- bration mentale. Le même auteur décrit aussi la fusion des deux
formes
, expansive et dépressive, de certains délires sys
ormée) et de là au délire des grandeurs, et l'incurabilité de cette
forme
à évolution parfois rémittente, mais continue,
olie sensorielle que certains auteurs ont regardée depuis comme une
forme
aiguë de Paranoïa (Westphal). Depuis cette époq
la folie systématisée, en admettant cependant la possibilité d'une
forme
primitive. C'est Snell 2, qui le premier, en 18
ive. C'est Snell 2, qui le premier, en 1865, décrit nettement une
forme
fondamentale, distincte de la manie et de la méla
Les idées délirantes en outre n'auraient pas, comme dans les autres
formes
, un retentissement sur toute la vie men- tale,
écrit sous le nom de Primâre Verrizclclheit. 11 signale en plus les
formes
hypocondriaque et érotique. Sànder4, poussant p
otique. Sànder4, poussant plus loin l'analyse, étudie en 1868 une
forme
spécialede Przmâre Veî,i,ückikeit, qu'il appelle
tre les caractères dégénératifs communs aussi d'ailleurs aux autres
formes
primitives et la note distinctive consistant da
kheile;i. Daiitzi ? 1863. 2 Snell. Ueber Monomanie, als p)- ? 71a-e
Forme
der Seelenstôrung (Allg. Zeil. f. Ps/ch., 1865.
stie et les perversions sexuelles seraient carac- téristiques de la
forme
originaire de la folie systématisée (p. 1269).
ping, Nasse. ' Saint en 1874 décrit la variété hallucinatoire de la
forme
originaire de Sander, en la divisant en deux so
nt qu'un syndrome non caractéristique se retrouvaut dans d'autres
formes
de folie. Les idées fixes ont pour Samt la même b
vrai délire des grandeurs. Westphal le premier, eu 1878, décrit la
forme
aiguë et tente une classification de la folie s
stématisée (Verrüclclkeil) qu'il divise en quatre groupes ' : 1° La
forme
hypochondriaque déjà décrite par Morel, à march
ersécution s'accompagnant d'illu- sions et d'hallucinations.- 2° La
forme
chronique àdébutlent, à marche rémittente. Les
issent brusque- ment ou graduellement à la guérison. 4° La dernière
forme
n'est autre que La forme originelle de Sander,
raduellement à la guérison. 4° La dernière forme n'est autre que La
forme
originelle de Sander, la seule dans la- quelle
Ve2,rùckthez't. Scbuele8, en 1878, décrit la Verrùcktheit parmi les
formes
dégénératives, et place la Wahnsinn parmi les p
Feauxl sur la folie systématisée hallucinatoire, correspondant à la
forme
aiguë de Westphal. \lerklin 8 (t879) et Schaefe
VII, p. 55.) 70 REVUE CRITIQUE. Westphal et décrivent en plus une
forme
hystérique analogue dans sa marche à l'hypochon
s dans la seconde donne une description de la Paranoïa. Il place la
forme
primitive parmi les dégénérescences mentales :
primitive parmi les dégénérescences mentales : pour lui, c'est une
forme
morbide qui ne peut se' développer que dans uu
là que les tares dégénératives sont des plus évidentes, La seconde
forme
, le délire des grandeurs, est étudié aussi dans
-variété de la Paranoia hypochondriaque avec délire de persécution (
forme
secondaire), la Paranoia des masturbateurs, se
s, les épileptiques, et surtout les alcooliques, ce ne sont pas des
formes
caractéristiques spéciales, mais elles doivent
âle, monotone, invariable du délire, différant en cela de celui des
formes
pri- mitives ; les folies secondaires seraient
'états maniaques. 1 Krafft-Ebing nie complètement l'existence de la
forme
aiguë, et réunit sous le nom de Wahnsinn halluc
Wahnsinn hallucinatoire la Paranoïa aiguë primitive de Westphal la
forme
aiguë hallucinatoire de délire sensoriel de Mey
gton, la démence gé- nérale aiguë et subaiguë de Tilling8. Dans ces
formes
psycho- neurotiques, il n'y aurait jamais, d'ap
ch. B. XXXIV, p. 167, 1878. 'Nous avons vu plus haut que, parmi ces
formes
, se range aussi la Paranoia hypocondriaque que
e que Krafft-Ebing regarde comme une des terminaisons possibles des
formes
graves de l'hypochondne, l'autre étant la démen
revient sur la distinction déjà faite par Samt, et distingue deux.
formes
principales de la maladie, eu éqard à la pathog
formes principales de la maladie, eu éqard à la pathogénie : 1° la
forme
originaire de Sander; 2° la forme hallucinatoir
eu éqard à la pathogénie : 1° la forme originaire de Sander; 2° la
forme
hallucinatoire. Voici le résumé de sa théo- rie
doute il n'y a pas de modifications anatomiques profondes. Dans la
forme
aiguë, au contraire, l'inconscient n'a rien à v
, apparaît alors le délire. 1-(eynert' (1881) décrit également la
forme
aiguë (halluci- natoire) des délires systématis
u sur le sujet qui nous occupe. Pelmans (1882) nie l'existence delà
forme
secondaire et partage les idées de Koch, de Kra
Koch, de Krafft-Ebing, etc., à ce sujet. Gnauclcs (1S83) décrit une
forme
de Paranoia épileptique qu'il sépare de l'épile
2) donne le diagnostic différentiel des délires systématisés et des
formes
affectives primitives (manie et mé- 1 Meynert.
dernières années, des cas de Paranoia, et cette transformation des
formes
de la folie serait due pour lui à la dégénéresc
e Koch, Pel- man, Krafft-Ebing, le caractère pâle et décoloré de la
forme
secondaire; il n'admet pas l'existence des form
et décoloré de la forme secondaire; il n'admet pas l'existence des
formes
aiguës, tout en décrivant des cas à marche aigu
côté de l'idiotie, de l'imbécillité, du crétinisme. Cette dernière
forme
(Paranoia primitive origi- nelle), comprend « l
le et en hallucinatoire chacune pouvant être aiguë ou chronique, La
forme
aiguë de la Paranoia primitive simple débute gé
hallucinations, ils peuvent guérir ou passer à l'état chronique. La
forme
chro- nique peut se diviser en trois périodes.
ériode, laquelle peut aboutir à la démence. Comme variétés de cette
forme
, Mendel décrit la Paranoia originaire toujours
HYSIOLOGIE. héréditaire et dégénérative et le délire de la chicane,
forme
atténuée du délire de persécution, et dans lequ
s tracent ils travers la substance grise, sous le nom de fibres ara
formes
, des cercles allongés pour gagner la couche oli
rvertébraux sont chargées des communications providentielles. 11 se
forme
aussi des fibres collatérales assurant la sensi
phische studien, t. I, p. 3'a). M. Wundt la considère comme une des
formes
de la méthode de comparaison qui doit servir à
a mort, ne peut venir à bout de l'alcalinité; peut-être aussi ne se
forme-t
-il pas alors d'acide dans l'écorce du cerveau d
c l'activité de la substance grise au même titre que l'acide qui se
forme
quand le muscle fonctionne; sinon il serait imp
ire va, sans aucun doute, assigner une nou- velle place à certaines
formes
du délire chronique dans le cadre nosologique d
révision. A côté des individus qui nous offrent les exemples de ces
formes
capricieuses des troubles de l'esprit, on en vo
aux essentiels, je n'ai à rappeller ici que ceux qui ont trait à la
forme
et à l'évolution de la vésanie. Un mot peut la
èves, et qui marque l'opposition avec la folie des dégénérés, où la
forme
pa- roxystique et rémittente est la loi. Est-
onner seul la raison de ces retours subits, se renouvelant sous une
forme
plus ou moins identique, et ne pouvant être mie
tériens. C'est alors à l'Etat d'intervenir avant le médecin et sous
forme
d'interdiction prophylactique. Le médecin ou le
atistique exacte est indispen- sable. Ne faut-il pas déterminer les
formes
de psychoses qu'il y a lieu de poursuivre en l'
'atrophie du corps genouillé externe ; il se présente alors sous la
forme
d'un ménisque oblique en dehors, mais accolé à la
terrain limitrophe entre la mélancolie et la folie sys- tématique,
forme
intermédiaire pour laquelle je proposais le nom
atique hallucinatoire hypochondriaque stu- pide mélancolique toutes
formes
ne s'excluant pas l'une l'autre, pouvant coexis
'il en soit, c'est la folie systématique qui dans la plupart de ces
formes
est le pivot essentiel du tout; le caractère pa
produit non pas seulement des fous morbides divers, mais encore des
formes
mixtes difficiles à étiqueter. Il en est de mêm
rare, et pour M. Ritti il est moins fréquent que dans aucune autre
forme
de mélancolie; M. Meilhou, veut arrivera faire
pand largement, inondant les "prairies et les champs d'alentour, et
forme
des lacs stagnants' dont les eaux ne peuvent re
ice. En parlant de la commission permanente dont cette organisation
forme
un rouage essentiel pour la protection de liber
le qui, dans les conditions présentes, n'existent pas. C'est sur la
forme
et sur le mode d'exécution que portent surtout
on se basera pour cela sur ce que : 1° le plus souvent les diverses
formes
de l'apha- sie sont combinées chez le même suje
elle, et vice versa; 3° après avoir diagnostiqué pendant la vie une
forme
déterminée d'a- phasie, on a trouvé après la mo
phasie, on a trouvé après la mort des lésions se rap- portant à une
forme
d'aphasie différente. Mais en admettant la véri
79 J truit un ingénieux schéma, qui lui a permis d'admettre huit,
formes
d'aphasie'. Bien que ce schéma me paraisse inco
rtir des faits eux-mêmes, de l'ob- servation clinique, chercher des
formes
, des types bien distincts d'aphasie ; quand ces
, no 21. 1885. e) G. Ballet, Le lan- gage intérieur et les diverses
formes
de l'aphasie. Paris, 1886, p. 17. 2 Bernard. De
hasie. Paris, 1886, p. 17. 2 Bernard. De aphasie et de ses diverses
formes
. Th. de Paris, 1885, p. H5. 3 il. Munck.- Voi
'un timbre métal- 1 G. Ballet.-Le langage intérieur et les diverses
formes
de l'apha- sie. Th. d'agrég. Paris, 1886, p. 91
verses considérations, je définirai donc la surdité verbale : « Une
forme
clinique de l'aphasie qui consiste dans l'impos
A SURDITÉ VERBALE. 185 n'ait pas été examiné, que je sache, dans la
forme
de surdité verbale qui nous occupe, je ne doute
ers temps, à considérer cette am- nésie auditive des mots comme une
forme
atténuée de la surdité verbale; ce serait comme
centre des images orales, et, dans tous les cas, elle constitue une
forme
clinique spéciale. On peut même y distinguer de
coup sûr inaperçue. V.-Comment se rendre compte de ces nouvelles
formes
de surdité des mots ? cela me semble assez faci
Skwortzoff. Loc. cit. ; Obs. X, p. 120. 1 Charcot. Des différentes
formes
de Caphasie, etc. (Progrès mé dical, 1885, p. 4
rceptibles, non pas seulement, comme dans notre observa- tion, sous
forme
d'inspiration sifflante par la contraction du d
exe rotulien 'manquait.) Quant au diagnostic, les tics ou certaines
formes
de tics sont l'affection à laquelle on serait l
s auteurs comme Bourneville aient voulu voir dans cette maladie une
forme
fruste de la sclérose en plaques ». Des trois o
ique; Par J. SÉGLAS, médecin-adjoint de l'hospice de Bicêtre'. La
forme
aiguë de la Paranoia primitive hallucinatoire dé-
sistent avec des idées d'empoisonnement, de persécution, etc. Cette
forme
guérit ou passe à l'état chronique. Elle peut s
iques ou épilep- tiques, à des abus alcooliques ou morphiniques. La
forme
chan- nique est surtout caractérisée par la. pe
te est la Paranoia hypochondriaque. En somme, Mendel revient sur la
forme
aiguë sur laquelle il insiste, et, d'un autre c
égénératif dans les délires systématisés, car il ne reconnaît comme
forme
dégénérative' que la variété origi- naire de la
tfébriles de Kroepelin, tantôt aigu, tantôt chronique, affectant la
forme
d'agitation mamaque avec désordre dans les idées,
theit hallucinatoire hypochondriaque, stupide, mélancolique, toutes
formes
ne s'excluant pas, mais pouvant exister concurrem
gtemps une assez grande vigueur), cas à côté desquels on trouve des
formes
de folie systématisée progressive, généralisée
atisée morphinique analogue à l'alcoolique : nous avons vu déjà ces
formes
signalées par Gnauck, 111oe11... et ce qu'en fa
peut être : 1° chronique; 2° aiguë; 3° stupide. L'auteur décrit la
forme
chronique type en disant que tous les cas chron
comprenant deux sous-chapitres : (a, délire des persécutions ; -b,
forme
expausive). La variété de la Wahnsinn aiguë com
trième, la Wahnsinn stupide aiguë ou stuporo-hallu- cinatoire. La
forme
stupide de la Wahnsinn (attonita et catatonie)
ie religieuse expansive ; b, la folie religieuse dépressive; c, une
forme
reposant sur un fond d'hystérie constitutionnel
tat de folie systématique ( Wahnsinn), abortive aiguë présentent la
forme
de pensées irrésistibles soudaines; f, la folie
guë ('a ? 'at : ota/M//MC ! Ma<0 ! 'MocM<a) en distingue deux
formes
: l'une héréditaire, l'autre asthénique, la plus
somme le carac- tère des malades atteints de Paranoia ou certaines
formes
mitigées. En Amérique, Spitzka (1880-1883) ad
it, bien qu'il se serve du mot de mono- manie 1. Il admet que cette
forme
de délire primitif est l'expres- sion d'un véri
ématisés et non systématisés. Les délires systématisés sont de deux
formes
: 1° les délires systématisés expansifs (mégalo
, c délire systématisé de caractère expansif religieux. La deuxième
forme
est celle des délires systématisés dépressifs s
abilité limitée. Au point de vue du délire, on peut distinguer deux
formes
: 1° le délire des persécutions à contenu varia
ontenu variable suivant l'âge, le milieu, l'édu- cation. Dans cette
forme
rentrerait la folie de la chicane, vrai délire
a folie de la chicane, vrai délire de persécution actif. La seconde
forme
serait le délire des grandeurs associé au premi
U. 230 REVUE CRITIQUE. doivent être regardées seulement comme une
forme
abortive de ces délires, en étant différenciées
ns ces cas, l'influence héréditaire existe la plupart du temps. Les
formes
que Morselli et Buccola font rentrer dans la fo
terprètes et cachant un délire de persécution. Un certain nombre de
formes
analogues toutes caractérisées par la pré- domi
dominance d'un groupe donné d'idées et de tendances rentre dans les
formes
abortives de la folie systématique primitive, t
tuent le groupe des idées fixes où subsiste la conscience. 7° Les
formes
intermédiaires à la raison et à la folie (tem-
mémoire est la classi- fication. Les auteurs admettent à côté d'une
forme
dégénéra- tive une forme psychoneurotique et il
cation. Les auteurs admettent à côté d'une forme dégénéra- tive une
forme
psychoneurotique et ils invoquent les argu- men
n résulte un certain affaiblissement mental. n° Il n'y a dans les
formes
psychoneurotiques ni plus ni moins d'hérédité q
té que dans la manie ou la mélancolie. 5° La période de maladie des
formes
aiguës et le début de celle des formes chroniqu
5° La période de maladie des formes aiguës et le début de celle des
formes
chroniques psychoneurotiques est en con- tradic
ntale antérieure du sujet, tandis qu'il n'en est pas ainsi dans les
formes
dégénératives. Voici d'ailleurs la classificati
ar des mouvements choréiques, accompagnés de contractions tétani-
formes
, d'hyperesthésie psychique et sensitive (émotivit
La qualification de chronique s'applique très heureusement à cette
forme
mentale, mais il faudrait bien se garder de con-
nique. Mais il craint de voir englober dans le délire chronique une
forme
d'aliénation mentale à laquelle il accorde, à j
e étiquette sup- pose un accord préalable sur la réalité même de la
forme
de la maladie mentale qu'il s'agirait de dénomm
ou délire chronique n'est pas ce qu'elle est dans certaines autres
formes
mentales; elle est loin d'être aussi accusée qu
utivement accidents graves, élimination d'esquilles, stigmates sous
forme
d'une dépression profonde de la région pos- tér
rofondeur commence à 9 cent. 3 de la racine du nez et pré- sente la
forme
d'un .triangle arrondi d'une longueur et d'une
crétins et pour le traitement des jeunes épileptiques. n Sous cette
forme
, je crois que le troisième paragraphe pourrait êt
néa spécial. Il résulterait suffisamment de cette modi- fication de
forme
que la dernière phrase de l'article serait appli-
pas sans intéresser le neuro- patholopiste. Il existe en effet une
forme
de la lèpre dans laquelle les productions nouve
productions nouvelles se localisent dans les nerfs et constitue une
forme
anesthésique ou trophoneurotique. Cette forme est
erfs et constitue une forme anesthésique ou trophoneurotique. Cette
forme
est étudiée avec soin par M. Leloir, et à cet é
x minutes; l'auteur préconise le même traitement surtout dans les
formes
torpides de la maladie et lorsque le salicylate d
n brusque et isolée de la vision mentale des. signes et des objets (
formes
et couleurs). XIV. Révision nosographique des a
urs. L'examen des coups, des plaies, des blessures, des différentes
formes
de l'homicide et du suicide est l'objet d'une o
même xvm° siècle, la vésanie contagieuse prend encore une nouvelle
forme
avec le mesmérisme, le magnétisme et le somnamb
ons d'aliénés, peuvent servir les établissements construits sous la
forme
de maisonnettes séparées avec un intérieur se r
czersiva" des anciens auteurs), nous nous proposons d'étudier une
forme
particulière de l'épilepsie, dont les accès, au
is se compliquant d'une con- gestion très forte de la face. Cette
forme
de l'épilepsie, dont on trouve des exem- ples a
uelques mouvements cloniques ; 2° Des accès se présentant sous deux
formes
, a) Les accès de la première forme sont ou non
s accès se présentant sous deux formes, a) Les accès de la première
forme
sont ou non précédés d'aura ; ni cri; ni chute;
188'a, il a été pris, après un de ces accès, d'une agitation choréi
forme
des extrémités supérieures et inférieures, de l
d'affections cérébrales. OBSERVATION. - Mélancolie avec stupeur à
forme
caialep- tique. Refus d'aliments et mM<MMe&l
Même état. Cependant le malade maigrit. Mu- tisme et état catalepti
forme
. 22 Juin. - Depuis quelques jours, G... dit un
ons. Ces der- nières lésions ont dû jouer un certain rôle dans la
forme
mentale dela maladie decet individu maisrious ne
ce genre me paraissent devoir être considérés comme constituant une
forme
spéciale de surdité verbale, à laquelle je donn
n'en aurai pas moins essayé d'établir une distinction des diverses
formes
de la surdité verbale aussi com- mode et aussi
ord, abstention de liqueurs spiritueuses de toute nature, soit sous
forme
médicamenteuse, soit sous toute autre. L'effet
aitement décrit par Broadbent. Mais ces cas, com- parativement à la
forme
commune, semblent rares. Le second point est pl
que,' peut passer à la Paranoïa à travers le stade des idées fixes,
forme
rudimentaire ou prodromique de Paranoïa, dont e
ue sur la Paranoia, sorte d'introduction à une monographie de cette
forme
vésanique faite en collaboration avec Riva 2. P
5). De cela il ne faudrait pas en conclure que la Paranoia soit une
forme
de débilité mentale. C'est simplement, comme l'
lie raisonnante, type indifférent). En somme, la Paranoia est une
forme
morbide constitutionnelle et le délire n'est là q
leurs pas absolument spécifique et peut se rencontrer dans d'autres
formes
psychopathiques sans caractères psychologiques
ratif ; l'autre, la Paranoia dégénérative : il signale aussi une
forme
de Paranoia consécutive ou secondaire; mais il ne
tive ou secondaire; mais il ne voit pas la nécessité d'en faire une
forme
particulière comme les deux autres ! . On peut
e observation^ de Paranoia primitive avec délire des persécutions à
forme
chro- nique qu'il dit être. de nature non dégén
ive. Nous avons vu que c'est Arndt, qui, le premier, a décrit cette
forme
de Paranoïa. Cette Paranoïa rudimentaire (ou pl
s contesté. Krafft-Ebing 1, Cantarano 11, An- driani7 regardent ces
formes
comme étant toujours des mani- ' Guicciardi. Ps
pent dans sa classifica- tion des maladies mentales les différentes
formes
de Paranoïa3. A proprement parler, Morselli sem
ranoïa3. A proprement parler, Morselli semble n'admettre que deux
formes
typiques de Paranoïa : 1° la Paranoïa originaire
- titution psychopathique le plus souvent congénitale). Quant aux
formes
, admises par certains auteurs, de Paranoïa aigu
;7t<aH., II, 1885. ' 11 est à remarquer que Morselli désigne ces
formes
sous les noms de de folie sensorielle aiguë (Fr
matisée secondaire (Pazzia sistematizzata secundaria) réservant aux
formes
ori- ginaire et rudimentaire le terme Paranoïa
énitale ou héréditaire. 100 ItF\'UN : Cltr'I'1QUI ? avec ses deux
formes
de persécution et de grandeur, n'est consi- dér
rencon- trons sur ce,sujet que des mémoires isolés, décrivant des
formes
vésaniques qui. malgré leur nom différent, nous s
aliénés persécuteurs qu'il détache du- groupe des persécutés. Cette
forme
vésanique rentre aussi dans le domaine de la Pa
ons vu encore que la plupart du temps elle est considérée comme une
forme
à base dégénérative. Telle parait être aussi l'
n 1882, M. Cotarct décrit sous le nom de délire des néga- tions une
forme
psychopathique qu'il distingue du délire des pe
i- mitif comme le délire de persécution. Ce serait un exemple des
formes
de Paranoia dites secondaires. Nous en avons nous
de M. Ma- gnan que nous verrons mieux, par comparaison, à quelles
formes
nosologiques correspond la Paranoia. En effet, no
de vue, M. Magnan n'en a pas moins par- faitement décrit les mêmes
formes
que nous venons d'examiner. Reprenant les idées
matisée primitive et que certains auteurs même, n'admettant que les
formes
dégénératives, regardent comme indispensable, l
ont désigné du nom d'idées fixes, et nous représentent ainsi cette
forme
de Paranoia rudimentaire qu'Arndt a décrite le
eau rapide des délires à évolution chronique chez les dégénérés les
formes
de Paranoia délirante à base dégénérative, admi
re groupe de malades qui nous semble correspondre aussi à certaines
formes
de Paranoia. Ce sont les délirants chroniques.
la terminaison, nous trouvons encore de grandes analogies entre les
formes
de Paranoia délirante, les délires des dégénéré
qui nous occupe dans le travail de M. Legrain qui étudie toutes les
formes
de délire que l'on rencontre chez les dégénérés,
sur le délire chronique; et une leçon de M. Bail 2 (1885) sur une
forme
particulière de délire ambitieux distinct des idé
ote particulière, et la confusion naissant de la multiplication des
formes
. Qu'y a-t-il à retenir en résumé des différente
de cette revue historique c'est que tous les auteurs admettent une
forme
de Paranoia primitive entée sur un fonds de dég
e est d'ailleurs indiscutable, mais les uns n'ad- mettent que cette
forme
avec ses variétés ; d'autres en restrei- gnent
e cette Paranoia psychoneurotique que nous rencontrons à côté de la
forme
chronique, cette forme de Paranoia dite psychon
neurotique que nous rencontrons à côté de la forme chronique, cette
forme
de Paranoia dite psychoneurotique aiguë, halluc
symptomatiques. Les discussions sont encore grandes au sujet de la
forme
de Paranoia dite rudimentaire décrite par Arndt
la conservation de la conscience. D'autres les admettent comme une
forme
rudimentaire, d'autres comme une période prodro
autres enfin comme un épisode dans le cours delà Paranoia. Quant la
forme
secondaire son existence est in- discutable mai
secondaire son existence est in- discutable mais ce n'est plus une
forme
de Paranoia proprement dite, ce n'est plus qu'u
st plus une forme de Paranoia proprement dite, ce n'est plus qu'une
forme
de délire systématisé simple- ment secondaire à
it d'union entre eux et la démence. Restent encore les soi-disant
formes
de Paranoïa hystérique, épileptique, alcoolique..
siège de zones jaune-clair, unies, planes ou bossuées, affectant la
forme
de granulations ou de tu- bérosités. L'étude hi
es postérieures, presque toujours atteinte (douze fois sur treize),
forme
quelquefois un champ de dégénérescence au- tono
considérable de la verge ; le troisième est un hypospade scrotal à
forme
vulvaire, un pseudo-hermaphrodite mâle. L'un de
dans comme à la suite d'une iridectomie, don- nent à la pupille une
forme
ovalaire et au regard un aspect étrange. La p
êtements de femme jiisqzt'a vingt- qualre ans. Hypospade scrotal ci
forme
vulvaire. Psezido-hermapht-o- dite mâle. - C...
la conformation de ses organes génitaux, est un hypospade scrotal à
forme
vulvaire, un pseudo-hermaphrodite mâle, sa verg
ut de soudure des deux sacs cutanés dont la réunion à l'état normal
forme
la double poche scrotale. Ces deux lèvres limiten
On peut encore ajouter que le délire chronique n'est pas la seule
forme
délirante à marche chronique dont l'exemple nous
mplétant par un adjectif qui permet une distinction avec toutes les
formes
dépressives de la iolie mé- lancolique. M. Co
étudie indéfiniment le cadre nosologique des différents groupes de
formes
mentales. ' Voy. Archives </< Neurologie,
article dont je n'ai pas ici le numéro, mais qui apris une nouvelle
forme
dans les articles 7 et 8 qui vous sont soumis.
à montrer que dans tous les cas qu'il a exa- minés, dans toutes les
formes
d'aliénation mentale que nous avons énumérées,
ce blanche, et les mêmes phé- nomènes se présentent dans les autres
formes
d'aliénation men- tale. Cette monographie intér
II. Contribution tt l'étude clinique de la méningite tuberculeuse à
forme
de delirium tremens ; par A. SonNAS. Thèse de Par
dorés aux armes du comté. Le Dl Macdonald, a donné aussi un uni-
forme
à ses infirmières et en projette un pour les homm
locéphalie, 319. Mélancolie avec stupeur (note sur un cas de à -)
forme
ca- taleptique avec conservation de l'intelli
s sa part d'activité, avec les faits nombreux dont elle s'est accrue,
forme
aujourd'hui un art distinct dans la thérapeutique
ictionnaires de médecine et de chirurgie. Cette espèce de mérite, qui
forme
le cachet principal du Sabatier-Dupuy-tren par MM
ces deux causes, ne pourront se produireque par des moyens, sous des
formes
, et, jusqu'à un certain degré, dans des limites d
e courti-sanerie, mais incapable de manquer à notre conscience et aux
formes
d'urbanité, si nos jugeniens ne sont pas toujours
eloppe qui assigne à chacun d'eux son lieu spécial, le limite dans sa
forme
et son volume, et l'isole des parties voisines. L
les qui forment proprement les enveloppes n'offrant d analogue que la
forme
générale membraneuse appropriée à leur usage comm
iversité de ses usages, de ses connexions ou des associations qu'elle
forme
avec les parties voisines. Étendue. L'étendue s
plètes, quelles que soient du reste leurs dimensions relatives. Cette
forme
générale est commune à la fois à toutes les séreu
iscères, par une disposition dont j usqu'à présent l'analogie avec la
forme
des séreuses n'a pas été remarquée, forme aussi u
présent l'analogie avec la forme des séreuses n'a pas été remarquée,
forme
aussi une double enveloppe rentrant sur elle-même
e dégagement pour le passage des vaisseaux et des nerfs. Le bassin ne
forme
une cavité, ou mieux,un cylindre, qu'à sa partie
ant, par rapport à l'os lui-même, qu'une périphérie dont la dure-mère
forme
le périoste, tandis que la membrane médullaire ta
ur former les parois protectrices du crâne et du bassin. Au rachis il
forme
, pour la facilité des mouvemens, un levier brisé
exture des os varie quant à la disposition des fibres appropriée à la
forme
de chacun d'eux; mais elle est pourtant homogène,
diaire d'une couche de tissu cellulaire fibreux à larges mailles, qui
forme
la trame de support dans laquelle rampent les gra
ibreuse du cœur, offre avec la dure-mère de nombreuses analogies : il
forme
un sac extérieur tapissé en dedans par le feuille
'à leur sortie du cœur, rappelle les dédouhlemens de la dure-mère qui
forme
la faux cérébrale et la tente du cervelet. Pour
s ; pour les organes creux, qui sontdans une mobilité perpétuelle, il
forme
une enveloppe générale, et pour l'intestin en par
e, du moins dans sa portion essentielle, la caisse du tympan, où elle
forme
également une poche ouvrant à la partie postérieu
l'état de vacuité, où les parties sont revenues sur elles-mêmes, elle
forme
des rides transversales qui ralentissent le cours
on vésicale. Elle est molle, peu adhérente à la couche musculaire, et
forme
, à l'état de demi-réplétion, de nombreux replis q
ne muqueuse n'y est même pas prouvée. La peau par cela même qu'elle
forme
l'enveloppe extérieure générale,exposée partout à
osant l'enceinte de ses cavités. La seule différence consiste dans la
forme
des parties composantes organisées au point de vu
llèles entre elles, comme elles devaient s'offrir dans des organes de
forme
conique. Au tronc la direction verticale s'observ
oque fibreuse sphérique, très dense, la sclérotique, qui détermine sa
forme
et protège les parties délicates qu'il renferme.
cavité de la bouche qu'il remplit dans l'état de vacuité, et dont il
forme
la paroi inférieure. La langue et le voile du pal
us rond et ovale, fermés chacun par une membrane. La caisse elle-même
forme
une cavité à part, isolée du labyrinthe,comme nou
e naso-pharyngée. L'oreille externe, à partir de la caisse du tympan,
forme
un canal ostéo-cartilagineux, qui vient s'ouvrir
s, temporales, niassétérines et ptérygoïdiennes. 2° COU '. Le cou
forme
un rétrécissement cylindrique intermédiaier entre
enveloppe commune ; au-dessous de la peau s'étend le peaucier qui ne
forme
que la moitié antérieure de la circonférence, dou
e pharyngienne postérieure. Chacune des parties latérales antérieures
forme
un nouveau groupe ren fermant les gros vaisseaux,
es trois cinquièmes inférieurs du tronc. Dans l'état de plénitude, sa
forme
est irrégulièrement celle d'un cylindre aplati d'
nt intimement aux os, à l'exception du deltoïde, dont la face interne
forme
une cavité de réception pour l'articulation scapu
ur, le triceps brachial. 3° Avant-bras. L'aponévrose anti-brachiale
forme
aussi un cylindre décroissant qui par ses extrémi
u-pinateurs, et, en arrière, celui des extenseurs. 4° Main. La main
forme
trois divisions principales : i° fe carpe, qui co
at de vie, les propriétés physiques, inhérentes à la matière sous une
forme
définie, entrant, comme un auxiliaire obligé, dan
laps de temps considérable. Ce n'est qu'ultérieurement, lorsqu'il se
forme
des produits morbides, ou des corps étrangers, qu
la thérapeutique médicale; par suite du travail morbide, ce calcul se
forme
un trajet fistuleux, et vient causer un abcès ent
s que profondes, s'opposent à l'extension de maladies, modifient leur
forme
parla résistance qu'elles offrent, et, lorsque le
on. Elles se présenteront, à divers degrés de consistance et sous des
formes
variées, en masses, infiltrées ou enkystées. Cell
uides, et en particulier le pus, qui conserve plus généralement cette
forme
, détermineront immédiatement des accidens; mais c
tout-à-fait inverses pour les produits organisables, dont la fibrine
forme
la base, prouvée dans quelques uns, et présumée d
e cas, les parties déplacées, poussant devant elles le péritoine, qui
forme
ce que l'on appelle le sac herniaire, viennent fa
tour aponévrotique de l'anneau, naissent des fibres apouévrotiques en
forme
d'entonnoir fibreux, implantées circulaircment su
distinguant par des signes propres, et se trouvant modifiée dans ses
formes
et son extension par la pression des aponévroses,
nset le péri-crâne. La densité de ce tissu explique l'isolement et la
forme
aplatie et globuleuse des diverses tumeurs, produ
ion. Située sur la partie moyenne latérale et inférieure du crâne, de
forme
irrégulièrement demi-circulaire, ses limites, tra
me sans perte de substance. C'est à la même cause cpie se rattache la
forme
aplatie et demi-sphérique des tumeurs du cuir che
hevelu, la résistance et l'enfoncement du tissu cutané accidentel qui
forme
les cicatrices. 2° Vaisseaux sanguins. L'abondanc
prononce au dehors que par la proéminence triangulaire du nez qui en
forme
l'appendice et l'orifice facial. Ses limites, par
être considérées à l'extérieur et à l'intérieur. i° Au visage, le nez
forme
une saillie pyramidale limitée en haut par la bos
rectile, en donnant lieu à diverses tumeurs qui prennent suivant leur
forme
des noms différens. 1° Couche cellulo-vasculaire.
NNIÈRE. Située à la partie médiane inférieure de la face, dont elle
forme
l'extrémité libre ou le menton. La peau, recouver
riétés, elle continue la peau, tapisse en arrière chaque paupière, et
forme
circulairement un repli autour de l'œil, qu'elle
riculaire. Elle est remarquable par la saillie de l'os jugal, dont la
forme
est un des caractères de races les plus prononcés
, délimitation. Située à la partie moyenne et latérale de la face, de
forme
quadrilatère, elle est limitée en haut par la rég
ngulaire de la lèvre inférieure ; au milieu le buccinateur. Ce muscle
forme
à lui seul la moitié postérieure de la région gén
Située à la partie latérale, postérieure et inférieure de la face, de
forme
quadrilatère, elle est limitée en haut par l'arca
rd antérieur du sterno-mastoïdien. Inclinée en bas et en dehors, elle
forme
un plan oblique trapézoïdal, constitué par le pla
legmons. ^Aponévrose cervicale. Très mince, quoique assez dense, elle
forme
la partie supérieure de l'aponévrose antérieure c
ée de chaque côté à la partie antérieure et moyenne du cou, dont elle
forme
presque toute la hauteur, la mâchoire étant abais
rnale, et latéralement par le bord antérieur du sterno-mastoïdien, et
forme
un triangle isocèle très alongé, qui a sa base à
vagues, son étendue ne pouvant être déterminée qu'arbitrairement. Sa
forme
générale est celle d'un triangle isocèle, dont la
par l'angulaire. L'aire triangulaire comprise entre ces trois lignes
forme
à l'extérieur une dépression très prononcée en ba
nt en profondeur, vu la résistance de la peau. 3° Aponévrose. Elle ne
forme
point une couche isolée, et ne se compose en fait
Sur le sillon moyen le ligament cervical, de nature fibro-celluleuse,
forme
une cloison de séparation entre les deux côtés. 4
t inférieurement la fossette xyphoïdienne; dans toute sa hauteur elle
forme
une dépression verticale, limitée par les attache
mammaire. A peine rudimentaire chez l'homme, cet organe dans la femme
forme
une masse demi-sphérique, inégale, granulée, situ
rurgie relativement à la proximité des organes thoraciques, dont elle
forme
la paroi. Parmi les accidens chirurgicaux les plu
oblique du rebord cartilagineux des côtes. A l'extérieur cette région
forme
deux saillies latérales, comprises entre trois si
ar-tement des muscles sterno-pubiens en regard de l'anneau, prend une
forme
rhomboïdale très alongée de haut en bas. Cet élar
et de la masse du sacro-spinal en arrière. Étranglée au contour, elle
forme
l'adossement des deux cônes tronqués du thorax et
limitation. Située à la partie postérieure et inférieure du tronc, de
forme
rectangulaire verticalement , elle est limitée de
ominale antérieure, où elle constitue l'hypogastre proprement dit, de
forme
triangulaire de haut en bas, elle s'étend de la l
nfiguration, délimitation. Située de chaque côté de la précédente, sa
forme
est celle d'un triangle qui a pour base la ligne
ne blanche et aux pubis. Au-dessus du pli de l'aîné, cette aponévrose
forme
l'enveloppe extérieure du canal inguinal, et insc
e des pubis et du diamètre antéro-postérieur du bassin , cette partie
forme
une éminence triangulaire sensible à l'extérieur
es molles, superposées et variables de direction, pour s'adapter à la
forme
des orifices cutanés qui le traversent, l'orifice
s sa disposition générale, le périnée présente d'avant en arrière une
forme
rhomboïdale, limitée dans le triangle antérieur p
par ramollissement, soit par une incision. Le triangle postérieur ne
forme
de saillie que sur le milieu, par le coccyx ; il
périnée figurant une sorte de diaphragme inférieur, on conçoit qu'il
forme
une cloison horizontale, légèrement oblique d'arr
n avant, au-dessous du pubis, par les racines du pénis, dont la masse
forme
une longue saillie médiane rétrécie entre les bra
-delà en s'épaississant dans le sillon des fesses. Sur les côtés elle
forme
les sillons de flexion intermédiaires du périnée
er anal. 4° Muscles. Au milieu, en arrière, est le sphincter anal, de
forme
ellipsoïde; au-dessus et continu avec lui, le sph
ontinu avec lui, le sphincter rectal, puis le relevcur de l'anus, qui
forme
le plancher du sillon latéral. En avant, de chaqu
essie à l'extrémité du pénis, situé sur le plan moyen périnéal, où il
forme
une petite saillie courbe, compris entre les corp
la peau par le muscle bulbo-caverneux. C'est ce même tissu aminci qui
forme
, sous la moitié pénienne du canal, le tissu spong
ation de haut en bas; sa moitié pénienne, pour entrer dans la vessie,
forme
un coude à concavité supérieure, qui avait motivé
tion de la sonde droite dans la vessie. Au repos, la portion pénienne
forme
, par le prolapsus de l'organe, un angle coudé sur
L'extrémité inférieure du rectum, doublée par le sphincter rectal, de
forme
annulaire, est fermée par le sphincter ellipsoïde
rculairement de leurs sphincters, vaginal et anal, qui déterminent la
forme
ovalaire des orifices eux-mêmes, et se confondent
e postérieure du bassin, où elle termine inférieurement le tronc, cle
forme
triangulaire comme le sacrum et le coccyx qui en
es fausses vertèbres sacrées. Dans sa direction générale cette région
forme
un plan incliné de haut en bas et d'avant en arri
vrotique très forte se compose de deux feuillets; le superficiel, qui
forme
le tendon membraneux du grand dorsal, et le profo
l'autre à deux ou trois pouces en dedans. Quant au sillon lui-même de
forme
linéaire en bas par le rapprochement des muscles,
icule, par l'aponévrose coraco-claviculaire et les adhérences qu'elle
forme
avec l'intercostal externe et les tuniques des va
ne des régions les plus intéressantes en chirurgie. A l'extérieur, sa
forme
est celle d'une excavation oh fosse inscrite clan
son étendue elle est lisse et unie. 2° Couche cellulo-adipeuse. Elle
forme
sous la peau un pannicule graisseux assez épais,
t l'étendue. Au sillon médian aboutit la veine radiale antérieure qui
forme
confluent par les anastomoses des radiales et cub
ouche profonde: muscles, vaisseaux et nerfs. L'aponévrose d'enveloppe
forme
ici la suture entre les portions brachiale et ant
structure générale, se compose de deux os : en dedans le cubitus qui
forme
la principale articulation avec le bras; en dehor
mière rangée, le scaphoïde, le pyramidal et le semi-lunaire, le carpe
forme
, avec l'extrémité des os de lavant-bras, l'articu
breux et adipeux de texture très dense. La gaine tendineuse elle-même
forme
un canal ostéo-fibreux dans lequel les doubles te
doigt, très dense quoique lisse, 1 Planche i, ri" 48; 0 planche 9.
forme
des rides transversales en regard des articulatio
e faîne, située à la partie antérieure et supérieure de la cuisse, de
forme
triangulaire ; elle est limitée en haut par la li
os, la naissance de la jambe est marquée par une saillie osseuse que
forme
la crête antérieure du tibia. Enfin, sur les côté
re à celles de la cuisse et de la jambe, qu'elle réunit, et dont elle
forme
l'attache sur les os. En dehors est le tendon de
par les deux jumeaux. Entre ces muscles s'inscrit l'aire poplitée de
forme
losangique, dont le triangle supérieur est formé
ons malléolaires externe et interne. Dans son ensemble, la jambe a la
forme
d'un cône aplati en avant et en dedans, décroissa
ur fréquente dilatation variqueuse. 3° Aponévrose superficielle. Elle
forme
la partie postérieure de l'aponévrose jambière, c
es tendons sont, de dedans en dehors, celui du jam-bier antérieur qui
forme
le point culminant, et à côté celui du long exten
l'interne, large de deux pouces d'avant en arrière, peu saillante, de
forme
globuleuse, et présentant son sommet culminant à
ronier antérieur et en arrière par celle des péroniers latéraux, elle
forme
une longue surface sous-cutanée triangulaire, don
portions inégales : l'une postérieure ou tarso-métatarsienne, qui en
forme
la masse principale, solide et fixe; l'autre anté
a portion charnue formera la région plantaire. A l'extérieur, le pied
forme
une double voûte convexe d'avant en arrière et de
dorsale, au-dessus de la saillie des muscles latéraux plantaires. Sa
forme
générale est celle du pied lui-même, rétrécie en
breux, à larges mailles, renfermant la graisse en épais flocons, elle
forme
une conclu; isolante très épaisse, destinée à pro
ymptômatiques d'une siphylis ancienne. A l'extrémité dorsale, la peau
forme
le repli cutané, organe excréteur de l'ongle, qui
rique, la peau, soumise à la pression, prend une grande épaisseur, ef
forme
sur les bords, par le rapprochement des orteils,
érapeutique, qui a pour objet de remédier aux diverses altérations de
forme
, de rapports et de texture des organes par l'act
u'il promet. Ainsi, un calcul à extraire étant donné, le volume et la
forme
du corps étranger, l'état comparatif de l'urètre
inces à anneaux, ciseaux, rasoir, etc. 1 ; 2°Les linges sous diverses
formes
, charpie, compresses, linges pleins, bandelettes
tranchans, sont les bistouris, les couteaux et les ciseaux. Dans leur
forme
la plus simple, et en quelque sorte typique, ils
es indications. Néanmoins, pour certains cas spéciaux, ils varient de
forme
, d'étendue, de structure et de mécanisme, et pren
ser, et comme il le paraît, au premier aspect, sous le microscope. Sa
forme
réelle est une courbe demi-ovalaire, dont la cord
aît sensiblement uni : du reste, il est régulièrement continu dans sa
forme
rectiligneou curviligne. Enfin la pointe, soit du
te, par la rencontre des biseaux du tranchant avec le dos de la lame,
forme
réellement un angle presque aussi parfait au micr
anchant est plus épais; la saillie triple ou quadruple des dentelures
forme
ce qu'on nomme un morfil, très mince, qui apparaî
l nu le sommet d'un angle aigu. Sous le microscope, il rentre dans la
forme
commune, et constitue aussi un plan faisant suite
res de métal en saillie, alternant avec des cassures assez profondes,
forme
une ligne très irrégulièrement continue, comparée
rement continue, comparée à celle des instrument à lame simple. Cette
forme
de ciseau est répétée par les mors des pinces inc
e l'on attache à l'action de couper, et suivant 1 image que l'on s'en
forme
communément. Evidemment le volume (un demi-centi-
à savoir graduer ces deux sortes de mouvemens suivant le poids et la
forme
de l'instrument dont on se sert. La consistance e
parties molles par un instrument tranchant. L'incision, en raison des
formes
variées qu'elle affecte et de son usage continuel
re partie, que d'une suite d'incisions plus ou moins variables par la
forme
, l'étendue, la direction, et la nature des partie
ques, dont l'emploi répond au plus grand nombre de cas; les autres de
formes
variées et réservés pour certaines opérations spé
e trois pouces environ de longueur, qui est reçue dans une châsse. La
forme
de la lame détermine le nom qu'il porte. Les prin
se termine par un bouton. Cet instrument est in- 1 Voyez , pour la
forme
, le mécanisme et le mode de fixation des bistouri
dépendamment de l'incision elliptique, celles qui, en raison de leurs
formes
, ont reçu les noms de cruciale, en T et en V; tou
en formant avec elle un angle d'autant plus aigu que l'écartement qui
forme
la base du lambeau est plus considérable. Les usa
i forme la base du lambeau est plus considérable. Les usages de cette
forme
d'incision étant les mêmes que pour l'incision cr
sions, puis on enlève paila dissection le tissu cutané accidentel qui
forme
ces cicatrices. incisions avec le bistouri sur
dedans en dehors. On peut alors apercevoir ou sentir la saillie qu'il
forme
au-dessous des tégu-mens, pourvu que les parties
rt : aussi les ciseaux coupent-ils d'autant mieux que leur vive-arête
forme
un angle plus aigu. Il est inutile d'ajouter qu'e
our que les parties soient incisées, il faut qu'elles se prêtent à la
forme
de l'angle d ecartement des tranchans entre lesqu
ourne l'instrument tranchant. En général, dans ces cas, la dissection
forme
le temps moyen des opérations que commence et que
spéciales. i° Section. On l'opère à l'aide de scies de différentes
formes
, droites, courbes, circulaires; avec les ostéotom
erait à-la-fois imprudente et inutile; car il est inévitable qu'il se
forme
de nouveau pus, auquel la plaie doit donner issue
renouvelée, on emploie les serre-nœuds. Ces instrumens, variables cle
forme
, de longueur et de mécanisme, se composent, en gé
e volume des parties à embrasser. La ligature simple est celle qui ne
forme
qu'une anse, et suffit pour les tumeurs peu volum
s. procédés de striction. LiGATUHE simple. On l'opère suivant trois
formes
. i° Striction complète. Son objet est d'obtenir
serrer ou relâcher à chaque jour, suivant le besoin. C'est pour cette
forme
de striction qu'ont été imaginés plusieurs instru
es. Le choix du procédé dépend des indications à remplir d'après la
forme
, le volume et la composition organique de la tume
l est préférable de laisser le caustique se décomposer entièrement.
FORMES
DES CAUSTIQUES. Les formes sous lesquelles on e
e caustique se décomposer entièrement. FORMES DES CAUSTIQUES. Les
formes
sous lesquelles on emploie les caustiques sont tr
vives et d'un violet noir pour l'épiderme ; le plus généralement elle
forme
une pellicule noire ou d'un brun plus ou moins fo
te par les alcalis, le détritus animal se détache insensiblement sous
forme
d'une espèce de putrilage entraîné par la suppura
verdâtre avec l'acide hydro-chlorique. Le deuto-chlorure d'antimoine
forme
, dès l'instant de son contact avec les tissus, un
n lui préfère généralement le nitrate acide de mercure : ce caustique
forme
également une escharre sèche et solide, facile à
emblerait devoir obtenir la préférence sur les autres ; comme eux, il
forme
une escharre nette et bien déterminée, dont la ch
t détruire, et prendre garde que la pâte, appliquée négligemment , ne
forme
des traînées qui auraient inutilement pour effet
temps, le caustique se dessèche, et lorsqu'il a épuisé son action il
forme
une couche noirâtre qui devient très consistante.
rgent dans son étui, on le nettoie avec soin, pour éviter qu'il ne se
forme
à sa surface une croûte qui en empêcherait l'effe
, fait couler l'alcali en longs cylindres qui prennent d'eux-mêmes la
forme
conique par liquéfaction au contact des liquides.
rès vive, on l'applique par couches dont on circonscrit exactement la
forme
, suivant celle que l'on veut donner à lescharre,
, etc., pétris en une pâte que l'on fait sécher par petites masses de
forme
conique ou cylindrique. Pour s'en servir, on appl
ce des plaies. Etendu en poudre, en une couche de peu d'épaisseur, il
forme
, avec les tissus qu'il détruit, une croûte qui se
re se compose d'une tige d'acier dont l'extrémité supé- Heure a une
forme
appropriée au genre de cautérisation que l'on veu
t le cautère dans différentes directions. Variétés de cautères. Les
formes
affectées à l'extrémité cautérisante ont détermin
rs lesquelles il pénètre, à une perte de substance en rapport avec sa
forme
; il convient lorsque l'action du feu doit s'exerc
clans la profondeur. Cautère cultellaire, hastile ou hastaire. Cette
forme
est celle d'une petite hacbe dont le tranchant tr
ent est arrondie pour la même raison. Il y a de ces cautères plats de
forme
carrée et ovale, mais ils sont moins employés que
et ovale, mais ils sont moins employés que les circulaires. Une autre
forme
de cautère, imaginée par M. Percy, est celle à la
Percy l'employait pour la cautérisation sincipitale. Enfin, diverses
formes
de cautères ont été imaginées dans ces derniers t
'on pense que la première impression soit insuffisante. C'est à cette
forme
de cautérisation que s'adresse plus particulièrem
tés qui leur donnent issue. 3° Comme moyen auxiliaire, la compression
forme
l'un des élémens les plus communs d'un grand nomb
har-monient mieux avec les intentions du chirurgien. 3° La dernière
forme
est celle de dilatation lente et prolongée des or
es de racines d'iris ou de gentiane, l'éponge préparée sous plusieurs
formes
, la corde à boyau, les algalies; enfin, divers cy
émens organiques analogues. Si les lambeaux sont assez abondans et de
forme
appropriée, l'affrontement terminé doit se résume
ive qui donne issue aux liquides. Dans les solutions de continuité de
forme
irrégulière , consécutives à des pertes de substa
nt inévitable qu'elle causait a motivé son exclusion. C'est à cette
forme
de suture continue que semble devoir se rapporter
ncipalement à la gastro-raphic et à la staphyloraphie. C'est la seule
forme
acceptable dans le second cas; mais comme clic ex
pas trop forte. AGGLUTINATIFS. Les agglutinatifs s'emploient sous
forme
d'emplâtres étendus sur une toile. Les sparadraps
e coagulable. Cette lymphe, dont on sait aujourd'hui que la fibrine
forme
la base, est, pour les artères, comme pour les au
u corps comprimant, soit le doigt, une pelotte ou tout autre objet de
forme
appropriée, diriger la résultante de la pression
le médius : telle est aussi la compression de l'aorte abdominale. La
forme
de la pelote est appropriée à celle du lieu où el
vasculaire, oblitère le vaisseau principal, et par la saillie qu'elle
forme
, empêche la striction des tégumens, préservés en
emment avec cet instrument, un autre compresseur qui est double. de
forme
conique. C'est donc en vain que Dalh a imaginé so
igatures diffèrent suivant plusieurs conditions : i0 la substance qui
forme
le lien ; 2° les in- t. vi. strumens dont on
Inslrumens. L'art en possède un grand nombre qui se réduisent à deux
formes
principales : des pinces ou des crochets , dits t
avait imaginé deux moyens consignés dans Dionis. Dans le premier, qui
forme
la transition de l'ancien procédé de ligature au
ssion d'un doigt, empêche qu'il ne se desserre, tandis que le premier
forme
l'anse du second nœud, qu'il serre comme précédem
s se loge facilement un caillot solide, tandis que la tunique externe
forme
, au-devant de l'extrémité du vaisseau, un prolong
celles des tissus ostéo-fibreux, elle est introduite sous T. VI.
forme
d'une tige très menue. On pince, s'il est possibl
rétiques. On s'en sert en poudre ou eu solution. Les plus usités sous
forme
pulvérulente sont l'alun et les substances végéta
rticulier la colophane, appartiennent à la seconde. Les substances de
forme
membraneuse peuvent être employées seules; mais l
comme moyen temporaire ; laissé à demeure, au contraire , il sèche et
forme
des plaques solides très adhérentes qui blessent
récidive d'hémorrha-gie. La toile d'araignée, encore plus adhérente,
forme
comme un tégument solide, et par cela même est pr
nsables : ce sont des rugines et des poinçons, sortes de grattoirs de
formes
variées, carrés ou aigus, rectilignes ou curvilig
une surface saine. Instrumens. La lime fine d'horloger, variable de
forme
et de volume, est l'instrument le plus usité; ell
ment sans avoir besoin de récidiver. 20 Caustiques. On emploie sous
forme
liquide les acides concentrés, et sous forme soli
stiques. On emploie sous forme liquide les acides concentrés, et sous
forme
solide, par petits fragmens, la potasse, la pâte
le lieu malade; cette précaution n'est pas nécessaire quand l'ulcère
forme
un cône creux; on y dépose avec un bec de plume u
En voici rénumération : i° Le spéculum oris ( Fig. i ), de diverses
formes
, imaginé comme moyen préparatoire pour maintenir
riginale a été singulièrement tourmentée plutôt que modifiée dans les
formes
et les rapports du crochet et du panneton, fixes
Fig. 27 à 3o), est une tige d'acier, coudée à son extrémité libre, de
forme
variée, qui sert à luxer les racines dentaires; l
piqué, le liquide ne sort qu'avec beaucoup de lenteur. 4° Il prend la
forme
d'un globule sphérique. 5° Il se dessèche rapidem
end la forme d'un globule sphérique. 5° Il se dessèche rapidement, et
forme
à l'extrémité de la lancette un grumeau en appare
n grumeau en apparence gommeux. 6° Répandu sur l'aréole du bouton, il
forme
un enduit brillant d'un aspect demi-vitré, ayant
e la piqûre; dès qu'il est solide, détacher les petites plaques qu'il
forme
et les enfermer dans un tube de verre ou un tuyau
de bras à bras, piquer un bouton; il apparaît une gouttelette qui se
forme
avec lenteur. 3i Quand on a plusieurs enfans
e dénomination les inflammations et les plaies artificielles que l'on
forme
dans l'intention de déterminer et d'entretenir à
de plusieurs réapplications, et on peut lui donner rigoureusement la
forme
et l'étendue convenables. — B. Chaleur sèche. i°
substance employée pour déterminer la vésication lente; cette poudre
forme
la base des emplâtres épispastiques, et sa teintu
ant pour faciliter le soulèvement de la phlyetène. cautère. On le
forme
de trois manières : par cautérisation, par incisi
que la combustion s'achève, la peau se fronce; elle sèche, jaunit, et
forme
des rides concentriques à la circonférence du mox
pruntant à une autre partie un lambeau cutané que l'on taille dans la
forme
et retendue convenables et que l'on applique sur
es régions. 3° La taille du lambeau exige plusieurs conditions ; sa
forme
est celle de la partie qu'il doit recouvrir; mais
parabolique, cle manière à donner autant que possible à la plaie une
forme
elliptique, terminée à chaque bout par des anses
st très considérable, de telle sorte que la plaie s'inscrive dans une
forme
irrégulièrement ovalaire ou môme circulaire, rafr
ons dont le chirurgien s'inspire à chaque fois en opérant, suivant la
forme
, la disposition et les conditions anatomiques des
M. Jameson emprunta aux tégumens voisins un lambeau de largeur et de
forme
convenables qu'il renversa et fit pénétrer dans l
s avoir ravivé les bords de la solution de continuité on en calque la
forme
avec de la cire, un morceau d'étoffe ou du papier
rocher de la plaie, et on taille, puis on dissèque un lambeau de même
forme
, mais un peu plus étendu, en conservant un pédicu
ns. Cicatrices saillantes. Si la cicatrice n'a que peu d'étendue et
forme
seulement comme une sorte de verrue, on peut se c
nente. Il n'est pas rare, pendant que dure la cicatrisation, qu'il se
forme
de nouvelles brides. On doit, suivant le précepte
sa face dorsale, les doigts très écartés, sur une palette en bois de
forme
appropriée, et on l'y maintient par un bandage. O
1,2, 3 ) de deux à trois pouces de hauteur sur autant de diamètre, de
forme
variée, demi-sphérique ou demi-ova-laire, dont l'
, de forme variée, demi-sphérique ou demi-ova-laire, dont l'ouverture
forme
un bord plat et lisse, susceptible de s'appliquer
laquelle il exerce une forte pression sur les piqûres. Un caillot se
forme
immédiatement après quelques minutes. Il réintrod
cion happe et allonge le membre, l'ajutage refoule les tégumens et en
forme
un bourrelet circulaire qui interrompt aussitôt l
y. a, b, c, d). On en distingue de trois sortes , suivant l'angle que
forme
la pointe : la lancette obtuse et dite à grain d'
e la pointe : la lancette obtuse et dite à grain d'orge. La pointe en
forme
un angle de 5o degrés; elle convient pour piquer
nner une large issue au sang. La seconde espèce, ou à grain d avoine,
forme
un angle de 35 à 4o degrés: elle n'est employée q
scurité, on reconnaît parfois une veine profonde à l'ombre légère que
forme
son relief en promenant une bougie autour du memb
de manière à former une plaie triangulaire dont la section de la peau
forme
la base élargie, et la veine le sommet tronqué. L
milieu pour l'abondance et fournissent le jet le plus régulier. 3" La
forme
cle l'incision. Elle doit, comme nous l'avons dit
rs cle desserrer un peu et au plus vite, clans la crainte qu'il ne se
forme
un thrombus. 2° Souvent au bras, si ce n'est la l
ne ligne et demie de profondeur derrière l'aponévrose bieipitale, cpù
forme
seule la cloison d'isolement, la veine croise obl
re de veines ou de nerfs sous-cutanés, (b) L'incision de l'aponévrose
forme
un second temps : on la fait franchement et à pla
c précaution, ou sur la sonde cannelée, dans l'interstice fibreux que
forme
son bord interne avec le jainbier postérieur ; au
consiste à atteindre le sillon profond, persistant quelle que soit la
forme
de l'incision. Dans un cas de lésion traumatiqu
indique la direction générale de l'artère, à part la courbure qu'elle
forme
à son origine. Les règles ultérieures varient, su
dans la plaie, à partir du coraco-brachial refoulé en dehors, et qui
forme
le bord externe, se présentent : le cordon du ner
Lignes d'incision. Les chirurgiens varient d'opinion sur la meilleure
forme
d'incision cutanée. M. Houx a proposé une incisio
, en dehors de l'iliaque externe, au-dessus de l'arcade crurale, elle
forme
à sa naissance une coudure en dedans et se dirige
lée un peu au-dessus du repli ou de la gouttière de réflexion qu'elle
forme
avec le fascia-transversalis. Parvenu ici en plei
l une valeur originale ; les autres ne sont, pour ainsi dire, que des
formes
différentes d'incision, et n'influent que sur la
fice inguinal interne, et de prendre pour guide l'anse inférieure que
forme
l'épigastrique pour tomber sur l'iliaque. Appré
la symphyse sacro-iliaque, l'artère iliaque interne ou hypogastrique
forme
un tronc très court qui se dirige immédiatement v
hamps, sir Henry, Charrière et tant d'autres dont a beaucoup varié la
forme
et le mécanisme. Assalini affirme avoir guéri ave
corps étranger le moins de temps possible dans la plaie. De là trois
formes
générales de ligature, temporaire, d'attente et p
ui amène la division et la rupture des tissus : restent donc les deux
formes
de ligature temporaire et permanente. ligature
oisinage du nœud, ne se trouve ici en contact qu'avec le cylindre; la
forme
rubanée persiste en arrière, dans le point opposé
niers temps elle présente néanmoins de nombreuses variétés quant à la
forme
de la ligature elle-même et à la nature de la sub
gature du bout supérieur vînt à se détacher. Ligature simple. Cette
forme
de ligature, la plus ancienne, est encore la plus
ssion temporaire bien assurée, le trajet de l'artère reconnu dans les
formes
énoncées pour chaque lieu , inciser parallèlement
ligature sans les nouer. Ce moyen, imaginé parM. Malago, n'est qu'une
forme
delà ligature temporaire; mais il n'offre aucune
e plus efficace, l'agent électrique s'emploie encore sous différentes
formes
: par simple communication avec le conducteur d'u
l donne lieu par sa présence à des phénomènes très variés, suivant sa
forme
, sa situation par rapport aux parties lésées, le
emplis de faits de l'un et de l'autre genre concernant des corps de
forme
et de nature très variées. Dionis, Ravaton, Bagie
de vue opératoire, les corps étrangers se distinguent, suivant leurs
formes
et leurs dimensions, en deux ordres. i° Les uns a
mb, bourres de fusil, fragmens de vêtemens, etc. 20 Les autres, d'une
forme
allongée, peuvent être saisis par l'une de leurs
rmettre l'usage des instrumens. En outre, quand le corps étranger, de
forme
irrégulière, est fiché ou arc-bouté dans les tiss
rait à-la-fois imprudente et inutile : car il est inévitable qu'il se
forme
de nouveau pus, auquel la plaie doit donner issue
urelle, puisqu'elle est tirée du premier aspect des altérations de la
forme
, peut renfermer arbitrairement les maladies les p
eau elliptique de la peau et de l'enveloppe adhérente du kyste qui en
forme
le sommet. L'opération terminée, la paroi profond
en forme le sommet. L'opération terminée, la paroi profonde du kyste
forme
la surface de la plaie. Exposée à l'air, elle sup
blanchâtres, plats, ovoïdes, aeriformes, variables de volume, mais de
forme
constante, et que MM. Bosch et Duméril ont jugés
primer la tumeur à l'une de ses extrémités, et sur la saillie qu'elle
forme
en sens opposé pratiquer la ponction; introduire
e ces tumeurs dans toutes les parties du corps. Indolentes, dures, de
forme
globuleuse ou bosselée, à la dissection elles par
tendue de la tumeur, quatre, huit, douze au plus. Si la tumeur est de
forme
inégale et bosselée, M. Lallemand l'attaque par f
'hui à peu près abandonnée, les résultats de l'étranglement par cette
forme
étant beaucoup inoins favorables que par le procé
our chaque opération spéciale. Procédé opératoire en général. 10 La
forme
de l'incision dépend du volume de la tumeur et de
s grandes articulations et particulièrement dans celle du genou. Leur
forme
et leur volume sont variables; les uns sont arron
es; en effet, ce sont de véritables ciseaux beaucoup plus forts et de
forme
un peu différente. Ces instrumens agissent toujou
breux intermédiaire, c'est le cas le plus commun; d'autres fois il se
forme
une capsule articulaire et une synoviale accident
burnées, poreuses ou ostéosarcomes (sir Ast. Cooper); — 3° selon leur
forme
et leur volume, les exostoses slylaides, arrondie
re puisse être simple ou compliqué non à cause de la nature et cle la
forme
différente de l'exostose, mais par suite de la di
urnir des insertions aux muscles, dont les tractions contribuent à la
forme
irrégulière et au volume considérable qu'il affec
formation au moyen d'une incision cruciale ou en T ou bien encore de
forme
semi-lunaire, comme le conseille M. Vclpeau. Les
es parties, en V ou enT, cruciale ou elliptique, suivant le siège, la
forme
et l'étendue de la maladie, de manière à en mettr
ut avoir fait disposer un réchaud avec plusieurs cautères de diverses
formes
(pl. 17) chauffés à blanc : des cautères nummulai
du carton mouillé une sorte de canule dont il est facile d'adapter la
forme
à la configuration des parties; on en renverse le
ieurs temps. t° Dénudation de Cos. Les chirurgiens ont varié sur la
forme
à donner à l'incision du cuir chevelu. S'il exist
ns une aussi grande étendue qu'on le désirerait et suivant toutes les
formes
que nécessiterait le but qu'on se serait proposé;
vant leurs insertions, sont de puissans obstacles qui, sous une autre
forme
, se retrouvent chez les malades affaiblis par des
me que dans les fractures des phalanges. A mesure que la cicatrice se
forme
, un tissu ostéo-fibreux réunit les deux bouts de
Comme c'est le plus souvent l'état des parties molles qui commande la
forme
de l'incision ou du lambeau, ce sera sur le premi
lambeau quadrilatère se renversant en dehors comme une charnière. La
forme
d'un pareil lambeau a l'inconvénient de favoriser
ns nuire considérablement à la station; d'un autre côté le tarse, qui
forme
la plus grande partie du pied, est composé d'os c
donne un lambeau qui se prête mieux à une cicatrisation régulière et
forme
une espèce de coussin sur lequel le talon trouver
aires à convexité interne pour le tibia et externe pour le péroné. La
forme
de ces lambeaux donnerait de la facilité pour sci
c reposant sur sa face interne, sentir avec les doigts la saillie que
forme
la tête du péroné. A quatorze millimètres (un dem
section. Procédé de Moreau (pl. 62, fig. 1, 2, 3). Les analogies de
forme
qui existent entre l'articulation du coude et cel
sé de dedans en dehors et un peu obliquement de haut en bas, ayant la
forme
d'un triangle dont la base était représentée par
° Résection avec désarticulation dune moitié de l'os maxillaire. La
forme
de l'incision des parties molles devra varier sui
ille manières l'incision des tégumens et obtenir des lambeaux dont la
forme
ne saurait être calculée d'avance. Après cette op
pratiquaient quun lambeau ; Vennale et Ravaton en faisaient deux. La
forme
des lambeaux est ordinairement semi-ovalaire, leu
actions cle membre inégalement pourvues de parties molles, ou dont la
forme
est un peu plate, comme à lavant-bras ; et surtou
cation aussi bien dans l'une que dans l'autre espèce d'amputation. La
forme
aplatie des doigts, l'épaisseur des parties molle
tion d'un lambeau externe. Pour l'amputation dans la continuité on le
forme
par ponction ou par dissection, après avoir incis
s. Au tiers supérieur il suit le procédé de M. Sédillot, seulement il
forme
un cône rentrant en divisant les chairs profondes
raverser par ses deux angles, et former un lambeau postérieur de même
forme
et de même longueur que le premier. Procédé de
inq pièces d'inégale longueur, ressemble à une espèce de gril dont la
forme
trapézoïdale n'est pas sans importance pour la ma
, ouvrit une large carrière aux inventeurs de profession; le lieu, la
forme
, le nombre, le procédé, furent autant de sujets q
au corps : scier largement, mais à coups mesurés et continus. S'il se
forme
un éclat, on l'enlève avec la tenaille : il est p
ie, en rasant la face interne du fémur, et tailler ce lambeau de même
forme
et de même longueur que le premier ; les chairs r
ortent surtout à la division des chairs, puisque les variétés dans la
forme
des cylindres osseux n'ont qu'une importance très
lambeau qu'on a surtout généralisées pour les désarticulations. Les
formes
variées que prend le membre, les dispositions irr
es ont encore de l'analogie entre elles parce que dans la première la
forme
du membre est autant déterminée par les parties m
eux conditions qui ne sont pas toujours réunies : la régularité de la
forme
de l'articulation, et son peu de profondeur au mi
'il n'y en a qu'un on le taille en dernier lieu ; s'il y en a deux on
forme
le plus important après qu'on a divisé entièremen
doigt, et tailler, d'arrière en avant, le second lambeau dans la même
forme
que le précédent. Lorsque l'opération est pratiqu
inclinée en dehors et en arrière dont la tête du deuxième métacarpien
forme
le sommet. Méthode circulaire. — Procédé de M.
la main ainsi respectée, dit l'auteur, permet de donner au lambeau la
forme
et l'étendue désirables. Méthode ovalaire. Décr
ssant d'un seul coup le long du bord radial de l'os jusqu'à l'os unci
forme
, écarter le métacarpien en dedans, couper avec
pienne,qui offredes considérations anatomiques spéciales,suivan t: la
forme
et le nombre des surfaces cartilagineuses. Le deu
surfaces cartilagineuses. Le deuxième métacarpien, le plus complexe,
forme
une triple articulation: au milieu un angle de ré
de, le grand os et le troisième métacarpien. Ce troisième métacarpien
forme
une ligne simple oblique en bas et en dedans; le
Anatomie. La surface radio-cubitale de la première rangée du carpe
forme
, du scaphoïde au pyramidal, une éminence convexe
e lambeau en ce sens. M. Lisfranc met la main en pronation forcée, et
forme
un lambeau dorsal semi-lunaire qu'il dissèque. 3°
ndé par l'état des tégumens, il est bon de savoir varier au besoin la
forme
des lambeaux, pour éviter l'amputation de lavant-
presque à angle droit, par l'axe du membre; le plan inter-articulaire
forme
une autre ligne légèrement oblique avec la premiè
oracoïdien, qui reçoit la pointe du couteau dans divers procédés ; il
forme
un intervalle osseux à trois côtés, l'aeromion, l
des considérations suivantes. i° Le résultat définitif. Eu égard à la
forme
de la plaie sur une seule ligne, dont la directio
s. AMPUTATIONS DANS LES ARTICULATIONS MËTATARSO-PHALANGIENNES. La
forme
de ces articulations est peu différente de leurs
tarsiens pour l'autre surface, cette articulation, dans son ensemble,
forme
une ligne courbe, oblique de dedans en dehors, où
ère de l'articulation, qu'il réunit par deux autres latérales de même
forme
, à trois centimètres environ au-dessous des mallé
région antérieure, où la tête du fémur, revêtue par le psoas iliaque,
forme
, dans l'extension de la cuisse, une saillie globu
et en avant. La tête du fémur, de même volume, qui s'y est encastrée,
forme
une graude saillie revêtue par le psoas iliaque,
fixé directement au sommet correspondant de la tète et de la cavité,
forme
le plus grand obstacle. En raison de son obliquit
d externe de la tête du fémur, en est écarté de trois centimètres, et
forme
en arrière et en dehors du col une saillie de deu
(deux pouces trois lignes) au-dessous du contour interne de la tête,
forme
, dans une hauteur de deux centimètres, une sailli
s après les opérations : compression, 105. — Ligature en général; ses
formes
, ses procédés et ses instrumens, 105—109. — Moyen
septième et huitième paires, et la première dorsale, dont l'ensemble
forme
le plexus brachial. On a conservé ce plexus pour
nces avec leurs gaines; reçoit, en dehors, l'aponévrose brachiale, et
forme
la seule ligne réelle de démarcation entre la rég
t. A. Bandelettes de l'aponévrose du grand oblique, airignée, qui
forme
l'arcade fibreuse crurale sus-vasculaire. 1. Ba
cade fibreuse crurale sus-vasculaire. 1. Bandelette postérieure qui
forme
le segment antérieur de l'arcade crurale sous l
plaie verticale, l'incision transversale étant déjà faite. Fig. 2.
Forme
de l'incision en V. Fig. 3. Forme de l'incision é
nsversale étant déjà faite. Fig. 2. Forme de l'incision en V. Fig. 3.
Forme
de l'incision étoilée. Fig. 4. Incision crucial
uveau-nés. Figure 19. Stylet aiguillé. Figures 20 et 21. Les deux
formes
usuelles des pinces dites à disséquer. Chacun de
airement coudée à une extrémité qui se termine par des renfleinens de
formes
diverses, et reçue par l'autre extrémité dans un
s à sa base, et seulement de 6 à son sommet. Get instruaient, d'une
forme
régulière, s'applique également sur l'un ou sur l
de quatre parties principales : Io Une pelotte fixe d'appui (A), de
forme
rectangulaire, cousue sur une plaque métallique p
re artère sous-clavière. 2° Une seconde plaque d'acier (B), de même
forme
que la précédente, sur laquelle elle s'applique e
ze. Cette lame elliptique est garnie en dessous d'une pelotte de même
forme
, et présente deux boutons (c) pour l'attache des
largeur de la pelotte par l'interposition d'une compresse graduée de
forme
convenable, sur laquelle elle s'applique. Le lacs
laitement artificiel. Cet appareil ne diffère du précédent que par la
forme
de la cloche (a), dont l'orifice, rétréci en goul
e compose d'un cylindre en cuivre jaune, disposé horizontalement, qui
forme
une sorte de vestibule intermédiaire entre les ca
ement principal contourne en dedans la malléole. Figure 6. Diverses
formes
de lancettes usitées pour la saignée. a. Lancet
antérieur. Au-delà le vaisseau se dilate de nouveau en (H) ; puis il
forme
un collet d'aplatissement derrière la clavicule (
dans le point où sa bifurcation accidentelle, embrassant l'artère,
forme
un collet d'étranglement. d. Veine numérale pro
lombaire. Elle reçoit au-dessous l'anastomose de l'obturatrice (g) et
forme
avec la branche (h) de la même artère, par une au
e l'artère, pénètre dans la poche anévrismale. Il est évident, par la
forme
de la tumeur, que les mouvemens du biceps ont fai
le sang entre ce muscle et le brachial antérieur, et ont déterminé la
forme
allongée de l'anévrisme en haut et en dehors. D
d'acier perforé, renfermé dans une canule plate. 33,34. Deux autres
formes
d'aiguilles à ressort. 35. Instrument de M. Weiss
ur la colonne lombaire du rachis, avec une large pelotte à manche, de
forme
rectangulaire, de manière à pouvoir, au besoin, s
es par la pression des anses d'intestins. 8. Nerf iléo-scrotal, qui
forme
le contour, à l'angle inférieur de la plaie.
stose éburnée placée sur la suture occipito-parié-tale. La tumeur, de
forme
globuleuse et saillante d'environ un pouce, a été
ues le mouvement à une molette terminale ( d ), dont la circonférence
forme
une scie à double voie. Sur la même tige s'adapte
ace vers la profondeur, ou au-devant de l'opérateur. La figurell, qui
forme
un trépan, constitue en fait un autre instrument
quelques points de suture entortillée. La dépression de la peau et la
forme
du membre indiquent l'absence des extrémités arti
GURE 3. RÉUNION DE LA PLAIE APRÈS L'OPÉRATION PRÉCÉDENTE. La joue
forme
une excavation traversée par une simple incision
asse fibreuse, intermédiaire aux extrémités des divers tissus, et qui
forme
leur adhérence ou leur cicatrice commune. Figur
s. — 10. Os de l'avant-bras. Dans tous ces os, l'extrémité de section
forme
un disque ou bourrelet ostéo-vascu-laire, avec de
ulièrement parallèles. Figure 15. Pointe d'une bonne lancette. Elle
forme
un angle régulier. Les arêtes et les denticules d
on vient de pratiquer la ligature des artères. Le dessin fait voir la
forme
conique de la cavité du moignon, dont l'humérus f
in fait voir la forme conique de la cavité du moignon, dont l'humérus
forme
le sommet, k, Main d'un aide qui soutient le memb
s cette planche de donner la figure de ce lambeau, semblable, pour la
forme
, à celui de l'opération de Chopart figuré dans la
section des chairs représente un cône en creux , dont celle du fémur
forme
le sommet, i, k. Mains d'un aide qui supportent l
dèle auquel on ne demande que ce qu'il peut donner, c'est-à-dire, des
formes
, des couleurs, des rapports, des dimensions et mê
par conséquent cet auteur ne s'est occupé que de chan-gemcns dans la
forme
et la direction de nos organes, tous objets extrê
; jusqu'à présent nous ne connaissons que l'anatomie pathologique des
formes
, des rapports, des couleurs, l'anatomie pathologi
uvent ce sont des circonstances peu importantes et même fortuites, de
forme
, de volume, de consistance, de couleur, qui ont s
mbre des monstruosités est représenté dans la série des êtres par une
forme
permanente, ils ont fait faire un pas immense à l
oit étudier les altérations organiques; à l'anatomie pathologique des
formes
et des connexions doit être associée l'anatomie p
sions organiques se partagent en deux grandes classes, les lésions de
forme
et les lésions de texture. Rien de plus facile qu
rêles et fragiles, ils se rompent à la plus légère traction : d'où la
forme
de grappes (hydatis racemosa) et leur isolement.
8, 9, 10, 11, 15, i3, \/[, i5, donne une idée exacte des principales
formes
cpie ces vésicules et leurs pédicules peuvent rev
us-clavière étant alors rejetées en arrière. On voit manifestement sa
forme
anguleuse, sa continuation avec le premier gangli
du colon qui était dans l'état naturel. Réflexions. — Voilà une des
formes
composées du cancer du rein. Il nous sera facile
ein. Il nous sera facile de démontrer plus tard que toutes les autres
formes
du cancer ne sont que des variétés d'une forme qu
que toutes les autres formes du cancer ne sont que des variétés d'une
forme
qu'on peut considérer comme le type des affection
gauche (fig. 3 ) prodigieusement développé , mais sans changement de
forme
, remplissait, non-seulement toute la région lomba
igures 4? 5? 6, 7., 8, g, 10, n, 12, i3, représente quelques-unes des
formes
des papilles dans lesquelles ces vaisseaux lactés
anéum C, la convexité que présente sa face externe, la saillie TC que
forme
sa tubérosité antérieure; la saillie TA que forme
, la saillie TC que forme sa tubérosité antérieure; la saillie TA que
forme
la tète de l'astragale, tubérosité et tête qui on
e A qui sert à l'articulation astragalo-scaphoïdienne, l'autre TA qui
forme
une tubérosité sur la face dorsale du pied et ser
egarde directement en bas; le bord interne du pied regarde en haut et
forme
avec le tibia un angle droit rentrant en dedans.
pied-bot ( voyez fig. 1, 1 planche iv), c'est le coude ou l'angle que
forme
la première rangée du tarse avec la deuxième ; la
ité du scaphoïde, est venue se placer sous la peau qu'elle soulève et
forme
une tumeur d'autant plus volumineuse que le dépla
en partie la facette correspondante du cuboïde ; de là la saillie que
forme
la tubérosité antérieure du calcanéum sous la pea
nne, existe entre la saillie de l'astragale et la couche fibreuse qui
forme
le ligament supérieur de cette articulation ; des
longue que de coutume ; son diamètre vertical est de sept pouces. Sa
forme
a aussi quelque chose d'insolite : elle est oblon
ger les applications thérapeutiques. Voici le fait présenté sous la
forme
de problème, forme que j'adopterai désormais pour
s thérapeutiques. Voici le fait présenté sous la forme de problème,
forme
que j'adopterai désormais pour rédiger mes observ
ication constante, uniforme, quel que fût le siège, quelle que fût la
forme
de la maladie. Ce qui tue dans le plus grand nomb
que la rate? On me demandera peut-être maintenant quelle idée je me
forme
de la nature ou de la cause prochaine de ce ramol
n d'une manière positive, il faudrait connaître exactement toutes les
formes
que peut revêtir l'inflammation, toutes les modif
ie de fièvres rémittentes très-graves, dont plusieurs présentèrent la
forme
que je viens d'indiquer. La presque totalité nniK
arrière, ce qui frappe bientôt tous les regards, c'est une tumeur de
forme
« irrégulière, et volumineuse comme le tiers d'un
'épaisseur de nos tissus comme dans le récipient du chimiste, sous la
forme
de lamelles ou écailles brillantes, à la manière
nférieure, dont elle soulevait les tables externe et interne, sous la
forme
d'une volumineuse tumeur. Dans un troisième cas d
ment TA (planche ni, fig. 1,111e livraison, demi-grandeur), avait une
forme
ovoïde; elle répondait au-dessous de la fourchett
ées d'une série linéaire de points blancs. Au microscope, on voit une
forme
aréolaire, une masse homogène, mais point de trac
ire, d'où une poche que le sang remplit bientôt; ce sang se concrète,
forme
une espèce de bouchon qui prévient la perforation
brunâtre; d'autres fois, n'ayant pas de prise sur ces concrétions, il
forme
une couche plus ou moins épaisse entre elles et l
abdominale. É m Le foie (planche v, fig. 1, ni" livraison) a une
forme
singulière ; son diamètre antéro-postérieur est a
e est comme ratatinée, hérissée de granulations d'inégal volume et de
formes
différentes, qui ont été fidèlement représentées
as le niveau de l'organe; inférieurement la gauche le dépasse et elle
forme
une saillie sphéroïde assez considérable. L'une e
stes. On trouve, figure 2, de nombreuses et singulières variétés de
formes
, que rapporteront à des vices de conformation pro
le développement des kystes. Aucun organe n'est plus variable pour la
forme
et le volume, aucun organe ne se moule plus facil
quelle il est soumis dans l'ascite, détermine, avec son changement de
forme
, une espèce de racornissement et d'atrophie qui a
sont le siège, des modifications de vitalité telles, que toutes les
formes
d'altération organique, soit aiguë, soit chroniqu
ires cervicales du côté gauche une tumeur violacée du volume et de la
forme
d'une grosse amande FAP(fig. 1.) : les faisceaux
(fîg. 3 ) et FAO (fig. 4) donnent une idée exacte du volume et de la
forme
du noyau : la figure 4 représente en outre les fi
anéité, et sous ce rapport elle a une bien grande affinité avec celle
forme
d'apoplexie si bien décrite par IYTIVI. Lallemand
mmençai à trouver la moelle épi-« nière dans son intégrité quant à la
forme
, mais la couleur était d'un rouge très-foncé; en
qu'à « son extrémité supérieure où elle conservât encore un peu de sa
forme
naturelle et de sa consistance; « l'intérieur par
e le malade conrpare à un rhumatisme, qui s'étend aux membres sous la
forme
de fourmillemens douloureux et d'engourdissement
arent dans une étendue plus ou moins considérable, et surtout sous la
forme
hémiplégique ou paraplégique, tiennent toujours à
s se présentent ces tumeurs à découvert : celles de l'estomac sous la
forme
d'excroissances, de végétations à base large VE,
duodénum VE", située immédiatement au-dessous du pylore PP, ayant la
forme
d'un champignon qui ne tient aux parois que par u
s muscles j'ai rencontré des masses de concrétions plâtreuses sous la
forme
de petits grains non cohérens. A un mois d'inte
l. Dans la cavité cotyloïde gauche, matière plâtreuse déposée sous la
forme
de petites plaques isolées ; cartilage intact. Li
intact. Ligament cotyloïdienet ligament capsulaire infiltrés sous la
forme
de points et de lignes. Cavité cotyloïde droite t
bissent la loi commune, le tissu propre disparaît, la cellulosité qui
forme
la trame de tout organe vivant s'hypertrophie et
en bas, refoulée à gauche et en arrière dans sa presque totalité, et
forme
la base inclinée de l'espèce de pyramide que cons
ALES SUR LA PHLÉBITE UTÉRINE. La phlébite utérine constitue une des
formes
les plus redoutables et les plus fréquentes de la
point. Enfin nous avons noté une altération que je regarde comme une
forme
plutôt qu'un degré de phlébite; c'est un foyer sa
. Les symptômes extrêmement graves qui accompagnent la phlébite, la
forme
ataxo-adyna-mique qu'elle revêt, sont propres à t
largeur, et une épaisseur proportionnelle. Il n'a nullement changé de
forme
. Ses dimensions sont exagérées, mais d'une manièr
é et représentant alors de petites perles de la plus belle eau : leur
forme
et leur aspect, ceux du kyste qui les contenait,
parce qu'elle n'avait encore subi qu'un commencement d'atrophie. La
forme
que je viens de décrire est peut-être la plus fré
rémité. On eût dit qu'il était « infiltré de sérum combiné. » Cette
forme
aréolaire encéphaloïde s'accompagne ordinairement
veineux. Sarcocèle tuberculeux (tubercules épars) (fig. 5). Cette
forme
de sarcocèle est assez fréquente; c'est en généra
s de l'opération, qui en général réussit très-bien dans ce cas, cette
forme
de maladie se conciliant presque toujours avec l'
su cellulaire sous-muqueux de ces replis, qu'ils se tuméfient sous la
forme
de deux énormes bourrelets qui interceptent le pa
ture, je trouve un abcès dans l'épaisseur du repli muqueux droit, qui
forme
l'orifice supérieur du larynx. Le cartilage aryté
rieure du larynx et sur ses côtés, qui, vidé du pus qu'il « contient,
forme
de chaque côté une cavité capable de loger une av
men très-volumineux, tout-à-fait indolent, uniformément développé, en
forme
d'outre. Fluctuation obscure; on dirait que le fl
nd avec l'hydropisie du péritoine, sous le rapport du volume et de la
forme
de l'abdomen. A l'aide de quels signes établirons
stomac et des autres tissus que par la capacité de ses mailles. Cette
forme
de dégénération, sur laquelle j'aurai occasion de
mme granuleux à leur surface, et vraiment méconnaissables, et pour la
forme
et pour le texture. Les corps genouillés externe
d'un foyer récent se trouvât un foyer très-ancien remarquable par sa
forme
oblongue, par sa situation au centre de l'hémisph
ulaire a été déchirée ; une veine considérable VCS a été respectée et
forme
comme une bride qui maintient le caillot. Ayant e
lexie (*). Il n'est pas rare de voir cette fluxion séreuse revêtir la
forme
intermittente. (*) Voyez Dictionnaire de Médeci
ion Ire. —Méningite sous - arachnoïdienne de la convexité du cerveau [
forme
comateuse), fig. i. Leclair (*), palefrenier,
nne de la convexité d'un hémisphère, survenue chez un hémiplégique [
forme
comateuse). Carré, soixante-dix-huit ans, selli
t de la base du cerveau, du cervelet et de la protubérance annulaire {
forme
comateuse et adynamique). Un homme, âgé de quar
rvation IV. —Méningite sous-arachnoïdienne de la base et de la voûte {
forme
comateuse). Une femme, qui venait d'accoucher,
t-être, à l'aide de ce signe, pourrait-on reconnaître le moment où se
forme
cette pseudo-membrane. Nous voyons d'ailleurs che
té par une double rangée de racines. Une avance osseuse A (fig. 4) en
forme
d'épine conoide, née de la face postérieure du co
converti en une poche fibreuse qui fait suite aux calices dilatés et
forme
comme le fond de la cavité pyriforme qu'ils repré
n la cellulosité qui environne toutes nos parties, qui les pénètre et
forme
comme une atmosphère autour de chaque fibre, de c
de l'épaule d'un individu amputé depuis un grand nombre d'années. La
forme
triangulaire de la cicatrice C tient évidemment a
pression remarquable qui prouve que la fièvre n'était pour eux qu'une
forme
de maladie. Prost, dans un ouvrage qui fut accuei
, soit épidémiquement (**), m'ont permis de l'étudier sous toutes ses
formes
et dans tous ses degrés; ce sont ces formes diver
l'étudier sous toutes ses formes et dans tous ses degrés; ce sont ces
formes
diverses et ces degrés qui vont faire le sujet d'
important à la vie peut, comme l'entérite folliculeuse, revêtir trois
formes
générales bien distinctes : i° la forme sanguine,
folliculeuse, revêtir trois formes générales bien distinctes : i° la
forme
sanguine, inflammatoire ou active ; i° la forme d
en distinctes : i° la forme sanguine, inflammatoire ou active ; i° la
forme
de prostration ou de stupeur, forme adynamique; 3
, inflammatoire ou active ; i° la forme de prostration ou de stupeur,
forme
adynamique; 3° la forme d'excitation désordonnée
e ; i° la forme de prostration ou de stupeur, forme adynamique; 3° la
forme
d'excitation désordonnée ou de délire, forme atax
forme adynamique; 3° la forme d'excitation désordonnée ou de délire,
forme
ataxique. Ainsi il est des pneumonies, des pleuré
ire de leurs phénomènes locaux , peuvent se manifester sous la triple
forme
inflammatoire, adynamique ou ataxique, en l'absen
e des follicules de Peyer; car, dans le plus grand nombre des cas, la
forme
de l'altération rend si exactement celle des foll
prochement. IV. L'entérite folliculeuse aiguë se présente sous cinq
formes
anatomiques principales : io sous la forme granul
guë se présente sous cinq formes anatomiques principales : io sous la
forme
granuleuse et gaufrée ; i° sous la forme pustuleu
ues principales : io sous la forme granuleuse et gaufrée ; i° sous la
forme
pustuleuse, dont la forme fongueuse n'est qu'une
la forme granuleuse et gaufrée ; i° sous la forme pustuleuse, dont la
forme
fongueuse n'est qu'une variété ; 3° sous la forme
pustuleuse, dont la forme fongueuse n'est qu'une variété ; 3° sous la
forme
ulcéreuse ; 4° sous la forme gangreneuse : 5° l'i
gueuse n'est qu'une variété ; 3° sous la forme ulcéreuse ; 4° sous la
forme
gangreneuse : 5° l'inflammation des ganglions més
and nombre des cas, devient quelquefois prédominante et constitue une
forme
bien remarquable de la maladie; 6° je crois devoi
her de l'entérite folliculeuse l'entérite pseudo-membraneuse. V. La
forme
granuleuse et gaufrée est la forme anatomique la
térite pseudo-membraneuse. V. La forme granuleuse et gaufrée est la
forme
anatomique la plus simple; c'est celle qui a été
sont seulement plus développés que de coutume, se présentent sous la
forme
de plaques gaufrées, chaque point déprimé réponda
moins grande distance sous cette muqueuse intacte. VI. Une seconde
forme
anatomique de l'entérite folliculeuse aiguë est l
Une seconde forme anatomique de l'entérite folliculeuse aiguë est la
forme
pustuleuse, qui consiste en des plaques saillante
ont remplies par une matière concrète et comme pseudo-membraneuse. La
forme
pustuleuse est lune des plus rapides et l'une des
es que puisse affecter l'entérite folliculeuse; constamment à cette
forme
anatomique répondent des symptômes ataxiques. Je
fut présenté à l'une de mes leçons; c'était l'entérite folliculeuse (
forme
pustuleuse ). Je n'avais aucun renseignement sur
ération des follicules du gros intestin est plus fréquente dans cette
forme
que dans toutes les autres, et cette altération s
ns toutes les autres, et cette altération se manifeste tantôt sous la
forme
de gros boutons ulcérés à leur centre, tantôt sou
aussi intense que dans le cœcum. Je regarde comme une variété de la
forme
pustuleuse la forme fongueuse dans laquelle la mu
ns le cœcum. Je regarde comme une variété de la forme pustuleuse la
forme
fongueuse dans laquelle la muqueuse qui revêt les
res à bords rouges au niveau des ouvertures de chaque follicule. La
forme
granuleuse et gaufrée, la forme pustuleuse tenden
ouvertures de chaque follicule. La forme granuleuse et gaufrée, la
forme
pustuleuse tendent essentiellement à l'ulcération
s alors cette ulcération est consécutive; elle est primitive dans les
formes
qui me restent à décrire. VIL La forme ulcéreus
elle est primitive dans les formes qui me restent à décrire. VIL La
forme
ulcéreuse, terminaison commune des formes précéde
restent à décrire. VIL La forme ulcéreuse, terminaison commune des
formes
précédentes, est très-souvent primitive. Tantôt,
ent festonnés, souvent aussi représentant assez exactement et pour la
forme
et pour le siège les follicules agminés, elliptiq
ndue au pourtour de l'ulcération, et ses bords comme frangés. Cette
forme
ulcéreuse présente beaucoup d'analogie avec les u
aladies. VIII. Laforme gangreneuse est quelquefois consécutive à la
forme
pustuleuse; souvent elle est primitive et présent
rent presque toujours simultanément, ce qui établit leur identité. La
forme
gangreneuse circonscrite est la seule à laquell
le tend à donner une fausse idée de la maladie. IX. Dans toutes les
formes
d'entérite folliculeuse aiguë que je viens d'énum
nt affectés sont i° ceux très-nombreux qui occupent l'angle droit que
forme
l'iléon avec le colon ascendant (angle iléo-coliq
ng, sans augmentation sensible de volume. X. C'est à la suite de la
forme
gangreneuse, ou bien de la forme ulcéreuse, soit
volume. X. C'est à la suite de la forme gangreneuse, ou bien de la
forme
ulcéreuse, soit primitive, soit consécutive de l'
fait de la tympanite abdominale. C'est encore à la suite de ces mêmes
formes
(gangreneuse et ulcéreuse) d'entérite folliculeus
umineuse ouverte au fond d'une ulcération. XL Bien que les diverses
formes
que je viens d'indiquer soient distinctes les une
il n'est pas rare de les rencontrer combinées diversement : ainsi la
forme
granuleuse et la forme pustuleuse sont très-souve
es rencontrer combinées diversement : ainsi la forme granuleuse et la
forme
pustuleuse sont très-souvent simultanées ; la for
granuleuse et la forme pustuleuse sont très-souvent simultanées ; la
forme
ulcéreuse et la forme gangreneuse marchent souven
e pustuleuse sont très-souvent simultanées ; la forme ulcéreuse et la
forme
gangreneuse marchent souvent de front sur le même
encontre une lésion à son summum d'intensité. XII. Il est une autre
forme
d'entérite qui, bien qu'elle ne se rapporte pas à
iforme, très-adhérente, d'un blanc jaunâtre, plus moins morcelée, qui
forme
à chaque papille une gaîne incomplète : sous elle
s des pertes de substance de la peau et de tous les autres organes.
Formes
cliniques de lentérite folliculeuse primitive aig
tent une disparition complète de ces phénomènes, pour revêtir la même
forme
que les phlegmasies sans douleur, et réciproqueme
phlegmasies sans douleur qui revêtent, au bout d'un certain temps, la
forme
des phlegmasies avec douleur. XVII. Si la forme
n certain temps, la forme des phlegmasies avec douleur. XVII. Si la
forme
typhoïde est commune à toutes les phlegmasies san
procher ses idées; la vie semble attaquée dans sa source. XVITL lia
forme
ataxique n'est pas moins fréquente que la forme t
a source. XVITL lia forme ataxique n'est pas moins fréquente que la
forme
typhoïde; elle est sans contredit bien plus grave
ment avec le délire le plus violent, à la manière des arachnitis sous
forme
délirante. Un charron vigoureux, âgé de vingt-c
s a appris que c'était effectivement une entérite folliculeuse aiguë (
forme
pustuleuse). Sa maladie datait de sept à huit jou
XX. Il n'est pas rare de voir la maladie présenter alternativement la
forme
typhoïde et la forme ataxique ; alors c'est presq
de voir la maladie présenter alternativement la forme typhoïde et la
forme
ataxique ; alors c'est presque toujours la forme
forme typhoïde et la forme ataxique ; alors c'est presque toujours la
forme
ataxique qui est consécutive. Souvent la forme es
st presque toujours la forme ataxique qui est consécutive. Souvent la
forme
est mixte, il y a une sorte de combinaison de stu
Enfin il est des entérites folliculeuses qui se manifestent sous une
forme
sub-aiguë ; la maladie marche uno tenore sans aug
» Sa méthode consiste dans l'emploi du quinquina en décoction et sous
forme
d'extrait et associé aux spiritueux, de l'acétate
par des individus alïectés d'entérite folliculeuse , les uns sous la
forme
typhoïde, les autres sous la forme ataxique. (*
ite folliculeuse , les uns sous la forme typhoïde, les autres sous la
forme
ataxique. (**) J'ai décrit les traits principau
lence, le quinquina que je donne en décoction ou mieux eneore sons la
forme
d'extrait résineux, rarement sous la forme de sul
on ou mieux eneore sons la forme d'extrait résineux, rarement sous la
forme
de sulfate de quinine. Le quinquina me parait sur
quinquina me parait surtout réussir dans l'entérite folliculeuse sous
forme
typhoïde; dans la forme ataxique, j'ai recours av
out réussir dans l'entérite folliculeuse sous forme typhoïde; dans la
forme
ataxique, j'ai recours avec plus d'avantage aux p
celui de la pneumonie. Entérite folliculeuse aiguë gangreneuse (*) {
forme
ataxique). Mort le quatorzième jour. {Pl. i. )
cru représenter l'état naturel, a figuré l'entérite folliculeuse sous
forme
granuleuse et gaufrée. Peyer a en outre le mérite
tipation opiniâtre. Diagnostic. Entérite folliculeuse aiguë sous sa
forme
la plus grave et la plus rapidement funeste. Le d
de Rœderer et Wagler qui figurent l'entérite folliculeuse aiguë sous
forme
granuleuse, et qui ont signalé le siège de cette
fascicule de Baillie (deuxième édition , 1812), représentent diverses
formes
d'entérite folliculeuse aiguë. La figure 3 est su
rapport du dessin et surtout sous celui du coloris, rend très-bien la
forme
des plaques elliptiques. La figure première repré
us le titre de State of the intestines in feuer, rendent très-bien la
forme
de l'entérite folliculeuse aiguë, que j'appelle g
ont noires d'injection. Ces plaques d'ailleurs ne présentaient pas la
forme
elliptique des plaques agminées, mais bien une fo
sentaient pas la forme elliptique des plaques agminées, mais bien une
forme
irrégulièrement circulaire, et je n'ai pu en retr
oyaient de très-petites escarres (F, F, F) en forme de bourbillon, de
forme
irrégulière, dont le siège était manifestement da
s les autres organes étaient parfaitement sains. Réflexions. — A la
forme
gangreneuse de l'entérite folliculeuse aiguë m'a
use de l'entérite folliculeuse aiguë m'a paru constamment répondre la
forme
ataxique. La rapidité de la marche de la maladie,
ation précédente, s'explique par la gravité de l'altération et par la
forme
ataxique elle-même. L'absence de douleur locale s
icile de reconnaître une entérite folliculeuse très-aiguë, et sous sa
forme
la plus grave. (Décoction de quinquina, un pot; g
cale, et son voisinage (*). Entérite folliculeuse aiguë pustuleuse [
forme
ataxique) mortelle en cinq a six jours. (Planche
depuis la veille. —• Diagnostic : Entérite folliculeuse aiguë sous la
forme
ataxique. (Boissons gommeuses ; dix - huit sangsu
offert des plaques pustuleuses de diverses dimensions et de diverses
formes
. Les plus remarquables seules ont été représentée
bre de follicules agminés. Rien n'est plus variable que le nombre, la
forme
et même la situation précise des follicules agmin
térite folliculeuse aiguë pustuleuse se manifeste constamment sous la
forme
clinique la plus grave, la plus rapide, et presqu
e clinique la plus grave, la plus rapide, et presque toujours sous la
forme
ataxique. L'observation qu'on vient de lire m'a p
que. L'observation qu'on vient de lire m'a paru être le type de cette
forme
de maladie. Ces pustules sont essentiellement for
les papilles, dis-je, sont aussi affectées; il semble que dans cette
forme
de maladie, la fluxion se faisant d'une manière e
du qui, au plus fort des symptômes d'une entérite folliculeuse aiguë (
forme
ataxique), fut pris de tympanite et d'une périton
es contenus dans l'intestin. Entérite folliculeuse aiguë fongueuse [
forme
ataxique) mortelle en sept jours. ( Planche m. )
involontaires. Diagnostic. Entérite folliculeuse suraiguë sous une
forme
extrêmement grave.—21, état ataxique porté au plu
Ce n'étaient ni escarres, ni ulcères, ni même h proprement parler la
forme
pustuleuse de la planche 11 ; mais la muqueuse so
follicules. La multiplicité de ces plaques, leur rapprochement, leur
forme
irrégulière, la disposition annulaire de celle qu
nner, vu les variétés innombrables qui existent sous le rapport de la
forme
, du nombre et de la disposition des follicules ag
isposition des follicules agminés, lesquels affectent souvent la même
forme
annulaire. Entre ces plaques fongueuses ou pustul
s ou pustuleuses PP, PP se voient des follicules isolés F, F, sous la
forme
de granulations. — Les ganglions lymphatiques cor
die s'explique par l'acuité et l'intensité de l'altération locale. La
forme
insolite de l'affection intestinale s'explique pe
influence dans la terminaison si rapidement funeste de la maladie. La
forme
intermittente de la maladie appelait-elle l'emplo
duit quelques bons effets? Entérite folliculeuse aiguë gangreneuse,
forme
ataxique, perforation (Fig. 2, Planche m) (*).
. Réflexions. — Voilà un exemple d'entérite folliculeuse aiguë sous
forme
gangreneuse. Ce n'est que par analogie qu'on peut
tat parfait d'intégrité. Diagnostic. Entérite folliculeuse aiguë sous
forme
ulcéreuse, tendant à la péritonite. Deux vésicato
si le malade était resté en supination. Entérite folliculeuse aiguë
forme
ataxique). —Amélioration pendant neuf jours.—Recr
ement auquel il fut soumis. Le 19 octobre, changement complet dans la
forme
du délire; le malade s'imagine qu'il est mort, il
et les végétations cancéreuses est sujette à beaucoup de variétés. La
forme
des végétations osseuses introduit elle-même de n
ariétés dans ces tumeurs. Ainsi, tantôt la dégénération cancéreuse ne
forme
qu'une petite partie de la tumeur, tantôt elle en
'un volume inégal, naissant de la dure-mère dans l'angle rentrant que
forme
de chaque côté la faux du cerveau FC avec la dure
consistance est moindre que celle du cerveau; aussi changeait-elle de
forme
sous le doigt qui la comprimait; l'aspect que pré
des exemples de sous-arachnitis aiguë de la convexité du cerveau sous
forme
comateuse ; nous avons vu que la céphalalgie et l
e par les auteurs, et dont l'autre nous fournira un nouvel exemple de
forme
comateuse dès le début. Nétivat , âgé de soixan
t qui leur est propre, sont constitués de manière à présenter la même
forme
, les mêmes apophyses, les mêmes enfoncemens, indé
e voici : nos parties sont organisées les unes pour les autres, leurs
formes
tiennent à des lois de développement indépendante
ux inflammations chroniques, suite de contusions; en un mot, c'est la
forme
la plus générale du sarcocèle qui se développe so
n royale de Santé par M. Paul Dubois. La figure 3 donne exactement la
forme
régulière et sphéroïde et le volume du testicule
esticule. Une tumeur cancéreuse, parfaitement circonscrite, enkystée,
forme
les cinq sixièmes supérieurs de la tumeur. Le tis
ls se fondaient sur l'indolence de la tumeur, sur sa légèreté, sur sa
forme
ovoïde, sans bosselures, sur sa mollesse, sur le
deux mois, point de diminution. Nous essayons l'iode sous toutes les
formes
et à doses toujours croissantes, tant à l'intérie
e SS est parfaitement saine; mais que l'épididyme a un volume énorme,
forme
à lui seul les trois quarts de la tumeur testicul
elles sont destinées, découlent toutes leurs lésions spéciales et les
formes
particulières que revêtent les lésions qui leur s
é radial. L'avant-bras paraît beaucoup plus court que de coutume ; il
forme
un angle droit avec la main, qui est en outre inc
aire ; P, le vestige du pyramidal ; le pisiforme P a seul conservé sa
forme
et son volume, ce qui se conçoit aisément puisqu'
té inférieure de l'avant-bras vues de profil du côté cubital. La main
forme
un angle droit avec l'avant-bras; la flexion est
fémur. Il est extrêmement volumineux, et soulève la synoviale qui lui
forme
une espèce de gaine, et qui commence à s'allonger
été extrêmement facile. A côté se voyaient deux petits kystes de même
forme
, également recouverts par la synoviale, à laquell
du ramollissement gélatiniforme, et donnent une idée des différentes
formes
qu'il peut revêtir; j'ai fait remarquer l'analogi
pylore, ou s'il s'y propage, c'est le long du bord libre des plis que
forme
la muqueuse gastrique; il suffit alors de frotter
e ramollissement pultacé; et en effet, la muqueuse s'enlevait sous la
forme
de boue, et l'altération était exactement circons
degré d'inflammation des follicules; mais évidemment la gravité et la
forme
insolite de la maladie ne peuvent pas s'expliquer
t celluleux des organes ; que cet élément celluleux ou résistant, qui
forme
la charpente de tous les tissus, est le seul qui
rieure. IV. Le cancer aréolaire gélatiniforme se présente sous deux
formes
bien distinctes : i°sous celle de tubercules diss
réolaire et gélatiniforme. Dans ce dernier cas, l'organe conserve ses
formes
, mais singulièrement exagérées en épaisseur. La f
e conserve ses formes, mais singulièrement exagérées en épaisseur. La
forme
ulcéreuse, si fréquente dans les autres espèces d
e la destruction. V. La dégénération aréolaire gélatiniforme est la
forme
la plus fréquente que revête le cancer des os ou
olaire. Or, cette altération des épiploons se manifeste sous les deux
formes
que j'ai indiquées. Tantôt ce sont des granulatio
Du reste, l'estomac ne présentait, pas de changement notable dans sa
forme
générale, et les produits morbides s'étant déposé
étant déposés successivement dans l'espèce de trame celluleuse qui en
forme
la charpente, son développement avait lieu d'une
du dedans au dehors un obstacle plus ou moins considérable. De là la
forme
bosselée que présente parfois l'estomac dégénéré.
de l'estomac. Quelquefois il envahit le pylore, et alors il prend la
forme
d'une zone circulaire. Sa marche est lente et pro
a plus grande partie de l'ulcère U, en sorte que le péritoine seul en
forme
le fond. Si ce sujet, sur lequel je n'ai aucun re
ait. — Un homme de trente-quatre ans, dont l'estomac présentait cette
forme
d'irritation gastrique connue sous le nom de dysp
ns les trois quarts environ de la circonférence. Le repli muqueux qui
forme
un cercle autour du pylore OP est perforé de part
musculaire dans les deux tiers de sa surface. La tunique péritonéale
forme
donc à elle seule presque tout le fond de l'ulcèr
ritable abcès parfaitement circonscrit. Nous verrons plus tard que la
forme
sphéroïde, que la circonscription parfaite de l'i
ue démontrée. Les observations qui suivent donneront une idée de la
forme
et de la marche la plus ordinaires de la phlébite
éreuses, tel est le tissu cellulaire comme aussi la lamelle mince qui
forme
la couche la plus superficielle des membranes muq
e., La figure 2 représente la coupe de ce même poumon. On y voit la
forme
irrégulièrement sphéroïde des foyers pneumoniques
pas d'ailleurs qu'il existe de différence fondamentale entre ces deux
formes
de gangrène. L'une et l'autre reconnaissent les
t de grossesse, la présence de ces tumeurs peut donner à l'utérus une
forme
insolite, variable, suivant leur siège, suivant l
e tanche dans le vagin et l'orifice vaginal du col utérin. On voit la
forme
semi-lunaire de cet orifice, des rugosités ou gra
. — Il résulte des détails descriptifs qui précèdent qu'il existe une
forme
de polypes fibreux de l'utérus, qui consiste dans
ous forme de masses disséminées. Il n'est pas moins positif que cette
forme
de maladie cancéreuse affecte une prédilection sp
incertain encore. III. i ° Etudier l'altération organique dans ses
formes
et dans sa texture ; la suivre dans ses diverses
hologique du cancer du foie est très avancée sous le point de vue des
formes
générales de l'altération ; elle est encore à fai
sque la tumeur superficielle est volumineuse , elle perd en partie sa
forme
sphéroïdale et se creuse en godet au centre : cet
r masses disséminées du foie présente beaucoup de variétés, depuis la
forme
miliaire jusqu'à ces tumeurs qui égalent un œuf d
naissant, la tumeur cancéreuse du foie représente exactement, par sa
forme
, les granulations hépatiques; 3° dans un grand no
on voit l'image fidèle de la texture e'minemment vasculaire de cette
forme
de cancer. Toutes ces tumeurs e'taient comme macu
ous l'aspect de petits grains d'un vert foncé, d'un volume inégal, de
forme
irrégulière, disséminés au milieu d'un tissu sain
lable à la matière des vomissemens. Un calcul biliaire présentant une
forme
conique assez régulière, ayant un pouce trois lig
cavité du duodénum et celle de la vésicule. Un calcul biliaire, d'une
forme
pyramidale triangulaire, ayant six lignes de haut
ésicule du fiel. Si on dissèque ces canaux, ils se présentent sous la
forme
de cordes volumineuses, très denses, d'un aspect
radicules biliaires, les granulations du foie s'enflamment, et il se
forme
de très petits loyers de pus jaunâtre, de matière
La tunique musculeuse T M est considérablement hypertrophiée. Elle
forme
à elle seule la moitié de l'épaisseur du pylore.
La péritonite pseudo-membraneuse se manifeste très-souvent sous la
forme
latente: c'est le plus généralement la péritonite
à Londres et à Paris, n'ont fait que confirmer et présenter sous des
formes
nouvelles les faits consignés dans les modestes b
du choléra, répandues dans le public par milliers et sous toutes les
formes
, si bien que chaque famille, pourvue des drogues
e de desquamation. La convalescence a été longue et pénible. V. Une
forme
plus intense de cette irritation gastrique est ce
er l'espèce bilieuse par la dénomination de choléra bilieux. C'est la
forme
de choléra que provoque le plus habituellement le
lquefois aussi limpide que l'eau distillée, plus souvent trouble, qui
forme
la presque totalité des selles cholériques, a pré
eaucoup des choléras sporadiques de nos climats tempérés: c'est cette
forme
de choléra intermédiaire au choléra le plus grave
on. III. Le choléra moyen doit donc être considéré tantôt comme une
forme
peu grave du choléra, tantôt comme la première pé
ra le plus grave. IV. Le choléra moyen, comme d'ailleurs toutes les
formes
possibles de choléra, débute presque toujours par
e de cholériques , prétendus convalescents, a été commun à toutes les
formes
, à tous les degrés du choléra, depuis le simple d
Les observations suivantes fourniront des exemples des principales
formes
que le choiera moyen peut revêtir , et du traitem
E OU NON ASPHYXIQUE. I. Le choléra très grave se présente sous deux
formes
bien distinctes; tantôt les malades offrent une c
de-carbonique, tantôt ils n'offrent pas cette coloration. La première
forme
, qui, d'ordinaire, emporte le malade avec une gra
cial que fait éprouver le contact du corps du malade. Dans la seconde
forme
, qui n'est pas moins grave, bien qu'elle ne soit
e en partie; le froid n'est pas algide. Nous désignons cette dernière
forme
sous le nom de choléra très grave non asphyxique.
léra très grave non asphyxique. IL II est excessivement rare que la
forme
la plus grave du choléra débute sans antécédents.
moindre réaction. Il est rare que dans le cours d'une épidémie, cette
forme
présente une certaine durée, et ne soit pas bient
présente une certaine durée, et ne soit pas bientôt remplacée par une
forme
moins indomptable. XIII. Le choléra frès grave
aussi fréquente que dans le choléra asphyxique. Dans Tune et l'autre
formes
de choléra, le malade ne peut échapper à la mort
des eschares de diverses dimensions, dont quelques-unes présentent la
forme
oblongue^ elliptique, comme dans le cas d'entérit
lution de ce doute se trouve dans l'étude de l'entérite folliculeuse (
forme
granuleuse) (i), qui présente si souvent les même
sivement sur les follicules agminés. La fig. 2, pl. IV, représente la
forme
la plus habituelle de cette altération granuleuse
table gangrène du gros intestin , c'est dans le cas figuré pl. V : la
forme
elliptique des plaques gangrenées est remarquable
a fait placer dans cet élément anatomique le siège de la maladie. La
forme
arrondie des follicules de l'intestin grêle a pu
sphyxié. Mais, si au lieu d'étudier tout d'abord le choléra dans sa
forme
la plus grave, on observe l'épidémie cholérique t
holérique comme le premier degré du choléra, comme le choléra dans sa
forme
la moins grave. Or, le dévoiement cholérique es
6*. Les deux poumons très volumineux, sont complètement carnifiés. La
forme
lobulaire est parfaitement conservée: chaque lobu
e la fosse : un caillot était engagé dans cette fente. La valvule qui
forme
le fond de la fosse ovale était un peu éraillée.
ies de sérosité. « A la place du cervelet, membrane gélatiniforme, de
forme
demi-circulaire, )) tenant à la moelle alongée pa
naissance ? Lies débris du cervelet, la membrane gélatiniforme, de
forme
demi-circulaire, tenant à la moelle alongée par d
cuisse dans la demi-flexion. 3° A inciser la lame aponévrotique qui
forme
la paroi postérieure de la gaine du pectine. 4°
me hérissée de mamelons coniques inégaux en longueur, en volume et en
forme
. Ces mamelons occupent principalement le bord gau
jusqu'à quatre lignes de longueur, et leur imbrication rappellent la
forme
de la pomme-de-pin ou du fruit de l'ananas auxque
les très déliées, parsemé de gouttelettes de sang. Réflexions. — La
forme
de péricardite que je viens de décrire est assez
é sanguinolente. Nous aurons ailleurs occasion de parler des autres
formes
de péricardite et plus particulièrement de son di
l'estomac qui était très ample, était ramollie et s'enlevait sous la
forme
de pulpe, par le frottement le plus léger. EXPL
ur le vivant, et rendent avec la plus grande exactitude le siège , la
forme
et les nuances de coloration de la surface de ces
eux dernières vertèbres lombaires. La tumeur lombaire (fig. 2) a la
forme
d'un cœur de carte à jouer; elle est recouverte p
ince à M. Cayol qui voulut bien me l'adresser. Cette tumeur TL a la
forme
d'un ovale oblong, dont la petite extrémité regar
mposent aucune limite au déplacement. L'extrémité supérieure du vagin
forme
un vaste cul-de-sac dans lequel peut aisément plo
'il cède, alors le sang y est retenu; une petite poche sphéroïdale se
forme
, à parois minces, plus ou moins altérées. Le sang
des veines. Les tumeurs ombilicales elles-mêmes, si volumineuses , de
forme
sphéroïdale, étaient formées par une veine dilaté
urface du cerveau, m'a permis d'apprécier toutes les circonstances de
forme
, de consistance et de couleur des circonvolutions
paisseur. L'atrophie des circonvolutions se présente sous plusieurs
formes
: i° souvent elle consiste dans une diminution pur
orte de lobe provenant » de sa propre substance glanduleuse, ayant la
forme
et le volume d'une noix, et se portant » dans l'i
que côté de l'orifice de la vessie, et qui étaient du volume et de la
forme
des testicules. Leur substance était blanche et g
tate proémi liaient à la fois dans l'intérieur de la vessie sous la
forme
de trois végétations arrondies par leurs faces co
sonde, en dilatant le col de la vessie, en écartant, en changeant la
forme
delà végétation prostatique proéminente, peut rét
e dans les autres organes. On y rencontre: i° l'atrophie dont une des
formes
consiste dans la dégénération graisseuse de ces o
es muscles comme dans une gaine, et dans celui qui les pénètre et qui
forme
autour des faisceaux de divers ordres des gaines
e le ventricule droit est considérablement rétréci par la saillie que
forme
la cloison du ventricule dans sa cavité. Dans le
our les hernies diaphragmatiques accidentelles. Une masse adipeuse se
forme
entre le péritoine et le diaphragme, derrière l'a
ine la suit, entraîné qu'il est par cette tumeur. Un sac herniaire se
forme
et ce n'est que plus tard, et souvent d'une maniè
dehors et en avant, Fautre en arrière près de la ligne médiane. Leur
forme
était irrégulière. D'une part, elles faisaient un
rale elle-même. Dans le cas d'infiltration, la matière tuberculeuse
forme
une masse imparfaitement limitée et parcourue par
et du cervelet se présente rarement, comme dans les poumons , sous la
forme
d'une multitude de petits tubercules pisiformes d
ur de chaque couche optique. Un de ces tubercules, du volume et de la
forme
d'une bille de moyen calibre , occupait le lobule
es A O, qui sont très flexueuses. L'utérus U est remarquable par sa
forme
, par l'étranglement qu'il présente à la réunion d
es dans un os contenu dans l'épaisseur des parois du kyste et dont la
forme
est représentée fig. 6. La fig. 7 montre que les
ion tout-à-fait étrangère au reste des parois, 1° elle est convexe et
forme
deux tumeurs TC, TC , séparées l'une de l'autre p
'au milieu de ce tissu adipeux était une charpente osseuse DO, DO, de
forme
fort irrégulière, dont toutes les parties sont co
tus momifié sous deux aspects qui donnent l'idée la plus exacte de sa
forme
et de sa situation. Son attitude est celle du fœt
s sembleraient n'être que la même observation présentée sous diverses
formes
. Dans toutes ces observations, les femmes, après
liés entre eux par des brides fibreuses extrêmement résistantes. La
forme
des acéphalocystes était généralement sphéroïdale
ffrait un aspect très irrégulier (Voyez fig. 1, 3, 4, 5, 6, 7). Cette
forme
irrégulière était déterminée par celle des kystes
rsqu'elle consistait dans un simple pertuis, le prolongement avait la
forme
d'un mamelon : on eût dit d'un cysticerque avec s
cerque avec sa vessie caudale. On peut juger par l'irrégularité de la
forme
de l'acéphalocyste représentée fig. 4, que ces pr
ces productions sont essentiellement amorphes. La régularité de la
forme
, qui est généralement donnée comme un des caractè
aumé de la main, au niveau des 2° 3e et 4e métacarpiens. On voit sa
forme
circulaire, sa disposition lobuleuse et comme cre
le linge à la manière de l'encre de la Chine. Leur couleur , et leur
forme
irrégulière et bosselée leur donnait l'aspect de
, une période de crudité et une période de ramollissement , et quatre
formes
: i° celle de masses enkystées; i° celle de masse
ccidentels ; i° un tissu mélanique bien distinct de toutes les autres
formes
de lésions avec lesquelles il peut d'ailleurs se
mais au pigmentum , n'a pas trouvé de contradicteurs. Le pigmentum
forme
le plus souvent une boue noire; quelquefois il es
acquérir le signe pathognomonique de l'hydrocèle, la transparence, la
forme
particulière de la tumeur qui plongeait dans l'an
anose. 3° Coloration mélanique des tissus accidentels. Les diverses
formes
de cancer, la matière tuberculeuse peuvent présen
e, soit qu'il y ait développement successif des tumeurs C'est sous la
forme
tuberculeuse que le cancer mélanique se manifeste
puis le volume d'un grain de mil, jusqu'à celui d'un oeuf. C'est à la
forme
tuberculeuse du cancer mélanique que Laennec me p
ait déjà eu plusieurs enfans , dont un , a-t-elle dit, revêtait « une
forme
extraordinaire: les derniers mois de la grossesse
S OS. (Planche i, xxe livraison.) Les os sont sujets à toutes les
formes
de cancer qui peuvent affecter les parties molles
a ventosa, d'ostéo-sarcôme, ôiexostose désignent quelques-unes de ces
formes
. Les figures de la planche i sont destinées à r
ormes. Les figures de la planche i sont destinées à représenter une
forme
de cancer peu étudiée jusqua ce jour, et qui cons
sses disséminées des os se présente sous l'aspect de tumeurs dont les
formes
variées et peu régulières sont déterminées par le
es os courts ou des extrémités des os longs, elles n'affectent pas de
forme
déterminée. Les tumeurs cancéreuses des os prés
est limité à une partie d'os ou à un seul os. Il y a, entre ces deux
formes
de cancer, la même différence qu'entre la pneumon
des os comme d'ailleurs dans tous les organes, et revêtir toutes les
formes
qu'ils affectent dans les parties molles. Le fa
ns. Réflexions. — Plusieurs faits m'autorisent à admettre que cette
forme
de cicatrice du cerveau est la suite du ramolliss
ertes de substance tantôt irrégulièrement circulaires, tantôt sous la
forme
de stries longues et anguleuses. Le pourtour de c
de substance visible à travers les membranes, qui se présente sous la
forme
d'un sillon jaunâtre. Une section perpendiculaire
mbrane cel-luleuse d'un jaune-serin très dense qui conserve encore la
forme
des circonvolutions. Cette altération s'étend jus
encier au lit du malade, l'ulcère chronique de l'estomac de certaines
formes
de gastrite et de l'ulcère cancéreux de cet organ
r organe, que recouvre une couche de tissu fibreux lisse. La muqueuse
forme
tout autour un bourrelet circulaire, mais ne se c
ssante observation suivante, à laquelle nous laissons exactement sa
forme
et ses divisions, nous bornant à indi- quer en
aura sa pathologie comme sa physiologie et que toute une série de
formes
morbides, classées aujourd'hui parmi les maladi
ectif, intellectuel. 'On retrouve donc, dans l'ordre de gravité des
formes
morbides comme dans l'ordre de succession des s
e tentative de suicide ; mais ensuite Dieu lui est apparu sous la
forme
créatrice. * Il ne le voit pas réellement, il n'e
190 et suiv. 5 Excitation cérébrale, délire ambitieux et mystique à
forme
rémil- lente, évolution chronique citez un dégé
ns les vieux auteurs. Le calviniste Elie Marion sent qu'un esprit
forme
dans sa bouche les paroles qu'il veut lui faire
croyant dire une sentence, ce n'est qu'un chant inarticulé qui se
forme
par ma voix. Je ne prononce nulles autres paroles
nce nulles autres paroles que celles que l'esprit ou l'ange de Dieu
forme
lui-même en se servant de mes organes, c'est à
uto-psychoses circonscrites ou par idées fixes de Wernicke sont une
forme
de l'ancienne folie partielle. Il y a dans cette
ier difficilement avec le tempérament fataliste de l'Arabe; 13° les
formes
primitives d'alié- nation et surtout la manie,
» ; par le Dr Serge SOU¡¡HANOFF, Le délire chronique présente une
forme
où les idées absurdes s'expriment sous l'aspect
arque son état morbide ; mais parfois le délire du malade prend une
forme
particulière, de sorte que l'entourage ne doute
t de jalousie qui. sous l'influence des circonstances, ont pris une
forme
particulière, celle du délire processif ou de c
lique, chez qui la mélancolie est récente et ne revêt qu'une de ses
formes
simples, plus spécialement d'origine infectieus
la première branche de l'artère sylvienne. Ce foyer a à peu près la
forme
d'une molaire qui serait placée horizontalement
ent se généraliser et arriver imiter pres- que le tétanos, celles à
formes
épileptoïdes plus rares, et enfin les formes in
e le tétanos, celles à formes épileptoïdes plus rares, et enfin les
formes
intermédiaires qu'il ne faut pas oublier. On ne d
de menaces de tétanie. F.1301ss11<.1\. XXII. SUR UNE nouvelle
forme
DE neurasthénie partielle (ANAG : '>1U- SIAS
r désir ou leur volonté. Il se distingue enfin de l'ataxie, une des
formes
de l'ophasie optique, parce qu'alors les signes g
symptôme pathognomonique du tabès dorsal. Il est constant dans les
formes
graves de l'ataxie, quand il y a impotence ou a
les prolongements protoplasmiques de la cellule des corpuscules de
formes
diverses, très particuliers, dont on discute ac
ts, une orientation parallèle. Ces granu- lations ou corpuscules, à
forme
de bâtonnets, de fuseaux, ou de polyèdres, sont
- ments sont bien conservés; leurs granulations y ont conservé la
forme
et la disposition habituelles. Même état chez les
int jusqu'à la mort; les autres qui maigrissent et présentent cette
forme
de marasme que les anciens auteurs considéraien
lement choisi sur un plateau élevé, à deux heures de New-York. La
forme
donnée à l'asile est celle d'une maison de sûreté
ux locaux d'isolement, surveillance générale rendue facile par la
forme
des constructions, pavillons cellulaires centraux
refois par une association de Shakers, une colo- ')le disposée sous
forme
d'un village, la Colonie de Craig, dont le but
de la propre exploration du médecin. Le certificat doit indiquer la
forme
de folie dont le malade est atteint. § 2. En
rs au plus tard. ' § 5. Un simple certificat de collocation dans la
forme
prescrite par le § 1 est suffisant : 1° Lorsq
nnelle des diverses régions du cerveau correspond à des variétés de
forme
et de structure des éléments anatomiques de ces
on qui tend à faire dériver la fonction d'un élément nerveux de la-
forme
de cet élément ; il combat donc l'opinion qui f
bémas de l'écorce cérébrale de Meynert et d'Exner : l'un montre les
formes
et la disposition des corpuscules nerveux, qui
nt aux fibres ner- veuses. Quelle est la nature de la substance qui
forme
le corps de la cellule nerveuse ? Selon Golgi,
ou moins grande de la cellule, des ramuscules arborescents, dont la
forme
varie, et sert à distinguer les fibres nerveuses
ue apparence de vérité ? Golgi nie qu'il y ait à tenir compte de la
forme
ou de la grandeur des cellules ner- veuses pour
ngements ner- veux, et dans ses connexions anatomiques, non dans la
forme
de la cellule, que se trouve à cet égard le seu
. En réalité, Golgi ne trouva dans cette circon- volulion que trois
formes
distinctes de cellules : u, des cellules pyrami
pyramidales (1 ? 2°, 3° couches de Meynert); b, des cellules fusi-
formes
(5° couche de Meynert); c, des cellules globuleus
ellules du mouvement et de la sensibilité; anatomiquement, les deux
formes
d'activité spé- civique du système nerveux cent
uis a été souvent vérifiée, celle de « la non-divisibilité des deux
formes
d'activité spécifique (sensi- bilité et mouveme
c'est que les filaments nerveux sont~des formations permanentes. La
forme
ou l'ordre suivant lequel cette colonie sociale
evêtement, vraisemblablement de nature neurokéra- tinique, ayant la
forme
d'un réseau ou d'une couche continue », s'étend
lenti- culaire. Ces noyaux se distinguent les uns des autres par la
forme
et l'agencement de leurs éléments 'constitutifs
qui s'amincit encore d'arrière en avant. Ici la zone dégé- nérative
forme
un L, dont la branche verticale atteint à peu prè
petit vestige près de la corne postérieure. La zone dégénérative
forme
maintenant un triangle dont le sommet occupe l'ex
u de l'entrée de la 3° ra- cine cervicale, la partie dégénérée a la
forme
d'une raie étroite qui, exactement adaptée à la
égénérée a la forme d'une raie étroite qui, exactement adaptée à la
forme
de la limite externe du cordon REVUE d'anatomie
hallucinations visuelles qu'elles ont pu être niées dans les autres
formes
de folie. Les auteurs, en face du caractère de
e déceler la névrose, n'importe à quel moment et quelle que soit la
forme
revêtue par elle, épilepsie convulsive, épilepsie
VUE DES THÈSES DE BORDEAUX 151 analogue à celui de l'adulte ; 4° la
forme
raisonnante, qu'on a appelée le délire des dégé
une manifestation mentale de la neurasthénie, ou, si l'on veut, une
forme
, la plus amère et la plus subtile, de la neu- r
sont plus préjudiciables que ceux du grand sympathique. Quant aux
formes
anatomiques auxquelles aboutissent les lésions,
olutionnant avec le temps ont acquis dans l'esprit de J. Seglas une
forme
définitive. Grâce à l'interprétation donnée par l
ardonne ce néologisme) extériorisées sous 164 PATHOLOGIE MENTALE.
forme
hallucinatoire en vertu de l'excitation que produ
ervation du malade date du troisième accès de délire qui revêtit la
forme
de manie aiguë. La surexcitation était plus int
verbales apparaissent dans le délire alcoolique, quelle que soit la
forme
sous laquelle il se présente. Tous nous avons
ns verbales, sensorielles et motrices se trouvent extériorisés sous
formes
d'hallucinations dans le délire alcoolique, mai
i ne soient les mimiques, et seulement celles-ci peuvent revêtir la
forme
d'hallucinations dans un tel cas. Après tout,
gue se produit dans les hallucinations verbales, quelle que soit la
forme
mentale sous laquelle elles se présentent. Quel
pareil à l'aliénation mentale en général, et à quelques-unes de ses
formes
en particulier, qui s'appelle le rêve ; qu'il s
onnalité. Paris, 1891. ! Ballet. Le langage intérieur et les diverses
formes
de l'aphasie. Paris, Alcan, 1888. 3 Stricker.
ns ses éléments fondamentaux, le rêve pourra ressembler à certaines
formes
de l'aliénation; seulement en ceci il pourra re
psychique. Les rêves ont déjà plus de ressemblance avec d'autres
formes
mentales, telles que le « délire hallucinatoire »
s verbales avec une intensité suffisante pour les extérioriser sous
forme
hallucinatoire, il extériorise plus difficileme
ue, l'éducation les a dotés des modes de langage suivants, nos deux
formes
de langage de réception (audition et vision ver
ents spéciaux du langage dactylologique. A côté de cette dernière
forme
, et comme trait d'union entre le langage verbal
Il possède avec toute la perfection possible chez ces individus les
formes
de langage citées plus haut. De plus il a des not
ement des lèvres. Ses réponses sont faites par l'une ou l'autre des
formes
du langage de transmission selon la nature du fan
logue à celui employé en 1894 par M. Ferrant, décrire les six - 2
formes
fondamentales et.les nombreuses formes combinées
Ferrant, décrire les six - 2 formes fondamentales et.les nombreuses
formes
combinées v de l'aphasie chez les sourds-muets.
avail qui pourra s'intituler « le langage intérieur et les diverses
formes
d'aphasie chez les sourds-muets ». M. Ballet no
ymboliques sensorielles et motrices en har- monie avec les diverses
formes
de leur langage particulier. CLINIQUE MENTALE.
Cliarcot-Debove. Paris, 1894. 2 Nous ne comptons pas les diverses
formes
de mimique rationnelle ou conventionnelle. 3
minale de nos délires religieux systé- - matisés, peut affecter des
formes
démentielles variées ; c'est tantôt une démence
sa bouche. En terminant, nous opposerons aux types précédents les
formes
frustes écloses sur un terrain dégénératif plus n
ormes frustes écloses sur un terrain dégénératif plus net, dont les
formes
extrêmes du moins, ne sauraient prêter à confusio
ar les auteurs même qui opposent aux psychoses des héréditaires des
formes
de délires pathognomoniques d'un état dégénérat
des hosties et des profanations d'hosties. Tout ce qui avait une
forme
circulaire, tout ce qui était blanc, sans même av
forme circulaire, tout ce qui était blanc, sans même avoir cette
forme
, était une hostie ou une portion d'hostie. Dans l
tages, dans les sauces, il y a de la graisse fondue et affectant la
forme
circulaire : ce sont des hosties ; dans le pain,
, les matières fécales, encore des bulles, et par conséquent, des
formes
circulaires : on ne doit donc rien rendre, car on
llerons'que Schule, parmi les para- noïas dégénératives, décrit une
forme
onanistique du délire religieux et que Krafft-E
le est cette malade de Morel, citée par M. Ritti (La folie à double
forme
) . Elle se croit tour à tour religieuse ou pros
rs, convulsions. ? Cyanose à la naissance. Premières convulsions sous
forme
d'état de mal à 5 ans avec prédominance à droit
ur, il fut pris d'une nouvelle crise, qui dura jusqu'à minuit, sous
forme
d'état de mal. Les secousses convulsives, qui éta
r symptôme capital les convulsions qui se sont pré- sentées sous la
forme
d'un état de mal. Elles ont duré sept heures sa
sclérose cérébrale hémisphérique. 203 serve communément dans cette
forme
symptomatique du mal comitial. Bien que, en gén
us dispensent d'insister. Rappelons seulement qu'il s'agit là d'une
forme
assez rare de sclérose cérébrale. Comme lésions
me une méthode de traitement d'im- portance capitale dans certaines
formes
de folie ; il se base pour soutenir cette opini
, ne voulant parler que de ceux qui ont été soumis au repos sous la
forme
la plus complète) étaient plutôt favorables au
im en signalait la valeur au point de vue du diagnostic de diverses
formes
de méningite. Celte année (1895). Fùrhinger a d
s qu'elle peut encore rendre dans des cas exceptionnels, et sous la
forme
très atténuée qui a été indiquée ? il serait ab
at de l'esprit comparé aux autres altérations mentales. Il y a deux
formes
d'attention, une attention naturelle ou spontan
d'imbécile, mais ce n'est pas l'imbécile type : chez l'imbécile de
forme
moyenne, en effet, l'attention peut être altérée
e l'accusé ne permit de découvrir aucune donnée se rapportant à une
forme
clinique quel- conque d'aliénation mentale. La
LE GOITRE EXOPHTALMIQUE; par le Dr Serge SOUKHANOFF. Différentes
formes
de maladies mentales accompagnent le goitre exo
ntal qui accompagne le goitre exophtalmique prend extérieurement la
forme
de manie ou de mélancolie ; d'autres fois, c'es
rement la forme de manie ou de mélancolie ; d'autres fois, c'est la
forme
intermittente, comme aussi la forme d'obsession
colie ; d'autres fois, c'est la forme intermittente, comme aussi la
forme
d'obsession avec impulsions irrésistibles, de dél
e délire chronique, de paralysie générale, etc. Bien que toutes ces
formes
ne soient pas en rapport direct avec le goitre
e, et qu'on ne puisse encore, à l'heure actuelle, considérer aucune
forme
typique de maladie mentale comme se rapportant
les idées fausses se manifestent dans l'aliénation mentale sous des
formes
très différentes qui peuvent se ranger en deux
les maladies mentales en général, des données étiologiques et de la
forme
mentale particulière à chaque cas. J. SÉGLAS.
Observations; expériences. P. K. XXVI. SUR QUELQUES caractères DES
formes
PSYCIIOPATIIIQUES dans LE MIDI DE L'ITALIE ; pa
mier symptôme qui attire l'attention ; l'auteur décrit avec soin la
forme
de la tête et les autres symptômes principaux [de
ental Science, janvier 1896.) L'auteur résume son opinion sous la
forme
suivante : il croit que l'homme est en moyenne
XXXVII. Rapports DE L'AUTO-INTOXIC.ITiON intestinale avec certaines
formes
communes DE la folie ; par ALLAN MACLANE IIAÜILTO
ut par des concepts, les états de stupeur chro- nique, et certaines
formes
de démence n'ont guère de relation avec les pro
isme des deux ordres de symptômes. Sans préciser pour chaque cas la
forme
de folie, on peut remarquer que dans les douze
et aprèsrles blessures et les opérations, c'est la manie qui est la
forme
la plus commune de folie ; mais, dans les autre
utres conditions, la dépression est plus fré- quente ; toutefois la
forme
la plus ^répandue est une folie avec délire acc
sions cardiaques et après la fièvre typhoïde; 4° Il n'existe aucune
forme
spéciale de folie se rattachant à telle ou tell
disparaissent qu'avec la vie. R. DE lIIUSGRAVE-CLAY. XL. SUR UNE
FORME
d'idiotie DE famille, A terminaison généralement
et l'hyperacuité de l'audition. Quelquefois aussi l'imbécillité, à
forme
très accentuée, remplace l'idiotie. Les altérat
ctuelles de la société se des- sinent vers l'évolution des diverses
formes
mentales. Il exprime enfin le souhait que la So
es. Ces derniers sont généralement de nature dépressive, rarement à
forme
expansive. Le plus important de ces états affec
te et, en raison de cette disposition d'humeur, il perçoit sous une
forme
douloureuse les sensations provenant de son pro
n n'a pas encore expliqué le rapport qui existe entre le crâne en
forme
de tour et l'atrophie optique ; cependant, étant
a folie, par Richardson ; - Médication thyroï- dienne dans quelques
formes
de troubles mentaux, par Clarkee; - Observation
ins états de mentalité, elles sont également applicables à d'autres
formes
de conduite auxquelles ne s'applique pas l'épi-
nd lieu nous trouvons les mômes fonc- tions altérées sous une autre
forme
qui est la perversion. La perversion consiste e
branches nasale et linguale du trijumeau, sont des paresthésies de
forme
variable ; nous les avons surtout observées du
nue, on peut se croire en présence du délire de persécution dans sa
forme
habituelle. Le tabes peut être fruste, caché au
e de persécutions dont il diffère au fond et dont il n'est qu'une
forme
purement symptomatique. Le diagnostic se fera f
e l'odo- rat et du goût sont manifestement touchés dans certaines
formes
du tabes, c'est-à-dire que leur lésion s'accompag
n point important, sur lequel nous reviendrons. C'est donc liés aux
formes
bulbaires du tabes et accompagnés d'autres sign
s bulbaires du tabes et accompagnés d'autres signes habituels à ces
formes
que s'observent les troubles du goût et de l'od
'anesthésie, soit par la perversion, ou se montrer atteints sous la
forme
intermittente et représenter des accidents plus o
une atrophie avancée. Elles étaient petites, apparais- sant sous la
forme
d'un corps festonné, allongé, avec des granulat
on étaient loin de présenter cette lésion qui était disséminée sous
forme
d'îlots de cellules. Le processus congestif éta
es nerveuses à prolongements nerveux longs ou courts, et toutes les
formes
de transition existent à cet égard dans l'écorc
térieur du côté opposé (cel- lules commissurales dont le cylindraxe
forme
la commissure anté- rieure en se rendant au cor
ifférenciées entie eux, un seul de ces filaments dont l'origine, la
forme
et la position seraient constantes, assume, dans
ellules du tissu connectif et dans celles de la névroglie ; elle ne
forme
toutefois d'amas con- sidérables que dans les g
rébrales de celles de la moelle et des ganglions, n'est pas dans la
forme
extérieure, mais sans doute dans l'architecture
s, reptiles, oiseaux, mammifères, et qui ont été énumérés. IV. La
forme
allongée des cellules pyramidales, avec ses pro-
ribuer, au moins en partie, le progrès de la fonction à celui de la
forme
et de la complexité croissante de l'organe, c'e
ue nous sommes de ce qu'est « le mouvement psychique et sous quelle
forme
demeure latente la perception directe pour se c
voquée par une image visuelle, souvenir acous- tique réveillant des
formes
et des couleurs, etc.) auraient pour substratum
be optique, etc., présentent constamment la même extension, la même
forme
, le même degré de rapprochement entre les corps
vité des cellules nerveuses, que, pendant l'activité psychique, les
formes
des cellules de la névroglie de la substance gr
ans l'intervalle de ces états toutes les transitions possibles. Ces
formes
, qui ne sont que des phases diverses d'un proce
en et par d'autres, mais elles ont été considérées à tort comme des
formes
fixes, comme des variétés mor- phologiques des
nées. Ce sont ces cellules qui ont apparu à Ramon y Cajal sous deux
formes
correspondant à des phases d'activité différentes
894, p. 38), celles dont l'origine est plus ancienne présentent des
formes
plus différenciées que celles qui ne descendent
les en araignées; dans le cerveau, on ne ren- contre encore que des
formes
de transition. Chez les amphibiens et les repti
des formes de transition. Chez les amphibiens et les reptiles, ces
formes
de transition se montrent dans la moelle épiniè
ces vertébrés, qu'un caractère plutôt embryonnaire, on retrouve les
formes
primitives de ces éléments. Les cellules épithéli
, les cellules épithéliales et celles qui se rapprochent déjà de la
forme
des cellules en araignées se montrent dans l'éc
ne juge pas du tout l'accusé, et on l'interne, ce qui est une autre
forme
d'illégalité. Naturellement les jurisconsultes,
t aliéniste, M. Yellowlees, après quelques considé- rations sur les
formes
de l'ivrognerie habituelle, constate le piteux
rvalles plus ou moins éloignés, avec seulement quelques variétés de
forme
sans impor- tance, ou quelques différence d'int
'auteur ne peut guère s'empêcher de le rattacher, au moins dans ses
formes
légères, au REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 323
inion de quelques personnes déterminées, ce qui peut être comme une
forme
atténuée de mélancolie. L'auteur n'ignore pas q
s, etc. Les manifestations de l'épilepsie sénile revêtent tantôt la
forme
du grand mal, tantôt celle du petit mal; les éq
rophique des enfants. Ces faits montrent la parenté de ces diverses
formes
de lésions héréditaires des voies motrices; par
emment est déterminée par une maladie infectieuse. Puis viennent la
forme
centrale de la paralysie de Landry, la myélite
prédominantes des cordons latéraux et postérieurs). Entre ces deux
formes
prennent place les myélites disséminées, la scl
élites disséminées, la sclérose multiple, la myélite transverse. La
forme
centrale de la paralysie de Landry est une mala
d'un poinl déterminé. Aussi la polyomyélite antérieure est-elle la
forme
de myélite la plus fréquente ; puis viennent les
est-elle la forme de myélite la plus fréquente ; puis viennent les
formes
disséminées (elles sont les plus communes à l'â
e la moelle sont les plus rares. On rencontre d'ailleurs toutes les
formes
de transition : la paralysie infantile spinale n'
aussi atteint. La myélite centrale diffuse de Hayem parait-êrte une
forme
de transition entre la myélite trans- verse et
s nerfs optiques ou la protubé- rance, se fait quelquefois sous une
forme
aiguë. Elle paraît ne se distinguer des myélite
e continuer, à l'âge adulte, d'une façon lente et progressive, sous
forme
d'atrophie musculaire spi- nale, ou d'une façon
elle de sujets adultes, l'existence de cellules identiques par leur
forme
et par leur situation aux cellules de l'épendym
urs les prolonge- ments protoplasmiques de quelque autre cellule et
forme
autour de ceux-ci tout un réseau d'arborisation
térieur des neurones est d'une extrême variété. Mais, il existe une
forme
caractéris- tique de neurones pour chaque régio
e substance a la propriété de se contracter et de prendre une autre
forme
; toutes les modifications s'y produisent t 340
put constater que la cellule ne reste pas en repos, mais change de
forme
. De même que l'amibe, la dendrite est munie d'u
même que l'amibe, la dendrite est munie d'un protoplasma mobile, de
forme
variable, dont les ramifications produisent de
ivement à ses fonctions. Quoique de volume inégal et de différentes
formes
, les cellules pyramidales gardent partout leurs
lules pyramidales, se trouvent d'autres éléments nerveux qui ont la
forme
de corpuscules fusiformes, triangulaires et pol
es ramilles terminales du panache protoplasmique peuvent changer de
forme
, peuvent s'augmenter et se diminuer, tantôt s'é
yramidale quel- conque. Une grande quantité de ces fibres nerveuses
forme
une longue voie d'associàtion entre le lobe fro
ar l'organe de la vue, se trans- met tôt ou tard, en telle ou autre
forme
et après avoir subi des modifications, aux voie
des papiers à passer les plus em- ployés. La couleur de ces papiers
forme
une gamme chroma- tique allant du brun, brun ve
e. Le noyau n'est presque jamais rond; il est aplati, présentant la
forme
d'un ellipsoïde plus ou moins régulier. D'une m
le patient, alors que persistait la tétanisation. C'est donc une
forme
de réaction nerveuse nW1'otunique qui est l'opp
ieure; au-dessous de ce niveau (deuxième racine sacrée) il prend la
forme
d'un coin très mince dont la base touche la pér
l va en dimi- nuant progressivement d'étendue tout en conservant sa
forme
et ses rapports avec le sillon ; 5° ses fibres
s, 15 depuis plus de dix ans, les autres depuis moins de trois ans.
Formes
des maladies : REVUE DE pathologie mentale. 371
de possession doit être considéré comme pouvant faire partie des
formes
les plus variées de psychopathies, bien que plus
imaginatives uni à la ten- dance à concevoir toutes les idées sous
forme
concrète et sensible, et enfin la fusion entre
'irrita- tion sensorielle et la lucidité, particulières à certaines
formes
, certaines des conditions psychologiques indisp
es, évidentes dès les premières années. Elle peut, surtout dans les
formes
précoces, s'engendrer en grande partie, tantôt en
cte. - ). En prenant en bloc toutes les catégories de la folie, les
formes
acquises comme les formes congénitales, on trou
oc toutes les catégories de la folie, les formes acquises comme les
formes
congénitales, on trouve que le père aliéné tran
es récents, tels que les rémissions, la paralysie générale à double
forme
et surtout les pseudo-paralysies générales d'or
renant le mot dans ce sens il s'attache à décrire quelques- nnes do
formes
les plus communes qui simulent la paralysie géné-
ui est observé chez l'adulte, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 379 la
forme
précoce de la paralysie générale est aussi fréque
quatre-vingt neuf cas, on n'a observé que dix fois un début sous
forme
aiguë. La nature de l'affectioh n'est plus douteu
néral, chez les neurasthéniques, on ne constate que des troubles de
forme
dépressive. Au contraire, chez le paralytique il
es à la paranoïa. Il montre qu'elles peuvent se rencontrer dans les
formes
dépressives de l'involution sénile. Ces malades
les psychoses épileptiques spécifiques. 2° Les troubles épilepti
formes
consécutifs aux intoxications chroni- ques (alc
en foyer des centres moteurs ou des faisceaux qui en émanent. Cette
forme
ne s'accompagne pas de folie épileptique. 4°
ces). 5° L'épilepsie consécutive à lapolioencéphalite de l'enfance (
forme
hémiplégique des accès). Au point de vue de l
st renversé ; 3° avant ou après l'accès, excitation violente sous
forme
de manie qué1'ulante. Pas d'amnésie, pas de désor
n- trerait. Peut-on diagnostiquer la folie épileptique d'après la
forme
du délire ? - Wildermuth le croit, en se basant
états de confusion, de fureur maniaque sont plus rares. Toutes ces
formes
sont accom- pagnées d'un trouble plus ou moins
pileptique, on tiendra compte de la fréquence des attaques, de leur
forme
, du nombre de jours qui sépare l'accomplissemen
nt pas forcément de nature fantastique ; ils peuvent persister sous
forme
d'idées délirantes ou se développer en se systéma
p. 100 si l'on ne tient compte que des observations complètes. Ces
formes
des états épileptoïdes sont la source de grosse
ve quelques particularités concernant l'état de la mémoire daus les
formes
d'obnubilation transitoire de l'épilepsie : la
parle des crises convulsives chez les alcooliques. A côté d'autres
formes
, on voit parfois les accès se présenter sous fo
côté d'autres formes, on voit parfois les accès se présenter sous
forme
de convulsions tétaniques avec persistance de la
s épileptiques spécifiques ; elles se rencontrent en effet dans les
formes
aiguës de la paranoia. Il en est de même de la
t observée aussi dans les folies intermittentes, et dans d'au- tres
formes
. Il faut, surtout devant les tribunaux, être très
. L'auteur, après avoir insisté sur la nécessité de délimiter des
formes
cliniques en se basant surtout sur le pronostic,
ysie générale, tandis que .la dégénérescence hyaline évolue sous la
forme
de la démence sénile. SOCIÉTÉS SAVANTES. 403
e Strasbourg, dans lesquels des apoplexies répétées ont réalisé une
forme
clinique analogue à la paralysie générale. La p
paralysie générale d'une part, et la démence sénile de l'autre, une
forme
clinique bien caractérisée, la démence apoplect
on de volume du noyau, du corps cellulaire et, dans le noyau, il se
forme
une substance qui prend la couleur. Nissl consi
rmis inférieur la tumeur pénétrait dans la substance du cervelet en
forme
d'un noeud isolé. Les auteurs ont fait mention
mêmes lésions expliquent suivant le point où elles prédominent les
formes
cliniques très variées qui ont été observées depu
entraînent une stase vei- neuse qui prolonge la convulsion sous la
forme
clonique. La pâleur de la face au début, le car
e pour les 30 à 40 p. 100 des autres malades, villas disposées sous
formes
de village avec place publique entourée de tous
s'est chargée d'offrir, avec les maladies de l'âme et les diverses
formes
d'aliénation mentale, un moyen d'études des plu
tante, ayant malaux dents, m'envoyait acheter deux sous de chloro-
forme
. J'ai versé le chloroforme dans la bouteille et l
né lieu, en ce qui concerne ses premières périodes, ses différentes
formes
clini- ques, sa nature et sa curabilité, à d'in
our les causes de mort, les attaques apoplectiformes et épilepti-
formes
... Citons ensuite la pneumonie (p. 100 et 101) ».
ns gangreneux, etc. (p. 348) ». Enfin d'après Krafft-Elung3, « la
forme
du stade terminal est une et la même pour tous
la même pour tous les malades, quelle qu'ait été l'évolution ou la
forme
de la période intervallaire... La démar- che de
t inverse. Je considère les attaques apoplectiformes ou épilepti-
formes
non comme une complication de la paralysie généra
les dents sont d'un émail magnifique. La voûte du palais est d'une
forme
ogivale très prononcée. A sept ans il fit ses p
te attitude, la marche ressemble alors à celle de l'astasie-abasie (
forme
paralytique), jusqu'à ce qu'arrive le moment où
dit déjà, Guadalupe est né avec la tête si molle qu'elle prenait la
forme
Fig. S. 454 RECUEIL DE FAITS. de la surface
u pariétal et de l'occipital (fig. 8), au lieu de présenter la même
forme
arrondie que la région opposée, est aplatie et
e forme arrondie que la région opposée, est aplatie et reproduit la
forme
de l'oreiller sur lequel s'appuyait cette parti
il a conservées avec lui en naissant. Clinquement parlant, ce cas
forme
partie du groupe varié compris aujourd'hui sous
il était presque intact. Ce cas fournit un excellent exemple de la
forme
très rare de méningite tuberculeuse, dans laque
laquelle les enveloppes de la moelle sont attaquées les premières,
forme
spinale, forme ascendante. Vraisemblablement l'
nveloppes de la moelle sont attaquées les premières, forme spinale,
forme
ascendante. Vraisemblablement l'infection tirai
le microscope décèle des lésions myélitiques assez graves et d'une
forme
très singulière. Dans la partie sacro- lombaire
s dyspeptiques, s'étant trouvés dans 05 p. 100, de tous les cas. La
forme
la plus ordinaire de la dyspepsie a été l'hyper
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. .convulsions se montrent d'emblée sous la
forme
clonique, les malades conservent parfois assez
oubles réflexes, se rattachent à des lésions plus étendues ou à des
formes
combinées. 476 REVUE DE pathologie NERVEUSE.
yl'us. En occupant la partie postérieure du corps, cet organe d'une
forme
cylindrique est composé de quatre parties : deu
u muqueux qui subdivise l'organe en question en série de lamelles à
forme
triangulaire. Les nerfs s'attachent au côté pos
ombaire avait un aspect d'une large fente, qui plus haut prenait la
forme
d'un rein; encore plus haut se détachait du côt
ut se détachait du côté postérieur du canal central une cavité en
forme
de tube. Elle était close dans la partie supérieu
tes à une heure. L'auteur trouve que nous avons affaire ici à une
forme
de narcolepsie pure, en contraste de l'état narco
ue totale de la faculté de compréhen- sion du sens; 4° par quelques
formes
d'agramalisme, qui sont si propres à l'amentia
gènes, fibres de cordon. Chaque système occupe une place définie et
forme
un faisceau individualisé. Ainsi, le système ra
auteur considérée ; latéral pour la moelle cervicale et dorsale, il
forme
la virgule de Seliultze médian au niveau de la
e. Il faut aussi prendre garde à la possibilité de l'association de
formes
diverses de l'aliénation à l'épilepsie. Le déli
dies du coeur et des -, par Fronda, 372. Neurasthénie. Nouvelle
forme
de partielle par Bianchi, 56. Rap- ports du p
Paranoïa inventoria, par Shouka- 11 oit. Paranoïaques. Délire et
formes
-, par del Greco, 372. PARAPHASIE et surdité
1 rapports avec la folie, par Rivers, , 232. Psychopatiiiques.
Formes
- dans le midi de l'Italie, par del Greco, 22
rdons postérieurs, dans l'ataxie locomotrice progressive, est une des
formes
de la sclé-rose des centres nerveux. La scléros
prédominent aux: membres supérieurs, et à la région lombaire dans la
forme
commune, c'est-à-dire quand, les phénomènes morbi
he I, Fig. 2). Sur les coupes transversales, elles se montrent sous
forme
de deux tractus gris, dirigés d'avant en arrière
L'ataxie locomotrice se montrait en effet, chez cette femme, dans la
forme
généralisée. Les dou-leurs fulgurantes et l'incoo
une de l'autre, ou, au contraire, entrer en combinaison. L'une de ces
formes
pourrait être désignée sous le nom de sclérose fa
quant à présent, quels symp-tômes particuliers se rattachent à cette
forme
de la sclérose postérieure. L'autre forme, la scl
liers se rattachent à cette forme de la sclérose postérieure. L'autre
forme
, la sclérose fasciculée latérale des cordons post
ment, M. Wilks et M. Lockhart Clarke 1 ont appelé l'attention sur une
forme
de paraplégie qui s'observe, paraît-il, assez fré
m de paraplégie alcoolique. Un des traits les plus saillants de cette
forme
pathologique paraît être l'exis-tence de douleurs
re. Il y a lieu de se demander si, ici encore, il ne s'agit pas d'une
forme
particulière de tabes, d'o-rigine alcoolique cett
leurs fulgurantes pour-ront être rapportées, presque à coup sûr, à la
forme
parti-culière de sclérose postérieure qui conduit
dant plus de six ans dans nos salles. Voilà, incontestablement, une
forme
de cardialgie bien sin-gulière, bien remarquable
vous, une occasion d'observer l'ataxie fruste dans quelques-unes des
formes
variées qu'elle peut revêtir. 1° La nommée Mar.
syphili-tique et la paralysie générale. De la neuro-rétinite. — Ses
formes
, ses symptômes. — Différences qui la séparent de
re l'amaurose des ataxiques, et de la distinguer de toutes les autres
formes
d'affaiblissements de la vue. En ce qui concern
dier. A. l'œil nu, l'altération du nerf optique se présente sous la
forme
d'une induration grise, dont l'aspect rappelle à
ect de la papille optique à l'état normal. —Vous n'avez pas oublié la
forme
ovaloïde que celle-ci présente; ses contours très
progressive. La papille n'a pas éprouvé de changement, soit dans sa
forme
, soit dans ses dimensions; ses contours sont touj
ezowski, Benedikt), est en quelque sorte spécifique : il s'agit d'une
forme
particulière d'achromatopsie caractérisée ainsi q
n persister au moins à un certain degré. Les auteurs admettent deux
formes
principales de neuro-rétinite. En premier lieu, v
sant pour cause une simple congestion avec exsudation sé-reuse. Cette
forme
serait liée surtout à l'existence de tumeurs in
. Il existerai!, d'après cela, une sorte de transition entre les deux
formes
de la neuro-rétinite. 2° La seconde de ces form
on entre les deux formes de la neuro-rétinite. 2° La seconde de ces
formes
est habituellement désignée sous le nom de yieuro
lques ophtal-mologistes, et entre eux de Graefe, prétendent que cette
forme
est liée d'une manière spéciale à la méningite, e
ce d'une méningite. Cette atrophie scléreuse caractérise la seconde
forme
, ou, si l'on préfère, le deuxième degré de la név
s sont les caractères qu'of-fre au clinicien la papille dans ces deux
formes
ou, si vous le voulez, dans ces deux périodes de
enant les caractères de la névrite opti-queconsidérée dans la seconde
forme
? La papille, en quelque sorte élargie, se montre
spère vous faire partager ma ma-nière de voir, il s'agit là d'une des
formes
multiples de l'ar-thropathie spinale ? Qu'est-ce
arthro-pathies de l'ataxie locomotrice, suivant moi, seraient une des
formes
de ces affections articulaires, développées sous
aru sans laisser de trace. Voilà, Messieurs, un beau spécimen de la
forme
bénigne et précoce de la maladie. Deuxième cas.
got. Œuvres complètes, t. ii. 5 nit, d'autre part, un exemple de la
forme
m.aligne, c'est-à-dire avec désorganisation rapid
ple aux trois premiers cas qui, eux, je le répète, appartiennent à la
forme
bénigne, laquelle peut se terminer par la guériso
arrière (Fig. 6). Ce cas revient de droit, comme le précédent, à la
forme
des-tructive de Tarthropathie, puisqu'il y a une
ues mois, le gon-flement disparaît et alors tout rentre dans l'ordre (
forme
déni- ataxiques, qu'une arthrite traumatique oc
, répondant à une usure des surfaces osseuses, des luxations variées (
forme
mali-qne). En dépit de ces lésions profondes, le
tés. 6° On nous dit encore que, dans l'immense majorité des cas, la
forme
mono-articulaire de l'arthrite sèche, reconnaît p
épinière, je crois pouvoir déclarer qu'il n'est peut-être pas une des
formes
morbides auxquelles elle est assujettie qui ne pu
raplégie douloureuse des cancéreux. I. Messieurs, Il existe une
forme
particulière de paraplégie qui résulte de la comp
ple) se tuméfient d'une manière re-marquable, tout en conservant leur
forme
. Histologiquement, nous retrouvons dans ces tum
ut devenir le point de départ d'un hématome (cas de Kùhle) 1 ; 2° une
forme
de la pachyméningite particulièrement fréquente a
hydatiques, peuvent y avoir leur siège primitif. Selon Traube, il se
forme
aussi dans ce tissu cellulo-graisseux des abcès q
e sur la dure-mère, d'avant en arrière; mais, rarement, le champignon
forme
un anneau parfait, de telle sorte que la moelle n
la suite du cancer du sein, principalement quand celui-ci revêt les
formes
dures du carcinome. On l'observe aussi consécutiv
ues que subit la moelle au niveau du point comprimé. — Changements de
forme
; ramollissement, indura-tion. — Myélite intersti
ltération de texture plus ou moins profonde, en plus du changement de
forme
causé par la compression. Il ne s'agit pas là,
en pareil cas, appartient plus spécialement à l'une ou à l'autre des
formes
décrites par M. Broca. Tout ce que je puis affirm
us attacher. Car c'est leur présence surtout qui impose aux diver-ses
formes
de la compression spinale lente une physionomie à
sera facile ensuite d'appliquer, dans une certaine mesure, aux autres
formes
, les résultats que va nous fournir cette première
une physionomie propre à la maladie. C'est lorsqu'il s'agit de cette
forme
-là, et de celle là seulement, qu'il est juste de
s haut degré, dans la paraplégie par compression que dans toute autre
forme
de paralysie des membres inférieurs. Mais il ne f
t tranchant. Cependant le médecin est appelé à observer parfois cette
forme
symptomatique, et, en particulier, lorsqu'il s'ag
iques de la moelle épinière. Je l'ai pour mon compte observé, sous la
forme
bien dessinée d'hémiparaplégie avec anesthésie cr
es nerveuses mo-trices et tumeurs de la moelle, cause d'une troisième
forme
de la paraplégie cervicale. De quelques symptôm
certaines parti- I. Nous nous occuperons, en premier lieu, d'une
forme
singu-lière de paralysie qu'on peut rencontrer en
gré relativement moin-dre. 11 n'est pas très rare de rencontrer cette
forme
de paraly-sie dans le mal de Pott cervical. a)
sau-rait, Messieurs, je le repète, mettre en doute l'existence de la
forme
de paralysie des membres supérieurs sur laquelle
éclarer que trois fois j'ai observé ce phénomène persistant, sous une
forme
très accentuée (20, 30 pulsations par minute), à
p. il. 2 Brown-Séquard. — Diagnostic et traitement des principales
formes
de paralysie des membres inférieurs. Paris, 1864,
graves. Enfin, Vexaltation des propriétés réflexes, les différentes
formes
de l'épilepsie spinale qui se voient dans certain
s les cadres classiques, h paralysie glosso-labio-laryngée, certaines
formes
de l'atrophie muscu-laire progressive, etc. J'esp
isée principalement dans la substance grise, y/iématomyélie, diverses
formes
de myélite traumalique, soit qu'il s'agisse d'une
la paralysie, atteignant seulement les membres infé-rieurs, revêt la
forme
paraplégique. En résumé, on observe ici une par
r plus dans la paralysie spinale infantile que dans toutes les autres
formes
de paralysie des membres". C'est peut-être le lie
que par excellence, et qui, dans l'immense majorité des cas, revêt la
forme
du varus équin. La laxité des ligaments est ext
ainsi que l'avait parfaitement reconnu M. Laborde 2, le volume et la
forme
des masses musculaires peuvent être, jusqu'à un c
ois méconnus ou mal interprétés. Or, d'après ce que j'ai lu ou vu, la
forme
de paralysie spinale dont il s'agit, ne serait pa
èrent ici en général singulièrement de ce qu'ils sont dans les autres
formes
de paraplégie à début brusque, c'est là un fait a
ements s'atrophient à leur tour, en même temps que le corps prend une
forme
globuleuse ; bientôt les prolongements ne sont pl
ément, indépendamment de toute lésion de la névroglie, dans certaines
formes
, par exemple, d'atrophie musculaire progressive,
e, ou de paralysie bulbaire (Fig. 10, C, D). 5° Enfin, une dernière
forme
d'altération de la cellule nerveuse motrice est c
pour une bonne part, à séparer nettement cette affection des diverses
formes
de la myélite aiguë diffuse ; elle est phy-siolog
contraire, se rencontrer à des degrés divers, dans toutes les autres
formes
aiguës d'affection spinale, parce que toutes elle
Il paraît certain que, à peu près toujours, l'épanchement de sang se
forme
là, au sein de parties préalablement modifiées da
substance grise, tel est le sub-stratum anatomique dans une certaine
forme
d'atrophie muscu-laire progressive qui répond à p
la qualification de spinale protopathique. La constitution de cette
forme
protopathique de l'atrophie musculaire spinale, q
une vérification anatomique a eu lieu, voici l'énoncé des principales
formes
d'affectiun de la moelle épinière qui peuvent don
nent se joindre des amyotrophies à marche pro-gressive . 6° Mais la
forme
pathologique que je veux relever particu-lièremen
e-même. Ces secousses fibrillaires n'appartiennent pas en propre à la
forme
protopa-thique. J'ajouterai, en outre, qu'elles s
sains. Elles constituent parfois, dans ce cas, un des symptômes d'une
forme
particulière d'hypochondrie, assez fréquente, soi
actilité faradique est déjà remarqua-blement modifiée. tiennent aux
formes
deutéropathiques (sclérose postérieure, sclérose
avec les déformations par contracture, qui se montrent dans certaines
formes
deutéropathiques et y jouent un rôle intéressant
les conditions habituelles, l'a-trophie vraie dure dix-huit ans sous
forme
partielle, dix-huit ou vingt ans même, alors qu'e
f du mal *. D'après la considération des caractères anatomiques, la
forme
d'atrophie musculaire progressive, dont il s'agit
'atrophie des racines antérieures comme le caractère anatomique de la
forme
d'atrophie musculaire dont il a contri-bué à éluc
ique. Nous allons voir qu'elles n'appartiennent pas en propre à cette
forme
patholo-gique et qu'elles se retrouvent avec les
ns trophiques des mus-cles. Messieurs, Nous en avons fini avec la
forme
d'atrophie musculaire pro-gressive qui relève d'u
le le processus inflammatoire peut ainsi se limiter systématiquement,
forme
pendant la vie fœtale et jusque dans les premiers
ligne fictive transversale, qui passerait par la commissure, sous la
forme
d'un espace triangulaire correspondant à la parti
res d'altérations constitue juste-ment le substratum anatomique de la
forme
pathologique sur laquelle je veux appeler votre a
f dans l'exposé clinique, à savoir que l'atrophie musculaire, dans la
forme
nosographique qui nous occupe, porte rarement sur
les faisceaux mus-culaires y sont atrophiés. Cette conservation de la
forme
et du volume de l'organe s'explique, dans les cas
tion tran-chée entre la sclérose latérale amyotrophique et les autres
formes
(X atrophie musculaire spinale, deutéropathique.
tions plus ou moins parfai-tes, qui se rapportent de tous points à la
forme
pathologique en question et je les ai mises à pro
gressive protopathique. III. Mais les véritables caractères de la
forme
pathologique, dont la description nous occupe, so
est ce dont témoigne, entre autres, le cas de M. 0. Barth. IV. La
forme
de paralysie amyotrophique qui nous occupe s'ac-c
s, elle reste limitée, durant quelque temps, à un côté du corps, sous
forme
hémiplégique. Enfin, dans deux cas, elle a débuté
le amyotrophique. — Amyotrophic consécutive à l'ataxie locomotrice. —
Forme
particulière de l'atrophie musculaire en pareil c
t temps, par conséquent, de commencer l'exposition de quelques autres
formes
^atrophie musculaire spinale deuté- 1 Leçons su
sont à peu près permanentes, mais s'exaspèrent de temps à autre, sous
forme
d'attaque. Elles retentissent souvent dans les
manière constante ; mais, comme elle ne s'observe pas dans les autres
formes
d'atrophie musculaire spinale, elle n'en fournit
puis me dispenser d'arrêter un instant votre attention sur une autre
forme
de myopathie, que M. Duchenne (de Bou-logne) a le
rares. C'est une lacune regrettable. Combien de fois, en effet, cette
forme
d'amyotrophie, presque toujours confondue avec l'
ns la série des amyotrophies spinales, place in-termédiaire entre les
formes
aiguës et les formes chroniques, mais l'anatomie
rophies spinales, place in-termédiaire entre les formes aiguës et les
formes
chroniques, mais l'anatomie pathologique n'a pas
ai pas, Messieurs, après ce qui précède, à énumérer toutes les autres
formes
possibles de l'amyotrophie spinale deutéropalhiqu
nom, pourraient être ramenés par la critique, à l'une quelconque des
formes
de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules n
particulier, se montrer accidentellement, il est vrai, dans diverses
formes
d'amyotrophie spinale deutéropa-thique. Seule, la
tte névrite ou cette atrophie nerveuse progressive d'où dériverait la
forme
d'amyotrophie dont il s'agit. L'observation si in
ent les lésions du grand sympathique font absolu-ment défaut dans les
formes
les plus variées de l'amyotrophie progressive spi
tain nombre d'affections élémentaires dont la combinaison produit les
formes
complexes, celles-ci pouvant être, à leur tour, à
bres. — Pronostic et traitement. — Diagnostic: Sclérose en plaques de
forme
spinale, contracture hystérique, myélite trans-ve
articulière, foncièrement distincte, à mon avis, de toutes les autres
formes
de la myélite chroni-que. Cette affection, que je
que je vous proposais tout à l'heure d'accepter pour distinguer cette
forme
pathologique. L'affection dont il s'agit reconnaî
a chose soit ici souvent fort difficile, de la sclérose en plaques de
forme
spinale. Il peut, en d'autres termes, être séparé
les premières phases de l'ataxie locomotrice, j'entends parler de la
forme
vulgaire de la ma- 1 OUivier (d'Angers). — Trai
e, les membres affectés commencent à se raidir de temps en temps sous
forme
d'accès, surtout dans le sens de l'extension et d
à une complication assez fréquente à une période avancée des diverses
formes
de la sclérose spinale. Le tabès spasmodique, u
côté ; où elles gisent, en réalité, c'est quand il s'agit des autres
formes
de la myélite chronique. Je voudrais essayer de v
. L'hydrothérapie méthodique longtemps prolongée, qui, dans certaines
formes
de l'ataxie, amène parfois de si heureux résultat
sceaux latéraux dans une certaine étendue ; soit qu'il s'agisse de la
forme
insulaire ou, au contraire, de la forme fasciculé
e ; soit qu'il s'agisse de la forme insulaire ou, au contraire, de la
forme
fasciculée de la sclérose spinale. C'est pourquoi
t, ne sont pas flasques et iner-tes, comme cela a lieu dans certaines
formes
de paraplégie ; ils sont au contraire rigides dan
dresse la pointe du pied et sou-vent elle survient spontanément, sous
forme
d'épilepsie spi-nale. J'ai connu cette malade pen
ut parmi les symptômes propres à accentuer la démarcation entre cette
forme
de myélite et le tabès spasmodique. Dans les ca
ficile, en général, d'établir son identité ; mais quand il s'agit des
formes
imparfaites, frustes, comme on les appelle encore
nférieurs, avec ou sans rigidité concomitante des membres supérieurs (
forme
spinale de la sclérose en plaques) '. Môme, en pa
ren-contrer le clinicien lorsqu'il se trouve en présence de certaines
formes
frustes de la sclérose en plaques. Chascot. Œuv
apparente au moins, de la moelle épinière. C'est, Messieurs, celte
forme
de paraplégie urinaire, dési-gnée sous le nom de
égion sacrée, et décident la terminaison fatale. La marche de cette
forme
de la myélite est d'ordinaire subaiguë. Toutefois
re des membres paraly-sés semblent indiquer qu'il s'agissait là d'une
forme
de la myélite centrale subaiguë, sur laquelle je
vous permettront de saisir les diffé-rences qui existent entre cette
forme
de paraplégie urinaire, qui s'observe en réalité
contrairement à l'opinion de Remak, qui semble croire que c'est là la
forme
la plus ha-bituelle des paraplégies urinaires.
alogue dans les hôpitaux. Les symptômes se présen-tent, ici, sous une
forme
très accentuée, mais anormale à quel- ques égar
de l'oreille et qui nous a obligeamment prêté son concours. Sous la
forme
extraordinairement accentuée qu'il revêt chez not
e cas est grave, il devient persistant, dans les intervalles, sous la
forme
atténuée d'un bourdonnement, d'un tintement plus
je le répète, chez les sujets en proie, depuis de longues années, aux
formes
graves de la maladie de Ménière. Vous comprenez
En somme, l'affection s'est, à l'origine, présentée chez R... sous la
forme
de l'apoplexie cérébrale suivie d'hémiplégie tell
ins de Yhérnichorée post-hémiplégique. Or, il paraît établi que cette
forme
particulière d'hômianesthé- soient montrés ; ou
ire toucher du doigt cer-taines particularités qu'offre souvent cette
forme
clinique de la syphilis cérébrale. Mais j'aurai s
carac-téristique ; on peut la rencontrer, en effet, dans les diverses
formes
d'épilepsie partielle, indépendantes de la syphil
: à partir de là, les accès ne se sont plus présentés jamais que sous
forme
d'épilepsie partielle ou hémiplégique, tantôt ave
laissentbeaucoup à désirer. En dehors de l'épilepsie partielle, des
formes
cliniques très diverses de la syphilis cérébrale
ongitudinal du membre, bourrelets s'effaçant par les mouvements. La
forme
de la cuisse est celle d'un cône tronqué. — La cu
irrégulier et incomplet à gauche en cesens que la fracture, qui a la
forme
d'un angle droit à sommet interne, n'est consolid
d'un genre tout à fait particulier et qu'on ne rencontre pas dans les
formes
ordinaires de l'arthrite sèche. B. de causes tr
chose fréquente. Dans un cas, les accidents convulsifs ont revêtu la
forme
de l'épilepsie partielle (cas du docteur W...), e
le, que les accidents groupés sous cette dénomination répondent à une
forme
clini-que distincte, et qu'il sera possible désor
ésormais de séparer en pratique, à l'aide de certains caractères, des
formes
connexes. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le
gés distinguerait le genre de « vertige qui nous occupe, des diverses
formes
du petit mal épileptiquè avec lequel il a d'aille
. L'enveloppe de miélyne ne s'est pas développée à proportion et elle
forme
autour des cy-lindres hypertrophiés une couche ci
mation nouvelle. Les nœuds du réticulum pré-sentent là des espaces de
forme
étoilée, renfermant trois et quatre et quelquefoi
moitié latérale gauche, dans la région cervicale, un foyer sanguin de
forme
ovalaire, mesurant dans les points où il est le p
l: elles sont, de plus, manifestement déformées. Elles ont perdu leur
forme
allongée et sont globuleuses ; on les dirait dist
s'agit paraît être, on le voit, avec quelques varian-tes, commune aux
formes
aiguës, subaiguës et chroniques pri-mitives de l'
'observation qu'on va lire et qui est un exemple remarquable de cette
forme
de l'amyotrophie chronique. Ici, du reste, le dia
ra-spinal. Ainsi, à la partie inférieure du renflement cervical, elle
forme
autour de la corne antérieure une ceinture presqu
es coupes transversales, ces bandes conjonctives apparaissent sous la
forme
de ronds ou de petits po-lygones très semblables
la myéline est fragmentée, et dans les intervalles des blocs qu'elle
forme
, on constate l'existence de noyaux soit isolés, s
elativement considérables. Cette dernière cir-, constance explique la
forme
onduleuse qu'elles ont prise, ne pou-vant suivre
-cée dans les points où ils sont plus nombreux; elle affecte enfin la
forme
de bandes scléreuses, étendues de la corne an-tér
. Les points où elle prend une extension plus considérable, où elle
forme
autour de la corne antérieure une zone d'une cert
fois plus petites que dans l'état normal, ont cependant conservé leur
forme
étoilée, leurs prolongements et possèdent encore
ble, paraissait avoir perdu ses contours arrondis ; il présentait une
forme
ovalaire transversalement et s'était évidemment a
avec ses caractères normaux, et, dans bien des muscles, elle revêt la
forme
de mouvements fibril-laires. La sensibilité sem
l'action du carmin et notablement diminuées de vo-lume, ont pris une
forme
globuleuse. Elles donnent naissance à de rares pr
la partie antérieure, ce qui reste de la pyramide se détache sous la
forme
d'une bande rouge transversale, on voit la scléro
A la région lombaire, elle s'est éloignée de la corne pos-térieure et
forme
une sorte d'îlot situé dans la partie postérieure
qu'on pourrait le croire d'après ce qui précède ; elle a con-servé sa
forme
, son épaisseur, ses dimensions normales ; elle ne
remplies par des amas de noyaux. Ceux-ci présentaient quelquefois la
forme
en bissac. Enfin, sur quelques préparations, on o
loration résulte de la présence de granules pigmen-taires réunis sous
forme
d'amas et ne subissant pas l'influence du carmin.
de volume, elle tend à perdre ses contours an-guleux, et acquiert une
forme
globuleuse. A un degré plus avancé du processus
de chromique, avec une consistance, toutefois, mani- festement plus
forme
et une résistance rappelant celle du tissu fibreu
e nom, pourraient être ramenés par la critique à l'une quelconque des
formes
de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules n
ment Y instabilité des doigts, mais encore l'hémianesthésie, sous une
forme
atténuée, il est vrai, puisqu'il n'y a que de l'a
s accès d'épilepsie partielle. Ainsi, nous avons une analogie dans la
forme
des troubles moteurs, une analogie dans les condi
syphilitique et la paralysie générale. De la neuro-rétinite. — ^es
formes
, ses symptômes. — Différences qui la séparent de
ue subit la moelle au niveau du point comprimé. — Changements dans la
forme
; ramollissement, indura-tion, — Myélite intersti
es cellules nerveuses et tu-meurs de la moelle causes d'une troisième
forme
de la paraplégie cervicale. De quelques symptôm
le amyotrophique. Amyotrophie consécutive à l'ataxie locomotrice. —
Forme
particulière de l'atrophie musculaire en pareil c
bres. — Pronostic et traitement. — Diagnostic: Sclérose en plaques de
forme
spinale, contracture hystérique, myélite trans-ve
d'apparition, 8, 69. — Faits cliniques, 64, 366. — Température, 67. —
Formes
et symptômes, 67 et suiv, — Diagnostic, 69. — Lés
e ces malades souffrent, que ces souffrances puissent affecter la
forme
névralgique, cela n'est pas douteux, mais nous
certaines malades des pièces dentaires. On peut en faire varier la
forme
, les matières constituantes, user de tous les m
e la pièce prothétique était d'un volume plus considérable ou d'une
forme
différente de celle que la malade était habitué
yeux une douzaine d'écrins renfermant des pièces pro- thétiques de
formes
variées. Elle en avait autant chez elle dont el
s fonctions du système nerveux, Herzen démontre que les différentes
formes
de l'activité psychique, sen- timents, pensées,
embres, les viscères ou les vaisseaux, « retournant ainsi, sous des
formes
plus élémentaires, en général comme travail méc
a volonté. Pans, 1874. 2 Mantegazza, litre cite Ileizen, admet nenf
formes
élémentaires de ces transformations du , mouvem
ont nous avons une représentation anticipée, dont nous prévoyons la
forme
, l'énergie, la inaiclie et l'effet; mais la moe
squissée pour ne la point trouver au moins vraisemblable sous cette
forme
d'hypo- thèse scientifique. En tout cas, cela r
t les élé- ments des centres nerveux. Dans la démence et dans les
formes
d'affaiblissement profond de l'intelligence, l'
logique ou cosmique : « Dans ce conflit sans trève, dit Buccola, la
forme
mentale douée de l'énergie la plus grande survi
et Scip. Marzocchi. Sur les mouvements systématisés danz quelques
formes
d'alfaiblissent mental'. Par mouvements systéma
lie percezioni ol/atlive. ' Dei znovimenti sistemalizzati in alcune
forme
di indeGolimenlo men- tale. - Arclnvio ital. pe
liens d'association évidents', sica- ractéristiques dans certaines
formes
d'excitation de la paralysie générale. La diffu
bon sens, de toute raison et de tout jugement chez ces malades. La
forme
convulsive que revêt ici, au début, tout, mouve
ensations, perceptions, images, concepts, etc., seraient de « pures
formes
perçues dans les organes mêmes qui en sont le s
ntifique, 11 et 18 déc. 1886; l"janv. 1887. La pensée n'est pas une
forme
de l'énergie, c'est la perception des états intér
ion des états intérieurs et de leurs relations. 52 PHYSIOLOGIE.
forme
spéciale de l'énergie, comme le mouvement, la c
voir comprendre pourquoi une pareille vi- sion, la perception d'une
forme
, celle d'états intérieurs et de leurs rapports,
te « partie de la substance nerveuse où l'activité s'exerce sous la
forme
propre de volition est infime, comparée à celle
ne saurait imaginer de rapport nécessaire d'au- cune sorte entre la
forme
d'un élément nerveux et sa fonction. En ce doma
e dans un travail de MM. Charcot et Richer, sous le titre c Sur une
forme
spéciale d'impuissance motrice des membres infé
me sujet, à propos d'une malade de son service. atteinte de cette «
forme
spéciale d'impotence motrice des membres inféri
R l'astasie-abasie. 61 de ses leçons en 1884 à un cas < d'Abasie
forme
trépidante à la suite d'une intoxication par la
nt après l'influenza2. Ladame décrit un cas de cette affection sous
forme
d'accès3 et le professeur Binswanger vient de p
. Ces résultats, à part leur interprétation, indiquent une certaine
forme
de différenciation fonctionnelle, et il est évi
e ces mouvements peuvent avoir une signification différente, et, je
forme
cette hypothèse, que quelques-uns peuvent être
centres sensoriels ou de perception en rapport avec les différentes
formes
de sensibilité aussi bien que les centres moteu
èrement dans l'hémisphère gauche sont généralement associés avec la
forme
spéciale d'aphasie sensorielle appelée « cécité
plication il dit; ce qui me parait être une hypothèse un peu in-
forme
, que l'extirpation delà région en question a enle
ieurs occupe la partie pari(·lo- posténeure de l'hémisphère où elle
forme
une petite bande au- dessus du corps strié. Me
seule est affectée ou abolie sans au- cune complication des autres
formes
de sensibilité spéciale ou gé- néiale et absolu
paraissent avoir été presque invariablement associés avec d'autres
formes
de troubles sensitifs, mais la façon dont il pr
es seules réactions qui puissent donner naissance à ce corps; il se
forme
également par l'ac- tion de la chaleur sur l'ac
es capillaires) sont insuffisantes pour permettre de constituer une
forme
car, outre-qu'elles ne sau- raient être accusée
après laquelle la double pensée consiste en ce que toute conception
forme
deux images, dont l'une reste sur le foyer de l
xplique comment le malade voit un objet auquel il pense revêtir une
forme
tangible. M. Hoppe propose la théorie suivante
de la décharge va plus ou moins vite. La conscience participe à ces
formes
de résonance simultanée involontaire; elle perçoi
on de troubles mentaux. Ces troubles sont variables ; cependant, la
forme
qu'ils revêtent le plus souvent est celle de la
te de la discussion). M. Charpentier fait une communication sur une
forme
de mélancolie particulière aux prévenus et cond
rencontre pas chez eux la paralysie générale des aliénés, mais une
forme
spéciale de paralysie. M. B. xv. CONGRÈS DES
it du cerveau moyen est partout représenté par une lame épaisse qui
forme
une voûte sphéroidale chez les amphibies, les r
rcules bijumeaux, lobes optiques, etc. La partie antérieure du toit
forme
chez tous les animaux une lame transversale, cr
ubstance blanche profonde émane de la substance grise du toit; elle
forme
des tractus transversaux par rapport a l'axe et
es fibres latérales se di- rigent en arrière pour descendre sous la
forme
de ruban de Reil dans le bulbe latéral. Dans le
a triade symptomatique de cette affection, d'en avoir découvert les
formes
frustes. On a essayé de rattacher à cer- taines
Dans la méningite, la fièvre varie suivant le mode d'évolution. La
forme
la plus lréquente de l'enfance, la méningite tu
gré de la lypémanie. En 1854, vint le mémoire sur la folie a double
forme
qui établit l'existence d'une variété morbide n
quête de la psychiatrie : la lypémanie slu- pide, la folie à double
forme
et la folie communiquée. En outre, la science l
de la périencéphahte chronique, le délire spécial ambitieux de la
forme
expansive et le délire spécial hypochondriaque de
ux de la forme expansive et le délire spécial hypochondriaque de la
forme
dépressive, et M. Baillarger trouva plus tard l
a par la démence paralytique ; 30 des rémissions fréquentes dans la
forme
maniaque de la paralysie générale en rapport av
té d'une complication de l'affection para- lytique par les diverses
formes
de la folie, susceptibles de dispa- raître, tan
lirant ou de perversion fonc- tionnelle. Or, là où on avait vu deux
formes
de la même maladie, M. Baillarger voit, lui, de
la guérison ; enfin, période maniaque de certaines folies à double
forme
, vieilles de beaucoup d'années, offrant à chaqu
beaucoup d'années, offrant à chaque retour tous les symptômes de la
forme
maniaque de la paralysie générale. Je ne saurai
411 : INDON de liI.ONTYEL. II. Anatomie artistique. Description des
formes
extérieures du corps humain au repos et dans le
t ex- plications sont souvent nécessaires dans l'interprétation des
formes
. Nous disons commentaires, car M. Paul Richer n
particulièrement doué pour saisir d'emblée et sans intermédiaire la
forme
elle-même, pour la voir, la juger et ensuite l'
voir, la juger et ensuite l'interpréter. Du reste, il en est de la
forme
comme des couleurs. Elle est loin d'être une et
ée d'offrir aux artistes rien qui puisse ressembler à un modèle des
formes
ex- térieures du corps humain. « La question de
odèle des formes ex- térieures du corps humain. « La question de la
forme
, nous dit-il, est entièrement réservée et je dé
e aussi complète que possible du tissu graisseux, ils offraient des
formes
non pas simples, mais claires, et faites pour a
démonstration. Lorsqu'on aura appris à les voir, on retrouvera ces
formes
chez les sujets plus jaunes, plus gras, plus si
s études ne doivent pas leur rester étrangères. La connaissance des
formes
extérieures s'impose non seulement au chirurgie
Dans nos bureaux 3 fr. BERXAttD. De l'aphasie et de ses diverses
formes
. 2° édition avec une preface et des notes, par
e constater ici, d'une part, que ce vitiligo affecte, exactement la
forme
et les dimensions des vésicatoires appliqués il
miques toutes nouvelles pour vous. Je veux parler de l'anatomie des
formes
extérieures ; il faut entendre par là l'anatomi
sus de la rotule. M. Richer, qui a consacré récemment à l'étude des
formes
extérieures du corps humain un remar- quable ou
limite supérieurement le relief inférieur et le sépare de celui que
forme
, au-dessus, le corps même du vaste interne. «
'est-à-dire contracter .on triceps. Il ' P. Richer. Description des
formes
extérieures du corps humain, p. 231. Fiy, 13,
e. En arrière, les vésicules, très confluentes et disposées sous la
forme
d'une plaque allongée, suivent la direction gén
onsultera ce sujet une bonne thèse de Boisvert : Elude clinique des
formes
atténuées de la paralysie alcoolique ; Paris, 188
les sont disposées en groupes plus ou moin confluents, affectant la
forme
d'une demi- ceinture complète ou incomplète, co
embres ou même de la face, le groupement des vésicules présente une
forme
moins régulière, puisqu'elle est en rapport ave
les- quels aucune modification n'a pu être constatée, ni dans la
forme
ni dans la constitution de la substance grise, ni
laires, ont été la loca- lisation primitive du processus ? Dans les
formes
paraplégiques où les muscles homologues des deu
trophie dés muscles tributaires des cellules nerveuses altérées. La
forme
primitive n'a rien à voir avec ce. que j'ai àvous
ment de vous signaler certains faits curieux qui appartiennent à la
forme
secondaire. Celle ci s'observe (d'une façon exc
avec sa substance grise et sa substance blanche. En raison de la
forme
particulière de la première, la se- conde a éga
orme particulière de la première, la se- conde a également pris une
forme
peu ordinaire. La masse de la substance grise p
en dedans sur la face supérieure du lobule. (Voir la ng. 16.) La
forme
de la substance blanche qui provient de la subs
. En se redressant en avant, cette lame de tissu gris se ramasse et
forme
une circon- volution arrondie qui se place au-d
on crétée, on voit, dans ce cas, la lame réticulé se présenter sous
forme
de petits arcs à concavité inférieure dans les
ut le long de l'île des hémisphères, une production qui prend une
forme
, un volume et des rapports différents selon les
cale de la corne d'Ammon est d'un grand volume et se montre sous la
forme
d'un arron- dissement ou tête située entre la v
inerea. Son parcours n'est pas bien régulier, mais un peu ondulé en
forme
d'S, et se fléchissant un peu en dedans au-dess
e continuer sur la substantia alba reticularis. Le stria tecta ne
forme
aucune saillie, mais dans les coupes elle se pr
ne forme aucune saillie, mais dans les coupes elle se présente sous
forme
semi-lunaire, avec sa concavité en dedans limit
ite l'étonnement du professeur Binswanger, quand il distingue trois
formes
de cette affection, selon que les fonc- tions d
la faiblesse, par l'incoordination ou par les mouvements cadencés (
forme
chorée rythmée). M. Charcot adopte dans sa leço
nvertibi- lité réciproque entre l'énergie psychique et les autres
formes
de l'énergie, celle de la chaleur eu parlier '. »
résul- taient, non d'une simple transmission des excitations sous
forme
sensitive ou sensorielle, mais de leur dif- fus
nsitive ou sensorielle, mais de leur dif- fusion dans l'écorce sons
forme
d'émotion. Ainsi, les t Tanzi. - Ricerche lermo
sibles sur la région frontale, la raison en serait que, faites sous
forme
verbale, les sug- gestions exigeaient que les s
bable- ment, se représentaient encore à' l'esprit des sujets sous
forme
verbale. Bref, « les processus élémentaires qui
il reste que le tra- vail cérébral, comme celui du muscle, est une
forme
de l'énergie cosmique, et que la pensée a des é
nerveux et dans celle de leurs connexions anatomiques, non dans la
forme
de la cellule, que se trouve à cet égard le seu
fonc- tionnelle des centres nerveux. Le travail cérébral est une
forme
de l'énergie. L'intelligence a des équivalents
e oral du fait. Je ne suis pas encore en mesure de décider si cette
forme
de sensibilité auditive doit être attribuée aux
et aux autres centres sentitifs, Luciani paraît combattre pour une
forme
de localisation qui n'est pas du tout de la loc
ne cérébrale avec lesquelles nous sommes plus familiarisés sont les
formes
variées de ce qu'on appelle « surdité verbale t
y a encore beaucoup d'incertitudes sur le trajet et les centres des
formes
variées de sensibilité. On admet universellement
ion peut» z être du sens musculaire, le trajet de toutes les autres
formes
de sensibilité, se porte en haut du côté opposé
- dant été démontré d'une façon décisive, être le trajet d'aucune
forme
de sensation propre (employant cette expression p
tait pas mentionné et aucun détail-exact n'est donné sur les autres
formes
de la sensibilité. Des autres cas, dans un le s
éorie qui veut que le sens musculaire reste intact quand les autres
formes
de la sensibilité sont perdues. Tel est l'état
titué par des bâtonnets et des micrococci qui probablement sont des
formes
d'une seule espèce encore indéter- minée. La dé
eureusement, il est loin d'être constant; le nystagmus y affecte la
forme
convulsive. On ne constate d'anomalies pupillai
psychique : l'une corticale, l'autre transcorticale. Dans les deux
formes
, les images commémoratives des impressions optiqu
fig. 124) l'existence a d'un ou de deux cordons cylindriques nervi-
formes
, nettement circonscrits, mesurant de Omm,25 à omm
les ; par L. lierez. Ibid., XX, 3.) Etude très consciencieuse de la
forme
de l'oreille. M. Binder dis- tingue quatre type
liénés, 128 présentaient un lobule anormal, 205 étaient porteurs de
formes
dégénératives, ce qui donne les proportions res
de pathologie men- tale, il n'y a pas de pouls spécifique d'aucune
forme
de psychose. On constate simplement que, dans l
s le REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 283 nom de
forme
parlicullèl d'atrophie musculaire. Quatre obser-
pdr M. l' RIEDM : 1NN. (Arch. f.'PSiJCIL., XXI, 2.) - Histologie et
formes
de l'encéphalite vraie non suppurée ; par FRIEDUA
désordre dans les idées, des hallucinations, de l'agitation sous
forme
d'un délire général cédant à la médication antisp
es persécutions. La tumeur était pendant la vie [saillante, sous la
forme
d'un corps mou, au niveau du vertex. En effet, el
nza. Il l'a eue personnellement ainsi que sa famille, mais sous une
forme
atténuée. M. MESSE (d'lllken). Tout le personne
tout le monde sait qu'on trouve assez souvent des déviations de la
forme
ordinaire - des cellules encore plus prononcées
u corps restiforme et séparés de la pyramide par les fibres arci-
formes
internes. Cette altération ne porte nullement les
l'atrophie ou la diminution du diamètre transversal du corps resti-
forme
s'observe du côté de la lésion cérébrale. Les ner
et adhérait à la dure-mère dans l'espace d'un centimètre carré; de
forme
allongée d'avant en arrière, q'uadrangu)aire av
La glande pituitaire est injectée et augmentée de volume; elle a la
forme
d'un haricot long de deux centimètres et haut de
apparaît normale. L'infun- dibulum est dilaté et fait saillie sous
forme
d'une tumeur située entre les tubercules mamill
rovrrcu. VI. L'indication chronique par la morphine et ses diverses
formes
, par le B.-P. Régnier. Paris, 1890, aux Bureaux
tions philoso- phiques sur la pathologie générale : la maladie, ses
formes
et son traitement. La seconde a trait à l'étiol
siste à placer les ma- lades pauvres, auxquels par suite soit de la
forme
, soit de la pé- riode de leur affection mentale
une façon générale, les affections mentales congénitales dans leurs
formes
les moins graves, et les maladies mentales qui,
la période aiguë, sont passées à l'état chronique : ces dernières
formes
sont le plus souvent, mais non toujours incurable
ie, à l'analyse clinique des vésanies et à l'exa- men judicieux des
formes
si variées de la paralysie générale. Nous devon
s'est révélé clinicien de premier ordre en créant la folie à double
forme
(1854), en étudiant les hal- lucinations hypnag
tique et manie avec délire ambi- tieux (1858). Des rémissions de la
forme
maniaque de la paralysie générale. De la guéris
Dans nos bureaux .. 3 fr. BERNARD. De l aphasie et de ses diverses
formes
. 2° édition avec une préface et des notes, par
e et moyenne, puis sortent de l'épaisseur de ce dernier organe sous
forme
d'un tronc unique qui n'est autre chose que l'o
and'mère enfin est atteinte déjà depuis longtemps de folie à double
forme
. Voilà bien un tableau complet d'hérédité conve
le a eu dans sa première enfance la rougeole et la variole sous une
forme
béni- gne. A sept ans, elle a commencé à fréque
ts extérieurs. On sait que c'est là une carac- téristique d'une des
formes
du délire hystérique. Il présente, lui aussi, u
iative du malade qui s'approprie la sensation perçue et la trans-
forme
à son gré en une hallucination correspondant à
e que si le bredouillemcnt suit habituellement cette loi, certaines
formes
particulières du bredouillement appa- raissent
aissé penser 368 PATHOLOGIE NERVEUSE. que pour M. Ballet ces deux
formes
ne se différencient que par la cause), qu'entre
ue, sinon tout à fait totale, d'une anesthésie absolue à toutes les
formes
d'excitation tactile sur tout le côté droit du
ncules ni de ganglions de la base. Ces expériences prouvent que les
formes
variées de sensation comprises sous le nom de sen
nsuite entièrement. - Dans quelques cas, l'hémia- nesthésie prit la
forme
d'une incapacité ou d'une diminution de capacit
On n'a pas pu produire la perte totale et persistante de toutes les
formes
de la sensibilité commune et tactile du côté oppo
Zuckerkand appelle la circonvolution marginale (Randwindung) qui
forme
la limite du lobe falciforme, et se continue post
l'hippocampe major. Cette émmence de 23 millimètres de long, de la
forme
d'une massue, avait un dia- mètre transverse de
raire à la théorie de Meynert qui veut que la commissure antérieure
forme
un chiasma semblable au chiasma optique où les
cepen- dant plus facile que chez d'autres et les chiens dont le nez
forme
le principal organe de perception intellectuell
tactile ( ? ) ou mus- culaire : Le malade ne pouvait distinguer la
forme
des objets parce qu'il ne pouvait pas remuer le
s n'ont pas réussi à decouvrir la plus légère atteinte d'aucune des
formes
de la sensibilité géné- rale, tandisque l'affec
i ne tombent pas spontanément dans le champ de la vision. C'est une
forme
de trouble mental qui me parait dépen- dre de l
pour formule CI H" Az 0. Elle se présente à l'état cristallisé sous
formes
d'aiguilles fines ou de larges tablettes prisma-
us ont été surtout remarquables, dans les névralgies a frigore, à
forme
congestive, ils sont beaucoup plus nets qu'avec l
nion est contraire à la loi qui ne distingue pas entre les diverses
formes
et les divers degrés de la folie, car aux terme
squels les sentiments es- thétiques, moraux, religieux ; d'où trois
formes
de mélancolie : la première caractérisée par la
Mendel la mélancolie religieuse des auteurs ; enfin une troi- sième
forme
dans laquelle les sentiments sensoriels ainsi que
aque antérieure ; la mélancolie intellec- luelle est de beaucoup la
forme
la plus fréquente, et la mélancolie hypocondria
e prend chez les hommes beaucoup plus souven que chez les femmes la
forme
hypocondriaque. M. Mendel termine son intéressa
il a publié les résultats obtenus sur les malades mélancolique, des
formes
les plus variées. Il arrive aux mêmes conclusions
olies névrosiques ; mais dans ces affections, comme dans les autres
formes
de maladies mentales, les indications morbides
de persécution vraie, lorsque celui-ci n'est pas associé à d'autres
formes
mentales, telles que l'alcoolisme, la paralysie
re chronique. Enfin, dans quelques cas rares, le délire existe sous
forme
in- termittente. Après ce résumé des principa
ne seconde partie de son travail, passe successivement en revue les
formes
que peut présenter ce délire. ANNALES MÉDICO-PS
ES MÉDICO-PSYCHOLOGIQUES. 439 1° Délire de persécution systématisé.
Forme
typique. .Maladie de Lasègue. L'idée fixe de
es symptômes prédomi- nants : c'est un délire hallucinatoire mais à
forme
de persécution. 2° Délire de persécution. Forme
llucinatoire mais à forme de persécution. 2° Délire de persécution.
Forme
mégalomaniaque. Le délire de persécution peut s
écution peut s'associer à des idées ambitieuses pour constituer une
forme
complexe. - Dans quelques cas,'dit M. Dagonet,
non de l'incurabilité. Quelquefois, la période- ambitieuse revêt la
forme
d'un accès maniaque intense avec troubles vaso-
est inconnue. On pouvait, a priori, étant donné qu'il s'agit d'une
forme
de délire systématisé, penser que le sens qui p
ître les idéesdélirantes, ne fait pas apparaître cette idée sous la
forme
exprimée par le mot on me persécute (elle serai
te (elle serait incompréhensible pour le malade), mais bien sous la
forme
d'idées de faits : ces faits sont des mots ente
du développement organique de la maladie. Ainsi, en un mot, dans la
forme
étudiée, l'idée de persécution est une idée audi-
Cliaslin, considérant ensuite le délire du persécuté persécu- teur (
forme
mentale décrite en France par Falrel), remarque a
cutives à la grippe, les psychoses asthéniques, on trouve plusieurs
formes
ayant pour caractère commun l'affaiblissement r
ve toujours d'autres causes prédisposantes ou occasionnelles. Les
formes
mélancoliques, les psychoses asthéniques simples,
après une affection fébrile algue, de bien distinguer quelle est la
forme
clinique de la psy- chose. D 13r.m. REVUE DE
LOGIE MENTALE XXIX. L'INFLUENCE DE LA MÉNOPAUSE SUR LA GENÈSE ET LA
FORME
DES troubles mentaux; par 1lLTUSCU. (alla. Zeit
s rapports avec la folie systématique, on en doit distinguer quatre
formes
: - 10 Absence complète et permanente d'idées d
ATHOLOGIE MENTALE. 451 l'hébéphrénie ou folie de la jeunesse ; elle
forme
avec cette dernière un grand groupe auquel conv
etc). La mélancolie géné- rale, qui peut succéder à l'une des deux
formes
précédentes, com- prend les deux espèces de lés
on nécessaire, mais qu'elle peut se développer au cours de bien des
formes
différentes de folie, soit psychoneurotique, so
non seule- ment chez les épileptiques, mais dans presque toutes les
formes
de maladies mentales et même chez des individus
ronto-faciales suivent chez les aliénés une échelle ascendante, des
formes
élevées de la dégénérescence mentale (folie cir
(folie circulaire, manie périodique, paranoia primitiva, etc.), aux
formes
inférieures (démence consécutive, imbécilité, i
ion, voleurs, assassins). Leur fréquence étant plus grande dans les
formes
inférieures de la dégénérescence et dans la démen
xistantes que l'hypnotisme ne fait que mettre en lumière. Aussi les
formes
il- nombrables en apparence d'hypnotisme qui on
is étant donné qu'en réalité on a presque toujours à faire avec des
formes
combinées, il est impossible de présenter une c
ies musculaires dans les arthropathies ». L'auteur distin- gue deux
formes
d'atrophies musculaires qui diffèrent aussi bien
de vue clinique qu'au point de vue anatomopathologique. La première
forme
, simple, se caractérise par l'absence des modi-
trophie du pannicule adipeux. De plus, il ne croit pas que les deux
formes
établies par l'auteur soient nosologiquement sé
ur soient nosologiquement séparées ; il pense, au contraire, que la
forme
dégénérative est une simple complication de la
ue la forme dégénérative est une simple complication de la première
forme
par un processus pathologique quelconque. M. MO
a donné nais- sance : l'alcoolisme. Le substratum anatomique de la
forme
cli- nique connue sous le nom de paralysie alco
111. LITI ? > : on. M. Korsakoi-f fait une communication sur les
formes
aiguës de la folie. Dans ces dernières années,
e nombre assez considé- rable de travaux consacrés à l'étude de ces
formes
, leurs limites cliniques dans la série des autr
nique de la folie aiguë M. Roasvxorr a proposé d'en distinguer deux
formes
: l'une avec stupeur (dysnoia stuperosca), l'au
stuperosca), l'autre délirante (dysnoia deliriosa). Cette dernière
forme
prend souvent le caractère de la manie et peut
a guérison. Des cas semblables peuvent également être rattachés aux
formes
aiguës de la folie. Comme par les dénominations
édominant, il s'ensuit qu'en réalité on peut souvent rencontrer des
formes
transitoires entre les formes aiguës et la foli
éalité on peut souvent rencontrer des formes transitoires entre les
formes
aiguës et la folie primaire. En étudiant la dé-
n- dromes somatiques; il existe des faits qui indiquent que cette
forme
lésulte d'une autointoxication de l'organisme et
sées. M. Serbski a fait une communication sur le même sujet : des
formes
aiguës de la folie. Les formes aiguës de la folie
ommunication sur le même sujet : des formes aiguës de la folie. Les
formes
aiguës de la folie peuvent être divisées en deu
ieurs types de la confusion aiguë. La confusion aiguë n'est pas une
forme
dé- générative, l'hérédité ne joue pas dans son
t subaigu des idées délirantes qui ne se présentent jamais sous une
forme
bien systématisée, l'existence simultanée d'un
ations sur la folie aiguë ne font que passer en revue des anciennes
formes
; il leur accorde cependant le droit de donner
ormes ; il leur accorde cependant le droit de donner à ces vieilles
formes
des nouvelles dénominations, parce qu'ils group
vue. Mais il se de- mande surtout, si nous devons considérer chaque
forme
nouvelle comme une maladie à part ; nous avons
rer chaque forme nouvelle comme une maladie à part ; nous avons des
formes
simples, mais seulement chez des individus dive
us d'analyser l'individualité que de décrire les symp- tômes et les
formes
nosologiques. M. Litvinoff a fait remarquer qu'
466 SOCIÉTÉS SAVANTES. de mélancolie avec stupeur. Pour lui, les
formes
telles que mélan- colie anxieuse, melancholia a
le cerveau. La psychiatrie con- temporaine doit ramener toutes les
formes
cliniques sur le terrain anatomo-physiologique
un travail « sur le type 7-écui,- rent dans la marche des certaines
formes
de la folie aiguë ». La mar- che de certaines f
des certaines formes de la folie aiguë ». La mar- che de certaines
formes
de la folie aigué (manie, folie primaire), prés
ormaux. Pendant ces trois dernières années, sur trois cents cas des
formes
aiguës de la folie, l'auteur en a observé sept à
pos de cette communication, M. Jucovenko a proposé d'ins- crire les
formes
aiguës de la folie dans la classification adoptée
r Dardenne, 766. Ménopause influence de la, - sur la genèse et la
forme
des troubles mentaux, par Nlattuscli, 119. 11
n diagnostic séparatif. Néanmoins, là comme ailleurs, il existe des
formes
complexes qu'il est malaisé de placer dans tel ou
dominance des troubles sensitifs. C'est l'acro-cyanose chronique ci
forme
sensitive ; 2° La modalité avec atrophie : acro
peu près normal, de sorte que les doigts ont un aspect en fuseau, une
forme
en radis dont la partie large commence à la pha
t dans l'acrocyanose, au moins comme signes cardinaux ; de plus, la
forme
des doigts presque caractéristique de l'acrocyano
ctéristique de l'acrocyanose n'appartient pas à l'acromégalie. La
forme
particulière d'oedème connue sous le nom d'oeme b
res- sion des troncs nerveux ; le symptôme caractéristique était la
forme
des extrémités digitales qui étaient nettementr
ppé de l'aspect vraiment spécial des mains avec leur teinte et leur
forme
particulières. La coloration du tégu- ment est,
rations y sont minimes. L'atrophie ne se ren- contre pas dans cette
forme
qui amène plutot une hypertrophie non seu- leme
ophique et l'extrémité des doigts. Ceux-ci affectent bien plutôt la
forme
d'un radis, comme dans le spina ventosa. Et cep
es en coup de vent.Or ne peut-on pas soutenir qu'il s'agit là d'une
forme
de rhumatisme tubercu- leux, dont le polymorphi
ne espèce de loxituberculides qui puisse cadrer avec elle. La seule
forme
qui offre quelque analogie est le lupus pernio
la pression. Ces lupus peuvent présenter l'atrophie centrale de la
forme
commune, mais souvent on observe une complicati
; le type acquis, au contraire, se révélant par la diversité de ses
formes
et de ses associations morbides. C'est au type
ne pneumonie. (1) Voir pour l'historique, la symptomatologie et les
formes
de cet oedème aigu type Quincke : l'excellente
té maximum, il obéit à la suggestion, et n'évolue jamais sous cette
forme
lente et progressive. La jeune malade ne présente
me, à la hauteur de la sertissure 38 FÉLIX LE JARS de l'ongle. Sa
forme
générale est cylindroïde : il figure une sorte de
ations osseuses étaient primitives, et que nous avions-là, sous une
forme
encore peu avancée, un exemple de cette ostéite
et peu à peu sont ramenés au parallélisme, restituant à la main une
forme
plus régulière et surtout une meilleure aptitud
e » (p. 181), les sens, l'intelligence, les idées ont un poids, une
forme
(p. 132,180), etc. ,etc. Fuyons ces disputes, qui
idée s'est fixée dans un mot, elle finit par prendre, grâce à cette
forme
verbale, un air d'existence réelle, et nous som
ceux-ci arrivent à, reconnaître la signification de certaines petites
formes
noires dessi- nées sur du papier, ne manquerait
voit-il pas que celle-ci n'est que la reproduction, sous une autre
forme
, de la question elle-même, comme dans la fameus
ister. M. Bonnier me demande si j'admets « que notre perception des
formes
, de la distribution des choses sur le champ vis
n ne peut méconnaître que, pour ce qui concerne la perception de la
forme
, du lieu, de l'attitude, les faits montrent que c
e la sensibilité >> suffit à faire éclore la perception de la
forme
et du lieu de cette distribution, nous devrions p
nous devrions percevoir - d'après l'hypothèse de M. Bonnier non la
forme
et la position de nos membres, mais la forme et
e de M. Bonnier non la forme et la position de nos membres, mais la
forme
et la position des constellations de neurones cor
oins d'admettre que ces constellations reproduisent en miniature la
forme
de nos segments et M. Bonnier ne le suppose pas
des attitudes explique-t-elle que, en fait, nous percevions non la
forme
des centres corticaux intéressés, mais celle de
icales correspondant à la vision de cet édifice en représentent' la
forme
en miniature. Nous sommes d'accord. Mais alors j'
que du mot. Quand il nous dit que les idées, les sensations ont une
forme
, sont localisées ici ou là, sont « quelque chos
rte qu'il imagine lorsqu'il 1 nous dit (p.1 î) : « La perception de
forme
est immédiate et résulte direc- tement de la mi
nous donne la sensation immédiate que l'avant-bras est horizontal ou
forme
un angle droit avec le bras..... Les impression
rant dans l'art de lire pourrait aussi bien demander à quoi bon ces
formes
diverses qui nous permettent de distinguer les le
de distinguer les lettres de l'alphabet, puisque ces lettres et ces
formes
ne signifient rien par elles-mêmes ! 1 A PROPOS
oute une série de représentations hétérogènes ou même homogènes !
Forme
. - « La perception de forme est immédiate et résu
tations hétérogènes ou même homogènes ! Forme. - « La perception de
forme
est immédiate et résulte directe- ment de la mi
se résout toujours difficilement à cette extrémité-là. A propos des
formes
perçues par la rétine, Helmholtz (2) a établi cet
nous aurait alors fait comprendre pour- quoi, si la perception des
formes
« résulte immédiatement de la distribu- tion to
uelle : les objets se présentent à leur conscience sans ordre, sans
forme
; c'est un véritable chaos sensoriel. Les clinic
t observé ces faits ont été amenés à considérer la perception de la
forme
comme dépendant, non du centre visuel lui-même,
es faits jusqu'ici connus concourent à faire admettre, c'est que la
forme
de l'image (objective) rétinienne ou corticale
st pas une raison suffisante de la perception (subjective) de cette
forme
. Pour ce qui concerne la perception des formes
(subjective) de cette forme. Pour ce qui concerne la perception des
formes
par le toucher, la per- ception stéréognostique
existence d'un germe humain, qui, dans neuf mois verra le jour sous
forme
d'un enfantelel. Comment a-t-on pu songer il ac
re ; elles reposent sur un tissu névroglique clair, vacuolaire, qui
forme
une large bande transversale au niveau de la co
; à l'état normal, la capsule de l'articula- tion scapulo-humérale
forme
un tronc de cône dont la grande circonfé- rence
LTÉ DE MÉDECINE DE NANCY UN CAS DE SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE A
FORME
CINLB10-SPINAL>;, PAR RICHON Ancien Chef
- gager ; en l'absence des données étiologiques, c'est parfois à la
forme
anatomique des lésions qu'il faut demander leur
ncoche apparaît également sur la face interne de l'hémisphère, sous
forme
d'une dépression. de 4 centimètres de largeur.
rmettent pas une limitation exacte des régions intéressées. L'encoche
forme
une saillie prononcée dans le ventricule latéra
ué par un loucllissement des méninges, tantôt en placards épais, de
forme
lenticulaire, de toutes dimensions. Ceux-ci se
tance nerveuse est extrême ; le tissu con- jonctif en larges bandes
forme
les 2/3 de la paroi ventriculaire et contient b
rveuses voisines ; ces derniers cependant sont vivement teintés et'de
forme
beaucoup plus régulièrement circulaire. Ces ama
considérables ; c'est elle en effet qui entraîne les changements de
forme
de la colonne grise, qui en aucun point n'est e
es petits vaisseaux sont aussi très atteints ; l'anneau fibreux qui
forme
leur paroi ne laisse aucune distinction possibl
longs, mais aussi sur les os plats de la voûte crânienne et que ces
formes
graves cau- sent les plus grands délabrements e
rations les plus étendues. Avec moins de réaction osseuse, d'autres
formes
de syphilis crânienne entraînent des perforatio
ère gauche, les lésions en placard, surtout localisées à la base, à
forme
d'exsudat épais, que nous avons notées, nous pa
dullaires de la syphilis héréditaire, plus récente que celle de ses
formes
céré- brales, date surtout de la thèse de Volpe
st surtout intéressant par l'état des vaisseaux qu'il contient. Les
formes
à évolution rapide, caracté- risées en général
nécrotiques, montrent le maximum de lésions vasculaires ; dans les
formes
longues au contraire, c'est l'état de dystrophi
ue des lésions, il faut cependant rapprocher de notre cas certaines
formes
de lepto-méningites tuberculeuses, établies par R
cilles, la tuberculose pourrait produire, particulièrement dans les
formes
aiguès, des méningites par simple infiltration de
de petite taille et d'un embonpoint normal. La tête est petite, de
forme
brachycéphale. Le diamètre antéro-postérieur ne m
de la rétine, la malade reconnut les couleurs en même temps que les
formes
; elle pouvait encore s'orienter, mais elle le fa
pré- sente la main, elle voit quelque chose mais ne reconnaît ni la
forme
, ni la couleur. A l'examen de l'oeil, on ne tro
ipitaux sont petites, ratatinées, atrophiées ; elles ont perdu leur
forme
normale et sont pénétrées par les fausses membran
l existait des centres séparés pour les couleurs, la lumière et les
formes
. Bull, Dahms, Henschen et Vialet SCLÉROSE SYMÉT
nce des couleurs fut possible tant que la malade put distinguer les
formes
. Le parallélisme entre ces différents symptômes
re. » Diminution de l'acuité vi- suelle, abolition de la vision des
formes
et des couleurs tandis quepii : 3 tent encore d
ographique. A l'état normal, nous conservons dans notre cortex sous
forme
d'images les diverses modifications déterminées p
hémianopsie double avec conservation de la vision centrale pour les
formes
, les cou- leurs et la lumière, ce sens était pe
bre. Aplati latéralement mais extraordinairement bombé en avant, il
forme
une saillie convexe à crête mousse ; en arrière
- Des crises gastriques cadrant avec la description classique de la
forme
la plus commune des crises gastriques du tabes ;
mal. ' Les membres supérieurs n'offrent rien à signaler, ni comme
forme
, ni comme longueur, ni comme musculature. Le th
rque immédiatement deux déformations, une cour- burede la jambe qui
forme
un arcà concavité postérieure, et une diminution
t latéral : on n'arrive pas à sentir le péroné ; quant au tibia, sa
forme
est changée : on le trouve nettement aplati de de
lus court, mais il est complètement difforme. Il affecte d'abord la
forme
d'une masse globuleuse continuant la saillie du b
tus aneneepbale avec amyélie - (vu de profil on voit la saillie que
forme
la face postérieure des corps vertébraux lombaire
veloppés; seule la portion sacrée est fermée. Ce vaste spina bifida
forme
une excavation peu profonde, ovalaire, longue d
té. Derrière le front, une dépression de 1 centimètre de profondeur
forme
un fort sillon transversal ; puis le plan osseu
forme un fort sillon transversal ; puis le plan osseux se relève et
forme
un large plateau, ayant 3 centimètres environ d
du rachis, qui se porte vers le sacrum et vers le dos du foetus et
forme
avec la colonne lombaire une forte cyphose; il
ement qui leur forment collerette. La moitié supérieure du sacrum
forme
la partie inférieure de la fosse pathologique,
la peau qui arrive au bord de la cavité. L'épiderme de la membrane
forme
vers son bord adhérent quelques follicules pile
e chaque côté de la ligne médiane. Le tissu néoplasique apparaît sous
forme
d'une masse irrégulière qui a remplacé tous les
r, au lieu de se trouver dans le prolongement du sillon postérieur,
forme
avec celui-ci un angle obtus, ouvert à gauche d
t elle est enchâssée dans le tissu médullaire, on voit qu'elle a la
forme
d'une masse, unique à son extrémité supérieure,
nous rend ainsi compte du siège de la tumeur, de son volume, de sa
forme
, de son influence destructive sur le tissu médull
l'épendyme, on en trouve des vesliges à deux endroits différents sous
forme
de fentes irrégulières, tapissées par une couch
, et celles du gliome; rarement se rencontrent dans les gliomes les
formes
étoilées qui caractérisent le tissu interstitiel
nerveux. « Leurs éléments sont aussi différents que ceux des autres
formes
de sarcome, parfois les cellules rondes, ovales o
tout cela de diffé- rences histologiques suffisantes entre les deux
formes
de tumeurs. Cette opinion de Gowers ne peut plu
eux petits vaisseaux, agglomérés et accolés les uns aux autres sous
forme
d'angiomes micro- scopiques, nous avons adopté
: il mesure 26 centimètres de circonférence. Le diaphragme refoulé
forme
une voûte à courbure très accusée. Malgré l'éno
isoler des parties voisines. Dans son ensemble, elle a conservé la
forme
et les dispositions qu'elle présente à l'état nor
envi- ron. Ainsi augmentée dans ses dimensions, la tige pituitaire
forme
un mamelon creusé à son centre et occupe sa pos
t la cavité du ventricule latéral correspondant, très dilatée. Elle
forme
à ce niveau une masse allongée, cylindrique, haut
assez large ; certaines de ces cellules ont des contours nets, une
forme
en raquette et renferment deux et même trois no
présentent de la dégénérescence granulo-pigmentaire ; elles ont une
forme
en raquette et renferment un noyau ovalaire volum
urcique) [fort grossissement]. A, Les éléments rappellent encore la
forme
des éléments cellulaires normaux de 1 hypophyse.
ts,- d'autres au contraire sont assez volumineux (15 à 18 fi). Leur
forme
générale est polygonale par pression réciproque
ints enfin les cellules, toujours du type éosinophile, prennent une
forme
allongée, étirée; le cytoplasma effilé s'accole à
its on ne rencontre plus que de très rares cellules éosinophiles de
forme
typique. Ce sont ces points qui établissent une t
il était contenu et dont les éléments tendent à s'éloigner de leur
forme
normale ; en un mot, il s'agit d'un épithélioma
par l'un de nous, à savoir que les cellules t éosinophiles sont la
forme
primordiale d'où dérivent les autres types cellul
ules présentent des for- mes diverses qui toutes se rapportent à la
forme
polygonale. Cet aspect se voit nettement sur la
a, Ospedate civile di Badia Polesme, Bologna, 1897. (6) STATÉ, La
forme
douloureuse de l'acromégalie, Obs. X, in Thèse de
Paris, 1900. GIGANTISME ET ACHOMÉGALIE 177 vées chez les malades [
forme
douloureuse de l'acromégalie de P. Marie et Sta
inue de la hase du doigt à son extrémité en sorte que le doigt a la
forme
conique, et que l'ongle a ses dimensions normal
faire et qui est au musée de Saint-Louis (vitrine 95, n° 1588). La
forme
de la main est restée identique à ce qu'elle ét
l'occasion de relever bien des faits dans l'évolu- tion et dans la
forme
actuelle du syndrome, qui ne s'accordaient guère
premier jour, nous trouvions cette contracture au moins bizarre. La
forme
du, pied était peu ordinaire; les pieds hystéri-
s promettions d'étudier cette contracture, peut-être hystérique, de
forme
au moins anormale. Or, le lendemain, quand nous
yons voulu continuer cette étude, le spasme du pied lui donnait une
forme
toute différente : la voûte plantaire était abais
voiture est en vue, même à un kilomètre, etc., c'est évidemment une
forme
d'agoraphobie et de basophobie. Au milieu de to
la rumination mentale ; enfin cette agitation peut aussi prendre la
forme
motrice et se manifester par des cri- ses d'exc
es doigts fléchis (Pl. XLIV). Malgré cette attitude, l'harmonie des
formes
est sensiblement conservée, pas d'amaigrissemen
es et sur les deux bras, un grand nombre d'éphélides disposées sous
forme
ponctuée. Aucun trouble visuel, pas d'anesthési
t songera la myopathie primitive progressive, type scapulo-huméral,
forme
juvénile d'Erb ; on sait que ce type, le plus sou
plus atteint chez notre malade est habituellement respecté dans la
forme
juvénile de l'atrophie musculaire progressive.
termine l'attitude de rotation du bras en dedans se rapproche de la
forme
tonique. Un autre caractère distinclif est tiré
grosses, hautes, rondes ; les progrès ont été assez rapides pour la
forme
régulière des caractères, puis pour le nombre d
ateux, type Bl·issa2ld, sont aujourd'hui bien connus (1). C'est une
forme
clinique dont les exemples se montrent cha- que
ment des deux pigmentations suffisait à assurer le diagnostic d'une
forme
incomplète. Or, outre la double pigmentation et
. méd. des Hop., 18 fév. 1898. (4) Feindel et R. Oppenheim, Sur les
formes
incomplètes de la neurofibromatose (Arch. gén.
Voy. 1\'ouu. Iconographie de la Salpêtrière, 1902, p. 124. SUR UNE
FORME
RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE, PAR
ces. L'attention s'est portée depuis plusieurs années sur certaines
formes
d'ectromélies caractérisées, dans leur ensemble
'urine. C'est un homme de stature moyenne et d'une constitution UNE
FORME
RARE D'HÉ11MÉLIE RADIALE 1NTEKCALAIRE 239 robus
lange un- guéale et la deuxième phalange ont, l'une et l'autre, une
forme
sensiblement normale ; elles ne se distinguent
spé- cialement sur le trapèze et sur le scaphoïde. Le trapèze a la
forme
d'une pyra- mide triangulaire ; répondant par s
ouvements du doigt sont conservés avec leur ampleur habituelle; UNE
FORME
RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 241 l'opp
rapprochés du nôtre. Ce qui distingue celui-ci, en effet, c'est la
forme
même et le siège de l'anomalie. Elle n'est point
rt une analogie, nous ne devons point la chercher dans les diverses
formes
(1) J.-A. Fort, Des difformités congénitales et
té simple. Un os anormalement court conserve à peu de chose prés sa
forme
habituelle et ne perd aucune de ses connexions. C
soient plus courtes qu'à l'ordinaire, elle a cependant conservé sa
forme
et ses connexions. La comparaison entre la prem
ange rendra plus saisissant l'état incomplet de la première : si la
forme
de l'extrémité inférieure de celle-ci rappelle
orme de l'extrémité inférieure de celle-ci rappelle d'assez près la
forme
habituelle, son extrémité supérieure fait, par
roche donc, non pas d'une ectrodactylie franche, mais de toutes les
formes
caractérisées par l'absence complète ou partielle
ieur. Ces constatations nous conduisent à rattacher notre cas à ces
formes
(1) Voir la thèse très documentée de GEORGES VU
carpien). Gazette hebd. de méd. et de chirurgie, 15 avril 1899. UNE
FORME
RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 243 d'hém
deux phalanges inférieures. Les os carpiens sont modifiés dans leur
forme
, une partie assez importante de leur masse est
sont, au contraire, simplement intéressées dans leur volume : leur
forme
est normale et même la longueur de la phalange
mimélie, et d'une facon générale l'ectromélie, quelle qu'en soit la
forme
(1), n'est pas d'ordinaire stricte- ment limité
commun ? De l'ensemble des relations d'ectromélie sous ses diverses
formes
et à ses divers degrés publiées jusqu'à ce jour
l'ectromélie englobe deux groupes très distincts d'anomalies. UNE
FORME
RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 245 troph
ensée, que l'on doive considérer comme appartenant à telle ou telle
forme
de l'ectromélie toute anomalie déficiente qui a
et l'on serait mal venu d'assimiler ces variations par défaut à la
forme
tératologique qui nous occupe. Des deux parts, le
stion, en accolant l'épithète d'arrêt de développement à toutes les
formes
tératologiques. La seule difficulté qui semble
ès de déve- loppement (Bulletin scientifique de Giard, 1901). UNE
FORME
RARE 1)'IIÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 247 chi
embryonnaire. Tel n'est point le cas, puisque loin de conserver une
forme
jeune ce tissu conjonctif a acquis tous les car
breux, et l'on sait que ce tissu fibreux ne constitue nullement une
forme
de passage entre l'ébauche conjonctive d'une pa
le sens de tissu con- jonctif adulte, ce tissu conjonctif a pris la
forme
fibreuse. Il aurait pu rester en- l'état de tis
er dont il s'agit ici ne paraît pas être le processus de toutes les
formes
désignées sous l'étiquette commune d'ectromélie.
on nous conduit à considérer ce cas et les cas similaires comme une
forme
d'ectromélie, à laquelle sa constitution anatomiq
sus consécutifs (C. R. de l'Académie des sciences, 6 mai 1901). UNE
FORME
RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 249 même
uement permis de dire qu'entre une hexadactylie, par exemple, et la
forme
caractérisée par une variation histologique de
l, qu'il y ait un ancêtre commun anormal ; nous dirions même que la
forme
des deux anomalies exclut au contraire toute id
paraissent pas démontrer, au contraire, que les anomalies '( UNE
FORME
RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 251 des m
droits.- Arthro- pallie de l'articulation tibio-tarsienne droite ;
forme
tropho-suppurée. Signes médullaires peu marqués
nombre de fois, avec des résultats variables. Cela s'explique par la
forme
anatomique à laquelle on s'est adressé. S'il
naître que tous ces signes ne sont pas suffisants pour constituer une
forme
de pseudo-tabes paralytique spécial. Plus imp
s dans le tabès; cependant Topinard croit que l'on peut séparer une
forme
cérébrale de cette maladie, distincte de la démen
stématisé, tantôt avec un carac- tère passager (Fournier). Mais les
formes
psychiques du tabes sont essen- licitement des
er). Mais les formes psychiques du tabes sont essen- licitement des
formes
délirantes dont le point de départ, peut-être, do
t RAPPORTS DU TABES AVEC LA PARALYSIE GÉNÉRALE 275 rares sont les
formes
démentielles : la démence qu'on trouve chez les t
contenter d'un simple examen clinique pour accepter ou rejeter les
formes
de tabes et de paralysie associés : la réponse
laires (Babinski)], ne serait-il pas bon de se demander si dans les
formes
de paralysie générale et de tabes (oupseudo-tabes
s des Aliénistes et Neurologistes de Bruxelles, août 1903) pour les
formes
de paralysie générale, a apporté et apportera de
la région lonlbo- fessière, la face postérieure des cuisses, etc.,
forme
des masses lipoma- teuses à contours mal limité
ovenant de la phobie émanant de l'aboulie professionnelle, ou de la
forme
de kathisophobie, tandis qu'on n'a pas remarqué
des temples, à l'exemple des Romains et les représentèrent sous des
formes
d'êtres vivants, coutumes regardées comme sacri
ouver l'origine des croyances aux paetred ar zabat, qui changent de
formes
à volonté, dans le souvenir des initiés aux mys
désert. Les corrigans, les lutins, les fées, changeant à volonté de
formes
, doivent aussi avoir leur origine dans la soi-dis
que nos pères attribuaient à leurs prêtresses, de revêtir diverses
formes
d'animaux, de circuler invisibles dans les rivièr
l'imagination terrorisée par la peur du démon prêtait toujours des
formes
diaboliques. ' Si, par surcroît, le prétendu po
u'on la frappe. Le nom de tymbre a été donné à certains casques, en
forme
de cloche, et enfin, comme nous venons de le di
uelque peu fantaisiste assurément au point de vue de l'anatomie des
formes
,mais reproduisant assez bien une attitude que l'o
nsversale partant de la commissure du pouce, le bout inférieur sous
forme
d'un autre renflement mou, mais moins jaune que
tumeur du nerf dont le tronc respecte offrait encore la trace sous
forme
d'une infil- tration graisseuse dissociant les
situés à la périphérie des fibres ou sous le périnèvre et ayant la
forme
et le volume des cellules granuleuses d'Ihrlicll.
e telle façon qu'ils donnent l'impression d'un corps cellulaire, de
forme
et de volume variables, duquel partent de nom-
ène, les autres de fibres moniliformes rappelant des cellules fusi-
formes
unies bout à bout. Quelques-uns de ces éléments p
tique. Mais le lipome, tumeur conjonctive, est généralement limité,
forme
une tumeur nodulaire bien localisée. Ici, au cont
n effet, que, ensuite des résections anciennes, non seulement il se
forme
un névrome terminal de régénération bien étudié
ous silence les amas granuleux noirs et ramifiés, rappelant parleur
forme
certaines cellules nerveuses. Il ne nous est pa
oppement intellectuel presque normal. Nous dirons cependant que les
formes
frustes de myxoe- dème congénital sont beaucoup
adie bien autonome, il existe peut- être entre les autres états des
formes
de passage. - On admet, en effet [et Sellerin (
Sellerin (3) codifie à cet égard nos connaissances] au moins trois
formes
de l'adipose douloureuse : 10 La forme nodulair
aissances] au moins trois formes de l'adipose douloureuse : 10 La
forme
nodulaire, caractérisée par les tumeurs plus ou m
ouvent symétriques rappelant parfois les lipomes multiples. 2° La
forme
diffuse localisée, dans laquelle l'adipose se can
res ou aux segments de membres sous forme de masses étendues. 3° La
forme
diffuse généralisée, dans laquelle la graisse est
otalité du corps. Il ne nous parait pas très légitime d'admettre la
forme
nodulaire : elle ne répond pas aux descriptions
se et d'autres sont de vulgaires lipomes multiples. Les deux autres
formes
présentent au contraire une grande homogé- néit
ement, recueil- '- lant sur la langue des toiles d'araignée dont il
forme
boule et fait maga- sin. La durée des périodes
de vicieuse de léchage n'est pas toujours absolument simple dans sa
forme
chez le cheval ; elle se complique parfois d'acte
ES DE LÉCHAGE ' 373 des troubles moteurs très compliqués dans leurs
formes
, le cheval est capable de manifestations psycho
offre des anomalies de structure (dents plus ou moins érodées), de
forme
(surdents), de direction; indépendam- ment de c
r des écuries de for- tune, y compris des toiles d'araignée dont il
forme
une boule qu'il roule indé- finiment dans la bo
« La manifestation objective du tic est un mouvement convulsif, de
forme
clo- nique ou tonique. Il représente une anomal
s cette définition, on ne peut dire d'un acte moteur qu'il revêt la
forme
clonique que si la contraction musculaire a des c
ez eux, le léchage ne revêt aucun caractère pathologique ni dans sa
forme
ni dans son opportunité; il ne procède pas par
fréquence, par sa manifestation inop- portune, sans raison, et sous
forme
d'accès ; « conservant l'apparence d'un acte in
e seule, il y en a au moins autant pour la sépara- tion de ces deux
formes
, dont chacune se développe, dans des conditions
et même si l'on admettait que le délire alcoolique continu est une
forme
de la paranoïa alcoolique chronique, il serait in
es. Les indications les plus détaillées et les plus précises sur la
forme
morbide dont il s'agit, se trouvent dans le Man
rs comme indispensable dans l'étiologie de cette 1 ' ie. Des autres
formes
de psychoses alcooliques que Wernicke men- . ne
s, présentant une tran- sition graduelle des accès très marqués aux
formes
abortives. Ces accès (1,2, rarement 3) tantôt p
us avions à notre disposition, ce phénomène a été constaté sous une
forme
très accentuée; dans quelques-uns de nos cas, c
photocollogr.) par Calîiette et Pages, 26. Ilémimélie (sur une
forme
rare d'hémimélie radiale intercalaire (1 pl. ph
1 pl.), par R. BLAN- Chiard, 266. Syphilis héréditaire tardive il
forme
cérébro-spinale (1 photo., 1 pi. en pho- toco
asthéniques (1 pl. 2 dessins), 209. KLIPPEL et E. RABAUD. Sur une
forme
rare d'hémimélie radiale intercalaire (1 phot
la sensibilité (1 pl., 2 schémas), 108. RABAUD et ILtrrE, Sur une
forme
rare d'hémimélie radiale intercalaire(1 photo),
dessins), 209. RICHON. Un cas de syphilis héréditaire tar- dive à
forme
cérébro-spinale (1 phot., 1 pl. en photocoll.),
les observations où la distribu- tion des troubles moteurs revêt la
forme
radiculaire, on peut, en l'absence d'autopsie,
omplète du tact simple (pinceau de blaireau). L'analgésie la piqûre
forme
une bande d'anal- gésie totale liorizontale de
e territoire inférieur descend sur la face externe des bras sous la
forme
d'une bande s'étendant jusqu'au pli du poignet et
UET toutefois. Il s'agirait dans ce cas d'une paralysie infantile à
forme
dou- loureuse, comme il en a été rapporté des e
nder s'ils se rapportent bien à des myopathiques vrais et non à des
formes
se rapprochant du typ.e Charcot-Marie, M. Huet ce
té du type facio-scapulo-hnméral de Landouzy et Déje- rine d'autres
formes
cliniques : type juvénile d'Erb, types de Leyden-
mot on ne trouve pas dans ce cas le facies si caractéristique de la
forme
facio-scapulo-hl1. mérale de la myopathie atrop
qui ont pour fonctions de redresser la colonne vertébrale, d'où la
forme
un peu spéciale de ce cas et l'impotence parti-
s'écarte plus ou moins de cequ'on est convenu de regarder comme la
forme
schématique, car, ainsi que l'a fait remarquer Je
dies transmises par hérédité, « on serait amené à décrire autant de
formes
de maladies qu'il y a de familles attein- tes »
fluence d'Erb, de Charcot et de Raymond, le groupement des diverses
formes
de myopathies en une entité morbide, l'atrophie
Landouzy et Déjerine dans leur travail de 1883 sur la myopa- thie à
forme
facio-scapulo-humérale. Enfin très exceptionnel
ces malades ne présentent pas de stigmates de dégénérescence et la
forme
de leur crâne est normale. Nous signalerons l'a
ée; la myopathie, atrophique ou hypertrophique, molle ou scléreuse,
forme
une seule entité morbide ; tout au plus, pour-
la cuisse et les fesses ont simplement conservé leur volume et leur
forme
normale. Ses pieds, lorsque les jambes sont pen
conservé. Les membres supérieurs sont intacts ; non seulement leur
forme
est normale (pas de méplat, pas de saillie non
? Ne peut-il pas se faire qu'il n'en apparaisse encore de nouvelles
formes
? Il faut voir si notre cas s'accorde exactemen
M. Charcot-Marie. Trois grands symptômes paraissent caractériser la
forme
Charcot-Marie, et en marquer la place spéciale da
vec in- tégrité des membres supérieurs, appartiendraient à d'autres
formes
d'a- myotrophie, ou seraient seulement des cas
plication d'hystérie, une superposition d'hystérie ? Mais l'aslasie
forme
corps avec les autres symptômes; elle a, d'après
xiger : un tableau parfait de l'af- fection. On devait en venir aux
formes
atypiques. Le besoin des formes atypiques se fa
af- fection. On devait en venir aux formes atypiques. Le besoin des
formes
atypiques se fait sentir dans la publication, p
s téta- niques par voie d'excitabilité volontaire et de différentes
formes
d'irrita- tation, manifestent, en certaines cir
x points d'appui à l'étude de la myotonie. Outre cela, de pareilles
formes
atypiques de la maladie de Thomsen peuvent rend
ulaires progressives, ayant à leur tour grand besoin de nou- velles
formes
et de nouvelles sources d'analyse. Notre observ
raire jusqu'aux limites extrêmes. Ce phénomène se présente sous des
formes
différentes : tantôt les noyaux multipliés se dis
: tantôt les noyaux multipliés se dispo- sent sous le sarcolemme en
forme
des chaînes plus ou moins longues (a, fig. 4 et
dre la colo- ration, fait l'impression d'une plaque fort colorée de
forme
irrégulière (d, fig. 5). Dans les fibres fort a
e voit qu'une gaine de sarcolemme remplie de noyaux (e, fig. 5). La
forme
des noyaux n'est pas constante : s'ils sont iso
rme des noyaux n'est pas constante : s'ils sont isolés, ils sont de
forme
ronde ou ovoïde et se colorent plus faiblement ;
'ils sont disposés en chaînes ou en ¡lots, ils sont plus petits, de
forme
ronde ou en facettes et se colorent plus fort.
myopathie primitive risque de perdre bientôt et finalement une des
formes
des plus larges et protégées par elle,et alors
ent de son domaine de la dystrophie musculaire fré- quente avec ses
formes
si différentes. En même temps apparaissent des
pter toutes ces causes prétendues comme celles de beaucoup d'autres
formes
, sans doute DE LA MYOTONIE ATROPHIQUE 77 héré
er de myélite chronique ou d'hématomyélie ? De la ré- vulsion, sous
forme
d'applications de pointes de feu, dans l'espoir d
souvent, nous en sommes réduits il l'emploi des palliatifs; sous la
forme
de révulsifs, -applications de pointes de feu, le
er. La lacune de volume moyen est à peu près ronde. Cependant cette
forme
n'a rien d'absolu. Elle est du reste toujours a
ien d'absolu. Elle est du reste toujours anfractueuse, ce qui rend la
forme
ronde beaucoup moins caractéristique. Peut-être
ment ? Cela est parfois as- sez nettement visible. En tous cas la
forme
n'a rien de général et ne rappelle en rien les di
ttendus se rencontrent sur les bords d'une cavité qui paraissait de
forme
a peu près régulière : tels sont par exemple ceux
avons pu faire, il nous a semblé que quelle que soit son volume, sa
forme
et sa situation la lacune passait par deux phas
t le noyau très distinct se colore très bien et prend lui aussi une
forme
plate et allongée, Les différents auteurs ne so
s fibres névrogliques coupées brusquement dans leur trajet. Ce tout
forme
une sorte de chevelu qui flotte dans la lacune.
s reste à voir ce qu'il y a dans la lacune entre le vaisseau qui en
forme
le centre et le tissu cérébral qui en constitue
ue nous ayons employés, nous avons en vain recherché la présence de
formes
microbiennes. Bien que nous ne nous attendions
es que dans les autres nous n'avons trouvé de bactéries sous aucune
forme
. Cette recherche était nécessaire car on a remar-
révélé l'existence de différents types d'infantiles, la réalité des
formes
de transition, et nous ont convaincus, que, dans
ement désinfiltrée, désempâtée, a pris descon- tours plus nets, une
forme
plus allongée. L'aspect de l'enfant a changé, d'u
le grand pectoral,.fait défaut et le creux de l'aisselle a pris une
forme
particulière. La paroi postérieure est élar- gi
des lésions très diverses provoquer des symptômes identiques. Les
formes
variées de la maladie sont souvent des distinctio
es distinctions pure- ment théoriques : pour Little il y aurait une
forme
spinale et une forme cérébro-spinale. Sach pous
ment théoriques : pour Little il y aurait une forme spinale et une
forme
cérébro-spinale. Sach pousse plus loin la disti
une forme cérébro-spinale. Sach pousse plus loin la distinction en
formes
hémiplégi- ques, diplégiques et paraplégiques.
ressente pas le contre-coup du trouble physique. La distinction en
forme
spinale et cérébro-spinale est spécieuse, et pl
s dorsal spasmodi- due pur avec conformation anatomique bien nette (
forme
théorique de Charcot et Erb dont nous parlions
j'ai donné aussi le nom de sens des altitudes segmentaires à cette
forme
du sens des attitudes qui définit le lieu de chaq
ainsi ce que j'ai appelé l'orienta- tion subjective indirecte. La
forme
des choses, étant la distribution topographique d
et nos idées par exemple ont un lieu géométrique, une étendue, une
forme
par conséquent, qui est celle de la distribution
ce que j'ai appelé une orientation psychique,qui est elle aussi une
forme
intracrânienne du sens des attitudes. Cette n
dée s'est fixée dans un mot, elle finit par. prendre, grâce à cette
forme
verbale, un air d'existence réelle, et nous somme
illusion subjective avec la superstition anthropomorphique sous ses
formes
les plus religieuses comme sous ses aspects les
s les réceptacles des phénomènes exté- rieurs, qui y prendraient la
forme
de sensations ; ce sont des milieux organi- que
les sensations, c'est quelque chose de pesant, de chaud, qui a une
forme
définie et qui, chez l'homme, ne vit qu'aux envir
ptitudes spéciales si l'on veut, des milieux organi- ques ayant une
forme
, un poids, aussi concrets que des glandes, rempli
ors il lui est possible de n'avoir pas quelque dimension et quelque
forme
, - si l'image, c'est-à-dire la partie intéressée
s respectifs, propre à chaque corde, située en sa place déterminée,
forme
ce qui nous apparaît comme un chant. De même la
ité superficielle et profonde de nos mem- bres, d'un côté du corps,
forme
ses images transversalement, vers le pôle op- p
ssi bien d'admettre comme tout le monde, que notre per- ception des
formes
, de la distribution des choses sur le champ visue
ement différents. On aura beau additionner des cannes de toutes les
formes
, cela ne fera jamais un pa- rapluie. » Cette
ance, de la fluidité, de la solidité, et, en partie du moins, de la
forme
, du volume, etc. » - Et il a fallu que cette co
ts, les ligaments et aponévroses péri-articulaires sont distendus, la
forme
(1) E. CLAPIRÈOF, Avons-nous des sensat. spéc,
ER du segment varie et les téguments sont le siège de variations de
forme
, d'ex- pansion, de pression, etc. , « Si nous
état musculaire ; c'est une variation de force, de résistance et de
forme
dans l'état de presque toutes les parties pro-
nalyser cette sensation d'effort nerveux et à voir si elle varie de
forme
selon ses applications à telle ou telle fa- cul
es et multiples au point que chez certains types ils ont presque la
forme
d'un 8. 2° Ces trois plans, qui ne sont pas pla
ie de Breuer. Les canaux semi-circulaires ont des directions et des
formes
qui favorisent l'enregistrement sensoriel des p
soriel des principaux mouvements de la tête, et la variété de leurs
formes
correspond, non pas à des plans géométriques inva
ications dans cette faculté si simple, si immédiate de percevoir la
forme
des choses, dépasse l'imagination. La forme d'u
diate de percevoir la forme des choses, dépasse l'imagination. La
forme
d'un objet est la distribution de tous ses points
ses points dans l'espace, et cette définition convient à toutes les
formes
. Chaque point de l'espace, dès qu'il devient ac
nément, directement et immédiatement localisés ou orientés. Donc la
forme
d'un objet se révèle immédiatement par la distrib
Il n'y a pas plus d'opération sensorielle pour la perception de la
forme
qu'il n'y a d'opération de la part d'une chambr
ous n'avons donc, il un moment donné, qu'une image incomplète de sa
forme
. Néanmoins nous pouvons augmenter la surface d'
reinte la notion du relief. La vision binoculaire embrasse ainsi la
forme
solide d'une surface d'empreinte plus grande qu
nsorielles plus adaptées, d'acquérir une notion plus complète de la
forme
de l'objet il un moment donné. Or, l'analyse du s
ologiques voient et louchent, résulte l'orientation objective de la
forme
de l'objet. Si, en outre, nous pratiquons la rech
ent nos attitudes, nous « faisons le tour de l'objet », et toute sa
forme
nous est connue. Ici encore c'est le sens des a
tte opé- ration qu'on a appelé le loucher actif. La perception de
forme
est donc immédiate et résulte directement de la m
ibué. Ce qui n'est pas immédiat, c'est le classement spéculatif des
formes
, la com- paraison d'une forme donnée avec d'aut
, c'est le classement spéculatif des formes, la com- paraison d'une
forme
donnée avec d'autres formes données et plus ou mo
latif des formes, la com- paraison d'une forme donnée avec d'autres
formes
données et plus ou moins familières et communes
tués dans notre masse corticale - jaillit cette image cherchée, cette
forme
spéciale d'idée, cette distribution convenable
as man- quer mais rester inconscientes, tandis que la perception de
forme
se main- tieudra.On a beaucoup confondu dans l'
la prose sans le savoir, et peuvent garder par exemple la notion de
forme
tout en étant incapables d'apprécier leurs attitu
tout à fait quand il s'agit de définir aux autres et à soi-même une
forme
. § 9. - Le sens des attitudes et la motricité a
se limitée dans l'espace est distribuée : elle a donc forcément une
forme
. Dans ce domaine psychique, la moindre image, l
un com- plexus anatomique. Les idées, les sensations, ont donc une
forme
comme les images sensorielles elles-mêmes ; et
s ; et il est infiniment plus facile d'admettre qu'une idée ait une
forme
que d'imaginer un moment qu'elle puisse n'en pas
se compliquant, suffit à caractériser la notion des idées ayant une
forme
. La recherche psychique, comme le palper actif do
er parfois très distants les uns des autres : une pensée a donc une
forme
, car elle couvre un certain terrain, elle assoc
rties et de ses divers points dans l'espace fournit la notion de sa
forme
; les variations de sa forme ou de sa localisat
dans l'espace fournit la notion de sa forme ; les variations de sa
forme
ou de sa localisation dans l'espace éveillent la
ariation de localisation dans l'espace se révèle simultanément sous
forme
de durée, de vitesse, et sous forme d'étendue. La
ce se révèle simultanément sous forme de durée, de vitesse, et sous
forme
d'étendue. La notion d'étendue ap- partient à l
ement. Car nous voyons se dessiner au milieu de l'urinai une petite
forme
hu- maine. Ce dépôt urinaire d'un nouveau genre
e un cas de gliomatose diffuse; son intérêt gît dans ce fait que la
forme
anatomique de la lésion n'est pas une forme com
gît dans ce fait que la forme anatomique de la lésion n'est pas une
forme
commune, et aussi dans cette particularité que la
n arrière et en haut la 3e circonvolution frontale qui est aplatie et
forme
au- tour de la tumeur, en haut et en arrière, u
rieuse, mais à cette époque se sont montrées des attaques épilepti-
formes
qui se sont répétées fréquemment pendant les 2 an
Novembre : ' ? Dans la journée, le malade a deux attaques épilepti-
formes
. ' 'rt A la première, il a tourné la tête, s'es
re quelques minutes. Le malade urine sans cesse dans son lit, il se
forme
une escarre sacrée. A partir de ce moment, la t
des hémisphères. Cette tumeur, de coloration gris-rosé, affecte la
forme
d'un ovoïde aplati à la surface du cerveau, don
Détachée par section de son pédicule, la tumeur se présente sous la
forme
d'un sphéroïde aplati de dehors en dedans. Exam
e. Le corps de ces cellules est occupé par un noyau volumineux, qui
forme
à Fig. 3. - Sarcome. Coupe de l'hémi- sphère
. Dans la nuit du 9 au 10 mai, le malade a eu cinq crises épilepti-
formes
, séparées par des intervalles d'environ 10 minute
rien relevé aux viscères thoraciques ni abdominaux. Tant dans leur
forme
et leur siège que dans leur fonctionnement, rien
e crânienne a une consistance membraneuse. Cette partie membraneuse
forme
une bande antéro-postérieure allant de la ré- g
p plus considérable. Le frontal gauche, vu de haut, s'aperçoit sous
forme
d'une crête osseuse très résistante, de près d'
RIQUEL Dans la cavité crânienne, la fosse cérébelleuse présente une
forme
en en- tonnoir ; nous y reviendrons au sujet du
n trajet de 45 millimètres, se jeter sur la faux du cerveau. Ce repli
forme
avec l'axe antéro-postérieur un angle de 1/2 dr
, au lieu d'être mé- dian, est ici déjeté vers la droite. Il est de
forme
triangulaire à base supérieure, et c'est surtou
erminale de la poche, de la gélatine fondue, de façon à rétablir la
forme
primitive et à avoir, MONSTRUOSITÉ RARE DE LA F
e présentent aucune particula- rité macroscopique d'insertion ni de
forme
à relever. Ils existent au nombre complet de 6,
Le cerveau, vu par sa face supérieure, présente dans son ensemble une
forme
étroite et très allongée. La région frontale ga
e postérieure de la base du crâne a du reste, nous l'avons dit, une
forme
en entonnoir. A la partie postérieure de l'orig
total. Dans son ensemble donc, la scissure interhémisphérique a la
forme
d'un S allongé, interrompu à sa partie moyenne
lus importante formation interhémisphérique. Il se présente avec la
forme
d'un parallélipi- pède à faces courbes, dont la
interhémisphériques. A. Ventricule moyen, dont la coupe présente la
forme
d'un T : 1 Bande nerveuse antéro-postérieure.
'équivalent du ventricule moyen. Est-il possible de reconstituer sa
forme
classique : « Un entonnoir, qu'on aurait aplati
vers la gauche sur un plan plus antérieur. Le lobe pariétal est de
forme
triangulaire. Le sillon interpariétal limite asse
l, non plus s'étendant dans un plan horizontal, mais se relevant eu
forme
d'une sorte de quadrilatère dont un côté serait
nous espérions pouvoir suivre dans leur trajet et étudier dans leur
forme
les noyaux centraux, les noyaux optostriés. Mais
être, nous ne le pouvons . .Les ventricules se présentent avec une
forme
des plus curieuses. A droite ils sont reconnais
communi- cation entre les prolongements frontal et occipital est de
forme
ovalaire, de 1 centimètre sur cm. 5 environ.
sur des expériences nettes et bien définies. Au point de vue de la
forme
de la courbe, si l'on examine l'aspect des tracés
espirations : 1° Quoique dissemblables les respirations changent de
forme
, et au bout de quelque temps revêtent une physi
. Sa face antérieure est à peu près rectiligne. Sa face postérieure
forme
une courbe concave en ar- rière. Le canal médul
s ordinaires. L'épiphyse infé- rieure, spongieuse, a tout à fait la
forme
de la malléole interne, avec sa face sous-cutan
tibia, inclinée à angle obtusfen dedans ou en dehors, lui donne la
forme
d'un arc, d'un sabre. Le pied est quelquefois e
peut, nous semble-t-il, être difficilement soutenu. Le gros os qui
forme
à lui seul le squelette de la jambe diffère tot
t des sono- rités masculines, par l'absence de l'arrondissement des
formes
et de l'éva- sement du bassin si caractéristiqu
alculs ainsi enchâssés dont nous donnons ici la photographie est de
forme
ovoïde. Il mesure 11 centimètres de hauleur et
j'avais déjà communiqué un cas de ce genre, mais seulement sous la
forme
d'une note. C'est la même obser- vation que je
; tandis que toutes les lettres, alors qu'il en traçait lui-même la
forme
, avaient conservé leur valeur phonétique. Au
gie et désagrégée comme une carrière à ciel ouvert. Le lobule fusi-
forme
et même la troisième circonvolution occipitale da
ER MIGNOT, Médecins des asiles d'aliénés de la Seine. L'étude des
formes
sensorielles de la paralysie générale a jusqu'ici
- mer ont réuni les cas de ce genre sous la rubrique de paralysie à
forme
atypique. Cette variété symptomatique tient, ai
c de méningo-encéphatite diffuse, mais peuvent faire penser à celle
forme
sensorielle de la paralysie générale liée à l'exi
moins épais, con- tenant un plus ou moins grand nombre de noyaux de
forme
variable, repré- sentant les uns des éléments e
e méritant d'être retenu que des douleurs dans la jambe droite sous
forme
de crampes et de fourmillements à l'âge de 15 a
s. 320 THOMAS ET HAUSER peu spécial de ce tissu. Non seulement il
forme
aux fascicules un manchon épais, mais il pénètr
ion des racines postérieures, et à la périphérie un petit espace de
forme
ovalaire dont l'aspect est le même que celui qu
coupes immédiatement voisines du ganglion. Non seulement l'épinèvre
forme
à la racine une coque épaisse, mais des grosses
dégénéré, la portion sous-gan- glionnaire des racines postérieures
forme
un faisceau aussi dense, aussi compact qu'à l'é
e petits faisceaux musculaires tassés et agglomérés. La gaine piale
forme
à la racine un manchon épais constitué d'un tis
ttaché en effet à établir que l'issue de la maladie est souvent une
forme
plus ou moins grave de démence, que les guérisons
sées. D'une part, Schüle admet une véritable catatonie qui, dans sa
forme
légère, fait partie de la folie hystérique, et
ans sa forme légère, fait partie de la folie hystérique, et dans sa
forme
grave appartient à la démence primitive ou à la
xistence de symptômes catatoniques, de pronostic variable, dans des
formes
très diverses de maladies mentales. En revanche
et Vedrani (2) se rangent à l'opinion de Kroepelin et, à côté de la
forme
hébéphrénique, décrivent la forme catatonique de
ion de Kroepelin et, à côté de la forme hébéphrénique, décrivent la
forme
catatonique de la démence précoce. Sur l'ense
ral à titre d'épiphénomène tran- sitoire. Il est au contraire une
forme
morbide dans laquelle il se manifeste d'ordinai
me et surtout par le contraste qu'il offre avec d'autres lettres de
forme
très correcte écrites antérieurement, dénote comb
t que dans un. cercle très restreint et ne s'expriment que sous une
forme
incom- plète, puérile. L'expression verbale est
semble bien inutile d'insister sur le diagnostic différentiel de la
forme
morbide à laquelle appartiennent les trois observ
it dépasser les limites de cet article, de citer de nombreux cas de
formes
vésaniques les plus diverses, imbécillité, hyst
des symptômes de nature identique que l'on rencontre dans d'autres
formes
mentales (hystérie, paralysie générale, etc.).
ons automatiques de contraste psychique, qui ne sont souvent qu'une
forme
atténuée, supérieure, du négativisme, le dé- fa
otypés, en raison même de leur répétition fréquente et sous la même
forme
, n'exigent pas comme les actes nouveaux une ada
des parties molles.Nous en retrouvons aujourd'hui les vestiges sous
formes
de longues cicatrices blanchâ- tres siégeant à
ent l'évolution de ce théâtre. Les influences qu'il a subies et les
formes
dans lesquelles il s'est enfin fixé. D'après
ous sommes loin de Shakespeare et d'Ibsen. D'autre part, toutes les
formes
primitives du drame sacré et du drame populaire
prend corps le dédoublement de la personnalité particulière à cette
forme
dé- lirante. Déjà dans un nô, nous avons vu par
l'attitude « penchée en avant» que présentent les malades, dans la
forme
commune (type de flexion), mais sans que l'examen
laire contraste avec l'impotence fonctionnelle, systématisée, sous
forme
de spasmes fonctionnels à certains mouvements c
ension permanente du gros orteil, et M. Ballet faisait remarquer la
forme
athétosique des mouvements du bras. Nous attiro
t de Friedreich, qui persiste même parfois indé- finimentsous cette
forme
rudimentaire(l). En juin 1901, nous présentions
ié, nous nous refusions à porter autant de diagnostics qu'il y a de
formes
différentes de spasme, et nous préférions ne vo
riture (3). Mais, dans ce cas, le trouble ne se produit pas sous la
forme
d'un spasme, mais d'une incoordination motrice.
bras, et de le tenir immobile, ces contractions s'exagè- rent, sous
forme
d'ondulations assez lentes, et lui impriment de p
maladies héréditaires et familiales, seront reliés par de nouvelles
formes
, ménageant entre eux une transition insensible.
s faits. Sommes-nous en présence de la réaction myotonique,ou d'une
forme
un peu particulière de la réaction de dégénéres
bot, scoliose). Ataxie statique de la tête, du bras, du tronc, sous
forme
d'oscillation ou de spasme, survenant quand les
plus grave (nos malades), ou à un âge plus ou moins avancé,sous une
forme
atténuée, monosymptomatique (spasme fonctionnel).
rsales, celle hyper- plasie conjonctive se présente parfois sous la
forme
de faisceaux ayant un contour arrondi et un cal
t cellules à gros blocs chromatiques) sont reliés entre eux par des
formes
de transition. Ce polymorphisme complique singuli
le amyotrophique ; comme nous l'avons déjà indiqué plus haut, cette
forme
de dégénérescence n'exclut pas la possibilité d
quelques problèmes jusqu'ici irrésolus, d'insister sur les diverses
formes
que peuvent prendre les dégénérescen- ces du ne
quer ce sujet. Le but principal de ma thèse étaitde montrer sous sa
forme
schématique le type primitif, tel que les parrain
certaines myopathies, c'est ainsi que Bernhardt consi- dérait comme
formes
frustes, en se basant sur les réactions électriqu
MYOTROPHIE TYPE CHARCOT-MARIE 467 Je n'ai point nié qu'il y eût des
formes
péronières de la maladie; si l'on se reporte à
un fait positif probant, qui me permît d'admettre l'existence d'une
forme
limitée aux membres inférieurs, si rationnelle qu
s racines. Voici mes raisons : 9 Les accidents ont débuté sous la
forme
de douleurs qui irradiaient le long du trajet d
a fesse, se prolongeant à la face postérieure de la cuisse, sous la
forme
d'une bande dont la largeur va en diminuant, de
passant, la qualification d'apohlectiforme à été donnée à certaine
forme
de névrites multiples, par Dubois, de Berne, uniq
é celle-ci ; c'est pourquoi nous associerons les révulsifs, sous la
forme
de pointes de feu appliquées sur la partie infé
issus dans lesquels ils se sont formés paraissent avoir eu sur leur
forme
et leur extension une influence indépendante de
lus grand (Fi) s'étend sur toute la moitié supérieure du bulbe : sa
forme
générale est triangulaire ; sa base NOUVELLE Ic
sente une dégéné- rescence intense; dans les régions où ce faisceau
forme
un triangle allongé d'avant en arrière (bulbe e
nt à une époque plus tardive que les fibres émanées du noyau cunéi-
forme
, qui occuperaient la partie antérieure de la couc
me le noyau grêle répond' aux membres inférieurs et le noyau cunéi-
forme
aux membres supérieurs, cela revient à dire que l
orsque, au-dessus du noyau masticateur, le ruban de Reil a pris une
forme
aplatie d'avant en arrière, nous ne trouvons plus
an prend, au voisinage des tubercules quadrijumeaux postérieurs, la
forme
d'un L; la brancheantéro-postérieure, moins impor
branche transversale se renfle et l'en- semble du faisceau dégénéré
forme
ùmtriangle curviligne, dont la base concave emb
supérieure du corps genouillé in- terne, le ruban de Reil prend'une
forme
moins définie ; il devient irrégu- lièrement ov
uban de Reil, émanées des noyaux grêle (membres inférieurs), cunéi-
forme
(membres supérieurs), du trijumeau (face) et dest
dans la syphilis nerveuse en voie d'évolution, quelle qu'en soit la
forme
, qu'il s'agisse de tabes, de paralysie générale
elles s'élèvent ensuite les lésions caractéristiques de chacune des
formes
de la syphilis du système nerveux. Les récents tr
gros ren- flement en massue; la couche granuleuse se continue sous
forme
d'un ruban beaucoup moins coloré et se contourn
ts grêles comme dans un tissu fibreux très ancien, mais ils ont des
formes
ovales et surtout sont disséminés d'une façon dif
L'ÉCORCE DU CERVELET 519 tent de la péri-vascularite subaiguë, sous
forme
d'un épaississement léger fibrillaire assez ric
la substance blanche étant relativement intacte : la substance grise
forme
une sorte de petit feston mince, d'aspect sec,
ygonales et souvent même rondes, mais en dehors de ce changement de
forme
, la cel- lule est bien constituée. En somme,
d'un cervelet en miniature, que les cellules de Purkinje étaient de
forme
et de nombre normal et qu'il en était de même de
et médullaire qui amène leur tassement et leur condensation sous la
forme
du mince feston que nous avons décrit ? Nous pe
eur trajet des épaississements et des gonflements très menus, d'une
forme
tantôt très régulière, tantôt moins régulière. Çà
e de gros épaississements et gonflements de grandeur variable et de
forme
irré- gulière, disposés sur les dendrites plus
g. Parfois on peut voir sur le trajet des dendrites des saillies en
formes
de verrues. Cornes postérieures. - Les prolonge
re plus ou moins considérable d'appendices collatéraux, qui ont une
forme
et une grandeur variables (voy. fig. 2) ; tantô
leur trajet on observe ordinairement çà et là des épaississements à
forme
irrégulière, et sur les · Fig. 3. Fig. 4. 5
minales assez souvent on voit aussi des gonflements très marqués de
forme
et de grandeur variables. Il faut encore noter qu
une très grande quantité d'appendices collatéraux de grandeur et de
forme
variables, pour la plu- part épaissis au bout;
souvent sur leur trajet des épaississe- ments et des gonflements à
forme
irrégulière. Au sujet des appendices collatérau
s sont parsemés par une grande quantité d'appendices collatéraux de
forme
variable, parmi lesquels prédominent les append
ins réguliers et sont bien plus riches en appendices collatéraux de
forme
très variable. La différence que nous notons da
la corne postérieure, richement couvert d'appendices collatéraux à
forme
variable, commence à perdre ces derniers, lorsq
les, par exemple dans les cornes antérieures, des épaississements à
forme
irrégulière, des élar- gissements et des rétréc
moelle épinière sont, en somme, riches en appendices collatéraux, de
forme
bizarre et très variable; le second neurone sen
nd neurone sensitif a pour origine ces cellules, et leur cylindraxe
forme
les sensitives isolées de la moelle épinière, q
nt les extrémités articulaires et empêchent de sentir le relief que
forme
à la surface de l'os le cartilage conjugal. D'a
des rayons de Röntgen : chez trois d'entre eux, qui présentaient la
forme
massive de P. Marie, il a noté une hypertrophie
Chez la quatrième malade, femme de 33 ans, atteinte d'acromégalie à
forme
géante, chez laquelle l'affection avait débuté à
ompa- rativement à celle des os, était beaucoup moindre que dans la
forme
mas- sive. Pour cet auteur, de semblables const
s faciliteraient la dis- linction qu'il faut établir entre les deux
formes
de l'acromégalie : la forme massive, de l'adult
tion qu'il faut établir entre les deux formes de l'acromégalie : la
forme
massive, de l'adulte ou à début tardif, et la for
cromégalie : la forme massive, de l'adulte ou à début tardif, et la
forme
géante, de l'ado- lescent ou à début précoce.
rouver que la menstruation a cessé au début de l'affection. Dans la
forme
géante de l'acromégalie, comme dans la forme or
e l'affection. Dans la forme géante de l'acromégalie, comme dans la
forme
ordinaire, la slérilité est l'état IiaLi- tuel.
Le second fait notable fut chez elle la taille disproportionnée et la
forme
particulière de ses mains et de la mâchoire inf
85), c'est-à-dire près de 1/7 de la taille ; elle avait en outre la
forme
spéciale en battoir, avec des doigts carrés du bo
noïdal gauche, qui GIGANTISME ET INFANTILISME 563 fut retiré sous
forme
d'un amas de débris ramollis. Pour la même raison
ui était grandement augmenté de volume, fut retiré de travers et sa
forme
et son contour furent complètement détruits. Le
) et une largeur de 2/3 de pouce (0 m. 02), environ la taille et la
forme
de la dernière phalange, du petit doigt ; il pe
ubitus. Les deux mains sout très grandes, surtout très longues ; la
forme
en est cependant tout à fait proportionnée, en so
te. Le sang examiné au microscope a été trouvé normal comme nombre,
forme
et couleur des globules rouges et blancs. Cav
our aller danser près des mares sales et fangeuses. Ils changent de
formes
à volonté; tantôt animaux domestiques ou sauvag
ou les cris des divers animaux avec une rare perfec- tion ; mais la
forme
qu'ils affectionnent le plus, est celle du chat,
galiques, ils perdaient de leur attrait pour les monarques épris de
formes
surhumaines. Et lors même qu'ils eussent déjà p
signée pendant un certain temps sous le nom de Géant. La vérité des
formes
cor- porelles en est saisissante, surtout par c
vait voir plusieurs Saint Cristophe. Outre celui de II. Memling.qui
forme
le panneau central d'un tryptique du Musée de Bru
. : 1 CHAPITRE PREMIER De la syphilis artérielle. De toutes les
formes
de syphilis cérébrale, celle qui frappe les art
tous ceux qu'elle présente peuvent aussi se montrer dans les autres
formes
de syphilis cérébrale, et réciproquement. L'édi
aralysie flasque avec abolition des réflexes. Elle peut affecter la
forme
d'une hémiplégie com- plète, mais le plus fréqu
ramidal, ces phénomènes irritatifs devront faire songer à une autre
forme
de syphilis, surtout à a syphilis méningée, ou
artielle se voit dans la syphilis des artères comme dans les autres
formes
; mais elle est plus rare et \ surtout moins loc
généralisée, elle est rarement monoplégique comme dans les autres
formes
. Le plus souvent, d'autre part, on peut décou-
s, mouvements choréiques, rares il est vrai aussi dans les autres
formes
, sont absolument exceptionnels dans celle-ci. B
s de la sensibilité. La céphalalgie existe là comme dans les autres
formes
; cependant elle fait défaut beaucoup plus souve
nage, ou l'intoxication. A cette période de début se rattache trois
formes
symptomatiques. A. Forme paralytique. - Le plus
t se succéder avant l'apparition des lésions irré- médiables. Cette
forme
a été magistralement décrite par Fournier dans
dans les lésions organiques, il n'est pas très rare d'observer une
forme
d'aphasie pure, surtout de l'aphasie motrice, s
e ou du membre supérieur droit, on peut aussi la voir s'allier à la
forme
suivante. Cette aphasie transitoire, intermitte
l'infiltration gommeuse méningée avec congestion de voisinage. C.
Forme
intellectuelle. Elle est extrêmement difficile
les sujets non prédisposés. 2° Artérites ectasiantes. Toutes les
formes
précédentes peuvent s'observer : à cette périod
ite. Il n'y a donc pas lieu de décrire avec Charrier et Klippel. la
forme
paralytique incurable par thrombose. Il suffit
es spéciaux lorsqu'elle reconnaît pour cause la syphilis. Une seule
forme
symptomatique mérite une description spéciale,
ule forme symptomatique mérite une description spéciale, c'est la
forme
apoplectique et mortelle. Elle reconnaît un dou
es cellules proliférées. » (Letulle 1.) La symptomatologie de cette
forme
apoplectique et mor- telle est très restreinte
12 '2 CLINIQUE NERVEUSE. Charier et Klippel' décrivent de plus une
forme
intellec- tuelle c présentant beaucoup de sympt
re syphilitique se révèle non seulement comme dans les trois autres
formes
par les pro- dromes mais aussi parce que, outre
as paru se rattacher à la syphilis des artères plutôt qu'aux autres
formes
; le plus souvent il s'agit au point de vue anat
es formes; le plus souvent il s'agit au point de vue anatomique des
formes
mixtes. Tels sont les symptômes qui peuvent que
s sont les symptômes qui peuvent quelquefois servir à distinguer la
forme
artérielle des autres variétés de [syphilis cér
es dilatations monili- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 17
formes
. Autour de ces dilatations anévrismales il n'exis
éterminer des troubles moteurs du. côté opposé, réalisant ainsi une
forme
d'hémi- plégie alterne. Les cas analogues ne
' Klippel. - La paralysie générale, lésions et symptômes spéciaux,
formes
spéciales (Arch. de médec, expél-im.), janvier 18
e. Il parla aussi d'un oedème péripupillaire, se présentant sous la
forme
d'un cercle brunâtre, que l'on rencontrerait da
s la faisons coucher. Deux jours plus tard, une érythème intense se
forme
dans la région sacro-fessière, et 5 à G jours apr
nées sur les membres inférieurs. Vers le 20 janvier, l'eschare se
forme
, malgré tous les' soins hygiéniques et antisept
latéralité qui assurent le diagnostic de névrose fonctionnelle. Les
formes
rares du tremblement clonique de l'extrémité supé
e et d'éléments xanthiques, parce que pendant cette période il se
forme
, dans la nutrition, plus d'azote, qui apparaît da
sERi. (Riv. di. part. nerv. et ment., fasc. 7, 1896.) XIV. SUR UNE
forme
SURTOUT ataxique DE crampe DES écrivains avec q
tions illusoires (96,87 p. 100); date et durée de leur apparition ;
forme
, volume, écartement, température, mobi- lité de
u pompeux, mais beau- coup de faits assemblés et présentés sous une
forme
assez con- crète et rendant cette thèse intéres
xcitation des filets cardia- ques,la tachycardie. La production des
formes
frustes s'explique par la variabilité de la loc
omparée pour l'appréciation et l'évaluation onlo-pliiloénétique des
formes
et des développements différents anatomiques; e
t il l'anatomie pathologique l'appréciation et la distinc- tion des
formes
sur la base de communs processus morbides et de
des malades. Cet appareil, d'une contenance totale d'un litre, a la
forme
d'une bombe renversée et peut être, pour facili
'artère carotide interne gauche s'apercevait encore un anévrisme en
forme
d'hémisphère de la grandeur d'une cerise. Dans
mbrane de myéline, enve- loppant le cylindraxe tantôt d'un côté, en
forme
d'une demi- lune, tantôt de tous les côtés, com
u particulière, permettant de les distinguer quelquefois des autres
formes
de syphilis cérébrale. § 1. Caractères généra
ubles moteurs. L'attaque épileptiforme, qui appartient à toutes les
formes
de syphilis cérébrale, est parti- culièrement f
mes de syphilis cérébrale, est parti- culièrement fréquente dans la
forme
méningée. Il s'agit le plus souvent d'épilepsie
me dépasser 40°, et cela pendant plusieurs jours de suite. Dans les
formes
où la symptomatologie est encore peu accusée, o
si elle a une valeur au point de vue du diagnostic des différentes
formes
de syphilis cérébrale. Tout ce que nous pouvons
i être rapide, aiguë; et il y a lieu de décrire successivement deux
formes
, aiguë et chro- nique. Chacune d'elles se subdi
formes, aiguë et chro- nique. Chacune d'elles se subdivise en deux
formes
secon- daires, suivant qu'elle atteint la base
ence d'infections associées manque. B. Méningite chronique. Cette
forme
est aussi 11'é-· quente que la précédente est r
peutique soit complet. Méningite de la base. C'est de beaucoup la
forme
la plus fréquente et la mieux connue. Oppenheim
es, sont assez rares : elles se présentent anatomiquement sous deux
formes
, soit gomme circonscrite entourée d'une capsule
e, soit infiltration gommeuse diffuse à limites indécises. Ces deux
formes
paraissent pou- voir être réunies dans le même
mélioration spontanée. Recrudescence des symptômes, crises épilepli
formes
clébu- tant par la main droite, apparition de d
sée, d'aspect un peu rayonnée. fait une saillie notable, affecte la
forme
d'un cône pointu; les vaisseaux font un crochet
it, par exemple, que la paralysie générale peut affec- ter diverses
formes
, une forme exubérante, une forme dépressive, un
ple, que la paralysie générale peut affec- ter diverses formes, une
forme
exubérante, une forme dépressive, une variété a
générale peut affec- ter diverses formes, une forme exubérante, une
forme
dépressive, une variété ascendante ou spinale (
, les rapports des carac- tères symptomatiques particuliers à telle
forme
et des lésions ou des causes de cette forme ?
es particuliers à telle forme et des lésions ou des causes de cette
forme
? Les opinions émises relativement à l'existenc
er que bien souvent c'est la tare héréditaire qui donne la note, la
forme
de la folie alcoolique : exubérante chez cer- t
érante chez cer- tains cérébraux, l'aliénation mentale affectera la
forme
de manie rémittente, par exemple, chez des alco
sion men- tale, d'obtusion intellectuelle. La détermination de la
forme
peut être fixée à la fois pai- la prédispositio
ysie générale syphili- tique et de laisser comme type classique une
forme
condui- sant progressivement à la mort en deux
probabilités d'aggravation des caractères ou prédispositions à des
formes
spéciales de maladies inhérentes aux deux parti
rêves d'ambition et de fortune, et susceptible de devenir, sous la
forme
d'idées de richesse et de grandeur, ou l'élément
ques, févr.1897.) L. R. 138 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. V. UNE
forme
DE délire systématisé DES persécutés persécuteurs
souvenait pas du vertige et le trouble post-épileptique prenait la
forme
d'un rêve pénible. Un second exemple de crise
t été faites qui établissent l'intérêt de ce symptôme dans quelques
formes
do maladies mentales. Parmi ces dernières, c'
n. Il est vrai que la démence sénile non compliquée cons- titue une
forme
de la folie bien distincte, il n'est pas moins vr
(Tlzc alienist and neurologist, octobre 1897.) E. BLIN. XII. LES
formes
stupides ET LES formes CONFUSIONNELLES DE L'AMEND
eurologist, octobre 1897.) E. BLIN. XII. LES formes stupides ET LES
formes
CONFUSIONNELLES DE L'AMENDA ; par Nicolo BUCCEL
analogie des conditions de développement et des traits généraux des
formes
, confusionnelles et stupides, considère cependa
. Il propose en conséquence de distinguer l'amenza stupide avec une
forme
simple ou torpeur cérébrale simple et une forme
za stupide avec une forme simple ou torpeur cérébrale simple et une
forme
grave ou stupeur primitive et l'a- menza confus
me grave ou stupeur primitive et l'a- menza confusionnelle avec une
forme
simple ou confusion mentale simple et une forme
usionnelle avec une forme simple ou confusion mentale simple et une
forme
grave ou confusion mentale hallucinatoire. , J.
- dant du fond d'insuffisance morale qui transparait à travers la
forme
psycliopatllique. Le principal de ces caractère e
s ne constituent qu'une seule et même maladie. Certains cas de la
forme
imitative ressembleraient à l'hypnotisme, mais la
rs observations très cu- rieuses et souvent très amusantes des deux
formes
de Latah. Les cas d'imitation les plus intéress
n généralement adoptée, l'affection mentale n'a nullement revêtu la
forme
de la paralysie générale. R. DE Musgrave-Clay.
vsie générale atteint son maximum d'accroissement : pour les autres
formes
de folie, l'accroissement commence à partir de qu
ion dans le type de l'aliénation mentale, un retour régressif à des
formes
inférieures d'affections cérébrales, une déchéanc
ci le possédait déjà comme qualité inhérente, quoique latente, sous
forme
, si l'on veut, de prédisposition. C'est. répliq
tères de la névrose trémulante. Dans le cas étudié par M. Labbé, la
forme
hémiplégique du tremblement et de l'athétose, s
er de l'état somatique dont le fond essentiel est constitué par une
forme
d'affaiblissement et de dissociation intellectu
e façon essentielle, et qu'elles doivent être considérées comme des
formes
aiguës, atténuées ou de début, de la méningo-encé
e des persécutés persécuteurs processifs , M. Koch en admet trois
formes
: lo celle des individus dont le psûchê est intac
base au délire systématisé. P. KERAVAL. XXXVI. Deux exemples DE la
forme
affective DU délire généralisé ; par le D1' X.
-dire la perte de notion du temps, du lieu, des personnes, etc. Les
formes
du délire généralisé sont très nombreuses; on p
ons l'auteur reproduit, à titre de docu- ments, deux exemples de la
forme
affective du délire généralisé : le premier app
opération de choix qu'on doit toujours tenter dans n'importe quelle
forme
de goitre exophthalmique ; tandis que la thyroï
s'enfonce directement dans la partie centrale de la moelle où elle
forme
une colonne nette- ment délimitée, pourvue d'un
arrêtée, le sang s'agglomère dans les parties les plus basses et y
forme
ces taches qui, après sept ou huit heures, ne s
après cinq années d'exercice. « Le tirage au sort aura lieu dans la
forme
usitée pour les concours des médecins des hôpit
- brun. Sur la peau des pieds et des jambes existe une ichthyose,
forme
légère, à lamelles fines, brillantes. TROUBLES
ailleux, feuilleté d'une coquille d'huître, et se desquame. Dans la
forme
la plus grave, après s'être déformé et déco- lo
ongles des orteils et des doigts ; les ongles sont altérés dansleur
forme
et présentent des sillonsplus ou moins profonds
ur les temps. . Les ongles ont subi presque tous des altérations de
forme
, de coloration et de texture. Ces troubles remo
du côté gauche. Les ongles des orteils sont très altérés dans leur
forme
. Lesongles du gros orteil, du 3° orteil et du p
es, surtout chez les femmes. Elle débute aussi par le vertex sous
forme
de tonsure. Observation XXXI. Alopécie et ichth
s, froides. Les ongles sont feuilletés, épaissis, altérés dans leur
forme
. L'alopécie est accentuée, en clairière et diss
LE. 195 Deux ans plus tard, M. Joffi-oyl, dans un article sur les
formes
spinales de la paralysie générale, pense que les
atrophie considérable de la cuisse. Il importe de distinguer ces
formes
médullaires de l'amyo- trophie d'avec les atrop
la paralysie générale, conclut que l'amyotrophie peut revêtir deux
formes
principales : la maladie d'Arau- Duchenne (atro
cot (sclérose latérale amyotrophique). On constate dans la première
forme
l'amyotrophie des éminences thénar, hypothénar
e cas de la malade dont nous rapportons l'observation. Dans l'autre
forme
, l'atrophie est générale. Les réflexes sont exa
tard l'atrophie des muscles de la main gauche. ' Joflroy. Sur les
formes
spinales de la paralysie générale. (Journal de
s, au contraire, sont visibles; les ongles changeant de couleur, de
forme
, s'atrophiant, tom- bant, etc. Notre chiffre es
ent des cas de paralysie générale, de folie alcoolique, et diverses
formes
de mélancolie et de manie; il est probable que,
araît cette différenciation, où il est décidé que l'individu qui se
forme
aura un ovaire ou un testicule, se crée une loi
erstice de ces travées ; la texture du spongioplasma détermine leur
forme
et leur volume ; de leurs angles se détachent d
surtout de grosses cellules ; la subs- tance achromatique organisée
forme
un réseau à mailles assez larges délimitées par
de tourbillons. Elémemts chromatophiles oblongs, ovoïdes ou fusi-
formes
. Du fait de la continuité anatomique des fibril
ssion des malades et sur la constatation du liseré plombique. Cette
forme
d'encéphalopathie saturnine, dénommée par l'aut
ue. Cette forme d'encéphalopathie saturnine, dénommée par l'auteur,
forme
ménin- gitique est toujours grave ; dans un des
n a engendré des troubles cérébraux simulant un délire vésanique (
forme
délirante) ; une ouvrière a présenté pendant cinq
ille avec hallucinations de la vue et de l'ouïe. Dans d'autres cas (
forme
convulsive), la maladie s'est traduite par des
'épilepsie qui survient après vingt-cinq ans et l'épilepsie due aux
formes
variées d'encéphalite infantile présentent, de no
des crises se pré- sentent parfois des troubles mentaux nocturnes à
forme
de som- nambulisme. - Deux groupes de phénomè
des phénomènes de synthèse mentale qui se manifeste surtout sous
forme
d'aboulie et d'amnésie continue ; 3° cette insomn
érification anatomique manque, les auteurs inclinent à en faire une
forme
de transition entre l'béréduataxie cérébelleuse
hognomo- niques. Ces troubles de la mémoire s'observent tantôt sous
forme
d'oubli permanent (amnésie connue), tantôt sous
t tantôt sous forme d'oubli permanent (amnésie connue), tantôt sous
forme
d'amné- sie rélrograde. A cdlé de cette forme d
connue), tantôt sous forme d'amné- sie rélrograde. A cdlé de cette
forme
d'oubli, qui est un symptôme presque constant,
lenteur de l'idéation,'état apathique. . La psychose polynévritique
forme-t
-elle une entité morbide spé- ciale ? , il arr
dit une vérité simple que la sagesse humaine, quelle qu'en soit la
forme
, devrait bien recon- naître pour résoudre d'un
nombre de cas un être curable et que la cure du buveur est une des
formes
les plus intéressantes de l'assistance publique.
gle, a tenté d'y reprendre le dessus, après quelques changements de
forme
dans son langage et son attitude. D'après les i
du malade. Le délire de dépossession est un délire de dégénérés à
forme
rai- sonnante. Il constitue une variété de la «
AY. Dans les psychoses, les hallucinations de la vue affectent la
forme
élémentaire, commune ou verbale. Elles sont le pl
ques peuvent être placés parmi les prédispo- sés dégénérés, et leur
forme
psycliopalique peut trouver sa situa- tion exac
nvulsif de Trousseau) ; par Ed. Martaud. Intéressante étude de la
forme
légère de la maladie des tics convulsifs, dont
s magistraux sur la définition, les causes, la symptomatologie, les
formes
, l'évolution, le diagnostic et le pro- nostic d
ersions sexuelles sont beaucoup moins connues. Quelle que soit la
forme
de l'inversion sexuelle, si elle est congénital
sive; mais il est resté sujet à des crises d'excitation violente de
formes
diverses. Il est d'ailleurs à peu près imbécile
s percep- tibles, mais la fontanelle antérieure persiste. Elle a la
forme
d'un triangle irrégulier, à base antérieure de
r LEGRAIN, Médecin en chef à l'asile de `-ille-Evrard 2. Diverses
formes
de l'initiative. Le médecin. Abstraction faite de
ppelle normal est celui qui, ayant une héré- dité convenable, a une
forme
et une structure cérébrales requises et se trou
élio- ration ; le criminel aliéné, la plus dangereuse de toutes les
formes
; l'épileptique, le fou, l'imbécile. ' L'impor
l'équilibre soit local, soit général, est détruit. Aussi toutes les
formes
de la maladie se caractérisent à leur début par
que le froid sur la colonne vertébrale sera indiqué dans toutes les
formes
spasmodiqhes en chassant l'excès de sang des ce
uteur résume l'état actuel de nos connaissances sur les différentes
formes
que revêt la syphilis du système nerveux centra
; 23 cas seulement étaient indemnes de prédispositions. Parmi les
formes
les plus fréquentes de syphilis spinale, l'auteur
joignent à eux les nouveaux symptômes caractéfistiquesdes diverses
formes
de syphilis cérébrale dont l'au- teur décrit le
u'il faudra instituer, le mercure étant le meilleur remède de cette
forme
de syphilis. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 31
uvés purs dans les fèces, ces corps se retrouvent dans l'urine sous
forme
de sulfates. L'examen des matières fécales se
-infection est, pour le moiti,, un important facteur dans plusieurs
formes
de la folie, et, sans qu'on puisse affirmer pos
HOLOGIE NERVEUSE. un jour nouveau sur la compréhension de certaines
formes
men- tales difficiles à interpréter autrefois;
La maladie de Friedreich et l'ataxie cérébelleuse peuvent être des
formes
dif- férentes de la même maladie; il y a des ca
cile le diagnostic entre une paralysie brachiale radiculaire et une
forme
d'atrophie musculaire du type juvénile d'Erb, i
liolol;i- quement les conditions ambiantes font varier seulement la
forme
des névroses, leurs différences ne sont pas spé
oques différentes, elle pourra ainsi à divers moments présenter des
formes
diverses de névrose. Cette instabilité indiffér
nt plus que d'autres une tendance à se trans- mettre avec leur même
forme
, et surtout celles telles que la mélancolie qui
caractères corporels sans valeur dans certaines familles, comme la
forme
du nez, des doigts, etc., qu'il rapproche de l'
érédité, mais aussi avec l'influence du milieu qui peut modifier la
forme
de la prédisposition transmise. On n'a donc pas
sme. Elle est dissociative par son pouvoir de séparer, d'isoler une
forme
de sensibilité (douleur), par exemple, pour la
ar exemple désagréables. La volition non anéantie n'a que changé de
forme
, l'état moral persiste et arrête les suggestions
e est un nouvel argument en faveur de l'unité de nature de ces deux
formes
morbides. J. Séglas. REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
, 2° Dans 23 p. 100 des cas, la démence y fait défaut, mais cette
forme
n'est le plus souvent autre chose qu'un arrêt de
ence. A côté des variétés évolutives régulières, on rencontre des
formes
transitoires ou inverties. Tout d'abord celles qu
aractères n'ont rien d'absolu, et il ne faudrait pas croire que ces
formes
soient seules symptomatiques de l'aliénation héré
et, parmi les aliénés à antécédents héréditaires avérés, toutes les
formes
évolutives possibles. Quant aux formes invertie
itaires avérés, toutes les formes évolutives possibles. Quant aux
formes
inverties, dans lesquelles le délire de persécu-
qu'on n'a pas affaire à des délires de persécution, mais bien à ces
formes
retirées du groupe primitif par M. Falret (pers
. B. XXXV. NOTES sur l'aura épileptique avec relation DE QUELQUES
formes
rares; par le Dr Pierce Clark. L'étude de l'aur
, REVUE DE pathologie mentale. 335 l'auteur rapporte-douze cas de
formes
rares. Cas 1 : avant sa crise, le malade pronon
quernertl par des caractères parfois aigus, soit isolément sous une
forme
plus ou moine atténuée. Il faut distinguer les
riformes qui sont à l'hystérie vraie ce que les attaques épilepti-
formes
sont à l'épilepsie. Enfin, l'hystérie peut emprun
que, approprié à chaque cas emploi de la suggestion sous toutes ses
formes
. 22. Des anesthésies coiiséctitioes aux lésions
ns les quatre premiers chapitres sont étudiés, avec les différentes
formes
, que revêtent lenrs manifes- tations symptomati
se trouvent réunies un certain nombre d'observations d'hystérie, de
formes
et de degrés variables, depuis la petite hysté-
maladies organiques, à la sclérose en plaque, au tabès, à diverses
formes
de paraplégie, d'hémiplégie et de myopathie. Ba
ET T A. MARIE, Médecin en chef a la Colonie de Dun. Dans les
formes
de mélancolie simples, curables, qu'on pourrait
simples, curables, qu'on pourrait appeler aiguës par opposition aux
formes
chroniques et plus ou moins systématisées, on p
a en lui comme un esprit de contradiction ; à côté du moi ancien se
forme
un moi nouveau. Plus tard, le malade est dominé
essent, et ce sont ici les sen- sations qui le renseignaient sur la
forme
de son corps qui sont modiliées ou qui ont disp
us la même impression... ; j'ai senti ma tête changer dix fois de
forme
, je n'ai plus de cervelle ; il me semble que ma t
jamais ; d'autres en ont, mais d'une façon transitoire ou sous une
forme
élémentaire. Enfin, il est indispensable de consi
sur le moi, voilà ce qui constitue la mélancolie dépressive dans sa
forme
la plus simple '. Ettmuler, cité par Esquirol 2
de la mentalité. De là, toute une série d'intermédiaires entre les
formes
aiguës simples et les cas chroniques complets d
délire systé- matisé secondaire de possession paraît le type. Aux
formes
frustes et à l'état faible correspondent les ma
le serpent, par exemple, qu'il sentait dans son corps n'est qu'une
forme
prise par l'esprit malin pour pénétrer en lui .
s'imaginait que ses idées prenaient naissance dans son cerveau sous
forme
d'oi- seaux ou d'abeilles qui s'envolaient ensu
s impulsions verbales, dites hallucinations psychiques, sur cette
forme
de délire. Les autres phénomènes impulsifs se com
se propage plus parjiine voie unique; elle prend fin déjà, dans sa
forme
initiale, à l'arborisation terminale du premier
s bipolaires et multipolaires (crustacés et vers). A s'en tenir àla
forme
unipolaire, on voit que le corps cel- lulaire,
aient lieuparallèlement à «l'événement psychique P, et cela sous la
forme
d'un « mouvement se propa- 388 REVUE CRITIQUE.
orme d'un « mouvement se propa- 388 REVUE CRITIQUE. géant sous la
forme
d'onde (p. 140). Dans le protoplasma de la cell
estime, au contraire, que la cause déterminante du nombre et de la
forme
des den- drites n'est pas toute dans les rappor
sont réglées de telle manière qu'elles ne répondent qu'à certaines
formes
déterminées d'excita- tioii. La cellule est pou
. C'est à partir de cette époque qu'elle a été atteinte de crises'à
forme
hystéro-épiteptique. Sa mère a été alié- née ;
lacés. Dans les nerfs périphériques, la myéline se présente sous la
forme
de granulations disposées autour du cylindraxe.
e Wei,ert-Pal, dans les deux cordons postérieurs, une zone pâle à
forme
triangulaire dont la base est dirigée vers la pér
, cette zone se montre aux régions lombaire et dorsale avec la même
forme
: dans la région cervicale, elle parait double
antérieurs et latéraux, tandis que la partie postérieure de la zone
forme
contraste avec la partie antérieure en demeurant
e et s'étend de sa base presque jusqu'à l'extrémité de la corne. La
forme
eL celle d'une poire dont la tête repose antéri
embre 1896.) E. B. LXVIX. Contribution A L'ÉTUDE DES changements DE
forme
DU POULS artériel ET DU POULS capillaire aux di
ences, les auteurs ont résumé les expériences faites par eux sur la
forme
du pouls capillaire et artériel aux différentes
les étudiant on voit que : 1° il y a un changement graduel dans la
forme
de la pulsation d'heure en heure ; ce changement
rothérapie aiiti-3-pbiliLique, le traitement antisyphilitique, sous
formes
de frictions, a sa raison d'être dans les premi
dale de la partie cen- trale du premier neurone de cette chaîne, se
forme
une voie arci- forme composée de certaines fibr
trale du premier neurone de cette chaîne, se forme une voie arci-
forme
composée de certaines fibres de la racine spinale
actéris- tique de la paralysie générale, se rencontre dans d'autres
formes
mentales. Je ne demande d'ailleurs qu'à être co
ues qui caractérise le délire aigu et font la délimitation de cette
forme
nosologique d'avec les formes graves de l'amnés
aigu et font la délimitation de cette forme nosologique d'avec les
formes
graves de l'amnésie. Pour bien différencier le dé
es graves de l'amnésie. Pour bien différencier le délire aigu de la
forme
galopante de la démence progressive, S. et W. inv
ence progressive, S. et W. invoquent un cas de paralysie générale à
forme
galopante, qu'ils ont eu l'oc- casion d'examine
obable que l'encéphalite aigu hémorrhagique répond toujours à cette
forme
clinique qu'on peut considérer comme bien défin
ariété d'encéphalite aiguë hémorrhagique, tout à fait analogue à la
forme
de poliencéphalite inférieure de Strumpell et W
y a lieu de reconnaitre plutôt des combinaisons et des passages aux
formes
de Strumpell, Wernicke, etc., et vice versa.
alement il existe une parfaite analogie avec l'évolution des autres
formes
d'encéphalite hémorrhagique aiguë. L'étiologie
, t. V. 27 418 SOCIÉTÉS SAVANTES. toujours, comme dans les autres
formes
d'encéphalites aiguës, d'in- fections et d'into
caractère clonique, résultant de la dégénération des fibres arci-
formes
de la sphère motrice. Discussion. Le professeur
érin, d'un polype ou d'une hypertrophie de la muqueuse nasale, etc.
Forme
réflexe; 424 BIBLIOGRAPHIE. 3° D'une intoxica
primitive, modifiant fonction- nellement les centres sympathiques.
Forme
toxique. Cette excitation peut aussi être primi
xique. Cette excitation peut aussi être primitive, caractérisant la
forme
essentielle, idiopathique de l'affection. Dans
du trajet des voies sensitives intramé- dullaires et de décrire une
forme
particulière de dissociation de la sensibilité
a première dorsale, puis sorti de la moelle. Généralisations : sous
forme
d'infil- li-ation diffuse et légère de toute la
li-ation diffuse et légère de toute la pie-mère médullaire ; sous
forme
de semis polypeux sessiles ou pédicules sur diver
avec une vigueur presque normale ; le long supinaleur se durcit et
forme
une corde sous la peau. La flexion de l'avant-b
elle s'étend en haut et en bas en s'amincissant progressivement; sa
forme
générale est celle d'un fuseau; macroscopiqueme
l'axe gris médullaire. Les troubles de la sensibilité offraient une
forme
assez particulière caractérisée parla dissociat
Nous croyons pouvoir la résumer de la façon suivante : la première
forme
, anesthésie cutanée avec conservation des sensi
à la Colonie de Dtiti. Les phénomènes impulsifs, en germes dans les
formes
com- munes de mélancolie, engendrent à l'état f
habituelles ; enfin, l'erreur devient plus complète par suite de la
forme
que revêt bientôt la pensée lorsque cet état se
e à elle-même comme dans le rêve, se produit spontanément ; elle se
forme
en paroles... Il s'établit alors une sorte de l
milliers d'années ; elle a le malin esprit dans l'uté- rus sous la
forme
d'un serpent, quoiqu'elle n'ait pas les organes
malade qui croit que le démon a pris domicile dans son ventre sous
forme
d'un gros serpent. a Cet homme pousse de temp
cris le bour- ' Fragments psychologiques, loc. cit. ' Cotard. Une
forme
grave de mélancolie anxieuse. (Annales médico-
de, je n'appartiens plus au genre humain dont il ne me reste que la
forme
; depuis que Dieu s'est retiré de moi, j'apparti
iabolique de la mère au fils.) Chez une malade de Griesinger ' se
forme
une contradic- tion intérieure entre ses propre
feu dans ces régions'.) A cette période la démonopathie affecte une
forme
1 tiriesinger. Maladies mentales, p. 2SG-`357.
diable qui est dans leur corps ; ces autodafés affectent parfois la
forme
de véritables suicides en masse. « Il ne faut
ses ordres. Il l'apercevait dans les nuages ; il le voyait sous la
forme
d'un bélier, d'un chat, d'une grosse mouche, d'
gnement, le diable se mettait à voltiger sous mes yeux : prenant la
forme
d'un papillon, il me brouillait l'entende- ment
re ces cellules une légère différence quant à leur volume et à leur
forme
, les unes étant plutôt arrondies et en oignons,
tant plutôt arrondies et en oignons, les autres piriformes et fusi-
formes
, d'aucunes polygonales. Maisla fine structure du
dante des racines spinales (Obersteiner), dont le noyau originel
forme
la substance gélatineuse de Rolando; les fibres d
mite intermédiaire au cordon de Goll et au' cordon de I)tirdacli et
forme
la lisière dorsale la plus externe du cordon de
rapports médico-légaux, M. Dumaz donne une description succinte des
formes
que celle-ci présente. Lorsque la lucidité n'es
ons suivantes : l'étiologie d'une maladie doit expliquer toutes les
formes
de cette affection : l'hérédité pure, le surmen
de l'arséniate de strychnine. Chazarossian (Bedros). Du béribéri à
forme
paralytique. Gibert (Joseph). Sur l'anesthésie
apports avec les professions.- Ingelrans (Léon). Étude clinique des
formes
anormales du tabes dorsalis. Iovanovich (Démétriu
à l'étude de la neurofibromatose. Ott (Charles). Etude sur les deux
formes
de hernie congénitale du cerveau. L'en- céphalo
sme et méningites. - Pokhryschkine(M"°Ta- tiane). Des variations de
forme
du coeur dans les névroses. gl2 BIBLIOGRAPHIE.
se rénale chez les épileptiques. Roux (Charles). Elude sur quelques
formes
rares de contractures hystériques. Schwanhard
ures hystériques. Schwanhard (Armand). Contribution à l'étude de la
forme
pseudo-tabétique de la myélite syphilitique. Se
son prix est très élevé; mais ce qui est plus grave, c'est qu'elle
forme
bientôt des amas qui exercent une pression sur ta
e, etc.). Tous ces examens seront ensuite continués et pointés sous
formes
de diagrammes graphiques parallèles, l'obser- v
Amaurose hvstérique unilatérale, par Gilbert Ballet, 223. Amenza.
Formes
de l' , par Buc- celli, 142. Amputés. Sensati
ions, par Legrts, 81. - de revendica- tions, par Ctillerre , 138.
Forme
affective du - général, par Fran- cotte, 158.
t d'autres en puissance dans le nez. Ces bruits prennent parfois la
forme
de la voix arti- culée, et ce sont tantôt des m
sensibilité générale. L'onomatomanie s'est présentée surtout sous
forme
d'obsessions et d'impulsions coprolali- ques ;
du système nerveux, admet l'existence de la première de ces deux
formes
de Duchenne, mais il se refuse à (reconnaître l
s cas que dans d'autres...1 - - 1 1 1)' 1 1 1 , Quant la première
forme
, elle est depuis quelque temps déjà l'objet d'u
uchenne et la polynévrite, gé- 20 pathologie mentale. néralisée à
forme
de paralysie générale spinale anté- rieure suba
e Déjérine devient une affaire très épineuse. Quant à la deuxième
forme
de Duchenne, la para- lysie générale spinale di
ison de critiquer Du- chenne, surtout quand ce dernier assigne à la
forme
morbide qu'il veut dégager, une anatomie pathol
lement maigri. 1 , 1 ' ' L'atrophie est très prononcée, bien que la
forme
des membres soit encore un peu marquée, c'est-à
nt qu'elle aurait pu passer inaperçu e. Elle s'est fait sentir sous
forme
de quelques accès en éclair dans les muscles de
vais jamais eu l'occasion de voir cette maladie de l'esprit sous sa
forme
typique. Vous savez qu'il y a ici dans le servi
sente. Ce sera un bon moyen d'analyser l'amnésie hystérique sous la
forme
la plus parfaite. Sans doute l'amnésie contin
s atténuée. Elle vient presque constamment se surajouter aux autres
formes
d'oublis ' Etude sur un cas d'aboulie et d'idée
oit à l'étude du somnambulisme a été conquis. Mais, il y a d'autres
formes
du somnambulisme, s'est- on écrié aussitôt dès
nt qu'il semble s'agir d'une impulsion dipsomaniaque prolongée sous
forme
ambulatoire. ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
es couleurs était aussi limité, mais moins que pour le blanc; 6° La
forme
du champ visuel pour les couleurs suit constammen
ans- formation en conceptions délirantes ? Comment et sous quelle
forme
surviennent les obsessions dans la paranoïa ? R
t une observation de folie induite chez des jumeaux ayant revêtu la
forme
de délire systématique (para- noï(t. P. K. VI
juin 1890, il devient négligent, jette l'argent par les fenêtres,
forme
le projet de grands voyages, de grandes entrepris
la presse et du public. P. K. XI. UN cas DE paralysie générale A
FORME
circulaire; par H. ROT- TENDILLER. (Cent1'albla
uvent incomplet et imparfait n'est pas davantage le caractère d'une
forme
morbide spéciale. La catatonie résulte d'une as
soit, 74 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. mais bien plus rarement, sous la
forme
de psychoses aiguës, fébriles, de longue durée,
e. Enfin, il y a des troubles psychiques, poslfébriles, revêtant la
forme
soit de psychoses asthéniques, soit de psychopa
i donne à copier, sans en comprendre le sens. Conclusion. Sixième
forme
clinique de Lichtheim ' : interrup- tion des fa
a paralysie bulbaire. P. K. X. CONTRIBUTION A la connaissance DES
formes
rares d'aphasie SEN- SORIELLE ; par ADLER. (Neu
es nerveuses centrales de la rétine; finalement perte du sens de la
forme
et de la couleur avec conservation du sens lumi
s dorsal manifeste une grande tendance à se pro- pager sous la même
forme
dans l'encéphale. C'est ainsi que le tabes se c
ADER. Dans ces dernières années, j'ai eu l'occasion d'observer deux
formes
de psychoses toxiques vraies. L'une d'elles est
pports du noyau lenticulaire avec la chorée. Il existerait donc une
forme
bénigne simple de la chorée de nature infectieuse
ychopathies, à la quantité de leurs stades intermédiaires, de leurs
formes
mixtes (en 1811, on n'en avait pas idée), on s'
s, qu'il s'en désintéressait. La loi devient une pure question de
formes
pour les aliénés étrangers. Le consul et l'amba
ons-nous que, dans tout asile d'épileptiques, on observe toutes les
formes
de l'arrêt de développement intellectuel. Il va
pas placer un médecin à la tête de ce genre d'asiles, parce que les
formes
morbides à traiter participaient d'une identité
; deux esquilles furent éloignées; la perte constitue un défaut de
forme
triangu- laire, mesurant à sa base 3 centimètre
oppement ultérieur de cette maladie. De l'avis du rapporteur. cette
forme
d'atrophie musculaire doit être rangée avec la ma
e de la plante des pieds (pieds creux et griffe des orteils) et des
formes
dans le genre de l'observa- tion II de Dubreuil
pitre II est un index de tous les symptômes variés des différentes
formes
vésaniques. Le chapitre III est un index des mala
ent fait par le maître du con- texte didactique, mais encore par la
forme
plus agréable-et plus soignée de -l'impression.
ssu spongieux. Il considère l'amyotro- phie comme caractérisant une
forme
particulière d'acromégalie, dont la production
, l'hystérie mâle, le syndrome de Weber, la syphilis cérébrale, les
formes
frustes de la sclérose en plaques. Ce volume, p
oint de vue l'étude des troubles du langage, considérés en général,
forme
donc le chapitre le plus important de la psychi
uccessivement les dyslogies par modifications de la rapidité, de la
forme
, de la syntaxe et du contenu du langage; puis les
n qui est depuis des années soumise à l'es- prit du public sous des
formes
variées. Elle revient continuelle- ment devant
t à la suite de ses accès, non seulement comme intensité mais comme
forme
. Coefficient urotoxique calculé sur 775 c. c. e
ransitoires, celles, où le trouble de la vision (quelle que soit la
forme
et l'intensité qu'il présente) dure un temps très
r les différents auteurs, a le défaut d'indiquer simplement une des
formes
cliniques, assez variables, selon lesquelles l'
opie transitoire plus largement, d'en subordonner les différentes
formes
cliniques aux connaissances de la- physiopatholog
ce travail. Nous nous proposons, donc, d'examiner les différentes
formes
de l'amblyopie transitoire, surtout les moins étu
ou- bles de la parole, etc.) peut en accompagner n'importe quelle
forme
, nous croyons préférable d'énumérer d'abord les t
ion et ses rapports avec les différentes maladies nerveuses. 1er.
FORMES
CLINIQUES DE l'amblyopie transitoire. A la véri
puisque plusieurs cas d'amblyopie transi- toire nous présentent des
formes
mixtes (par exemple hémiopie ou véritable migra
z le même malade les accès d'amblyopie peuvent se succéder avec des
formes
différentes. Néanmoins, il nous a paru utile de
dans les conclusions sur la physiopathologie de l'affection. a).
Forme
du scotôme scintillant. Les premiers cas d'amau
est considéré comme un symptôme prodromique de la migraine. Cette
forme
d'amblyopie transitoire peut se présenter, ainsi
souvent précédé ou suivi de maux de tête, dont l'hémicraine est la
forme
habituelle, parfois encore de nausées et de vomis
- Dans le cas de Dianoux (13), le scotôme revêtait quelquefois la
forme
hémiopique (amblyopie dans la moitié droite du ch
inoculaire) et son' bord tourné vers le point de fixation avait une
forme
concave. Après cinq minutes' le scintillement a
otôme scintillant et; en général, il en est de même pour les autres
formes
d'amblyopie transitoire. ' - Chez les sujets dé
des causes occasionnelles, telles que nous les avons rappelées. b).
Forme
de migraine ophtalmique, proprement dite. Dans
s. b). Forme de migraine ophtalmique, proprement dite. Dans cette
forme
de névrose, le syndrome migraineux est ce qui f
cin.. Quant l'amblyopie,' elle peut se présenter sous différentes
formes
(hémiopie, scotôme périphérique, etc.) et elle pe
uite d'années non accompagnés du syn- drôme migraineux. Ce sont les
formes
de migraine ophtal- mique que l'on a appelées f
les accès de migraine et d'amblyo- pie temporaire peuvent alterner (
formes
dissociées de la migraine ophtalmique) ou se pr
t le travail du matin, entre 6 et 7 heures, et prenaient parfois la
forme
du scotôme central bilatéral, parfois encore la
nt parfois la forme du scotôme central bilatéral, parfois encore la
forme
hémiopique. De quinze à vingt ans les attaques
raine continue plusieurs heures encore, ou toute une journée. c).
Forme
hémiopique et rétrécissement concentrique du ch
nt concentrique du champ visuel. Nous examinerons ensemble ces deux
formes
de l'amblyopie transitoire, qui, liées l'une à
t leur origine de lésions organiques de l'encéphale ', peut être la
forme
de scotôme sous laquelle, comme nous venons de
e médiane. Une observation intéressante d'amblyopie transitoire à
forme
d'hémiopie homonyme (à droite), est encore celle
(Galézowski). La diminution du champ visuel atteint plus souvent la
forme
d'un rétrécissement latéral du champ visuel, qu
itoire accompa- gnée de migraine et d'autres troubles nerveux, sous
forme
de rétrécissement concentrique soudain du champ
e ont été remplacées par de l'am- blyopie transitoire, revêtant des
formes
diverses. Les attaques sont caractérisées par d
eux yeux- pendant dix à quinze minutes. L'amblyopie n'a jamais la
forme
typique de l'hémiopie latérale. L'obscurcisseme
aut en bas, tantôt de bas en haut, affectant dans les deux yeux, la
forme
d'une hémiopie supé- rieure ou inférieure. Da
ans les mêmes conditions. d). Amblyopie transitoire centrale. Cette
forme
paraît moins fréquente que la forme hémiopique.
pie transitoire centrale. Cette forme paraît moins fréquente que la
forme
hémiopique. Non rarement, néanmoins, l'amblyopi
garder de côté. » ¡ . Nous pouvons rattacher cette observation à la
forme
de, l'amblyopie transitoire. '213 'scotôme sc
ole pendant les accès d'amblyopie. transitoire, de n'importe quelle
forme
, se rencontrent assez fréquemment. Ils tiennent
e l'aphasie transitoire s'observe le plus souvent, lorsque dans les
formes
associées d'amblyopie transitoire, les troubles
u bras et à la face, quelquefois enfin à tout le côté du corps sous
forme
d'hémiplégie complète (Féré). 2. Rapports de
des symp- tômes de cette maladie le mal de tête et ses différentes
formes
. Parmi ces formes il y a.la migraine ophtalmiqu
e cette maladie le mal de tête et ses différentes formes. Parmi ces
formes
il y a.la migraine ophtalmique, et il est facil
mes. La présence de l'amblyopie transitoire, quelle qu'en soit la
forme
, dans le syndrôme de la neurasthénie, ne nous éto
s parlons. L'amblyopie transitoire survient (le plus souvent sous
forme
de migraine ophtalmique) chez les hystériques, à
ètes et si sûres, pour nous per- mettre un diagnostic certain. La
forme
hémiopique de l'amblyopie transitoire peut se ren
ophtalmique due sûrement à l'hystérie, dans quatre d'entre elles la
forme
hémiopique de l'amblyopie transitoire est notée :
ce, sans vertige, sans phénomènes lumineux, peut constituer une des
formes
du petit mal, c'est-à-dire en remplacer les att
it. Nous la devons encore à M. Parinaud, et elle démontre aussi une
forme
rare de l'am- blyopie transitoire. , M. Haz..
de la langue, et enfin se propage à la jambe du même côté. Cette
forme
est la forme brachiale, mais si le trouble débute
, et enfin se propage à la jambe du même côté. Cette forme est la
forme
brachiale, mais si le trouble débute dans la fa
ns la face pour envahir ensuite le bras et la jambe, nous aurons la
forme
faciale, et s'il commence par le pied et monte
le membre inférieur, puis dans le bras et dans la face, ce sera la
forme
crurale. Ces trois formes d'épilepsie partielle
dans le bras et dans la face, ce sera la forme crurale. Ces trois
formes
d'épilepsie partielle sensitive répètent les tr
Ces trois formes d'épilepsie partielle sensitive répètent les trois
formes
classiques de l'épilepsie partielle motrice (épi-
tout entière, et il peut souvent s'associer à des troubles moteurs (
formes
mixtes sensitivo-motrices) ou à des troubles se
occuper des complications motrices de l'épilepsie partielle et des
formes
de transition avec l'épi- lepsie complète (peti
partielle, sensitive ou sensitivo-sensorielle. Dans cette dernière
forme
, les symptômes sensoriels sont justement les tr
1. - Migraine ophtalmique, accès d'épilepsie partielle consécutive (
forme
mixte). M. llfouch... (cinquante ans), consulta
-à-dire il y a cinq ans. Il les avait seulement du côté droit, sous
forme
d'un petit scotôme, placé un peu en bas et à dr
lepsie partielle sont accompagnés d'amblyopie transitoire; soit à
forme
de scotome scintillant, soit de véritable migrain
à l'Académie de médecine. ! Bernard. De l'aphasie et de ses diverses
formes
. Th. de Paris, 1885; .2° édition, 1889. 3 Ja
ont là pour leur répondre : « que ces investigations ont donné- une
forme
plus vraie à une des plus importantes dock trin
es circonvolutions cérébrales. Il met- tait en évidence l'ordre, la
forme
et la régularité qui président à l'agencement d
s. Il enseignait aussi que les phénomènes d'une attaque épilepti-
forme
partielle et unilatérale, se montraient concurrem
ent ou indirectement en relation avec les fonctions organiques, les
formes
de la sensibilité, qui entrent si largement dans
- tique, et ont rendu fort probable cette opinion, que toutes les
formes
de l'épilepsie ont leur point de départ dans une
ividu a longtemps vécu après l'opération. La 248 " THÉRAPEUTIQUE.
forme
et le caractère de ces orifices prouvent qu'ils f
ence. Quoique bien des cas de fractures par enfoncement et autres
formes
de lésions traumatiques puissent sembler guérir s
ont été poussées plus loin, et où on aura déterminé les différentes
formes
de l'aberration mentale avec plus de certitude
s remarquables succès de la chirurgie en ce qui concerne les autres
formes
de maladie céré- brale, ont fait naître l'appli
et la formation des circonvo- lutions. Cela est si vrai qu'il ne se
forme
plus de circonvolutions à l'époque où commence,
he superficielle des cir- convolutions s'accroît rapidement, il s'y
forme
des cellules nerveuses, tandis que le système d
les circonvolutions s'épaississent et se plissent, mais il ne s'en
forme
pas de nouvelles. P. KERAVAL. II. ELECTROPHTHAL
nzine, gaz hilarant); le type mélancolique (kawa, licheguana) ; les
formes
mixtes et les états vésaniques (toujours sympto
aison des empoisonnements psychiques. Enfin l'auteur énu- mère sous
forme
d'axiomes très nets les caractères généraux de
l y a inflammation, la paralysie infantile ordinaire constituant la
forme
grave (hémiplégie, convulsions, arrêt de déve-
convulsions, arrêt de déve- loppement, contractures), tandis que la
forme
signalée dans cet article serait la forme attén
tractures), tandis que la forme signalée dans cet article serait la
forme
atténuée (ni paralysie, ni contractures). La pr
rois et quatre semaines de durée), sans encéphalite interstitielle.
Forme
du délire aigu. Inflammation diffuse de la pie-
lifaré, les noyaux se sont multipliés, cette hypergenèse affecte la
forme
d'un coin qui, péné- trant en arrière de la pap
aumatique, des lésions du crâne, le surmenage physique. Quant aux
formes
morbides, si nous établissons deux groupes : 1°
out. Devant un fond clair, elle voit flotter des organites ayant la
forme
de fleurs bleues et jaunes, mais dont les parti
logique que les attaques de sommeil complexes, exactement comme les
formes
diverses du petit-mal et de l'équivalent psycho
intermittentes; par la suite, il s'établit définitivement sous une
forme
plus ou moins rémittente. Le plus souvent il n'ap
ions suivantes : . . 1° D'une façon générale, et quelle que soit la
forme
ou l'inten- sité de leur affection, les mélanco
s les idées délirantes spéciales. C'est ainsi que les vésa- nies de
forme
intermittente, avec idées de négation, ne guériss
héréditaire de ceux-ci est lourde; 7° dans les folies séniles, de
forme
dépressive, on note assez souvent des idées de né
de ne pouvoir jamais mourir; état de chronicité spécial à certaines
formes
graves de mélancolie anxieuse, intermittente ou
es variétés de mélancolie anxieuse grave où il se présente sous une
forme
simple, concrète et pour ainsi dire typique, le
s un grand nombre de maladies mentales diverses, tandis que sous sa
forme
typique, c'est-à-dire jointe aux autres élément
ent en ce derniur cas se systématiser et l'on rentre alors dans les
formes
habituelles aux individus plus jeunes. Enfin, les
teurs, sceptiques, damnés, pourris, immortels. Kroepelin décrit une
forme
qu'il ap- pelle Wahnsinn depressiver, où l'on r
sation, de culpabilité, de négation, d'énormilé, de grandeur. Cette
forme
, produit d'un cerveau peu valide, est distingué
cliniques tout différents. Certains cas sembleraient constituer des
formes
de passage entre les états mélan- coliques et l
xiste des idées délirantes de négationqu'on rencontre dans diverses
formes
mentales. Cotard lui-même a posé cette distinct
n signe de chronicité, mais non d'incurabilité absolue. Ce sont les
formes
intermittentes qui semblent pouvoir guérir plut
TÉS SAVANTES. 291 vérité clinique. Parmi les mélancolies il est des
formes
anxieuses, communes, curables, et d'aulres prés
SOCIÉTÉS SAVANTES. confirmant les vues de Cotard, l'existence d'une
forme
évolutive analogue à ce qu'on voit chez certain
ier, que je l'ai été de voir con- tester jadis l'existence de cette
forme
systématique et progressive du délire des persé
nsi qu'une question qui se présente le plus fréquemment et sous des
formes
les plus diverses au médecin aliéniste est celle
des questions seront potées. C'est la même question sous une autre
forme
. Le médecin qui a eu à traiter les ascendants i
u reste, qu'une variété du secret en général qui, lui, n'est qu'une
forme
du devoir. Il n'y a vraiment que deux cas dans
ont envoyé dans les asiles que 262 aliénés appartenant à toutes les
formes
de l'aliénation mentale et, par conséquent, le
e d'y revenir à nouveau. Je me borne donc à les transcrire ici sous
forme
de conclusions : 1° Création de services spéc
agricoles n'excluent pas la colonisation familiale sous toutes ses
formes
; les différentesmé- thodes correspondent seulem
de persécution de ses malades. On ne les rencontre guère sous cette
forme
que dans les délires liés à la mélancolie et c'
fection. Ils n'ont rien de spécifique et peuvent revêtir toutes les
formes
. Ils relèvent en réalité de l'association au go
gmates physiques ou psychiques (obsessions et impulsions), enfin la
forme
de leurs accès délirants. L'association de la m
grande influence ; mais son rôle se borne là, elle ne crée pas les
formes
du délire qui sont celles habituelles aux alién
ient ou non des antécédents syphilitiques, cela n'influe pas sur la
forme
de la paralysie générale. Il n'y a pas de paral
t pas de délire, lésion qui a été retrouvée depuis Jendrassik. La
forme
délirante vraiment caractéristique du tabès est u
re alors chez eux des traces de l'ancien délire. D'autre part, la
forme
de trouble mental qui accompagne la forme de sc
élire. D'autre part, la forme de trouble mental qui accompagne la
forme
de sclérose systématique intéressant tout le syst
fester par l'une quelconque de ses expressions motrices. Les deux
formes
cliniques que je viens de décrire ont été jusqu'à
s sur la microcéphalie (mot générique sous. lequel il désigne les
formes
multiples de l'idiotie) : 1° ossification prématu
es sur 6 millimètres. Puis, M. Lannelongue a modifié le siège et la
forme
des incisions. A propos de cette note, M. Ver
tion de vingt-neuf crânes d'idiots appartenant à presque toutes les
formes
de l'idiotie * et d'où il ressort que les sutur
raphies prises d'année en année de dix malades atteints de diverses
formes
d'idiotie et sur lesquelles il est facile de se
M. Séglas lit, au nom de M. CHASLIN (de Paris), une note sur une
forme
distincte de maladie mentale aiguë, la confusion
es cas de ce genre ne sont pas classés actuellement en France comme
forme
distincte. Ils devraient l'être pourtant, car c
nce comme forme distincte. Ils devraient l'être pourtant, car cette
forme
est connue en Allemagne sous le titre de Werwir
conclusion de la note de M. Chaslin est la suivante : 11 existe une
forme
de maladie mentale, aiguë ordinairement, qui n'
t être séparée de ce que l'on appelle « dégénérescence ». C'est une
forme
intermédiaire entre les psychoses et les folies
r M. Dela- siauve, en ajoutant primitive, afin de la distinguer des
formes
où il y a aussi confusion, mais secondaire et s
ût mérité d'être détaillé; je ne vois pas la nécessité de créer une
forme
à part pour les faits de confusion qui ne sont
llement avoir eu la prétention de donner, ni un mot nouveau, ni une
forme
nouvelle, car il fait tout l'historique de la q
itement de l'aliénation men- tale. Ils l'emploient surtout dans les
formes
maniaques, la méthode d'action étant la méthode
sent peu au courant des connaissances médicales sur les différentes
formes
d'idiotie et sur leur traitement. « L'état de c
agnostic. Ces observations concernent : a). Quatre cas d'hystérie à
forme
d'épilepsie par- tielle ; b). Un cas d'apoplexi
généralement à l'hémiplégie hystérique. Observation I. Hystérie il
forme
d'épilepsie partielle sensitive. Mme Gi... enlr
toujours souffert de douleurs à la tête, tantôt diffuses, tantôt à
forme
de migraines : en outre de cela elle ressentait
es articulations. Deux ou trois fois par semaine elle a des accès à
forme
d'épilepsie sensitive. Ils ont le caractère du
nt : , qui lui sont arrivés. 1 MAItCHE DE la maladie. Les accès à
forme
d'épilepsie sensitive continuèrent à se manifes
ée; d'autre part, nous avons fait remarquer que l'accès épilepti-
forme
se manifestait constamment du côté du corps sur l
ertain temps séparément, s'associer tout d'un coup pour prendre une
forme
396 pathologie NERVEUSE. d'accès. Dansl'obser
rique. Nous rappellerons seulement qu'il y a lieu de distinguer des
formes
généralisées, localisées et sys- tématisées '.
ma- ladies qui pourraient avoir donné origine aux accès épilepti-
formes
nous allons voir qu'aucune d'elles ne pourrait êt
ptique, décrite par le docteur J. Lombroso 3 ? - Il manque de cette
forme
les phénomènes les plus caractéristiques, la ri
les acquièrent t la valeur d'une idée. Observation II. Hystérie à
forme
d'épilepsie partielle motrice. Cha..., âgé de t
gnent de diplopie et des étourdissements qui se présentent sous une
forme
accessionnelle. Qu'étaient ces accès ? Etaient-
t à inter- rompre son travail; cette sensation se présente sous une
forme
d'accès et s'accompagne de céphalée, de diplopi
façon à pouvoir reprendre son travail ? Comment s'expliquer leur
forme
d'accès en union aux autres phénomènes qui exis-
ravant ? Il nous paraît plus logique de les inter- préter comme une
forme
pas encore complète d'attaques hys- tériques.
grave et aggravation de la céphalée, diplopie, étourdissements sous
forme
d'accès ; léger trauma- tisme : paralysie et tr
t cette période le malade n'a pas présenté d'attaques. En outre, la
forme
du rétrécissement est très régulière comme on p
et sur l'évo- lution de la maladie. OBSERVATION III. - Hystérie à
forme
d'épilepsie partielle crurale. Bar..., âgé de d
oite et suivies de perte de la connaissance (attaques hystériques à
forme
d'épi- lepsie partielle). Dans les intervalles,
LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 417 Observation IV. Hystérie à
forme
d'épilepsie partielle motrice simulant l'évolut
on nous parait avoir plutôt le caractère d'une attaque hystérique à
forme
syncopale que d'un ictus apoplectiforme ou d'un
n pour ainsi dire générale, l'influenza dans notre cas a donné leur
forme
à certaines manifestations de l'hystérie. Nous
a). Si nous avons insisté dans les paragraphes précédents sur les
formes
de l'amblyopie transitoire et sur les autres synd
° 72, sept. 1892, p. 203. 424 4 CLINIQUE NERVEUSE. réfléchie sous
forme
d'incitation vaso-motrice jusqu'aux vais- seaux
eurs zones à la fois. » L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 427 Du reste, la
forme
del'hémiopie, on plutôt de certains cas de rétr
s points symétriques du champ visuel des deux yeux : .' donc, cette
forme
d'amblyopie transitoire peut être rangée parmi
e chaque rétine. Le scintillement peut accompagner n'importe quelle
forme
d'amblyopie transitoire, monoculaire ou binocul
e l'ouïe ou de la vue peuvent présenter une cer- taine constance de
forme
(toujours la même voix, la même vision), et pro
deux yeux et du même côté du champ visuel (hallucination visuelle à
forme
hémiopique), le phénomène se rapporte aux cas p
lles de l'écorce occipitale. c). Considérons maintenant en quoi les
formes
hémiopiques de l'amblyopie transitoire peuvent
é atteinte du champ visuel, nul doute que l'amblyopie transitoire à
forme
hémiopique ne se rapporte pas ' Parmi les obser
burg et de Gowers'; et c'est surtout dans l'amblyopie transitoire à
forme
hémianopique qu'il sera intéressant d'examiner
ons inter- calaires de la vision. 1 Ce serait la cécité verbale à
forme
sensorielle, selon Angelucci (42), c'est-à-dire
t les mêmes caractères essentiels et concomit- tants que les autres
formes
de l'amblyopie transitoire, de sorte que rien n
tre d'autre locali- sation que dans l'écorce cérébrale. Quant aux
formes
plus rares de l'hémiopie transitoire, l'hé- mio
que ceux dans lesquels le scotôme scintillant, ou n'importe quelle
forme
d'amblyopie, constituent à eux seuls toute l'at
geons le syndrome migraineux et l'amblyopie transitoire comme des
formes
rudimentaires de troubles nerveux, le plus souven
onstituer une entité, une unité mor- bide, et parmi ses différentes
formes
tellement différentes, l'amblyopie transitoire.
sens général du mot, et l'amblyopie transitoire. Il est vrai que la
forme
hémiopique, si fréquente .dans l'amblyopie tran
rencontre déjà plus souvent : elle constitue, dans ses différentes
formes
liées avec la migraine, ou avec d'autres névral
tôme scintillant, dont la mère a souffert d'amblyopie transitoire à
forme
hémiopique et parfois scintillante, se présente
l'am- blyopie transitoire, considérons rapidement les différentes
formes
de ce trouble, pour les mettre d'accord avec leur
cté, c'est justement parce que le trouble visuel a, dans ce cas, la
forme
hémiopique, et nous savons que, dans l'hémiopie
hère ; mais, il y a des cas où nous pouvons déduire sûrement, de la
forme
de l'amblyopie, une affection des deux hémisphè
région maculaire de la rétine (cônes) sert surtout à la vision des
formes
et les parties périphériques (bâton- nets) à la
ait simplement à noter dans les cas d'ambliopie transitoire, quelle
forme
ce trouble visuel présente (scotôme périphérique
transi- toire qui a la valeur la plus grande, quelle qu'en soit la
forme
: seulement, lorsque le syndrome migraineux, ou
ielle, l'amblyopie transitoire consi- dérée comme épiphénomène. Les
formes
dissociées de migraine ophtalmique, sur lesquel
deux yeux à la fois plus souvent qu'un seul oeil; de sorte que la
forme
la plus fréquente de l'amblyopie transitoire est
un point de vue général, et en y considérant toutes les différentes
formes
symptomatologiques, il est très facile de recon
cotôme et parfois du scintillement dans le champ visuel. Les deux
formes
, monoculaire et hémiopique, de l'amblyopie tran
scintillant ou hémianopsie à droite) est atteint; mais, les autres
formes
de l'amblyopie tran- sitoire nous démontrent qu
ner le sujet pendant sa durée, on peut en contrôler au périmètre la
forme
et l'étendue. L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 445 Le
s ces idées, la notion de la couleur des fleurs, la couleur et la
forme
du chat, puis de nombreuses images d'odorat, de t
nt me dire : « Vous décrivez là les symptômes de l'aboulie, une des
formes
de la folie du doute, et les sujets dont vous r
cette malade. Mais aujourd'hui, après avoir étudié les nom- breuses
formes
d'hystérie qui se rencontrent dans ce service,
s monosymptomatiques au moral comme au physique, et qu'une certaine
forme
d'aboulie ou d'amnésie est caractéristique de c
suggestion; j'ai été obligé de laisser bien des points de côté. Les
formes
variées que la suggestion peut prendre, ses eff
sieurs maladies mentales, et en particulier dans l'hystérie dont il
forme
un symptôme essentiel. Cette aboulie n'est pas
e songer à la sclérose en plaques : vertiges, attaques apoplecti-
formes
, troubles oculaires, troubles de la parole, tremb
des aliénés criminels internés à cet asile. Rapportés aux diverses
formes
REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 479 d'aliénation me
l'in- fluence que pourraient exercer sur leur état mental d'autres
formes
d'assistance, telles que la colonie agricole. E
fectifs, les aberrations du sens génital, etc. Enfin, on trouve des
formes
mixtes dans lesquelles on rencontre à la fois l
eut éviter de les accomplir. Les extravagants constituent l'une des
formes
les plus souvent observées de dégénérés : ces d
hez les dégénérés les dis- positions morales les plus diverses; les
formes
d'aliénation mentale qui en résultent présenten
n rapide caractérisent, en général, chez les dégénérés nerveux, les
formes
d'aliénation men- tale qu'ils présentent. L'a
z les dégénérés à conduite extravagante peut d'ailleurs prendre les
formes
les plus diverses; on observe quelquefois un vé
ves, t. XXIV. 31 482 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. morale. Dans cette
forme
de délire rentrent les obsessions et les impuls
mé dico-légales. En résumé, on peut observer chez les dégénérés les
formes
d'alié- nation mentale les plus diverses lesque
'individu a été atteint. L'aliénation mentale revêt elle-même une
forme
insolite dans ses phases comme les manifestatio
ur de bras. Quand sa femme est calmée, elle lui semble reprendre sa
forme
ordinaire. Tant et si bien qu'à force de frappe
les pre- mières expériences sur le méthylal, c'est surtout dans ces
formes
vésaniques que cet hypnotique aurait réussi. M.
nvironnants. Les autres, incons- cients, sont remarquables par leur
forme
systématique et coor- SOCIÉTÉS savantes. 493
s résultant de l'ob- session de cogner. Il s'agit là d'une nouvelle
forme
de dégénéres- cence intéressante à signaler. La
dominale. L'auteur fait remarquer qu'il existe toute une variété de
formes
de cellules dans le cerveau et dans la moelle.
on n'a plus finalement qu'un grumeau faiblement coloré prenant les
formes
les plus différentes. En regardant bien, on ape
s, M. Sénator appelle, à juste titre, notre attention sur certaines
formes
de rigidité spasmodique des membres congénitale
contraction qu'une contrac- tion certaine. Passons maintenant aux
formes
moyennes de la réaction dégé- néralive dont nou
graisseux secondaire, il n'y a aucune différence au fond. Ces trois
formes
sont de la sclérose. C'est l'atrophie des fibres
uë; à l'état , SOCIÉTÉS SAVANTES. 509 de foyer scléreux - sous la
forme
multiloculaire et disséminée sous la forme diff
foyer scléreux - sous la forme multiloculaire et disséminée sous la
forme
diffuse, à son tour en rapport avec les lésions s
lle. Enfin la maladie de Morvan (syringomyélie) est une cinquième
forme
des affections chroniques de la moelle. Séance
utive à l'intoxication -, par Popoff, 78. - Paralysie générale, à
forme
circu- laire, par Rottenbiller, 72; - trouble
iel considérable, mais nécessairement d'un caractère particulier, qui
forme
ce que j'appellerai l'ancien fonds, le seul que,
al, les cas très accentués, réputés incurables, sont seuls admis. Les
formes
légères, atténuées, y font défaut. On n'y apprend
consultation externe, et à celle-ci un service d'hôpital1. Tout cela
forme
un ensemble dont les parties s'enchaînent logique
te, reconnus de tous, des cadres jusque-là restés vides ou remplis de
formes
confuses, celte création, dis-je, appartient tout
gaces, qu'elle est toujours présente, à un degré quelconque, dans les
formes
frustes, anormales, lesquelles ont pu, ainsi, êtr
s, l'affection spinale d'origine articulaire s'est présentée sous une
forme
bénigne, l'issue sera favorable, et Iraire très
ns proposé la dénomination de grande hystérie pour caractériser celle
forme
et remplacer ce mot d'hystéro-épilepsie à crises
e circonstance, et qui présente le tic facial non douloureux, sous sa
forme
commune. C'est une ancienne hystérique, ou plutôt
appellerai que j'ai proposé de ramener à trois types fondamentaux les
formes
très variées sous lesquelles cette affection se p
adie, qui présente les mêmes caractères de chronicité d'emblée que la
forme
précédente, reste en général localisée sur une ou
dire que l'arthrite sèche est le subslratum anato-mique de toutes ces
formes
cliniques ; mais, à chacune d'elles répond une mo
elles répond une modification du type anatomo-pathologique. Ces trois
formes
, en effet, ne sont pas absolument séparées ; elle
depuis longtemps en chirurgie que, dans certaines arthrites, dans les
formes
douloureuses en particulier, les jointures affect
à deux types fondamentaux auxquels peuvent être rattachées toutes les
formes
accessoires. Nous signalerons les traits commun
primitive, nodosités des jointures, rhumatisme articulaire chronique {
forme
primitive'), Thèse de Paris, 4 853. Voici maint
je le répète, que ce cas, aujourd'hui que l'on sait qu'il existe une
forme
de paralysie générale où le délire ambitieux ne f
énérale où le délire ambitieux ne figure pas, désignée sous le nom de
forme
paralytique, ou de paralysie générale sans aliéna
sements sans motif, affaiblissement de la mémoire. Il y a, dans cette
forme
, prédominance des troubles moteurs, embarras de l
eur intelligence soit affaiblie. 4° Variété congestive ; dans cette
forme
on observe des sé ries d'attaques dites congest
at permanent. Ces attaques dites congestives sont variées dans leur
forme
; ainsi, tantôt c'est une attaque apoplectiforme
début qui s'est produite chez notre malade, et chez lui, les diverses
formes
d'attaques se sont succédées en quelque sorte.
e temporaire, des attaques épileptiformes, etc.3. Or, même dans ces
formes
plus graves, la migraine peut s'établir à l'état
jeune Bl..., qui présente l'hémianeslliésie des hystériques, dans sa
forme
tout à fait classique et bien propre à l'étude. D
on ; il existe, en outre, souvent des troubles dans la perception des
formes
; on relève encore l'obnubilation des sensations
rs on dit qu'il y a achromatopsie totale. La malade reconnaît bien la
forme
des objets, mais les voit en gris, comme une phot
nt les phénomènes qui se rencontrent très vulgairement dans la grande
forme
de l'hystérie chez la femme, et sur lesquels je v
tracture. — Hystérie chez l'homme, fréquence, hérédité, âge adulte. —
Formes
frustes. — Contracture d'origine traumatique. M
ue, chez l'homme comme chez la femme, la névrose se manifeste sous la
forme
fruste, à la manière d'un type effacé; et il est
i dépouillée de ces grands attributs classiques, c'est-à-dire sous la
forme
fruste ; et c'est justement ce qui se présente ch
'est bien l'hystérie qui est en jeu. J'ai dit déjà qu'il s'agit d'une
forme
fruste de la névrose ; il n'y a pas eu d'attaques
nd la lésion primitive a pour siège le sein, et quand il s'agit de la
forme
squirrheuse. Quand elles sont limi tées aux corps
à un cancer du sein, surtout au squirrhe, qui peut se manifester sous
forme
d'une simple dépression indurée de la peau, dont
et ont été publiées en langue italienne par le D'-ltummo (Différente
forme
d'afasia, Milano, 1884). Une analyse en a été don
d'une pureté vraiment remarquables. Us nous permettront d'étudier les
formes
fondamentales du syndrome aphasie, dégagées, ou p
e ne me trompe, un des plus beaux exemples qui se puissent voir de la
forme
d'aphasie qui, dans ces derniers temps, a été étu
changement de l'écriture, les lettres étant plus verticales et d'une
forme
plus enfantine et par quelques fautes d'orthograp
t 6 mois après, ces fautes ont disparu, et que l'écriture a repris sa
forme
normale. A partir de la même époque, il s'est a
combien sont profondément distinctes les unes des autres les diverses
formes
de l'aphasie, alors qu'elles se présentent, chose
initiateurs dans l'étude, encore peu vulgarisée parmi nous, de cette
forme
clinique. Notre cas, ajoutai-je, se distingue de
rnicke2, au contraire, appartient la première description d'une autre
forme
d'aphasie, sur laquelle j'aurai à vous exposer qu
sion brusque et isolée de la vision mentale des signes et des objets (
formes
et couleurs)1. Sommaire. — Gall, Gratiolet, Rib
Ribot. Des mémoires partielles. — Destruction partielle des diverses
formes
de la mémoire. - Mémoire visuelle. — Observation
urs, locales. » Or, s'il est vrai qu'à l'état normal « les diverses
formes
de la mémoire » — c'est toujours M. Ribot qui par
ut une indépendance relative, il est naturel qu'à l'état morbide, une
forme
disparaisse, les autres restant intactes. C'est u
s, l'existence en pathologie de cette suppression isolée de l'une des
formes
de la mémoire. Il s'agit, dans ce cas, de la pe
perte de la vision mentale des objets (Mental lmagery de Galton 1) —
formes
et couleurs, survenue subitement chez un sujet, q
ait, au premier appel, la représentation des traits des personnes, la
forme
et la couleur des choses avec autant de netteté,
ait devenu nerveux et irritable. En tous cas, la mémoire visuelle des
formes
et des couleurs avait complètement-. disparu, ain
peu à peu qu'il pouvait, par d'autres moyens, en invoquant d'autres
formes
de la mémoire, continuer à diriger convenablement
. Kuss-maul. Ces trois grands types n'excluent pas, d'ailleurs, les
formes
mixtes de transition. Si, pour plus de commodit
i-ques. — Myopathies primitives. — Paralysie pseudo-hypertrophique. —
Forme
juvénile de Erb. — Myopathie sans changement de v
e juvénile de Erb. — Myopathie sans changement de volume des muscles.
Forme
de Leyden. — Analogies de la paralysie pseudo-hyp
de Leyden. — Analogies de la paralysie pseudo-hypertrophique et de la
forme
juvénile de Erb. — Forme infantile héréditaire de
la paralysie pseudo-hypertrophique et de la forme juvénile de Erb. —
Forme
infantile héréditaire de Duchenne (de Boulogne).
ditaire de Duchenne (de Boulogne). — Ses caractères. — Cette dernière
forme
est analogue aux précédentes.— Paralysie pseudo-h
forme est analogue aux précédentes.— Paralysie pseudo-hypertrophique,
forme
juvénile de Erb, forme de Leyden, forme infantile
précédentes.— Paralysie pseudo-hypertrophique,forme juvénile de Erb,
forme
de Leyden, forme infantile héréditaire de Duchenn
ralysie pseudo-hypertrophique,forme juvénile de Erb, forme de Leyden,
forme
infantile héréditaire de Duchenne (de Boulogne);
s un travail de MM. Marie et Guinon, intitulé : Sur quelques-unes des
formes
cliniques de la myopathie progressive primitive.
s nouvelles et plus attentives, on les sépare en un certain nombre de
formes
distinctes, comme je l'ai fait pour la sclérose l
modernes détachent tous les jours du type Duchenne-Aran. Sous quelle
forme
nouvelle vont-ils se présenter à nous ; dans quel
tions cliniques qu'on ne l'avait soupçonné tout d'abord. Mais cette
forme
de myopathie, la paralysie pseudo-hyper-trophique
, un relief énorme, donnant à un membre ou à un segment de membre des
formes
herculéennes. Anatomiquement, cette hypertrophie
ce de ces organes, vous constatez que s'ils sont herculéens quant aux
formes
, ils sont loin de l'être quant à la force; il exi
soient bien distinctes l'une de l'autre. Il existe encore une autre
forme
d'atrophie musculaire sans neuropathie qui attein
Erb (d'Heidelberg), a décrite dans ces derniers temps sous le nom de
forme
juvénile de V atrophie musculaire progressive et
ssive et qu'il considère avec raison comme parfaitement distincte des
formes
spinales jusque-là décrites 1. Prof. W. Erb. —
ro-phie,- etc. {Deutsch. 'Archiv, für Min. -Median, 1884). ... : La
forme
en question n'est peut-être pas tout à faifnouvel
tte diminution de volume des muscles pourrait conduire à confondre la
forme
d'Erb avec la maladie d'Aran-Duchenne, et de fait
le fait remarquer M. Erb, pourraient parfaitement être rapportés à la
forme
juvénile. Mais celle-ci se distingue cependant de
inctifs. Ce sont, entre autres : le mode d'envahissement qui, dans la
forme
juvénile, ne se fait jamais par les mains (éminen
natomo-pathologique, l'absence complète de toute lésion spinale. La
forme
juvénile décrite par M. le professeur Erb est don
présenter un cas qui marque, en quelque sorte, la transition entre la
forme
juvénile avec amyotrophie d'un côté et la paralys
c, pour ainsi dire, au point de vue de .l'impotence fonctionnelle, la
forme
d'atrophie juvénile d'Erb, moins l'atrophie, et l
pparence normaux, quant au volume. Où faire rentrer ce cas, dans la
forme
juvénile deErb, dans la paralysie pseudo-hypertro
Aran. Mais ce n'est pas tout; je vais encore vous montrer deux autres
formes
d'atrophie musculaire, qui faisaient autrefois pa
urs atteints de la même maladie, «e cas me semble 1 se rapporter à la
forme
décrite par M. le professeur Leyden, sous le nom
porter à la forme décrite par M. le professeur Leyden, sous le nom de
forme
héréditaire de latrophie musculaire progressive,
un des caractères serait de débuter par les membres inférieurs. Cette
forme
, d'ailleurs, ne s'éloigne pas sensiblement, à ce
es, de cause non spinale. Nous voici donc déjà en présence de trois
formes
cliniques, à savoir : la paralysie pseudo-hypertr
s formes cliniques, à savoir : la paralysie pseudo-hypertrophique, la
forme
juvénile de W. Erb, la forme héréditaire de Leyde
: la paralysie pseudo-hypertrophique, la forme juvénile de W. Erb, la
forme
héréditaire de Leyden, qui, distinc-tes par certa
aient bien être identiques au' fond. Passons maintenant à une autre
forme
que Duchenne (de Boulogne) a décrite comme représ
l'atrophie musculaire progressive et à laquelle il a donné le nom de
forme
infantile de l'atrophie musculaire progressive. E
e trouve in extenso dans un mémoire de MM. Charcot et Marie : Sur une
forme
spéciale d'atrophie musculaire progressive débuta
hie musculaire progressive débutant par les jambes et distincte de la
forme
de Leyden, (Revue de médecine, février 1886.) t
imum d'occlusion des yeux auquel peut arriver la malade. 1er, cette
forme
infantile est héréditaire et l'on peut retrouver
cription de l'affection musculaire rentre absolument dans celle de la
forme
juvénile de Erb. L'atrophie des muscles du bras e
l essaye de le faire, l'orbiculaire se contracte inégalement et il se
forme
au niveau de la lèvre supérieure comme une sorte
ophie musculaire progressive de cause spinale. Voilà, Messieurs,une
forme
bien originale ; le début par la face est bien pa
-ce là un caractère spécifique et doit-on, à cause de cela, créer une
forme
spéciale? Je ne le crois pas. Faites abstraction
participation de la face et vous aurez chez vos malades l'image de la
forme
juvénile d'Erb. Il est donc très vraisemblable qu
de nombreux points de contact, pour ne pas dire plus, entre ces deux
formes
, et par conséquent, une analogie avec la paralysi
e part des cas dans lesquels le début aurait eu lieu par les membres (
forme
juvénile) et où la face n'aurait été prise que ta
encontrés. Il existe un cas de M. Remak où le début a été celui de la
forme
juvénile ordinaire, c'est-à-dire où les membres s
histoire d'une famille chez laquelle deux des enfants présentaient la
forme
juvénile d'Erb à début par les membres supérieurs
ar les membres supérieurs, alors que le troisième était atteint de la
forme
à début facial, avec pseudo-hypertrophie des memb
ment d'une variété. Donc, en tenant compte des cas de transition, les
formes
si diverses que nous avons énumérées, distinctes
t à titre de variétés :. 1° la paralysie vscudo-hypertrophique; 2° la
forme
juvénile de l'atrophie musculaire progressive du
usculaire progressive de F enfance de Duchenne {de Boulogne) ; 4° ces
formes
de transition, telles que je vous en ai montré un
l'atrophie du biceps et des muscles thénar. trophie ; enfin, 5° la
forme
héréditaire de latrophie musculaire progressive d
érieurs. Les cas mixtes ou de transition permettent de rapprocher ces
formes
diverses et même de les confondre. Peut-être même
et des yeux permettrait-il de retrouver quelques-uns des signes de la
forme
infantile de Duchenne. Chez presque tous nos mala
e de vous montrer et qui sont encore des représentants typiques de la
forme
infantile décrite par Duchenne (de Boulogne). Le
un mot, la chorée rhythmée, qui revêt chez cette troisième malade la
forme
malléatoire, est un accompagnement de l'attaque h
ent inefficace, non seulement dans l'hystérie, mais encore dans cette
forme
d'hystérie qui semble se rapprocher le plus de l'
ui semble se rapprocher le plus de l'épilepsie, à savoir l'hystérie à
forme
épileptique ou hystéro-épilepsie. Je ne parlerai
'anorexie nerveuse, je pourrais le répéter à propos de la plupart des
formes
de la névrose hystérique. Mais, il me suffira, po
, en Allemagne, dans le traitement de la neurasthénie et de certaines
formes
de l'hystérie 1. R. Burkart. — Zur Behaudlung s
a nécessité de chacune : à ce qu'on ne les chausse toutes à une mesme
forme
, comme on dit communément. » (Jean Wier. — Histoi
lles ont été remplacées par de petits vertiges assez analogues par la
forme
aux vertiges épileptiques qui toutefois sont deve
n une aneslhésie générale limitée à la face et surtout au front, sous
forme
d'un masque. Il ne sentait plus les odeurs et sa
petit mal épileptique, et rien de plus. L'épilepsie n'est que dans la
forme
, non dans le fond, et en somme, le petit mal ép
ommes de 20 à 40 ans, et, en outre, nous envisagerons spécialement la
forme
intense, très accentuée, celle qui répond à ce qu
ervés chez l'homme et ceux que nous reconnaissons chaque jour dans la
forme
correspondante de la maladie chez la femme. Enfin
ilepsie vraie d'un côté, grande hystérie de l'autre, se montrant sous
forme
d'attaques séparées. Un examen plus attentif nous
A propos de six cas d'hystérie chez l'homme (Suite. l) Sommaire. —
Formes
anormales de l'attaque hystérique chez l'homme. —
d'un blond pâle, qui, comme les précédents, offre à l'étude, sous sa
forme
la plus classique, toute la symptomatologie de Ph
cette époque, F... ne cessa d'être sous A part une anomalie dans la
forme
des attaques, sur laquelle je reviendrai dans un
p visuel limité à l'œil droit; points hystérogènes très étendus, sous
formes
de larges plaques hy-péresthésiques occupant en a
10 mois et était 1. Ballet et Crespin, — Des attaques d'hystérie à
forme
d'épilepsie par-tielletArch. de Neurologie, 1884,
gérés, tandis que, vous le savez, il en est tout autrement dans cette
forme
de paralysie spinale. D'ailleurs, et c'est là un
upérieur droit ; on les retrouve, bien qu'atténués, c'est-à-dire sous
forme
d'analgésie, dans toute l'étendue de ce même côté
plégie de Porcz... ne diffèrent pas de ceux qui distinguent certaines
formes
de paralysies hystériques bien avérées ; c'est ce
ui douée de tous les caractères qui spécifient cliniquement certaines
formes
de paralysie. En résumé, vous le voyez, tous les
plus ce caractère de précision mécanique qu'ils présentaient dans la
forme
précédente et ils prennent au contraire, jusqu'à
et, et ces idées s'objectiveront en quelque sorte fatalement, sous la
forme
d'actes correspondants ; ou bien encore si, par d
s peuvent, tout au contraire, être reproduits absolument sous la même
forme
, dans un certain nombre de cas. En premier lieu,
aurait acquis assez de force pour se réaliser objectivement, sous la
forme
de paralysie. La sensation dont il s'agit aurait
umatisme initial sur le membre inférieur gauche, attitude du malade ;
forme
de la fesse et du pli fessier. — Analogies cliniq
uelle ; ils savent aussi qu'elle peut se révéler tout d'abord sous la
forme
d'une affection purement locale en apparence, tel
issent de masque à une coxalgie vraie. — 11 se serait agi alors d'une
forme
mixte hystéro-organique ou orga-uico-hyslérique,
anique ou orga-uico-hyslérique, comme vous voudrez l'appeler. Cette
forme
mixte existe-t-elle en réalité dans la clinique?
nerveuses nombreuses qui paraissent avoir été des accès d'hystérie à
forme
d'épilepsie partielle. A 6 ans, accidents coxalgi
ependant pour qu'on puisse nettement reconnaître chez elles, sous une
forme
bénigne, l'affection décrite par Brodie. Chez u
roduite ne s'est développée, exagérée et définitivement établie, sous
forme
d'arthralgie permanente, qu'en raison de l'état p
e qu'il a éprouvé là une commotion cérébrale intense, suivie de cette
forme
d'amnésie que MM. Ribot et Azam ont décrite sous
'un membre et qu'on voit cette idée se réaliser effectivement sous la
forme
spéciale de paralysie qui vient d'être décrite, o
développement considérable et se réaliser enfin objeclivement sous la
forme
d'une paralysie complète, absolue. Cette théori
. Cazelles, 1874, p. 298), c'est que l'idée est déjà le fait sous une
forme
plus faible. Penser, c'est se retenir de parler o
es» (loc. cit., page 59). « Dans l'acte volontaire, considéré sous sa
forme
la plus simple, dit M. H. Spencer (Principes de p
nscience. Et comme cette représentation n'est rien autre chose qu'une
forme
faible de l'état psychique qui accompagne le mouv
agnostiquer sa nature à première vue et de la distinguer des diverses
formes
d'aphasie de cause organique. J'ai résumé la pl
t objectifs nous firent penser à un mutisme greffé sur une hystérie à
forme
non conyulsive ou plutôt à une hystérie dont une
5). — H. B..., célibataire, âgée de 24 ans. Pas de changement dans la
forme
ou la structure du larynx. Les cordes vocales son
rche des zones hystérogènes...), par l'étude des antécédents. Cette
forme
d'aphasie ne ressemble, en effet, en rien aux aph
ique) des lettres ne lui revenait pas; » elle ne se rappelait plus la
forme
qu'il faut 1. Extrait du Progrès médical, 1S8^,
entait à l'état de pureté, dégagée de toute confusion avec les autres
formes
d'aphasie 2, d'autre part, il montrait que, dans
il montrait que, dans certains cas, la 1. J.M. Charcot.— Differenli
forme
d'afasia, Lezioni redatte del Dr Rummo. Milano, 1
. de Méd.), 1884. faculté graphique persiste, tandis que les aulres
formes
du langage sont en défaut et qu'alors celle-là pe
ernent non plus la signification des caractères, mais simplement leur
forme
, leur aspect extérieur, pour ainsi dire, vont s'e
n'en reste pas moins, comme l'a montré M. le professeur Charcot, une
forme
d'aphasie parfaitement autonome. TABLE DES MATI
ntracture. — Hystérie chez l'homme, fréquence, hérédité, âge adulte.—
Formes
frustes. — Contractures d'origine traumatique....
.............................. 140 ONZIÈME LEÇON. des différentes
formes
de l'aphasie, — de i.a cécité verbale. Sommaire
sion brusque et isolée de la vision mentale des signes et des objets (
formes
et couleurs). Sommaire. — Gall, Gratiolet, Ribo
Ribot : des mémoires partielles. — Destruction partielle des diverses
formes
de la mémoire. — Mémoire visuelle. —Observations
-thiques. — Myopathies primitives. — Paralysie pseudo-hypertrophique.
Forme
juvénile de Erb. — Myopathie sans changement de v
juvénile de Erb. — Myopathie sans changement de volume des muscles. —
Forme
de Leyden. — Analogies de la paralysie pseudo-hyp
de Leyden. — Analogies de la paralysie pseudo-hypertrophique et de la
forme
juvénile de Erb. — Forme infantile héréditaire de
la paralysie pseudo-hypertrophique et de la forme juvénile de Erb. —
Forme
infantile héréditaire de Duchenne (de Boulogne).
réditaire de Duchenne (de Boulogne). — Ses caractères. Cette dernière
forme
est analogue aux précédentes. — Paralysie pseudo-
orme est analogue aux précédentes. — Paralysie pseudo-hypertrophique,
forme
juvénile de Erb, forme de Leyden, forme infantile
récédentes. — Paralysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb,
forme
de Leyden, forme infantile héréditaire de Duchenn
alysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, forme de Leyden,
forme
infantile héréditaire de Duchenne (de Boulogne) ;
a propos de six cas d'hystérie chez [/'homme (Suite). Sommaire. —
Formes
anormales de l'attaque hystérique chez l'homme. —
aumatisme initial sur le membre inférieur gauche, attitude du malade;
forme
de la fesse et du pli fessier. — Analogies cliniq
lluleuse, 408. Anorexie hystérique, 240. Aphasie (Des différentes
formes
d'), 154; — motrice pure dans le mutisme hystériq
rie, 229. Epilepsie partielle (Hystérie chez l'homme avec attaque à
forme
d'), 283. f Face, Tic non douloureux de la
stérie et neurasthénie, 268; — Absence de lésions, 268; — Attaque à
forme
d'épilepsie partielle, 285; — Absence des attaque
— Siège et mécanisme, 438. Myopathie progressive primitive, 193; —
forme
pseudo-hypertrophique, 193 ; — îormc juvénile de
ue, 193 ; — îormc juvénile de Erb, \ 96 ; — ses carac!.ères, 196; —
forme
de transition sans changement de volume des muscl
— forme de transition sans changement de volume des muscles, 197 ; —
forme
de Leyden, 200; — forme infantile de l'atrophie m
ans changement de volume des muscles, 197 ; — forme de Leyden, 200; —
forme
infantile de l'atrophie musculaire progressive de
rophie de cause spinale, '¿01 ; — ses caractères, 202; — Ces diverses
formes
font partie d'un groupe unique, 205. N Névros
ication d'Esquirol diffère peu de celle de Pinel, si ce n'est qu'il
forme
deux catégories du délire partiel, la monomanie
it le rôle prédominant. Plus tard, il a décrit une folie à double
forme
, étudiée déjà et dénommée par Falpet père folie
épression, lesquelles dominent, tour à tour, dans la folie à double
forme
. More ! a cédé à une illusion sensible dans l'é
tres descriptions, si bien faites, portent sur des symptômes ou des
formes
secon- daires que l'on serait fondé à multiplie
errative, raisonner et agir correctement. Des cas attribués à cette
forme
, un grand nombre sont à retran- cher. D'autre p
la catalepsie que de la stupidité, dont elle emprunte toutefois les
formes
extérieures. Les hallucinations, qu'elle ressen
es insanités, les idées normales font concurrence, surtout dans les
formes
moins accentuées. La raison, la sensibilité, le
insinue des morceaux de caout- chouc. On ne sait, en un mot, quelle
forme
prendre pour perpétuer et renouveler son suppli
des observations dyna- mométriques exactes. Mais, exprimées sous la
forme
que leur a donnée leur auteur, elles suggèrent
aire de mélancolie, et non le résultat d'une impulsion liée à une
forme
particulière de folie instinctive ; 4° Que G...
'aux circonvolutions occipitales ; les autres nous en ont révélé la
forme
, la hauteur, les dimen- sions et les irradiatio
inuent à mesure qu'on approche de la pointe du lobe occipital. La
forme
du corps du faisceau peut être assez exactement
sphère, pour la sensibilité tactile, qu'il n'y en a pour les autres
formes
de sensibilité. La plus ou moins grande facilit
rale, semblaient les mieux assises, sont remises en ques- tion : la
forme
et la localisation des symptômes ne dépendraient
de territoires circonscrits et isolés affectés à l'élaboration des
formes
variées de la sensibilité. Est-ce à dire que, a
série ont été presque toujours observés. Quelquefois, dans cette
forme
d'ataxie; dite héréditaire, il existe du nystagmu
g, la démence persistante qu'amène l'épilcpsie à la longue et les
formes
vésaniquespassagères,intervallairos, considérées
les, à l'expansion extatique. L'analyse détaillée de chacune de ces
formes
psychopathiques n'ajouterait rien aux descripti
cès de fièvre qui mé- ritent une mention spéciale : ils revêtent la
forme
intermit- tente et sont caractérisés par des st
prostration ; ils sont obligés de garderie lit plusieurs semaines (
forme
typhoïde de Levinstein). Le diagnostic ne pré
l n'y aurait d'ailleurs aucun signe clinique différentiel entre ces
formes
nécroscopiques, l'ophthalmoscope lui-même étant
erveuse interviennent déjà dans l'étio- logie. Ce sont, ou bien les
formes
du premier groupe, mais aux derniers jours delà
rémie ou inflammation'cérébroméningée), ils se présentent sous la
forme
de la mélancolie anxieuse. Tel est aussi l'aspect
ssé l'âge de vingt-cinq ans. Les psychoses fébriles y revêtent deux
formes
, celle du collapsus succédant à une agitation i
le, chez une jeune fille de vingt-deux ans, une espèce de démence à
forme
d'imbé- cillité succédant pendant la convalesce
manière générale la 8 11 le '< REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
forme
de la mélancolie active : ressemblant à certains
lapreniière semaine, plus ou moins semblables aux délires initiaux (
formes
de pas- sage) ; puis ceux de la période d'état
phénomènes d'excita- tion et de dépression. On en rapprocherait la
forme
méningi- tique (excitation cérébrale) de Lieber
teurs). L'ignorance où l'on est de la nature et des causes de cette
forme
clinique explique 116 G SOCIÉTÉS SAVANTES. l'
été po- sées peuvent se résumer à peu près ainsi : Quelles sont les
formes
mentales dont vous pouvez affirmer la constante
1° le côté moral de l'individu, 2° l'acte accompli par lui, 3° les
formes
de la psychose, 4° le degré d'empire mental qu'
ervation de la paroi externe de la troisième frontale, de celle qui
forme
la limite de la branche ascendante de la scissure
en à voir avec la septicémie laquelle pé- nètre l'organisme sous la
forme
d'un contagium vivum d'origine extérieure. La s
ner les anomalies chimiques de l'urine dans leurs rapports avec les
formes
des psychoses. L'auteur a analysé avec le , plu
nsi à côté de l'entité : inver- sion du sens génital, il existe une
forme
morbide identique chez l'onaniste auquel on ne
s encore d'asseoir un jugement précis sur l'une quel- conque de ces
formes
; l'examen minutieux du malade incombe à chaque
cultiver. 12" La culture horticole n'a nul avantage sur les autres
formes
d'occupations champêtres, ni au point de vue mé
éclian- crures en forme de secteurs. AI. Fournier insiste sur les
formes
associées, mixtes et complexes de l'ataxie, qui
ant mémoire dans lequel M. Lasègue, en 1852, a détaché des diverses
formes
de mélancolie le délire des persécutions, a été
point de départ de tra- vaux complémentaires qui ont fait de cette
forme
de vésame l'une des mieux connues dans ses symp
mélancolie avec stupeur, la mélanco- lie anxieuse, on sait que ces
formes
sont souvent intermittentes, que quelquefois el
ion. Les cas même où le fait est simplement signalé, sont rares. La
forme
hypochon- driaque du délire des négations seule
n cite- rai plus loin des exemples. Mais le plus souvent ces deux
formes
de délire s'observent isolément chez des malade
- rentes que soient, dons leurs manifestations externes, ces deux
formes
de mélancolie, on ne peut se refuser àreconnaît
s malades, sans que le délire soit sensiblement modifié. Dans ces
formes
prédominent l'anxiété (une anxiété intérieure e
GATIONS. 159 principaux caractères de leur état mental. Dans leur
forme
la plus atténuée, ces caractères sont ceux de la
eurs facultés morales et intellectuelles,' et présentant déjà une
forme
négative évidente. « Ils ont honte ou même horr
ts et de forcer les ombres pour achever le tableau de ces dernières
formes
de mélancolie. Le dégoût de soi-même arrive au
e, soit sur le monde extérieur. Dans le premier cas, il prend une
forme
hypochondriaque analogue au délire spécial sign
'une rapide description du délire des négations' et de ses diverses
formes
, pour faire dé ce délire une espèce particulièr
ussi dans le cas où le mal ne paraît pas évoluer au delà de cette
forme
ébauchée. La maladie a une toute autre allure c
voile se déchire et le malade se réveille comme d'un rêve. Les
formes
les plus légères, il n'est pas besoin de le dir
motif appré- ciable et disparaître de même brusquement. Dans les
formes
où prédomine d'emblée la stupeur, la guérison s
ute parti- culière. Leurs recherches ne portent que sur certaines
formes
de folie liées à quelques états particuliers de l
s sexuelles, en général, chez les aliénées et, en même temps, les
formes
gynécologiques qui s'associent le plus souvent
s les deux tiers, c'est-à dire dans GG p. 100. En ce qui touche les
formes
observées par ce dernier auteur, elles sont rep
PATHOLOGIE MENTALE. ne donne aucun détail ni sur l'âge, ni sur les
formes
mentales des maladies observées dans les autops
gynécolo- giques, a noté quatre-vingt-dix cas associés à diverses
formes
d'aliénation mentale plus ou moins prononcées.
omènes d'ovarie, troubles de la menstruation, et aussi, les légères
formes
d'endométrite, de vaginite, etc., doivent néces
chacune des malades examinées les données sui- vantes : 1° âge; 2°
forme
de la maladie mentale; 30 état physiologique du
sexuel (vierge ou non, nombre découches et de fausses couches); 4°
forme
de la'mala- 180 PATHOLOGIE MENTALE. die sexii
sexuelle a toujours eu lieu au spéculum et au toucher vaginal. La
forme
de la maladie mentale est définie par l'exa- me
re (dans celles-ci, neuf avaient eu de huit à douze couches). Les
formes
des maladies mentales dans le groupe des malade
e, huit. Les malades après la ménopause se divisaient, d'après la
forme
d'aliénation mentale, de la façon suivante : dé
c- tions sexuelles chez les aliénées accompagnant les différentes
formes
d'aliénation mentale, en prenant les chiffres à
es aliénées à être affectées des organes génitaux plutôt dans une
forme
de maladie mentale que dans une autre. Ainsi, d
igine puerpérale, on la trouve trente-deux fois associée à diverses
formes
gynécologiques (comme métrite chronique et endo
hes, en prenant à peu près le même nombre de malades et les mêmes
formes
mentales avant la ménopause, on trouve la compl
es lésions génitales. Enfin, sur vingt- cinq cas de mélancolie (les
formes
puerpérales excluses) avant la ménopause, vingt
t acquis. En ce qui regarde les complications de la folie par les
formes
des maladies sexuelles accompagnant diffé- rent
e l'appareil générateur, qui se présentent prin- cipalement sous la
forme
de troubles de la menstrua- tion, de symptômes
forme de troubles de la menstrua- tion, de symptômes d'ovarie et de
formes
peu graves d'endométrite, de vaginite, etc. Au
Au contraire, dansée groupe des femmes qui ont eu des couches, les
formes
gynécologiques deviennent beaucoup plus sérieus
, et ils en concluent qu'ils sont sur la pente de la folie. Dans la
forme
sensorielle elle-même, les hallucinations n'app
hez lesquels l'état de conscience au début est un fait constant. La
forme
expansive est toujours précédée, comme l'a étab
de cette affection qui peut offrir la même particularité, c'est la
forme
congestive d'emblée. Si la poussée sanguine du
ômes physiques et psychiques de la paralysie générale progressive à
forme
expansive, au premier degré. Durant six mois la
nt ne se classent pas parmi elles. Ce qui les individualise et en
forme
un groupe à part, c'est la présence constante,
eraient pas, particularité qui ne se retrouve point pour les autres
formes
. Ces folies, contrairement à la célèbre définit
société. Le fait est accepté de tous les aliénistes pour les quatre
formes
où la conscience est un élément constitutif. Me
ellules. La face inférieure, au lieu d'être convexe, est concave et
forme
une espèce d'arche; une grande partie de cette
épaisseur et de 4 centimètres de large en moyenne. Cette production
forme
comme une espèce d'attelle accolée à l'os. Cet
constate l'absence complète de tout travail de consolidation. La
forme
anatomique de cette fracture se rapproche de cell
peu près le volume de 1 opine sciatique. Le petit trochan- ter ne
forme
plus qu'une petite éminence ru- gueuse à peine
ête du fémur ont complètement disparu ; le moi- gnon qui subsiste
forme
une saillie de 2 ou 3 millimètres sur le côté i
re formant une cavité de plus d'un centi- mètre'de profondeur d'une
forme
générale triangulaire et destinée à recevoir l'
re du tibia présente deux saillies latérales simulant à peu près la
forme
des condyles du fémur. 0 Cette même surface s
ent usé, tandis que le renflement qui représente le plateau interne
forme
une saillie ovalaire de un centimètre et demi d
volumineux et à surface poreuse. La pointe du fragment supérieur
forme
encore une saillie de plus d'un cen- timètre
TAXIQUES. 215 de substance à surface irrégulière mais non rugueuse,
forme
comme une section allant de la base du grand tr
ucation des cellules nerveuses qui constituent les sources de cette
forme
particulière d'énergie. Pratiquement, le traite
ômes de la maladie de Ménière confirmée. Elle se présente sous deux
formes
: l'une, grave, ne laissant nulle trêve au pati
des vertiges revenant à de longs intervalles et pouvant revêtir la
forme
des paroxsymes décrits plus loin. Dans les cas
des vertiges séparés par un long intervalle et pouvant re- vêtir la
forme
d'un véritable paroxysme. La maladie dure tant
l'auscultation ; non plus qu'entre ces dernières et les différentes
formes
d'affections mentales. Il pense que la transm
18/9), on sait que la densité du cerveau varie dans les différentes
formes
de maladies mentales. Aussi le la 229 REVUE D
ns, ou d'ellipses ; puis « ataxique », c'est-à-dire altérée dans la
forme
des lettres. Les fautes grammaticales se rencon
lligible, simplement faux. Au point de vue clinique, il admet trois
formes
, selon que les conceptions irrésistibles se bor
Nous pensons alors que des incitations ont pu se réfléchir sous la
forme
motrice sans qu'elles soient entrées enrapport av
érature, l'accélération des mouvements respiratoires. De toutes les
formes
de maladies mentales, c'est dans la manie récur
le Délire aigu; Régis pour un travail sur l'Eliolorlie de quelques
formes
de la Paralysie générale. M. LASÈGuE demande qu
ssements, et, pour faciliter votre travail, nous avons formulé sous
forme
interrogative quatre questions principales sur
second point, c'est qu'il existe réellement quelques malades que la
forme
particulière et heureusement exceptionnelle de le
; toute la première circonvolution temporale violette, mol- lasse,
forme
une bourse dont la cavité communique avec le ven-
diamétralement opposées sur les plus simples questions ; telles les
formes
de l'hystérie, de l'épilepsie, la genèse de la
ie. M. Wernicke fait ressortir la description qu'il a donnée de ces
formes
morbides et dans son Traité des maladies du cerve
mvL d'une folie systématique primitive qui s'est développée sous la
forme
aiguë en rêve ou pendant l'état de veille (Arch
même physiologique en des états mentaux tout différents. Telles ces
formes
d'aboulie en quelque sorte parétique, ces trans
colie stupide n'existe pas; on désigne actuellement sous ce nom des
formes
de monomanie essentielle- ment différentes de l
eux. Quant à la dépression mentale, il ne faut point oublier que sa
forme
hypochondriaque précède, comme stade prodromiqu
260 BIBLIOGRAPHIE. et de la physiologie du cerveau antérieur; Les
formes
hallucina- toires aiguës de la monomanie exalté
yens ci employer. M. Fritsch. De l'aliénation mentale. Des diverses
formes
de l'aphasie dans leurs rapports avec les pertu
.chner. Apport à la pathogénie des hémorrhagies cérébrales dans les
formes
syphilitiques précoces. M. PASTERNATZ6Y. La str
pportées et discutées à la place qui convient. Chacun des chapitres
forme
ainsi une sorte de revue critique du sujet- en
etcrol.; t. III, p. 187. · . BIBLIOGRAPHIE. 263 IV. Essai sur une
forme
rhumatismale de la paralysie agitante ; par VRS
des paralysies agitantes à pathogénies différentes. La variété des
formes
symptomatiques et des lésions pathologiques mon
symptomatiques et des lésions pathologiques montre qu'il existe des
formes
différentes de la maladie de Parkinson. L'étude
et il a existé des douleurs rhumatoïdes plus ou moins nettes. Cette
forme
de paralysie agitante est susceptible d'être am
térogènes sont fréquemment, mais non constamment, symétriques. Leur
forme
, leur étendue et leur nombre varient avec l'int
osologique, il a égale- ment prouvé que l'accès apoplectiforme, la.
forme
la plus connue aujourd'hui, n'est point la seul
apoplectiforme, ou au contraire ce qui cause le vertige durable aux
formes
multiples et méconnues. Voici par avance une pr
rvalles, pendant lesquels le médecin n'est point consulté. Dans les
formes
les plus graves, où le vertige se répète fréque
e, les cas où, associé au délire des persécutions, il constitue ces
formes
d'aliénation com- plexes qui nous expliquent co
znomanie, la démonomanie ou posses- sion démoniaque. Cette dernière
forme
me semble établir une sorte de transition entre
.., âgée de cinquante-trois ans, a déjà eu un accès de mélancolie à
forme
dépressive et qui n'a pas nécessité son placeme
de nombreuses illusions de la vue, il donne un sens mys- tique aux
formes
des objets extérieurs, il croit voir des figures
des objets extérieurs, il croit voir des figures d'animaux dans les
formes
des arbres, etc. 1880. M. A... s'imagine qu'on
dans lesquelles le délire de négation est signalé, au moins dans sa
forme
hypochondriaque. Je nie 'borne à donner les ind
iatrie, 0))S. II et VII. COTARD. Du délire hypochondriaque dans une
forme
grave de la mé- laiîcolie anxieuse (4 ? in. méd
ur, pour compléter cette étude clinique et pour bien montrer que la
forme
des obsessions ou des impulsions ne modifie pas
llie des phénomènes tellement tranchés, qu'on pourrait croire à des
formes
particulières de maladies mentales, tandis qu'i
poser sur des morceaux de carton qu'il découpe, en leur donnant la
forme
de la semelle d'une bottine de femme, et surtou
ut de conformation. La turgescence de la verge n'a pas lieu sous la
forme
habituelle de l'érection ; la verge ne s'allong
sister aux obses- sions et pour échapper à de nouveaux malheurs, il
forme
le projet d'entrer au couvent de la Trappe. On
berté; mais il est triste, sombre, découragé, devient irritable, et
forme
par- fois des projets de suicide. Eu six mois,
lci dalla, moelle PL.'V, fi. 1, 2, 4 et 5). La proéminence avait la
forme
diune,ellipse, elle comprenait toute la moitié
(Pl. \,fig. 3). Sur la coupe transversale cette,' tumeur avait là'
forme
d'une W nl r yin P),ltsçllQuFiéet,Jn1 i,a·ers
plus qu'une mince couche.. ,1 ? ? Pins bas la tumeur prenait une
forme
circulaire (Fin. 4) et conti- inivîf 1.1 -171^1
partir de ce point, la tumeur di- minuait et se terminait' par une
forme
arrondie un peu au-dessous iv . ,imi-< ftifr
a capsule de tissu con- `1T1 I `J , -oll n I n n néoplasie avait la
forme
d'une 1>ale;·T>;>I1>fzfL ? soi e ?
chie. Il était composé de petites boules opaques'de granaeur'ët de
forme
irrégulières. On voyait à travers un fort grossis
ès, les deux tiers internes de sa périphérie. Cette couche avait la
forme
d'une faux, étroite au milieu, large à ses deux
es de la substance grise et dont les noyaux ont, sans exception, la
forme
ovalaire. f La plupart de ces ganglions transfo
orme ovalaire. f La plupart de ces ganglions transformés avaient la
forme
de navettes de tisserand, d'autres ressemblaien
qu'à changer complè- SARCOME DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 333 tement de
forme
, sans pour cela perdre sa conductibilité, on ig
s nerfs, mais les ganglions aussi pouvaient être modifiés dans leur
forme
. sans subir aucune altération fonctionnelle. Ne
symptômes ne s'observent pas plus spécialement dans telle ou telle
forme
de la maladie... bien que leur pathogénie soit
il n'est pas exccptioncl, toutefois, qu'elles se présentent sous la
forme
d'une hémiplégie totale. Il arrive souvent que ce
roit externe survenue dans les mêmes conditions. Ces paralysies à
forme
hémiplégique générale, ou partielle, doivent êt
rtées à des lésions d'origine encéphalique. Il en existe d'autres à
forme
paraplégique qui sont attribuablcs à des lésion
pesant sur son crâne (Leudet 5). Bien souvent, la douleur revêt la
forme
névralgique. Un malade de M. Charcot fut attein
server un fait semblable et du même caractère, « des douleurs sous
forme
d'éclairs allant de la fesse aux orteils, en suiv
TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 le ! ) place à la seconde
forme
, soit spontanément, soit sous l'in- Iluence de
galement atteints. Le professeur Panas ' a le mieux décrit cette
forme
d'amblyo- pie et démontré sa nature. La plupart
omplexes. La cataracte diabétique est regardée comme l'une de ses
formes
. Elle peut coexister avec les lésions qui nous re
également d'une lésion bulbaire ou protubérantielle (Panas) Y La
forme
de la rétinite glycosurique n'est pas en rapport
356 . REVUE CRITIQUE. l'ait caractéristique. L'existence de cette
forme
spéciale de coma dyspnéique, déterminant assez
es et sagittales, apparaissent entre les faisceaux nerveux sous les
formes
suivantes ; tantôt ils sont rencontrés par le r
à mailles très fines et quadrangulaires dessine très exactement la
forme
de la corne antérieure suivant les régions. Les c
t;/. XII l. s. c.) Sur des coupes horizontales, on les voit sous la
forme
de deux lumières vasculaires situées de chaque
matoires et des anomalies vasculaires dans la pie-mère, sans que la
forme
de la vésanie exerçât une inlluence spéciale su
lite suppurée varie suivant qu'elle est aiguë ou chronique. Dans la
forme
chronique, l'abcès s'enkyste, ce qui n'a pas li
la forme chronique, l'abcès s'enkyste, ce qui n'a pas lieu dans la
forme
aiguë. Dans le pre- mier cas, la mort survient
es à celles trouvées dans la paralysie diphthéritiquo et les autres
formes
de paralysie mentionnées après les maladies aig
eudo-secondaires et de dégénérescences asystématiques, mais sous la
forme
purement spinale. P. K. XXXIII. Dégénérescence
Le travail de M. Ilack Tuke est une critique, très modérée dans la
forme
, très amère dans le fond, de la législation, ou
que des mois ou des années plus tard, sans affecter d'ailleurs une
forme
particulière qui permette de reconnaître la cau
la volonté, sur celles de l'association des idées, sur les diverses
formes
de fypémanie, sur les intervalles lucides, sur la
ismes ; par JoinE. Thèse de Lille, 1882. Contribution à l'élude des
formes
frustes de l'ataxie locomotrice ; par 11-nTrr.
tomie, rapports de l'infirmier avec l'aliéné dans les diffé- rentes
formes
mentales, petite pharmacie. Ces cours se font s
cchioni (granulations de), 368. Paralysie agitante (essai sur une
forme
rhumatismale de la), par Vesselle, 263. Paral
vec variations de rythme. L'appareil employé rappelle tant par sa
forme
que par son emploi, une haltère dont les sphère
squ'ici d'accidents cérébraux. Traitement de l'épilepsie. L\'rI
formes
du mal caduc et ses complications. Joints aussi
sionomie agréable et expressive. En classe, elle commence à écrire,
forme
à peu près toutes les lettres, les distingue le
servation, il nous est souvent arrivé de désigner un animal sous la
forme
d'un redoublement rappelant le plus possible le
le choix. C'est ainsi que nous apprenons le nom des couleurs, des
formes
, des odeurs (bon, mauvais), que nous donnons la
pré- noms, profession, âge et domicile tant de la personne qui la
forme
due de la personne dont la placement est réclamé,
thologique l3uutiNrvn.i.ic. Ilieilrc, 1 ! 0. 1 1 1. De quelques
formes
de nanisme et de leur traitement par la glande
ous publions des observations de malades ap- partenant aux diverses
formes
cliniques de l'idiotie et 0 (Irant en outre un
t nain, naine, nanisme (de Rochas, Dict. encyclop.) 4 De quelques
formes
de nanisme. Le nanisme n'a l'ait autrefois l'ob
de neurologie, 190-2, vol. XVI, p. 3S), etc., etc. 6 De quelques
FORMES
de nanisme. 3 cm. Pendant cette année, l'état,
ïdien. Nanisme par arrêt DE développement simple. 7 8 De quelques
formes
de nanisme. Nanisme par arrêt de développement
Tableau du poids et de la taille de 1895 Il 1 no;). 10 De quelques
FORMES
DE nanisme. jusqu'à ce jour (1 m. 47 en novembr
ivant : Nanisme par arrêt de développement simple..11 De quelques
formes
de nanisme. vomissements pendant tonte la durée
sième traitement du 1°»' janvier au 31 mars 1903. Le 10 De quelques
formes
de nanisme. traitement a été régulier ; la dose
si- tué qu'à quatre centimètres et demi du bord du pubis (1). Il
forme
une saillie légère, elliptique, presque lisse, à
. 19. - inlairoi mativit de 1'uiiibiit et de 1 hymen. 0 De quelques
formes
de nanisme. Obs. VI. Imbécillité avec perversio
différence minime en moins de 2 centim. (lm63). 22 , DE QUELQUES
formes
DE nanisme. OB$, X. - IDIOTIE ; ÉPILEPSIE ; cro
Taille : 1 m. 28, d'où gain de quatre centimètres. 24 DE quelques
FORMES
DE nanisme. La malade a continué de grandir. L
. 75 ; - FIG. 20. - Maz... eu loa7 (L 1/;2 ans). 26 DE QUELQUES
formes
DE nanisme. du 25 mars au 1er août.l gr. La tai
épuce, dé- - f i G. 2C. - MhZ ? en 18aU \5 ans). 28 De quelques
formes
de nanisme. couvrable. Bourses parsemées de que
0,50 ; 1 gr. FIG. 2. - Iaz... en 1000 (15 ans). 30 DE QUELQUES
formes
DE nanisme 1 gr. 25. Poids : 42 kil. Taille : 1
ndis qu'avant FIG. 2G, - M"z ? elll\JU4 (lU ailS). 32 De quelques
formes
de nanisme. le traitement thyroïdien, la taille
demi-centimètre. BOUINFVII,T e, l31cclnr, 1903. 3 34 DE quelques
formes
DE nanisme. UCS. XXIII. - Imbécillité ; EPILEPS
ont saillie en- tre les grandes lèvres. L'ouverture de l'hymen a la
forme
d'un coeur lorsqu'on écarte les petites lèvres.
rs suspensions.Poids 27 kg. 500; Taille : 1 m. 27. 30 DE QUELQUES
formes
DE nanisme. . 1903., lanvier. Poids : 30 kg. 50
ssance. L'insuccès du traitement la met en relief. 38 DE quelques
formes
DE nanisme. OBS. XXX. - Idiotie complète, nanis
périeure des grandes lèvres, allant jusqu'aux aines, 40 De quelques
formes
de nanisme. couvrant les deux faces des grandes
sance : yeux convulsés en haut, corps raide ; pas de 42 De quelques
formes
de nanisme. mouvements cloniques. Pas de paraly
angle droit. Les conques sont profondes ; adroite, la conque a la
forme
d'une coquille, il gauche, celle d'un cube. Tragu
les deux bras. - Membres inférieurs. Rien à signaler concernant la
forme
et l'attitude. Léger duvet. Motilité et réflexe
l'attitude. Léger duvet. Motilité et réflexes normaux. Thorax. De
forme
globuleuse. Pas de déformation. Respi- ration a
n saillant. Cicatrice ombilicale proéminente, petite 44 De quelques
formes
de nanisme. hernie. La palpation de l'abdomen n
de fer. Température à l'entrée. (,le 1 : , lèle. 46 De quelques
formes
de nanisme. et un peu au-dessous du mamelon au
'< ! Ufx : Mastication normale. Bave légère. Il a 48 De QUELQUES
formes
DE nanisme. mangé avec ses mains jusqu'à l'âge
e, à timbre élevé. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1903. 4 ùo ' De quelques
formes
de nanisme. Le tronc est cylindrique. Le thorax
ièrement de la racine vers le poignet. Epaules basses et tombantes.
Forme
des mainsetdes doigts normale. Pas d'onychophag
abondants sur tout le pénil Mesures de la tête. 52 DE quelques
formes
DE nanisme. (14 cm. sur 3) et à la racine des b
me pileux du pénil, la Poids. Taille, Dynamomètre. 54 DE quelques
formes
DE nanisme. OBS. 1XXVL- IDIOTIE ; nanisme ; inf
es. Tout était normal jusque huit jours avant la fin 5R De quelques
formes
de nanisme. de la grossesse. A cette époque, la
is son entrée à Bicètre. Température à l'entrée. 58 8 De quelques
formes
nE nanisme.. z pières sont bien conformées. Fen
0,26. Corps thyroïde à peine sen- sible. Membres supérieurs : de
forme
, d'attitude, de volume nor- maux. Jointures, ma
ent sur le compte de l'hérédo-syphilis ? Les parents 02 DE QUELQUES
formes
DE nanisme. interrogés isolément et avec soin n
Il a été réformé par défaut de taille (1 lU 53). i ! DE quelques
formes
DE nanisme. Le malade. - A l'époque de la conce
écouvert. Testicules du volume d'un oeuf de serin. 66 De quelques
formes
DE nanisme. La taille de l'enfant restant au-de
ids et taille avant le commencement du traitement. 68 DE quelques
formes
DE nanisme. Tableau des modifications survenues
s, son facies l'indique, il se livre à l'onanisme. 70 DE quelques
FORMES
DE nanisme. OBS. XL. (Résumée.) IMBÉCILLITÉ; ru
êm.. " est âgé. * de [Sans. 1 Second traitement. 72 DE QUELQUES
FORMES
de nanisme. OBS, XLI.IMBÉCILLITÉ : nanisme; inf
l'augmentation de la taille a été la sui- vante : 74 De quelques
formes
de nanisme. ~ Nanisme avec obésité. 75 élever
, on ne trouve aucune tare, aucune maladie nerveuse, 76 DE QUELQUES
formes
DE nanisme. pas d'épileptiques, pas d'idiots, p
t eu de convulsions. Ils Fie. 28. - R..., en 1904. 78 DE QUELQUES
FORMES
DE nanisme. ne sont pas névropathes. Il en est
deux ans, revacciné à l'école. Pas de variole,ni de 80 De QUELQUES
formes
DE nanisme scarlatine, ni de coqueluche, ni de
était incapable. Nanisme avec obésité. 81 Face. Le visage est de
forme
arrondie, symétrique. Les arcades sourcilières
e est à grand rayon. Bourneville, Bicêtre, 1903. 6 82 De quelques
formes
DE nanisme. Menton, assez saillant, doublé d'un
, la percussion et l'auscultation ne dé- notent rien à signaler. Sa
forme
est globuleuse. Au niveau des creux anleaxillai
du mois d'octobre jusqu'au mois de janvier 1901. 84 De QUELQUES
FORMES
DE nanisme. et un kilogr. 200 en plus. Par suit
e l'exiguïté de la taille, l'obésité est encore très accusée. Les
formes
du sujet sont celles d'un adulte. Le thorax est
res. Nanisme avec obésité. 85 MEMBRES SUPERIEURS 86 De quelques
FORMES
DE nanisme. <j noncées à droite. Poils fins
mais l'obésité a notablement diminué (2 kil. 200). 88 De quelques
formes
de nanisme. OBS. XLIX. IDIOTIE, na-nisme, OBÉSI
, début des grands accès d'épilepsie. Ils commencent 90 De QUELQUES
formes
de nanisme. brusquement, sans prodrome. Perte d
est absolument naturelle. L'iris a une coloration brun foncé uni-
forme
. La pupille a une circonférence régulière et réag
Hélix, bien ourlé, tragus et antitragus normaux. An- 92 DE quelques
formes
DE nanisme. - thélix petit, le lobule est bien
lles ont été abondantes et non douloureuses. Elles 94 De quelques
formes
DE nanisme. sont venues ensuite régulièrement.
poids et de la taille. Nanisme avec obésité. 95 96 . DE QUELQUES
formes
DE NANISME. Deuxième traitement. Le traitemen
se jusqu'à six anus. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1903. 7 98 De quelques
formes
de nanisme. . Coprophagie jusqu'à six ans. - Tu
es par un épais pannicule adipeux, - Les membres supérieurs sont de
forme
normale, mais recouverts d'un épais pannicule a
es poids et laille. Nanisme avec OBÉSITÉ. 101 102 DE QUELQUES
formes
DE nanisme. Nanisme, avec obésité. 103 restée
domen souple, saillant. La partie inférieure de la paroi abdominale
forme
un repli épais surplombant le pli inguinal. Omb
res supérieurs : adipose très marquée. Membres xi ouf DE QUELQUES
formes
DE nanisme. . inférieures : Cuisses très dévelo
lle de 1891 à 1895. Nanisme avec obésité. 105 106 DE QUELQUES
formes
DE nanisme. NANISME AVEC OBf,'ITÉ. 107 la s
eau du poids et de la taille pendant le traitement. 108 De quelques
formes
de nanisme. On constate qu'il chaque période de
ut le reste du corps. Nanisme avec obésité. 109 11O DE QUELQUES
formes
DE nanisme. ' OB, LII. Imbécillité congénitale
phalal- gies, caféisme, coléreuse. Grand'mère, accidents hystéri-
formes
, morte d'un cancer de l'estomac. Plusieurs frères
deux fois le croup, a eu des accidents convulsifs. Il'2 DE QUELQUES
formes
DE nanisme. Notre malade. - Conception : le mar
émail de mau- 130CI\NEVILLE, Bicêtre,. 1903. 8 Ili 'L De quelques
formes
de nanisme. 1 vaise qualité; chevauchement des
e 1 cm. 5 en 3 mois, Nanisme avec, obésité. 115 116 DE quelques
formes
de nanisme. Cette observation met bien en relie
e. Oreilles petites, bien ourlées, non écartées du 4 IR De quelques
formes
de nanisme. crâne. Lobule soudé. Cou : circonfé
dans le tableau suivant : Nanisme avec obésité. 120 De quelques
formes
de nanisme. La taille a gagné en six mois trois
et 31). 1'i. 30. - Tliom... en 1898, ù.14 nns. 1 ? -2 De quelques
formes
de nanisme. En résumé la taille augmente de tro
sles sujets seraient naturels. Aucune taré morale.] 124 DE QUELQUES
formes
DE nanisme. Mère, 35 ans, ménagère, ni alcoolis
etit clitoris. Petites lèvres très peu développées. 126 De quelques
formes
de nanisme. Teigne : Epilation, lavage au savon
des aisselles. Les organes génitaux ne se modifient pas dans leurs
formes
. Les seins ont encore augmenté de volume. Ils N
de parasites. . Tableau du poids et de la taille. 128 De quelques
formes
DE nanisme. Les régions temporales présentent u
érieure épaisse, en léger ectropion. - Dentition complète. Dents de
forme
nor- male. Les deux premières molaires supérieu
nt au niveau du poignet. A cet endroit les plis articulaires ont la
forme
d'encoches profondes. Mains. Carpe large. Mét
ychophagie. Membres inférieurs. Volume énorme. Les cuisses ont la
forme
d'un très gros cône renversé. Aucune saillie musc
plutôt aplaties mais très volumineuses. Les jambes'ont également la
forme
d'un cylindre à peu près régulier. Les saillies
t. (Fig. 32, 33, 34), Bourneville. Bicêtre. 1903. 130 DE QUELQUES
formes
DE nanisme. Fig. 32. - Hus... en mars l9j3, à l
BÉSITÉ 131 Fig. 33. nu;;... en 1901, )'ag9 de 14 ans; De QUELQUES
formes
DE nanisme. Fig. 34. - Hus... en 1 ! )Oi, à l'A
Nanisme avec obésité. 133 Mensurations du corps. 134 De quelques
formes
de nanisme. .Abdomen d'un volume énorme, proémi
e ensellure lombaire. Saillie exagérée de la région sacrée qui a la
forme
d'un triangle isocèle à base supérieure. Aux de
anisme ET rachitisme. Fig. 35. Fig. 36 et 37, t 140 DE QUELQUES
formes
DE nanisme. assez limité (1). Bien que les cas
longs, de chaque côté du périnée et autour de l'anus. DE QUELQUES
formes
de nanisme. Le bassin est étroit avec saillie p
rvation, avec une légère saillie des malléoles. Pieds. Le 4e orteil
forme
une saillie sur la face dorsale du pied (des de
) à 1 gr. Fig. 3 ? . - Vib... en 1901 (17 ans). 144 De QUELQUES
formes
DE nanisme. Poids : 26 kg. 500 ; Taille : 1 m.
Bicêtre, 1903. 10 Fig. 40. - Vib... il 17 ans. - 146 DE quelques
FORMES
DE nanisme. Colonne vertébrale : scoliose. La p
ertébrale : scoliose. La portion dorsale de la 1,- à la 12e dorsale
forme
une courbure à concavité gauche, dé- terminant
Fig. 41.. Radiographie du pied droit de Vibert. lin De quelques
formes
de nanisme. grandes lèvres. - Clitoris invisibl
les libialeset péronières sont épaissies, surtout ces dernières. La
forme
de la voûte plantaire, de la face dorsale du pi
MAUGHRKT. Le nanisme relatif constitue l'un des caractères d'une
forme
d'idiotie décrite par les auteurs anglais, qui
s de neurologie. 1903, 2* série, t. XVI, ]1,2;,2. 150 De quelques
FORMES
DE nanisme. Pas de consanguinité, - Inégalité d
ndant la grossesse, vif ennui de la mère de se l : i.'3 De quelques
formes
de nanisme. voir encore enceinte : « J'étais vi
és sont symétriques. Les fontanelles sont soudées. Le visage est de
forme
ovale. Les yeux présentent assez nette- ment la
visage est de forme ovale. Les yeux présentent assez nette- ment la
forme
en amande, qui se rencontre dans la race mongol
les autres. - Le menton est rond. - Les oreilles 154 DE QUELQUES
FORMES
DE nanisme. ne présentent pas d'écoulement, le
t mange seule, se sert de Fig. d5. - Main idiote. 158 DE QUELQUES
FORMES
DE nanisme. la cuiller et de la fourchette ; a
re ; pas de seins. Aisselles, ventre, fesses, pénil 160 De quelques
formes
de nanisme. glabres. Grandes lèvres pigmentées,
ans secousses. Bourneville, Bicêtre, 1903. 11 I 162 De quelques
formes
de nanisme. Nanisme mongolien. 163 Autopsie,
culier, non plus que le bulbe et la protubérance. 164 DE quelques
formes
de nanisme. Hémisphère droit. - Pie-mère peut-ê
, habitude de s'accroupir a la façon des tailleurs, 16S DE QUELQUES
FORMES
DE nanisme. accidents scrofuleux divers; enfin,
es observations de Van de Cast... et de Brég... ' 170 De quelques
formes
de nanisme. l'écorce du cel'veou. Fixation à l'
our ainsi dire lavés, formant ainsi une zone claire 172 DE quelques
formes
DE nanisme. appréciable avec un faible grossiss
. avait 12 ans et demie, Van don Casti... 20 ans. 174 De quelques
FORMES
de nanisme. Cerveau. Les lésions de ce cas s'
t. Lloteria. or. mental Science, Jan. 1904, p. 32). 176 De quelques
FORMES
DE nanisme. § VI. - Nanisme myxoedémateux infan
20 mars, 1 gr. 25 jusqu'au 31 mars. Fig. 49. 1 1 ! SU De quelques
formes
de nanisme. NANISME DIPLIGIQUE. 181 centimè
roissement nor- - Fig.60. - Idiots diplégiques. 182 De quelques
formes
de nanisme. mal pour le même laps de temps n'es
rendu de Bicêtre de 1902 (p. 232),sont deux beaux exemples de cette
forme
de nanisme. Lecl...(René),à 14 ans, mesurait un
x- quelles nous aurions pu en ajouter beaucoup d'autres. Dans les
formes
de nanisme, le nanisme myxoedéma- teux mis de c
de Bicètre contiennent un certain nombre d'observations des autres
formes
de nanisme. Signa- Ions, entre autres, le cas d
nisme et d'obésité (1895, p. 126 et 1903), etc. 184 £ De quelques
formes
de nanisme. nos malades atteints de nanisme pol
s un grand nombre de fois au traitement thyroïdien. 186 DE QUELQUES
formes
DE nanisme. chez nos myxoedémateux traités jeun
des ; le tourbillon, mal formé, semble constitué de 188 De quelques
formes
de nanisme. 3 tourbillons secondaires, situés i
plantés. (Fig. 51 et 5 ? ). Mesures de la tête. 190 De QUELQUES
formes
de nanisme. L'abdomen est de volume moyen. Pas
intelligence sont complètement nulles. De Fin 53. 192 De quelques
formes
de nanisme. même, la parole. L'enfant fait ente
nævi. On ne constate de ganglions en aucune région. Sa. tête, de
forme
normale, est asymétrique, le côté droit, front
que le côté gauche. Les fontanelles sont soudées. La face est de
forme
normale, régulière, symétrique, et ne présente
symétriques; les joues peu volumineuses. La bouche, petite, est de
forme
et de direction naturelles. Les lèvres sont peu
aillantes, petites en longueur comme en épaisseur. La langue est de
forme
et de motilité normales. La voûte palatine n'es
le corps thyroïde perceptible à la pal- pation. Le thorax est de
forme
régulière, de volume moyen. Rien à la percussio
morale). z '20'1 Description DE la malade. L'abdomen est aussi de
forme
régulière. Rien à signaler en ce qui concerne l
a rate. La région anale est normale. Les membres supérieurs sont de
forme
régulière. Leur volu- me est le même à droite e
e toucher est normal. (Voir p. 210). Les membres inférieurs sont de
forme
naturelle. Leur volume, comme leur longueur, es
ébrale. VI. Il s'agissait, en somme, d'une épilepsie partielle il
forme
hémiplégique, due à une sclérose atrophi- que e
ause première de l'arrêt de développe- ment des centres nerveux, le
forme
cranienne n'est-elle même que l'expression de c
les cas, l'étude du crâne qui en a été faite est démonstrative : la
forme
, la disposition des parties osseuses, la valeur
tan- dis que sur le côté opposé on constate la persistance de la
forme
fcetale. Le renversement parfois complet est l'ex
sion pathologique. Ajoutons pour aider à la compréhension de ces
formes
: 1° Que sur un certain nombre de crânes ayant
rales. 239 espace rétro-frontal où des proliférations osseuses en
forme
de lamelles constituaient une croissance osseus
ire sur les modifi- cations de la surface externe du crâne et de la
forme
géné- - raie. Nous la ferons ultérieurement et
à celles que nous avons exposées à propos des os des membres'. La
forme
générale est peu transformée en raison des fai-
s à l'état naturel et après leur incision. Le crâne (fig. 65) a une
forme
régulière. En général, ceux qui mesurent les an
ment de l'un des hémisphères. En tout cas, si l'on conserve à cette
forme
le nom de plagio- céphalie, il faut, pour évite
tale gauche. La fontanelle antérieure est percep- tible, elle a une
forme
étoilée et présente environ 35 milli- mètres de
, il est composé d'une sorte de circonvolution épaisse et oo'rtequi
forme
son. extré- mité antérieure et qui est s'parée
vec la configuration normale. Bien que les circonvo- lutions qui la
forme
soient assez nettes, FI et la circonvolution du
romure de zinc, de sodium. Thèse de Paris. MORLOT (E.). - Sur une
forme
grave de l'épilepsie. Thèse de Paris. Travaux
IE Clinique, thérapeutique, anatomie pathologique. I. De quelques
formes
de nanisme et de leur traitement par la glande
ès rapide- ment et ne donne que des résultats très minimes, elle ne
forme
que des idées vagues, douteuses, surprenantes e
pontanée,et certains sujets semblent avoir le choix entre plusieurs
formes
d'anes- thésies équivalentes. Ces alternances n
se passent comme si le système des phénomènes psychologiques qui
forme
la perception personnelle chez tous les hommes ét
tre intoxi- cation peut être très durable et prendre tout à fait la
forme
hystérique; dans ce cas, quel que soit l'agent
isme, c'est-à-dire la repro- duction des phénomènes anciens sous la
forme
des idées fixes et du délire. L'aboulie est un
on de deux personnalités indépendantes; la désagrégation prend la
forme
du dédoublement de la personnalité. Il en est t
nésie bien nettes, elles sont toujours in- complètes et prennent la
forme
d'une distraction et d'un doute continuel. Au l
ivision de son esprit. Nous ne pouvons étudier ici cette nouvelle
forme
de la désa- grégation mentale qui caractérise l
ts cette définition un peu complexe, on dira : « L'hystérie est une
forme
de la désagrégation mentale, caracté- risée par
e point qui me paraît digne d'être relevé, c'est qu'il y a quelques
formes
de paralysie cérébrale qui ne se trouvent pas r
les autres idées qui constituent le moi dont le corps de l'individu
forme
une partie importante. La lésion serait donc l'
es de dérivation vont d'un trou de conjugaison à un autre, ayant la
forme
d'un arc dont la concavité regarde le sinus. El
UNE MALADIE TOUTE SPECIALE AFFECTANT TROIS FRÈRES ET SOEURS SOUS LA
FORME
DE PARALYSIE PROGRESSIVE, AVEC LÉSIONS VASCL'LAIR
es observations de 1436 idiots à des degrés divers et de toutes les
formes
. Fréquence des traumatismes céphaliques intra-u
donc les lois des actions humaines ? 1° L'hérédité. La race humaine
forme
une chaîne ininterrompue; le fils hérite du pèr
de permet d'observer les différents éléments du cer- veau dans leur
forme
et leurs rapports exacts, et présente une supé-
ses; par le Dr RICHARDSON. Etudiant les lois de l'hérédité chez les
formes
les plus simples de la vie, l'auteur arrive aux
artie de la cellule reproductrice passe à la génération suivante et
forme
le substratum duquel dérive le futur orga- nism
lules blanches neutophyles 56,2 p. 100; lymphocytes 33,9 p. 100;
formes
transitoires 9,4 p. 100; formes éosinophyles 0,5
,2 p. 100; lymphocytes 33,9 p. 100; formes transitoires 9,4 p. 100;
formes
éosinophyles 0,5 p. 100. On constate dans l'uri
génie de la maladie de Graves. - Le rap- porteur distingue : 1° les
formes
chirurgicales de cette maladie et celles qui dé
pendent de lésions de régions déterminées du système nerveux; 2" la
forme
réflexe; 3° la forme essentielle. Cette dernièr
régions déterminées du système nerveux; 2" la forme réflexe; 3° la
forme
essentielle. Cette dernière forme doit être con
rveux; 2" la forme réflexe; 3° la forme essentielle. Cette dernière
forme
doit être considérée comme une auto- intoxicati
associé à de la démence ou à des troubles paralytiques, d'où quatre
formes
: folie simple, folie démentielle, folie dément
lie démentielle avec paralysie généralisée. Le délire n'a pas une
forme
unique ni de caractères spéciaux; il n'est jama
1877 ; De l'enseignement médical, lettre à M. J. Duval, 1868; D'une
forme
mal décrite de délire consécutif à l'épilepsie,
madaire la liste des principaux articles de M. Delasiauve : D'une
forme
grave de delirium tremens, 485; - Lettres sur le
ut en discutant avec énergie, mais toujours avec modération dans la
forme
, les opinions de ses adversaires. C'est dans ce
M. Delasiauve s'est montré un écrivain des plus distingués, avec sa
forme
particu- lière, son originalité propre servie p
puisés dans l'observation étiologique de son pays. Le volume et la
forme
du cerveau ; - le poids du cerveau des mi- crac
Les épileptiques aliénés bénéficieraient assurément de cette ré-
forme
; la vie simple et saine à la campagne, sous une
e observation dans tous ses détails. OBSERVATION. - Syringomyélie à
forme
spasmodique, avec atrophie musculaire prédomina
trophies nusculaires progres- sives, la poliomyélite antérieure, la
forme
spinale de la sclé- rose en plaques, la polynév
ensemble des signes que j'observais était loin de correspondre à la
forme
classique, habituelle delà pachyméningite cervi
de sensibilité. D'ailleurs à l'époque où j'observais mon malade, la
forme
spastique de la syringomyélie était mal connue.
umeur formée d'un tissu mou, gélatineux, gris ver- dâtre, qui a une
forme
arrondie et qui occupe presque entière- ment la
entre de ce tissu néoplasique, se trouve une perte de substance, de
forme
étoilée sur la coupe, qui est la cavité du kyst
insensiblement avec le tissu sain. Vers la deuxième lombaire, il se
forme
au sein du néoplasme une masse cylindrique, net
pe du cône terminal; coloration de Pal. La tumeur se montre sous la
forme
d'une infiltration diffuse située en arrière de l
eau de la troisième dorsale, la cavité est déjà grande ; elle a une
forme
étoilée et est creusée dans un tissu néoplasique
sté- rieurs. Le canal central est dilaté sur une petite étendue, il
forme
Fiv. 4. Coupe pratiquée au niveau de la huitièm
e cervicale. La tumeur est creusée à son centre d'une excavation de
forme
irrégulièrement étoiléc. Aplatissement etètirem
sur les coupes. Le canal central n'est plus dilaté sur ce point; il
forme
là, comme dans tout le reste de DES TUMEURS NEV
elle une porticn du néoplasme qui est nettement circonscrite et qui
forme
comme une tige plus ou moins arrondie, excavée da
thrombose. . , Les figures 7 et 8 donnent une excellente idée de la
forme
et de . la. constitution des tractus conjonctiv
tus conjonctifs envoient dans la tumeur de nombreuses expansions en
forme
d'épines, il en résulte que la membrane limitan
e la cavité; il ne reste donc que la périphérie du tractus, sous la
forme
d'une mince couche hyaline, qui est du tissu co
, ainsi que nous allons le voir, il existe une petite cavité qui se
forme
aux dépens d'un trac- tus conjonctivo-vasculair
vité principale, qui est encore peu développée à ce niveau; elle se
forme
, par fonte du tissu a,é%rogiique et est remplie d
tes hauteurs de la moelle. Ce sont de petits fascicules nerveux, de
forme
arrondie, qui ressemblent parfaitement à des ne
erreur, on en conviendra, était bien excusable, surtout en 1889, la
forme
spasmo- dique de la syringomyélie commençant à
ne l'est d'habitude dans la syringomyélie, le gliome suffit, et la
forme
spastique de cette maladie peut simuler, jusqu'
lètement circonscrite, ni; complètement diffuse; c'était une de ces
formes
intermédiaires qui sont très intéres- santes à
fs, des prépositions et des substantifs.' Il'y a donc aphasie de la
forme
et non de l'essence de' l'idéation. Il en a con
qu'un cas particulier. 1 11,11" ) ! 1 . , uipilmi dCf'(JQ : 9< ♦
Formes
rudimentaires. Observation de Borntroeger; observ
due à, un travail musculaire,' aux' convulsions) par exemple. Deux
formes
: faible, qùiné.dépassé"pas'38°,5 ? élevée; 7qu
présenté de grandes' ressemblances sinon de' degré," au'moins'de;
forme
.L'auteur présente 1 ensuite des considérations^ l
é 'd'anesthésie des membres inférieurs; crises, , de,, vessie, sous
forme
intermittente de crises,de rétention, ,9l p ? ô
du côté des extrémités, sans hémianopsie, sans attaques' apoplecti-
formes
préalables; V-2° mode de l'aphasie correspondant,
t ir"i j J ,ldXf \.\'1"4\ < ...... ? , XXII. Remarques sur LES
formes
DE la chorée chronique ? OBSER- - jVAT101\S DE,
aient un manque de développement et un défaut de i symétrie dans la
forme
générale de la tête. On conseilla la craniec-t
0;. a'T ? ( ! f"I ? d' ni QfT"( '10 : ;) 1 1 ... XXIX. DES DIVERSES
FORMES
D'AGRAPHIEET'EN PARTICUL ! ER DE L'AGRAPHIE XXI
- observations courtes. Traitement antisyphilitique sous di- verses
formes
. Bonne alimentation; vie régulière; galvanisation
, et demi de {¡ J'inion. Vous'' remarquerez..que l'incision- est.de
forme
, elliptique, JII mesurant trois quarts i de pou
pparaît à la période tardive * de l'alcoolisme généralement sous la
forme
de délire isolée quasi mo-b a REVUE · DE r PATH
DE la parole DUS al'hypochondrie ET DES TROUBLES SEMBLABLES DANS LA
FORME
DE LA PAROLE ARTICULEE CHEZ LES 'ALIÉNÉS en, gé
e progres- sive à marche circulaire, ou paralysie générale à double
forme
. Observation L-H... de trente-quatre ans; tare
ance psy- chique et physique, mort. Peut-être faut-il attribuer ces
formes
-là à la tare héréditaire. Discussion. M. PELM
ie consécutive au traumatisme. L'auteur passe en revue les diverses
formes
de folie consécutives au traumatisme et insiste
édominance des symptômes dans tel ou tel appareil, il distingue les
formes
atteignant le sys- tème nerveux (cérébro-spinal
cutions, par M. le Dr Séglas; 5° Sur les obsessions et impulsions à
forme
continue, par M. le Dr Roubinowitch; 6° Communi
imitive, nodosités des jointures, rhumatisme articulaire chronique (
forme
primitive). Avec planches. Plus tard il revint
vent citée, M. Charcot utilise des faits per- sonnels et décrit une
forme
nouvelle qu'il nomme pneumonie chro- nique ulcé
types réguliers, classiques en quelque sorte, avant d'envisager les
formes
frustes, rudimentaires, mal dessinées. Nous a
ot sur les indications de son mari. Il aimait l'art sous toutes ses
formes
et il a su faire de ses appartements un véritab
date de l'époque où il avait été nommé membre de l'Institut (1883),
forme
un volume de 200 pages. Nous nous bornons à ind
d'une intoxication antérieure sur le mode de localisation et sur la
forme
des accidents hystériques. - 1888 : Arthralgie
mblements hystériques ; L'oedème bleu des hystériques. - 1891 : Des
formes
frustes de la sclé- rose en plaques. - 1892 : U
rébraux de l'homme (en collaboration avec Pitres, 1883) ; - Sur une
forme
par- ticcaliére d'atrophie musculaire progressi
dow; Accès d'automatisme ambulatoire de nature comitiale ; Abasie à
forme
trépidante à la suite de l'intoxication par l'oxy
ite de l'intoxication par l'oxyde de carbone; Amyotrophie spinale à
forme
scapulo-humérale, comme con- séquence d'une par
blitération artérielle probablement d'origine syphilitique (1891) ;
Formes
cliniques des névrites périphériques (1892).
lus ou moins longtemps. Il n'est dès lors pas étonnant que dans les
formes
intermittentes et rémittentes la duboisine ait
s avons observés et en entreprendre l'étude comparative d'après les
formes
mentales. Tout d'abord dans la paralysie généra
e de calme ait suivi la suppression de la médication. V. Dans les
formes
intermittentes et rémittentes, la du- boisine s
et d'autres rapportés en tire deux conclusions : 10 qu'il y a deux
formes
de microcéphalie : (a) congénitale, (b) acquise
le traitement des maladies mentales, les auteurs ont résumé sous
forme
tabulaire les différents cas, suivis ou non de su
x aspects. Durant le stade fébrile, elles revêtent ordinairement la
forme
d'un délire aigu. Durant le stade post-fébrile
usion mentale; peut- être y aurait-il lieu d'admettre une troisième
forme
intermédiaire aux deux précédentes. Les psych
ntoxication est aiguë, la folie se manifeste habituellement sous la
forme
d'un délire aigu, toxique, semblable au délire
astro-intes- tinale qui s'est présentée cliniquement sous la triple
forme
simul- tanée du délire aigu, du délire hallucin
ment, la maladie s'est présentée, au point de vue clinique, sous la
forme
de la confusion mentale avec délire hallucinato
établir l'incertitude du témoignage des aliénés, quelle que soit la
forme
de leur maladie, et pose en principe qu'ils ne
s ne doivent pas être admis à prêter serment et à témoigner en la
forme
ordinaire. Tout au plus peuvent-ils être entendus
s à titre de renseignements comme les enfants et mineur ? Certaines
formes
partielles de l'aliénation sont, à la vérité, c
médecins. M. GIRAUD fait observer que ces conférences se font sous
forme
de sermons de charité dans la Société du type q
résidence DE M. CHRISTIAN. MM. Bourneville et NOIR. Des différentes
formes
de l'hydrocé- phalie (Idiotie laydrocéphalique.
36, différence en plus. Sur deux cas d'obsessions et d'impulsions à
forme
continue. M. Roubinovitch rapporte deux observa
oubinovitch rapporte deux observations qui prouvent qu'à côté de la
forme
paroxystique des obsessions et impulsions qui est
nternée à la Salpêtrière. Elle présente le type de l'arilhmomanie à
forme
continue. Dans le diagnostic de ce cas, l'auteur
gt; de la maladie du doute, ni dans la catégorie des obsessions à
forme
paroxystique. Les caractères propres à l'affectio
sions décrites par lui. On voit en effet que, dans les deux cas, la
forme
d'obsession n'est pour ainsi dire qu'une habitude
re que ces deux cas d'obsession présentent, surtout à cause de leur
forme
continue. Ce n'est donc pas dans un but de clas
but de classification théorique qu'il les détache des obsessions à
forme
paroxystique et de la folie du doute; c'est sur
ileptiques. Il est même indiqué d'assister ainsi bien des aliénés à
formes
morbi- 268 asiles d'aliénés. des curables. Ma
plément nécessaire et plein de valeur d'un asile public comme une
forme
d'assistance équivalente aux autres modes d'assis
'est un prolongement postérieur de la tumeur qui s'insinue, sous la
forme
d'un cône effilé, dans l'épaisseur de la circon
sseur de la circonvolution, qui lui doit son ampleur anormale et sa
forme
cylindrique. Sur la. coupe de Flecbsig, la tume
nts moléaires s'éparpillent dans le protoplasma : 13 à 15 cellules de
formes
diverses à noyaux multiples ou divisés. Picro-c
eux ordres de tissus, qui sont disposés au centre de la tumeur sous
forme
d'îlots sans forme et sans ordre définis. , A
s, qui sont disposés au centre de la tumeur sous forme d'îlots sans
forme
et sans ordre définis. , A. Le tissu névrogli
erçoit à peine une très fine couche de protoplasma ; ce sont là des
formes
purement embryonnaires des neuroblastes ; 2° de
s cellules-araignées typiques (8, fig. 16). Sur les coupes ce tissu
forme
un réseau dont les travées sont constituées par
isse d'un prbtoplasma un peu trouble, très avide de carmin; le tout
forme
des cellules arrondies, de volume variable (2,
rés. - 1 - 1 , , . , , 'Les cellules ganglionnaires adultes ont des
formes
très variées; , , , , l , . ¡ , . T j beauc
e la tumeur on en trouve d'autres, en très grand nombre, qui ont la
forme
d'un triangle allongé et qui sont faites sur le
es, remarquables par la longueur et l'épaisseur du prolongement qui
forme
leur pointe. Par leur base, elles émettent d'autr
. On rencontre encore une troisième espèce de cellules qui ont la
forme
d'un fuseau très allongé (7, fig. 16) ; elles son
ents qui portent de semblables noyaux gardent presque toujours une'
forme
irrégulièrë ét semblent avorter, dans leur évol
volume et présenter des signes évidents dé multiplication directe :
forme
allongée, en bissac, etc ? un peu pins bas appa
: forme allongée, en bissac, etc ? un peu pins bas apparaissent les
formes
cellulaires différenciées que nous avons décrit
Tùngcl, Meschede ont décrit des productions analogues. Ce sont des
formes
manifestement congénitales, qui coïncident souv
qu'elles émettent. Tantôt, et c'est le cas le plus fréquent, il se
forme
simplement de la névroglie; tantôt, mais c'est
plus ou moins parfaitement les éléments caractéristiques des autres
formes
. Ainsi, dans le cas actuel, le tissu est mi-par
vide de carmin, à noyau volumineux, reproduisaient exacte- ment les
formes
intermédiaires entre les neuroblastes et les ce
es intermédiaires entre les neuroblastes et les cellules nerveuses,
formes
qui sont si abondantes dans la tu- meur qui fai
ravée par des unions trop rapprochées, trop en dedàns. Les diverses
formes
de l'aliénation mentale dont sont atteints les
es, les contorsions les plus bizarres. L'érotisme lui-même revêt la
forme
démoniaque, et les succubes ne sont pas rares p
impossible d'établir une constante corres- pondant à telle ou telle
forme
de maladie mentale. Chez l'épilep- tique, les r
(Riv. sp. di fren., fasc. 111-1V, 1892.) Dans la majeure partie des
formes
maniaques, le pouvoir isoto. nique (résistance
logiques et donnant seulement 25 p'. 100 d'hypo- globulie. Dans les
formes
dépressives, dans l'idiotie, dans les démences
se, le pourcentage de l'hémoglobulie augmente notablement. Dans les
formes
toxiques, il y a diminution encore plus grande
ne et l'hypoglobulie augmente de fréquence et de gravité. Parmi les
formes
toxiques, la pellagre occupe le, premier rang :
inuant progressivement chez les aliénés à mesure que l'on passe des
formes
aiguës de lafolie aux formes chroniques et aux
es aliénés à mesure que l'on passe des formes aiguës de lafolie aux
formes
chroniques et aux démences, pour atteindre son
er 1893.) 4 . C'est la coutume de M. F. Warner d'aborder sous une
forme
très serrée et dans une langue très concise les
décrit avec soin ces quatre périodes, en s'attachant sur- tout à la
forme
alcoolique qui est évidemment la plus commune d
tout à la forme alcoolique qui est évidemment la plus commune des
formes
de névrite multiple par intoxication. R. M.-C.
terminer par la mort; - 2° On peut, pendant la vie, penser à cette
forme
d'embolie ou la diagnostiquer lorsque l'on cons
par des agents médica- menteux. La tyrannie de l'organisme est une
forme
de pessimisme contre laquelle le moment est ven
ats autres que la folie, par exemple l'idiotie, ou encore certaines
formes
spéciales de troubles musculaires ou sensoriels
oriels. Il est important de savoir et de recon- naître que quelques
formes
d'aliénation mentale liées à une lésion cérébra
, lésions systématiques, lésions disséminées. Ce qui prouve que des
formes
très différentes de myélite chronique peuvent se
logique. Les processus d'atrophie, de sclérose, de dégénérescence à
forme
de cellules granuleuses, etc., se confondent, d
Mais il ajoute qu'il importe peu que ce processus s'étende sous la
forme
de lésions diffuses, disséminées ou systématiqu
x dans le nerf optique ou en d'autres parties'de l'encéphale que la
forme
spinale de la sclérose en plaques est devenue d
st aussi progresser que d'extraire de la syphilis spinale certaines
formes
justifiant de leur existence de par la méthode
une autre lésion : les affections systématiques combinées sont des
formes
de la myélite chronique puisqu'on en constate t
Bamberger, l'ostéo-arthropathie pneumique (Marie) ne sont que des
formes
d'une seule et même maladie, quoiqu'à divers degr
traumatisme et d'une névrite, les doigts prirent en peu de.temps la
forme
de baguettes de tambour. Le rapporteur mentionn
ues causes disparaissent : mais les mouvements persistent sous leur
forme
primitive. 342- SOCIÉTÉS SAVANTES Le malade à
rticu- lière offrant un caractère psychique se répétantsous la même
forme
présentant ou ayant présenté le caractère-d'act
r J'11'. 1° La maladie des tics convulsifs doit occuper en tant que
forme
clinique, une place distincte.. · 2° On ne do
atchénié, la maladie des tics convulsifs et la myoclonie sont trois
formes
cliniques distinctes. ' Cette communication a é
« Le Juif Errant existe donc encore aujourd'hui; il existe sous la
forme
qu'il avait prise aux siècles passés. Sa figure,
e, cas est' le même que celui que nous avons rapporté, et il est de
forme
cataleptique ? w La pathologie de cette conditi
alors que la glotte ligamenteuse reste largement ouverte sous la
forme
elliptique. Le malade ne peut articuler que des s
Varole; le paquet des fibres des pédon- cules cérébelleux moyens ne
forme
plus la saillie qu'on est habitué à trouver au-
'examen laryngoscopique. RECUEIL DE FAITS PERVERSIONS SEXUELLES A
FORME
OBSÉDANTE; Par MM. François BOISSIER et GEORGEs
u libre exercice de leurs facultés, étaient PERVERSIONS SEXUELLES A
FORME
OBSÉDANTE. 375 indistinctement condamnés. Ainsi
maître regrette d'avoir trop longtemps méconnu, Il est frappé de la
forme
obsédante et impulsive; de l'irrésisdbititè du
1 Magnan. Op. cil. 2 Magnan. Loc. cil. PERVERSIONS SEXUELLES A
FORME
OBSÉDANTE. 377 donc au groupe des héréditaires
se aptitude pour la percep- tion et la fixation des couleurs, de la
forme
et des caractères exté- rieurs des objets. Auss
ait; rien chez elles ne devait le tenter. » PERVERSIONS SEXUELLES A
FORME
OBSÉDANTE. 379 B... n'agit pas en effet aiguill
s centres nerveux, 2e série. Paris, 1893. PERVERSIONS SEXUELLES A
FORME
OBSÉDANTE. 381 excitation génésique ne se produ
s manifestations typiques de dégénérescence. Il n'a pas eu d'autres
formes
d'obsessions; il n'a jamais ébauché la moindre
ychologique est encore la même que celle de autres syndromiques. La
forme
angoissante et implacable de l'acte n'a pas éch
Elle se plaignait habituellement de tout et PERVERSIONS SEXUELLES A
FORME
OBSÉDANTE. 383 surtout d'elle-même. Scrupuleuse
encore l'histoire des antécédents, et lais- PERVERSIONS SEXUELLES A
FORME
OBSÉDANTE. 385 sans pronostiquer l'invasion éve
ale; c'est seulement dans les cas anormaux que la décharge prend la
forme
explosive et donne lieu aux con- vulsions. Ains
o-moteurs, et l'étendue des phénomènes convulsifs et la variété des
formes
et des symptômes dépendent de la diversité des ce
amène surtout de l'annihilation du juge- ment), du mécanisme de la
forme
dépressive. Quatre observations. P. K. XLV. R
et même agent nocif. La paralysie générale serait l'effet non de la
forme
de lésions matérielles, mais de leur consti- tu
araly- tique général. » . R. M. C. L. La manie COMPREND-ELLE deux
formes
distinctes DE FOLIE, ET DOIT-ELLE être subdivis
e suivre, l'auteur décrit 392 REVUE DE pathologie mentale. quatre
formes
de manie, que l'on peut logiquement ramener à d
os- térieurs de l'acoustique, non couvertes par ces barbes, sous la
forme
de trousseaux extrêmement délicats, grisâtres,
ibilité des nerfs peuvent-elles déter- miner cette anomalie dans la
forme
de la contraction ? Y a-t-il s'il n'en est pas
sont des cellules rudimentaires, dont certaines affectent mieux une
forme
pyramidale; les noyaux de ces cellules rudiment
ngue 1° des noyaux du tissu conjonctif; 2° des cellules nerveuses à
forme
pyramidale constituées par un noyau entouré d'u
elles ne sont nullement spéciales à l'une ou à l'autre de ces deux
formes
d'aliénation, car elles se rencontrent indistinc-
, ainsi que les états hypérémiques. Etant donnée la marche de ces
formes
aiguës de folie, on ne s'attendrait guère à y o
s que la proportion est renversée pour les cas de manie. Dans les
formes
chroniques de la manie et de la mélancolie : on
'influence de leur durée, les altérations déjà rencontrées dans les
formes
aiguës; mais quel- quefois aussi on constate de
s aussi on constate des phénomènes absolument contraires à ceux des
formes
aiguës. Les altérations de texture de la dure-m
L'hémorrhagie, le ramollissement ne sont pas communs dans ces deux
formes
d'aliénation ; elles ne figurent que pour 16 p. 1
ome des vaisseaux est de même très également réparti entre ces deux
formes
de folie chronique. L'auteur remarque en termin
rveaux à circonvolutions régulières que dans n'importe quelle autre
forme
de folie. On ne peut guère déduire des faits do
quarts des cas) et à un degré tout à fait inusités dans les autres
formes
, même les plus chroniques, d'alié- nation menta
sent insignifiantes à côté de celles qui appartien- nent aux autres
formes
morbides. Il en est quelques-unes pourtant qui
Vue par en dessous, la tumeur ressemblait grosso nzodo, tant comme
forme
que comme volume, à un cervelet, insinué entre
I - Sur le délire des négations . -Pour pronver l'exis- tence de la
forme
décrite par Cotard dans ses articles consacrés
ent défavorable. M. Tokarski pense que le principal intérêt de la
forme
décrite consiste moins dans le caractère du dél
ue. Après avoir passé en revue toutes les données relatives à cette
forme
, le rapporteur présente une malade de sa cliniq
combinaison de phénomènes présentés par la petite malade comme une
forme
distincte, la chorée paralytique. 2. M. le Dr S
a manière d'être des vaisseaux altérés. Ces modifications dans la
forme
du nerf optique se distinguent nettement des an
xcursion du cavalier. Or le champ visuel oscillant peut affecter la
forme
chronique. Il en existe aussi une forme très ra
oscillant peut affecter la forme chronique. Il en existe aussi une
forme
très rare, le scotome central ou paracentral, d
ux qui 1 Citons quelques-uns des travaux de M. Korsakov : « Sur une
forme
de maladie mentale combinée avec la neurile mul
ique avec autopsie ,; ; CozzLribze- lion à la symptomatologie de la
forme
polyncurilique des psychoses postlyphoïdiques »
a forme polyncurilique des psychoses postlyphoïdiques » ; ; Sur les
formes
aiguës de la folie » ; « Sur l'assis- tance fam
et état de fureur; l'état de confusion mentale avec ses différentes
formes
: état de rêve, état de délire général et état
ariété de moral insanity, l'hyperalgésie psychique, les différentes
formes
pathologiques de l'état anesthé- sique, les émo
atique, de rattacher tel ou tel cas observé en clinique à l'une des
formes
de Krafft-Ebing. Quant à la classification de l
onstitutions psychopathiques. Elle se divise en trois groupes : '10
formes
fon- damentales des psychoses; 2° constitutions
ype Lasègue, la folie processive, folie reli- gieuse, érotique ; e)
formes
mixtes : vésanie mélancolique, cata- tonique, e
; e) formes mixtes : vésanie mélancolique, cata- tonique, etc.; f)
formes
terminales : paranoïa secondaire et démence sec
a deuxième partie du Traité donne une description des diffé- rentes
formes
de maladies mentales d'après l'ordre indiqué par
uteur distingue quatre variétés : 1° con- fusion mentale primaire à
forme
stupide, curable (dysnoïa stupo- rosa de Korsak
- rosa de Korsakov) ; 2° confusion mentale aiguë hallucinatoire à
forme
délirante avec ses subdivisions : confusion menta
toire à forme délirante avec ses subdivisions : confusion mentale à
forme
maniaque, confusion mentale à forme mélancoliqu
divisions : confusion mentale à forme maniaque, confusion mentale à
forme
mélancolique, confusion mentale à forme récurre
niaque, confusion mentale à forme mélancolique, confusion mentale à
forme
récurrente et alternante de Greidenberg; 3° con-
e récurrente et alternante de Greidenberg; 3° con- fusion mentale à
forme
démentielle; et 4° confusion mentale à forme ab
on- fusion mentale à forme démentielle; et 4° confusion mentale à
forme
abortive. Dans l'exposé des psychoses des dégénér
M. Babinski en Vendée pour un cas de névrite du plexus cardiaque à
forme
anormale. Je lui faisais part incidemment de di
ces accidents sous l'influence d'un traumatisme chirurgical ; 3° La
forme
de ces manifestations hysté- riques ; 4° La fac
ublier que l'hystérie est susceptible de coexister avec toutes ! es
formes
d'aliénation mentale.On trouve des dypsomanes hys
s qui l'avaient vivement frappée, lui venaient aux lèvres, de là la
forme
bizarre de sa folie. La contratnte même qu'elle
es rudimentS|dunerfv optique prouve que le tuyau médullaire s était
forme
et qu il y.. a eu déchéance régressive de ses é
e la masse entière ? des fibres des circonvolutions de ce lobule et
forme
, un fort trouez seau, qui se dirige, en haut et
nterne du corps restiforme. Or, les fibres internes du corps resti-
forme
sont celles de la racine ascendante du nerf vesti
tuée plus en( dehors, acpolee a la masse principale du côrps,resti-
forme
, qui contient surtout des fibres issues'du noyau
'la séctionxdé l'acoustique chez le chien, modifie le genre' et' ta
forme
de' l'activité musculaire chez le chien (Schifi
erne.* ? l 4 ' . loin '' Tel, est'le' noyau' dorsal qui,'en réalité
forme
une' petite colonne de' cellules siluées'priric
Les granulations de d'épendyme qui.se rencontrent souvent dans les ,
formes
. chroniquesjjde .démence, primitiyqi et, seconda
lles-ci,' dans leur développement, , prennent , en . général .une h
forme
plus ou moins ovoïde, les cellules de nevroghe qu
e les deux maladies. M. Hoffmann, , dans1 son travail, repousse les
formes
^ frustes dont'il importe "cependant clé s'inqui
i. était remplacée par quatre à ! cinq~gro'upes 'de'1 noyaux 'fusi-
formes
Il entourant ri le tfaisceaut6utentier;"entre "eu
ce de noyaux fusiformes et quelques cellules vésiculeuses, ayant la
forme
de bagues à cachets (Langhans). Chez un troisiè
e les groupes.de fibrilles il y a des espaces libres, dessinant des
formes
irrégulières, qui ne se colorent point par les
s; elles résident donc volontiers dans le cubital. Il en existe une
forme
bénigne très supportable. La maladie a pour fac
rds-muets, par Rosenbach, ,v 485. , c ,c , AGHA(;HtE,des diverses
formes
d ? et en particulier de , l'agraphie ' d'ori
e ? do 1,lIu- tington, par Greppin, 138;'rye- '' marques 'sur les
formes
de la .. - chronique,' par W. Osier, 142; - a
e, 258 ? .Vv' r r . Dégénérescence, lésions spéciales à "diverses
formes
de musculaire, par Fuerstner, 495. Delasiauve
s, - cérébrales de l'enfance. par Rosenthal, 503 ' ,, 1 Doigt, en,
forme
" de bauette de ? tambour, par L.' ]1111101', 310.
, 62; deux cas sin- guliers de -, par Ilossi, 137. " GnosE, des
formes
atypiques de l' la spinale, par Ôppenheim, 49
Scheldtler, 326. Impulsions, sur deux cas d'obses- sions et d'- à
forme
continue, par Roubinovitch, 261. Influenza, d
et suggestion, par Benedikt, 478. Manie, la comprend-elle deux
formes
distinctes de folie, etc. ? par G.-111. Roberts
lt 1] ? 1'1 Obsessions, sur, deux., cas d,· ? et " d'impulsions,,
forme
/continue, par, ltoelilïovltch; 201 ? r o, nv
d, 29;,ma- ladite toute spéciale affectant deux i 'soeurs sous la
forme
de ? pro- agressive, par Homen,' 49 ; de.s, d
? aJW wr ..hl ! 'i ? 1111 -51»<>-« Perversions SE\UGLLES'r7L'
formes
obsédantes ? par'Boissier et La- 1 chaux,' 37
main, Paris (VI*) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE LES
FORMES
NERVEUSES D'UNE NOUVELLE TRYPANOSOMIASE CTRYP
plie, eu formant de nombreuses uni- tés, qui se présentent sous une
forme
arrondie, munies de noyau et de ? 6pharopfasLo,no
î ? 2agisia. Hémiptère inoculateur du 1'oypanoso>nc Cruzi. ' LES
FORMES
NERVEUSES D'UNE NOUVELLE TRYPANOSOMTASE 3 accom
le môme fait a souvent été observé chez les malades atteints de la
forme
nerveuse de la maladie. On a également cons- ta
nt cons- tatables dans des cas aigus de trypanosomiase, et dans ses
formes
chroni- ques. Dans les cas aigus, qui sont prin
ème nerveux central, il déler- Fio. 2. Kystes de la protubérance de
forme
ronde formés par le TI ? pa1l0soma Cruzi. i C
lte l'extrême gravité du pronostic, les malades qui sur- vivent aux
formes
nerveuses aiguës de la trypanosomiase étant bien
pourrait, du reste, harmoniser autrement l'existence de nombreuses
formes
nerveuses chro- niques de la trypanosomiase ave
euses chro- niques de la trypanosomiase avec la haute léthalité des
formes
nerveuses aiguës. Il est certain que l'anamnèse
faits doivent constituer le petit nombre, vu l'extrême gravité des
formes
méningo-encépbafiques aiguës. Les formes nerveu
, vu l'extrême gravité des formes méningo-encépbafiques aiguës. Les
formes
nerveuses chroniques de la trypanosomiase présent
rédominance des troubles moteurs d'un seul côté du corps. Dans la
forme
nerveuse chronique de la maladie, le syndrome le
st repré- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrilke. T. XXVI. Pl.
FORMES
NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 1. Syndrome d
sinus. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. II
FORMES
NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 6. Paralysie
eurs. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. PI. III
FORMES
NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 3. Diplégie c
ie cérébrale spasmodique. Idiotie. Masson & Cie, Editeurs LES
FORMES
NERVEUSES D UNE NOUVELLE TRYPANOSOMIASE sentée
efois volumineux, nous n'avons jamais observé^ dans les différentes
formes
cliniques de la main- (i chagas die, pas même
par l'opothérapie thyroïdienne. Relativement il la fréquence des
formes
nerveuses de la trypanosomiase, nous possédons
ie lw- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVl. Pl. IV
FORMES
NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 12. Diplégie
lleux. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. V -
FORMES
NERVEUSES DE LA MALADIE DES CHAGAS Diplégie cér
e cérébrale spasmodique. Idiotie. Masson & Cie, Éditeurs. LES
FORMES
NERVEUSES D'UNE NOUVELLE TRYPA.NO';OIIA.$E 7 ma
résentent, nous sem- hie-t-il, moins d'un dixième de l'ensemble des
formes
cliniques dans les- quelles nous divisons la ma
ns vu, est repré- sentée par presque totalité des malades; dans les
formes
chroniques, les malades supportent longuement l
n avant, comme s'jl précédait dans la marche les membres inférieurs
forme
avec ceux-ci un angle obtus ; les mem- bres inf
arfait des mouvements volontaires des muscles du bassin; Le ma' LES
FORMES
NERVEUSES D'UNE NOUVELLE TRYPANOSOMIASE 9 lade
JU111ENT1É ET JARKOWSKI Il y a de la céphalée qui se manifeste sous
forme
d'accès fréquents et vio- lents s'accompagnant
issement de l'hippocampe et de la partie antérieure du lobule fusi-
forme
. Ce cerveau nous ayant été remis, nous l'avons ét
devant de deux côtés du thorax,apparaissant dès lors fréquemment sous
forme
de tiraillement douloureux, en ceinture, au niv
tte même période, le malade res- sentit les premières douleurs sous
forme
d'arrachement au pied et dans les ge- noux jusq
a membrane, la tumeur se laissa énucléer totalement et apparut sous
forme
d'une pruue forte, de consistance assez molle.
Troubles de la sensibilité : lé- ger affaiblissement de toutes les
formes
de la sensibilité depuis la ligne du tronc (D.
atéral, le réflexe plantaire gau- che commence à apparaître sous la
forme
du phénomène de Babinski. Dou- leurs dans le do
, douleur qui augmente d'intensité, gagne le côté gauche puis, sous
forme
de tiraillement douloureux entoure la partie bass
faisant qu'en apparence corps avec la moelle. La tumeur (fibrome) à
forme
distinctement fuselée, sur- face inégale, dure,
pression com- plète des réflexes et de la sensibité sous loules ses
formes
, à partir du niveau indiqué dans la description
dans la jambe droite et depuis plusieurs mois des paresthésies sous
forme
de fourmillement ainsi que des contractions invol
t de la chaleur aux membres inférieurs, affaiblissement de ces deux
formes
de la sensibilité sur le ventre, au niveau du sac
de préjudice, et, comme l'un de nous le montrera prochainement, les
formes
cliniques en sont fournies par l'association av
synthèse psychologique nouvelle est assez distant de cette dernière
forme
, aujourd'hui classique. Le caractères généraux
n ton un peu oratoire à ses phrases senten- cieuses empruntées à la
forme
imagée des sermons évangéliques. L... appartien
es : doigts, mains, face, et se généralisent, progressivement, sous
forme
hémiplégique ou bien à tout le corps. L'évolution
Que cette désignation soit ahandonnée ou non, elle ne sera qu'une
forme
du paramyoclonus multiplex, c'est-à-dire une vari
aitement, la façon avec laquelle les contractions sont apparues, sa
forme
spéciale, nous donnent l'impression que ces secou
n de ces mouvements. Les muscles du tronc entrent en scène sous des
formes
variées et répétées. Un des mouvements qui appa
actions des muscles de la face, la flexion des bras, etc., sont des
formes
diverses des contractions musculaires de la malad
n puisse prévoir, avant l'accès, l'intensité qu'elles auront, ou la
forme
qu'elles revêtiront. Cette brusquerie est surto
. Elles se confondent et ne produisent qu'une unique contraction de
forme
tétanique. Pierre Marie, qui a publié en 1886 l
re involontairement, sans cause et sans but, en s'exagérant dans sa
forme
, dans son intensité et dans sa fréquence ; il pre
e est, en général, lent et insidieux et très varia- ble suivant les
formes
myocloniques. Il y a des cas (comme chez notre
- rent dans les épilepsies partielles. Comme exemple de la première
forme
nous pouvons citer le cas de Tinel et André Cai
ien par lésion syphilitique du cortex moteur à droite. La seconde
forme
constitue le syndrome de Kogewnikoff, c'est-à-dir
d'une maladie surajoutée. Ces crises myocloniques peuvent avoir des
formes
diverses : ou elles se réduisent à de petites c
nous appelons myoclonies essentielles. Elles peuvent présenter les
formes
suivantes : 1° La myoclonie fibrillaire essenti
séparent très nettement la chorée de la myoclonie ; mais il y a des
formes
intermédiaires dans lesquelles le diagnostic peut
ntairement, sans cause et sans but. Ces actes sont exagérés dans la
forme
et l'intensité, mais conservent t toujours une
es autres mouvements convulsifs qui leur sont semblables quant à la
forme
, mais qui fondamen- talement ont une significat
xtension des mouvements, qui souvent surviennent subitement, par sa
forme
toujours progressive, un caractère particulier
elles sont brusques, soudaines, essentiellement variables dans leur
forme
, leur expression et leur intensité. Et comme
et nous pensons que toutes ces hyperciné- sies, variées dans leurs
formes
, ont des caractères communs et on peut bien les
MONIZ hypercinésies. Dans ce chapitre général nous avons séparé les
formes
diverses qui onl été décrites avec différentes
ultats éphémères. Dans ce chapitre de la thérapeutique les diverses
formes
des myoclonies essen- tielles se ressemblent pa
ermann. De ces formations proviennent des fibres qui se dirigent en
forme
d'arc vers le cylindraxe et vers la gaine de Sc
e comme une toile d'arai- gnée. On peut trouver des formations en
forme
d'entonnoir qui vont se rétrécissant régulièrem
(fig. 4). Ces enveloppes entourent non seulement les formations en
forme
d'en- tonnoir. mais ça et là même une plus ou m
c leurs noyaux ronds de volume remarquable et les formations stelli
formes
. Toute- fois il est difficile de décider si les
mportant dans la pathogénie de la paralysie agitante. Il décrit une
forme
particulière des cellules névrogliques trouvées
144 HASKOVEC ET BASTA agglomérées en amas sans lumière offrent une
forme
ronde, tandis que celles dont les follicules so
tandis que celles dont les follicules sont composés présentent une
forme
tantôt cubi- que, tantôt cylindrique. La colora
. Elle est composée de follicules dont le volume est variable et la
forme
ronde ou polyédrique. Les cellu- les épithélial
nclure que Jeanne la Folle était atteinte de psychose périodique, à
forme
de mélancolie in- termittente. Ce diagnostic
saient aucun doute sur la nature de leur nanosomie. A côté de ces
formes
typiques, il y en a d'autres déjà décrites dont l
rêts de développement. Comme on le sait, on a distingué différentes
formes
de nanisme : les principales sont le nanisme my
ique. On a voulu par opposition réserver le nom du microsomie à ces
formes
où, bien qu'un développement somatique et psych
e qu'on peut en faire tout de suite le diagnostic, on a observé des
formes
incomplètes chez lesquelles, soit par exclusion,
clusion, ou sur la base de symptômes positifs, on doit admettre des
formes
atypiques d'achondroplasie, seplaçanl entre le
omie essentielle, de même qu'est déjà hors de doute l'existence des
formes
combinées de nanisme achondroplasique et rachit
rtes, je ne crois pas que ce soit le cas d'élever des doutes sur la
forme
fondamentale, tandis qu'on pourra discuter si l
inales se font régulièrement, de même qu'il apparaît normal pour la
forme
et le volume des organes abdo- minaux, pour la
ux proportions normales et constituer enfin l'épiphyse distale à la
forme
de pyramide. Les cartilages épiphysaires sont p
est gros, tassé et, puisqu'il est moins oblique que d'ordinaire, il
forme
avec la diaphyse un angle moins ouvert. Le peti
lation du genou, s'avance jusqu'au niveau de celle-ci. Cet os a une
forme
régulière. La malléole externe n'est point plus
le tibia. Pour le squelette du pied il faut noter la brièveté et la
forme
extrêmement trapue des phalangines et des phala
`e, 3e et 4" métatarsiens sont de longueur sensiblement égale et de
forme
normale, tandis que le pre- mier est gros ; l'a
let. La main est carrée et on peul lui faire prendre passivement la
forme
caractéristique en trident. Le bassin est étroi
nts en faveur de l'achondroplasie, je ne vois pas dans quelle autre
forme
de nanisme (sans aucun doute il s'agit d'un - n
uve souvent des altérations de cOtes (chapelet rachitique) et de la
forme
du thorax dans son ensemble (thorax à carène).
ons. On en di- rait autant pour le nanisme mitralique. Contre une
forme
d'infantilisme du type Lorain ou Brissaud déposen
s trop manifes- - 170 FERRUCCIO RAVENNA tes et donnent lieu à une
forme
légère, de laquelle on pourra aisément passer à
ladone, il faillit mourir empoisonné. A 20 ans il eut la rougeole à
forme
grave. Au reste il a a toujours joui d'une exce
éveloppement de l'apophyse coracoide du cubitus, qui du reste a une
forme
normale. Le radins(PI.XXVI), outre présenter une
cen- tre de la diaphyse. On ne remarque rien de particulier sur la
forme
et la posi- tion de ses épiphyses. Le squelette
ive pas à l'articulation. Les deux os de la jambe sont robustes, de
forme
normale avec un développement marqué des éminen
de dispropor- tions propres à altérer visiblement l'harmonie de ses
formes
. - Cependant il est de taille notablement infér
de la stature : ce n'est vérita- blement pas le cas de supposer une
forme
quelconque d'infantilisme : il manque de la faç
pement sexuel et de l'ossification. Je voudrais laisser de côté les
formes
toxi-infectieuses mal précisées pour faire remarq
segmentaire symétrique de Rebnault. On peut exclure tout d'abord la
forme
typique d'achondroplasie : il manque une excess
. vite, d'un dérangement dans le développement du squelette, et cela
forme
le premier ordre de faits par lesquels nous nou
or- mes incomplètes d'achondroplasie. On pourrait même penser à une
forme
de micromélie segmentaire symétrique diffuse au
autonomie qu'elle nous permette d'en décrire déjà des variétés. Ces
formes
d'achondroplasie partielle dont ma première obser
ns personnelles ne soit pas très importante, je suis d'avis que ces
formes
sont moins rares que l'on ne pense, el qu'un ex
ude réside, à mon avis, dans la démonstration du fait qu'il y a des
formes
d'achondroplasie légère, où l'on trouve tous le
c soin permet d'établir le diagnostic avec certitude. Dans d'autres
formes
, l'achondroplasie est pour ainsi dire latente, et
ns le dé- veloppement de quelque cartilage de conjugaison. Pour ces
formes
de dystrophies j'ai proposé le nom de chondrohy
s j'ai proposé le nom de chondrohypoplasie, pour les distinguer des
formes
typiques, très évidentes dont elles diffèrent bea
ats, il serait bon de faire quelques réflexions sur l'étiologie des
formes
qu'on vient de dé- crire. Il faut cependant rem
suis d'avis qu'une longue discussion sur son étio- logie et sur les
formes
relatives serait presque inutile. La question a
CHONDROPLASIE ET CHONDROHYPOPLASIE Dufour Achondroplasie partielle,
forme
atypique. Nouv. Icon. de Sa) ? .. 190G. p. 133.
nne : 9 centimètres. Le médius : 8 centimètres. La main présente la
forme
en trident caractéristique. L'index et le médiu
4 centimè- tres présente l'aspect normal. Mais sa partie inférieure
forme
avec la précé- dente un angle obtus qui proémin
radiographie qui représente le thorax on est surtout frappé par la
forme
peu arrondie de la tête humérale. La radiograph
mbre de vésicules thyroï- diennes. Ces dernières ont en général une
forme
arrondie. Celles de petit t volume sont les plu
tes. Dans le lobe nerveux on rencontre des cellules pigmentaires de
forme
irrégulière à granulations de couleur châtain.
amètre transversal prédomine sur celui longitudinal. La tête humérale
forme
avec le corps de l'os un angle de 90°. Sur l'hu
sillon médian et deux crêtes latérales. Son extrémité supé- rieure
forme
une véritable tubérosité longue de 5 centimètres
ie avec adiposité démontre la parenté étroite qui unit les diverses
formes
de nanisme; elle permet de penser que certaines
s. If ne peut être complètement étendu sur ce dernier : allongé, il
forme
avec lui un angle' de 145° environ. La main est
é entraînée par l'ensemble symptomatique vers une nette et décisive
forme
bulbaire, étant donné la symptomatologie tout à f
la bosse occipitale droite plus que la gauche. Dans l'ensemble, la
forme
du crâne ressemble à la forme pentagonoïde des pe
us que la gauche. Dans l'ensemble, la forme du crâne ressemble à la
forme
pentagonoïde des petits enfants. En regard de
ne longue marche et il reste levé toute la journée. Les différentes
formes
de sensibilité et les sens spécifiques sont compl
nte dans les membres supérieurs et inférieurs des mouvements choréi
formes
; laissé debout, il a de la tendance à tomber,
on d'une partie du cerveau et éventuellement qu'il s'agissait d'une
forme
de paralysie pseudo-bulbaire des enfants. Cela
symptomatologie se développe après le naissance. De même dans celle
forme
spéciale il existe une diplégie avec paralysie, o
e, jamais de convulsions épileptiformes, ni aucun mal à la tête. La
forme
spéciale du crâne, les notables troubles de la
rtébrale, delà basilaire, ou d'une de leurs branches, ou encore une
forme
de poliencéphalite inférieure aiguë. Dans ces c
a paralysie du corps est unilaté- rale et il peut aussi y avoir des
formes
alternes de paralysie. Il existe en outre de fr
'en ce qui concerne le développe- ment des symptômes, il existe une
forme
à évolution subaiguë, laquelle 216 17 ' PUBLIO
sexcep- tionnellement rares. La paralysie spinale aiguë ascendante (
forme
de Lan- dry), qui a beaucoup de ressemblance cl
en sens inverse, contribuait à rendre abso- lument improbable cette
forme
spéciale, dans laquelle en outre, les fonc- tio
ssus névritique que pour une paralysie de Landry. L'existence d'une
forme
de myasthénie grave pseudo-paralytique pouvait t
a fièvre peut aussi manquer, bien qu'exceptionnelle- ment, dans les
formes
dénommées larvées. Ces symptômes furent, de fait,
énommées larvées. Ces symptômes furent, de fait, décrits dans cette
forme
: dysarthrie, anarthrie, voix nasale, parésie du
a phonation s'améliorent encore, pendant que des mouvements choréi-
formes
et des troubles cérébellaires se rendent évidents
succès passagers, en RÉACUT1SATION DE L'HYDROCÉPHALIE INTERNE 221
forme
d'amélioration de l'état subjectif et des phénomè
tieux et par sa successive réacutisation ? Parmi les causes de la
forme
congénitale il faut rappeler l'alcoolisme, la s
La première pensée qui me vintfut qu'il s'agissait peut-être d'une
forme
de myopathie d'une certaine catégorie. Afin d'o
t de 27 centimètres ». « Les omoplates sont ailées. Chaque scapulum
forme
, avec le thorax, un angle fortement ouvert en d
pa- ralysie du grand dentelé, les omoplates s'écartent du thorax en
forme
d'ailes. Mais pour le cas qui nous occupe, chac
tu- tion de la masse musculaire peut être complète. Ni l'idée de la
forme
juvénile d'Erb, de la forme héréditaire de Leyd
ire peut être complète. Ni l'idée de la forme juvénile d'Erb, de la
forme
héréditaire de Leyden-Môbius sans hypertrophie,
tique. , Nous n'avons pu trouver la preuve ni de la combinaison de
formes
dif- férentes ni de l'existence d'intermédiaire
on de formes dif- férentes ni de l'existence d'intermédiaires d'une
forme
à l'autre, ni de formes frustes de quelqu'une d
tes ni de l'existence d'intermédiaires d'une forme à l'autre, ni de
formes
frustes de quelqu'une des maladies mentionnées. I
ons peu à admettre une myopathie primitive. Notre cas en serait une
forme
à coup sûr bien étrange. Devons-nous plutôt con
ltiples. Thèse de OETTINGEII, Paris, 1885. (2) Etude clinique des
formes
atténuées de la paralysie alcoolique : paralysie
s plus caractéristiques à noter sont les crochets de inférieurs, la
forme
bizarre de a de aucun, l'ébauche de e d'environ
ement avec la paume de la main, nous sentons la région reprendre sa
forme
normale Chose cu- rieuse, l'écriture faite à ce
I-II lombaires (fig. 1). Le canal épen- dymaire est dilaté et'd'une
forme
irrégulière (L). Tout près de lui on remarque d
ont occupés par une néo- formation dure, de couleur jaune, ayant la
forme
et les dimensions d'un oeuf de poule. La tumeur
le canal épendymaire ne présentait aucune modification ni - dans sa
forme
, ni dans sa structure. En analysant les lésions
ent pas d'une manière uniforme, mais peuvent réaliser de véritables
formes
cliniques. En ce qui concerne nos deux cas, par e
ésentant l'association avec la sciérodermiesont le plus souvent des
formes
frustes du goitre exophtalmique. Les cas de Bas
s du goitre exophtalmique. Les cas de Basedow typiques, surtout les
formes
graves de ce syndrome, qui se sont accompagnés
st pas toujours dans le même état. Gauthier (2) distingue même deux
formes
de sclérodermie : à l'hyperthy- roïdisme corres
'à l'hypolhyroïdisme correspondrait un type spécial différant de la
forme
ordinaire par un moindre parcheminage de ia peau
e aux gaines des fléchisseurs et qui rappelle absolument la véritable
forme
de Dupuytren sans les saillies des cordes tendi
yosite interstitielle, analogue à celle que l'on rencontre dans les
formes
myopathiques. En regardant toujours de profil c
Il n'y a pas de doute à propos du diagnostic : il s'agit bien d'une
forme
de sclérodermie généralisée. , Le facies est
ants à l'existence de tumeurs dures, indolores, de dimensions et de
formes
différentes, siégeant sous la peau. Ajoutons en
des nodules cutanés ou sous-cutanés, il est très fréquent, dans les
formes
de sclérodermie généralisée, de rencontrer l'ex
marquer dans son travail (1), le syndrome de Profichet n'est qu'une
forme
d'attente et il est probable que des observa- t
s, il y aura donc lieu de retenir dès à présent l'exis- tence d'une
forme
spéciale de sclérodermie, caractérisée par des dé
fait un contraste frappant avec le reste du corps. Cette zone a la
forme
d'une ceinture dont le bord supérieur est plus
de-la 3e vertèbre lombaire, on observe une petite excroissance, de
forme
ovalaire et dont les téguments ont une coloration
uche de la nuque. On observe également une petite tache blanche, de
forme
irrégulière, au ni- SUR UN CAS DE VITILIGO A TO
mme raison étiologique. Nonne, qui regarde celle anomalie comme une
forme
d'éléphantiasis congénital et qui croit que ses
is congénital héréditaire, fait remarquer que Virchow a dit que les
formes
congénitales d'éléphantiasis ne sont pas rares
e avait atteint son maximum de développement, se présentait sous la
forme
d'un gâteau aplati assez régulièrement arrondi,
ité antérieure. Plus en arrière, le faisceau longitudinal inférieur
forme
le fond de la cavité (PI. L, B). Au niveau'du t
facial par un courant faradique à intermittences lentes. Dans cette
forme
, en effet, (1) Huet, Soc. de Neurologie de Pari
s que les contractions musculaires, au lieu de se présenter sous la
forme
de secousses cloniques, affectent la forme de con
de se présenter sous la forme de secousses cloniques, affectent la
forme
de convulsions toniques, ne se manifestant qu'à
fondues, soit avec des tics simples, soit avec quelques-unes de ces
formes
encore mal dé- terminées d'hémispasmes faciaux
ieu d'un clignement léger une contraction soutenue qui affectera la
forme
d'un blépharospasme clonique. A chaque clignement
ci-dessus ; dans ce dernier cas,les contractions se montrent sous la
forme
de frémissements répétés, d'aspect ondulatoire.
muscles dans un état de repos apparent. Elles se présentent sous la
forme
de secousses musculaires à fleur de peau, brève
s, erratiques, apparaissant sur plusieurs points à la fois, sous la
forme
de palpitations faciales, de frémissements et d'o
rale. Peut-être permettra-t-il aussi de les distinguer de certaines
formes
de spasme facial primitif. , FACULTÉ DE MÉDEC
it du corps de la 7e vertèbre dorsale ; elle est du volume et de la
forme
d'une grosse poire et fait saillie dans le thor
les de Loch. Les méninges dures présentent un stroma conjonctif qui
forme
charpente et dans lequel se trouvent des vaisse
ement dite. Cette dernière proposition nous a paru tout à fait con-
forme
au casque nous avons observé. Voici d'abord l'obs
les osseuses de tous ces éléments, il y a fixation définitive de la
forme
cranienne. Si celte ossification a lieu d'une f
in- flammatoires des enveloppes internes du crâne, de même que les
formes
hydrocéphaiiques peuvent se ramener à des états
lformation de son crâne est d'une date ignorée. L'oxycéphalie est à
forme
scapliocéphalique comme le montre la photographie
s auditifs externes sont normaux. Au point de vue du calibre, de la
forme
, de la profondeur, il n'y a rien de par- ticuli
18 0/0 ; médio-mononucléaires 9 0/0 ; grands mononucléaires 3 0/0;
formes
de transition 0 0/0 ; polynucléaires neutrophiles
e l'observation ci-jointe suffit pour qu'on voit qu'il s'agit de la
forme
myo-scléreuse (ou pseudo-hypertrophique de Duchen
ld) (5), ces dernières se présentent dans le tissu normal sous deux
formes
principales : sous forme de petites cellules fond
en cela par le gliaspongium intercellulaire fine- ment réticulé qui
forme
par exemple les membranes névrogliques autour d
évrogliques 8/"c,ér.thr()- cytes. Fie.. 3. La névroglie atypique.
Forme
protoplasmatique en granulations. Au milieu un
llules épithélioides (endothéliales). Fig. 4. - Nevroôlie atypique,
forme
libreuse. PLANCHE LXI11 Fie 5. - Un vaisseau
um à petites mailles se rapprochant comme grandeur de la norme sous
forme
d'ilois séparés. Dans les endroits où le gliasp
ar places une déchirure du réseau protoplasmique grâce à quoi il se
forme
des petites excavations. Comme on rencontre dan
e tout le protoplasme et à l'allongement de certaines parties il se
forme
des cellules névrogliques allongées qu'on appel
ure 2 (de la memhrane réticulaire plus bas). Nous avons examiné une
forme
pathologique du tissu névroglique riche en prot
ire). Mais au même endroit, il la pé- riphérie, se trouve une autre
forme
pathologique du tissu névroglidue ca- ractérisé
du gliaspongium qui prennent l'aspect de fentes très minces. Cette
forme
de la névroglie ressemble, grâce à ses fibrille
il en est nettement différencié par les traits suivants : 1° cette
forme
de tissu névroglique est continuée immédiatemen
forme de tissu névroglique est continuée immédiatement par d'autres
formes
dont nous avons parlé plus haut, fai- sant un a
aut, fai- sant un avec elles; 2° les noyaux de ses cellules ont une
forme
ovoïde, sont assez gros, avec deux, trois nuclé
arlé mais aussi d'un très fin tissu réticulé à mailles étroites qui
forme
avec les cellules ce qu'on peut nommer la membr
composantes, elle se défait sur son trajet et à cause décela il s'y
forme
des mailles. La figure 6 servait de démonstrati
ne hyl)ei-1)1(isie de fibrilles conjonctives ; nous voyons ici sous
forme
pathologique ce qui est commun à la structure nor
s représentés sur les figures, le commencement de for- mation d'une
forme
atypique de tissu conjonctif, tissu cicatriciel.
stance colla- gène vient du côté de ces fibres collagènes dont elle
forme
la continuation. Pour finir, revenons au tablea
à la palpation, sont normaux. Les mains sont volumineuses, avec une
forme
de battoir et une peau ferme et épaisse. Les os
nt normaux et ne présentent pas non plus de modifications dans leur
forme
ou leur aspect. Il n'y a ni déformation ni exos
ilaires de Bartolotti) ; 2" une selle turcique non modifiée dans sa
forme
ou ses dimensions ; 3° un aplatissement peu marqu
irrégulières, exubéran- tes, bosselées. On pourrait songer à une
forme
fruste de la maladie de Paget : le volume du cr
ne famille de blanchisseurs. Mieux encore, on pourrait penser à une
forme
de maladie de Paget céphalique (Catala, N. I. S.,
me de maladie de Paget céphalique (Catala, N. I. S., 1909) ou à une
forme
anormale et fruste de maladie de Paget, analogue
ous pourrons éliminer encore d'autres dystrophies : le rachitisme à
forme
tardive, à cause de la saillie du front, mais les
s pas l'aplasie des clavicules, l'inocclusion des fonta- nelles, la
forme
ogivale de la voûte palatine et enfin loules les
ttement une plicature de l'écaille de l'occipital qui apparaît sous
forme
d'un angle aigu d'environ 70° (PI. LXX, fig. 2)
particulièrement énorme. La partie antérieure de la planle du pied
forme
une grosse tubé- rosité correspondant aux'20 et
considérablement hypertrophiée, la base et la demi-couronne qui en
forme
l'extrémité sont exubérantes et poussent de cha
La paraplégie peut présenter toutes les variantes possibles, de la
forme
légère avec petits troubles de la démarche, dou
ertu de laquelle elle se transforme en fibrine et précipite sous la
forme
de filaments qui s'enchevêtrent, consti- tuant
sera donc exempt de fibri- nogène, celui-ci étant précipité sous la
forme
de fibrine dans les espaces, sous-arachnoïdiens
ertolotti, 63. Myoclonies essentielles, par Moniz, 85. Nerveuses (
Formes
-d'une nouvelle trypano- somiase), pur Chagas,
me facial essentiel), par Pitres (.t Abuhe, 365. Tnafoma magista (
Formes
nerveuses d'une nouvelle 1,-tip,711osontiase. 7
"oedpme congénital familial, par Itohs, 3t6, 580. Trypanosomiase (
Formes
nerreuses d'une nouvelle -. Trypanosonla Cruzi
romégalie et tabès, 469. Chagas (Carlos) (de Rio-de-Janeiro). Les
formes
nerveuses d'un- nouvelle trypu- nosomiase (Tryp
multiples) (Rauzier et Baumel). LUI et LIV. Chagas (maladie de),
formes
nerveuses (CHAGAS), I à V. Chai-les Il (LAIG;
LXII et LXIII. Myoclonies essentielles (Moniz), XVII. Nerveuses (
Formes
) d'une nouvelle tryp,l' nosomiase (Chagas), I V
ation du pied (Marie et Bouttier), LXX et LXXIII. Trypanosomiase,
formes
nerveuses (Chagas), I il V. Tuberculomes mult
en permis de se montrer sceptique sur sa réalité objective. Dans la
forme
qu'avait prétendu lui donner Cing..., un délire
ée vers les idées ambitieuses avec hallucinations variées était une
forme
clinique inconnue par son exagération même. Et
ission du conseil général a pu constater qu'il n'y avait pas d'uni-
forme
; à l'asile de Clairbury, notamment, chaque malad
le nom de toucher actif un complexus sensitif qui s'exerce dans sa
forme
la plus parfaite par la palpa- tion manuelle et
ui permet d'apprécier sans le secours des autres sens la nature, la
forme
et certaines propriétés extérieures des objets
tudié ', le sens stéréognostique se rapporte surtout à la notion de
forme
des objets comme l'indique du reste l'étymologie.
e. Ainsi grâce à la notion de position des doigts on reconnaîtra la
forme
; la consistance ne sera reconnue que par la per
tion d'effort qui mesure la résistance opposée par l'objet. Mais la
forme
, l'étendue et la consistance sont des propriété
Dans un important travail aussi attachant par le fond que par la
forme
, l'auteur montre que la folie n'est qu'une except
veloppée pendant la période florissante de la syphilis. C'est une
forme
de trouble mental assez peu fréquente et toujours
L'auteur admet que la folie post-opératoire peut revêtir toutes les
formes
de l'aliénation mentale ; celles-ci peuvent même,
leur fréquence relative aux diverses périodes et dans les diverses
formes
de la paralysie générale; il étudie aussi les r
o- pathiques. Sur vingt-cinq psychopathes observés, il y eut sept
formes
ma- niaques. Après une courte phase dépressive.
mois. Terminaison favorable. La plupart des faits concernent des
formes
dépressives. D'abord agitation hallucinatoire,
sor pris par la maladie. 8° Comment expliquer la modification de la
forme
? On manque d'éléments d'appréciation. Ce ne pe
[\¡ : RAVAL. IX. Fréquence relative de la manie simple aiguë et des
formes
périodiques; par 0. IlmecusES. Indépendamment
endamment des autres détails, on a distingué jusqu'à pré- sent deux
formes
de la manie tout à fait différentes et par leur
r leur nature : d'une part la manie simple, aiguë; d'autre part les
formes
périodiques typiques de la manie qui se réuniss
t les formes périodiques typiques de la manie qui se réunissent aux
formes
circulaires. Ces dernières, formes pério- dique
e la manie qui se réunissent aux formes circulaires. Ces dernières,
formes
pério- diques et circulaires, sont regardées co
52' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. aiguë se trouve comprise dans les
formes
maniaques de la folie périodique. La question d
inégalité pupillaire, tremblement de la langue, ictus apoplecti-
formes
ou épileptiformes, etc. La pachyméningite n'off
tions. - G. D. XIII. Le rôle de l'auto-suggestion dans certaines
formes
d'aliénation mentale; par 1\1. A. Voisin. (Revu
un terrain névropafhique, mais à névropathies de préférence uni-
formes
avec manifestations superficielles et transitoire
aggravent sou- vent les affections. Dans les idées fixes, dans les
formes
multiples de phobies, dans certaines formes d'i
s idées fixes, dans les formes multiples de phobies, dans certaines
formes
d'insomnie habituelle, si fré- quentes chez les
ie jacksonienne; 5° enfin l'abcès du cerveau principalement sous la
forme
la plus commune, celle qui est consécutive à un
let; d'autre part, la paralysie partielle de la face et du bras, la
forme
Jacksonienne de l'épilepsie, la céphalalgie fro
u ou dur, rude ou lisse, mais n'en peut estimer ni le volume, ni la
forme
, ni le poids. Les sensi- bilités profondes sont
t remarquer que ces malades ne font aucun effort pour déterminer la
forme
ou la nature de l'objet saisi, ne pensant plus
vertébral avec pachyméningite caséeuse et myélite par propagation (
forme
de Charcot et llfichnud). - La troisième autops
ui évolue sans lésions méningée, interstitielle ou vasculaire, sous
forme
de nodules intra-médullaires au niveau desquels l
dilatées. Ces cas heureusement choisis, démontrent la pluralité des
formes
de la méningo-myelite tuberculeuse, et l'existe
font une maladie spéciale, distincte, nette- ment caractérisée, qui
forme
une espèce clinique à part dans le groupe des c
t. IX. 7 98 PATHOLOGIE NERVEUSE. similaires qui appartiennent aux
formes
de transition ou aux formes frustes, et qu'on v
USE. similaires qui appartiennent aux formes de transition ou aux
formes
frustes, et qu'on voudrait y ajouter. Celte règle
discuter la question de savoir si ces troubles carac- térisent une
forme
déterminée de psychose spéciale à cette maladie
éance précoce profonde des facultés intellectuelles. En tout cas il
forme
, à notre avis, le ') 08 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE
omme Dreves insisté spécialement sur la tendance au suicide dans la
forme
chronique de la chorée. Il n'en est pas moins v
ion première de Lion- tington. Wollenberg se borne à dire que cette
forme
de cho- rée présente souvent au début une dépre
nce mentale, et nous devons nous attendre à y rencontrer toutes les
formes
de psychoses qui s'observent chez les dégé- nér
aient un caractère coordonné. Loewenfeld pense qu'il représente une
forme
de transition entre la maladie des tics de Gill
ditaire dégénérative pro- gressive à terminaison démente, une autre
forme
plus légère de la maladie, sans troubles intell
ure de Sylvius. Cette incissure s'étend peu à peu des deux côtés et
forme
la scissure de Holando. Or, en 4SJ, Cunninbau,
Or, en 4SJ, Cunninbau, à Dublin, découvrit que cette scissure se
forme
souvent en réalité par deux incissures distinctes
ures distinctes.. Une infé- rieure, qui apparaît la première et qui
forme
les deux tiers de la scissure de Holando ; une
n maintenant que dans la majorité des cas la scissure de Holando se
forme
par un seul sillon continu, dont la partie supéri
l en est qu'on ne sera pas obligé d'envoyer si loin, à raison de la
forme
de leur maladie mentale. Et, en tout cas, le tr
un établissement d'alié- nés. Déments, indifférents, psychopathes à
formes
mentales finies, immobiles, auxquels on donnera
des fibres qui s'entrecroisent, descendent, indépendantes, sous la
forme
du cordon antérieur des pyramides, en continuant
-croisement, il se présente, à la surface externe du bulbe, sous la
forme
d'un triangle dont le sommet vient de la ligne
55 substance noire même. On en retrouve plusieurs laisceaux arci-
formes
, au niveau du genou de la capsule interne, et un
fois sur la tête et la face, avec la marche et les caractères d'une
forme
bénigne, et il a parfaitement guéri. Cette obse
une altitude très considérable. Ces troubles prennent surtout la
forme
d'agitation générale, d'inquiétude, d'insomnie et
rmédiaire du sys- tème nerveux. L'air de la mer aggrave certaines
formes
de troubles nerveux fonctionnels, mais beaucoup
guérie fait explosion chez ce jeune homme de vingt-cinq ans sous la
forme
de manie aiguë, et cela sans qu'on ait pu décou
27 novembre 1899. PRÉSIDENCE de M. J. Voisin. L'alitement dans les
formes
aiguës'de la folie. M. Christian déclare, à pro
olie pério- dique paraissent se présenter assez fréquemment sous la
forme
familiale. A citer encore le délire aigu chez d
présente souvent des périodes de rémissions très longues. C'est la
forme
lente, à tendance cicatricielle. La syringomyél
escence, au lieu d'aboutir à des cavités avec parois, comme dans la
forme
précé- dente, disloque tout le tissu nerveux, e
gomyélie, car ils ont pu saisir tous les intermédiaires entre cette
forme
et la syringomyélie cavitaire admise par tout le
lie cavitaire admise par tout le monde; ainsi dans un cas, les deux
formes
avaient évolué sur la même moelle, l'une au-des
nées, très rapidement, avec des symptômes envahis- sants : c'est la
forme
maligne de la maladie. M. Philippe continue imm
caractères histologiques de la syrin- gomyélie qu'il s'agisse de la
forme
cavitaire ou de la forme pachy- méningitique. E
de la syrin- gomyélie qu'il s'agisse de la forme cavitaire ou de la
forme
pachy- méningitique. Elles sont ordinairement l
la phtisie pulmonaire, on peut observer et on note fréquemment des
formes
multiples de psychoses, depuis la sociétés sava
. M. Dallemagne étudie les troubles de la volonté dans toutes les
formes
de l'aliénation mentale et adopte, en grande part
en deçà et au delà de ces limites. Ses descriptions des différentes
formes
de l'aliénation sont très claires, malheureusemen
crises. D'autre part, le traitement médical essayé sous toutes ses
formes
s'est montré complètement impuissant. Nous n'av
et des intoxications diverses l'une de l'autre. Alors que dans les
formes
, moins graves, curables, on ne trouve que des s
les, on ne trouve que des staphylocoques et streptocoques, dans les
formes
graves, mortelles, très rares, il existerait un
Kroepelin aurait exagéré l'importance. L'idée d'absorber dans cette
forme
tous les cas de manie et de mélancolie ne corre
ru. et ment., fasc. VII, 1899.) Elle est absolument normale dans la
forme
maniaco-dépressive de Kroepelin, dans l'hypocho
e l'alcalinité du sang qui peuvent se manifester dans les premières
formes
de psychoses doivent être rapportées à l'agitat
et ment., fasc. IX, 1899.) Plus fréquentes chez les vieillards, les
formes
de psychose mé- lancolique reuvent cependant se
période moyenne. La femme est plus prédisposée que l'homme à cette
forme
de psychose, surtout à cette époque de la vie.
ant l'ensemble de leur évolution et leur terminaison, il existe des
formes
cliniques qui ne peuvent rentrer logiquement da
uement dans les descriptions des maladies communes, et que l'unique
forme
décrite jusqu'à ce jour, présentant des caractère
Hecker. Ces caractères cliniques fondamentaux se résumant dans une
forme
particulière d'affaiblissement psychique acquis
e sont pas pathognomoni- ques et caractéristiques à eux seuls d'une
forme
morbide déter- minée, mais se présentent dans d
ou moins. Il semble seulement qu'ils soient plus fréquents dans ces
formes
de démence juvénile qui présen- tent les mêmes
ychique peuvent se résumer schématiquement de la façon suivante :
Formes
vulgaires d'idiotie et Formes classiques, frustes
ématiquement de la façon suivante : Formes vulgaires d'idiotie et
Formes
classiques, frustes et d'imbécillité . purement
hypertonie, exagération des ré- flexes patellaires, sauf dans les
formes
de cérébroplégie purement psychique. Malforma
que phéno- mène perturbateur du sommeil, il se présentait sous une
forme
assez sérieuse pour qu'on fût amené à le consid
rme assez sérieuse pour qu'on fût amené à le considérer comme une
forme
nette d'attaque épileptique nocturne. L'auteur pe
taque épileptique nocturne. L'auteur pense donc avoir découvert une
forme
de l'épilepsie nocturne consistant en un orgasm
ence est souvent peu atteinte, aussi a-t-on désigné longtemps cette
forme
d'aliénation mentale sous le nom de folie parti
LOGIE MENTALE. 243 servent très souvent. Elle se présente sous deux
formes
, une forme primitive (Wahnsinn) et une forme se
E. 243 servent très souvent. Elle se présente sous deux formes, une
forme
primitive (Wahnsinn) et une forme secondaire (V
se présente sous deux formes, une forme primitive (Wahnsinn) et une
forme
secondaire (Verrùcktheit). La première est brus
e crétinisme sporadique; son diagnostic différentiel avec certaines
formes
d'idiotie et avec d'autres maladies ; par Henry
arités du crétinisme sporadique qui ne se ren- contrent pas dans la
forme
endémique; dans cette dernière, par exemple, no
t longtemps sans se réunir, et la dentition est retardée. Dans la
forme
sporadique, la peau est beaucoup plus nettement m
e, la peau est beaucoup plus nettement myxoedé- mateuse que dans la
forme
endémique. L'auteur a observé plusieurs cas de
es à classer. L'auteur va essayer de décrire quel- ques-unes de ces
formes
spéciales et de montrer en quoi elles dif- fère
iotie du type mongolien ; 3° la lipomatose généralisée (qui est une
forme
d'idiotie partielle avec accumulation graisseuse)
es pieds et des mains parfaitement proportionnées. La tête était de
forme
régulière avec légère tendance à la brachycé- p
présentée surtout par Hirschl ee Vlobius cette maladie n'est qu'une
forme
tardive de la syphilis; pour l'autre, représent
il faut mentionner les différences de climat. La grande variété de
formes
sous laquelle la maladie peut se présenter, res
de la simple lecture de la classification d'Arnaud qui décrit une
forme
démente (sans délire); une forme ambitieuse ou ex
sification d'Arnaud qui décrit une forme démente (sans délire); une
forme
ambitieuse ou expansive; 250 REVUE DE PATHOLOGI
rme ambitieuse ou expansive; 250 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. une
forme
mélancolique; une forme mixte; une forme circulai
ive; 250 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. une forme mélancolique; une
forme
mixte; une forme circulaire ou alternante ; une
DE PATHOLOGIE MENTALE. une forme mélancolique; une forme mixte; une
forme
circulaire ou alternante ; une forme spinale, e
ncolique; une forme mixte; une forme circulaire ou alternante ; une
forme
spinale, et enfin une forme épileptique. On a b
ne forme circulaire ou alternante ; une forme spinale, et enfin une
forme
épileptique. On a beaucoup insisté sur ce qu'on
que. On a beaucoup insisté sur ce qu'on a appelé improprement les
formes
classiques, et trop peu sur le caractère protéifo
s 95 cas sur 100; mais il est bon de se souvenir qu'il est d'autres
formes
morbides, ayant avec le type fondamental une si
le que notre opinion sur ce point tient surtout à ce que d'autres
formes
pathologiques deviennent plus fréquentes, ou à ce
la dissociation de la sensibilité ; l'atrophie musculaire revêt la
forme
syringomyélique et au début il y a eu des douleur
s qui aient été constatés sont les suivants : tandis qu'à droite la
forme
du pied et le réflexe cutané plantaire sont nor-
upe principalement le trapèze et le sterno- mastoïdien gauches ; la
forme
des mouvements, leur mode de succession, l'atti
d la moelle est seule atteinte ce tremblement n'existe pas. D'une
forme
douloureuse de polynévrite tuberculeuse : du rôle
roit permet de rattacher ce cas à la bacillose. Il se distingue des
formes
habituelles par sa longue durée, sa localisa- t
la théorie de l'épilepsie. M. Mouratow s'arrête longuement sur les
formes
transitoires entre l'épilepsie locale, Jacksoni
x existent déjà, mais faibles. L'auteur attire l'attention sur la
forme
spéciale des paralysies oculaires chez son mala
pparut une faiblesse des doigts de la main droite. La main prend la
forme
d'une griffe. Il y a deux ans, certaine faibles
ent la théorie classique de l'obsession qui, pour lui, n'est qu'une
forme
abortive de délire systématisé ; ce dernier à s
très abstraite montrant que l'idéation normale et pathologique se
forme
comme l'être pensant lui-même, d'une manière grad
ns les cas pathologiques se renforce et s'exprime en outre dans une
forme
un peu autre. Ce sont les dendrites terminales
trajet des prolongements protoplasmatiques, le plus souvent ont une
forme
sphérique ou fusiforme ou quelque autre. Leur g
s de l'écorce cérébrale ont la propriété de changer rapidement leur
forme
sans l'influence de différents narcotiques, et
onvaincre de la propriété des den- drites à changer rapidement leur
forme
et à passer dans un état variqueux sous l'influ
noué- lian, faites dans son laboratoire, pense que l'état monili-
forme
des dendrites sert de preuve immédiate d'amoe-
ganes mobiles , alors les modifications même presque nulles de leur
forme
et de leur grandeur peuvent être accom- pagnées
ements protoplasmatiques des cellules nerveuses. Quelle est donc la
forme
du trouble de nutrition dans l'écorce cérébrale
nce suigeneris. Bien des auteurs pourl'indicationdel'état monili-
forme
des dendrites, comme état pathologique, employent
ie, 1891, vol. XXVIII, n° 90.) Léplne (R.). Sur un cas d'hystérie à
forme
particulière. (Revue de médecine, 1894, p. 713.
citement formulé par le malade, surtout si celui-ci appartient à la
forme
aiguë du délire religieux ou la conscience subit
e ces trois faits cliniques qui, tous les trois, appartiennent à la
forme
aiguë hallucinatoire du délire religieux. Obs
vec une corde destinée à la pendre Au moment où le délire change de
forme
, on a remarqué que la malade faisait de grands
miné par la nature du délire. Observation Il. Délire religieux de
forme
démonomaniaque. Hallucinations et crises panoph
des explications catégoriques. Observation III. Délire religieux de
forme
dépressive. Démono- manie, hallucinations, cris
. Pas d'excès vénériens. Fièvre typhoïde à l'dge de dix-huit ans, à
forme
grave avec délire, et qui dura quatre mois ; tr
nd d'où s'échappe du pus ; cette plaque, plus longue, que large, de
forme
presque rectangulaire, est noirâtre ; le séques
Dans la position droite du tronc, toutes conditions relatives à la
forme
, à la posi- tion de la brèche, il l'enfoncement
laboratoire de M. Bechterew. in- gestion dans l'estomac, ou sous la
forme
de solution alcoolique d'extrait de sangsue, da
es, 9 tabétiques, 7 aveugles, 23 individus bien portants, sous deux
formes
. 1° Celle du myosis après une énergique et volo
l'effort (maintien des paupières par l'observateur). La première
forme
du symptôme paraît généralement coïncider avec
ut aussi se produire sur des pupilles réagis- sant bien. La seconde
forme
apparaît le plus habituellement sur des pupille
ière est troublée, mais se montre bien plus souvent que la première
forme
chez les individus sains doués d'une bonne réac
ontalement en dehors, et la pu- pille se rétrécit notablement. La
forme
première de ce symptôme seule avait déjà été obse
terminaisons des dendrites et celles des fibres sensitives sous la
forme
d'arborescences terminales libres. C'est la str
it réussi trois fois, à la partie de l'encéphale de l'écrevisse qui
forme
le centre nerveux de la seconde antenne : il n'
ès probable d'une activité nerveuse spécifique. La multiplicité des
formes
, des rami- fications, des dimensions, des dispo
et triple. Le canal central, simple dans la moelle cervicale, a la
forme
et le volume habituels; il est presque tout à f
les nerveuses présentent déjà divers degrés de maturité, quant à la
forme
du corps de la cellule, en divers segments de l
champs embryogéni- ques corticaux 1, 2, 4 de Flechsig), montrent la
forme
du corps des cellules, la disposition des couch
uccessivement, dans les diverses zones corticales de Flechsig, leur
forme
définitive, et que la substance intermédiaire s
u subthalamique de Luys qui, chez le chien, le rat, la souris, a la
forme
d'une olive, et chez le chat ou le lapin, celle
ique dans laquelle les symptômes psychiques prennent tour à tour la
forme
de mélancolie, de manie, de stupeur, de confusi
elations physiologiques -avec les organes impor- tants, de quelques
formes
de névroses gastriques, tympanite et vomissemen
ent. Pas de mou- vements de latéralité. Voile du palais, a perdu sa
forme
arquée Il est abaissé et flasque. Voix épaisse,
discutés avec sagacité. Dans le chapitre n sont résumées toutes les
formes
que l'action législative peut revêtir dans la l
la marine, dans la classe «, ouvrière ». Chacune de ces divisions
forme
autant de chapitres où sont condensés une foule
ha- pitre sur la marine, très pittoresque d'allures, stigmatise les
formes
variées de l'exploitation du marin sous le couv
nes lésions cérébrales ; des actes impulsifs dans les « différentes
formes
d'aliénation; expériences physiologiques « sur
lèvres. Souvent même la consolation se manifestait sous une autre
forme
en s'accompagnant d'un secours matériel qu'une
ivait-il, du grand nombre de femmes que la mélancolie sous diverses
formes
atteint à tout âge, quelques-unes ont apporté e
niques, surtout quand ce délire prend, comme chez notre malade, une
forme
presque systématique, persistant plusieurs jour
cure, frictionné ou introduit d'une autre manière dans l'organisme,
forme
des albuminates et de cette manière est retenu
ioduré, doit être positivement abandonné. Voyons maintenant, quelle
forme
du traitement mercuriel il faut préférer : les
frictions mercurielles ! Il s'agit à présent de savoir sous quelle
forme
employer le mercure pour les frictions, quelle
ons de nouveau deux malades, friction- nons l'un avec du mercure en
forme
d'onguent et, faisons à l'autre des injections
me que le mercure dont on fric- tionne la peau et qui reste sous la
forme
d'albuminates. C'est pourquoi à présent, que no
injections mercurielles sous-cutanées dans le but du traitement des
formes
premières de la maladie, ainsi que des maladies
désobéissance. Maintenant, parlons du traitement de ces malades. La
forme
du tabès la plus répandue est la suivante : le
pubis, ou sur le périnée. Quelquefois je donne à cette électrode la
forme
d'un vase en verre ou en porcelaine, où l'on ve
ènes d'auto -intoxication et de la dilatation de l'estomac dans les
formes
dépressives et mélancoliques ; il émet l'avis q
s d'auto-intoxication d'origine gastro-intestinale surtout dans les
formes
dépressives de la folie. ' Dictionnaire encyclo
nsidérable des auto-intoxications sur le développement des diverses
formes
de la folie. On connaît d'ailleurs les heureux
s malades étaient dans le stade mélancolique d'une folie à double
forme
. - La présence du phénomène de la corde dans la
de 1897, de paralysie générale avec trouble du sens musculaire à
forme
hémiplégique, la couche superficielle seule des f
Baillarger étaient demeurées normales, tandis que les libres arci-
formes
étaient fortement dégénérées. Voici maintenant
ne affec- tion de la sensibilité tactile et du sens de la douleur à
forme
hémiplégique, le sens musculaire demeure normal
l'intégrité de la sensibilité objec- tive. Il se présente sous deux
formes
: 1° une forme subaiguë passant à l'état chroni
a sensibilité objec- tive. Il se présente sous deux formes : 1° une
forme
subaiguë passant à l'état chronique ordinaire o
réditaire de l'riedreich ou au tabès com- biné de Westphal. - 2 Une
forme
aiguë aboutissant à des para- lysies graves, se
au antérieur. On le voit, au niveau du noyau du pathétique, sous la
forme
d'un cercle (section tranverse), à égale distan
dont il n'est séparé que par une couche étroite ; à partir de là il
forme
le segment antéro-médian du tractus strio- thal
aire dorsale. Au niveau de la douzième paire, la virgule a perdu sa
forme
, elle est remplacée par des grains irré- gulièr
si le sens musculaire est perdu, mais peut persister si toute autre
forme
de sensation cutanée se perd ou se trouble. 3°
s stéréognostique peut être perdu quand bien même toutes les autres
formes
de la sensibilité seraient conservées. POULARD.
les extrémités; (6) précoce apparition de troubles trophiques sous
forme
d'une eschare. ' P. LXX. Paralysie du plexus br
neurologique le délire de la jalousie doit être considéré comme une
forme
de paranoïa. La plupart des cas sont des variét
'état chro- nique qu'à l'état aigu ; mais l'auteur se borne ici aux
formes
aiguës, et par là il entend d'une part l'état a
L'auteur insiste en terminant sur la grande importance de ces deux
formes
de folie au point de vue médico- légal. R. DE I
seul symptôme qui soit constant, et qui appartienne aussi bien à la
forme
psy- chique qu'à la forme convulsive. Si l'aute
stant, et qui appartienne aussi bien à la forme psy- chique qu'à la
forme
convulsive. Si l'auteur avait à fournir une déf
ussi désastreux qu'un phénomène de décharge nerveuse. La première
forme
dont il a été parlé plus haut, c'est-à-dire la
ence, est de beaucoup la plus commune dans l'épilepsie ; la seconde
forme
, où la perte de conscience est incomplète ou at
arges des centres corticaux. Les états qui relèvent de la troisième
forme
tendent au somnambulisme, ou plutôt à l'automat
processus de réparation incomplète après chacune des attaques. Les
formes
d'aliénation mentale que l'on rencontre dans l'ép
oteurs, sensoriels et psychiques que l'on rencontre dans les autres
formes
de folie trouvent ici leur équivalent ou leur c
appeler psychies les états mentaux, fon- damentaux et psychoses les
formes
morbides. La psychie peut se présenter sous deu
a avant ou après la puberté, sera appelée idiotie ou démence. Les
forme
morbides seront divisées selon le ton émotif : ex
tif peut, encore, être envisagé sous sociétés savantes. 439. deux
formes
différentes suivant qu'il y a des variations péri
ques (folie circulaire) ou qu'il n'en existe pas. Suivant que les
formes
s'accompagneront ou non d'incohérence, elles do
e myopathique du type Landouzy- Déjerine dont le thorax affecte une
forme
déprimée qu'il ne faut pas confondre avec le th
ion la plus apparente, se présente sous la SOCIÉTÉS SAVANTES. 443
forme
de nodosités, de granulations ou de simples épais
en lorme de demi-veste (gauche). Arthropathie de l'épaule gauche, à
forme
liypertro- SOCIÉTÉS SAVANTES. 445 phique, à é
rande sous ce rapport; ainsi lorsque l'insensibilité cutanée est en
forme
de veste, les troubles de la sensibilité vibrat
pour la détermina- tion de la nature des émotions. Tremblement et
forme
pui,liirso7zieizne. M. BÉRILLON présente un mal
ues, asymbolie, etc. Comme l'indique le titre la cécité psy- chique
forme
le fond véritable de cette thèse. Cela n'est dû n
ar une corrélation de dépendance réelle. En effet la perception des
formes
primitivement tactile est passée graduellement
tactile (étant dans l'action expansive ce qu'est la perception des
formes
sur le terrain spécu- latif) est aussi devenue
trouve rarement isolée (sauf la surdité verbale qui n'en est qu'une
forme
très partielle, locale et spéciale), son import
à celle de la cécité psychique ; comme l'agnoscie tactile (dont les
formes
localisées peuvent aussi exister seules) elle n'a
de ses lettres, un médecin psychologue reconnaîtra sans peine cette
forme
de neurasthénie cérébrale qui s'accompagne si s
: Pathologie interne : Des crises gastri- ques. Pustule maligne. -
Formes
cliniques de l'urémie. Patho- logie externe : S
d'un chapeau, une boite d'allumettes, il ne sait pas en définir la
forme
, et prend le bord de son chapeau successivement
e..., un enfant..., tout ce monde pêle-mêle, va et vient, change de
forme
... Il voit la statue de Napoléon ler, il est à
siées, modifiée, transfor- mée en image, et projetée au dehors sous
forme
d'halluci- nation ; même dans les hallucination
bien la face inférieure que la face convexe. Le lobe a conservé sa
forme
générale. A l'extrémité antérieure, ce qui rest
utions sont petites, arrêtées dans leur développement mais ont leur
forme
et leur consistance nor- males. (PA, P', moitié
puis la pointe des trois circonvolutions temporales. Le foyer a la
forme
d'une équerre dont le côté le plus grand corres
hippocampe. - Les circonvo- lutions du foyer ocreux persistent sous
forme
d'arêtes dures ou de crétes molles comme s'il s
On peut toujours trouver place pour cette affection dans quelque
forme
de tabès, de myélite chronique, ou de sclérose di
ux qui sont de la période de déclin de leur vie. POULAIID. XXXIV.
Formes
communes de la méningite et leurs caractères cli-
A. (The journal of nervous and mental diseuse.) L'auteur réduit à 5
formes
communes, les nombreuses variétés ' REVUE DE PA
ngite externe et interne; la léptonzéningite qui peut revêtir trois
formes
: forme cérébro-spinale épidémique ; forme puru
erne et interne; la léptonzéningite qui peut revêtir trois formes :
forme
cérébro-spinale épidémique ; forme purulente si
qui peut revêtir trois formes : forme cérébro-spinale épidémique ;
forme
purulente simple ; forme tuberculeuse ; la méni
ormes : forme cérébro-spinale épidémique ; forme purulente simple ;
forme
tuberculeuse ; la méningite séreuse. Si les deu
ois, guérison et rechute (recurrent serous me- ningitis). Dans la
forme
aiguë, on trouve comme causes : fièvre infectieus
par la marche ultérieure favorable et par la ponction lombaire. La
forme
chronique ; prend quelquefois les symptômes de
elle cervicale de fibres sensitives du trijumeau. G. DENY. XLVII.
Formes
frustes de scléroses en plaques à début mono ou
otrophie; par Glorieux. (Joum. de Neuro- logie, 1899, n° 18.) Ces
formes
frustes de scléroses en plaques à début mono ou
râniens. A l'étranger la paralysie infantile se montre souvent sous
forme
d'épidémies, ce qui dans de tels cas est un bon
point de départ des douleurs. Il est du reste de consistance et de
forme
normales. Résection des nerfs du cordon. Hypoes
0,476., Aliénation. Le rôle de l'auto-sug- gestion dans certaines
formes
il ? par Voisin, 54. Aliénés. Examen des urin
elkier. é3.- post opératoire, par Dup ay, H. L'alitement dans les
formes
aisucs de la -, par Chr istlan, 165. - puerpé
ue, pal Mac Nabb, 163. - svphilitiqtie fron- tale, par Sano, 330.
Formes
com- munes de la et - séreuse, par Dana, 518.
POLIURIE et pollakiurie hystérique, par Abadie, 193. Polynévrite.
Forme
douloureuse d'une tuberculeuse, par Du- four,
vitaire et-pachy- méningitique. par Philippe et Ouerthur, 72. Les
formes
-, 173. héréditaire, par NalbandofT, 267. Rec
psychique chez un gly- cosurique, par Farez, 351. Tremblement et
forme
1111 kinwn- nienne, par Bérillon, 452. Trépan
r la description, nous permettent de déterminer assez exactement la
forme
et les dimensions qu'affectait la tumeur à l'in
ans toutes les directions. Les cellules appartiennent au type fusi-
forme
. Dans certains faisceaux elles sont fibro-plastiq
s. La plupart de ces cellules pré- sentent des noyaux volumineux de
forme
très irrégulière, vivement colorés, qui se rapp
t évidemment aux différentes phases de la karyokinèse, bien que les
formes
typiques soient un peu effacées dans cette pièc
LOGIQUE. Deux tubes de gélatine ontpoussé le cinquième jour sous la
forme
de grains arrondis liquéfiant la gélatine comme
ment. Si cette épilepsie réflexe revêt à un certain moment donné la
forme
d'épilepsie générale, nous ne pourrons pro- voq
sujet à des accès convulsifs. Le vin pur, l'alcool sous toutes ses
formes
(eau-de-vie, absinthe, cassis, chartreuse, madère
c. L'auteur a réuni une série d'ob- servations intéressantes de ces
formes
complexes de l'aliénation mentale. En tête des
observées chez cer- tains aliénés se place la folie circulaire. Les
formes
les plus diverses d'aliénation donnent à l'aute
ue neurologique, janv. 1895.) E. B. XX. Delà paralysie générale A
FORME
tabétique; par M. 1l' Dr JOFFIIOY. (Nouvelle lc
affections ne sont en réalité que des cas de paralysie générale à
forme
tabétique. La paralysie générale débute alors par
que. La paralysie générale débute alors par des symptômes spinaux à
forme
tabétique, lesquels symptômes dispa- raissent o
éussi aussi à isoler et à présenter les éléments chimiques sous une
forme
pal- pable. La psychologie physiologique a déte
par une période variable. La neurasthénie revêt le plus souvent la
forme
hypocondriaque; le tableau clinique est parfois
e pas de psychose traumatique ayant des caractères spé- ciaux : les
formes
les plus variées peuvent être observées. Certains
il résume la classification des alexies. Il existe, dit-il, deux
formes
d'alexies sous-corticales présentant les mêmes
jourd'hui. On s'était ingénié, ces temps derniers, à multiplier les
formes
de ces myopathies primitives, chaque auteur don
ici un cas qui , précisément, ne correspond exactement à aucune des
formes
qu'on a cherché à différencier autrefois, il n'y
la localisation prédominant à gauche; la conservation apparente des
formes
extérieures, surtout aux membres inférieurs (ps
une mobilité excessive; les avant-bras ont à peu près conservé leur
forme
et leur volume. Au tronc : thorax rectangulaire
on- tinuellement, sauf pendant le sommeil, des mouvements choréi-
formes
. Il y eut des symptômes douloureux; une hyperesth
e de phéno- mènes et par une évolution que le tabès réalise sous la
forme
typique. Elles figurent avec leur maximum de ne
maintenant que si la lésion du tabes est unique quelle que soit la
forme
du tabès, il ne s'ensuit pas que les mêmes élém
uit pas que les mêmes éléments nerveux soient lésés dans toutes les
formes
, on sait que de nombreux cylindre-axe échappent
- rantes aux membres inférieurs. La maladie se manifeste sous une
forme
remarquablement sensitive. Douze ans environ aprè
enir malade. Les arthropathies syringomyéliques affectent plusieurs
formes
. D'abord la forme d'hydarthrose, laquelle est r
thropathies syringomyéliques affectent plusieurs formes. D'abord la
forme
d'hydarthrose, laquelle est rapide ou progressive
se, il s'agit d'un cas de syringomyélie, mais d'une syringomyélie à
forme
mixte, la syringomyélie type Morvan, décrite pa
nsité d'une d'elles au détriment des autres constitue justement les
formes
si nombreuses de l'attaque d'hystérie. Ces at
e est applicable aux autres paroxysmes hys- tériques survenant sous
forme
d'accès, soit simples, soit prolongés ou états
que de l'hystérie ou de l'accès d'épilepsie. Après avoir décrit les
formes
si nombreuses qui, par prédomi- nance d'un des
de mort au cours du paroxysme hystérique simple ou prolongé sous
forme
d'état de mal ; l'attaque de spasme paraît avoir
e l'attaque des délires et des étals délirants, l'auteur arrive aux
formes
somnam. 1 Voir l'obs. de Geneviève et surtout c
e hystérique qui doit être assimilée à un paroxysme ordinaire, à sa
forme
prolongée ou état du mal. Le second volume de l
ontractures dites essentielles des extrémités ou tétanie dans leurs
formes
les plus graves; 2° que la tétanie hystérique p
sexe masculin; quant à la manie, M. Pierson la considère comme une
forme
excep- ' tionnelle. Chez la femme, c'est la mél
n traumatisme du crâne dont les traces sont encore visibles sous la
forme
d'une vaste cicatrice dont pour le moment nous
s'est renouvelée à diverses reprises, tout en changeant parfois de
forme
. Ainsi, un jour, on remarque chez elle des tend
servation, il nous est souvent arrivé de désigner un animal sous la
forme
d'un redoublement rappelant le plus pos- sible
le choix. C'est ainsi que nous apprenons le nom des couleurs, des
formes
, des odeurs (bon, mauvais), que nous donnons la n
oncée dans les autres parties de la substance blanche, affectant la
forme
d'ilôts petits. La lésion, d'une netteté très g
u renflement cervical, entre les racines antérieures, il affecte la
forme
d'un petit ménisque qui disparait à l'extrémité
e la moelle cervicale; plus bas près de son origine, il a plutôt la
forme
d'un petit ménisque; il est tout à fait triangu
cervicale, au niveau de la troisième paire, se dirigerait, sous la
forme
d'un trousseau mince, entre les voies pyramidal
ie antérieure. Ces considérations exposées vient la description des
formes
exté- rieures dans la station verticale symétri
ins, forment un relief mou et arrondi. Les fesses sont aplaties, de
forme
quadrilatère, à angles arrondis. Le pli fessier
artistique, ce travail constitue une sorte d'anatomie raisonnée des
formes
extérieures du corps humain, avec les modificatio
ement dilatantes et condensantes. Voici selon l'auteur les diverses
formes
des deux grandes fonc- tions : 152 REVUE D'AN
constatée 212 fois, qui se répartissent ainsi : haut mal, 87 fois;
forme
mixte, 69 fois; petit mal, 34 fois; REVUE DE PA
pour des rechutes a été de 15 p. 100; 13° la mélancolie est une des
formes
de l'aliénation dans lesquelles l'influence de
persécution, tous les auteurs sont d'ac- cord pour admettre que la
forme
ordinaire de la folie de la méno- pause est la
nnus, mais les modifications mentales peuvent se présenter sous des
formes
très diverses : insomnie, changement de caractè
antérieures, la cause déterminante, la précocité du traitement, la
forme
du délire, l'état physique de la malade. Dans l
mple dans l'alcoolisme sans délire systématisé). Le pronostic de la
forme
affective est meilleur que celui de la forme dé
é). Le pronostic de la forme affective est meilleur que celui de la
forme
délirante. La durée de la maladie, pour les c
6 morls (13,4 p. 100). Le traitement varie naturellement suivant la
forme
de folie et suivant l'état de santé de la malad
e l'on a coutume de rencontrer dans les cas de paralysie générale à
forme
lente avec excitation mentale modérée. R. DE MU
aires, des dégénérés. On trouve chez l'enfant à peu près toutes les
formes
d'ivresse que l'on observe chez l'adulte, Le pr
par le Dr BURTON. De l'examen du sang au microscope, dans diverses
formes
men- tales, l'auteur tire les conclusions suiva
c'est qu'on n'a pas encore différencié les unes des autres bien des
formes
cliniques vésaniques illégitimement réunies. Et
cha- cune de ces deux circonstances, c'est l'une ou l'autre de ces
formes
cliniques qui se montre le plus souvent ? C'est
39, rue Wimpole. A cette occasion la résolution « que ce metting se
forme
lui-même en Association » fut proposée par le D
lié dans les Archives de physiologie, Liouville distingue les trois
formes
suivantes de la tuberculose de la moelle : a) l
élève de Raymond, exprime dans sa thèse concernant les différentes
formes
de myélites tubercu- leuses l'opinion de son ma
ssée ou complète; 2° Myélites aiguës, qui se présentent sous deux
formes
distinctes très voisines en apparence : a) les
diffuses nodulaires; b) les myélites diffuses infiltrées. Ces deux
formes
coexistent presque toujours ensemble et sont ac
erculose aiguë (thèse de Paris, 1885). 2 Raymond. Des différentes
formes
de leptomyélites tuberculeuses. (Revue de méd.,
principaux ouvrages que nous avons pu con- sulter sur les diverses
formes
de la tuberculose de la moelle. Dans le présent
infiltrations, s'assemblant autour des vaisseaux, prennent soit la
forme
d'un cylindre, soit celle d'un anneau. Elles so
it, sont remplacés par une agglomération de leucocytes affectant la
forme
triangulaire, tandis que dans d'autres on ne vo
corne antérieure droite renferme un très petit amas de leucocytes à
forme
triangulaire. Au côté gauche du canal central,
elle cervicale. Nous allons maintenant étudier tout spécialement la
forme
nodulaire de la tuberculose de la moelle. Dans
a myélite aiguë ou subaiguë ou enfin de la myélite chronique. Cette
forme
de tuberculose de la moelle est très rare. Vo
rface de la moelle est plus ou moins enflammée. S'il s'agit d'une
forme
plus infiltrée, on ne peut pas la dis- tinguer
-dessus les cas de tuberculose de la moelle, qui appartiennent à la
forme
nodulaire. Nous ajoutons encore le cas de Hutin
lle (1869) et Raymond (1886). Seulement, à notre avis, ce groupe de
formes
nodulaires de la tuberculose de la moelle doit
rition. Il s'ensuit une dégénéres- cence des fibres nerveuses, sous
forme
d'îlots; ou bien qui atteint seulement quelques
avec quelque ampleur. C'est en effet moins le détail du délire, sa
forme
clinique, qui offre ici de l'intérêt que l'âge
, on obtient en somme un délire polymorphe qui rentre bien dans les
formes
se ratta- chant à la dégénérescence mentale.
odrome, sans prépa- ration est un indice des plus importants. Cette
forme
suraiguë n'appartient qu'aux intoxications d'un
a dégéné- rescence mentale,c'est bien là le délire d'emblée dans sa
forme
hallucinatoire. Dans le cours du délire on renc
pour attribuer les accidents à la dégé- nérescence mentale, que la
forme
du délire, nous retrouvons d'autres caractères
r que le trait le plus saillant dans ces histoires cliniques est la
forme
hallucinatoire qu'a revêtu le délire dans les d
e 'sont, par ordre de fréquence : la mélancolie sous ses diverses
formes
: en particulier la mélancolie simple et la mélan
re systématisé. La mélancolie anxieuse de la vieillesse est une des
formes
les plus nettement définies par la constante agit
la pourriture; la tendance aux obscénités, l'insomnie, etc., cette
forme
est très curable. Le délire de persécution, q
y a pas une folie des vieillards, mais des SOCIÉTÉS SAVANTES. 223
formes
diverses, des manières d'être de la folie chez le
'être de la folie chez les vieillards. - 2° La manie franche est la
forme
la plus rare, elle surviendra souvent par accès
3° La mélancolie qui revêt chez les vieillards presque toujours la
forme
anxieuse, avec ou sans idées de doute ou de sui
lire hypocondriaque absurde, avec ou sans idées de négation, est la
forme
la plus fré- quente ; elle aboutit souvent au s
orme la plus fré- quente ; elle aboutit souvent au suicide. Cette
forme
de mélancolie survient le plus souvent chez les v
AVANTES. fréquentes chez les vieillards aliénés et le pronostic des
formes
diverses de l'aliénation sera généralement grav
ent aussi le goitre exophtalmique; mais ce sont le plus souvent des
formes
latentes, insoupçonnées et qu'il faut savoir dé
par excellence; mais encore peut-il importer de savoir sous quelle
forme
je le suis présentement. La théorie thyroïdienn
direct de l'acti- vité sécrétoire de l'épithélium thyroïdien; elle
forme
des granu- lations réfringentes à l'intérieur d
que, dans la thyroïde des exophtalmi- ques, la thyrocolloïne ne se
forme
régulièrement que dans les grains marginaux, ce
rer, dans le cadre de l'épilepsie larvée, tout délire transitoire à
forme
impulsive. Aujourd'hui il existe, parmi les ali
Bien qu'on la rencontre dans d'autres états morbide=, dans d'autres
formes
impulsives, notamment celles des hystériques, n
celles des hystériques, notamment celles qui se présentent sous la
forme
de vagabondage, de fugues, etc. Les dégénérés,
voir apprécié les travaux faits sur la question, rapporte, sous une
forme
humoristique, deux observations de fugues d'hys
hognomonique. Il faut séparer de la paralysie générale typique deux
formes
qui s'en distinguent au point de vue clinique e
tation de la paralysie générale au point de vue clinique. Parmi les
formes
qui doivent être séparées de la paralysie progr
ale. On l'a signalée également dans les pseudo-paralysies, dans les
formes
séniles, les intoxications, les arrêts du dével
les, elle ne peut, à elle seule, avoir grande importance. Parmi les
formes
qui simulent la paralysie générale, il a observ
' M. Alzheimer. L'atrophie nrtério-scléreuse du cerveau. - Cette
forme
doit être séparée de la paralysie générale. La ma
iques), de la névroglie au voisinage des vaisseaux dégénérés. Cette
forme
se dislingue donc par le caractère de la dégéné
lément. Discussion : M. Binswanger. - On peut observer dans cette
forme
clinique des idées délirantes et des états halluc
évelopper à la faveur de l'altération vasculaire qui caractérise la
forme
clinique qui vient d'être décrite. z M. Siotr.
es morales fonl en outre souvent défaut. M. MoeLi considère celle
forme
comme une variété des psychoses séniles. Les ma
démence sénile, 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. . dont ils constituent une
forme
précoce. La démence de la névrite alcoolique pr
me précoce. La démence de la névrite alcoolique présente avec cette
forme
de grandes analogies. Il est probable que les l
s cardiopathies non compensées. Sans doule il faut rapprocher cette
forme
de la démence sénile et l'éloigner de la paralysi
s et présente les nuances les plus variées, avec prédominance de la
forme
dépressive. La conscience est en général quelqu
tout d'abord, non seulement à son développement, mais encore à sa
forme
, qu'elle appartenait à un hydrocéphale. Une obser
ant de plus forts grossis- sements, on voit que cette substance qui
forme
des lignes ou de petits lacs entre les fibres,
origine d'un vaisseau au niveau de son entrée dans la moelle. Il se
forme
ainsi en plusieurs points des amas triangulaire
ainsi en plusieurs points des amas triangulaires de cellules fusi-
formes
tellement serrées les unes contre les autres qu'à
au médullaire, par clos cellules aplaties. Ilémaloxyline et éosine.
formes
; ces logettes sont remplies chacune par un ou deu
le début. D'autre part l'extension de la lésion au cerveau, où elle
forme
cette mé- ningo-encéphalite vasculaire diffuse,
iées et tranchent sur les autres tant par leur volume 'que par leur
forme
régulièrement arrondie. Les nerfs intra-muscu
es ambiants; cette infiltration lâche se condense par places sous
forme
d'anneaux fusiformes plus oumoins étendus, ou d'a
nérale par des liens étiologiques étroits; nous voulons parler, des
formes
variées de la syphilis spinale. Ici nous n'avon
sion elle-même, si l'on n'emploie pas le colo- rant approprié. La
forme
de la lésion est suffisamment montrée par nos d
con- naitre en rien l'atteinte portée à l'élément noble. Outre sa
forme
, cette lésion semble encore caractérisée par so
lement d'une insuffisance d'excitation sensitive, on aura plutôt la
forme
atrophique. S'il s'y ajoute un mécanisme de com
Allg. Zeitschr. f. Psychiat., L. 3. 4.) L'auteur en distingue trois
formes
à localisation (Wernicke, 18 H) : 1° l'aphasie
nicke et Lichthein ont imaginé un schéma d'après lequel il y a sept
formes
d'aphasie, les deux espèces motrice et sensorie
e, corticale, trans- corticale. Malheureusement pour chacune de ces
formes
théoriques la localisation effective (anatomiqu
I. Présentation DE crânes montrant l'influence DU CRÉTINISME sur la
FORME
DES cavités nasales; par Ilarrison -ALLEN. (The
second cas a trait à une paralysie bilatérale complète du facial à
forme
douloureuse, due probablement à une périnévrite d
pé à la contagion sont exemptes de troubles hystériques d'une autre
forme
. (Revue neurologique, mai 1895.) E. B. - XXXI
nt un trouble psychique isolé : elles peuvent se manifester sous la
forme
clinique d'une épilepsie sensorielle surajoutée à
ue, qu'elle soit ou non rythmique : 1° la chorée de Sydenham et ses
formes
; a. chorée vulgaire ; 6. chorée molle; c. chor
logique, février 1895.) E. B. XXXIV. CONTRIBUTION A l'étude DE la
FORME
familiale DE la paraplégie spasmodique spinale
es injections intm-veineuses, M. Paul SOLLIER (de Paris) décrit une
forme
d'anorexie mentale, primitive, spéciale, distin
du neuropatlhologue américain Hammond, qui a donné en 1871 à cette
forme
convul- sive spéciale une place déterminée parm
ereux sont lesaliénés atteints du délire chronique de persécution à
forme
systématique. En un mot les conclusions sont le
aux), cite « un cas d'accidents hystéri- 340 « SOCIÉTÉS SAVANTES. :
formes
dans la paralysie générale ». C'est un cas assez
ie de Duchenne-Aran devait être net- tement différenciée des autres
formes
de l'atrophie des muscles. . Dans ce but, M..J.
venir d'ailleurs' : de là paralysie pseudo-hypertrophique dont les
formes
ont été se multipliant jusqu'à ces dernières anné
tude des guérisons, en dressèrent le procès- verbal en bonne et due
forme
. Les annales de Notre-Dame de Lourdes en firent
dans les pri- sons. Les médecins commencent cependant à étudier les
formes
diverses de la folie, mais l'assistance des ali
à l'intervention du démon, les lycanthropes possèdent en réalité la
forme
d'un loup » - Si des médecins aussi distingué
nouvelle destination. Puis on construisit de vastes bâtiments de
forme
massive, se rapprochant plus des asiles anglais à
aite- ment médical des psychoses aiguës et de la colonisation des
formes
chroniques, pour demander la création de deux sor
réalisation des conditions nécessairés au traitement méthodique des
formes
aiguës, furent suivies de l'essai du traitement
du médecin et du législateur. Après avoir énuméré les causes et les
formes
diverses de l'alcoolisme, l'auteur indique quel
La recherche de la cause de la paralysie permet d'établir parmi les
formes
de la paralysie faciale une véritable échelle d
ralysie faciale une véritable échelle de gravité ascendante : a. la
forme
congestive bénigne et transitoire, due à une otit
e congestive bénigne et transitoire, due à une otite légère; b. les
formes
dues au contact du nerf avec le pus, plus sérieus
de gravité variable suivant le point où se fait ce contact; c. les
formes
dues à la nécrose d'une partie du canal de Fallop
tie du canal de Fallope, plus sérieuses encore, en général, que les
formes
dues au contact du nerf avec le pus. Le prono
essayé la pseudohyosciamine chez certains maniaques, dans quelques
formes
d'imbécillité et dans l'hystérie. Il est encore
miquement par Leyden, Charcot et Joffroy. Erb en 1879, décrivit une
forme
qui tout en res- semblant beaucoup à la maladie
ns de Minkowsky ou de Strumpell (paralysie spinale spasmodique ou
forme
spasmodique de la démence paralytique). P. X. X
- D'après les recherches personnelles de l'auteur il y en a deux
formes
: une forme subaiguu et une forme chronique. En t
les recherches personnelles de l'auteur il y en a deux formes : une
forme
subaiguu et une forme chronique. En tout cas il
elles de l'auteur il y en a deux formes : une forme subaiguu et une
forme
chronique. En tout cas il ne s'agit pas du tout
a péri- phérie. Cette progression graduelle est remarquable dans la
forme
chronique. Voici comment dans l'ordre suivant
u- devant'de ces gauchissements il y a plusieurs replis serpenti-
formes
d'une excessive minceur; en d'autres points le cy
pliées mais elles se décomposent. S'agit-il d'une cellule actini-
forme
, elle devient malle et prend un aspect grenu, ses
la cause fondamentale de leur métamorphose. . ! Ce qui distinguera
forme
subaiguë, de la forme chronique, c'est que dans
de leur métamorphose. . ! Ce qui distinguera forme subaiguë, de la
forme
chronique, c'est que dans la première l'infiltr
Sléchochromes. La partie constituante colorée de la cel- lule a la
forme
de raies ayant 'la même direction. 1. Type des
er ce travail qui ne saurait être résumé, étant présenté sous une
forme
déjà très concise et ne contenant que des faits p
il faut s'arrêter quoiqu'elle ne soit pas à l'abri de l'erreur. Les
formes
calmes de la maladie peuvent, en effet, parfait
vaient pris des métiers européens. Ils présentaient presque tous la
forme
classique de la paralysie générale, la forme ma
taient presque tous la forme classique de la paralysie générale, la
forme
maniaque. L'origine urbaine ou rurale des ma- l
e prend la place de l'eau- de-vie et des liqueurs. Il n'y a pas une
forme
unique de delirium tre- mens. Il existe des var
cHAu (de Stettin). De l'influence de la race sur la fréquence cl la
forme
des maladies mentales et nerveuses. 4 Dans le gro
race mongole se distingue surtout par la fréquence des psychoses à
forme
d'exaltation : accès de fureur chez les Sa- moy
ées chez les femmes étaient la paranoïa chronique (17 cas), la même
forme
avec affaiblissement intellectuel (40), la déme
olie communiquée : en raison de sa prédisposition héréditaire cette
forme
psychopathique a rapidement évolué vers l'affaibl
compagnée d'idées de grandeur. L'auteur croit devoir admettre trois
formes
spéciales du délire des persécutés-persécuteurs
e trois formes spéciales du délire des persécutés-persécuteurs : 1°
forme
typique (chez la femme) : apparition du délire
lequel la psychose se montrait chez le sujet contagionné sous une
forme
différente de celle observée chez le délirant act
mme atteint de moral insanity. Si pour accepter la réalité de cette
forme
, l'existence d'un certain degré de faiblesse in
terminaison de la paranoia. - Le professeur Kraipelin a décrit une
forme
particulière d'affaiblissement intel- lectuel d
e se développerait parfois dès la jeunesse, con- sécutivement à une
forme
de dépression accompagnée d'idées de persécutio
ions délirantes ne tardent pas à rétrocéder ; alors se manifeste la
forme
spéciale précédemment décrite carac- térisée pa
ions. L'auteur en a observé qui paraissent devoir rentrer dans la
forme
décrite par Krajpelin. Chez quelques-uns cependan
r des phrases complètement .incohérentes. C'est un exemple de cette
forme
de confusion verbale que Fovel a appelée « salade
passagère non accompagnée de diabète se ren- contre dans certaines
formes
d'aliénation mentale. Sa présence précède ou ac
ition. J2cén.- Même traitement. Les spasmes se produisent sous la
forme
d'un nouveau cri c pia D qu'elle accompagne d'un
e, sait mettre au pluriel les noms et les adjectifs, les notions de
forme
se précisent dans son esprit; dans les travaux
paralysies, amyotrophies, troubles de la sensibilité), présente une
forme
clinique bien définie. Il est essentiellement c
outeux mais pas funeste d'ordinaire. Il est grave et fatal dans les
formes
plus rapides et intenses, si la cause de la mal
ent débilité. Il est, au contraire, généralement favorable dans les
formes
chroniques alors que l'état général du patient es
ro- musculaire appartiennent, sans ou presque sans exception, aux
formes
subaiguës au chroniques des maladies infectieuses
PICCINI\0. (annale di neu- 1'olo(jia, fasc. VI, 1894.) Parmi les
formes
psychopathiques qui simulent le délire aigu et
nt toujours rencontré dans les cas observés jusqu'ici. Il y a des
formes
de délire sensoriel aigu qui peuvent s'accom- p
le qu'au moyen de l'examen bactériologique du sang. Dans les autres
formes
de délire aigu et de manie grave, l'examen bact
isolés et en grande abondance révèle un rapport biologiqne entre la
forme
clinique et leur présence dans le sang, en ce s
e. Les résultats bactériologiques, trouvés dans toutes les autres
formes
de délire sensoriel qui ressemblent au véritable
rit par Hianchi, mais d'autres variétés de microorgauismes; car ces
formes
de délire aigu sensoriel et de manie grave sont
xystiques. Les accès circumcursifs ne conservent pas toujours cette
forme
; on ne peut savoir s'ils provoquent plus tôt que
démence. Les phénomènes rotaloires peuvent aussi se présenter sous
forme
d'aura ou d'accès. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
tation est très variable. Les accès ne gardent pas toujours la même
forme
et sont souvent remplacés par des accès de form
toujours la même forme et sont souvent remplacés par des accès de
forme
équivalente. Rien de précis sur leur influence au
s aliénés, au moment d'une rechute, quelle que soit d'ail- leurs la
forme
clinique de la psychose, seuls, à l'insu de tous,
coolique. Les troubles psychiques furent les premiers en date, sous
forme
d'affaiblissement de l'activité intellectuelle,
r développer l'aliénation mentale mais encore pour en déterminer la
forme
particulière, suivant qu'ils sont exagérés, aff
athologiques qui caractérisent non seulement la folie mais aussi la
forme
spéciale du délire. C'est ainsi qu'à côté des
ainsi qu'à côté des folies mentales et impulsives et de cer- taines
formes
de délire systématisé à caractère affectif, les t
troubles de la personnalité pourraient de leur côté constituer une
forme
principale d'aliénation mentale. Si la classi
enir plus grand compte, lorsqu'il s'agit de déterminer nettement la
forme
particulière que revêt l'affection mentale. (An
ssi de provoquer des troubles mentaux chez des sujets adultes. La
forme
de folie observée a élé dans un cas un délire mél
ch; que ce tableau de la maladie de Friedreich même circonscrit aux
formes
absolument spinales, correspond précisément au
u cervelet; qu'anatomiquement on ne peut méconnaître l'existence de
formes
essentiellement spinales et de formes cérébelle
ut méconnaître l'existence de formes essentiellement spinales et de
formes
cérébelleuses et spinales. J. SGL.15. L1V.SUR L
rvée, qu'il n'est pas rare de constater dans certaines psychoses, à
forme
de confusion et de per- plexité, des manifestat
euse. Au stade terminal les éléments cellulaires avaient perdu leur
forme
extérieure normale et se présentaient sous la f
ient perdu leur forme extérieure normale et se présentaient sous la
forme
de corps polygonaux ou arrondis. Le noyau n'ava
ieurement in extenso. M. Wernicke (de Breslau). Sur les psychoses à
forme
anxieuse. z La clinique exisie la description d
a clinique exisie la description d'un groupe spécial de psychoses à
forme
anxieuse : dans ce cas le symptôme dominant est l
tantôt de simples conceptions, tantôt elles se manifestent sous la
forme
d'hallucinations auditives. Le contenu de ces d
ncolie avec agita- tion doit rentrer dans le groupe des psychoses à
forme
anxieuse, et n'a rien à voir avec la mélancolie
les mani- festations motrices qui s'exagèrent; tantôt la psychose à
forme
anxieuse n'est que le premier stade d'une autre
la psychose à forme anxieuse n'est que le premier stade d'une autre
forme
clinique qui se greffe sur la première au cours
agnostic différentiel doit être fait avec : 1° l'hallucinose aiguë,
forme
assez vosine de la psychose anxieuse et ayant é
favorable. Les hallucinations et l'anxiété paraissent, dans cette
forme
clinique, être dans un rapport de dépendance inve
les Grecs ont pu s'enivrer; mais ils n'ont pas l'alcoolisme sou= sa
forme
moderne, la plus pernicieuse de toutes. En somm
des aliénés, par Mirto, 470. Crétinisme. Influence du - sur la
forme
des cavités nasales par Allen, 313. Criminell
lies somatiques les plus importantes dans la-, par Kaes, 35. -, à
forme
tabétique par Jo11roy, 46. Sur la période de
rre, Régis, Gliristian, - 220. Glycosurie et -, par Toy, 426. - à
forme
anxieuse, par Wernicke, 482. J'L PILLAIRE. Di
l'an passé, nous avons faites ensemble re- lativement aux diverses
formes
de l'aphasie. L'un de ces malades présente un e
IE DE 'LA SALPÊTRIÈRE sée par des gestes, le calcul sous toutes ses
formes
et enfin la musique. Physiologiquement les anal
arfaitement les caractères de l'imprimerie, les lettres groupées sous
forme
de mots, il ne peut pas les déchiffrer, les com
récède, l'affection dont il s'agit chez notre malade. C'est une des
formes
de la migraine assez vulgairement connue sous le
nt que les engourdissements des membres et de la face, les diverses
formes
d'aphasie, viennent se surajouter aux symptômes
ils disparaîtront pour reve- 'nir vraisemblablement plus lard sous
forme
d'accès. Il n'en est rien en effet, nous savons
taques dites congestives. Les attaques congestives dans certaines
formes
reviennent, on le sail, par accès, ainsi que qu
on comprend l'apparition de la fausse migraine olllltlmlmiclne sous
forme
d'accès, dans le cours de cette maladie redouta
and elle se . MIGRAINE 0P11TUALMIQUE ET APHASIE 9 montre dans ses
formes
légères, mais encore, quand dans quelques-uns de
bois Raymond reprise par Latham pour expliquer. sans distinction de
forme
les phénomènes de la migraine, 10 NOUVELLE ICON
lésion pourra produire si- multanément l'hémiopie, le scotome, les
formes
variées de l'aphasie, les troubles moteurs ou d
desnerfs vaso-moteurs sylviens est mise en jeu périodiquement sous
forme
d'accès ; 1 2° Pourquoi telle artériole est aff
naissance avant terme. Cependant cette faiblesse persista sous une
forme
un peu particulière. Alors que les fonctions di
l'affection est également manifeste. \ DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A
FORME
TABÉTIQUE '> PAR - A. JOFFROY, PROFESSEU
les aliénés, Paris, 9 82G, p. 2 : jO. ' DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A
FORME
TABÉTIQUE 31 C'est vers la même époque (1857-18
alysie générale se rapportent à l'une des DE LA PARALYSIE GÉNÉRÉE A
FORME
TABÉTIQUE , 33 formes spinales de la paralysie
ortent à l'une des DE LA PARALYSIE GÉNÉRÉE A FORME TABÉTIQUE , 33
formes
spinales de la paralysie générale. En particulier
ée de 5 il 10 minutes pendant lesquelles DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A
FORME
TABÉTIQUE 35 l'impossibilité de parler était co
ntermédiaire sont épaissis et fibreux. . DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A
FORME
TABÉTIQUE 37 Le faisceau pyramidal croisé, surt
' Editeurs, a Paris IMP MONROCO a iarm s DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A
FORME
TABÉTIQUE 39 des cornes postérieures et de la c
lysie générale peut débuter par des symptômes spi- naux revêtant la
forme
tabétique à ce point qu'on ne peut alors la disti
sin représente ici l'appareil dans sa grandeur naturelle. Il est de
forme
cylindrique, long de 10 centimètres. A son extrém
on aura un vingtième de millimètre etc. Le bout de 1 aiguille a une
forme
conique, dont la base et la hauteur sont égales
ut augmenter la force de pression. D'un autre côté, par suite de la
forme
conique de l'aiguille, sont irrités non seulement
t viennent à l'appui de cette opinion (2). .... x La fusion des
formes
corporelles de l'homme avec celles de la femme
eurs habiles assurément, mais avant tout soucieux de l'harmonie des
formes
. Aussi, les archéologues se sont-ils ralliés po
qui par ses attributs sexuels mérite d'être appelé homme, aura les
formes
corporelles propres au sexe féminin. Tel autre
r le ciseau ou le pinceau d'un artiste, quelqu'épris qu'il soit des
formes
natu- relles. Ce sont des monstres, et aucun d'
nature mit un jour sous les yeux d'un artiste de talent, et où les
formes
de la femme se trouvaient harmonieusement confo
corps : les hanches, les fesses, les cuisses et les extrémités. La
forme
en est infan- tile, mais se rapproche aussi du
Fischbein (III, 21). V. Fig. 3 (1). Plus rarement, il s'agit d'une
forme
mâle aux muscles accentués, aux hanches étroite
emarques précédentes sont ap- plicables. L'analyse méthodique des
formes
et leur comparaison avec les exem- ples de fémi
le, située il la région sacrée gauche, près de la ligne médiane, de
forme
losan- gique, mesurant 4 centimètres en longueu
udescence, j'aura épuisé rémunération des symptômes dont la réunion
forme
un ensemble assez caractéristique pour nous con
du côté gauche, près; de la ligne médiane du sa- crum, eschare, de
forme
irrégulière, de la' grandeur d'une pièce de Nou
agnostic différentiel des affections de la queue de cheval avec une
forme
spéciale de sciatique compliquée, con- sécutive
fessière, toutes manifestations qui font défaut dans les différentes
formes
de sciatiqués. Le mal de Pott lombo-sacré s'a
longtemps, et dont il ne reste plus aujourd'hui que des traces sous
forme
d'une monoplégie atro- phique. Les névrites p
deux premiers malades. Voici par exemple un homme qui présente une
forme
particulière de polynévrite, d'origine indiscutab
je crois vous avoir convaincu, qu'il est facile de distinguer cette
forme
de polynévrite des affections de la queue de ch
polynévrite des affections de la queue de cheval. Il est une autre
forme
de névrite à marche progressive qui, à une phase
tomatique présenté par notre première malade. Je veux parler de la
forme
d'amyotrophie connue sous le nom de type Charco
région sacrée ; c'est plus qu'il n'en faut pour différencier celte
forme
de myélite des affections de la queue de cheval
épaisseur. Il a une longueur moyenne de 10 millimè- lres; mais sa
forme
est quelquefois effilée, et sa longueur atteint
, le cône terminal se prolonge jusqu'au sommet du coc- cyx, sous la
forme
d'un cordon mince, le filament terminal (lilum te
s vous dire. Je constate donc simplement que l'électricité, sous la
forme
de la faradisation périphérique, de la galvanisat
ien a déjà entraîné à sa suite, des conséquences irréparables, sous
forme
d'une dégé- nérescence ascendante occupant une
mie ordinaire de cette affection y est très nettement esquissée et la
forme
à tumeur n'a pas échappé à cet observateur qui
ins que la description qu'il donne du sein hystérique sans tu- meur
forme
la plus communément observée du reste mérite d'êt
e aux cas où domine la simple congestion de l'organe. « C'est cette
forme
, dit-il, que Connard a étudiée sous le nom de s
t pas qu'elles soient hystériques. Si elles le sont, c'est sous une
forme
bien larvée et souvent sans autre symptôme que
anes du bassin. « J'ai observé, dit-il, un cas remarquable de cette
forme
de mastodynie chez une femme qui avait subi une
blanc, rosé, ou violet de l'oedème hys- térique. A côté de cette
forme
où le gonflement du sein est uniforme, il s'en
d'une peau aride, qui. collée sur ces os, en laissoit voir toute la
forme
». De plus, « elle tombe de teins en tems dans
e avec fureur un coup de sabot dans le sein du côté gauche. Ce coup
forme
bientôt un abcès qui dégénère en cancer ». En
les soins d'un habile chirurgien, « le cancer s'ouvre en ulcère et
forme
ensuite une fistule sous l'aisselle par où s'ex
fection secondaire. ' ÉTUDES DE PHYSIOLOGIE MORPHOLOGIQUE DE LA
FORME
DU CORPS EN MOUVEMENT (1). PAR PAUL RICHER
s. Cet état se tra- duira nécessairement par une modification de la
forme
extérieure correspon- dante, et tout mouvement
spéciales qui varieront avec sa nature et son étendue. Ce sont ces
formes
qui intéressent particulièrement les artistes. La
connaissance n'importe pas moins aux médecins qu'aux artistes. v
Forme
DU muscle SUR LE vivant En dehors des états phy
férents dans lesquels il se trouve, le muscle, sur le vivant, a une
forme
propre qu'il importe de bien préciser, cette (1
icher, qui doit paraître prochainement à la libraire 0. Doin. DE LA
FORME
DU CORPS EN MOUVEMENT 123 forme vivante ne dépe
ment à la libraire 0. Doin. DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 123
forme
vivante ne dépend pas seulement du mode de struct
aux qui la doublent en certains points, ont pour effet d'altérer la
forme
du muscle lui-même, en y pro- duisant des dépre
ng, plus il se raccourcit, et plus l'opposition sera grande avec la
forme
de sa contraction et celle de son relâchement. Pa
y a encore un autre état physiologique, du muscle qui inllue sur la
forme
extérieure. Le muscle, tout on restant inactif,
ans un muscle distendu, et, dans ce cas, elle n'en modifie guère la
forme
qui reste surbaissée, mais avec une plus ferme ac
r la distention ; le raccourcissement se produit, et, avec lui, les
formes
de la contraction sur lesquelles nous avons insis
toujours accompagnée de l'allongement du muscle, est la cause d'une
forme
extérieure tout a fait différente de celle du rel
de raccourcissement et celle qui s'accompagne d'allongement, car les
formes
extérieures ne sont naturellement pas les mêmes
r le relief distinct des faisceaux secondaires qui le composent. La
forme
d'un muscle contracté et distendu participe à la
La forme d'un muscle contracté et distendu participe à la fois aux
formes
spécia- les à la contraction et à la distention
sceaux, dont il se compose, et par un relief des fibres char- DE LA
FORME
DU CORPS EN MOUVEMENT 125 nues variable avec le
tient le membre immobile dans une position donnée. Cette dernière
forme
de la contraction a été appelée contraction stati
ion dynamique avec travail négatif des auteurs . ' Cette dernière
forme
delà contraction est d'un usage extrêmement fréqu
ogique, sous les mêmes, apparences que la contraction dynamique. La
forme
du muscle est la même dans les deux cas. Les
gnalées plus haut, c'est-à-dire avec une vitesse lente ou modérée, la
forme
d'un 'membre ne diffère pas sensiblement qu'il
2. Néanmoins, j'ai constaté d'une façon très nette, entre ces deux
formes
de la con- DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 12
taté d'une façon très nette, entre ces deux formes de la con- DE LA
FORME
DU CORPS EN MOUVEMENT 127 traction musculaire,
accentuées et plus rares. En tout cas, l'opposition entre les deux
formes
de contraction est très nette, car elles existe
elle est la valeur de l'effort musculaire déployé dans ces diverses
formes
de la contraction. Malheureusement la solution du
. Eh bien, si je ne puis comparer directement entre elles ces trois
formes
de la contraction du biceps puisque j'ignore la
ne semble pas confirmer cet a -priori. J'ai dit, en effet, que les
formes
de la contraction frénatrice' étaient semblables
près; on trouve sur certaines de nos photographies, entre les' deux
formes
de la contraction une petite différence non pas
rme générale du muscle, mais dans le degré -d'accentuation de cette
forme
. Sur les deux photographies de la planche XVI (
Nous ajouterons ;què ces différences de valeur entre les diverses.
formes
de la contraction varient 'certainement avec la
UR LE BRAS. (Cliché A l.uudr.) L BATTAILLE ET C" ÉDITFURS DE LA
FORME
DU CORPS EN MOUVEMENT 129 tendent à se rapproch
constances, les différences ne peuvent que s'accentuer entre les deux
formes
de la contraction dynamique. Nous pouvons don
. 5 et 6) sont parfaitement concluantes. Dans la flexion, le biceps
forme
un relief qui n'existe plus dans l'extension. J
en mouvement. Il en résulte qu'il n'est point toujours vrai que la
forme
d'un membre dilfère suivant le sens du mouvement.
nces, l'artiste ne saurait donner au membre qui se fléchit d'autres
formes
qu'à celui qui s'é- tend. Prenons, comme exem
antagonistes se contractent simultanément et due le mouvement DE LA
FORME
DU CORPS EN MOUVEMENT 131 produit est la résult
inerte pendant que nous soule- vons son avant-bras jusqu'à ce qu'il
forme
un angle droit avec le bras, nous constatons qu
t très' rapi- dement, nous voyons' une opposition complète dans les
formes
.' suivant que le membre monte ou descend. S'il
t de la jambe en sens inverse, etc., etc... Dans tous les cas, la
forme
du membre en action ne changera guère quel que
nt par l'action d'autres muscles que la rotation en dedans. DE LA
FORME
DU CORPS EN MOUVEMENT 135 Dans les mouvements l
les antagonistes sont manifestement re- lâchés. ' Dans ce cas, la
forme
du membre est telle qu'a la seule inspection on p
rte d'ictus qui n'est pas sans analogie avec les attaques apoplecli
formes
. N'est-ce pas ainsi que procèdent les liémorrha
ement bien portants et choisis pour des éludes de musculature et de
forme
extérieure. Ils sont tous compris entre 20 et 4
.' étendu sur toute la région et qui ne fait que se modeler sur les
formes
profondes. Entre les muscles spinaux et le gran
muscles spinaux et le grand dentelé, il existe un espace étroit, de
forme
triangulaire, ,'\ sommet dirigé en haut et en ded
es pas beaucoup plus heureux au point de vue de la régu- larité des
formes
et il est curieux de constater comment toutes les
tion hanchée. Le hanchement produit, en effet, une modification des
formes
du torse bien connue des artistes et ca- ractér
es modifications de texture qui rendent durables des changements de
forme
primitivement passagers. C'est ainsi que la sta
lié avec le système nerveux. La membrane épithétiate de la peau se
forme
des mêmes vésicules germinati- ves técoderl1liq
r. Parfois, chez un môme malade, l'anes- thésie affectai t diverses
formes
selon les parties du corps atteintes (III et IX).
que l'eczéma, du moins dans les cas cités plus haut, était une des
formes
si nombreuses esl variées de l'hystérie qui peu
ire place à une in- crustation superficielle et jaunâtre. - Cette
forme
définitive de l'éruption se présente sur la plupa
e Genève et qui figure dans sa collection de photo- graphies. Ces
formes
spéciales d'hémiplégie indiquent une lésion protu
ui est complètement déviée a gauche (voir planche). Le raphé médian
forme
une courbe à concavité tournée de ce Nou... ¡.O
que le cuivre est meilleur isolant, et se moulant plus facilement,
forme
un vêtement plus coquet. Le poids total de ce
été observés principalement sous forme de canitie, mais aussi sous
forme
d'alopécie (1). A la suite d'attaques d'hystérie,
ieure et à droite on voit 3 ou 4 plaques conglomérées, mais dont la
forme
circulaire est bien reconnaissable : sur la rég
organes génitaux mis à part, c'est toujours, à très peu près, la même
forme
corporelle : pas de seins, pas de poils, même t
s, issus de deux corps d'enfant morphologiquement identi- ques, les
formes
extérieures semblent nettement préétablies. Mai
t grandir, parfois même exagérément : mais il garde de l'enfant les
formes
extérieures comme aussi son état mental. Torse
lité du corps n'est plus la même. Le féminin participe à la fois des
formes
de la femme et de celles de l'homme, ou plus ex
ome morphologique caractérisé par la conservation chez l'adulte des
formes
ex- térieures de l'enfance, et la non-apparitio
chez les femmes maigres, le tissu adipeux des fesses et des flancs
forme
toujours un relief notable qui contri- bue à él
culisme. Le terme de Virilisme seraitpeut-étrepréfé- rable. Cette
forme
corporelle est caractérisée par l'adjonction des
est large, ainsi que les hanches. Les cuisses sont grasses, ont une
forme
fuselée et des lignes féminines ; les fesses sont
la partie correspondante du prépuce, où se trouve une cicatrice en
forme
d'étoile provenant de la circoncision rituelle;
i- vant : le gland dirigé en dehors des deux feuillets des bourses,
forme
la masse principale et simule assez bien les or
xplorer la plaie. Souvent aussi il a l'air d'extirper une tumeur de
forme
sphérique. Les personnages accessoires sont, so
migraines, les vertiges, les pertes de connnaissance, et toutes les
formes
du délire et de la folie, étaient attribuées à
pire en ce temps-la; on en voit autant de nos jours, sous d'autres
formes
. La crédulité et la fourberie humaines varient
du patient. La coupure est faite au lieu d'élection, la pierre a la
forme
voulue, l'opéré est ligotté selon les règles, l
ifformités accidentelles 'de chacun des estropiés ainsi que dans la
forme
des appareils, pilons, béquilles, etc. utilisés
a tétanie est une affection paroxystique sujette à récidives. De la
forme
bénigne ou moyenne, Trousseau (4) trace le tablea
-ci est étendue sur la cuisse et la cuisse sur le bassin ». Dans la
forme
grave, la contracture se généralise aux muscles d
t. Tétanie, 1886. (3) F. HA\MOND, Névrose convulsive et rythmique à
forme
de tétanie chez un homme de 32 ans. Progrès méd
du système nerveux central ; extirpation du corps thyroïde. Mais la
forme
essentielle, celle où les précédents facteurs é
laryngo-spasme comme, d'ailleurs, dans nombre d'observations de la
forme
grave de la tétanie. Certaines attaques de contra
sa thèse qu'une observation personnelle. Il n'est pas jusqu'à la
forme
épidémique de la tétanie (celle due aux (1) Zal
ontractures dites essentielles des extrémités ou tétanie dans leurs
formes
les plus bénignes et les plus graves ; 2° Que
époque de «ses premières règles qu'elle commença avoir des crises à
forme
tétanique ressemblant aux crises actuelles et pou
grossesse, il survint tous les dix jours des crises identiques comme
forme
et comme intensité aux précédentes. Enfin, la m
es (poudre de rhubarbe) et une cuillerée d'iodure de potassium sous
forme
d'une simple solution de sel marin. En outre pour
ter une tumeur imaginaire, il est certain qu'il s'est inspiré de la
forme
de celles, bien réelles, qu'on observe souvent
âce à l'intervention de l'habile physicien. Il y en a de toutes les
formes
et de toutes les tailles ; un sac demi ouvert d
r le mur, une étagère supportant des cruches et des vases de toutes
formes
. Un escalier conduit dans une autre pièce peu écl
Il est assis sur un fauteuil à dossier demi-circulaire et, pour la
forme
, on l'y a attaché avec des liens de paille. Mai
ont voulu ligurer ces tumeurs imaginaires se sont inspi- rés cle la
forme
des tumeurs véritables du cuir chevelu connues so
la commissure postérieure (Fig. 65). L'ensemble du foyer de myélite
forme
ainsi un fuseau allongé, plus effilé en bas qu'
nerveuses sont encore conservées, mais elles sont altérées dans leur
forme
; leursprolongements sont peu nombreux et elles
l'hypothèse la plus probable, par la réunion de ces deux causes. La
forme
singulière du foyer, ses limites nettes et irré
res ; on le distingue facilement à l'oeil nu sur les cou- pes où il
forme
une large tache non colorée. La lésion commence
la 8e paire cervicale ; son étendue est très peu considérable, elle
forme
une petite bande transversale qui comprend la c
'occupe plus que la substance grise, dont elle dessine très bien la
forme
; elle empiète un peu en arrière sur la substanc
urface de section sur la hauteur de 3 racines. Il faut remarquer sa
forme
en fuseau, la symétrie qu'affecte l'extrémité i
ulaires antérieur et postérieur; mais certains détails, tels que la
forme
plus ou moins régulièrement en secteur des portio
calibre égal, parfaitement arrondis ; quelques-uns pourtant ont une
forme
légèrement allongée, mais il est extrêmement rare
es-unes sont fortement infiltrées de cellules em- bryonnaires. La
forme
du foyer de myélite, les différents détails de st
isseaux. DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 345 D'autre part la
forme
particulière des lésions vasculaires, les lésions
Cette lésion est fort intéressante par son étendue inusitée, par sa
forme
rapide. Elle ressemble extérieurement d'une man
elle représente un type extrême de la série, variée à l'infini, des
formes
anatomiques et cliniques de cette affection. A
fications morphologiques apportées par la maladie de Parkinson à la
forme
extérieure du corps humain. Depuis le travail d
e est applicable à la majorité des cas. - - Nous ne parlons pas des
formes
hémiplégiques dans lesquelles une moi- tié du c
888, p. 213. (2) Voy. A. DU'CIL. Sur un cas de paralysie agitante à
forme
hémiplégique avec atti- tude anormale de la têt
pêtrière, 1880, p. 165. · (3) Voy. le remarquable travail sur les
formes
cliniques et le diagnostic de la mala- die de P
au centre d'articulation de la tête et du cou, une troisième ligne
forme
l'axe du cou. Le quatrième axe, celui de la têt
que la ligne brisée formée par la réunion de ces 3 dernières lignes
forme
deux an- gles obtus ouverts en avant. L'incli
Fic;. 11. Il ne faut pas oublier cependant que dans certai- nes
formes
cliniques des maladies de Parkinson, le tronc e
ôle véritablement soudée entre les deux épaules (1) ». Les autres
formes
de station sont très rarement réalisés par les Pa
endroit, la peau trop lâche retombe à la partie inférieure où elle
forme
, de chaque 370 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
es restes du tissu adipeux au- trefois si abondant en ce point. Ces
formes
sont la confirmation saisis- sante de la théori
out entier. Tous les muscles paraissent contractés. Ils offrent les
formes
spéciales caractéristiques de la contraction mu
ait autant de muscles distincts. A J'avant-bras, le long supinateur
forme
une saillie caractéristique. Ja- mais pour obte
tal normal le long supinateur entrer en contraction. La corde qu'il
forme
ici, acquiert presque l'importance d'un signe pat
étudier, tous les muscles y dessinant des saillies distinctes. Les
formes
du genou sont simples comme celles qui résulten
te contracture .soit, il l'instar de ce qui se passe dans certaines
formes
de contractures hystériques, dans- un état inst
emier de ces ouvrages, celui qui nous intéresse le plus directement
forme
, dans 1 édition originale écrite en latin, un p
Epidémie Skindisease (maladie de Savill), par T. D. SAvu.L, 48.
Forme
du corps en mouvement, par P. RICHEH, 14. Gan
par GILLES DE la TOURETTE et MARINESCO, 203. Paralysie générale à
forme
tabétique, par A. -10leFROY, 30. Paralysie bi
). Déviation de la colonne vertébrale chez les sujets sains, 158.
Forme
du corps en mouvement, 121. RICIIER (Paul) et H
Disease. Habitus extérieur, VII. - Coupes de la peau, V et VI.
Formes
du corps en mouvement. Flexion et extension de
rmante de Paget (Lésion mé- dullaire),XXXV. Paralysie générale ci
forme
tabétique (coupes de la moelle), IV. Paralysi
eux comprendre la pathogénie de l'affection. (1) James PAGEOT. On a
forme
of chi-onic inflam.of bones. Medic. chir. Society
esse tous les segments des doigts ; au niveau de l'index droit elle
forme
deux petits nodules du type Heberden, de chaque c
q chapitres principaux : Prédilection particulière pour le tibia et
forme
spéciale en « fourreau de lame de sa- bre » (6)
nière de voir. CuIPAULT a décrit une scoliose myxoedémateuse. Cette
forme
s'observe- rait surtout dans les cas de myxoedè
a vu la coexistence du syndrome de Basedow avec la scoliose sous la
forme
familiale et hérédi- taire et l'un de nous a vu
oliose des adolescents ainsi que d'autres cas de scoliose comme une
forme
d'ostéomalacie de la colonne vertébrale, on com
ade se croit enceinte (1). La sensibilité objective dans toutes ses
formes
a été retrouvée intacte partout. L'examen des r
onction- nelle du voile du palais. La sensibilité sous toutes ses
formes
demeure parfaitement intacte. A l'examen électr
palais ou du larynx. Notre cas ne peut être classé que dans une des
formes
d'amyotrophie myélopalhique. L'âge de la malade
par la malade, mais tous les autres symptômes sont négatifs. Toute
forme
de gliose de la moelle cervico-dorsale a un déb
s muscles du tronc et du cou et il est intéressant de voir dans ces
formes
, le trapèze envahi de bonne heure dans son chef
ulbaires. L'on sait à ce propos que certains auteurs ont décrit une
forme
bulbaire de la polyomyélite antérieure chro- ni
antérieures, et notre cas par conséquent doit être classé parmi les
formes
de la polyomyélite anté- rieure et non de la sc
Bien que à première vue l'on puisse croire que l'étiologie de cette
forme
morbide soit en rapport à un fait traumatique s
genre. On peut citer le cas de Vulpian (1) qui en 1869 a décrit une
forme
de polyomyélite chronique à début scapulo-humél
moelle cervicale. Après avoir démontré la nature et le siège de la
forme
myélopathique présentée par notre malade, il no
l de Cazenave (33) en 1835. Quelques années plus tard, de nouvelles
formes
de crampes profes- (1) Qu'il me soit permis de
potences, il ne nous semble pas devoir être généralisé à toutes les
formes
de névroses professionnelles. Sans doute il ser
lles. Sans doute il sera peut-être justement applicable à certaines
formes
de crampes professionnelles comme celles décrit
des muscles innervés par ce nerf, spasme offrant l'aspect d'une des
formes
de la crampe des écrivains. D'autres auteurs so
s au territoire atteint, due la plupart du temps à l'athérome, sous
forme
d'endartérite oblitérante (voir Arche. des mal.
m. médic, 15 février 1896), où il s'agissait d'une folie à dou- ble
forme
dans laquelle la période d'excitation était rempl
d'une crampe professionnelle avec un torticolis mental. Certaines
formes
de torticolis spasmodiques ont, à n'en point dout
écriture était impossible. La chorée de celle jeune fille était une
forme
de la chorée variable des dégénérés décrite par
d'envisager ces phénomènes en soi, ou de les ramener vers d'autres
formes
morbides. Dans le nombre, certains désordres, b
as seule à incriminer. Celles-là peuvent même exister, et sous leur
forme
la plus saisissante, en dehors des phénomènes q
un peu obtuse dans toute la moitié gauche du corps pour toutes ses
formes
: tact, douleur, température. Il y a aussi à re
eule la nécropsie pourrait nous révéler avec certi- tude ; c'est la
forme
de ce syndrome. Si l'ophtalmoplégie était seuleme
ie était seulement unilatérale droite, nous aurions affaire avec la
forme
connue d'hémiplé- gie pédonculaire dite aussi a
est juste- ment par cette particularité que notre cas constitue une
forme
à part de syndrome pédonculaire. TROIS OBSERV
mènes spasmodiques sont peu intenses, ils marchent de pair avec une
forme
hémiplégique qui n'est relativement pas grave p
re se fait en flexion. La sensibilité est normale dans toutes ses
formes
sur toute la surface du corps. Examens spécia
le diagnostic d'achondroplasie telle qu'elle a été décrite dans les
formes
complètes de l'adulte. La taille de notre nain
ion) nous donnera la preuve absolue de l'unicité de ces différentes
formes
. Nous ajouterons aussi qu'il nous manque toute
roplasie ait une tendance à se transmettre par l'hérédité, il ne se
forme
pas de races achondroplasiques pas plus qu'il ne
il ne se forme pas de races achondroplasiques pas plus qu'il ne se
forme
des races tuberculeuses ou des races syphilitique
quement comme une sclérose du cartilage de conjugaison, affecte une
forme
histologique plus souvent réalisée par les infe
ion des cartilages épyphysaires, quoique selon Variot, même dans la
forme
hypoplasique décrite par Kauffmann, la mé- dica
adiographique nous semblent parler en fa- veur de l'hypothèse d'une
forme
non encore décrite d'origine rachi tique ; cett
906. Rev. Neurol, 1907, p. 457. Dufour. Achondroplasie partielle,
forme
atypique. Nouvel. Icon. de la Salp., 1906, P. 1
e estime on doit tenir et ses propositions et sa terminologie. Elle
forme
une oeuvre si peu consistante et si peu positiv
le est modifiée par certaines substances : opium, alcool, chloro- .
forme
, etc. . Le fonctionnement de l'esprit'exige l'a
s rai- sonnements exceptionnels, il faut admettre qu'il est issu de
formes
ayant une structure moins compliquée, comme tou
écrétion ou de reproduction qui se sont développés entre temps. Il se
forme
alors pour unir ces différents rouages une cell
tations de la cause, comme étant la cause elle-même sous une nouvelle
forme
, lorsque celle-ci est vivante et douée d'énergi
'orange par exemple, est représentée dans le cerveau sous autant de
formes
physiologiques différentes qu'elle est suscepti
qu'elle est susceptible d'impressionner d'organes des sens. Elle a sa
forme
visuelle, gustative, tactile et dont chacune co
es sensations différentes affectent.en même temps l'organisme, leur
forme
intérieure est une résultante de leurs~actions.
mettait des vibrations lumineuses, sonores, etc., c'est- à-dire des
formes
de l'énergie qui constituent l'équivalent et qui,
quiert les propriétés de ses excitants dont elle devient ainsi, une
forme
organisée et vivante. Le seul fait que le monde
ante. Le seul fait que le monde extérieur se ramène pour nous à des
formes
de l'énergie établit sur une base d'une valeur
, les coutumes, les rites vont atteindre la substance nerveuse sous
forme
d'équivalents mécaniques et s'y transformer en
analogue chez un de nos malades, atteint de crampe des écrivains à
forme
spasmodique, et dont voici l'histoire : Observa
certain nombre de types cliniques : Duchenne, Zuber admettent deux
formes
: spasmodique et pa1'al ! Jti- que. Jaccoud dis
LÉPINAY mes).Avec Benediktnous décrirons trois types cliniques : la
forme
spas- modique, la forme paralytique, et la form
ktnous décrirons trois types cliniques : la forme spas- modique, la
forme
paralytique, et la forme trémulente ; ces trois f
pes cliniques : la forme spas- modique, la forme paralytique, et la
forme
trémulente ; ces trois for- pies peuvent d'aill
nsité est quelquefois telle que certains auteurs ont pu décrire une
forme
névralgique de la crampe des écrivains ; mais cel
crire une forme névralgique de la crampe des écrivains ; mais celte
forme
surtout isolée, sans contractions spasmodiques, e
it en l'air sans qu'ils pussent s'y opposer. , En résumé, dans la
forme
spasmodique de la crampe des écrivains, tous le
fréquentes ». Les caractères graphologiques de l'écriture, dans la
forme
spasmodi- que de la crampe des écrivains, sont
u percé par le bec de la plume. Nous allons, avant de quitter cette
forme
, en donner une description tant au point de vue
a plume ; au crayon le malade pouvait Fia. 2, Crampe des écrivains.
Forme
spasmodique. ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNE
autres doigts. 202 MACÉ DE LÉPINAY B. Forme paralytique. Cette
forme
a été décrite pour la première fois par Duchenne
re, on voyait disparaître cette impo- tence passagère. Souvent la
forme
paralytique de la crampe des écrivains se combine
ent la forme paralytique de la crampe des écrivains se combine à la
forme
spasmodique ; il y a dès lors paralysie des doigt
jours dans le même ordre (fig. 3). Fio. 3. Crampe des écrivains.
Forme
paralylico-spasmodique. 204 MACÉ DE LÉPINAY E
is quatorze ans suppléer à la main droite par la ,main gauche. C.
Forme
TRéMULANTE. Cazenave (33), en 1846 et 1852, a b
e la paralysie générale, de l'éthylisme, de la sénilité, etc. Cette
forme
de tremblement exclusivement limité à l'acte d'éc
e Oppenheim, Remak l'admettent. Humble (79), de son côté, l'appelle
forme
trépidente. Nous avons eu l'occasion, à la Salp
it être abandonnée (fig. 4). Mu 14 Fm, 4. Crampe des écrivains.
Forme
trémulente. 206 - MACÉ DE LÉPINAY Le tremblem
e depuis cette époque. La crampe des écrivains, quelle que' soit sa
forme
, suit une marche généralement progressive, dans
aggravation. Sa durée est tout à fait indéterminée, et dépend de la
forme
, du terrain sur lequel elle évolue, de sa cause
es trop marquées, peut guérir, et guérit en effet bien souvent. Les
formes
douloureuses, les crampes avec mou- vements ass
ment limité à l'acte d'écrire, on élimine la crampe des écrivains à
forme
trémulente, et l'on porte le diagnostic de chor
il ne faut point prendre pour une crampe des écrivains certai- nes
formes
de dysgraphie qui peuvent être dues soit à une fo
it la crampe des écri- vains, et pouvant ainsi occasionner soit une
forme
spasmodique,soit une forme paralytique. Remak d
s, et pouvant ainsi occasionner soit une forme spasmodique,soit une
forme
paralytique. Remak dit que les douleurs névralgiq
trait) ; cette der- nière lettre renversée (1 trait, 2 points) qui
forme
le D se faisait mieux, mais cependant avec préc
Le surmenage pro- fessionnel agit sans aucun doute, mais dans cette
forme
comme dans les autres névroses d'occupation, il
as, à tel point qu'elle devait quitter le piano. Quelle que soit sa
forme
celle névrose, comme toutes ses congénères, ces
n voulu nous communiquer une observation de crampe des pianistes, à
forme
névralgique : 216 11f ACF DE LÉPINAY Observat
fet plus souvent atteinte que la droite. On peut rencontrer soit la
forme
spastique, soit la forme douloureuse. Berger ci
que la droite. On peut rencontrer soit la forme spastique, soit la
forme
douloureuse. Berger cite par exemple un violoni
Il serait donc possible qu'exceptionnellement l'hystérie revêtît la
forme
élective des 2 6 MACÉ DE LÉPINAY crampes prof
a diaphyse que les modifications apparaissent le plus nettement. La
forme
de l'extré- mité inférieure de l'os est arrondi
le voit d'habitude, est très obtus, l'os adulte rappelant ainsi la
forme
de l'os infantile. La limitation entre diaphyse
mince, à une véritable tranche d'os. Tibia. Les modifications de
forme
sont aussi des plus nettes ; au lieu d'un plate
ieux d'aspect grisâtre et uniforme. La rotule n'est pas isolable et
forme
avec le reste de l'os une masse compacte dans l
le milieu de la masse du triceps des épaississements musculaires en
forme
de boules de la grosseur d'une petite mandarine p
r toute l'extrémité inférieure de l'os; de plus, la modification de
forme
est nettement caractérisée par la diminution de
ransparence plus grande) ; 2° Les os subissent des modifications de
forme
. 238 MERLE ET RAULOT Les modifications du pre
tes,, qui peuvent passer inaperçues du malade. Les altérations de
forme
consistent dans : L'amincissement des diaphyses
Le cou est amaigri, il a 26 centimètres de tour. Thorax amaigri, sa
forme
générale est en barillet. Au niveau des aisselles
rquée à droite. MYOPATHIE GEI'IÉRAL1SÉE 247 On ne retrouve pas la
forme
normale du deltoïde. Les omoplates ne se détach
n'y a pas de contractures, de tremblements, de mouvements athétosi-
formes
. Le malade écrit mais en traînant un peu la mai
rs supérieurs, du brachial, du biceps très réduit de volume, et qui
forme
une corde dure et tendue, que l'on arrive à pal
pseudo-hypertrophie siège : «) à l'insertion du V deltoïdien, sous la
forme
d'une masse indurée, arrondie, non mobilisable
comme repliées sur elles-mê- mes, dans son ensemble le thorax a une
forme
oblique ovalaire. L'ensel- lure lombaire a disp
dernières années on a publié successivement plusieurs cas de cette
forme
morbide qui, toutefois, ne cesse pas d'être trop
ans, il fut atteint d'une fièvre typhoïde qui se manifesta sous une
forme
bénigne, ne dura pas plus de 4 semaines et guér
avait été obligé de lui confectionner ses, chapeaux melons avec une
forme
par- ticulière. Pendant que toutes ces altéra
de suite la dimension exagérée de la tète qui se présente sous une
forme
plutôt oxycéphalique et qui semble avoir pris u
effilé et dévié à gauche, la bouche est mince et le menton aigu a la
forme
caractéristique des mentons des vieillards éden
hement sénile (PI. XXXI). La tête du malade dans son ensemble a une
forme
particulière ; très déve- loppée vers le haut p
e 20 centimètres. Cet écartement des membres inférieurs rappelle la
forme
d'une ellipse. Par leur incurvation antérieure
. La sensibilité objective du malade a été examinée sous toutes ses
formes
: les sensibilités : tactile, douloureuse, ther
formations thoraci- ques, celles des membres inférieurs, jusqu'à la
forme
caractéristique du ventre en bissac (V. la plan
aris le 5 novembre 1908, sur un cas de mala- die osseuse de Paget à
forme
unilatérale. L'observation des auteurs est la p
dit plus haut, il s'agissait d'un cas de maladie osseuse de Paget à
forme
unilatérale et à ce propos les deux auteurs rel
v. Iconographie de la Salpêtrière, 1901, no 6. (2) Rapin, Sur une
forme
d'hypertrophie des membres [dystrophie conjonctiv
ui lui disent qu'elle est sale, malpropre, etc. L'oedème des jambes
forme
un bourrelet de deux centimètres environ au niv
; chaque partie comprise entre les articulations des doigts de pied
forme
un bourrelet; le dos du pied présente l'aspect d'
enne et augmente progressivement jusqu'à la partie inférieure où il
forme
un très gros bourrelet venant recouvrir comme une
e dystrophies dont le myxoedème et le trophoedème de Meige sont les
formes
les plus tranchées. Entre ces deux affections, il
tranchées. Entre ces deux affections, il existe toute une série de
formes
intermédiaires différant plus ou moins par leur
les de la main, atrophie qui rappelle d'une manière surprenante une
forme
très rare de l'atrophie locale hystérique et qu
s professionnelles. 2° L'électricité a été utilisée sous toutes ses
formes
; elle est loin d'avoir donné, même en des main
d'application de 3 minutes, deux fois par semaine environ. Dans la
forme
trémulente et paralytique de la crampe des écri
ébrale ; le pôle négatif sur les muscles et nerfs affectés. Dans la
forme
spasmodique, l'anode est au contraire utilisée co
ion sédative sur le système nerveux. 30 Le massage, sous toutes ses
formes
, a donné des résultats plus constants. Ceders
muscles et des nerfs malades ». Ainsi le massage, sous toutes ses
formes
, peut rendre les plus grands services dans le t
fois de crampe des forgerons. Presque lous ces malades avaient des
formes
spasmodiques et doulou- reuses de dyskinésies f
ducation méthodique de Kouindjy. luc. 10. Crampe des écrivains ic
forme
paralytique, avant et après le traitement. 306
s, il faut tenir compte du terrain, de la docilité du malade, de la
forme
et de l'ancien- neté de la névrose. Il faut e
e à la première menace de récidive. FIG. 11. Crampe des écrivains à
forme
spasmodique, avant el après le traitement. ÉTUD
e des névroses d'occupation. On peut en décrire trois variétés : La
forme
spasmodique ; ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONN
rme spasmodique ; ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 319 H La
forme
paralytique ; La forme trémulente. Ces trois
SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 319 H La forme paralytique ; La
forme
trémulente. Ces trois variétés peuvent d'ailleu
l'imbrication des côtes. Ce cancer pleural se présente donc sous la
forme
d'une véritable coque fibrocancéreuse, avec des n
, les lésions de sclérose ancienne prédominent. Le tissu conjonctif
forme
des alvéoles dans lesquelles sont groupées des
4 centimètres de hauteur, 3 d'épaisseur, 2 cent. 1/2 de largeur, de
forme
ovoïde, à plus grosse extrémité inférieure, se tr
ules embryonnaires. Les cellules néoplasiques se présentent sous la
forme
de franges très ser- rées les unes contre les a
ante. La portion inférieure de cette tumeur a dans son ensemble une
forme
semi-circulaire, englobant les pédoncules céréb
pied droit. Seule, la persistance de la sensibilité sous toutes ses
formes
aux membres infé- rieurs et l'existence de vive
nt quelques segments myélini- ques en en respectant d'autres. Cette
forme
de névrite a été étudiée et décrite par GOÜBAUL
l devient beaucoup plus difficile d'expliquer par cette théorie des
formes
de névrites telles que la névrite segmentaire juv
u des thromboses, celles-ci atteignant les petits vaisseaux dans la
forme
vaso-pa- ralytique de Gilbert et Lion. Mais, co
lle présente les lésions d'une myélite syphilitique aiguë, sous une
forme
qui montre bien les difficultés de l'interpréta
issure, respectants, par places seulement, une mince bande, dont la
forme
et les dimensions varient d'un niveau à l'autre,
aisceau ; un coup d'oeil jeté sur nos photogra- phies montre que la
forme
et l'étendue de la région démyélinisée, d'une i
avons-nous dit; d'ail- leurs, la multiplicité et les variations de
forme
et d'étendue des foyers montrent bien que leur
en nombre suffisant pour expliquer l'étendue de la nécrose, dont la
forme
irrégulière en carte de géographie 372 ALQUIER.
donnant lieu à de petites hémorragies mi- nimes. S'agit-il là de la
forme
vaso-paralytique dont nous parlions en , commen
eaux san- guins était infiniment plus considérable et cependant, la
forme
irrégu- lière, le mode de répartition des lésio
ux des nerfs crâniens. Medin établit une distinction entre quelques
formes
de la maladie, d'après l'extension et la locali
lésions anatomiques et Wickman a encore ajouté un certain nombre de
formes
nouvelles. Nous y reviendrons. Si nous essayons
férentes delà maladie doit-on admettre ? Faut-il admettre comme une
forme
spéciale de la maladie la poliomyélite de l'adult
di- ques et des cas épidémiques ? En quel sens faut-il admettre une
forme
ou des formes encéphaliques de la maladie ? J'e
es cas épidémiques ? En quel sens faut-il admettre une forme ou des
formes
encéphaliques de la maladie ? J'examinerai, en ou
chidien. Nous leur devons les méthodes qui permettent d'étudier lès
formes
différentes des élé- ments cellulaires dans le
aucoup d'égards forment un groupe spécial, et aussi un cas avec une
forme
unique de paralysie persistante des muscles abdom
d'une paralysie des muscles ab- dominaux, pour donner une idée des
formes
différentes sous lesquelles ces troubles se pré
e) du diaphragme. Comme on le voit, nous avons un certain nombre de
formes
différentes de paralysie des muscles abdominaux
ne parésie des muscles du dos, qui sont les extenseurs du tronc. La
forme
de paralysie des muscles abdominaux que l'on obse
proéminence qui est plus prononcée à droite et qui a ici presque la
forme
d'une hernie. Cette conséquence des paralysies
les du côté des membres inférieurs apparaissaient par périodes sous
forme
de crises et la mère de la malade a observé que p
de 36 grammes. Son aspect apparaît alors plus nettement : elle a-la
forme
d'un fer à cheval, constituée par deux parties
libres musculaires (fig. 1), ces cellules- apparaissent moins sous
forme
d'amas que sous forme d'une infiltration diffuse
ig. 1), ces cellules- apparaissent moins sous forme d'amas que sous
forme
d'une infiltration diffuse d'éléments cellu- la
phérie. La capsule est épaissie et le tissu conjonctif interacineux
forme
en certains points des bandes qui accompagnent
r un point de leur paroi une prolifération de leurs cellules. Il se
forme
ainsi une sorte d'éepron qui pénètre dans la cavi
etites vésicules, réunies par une coque conjonc- tive commune. Leur
forme
montre clairement qu'elles résultent de divisions
ont loin d'avoir l'aspect « en battoirs », les doigts sont élargis en
forme
de boudins ; seuls les médius sont épais et car
volumineux et mesurent 7 cent. 5 de long ; l'extré- mité libre, de
forme
carrée à gauche, est arrondie à droite, où la 2*
rrée à gauche, est arrondie à droite, où la 2* phalange rappelle la
forme
d'un bulbe d'oignon ; le 2c orteil droit présente
it présente une coufigura- tion analogue. L'extrémité des orteils
forme
dans son ensemble une ligne fortement oblique e
lazzi ne présente aucun délire systématisé, ni aucun symptôme d'une
forme
quelconque d'aliénation mentale. Il est en somm
marche est simplement traînant. Sensibilité. L'examen de toutes les
formes
de sensibilité superficielle et profonde ne dém
icielle et profonde ne démontre aucun trouble déterminé. Toutes les
formes
de sensibilité apparaissent légèrement émoussée
ui n'ont jamais été décrites dans le gigantisme, quoique dans cette
forme
on ait trouvé assez souvent des tares congénita
en même temps nous voyons la présence d'ostéophytes, d'exostoses à
forme
d'éperon, d'épines osseuses anormales. Ces exos
la face que des extrémités : ce caractère aussi est commun aux deux
formes
. Tous les caractères que nous avons relevé chez
apillomaleuses, ou autres, voire même ces taches rouge vif, poncti-
formes
, qui apparaissent tardivement chez les sujets scl
? 1 4j 7 intra-utérine. Notre interprétation nerveuse de certaines
formes
de naevi nous permet donc de préciser la date v
au développement même de la peau. On sait que la surface cutanée se
forme
par la coalescence d'îlots nés chacun séparément
etite tache brunâtre, de la grosseur d'une pièce de deux francs, de
forme
oblongue, qui siège à deux travers de doigt au-de
ite tache brunâtre à contours irréguliers, analogue de volume et de
forme
à la première; elle siège à cinq travers de doi
olli. Il porte des naevi sur la région ab- dominale. Le premier, de
forme
quadrilatère, siège sur la face antérieure de l
i on pense que le naevus, affection congénitale, tra- duit, dans sa
forme
radiculo-métamérique, un processus toxi-infectieu
pas que ces racines ou ces cellules n'aient pas été lésées sous une
forme
ou sous une autre à un moment donné. Il y a des
vertébrale. Osipoff et toute l'école de Bechterew distinguent deux
formes
de la maladie et soulignent l'origine nerveuse de
ortant aux deux types de la maladie et lorsqu'on aura découvert des
formes
intermédiaires, car, en réalité, le tableau cli
t brun ferrugineux. Ce pig- ment est tantôt intracellulaire, tantôt
forme
de petits amas libres. La plupart des cellules
'un cercle. En l'examinant par sa partie antérieure on voit qu'elle
forme
uue légère sco- liose à gauche dans la région d
, et aplaties d'avant en arrière. Elles ont complètement perdu leur
forme
demi-circulaire, sont plates et, confondues tou
ment et à gauche par une bande de tissu osseux qui se présente sous
forme
d'un ligament, d'aspect plus blanc que le reste d
lésions histologiques, Peut-on penser dans notre cas à une autre
forme
de polyarthrite, à l'arthrite déformante ? Nous
UDNEW de Bechterew et la spondylose rhizomélique de Marie comme des
formes
« neuropathiques », c'est-à-dire dépendant de c
ant de causes nerveuses. Pourquoi considérer ces maladies comme des
formes
neuropathiques ? ' ? Est-ce que la mollesse des
tomo- pathologiste). Les corps des vertèbres sont atrophiés et leur
forme
est modifiée : les vertèbres dorsales dessinent
rouve qu'un processus hyperplaslique qui peutse présenter sous deux
formes
(Braun).Dans la première, les corps des vertèbr
cas se rapproche par son tableau clinique et par l'étiologie de la
forme
deBechterew. Quelques auteurs ont exprimé l'idé
e etsyphilis. Nous considérerons notre cas comme appartenant il une
forme
intermé- diaire à celle de Bechterew et à celle
ière de voir. Quelques auteurs ont déjà exprimé l'idée que ces deux
formes
ne sont que des variétés d'une même affection, ma
innervée par le médian, il y avait des troubles de sensibilité sous
forme
d'hypoesthésie au contact, à la douleur, aux vibr
i sur les membres infé- rieurs, aucun trouble objectif des diverses
formes
de la sensibilité. La parésie du nerf médian s'
ux environs de la région mamillaire; 3° Hypoesthésie aux diverses
formes
(Contact, douleur, chaud et froid, vi- brations
lent, avec des bords cutanés taillés à pic. L'examen des diverses
formes
de la sensibilité a donné à cette époque les ré
ibrations du diapason. A la main, partout hypoesthésie aux diverses
formes
très accentuées ; zones d'anesthésie sur le côt
baire. Destruction partielle de la première lombaire qui affecte la
forme
d'un coin. Apophyses épineuses, transverses, ar
trième et de la troisième lombaire, en partie détruites, affectant la
forme
de coins dont les bords tranchants se regardent
stantes. « Vertèbres dorsales et cervicales peu altérées dans leurs
formes
. Ce- 516 ROASENDA pendant soudure presque com
étendue où l'on note l'existence d'une ostéite proliférante. Cette
forme
est plus évidente au voisinage des articulations.
baires, les unes s'altèrent profondément dans leur structure et leur
forme
: des portions entières de vertèbres disparaiss
d'abord sur une de ses parties latérales et la vertèbre affecte la
forme
d'un cône : les faces supérieure et inférieure so
céda, de façon qu'elle aurait acquis, anatomo-palllologiquement, la
forme
de coin dont parle Abadie, dans le travail que
éo- formations, produites dans tous les sens, avaient à peu près la
forme
d'un manchon entourant la vertèbre la plus lésé
n effet, constaté que la sensibilité objective, dans ses di- verses
formes
, est, en général, beaucoup plus troublée sur le m
son ensemble, être grosse comme la moitié du poing et présenter la
forme
d'une calotte sphérique avec un diamètre un peu
i de gauche s'est cicatrisé ; celui de droite persiste avec la même
forme
et la même profondeur. A mon avis, ces faits, j
ouvoir entrevoir dès à présent comment un groupement particulier de
formes
analogues, qui pourraient constituer une variété
tiques, est chose possible à cause des nombreuses affinités que ces
formes
présentent entre elles. Je crois utile de rap
re général de la maladie, rapprochent plus ou moins le cas d'autres
formes
dystrophiques osseuses. Je passe de suite à l'exp
t où est tombé le malade. Les mandibules sont normales tant pour la
forme
que pour les di- mensions. Les dents, en partie
Tout à l'entour on n'observe pas de veines ectasiques. Le pied, de
forme
et dimensions normales, est tenu rapproché du t
e constant; en réalité il l'est si peu, que Jonckerai distingue une
forme
d'ostéite non douloureuse et une forme douloure
que Jonckerai distingue une forme d'ostéite non douloureuse et une
forme
douloureuse. Si la longue durée de l'affection
cie on peut rappeler sa rareté chez l'homme (il s'agirait ici d'une
forme
d'ostémalacie sénile), le manque absolu de dou-
e les déformations osseuses ont débuté chez Lippi à 43 ans ; or les
formes
de rachitisme tardif jusqu'à présent connues (Mie
rentiel de mon cas; il ne vaut pas la peine d'insister sur d'autres
formes
osseuses qui tiennent une place intermédiaire e
52). Le dernier est le mien ; comme je l'ai dit, il s'éloigne de la
forme
typique par son début, par des craquements arti
nd chi- rurgien anglais, -pour le rapprocher plus ou moins d'autres
formes
de dystrophie osseuse. C'est ainsi que Gilles
535 irrégulier de l'hypertrophie qui tend en général à exagérer les
formes
nor- males, et qui, avec un processus d'ostéite
l'absence de bacilles de Koch dans la sécrétion parlait contre une
forme
tubercu- leuse, tandis que la durée prolongée d
onstaté des améliorations, par périodes, permettaient d'exclure une
forme
néoplasique. De sorte que. malgré l'absence de
tibia Lanne- longue avec le tibia Paget, avons-nous entre les deux
formes
morbides une telle ressemblance de caractères,
emière. Restent les hyperostoses parfois énormes qui exagè- rent la
forme
et les déformations, qui accentuent les courbures
ros le résultat radiographique serait assez différent dans les deux
formes
morbides. Il en est de même, selon les données
sion héréditaire parfois similaire ou tout au moins en faveur d'une
forme
familiale d'ostéite déformante, parlent les obser
ncore la plus grande fréquence de la maladie en An- gleterre où les
formes
goutteuses sont certainement plus abondantes qu'e
ment dans la suite en ulcérations. Ces dernières sont en général de
forme
arrondie, à bords réguliers, taillés assez exac
droit, ainsi que le montre la photographie, l'ulcération revêt une
forme
à peu près circulaire. Son diamètre est de 2 cm.
a plaie du genou, la troisième enfin beaucoup plus considérable, de
forme
irrégulière, mesurant 10 centimètres de long sur
ès difficile, mais nous n'avons pas observé qu'il ait existé aucune
forme
typique de troubles respiratoires. En résumé, n
e semblent pas avoir une importance réelle ; en tout cas, c'est une
forme
de troubles respiratoires qui garde un intérêt
orte des observations où des troubles respiratoires ont apparu sous
forme
d'attaques qu'il regarde comme un symptôme bulbai
ue. En traitant cette question, je veux attirer l'attention sur une
forme
tout à fait spéciale de trouble respiratoire qu
naissance d'une compression du bulbe. Nous avons fait connaître une
forme
de troubles respiratoires se rappor- tant au ce
e la respiration ar- tificielle. Sans doute, il y a encore d'autres
formes
de troubles respiratoires qui sont dues à un tr
type de Cheyne-Stokes). Mais la question de savoir s'il existe des
formes
de paralysie de la respiralion se rapportant à un
la respiralion se rapportant à une affection du bulbe autre que la
forme
décrite ci-dessus, et qui consiste en une para-
du collargol, soit dans une solution pour la- vements, soit sous la
forme
de l'onguent de Credé, mais je n'ose pas me pro
pour exécuter les mouvements quand le poids du membre (ou du tronc)
forme
un obstacle. Cette méthode consiste à faire prati
à traiter la question principale de ce chapitre : quelles sont les
formes
différentes de poliomyélite aiguë dont il faut ad
l'existence ? C'est surtout Medin qui a décrit un certain nombre de
formes
différentes de la paralysie infantile qui se ra
ystème nerveux, savoir, sauf la poliomyélite ordinaire spinale, une
forme
qu'il désigne comme polynévrite aiguë, une autre
de la chaux ; ce fait est peut-être en rapport avec la cause et la
forme
même de la maladie. Il est certain qu'après des
se trouve représenté un bateau à deux mats dont la coque épouse la
forme
de quelque oiseau fabuleux. Ses voiles sont gon
ent, J... ne recherche que les satisfactions sexuelles sous quelque
forme
qu'elles se présen- tent. Voué en quelque sorte
accentuées du côté gauche ; à droite on distingue encore un peu la
forme
des circonvolutions olivaires, le feutrage extrac
e fibres arciformes antéro-externes jusqu'au niveau du corps resti-
forme
; il est un peu plus faible que du côté droit; de
re de la pro- tubérance annulaire, sur une coupe transversale, sous
forme
d'un foyer trian- gulaire à base inférieure de
ne dégénération des plus nettes, affectant à la région cervicale la
forme
d'une virgule renversée, étendue transversalement
rébelleuses, ainsi que M. I. Rossi l'a récemment montré (3) pour la
forme
ataxo-cérébello-spasmodi- que. D'après MM. De
; il ne resterait donc plus, au fond, que deux (1) CORDON HOLMES, A
forme
o/ familiale dégénération of the cerebellum. Brai
és de volume, au point d'atteindre les dimensions d'une orange. Les
formes
extérieures de ces organes étaient conservées d
ne sont pas extrêmement nombreux ; ils sont fort irréguliers comme
forme
, comme taille, comme disposition : tantôt arrondi
surface supérieure du cervelet on constate une tumeur kystique, de
forme
triangulaire, avec la base vers le corps calleux
es de granulations, de graisse et de formations -cristalloïdes sous
forme
d'aiguilles ou de plaques rhombiques.Ces masses
s, au con- traire, contiennent du colloïde, qui se présente sous la
forme
d'un bloc réfrin- gent ou de plusieurs boules n
sieurs boules non fusionnées ; il existe en outre des follicules de
forme
irrégulière et pleins de cellules épithéliales. L
, presque libre de lipochrome, où on ne voit ce dernier que sous la
forme
de rangées dissé- minées, qui se rencontrent qu
n effet, certaines dystrophies se rencontrent, presque sous la même
forme
, à la suite des altérations de glandes différente
ité. Un auteur anglais, Guthrie (3), dans une étude sur différentes
formes
de développement précoce, met l'obésité et l'hype
par le processus acromégalique. Ce fait est surtout évident dans la
forme
massive de Marie. Au point de vue de l'influenc
tue par un abondant tissu adipeux qui en remplit les interstices et
forme
comme une espèce de coussinet allongé qui est b
nt ne peut pas tenir la jambe sur la même ligne que la cuisse, mais
forme
avec celle-ci un angle et se plie d'autant plus
membres et la lenteur de l'évolution. On ne peut admettre aucune
forme
d'atrophie névritique (alcool, plomb) vu l'abse
a marche est relativement plus rapide et enfin parce que dans celte
forme
-ci le procès morbide se limite ordinairement aux
ell, etc.) ; d'autres, au contraire, voudraient identifier les deux
formes
(Bernhardt, Kohler, Dejerine, etc.). Certes, l'
t, Kohler, Dejerine, etc.). Certes, l'on ne peut nier qu'il y a des
formes
de passage comme par exemple le cas décrit par
exemple le cas décrit par Langer. En tout cas la parenté entre les
formes
de poliomyélite et l'atrophie musculaire spinal
si on se rappelle les étroits rapports pathogéniques entre les deux
formes
de paralysie infan- tile (Vizioli, Strümpell, e
qu'il s'agit de deux maladies bien différentes, se rapportant à des
formes
différentes d'infection, on pourrait expliquer le
omme je l'ai déjà dit, Medin considère la polynévrite comme une des
formes
de la paralysie infantile. J'indiquerai d'abord
e troubles de la sensibilité, surtout aux extrémités des mem- bres,
forme
, comme on l'admet généralement, une raison forte
ation au point de vue anatomique ou fonctionnel. Medin a décrit une
forme
de la paralysie infantile qu'il nomme ataxie ai
des raisons suffisantes pour désigner ces cas comme constituant une
forme
spéciale, la forme ataxique. A la suite des c
ntes pour désigner ces cas comme constituant une forme spéciale, la
forme
ataxique. A la suite des considérations exposée
cernant la poliomyélite aiguë. Pour la question de savoir quelles
formes
différentes de la maladie il faut admettre, j'a
la poliencéphalite, ni la polynévrite, ni l'alaxie aiguë comme des
formes
de la poliomyélite. Si nous regardons les résul
liomyélite, nous n'aurons pas de raisons suffisantes d'admettre des
formes
différentes de la maladie. Natu- rellement, nou
sie. Mais il ne me semble pas qu'on soit fondé à indiquer comme des
formes
différentes les cas où la paralysie a atteint par
m- ple 2 ou 4 membres. Il serait plus naturel de désigner comme une
forme
spéciale les cas où les noyaux du bulbe ou de l
ien considéré, je ne vois pas de raisons suffisantes d'en faire des
formes
spé- ciales de la maladie. Wickman a décrit c
aire des formes spé- ciales de la maladie. Wickman a décrit comme
formes
spéciales les cas où la paralysie a un type asc
i de parler des cas avec paralysie d'un type descendant comme d'une
forme
spéciale, parce que les cas de cette espèce sont
que.Je tire celle conclusion de ce qu'ont de si caractéristique, la
forme
du début de la maladie et la forme de la répart
qu'ont de si caractéristique, la forme du début de la maladie et la
forme
de la répartition des lésions anatomiques et enfi
, une preuve suffisante qu'il s'agit, dans tous les cas, de la même
forme
d'infection, c'est-à-dire d'une maladie* infect
des stapllylocoques ; Batten, des staphylocoques et encore d'autres
formes
de microorganismes). Les considérations ci-dess
électrisation localisée, Paris, 1872. 30. Duquennoy (P.). - Sur une
forme
à début douloureux de la paralysie infantile. T
, Paris, 1897. 83. Raymond et Sicard. Méningite cérébro-spinale à
forme
de paralysie infantile, cytodiagnostic, Rev. ne
e périostale. Toutefois (p. 32), ils consacrent quelques lignes aux
formes
partielles et citent l'observation de M. F. Regna
ètement ossifié (fig. 3). Le manubrium s'est peu développé. Il a la
forme
d'un coin dont la base serait dirigée vers la par
t des humérus achondro- (1) Sous le nom d'achondroplasie partielle,
forme
atypique, M. Dufour (Iconogra- phie de la Salpê
n de ces humérus, on voit qu'ils se rapprochent beaucoup plus de la
forme
normale que les humérus achon- droplasiques ; i
de l'énergie chimique passe dans la cellule où elle s'accumule sous
forme
d'énergie potentielle. La molécule vivante étan
endre actuelles les forces chimiques qui y préexis- taient sous une
forme
potentielle. Cette énergie chimique ainsi mise en
es séparer des autres phénomènes vitaux. La distinction est de pure
forme
. Cependant l'instinct présente un caractère absol
s 712 LEFÈVRE nouvelles ; les espèces anciennes évoluent vers des
formes
nouvelles dont la subsistance et la reproductio
smise par un nerf centripète, puis renvoyée à un organe moteur sous
forme
de réponse motrice. Dans l'action réflexe, la sen
ts. Reste une grave inconnue à dégager, celle de la vie. Comment se
forme
la matière organisée ? Certes, on s'explique l'
ntrôler au moins les données antérieu- rement acquises. Depuis les'
formes
légères du petit som- nambulisme, ce cadre path
ose à celui de la vésanie délirante. , L'occultisme sous toutes ses
formes
est de nos jours plus en faveur que jamais' au
t utile de rechercher les cas MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 3 de délire à
forme
médianimique et les cas d'aliénation sur- venan
s trois modalités différentes : n 1° Le délire vésanique revêt la
forme
médianimique, il constitue sous cette forme tou
lire vésanique revêt la forme médianimique, il constitue sous cette
forme
toute la maladie dont les éléments symptomatiqu
ou moins courte d'une psychose grave qui dans la suite revêtira une
forme
différente. Il peut être soit un épisode dans l
notre second malade serait un exemple. 3° Un délire vésanique de
forme
quelconque peut venir compliquer un cas de médi
fère, que les éléments d'un délire peuvent revêtir d'eux-mêmes la
forme
médianimique sans initiation spéciale et surtout
religieux . MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 9 du mot ne pouvait revêtir la
forme
concrète d'une voix. Soupçon- nant l'éventualit
in sont toutes dif- «féretites les unes des autres. Chacune d'elles
forme
un être « animé et ils sont tous pareils (sic).
Dans une réaction chi- a mique quandune couleur se produit, elle se
forme
par la « création de petits êtres infiniment pe
stique est très altéré. L'automatisme bat son plein sous toutes ses
formes
. La mémoire des faits actuels est fugace, le so
s voix inconnues, passagères et les a voix stridentes » revêtent la
forme
d'hallucinations auditives ordinaires, les voix
tout comme la grenouille se croyant « le boeuf ! » " . : .. z La
forme
et le fond, comme l'écriture de ces pensées cons-
e, c'est la carac- téristique des messages de certains jours. Cette
forme
parait être le mode intermédiaire entre les com
ausé première de l'arrêt de développe- ment des centres nerveux, le
forme
cranienne n'est-elle même que l'expression de c
les cas, l'étude du crâne qui en a été faite est démonstrative : la
forme
, la disposition des parties osseuses, la valeur
tan- dis que sur le côté opposé on constate la persistance de la
forme
foetale. Le renversement parfois complet est l'ex
sion pathologique. Ajoutons pour aider à la compréhension de ces
formes
: 1° Que sur un certain nombre de crânes ayant
LOGIQUE. 1, .espace retro-frontal où des proliférations osseuses en
forme
de lamelles constituaient une croissance osseus
ire sur les modifi- cations de la surface externe du crâne et de la
forme
géné- rale. Nous la ferons ultérieurement et da
elles que nous avons exposées à propos des os des membres'. '. La
forme
générale est peu transformée en raison des fai-
à l'état naturel' et après leur incision. Le crâne (fig. 13) a une
forme
régulière. En général, ceux qui mesurent les an
ment de l'un des hémisphères. En tout cas, si l'on conserve à cette
forme
le nom de plagio- céphalie, il faut, pour évite
eur eut l'idée de recourir à la jusquiame, qu'il administra sous la
forme
de bromhydrate d'hyoscine en injection sous-cut
le avec prédominance de troubles sensitifs (acrocyanose chronique à
forme
sensitive).- -20 La moda- lité avec atrophie (a
à forme sensitive).- -20 La moda- lité avec atrophie (acrocyanose à
forme
atrophique). 3° L'acro- cyanose avec augmentati
ation personnelle détaillée d'un cas se rapportant à cette dernière
forme
. R. C. XVIII. Un cas d'hémiatrophie faciale pro
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 57 Un cas de syphilis héréditaire tardive à
forme
cérébro- spinale ; par BICHON. (NOllV. Iconogl'
trouve dans l'observation publiée par l'auteur. G. C. \\VIII. Des
formes
anormales de la maladie de Parkinson; par M. Co
llet (Lyon médical, 1er février 1903, n° 5. Sans étudier toutes les
formes
anormales de la maladie de Parkinson, M. Collet
e les foi mes suivantes : 1° Maladie de Parkinson sans tremblement,
forme
la plus connue de toutes, où les syptômes cardi
ues. 3° Maladie de Parkinson a tremblement unilatéral; dans cette
forme
le tremblement reste indéfiniment unilatéral. Ce
. Ce sont ces cas seulement, dit l'auteur, qu'il faut décrire comme
forme
anor- male, car parfois le tremblement peut res
une et même plusieurs années et se généraliser par la suite. Ces
formes
unilatérales à généralisation tardive sont relati
aladie de Parkinson à tremblement secondaire unilalérul. Dans cette
forme
le tremblement après avoir été géné- ralisé, se
tardive du tremblement dans une moitié du corps, aboutissant à une
forme
secondairement unilatérale; 3° l'extension possib
avec opisthotonos, et, dans quelques cas, des attaques épilepti-
formes
, des ictus cérébelleux, des paralysies et contrac
que la malacie osseuse touche rarement le crâne du moins dans la
forme
que l'on observe chez le vieillard. Les auteurs
s jambes pendaut une vingtaine de minutes, et de crises épilepti-
formes
. L'examen montra une certaine spasmodicité des me
t vrai que les dégénérescences groupées affec- tent généralement la
forme
atrophique. Mais le sens propagateur des altéra
pique. M. GRENET présente un hysléro-lraumatique qui présente une
forme
de tremblement hystérique simulant le clonus du p
tration ne sont capables de modifier son système ; et c'est à cette
forme
de monodéïsme que vient de se heurter la sugges
aorr. M. SEHBSKY envisage la maladie de KOHSAKOFF comme une telle
forme
qui, comme, par exemple, la paralysie générale es
nt pas sans défauts, car dans la pratique on rencontre toujours des
formes
complexes (altération des vaisseaux et des élém
, du bromure de sodium en quantité suffi- sante pour que sous cette
forme
le malade prenne 3 grammes de bromure par vingt
résentaient tous les caractères classiques de la main simienne avec
forme
en griffe, disposition des cinq doigts sur le m
type. Je vous ferai remarquer d'ailleurs : 1° qu'à cette époque les
formes
fami- liales n'étaient point encore décrites ;
urs. Il en est un que je veux d'abord retenir, la syringomyélie à
forme
d'atrophie musculaire : ici la symptomatologie se
ns nous ne pouvons donc pas nous arrêtera l'idée de syringomyélie à
forme
atrophique, mi il nous reste encore à compter a
élie à forme atrophique, mi il nous reste encore à compter avec les
formes
anormales; cette même maladie et ceci m'amène à
van à la syringomyélie, on a même décrit un type de syringomyélie à
forme
de maladie de Mor- van. D'autre part, un médeci
nt en réalité des lépreux, la lèpre affectant dans cette région une
forme
lar- 122 CLINIQUE NERVEUSE. vée spéciale, mai
oir l'hypertrophie des nerfs périphériques; or nous connaissons une
forme
de polynévrite qui réalise une semblable augmen
pas plus apparente que réelle, et si la lèpre, au moins dans ses
formes
larvées, n'était pas demeurée endémique en cer-
le bacille de Hansen. Au point de vue cli- nique on distingue deux
formes
, la forme tégumentaire ou tuberculeuse et la fo
de Hansen. Au point de vue cli- nique on distingue deux formes, la
forme
tégumentaire ou tuberculeuse et la forme nerveu
distingue deux formes, la forme tégumentaire ou tuberculeuse et la
forme
nerveuse, mais il convient encore de compter av
e et la forme nerveuse, mais il convient encore de compter avec une
forme
mixte, laquelle est en réalité la plus fréquent
ations et mutilations diverses ; enfin, après de longues années- la
forme
nerveuse peut durer vingt, trente et même quara
logne-sur-Seine. de Boulogne-sur-Seine. Distribution des diverses
formes
d'automatisme verbal. Rithme ci versification.
rice verbale. Un même esprit pourra s'interrompre lui-même sous une
forme
différente de celle par laquelle il a commence.
tique. - Les troubles de la sensibilité générale revetent aussi des
formes
plus spéciales. Les caresses se localisent aussi
ps des deux grandes crises aiguës, les phénomènes hallucinatoires à
forme
spirite que nous avons passés en revue au long
ts; et que plusieurs d'entre eux, personnages téléologiques sous la
forme
d'hallucinations profitables, s'attribuent même
e le lan- gage automatique de notre malade revêtait souvent cette
forme
-là et qu'elle gardait une tendance irrésistible à
une tendance irrésistible à versifier et à rimer machinalement. La
forme
rythmique est donc une des modalités naturelles
ation de tout un système théologique polythéïste, fantaisiste et de
forme
à demi païenne; mais ici il faut faire appel po
artir de ce moment-là que son mysticisme mieux éclairé a pris une
forme
plus réellement chrétienne et théosophique. Ell
savoir non plus de la MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 143 théosophie cette
forme
de spiritisme rejetée par le spiritisme officie
de sa vie. Ils n'ont différé que sur deux points. C'est d'abord la
forme
spirite des communications de Cam..., le mot et
créateur si les circonstances ambian- tes avaient dirigé dans cette
forme
le processus de ses éléments délirants. L'autre
rmale dans laquelle ils ont en paix promené leur délire tant que la
forme
vésa- nique n'a pas entraîné de leur part soit
sublimînaux se grou- pent, s'ordonnent, se compénètrent suivant la
forme
« per- sonnelle » à laquelle tend toute conscie
ême l'homicide. OnSOERVATION II. - Hérédité névroputhique. Délire à
forme
spirite lions de métaphysique, de réformes soci
il voit des symboles partout, il s'aperçoit que le trajet accompli
forme
un triangle et cela doit avoir une significa- t
enfin des mys- ques. Les spirites sont caractérisés surtout par la
forme
spéciale de leurs éléments délirants; ils ont a
tout traitement, soumis à un régime et à un mode d'existence uni-
formes
, soit pendant cette période d'observation, soit p
ans les composants d'autre nature des organes centraux. Les au très
formes
d'altérations régres- sives représentent des mo
et de réaction de l'appareil vasculaire sanguin et lymphatique sous
forme
d'exsudations, nous n'avons que très peu de pro
E PATHOLOGIQUES. lement au bord opposé de cet os : la zone sensible
forme
un cercle irrégulier du diamètre d'une pièce de
' Long mémoire dont voici les conclusions : Io Il existe diverses
formes
de réaction paradoxale des pu- pilles. Ce sont
dégénérescence plus volumineuse et plus étendue pouvant prendre la
forme
d'un croissant. En effet, dans ce cordon descen
ture vasculaire dans le tissu cellulaire sous-cutané, comme il s'en
forme
dans un peu tous les organes du paralytique gén
s devenues obsédantes. De plus l'obsession s'est présentée sous une
forme
continue, traduisant un état aboulique très pro
chose polynévri- tique, d'après l'opinion des rapporteurs,' est une
forme
morbide autonome, où les accès psychiques se co
conservée et sa con- duite reste plus ou moins régulière. Dans les
formes
plus graves et les états plus lourds les fausse
tableau de la maladie de KoRSAKOFF. L'un des phénomènes de cette
forme
serties confabulations, et c'est déjà un phénomèn
l'on peut dire, que les hémor- 176 SOCIÉTÉS SAVANTES. rhagies en
forme
d'îlots disséminés, se soient développés simulta-
t possible qu'ils s'associent dans certains cas pour constituer une
forme
mixte. Citons maintenant des exemples. Observ
que les phobiques du regard ne craignent point de rougir. C'est une
forme
particulière de la classe des phobies sociales
deu, médecin béarnais né à Izeste. Dans un style où la pureté de la
forme
le dispute à la profondeur des idées et une hau
t, suivant la période de la vie à laquelle elles apparaissent, deux
formes
, l'une tardive et l'autre vrécoce, de démence v
symp- tôme fondamental de la démence précoce, quelle que soit sa
forme
, présente des caractères spéciaux qui le différen
ions, sans excitation ni dépression, on se trouve en présence d'une
forme
atténuée ou fruste de la maladie (forme simple
se trouve en présence d'une forme atténuée ou fruste de la maladie (
forme
simple de M. Sérieux, hébéphrénie miti- gée de
e la démence paranoïde (démence paranoïde simple), qui comprend les
formes
décrites en France sous le nom de délire polymo
a aiguë. Par contre, dans la deuxième variété de démence paranoïde,
forme
dans laquelle Kroepeiin a fait rentrer tous les
citation, dé- pression, stupeur) peuvent s'observer dans toutes les
formes
de démence précoce, mais c'est dans la variété
r en revue sont notablement plus fréquents et plus accusés dans les
formes
catato- niques et hébéphrcniques de la démence
catato- niques et hébéphrcniques de la démence précoce que dans la
forme
paranoïde. Ils appartiennent surtout à la pério
omparative qui a été faite de ces mêmes signes dans quelques autres
formes
d'aliénation mentale, qu'ils sont plus nombreux
allucinatoires), etc., elles ressortissent toutes aux diffé- rentes
formes
de la démence précoce, et par conséquent, appar-
ues en général, est en réalité consacré presque exclusivement à une
forme
psychopathique nouvelle, décrite récemment nous
ffectifs sont altérés d'une façon précoce. Il existe, en outre, des
formes
anormales résultant de l'exagéra- tion d'un sym
s formes anormales résultant de l'exagéra- tion d'un symptôme : les
formes
catatonique, agitée ou stupide, en sont les exe
, agitée ou stupide, en sont les exemples les plus simples. Dans la
forme
paranoïde, il existe une période délirante qui
en date. Enfin, la démence précoce, simple, non délirante, est une
forme
fruste où les états obsédants et impulsifs semb
r ma part, 2 cas de - SOCIÉTÉS SAVANTES. 229 de démence précoce à
forme
catatoniqne, terminés par la guéri- son. Il s'a
achés à la confusion mentale, car, le plus souvent ces préten- dues
formes
de la démence précoce se terminent par la guériso
midales, en dehors des zones psychomotrices, sans modification delà
forme
cellulaire, avec chromatolyse légère) et les lési
la confusion mentale (tuméfaction, gonflement, modifications de la
forme
cellulaire des cellules géantes de la rolandiqu
a démence précoce permettent de la différencier de certaines autres
formes
d'affaiblissement intellectuel primitif à côté
nt normales, mais peu nom- breuses, les grandes pyramidales sont de
forme
normale avec chromatolyse centrale ou totale en
llules ininterrompue et verticale, est consti- tué par une masse de
forme
et de situation essentiellement varia- bles, su
cours de psychoses. Ces observations font tout de suite penser à la
forme
catatonique de la démence pré- coce, où ces tro
braux interviennent dans les perceptions de poids, de volume, de
forme
, de position. Il est indispensable de connaître l
t montre que cette action est bienfaisante non seulement dans les
formes
congestives de la tuberculose pulmonaire, mais en
art cette influence sédative facilite de beaucoup le traitement des
formes
ordinaires de la neurasthénie ; enfin elle est
es archives examinées trace en même temps l'évolution des idées; la
forme
de l'exposition montre l'origine ainsi que la m
t fréquente dans l'hystérie (73 p. 100); surtout fréquente dans les
formes
accompagnées d'anesthésies (81,81 p. 100), elle
ésies (81,81 p. 100), elle se' montre un peu moins souvent dans les
formes
à accès (74,60 p. 100), moins encore dans les p
que ce dernier pour établir le diagnostic. Très fréquente dans les
formes
à accès (84,12 p. 100) elle est moins constante
ente dans l'hys- térie 42 p. 100 ; on la rencontre surtout dans les
formes
accompa- gnées d'anesthésie (63,63 p. 100), pui
ia lata est très fréquente (59 p. 100) : surtout marquée dans les
formes
avec anesthésie (72,72 p. 100) elle se rencontre
poignet n'a jamais existé dans nos cas. Surtout fréquent dans les
formes
accompagnées de paralysies et contractures (11,53
epuis le moment de la fécondation jusqu'à celui de la délivrance.
Forme
clinique des tics unilatéraux de la face. M. CR
C) D'ordre professionnel. L'auteur'étudie successivement les cinq
formes
cliniques de ces tics unilatéraux et montre qu'à
er. Stigmates physiques ou anatomiques. Anomalies de volume et de
forme
du crâne et de la face ; signes fournis par les o
es phénomènes inflammatoires par propa- gation, explique toutes les
formes
cliniques, suivant que les lésions mécaniques e
l'atrophie post-névritique avec ses carac- tères connus. Dans cette
forme
, la cécité survient très vite et reste le plus
it d'un malade ayant, depuis quatre ans, de l'atrophie musculaire à
forme
segmentaire (avant-bras et jambes) avec parésie
a lieu d'établir un asile spécial. SOCIÉTÉS SAVANTES. 277 , Les
formes
fébriles du tabès. Maurie FAURE (de Lamalou). I
e Lamalou). Il y a des accidents fébriles au cours du tabes, et des
formes
fébriles du tabes. 1. Les accidents fébriles du
nicité des parois font disparaître ces accidents. II. Il existe des
formes
fébriles du tabes, rares et d'allures variées,
spéciale et à l'hydrothé- rapie tempérée. Nous ne savons pas si ces
formes
sont liées à l'évolution fébrile de la lésion t
ées pour l'expliquer. Elles n'existent pas à ce degré et sous cette
forme
chez les tuberculeux qui n'ont pas pré- senté d
nzaine d'années. x Suit la classification pathologique des diverses
formes
de défec- tuosité mentale, qui nous conduit à l
oire récom- pensé par l'Académie de Médecine : De la folie à double
forme
. Circulaire alterne. Paris, 1883, 225 p.,· etc.
é tout pour lui, jamais il n'avait prêté la moindre attention aux
formes
du corps. Il découvrait comme un monde nouveau. S
s était, la cause principale de l'obsession, laquelle avait pris la
forme
uréthraie, à cause de son urètthre pudique depu
L'une des périodes de l'état dépressif s'était manifestée dans une
forme
très accentuée; un temps il y avait même troubl
ent extérieurement. Dans le cas donné, nous avons l'exemple d'une
forme
hallucinatoire des obsessions morbides ; mais il
possédait le caractère scrupulo-inquiet, que nous envisageons comme
forme
la plus faible de la constitution idéo-obsessiv
ssi un caractère scrupulo-inquiet; il avait, d'après notre avis, la
forme
légère de la constitution idéo- obsessive, qui
sence d'un caractère congéni- tal scrupulo-inquiet, comme l'une des
formes
(la plus légère) de la constitution idéo-obsess
tent déjà une coloration sensorielle et mènent à la formation d'une
forme
hallucinatoire et illusoire des représentations
nte antérieure est sa dupli- cité : cette seconde petite branche se
forme
au-dessus ou au dessous de la branche normale.
es de l'auditif s'entrecroisent et se groupent en deux faisceaux de
forme
arrondie presque régulière qui appartiennent à l'
cence ; par H. GUDDEN (Neurolog. Centralbl., XXII, 1903). La narine
forme
en avant une fente canaliculée qui témoigne d'u
nditions ambiantes. L'organisme le plus simple peut donc changer la
forme
de sa postérité dans le sens le plus avantageux
oncé ou noir, les cellules jaunâtres ou brunes, le reste des tissus
forme
un fond jaunâtre diffus d'un beau contraste. Il f
tégrantes absolues de la cellule nerveuse . P. Ki.raval. LXV. Les
formes
pathologiques de la rougeur émotive ; par IlAtt
our ainsi dire le stade initial de ce signe. VI. Les altérations de
forme
de la pupille que nous produisons expérimentale
). X. Chez un enfant nouveau-né, j'ai vu la pupille présenter les
formes
les plus différentes oe transformant les unes dan
e transformant les unes dans les autres; ce changement continuel de
forme
de la pupille prouve que chez le nouveau-né il
2.) Ce signe aurait de la valeur dans les lésions syphilitiques à
forme
de méningo-encéphalite et dans les affections d'o
onnel. Cette sensibilité se peut expliquer par le trait d'union que
forme
l'ar- t cade entre deux régions crâniennes : qu
olives qui contraste avec la couleur jaunâtre des deux corps resti-
formes
: le corps restiforme gauche a même une teinte ci
: le corps restiforme gauche a même une teinte cireuse. Ce dernier
forme
un petit ovale d'une dimension près de deux l'ois
cale. Bechterew a déjà noté que les attaques congestives épilepti-
formes
des paralytiques généraux coïncident fréquemment
el avait été évidemment arrêté à l'âge de onze ans ; il avait des
formes
parfaites et ne présentait aucun des changements
psule est dissoute et l'io ioforme est mis en liberté; l'iode, sous
forme
358 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. d'iodites et d'io
n des caractères physiques ou mentaux du crétinisme spora- dique la
forme
infantile du myxoedème. Des radiographies furen
t cependant s'observer à la phase initiale de la ma- ladie daus les
formes
dites des hôpitaux ou sans délire de Requin. Il
Gheel, où sont placés de nombreux paralytiques, mais où les autres
formes
de suicide n'ont pas été observées chez ces mal
différents moyens physicothérapiques (hydrothérapie sous toutes ses
formes
, électricité, bimérithérapie, etc.) sont étudié
du lobe frontal au-dessous du ventricule latéral. Cette partie a la
forme
d'un fuseau qui s'ar- 1 être en avant à trois c
fiées sur l'expérimentation et l'observation clinique relatives aux
formes
convulsives en rapport avec les diverses parties
les convulsions permanentes, la chorée, 1 athétose, les différentes
formes
de tremblements, émanent non de l'excitation de
haîner des convulsions de muscles et groupes muscu- laires isolés à
forme
d'accès ou continues, et que ces convulsions se
es idiots. L'auteur aurait pu parler de l'idiotie mon- golienne qui
forme
un groupe très distinct. (B.) REVUE d'anatomie
sphérique. Dès que cesse l'irritation, les cellules reprennent leur
forme
primitive, la gaine médullaire se rétrécit, l'e
voie d'un trouble somatique. L'angoisse peut revêtir diffé- rentes
formes
, elle peut être complète, telle qu'on l'a classiq
vent encore d'aucune classification spéciale. M. H. X. Hystérie à
forme
de paralysie générale ; par Collet et Lepike. (
es aliénés, et qu'on dressât la statistique céphalol11é- trique par
formes
mentales, tailles, sexes, âges, poids, etc. . P
gique, novembre 1903.) E. B. XVI. Constitution idéo-obsessive comme
forme
psycho-patholo- gique autonome; par le Dr SOUHI
un cas de mélancolie périodique pure et deux cas de folie à double
forme
non circu- laire, à accès unique, c'est-à-dire
nt difficile et même impossible n'est dans les cas où il s'agit des
formes
mixtes de la folie maniaque-dépressive. . G. D.
e douze à vingt-cinq ans. Sur ces 40 malades, G étaient atteints de
formes
plutôt légères de la maladie et n'of- fraient a
ique de Kraepelin. Les 34 autres étaient atteints, au contraire, de
formes
graves avec stupeur ou excitation et doivent êt
ur se rapprocher de celle de Aschaffenburg, lequel soutient que les
formes
légères ou graves ne sont que des degrés d'une
héréditaire (folie intermittente, périodique, circulaire, à double
forme
, délire systématisé progressif, etc.). Quand à
si elle est acquise, elle ne pourrait donner naissance qu'aux mêmes
formes
psychopathiques que la prédisposition simple de
prédisposition simple de même origine; si elle est héréditaire, aux
formes
signalées plus haut viendraient s'ajouter les obs
t de la suractivité des plexus choroïdes enflammés. Dans les autres
formes
de démence, la pression du liquide est normale
nation, d'auto-suggestion. Il s'agira dans la plupart de ces cas de
forme
hystériques graves avec épi- sodes plus ou moin
hystérique accusatrice manque de troubles intellectuels évidents de
forme
ou de contenu, et si l'anomalie psychique se li
e. Sous la dénomination de délires atypiques il faut entendre les
formes
séparément décrites de l'ivresse pathologique et
eut acheter qu'un litre au moins. L'alcoolisme se manifeste sous la
forme
d'une ivresse massive et bestiale, qui est le r
eptible de différentes interprétations, confirme natu- rellement la
forme
intermittente de ses obsessions. En effet, l'acte
e temporal est atteintde sclérose ve1'micellée. En résumé la lésion
forme
un demi- cercle, comprenant : 10 le lobe fronta
lace des dis- parues, on constate la présence des éléments, dont la
forme
, la coloration et les dimensions se rapportent
out au voisinage de la couche dp Purkinje. 11 leur a semblé que les
formes
du type tabes moteur présentaient les lésions l
ment en grossière fibre à matelas. Cette masse, qui reproduisait la
forme
de l'esto- mac, montrant nettement une grande e
re supé- rieur. ' G. C. XCVIII. Lésions du cervelet dans quelques
formes
d'aliénation men- tale ; par BRIDIER (Lyon Médi
en imposer par la polynévrite infec- tieuse. R. C. CIII. Sur une
forme
rare d'hémimélie radiale intercalaire ; par KLI
la paralysie faciale suivie de contracture. G. Carrier. LV. De la
forme
la plus habituelle des modifications de l'intelli
assez souvent au cours des maladies du nez ; ils peuvent avoir des
formes
variées, mais eu général se rapportent à un typ
e de Lyon. 14 décembre 1903) D'après M. Destot on peut décrire deux
formes
de troubles tro- phiques tabétiques. Les uns, t
de la corne antérieure. G. Carriep. .LXIII. Ostéomalacie sénile.
Forme
nerveuse; par MM. V. Chap- . PET et G. MOURIQUA
n, 22 mars 1904). r Une observation dont l'intérêt réside dans la
forme
nerveuse de l'ostéomalacie présentée par le mal
ncier des autres psychoses alcooliques. Les particularités de cette
forme
seraient : Durée plus longue. Accès de delirium
ibelleuse des lésions et des. symptômes ; 3° Para- lysie générale à
forme
aiguë; 4° Paralysie générale compliquant un tab
pouvoir prêter à discussion. Retenir toutefois la conclusion : à la
forme
foudroyante, exceptionnelle de la paralysie' gé
de la primiparité, etc. 2° Epoque de début des troubles mentaux, et
forme
de l'aliéna- tion selon celle-ci. Pas de folie
ommunication sur : le syn- drorrze tlcalantique de Déjel'ine et ses
formes
bénignes, émet un avis conforme à celui de MM.
provoqué, en dehors de toute suggestion. De même, dans certaines
formes
de l'hystérie, les malades sont peu accessibles à
idée fixe; et, ainsi, ils se déséquilibrent. Chez eux les diverses
formes
de trac rentrent dans ces phobies dont j'ai déj
trouver le cri qui, répété de bouche en bouche, exprime, atteste et
forme
en même temps le voeu du plus grand nombre, pou
érescences secon- daires, par Négel, 65. Lésions du dans quelques
formes
d'aliénation mentale, pai Bri- dier. 486. C
Conjonctive. Voir Sensibilité. Constitution IDCO-OUSESSIVE comme
forme
psycho-pathologique auto- nome, par Soukhanoff,
comélie. - et dégénérescence mentale, par La- melle, 405. Sur une
forme
lare d' radiale intercalaire, par Klip- pelet
e plantaire. Théo- rie physiologique de l ? par Sollier, 406. - à
forme
de para- lysie générale, par Collet et Le- pi
ion physique. - nerveu- ses. Voir Pupilles. Voir Base- dow. De la
forme
la plus habi- tuelle des modifications de l'in-
let. 166. OSTÉGIALACIE. Voir 1Vinofj1'(ldsky. Ostéomalacie sénile
Forme
l1l 1'- veuse, par Chappet et \lourl- quand,
tuel. Les établissements d'aliénés et le -, 524. PARld1\S01\. Des
formes
anormales 'de la maladie de , par Collet, t,
articulaire franc, par Il Lhermitte, 163. ! Rougeur émotive. Les
formes
pa- thologiques de la-, par liaiteni- berg, 3
la ver- bale, par Liepmann, 3... De la localisation des diverses
formes
de la - verbale; par Biscl1ofT, TABLE DES MAT
gnel-Lavastme, 407. Syphilis. Un cas de - héréditaire tardive à
forme
cérébro-spinale, par Richon, 57. - Voir Affecti
t Ra- vaut, 53. -. Voir Moelle. -. Voir Paralysie générale. Les
formes
fébriles du -, par Faure. ` ? i7. Contribution
- chtone des sinus, par Good. 322. Tibia. Voir Tabétique. Tics.
Forme
clinique des - unila- téraux de la face, par Cr
f, et le tissu osseux, réduit à de simples lamelles et trabécules, ne
forme
plus que de minces cloisons séparant les canaux ;
out ils baignent dans une substance particulière demi-molle, qui leur
forme
une véritable atmosphère et par l'intermédiaire d
moelle externe, Le tissu médullaire, comme l'a dé-montré M. Ranvier,
forme
pour le même os un tout continu qui le baigne com
-croisement, sa vascularité le rapprochent plus des lamineux (Robin),
forme
enveloppe à la plus grande partie de la surface d
les couches superficielles est très-répandu dans la profonde, où il
forme
souvent presque une membrane. De nombreux vaissea
omme pouvant résulter d'une periostite. — Graves, en 1835, décrit une
forme
de periostite circonscrite. ¦— Rognella, en 1855,
éraux graves. La même année, à Strasbourg, Schutzenberger signale une
forme
de periostite qu'il décrit sous le nom de periost
aux abcès sous-périostiques qui la compliquent. Réunissant à ces deux
formes
le phlegmon difus et certains cas d'érysipèle, de
e phlegmon difus et certains cas d'érysipèle, de phlébites graves, il
forme
un groupe morbide auquel il donne le nom caractér
ion (1859). M. Gosselin avait, de son côté et dès 1857, observé une
forme
très-intéressante de la maladie. A l'occasion d'u
s. 11 l'ap-pelle ostéite épiphysaire aiguë suppurée et l'oppose à une
forme
chronique. La question se limitait beaucoup et
La question se limitait beaucoup et ces deux auteurs, abusés par les
formes
qu'ils avaient pu observer, concluaient sur un po
au-dessus de la poulie articulaire ; 5° Un corps étranger, ayant la
forme
d'une pyramide triangu-laire, long de deux centim
angers intra-articulaires. L'extrémité supérieure de Thumérus a une
forme
très-singulière. La surlace articulaire est rugue
une amélioration quelconque. De son côté, M. Giraldès a signalé une
forme
particulière du téta-nos qui débute d'emblée par
du chloral, comme de tout autre médicament par la bouche. Dans cette
forme
, les malades succombent généralement avec une ext
parence. Au bout de quelques jours, le blessé a été pris de tétanos à
forme
dysphagique, et l'on a été obligé de lui faire pr
, pour une plaie de Lavant-bras, a été également affecté de tétanos à
forme
dyspha-gique et a succombé rapidement, malgré l'e
a été pris d'accidents tétaniques qui ont duré treize jours avec une
forme
bénigne en apparence. Malgré l'emploi du chloral
t être hypérémique, suppurée, angioleucitique, etc. Si chacune de ces
formes
se distinguait par des symptômes propres ou par u
re de l'estomac, montre les deux extrémités de cet égagro-pile. D'une
forme
rappelant celle du sablier, il mesurait 16 centi-
L'animal est mort d'accidents dyspnéiques qui, parfois, prenaient la
forme
d'accès. Les animaux atteints de maladies de pe
s tard lorsqu'il vient brouter les plantes vivaces. Le volume et la
forme
des égagropiles varient beaucoup. — Il en est qui
bershen parle d'un cas dans lequel une masse de cheveux avait pris la
forme
exacte de l'estomac. — M. Langdon-Down, médecin d
emment décrit, on trouve le projectile : c'est une balle bavaroise de
forme
ovalaire. Méninges rachidiennes : normales. — M
it, il serait difficile de trouver un type plus par-fait de tétanos à
forme
apyrétique, puisque la fièvre traumatique préexis
ans une des grandes gouttières de Bonnet ! L'emploi du plâtre, sous
formes
d'attelles et de gouttières ren-dues imperméables
underlich 2. I. Enfant de 14 ans, atteint de tétanos traumatique, à
forme
très-douloureuse. Opisthotonos ; contracture d'un
tismale de la malade, il faudrait au moins admettre là une singulière
forme
de rhumatisme : rhumatisme n'alternant jamais ave
ère forme de rhumatisme : rhumatisme n'alternant jamais avec d'autres
formes
plus modestes, car je ne trouve aucun fait où des
us grand diamètre une étendue de 15 centimètres. Cette plaie avait la
forme
d'un triangle irrégulier, à base supérieure, à so
s qui pourraient rester encore dans l'esprit du mé-decin. Nulle des
formes
du rhumatisme chronique, par son mode d'inva-sion
is à son tour, de sorte que l'ataxie semble avoir offert au début une
forme
hémiplégique. L'existence d'une ataxie locomotr
recueille environ 50 grammes de ce liquide dans une ôprouvette; il se
forme
à la surface une pellicule fibrineuse. A la suite
s. Cette polymorphie ne comporte pas seulement une série nombreuse de
formes
d'éruptions nette-ment définies, mais elle admet
s encore cette légère squame blanche, qui, vers la fin de l'éruption,
forme
une sorte de cercle sur la par-tie moyenne de la
oloration qu'en la comparant à la teinte photographique elle-même. La
forme
et la surface des plaques n'ont présenté aucune h
les arthropathies se dé-velopper dans le même temps où une eschare se
forme
rapidement au siège3. » Voici le résumé de l'obse
itus que 5 centime res et demi, le rad us que 2. On peut définir leur
forme
en disant qu'ils offrent celle de leurs con-génèr
essous duquel elle est située. Elle est très-épaisse et représente la
forme
normale de l'ex-trémité inférieure du radius. Un
que pendant la contrac-tion, se ramasse pendant le repos et prend une
forme
arrondie ; alors disparaissent en partie dans les
ns alors à une véri-table série. Les convulsions affectent surtout la
forme
tonique; la cyanose est très-marquée. A la fin de
condyle interne, on voit un ostéophyte, à pédicule assez large, de la
forme
d'une pyramide triangulaire, ayant cinq centimètr
SES MULTIPLES ET SYMÉTRIQUES HUMERUS, R ad i V S , C U lii t ij S
forme
d'un ovoïde allongé (cinq centimètres de haut, de
ment pédicules, ces ostéopbytes se dirigent en tout sens, tantôt sous
forme
d'aiguille, tantôt sous forme de masses ar-rondie
déformation de la pupille s'accuse de plus en plus; celle-ci prend la
forme
d'un œil dont on aurait enlevé un large croissant
e la pupille anormale présente en haut une cer-taine largeur. Ce bord
forme
une ligne un peu sinueuse et comme déchiquetée.
igne un peu sinueuse et comme déchiquetée. La pupille anormale a la
forme
d'un'croissant dont l'angle supé- REVUE PH0TOGR
Etat actuel. — Dans la chambre antérieure existe une tumeur, ayant la
forme
et les dimensions d'un petit pois, légèrement ova
ire étant peu développés, il en résulte que l'épaule de ce côté a une
forme
aplatie ; la gauche au contraire est très-bombée,
ude, 22 et demi seulement. Le moignon, long de 7 centimètres, a une
forme
conique dans l'ex-tension. Son sommet est occupé
se ; le mamelon devient plus saillant et l'en-semble du moignon a une
forme
hémisphérique1. — Les mouve-ments de flexion et d
ler des accidents urémiques et en particulier de ceux qui revêtent la
forme
comateuse et convulsive. Le travail qui suit a po
s de son entrée dans la vessie. Le calcul avait les dimen-sions et la
forme
d'un grain de chanvre ; il pesait 1 grain et un t
gauche était oblitéré à son ori-gine par un calcul d'acide urique, de
forme
conique, du poids de 52 grains. La surface du cal
il formera des fusées plus ou moins étendues. En même temps que se
forme
l'abcès sous-périostique, les parties éloignées d
n, précédé dans cette voie par Klose, y a vu le point de départ d'une
forme
de la maladie. En ce point, la suppuration est
aille le • revêtement séreux et les fibres qui le peuvent doubler, et
forme
une fusée articulaire, comme il formait plus haut
admis, à l'époque actuelle, que dans toute in-flammation locale il se
forme
des produits de dénutrition absorbés par le sang
s-rarement le siège de maladie; on y a cependant rencontré toutes les
formes
de tumeurs que l'on trouve chez la femme. — Jusqu
itude au squirrhe. Toutefois cette production pouvait être une de ces
formes
de tumeur voisine du squirrhe, une variété de tum
tivement très-longs ; lorsqu'ils sont dans l'ex-tension, l'avant-bras
forme
avec le bras un angle obtus ouvert en dedans. L'h
il est vrai, moins développés, mais ils ont à peu près conservé leur
forme
. — La tête, par rapport au reste du corps, est lo
égnait sur l'occipital, et cette repullulation s'était effectuée sous
forme
d'îlots plus ou moins espacés sur le tissu cicatr
pects principaux : fran-chement inflammatoires ou typhiques. Ces deux
formes
sont clini-quement loin d'être exclusives. On tro
ions nombre de cas douteux et qui établissent la transition entre les
formes
inflammatoires et typhiques, et de plus trop souv
r les besoins de la description, nous les étudierons séparément. 1°
Forme
inflammatoire. La bénignité relative de cette for
séparément. 1° Forme inflammatoire. La bénignité relative de cette
forme
, la simplicité des symptômes que l'on rencontrait
res de la pathologie. Comme tout y était simple, on la négligea comme
forme
morbide, l'attention se porta surtout sur ses sui
ses fort diverses rentrant dans l'étude des nécroses en général. 2°
Forme
typhoïde. La gravité de cette forme, la singulari
ude des nécroses en général. 2° Forme typhoïde. La gravité de cette
forme
, la singularité de ses symptômes, de sa marche, s
e est pris de réaction inflammatoire plus ou moins vive. Tantôt cette
forme
est tout à fait transitoire., les phénomènes pren
n faveur de la réalité de l'urémie, qui a revêtu chez notre malade la
forme
comateuse et dyspnéique. Rappelons encore que,
émie temporaire, l'auteur aborde pleinement son sujet par l'étude des
formes
anatomiques de l'ova-rite. L'anatomie de l'ovaire
à une classification des différentes espèces d'ovarites. » Une seule
forme
anatomique, la forme peritoneale peut se rencontr
des différentes espèces d'ovarites. » Une seule forme anatomique, la
forme
peritoneale peut se rencontrer isolée; mais, dans
s : il les considère plus spécialement et avec juste raison comme des
formes
chroniques de la maladie, pouvant toutefois se pr
arite, l'auteur arrive à dis-tinguer au point de vue étiologique sept
formes
principales, qui sont les suivantes : ourleuse, v
omatologie de l'ovarite permet d'envisager celte affection sous trois
formes
distinctes : suraiguë, aiguë, et subaiguë. La for
ction sous trois formes distinctes : suraiguë, aiguë, et subaiguë. La
forme
subaiguë constitue une affection sur laquelle les
re-mière ne sont que l'exagération de ceux que l'on rencontre dans la
forme
aiguë. Dans cette dernière, outre la fièvre et le
e se termine par une petite pointe osseuse, légère-ment contournée en
forme
d'éperon, et longue de 1 centimètre en-viron. En
nche XXIII. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE mais il a conservé sa
forme
et ses contours habituels; il est seule-ment un p
former un groupe à part. 11 n'en est rien, on l'a rencontrée dans les
formes
cliniques les plus diverses ; cette lé-sion est u
morts à cette époque de cette maladie qui, chez eux, avait revêtu la
forme
hémorrhagique (petite vérole noire). 8* côté,
point de vue du diagnostic que la médullite phlegmoneusc clans ses
formes
graves. Les observations se ressemblent tellement
es incisions, du drainage, de l'immobilisation. Etat général. Si la
forme
est franchement inflammatoire, l'indi-cation est
éja. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX CONTRACTURE HYSTÉRIQUE
forme
hémiplégique REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAU
e occupait un seul membre ; dans deux autres, elle se présentait sous
forme
hémiplégique, et, dans les trois derniers, elle r
ous forme hémiplégique, et, dans les trois derniers, elle revêtait la
forme
paraplégique. Il est parfaitement exact que la co
voir faire passer sous vos yeux deux malades qui présentent, l'une la
forme
hémiplégique (voy. Planche XXV), l'autre la forme
résentent, l'une la forme hémiplégique (voy. Planche XXV), l'autre la
forme
paraplégique de la contracture hystérique. Nous s
es jointures sont également rigides, et le membre, dans son ensemble,
forme
comme une barre in-flexible, car, en le saisissan
de connaissance. Cette attaque, selon toute vraisemblance, a pris la
forme
épileptique de l'hystérie : Etch... pendant l'acc
A P HIQ U E DES HOPITAUX Planche XXVI. CONTRACTURE HYSTÉRIQUE
FORME
PARA P I, É G l Q U E ressortir; on le trouve é
accusation. 3° Dans le troisième cas, la contracture avait pris la
forme
hémi-plégique ; elle affectait le côté droit et é
ez la femme. DansVhypertrophie simple, la rate conserve toujours sa
forme
pri-mitive ; le kyste au contraire déforme l'orga
LSION SPONTANÉE PAR L'URÈTHRE PAR LE DOCTEUR KRAUS (DE VIENNE) La
forme
de catarrhe compliquée de la diathèse phosphatiqu
'une quantité de phosphate dou-ble d'ammoniaque et de magnésie, il se
forme
très-rarement de gros calculs ; que le plus souve
ormes, mêlés de cellules de pus et de mucus, sortent du canal sous la
forme
d'une sphère du volume d'un pois qu'elles gardent
l'urine, comme j'ai eu très-souvent l'occasion de l'observer. Cette
forme
de sédiments n'est possible que dans la diathèse
ucus et le pus dans la vessie, des sels phosphatiques qui, sous cette
forme
, n'ont pas le même carac-tère fâcheux que les séd
uée, il ne reste plus de concrétions dans la vessie, et qu'il ne s'en
forme
par conséquent qu'une à la fois. L'exploration
yer ma proposition de tout à l'heure : que cette espèce de calculs se
forme
dans le canal de l'urèthre (probablement dans la
ements la fièvre caractéristique qui marque le moment où le calcul se
forme
. Le mucus purulent, le pus le moins douteux, qu
fester sur la langue, à cette période de la maladie. Certaines autres
formes
, en général plus tardives, telles que les syphili
plaie. A la partie interne du bras, dans la gaine du biceps, il se
forme
une petite fusée purulente. Je conduis de haut en
ie un morceau d'os volumi-neux qui se détache de l'omoplate. Il a une
forme
triangulaire, est épais de plus d'un centimètre.
, de l'omoplate, cette partie épaisse et dense de ce bord externe qui
forme
console au-des-sous de la cavité glénoïde et cont
l lui fallut y revenir ; en effet, on observa des affections où il se
forme
dans la rate, aux dépens du sang dé-composé, des
divers organes et les tissus. Caractères physiques du piqment. — La
forme
qu'affecte d'ha-bitude le pigment, est celle de g
tomatologie.—La pathogénie embrasse deux termes : 1° où et comment se
forme
le pigment? 2° quelles sont les conséquences qu'e
ion-nelle et à la structure des divers organes? 1° Où et comment se
forme
le pigment? Il paraît bien prouvé que le pigment
sans soubresaut de l'avant-bras jusqu'aux dernières phalanges. Cette
forme
particulière est sans doute le résultat de l'atro
dès l'âge de 17 mois. Chez cette dernière malade, en effet, la main
forme
avec l'avant -bras un angle droit. Nous retrouvon
tout auprès des deux racines de la circonvolution centrale droite, de
forme
irrégulière, de deux à trois centimètres de long
ge sur la paroi interventriculaire. Le foyer jaune correspondant a la
forme
d'un coin, est entouré de. petites hémorrhagies e
offrent, pendant la durée de la constitution médical ilu-minante, une
forme
identique et, semblent être jetées dans un même m
ophiée ; son volume e;t plus que doublé; néanmoins elle a conservé sa
forme
normale. Sur son bord antérieur, se trouve à quel
r, 25 à 50 centimètres et atteint le poids de 1 à 2 kilogrammes. — La
forme
est conservée; les dimensions seules sont devenue
la rate, comme dans les autres organes, la congestion reconnaît deux
formes
, la fluxion et la stase. Les hypérémies dues à
palpation, on peut sentir l'organe tuméfié, et même en reconnaître la
forme
caractéristique ; cepen-dant, comme la rate dépas
mation. — Nous admettrons donc la splenite, et nous en décrirons deux
formes
principales : la splenite aiguë et la splenite ch
es aux mortels vulgaires et servant de séjour à de jeunes beautés aux
formes
gracieuses et enchanteresses, et réu-nies dans ce
tion faite avec des feuilles de cannabis écrasées et de l'eau, ce qui
forme
une pâte dont on peut prendre par jour plusieurs
s par le Hachisch, phénomènes qui lui rappellent l'image des diverses
formes
mentales de l'aliénation, M. Moreau (de Tours) cr
un produit chez lequel le professeur Balfour a reconnu, tant dans la
forme
extérieure que dans les éléments fondamentaux, de
ns relatives tant à la force du principe actif qu'il renferme qu'à sa
forme
extérieure. D'après cela, il doit résulter que ce
tions de Hachisch. En Orient, on emploie le Hachisch sous plusieurs
formes
: la plus usitée est celle connue sous le nom de D
yaux multiples, agglomérés, roulant plus ou moins sous le doigt; elle
forme
une masse unique qui s'est développée progressive
avoir disparu. Examen de la tumeur. — La tumeur se présente sous la
forme
d'une poire irrégulièrement ovoïde ; son grand di
s et diagnostic. — Pour la symptomatologie, nous devons admettre deux
formes
distinctes : la forme suraiguë, dans laquelle l
la symptomatologie, nous devons admettre deux formes distinctes : la
forme
suraiguë, dans laquelle la mort arrive immédiat
a forme suraiguë, dans laquelle la mort arrive immédiatement, et la
forme
à marche moins rapide, dans laquelle la vie se pr
durée. — Nous avons admis, dans la symptomato* logie de la rate, deux
formes
que nous retrouverons ici. Dans la première, la m
nerveuse résultant de l'action du plexus splénique. Dans la deuxième
forme
, la vie peut se prolonger douze à quinze jours ;
aient échoué et ses malades étaient morts. Le hachisch fut donné sous
forme
d'extrait gras (damawesc) à onze individus dont l
as de cirrhose. M. Hardy fait re-marquer en outre que le ventre a une
forme
en quelque sorte spé-ciale, qu'il pointe comme ce
s détaché, soit par déchirure, soit par dissection, on constate qu'il
forme
une sorte de cuirasse cancéreuse ayant, dans ce
rines , par F. Roubaud (anal. G. Bouteillier), 155. — Des différentes
formes
de l'ovarite aiguë, par Scaglia (anal. F. Villard
du cerveau où se trouvent les tissus, dont l'état parfait de santé
forme
une condition sine qua non pour la possibilité
parle des images du monde extérieur dans notre oeil : « Qu'il se
forme
derechef une peinture 789 (voir le dessin) assés
corps continue sa vie intime, en prenant de l'extérieur ce dont il
forme
continuellement de nouvelles facultés homogènes.
rat (1) appartient, comme déjà précédem- ment dit, dans sa nouvelle
forme
au Mag. phil. J. S. Prodan (2). D'après cette h
it, l'hypothèse monadologique de l'atme, particulièrement t dans la
forme
nouvelle que M. J. S. Prodan lui a donnée, marque
rs le devant : les septa pellucida, les apophyses, qui se plient en
forme
d'anneau autour de la périphérie de la septa pell
ieure de la circonvolution Fi (PI. IV, B). Cette lésion respecte la
forme
générale de la région paracentrale, car elle est
rieur sans que le membre supérieur participe à l'hémiplégie. Cette
forme
clinique est rare ; on a même nié son existence
d'écorce cérébrale en état de conservation relative (1). Or, si ces
formes
légères de paralysies - (1) En se reportant à u
supérieure de l'hémisphère montrent des circonvolutions ayant leur
forme
normale, sur la face externe comme sur la face
s plus diverses, rapportée à des causes innombrables. La notion des
formes
frustes vint en- core compliquer la question et
ucléaires, ne contient que de rares cocci. La phalangette saille sous
forme
d'un petit point gris noir, vermoulu. L'ongle e
e à l'os, il n'existe entre eux qu'un étroit sillon suppurant.L'ongle
forme
le bord supérieur de cette ulcération, il sembl
tion de la maladie de Raynaud. Ce cas n'appartient pas non plus aux
formes
incomplètes du syndrome de Raynaud. Les formes fr
ent pas non plus aux formes incomplètes du syndrome de Raynaud. Les
formes
frustes qui se rapprocheraient le plus de notre
formes frustes qui se rapprocheraient le plus de notre cas sont les
formes
lentes. M. Séecite, dans son excellent article
dans deux cas de maux perforants plantaires et dans quelques autres
formes
de lésions trophiques des pieds. Archives de Ph
chronique non congénital, mais héréditaire et fami- lial. C'est la
forme
à laquelle appartiennent l'observation de M. Meig
est plus volumineux que le membre correspondant droit, la jambe a la
forme
d'un cylindre ; en bas, existe au niveau du cou
avant qu'en arrière ; au-dessus de ce sillon, le cylindre jam- bier
forme
une sorte de bourrelet, que le malade a constaté
'épaisseur de la couche fibro-adipeuse sous-cutanée et cutanée, et la
forme
sous laquelle elle se dessine : série de bandes
comparaison des manifestations en question, en tenant compte de la
forme
morbide du pa- tient. Dans Morselli (1) on fait
ieté dans la composition et l'emploi des emblèmes de l'habillement,
forme
un caractère différentiel qui ne trompe jamais. C
présen- tent, quand elles se rencontrent clans des malades de cette
forme
mentale, un produit plaisant. Un assombrissemen
e, j'ai choisi,autant qu'il m'a été possible, des sujets malades de
forme
pure et c'est à celle-ci, en général, que se rap-
e par la persistance dans l'usage du même type d'ornement, les deux
formes
ont souvent des caractères communs, et en donnant
2), regardés au contraire par Moebius (3) comme les prodromes d'une
forme
de démence précoce. Et cette nervosité de c '
icale irré- gularité désordonnée dans l'oeuvre du malade de la même
forme
; et il est très difficile que l'irrégularité d
figure de Tanzi (1) : et la paranoïa peut être considérée comme une
forme
très légère de la démence paranoïde : entre ces d
idence, concourir à la plus grande facilité du diagnostic; dans les
formes
de mala- dies douteuses pour la symptomatologie
e, ils ne portent aucune lumière nouvelle. 2° On n'observe aucune
forme
d'ornement du costume dans les périodes de méla
elle de Chartres, d'Amiens et de Paris, par une grande noblesse des
formes
et un spiritualisme très 'particulier des expre
rfait, n'a pas voulu placer au milieu de ces figures gracieuses une
forme
tourmentée de convulsions et c'est volontairement
en juger d'après les quelques cas décrits par d'autres auteurs. La
forme
de la région occipitale est plus variable : le pl
rous mastoïdiens, occupant d'ordinaire la position et présentant la
forme
irrégulière caractéristiques de la partie inférie
La racine du nez, souvent en retrait sous le front saillant, et la
forme
-de la région occipitale pourraient faire suppo
rêt réel dans la croissance. Cette inf1exion,de la base du crâne en
forme
d'arc à convexité supé- rieure se trouve déjà i
ameuse était ouverte dans toute sa longueur. Il faut enfin noter la
forme
insolite du trou occipi- tal, très oblongue et
une fente, due à la non-soudure des os », « une perforation puncti-
forme
»,etc.,danslavoîtepalaline.-Ordansaucundes9crW ese
ignaler, par contre, que le canal incisif est souvent agrandi et de
forme
irrégulière ; on a en ou- tre observé dans 3 ca
ans. Le corps de l'os est, en général, bas, mais assez épais et de
forme
grossière, avec bord alvéolaire peu développé.
gu- lière, développement rudimentaire et anomalies diverses dans la
forme
), je puis ajouter que j'ai observé chez un dyso
vertes et vides. Il était impossible de déterminer, en raison de leur
forme
rudimentaire, lesquelles de ces dents appartena
on des parties inférieures de la paroi latérale du crâne, et par la
forme
rétrécie que prend le trou occi- pital, et qui
tteint pas l'apophyse zygomatique du tem- poral. 5° Etroitesse et
forme
ogivale de la voûte palatine. 6° Prognathisme d
° Apparition tardive et rétention des dents. , 2° Anomalies dans la
forme
et les dimensions. 3° Implantation défectueuse.
ilement énucléable. La substance cérébrale qui l'entoure a perdu sa
forme
normale et sa couleur : elle est jau- nâtre et
t réduites à quelques vestiges à peine reconnaissables grâce à leur
forme
, encore assez bien conservée, et à la coloration
tion de Pitres et Vaillard jusqu'à nos jours. Parmi les-différentes
formes
séparées par Pitres et Vaillard, celle qui prés
aillard, celle qui présente une plus grande rareté c'est la seconde
forme
, c'est-à-dire, la forme amyotrophique. Le nombr
nte une plus grande rareté c'est la seconde forme, c'est-à-dire, la
forme
amyotrophique. Le nombre des cas qu'on en trouve
l syndrome on ne pourrait mettre en discussion diagnostique que les
formes
suivantes : la poliomyélite aiguë de l'adulte ;
s, symp- tômes qui faisaient complètement défaut dans notre cas. La
forme
de Klippel, elle aussi, est très facile à mettr
e. Il est certain, au contraire, qu'on a souvent confondu l'une des
formes
avec l'autre et que beaucoup de cas décrits au ch
e amyotrophique descendante,c'est-à-dire,d'une paralysie de Landry (
forme
périphérique) à progression inverse, tandis que
de Nauwerck et Barth, de Elsentohr) on avait toujours affaire à des
formes
franchement ascendantes. Etiologie.-Il serait a
ection transverse de chacune de ces fibres en une tache noire d'une
forme
plus ou moins arrondie. Au niveau de la commiss
dérègle dans la dégénération récente, ne chan- geant presque pas de
forme
. On peut cependant ajouter que si la réaction h
berculeuse motrice. Polyclinique, janvier 1900. 66. Dufour. - D'une
forme
douloureuse de la polynévrite tuberculeuse ; du r
ourrait rentrer, de prime, abord, dans la catégorie des intermittents
forme
maniaque ; mais un examen tant soit peu attenti
uillage. 0 surprise ! Il se trouve que ce coup de crayon affecte la
forme
serpentine d'un cordon qui enlace, sans la bles-
e étude d'arbres au point de vue symbolique, en donnant à chacun la
forme
générale d'un corps humain plus ou moins connu
résentations de sa fougueuse imagina- tion, prenant tour à tour les
formes
d'un St-Augustin et d'une Ste-Monique (PI. XXIX
un mètre de haut sur un mètre cinquante de largeur,et représente,en
forme
d'allégorie le très récent revirement de ses am
ues se succédant à intervalles variables et prenant tour à tour les
formes
de la recherche scientifique et inventive, de la
prochement entre le génie (dans l'acception large de ce mot) et les
formes
périodiques des psychoses. (1) Bajenow, In Ar
phies musculaires ; ces dernières peuvent exister dès la naissance (
formes
congénitales), ou bien elles peuvent se développe
ormes congénitales), ou bien elles peuvent se développer plus tard (
formes
héréditaires). Semblablement le trophoedème des j
e. Archives de Neurologie, septembre 1896. 1 M.1TIIIEU. - Sur une
forme
d'oedème névropalhique. Annales de Dermatologie e
es de myxoedémateux. Les troubles psychiques, qu'on relève dans les
formes
non myxoedémateuses de l'insuf- fisance thyroïd
ous les degrés possibles depuis l'idiotie myxoedémateuse jusqu'à la
forme
la plus atténuée de l'infantilisme myxoedémateux
e l'enfant : crédule, insouciant, mais triste et apathique. : Dans sa
forme
la plus atténuée le myxoedème infantile constitue
isé 208 LAIGNEL-LAVASTINE par la conservation, chez l'adulte, des
formes
extérieures de l'enfance- et la non-apparition
l'état mental des crétins. Le créti- nisme, en effet, n'est qu'une
forme
étiologique de l'insuffisance thyroï- dienne. I
hyroïdienne peuvent être plus atténués que dans le myxoedème et ses
formes
. On peut les grouper en : 1. Infantilisme;
ogique ou fonctionnelle qui ne com- promet pas l'existence. Cette
forme
d'infantilisme est caractérisée, comme le résume
pitations se joignirent bientôt des troubles psychiques graves sous
forme
de confusion mentale hallucinatoire, sans qu'il
use peut donner naissance à des troubles psychiques qui revêtent la
forme
habituelle des psychoses d'intoxication, en un mo
z les basedowiens. , Dans les 42 cas réunis par Hirschl, toutes les
formes
de folie sont repré- sentées (manie, mélancolie
s, agitation maniaque, mélancolie, obsessions et hallucinations. La
forme
avec agitation maniaque est de beaucoup la plus
llucinations (Jensen, Boetzer), d'idées de persécution (Jensen). La
forme
mélancolique est plus rare". Noetel, Bail, Ballet
, ont un aspect assez variable, car elles peuvent se présenter sous
forme
agitée, violente, sous forme dé- primée avec dé
e, car elles peuvent se présenter sous forme agitée, violente, sous
forme
dé- primée avec délire exalté, exubérant, vanit
toire à type onirique très caractérisé. Un exemple typique de cette
forme
est l'observation de 7.alplachta, où il existai
s créent une véritable folie, se présentant le plus souvent sous la
forme
de mélancolie, soit sous celle de manie, la mél
A ce propos il fait remarquer que le syndrome de Basedow, dans ses
formes
frustes, estplus souvent qu'on ne pense une cau
une cause d'aliénation mentale. Aussi convient-il de rechercher les
formes
frustes du goitre exophtalmique chez les aliénés.
IV. - Contribution à la symptomatologie du crélinisme et des autres
formes
d'idiotie. Arch. of Pediatry, février 1902, no 2.
éd. du Nord, 1898, p. 129. Raymond. htyxcr-déme infantile et autres
formes
du myxoedème.. Revue internat, de thérap. et de
sque égal à celui de la jambe saine. Cela encore à mon avis est une
forme
de démarche paradoxale, car en effet le malade
is plutôt la passivité paradoxale ou la compensation paradoxale qui
forme
le caractère pathognomonique de cette démarche.
ue du diagnostic. Dans l'hystérie on rencontre encore bien d'autres
formes
de troubles de démarche les plus variées, comme
èrement fléchi ; peut-être y a-t-il également' une (1) GUILLAIN, La
forme
spasmodique de la syringomyélie. Paris, 1902, 2
bord externe du pouce continué avec le premier métacarpien prend la
forme
d'un S très allongé (cette attitude semble due au
que les délires du type raisonnant persistent d'ordinaire sous une
forme
toujours identique à elle-même, sans aboutir à
identique à elle-même, sans aboutir à la démence. Et même pour les
formes
plus particulières du délire de dépossession, s
obule lingual. Le cuneus est peu développé. Au lieu de présenter la
forme
d'un coin, il est constitué par un simple pli à
au n'est plus ovalaire, mais piriforme ou pyramidal, il a adapté sa
forme
à celle de l'élément cellulaire qui le renferme.
est alors atrophié à différents degrés ». Dans la première phase, la
forme
du noyau est variable, il peut être rond, long,
noyau est variable, il peut être rond, long, ovoïde, ellipsoïde, en
forme
de coeur ou de poire. Ce qui à ce moment là car
ses. Lésions vertébrales. - Dans son ensemble la colonne vertébrale
forme
une seule pièce, dont toutes les parties sont s
antéro-poslérieure : cyphose dorso-lombaire. Cette courbe régulière
forme
un grand arc de cercle dont le sommet correspond
mmet de l'apophyse épineuse est déformé par le prolongement que lui
forme
l'ossification du ligament sus-épineux. Au niveau
baire l'os- sification du ligament sus-épineux est incomplète. Elle
forme
un pont incom- plet au niveau du plus grand nom
que sur les vertèbres sacrées. Ailleurs, l'ossification incomplète
forme
-des stalactites qui ne se rejoignent pas compl
gtemps grabataire. 11 y a là de véritables surfaces dont la réunion
forme
un plan très régulier indiquant soit une malléa
énomènes en rapport avec l'irritation des nerfs rachidiens, sous la
forme
de sensation depares- thésie, d'hyperesthésie c
en raison des productions ostéophytiques qui carac- térisent celle
forme
d'ankylose vertébrale. J. Tessier et ses élèves
crurales, sciatiques, les myalgies, les amyotrophies, et, dans les
formes
cervicales, les troubles vaso-moteurs cardiaques
hique, mais même sur l'origine et l'entité clinique des différentes
formes
d'arrêt de déve- loppement. Nous croyons par
ant qu'elles nous permettront, il nous semble, de prouver que cette
forme
de dystro- phie générale qui a pris le nom de L
tanés ; pas la moindre empreinte myxoedé- mateuse, pas même sous la
forme
la plus fruste. Les muqueuses visibles sont de
mande dans l'espoir de la guérison. Le souvenir des couleurs et des
formes
des objets les plus différents est par- faiteme
e. La sensibilité superficielle est normale partout dans toutes ses
formes
. Pal- lestésie et Barestésie normales. Recher
ongues par rapport au tronc. De conformation osseuse très grêle, de
formes
pointues, très maigre, il ne paraît pas plus de
chez Marguerite, très peu déve- loppé tandis que le tissu spongieux
forme
la presque totalité des os longs. La persistanc
et d'arriver à présent avec toute facilité à la détermination de la
forme
clinique présentée par nos cas et à l'interprét
nous bornerons dans le diagnostic différentiel à la discussion des
formes
purement néces- saires. . (A suivre) CLINIQ
trale description de M. Pierre Marie classant l'a- cromégalie comme
forme
morbide bien définie et de pathogénie hypo- phy
son, dans celle d'Erb- Goldflam, ou bien dans certains cas de cette
forme
de Basedow qui a été décrite sous le nom d'asth
ta le malade se demandait si l'on devait ou non diagnos- tiquer une
forme
de Basedow. Comme le malade accusait une forte cé
a des cas,et ils ne sont pas rares, où la maladie persiste sous une
forme
grave même avec une glande presque entièrement
ujourdhui plus de doute que l'ostéoarthropathie pneumique de Marie,
forme
ayant des points de similitude avec l'acromégal
galie. Pour une maladie comme l'acromégalie, où l'altération des os
forme
ENCORE SUR L'ACROMÉGALIE 337 une partie essen
l'a- cromégalie une altération des phalangettes, qui leur donne une
forme
à petit plumeau. Souvent on a aussi trouvé alté
ent à Oppen- heim, qui en 1899 parvint à voir par la radioscopie la
forme
et les dimen- sions de la selle turcique. D'aut
bien plus large que d'ordinaire ; parfois elle est altérée dans sa
forme
, car la tumeur peut entamer et même détruire un
demment altérée dans sa constitution ; on y voyait une sinuosité en
forme
d'entaille, sur une étendue assez longue de l'o
ans mes recherches sur d'autres échanges, selon qu'il s'agissait de
formes
légères ou graves, j'ai trouvé des résultats bien
eront : a) selon la période de la maladie; b) selon qu'il s'agit de
formes
aiguës ou chroniques, de formes légères ou grav
a maladie; b) selon qu'il s'agit de formes aiguës ou chroniques, de
formes
légères ou graves; c) dans les périodes station
ts inflammatoires des enveloppes internes du crâne, de même que les
formes
hydrocéphaliques peuvent se ramener à des états i
lte on trouve, après ossification, une surélévation osseuse de même
forme
dont le plus grand diamètre est dans le sens sa
hement, crises éclamptiqnes. Eu mai 1901 première attaque épilepli-
forme
. Après avoir ressenti des tournements de tête et
n à l'hôpital cantonal 1 an 1/2 après la première attaque épilepti-
forme
. Etat corporel. Tête souvent tournée à droite,
porale sont un peu dila- tées à gauche. A droite (côté tumeur) leur
forme
s'est arrondie, mais sans qu'il y ait dilatatio
ne la circulation lymphatique encore plus que celle du sang ; il se
forme
peu à peu de vastes destructions qui se traduis
us en arrière qu'à droite. Au niveau de Co. a. la gomme prend une
forme
à peu près triangulaire ; sommet à la hauteur d
a cellule nerveuse. Mais la structure générale de l'écorce, même la
forme
de la cellule et de son noyau sont bien conserv
g travail qui n'était lui-même qu'une reproduction modifiée dans la
forme
et complétée des idées que j'avais émises dans
l cité plus haut et auquel je n'ai rien à retrancher, mais sous une
forme
biologique. J'espère montrer que les deux théorie
voir des manifestations vitales dans d'autres conditions. Parmi les
formes
d'adaptation dont la nature nous offre le spectac
, parcourt le nerf optique pour atteindre son noyau d'origine, sons
forme
d'oscillations spécifiques du courant nerveux, de
es morales puissent impressionner la matière vivante, sans être une
forme
de l'exci- tation. Le domaine de la physique et
eur, ce sentiment si répandu dans les espèces animales,n'est qu'une
forme
de l'énergie extérieure qui s'est incrustée dans
pas limitée à la photographie en chair du milieu extérieur, à cette
forme
passive de reproduction ; entre les deux, il y
nte la na- DE LA PATHOGÉNIE DES NÉVROSES 387 ture humaine dans sa
forme
la plus primitive, ont la réputation de le fair
certains phénomènes extérieurs susceptibles d'être imités. Sous des
formes
différentes, équivalentes entre elles, ceux-ci ci
et il est rationnellement impossible de la concevoir sous une autre
forme
. Tout point de l'organisme se trouve sous la dé
ort de leur production qu'au point de vue de leurs modifications de
forme
, dépendent, pour une part, du mode d'articulati
chee ne levée- totalement : et doit tellement renverser sa teste en
forme
de pendant en arrière quelle aye plus que autreme
à un acci- dent récent auquel on doit imputer vraisemblablement la
forme
élargie et apla- tie de la dernière phalange de
ué. Le pied gauche présente un pouce très long, renflé à sa base en
forme
d'o- voïde. Le petit orteil, presque normal, es
lée au lieu de présenter comme normalement une tète. Il a ainsi une
forme
conique à base postérieure. Le squelette de l'ort
sté, mais s'est soudée au premier métatarsien, ce qui expli- que la
forme
anormale du premier métatarsien, et ce fait qu'il
ain et son disciple Faneauclela Cour décrivirent parfai- tement une
forme
d'infantilisme « caractérisée par la débilité, la
ni- ment chez eux l'établissement intégral de la puberté ». Cette
forme
clinique a été étudiée par Brouardel, ./o ? '0 ?
isme du type Lorain. M. Brissaud au contraire considérant que cette
forme
d'infantilisme est souvent liée à un développem
ique de l'infantilisme mi- tral, lequel, à la différence des autres
formes
, est plus fréquent chez les femmes. Dans l'in
ent à démontrer l'origine congénitale de la sténose mitrale ; cette
forme
peut se différencier cliniquement des autres pa
sténose de la mitrale, Ferranini invoque la dépendance de ces deux
formes
pathologiques d'un fait unique de dysgénésie pr
eux se distinguerait des autres non seulement par l'exiguïté de ses
formes
et la limitation de ses processus vitaux, mais
l'infantilisme mental est moins grave. Lancer eaux pense que cette
forme
d'infantilisme est déterminée par des lésions s
ableau qui est offert par mes sujets à celui qu'on observe dans les
formes
frustes du myxoedème infantile (Thibierge) et du
ement décrit par Brissaud. Nous ferons enfin brièvement mention des
formes
combinées. Voyons donc quelles sont, selon Meige
ion selon Marfan et Guinon et Hertoghe. Type Lorain. Petite taille,
formes
délicates et élancées, squelette très grêle, pe
ormes délicates et élancées, squelette très grêle, peau fine, pâle,
formes
anguleuses, épaules larges, extrémités inférieu
, etc. Entre ces deux types à caractères si nets ont pris place des
formes
de transition qui ont été décrites par Brissaud
n el Brissaud qui n'est pas jus- tifiée par l'existence de quelques
formes
frustes de passage, cependant que les caractère
sumé par une synthèse rapide les caractères diffé- rentiels de ces'
formes
d'infantilisme, qui seules nous semblaient devoir
ieur, elles nous représentent deux exemples des plus typiques de la
forme
d'infantilisme dite de Lorain. Aussi bien chez
u type Brissaud fait défaut. S'il nous a été facile d'exclure cette
forme
clinique, la tâche nous sera beaucoup plus aisé
tte forme clinique, la tâche nous sera beaucoup plus aisée pour les
formes
de myxoedème fruste décrites par Thibierye : cell
isme endémique mais il ne doit pas pour cela être confondu avec ces
formes
pathologiques. De Sanctis a vu souvent aussi, e
oeur de nos deux patientes. Ce même petit os n'est visible que sous
forme
d'une ombre à peine appréciable sur la radiogra
hez elles ni chez leurs parents. Nous avons exclu en même temps les
formes
chlorotidues et cardio-an- gio-dystrophiques do
ez notre patient ; sa nature même dépose contre l'hy- pothèse d'une
forme
congénitale, mais il serait intéressant de savoir
générale et plus importante ; nous devons chercher à définir si la
forme
d'arrêt de développement général dont nous avon
udra aussi discuter si l'on doit attribuer avec Hertoghe toutes les
formes
de l'infantilisme à la dysthyroïdie, ou si l'on d
ver jusqu'à preuve du contraire, une distinction clinique entre les
formes
qui ont une empreinte myxoedémateuse apparente
nalogues déjà cités et qui représentent des exemples typiques de la
forme
d'arrêt du développement général à laquelle Lor
infantilisme et en conséquence nous ne pouvons admettre pour cette
forme
clinique que la définition suivante : « l'infanti
tiles vrais; la non-soudure des épiphyses leur est propre comme aux
formes
nettement dysthyroïdie- nes, quoique à un degré
elle très limitée, telle qu'on la trouve se- lon Ferranini dans les
formes
dystrophiques de Lorain, de préférence au myxin
rophique. L'incertitude qui règne sur la palhogénie des différentes
formes
clini- ques auxquelles nous venons de faire all
ne' nous autorise à affirmer qu'on doive rattacher les différentes
formes
d'infantilisme toujours et seulement à des lésion
- toghe, de Levy et Rothschild, etc., il n'y aurait bientôt plus de
forme
clinique qui ne put rentrer dans ce giron beauc
antilisme, arrêt de développement somatique et psychi- que dans ses
formes
complètes, n'est jamais le résultat dé l'altérati
une affection idiopathique des glandes séminales ; il appelle celle
forme
: primàren disgezitrclisaus. Dans cette nouvell
persistance de cartilages épiphysaires pendant toute la vie, et les
formes
de sénilisme ou géroderme génito-dystrophique q
st ni utile ni suffisamment fondée. L'hypothèse que ces différentes
formes
cliniques soient toutes dépendan- tes d'une lés
ment ou secondairement lésées. M. Halmagrand admet en somme sous
forme
voilée l'origine polyglan- dulaire des infantil
on prépondérante de l'une ou de l'autre glande dans les différentes
formes
cliniques est claire dans quelques cas et obscu
it cet cïre. De cette définition dérive la nécessité de modifier la
forme
et le con- tenu de l'analyse psychique dans les
ut à fait impulsifs ; presque toujours affectueux au moins dans les
formes
, mais souvent sans aucune organisation de la cond
s sont moitié enfants et moitié adultes. M. Gaspero admet enfin des
formes
partielles d'infantilisme psychique et il recon
t nous voyons en effet que seulement l'aurore de nos études sur une
forme
clinique déterminée, il nous est-possible d'en en
intermé- diaires, etc. Ce fait qui est vrai en général pour toute
forme
d'observation clinique s'applique d'autant plus
Celle marche lente et pro- longée se vérifie surtout pour quelques
formes
de néoplasies telles que le tubercule solitaire
sie de la thyroïde et des testicules. L'auteur ne dit pas de quelle
forme
clinique d'infantilisme il s'agissait dans son
stique. Mais même l'élargissement notable de la selle turcique, qui
forme
notre argument le plus puissant, ne peut être inv
ânienne se seraient déterminés bien plus précocement ; en outre ces
formes
de micro-hydrocé- phalie sont liées généralemen
qu'une néoformation de l'hypophyse. Nous voulons parler de celle
forme
rare d'hyd2,océlhalie idiopathique de l'adulte
essus exsudait proviendrait surtout des plexus choroïdiens. Cette
forme
pourrait être assimilée à la pleurésie et la péri
mais surtout il l'alcoolisme et à la syphilis héréditaire. Si cette
forme
d'hydrocéphalie idiopathique se manifeste chez l'
alie idiopathique se manifeste chez l'adulte 460 ETTORE LEVI sous
forme
tout à fait aiguë, elle n'est que très difficilem
sorte que cette partie du diagnostic est facilitée. Parfois cette
forme
de méningite séreuse aiguë acquise se résout en
fférentielles sont,selon Oppenheim, les suivantes : en faveur de la
forme
d'hydrocéphalie idiopathique ou mé- ningite sér
rlent la disposition congénitale qui se dévoile par le volume et la
forme
anormale du crâne ; la marche souvent caracté-
'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 461 M. Marri, qui sur cette
forme
d'hydrocéphalie idiopathique a écrit récemment
opathique, mais que cependant elle est plus propre à cette dernière
forme
. Il a aussi remarqué qu'on observe très souvent
ière forme. Il a aussi remarqué qu'on observe très souvent dans ces
formes
des accès de fièvre à marche irrégulière (sans
ts. » Comme conclusion, Murri ne croit pas trop à l'existence d'une
forme
d'hydrocéphalie idiopathique au sens étroit, ma
out de même pas telle qu'elle pût nous conduire au diagnostic d'une
forme
spécifique. Pour ce diagnostic parle enfin la m
erite d'abord un arrêt général du développement soma- tique sous la
forme
d'un infantilisme de Lorain, et ensuite avec des
Ser. présentent un type classique d'infantilisme de Lorain : cette
forme
d'infantilisme a été très probable- ment déterm
e secondaire cérébral chez Marguerite Ser. a été déterminée par une
forme
d'hydrocéphalie idiopathique ou de méningite sé
464 ETTORE LEVI malades perme ! tent d'affirmer le diagnostic d'une
forme
vraie d'infanti- lisme, et nous croyons que ce
crezione dell'Ipofisi. Archiv. di Fisiol., 1905, p. 60. PITFIELD.
Formes
complètes et incomplètes de l'hypothyroïdie ou du
ans. Au pied gauche, la portion métatarsienne des deux orteils a la
forme
de boudins ou mieux de navets. 1 b ' Au pied
ervicale. A noter à la partie su- périeure de la région dorsale une
forme
curieuse : l'extrémité antérieure de la scléros
e la 12e dorsale et de la première lombaire, nous avons retrouvé la
forme
en M décrite par M. Nageotte à la bandelette ex
s ulcérations bourgeonnent; elles se recouvrent d'épithélium, il se
forme
des cicatrices clléloïdiennes, pas douloureuses
servation, et elle rentre chez elle. Le soir même de ma visite, il se
forme
chez elle deux petites plaques escharotiques su
osons ce diagnostic parfois même lorsque le sujet est atteint d'une
forme
fruste de goitre exophtalmique. Si, au contraire,
a pro-' duction de vraies plaques hémorragiques qui présentaient la
forme
d'une croix. Chez l'hystérique de M. l3ernlae
des embo- 496 VALOBRA lies ; et comme dans ce dernier cas, il se
forme
une gangrène sèche, la plaque d'anémie se trans
, que les tissus qui sont alentour prolifèrent, que la cicatrice se
forme
. S'attendre à ce que les plaques guérissent par
te de toute affection organique et de toute supercherie. 2° Celte
forme
de gangrène de la peau se produit, dans l'énorme
RIBUTION A L'ÉTUDE DES GANGRÈNES CUTANÉES SPONTANÉES 499 9 3° Cette
forme
de gangrène peut être reproduite sous l'influence
, et particulièrement « son exagération se retrouve dans toutes les
formes
de débilité psychique » (Crocq). J'ai observé l
valeur. 3° La photographie de l'ulcération de la plante du pied, à
forme
géométrique, rectangulaire, ne me semble guère
é l'ombilic. Au-dessous de ce repli l'abdomen est porté en avant et
forme
saillie. De ce fait le malade semble pour ainsi d
limètres ; la région la moins épaisse me- sure 13 millimètres. La
forme
générale du crâne est asymétrique. Toute la moiti
Poids = 670 grammes à l'état presque sec. Le péroné a conservé sa
forme
, mais les saillies normales ou les dépres- sion
appartienne à l'ostéite défor- mante de Paget. Au point de vue des
formes
extérieures la comparaison entre notre malade (
ant, aplati sur les côtés ; le malade dit qu'il a toujours eu cette
forme
. Pas de nodosités en chape- let ; les côtes ont
tiques. J'ai déjà annoncé, que j'ai employé la suggestion sous deux
formes
prin- cipales : -1° hallucinations négatives; 2
é il les figurer. Les Anciens, les Grecs surtout, séduits par les
formes
harmonieuses, s'attachèrent peu à rendre les ex
ées, présentaient des caractères de ressemblance frappants avec les
formes
des nains rachitiques (1). On peut rcncontrer u
aient s'atta- cher à ces représentations où domine l'inharmonie des
formes
. Mais il n'est pas invraisemblable d'admettre q
éressantes à ce sujet. Pour lui, le délire prophétique n'est qu'une
forme
de la révélation qui peut aussi revêtir d'autre
des, et il montre combien ce délire était con- tagieux (2), Cette
forme
bruyante et convulsive de la Mania, l'Enthousiasm
nographiques des monuments de l'antiquité. J'ai consulté toutes les
formes
artistiques : statues, bas-reliefs, vases peint
ue « chiton » transparente, au travers de laquelle se dessinent ses
formes
élégantes. Elle tient de la main gauche un chev
Une femme, velue d'une longue « chiton » transparente qui moule les
formes
de son corps et descend en plis harmonieux jusqu'
lemment en. arrière. Une étoffe souple et transparente dessine ses
formes
. Le cou et le torse nus sont ornés de colliers,
vaux que celui-ci a entrepris sur l'analyse et l'interprétation des
formes
extérieures du corps humain. Son « Anatomie art
ce* d'anatomie pure pour donner la description et l'explication des
formes
humaines, il fallait étudier les modifications
il fallait étudier les modifications que le mouvement imprime à ces
formes
, chercher la raison et les lois de ces changeme
s distinctes (1) l'. HILIlr.n, Anatomie artistique, Description des
formes
extérieures du corps hu- main. Pion. Nourrit et
aux membres inférieurs. Nous avons déjà fait remarquer com- ment la
forme
de coin du sacrum avait pour résultat de répartir
Un muscle contracté, comme nous l'avons déjà dit, n'a pas la même
forme
qu'un muscle relâché. Il y a entre ces deux aspec
ux membres supé- rieurs, porte sur les deux fémurs. Etant donnée la
forme
de « noix » des deux articulations coxo-fémoral
is ne le louchent pas dans toute leur étendue. Le pied reproduit la
forme
de voûte du sque- lette et il ne repose sur le
ne ligne qui joindrait les apophyses des cinquièmes métatartiens.
Formes
extérieures. Dans la station verticale droite l
la tête, des épaules, des fesses et des talons. Au point de vue des
formes
extérieures, les caractères morphologiques de l
ou plusieurs sillons transversaux. Les fesses sont aplaties et leur
forme
se rapproche de celle d'un quadrilatère aux angle
Je n'ai pas besoin de m'étendre ici sur la raison anatomique de ces
formes
qui se trouve exposée au chapitre du mécanisme et
ension des muscles triceps suraux. Mais il est bien certain que ces
formes
ne subsis- tent telles que tant que l'équilibre
penche un peu en avant, nous verrons aussitôt les fesses changer de
forme
, saillir et se creuser en dehors. Si le corps pen
alon. Si la ligne de gravité passe par l'articulation, le sys- tème
forme
un levier du 2e genre. Si cette même ligne passe
nt par les orteils, le système représente un levier du 1er genre.
Formes
extérieures. Nous avons vu que, sur le profil d
mbres inférieurs. La caractéristique morphologique réside dans la
forme
spéciale des mollets par suite de la contractio
n - s'accom- pagne d'une grande richesse et d'une grande variété de
formes
. Autant la station verticale droite que nous ve
séparément et successi- vement son mécanisme et son action sur les
formes
extérieures. Mécanisme. Dans la station hanch
m à l'occipital. Si la tête penche gauche la colonne prend alors la
forme
d'un S italique dont les deux parties de courbu
a colonne dorso-lombaire, l'autre par la colonne dorso-cervicale.
Formes
extérieures. Pour préciser la direction des div
es centres d'articulations des deux articulations scapulo-humérales
forme
l'axe des épaules. Cette ligne sur le nu se tro
joint le milieu de l'axe des épaules au milieu de l'axe des hanches
forme
l'axe du tronc. L'axe du membre inférieur a été t
côté de la jambe portante. Tout ce qui précède devient la raison de
formes
extérieures bien spécia- les et qui méritent d'
ction de la moitié supérieure de ses muscles (moyen fessier). Cette
forme
s'accentue encore si DE LA STATION 93 le gran
ême sens que la ligne des épau- les. Je ne parlerai pas ici de la
forme
du cou, ni de celle des membres su- périeurs qu
ur qui se produit et qui n'est autre que le grand fessier. Aussi la
forme
des fesses est-elle bien curieuse il étudier dans
rté légèrement en avant, on observe une transformation complète des
formes
de toute la région. C'est la fesse opposée qui en
e que celle de la station sur la plante des pieds, puisqu'elle a la
forme
d'un rectangle dont les petits côtés varient su
se Lrans- Fig. 29. 9C NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
forme
en une sorte de station assise familière aux indi
en avant ou en arrière. Dans la station assise, le buste droit, les
formes
extérieures du corps diffèrent notablement de c
e fibres sous la désignation de faisceau tempoJ'o-tJ¡alami- que. La
forme
et les rapports de ce groupe de fibres nerveuses
SO). Le plan de section ainsi repéré la fait voir toujours sous une
forme
identique à elle-même : elle est assez régulièr
atement en dehors du tractus optique, toujours reconnaissable il sa
forme
aplatie, on distingue la bandelette sous-optique
acente au ventricule sphénoïdal marche de dedans en dehors, sous la
forme
d'une lame horizon- tale ; arrivée en dehors de
à établir une relation étiologique directe entre la syphilis et une
forme
de méningite spinale accompagnée d'atrophies mu
nous relevons certaines particularités qui n'appartiennent pas aux
formes
ordinaires de la pachyméningite cervi- cale hyp
e; et l'hémiparaplégie spinale avec anesthésie croisée répond à une
forme
de myélite 'syphilitique systématisée qui n'est p
êles de certaines variétés d'amyotrophie ils n'ont pas non plus les
formes
herculéennes si bien décrites par Du- chenne de
. Cette distinction une fois établie, on s'est plu à multiplier les
formes
de myopathies primitives, chacun croyant trouve
e conception plus synthétique et tend-on à englober les différentes
formes
sous la dénomination géné- rale de : Myopathie
Parlant d'abord de la paralysie pseudo-hypertrophique qui semble la
forme
la plus fréquente et la mieux différenciée, il s'
r s'ils appartenaient il la paralysie pseudo-hypertrophique ou à la
forme
juvénile ». En effet, on peut ranger dans le grou
erre Marie et G. GuLVOrr. Contribution à l'étude de quelques-unes des
formes
cliniques de la myopathie progressive primitive
DE LA SALPÊTRIÈRE D'autre part, Erb lui-même dit, il propos de sa «
forme
juvénile ». « On n'y observe pas seulement de l
peut arriver que toute la musculature soit atteinte. L'attitude, la
forme
du tronc et des extrémités résultant de celte m
nt les ressemblances enlre la paralysie pseudo-hypertrophique et la
forme
juvénile. Il en résulte que dans la paralysie pse
atteignant toujours les mêmes muscles de la même façon que dans la
forme
juvénile et la ressemblance existe également pour
t en outre que les muscles présentent des ana- logies dans les deux
formes
quant il leurs propriétés objectives, leurs réac-
l'hérédité, Pédologie, sont semblables en tous points dans les deux
formes
. La conclusion qui s'impose est la suivante : «
st la suivante : « Entre la paralysie pseu- do-hypertrophique et la
forme
juvénile il existe une concordance presque comp
e des cas d'atrophie musculaire dite infantile, c'est-à- dire de la
forme
avec envahissement primitif du visage, qui offre
sement primitif du visage, qui offre de gran- des analogies avec la
forme
juvénile et la pseudo-hypertrophie. « Au sujet
avec la forme juvénile et la pseudo-hypertrophie. « Au sujet de la
forme
juvénile, la ressemblance avec la forme infan-
ertrophie. « Au sujet de la forme juvénile, la ressemblance avec la
forme
infan- tile de Duchenne a déjà été démontrée pa
h2cnérccl de ces auteurs n'est évidemment pas autre chose que notre
forme
juvénile et la similitude de ce type scapulo-humé
ints de ressemblance entre la paralysie pseudo-hypertrophique et la
forme
facio-scapulo-humérale avaient été bien mis en év
déjà à notre avis, plaidassent en faveur de l'identité des diverses
formes
de myopathie, il manquait ce- pendant, pour que
tation de la combinaison possible de la pseudo-hypertrophie avec la
forme
facio-scapulo-humérale, comme cela existe pour la
hie avec la forme facio-scapulo-humérale, comme cela existe pour la
forme
scapulo- humérale ou juvénile d'Erb, dont l'ide
rogressives. ^ Mais son cas`ne correspond^ exactement à aucune- des
formes
qu'on a cherché à différencier autrefois. 'J ?
pe alors le long de ses jambes. Rien d'appréciable à l'oeil dans la
forme
des muscles abdominaux. Cependant t l'action de
s au commencement de la maladie. 1 4° La conservation apparente des
formes
.extérieures surtout aux membres inférieurs (ps
me les résultats obtenus par l'examen de la motilité volontaire. La
forme
des lèvres, minces, molles, en moue, se voit t
'. La déformation vertébrale se rencontre, dans presque, toutes les
formes
d'amyotrophies primitives. Elle est ici surtout
rment un contraste avec les bras il canse de leur volume et de leur
forme
relativement normaux. L'atrophie porte surtout su
ent pas de faire une classification sa- tisfaisante des différentes
formes
de ces maladies. Aussi, chaque observa- tion cl
re ans et demie. Au point de vue clinique, ce cas correspond à la «
forme
infantile de paralysie musculaire progressive »
très vraisemblable, comme Charcot l'a fait observer, que toutes ces
formes
, y compris la paralysie pseudo-hypertrophique de
SALPLTRILRE T. VII, PL. XVIII MYOPATHIE PRIMITIVE GÉNÉRALISÉE Les
formes
extérieures sont relativement bien conservées, ta
rtion. Parmi les affections qui modifient d'une façon singulière la
forme
exté- rieure des individus, les amyotrophies ti
ulaire progressive de l'enfance (2), et qu'il considérait comme une
forme
de celle atrophie musculaire progres- sive de l
la physionomie, en 10 vol. Paris, 1835. (2) Parmi les différentes
formes
de lèvres dessinées par Lavater, il en est qui so
5. P. Marie ET G. GUINON. - Contrib. à l'étude de quelques-unes des
formes
cliniques de la myopathie progr. primitive. Rev
i, Miincliener Méd. V'ochenschr., 1886. CHARCOT ET MARIE. - Sur une
forme
particulière d'atrophie musculaire progres- siv
r. f. Nervensheilk, 1893, p. 427. SIRTORI. Contribut. à l'étude des
formes
juvéniles de l'atrophie muscul. progres- o sive
o-hypertrophie muscul., Reforma medica, 1893. J.-E. EDGREN. - De la
forme
névritique de l'atrophie musculaire progressive.
ntrib.. à l'ét. des malad. hérédit. et famil. du syst. nerv. Sur la
forme
spinale, névritique de l'atr. musc, progr., Virch
férents types de myopathie essentielle ; contrib. Clin, à l'ét. des
formes
de transition (types mixtes). Th. Montpellier, 18
t d'admettre, pour les besoins de la démonstration, en dehors de la
forme
commune ou sensitive-motrice, une forme motrice p
onstration, en dehors de la forme commune ou sensitive-motrice, une
forme
motrice pure et une forme sensitive pure. Il ne
la forme commune ou sensitive-motrice, une forme motrice pure et une
forme
sensitive pure. Il ne faudrait pas voir dans ce
rapportés à des troubles de la sensibilité musculaire, aucune autre
forme
de sensibilité n'est compromise. La vision, l'aud
solument méconnaissables. Le condyle externe à disparu ; la jambe
forme
avec la cuisse un angle obtus ouvert en dehors.
ES DE LA SENSIBILITÉ 217 position : Vous la verrez figurée sous une
forme
schématique dans la dix-neu- vième leçon de Pie
s que les arthropathies n'existent que dans le labes sensitif . Les
formes
d'ataxie complètes, classiques, sensitivo-motrice
Vers la même époque, se fait l'apparition de troubles vésicaux sons
forme
de mictions impérieuses et plus tard d'incontin
bre est en extension, la jambe est très déviée en dedans et son axe
forme
avec celui de la cuisse un an- gle obtus, ouver
alors dans une atti- tude vicieuse très accusée : l'axe de la jambe
forme
avec celui de la cuisse un angle obtus ouvert e
out, possible pour le malade en s'appuyant sur une canne, la cuisse
forme
avec la jambe un angle il sommet externe. Le me
la douleur siège au-dessous du point frappé. Au point de vue de la
forme
de l'arthropathie, nos faits rentrent dans le t
iption de l'arthropathie syringomyélique typique. Arthropathie il
forme
d'hydarlhrose : 1" rapide; 2° progressive. En gé-
r locales. D'autres fois (J. B. Charcot) c'est petit à petit que se
forme
l'épanche- ment articulaire, c'est peu à peu qu
aussi dans l'observation de P. Berbez. L'arthropathie revêt ici la
forme
d'une hydarthrose chronique. Le liquide que l'o
exemple d'arthropathies simultanées, celle fois symétriques (1).
Forme
douloureuse. Nous avons insisté sur l'absence de
le sent parfaitement sous la peau qui se renfle Ù son niveau sous
forme
d'un petit tubercule, et l'on constate qu'il peut
du tiers inférieur de l'avant-bras et de la main. En ce point, elle
forme
un con- traste frappant avec la main du côté sa
t (épaule, bras, avant-bras, carpe et méta- carpe) ont conservé une
forme
régulière. En vérité, l'anomalie porte ex- clus
yélie, question encore pendante, nous dirons qu'il s'agit ici d'une
forme
mixte : syringomyélie type Morvan, décrite par
er, traité). 272 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE c'est la
forme
monoplégique de la syringomyélie décrite déjà par
Un appareil photographique, instrument inconscient enregistre sous
forme
d'images tous les objets placés devant l'object
s organes profonds. La neurasthénie, surtout lorsqu'elle affecte la
forme
hypocondriaque, vous apparaîtra, je l'espère, com
ement nouvelle. C'est bien pour cela que j'ai tant insisté sur- ces
formes
rares de labes sensitif, dans lesquelles les trou
que les douleurs des hémiplégiques appartiennent principalement aux
formes
atrophiantes. Si ce que j'avance doit trouver u
. Est-il vrai de dire que cette alté- ration soit identique dans la
forme
sensitive et dans la forme motrice, c'est- à-di
ette alté- ration soit identique dans la forme sensitive et dans la
forme
motrice, c'est- à-dire chez les sujets qui souf
iques ; c'est, an contraire, une complication assez commune dans la
forme
ordinaire, classique, sensitivo- motrice. Du mo
généralisée. Mais à ce titre on peut distinguer suivant Charcot une
forme
atrophique rare et une forme hyper- trophique p
on peut distinguer suivant Charcot une forme atrophique rare et une
forme
hyper- trophique plus commune. Contrairement à
ique plus commune. Contrairement à ce qui se passe dans le tabes la
forme
hypertrophique ne tend pas nécessairement vers l'
s était égale- ment atrophiée. On trouve de nombreux exemples de la
forme
hypertro- phique. Souvent les deux processus so
é de sang se fit jour spontanément. La pathogénie de cette dernière
forme
reste entourée de la plus grande obscurité. S'il
in- guer ici comme pour les arthropathies tabétiques (Charcot), une
forme
bé- nigne (1) et une forme maligne avec pas mal
arthropathies tabétiques (Charcot), une forme bé- nigne (1) et une
forme
maligne avec pas mal d'intermédiaires. Anatomie
. La première a été faite par Blasius ; viennent ensuite les (1) La
forme
bénigne de l'arthropathie tabétique comportait el
ic oblige l'opérateur il la connaissance pra- tique de toutes leurs
formes
, depuis celles qui par l'étendue des destruc- l
s centraux divers, sollicitent dès l'abord son attention, jusqu'aux
formes
difficiles à reconnaî- tre, môme pour un esprit
ux formes difficiles à reconnaî- tre, môme pour un esprit prévenu :
forme
aiguë, simulant l'arthrite rhu- matismale ou bl
te rhu- matismale ou blennorrhagique, le phlegmon péri-articulaire;
forme
hy- darthrose se rapprochant des hydarthroses d
aire; forme hy- darthrose se rapprochant des hydarthroses diverses;
formes
chroniques, imitant au gros orteil l'hallux val
l'arthropathie tropho-suppurée nécrotique. La première de ces deux
formes
est souvent signalée parles auteurs dans le cou
seule- ment du liquide sanguinolent et sans doute non infecté. La
forme
tropho-nécrotique des arthropathies tropho-suppur
pho-nécrotique des arthropathies tropho-suppurées a, moins que leur
forme
tropho-suppurée aiguë, forme que nous venons de d
ies tropho-suppurées a, moins que leur forme tropho-suppurée aiguë,
forme
que nous venons de décrire, attiré l'attention
métacarpe et le métatarse se montre sous trois for- mes : 1° Une
forme
discrète qui se révèle seulement par des craqueme
ment par des craquements, une mobilité articulaire anormale : cette
forme
demande à être cher- chée ; on la découvrira d'
e du gros orteil gauche, il côté d'un mal perforant guéri. 2° Une
forme
atrophique, qui pré- sente en raccourci le tabl
- ses très réduites de volume. Nous avons observé deux fois cette
forme
beaucoup moins commune que la précédente : ch
étonnante avec une patte de singe (Fig. 83 et 84). - : 3° Enfin une
forme
hypertrophiante qui dévie le gros orteil en dehor
limitée à l'articulation voisine du mal perfo- rant, comme dans les
formes
précédentes, l'arthropathie fermée du mal perfo
r tout le carpe ou tout le tarse. Cette-nouvelle variété revêt'deux
formes
très différentes l'une de Fig. S ? Petites arth
de Fig. S ? Petites arthropathies du pied, chez un tabétique :
Forme
hypertrophiante (ar- ticulation métatarso-phala
iante (ar- ticulation métatarso-phalan- gienne du gros orteil) et
forme
nécrotique (articulation méta- tarso-phalangi
tatarsien, nécrosée et extraite avec une pince. l'autre. 1° Une
forme
ankylosante qui s'observe dans la syringomyélie
a dissection peut seule ré- véler l'intensité des lésions. 2° Une
forme
destructive où tout au con- traire, malgré l'ap
astragalo calcanéennes, soit à la tibio-tarsienne. Dans ces deux
formes
, l'intérêt pronos- tique du mal perforant dispa
s; arthropathies fermées, soit voisines et petites avec leurs trois
formes
: fruste, atrophique, hypertrophique, soit éloign
ophique, hypertrophique, soit éloignées et étendues avec leurs deux
formes
: ankylosanle ou destructive. La diversité clin
autrefois démontrée avec nolre excellent maître M. Tuilier pour la
forme
la plus légère des arthropathies du mal perforant
de ne permettait de les. expliquer. Dans le mal de Poil, c'est une-
forme
un peu différente, hydarthrose avec début subaigu
ires par lésion chirurgicale de la moelle affectent généralement la
forme
hydarthrose : parfois avec début su- baigu, pse
que nous avons opéré il y a un an, pour une arthropathie du genou à
forme
atrophique, avec hydarthrose et nombreux fragme
u de bons résultats analogues sur des arthropa- thies des orteils à
forme
hypertrophianle. Mais, si l'arthropathie évolue
même temps analgésiques, et l'opération peut se faire sans chloro-
forme
: parmi les opérateurs, Czerny et Sokoloff sont c
re devait nous faire ranger sans hésitation dans les syringomyélies
forme
Mor- van. On ne devra pas oublier du reste qu
avec une facilité particulière : la suppuration s'est montrée sous
forme
de petits abcès successifs au niveau de la lign
ent éparpillés dans tous les pays du monde; ils combattirent la Ré-
forme
, défendirent lespapes, liront trembler les prince
ais très iné- galement. Dans la région céphalique ou branchiale, il
forme
les ganglions latéraux, qui sonl les ganglions
de l'oreille humaine, nous nous bornerons il énumérer les diverses
formes
de deux grandes fonctions des papilles labyrinthi
ar l'incohérence motrice des globes oculaires, livrés à différentes
formes
de nystagmus que l'on constate derrière les pau
s voies conductrices dans l'intimité de la masse grise complexe qui
forme
les noyaux juxtaposés de la VIIIe paire, de la
ur partie supero-externe, le périnée, la région périanale; sous une
forme
atténuée, ils s'étendaient à une partie de la rég
ouve dans la paroi membraneuse du récipient endolymphatique sous la
forme
de couche connecto-vasculaire irrégulièrement p
de la couche des éléments infusoriformes. Il esl constitué, dans sa
forme
adulte, par des cellules bipolaires ; ce sont mêm
n rameau indépendant qui aboutit également au ganglion de Scarpa et
forme
avec le précédent le rameau moyen de Schwalbe. Co
une position supéro-postérieure; c'est le nerf vestibulaire. L'autre
forme
un faisceau compact de fibres d'une épaisseur d
à celles de la base des cornes postérieures, petites (20 f'-) et de
forme
variée (Fig. 90). 2° Le noyau de Bechterew (B),
yau de Deiters à l'olive infé- rieure. VI Nerf cochléaire. Il
forme
la racine postéro-externe du nerf labyrinthique.
ur de son plancher (Fig. 9). Dans la région occipitale (Fig. 8), il
forme
un cône creux qui emboîte la corne occipitale et
obliquement en bas et en dedans, est oblique en bas et en dehors et
forme
avec le plan médian un angle à sommet supérieur
interne variable suivant les régions, dépend essentiellement de la
forme
du noyau lenticulaire qui s'insinue entre les s
s antérieur (Cia) et postérieur (Cip) à la façon d'un coin et de la
forme
de la couche optique dont le pulvinar refoule le
psule interne (Cisl). Sur ces coupes la capsule se présente sous la
forme
d'un Y couché dont les bras sont formés par les
i passent par la région thala- mique, la capsule interne affecte la
forme
d'un angle obtus, ouvert en dehors. La branche
ersales, le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl)
forme
dans son ensemble une bande oblique en bas et e
ayonnante et ses deux faisceaux dont l'un, faisceau de Tiirck (FT),
forme
la partie externe du pied du pédoncule cérébral
nt avec les fibres du segment inférieur delà couronne', rayonnante,
forme
une anse dont la convexité antérieure correspon
ue soit leur trajet dans le centre ovale, elles appa- raissent sous
forme
d'un faisceau compact faiblement coloré par la la
sc), au-dessus et en avant de l'anse du noyau lenticulaire (Al), il
forme
avec cette dernière l'anse pé- donculaire de Gr
ncu- laire. Le pied du pédon- culo cérébral est exclusivement
forme
de libres (le projec- tion corticales et ne
occupe la partie externe de la pyramide du bulbe (coupes 2, 3, 4) et
forme
l'entre-croise- ment supérieur ou sensitif du b
condition ne dégénère, qui est composé de fibres centripètes et qui
forme
le tiers postérieur du segment postérieur de la
de la protubérance, n'abandonne aucune fibre aux noyaux;pontidues,
forme
la pyramide bulbaire et se continue avec les fa
DU MANTEAU CÉRÉBRAL. I. - DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES Le neurone
forme
un tout au point de vue anatomique et physiolo-
droit : plaque jaune du cunéus, des lobu- les lingual et fusi-
forme
et de l'isthme de l'hippocampe. Dégénérescenc
rieur de la capsule interne (Cia) dans la région thalamique moyenne
forme
le faisceau géniculé et occupe le genou (Ci[g]) e
es à trajet horizontal de l'anse du noyau lenticulaire(.11), puis
forme
le cinquième interne du pied du pédoncule céréb
La par- tie non entre-croisée de la pyramide droite agé- ncsiee
forme
une petite zone sclérosée qui borde le sillon
béi-anLiel et bulbaire (Fig. 149 à l : i2); Fatiophie des fibres arci
formes
internes du bulbe, de Y entre-croisement sensit
couche interolivaire droite. Diminution de volume des libres arci-
formes
internes gauches et du feutrage du noyau du cordo
ésicule remplie de liquide céphalo-rachidien mais ayant conservé la
forme
générale du cerveau normal. Il existe une faux
'hippocampe avec son crochet et la partie adjacente du lobule fusi-
forme
, les scissures collatérales et calcarine. Les cir
du corps calleux gauche et le long du bord externe du lobule fusi-
forme
droit. Tout le reste du manteau cérébral, - à sav
ES NERVEUX. ventriculaire des circonvolutions sphéno-occipitales et
forme
à elle seule (soutenue par la pie-mère) la part
pect d'une petite lame verticale étendue du trigone au repli falci-
forme
médian qui fait saillie dans la cavité ventricula
oyau caude (NC), un putamen (NL3), un globus pallidus (NL2, NLi) de
forme
et de dimension normales. Le noyau caudé est reli
rie de lames médullaires^anormales. La conservation de volume et de
forme
des deux tiers antérieurs du thalamus a lieu de
uronne rayonnante ; il entoure en crochet les fibres cal- leuses et
forme
au-dessus d'elles une mince couche de fibres à di
ection transversale. Le faisceau inférieur (CSgt), très volumineux,
forme
une épaisse couche verticale, homo- Fig. 222. C
e divise en deux parties : l'une longe la paroi externe du putamen,
forme
une capsule externe rudimentaire et s'épuise da
ourbe en dedans, passe entre la queue du noyau caudé et le putamen,
forme
les segments rétro (Cirl) et sous-lenti- culair
ns de la base en deux parties inégales : l'une se poi te en dedans,
forme
le segment rétrolenticulaire de la capsule inte
es fonctions motrices, sensitives, sensorielles, et des différentes
formes
d'aphasie. Parmi les premiers travaux parus sur
n, 1885, - c'est-à-dire la faculté que nous avons de reconnaître la
forme
des objets par la palpation. Mais pour nous, tous
ans telle ou telle position que l'on vous désigne, la notion de la]
forme
de l'objet, celle de l'attitude réalisée sont l
sens stéréognostique comporte la reconnaissance non seulementde la
forme
de l'objet, mais encore des propriétés physique
'est surtout la sensibilité profonde qui nous donne la notion de la
forme
de l'objet, de même qu'elle nous donne aussi la
cette dernière affection l'hémianesthésie se présente parfois sous
forme
segmentaire, - anesthésie en gant, en manchette
rieure de ce dernier, qu'elle détruise les lobules lingual et fusi-
forme
et la pointe occipitale, qu'elle interrompe enfin
d en dernier lieu; aussi voit-on l'agraphie exister dans toutes les
formes
d'apliasie relevant de lésions siégeant dans la
be temporal gauche, comme dans le cas de Liep- mann. Dans ces trois
formes
d'aphasie, le langage intérieur est intact, car l
complet et détaillé de- travaux de l'un de nous sur les différentes
formes
d'aphasie. On trouvera cet exposé dans l'ou- vr
es de deuxième ordre, - facial, hypoglosse, masticateur, spinal. La
forme
corticale de la paralysie pseudo-bulbaire s'obser
Thèse, Paris, 1881. - Du même. Le langage intérieur et les diverses
formes
de l'aphasie. Th. agrég., Paris,-] 1886. - Bastun
seulal' sensé. Brain, avril, 1887. - l3Ew.an. L'Aphasie. Ses diverses
formes
. Th. Doct., Paris, 1885. Bruns. Zwei Palle von
- pli, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Turck; il
forme
la couche supérieure du segment sous-lenticulai
st comprise entre le trou de Monro et le tubercule mamillaire; elle
forme
la partie antérieure du troisième ventricule, p
du TRIGONE.(Fig ? l,ll ? GO.)-Lep111e1'pOSL- rieur du trigone (Tgp)
forme
un volumineux faisceau replié sur lui-même dans
avant, mais la majorité des fibres se porte directement en avant et
forme
le contingent principal des libres longitudinales
le conserve jusqu'au tubercule mamil- laire. Dans son ensemble, il
forme
néanmoins un faisceau bien délimité. Toutefois,
e sur la ligne médiane avec le faisceau homologue du côté opposé et
forme
avec lui, en avant du troisième ventri- cule, l
ventriculaire des segments ventral et dorsal de la corne d'Ammon et
forme
la paroi interne du ventricule latéral. Il cont
arqué du septum (Bogenbundel des Septum [Ganser]). Le fornix longus
forme
, de chaque côté de la ligne médiane, un faisceau
. - Les cellules névrogliques du corps strié revêtent en général la
forme
de cellules étoilées, de cellules araignées. Le
ha]amiqucs et strio-sous-t h a I a m i- ques. chez les poissons
forme
à lui seul le cerveau antérieur. L'écorce cérébra
essus desquels elle est située (Fig. 2f, 4S, 269, 270 el 293). Elle
forme
avec ce dernier faisceau l'anse pédonculaire de G
us et en dedans du corps de Luys (Fig. 305), et se présente sous la
forme
caractéristique d'un faisceau triangulaire, à som
llules de la couche optique se disposent en groupes de volume et de
forme
variables et distingua chez le lapin près de vi
rée chez l'homme. Les cellules nerveuses du thalamus présentent des
formes
variables. Les plus nombreuses sont étoilées, p
plus nombreuses sont étoilées, polygonales, triangulaires ou fusi-
formes
, et ressemblent par leur aspect aux cellules des
étoilées à longs prolongements ramifiés, Kôlliker décrit une autre
forme
cellulaire, les cel- lules pénicillées (Buschze
S NERVEUX. Le feutrage inter- cellulairc. Noyau antérieur, aa
forme
. Sa structure. Ses connexions corticales.
nce à de nombreuses branches fines et peu ramifiées. Entre ces deux
formes
cellulaires se trouvent tous les intermédiaires.
résente, ainsi que nous l'avons vu plus haut (T. Leur, p. 381), une
forme
en massue, assez analogue à celle du noyau caud
ntérieur par sa partie postéro-externe (Fig. 310) et y pénètre sous
forme
de fins fascicules rigides, légèrement divergents
aupe, etc., le noyau homologue au centre médian de Luys affecte une
forme
rubannée; il est situé (med. b), d'après v. Monak
311), (Schalen- formigerKorper,v.Tschisli, Flechsig), Noyau cupuli
forme
. medialerNeben kern der ventralen Gruppe (vent,
té externe beaucoup plus accusée que celle du segment antérieur, et
forme
avec ce dernier un angle obtus ouvert en dehors
à la situation dorsale du corps genouillé externe chez ces animaux,
forme
non pas une mince lamelle comme chez l'homme, m
eurs, tantôt au noyau externe, tantôt au noyau interne, le pulvinar
forme
il la partie postérieure de la couche optique cet
uche optique cette saillie volumi- neuse et libre, variable dans sa
forme
et ses dimensions, tantôt conique, tantôt régul
icke (W). Ce champ affecte sur les coupes vertico-transversalcs une
forme
irrégulièrement triangulaire à base infé- rieur
cavité. Sur les coupes horizontales (Fig. 295), ce champ affecte la
forme
d'une gouttière verticale, ouverte en dedans, don
ante sur le stratum zonale et dont le bord anté- rieur, très épais,
forme
une sorte d'éperon saillant qui sert de limite
le fait prévoir son aspect extérieur. Sur les coupes, il affecte la
forme
d'un coeur de carte à jouer, dont la base regar
tique, et quoique plus volumineux que le corps genouillé externe il
forme
à la face inférieure du pulvinar une saillie beau
méthodes de Weigert et de Marchi montre que le ruban de Reil médian
forme
la majorité des fibres de la région du ruban de
de fibres transversales, situé à la base de la glande pinéale, et qui
forme
la commissure interhabenulaire ou Décussation d
coupes vertico-transversales, le tamia thalami se présente sous la
forme
d'un faisceau triangulaire, dont la base se conti
la partie renflée du noyau antérieur du thalamus, le tænia thalami
forme
un faisceau épais, fusionné avec le stratum zonal
n un faisceau à surface de section triangulaire. Ces changements de
forme
ren- dent assez difficile, au moins chez l'homm
- Ilexe décrit de chaque côté du troisième ventricule une courbe en
forme
d'S (Fig. 3l). La courbe supérieure à convexité
, impair et médian, de couleur gris rougeâtre, d'as- pect grenu, de
forme
ovoïde ou conique, dont le sommet regarde en arri
. Sa limite établie par le plan du fais- ceau de Jteynert. Sa
forme
. La région sous-optique ou sous-thalamique (Fig
est pas située dans l'axe de la calotte du pédoncule cérébral, mais
forme
avec elle un angle ouvert en bas et en avant et
vant. Sur les coupes horizontales, elle affectera par conséquent la
forme
d'un triangle à sommet antérieur (Fig. 21, p. 3
les coupes vertico-transversales (Fig. 323, 321, 325), elle est de
forme
quadrilatérale et d'autant plus petite que l'on e
xamine des coupes plus antérieures. Sur les coupes sagittales, elle
forme
un triangle très allongé à sommet antérieur (Fi
ace externe de la région sous-optique, oblique en bas et en dehors,
forme
avec la face inférieure une courbe convexe en deh
ge et avec les fibres longitudinales de la calotte pédonculaire, et
forme
à elle seule (Fig. 323) la partie de la région so
la partie postérieure et externe de la région sous-optique; il a la
forme
d'une lentille biconvexe très bien déli- mitée,
-dessus, en dehors et en avant du noyau rouge. Il a chez l'homme la
forme
d'une lentille biconvexe, très bien délimitée, do
s vertico-transversales sériées, le corps de Luys apparaît, avec sa
forme
caractéristique de lentille biconvexe, sur les co
la partie postéro - ex- terne de' la région sous-optique. Sa
forme
. Surlescoupesver- tico-transversales. 398
and nombre de cellules multipolaires et étoilées, quelquefois fusi-
formes
, qui possèdent toutes un noyau arrondi se coloran
an- cher du troisième ventricule, double la membrane épendymaire et
forme
la commissure molle. Elle se continue au niveau
us-op- iques et la partie adjacente des régions de la calotte. Elle
forme
le tuber ;ine°eun et la lame interpédonculaire
randes cellules ganglionnaires multipolaires de la rétine dont elle
forme
les prolonge- NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
vasculaire du nerf optique le faisceau maculaire (mn, mt} change de
forme
: il émigre progressivement vers le centre du ner
plètement la périphérie inféro- externe du nerf optique, affecte la
forme
d'un ovale vertical qui longe encore le côté te
isées, la même situation centrale que dans le nerf optique et qu'il
forme
un faisceau fermé (Fig. 329, 5, 6, 7). Il n'en es
faisceau nasal (fn Fig. 330), en traversant le chiasma, diverge en
forme
de fuseau et ses fibres s'entre-croisent dans tou
centrifuges de la bandelette optique proviennent des cellules fusi-
formes
el étoilées du tubercule quadrijumeau antérieur e
. Ce faisceau persiste intact après l'énucléation des deux yeux, et
forme
, chez la taupe dépourvue d'organe visuel, à lui s
al, le rhombencéphale de la nomenclature moderne, doit son nom à la
forme
du quatrième ventricule qu'il circonscrit. Il o
du cervelet. Le vermis supérieur est convexe d'avant en arrière; il
forme
à la face supérieure du cervelet une saillie pl
correspond au monticule (culmen et déclive) du vermis supérieur et
forme
le lobe supé- rieur (LS). La partie postérieure
et vice versa. L'asymétrie des lobules porte non seulement sur leur
forme
et leur étendue, mais encore sur le nombre, la
le lobe postérieur en deux, soit un total de neuf lobes inégaux de
forme
, d'aspect, de dimension et de volume, qui empru
ent soudée dans toute sa largeur aux régions hémisphériques (Il) et
forme
avec cette dernière un tout inséparable. Les lame
côté par les sillons marginaux antérieurs (sma) (Fig. 334) dont il
forme
la lèvre supérieure, en arrière par le sillon s
lobe central, 3° le lobe du culmen, 4° le lobe du déclive. De même
forme
, mais de dimen- sions fort variables, ces quatr
fibres de la valvule de Vieusscns. La face postérieure est libre et
forme
la lèvre antérieure du sillon pré- central ; el
p, bras"du tubercule quadrijumeau postérieur. - fui, fibres arci-
formes
;supérieures de l'isthme. - Gp, glande pinéale. -
e Vieussens, sa face antérieure présente deux iL quatre lamelles et
forme
ainsi un petit lobule indépendant en avant duqu
le en arrière pour l'aper- cevoir. Ainsi préparé, le lobe central
forme
un petit lobe allongé, aplati, cur- viligne, pl
, mince et effilé dans ses parties hémisphériques qui s'étendent en
forme
d'aile jusqu'au pédoncule cérébelleux moyen sur
'apparaît pas à la face supérieure du cervelet. La face postérieure
forme
la lèvre antérieure du sillon transverse antéri
upe de lamelles, implanté sur la face antérieure du lobule suivant,
forme
une petite partie du vermis, se rétrécit au nivea
mis, se rétrécit au niveau du sillon longitudinal Lobe du culmen.
Forme
, dimension, aspect. Ses faces. Les lobules
pée, qui recouvre le rudiment hémisphérique du lobule précédent; il
forme
ensuite la lèvre postérieure du sillon post-centr
illon transverse antérieur au voisinage du sillon longitudinal droit,
forme
un lobule profond à la face postérieure du culm
nt en effet, dans la région ver- mienne, en une branche commune qui
forme
la branche verticale (bv) de l'arbre de vie méd
be appartient bien au lobe supérieur du cervelet, mais le vermis ne
forme
plus, comme pour le lobe du culmen, le lobe centr
ui représente à peu près la moitié posté- rieure du vermis, ce lobe
forme
le déclive, la pente ou revers du monticule; se
anche \ erticale de l'arbre de 'le du permis. Lobe du déclive
Forme
, dimension, aspect caractcrb- tique. 460 AN
face postérieure convexe et une face supérieure. La face antérieure
forme
la lèvre postérieure du sillon transverse antér
partie hémisphérique du lobe. La face supérieure est irrégulière de
forme
. Dans la région du vermis, le déclive s'enfonce
partie médiane ou vermienne et une partie hémisphérique disposée en
forme
d'aile et qui s'enfonce après un trajet plus ou
médian (Fig. 336). Lapartie inférieure, beaucoup plus considérable,
forme
le tuber valvule (Tv) des anciens ou les lames
dérable, tapissée de nombreuses lamelles et lobules transversaux et
forme
la lèvre supérieure du profond sillon post-pyra
e masse excessivement mince dans la région du vermis, développée en
forme
d'aile dans la région des hémisphères, qui forme
mis, développée en forme d'aile dans la région des hémisphères, qui
forme
le bord pos- térieur du cervelet et se trouve c
minis. Dans la région des hémisphères, le lobe du bourgeon terminal
forme
l'important lobe semi-lunaire supérieur (Lsls), m
x à trois lobules secondaires. La face pro- fonde supéro-antérieure
forme
la lèvre postérieure du sillon supérieur ; elle
ntent souvent sur un même cervelet de grandes variétés d'aspect, de
forme
, de longueur et de direction. Les lames et lo
core d'un hémisphère à l'autre. Il présente une face supérieure qui
forme
la lèvre inférieure du grand sillon circonféren
d'Azyr ; et une face inférieure ou superficielle qui pré- sente la
forme
semi-lunaire caractéristique du lobe. Un sillon
néiforme. Considéré dans son ensemble, le lobe inférieur affecte la
forme
d'un fer à cheval, inclus dans le lobe postérie
6, 344, 345, 108 et 410 à 414) (pyra- mide lumineuse cle Malacarne)
forme
un petit lobe piriforme dirigé obli- quement en
amelle qui tapisse la partie la plus saillante du lobule postérieur
forme
le bord libre et tranchant des ailes. Elle reçoit
de la pyramide, en arrière et en dedans des lobes digastriques; il
forme
une sorte de gout- Ses rapports. s. Ses faces
ée latéra- lement à la façon d'un coin par les amygdales, la luette
forme
un polit lobule bien délimité, large en arrière
faces, elle est tapissée de deux à trois lamelles transversales et
forme
la lèvre postérieure du sillon post-nodulaire (sp
l'amygdale. Leur bord postérieur est libre, mince et tranchant, et
forme
une crête verticale située en avant et au-desso
achent deux minces voiles membraneux de substance blanche, que leur
forme
semi-lunaire a fait comparer aux valvules semi-
mobilité, et adhère à la substance blanche centrale du cervelet. Il
forme
avec la paroi supérieure du toit du ire ven- tr
lus constitue le plus petit des lobes hémisphériques et affecte une
forme
en poire ou en massue; épais en dehors, il est mi
uillet pic- mérien. La moitié interne est intra-ventriculaire; elle
forme
, ainsi que nous le verrons, la face supérieure
ne verticale passant par le trou occipital. L'axe du rhombencéphale
forme
ainsi avec l'axe du cerveau intermédiaire un angl
estige de l'angle iiiichal du fa;tus. Pédoncule du Lloe- culus.
Forme
. Limites. Direction. 480 ANATOMIE DES CENTR
o- protubérantiel; il la sépare du pied des pédoncules cérébraux el
forme
sur la ligne médiane le trou borgne supérieur,
cicules qui se portent en bas et en dedans, et s'entre-croisent sous
forme
de natte avec ceux du côté opposé. L' entre-c
ltalyorts avec la lingula. Freins de la val- vule. Bulbe.
Forme
et aspect. Sa partie infé- rieure cylindrique
parente, la membrane obturatrice du quatrième ventricule (loV'), de
forme
triangulaire, à base supérieure, et dont les an
, les diverticules latéraux du quatrième ventricule. Cette membrane
forme
le toit du quatrième ventricule; elle est génér
le qui comble l'espace en 1' in- tercepté par les corps res- ti
formes
. On remarque sur la face postérieure du bul-
ant entre elles un angle de 75° environ; puis, elles se renflent en
forme
cle massue au niveau du sommet du V épendymaire,
Les corps restiformes (Crst) (corpora restiformia, processus resli-
formes
, cordons cunéiformes, pyramides latérales, crura
ule ont élé arrachés (Fig. 352), on constate : que les corps resti-
formes
forment la paroi antéro-intel'l1e cle ces diverti
me ventricule est une membrane triangulaire, à base supérieure, qui
forme
le versant inférieur du toit du quatrième ventri-
antérieures du bulbe. Membrane obtura- tnc('\ln leycntricnh'.
Forme
. Etendue. 492 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. E
ces et blanches lamelles nerveuses, atrophiées, variables dans leur
forme
et leur étendue, et dont les lambeaux restent a
ieure n'adhère que par une mince et étroite lamelle au corps resti-
forme
; dans ce cas l'épithélium épendymaire comble tou
amyg- dale et le vermis inférieur du cervelet; la partie antérieure
forme
la toile choroïdienne inférieure, jetée comme u
ius (1870), puis par Hess (1885). Très variable dans son aspect, sa
forme
et ses dimensions, cet orifice est le plus souven
Plexus choroïdes du te ventricule. Quatrième ventri- cule. Sa
forme
. Ses diverticules. Variétés jruhvf- duclles
e bec du calamus. La cavité du quatrième ventricule offre dans sa
forme
de très grandes variétés individuelles ; elle e
mme la cavité du quatrième ventricule, le plancher présente dans sa
forme
et sa configu- Bibliothèque des Internes en M
ap, area tostrema. - apl, aile blanche interne; sa partie externe
forme
l'area plumiformis, sa partie interne, l'area
lerne n'est que la partie inférieure de la zone acous- tique ; elle
forme
un petit triangle, blanc, lisse, légèrement conve
tantôt étroite; sa surface est déprimée, de couleur gris foncé, de
forme
triangulaire ou plus ou moins ovalaire. Le somm
s. voûte ou toit du quatrième ventricule. Le quatrième ventricule
forme
sur la coupe sagittale médiane un triangle dont l
du diverticule sur le pédoncule du flocculus et sur le corps resli-
forme
, on trouve constamment deux bandelettes nerveuses
e blanche, infiniment moins considérable que l'écorce cérébelleuse,
forme
dans l'intérieur du cervelet une masse compacte,
que côté par quatre amas ganglion- naires, pairs et symétriques, de
forme
et de volume variés; ce sont, dans le vermis, l
e centrale du vermis. La substance blanche centrale des hémisphères
forme
sur les 1'ic.3î. - La substance blanche central
eur individualité; la substance blanche centrale tend à prendre une
forme
de plus en plus ova- laire, elle se continue en
ièrement arrondi, mais d'une masse grise irrégulière qui affecte la
forme
d'un W et qui envoie dans la branche horizontal
globules. Noyaux gris cen- traux. Noyau du toit. Situation.
Forme
. Rapportsot aspect sur coupes horizon- tale
dentelé (Oc). Synonymie : Corps TOME Il. 33 1 Situation. 1 t
Forme
. ; Aspect sur coupes. Connexions avec l'oli
oupes. Connexions avec l'olive cérébelleuse. Noyau sphérique.
Forme
. Connexions avec l'olive cérébelleuse. Oliv
o cérébelleuse. 514 ik ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Situation.
Forme
. Direction. Votume dans la série animale.
x du cervelet se présentent sous l'aspect d'un amas gris diffus, de
forme
irrégulièrement quadrilatère, qui occupe le toi
les pédoncules cérébelleux. Le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) se
forme
surtout aux dépens du feu- trage sous-lobaire (
et 127 à 436) montrent que le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) ne
forme
pas dans la région protubérantielle un faisceau
nculaire (VP), entre ces fibres et le ruban de Reil médian (Rm) qui
forme
la limite antérieure de la région de la calotte;
subdivise en un nombre incalculable de faisceaux, de]volumes et de
formes
exlrè- mement variables, les fibres de la voie
moyen ou juxta-ventriculaire, le pédoncule cérébel- leux supérieur
forme
la paroi postérieure du quatrième ventricule et
et intra-tegmentaire, le pédoncule cérébelleux supérieur change de
forme
. Son extrémité postérieure s'effile, son extrémit
fibres se déjettent en Rapports. Segment juxta ventriculaire.
Forme
. Rapports Segment intra- tcgmentairc. Sa
ntriculaire. Forme. Rapports Segment intra- tcgmentairc. Sa
forme
. S24 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. effet en a
s , une couleur gris-rougeâtre qui lui a valu son nom et affecte la
forme
d'un noyau très bien délimité, un peu ovalaire,
ré- belleux inférieur, qui relie le cervelet au bulbe rachidien, se
forme
surtout aux dépens du feutrage exlra-ciliaire e
7, p. 561), le pédoncule cérébelleux inférieur change rapidement de
forme
; il s'épaissit, et se ramasse en une sorte de b
rantielle inférieure en deux segments inégaux : Le segment externe
forme
un volumineux faisceau qui occupe l'angle posté
ffic avec le faisceau cérébel- leux direct. Corps juua-resti-
forme
. Sa constitution : noyau de Deiters. du bul
so-pharyngien. Le corps restiforme diminue d'épaisseur et change de
forme
de haut en bas; de sa face antérieure, accident
et antérieur se détache de la partie antéro-inlerne du corps resti-
forme
, passe en dehors de la grosse racine sensitive de
des courbes incluses dans celles du groupe interne des fibres arci-
formes
cérébello-olivaires; elles s'entre-croisent pour
(coupe S 2, Fig. 359, p. 509), la lame grise fes- tonnée de l'olive
forme
un anneau complet, aplati d'avant en arrière et d
pinceau Faisceaux ccré- bello-vestibulaires. Ses libres arci-
formes
. 011\ e bulbaire. Situation. Forme. Mile
aires. Ses libres arci- formes. 011\ e bulbaire. Situation.
Forme
. Mile de 1 olive Feutrage intra olivaire.
e fail suite à la capsule interne et au pied du pédoncule cérébral,
forme
l'étage antérieur de la protubérance et la pyrami
nerfs craniens, à l'exception du nerf olfactif et du nerf optique,
forme
l'étage postérieur de la protubérance et la plus
ngitudinales, la voie pédonculaire, qui en occupe toute la hauteur,
forme
à elle seule le pied du pédoncule cérébral et l
érantiel, le faisceau pyramidal appa- raît librement à l'extérieur,
forme
la pyramide antérieure du bulbe et affecte des
es H 8 à H 16, Fig. 370, et 138 à 416, p. 657 à 680). Le volume, la
forme
, la situation de ce noyau sont variables suivant
on trouve en avant du locus niger une trame névroglique revêtant la
forme
et la disposition du pied du pédoncule, mais dé
petite et réduite en hauteur, la voie pédonculaire la traverse sous
forme
d'un fais- ceau compact et arrondi, plongé au s
ncient dans la région inférieure de l'olive bulbaire (Fig 386) sous
forme
de 5 à 7 fascicules compacts que les fibres arcif
déborde en dehors; en arrière, elle atteint la cavité ventriculaire,
forme
le plancher de l'aqueduc de Sylvius et du quatr
il existe un groupe de fibres arciformes extrêmement important qui
forme
le coips l1'apézoïde et se continue en partie d
elleuses comprennent : a) le pédoncule cérébelleux Les fibres arc
formes
. Les fibres radiée 2° Voios cérdlhe (e1150s
mes, l'une médiane, l'autre latérale. La colonne cellulaire médiane
forme
, dans le pédoncule cérébral, les noyaux d'origine
toutes les coupes qui passent au-dessus des noyaux du trijumeau et
forme
avec le noyau du côté opposé une lentille bicon
noyau d'origine du grand hypoglosse. - xpin, entre-croisement pini-
forme
ou sensitif du bulbe. - l ? pyramide antérieure d
rébello-olivaires. - fio, feutrage intra-olivaire. )-, fibres arci-
formes
interréticulées, provenant des noyaux des cordons
re du raphé au niveau du bord supérieur de l'entre-croisement pini-
forme
(xpin). - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, f
ll. - Cl, cordon latéral. - Coa, corne antérieure. fil', fibres arc[
formes
interréticulées. - Fit, faisceau latéral du bulbe
rdon de Burdach (coupes H18, H20, Fig. 403, 101). Tout autre est la
forme
du noyau de Goll (NG) (nucleus funiculi gara- c
mediales hinleres Nebenhorn (Rei- che,t); de même volume et de même
forme
au début que le noyau de Burdach (coupes H16, H
Goll et;de Burdach diffèrent l'un de l'autre non seulement par leur
forme
, mais encore par leur aspect; dans le noyau de Go
ique. Fibres arciformes interréticulées et entre-croisement pini-
forme
(fir, xpin). - Le noyaux de Goll et les noyaux de
t de Burdach sous CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 573
forme
de fins fascicules, fortement colorés par la laqu
ent pyramidal ou moteur, un entre-croisement compact qui affecte la
forme
d'un cône de pin, à sommet postérieur, c'est l'
poglosse. l'y, pyramide antérieure. - xpin, entrecroisement pini-
forme
ou sensitif du bulbe. 1.. 'C11 lrc-l' l'Olelile
sente chez certains animaux, en particulier chez les carnivores, la
forme
d'une lame grise festonnée, contournée plusieur
l'olive cérébelleuse. Sur les coupes horizontales, le ruban de Reil
forme
ainsi une couche de fibres aplatie d'avant en arr
périeur (l'cs), atteint la face latérale du tronc encéphalique et y
forme
cette couche de fibres obliques désignée par les
n (coupe Hl, Fig. 391), le ruban de Reil latéral (RI) apparaît sous
forme
d'un faisceau triangulaire adossé à angle droit
gne de l'espace inter-pédonculaire et change d'aspect ; il revêt la
forme
d'une corne d'abondance, dont le pavillon coiffe
, et Ti«, Fig. 322 à 321), le ruban de Reil médian change encore de
forme
. Son extrémité antérieure diminue d'épaisseur et
culaire, de lai capsule interne; le ruban de Reil affecte ainsi une
forme
de croissant, dont la concavité se comble petit
p) occupe la partie postéro- interne de la formation réticulée ; il
forme
de chaque côté de la ligne médiane un petit fai
réticulé de la calotte, et présente dans son trajet des variations de
forme
et de volume très appréciables suivant les régi
la surface de section du faisceau longitudinal postérieur change de
forme
. Sa partie interne s'épaissit, sa parlie externe
nse de ses fibres par la laque hématoxylinique. Il con- serve cette
forme
d'aile dans toute la région protubérantielle supé
stérieur fait corps avec le reste de la formation réticulée : il en
forme
l'angle postéro-interne. Celte fusion s'opère dès
-protubérantiel (coupes H 7, H8, Fig. 397 et 398, p. 561 et M3), il
forme
avec le ruban de Reil médian (Hm) un angle ouve
blanche et du bile de l'olive. Cette coupe montre très nettement la
forme
du quatrième ventricule (Vt) et FiG. 407. - Cou
9). Le quatrième ventricule présente sur cette coupe SI bis la même
forme
que sur la coupe SI. La substance grise central
partie antérieure et inférieure du vermis, on trouve l'amygdale sous
forme
d'un lobe allongé, indépendant, qui refoule la
° Par l'amygdale enfin, dont le développement est considérable et qui
forme
un lobule ovoïde indépendant, compris entre le
e le long de son bord externe : aussi le faisceau pYl'amidal(Py) ne
forme-t
-il qu'un mince faisceau qui se continue en haut a
16), la substance blanche centrale des hémisphères présente déjà sa
forme
ovalaire caractéristique, qu'elle doit, en outre,
astrique auquel il s'unit sur la coupe S 6 (Fig. 414). L'amygdale
forme
ici encore (coupes S4 et S5) un îlot indépendant,
nerf trijumeau, mais en grande partie aussi au corps juxta ? esti-
forme
dont la substance grise ou noyau de Deiters (ND)
e que l'olive cérébelleuse (Oc). Celle-ci ne présente pas encore sa
forme
annulaire, mais décrit une courbe à concavité i
augmente de volume, surtout dans sa partie inférieure et affecte la
forme
assez régulière d'une ovoïde oblique en haut et
férents lobes et lobules autour d'une substance blanche centrale de
forme
ovalaire et de dimen- sion relativement considé
'écorce amygdalienne. Le flocculus, très net sur ces deux coupes,
forme
un lobule irrégulier, réduit sur la coupe S 8 (
érieure du pédoncule du flocculus (PFloc). Celui-ci appa- rait sous
forme
d'un faisceau volumineux fortement coloré par l'h
le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm); le diverticule latéral (rlV4)
forme
une petite pochette close de toutes parts et co
(Pcm). - Sur ces deux coupes S 8 et S 9, l'olive cérébelleuse (Oc)
forme
une pochette festonnée, close de toute part; el
perficiel, mais le pes lemniscus JiI'ofond(PLp) est très développé et
forme
un faisceau compact qui occupe la partie extern
en arrière du quatrième ventricule en un volumineux faisceau falci-
forme
, subdivisé par de nombreuses cloisons névroglique
pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Le ruban de Reil médian (Rm)
forme
une bande transversale qui limite la calotte en
en dehors avec le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Ce pédoncule
forme
sur la coupe un faisceau épais et volumineux, san
ETUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCEPHALE. 627 Le corps trapézoide (Tr)
forme
les fibres arciformes antérieures de la calotte.
ro-latéral de la moelle, en avant du fais- ceau cérébelleux direct,
forme
le faisceau latéral du bulbe et se place dans la
égion du hile du cervelet. Le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs)
forme
encore le faisceau compact d'aspect piriforme d
dehors et en arrière, il est entouré par de nombreuses fibres arci-
formes
qui font partie des fibres semi-circulaires exter
g. 414 et 415, p. 608 et 609). Le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm)
forme
la plus grande partie de la substance blanche c
s de la lame festonnée se coudent en dedans et que l'olive revêt la
forme
d'un sac ou d'une bourse. (Voy. Coupe C5, Fig.
postérieure s'adosse au bouchon (Nem) qui revêt à peu près la même
forme
et les mêmes dimensions que sur la coupe précéden
e cérébelleux inférieur (Pci), considérablement augmenté de volume,
forme
un faisceau arqué, piriforme, qui embrasse la fac
is latérales du qua- trième ventricule (V,J et présentent les mêmes
formes
que sur la coupe pré- cédente. Ils sont séparés
rieure (Os), en dedans de la substance gélatineuse de Rolando (SR),
forme
sur cette coupe un amas volumineux, d'aspect go
il est sectionné à sa sortie du cervelet, au niveau de son coude, et
forme
sur cette coupe une sorte de bulbe nettement li
allèles et de volume sensiblement égal ; sur la moitié gauche, elle
forme
une lame festonnée présentant les dentelures et d
rmer le C07'pS juxta-1'estif01'1lle (Cj). L'olive cérébelleuse (Oc)
forme
sur cette coupe une lame festonnée un peu plus
que sur la coupe précédente. A droite, le bouchon (Nem) présente sa
forme
pyramidale caractéristique; à gauche, il est sect
e médiane du vermis. A droite, le pédoncule cérébelleux inférieur
forme
un faisceau piriforme volu- mineux, sans connex
Le corps resti- TOMEM. 11. 42 638 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
forme
et les fibres arciformes cérébello-olivaires. Les
te coupe, se prolonge sur la face interne de chacune des pyramides, y
forme
le noyau arqué ou arciforme (Narc) et peut être
r les coupes de la région protubé- ranlielle inférieure, mais a une
forme
plan-convexe, sa face postérieure plane ÉTUDE T
oite, l'olive bulbaire (Oi) s'insinue entre ces deux faisceaux sous
forme
d'une lame circulaire festonnée et dentelée, en
sous l'aspect d'un noyau volumineux situé en avant du corps l'esti-
forme
(Crst), en dedans du pédoncule du flocculus (PFlo
coupe, est libre de toute connexion avec le cervelet et présente la
forme
triangulaire propre au segment supérieur ou ouver
ombre et le volume des fibres arciformes émises par le corps resti-
forme
(Crst); la disparition du noyau central inférieur
is fascicules qui abordent la partie antéro-interne du corps resti-
forme
(Crst) et dont les unes passent en avant, les aut
illie allongée, qui recouvre la face diverticulaire du corps resti-
forme
(Crst) et constitue le tubercule acoustique (Tub.
ane obturatrice qui le ferme en arrière appartient à la ligula, qui
forme
la paroi inférieure ou membraneuse du diver- ti
Le corps restiforme, le corps juxta-restiforme et les fibres arci-
formes
cérébello-olivaires. Les stries acoustiques, les
ment son extrémité inférieure, et est traversé par les fibres arci-
formes
qui abordent la face externe de l'olive; quelquef
plus important et longe la face interne ou le hile de l'olive sous
forme
d'une lame rectiligne, plusieurs fois interrompue
diculaires du nerf hypoglosse (XII). La formation réticulée blanche
forme
sur cette coupe une couche homogène; on n'y dis
dinales; ce sont ces amas de substance grise, irréguliers dans leur
forme
et inconstants dans leur apparition et leur si-
lée blanche est traversée dans toute sa hauteur par les fibres anci
formes
cérébello-olivaioes (fcb), et longée en dehors
ers de substance grise connus sous le nom de noyaux du corps resti-
forme
(NCrst). La diminution de volume subie par le cor
utrage de fibres qui occupe toute la partie interne du corps resti-
forme
et dans laquelle apparaissent des fascicules de f
nerf grand hypoglosse. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 673
forme
s'accentuent encore et sa substance grise se tran
cordons postérieurs de la moelle. Quant aux fibres du corps l'esti-
forme
qui n'entrent dans la c nstitution, ni des fibres
u faisceau latéral du bulbe (Fit), et entourée par des fibres arci-
formes
cérébello-olivaires (fcb) qui s'y terminent en pa
s et limi- tent un espace allongé d'avant en arrière, irrégulier de
forme
; les replis épen- dymaires, taenia, ligula ou b
ordons postérieurs (NCp). La surface de section du bulbe a pris une
forme
plus arrondie, son diamètre transversal a dimin
présente un aspect plus clair et le noyau laté2.al dit bulbe (Nlt)
forme
une masse volumineuse, irrégulière, mal délimitée
ge extra-olivaire. - fio, feutrage intra-ohvaire. fir, fibres arci-
formes
interréticulées, provenant des noyaux des cordons
oupes précédentes, et qui, envisagé dans son ensemble, présente une
forme
oblongue comparée à une pomme de pin, dont le s
piniforme. Le noyau juxta-olivaire interne (Roi) affecte encore une
forme
coudée; il est bien délimité en avant et en arr
le faisceau de Gowers et le faisceau cérébelleux direct de Flechsig,
forme
le faisceau latéral du bulbe (Fit) et se contin
en avant, le cordon postérieur de la moelle en arrière. Ce dernier
forme
sur la coupe un faisceau très compact qui coiff
centrale et sur la formation réticulée (SRg). Le noyau de Goll (NG)
forme
une masse volumineuse qui détermine la saillie
ent piniforme. L'enlre-croisement piniforme (xpin) se présente sous
forme
d'un entre-croi- sement épais et court, compris
(NG) et le noyau de Burdach (NB). La pyramide bulbaire a changé de
forme
, elle s'est déplacée en arrière, s'en- fonçant
686 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le noyau de Goll (NG) affecte une
forme
en massue ; son bord postérieur con- vexe est e
ment pyramidal est terminé; à droite, la substance grise affecte la
forme
caractéristique propre à la moelle cer- vicale
,\'B), et le pédicule mince et étroit du noyau de Goll (NG), lequel
forme
une lame étroite et aplatie transversalement. L
(Fig. 452). - Le noyau de Burdach a disparu, le noyau de Goll (NG)
forme
un îlot gris, aplati, complète- ment indépendan
eaucoup d'auteurs. Les corps cellulaires, globuleux et aplatis à la
forme
d'une lentille, sont disposés en une seule rang
es cérébelleux. STRUCTURE ET TEXTURE DU RHOMBENCÉPHALE. 693 des
formes
en massue et en raquette, et sont dirigés plus ou
e la dendrite, elle esl striée ou fibrillaire, autour du noyau elle
forme
plusieurs couches concentriques très denses qui
cellulaire situé en dedans de la couche moléculaire, et décrivit la
forme
étoilée des cellules névrogliques de la substan
e festonnée du corps dentelé. Sur les cellules plus centrales, la
forme
globuleuse du corps cellu- laire et le mode d'é
6 : )ï), Ce faisceau, connu sous le nom de pédoncule du flocculus,
forme
la voûte de l'étroit canal qui relie le quatriè
hidien. Il sépare en effet le feutrage sous-lobaire du corps resti-
forme
el du tubercule acoustique qui le recouvre. Le
aires ex ternes sur les coupes sagittales. Le faisceau falci-
forme
et ses con- nexions avec le pé- doncule céréb
es en groupe externe et groupe interne. Mais si l'on réfléchit à la
forme
du noyau dentelé, aplati de dehors en dedans et q
che horizontale de l'arbre de vie. Sa surface de section affecte la
forme
d'une lame coudée, ouverte en avant (Fig. 465) et
scou. 11 est connu que la question concernant la catatonie, comme
forme
morbide, jusqu'à présent, n'est pas encore réso
is vu que divers auteurs, sous le nom de catatonie, comprennent des
formes
cliniques tout à fait différentes, je dois m'ar
26 investigations cli- niques et 7 autopsies, institua une nouvelle
forme
morbide à laquelle il donna le nom de catatonie
e. L'auteur en question regarde comme symptôme détermi- natif des
formes
catatoniques les troubles moteurs typiques, qui
l'impulsion volontaire. Vou- lant prouver l'unité nosologique de sa
forme
, Kahlbaum lui impute un cours cyclique. « La ca
périodes viennent d'être citées) et avec troubles moteurs. Dans les
formes
atypiques certaines phases de psychose isolées,
diverses maladies psychiques comme com- plication de l'une ou autre
forme
typique de maladie men- tale [Westphal (2), Fig
], et les troisièmes, enfin, tout en admettant l'indépendance de la
forme
en question, donnent une autre explication aux
s ». D'après le type, le cours et l'issue, Kraepelin rapporte cette
forme
au groupe des dégénérescences psychiques et la
upe des dégénérescences psychiques et la regarde comme proche des
formes
de la démence précoce (dernentia præcox). L'opi-
opi- nion de Schüle, consiste à peu près dans cela : il prend les
formes
graves et légères de la catatonie et dit que les
scription clinique, Schüle s'associe à l'opinion de Kahl- baum. Les
formes
plus légères de la catatonie passent quel- quef
atatonie pure par les mots suivants : « La catatonie pure (dans une
forme
grave) présente essentiellement une démence pri
uniates de z dégénéralion, on peut noter l'asymétrie de la face, la
forme
irré- z gulière des oreilles. Dans les organes
te ou seulement des symp- tômes catatoniques qui complètent ici une
forme
psychique quelconque ? Avant tout, il faut fa
tic, alors il faut indiquer après quelle psychose aiguë a apparu la
forme
secondaire ? Par conséquent, l'analyse clinique
cement de la maladie doit être exclu. Restent encore deux autres
formes
, à savoir : l'anzeiîtia de Meynert et la démenc
l'anzeiîtia de Meynert et la démence précoce. Contre la première
forme
, de même comme contre la mé- lancolie, parle le
maturée dans la démence. Ordinairement, l'amentia de Meynert et les
formes
qui ont une connexion avec cette lésion, à savo
nations et troubles moteurs caractéristiques, ne ressemble à aucune
forme
de psychose primaire indépen- dante. . En nou
adie. Il est vrai que nous ne pouvons pas nier chez notre malade la
forme
morbide qu'on définit comme démence précoce; po
gion psycho- motrice, qui nous donne le droit de reconnaître ici la
forme
à laquelle Kahlbaum donne le nom de catatonie .
IQUE. 27 4 . Notre deuxième observation présente un cas pur de la
forme
qui nous occupe. A son analyse, surgissent cert
on ; qui concerne tous les catatoniques; avons-nous à faire à une
forme
de psychose primaire ou à une démence secon- |*
d'un état mélancolique, pouvaient donner lieu à présumer ici une
forme
périodique ou circulaire; pourtant, pendant tout
ent prématuré de la démence, nous aurions dû rap- porter ce cas aux
formes
hébéphréniques de dégénérescence, connues sous
aladie, maintenant corres- pond au type clinique de Kahlbaum. Des
formes
pures de la démence hébéphrénique notre second
ca- tatoniques, qui durent pendant onze ans, tandis que dans les
formes
précoces de la démence, ils apparaissent seule-
rons dans la base de la division des maladies; le critérium de la «
forme
indépen- dante » présente par lui-même une gran
occasion de l'in- diquer dans nos Leçons cliniques relativement aux
formes
infectieuses, il se compose : 1° D'un tableau
hibi- tion du toxique dans l'organisme est typique par toutes les
formes
toxiques. Quoique l'auteur de cette forme, Kahl
typique par toutes les formes toxiques. Quoique l'auteur de cette
forme
, Kahlbaum n'envisage pas la dégénérescence et l
ur dp cela parle premièrement la connexion de la catatonie avec les
formes
de la démence hébéphrénique ; deuxièmement, la
ue l'examen microsco- pique n'ait pas été fait. Alzheimer, dans les
formes
termi- nales de la catatonie, note le développe
solnle point d'appui, et, pour prouver l'autorité morbide de celle
forme
, nous devons nous diriger seulement d'après des
l'écorce cérébrale dans l'origine de ce symp- "tôme. Dans une autre
forme
morbide et dans une autre expression clinique c
uvenons-nous que ce même symptôme se rencontre aussi, mais dans une
forme
moins marquée, dans les apoplexies cérébrales,
ur l'apparition de la catalep- sie il faut des conditions à part en
forme
d'un symptôme local, avec une localisation- dan
ns, ÉTUDE DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. 41 comme en général dans les
formes
de démence terminale, se sont achevées par une
« catatonie » satisfait parfaitement à la première condition de la
forme
clinique, à {'unité du symptomocomplexe. Pour
temporain des choses nous aurions pu donner la description de cette
forme
: Comme bien d'autres psychoses dégénératives,
bouffées épisodiques délirantes, qui, souvent, comme l'auteur de la
forme
en question l'indique, portent un caractère mél
dique, portent un caractère mélancolique. Pour différencier cette
forme
de la mélancolie pure, dans la période primordi
a catatonie comme un groupe nosologique indépendant, ou comme une
forme
clinique, qui entre dans un autre groupe de malad
tiologie des maladies psychiques. Outre un nombre assez médiocre de
formes
toxiques, para-infec- tieuses et dégénératives,
groupe de dégénéres- cences psychiques et présenter parmi elles une
forme
mor- bide dont les limites cliniques, qui ont é
. Suppléments médic. au Recueil maritime, 1889. 8 Serbsscy. Sur les
formes
du trouble psychique, décrit sous le nom de cat
e névroglique, constituée par une énorme quantité de cellules des
formes
les plus différentes, y compris les globes mats d
2. Une couche de petites cellules nerveuses multipolaires de toutes
formes
. 3. Une couche de grandes cellules nerveuses, s
dans la partie latérale, externe, de l'organe, qui correspondent en
forme
et en grandeur aux cel- lules des cornes antéri
orrespond à la troisième couche de petites cellules nerveuses. Elle
forme
la limite tranchée entre le tubercule quadrijum
tive accusée. Lorsqu'elles dégé- nèrent, outre qu'elles changent de
forme
, la propriété biréfrin- gente de leurs manchons
S. 1. Pendant le repos (du sommeil) se manifeste l'aspect monili-
forme
des dendrites; plus le sommeil est profond, plus
énérescence primitive. Celle-ci, dans la fibre ner- veuse, revêt la
forme
de névrite périaxillairede Gombault. 3. Dans le
ontours moins réguliers et plus riches en appendices collatéraux de
forme
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
heim, F. Bernheirruet d'autres auteurs ont prétendu caractériser la
forme
sous-corticale de l'aphasie motrice. La lésion
ine quels 7 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. sont, dans les diverses
formes
d'aphasie, les symptômes ou parti cularités qu'
nt de vue anatomique. D'une part, en effet, l'affection a revêtu la
forme
d'un délire alcoolique sans troubles objectifs.
tude très documentée qu'il publia à cette époque. Il insi-te sur la
forme
de séquestration arbitraire à laquelle cette do
mpagnée de trou- bles psychiques, de l'idée de grossesse prenant la
forme
d'une obsession, de l'idée délirante de grosses
riche index bibliographique de 60 pages), il étudie les différentes
formes
de l'amnésie épileptique : simple, antérograde,
nscience peu- vent être dissociés et, du moins, peut-on dire que la
forme
de l,a ? n- 88' CORRESPONDANCE. nésie n'indiq
que le coupable a conservé le souvenir de l'acte com- mis par lui),
forme
qui est facilement prise pour de la simulation;
ispensent d'entrer dans plus de détails, d'opposer, par exemple, la
forme
et le développe- ment différents des mains chez
nfluence exclusive de la persuasion 3. Et comme une des principales
formes
de la persuasion, l'hypnotisme, joue un rôle im
du langage rendra très claires ces notions, un peu arides dans leur
forme
synthétique : Un sujet lit à haute voix. S'il f
s la paralysie générale fournit autant de cas que toutes les autres
formes
de folies réunies. Les troubles moteurs de l'ir
ur constitution psychique. La mélancolie intermittente n'est qu'une
forme
clinique de la psychose périodique, pouvant êtr
clinique de la psychose périodique, pouvant être alterne, à double
forme
oucircu- 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lai
motrice, paralysie flasque du bras droit, légère parésie faciale, à
forme
graduelle : d'excité, il devient déprimé et il
ui sont propres à la folie. Lorsque l'élément histrionique revêt la
forme
de la caricature, il représente une manifestati
opsie n'a pas été autorisée. H. de Musgrave-Clay. Il s'agit d'une
forme
particulière d'idiotie, l'idiotie amau- J'otiqu
physiques. G. DENY. XVI. Etude sur la folie circulaire et sur les
formes
circulaires des psychoses ; par SouKLAiioFF et
séléreuses a pris un cours circulaire, l'autre de psychose aiguë de
forme
également circulaire qui s'est terminée favorab
tale, relativement à la popula- tion aryenne, et, si oui, à quelles
formes
nosologiques spéciales des psychoses ? ? La r
le, ne sont pas quand même à considérer comme normaux, à savoir des
formes
plus légères de la folie circulaire et surtout
(L'Echo de Lyon, 15 mai 1902, n° 5. M. Thomas range les différentes
formes
que peut prendre l'idée de grossesse en deux gr
alysie générale, de ne pas définir nettement à quel tabès, à quelle
forme
de para- lysie générale ils ont eu à faire, et
l'on rencontre fréquemment dans l'évolution de cette maladie. La
forme
de paralysie générale qui précède, accompagne ou
nt aux types morbides ainsi réalisés : in le délire du début est la
forme
la plus rare, mais la plus rapide et la plus grav
e du 30 novembre 1903. - Présidence de-M. G. Ballet. Folie à double
forme
avec syndrome paralytique chez un aliéné atteint
hargée qui eut au cours de sa vie plusieurs accès de folie à double
forme
pour finir dans la démence, avec des signes de
lysie générale. M. Vallon croit que le diagnostic de folie à double
forme
doit être réservé et il lui préférerait celui d
mence. Pour lui, les débiles ne peuvent faire de la folie à double
forme
. M. TOULOUSE a relevé des observations où la pa
reconnaît qu'en effet, ces lésions s'observent, quelle que soit la
forme
de toxicité pourvu qu'elle ait touché le système
ire SOCIÉTÉS SAVANTES. 'l6t)" survient un jour et se fixe dans la
forme
systématique. Mais la constitution qui prédispo
idal leur font subir une transformation. Cette modification dans la
forme
est particulière- ment remarquable dans les mou
adies de la nutrition, les appli- cations et les résultats de cette
forme
spéciale de dromothérapie. Il présente ensuite
pas de phénoménologie spéciale : souvent ils se manifestent sous
forme
de mélancolie, mais ils peuvent aussi se traduire
. A présenté dès son entrée tous les signes de paralysie générale à
forme
maniaque. Le 10 septembre 1903, épo- que de cet
vril 1903. A présenté à l'entrée les signes de paralysie générale à
forme
maniaque. Actuellement, le 10 septembre 1903, ell
10 avril 1903. Dès son entrée, symptômes de paralysie générale à
forme
maniaque, avec signes physiques prononcés. Examen
l existait aussi une anesthésie au tact et à la piqûre affectant la
forme
de bas et de gants jusqu'à mi-cuisse et jusqu'a
ts de trombone de la langue. Tremblement des membres affectant la
forme
d'une véritable incoordination. Gâtisme. Cette ma
ses chiens, l'auteur ne serait pas éloigné de penser que certaines
formes
d'épilepsie, et peut-être encore d'autres malad
r rappelle qu'on est d'accord aujourd'hui pour ne pas admettre deux
formes
d'ostéomalacie, osteromalacia fraclurosa ou fmg
hez le second malade. L'au- teur insiste sur ces faits et sur cette
forme
nerveuse de l'ostéoma- lacie qui n'est pas sign
s plus accu- sés d'amence ; mais elle est loin d'être rare dans les
formes
peu avancées d'imbécillité ; toutefois chez les
l'on trouve chez les malades ordinaires. C'est la manie qui est la
forme
la plus fréquente; ensuite vient la mélancolie
10 à 15 p. 100 du nombre total des cas; ici encore la manie est la
forme
la plus commune; elle est souvent violente, et
vec les espTits ordinaires. Toutes ses hallucinations revêtirent la
forme
des évocations ri- tuelles du spiritisme. Elle
table à faire tourner. Son langage automatique prenait souvent la
forme
versifiée. Guérie, elle est restée une mystique s
Ce spiritisme délirant' peut être toute la maladie en tant que -
forme
de délire mystique d'une couleur particulière com
s de 256 SOCIÉTÉS SAVANTES. Svedenborg à qui il n'a manqué que la
forme
du spiritisme classi- que encore inconnue de no
de perd toute vision distincte, toute notion de la couleur et de la
forme
des objets, une seconde période essentiellement
rai donc la permission de passer en revue avec vous les principales
formes
cliniques de l'atteinte du système nerveux péri
s de la carcinosemiliaire aiguë; l'expression anatomique de cette
forme
assurément peu commune dans toute sa pureté, con-
me fré- quence, et on conçoit que le clinicien, en présence d'une
forme
aussi rare, puisse éprouver quelque hésitation. D
a moelle. Chauffard, Babinski ont observé des lépreux présentant la
forme
parfaite de l'anesthé- sie syringomyélique. Dan
itique diffuse, ainsi que la lymphocytose, est commune à toutes les
formes
cliniques de la syphilis nerveuse. Elle ne peut
ence est vrai, on pourra espérer voir évoluer plus longue- ment les
formes
aiguës de la myélite. Au point de vue théorique
, taux de Lyon, 28 février 1902). L'urémie cérébrale comprend trois
formes
différentes : une forme convulsive, une comateu
1902). L'urémie cérébrale comprend trois formes différentes : une
forme
convulsive, une comateuse, une délirante. M. Roqu
ich.. G. C. XXXV. Maladie de Parkinson ; contribution à l'étude des
formes
unilatérales; par M. P. Grange. (Lyon mèd., n°
rte deux observations de malades atteints de maladie de Parkinson à
forme
hémiplégique. Observation I. Maladie de Parkins
présentait le tableau symptoma- . tique qui caractérise la deuxième
forme
de tétanie gastrique individualisée pnr MM, Bou
ahi les muscles de la colonne et de la nuque. On sait que c'est une
forme
sévère, entraînant rapidement la mort. L'exam
aractère moral hystérique, les troubles somatiques passagers et les
formes
diverses d'une folie spécifique. Ces derniers é
stic de méningo-encéphalite diffuse. Mais plutôt de reconnaître une
forme
sensorielle de cette affection en rapport avec
cho-moteurs dont le terme capital serait le négati- visme. Sous ses
formes
atténuées ou incomplètes, ce syndrome se rencon
lacé pour étu- dier les effets du haschich : il décrit les diverses
formes
de folie auxquelles le haschich peut conduire,
t préparer un terrain favorable à la suggestion' curative : chloro-
forme
, éther, protoxyde d'azote, morphine, trional, etc
ffet, peut présenter des modifications dans ses dimensions, dans sa
forme
, dans sa motilité (réflexe lumi- neux et accomm
é par une affection irienne antérieure, présente généralement une
forme
régulièrement circulaire. Or nous voyons très f
les paralytiques généraux, l'orifice pupillaire ne pas conserver sa
forme
normale, se modifier en un ou plusieurs points,
fait place à sa corde. Il en résulte que la pupille prend alors une
forme
irrégulière. Cette déformation pupillaire a été
es se manifestent après des attaques apoplectiformes ou épilepti-
formes
, mais le plus souvent elles ne sont pas la consé-
est la plus haute expression du déclanchement moteur et traduit la
forme
la plus achevée de l'avalanche motrice. I Nos
exacte de ces gouttelettes de graisse d'existence temporaire. Leur
forme
et leur dimension sont très variables. Leur asp
ceux d'une cellule ganglionnaire. Ces gouttelettes ont perdu leur
forme
ronde primitive, pour s'accommoder plus ou moins
du leur forme ronde primitive, pour s'accommoder plus ou moins à la
forme
des éléments entre lesquels elles se sont dével
allongée se manifestent sur la circulation le plus souvent sous la
forme
de ralentissement des pulsations cardiaques, av
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 387 souvent on nota des
formes
arythmiques et allorythmiques des mouvements re
ntal. 4° Les irrégularités de la respiration se manifestent dans la
forme
, la profondeur, et la fréquence des excursions
terminant que Korsakow (Moscou) a le premier fait remarquer qu'une
forme
spé- ciale de trouble mental que l'on avait aup
lette des enfants. G. Carrier. XXXXVI. Un cas de tumeur cérébrale à
forme
psycho-paralytique et à évolution fébrile; par
oscopique de la tumeur : Gliome. Les auteurs mettent en évidence la
forme
psycho-paralytique de l'évolution clinique, bie
rie que ' les auteurs appliquent à leur cas. G. Carrier. XXXXVII.
Formes
sévères de l'aérophagie nerveuse ; par M. Bou-
on. L'auteur, dans cette note, veut signa- ! 1er simplement certaines
formes
moins connues, marquées par des troubles graves
és à reconnaître son exacte pathogénie. Il rapporte aussi une autre
forme
sévère de , 'aérophagie nerveuse, où il s'agit
es motrices extra-pyramidales. Quant à la paranoïa hallucinatoire à
forme
démoniaque et mys- tique, greffée sur cette cho
Graves chronique, chez laquelle cette maladie prit brusquement une
forme
aiguë, avec accompagnement de manie. La mort sur-
uf- t'samment constants et définis pour qu'on puisse en faire une
forme
particulière de maladie mentale, ce que plusieurs
une période de dépression avec idées de suicide, ou bien, dans une
forme
plus insidieuse de début, le sujpt devient Arch
rechercher quels sont les rapports de l'hébéphrénie avec les autres
formes
de maladies mentales. Il est évident qu'elle co
sensoriels, d'où elle était venue et qui prend ainsi de nouveau la
forme
d'une sensation, de manière à être prise pour l
cinations génitales, parce qu'il lui semble que la variété de leurs
formes
peut jeter quelque lumière sur la ques- tion de
s malades homicides, que l'auteur a observés ne souffrent pas d'une
forme
spéciale de maladie mentale. La plupart d'entre
rition et une disparition dont la soudaineté s'accorde mal avec les
formes
connues des actions toxiques, mais très bien avec
n modifiant momentanément sa couleur et sa consistance, en font une
forme
intermédiaire, en quelque sorte, aux deux varié
'on peut leur attribuer, la valeur et la signification des diverses
formes
de chromatolyse, la physionomie et le moment d'
Des altérations cellulaires récentes d'ordre chromatolytique et de
formes
diverses. Elles s'accompagnent d'une légère infil
4. ' N° 102. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Un cas de
forme
fruste de démence précoce 1. Par René ni,vssELO
st probable que le délire ou du moins la période de trou- UN CAS DE
FORME
FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 435 bles mentaux aig
a retenu que le titre ; on le prie d'écrire et il écrit : UN CAS DE
FORME
FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 437 Î C'est aujourd'
es affaires, il craignait en rentrant à Paris, de ne pou- UN CAS DE
FORME
FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 439 voir se diriger,
un malheur imaginaire, ce que l'on peut faire sans danger dans les
formes
avancées de dé- mence précoce; les circonstance
de son aboulie. Nous avons vu les craintes d'empoisonne- UN CAS DE
FORME
FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 4L t ment qu'il épro
où il écrivait chacun de ces mots. Je les lui lis les uns UN CAS DE
FORME
FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 44l après les autres
t. Il s'agit, en résumé, d'un trouble de l'activité spon- UN CAS DE
FORME
FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 445 tanée de l'espri
effort nécessaire pour résumer par écrit, et sans douter' UN CAS DE
FORME
FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 447 tervient ici enc
mpés,- qu'il n'était généralement ni triste, ni gai, qui' UN CAS DE
FORME
FRUSTE DE DEMENCE PRÉCOCE. 449 était le plus so
dans les processus mentaux qui permettent aux touts complexes, que
forme
la combinaison des diverses représentations, de
ion de la viva- cité des représentations mentales. Voilà donc une
forme
morbide dans' laquelle, à la suite ' J'ai au co
sion ; on a distrait de la mélancolie, à juste titre, toutes ces
formes
morbides; sans doute, on observe chez le mélan-
'auto-analyse de M. N..., on pourrait m'objecter qu'il s'agit d'une
forme
grave de neurasthénie; une pareille opinion tom
ectateur à sa propre déchéance, mais en spectateur indif- UN CAS DE
FORME
FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 451 férent, ce qui e
dre de la démence précoce, je n'hésite pas à voir dans ce cas une
forme
fruste de cette affection. Sans doute, je n'ai pa
i parce que le malade a perdu toute activité, toute plas- UN CAS DE
FORME
FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 453 ticité cérébrale
pontanéité intellectuelle, nous les avons retrouvés dans toutes les
formes
mentales de notre malade, depuis la diminution
sme, les sté- réotypies, les attitudes catatoniques ne sont que les
formes
extrêmes d'un état intellectuel dans laquelle l
affaiblis- sement intellectuel accentué; il ne s'agit ici que d'une
forme
fruste dans laquelle les lésions ne portent que
hénomènes stéréotypés. Aschaffenburg 1 a déjà relaté des cas de ces
formes
frutes de démence précoce. Il a montré que, dan
ie Kalalonief ravage. 411,q. Zeilschr. f. psych, no 54. UN CAS DE
FORME
FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 455 un amoindri inte
s des asiles. Tous les degrés se rencontrent en effet, depuis les
formes
frustes, comme celle de NI. N..., jusqu'aux états
nt quelque temps trois malades qui nous ont frappé justement par la
forme
anormale de leur paralysie générale, c'esL-à-di
de. Relevons, en passant, que les hallucinations auditives de cette
forme
sont aussi mouve- mentées et multiples que les
um tremens serait le délire des « peu cultivés », l'hallucinose, la
forme
des « lettrés ». En tous cas, le passage d'une
allucinose, la forme des « lettrés ». En tous cas, le passage d'une
forme
à l'autre serait rare, puisque Bonhoffer dit en
n cas. Il est de règle que le même individu récidive dans la même
forme
. Qu'il nous soit permis d'exprimer ici notre gr
t quantitative que qualitative. Le type auditif repré- senterait la
forme
plus légère, le type visuel la forme plus grave
pe auditif repré- senterait la forme plus légère, le type visuel la
forme
plus grave. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
indiquées, sont les preuves d'une décharge d'énergie sous une autre
forme
; et l'énergie addition- nelle de l'impul-ion e
n qui sont discutables, M. Turner est d'avis que les différences de
formes
, de pouvoir colorant, etc., indiquent une diffé
s'accompagnaient de symptômes psy- chiques très marqués, et qu'une
forme
spéciale de « folie raison- nante » était assoc
nsistent sur la valeur séméiologique de la démence et décrivent une
forme
psycho-paralytique de tumeur cérébrale, dans la
e l'esprit, lenteur des réponses. Brissaud a très bien décrit cette
forme
de stupeur, au milieu de laquelle la con- duite
remplissement graduel d'un vase par de l'eau. Le vase est de telle
forme
et il est soutenu de telle manière que, à mesur
t proportionnels à la complexité du milieu ambiant; et que, dans sa
forme
, l'élément volitionnel est entièrement inhibi-
les folies chroniques et dans les cas de manie ou de mélancolie à
forme
homicide. « Les folies aiguës de caractère hybr
nc les cas où cette application est légitime, et qu'elle en sera la
forme
? Sur l'appréciation des cas, les opinions vari
exclusivement à la dose simplement hypnotique, et seulement sous la
forme
de bromures ou d'une petite quantité d'alcool.
92 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. l'huile de sésame. Elle existe sous deux
formes
de concentration différente, à 10 et à 33 1/3 p
plus que dans le liquide céphalo-rachidien normal. Tremblement à
forme
de sclérose en plaques occasionné par une ostéo
u des sugges- tions que lui faisaient inconsciemment, sous diverses
formes
, 1 en- tourage elles visiteurs. Au réveil, elle
névropathiques de l'écriture; ainsi lacrampe des écrivains est une
forme
de bégaiement graphique, avec cette différence qu
choses aiguës sont portées aux récidives et la différence entre les
formes
périodiques et les formes récidivantes ne peut
aux récidives et la différence entre les formes périodiques et les
formes
récidivantes ne peut pas encore être bien institu
quées et que entre ces deux groupes de maladie sont pos- sibles des
formes
transitoires. ' Bra, voir Arch. cle \'eur., 190
.-N. BFRNSTPIN ne peut pas être d'accord concernant l'existence des
formes
transitoires entre la démence précoce et la folie
aturé encore tout raisonnement sur l'influence du patronage sur les
formes
morbides isolées, le rapporteur pense, pourtant
le ne se propage pas, en somme, toujours égale- ment sur toutes les
formes
de mémoires, et la capacité de la loca- lisatio
démence paranoïde pour ne voir dans ces trois affections que les ,
formes
d'une maladie unique, la démence précoce. Cette c
la puérilité décidées el dus propos vont en s'accentuant; c'est la
forme
simple dans laquelle les malades ne présentent
s phénomènes aigus qui ont fait diviser la démence précoce en trois
formes
selon la prédo- minance de telles ou telles man
stations morbides ; on distingue donc : une l'orme catatonique, une
forme
hébéphrénique ou déli; riante, une 1'111'nle pa
forme hébéphrénique ou déli; riante, une 1'111'nle parauoïde. La
forme
catatonique est essentiellement caractérisée par
tiques, violence*, impulsion*, fugues, tentatives de suicide. La
forme
hébéphrénique est un ensemble d'états de dépressi
caractéristiques de la catatonie : négativisme, suggeslibilité. La
forme
¡i(l1'illIo'ide est formée de conceptions déliran
e de conceptions délirantes un peu mieux systématisées que dans les
formes
délirantes, mais le plus souvent absurdes, qui
pas et prennent rapidement une expression figée et stéréotypée. La
forme
parauoïde de la démence précoce est la partie l
contem- porains n'admet pas cette manière de voir. Aucune de ces
formes
n'offre de caractères absolument tranchés : tou
s et cerlains cas cliniques peuvent même évoluer en passant par des
formes
diffé- rentes. ' Ce qui fait l'homogénéité de
iblisssement intel- lectuel plus ou moins accentué ; léger dans les
formes
frustres, on peut observer tous les intermédiai
Les guérisons peuvent s'observer quelquefois : 8 p. 100 dans les
formes
hébéphréniques, 13 p. 100 dans les formes cataton
efois : 8 p. 100 dans les formes hébéphréniques, 13 p. 100 dans les
formes
catatoniques d après Iiraepelin. Mais il faut ê
l'autre à transmettre la folie à ses descendants ? Les différentes
formes
de folie diffèrent-elles les - unes des autres
mission de la folie aux filles. Si l'on recherche si les diverses
formes
de folie diffèrent entre elles au point de vue
à l'acquisition héréditaire, on pose une question qui : sous cette
forme
, est très difficile à résoudre. On sait toutefo
. On sait toutefois que, bien que l'enfant puisse présenter la même
forme
de folie que son ascendant, il n'y a là aucune
n directe, et que la diathèse vésanique peut se manifester sous des
formes
très diverses dans différentes géné- rations. Q
la paralysie géné- rale est moins héréditaire que plusieurs autres
formes
de folie, mais que l'hérédité constitue néanmoi
e à considérer le bloc des folies ordinaires, comprenant toutes les
formes
autres que celles sur lesquelles ont porté les
transmettre à ses descendants et se mani- fester chez eux sous une
forme
similaire ou connexe. Voici près de vingt ans q
omégalie, par Cestan et Hal- bers tad t, 78. Aérophagie nerveuse.
Formes
sévè- res-de l ? par Bouveret, 397. AKATHISIE
r Syphilis. - précoce nt cafa- lonie. par Séglas, 334. Un cas d.-
forme
truste Iln - précoce, par lasselon, 's;S3. La -
- et les problèmes de la psychiatrie, par Abbut, 1110, à double
forme
avec syndrome paralytique chez un aliéné attein
r Sicard et Alquier. 61. Maladie de -, contribution à 1 étude des
formes
unilatérales, par Grande, 330. Ptéparations de
thogéniedu intentionnel el du - au repos, par de Buclc, 237. - à
forme
de sclérose en plaques occasionné par unosteo-a
C symptômes (l'immobilité, par Dur 323. Un cas de - cérébrale a
forme
pavclto-paralyttqne et à évolmton fébrile, par
onstituent parleur réunion la lame des contours. La plaque supérieure
forme
plus spécialement le sommet, et l'inférieure la b
pté par la face concave de celui-ci n'est comblé qu'à l'âge adulte et
forme
, sur le bord postérieur du rocher, un trou décrit
egments du temporal, la face interne montre une partie supérieure qui
forme
le champ cérébral de l'écaillé, et une partie inf
due. La portion sous-zygomatique ou basilaire, par sa partie moyenne,
forme
la paroi supérieure du conduit auditif externe. C
econnaît presque toujours ; elle est ordinairement très apparente, et
forme
souvent une saillie assez forte, ou même très for
ïdienne. Dalla Rosas l'appelle crista retrotempo-ralis, parce qu elle
forme
la limite postérieure de la surface d'insertion d
lui a donné le nom d'apophyse mastoïde de y.arcoç, mamelle, et eioç,
forme
. Tout autre est l'aspect que présente cette rég
mme. Chez quelques rongeurs, comme le myocastor coypus, cette surface
forme
une apophyse étroite et effilée, parallèle à l'ap
appartenant à un homme âgé de 5o à 60 ans, elle se présentait sous la
forme
d'une colonne osseuse qui se dirigeait obliquemen
ncrure pariétale, jusqu'au bord antéro-externe de l'apophyse, où elle
forme
quelquefois une couche sensible à travers les tég
de fente. L'orifice endocrânien du canal de la veine émissaire, de
forme
oblique et presque toujours unique, se trouve sit
use, k la face exocrânienne du rocher par sa portion inférieure. Elle
forme
, avec la paroi supérieure du conduit, un angle di
e de l'apophyse. A son extrémité supérieure, on trouve une saillie en
forme
d'épine ou de crête curviligne, plus ou moins app
e volume variable, présentant tantôt la l'orme d'une crête, tantôt la
forme
d'une bulle : nous l'avons nommée crête ou bulle
astoïdienne. Face interne. — Elle regarde en haut et en arrière, et
forme
avec la paroi postérieure du rocher, l'angle pétr
té de la cavité crânienne. De même que l'apophyse, l'antre offre la
forme
d'un cône renversé et aplati transversalement. Il
aux cellules apicales et sinuso-digastriques. La paroi antéro-externe
forme
avec la corticale prémastoïdienne un angle aigu o
. Sa paroi supérieure, très mince, fait suite à celle de l'attiquc et
forme
avec elle le tegmen tympani. Sa paroi interne, in
t dans une petite cavité pleine de pus, située dans la rainure. Cette
forme
anormale de mastoïdite ne pouvait être qu'un empy
l'apophyse est pneumatique. L'infection partielle comprend plusieurs
formes
, en rapport avec la distribution et l'importance
dement d'avant en arrière. Sur la planche VIII, on peut voir que la
forme
et les dimensions de cette zone présentent de gra
S /,. — PORTION PÉTREUSE : ROCHER : PÉTROSAL Le rocher affecte la
forme
d'une pyramide quadrangulaire ayant deux faces en
x côtés, 1.4 fois sur cent. iVu-dessus du foramen, le bord postérieur
forme
ïauvent jugulaire. La face endocrânienne antéri
rne. La face exocrânienne antérieure, que nous décrirons plus loin,
forme
la paroi interne de la caisse et celle de la gout
ale. Le sommet du canal soulève la paroi antérieure de la pyramide et
forme
ainsi Veminentia arcuata; il est séparé de la fos
our de spire du limaçon, en rapport en haut avec le canal de Fallope,
forme
sur la paroi interne de la caisse la saillie du p
e. Le siège et la nature de ces complications diffèrent avec chaque
forme
de labyrinthite. Complications endocrâniennes d
auditif externe. Chez beaucoup de mammifères, il se présente sous la
forme
d'un cylindre complet ou fendu, dont l'axe est dr
que. On voit donc, par ce rapide exposé d'anatomie comparée, que la
forme
, le développement et les connexions de la bulle t
ne suture importante entre l'anneau tympanique et la lame osseuse qui
forme
le plancher de la caisse du tympan et la paroi ex
us de la trompe d'Eustache, se trouve une surface, rugueuse aussi, de
forme
quadrilatérale, et reliée au segment postérieur p
De par l'anatomie comparée, on doit considérer ce segment osseux qui
forme
la paroi externe de la fosse jugulaire et du cana
droit. La compression de la veine jugulaire interne droite modifie la
forme
de la saillie et le reflet lumineux. Stygmates ra
énéralement que la première fente viscérale ou fente hyo-mandibulaire
forme
par son extrémité antérieure la trompe d'Eustache
niques du fœtus sont comblés par du tissu conjonctif embryonnaire qui
forme
comme un coussinet autour de la chaîne, et dispar
ique soit à un tambour, soit à une lentille biconcave. Selon nous, sa
forme
rap-pelerait plutôt une pyramide triangulaire don
ée de la saillie du canal de Fallope. Le canal du muscle du marteau
forme
, au-dessous et en avant du promontoire, un relief
i, relie le promontoire à la pyramide. L'inférieure, moins constante,
forme
le subiculum promontorii. Elle part aussi du prom
mprend les deux tiers inférieurs de la paroi externe de la caisse. De
forme
elliptique, elle mesure verticalement 10*11 milli
llement aujourd'hui sous le nom de membrane de Shrapnell. Elle est de
forme
triangulaire, à sommet coïncidant avec l'apophyse
uit, sous un angle d'autant plus aigu que le sujet est plus jeune, et
forme
ainsi le sinus de Meyer où viennent se loger les
e à apercevoir et à examiner par suite de la saillie en dos d'âne que
forme
la paroi antérieure du conduit. A l'extrémité du
met du triangle ou cône lumineux, dont les variations d'étendue et de
forme
sont dépourvues de signification séméiologique.
e temporaire ou définitive par épidermisation des bords. Le siège, la
forme
, l'étendue et le nombre des perforations sont ass
de l'aile interne de l'apophyse ptérygoïde. L'orifice pharyngien, de
forme
ovalaire, est limité en arrière par la saillie du
ces postérieure et interne de la tête de l'osselet. Elle présente une
forme
elliptique, étranglée en son milieu, à grand axe
e tête. La base ou platine, placée dans le plan sagittal, présente la
forme
d'une sandale avec un bord supérieur convexe, un
tercrurale, comblé à l'état frais par un repli muqueux. La tête, de
forme
variable, est séparée des branches par un étrangl
malléaire. Le ligament externe du marteau, disposé horizontalement en
forme
d'éventail entre le col du marteau et le rebord d
inflammation du segment supérieur constitue l'otite épi tympanique, —
forme
grave qui se traduit cliniquement par la symptoma
) et l'extrémité ampullaire du canal demi-circulaire horizontal, et y
forme
, par inflexion brusque en arrière, le coude du gé
ales les grandes cellules du noyau bulbo-protubérantiel. Ce dernier
forme
une colonne grise, étendue en hauteur depuis le t
rou stylo-mastoïdien et le canal de Fallope. Cette agénésie du rocher
forme
le substratum anatomo-pathologique de la paralysi
et le ventre postérieur du muscle digastrique. Il se présente sous la
forme
d'un cordon de i millimètres d'épaisseur, enfoui
re dans le lac dérivatif antérieur » (i). Le coude du sinus latéral
forme
un angle ouvert en bas et en arrière, d'autant pl
sinus latéral devient horizontal, se moule sur la fosse jugulaire et
forme
ainsi le golfe ou bulbe de la veine jugulaire.
ipital postérieur. — Il relie les deux extrémités du sinus latéral et
forme
ainsi, selon l'expression de Gruveilhier, la cord
eux péripharyngien, qui reçoit le sang venant du plexus sous-muqueux,
forme
plusieurs troncs qui se déversent dans la jugulai
iques. s) Tronc thyro-linguo-facial. — Le tronc thyro-linguo-facial
forme
une ampoule au-dessus du bord supérieur du cartil
ultiples encéphaliques d'origine septico-pyohémique. On décrit deux
formes
de pyobémie otitique, l'une avec thrombo-sinusite
on oblitérante. Il est possible de différencier cliniquement ces deux
formes
de septico-pyohémie d'origine otitique. La premiè
La dure-mère tapisse toute la surface endocrânienne du temporal et
forme
, autour des orifices osseux, de véritables canaux
rotique la rend inextensible. Par dédoublement de ses feuillets, elle
forme
les sinus sigmoïde et pétreux, la cavité de Mecke
Macewen. Le feuillet viscéral de l'arachnoïde, relié à la pie-mère,
forme
la lepto-méninge ou méninge molle des anciens ana
tMahu.) Le processus lepto-méningitique revêt quelquefois une autre
forme
, qu'on décrit, depuis Quincke, sous le nom de mén
ccipital, le lobe temporal repose sur l'étage moyen du crâne. Il a la
forme
d'une pyramide triangulaire, dont l'axe serait ho
Des trois bords, le premier est supéro-externe ; le second, interne,
forme
le sillon de l'hippocampe; le troisième, inféro-e
pital. —Il occupe la partie postérieure de l'étage moyen du crâne. Sa
forme
est triangulaire, avec un sommet postérieur nommé
tion postéro-inférieure du sillon interpariétal; le segment antérieur
forme
le gyrus supra-marginalis; le segment postérieur,
ale de l'audition part du noyau ventral ou antérieur de l'acoustique,
forme
le corps trapézoïde, entre en connexion avec l'ol
e l'objet : c'est l'audition verbale. « Il est prouvé que ces trois
formes
de l'audition sont bien distinctes les unes des a
(G. Ballet.) Cet exemple peut aussi servir pour l'analyse des trois
formes
de la vision. Centre de l'audition verbale. — L
ecours seul de la vue. L'aphasie et l'amnésie topographiques sont des
formes
de la cécité psychique. Les malades qui en sont a
us les modes du langage altérés. » (( En d'autres termes, jamais de
forme
pure d'aphasie avec une lésion de la zone du lang
sent plus tôt que toutes les autres du lobe temporal (Flechsig); elle
forme
aussi partie du segment sous-lenticulaire de la c
, voies d'association courte ; h) Le faisceau occipito-frontai, qui
forme
le tapetum (Déjerine) au niveau du prolongement o
dehors. Examinée sur une coupe frontale, cette zone apparaît sous la
forme
d'un sablier. Le segment inférieur comprend la tr
e de l'écorce. Aphasie sensorielle sous-corticale.— Les différentes
formes
d'aphasies, qu'on observe durant l'évolution d'un
d'abcès otitique du lobe temporal gauche dans lesquels existait cette
forme
d'aphasie acoustico-optique. » (Oppenheim.) On
les oiseaux, celle aussi qui apparaît la première chez l'embryon. Il
forme
, sur la face supérieure du cervelet, une saillie
au, et, au centres des hémisphères, une zone de substance blanche, de
forme
plus ou moins triangulaire, et dont les prolongem
l'épaisseur des lobes, lobules, lames et lamelles. Cette disposition
forme
l'Arbre de vie des anciens anatomistes. Au sein d
elleuse ou corps dentelé. Au niveau du vermis, la substance blanche
forme
la commissure, réduite à l'état de simple tractus
e moitié latérale et l'extirpation totale de l'organe. Il admit trois
formes
d'altérations de la motilité dérivant de l'insuff
ilement dissociables, ne seraient, suivant toute apparence, que trois
formes
d'un même processus. On peut cependant les mettre
a VIIe paires et l'hémiplégie croisée. Vertige. — D'intensité et de
forme
variables, le vertige se produit dans la position
encéphalique soit situé plus en dedans encore, en plein lobule lu sii
forme
. Quel est le meilleur de ces trois procédés?
ille. Paris 1900. Ballet (G.), Le langage intérieur et les diverses
formes
d'aphasie. Paris, 1888. Barbarin (P.), Les comp
t de la moelle. Paris, 1900. Bernard, De l'aphasie et de ses diverses
formes
. Paris, i885. Bellin (M.), Etude sur l'anatomie
es de laryngologie. Paris, [903. Garnault (P.), Peut-on tirer de la
forme
du crâne des conclusions sur les dispositions ana
mpan, la fosse jugulaire et le limaçon, dont le premier tour de spire
forme
le relief du promontoire. La paroi supérieure du
oi postérieure du conduit auditif externe, réséquée en grande partie,
forme
l'éperon du facial. L'œil peut explorer la paroi
e jamais sans le système nerveux, et l'on attribue aux différences de
forme
, de volume et de texture des parties qui composen
agrandissait le champ de l'étude. Au lieu de faire de la maladie une
forme
complètement exceptionnelle, l'auteur, François L
e la santé, où l'on retrouve, la plupart du temps, les tendances, les
formes
particulières, l'exagération, et jusqu'aux nuance
rbuch derNaturph'dosoplùe, 2e edit., Jcua, i83r, in-8, p. 256* 1.
forme
qui constitue les premiers rudimens des animaux s
és, et qui ont la plus grande ressemblance pour leur position et leur
forme
, avec ceux de l'es cargol. Mais ces ganglions ne
. L'escargot a cinq ganglions et quarante*et-un nerf (l). Malgré la
forme
spirée de l'animal, les parties centrales de son
microscope. J'ai dit que la réunion des leux ganglions céphaliques
forme
la partie supérieure de l'anneau, j'ai essayé de
nerveux, réservant le nom de matière médullaire pour la substance qui
forme
les parois des tubes articulés et celles des tube
a plupart, et l'on peut alors mesurer leur diamètre et apprécier leur
forme
. Ils ne sont pas aplatis comme les molécules sang
ui se répandent aux organes de la vie végétative, sont toutes de même
forme
et de même nature *• les globules nerveux, qui re
mollusques n'a, dans son organisation, rien qui ressemble, quant à la
forme
, au cerveau, au cervelet ou à la moelle rachidien
es, plus préoccupés de la fonction assignée aux ganglions que de leur
forme
, n'ont pas hésité à donner le nom de cerveau, à c
nions différentes, dont j'examinerai les principales. L'analogie de
forme
ne doit pas, ce me semble, être prise en grande c
uvent , suivant les espèces d'animaux où on les observe, affecter des
formes
très différentes ; l'estomac d'un gallinacé est t
ganes, ne serait pas reconnaissable de l'homme à la chauve-souris. La
forme
ne peut donc être prise que comme un des élémens
essemblera le plus? Mais aucune ne lui ressemble, au moins quant à la
forme
; cherchons donc un autre moyen de nous diriger. L
ls vont s'unir, représentent la moelle ra-chidienne des vertébrés. La
forme
de ces parties est, à la vérité, fort différent
ne s'arrêtait pas, comme nous avons vu que l'a fait M. Serres, à une
forme
organique déterminée, et il avait grandement rais
ement raison ; car, dans la question dont il s'agit, ce n'est pas une
forme
que l'on veut trouver, mais un organe remplissant
érébro-rachidien, il tient par sa structure, par ses usages et par sa
forme
, du système cérébro-spinal et du système ganglion
dhèrent ensemble tant que dure leur vie. Les botrylles sont réunis en
forme
d'étoile ; si l'on pique un des rayons de l'étoil
sa liqueur noire pour se cacher ; on la voit sortir du nuage qu'elle
forme
et y rentrer. Elle attrape les poissons à l'aide
maçons, à l'époque ou la chaleur du printemps les a dégourdis , il se
forme
une double sécrétion, l'une dans l'ovaire, l'autr
il est, on le voit clairement, le résultat d'une idée préconçue. La
forme
du ganglion céphalique, tel qu'il a été décrit pa
nsitions successives qu'éprouve la matière nerveuse pour passer de la
forme
de ganglions isolés à la double chaîne ganglionai
uement de deux ganglions ou renflemens noueux, dissemblables par leur
forme
, leur volume et leur disposition , mais toujours
écrevisse et le homard. Le ganglion céphalique de l'écrevisse a une
forme
quadrilatère , il est surmonté de deux tubercules
els sont aussi les alimes et quelques autres. (1) 4° Arachnides. La
forme
d'un animal indique assez bien la disposition de
ganes manduca-toires et les organes des sens; la masse thoracique, de
forme
rayonnée, envoie, par chacun de ses rayons, des n
ivé pour les monstres en est un exemple bien remarquable ; toutes ces
formes
singulières et en apparence capricieuses que prés
c terrestre. 5. Les crustacés présentent une grande variété dans la
forme
de leur système nerveux ; on y retrouve l'analogu
uption. J'ai dit que la moelle se renfle de distance en distance et
forme
là une espèce de ganglion. En dehors de ce renfle
terre et la sangsue ne sont pas de tout point semblables, quant à la
forme
et quant à la structure de leur système nerveux.
distance en distance sur le trajet des cordons. Ces ganglions sont de
forme
lenticulaire, et en les examinant au microscope,
r, de les isoler, ce qui m'a empêché d'en connaître le diamètre. La
forme
des organes médullaires de l'écrevisse diffère de
onsidérable que tous les autres ganglions du même animal, n'a pas une
forme
assez régulière pour que j'aie pu le mesurer, et
faiblement, les cordons médullaires ; mais pour en bien connaître la
forme
et la disposition , pour apercevoir les nerfs , i
mieux compris que Gall avait raison, s'il s'était moins attaché à la
forme
et plus à la structure. La forme des ganglions es
son, s'il s'était moins attaché à la forme et plus à la structure. La
forme
des ganglions est très variable, chez la sangsue
nflemens. Quand ce dernier cas se présente, la matière globuleuse qui
forme
la substance caractéristique des ganglions, au li
t, s'ils combinent, s'ils réfléchissent, que faisons-nous de plus? La
forme
... est-ce par là seulement que l'homme diffère de
sformation. c Au commencement du monde, dit Leibnitz , Dieu a créé la
forme
de tous les corps et par conséquent toutes les âm
sse, l'abdomen soutenu par une bulle d'air qui l'environne ; elle s'y
forme
une coque qu'elle remplit d'air et qu'elle tapiss
temps plus ou moins long, et ressemblent aux annelides autant par la
forme
du corps que par leurs facultés instinctives. Ces
our éprouver notre sagacité, cet observateur ne nous décrivait pas la
forme
des abeilles et nous taisait également certaines
tilagineux; le cervelet est parfois réduit à une exiguïté extrême, il
forme
alors une simple lame placée en travers de la moe
n'existent pas constamment, et quand ils existent, ils affectent des
formes
très différentes ainsi qu'on peut le voir (pl. 11
l'endroit correspondant du cerveau de l'homme, où à la vérité elle ne
forme
aucune saillie; mais où elle donne comme chez les
saurait obtenir la mesure des diamètres de l'encéphale, parce que la
forme
de cet organe est trop irrégulière pour ne pas of
le plus large, ou le plus étroit, ou celui qui est intermédiaire? La
forme
des nerfs varie à l'infini, il en est de circulai
angulaires, d'aplatis, de coniques, etc., et presque tous changent de
forme
comme de dimension dans les différens points de l
ucteur.......1 à 1,161,955 Je ne parle pas des autres nerfs dont la
forme
est trop irrégulière pour que j'aie pu les mesure
cette différence quand je parlerai de la structure de la moelle. La
forme
de la moelle de l'anguille diffère de celle des a
us tard. Les poissons conserveraient d'une manière permanente une des
formes
transitoires de l'homme ; les reptiles, une forme
permanente une des formes transitoires de l'homme ; les reptiles, une
forme
également transitoire, mais plus avancée, et ains
des parties organisées est celluleuse, les corpuscules nerveux ont la
forme
des cellules où ils sont logés : d'où il suit que
ue la structure du cerveau ne diffère pas essentiellement, quant à sa
forme
, de la structure des muscles ; mais qu'elle en di
s ; mais qu'elle en diffère seulement par la substance remplissant la
forme
(substantia formam implente) (1). » L'objection q
écouvrent, ne diffèrent pas entre eux quant aux apparences, quant aux
formes
de la substance nerveuse, tandis que les frères W
ce qu'il a annoncé. Des débris de substance cérébrale, affectant des
formes
très irrégulières, quelques globules elliptiques
e elles; les intervalles qui séparent les nodosités sont inégaux ; la
forme
des nodosités ou globules diffèrent les uns des a
forme des nodosités ou globules diffèrent les uns des autres, pour la
forme
et pour le volume. (.(.Forma magno-pere varians,
encore, en appuyant cette vérité sur des observations nouvelles, qui
forme
la base de tout ce système. 1. Structure de la
invertébrés; mais il n'a pour étayer cette opinion qu'une analogie de
forme
, et encore une analogie fort éloignée. On a déjà
ontradiction. Et c'est en effet ce qui a lieu, car la substance grise
forme
en quelque sorte les parois du canal. A cette occ
secondaire de son existence; ce qui la distingue réellement, c'est sa
forme
granulée mise en opposition avec la forme constam
tingue réellement, c'est sa forme granulée mise en opposition avec la
forme
constamment fibreuse de la substance blanche. Mai
e des poissons se compose de quatre faisceaux fibreux dont la réunion
forme
un canal situé dans l'intérieur de cet organe. A
enne, est double de chaque côté, c'est-à-dire qu'elle a à-peu-près la
forme
d'un X ; l'une de ses extrémités, la supérieure,
qui marchent parallèlement les uns aux autres ; c'est sous une autre
forme
, ce que j'ai indiqué pour les lames optiques. L
resseur et je vois avancer les taches blanches qui sortent du tube en
forme
(i) Op. cît,y p. 62. de gouttelettes huileuse
pleins sont blancs ; les autres un peu sombres, mais conservant leur
forme
rectiligne et leur diamètre. Je vois une fibre du
ne sont pas simplement huileux. Dans le tube, ils n'affectent aucune
forme
régulière ; ils en occupent toujours le diamètre
appa rence fibreuse, en raison de la ténuité de la membrane qui les
forme
. Lorsque le fluide qui les remplit a un peu de co
gros: c'est le cas des harengs : un poisson tellement bizarre dans sa
forme
qu'il a servi de type à la chimère des anciens, s
es qui voltigent au-dessus de l'eau ; à l'aide de leur museau dont la
forme
est allongée, ils lancent de l'eau sur ces insect
ubstance encéphalique, et si chaque faculté spéciale correspond à une
forme
déterminée d'une portion quelconque de cette subs
lés ; mais l'impossibilité de faire une appréciation rigoureuse de la
forme
et du volume du ganglion céphalique, chez la plup
oyez planche 11), ils sont aussi éloignés l'un de l'autre,cniant à la
forme
, qu'un encéphale de poisson puisse être éloigné d
séquence à tirer de ces faits, c'est qu'il ne faut pas attribuer à la
forme
qu'affecte la substance nerveuse encéphalique, un
ubstance cérébrale, c'est s'exposer à de nombreux mécomptes. Avec des
formes
très simples, le système nerveux des insectes don
de ces animaux sont en effet très analogues, pourtant il y a dans la
forme
du système nerveux cé-phalique des uns et des aut
acial et mettrait au-dessus d'eux la stupide morue. RÉSUMÉ. t. La
forme
de l'encéphale des poissons ne correspond pas ave
manquent pas d'intérêt, méritent de fixer ici notre attention. Si les
formes
du système nerveux cérébro-spinal des reptiles so
même de sa structure, et sans l'étude de la structure, l'étude de la
forme
est souvent stérile. C'est par l'étude de la comp
ne, quels liens unissent entre elles les différentes parties dont les
formes
extérieures frappent nosveux. Les objets que no
lamandre terrestre, la couleuvre, le meno-branchus, l'amphisbène ; il
forme
au contraire chez la tortue une masse globuleuse
celui de la plupart des autres reptiles et fort semblable, quant à la
forme
, au cervelet allongé de la morue et du rouget :
, si la différence dans le choix de leur habitation coïncide avec une
forme
particulière de leur cerveau. En attendant, dison
plus développé chez le ménopoma (7), le crocodile, le boa (8), où il
forme
un véritable ganglion, mais toujours d'un petit v
ucoup la partie la plus considérable de l'encéphale des reptiles ; la
forme
de cet organe varie, il est ovoïde chez quelques-
e est le même pour chacun d'eux; le mode d'exécution varie suivant la
forme
des instrumens qui exécutent. L'assertion de Ga
d'un cerveau large comme d'un cerveau étroit. Mais la différence de
forme
de ces cerveaux, d'où provient-elle? Est-ce, comm
'est un organe sous-jacent, c'est le corps strié dont le volume et la
forme
ne sont pas les mêmes dans tous les reptiles , et
it dans cette classe d'animaux que dans aucun autre vertébré. 2. La
forme
générale du cerveau est sensiblement la même chez
férence dans l'épaisseur de la lame cérébrale, mais au volume et à la
forme
du corps strié sous-jacent à cette membrane. CH
ion est abordable, c'est l'examen des conditions de développement, de
forme
et de structure du système nerveux qui coïncident
nences qui donnent naissance aux nerfs optiques. Fr. Franke décrit la
forme
du cerveau: ce Les oies, dit-il, ont le cerveau d
ke décrit la forme du cerveau: ce Les oies, dit-il, ont le cerveau de
forme
pyramidale, tandis que les gallinacés, les corbea
e, tandis que les gallinacés, les corbeaux et les passereaux l'ont de
forme
ovalaire. » Il trouve chez eux l'analogue de la v
anouissement des cordons fulcraux de la moelle, lequel épanouissement
forme
une sorte d'enveloppe, de calotte à dès organes s
dans aucun reptile ni dans aucun poisson ; leur face inférieure , qui
forme
en partie la base du cerveau, un peu concave et e
e portion de matière grise que l'on voit à la base du cerveau sous la
forme
d'un mamelon placé en arrière de la commissure de
r, chez les oiseaux, se continue à la face inférieure du cervelet, et
forme
là une luette aussi bien développée comparativeme
endant pas susceptible d'une grande exactitude en raison de ce que la
forme
de l'encéphale étant très irrégulière, on ne pe
mensions du cervelet en hauteur et en largeur ; mais cet organe a une
forme
si irrégulière, que ses dimensions donneraient de
nière; une valvule de Vieussens et en arrière, le nerf pathétique qui
forme
là une autre commissure ayant la forme d'un cordo
rrière, le nerf pathétique qui forme là une autre commissure ayant la
forme
d'un cordon arrondi, placé au travers de la moell
petit diamètre. La substance blanche, recouvrant la substance grise,
forme
à la moelle une sorte d'enveloppe divisée par les
il y aussi de la substance grise, mais elle y est disséminée, et n'y
forme
pas de ganglion ou d'amas analogue au corps oliva
fans aux géniteurs. Que les oiseaux paraissent, et la grâce de leur
forme
, l'éclat de leur plumage, la vivacité de leurs mo
i fine que just», à en juger par la nature et l'harmonie des sons que
forme
leur gosier. Plusieurs s'effraient du moindre bru
le. Les nids varient non-seulement par leur position, mais par leur
forme
, leur structure, et la qualité des matériaux dont
savent cela, se cachent quelquefois dans une espèce de boîte qui a la
forme
d'un animal paisible, la vache, par exemple, et i
de l'encéphale ou à son volume relatif, j'arrive à ce qui concerne la
forme
de cet organe. Je n'ai pas à parler ici de la for
e qui concerne la forme de cet organe. Je n'ai pas à parler ici de la
forme
de la moelle épinière, ni de celle des lobes opti
ls. Quant au cervelet, je n'ai pas non plus à en parler, parce que sa
forme
ne diffère pas sensiblement dans les diverses fam
n sexe à l'autre, les crânes diffèrent quelquefois tellement par leur
forme
, qu'on en trouve dans certaines collections, qui
un fait qui n'est pas en rapport avec l'opinion qu'il a émise, sur la
forme
du cerveau des femelles d'oiseaux, comparée à cel
on; ce sont des crânes qu'il décrit, et encore n'en donne-t-il que la
forme
extérieure. Si la doctrine de Gall est vraie sur
uels sont les vaisseaux qui les parcourent. Lè volume relatif et la
forme
de la tuasse cérébrale des oi- (r) Si l'ôfgane
nombre que chez l'homme, et chez le chat, par exemple, elles ont une
forme
particulière (2). Il ajoute ailleurs : « Les anfr
une ellipse; c'est la seule circonvolution à laquelle il attribue une
forme
régulière. (2) L'observation de Willis et celle
. Journal complément., t. iV. Paris, 1819, p. 117- * opposé, par la
forme
, la direction, les rapports, le siège, la longueu
complète. Aussi M. Tiedemann n'a-t-il pas même tenté d'en indiquer la
forme
ou l'arrangement. En donnant des dessins exacts,
avec un peu d'attention, que celles-ci présentent des différences de
forme
et de volume assez prononcées; il est digne de re
circonvolutions des animaux, il ajoute : « Chez les quadrumanes , la
forme
du cerveau présente , en masse, assez de rapport
lions : mais il s'en faut de beaucoup que l'étendue, le nombre et la
forme
de celles-ci soient identiques chez eux. On trouv
, au contraire, des différences étonnantes de nombre, de volume et de
forme
(1). Toute la famille des herbivores, le bœuf, la
'avant en arrière ; c'est la scissure de Sylvius. Un corps arrondi PA
forme
, en se recourbant, le sillon dont il s'agit; ce c
rnière circonvolution I, dont on voit une partie seulement, celle qui
forme
le lobe d'hippocampe, dans la figure 2, et dont l
autres grands chats. En haut et en arrière, la seconde circonvolution
forme
presque un angle aigu, conformation qui existe dé
ernes. La circonvolution interne, celle dont l'extrémité inférieure
forme
la saillie ou lobe d'hippocampe, arrivée au nivea
qu'on ne rencontre pas constamment, et qui varie beaucoup quant à sa
forme
et à son volume, se trouve entre la troisième et
s externes, l'une sus-orbitaire et la cinquième interne. La civette
forme
une transition très naturelle et très facile à sa
e leur étendue: dans la civette, au contraire, la première, celle qui
forme
la scissure de Sylvius, distincte en arrière de l
amille des renards, ne l'est jamais dans celle des ours. La genette
forme
une transition entre le cerveau de la civette, et
ntre combien il faut être en garde contre les inductions tirées de la
forme
du crâne, quand il s'agit de déterminer le dévelo
e de V. La circonvolution qui se trouve en avant de ce sillon, et qui
forme
la pointe antérieure du cerveau, n'est autre qu'u
nguroo et l'oryctérope du Cap, se trouvent réunis par le nombre et la
forme
de leurs circonvolutions. Deux circonvolutions di
rveau du lapin. 9e groupe. Le cerveau de la famille des moutons qui
forme
le 9e groupe, n'a en réalité que quatre circonvol
mais elles ont de nombreuses divisions, quelques dépressions, et la
forme
en est très ondulée. C'est un grossissement, une
ar le volume. Enfin, une dernière circonvolution, celle qui, par sa
forme
, est propre aux cochons, se trouve à la partie ex
de cet organe, et se dirige d'avant en arriéré. La circonvolution AP
forme
cette scissure, et n'a pas la régularité de celle
de la saillie d'hippocampe , se porte en arrière sur le cervelet, et
forme
là un large épanouissement, analogue à celui dont
I, fig. 13), sous-divisée un grand nombre de fois, (1 A, 1 P, fig. 3)
forme
une sorte de frange qui semblerait fixée au fond
II P., III P., pl. xiv et IV P., pl. xm), très volumineuses, dont la
forme
rappelle celles de la baleine et même celles du c
observation quelque peu attentive dissipe bientôt cette illusion. La
forme
générale du cerveau du singe, son développement e
baleine, considérées sous ces différens rapports, descendent vers la
forme
du cerveau des autres mammifères. Le singe alro
n bas, tout à côté du nerf optique (I, fig. 3, et I, fig. 5), sous la
forme
du lobe d'hippocampe. Ce lobe ne va pas seulement
enlaire, toutes les circonvolutions des vrais singes. Le nombre, la
forme
, l'arrangement, les rapports des circonvolutions
a un type qui lui est propre, et ce type est surtout manifesté par la
forme
des circonvolutions. Chez les renards, des divisi
t bien tranchées ; chez les chats moins de divisions, mais encore des
formes
bien arrêtées et très simples; dans la famille de
dans la famille des ours et des martres, une tendance vers une aulre
forme
, conservaiion intacte de quelques circonvolutions
il, le cochon, lephoque, la baleine; puislout-à-coup une addition aux
formes
générales, des circonvolutions nouvelles pour l'é
-t-il des degrés intermédiaires entre tous les cerveaux? Y a-1 il des
formes
de cerveau différentes de celles que j'ai décrite
moins pour recouvrir le cervelet. Dans la généralité des cas, il a la
forme
d'un C dont la convexité est en haut et en dehors
la plus inférieure, elle a quelques di-gitations très faibles, et une
forme
déjà apercevable, chez les petits animaux, et trè
ie supérieure de chacun des lobes cérébraux, elle se présente sous la
forme
d'un corps allongé d'avant en arrière, el placé h
face est recouverie par la circonvolution interne. La lace inférieure
forme
la paroi supérieure des ventricules latéraux; ent
g. llC) et les piliers antérieurs de la voûte, se trouve un espace de
forme
triangulaire qui est occupé par une cloison mince
ute son étendue jusqu'au bec inférieur du ventricule latéral, sous la
forme
d'une bande désignée sous le nom de corps frange
en arrière des lobes cérébraux, ces tubercules se présentent sous la
forme
de quatre éminences solides, les antérieures gris
che. Les herbivores se rapprochent généralement du mouton, quant à la
forme
et au volume des tubercules antérieurs, et les ca
e tout-à-fait externe (3, pl. m, lapin, fig. lre) qui en raison de sa
forme
a été aussi appelé flocons, touffe lami-neuse.
a même proportion, une partie de ces fibres se trouve en saiilie et
forme
une double commissure, l'une 1res large et placée
re de crânes d'animaux, est arrivé à cette conclusion, savoir: que la
forme
des crânes, dans le règne animal, est liée à des
que chez les oiseaux, ce qui lient sans doute à la grande variété de
forme
du cerveau des mammifères, qui semblerait n'être
p. i,u), et M. Bouvier l'a reproduite en 18Î9, dans un Mémoire sur la
forme
générale du crdne dans ses rapports arec le dé~ v
singe, par les tubercules quadrijumeaux, il lui est égal, mais par la
forme
générale du cerveau, la longueur de son diamètre
emblance chez tous les mammifères quant à leur nombre et quant à leur
forme
; les différences les plus notables qui s'y trouve
chien marron. « Ils lui ressemblent beaucoup, dit F. Cuvier, par les
formes
générales et par la délicatesse des sens ; mais l
que l'on ne retrouve plus chez les chiens habitans des villes. Les
formes
du chien, son organisation se modifient d'une man
e l'église St-Gervais en contiennent par milliers. Ces combles ont la
forme
de l'église ; c'est-à-dire qu'ils sont disposés e
me nourriture, même moyen de se défendre, même habitation Le pangolin
forme
, par son organisation el le lest écailleux dont
tire dans des terriers communiquant à des marais pleins d'eau-, il se
forme
aussi un nid sur les roseaux, avec des débris de
t très artistement construite, elle est faite de joncs entrelacés, sa
forme
est celle d'un dôme, et, à l'intérieur, elle est
ent du piège; ils viennent constamment se faire prendre sans qu'il se
forme
d'association dans leur esprit entre le collier e
Comme les phrénologistes sont d'ordinaire assez peu au courant de la
forme
du cerveau des animaux, il m'est arrivé d'en fair
u résultat qui en découle? Ensuite, je leur montrais un cerveau d'une
forme
analogue à celui du loup, mais encore plus élargi
de la circonspection, de la même manière que les grands généraux! La
forme
du cerveau du serpent boa, du python et de la plu
des lézards et des crocodiles, et n'a pas le moindre rapport avec la
forme
du cerveau des chefs d'armée. « La loutre et la
t négligé l'étude du cerveau, et s'étaient arrêtés à considérer les
formes
de l'enveloppe de cet organe. 9° On a entendu d
rieur du cerveau qui est en effet très marqué chez le castor (3), une
forme
analogue à celle du cerveau du castor devra se re
aut et en avant de la tête, correspondant et pour le lieu, et pour la
forme
à la circonvolution dont une sinuosité circonscri
seul pour lui dérober l'invention de son système phrénologique. La
forme
du crâne, et particulièrement l'étendue proportio
t le cervelet chez quelques mammifères, qui ne se révèlent pas par la
forme
du crâne, parce qu'il y a entre elles et le crâne
ous ici? Il semble que nous soyons sur le point de la découvrir. La
forme
générale des circonvolutions divise les cerveaux
les instincts et les facultés intellectuelles étaient inhérens à une
forme
déterminée du cerveau, à une disposition particul
s voyons que l'avantage est tout entier du côté des premiers. Pour la
forme
générale, pour le nombre et l'étendue des sous-di
la modifient, ou à l'aide desquelles elle se manifeste en prenant des
formes
variées, n'aurais-je pas maintenant à déduire des
l'étude de l'encéphale? Trouverons-nous dans les modifications de la
forme
et de la structure du cerveau, la cause qui fait
les mammifères intelligens ne sont pas dans ce cas. 24. II y a des
formes
de circonvolutions qui n'appartiennent qu'aux mam
tions cérébrales. 25. On trouve des cerveaux très différens pour la
forme
, chez des animaux semblables pour les mœurs. 26
. 28. Ni la présence des circonvolutions, ni leur nombre, ni leur
forme
, ne révèlent d'une manière absolue, le nombre et
'une part, on a le delirium tremens et ses variétés, de l'autre des
formes
quelconques d'aliénation née9.à{l'occasion)d'ex
égitim es,Len, tji qrie ? t,,q peut j\ voirruneofolié urémique 'de
forme
£ banate,,se.compliq9F.e,, délire toxique3 on j
igu ;,elle a ? olué, nettement dan.losens)y ? q confusion mentale à
forme
mélancolique avec idées délirantes *,r 'iB)<
ait à elle; que le diable Asmodée prit une fois, dans le choeur, la
forme
de soeur Sainte-Colombe, et que celle-ci l'obli
rtenu à soeur Buvée, elle s'imaginait que Notre-Seigneur prenait la
forme
d'un homme* « pour commettre sur elle des actio
nt elle ne put préciser la date, le diable Asmodée lui apparut sous
forme
d'un homme de cour, aux cheveux blonds et boucl
' - A. Marie." ' >- i I : ` LÈl'RE'SYSTÉU.1TI5ÉEF NERVEUSE ' A'*
forme
SYR1NG031YÉL1QUE par ' Mli.`le Drs PITRESf·et·.
rès judicieusement Charcot, étaient trop amoureux dé l'harmonie des
formes
pour peindre l'expression de la' maladie*. Cepe
ypes, connus sous les noms de : paralysie, pseudo-hyperlro- phique,
forme
juvénile de l'atrophie musculaire deErb, atrophie
e myopathique de Landouzy-Déjerine, ne sont, en réalité que trois
formes
différentes d'unei seule, et même- affection, la
ive. , gd j,, - j3 -, i £ -.i i-t Erb lui-même avait reconnu que sa
forme
juvénile se confondait avec la paralysie pseudo
la paralysie pseudo-hypertrophique, et l'on sait maintenant que la
forme
de Erb se confond également avec le type Landouzy
linique, que ce - type 1 Landouzy-Déjeritie (atrophie myopathique à
forme
facio-scapulo-humérale) est de nature identique'a
certains muscles.' La sensi- bilité est conservée' dans toutes ses
formes
. Parfois légères contrac- tions fibrillaires'de
ection a débuté à l'âge' de sept) ans. Myopathie' progressive de la
forme
facio-scapulo-liuriiérale. 0 Faciès myopathiquë
que est pervertie. La vue est diminuée, les pupilles ; sont puncti-
formes
, pas d'atrophie papillaire. - ,'i»,i(, 4V) -0 . .
ment relatées; l'auteur tire les données cliniques suivantes -. Les
formes
les mieux caractérisées de méningo-myélites syphi
le 'des-lésions, médullaires,' est' constituée par des paralysies à
formes
diverses. La; plus "commune est la' para- plégi
ur de l'origine syphilitique de l'affec- tion. 'Il existe une autre
forme
de méningo-myélite syphilitique très grave et r
délire de persécution (paranoïa chronique) c'est-à-dire d'une des.
formes
de la folie systématique (Yerrùc6theit) ', mais
M. Schoenthal. 58 sociétés savantes. vient exclusivement sous la
forme
de grands bains, l'eau froide peut être utilisé
de psychopathies postépileptiques, et d'une façon générale dans les
formes
morbides^qui procèdent, par» de( l'hyperthermie^
naison, du début (élude de Kroepelin de 1886). " ' 11 en existe des
formes
dues à des intoxications. Le délire systématiqu
douzième jour, guérison absolue à la fin de la deuxième semaine. La
forme
subaiguë : les accidents aigus persistent une à
ion des hallu- cinations au bout de quelques années. C'est dans les
formes
subai- guës qu'interviennent les prédisposition
mari avait des faiblesses. Pour M.VALLON,X... parait atteint de la
forme
d'épilepsie connue sous le nom de petit mal. Ma
ablir si les idées d'auto-accusation étaient pathognomoniques d'une
forme
mentale particulière et j'ai constaté qu'elles
articulière et j'ai constaté qu'elles s'observaient dans toutes les
formes
. On fait, à tort, entrer ces maladies dans le gro
e première classe comprend les vésanies ou folies proprement dites (
formes
primitives). C'est d'abord la manie aiguë (forme
proprement dites (formes primitives). C'est d'abord la manie aiguë (
forme
typique) avec ses variétés, furieuse, gaie, tra
stématisés chroniques, tels que le délire des persécutions dans ses
formes
typique, méga- lomaniaque, maniaque dans la par
anormales. L'auteur fait remarquer à ce propos que plusieurs de ces
formes
d'aliénation mentale peuvent se développer dans
sont étudiées à part. La quatrième classe est constituée par les
formes
secondaires. Ce sont les folies nervosiques, in
Observation. Paralysie générale progressive à évolution lente, à
forme
démente avec lésions destructives, épaississeaneu
sibles et le corps de la cellule semble réduit à un protoplasma de
forme
arrondie ou ovalaire sans les angles tels qu'on l
savoir l'atrophie des protoplasmas cellulaires, les changements de
forme
de la cellule nerveuse qui, de triangu- laire q
qu'une manifestation du paludisme, le paludisme lui-même sous sa
forme
larvée. Ce double rôle étiologique s'exerce aussi
isme larvé est très fréquent au Caucase, et la neurasthénie t3a ? s
formes
variables qu'il revêt. Cette neurasthénie perif
s, que je tâcherai de donner un court aperçu symptomatique de celte
forme
spéciale de l'impaludisme larvé. On rencontre l
isme et constipation opiniâtre, ectopie rénale et accès névralgi-
formes
du grand sympathique abdominal. Mais il faut note
ays salubres, sans pouvoir se débarrasser de ses troubles protéi-
formes
, si leur nature reste méconnue. Etiologie. -Les
indemnes de paludisme, et où le paludisme sévit pourtant, sous ses
formes
larvées. Les troubles digestifs manquent dans l
cluses dans les hématies. Elles sont rosâtres à contours nets et de
formes
variables, le plus souvent sphériques, parfois
t les mouvements amiboïdes et souvent elles changent lentement leur
forme
, de sphériques elles prennent la forme d'un bis
es changent lentement leur forme, de sphériques elles prennent la
forme
d'un biscuit ou autre; elles se colorent par l'éo
ore assez obscure, servent à rattacher notre neurasthénie à une des
formes
si variées du paludisme; car les plasmodies non
tions qu'elles ont signées, après en avoir entendu lecture dans les
formes
de la justice. Interpelle tous les théologiens
l'indépendance relative des centres nerveux dont l'agrégat complet
forme
le substratum du moi- conscient. VII. Crétixi
erminer en disant que le visage est devenu bestial, qu'il a pris la
forme
d'un masque. Ces différents caractères de la mi
es de ce genre doivent se rapporter plus spécia- lement à certaines
formes
phychopathiques, mais la question n'est encore
titres de ce qu'on a appelé l'épilepsie syphi- litique ou mieux la
forme
épileptique de la syphilis cérébrale. Cette épi
IE MENTALE. inversions du testicule se sont montrées sous plusieurs
formes
l'inversion antérieure est la plus fréquente et
plus favorable est de trente à quarante ans. 5° 11 n'existe pas de
formes
différentes dans l'évolution clinique de la mal
dans l'un ou l'autre sexes, et il parait superflu de considérer une
forme
spéciale de la paralysie générale, dite forme f
flu de considérer une forme spéciale de la paralysie générale, dite
forme
féminine. 6° Le rôle de la syphilis dans la p
usion mentale (amentia), qui joue le rôle de symptôme soi t dans la
forme
de délire systématique connu sous le nom de Wahn-
les troubles de la sensibilité morale, représente, sous le titre de
forme
princi- pale de de la paranoïa, les affections
termédiaire des contractions musculaires provoquées et non sous la
forme
douloureuse. Il existe une contracture permanente
e grandeurs) pro- cède d'un stade préparatoire primitif revêtant la
forme
de mélan- colie ou de manie. Snell l'attaque
uffisante l'étude de la pathologie mentale déjà bien encom- brée de
formes
d'aliénation mentale non encore nettement définie
ucinations psychiques et psycho-sensorielles, sur la folie à double
forme
et surtout sur la paralysie générale, tra- vaux
devise, Falret la folie circu- laire, Baillarger la folie à double
forme
. Cette question toute nou- velle, quoique peu f
s qu'elle devait avoir, la cons- titution définitive d'une nouvelle
forme
mentale. Vous pouvez être satisfaits, chers maî
vent dans des états de confusion mentale, où il existe une certaine
forme
d'amnésie. Les malades me citent parfois les ro
, " sur la rive gauche" et qui comprend la presqu'île précitée, elle
forme
Zuà coteau boisé ;-et la partie située sur la r
ouvent des Ursulles d'Auxonne, à cet effect, monitoire octroyé à la
forme
des édicts et arrest, informations faites tant
e l'a- trophie ne se révèle par aucune modification appréciable des
formes
extérieures, il permet d'affirmer à coup sûr l'
ont, dans des proportions considérables, hantés par des angoisses à
forme
somatique qui remplacent des 214 REVUE DE PATHO
hérédo-ataxie cérébelleuse et la maladie de Friedreich existent des
formes
de transition. L'intéressante observation rap-
els groupe- ments ganglionnaires arrivent à s'emmagasiner, sous une
forme
* variée du mouvement, les images auditives ou o
lle n'en est que le premier degré. » Cette proposition qui, dans sa
forme
vague, est susceptible de plus d'une critique, se
notre esprit assiste en spectateur aux associa- tions d'idées qu'il
forme
, aux volitions qu'il élabore et à l'exécution d
rte pas à cette idée. L'absorption de notre esprit, qui est une des
formes
de la distraction, réduit au minimum la somme d
pathique, dont les membres constitutifs représentent ' les diverses
formes
de déviation qu'imprime aux organismes, de géné
a naissance le produit d'une génération viciée se manifeste par les
formes
les plus diverses d'affections nerveuses ou menta
aintes morbides, aux impulsions, enfin par une tendance à certaines
formes
de délire transitoires ou durables. ' Or, c'est
A côté de la grande attaque avec toutes ses phases, il existe des
formes
incomplètes, frustes. Parmi ces dernières, il en
ique une part exclusive ou au moins prépondérante. C'est dans ces
formes
frustes que l'on rencontrera des délires simulant
Mais cet anéantissement de la conscience ne s'observe que dans les
formes
vraiment accusées de délire. On a expliqué le d
saire d'envisager les cas dans lesquels le som- nambulisme revêt sa
forme
la plus complète. Il constitue alors un état se
gement sa description. C'est qu'en effet il n'est pas une seule des
formes
de la folie qui ne puisse s'associer à l'hystér
sont jusqu'à présent difficiles à classer. Les rattacher sans autre
forme
de procès à la dégénérescence mentale, comme le
s fréquent d'observer l'association de l'hystérie et des nombreuses
formes
de la dégénérescence mentale. On peut dire que
aintes morbides, aux impulsions, enfin par une tendance à certaines
formes
de délire transitoires ou durables ». J'avoue que
e et la dégénérescence et le sujet qui a * une tendance à certaines
formes
de délires transitoires ou durables*'me semble
sclérose latérale. De même l'hystérie doit être séparée des autres
formes
de la dégéné- rescence. 'w Ces considérations
de poser les conclusions sui- vantes : 1° L'hystérie est une des
formes
de la dégénérescence mentale ; 2" Sur ses confi
uissent être remplacées par des crises de manie qui constituent une
forme
fruste de l'attaque. Il s'agit seulement de sav
3° par la parfaite concor- . dance qui existe entre les différentes
formes
de l'expression mimi- que et les conceptions dé
que l'on trouve le plus grand café de tempérance du monde, sous la
forme
d'un hôtel de premier rang; mais c'est à Liverp
andement sur les résultats. Le monopole peut être établi sous trois
formes
distinctes qui peuvent être combinées entre ell
dement sur ses résultats. Le mo- nopole peut être établi sous trois
formes
distinctes qui peuvent être combinées entre ell
at subaigu, aigu ou suraigu;-3° enfin les aliénés dont les diverses
formes
mentales ont pu être occasionnées par des excès
s n'avez pas le droit de les interner; ils ne rentrent pas dans les
formes
habituelles, classiques de l'aliénation mentale.
pour avoir la quantité d'alcool con- sommé par chaque habitant sous
forme
d'eau-de-vie, il convient de doubler au moins l
l'appa- rition, chez les vieux tabétiques, de véritables délires à
forme
lypémaniaque ou à forme de délire de persécutio
s vieux tabétiques, de véritables délires à forme lypémaniaque ou à
forme
de délire de persécution. J'en ai rapporté plus
és en un seul faisceau, car il n'y a entre eux qu'une différence de
forme
, déterminée par leur cause occasionnelle. Le ph
que phénomène le rang qui lui revient, non pas seulement d'après sa
forme
, mais encore et surtout d'après 'son évolution.
ppe donc pas au hasard. Il faut, pour le faire naître, une certaine
forme
cérébrale qui est presque toujours donnée par l
res qui se pro- longent dans le temps, mais restent fixes dans leur
forme
, ne sont le plus souvent que la traduction d'un
e cérébrale commence à diminuer, sa personnalité exagérée revêt une
forme
nouvelle. Aux idées de persécution succèdent le
nd que celui qui est fourni par les cantons de la Beauce. Quant aux
formes
habituelles de l'aliénation, elles sont les mêm
aucune. . Pour donner l'idée de la fréquence relative des diverses
formes
psychopathiques chez les aliénés d'Eure-et-Loir
es sont dans la très grande majorité des cas représentées par leurs
formes
élémentaires, manie et mélancolie. Ainsi, sur 391
nos malades. Ainsi, il fait voir, d'une façon irréfutable, que les
formes
expan- sives et dépressives de la folie, la man
centres. Il fait voir également qu'on observe souvent les diverses
formes
de la mélancolie, surtout chez les femmes. Et à
12 femmes. Si en plus on considère que dans les pays agricoles, la
forme
démentielle de la paralysie générale est de bea
uente que dans les centres populeux, et que la paralysie générale à
forme
démentielle est soignée, non à l'asile, mais da
ation très digne fut adressée par le Procureur Général Languet sous
formes
de Remontrances faites à Sa Majesté pour protes
ion de Mgr le chancelier et leurs sentiments se sont trouvés con-
formes
à ceux de MAI. les docteurs de Sorbonme que Votre
ses ursulines parcoururent la gamme entière de l'hystérie depuis la
forme
la plus atté- nuée jusqu'à la plus sévère. L'
ême avec la méthode de Nissl, se dif- férencie nettement quant à la
forme
. P. K. XIII. Contribution A la pathologie DU no
tte communication sera publiée prochainement.) Paralysie générale A
forme
tabétique. M. Joffroy. Dans le courant de l'ann
Beard; il appelle en même temps l'attention du Congrès sur d'autres
formes
dites pseudo-neurasthénies et neu- rasthénies p
du grand sympathique dans la paralysie générale et les différentes
formes
de folies vésaniques (lypémanie, hypocondrie, e
nsversale de la croix d'impré- gnation de Ranvier. La substance qui
forme
ce petit corps est brillante, tandis que le cyl
naissance, dans laquelle l'hallucination se soit manifestée sous la
forme
d'une épilepsie sensorielle surajoutée à une hémi
ithélium deviennent rares, à longs prolongements dont l'intrication
forme
le réseau allongé que j'appelle 13 chemin de Re
cas de frères et soeurs internés en même temps, et douze fois la
forme
d'aliénation mentale s'est trouvée sensiblement l
ômes s'im- pose. Le faciès myopathique, considéré comme propre à la
forme
facio-scapu]o-humérale, se trouve atténué ou mo
acio-scapu]o-humérale, se trouve atténué ou modifié dans toutes les
formes
de myopathie progressive. L'auteur signale plusie
aupière inférieure qui a perdu ses cils. Enfin l'auteur signale des
formes
particulières des lèvres qui lui ont paru constan
ières des lèvres qui lui ont paru constantes. DE la nature ET DE la
forme
DE la folie DE Charles VI. M. Auguste BRACHET,
de lecture plus instructive, lecture du reste très agréable, car la
forme
, si souvent négligée en littérature médicale, e
e plus saillant est un trouble de la mémoire, se présentant sous la
forme
dite amnésie continue . Les renseignements re
ur attribue une autre interprétation et pense qu'il s'agit là d'une
forme
de sommeil hypnotique. -, Pour M. Pierre Janet,
nous nous reportons à nos expériences personnelles, voici, sous une
forme
résumée, ce que nous avons pu obser- ver. L'occ
ante de son attaque, c'est l'hallucination visuelle du gendarme qui
forme
le pivot de tout le délire dans lequel elle cau
et dans un grand nombre de maladies. On l'observe, dans différentes
formes
d'aliénation mentale et si elle est plus fréque
ie générale ; 2 °la variation de cette constitution moyenne avec la
forme
clinique de la paralysie générale ; 3° la variati
rtain nombre de paralytiques quelconques sans aucune distinction de
forme
ou d'évolution de la maladie et nous avons touj
seconde période de la mala- die, ainsi que les variations dues aux
formes
et aux épisodes de cette affection. PSYCHOLOG
rtie ? La solution se présente immé- diatement à l'esprit sous deux
formes
pratiques. La première, la plus simple, la meil
int de fixation et s'étend de là dans telle ou telle direction sous
forme
d'un voile plus ou moins épais, limité en dehor
ccès en comprimant l'oeil atteint; modifiant par cette manoeuvre la
forme
de l'arc, et des flammes scintillantes du sco-
lité réflexe pathologique de la moelle lombaire. P. K. ' LXV. Des
formes
de diplégie cérébrale héréditaire; par S. FREUD.
es spasmodiques des mouvements des extrémités. ' Il y en a quatre
formes
cliniques : 1° raideur généralisée (para- lysie
s aussi prédominent les troubles des muscles des yeux ; quant aux
formes
morbides, ces derniers sont plus souvent mélancol
té admis pour la première fois : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 405
Forme
de la maladie : 406 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
me (= 34 cas, soit 27 p. 100). Criminalité (délits) de 19 femmes.
Forme
mentale. Psychopathie, surtout aiguë et passagère
Chronique s'il en fut, primitif et ori- ginel. Il ne est une autre
forme
également chronique mais acquis, dans lequel le
ire individualisées; marche lente et régressive. Enfin la troisième
forme
, semblable aux deux précédentes, est secondaire;
des illusions; la confusion mentale, au contraire, surtout dans sa
forme
maniaque, se juge parmi affai- blissement des f
e l'objet, mille perceptions distinctes associées (couleur, espèce,
forme
, temps). L'impulsion volontaire est perçue par
tions et contre-indications spéciales des visites dans les diverses
formes
des maladies mentales. Il éta- blit les conclus
- timents, au moins temporairement ; - 2° dans la manie, quand la
forme
en est grave, on proscrira toute visite. Il vaut
sortie; 3° la folie systématique aiguë, suivant, qu'elle revêt une
forme
dépressive ou exaltée, impose l'obligation d'en
e peut-être encore plus prudent en pareil cas. Il faut ici peser la
forme
des hallucinations sensorielles, sur-' tout qua
ou en butte à des actions physiques, en dehors des rémissions. Les
formes
expansives permettent plus de libéralisme dans le
admis jusqu'alors. Dans un grandnombre de cas ce n'est pas sous la
forme
d'angoisse que l'accès parvient à la conscience
forme d'angoisse que l'accès parvient à la conscience, il revêt la
forme
d'asthme, de vertiges, de passion. Tel ce monsi
lire des persécutions fut dégagé par Lasègue, en 1852, des autres
formes
mentales. Mais, je vous l'ai dit, le caractère du
mentée, a pris corps ; elle est maintenant solidement fixée dans sa
forme
; mais dans un instant, nous la verrons dissipée
sa forme; mais dans un instant, nous la verrons dissipée devant une
forme
nouvelle : l'idée de grandeur. L'histoire des
s, peu à peu, ces mots s'accentuent, et ne tardent pas à prendre la
forme
des plus grossières injures : a Vache, salope,
sine materia. La polyurie héréditaire des dégénérés, tout au moins,
forme
une catégorie distincte et irréductible ; 2°
o-pathologique de ces myélites s'est constituée si lente- ment. Les
formes
graves rapidement fatales sont l'exception ; et
écoce, et proposaient une classification ration- nelle des diverses
formes
anatomiques observées. En résumé, on admet géné
insisté sur la signification de la rachialgie Moc- turne dans cette
forme
, en tout point comparable à la céphalée nocturn
s la variété pré- cédente, font défaut ou sont insignifiants. Les
formes
cliniques les plus communes, de beaucoup ont un
hie papillaire, des cé- phalées nocturnes à l'origine, etc... Les
formes
aiguës, bien que plus rares, ne sont cependant
de troubles trophiques graves (eschares à extension rapide). Ces
formes
aiguës sont des plus redoutables parmi les com-
de faire se rapportent au type de la méningo-myélite. C'est à cette
forme
anatomique que les accidents précédemment étudi
myélite. A. La pachyméningite propagée à la moelle correspond aux
formes
cliniques dans lesquelles les prodromes méningés
ement à aucun signe d'irritation méningée. Elle correspond donc aux
formes
dans lesquelles la moelle parait touchée pri- m
re assez bien avec la prédominance des lésions vasculaires dans les
formes
qui rappellent, aussi bien au point de vue clin
eux intra-pariétaux (fig. 17). Fig. 16. - Ao- ? ? /6e syphilitique (
forme
aitié). Coupe transversale de la région dorsale
aveu de tous, Snell, en l8Gâ, sous le nom de mono- manie, décrit la
forme
chronique de la Paranoïa, dans la genèse de laq
s. Il y a bien, dans l'espèce, dislocation (Veî-î-ücklheit) dans la
forme
de la pensée, mais non dans la liaison des idées,
qu'il pense. Il peut aussi se produire non de la déviation dans la
forme
de la pensée, mais une dislocation de l'enchaîn
la marche aiguë de la Verrùcktheit, il n'a pas caractérisé cette
forme
en termes plus précis. Il reconnaît en revanche l
llemands Wahn (délire) et Sinn (sens). Mais Schoefer en admet : une
forme
simple une forme hypocondriaque z qui peuventêt
lire) et Sinn (sens). Mais Schoefer en admet : une forme simple une
forme
hypocondriaque z qui peuventêtrel'uneet l'autre
t pour facteur principal les hallucinations. Il y rattache aussi la
forme
originelle de Sander. Merklin, reprenant le ter
indéniable d'un type morbide (systématisation), être appliqué à une
forme
toute différente dans son dessin pathologique.
atique chronique qu'elles signifient réellement dans le fonds et la
forme
, d'après les six observateurs que nous venons d
sinn type, dont l'essence est en réalité chronique, il en admet une
forme
simple, et une forme hypochondriaque, pouvant à
ence est en réalité chronique, il en admet une forme simple, et une
forme
hypochondriaque, pouvant à leur tour être chacu
Il croit cependant que les hallucina- tions engendrent surtout les
formes
aiguës, ce qui est bien vague, puisque les hall
des granulations de grandeurs différentes, mais ayant toutes une
forme
arrondie. Chaque cellule est munie d'un noyau,
outes une forme arrondie. Chaque cellule est munie d'un noyau, de
forme
arrondie, ovale ou irrégulière, et chaque noyau
au;mentent de volume, deviennent plus transparents et prennent une
forme
plus arrondie. z 2° Sous l'influence de l'exc
réseau cellulaire. Les noyaux, quand ils existent, présentent une
forme
arrondie avec des nucléoles très nettement dess
ière à enrayer les progrès de l'avenir. Il faut, pour certaines des
formes
en question, attendre la découverte de lésions
uelette, des attaques épileptiformes. Or ceci n'existe pas dans leb
formes
de l'amentia que l'on rapporte à des causes tox
et l'amentia. Or nous avons à délimiter non des syndromes, mais des
formes
490 SOCIÉTÉS SAVANTES. morbides. Cette préocc
t ! ')'</tet<). - Elle s'applique à l'ameuta considérée comme
forme
morbide et aussi aux états mentaux les plus dif
tial et la faiblesse des transmissions. Pour sortir de ce chaos des
formes
morbides de l'amentia, de la folie systématique
nous appuyer d'abord sur lafoiiesystématique chronique, qui est la
forme
iapiusgénéralement et la plus anciennement conn
plus de l'expression de Wahnsinn. Morel en publiant sa théorie des
formes
héréditaires avait enlevé du groupe de la folie s
emplit toute la vie. Elles procèdent par poussées; il en existe une
forme
mélancolique, exaltée, hallucina- SOCIÉTÉS SAVA
sans réserve par Griesinger. W. Sander en publie des exemples d'une
forme
originelle; enfin C. Westphal, en 1878, montre qu
notamment, qui donnent naissance au délire; enfin il en existe une
forme
originelle dans laquelle le délire, latent dans l
pement de l'individu. West- phal ajoute que les obsessions sont une
forme
de folie systéma- tique abortive parce qu'en pa
he aiguë de cette maladie, indépendamment de sa genèse aiguë; cette
forme
aiguë peut guérir, de sorte que la folie systém
sque Mey- nert sépara la confusion mentale ou amentia et en fit une
forme
morbide, les auteurs en l'étudiant se demandère
ficulté préside à la dis- tinction et à la délimitation de ces deux
formes
. La division de M. Mendel n'a rien modifié à ce
élire fixe des persé- cutions. On pourrait faire rentrer dans cette
forme
la folie systé- matique des prisonniers, condam
e délire faisant brusquement explo- sion ou se développant sous une
forme
expansive assez intense, malgré l'apparence par
les délires qui constituent les limites les plus extrêmes des mêmes
formes
aiguës. Quelle idée faut-il se faire du délire
ensée et dans l'humeur. On ne lui trouve pas ce cachet expansif qui
forme
toujours le fond de la folie systématique; elle
ésignée sous le nom de délire hallucinatoire; on y cons- tate : les
formes
rapportées supra de la confusion mentale, la foli
se pénètre bien de ce qu'est l'alcoolisme aigu ; l'examen de cette
forme
mor- bide permet de saisir la différence et la
quelques semaines pour guérir encore. Ou bien enfin elle se trans-
forme
en folie systématique chronique (paranoia chronic
. Entre ces deux groupes de délires alcooliques, il y a aussi des
formes
mixtes dans lesquelles une histoire mythique inva
maladie autour duquel tourne un monde de visions mobiles. Mais ces
formes
mixtes, comme on le voit, ne dé- truisent pas l
et la folie systématique aiguë (para- noia acuta), il y a les mêmes
formes
de transition que celles qui existent]entre le
noïa (folie systématique), mais il faut savoir qu'il s'agit de deux
formes
proches parentes. Il convient d'y ajouter une t
e nom d'anoia acuta. Il n'en sera pas question ici. A côté de ces
formes
morbides constituées par un trouble des sources
ite, il est tout arbitraire de ranger ces observations dans une dos
formes
typiques. En conséquence, pour ne pas violenter
art et la confusion mentale et la psranom de l'autre, il existe des
formes
mixtes, tout aussi bien qu'entre ces deux derni
iste des formes mixtes, tout aussi bien qu'entre ces deux dernières
formes
; on arrive ainsi, suivant la pré- dominance de
tat mélancolique marqué et persistant. Il est donc établi que les
formes
aiguës des troubles psychiques, dont il est que
conceptions délirantes et d'hallucinations sensorielles, il y a des
formes
de transition. Ainsi on reconnaît des cas dans
nette des choses et personnes qui entourent le malade représente la
forme
de beaucoup la plus rare ; la plupart de ces ca
fait des rapports de sa personne avec les autres. L'idée du moi se
forme
dès le début de la vie à l'aide des sensations et
primitives qui, dans les rapports de la vie, les plaisanteries, la
forme
des réponses sont autant d'éléments qui vous fr
s, univoques. Mais cela est difficile, car la clinique fourmille de
formes
de transition, de formes mixtes. Pour étudier ces
st difficile, car la clinique fourmille de formes de transition, de
formes
mixtes. Pour étudier ces formes mixtes, on est
urmille de formes de transition, de formes mixtes. Pour étudier ces
formes
mixtes, on est obligé de laisser de côté le gui
endrer ces complexus symptomatiques spéciaux de la psychose sous la
forme
de phénomènes concomitants ou 'consécutifs. Cette
Jouve, 1891. Les vieillards et surtout les femmes sont sujets à une
forme
spé- ciale de mélancolie. Comme la sénilité, qu
rte à faire de la neurasthénie et de la mélancolie dépressives deux
formes
ou plutôt deux expressions symptomatiques delà
des rapports des phénomènes somatiques et des phénomènes psychiques
forme
deux autres chapitres, dans lesquels l'auteur d
-pathologique de la question. Le résumé de tant de travaux sous une
forme
à la fois concise et claire était une tâche dél
t localisations, par Struthers, 55. Lèpre systématisée nerveuse à
forme
syringomyétique, par Pitres et Sabrazès, 37.
litiques, par Plato- now, 128 ; chez la femme, par Idanow, 134; à
forme
tabétl- que, par Joffroy. 321; urines dans la
folies intermittentes, de psychoses périodiques, de folies à double
forme
, alterne , circulaire , etc., états que l'on te
puisé les éléments de son célèbre mémoire sur la Folie ci double
forme
. . Les travaux de ces deux auteurs ayant servid
pond à la découverte de la folie circulaire et de la folie à double
forme
; c'est la période française par excellence, ce
itten- tes,rcmittentes, périodiques, de folies alternes, ! double
forme
,circulaires, etc. Née d'hier, puisqu'elle a com-
iode d'excitation de Informe circulaire des maladies mentales cette
forme
consiste, non comme on l'a dit fréquemment, dan
assigné dès cette époque quel- ques caractères particuliers à celte
forme
circulaire et qu'il en ait signalé en particuli
enre de folie que Baillarger désigna sous le nom de folie et double
forme
. Il montra en outre que les accès de cette affe
s, un travail ayant pour titre « Mémoire sur la folie circulaire,
forme
de maladie mentale caractérisée parla repro-- d
un intervalle lucide plus ou moins prolongé. » Les accès de cette
forme
se composaient donc de trois stades juxtaposés
. Il résulte clairement de ces textes, qu'entre la folie à double
forme
de Baillarger et la folie circulaire de P. Falr
me de folie cir- culaire, opposé par lui à celui de folie il double
forme
. Ce qui prouve l'exactitude de celte interpréta
espectivement donné le nom de folie circulaire et de folie à double
forme
; mais en réalité, il ne s'agissait là, comme o
t pas accorder une place dans sa classification à la folie à double
forme
ou circulaire : « Je ne puis, dit-il un peu déd
u dédaigneusement, en parlant de cette affection, accepter pour des
formes
distinctes, pour des genres (1) J. l'. Falret.
ude que Morel et n'accorda qu'une brève mention à la folie à double
forme
dans son Traité des maladies mentales, sans lui
t Baillarger en proposant de n'appliquer le nom de folie à double
forme
qu'aux accès de manie-mélancolie qui sont sépa-
à la même époque Jules Faire ! sur la folie circulaire ou folie à
formes
alternes, et enfin, après la publica- tion,en 1
monographie, aujourd'hui classique, de Ritti sur la folie à double
forme
. (1)nI0lt>rr.. Traité des maladies mentales,
94, etc., s'accordèrent pour ranger la folie circulaire ou à double
forme
, à côté de la manie et de la mélancolie récidiv
sente alors, dit cet auteur, un cercle morbide dans lequel ces deux
formes
mentales alternent souvent d'une façon régulièr
(1). L. Meyer,en 1874, cherche à établir que la folie à dou- ble
forme
est due iL des troubles trophiques. L. Kirs, en
isée, les folies périodiques dont il distingue quatre groupes : les
formes
délirante*, les formeswa- niaques, les formes c
quatre groupes : les formes délirante*, les formeswa- niaques, les
formes
circulaires et les formes dé- pressives. Sauf
es délirante*, les formeswa- niaques, les formes circulaires et les
formes
dé- pressives. Sauf quelques légères variante
sychoses dites inter- mittentes, périodiques, circulaires, à double
forme
, alternes, etc., présentant toutes la même évol
it être définitivement exclue du cadre des maladies mentales, comme
forme
clinique indépendante, et que tous les états d'
s ajoute : «11 n'y a donc pas lieu de dé- crire a la folie à double
forme
une symplomatologie spéciale; il suffit d'indiq
ée (1). La manie périodique seconfondraitdoncavec la folie à double
forme
, [opinion qui avait, du reste, été déjà formulé
ous le nom de folie maniaque-dépressive les accès de folie à double
forme
ou de folie circulaire, puisque chacun de ces a
emier abord, que cette ex- pression soit impropre pour désigner les
formes
inter- mittentes ou périodiques qu'on distingue
u tableau de la folie mania- que-dépressive, puisque les uns sont à
forme
mania- que, les autres à forme dépressive. Mais
e-dépressive, puisque les uns sont à forme mania- que, les autres à
forme
dépressive. Mais il y a plus, et commel'avait d
us d'excitation ou de dépression sont en réalité des accès a double
forme
frustes dans lesquels l'une des phases morbides
maniaque ou le type dépressif sont, en réalité, des accès à double
forme
. Il est à peu près cons- tant, en effet, d'appr
Elle est également à l'abri de la critique dans les cas de folie à
formes
alternes (Délaye, Legrand du Saulle), dans laqu
si l'état patho- logique qui constitue la folie périodique dans sa
forme
la plus caractéristique, n'était pas simplement
mélangent et au lieu de se succéder' comme flans la folie à double
forme
; c'est ensuite ce fait, corollaire du précéden
ancolie simples, intermittentes ou périodiques, de folies ci double
forme
, circulaires, etc., doivent être considérés dés
états différents, reliés, il est vrai, entre eux, par de nombreuses
formes
intermé- diaires : des états maniaques, des éta
ceux qui présentent des malaises sensoriels et psychiques, dans les
formes
d'épilepsie déterminant des troubles du caractè
», est très analogue à l'ataxie du tabès : celle-ci elle revêt des
formes
de même ordre (paralytique, spa«- modique, tI'é
ype anafonio-palhologique cortical (chromato- lyse a début central,
forme
globuleuse de la cellule, migration périphériqu
émence précoce. 1 ? . Tissot. \'I. Sur un cas de tumeur cérébrale à
forme
psychi- que ; asthénie générale sans paralysie
nntclale. Cette masse, suivant l'examen histologique, était uni-
forme
, très riche en capillaires; on y voit des cellule
e diverses 36 REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
formes
, pyramidales,ovalaires, rondes, fusiformes, plong
nerveuses en fascicules. Cette observation concourt à l'étude de la
forme
psycho-mo- trice des tumeurs cérébrales. Les ph
sait que (ïahlhaum a décrit sous le nom d'héboï<lophré- nie une
forme
atténuée d'hébéphrénie qui ne s'accompagne ni d
pide et délinitif des facultés intel- lectuelles. En outre de cette
forme
bénigne de démence précoce simple ou fruste, l'
la profon- deur de la démence, le degré du déficit peut varier. Les
formes
frustes de la démence précoce expliquent bien l
ce d'a- faihlissemcnt intellectuel et la logique apparente (dans la
forme
mais non au fond) des raisonnements ; il n'exis
e join- drelesinsuflisances rénale et cérébrale. F. TISSOT. '1. -
Formes
atypiques de la paralysie générale (hémi- ' plé
éphalites diffuses ; par Pas- CAL. (L'Encéphale, 190G, n° 2.) Ces
formes
sont celles qui se compliquent d'un syndrome en
de ces diverses lésions sont l'hémiplégie et l'aphasie. Parmi les
formes
hémiplégiques l'auteur retient celle qui relève d
paralysies générales ah piques aphasiques, l'au- teur distingue une
forme
aphasique à prédominance motrice et une à prédo
matique du faisceau pyramidal gauche. Il est rare de trouvera cette
forme
mentale un substratum ana. fornique. Dans le ca
caractères spéciaux, une mani- festation involulive, mais bien une
forme
distincte qu'on rencon- re avec, prédilection i
e part la constance delà dégénérescence graisseuse du foie dans les
formes
catatoniques, l'autre pari la fréquence de la t
catatoniques, l'autre pari la fréquence de la tuberculose dans les
formes
hébéphréno-cafatoniques. lien con- clut que la
psychose toxi-infectieaso subaiguë ou chronique, primitive pour la
forme
hébéphréno-catatonique, secondaire pour la forme
primitive pour la forme hébéphréno-catatonique, secondaire pour la
forme
pa- ranoide. Dans tous les cas la dégénérescenc
voulait Bayle, dont les observations ne semblent comprendre que des
formes
inflammatoires (infections micro- bipennes.;
te paralysie générale diabétique peut se manifester sous di- verses
formes
: lu être accidentelle et disparaître rapidement;
iabétique est un fait clinique réel et on doit l'ajouter aux autres
formes
de « pseudo-parahsie » (syphilitique, arthritiq
e.) (Reçue 1¿eUI'O- logique, juillet 150 ? ) 1. 11). NI\'. Sur la
forme
stationnaire de la démence para- lytique ; par
peut atteindre dix, quinze ans et plus : il s'agit bien alors d'une
forme
stationnaire de la démence paralytique. L'auteur
ence d'une lymphocytose rachidienne. Il termine, pour expliquer ces
formes
stationnaires de la démence paralytique, par ce
lle. L'impaludisme n'occasionne des troubles délirants que dans ses
formes
chroniques et pour ainsi dire jamais dans ses f
s que dans ses formes chroniques et pour ainsi dire jamais dans ses
formes
aiguës : il n'y a d'ailleurs au- cune relation
matisme crânien est une cause fréquente de la folie sous toutes ses
formes
, surtout des troubles iL caractère démentiel et
vomissement. M. Paul FARFZ. - Le vomissement, sous ses différentes
formes
est, dans son étiologie. sa pathogénie ou sa cu
uvent rentrer dans aucune affection déterminée. Constituent-ils une
forme
morbide spéciale ou sont-ils symptomatiques d'é
cription des symptômes, les états mélancoliques sont réduits à deux
formes
: sans délire ou avec délire, l'anxiété se ratt
se rattachant le plus souvent à la première, et la stupeur étant la
forme
extrême de toutes les variétés ; mais ces formes
la stupeur étant la forme extrême de toutes les variétés ; mais ces
formes
ne doi- vent pas être conservées comme des réal
aurait dû obtenir, en souffre. Suit une fine analyse des tendances,
forme
d'activité in- termédiaire entre l'instinct et
olie affective axant l'âge de 45 ans et ne relevant d'aucune de ces
formes
; et, dans les mélan- colies d'involution, il e
progression numérique des maladies mentales, et aussi de certaines
formes
spéciales de ma- ladies moniales chez les diffé
sur la 62 VARIA. présence ou l'absence de telle ou telle autre
forme
d'aliénation chez tel peuple civilisé ou non. 3
énomènes. 4° Recueil et choix du matériel regardant l'appad- tionde
forme
d'aliénation mentale chez les animaux. IL Héréd
ar des normes législatives. 3° Conditions héréditaires de certaines
formes
spéciales d'alié- nation sur la base d'un très
n des maladies en général et en particu- lier, différence entre les
formes
de ces maladies chez les gens qui boivent et ch
us et le vermis ; son bord inférieur, libre sur toute, son étendue,
forme
la limite supérieure d'une vaste- anfractuosité
ie du métencéphale, Le lobe temporal droit est fortement déprimé et
forme
une sorte de calotte coiffant 1'liéniispliii-,3 c
ure temporale (il) qui, au-dessus et en ar- rière du pôle temporal,
forme
la limite inférieure de la circonvolution de l'
pondant aux trois pédoncules cérébelleux. « Ce tu- bercule avait la
forme
d'une amande, sa surface était cannelée de mani
tard l'hémisphère céré- belleux. Celui-ci ne commence à prendre sa
forme
défi- nitive que dans le courant du quatrième m
ême dans l'hystérie) mais, caractère distinctif, se présente sous
forme
d'ltémianestl/( ! sie et est due à l'alcoolisme
inienne avec décoloration de la papille qu'on trouve au début de la
forme
mélan- colique, de même qu'elle existe chez les
illaires sont très nets et immuables , qu'ils se présentent sous la
forme
de : Signe d'A7gyll Robertson ou de pseudo-Argy
cile à cause de l'indocilité fréquente du malade. Ici intervient la
forme
: ou cxpansive, ou dé- pressive, ou tabétiforme
ciale- ment étudiés dans ces derniers temps, représentent une des
formes
de la « claudication intermittente du cerveau »
out remarquer par leur caractère intermit- tent ou paroxystique. La
forme
légère se révèle par la fatigue mentale rapide,
mentale rapide, la faiblesse de l'idéation et des conceptions. Les
formes
graves se manifesteraient par des troubles ment
sée (cardiaque, aortique, rénale, périphéri- que, etc.) Certaines
formes
simulent la paralysie générale ; les rémissions
ellectuelle no- table. J'ajoute qu'avant d'interpréter les diverses
formes
pa- raplégiques par ces lacunes, il faudra s'en
croscopiques, ont établi solidement l'existence anatomique de cette
forme
de paraplégie. 11 peut évidemment exister chez
ellicr). - J'appelle l'attention sur un détail curieux de certaines
formes
de paralysie cérébrale chez les scléreux qui ma
volontaires isolés des membres chez les hémiplégiques lacu- naires
forme
, en effet, un contraste frappant avec les trouble
lue l'hystérie joue un rôle primordial dans le déterminisme et la
forme
des délits divers que peut commettre l'hystérique
toujours,en effet, chez elle des diminutions de la sensibilité sous
forme
d'anesthésie ; d'autre part des exagérations de
d'anesthésie ; d'autre part des exagérations de la sensibilité sous
forme
d'hyperesthésie. Des diminutions et des exagéra-
x elles éléments de soutien : tousles éléments de la moelle ont une
forme
'bipolaire identiques et sont produits par kari
u 3'jour, les neu- roblastes des ganglions sont bipolaires, ont une
forme
en fuseau, et sont identiques à ceux de la moel
ant ; le corps cellulaire correspondant aux deux pôles s'allonge et
forme
comme un capuchon au noyau. Les autres parties
usions suivantes : 1° Les cellules du feuillet ectodermique ont une
forme
allon- gée et présentent à leurs deux pôles deu
tion, en rapport, par leurs prolongements, avec les prolongements à
forme
stellaire des éléments mésodermiques avoisinant
s de Sandri qui a trouvé que la formule hémo-leucocytaire, dans les
formes
hébéphrénique et paranoïde de la démencç pré- c
re jouer un rôle étiologique..1. SI : GLAS. XXIII. Leptomyélite a
forme
tabétique. Hétérotopie de la moelle épinière ;
tube médullaire ont dans les premières phases du développement une
forme
bipolaire en fuseau, : dans leurprotoplasma se
4" La cellule nerveuse n'est pas une unité embryologique. Kilo se
forme
à partir du moment où le réseau nerveux est const
qui ont commencé dix ans auparavant et ont revêtu successivement la
forme
de névralgies faciales et de crises convulsives
fois spinales, nerveuses et musculaires. De ces rapports entre les
formes
myopathique, neurale et neuro-spinale de l'atro
Buch et Deroubaix. Contribution à l'llistopathologie de cer- taines
formes
de psychoses appartenant à la démence précoce (
IIUiSK ! . -Soc. méd. des hôpitaux. Séance du 22 mars 1899. Sur une
forme
de paraplégie spasmodique consécutive il une lési
de deux états dis- tincts pourront faire croire à l'existence d'une
forme
nouvelle, inédite, à décrire ; ou bien, ils fer
ucinations, parce qu'il ne parait pas logique de confondre ces deux
formes
. Nous ne pensons pas qu'il soit indifférent de
bouche, sans morsure delà langue, sans perte d'urine, mais sous la
forme
d'évanouissement : elle poussait un cri, tombai
sion ? De tout cela résulte qu'il s'agissait de crises nerveuses de
forme
liystéro-épileptique. Seulement on peut se dema
ce point. 202 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES.
Formes
prodromiques dépressives de la démence précoce.
iques dépressives de la démence précoce. ]\Ille le Dr PASCAL. - Les
formes
prodromiques de la démence précoce sont, dans l
dromiques de la démence précoce sont, dans la majorité des cas, des
formes
dépressives : neurasthéniques et mélancoliques.
à la stéreotypie sont pathognomoniques de la démence précoce. La
forme
mélancolique se distingue par l'état mental parli
ndra peut-être un jour ! 1 . Sur quelques caractères de certaines
formes
de nymphomanie. M. Gilbert Ballet. 11 existe de
tion de Claisse, la morphine à la dose de 1 : milli·r., le chloro-
forme
, la compresse de Priessnitz, les bains chauds, le
mites bien tranchées, on rencontre entre les différents types des
formes
intermédiaires qui conduisent insensiblement de l
maladies familiales, il vaudrait peut- être mieux y distinguer des
formes
spinale, bulbo-spinale, bulbo- cérébello-spinal
vulgaire de Syndenham. Le pronostic varie évidemment suivant les
formes
. La thérapeutique doit s'attacher aux causes lors
ricité, les nervins : la suggestion n'a aucune action, sauf dans la
forme
de Carrière. Au cours de leur travail, Iluchard
d, il y a quelques symptômes légers surajoutés, le troisième est la
forme
grave avec signe de Calins.11 Il existe des for
troisième est la forme grave avec signe de Calins.11 Il existe des
formes
complexes avec des complications de tou- tes so
se produisaicl1Ltantôt simultanément tantôt isolément, tantôt sous
forme
d'accès, tantôt d'une façon continue. Quelques
4.) Les psychoses d'insolation existent réellement et revêtent la
forme
de confusion mentale sous l'une quelconque de ses
ns la folie gémellaire, laquelle peut revêtir, en effet, toutes les
formes
mentales et dont les caractères spéciaux, dont
la folie gémellaire depuis longtemps signalée n'est en somme qu'une
forme
spéciale de psychose fami- liale, la manifestat
ite à part comme un fait bizarre et curieux, plutôt que comme une
forme
morbide particulière. Or la vraie folie gémellair
re, la seule à laquelle il faudrait conserver ce nom, devient une
forme
particulière, sinon par les troubles intellectuel
ait plus de la folie gémellaire, mais une folie familiale à deux,
forme
simultanée de Régis. Dans la vraie gémellaire, la
alogues et presque contempo- rains, mais l'identité absolue dans la
forme
et dans le temps suppose, il leur semble, l'int
il n'a pas eu occasion d'ob- server qui l'ont décidé à repousser la
forme
spéciale dé- crite par Bail et à faire, avons-n
mixtes. D'où l'on peut tirer la conclusion que le changement de la
forme
de l'activité a une influence favorable sur le
liénés morts tuberculeux dans ces asiles, 92,060/. présentaient une
forme
démentielle de la folie. Ses chif- fres qui por
culeuses à l'autopsie, soit 25,9 %. Il donne le détail suivantdes
formes
de folie : LA TUBERCULOSE DANS LES ASILES D'A
te fautive », sans insister davantage, sans se préoccuper des ré-
formes
à réaliser. MM. Valon, Charpentier, et bien d'aut
torique, le Ruz' Blum étudie l'anesthésie psychique surtout dans sa
forme
analgésique. Il passe en revue l'histoire des m
dmel que cette anesthésie ner- veuse est absolument identique comme
forme
à l'anestbétie suggérée. ' Le but du troisièm
les garde à midi à l'école et on les \' nourrit. Le rez-de-chaussée
forme
foute l'école ; on évite de cons- truire des es
lut v. 51, no. 12, Mardi 21. Léri, André, Mening. cérébro-spinale à
forme
ambul. ayant évo- lué pendant huit mois ; reche
4, p. 591-592. Raymond et Sicard, J. A. Méningite cérébro-spinale à
forme
de paralysie infantile, cyto-diagnc,stic. llev.
l, qu'il devait écrire la lettre mais il ne se souvenait plus de sa
forme
. Il écrit sous notre dictée : Nous sommes auj
riels multiples, variant fréquemment, se groupant parfois sous la
forme
d'hémianesthésie sensitivo-sensorielle. Rien à
, la diazoréaction d'Ehrlich qui ne donne de résultats que dans les
formes
aiguës ou avancées, enfin la radiographie qui n
les plus légères, parmi lesquelles les microbes ; à la surface se
forme
un voile dont on rait un frottis, qu'on fixe et q
t si avancée dans certains pays étrangers. L'aérothérapie reçoit sa
forme
la plus complète dans la vie. sous la tente, pr
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES \\\1'l.- Sur une
forme
spéciale du globule rouge dans la démence préco
e présentent avec une structure caractéristique généra- lement sous
forme
d'une imago ombiliquoe et d'un volume plus gran
86 REVUE D'ANA10MIE ET DE physiologie pathologiques. tant que cette
forme
spéciale n'est pas pathognomonique de la démenc
ctère surtout héréditaire, et n'ayant aucun rapport avec les autres
formes
de chorée, spécialement avec la chorée de Syden-
ymateuse. Les auteurs croient cependant avoir remarqué que, dans la
forme
cafalonique do la démence précoce, les lésions
épilepsie, puisqu'elle manque dans la plus grande partie des autres
formes
mentales. Au sujet des principes antitoxiques
ranulations qui rappelle tout d'abord la disposition réticulée puis
forme
« une masse put- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
e, de la moitié gauche de l'épi-lotte,de la muqueuse du sinus pi ri
forme
, de la moitié gauche de la paroi postérieure du
ux démence paranoide pseudo-systématique) qui fait rentrer ces deux
formes
dans la démence précoce, est sans doute une des
ubles qui retentissent sur le volume du cerveau et par suite sur la
forme
du crâne peuventne pas influencer la taille. Eu
s. « Que la plus grande part des résultats curatifs porte sur les
formes
les plus fréquentes et les plus simples de la man
siste sur la médication BIBLIOGRAPHIE. /,ou hydrothérapique qui
forme
un élément de traitement important mais qui doi
a donné de meilleurs résultats. « Contre les états d'agitation à
forme
maniaque, nous avons usé des bains de durée, va
(exprimables par des nombres) change avec toute modification dansla
forme
de la courbe. Il en résulte qu'en changeant les
sulte qu'en changeant les conditions expérimen- tales, on change la
forme
de la courbe et,en même temps, la valeur des pa
anique est considéra- blement accru. La courbe alcoolique change de
forme
,en s'allongeant considérablement. Le calcul des
e distingue pas les cou- leurs, et n'a aucune notion précise sur la
forme
des objets environnants. - Pommelles peu sailla
, branche supérieure effacée, fossette à peine visible. Conque de
forme
quadrangulaire et peu profonde ; conduit auditif
A la suite d'une de ses crises, elle eut un délire hallucinatoire à
forme
lycanLlhropique. Elledit être un chat, " un cha
érie bien caractérisée et bien classique. Chez cette malade cette
forme
de délire ne se présenta qu'une s-,ule fois et
e et ses affluents forment un paquet variqueux qui lors des efforts
forme
i ce ni- veau une masse du volume d'une grosse
li- que, aiguille ou épingle recouverte partout d'une couche uni-
forme
et épaisse do rouille, une portion est libre, l'a
Jean Lépine la méningite spinale peut se manifes- ter déjà dans les
formes
relativement bénignes du rhumatisme chronique.
d'aboutir.La mélan- colie d'involution sénile ou pré-sénile est la
forme
sur laquelle se manifeste le plus l'influence d
bliés semblent indiquer que le rhumatisme chro- nique, soit sous la
forme
d'attaques aiguës récidivantes, soit sous la fo
ue, soit sous la forme d'attaques aiguës récidivantes, soit sous la
forme
dyscrasique, occupe une place importante dans l'é
ires mo- dérés. Les accidents médullaires ne sont donc pas liés aux
formes
les plus graves du rhumatisme chronique. Deux
ire, ainsi que sur l'effica- cité de la suggestion contre certaines
formes
du mal de mer. - Cette discussion ne peut être
onvient à ce propos de signaler que l'étude des mala- dies mentales
forme
une branche particulière etspéciale des scien-
le nom de flirt, il nous semble, à ce sujet, que Forel comprend des
formes
d'excitation sexuelle beaucoup trop sensuelles
lle beaucoup trop sensuelles ; il le condamne d'ailleurs sous cette
forme
. Toutes les irradiations de l'amour sont passée
t ; nous vivons, dit Forel, sous l'empire de Mammon. Au sujet de sa
forme
, il a été d'abord mo- nogame, puis polygame, pu
An- theaume et Parrot, p. 42. Démence précoce. Voir Moelle. Les
formes
frustes de la - précoce ; par Crocq, p 39. La
tal toxi-mfectieux subaigu ou chronique, par Dide, p. 43. Sur la
forme
stationnaire de la paralytique, par Serge Soukh
paralytique, par Serge Soukha- noff, p : 44. précoce. Voir Ictus.
Formes
prodosmique dépressives de la précoce, par Pa
be occipital droit, par Raven- na, p. 139. Globule ROUGE. Sur une
forme
spéciale du dans la démence précoce, par Pigh
rcu- laire Clémenceau sur la même loi, p. 480. LEPTO\1YÉ¡ ITE à
forme
tabétique Hétérotopie de la moelle épi- mère,
rer- vluse. Nymphomanie. Sur quelques ca- ractères de certaines
formes
de - , par Ballet, p. 2 : 0. Nystagmus associ
et hérédi- taire, par Chaillous et Pagniez, p. 225. Paralysie.
Formes
atypiques de la générale (hémiplé- gique et a
Marie et Rolet, p. 287, 362. Tumeur cérébrale. Sur un cas de à
forme
psychique, asthé- nie générale sans paralysie;
Toutes les irradiations capsulaires frontales se présentent sous la
forme
de lignes courbes plongeant vers la base (lobul
heureux avec le délire. DE L'ALIÉNATION MENTALE. 25 De toutes les
formes
vésaniques, seule la démence est, par nature, i
ence des actes. La maladie évoluait donc selon le type continu avec
formes
alternes. Nouvelle lacune dans les renseignemen
mie, urinémie, etc.) sur le système nerveux central. Pourtant les
formes
ci iniques si diverses de l'urémie dans les affec
scarlatine. Cette succession de phé- nomènes, si analogues par leur
forme
, permet de soupçonner l'identité de leur uature
voir plus de rapport avec l'éclampsie, comme les convulsions sans
forme
déterminées et l'hystérie '. » ' D'autre part,
s antécédents hystériques', et surtout des antécédents convulsifs à
forme
éclamptique qui se sont présentés à différentes
état névropathique qui peut se transmettre aux descendants sous des
formes
variables, montre encore les liens de famille d
eptembre 1880) un mémoire dans lequel il attire l'attention sur une
forme
grave de mélancolie anxieuse, caractérisée par
), le même médecin décrit, sous le nom de délire des négations, une
forme
de délire spécial qu'il distingue du délire de
ancolie anxieuse, et qui nous parait se rapprocher intimement de la
forme
de mélancolie qui fait le sujet de son précéden
t, excepté ce qu'elle est, et ce désir s'ex- prime souvent sous les
formes
les plus drôles. Il suffit d'un mot prononcé de
vant elle ou d'un objet qui frappe sa vue pour que AIme A. \1... en
forme
l'objet de ses souhaits. C'est ainsi qu'elle vo
iété augmente encore à ce moment. - Elle est le diable qui, sous la
forme
du serpent, a tenté Eve; Satan s'est incarné en
in des siècles; ni puissant, puisqu'elle ne peut guérir. A quelle
forme
d'aliénation mentale doit-on rattacher cette ob
ervation ? Il nous semble qu'on ne peut guère hésiter qu'entre deux
formes
, le délire chronique et la mélancolie anxieuse,
corps est changé en nerfs, elle n'est plus en chair de monde. Cette
forme
particulière de délire hypochon- driaque se rap
cela n'est que passa- ger et le délire ne tarde pas à reprendre sa
forme
caractéris- tique. Les signes physiques sont
ant de sensations fausses ou faussement interprétées. De toutes les
formes
de vésanie, c'est certainement la mélancolie qu
nance des troubles sensoriels commence donc déjà à distinguer cette
forme
particulière de la mélancolie anxieuse, distinc
s. Qui nous porte maintenant à considérer cette maladie comme une
forme
particulière de mélancolie anxieuse ; et quel i
iers. Il nous semble cepen- dant que l'on peut faire de ces cas une
forme
spéciale dans le grand cadre de la mélancolie.
notre malade. Doit-on faire de cette sorte de maladie une nouvelle
forme
de folie religieuse se développant dans la méla
e cas que nous venons de rapporter et les autres semblables dans la
forme
dont ils se rapprochent le plus par l'ensemble
A. M... une mélanco- lique anxieuse. Nous avons affaire alors à une
forme
particu- lière, grave de mélancolie anxieuse qu
.) Sur la surface de coupe de l'acoustique, entre le coi psrebti-
forme
et le noyau interne de ce nerf, sur les côtés du
rapport avec les fibres latérales du ruban de Reil. Le corps resti-
forme
reçoit encore des fibres issues des fibres arcifo
omprend tout à fait en dedans, des fibres issues du faisceau cunéi-
forme
; une couche moyenne formée des cordons latéraux
é- bral en rapport immédiat avec le tabès. Des attaques epilepti-
formes
, justiciables des mêmes appréciations se montrent
vingt-deux jours avant la mort sur tout le côté gauche du corps. La
forme
des mouvements, leur sélection sur les extrémit
ZE (d Heidel- berg). (Neurol. Centrttl6l., 1882.) Il s'agit d'une
forme
paraplégique. La substance grise antérieure de
nnés par la mort, des transferts, des renvois : détails suivant les
formes
d'aliénation mentale, les sexes, les religions,
lambdoïde, l'usure de la table interne de la voûte crânienne sous
forme
de dentelures et de fossettes rugueuses, la tensi
aliéné paralysé, gâteux-, agile, en proie à des attaques apoptecti-
formes
ou épilepliformes, sous l'influence manifeste de
. Régis a essayé de noter la durée des accès dans la folie à double
forme
. M. REY lit une note sur le poids du cervelet,
pour un mémoire intitulé : Du délire hypochondriaque dans quelques
formes
d'aliénation mentale. Prix Aubanel. - M. Garnie
es, rectales et par la méthode hypodermique dans presque toutes les
formes
men- tales. La dose active moyenne, celle que d
ement des maladies mentales et nerveuses, M. Billod reproduit, sous
forme
d'instruction, le rapport qu'il a rédigé à ce s
arpentier. IV. Etude sur la méningite tuberculeuse de l'adulte. Les
formes
anormales en particulier; par H. Chantemesse, i
ntes : elles démontrent, en effet, BIBLIOGRAPHIE. z5 que dans ces
formes
anomales de la méningite tuberculeuse (formes c
IE. z5 que dans ces formes anomales de la méningite tuberculeuse (
formes
convulsives, paralytiques, délirantes, etc.), tou
nalement état vacuolaire et destruc- tion de ces cellules. Ainsi se
forme
, d'après M. Chantemesse, un ramollissement infl
, les lé- sions corticales, M. Chantemesse aborde le diagnostic des
formes
anomales qu'il a si bien étudiées. Reprenant so
ien étudiées. Reprenant sous forme de con- clusions, l'étude de ces
formes
, il les ramène à quatre types dif- férents : l-
de de ces formes, il les ramène à quatre types dif- férents : l- la
forme
latente qui s'observerait chez les cachectiques
pidement, après les convulsions ou le délire, au coma mortel; 2" la
forme
délirante qui présente deux variétés : le type ai
ième jours, le type chronique durant une ou plusieurs années; 3° la
forme
spinale qui simule parfoisl'évolu- tion d'une m
ù des accidents cépha- liques viennent assurer le diagnostic; 4» la
forme
hémiplégique avec ou sans aphasie, suivant le s
RCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A
FORME
D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (étude d'une nouvelle var
leptique. Mais il s'agit alors simplement d'un état de mal épilepti
forme
, comme l'appelle M. Charcot, qui, il y a longte
s, le tableau clinique était celui de l'épilep- sie jacksonnienne à
forme
hémiplégique; dans le second celui de l'épileps
forme hémiplégique; dans le second celui de l'épilepsie partielle à
forme
circons- crite ou monopiégique. De plus, chez l
es étaient, quant. la physiono- mie des convulsions, des.attaques à
forme
d'épilepsie partielle sans immixtion d'aucun ph
anomale et jusque-là inconnue d'attaques d'hystérie, d'attaques à
forme
d'épilepsie partielle ; ou bien d'une épilepsie
STER1E. lit « Chez Co..., dont les crises ont un cachet épilepti-
forme
si prédominant et si fortement accentué, dit no
par notre maître est de tous points applicable aux convulsions à
forme
d'épilepsie partielle,* comme elle l'est aux co
à forme d'épilepsie partielle,* comme elle l'est aux convulsions à
forme
de grand accès comitial,' si bien qu'on peut po
ents convulsifs partiels, lorsque ces accidents se manifestent sous
forme
d'attaques successives et souvent répétées, si
e sa vie, elle a été affectée d'un grand nombre d'accès épilepti-
formes
. Ces accès, comme les précédents, se sont groupés
d'invostiga- 1 Gazelle médicale de Paris, 1879. * Des différentes
formes
de l'aphasie. (Progrès médical, juin L-S3.j '1
uns s'attachant uniquement aux symptômes qu'ils décrivaient comme
formes
déterminées, ont continué à multiplier les dé-
s les recherches de M. Magnan, il a été nettement dégagé des autres
formes
delà vésanie, et, en simplifiant le problème cl
. Pendant la vie foetale, en ,,effet, il est une, période, pu, elle
forme
une véritable fosse. Et. .du reste, mêmesurun c
La scissure orbitaire ou sulcus o,bitalis (Ecker) ; sillon cruci-
forme
(solco crociforme) de Rolando; sillon irradiale,
le; TOi, première circonvolution temhoro-occyitalè, ou lobule fiisi
forme
;' TO-2,' deuxième ' cinconvolntion ;. temporo-o
nche de bifurcation antérieure de la scis- sure de Sylvius, où elle
forme
l'opercule (couvercle) du lobule de l'insula, e
s ou poster o-centralis, 2,etî,oce)zt ? ,alis. Cette circonvolution
forme
la lèvre postérieure du sillon de Rolando. Elle
us le titre de gyrus angulaire (expression d'Huxley), à raison dosa
forme
. Dans la classification d'Ecker, par conséquent
dans le lobule lingual. Delà un ou deux gyri descendentes ayant la
forme
générale d'un bourrelet mar- ginal dirigé en av
ution n'est pas admise par M. Pozzi. Pourlui, la deuxième temporale
forme
ordinairement une sorte de lo- bule entre le pl
se/'e)' Rintei,hatiptsîvi ? zdu ? zgszug (Bischoff) ; Lobule fu- si
forme
(Huschke). c. La seconde scissure temporo-occip
windungsgruppe (Bischoff) ; Circon- volution à crochet ou pli icnci
forme
(de Vicq d'Azyr) ; Lobule lingual (Huschke).
des à une classe sociale particulière, la classe agricole, et à une
forme
spéciale de la prospérité. l'aisance pécu- niai
prisés,' accidents pulmonaires à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 205
forme
congestive, avec température élevée; mauvais état
eur ajoute un'peu plus' loin que pour réaliser une' pareille ré- (,,
forme
, il ne faudi'ait'Iienmoins'assurément qüé la reco
quer les faits ;'on' voit' apparaître' l'élément amnésique, ! ) une
forme
de^défectuôsité de la mémôirepâr incoordination,'
ue, ! ) une forme de^défectuôsité de la mémôirepâr incoordination,'
forme
* dans' laquelle là malade' oublié 'les motsprop
lexus choroïdes on trouve une jiétité`tuniéirî· du volume. et de la
forme
d'un, haricot. Dépôts pigmentaires en divers po
ordinaires.propres à divers troubles mentaux, la'présence de deux
formes
de délire qui ne se rencontrent jamais simultaném
aux conclusions suivantes : 1° L'alcoolisme chronique n'est pas une
forme
morbide ; ce n'est pas non plus un genre nosolo
, termédiaire de l'ajcpolismeychrgniquçj^d^ou, cliniquepient, une
forme
, non,, spécifique, niais.^lypique, e ? eyl,ççrlai
ych'opathiquès, qu'or ? emprunte'ra'des documents relatiss1 à'' ces
formes
'de' transition^'difficiles'qui11 ne nous fourn
t.tr ? o ? · nh 111. Enn (d*Heidelber-). Renza2,qzies sur certaines
formes
d'atrophie 9 névropathique , (connue, sous, ]e4
nerveux central comporte une période fondamentale dans laquelle se
forme
une riche substance intercellulaire. Ranvier fait
aztèques, crânes et palais étroits, asymétries) correspondent à des
formes
morbides dégénératives fixes. . y, , , u at^iis
c anxiété farouche. Dans la stupeur,, ii fautqu'on ait affaire. aux
formes
les, plus,, prononcées (catalepsie, Ictanisatio
nts correspon- dants ne viennent se peindre sur les traits que sous
forme
d'indices fugaces. Pareille ondulation relève d
e la volonté); on en rencontre de véritablement convulsifs dans les
formes
dégénératives de troubles psychiques. C'est à des
uente, à raison dunc guérison,incomplète. On,constate, en, tant que
formes
, avant tout, la dystitymio et. la vésanie (mélan-
er de, nouvelles idées par la nou- velle existence à laquelle on le
forme
graduellement. De là la né- cessité de professe
psychologie ; l'enseignement des devoirs et de la nature de l'homme
forme
le caractère et apprend à se dominer. La divisi
vit pour la première fois. Zeller fut l'auteur qui distingua une
forme
primitive et une forme secondaire de la maladie (
fois. Zeller fut l'auteur qui distingua une forme primitive et une
forme
secondaire de la maladie (issue par exemple de
la mélancolie), Criesinger qui, au débul, ne reconnais- sait que la
forme
secondaire, finit, à la suite des travaux de Swll
primitive. Puis vint Sanderqui décri- vit un genre spécial de cette
forme
primilhe, sous le nom de, folie systématique «o
ussée ; elles ont trait aux agités et aux tapageurs : cet édi- fice
forme
un autre angle droit, par rapport aux ailes latér
e un peu plus de 23 hectares 82. La plus grande part du sol cultivé
forme
des jardins. Le nombre des journées de travail
il en était ainsi en 1880. BIBLIOGRAPHIE V. De la folie ci double
forme
, circulaire, alterne ; par le Dr 1\fonnnT, méde
de vue plus particuliers de l'auteur sont les suivants : dans cette
forme
de folie, le désordre des actes et des sentimen
mélancolie sans leur relief. ([''adret) ». L'auteur n'admet pas une
forme
paralytique de cette maladie, mais reconnaît qu
fisent pour expli- quer le passage d'une phase à l'autre dans cette
forme
morbide, et préfère expliquer ses deux phases p
lles entre chaque oscillation sont égaux ; chaque oscillation a une
forme
régulière et se compose d'une ligne ascendante
aménorrhée fréquente, albuminurie, fièvre mor- phinique sous trois
formes
: intermittente, typhoïde, hectique. Amorphinis
et l'autre migraines, l'apparition d'attaques de l'une ou l'autre
forme
chez le même individu; la transformation de l'une
forme chez le même individu; la transformation de l'une et l'autre
formes
par transmission héréditaire. '" On doit regard
anopsies transitoires non suivies de céphalalgie.I[ y a beaucoup de
formes
de migraine, et toutes peuvent exister sans cép
ion hypnotique et sédative de la plaraldélayde dans les différentes
formes
d'aliénation mentales; par iVnc.». (Thèse de Pari
as été si- gnalée dans cette affection. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A
FORME
D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (ÉTUDE D'UNE NOUVELLE VAR
alité d'une variété particulière d'attaques d'hystérie, l'attaque à
forme
d'épilepsie partielle, constituée uniquement da
de comme la première malade était atteinte d'attaques hystériques à
forme
d'épilepsie partielle. Dans les deux observat
est des cas dans lesquels la fausse épilepsie par- tielle revêt la
forme
monoplégique ou circonscrite, les convulsions s
e .perd nullement connaissance dans sa crise. C'est bien, dans la
forme
, de l'épilepsie partielle. Mais il n'y a là qu'
de l'hystérie, la place qu'y occupent d'habitude, les convulsions à
forme
de grand mal, et si elles étaient d'ordinaire s
l'hémispasme avec rotation de la tête et des yeux du côté convulsé (
forme
hémiplégique), soit par des monospasmes (forme
ux du côté convulsé (forme hémiplégique), soit par des monospasmes (
forme
monoplégique); 5° Ces convulsions partielles ép
- sidérables, constituant alors un véritable état de mal épilepti
forme
; 7° Il est des signes qui permettent de diagnos
. Depuis les remarquables travaux de M. Huglilings Jackson sur la
forme
d'épilepsie à laquelle il a attaché son nom, un
luleuse ; elle est distendue par le liquide céphalo-rachidien, sous
forme
de pseudo-kyste. Les artères de la base paraiss
cien où la pie-mère se présente sous ÉPILEPSIE JACKSONNIEKNE. H07
forme
d'une lamelle qui entraine un peu de substance ne
vec des ilôts rosés. (PL. VI). Il semblerait que la substance grise
forme
une sorte de voile mobile sur la crête de la su
ses. La première envoie de sa partie moyenne un pli assez large, de
forme
conique vers le fond de la scissure de Sylvius.
début de la lésion initiale qu'apparaît l'épilepsie d'abord sous la
forme
de vertiges (quatorze ans), puis sous forme d'a
ilepsie d'abord sous la forme de vertiges (quatorze ans), puis sous
forme
d'accès (dix-sept ans;. Pendant l'accès, les ye
e de ce même côté, les secousses tétani- 310 () RECUEIL DE FAITS.
formes
étaient égales des deux côtés; mais, pendant la p
utde la portion transverse de la scissure de Sylvius, à cause de la
forme
qu'elle affecte. Schwalbe décrit séparément et
) part de la scissure perpendicu- laire interne, avec laquelle elle
forme
, à quelques millimètres du bourrelet du corps c
sthme delà circonvolution du corps calleux, (antecalcarinien), elle
forme
le gyrus hippocampi et le gyrus unciforme. Il
longements qu'elles projettent en divers sens. On en distingue deux
formes
principales ; les unes ne possèdent presque pas d
les secondes. -Au point de vue de la texture générale, la névroglie
forme
la substance de soutien et d'enveloppe des élém
tituer de vraies mem- branes. Dans la substance grise, la névroglie
forme
des ré- seaux cellulaires dont les intervalles
ch., XIV, 2.) Sous ce titre, l'auteur rapporte deux observations de
formes
associées de sclérose multiloculaire et de para
lules nerveuses, sans qu'il soit permis de préciser davantage. Deux
formes
seraient admissibles : 1'unelonte, traînante, e
es âgés de trente-deux à cinquante-huit tans, ayant étéatteinte des
formes
galopante, circulaire, hypochondriaque, démente d
'homme vivant des bains galvaniques et faradiques. Une électrode de
forme
appropriée, reliée à l'un des pôles de l'appareil
uche; la troisième porte sur une paralysie faciale rhuma- tismale à
forme
moyenne. Dans tous ces cas, la convulsion est l
plus reparu depuis neuf mois. P. K. LIV. Remarques sur certaines
formes
DE l'atrophie névrotique (dite névrite dégénéra
it leur apparition au même moment chez des jumeaux, mais sous une
forme
différente; l'un en effet devenait fou, taudis qu
r 1883, p. 3.) L'auteur rappelle que l'on décrit ordinairement deux
formes
d'atrophie cérébrale : l'une dans laquelle on c
erveuses qui succèdent ordinairement à la couche granuleuse sous la
forme
d'un petit centre blanc distinct à l'inté- rieu
caractère, les allures, l'humeur; de l'excitabilité sous toutes ses
formes
, de la propension à l'isolement; de la céphalalgi
raison du mode d'exécution de l'acte, des motifs allégués, de la
forme
et de la teneur des réponses; absence de sens mor
es observa- tions recueillies par lui, l'auteur peut dire que trois
formes
de troubles de la vue se montrent chez les para
re de prétendre que c'est en faisant ainsi la part exacte de chaque
forme
nosologique qui se compromet, si l'on peut ains
ou bien ils se présentent dans la substance musculaire même sous la
forme
de lames larges ou de stalactites pointues, lib
out à fait improbable que l'énorme masse de substance cérébrale qui
forme
le lobe frontal de l'homme soit totalement prépos
à l'obligeance du 1), Dymock, de Bombay. Elle se présente sous la
forme
d'une masse compacte, brun-noir, assez molle, exh
philis, sans qu'il existe d'étiologie nette, il s'installe, sous la
forme
subaiguë ou chronique, un affaiblissement de la m
ercussion. Il existe fréquemment des convulsions fibrillaires, sous
forme
ondulatoire, dont la genèse, aujourd'hui spontané
ique décèle un épuise- ment de l'excitabilité, qui souvent revêt la
forme
de la réaction la- cunaire de l3enediht; 3° d'u
générale, l'excitabilité électrique est diminuée. Un cas offrait la
forme
moyenne de réac- tion dégénérative de Erb, A SZ
ppèrent au traitement. Malgré les analo- gies irréfutables de cette
forme
morbide avec la paralysie spinale subaiguë de D
ention, on voit que la pluralité des cellules, qu'il s'agisse de la
forme
svelte des cellules olfactives de M. Schultze o
occasion d'une cause patente de refroidissement, alleclanl, sous la
forme
intermittente, les extrémités inférieures, soci
itation spinale (névrite optique ? ); celle-ci, en s'aggravant sous
forme
d'accès, engendrerait etlesconvul- sions tétani
oduit et 2,700 grammes du second. C'est à Dalldorf, dans toutes les
formes
possibles de psychopathies, qu'on a expé- rimen
obnubilés, ainsi que sur les paralysés généraux agités. Les au très
formes
de perturbation mentale, l'insomnie nerveuse, etc
ticale et médullaire de l'organe ; à la convexité de ce dernier, il
forme
une proéminence arrondie. L'examen micros- copi
on a considéré que l'anesthésie optique qui affecte au périmètre la
forme
de rétrécissement concentrique du champ vi- sue
veau, sont particulièrement atteints. En second' lieu, les diverses
formes
sous lesquelles ellese manifeste traduisent des
dire à tel ou tel âge de la maladie des tractus nerveux, sous la
forme
aujourd'hui de mélancolie, plus tard de manie, et
exaltation de la conscience du moi, s'il existe en même temps une
forme
gaie et une forme triste delà manie, c'estqueles
conscience du moi, s'il existe en même temps une forme gaie et une
forme
triste delà manie, c'estqueles expressions de m
rgane psychique légère- ment fatigué ; puis, un stade de manie, qui
forme
la première pé- riode de l'épuisement mortel de
complète; le défaut i-adicalde l'un des stades permet d'établir les
formes
incomplètes, abortives. La uésunie cu- tatoniqu
déchéance du malade, s'appelle vésanie paralytique progressive; ses
formes
et leurs variétés sont les mêmes que dans la vé
distinguer dans la vésanie typique complète les folies ci double
forme
, circulaire, etc. ; dans la vésanie typique incom
ychose présente, comme toute névrose, une marche chronique, que les
formes
transitoires ne sont que les plus fortes explosio
tomie; rapports de l'infirmier avec l'a- liéné dans les différentes
formes
mentales; petite pharmacie. Ces cours se feront
ulée, par Robertson, 217. Folie systématique, 252. Folie a double
forme
, par Mordret (An. Charpentier), 206. Force de
(état mental dans l'), 356). Hystei·ie, 121 ; - (attaqucs d'- à
forme
d'épilepsie partielle (étude d'une nouvelle var
ond de l'oeil chez les paralytiques généraux, lésions revê- tant la
forme
d'une névrite optique interstitielle qui en évo-
ever d'un de ces deux fac- teurs. Pour qui sait la multiplicité des
formes
que revêtent les altérations syphilitiques de l
euronophages d. les libres nerveuses, également altérées, nioliiii-
formes
en o ont disparu en certains points a. LE FOND
aux, bien colorés par l'alun à l'bématoxyline, sont de volume et de
forme
variable ; le plus souvent ovalaires, ils sont
sme est généralement abondant et les contours cel- lulaires sont de
forme
irrégulière. Ces cellules sont pourvues de prol
ombre des éléments névrogliques interfasciculaires qui sont de même
forme
, de même nombre et affectent les mêmes rapports
nous trouvons d'innombrables cellules de névroglie de volume et de
forme
variables, à noyau volumineux, le plus souvent
n transversale du nerf optique le tissu de sclérose apparaît sous
forme
d'îlots périvasculaires non reliés entre eux dans
nfin, chez les paralytiques généraux en rémission ou atteints d'une
forme
lente à longue évolution, il a été impossible d
s possible de saisir sur le fait et d'analyser les phases. III. Les
formes
psychopatiques auxquelles peut aboutir l'obsess
r à la production d'un accès aigu de mélancolie, le plus souvent de
forme
anxieuse. Ces accès de mélancolie, une fois con
de tous rapports sexuels, les obsessions persistèrent, revêtant la
forme
d'une sorte de maladie du doute avec délire du
to- matisme des idées aboutissant parfois à un véritable délire à
forme
de rêve. Il n'y a là, en fait, que l'exagération
oses viennent à s'accentuer et l'on assiste à un véritable délire à
forme
de rêve, qui peut durer plusieurs jours et même
ne pouvait le con- vaincre de son erreur. Ce délire particulier, à
forme
de rêve, dura chez lui presque un mois à chaque
ine d'années, ces obsessions, qui se présentaient jusque-là sous la
forme
classique, se sont quelque peu modifiées. Souve
de dix-sept ans, d'ob- sessions anxieuses diverses, surtout sous la
forme
de maladie du ÉVOLUTION DES OBSESSIONS ET LEUR
ouvent même, ces caractères s'accentuent et les délires revêtent la
forme
que nous avons 42 CLINIQUE MENTALE. - décrite
résente, depuis l'âge de dix-huit ans, des obsessions de doute sous
forme
d'interrogations; recherches métaphysiques. Plu
rrogations; recherches métaphysiques. Plus tard, idées obsédantes à
forme
de contraste; manie blas- phématrice, impulsion
rmations que nous venons de décrire. D'après Pitres et Régis, les
formes
qui aboutissent au délire systématisé sont les
tir à des accidents vésaniques carac- térisés, quelle qu'en soit la
forme
, sont surtout les obsessions dites intellectuel
es- sions,une variété à part, intermédiaire aux obsessions et aux
formes
vésaniques caractérisées, les délires systématisé
7mizlaii-e. S'il est très difficile d'établir des rapports entre la
forme
44 Il CLINIQUE MENTALE. de l'obsession et son
léments de pronostic me paraissent devoir être tirés, non pas de la
forme
de l'obsession, mais du complexus symp- tomatiq
s si différents les uns des autres, fussent-ils atteints de la même
forme
d'obsessions. Que ces modifications se résument
ente qu'on ne le croit, de phénomènes spéciaux d'automatisme sous
forme
de tendances impulsives avec illusions ou halluci
ces délires de rêve que nous avons signalés, ou bien à des états à
forme
de mélancolie anxieuse. Mais le bouleversement
délires systématisés. Ces considérations nous expliquent encore la
forme
que revêtent quelquefois ces délires, les idées
e, si elle n'est pas retardée, ou brusque, ou irrégulière dans sa
forme
. Après ces diverses recherches, on ne- connaît
re de chaque muscle envisagé isolément se montre anormale dans sa
forme
. Nous n'insisterons pas ici sur les caractères de
Les expérimentateurs que nous venons de nommer ont repris sous une
forme
nouvelle des essais que des physiologistes avaien
rs emprisonner et martyriser le pied de la Chinoise pour obtenir la
forme
traditionnelle voulue par l'esthétique des Célest
à la lumière, la plupart du temps bilatérale, qui peut affecter la
forme
d'une immobilité presque complète. Ce sont géné
hyroïdes se dérelop- pent tout d'abord des troubles psychiques sous
forme
d'excitation maniaque avec idées de persécution
leux doit-être prévenu de son état ; mais je pense qu'il y faut des
formes
et des ménagements ; le médecin de famille peut
hologie que la détermination des causes qui produisent les diverses
formes
de caractère, nous devons y voir en même temps
r les philosophes contemporains. M. Paulhan s'est plus occupé de la
forme
que du fond. Il ne voit que les tendances et le
n. Paulhan, estimant qu'un caractère est déterminé d'un côté par la
forme
par- ticulière que revêt l'activité de l'esprit
e Ménière hystérique extrêmement rare et pouvant revêtir parfois la
forme
apoplectique; otalgie; algie mastoïdienne (pseu
l'idée maladive, jusqu'à la manifestation délirante sous toutes ses
formes
. Cet état, créé par suggestion, a été dénommé d
e il fait rentrer les observations de Lasègue et Falret. Dans cette
forme
, comme Lasègue et Falret l'ont dit eux-mêmes, i
Ballarger, avait été repris par Lasègue et Falret pour décrire une
forme
de folie à deux que M. Marandon appelle folie i
ent de nombreux travaux sur la contagion mentale morbide et sur les
formes
de folie qu'elle engendre. 1 . M. Pronier1, d
imposée à la folie communiquée. Il considère la première comme une
forme
de transition avec la normale. M. Kinkel ne c
vraisemblance du délire. Comme ce dernier, il reconnaît les trois
formes
cliniques décrites ; mais pour lui la folie imp
e Belgique, 1893, p. il6). 3 Arnaud. La folie la deux, ses diverses
formes
cliniques (Annales méd.-psycliol., mai-juin 189
de persé- cution seul serait contagieux et montre que toutes les
formes
délirantes peuvent se communiquer, depuis les for
que toutes les formes délirantes peuvent se communiquer, depuis les
formes
maniaques pures jusqu'aux délires systématisés.
les étrangers, en Allemagne et en Amérique, ont cherché à créer une
forme
nouvelle de folie par contagion, la folie indui
ransmission d'idées délirantes d'un aliéné à un autre aliéné. Cette
forme
, comme l'a dit M. Ma- randon en '1894, n'est qu
ont paru sur la folie à deux. En général, les auteurs admettent les
formes
cli- niques classées par Marandon : les uns app
GION. 133 La contagion morbide est la raison d'être de toutes les
formes
de folie par imposition, par communication, par
lée récemment par MM. Sérieux et Capgras'. 1 En somme, toutes les
formes
délirantes peuvent être con- tagieuses, deux l'
ieuses, deux l'ont été'plus particulièrement jusqu'ici, ce sont les
formes
anxieuses de la mélancolie et les idées de pers
élirantes. Comme MM. Marandon et Arnaud, nous reconnaîtrons trois
formes
cliniques : lafolie imposée, type Lasègue-Falret;
. -psychol., mai-juin 1902. '140 CLINIQUE MENTALE. Dans ces trois
formes
, les éléments pathogéniques sont identiques; ce
ifférents auteurs sont très variables sur la compréhension de cette
forme
de folie par contagion. Elle a été d'abord la f
ension de cette forme de folie par contagion. Elle a été d'abord la
forme
décrite par Lasègue Falret, sous le nom de foli
uence du sujet actif. Enfin, M. Nina Rodriguès pense que dans cette
forme
, on peut avoir de véritables délires transitoir
a nécessité absolue de le séparer de son codélirant. La deuxième
forme
est la folie simultanée, bien indivi- dualisée
l nous suffise de dire qu'elle est l'éclosion simultanée d'une même
forme
délirante et par influence réciproque chez deux
action inter-mentale et par imitation inconscienle. La troisième
forme
est la folie communiquée dont M. Ma- randon a b
d'avoir couché avec sa fille après l'avoir endormie avec du chloro-
forme
, etc... L'influence de l'agent actif se faisant
uteurs étrangers, qui n'est qu'un cas particulier de cette dernière
forme
. C'est l'influence suggestive morbide d'un alié
es codélirants, indication qui a sa raison d'être dans toutes les
formes
que l'on a décrites. Nous avons vu, en effet, q
les; 2° il y a nécessité de séparer les codélirants dans toutes les
formes
de folie par contagion ; 3° il y a nécessité de
ns considèrent ces phénomènes morbides comme des troubles liés aune
forme
spéciale de neurasthénie (Kraepelin) (Régis) ;
ient plus accentué, mais sans cesser de se maintenir cependant sous
forme
d'impulsion (tendance) sans jamais amener fatal
présente les caractères décrits plus haut par Meige. Vit. Sur une
forme
d'hypertrophie des membres; par E. Rapin. (oMt)
à une heure. On constate 30°, 3° et même 31°. C'est en réalité une
forme
d'attaque, qui quelquefois revient trois- quatr
et apparition tantôt le matin, tantôt l'après-midi, soit sous la
forme
d'intermittences régulières et retour au même mom
vertiges, asthénie neuro-musculaire etc... On peut rencontrer des
formes
sévères où la nutrition est gravement atteinte.
ytes dans toutes les encéplalo- pathies syphiliques. Or, toutes les
formes
de syphilis cérébrales ne se terminent pas par
lysie générale, comme il en est du tabès, dont nous connaissons des
formes
frustres. M. Legrain croit que plusieurs into
GIE Séance du 15 janvier 1903. Présidence de M. P. RICHER Sur une
forme
clinique et <tM<omo-pa<AoogMe de inditi7
du tronc et des membres. Ces mouvements sont tantôt convulsifs, de
forme
tonique ou de forme clonique, tantôt, ce sont d
es. Ces mouvements sont tantôt convulsifs, de forme tonique ou de
forme
clonique, tantôt, ce sont des gestes ou des attit
On peut se demander s'il ne s'agit pas là d'un trouble convulsif de
forme
tonique, intermittent, localisé sur les muscles d
la coexistence ou l'alternance avec les phé- nomènes convulsifs de
forme
clonique présentés par les tiqueurs. Il s'agit
ly, etc.), qui ont toujours soutenu l'origine centrale de certaines
formes
Se paralysie saturnine, notamment pour la forme
ale de certaines formes Se paralysie saturnine, notamment pour la
forme
généralisée et purement amyotrophique. Elle démon
délirer (11a·aadoa) » et c'est encore là une raison de séparer ces
formes
de la forme ' M. Lucien Picqué. Soc. de chirurg
·aadoa) » et c'est encore là une raison de séparer ces formes de la
forme
' M. Lucien Picqué. Soc. de chirurgie, 1897,
à chaque cerveau et produire, comme nous le verrons plus loin, une
forme
de délire différente selon les cas. L'importa
sychoses post-opé- ratoires il convient tout d'abord d'éliminer les
formes
qui ressortissent à des lésions anatomiques bie
e jusqu'alors latente ? A quelle cause attribuer la variabilité des
formes
déli- rantesque l'on peut observer à la suite d
rantesque l'on peut observer à la suite des opérations ? C'est la
forme
variable de la mentalité ou de la prédisposition
forme variable de la mentalité ou de la prédisposition qui crée la
forme
de la psychose, tout comme la variété de l'agent
manie, l'acte opératoire pourra développer une psychose revêtant la
forme
de la manie hystérique. Chez telle autre, la ps
ion pourra avoir sur l'opéré une influence déterminante, quant à la
forme
de la psychose. Les opérations pénibles, la per
uissance génésique de l'homme, engendrent plus particulièrement les
formes
mélancoliques. Et si ces formes sont fréquentes
ngendrent plus particulièrement les formes mélancoliques. Et si ces
formes
sont fréquentes à la suite des opérations, ce n
des opérations, ce n'est pas tant parce qu'elles constituent les
formes
les plus ordinaires de l'aliénation, que parce qu
atoires, tenir compte de l'âge, des antécé- dents héréditaires, des
formes
de troubles mentaux présen- tés par la malade,
variétés intermédiaires et l'on doit se demander si dans ce cas la
forme
même du délire ne pourrait pas fournir une indi
e bref sur le traitement des psychoses post-opératoires. Dans les
formes
septicémiques, l'indication est très nette. Rec
des antécédents héréditaires, du degré de la prédisposition, de la
forme
des troubles mentaux; présentés antérieurement
qu'il importe au chirurgien de bien connaître. Le diagnostic des
formes
est important à établir, puisqu'il conduit à de
du pro- nostic et du traitement. Presque toujours bénin dans les
formes
infectieuses locales, justiciables d'une interven
voir thèse MaUet). - Pour l'aliéniste, la connaissance exacte des
formes
de la psychose le conduira à solliciter l'inter
FACIALE On reconnaît généralement à la névralgie faciale une «
forme
bénigne » et « une forme grave », cette dernière
généralement à la névralgie faciale une « forme bénigne » et « une
forme
grave », cette dernière se rapportant plus spéc
ie épileptiforme ». Toutefois il est permis de se demander si cette
forme
grave représente bien une forme de la « névralg
est permis de se demander si cette forme grave représente bien une
forme
de la « névralgie faciale ». Car, si la « névra
ces dernières, tantôt légère, tantôt sérieuse, tenace et rebelle (à
forme
grave par conséquent), la névralgie faciale épi
erritoires nerveux. D'ailleurs, rien n'est semblable entre les deux
formes
de névralgie faciale : d'une part, en effet, do
s permettre une comparaison, nous dirons qu'il y a entre ces « deux
formes
» une différence aussi tran- chée qu'entre la n
n'ont pas assez insisté, c'est que la douleur, quelle que soit sa
forme
, suit toujours le trajet d'une branche nerveuse,
fférencier une variété spéciale de la grande névralgie faciale « la
forme
convulsive ». Mais il est certain qu'on a abusé
« la forme convulsive ». Mais il est certain qu'on a abusé de cette
forme
, car les auteurs ont ici bien souvent considéré
mais bien la réalité, car l'épiphora se rencontre surtout dans les
formes
convulsives. Fort peu connue est l'augmentation
emple, l'administration de sulfate de qui- nine s'imposera dans les
formes
de « paludisme larvé », le traitement iodo-hydr
tiologie aura nettement montré qu'on se trouve en présence de cette
forme
particulière que l'on appelle la névralgie des
istré suivant la méthode de Trousseau et l'aconitine donnée sous la
forme
de pilules de Moussette sont encore les médicam
e, stypage), mais ils n'ont été vraiment démonstratifs que dans les
formes
peu intenses, passagères ou hyperesthésiques du
recours à l'électricité et celle-ci a été employée sous toutes ses
formes
avec des résultats variables et différemment ap
'après la plupart des auteurs, un excellent révulsif dans certaines
formes
extrêmement légères mais manque absolument d'ef
es extrêmement légères mais manque absolument d'efficacité dans les
formes
graves, et cela même dans les névralgies à type
après plusieurs alternatives de dessication et de madé- faction, il
forme
une masse compacte qui se prête mal à la confor
e détente qui se trouve surtout marquée dans les cas de névralgie à
forme
grave. Un des effets particuliers de la séance
ter de 3 séances par semaine. Ce chiffre est celui qui convient aux
formes
peu ou moyennement douloureuses de la névralgie
s avons cherché à préciser la ligne de démarcation entre les deux «
formes
» de névralgie faciale. On y trouvera que la né
sciatique qui se montre sous les aspects les plus variés, depuis la
forme
la plus légère, jus- qu'aux formes les plus ext
spects les plus variés, depuis la forme la plus légère, jus- qu'aux
formes
les plus extraordinairement rebelles. Or, pour
au trajet des fibres radiculaires postérieures, qui n'altère pas la
forme
de la moelle. Racines postérieures, région extern
es, la tuméfaction de la névroglie qui est énorme, ex : cer- taines
formes
de sclérose poly-insulaire ou diffuse, avec ou sa
soit rarement aussi nette que normalement. Et effectivement ici la
forme
du souvenir des incendies prouve un trouble de la
éveloppement du goût : meilleure est la race, plus régulière est la
forme
des circonvolutions, plus développé est le sens d
de valeur diagnostique comme pathognomonique pour l'une ou l'autre
forme
de maladies mentales; on l'observe aussi bien d
e des téguments du crâne, se détruit en cette cavité prend alors la
forme
d'un entonnoir à base externe ; le sommet commu
rectales et à des crises de diarrhée. A. Fenayrou. XXIX. Sur une
forme
récurrente de la polynévrite interstitielle hyp
dical News, 28 juin 1902). L'auteur ramène à quatre les principales
formes
sous lesquelles on voit le plus souvent surveni
laire fait défaut et les réactions électriques sont normales. Cette
forme
de paralysie bulbaire a été appelée successivem
tensité de ces lésions et aussi de leur cause productrice. Ainsi la
forme
nerveuse de l'arthropathie est grave surtout pa
douloureuse, déjà décrite par Dercum, peut se pré- senter sous deux
formes
principales : une forme diffuse se confon- dant
par Dercum, peut se pré- senter sous deux formes principales : une
forme
diffuse se confon- dant par son aspect avec l'o
forme diffuse se confon- dant par son aspect avec l'obésité et une
forme
disséminée avec nodules lipomateux multiples. D
premières se rapportent à deux femmes hystériques ayant présenté la
forme
disséminée avec nodules adi- peux douloureux et
déenne; par BURQUET. {Revue de médecine, août 1901.) LUI. Sur une
forme
d'hérédo-ataxie cérébelleuse; par Tnounn et Rou
les ont été déjà décrits par MM. Klippel et Durante. M. H. L1V. Une
forme
spéciale de tabès amyotrophiques ; par Chrétien
qui pourraient être considérés comme une transition entre les deux
formes
. il. C. L1X. Contribution à l'étude anatomo-pat
rologique, mars 1902). E. 13. LXIX. Sclérose en plaques infantile à
forme
hémiplégique d'ori- gine hérédo-syphilitique pr
tat normal. En 1901, réapparition des accidents, cette fois sous la
forme
de paralysie associée des mouvements de latéralit
racines. M. Marie considère que la r.»gion postérieure de la moelle
forme
nn bloc composé de l'élément nerveux, vasculair
ivantes des psychoses syphilitiques : i. Trouble de cons- cience en
forme
d'accès de sommeil pathologique, différent du s
gnale ses cas par le nom de démence stupeureuse syphilitique. Cette
forme
morbide doit être différenciée de l'amentia stu
apparaître comme l'un des chaînons terminaux de la longue série des
formes
morbides provenant de la syphilis. , . DISCUS
s avoir de relation avec le noyau ; l'aspect du réseau dépend de la
forme
du corps cellulaire ; ainsi, par exemple, dans
cale et en particulier des opérations gynécologiques dans certaines
formes
d'aliénation mentale (avec le Dl Picqué), commu
OIRE ET CRITIQUE. 2° Après une autre année de santé passable, il se
forme
chez elle des abcès du foie, dont elle nous déc
iques, que sa mère a souffert également d'une névral- gie faciale à
forme
grave. Pas de rhumatisme, pas d'impaludisme. Ma
vers le milieu de ce mois. D'ordinaire elles se présentent sous la
forme
de crises, de douleurs aiguës en coup de fouet,
ien de particulier dans les antécédents. Traitement. Bien que cette
forme
de névralgie semble indé- terminée, nous soumet
antôt le type nocturne, tantôt diurne, se présentant tantôt sous la
forme
d'éclair, tantôt sous la forme de pincements, t
diurne, se présentant tantôt sous la forme d'éclair, tantôt sous la
forme
de pincements, tantôt sous la forme de douleurs
forme d'éclair, tantôt sous la forme de pincements, tantôt sous la
forme
de douleurs en zig-zag, mais, caractère particu
ou deux minutes. 35° ? 6HIQtJE nerveuse. de névralgie faciale à
forme
grave que présente ce malade, il existe de temp
névralgie dans le côté droit de la face, depuis octobre 1901, sous
forme
d'élance- ments douloureux. Déjà depuis deux an
ATOSE ET PARALYSIE GENERALE. Obi seins. Elles affectent les unes la
forme
sessile et dure et les autres la forme mollusco
Elles affectent les unes la forme sessile et dure et les autres la
forme
molluscoïde et molle. Sur les bras elles sont d
; elle ne quitte plus le lit. 5 janvier 1902. Entérite grippale à
forme
grave, suivie de cachexie, d'escarres au sacrum
accentuées d'amélioration, suivant la gravité et le caractère de sa
forme
. 4. Ses symp- tômes ne présentent la plupart du
e pour le sexe féminin se transforma en une impulsion anor- male de
forme
rare. Il remarqua un jour que cela lui faisait
l'hallucination, se manifester dans certaines expériences sous leur
forme
habituelle. Il est à remarquer que, la plupart
à celui de Weber pour 10 vérifier si, comme le prétend W. James, la
forme
et la dissemblance des contacts n'a aucune infl
ne indication suffisamment précise pour permettre de reconnaître la
forme
de la maladie dont cet individu était atteint.
tement spécifique n'a donné aucun résultat. Etude clinique de la
forme
tabétique des scléroses combinées. MM. P. Marie
quels étaient les signes permettant de faire le diagnostic de cette
forme
des scléroses com- binées qui est le plus souve
ées qui est le plus souvent une trouvaille d'autopsie, alors que la
forme
spasmodique de cette même affection correspond à
e combinée, D..., au point de vue de la dégénérescence des diverses
formes
de la sensibilité, et des modifications que la pr
stème des sensations musculaires profondes des membres supérieurs
forme
la base de l'orientation dans la vie quotidienne
miné le liquide céphalo-rachidien de vingt tabétiques de date et de
formes
variables. Ils ont constaté dans tous les cas l
tic de la paralysie infantile bilatérale, ne se rapportant pas à la
forme
ordinaire, mais à celle qui apparaît comme famili
f des symptômes s'explique par les causes endogènes, comme dans les
formes
héréditaires : le nystagmus et le trem- blement
s supérieur et inférieur gauches. Les convulsions apparaissaient en
forme
d'accès qui étaient tantôt très fréquents, tant
e soli- taire, qui doit être exclu comme tout autre tumeur, mais en
forme
d'une plaque tuberculeuse méningienne (méningit
ée en matière qui d'emblée l'ait apprécier au lecteur les multiples
formes
que peut revêtir ce qu'on appelle tic, les aute
nt tout la manière non identique chez les aliénistes d'envisager la
forme
morbide en question. Cette considération a ob
pourceniage avec le degré de la tare héréditaire dans d'au- tres
formes
de maladies mentales qui ont été examinées par
erre Thomas du Fossé, loc. cit., 492. 432 ' HISTOIRE ET CRITIQUE.
forme
1 ». Un de ses amis lui attribue « une prière san
ma- turée, non rupture ou accouchement, oeuf entier, mâle hydati-
forme
, hvdramnios) ; toutes les anomalies du cordon (in
t délirer comme ceux qui en sont indemnes, ni présenter les mêmes
formes
morbides. De même, les présentations droites de l
le d'une petite lentille et ne dépasse pas celle d'un haricot, leur
forme
est à peu près ronde, plus allongée dans le sen
nt de crainte qui m'étreint chaque fois que je regarde cet animal à
forme
humaine. L'aliéné a conservé la même enveloppe
tion, à une prison, et il ne s'est pas complètement libéré de cette
forme
matérielle et morale. On a supprimé les cellules,
où le malade est parti- culièrement irritable : mais dans d'autres
formes
d'aliénation mentale, il existe, sans que peut-
début un peu d'anesthésie qui ne persiste aujourd'hui que sous la
forme
d'une plaque au membre inférieur droit. Il n'y a
es 'élèves et le corps enseignant. L'école de médecine américaine
forme
un tout, une sorte d'en- traînement mutuel pour
re, la haine, la méchanceté, la violence. Ces sentiments varient de
forme
et de degré, suivant qu'il s'agit du conducteur
nce di, courte durée. Les anomalies sexuelles dans l'une ou l'autre
forme
sont très sou- vent observées dans les idées ob
ifs, c'est-à-dire ceux dans lesquels l'état anxieux se produit sous
forme
intellectuelle ou d'idée, ce sont les obsessions
, etc. MM. Pitres et Régis donnent huit observations d'obsessions à
forme
panophobique qui montrent l'anxiété latente, di
identelles. Les phobies cons- lit2ctioznelles se présentent sous la
forme
de répulsions angois- santes ou de peurs anxieu
t précoce (enfance, puberté); la persistance indéfinie sous la même
forme
, avec des alternatives de paroxysme et d'accalm
s, soit dissemblables. L'obsession se manifeste habituellement sous
forme
paroxystique, s'impose iL la conscience révolté
onsidérable (dans les quatre cinquièmes des cas) ; parfois sous une
forme
similaire. Les obsessions sont des syn- dromes
e d'inhibition souvent victorieuse (obses- sions impulsives). Les
formes
cliniques des impulsions sont nombreuses : impul-
humanité, 1886. p. 124. - Boissier et Lachaud Perversion sexuelle à
forme
obsédante. (Arcla. de Neurologie, 1893, t.XXVI
re guéri sous l'influence exclusive de la persuasion . Il est une
forme
de la persuasion qui joue un grand rôle dans la
eprésentent les diverses phases de la même maladie ou ceux d'autres
formes
voisines qu'il importe de connaître pour le dia
es sections d'agités, sont dallées. Les baignoires sont en zinc, de
forme
elliptique. L'eau d'arrosage (jardins) est four
ensi- tivo-motrice généralisée aux quatre membres et à la face, à
forme
de polynévrite ascendante, avec un minimum d'inte
très accentuée et sont très parésiés ; l'autre d'une polynévrite à
forme
pseudo-tabétique mais sans troubles des réactio
médullaires. G. Carrier. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 533 LXXV.
Formes
cliniques du tremblement dans la paralysie agitan
es médicales de Lyon. 15 janvier 1902). M. Collet a recherché les
formes
anormales du tremblement dans la paralysie agit
son. D'après ses recherches, l'auteur range en quatre groupes les
formes
anormales de tremblement : 1 ? Les cas où le tr
suite. M. Collet cite à l'appui des observations de ces différentes
formes
cliniques du tremblement. G. C. LXXVI. Paraly
3° La partie supérieure (antérieure) de la première occipitale, qui
forme
entre autres aussi le segment supérieur du coin,
lons transitoires et les sillons permanents. La scissure de Sylvius
forme
une exception. Elle est, en effet, entourée d'u
ielle d'une paralysie complète du sphincter irien. 11 y a donc deux
formes
de réaction lente de la pupille à l'accommodati
Strasburger, est le prodrome faible de celle de Saenger. Ces deux
formes
émanent de l'atrophie progressive et de la contra
nes altérations pathologiques dans le tissu même de l'iris et où la
forme
myotonique du mouvement des pupilles apparaît à
ignées sous le nom commun de réaction tonique, mou- vement tonique,
forme
tonique du mouvement des pupilles. P. IiERAVAL.
t s'associe aux remarques de M. Christian, il ne s'a- git pas d'une
forme
psycbo-patbiqne nouvelle. En présentant ces obs
s dendi ites étaient parsemées d'appendices collatéraux de diverses
formes
et grandeurs; lesprolongementsprotopiasmatiques,a
au-nés, je n'ai trouvé qu'une seule fois le signe de Babinski, sous
forme
d'extension, plus accusée au gros orteil. Par c
Slll'l'il- natomie pathologique de - par SNViLil,1,i, 88. Sur une
forme
d' , par Thomar, 281. HÉRI.DO-ST('fIILIS. Voi
e. Un cas d' - épileptique, par Smith, 193. Hypertrophie. Sur une
forme
Il' - des membres, par Rapin, 179. Hypnotisme
céphalo-rachidien, 1lt.smco-GCI : PH\I.1TF tuberculeuse. Sur une
forme
clinique et ana- tomo-pathologique de , par An-
. Poliomyélite chronique, par Debrav, 538. Polynévrite. Sur une
forme
récur- rente de ia.intf'rstitienehyppr- troph
ie l'épaule, par Lannois et Da- viot, 279. en plaques infantile à
forme
hémiplégique d'origine hérédo-sypliilitique pro
vision binoculaire droite, par Ballet, 287. Elude clinique de la
forme
tabétique des combinées, par P. Marie et Crou
veau cas de fruste chez un n syphilitique, par Glorieux, 274. Une
forme
spéciale de amyotro- phique, par Chrétien et Th
d'opacité. A certains doigts même (Cf. index main gauche, fig.'V),'
forme
un large anneau autour de cette articula- tion
'articulation semble respectée. Crâne cubique : aurait acquis cette
forme
après un traumatisme (fracture du crâne) ? Pa
te ne revêt d'ailleurs pas toujours le même aspect, et à côté de la
forme
classique, d'autres types sont assez individual
tèbres participent au processus et la colonne s'incurve. Dans cette
forme
classique, la peau et les parties molles sont peu
éveille l'attention, et le médecin pense à l'acromégalie. C'est la
forme
pseudo- acroinégalique (1). Très souvent enco
gonfle- ment des extrémités des doigts (2). Nous distinguerons deux
formes
. Dans la première, pseudo-hippocratique, le doi
utorisés (3) ; la radiographie est de toute néccessité. La deuxième
forme
ne peut plus être confondue à première vue qu'ave
D'ACRODACTYLOPATHIE HYPERTROPHIANTE .9 banale, c'est-à-dire dans la
forme
pseudo-acromégalique, les auteurs (1) font rare
ccroissent par adjonc- tion de tissu néoformé. Sans méconnaître les
formes
de transition, il importe donc d'opposer l'hype
champ des hypothèses est t donc assez circonscrit. - Bien que la
forme
de la tête de notre malade n'ait peut-être aucun
iques d'liyperpituitarisme pour adé- nome du lobe antérieur, et les
formes
de la dystrophie adiposo-génitale de Fra;lich..
s travaux à démontrer la fixité du diagnostic radiologique dans les
formes
acromégaliques con- POLYDACTYLIE ET TÉHATOME HY
raphique peuvent être absolument variables et inconstants. Dans les
formes
dystrophiques de Froelich on peut rencontrer à l'
ve, landis que par oppo- sition elle est toujours positive dans les
formes
acromégaliques. Ainsi posé le diagnostic de tum
bleu, pouvait distinguer les couleurs, bien qu'il ne pût indiquer la
forme
des objets, chose qu'on ne rencontre pas dans l
r la peau des paupières, tandis que la fente palpébrale acquiert la
forme
d'un s italique couché (() et le bord libre de la
rie de cas, où la maladie nerveuse évolue, le plus souvent sous une
forme
chronique, chez de jeunes gens; dans la plupart
fusiformes, le protoplasma groupé aux pâles, des noyaux, souvent à
formes
très irrégulières. Quelques lymphocytes, plasma
s, du reste ils sont très pauvres en chromatine. Dans l'écorce leur
forme
est souvent régulière, parfois ils sont anguleu
es autres noyaux névrogliques on retrouve le type petit, compact, à
formes
souvent irrégulières et des éléments plus clair
urs contours sont d'une irrégula- rité plus grande : on en trouve à
forme
pyramidale, à forme multilubulaire, on en trouv
une irrégula- rité plus grande : on en trouve à forme pyramidale, à
forme
multilubulaire, on en trouve, qui sont fusiform
te ; entre elles une forte pro- lifération de noyaux névrogliques à
formes
ovoïdes, arrondies ou plus irrégu- Fio. 2. Gran
e ordinaire plusieurs fois. Ce sont encore des vésicules claires, à
formes
plutôt rondes, ovales ou irrégulières ; il y a
t contradictoires, nous autorisent à rapprocher ce cas de certaines
formes
de démence vésanique. (1) M. Rainaud, Th. Paris
aris, 1862-1863, n 36. , (2) V. 1 1TT1, Traité de la folie à double
forme
, Paris 1883. (3) Dîne et TiEi,sT, cités par lTl
e et d'une disposition maladive de l'individu examiné. Ce phénomène
forme
, comme la différence de tempé- rature cutanée o
symptomatiques, d'abord im- précises, s'affirmèrent ensuite sous la
forme
d'un syndrome de Brown- Séquard. La durée de la
igert-Pal, le Van Gieson on trouve un gros tubercule soli- taire de
forme
ovoïde, dont la partie centrale est caséifiée. Pa
clure à la suppression de toute la substance blanche qui a perdu sa
forme
ou sa coloration normale. Les dégénérescences s
de Neurologie en 1911 (2), M. Babinski a fixé les caractères d'une
forme
de paraplégie organique qui n'avait pas été suffi
des, limitées à quelques fibres, et même discutables. (1) Sur une
forme
de paraplégie spasmodique consécutive à une lésio
Elle aurait débuté, nous assure le malade à Page de 26 ans, sous la
forme
d'une tumeur d'aspect verruqueux située au ment
nt les racines gauches, qu'une tumeur du volume d'un petit pois, de
forme
assez régulièrement sphé- rique et développée s
resque absolument normale. Les cornes antérieures n'ont pas la même
forme
et le même volume; sur la majorité des coupes,
r,quelles jouent un certain rôle dans la constitution clinique delà
forme
de paraplégie dont nous nous occupons. - Noto
es menus. 2° M. S-,âgé de 43 ans ; malade mois, manifeste les trois
formes
de la pel- ladre. Le sang contient beaucoup de
vec un écroulement. 4° N. M., âgé de 53 ails. Malade 3 ans de trois
formes
pellagriques. On a trouvé dans le sang : des le
es, quelques-uns avec des vacuo- les, des grands lymphocytes et des
formes
transitives, deux ou trois myélo- blastes. 5°
mononucléaires ? 6° V. L., âgée de 50 ans. Malade uu mois et demi ;
forme
cutanée, intesti- nale et nerveuse d'une pellag
de Fiirex. 8° ti. V., âgée de 40 ans; malade à peu près 5 mois des
formes
cutanées- ititestiiiiles de la pellagre. Le san
es promyélocytes. UO M. M., âgée de 27 ans. Malade pendant 4 mois ;
forme
cutanée-intestinale et nerveuse d'une pellagre.
hocytes exigus. 10, A. Z., figé de 42 ans. Malade 4 mois d'une même
forme
pellagrique. On a trouvé dans, le sang des myél
et mégaloblastes. , 4(i° Y. M., âgé de 8 ans. Malade de toutes les
formes
pellagreuses. Le sang contient : beaucoup de mo
resque tous ceux qui ,provoquent une psychose. Il concerne les deux
formes
des lym- phocytes ; nous y trouvons ici des pet
ta joint les cellules de Fürex, ou les cel - Iules d'irritation aux
formes
pathologiques. « Anzi da alcune autori queste c
comme dans la cirrhose du foie, l'irritation orliée, dans plusieurs
formes
d'anémie et ceci prend une forme transitive dan
irritation orliée, dans plusieurs formes d'anémie et ceci prend une
forme
transitive dans la leucocytose. Lohlein compte, q
ction d'organisme sur une intoxication circulante réaction dans une
forme
âprement exprimée par une accumulation dans le
e tatouage, et depuis lors, il n'a pas cessé cet exercice (nouvelle
forme
de ken- tomanie, provoquant, à la longue, des l
ma chronique qu'elle se rapprocherait le plus, tenant à la fois dés
formes
pityriasique et lieliénoïde : il y a, en effet, é
en se servant de craie sur un tableau noir sans faire attention aux
formes
qu'il des- sinait, mais en concentrant ses effo
e faite pouréchapper aux exigen- ces du travail. Le suicide est une
forme
extrême de la fugue. En voici deux exemples ; d
voure l'harmonie de l'ensemble, la pureté des lignes, le charme des
formes
. Mais s'il cherche à pénétrer plus avant dans l
vant dans l'intimité de cette oeuvre, il s'aperçoit bientôt que les
formes
de ces trois corps féminins sont dissemblables.
ent d'un sculpteur secondé par une connais- sance approfondie de la
forme
humaine. L'enseignement de l'anatomie vivante,
les premières tentatives de dissection ; en savourant la beauté des
formes
, on se préoc- cupait d'en connaître les dessous
es ; elle témoigna aussi d'un goût singulier pour la morbidesse des
formes
, pour le charme émouvant que la maladie donne s
e demain être plus rétrograde encore et se donner comme idéal cette
forme
antique dont la beauté harmonieuse traduit le b
lminant de la lèpre nerveuse est t'anesthésie. Aussi décrit- on une
forme
de lèpre anesthésique. C'estaussi le symptôme qui
prides anlpulleuses ou maculeuses qui contribuent à caractériser la
forme
nerveuse de la lèpre. Diverses variétés de. par
algiques, comme les douleurs et 1'liypei-alcésie ; mais l'anesthésie
forme
toujours la base sur laquelle reposent lous les
teignent un haut degré d'intensité et puissent revêtir tou- tes les
formes
qu'on rencontre dans les autres affections nerveu
f peut se rétablir, mais si elle progresse, le nerf se détruit. Celle
forme
d'évolution peut se répéter plusieurs fois, mai
épreuse se caractérise de préférence en ce qu'elle envahit sous une
forme
exlensive et superlicielle des organes distincts
ure, sur le cou et enfin sur la poitrine, le dos et le ventre. La
forme
en est irrégulière avec limite sinueuse, accompag
me nerveux central. La cause en est que, avant qu'on puisse voir la
forme
de distribution affecter la projection d'un nerf
plaires courants de ce type. Je crois que cette aneslhésie, dans sa
forme
faciale supérieure, par sa fréquence et par sa
que, peut être appelée « masque anes- thésique lépreux ». C'est une
forme
de distribution typique d'anesthésie lépreuse d
lle a dans les autres régions. Il est évident que ce n'est pas la
forme
névritique. Il est démontré aussi qu'elle n'aff
la forme névritique. Il est démontré aussi qu'elle n'affecte pas la
forme
de distribution segmentaire qu'elle n'acquiert
ntaire qu'elle n'acquiert pas non plus dans le reste du corps. La
forme
segmentaire de l'aneslhésie de la peau de tète et
ouvent toujours réunis. Dans ce type d'anesthésie, il y a une autre
forme
dislincte, topographie- quement, de la précéden
e ou de la lolalilé de la peau des exlrémilés par une anesthésie en
forme
de gant avec ou sans manches, de plus grande ou d
c ou sans manches, de plus grande ou de moindre élendue, et sous la
forme
de chaussettes ou de bas. Elle ressemble par co
forme de chaussettes ou de bas. Elle ressemble par conséquent à la
forme
hystérique, mais elle se distingue de celle derni
la rencontre dans des cas tels que ce- lui de la figure 12, et elle
forme
une condition symplomatique de la plus grande i
e sur lequel nous avons insisté. Le contraste que, sensoriellement,
forme
le pied tabétique avec le pied lépreux cause en
parce que la distance est raccourcie et le trajet simplifié. Celte
forme
motrice est propre aux étals d'anesthésie simple
ormale par de fausses orienta- tions ou des écarts qui n'onl. ni la
forme
rythmique, ni la forme oscilla- toire ; cela co
rienta- tions ou des écarts qui n'onl. ni la forme rythmique, ni la
forme
oscilla- toire ; cela constitue le mouvement at
e ou sans aucune autre complication nerveuse. ` Laissant à part les
formes
aiguës ou actives de labyrinthisme dans les- qu
u labyrinthique a quelque chose de caractéristique notamment par la
forme
spéciale du sujet dans sa démarche et dans l'at
s malades chez qui l'insuffisance est considérable et chronique. La
forme
spéciale de la démarche a pour objet d'acquérir
téralement en contact, alors elle marche et elle court dans la même
forme
et dans la même vitesse que toute autre per- so
nnervation intéressée pour l'acte ne sortent point du muscle. Cette
forme
de contracture est le bien propre de la lèpre,
orisation de l'hérédité lépreuse débute chez lui et, déplus, que la
forme
de la maladie sera plutôt nerveuse que tubéreus
à leur donner la valeur de léprides huileuses. Le pemphigus est la
forme
de dermatose propre de celle variété de lèpre q
lépride, la lépride maculeuse et l'atrophie cutanée accompagnent la
forme
nerveuse. On voit l'atrophie cutanée dans les f
3 est un type de dépigmentation. Je me contente ici d'énumérer les
formes
les plus communes de der- matoses que l'on voit
s phlegmons ou par scléroder- mie, les mains peuvent acquérir cette
forme
de griffe d'oiseau de proie que l'on voit dans
La perte de substance peut se présenter sous plusieurs aspects. En
forme
de résorption moléculaire dans laquelle l'os se r
dont le pied appartient à un cas de cette maladie. Il y a une autre
forme
de destruction par résorption dans laquelle les
ère phalange du deuxième doigt de la même figure. Ces différentes
formes
se mêlent, se combinant généralement entr'elles.
etc., nous trouvons l'atrophie osseuse par résorp- tion, d'une même
forme
et d'une même évolution. La main de la figure 6
a le volume normal. Celle image, ai-je dit, constitue un type due
forme
lépreuse. Est-elle un témoignage qui donne une
ture de tel ou tel faisceau du muscle fléchisseur ou extenseur, la
forme
parcellaire de l'atropine des muscles faciaux.
e peut se présenter sous des aspects cliniques divers. A côlé de la
forme
classique que je viens d'envisager, il faut place
lé de la forme classique que je viens d'envisager, il faut placer une
forme
184 ` SOUQUES plus rare, contestée pendant lo
e forme 184 ` SOUQUES plus rare, contestée pendant longtemps : la
forme
péronière ou « pero- neal-type » de Tooth, dans
de la famille citée par Hanel. - Je ne mentionnerai à côté de ces
formes
cliniques, déterminées par le siège initial ou
s par le siège initial ou par l'arrêt de l'évolution, que certaines
formes
exception- nelles plus récemment étudiées, cara
ière par Lejonne et Rose, le second par Long. Ce ne sont pas là des
formes
véritables ; ce sont de simples variations fami
le de fibres. Cette dégénérescence capsu- laire se présente sous la
forme
d'une zone arquée, laquelle semble émaner du ch
très visible au niveau du champ juxta-ruhri- que latéral dont elle
forme
en réalité le segment inférieur. Immédiatement en
externe de la couronne rayonnante un peu en dehors du cro- chet que
forme
le corps calleux l'angle supéro-externe du ventri
érescence s'impose. On voit très bien, en effet, qu'elle affecte la
forme
d'un hémicycle fortement décoloré, le- quel occ
CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 217 coup plus considérable et
forme
un foyer rectangulaire, lequel détruit large- m
ués. Les doigts, aussi gros à leur extrémité qu'à la racine, ont la
forme
« en saucisson ». L'alliance du malade qu'il po
. De plus, le liquide céphalo-rachidien s'écoule à la ponction sous
forme
d'un véritable jet que l'on est oblige de modérer
arpien el cet os correspond, par sa situa- tion, comme aussi par sa
forme
, à l'os cylindrique de la main gauche. Mais il
ement que celte impulsion dépendait de l'image cénesthésique qui se
forme
d'habitude par suite de la représentation très
ellulaires, ni amas pigmentaires, autour ,des vaisseaux. L'épendyme
forme
une couclie cellulaire très régulière. Coupe Il
nt très serrés. A sa base nous remarquons un faisceau volumineux en
forme
d'écharpe : l'ansa lenticularis. D'autres fibres
ment qui reste. Plusieurs d'entre elles ont pourtant conservé leur
forme
typique. Les noyaux de Deiters,les noyaux ambig
énérescence pigmentaire plus avancée, elles ont pourtant gardé leur
forme
caractéristique. D'après la méthode d'Alzheimer
ulaire, la densité du réseau capillaire et la présence des noyaux à
formes
très allongées ne laissent aucun doute ; nous a
SE, SEGMENTAIRE, DORSO-LOMBAIRE GAUCHE, 1111 : TATRAUtV9ATIQUL. .
FORME
CLINIQUE CURABLE - Par le Professeur Léon RÉV
transverse, segmentaire, dorso- lombaire gauche mélatrazcnzatique.
Forme
clinique curable. - Fracture du pied droit, limai
souvent hyalines que se trouvent des dépôts calcaires, tantôt sous
forme
d'incrusta- tions cylindriques de longues trabé
ucture concentrique. Quant à la dure-mère elle-même, cette memhrane
forme
une couche solide autour de la tumeur qui en est
dominales et les décrit comme nous l'avons fait; il constate que la
forme
de l'abdomen n'est pas symétrique, la moitié dr
cubes à 5 0/0 d'extrait de lobe postérieur. On a décrit, à côté des
formes
pour ainsi dire classiques, des formes frustes
eur. On a décrit, à côté des formes pour ainsi dire classiques, des
formes
frustes et même des cas dans lesquels la maladi
bles delà pari de l'appareil génital, nous assimilons noire cas aux
formes
frustes de la dystrophie adiposo- génitale, et
sont légers. Son fils semble atteint de la même affection sous une
forme
plus fruste. Il présente une tumeur unique, mai
re des métacarpiens n'a subi aucune modification importante dans sa
forme
; elle montre que le noclule de la phalange de
gienne (Pl. LVII). A. Les trois sujets suivants appartiennent à une
forme
un peu dif- férente. Voici tout d'abord un homm
re, sur les os du carpe. Ceux-ci, à vrai dire, sont au complet ; la
forme
seule, pour d'eux d'entre eux tout au moins, pa
es normaux. Cette disposition est nécessairement en rapport avec la
forme
de la surface articulaire des métacarpiens. De ce
presque totalité des squelettes, mais aussi par la modification de
forme
des rudiments métacarpiens, qui se manifeste surt
haut, peut être assimilé au scaphoïde dont il possède assez bien la
forme
et les rapports avec le radius ; le plus volumine
is ; seule, l'apophyse du bord interne peut être assimilée au pisi-
forme
. Déplus, le volume relatif de cet os paraît supér
up plus petites, disposées sur une ligne légèrement courbe, ont une
forme
lenticulaire; chacune d'elles porte un ongle ru
se forment ne sont pas des parties d'os normaux, mais des os d'une
forme
nouvelle. Nous sommes alors conduits à une interp
. En effet, la radiographie montre, pour les deux phalangettes, une
forme
nettement anormale. L'une et l'autre sont asymétr
ieurs, a forliori quand elle existe en même temps et sous une autre
forme
aux membres inférieurs, la théorie mécanique de
nnelle suivant toutes leurs dimensions; chacun d'eux a conservé une
forme
voisine de la normale, aucun d'eux n'offre de tra
sence con- génitale du péroné. Notre observation est /relative à la
forme
la moins fréquente, la forme bilatérale, qui co
. Notre observation est /relative à la forme la moins fréquente, la
forme
bilatérale, qui correspond au tiers environ des c
issible qu'une déformation traumatique devienne héréditaire sous la
forme
même où elle s'est produite. Un tel phénomène n
analo. gues et rien ne permet de penser à une simple convergence de
forme
. Suivant toute évidence, il s'agit dans les deu
es atta- ques épileptiques, iaporencéphaiie, la sclérose tubéreuse (
forme
d'idiotie), la paralysie cérébrale infantile, l
et de l'hypophyse, la dystrophie adiposo-génilale, les différentes
formes
de syphilis du système nerveux central (syphilis
sent n'ont abouti à aucune conclusion. PAT11OGT : NIE DE QUELQUES
FORMES
D'ÉPILEPSIE 369 Il semble, à priori, vraisembla
céphalite ne causent aucune altération de la papille. De toutes ces
formes
de ménin- gite, c'est la forme séreuse qui semb
ration de la papille. De toutes ces formes de ménin- gite, c'est la
forme
séreuse qui semble surtout donner lieu à des papi
un épanchement sanguin subdural et de la méningite sous toutes ses -
formes
, tandis qu'on ne trouva macroscopiquement au- c
nt souvent sous la PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES D'ÉPILEPSIE r313
forme
du phénomène de Babinski, spasmes unilatéraux ave
psie, à l'épilepsie corticale, suite de la méningo-encéphalite. Ces
formes
d'épilepsie cérébrale se rattachent donc tout à f
infantile est dans le fait que, dans un cas, il s'agit de lésions de
forme
strictement en foyers, dans d'autres cas, au co
attaques épilep- tiques. Il n'y a aucune raison pour séparer celle
forme
des autres formes cérébrales et pour lui donner
tiques. Il n'y a aucune raison pour séparer celle forme des autres
formes
cérébrales et pour lui donner un autre nom (épi
travail presque interminable de séparer l'une de l'autre toutes les
formes
presque innombrables d'épilepsie cérébrale et de
quette propre. Cependant il est encore moins permis de porter celle
forme
hydrocé- phalique au comple de l'épilepsie esse
processus cérébral primitif et on doit donc également ranger cette
forme
dans l'épi- lepsie cérébrale. Il en est de même
e mentionner doivent donc, sans restriction, être comptés parmi les
formes
cérébrales sous réserve de la possibilité que l
ques, l'affection primitive et les attaques appartiennent donc à la
forme
cérébrale de l'épilepsie. Naturellement on doit a
ns tous ces cas il serait important pour le malade de savoir quelle
forme
d'épilepsie est en jeu, il est vraiment nécessa
essentielle », la plus grande partie appartient à toutes sortes de
formes
d'épilepsie cérébrale et seulement la minorité à
epsie essentielle et qu'il faudrait finalement rapporter toutes les
formes
à des affections cérébrales (Redlich, Heilbronn
vement attribuer que la plus petite partie (environ 10 0 0) à cette
forme
de la maladie ; aussi plusieurs auteurs (P. Mar
otéolytillues) dans le sérum sanguin ; cette pathogénie de quelques
formes
d'épilepsie 383 augmentation se montrerait le p
nt la thyroïde contient beaucoup d'iode. De PATIIOGÉNIE DE quelques
formes
d'épilepsie 385 plus, l'iodothyrine, aussi bien
e la troisième et de la quatrième branchie, tandis que le thymus se
forme
ventralement à la troisième branchie ; la gland
e, il existe néanmoins entre les deux systèmes une corrélation sous
forme
.d'une action complètement suppléante. En faveu
amais montré le moindre symptôme de démence; ils appartenaient à la
forme
essentielle et ont été aussi, grâce au traiteme
caractère, l'irritabilité et, finalement, la démence. Dans les deux
formes
le cortex cérébral est intoxiqué : dans l'épile
e (pour ces deux dernières intoxications, il ne se produit, dans la
forme
chronique, qu'une très faible démence, mais des d
pilepsie- essentielle peut être regardée comme une preuve que cette
forme
ne dépend pas d'anomalies primitives du cerveau
à établir les conclu- sions suivantes : . pathogénie DE QUELQUES
formes
d'épilepsie 401 - CONCLUSIONS. 1° L'épilepsie
SIONS. 1° L'épilepsie essentielle et l'épilepsie cérébrale sous ses
formes
nom- breuses ne peuvent absolument pas en l'éta
u métabolisme de lout l'organisme et de l'ali- mentation ; dans les
formes
cérébrales, au contraire, elles proviennent du
métabolisme défectueux dans la région atteinte. 5° Dans toutes les
formes
d'épilepsie, il faut regarder l'attaque comme u
r. f. Neivenheilkunde, 1906, t. 31, p. 472. PATHOGÈNE DE QUELQUES
FORMES
D'ÉPILEPSIE 4D3 110RSLEY (J.). - Die chirurgisc
, par KLIPPEL et Rabaud, 333. z Epilepsie (Palhogénie de quelques
formes
d' - dites épilepsie essentielle et épi- leps
aaverse, segmen- taire, dorso-lombaire gauche, métatrau- matique,
forme
clinique curable, par Révilliod, 307. Souvent
nogénèse, 13. Bolten (G.-C.) (de la Haye). Pathogénie de quelques
formes
d'épilepsie dites épilepsie essentielle et épil
, 424 TABLE DES AUTEURS dorso-lombaire gauche, métatraumatique,
forme
clinique curable, 307. BOU131NOVITCII et REGNAU
luence, elles sont plutôt sensorielles, fugaces et variées dans les
formes
expan- sives ; elles sont assez souvent persist
istantes et identiques à 4 CLINIQUE MENTALE. elles-mêmes dans les
formes
dépressives, dans les rémissions incomplètes et
et réac- tions caractéristiques. Bouffées secondaires épisodiques à
forme
mélancolique (auto-accusation, idées de suicide
des altérations en moins, 100 p. 100, s'est trouvée avec les trois
formes
mentales où il n'y a eu ni alté- ration en plus
re génital intense. Certes si on demande à un paralytique général à
forme
* expansive, quelle est la puissance'de ses orga
l s'avouera au contraire bon à rien si la maladie revêt chez lui la
forme
dépressive. Il n'y a pas lieu à mon avis, de te
let 1891. Première période. Syphilis, alcool et excès vénériens,
forme
surtout démentielle avec agitation. Le malade ne
gros qu'une noisette. En dehors de cette conception hypocondriaque
forme
expansive classique, Mail... trouve le mot mill
l'homme le plus riche de la terre, mais encore le plus puissant; il
forme
à lui tout seul conseil des ministres car il a
pour lâcher de s'en débarrasser. Au point de vue mental il avait la
forme
expansée calme; il se prétendait Philippe-Augus
27 avril 1891. Première période. Syphilis et surmenage cérébral.
Forme
expansive calme avec abolition du sens génital et
de causes bien définies : ni syphilis, ni alcool. Première période,
forme
mixte. Délire d'inventions et de richesses, mai
entré le 25 juil- let 4891 . Première période. Syphilis et misère.
Forme
expansive calme avec exagération marquée du sen
state plus aucune trace de ce délire hypocondriaque et génital ; la
forme
mentale est redevenue exclusivement expansive a
uisier; entré le 2 août 1892. Première période. Syphilis et alcool.
Forme
mixte. Le ma- lade a des conceptions délirantes
vaillamment rempli son devoir conjugal. Au bout de quelques mois la
forme
expansive est seule restée tandis que le malade
moins. XIII. Contrairement à l'opinion ayant cours c'est dans les
formes
démentielles et lors des périodes de calme que no
avons jamais trouvé d'altération en plus, ni d'état normal avec les
formes
dépressives, calmes ou agitées, ni non plus ave
avec les formes dépressives, calmes ou agitées, ni non plus avec la
forme
démentielle agitée. XV. La forme démentielle av
ou agitées, ni non plus avec la forme démentielle agitée. XV. La
forme
démentielle avant le maximum des altéra- tions
téra- tions en plus, le maximum des en moins a été dans les trois
formes
précédentes. XVI. D'après nos constatations la
des vertébrés. Sur- prendre, comme à l'état naissant, les premières
formes
orga- niques des fonctions primordiales de la v
élie est indubitable, à raison de l'autopsie, et qu'il s'agit d'une
forme
absolument clas- sique d'arthropathie du genou.
tels points, qu'il n'y a pas à mettre en cause le trau- matisme. La
forme
si personnelle des altérations ne rappelle nul-
qui dépend de l'affection du système nerveux. P. KERAVAL. III. Des
formes
frustes de la sclérose en plaques ; par M. Scn.u-
uv. ]C01Wgl'. de la Sclpêtriére, n° 0, 1900.) , Observation d'une
forme
anormale ayant pu faire croire tout d'abord à u
pu faire croire tout d'abord à une variété de syringomyélie. IX.
Forme
rare de syringomélie vasculaire avec méningite
il débute le plus souvent par des phénomènes dorso- lombaires. La
forme
clinique la plus fréquente de la paralysie généra
ue la plus fréquente de la paralysie générale post-tabétique est la
forme
maniaque. La durée de la maladie dans son ensem
lui de la paralysie générale qui évolue plus repidement que dans la
forme
commune et amène la mort en douze ou vingt-quat
ou acquise, et, sauf le cas de complications, ne représente pas une
forme
de 4 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. folie : c'est
ociété. La théorie positiviste se présente d'ailleurs sous diverses
formes
: il y a une école qui réduit la responsabilité
les conclusions suivantes : 1° 11 existe une folie partielle, et la
forme
et le degré du trouble mental influent directem
ES. ment qu'elle est lobulée et douloureuse. Il s'agit donc d'une
forme
légère, d'un cas dans lequel la dystrophie est pe
andes cellules sont beaucoup mieux conservées. Elles ont gardé leur
forme
mais, leurs contours sont ondulés, irréguliers
pris part à la discussion MM. TOFARShY et HOTH. G. RossoLlMo. Une
forme
particulière du trouble de la déglu- lition.
t chaque type morbide est étudié en lui- même d'abord puis dans les
formes
qu'il caractérise, ainsi les chapitres « manie
ne tendance à se renouveler, d'où le désir. La volonté n'est qu'une
forme
particulière du désir. Pour Herbart, il n'y a p
l'âme un tranquille bien-être. Pour Herbart, le bien n'est qu'une
forme
du beau; notre volonté est faite pour vouloir l
grand honneur de Herbart, c'est d'avoir conçu la pédagogie sous une
forme
systématique et de l'avoir présentée comme une
contre l'objection de simple coïncidence. La tuberculose crée des
formes
spéciales et favorites de maladies mentales. Ce
la stupeur ; c'est parlois une manie par accès. La première de ces
formes
se produirait de préférence quand l'apparition
nt précédé l'intoxication. Enfin, et dès lors, nous entrons dans la
forme
psychologique de notre amnésie, de Beauvais" mo
re ans, atteinte après intoxication oxycarbonée de psychose aiguë à
forme
de con- fusion hallucinatoire, et chez laquelle
l'exclusion de presque tout autre symp- tôme mental, une amnésie de
forme
continue. Ce qui géné- ralement, est considéré
s'installant dès cette époque'pourse prolonger dans l'avenir, sous
forme
d'amnésie continue. Dans sa partie rétrograde,
est apparu chez notre malade, immédiatement au sortir du coma, une
forme
spéciale d'amnésie antérograde à. laquelle M. J
nature hystérique. Et cela d'autant mieux qu'au point de vue de la
forme
même, il y a de grandes ana- logies psychologiq
Cet auteur conclut, en effet, forl ingénieusement que dans cette
forme
particulière la lésion de la mémoire ne réside
l'on soit autorisé ici à incriminer l'hystérie. D'ailleurs, cette
forme
continue de l'amnésie a été signalée par différ
ager s'est déclarée une amnésie retro- antérograde persistante sous
forme
continue pendant dix mois, jusqu'à la mort To
sée et ses senti- ments mûris et conscients, de concevoir ce qui se
forme
à peine Archives, 2' série, t. XII. 8 114 REV
et il s'en faut de toute la différence qui sépare un esprit qui se
forme
d'un esprit formé. Dans l'esprit en voie de for
P. KRAV,\L. XII. Contribution à l'étude de la pensée qui prend la
forme
de voix ; par A. Ylswa'rscmvvhi. (06oréraié psi
le pneumogastrique a été réséqué ; G° La vacuolisation est une des
formes
du processus de dégéné- ration cellulaire. IL C
a seconde couche du bulbe olfactif. Il décrit en outre les diverses
formes
des cellules mitrales qu'on peut observer dans
protoplasmatique. L. D. XXVIII. Le vague dans ses rapports avec les
formes
malignes de la rougeole ; par Cioffi. (informa
informa medica. 5 mars 1900.) L'auteur, analysant les symptômes des
formes
malignes de la rougeole, les rapporte à l'irrit
veux, on peut la rencontrer aussi, et bien plus marquée dans des
formes
simplement névrosiques. L. D. XXIX. Altération
e les facteurs impriment à l'acte sont absents ou obscurcis dans la
forme
alcoolique. Il faut reconnaitre qu'il y a quelq
prétation : - A. 1° La malade était atteinte de folie puerpérale,
forme
de maladie mentale qui n'est pas rare chez les
onsécutivement à la folie. - 3° L'épilepsie s'est présentée sous la
forme
relativement rare de 1 Voir dans le Compte rend
e l'odorat dans la démence. 2° Perversions de la vue dans les mêmes
formes
de folie, rayant la 'même signification que plu
r de la face, uni ou bilatérale, sueurs unilatérales, dans diverses
formes
' de' manie et ^spécialement chez les épileptiq
t de vue mental, perte de mémoire, incohérence, idées délirantes de
forme
soupçonneuse. Hallucinations et illusions de la
laider en faveur de l'étiologie syphilitique. On a décrit plusieurs
formes
de folie syphilitique ; celle-ci corres- pondra
agit d'un jeune homme de 19 ans atteint de névralgie opthalmique de
forme
typique, sur- venue à la suite d'un coryza, et
ItLEa. (Journal of nervous and Mental Desease, février 1900.) Les
formes
graves de migraine complexe peuvent être regardée
ême personne. -Le fait important c'est, qu'une per- sonne qui a une
forme
complexe de migraine, avec aphasie temporaire,
lissement, ne permettent pas d'avoir cette opinion. , P. XXV. Une
forme
de névrite subaiguë par compression; par Th. -IL
ins abondants que dans un foyer de ramollissement vrai); dans cette
forme
, la névroglie subit, elle aussi, une dégénération
duc de Sylvius et sous la pie-mère médullaire. , Tumeur cérébrale à
forme
psycho-paralytique. * 1\1111. CESlAi'i et Lej
évrite. Les lésions incontestables paraissent être surtout dues aux
formes
à prédominance sensitive et de longue durée. En
e et définitive. M. BÉRILLO,'4. C'est la suggestion sous toutes ses
formes
qui modifie le plus sûrement l'incontinence ; l
elles sont visuelles, générales et verbales, combinées à toutes les
formes
des hallucinations de l'ouïe, aux hallucination
ormes des hallucinations de l'ouïe, aux hallucinations psychiques à
forme
de langage cogitatif interne et psychomotrices
Boumeville. Noies sur l'étiologie et le traitement îles différentes
formes
de l'idiotie; hémor- l'agies cutanées liées aux
nons aussi une bonne à tout faire qui, au deuxième acte, se trans-
forme
en femme athlète jonglant avec des poids, aidée d
s du côté de la sensibilité, si l'hy- peresthésie sous ses diverses
formes
est assez fréquemment notée, l'anesthésie, par
la malade se trouve dans l'impossibilité d'apprécier le volume, la
forme
et les dimensions des objets divers qu'on lui p
tre de large envi- ron, qui s'étend à droite de la ligne médiane et
forme
comme une transition entre le côté gauche insen
riquet in Traité clin, et lliér. de l'hyst., p. 2 ! J : i). - « Cette
forme
depara- lysie de l'audition est fort rare ». (P
ifiée ; nous revien- drons plus loin sur la seconde qui, sous cette
forme
, ne répond pas à tous les faits. Les faits so
physique, nous relevons surtout l'existence d'unevocite palatine de
forme
ogivale et un thorax en carène. Malgré une étude
re. On sait que la confusion mentale présente elle-même plusieurs
formes
cliniques dont la forme maniaque, c'est la plac
usion mentale présente elle-même plusieurs formes cliniques dont la
forme
maniaque, c'est la place qu'on lui assignerait
XIV. De l'élimination rénale du bleu de méthylène dans les diverses
formes
de psychoses; parBoDONi. (lliv. sp. di (l'en., 18
rveux, action qui se reflète sur l'élimination du bleu lui-même. La
forme
psychopathique influe toutefois sur l'éliminati
es fous aux troubles généraux qui produisent et maintiennent chaque
forme
morbide; et c'est en raison deces troubles que
- tères différents dans la première ou la seconde classe. Dans la
forme
directement parasitaire, les caractères anatomiqu
réquemment spécial, et alors anatomiquement on se trouve en face de
formes
incomplètes de myélites ou de méningo-myélites,
en face de formes incomplètes de myélites ou de méningo-myélites,
formes
incomplètes, soit parce que la rapidité de la mor
s germes, résistance exceptionnelle de l'orga- nisme... . Dans la
forme
toxi-infectieuse, la caractéristique anatomique
é, de l'ané- mie cérébrale; pour Lucas, Marie, Lunier, Dagol1et, la
forme
la plus grave de l'exaltation maniaque; Baillar
délire de rêve, Régis, un délire onirique. On peut expliquer cette
forme
SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 de délire et l'excitat
ette manière de voir, Schiile 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. décrit trois
formes
du délire aigu suivant qu'il y a oedème, con- g
AVANTES. 251 D'après le tableau clinique, M. Carrier reconnaît deux
formes
au délire aigu : l'une relativement bénigne et
romatolyse que la dégénérescence jaune globulaire dans toutes leurs
formes
et à toutes leurs phases. Le corps dei2lelé (lu
qui ne serait pas, si le processus inflammatoire était primitif. La
forme
initiale des lésions cellulaires est en pleine
rganismes en quantité consi- dérable dans l'urine des malades. Leur
forme
était celle de petits bâtonnets et de corpuscul
ë'probabiè'et'qu'rts ne'peuvent avoir de'valeur étiologique dans la
forme
morbide en question. Kolzowsky (1898) signala d
rapporté quatre observations, sous la rubrique de cérébro-typhus à
forme
de délire aigu, et qui seraient des délires [ai
de leurs deux premiers mémoires. Ils en déduisent qu'il existe une
forme
cocciquc du délire aigu outre Informe bacillair
me dans la période prémonitoire du délire aigu des attaques hystéri
formes
ou épilp.ptifo1'1nes. Audemard a cité plusieurs
sibilité assez rare de voir débuter le délire aigu pccr une phase à
forme
paranoïaque. J'ai eu l'occa- sion d'observer, e
anoïa aiguë. Mais au bout du troisième jour, le délire aigu prit sa
forme
ordinaire de confusion, et six jours après la mal
paraly- sie générale. Elles se rapprochent l'une de l'autre par la
forme
démentielle habituellement notée dans la paraly
de la syphilis ac- quise. M. Marchand insiste sur ce fait que la
forme
démente d'emblée est de beaucoup la plus fréque
conceptions délirantes ayant pour objet l'invention. Ce délire qui
forme
un tout bien net, bien complet, se rencontre pr
mbre d'observations rapportées par l'au- teur, il ressort que cette
forme
de paralysie générale est très fré- quente, car
s. Pour M. Duffou, la paralysie générale sans délire constitue la
forme
type de la maladie. Quant à la démence elle exist
t national; Nous déclarons publiquement : L'alcool, sous toutes ses
formes
, est un poison. L'alcool ne soutient ni ne réch
phérie du faisceau des radicelles lombo-sacrées, dont le groupement
forme
la queue de cheval. Aussi n'est-il pas étonnant
rticulaire plus ou moins accentuée, mais elle a pu prendre aussi la
forme
tétanique et immobiliser pendant plusieurs minu
rieur de la capsule interne, où passent les fibres pyramidales sous
forme
d'un faisceau compact. Deux des observations perm
vue ophtalmologique, on peut adopter la subdivi- sion du tabes en «
forme
spinale » et « forme cérébrale » ou « forme opt
on peut adopter la subdivi- sion du tabes en « forme spinale » et «
forme
cérébrale » ou « forme optique». Dans la « form
i- sion du tabes en « forme spinale » et « forme cérébrale » ou «
forme
optique». Dans la « forme optique » du tabes, on
rme spinale » et « forme cérébrale » ou « forme optique». Dans la «
forme
optique » du tabes, on voit apparaitre, au débu
rement brumeux ; les artères rétiniennes, particulièrement dans les
formes
syphilitiques de l'affection, montrent des lési
ration qui contraste peu avec les tissus voisins. La vision pour la
forme
et la couleur, après la période d'amé- lioratio
ils entrent en action. t REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 301 La «
forme
spinale » se voit moins souvent dans les clinique
ande majorité des cas, est irrégulier et légèrement dentelé dans sa
forme
. Pupilles myoliques, souvent punctiformes; réacti
philis cérébrale est héréditaire ou acquise, et sous cette dernière
forme
elle est environ trois fois plus fréquente chez
ui est hyperplasique. La dégénérescence de la gomme peut prendre la
forme
caséeuse ou la forme fibreuse. Ces tumeurs sièg
a dégénérescence de la gomme peut prendre la forme caséeuse ou la
forme
fibreuse. Ces tumeurs siègent de préférence à la
en fautes, et non les cellules subordonnées de la moelle : la même
forme
de rai- sonnement est applicable aux troubles d
issent à des lois et ne sont si accidentelles ni simulées. Une des.
formes
les plus intéressantes de l'hyperalgie hystériq
es par les auteurs français et fréquent au contraire d'observer des
formes
abortives. La paralysie, sans indication de nat
on de nature, n'a aucune valeur dia- gnostique. Il y a pourtant une
forme
de paralysie fiasque qui ne se rencontre que da
e range à l'opinion de Frend quant l'indépendance clinique de cette
forme
de névrose mais fait des réserves au point de v
ne façon particulièrement mar- quée, surtout en ce' qui concerne la
forme
mentale. Dans une excellente monographie du Tar
génie de ce symptôme si important. Il se pourrait, en effet, que la
forme
myotonique soit le résultat d'une simple exagér
onique soit le résultat d'une simple exagération du tonus et que la
forme
myotétanique soit au contraire la conséquence d
nerveuses et chroniques de l'enfance qui produisent les différentes
formes
d'idiotie, d'imbécillité, d'arriération intelle
ellectuelles et morale. Nous procédons de même pour les différentes
formes
d'épilepsie, d'hys- térie et d'hébéphrénie. Auj
. L'enfant subit les conséquences de l'alcoolisme sous une série de
formes
: 1° l'alcoolisme chronique du père ou de la mè
s sont sujets des gens bien portants et raisonna- bles. Ce sont des
formes
, des images, des figures inattendues, résultant
nt reconnaître. Dans un ciel orageux, les nuages figurent de vagues
formes
d'animaux, de monstres,' de fantômes. Dans les
avait la puissance d'appa- raitre aux hommes, sous toutes sortes de
formes
, soit pendant le jour, soit durant la nuit. De
ont nous rappellerons seulement ici les caractères fonda- mentaux :
forme
globuleuse de la cellule, migration périphérique
anatomie pathologique de la psychose polynévritique et de certaines
formes
de confusion mentale primitive (en collaboration
première fois par Al. Ballet et consistant essentiellement dans la
forme
globuleuse de la cellule, la chromatulyse et la m
'étend chaque jour : il emploie les pronoms, les verbes à propos et
forme
des phrases qui souvent nous étonnent par les e
procéder nous a donné des résultats assez satisfaisants. Latter...
forme
maintenant toutes les petites lettres et quelques
ment l'idée de la figure que l'enfant a voulu représenter, enfin il
forme
presque toutes les lettres et commence à les as
. Sa parole nous surprend souvent par la longueur des phrases qu'il
forme
et les idées qu'elles expriment. ' Très mal dou
ous les chiffres, se rend compte des quantités qu'ils représentent,
forme
bien les petites lettres, com- mence à les asse
très améliorée, commence, à cette époque, à être bien distincte, il
forme
de petites phrases. En 1894, il s'habille et se
cll, comme un syn- drome susceptible de se rencontrer sous diverses
formes
psycho- patliques, en particulier de la stupeur
ARUE rapportent sept cas d'astoso-basophobie. Ils distinguent trois
formes
: simple, associee, mixte. Au point de vue de l
mixte. Au point de vue de l'aspect clinique, ils reconnaissent deux
formes
, l'une con- tinue, l'autre par accès. Ils disti
e est utile dans certains cas, elle n'est d'ailleurs souvent qu'une
forme
d'hypnotisation indirecte. M. Hamel. XI. Cont
st l'aliénation avec la normalité la plus forte, les trois autres
formes
se suivent de très près. Les paralytiques sont le
n de la cavité de l'arachnoïde cranienne par des filaments fibreux.
Forme
épi- leptiforme. Démence simple, sans euphorie.
tus avec symptômes épileptiformes. Une deuxième attaque épilepti-
forme
survint dix-huit mois après, à la suite de laquel
nstitue pour les aliénés une cause d'immunité. En ce qui touche les
formes
de folie où se rencontre la glycosurie, le ur B
ut de la maladie, à l'exception de ce qui concerne une seule de ses
formes
, à savoir, la paralysie générale associée au tabe
ce, janvier 1900). Le but de ce travail est d'examiner les diverses
formes
de folie que l'épilepsie peut compliquer : l'au
élancolie séniles, et l'épilepsie se présente alors souvent sous la
forme
de petit mal. Ces cas se ter- minent par la dém
amille, s'atta- chant à l'établissement ; ils sont d'une fixité qui
forme
contraste avec le personnel des infirmiers. Ain
d'infirmiers dans tous les asiles, organisées sur un modèle uni-
forme
. Elles sont dues à l'Association 7nédieo-sgclcolo
par la généralité du personnel et le système d'examen étant uni-
forme
, dans tout le pays, ces diplômes ont une réelle v
pli- cable à toutes les variétés nosologiques, mais notamment aux
formes
maniaques légères, aux périodes de dépression de
res, aux périodes de dépression de la folie circulaire, à certaines
formes
de folies sensorielles et surtout à la confusio
n. Elle peut provenir du monde extérieur et se manifester sous la
forme
d'une imitation inconsciente, allant du mimétisme
'impression féconde que peut produire en nous le beau, sous quelque
forme
qu'il se présente ; elle peut enfin être produi
élire et la fièvre redoublent ainsi qne la diarrhée; une escarre se
forme
au sacrum et la malade succombe le 6 mai dans l
vit. Brugia et S. Marzocchi. Dei movimenti sislemalizzali in alcune
forme
di indebolimento mentale. Archivio 1taliano per l
idées de persécution prédominent toujours, à peu près sous la même
forme
, mais des idées de grandeur sont appa- ' Cit. p
ns la suite. Aussi ne faisons- nous que les signaler ici. III. La
forme
typique des stéréotypies se trouve dans les dél
duisaient plusieurs fois par minute pen- dant un certain temps sous
forme
d'une sorte de décharge convulsive. La malade p
« il se borne à la répéter à tout venant, exacte- ment sous la même
forme
, et avec les mêmes expressions... le délire est
t conscients, systématisés eux aussi, mais se répétant sous la même
forme
, c'est-à-dire déjà fixes, stéréo- typés. Quand
dévelop- pement, on peut les observer cependant dans les diverses
formes
de démence. C'est ainsi qu'elles ne sont pas rare
es démences vésaniques secondaires caractérisées et même dans ces
formes
d'affaiblissement intellectuel désignées sou- v
yeux 1. Les stéréotypies sont aussi très marquées dans une autre
forme
délirante qu'on pourrait rapprocher de la précéde
ce que ordinairement les mouvements athétosiques ne revêtent pas la
forme
de mouvements intentionnels. , Ce sont ces mê
es stéréotypies; et dans les deux cas, ils ne ressemblent pas comme
forme
aux mouve- ments stéréotypés. Les différentes
ent qui continue à s'ac- complir par une sorte d'habitude, sous une
forme
désormais immuable, automatique et stéréotypée.
des démences des signes précieux pour nous faire diagnosti- quer la
forme
de la psychose primitive, puisqu'elles sont en
grandes ressemblances entre elles, que chacune d'elles sous la même
forme
peut résulter d'idées différentes et peut- être
s éléments histologiques artificiels est résolue par l'examen de la
forme
équivalente de la cellule. On peut ranger sous tr
ement. Ce sont eux que Nissl a tenté de coordonner en décrivant des
formes
particulières de cel- lules morbides : il en a
. Plus M. Heibronner a prolongé ses recherches, plus le nombre^ des
formes
lui a paru s'accroître. Jamais il n'a trouvé un
ort plus heureux : il a pu, à côté de types pathologiquement uni-
formes
de cellules nerveuses, discerner des altérations
iscerner des altérations parallèles de la névroglie; en tout quatre
formes
définies. Nissl a été lui aussi favorisé : il a
i ne se sont rencontrées que dans les cas les plus graves, dans les
formes
les plus aiguës : jamais, jusqu'à présent, on ne
lus aiguës : jamais, jusqu'à présent, on ne les a trouvées dans les
formes
chroniques, ni dans les observa- tions où l'ago
plus pourrait-on essayer de poser les bases de l'évolution sous une
forme
générale. Ainsi Alzheimer et Rins- wanger ont f
générale. Ainsi Alzheimer et Rins- wanger ont formulé que dans les
formes
mentales légères il existe des altérations de l
des altérations de la substance chromatique, tandis que, dans les
formes
mentales graves, dans la démence, etc., il y a de
echerches possible : c'est ainsi que l'on arrivera à la formule des
formes
des lésions de l'ensemble de l'écorce. Tel est
lande pituitaire joue un rôle dans le nanisme, le rachitisme et les
formes
naines du crétinisme; 5° il est possible qu'un
de mémoire, les différentes parties de cette impression (couleur,
forme
, volume, etc.) sont transmises à l'intelligence p
ux artères, aux fibres et aux cellules ner- veuses, auxquelles elle
forme
un milieu général de soutien : l'au- teur y a t
de la mésoglie et qui sont constituées par un corps cellulaire de
forme
typique, un noyau et plusieurs prolongements, les
autrefois diminués ou-abolis, l'état normal était conservé dans les
formes
bénignes. La trépidation épileptoïde existait q
aillées sur la pathogénie du glaucome et constate que, sauf dans la
forme
hémorragique, l'excision du ganglion sympathique
ications adoptées ou propo- sées dans le traitement des différentes
formes
d'aliénation men- tale. R. de Musgrave-Clay. -
e, états de stupeur et démence primaire, particulièrement quand ces
formes
d'aliénation mentale ne répon- dent pas aux mét
rapportée à une imbécillité congénitale. Méningite tuberculeuse ci
forme
mélancolique. M. Vigouroux communique l'observa
ieurs mois avant sa mort, avait présenté un état mélancolique d'une
forme
clinique un peu spéciale. M. ViGouRoux se dem
des tâtonnements, je suis arrivé aux formules suivantes : Dans les
formes
cachectiques j'emploie le sérum d'IIayem. S'il,
umeur - et élii- lcpsie, par Marchand, 269. Cérébrale. Tumeur - à
forme
psycho-par;lytique. par Cestan et Lejeune, 15
la - dans les vieilles localités, par Pailhas, 313. Béglltition.
Forme
particulière du trouble de la -, par Rossolimo,
les grandes villes, par Bonhoffer, 445. Méningite tuberculeuse
forme
mé- lancolique, par Vigouroux, 541. MÉNINGO-E
ar Peeters, 55, Pensée. Contribution à l'étude de la qui prend la
forme
de voix, par Piniatchewski, 119. PLRSONEL. En
tieure de 1 la moelle, par Olivier, 299. Sclérose en plaques. Des
formes
bustes de la-. parScl7ackewitsch, 39. -, par
dies nerveuses des enfants, par Bourueville, 331. Syringomyelie.
Forme
rare de - avec méningite tuberculeuse, par li
villes, par Bonhûlïer, 445. Vague. Le dans ses rapports avec les
formes
malignes de la rou- geole, par Cioffi, 127. V
rtance des réflexes tendineux, mais il montre qu'ils ne sont qu'une
forme
des 2-égii- lations inconscientes de nos mouvem
e, et une ataxie où l'élément cérébel- leux accompagne nettement la
forme
spinale de cette affection; les troubles du sen
u traitement médical des psychoses aiguës et de la colonisation des
formes
chroniques, pour demander également la création d
epos psychique, du repos du cerveau, elles sont constantes dans les
formes
aiguës. Qu'il s'agisse en effet d'états d'excit
eprésentent les diverses phases de la même maladie ou ceux d'autres
formes
voisines qu'il importe de connailre pour le dia
vidu chez lequel l'habitude existe : elle peut être héritée sous sa
forme
automatique ou habituelle. Toute action nerveus
it habituelle devient fâcheuse, tout comme l'usage persistant d'une
forme
par- ticulière de raisonnement. Appliquées à to
orme par- ticulière de raisonnement. Appliquées à toutes choses, la
forme
mathématique et la forme imaginaire du raisonne
isonnement. Appliquées à toutes choses, la forme mathématique et la
forme
imaginaire du raisonnement peuvent être égaleme
colie sont les suivantes : elle ne se rencontre pas dans les autres
formes
d'aliénation mentale ; elle disparait au sur et
ar là, il devait naturel- lement être conduit à essayer, dans cette
forme
d'aliénation, les agents thérapeutiques auxquel
Intéressante revue, dont l'auteur résume les conclusions sous la
forme
d'un schéma provisoire de classification que nous
structure et de connexions des cellules nerveuses corticales. Il se
forme
ainsi des mécanismes susceptibles d'exercice et
tive somnolente du foetus est remplacée graduellement par une autre
forme
de vitalité, dans laquelle des sensations diver
pathologiques du cerveau qui consti- tuent la base des différentes
formes
de folie ; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 57 16
personnalité, et qui sont consécutives et secondaires aux autres
formes
de folie. R. DE 1VIUSGRAVE-CLAY. XII. Observati
ique les éléments du diagnostic diffé- rentiel avec diverses autres
formes
mentales. Puis il expose que la taxonomie actue
ion judicieuse devrait avoir pour but d'indiquer la cause de chaque
forme
de folie ; il propose la classification suivante
l'asile. Enfin, l'auteur regrette que dans les institutions où l'on
forme
des garde-malades professionnelles ou volontair
soient pas consacrées aux soins spéciaux que réclament les diverses
formes
d'aliénation mentale. R. DE nIUSGRAVE-CL.1Y.
res, et par la marche ordinairement subaiguë des processus, il se
forme
souvent des figures très caractéristiques. Les
anatomiques sans rapport avec les éléments nerveux; tantôt enfin la
forme
delà systématisation est en rapport à la fois a
nce entre ces deux processus per- met de comprendre les différentes
formes
de la maladie de Charcot (forme amyotrophique e
met de comprendre les différentes formes de la maladie de Charcot (
forme
amyotrophique et paréto-spasmodique). Nous croy
Contribution à l'élude de la Paralysie musculaire progressive de la
forme
familiale ; par Bruns (de Hanovre). (Présentation
laires, on peut en admettre, avec Leyden et Goldscheider, plusieurs
formes
: myélite transverse, myélite diffuse ascendant
ouleurs au niveau des articulations sacro-iliaques. Il s'agit d'une
forme
atténuée de spon- dyle rhyzomélique survenant c
miliale, soit bien plutôt qu'elle se révèle chez lui sous une autre
forme
, soit encore que l'autre jumeau ait succombé pr
aussi voit-on ici les DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 101
formes
psychologiques s'élever en dignité ; c'est le dél
l y ait simultanéité, ressemblance, concordance dans le début, la
forme
et l'évolution de la psychose ; mais c'est à la c
nts, nous voyons ici se produire des accidents psychopathiques sous
forme
d'épisodes aigus qui ne relèvent pas nécessaire
es cellules nerveuses des ganglions spi- naux se montrent avec leur
forme
normale, non seulement quant à leur substance c
t diminué de nombre (toujours dans d'étroites limites) et que leurs
formes
s'étaient modifiées, ces par- ticularités anato
e travail ne leur ont pas permis de la déceler. Si le changement de
forme
et la diminution de nombre des cellules des gan
s, la paralysie générale n'est qu'un épisode du tabès, le tabes une
forme
fruste de la paralysie générale, et, alors même
généraux, soit sous forme de paralysie générale vulgaire, soit sous
forme
delypémanie, de mélancolie, de délire des persé
t particulièrement affecté constituent jusqu'à un certain point une
forme
spéciale que Pierre Marie appelle le labes supéri
le le labes supérieur ou le tabès cérébral. Il admet que dans cette
forme
l'évolution de l'affection puisse rester assez
' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. Sur les
formes
atypiques et extraordinaires du cerveau, considé-
preuve que la substance chromophile existe bien réellement 'sous la
forme
décrite par Nissl, et qu'elle n'est pas artific
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 139 - maie en disant que sa
forme
est irrégulièrement anguleuse, avec de nombreux
es points, et qui s'en séparent par une extension protoplasmique en
forme
d'éventail. 'La cellule est fortement teintée à
ce granuleuse de la substance chromophile : la cel- ,Iule prend une
forme
plus ou moins globuleuse, et le nombre de ses p
La cellule ne présente -dans la majorité des cas aucune anomalie de
forme
; elle est grande ,et émet généralement de nombr
)' : D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 11 s'agit là d'une
forme
de chromatolyse, mais elle diffère à plu- sieur
ure qu'elles se rattachent plus spécialement à l'une ou l'autre des
formes
de folie de nos classifications cou- rantes. ·
base, il existe des parties pâles irrégulières avec des kystes, de
forme
et de grandeur à peu près égales. Les parties p
es avec débris de noyaux, ouenlin, une masse incolore, grenue, sans
forme
aucune. Les kystes n'ont pas de paroi propre ;
ulaires, au moment où les cellules sont déjà en possession de leurs
formes
définitives. Les premiers qui apparais- sent et
auses physiques et par l'énergie nerveuse, particulièrement sous sa
forme
mentale. L'auteur mentionne les travaux faits d
éphales. Son crâne, et c'est la règle très générale pour toutes les
formes
de l'idiotie, n'offre pas de synostose prématurée
n. L'hémi- sphère sous-jacent est réduit à la substance blanche; la
forme
générale des circonvolutions est conservée ; le
s et leur coloration est légèrement rosée. 0 0 Il s'agit là d'une
forme
de méningo-encéphalite très accentuée et différ
qu'un choc émotionnel ou une attaque épiteptiforme ou apoplecti-
forme
(apoplexie hystérique) simulant une hémorragie cé
et d'établir les bases pour le diagnostic différentiel de ces deux
formes
. Cependant, il y a des hémiplégies dont la natu
tionnels. Il. Les symptômes de loyer. I. L'apiiasik dans toutes ses
formes
. 11 n'est pas difficile de la distinguer du mut
. Dans l'hys- térie, la déviation de la langue se présente sous des
formes
variées et capricieuses bien connues (hémispasm
'intensité. III. - Les contractures sont caractéristiques dans leur
forme
et évolution. IV. - L'exagération des réflexe
e l'on observe des diflérences notables dans l'intensité et dans la
forme
de la courbe du courant d'action. La forme de la
s l'intensité et dans la forme de la courbe du courant d'action. La
forme
de la courbe que l'on obtient en représentant g
t, mais d'une façon continue, vers zéro. La courbe se présente sous
forme
d'une ascension brusque suivie d'une ligne de d
ois après la soixantaine (neurasthénie sénile proprement dite). 'La
forme
cérébro-spinale est la plus fréquente. Le diagn
ez les aliénés. L'idée principale qui s'en dégage est que, dans les
formes
mélancoliques, la pression sanguine dépasse not
es, la pression sanguine dépasse notablement la normale. Dans les
formes
maniaques, au contraire, elle descend. L'intérêt
observé des cas analogues. Il considère cet état comme une nouvelle
forme
de la maladie et même une aggra- vation et ne v
énilité chez les mélan- coliques chroniques. Une deviendrait qu'une
forme
particulière de démence. Le mélancolique marcha
que le malade n'est pas définitivement guéri ou qu'il présente une
forme
intermittente de la mélancolie. , M. SÊRiFux
stitutio ad integrum. Cependant, la psychothérapie, sous toutes ses
formes
, permet de rassurer le malade, de lui rendre le
on, et Masson et Cie, éditeurs il Paris. Ce petit volume qui a la
forme
d'un élégant carnet de poche est destiné, comme
eur gauche au moment de la paralysie, persisteraient encore sous la
forme
de douleurs spon- tanées et provoquées par la p
ion semble se diffé- rencier nettement de nos observations. Dans sa
forme
la plus pure, la paralysie spasmodique familial
atriques ont ainsi un double problème à ea<N<OMt ! <es. C.
Formes
paranoïdes : 1° Démence paranoide ; 2° Dé- lire
dépressifs; états mixtes). - A. Forme simple. B. forMepë ? OtKe. C.
Forme
circulaire. X. La FOLIE systématisée. XI. Les
le médicament est employé utile- ment comme sédatif dans toutes les
formes
de folie chronique avec agitation, et dans quel
nt d'une façon remarquable de l'emploi de l'opium sous ses diverses
formes
; en revanche, les malades de trente ans et au-
.) L'hédonal est un dérivé de l'uréthane, qui se présente sous la
forme
d'une poudre blanche facilement soluble dans l'al
les plus satisfaisants ont été obtenus dans la chorée et les autres
formes
de spasme, dans les névralgies (surtout celles
itations, la dyspepsie nerveuse, l'alcoolisme chronique et diverses
formes
de maladies mentales, particulièrement la mélan-
nt l'auteur conseille l'emploi comme hypnotique dans les diverses
formes
de neurasthénie et chez les aliénés dont l'agitat
ure que la portion hypertrophiée de la glande pituitaire, dont elle
forme
probable- ment une partie. Le corps thyroïde et
t étudiée sur une série de soixante cas. Elle se présente sous la
forme
d'une bande transversale régnant autour du corp
pré- céder l'anesthésie des jambes. On ne sait pas encore si cette
forme
d'anesthésie se rencontre dans d'autres maladie
stée, dans les soixante et onze cas chez les malades atteints d'une
forme
psychique de dégénérescence mentale. Parmi les ma
me psychique de dégénérescence mentale. Parmi les malades ayant une
forme
aiguë ou curable, aucun n'a été atteint, non plus
n tout à fait angoissantes. Ces douleurs s'accompagnent de diverses
formes
de paresthésie, mais jamais d'anesthésie com- p
e les symptômes se sont montrés graduellement, pre- nant souvent la
forme
de la neurasthénie ou de l'hystérie. Chez tous
atées. Trois malades avaient des syncopes. La paralysie, sous une
forme
ou sous une autre, a été notée dix fois et n'a
e, même au niveau de la fracture était parfaitement ferme, avait la
forme
normale et ne présentait extérieurement aucun s
e travail a pour objet de rappeler les caractères distinctifs d'une
forme
particulière de céphalalgie qui paraît avoir droi
ur les caractères qui permettent d'éta- blir le diagnostic de cette
forme
spéciale du mal de tôle et entre dans quelques
de cette paralysie est très rare dans la syphilis spinale, mais sa
forme
incomplète, comme dans le cas actuel, y est ass
t n'est qu'une suite à ses observations nombreuses sur les diverses
formes
de la criminalité, entre autre la criminalité p
e est encore anémique, d'un caractère difficile, sombre : « elle se
forme
des idées » ; deux fois, pendant une demi-heure
, le lobe occipital persiste avec des circonvolutions qui ont une
forme
. Sur la face interne de l'hémisphère droit, au
dominance à droite, survenues au quin- zième jour, se montrant sous
forme
d'état de mal à partir de ce jour, jusqu'au six
ue cet abcès était primitif car les auteurs n'admet- tent pas cette
forme
. - Il existe dans la science de très nombreux c
cercles, malgré que beaucoup d'entre eux soient homogènes, par leur
forme
globuleuse et leur volume plus sensiblement éga
ontré les corps hyaloïdes indiqués récemment parDagonet Ils sont de
forme
irrégulière et beaucoup présentent une dispos s
bles à ceux qu'il a trouvés ailleurs dans les vaisseaux malades. la
forme
allongée de quelques-uns de ces élé- ments, ave
dullaires (Obersteiner). Elles sont très nombreuses dans toutes les
formes
de dégénérescence où la fibre nerveuse est atte
Si l'on analyse les symptômes, on voit qu'il parait y avoir deux
formes
de paresthésie froide : dans l'une, le symptôme n
ien de douleurs, et souvent de troubles vaso-moteurs ; dans l'autre
forme
, oupsychro-esthésie proprement dite, le malade
mais, ni la sensation de piqûres, ni celle d'engourdissement. Cette
forme
de psychro-esthésie est complètement isolée, li
édé employé, et constate les résul- tats. En considérant toutes les
formes
de folie ci-dessus indiquées dans leur ensemble
tent la frontière entre l'était normal et l'état pathologique. Leur
forme
est ordinairement arrondie, mais non toujours,
st per- mis de tirer les conclusions suivantes : 11 n'existe pas de
forme
de folie qui soit propre aux prisons cellulaire
dique, d'hyp- notisme physique et d'hypnotisme suggestif. Ces trois
formes
peu- vent être employées séparément ou conjoint
isme. La classification la plus communément adoptée pour les deux
formes
de mentalité est celle qui la divise en esprit co
sens objectifs sont en état d'inactivité : en un mot, il est cette
forme
d'intelligence qui se manifeste chez un sujet h
ur par le sujet, l'oubli de toutes les choses extérieures; c'est la
forme
d'hypnotisme la plus communé- ment employée : e
isme, morphinisme et impulsions criminelles). Mais il y a une autre
forme
, qui peut-être beaucoup plus large- ment employ
ubjectif du malade de son entourage somatique de souffrances. Cstte
forme
ne détermine de fatigue ni chez le sujet ni che
sauf la perte de quatre orteils (le gros orteil seul subsiste), sa
forme
normale. Ce cas démontre, dit l'auteur, que l'o
l Journal, 35 décembre 1897.) Ce cas est surtout intéressant par la
forme
particulière du sui- cide qui en a été la consé
ades, com- prend les épileptiques, les paralytiques généraux et les
formes
congénitales et puerpérales. L'autre groupe, pl
ce qui touche la fréquence de la prédisposition hérédi- taire, les
formes
de folie observées chez les malades admis à l'a
ont une tendance très accusée à se transmettre sans modification de
forme
d'une génération à une autre ; 10° Dans la pl
génération à une autre ; 10° Dans la plupart des cas cependant la
forme
de la folie chez les descendants diffère notabl
la forme de la folie chez les descendants diffère notablement de la
forme
observée chez les ascendants, et différents mem
différentes de maladies mentales ou d'autres troubles nerveux. Une
forme
de folie déterminé chez un malade par une tenda
hérédité de famille non par l'aliénation mentale, mais par d'autres
formes
de maladies nerveuses. 11° La propension aux ma
es symptômes est habituel,, comme la brus- querie du début. Dans la
forme
la plus atténuée, le malade, devenu indoient et
is si rapide qu'en six semaines on peut voir se suivre toutes ces
formes
cliniques ». ' Les hallucinations de la vue et
erce la saignée dans l'urémie, dont l'aspect symptomatique, dans sa
forme
cérébrale a des analogies avec le tableau sympt
iquant la ponction rachidienne chez des malades atteints d'urémie à
forme
cérébrale. Hé7nyasyizc),gie avec hémilremblemen
io ad intey>7cm. , Cependant, la psychothérapie, sous toutes ses
formes
, permet de rassurer le malade, de lui rendre le
faut-il admet- tre des causes additionnelles; peut-être sont-ce les
formes
larvaires BIBLIOGRAPHIE. 353 du ver et non le
res nerveux un ac- cident tardif de nature syphilitique et même une
forme
de para- lysie générale. M. Mott fait observer
e. 3° Femme, hémiplégie droite (de naissance), attaques épilepti-
formes
depuis l'âge de douze ans, démence progressive, m
vingt-quatre heures; elles étaient annoncées par une aura, sous la
forme
d'une sensation anormale qui parcourait le membre
llay, de nombreux faits concernant la trépanation dans les diverses
formes
de l'épilepsie. (f3.) .) THÉRAPEUTIQUE. Le tr
intégral. il. M. C. XLIX. Des troubles moteurs à évolution aiguë, à
forme
d'ataxie cérébelleuse, chez les ivrognes; par W
ssement du corps calleux. surtout en arrière. Quelques anomalies de
forme
et de répartition des circonvolutions et des si
12.) 11 s'agit d'une femme frappée à 26 ans d'un ictus apoplecti-
forme
suivi de contracture, puis de paralysie flasque.
e sommeil, peut être rangé ce cas de sommeil physiolo- gique par sa
forme
, pathologique par sa durée. Il élimine succes-
philides secondaires ; installation rapide de ces troubles selon la
forme
sensitivo-motrice aiguë ou la forme exclusivement
rapide de ces troubles selon la forme sensitivo-motrice aiguë ou la
forme
exclusivement motrice ou la forme pseudo-tabéti
rme sensitivo-motrice aiguë ou la forme exclusivement motrice ou la
forme
pseudo-tabétique ; évolution selon la'forme asc
e-Klumpke ou Duchemin- Erb. Ils présentaient souvent, en outre, une
forme
caractéristique, par suite d'une paralysie préd
achées à l'action du virus spécifique, et qui se présentent sous la
forme
d'endartérite, avec occlusion ultérieure du vai
abès et de la paralysie générale ne l'est pas de la syphilis; 4° la
forme
de la pupille, qui s'écarte d'un façon bien accus
la forme de la pupille, qui s'écarte d'un façon bien accusée de la
forme
circulaire, et cela en l'absence de toute iritis
sence de toute iritis antérieure; à la vérité cette irrégularité de
forme
se rencontre en dehors de la syphilis, mais ell
n ne trouvait aucun des facteurs étio- logiques ordinaires de cette
forme
d'hémorragie, et l'on ne peut invoquer qu'un ef
celles que l'on peut légitimement qualifier de réflexes. Parmi ces
formes
particulières de névroses, celles qui se rattac
t actuellement n'est pas un carcinome au vrai sens du mot, mais une
forme
particulière de gliome, et comme elle tend à se
e particulière de gliome, et comme elle tend à se présenter sous la
forme
alvéolaire, on pour- rait la définir un « gliom
nature et l'origine du néoplasme, et de le distinguer nettement des
formes
secondaires et métastatiques du cancer. La pé
c la cellule épithéliale; 3° l'hyperchromatose des noyaux; et 4° la
forme
anormale des noyaux. Contre le carcinome, il y
règne autour des vaisseaux est tout à fait caractéristique de la
forme
d'endothéliome désignée sous le nom d'angiosarcom
indiqué d'ectopie embryonnaire). Le gliome est représenté comme la
forme
la plus fréquente de tumeur cérébrale. Comme le
est évident actuelle- ment que le carcinome ordinaire et certaines
formes
de gliome ont été jusqu'ici confondus. Peut-êtr
ensemble plus complet de symptômes généraux et spinaux, et dans la
forme
disséminée, les symptômes sont épars, comme les
ingite qui précède la paralysie, et les symptômes cérébraux dans la
forme
cérébro-spinale; dans la forme ordinaire de pol
, et les symptômes cérébraux dans la forme cérébro-spinale; dans la
forme
ordinaire de poliomyélite antérieure, la paraly
ervicale du rachis. Une anesthésie aussi étendue est rare; mais une
forme
commune, relativement du moins, est celle où la
s,'au bassin sur une surface qui rappelle un peu irrégulièrement la
forme
du caleçon de bain, sur de petits points plus o
les surfaces sensibles sont plus vastes. Enfin l'auteur décrit les
formes
décroissantes, dans l'ordre de l'étendue, de cett
l'anesthésie arrive à n'occuper que la face dorsale des doigts. La
forme
mentale où cette anesthésie se rencontre le plus
mécanisme de cette anesthésie. - R. de Musgrave-Clay. XXXIX. Une
forme
dégénérescente-de folie syphilitique, avec type
que la règle; cependant il y en a des cas authentiques, bien que la
forme
progressive soit au contraire la règle; cette d
enant ce mot dans son sens générique, est intimement associée à des
formes
de troubles mentaux que nous rencontrons quotid
mpêcher le malade d'écrire. ' 424 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. La
forme
d'aphasie qui entrave le moins la faculté d'expre
sont manifestés alors qu'ils apparaissent généralement, dans cette
forme
de folie, vers le moment de la puberté, et en tou
ou de tabes, dans lesquels le malade n'accuse qu'un chancre mou,
forme
bénigne, qui n'est peut-être que le résultat d'un
ner lieu à des affections parasyphilitiques. Enfin l'auteur cite la
forme
juvé- nile de la paralysie générale comme l'arg
velle est variable. Elles sont d'un pronostic fâcheux à cause de la
forme
de maladie mentale qu'elles accompagnent le plu
nérescence graisseuse du coeur qui est la conséquence ordinaire des
formes
aiguës. La cause de l'apparition du béribéri n'
« modéré- ment virulente » et le bacille appartenait à un malade à
forme
grave, qui a succombé. Peut-être la virulence e
te corticale aiguë ; c'est pourquoi il faut le considérer comme une
forme
d'eiicéplia- lite de Strumpell (poliencéphalite
intramédullaires peuvent être d'origine très diffé- rente ; 2° La
forme
la plus fréquente des cavités est celle que nous
nc pas s'agir ici de l'hy- dromyélie ; mais même là où la cavité se
forme
, le processus com- mence par une gliose. Il exi
se retrouve à la fois chez les supérieurs et chez les névrosés,qui
forme
le lien entre la supériorité et lanévrose. Le c
langue acquiert une certaine stabilité et le tremblement prend la
forme
nettement fibrillaire. 40 Instabilité des mains
ion dans l'étiologie de la maladie à tous les âges, sous toutes ses
formes
et dans tous les pays. Pour en terminer sur c
e dans son ensemble, ainsi que nous l'avons récemment démontré 1.
Forme
démente. La seconde particularité à relever dans
La seconde particularité à relever dans notre observation, c'est la
forme
exclusivement démente, sans aucun délire, de la
, où existe le délire mégalomaniaque habituel, se manifeste sous la
forme
pure- ment démente. Cette particularité, qui
t une fois déplus l'axiome anthro- pologique qui dit : « Le cerveau
forme
le crâne » ; l'espé- rance est donc frustrée de
n de cet enfant, nous avons compté six attaques, produites en cette
forme
: la tête penchée en avant, contracture général
thyroïdien. - 25° If est également impossible de dire dans quelles
formes
de maladies mentales il donnera des résultats a
te-cinq ans, et à [exception d'un seul, tous étaient atteints d'une
forme
ou d'une autre de mé- lancolie ; 2 ï° L'âge de
n diminuant le pouvoir de lui résister. Il est évident que dans les
formes
d'aliénation men- tale qui exagèrent à un degré
inairement goutte à goutte; dans la position verticale il sort sous
forme
de léger filet. Il vaut mieux le laisser couler
p. ilift-ell., 189), lasc. 3 4). Les auteurs distinguent suivant la
forme
de névralgie quatre groupes de psychoses dus à
aencéphatatgiques. Ils subdivi- sent ensuite chaque groupe en trois
formes
selon la durée et l'intensité de la psychose, u
e en trois formes selon la durée et l'intensité de la psychose, une
forme
aborlive, une forme aiguë ou transitoire de que
lon la durée et l'intensité de la psychose, une forme aborlive, une
forme
aiguë ou transitoire de quelques heures à une o
aiguë ou transitoire de quelques heures à une ou deux semaines, une
forme
prolongée pendant des semaines ou des mois. C
semaines ou des mois. Ce sont les céphalalgies qui fournissent le^
formes
les plus nom- breuses de psychopathies ; puis v
hopathies dues au prosopalgies et aux névralgies périphér.ques. Les
formes
prolongées qui se développent à la suite de la
ent provoquées par la céphalalgie et la névralgie intercostale. Les
formes
abortives sont presque exclusives de la céphalalg
Les formes abortives sont presque exclusives de la céphalalgie. Les
formes
hallucinatoires, associées à un degré plus ou moi
iques dans leur ensemble frappent plutôt l'homme que la femme ; les
formes
abor- tives dominent exclusivement chez la femm
abor- tives dominent exclusivement chez la femme, tandis que les
formes
transitoires ou aiguës sont plus fréquentes chez
hystérique ou épileptique. Au point de vue symptomatologique les
formes
ont-elles un aspect spécifique ? Tantôt elles r
veau. Il est très-probable qu'il s'agit d'une paralysie générale, à
forme
démentielle, com- pliquée de symptômes représen
ne d'années, mais il n'y a quejiuit ou, neuf ans qu'il a pris cette
forme
obsédante. Le patient a maintenant trente-cinq an
p;'tKtft'tt, IV, 1899.) L'auteur examine les allures des diverses
formes
mentales qui ne REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 49
ensations anor- males, plus ou moins élémentaires, qui prennent une
forme
obsé- dante en telles ou telles circonstances.
n'atteignent pas le plein'degré de sensations réelles, affectent la
forme
de psemlo-lallucinaliuus ou hallucinations incomp
ssent celles qui dérivent d'idées délirantes s'objectivant sous une
forme
sensible. Les primi- tives sont des hallucinati
élire de 11111, M... et de M"10 C... ait été le même, mais sous une
forme
atténuée que celui de la soeur qu'elles étaient
la vue et de l'ouïe. Ces deux cas se rattachent évidemment à cette
forme
de folie que Régis a décrite sous le nom de « f
... qui a été dans cette affaire l'agent véritablement actif; 2° la
forme
de la folie et l'état mental ont été absolument
passer pour delà manie ou de la mélancolie, les attaques épilepti-
formes
pour des attaques d'épilepsie. - , SOCIÉTÉS SAV
a maladie du doute. M. P. SOLLIER développe l'opinion que certaines
formes
de la maladie du doute tiennent à des troubles
ne position directe, le spasme étant vaincu. Un peu de bégaiement à
forme
hystérique, le rétrécissement bilatéral du cham
on qui est un type aussi pur que possible de leptomyélite diffuse à
forme
infiltrée, avec spécificité bactériologique évi
ution progressive et la systématisation du délire distinguent cette
forme
de l'équivalent chronique d'épilepsie. Discussi
s en France, de statistiques détaillées portant sur les différentes
formes
de l'aliénatienmentale. Dans sa thèse, M. Migno
considèrent que les troubles pupillaires ne sont spéciaux à aucune
forme
d'aliénation mentale, et trouvent des altératio
es. Les altérations des réflexes existent également dans toutes les
formes
morbides, mais, tandis que le trouble observé e
sbourg. Le reste du travail contient la description des différentes
formes
patho- logiques, leur classification et la desc
nesthésie du tronc dans il-, par Patrick. 246. Troubles moteurs à
forme
il'- cérébelleuse chez les ivrognes, par Becbte
eau. Contusion du simulant le delirium tt,emetis, par Ambler, 52.
Formes
atypiques du -, par Mickle, 135. Formation de f
s, 405. Happ0 ! tsde)aetdetafotie, par Mott, 427. Syphilitique.
Forme
dégénérescente de folie, - pai- Welsli. 420.
ervice de près de 150 lits où il nous est donné d'observer toutes les
formes
de l'épilepsie et de l'hystérie grave. Ce n'est p
cien qui les prend pour la maladie tout entière. Telles sontcertaines
formes
de X atrophie muscu-laireprogressive considérées
outre, tantôt de pe-tites exulcérations, tantôt un ulcère unique, de
forme
ovalaire qui occupe la partie moyenne de cette me
sont de deux espèces : 1° Les premiers consistent en des éruptions de
forme
variable, mais surtout vésiculeuses ou huileuses.
ins ont décrit une affection delà peau qui peut être rapprochée de la
forme
précédente. 2° En second lieu viennent les érup
tions cutanées diverses, mais se rappro-chant, en général, quant à la
forme
, tantôt du zona et tantôt du pemphigus. — Dans un
, rappelantle tissu de granulation, lesquels, plus tard, prennent une
forme
allongée, disparaissent et font place à du tissu
multipolaires qui siègent dans cette région. Telles sontles diverses
formes
de la sclérose fasciculée, que celle-ci soit prot
raient par des troubles fonctionnels et par des modifications dans la
forme
des parties qui ne resteraient pas longtemps inap
riginelle ou acquise, tend fatale-ment à se généraliser. Dans l'autre
forme
, sur laquelle nous appelions votre attention, il
Archiv. de médecine, septembre 1871, pp. 277, 302. 2. Sur les deux
formes
de l'amyotrophie progressive de cause spinale : v
pinière. Dans la pathogénie de la paralysie infantile et des diverses
formes
de l'amyotrophie de cause spinale, ce rôle ne par
cutanée dont je vais vous entretenir se montre, à l'origine, sous la
forme
d'une plaque érythémateuse, sur la-quelle se -dév
aris, 1871, p. 43. 2' Decubitus... Eschare [Alt. Wundliegen] qui se
forme
au sacrum et ail-leurs, etc.. Littré et Robin, Di
électrique (faradique) des muscles, bientôt suivie de l'atrophie, une
forme
particulière d'arthro-pathie sur laquelle j'aurai
catégories principales. A. La première comprend les arthropathics à
forme
aiguë ou subaiguë, accompagnées de tuméfaction, d
est remarquable de voir ces arthropathies, consécutives aux diverses
formes
aiguës ou subaiguës de la myélite, se développer
en-cent à s'atrophier ou encore dans le temps même qu'une es-chare se
forme
rapidement au siège. Uarthropathie des hémiplég
main, le pied, sont les parties les plus fréquemment affectées. Gette
forme
d'arthrite paraît se montrer surtout dans les cas
s avait joui d'une santé parfaite et n'avait jamais souffert d'aucune
forme
de maladie arthritique, fut atteinte tout à coup
teur cherche à expliquer, ainsi qu'il suit, le développement de cette
forme
d'arthrite, chez les hémiplégiques : « Les relati
remarquable de voir, dans cette observation, que le dépôt goutteux se
forme
exclusivement dans les jointures des membres pa-r
ou subaigu étant une affection à laquelle se lient souvent certaines
formes
de ramollissement cérébral et qui, d'ailleurs, se
qui exis-teraient entre certaines lésions de l'encéphale et diverses
formes
de la pneumonie, la tuberculisation pulmonaire. —
hrœder van der Kolk entre autres, ont émis l'opinion que les diverses
formes
de la pneumonie, et même la fuberculisation pulmo
t ner-veux ; la nutrition s'altère, le malade perd son sommeil, il se
forme
des eschares qui terminent la scène morbide. Te
emblement borné durant longtemps aux membres d'un seul côté du corps (
forme
hémiplégique), ou encore aux deuxmernbres inférie
du corps (forme hémiplégique), ou encore aux deuxmernbres inférieurs (
forme
paraplégique ). La tête est toujours à peu près r
uite, mettre en relief, car le con-traire se remarque souvent dans la
forme
cérébro-spinale de la sclérose en plaques. Je d
r-constance importante plaide contre cette explication: c'est que les
formes
de rhumatisme articulaire aigu ou chronique se mo
rance, bulbe, moelle épinière. — Plaques de sclérose sur les nerfs. —
Formes
spinale eéphalique ou bulbaire,cérébro-spinale. —
énéral du cerveau proprement dit n'a subi aucune modification dans sa
forme
et nous pouvons ajouter ni dans sa couleur,,., ca
ons en clinique. Tantôt les plaques occupent exclusivement la moelle (
forme
spinale); tanlôt elles prédominent dans l'encé-ph
a moelle (forme spinale); tanlôt elles prédominent dans l'encé-phale (
forme
céphalique ou bulbaire); enfin, l'existence simul
e simul- tanée de plaques dans l'encéphale et la moelle répond à la
forme
cérébro-sp ina le. Pour en finir avec l'anatomi
eux extrêmement délié qui unit et sépare les fibres cérébrales et qui
forme
une trame excessivement ténue ». (Loc. cit., p. 2
importante danslamasse de l'organe. Remarquez en premier lieu qu'elle
forme
, à la partie périphérique de la coupe, un anneau,
re solidaires [Kôlliker (1), Max Schultze, From-mann (2).] Dans cette
forme
de tissu connectif. il n'existe que fort peu de s
ainsi dire, sans ligne de démarcation appréciable ; dans le cas où la
forme
cel-lulaire n'est pas distincte, les noyaux, nus
e la physiologie, etc., n° 1, 1876 — Hayem. — Etudes sur les diverses
formes
d'encéphalite, 1868. premier cas, elles simulen
résenter, sur les préparations traitées par ce dernier agent, sous la
forme
d'un appareil réticulé. A ces objections ont été
n peut compter deux, trois, rare-ment plus, dans chaque nœud (1) ; la
forme
cellulaire se montre là plus disLincte, par suite
réticulum fibroïde a disparu ; on ne rencontre plus ni trabécules ni
formes
cellulaires distinctes ; les noyaux sont moins no
Tel est, Messieurs, le dernier terme du processus morbide, dans la
forme
de sclérose qui nous occupe; et cette persistance
en connexion avec les fibrilles conjonctives ; d'autres ont pris une
forme
irrégulière, due à l'action de la solution ammoni
ent volumi-neuses, dont les bords sombres, sinueux dessinent, soit la
forme
d'un globule ovalaire irrégulier,soit celle d'une
déterminer les caractèreshistologiques qui la distin-guent des autres
formes
de la sclérose des centres nerveux, et aussi de p
es systèmes nosologiques où elle doit prendre place à côté des autres
formes
, mieux connues, de la sclérose primitive des cent
iège nous ont conduitàreconnaître,aupointde vue anatomique, les trois
formes
suivantes: forme cèphalique, forme spinale, forme
uitàreconnaître,aupointde vue anatomique, les trois formes suivantes:
forme
cèphalique, forme spinale, forme mixte on cérébro
pointde vue anatomique, les trois formes suivantes: forme cèphalique,
forme
spinale, forme mixte on cérébro-spinale. Il était
tomique, les trois formes suivantes: forme cèphalique, forme spinale,
forme
mixte on cérébro-spinale. Il était aisé de prévoi
ixte on cérébro-spinale. Il était aisé de prévoir qu'à chacune de ces
formes
répondrait un ensemble symptomatique particulier.
centrons tout d'abord, si vous le voulez bien, notre attention sur la
forme
cérébro-spinale: c'est d'ailleurs à tous égards l
n un cas de la maladie nouvelle ; c'était un fort beau spécimen de la
forme
cérébro-spinale. Le malade quittant son lit fit q
s'agissait tout simplement d'un cas, à la vérité très complet, de la
forme
cérébro-spinale de la sclérose en plaques. C. L
. C. La paralysie agitante estsurtout la maladieavec laquelle cette
forme
de la sclérose en plaques a été le plus longtemps
depuis longtemps proclamé, un symptôme à peu près cons-tant, dans la
forme
cérébro-spinale de la sclérose en plaques. Il ne
oublier toutefois qu'il existe des cas exceptionnels relatifs à cette
forme
, et où — circonstance tout à fait inexpli-cable j
n mentale, des troubles psychi-ques qui revêtent l'une ou l'autre des
formes
classiques de l'aliénation mentale. Un des mala
peu plus haut. Il ne s'agit pas là, suivantmoi, d'une combinaison des
formes
élémentaires de deux maladies — l'ataxie locomotr
crite par M. Brown-Séquard. — Nous l'observons chez Mlle V... dans la
forme
que j'ai proposé d'appeler tonique. — Cette forme
z Mlle V... dans la forme que j'ai proposé d'appeler tonique. — Cette
forme
. 1. Brown-Séquard. — Archives de physiologie, t
ement dans l'indu-ration grise multiloculaire, peut être opposée à la
forme
salta-toire, laquelle prédomine au contraire dans
s appoplectiformes dans la sclérose enpla-ques. — Des périodes et des
formes
. — Physiologie pathologique. — Etiologie. — Trait
conde et troisième périodes. — Symptômes de paralysie bulbaire. — Des
formes
et de la durée de la sclérose en plaques. Physi
ut étudiées en raison de leur fréquence. On les rencontre là sous les
formes
assez variées qu'elles peuvent revêtir. Aussi la
ses divisions et subdivisions. Mais, en somme, toutes tes variétés de
forme
que l'observation clinique a fait reconnaître, —
plexy des méde-cins anglais); 2° les attaques eonvulsiees oxxépilepti
formes
. Les caractères des deux types peuvent d'ailleurs
arlant, un trait commun à ces attaques, quelle que soit d'ailleurs la
forme
qu'elles affectent et la maladie à laquelle elles
et s'enchaînent ces éléments aux diverses phases et dans les diverses
formes
de la maladie. Celle-ci, en effet, ne se présente
est encore à une époque voisine de son début ou lorsqu'elle revêt une
forme
imparfaite, qu'il importerait d'apprendre à la re
les retrouverons, à peu près avec les mêmes caractères, dans d'autres
formes
de sclérose de la moelle épinière et en particuli
nous l'avons observé, mon ami Duchenne (de Boulogne) et moi, dans la
forme
de myélite centrale subaiguë ou chronique qui pro
araît inutile d'entreprendre la description particulière des diverses
formes
que peut revêtir la sclérose multiloculaire. Les
des diverses formes que peut revêtir la sclérose multiloculaire. Les
formes
cérébrale:, et spinale correspondant à un envahis
con-sidérés isolément, n'en sont pas pour cela modifiés. La première
forme
est très rare, la seconde assez fréquente, au con
ès rare, la seconde assez fréquente, au contraire, mais, en somme, la
forme
cérébro-spinale représente le type normal, celui
paralysie agitante dont la durée normale est beaucoup plus longue. La
forme
spinale laisse habituellement plus de répit ; ell
ocu-laire ; mais elle se montre là plus prononcée que dans les autres
formes
de la sclérose des centres nerveux. Elle peut êtr
uer que l'ischurie hystérique est un phénomène rare, du moins sous sa
forme
très accentuée, car il estimpossible, nous l'avon
et thérapeutique de l'hystérie. Paris, 1859. démontré que, dans une
forme
spéciale de l'hystérie—que j'ap-pellerai, si vous
devantvous, sont, si je ne me trompe, des exemples évidents de cette
forme
de l'hystérie; vous pourrez, en les examinant, vo
nt dans un coma plus ou moins profond, précédé ou non de convulsions (
forme
comateuse de l'hystérie"! etchez laquelle on aura
uniqué récemment l'histoire à laSociété de Biologie,et chez lequel la
forme
de tremblement, dont j'ai voulu vous donner une i
rôle prédominant qu'à mon sens il joue dans la clinique de certaines
formes
de l'hystérie me paraît mériter toute votre atten
uateur de Brodie, dans une série très intéressante de leçon s sur les
formes
locales chirurgicales del'hystérie{2), comme il l
paraît être un phéno-mène constant, permanent par excellence, dans la
forme
d'hys-térie qui nous occupe, de telle sorte que,
e en relief le rôle vraiment prédominant de lovaralgie dans l'une des
formes
de l'hystérie. ^émmmmmm Vous xrenez de voir c
entiel de celles qui appar-tiennent à l'hystérie lorsqu'elle revêt la
forme
épidémique. Or, c'est à ce moment-là qu'apparaît,
ors elle nous offre, à l'état embryonnaire pour ainsi dire et sous la
forme
sporadique, un spécimen de ces danses du Moyenâge
arié-tés dans l'espèce, présentent à l'état rudimentaire les diverses
formes
convulsives qui se montrent à un degré beaucoup p
allet. DOUZIÈME LEÇON De la contracture hystérique. Sommaire. —
Formes
de la contracture hystérique. — Description de la
et celle qui dépend d'une lésion en foyer du cerveau. — Exemple de la
forme
pjn^ajD.hégicnie de la contracture hystérique.
cupait un seul membre; dans deux autres, elle se pré-sentait sous une
forme
hémiplégique, etdans les trois derniers, elle rev
s une forme hémiplégique, etdans les trois derniers, elle revêtait la
forme
paraplégique. Il est parfaitement exact que la co
uvoir faire passer sous vos yeux deux malades qui présentent l'une la
forme
hémiplégique, l'autre la forme paraplégique de
x deux malades qui présentent l'une la forme hémiplégique, l'autre la
forme
paraplégique de la contracture hystérique. Nous
s jointures sont également rigides, et le membre, dans son en-semble,
forme
comme une barre inflexible, car, enle saisissant
de connaissance. Cette attaque, selon toute vraisemblance^ a pris la
forme
épi-leptique de l'hystérie. Etch..., en effet, pe
accusation. 3° Dans le troisième cas, la contracture avait pris la
forme
hémiplégique ; elle affectait le côté droit et ét
ité que ces accidents convulsifs se distin-guent, c'est encore par la
forme
qu'ils revêtent, et, ce qui frappe le plus l'obse
aits plus ou moins prononcés qui rappellent Yépilepsiè. De fait, la
forme
convulsive, qui s'observe chez toutes ces femme
ous le nom à'hystéro-épilepsie, et, remarquez-le bien, c'est la seule
forme
qu'on rencontre chez elles. Toutes ces femmes ne
érie se montre combinée avec l'épilepsie, de manière à constituer une
forme
mixte, une sorte d'hybride composé mi-partie d'hy
aires de l'hystérie convulsive ? Vépilepsie ne serait là que dam la
forme
extérieure ; elle ne serait pas dans le fond des
remiers, conviendrait à désigner ces attaques mixtes. La convulsion à
forme
épileptique y apparaîtrait comme elle apparaît da
Si quelquefois beaucoup à l'épilepsie. » Aussi, eu a-t-on fait une
forme
particulière de l'hystérie, sous le nom dH hystér
rvation, dit que cette espèce hystérie à attaques mixtes n'est qu'une
forme
parliculière de l'hystérie ; ce n'est que de l'hy
à l'individu affecté, seraient la source de ces modifications dans la
forme
des attaques. La nature même de l'hystérie n'en e
lures et le pronostic qui lui est propre. A l'égard de cette première
forme
de l'hystéro-épilepsie, tout le monde est d'ac-co
le mélange s'est effectué et, dans les attaques ultérieures,les deux
formes
convulsives se montreront toujours combinées,bien
des membres. Ne paraît-il pas d'après cela vraisem-blable déjà que la
forme
dite épileptique, n'est à proprement parler que l
e, car il y a là matière à une importante distinction, que dans cette
forme
de l'hystéro-épilepsie, l'attaque épileptiforme,
ut entier, est dans l'extension; son grand axe, dirigé verticalement,
forme
un angle droit avec le plan du lit sur lequel la
, et de façon la plus accentuée,les symptômes locaux permanents de la
forme
d'hystérie que nous a\7ons pro-posé d'appeler ova
annoncé, présente tous les ca-ractères de l'hystérie ovarique sous la
forme
la plus régulière, la plus classique. Je vais ess
vait être considérée comme la continuation, la prolongation, sous une
forme
nouvelle, de l'attaque hysté-rique avortée. Mais
état de mal hystéro-épileptique, alors même qu'il se présente sous la
forme
la plus accentuée. A ce titre, il nous parait rat
n, en outre des symptômes hystériques antécédents ou concomitants, la
forme
môme des accidents , à savoir surtout : l'harmoni
us le constatez, l'agitation cho-réique rentre évidemment, quant à la
forme
des mouvements pathologiques, dans la description
n'est pas non plus absolument exact — au moins appliqué à certai-nes
formes
, cependant très accusées, bien que le tremblement
symptôme nécessaire de la maladie de Parkinson. il est, eneffet, une
forme
de cette maladie, forme fruste par excellence, po
la maladie de Parkinson. il est, eneffet, une forme de cette maladie,
forme
fruste par excellence, pour employer les ex-press
à dans la première édition de ses Leçons, M. Charcot a parlé de cette
forme
fruste. Il a rapporté sommairement l'his-toire d'
lus grosse. (B.) Sclérose en plaques disséminées : Cas fruste de la
forme
spinale ; — possibilité de la guérison. — Nouvell
e malade nous offre donc un cas de sclérose en plaques fruste dans la
forme
spinale. Elle nous montre aussi que la sclérose e
utes les couleurs cessent d'être perçues ab-solument, la notion de la
forme
étant conservée, et alors les objets n'apparaisse
tif d'attaques-accès (2). Il ne sera question ici que de la seconde
forme
d'hystéro-épilepsie, c'est-à-dire de l'hystéro-ép
pour éviter toute confusion,il propose d'appeler hysteria major cette
forme
de la maladie ; l'épilepsie ne serait là, d'après
me de la maladie ; l'épilepsie ne serait là, d'après lui, que dans la
forme
, elle ne seraitpas dans le fond des choses. C qsï
faits prouvent péremptoirement que l'épilep-sie n'est là que pour la
forme
: 1° la compression ovarienne peut arrêter plus o
ngtemps que l'imi- talion peut avoir une certaine influence, sur la
forme
que revê-tent les accidents de l'attaque hystériq
nt-Médard..., Les attaques passionnelles se retrouvent isolées sous
forme
d'extases ou de représentations, suivant l'expres
onsiste à con-sidérer les grands types avant d'en venir à l'étude des
formes
frustes et atténuées, car il est incontestable qu
e qui précède, nous sommes conduits tout naturel-lement à l'étude des
formes
frustes ou des variétés de l'attaque d'hystéro-ép
e. A. Variétés par prédominance d'une des périodes. — lre Variété. —
Forme
ép ileptoïde. L'attaque hystéro-épileptique se tr
au contraire toujours l'état de mal épileptique (1). 2° Variété. —
Forme
démoniaque. Celle variété est princi-palement con
temps à autre, spontanément, sans aucune provocation extérieure, sous
forme
d'accès. Il s'y surajoute quelquefois, principale
Saint-Guy (Chorea Germanorum) qui, à plusieurs reprises, a régné sous
forme
pandémique, dans les provinces du Rhin, pendant l
e que ces phénomènes appartiennent à l'affec-tion hystérique, dans sa
forme
grave, dont ils sont des mani-festations vulgaire
es et îlots de sclérose, irrégulièrement disséminés, de dimensions et
formes
variées, irrégulières, isolées où s'unissant par
qui exis-teraient entre certaines lésions de l'encéphale et diverses
formes
de la pneumonie, la tuberculisation pulmonaire. —
rance, bulbe, moelle épinière. — Plaques de sclérose sur les nerfs. —
Forme
spinale, cépha-lique ou bulbaire, cérébro-spinale
s apoplectiformes dans la sclérose en plaques. — des pério-des et des
formes
, — physiologie pathologique. — étiologie. — trait
nde et troisième périodes. — Symptômes de paralysie bulbaire. — Des
formes
et de la durée de la sclérose en plaques. Physi
. 320 DOUZIÈME LEÇON de la contracture hystérique. Sommaire. —
Formes
de la contracture hystérique. — Description de la
Sommaire. — Formes de la contracture hystérique. — Description de la
forme
hémiplégique ; analogies et différences entre la
et celle qui dépend d'une lésion en foyer du cerveau. — Exemple de la
forme
paraplégique de la contracture hystérique. Pron
........ 421 IV. Sclérose en plaques disséminées : Cas fruste de la
forme
spinale; — possibilité de la guérison....... ..
-tudes passionnelles, 438 ; — P. terminale, 439. — Variétés, 445. —
Forme
épileptoïde, 445. — F. démoniaque, 446. — F. exta
s de la substance grise de la moelle, 62. — Lésions de ces cellules :
forme
aiguë (pa-ralysie infantile), 68 ; — forme chroni
Lésions de ces cellules : forme aiguë (pa-ralysie infantile), 68 ; —
forme
chronique (atrophie musculaire progressive, 69. —
loroforme sur la —, 349. — Tré-înulation convulsive dans la —, 350. —
Forme
hémiplégique de la —, 347, 351. — caractères qui
. — caractères qui la différencient de l'hémiplégie orga-nique, 351 —
Forme
hémipara-plégique de la —, 358, 366. — Forme para
plégie orga-nique, 351 — Forme hémipara-plégique de la —, 358, 366. —
Forme
paraplégique, 347, 355, 360. — Pronostic de la
s-térique, 350, 364 ; — dans la sclé-rose en plaques, 245, 262. — Ses
formes
, 267. — Arrêt de 1'—, 338, 375. (V, Etat de mal é
érations des vaisseaux dans la —, 211. — Na-ture de la lésion, 219. —
Forme
spinale, 194, 222. — Forme cépha-lique ou bulbair
la —, 211. — Na-ture de la lésion, 219. — Forme spinale, 194, 222. —
Forme
cépha-lique ou bulbaire, 194, 222. — Forme cérébr
Forme spinale, 194, 222. — Forme cépha-lique ou bulbaire, 194, 222. —
Forme
cérébro-spinale, 1Ï5, 222. — Causes d'erreurs d
. — Pro-nostic, 271, 423.-Traitement,271. — Cas de guérison, 422. —
Forme
fruste de la —, 423. Secours (Des) chez les con
tracer les rapports avec l'état mental normal et les princi- pales
formes
psychopathiques dans lesquelles il se montre, tel
nne- ment. l'idée fixe. 19 La conception délirante passagère se
forme-t
-elle, géné- ralement par suite d'essais d'expli
ébit et à l'association des idées, mais généralement, elle prend la
forme
d'accès, et toujours en provoquant la résistanc
t enlre l'obsession et l'idée fixe ? Le sujet en est très varié, la
forme
, multiple; rumination de problèmes philosophiqu
e la conscience, de falsifications des souvenirs qui, sous diverses
formes
, pro- duisent, de compte à demi avec l'idée fix
tes, à moins que « l'on ne s'obsline à regar- der précisément celte
forme
mentale comme une preuve de dégénérescence. »
er au xvltte siècle, pour voir les épidémies de délires religieux à
forme
dépressive, faire définitivement place à celles
religieux à forme dépressive, faire définitivement place à celles à
forme
théomaniaque. Antérieurement, on rencontre bien
élevé ou que pro- fesse le sujet aurait une grande influence sur la
forme
du délire ; voici comment s'exprime cet auteur
dées sanguinaires comme un objet de culte et une veille de Noël, il
forme
le projet atroce de faire un sacrifice expiatoi
ent politique, suivant leur caractère et le milieu ambiant. Dans sa
forme
habituelle, ce délire se traduit par la croyanc
les mystiques, est encore plus stupéfiante lors- qu'elle affecte la
forme
collective et épidémique; on a observé aux xvue
sques, plus limités, se répétant tou- jours à peu près sous la même
forme
(mouvements brusques de projection des bras en
ion, chorée variable, impliquant à la fois des va- riations dans la
forme
et dans le temps, dans la durée, est plus génér
u les révéler. La maladie avait débuté par des attaques épilepti-
formes
avec convulsions localisées au bras et à la jambe
c intermittence de calme et d'agitation, troubles hallucinatoires à
forme
zoophique, paraplégie symétrique bilatérale avec
a permis l'essai de modes d'hospitalisation appropriés aux diverses
formes
d'aliénation mentale observées. L'étude compara-
e dès lors l'élément le plus redoutable du délire, surtout dans les
formes
de la folie dont les préoccupations hypochondri
cale, et en particulier des opérations chirurgicales dans certaines
formes
d'aliénation mentale. Ces observations sont rép
ntale dans les Bouches- du-Rhône et quelques considéralions sur les
formes
de la folie. L'alcoolisme a fait des progrès da
lation arabe offre un intérêt particulier, tant au point de vue des
formes
mentales et des différentes manifestations du d
, J.-B. Baillière et fils.) Ce petit volume, aussi agréable dans la
forme
que substantiel dans le fond, constitue une sui
impose le traitement, il passe successivement en revue les grandes
formes
médullaires de la syphilis acquise : la syphili
rveux, les myélites aiguës, les myélites chroniques, les myélites à
formes
irrégulières. La seconde partie de l'ouvrage tr
: l ! , Privât. , Nocuia (E.) et SIHOL (J.). Maladie de Thomsen il.
forme
fruste avec atrophie musculaire. Brochure in-8°
rendu à la liberté. Observation VII (LEGnAin). Débile. Idée fixe à
forme
mystique. Délire religieux. Evolution chronique
sation. Dieu lui dit de suivre ses pensées. Il lui apparaît sous la
forme
créa- trice. Il ne le voit pas réellement, il n
état. Observation VIII (Krafft-Ei>11ng). Dégénérée. Idée fixe «
forme
érotiquc. Evolution chronique. L.... Rose, qu
INIQUE MENTALE. Observation X (Personnelle). Dégénéré. Idée fixe ci
forme
omGi- tieuse aboutissant au délire des dégénéré
ie. C'est vers 1895 que le délire fit sa pre- mière apparition sous
forme
d'une idée fixe de grandeur. Cette idée se déve
est ce qui a entraîné l'erreur. L'idée fixe en cette espèce morbide
forme
souvent un élément très net. Elle naît quelquef
i, comme je l'ai eu dans l'idée, il est possible que l'on donne une
forme
d'homme à un animal tel que porc ou autre, et q
e à constater qu'à expliquer par des mensu- rations précises. Les
formes
dans leur ensemble sont plus nettement mascul
ouches des pyramides petites et moyennes). Des éléments spéciaux de
forme
variée. mitrale, semi-lunaire, etc., mais surto
nsidérable que celui des grandes pyramides. Du corps cellulaire, de
forme
étoilée ou triangulaire, sortent trois ou un pl
déterminés : l'intoxication alcoolique (aigué ou chronique) et les
formes
déli- ¡'antes alcooliques. Dans l'intoxicatio
ide pour apprécier le degré de responsabilité du sujet. Quant aux
formes
délirantes alcooliques elles ne tirent de l'alcoo
chémas généralement simples, souvent d'une grande banalité, sous la
forme
desquels les sujets observés avaient emmagasiné
on actuelle l'alcoolisme sévit à tous les degrés et sous toutes les
formes
, avec ses funestes conséquences. Il résulte de
roduite qu'après un temps assez long; 4° généralement les aliénés à
formes
chroniques ne rêvent pas de leurs idées morbide
nérescence, cette maladie représentant une 144 SOCIÉTÉS SAVANTES.
forme
de dégénérescence. En résumé, le malade en questi
griffe et plantes voûtées. M. Rossolimo fait le diagnostic de la
forme
de Déjerine, de névrite interstitielle, avec fa
ts, plus durs, peut-être aussi uu peu gonflés. Du côté clinique, la
forme
de Déjerine se distingue par son évolution pio-
s comme de la démence précoce chez les épileptiques ne sont que des
formes
méconnues de paralysie générale. M. ARKAUD. A
t pas. Pourtant il admettait que le mutisme n'était en somme qu'une
forme
d'apha- sie. Comment expliquer alors la surdité
ssaud pense qu'il s'agit d'une artérite goutteuse qui détermine une
forme
spéciale de claudication intermittente ; en eff
trau- matisme semblant agir comme suggestion. Elle présente deux
formes
: to une forme pure dont les symptômes, la douleu
semblant agir comme suggestion. Elle présente deux formes : to une
forme
pure dont les symptômes, la douleur et la contr
es tout particuliers, sans phéno- mènes locaux réactionnels; 2° une
forme
mixte ou hystéro-orga- nique, constituée par l'
gie à une affection préexistante de nature inflammatoire. Dans la
forme
pure, l'articulation est d'ordinaire indemne de
roduire diverses lésions matérielles. Le diagnostic surtout dans la
forme
mixte est parfois très difficile à établir : l'
ar auto-intoxication et peu- vent donner naissance à la plupart des
formes
mentales connues, qui varieront selon le terrai
ent terminer cette attachante série de faits. Chacun de ces 152 cas
forme
un tout qui porte en soi sa part relative de co
osés, les héréditaires, les dégénérés. Aussi, n'existe-t-il pas une
forme
spéciale de folie des tuberculeux. Chacun délir
que Bail, dans son étude de la folie tuberculeuse, en décrit trois
formes
qui répondent aux conditions suivantes : 1° Les
eille l'idée d'aller voir ; puis l'image du mouvement à exécuter se
forme
en moi, je me lève et dirige mon regard vers la
ée de la tête et des yeux associée il l'hémianopsie latérale. Cette
forme
n'est pas décrite iso- lément dans les traités
nné une description pré- cise, les traits caractéristiques de cette
forme
d'apoplexie consistent dans l'absence de perte
lie à l'extérieur puis s'enfun- çant dans la substance blanche sous
forme
d'une bande étroite qui n'atteint pas la corne
rayonnante. Elle s'étend en arrière vers l'insula, mais plutôt sous
forme
d'infiltration, en particulier du côté de la ca
tiques peuvent atteindre leur maximum d'intensité dès le début sous
forme
d'une hémi- plégie flasque. La paralysie pèut
'ingTavescent apoplexy peut constituer au point de vue clinique une
forme
d'apoplexie, elle doit cette distinction au car
néanmoins le cas, de par sa marche générale, doit entrer dans cette
forme
ainsi la malade après un ictus rapide reprend c
s le ventricule, dépasse un peu en arrière le noyau lenticulaire et
forme
ub foyer à la partie la plus pos- térieure de l
nos cas d'apo- plexie progressive, nous pouvons dire que dans cette
forme
d'apoplexie, l'hémorragie n'a point originellem
ogressive au point de vue cli- nique peut être considérée comme une
forme
d'apoplexie, mais qui n'est pas tellement disti
orme d'apoplexie, mais qui n'est pas tellement distincte des autres
formes
qu'on ne puisse trouver des intermédiaires qui
r à peu de temps d'intervalle, deux malformations sem- blables sons
forme
de diverticules intestinaux, peut-être à des ét
aux semi-circulaires : c'est l'association des deux excitations qui
forme
l'image sensorielle du mouvement rotatoire, tan
mentale - des tendances à la vacuolisation - des modifica- tions de
formes
du noyau repou,ssé à la périphérie ou isolé au
vations très intéressantes dont une autobiographie. Il s'agit de la
forme
grave d'homosexualité avec perversion des insti
mmet de l'articulation esl formé par la rotule, l'articulation a la
forme
angulaire. Pour Sclultess l'allon- gement du li
nées. Lorenz conseille l'opération non sanglante sous le chloro-
forme
vaincre la résistance des adducteurs. D'après Lor
lement infectieuse (influenza ? ). L'observation présenterait une
forme
mixte Strümpell-1'er- nicke. Discussion. M. M
e vers les noyaux de la protubérance des deux côtés, en partie sous
forme
d'un faisceau vertical qui remonte le long du rap
'avoir été un précurseur dans le traitement hypnotique de certaines
formes
d'aliénation mentale. L'hypnotisme et le traite
aigu, qui n'est que l'exagération du subaigu peut se présenter sous
forme
dépressive ou sous forme agitée. Dans la forme
gération du subaigu peut se présenter sous forme dépressive ou sous
forme
agitée. Dans la forme dépressive, la stupeur es
ut se présenter sous forme dépressive ou sous forme agitée. Dans la
forme
dépressive, la stupeur est profonde, les hallucin
rsécution, d'où tendance au suicide (lièvre chaude des anciens). La
forme
agitée n'est autre chose qu'une sorte de deliri
nstitue la fièvre pernicieuse coma- teuse. Il se présente sous deux
formes
différentes : la dépressive (stupeur intense) e
passant par l'idée fixe délirante intermé- diaire. En dehors de ces
formes
de jalousie morbide, idiopathiques pour ainsi d
les, notamment dans l'exci- tation maniaque pure, la folie à double
forme
, la paralysie géné- rale au début, l'imbécillit
général, le pronostic est grave ; il varie, non pas tant suivant la
forme
et l'intensité du délire que suivant le l'acteur
c. Cette capacité et cette respon- sabilité varient donc suivant la
forme
clinique du délire et son intensité et aussi, d
la forme clinique du délire et son intensité et aussi, dans chaque
forme
, suivant les individus. 11 n'y a donc pas de rè
t par impuissance à agir. L'aboulie du pouvoir se présente sous une
forme
obsédante. On a ainsi une obsession-inh'bition
ns, l'obses- sion-inhibition peut se présenter en clinique sous les
formes
les plus variées : parmi les plus fréquentes il
ielle organique. La syncope géni- tale peut se présenter sous trois
formes
: le puissance conservée pour toutes les femmes
ussi il serait indiqué de procéder à l'isolement du malade sous une
forme
appropriée. Malheureusement, on se heurte en pra-
u zona facial dans la paralysie générale. Duquennoy (Paul). Sur une
forme
à début douloureux de la paralysie infantile.
leyre (Charles). Neurasthénie et genitopathieb féminines, étude des
formes
utérines secondaires de la névrose. - Sterlin (
- Szum- lanski (Paul). Un cas d'arthropathie tabélique p1'Pcoce ci
forme
hyper- trophique chez un vieillard. Truelle (
à ce qui existe pour ces vésanies qui affectent nécessairement une
forme
quelcon- que, les vrais troubles psychiques pos
- met-elle pas de « prévoir quelle serait la nature du délire, la
forme
et la durée des accidents ». En outre de ces di
les dix ou quinze dernières années de sa vie. Nous ignorons quelle
forme
ont revêtu les troubles mentaux signalés chez cet
it à le tenter pour l'emmener avec lui en Enfer ; le Démon avait la
forme
d'un homme noir; il n'en avait pas peur, au con
e s'est amélioré. De .plus, la folie a revêtu chez notre malade, la
forme
que certains auteurs, en particulier M. le D''
la confusion mentale. Le délire toxi-infectieux, au moins dans sa
forme
habituelle de confusion mentale subaiguë, est un
i tient sous sa dépendance la fonction psychique. Si les diverses
formes
que revêt la folie post-opératoire étaient touj
eut jouer un rôle actif et même décisif dans la production d'autres
formes
de folie. De même que l'intoxication éthylique
ne permet elle pas de prévoir quelle serait la nature du délire, la
forme
et la durée des accidents ». Nous n'insistero
ale pro- gresse de jour en jour. Cependant, M... ne présente aucune
forme
d'aphasie, ni cécité verbale, ni surdité verbal
possédons cinq observations, que nous avons recueil- lies dans les
formes
suivantes : 10 Une mélancolie simple, sine deli
nsitoire. Remarquons d'abord l'existence de l'aménorrhée dans des
formes
mentales très différentes ; nous avons trois mani
fonctions psychiques ; elle semble normale dans les intervalles. La
forme
mentale ainsi établie en dehors de la névrose h
s latérales de la verge, mais la face inférieure est à nu ; la peau
forme
donc une 394 RECUEIL DE FAITS. sorte de pont,
tronc et des membres, la finesse des dents, la gracilité des os, la
forme
du thorax, et surtout par le développement des
xagéré. Il est donc manifeste que l'hermaphrodisme, même dans ses
formes
les plus simples, se complique fréquemment de d
et trop vagues, mais il ne serait pas mauvais de carac- tériser les
formes
par un symptôme dominant, et résultant nette- m
de l'affection, mérite à ces divers titres de servir à désigner la
forme
ou la phase du tabes dans laquelle se REVUE DE
° Les premières récidives constituent dans la pluralité des cas des
formes
plus graves de paralysie (électri. quement parl
ns l'hystérie. Il n'a pas d'autre particularité que d'appartenir la
forme
pleinement pure, typique. Il s'agit d'une vieil
e astasie-abasie persistante (elle dure depuis quatre ans), est une
forme
paralytique, à carac- tères hystériques, elle a
ectrode nécessaire, ronde, en 318 S REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
forme
de bouton mesure 5 millimètres ; on la revêt de c
deux frères de onze ans et de treize ans et demi on cons- tate une
forme
progressive caractérisée par : 1° de l'ataxie sta
on latente. Il est bon d'insister sur les mouvements irréguliers en
forme
de tics (de la tête) des deux enfants, et sur c
y ait des points de contact avec la paralysie infantile cérébrale à
forme
monoplé- gique, avec la contracture tardive pos
qui continue à exécuter sa fonction spécifique. La modification de
forme
et le rapetissement de la cellule du ganglion,
29 malades examinés dans deux manicomes et appartenant aux diverses
formes
men- tales qui s'y rencontrent généralement. Il
ographie intéressante, à plus d'un titre, le Dr 'l'rénel décrit une
forme
de délire assez rare et dont la plupart des tra
e continue. Quoi qu'il en soit, le délire menstruel peut revêtir la
forme
maniaque, mélancolique ou hallucinatoire ; souv
romure de potassium sont naturellement indiqués ; dans les accès de
forme
dépressive et dans les périodes dépressives si fr
Dans une étude intéressante, l'auteur passe en revue les diverses
formes
de folie qui peuvent tirer leur origine de l'infe
IE MENTALE. 329 naissance à une paralysie générale vraie mais à une
forme
men- tale qui lui ressemble tout en ayant des s
Fournier, hubino et d'au- tres auteurs affirment l'existence d'une
forme
épileptique de syphilis cérébrale secondaire qu
due à une défectuosité héréditaire du neurone qui peut conduire aux
formes
graves des phobies confinant elles-mêmes aux id
ques F... s'arrête au diagnos- tic d'encéphalite, et notamment à la
forme
décrite par Leyden et Goldscheider sous le nom
spèces : 1° accès épi- leptiformes généralisés; 2° accès partiels à
forme
corticale, consis- tant en secousses convulsive
cas de cysticerques multiples observé par lui et qui évolua sous la
forme
d'une myélite par com- pression à marche rapide
r dorsal inclusivement. Il s'agit sans doute d'une hémato- myélie à
forme
tubulaire, ayant intéressé principalement les g
ême temps les hémorragies ont cessé. La deuxième malade présente la
forme
fruste de la maladie de Basedow, masquée par de
ie de Basedow, a pu servir de point de départ pour diagnostiquer la
forme
fruste de cette affection. Discussion. - M. POS
eur un petit coup sec sur un muscle en état de relâchement, il se
forme
parfois à l'endroit de la percussion, en même tem
issu musculaire lui- même. L'existence de la démence précoce, comme
forme
autonome, n'est pas encore suffisamment démontr
ous les intermédiaires existent; c'est une suite ininter- rompue de
formes
symptomatiques, depuis la simple rigidité jusqu
édicale DU Canada (nos 1 à 4, 1899). Cette revue mensuelle, dont la
forme
et la langue sont celles de notre pays et qui c
s ont conflué et forment des blocs plus gros, irréguliers dans leur
forme
et leur répartition ; corpuscules cliromatophyl
ue aussi-parfaite que le bleu de méthylène. Les modifications de la
forme
des cellules sont toujours plus rares et moins
t quitté les parois de leur loge névroglique ; leur corps prend des
formes
anguleuses et se déforme encore par la rupture
ts on rapproche cette autre particu- larité : la variété infinie de
formes
et de dimensions des cellules de la moelle, on
qu'a libérées la rupture du dendrite, le corps cellulaire prend une
forme
irrégulière, le noyau est ainsi plus ou moins é
sa situation au centre de la cellule, son contenu plus homogène, sa
forme
plus régulière, il soit moins accessible que la
nsistants qui servent de moule aux fluctuations artificielles de la
forme
du cytoplasme, sur les contours duquel ils form
ns voiles ni pelli- cules. Sur gélose à+ 37°, cultures maigres sous
forme
d'un mince voile grisàtre à peine visible et tr
-ci : diplocoques à grains un peu allongés, ressemblant à certaines
formes
des pneumocoques, et très courtes chaînettes ;
lieux solides (agar, gélatine). Nous pensons avoir eu affaire à une
forme
un peu spéciale de streptocoque et nous croyons
ui explique la pureté du type clinique : myélite ascendante aiguë à
forme
exclusivement motrice. On sait en effet que rie
ériphérique viennent compliquer le tableau, faut-il distinguer deux
formes
de paralysie ascen- dante, l'une névritique, l'
, par une évolution plus lente et une guérison plus fréquente. La
forme
médullaire pure ne s'accompagnerait jamais de t
aux bulbaires. Notre cas serait un des types les plus purs de cette
forme
médullo-bulbaire. Boudin', dans sa thèse a tent
lconques*. » D'ailleurs attacher le nom de maladie de Landry à la
forme
médullaire pure de paralysie ascendante aurait le
S. 373 Conclusions. - 1° Il est des cas de paralysie ascendante à
forme
motrice pure, dus à des lésions exclusives de la
ales, les auteurs ont été amenés à les étudier dans les différentes
formes
de vésanies, au hasard de la clinique. Sont-ell
à voix basse les mots que dit mon langage intérieur; c'est là notre
forme
d'images vives à nous moteurs 2. » A l'état p
restent grands ouverts, la pupille te dilate au point que l'iris ne
forme
plus qu'une zone presque imperceptible. Comme l
parables. (Revue neurologique, mai ISH.) E. B. XIV. Des différentes
formes
de paraplégie due à la compression de la moelle
usculaires. Cela posé, l'auteur réunit dans le tableau suivant, les
formes
les plus typiques de paraplégie due à une compres
es fibres motrices et ensuite sur les fibres sensitives. A côté des
formes
typiques, il existe des formes irrégulières, atyp
ur les fibres sensitives. A côté des formes typiques, il existe des
formes
irrégulières, atypiques : telles sont, par exem
imum d'intensité d'abord sur les fibres sensitives. Dans une de ces
formes
dont la production n'a pas encore reçu d'explic
oteurs plus ou moins accusés, une exagéra- tion de l'une ou l'autre
forme
de la sensibilité. A. FENAYROU. XV. Les phénomè
iale, et contient des mottes, de grosseurs les plus différentes, de
forme
angulaire, grumeleuse, distordue. Les grosses s
lu avec dégénérescence extrême des racines posté- rieures. Ce noyau
forme
, comme dans les préparations normales, une vési
sente une i 404 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
forme
anormale. La substance chromatique est normalemen
gion de la zone acoustique d'Ahlbom. Sa plus grande partie, sous la
forme
d'un large ruban, s'en va, par le pédoncule cér
fibres radiculaires postérieures. Mais elle peut atfecter plusieurs
formes
, par exemple la forme en virgule (Schultze) ou
térieures. Mais elle peut atfecter plusieurs formes, par exemple la
forme
en virgule (Schultze) ou se traduire par la dég
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 07 dans leur segment antérieur. Mais la
forme
de la dégénérescence est tout à fait différente
- sant ininterrompu, pourvu d'épais renflements très nombreux, de
formes
irrégulières (Golgi. Fine structure du système ne
structure de la substance fondamentale de la cellule est bien réti-
forme
et en rayons analogues à ceux d'une ruche. Mais l
; puis, il oblique de haut en bas et de de- hors en dedans sous la
forme
d'une couche grêle qui reste cepen- dant à égal
. L'entrée du nerf optique dans le globe de l'oeil a lieu sous la
forme
d'une étroite tige oblique, toujours dirigée de h
t de sphère interne, inférieur et postérieur de l'oeil. L'angle que
forme
la papille avec la perpendiculaire est d'un peu p
t d'un peu plus de 30°. La tige de la papille et l'éventail qu'elle
forme
en faisant sail- lie à l'intérieur du globe de
uand les attaques sont accompagnées d'une extrême irritabilité sous
forme
d'excitation ou de dépres- sion. Un bon succéda
ho descriptif, indique nettement un accès transitoire d'agitation à
forme
maniaque. D'après Luys les lésions du lobe céré
idents déjà anciens. Il s'agissait d'un accès violent d'agitation à
forme
maniaque s'étant déclaré subitement, avec hyperth
té noté aucun trouble moteur. En 1892, nouvel accès d'agitation à
forme
maniaque avec hyper- thermie : 39°,3, troubles
système de projection des frontales et de la frontale ascendante ne
forme
plus qu'un magma sangui- nolent et rempli de ca
où la substance grise était intéressée. Ces convulsions épilepti-
formes
se sont surtout montrées fréquentes et violentes,
tège de manifestations psycho-palhologiques : : accès d'agitation à
forme
maniaque et à début brusque, se traduisant par
s gastro-intestinaux, auto-intoxication, troubles hallucinatoires à
forme
terrifiante, particulièrement de la vue, douleu
ativité même des impressions reçues au cours de l'examen de cette
forme
pathologique si mobile, nous gardent de généralis
i- cole, des jardins, du bétail : ils doivent être organisés sous
forme
de fermes. Il recommande les occupations en plein
epos psychique, du repos du cerveau, elles sont constantes dans les
formes
aiguës. Qu'il s'agisse en effet d'états d'excit
que donne le séjour au lit ; la physionomie de l'asile se trans-
forme
et tend à se rapprocher de celle d'un hôpital.
ès Brosius, le séjour au lit dans les états maniaques et les autres
formes
avec excitation. 'Les chiffres ci-dessous monta
ell comme traitement systématique de l'hystérie grave, de certaines
formes
de neurasthénie et de la chorée intense '. E.
tre. : " Du traitement méthodique de la neurasthénie et de quelques
formes
d'hystérie. » Paris, 1883.) Avant Weir Mitchell
le mérite de saisir les indications du repos au lit dans diverses
formes
psychopathiques, n'eurent pas la bonne fortune de
.) \ 7 lagilan. Il/lemenl, Traitement par le repos au lil, dans les
formes
aiguës el subaigucs de l'alcuolisme. [Dixième C
ereboullet et Allard, relative,à un cas de névrite périphé- rique à
forme
hémiplégique, il résulta de l'examen électrique q
de la chorée variable de Brissaud, tandis que la troisième est une
forme
de la chorée de Sydenham, la seconde est une fo
roisième est une forme de la chorée de Sydenham, la seconde est une
forme
de transition, une chorée chronique non progres
t atteinte aux adducteurs et aux extenseurs de la jambe, modifie la
forme
et la situation du pli cutané des adducteurs. L
il s'abaisse de cinq à dix millimètres, et, parfois au-dessous, se
forme
un second pli moins creux, ce dernier surtout c
ment normal, met autant de temps que le sang défibriné à déposer et
forme
alors un plus gros dépôt que normalement. Il se
étation-là serait postérieure à l'autre. P. KËRAVAL. LXV. Sur une
forme
psychopathique particulière de rétention d'urin
VAL. 1.Y\III. Des attaques épileptiques et épileptoïdes revètant la
forme
d'angoisse; par W. DE BFCIITEREW. (Nellrol. Cen
le cours de l'épilepsie en général. Elles peuvent survenir sous la
forme
' De nombreux faits montrent l'action puissante
nce de contracture de la moitié paralysée. Le raphé de la langue ne
forme
pas de crochet, la langue ne s'incurve pas du c
pointe revenant au côté sain; en un mot le raphé ne prend pas la
forme
d'un S. « Il est probable, dit M. Hoffmann, que t
sque le malade retire sa langue, le côté paralysé retarde; ainsi se
forme
l'incur- vation du raphé du côté sain contracté
t remplis de vaisseaux pleins à éclater mais ne présentant point la
forme
de tire-bou- chons ; on y constate aussi de nom
nnes ne peuvent pas suivre la même voie et donner ainsi certaines
formes
de syringomyélie. M. Paul Londe. Sur les troubl
Enfin, comme le disait Charcot, en 1892, il faudrait rechercher les
formes
mentales de la maladie et ses symptômes psychiq
- sentera à la fois les dangers de la suggestion et ceux du chloro-
forme
. D'ailleurs, si, après échec de l'hypnotisme,' on
gie accumulée sous pression dans le cerveau. Il en décrit plusieurs
formes
variant suivant les tempéraments. Naturellement
de la -, par Worcester, 501). Cellules dans les hôpitaux et ré-
formes
urgentes, par Bourneville, 522. - Centres ner
te doulou- reuse, par Brissaud, 157. Compression. Des différentes
formes
de paralysie due à la - de la moelle épinière
res sponta- nées pendant les accès -, par Charon, 484. Attaques -
forme
d'angoisse, par de liechterew, 500. Esprit SC
e abdominale chez le chien, par llotbmanu, 226. Des difré- rentes
formes
de paraplégie due à la compression de la épiniè
peuvent réaliser ; et, dans la pratique, le diagnostic des diverses
formes
entre elles et même avec les lésions en foyer i
bservations qui en ont été publiées, puisque aussi bien c'est là la
forme
la plus fréquente d'hémorrhagie méningée primit
est irrégulière, du moins sur une de ses moitiés qui est dilatée et
forme
un petit sac contenant du sang. L'exis- tence d
l son tour complètement. L'endartérie ou mieux sa portion interne
forme
, adossée à l'adventice, la paroi de la dilatation
stices du tissu fibreux pariétal et tout autour de cette paroi sous
forme
d'un caillot volumineux indique selon toute pro
s épileptiformes survenant sans cause connue et se montrant sous la
forme
intermittente suffisaient à établir le diagnost
la deuxième, ni à la troisième période; seulement à l'occasion des
formes
spinales, il parle d'un satyriasis habituel, bi
rs nuances, leur fréquence absolue et relative selon les diverses
formes
mentales, l'intensité des troubles moteurs aux ph
les altérations en plus et en moins du sens génital et les diverses
formes
mentales que peut présenter la paralysie généra
diverses formes mentales que peut présenter la paralysie générale,
formes
expansives, dépressives et mixtes, formes démen
er la paralysie générale, formes expansives, dépressives et mixtes,
formes
démentielles et de rémission, formes calmes ou
ives, dépressives et mixtes, formes démentielles et de rémission,
formes
calmes ou agitées ? Le tableau suivant répond à c
ès laquelle l'altération en plus serait particulièrement propre aux
formes
expan- sives, opinion due sans doute à l'étalag
ces malades de leurs excitations génitales; ce sont en réalité les
formes
démentielles, dans lesquelles il faut au contra
nt fourni le maximum d'exaltation génésique, et détail curieux, les
formes
démentielles calmes avec la forte proportion d'
t d'exagération tandis que le fait n'a jamais été relevé avec les
formes
démentielles agitées. D'après notre tableau, en e
ases d'agi- tation ; nous venons de constater le contraire dans les
formes
démentielles, nous constatons de même pour les
aire dans les formes démentielles, nous constatons de même pour les
formes
mixtes que la proportion de l'altération en plu
raison donnée plus haut, ne serait donc fondée que pour cette seule
forme
mentale. En troisième lieu, à noter l'absence d
lieu, à noter l'absence d'excitation génitale dans tous les cas à
forme
dépressive, que la dépression fût calme ou agitée
trième rang par ordre de fréquence, le troisième étant pris par les
formes
mixtes calmes, et le cinquième et le dernier ex
et le cinquième et le dernier ex-oequo, à 1 p. 100 près, par les
formes
expansives calmes et mixtes agitées ; nous avons
ait jamais été exagéré. Il est maintenant à remarquer que ces trois
formes
men- tales, démence agitée, dépressive calme et
une façon très nette de la répartition des îlots de sclérose, de la
forme
des circonvolutions et un peu des sillons super
.. que nous ne l'avons vu dans d'autres cas. IV. Les accès épilepti
formes
ont été très rares durant le séjour de l'enfant
observés par l'auteur on comptait 8 garcons et 5 filles. Toutes les
formes
de psychoses peuvent se rencontrer chez les enf
orth a décrit il y a peu de temps deux cas de maladies cérébrales à
forme
de dégénérescence observés chez des enfants et
service des enfants de Bicêtre de nombreux exemples des différentes
formes
de la folie chez les enfants et les adolescents.
ation du bleu de méthylène dans l'épilepsie, l'hystérie et quelques
formes
mentales; par H. Bonfigli. (Riv. sp. di frein.,
des bons effets de la mé- dication glandulaire, par le thymus sous
forme
d'extraits en tablettes. A signaler dans le n
de l'alcoolisme est la privation absolue du poison sous toutes ses
formes
. A la fin de son travail, M. Legrain exprime ce
l'activité intellectuelle, certaines fluctuations de l'humeur, les
formes
et les nuances de l'extériorisation psychique de
s que posent les adversaires des colonies, l'auteur considère cette
forme
d'assistance comme la meilleure pour le désenco
es y reçoivent est exclusivement industriel. On y trouve toutes les
formes
d'idiotie et quelques cas curieux de difformités
les ordinaires, se souvenir que, à Gheel, on n'admet pas toutes les
formes
d'aliénation men- tale : les malades violents,
abaissement de l'oeil ne prend aucune part. SOCIÉTÉS SAVANTES. C7
Forme
anormale de la maladie de Recklinghausen. MM. Ren
logique, l'autre psychologique ; et pour y distinguer en outre deux
formes
, suivant que l'attention 70 BIBLIOGRAPHIE. in
um, à des doses progressives et rapidement élevées. L'opium, sous
forme
d'extrait, est ainsi administré au début, à la
signale aussi l'améliora- tion des accidents psychiques, surtout il
forme
mélancolique. . Aurelio Lui,, sur 3 cas, a obte
auma- tisme céphalique est pris dans la suite de crises épilepti-
formes
à localisation corticale très nettement détermina
et demeurait lente et obtuse. Ces attaques révélaient exactement la
forme
sui- vante : Léonie éprouvait une aura sensitiv
t 5.) L'histoire préépileptique de cette malade aussi bien que la
forme
et le caractère de ses attaques devaient nécessai
exes rotuliens, point qui est au contraire la caractéristique de la
forme
décrite par M. Sottas sous le nom de myélite ps
ssen- tiellement des malades de M. Gilles de la Tourette. Dans sa
forme
pseudo-tabétique, on constate un myosis et une di
eau et Lévy, bilatéral dans un autre cas de syringomyélie-tabéti-
forme
. Ce sont là des faits exceptionnels et nos malade
n'avons pas vu signalées des observations de paraplégie spasmodique
forme
Erb, avec signe d'Argyll. Le plus souvent on dé
troubles du goût. Les oreilles n'ont rien de particulier dans leur
forme
: otite moyenne chronique double, forme fongueu
en de particulier dans leur forme : otite moyenne chronique double,
forme
fongueuse; il n'y a plus de tympan, fond de cai
un panaris. Les membres inférieurs sont bien développés, normaux de
forme
, de volume et d'attitude. On constate une cicat
, le rachitisme et l'ostéomalacie, la folie et le crime sont toutes
formes
morbides qui peuvent avoir pour cause le crétin
de nutrition, une détérioration spéciale qui nous apparaît sous la
forme
scrofuleuse dont le goitre est un des premiers sy
ancien maitre, Baillarger avait dit longtemps avant : » Toutes les
formes
de dégradation organique se rattachent à l'endémi
tain temps pour qu'ils reparaissent, ce qu'ils font alors sous une
forme
exagérée. Dans le cas dont il s'agit (et cela est
nduit un nerf sensitil, les cellules nerveuses motrices changent de
formes
. Les auteurs ont néanmoins là-dessus des opinio
seau de fibrilles primitives intracellulaires autrement que sous la
forme
de séries de granulations plus ou moins.denses.
ans le système nerveux central révélées par le sel d'argent sous la
forme
de neurosomes isolés. L'impéné- trable embrouil
tement, quelques-unes même très volontiers ; 10° Des 13 aliénées de
formes
mentales différentes soumises à l'alitement cin
evint le résultat. Voici par quartiers le nombre des malades et les
formes
morbides en traitement en septembre 1897. 142 R
rapidement, soit graduellement. C'est ce qui a eu lieu, dans les
formes
mentales suivantes : 144 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE
our 34, plus de 3 mois pour 11. Autant dire que, quelle que soit la
forme
mentale, deux ou trois semaines au plus d'alite
. XX, p. 308.) D'un examen complet de l'hémianopsie sous toutes ses
formes
152 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' (homonyme
'ankylose avec incurvation de la colonne vertébrale constituant une
forme
mixte, tenant à la fois des laits de Struempell
erses manières, mais ont eu concurremment un même résultat. La même
forme
clinique de l'alcoolisme se produira dans tel c
elle (7 fois seulement sur 237 malades). Délire hypochondriaquc à
forme
évolutive- - M. CASTIN commu- nique l'observati
TIN commu- nique l'observation d'un cas de délire hypochondriaque à
forme
évolutive ayant duré toute la vie. Il s'agit d'
s d'une même génération (frères, soeurs, cousins et cousines). La
forme
mentale doit aussi être la même chez tous les suj
OCIÉTÉS SAVANTES. l'être aussi, il serait fatalement voué à la même
forme
; j'ai fait des recherches dans la même directi
trois caractères princi- paux : 1° Elles atteignent sans changer de
forme
plusieurs enfants d'une même génération ; 2° el
t analogue à la dipsomanie, et peut, comme celle-ci, présenter deux
formes
, selon son origine et sa nature. Ce peut être u
es fibres tangentielles de la substance grise sous-épendymaire, qui
forme
le toit du ventricule latéral, dans le corps ca
omyélites pures et des polynévrites proprement dites, il existe des
formes
où la lésion frappe à la fois la cellule et le
yphilis ou le mercure. Après une étude de l'hystéro-traumatisme à
forme
paraplé- gique, vient une leçon fort intéressan
leçons sont consacrées à l'étude du myxoedème sous ses différentes
formes
, infantile et spontanée, et à son traitement. T
a mort des paralytiques généraux, par le Dr Arnaud (de Vanves). Les
formes
pathologiques de la rougeur émotive, par le Dr
érapeutique. De l'alitement (repos au lit) dans le traite- ment des
formes
aiguës de la folie et des modifications qu'il pou
is con- ducteur placé entre deux corps bons conducteurs. Or il se
forme
normalement des diélectriques, dans les conduct
ondes nerveuses continuent de traverser le neuro-diélectrique sous
forme
d'effluves, comme il arrive dans le condensateu
té peut alors être considéré comme une manifestation d'une certaine
forme
de folie. Les malades sont, dans ce cas, comme ce
eurs ont été pris les premiers. Leyden a cru devoir distinguer deux
formes
, bulbaire et névritique, afin d'expliquer la fa
Kerwal. Accès épileptiques et épileptoïdes se manifestant sous la
forme
d'angoisses ; par W.-M. Bechterew. (nbO : 1'p¡¡ie
de l'hippocampe, occupant le domaine des lobules lingual et fusi-
forme
. L'artère cérébrale postérieure était obstruée pa
est important de connaître l'évolution particulière de chacune des
formes
patho- logiques pour en tirer, au point de vue
édecins consistait en ce que les premiers admettaient que certaines
formes
et certains degrés de folie entraînaient seuls
tes, et soutenaient, avec raison suivant l'au- teur, que toutes les
formes
et tous les degrés de folie impliquaient l'irre
chaque phénomène le rang qui lui revient, non seulement d'après sa
forme
, sa couleur, son con- tenu, mais surtout d'aprè
bles psychiques qui survivent à l'accès peuvent affecter toutes les
formes
cliniques depuis la manie et la mélancolie, dep
seule se trouvent réunis ; 3° Les manifestations morbides de cette
forme
particulière de psychose, et les altérations co
es psychoses pures, ou plutôt celles qui se rapprochent le plus des
formes
pures, présentent des tableaux atypiques, des f
le plus des formes pures, présentent des tableaux atypiques, des
formes
mixtes qui guérissent dans plus de la moitié des
a moitié des cas; 5° La mélancolie apparaît le plus souvent sous la
forme
grave de la stupeur, s'accompagnant d'actes imp
mysticisme et l'onanisme ; 0° La manie se présente rarement sous la
forme
bénigne , elle revêt le plus souvent le caractè
(hébéphrénie) décrite par Kahlbaum et Hecker, se présente sous deux
formes
: une grave et une légère. La forme grave peut
Hecker, se présente sous deux formes : une grave et une légère. La
forme
grave peut offrir les symptômes de la stupeur, de
nfusion mentale... C'est ce qui en rend le diagnostic difficile. La
forme
légère ou démence pré- coce simple (stigmate de
affaiblissement mental ; 3° Folies périodiques, 20 cas. Toutes les
formes
y sont représentées; 4° Récidives à échéances v
observés. Ces phénomènes psychiques sont surtout les émotions. Les
formes
pathologiques de la rougeur émotive; par P. HARTE
suivant lui la qualité de l'irrégularité sexuelle qui donnerait sa
forme
à la névrose. Cette théorie générale n'étant pas
ffèrent absolument de la neurasthénie à stig- mates classiques. Une
forme
pure de névrose d'angoisse n'a rien de commun a
s. Une forme pure de névrose d'angoisse n'a rien de commun avec une
forme
pure de neurasthénie dépressive ; 2° Elle paraî
sa précision. Il serait bon de posséder un nom pour qualifier cette
forme
de névropathie, où la dépression est absente, m
lesse irritable du système cérébro-spinal. Il en est ainsi pour les
formes
pures. Mais dans la pratique, comme les causes mo
i,- dons postérieurs, d'origine héréditaire ; d'abord, on en fit la
forme
héréditaire du tabes dorsalis, de l'ataxie loco
l'existence d'une sclérose qui envahit les centres nerveux sous la
forme
d'îlots disséminés; les recherches cliniques de
Hayem nous ont fourni les preuves matérielles de l'existence d'une
forme
d'atrophie muscu- laire progressive, en rapport
appellent des réactions multiples. Les unes s'extériorisent sous la
forme
de mouvements qui d'abord ont pour unique but l
rs, sur les idées de souvenirs de toute caté- gorie. Le jugement se
forme
sur les résultats de notre propre expérience et
EUTIQUE. De l'alitement (repos au lit) dans le traitement<iies
formes
aiguës des maladies mentales et les modi< fi
as, en affaiblis- sant l'énergie mentale, contribuer au passage des
formes
curables de ce l'amentia » en formes incurables
ale, contribuer au passage des formes curables de ce l'amentia » en
formes
incurables, et si, la forme diagnostiquée « dem
formes curables de ce l'amentia » en formes incurables, et si, la
forme
diagnostiquée « dementia præcox » ne sérail parfo
égime au lit sur les maladies mentales est incontestable. Certaines
formes
graves avec le complexus symptomatique de «-del
sont devenues sous ce régime presque toutes non mortelles, d'autres
formes
avec l'excitation maniaque suivent leur cours d
les mélancoliques, enfin, chez presque tous les malades atteints de
formes
aiguës des psychoses à leur période initiale. L
it agit sur l'énergie de la force direc- trice de l'esprit dans les
formes
si fréquentes d' « amentia » (confusion mentale
vant les indications individuelles presque à toutes les psychoses à
forme
aiguë, surtout à la période initiale de la mala
ues, sur ceux qui souffrent du délire alcoolique, dans beaucoup des
formes
de confusion mentale et de mé- lancolie. Il peu
de quinze ans, une lièvre typhoïde de trois semaines de durée et de
formes
régulières, à la période d'apyrexie de laquelle
tion assez mûre, les conclusions assez solides pour leur donner une
forme
plus .définitive. Je n'en parlerais donc pas si
umière, son, électricité ne sont - on le sait aujourd'hui,- que des
formes
différentes de l'énergie dont on peut établir l
que je soutiens, c'est que la force nerveuse n'est également qu'une
forme
de l'énergie : se confond-elle avec une des for
également qu'une forme de l'énergie : se confond-elle avec une des
formes
connues, et avec l'électricité en particulier,
ulière, d'où les différences qu'on pouvait observer, différences de
forme
, mais non de nature. La similitude est telle en
travers le système nerveux, la force qui a agi sur lui se trans-
forme
donc, que ce soit une vibration lumineuse, thermi
itation purement mécanique. Au niveau des neurones, ces différentes
formes
d'énergie prennent une nouvelle forme : énergie
es neurones, ces différentes formes d'énergie prennent une nouvelle
forme
: énergie nerveuse et psychique. M. Binet-San
ire qui se calque sur ce qu'on peut obser- ver dans les différentes
formes
et applications de l'énergie électrique. C'est
des rensei- gnements surtout sur les anomalies de dimensions et de
forme
. Mais nous trouvons, dans les Mémoires de l'il
anciennes observations insistent davantage sur les dimensions et la
forme
de la tête, dans l'anatomie pathologique de l'i
t que « la crois- sance du cerveau est le facteur déterminant de la
forme
du crâne». A l'examen microscopique, les cellul
5 rieure et antérieure à la naissance. Mais dans les deux cas, la
forme
de la tête, inversement ovoïde, si on la regarde
rement à la naissance. Un cas intéressant de l'association des deux
formes
que nous venons de décrire a été publié par le
uvelles-Hébrides et des îles Carolmes. D'après sir W. Turner, cette
forme
du crâne est due à des causes agissant pendant
4° Dans la variété d'idiotie désignée sous le nom de Mongolique, la
forme
de la tête est caractéristique ; elle est brachyc
amélioration est peu marquée du côté des membres paralysés. Dans la
forme
acquise, il y a perte de substance nerveuse, pa
ssus des arcades sourcilières ; dans l'hydrocéphalie la tête est de
forme
arrondie; mais dans l'hypertrophie, elle se rap
embranes du cerveau est beaucoup ' plus fréquemment observée que la
forme
aiguë mais toutes deux attaquent principalement
ique mentale à Saint-Pétersbourg. La classification des différentes
formes
de l'idiotie proposée par M. Bourneville1, basé
s à l'hétérotopie ordinaire, car cette dernière se présente sous la
forme
d'îlots de cellules ganglionnaires incrustés da
MÉDECINE. très rares, dispersées, isolées et jamais agglomérées en
forme
d'ilots dans la substance blanche. En outre, da
rphes. Ainsi les neuroblastes qui conservent un certain temps leurs
formes
embryonnaires, et qui se trouvent dans un état
teur a fait à la Section une véritable leçon de choses. Pour chaque
forme
pathologique il a montré deux ou trois cerveaux
er, quant à présent, au point de vue anato1l ! o- pathologique, les
formes
suivantes : 1° Idiotie symptomatique de méningi
symptômes d'irritation, premièrement dans toutes les maladies de
forme
aiguë ; 7° Il faut tenir compte de l'état menta
'ont obtenu aucun effet utile, quelles qu'aient été la nature et la
forme
de l'aliénation mentale. B. Les secondes sont
B. Les secondes sont au nombre de 55 et présentent toutes une des
formes
ou l'un des genres d'aliénation mentale que l'on
considéré comme suffisant. Or, on peut montrer que non seulement la
forme
et la marche du phénomène se comprennent au mie
e d'autres troubles en partie fonctionnels du même genre, certaines
formes
d'écholalie, la logor- rhée paraphasique dans l
ntre de la main éduquée pour l'écriture. (Les observations de cette
forme
d'aphasie motrice pure n'ont pas encore levé to
Hémiplégie sensiliuo-molrice, accompagnée de mouvements ctllvéto.i-
formes
et ({taxi/ormes et d'une paralysie des mouvements
). Les mouvements d'en- semble de la marche se présentent sous deux
formes
principales : type de flexion et type d'extensi
t être démontrée ni chez l'enfant ni chez l'adulte. Celle-ci ne s'y
forme
donc pas plus tard ; elle ne s'y développe jamais
r les premiers signes de l'involution psychique par l'apparition de
formes
spéciales de la folie. Malgré certains traits c
de la vie qui ne peuvent être considérées comme des phases d'autres
formes
de la folie. En outre des troubles de la vie af
conceptions délirantes ont un contenu tout à fait absurde. C'est la
forme
clinique décrite sous le nom de Wahnsinn dépres
que dans la mélancolie simple. La conscience est aussi dans cette
forme
plus gravement altérée, l'orientation est défec
ymptômes sont accompagnés de troubles accusés de la conscience. Ces
formes
, dont les unes guérissent et les autres se termin
ur le point de savoir s'il faut ranger dans la mélancolie certaines
formes
, analogues au point de vue clinique, qui sont e
ge plus avancé des malades, on voit augmenter progressi- vement les
formes
à conceptions délirantes absurdes. Le sexe fémi
éniles. Dans ces dernières années Kraepelin s'est convaincu que ces
formes
et ces formes seules ont entre elles des rapports
es dernières années Kraepelin s'est convaincu que ces formes et ces
formes
seules ont entre elles des rapports étroits. De
l n'est pas sûr qu'il faille attribuer ces cas à la mélancolie. Les
formes
de la mélanco- lie avec faiblesse psychique gra
signes physiques, si la maladie a évolué progressivement et sous la
forme
d'une démence graduelle. Kraepelin ne se pronon
mmencement par la béquille, et, plus tard par la canne. La béquille
forme
le troisième pied du trépied de la stabilité. L
. La plus petite peut être placée à volonté sur la plus grande, qui
forme
la première marche de la plate-forme. Celle-ci
par les exercices faits avec des appareils simples, dont l'ensemble
forme
la mécanothé- rapie compensatrice. Ce traitem
cts, sont en effet compris tous dans un vaste bâtiment affectant la
forme
suivante : ? Cette construction monumentale est
allées ombra- gées, kiosques, bancs. Les jardins des agités sont de
forme
carrée, assez grands, plantés d'arbres et bien.
séparées par le bâtiment des services écono- miques ; ce dernier eu
forme
de T, élevé de deux étages, est situé à 18 mètr
rrain d'assiette, d'un accès facile de tous côtés, ce bâtiment a la
forme
d'un T renversé, dont la partie horizontale, anté
au malade de prendre commodément ses repas au lit. Cette table a la
forme
suivante : =1 La partie horizontale inférieure
lle soulève2. M. Hitzig considère la folie des quérulants comme une
forme
du délire systématisé chronique, caractérisée p
avec les aliénés ; ils font connaissance dans ce pavillon avec les
formes
les plus graves des maladies men- tales. Un a
500 grammes. La hauteur du raccourcissement musculaire dépend de la
forme
de l'excitation et de sa localisation. Une seco
ortante qui découle de ces expériences c'est que l'électricité sous
forme
voltaïque ou statique convenablement appliquée
de penser en effet ou que dans la myasthénie généralisée il y a des
formes
bénignes ou que le syndrome d'Erb correspond à
ue très peu de résultats sûrs. L'anatomie comparée, surtout sous la
forme
de l'étude des dégénérescences secondaires expé
stance grise. Rapprochant cela du fait que dans la moelle certaines
formes
de syringomyélie dites myélites cavitaires affe
uve ; il prend deux points d'appui sur l'un de ces rails, qui a une
forme
prismatique et sert de conducteur sur l'autre r
dont nous rappellerons seulement ici les caractères fondamentaux :
forme
globuleuse de la cellule, migration périphé- ri
- daient pas tous, dans sa description magistrale, à un type uni-
forme
. Parmi eux se trouvaient des déments, des inconsc
il est corporel et ne vise, en ce cas, qu'une partie déterminée des
formes
féminines, ou tel attribut de son sexe (mollets,
térale de la moelle : les réflexes sont exagérés; Troisième type.
Forme
cérébrale : les cordons de la moelle sont intac
s le réflexe cutané plantaire, ou plutôt d'une modification dans la
forme
de ce réflexe, dans certains états pathologique
ls. Et Cestan dit : « Dans la paralysie générale et surtout dans la
forme
clinique désignée sous le nom de paralysie géné
ief les caractères du réflexe cutané plantaire sous ses différentes
formes
dans la paralysie générale, nous décrirons en q
nt devenir une cause d'erreur dans l'interprétation des différentes
formes
du réflexe plan- taire. C'est ainsi que nous av
l'inten- sité du réflexe plantaire, mais aussi un trouble dans la
forme
de cette réaction motrice. Ceci ressort encore de
ersion génitale : Une perversion totale de l'instinct génésique, ci
forme
obsédante et impulsive, impliquant une tendance
nante et souvent dan- gereuse. On peut définir l'érotomanie : Une
forme
toute psychique de l'amour morbide dans laquelle
endants que chez leurs descendants et leurs collatéraux, toutes les
formes
pos- sibles de maladies nerveuses et mentales :
t donner naissance à des troubles psychiques se manifestant sous la
forme
de confusion mentale avec délire à type onirique
ès pénible et aggrave leur état. On peut subdiviser les différentes
formes
de l'idiotie morale, d'après l'instinct égoi-te
tive caractérisée par l'excitation de l'instinct destructeur est la
forme
la mieux caractérisée, la plus fréquente ; elle
principe peut servir à établir une classification des diffé- rentes
formes
de folie. SECTION DE PSYCHIATRIE. 491 l nous
1° Distension des grandes cellules de la couche pyramidale dont la
forme
est devenue arrondie ; cette modification paraiss
ration présente exactement les mêmes caractères dans tous les cas :
forme
globuleuse de la cellule, "migration périphériq
thalité et sur le système nerveux, ces derniers s'exprimant sous la
forme
de ces stigmates que l'on regarde comme l'expre
sse, de la jambe et une flexion dorsale du pied, rarement une autre
forme
de mouvement, sont des réflexes pathologiques r
(Lemberg). Il y a lieu de séparer nettement l'une de l'autre deux
formes
de tabes avec cécité. A. Le tubes avec atrophie
re. 13. L'a- trophie papillaire des labélisants. La première de ces
formes
com- prend des tabétiques classiques offrant to
ent pas d'espèces morbides essentiellement distinctes dans ces deux
formes
de cécité tabétique, car l'étiologie est la même,
s; mais, 'ce qui est exacl, c'est qu'il en existe des variétés, des
formes
nombreuses. Si sur cette première question je m
tion d'arrêt que la lésion oculaire exerce- rait, mais à ce que les
formes
dites frustes sont beaucoup plus communes que l
ce que les formes dites frustes sont beaucoup plus communes que la
forme
dans laquelle la plupart des symptômes du tabcs
neifs optiques « le monstre s'était satisfait », mais parce que les
formes
frustes du tabes sont beau- coup plus communes
ue les formes frustes du tabes sont beau- coup plus communes que la
forme
complète. M. Ilonm (d11elsingfors). - Je pourra
rdach commence à la cinquième dorsale. Le cordon de Goll montre une
forme
caractéristique et définie dans chaque segment.
éristique et définie dans chaque segment. Chaque déviation de cette
forme
indique une dégéné- rescence incomplète de ses
erveuses sensibles intratendineuses. Un facteur physique : c'est la
forme
du mouvement produit par le réflexe. La trans
e 1900.) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BODDAEBT (R.). - Etude sur une
forme
cl'oxomatomanie. - Brochure in-8- de 8 pages. B
par A. Marie et Toulouse, 493. Alitement dans le traitement des
formes
aiguës des maladies men- tales, par Korsakow, 2
thylène Elimination du - dans l'épilepsie, l'hystérie et quelques
formes
mentales, par û0lltlll, 45. Cellulaires. Lési
ensorielle accompagnée de mou- vements atliétosiformes, et ataxi-
formes
, par liaymond, 332. Théo- rie des-. par Pick, 4
Papille volumineuse, blanche, à contours très vagues, affectant la
forme
en éclatement. Nombreux foyers hémorragiques au
e. La tumeur non adhérente à la dure-mère et facile à énucléer a la
forme
d'un ovoïde à grosse extrémité antérieure. Sa s
peu après son origine il se disperse à la surface du néoplasme sous
forme
d'un faisceau étalé de fibrilles grêles. Le fac
ent brisé. Quelques cellules encore à protoplasma plus étendu et de
forme
irrégulière, présentent des amas de granula- ti
es terminales. Les cellules du ganglion de Gasser ont conservé leur
forme
régulière, elles ne sont pas atrophiées, mais o
n haut. L'existence de ces hallucinations visuelles de deux espèces
forme
l'un des côtés intéressants de cette observatio
qu'elles apparaissent comme substratum de la vie psychique. Ni leur
forme
exté- rieure, ni leur richesse en prolongements
fonctions des autres cellules ner- veuses ne consiste point dans la
forme
extérieure, mais dans les particularités de la
substance pro- toplasmique est accompagnée d'une modification de la
forme
des dendrites fines, et dans certains cas d'un
ncitée par des impulsions extérieures et est capable de modifier sa
forme
de son propre accord. Cette remarque ne s'appli
que les terminaisons des prolongements protoplasmiques changent de
formes
, mais pas de manière à se désunir de la fibre c
céré- brale, se contractent et modifient à un certain point leur
forme
, de sorte que le nombre des points d'attouchement
rant nerveux est fort et si la dendrite est stimulée davantage, la
forme
du prolongement protoplasmique subit de plus gran
amène un affaiblisse- ment plus marqué de la vie psychique. Toute
forme
de démence, à quelque catégorie qu'elle appar-
contemporains des investigations micros- copiques. Dans quelques
formes
de maladies mentales, particulière- ment dans l
faiblissement des facultés psychiques, un trouble de la mémoire, en
forme
d'amnésie et de réminiscences fausses. Dans des
maniaques et mélancoliques nous devons supposer que dans toutes les
formes
agitées la mobilité des ramuscules protoplasmiq
au dé- but s'aider de ses doigts pour faire prendre à ses lèvres la
forme
arrondie qui caractérise cette voyelle. Pour la
s et assez vite retenues par lui 3° Des adjectifs de couleurs, de
formes
, de dimensions, de qua- lités physiques et mora
, donne immédiatement à l'en- fant qui a un sentiment à exprimer la
forme
syntaxique qui convient, et ensuite par l'aide
ock. La température peut s'abaisser de plusieurs de- grés. Dans les
formes
graves le pouls devient imperceptible. La force
VUE DE THERAPEUTIQUE. 4o riser ce mode d'action. On le donnera sous
forme
d'élixir ou avec du vin léger. Il faut veiller
aralysie infantile vulgaire, fiasque avec atrophie musculaire à ces
formes
spasmodiques; la première devait être d'origine
sclérose latérale d'abord, puis de la pachyméningite cervicale, des
formes
familiales d'atrophie musculaire myopathique, d
la société la dirigent vers l'étude de l'évolution des différentes
formes
mentales. Il exprime enfin le souhait que la so
ter des traits, qui le rapprochent, sous certains rap- ports, d'une
forme
d'encéphalite hémorragique aiguë, décrite par S
surgit la question, a-t-on le droit de séparer l'une de l'autre ces
formes
morbides ; il se peut que la poliencéphalite supé
e peut que la poliencéphalite supérieure de Wernicke ne soit qu'une
forme
, décrite par St1'umpell, mais se modifiant dans
encore les symptômes suivants : un trouble mental manifesté par une
forme
d'amnésie très marquée, une paramnésie et une p
ofesseur KOJEWNIKOFF remarque que la principale particularité de la
forme
nosologique, décrite par lui, consiste en une c
de Landry, tandis que la seconde prit l'aspect de la polynévrite à
forme
de poliomyélite antérieure), M. le professeur Ray
agnant très souvent de troubles de l'intelligence et revê- tant les
formes
cliniques variés de poliomyélite antérieure, de
'hérédo-syphilis et d'une manifestation spinale. La syringomyélie à
forme
anormale n'est pas rare, et son impor- tance es
otubéran- BIBLIOGRAPHIE 85 tielles peuvent donner naissance à des
formes
extraordinaires, mais qu'explique l'anatomie to
ne semblerait au premier abord. Dans le cas actuel, il s'agit d'une
forme
rare, une aboulie systématisée de la miction, u
schberg (de Paris) : 1. « Surle tabes dorsal juvénile. » 2. Sur une
forme
réputée rare du tabes dor- sal. » Outre les tro
es thèmes : professeur Cesare Lombroso (de Turin) : « Les nouvelles
formes
des épilep- sies. » Professeur B. Sachs (de New
a paralysie générale des aliénés; délimitation de cette maladie des
formes
morbides voisines. Rapports prévus : pro- fesse
e Pédologie mais nullement la nosologie; elle explique seulement la
forme
et la localisation de la maladie. Puis on a'étu
nd la syphilis envahit la neuropathologie ordinaire, c'est sous une
forme
particulière et partielle qui a obligé Fournier
de 27 à 30. Le biceps dans ses plus grands efforts de contrac- tion
forme
une boule comme un petit oeuf de poule qui n'est
loureux ; quatre ans après, deuxième atteinte qui dure six mois :
forme
chronique qui attaque les petites articulations,
gressive. Au lieu de la sclé- rose latérale amyotrophique, c'est la
forme
Aran-Duchenne de l'atrophie musculaire progress
de clin, Ire série, p. 522 et 535. 122 CLINIQUE NERVEUSE. clérose
forme
« le lien initial commun de bien des maladies à
me porte à le croire, car la- maladie des deux femmes revêtait une
forme
absolu- ment semblable. REVUE DE PATHOLOGIE M
cas, il y en avait quatre de mélancolie, un de paralysie générale à
forme
dépressive, et quatre de démence : l'auteur en
lique, et comme il est légitime de l'induire pour diverses autres
formes
de folie, à une insuffisance des connexions cellu
ù l'on observe d'ordinaire cette REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 139
forme
mentale. La guérison fut obtenue au bout de six a
rdinaire puissance des illusions qui se rattachaient sur- tout à la
forme
hypocondriaque : il y avait en même temps une o
t irritable. Ce cas de folie à deux rentre, dit l'auteur, dans la
forme
appelée par les auteurs français, « folie commu
? ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XII. UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE,
FORME
HYPOCONDRIAQUE, AVEC symptômes tabétiques; par
mentale était un cas bien caractérisé du type nommé par les auteurs
forme
hypocondriaque de la paralysie générale. Aucune
tête atroces, gémissements et cris insolites, attaques épilepti-
formes
fréquentes suivies de coma, jamais de paralysie,
de fibres périphériques et d'organes terminaux dstincts pour chaque
forme
de la sensibilité cutanée, que de déterminer pour
me de la sensibilité cutanée, que de déterminer pour chacune de ces
formes
des trajets médullaires et des centres corti- c
table osseuse de la gran- deur d'une pièce de deux francs, mais de
forme
ovale. La surface convexe du crâne portait des
rface convexe du crâne portait des dépressions correspondant à la
forme
de la tumeur. Le cerveau n'a malheureusement pas
otie. 7° L'assertion suivant laquelle le palais en V ou toute autre
forme
particulière de palais constituraient un a stig
dans l'agrypine simple, dansl'insomnie qui accompagne les diverses
formes
de neurasthénie et même dans l'insomnie des psy
, dont les manifestations peuvent atteindre le système nerveux sous
forme
d'idées délirantes, de tendances au suicide, de
ux- mêmes, sans certificat, demander leur internement, et sur les
formes
d'aliénation mentale qui poussent le plus ordinai
l doute fort que l'on puisse actuellement établir l'existence d'une
forme
particulière de folie due au chanvre indien, et p
quelquefois plusieurs mois et ne guérissent pas toujours. Enfin la
forme
la plus commune, chez les fidèles du haschisch,
vel excès de poison, de poussées aiguës qui se rapprochent par leur
forme
d'une manie aiguë, mais très atténuée. D'après de
hoses. Répéter les leçons précé- dentes en commençant la leçon sous
forme
d'interrogation. 8° A la fin du cours, prendre
re de bien public. Je leur recommande de donner ces notions sous la
forme
la plus simple, la plus familière, et, par suite,
° L'obésité et les courants de haute fréquence. 2° La neurasthénie;
formes
diverses; gué- ]isonou amélioration par les cou
îtra, sur les coupes microscopiques convenablement colo- rées, sous
forme
d'une tache dite scléreuse, facile à distin- gu
es fibres occupent la zone dite cornu-radiculaire ; cette zone a la
forme
d'un crois- sant (fig. 1). Sa pointe postérieur
ll. DES LOCALISATIONS MÉDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 185 Pierret,
forme
un ruban étroit, situé parallèlement au bord in
il atteint en dehors le septum intermedium ; il se présente sous
forme
d'un triangle à base postérieure large, à sommet
tteindre en largeur le septum intermedium; le restant du cordon, de
forme
irrégulière (Tg. 8, G") est occupé par les tria
pelle plus spécia- lement « virgule de Schultze . Cette virgule, de
forme
assez irrégulière, a l'aspect d'une bandelette
Ce faisceau apparaît, dans chaque moitié du cordon postérieur, sous
forme
d'une bande décolorée au milieu des régions sai
e 1%u. 10 (cône terminal). - Cette figure est destinée à montrer la
forme
et les dimensions du faisceau endogène descenda
, en effet, qu'un grand nombre deces fibres radiculaires moyennes
forme
le groupe des fibres dites sensitivo-réflexes (Ko
L'action de l'acide urique sur le cerveau peut produire certaines
formes
de dépression mentale (hypocondrie, mélancolie).
graphique. En dehors de cetteagraphie amnésique, toutes les autres
formes
de l'agraphie, irréductibles, méritent les noms
ces observations si com- plètes, si suggestives, de folie à double
forme
, de délire de persé- cution avec idées de grand
es géniales, véritables éclairs projetés sur l'avenir, qui, sous la
forme
aphoristique où elles sont exprimées, pourraient
st-à-dire de dedans en dehors; l'inverse se produit dans les autres
formes
, la syphilis par exemple, dont chacun connaît l
s congestives initiales se traduisent par des convulsions épilepti-
formes
, des paralysies à la première période; la décaden
es, de bronchites, de pneumo- nies, de fièvres typhoïdes, etc. La
forme
la plus grave, généralement incurable et avec rém
ière, qui établissent bien nettement les limites de l'hystérie, ses
formes
, son traitement. Naturellement l'hystérie infan
, mais elle est décrite ; non seulement elle est reconnues dans ses
formes
convul- sives, mais elle est dépistée sous ses
nues dans ses formes convul- sives, mais elle est dépistée sous ses
formes
non convulsives, et même larvées. La troisièm
ses élèves, dont nous donnerons la nomencla- ture au chapitre de la
forme
convulsive, et que l'on trouve en par- tie dans
e l'hystérie chez l'enfant. On y trouve la description des diverses
formes
de l'hystérie à cet âge, notamment le début par
gnostic et le traitement sont établis de bonne heure, et signale la
forme
épidémique. Peu après paraît la thèse de 111 ?
ait sur lequel nous aurons à revenir, en rappelant, au chapitre des
formes
cliniques, les cas de ce genre, cités par Olliv
1° avant trois ans; 2° de sept à treize ans. L'incontinence se con-
forme
strictement à celte règle : sur les trente-six ca
que a été acceptée sans conteste dans le traite- ment de toutes les
formes
de l'hystérie chez l'adulte. Par contre, l'empl
et. Suggestibilité est, en fait, synonyme d'éducabilité. Toutes les
formes
de l'hystérie peuvent se rencontrer chez l'en-
umatisme, des ecchymoses situées au niveau des bras et affectant la
forme
de raies disposées parallèlement le long des me
ntion de vouloir appli- quer le système de l'Open-door à toutes les
formes
de la folie. Cer- tains malades peuvent seuls e
us les deux mois, sauf accident. Et il en est de même pour d'autres
formes
des maladies mentales. (B.) -) 218 SOCIÉTÉS SAV
confrères des accusations qu'on est habitué il rencontrer sous une
forme
bien peu différente dans certains journaux qui n'
chez le sauvage, et avec les conditions qui se rencontrent dans les
formes
communes de a paranoïa »; il indique leur place n
vers degrés de l'obsession, et au lieu d'en indiquer longuement les
formes
cliniques il reproduit le récit d'un obsédé, qu
remières et des meilleures descriptions qui exis- tent de certaines
formes
d'obsession. R. DE 1\lUSGR,\VE-CLH. FAITS DIVER
us apoplectique, par accidents .congestifs, convulsions épilepti-
formes
, etc., et il s'étonne que l'on ait pu croire si l
e névrose dans cette partie du 300 CLINIQUE NERVEUSE. Bocage, les
formes
multiples sous lesquelles elle se présen- tait
confusion en mêlant les accidents- trop dissemblables, quant à leur
forme
du moins. J'ai songé alors à les grouper d'aprè
lade pouvant appartenir à des catégories différentes, en raison des
formes
multiples sous lesquelles son hystérie nous app
e de ce trouble congénital de la kératinisation qui se traduit sous
forme
d'ichtyose. A ce propos, il est intéressant de
respiratoires; puis rigidité du système musculaire entier; le corps
forme
un arc de cercle, avec saillie de l'abdomen dur
ique et hystéropathique, Réflexes normaux. P. Keraval. XXV. D'une
forme
peu connue DE névralgie professionnelle; par M.
MM. P. VALENTIN et P. Hartenberg (de Paris). Parmi les nom- breuses
formes
d'aboulies que nous avons étudiées et interprétée
ralysie générale, elle donne naissance à une syphilis céré- brale à
forme
de paralysie générale. En résumé, les causes pa
ls n'auraient pas présenté, au début de la paralysie géné- rale, la
forme
sénile, on trouve au coeur, au foie, aux reins, l
L'alcoolisme personnel mine le cerveau, atteignant la cellule sous
forme
de délire, de démence, et les vaisseaux sous form
la cellule sous forme de délire, de démence, et les vaisseaux sous
forme
d'attaques et de congestions liées naturellemen
groupes de manifestations paludéennes : les accès pernicieux et les
formes
simples qui cependant peuvent conduire à la cache
lonne verté- brale, et soulèvent légèrement l'enfant. La tête a une
forme
spé- ciale aplatie, il semble qu'un coup violen
lcooliques; accès de fureur épileptique; parfois des convulsions en
forme
d'épilepsie générale. Mort après l'âge de trent
ès marqué de l'écorce cérébrale. Ce cas peut être regardé comme une
forme
intermédiaire entre la paralysie infantile et l
six dans chaque fibre), une déformation des contours des fibres (en
forme
des zigzags) et une apparition des vacuoles (se
ée. Le foyer décrit du cerveau est considéré par l'auteur comme une
forme
intermé- diaire, à laquelle il propose de donne
a seconde, le plus souvent. Telle est, très résumée, la théorie qui
forme
la première partie. Elle est d'une psychologie
es crises se répétant tous les mois, pendant un an et demi, dans la
forme
que j'ai décrite plus haut, leur disparition de
bien chez le nouveau-né et à la première enfance, qu'à la seconde
forme
et dans l'âge qui précède la puberté. Ce point
me un écho des doctrines alle- mandes, elle peut revêtir toutes les
formes
, je dirai même que la forme somatique de l'affe
mandes, elle peut revêtir toutes les formes, je dirai même que la
forme
somatique de l'affection est la plus fréquem- m
epter qu'ils se reproduisent avec une telle facilité, soit sous une
forme
, soit sous un aspect de nature différente que j
rale de chaque espèce possède, à titre de caractère spécifique, une
forme
définie et constante. Le nombre et la profondeu
pas moins cons- tants et définis. Quelles sont les. causes et de la
forme
et de Archives, 2" série, t. IV. 26 402 REVUE
corce dans chaque espèce ? Lugaro invoque cette loi biologique : la
forme
et la dimension de chaque organe est en rapport
rt avec les besoins physiologiques de l'organisme, ainsi qu'avec la
forme
et les dimensions des autres organes. On peut d
reste à déterminer à quelle nécessité d'adaptation cor- respond la
forme
circonvolutionnée de l'écorce. 11 existe à ce s
de, et ces adaptations fonctionnelles doivent encore influer sur la
forme
du cerveau. , Si, au cours de l'évolution phylo
E. 1 de l'encéphale durant tout le développement phylogénique, la
forme
de la calotte crânienne pourrait, à litre de fact
déterminer la direction des sillons. Outre l'action du cerveau, la
forme
du crâne subit en effet d'autres influences mod
orphologie de l'organe nerveux. Ces influences modificatrices de la
forme
du crâne, Lugaro les énumère ainsi : le rapport
t également fondé à Lugaro ; mais, comme la raison génétique de ces
formes
du crâne nous échappe, on peut se demander si e
s que des causes, effets de causes inconnues, ayant déterminé ces
formes
céphaliques, expressions probables de caractères
es de caractères ethniques. L'étude de toutes ces influences sur la
forme
et la division des sillons corticaux est encore
meure fort éloigné de leur accorder une action prépondérante sur la
forme
du crâne. Cette action, il la voit toujours dan
le 1. Dans le développement lent et continu de la phylogéniede la
forme
du cerveau, si l'on ne saurait exclure l'influenc
e, qu'il convient de chercher la cause principale des progrès de la
forme
organique du cer- veau. Cette forme, avec tous
se principale des progrès de la forme organique du cer- veau. Cette
forme
, avec tous ses mécanismes, tels qu'ils se montr
montrent dans l'embryon, le foetus et le nouveau-né, est sortie de
formes
très simples, très rudimentaires, héritées des
onal, de la paraldabyde, de l'uréthane. Il réussit surtout dans les
formes
d'excitation plutôt que dans celles de dépressi
ia, Copenhague, Londres, Bruxelles et aussi en Amérique', soit sous
forme
d'établissements privés, soit sous forme d'inst
si en Amérique', soit sous forme d'établissements privés, soit sous
forme
d'instituts annexés aux écoles primaires. Si un
s. On a donc ainsi une série d'états obsédants, qui, partis de la
forme
la plus élémentaire, l'anxiété vague ou diffuse,
été vague ou diffuse, sorte d'ébauche indistincte, aboutissent à la
forme
achevée ou complète, l'obsession idéative, en p
quer la décharge, qui peut même se produire dans le summeil sous la
forme
de chocs anxieux (ernotional discharpes, de Wei
ion émotive, demeurer unique et persister indéfiniment sous la même
forme
avec des alternatives de pa- roxysme et d'accal
le de savoir si l'obsession est souvent, comme nous le pensons, une
forme
aggravée ou, pour mieux dire, intellectualisée de
ectualisée de la phobie. Or l'obsession n'est plus souvent qu'une
forme
aggravée ou pour mieux dire intellectualisée de
e à l'état de veille. L'obsessionse manifeste habi- tuellement sous
forme
paroxystique et il est rare qu'elle soit tout à
ns impulsives. - Au point de vue psychologique, l'exis- tence d'une
forme
d'obsession particulière, caractérisée par des .
obsédante). Dans les deux cas, l'hallucination peut affecter une
forme
quelconque, être verbale ou commune, sensorielle
la sensibilité générale.' .' Marche. Durée. Pronostic. Terminaison.
Forme
aiguë. La marche des obsessions est aiguë ou ch
craintes passées et avoue qu'elles étaient absolument injustifiées.
Forme
chronique. La forme chronique est intermittente,
avoue qu'elles étaient absolument injustifiées. Forme chronique. La
forme
chronique est intermittente, rémittente ou cont
lus rare, mais elle existe. On la rencontre en particulier dans les
formes
intellectualisées de l'obsession, comme celle d
ême dans ces cas, les paroxysmes ne font pas défaut. La durée de la
forme
chronique, toujours longue, est de plusieurs mois
or- mation psychique occasionnée par l'émotivité morbide. IL La
forme
psychique de l'obsession est un concept con-
e en fonction par déséquilibre fonc- tionnel du cerveau. II. La
forme
psychique de l'idée fixe est l'idée simple, ou
s et tendaient, tout en ayant conservé leurs prolongements, vers la
forme
globuleuse. Dans quelques-uns, le noyau non alt
s, c'est-à-dire la tuméfaction de la cellule, qui tend à prendre la
forme
globuleuse, la dissolution des granulations chrom
ents sont disposés concentriquement autour du noyau et affectent la
forme
polygonale. A mesure qu'on s'éloigne du centre,
chromatophiles, et que c'est de la texture du réseau que dépend la
forme
de ces éléments. Quel est le rapport des fibril
organisation et permet à la cellule de revenir plus rapidement à sa
forme
, normale. Le injections de strychnine produisent
du phénomène de l'hyperesthésie relative et des mouvements choréi-
formes
localisés au pouce, à l'annulaire et au petit doi
avant tout et le plus souvent en une accumulation de sang pur sous
forme
d'hématomyélie centrale ; ensuite on peut const
simuler, au point de vue clinique et anatomo-patholoique, certaines
formes
de syringomyélie à évolution lente ou à symp- t
inuer le traitement spécifique ou de recommencer plus tard sous une
forme
quelconque. Si au contraire il y a un effet que
la sclérose, médullaire ou autre, reste l'iode sous ses différentes
formes
. On peut employer les iodures alcalins (potassi
nt quand il y a une intolérance absolue de l'iode sous toutes les
formes
, ou bien j'alterne les sels d'argent avec les pré
e feu le long 'du rachis, tous les'huit ou dix jours, même dans les
formes
chro- niques. J'estime que les indications de l
le tableau clinique de l'atrophie, une sépa- ration nette entre les
formes
spinales et myopathiques des atro- phies muscul
mble et en laissant de côté les lignes brisées de son périmètre, la
forme
rectangulaire. Il mesure une surface de 35 hec-
PHIE. VI. Contribution à l'étude de l'encéphalite aiguë primitive à
forme
hémorragique; par le D1' L. Murât. Lyon, 1897.
yon, 1897. L'encéphalite hémorragique doit être considérée comme la
forme
typique des encéphalites primitives aiguës non
anquent, ou les symptômes, d'une marche capricieuse, engendrent les
formes
les plus disparates. La maladie, d'une durée mo
domaine des encéphalo- pathies infectieuses et de la méningite des
formes
souvent curables qui ne sont que des encéphalit
paroxystiques et provoquent dans certains cas des accès délirants à
forme
maniaque. RECUEIL DE FAITS. UNE OBSERVATION D
ères un peu épaissies. Le nez est accru dans tous ses diamètres; il
forme
une saillie assez forte. Les pommettes sont trè
illis dans la littérature médi- cale '. Dans ces 43 cas, toutes les
formes
de folie, manie, mélancolie, paranoia, folie du
ent de psychose ; que si cette complication survient, c'est avec la
forme
maniaque, et que les autres psychoses, qui peuv
le-ci peut se compliquer de troubles vésaniques qui empruntent leur
forme
et leur ori- gine à la maladie première. D'autr
apport entre les deux affections. Logiquement, il semblerait que la
forme
d'aliénation men- tale qui découle de la maladi
malaises de l'estomac, quoique moindres, ont reparu sous une autre
forme
; le malade ne peut rester à jeun sans éprouver
Le lobe gauche du corps thyroïde est très augmenté de,voluitie - il
forme
une masse du volume d'une grosse mandarine. Il
démontré que déjà la dilatation de l'estomac peut créer un délire à
forme
hypochondriaque par un mécanisme ' D'Devay. Con
ow, comme une association morbide temporaire, ou plutôt comme une
forme
spéciale d'un état mental propre au goitre exopht
IE ET GOITRE EXOPHTALMIQUE. 497 manie, à l'encontre des psychoses à
forme
dépressive, alors que logiquement l'état cérébr
amélioration, nous avons assisté à l'éclosion brusque d'un accès à
forme
paroxystique de ma- ladie de Basedow, qui dura
que spécial qui peut se transformer en folie, se présentant sous la
forme
de mélancolie. Celle-ci doit être considérée co
nt plus obsédants que jamais (quatrième période). Il en existe deux
formes
, suivant que l'obsession ne laisse pas au malad
pour l'exagération de ces tics vocaux, les jurons obscènes sont une
forme
des manifestations défensives; les anamnestique
résentés par des besoins irrésis- tibles de casser des vitres, sous
forme
d'attaques stéréotypées, ou, quand l'occasion m
ale; par BMSLEH. (Ne2c·olog. Cenlrulbl., XV, 1896.) Il existe une
forme
de l'épilepsie qui débute par des déchar- ses m
ie (Brown-Sequard, Schiff, NoLliiiagel). Il propose d'appeler cette
forme
morbide myoclonie épileptique ou épilepsie spin
gie du plexus brachial autant en regard de leurs causes quede leurs
formes
cliniques. - 3. L'auteur passe en revue beaucoup
Dans cette étude les auteurs-se sont particulièrement attachés aux
formes
typiques de la mélancolie, aux cas pouvant abouti
colie vraie, essentielle, avec des caractères fondamentaux dont les
formes
chroniques systématisées ne sont que l'accentua
tuation progressive, la cristallisation si l'on peut dire ainsi, la
forme
stéréotypée en un mot (délire chronique des néga-
a maladie commence à devenir stationnaire. En ce qui concerne les
formes
des maladies mentales, l'hypno- tisme peut donn
morbides, ainsi que dans la perversion sexuelle. Dans toutes ces
formes
, l'influence favorable de l'hypnotisme se manifes
urt guère le risque d'être infirmée, est que l'alcoolisme, sous une
forme
ou une autre, est non seulement la cause princi
des lésions de la zone psychomotrice de l'encéphale. Elle offre des
formes
multiples rare- ment circonscrites, avec des ma
rdre psychique n'ont pas été dominants. J'ai observé quelquefois la
forme
mégaloma- niaque, rarement la forme de manie ai
ts. J'ai observé quelquefois la forme mégaloma- niaque, rarement la
forme
de manie aiguë; après l'intervention, la guéris
ion. Celle- 524 SOCIÉTÉS SAVANTES. ci peut se présenter sous deux
formes
: goitreux devenus basedo- wiens et basedowiens
des, quelquefois même vibra- toires, se présentant d'ordinaire sous
forme
d'accès et apparaissant ou disparaissant sans c
d'une décision récente, remplir les fonctions de nourricier. Les
formes
morbides que l'on rencontre le plus fréquemment à
inés. Les deux pre- mières périodes de la paralysie générale et les
formes
mélancoliques sont les plus riches en hallucina
taire ; 2° l'hystérie ainsi développée affecte plus spécialement la
forme
convulsive; les manifestations parétiques étant p
ysie générale. Accès convul. sifs dans la -, par Mouratoff, 80. -
forme
hypoclioudriaque avec symptômes tabétiques, par
vail intitulé : La phobie du regard, le Dr Ilartenberg a décrit une
forme
pathologique d'une nouvelle phobie, celle du re
ns lequel la crainte du regard d'autrui s'est manifestée sous une
forme
bien vive (2). Voilà ce qui est dit dans les mé-
les autres cas, la phobie du regard d'autrui s'observait dans sa
forme
simple, très pénible pour le malade ; parmi ces
ité Aisuetie sont normales. L'ouïe, le goût, l'odorat et toutes les
formes
de sensibilité cutanée sont sans changement. Né
ns certains cas, laphol>ic du regard d'autrui apparaît 'dans une
forme
plus ou moins pure sans combinaison avec d'autr
ison avec d'autres états pathologiques et elle pré- sente alors une
forme
spéciale de la crainte pathologique. Quant au t
dget de certains Asiles. On peut, au contraire, concevoir une ré-
forme
qui ne grèverait en aucune sorte le patrimoine de
lution osmio-chromiquo déjà et souvent utilisé. P. Keraval. X. La
forme
des éléments nerveux de l'écorce du cerve- let
variété d'aspects de ces cellules suivant les divers animaux, leur
forme
dont la comple- xité et les particularités corr
sure que croît l'organisme. ? Pourquoi maintes cellules ont-elles une
forme
compliquée et possèdent-elles quantité de dendr
ne activité plus intense et plus productive. 3. La complexité de la
forme
paraît donc être le reflet et la condition de l
la complexité de l'activité fonctionnelle. Ce parallélisme entre la
forme
des éléments nerveux et leur fonction est confi
la forme des éléments nerveux et leur fonction est confirmé par la
forme
extérieure des cellules cortico- cérébelleuses
rminent dans cette écorce. Puis les cellules de Purkinje varient de
forme
selon les animaux; plus un animal esl élevé en
x; plus un animal esl élevé en organisation, plus complexe est la
forme
extérieure des cellules, plus elles sont riches e
ilés, chez les oiseaux), des particularités correspondantes dans la
forme
extérieure des cellules de Purkinje. Enfin les
des cellules de Purkinje éclairent le fait de la complication de la
forme
en même temps que de la fonction qui s'opère dans
lifient 48 revue d'anatomie ET de physiologie pathologiques. leur
forme
avec la croissance de l'animal, ressemblant en ce
atérales peu abondantes sur d'autres; la complexité graduelle de la
forme
des éléments d'un rang élevé (cellules de Purki
polarité dynamique de l'activité nerveuse change extrêmement peu de
forme
et même de volume. P. KERAVAL. XI. Contributi
on recommence le même cycle de coloration et de décoloration. Il se
forme
dès qu'on remet la coupe dans le bleu de méthyl
pui de son opinion : qu'on a tort de faire actuellement des quatre
formes
cliniques décrites de la démence précoce des vari
t doit encore être étudiée avant qu'on en puisse grouper toutes les
formes
dans un même cadre. Contractions associées para
s du ganglion optique basai de Meynert. Il se-prolonge parfois sous
forme
d'un petit faisceau dans la partie supéro-exter
espondant pour les femmes et, cet excès porte complètement sur deux
formes
pathologiques : la manie alcoolique, et la para
giques : la manie alcoolique, et la paralysie générale ; les autres
formes
morbides se présentant en nombres à peu près ég
gique. Elle commence par un remarquable mémoire sur les différentes
formes
de nanisme et leur traitement par le corps thyr
on, ancienne, lente, conti- nue, se traduisant cliniquement par des
formes
bâtardes et torpi- des d'aliénation aboutissant
atténuant en quelques jours et laissant alors, au premier plan, des
formes
d'aliénation qu'on pourrait appeler para-alcool
écisément à quel défaut d'élocution il est fait allusion, et quelle
forme
particulière d'exer- cice de la main semble l'a
ngitc est faible, à peine accusée, dans d'autres, la pachyméningite
forme
une bande très épaisse de tissu fibreux entoura
e zone légèrement décolorée, située de chaque côté du septum, ayant
forme
de vir- gule, à concavité correspondant au bord
e parésie des mains, ont fait penser à une polynévrite alcoolique à
forme
surtout sensitive. L'autopsie nous montre que l
l'abondance, supérieure à la normale, de fibres grêles, sans aucune
forme
de dégénérescence de la fibre nerveuse. Même en
Ce cas m'a paru digne d'être publié par ce qu'il se rapporte à une
forme
anatomique et clinique particulière sous laquel
ie sont très constantes.» La gloutonnerie surprenante des malades
forme
quelquefois un contraste singulier, dit Griesin
ait que la mélancolie franche est considérée par Magnan comme une
forme
morbide bien caractérisée, le plus souvent exem
t, retraite, logement, etc.) Il a été adopté par le Conseil sous la
forme
suivante : Il est désirable qu'au sur et à mesu
s à séparer REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 109 la paralysie générale des
formes
non inflammatoires de syphilis cérébrale. Usemb
ent faible. La ponction lombaire permet-elle dedistinguer certaines
formes
de l'alcoolisme chronique de la paralysie génér
sénile, alcoolisme chronique, démence précoce (quelle qu'en fût la
forme
). Sur 12 éil·lltirxre.s avant eu des attaques a
e autre maladie. Le liquide cérébro-spinal peut contenir toutes les
formes
d'ele- ilictits. Ce qu'on y trouve le plus ce
on peuvent être colorées à l'hématoxyline de Green ; le protoplasma
forme
un fond gris-violet sur lequel tran- che en noi
s, fournit des tuyaux spiroïdes ou droits ; le second, sans parois,
forme
des crevasses. Lasection transverse de ces bran
le produit duquel, par graduel accole- ment de nouvelles masses, se
forme
la motte chromatophile. La motte qui apparaît c
ain de la motte chromatophile. Donc la substance chromatophile se
forme
par les processus de métamorphose régressive de l
liquide cérébro-spinal. On sait du reste depuis longtemps que les
formes
variées sous lesquelles se manifeste la substan
en droit de supposer qu'il existe dans les cellules nerveuses trois
formes
de canalicules : 1° un réseau de bourgeons arté
é pupillaire réflexe typique. La même lésion peut présider aux deux
formes
de l'immobilité pupillaire, mais elle a des siè
ux du cerveau présentent la dégéné- rescence calcaire sous diverses
formes
et à divers degrés. Dans les boules de chaux ai
Chyoslek, Hoffmann et Trousseau ; mais ce dernier n'affecte pas la
forme
typique. Toute excitation mécanique, élec- triq
une thermo-analgésie limitée à une surface cutanée déterminée, sous
forme
d'une hémizone qui correspond exactement et inv
344 ; il manquait chez 6S. 11 est apparu dans presque toutes les
forme
mentales. On a laissé de côté les psychoses de l'
et marcher). S il s'agit ici d'une maladie de Thomsen, c'est là une
forme
exception- nelle de cette affection, soit que l
l'accident dont ils ont été victimes. Si la simulation est une des
formes
de la ruse, l'exagé- ration est un phénomène ps
de l'or- ganisation du parasitisme social. Le parasitisme revêt les
formes
les plus variées et les plus inattendues. Le pa
à la simple hypotaxie. La pensée de l'auteur s'exprimant sous une
forme
imprécise s'adapte à chaque auditeur suivant l'ét
nergie des images mentales. M. Paul FAREZ. Il faut distinguer trois
formes
de trac : 1° La forme ordinaire, commune, banal
s. M. Paul FAREZ. Il faut distinguer trois formes de trac : 1° La
forme
ordinaire, commune, banale, presque normale qua
valle des audi- tions, il devient une phobie tyrannique et revêt la
forme
de l'ob- session chez les dégénérés. 3° Une t
êt la forme de l'ob- session chez les dégénérés. 3° Une troisième
forme
(que les auteurs différencient mal des précéden
peu que le terrain s'y prête, des obsédés. Dans les deux premières
formes
do trac, dans la première sur- tout, l'hypnotis
ive, donne d'écla- tants et de rapides succès. Dans cette troisième
forme
, c'est par éducation ou une rééducation méthodi
. J)1' Lux. Médecin major de 11'0 classe. La suggestion de l'uni-
forme
et des insignes militaires. , Dr Berillon. Péda
ques est de 520 et celui des paralytiques généraux de 514. Ces deux
formes
mentales forment le plus fort contingent (plus
des idées à la moralité. 150 CORRESPONDANCE. Présenté sous une
forme
simple, précise, et de lecture aisée, l'ouvrage
e s'il ne peut pas exister, àcûté de ce syndrome si douloureux, une
forme
latente qui ne se reconnaîtraitqu'à l'examen hi
111'l'oCllOi\I)RII ? . > 100 l'odorat. Le facteur déterminant la
forme
de l'hallucination serait donc la localisation
'atteinte profonde de son système sympathique. De même qu'il y aune
forme
spinale, il y au- rait une forme sympathique de
sympathique. De même qu'il y aune forme spinale, il y au- rait une
forme
sympathique de la paralysie générale, caractéri-
mélancolique et le persécuté ne peut plus être admise sous la même
forme
qu'autrefois. Il y a des mélancoliques hypo- ch
hes constitutionnels , les paranoïaques hypochondria- ques, dont la
forme
morbide a été décrite par les différents auteur
- que croit les siens perdus en même temps que lui. Il existe une
forme
hypochondriaque du délire de persécution qu i p
aller à un échec, il doit, selon nous, envisager successivement la
forme
du délire, l'état mental du malade, et la natur
me du délire, l'état mental du malade, et la nature de la lésion.
Forme
du délire. - S'il s'agit d'un délire hypochondria
d'un délire hypochondriaque systématisé, surtout quand il revêt la
forme
zoopathique, le chirurgien, le plus souvent, do
st liée à la paralysie générale, à la démence, dans ses principales
formes
sénile, précoce ou alcoolique, Etal local. Rest
dans la pathogénie du délire hypochondriaque ouvre pour certaines
formes
d'entre elles une voie nouvelle à la chirurgie,
quer M. Régis, ces théo- ries ne sont que la reproduction, sous une
forme
à peine ra- jeunie, des doctrines qui depuis le
me conviction délirante peut compliquer un délire de persécution de
forme
classique : Cas d'une malade per- suadée que se
its personnels, anciens et récents, nous croyons que cette dernière
forme
, à laquelle il faut réserver le nom de tic hyst
de s'introduire dans l'armée.C'est ainsi que,annuellement,on ré-
forme
pour l'aliénation mentale 0,40 % d'effectif,et le
par- fois supportable,la douleur, se réveille, par instants, sous
forme
de crises paroxystiques d'une intensité extrême.
laies infectées des mains, ne sont pas démonstratifs à cet égard.
Formes
. On peut distinguer les processus ascendants in
eux, nous avons trouvé des reliquats d'inllammation méningée sous
forme
soit d'amas lymphocytaires, soit d'épaississement
n moyenne de 0',07. Un cas de paralysie spinale aiguë de l'adulte à
forme
monoplégique. Dr CASTES (de Rennes). La paral
Dr CASTES (de Rennes). La paralysie spinale aiguë de l'a- dulte à
forme
monoplégique est rare ; la statistique de Mûllcr
IE DE L'OTHÉMATOME. 199 particulier chez lui, outre la rareté de la
forme
de la paraly- sie, c'est qu'aucun muscle n'a ét
le drap mouillé fortement tordu, les lotions froides.. 1 Dans les
formes
plus accusées, telle que la mélancolie avec stu
dications individuelles et symptoma- tiques dominent aussi dans les
formes
de folie survenant chez les jeunes gens. Toujou
aucoup augmenté, en même temps que ceux-ci s'altéraient dans leur
forme
(aspect crénelé). La connaissance de certaines de
INS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Diagnostic de la démence précoce à
forme
paranoïde et des psychoses à base d'interprétat
hercher quelles différences pourraient séparer la démence précoce à
forme
paranoïde de ces psychoses à base d'interprétat
pourraient servir à établir dès le début le diagnostic en- tre ces
formes
, de maladie mentale. En effet, le diagnostic de
cipaux les signesque nous croyons distincts de la démence précoce à
forme
paranoïde. 1° Parmi les phénomènes mentaux, l'a
lus tardif, ilest vrai,néan- moins excellent : la démence précoce à
forme
paranoïde évo- lue en quelques années et les ma
s hallucinations. 1 En résumé, nous dirons que la démence précoce à
forme
paranoïde se distingue très facilement du délir
et que, d'autre part, la clémence paranoïde ne peut se séparer des
formes
hébé- nhréno-catatoniaues. SIGNES OCULAIRES D
un symptôme fixe et permanent. LÉSIONS DU FOND DE L'OEIL. ' " Les
formes
des lésions du fond de l'oeil que nous avons tr
iques, présentent un caractère commun, celui de se répéter sous une
forme
presque invariable chez le même sujet. Cette co
es imagesdu passé. L'imaginationest commeun moule vide qui donne la
forme
de tout ce qu'on y jette. Les effets de l'imagi
244 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. lité de celte
forme
clinique en lui donnant comme base ana- tomique
buté par les mains et présentant tous les caractères attribués à la
forme
Aran-Duchenne. Or, celle- ci a débuté quatre à
. L'assistance familiale des aliénés se présente en fait sous trois
formes
: 1° la colonie annexée à un asile ; '2° la col
aliénés criminels libérés. Le patronage familial sous ces dn erses
formes
s'est parfaitement acclimatéaux Etats-Unis où i
(La) est la faculté d'apprécier correctement, les yeux fermés, les
formes
des corps géométri- ques et des objets placés d
nsation de tranformation corporelle est tou- jours prédominante, la
forme
délirante seule -varie ; IL... est maintenant u
tade fébrile, la psychose infectieuse revêt ordinairement l'une des
formes
de la confusion mentale aiguë en particulier la
nt l'une des formes de la confusion mentale aiguë en particulier la
forme
de délire onirique halluci- natoire, ou celle d
lieu notamment dans les accidents polynévri- tiques. . Une autre
forme
de confusion mentale qui est suscep- tible de s
ériode hyperthermique, soit surtout dans la convalescence, c'est la
forme
à syndrome paralytique, caractérisée par les sy
ence, 276 PATHOLOGIE MENTALE. aussi bien celles qui affectent des
formes
d'apparence grave, comme le syndrome paralytiqu
ccio 1895, Brancati 1902). Ce délire revêt habituellement l'une des
formes
les plus aiguës de la confusion mentale, en par
s formes les plus aiguës de la confusion mentale, en particulier la
forme
du délire aigu méningitique. « Le soir, le mala
y a rien de constant ; on peut le trouver accéléré.Il y a aussi une
forme
apoplectique dans laquelle le malade perd conna
malade perd connaissance, tombe dans le coma. La gravité de cette'
forme
est excessive ; la maladie dure peu, deux ou tr
rs. Mais avant que ce dé- veloppement soit définitif, le cerveau se
forme
progres- sivement. Il y a toute une période d'é
ns volonté (1). Au cent dix-septième jour, la volonté apparaît sous
forme
d'attention, de fixation de l'objet en même tem
ouverte de croûtes, présentant à sa base un sillon profond, qui lui
forme
un vrai pédicule. On re- marque que cette tumeu
uset.les progrès dcla technique histologique et la décoll- verte de
formes
de transition entre des affections considérées
seur en présente deux, dont un avec examen histologique, véritables
formes
intermédiaires entre la maladie de Friedreih et
ntermédiaires entre la maladie de Friedreih et la maladie de Marie,
formes
hybrides dont la fréquence a été si grande ces
as indéniables de maladie de Friedreich. D'où il ressortqueles deux
formes
d'ata- xie héréditaire, la forme spinale et la
reich. D'où il ressortqueles deux formes d'ata- xie héréditaire, la
forme
spinale et la forme cérébelleuse, ne possè- den
rtqueles deux formes d'ata- xie héréditaire, la forme spinale et la
forme
cérébelleuse, ne possè- dent pas de caractères
rbides dis- tintes. 11 faut voir dans ces deux maladies et dans les
formes
de transition qui les relient, des types morbid
lisé, mais tous rattachés par le syndrome cérébelleux commun. Ces
formes
intermédiaires constituent les anneaux nouveaux
début se fait le plus souvent par la musculature externe de l'oeil (
forme
ophtalmoplegiquc), ou bien par les muscles qui
cles qui reçoivent leur innervation du bulbe et de la protubérance (
forme
bulbo-protubérantielle), soit par les muscles d
paralysie. L'auteur fait le diagnostic différentiel de ces diverses
formes
. Le repos général et local des organes attaqués
ifiques (les doigts. - F. T. \'1. Sur l'anatomie pathologique d'une
forme
d'hérédo- ataxie cérébelleuse ; par livucr. (ll
phiées, les fibres raréfiées. L'auteur rattache ces trois cas à une
forme
intermédiaire entre 1'liéi-édo-ala ? ie cérébel
deux mains. La première phalange de la main gauche a conservé sa
forme
et son volume ; en tous cas elle n'est pas hypert
à dit bien des auteurs. C'est une phase, un état particulier, une
forme
infectieuse ai- gué de la pellagre (Landouzy),
leurs observations, Cestan et Lejonne concluent à l'existence d'une
forme
définie de myopathie, la forme scléreuse avec rét
ejonne concluent à l'existence d'une forme définie de myopathie, la
forme
scléreuse avec rétrac- tions. F. 1'ISSOT. XXX
un arrêt de développement intellec- tuel. L'auteur a constaté deux
formes
de méningite avec nombreux intermédiaires : dan
formes de méningite avec nombreux intermédiaires : dans la première
forme
, il s'agit d'une lésion mé- ningée dans laquell
ningée dans laquelle l'inflammation est encore évidente : à cette
forme
correspond une démence à marche progressive mais
orrespond une démence à marche progressive mais lente ; la deuxième
forme
est une lésion méningée arrêtée dans son évo- l
forme est une lésion méningée arrêtée dans son évo- lution : cette
forme
répond à des syndromes mentaux stationnai- res
Les sujets que nous avons observés, étaient atteints de toutes les
formes
mentales de la mé- lancolie, depuis la forme si
tteints de toutes les formes mentales de la mé- lancolie, depuis la
forme
simple jusqu'à la mélancolie stupide. ' Un au
prises, a donné le signe de Gmelin. Observation IX. Folie il double
forme
; mélancolie stnhirfe actuellement. Glycosurie.
entale de ]3elgi(lue ont décidé de se réunir périodiquement sous la
forme
d'un Congrès natio- nal de Neurologie et de Psy
démence précoce, tantôt de la folie maniaque dépressive ou d'autres
formes
psychopathiques, mais n'ayant pas d'existence p
ment caractérisée ; le second, un adolescent de 10 ans, présente la
forme
juvénile de celte maladie. Discutant le diagnos
gr. de la Salpêtrière, 1904, n° 6.) Dans la production des diverses
formes
du langage, on peut considérer un élément physi
rme classique delà paralysie géné- rale ; elle a cédé la place à la
forme
démentielle. Ce changement de caractère est pro
u tronc est plus intense que celle des muscles de la face Dans la
forme
tabétique de la paralysie générale, les 1'I',lIl'
? €--( ! ii-'t ! ncH ! s des modalités en apparence homomorphes de
formes
morbides dillérenles. Il ne nous reste donc en l'
nogr. de la Salpètrière, 1 905, nu I.) Ce syndrome spécial, une des
formes
multiples d'altération de la personnalité, est
s du l'Ol'P' d'un pied sur l'autre, et elle se produit sous la même
forme
llll"i bien dans l'oscillation surplace que dan
e, transverse. segmentaire, dorso-lombaire gauche, métatraumatique.
Forme
cli- nique curable; parle \)1' II ! : vn.ttou.(
ues qu'il passe sous silence, Knapp essaiera surtout de montrer les
formes
plus rares se rapprochant des autres états psy-
ller jus- qu'à friser l'étal démentiel. L'auteur décrit ensuite des
formes
hallucinatoires sans systématisation et avec sy
sants relevant le plus souvent de sensalions hypocondriaques, d'une
forme
l'.\ IHlI1sh e a\ ec <lMi l'P des grandeurs,
es, d'une forme l'.\ IHlI1sh e a\ ec <lMi l'P des grandeurs, des
formes
maniaques oUI11l\lancoliqnesl'at'es. des psycho
rares à caractères hébé- phéniqucs, etc. De cette multiplicité de
formes
. l'auteur croit pouvoir conclure que les psyclt
qu'après cinq années d'exercice. Le tirage au sort a lieu dans les
formes
usitées pour le concours des hôpitaux, en pré-
étude histologique de la dure-mère, nous explique la façondont se
forme
cette myélite ; les matières caséeuses des ver-
nt com- primée. Mais très fréquemment aussi la moelle conserve sa
forme
et'son volume normaux ; même elle a un volume p
peut faire quelques réserves (1) Philippe et Cestan'. - Principales
formes
histologiques et his- togenèse de la myélite tu
que la myélite cesse pour celad'être tuber- culeuse. Ainsi dans la
forme
de méningomyélitè diffuse infiltrée de RAYDLOND
YDLOND (1), les tumeurs miliaires sont moins nombreuses que dans la
forme
diffuse nodulaire; aucon- traire.la myélite est
é- léments inflammatoires propagés suivant les vaisseaux. Dans la
forme
décrite par Piilippe et Cestan (Le) le seul car
ater dans la moelle même ni masses caséeu- ses ni bacilles. Dans la
forme
décrite' par ODDO (2) et OLMRR, l'absence de to
e cas publié par Philippe et Cestan (/. c.) : (1) - Des différentes
formes
des Icyto-rr : yélites tubel eu- leuses. Revue
tuberculine circulant dans la moelle, .. f Voici donc une nouvelle
forme
de myélite qui vient augmenter le polyphol'llli
enter le polyphol'lllisll1e tle la myélite tuberculeuse : c'est une
forme
essentiellement parenchymateuse, dé- pourvue de
ne mince bande de libres conservées : le faisceau de '1·url : ,sous
forme
d'une bande située le long du sillon antérieur.
très nettement jusqu'au segment S 2, où la degene- ration prend la
forme
d'un triangle avcc base périphérique : au nivea
lne seulement la moitié postérieure du faisceau lIe' (i011, sons la
forme
d'un triangle acheva) sur le sopLumpostérieur,l
ué dans la moelle. ' Nous ne pouvons pas non plus interpréter celle
forme
de myélomalacie comme un ramollissement d'origi
blent pas être diminuées de nombre : beaucoup d'entre elles ont une
forme
globuleuse, sans prolongements ou avec des prol
vcau tlt ermunls L` ? -LI, le faisceau central conservé reprend une
forme
à peu près trian- gulaire, à cheval sur le sept
ne distribution vasculaire quelconque, ne se présentent pas sous la
forme
de ramollissement, mais sous la formc d'une per
usjacent (L3) où la pachyméningite est aussi forte, la moelle a une
forme
normale. Nous avons déjà traité à propos des gé
qui pénètre entre elles el dans l'intérieur de la racine même sous
forme
Il'infiltration péri-vasculaire en suivant les
moelle présente le plus de lésions, celles-ci se montrent sous deux
formes
: d'une part sous la forme de perte en fibres n
ions, celles-ci se montrent sous deux formes : d'une part sous la
forme
de perte en fibres nerveuses qui, dilfuse à toute
arties antérieures des cordons pos- térieur s;d'autr e part sous la
forme
d'oedème des éléments du tissu nerveux qui frap
es autres régions de la moelle, à cause de la myélite qui sous la
forme
simple d'infiltration périvasculaire s'est ajouté
prêtant à confusion, une trop large place faite à la description de
formes
anormales qui sont des formes (1) Il n'est ques
large place faite à la description de formes anormales qui sont des
formes
(1) Il n'est question ici que des travaux posté
e crois utile de remettre les choses au point et je précise : Les
formes
du neurocoque dans le sang se réduisent à ceci
diplocoques.- Cocci et diplocoques peuvent aussi se présenter sous
forme
de ooglées, de petits amas plus ou moins réguli
es premières notes (1) et me contente de rappeler que le neurocoque
forme
sur agar un semis d'une très grande finesse. *
ître la ma- nière dont travaillent les aliénés dans les différentes
formes
de maladies mentales et aux diverses époques d'
autres déments précoces. Il s'agit de deux cas de démence précoce à
forme
hébéphréni- que. Ces deux observations ont plus
neuro-psychopathologie. En matérialisant, pour ainsi dire sous une
forme
objective et du- rable,' le fonctionnement défe
s, c'est-à-dire l'ordonnance généraledes écrits, la direction et la
forme
des lignes, la direction, la forme et l'a- genc
ledes écrits, la direction et la forme des lignes, la direction, la
forme
et l'a- gencement des lettres, etc. Viennent en
Broca. L'altération des images graphiques se manifeste sous deux
formes
principales, l'effacement et la confusion. Dans l
Brissaud et de Henri Meige, MM. P. Roy et Launois décrivirent deux
formes
: legifJanlisme iii/;211- tile, celui des sujet
on avec une hypertrophie de l'hypophyse ; enfin ils signalèrent une
forme
intermédiaire de passage entre le gi- gantisme
c, par Bnurneville, p. 206, 337. Dia- gnostic de la - précoce à
forme
paranoïde et des psy- choses ù. base d'interpré
11fr- reuses.. z Ecriture. Voir Troubles. Eléments XEHVEUX. La
forme
des de l'écorce du cer- TABLE DES MATIERES. 5
'1'\xm cérébelleuse. Voir Sur l'II\1a- tomie pathologique d'une
forme
d'- - cérébelleuse, pnr llydel, p. 315. - - ce-
? egluentairC', ùor- 5o-lontbnre gauche, méta- t,¡'tIlUnntiql1e.
Forme
clini- que curable, par lievilliod, p. 397.en
Farez, p. 140. Traitement médico-pédagogi- que des différentes
formes
de 1 idiotie, par Bourneville, p. 206. - diét
cotyloïde; à ce dépôt s'ajoute quelquefois une production osseuse, en
forme
d'arc-boutant étendu de la tête au corps de l'os;
ume la base du col du fémur: que, comme de coutume aussi, l'angle que
forme
le col avec le corps du fémur, se rapproche de l'
émur il y a, i° déplacement suivant la longueur du fémur; l'angle que
forme
le col avec le corps de l'os, devient droit et mê
nd trochanter de la crête iliaque ; saillie de ce même trochanter qui
forme
une tumeur sphéroïdale, beaucoup plus volumineuse
approchée de la crête que dans la fracture ; que dans la luxation, la
forme
de la saillie n'est pas la même. Pour apprécier
r l'os coxal dans le cas de luxation ancienne, c'est un changement de
forme
qui consiste dans l'union à angle droit du bord a
état naturel,cette union se fait à angle très obtus. Ce changement de
forme
est une conséquence nécessaire de la situation de
eure de cette capsule se trouve refoulée sur le col du fémur, où elle
forme
une sorte de collier qui imprime sur la base de c
pu voir à découvert (fig. i ) l'extrême obliquité du fémur dont l'axe
forme
, avec le plan horizontal, un angle de 45 degrés;
lir ses limites avec l'ancienne capsule. La capsule fibreuse nouvelle
forme
les deux tiers environ d'un ligament orbiculaire
ehors, et atrophiés. COL, fig. i, fig. 2, est l'espèce de collier que
forme
l'ancienne capsule déchirée sur le col du fémur;
ette ancienne capsule se trouve refoulée, ramassée sur le col où elle
forme
une espèce de collier qui s'imprime sur lui. Le
-dessous du bulbe raehidien. lia figure 1 représente la saillie que
forme
l'atlas au-devant de l'axis et celle de l'apophys
erai remarquer que, chez beaucoup de vieillards, l'apophyse odontoide
forme
une saillie considérable qui soulève les ligamens
a 3e vertèbre cervicale : la dépression est telle, que la 3e vertèbre
forme
, avec la 2e, un angle obtus rentrant en avant.
articulaire date de longues années, des changemens de rapports et de
formes
s'établissent entre les extrémités osseuses; les
d'origine syphilitique, prescrivirent des mercuriaux sous toutes les
formes
, qui ne produisirent aucun effet. Une consultatio
suifeuse a été extraite de quelques aréoles dont on peut apprécier la
forme
et la disposition. Réflexions.—L'altération don
blir que le cancer avait son siège dans les capillaires veineux. La
forme
aréolaire du cancer des os ne doit pas plus étonn
La forme aréolaire du cancer des os ne doit pas plus étonner que la
forme
aréolaire du cancer des parties molles. Quel que
nge : ce suc cancéreux, généralement peu consistant, s'écoule sous la
forme
d'une crème; lorsqu'il a acquis plus de consistan
e crème; lorsqu'il a acquis plus de consistance, on l'exprime sous la
forme
de vermicelle, ayant la consistance du saindoux.
ou moins profondément sillonné et divisé en mamelons ou tubercules de
forme
très variable, de volume très inégal. De ces lobu
irconférence de la tumeur, qu'elle occupe en outre son centre où elle
forme
de grosses masses. On voit quelques géodes, des m
ût pu la faire juger gélatineuse. Elle pouvait être comparée, pour la
forme
« seulement, à une énorme pomme de terre, composé
es. Fendu avec la scie, l'os s'est trouvé conserver supérieurement sa
forme
et sa consi-« stance. Au niveau de la tumeur, les
eurs implantées sur le périoste seul, et « qui se développent sous la
forme
de champignon : elles sont cartilagineuses, conti
bules distincts unis par un tissu fibreux très dense. Ces lobules, de
forme
conoïde ou plutôt pyramidale, avaient leur base d
s, sur lequel ils s'implantaient par un pédicule extrêmement délié en
forme
d'aiguille. La coupe de la tumeur iliaque exter
disposés à angle. La jambe est constituée par un seul os. C'est là la
forme
qui a le plus d'analogie avec celle qu'Homère et
es joues sur la ligne médiane ; 4° la bouche, largement ouverte, a la
forme
d'un carré long, dont les bords supérieur et infé
le de l'œil unique, qui est ellipsoïde plutôt que sphéroïde, et parla
forme
ovale et non circulaire de la cornée, de l'iris e
oint d'organes génitaux : seulement à leur place, petit tubercule, en
forme
d'ergot, qui m'a paru être le vestige du clitoris
, donne une idée parfaite des rapports du pied avec la jambe et de la
forme
des deux pieds, vus par leur face dorsale. Dans l
lètement : il y a absence complète du vagin. Le petit tubercule, en
forme
d'ergot CR,seul vestige des parties génitales ext
le. La ligure 3, xxxvni6 livraison, fournit un exemple de l'une des
formes
les plus communes de l'étranglement interne, l'ét
chose que des cicatrices d'ulcération folliculeuse de l'estomac. Leur
forme
irrégulière n'est pas en opposition avec cette ma
n. Or, l'inflammation ulcéreuse des follicules de l'estomac est une
forme
assez fréquente de la gastrite: les petites ulcér
s couleur de suie : la matière colorante était mêlée au mucus sous la
forme
de stries noirâtres : à travers cette couche épai
uquel s'élevaient une multitude de végétations polypeuses de diverses
formes
et de diverses dimensions. Plusieurs étaient grou
tations polypeuses de l'estomac sont presque toujours multiples, leur
forme
varie dans les premiers temps de leur production;
qui n'ont aucun caractère morbide. La figure 2 représente une autre
forme
d'érosions hémorrhagiquës. Ici les érosions UH, U
mptômes comme traduisant à l'extérieur ou une maladie nouvelle ou une
forme
nouvelle de maladie; i° par l'anatomie pathologiq
l'anatomie pathologique, qui constate une lésion nouvelle ou quelque
forme
nouvelle d'une lésion connue, et en fait un genre
chacun une granulation. Les pédicules représentaient si exactement la
forme
des papilles ou villo-sités , que j'ai dû examine
nue dont la surface, ayant plus d'étendue que la membrane musculeuse,
forme
de gros replis sinueux qui donnent à l'estomac re
nt, je pus limiter une tumeur oblongue qui représentait assez bien la
forme
et la direction de l'estomac. La malade conserva
e les trois quarts de l'épaisseur de l'estomac La membrane musculeuse
forme
l'autre quart. Une circonstance fort remarquabl
simule en cet endroit une poche de la grosseur d'une poire, et d'une
forme
analogue à celle de l'estomac. La trompe du coté
l paraît au premier coup-d'œil libre d'enveloppes (fig. i ), tant ses
formes
extérieures sont bien dessinées; cependant, en ex
i, après s'être appliquées étroitement sur lui, se prolongent sous la
forme
de brides AF, AF et vont se fixer aux colons asce
ie de manière à diminuer considérablement le diamètre bi-pariétal; sa
forme
est celle d'une pyramide triangulaire. Des trois
, tandis que dans l'invagination ordinaire, la partie invaginée qui
forme
deux doubles d'intestin, est reçue dans un troisi
colon transverse, c'est la partie contenante; le cylindre moyen, qui
forme
la surface de la tumeur, est formé par le cœcum;
n, pag. a5o. — (a) Tom. n, pag. a54j 235. xxive livraison. s'il se
forme
des hernies par l'anneau ombilical chez l'adulte,
se sont échappés les intestins, on trouve toujours l'ombilic sous la
forme
d'un point dur ou plus ferme que le reste de la l
L'anneau ombilical est toujours rond, les anneaux accidentels ont une
forme
ovale et jamais parfaitement régulière. On conç
on est toujourssessile; que lorsque la tumeur ombilicale présente une
forme
conique, c'est à l'anneau que répondra la base de
r en cire et déposer au musée Dupuytren. XXIV* livraison. hernie se
forme
au-dessus de l'ombilic, s'accroît dans tous les s
ire cinq jours après l'étranglement : la tumeur avait le volume et la
forme
d'un chapeau; elle tenait à l'abdomen par un pédi
ure des détails dans lesquels je suis entré jusqu'ici. Quoiqu'il se «
forme
sur la face antérieure de la colonne vertébrale,
I. Au point I, on voit l'intestin invaginé étreint par un anneau que
forme
l'intestin replié sur lui-même. Il est probable q
la partie la plus élevée de la tumeur. Le cylindre le plus externe
forme
la poche d'enveloppe ; les deux cylindres moyen e
sur son épaisseur. Le lieu le plus épais répondait au cul-de-sac que
forme
le cylindre central au moment où il se réfléchit
tions, dont l'une, principale, longue de huit à neuf pouces, avait la
forme
d'un boudin recourbé sur lui-même à son extrémité
point où le cylindre central est étranglé par le repli annulaire que
forme
la duplicature des cylindres moyen et externe, do
ue je considère comme des cicatrices d'ulcérations : on y remarque la
forme
irrégulière de ces pertes de substance; le défaut
doivent être classés parmi les lésions susceptibles de guérison. La
forme
ulcéreuse est une des formes les plus fréquentes
es lésions susceptibles de guérison. La forme ulcéreuse est une des
formes
les plus fréquentes de l'entérite folliculeuse ai
tance, débordant en tous sens les follicules agminés, prend une autre
forme
, s'étend suivant la circonférence de l'intestin,
tant que possible, si bien que le tissu nouveau de la cicatrice ne se
forme
que lorsque la peau circonvoisine a atteint, en q
e manière avec le pourtour de l'ulcère muqueux, dont la circonférence
forme
un bourrelet ou rebord lacinié, frangé, sous lequ
s inférieur [de l'intestin grêle et représentaient exactement pour la
forme
et pour le siège « les ulcérations de la fin de l
cer-« taine distance, en sorte que les taches noires présentaient des
formes
irrégulières qui « semblaient les éloigner de la
sentaient des formes irrégulières qui « semblaient les éloigner de la
forme
normale des follicules agminés. Le gros intestin
tin, au contraire, est le siège d'une lésion extrêmement grave, d'une
forme
assez peu commune, ce qui m'a décidé à la faire r
urs. Je dirai seulement ici que cet érysipèle affecte très souvent la
forme
erratique, qu'il envahit successivement toutes le
onces. J'ai vu des malades présentant des érysipèles erratiques, sous
forme
typhoïde, avec fuliginosité, prostration extrême,
espérais. Aucun érysipèle n'a été limité par cette application. La
forme
d'entérite représentée pl. 3, mérite encore de fi
isible quand cette cause morbide n'est pas épuisée. Ainsi, dans cette
forme
de pneumonie, que j'ai cru devoir désigner sous l
je diagnostiquai sans hésiter une entérite folliculeuse pustuleuse (
forme
ataxique ). Je prescrivis 20 sangsues aux jugul
asculaire sensible, sans ulcération. Entre ces plaques pustuleuses de
forme
et d'étendue si diverses, se voyaient des granula
l'ai mentionné pag. 7), à l'occasion de l'entérite folliculeuse sous
forme
pustuleuse. Constamment, à cette forme anatomique
e l'entérite folliculeuse sous forme pustuleuse. Constamment, à cette
forme
anatomique de phlegmasie correspondent des symptô
e anatomique de phlegmasie correspondent des symptômes cérébraux sous
forme
délirante, qui emportent le malade en quelques jo
e; cependant il est vrai de dire que les entérites folliculeuses sous
forme
délirante les plus intenses et le plus rapidement
ment et plus généralement envahis. Je dois dire également que cette
forme
primitivement ataxique de l'entérite folliculeuse
mation folliculeuse des intestins ne serait que l'expression. Cette
forme
ataxique de l'entérite folliculeuse primitive est
les, remarquables par leur grand développement, se présentent sous la
forme
de granulations sphéroïdales sans pertuis. On sai
ne livraison), j'ai admis l'entérite pseudo-membraneuse comme une des
formes
anatomiques de la maladie connue de nos jours sou
; on y voit la corrugation de l'intestin ou plutôt de la muqueuse qui
forme
des plis peu réguliers, et qui est incomplètement
ions. 1. La dysenterie se présente rarement dans nos climats sous une
forme
aussi grave que dans les cas précédens; ce n'est
euse rectale, occupait le colon? Je ne le pense pas ; en sorte que la
forme
dysentérique de la phlegmasie de la muqueuse du g
de toute la muqueuse du gros intestin. 5. La dysenterie est une des
formes
d'entérite qui se manifeste le plus souvent à la
lles la dysenterie a, dès son début, si je puis m'ex-primer ainsi, la
forme
chronique. Pendant que j'habitais Limoges, j'ai é
e. Il y a ulcération de la muqueuse, et l'ulcération affecte diverses
formes
, présente plusieurs degrés. J'ai vu des cas dans
ent parfaitement à travers les parois abdominales , amaigries sous la
forme
d'une grosse corde , noueuse, mobile, que je pouv
même légère, mais incomplètement guérie, comme la source de plusieurs
formes
de ces états de langueur générale, de dépérisseme
i-même. Presque toujours, au contraire, ce cancer se présente sous la
forme
ulcéreuse, et détruit successivement couche par c
les points de la hauteur de l'intestin : il peut affecter toutes les
formes
possibles de dégénération. Ordinairement primitif
s-ci étaient comme disséquées et séparées les unes des autres sous la
forme
de brides circulaires et longitudinales, disposit
ammation chronique ou bien d'une dégénération cancéreuse. Quant aux
formes
du cancer rectal, aucune des formes du cancer ne
énération cancéreuse. Quant aux formes du cancer rectal, aucune des
formes
du cancer ne lui est étrangère. J'ai vu plus fréq
colon se dessinait à travers les parois abdominales amincies sous la
forme
de bosselures extrêmement considérables. A chaque
hors des réservoirs qui le contiennent dans l'état naturel, la nature
forme
sur-le-champ une membrane muqueuse, qui, d'abord
au cancer gélatiniforme, que je suis fondé à considérer comme une des
formes
les plus fréquentes, sinon la plus fréquente, du
ssés les uns contre les autres, en sorte qu'on pourrait appeler cette
forme
de cancer, cancer gélatiniforme enkystée. L'anu
iforme est le plus fréquent de tous les cancers du canal digestif. La
forme
enkystée ne devra pas surprendre, si on admet que
petits tubercules du foie fussent de même nature. L'existence d'une
forme
de tubercules excessivement petits, parfaitement
chargée de verser le sang que rapporte au foie une grosse veine, qui
forme
à elle seule la moitié du sang de la veine-porte.
ion. On remarquera, en outre, que les acéphalocystes présentaient des
formes
très variées qui résultaient probablement des pre
ductions libres avaient été soumises. Au reste, cette irrégularité de
forme
ne prouve pas plus le défaut de vitalité, que leu
égularité de forme ne prouve pas plus le défaut de vitalité, que leur
forme
, si régulière dans d'autres cas, ne prouve cette
roéminent à la surface convexe du foie était réduit au volume et à la
forme
d'une petite noix. Il était multiloculaire; ses p
és des tubercules reconnaissables moins par leur densité que par leur
forme
globuleuse, et surtout par le suc cancéreux dont
tif du poumon se manifeste généralement de deux manières ou sous deux
formes
distinctes : i° tantôt sous celle de grosses mass
de cholestérine. Réflexions._i ° De V influence des corsets sur la
forme
du foie. — La figure i montre un des effets des
foie qui est restée à sa place accoutumée participe aux changemens de
forme
qu'a subis la portion déplacée : elle soulève le
atomie descriptive, et qui m'ont fait dire que le foie n'avait pas de
forme
particulière, mais que cette forme était détermin
it dire que le foie n'avait pas de forme particulière, mais que cette
forme
était déterminée par les organes environnans, sur
e du foie qui proéminait à l'épigastre et dans le flanc droit sous la
forme
d'une tumeur sphéroïdale, ne pouvaient laisser au
très longue pour isoler du milieu de ces parties la vésicule sous la
forme
d'un petit kyste à parois excessivement épaisses,
ngé, là vert foncé, ailleurs verdâtre. Ces petits foyers n'ont pas de
forme
déterminée : les uns semblent formés par une radi
mais encore toute l'épaisseur de cet organe. On peut apprécier leurs
formes
diverses, leurs différences de volume, leur textu
ique paraît avoir, à un degré bien plus considérable que les autres
formes
de cancer, le triste privilège de se développer s
supérieur du médiastin ; i° lorsque le corps thyroïde qui en général
forme
un canal qui se moule sur la trachée, exerce une
e ? Les deux choses sont possibles: je n'ai rencontré que la dernière
forme
d'hydrocèle cervicale. Rien d'ailleurs ne serait
très considérable, et la moindre pression le faisait suinter, sous la
forme
d'une bouillie rosée. Au milieu de ce tissu se vo
ie est la suite inévitable de cet engouement [œdème du poumon) qui se
forme
souvent en quelques heures. Or, la sérosité vésic
Réflexions. Les plaques cireuses de la surface du poumon sont une des
formes
les plus ordinaires du cancer consécutif de cet o
éritoine indépendant de toute lésion des viscères dont cette membrane
forme
le tégument séreux. Je possède même un cas fort c
céphalocystes expectorés avec des fragmens pseudo-membraneux; mais la
forme
tubuleuse des [fausses membranes, la différence d
Il est donc plus que probable que la portion de membrane séreuse qui
forme
Je sac herniaire est une membrane de nouvelle for
s des muscles intercostaux, et précédé par la plèvre costale, qui lui
forme
un sac herniaire? Ou bien, semblable aux éventrat
neumonie du fœtus; j'ai montré qu'elle pouvait se présenter sous deux
formes
, tantôt sous la forme lobulaire, tantôt sous la f
montré qu'elle pouvait se présenter sous deux formes, tantôt sous la
forme
lobulaire, tantôt sous la forme ordinaire; j'ai m
nter sous deux formes, tantôt sous la forme lobulaire, tantôt sous la
forme
ordinaire; j'ai même dit que c'était chez les fœt
ma position à la Salpétrière me permettant de la voir sous toutes ses
formes
, et mon esprit étant sans cesse préoccupé de la p
ds. La pneumonie des vieillards ne se présente pas toujours sous la
forme
franchement inflammatoire qui la caractérise chez
ennes. La pneumonie des vieillards se présente très souvent sous la
forme
adynamique: prostration , stupeur, irascibilité,
pas ne pas croire que la pneumonie datait de vingt-huit jours, que sa
forme
latente l'avait fait méconnaître , qu'on s'était
ue totalité de son étendue: il est volumineux,extrêmement pesant. Ses
formes
sont parfaitement dessinées et représentent celle
nt que j'ai rencontré plusieurs fois, dans certaines pneumonies, sous
forme
adynamique ou typhoïde. Ce n'était point la gangr
ction d'un certain nombre de lobules ou de portions de lobules. Cette
forme
est propre au sommet du poumon. Ala même forme se
ions de lobules. Cette forme est propre au sommet du poumon. Ala même
forme
se rapportent les dépressions ombiliquées, consti
use blanche ou noire, de laquelle partent comme des radiations. Cette
forme
s'observe sur tous les points de la surface du po
ré du tissu pulmonaire malade par une membrane celluloso-fibreuse qui
forme
une espèce de barrière à l'envahissement de la dé
sang concret arrondi en globules ou diversement configuré suivant la
forme
des aréoles ou cellules dans lesquelles il est
'à celui d'un gros pois, présentant d'ailleurs toutes les variétés de
forme
et d'aspect des phlébolithes si communs dans les
médiaires. C'est aussi la première fois que je lui vois affecter la
forme
de petites tumeurs sphéroïdales bien circonscrite
xxxe livraison) présente une multitude de tumeurs variqueuses sous la
forme
de petites masses bleuâtres, molles, flétries, s'
u, à travers la transparence de laquelle elles apparaissaient sous la
forme
de taches bleuâtres : ce n'étaient pas des tumeur
ines : ce sont les varices par dilatation simple et uniforme. Cette
forme
de varices peut s'expliquer de deux manières, ou
eutique de cette maladie; ainsi aux toniques employés sous toutes les
formes
, à l'intérieur et à l'extérieur, Dupuytren a subs
plus considérables, c'est là qu'on peut les étudier sous toutes leurs
formes
et à tous leurs degrés; c'est là qu'on peut bien
e. Cette membrane interne est lacérée dans un ou plusieurs points, et
forme
des ulcères à bords déchiquetés qui reposent sur
t, M. Denonvilliers établit que cet anévrysme, bien que présentant la
forme
propre aux anévrysmes par rupture, a cependant ét
la vie; mais l'anévrysme lui-même n'avait pas été soupçonné; il était
forme
XXVHl* LIVRAISON. 3 de la manière suivante :
hémorrhagie par rupture de la poche. L'aorte représente assez bien la
forme
d'un estomac dont le grand cul-de-sac répondrait
artie moins considérable de la circonférence de l'artère, il prend la
forme
des bosselures représentées pl. i, i, 3, et alors
illant sur une grande surface ; voici, du reste, de quelle manière se
forme
le rétrécissement annulaire qui constitue le coll
e à gauche qu'à droite. Vu à l'intérieur, le rétrécissement avait une
forme
circulaire très régulière. Son diamètre était cel
sommet du ventricule droit. Le ventricule gauche avait d'ailleurs une
forme
sphéroïdale. La fig. 1 représente le ventricule
e ouvert par une section horizontale. On voit que le ventricule droit
forme
une espèce d'appendice du ventricule gauche sur l
st le premier effet d'une inflammation des vaisseaux. Le sang coagulé
forme
quelquefois une digue suffisante pour préserver l
élasticité. On voit que la portion ventriculaire du cœur présente une
forme
sphéroïdale, c'est-à-dire qu'elle s'est développé
ellent mémoire intitulé : Recherches dy anatomie pathologique sur une
forme
particulière de dilatation et d'hypertrophie du c
Ici la graisse est encore plus abondante que dans ce dernier cas, et
forme
une couche plus épaisse, qui s'étend en diminuant
autant que possible. Le thorax ouvert, apparaît le péricarde sous la
forme
d'un sphéroïde bleuâtre ou violacé, qui touche im
nu est d'abord rudimentaire, et le pus en partie infiltré; puis il se
forme
une poche à parois grenues commedans les abcès or
,dont une principale, remplissait exactement la petite excavation qui
forme
le sommet du cœur. La petite racine était pleine,
, percé à son centre d'un trou très régulièrement circulaire,ayant la
forme
et les dimensions d'une lentille. Ce diaphragme,
videmment formé aux dépens de ces valvules. La fig. 2 représente la
forme
insolite du cœur, forme insolite qui tient à ce q
ns de ces valvules. La fig. 2 représente la forme insolite du cœur,
forme
insolite qui tient à ce que le ventricule droit a
, chez beaucoup de sujets, l'adhésion du bord libre de la valvule qui
forme
le fond de la fosse ovale, n'étant pas complète,
polypiforme du coeur ne doit pas plus étonner que les tumeurs de même
forme
et de même nature naissant du péritoine ou des su
; mais ces granulations miliaires, qui ne sont autre chose qu'une des
formes
de la fausse membrane, diffèrent essentiellement
ec la nature carcinomateuse delà maladie, mais bien avec le siège, la
forme
de la tumeur, son volume, et la direction suivant
mes de verre, m'a . présenté une multitude de petites granulations de
forme
diverse, les unes sphéroïdales, les autres oblong
a substance médullaire du cerveau, ne peuvent pas rendre compte de la
forme
paraplégique de la maladie. Toutefois on ne saura
ontanés , un mode particulier de cicatrice? Est-ce une des nombreuses
formes
de dégénération cancéreuse par masses disséminées
mais l'absence de myotilité; car ce chatouillement est perçu sous la
forme
de douleur. Je n'ai pas noté chez cette malade la
lésions ou compressions de la moelle peuvent même se manifester sous
forme
hémiplégique, par exemple, lorsque la partie supé
i'), la dégénération grise apparaît dans toute son évidence, sous la
forme
de taches T, T,T, plus ou moins considérables. On
éanmoins distincts, pourvus de leurs gaines, etreconnaissables à leur
forme
et à leurs disposition fascicu-lée. Plusieurs mus
rrhagie constitue de petits noyaux pisiformes, tantôt le sang épanché
forme
des stries disposées linéairement suivant la dire
là ne sont pas mortels, et ce n'est que lors de la coïncidence de ces
formes
légères d'apoplexie de la protubérance avec d'aut
onvolutions de l'hémisphère gauche. C'est bien plus souvent sous la
forme
épileptique ou convulsive que sous la forme apopl
bien plus souvent sous la forme épileptique ou convulsive que sous la
forme
apoplectique que se manifestent les accidens céré
s est remplacée par une pellicule jaunâtre. La substance blanche, qui
forme
le centre ou noyau du lobe occipital, présente, i
c'est l'apoplexie capillaire à son minimum, Y apoplexie capillaire à
forme
sablée. Réflexions. Ce cas établit l'analogie q
e du corps strié, Vautre d'une circonvolution.—Apoplexie capillaire à
forme
sablée.— Multitude de cicatricules miliaires.— Ci
ers, le sang est épanché hors de ses réservoirs. Quelle que soit la
forme
sous laquelle elle se montre, l'apoplexie capilla
La perforation du crâne, par laquelle s'échappait la tumeur, avait la
forme
et les dimensions du trou occipital. La tumeur a
voit que cette partie supérieure est formée de deux corps inégaux en
forme
et en volume , qui ne ressemblent nullement aux a
ale, on voit apparaître et s'allonger le corps du cysticerque sous la
forme
d'un petit corps cylindrique qui rentre au dedans
i n'a pas été faite, j'ai cru utile de publier ce fait à raison de la
forme
insolite de la poche, remplie par le liquide. On
ue le pus trouvé dans la cavité crânienne, dans le cas d'otorrhée, se
forme
primitivement dans la caisse et pénètre à travers
cette tumeur, du poids de 85 grammes, représentait exactement pour la
forme
, le volume et même la consistance, la tumeur repr
Du reste, dans cette partie indurée, qui conservait incomplètement la
forme
primitive, il n'y avait plus de distinction entre
le cas actuel, la destruction de toute cette portion du cerveau, qui
forme
la paroi inférieure de la portion réfléchie du ve
onnent lieu au développement d'une odeur spécifique de la matière qui
forme
les cors aux pieds. ce Analyse. —• Une macérati
plus de séparation; mais en portant la liqueur à l'ébullition, il s'y
forme
aussitôt des ce flocons abondans dont la matière
. Tncinérée, elle donne 0,015 de résidu dont le phos-« phate de chaux
forme
la presque totalité. « Les connaissances imparf
ces savans ont vaguement désigné sous le nom d'albumine oxygénée, qui
forme
, selon eux, la « totalité de l'épiderme, des ongl
coupée, elle aurait, comme toutes les productions cornées, affecté la
forme
d'une corne à base adhérente et aurait été plus o
adhérente et aurait été plus ou moins contournée sur elle-même. Sa
forme
est celle d'un bulbe, légèrement aplati sur les c
édé. Les premières coupes donnèrent des fragmens cornés très (1) La
forme
et la disposition de la corne de François Trouill
poule sur le sommet de laquelle se trouvait une production cornée en
forme
d'ergot. Cette tumeur, qui était située à la joue
rale avec un rasoir mal affilé. Il survint une excroissance cornée de
forme
conique, un peu contournée sur elle-même, composé
t la plus petite au sommet, de manière à donner à ces concrétions une
forme
pyramidale. Un des cas les plus curieux de prod
, comme s'ils n'étaient pas porteurs du virus syphilitique. Une des
formes
les plus fréquentes de l'infection, de la cachexi
es de l'infection, de la cachexie cancéreuse, c'est sans contredit la
forme
tuberculeuse. J'en ai déjà décrit et figuré plusi
cachexies, suite de cancer mammaire, la dégénération cancéreuse sous
forme
tuberculeuse pouvait se manifester dans toutes le
ouvait se manifester dans toutes les parties du corps. Du reste, la
forme
tuberculeuse du cancer est rarement primitive. Un
rophie. L'atropbie des nerfs présente plusieurs degrés et plusieurs
formes
bien distinctes. L'atrophie se juge, non d'après
é de volume; mais il le faut bien, puisque la réunion de ces filamens
forme
un volume moindre que dans un nerf qui n'a pas ét
pourrait, en déplaçant les granulations, concourir aux changemens de
forme
que présente cette glande. Sous ce rapport, le dé
tion des lobules et ne venant pas butter contre la soupape unique que
forme
si souvent le lobe moyen prostatique hypertrophié
, c'est l'existence d'une eschare contenue dans la vessie et ayant la
forme
de la face interne de laquelle elle s'était détac
habile. Etat local. Urines toujours troubles et purulentes. Le pus
forme
la moitié du liquide rendu et se dépose par le re
ontenait un calcul brisé en deux fragmens, dont le supérieur avait la
forme
d'un cône. Le fragment inférieur qui a été dessin
se prolonger dans les calices , de manière à présenter assez bien la
forme
rameuse du corail ou d'un polypier. C'est ce que
eur. Cette tumeur était formée aux dépens du rein, dont elle avait la
forme
. Son volume était de trente à quarante fois plus
ein. Dans ce sac commun, il y avait quatre calculs du volume et de la
forme
d'une grosse noisette, flottans librement dans ce
étendu d'eau. Il en est de même des clavicules qui ont conservé leur
forme
, leur double courbure et leur longueur, mais qui
la moitié antérieure de leur longueur. La partie carnifiée a la même
forme
et un peu plus de grosseur que la partie non carn
rfait d'intégrité. Le tibia n'a éprouvé aucun changement ni dans sa
forme
ni dans son volume; sa partie moyenne est carnifi
ches les plus profondes. Aux extrémités de l'os, la dégénération a la
forme
de tubercules ou petites masses irrégulières, occ
était pénétré de suc cancéreux peu abondant. Le cancer fibreux est la
forme
la plus commune du cancer des os. explication d
tive. Fig. i. La peau était mobile sur la tumeur qui présentait une
forme
sphéroïdale, et qui était lobu-leuse et enkystée.
e description détaillée est xxvie livraison. i une des nombreuses
formes
des maladies connues sous le nom de cancer des ma
e nom de cancer des mamelles ; mais quel rapport y a-t-il entre cette
forme
et la forme ulcéreuse, atrophique, entre les cara
cer des mamelles ; mais quel rapport y a-t-il entre cette forme et la
forme
ulcéreuse, atrophique, entre les caractères analo
ande mammaire; dans tous les cas, leur circonscription parfaite, leur
forme
sphéroïdale, leur consistance, leur mobilité, leu
n une membrane fibreuse surmontée par un certain nombre de lobules de
forme
pyramidale. Indépendamment de cette cavité cent
iquide synovial. Certes, cette altération ne ressemble à aucune des
formes
cancéreuses généralement décrites. On l'a appelée
compriment le nerf médian. Les autres organes étaient sains. i° La
forme
du cancer. — La forme dure et atrophique du cance
dian. Les autres organes étaient sains. i° La forme du cancer. — La
forme
dure et atrophique du cancer, est-elle propre aux
raient f indiquer. Mais je viens d'observer un cas qui établit que la
forme
encéphaloïde la plus aiguë, si je puis m'exprimer
ne ordinairement de tubercules cutanés plus ou moins multipliés. 4°
Forme
tuberculeuse du cancer.—La forme tuberculeuse du
tanés plus ou moins multipliés. 4° Forme tuberculeuse du cancer.—La
forme
tuberculeuse du cancer a beaucoup fixé l'attentio
ltat du développement du cancer de la plèvre,qui se manifeste sous la
forme
de plaques cireuses, c'est-à-dire de plaques blan
igures dans lesquelles je ferai connaître les principales variétés de
forme
et de siège qu'elle présente. Heureux si l'étude
utérus, au voisinage de la muqueuse, est celui où la couche mince qui
forme
la coque de la tumeur du côté de la cavité utérin
ifficile dans l'état actuel de la science; car ils ont tous deux même
forme
, même aspect, même consistance; cependant l'exame
sse qu'acquièrent quelquefois les corps fibreux; i° aux changemens de
forme
et de rapports que subit l'utérus au milieu duque
ive des fragmens plus profondément situés. i° Sous le rapport de la
forme
qu'affecte l'utérus qui est le siège du développe
te l'utérus qui est le siège du développement de corps fibreux, cette
forme
est des plus bizarres, lorsque les corps fibreux
le siège du développement d'un seul corps fibreux, alors il prend une
forme
sphéroïdale tout-à-fait semblable à celle de l'ut
rin ramolli devient en quelque sorte ductile et se prête à toutes les
formes
imaginables. J'ai vu, dans ce cas, des utérus con
, se détache aisément à l'aide du manche du scalpel, s'effile sous la
forme
de vermicelle par une pression latérale, ou est e
ueux, si on lacère avec non moins de précaution le réseau veineux qui
forme
en quelque sorte la trame de ce conduit, on voit
ité inférieure présente un renflement considérable, et dont la cavité
forme
un canal étroit et régulier. G° Derrière l'utér
vessie, pour peu que le déplacement de celle-ci soit considérable, et
forme
un cul-de-sac qui est toujours de beaucoup au-des
museau de tanche étant très rétrécie, l'utérus présente assez bien la
forme
d'une calebasse. Du reste, l'hypertrophie du muse
a pression exercée sur les bords de la coupe faisait suinter, sous la
forme
de vermisseaux, le suc cancéreux épais contenu da
ence de ce suc dans le système capillaire veineux. Réflexions. — La
forme
du cancer dans laquelle l'utérus est transformé e
en un tissu spongieux d'où l'on fait suinter par la pression, sous la
forme
de vermisseaux, un suc cancéreux plus ou moins co
eprésente une sorte de feutre ou de tissu aréolaire caverneux , cette
forme
, dis-je, qu'on pourrait appeler cancerpultacéaréo
collatéraux qui sont considérablement dilatés et dans lesquels ce suc
forme
des espèces de foyers. Cancer de l'utérus , de
droite. Elle avait cinq pouces de longueur sur quatre de largeur. Sa
forme
était celle d'une pyramide à trois faces. L'une d
ueuse, plissée longitudinalement dans toute la longueur de l'uretère,
forme
en outre deux replis ou diaphragmes extrêmement r
e induration chondroïde du tissu cellulaire du bassin? Est-ce une des
formes
.du cancer, la forme squirrheuse à son maximum.de
de du tissu cellulaire du bassin? Est-ce une des formes.du cancer, la
forme
squirrheuse à son maximum.de développement? Je n'
à l'œdème, étaient un des effets de la phlébite, et constituaient la
forme
que j'ai désignée ailleurs sous le titre de phléb
se lie presque toujours à des lésions viscérales. Relativement à la
forme
du cancer qui fait le sujet de cette observation,
couches internes du tissu utérin aux couches les plus externes; cette
forme
, ou plutôt ce mode d'envahissement du cancer est
omptions; car cette exploration ne peut résoudre que des questions de
forme
, de volume, et jusqu'à un certain point de consis
squ'à un certain point de consistance ; et les notions relatives à la
forme
, au volume et à la consistance des organes, ne pr
e je ne pourrais le faire par une description, toutes les variétés de
forme
et d'aspect que présentent les cellules, qui form
ur épaisseur une sorte de gâteau aréolaire représentant assez bien la
forme
et l'aspect du placenta. Une femme de la Salpét
e dans l'intérieur de la cellule ouverte, de manière à lui donner une
forme
euboïde. Les parois de ces cellules étaient trè
du kyste contenaient dans leur épaisseur un gâteau aréolaire ayant la
forme
, l'aspect et le volume du placenta. Ce gâteau aré
che l'extrémité pelvienne; que la tête, relativement très développée,
forme
la portion la plus considérable du squelette ; qu
obes du foie étaient à-peu-près égaux en volume et semblables pour la
forme
. Cœur. — Les deux figures 2 et 3 représentent l
environnantes, et ne subit plus impunément que lui des changemens de
forme
par le fait soit de pressions extérieures, soit d
Ie LIVRAISON.) Cancer gela Uniforme de V estomac et du péritoine. —
Forme
tuberculeuse du cancer du péritoine. Je n'ai au
titude innombrable de granulations et de tubercules variables pour la
forme
et le volume: ici disséminés, lenticnlaires, pisi
itif de la maladie. Le cancer consécutif se manifeste toujours sous
forme
granuleuse ou tuberculeuse; le cancer primitif af
use ou tuberculeuse; le cancer primitif affecte le plus souvent cette
forme
, mais, dans d'autres cas, il se présente sous l'a
ncéphaloïde; cependant il n'est pas rare devoir ce cancer affecter la
forme
aréolaire et gélatiniforme. Enfin, j'ai vu le can
c et du péritoine. Cancer gélatiniforme de l'estomac et du péritoine.
Forme
tuberculeuse du cancer du péritoine. Considératio
du corps strié, l'autre d'une circonvolution. Apoplexie capillaire à
forme
sablée. Multitude de; cicalricules miliaires. Cic
rt le cinquième jour après la naissance. 15e liv., pl. 11, p. 2. — La
forme
ataxique de l'entérite folliculeuse primitive est
rophie de l'utérus affecté de corps fibreux. 24e liv., pl. m, p. 5. —
Formes
, degrés et causes de l'atrophie des nerfs. 35e li
-Propos, p. iv. — Mention d'une de ses planches représentant diverses
formes
d'entérite folliculeuse aiguë. 7e liv., pl. i, n,
: définition ; caractères anatomiques; obscurité des symptômes; deux
formes
bien distinctes ; fréquence de cette dégénération
s causes et de son véritable caractère. 12e liv., pl. 11 et m, p. /.—
Formes
générales de cette altération. 12e liv., pl. 11,
un grand nombre d'organes. 19e liv., pl. ni, iv, p. 3. — Les diverses
formes
de cancer peuvent présenter la couleur noire en c
résenter la couleur noire en conservant leurs caractères spécifiques.
Forme
la plus ordinaire du cancer mélanique. 19e liv.,
autre part avec la peau qui entoure l'anus. 25e liv., pl. m, p. 4- —
Formes
et effets du cancer rectal.=Cancer de la partie s
Le cancer mammaire affecte tous les âges. 27e liv., pl. m, p. 2. — La
forme
dure et atrophique du cancer est-elle propre aux
7e liv., pl. m ;p. 4; 31e liv., pl. 11, p. i. — Considérations sur la
forme
tuberculeuse du cancer. 27e liv., pl. m, p. 4.
pl. m, iv, p. 1. — Le cancer des os est rarement primitif. = Une des
formes
les plus fréquentes de l'infection est la forme t
primitif. = Une des formes les plus fréquentes de l'infection est la
forme
tuberculeuse.= Tout cancer mélanique est lié à un
v., pl. n, p. 2. — Cancer gélatiniforme de l'estomac et du péritoine.
Forme
tuberculeuse du cancer du péritoine. 37e liv., pl
vi, p. S. — Méningite sous-arachnoïdienne de la convexité du cerveau (
forme
comateuse). 6e liv., pl. 1,11, p. 4. — Méningite
dienne de la convexité d'un hémisphère survenue chez un hémiplégique (
forme
comateuse). 6° liv., pl. 1, 11, p. 2. — Méningite
u cerveau, m Méningite sous-arachnoïdienne de la base et de la voûte (
forme
comateuse). = Méningite sous-arachnoïdienne de la
t de la base du cerveau, du cervelet et de la protubérance annulaire (
forme
comateuse et adyna-mique). 6e liv., pl. 1, n, p.
u générale, congéniale ou postérieure à la naissance; ses différentes
formes
; diminution pure et simple, ratatinemeui granuleu
e occipiiale gauche. 33e liv., pl. 11, p. 4. — Apoplexie capillaire à
forme
sablée. — Observation. Deux foyers apoplectiques,
du corps strié, l'autre d'une circonvolution. Apoplexie capillaire à
forme
sablée. Multitude de cicatricules miliaires. Cica
TION. Cicatrisation des pertes de substance résultant des différentes
formes
d'entérites folliculeuses aiguës. 7e liv., pl. 1,
stins. 26e liv., pl. vi,p. *. CORSETS. Influence des corsets sur la
forme
du foie. 29e liv., pl. iv, p. i.— Idem, sur la si
nique; la dysenterie incomplètement guérie est la source de plusieurs
formes
de ces étals de langueur générale avec digestion
ent pour siège la fin de l'intestin grêle; elle se présente sous cinq
formes
anatomiques principales : Io forme granuleuse etg
grêle; elle se présente sous cinq formes anatomiques principales : Io
forme
granuleuse etgauffrée. 7e liv., pl. 1, 11, ni, iv
Io forme granuleuse etgauffrée. 7e liv., pl. 1, 11, ni, iv, p. 2.—2°
Forme
pustuleuse. 7e liv. , pl. 1, 11, m, îv, p. 3.— 3°
iv, p. 2.—2° Forme pustuleuse. 7e liv. , pl. 1, 11, m, îv, p. 3.— 3°
Forme
fongueuse ; 4° forme ulcéreuse; 5° forme gangrene
ustuleuse. 7e liv. , pl. 1, 11, m, îv, p. 3.— 3° Forme fongueuse ; 4°
forme
ulcéreuse; 5° forme gangreneuse. 7e liv., pl. 1,1
pl. 1, 11, m, îv, p. 3.— 3° Forme fongueuse ; 4° forme ulcéreuse; 5°
forme
gangreneuse. 7e liv., pl. 1,11, ni, iv, p. 4. — D
forme gangreneuse. 7e liv., pl. 1,11, ni, iv, p. 4. — Dans toutes les
formes
d'eniérite folliculeuse aiguë, les ganglions mése
lammation des follicules; perforations du péritoine consécutives, des
formes
gangreneuse ou ulcéreuse ; fréquente simultanéité
formes gangreneuse ou ulcéreuse ; fréquente simultanéité des diverses
formes
. = Entérite pseudo-membraneuse,- importance des é
5. — Cicatrisation des perles de substance, résultant des différentes
formes
d'entérite folliculeuse primitive aiguë. = Formes
ant des différentes formes d'entérite folliculeuse primitive aiguë. =
Formes
cliniques de l'entérite folliculeuse primitive ai
iguë. = Formes cliniques de l'entérite folliculeuse primitive aiguë :
forme
typhoïde. 7e liv., pl. 1, ii, m, iv, p. 6. — Fo
rimitive aiguë : forme typhoïde. 7e liv., pl. 1, ii, m, iv, p. 6. —
Forme
ataxique. = Entérite folliculeuse sur-aiguë. 7e l
se sur-aiguë. 7e liv., pl. 1, 11, m, iv , p. 7. — Alternaron des deux
formes
, typhoïde et ataxique, forme mixte. 7e liv., pl.
11, m, iv , p. 7. — Alternaron des deux formes, typhoïde et ataxique,
forme
mixte. 7e liv., pl. 1, 11, m, iv, p.7. —Thérapeut
ssance de l'art. - Exemple d'eniérite folliculeuse aiguë gangreneuse (
forme
ataxique); mort le quatorzième jour.= Coïncidence
greneuse (forme ataxique); mort le quatorzième jour.= Coïncidence des
formes
gangreneuse et ataxique. 7e liv., pl. 1, n, m, iv
liv., pl. 1, n, m, iv, p. 18. —Entérite folliculeuse aiguë fongueuse (
forme
ataxique) mortelle en sept jours. 7e liv., pl. 1,
, pl. 1,11, ni, iv, p. 20. — Entérite folliculeuse aiguë gangreneuse (
forme
ataxique), perforation. 7e liv., pl. 1, n, m, iv,
ence. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. 22. — Entérite folliculeuse aiguë (
forme
ataxique). Amélioration pendanl neuf jours ; recr
. 10.—Entérite par plaques gangreneuses. 31e liv., pl. ni, p. /. — La
forme
ulcéreuse est une des formes les plus fréquentes
angreneuses. 31e liv., pl. ni, p. /. — La forme ulcéreuse est une des
formes
les plus fréquentes de l'entérite folliculeuse ai
stuleuse ; correspondance des symptômes cérébraux délirans avec celle
forme
anatomique de phlegmasie; cette forme ataxique de
s cérébraux délirans avec celle forme anatomique de phlegmasie; cette
forme
ataxique de l'enlérile folliculeuse primitive est
iploon. 37e liv., pl. m, p. ô. ÉRYSIPÈLE. Erysipèle puerpéral ; ses
formes
, sa marche, ses caractères et son traitement. 31e
définition ; caractères anatomiques ; obscurité des symptômes ; deux
formes
bien distinctes ; fréquence de cette dégénéralion
pl. 11, m , p. /. — Cancer gélaliniforme de Tesiomac et du péritoine.
Forme
tuberculeuse du cancer du péritoine. 37e liv., pl
, pl. v, p. f. — Aucun organe n'est plus variable que le foie pour la
forme
et le volume. 3e liv., pl. v, p. 3. — Cancer gang
tement du cancer au foie est inconnu. 12e liv., pl. ii, tir,p. *, 8.—
Formes
de celte altéra-ration. 12e liv., pl. n, m, p. .
-ombilicales. 25e liv., pl.v,vi, p. 5. — Influence des corsets sur la
forme
du foie. 29e liv., pl. iv, p. k—Des calculs bilia
, p. — La dysenterie incomplètement guérie est la source de plusieurs
formes
de ces états de langueur générale avec digestion
ustuleuse. Correspondance des symptômes cérébraux délirans avec celte
forme
anatomique de phlegmasie. La forme ataxique de l'
ômes cérébraux délirans avec celte forme anatomique de phlegmasie. La
forme
ataxique de l'entérite folliculeuse primitive est
nique. La dysenterie incomplètement guérie est la source de plusieurs
formes
de ces états de langueur générale avec digestion
ieille femme. — Cancer dur, atrophique chez une femme de 50 ans. = La
forme
dure et atrophique du cancer est-elle propre aux
e. 27e liv., pl. m, p. 4; 31e liv., pl. n,p. 4.—Considérations sur la
forme
tuberculeuse du cancer. 27e liv., pl. m, p. 4-—Do
riculaire.=Mé-ningile sous-arachnoïdienne de la convexité du cerveau (
forme
comateuse) 6e liv., pl. 1, n, p. /. — Méningite s
enne de la convexité d'un hémisphère, survenue chez un hémiplégique (
forme
comateuse ). 6e liv., pl. 1, n , p. 2.—Méningite
u cerveau. = Méningite sous-arachnoïdienne de la base el de la voûte (
forme
comateuse). Méningiie sous-arachnoïdienne de la c
de la base du cerveau, du cervelet et de la protubérance annulaire (
forme
comateuse et adynamique). 5e liv., pl. 1, n , p.
t encore à faire. Sur quoi portent les lésions anatomiques des nerfs.
Formes
, degrés et causes de l'atrophie des nerfs. Altéra
OSTÉOSARCOME. 10? liv., pl. m, iv, p. 2 ; 20e liv., pl. 1, p. 1 .— Sa
forme
la plus fréquente est la dégénération aréolaire g
orations du péritoine consécutives à une entérite folliculeuse aiguë (
forme
gangreneuse ou ulcéreuse). 7e liv., pl. 1, h, m
orations du péritoine consécutives à une entérite folliculeuse aiguë (
forme
gangreneuse ou ulcéreuse). 7e liv., pl. 1, n , mi
., pl. 1, p. 3. — Cancer gélatiniforme de l'estomac et du péritoine :
forme
tuberculeuse du cancer du péritoine. 37e liv., pl
ébite utérine. 4e liv., pl. vi, p. 1. — La phlébite constitue une des
formes
les plus redoutables et les plus fréquentes de la
des vieillards se présente le plus souvent à l'état latent ou sous la
forme
adyna-mique. 29e liv., pl. v, p. 2. — Affinité en
des vieillards se présente le plus souvent à l'état latent ousous la
forme
adynaniique. 29e liv., pl. v, p. 2. —Affinité ent
autre part, avec la peau qui entoure l'anus. 25e liv., pl. m, p. 4-—
Formes
et effets du cancer rectal. = Cancer de la partie
p. 4. — Le sarcocèle épididymaire est la plus fréquente de toutes les
formes
du sarcocèle qui se développent sous l'influence
rine. 4e liv., pl. vi, p. / . — La phlébite utérine constitue une des
formes
les plus redoutables et les plus fréquentes de la
sur le ramollissement des corps fibreux. 24e liv., pl. 1, n, p. 3. —
Formes
qu'affecte l'utérus siège du développement de cor
stème nerveux, de la syphilis, du tabes qui d'ailleurs n'est qu'une
forme
de la syphilis nerveuse, de diverses autres inf
attire seulement votre attention sur un trouble qui parait être une
forme
de cette asynergie, localisée dans l'appa- reil
érieurs, et enfin je fais palper par le malade des objets ayant des
formes
diverses. Si je n'en obtiens pas une réponse im
odification dans son intensité, mais aussi une perturbation dans sa
forme
. II DU PHÉNOMÈNE DES ORTEILS ET DE SA VALEUR
n particulier du gros orteil. Je désigne cette modification dans la
forme
du mouvement réflexe sous la dénomi- nation de
us prononcée. Le phénomène des orteils peut se présenter sous des
formes
frustes, c'est-à-dire que le réflexe plantaire
e cette névrose se fut manifestée par des troubles de la motilité à
forme
hémiplégique ou à forme paraplégique, par de la
anifestée par des troubles de la motilité à forme hémiplégique ou à
forme
paraplégique, par de la paralysie flasque ou pa
es orteils, on s'aperçoit immédiatement que cette inversion dans la
forme
du réflexe cutané plantaire est liée à des affe
du réflexe « légitime » le « faux » mouvement réflexe. Outre que la
forme
de ce dernier n'est pas identique à celle du pr
s du tabes se présentent, au moins à une certaine période, sous une
forme
asymétrique. L'irréflectivité on vient de le vo
ure indéfiniment la seule manifestation clinique du tabès. D'autres
formes
de la maladie se traduisent par des douleurs ful-
s, dès le début, une abolition de tous les réflexes ; dans d'autres
formes
où l'évolution est lente, l'irré- flectivité s'
fé- rences en ce qui concerne l'irréflectivité. Cependant certaines
formes
déterminent de préférence l'abolition de tel ou
t souvent difficile à affirmer. Le diagnostic différentiel de cette
forme
d'avec la pseudo-scia- tique (névralgie hystéri
ÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 55 La névrite radiale, dans la
forme
que j'ai décrite('), est caractérisée par des d
e, à du tabes. Pour mettre ce trait en évidence, j'ai désigné cette
forme
de spondylose sous la dénomination de « pseudo-
ans un assez grand nombre de cas, une trépidation identique dans sa
forme
à celle qui dépend d'un état pathologique. Je f
Une fois constituée, l'exagération des réflexes tendineux, dans la
forme
d'hémiplégie dont nous nous occupons, ne subit
endant une période plus ou moins longue, se comporter comme dans la
forme
habituelle dont il a été question précédemment.
ession lente, contraire- ment à ce que l'on observe dans les autres
formes
d'hémiplégie, la surré- flectivité n'est jamais
ù les faisceaux pyramidaux sont intéressés, quelque autre espèce ou
forme
de contracture qui ne dépende pas de la surréfl
ès dorsal spasmodique, consacrée par l'usage, étant appliquée à une
forme
de paraplégie où la contracture est remarquable
érés et les faisceaux pyramidaux sont intacts. e) Voir : a) Sur une
forme
de paraplégie spasmodique consécutive à une 'lési
(Ibid., g mai 1912). RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 83 la
forme
précédente ; elle est sujette à des variations fr
neuses. Je ne m'étendrai pas sur les lésions qui déterminent cette
forme
de para- plégie ; qu'il me suffise de dire qu'i
ce jour. Je reviens à la clinique. La rigidité musculaire de cette
forme
de para- plégie constitue bien une contracture
si une contracture différente, il est vrai, de la précédente par sa
forme
déterminée par des lésions ner- veuses centrale
irmées sur tous les points par plusieurs neurologistes ('). Cette
forme
de contracture, surtout commune aux membres infér
les réflexes cutanés de défense dont elle parait dépendre, comme la
forme
habituelle de la contracture dépend de la surré
Pour mettre ces traits en évidence et pour donner à chacune de ces
formes
de contracture qui peuvent d'ailleurs s'associe
bles. Elles m'ont prouvé que la suggestion, quelles qu'en soient la
forme
et la durée, est sans action sur les réflexes t
e se modifier notable- ment dans leur intensité ainsi que dans leur
forme
, non seulement du jour au lendemain, mais même
pied et de la main ; lorsque les jambes sont pendantes, l'angle que
forme
le pied avec la jambe est plus grand du côté para
fférents : d'une part un mouvement ayant une amplitude égale et une
forme
identique à celle d'un réflexe normal (réflexe te
oter simplement son degré d'intensité, on prend en considération sa
forme
. J'ai montré, il y a déjà plusieurs années, qu'
e « phénomène des orteils » cette modification pathologique dans la
forme
du mouvement réflexe et j'en ai donné une descrip
est en contact avec la paume de la main. Pour donner une idée de la
forme
de la contracture hystérique, je dirai qu'une con
est sous la dépendance de la lésion d'un système anatomique, a une
forme
spéciale que la volonté ne peut réaliser et qu'
on de la plante du pied subit ordinairement une inversion dans sa
forme
; les orteils, au lieu de se fléchir, s'étenden
orteils, appartient à toutes les périodes de l'hémiplégie. 8" La
forme
de la contracture a un aspect particulier et ne
l'excitation de la plante du pied ne subit pas d'inversion dans sa
forme
. Le phé- nomène des orteils fait défaut. 8° L
sion dans sa forme. Le phé- nomène des orteils fait défaut. 8° La
forme
de la contracture peut être reproduite par une
, de se modifier rapidement dans leur intensité ainsi que dans leur
forme
, de présenter des rémissions transitoires pou
s de défense du membre inférieur. Mais ils peuvent varier dans leur
forme
, leur rapidité, leur amplitude et dans l'étendu
ques, comme nous l'avons déjà indiqué, sont identiques quant à leur
forme
aux mouvements réflexes de défense « provoqués »
gérés et c'est peut-être là le caractère le plus essentiel de cette
forme
de paraplégie. Le lien qui unit ces deux phénom
il était nécessaire de faire une subdivision et de distinguer deux
formes
de rigidité musculaire qui souvent, il est vrai
i souvent, il est vrai, s'associent l'une à l'autre. L'une de ces
formes
est constituée par la contracture vulgaire en rel
neux ; on peut l'appeler contracture tendino-ré flexe . La deuxième
forme
de contracture se différencie principalement de l
tre qui fasse mieux ressortir le contraste essentiel entre les deux
formes
de contracture en question. Elle remplit d'ailleu
ta4 SÉMIOLOGIE blit d'une manière frappante le lien qui unit cette
forme
de contracture à l'exagération des réflexes de
tés en clinique neurologique et n'ayant pas la vision précise de la
forme
des mouve- ments réflexes pathologiques seraien
. 4"3. (2) Société médicale des Hôpitaux, ac5y), P. V ? : v Sur une
forme
de paraplégie spasmodique consé- cutive 1l une
on de ces réflexes, ainsi que cela se voit assez souvent dans cette
forme
de paraplégie. » e,) Revue Neurologique, '912,
problème. L'intensité des réflexes de défense et les diversités de
forme
qu'ils présentent sont-elles en rapport avec l'in
férieurs, soit dans les deux et, alors, tantôt ils revêtent la même
forme
des deux côtés, tantôt ils donnent lieu à une f
euvent être pro- voqués même par des excitations très légères. Leur
forme
varie suivant la position des membres et l'endr
façon la plus indis- cutable, au cours de la sclérose en plaques à
forme
spasmodique et de la syringomyélie. « Voici c
re. Mes observations m'ont conduit à assigner à chacune de ces deux
formes
de paraplégie, celle en extension et celle en f
cependant cette stabilité n'atteint guère le même degré que dans la
forme
précédente ; elle est sujette à des variations fr
euses. « Je ne m'étendrai pas sur les lésions qui déterminent cette
forme
de paraplégie ; qu'il me suffise de dire qu'il
e jour. « Je reviens à la clinique. La rigidité musculaire de cette
forme
de para- plégie constitue bien une contracture
si une contracture différente, il est vrai, de la précédente par sa
forme
déterminée par des lésions nerveuses centrales
nfirmées sur tous les points par plusieurs neurologistes. « Cette
forme
de contracture, surtout commune aux membres infér
les réflexes cutanés de défense dont elle parait dépendre, comme la
forme
habituelle de la contracture dépend de la surré
Pour mettre ces traits en évidence et pour donner à chacune de ces
formes
de contrac- tures qui peuvent s'associer une dé
n.o ? é flexe et celui de cutanéo-réflexe à l'autre. » A côté des
formes
types, il y a des formes qu'on pourrait appeler i
de cutanéo-réflexe à l'autre. » A côté des formes types, il y a des
formes
qu'on pourrait appeler inter- médiaires où l'on
et guérie à la suite de l'intervention chirurgicale. Cette dernière
forme
comporte un pronostic moins sévère que la paraplé
nseurs et les fléchisseurs forment deux groupes soumis chacun à une
forme
spécifique d'activité réflexe ; elle est tonique
celui RÉFLEXES DE DEFENSE 155 des extenseurs soumis chacun à une
forme
spécifique d'activité réflexe : les réflexes d'
omatique et de telle façon que ces divers mouvements sont dans leur
forme
subor- donnés les uns aux autres. Ceux-ci son
provoque momentanément une contrac- ture en flexion reproduisant la
forme
de paraplégie spasmodique que j'ai décrite réce
constate une dilatation de l'aorte ascendante, se présentant sous la
forme
d'un tronc de cône dont la base se confond avec
, , séance du g novembre 1899. désire entretenir la Société d'une
forme
de troubles de motilité, t dont la cause anatom
ter la tête en arrière et à incliner le tronc dans le même sens, en
forme
d'arc, les membres inférieurs restent presque i
rme les yeux, il n'apparaît guère de changement appréciable dans la
forme
du mouvement exécuté. Parfois, il est vrai, le do
'un trouble du sens musculaire ; car la sensibilité sous toutes ses
formes
, explorée avec les divers moyens dont on dispos
bles, se prêtait favorable- ment à l'étude des phénomènes dans leur
forme
type. Le malade, dont la force musculaire est n
orter la tête en arrière et à courber le tronc dans le même sens en
forme
d'arc. On observe alors qu'ayant imprimé à son
açon identique. Il n'y a là rien, ni dans les conditions ni dans la
forme
, qui puisse être confondu avec le signe de Romb
ne présentent pas toujours, tant s'en faut, une pareille fixité de
forme
, ils n'atteignent pas constamment un pareil dév
s divers modes d'asso- ciations peuvent exercer sur l'intensité, la
forme
et la durée des symp- tômes cérébelleux. BaI)
t réflexe, comme cela est très probable, il faut reconnaître que sa
forme
diffère notablement des autres réflexes muscula
. N. > F. C., que la contraction est lente, paresseuse et que la
forme
du mouvement diffère sui- vant le sens du coura
que soit le sens du courant, la secousse est lente, paresseuse. La
forme
du mouvement diffère suivant le sens du cou- ra
par la saignée dans l'urémie, dont l'aspect symptomatique, dans sa
forme
cérébrale, a des analogies avec le tableau symp
uant la ponction rachi- dienne chez des malades atteints d'urémie à
forme
cérébrale. TROIS CAS DE GLIOMATOSE CÉRÉBRALE ?
uve à la face inférieure du lobe frontal droit, une tumeur ayant la
forme
d'un oeuf de poule et en atteignant presque le vo
mblent dues à la présence de fibres à myéline et qui (') a) Sur une
forme
de paraplégie spasmodique consécutive à une lésio
exact. Le malade est soumis à une cure hydrargyrique sous diverses
formes
et on s'acharne à ce traitement surtout si, com
ite en un autre lieu sont les suivants : la hernie cérébrale qui se
forme
ordinairement après l'incision de la dure-mère co
nt en SUR UN CAS D'HÉMISPASME - ! 5 ? jeu. Quoi qu'il en soit, la
forme
des mouvements, leur mode de succes- sion, les
ne dure pas, que les spasmes se reproduisent ensuite sous une autre
forme
. Qu'il en soit souvent ainsi, je ne le conteste
s dit précédemment, comparables à ce que l'on observe dans d'autres
formes
de la kinésie paradoxale parkinsonienne. C'est
de Neurologie de Paris, 3-4 juin 192 1. (-1) J. Babinski, Sur une
forme
de dysarthric paraissant liée à une lésion du cor
de est venue consulter à la Pitié en mars 1922. Il se présente sous
forme
d'accès se produisant fréquemment et ayant les ca
peu. Ses mouvements sont lents et d'une manière intermittente, sous
forme
d'accès fréquents, sa respiration devient irrég
orter la tête en arrière et à courber le tronc dans le même sens en
forme
d'arc, les membres inférieurs restent presque imm
orter la tête en arrière et à courber le tronc dans le même sens en
forme
d'arc. Fig. t5. Attitude d'un sujet sain dans
ter la tète en arrière et à courber le tronc dans le même sens en
forme
d'arc. Fig. 16. Attitude du malade pendant la m
premier foyer s'étend sur toute la moitié supérieure du bulbe ; sa
forme
générale est triangulaire ; sa hase s'appuie à la
lontaire, donner lieu à des troubles i vaso-moteurs et thermiques à
forme
hémiplégique. Voici cette observation : B...,
ans tout le côté droit du corps, sauf à la face, une dissociation à
forme
syringomyélique des divers modes de la sensibilit
s vaso-constrictives réflexes : différence d'amplitude, différence de
forme
. La différence d'amplitude trouve son explicati
n état plus marqué de turgescence initiale. Quant aux différence de
forme
, il faudra déterminer, par des expériences réalis
es veines, en se dilatant, ont manifesté une modification dans leur
forme
; c) enfin, l'immersion des mains dans l'eau fr
ésigner une pareille affection sous le nom de sclérose en plaques à
forme
destructive. 9° La sclérose en plaques dont la
ne évolution aiguë. On peut dire dans ces cas qu'on a affaire à une
forme
aiguë de la sclérose en plaques. 10° Il existe
n peut la dénommer : pseudo-sclérose en plaques. ' , II SUR UNE
FORME
DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE CONSÉ- CUTIVE A UNE L
r droit et du cou. (Mars 18gô, d'après une photographie.) SUR UNE
FORME
DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 317 malade maintient
bulbe refoulé a subi un mouvement de torsion sur son axe. SUR UNE
FORME
DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 319 progressivement e
com- pression est considérable et la moelle a pris à ce niveau la
forme
d'un croissant; elle n'a d'ailleurs pas subi un
s de dé- générescence visible des faisceaux pyramidaux. SUR UNE
FORME
DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 321 A l'âge de quaran
e est fléchie sur le bassin, et la jambe, en flexion sur la cuisse,
forme
avec celle-ci un angle droit ; les tractions ex
n n'arrive pas au contact de la cuisse. Au mois d'avril 1897, il se
forme
une eschare à la région sacrée. Le 20 mai, la m
comme un oeuf; à gauche, on trouve la trace d'un ancien foyer sous la
forme
d'une fente un peu pigmentée à la face externe
mais j'insisterai davantage sur le contraste qu'il y avait SUR UNE
FORME
DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 323 dans ce cas entre
rticularités individuelles, présentaient, comme trait com- mun, une
forme
de paralysie crurale caractérisée à sa période d'
ugmentant encore la déformation. Il y a lieu de rechercher si cette
forme
clinique de paralysie spasmo- dique correspond
voulait l'appliquer à tous les cas de paraplégie spasmodique de la
forme
dont il est ici question. Il est difficile de n
de la maladie. Je suis ainsi conduit à émettre l'hypothèse que la
forme
de para- plégie spasmodique qui nous occupe est
Q. A l'appui de cette idée, j'ajouterai que les caractères de cette
forme
de paraplégie avaient été poussés au maximum d'
n vue ici que la paraplégie qui se développe chez l'adulte. SUR UNE
FORME
DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 325 Je rapprocherai d
était extrême- ment forte. Je crois donc pouvoir conclure que la
forme
de paraplégie spasmo- dique dont j'ai donné la
outre la médication bromurée employée depuis la (1) Voir : Sur une
forme
de paraplégie spasmodique consécutive à une lésio
l y a lieu de continuer encore le traitement hydrargyrique sous une
forme
aussi intensive que possible. Du mois de décemb
R COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 3 ? cérébrale acceptable, cette
forme
de paralysie constitue un argument de grande va
déjà plus de dix ans ('), j'ai cherché à éta- blir qu'il existe une
forme
spéciale de paraplégie spasmodique se - L carac
montré les examens anatomiques, j'avais émis l'hypothèse que cette
forme
de paraplégie était causée par des lésions du s
ce qui est relatif à ce sujet. Je me propose donc de dégager une
forme
de paraplégie spasmodique organique qui n'a pas
l se distingue par les signes suivants : contracture en (') Sur une
forme
de paraplégie spasmodique consécutive il une lési
s, du..moins dans un grand nombre de cas. Considérons maintenant la
forme
de paraplégie spasmodique que nous visons. L'
les muscles de cette femme, qui présente à un degré très marqué la
forme
de paraplégie en question, sont dans un état de
blement exagérés. Les réflexes en question peuvent varier dans leur
forme
suivant le point sur lequel porte l'excitation
constitue peut-être le caractère qui différencie le mieux les deux
formes
de paraplégie spasmodique que nous mettons en p
allèle. Le lien qui unit l'exagération de ces réflexes cutanés à la
forme
de contracture que je considère est comparable
ure en flexion parait atteindre l'intensité la plus grande. Cette
forme
de contracture se complique presque inévitablemen
lution de l'affection. Dans quelles circonstances se développe la
forme
de paraplégie spas- modique dont je m'occupe ?
pré- senté qu'une contracture relativement modérée. En résumé, la
forme
de paraplégie spasmodique que je viens de décri
abes dorsal spasmodique ». Il y a tout lieu d'admettre que ces deux
formes
de contracture, qui sou- vent s'associent parti
tanés de défense). 1 Avant de terminer, je répète que quand cette
forme
de contracture en flexion est très intense, ce
serait inexacte ; car, ainsi que je l'ai dit précédemment, dans la
forme
de paraplégie dont je m'occupe, le réflexe abdomi
t pas exagérés, mais sont même abolis. Il existe, sans doute, une
forme
de contracture sur laquelle j'ai appelé l'atten
logique de l'activité musculaire, différentes il est vrai dans leur
forme
, mais conditionnées toutes deux par une irritatio
tout au moins extrêmement discrètes ? Ne s'agit-il pas plutôt d'une
forme
d'arthropathie syphilitique (') ? » TABES HÉRÉD
à être cherché parce qu'il se manifeste dans bien des cas sous une
forme
fruste et ne s'impose pas alors à l'attention du
binski et IL Barré, La Tribune médicale, 28 mai igio. VII SUR UNE
FORME
DE PSEUDO-TABES (NÉVRITE OPTIQUE RE'TRO-BULBAIR
à le démontrer, et qui peut être considéré comme appartenant à une
forme
particulière de pseudo-tabes différant du pseudo-
métrique. La névrite observée dans ce cas a les caractères de celte
forme
spéciale de névrite optique que Parinaud a bien
o-bulbaire. Parinaud estime qu'il serait bon, pour distinguer cette
forme
de névrite de celle qui est causée par l'alcool
bilité, dépendent de la même cause. Ce fait appartient donc à une
forme
de pseudo-tabes bien différente, au point de vu
4 PARAPLÉGIES - affections de La moelle loin d'être d'accord sur la
forme
du rétrécissement du champ visuel dans l'atroph
me sens assez porté à pen- ser, avec M. Berger, qu'il n'y a pas de
forme
de rétrécissement du champ visuel caractéristiq
temporal. M. Charcot l'a vu, dans la ma- jorité des cas, prendre la
forme
de rétrécissement concentrique inégal. Les scot
el peut être si peu marquée que le rétrécissement prend parfois une
forme
concentrique. Dans toutes nos observations, il s'
i quatre observations inédites, ce qui tendrait à prouver que cette
forme
n'est pas exceptionnelle. ' Il existe donc des
ique des nerfs optiques évoluant d'une façon aussi différente de la
forme
habituellement fatale de cette affection. 3"
que le rétrécissement périphérique du champ visuel peut prendre la
forme
d'un secteur se rapprochant peu à peu, comme le
stants du rétré- cissement du champ visuel, rétrécissement ayant la
forme
d'un secteur dont le sommet aboutit au point de
i° Il n'existe pas, dans l'atrophie tabétique du nerf optique, une
forme
de rétrécissement du champ visuel particulière
ts réflexes : comme on le voit sur le schéma, elle se présente sous
forme
d'une ligne nettement horizontale. Si nous la com
de la sensibilité dus à des lésions médullaires se présentent sous la
forme
radiculaire ; , 5° Les données anatomo-pathol
erçoit de suite une tumeur bien circonscrite, ayant le volume et la
forme
d'une grosse olive, de couleur rouge violacée, si
'odorat sont conservés. Il y a de la céphalée qui se manifeste sous
forme
d'accès fréquents et violents s'accom- pagnant
quivalence à une section complète de la moelle ; et, en fait, cette
forme
peut se rencontrer. En- Fig. 53. Myélite transv
ertébrale, si elle a augmenté un peu d'étendue, n'a subi ni dans sa
forme
ni dans sa situation de modification appré- cia
xes de défense présentent des variations considérables quant à leur
forme
et leur intensité : tantôt c'est la triple flexio
eu du corps de la VU" vertèbre dorsale et s'arrête là en prenant la
forme
d'une coupole, d'une voûte. Vingt jours plus tard
ter la masse faisant obstacle au passage du lipiodol et qui, par sa
forme
, rappelle bien une tumeur intra-dure-mérienne.
férieurs, soit dans les deux, et alors, tantôt ils revêtent la même
forme
des deux côtés, tantôt ils donnent lieu à une f
peuvent être provoqués même par des excitations très légères. Leur
forme
varie suivant la position des membres et l'endr
e confond à peu près avec la ligne ombilicale ; pour la piqûre elle
forme
une ligne courbe, à concavité tournée en bas, sit
la masse lipiodolée, arrêtée à la 3e vertèbre dorsale, présente une
forme
d'ovoïde allongé dont l'extrémité inférieure (côt
oupes à l'hématéine-éosine, l'examen a montré un méningioblaslome à
forme
épithéliale avec nombreux corpus- cules calcair
l'image de la bille arrêtée à la 3e vertèbre dorsale présentait une
forme
, qui, à première vue, pouvait surprendre. En ef
e, arrêtée à la 3e vertèbre dorsale, présente, comme on l'a vu, une
forme
d'ovoïde allongé dont l'ex- trémité inférieure
la radiographie donne l'image de la tumeur, ayant dans l'espace une
forme
ovoïde, tandis que l'huile iodée n'ayant pas de c
e est séparée par la dure-mère, ne peut en dessiner pareillement la
forme
. Notre diagnostic a été confirmé à l'opéra- tio
pi- thète de « nucléaire ». Quelle que soit l'opinion que l'on se
forme
sur ce dernier point ce qui résulte incontestab
raplégie spasmodique, type « extension-flexion » ('). Mais ces deux
formes
de paraplégie spasmodique n'appartiennent pas e
opinion que cette femme a eu deux grossesses terminées (') Sur une
forme
de paraplégie spasmodique consécutive à une lésio
de sciatique intense, avec amyotrophie notable, correspondant à la
forme
que l'on désigne sous la dénomination de sciati
on de sciatique névrite, mais aussi chez des malades atteints de la
forme
légère de cette affection, que l'on appelle sciat
NÉVRITE RADIALE J'ai décrit à la Société de Neurologie en 1903 une
forme
spéciale de névrite radiale caractérisée par le
que toute contraction musculaire modifie dans une certaine mesure la
forme
de la région où elle se produit et, si l'on veu
contractions volontaires sont normales, ce sont des changements de
forme
plutôt que des déformations; il me semble naturel
ons; il me semble naturel de réserver ce mot à des modifications de
forme
anormales. Or c'est ce qu'on constate ici; on obs
ez dont la pointe se porte du côté malade et dont le bord antérieur
forme
une courbure à concavité tournée du même côté ; o
progressive primitive. Cette myopathie se présente sous différentes
formes
que nous ne décri- rons pas avec détails ('), d
vue, ce que nous dirons s'applique à toutes les variétés. Dans une
forme
de la myopathie, la paralysie pseudo-hypertrophiq
ertain nombre de cas('), peuvent se prendre aussi dans la suite. La
forme
héréditaire de Leyden-Mobius, au point de vue de
ocalisa- tion, ressemble beaucoup à la précédente. Dans une autre
forme
, la forme infantile de l'atrophie musculaire prog
tion, ressemble beaucoup à la précédente. Dans une autre forme, la
forme
infantile de l'atrophie musculaire progres- siv
férieurs peuvent être atteints avec les progrès de la maladie. La
forme
dite juvénile d'Erb est presque identique à la pr
que la face serait ici indemne, tan- dis qu'elle est prise dans la
forme
précédente. Il y a enfin des formes de transiti
dis qu'elle est prise dans la forme précédente. Il y a enfin des
formes
de transition, dans lesquelles l'affection débute
i en même temps que les membres. Nous avons indiqué, à propos de la
forme
infantile de Duchenne, la participation de cert
temps des muscles extrinsèques de l'épaule. Mais quelle que soit la
forme
à laquelle on ait affaire, ces muscles se prenn
qui concerne la localisation de l'affection, ce qui différencie les
formes
les unes des autres, c'est la prédominance et l
l'amyotrophie dans telle ou telle région ; mais quelle que soit la
forme
que l'on considère, lorsqu'une région est envah
mes muscles qui sont atteints ; ainsi, par exemple, lorsque dans la
forme
infantile de Duchenne, les membres inférieurs vie
us ses malades à notre disposition, dix sujets atteints de diverses
formes
de la myopathie. Nous avons constaté que la rép
provoqués par des causes psychiques, de se succédersous différentes
formes
chez les mêmes sujets, qu'ils ne retentissent p
variétés de paralysies, de contractures, d'anesthésies, toutes les
formes
d'attaques peuvent être reproduits par suggesti
que nous avons été en mesure de reproduire par sug- gestion la même
forme
de monoplégie. Je demande qu'on procède de la m
rieurs, et enfin, je fais palper par le malade des objets ayant des
formes
diverses. Si je n'en 470 ' ? II YS T l Il 1 E -
e n'est pas une modification corporelle et, d'autre part, certaines
formes
de vésanie accompagnées de troubles corporels n
thénie, adressez-vous à un cas de neuras- thénie bien franche, à la
forme
dite constitutionnelle ; là encore vous ne tard
exes tendineux et l'épilepsie spinale parfaite (2) qui n'est qu'une
forme
de cette exagération. Mes idées sur ce sujet sont
s l'action qu'on lui prête. S'il en était ainsi, la fréquence et la
forme
de ces troubles devraient être, contrairement à c
de devenir maîtresse des troubles pithiatiques, d'en déterminer la
forme
, d'en doser, en quelque sorte, l'intensité et l
happent à l'influence de la volonté qui est incapable d'en fixer la
forme
, l'intensité et la durée. Expérimentalement, je
de dépendre essentiellement, dans leur apparition, leur durée, leur
forme
, leur disparition, du milieu psychique où viven
nts semblables, est prise d'une crise hystérique identique, dans sa
forme
, à celles qu'elle a eues devant les yeux, puis
qu'il est hypnotisé. L'hypnotisme, d'ailleurs, se présente sous des
formes
très variées, plus ou moins parfaites, plus ou
nt à tous les aspects du som- meil hypnotique, entre autres à cette
forme
très commune où le sujet, les yeux fermés, parl
es; elles se propageaient autrefois dans les salles de malades sous
forme
d'épidémie, lorsqu'on n'en connaissait pas bien l
ssait pas bien le mécanisme. La suggestion peut intervenir sous une
forme
différente dans les asso- ciations hystéro-orga
mprendre la variabilité des manifestations hystériques quant à leur
forme
et à leur fréquence suivant les époques et les
nais aussi les faits de kinésie paradoxale décrits par Souques, ces
formes
de polypnée, de mutisme liées au syndrome parkins
accidents hystériques. La notion de la suggestion, de l'imitation,
forme
de la suggestion, explique au contraire ce chan
i l'origine de troubles hystériques. Ceux-ci varieront quant à leur
forme
, leur intensité, leur localisation, suivant les
our cause, de se borner à éliminer la suggestion médicale. D'autres
formes
d'hétéro-suggestion ou l'auto-suggestion peuvent
consciemment. Les attaques hystériques se distinguent encore par la
forme
qu'elles revêtent, grands mouvements, gesticulati
'obéissent pas à des règles bien précises. Elles prennent tantôt la
forme
dimidiée - nous en avons déjà parlé à propos de
imidiée - nous en avons déjà parlé à propos des stigmates tantôt la
forme
en îlots irréguliers : assez souvent elles imit
noplégies brachiales ou crurales. La plus fréquente de toutes ces
formes
de paralysie semble être la para- plégie. Elle
, simple ou trépidante, avec les caractères classiques, ou d'autres
formes
de paralysies systématiques ne sont pas rares en
s accidents hystériques, des paralysies, des contractures, diverses
formes
d'astasie-abasie, des convulsions chez des indi
e de la méthode graphique (3). Il résulte de ce qui précède que ces
formes
diverses de contractures et de paralysies obser
mélange de parésies et de contractures. Mais, quelle qu'en soit la
forme
, le trouble moteur est le plus souvent incomple
- tabilité mécanique des muscles. Elle est surtout marquée dans les
formes
(') Tous ces examens ont été pratiqués avec le
QUES paralytiques ou parétiques, mais on la constate aussi dans les
formes
hypertoniques. C'est dans les petits muscles de
obtient, par des mouvements passifs, une surflexion de la main qui
forme
avec l'avant-bras un angle très aigu, une surex
t exagérés dans les contrac- tures du membre inférieur que dans les
formes
hypertoniques observées au membre supérieur. Ce
ociété de Neurologie, 2 mars Ig 1 G. C) G. Guillain et J.-A. Barré,
Forme
clinique de la névrite ascendante. Presse Médical
s troubles réflexes nous paraissent aussi s'associerfréquemment aux
formes
douloureuses des névrites. La plupart des neurolo
hiques et vaso-moteurs. P. Marie et I"'e Ath. Benisty, décrivant la
forme
douloureuse des lésions du nerf médian, font rema
la jambe gauche, un mode de déambulation singulier constituant une
forme
de chorée ryth- 57fi TROUBLES PHYSIOPATHIQUES
rque avant de terminer cette étude de pathogénie. Quelques-unes des
formes
cliniques : main figée, main d'accoucheur, acro-
tre induit en erreur; le tabès peut en effet se manifester sous une
forme
bénigne restant telle sans aucun traitement : il
la triple flexion), mais ordinairement attitude en extension. Cette
forme
qui, d'ailleurs sauf cette attitude, se distingue
e nous présentons souffre depuis plusieurs années d'une névralgie à
forme
grave, siégeant du côté droit du visage, pour l
tendon d'Achille dans le tabes (Id., 26 octobre 1898). 51. Sur une
forme
de paraplégie spasmodique consécutive à une lésio
ec arrêt du développement des organes génitaux (Id.). 62. Sur une
forme
de pseudo-tabes. Névrite optique rétrobullaire in
on de dégénérescence (Société de Neurologie, 12 janvier igo5). 114.
Formes
latentes des affections du système pyramidal (Id.
le : thermo-asymétrie et vaso-asymétrie; hémianesthé- sie alterne à
forme
syringomyélique. Hypothèse nouvelle sur la conduc
c Froment. Académie de Méde- cine, 19 octobre 1915). 227. Sur une
forme
de contracture organique d'origine périphérique,
avec Jarkowski. Société de Neurologie, 3 juin 1920). 261. Sur une
forme
de syncinésies dans l'hémiplégie organique (en co
plaques. Paraplégies. 1. - Sclérose en plaques ... 313 IL Sur une
forme
de paraplégie spasmodique consécutive à une lésio
xe du tendon d'Achille dans le tabes............ 343 VII. - Sur une
forme
de pseudo-tabes 349 VIII. Du champ visuel et de
INE 1889 NOUVELLE ICONOGRAPHIE A 'q DE LA SALPÊTRIÈRE D'UNE
FORME
PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX DES EXTRÉMITÉS
ssez semblables entre eux militerait en faveur de l'existence d'une
forme
particulière d'affection névritique, mais, seul
ions tout à fait semblables/mais moins accentuées. t'ic. 1. UNE
FORME
PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 3 Au point de
nterosseux gauche lequel présente la réaction de dégéné- rescence à
forme
mixte. Il n'y a pas de secousses fibrillaires.
'insuffisance mitrale ; les autres appareils sont sains. [, : il;
FORME
PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 5 Ces. 111. -
u bout d'un mois. Rien il noter du côté des autres appareils. UNE
FORME
PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX 7 II Relevon
, et c'est en général à cette période de la maladie que la main UNE
FORME
PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. gauche, jusqu
par un méplat; l'éminence thénar s'aplatit. Enfin la main prend la
forme
dégriffé, la situation vicieuse des doigts étant
d.. OBS. V L'RCnOSNtRR ET DA13(, ÉDITEURS 1 1 ? 1\" 1 j UNE
FORME
PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 11 fléchies.
Il Cliché A. Lande OBS. VI LECROSNIER ET Barye, ÉDITEURS UNE
FORME
PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. la professeur
la fracture du coude, aurait vu cette affection se réaliser sous la
forme
d'une névrite cubitale. Dans l'observation su
e, juillet). - Nouvelles études {Archives de neurologie, 1888). UNE
FORME
PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 15 La sensibi
ue nous avons décrite, et il nous suffira d'avoir mis en relief une
forme
patho- logique, syndrome ou espèce morbide, qui
forme de la façon suivante : la première phalange est redressée; elle
forme
DES SUITES ÉLOIGNÉES DES THAUMATISMES DE LA MOE
onsidère chaque lettre en particulier on peut aisément reconnaît ! sa
forme
dans les, différentes écritures du même individ
il constata dans les derniers temps un épaissis- sement notable, la
forme
générale du visage aurait changé dans les dernièr
sont aussi assez fortement proéminents. La tête toute entière a une
forme
particulière d'ovale allongé qui répond entière
Les mains et les pieds se montrèrent bleuis, froids, épais et sans
formes
, les ongles plus larges, mais moins longs que n
Iroublées. La tête est épaisse, le visage grand et large, mais sa
forme
générale est plutôt ovale. Le nez très large et
ils se trompèrent singulièremen 1. Le merveilleux, sous toutes ses
formes
, jouit en effet d'une vertu fascinatricesans égal
que des vésanies certains cas particuliers constituant une nouvelle
forme
pathologique désignée du nom de catatonie. Nous
iculiers à la catatonie. C'est d'abord le caractère pathétique sous
forme
d'exaltation théâtrale, d'extase tragico-religi
niques ou cloniques, ou sous forme de raideurs musculaires, ou sous
forme
d'états cataleptoïdes. Il faut noter aussi le mut
e de retrouver seulement quelques-uns des traits qu'il assigne à la
forme
vésanique qu'il veut isoler. En face d'elles, n
e pendant l'opération. Ces deux parties de la pièce médiane sont de
forme
triangulaire al- longée et sensiblement pareill
menton est assez délicate : elle dé- pend de la grosseur et de la
forme
de la tête et du cou du sujet. En ce qui rega
ébrale de se faire. Pour cela, les pièces des aisselles, qui ont la
forme
d'un ovoïde ma- telassé il son extrémité inféri
la tête étaient peu ou pas altérées, de façon que la face avait la
forme
d'un oeuf avec le gros bout en bas, différant ain
nd la malade est debout, les chairs sous la pression rebroussent sous
forme
d'un large bourrelet (iig. 37). Les jambes cert
qui ont leur sensibilité normale, de même que deux zones qui ont la
forme
de manchons d'une hauteur de sept ou huit centi
n de juin 1888. Ils dispa- raissaient subitement et revenaient sous
forme
d'attaques. On peut dire néanmoins que la malad
vrieuxl883) M. Paul Richer en rapporte plu- sieurs cas revêtant des
formes
différentes. . Tantôt il s'agit d'un, blépharos
une contracture énergique et permanente des paupières ; dans celte
forme
comme dans la pré- cédente la photophobie peut
e la face, du même côté. M. P. Richer décrit encore une troisième
forme
de blépharospasme hystérique qu'il dénomme avec
omme avec M. Parinaud` blépharplose pseudo- paralytique. Dans cette
forme
, les deux muscles antagonistes, le rele- veur d
mentaire; elle com- prend les paupières supérieure et inférieure et
forme
une bande circulaire de un centimètre et demi d
agus. Il en résulte que l'orifice du con- duit auditif externe a la
forme
d'une fente de 5 millimétrés de largeur dirigée
ant en une torsion sur son axe et en un changement de direction. De
forme
cylindrique la est terminée à son extrémité antér
septembre. - Pas d'accès, le délire continue toujours avec la même
forme
. ANOMALIES DES ORGANES GÉNITAUX CHEZ UN ÉPILEPT
les, sinon celles des doigts pliés en marteaux. La poitrine dont la
forme
a été décrite plus haut présentait de chaque côté
cie, ce qui frappa tout de suite l'attention fut la petitesse et la
forme
du cerveau comparées à la forme et au volume qu
te l'attention fut la petitesse et la forme du cerveau comparées à la
forme
et au volume que présentait extérieurement le c
ur; le cerveau se montrait petil plus qu'à l'ordinaire et avait une
forme
comme sphérique. Quelle pouvait être la raison
du crâne. , La glande pituitaire pesait 1 grammes, elle était de
forme
irrégulière- ment sphéroïde, avait son diamètre
onsidérable. Les cellules contenues dans les interstices étaient de
forme
et de volume très variables; les plus petites m
mpues pendant la pré- paration du squeletle, seules leurs bases, de
forme
pyramidale, subsistent. Ces apophyses étaient c
eur de 14 millimètres, une lame très mince de substance compacte de
forme
carrée interrompue seulement à sa partie médiane
peau du thorax et des membres une des- quamation de l'épiderme sous
formes
d'écailles rappelant l'ichtyose. Sous la tète d
arqué, il se fait sur tout le corps une desquamation abondante sous
forme
d'écailles blanches transparentes. Pour peu que
Baillarger). Pourtant l'atrophie musculaire peut se présenter sous
forme
épisodique, comme le montre la troisième observat
tc. Ses idées délirantes se manifestèrent quelquefois sous d'autres
formes
: il resta, vers la fin d'août, i.8 heures sans v
xacte et'vraie pour la grande généralité des cas. Mais à côté de la
forme
commune, où la flexion l'emporte dans l'altitud
clinique du 19 juillet. Il s'agit d'un cas de paralysie agitante à
forme
hémiplégique. Le membre supérieur pré- sente l'
chés en avant comme il est de règle. Ons. I. Maladie de Parkinson à
forme
hémiplégique. Attitude anormale. - Extension ex
te particularité que les bords en sont fortement relevés; elle a la
forme
d'un bateau et le malade ne peut ni la mettre à
-cléido mastoïdien gauche fait une forte saillie sous la peau, sous
forme
d'une corde rigide. La tète est légèrement inclin
on à droite : le sterno-cléido-mastoïdien gauche est contracture et
forme
une, corde rigide sous la peau. Il existe à gau
r contracture isolée est envisagée, pour ainsi dire, sous autant de
formes
, d'entités morbides particulières qu'il y a de sp
lette (pl. XXXI). - Tous ceux qui, ayant présentes il la pensée les
formes
des squelettes des premiers spécimens du grand ar
des membres inférieurs. Voyons maintenant quelles modifications de
forme
et de texture sont sur- venues dans les divers
ieure, tandis qu'au voisinage de leur angle elles sont grêles et de
forme
prismatique. Le bassin présente des trous obtur
, en général, se montrent volumineux avec des canaliculcs courts en
forme
d'épines; quelques-uns de ces corpuscules, mais p
s côtes fussent envahis par le processus morbide, la régularité des
formes
ne devait pas avoir été altérée. Puis, lorsque
ur mieux dire de ANATOJIIE PATHOLOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE. 19'. la
forme
très singulière qu'avait acquise le thorax de Ghi
ami Paul Richer, dont les longs et beaux travaux sur l'anatomie des
formes
du corps humain vont bientôt t être réunis etvo
acée à gauche surtout à son extrémité externe, où le relief qu'elle
forme
en avant de la fosse temporale est bien moindre
prits ne saurait nous aisser indifférents; les étudier sous quelque
forme
que ce soit c'est encore payer leur génie un ju
r plusieurs autres que j'appuyais les bases d'une description d'une
forme
nouvelle de contracture hystérique, forme que j
s d'une description d'une forme nouvelle de contracture hystérique,
forme
que je désignais sous le Fie. 50. Contracture
nférieur droit. OBSERVATION DE CONTRACTURE HYSTÉRIQUE. 211 nom de
forme
cérébrale, pendant que la contracture hystérique
pendant que la contracture hystérique vul- gaire prenait le nom de
forme
spinale. Sans entrer ici dans la discussion sur
dans la discussion sur le mécanisme et la pathogé- nie de ces deux
formes
de contracture, je rappellerai qu'elles trouvent
nterai de donner le résumé du tableau clinique que j'ai tracé de la
forme
cérébrale dans le travail cité plus haut. FiG
lité des parties contracturées est généralement moindre que dans la
forme
spinale. La raideur varie d'un moment à l'autre,
nt pendant le sommeil, pour reparaître, ce qui n'a pas lieu dans la
forme
spinale. c) Les attitudes variées imprimées aux
res diffèrent d'or- dinaire de celles décrites généralement dans la
forme
spinale. Elles sont étranges, inusitées. d) L
nusitées. d) Les troubles de la sensibilité, très fréquents dans la
forme
spi- nale, n'existent généralement pas. e) El
sthésiogènes. f) La diathèse de contracture qui l'accompagne est la
forme
som- nambulique, pendant que la diathèse qui ac
la forme som- nambulique, pendant que la diathèse qui accompagne la
forme
spi- nale est la diathèse de contracture léthar
Elle offre des analogies avec la contracture somnambulique, 'et la
forme
spinale avec la contracture léthargique. La for
bulique, 'et la forme spinale avec la contracture léthargique. La
forme
cérébrale de la contracture hystérique, ainsi que
est de céder pendant le sommeil. Suivant nous, la contracture de
forme
cérébrale n'est pas néces- sairement liée à une
ns laquelle les antagonistes sont pris au même degré, comme dans la
forme
spinale. Pour le reste, nous nous rapprochons d
us ou moins fréquente des paroxysmes épileptiques sous toutes leurs
formes
. Le fait suivant nous a paru mériter quelque inté
mon, les spasmes ont subi une nouvelle recrudescence sous une autre
forme
. Le succès de mesures hygiéniques fort simples
n enseigne dans les ouvrages classiques que le muscle grand fessier
forme
la saillie de la fesse et se trouve être en même
l'atténuer et à le faire disparaître. Quelques mots d'abord sur les
formes
de la région. En arrière du bassin proémine la
pli fessier du côté de la jambe portante se creuse profondément et
forme
comme un lien qui enserre solidement la racine
le pli fessier tend à disparaître et le muscle contracté dessine sa
forme
très exactement sous la peau avec son bord infé
avant le chiasma des nerfs optiques qui est complètement aplati, et
forme
une large bandelette rubanée ayant plus d'un ce
mi de largeur; son épaisseur est réduite à 1 ou 2 millimètres; elle
forme
une vaste concavité en rapport de configuration
n cervical supérieur gauche est très volu- mineux; il a conservé sa
forme
, et mesure 45 millimètres de longueur, sur 15 m
ur. Portion dorsale. - Le grand sympathique dans toute cette région
forme
un cordon présentant au niveau des ganglions de
s plus grands qu'à l'ordinaire (fig. 65, 66). Les orbites ont une
forme
irrégulière, produite par ce fait que l'angle inf
sses canines demeurent très profondes de sorte qu'elles prennent la
forme
de gouttières.Les proces- sus alvéolaires et le
ies mais plus en lon- gueurqn'en largeur et leur bord postérieur ne
forme
pasun angle secontinuant avec la portion horizo
tement plus grosses que les autres, avec les extrémités bifides, et
forme
un angle de 110° avec la première vertèbre sacr
5 millimètres (au lieu de 8G millimètres). Pas d'anomalie dans leur
forme
, sinon la présence des aspérités déjà signalées.
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. La voûte crânienne, d'une
forme
ovale allongée avec partie frontale étroite, se
QUE DE L'ACROMÉGALIE. 237 Les circonvolutions cérébrales sont d'une
forme
compliquée avec nombreux plis de passage, le si
e la grosseur d'une noisette qui remplit la selle turcique dilatée et
forme
au-dessus de celle-ci une saillie hémisphérique
plati, et, lorsqu'on le détache de la tumeur il se présente sous la
forme
d'un ruban plat d'un cent. de-largeur; le nerf
x sont d'une largeur et d'une épaisseur extraordinaires, mais d'une
forme
régulière; au niveau de leur insertion aux os ils
de grands détails). - Le thymus 'est remarquablement développé; il
forme
une masse trian- gulaire se prolongeant en haut
'élevurcs spongieuses.' ; La.' cavité gléto'ide dit, temporal a une
forme
anguleuse, le sommet de l'angle étant formé par
nt névropathes; le premier est hystérique, a eu une con- tracture à
forme
hémiplégique qui après avoir duré deux mois a dis
rs; pas de perte de connaissance. Ces attaques frustes d'hystérie à
forme
d'épilepsie partielle reviennent encore aujourd
urs de la jambe est énorme, donnant aux deux segments du membre une
forme
cylindrique. Les saillies et méplats ont dispar
née à l'une de ces périodes ou avec prédominance de cette période :
forme
épileptoïde, léthargique, etc.; 3° l'attaque à
ette période : forme épileptoïde, léthargique, etc.; 3° l'attaque à
forme
d'épilepsie partielle; 4° les attaques de choré
polyurie lorsqu'elle existe. L'étude des états de mal hystérique à
forme
épileptoïde, à forme d'épilepsie partielle, cat
existe. L'étude des états de mal hystérique à forme épileptoïde, à
forme
d'épilepsie partielle, cataleptique (attitudes
e d'une importance qui n'échappera à personne. Dans l'état de mal à
forme
épileptoïde, par exemple, la fréquence des accès,
taque ou mieux qu'une série de grandes attaques modifiées dans leur
forme
extérieure. « Les intéressantes recherches de M
nous pouvons donc conclure : L'état de mal hystérique, quelle que
forme
qu'il revête, n'est qu'une attaque d'hystérie p
sur la fièvre du goitre exophtalmique et, comparativement, sur les
formes
spéciales ri quelques autres névroses, Lyon, 18S8
mentaient d'intensité et de durée et présentaient plus nettement la
forme
de la grande attaque typique si admirablement d
e les deux trous palatins postérieurs. Elle a dans son ensemble une
forme
arrondie remarquable. En son milieu, elle prése
n avant et en dedans. De là résulte que l'échancrure piriforme a la
forme
d'une gourde. Cloison nasale. Déviée de façon à
crête qui la limite en arrière remonte fortement vers une bosse que
forme
la moitié gauche de la surface olfactive du sph
ut à gauche qu'il droite et en arrière qu'en avant; et il prend une
forme
triangulaire, d'où une crête antérieure, mousse.
(cyphosc). 331 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI'TRII;ItE. Cette
forme
devient très accentuée de la 4° il la 7° dorsales
légère, inverse de la précédente. Les dorsales ont une tendance à la
forme
triangulaire, avec une crête mousse un peu repo
u de cette apophyse, le corps (face antérieure) a 28 mill. de haut.
Forme
et cour- bures normales. Au changement de courb
terne assez fortement recourbé vers la fosse sous-sca- pulaire sous
forme
d'une petite colonne terminée par une insertion m
dans le sens vertical, pour l'humérus droit surtout sur lequel elle
forme
une sorte de crochet au-dessus du col anatomique.
autour de la tête, trous vasculaires considé- rables. Le corps a la
forme
ordinaire. Relief deltoïdien très accentué, formé
ce articulaire; 2° il ce que l'extrémité inférieure du bord externe
forme
une crête saillante qui va il la base de la sty
trêmement spongieux et friables. Les métacarpiens ont conservé leur
forme
générale et il a été facile de les mettre en posi
le du col de 130° à 135°. La ligne inter-trochantérienne antérieure
forme
près du grand trochanter une rugosité épaisse,
mill. Péroné. - Le bord antérieur, extrêmement mince et tranchant,
forme
une véritable aile placée de champ entre les fa
canéum, en particulier, a une tubérosité postérieure et interne qui
forme
un vrai crochet sous la plante du pied et une t
res maladies du système nerveux), 11, 12. Tloubles nerveux (d'une
forme
particulière de - des extrémités supérieures),
, 30, 31, 32. Saignée (la) miniature, 49. Troubles nerveux (d'une
forme
particulière de -) 1, 2, 3, 1. Syringomyélie
lles de la Tourette, `11.1. P01'(liysie agitante (sur un cas de à
forme
hémiplégique avec attitude anormale de la têt
erveux), par Gilles de la Toui reste, 85. Troubles nerveux (d'une
forme
particulière de - des extrémités supérieures),
oins diffuses, occupant tel ou tel ' Van Gehuchten. Les différentes
formes
de paraplégie dues à la com- pression de la moe
e chronique (par compression syphilitique ou tuberculeuse) est la
forme
la plus fréquente des myélopathies qui peuvent
ègle ; il faut ajouter que dans presque tous les cas relatifs à ces
formes
, la mort sur- vient rapidement. -- Il n'y a d
Le durcissement obtenu, on constate que la pachyméningite . externe
forme
une longue lanière étendue sur toute la hauteur d
nales, la sclérose de la moelle, lorsqu'elle se présente sous la
forme
que nous venons de décrire, équivaut aussi bien à
an Ge- huchten) ou anesthésie complète (Ilabel). Voilà encore des
formes
qui ne sont pas prévues dans le tableau de M. Van
Archives, 2° série, t. XIII. 2 18 ô THÉRAPEUTIQUE. innombrables
formes
que peuvent réaliser les hasards cli- niques, m
arle d'elle parfois dans les traités spéciaux, c'est plutôt pour la
forme
. Ce n'est que dans les quelques services des ma
deMotchous- kowski ne lui ont pas enlevé son principal défaut, qui
forme
pour ainsi dire le procédé même de la pendaison
. 7 ? 6. TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. · 31 lions, ayant la
forme
d'un T. La portion verticale, la plus longue, s
mbre des cas publiés. Avant de porter un diagnostic ferme sur une
forme
atypique, on a dû rechercher si l'on ne se trou
e famille à une autre, d'où l'impossibilité de leur reconnaître des
formes
cliniques nettement définies. G. DE<'iY. REV
a région lombaire, où elles attei- gnent leur maximum sous les deux
formes
, atrophique et hyper- trophique. Le processus a
signes importants considérés comme caractéristiques des différentes
formes
d'amyotrophies essentielles classées jusqu'à ce
auteurs voient une nouvelle confirma- tion de cette opinion que les
formes
intermédiaires de cette affec- tion sont fréque
er. A la période d'état, la maladie peut se présenter sous diverses
formes
: hémichorée, généralisation avec prédominance
it; sa localisation reste d'ordinaire plus fixe que dans les autres
formes
. La généralisation avec prédo- minance hémilaté
u l'autre et passe quelquefois de l'un à l'autre, prenant ainsi une
forme
alternante, ce qui fait penser à l'auteur qu'il
d'embjée sont assez rares et sont d'ordi- naire caractéristiques de
formes
graves. Les amyosthénies dans la chorée peuvent
douleurs fulgurantes marqué le début de l'affection. M. H. XXIII.
Formes
frustes de sclérose en plaques à début mono ou
1899.) . M. H. XXIV. Un cas de sclérose cérébro-spinale multiple de
forme
anato- mique spéciale avec antécédents hérédita
eur conclut pour ces faits que la spondylose thygométique était une
forme
d'arthrite déformante. L'étiologie, la symptoma
sformations de l'une en l'autre; Mobius trace un parallèle de leurs
formes
cliniques; Fère en fait deux équivalents. Tous
épilepsie sont cliniquement unies, cette dernière apparaît sous les
formes
suivantes : phénomènes sensoriels jacksoniens,
? 10° la migraine a besoin d'une thérapeutique en rapport avec ses
formes
étiologiques. La migraine cliniquement liée à l
asthénique. Pendant une première phase, la maladie a évolué sous la
forme
d'une infection de nature indéterminée, ayant sa
n générale, vaso-motrice, du système ner- veux central. C'était une
forme
légère -d'aphasie amnésique tran- sitoire. P. I
présent, oublie le passé de date fraiche, et cet oubli revient sous
forme
d'accès en présentant la même physionomie stéré
comme cela arrive dans les cas extrêmes de manie, de démence, etc.,
formes
qui sont facilement reconnaissables, on ne pour
sont des paranoiaques ou des monomanes. Beaucoup de victimes de ces
formes
de folie ont parfaitement la notion du bien et du
pourraient prendre également place. SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 Sur une
forme
d'hypertrophie des membres. Dystrophie conjonctiv
s suivants : céphalée constante, vomissements, attaques epilepti-
formes
, hémiplégie droite, nystagmus, le tout sans ancun
alisation nette à un groupe radiculaire délimité. Syringomyélie à
forme
radiculaire. MM. IIUET et GESTAN présentent une
es apparaissent pen- dant la convalescence. L'auteur reconnaît deux
formes
cliniques assez nettes : 1° L'une caractérisée
ortelle. Au point de vue pathogénique, on peut envisager ces deux
formes
, suivant la théorie de M. Raymond, comme les mani
ferons suivre mettront en relief les principaux caractères de cette
forme
de paralysie des membres supérieurs. Observat
n bras droit, pour lequel il vient à la consultation, est normal de
forme
, de couleur, de température : sans troubles troph
ant tous les éléments de la vie phy- sique et morale de tout ce qui
forme
l'être pensant, réfléchi, impressionnable, acti
De tout ce qui précède nous concluons, que l'extension est la seule
forme
de suspension qui doit être conservée, comme mo
tébrale, et la motilité s'améliore, mais le réflexe fémoral sous la
forme
de flexion plantaire des trois premiers orteils
ième dorsale, plutôt plus bas, détermine le réflexe fémoral sous la
forme
de l'extension du triceps, tandis qu'une lésion s
e dans la dernière observation, provoque le réflexe fémoral sous la
forme
de flexion plantaire des orteils. Il est à pens
résente une évidente prolifération des libres musculaires lisses de
forme
arrondie (figure). On constate la même anomalie
s sont des noyaux, pourvues d'une substance filamenteuse et réti-
forme
chromatique, d'une substance uniforme indifférenc
circonscrivent d'assez près, en gardant leur individualité et leur
forme
sphéroïdale. Tantôt leurs membranes d'enveloppe
a fibre qui ont enclavé le noyau divergent et déterminent par là la
forme
de la cellule pyramidale. La structure fibrilla
ladies mentales et nerveuses de Saint-Pétersbourg. La péroraison en
forme
en quelque sorte la conclusion. Nous voyons, y
corspuscules de Nissl embrasse pres- que toute la cellule, dont la
forme
est encore plus ronde : elle est comme gonflée,
s conditions de leur entrecroisement sont presque les mêmes : il se
forme
une zone symétrique qui se développe en arrière p
ne, du coin, et du pôle occipital, la simple percep- tion lumineuse
forme
, avec le concours de l'élément moteur de l'oeil
ltérée; son axe est dévié en bas, et la tête, très modifiée dans sa
forme
est comme aplatie à la face interne de la masse
de perception, c'est-à-dire d'une erreur intellectuelle. C'est une
forme
de micropsie; mais d'ordinaire, les malades qui
se à la Société de se prononcer en faveur du patronage, comme d'une
forme
très rationnelle d'as- sistance des aliénés. La
ades ont passé sous ses yeux, il a pu les étudier sous toutes leurs
formes
, sous tous leurs aspects : chacun d'eux a été l
vue toutes les variétés d'épilepsie et les étudie dans toutes leurs
formes
et leurs variétés; leur anatomie pathologique,
-neurotique, vaso-moteur, mais sans décrire 1 Boucher. Note sur une
forme
particulière d'obsession chez une héré- ditaire
de Bordeaux, novembre 1896.) 5. Bechterew. Rougeur de la face comme
forme
particulière de trouble nerveux. (Obozrenie psi
ire l'éreuthophobie comme une maladie distincte. C'est pour lui une
forme
'de phobie dérivant le plus souvent de la neura
di fretzialria, vol. XXVI, fasc. 23, p. 512.) 20. Hartenberg. Les
formes
cliniques d'éreulhophobie. (Congrès inter- nati
re rappelle de près l'irrégularité d'émotivité anxieuse. Les deux
formes
de l'émotion éreuthophobique produisent les mêm
'aux époques où ils n'avaient pas leurs attaques. Les quatre autres
formes
mentales se suivent de près. Si maintenant no
s variétés mentales qui se suivent de très près. Enfin il y a trois
formes
mentales sur sept : la démence, l'hystérie et l
seulement d'une manière générale mais encore dans chacune des sept
formes
mentales. La plus rare après elle est l'absence
la débilité mentale et la démence et dans la première de ces deux
formes
mentales égale à l'absence de toute réaction. Q
ment quatre maladies mentales distinctes : lypémanie, manie, double
forme
, systématique. Il serait intéressant de recherc
nous n'avons rencontré la dermo- graphie ni dans la folié à double
forme
ou folie circulaire ni dans la folie systématiq
ente chez ces derniers. Je le comprends pour la folie systématique,
forme
essentiellement chronique dans laquelle d'ordin
t psychiques de l'état normal. Je le comprends moins pour la double
forme
composée comme on sait de deux états aigus, man
s, ce dernier est supérieur de 20,4 p. '100. Dans la folie à double
forme
nous trouvons égalité de norma- lité et d'anorm
s; d'ailleurs même pour les deux autres catégories, manie et double
forme
, les écarts sont aussi assez faibles, de telle
'avons trouvé un peu dans la lypémanie, mais surtout dans la double
forme
. Il en résulte que le minimum des altérations e
psychose par auto- intoxication ; Magnan, psychose dégénératrice à
forme
lypéma- niaque. Comment un praticien de clinipu
des affec- tions différentes sont considérées aujourd'hui comme des
formes
: 214 Il . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. d'une
lfactives et gustatives, craintes, jalousie, soupçons, etc. Dans la
forme
la plus simple de folie puer- pérale, il y a or
uelles il est dangereux de s'abandonner : il n'y a cependant pas de
forme
d'activité intel- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
ésentent les caractè- res identiques. Ils ont pénétré, soit sous la
forme
de têtards avec l'eau des marais usitée comme b
soit évidente. Qu'on lise avec soin l'observation de folie à double
forme
terminée par une méningo-encéphalite, et qu'on
s produites, l'auteur tire les conclusions suivantes : , . 1° Les
formes
mentales les plus différentes n'ayant rien decom-
graduateurs : les menaces, les coups, les opiacés, sous toutes les
formes
, lehaschisch et l'alcool sont égalemet mis enje
arché à trois ans et, jusqu'à l'âge de quinze ans, elle a revêtu la
forme
de l'infantilisme simple. A ce moment sont arri
ésulte de plusieurs avis exprimés dans la précédente séance que les
formes
de tabes à évolution bénigne sont aujourd'hui b
ntiels : La l'orme ordinaire du tabes, de' nos jours, n'est pas une
forme
à évolution progressive et fatale. Dans la plup
sortes de sensibilités correspondant à la hiérarchie des êtres. Sa
forme
supérieure est la forme consciente. Avec de tel
correspondant à la hiérarchie des êtres. Sa forme supérieure est la
forme
consciente. Avec de telles données, qu'il appuie
Télangiectasie du lobe frontal gauche avec convulsions épilepti-
formes
; par BrADLEs. Trois cas différents de lésions
autopsie : sclérose disséminée ne répondant par son aspect à aucune
forme
décrite. Les lésions semblent avoir été confiné
pas encore été tenté. S'il est déjà extrêmement difficile, dans les
formes
banales de troubles mentaux, de découvrir l'ori
ie morale et en par- ticulier du mensonge comme symptôme de cette
forme
mentale ; Par BOURNEVILLE et J. BOYI;ft . Nom
s grand nombre se prononce pour l'emploi des doses fortes soit sous
forme
de liqueur de Fowler ou de liqueur de Boudin. L
tivement élevées. M. Lannois rapporte cinq observations de diverses
formes
de chorée qu'il a traitées dans son service par
plus indistincte. Cette réaction ne se constate pas dans toutes les
formes
de blépharoptose : M. Bre-man l'a vue manquer dan
3 millimètres en arrière, près de l'angle aigu ouvert en avant que
forme
ce pli avec le pli pétroclinoïdien médian. Il s
en parole arti- culée vraie. - Il. Les arrêts de développement des
formes
gram- maticales du langage. -III. Les troubles
positions dissociés, soit dépourvus de flexions, soit agrémentés de
formes
de mots tronqués : l'enfant est incapable de ré
ler peut tenir à ce que l'individu n'ayant pas à sa disposition les
formes
grammati- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
très rare de consta- ter des troubles unilatéraux permanents. La
forme
des pupilles est modifiée : pupilles elliptiques,
longueur et le volume démesurés de ces doigts qui ont conservé leur
forme
: difformité congénitale, mais non héréditaire,
. Arnaut. M. Toulouse semble ranger le délire de grossesse dans les
formes
dépressives de la folie. On voit souvent des femm
ombre d'espèces cliniques et susceptible de se pré- senter sous une
forme
aiguë (en général sans systématisation) ou sous
sous une forme aiguë (en général sans systématisation) ou sous une
forme
chronique (avec systématisation). SOCIÉTÉS SAVA
cultés intellectuelles (pas de période de démence). C'est à cette
forme
clinique déjà signalée en France par quel- ques
ÉTÉS SAVANTES. , cinq à quarante ans. On a distingué ainsi sous une
forme
à début précoce et une forme tardive. Parfois
nte ans. On a distingué ainsi sous une forme à début précoce et une
forme
tardive. Parfois il semble que le début ait eu
se demandent pourquoi ils n'ont pas rencontré plus souvent cette
forme
d'altération. Est-ce à cause la lenteur du proces
ues, mais seulement alors chez les vésaniques syphilitiques. » La
forme
que peut prendre l'orifice pupillaire est très va
tout d'abord, puis bilatérale; c'est tou- tefois souvent sous cette
forme
bilatérale qu'elle se présente dès les premiers
l'articulation du coude, l'exostose de l'olécrane se présente sous
forme
d'un os sésamoïde séparé. Les muscles se contra
2° des altérations caractéristiques de la paralysie générale, sous
forme
d'épendymite granuleuse et de lésions paren- ch
cidents tertiaires ou trophoneurotiques (il admet, en effet, que la
forme
trophoneurotique parait la terminaison constant
que la forme trophoneurotique parait la terminaison constante de la
forme
tuberculeuse et que la forme trophoneurotique q
parait la terminaison constante de la forme tuberculeuse et que la
forme
trophoneurotique quand elle ap- parait de'mblée
nécessaires pour l'examen cytoscopique. ' Toutefois, dans certaines
formes
de psychoses (persécution et mélancolie) il peu
que cette substance, loin de s'accumuler au moment des accès ne se
forme
alors qu'en quantité moindre. Il admet en outre
est maintenant appelé à se demander quelle est la substance qui se
forme
dans l'organisme à la place de l'acide urique.
pilepsie à crises distinctes ». En effet, il est certain que, si la
forme
hybride des deux névroses, admise longtemps par
tres : Gilles de la Tourette, Op, cit., t. II, chap. XI ; Chauveau,
Forme
clinique et pathogénie de la fièvre hystérique (T
iveau de l'articulation, le moignon mesure 23 centimètres ; il a la
forme
conique et la pointe en est lisse. Fig. 17.
ent qu'il s'agit, en ce qui concerne celle de notre malade, de la
forme
de monstruosité désignée sous le nom d'lIÉ\IIrtÉL
ous les noms d'ect·o7télie et de phocomélie, y ajoute une troisième
forme
de monstruosité désignée sous le nom d'hémiméli
e troisième forme de monstruosité désignée sous le nom d'hémimélie,
forme
dans laquelle rentre tout à fait celle de notre
on admission tous les signes de la paralysie générale progressive à
forme
lypémaniaque avec délire des néga- tions. Affec
rée à l'asile, son état est le suivant : Mélancolie présentant la
forme
de délire des négations; très déprimé, il répon
l'autre à quarante-sept ans de la paralysie géné- rale progresive à
forme
mélancolique avec délire des néga- tions. Chez
f dans son trajet ou à son origine. L'auteur insiste surtout sur la
forme
complète de la surdité qui est, dit-il, brusque
dit-il, brusque, totale, absolue ; il ne fait que men- tionner une
forme
, rare d'ailleurs, de surdité temporaire, qu'il
optiques, dues à la syphilis héréditaire : elles appartiennent aux
formes
de transition entre la paralysie infantile céré
jouer un rôle important dans la maladie de Basedow, même dans la
forme
fruste. P. KERAVAL. . LXXI. Encore quelques m
u gauche surtout, sont alté- rées, en outre du lobe temporal. Cette
forme
de l'écholalie ne se manifeste jamais que lorsq
'achondroplasie, il y a lieu cependant de réserver à cette dernière
forme
une place distincte en raison des caractères co
l de l'achondro- plasie et du rachitisme et en particulier de cette
forme
qualifiée dysostose cléido-cranienne. Il conclu
tre rapprochée de l'hystérie. L'auteur examine ensuite sous quelles
formes
la syphilis céré- bro-spinale peut-se manifeste
i est caracté- ristique dans la sclérose multiple : 4° Hémiplégie :
forme
fréquente de la syphilis nerveuse, souvent très
lité et des fonctions vésicale et rec- tale qui font défaut dans la
forme
non syphilitique ; 8° Poliomyé- lite antérieure
tractions par minute. La nature du tremble- ment, la variabilité de
forme
de la contraction rendent le diagnostic parfois
favorable aux mélancoliques et aux hypocon- driaques, même dans les
formes
graves. Il agit au contraire défavorablement, a
I. Ataxie spinale aiguë (non tabétique), ses rapports avec d'autres
formes
d'ataxie aiguë; par Charles L. Dnw. (The 1\'ezo-I
insi qu'on l'a déjà fait remarquer se rattachent probablement à des
formes
de sclérose multiple. L'auteur rapporte ici avec
ble que l'on puisse tirer des données étiologiques, c'est que cette
forme
d'ataxie esi due à des altérations sémlcs des a
sécutive à une infection aiguë, et est ordinairement le début d'une
forme
de sclérose multiple. L'ataxie aiguë, d'origi
es nerfs de la sensibilité : on la rencontre ordinairement dans les
formes
non alcooliques de névrite, particulièrement daus
i varié, faudra-t-il donc porter autant de diagnostics qu'il y a de
formes
différentes de spasme ? il est probable que ces
iété de Neurologie et paraissant représenter un type accompli de la
forme
facio-scapulo- humérale de Landouzy-Déjerine, s
Noter, en outre, ce qui a rapport à la signification péjorative des
formes
extrêmes, à l'importance à attribuer aux REVUE
ence, qui revêt avec plus ou moins d'intensité l'une ou l'autre des
formes
suivantes : convulsions motrices, sensorielles
iminel qu'au point de vue pathologique. 11 faut noter qu'il y a des
formes
d'épilepsie qui prédisposent plus que d'autres
ques, celles-ci ayant cessé. 1° Avant les attaques, ils prennent la
forme
de perversions sen- sorielles, (sensation de te
de leur apparition, dans leur intensité,- dans leur gravité. Leurs
formes
sont très variées aussi ; très souvent le malade
nt dans l'intervalle des attaques se montrent ordinairement sous la
forme
de crises pa- roxystiques de manie violente; le
et sur des faits analogues, les auteurs proposent de distinguer une
forme
senso- rielle de la paralysie générale, caracté
fois une intensité exceptionnelle. Méningite c¿1'ébl'o-spin,lle à
forme
de paralysie infantile. Cyto-diagnostic. MM.
andique. L'étiologie des abcès est probablement grippale. Sur une
forme
particulière de réaction des cellules radiculaire
u moins large, où les corpuscules colo- rants se présentent sous la
forme
de longs bâtonnets, faiblement colorés parfois.
u contraire, . ils se continuent sans changement de direction ou de
forme
dans les prolongements opposés, ou bien dans le
en est rapide et peut même être foudroyante. L'auteur cite comme
formes
cliniques : une forme de dissociation à marche ty
t même être foudroyante. L'auteur cite comme formes cliniques : une
forme
de dissociation à marche typique pour les deux
orme de dissociation à marche typique pour les deux maladies ; deux
formes
de superposition : la forme d'excitation, la fo
typique pour les deux maladies ; deux formes de superposition : la
forme
d'excitation, la forme de dépression avec varié
maladies ; deux formes de superposition : la forme d'excitation, la
forme
de dépression avec variété foudroyante : une fo
d'excitation, la forme de dépression avec variété foudroyante : une
forme
prolongée. , L'agent pathogène peut être le pne
, la lèpre. les arthropathies tabétiques. L'auteur reconnaît deux
formes
aux ostéo-artliropalliies 1° les ostéo-arthropa
nostic de la maladie elle-même, soit pour la différenciation de ses
formes
, soit pour son pronostic. Se basant sur de nom-
s la chorée de Sydenham, 90 p. 100 des cas. Dans presque toutes les
formes
un peu intenses de la maladie, ils sont affaibl
s intense que normalement sur l'arc médullaire excitateur. Dans les
formes
légères, ils sont excessivement variables, et c
formes légères, ils sont excessivement variables, et c'est dans ces
formes
seules qu'on peut rencontrer des réflexes norma
figures schémati- ques qui servent à la représentation des diverses
formes
d'hémianopsie. Vous ne devez jamais perdre de
ce grise, et principalement dans le corps genouillé externe, sous
forme
d'arborisations terminales. Celles-ci enlaceraien
e la couche ganglionnaire, rétinienne et son prolongement long, qui
forme
le cylin- draxe de la fibre nerveuse constituan
hémianopsie. En pareils cas, celle-ci se présente également sous la
forme
homonyme ; de plus, elle s'associe habituelleme
oites ou gauches des deux champs visuels. C'est encore sous cette
forme
que se présente l'hémianopsie symptomatique d'une
29) vous fera bien saisir les rapports du siège des lésions avec la
forme
d'hémianopsie, qui en résulte. Naturellement le
explica- tion et le mécanisme de la structure psychologique d'une
forme
d'hallucinations qu'habituellement on nomme psych
e l'acti- vité mentale se manifeste presque intégralement sous la
forme
du langage intérieur. On désigne habituellement
élaboration complète de notre activilé mentale se manifeste sous la
forme
d'un langage parlé intérieurement qui se poursu
tellectuelle qui paraît en rap- port avec une démence paralytique à
forme
mélancolique ancienne, désordre extrême des pro
ques d'une paralysie générale progres- sive en pleine évolution, de
forme
mélancolique. L'affection évolue rapidement et
e-neuf ans, à la suite de chagrins multiples (paralysie générale il
forme
mélancolique avec idées de négation, à marche r
e à l'asile, son état, est le suivant : mélancolie, présen- tant la
forme
de délire des négations ; tout est perdu, la nour
'une PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 493 paralysie générale de même
forme
, survenue également sans cause apparente. C'est
e plus grand rétrécissement, leur anéantissement complet, sous la
forme
de scotome central pour les couleurs, n'a pu être
ment absents, s'observent cependant assez rarement ; 8° comme il se
forme
souvent des lacunes en des endroits diffé- rent
su connectif inter- calé aux fibrilles nerveuses se détache sous la
forme
de petites raies et taches, d'abord du côté nas
onnes. Le surveillant en chef est à l'asile depuis sa fondation, et
forme
les serviteurs nouveaux, remplaçant ainsi une é
ui les colonies, actuellement à l'ordre du jour, ne seraient qu'une
forme
primitive d'assistance justement condamnée dans
M. P. Marie présente un malade chez lequel une hémiplégie droite à
forme
banale consécutive à un ictus a complètement ré
me qui continue dignement la série de ses devanciers; la collection
forme
un véritable compendium des ma/¡¡- dies chroniq
roubles delaréflexion et de la systématisation des idées. Sous leur
forme
la plus atténuée les symptômes consistent surtout
l la conscience semble à peu près vide de repré- sentations, est la
forme
la plus accentuée de ce phénomène. A un degré m
me la plus accentuée de ce phénomène. A un degré moindre, certaines
formes
intellectuelles tendent à se repro- duire sans
u'il considère la catatonie. symptôme impor- tant de début dans une
forme
spéciale de démence précoce, comme le résultat
, si fréquentes chez ces sujets, peuvent être considérées comme des
formes
de la suggestibilité : une repré- sentation mot
cience, s'obscurcissent : ceux qui subsistent tendent à prendre une
forme
stéréotypée. Le trouble du souvenir porte primi
Fowler, de liqueur de Boudin ou de beurre arsenical, en somme sous
forme
inorganique, il y a dans la majorité des cas de
us efficace et sans inconvénient. G. C. XXIII. Etude clinique des
formes
unilatérales de la paralysie agi- tante; par Lo
Michaud est une étude clinique où il insiste sur le diagnostic des
formes
unilatérales de la maladie de Parkinson avec le
900-1901.) M. Lévy s'occupe, dans sa thèse fort intéressante, d'une
forme
de mutité survenant chez des enfants de trois à
pi- nions des différents auteurs qui ont essayé de classifier cette
forme
de mutisme chez les entendants. Depuis Stard et
'avec Coën (de Vienne) que commence l'his- toire véritable de cette
forme
de mutité; il la dénomme « alalia idiopalica »
inique; par François Gaaz. (Th. Lyon, 1900-1901). Les principales
formes
d'aliénation mentale observées par M. Graz chez
épisodique. Mettant à part la paralysie générale, la plupart de ces
formes
se terminent souvent par la guérison. Les princ
e les poisons, l'alcool, la morphine, la cocaïne, déterminent des
formes
cliniques qui présentent des caractères identique
la nature de leurs lésions : il s'agit donc là d'un groupement de
formes
morbides naturel. Malheureusement, en psychiatrie
'exemple des intoxications. Le difficile est de distinguer dans les
formes
cliniques les symptômes essentiels des signes a
erminent par la démence. Il est grandement à désirer que toutes ces
formes
si différentes au point de vue du pronostic pui
ique ? pal 0. Fragmto. 148. motrices de la moelle. Voir Ané- mie.
Forme
particulière de reac- tion des- radiculaires, p
É1'HAUTE. Voir Ilalltt- cinaiions. ' Méningite cérébro-spinale il
forme
de paialysie infantile, par Ray- mond et Sica
dans la - pro- gressive des aliénés, par Naed,e. 501. Etudes des
formes
unilaté- rales de la - agitante, par Mi- chau
53. - par Ballet, 515. Sclérose CCIir.nn0-SPI\ \LE multiple de
forme
anatomique spéciale avec antécédents héréditair
gastri- ques. Troubles trophiques de la , par Nalbandow, 66. - à
forme
radiculaire, par Huet et Cestan, 88. Topograp
l'une constituant le fond de la maladie, et l'autre déterminant la
forme
, donnant le pourquoi de sa mani- festation. Vou
générale, suffisamment com- plète de la maladie et des principales
formes
qu'elle peut revêtir. Les deux premiers se rapp
ent à des tics localisés; le troisième est un exemple typique de la
forme
généralisée ; le quatrième tire surtout son int
tics généralisés. C'est là un rapprochement de plus entre les deux
formes
de la ma- ladie des tics. Observation III. -
tre particularité concerne la coprolalie qui se manifeste sous deux
formes
absolument distinctes. Tantôt les paroles ordur
re légèrement obtus de ce côté ; la main apprécie imparfaitement la
forme
des objets. Réflexes pharyngien et conjonctival
les de repos, écrit-elle très lisiblement, et les lettres qu'elle
forme
n'offrent pas trace d'irrégularité. Que l'on co
la cadence avec laquelle ils se produisent. Qu'ils surviennent sous
forme
d'accès ou se montrent pendant un temps plus lo
rédité, très chargée de part et d'autre, s'est manifestée sous deux
formes
distinctes, et de même qu'elle peut donner nais
ouble existe (Obs. III). La coprolalie peut se manifester sous deux
formes
distinctes : à haute voix ou à voix basse ; à h
laires; à voix basse, ellez sont émises en dehors d'elles. Ces deux
formes
peuvent se rencontrer chez le même malade (Obs.
lioti, Millano. 1883. Ballet et Crespin. Des attaques d'hystérie ii
forme
d'épilepsie partielle. (Archiv. de Neu- )-ologi
troubles du langage, peuvent se vérifier dans l'hystérie toutes les
formes
d'aphasie avec les mêmes caractères comme dans
r Charcot, est spécifique de la névrose hystérique. Pour les autres
formes
, nous ne pourrions nous guider, pour un diagnos
ièle au-devant sur l'os frontal en s'étalant de façon à prendre une
forme
triangulaire avec l'apex dirigé en arrière. Son p
u rebord costal. Dans la région sus- claviculaire, dans une zone de
forme
triangulaire ayant pour base 56 PATHOLOGIE NERV
ours allée plus se bornant vers le moignon de l'épaule, assumant la
forme
caractéristique en man- chon. Le sens musculair
git donc d'une douleur d'ori- gine psychique, laquelle s'exacerbe à
forme
de crises. B... est très agité, il gémit contin
de névrose traumatique pour les défenseurs de l'autonomie de cette
forme
morbide. Il s'agissait d'un homme très vigoureux,
otre cas, il nous reste à expli- quer pourquoi la paralysie prit la
forme
hémiplégique. En premier lieu, nous devons rapp
t maladies différentes, et c'est tou- jours le même membre, la même
forme
traditionnelle que l'on découvre dans les fouil
étant de nature organique et proposèrent l'abla- rehaut. - Sur une
forme
de la gangrène successive et disséminée de la p
inévitable, d'autant plus affreuse qu'elle restait inconnue dans sa
forme
et surtout dans le moment précis de son avèneme
nique ? Sont-elles le résultat de congestion cérébrale apoplecti-
forme
, ou d'aploplexie nerveuse, cette dernière étant u
rsécutions et de démence sénile. Degré de toxicité. Dans toutes les
formes
d'aliénation men- tale, autres que la démence s
été augmenté, dans des proportions différentes du reste, suivant la
forme
d'aliénation et l'acuité de la maladie. Tandis qu
LOGIE MENTALE. traire, une toxicité beaucoup plus énergique ; et la
forme
n'est guère qu'un élément secondaire au point d
intensité de la maladie : chez tous les malades, quelle que soit la
forme
revêtue, plus la maladie était intense, plus le
ssion symptomatique, ce qui existe che; l'individu atteint de cette
forme
d'aliénation mentale. L'urine des lypémaniaqu
de l'innervation et de l'impul- sion volontaire. P. K. XXVII. Des
formes
aiguës delà démence (Amentia) ET DE la folie SYST
Pyschiat., XLVIII, 4.) Les folies aiguës se présentent sous deux
formes
. ' 1° Désordre des idées hallucinatoire (amenti
athie disparait. 2° Catatonie de Kahlbaum. C'est, dit l'auteur, une
forme
morbide autonome, indépendante. 1 P. K. REVUE
interne, quelques cellules ressemblant, par leur grandeur et leur
forme
, à celles du noyau externe. Ce sont ces cellules
le côté, c'est-à-dire vers le corps restiforme et les fibres arci-
formes
émanées du cordon cérébelleux. On en peut suivre
droit était rudimentaire. Les noyaux internes du faisceau cunéi-
forme
étaient bien développés; mais les noyaux externes
élément; après chaque explosion, l'enveloppe de l'élément opti- que
forme
un pli annulaire qui représente une sorte de raie
l'extrémité antérieure du filament étant détruite, il faut qu'il se
forme
toute une série d'échanges physico-chimiques, e
i résumer : 1° L'association fréquente chez un même sujet des trois
formes
de folie avec prépondérance d'une seule; -2° la
a- blie, se demande quelle est sa valeur clinique et dans quelles
formes
vésaniques elle s'observe. Il cite d'abord le cas
que de ce que Krafft Ebing a décrit sous le nom de paranoïa dans sa
forme
primitive ou de ce qui en France est connu sous
cution, les hallucinations verbales psycho-motrices ont, suivant la
forme
cli- nique du délire une valeur séméiologique d
, au lieu d'une évolution anormale, l'anomalie' se présente sous la
forme
d'une dissociation psychique rapide. D'autres f
s mêmes lésions pour expliquer la pathogénèse au moins de certaines
formes
des atro- phies musculaires, surtout de l'atrop
os l'opinion de Roux qui considère la paralysie de Landry comme une
forme
de la rage paralytique qu'on ne croyait propre
racté- ristique des folies rhumatismales. La mélancolie serait la
forme
principale mais non la seule ; l'arthritisme ét
si bien que sous son titre modeste, ce manuel représente dans une
forme
concise un véritable traité des maladies mentales
stupeur, que l'auteur semble toujours rattacher sans dictinction de
forme
, à la mélancolie. En revanche, un des meilleurs
l rattache franchement à la neurasthénie, dont elles constituent la
forme
psychique. M. Régis est le premier auteur franç
agents sur la nutrition, sur les actes, psychiques, la vitesse, la
forme
, l'énergie des mouvements secondaires, sur la p
xistence, mais peut encore étudier les qualités, leur énergie, leur
forme
, leur précision, leur rapidité. Ces modificatio
ans le même sens, et peut arriver à créer de véri- tables délires à
forme
de rêve. D'ailleurs, l'analogie qui existe entr
me de rêve. D'ailleurs, l'analogie qui existe entre les différentes
formes
de mé- lancolie et de manie et les émotions nor
que secondaire et consécutive à la douleur morale. Les différentes
formes
de manie et de mélancolie naissent sur un fond
ologique d'un état émotionnel unique, la douleur. La manie dans ses
formes
furieuses n'est que l'exagération en durée et e
u inerte, constitue d'ail- leurs une prédisposition aux différentes
formes
de psychoses. De même qu'on ne peut affirmer un
l'intérêt de l'individu ou de l'espèce. Elle se présente sous deux
formes
, une émotivité diffuse et permanente qui constitu
ulières et toujours les mêmes pour le même individu. Celte dernière
forme
est bien mise en évi- dence dans la catégorie d
ocalisation des troubles physiques d'origine émotionnelle et sur la
forme
spéciale des .roubles psychiques. Les trouble
premier édifice destiné à 100 malades du régime commun (indigents)
forme
un asile complet avec ses sections convenables,
ant qu'on adopte la doctrine unitaire ou séparatiste des diverses
formes
sous lesquelles elles peuvent se pré- senter. M
, par Eulenbourg et Conheim en 1866, et par moi-même en 1871. Cette
forme
resta longtemps l'uni- que représentant du grou
ui, par la suite, s'est fort étendu. . En 1884, M. Erb décrit une
forme
juvénile d'atro- phie musculaire progressive, q
qu'elle est aussi indépendante, de toute altération spinale. Cette
forme
se développe en général vers la vingtième année
cier aisément des atrophies progressive, d'ori- gine spinale. Cette
forme
avait cependant été englobée dans la descriptio
qui a trait à un cas d'atrophie répondant bien certainement à la
forme
juvénile d'Erb.. Vers la même époque, en 1884,
époque, en 1884, MM. Landouzy et Déjerine ont repris l'étude de la
forme
infantile de l'atrophie musculaire progressive,
ans leur description, de préciser les caractères cliniques de cette
forme
, et de montrer qu'indépendante de toute altérat
ndes lignes du dai- 168 CLINIQUE NERVEUSE. gnosticdiuerentiel des
formes
spinales del'amyotrophie progressive, vis-à-vis
il présente. En tout cas, il doit savoir l'analyser sous toutes ses
formes
et à tous ses degrés. Il faut d'abord voir s'
i, pendant sa vie avait offert le tableau devenu classique de cette
forme
de myopathie primi- tive dite héréditaire infan
mi- tive dite héréditaire infantile de Duchenne (de Boulogne) ou,
forme
facio-scapulo humérale de Landouzy et Déjerine.
t, où non seulement ils complétèrent l'histoire cli- nique de cette
forme
morbide, mais où encore et surtout ils en fixèr
arie et Georges Guinon. Contribution ù l'élude de quelques unes des
formes
cliniques de la myopathie primitive progressive.
, et non sur les muscles de la région antéro-interne de la jambe.
Formes
extérieures. La clavicule, des deux côtés, est as
iceps et du tri brachial antérieur, leur face antérieure a pris une
forme
concave. Les avant-bras sont normaux. Des deux
grands efforts d'occlusion. Les lèvres prennent de plus en plus la
forme
de museau. Au tronc, l'ensellure s'accentue ; l
nification. Quant aux fibres musculaires, elles diffèrent par leurs
formes
et par leurs dimensions. Il importe d'ajouter a
t par leur couleur claire sur le reste du faisceau nerveux.. Leur
forme
est irrégulièrement ovoïde; elles sont situées
fasciculaire du fascicule nerveux. L'espace ainsi circonscrit, qui
forme
l'ensemble du système, est occupé par des figures
re variable. Ceux-ci, qui peuvent atteindre de 20 à 25 p. ont une
forme
généralement arrondie; limitée par' un contour
d'un leucocyte polynucléé. D'autres de ces éléments présentent des
formes
un peu différentes, dans le détail desquelles n
'idiots, et c'est là ce qui fait l'intérêt de cette observation. La
forme
de la tête, les tics coordonnés complexes, mult
reux, d'hystéro-épilepsie. J. Séglas. XXII. L'acide URIQUE dans les
formes
DE dépression mentale; par le or Marzocchi. (Ri
occhi. (Riv. sp. di (l'en., t. XVIII, fasc. 2, 1892.) Dans quelques
formes
de mélancolie, il y a augmentation, abso- lue o
péralion que quand nous reconnaissons deux ordres de force ou deux
formes
d'attention : lorsque l'attention agit spontanéme
e poids du corps n'a aucune valeur pronos- tique. P. K. IV. D'UNE
forme
grave spéciale d'épiphénomènes consécutifs A la
3ull. de la Soc. dc tlled. ment. de Belgique, 1891.) .) XIII. D'UNE
FORME
rare DE neurasthénie SEXUELLE avec obsessions;
manifestations variées de l'hystérie ou de la neurasthénie; 4° des
formes
plus rebelles et d'une localisation spéciale se
-il assez grand pour pouvoir être séparé des autres cas en tant que
forme
séparée. Ses observations personnelles durant ces
ue 35 à 40 p. 100 de ces malades avaient eu la syphilis. 2° Cette
forme
syphilitique de la myélite dorsale a-t-elle des c
érentiels qui la distinguent ? Il faudra l'observer. - 3° Parmi les
formes
nombreuses des affections spinales syphilitiques,
se dégagent : 1° l'occurrence de convulsions cloniques affectant la
forme
de névrose généralisée consécutive au traumatis
tion marquée de la papille; en rapprochant cette altération de la
forme
du truuble visuel, de l'existence d'un scotome ce
ès maigre; les extrémités digitales présentent dès la naissance une
forme
étrange qui est due à ce que le corps de l'orga
emps, les accidents atteignent une acuité extrême ; ils revêtent la
forme
de la manie aiguë (agitation, volu- bilité du l
gaîté et de dépression, pouvant aller jusqu'à l'angoisse, selon la
forme
des hallucinations. 11 existe, en effet, de nombr
a lieu. La santé ne s'est pas démentie depuis. M. L. Laquer. D'une
forme
particulière de paresthésie des extrémités. Sér
é. Mais cette statistique ne comprend point la ville de Breslau qui
forme
à elle seule un district, au point de vue de l'
cordon postérieur, une partie veuve de fibres myéliniques qui a la
forme
d'un coin à sommet dirigé en avant. Celte zone
i souvent la mélancolie stupide, qui affecte assez fréquemment la
forme
de la démence aiguë. L'isolement n'a pas d'influe
'il examine au point de vue des modifications de la rapidité, de la
forme
, de la syntaxe et du contenu; 2° à des troubles
et originaux, puis la valeur qu'il faut attacher aux- écrits, leur
forme
et leur contenu 304 BIBLIOGLAPHIE. en général
nt aux contractures proprement dites, M. Richer en dis- tingue deux
formes
: 1° contracture hystérique permanente se subdi
hésie ou d'hy- péresthésie de la peau; 2° contracture hystérique de
forme
psy- chique. Il insiste sur la différence sympt
symptomatique, plus apparente que réelle, croyons-nous, de ces deux
formes
. La contracture vul- gaire aurait un caractère
ysies hystériques, défend l'opinion que la contracture n'est qu'une
forme
de l'activité musculaire, et n'est qu'une exagé
u tonus musculaire. Quant aux preuves du siège cérébral de quelques
formes
de la contracture hystérique, il les range en d
qui peut être regardée comme une akinésie psy- chique systématisée,
forme
le premier groupe. Dans les dysbasies parafonct
ement : saltatoire, choréique et orthétosique. La marche abasique
forme
un groupe intermédiaire et peut être paralytiqu
e paralytique (ou parétique), ou ataxique et alors tantôt choréi-
forme
, tantôt trépidante. La marche titubante non spasm
e et de trois médecins (professori) choisi parmi les aliénistes. La
forme
du concours est soumise aux prescriptions du rè
s de lésion du plexus ou de ses racines. Par sa topographie, par la
forme
arrondie de ses contours, elle est toutàfait pa
nt névropathique s'est révélé chez plusieurs membres, sous diverses
formes
. Il est lui-même mort, vers l'âge de soixante a
que celle du côté droit. Cette différence ne dépend nullement d'une
forme
particulière de la cage thoracique en ce point;
apper trois générations successives et conserver à peu près la même
forme
, le même type. Nous trouvons encore là une preu
Ils nous ont démontré que ce tremblement peut présenter toutes les
formes
différentes du tremblement, qui ont été jamais
, le tremblement chez notre malade peut être rapporté à la première
forme
du groupe moyen, suivant la classification de D
e dans l'évolution de la grande névrose. M. Pitres en décrivant une
forme
du tremblement qu'il a nommée trépidatoire, cit
apparition et' était entre- mêlé d'attaques hystériques d'une autre
forme
; en un mot, il était dépourvu de toutes les pa
e. En première ligne, se ren- contrent les obsessions conscientes à
forme
interrogative ou dubita- tive et qu'on peut dis
our en gémir et se lamenter. Après Cotard, M. Séglas a étudié cette
forme
psycho-pathétique et a mis en lumière l'altérat
roupe particulier de folies aiguës parfaitement distinct des autres
formes
reconnues généralement en France et dont on ne
la confusion mentale primitive serait une psychose constituant une
forme
intermédiaire entre les folies purement fonctio
l'existence de cette dernière, sa place dans la classification, ses
formes
sont loin d'être établies; l'apparition rapide d'
que les délires non systématisés variables et peu profonds de cette
forme
vésanique. Quand il y avait manie chronique simpl
de l'hystérie ; Georget et Lieutaud font de ces deux névroses deux
formes
symptomatiques de la même maladie : 38.-) REVUE
bservation, siègent depuis quatorze ans aux membres inférieurs sous
forme
d'ulcères inguérissables, symétriquement disposés
le nom de Paranoïa consiste à rechercher s'il existe réellement une
forme
aiguë de cette maladie. Bien que cette forme ai
existe réellement une forme aiguë de cette maladie. Bien que cette
forme
aiguë ait été décrite par Westphal et admise par
es M. Dunn est disposé à se ranger, renoncent à l'admettre. Sous la
forme
chronique, elle peut ou être' primitive, c'est-à-
être' primitive, c'est-à- dire apparaître d'emblée, et c'est là sa
forme
la plus typique et la mieux caractérisée, ou bi
our le terminer, à un état mental pathologique antérieur. Parmi les
formes
les plus usuelles et les plus généralement admi
ci, et dont il trace d'ahord un historique assez étendu. Sous cette
forme
, la maladie apparait généralement entre trente-
moire, elle aboutit à la démence complète. Il est enfin une autre
forme
, à caractères un peu spéciaux, et que Krafl,-Eb
énital, elles affecteraient plus souvent la vue que dans les autres
formes
, les malades seraient exceptionnellement irrita
. LIV. LE DÉLIRE SENSORIEL dans SES rapports avec LES DIFFÉRENTES
formes
DE Paranoïa; par Del GtEco. (Il manicomio, fasc.
ports avec la paranoia et cela, en faisant l'analyse d'une série de
formes
intermédiaires entre le délire sensoriel typique
n que ressemblant par certains côtés à la manie ou à la mélancolie,
forme
cependant une classe à part. Il lui faut pour s
re sensoriel vrai et la paranoia chronique, il y a une multitude de
formes
dans lesquelles la personnalité morbide, plus o
ns cohérente, se dessine dans un temps relativement court. Dans ces
formes
, la modification de la personnalité se révèle au
ions de la période prodomique de la paranoia chronique. C'est à ces
formes
que doit s'appliquer exactement le nom de paran
er exactement le nom de paranoia aiguë. Malgré la grande variété de
formes
cliniques intermédiaires entre le délire sensor
dégénérescence mentale. Selon le fonds du caractère, elle prend des
formes
et des allures diverses : dans quelques formes
tère, elle prend des formes et des allures diverses : dans quelques
formes
aiguës, on peut observer une rémission, presque
e ces observations, l'auteur tire les conclusions suivantes : I. La
forme
du délire chronique décrit par M. Magnan existe
rques sur l'influence DE la désinfection intestinale , sur QUELQUES
formes
DE folie aiguë; par John MACPHERSON. (The Journ
s rapidement. Elle se croit possédée du démon, ce qui constitue une
forme
rare de nos jours. Les malades accusent plus gé
e l'histoire de la manie et des états maniaques dans les di- verses
formes
mentales. Tout le monde est d'accord pour admet
troisième partie, la plus étendue, décrit et développe les diverses
formes
de l'inversion considérées dans leurs causes dire
aintenant que leur prix les rend plus abordables ? 8° Quelle est la
forme
la plus avantageuse et la moins dangereuse sous l
ise eût montré la variété de ces phénomènes « plus nombreux que les
formes
de Protée et que les couleurs du caméléon », on
surviennent sans 'ordre préétabli et se succèdent sous différentes
formes
et à différentes époques chez les mêmes sujets;
aurait acquis assez de force pour se réaliser objectivement sous la
forme
de paralysies11'... » Plus tard, M. Charcot app
ent non seu- lement la maladie hystérique en général mais encore la
forme
très particulière que prend l'accident. A la mê
e somnambulisme nocturne, tantôt il se développe en plein jour sous
forme
d'attaque précédée ou non de convulsions. Quelq
epsies plus ou moins complètes, etc., ne sont que des degrés ou des
formes
variées du somnambulisme, des réapparitions plu
eu'plus ouvert que le droit; le pincement des lèvres n'est pas uni-
forme
; tandis qu'à droite elles sont fortement appliqu
ressent dans la tête, mérite d'être retenu, car il dépeint, sous une
forme
très juste et très pittoresque, le phénomène au
gitante, le cas est des plus classiques, l'on est en présence de la
forme
vulgaire de la maladie où sont représentées, à
les états d'excitation psychique ou motrice accompagnant diverses-
formes
de maladies mentales. Comme telle, on doit la pré
désordre des idées et des actes comme dans.la manie aiguë. Dans les
formes
de manie chronique, dans les états d'agitation,
2.) Recherches sur la noix de Kola, le borate de soude, le bromo-
forme
, l'azotate de soude. Signalons en particulier ces
coque pyogène. Il n'y a aucune importance à rechercher dans quelles
formes
mentales se déve- loppe de préférence l'otémato
i trop peu préoccupé de l'influence de l'insolation (sous la double
forme
de coup de soleil 460 REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
seconde ligne, puis la diminution du pouvoir musculaire. Plusieurs
formes
d'aliénation mentale se sont montrées à l'état
t de leurs opi- nions. R. M.-C. LXXXII. La KATATONIE EST-ELLE UNE
forme
particulière DE TROUBLE mental; par M. J. NOLAN
sants qu'on a pu constater chez eux les traits principaux des trois
formes
de katatonie décrites par Schüle, à savoir : la
ux des trois formes de katatonie décrites par Schüle, à savoir : la
forme
religieuse expansive, la forme démonoma- niaque
e décrites par Schüle, à savoir : la forme religieuse expansive, la
forme
démonoma- niaque, la forme hystérique. R. M.-C.
voir : la forme religieuse expansive, la forme démonoma- niaque, la
forme
hystérique. R. M.-C. L1YYI\'. UN cas DE tumeur
de M. Bernheim ne sont pas réellement hypnotisés ; il pense que la
forme
légère de l'hypnotisme, telle qu'on l'observe c
loi du mot paranoïa, c'est-à-dire réserver le mot paranoïa pour une
forme
clinique ' Voy. Archives de Neurologie, séance
- rantes systématisées. Je dirai tout à l'heure en traitant d'une
forme
spéciale des néo- formations délirantes ce que
s choréiques ou athétosiques, en sont les manifestations; tantôt la
forme
en est paraplégique sur les membres inférieurs,
montre ainsi, par exemple, que la partie non croisée des fibres ne
forme
pas un fais- ceau compact sur tout leur parcour
, 92 : par l'rondor, 390; polymorphe, par Arnaud, 272. Démence,
formes
aiguës de la -, par Serbslci, 103. . Dermomia
C'est que les maladies ne se présentent pas toujours sous les mêmes
formes
; c'est que les malades ont leur indi- vidualité
E ET DE PHYSIOLOGIE. PATHOLOGIQUES 53 ovoïdes, bacillaires, etc. La
forme
la plus typique parait être la chaînette termin
aînette terminée à chaque extrémité par un grain plus volumi- neux [
forme
en boulets enchaînés). Ces corps sont animés d'on
ent si bien qu'il faut les suivre longtemps pour être fixé sur leur
forme
véritable. Ils adhèrent fréquemment aux globule
ée à diverses reprises xi chez le lapin, reproduit dans le sang les
formes
parasitaires type- 1 ques du sang comitial. I
al, 3 août 1901.) Il s'agit d'un fragment de la boite crânienne, de
forme
irrégu- lièrement ovale, et mesurant un pouce e
lysie générale démentielle, typique. La paralysie générale atypique
forme
, en somme, le pendant de la paralysie générale
s sous le nom de faciès de Sphinx. MM. Déjerine et Marie : C'est la
forme
classique du cou dans les myopathies. Prépara
ue de tous les organes et de l'axe encéptialo-médullaire, elle a la
forme
d'une grosse olive placée au centre de la calot
de néoplasme papillomateux et très végétant, se présentant sous la
forme
de collerette de grosses cellules entourant un
signalé plus haut des proliférations plus accentuées encore sous la
forme
de petits bourgeons qui vont pé- nétrer dans le
r avec tremblement post-hémiplégique. Ainsi les mouvements ataxi-
formes
présentés par notre malade ne nous paraissent pas
mblement ou 103 'l) PATHOLOGIE NERVEUSE. du Nystagmus simples aux
formes
rendues plus complexes par les signes nouveaux
nous avons passées en revue présente son maximum d'intérêt dans les
formes
familiales. La loi de l'hérédité similaire que
euse nettement caractérisée comme la maladie de Friedreich pour les
formes
isolées, comme l'hé- rédo-ataxie cérébelleuse p
ts ressortissant les uns à la névrose trémulante, les autres aux-
formes
plus complexes des maladies héréditaires. Il est
pas seulement une étude sur un point d'aliénation mentale; sous sa
forme
scientifique, il éclaire un chapitre important
ut-être aussi, au point de vue de l'hystérie, celle qui présente la
forme
la plus classique, la plus clinique pour parler
ieuses comparai- sons et sur leur didactisme ennuyeux s'étalent des
formes
agréables. SES LIVRES preuves DE sa MALADIE.
où cela est possible, à discerner leurs rapports avec les diverses
formes
de troubles mentaux. R. de hIUSGRAV1 CLAY. RE
eaux malades. Les cellules sont de deux variétés : les unes sont de
forme
irrégulière, à noyau relativement volumineux; l
ntendus, se rencontrent sur- tout, mais non exclusivement, dans les
formes
hallucinatoires de la démence précoce, chez les
ses chez les juifs. C'est un fait incontestable que les différentes
formes
de dégénérescence nerveuse (paralysie générale,
.parmi les femmes juives. Les cas graves d'aphonie hystérique, sous
forme
endémique, sont fréquents chez, les juifs des deu
érique est presque caractéristique d'une origine juive : les autres
formes
convulsives et psychopathiques sont d'ailleurs
éressant au point de vue de la persistance dans une même famille de
formes
semblables d'aliénation mentale. R. M.-G. REV
L'anesthésie a été obtenue dans tous les cas au moyen du chloro-
forme
et c'est à l'action toxique de cet agent sur les
sensations causées par le froid, lesquelles étaient perçues sous la
forme
de sensations de chaleur. Toutefois à cette ano
dans une page d'im- pression, des lettres dont on distingue bien la
forme
et le caractère; mais sans pouvoir les lire. En
e réveil d'une image visuelle particulière. Paralysie générale ci
forme
sensorielle. 1t. P. Sérieux communique en son n
En novembre 1900 et en mars 1901, à la suite de crises épilepti-
formes
, X... présente d'abord de la surdité corticale, p
de méningo-encéphalite diffuse, mais doivent faire pensera à cette
forme
sensorielle de la paralysie générale liée à des f
tte question. Parchappe dit nettement que la paralysie générale «
forme
une espèce distincte du genre folie ». Dès lors l
chez les catatoniques. Il semblerait d'ailleurs que cette dernière
forme
parait plus rare en France qu'en Allemagne. Mar
lades, le frère et la soeur atteints d'atrophie distribuée selon la
forme
de l'hémiplégie c'est-à-dire atteignant tous le
au tronc et à la face. Il y a donc là un type nouveau d'atrophie à
forme
hémiplégique, et une notion nouvelle familiale.
uver voix plus autorisée que celle de l'auteur pour présenter, sous
forme
claire et précise, le résumé de nos connaissanc
ts précoces. 111-8- (le 266 pages. Boyer edit. Gl-illain (G.).-La
forme
spasmodique de la syringomyélie, la névrite asc
atre ans la quantité des malades atteints de paralysie générale, en
forme
démente et de para- lysie générale en forme man
paralysie générale, en forme démente et de para- lysie générale en
forme
maniaque. Le rapport'du nombre de formes dément
e para- lysie générale en forme maniaque. Le rapport'du nombre de
formes
démentes au nombre des formes maniaques, chez l
e maniaque. Le rapport'du nombre de formes démentes au nombre des
formes
maniaques, chez les hommes était : PARALYSIE GÉ
de rire inconvenants. Accuse des hallucinations audi- tives sous la
forme
de voix agréables ou déplaisantes. Amnésie. » C
s ainsi observées se loca- lisent de la façon suivante : 1" Deux de
forme
lenticulaire, sont à la périphérie de la cornée
ans. 1 ir. 25 à 28. 214 CLINIQUE NERVEUSE. 2° Une troisième, de
forme
ovalaire, occupe la partie inférieure et médian
pression habituelle de sa physionomie, sa démarche, sa mimique, la
forme
de son langage, tout l'ensemble de ses allures re
in ; tout à coup dans mon cerveau, par le fait de la maladie, 3° se
forme
l'image d'un diable ; 20 cette image part du ce
mme il n'y avait aucune image, je ne pouvais distinguer sous quelle
forme
il était ; mais pour être toujours à mon côté d
r bizarre, qu'un Dieu. pour se manifester, n'ait pas choisi d'autre
forme
que celle antérieurement conçue par des peintre
se est en proie aux hallucinations ayant pour base le démon ; cette
forme
que prend son délire lui est suggérée par les p
crier aux oreilles qu'elle est le jouet du diable, qu'il prend la
forme
du Sauveur pour agir en elle, tant et si bien qu'
le corps de Jésus ». Le démon lui apparaissait quelquefois sous des
formes
horribles; il lui parlait d'un ton menaçant, av
t. Le médecin est habitué à considérer la genèse et l'évolution des
formes
et des phénomènes, à reconnaître partout l'acti
nalité qui en sont la conséquence. Aussi a-t-on pu dis- tinguer une
forme
aiguë et 'une forme chronique, cette dernière à
a conséquence. Aussi a-t-on pu dis- tinguer une forme aiguë et 'une
forme
chronique, cette dernière à la suite des travau
re le résultat de la transformation progressive de l'obsession. Les
formes
psychopathiques sont la mélancolie anxieuse et
et on peut admettre que toute psychose débute par de l'anxiété. Les
formes
mentales dans lesquelles l'an- goisse se montre
la manie, la 252 SOCIÉTÉS SAVANTES. mélancolie, la folie à double
forme
, chez les persécutés mélanco- liques, dans les
outes leurs variantes. Les tics de la parole se manifestent dans la
forme
la plus grave, la maladie de Gilles de la Toure
dante qui est le plus sûr agent d'entretien du tic. Telles sont les
formes
d'association du tic et de l'obsession, comme l
ulsive, aussi pose-t-il la question : « Le tic ne serait-il pas une
forme
d'impul- sion ? » Opinion très défendable, qui
uses générales et des causes spé- ciales, celles-ci variant avec la
forme
du tic, il est aussi des asso- ciations et des
tage prendre place dans le chapitre des myoclonies ; dans certaines
formes
associées de pj ! ra ? H)/oc<OKM et de tics, l
uite qu'un tic est toujours clonique ; et que, par con- séquent, la
forme
tonique du tic n'existe pas ; en particulier, le
al ; 6" le torticolis mental et, d'une manière générale, toutes les
formes
toniques ou simples, attitudes d'ordre mental, do
s beau- coup plus communs où c'est elle, au contraire, qui, sous la
forme
d'actes de siège et d'intensité différents, pré
névropathe, se vit, vers l'âge de cinquante ans, atteint d'un tic à
forme
de torticolis du côté gauche. Sa tête se tournait
Les caractères chez les monstres doubles. M. Bellemanière. Diverses
formes
de l'attention chez l'enfant. M. Lepinay. L'hyp
es jours. L'on agrandit ceux qui existent; on les modifie dans leur
forme
extérieure : on construit des quartiers indépen
a place des boutons. L'une portait un chapeau de feutre gris, d'une
forme
ultra sim- ple, mais d'un diamètre excessif; le
on égale, identiques toujours par le fond et quelquefois même parla
forme
. C'était soit l'énoncé d'un fait qu'elles se ra
ix-huit mois de désarroi elle a conservé sa ceinture, un chapeau de
forme
reconnaissable et même un ornement d'argent. El
cune conviction ne pénètre en elle profon- dément. Voici, dans sa
forme
dialoguée, le compte rendu de leur interrogatoi
out de l'observation clinique, conclut fort justement : « C'est une
forme
non aiguë de méningo- encéphalite. » . Cette
ue d'un ange qui se tenait près de moi, à mon côté gauche, sous une
forme
corporelle. Il n'était pas de haute taille, mai
Elle a l'aura, ce coup de sifflet indicateur de la crise, sous la
forme
d'un sentiment de refroidissement ; puis elle a l
s contracturées assez longtemps ; elle a le délire transitoire sous
forme
d'hallucinations diverses ; elle a les gémissem
C : ld- leau intérieur, sainte Thérèse a reproduit sous une autre
forme
le même ordre d'idées ; ce château fort se compos
inction et le classement mé- thodique des différentes catégories et
formes
d'aliénation mentale, l'éloignement de celles d
lombaire permet de distinguer la paralysie géné- rale des diverses
formes
de l'alcoolisme, et surtout de ces accès d'alco
-deux ans dans ma thèse, quand j'ai dit, le premier en date, que la
forme
chronique et rémittente de la paralysie général
eloppent à la faveur de l'angoisse, et leur objet, qui n'est que la
forme
intellectuelle dans laquelle l'an- goisse se ju
nces. Je puis citer trois observations de malades atteints de cette
forme
de névropathie, et chez lesquels on ne trouve a
les symptômes délirants qu'un simple rapport de coexistence. Les
formes
psychopathiques auxquelles peut aboutir l'obsessi
ssion. Lorsqu'il s'agit d'accès aigus, ils revè- tent en général la
forme
anxieuse : les idées morbides ne sont que la tr
leurs, les éléments de pronostic ne doivent pas être tirés de la
forme
de l'obsession, mais du complexus symptomatique e
qui préside à la transformation de l'obsession vers les différentes
formes
délirantes et dont l'origine dernière doit être
du projet de loi portant revision de la loi du 30 juin 18381, con-
formes
à ceux qu'ont voté sur nos Rapports le Congrès in
hogénique du délire mélancolique. Ce délire, qui affecte d'abord la
forme
d'idées de culpabilité générale, diffuse, peut,
és à l'alcoolisme chronique. L'auto-accusation représente une des
formes
délirantes de l'ivresse psychique, qu'on observ
barbare, atteintes d'hystérie, de débilité mentale et des diverses
formes
démonopathiques du délire de possession, repré-
pillaire. Chez les neuf paralytiques en rémission ou atteints d'une
forme
lente, à longue évolution, il a été impossible
mé, dans les métastases cancéreuses vertébro-spinales, à côté de la
forme
primitivement osseuse classique, il faut faire
la forme primitivement osseuse classique, il faut faire place à une
forme
radiculo-méningèe. IV. Les altérations intéress
tudié dans une autre communication avec MM. Philippe et Cestan, une
forme
peu connue de sarcome, le sarcome solitaire env
dans les scléroses céré- brales atrophiques, et même dans certaines
formes
de paralysie générale. Enfin dans les scléroses
use ; nous avons pu en suivre toutes les étapes; la dernière est la
forme
arrondie qui les fait se confondre avec les corps
iques, où, malgré la disparition des éléments'nobles, persistent la
forme
et la charpente antérieure de la région, doiven
ture allemande, nous autorisent à admettre l'existence de plusieurs
formes
analomo-cli- niques parmi les sarcomes primitif
ue. Dans ce groupe, très important en pathologie'nerveuse, les deux
formes
qui mé- ritent d'être individualisées sont : d'
et définitive. B. Sarcomes solitaires des centres nerveux. Cette
forme
est rare. Nous avons pu en observer 4 cas ; tro
rs 7nul- tiples envahissant tout le système nerveux central sous la
forme
de noyaux isolés, plus ou moins volumineux (mén
ux ans -dans ma thèse, quand j'ai dit, le premier en date, que la
forme
chronique et rémittente de la paralysie générale
oindre résistance où l'iu- fection secondaire s'installe, évolue et
forme
la lésion tabétique. Les origines infectieuses
ue l'ont décrite Magnan et Legrain. Sclérose en plaques infantile à
forme
hémiplégique d'origine /te<'6o-)/pAt'/<&l
ence extérieure la plus complète d'une grossesse avancée (volume et
forme
de l'ab- domen, démarche); les règles étaient a
i a suc- combé, au bout de trois années, à une paralysie générale à
forme
démentielle simple, non délirante. L'autopsie a
les ne pourrait qu'augmenter la contracture. La gymnastique sous la
forme
de mouvements actifs on passifs rend des servic
ffuse du sarcoplasma avec prolifération des noyaux. Localisée, elle
forme
des taches claires ou grenues, des amas protoplas
ystérie. Toutefois, l'auteur ne rejette pas la possibilité d'autres
formes
de paramyo- clonus produites par des lésions or
oid donne un chloroplatinate en sphérules de coloration jaune et de
forme
identique aux lécithines elles-mêmes. Le seul f
désassimilation. Dans la préparation par la baryte à chaud elle se
forme
seule et cela aux dépens de la base à chloropla
synthétiques. - 1 l'état de chlorures, elles se présentent sous la
forme
de pulpes qui sont insolubles dans l'eau, dans
ans la germination de l'idée de culpabilité, il n'influe que sur la
forme
que revêtira l'idée de culpabilité, le délire de
ée de culpabilité. Comme elle doit ainsi fatale- ment aboutir à une
forme
d'idée de culpabilité, le rôle du raisonnement
malade est aiguillonnée par le doute, par le besoin de don- ner une
forme
déterminée à l'idée de culpabilité qui germe en
ession, besoin impulsif de développer cette idée, de lui donner une
forme
; cette obsession, ainsi causée par l'idée late
lpabilité, amène à son tour l'évolution ou plutôt la fixation de la
forme
de l'idée de culpabilité, et, son rôle accompli
ons s'effacer. Comment l'obsession conduit-elle à la fixation de la
forme
de l'idée de culpabi- lité ? La continuité et l
nts ; si vous nous voyez ces torti- colis, c'est pour avoir pris la
forme
des coins (sic). Nous donnions l'ordre au coche
ont en train d'écrire, elle consent à rédiger quinze lignes sous la
forme
d'une protesta- tion. Dans la cellule voisine,
sion de la santé physique. Nous devons ajouter, il est vrai, que la
forme
de bacillose à laquelle elle a sucombé n'était
que la forme de bacillose à laquelle elle a sucombé n'était pas la
forme
consomptive (pneu- monie caséuse). ' , Au déb
18 RECUEIL DE FAITS. Lasègue et Falret, « qu'il s'agit là d'une des
formes
de l'aliénation, intermédiaires entre la raison
ie morale et en par- ticulier du mensonge comme symptôme de cette
forme
mentale ; Par BOURNEVILLE et J. BROYER Voici
moyen, symétrique, ni bosses, ni fontanelles ; front assez élevé.
Forme
du visage ovale. Cicatrice de brûlure très étendu
nnées de Gowers et de Kliatsch- kine. . P. KERAVAL. 1 XVI. Deux
formes
rares du tic facial; par W.-M. Bechterew (Obo :
il gauche diminuait. L'auteur a pu ainsi constater toutes sortes de
formes
curieuses du champ visuel qui se modifiait à me
ire du plus haut intérêt clinique, décrit pour la première fois une
forme
de troubles de motihté dont la cause anatomique
stupeur accen- tuée ; 7° Il parait donc probable en somme que la
forme
de folie dans laquelle ce traitement sera le pl
l'influence que l'alitement exerce sur chaque malade et sur chaque
forme
de maladies mentales ; 3° c'est cette étude qui
de de traite- ment n'est pas appliqué spécialement à telle ou telle
forme
d'aliénation mentale, mais indistinctement à to
eux nouveaux cas de troubles mentaux, d'origine toxi-infectieuse, à
forme
de confusion mentale, accompagnés de lésions ce
lulaires corticales sont : gonflement de la cel- lule qui prend une
forme
globuleuse et arrondie ; disparition des grains
médecine men- tale et ses qualités d'administrateur. Leur ensemble
forme
un véri- table traité de médecine et de science
l et de l'auteur; l'enseignement du Pr Raymond. Le second, sous une
forme
concise, lira avec fruit un chapitre nouveau do
il.n'existe que peu d'asiles où le patronage existe soit sous cette
forme
, soit sous une autre. B. VARIA. Congrès inter
ent être soumis à ce traitement, la colonie familiale représente la
forme
d'assistance la plus naturelle, la plus libre,
uer la décharge, qui peut même se produire dans le sommeil, sous la
forme
de chocs anxieux (décharges émotionnelles de We
rconstances, qui, à un degré' plus élevé dans^ l'échelle .morbide,,
forme
l'état obsédant avec anxiété systématisée ou mo
ou phobies proprement dites. Ces der- nières se présentent sous la
forme
d'une répulsion ou peur anxieuse originelle, ch
on- nelle, demeurer unique et persister indéfiniment sous la même
forme
avec des alternatives de paroxysmes et d'accal-
peur. L'obsession n'est lis 7 1 CLINIQUE MENTALE. souvent que la
forme
aggravée ou intellectualisée de'la pho- bie. Lo
sessions impulsives ou actives. L'idée fixe. physiologique, est. la
forme
quasitétanique de l'attention (Ribot). Elle peu
r fous dans l'obsession : ce dédoublement s'accentue dans certaines
formes
chroniques et incurables de l'obsession où l'id
soit que le malade cède à son idée, soit que celle-ci revête une
forme
particulière. DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENT
éellement bien moi. » Un enfant de douze ans, atteint d'obsession à
forme
cons- titutionnelle, notamment d'obsession du d
rer ou de s'être livrée à d'autres, de la sexualité sous toutes ses
formes
, de la contamination par les excréments, les po
les tendances du sujet. Le plus souvent, il s'agit d'obsessions de
forme
religieuse. Les malades veulent prier, faire un
e, à l'état de veille. L'obsession se manifeste habituellement sous
forme
p01'O- xystique et est rarement tout à fait con
n fini à la partie supé- rieure du thorax, quand une tuméfaction se
forme
au niveau du 'fiers supérieur du sternum, tuméf
, et, à l'expiration, ressort mélangé au pus et à la sérosité, sous
formes
de bulles qui éclatent à l'orifice cutané. L'au
bres des colonnes de Clarke, en rapport intime avec le cervelet. La
forme
ataxique delà névrite et la sensumobilité d'Exi
phié dans sa totalité, ses faisceaux centrifuges sont lésés sous la
forme
de dégé- nérescence disséminée dans la région d
ant pas les siens, il accom- . plit des actes immotivés, idiots. La
forme
en varie suivant les malades, mais reste fixe c
bord, il apparaît, à la périphérie, des granulations colorables, de
forme
et de grandeur différentes. Ces granulations se
ant à des lois pliysicoeliimique, pour former à la (in des corps de
formes
géométriques, les éléments chromatopliiles, à m
teintes, une réduction du nombre des éléments clii omatiques ; leur
forme
change égale- ment et devient arrondie. Cette d
es sur les régions frontale, occipitale et cérébelleuse, et sous la
forme
de blocs dans la zone périphérique du protoplas
'insuffisance de la faculté d'attention, congénitale ou acquise; la
forme
acquise s'observe dans certaines psychoses ou n
ut en possédant leurs sens au com- plet, ne perçoivent pas; sous sa
forme
la plus légère, cet état 510 REVUE DE PATHOLOGI
10 REVUE DE PATHOLOGIE. MENTALE. caractérise la stupidité ; sous sa
forme
extrême il constitue la démence. 13. nE \fuscn.
culièrement REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. âii le développement. La
forme
d'aliénation mentale le plus souvent observée e
mentale le plus souvent observée est la mélancolie sous toutes ses
formes
, souvent avec tendance au suicide ; on constate
as de manie aiguë et de mélancolie ; il l'est moins dans les autres
formes
de manie et surtout dan= la manie avec délusions.
ssent con- lirmer ces vues a priori. Dans t'insutILance mitrale, la
forme
de psychose que l'on rencontre le plus souvent
s s'attendre à trouver entre la nature de la lésion cardiaque et la
forme
du délire une relation qui soit invariable. Apr
t la folie. Toutefois la manie et la mélancolie paraissent les deux
formes
les plus communément en' rappot avec les affectio
de la peau se manifestent chez les paralytiques généraux sous leurs
formes
les plus variées (érythème, purpura, zona, ichthy
sur l'influence exercée par l'auto-intoxication sur la genèse et la
forme
des troubles-psychiques : « Dans certaines circ
pas à elle seule les desordres psychiques et ne détermine pas leur
forme
essentielle, elle intervient cependant pour en mo
ier 1900.) Le délire de la paralysie générale, quelle que soit sa
forme
, possède sept caractères constants : tout d'abo
puis Ileclcer ont donnée de l'hébéphrénie : en effet, les débuts à
forme
maniaque ou mélancolique ne sont pas les plus f
sive,' l'impulsion soudaine. La démence précoce peut revêtir deux
formes
, grave et légère, et la forme grave comprend el
La démence précoce peut revêtir deux formes, grave et légère, et la
forme
grave comprend elle-même deux variétés : la forme
et légère, et la forme grave comprend elle-même deux variétés : la
forme
simple, dans laquelle les muscles ne sont pas a
forme simple, dans laquelle les muscles ne sont pas atteints, et la
forme
catatonique, dans laquelle le système musculair
profondément troublé dans son fonctionnement. Quelle que soit la
forme
du délire, il se produit, au bout d'un certain
ssives avec automatisme ambulatoire et psychisme partiel sous trois
formes
distinctes et réciproquement amnési- ques. XX
sans méconnaître tout ce que les inexacti- tudes de chiffres, ou la
forme
même donnée aux statistiques peuvent introduire
n sadisme « et qu'il était atteint d'érotomanie, c'est-à-dire d'une
forme
voilée de psychopathie sexuelle (folie amoureus
de con- centrer et de soutenir sa pensée, et ses livres prirent la
forme
-d'aphorismes courts, de phrases où l'on découv
ger, à Iéna. On désigna sa maladie sous le nom de cl paralysie à
forme
atypique ». Pendant que M. Ireland achevait ce tr
dique ni la hauteur, ni l'intensité. Méningite cérébro-spinale ci
forme
de syndrome de Liltle ' et de pseudo-bulbaire.
r stade de la maladie, les états émotionnels pathologiques et les
formes
délirantes occupent le premier plan, si bien que
en : u) besoin de mouvement (actes sans but, mouvements clioréi-
formes
ou épileptiformes de Kdhfbaum ; b) impulsion aux
t ainsi au type hébéphrénique de Ii-aepelin. Les 34 autres sont des
formes
graves où l'auteur dis- VARIA. 1 543 tingue u
s- VARIA. 1 543 tingue une variété torpide et une variété agitée,
formes
graves qui correspondraient ainsi à la forme ca
t une variété agitée, formes graves qui correspondraient ainsi à la
forme
catatonique de Kraepeiin. Contre Kraepehnqut ma
rme catatonique de Kraepeiin. Contre Kraepehnqut maintient les deux
formes
morbides hébé- phrénique et calatonique, fait i
ange plutôt du côté d'Aschaffenburg qui prétend qu'entre toutes ces
formes
, les plus légères et les plus graves, n'existen
l' morale et en particulier du mensonge comme symptôme de cette
forme
mentale, par Bourne- ville et Boyer, 418. Ima
ns, simu- lant la guérison, par Crochet, 53à. céi,ébro ? pinale à
forme
de syndrome de Llttle et de pseu- dobu'ibaire
ortance en médecine gé- nérale, par Steitsmann. 1G1. - générale à
forme
sensorielle, par Sérieux, 167. - radiculaire tr
dactylique, par de Macre, 159. Sclérose en plaques infantile il
forme
hémiplégique d'origine lié- rèdo-syphilitique p
anuleuse disposée autour d'une cavité en forme de V ; une troisième
forme
de parasite présente seulement la tête de forme s
e V ; une troisième forme de parasite présente seulement la tête de
forme
sphérique avec une seule ventouse et des restes
coloration au bleu de méthylène est dif- fuse, le noyau a perdu sa
forme
ovale ou ronde. Très fortement coloré, il est r
pathologique récente ou aiguë : le corps de l'élément est gros, de
forme
sphérique, globuleuse et l'on ne peut distinguer
r les naturalistes, entre les diverses dénominations appliquées aux
formes
parasitaires. Il nous faut donc, avant tout, préc
ne façon générale pour les helminthologistes des vers vésiculaires,
formes
de transition des ténias qui s'en distinguent p
u cysticerque (tenia solium), dans le développement duquel il ne se
forme
jamais qu'une tête qui prend naissance à la fac
donner par cet auteur le nom d'acéphalocyste ; il croyait que cette
forme
du pa- rasite était particulière à l'homme et i
rès méd., 1899. BRALLT ET LoEpEn. - Trois cas de tumeur cérébrale à
forme
psycho-paralytique, Archives général, de méd.,
etit pois, dures au toucher, saillantes, arrondies, allongées ou de
forme
irrégulière, kystiques à la coupe, ou formant de
sieurs, insérées en des points très voisins (Fig. 3). On trouve la
forme
en hal- i tère (Bitot et Sabrazès) caractérisée
et le kyste adventice. Quand on examine à la loupe, on retrouve la
forme
piriforme de l'embryon. 1 C'est la tête d'un fu
reste de la vé- sicule. Il s'agit du cysticercus cellulosce, de la
forme
larvée du oetu'a solium. M. le Professeur Blanc
ercus cellulosse (ainsi appelé par Rudolphi). Le cysticerque est la
forme
enkystée de l'embryon du toenia. Notre observat
Griesinger, Leubuscher, Friedrich. Rapprochons des crises épilepti-
formes
les hallucinations de la vue et de l'ouïe observé
e l'influence de quelques autres causes dans le développement de la
forme
acquise, celle-ci manque encore de caractè res
ou, type de genu recurvatum ; vu de profil (P. III), il affecte une
forme
arquée à concavité antérieure très prononcée, l
u varum (PI. 11). , Enfin, en arrière, la face postérieure du genou
forme
une saillie très mar- ! Nouv. Iconographie DE l
thopédique. LE GENU RECURVATUM DANS LA COXALGIE 55 nifeste que
forme
le fémur avec le tibia dans la station debout, ce
qui débute en général tardivement, après la guérison : c'est cette
forme
seule que nous avons en vue dans le cours de ce
toute une série de représentations de miracles et de guérisons, sous
forme
de petites mosaïques, assez bien conservées, ma
s'appuie sur un long bâton, terminé par une crosse horizontale, en
forme
de T. Toute sa démarche a un caractère hésitant
femme hydropique. Le ventre est très volumineux, mais il n'a pas la
forme
étalée, comme à Sa- lerne et à Monreale ; au co
' A. Roettmca). On peut reconnaître, au point de vue clinique, deux
formes
principales à la paralysie spinale syphilitique
, deux formes principales à la paralysie spinale syphilitique : une
forme
à début brusque et une forme chronique d'emblée
a paralysie spinale syphilitique : une forme à début brusque et une
forme
chronique d'emblée et à marche généralement progr
hologique fournit des résultats précis surtout pour l'é- tude de la
forme
aigué qui a pu être analysée jusque dans ses prem
es. L'interprétation des lésions scléreuses est moins aisée dans la
forme
xiv ' 8 106 LONG ET WIKI lente de la paraly
consi- dérer comme le résultat de processus analogues à ceux de la
forme
rapide, mais moins étendus et moins intenses. S
s interstitiels ne se fait pas avec la même régularité que dans les
formes
aiguës ou subaiguës. - En résumé, les travaux
- niére, lorsqu'elle est frappée par la syphilis, présente dans les
formes
à évolution rapide des lésions nécrotiques, dan
tenses surtout dans l'intérieur de la moelle, où elles prennent les
formes
les plus variables ; nous aurons à re\enir tout i
e, bien qu'il y ait encore une diminution de volume appréciable, la
forme
de la moelle tend - it redevenir normale. Les f
s, ces lésions des vaisseaux intramédullaires se présentent sous la
forme
d'un simple épaississement de la tunique externe,
onclusion s'accorde bien avec ce qui a été dit maintes fois sur les
formes
cliniques de la paralysie spinale syphilitique. ,
r les formes cliniques de la paralysie spinale syphilitique. , La
forme
rapide est due à des lésions inflammatoires, vasc
ovoquent en peu de temps la formation de foyers de nécrose. Dans la
forme
lente les phénomènes paralytiques du début sont
ion d'un abcès par con- ° gestion. A une période plus avancée de la
forme
chronique, si les locali- sations vasculaires d
longée et du cervelet se rencontrent presque toujours sous une même
forme
. D'ailleurs avec des matériaux nouveaux nous pou-
en bas par rapport à la ligne médiane. En bas le cervelet prend une
forme
conique et son volume diminue peu à peu ; plus
entricule est visible ; il s'est abaissé considérable- ment et a la
forme
de triangle, un angle tourné vers le bas. Des côt
s de la moelle allongée, laquelle en bas du 4° ventricule prend une
forme
de cylindre aplati d'avant en arrière, ar- rond
sale. A la partie inférieure du cervelet on voit un prolongement de
forme
conique, comprimé d'arrière en avant et corresp
les et étendus de côté. Le faisceau pyramidal existe seulement sous
forme
d'un faisceau de Turck, disposé à la périphérie d
ncent de la périphérie vers la profondeur. La moelle allongée a une
forme
ovale. En arrière existe une fissure large et pro
téralement entourent au-devant et en dehors la moelle allongée sous
forme
d'une lame qui en arrière, peu à peu devient mi
conservées seule- ment dans la moelle allongée et de chaque côté en
forme
d'une lamelle assez étroite et foncée, se trouv
. De chaque côté de la moelle allongée nous trouvons une lamelle en
forme
d'une demi-lune de fibres verticales, con- tinu
t la substance blanche du cordon latéral de la moelle épinière sous
forme
d'un arc contournant la substance gélatineuse d
ntaux du cordon latéral ; de cette manière elles avaient ou bien la
forme
d'un arc, ou bien elles étaient placées à angle d
qui se produisent dans une moelle normale ; en même temps change la
forme
de cou- pes ; seulement en comparaison de la mo
trouvent plus haut ; ils n'ont pas leur plein développement, mais une
forme
irrégulière (Phot. 19). Le lobe médian est abse
ies musculaires bien développées qui paraissent correspon dre comme
forme
et comme disposition aux muscles de l'éminence th
pour le doigt. Les phalanges paraissent sensiblement normales comme
forme
et comme volume ; les parties molles qui les reco
timètres sur la radiographie. La tète numérale paraît normale comme
forme
et comme volume ; la diaphyse parait sensiblement
il ne se termine pas en cupule comme un ra- dius, mais présente une
forme
qui lui donne une ressemblance éloignée avec (1
correspondre à la fois au scaphoïde et au trapèze. L'os unique qui
forme
le métacarpe est assez bien conformé et présent
nférieure est d'ailleurs bien con- formée et rappelle assez bien la
forme
de la tète d'un métacarpien. A son ni- veau on
troisième phalange, ou phalange unguéale, est mieux conservée comme
forme
et comme volume ; elle s'articule avec la deuxièm
ras d'ailleurs reste plus ou moins fermé sur le bras avec lequel il
forme
toujours un angle aigu. La flexion de l'avant-b
bsence du cubitus. Au niveau du coude, il est vrai, l'os unique qui
forme
le squelette de l'avant-bras correspond à la pa
orrespond à la partie interne de l'humérus, et, à cette hauteur, sa
forme
ne rappelle guère celle du radius ; mais il n'e
le coude existe latéralement une saillie osseuse très développée en
forme
d'apophyse (une apophyse semblable existe aussi a
vu sa grande fréquence au XIV siècle. C'est là une main de lèpre à
forme
mutilante et sclérodermique. C'est dans ces forme
e main de lèpre à forme mutilante et sclérodermique. C'est dans ces
formes
-là que l'on voit ces atrophies musculaires, ces
pié plus ou moins fidèlement était atteint de lèpre nerveuse. Cette
forme
de lèpre, sans doute fréquente alors, n'était p
guérit saint Basile présente de très sérieuses qualités. Son corps
forme
l'arc de cercle. Il a les yeux convulsés vers le
de la partie antérieure de l'hémisphère gauche, la lésion, sous la
forme
d'une volumineuse tumeur sphé- noidnle grosse c
roite. La figure 1 donne une idée exacte du siège, du volume, de la
forme
et des rela- tions de voisinage de la tumeur.
im Gehirn,Berlin,1888. (3) BRAULT et LOEPER, Tumeurs cérébrales il
forme
psycho-paralytique. Archiv. de Médecine, mars 1
Médecine, mars 1900. (4) DEVIC et GAUTHIER, Tumeurs cérébrales à
forme
ysycleo paralylique, Id., dé- cembre 1900. 18
pré- sence d'un nombre considérable de petits corps ayant tous une
forme
arrondie, de volume variable et prenant énergiq
périphériques ont changé d'aspect : elles sont ici détachées, leur
forme
rappelle un croissant, et le noyau est moins vi
s points, qui rappellent des globules sanguins. L'ensemble du globe
forme
donc une masse amorphe centrale entourée par une
te tumeur.Comme nous l'avons déjà dit, elles se présentent sous trois
formes
distinctes : des fentes vasculaires, des vaisse
petites cavités creusées au milieu des éléments cellulaires ; leur
forme
est irrégulière, soit arrondie, soit plus ou mo
son. Cette zone, qui semble jouer le rôle de membrane endothéliale,
forme
des petits festons faisant saillie dans la cavité
décrites par nombre d'auteurs sous le nom de sarcome, tandis que la
forme
des cellules et les caractères des vaisseaux le
renciées, souvent très spéciales et notamment distinctes des autres
formes
du sarcome, qui est le cancer du mésoderme. « D
ntriquemen t,s'infil trent de sels calcai l'es et ainsi le globe se
forme
petit à petit, appendu au vaisseau par un petit
à mettre en évidence par l'action des acides, se présente sous deux
formes
: soit des cristaux, comme ceux figurés par Lan
s, les cellules avoisinantes se res- serrent, la partie centrale ne
forme
plus qu'une masse homogène, tandis qu'à la péri
ions moins avancées. Les petites cellules ont à peu près gardé leur
forme
,mais il y a absence com- plète de corps chromat
les cellules pyramidales. Très peu de ces dernières ont gardé leur
forme
normale. Elles sont gonflées, les angles d'où s
assez fréquente, elle coïncide avec la conservation relative de la
forme
cellulaire normale : TUMEUR CÉRÉBRALE 199 Sou
le. Les prolongements sont encore très nets lorsque la cellule a sa
forme
normale, et ils s'estompent de plus en plus,au
nts, et confluant autour des cellules. Ils se présentent sous trois
formes
. Les uns, volumineux, sont ovales et allon- gés
gmentent de quan- tité ; mais la localisation est spéciale à chaque
forme
. Entre la cellule et les plus gros, existe un c
tance, troubles intellectuels, pseudo-méningites, mouvements choréi
formes
, convulsions, attaques hystériformes ou épilept
au dos, aux fesses, etc. La sensibilité musculaire qui n'est qu'une
forme
de la sensibilité tac- tile, et dont les neuron
rieure est placée la partie abaissée de la moelle allongée ayant la
forme
de croissant. La surface convexe du croissant e
ontenant des fibres myéliniques seulement dans leur partie médiane en
forme
de croissant ; ce sont surtout ceux qui ont pas
dans la partie abaissée de la moelle allongée; de cette manière se
forme
un isthme assez large entre les deux parties, ist
. 27) ; en arrière, entre les cordons antérieurs et les latéraux se
forme
la coupe du ruban de Reil, et en avant d'elle,
nière : Les cordons antérieurs sont encore cou- verts de myéline en
forme
d'une étroite lame. Les cordons latéraux sont vis
liniques se sont conservées seulement dans la partie antérieure, en
forme
d'un angle assez petit. En échange la quantité de
dans la partie abaissée de la moelle a nettement augmenté. Sous la
forme
d'une bande large qui occupe plus du 1/3 de toute
fibres arciformes, apparaît la substance gélatineuse de Rolando, sous
forme
d'un corps allongé touchant d'un côté aux cordo
niques ont une autre structure, et leur disposition n'a pas la même
forme
, et leur 'quantité est plus petite. Plus loin la
es se rapprochent et au commen- cement le cervelet apparaît sous la
forme
d'une petite lame, couvrant le 4e ven- tricule
culent (Phot. 38) et en- tre la partie antérieure et postérieure se
forme
un isthme (Phot. 39) ; mais dans ce dernier cas
direction en arrière et passe dans le quatrième ventricule,ainsi se
forme
un canal. Les fibres myéliniques hori- zontales
e et le cervelet reste à sa place et seulement une petite partie en
forme
de lame, ensemble avec la valvule de Tarin, cou
ce des dents d'un trident (PI. XXXIV, D et E) (P. Marie) » et cette
forme
est d'autant plus nette chez notre petite malad
nt beaucoup de celles du rachitisme dont elles représenteraient une
forme
précoce et incom- plète » (Soc. anat., 1900, p.
c une tendance indéniable à se transmettre par hérédité. S'il ne se
forme
pas de véritables races d'achondroplases, c'est
e thorax ne présente pas de déformations primitives. La moitié droite
forme
une saillie assez prononcée, mais qui se trouve
volume et lon- gueur démesurés de ces doigts qui ont conservé leur
forme
. Cette diffor- mité est congénitale, mais non h
ent. Ce tremblement est très irrégulier dans ses allures et dans sa
forme
. Il est indépendant des contractions rythmées et
is. Les réflexes tendineux (soléaire, rotulien, olécranieu) sont de
forme
et d'in- tensité normales. Les réflexes cutan
diverses couches sont normales comme nombre, comme volume et comme
forme
, seulement, leurs prolongements sont peu abonda
ce interne de l'hémisphère est aussi lisse et aplatie que celle qui
forme
le fond de la loge ; la partie postérieure du l
tement limitée au lobe pariétal. La tumeur, des dimensions et de la
forme
d'une mandarine, présente un apla- tissement de
t de plus en plus mince vers le centre. Cette zone de sclérose a la
forme
d'un cône. Les faisceaux céré- belleux directs,
'est que les cornes anté- rieures ont subi une modification de leur
forme
, surtout dans tous les seg- ments de la région
lus grand que le diamètre trans- versal, ici c'est le contraire. La
forme
la moins altérée des cornes antérieures est enc
uses sont plus minces que ceux du nerf gauche; ils ont perdu leur
forme
polygonale, ils sont plus arrondis, le tissu co
ance blanche est plus mince. 11ÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 381 leur
forme
polygonale, ils sont plus arrondis ; le tissu con
nombre ; elles s'étendent moins en profondeur. Elles ont perdu leur
forme
pyramidale et le réseau épais qui les entoure h
ue. Certaines cellules offrent un aspect nettement vacuolaire. Leur
forme
est variable. Elles sont tantôt plus ou moins rég
autres sont vivement colorées, mais la coloration est toujours uni-
forme
. Le nucléole qui le plus souvent indique seul la
rrière du sillon anté- rieur (Fig. 3). , Une zone de fibres fines
forme
la bordure antérieure et antéro-interne de cett
re du sillon antérieur, et de les voir se jeter dans cette zone qui
forme
la bordure antérieure etantéro-interne du bulbe e
nguins gorgés de sang on observe soit dis- séminés soit réunis sous
forme
d'amas un grand nombre de globules blancs. Mais
ique neseprésente pas toujours avec des manifestations univoques.La
forme
la plus banale est celle de la névralgie, de la m
de découvrir dans la glande quelques nodules quel'obsession trans-
forme
en noyaux cancéreux. Tous les chirurgiens connais
s, avril 1901. xiv 28 406 LANNOIS Après la mastodynie, c'est la
forme
présentée par ma malade qui est la plus commune
un traitement psychique. Il n'est donc pas douteux qu'il existe une
forme
de tumeur hystérique du sein. (1) P. DELDET, Tr
tion. UNE OBSERVATION DE SEIN HYSTÉRIQUE 407 Il va de soi que ces
formes
n'existent que par la prédominance d'un symptôm
d'insister sur l'intérêt que présente le diagnostic de ces diverses
formes
au point de vue du traitement. Les malades n'ont
ôtes ne semblaient pas prises, et la cage thoracique avait gardé sa
forme
ordinaire. Membres supérieurs. Les deux clavicu
es os des deux jambes sont d'ailleurs parfaite- ment conservées, de
forme
et de volume. Les pieds ne présentent ni déforma-
la face antérieure est fortement exagérée. A sa partie moyenne, il
forme
en dehors une convexité marquée (qui se sentait
GET 419 physe supérieure, friable, poreuse, a gardé sensiblement sa
forme
. Le tuber- cule antérieur est très hypertrophié
est alors une lame aplatie d'avant en arrière. La face anté- rieure
forme
avec la face externe du tibia un angle ouvert en
st altéré que dans ses deux tiers supérieurs. L'épiphyse supérieure
forme
une sorte de géode dans le tissu spongieux. Ce ti
la torsion qu'elle subit à son milieu. Là, le tissu, plus compact,
forme
une tache sombre. Quant au radius correspondant,
maladie de Pajet, vu l'absence d'altérations crâniennes, l'âge et la
forme
des tibias, qui étaient tuméfiés, mais non reco
té du véritable oedème aigu circonscrit de Quincke, et en outre des
formes
atypiques qu'on y rattache, il existe bien réelle
ssi comme une dystrophie héré- ditaire et familiale. C'est de cette
forme
que nous avons eu l'occasion de nous occuper an
tif. r.. La dystrophie musculaire se manifeste généralement sous la
forme
atrophique, mais on sait qu'elle revêt parfois
ent sous la forme atrophique, mais on sait qu'elle revêt parfois la
forme
hypcrlropllique. La dystrophie conjonctive semb
ystrophie conjonctive semble affecter au contraire de préférence la
forme
hypertrophique ; elle présente alors l'apparence
lopctltiq2te, - comparable à la pa- ralysie infantile, - les autres
formes
a début insidieux, les formes familiales surtou
a pa- ralysie infantile, - les autres formes a début insidieux, les
formes
familiales surtout, demeurant parallèles à la d
r sous le nom de Trophoedème sera définitivement établie. SUR UNE
FORME
D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES (DYSTROPHIE CONJONCT
A C B D 1- DYSTROPHIE CONJONCTIVE MYELOPATHIQUE . SUR UNE
FORME
¡>'¡HPER1ROPllIE DES MEMBRES 475 nuer de vol
d'abord; jusqu'alors elle n'avait constaté chez son enfant que des
formes
avan- tageuses : Vois comme notre Alice a de be
rête net, en avant, au pli de l'aine, laissaut à la grande lèvre sa
forme
normale ; en arrière, au pli fessier, sans partic
s quelques confrères auxquels nous avons montré l'enfant. SUR UNE
FORME
D'nYPEnTROPniE DES MEMBRES 477 La température d
e jeune sujet et la paralysie infantile, existe une étroite SUR UNE
FORME
D'IIYPEIITROPHIE DES MEMBRES 479 parenté et que
le degré d'atrophie ou de texture des muscles (1) Collette, Sur une
forme
d'arthropathie, Thèse de Paris, 1812. (2) DUCII
VERGNES, De l'adipose sous-cutanée, thèse de Paris, 1818. - SUR UNE
FORME
D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES 481 aux compressions
affirmer le diagnostic, ils ne se présentent pas tou- jours sous la
forme
classique que nous connaissons; leur aspect peut
ns les phénomènes, se- lon l'absence de tel ou tel d'entre eux, des
formes
frustes, susceptibles en raison de leur physion
t rien révélé et que l'affection revête le type familial. SUR UNE
FORME
D'IIYPEIITROP111E DES MEMBRES 483 consécutifs t
er au début un pronostic prématuré en se basant sur l'existence, la
forme
ou l'absence de tel ou tel phénomène. La variété
e spinale ? Dire que l'agent pathogène fait son choix, n'est qu'une
forme
de langage. Il serait plus conforme à la vérité d
consécutives à la paralysie infantile, Presse méd., 1896. SUR UNE
FORME
D'IIYPERTITOPIIIE DES MEMBRES .485 que ces élém
si pénibles de chaleur dans certaines affections nerveuses SUR UNE
FORME
D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES 487 cifique, M. Vanl
e demander, il est vrai, pourquoi le bras où la vaso-motri- SUR UNE
FORME
D'BYPERTROPQ1E DES MEMBRES 489 Chacun des éléme
hysionomie et leur évolution, comme si elles apparte- naient à deux
formes
distinctes. Les troubles trophiques du bras ont
n, semble-t-il, dans un trouble vaso-moteur qui rapprocherait cette
forme
des hypertro- phies décrites par Trélat et Mono
s, un de ces points de contact, un pont permettant le passage d'une
forme
à une autre et laissant supposer un lien de par
du corps. La mobilité pas- (1) Lyon médical, 1897, no 21. SUR UNE
FORME
D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES 491 sive et active d
trice de l'hypertrophie. On l'eût peut-être trou- vée, soit sous la
forme
d'une simple fièvre, soit sous celle de quelque m
ement définies. Et de ces analogies contentons-nous d'inférer, sous
forme
hypothétique, qu'il n'est pas impossible.qu'une
ure ne commence qu'au-dessous du genou et comprend la jambe sous la
forme
d'un volumineux ovoïde qui se termine en bas par
là face. (Rapin, de Genève.) Masson & Cie, Éditeurs SUR UNE
FORME
D·II1P);ItTR01'llIL DES MEMBRES 493 3't : i la
trop de témérité. Nous avons rencontré un curieux exemple de cette
forme
d'hypertrophie et nous sommes heureux de pouvoi
se au toucher, occupant le milieu du dos de la main droite, sous la
forme
d'une plaque indurée rougeâtre de la dimension d'
as il mettre à nu le quatrième métacarpien. La malade avait SUR UNE
FORME
D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES 493 beaucoup maigri.
était pratiquement confondu. Il a par- ticulièrement insisté sur la
forme
héréditaire du mal. Nous publions aujourd'hui t
Le haut du corps, surtout, est atrophié. C'est une infantile, de la
forme
transitoire entre l'infantilisme Lorain et le myx
dimensions : TROPHDEDÈ11ME CHRONIQUE 501 trière. La maigreur, la
forme
du membre sain, la conformation du thorax, les
e dans le grand myxoedème, les arrêts de croissance et les diverses
formes
d'insuffisance thyroïdienne sont bril- lants. I
t pas l'hypothy- roïdie dans tous ses modes. Elle n'atteint que ses
formes
les plus gros- sières. Elle n'arrive qu'à dégro
gauche n'est pas seulement hypertrophiée, mais elle est encore dif-
forme
, elle est large, étalée, en battoir.La différence
le voir sur les photographies ci-jointes ; la colonne vertébrale a la
forme
(1) Pour exprimer néanmoins dans une dénominati
considérablement déformée. La tète fémorale a perdu complètement sa
forme
sphérique et le col n'existe pour ainsi dire pl
dedans, il est dirigé de haut en bas et de dehors en dedans. ' La
forme
en est très irrégulière, toutefois on peut la com
t remplacé par une surface plane, dont le contour rappelle assez la
forme
d'une oreille. Dans la concavité de celte oreil
sertion du ligament rond intraarticulaire. - Cette surface plane en
forme
d'oreille est dépourvue de cartilage; tout le r
alement. Cavité cotyloïde. Elle est très large et très profonde, de
forme
conique plutôt que sphérique, de façon à s'adap
e, de forme conique plutôt que sphérique, de façon à s'adapter à la
forme
analogue de la tête fé- morale. Elle a vraiment
apter à la forme analogue de la tête fé- morale. Elle a vraiment la
forme
d'une cuvette, et non celle d'un bol qui se rap
r métatarsien présente une disposition' spéciale ; la crête osseuse
forme
ici deux larges expansions à la face inférieure
s inflexions ; tout d'abord elle s'infléchit en bas et à gauche, et
forme
une première cour- bure à convexité gauche dont
t est plus prononcé d'un côté que de l'autre, et la vertè- bre a la
forme
d'un coin triangulaire. Les quatre premières ve
cette face, et se perd sur la face antérieure. La 5° dorsale a une
forme
très irrégulière. Elle est comme formée de deux
SPONDYLOI;PIPHYSA1RE pourrait servir, semble-t-il, à dénommer cette
forme
morbide. NOTE SUR UN VASE GREC DE L'ERMITAGE
st une étude morphologique d'un réalisme admirable; la sénilité des
formes
corporelles ne saurait être mieux rendue ; la mai
Quant la saignée du bras en elle-même, elle est parfaitement con-
forme
à la réalité : la plaie de la lancette siège à la
Mayet (1 pl. en photograv.), 266. Hypertrophie des membres (Sur une
forme
d'), par E. Rapin (2 pl. eu photocollogr.), 4
itaires du cerveau (1 pl. en photocollogr.), 19. Rapin E. Sur une
forme
d'hypertrophie des membres (2 pl. en photocollo
e les crises se fussent espacées et notablement atténuées dans leur
forme
. .Iluitioul-s après, l'enfant était replacée, m
stérielle du mai 18(12 ; ce sont des aliénées présentant toutes les
formes
de la pathologie mentale, la plupart délirantes
paraît-il, qui ne contienne une erreur : rien n'y vaut, ni fond ni
forme
. . Or voici bien chez mon Aristarque une premiè
soumis à une existence conjuguée. Voulez-vous l'idée sous une autre
forme
? Voici : De même que chaque branche de l'astér
ube respiratoire n'est qu'un pro- longement du tube digestif, et se
forme
comme celui-ci. Or nous expliquerons tout à l'h
, ainsi que l'anatomie em- bryonnaire vient de nous l'apprendre, la
forme
du tube nerveux définitivement constituée est m
est formé de deux rangs de cellules, alors même que cet organe n'en
forme
plus tard qu'une seule ; et avec ce surcroît de
Bonne les énumère lui-même : différence au moins de degré, dans les
formes
de l'activité qui exigent une dépense musculair
termine ainsi : « Ce sujet devint une larve dont la queue avait la
forme
, la longueur et la structure habituelle. Les troi
dit pas. Toutefois il faut remarquer qu'il n'a décrit qu'une seule
forme
de dimidiation au stade II, celle où le blastom
ade II, celle où le blastomère gauche est tué. Il prévoit l'au- tre
forme
, celle qui, le blastomère droit étant tué, donner
arve or- dinaire, elle n'est pourtant que la moitié d'une larve. La
forme
gé- nérale est assez bonne. Le tronc et la queu
en individu voulant vivre et elles modifiaient en conséquence leur
forme
dans le sens de la larve normale : simple quest
és ou se réfractant, elles varieront incessam- ment de volume et de
forme
. La cavité de segmentation qui au stade XVI naî
elle explique le sentiment de la Liberté et correspond ainsi à des
formes
nécessaires de notre vie psychique. Preuve psyc
arve normale » ; ce n'est donc pas un « hémiorgane » puisqu'elle se
forme
puis évolue com- me dans les conditions habitue
st à prouver, prend chaque moitié pour un individu, affirme qu'elle
forme
, au lieu de dire qu'elle est formée, et voit da
p. 25,-30) », l'A. com- bat une erreur imaginaire. Quand la rate se
forme
, le mésogastre est-il déjà oblique ou encore sa
e et incontestable. Mais où ai-je « déclaré que le tube digestif se
forme
par une ébauche médiane simple » ? Vous avez pr
z les Mam- mifères parce que, chez d'autres Vertébrés, la moelle se
forme
par suture progressive, le lung de l'axe, des b
l'encéphale presque tout entier pré- existe à la concrescence et se
forme
dans la portion des parois du blastopore qui es
enne et une ecchymose encore visible bien que très atté- nuée, sous
forme
débande cubitale. La surface ecchymotique a dis
ponévrotiques; - chez des enfants atteints de paralysie infantile à
forme
hémiplégique ou de rachitisme grave. En général
ême instabilité, tel qu'on peut s'attendre à le rencontrer dans des
formes
organiques -en quelque sorte ina- chevées. M.
vail, 70 % présentaient une structure défectueuse, et 90 %, sous la
forme
de thrombus, un état du sang capable d'agir à l
omparablement plus susceptibles que les autres de répondre sous une
forme
explosive à la stimulation. Il est possible aus
ou de paralysie générale, l'auteur a constaté que, dans les autres
formes
d'aliénation mentale, on ne rencontrait pas com
s'est propagée à l'origine de ce nerf et s'est ensuite étendue sous
forme
de névrite interstitielle, à la pupille.Ce proc
briles : dans une monographie (1891),il montra que cette der- nière
forme
ne s'observe que dans les villes où la tétanie es
t les tailleurs et cordonniers de 15 à 25 ans. Il s'en tient à deux
formes
endémo-épidémiques, la tétanie de la maternité
plus bas); ces cas pourraient être considérés aussi bien comme des
formes
à récidives aiguës. Quant à la symptomatologie,
iologie de la sclérose en plaques et qu'on est fondé à admettre une
forme
de sclérose en plaques syphilitique tout à fait
orme de sclérose en plaques syphilitique tout à fait comparable aux
formes
de n'importe quelle autre origine infec- tieuse
és cliniques que les aphasies : comme pour celles-ci d'ailleurs les
formes
simples (surdité, cécité, agraphie, amusie musica
Encéphale, 1906, n° 6.) ; Syndrome mental dont.Kroepelin fait une
forme
spéciale et qu'il range, avec la mélancolie, da
s préjudices, non comme une entité morbide spéciale, mais comme une
forme
atténuée et prématurée de démence sénile. F. TI
e, 1906, no 22.) L'auteur dit n'avoir pas observé une seule fois la
forme
mania- que de la confusion mentale aiguë chez l
entre eux se trouvait en état de dépres- sion : ils présentaient la
forme
stuporo-mélancolique, la forme mé- lancolique e
e dépres- sion : ils présentaient la forme stuporo-mélancolique, la
forme
mé- lancolique et la forme délirante. On a noté
taient la forme stuporo-mélancolique, la forme mé- lancolique et la
forme
délirante. On a noté en outre,au cours de la ma
tus convulsif est le plus fréquent, il se rencontre surtout dans la
forme
catatonique, à la période de début. Les ictus app
avancer que certains cas rapportés à la paralysie générale à double
forme
sont des cas ' de folie intermittente dans lesq
poisonneuses, étude psychologique et médico-légale et Mlle Pascal :
formes
atypi- ques de la paralysie générale. Prix Se
t l'efficacité du traitement,comme aussi pour être renseigné sur la
forme
desuggestion qui convient à chaque malade. Ep
jour de ce médicament. Puis la grande hystérie se développe sous la
forme
de crises convulsives auxquelles s'ajoutent, da
ulisme, délire. A partir du second mois, l'accès délirant prend une
forme
en quelque sorte systéma- tique : Objectivant s
s, la langue tuméfiée, pendant hors de la bou- che. Ces attaques de
forme
asphyxique n'amenant pas le résul- tat attendu,
respiration. A un moment donné il arma la suite de ces attaques à
forme
syncopale, Mme \... .. revenait à elle sans recou
Les crises de délire nocturne reparaissent, mais sous une nouvelle
forme
: plus d'hallucinations terrifiantes, plus de t
ujours sous cet aspect d'indigence psycho- logique, peutrevêtir des
formes
innombrables et tout à fait opposées ; que loin
cin expert de répondre à la question posée par les ju- ges, dans la
forme
même où elle est posée. Les objections que ces
ti- ciable de son application, et, pour ma part, c'est sous cette
forme
que je voudrais voir poser aux experts les questi
n 185 1, de la manie et de la mélancolie simples, la folie à double
forme
et la folie circulaire, variétés de la même ent
nt selon divers modes qui permettent de dé- crire la folie à double
forme
; la folie circulaire, la folie alterne. Entre l
ais uniquement ma- niaques ou mélancoliques, mais toujours à double
forme
; enfin des malades présentent à la fois des sy
u lobe occipital ». Au point de vue thérapeutique,les différentes
formes
de la folie périodique ou de la folie maniaque-
cas de manie ou de mélancolie qu'il a observés appartiendraient aux
formes
sim- ples, non récidivantes,de ces affections.
eurs. En ce qui me concerne, je n'oserai pas aller jusqu'à nier ces
formes
simples non réci- divantes, mais je dois dire q
lerai que ces psychoses étiquetées : alternes circulaires, à double
forme
CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTE
enchevrêtent, au lieu de se suc- céder comme dans la folie à double
forme
ou dans la psychose circulaire ; c'est ensuite
fré- quents et peuvent exister à l'état isolé. Quelle que soit la
forme
revêtue.par les perversions de l'état mental, exc
nime, de Pa à la zone, motrice corticale. Nervosisme thyroïdien.
Formes
cliniques ; , par les Drs Léopold Lève et H. DE
dans le développe- ment de la mentalité. Aussi l'hystérie, dans sa
forme
pure, est-elle la maladie des individus jeunes,
chale, inutile et douloureuse, l'alimentation sous-cutanée, sous la
forme
de cacodylate de soude, 4 eentigr. en injection
soude, 4 eentigr. en injections, et l'alimentation rectale, sous la
forme
du lave- ment peptonisé. En dehors de ce phén
able d'en déter- miner et d'en faire varier à sa guise le siège, la
forme
, l'inten- sité et la durée. C'est ce qui a lieu
la plupart des troubles dits hys- tériques se rencontrent sous une
forme
plus ou moins atté- nuée chez tout le monde, pa
minsberg). - La syphilis cérébrale diffuse appartient au groupe des
formes
vasculaires de la lues cerebralis. Ses lésions
nente des membres et du tronc, nous avons trouvé un cerveau avec sa
forme
conservée, mais des circonvolutions mal dévelop
cas l'affection est progressive, peut être de nature bacillaire,
Forme
osléo-hypei-li-ophique de l'artltropathie tabétiq
espèces considérées. Il y a ainsi un nombre plus ou moins grand de
formes
intermédiaires à l'élément primitif et au neuro-
est d'autant plus lente que l'animal est plus élévé et le segment à
forme
plus complexe. L'auteur accorde une place impor
des méthodes qui donnent, l'une exclusivement, l'autre surtout, la
forme
des cellules et de leurs prolongements. élément
lquefois, il s'agit d'une obnubilation de la vision sous toutes ses
formes
, parfois même de cécité plus bu moins complète.
bonnet rouge. En effet, lorsqùe l'aura visuelle se présente sous
forme
de vision colorée, ainsi que Gowers et Féré (2)
qui lui fait une grande peur, mais il ne peut en distinguer ni les
formes
, ni la couleur ; ce « quelque chose » s'avance
s avons examinée, il existait seulement des modifications dans la
forme
et l'aspect de quelques cellules surtout du lobul
,ni conjonctivo-vasculaire; il existait des modi- fications dans la
forme
et l'aspect de quelques grandes et petites pyra
er, et la date de leur entrée en fonctions sont pris dans les mêmes
formes
que les arrêtés relatifs aux médecins des asile
et trouble les malades. Ce syndrome, propre aux dégénérés, est une
forme
sensitive spéciale de la déséquilihration const
digestifs, d'émotivité exaltée, la psychothérapie, sous quel- que
forme
qu'on l'applique. hypnotisme, suggestion ou per
e. Rapporteur : Dr 1,AIGNr--L-LkVASTINE (Pa- ris). 2° Diagnostic et
formes
cliniques des névralgies. Rap- pqrteur : Dr VER
ches de la science qui s'oc- cupe de l'étude de la vie mentale, qui
forme
le caractère principal de ce congrès internatio
l'anthropologue criminelle, ne trouvent plus, du moins'dans leur
forme
primitive, que..peu de défenseurs, la législation
nets dans lesquels on retrouve ce délire tout particulier sous des
formes
diverses complètes ou incomplètes'. Ce sont des
pose et qui n'est pas sans dif- ficultés c'est celle de ces idées à
forme
somnambulique ou à forme médiamique avec les di
s dif- ficultés c'est celle de ces idées à forme somnambulique ou à
forme
médiamique avec les diverses obsessions des psy
peuvent porter sur la parole ou sur l'écriture ont revêtu bien des
formes
. On retrouve ici la même exagération, la même r
e. La disparition de la fatigue, la lenteur de la décontraction, la
forme
de la courbe de contraction dans ces membres disp
de la suggestion elle-même. En un mot l'hystérie me semble être une
forme
de la dépression mentale caractérisée par la te
e définition claire et précise, qui puisse s'appliquer à toutes les
formes
que présente celte maladie. - Nous considérons
ibilité dans un autre point du corps, qui se manifes- tera sous une
forme
quelconque,de sorte que l'ensemble de la sensi-
lisent le type clinique de beaucoup le plus fréquemment observé, la
forme
spi- nale latérale de Catsaras. L'explosion d
celui d'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne, à
forme
scapulo-)zumérale. M. Leclerc, à propos du diag
située à la partie antéro-latérale droite de la moelle et avait une
forme
allongée, mesurant 4 cent. de hauteur et 2 cent
produit l'orgasme génital. A cause de cela on pourrait nommer cette
forme
de fétichisme - « féti- chisme du dégoûtant ».
sus mentionné pré- sente une analogie complète avec les différentes
formes
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES PERVERSIONS SEXUELLE
érés. Le fétichisme chez Mme X. se présente cliniquement sous une
forme
assez pure, parce que dans le tableau cli- niqu
-senso- rielle du côté gauche, une zone d'hyperesthésie du tronc en
forme
de ceinture, large de 10-12 centimètres, exagér
nfluence de certaines idées délirantes, d'hallucinations, etc.; les
formes
grossières et évidem- demment pathologiques de
ologique a le caractère plus mitigé et ne se manifeste-pas sous une
forme
si grossière, si maté- rielle que chez Mme Y. (
nt bien développés. Le diagnostic de perversion sexuelle, sous la
forme
de sadisme compliqué de fétichisme, est bien cl
importance pour l'étude non seulement de ce cas, mais de plusieurs
formes
des anomalies sexuelles. Il s'a- git de ce que
du conseil général. En voyant se succéder sur cette question, sous
forme
d'articles ou de délibérations, les avis indivi
e n'était pas encore trop gâteux et se mouvait assez facilement. La
forme
spéciale de cel- les-ci : grande étendue dans l
con- tiguës : l'une est une plaque de gangrène sèche, violacée, de
forme
vaguement trapézoïde, avec un de ses côtés bien
it à comparer, au point de vue de la patho- genèse, les différentes
formes
des délires de persécution ; travail d'analyse
ment sur le délire d'interprétation, qu'ils considè- rent comme une
forme
clinique spéciale. Nous avons eu l'occasion, du
es, si on peut s'exprimer ainsi, qu'elle semble bien constituer une
forme
spéciale des psychoses délirantes, le délire d'
orme spéciale des psychoses délirantes, le délire d'interprétation,
forme
diffé- rente des autres psychoses délirantes ch
cept conduisant à un but lumineux, mais au contraire elle offre des
formes
variées, elle se présenle sous des aspects dive
troublées. Ces h. peu- vent être sans rapport aucun de nature ou de
forme
avec leur cause occasionnelle ; ce ne sont pas
mi- liarer amaurotischer Idiotie. (Nouvelle communication sur une
forme
particulière d'I. A. par Spielmeyer, de Fribourg-
avail, pouvant chez des sujets à tare névropathique, con- duire aux
formes
graves de la folie des adolescents. R. DE MUSGR
puissent un jour aider la psy- chiatrie à débrouiller le chaos des
formes
observées. Les quelques lésions notées dans les
lle est particulièrement abondante mais n'existe toutefois que sous
forme
d'une très fine poussière dans les cellules ner
iffuses, l'association des deux n'étant d'ailleurs pas rare sous la
forme
d'encéphalomyélite. Malgré la confusion qui penda
on ; il incrimine la nervosité au sens de Krapelin, c'est-à-dire la
forme
constitutionnelle originelle de faiblesse nerveus
ibilité de ramener lalangue sur la ligne médiane ; dans cer- taines
formes
frustes, les deux moitiés de la face peuvent être
par oedème du dos des mains avec exacerbations. Plus tard, l'oedème
forme
des bosses distantes les unes des autres, indol
ongue critique de chacun des symptômes des 5 cas : « combinaison de
formes
communes de la névrose vasomotrice avec presque
Séquard ; par KLIPPEL et Chabrol. (L 'Encéphale, 1907, n° 7.) La
forme
complète, classique, du syndrome de Brown-Séquard
n'est presque jamais réalisée en clinique. C'est donc sur- tout des
formes
partielles, atypiques, que l'on observe ; celles-
nt la pré- dominance des symptômes et la localisation des lésions :
formes
frustes sensitives comprenant les trois sous-va
syringomyéli- que, tactile, avec modifications du sens musculaire ;
formes
où pré- dominent les troubles sympathiques (syn
pré- dominent les troubles sympathiques (syndrome sympathique) ;
formes
avec troubles trophiques (syndrome des cornes ant
symptomatique : érythème cutané, diarrhée, trou- bles psychiques à
forme
de confusion mentale, la psychose pella- greuse
confusion mentale, la psychose pella- greuse se manifestant sous la
forme
confusionnelle avec ou sans délire hallucinatoi
t l'étude clinique,anatomo-pa- thologique et pathogénique des trois
formes
bien distinctes de pa- raplégies séniles : lacu
venir ; les paramnésies de certitude peuvent se présenter sous deux
formes
; ou bien le sujet n'est pas sûr d'un fait qui s'
opie, qui conduisait les malades à des crimes réels. Dans une autre
forme
de folie religieuse, l'hystéro-démo- nopathie,
ées seulement du démon de la lubricité ! La théomanie lui une autre
forme
de folie religieuse, où l'on observait des atta-
et plus spéciale sur les nerfs de la main et du pied. La première
forme
d'affection des nerfs périphériques ca- ractéri
ynévritique aiguë ou pseudo-tabes polynèvritique aigu ; la deuxième
forme
est caractérisée par la sensibilité exa- gérée
de la motilité et de la coordination ; nous avons déjà nommé cette
forme
l'acronévrite de la main et du pied. L'ataxie p
iques se sont montrés, comparativement, plus tenaces. Dans les deux
formes
de polynévrite, il existe une tendance à affect
principalement les branches plus petites des nerfs et dans les deux
formes
nous trouvons aussi le caractère partiel des tr
x cen- tral. « L'ataxie aiguë » en soi n'est pas, sans doute, une
forme
clinique déterminée, au contraire, ce n'est qu'un
é (1) les accidents gastro-intestinaux se présentent aussi sous une
forme
de la gastro-entérile aiguë infectieuse, varian
ations alimentaires »,la gastro-entérite se présente aussi sous une
forme
typhoïde (Richardière) (2),laquelle doit-on bie
parais- sant normal ainsi que le larynx. Membres supérieurs : de
forme
, attitude et motilité parais- sant normales. Se
les ven- touses sèches, la quinine, l'éther prolongé, le chloro-
forme
. VII. Cette observation renferme, comme toujour
parties respectivement consa- crées à la sémiologie générale, aux «
formes
cliniques de la folie » et à l'étude médico-lég
r objectif de classer les symptômes pour la critique ultérieure des
formes
adoptées, et de montrer leurs rapports réciproq
ce. L'insuffisance distinctive qualitative est l'origine des deux
formes
de l'erreur pathologique, l'idée délirante et la
t de leurs rapports avec le moi. L'obsession diffère de la première
forme
de l'erreur pathologi- que par le rôle prépondé
sitations la conception de Krapelin sur la folie mani-dépressive, «
forme
pri- mitive, qualitative, quantitative, et psyc
stincte de tous les autres groupes de troubles mentaux : les seules
formes
intermédiaires connues sont certains «états psy
eurs ont édifié, côté de la manie et de la mélancolie, les diverses
formes
, assez mal différenciées les unes des autres, de
se, excitation dépressive, etc. L'auteur insiste par contre sur les
formes
mixtes à brusques alter- natives, et sur celles
sus fondamental, qu'ils sont équivalents, de même que les multiples
formes
aber- rantes de l'accès épileptique », que, là
définie, un seul trouble fondamental, commun non seulement aux deux
formes
symptomatologiques extrêmes mais à l'immense va
eux formes symptomatologiques extrêmes mais à l'immense variété des
formes
évolutives, il ne suffit peut-être pas d'avoir
tatei, longtemps après un accès isolé, des troubles)rappelant la
forme
affectée par celui-ci et tranchant plus ou moins
créant tantôt l'alternance régulière, l'intermittence ou la double
forme
, etc., tantôt les accès isolés ou les accès récid
nvestiga- teur sur certaines particularités symptomatiques, sur les
formes
mixtes et de transition, et sur les stades de d
rmer la réalité d'une prédisposition commune et propre à toutes les
formes
évolutives de manie et de dépression pures. I
ncept paranoïa », et à parcourir la table des ma- tières, que cette
forme
ait effacé jusqu'au souvenir des groupe- ments
oujours sans modification du « noyau de la personnalité ». ' Deux
formes
connexes : la folie quérulante et la.paranoia hyp
es connexes : la folie quérulante et la.paranoia hypo- chondriaque,
forme
rare, caractérisée par l'existence d' « une idée
s un des traits les moins ' caractéristiques qui- distinguent cette
forme
des états dépressifs de la psychose mani-dépres
elles, délire émotif. ». L'auteur insiste particu- lièrement sur la
forme
très grave où le sujet n'est débarrassé de son
is l'acte qu'il réprouve et dont il envisage et redoute les suites,
forme
qui conduisit à rapprocher les troubles mentaux
order à celles dont la collaboration est capable de les modifier et
forme
seule la totalité de la personnalité consciente
Dr Sollier, dont l'auteur reconnaît s'être inspiré pour opposer les
formes
apathi- ques de l'imbécillité et de la ('ébilit
es de l'imbécillité et de la ('ébilité (vagabondage, mendicité) aux
formes
« versatiles », éré1hiques (crimes et délits, sur
YCHIATRIE. 443 l'emploi de la méthode de Stadelmann pour déceler la
forme
d'asso- ciations prédominante (phonétiques ou a
gement). Sous le titre de caractère pathologique sont rangées les «
formes
dégénératives, constitutionnelles, de l'insuffi
i aux leçons de l'expérience. La démence précoce conserve ses trois
formes
classiques et l'on mentionne seulement les pare
sont pour un peu plus de moitié de la province milanaise ; leurs
formes
psychopa1 hiquesdominantes furent en 1905, z co
x légers passent ainsi inaperçus pour aboutir à un suicide ou à une
forme
incurable d'aliénation. Fait-on,en Angleterre
lle type Fleiner à Maréville, ils auraient donc eu affaire dans ces
formes
à des états para-dysentériques d'après la nomen
lle est applicable à toutes les catégories de malades, à toutes les
formes
de la maladie, elle doit intervenir dans tous l
échirure probable des lobes occi- pitaux) et des troubles mentaux à
forme
de démence précoce hé- béphrénique chez un syph
édisposition à des troubles mentaux, surtout de prévoir vers quelle
forme
clinique celle-ci évoluera. Jusqu'ici, en effet
rée des dystrophies de toutes natures. F. TISSOT. ` XVI ? Sur une
forme
de délire ambulatoire automatique cons- cient c
é des halluci- nations.dans la P.G. justifie la distinction de deux
formes
cliniques de-cette maladie : la forme sensoriel
tifie la distinction de deux formes cliniques de-cette maladie : la
forme
sensorielle et la forme confusionnelle hallucin
deux formes cliniques de-cette maladie : la forme sensorielle et la
forme
confusionnelle hallucinatoire, dans lesquelles
maine s'est par trop élargi, aussi convienf-il de le restremdre aux
formes
-simples, acquises, presque toujours curables,
rasthénie doit être acquis 462 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. à une
forme
morbide nouvelle, la psychasthénie de Janet, qui
ante à la théorie de l'auto- in loxiuation comme cause de certaines
formes
mentales, théorie qui acquiert chaque jour un n
t, en outre, être rythmée par scansion de tous les mots. Toutes les
formes
d'excitation primaire ou «besoin de parler» ont
rs mots qui se présentent à l'esprit du ma- lade. Dans toutes les
formes
énumérées jusqu'ici, il y a changement continue
ue de Menert et la paralogie de Kussmaul. Il remarque enfin que les
formes
complexes sont encore très mal con- nues ; que
en plus,à un argu- ment de circonstance. Dans la pratique, sous des
formes
diver- - -ses, tous les experts admettent des d
n'est pas toujours facile ni même possible, au moins pour certaines
formes
mentales, de faire à l'alcoolisme sa part. Il est
er et la date de leur entrée en fonctions, sont pris dans les mêmes
formes
que les arrêtés relatifs aux médecins des asile
IIHOPA TIIll : sséniles des doigts par Parisot et Etienne, p. 74.
Forme
ostéo-hypertrophique d' tabétique, par Klippel
. Caun. Rupture du-, ralentisse- ment du pouls, crise épilcpti-
forme
; importance pathogéni- que des lésions cardiaq
. Un cas de délire - d'interprétation, par Bénon, p. 317. Sur une
forme
de am- bulatoire automatique cons- cient chez
319. Dysenterie. Voir Sérothérapie. Ecchymoses spontanées zoni-
formes
, par Etienne, p. 212. ECORCE CÉRÉBRALE. L' - pa
pronostic de) ? par Voisin, p. 92. Nouvelle communication sur une
forme
particulière de l' -, par Spiel- TABLE DES MA
Injections. Crâniens. Voir fractures . NEltVOSIS\1E thyroïdien.
Formes
cliniques, pm'L. Lévi et 1 I. de Rothschild,
met en usage. Il en résulte que la thérapeutique des organes des sens
forme
une fraction considérable de la chirurgie opérato
mal, à l'extrémité du bord palpébral correspondant, dans l'angle qui!
forme
avec le bord cutané de la caroncule, se dirige d'
e et fibreuse. Cette dernière, épaissie en dehors et en avant où elle
forme
le sac, se fixe au pourtour osseux sur l'apophyse
ier, la tumeur est oblongue et bilobée par l'étranglement mitoyen que
forme
le tendon de l'orbiculaire. 3° Canal nasal. Il
tourner l'angle, d'environ quatre-vingts degrés, ouvert en avant, que
forme
l'axe du canal nasal avec le plan du méat inférie
ue celui de la sonde de Laforest. Pour en approprier l'extrémité à la
forme
même du canal, il la confec-tionné d'après un mou
la canule cleDesault, qu'il a légèreaient courbée pour l'adaptera la
forme
du canal. On lintroduit sur un mandrin (pl. 2, fi
turée, qu'ont été imaginées les diverses modifications apportées à la
forme
de l'instru-ment. C'est à Foubert que Ion rappo
enfin M. Gerdy emploie une canule conique (fig. 24 ), simulant par sa
forme
six petits cônes dégra-dans et emboîtés. Procéd
e procédé formulé par Dupuytren et également usité quelle que soit la
forme
de la canule qu'on emploie. Les instru-mens néces
s, le déplacement pré-maturé de la canule accuse l'imperfection de la
forme
que lui a donnée Dupuytren. C'est pour y remédier
l nasal étant frayée par un mandrin, introduire un instrument de même
forme
garni sur les faces opposées de deux rainures ver
l'expérience, ils rétablissent mieux la voie ; mais l'une et l'autre
forme
de traitement exigent un temps con-sidérable , de
, en regard de l'arcade sourcilière, une incision curvi-ligne de même
forme
, égale en étendue à la fente palpébrale entre ses
iptique, soit, sur le bord palpébral, par une incision simple de même
forme
ou une double incision en V : les deux bords de l
sent, comme sommet, sur le centre de la cornée. Mais le ptérygion, de
forme
triangulaire, est borné au grand angle de l'œil,
Ptérygion (planche 7, fig. 9). C'est une végétation membra-neuse de
forme
triangulaire, épaisse et d'apparence charnue, si-
rygion ne consiste pas seulement dans l'existence de ces vaisseaux et
forme
comme une membrane distincte par une sécrétion in
C'est un état général de dilatation va-riqueuse de la conjonctive qui
forme
comme une sorte de voile vasculairc sur toute la
Instrumens ( pl. 2 ). On a beaucoup varié dans ces derniers temps la
forme
de l'aiguille à cataracte. Les plus usitées en Fr
emi-millimètre dans la moitié de sa longueur vers la pointe. Celle-ci
forme
un petit dard ou fer de lance incurvé sur le plat
bulant, M. Bowen, pour les cas de cataracte purement capsulaire, elle
forme
la base de son procédé et de celui nouvellement p
Instrumens. Les ophthalmologistes allemands ont préconisé différentes
formes
spéciales d'aiguilles droites, courbes, à pointes
moyens mécaniques de fixer l'œil ; les ophthalmostats de diffé-rentes
formes
n'ont pour ainsi dire jamais été employés. Il en
a curette, qui ordinairement appliquée à l'extrémité du kysti-tome ne
forme
avec lui qu'un même instrument; 4° comme pré-voya
uble deReisinger (pl. 2, fig. 54), soit toute autre plus simple et de
forme
ordi-naire (pl. 2, fig. 34-37). Il existe un gran
ig. 34-37). Il existe un grand nombre de ces in-strumens variables de
formes
et de dimensions; chaque chirur-gien a eu, pour a
; à double tranchant, de Jae-ger, etc. Telles sont aussi les diverses
formes
de kystitomes : en forme de serpette, de Boyer,
-ger, etc. Telles sont aussi les diverses formes de kystitomes : en
forme
de serpette, de Boyer, ou en aiguille lancéolaire
de l'opération. i° Le choix du couteau doit être calculé suivant la
forme
et les dimensions de l'œil. Le couteau de Richter
timètre.de largeur, et un milli-mètre d'épaisseur au talon Dans cette
forme
il coupe régulière-ment la cornée en glissant. En
te en une lance or-dinaire terminée par une autre petite lance, de la
forme
d'une ai-guille à cataracte, légèrement courbe et
ente avec la première, de façon que les deux sections représentent la
forme
d'un V dont le sommet correspond au centre de l'i
ou un déplacement de la pupille natut^elle, la traction changeant la
forme
de son orifice de circulaire en ellipsoïde. Le bo
de la mâchoire, dont les mouvements lui impriment des changeniens de
forme
(Richerand ! ; en bas avec la glande protide. D
be sur la ligne nasale antéro-postérieure, de manière que cette ligne
forme
avec l'axe de la trompe un angle de 135 degrés un
anche à l'une de ses extré-mités. L'autre se termine en une pointe de
forme
conique. Jus-qu'à deux lignes de cette pointe, el
s'exposer à la gangrène, séparer le lambeau du crâne. On lui donne la
forme
convenable en lui conservant une largeur deux foi
de substance. Peu à peu ce lambeau se rétracte, se durcit et prend la
forme
d'un bourrelet dont la teinte est plus foncée que
ieu d'une sonde en argent, en prendre une en gomme élastique, de même
forme
, et soutenue par une mandrin en argent ( pl. 12,
il suffit du simple stylet coudé à angle de i35° (pl. i , fig. 2). Sa
forme
nous paraît plus conve-nable que celle donnée aux
injectée jusque dans le tympan. La muqueuse du conduit, se refoulant,
forme
un bourrelet obturateur au-devant du bec de la so
, se compose de deux cartilages latéraux séparés par un troisième qui
forme
la cloison nasale : la souplesse et l'élasti-cité
postérieures représentent un parallélogramme à angles arrondis : leur
forme
et leurs diamètres doivent être pris en considéra
ront, de manière à ce que sa pointe soit dirigée en bas. On marque la
forme
et la grandeur du lambeau avec de l'encre ou du n
sions verticales pénétrant jusqu'aux os et suivant les contours de la
forme
nasale. Il en résulte ainsi une bande de peau iso
latérales, réunies en avant mais écartées en arrière et en dehors, en
forme
d'Y ren-versé. La dissection de la peau étant fai
ou resserrement des narines. Les maladies susceptibles d'altérer la
forme
du nez peuvent oblitérer les narines, ou les rétr
iège. M. Velpeau est parvenu à extraire un petit caillou lisse, de la
forme
et du volume d'une amande, avec un stylet ordinai
sont aujourd'hui com-plètement abandonnés. CAUTÉRISATION. Les deux
formes
sous lesquelles on l'opère ont partagé, à divers
re boutonné, garni de linge jusqu'auprès de sa pointe, et, quant à la
forme
, droit, concave ou convexe, suivant la direction
convexe, suivant la direction dans laquelle s'offre le polype, et la
forme
du trajet par lequel on peut y atteindre. Procé
ue beaucoup plus récente;, à Dionis (pie l'on doit d'avoir précisé la
forme
et l'usage de ces instrumens. Néanmoins, pendant
faire glisser au besoin, clans un sens ou dans l'autre, la canule qui
forme
l'anse. Si l'on franchit le pédicule sans l'avoir
e au-dessous, qui constitue le méat inférieur; l'autre au-dessus, qui
forme
le méatmoyenau sommetduquel, comme nous l'avons v
ers la muqueuse ou même à travers la lame os-seuse peu résistante qui
forme
la paroi interne du sinus. Ce dernier cas rentre,
ple, bifide ou trifide; d'autres fois, par la réunion des lobes, sous
forme
d'une saillie transversale qui se retourne en ava
considère comme une maladie fœtale, opinion qui rendrait compte de la
forme
et de la direction irréguliere du tubercule incis
ec-de-lièvre. Déjà on sent que cette théorie ne rend pas raison de la
forme
du tubercule sous-nasal toujours unique et qui de
é en huit de chiffre, est encore celui mis actuel-lement en usage. La
forme
et la nature des aiguilles ont beau-coup varié. P
t un dard en acier pour en faciliter le passage. C'est cette dernière
forme
qui a prévalu; toutefois, à l'exemple de La Faye,
cule médian. 2° Tailler d'abord les côtés du tubercule sous-nasal, la
forme
qu'il doit avoir après l'opération devant influer
ons de la manière la plus avantageuse pour imiter après la réunion la
forme
normale de la lèvre supérieure, reste à appliquer
trois fragmens à la fois. Les lignes de réunion prennent a lois une
forme
différente suivant la confi-guration des parties
peut ou non former le tubercule moyen, et les deux lignes prennent la
forme
d'un V (fig. 4); ou ce tubercule n'occupe qu'une
n de la hauteur de la lèvre et souvent donne aux lignes de réunion la
forme
d'un Y. IÎEC-IE-LlÈVIlE COMPLIQUÉ. La coïncid
issure palatine occupe tout le plancher osseux d'avant en arrière, et
forme
une seule lente d'écartement latérale ou médiane;
le tubercule incisif, isolé de chaque côté des deux os maxil-laires,
forme
une saillie sous-nasale très proéminente, et dont
riable des parties molles de la joue, que se rapportent les di-verses
formes
d'excision, avec des lambeaux variés pour corrige
cisions une perte de substance obligée qui, dans ce cas, se trouva de
forme
quadrilatère, et disséqué un peu la lèvre in-féri
traça sur le côté du cou au-devant du sterno-mastoïdien un lambeau de
forme
appropriée qu'il tailla en réservant un large péd
t la maladie enlevée en entier, reste une large perte de substance de
forme
quadrilatère. Il ne s'agit plus que de dissé-quer
la joue dans la direction normale du canal, trajet auquel se prête la
forme
de l'instrument. Monro introduisit dans le nouvea
supérieure du canal. M. Zancj a recours à la même substance, mais il
forme
le trajet avec un trocart et glisse avec plus de
s la bouche deux ori-fices, de manière que la nouvelle voie salivaire
forme
un Y avec le bout supérieur du canal qu'elle cont
dans le rnoyen-âge usitée chez les Arabes et pratiquée sous diverses
formes
à la re-naissance par Franco et A. Paré. Ce derni
et le muscle sterno-mastoïdien en arrière, et prend naturellement la
forme
rectangulaire de l'espace qui la renferme. Toutef
. Toutefois le bord maxillaire, reçu dans l'épaisseur de la glande, y
forme
un étran-glement vertical, et au delà de ce bord
aqué l'une des parties osseuses au con-tour. Tout étant disposé, la
forme
de l'incision cutanée est détermi-née par la form
étant disposé, la forme de l'incision cutanée est détermi-née par la
forme
et le volume de la tumeur. L'incision en T ou l'i
sue aux liquides le long des fils à ligature, pour éviter qu'il ne se
forme
des foyers purnlens qui pourraient occasionner de
'emploi de ce procédé que le creux temporo-maxil-laire, surtout vu la
forme
irrégulière de la glande parotide. C'est donc ave
rifice métallique, à l'écoulement de la salive, en attendant qu'il se
forme
par la cicatrisation sur le corps étranger une fi
seaux courbes, de sorte que le liquide étant évacué, le fond du kyste
forme
im-médiatement paroi de la cavité buccale. A pein
l se prolonge quelquefois jusqu'auprès de la pointe de la langue sous
forme
d'un mince repli muqueux que l'on peut inciser in
dentellement. Les maladies de la langue sè présentent sous diverses
formes
, qui modifient le procédé opératoire. On les opèr
dent de modifier la surface de fa plaie par la cautérisation. La même
forme
de maladie se prête également bien à l'emploi de
e s'en isole, (c) Enfin si le mal, situé à la surface de la langue,
forme
une traînée en longueur sans profondeur, on saisi
vec un grand bistouri, la section nette en travers. Mais, comme cette
forme
de plaie est en elle-même la moins propre à la ré
ulière, qu'il se limite sur une ligne horizontale, et, au con-traire,
forme
toujours, en arrière, un prolongement courbe, mé-
perte de substance , peut offrir toute espèce de variétés quant à sa
forme
ou à son siège ; mais la d ivision congéniale, pr
aire, affecte une disposition régu-lière; elle se présente sous trois
formes
, i. Divison simple ou dermo-musculaire. Dans cett
role, qui prend un timbre nasal. A l'examen, elle se présente sous la
forme
d'une fente verticale en ogive, i. Division incom
a canule, dont le piston la chasse à son extré-mité libre. Cette tige
forme
deux mors, dont un petit, mobile, s'applique sur
dienne, taille de chaque côté sous la voûte palatine un lambeau d'une
forme
et d'une étendue convenables, qu'il dissèque d'av
t les ciseaux. Ce dernier instrument a prévalu gé-néralement, mais sa
forme
a été singulièrement modifiée. De tant de variété
les uns, à gauche, suivant les autres, pour faciliter la section, la
forme
et le volume de la petite tumeur pouvant exiger,
à la suite des inflammations chroniques, et se présente alors sous la
forme
d'une tumeur oblongue de plusieurs centimètres d'
séparément les deux moitiés. Cette idée, dont la reproduction récente
forme
la base de la méthode générale de M. Mayor de Lau
égard de plus général et de plus vrai, c'est que c'est bien plutôt la
forme
et les rapports de la tumeur qui doit décider de
l existe un nombre considérable de faits douteux, cpii, sous diverses
formes
de terminaison, soit continua-tion de la maladie,
séparément. D'autres patriciens se sont également ingénié à varier la
forme
et le mé-canisme de ces instrumens : tels sont MM
que. Pour une fistule de ce genre, Dupujtren en aviva le contour en
forme
d'une incision longitudinale, dont il réunit les
de d'un mandrin ou stylet dont l'extrémité était recourbée suivant la
forme
du trajet à parcourir, et retirait ensuite ce man
ois, une pièce de monnaie, un morceau de métal, etc., si variables de
forme
et de volume, fichés ou encastrés dans l'œsophage
hétérisme ordi-naire , si, comme on peut le présumer, la nature et la
forme
du corps étranger décident du genre d'instrument
usité en France est la simple tige de baleine garnie d'une éponge qui
forme
l'une des extrémités de la sonde préhen-sive de D
isme, et que l'on n'a aucune certitude de prévenir des lésions que la
forme
, le volume, la résistance et la direction du corp
l'œsophage reconnaissable à la légère saillie plate et arrondie qu'il
forme
, à sa direction verticale, à son aspect charnu, à
lieu qu'à des préceptes généraux, le siège, le volume, la dureté, la
forme
de ce corps variant dans presque tous les cas. S'
est d'enlever le cancer assez à temps, lorsqu'il est encore local et
forme
une tumeur mobile et bien circonscrite. Les chanc
il est pro-bable que les côtes sont altérées. Incision cutanée. La
forme
de ces incisions a beaucoup varié. Les anciens et
érante pour la réunion après l'enlèvement de la tu-meur. La meilleure
forme
de l'incision étant déterminée, sa direc-tion n'e
les poumons et les plèvres étant sains, chaque moi-tié de la poitrine
forme
une grande cavité entièrement remplie, excepté à
'état pathologique cette disposition change. Dès qu'un épanchement se
forme
, il s'interpose dans la cavité des plèvres et ref
, il gagne les points déclives, 23 et, suivant la loi de gravité,
forme
une couche horizontale, à la circonférence abdomi
tre côté de la poitrine. Telle est la théorie de l'épanchement qui se
forme
rapidement et avec abondance. Mais s'il se forme
l'épanchement qui se forme rapidement et avec abondance. Mais s'il se
forme
peu-à-peu ou avec le temps, si une portion s'en r
ige l'obliquité du trajet. La plèvre étant mise à dé-couvert, si elle
forme
une saillie bombée avec fluctuation évi-dente, in
itrine, la conduite est différente suivant l'es-pèce, le volume et la
forme
de ce corps; suivant aussi qu'il est perdu à l'in
ngéniale, Morand et Ledran conseillent de ponctionner l'hydrocèle qui
forme
le point le plus déclive de l'épanchement. Quand
), où le corps étranger n'était rien moins qu'une fourchette, dont la
forme
semble si peu se prêter à une expulsion régulière
brane muqueuse, suffisent pour fermer la plaie, et peut-être aussi se
forme-t
-il, dans la plu-part des cas, des adhérences entr
au péritoine pa-riétal, dans une surface assez étendue, dont la plaie
forme
le grand axe, par une compression exercée de deda
y, vers la fin du xvne siècle, qu'il fut bien établi que le péritoine
forme
un sac au devant des organes déplacés. On continu
nfermer presque toute la masse intestinale avec le grand épiploon. Sa
forme
, généralement arrondie, et pouvant varier en rai
u viscère pour constituer un sac qui se moule sur le volume et sur la
forme
des parties déplacées. Toutes les fois que l'orga
divisé la paroi abdomi-nale, en comprenant le péritoine, celui-ci ne
forme
plus une enveloppe à l'organe déplacé, et il n'ex
ad-hérences qui s'opposent ensuite à sa réductibilité. D'ailleurs sa
forme
, son amplitude et son épaisseur varient en raison
r. Cela est facile à concevoir. Dans l'intérieur du sac , tout ce qui
forme
une bride sur l'intestin peut intercepter le cour
r et l'autre inférieur, et en outre des parois limitant sa cavité. La
forme
du canal est assez régulièrement cylindroïde, mai
conduite de l'épine iliaque antéro-supérieure à l'angle du pubis. Sa
forme
est semi-lunaire ; le côté interne de sa circonfé
de ligament de Gimbernat. L'espace circonscrit par ces piliers a une
forme
ovalaire, et son grand diamètre est dirigé de hau
existe toujours dès le moment de la naissance, mais parce qu'elle se
forme
en vertu d'une disposition qui elle-même est cong
happent dans la hernie crurale. Ainsi limité , l'anneau crural a la
forme
d'un triangle à bords arrondis. Sa base qui regar
saphène interne, pour se jeter dans la fémorale, aurait à-peu-près la
forme
d'un Z ; mais un tel canal n'existe point en réa-
ache pubienne de l'a-ponévrose. Dirigé presque transversalement et de
forme
triangu-laire, il a son bord antérieur confondu a
aris une pièce qui avait quelque rapport avec un cas semblable. Cette
forme
particulière de la hernie fémorale se comporte d'
domen. Chez le fœtus, au moment de la naissance, l'anneau ombilical
forme
une ouverture à-peu-près circulaire, à travers la
le cordon au dehors, ce cul-de-sac devient plus pro-fond et prend la
forme
d'un entonnoir dont la base répond à Fin- térie
e es-pèce de hernie ombilicale. Il ne faut pas donner à cette seconde
forme
le nom de hernie congeniale, puisque le petit mal
e la peau et la couche musculaire, au pourtour de la cicatrice, il se
forme
une dépression extérieure au niveau de l'ombilic.
ière l'ombilic, elle ne peut se déplacer beaucoup, et alors le sac se
forme
plutôt par distension cpie par déplacement, d'où
n bas; quelquefois disposés régulièrement ils donnent à la tu-meur la
forme
trilobée; d'autres fois les deux artères ombilica
brayer composé d'un cercle d'acier flexible, et muni d'une pelote en
forme
d'écusson. Blegny (167G), clerc delà compagnie de
es élastiques façonnés en acier flexible et pouvant s'accommoder à la
forme
et aux mouvemens des parties qu'ils embrassent et
eur et la courbure du ressort doivent varier suivant la largeur et la
forme
des hanches du malade ; mais absolument parlant,
, il importe surtout que la cour-bure du ressort soit accommodée à la
forme
de la hanche du sujet, car trop faible ou trop gr
urné en haut. L'écusson est une plaque d'acier comme le ressort, de
forme
elliptique, ovale ou arrondie, cpti se fixe au re
crou, etc., et qui supporte la pelote. L'inclinaison de l'écusson, la
forme
et le volume de la pelote ont été l'objet de beau
es sens : l'écusson de la figure 5 ne diffère du précédent que par sa
forme
qui est plus convenable pour une hernie inguinale
ture de l'anneau. L'écusson supporte la pelote, qui doit être d'une
forme
, à* un volume et d'une consistance déterminés ; l
a couche de graisse. Ceci nous montre qu'on devra toujours adapter la
forme
de la pelote à la conve-nance de la hernie et du
diatement au-dessous du ligamentde Fallope, dans l'angle rentrant que
forme
ce ligament avec l'épine du pubis. Relativement à
inguinale cpie par la brièveté un peu plus grande de son col, par la
forme
toujours ovale et l'étroitesse de haut en bas de
e ces brayers.) Rien n'est variable, au reste, comme la largeur et la
forme
que l'on est. obligé de donner à la pelote. Fré
gle fixe, le chi-rurgien est obligé d'imaginer un bandage adapté à la
forme
, au volume et au siège de quelques hernies ventra
sez embarrassante ; on le reconnaît à sa surface lisse et polie, à sa
forme
spbérique, au Iremblottement qu'on y éprouve à la
u à l'intérieur de la poche , le chirurgien reconnaît l'intestin à sa
forme
arrondie, à sa surface lisse et parfois aux fibre
x, de celui en particulier qui longe la branche horizontale du pubis,
forme
un cercle presque com-plet au pédicule de la hern
de Fallope, et quel-quefois on est obligé, à cause du volume et de la
forme
arrondie de la tumeur, de pratiquer une incision
au crural à découvert tailla dans la peau voisine un petit lambeau en
forme
cle lame cle lancette, l'in-troduisit dans l'anne
ngle mésentérique, les deux bouts s'adossant l'un à l'autre, le repli
forme
à l'intérieur de la cavité la saillie en croissan
D'autre part, sur le bord libre au pourtour de l'ulcéra-tion , il se
forme
avec le collet du sac une ceinture d'adhérences p
hérences, tiraillé, s'allonge et se dilate sous la pression, et il se
forme
, entre l'in-testin et la fistule, un canal dilata
dentel. Un accident ordinaire est. l'invagination de l'intestin qui
forme
tumeur au dehors (Pl. 33, fig. i). Les observat
bords, une rainure ovalaire, destinée à recevoir une saillie de mémo
forme
et de mémo grandeur , placée à la face interne do
ns grêles. Le péritoine, en se réfléchissant en de-hors et en dedans,
forme
un angle plus ou moins saillant. La couleur du
s'affaisse point sur lui-même comme les autres intestins, parce qu'il
forme
un canal lié aux parois de l'abdomen comme une ar
ieurs caractères : la couleur violacée de la peau, la saillie qu'elle
forme
pendant les cris de l'enfant dans le lieu où devr
la porter de suite au plus grand volume possible, en lui donnant une
forme
conique pour en faciliter la pénétration et le gl
la fistule borgne interne qui s'ouvre au contraire dans le rectum et
forme
cul-de-sac dans le tissu cellulaire sous-cutané.
ète. Configuration. Toute fistule à l'anus se compose d'un foyer de
forme
irrégulière, avec un pertuis d'ulcération qui ouv
eulement borgne externe, et dans tous les cas il faut re-connaître la
forme
et l'étendue du trajet fistuleux. Trois moyens d'
des substances détersives esebarotiques et caustiques sous toutes les
formes
, liqueurs, pâtes, pommades, onguens et troebisque
le gorgeret en bois à celui en métal de Marchettis. Mais c'est sur la
forme
et le mode d'action qu'ont porté presque toutes l
t été ten-tés dans cesderniers temps. La cautérisation, sous ses deux
formes
principales, a repris faveur en Allemagne. A l'ex
ire, qu'ils remontent profondément. Cette distinction sup-pose que la
forme
et l'étendue des clapiers fistuleux ont déjà été
, mieux vaut les fendre par des incisions en croix ou enT, suivant la
forme
et l'étendue de la portion décollée, et en excise
peut être appelé à extraire du rectum sont si variables de nature, de
forme
et de volume, qu'il est impossible de tracera cet
d'instrumens. Si le corps étranger n'est pas très volumineux ou d'une
forme
trop irrégu-lière, on peut ordinairement l'extrai
ement incomplète et s'offrant à des degrés différens , tantôt sous la
forme
d'un diaphragme percé à son centre d'un trou plus
ncer se développe le plus souvent. Il peut se présenter sous diverses
formes
: tantôt, c'est une tumeur à large base, couverte
rte la partie du rectum dénudée et toute la partie de la muqueuse qui
forme
une pro-cidence, avec de forts ciseaux courbes su
te à forcer le liquide de l'hydrocèle de s'écouler, à mesure qu'il se
forme
, à travers un conduit fistuleux artificiel. M. Ba
jour, a imaginé un instrument qui remplit parfaitement son but. Sa
forme
est celle d'un fer achevai; les deux extrémités s
formation de caillots sanguins et arrêter ainsi la circulation. Il se
forme
bien en effet des caillots pendant que l'instrume
indiqués par M. Velpeau. Lorsqu'une tumeur du scrotum , ayant la même
forme
, le même volume , la même régularité, la même ins
vers le gland; il enfonce la pointe de l'instrument sous la bride qui
forme
l'étranglement, et la coupe en abaissant le manch
croupir comme les femmes pour uriner. A. Paré a imaginé une canule de
forme
conique, en buis ou en métal, destinée à diriger
et reconnaît pour cause la suspension du pé-nis à son ligament; elle
forme
une courbe à sa concavité in-férieure, mais qui n
re 2 de la planche 5i, peuvent donc donner une idée très exacte de la
forme
, de la longueur et de la position de ces courbur
age par les chirurgiens, que nous avons voulu fixer définitivement la
forme
, la longueur, les courbures et les dilatations lo
neuse , bulbeuse et spongieuse. i° Portion prostatique. La prostate
forme
presque toujours un cercle complet autour de l'ur
nnoir du col de la vessie, elle est rétrécie par le cercle du col, et
forme
elle-même une dilatation olivaire qui se resserre
tie mem-braneuse; de manière qu'on peut en quelque sorte assimiler sa
forme
à celle du réservoir à mercure du baromètre ordin
mplis d'un sable brunâtre. Il n'est pas rare de voir la saillie que
forme
le veru monta-num en arrière, prendre un développ
'écoulement des urines; d'autres fois le veru monta-num s'épanouit et
forme
non plus un tubercule, mais deux replis latéraux
t, de sorte que sa moitié postérieure, un peu oblique de bas en haut,
forme
un canal continu avec les portions membraneuse et
u une fente verticale longue de 8 mil-limètres, dont le méat, de même
forme
, est l'orifice, et qui tient lieu d'une espèce de
-rés en haut, le gland est fendu, et la portion pénienne de l'urè-tre
forme
une gouttière, à surface muqueuse qui s'enfonce s
On n'est pas précisément d'accord sur le degré de l'incurvation et la
forme
qu'on doit lui donner. Les sondes anciennes avaie
ures plus courtes des figures 6 et 7, mieux appropriées à l'angle que
forme
le bulbe de l'urètre avec les portions membraneus
ade sans l'incommoder sensible-ment, parce qu'elles se moulent sur la
forme
de l'urètre et se prê-tent à tous les mouvemens.
ur les introduire il faut les placer sur un mandrin qui leur donne la
forme
. Lorsqu'il est retiré, elles tendent à revenir à
usque derrière le corps prostatique, et dans la poche « rétractée que
forme
le réservoir de l'urine. » Dans d'autres cas on
trent avec moins de facilité que ces dernières. Lorsque le canal a sa
forme
naturelle, on place dans leur cavité un mandrin s
e, près de « la racine, une autre lanière de gomme élastique, dont on
forme
« un anneau enjoignant ensemble les extrémités, a
puisque, par la position donnée au pénis, on a effacé la courbure que
forme
l'urètre au-dessous et en arrière de la symphyse
euse; 5ï M. Dufresse dans son mémoire déjà cité se Tondant sur la
forme
et le siège des rétrécissemens de ce genre, concl
foulement à tergo, dans les uretères et les reins, des altérations de
forme
et de texture fort graves. Ainsi le rétrécissemen
que soit l'ancienneté d'un rétrécissement, son siège, sa nature et sa
forme
, l'urètre n'est jamais entièrement oblitéré. Le t
remière chose à faire est de reconnaître son siège, son ouverture, sa
forme
et son étendue. Il existe pour cela plusieurs pro
il s'agit d'en trouver l'orifice et de dé-terminer la longueur et la
forme
du trajet rétréci. Poury parvenir, on fait usage
usieurs nœufs qu'on trempe dans de la cire fondue, et on lui donne la
forme
d'un bourrelet; on passe cette soie dans la sonde
envoyer dans sa cavité un prolongement qui repré-sente exactement sa
forme
et sa position. Il ne faut presser ni trop, ni tr
l'instrument des mouvemens de rotation, dans la crainte d'al-térer la
forme
de l'empreinte qu'il rapporte, de contourner sa t
e la paroi inférieure, se tasse, se pelotonne et ne donne plus qu'une
forme
sur l'exactitude de laquelle on ne peut pas compt
ut ni avancer ni reculer. L'instrument fermé est droit et présente la
forme
d'un stylet dont l'extrémité vésicale est arrondi
la portion la plus large à la portion la plus étroite de celle-là, et
forme
une sorte d'onglet qui, ramené avec douceur et le
e sert, sont des tiges flexibles pleines, lisses et polies, ayant une
forme
cylindrique ou un peu conique; leur diamètre vari
e de coin, qui n'exerce d'influence que par ses qualités physiques de
forme
, de résistance et de volume ; en un mot elles agi
près avoir mesuré la distance du rétrécissement au méat et reconnu sa
forme
, la po-sition de son ouverture et son étendue, Du
peuvent même quelquefois induire en erreur, à cause des changemens de
forme
et de longueur qu'éprouvent les tissus par leur s
pointe, deux fentes ou yeux pour laisser passer deux lames qui ont la
forme
d'ailes et qui s'écar-tent beaucoup de la canule
. Celui de M. Ricord ne diffère de celui de M. Dupierris que par la
forme
de la lame destinée à inciser, et la manière dont
e à la sonde exploratrice, excepté qu'à l'extrémité de la ca-nule qui
forme
cette sonde, et qui correspond à la lentille du m
rs il arrive ici ce qui arriva à Lafaye lorsqu'il sonda Astruc. fl se
forme
sous l'influence de la présence de la sonde un ca
ennent les deux bords parallèles antérieur et pos-térieur. Ce lambeau
forme
donc un véritable obturateur, dont les trois bord
et s'adapte à la convexité de la première. Au repos, l'instrumenta la
forme
d'une sonde courbe ordinaire ; lorsqu'il est arri
canule porte-nœud, mais surmontée d'un embout courbe qui lui donne la
forme
d'une sonde ordi-naire. Près du point d'union de
doigt dans le rectum, que, dans l'ischurie, le bas-fond de la vessie
forme
une tumeur bien sensible qui comprime cet in-test
oin de suffire pour faire reconnaître les changemens survenus dans la
forme
et la direction des parties sous l'influence delà
te de l'ulcération delà paroi postérieure de la vessie, un trocart de
forme
et de longueur convenables remédie à tous les inc
ance que l'on peut encore apprécier; mais si le corps étranger est de
forme
irrégulière, plat et allongé, comme on ignore de
et dont il s'enveloppe à mesure qu'il s'accroît. Il existe sous deux
formes
: (a) le calcul enchatonné dont une portion fait
dans la vessie, par une ou même plusieurs ouvertures arrondies ou de
forme
irrégulière, mais trop étroites pour don-ner pass
ens chimiques des calculs, on n'avait pas prévu celle du mucus qui en
forme
le ciment com-mun, phénomène bien autrement impor
injections et en irrigations avec la sonde à double courant, mais la
forme
dont on a le mieux constaté les effets est en bai
cul ; mais d'après cette composition chimique elle-même et d'après la
forme
de ce corps, il aurait pensé que ce devait être u
aille. Lorsqu'on veut introduire l'instrument dans la vessie, il a la
forme
d'une sonde courbe ordinaire. Dans sa composition
du litholabe et de blesser la vessie. Cette partie vésicale du stylet
forme
une espèce de tête arron-die, appelée fraise, plu
une échancrure quadrilatère destinée à saisir le renflement, de même
forme
, de la canule extérieure de l'instrument lithotri
es du litholabe soient aussi rapprochées que possible, et prennent la
forme
d'une olive à leur extrémité libre, qu'on rend li
dont la tête fenètrée laisse passer deux petits renflemens dentés en
forme
d'ailes. Ces ailes se développent au centre de la
dans leur position normale, of-fraient, avec la canule, à-peu-près la
forme
et la courbure d'une sonde ordinaire. Elles étaie
t au-dessous d'elle une anse plus ou moins large, ayant à-peu-près la
forme
d'un triangle sphérique. Cette anse dans la-quell
ar un pignon engrenant une cré-maillère (Pl. 61, fig. 20). Ainsi la
forme
qu'on a définitivement adoptée est celle de l'in-
sante pour « rompre des calculs volumineux et résistans. L'anse qu'il
forme
« semble peu favorable à la saisie de ces calculs
sen-tent que des modifications légères de cet instrument primitif. Sa
forme
générale est celle d'une sonde ordinaire de 9 à 1
). Celui qui est fabriqué par M. Charrière présente une masse dont la
forme
est à-peu-près celle d'un dé à coudre, mais envir
efois son ma-lade sur un coussin résistant, contenu dans une boîte en
forme
de livre, pouvant, au moyen d'un pivot, élever
'ac-tion et l'intensité de la force comprimante, et les autres sur la
forme
des mors. Modifications apportées au mode dacti
oyen de l'écrou brisé dont il est muni. Modification portant sur la
forme
des mors. Nous avons vu que les mors du premier
és auxquels on ne peut pas obvier complètement. Enfin, une dernière
forme
des mors est celle dans laquelle ils forment deux
cul allait se loger dans le cul-de-sac plus ou moins considérable que
forme
la vessie au-dessous de la prostate, lorsque l'ex
il faut bien s'assurer du volume des calculs, de leur dureté, de leur
forme
et de leur nombre. Par là on pourra juger approxi
l un peu moins gros mais très dur. 3" Configuration des calculs. La
forme
aplatie de la pierre, depuis l'invention du percu
nstru-mens avec le canal, que du redressement forcé résultant de leur
forme
rectiligne. Ces accidens, indépendans du plus ou
rinée, chez l'homme, est un espace qui, vu extérieurement, affecte la
forme
d'un triangle allongé circonscrit sur les côtés p
e avec le dartos, et se termine autour du pénis par une gaîne qui lui
forme
un étui. En arrière, elle va s'attacher au pourto
gament sous-pubien , remplit l'arcade pubienne, dont elle, affecte la
forme
triangulaire, s'insère à son pourtour en se con
rectum où elle se confond avec l'aponévrose ischio-rectale, dont elle
forme
le feuillet ischia-tique. Ce feuillet aponévrotiq
se. Il paraît aussi destiné à résister à la pression des viscères, et
forme
une barrière qui ré-siste au pus et aux matières
convexe, elle repose sur le rectum. Le sommet du cône, dont elle a la
forme
, regarde en avant et en haut, et sa base en arriè
à la précédente , l'ouverture par laquelle doit passer le calcul a Ja
forme
d'un triangle isocèle, dont chacun des côtés à 22
Philippe Collot, re-présenté pl. 68, fig. 7 et 8, avait à-peu-près la
forme
d'une grosse lancette; c'est une chasse composée
s avec lesquelles elle s'ar-ticule au moyen d'un coude aplati qu'elle
forme
en ce point. Un levier long de 1 o à 11 centimètr
ithotome caché, l'incision intérieure est pres-te que transversale et
forme
un angle très obtus avec l'incision et extérieure
tre arrivée vers son extrémité. Au lieu de donner à la gouttière une.
forme
concave, Abcrnethy lui donna une forme triangu-la
de donner à la gouttière une. forme concave, Abcrnethy lui donna une
forme
triangu-laire. iScarpa voulait que le gorgeret, t
la distance de 4 centimètres environ de son extrémité qu'il prend la
forme
d'une gouttière propre à diri-ger les tenettes.
tat intérieur, de chercher à déterminer la position , le volume et la
forme
de la pierre, et de s'assurer si elle est libre o
les cas où l'on peut atteindre la pierre, de saisir la tumeur qu'elle
forme
avec une tenette, et de la presser et mâ-cher à p
ées et remplies de caillots de sang; quant à la pierre, elle avait la
forme
d'une callebasse dont la partie renfermée dans le
la vessie et le rectum. Cette canule, ainsi préparée, présente une
forme
conique, afin de pouvoir pénétrer plus facilement
rectum peut être blessé lorsque sa ca-vité est très grande, et qu'il
forme
une espèce de gouttière autour de la prostate et
toute son étendue elle est dépourvue de péritoine; le cul-de-sac que
forme
cette membrane entre l'intestin et la vessie ne s
state jusqu'à l'anus est concave en arrière et convexe en avant; elle
forme
le bord postérieur du triangle périnéal dont le b
océdés diffèrent par toutes les conditions essentielles : le lieu, la
forme
, l'éten-due et la direction des incisions, le nom
e voie des calculs d'un volume et d'un poids énorme, et souvent de la
forme
la plus bizarre. M. Krimer a extrait un calcul pe
çant dans la vessie, par l'urètre, une sonde à laquelle il a donné la
forme
d'un siphon qu'il appelle siphon aspirateur. La p
aux. Mais si cette médication n'ar-rête pas les accidens, ei qu'il se
forme
des foyers purulens, un des meilleurs moyens d'em
ns sa cavité, et le décolle en entier de derrière les pubis, où il se
forme
une large poche qui devient presque nécessairemen
aires. Néanmoins comme tout ce qui tient à l'extrac-tion des calculs,
forme
un sujet à part, et en quelque sorte un art spéci
on doit agir, est limitée en dehors par les uretères, et présente la
forme
d'un triangle dont le sommet re-garde en avant, e
ntrée du vagin, on le perçoit avec la pulpe du doigt indi-cateur sous
forme
d'un tubercule ou d'un bourrelet plus ou inoins s
d'un œuf cCaiilriiclio ; toutes quatre étaient pédiculées et pyri -
formes
. Lorsque les tumeurs éléphantiasiques sont pédi
médiatement après la naissance, l'urine s'accumule dans la vessie, et
forme
bientôt une tumeur saillante au-dessus de l'hypog
gée de faire pour revenir à la surface cutanée de la lèvre droite. La
forme
exactement demi circulaire des aiguilles de M. Ro
doigts, on cherche à reconnaître les changemens et les altérations de
forme
et de texture qui se manifestent dans l'utérus, s
um dont on se sert pour examiner les parties de la gé-nération , a la
forme
d'un cône tronqué ou d'un cylindre destiné à écar
geur et le degré d'extensi-bilité des parties sexuelles ; il avait la
forme
d'un cône tronqué ; son extrémité la plus étroite
spéculum cylindrique, les parois du vagin le pressent, et sa muqueuse
forme
une rosace qui présente son orifice au centre de
et des organes génitaux externes. Ces fistules sont très variées de
forme
et de direction. Tantôt elles sont longitudinales
toute l'épaisseur des parois vésico-vaginales, de crainte qu'il ne se
forme
des abcès, ou même d'autres fistules, par la filt
ansversales. i° Pour les fistules longitudinales, l'instrument a la
forme
d'une pièce à deux branches articulées entre elle
is à découvert comme dans le cas précédent, un petit cautère ayant la
forme
d'une fève de haricots, et chauffé à blanc, doit
e plus simple et de plus commode. Cette aiguille, dont la pointe a la
forme
d'un fer de lance de 8 à 9 millimètres de longueu
de 2 à 3 centimètres , sans toucher à ses extrémités, de façon qu'il
forme
une arcade. Ensuite, faisant filer de bas en haut
a vessie cessait d'être soutenue et descendait jusqu'à la vulve, sous
forme
d'un fongus rougeâtre, à travers l'ouverture anor
e la membrane est la plus pro-noncée. Dans divers cas d'opération, la
forme
du lambeau était elliptique (Marshall, Heming), q
it, sur la cloison recto-vaginale, un lambeau de la muqueuse ayant la
forme
d'un triangle isocèle dont le sommet, corresponda
omains et les Arabes en faisaient un fréquent usage. La matière et la
forme
de ces instrumens ont beau" coup varié. Anciennem
été de n'être pas facile-ment altérés par les sécrétions vaginales.
Formes
générales des pessaires. Il serait difficile de l
uit de chiffre. Ils ont été inventés par Brü-ninghausen. D'après leur
forme
que leur nom indique assez, on conçoit qu'ils se
t le sommet ou le premier anneau est fixe, tandis que le dernier, qui
forme
la base, est libre, et peut être rapetissé par la
nt et convexes en arrière, afin qu'ils puissent s'ac- commoder à la
forme
du vagin, de la vessie et du rectum. Leur extrémi
de rotation par lequel on ramène leur face convexe en ar-rière. Leur
forme
s'accommode très bien à celle tics parties ; mais
e laiton, très mince et contourné en spirale; cette carcasse qui a la
forme
d'un cône tronqué, est revêtue, à sa surface exté
direction verticale, et, par conséquent, s'accommoder facilement à la
forme
du vagin, sans s'aplatir ou s'affaisser sur lui-m
irconférence, de manière à l'aplatir latéralement, et à lui donner la
forme
d'une ellipse. Quel que soit le pessaire qu'on
) qu'on ne peut accorder de préfé-rence exclusive à aucun d'eux, leur
forme
, devant, pour ainsi dire, varier pour chaque cas
aire aucune tentative, s'assurera, par letoucher,dela position, de la
forme
et de la nature des corps, et cherchera à les dég
cléer, en un mot, sans crainte d'hémorrhagie, tandis que plus tard il
forme
un tout inséparable. M. Velpeau pense que ces tum
lement après; et dans un autre, il en détacha une partie qui avait la
forme
d'une tranche de melon, et dont la soustraction p
u pédicule, un instrument auquel il a donné le nom de polypodéon : sa
forme
est celle d'une pince à disséquer, dont les mors,
formée de couches concentriques, pesait 338 grammes ( 11 onces). Sa
forme
et son volume rappelaient ceux d'un petit œuf d'a
en caractérisé? Sont-ce les bosselures, les duretés, le changement de
forme
et de volume, qui se montrent si fréquem-ment sur
scendus hors de la vulve et les vis-cères invaginés dans la poche que
forme
le vagin renversé, ayant été réduits, un aide, pl
'on se propose d'obtenir la chute de la matrice par mortification, et
forme
un temps préparatoire de l'excision, si cette mét
tumeur par excision sans ligature préalable. Leur surface interne ne
forme
quelquefois qu'une seule loge ; mais d'autres foi
ostérieures ont acquis une grande solidité. A. Leroy prétend qu'il se
forme
un tissu cellulo-fibreux intermédiaire qui fait q
ne pût s'ef-fectuer, sans que ces incisions ne se prolongeassent sons
forme
de déchirure, jusqu'au-delà du col de la matrice;
pisioraphie, oblitération du vagin, 317, 318. —Pessaires. Historique,
formes
générales, application, extraction, accidens, 3i8
rieur jusqu'à la rencon-tre des tendons musculaires. En ce point elle
forme
une gaîne pour les tendons des obliques (selon no
re d'écartement des deux feuillets où aboutissent les quatre tendons,
forme
sur (1) Gazette des hôpitaux, 4 février 1841.
ière (i) : « Il y a long-temps qu'un médecin italien a avancé, sous
forme
« spéculative, que le strabisme, dû à la contract
l'oeil dévié se dessine fortement, et l'œil sain fonctionnant « seul,
forme
un contraste frappant par sa rectitude. » (Bau-de
doucement en avant, y amena le muscle recouvert de la conjonctive en
forme
d'anse; prit un petit bistouri étroit, concave su
e; prit un petit bistouri étroit, concave sur son tranchant, et de la
forme
d'une serpette allongée, l'insinua entre l'œil et
ité il est utile que les pinces soient à griffes et les ciseaux d'une
forme
et d'une dimension déterminée; mais à la rigueur
e n'être pas certain d'avoir tout coupé. Toutefois, disons que par la
forme
de la lame et la ma-nière dont elle est introduit
rs muscles: l'exophtlialmic, l'immobilité de l'œil et des névroses de
formes
variées. T Exopiitiialmie. La proéminence exagé
pour être recueillie par Fabrice de Hilden à la renaissance, sous la
forme
ordinaire de traditions populaires. Enfin , de
ce qu'elle constitue une réapparition des procédés anciens et qu'elle
forme
la base de ceux de nos jours qui paraissent devoi
o-glosses , afin de dessiner une corde médiane superposée à celle que
forme
la portion tendineuse de ces muscles ; nous plong
l faut respecter le caillot sanguin noirâtre et d'aspect fongueux qui
forme
quelquefois une tumé-faction considérable derrièr
niques éprouve, sous l'influence de la difformité, des chan-gemens de
forme
, de dimensions, de direction et de texture. (1)
té-notome ou myotome. Cela posé, on comprend toutes les varié-tés de
forme
qu'ont pu revêtir ces instrumens, suivant le beso
ait préalablement une piqûre à la peau avec une petite lancette d'une
forme
particulière (PlancheN, fig. 16). La pointe de l'
tendon, entre le pouce, l'indicateur et le médius de chaque main, il
forme
un pli cutané perpendi-culaire, le plus élevé qu'
laute). établi une cinquième variété qui est le plantaire. Ces cinq
formes
primitives sont plus ou moins susceptibles de se
antagonistes rétractés ou restés à l'état normal. « Les différentes
formes
anatomiques ou variétés du pied-bot, tels que le
irec-tion d'action des muscles rétractés détermine la direction et la
forme
du pied. C'est ainsi que le pied équin résulte de
e et atrophie des jumeaux et soléaire. « C'est encore ainsi que ces
formes
primitives peuvent se com-biner entre elles et of
ire la section des tendons des muscles rétractés, déter-minant chaque
forme
du pied-bot : contre l'équinisme, le tendon d'Ach
simultanéité de leur rétraction dans les différentes combinaisons de
forme
que présente le pied-bot. « 5° Ces indications
ur les variétés anal. cong. du pied-bot. 1839, page 7 et suivantes.
forme
d'après les dénominations vagues de premier, seco
parfois le court extenseur ou pédieux. 5° Plantaire. Cette dernière
forme
de pied-bot, trouvée ré-cemment par M. J. Guérin,
posés de telle substance, qu'ils puissent se mouler exactement sur la
forme
du pied, quelles qu'en soient les irrégularités.
que par une succession de moulages qui représentent tous les états de
forme
et de di-rection intermédiaires , depuis la diffo
t allongement des groupes musculaires de la face op-sée. De ces trois
formes
principales, la plus commune est la demi-flexion
années, il existe, pour les divers tissus, des altérations forcées de
forme
, de volume, de direction et même de texture qui r
qui persiste invariablement après la section du muscle. » De cette
forme
de rétraction nous pouvons déduire, quant à ses e
ur et les résultats de sa pratique : i° le faisceau sterno-mastoïdien
forme
une corde d'où résulte l'incurvation en sens oppo
vés sous ce point de vue. » Ces observations de M. Bouvier, sur les
formes
de rétraction du muscle sterno-cléido-mastoïdien
e. L'application de mon second procédé exige une modification dans la
forme
de l'instrument, qui, au lieu d'être concave sur
e côté sain, le chirurgien, après avoir déterminé le lieu d'élection,
forme
un pli soulevé à la peau en ramenant de très loin
chirurgien s'assurede l'état intérieur de la tumeur, suivant qu'elle
forme
une cavité ou libre ou multiloculaire, ou qu'elle
ours à un traitement général, attendant qu'une nouvelle collection se
forme
pour avoir recours à une nouvelle opération. Nous
anal nasal, séparé du sac lacrymal, sur la figure, par l'anneau qui
forme
le tubercule lacrymal. 19. Vaisseaux et nerfs f
eçu par une extrémité dans une lame d'écaillé à bord cylindrique, qui
forme
un élévateur. 2. Autre élévateur de B. Bell.
théter de M. Gensoul. En raison de sa courbure (c), appropriée à la
forme
du canal nasal, ce cathéter est double, un pour c
ticulés. 34 à 37. Pinces à pupilles, dont les branches sont dans la
forme
ordi-naire des pinces à disséquer, les mors seuls
nt nous avons calculé les courbures suivant le trajet à parcourir. La
forme
précise de cette tige est, selon nous, celle que
ie frontale formée par la peau du front taillée pour le lambeau. Elle
forme
trois triangles : deux latéraux pour les ailes du
en k. Troisième incision verticale qui limite en dedans le cancer et
forme
, aux dépens de la moitié saine de la lèvre inféri
sur divers points des fosses nasales. Le nu-méro 10, en particulier,
forme
une double courbure. Figure 11. Petite scie a r
ique des fosses nasales. L'extrémité qui se fléchit par une charnière
forme
un cône de réception pour une éponge imbibée de c
.— Fig. 14. Serre-nœud de Desault. Un anneau dans lequel passe le fil
forme
une extrémité, l'autre est une plaque fendue où s
st pratiquée et dont la se-conde s'achève avec le bistouri (h); cette
forme
d'incision, plus favorable, permet une réunion qu
ction de la trachée avec le trocart de Bouchot. Cet instrument, parla
forme
ellipsoïde et aplatie de sa canule, n'offre pas,
ons préféré faire représenter la ligature de cette tumeur suivant une
forme
systéma-tique. La tumeur étant mise à découvert p
(de A en B). De ces fils, l'un, déjeté latéralement par chaque bout,
forme
une première anse horizontale qui est fermée à ga
r les deux branches principales de la thoracique longue. La plaie, de
forme
elliptique, s'é-tend diagonalement en regard et a
e 3. Deux hernies crurales (entérocèles sur une femme de 49 ans ). La
forme
de ces deux tumeurs est d'un modèle plus heureux
u crural. c. Feuillet aponévrotique de revêtement des vaisseaux qui
forme
la paroi antérieure du canal crural accidentel.
adruplé ou quintuplé; de sorte que l'intervalle entre les bandelettes
forme
un large triangle où les fibres obliques descenda
ment en bas et en dehors. A'. Fig. 2. Le pont aponévrotique (c) qui
forme
l'orifice de l'an-neau étant conservé, on a ouver
s de l'intestin. Ce moyen donne lieu à une perte de substance dont la
forme
est celle du canal lui-même. FIGURE 5 bis. Pinc
puytren. L'inconvénient de cet in-strument est de donner lieu, par sa
forme
et son mode d'action, à une longue fente dans la
ue l'on retire après la ponction, de sorte que l'instrument en entier
forme
un petit trocart. La canule est laissée à demeure
vice de M. Baudens. A la partie supérieure se voit une ulcération qui
forme
l'orifice cutané d'une fistule. Figure 2. Sarco
ro-supérieure du canal depuis le col de la vessie jusqu'au gland, qui
forme
seul le pénis. Ce cas nous a été communiqué par M
1. Intestin rectum. (f ) Ampoule ou portion terminale du rectum qui
forme
une courbure à convexité supérieure pour se termi
obes latéraux, fait hernie dans la vessie par l'orifice de son col et
forme
un obstacle au passage de l'urine. Figure 8. Ob
fère les cour-bures plus courtes 6,7, mieux appropriées à l'angle que
forme
la bulbe de l'urètre avec les portions membraneus
éplétion, comme il existe quand il est distendu par une injection, sa
forme
réelle en ayant été prise sur plusieurs moules en
d'action et l'intensité de la force comprimante et les autres sur la
forme
des mors. Les derniers instrumens offrent l'assem
cal, et de l'autre (b) soulève le scrotum. L'incision des chairs, qui
forme
un arc d'environ 100°, étant terminée, le doigt i
.) Celte figure représente la vessie par son plan postérieur, dans sa
forme
et dans son volume, à l'étal de réplélion. L'or-g
éter de Guérin, de Bordeaux, a. Anneau de préhension, b. Bran-che qui
forme
le cathéter, dont la portion vésicale (c) est can
s (b, b), articulées avec les mors. L'instrument, introduit fermé, ne
forme
qu'une tige. Quand les tenettes s'ouvrent dans la
on se propose d'ob-tenir la chute de la matrice par mortification, et
forme
un temps prépara-toire de l'excision, si cette mé
que est reçu dans les plaques creuses. 5, 6, 7. Cautère de diverses
formes
pour aviver les lèvres des fistules (Leroy-d'Etio
té partout en dehors de manière que sa petite circonfé-rence cornéale
forme
une vaste circonférence érignée au contour du glo
onférence érignée au contour du globe de l'œil. Selon nous, ce fascia
forme
deux feuillets continus avec 1rs gaines d'envelop
la piqûre faite d'avant en arrière ; un aide dont la main gauche (a),
forme
point d'appui sous la rotule, tandis que sa main
rémité postérieure articulaire ; le reste de sa surface de glissement
forme
une face verticale rugueuse qui ne pourrait plus
e s'incliner en bas, il remonte vers la face postérieure du tibia. La
forme
de celte surface articu-laire est singulièrement
de la seconde rangée du tarse sont beaucoup moins altérés dans leurs
formes
que ceux de la pre-mière. C'est dans l'articulati
s le sens de la rétraction du pied. Le petit cunéi-forme a presque sa
forme
habituelle; enfin les métatarsiens ne sont que lé
e, dans le varus, c'est principale-ment aux dépens de l'astragale qui
forme
la charnière du coude-pied et con-sécutivement du
ntation, que s'effectue le renversement du pied par les changemens de
formes
de ces deux os et les modifications de leurs rapp
aule droite. FIGURE 2. La même jeune fille quatre ans plus tard. La
forme
et la dimension du tronc s'expliquent et par l'ef
ate terminée par un fer de lance et fixée sur un manche dont le talon
forme
un pas de vis ; (b) une canule éga-lement plate p
, auprès, un robinet qui la ferme hermétiquement. Pour s'adapter à la
forme
et au volume des parties, il y a des trocarts dro
ire du médecin qui l'a soigné, la lame du couteau, très effilée, de
forme
catalane, aurait pénétré dans les chairs, à une
x épaules ne sont plus situées au même niveau. Ces variétés dans la
forme
, ces changements d'aspect des parties symétriqu
on du hanchement dans la représentation de la figure humaine, cette
forme
spéciale de la station est devenue monnaie couran
oin de se contenter d'une description plus ou moins pittoresque des
formes
extérieures du monstre, de sa morphologie génér
eures remplacées par deux masses charnues avec appendice non digiti
forme
; extrémités supérieures représentées par deux mo
plate qui occupe sa place habituelle; l'ensemble, garni de muscles,
forme
de chaque côté un moignon sessile légèrement ac
n permettait de prendre pour un os ; puis un second segment ossi-
forme
, allongé, à grosse extrémité supérieure, à diap
es seulement à droite, de sorte que cette partie du membre prend la
forme
d'un cône dont la base'serait le pli du coude e
e siège d'une régénération partielle, et que des appendices digiti-
formes
se sont produits sur son extrémité libre. M. le p
mate ou un accumulateur (Fig.1) ; l'axe du moteur porte une came de
forme
spéciale destinée a soulever à chaque tour un b
mer- cure : il est coupé chaque fois qu'elle en sort. Grâce à la
forme
de la came, l'im- mersion dans le mercure dure
nsi à préciser, sur le vivant, le siège, le nombre, le volume et la
forme
des segments osseux, avec une exactitude que les
uses qui appartiennent en propre à chacun de ces os. A droite, la
forme
de la phalangine se rapproche davantage de la nor
ormation du cinquième métacarpien est toute différente. L'os est de
forme
irrégulière, incurvé, concave du côté du quatri
le cinquième métacarpien semble constitué par deux métacarpiens de
forme
régulière et de longueur presque égale, intimem
re. - Le métatarsien est volumineux dans toute son étendue, mais de
forme
régulière ; il ne paraît pas avoir été formé pa
date. N'a-t-on pas retrouvé à Pompeï (3) des ventouses en bronze de
forme
identique à celles dont nous nous servons encor
ais corps, et lorsque vous verrez le tout presque cuit -et comme en
forme
d'onguent fort, ce qui ne sera pas volontiers e
l'officine du musée de Cassel, l'intérieur que nous montre Teniers
forme
un ensemble plus que suffisant pour donner une
conformes à la tradition. Bocaux de pharmacie, fioles de verre aux
formes
singulières, soigneusement bouchées de parche-
struments dont l'application est loin d'être indolore, mais dont la
forme
et l'emploi se sont perpétués, à quelques variant
e cas présent, tout cet attirail professionnel n'est là que pour la
forme
. Il s'agit simplement de remplacer un vieil emp
En même temps que ce groupe, pénètre dans la salle la Mort, sous la
forme
d'un squelette qui sonne de la trompette. En ha
trée. En mai 1895, les crises réapparurent, toujours sous les mêmes
formes
, mais deplusen plus nombreuses. M... interrompi
consistance est molle, presque diffluente, sa couleur rougeâtre; sa
forme
simule assez fidèlement celle d'un bait posé sur
a totalité du bord supérieur de l'hémisphère, le nouveau tissu a la
forme
d'une bande d'un centimètre d'épaisseur environ
ndiquée une néoforma- lion osseuse à contour très régulier ayant la
forme
d'un grand segment d'élip- soide (1). Sur le
bord interne du cubitus, il existe une autre formation osseuse, de
forme
pyramidale, dont le sommet dirigé transversalemen
bitus. . Cette liyperoslose osseuse, a laquelle on peut assigner la
forme
d'un fuseau irrégulier, n'est autre chose, a mo
e la dispa- rition des parties molles.- La main, réduite'ainsi'a sa
forme
squelettique, est comme resserrée à sa racine.
ongés, sont nettement striés longitudinalemenl. , .' L'aspect, la
forme
et l'altitude de la main droite sont tout dil1'Úr
dons s'accuse fortement. Les espaces interosseux sont profonds. La
forme
de la main se rapproche beaucoup plus de celle
existent entre les têtes de méta- carpiens sont remplies et la peau
forme
des espèces de ponts. La couleur de la peau de
plutôt rouges. Les doigts ne sont pas moins caractéristiques. Leur
forme
est modifiée; ils sont fusiformes chez tous ces m
eant principalement dans le tissu sous-cutané et grâce auquel il se
forme
des éléments nouveaux de tissu conjonctif qui rem
e blanc, oedème bleu des hystériques. Mais l'attitude et surtout la
forme
delà main dans l'oedème hystérique sont toutes di
us. Dans la région déformée, le radius est considérablement élargi et
forme
une saillie considérable sur la face postérieur
humérus gauche très dé- formé est incurvé dans son 1/3 inférieur et
forme
une saillie très appréciable à la vue et au tou
constate au niveau des parenchymes une tuberculose disséminée sous
forme
d'ilots broncho-pneumoniclues, surtout marquée au
accentuées que son congénère. Le péroné gaucho déformé prend une
forme
de massue (déformation clavi- forme). L'hypertr
péroné gaucho déformé prend une forme de massue (déformation clavi-
forme
). L'hypertrophie commence à 15 centimètres de la
mesure 18 centi- mètres au lieu de 13 cm. 1/2 pour l'os opposé. La
forme
générale de l'extré- mité est conservée. A ne c
mesure qu'elle s'approche de la périphérie de la moelle et prend la
forme
d'une bouteille il goulot allongé. . Suivant le
ornes antérieures semblent présenter leur nombre, leur volume, leur
forme
, ainsi que leurs prolongements normaux. Dans la
diquons enfin la régularité de l'hypertrophie qui ne modifie pas la
forme
générale de l'os. (1) Démange, Étude clinique e
térêt que d'émotion. Sa main droite plonge dans une petite boîte de
forme
assez singulière, qui ren- ferme peut-être des
écemment démontré (1). On saura à l'occasion l'associer, sous cette
forme
particulière, au traite- ment principal de l'af
pareil, qui consiste en une sangle à quatre branches af- fectant la
forme
d'un X. Ses deux branches supérieures sont munies
up de cellules, les éléments chromatiques très den- ses.'changés de
forme
et de volume, sont accumulés autour du noyau qui
de la corne antérieure, la substance chromatique est disposée sous
forme
de grumeaux qui s'étalent à la périphérie de la
la périphérie en s'insérant il une condensation protoplasmique qui
forme
la membrane cellulaire. La ques- tion de savoir
lules mesurent de 37 à 40 N sur 24 à 25 ? elles ont con- s81vé'leur
forme
, multipolaire (Fig, 3, planche XIX, D), leur noja
soit distribués sans ordre. Ces filaments, bien arrêtés dans leur
forme
,pourraient donner à première vue l'impression d
45°. De sorte que la main placée sur une table par sa face palmaire
forme
comme un pont et ne repose sur le plan que par
presque entièrement quand ils sont tout à fait fléchis. Elle est de
forme
arrondie ; sa partie la plus saillante se trouve
culation des doigts avec le métacarpe qui lui sert de soutien. Elle
forme
là une espèce de pont. Les extrémités se terminen
par- tie supérieure. « La peau située dans la direction du doigt
forme
des plicatures en arc de cercle, dont la concav
nquante livres, pou- vaient être appendus à l'espèce de crochet que
forme
le doigt, sans que pour cela son angle de flexi
nte pour qu'elle ne m'invite pas à y insis- ter. C'est seulement la
forme
fibreuse que j'aurai en vue, puisque les ar- ti
ent et correspondent à l'extrémité antérieure du sillon dorsal, où il
forme
une sorte d'ombilic dorsal antérieur, non sans
ogue à celui de la gliose péri-épendymaire. Il arrive même qu'il se
forme
dans les cordons postérieurs de véritables cavité
ent les segments sous-jacents, bras, avant-bras et main. Dans cette
forme
scapulo-humérale les muscles de la .main conser
indistinctement, ies muscles des membres supérieurs. Dans ces trois
formes
ascendante, descendante et diffuse, l'atrophie
manière constante; mais comme elle ne s'observe pas dans les autres
formes
d'atrophie musculaire, elle n'en fournit pas moin
de ces deux derniers caractères. Et tout d'abord, est-ce que cette
forme
spé- ciale d'atrophie musculaire que réalise la
u'on rencontre chez les malades, donnent à la main un aspect et une
forme
toute spéciale, ce qui permet de la désigner so
d qui serait posé sur l'épaule gauche. C'est là un spasme du cou, à
forme
spéciale, dont l'analyse clinique est déjà inté
e, ou d'hyperkinésie de l'accessoire de Willis. Il en dé- crit deux
formes
: une forme tonique plus fréquente, et une forme
kinésie de l'accessoire de Willis. Il en dé- crit deux formes : une
forme
tonique plus fréquente, et une forme clonique p
en dé- crit deux formes : une forme tonique plus fréquente, et une
forme
clonique plus rare à laquelle paraît appartenir
rte et comme hébété dans l'intervalle des spasmes, tout, en un mot,
forme
un tableau caractéristique qu'il n'est guère po
c. Comme le dit Raymond (4), cette maladie est caractérisée dans sa
forme
bénigne par des tics propre- ment dits (grimace
ments brusques et involontaires des membres), « tandis que, dans la
forme
grave, ces mouvements involon- taires s'accompa
e non seulement ne présente aucun de ces symptômes essentiels de la
forme
grave, mais il ne présente pas même la superposit
sition ou la succession de divers tics nécessaire à caractériser la
forme
bénigne de la névrose tiqueuse. Donc, notre h
che des tics qui est bien distincte de la branche des myoclonies et
forme
une autre subdivision spéciale des cho- rées. 1
indépendants les uns par rapport aux autres, n'agissant que par une
forme
de synergie spéciale et dans un but fonc- tionn
répété de la fonction, de la profession n'est pas indifférent à la
forme
du tic. rc 1 Il est en effet curieux que notre
he. Ceci n'est pas fortuit : ce colporteur réalise son tic sous une
forme
dif- férente de celle que réaliserait une danse
i la profession antérieure de colporteur ne sert à expliquer que la
forme
du tic. Il faut la collaboration d'autres cause
après, comme cela a eu lieu. Donc, la profession n'explique que la
forme
du tic; il faut qu'il y ait d'autres causes.
, de Quervain cite des faits à pathogénie analogue : la cause de la
forme
du torticolis spasmodique semble bien être un a
la tète et cette irritation s'est manifestée dans la suite sous la
forme
d'un tic rotatoire ». 238 GRASSET De Quervain
morphologique caractérisé par la con- servation chez l'adulte, des
formes
extérieures de l'enfance, et la non- apparition
épaisses, les grosses joues rondes, tout simulait le myxoedème. Les
formes
extérieures n'étaient pas même celles d'un adoles
fan- tilisme myxoedémateux, que M. Combe conserve ma désignation de
forme
fruste du myxoedème de, l'enfant : « Si, dit M.
aurons affaire' cette variété du myxoedème que nous appellerons la
forme
fruste du myxoedème de l'enfant » (1). Voilà do
lai il y a quatre ans une variété d'infantilisme équiva- lant à une
forme
fruste du myxoedème, je m'efforçai de démontrer q
Henry Meiee lui convient de tout point : c'est la conservation des
formes
extérieures de l'enfance et la non- apparition
oici le passage : « Le myxoedème spontané ne présente- t-il pas des
formes
atténuées, compatibles avec une longue vie, avec
ence, le lendemain du jour où je signalais l'infantilisme comme une
forme
du myxoedème, mon collègue M. Gley communiquait
abre sur le thorax, sur le visage ; cheveux longs, fins et soyeux ;
forme
particulière de l'oeil, des paupières, cils longs
ienne. L'infantilisme de Lasègue, de Lorain et de Faneau de la Cour
forme
un groupe beaucoup moins homogène. Il se compos
vice originel de nutrition, soit un défaut de l'hématose, fixent la
forme
définitive du sujet comme en un moule de pelit ca
igmentées d'un brun fauve, sans re- lief, légèrement brillantes, de
forme
allongée dans l'axe général du naevus, en bande
urs, on a signalé la coexistence chez un même individu de plusieurs
formes
histologiques, combinées (observ. I et VIII) ou i
NI'.VI DANS LEURS RAPPORTS AVEC LES TERRITOIRES NERVEUX 273 dont la
forme
se serait retrouvée plus ou moins vaguement repor
dian, est constitué par deux parties symétriques, s'élargisssant en
forme
d'aile de papillon de chaque côté de la colonne
ractérisée par un écar- tement du pavillon et prend quelquefois une
forme
de conque. La ressem- blance avec une oreille d
ie artistique et historique de Vienne (1) et représentant, sous une
forme
burlesque, une Tentation de Saint Antoine, se t
ntiel est de remarquer' qu'elles diffèrent notablement, et par leur
forme
et par leur point d'adhérence, des figurations de
. La présence de ces excroissances verruqueuses sur le visage, leur
forme
et leur répartition, nous ont fait songer à une
à gauche, elle revêt assez bien les apparences d'un névrome plexi-
forme
; elle semble une glande mammaire hors d'usage qui
une tumeur semblable. Aurait-on donc affaire à deux névromes plexi
formes
symétriques ? « Cette symétrie est un peu décon
observés. Cependant rien n'est impossible à ce genre de tumeurs de
forme
et de siège irréguliers et bizarres. 1 « En déf
assez il celle de notre pseudo-goîtreux, en particulier quant à la
forme
du nez et des lèvres. De plus, elle est cribl
lbe, pour se terminer dans la corne antérieure du côté opposé, sous
forme
d'une arborisation terminale qui enlace une g
s peu élevé, au-dessus de celui où elle pénètre dans la moelle sous
forme
d'une racine postérieure. L'anatomie nous ensei
nt voici les observations. OBS. I. Paralysie spinale infantile sous
forme
paraplégique remontant it l'cïe de deux ans. Po
uvements d'athétose, dont ils n'ont d'ailleurs pas la lenteur ni la
forme
arrondie, sont en rap- port avec des contractio
ne observation, des convulsions dans l'autre. La paralysie affecte la
forme
paraplégique chez le premier malade. Elle a att
, un développement considérable des poils sur la face (5). Dans les
formes
graves de la mélancolie on observe quelquefois
spé- ciaux et surtout une analgésie bien marquée. Il présente des
formes
très variées de troubles paroxystiques : 1° des
de substance achromatique. La substance chromatique, ou chromatine,
forme
dans le corps des cellu- les et dans les prolon
a cellule est grande, plus le noyau s'avance vers la périphérie; il
forme
quelquefois sur la périphérie de la cellule une
aient principalement en la désagrégation dans l'une ou dans l'autre
forme
des corpuscules chromati- ques qui, dans certai
ig. 1. , 364 HENRY MEIGE 'pattes est assez fantaisiste, mais leur
forme
générale n'est pas trop mal indiquée. L'image a
évrites, des myélites, de l'hémi- plégie. Il n'y a pas non plus une
forme
d'arthropathie spéciale à chaque lésion médulla
omyélie, les lésions spinales ne sont pas exclusives) que les trois
formes
d'arthropathie suivantes : 1° une forme qui se te
exclusives) que les trois formes d'arthropathie suivantes : 1° une
forme
qui se termine par résolution ou par suppuratio
lué à l'instar du rhumatisme articulaire aigu avec mobilité; 2° une
forme
qui, après avoir débuté comme la précédente d'une
avoir débuté comme la précédente d'une façon aiguë, s'éternise sous
forme
d'hydarthrose avec plus ou moins d'empâtement de
ydarthrose avec plus ou moins d'empâtement de la synoviale ; 3° une
forme
qui débutant d'une façon rapide ou insidieuse s
par ankylose fibreuse ou osseuse. Ce qui caractérise chacune de ces
formes
c'est surtout leurs terminaisons par résolution,
nique, par ankylose. Nous avons d'abord à démontrer que les trois .
formes
ne correspondent pas chacune à une lésion spécial
ne correspondent pas chacune à une lésion spéciale de la moelle. 1°
Forme
aiguë. - J. K. Mitchell relate deux cas d'arthrop
ucoup plus atteints que les supérieurs par la paralysie. De cette
forme
aiguë une variété spéciale quant à la localisatio
u contraire l'arthropathie nerveuse pure était anesthésique (2). 2°
Forme
subaiguë (se terminant par arthrite chronique san
rd, puis aux articulations tibio-tarsiennes surtout la gauche, sous
forme
d'arthrites douloureuses : il y eut toujours un
il ne peut être question d'arthro- pathie nerveuse vraie (1). 3°
Forme
chronique (se terminant par ankylose). W.Mitchell
ONDE Inutile de dire qu'il n'y a aucun rapport entre la cause et la
forme
clinique. Les formes de l'arthropathie conséc
u'il n'y a aucun rapport entre la cause et la forme clinique. Les
formes
de l'arthropathie consécutive à une névrite sont
opathies médullaires exposés plus haut. Nous rangerons : 1° dans la
forme
aiguë l'observation de Hamilton, l'observation
bservation de Hamilton, l'observation 8 de W. Mitchell ; 2° dans la
forme
subaiguë : les observa- tions 11, 39 et 51 de W
aiguë : les observa- tions 11, 39 et 51 de W. Mitchell ; 3° dans la
forme
chronique les obser- vations 31, 33, 35, 49 de
e l'on puisse trouver tous les intermédiaires entre ces différentes
formes
. Il peut arriver qu'une seule articulation soit
ropathies l'examen clinique ne peut les dif- férencier des diverses
formes
du rhumatisme. Le fait suivant montre combien i
eurs et parfois d'au- tres troubles trophiques, tout comme dans les
formes
spinales et névrili- ques. La douleur est exqui
'autopsie ne révèle que des lésions de synovite. Considérer cette
forme
comme toujours infectieuse- serait sans doute e
ment ; aussi n'apparaît-elle qu'assez tardivement contrairement à la
forme
aiguë. Elle atteint particulièrement la hanche
ement la hanche et surtout l'épaule, cela se conçoit, tandis que la
forme
aiguë frappe plutôt le poignet, le coude, la ma
pied. Ainsi l'autopsie est encore ici complète avec les différentes
formes
de rhumatismes. D. Rhumatisme chronique. '
;p.4t2.1LssnLOxco reconnaît au rhumatisme articulaire chronique les
formes
suivantes : 1° arthropathies infectieuses; 2° a
nue (Manuel de médecine, Dsuove et Achard), M. Massalongo admet une
forme
mixte : cela nous permet de penser que les formes
ssalongo admet une forme mixte : cela nous permet de penser que les
formes
infectieuse, dyscrasique et nerveuse représente
élément étiologique prédominant mais non ex- clusif. L'existence de
formes
éliologiques et même cliniques n'infirme pas enco
suite que l'hypertrophie porte surtout sur la phalangette élargie en
forme
de spatule et va augmentant de la racine du doi
R E. FEINDEL. Parmi les tics, ces maladies d'habitude, il est une
forme
remarquable par la constance de son aspect exté
ez rare depuis que l'on a cessé de confondre avec elle les diverses
formes
d'amyotrophies actuellement bien différenciées. M
les rappeler en cette occasion : 1° Dans tous les pays où la lèpre
forme
des foyers ou prend une grande extension, l'iso
dire qu'ils n'avaient que l'embarras du choix entre les différentes
formes
symptomatiques affectées par la lèpre. Aussi, les
artistes anciens en sera facilitée. On a décrit de la Lèpre deux
formes
principales : 1° la Lèpre tuberculeuse ou phyrn
'accidents coexistent fréquemment sur le même sujet, constituant la
forme
mixte de la Lèpre, la plus commune. L'Art a rep
s exemples de la Lèpre tuberculeuse, de la Lèpre nerveuse, et de la
forme
mixte de cette ma- ladie. Nous ne nous attach
ar des plaques érythé- mateuses, d'un rouge plus ou moins vif et de
forme
plus ou moins arron- die, planes, ou peu sailla
ambe, fléchis- seurs du pied et péroniers, créant des pieds-bots de
formes
variées. Les muscles de la cuisse, les fessiers
doigt, d'une main ou d'un pied tout entier. Puis, une cicatrice se
forme
et le membre tronqué reste réduit à l'état de m
membre tronqué reste réduit à l'état de moignon. On a donné à cette
forme
redoutable le nom significatif de Lèpre mutilan
fournir que des renseignements très hypothétiques. La couleur et la
forme
en sont parfois très vagues, soit que le peintre
nificatifs encore sont les documents figurés où la maladie revêt la
forme
sclérodermique, réduisant les patients à l'état d
ractures dans le sens de la flexion et les doigts sont recourbés en
formes
de griffe. (1) Il n'est pas sans intérêt de rem
n haut, de part et d'autre, Dieu le Père et le Saint-Es- prit, sous
forme
d'une colombe, également entourés d'anges. En bas
tractions ten- dineuses consécutives aux amyotrophies lépreuses. La
forme
du cinquième doigt recourbé en crocheta été évi
ur les oeuvres d'art. « C'est bel et bien un lépreux, atteint d'une
forme
mixte de la maladie. Sur la face, principalemen
à la lèpre, et qui compte au nombre des manifestations de certaines
formes
de cette terrible maladie. » On peut se rendre
ne diffèrent pas de celles que l'on peut voir de nos jours dans les
formes
un peu sévères de la (1) Voy. Difformes et Mal.
ne représentent-elles pas des syphilides tuber- culeuses avec leur
forme
conique et leur teinte violacée ? ..... « On co
réole rouge vineux », ces grosses pustules tuberculeuses « avec leur
forme
conique et leur teinte violacée » se retrouvent
ces, largement ulcérée. Le pied énorme, tuméfié à l'excès, n'a plus
forme
humaine. La cuisse au-dessus du genou, est en-
ble vérité l'aspect éléphantiasique que l'on observe dans certaines
formes
de Lèpre proliférante. A cet égard, ce document
e processus d'atrophie et de sclérose. On pourrait penser à quelque
forme
de sclérodermie généralisée, parti- LA LÈPRE DA
an Orley. Et même, la coloration brune de la peau signalée dans les
formes
sclérosantes de la Lè- pre est rendue avec une
tions ne sont jamais à négliger. Cependant,- à ne considérer que la
forme
et la disposition des lésions du visage, nous c
té est un trait qui différencie les affections du groupe des diverses
formes
de myélites que nous avons étudiées jusqu'ici et
aves. Enfin : l'exaltation des propriétés réflexes, les différentes
formes
de Vépilepsie spinale, qui se voient dans certain
p. 21. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX PARALYSIE INFANTILE
forme
généralisée. s* 1 REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HO
PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche III. PARALYSIE INFANTILE
forme
généralisée. N° 2 M. Duchenne (de Boulogne) a b
la paralysie, atteignant seule-ment les membres inférieurs, revêt la
forme
paraplégique. (Yoy. plaische I.) En résumé, on
he, dont la phalangette est inclinée latéralement sur la phalange, et
forme
avec elle un angle assez prononcé. Les doigts son
iose, déjà annoncée, est très-accusée à gauche. La colonne vertébrale
forme
un coude, depuis la partie moyenne de la région
paraît luxé sur le fémur. En dehors et en arrière, le condyle interne
forme
une saillie très-accusée en avant et en dedans. D
I). Le malade marcherait sur l'extrémité des orteils. La face dorsale
forme
une convexité en avant. Quoique bien fortement at
inution sen-sible de l'appétit. Un peu plus tard se déclarèrent, sous
forme
d'ac-cès, des symptômes plus accusés : douleurs c
, apparaissent en grand nombre les globules nains ou microcytes. — La
forme
de ces microcytes est par-faitement sphérique; le
on-venir qu'il y a là, aussi bien dans l'évolution du mal que dans la
forme
même des symptômes, quelque chose d'étrange qu'il
phéricité parfaite, la persistance remarquable de l'intégrité de leur
forme
, leur résistance aux réactifs, leur isolement con
ar les reins; ceux-ci, néanmoins, l'élimineront en grande partie sous
forme
à'urophéine, mais une autre partie ne pourra aban
'effet du sulfate de quinine et de l'ipéca fut de la convertir en une
forme
rémittente, d'amener d'abord des intermissions, p
ans la pratique, des élé-ments fournis par le cyrtomètre, qui sont la
forme
exacte de la courbe tlioracique, les divers diamè
r plus dans la paralysie spinale infantile que dans toutes les autres
formes
de paralysie des membres3. C'est peut-être le lie
ue par excellence, et qui, dans l'immense ma-jorité des cas, revêt la
forme
varus-equin (Planche 1). La laxité des ligaments
, ainsi que l'avait parfaitement reconnu M. Laborde3, le volume et la
forme
des masses musculaires peuvent être jusqu'à un ce
loboma est presque transversal, disposition fort rare, de môme que la
forme
du coloboma. Ce dernier, en effet, forme vers la
on fort rare, de môme que la forme du coloboma. Ce dernier, en effet,
forme
vers la macula un angle très-aigu et se porte ver
sprit est porté à transformer toutes ses sensations, à les revêtir de
formes
palpables, tangibles, aies matérialiser, pour ain
'excitation cérébrale se produit également, mais elle peut revêtir la
forme
du délire furieux (Mongeri, Grimaux) ; ce délire
ilieu de la hauteur et un peu à gauche de la ligne dorsale. Elle a la
forme
d'une petite poire pen-dant par sa queue est légè
r agent pourrait être plus exagéré encore, mais il n'aurait pas cette
forme
. Concluons donc que notre malade est affecté d'
Signalons encore la présence singulière d'une espèce d'échan-crure en
forme
d'ulcération au bord libre des ongles des deux de
du cubital. Avec ces connaissances, il est facile de s'expliquer la
forme
de la griffe. Les travaux de M. Duchenne (de Boul
tincte. Sur une coupe de nerf normal, les faisceaux primitifs ont une
forme
arrondie; ici, l'épaississement du tissu con-jonc
chisch pour 60 grammes de véhicule. M. Saussure administra sous cette
forme
et sans inconvénient jusqu'à 15 grammes de tein-t
e aussi complète que possible de l'intoxication urineuse. Ces* ce qui
forme
i'introduclion de l'ouvrage que nous avons à anal
struments flexibles. Les premières ont forcément une direction et une
forme
fixes ; les seconds ont, au contraire, une direct
me fixes ; les seconds ont, au contraire, une direction mobile et une
forme
varia-ble; delà résultent des manœuvres spéciales
auxquelles d'abord doit s'habituer le chirurgien, quelle que soit la
forme
de la sonde; c'est: 1° la sensation de résistance
lus considérable, une moyenne et une inférieure. La partie supérieure
forme
un trou presque régulièrement arrondi, mesurant 2
que dans son pourtour en haut et de chaque côté. Le tissu osseux qui
forme
les bords de l'orifice est mince, régulier, et ne
si dire qu'un accident. « Pendant la vie intra-utérine, dit-il, il se
forme
une hernie des méninges. L'ouverture herniaire es
X... reprend bientôt toutes ses habitudes. La pierre (fig. 3) a la
forme
générale d'un galet; les couches superficielles q
nviron au-dessous de la clavicule gauche, une saillie transversale de
forme
irrégulière, avec un gros renflement à chacune de
ée des parties molles qui l'entourent, la tumeur se pré-sente sous la
forme
d'une masse jaunâtre, irrégulière, hérissée de sa
la mobilité observée pendant la vie vers son extrémité externe. La
forme
de la masse morbide est trop irrégulière pour qu'
la première fois. Il rejeta l'idée d'une cirrhose et, en raison de la
forme
particulière du ventre, il pensa qu'on avait à fa
atologie se réduisait à ceci : V 1° ascite, donnant au ventre une
forme
particulière, rappelant l'as-pect du ventre d'une
rès-louable peuvent être altérées à plai-sir, afin de leur donner une
forme
commerciale et un aspect qui les rendent plus att
ye éditeur. Cette brochure est destinée à prouver l'existence d'une
forme
de la fièvre intermittente qui est peu connue des
t là le cas auquel se rap- porte l'étude de M. Armaingaud, prend la
forme
d'une pneumonie : c'est une vraie fièvre larvée.
osseuse disséminés çà et là. Ces îlots affectent le plus souvent une
forme
irrégulière ; quelques-uns sont arrondis et s'enf
muscles de la partie antérieure de la cuisse, mais ont conservé leur
forme
fasciculée. Quant à leurs insertions, elles sefon
examine en premier lieu l'extrémité supérieure de la tumeur qui, sous
forme
d'un bouchon arrondi, faisait saillie dans la cav
us ces nodules cartilagineux, les éléments se sont modifiés dans leur
forme
. Et, d'arrondis ou d'ovalaires, ils tendent à dev
, dans certains de ces nodules, commencement de calcification sous la
forme
de granulations cal-caires se déposant à la périp
our nous en trouvons deux beaux exemples. Dans l'un « le testicule ne
forme
qu'une masse homogène, ovoïde, avec l'épididyme,
rivant un large canal central rempli de moelle jaune. L'os a pris une
forme
arrondie par suite de la disparition de toutes le
isseur. Elle manque à l'extrémité an-térieure de l'angle osseux et ne
forme
nulle part de ligament distinct. 2° Les surface
de suc huileux. L'articulation tibio-tarsienne est modifiée dans sa
forme
; la mal-léole interne est portée en arrière immé
otre pensée. On rencontre la rate chez tous les vertébrés ; mais sa
forme
, son volume, sa consistance, ses connexions varie
gnie se sont ralliés; ce nous paraît être une entérite épizootique de
forme
spéciale. Quoi qu'il en soit, dans cette affectio
on prend plus spécialement le nom de sang-de-rate. Quelle que soit la
forme
que rêvet le charbon (charbon essentiel, fièvre c
uer que l'ischurie hystérique est un phénomène rare, du moins sous sa
forme
très-accentuée ; car il est possible, nous l'avon
ns, en 1870, je vous ai présenté cette malade comme un spécimen de la
forme
hémiplégique de la contracture hystérique1. Dan
n aspect normal. L'axe de la vulve était fortement dévié à gauche. La
forme
de la masse morbide était celle d'une poire, dont
âle, abattue; ces accidents sont attribués à la chloroformisation. La
forme
de la plaie est à peu près exactement celle d'une
udés sur la ligne médiane par leur extrémité inférieure présentant la
forme
d'un fer à cheval à concavité supé-rieure. (Voy.
xplique la position du pied, qui est tout à fait déjeté en de-hors et
forme
avec la jambe un angle presque droit, la face pla
urellement en deux portions distinctes par l'in-sertion du vagin, qui
forme
une véritable rigole circulaire autour du museau
es adjacents reprirent leur position naturelle dans le bassin. III.
Formes
et dimensions du col hypertrophié. — Les différen
n. III. Formes et dimensions du col hypertrophié. — Les différentes
formes
que peut affecter le col de l'utérus hypertrophié
extrémité inférieure qu'au point où le vagin s'insère sur lui. Cette
forme
se rencontre chez les femmes qui ont eu et chez c
t conique, allongé et son orifice est plutôt rétréci qu'élargi. Celte
forme
appartient aux femmes qui n'ont pas eu d'enfants.
sse quelquefois. Quatrième variété. Le caractère essentiel de cette
forme
est le développement plus considérable d'une seul
et la formation d'un caillot obtu-rateur favorisée. Enfin, grâce à la
forme
particulière, aplatie, du ballon, le déplacement
formation, on en trouve quelquefois de semblables dans la rate. Cette
forme
de pneumonie, connue dans le langage vétérinaire
qu'elles peuvent en décupler la masse et en altérer complète-ment la
forme
. On a vu des rates infectées de tumeurs mélanique
ris, 1872, page 57. éruptions variées que l'on peut réduire à trois
formes
principales : Io une forme érythémateuse ; 2° une
ons variées que l'on peut réduire à trois formes principales : Io une
forme
érythémateuse ; 2° une forme populeuse; 5° une fo
uire à trois formes principales : Io une forme érythémateuse ; 2° une
forme
populeuse; 5° une forme pustuleuse. » (Leç. the'o
cipales : Io une forme érythémateuse ; 2° une forme populeuse; 5° une
forme
pustuleuse. » (Leç. the'or. et clin, sur les affe
nées artifi-cielles,]). 201). Il faudrait donc admeltre une quatrième
forme
, la forme huileuse. BIBLIOGRAPHIE Communicati
i-cielles,]). 201). Il faudrait donc admeltre une quatrième forme, la
forme
huileuse. BIBLIOGRAPHIE Communication de la c
ue celle-ci est placée sur le côté gauche, la tumeur apparaît sous la
forme
d'un énorme rein qui s'insérerait par un large hi
ion la plus externe, elle fait saillie en dehors de la fesse, sous la
forme
d'une masse épaisse, charnue, convexe et arrondie
e. Ces lobules ont peu de résistance, quoique l'ensemble de la tumeur
forme
une masse assez dure. Nulle part on ne sent de fl
nt est interrompu, il se pro-duit un changement moléculaire, et il se
forme
dans un circuit métallique un courant induit qui
, plus la cessation d'un cou-rant est brusque, plus le courant qui se
forme
à ce moment est fort. On doit se représenter les
nterruptions rares, il a ajouté un métronome. Le courant induit ne se
forme
qu'à chaque double os-cillation. On peut ainsi av
. Villard a publié sur le Cancer primitif des voies biliaires, et qui
forme
une brochure de cent pages. Cette affection très-
graphie. Le cancer peut revêtir dans les voies biliaires les quatre
formes
qu'on lui connaît : 1° l'encéphaloïde, qui est la
s les quatre formes qu'on lui connaît : 1° l'encéphaloïde, qui est la
forme
la plus com-mune; 2° la squirrheuse ; 3° la varié
des conclusions qui ter-minent cette étude : «.....Quelle que soit la
forme
sous laquelle se présente la dégénérescence, l'
le courant cesse, on con-state avec un galvanomètre sensible qu'il se
forme
un courant en sens inverse du courant primitif, e
r-cuit, après avoir préalablement cessé d'éleclriser le membre. Il se
forme
donc dans les tissus, au moment de la rupture du
d, Matteucci en talie et M. Becquerel en France démontraient qu'il se
forme
des courants électriques dans toute espèce de t
ue ce fait, qui à lui seul est déjà très-importanl, à savoir qu'il se
forme
partout et dans toute espèce de substance organiq
es modernes ; effet mécanique que l'on ne peut rendre ma-nifeste sous
forme
d'électricité que dans certaines conditions parti
, l'électricité subit une série de métamorphoses et apparaît avec des
formes
et des propriétés différentes. De même que la cha
uelques globules blancs qui nagent dans le liquide. Telles sont les
formes
spéciales qu'on peut décrire. Il va sans dire que
s sanguins, mais des masses irrégulières dont l'aspect physique et la
forme
rappelait très-bien l'aspect des cellules épithél
ans la cavité vaginale qu'elle remplit, cette tumeur est allongée, de
forme
conoïde à base supérieure. Si, avec le doigt, on
Après plusieurs chapitres consacrés à l'historique, la division, les
formes
, les variétés de la maladie, chapitres dans lesqu
sité que ces accidents convulsifs se distinguent, c'est encore par la
forme
qu'ils revêtent, et, ce qui frappe le plus l'obse
its plus ou moins pro-noncés qui rappellent ïépilepsie. De fait, la
forme
convulsivc, qui s'observe chez toutes ces femmes,
ous le nom dliystéro-épilepsie, et, remarquez-le bien, c'est la seule
forme
qu'on rencontre chez elles. Toutes ces femmes ne
rie se montre combinée avec l'épilepsie, de ma-nière à constituer une
forme
mixte, une sorte d'hybride composé mi-partie d'hy
es de l'hystérie convul-sive ? L'épilepsie ne serait là que dans la
forme
extérieure; elle ne se-rait pas dans le fond des
emiers, convien-drait à désigner ces attaques mixtes. La convulsion à
forme
épilep- tique y apparaîtrait comme elle apparaî
emblent quelquefois beaucoup à l'épilepsie. Aussi, en a-t-on fait une
forme
particulière de l'hystérie, sous le nom d'hystéri
tion, dit que cette espèce d'hystérie ci attaques mixtes n'est qu'une
forme
particulière de l'hystérie; ce n'est que de l'hys
les à l'individu affecté, sont la source de ces modifications dans la
forme
des attaques. La nature même de l'hys-térie n'en
ures et le rro-nostic qui lui est propre. A l'égard de cette première
forme
de l'hystéro-épilepsie, tout le monde est d'accor
le mélange s'est effectué et, dans les attaques ultérieures, les deux
formes
convul-sives se montreront toujours combinées, bi
mbres. Ne paraît-il pas d'après cela très-vraisem-blable déjà, que la
forme
dite épileptique, n'est à proprement par-ler, que
, car il y a là matière à une ¦importante distinction, que dans cette
forme
de l'hystéro-épilepsie, l'attaque épileptiforme,
ug-mentation de la contractilité, on ne considère ni l'énergie, ni la
forme
normale de la contraction, mais bien le simple ra
ssement ou le réchauffement d'une partie se pré-sente sous une double
forme
: d'abord un phénomène physique, et, à ce titre,
rate et montré qu'elles sont relatives à l'existence, au nombre, à la
forme
, au vo-lume et à la position de l'organe, l'auteu
très-manifes-tement les inflexions et les dilatations de l'artère qui
forme
cette partie de la tumeur totale. Le pavillon d
dans le lac vasculaire. La tumeur pâlit rapidement, se durcit, il se
forme
une eschare superficielle le lendemain. Œdème del
rants désorganise les tissus en contact avec les rhéophores, et il se
forme
des eschares qui mettent des mois à guérir et qui
emblable sépare également la muqueuse des parties sous-jacentes, sous
forme
d'une mince couche grisâtre. Ce tissu spongieux
ent du tremblement mercuriel. G. Peltier. BIBLIOGRAPHIE Sur une
forme
d'arthropathie, par le docteur Collltte, ancien i
res musculaires primitives. Quant au tissu cellulaire sous-cutané, il
forme
une couche plus épaisse, que M. Gubler mesure ave
a face interne de la côte faisant saillie dans la cavité pleurale, de
forme
globuleuse, du volume d'une noisette, nettement d
ales se rétablirent complètement, et les matières fécales pri-rent la
forme
de gros boudins cylindriques1. 1 Rapprochons de
pitre suivant qui aura trait à l'examen histologique des diffé-rentes
formes
d'hypertrophies. Nous avons aussi négligé à des
1° par le vagin sur une étendue de 3 cen-timètres, à l'endroit où se
forme
son cul-de-sac postérieur; 2° par la face postéri
nférieurement 9 centimètres 1/2, su-périeurement 15 centimètres. — La
forme
du col est donc en apparence conique, mais il ne
ndus de la Société de chirurgie, 1872; Revue, p. 178, pl. XVI. deux
formes
bien tranchées : tantôt elle est due à la compres
fondes qui se distinguent par certains caractères spéciaux des autres
formes
de la sclérose médullaire: réduction considérable
uisse disparaître sans qu'il se pro luise aucune modification dans la
forme
de la gibbosité. Pour compléter cette élude, l'
thropathies, zona, eschare sacrée, etc.; 6° Variétés de siège et de
forme
. Le mal de Pott cervical est surtout intéressant
n et delà déglutition, la paralysie qu'elle amène peut présenter deux
formes
spéciales : l'hémiplégie liée à la lésion d'une s
r dans les maladies des voies uri-naires. Ce livre est écrit dans les
formes
adoptées en général pour les traités de thérapeut
li-pomes en pareil cas. Lors de notre premier examen, la tumeur, de
forme
ovoïde, avait à peu près le volume du poing ; sa.
alangienne relevée c:i avant, de telle sorte que l'axe de chaque pied
forme
par sa brisure un angle obtus ouvert en dehors et
nt de la colonne vertébrale, entre les deux reins. Ce renflement a la
forme
d'un haricot, à grand diamètre horizontal. De sa
La colonne cer-vicale est formée par une seule vertèbre affectant la
forme
d'un axis sans trou pour le passage de la moelle.
de la moelle. L'axis se compose de deux pièces principales : une qui
forme
le corps et la masse laté-rale gauche, supportant
odontoïde dont le sommet cartilagineux non soudé ; une seconde pièce
forme
la masse latérale droite. La face antérieure de l
trophiques. Nous les étudierons successivement en commençant par la
forme
la plus commune, à savoir : l'hypertrophie résult
ie à la vulve. D'après Yirchow, il existe-rait constamment dans cette
forme
d'hypertrophie un développement considérable des
la mollesse des tissus ; aussi a-t-on, à juste raison, désigné cette
forme
sous la dénomination d'hypertro-phie molle. Cette
lir d'em-blée le diagnostic de cette variété d'hypertrophie d'avec la
forme
fibromateuse, où le tissu utérin est dur et rigid
nmoins, M. Demarquay avait, à cette époque, déjà dis-tingué plusieurs
formes
différentes d'hypertrophies du col utérin, et, no
aire. De ces divers détails il résulte que la connaissance de celte
forme
d'hypertrophie du col a une importance capitale a
in ; l'agent ner-veux, expression de la vie, est pris dans toutes ses
formes
, clans toutes ses nuances ; aussi l'auteur aurait
ges. Ad, Delahaye, libraire-éditeur. grand pas à la question, caria
forme
cristalline est aux yeux de la généralité des chi
m de feu sacré, de feu de Saint-Antoine, peuvent être rapportées à la
forme
gangreneuse de l'ergotisme. C'est depuis cette ép
vec tous les développements nécessaires ; l'auteur nous montre que la
forme
convulsive et la forme gangreneuse appartiennent
ents nécessaires ; l'auteur nous montre que la forme convulsive et la
forme
gangreneuse appartiennent bien toutes deux à l'in
hologie de la rate, par G. Pel-tier (Anal. F. Roque), 519). — Sur une
forme
d'arthropatliie, par Col-lette (Anal. F. Roque),
8. CLASSEMENT DES PHOTOGRAPHIES Planche I. Paralysie infantile (
forme
paraplégique) .... i Planche II. Paralysie infant
tile (forme paraplégique) .... i Planche II. Paralysie infantile (
forme
généralisée, n° 1). . . 5 Planche III. Paralysie
(forme généralisée, n° 1). . . 5 Planche III. Paralysie infantile (
forme
généralisée, n° 2). . . 5 Planche IV. Autoplasf
e par l'action de certains rayons sur la plaque photographique : la
forme
exacte d'une fracture, la détermination de la p
ire et par la méthode de M. Roentgen. Dans la premiè- re épreuve la
forme
extérieure du membre est seule visible et on ne s
longtemps, l'anesthésie dissociée, quand elle se-présentait sous la
forme
de l'analgésie et de la thermo-anesthésie avec co
effet, dans l'hystérie, l'anes- thésie se rencontre tantôt sous la
forme
d'hémi-paralysie du sentiment, nettement circon
ar une ligne mé- diane qui passe par l'axe du sujet, tantôt sous la
forme
de zones circons- crites, segments géométriques
actères de l'anesthésie. Nous ne constatons pas chez cette femme la
forme
d'anesthésie qui est habituelle dans les cas de s
l'anesthésie dissociée. Mais pour si habituelle qu'elle soit, celle
forme
d'anesthésie est loin d'être constante. Ne perdez
e dernière, et à cette occasion, je n'ai pas compté moins de treize
formes
atypiques de syringomyélie ; j'y pour- rais ajo
ituelle dans la syringomyélie, 1'(i)iesihésie se présentant sous la
forme
de la tlrennao-rcaaestlcésie et de l'anal- gési
nombre de faits de syringomyélie pure, où l'anesthésie revêtait la
forme
vulgaire, c'est-à-dire intéressait les trois mode
. Voire que dans les cordons posté- rieurs, elle se présentait sous
forme
d'îlots qui paraissaient être indépen- dants de
ppenheim (2), dans une première publication consacrée à l'étude des
formes
atypiques de la syringomyélie, s'était occupé spé
es atypiques de la syringomyélie, s'était occupé spécialement de la
forme
qui simule avec plus ou moins de ressemblance le
vous ex- pliquer pourquoi l'anesthésie se présente tantôt, sous la
forme
partielle dissociée, tantôt sous la forme total
présente tantôt, sous la forme partielle dissociée, tantôt sous la
forme
totale. J'ai déjà eu l'occasion de vous dire qu
re devient tel, après la sor- tie du liquide que la moelle prend la
forme
et l'aspect d'un ruban étalé ; on ne trouve pas
mplète du droit interne gauche) il apparaît des secousses nystagmi-
formes
. Le mouvement de convergence s'exécute assez bi
laires à un tabes supérieur. On constate assez fréquemment dans ces
formes
l'ab- sence du signe de Westphal et du reste no
pas d'accès de douleurs notamment. 1 La sensibilité sous ses trois
formes
ne présente pas de modifications. Los réflexes
sa partie extérieure de huit petites selles métalliques qui ont la
forme
d'un n grec, peuvent se mouvoir dans la directi
une large place aux peintres qui, moins soucieux des détails de la
forme
et plus séduits par les impressions d'ensemble, p
appellent assez bien le type naturel du Féminisme. Le mé- lange des
formes
qui appartiennent en propre à l'homme et à la fem
ains (2). ' , . Dans les peintures pompéiennes, la prédominance des
formes
féminines est cependant à noter. L'Hermaphrod
ermettent de se prononcer. Un Féminin seul réalise cette fusion des
formes
corporelles de l'un et de l'autre sexe. Plusieu
androgynes. L'intention licencieuse est rendue évidente ici par la
forme
donnée aux draperies qui passent sur les jamhes
ment de la chirurgie hé- roïque que l'artiste a représenté selon la
forme
de ceux qui étaient usités de son temps. Voyo
ite par l'antisepsie, si la matière des instruments avait varié, la
forme
n'avait subi que des modifications insignifiant
une collection de ventouses (I), de grosseurs différentes, sont de
forme
identique à èelles'qu'on emploie encore aujourd'h
servation que nous publions ici est un exemple remarquable de cette
forme
pathologique ; elle nous a fourni, aussi bien au
de nature indéter- minée, mais d'évolution rapide (début apoplecti
forme
) : hématomyélie ? myélite aiguë localisée ? ram
st par conséquent supérieure à celle du renfle- ment cervical. La
forme
de la coupe est elliptique à grand diamètre trans
diamètre, situé à la hauteur de la 2e paire dorsale, la tumeur, de
forme
circulaire assez bien circonscrite, occupe toute
une trace. Immédiatement autour de l'adhérence, on la retrouve sous
forme
d'une banderolle sinueuse, plus épaisse qu'à l'
éosine, on est frappé par le dessin pour ainsi dire schématique que
forme
la pie-mère, dont l'infil- tration nucléaire do
e, tranchant nettement sur le fond rosé du reste de la préparation,
forme
des figures élégantes et d'un coloris frappant.
la richesse est poussée à l'extrême autour des racines antérieures,
forme
des amas plus abondants autour des vaisseaux pi
issus de la périphérie du névraxe ; chaque artériole, chaque vemule
forme
comme un affluent qui charrie vers le centre de l
thode de Weigert, on est frappé, même à l'oeil nu, de l'identité de
forme
, de texture et de rapports des deux masses gomm
: A ce niveau, les deux tumeurs sont symétriques et présentent une
forme
, des rapports et des caractères histologiques i
: tandis que les racines motrices droites ont gardé leur champ uni-
forme
de tubes nerveux, avec leur gaine de myéline et l
bien est souvent embarrassant un pareil diagnostic, puisque dans la
forme
anatomique qui aboutit à la production d'une tume
uberculose; nous n'y voyons, au contraire, que caractères communs :
forme
arrondie et circonscrite,- agglomération con- f
disposée d'une façon asymétrique. Le canal central est dilaté sous
forme
d'une fissure triangulaire très développée. Q
la région dorsale, au niveau de la commissure blan- che antérieure,
forme
un diverticule toujours revêtu de la pie-mère leq
oit, au niveau du renflement cervical, le canal central dilaté sous
forme
d'une fissure qui, de la commissure blanche ant
enfermant de nombreux vaisseaux dilatés. Le canal central n'a plus sa
forme
de fissure ; il revêt un aspect uniforme, coupa
nal central, tout. en se disposant transversalement, et en prenant sa
forme
en croix, s'élargit de façon il envahir la supe
ver grâce aux photographies de Roentgen à mesurer exactement sur la
forme
vivante certains diamètres des bassins rétrécis
ations exactes ren- draient les plus grands services dans certaines
formes
de viciations pel- viennes qu'il vise spécialem
is acquise. Un jour viendra certainement où l'on pourra classer ces
formes
mais, pour le moment, clans ce sujet encore à p
ns, on le comprend, émettre qu'une hypothèse. Cette existence d'une
forme
de paraplégie spasmodique chez les enfants héré
mann formule en ces termes : . « Il existe, chez les enfants, une
forme
typique de paralysie spasmodique desmembres inf
'on doit différencierdela paraplégie spasmodique congénitale. Cette
forme
parait appartenir la syphilis héréditaire. Elle s
et l'absence clinique de symptômes céré- In'aux. -^ . - z « Cette
forme
est rapprocher de la paralysie syphilitique spasm
ure latérale de la colonne vertébrale de telle sorte que le pli que
forme
la hanche droite est plus marqué que le pli de la
anche gauche. En avant, saillie bombée de tout le thorax qui a la
forme
d'une pyramide très basse à base très large. '
1862 et 1872, récidives mul- tiples de ces syphilides sous la même
forme
. En outre, accidents syphilitiques nombreux : f
ché son nom et que nous avons pour notre part (1) proposé d'appeler
forme
commune de la syphilis médullaire tant sa fréqu
e de l'incisive latérale droite. Canine droite striée, affectant la
forme
d'un tournevis. Les molaires qui res- tent sont
taches de rétinite pigmen- taire, les unes arrondies, les autres en
forme
d'ostéoblastes. Ces taches sont 148 NOUVELLE IC
é- brale envahit de préférence le mésocéphale, de même que dans les
formes
médullaires pures elle affecte une prédilection
llaire, indice de la généralisation initiale du processus, dans ses
formes
cliniques la syphilis héréditaire précoce et su
s moins long que le mé- tacarpien du pouce ; il a du reste gardé sa
forme
biconcave habituelle ; sa partie supérieure par
Il faut aussi faire entrer en ligne de compte l'extrême variété des
formes
pathologiques. Les cas types, exactement superp
ités didactiques,sont,dans la nature, de rarissimes exceptions. Les
formes
frustes, les variétés mixtes, les combinaisons, l
ifs portant sur les différents systèmes^ et modifiant, soit dans la
forme
, soit dans le volume, la confor- mation normale
me morphologique, caractérisé par la conservation chez l'adulte des
formes
e.r- térieures de l'enfance et la non-apparitio
ts atteints par cette maladie. Ainsi, en s'en tenant à l'examen des
formes
extérieures, est-il prudent de ne pas .préciser
ieure présente une double gibbosité, dorsale et thora- cique ; elle
forme
un angle ouvert en arrière avec la région lombair
ubi un mou- vement d'ascension qui le rend presque horizontal. Il
forme
ainsi en avant une bosse que toucherait le ment
rs, s'il s'agissait de rachitisme, on en verrait l'in- dice dans la
forme
des membres, des jambes principalement. Celles-
ble avoir subi l'omoplate droite, et la position du bras gauche qui
forme
un arc- boutant destiné à maintenir la stabilit
dicale des Hôpitaux (2). Toutefois, la proéminence du sternum, la
forme
anguleuse de la gibbosité, l'obliquité des côte
môme origine. (1) Un esclave, qui porte sur ses épaules un fardeau,
forme
le manche d'un usten, sile de toilette, au musé
le classement des oeuvres d'art. - On se contentera d'indiquer la
forme
de la déviation (cyphose, lordose, scoliose) et
gré de la pesanteur, et le relâchement des muscles est tel, que la
forme
même-du membre en est modifiée. En dehors de l'in
que intérêt non seulement en raison de sa na- ture mais aussi de sa
forme
. Dans deux cas, j'ai observé en même temps que
a une évacua- tion périodique de petites pierres, de couleurs et de
formes
différentes, sortant soit par la bouclle, soit
dues par Geneviève, et, à côté, un petit tas de pierres, ayant même
forme
, même consistance et même couleur, si semblable
s le voisi- nage de la maison de la malade, et façonnées d'après la
forme
des précé- dentes. Leur ressemblance est parfai
légère et rien n'est négligé. Le style indique un rare souci de la
forme
littéraire. Il est clair, simple et d'une grand
cas d'hystérie où les manifesta- tions de la névrose ont revêtu les
formes
les plus variées. I Geneviève Martin, fille d
cette opéra- tion lui fit jetter une pierre de la grosseur et de la
forme
d'une noisette; après les indices que Geneviève
substance extrêmement dure, d'une couleur brune et grisâtre, d'une
forme
irrégulière. Dans l'intervalle de ces deux dern
Elle en a jeté deux autres de la même nature, longuettes, et d'une
forme
oliviire. < Depuis ce temps, une grande fa
senti de nouvelles douleurs, une autre pierre à peu près de la même
forme
, absolument de la même nature, un peu plus grosse
lles ont dû être excoriées même déchirées, soit par la quantité et la
forme
des pierres qui ont été tirées, soit par l'intr
lles de la Tourette (2) croit pouvoir reconnaître l'existence de la
forme
généralisée dans deux observations de Carré de Mo
chesne). Il cite un fait personnel qui confirme la réalité de cette
forme
, plus rare il est vrai que l'oedème unilatéral
e de Crémone, et qu'elle jettait par l'anus il y a une pierre d'une
forme
ovale irrégulière, longue de trois pouces, large
estomac, reins, vessie. Les troubles vaso-moteurs, affectent tantôt
forme
éruptive, tantôt la forme-oedémateuse. Les st
dre d'idées, il me sem- ble bien que cet homme va nous présenter la
forme
congénitale de ce syn- drome anatomo-clinique q
tées ; surtout en avant, au nombre de 29, 14 en haut, 15 en bas, de
forme
à peu près nor- male, sans signification partic
palatine est profonde, le voile surabaissé ; les piliers sont con-
formes
, mais la luette est rudimentaire, représentée par
éellement agi ? Est-ce plutôt qu'une syncope, une attaque apoplecti
forme
de courte durée ; le fait est vraisemblable, ma
us aucune autre cause d'intoxication. , C'est donc en somme une des
formes
de ces paralysies passagères qu'on peut observe
est-il impossible de prédire d'après l'âge du sujet quelle sera la
forme
des lésions qu'on peut rencontrer dans ses dive
marquable par sa tendance à la .dégénérescence se présenter sous la
forme
de .gommes, elles peuvent aboutir à la sclérose,
ont elles-mêmes extrêmement variables, elles comprennent toules les
formes
,de dégénérescence cellu- laire, l'atrophie, la
ui s'enfonce dans le sillon longitudinal antérieur est tu- méfié et
forme
une grosse travée épaisse presque d'un millimètre
ue normalement, on ne trouve plus trace de myéline, une couche uni-
forme
colorée faiblement en rose par le picrocarmin for
une couche uni- forme colorée faiblement en rose par le picrocarmin
forme
la partie périphé- rique de la fibre nerveuse e
disposée d'une façon asymétrique. Le canal central est dilaté sous
forme
d'une fissure triangulaire très développée. Q
ntérieur dans la région dorsale au niveau de la commissure blanche,
forme
un diverticule toujours revêtu de la pie-mère, le
oit, au niveau du renflement cervical, le canal central dilaté sous
forme
d'une fissure qui, de la-commissure blanche ant
enfermant de nombreux vaisseaux dilatés. Le canal central n'a plus sa
forme
de fissure, il revêt un aspect cruciforme coupa
canal central, tout en se disposant tranversalement et en prenant sa
forme
en croix, s'élargit de façon à envahirla superf
beaucoup trop vaste pour les éléments qu'il renferme, la dure-mère
forme
un premier anneau. Entre la dure-mère et les pa
nctif très serré où les vaisseaux tiraillés, comprimés prennent des
formes
irréguliè- res pendant que leurs parois s'épais
aisseaux radiés, on reconnaît bien leur gaine lymphatique vide sous
forme
d'un espace clair autour d'eux, leurs parois tr
t libres, dans l'espace sous-arachnoïdien. Elle se présente sous la
forme
d'un trait très fin, légèrement onduleux, concen-
e moelle. En effet les lésions vasculaires quelles que soient leurs
formes
n'occupentja- mais qu'un point limité du trajet
ES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 301 normale, elle se présente sous la
forme
d'une bande épaisse disparaissant complètement
out marquée dans la partie postérieure, le processus néoplasique ne
forme
pas un cercle régulier mais plutôt une sorte de
cises constata- tions. En général, les cellules ollt conservé leurs
formes
, leur groupement, leur nombre, leurs dimensions
mère, n'adhère pas à la moelle à cause de la rétraction de celle-ci ;
forme
une ligne mince légèrement sinueuse, contenant
et ses enveloppes sont d'apparence normale. La moelle a conservé sa
forme
normale, la dure-mère paraît très épaisse, l'es
tout au niveau de l'insertion du septum mé- dian antérieur, où elle
forme
un triangle de tissu conjonctif très serré dans
e, mais aussi en dehors, bien que d'une manière beaucoup moins uni-
forme
vers la dure-mère. La dure-mère a une épaisseur
racines sont ici absolument englobées dans le tissu fibreux qui leur
forme
une vraie ceinture conjonctive épaisse, d'énorm
TRIÈRE demi-circulaire, aplatie, comprimant la moelle qui prend une
forme
allongée dans le sens transversal et au lieu d'
des sortes de triangles d'infil- tration qui, nés de la méninge qui
forme
leur base, vont eu s'atténuant vers le 'centre
les nerveux. Région lombaire. -- La moelle est très altérée dans sa
forme
, le canal épen- dymaire a pris un aspect étoilé
fractueuses bordées par un tassement du tissu conjonctif voisin qui
forme
ainsi d'épaisses parois à ces vaisseaux de form
ien d'ailleurs ce quepensé unevieille femme,coiffée d'un feutre in-
forme
, un panier au bras, les mains cachées sous son ta
ils présentent des troubles de la sen- sibilité objective, sous la
forme
d'anesthésies circonscrites qui portent sur tou
'accompagnent assez souvent de troubles trophiques cutanés, sous la
forme
d'érttplions(excoriations, eczémas suintants), so
sous la forme d'érttplions(excoriations, eczémas suintants), sous la
forme
de la chute des cheveux et des poils, sous la f
tants), sous la forme de la chute des cheveux et des poils, sous la
forme
de cet état luisant connu sous le nom de glossg
t quelquefois son commensal, présenta les mêmes accidents, sous une
forme
atténuée. Or savez-vous ce que fit découvrir l'
ps, la paralysie guérit totalement, sans laisser de résidus sous la
forme
de ces atrophies musculaires et de ces rétraction
aigu. M. Dana a conclu, en fin de compte, qu'indé- pendamment de la
forme
commune de paralysie arsenicale, où l'incoordina-
, où l'incoordina- tion peut s'associer à la parésie, il existe une
forme
ataxique pure, qui offre de la ressemblance ave
pure, qui offre de la ressemblance avec le 'tabès, l'une et l'autre
forme
relevant d'une névrite multiple et non d'une my
spinales, et les deux à la fois. Pour ce qui est de confondre cette
forme
ataxique de l'empoisonnement arsenical avec le
nement arsenical aigu peut laisser des traces persistantes, sous la
forme
de rétrac- tions tendineuses. Je ne connais pas
sont celles que je vous ai décrites sous les noms de polynévrite à
forme
paralytique et ((trophique et de polynévrite à fo
polynévrite à forme paralytique et ((trophique et de polynévrite à
forme
de psewlo-tllbes, la première étant de beaucoup
ralysie amyotrophique peut laisser des traces ineffaçables, sous la
forme
de rétractions tendineuses. Dans les deux cas l'a
guer la paralysie arsenicale des aulrcs variétés de poly- névrite à
forme
de poliomyélite antérieure. Je vous ai déjà dit c
intégrale; elle peut cependant laisser des traces persistantes, sous
forme
de rétractions tendineuses, et par suite réduir
, disjointe, irrégulière dans la région dorsale, elle re- prend une
forme
il peu près normale dans la région lombaire mais
fente transversale irrégulière et sinueuse se reconnaissent à leur
forme
cylindrique; on peut encore suivre en partant d
rise avec les cellules motrices, mais il est impossible de fixer la
forme
de la moelle confondue à sa périphérie avec la pi
tration nucléaire qui en part. , Cependant la dure-mère a repris sa
forme
arrondie, en cercle sur la coupe. Elle n'est pl
r au lieu de correspondre à Taxe antéro-postérieur du canal vertébral
forme
avec celui-ci un angle à peu près droit, de plu
issie bourrée de noyaux adhère comme nous l'avons vu à la moelle et
forme
la limite de toute une partie dégénérée de l'axe
ologique avec l'aspect que nous venons de décrire. La moelle a sa
forme
normale, ses vaisseaux propres sont éminemment di
nez en forme de bec, que le timbre de voix de Polichinelle, que la
forme
bombée de son thorax aient pu faire songer à un
n de cetle substitution de nom. Il est possible qu'elle tienne à la
forme
du nez de Maccus, au son de sa voix, à la configu
classiques. Lasègue et Landouzy ont insisté sur la différence des
formes
cliniques et établi une distinction fondamen- t
si l'on veut, à proprement parler de la contracture, mais c'est une
forme
d'acti- vité musculaire qui s'en rapproche sing
on irrémédiable. III.- Nous avons observé dix cas absolument con-
formes
à la description générale qui précède. D'autre
ie, n° 13, janvier 1888, p. 24 et n° 4, p. 187). 1 Charoot. -Abasie
forme
trépidante, etc. Leçons du Mardi, 1888-80. Leço
le petit nombre d'obser- vations connues. M. Blocq distingue trois
formes
, selon que les fonctions sont amoindries, aboli
fonctions sont amoindries, abolies ou troublées, et chacune de ces
formes
peut exister sous de nombreuses variétés. M. le
e la faiblesse, de l'incoordination et des mouvements cadencés (à
forme
de chorée rythmée). M. Charcot propose la divis
asie 1 paralytique trépidante Ahasie ataxiquo trépidante ( chorei
forme
Notre observation ne rentre ni dans l'une ni da
inhibitoire qui l'arrête net dans sa marche. C'est une abasie sous
forme
d'attaques. Bien que notre malade ne possède au
sommeil, de catalepsie, etc., il faudra donc ranger désormais cette
forme
nouvelle, l'attaque abasique, dont nous pensons
un ou l'autre des cordons laté- raux en diverses combinaisons et de
formes
diverses. En général, l'examen microscopique pr
, etc. Ces amas étaient cir- conscrits et nettement délimités; leur
forme
était presque tou- jours irrégulièrement ovale.
pliquer au point de vue phy- siologico-pathologique les différentes
formes
cliniques que revêtent les accidents des scapha
par les accidents cérébraux et tâchons d'ex- pliquer une à une les
formes
cérébrales. oc). Forme aphasique. La clinique e
ux et tâchons d'ex- pliquer une à une les formes cérébrales. oc).
Forme
aphasique. La clinique est arrivée, on le sait
aissance de ces données, de faire la physiologie pathologique de la
forme
apha- sique ? Assurément non. Ainsi une obstruc
me s'y attendre, mais jusqu'à présent, je n'en ai jamais observé.
FORME
cérébrale paralytique. L'étude de la localisati
e- nant de l'emploi des scaphandres, ce qui n'a pas eu lieu. y)
Forme
épileptiforme. - De cette forme rare, nous n'av
ndres, ce qui n'a pas eu lieu. y) Forme épileptiforme. - De cette
forme
rare, nous n'avons eu à rapporter qu'un seul ca
décharge est le spasme musculaire, le trait saillant de l'accès.
Forme
SENSORIELLE. 1. Yariélé oculaie. Le plus grave
variété auriculaire est le même que celui de la variété oculaire.
Forme
VERTIGINEUSE. Les vertiges des Observa- TIONs L
, et de cette manière empirer l'état vertigineux de notre malade.
Forme
mentale. - La pathogénie des accidents en quest
ure de l'agent irritatif explique la durée fugi- tive de l'accès.
Forme
DE PERTE DE connaissance. La perte de con- nais
période prodromique de ces acci- dents est la même pour toutes les
formes
. Les symp- tômes qui la constituent sont dus à
nent au centre et aux cordons latéraux de la moelle, nous avons la
forme
centrale spinale latérale; quand c'est au centr
dons latéraux et postérieurs que les lésions se localisent, naît la
forme
centralespi- nale postéro-latérale, avec les sy
ésions au centre et aux cordons postérieurs, donne naissance à la
forme
centrale spinale postérieure. La localisation e
isation exclusive des lésions aux cordons postérieurs, produit la
forme
spinale postérieure. Enfin, si les lésions siègen
i les lésions siègent à la moitié de l'organe spiual, nous avons la
forme
unilatérale avec ses variétés intramyélitique o
t, le chien se tenait les membres écartés. D'ailleurs, toutes les
formes
de la sensibilité étaient normales, ainsi que l
ance blanche autour des cornes grises postérieures (faisceau cunéi-
forme
de Burdach et segment postérieur du rejeton des c
les fibres du nerf optique se terminent en ramifications arbori-
formes
dans le corps genouillé externe et qu'il existe u
erronné et controuvé de Sander. L'ensemble de toutes ces anomalies
forme
les paramnésies. Considéré au point de vue cl
s, la folie a existé pendant un grand nombre d'années, revêtant des
formes
ordinai- rement dangereuses, sans que leur état
l'autre de ces malades avait commis un crime, - hypothèse que la
forme
du délire rendait vraisemblable,-on n'aurait pas
d'appétit, et c'est même là un des traits caractéristiques de cette
forme
d'aliénation mentale. Certains maniaques s'abst
ale, à l'alcoolisme 126 SOCIÉTÉS savantes. et à la folie a double
forme
. Tout le monde accepte ces modifica- tions. Il
es éliminations successives on peut encore distinguer quatre autres
formes
de mélancolie : cl). La mélancolie avec conscie
a mélancolie on retrouve des symp- tômes variés se rattachant à des
formes
très dissemblables et englobés cependant dans u
ns le cas présent, le malade perçoit les impressions optiques de la
forme
de l'objet, puisqu'il les dessine, il n'y a don
onsciente des impressions optiques et la faculté d'en reproduire la
forme
à l'état d'images commémoratives. 1 Voir in Arc
fférentiel tirés du symptôme connu sous le nom de verbigéralion. La
forme
spéciale de loqua- cité ainsi désignée par Kali
de se prononcer, savoir quel est l'état des muscles dans les autres
formes
d'aliéna- tion mentale. Il se rappelle un cas d
t pris à l'intérieur trois mille unités pharmacodynamiques, quelque
forme
mentale qu'ils pré- sentassent. Les résultats o
lu en pathologie mentale; mais leurs classifications, basées sur la
forme
, l'étendue plus ou moins grande des- troubles m
ollaboration avec Lasègue, et la folie circulaire ou folie à double
forme
, décrite en 18;;4 par le Dr Falret père et Bailla
substantiel. L'histo- génie permet de constater des différences de
forme
, de volume et d'évolution entre les cellules ép
airie F. Alcan. BOURGUET (L.).- Amyotrophie primitive progressive. (
Forme
juvénile de Erb.) Brochure in-8 de 14 pages ave
ate, est tendue entre les deux bords. A un niveau moins élevé, la
forme
du foyer se modifie encore (V. fig. 20); elle a
offre une coloration jaunâtre; il affecte encore plus ou moins la
forme
d'un T; il. est situé à l'extrémité du cordon p
on arrive dans le voisinage de la région où la lésion disparaît, la
forme
de cette dernière se modifie (V. fg. 21); elle
lion, en même temps que des dégénérescences secondaires. Par leur
forme
, leur dimension, leur situation, ils ressemblen
nnelle des diverses régions du cerveau correspond à des variétés de
forme
et de structure des éléments anatomiques de ces
nt aux fibres ner- veuses. Quelle est la nature de la substance qui
forme
le corps de la cellule nerveuse ? Selon Golgi,
moins grande de la cellule, des ramuscules arbores- cents dont la
forme
varie et sert à distinguer les fibres nerveuses
apparence de vérité ? Golgi nie qu'il y ait à tenir compte de la
forme
ou de la grandeur des cellules nerveuses pour l
longements nerveux, et dans ses connexions anatomiques, non dans la
forme
de la cellule, que se trouve à cet égard le seu
, En réalité, Golgi ne trouve dans cette circonvolution que trois
formes
distinctes de cellules : «, des cellules py- ra
ellules du mouvement et de la sensibilité; anatomiquement, les deux
formes
d'activité spécifique du système nerveux centra
pareil péri- phérique des sens et de la répétition d'un mode uni-
forme
d'exatations. Mais, si la fonction des éléments
cette région de l'é- corce,'elles y sont sans doute conservées sous
forme
d'images visuelles commémoratives, et s'y trouv
ux que montrer, avec ses conséquences physiologiques, la dernière
forme
qu'a revêtue la doctrine histologique de Golgi.
les nerveuses des corps striés, pyramidales, globuleuses on fusi-
formes
, varient de 20 à 50 , et leurs noyaux de 5 à '
ns- titutifs, en noter le nombre, le volume, les con- nexions, la
forme
. Ou pourrait espérer d'arriver ainsi à établir
'étendue de cette circonvolution, confondues avec les deux autres
formes
de cellules nerveuses. Soit; mais si l'on const
hautes densités spécifiques du cerveau ont été trouvées dans les
formes
alcooliques et épileptiques de l'aliénation menta
us bases, dans les phrénasthésies et les démences paralytiques. Les
formes
chroniques de démence consécutive et de délires
ent en général un poids spécifique du cerveau supérieur à celui des
formes
aiguës et typiques de manie et de lypémanie. Le
processus atrophiques de la substance cérébrale; médiocre dans les
formes
aiguës typiques de folie ; élevé, dans les form
médiocre dans les formes aiguës typiques de folie ; élevé, dans les
formes
chroniques, secondaires et dégénératives; très
nienne serait aussi plus vaste, pour les hommes, que dans lesautres
formes
demaladie mentale, ce que Amadei attribuaitau d
rgeur à peu près égale au collet et affectant très grossièrement la
forme
conique. Après cet organe un nouvel espace libr
sez fortement en dehors. En arrière, la partie supérieure du thorax
forme
une convexité très accusée, surtout au voisinag
nne dorsale. La colonne vertébrale est sinueuse, la portion dorsale
forme
une convexité heaucoup plus prononcée qne d'hab
potasse. Après rectification, l'acide valérianique se présente sous
forme
d'un liquide incolore, oléagineux, à odeur tenace
s le nom de valérianates ou valérates. Cet acide est monobasique et
forme
des sels neutres ; il existe cependant des sels
et digérés par le système de l'alimentation, mais que, tandis qu'il
forme
des constituants d'un côté, d'un autre, il augm
plus haut expliquent sa signification en insinuant que la thyroïde
forme
le plasma et les corpuscules, et qu'en outre RE
épileptiques, ou somnambules. Mais l'alternance ou le changement de
forme
de la névrose ne se produit pas nécessairement
'études critiques dans lesquelles nous cueillons le principal. La
forme
de dégénérescence nerveuse la plus simple et la p
sions épileptiformes, le cas dont il s'agit a simulé à un moment la
forme
tranquille et démente de la paralysie générale.
osées. Ces mélancolies multiples méritent une place à part, car les
formes
mentales qui se rencontrent ainsi s'influencent r
M. Charpentieu croit voir dans ce malade un persécuté simple ; la
forme
anormale de la maladie tient au jeune àge du suje
ers degrés de la rétrogradation déterminent des différences dans la
forme
des oreilles ; la forme des oreilles varie égalem
adation déterminent des différences dans la forme des oreilles ; la
forme
des oreilles varie également par suite de l'enr
bien que la partie correspondante du bord de l'oreille conserve sa
forme
embryonnaire. Dans ce dernier cas, on observe une
té des oreilles que les auteurs considèrent comme dégénérées ou des
formes
d'oreilles rangées parmi les signes de dégénére
acquière de la valeur, il faut : « 1° Que l'on classe les diverses
formes
d'oreilles en prenant pour base l'anatomie comp
développement; - 2° que l'on établisse la statistique des diverses
formes
d'oreilles observées dans la population normale
utres médicaments, tels que, par exemple, la morphine ou le chloro-
forme
. - 4. Il faut étudier la suggestion au même tit
t cependant, on ne constatait dans l'espèce pas d'ostéomalacie à la
forme
du bassin. L'examen de deux autres malades atte
tribution à l'histologie et à la classification no- sographique des
formes
de l'encéphalite aiguë commune non suppurée. -
itive du ramollissement cérébral, on a eu surtout pour objectif les
formes
suppuratives; mais, à côté de l'encépha- lite a
notamment l'habitude de tenir l'inflammation non suppurée pour une
forme
évolutive ou curative de l'inflammation suppurati
urée décèle des analogies surprenantes entre cette affection et les
formes
traumatiques. On y constate : 1° des SOCIÉTÉS S
ite ordinaire consécutive à une plaie traumatique; 4" une cinquième
forme
, c'est l'encéphalite gommeuse. Aucune de ces mo
genre de mélancolie c'est l'ob- session; elle se manifeste sous la
forme
d'idées de culpabilité associée à des obscénité
stôt par des hallucinations embryon- naires qui n'atteignent pas la
forme
parfaite. En même temps on note les symptômes p
res des extrémités, avec sentiment de froid et d'engourdissement (à
forme
hémiplégique), tremblements ' Voyez sur ce suje
qui apparaît de par des lésions apo- plectiques ou névritiques. La
forme
et la marche de la P. G. spéci- fique ne sont p
Quand la mémoire perd de son énergie, on a affaire à coup sûr à des
formes
graves qui généralement aussi se compliquent dès
il me parait établi que, dans les temps modernes contemporains, la
forme
classique de la paralysie générale caractérisée
la par une faiblesse extrême des facultés intellec- tuelles sous la
forme
de puérilité aussi parfaite que possible tant d
Sa Majesté est dans un état avancé de folie; elle souffre de celte
forme
d'affection mentale que les aliénistes connaissen
IN (J.). La cellule nerveuse. Etudes d'histologie zoologique sur la
forme
dite mvélocyte. - Volume in-8 de 61 pages, avec u
. Jules Worms faisait con- naître l'existence dans le diabète d'une
forme
de né- vralgie double et symétrique, tantôt sci
t encore plus loin et admet- tent l'existence dans le diabète d'une
forme
paraly- 316 CLINIQUE NERVEUSE. tique ou mieux
t rendre impossible la distinction entre le tabes et le diabète à
forme
paraplégique. Il n'y aurait plus pour faire le
s paraplégies diabétiques rentrent dans ce cadre et si, outre cette
forme
-là, on n'en trouvera point d'autres dans lesque
la périphérie. La zone marginale externe de Lissauer (Z L e, 8) qui
forme
un revête- ment triangulaire à la corne postéri
traitons par les réactifs ordinaires. La laque hématoxylique qui se
forme
dans ces con- ditions est beaucoup plus persist
ertaines coupes. Le faisceau pyramidal est également sclérosé et sa
forme
est semblable à la section de P. Y. S du schéma
s sui- vants. Le cordon de Goll est atteint d'une sclérose uni-
forme
à partir de la région lombaire inférieure jus-
ent anormal, on comprendra déjà qu'il n'est pas inadmissible que la
forme
et la distri- bution de la sclérose y revête un
issement, mais peut entrer dans le domaine de la conscience sous la
forme
d'une image nette, soit sous l'influence de la
même aspect. C'est surtout l'hystérie mâle qui offre parfois cette
forme
d'anes- thésie que l'on peut appeler grave. Dan
(g. z1) la dégénérescence des cordons de Goll se présente sous la
forme
de deux bandes qui, partant du sillon médian post
n cas publié par Gowers, ' dont l'évolution s'est accomplie sous la
forme
de l'ataxie héréditaire, les cordons postérieur
se reproduit le plus fré- quemment dans les observations, c'est la
forme
et la distribution de la dégénérescence des cor
générescence gagne l'intérieur des cor- dons latéraux, affectant la
forme
d'un coin dont la base est dirigée vers la péri
tardivement leur myéline se rapproche beaucoup par sa situation, sa
forme
, sa direction de la bandelette que nous avons t
que ce cas est un de ceux qui correspondent le plus exactement à la
forme
d'affection mentale que M. Clouston a décrit da
mosées par des espèces de nodosités ou des épaississements funi-
formes
. Le nucléole est homogène ou composé de granula
re émettent assez souvent des prolongements aculéiformes ou séti-
formes
qui rejoignent les noeuds du réseau nucléaire. Ce
ndant de temps à autre dans le nucléole plusieurs organites dont la
forme
, le volume, la réfrangibilité rappellent le nuc
uds du réseau. Sur une coupe transverse, on voit la capsule sous la
forme
d'un cordon brillant, et, entie deux cellules,
riphérie de cellules voisines se réunissent dans cet organe sous la
forme
d'une petite nodosité granuleuse; quand la caps
illusion du chez soi et de l'activité personnelle. Quelles sont les
formes
mentales auxquelles s'applique ce mode de trait
deux autres faits concernent la démence chronique consécutive à des
formes
indéterminées de folie systématique ; la nouvel
'as- sistance familiale à Dalldorf; elle comprend deux espèces de
formes
et donne généralement des résultats satisfaisants
de l'axe cérébro-spinal est réservée la localisation réelle de ces
formes
convulsives. Il est en effet impossible d'attri
an après, Sander détache de cette folie systématique primitive une
forme
originelle (originaire Verrucktheit) ; il insis
Hambourg de 1876 propose une classification et une étiologie des
formes
primitives de cette folie systématique; mais quel
stigmatise pas du tout l'élément caractéristique, essentiel, de la
forme
morbide qui débute par des hallucinations et ce
ut à fait de raison. Sous le nom de Wahnsinn, Griesinger décrit une
forme
psychopathique qui débute par un stade mélan- c
tématique (Wahnsinn) aiguë et une folie systématique chronique. Les
formes
qu'il leur reconnaît sont t les suivantes : 1
3n Folie systématique aiguë primitive dontles espèces sont : a) la
forme
hallucinatoire aiguë : b) la forme mélancolique
ive dontles espèces sont : a) la forme hallucinatoire aiguë : b) la
forme
mélancolique ; c) la forme maniaque expansive;
a) la forme hallucinatoire aiguë : b) la forme mélancolique ; c) la
forme
maniaque expansive; il) la forme stupide; e) la
: b) la forme mélancolique ; c) la forme maniaque expansive; il) la
forme
stupide; e) la forme cataleptoïde (attonisches).
lique ; c) la forme maniaque expansive; il) la forme stupide; e) la
forme
cataleptoïde (attonisches). Toutes ces formes p
a forme stupide; e) la forme cataleptoïde (attonisches). Toutes ces
formes
peuvent, d'après lui, guérir. Il maintient le t
e congénitale (ol'iginæl'e) de Sander; il croit qu'il en existe une
forme
abortive qui se manifeste sous la forme d'inci-
l croit qu'il en existe une forme abortive qui se manifeste sous la
forme
d'inci- dents, d'épisodes psycliopathiques; ces
aire avec les affec- tions citées plus haut ainsi qu'avec certaines
formes
de rhumatisme et le gigantisme. La marche en es
nts, sont nécessairement t « fonctionnelles ». 2. Dans toutes les
formes
de maladie mentale, la tendance com- mune la pl
utissant secondairement à la démence, peut être considérée comme la
forme
typique de ma- ladie mentale. 428 8 VARIA.
organique (folie de la ménopause, folie sé- nile) qu'à toute autre
forme
d'aliénation mentale; car alors elle ne ferait
ARCHIVES DE NEUROLOGIE 13ERXARD, - De l'aphasie et de ses diverses
formes
. 2° édition avec une préface et des notes par l
eur-gérant, BOl'IINEVILLE, TABLE DES MATIÈRES Abasie-astasie sous
forme
d'attaques, par Ladame, 40. Acéto-phénone (ef
otie avec cachexie pachydermique. Tête symélrique, assez grosse, de
forme
rectangulaire ; le front est bombé sur une asse
coloration plus claire. Pas d'éruption eczémateuse. Le visage a une
forme
rectangulaire il est plus large au niveau des jou
° anomalie d'éruption de la S 1 C'est pour montrer la différence de
forme
du nez de la malade de celle du nez de ses père
est arrondi, les épaules sont peu saillantes. La colonne vertébrale
forme
une saillie notablement exagérée au niveau de l
cceur. L'abdomen est volumineux, saillant, proéminent. L'ombilic
forme
une petite saillie. Les fesses, par rapport au vo
nviron trois centimètres et une largeur un peu plus grande sous une
forme
étoilée. A aucune époque du trai- r TROIS cas
on peut voir dans le début des lésions qui nous occupent, c'est une
forme
tout à fait différente : sur une coupe transver
soit par d'autres, nous pouvons conclure qu'il ne s'agit pas d'une
forme
spéciale, mais au con- traire d'un processus ba
dairement. Le cylindraxe apparaît énorme tandis que la myéline ne
forme
plus autour de lui qu'une mince enveloppe. C'es
ndée par celle du tissu ambiant. Peu à peu un tissu de sclérose à
forme
myxomaleuse ou inflammatoire va remplacer le ti
nom d'alexie et Déjerine sous celui de cécité verbale pure. Cette
forme
d'alexie consiste dans l'impossibilité de lire, l
s, atteints de névrite diabétique dont une affectait tout à fait la
forme
de névrite ataxique. tandis qu'ils conservaient
ur s'occupe surtout ici du myxoedème acquis des adultes. Dans cette
forme
de myxoedème, les résultats sont tellement cert
substance tyroïdienne pulvérisée est aujoud'hui considérée comme la
forme
qui doit être préférée; on peut ainsi la doser
soigneusement observée : elle débute de deux manières; la première
forme
de début,' qui est de beaucoup la plus ordinair
capable d'abaisser la tension vaso-motrice : elle peut revêtir des
formes
très diverses. L'auteur a observé, et il rappor
ue les lésions sensorielles ou cérébrales actionnent et donnent une
forme
précise à la prédis- position. Souvent alors vo
ers ; il est très rare d'en trouver une ayant nettement conservé la
forme
pyramidale ou triangulaire et possédant '112 CL
nt '112 CLINIQUE MENTALE. un noyau à contours nets; elles ont des
formes
rondes ou ovales, sans prolongements visibles.
895) M. H. Bordicr nous montre une action toute différente de cette
forme
de l'électricité sur la température. "L'effluve
nt de muscles. L'excita- bilité du nerf et des muscles pour une des
formes
de courant ou pour les deux est plus fréquemmen
grès de Bor- deaux, 1895). Il emploie l'électricité sous toutes ses
formes
en l'as- sociant aux injections hypodermiques d
ervent, respective- ment, d'une manière plus accusée dans certaines
formes
de crimi- nalité, ne soient très utiles pour cl
tuosités s'accom- pagnent quelquefois d'anomalies anatomiques de la
forme
du corps, et spécialement du crâne; mais la val
préférer le mot de « dépravation morale >, et de distinguer une
forme
active (perversité morale) et une forme passive
>, et de distinguer une forme active (perversité morale) et une
forme
passive (insuffisance morale). Il faut toujou
vement de l'aliénation mentale que lorsqu'ils se présentent sous la
forme
de véritables explosions et ne sont pas seuleme
égorie de personnes (Edridge Green). Une aptitude spéciale pour une
forme
d'art paraît limiter l'aptitude pour les autres
iale pour une forme d'art paraît limiter l'aptitude pour les autres
formes
, et les poètes sont souvent fort mal doués au p
généralement une incohérence de la pensée musicale comme des autres
formes
de la pensée. Dans la manie subaiguë, les malad
s sains dénués de culture musicale. Dans les folies acquises, les
formes
supérieures de la faculté musicale, celles où l
cas, s'il s'agit ici d'un cas d'ataxie, il faut qu'il ait été d'une
forme
particulièrement aiguë. Mais si, d'autre part, on
ent précoce de la maladie, on n'a pas noté que l'excrétion des deux
formes
de sulfates s'écartât sensiblement de la normal
à des périodes diverses de la maladie la proportion entre les deux
formes
de sulfates ten- dait à s'accroître à mesure qu
montrent après l'infection typhique, (délires asthéniques), et les
formes
du début (initialdelirium) des délires fébriles
lus d'une quinzaine. ` Symptomatologie. - L'auteur distingue deux
formes
: 1° la forme délirante ; 2° la forme maniaque.
nzaine. ` Symptomatologie. - L'auteur distingue deux formes : 1° la
forme
délirante ; 2° la forme maniaque. Dans la premi
e. - L'auteur distingue deux formes : 1° la forme délirante ; 2° la
forme
maniaque. Dans la première on note, avant le dé
lcoolique, bien que Je malade ne fût pas un buveur. Dans la seconde
forme
les symptômes d'excitation maniaque passent au
é des cas recueillis par l'auteur, il n'y avait que trois ou quatre
formes
relativement légères. Anatomie pathologique et
ifs). A un degré plus accentué on observe la systématisation de ces
formes
patho- logiques'de l'humeur; enfin l'action dir
ique soigneux . sans lesquels le diagnostic et la thérapeutique des
formes
si variées de la folie sont choses impossibles
rficielle de l'aliénation mentale de manière « à en reconnaître les
formes
, après en avoir constaté l'existence. « Par sui
d'une lésion organique tangible qui s'agrandissent aux dépens de la
forme
idiopathique. Dans bien des cas d'épilepsie idi
n de la substance blanche, surtout dans les cordons postérieurs, en
forme
des corps amylacés. Payne démontre une altérati
ps thyroïde en nature, tantôt après lui avoir fait revêtir diverses
formes
pharmaceu- tiques. Nous passerons successivemen
ielsen et IIaslund, de Copenhague, administrent cette poudre sous
forme
de pilules qui en renferment chacune 5 centigramm
, et 27 a 28 p. 100 de poudre sèche. Cet extrait peut être mis sous
forme
pilu- laire ou introduit dans une tablette à la
introduit dans une tablette à la dose de S centi- grammes. Ces deux
formes
pharmaceutiques représentent alors 25 centigram
ns nécessitant l'emploi soit de la chaleur, soit de dissolvants. La
forme
capsulaire peut, jusqu'à un cer- tain point, me
édisposition des nerfs vagues à subir des altérations dans d'autres
formes
de névrite, par exemple dans la polynévrite alcoo
sentent de nombreuses petites lignes qui traversent la myéline sous
forme
d'irradiations irrégulières, et qui prennent lo
e symp- tôme digne d'être noté; il se présente actuellement sous la
forme
d'une exostose de l'os frontal, ayant son maxim
surtout vrai quand l'exagération est bilatérale et d'intensité uni-
forme
. L'exagération unilatérale du réflexe du genou
de lacération à une hémorrhagie corticale. Dans ces deux dernières
formes
la tempé- rature est plus élevée que dans la va
ractère et la fréquence du pouls sont sans relation précise avec la
forme
, le siège ou l'étendue de l'hémorrllanie. L'appar
ture. Contusion générale. - Elle complique constamment les autres
formes
de traumatismes intra-craniens, mais elle existe
naison promplement fatale. Il est commun de rencontrer dans cette
forme
de traumatisme une sensibilité anormale aux impre
é décrit. Cette pigmentation ne parait spécialement liée à aucune
forme
d'aliénation, bien qu'elle soit incontestablement
tons toujours égaux, quels que soient l'âge, l'épaisseur des os, la
forme
du crâne, sauf erreur pour les crânes très obli
t l'opinion de Nageotte pour qui la paralysie générale n'est qu'une
forme
de tabès, ou le tabes une forme fruste de paral
la paralysie générale n'est qu'une forme de tabès, ou le tabes une
forme
fruste de paralysie générale. P. K. XXIII. UNE
ies fondamen- tales du corps de la cellule, en disant qu'elle a une
forme
(appa- rente), c'est-à-dire qu'elle est colorab
partie constitutive du même corps cellulaire qui, elle, n'a pas de
forme
(apparente), c'est-à-dire n'est pas colo- rable
ules quadrijumeaux). La sphère vascu- laire médiane, injectée, a la
forme
d'un triangle à base vers le pied du pédoncule
pas le centre le plus voisin ; 3° la régression variera suivant la
forme
de la cellule; d'une manière générale, il s'agira
lières des portions du protoplasma colorables ; puis, pour quelques
formes
de cellules, de phénomènes spécifiques dans le
volumineux que le gauche. Il est de consistance très molle, mais sa
forme
extérieure est assez bien soutenue par le lacis
lleuses oblitérées dès leur origine n'apparaissent plus que sous la
forme
de filets ténus et imperméables. La multiplicit
affection suffisamment dis- tincte pour qu'on la sépare des autres
formes
de spasmes muscu- laires (et l'auteur penche po
on dans quelques détails sur la nature et les symptômes de diverses
formes
de paraplégie. R. de MUSGRAVE CLAY. XLII. Un
rie de syphilis cérébrale de Fournier, c'est-à-dire à la syphilis à
forme
céphalalgique : il est remarquable par la longue
is dont on ne trouvait cependant aucun autre symptôme, et qui était
forme
)-- lement niée par le malade. Aussi l'examen op
oplégies temporaires; 9° aphasie tempo- raire, quelle qu'en soit la
forme
; 10° apoplexie avant l'âge de cin- quante ans (
des crises bizarres, précédées d'une aura (qui se manifeste sous la
forme
d'un goûL amer dans la bouche) et qui commencen
ogique qui datait d'environ deux ans, et qui se manifestait sous la
forme
d'une constipation telle qu'il ne pouvait aller
au bout de deux mois tout rentre dans l'ordre. Lwoff. LUI. SUR la
forme
grave DE la sclérose artérielle DU système NERV
bulbe ne louent qu'un rôle effacé ou ne sont pas seules en jeu. Les
formes
graves de l'arlério-sclérose se localisent en e
uoique la maladie soit de toute saison, et qu'il n'y ait que peu de
formes
graves à la saison froide. Rareté des douleurs
scussion intéressante, les auteurs rattachent ce cas complexe à une
forme
anormale de tabès combiné chez un syphi- litiqu
le tableau clinique com- plexe et polymorphe une seule maladie, une
forme
fruste de la sclérose en plaques. Il y aurait l
facial et moteur oculaire externe. A côté des trois variétés des
formes
frustes de la sclérose en plaques par intervent
mbinée de la situa- 296 ,~ ' ` . SOCIÉTÉS SAVANTES. tion et dé la
forme
particulière d'amnésie (amnésie continue, antér
ne du nom de promnésie. Il serait intéressant de rechercher quelles
formes
d'amnésie coexis- tent avec la fausse mémoire.
impor- tante est la discussion des scissures transversales et leur
forme
variée dans les différentes classes des gyrencé
rnal of Mental Science, juillet 1894.) L'auteur énumère, sous une
forme
parfois humoristique, les ennuis et les déboire
à part, la seconde ne voyant dans les névroses traumatiques que des
formes
d'hystérie, mais d'une hystérie spéciale, ayant
voit dans les troubles nerveux consécutifs aux traumatismes que des
formes
hystériques ou neurasthéniques. Chacune de ces
ous les médecins soucieux de connaître et d'apprécier la nature, la
forme
, la marche et la gravité des troubles si comple
st frappé par le riche développement des cellules de noyaux arci-
formes
des deux côtés. Dans la moelle épinière, à la hau
il n'y avait pas de trace d'un processus primitif quelconque, sous
forme
d'une inflammation, d'une dégénéres- cence, etc
parotidiennes, fièvre intense; une vaste collection puru- lente se
forme
au côté gauche avec induration de toute la région
umé : manie aiguë très violente datant d'un mois. Fièvre typhoïde à
forme
adynamique grave. Pendant la période d'état, di
plus solides (62 p. 100) chez les maniaques que'dans toute autre
forme
vésanique. Cette amélioration peut aller dans c
de et le doute. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXVII. La
forme
spasmodique ET L1 FORME tabétique dans la para-
R.-S. STEWARD. (The Journal of Mental Science, avril 1895.) , La
forme
de paralysie générale qui s'associe à la force lo
t une étroite relation, à la fois clinique et pathologique, avec la
forme
d'affection médullaire que l'on désigne sous le
imitive. Dans un petit nombre de cas, la maladie participe des deux
formes
, mais cette combinaison de symptômes est rare,
de symptômes est rare, et le rattachement primitif à l'une des deux
formes
est toujours possible. Les recherches de l'au
de paralysie générale, parmi lesquels 85 p. 100 appartenaient à la
forme
spas- modique et 15 p. 100 à la forme tabétique
85 p. 100 appartenaient à la forme spas- modique et 15 p. 100 à la
forme
tabétique ; cette proportion est la même pour l
me tabétique ; cette proportion est la même pour les deux sexes. La
forme
spasmodique débute d'ordi- naire entre trente e
pasmodique débute d'ordi- naire entre trente et quarante ans, et la
forme
tabétique entre quarante et cinquante ans; et e
tabétique entre quarante et cinquante ans; et en cela, chacune des
formes
parait se modeler sur le type d'affection purem
ype d'affection purement médullaire auquel elle correspond. Dans la
forme
spasmodique, la durée moyenne de la maladie est
ue, la durée moyenne de la maladie est de un à deux ans, et dans la
forme
tabétique de, deux à trois ans. Les crises cong
poplectiformes, paralysies passagères) sont plus fréquentes dans la
forme
spasmodique; elles sont aussi plus rapprochées
pprochées et plus longues. L'excitation maniaque prédomine, dans la
forme
spasmodique, et la mélancolie dans la forme tabé-
aque prédomine, dans la forme spasmodique, et la mélancolie dans la
forme
tabé- tique. - Le poids du cerveau est notablem
règle dans la paralysie générale ; mais il est à noter que dans la
forme
spasmodique, elle se présente sous la forme d'un
est à noter que dans la forme spasmodique, elle se présente sous la
forme
d'un ratatinemenl latéral, tandis que dans la f
résente sous la forme d'un ratatinemenl latéral, tandis que dans la
forme
tabétique, elle prend l'aspect d'un aplatisseme
sont plus ou moins des persécutés, mais quelques-uns présentent une
forme
particulière de délire; ils ont des ennemis, qu
ent, caractérise sur- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 343 tout cette
forme
du délire de persécution, c'est sa curabilité (Ba
l'ouïe. Les obsessions et possessions sont fré- quentes dans cette
forme
, et ont été bien étudiées par Séglas. (Nous ne
montre que la tuberculose revêt, chez les hommes de cou- leur, une
forme
beaucoup plus active et une marche notablement
rme beaucoup plus active et une marche notablement plus rapide. Les
formes
très chroniques sont rares chez le noir, et la
s rapide. Les formes très chroniques sont rares chez le noir, et la
forme
miliaire est au contraire très commune. C'est le
lite, soit de l'entérite, soit encore de l'entéro-colite, souvent à
forme
ulcéreuse. On ne trouve habituellement à ces diar
«abcès des aliénés »), des éruptions herpétiques et huileuses, des
formes
insidieuses de pneumonie probablement d'origine
une irritation centrale du nerf vague. Buzzard, parlant de cette
forme
de diarrhée chez les tabétiques, la rattache à un
ppareil dans 158 cas, qui se répartissent ainsi au point de vue des
formes
d'aliénation mentale : paralysie générale, 18 c
ité, et 11,3 livres pour la concavité. 3° Dans presque toutes les
formes
d'aliénation mentale, la résis- tance est dimin
sidérable, il continue à penser que les affec- tions rénales, d'une
forme
ou d'une autre, sont extrêmement com- munes dan
stiques, il n'est pas aussi évi- dent qu'il l'avait pensé que cette
forme
d'affection rénale soit tou- jours la néphrite
ibuer des caractères ethnolo- giques propres. Au point de vue des
formes
de la folie, on constate une prédo- minance rem
Amok et sakit-hati, tels sont les deux noms donnés aux deux grandes
formes
d'aliénation mentale qu'on observe chez les Mal
une sorte d'hébétude avec dépression et confusion mentale. Les deux
formes
peuvent alterner comme dans la folie circulaire
paralysie psy- chique est une paralysie centrale qui porte sur des
formes
déter- minées du mouvement mais non sur quelque
anie. Depuis quelques années on a rencontré chez le nègre certaines
formes
de maladies men- tales qu'on n'avait jusque-là
riétale gauche, resta atteint d'hystéro-neurasthénie traumatique de
forme
classique. Le point intéressant de l'observatio
ion à la lumière de la pupille droite. P. KERAY AL, LXIX. Sur une
forme
très rare DE scoliose alternante dans la sciati
t obser- vations personnelles, cherche à démontrer qu'il existe des
formes
intermédiaires, entre la maladie de Friedreich,
uteurs. 390 revue d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. Ces
formes
intermédiaires sont caractérisées par des trouble
t pas diminués. Dans le cordon de Burdach : zone de dégéuération de
forme
triangulaire à sommet REVUE d'anatomie ET DE PH
ndarLériLe, mais seulement une périartérite très discrète. Dans les
formes
compliquées d'infection septique secondaire, les
décrites, une des plus fréquentes est l'isolement superficiel, sous
forme
d'îlot, d'une partie du lobule quadrilatère, or
une courbe uniforme à concavité vers l'abscisse, mais une courbe en
forme
d'S à courbure inférieure très courte et convex
ectricité, l'action chimique, etc. ; la force nerveuse n'est qu'une
forme
du mouvement. Les stimuli qui l'ex- citent sont
e conserver l'image. Mais si l'on évalue, con- formément aux autres
formes
du mouvement, la somme d'énergie dégagée dans u
ose un nouveau qui met les faits d'accord avec la théorie, dans les
formes
rudi- mentaires de la vie, la réponse localisée
dans les endroits où la foule s'amasse, s'approchent des femmes aux
formes
saillantes, se frottent contre leur derrière, e
Il montre que les états cataleptiques s'y peuvent observer sous une
forme
généralement atténuée, incomplète et rémittente
muscle des extrémités, par exemple; les varia- tions, en un mot, de
formes
et de dimensions peuvent être considérables ; m
ails de sa struc- ture en parlant de ses lésions) et d'un noyau. La
forme
, l'as- pect, les différences relatives de ces c
mbryologique qui montre que chacun d'eux dérive d'un neuroblaste et
forme
un tout dès l'origine. Le neurone se présente
nglion intervertébral marche en effet vers le centre du neurone qui
forme
les cellules de ces ganglions; elle doit donc s
actérisant la dégénérescence ou mieux l'atrophie rétrograde dans sa
forme
typique. ' Revue de Méd., janvier 1895 et numér
re particulier : au point de vue anatomique elle se confond dans sa
forme
, si non par sa pathogénie, avec la dégénérescen
ologie DES systèmes DE NEURONES. Le neurone qui est le même partout
forme
, en se mettant au contact avec les neurones voi
e ces chaînes de neurones constitue le système moteur ; une autre
forme
le système sensitif; d'autres chaînes de neurones
hologie et une structure pareille, la question de détail (dimension
forme
, longueur des prolongements, etc.) étant mise à
rones sont dans les voies psychiques, motrices et sensibles, con-
formes
à cette unité de structure, c'est-à-dire les même
anatomiques du tabès 432 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. vulgaire et de la
forme
tabétique de la paralysie générale des aliénés,
nes de la chaîne dont les lésions primitives constituent les autres
formes
des maladies tabétiques. Ces dernières maladies
froy, etc. Voir aussi noire mémoire : Lésions et symptômes spinaux,
formes
spinales de la paralysie générale. (.4rele. de
Ainsi, par exemple, il n'y a pas d'atrophie de la papille dans les
formes
spinales tabétiques de la paralysie générale 2 do
intraspinaux. La lésion se poursuit du haut en bas. Cette dernière
forme
n'a aucun retentissement sur les branches du ne
n exclusive d'ailleurs, de M. Marie, qui ferait de cette variété la
forme
type du tabes des paralytiques généraux, puisqu
tré- mité. De là une dégénérescence des cordons postérieurs d'une
forme
toute spéciale, une dégénérescence descendante de
ens très étendu. Ces faits doivent être très rares. Ainsi dans la
forme
tabétique de la paralysie générale où la lésion o
un peu carré. Dentition. Il existe, à chaque mâchoire, 14 dents de
forme
normale, d'assez bonne qualité, peu serrées, bi
ieur. Les muscles pectoraux sont volumi- neux ; leur bord inférieur
forme
un relief prononcé. La région pectorale droite
itude habituelle, la cuisse droite est fléchie sur le bassin ; elle
forme
un angle d'environ 45° et ne peut être étendue
xtension {ankylose incomplète). Le tendon d'Achille est rétracté et
forme
une corde saillante sous la peau. Le pied semble
les mouvements de flexion et d'extension sont limités. L'index a la
forme
d'un moignon boudiné terminé par une sorte de c
s fibres arciformes externes y apportent des fibres du corps resti-
forme
. Peut-être même celui-ci donne-t-il au noyau du c
, ni 2, 1896.) Dans quelques cas, correspondant cliniquement à la
forme
appelée par Bianchi « délire aigu bacillaire »,
me un processus de dégénérescence mentale qui trouve dans plusieurs
formes
paranoïaques inévolutives, station- naires, l'a
e caractéristique aurait quelque importance pour la distinction des
formes
paranoïaques proprement dites avec les formes s
la distinction des formes paranoïaques proprement dites avec les
formes
sensorielles et lypémaniaques. J. SEGLAS. LXI.
ns l'organismedébilitéparun travail excessif du système nerveux. La
forme
anatomique comme les symptômes cliniques sont, da
morbides que l'extension de la civilisation entraîne avec elle. Les
formes
cliniques sont très variables, mais il est diff
: si ses avantages peuvent être encore mis en doute dans certaines
formes
de maladies men- tales, ils sont certainement i
irement à ce que le Dr Cainuset a observé pour les deu".e premières
formes
: la dépression n'apparaissait chez les maniaqu
illesse elle-même. On peut rencontrer dans la vieillesse toutes les
formes
mentales : il n'y a pas de type constant. La dé
ines idées fixes et délirantes de la folie systématique. Il y a des
formes
bénignes de cette dernière que l'on peut consid
e par exagération de l'attention, délire d'inquisition, de suspect,
forme
de l'inquiétude par exagéra- tion morbide de la
s chaque cas a son allure clinique spéciale. On observe surtout des
formes
paralytiques, spastiques, trémulantes ; puis vi
ngreneux hystérique n'avait pas d'autre cause. La répartition et la
forme
des paralysies et des anesthésies démon- trent
e chez les enfants à la mamelle comme bien difficile à faire. Les
formes
graves de l'hystérie sont, pour l'enfant comme po
n : M. WiciiMANN a observé dans une école une épidémie d'hystérie à
forme
convulsive. Il a constaté aussi des cas de gué-
troubles psychi- ques provoqués par l'alcool, est de 15 p. 100. Les
formes
cliniques observées sont les suivantes : parano
e trop brièvement analyser, signalons dans ce volumes publiées sous
forme
d'appendice, de savantes études dues aux élèves
e, à isoler souvent de simples symptômes pour en faire de nouvelles
formes
qui, scienti- fiquement, n'ont pas plus de rais
fournir la méthode d'observation » ; il passe en revue toutes les
formes
de maladies mentales, et cherche si à chacune d'e
par llerting, 392. et tabès chez mari et femme, par Mendel, 403.
Forme
spasmodique et forme tabétique de la -, par S
t tabès chez mari et femme, par Mendel, 403. Forme spasmodique et
forme
tabétique de la -, par Stewart, 340. Rap- por
z un syphilitique, par Olivier et Ilalipre, 286. - en plaques à
forme
d'hémiplégie alterne, par Wizel, 287. Sciatiq
s grande facilité. En règle générale, l'ulcération du derme avait une
forme
légèrement conique, le fond de l'ulcération étant
ou muscles, portent plus particulièrement les altérations, dans cette
forme
de paralysie ; si ces altérations sont, comme on
nt que cette ma-ladie éclate simultanément sur plusieurs points, sous
forme
épidémique, ou bien encore isolément, sous forme
usieurs points, sous forme épidémique, ou bien encore isolément, sous
forme
sporadique, sans qu'on puisse, cette fois, malgré
traits de ressemblance avec la do- thiénentérie, lorsqu'il revêt la
forme
typhoïde, ce qui s'observe fréquemment, à certain
n cas de tuberculisa-fion générale aiguë, lorsque la maladie revêt la
forme
typhoïde (825, B.), l'erreur de diagnostic sera
nnelles (114. C. D. E.). Ici, surtout, les périodes de la maladie, la
forme
qu'elle affecte primitivement ou qu'elle revêt à
de la première période, si la ma-ladie se montre franchement sous la
forme
hyperstlaénique (1728), on pourra, chez l'adulte,
fièvre typhoïde ; in Arch. yen. de méd. t. XVIII, 4e série). Dans la
forme
bilieuse bien dessinée (1728 B), la saignée n'est
affections fébriles que l'on peut aujourd'hui rapporter aux diverses
formes
de la fièvre typhoïde. Plusieurs auteurs, et des
dication empirique et spécifique. On pourra toutefois l'explorer sous
forme
d'essai, à condilion d'y renoncer si elle n'améli
s ne devons pas revenir sur les indications relatives aux différentes
formes
du délire après ce qui en a été dit plus haut (G.
Ce fait est des plus intéressants, mais la nécrose n'est pas la seule
forme
sous laquelle se manifestent les maladies laryn-g
ment les ulcérations du larynx; surtout on s'était peu préoc-cupé des
formes
pathologiques autres que l'ulcération. Ainsi, que
mateuse (1852) et étudie précisément, et avec un soin particulier, la
forme
morbide observée par M. Baudot, et qu'il désigne
la fièvre dont nous parlons (p. 116). » Puis il spécifie les diverses
formes
observées et leurs proportions respectives. Dans
s décrit spécialement (Pathol. Anat., 3e Bd. Ie lief., p. 19) une des
formes
de cette affection, Yulcère laryngé étyphique(typ
assez, complète du laryngo-typhus. Il faut d'abord y distinguer deux
formes
principales : la forme ulcéreuse et la forme nécr
ngo-typhus. Il faut d'abord y distinguer deux formes principales : la
forme
ulcéreuse et la forme nécrosique. 1° L'ulcère l
abord y distinguer deux formes principales : la forme ulcéreuse et la
forme
nécrosique. 1° L'ulcère laryngé lyphique siège
tte était venu com-pliquer la laryngite nécrosique aiguë. Aces deux
formes
d'altérations, il faut joindre la laryngite dipht
idus, pouvaient toujours, suivant lui, rendre suffisamment compte des
formes
variées que celte maladie peut revêtir, sans pour
phus peut, suivant les circons-tances où il se développe, revêtir les
formes
les plus diverses. Deux de ces formes, dérivées d
où il se développe, revêtir les formes les plus diverses. Deux de ces
formes
, dérivées du type primitif, doivent ici fixer not
typhoïde. Enfin, s'il est vrai que l'on puisse voir l'une de ces deux
formes
du typhus régner, sous forme épidémique, à l'excl
que l'on puisse voir l'une de ces deux formes du typhus régner, sous
forme
épidémique, à l'exclusion de l'autre, il est plus
raction des cas de transition, par-venir à tracer des tableaux où ces
formes
d'une même maladie 1. « Dans notre pays (en Irl
l'Europe ont vu, dans ces derniers temps, régner simultanément, sous
forme
épidémique, la fièvre typhoïde et un typhus avec
ne sont pas deux maladies essentiellement distinc-tes, mais bien deux
formes
d'une même maladie. (Voy. Roki-tansky, Handbuch d
ntoxication paludéenne (1450. B.) ne peuvent- elles pas revêtir les
formes
symptomatiqu.es les plus diverses? Cependant n'on
mplication des symptômes et des vices anatomiques particuliers à deux
formes
d'une même maladie. Quoi qu'il en soit, alors m
Nous manquons malheureusement de détails suffisants à l'égard de ces
formes
mixtes qui serviraient, suivant certains auteurs,
toutes, dans l'espace de deux ou trois jours, après quoi, il ne s'en
forme
plus de nouvelles. Il en est qui ne sont pas plus
Maladies infectieuses. 5 nécroscop1e. Vexanthème intestinal, qui
forme
le principal et le meilleur des caractères anatom
primitif du typhus qui régnent dans ces pays-là ha-bituellement sous
forme
sporadique, mais qui s'y montrent souvent aussi s
ement sous forme sporadique, mais qui s'y montrent souvent aussi sous
forme
d'épidémies meurtrières. g. La plupart des méde
qu'on peut extraire de télégrammes La fièvre à rechute simple ou de
forme
bilieuse s'est mon-trée à Saint-Pétersbourg, pour
mérite d'autant plus de fixer l'atten-tion des médecins, que, dans sa
forme
bilieuse, c'est une affection grave et qui fait d
convul-sions n'ont été observées que dans un seul cas. Telle est la
forme
simple de la fièvre à rechute ; la forme bilieuse
un seul cas. Telle est la forme simple de la fièvre à rechute ; la
forme
bilieuse (febris recurrem biliosa, biliôse typhoi
lieu, 'en général, du dixième au douzième jour de la maladie. Dans la
forme
bilieuse, l'étude méthodique des symptômes fébril
omissements de sang, plus ou moins altéré, appartiennent surtout à la
forme
bilieuse. La durée totale de la maladie varie d
pour les faits observés àl'hôpital d'Obuchoff, de 10,77 pour 100. La
forme
bilieuse est de beaucoup la plus redoutable, surt
ie russe paraît devoir être rapportée surtout à la prôdominence de la
forme
bilieuse (syndrome ictère grave : — ictère intens
l'observation rien de nouveau, rien d'inconnu à la science; point de
forme
uni-que, mais bien le genre typhoïde avec diverse
» En 4 840, cette maladie sévit très sérieusement à Moscou, sous la
forme
bilieuse tout particulièrement, où elle fut étudi
s les » lieux ordinaires, c'est-à-dire aux aines et aux aisselles, la
forme
épidé-" mique de la maladie, la contrée où elle r
fièvre à bubons qui a sévi à plusieurs reprises, de 1817 à 1838, sous
forme
épidémique, dans diverses contrées de l'indoustan
Dans la scolie de l'observation XI, Forestus distingue nettement deux
formes
de peste. Dans l'une de ces formes, la fièvre pes
Forestus distingue nettement deux formes de peste. Dans l'une de ces
formes
, la fièvre pestilentielle est accompagnée de sign
es fondamentaux, auxquels il est aisé de rattacher ensuite toutes les
formes
secondaires que peut revê-tir la peste, quelque v
quelque variées qu'elles puissent paraître. Nous distinguerons trois
formes
principales, savoir: 1° la peste fou-droyante pes
he-not ; lre variété, de Clot-Bey). B. Prodrome commun aux diverses
formes
de la peste. — Pendant le cours des épidémies de
, les malades, et pré-vient toute réaction de l'organisme. Dans cette
forme
terrible de la maladie, les pestiférés succombent
ation extrême des forces, aphonie, tendance à la syncope, coma. Cette
forme
ataxique par excellence, est toujours des plus gr
o-mènes avant-coureurs. L'invasion se fait, en général, comme dans la
forme
précédente, par un frisson unique et violent ou p
ier point ; le pouls est fréquent, irré-gulier, faible, et sous cette
forme
, la maladie peut se prolonger parfois pendant dix
urs copieuses, par exemple (Chenot). ê. Il peut arriver, dans cette
forme
de la peste, que la fièvre soit assez peu marquée
es épidé-mies. La -peste sporadique se montre le plus souvent sous la
forme
bénigne. F. a. Cet aperçu de la symptomatologie
, et Valleix, Guide du médecin praticien, t. V, p. 541), a décrit une
forme
de la peste dans laquelle une éruption de charbon
, plus rarement en-core dans le creux poplité. Ils se présentent sous
forme
d'une tumeur ovoïde, lisse ou légèrement bosselée
sieurs vésicules surmon-tant une induration lenticulaire ; puis il se
forme
à l'entour une tumeur érysipélato-phlegmoneuse, d
semblables à ceux que nous venons de décrire ; revêtir, en un mot, la
forme
de fièvre charbonneuse, accompagnée ou non d'érup
les points habités de ce vaste territoire peuvent la voir régnei sous
forme
d'épidémies plus ou moins meurtrières ; mais il e
distinctement, à toutes les périodes de la maladie et dans toutes ses
formes
. Tantôt, par exemple, la prostration des forces s
à l'aide des cordiaux les plus énergiques ; tantôt, au contraire, la
forme
hyperthénique se dessinera assez franchement pour
ncore à de la suie. — Il se manifeste des hémorrhagies passives, sous
forme
d'épistaxis, de ménorrhagie, d'hématurie, d'hémop
y a indication évidente d'employer les émissions sanguines. — Dans la
forme
congestive, l'action du poison paraît être, dès l
se relève pas promp-tement de l'état de col lapsus qui caractérise la
forme
conges-tive, la mort survient nécessairement dans
ont efforcés, dans ces derniers temps, de légitimer l'existence d'une
forme
de la fièvre jaune dans laquelle la maladie se pr
maladie se montre cons-tamment, pendant sa première période, sous la
forme
d'une fièvre continue présentantparfoisdesexacerb
sure qu'on s'avance vers le nord de l'Amérique, ses apparitions, sous
forme
épidé-mique, sont moins fréquentes, sinon moins m
e dans les pays où elle est endémique et où elle revêt fréquemment la
forme
épidémique. Aux Antilles, pat-exemple, les étrang
unisse et le vomissement noir, dans l'ictère grave ; l'algidilé de la
forme
congestive se ren-contre dans le choléra asiatiqu
u moins en partie, dans la fièvre jaune, alors même qu'elle revêt une
forme
anormale, mettrait sur la voie du diagnostic. 7
vements con-vulsifs, sont aussi des signes du plus fâcheux augure. La
forme
congeslive est en général beaucoup plus grave que
augure. La forme congeslive est en général beaucoup plus grave que la
forme
inflammatoire. — On doit, suivant M. Dutroulau {l
uivant l'intensité des cas, la prédominance de certains symptômes, la
forme
que revêt la maladie, la période à laquelle elle
es derniers agents, si la maladie se présentait dès l'origine sous la
forme
congestive. L'opium, le camphre, le musc, trouven
ccessivement, une à une, à des intervalles très inégaux. Une bulle se
forme
tout à coup, en quelques heures, et acquiert rapi
(,3e degré). — Les capsules surrénales ont leur volume normal et leur
forme
habituelle. Elles sont divisées du hile au bord c
ire partie des éléments normaux du derme. Le pigment dans le derme ne
forme
pas une couche con-tinue, mais est réparti sur de
embrane déchi-rée en plusieurs endroits, elle prenait d'elle-même une
forme
sphérique. Examinée avec soin, on la trouvait com
oucher vaginal combinés donnèrent pendant la vie une bonne idée de la
forme
et des rap-ports de la tumeur. Les phénomènes les
dents qu'il cause du côté des voies urinaires, malgré la tumeur qu'il
forme
dans le rectum en le repoussant; cette tumeur du
qui aurait pu contenir un /erre de liquide. Cette ouverture était de
forme
ovalaire et avait près d'un pouce de hauteur ; la
ble; car elle seule peut faire connaître, d'une manière précise, leur
forme
et leur volume, service que la palpation ne pouva
lle a toujours été presque continue et ne s'est jamais présentée sous
forme
d'accès capable de faire croire à l'existence de
gion du flanc droit et dont la partie supérieure, qui rappelle par sa
forme
le bord tranchant du foie, descend jusqu'à deux t
sentaient, bien qu'elles ri eussent éprouvé bailleurs, soit dans leur
forme
, soit dans leurs autres caractères, une modificat
nt suspenseur du foie, la face supérieure et antérieure de cet organe
forme
la paroi inférieure d'un vaste kyste, dont le dia
t, coiffés par le péritoine. Us sont suspendus par un pédicule qui se
forme
très probablement par l'effet des tiraillements f
ourgeonnement n'est pas régulier et donne lieu à des excroissances de
formes
très variées. La membrane germinale et les échino
alors l'estomac se gonflait de telle sorte que l'on re-connaissait sa
forme
en examinant la paroi abdominale. C'est alors aus
quantité à'algue du froment (crypotococcus cerevisiœ, Kiitzinc). Elle
forme
à elle seule en-viron la moitié de la masse des m
ètre de long. Un certain nombre égale-ment sont remarquables par leur
forme
régulièrement ou presque régulièrement hexagonale
mesure qu'il absorbait Thumidité de l'air, et alors tous prenaient la
forme
hexagonale, avec des stries parallèles aux arêtes
vait le plus facilement ces cristaux, même lorsqu'il était élendu. La
forme
de ces cristaux et leurs réactions rapprochent ce
on ascendant ; 2° d'une partie du côlon transverse, qui remonte, sous
forme
d'anse, en avant du foie; 3° d'une petite partie
t dila-tées. Au commencement de l'S iliaque, nouvelle dilatation sous
forme
d'ampoule, puis nouveau rétrécissement; nouvelle
circonstances diverses qui peuvent modifier une même maladie, dans sa
forme
et dans ses tendances vers la guérison ou vers la
n, devrait-on les prescrire si la maladie venait à revêtir une de ces
formes
graves dont les fièvres intermit-tentes pernicieu
s accès de goutte articu-laire, principalement lorsqu'il s'agit de la
forme
asthénique de la maladie. On trouverait au besoin
érapeutique. «La gravité incon-testable de la pneumonie, sous quelque
forme
que cette mala-die se présente, suffit pour nous
des catégories, et se poser en-suite le problème sous cette nouvelle
forme
: Y a-t-il des pneumonies qu'il est avantageux
c'est dans l'intensité plus ou moins grande de l'affection, dans la
forme
qu'elle revêt, dans l'influence de la constitutio
e comptée au nombre des plus tardifs : ceux-ci, très variés dans leur
forme
, mais remarquables presque toujours par leur gran
nt sont décom-posés et passent à l'état insoluble principalement sous
forme
d'oxyde d'ar-gent et d'argent métallique et peut-
rs douleurs dans le dos à peu près continues, mais s'exaspé-rant sous
forme
d'accès et accompagnée d'un sentiment de cons-tri
où la dose du médicament était accrue. En somme, aux doses et sous la
forme
que nous avons indiquées, le nitrate d'argent a
comme nous ne savons pas encore, d'une manière positive, sous quelle
forme
les sels d'argent ingérés dans l'estomac sont abs
opérations de la nature, car il est assez probable que c'est sous la
forme
d'une combinaison pro-téique que l'argent pénètre
de cette base : en effet, le métal est toujours absorbé sous quelque
forme
qu'on l'administre, et du moment qu'il a pénétré
andes croit qu'il existe à l'état d'oxyde, et Krahmer prétend qu'il
forme
un albuminate. On attribue en général ce singulie
point de vue médi-cal, une action à peu près identique. Sous quelque
forme
qu'on l'administre, l'argent, dissous dans les su
nt sont décomposés et passent à l'état insoluble, principalement sous
forme
d'oxyde d'argent et d'argent mé-tallique ; et cep
être administré en pilules ou en solution ; mais, sous cette dernière
forme
, il est beaucoup plus irritant. Powel a pu en pre
sont au nombre de 17, 12 femmes et S hommes; tous appartenaient à la
forme
poly-articulaire. La plupart étaient d'intensité
t à penser que cette médication n'est pas applicable seulement à la
forme
aiguë du rhumatisme articulaire. Je l'ai vue déjà
ulaire. Je l'ai vue déjà plusieurs fois suivie de bons effets dans la
forme
subaiguë de la maladie, et même aussi dans sa for
ns effets dans la forme subaiguë de la maladie, et même aussi dans sa
forme
chronique primitive, au moment de ces exacerbatio
as où le rhumatisme articulaire, qui s'était présenté d'abord sous la
forme
aiguë généralisée, s'est, au bout de quelques jou
— convalescence, 133; — variétés, 133 ; — type inflamma-toire, 134; —
forme
congestive, 134; — forme algide, 134; — bé-nigne,
ariétés, 133 ; — type inflamma-toire, 134; — forme congestive, 134; —
forme
algide, 134; — bé-nigne, 134; — type rémittent et
démie de St-Pétersbourg, 74, 85 ; — inva-sion, 75; — symptômes, 76; —
forme
simple, 76; — forme bi-lieuse, 77; — terminaison
urg, 74, 85 ; — inva-sion, 75; — symptômes, 76; — forme simple, 76; —
forme
bi-lieuse, 77; — terminaison des accès, 78 ; — ph
iographie, 93: — défini-tion, 95;— synonymie, 95; — symptômes, 96 ; —
formes
, 97; — prodrmes communs, 97; — peste foudroyant
; — formes, 97; — prodrmes communs, 97; — peste foudroyante, 98; —
forme
ataxique, 99; — peste grave, 100 ; — bubons, 10
. En premier lieu, c'est la sclérodermie considérée dans une de ses
formes
, la forme dactylique, scléro-dactylie de M. Bail,
ier lieu, c'est la sclérodermie considérée dans une de ses formes, la
forme
dactylique, scléro-dactylie de M. Bail, variété m
e. En second lieu, vient la lèjore, mais la lèpre envisagée dans la
forme
dite anesthésique, variété mutilante, lepra mutil
le M. le professeur Bail, qui en a fait une importante étude, est une
forme
de la maladie, décrite autrefois par Alibert, pui
tions, les quatre doigts de chaque main sont pris. Ils ont perdu leur
forme
primitive et ils sont devenus absolument coniques
isse et ne présente à peu près aucune trace de rides. La bouche a une
forme
singulière ; elle est en quelque sorte complèteme
ostic de cette maladie. Arrivons maintenant à la lèpre. C'est de la
forme
anesthésique exclusivement que je veux vous parle
ns. Tout anesthésique qu'elle soit et différente en apparence dans la
forme
de la lèpre tuberculeuse, elle lui est cependant
par Cornil sur les lépreux de Grenade. Souvent, d'ailleurs, les deux
formes
coïncident. C'est aujourd'hui pour nous une mal
ue, quand les malades l'ignorent et qu'elle se présente chez eux sous
forme
d'atrophie musculaire, en particulier des mains.
mains. Voici quelles sont les déformations que peut produire cette
forme
de lèpre au niveau des extrémités et en particuli
s; tremblements hystériques oscillatoire, vibratoire et intentionné!.
Formes
généralisées ou partielles. Leur mode d'apparitio
attachera désormais à l'étude de ce phénomène. L'hystérie, dans cette
forme
, pourra simuler toutes les espèces de tremblement
ons qu'ils se montrent tantôt généralisés, tantôt partiels, tantôt de
forme
monoplégique, paraplégique ou encore hémiplégique
à la suite d'une attaque hystérique, quelle qu'en soit d'ailleurs la
forme
, convulsive ou apoplectique, constituera un carac
des types que je viens de vous signaler tout à l'heure. Il s'agit de
formes
généralisées du tremblement hystérique. Je n'ai e
ue. Je n'ai en ce moment, sous la main, aucun sujet atteint d'une des
formes
localisées. Mais j'espère vous en montrer un jour
une de ses conférences cliniques (1), un nouveau malade atteint de la
forme
intentionnelle du tremblement hystérique. Je donn
rle, chez la malade en question. Bien qu'elle se présente là sous une
forme
relativement un peu anormale, le cas, vous le rec
ine ne paraît pas constituer une entité, une unité; elle comprend des
formes
, deux au moins, tellement différentes par leurs a
sont depuis lontemps devenus coutumiers du fait. A propos de cette
forme
de la migraine, je rappellerai que le pronostic p
a douleur s'accompagne d'ailleurs généralement, comme dans les autres
formes
de la migraine, de malaises, de nausées et de vom
crit. Mais, dans tous ces auteurs, je ne vois guère signalée qu'une
forme
de l'œdème que nous appellerons, si vous voulez,
ai pas trouvé, autant que je sache, de mention explicite d'une autre
forme
d'oedème, qui, comme celui de Sydenham, est repré
e qu'elle frappe l'œil tout d'abord, si je puis ainsi parler. Cette
forme
d'œdème névropathique ne diffère point, je pense,
articulations des phalanges ; la peau à ce niveau, à la face dorsale,
forme
un bourrelet très accusé, de coloration plus fonc
de la colonne vertébrale. Du côté du genou, légère modification de
forme
due peut-être aux altérations du tissu sous-cutan
-sacré, dit M. le professeur Lannelongue, elles se présentent sous la
forme
de sciatique, de névralgie crurale ; elles ne dev
ez, les sciatiques en primitives et symptomatiques ; on distingue une
forme
bénigne qui relève plutôt de la scia-tique-névral
ne forme bénigne qui relève plutôt de la scia-tique-névralgie, et une
forme
grave qui appartient à la sciatique-névrite, ce q
ction des cellules motrices. Ce procespus se rencontre dans certaines
formes
de l'alcoolisme et de la diphthérie comme l'ont m
nt donné de rencontrer une paralysie double des muscles de l'œil sous
forme
d'Ophthalmoplegie externe. Dufour en compte 19 ca
également, et le segment de membre a conservé presque complètement sa
forme
. Aux mains la paume présente l'aplatissement de l
t au premier abord absolument indemnes. Les cuisses ont conservé leur
forme
normale, ainsi que les jambes. La résistance à to
eur gauche. — Dynamomètre = 0. La main ne serre pas du tout. La paume
forme
un creux que le malade ne peut faire disparaître.
r partie inférieure qu'à leur partie supérieure, des bras qui ont une
forme
cylindrique, des épaules qui ont perdu leur ronde
ir le malade debout. L'amaigrissement du triceps est tel que le genou
forme
comme une forte saillie entre la cuisse et la par
lioencéphalite : la myopathie progressive, en par- tieulier dans sa
forme
facio-scapulo-humérale. L'ha-bitus extérieur est
adie myopathique. On peut en dire autant du faciès si spécial de la
forme
facio-scapulo-humérale de la myopathie. La chose
trophie musculaire, troubles de la sensibilité, troubles tro-phiques.
Formes
frustes et atypiques. Symptômes de la maladie d
dernières années de la syringomyélie et de la maladie de Morvan, deux
formes
noso-graphiques récemment introduites dans la cli
roupe morbide dit maladie de Morvan ne serait plus qu'un épisode, une
forme
, une variété delà syringomyélie. Il est devenu
e seulement, tout originale qu'elle puisse paraître cliniquement, une
forme
atypique de la maladie syringomyélique (1). Mai
e musculaire progressive généralisée dans de certaines conditions, il
forme
un ensemble caractéristique, surtout s'il s'y joi
pasmosdique, ceux-ci au groupe tabétique. Telle est en raccourci la
forme
typique de la syringomyélie. Mais, de même que da
ante de la 5e paire), il fallait s'attendre à voir intervenir ici les
formes
atypiques, anormales, frustes, par dégradation du
gradation du type, ou par adjonction de symptômes extrinsèques. Ces
formes
frustes et anormales n'ont pas encore, comme dans
t qu'un. Toutefois, en raison de leurs caractères spéciaux, certaines
formes
de la syringomyélie devront être vraisemblablemen
vie clinique. Je vous proposerai, en conséquence, d'appliquer à cette
forme
la dénomination de syringomyélie, type Morvan (2)
0, M. Jules Worms faisait connaître l'existence dans le diabète d'une
forme
de névralgie double et symétrique, tantôt sciatiq
ont encore plus loin et admettent l'existence, dans le diabète, d'une
forme
paralytique ou mieux paraplégique et plus précisé
aient rendre impossible la distinction entre le tabès et le diabète à
forme
paraplégique. Il n'y aurait plus pour faire le di
les paraplégies diabétiques rentrent dans ce cadre et si, outre cette
forme
-là, on n'en trouvera point d'autres dans lesquell
rne et moyenne, puis sortent de l'épaisseur de ce dernier organe sous
forme
d'un tronc unique qui n'est autre chose que l'ocu
grand'mère enfin est atteinte déjà depuis longtemps de folie à double
forme
. Voilà bien un tableau complet d'hérédité conve
le a eu dans sa première enfance la rougeole et la variole sous une
forme
bénigne. A sept ans, elle a commencé à fréquenter
oici venir la période critique. Il s'agit maintenant de discerner les
formes
imparfaites, les formes frustes de la maladie, et
itique. Il s'agit maintenant de discerner les formes imparfaites, les
formes
frustes de la maladie, et l'histoire de ces 1 L
Leçon du 5 mai 1891, recueillie par M. Hallion, interne du service.
formes
, qui serait si intéressante pour éclairer le diag
. Je n'insiste pas, vous connaissez l'influence de la scoliose sur la
forme
de la cage costale. J'ajoute qu'il n'existe dans
Mais la disposition de cette zone est bien singulière. Pourquoi cette
forme
de languette sur le bord interne du bras et de l'
re commise. En raison de la multiplicité de ses localisations, de ses
formes
et de ses dimensions, la lésion lacunaire est cap
ties blanches adjacentes et, de ce fait, il est permis d'admettre une
forme
clinique en quelque sorte typique et caractérisée
modique pure et simple. Il n'est pas à notre connaissance que cette
forme
clinique ait encore été signalée. En dehors de
linique fondamental. D'ailleurs si le syndrome de Morvan répond à une
forme
fruste de syringomyélie, nous savons, à n'en pas
circumduction, sans faire aucun effort pour lever le pied. Dans cette
forme
« on balaie le sol en marchant. » Ce signe est
était fort atténuée chez notre malade ; elle n'existait plus que sous
forme
d'ébauche, de vestiges qui ne sont pas encore eff
, c'est-à-dire une destruction irréparable. En d'autres termes, il se
forme
un foyer de ramollissement. Et si l'artérite qui
nir assombrir encore une situation déjà si profondément triste. Des
formes
frustes de la sclérose en plaques ( I ) ; Somma
Des formes frustes de la sclérose en plaques ( I ) ; Sommaire. —
Formes
classiques, spinale, cérébrale et cérébrospinale
laires. Vertiges, attaques apoplectiformes. Mobilité des symptômes.
Formes
frustes par effacement. Formes atypiques abortive
lectiformes. Mobilité des symptômes. Formes frustes par effacement.
Formes
atypiques abortives ou frustes primitives. Formes
tes par effacement. Formes atypiques abortives ou frustes primitives.
Formes
atypiques par intervention de phénomènes insolite
ue, tabétique, latérale amyotrophique. Présentation d'un exemple de
forme
fruste par effacement. Messieurs, La sclérose
ntion aujourd'hui — et ceci nous servira d'introduction à l'étude des
formes
anormales — sur certaines manifestations moins bi
e qu'il va tout à l'heure nous servir de guide dans le diagnostic des
formes
atypiques que nous allons aborder ensemble. Lai
ument d'une portée en quelque sorte décisive (1) .» Au surplus, ces
formes
atypiques ont déjà une histoire que je dois vous
gaire, l'incoordination motrice par exemple... De ce jour l'étude des
formes
anormales du tabes était inaugurée. En raisonnant
ette médicale de Paris, 8 janvier 1878. (2) Charcot. Diagnostic des
formes
frustes de la sclérose en plaques, Progrès médica
de la Clinique deux malades atteints de sclérose en plaques anormale (
forme
paraplégie spas-modique avec nystagmus). Tous les
ent..... 2° Les signes concomitants, que l'on constate souvent sous
forme
d'embarras de la parole, de diplopie, de nystagmu
e de pratiquer l'examen ophtalmoscopique. (1) Bouicli. Anomalies et
formes
frustes de la sclérose en plaques. Th. de Paris,
ou la bandelette. Il est clair que la constatation, dans certaines
formes
anormales de sclérose en plaques, de lésions opht
tance de l'examen ophthalmoscopique au point de vue du diagnostic des
formes
atypiques de la sclérose en plaques. Vous devrez
oubles de la vision. J'arrive maintenant à l'étude diagnostique des
formes
anormales ou frustes de la sclérose en plaques. J
aques. Je dis frustes en appliquant cette épithète indifféremment aux
formes
effacées et aux formes incomplètes, en dépit des
n appliquant cette épithète indifféremment aux formes effacées et aux
formes
incomplètes, en dépit des critiques de certains p
laissé entraîner et poursuivons notre étude. Le tableau général des
formes
frustes de la sclérose en plaques peut se diviser
e la sclérose en plaques peut se diviser en trois parties : A). Les
formes
atypiques ou frustes par effacement. — Il s'agit
). Les formes atypiques ou frustes par effacement. — Il s'agit ici de
formes
effacées, frustes dans le sens restreint des puri
de formes effacées, frustes dans le sens restreint des puristes. Ces
formes
sont le plus souvent représentées en clinique par
e sclérose en plaques fruste appartenant à cette catégorie. B). Les
formes
atypiques abortives ou frustes primitives. — Ici
arrêt de développement et n'est jamais arrivée au type parfait. Cette
forme
anormale est également représentée d'ordinaire pa
c. Je vais dans quelques instants vous en donner la preuve. C). Les
formes
atypiques ou frustes par intervention de phénomèn
étés principales : Io La variété hémiplégique. — L'hémiplégie, sous
forme
d'hémiplégie cérébrale, n'est pas absolument étra
itive et devenir le signe prédominant. Vous avez alors devant vous la
forme
hémiplégique, cette variété si curieuse déjà indi
alades qui vont nous permettre de constater de visu la réalité de ces
formes
frustes et d'appliquer les principes nécessaires
ule, je veux dire les notions fondamentales pour le diagnostic de ces
formes
frustes. Vous voyez que ses mains ne tremblent pl
ire aigu ; elle a progressé insensiblement et a fini par atteindre la
forme
complète et typique de la sclérose cérébro-spin
ons appris à connaître le tremblement hystérique qui, sous une de ses
formes
(type Rendu), simule à s'y méprendre celui de la
at. J'en ai fini pour aujourd'hui avec cette étude générale sur les
formes
frustes de la sclérose en plaques. Vous connaisse
ystériques. « Ce phénomène, dit-il, est fréquent dans les psychoses à
forme
dépressive, dans l'hypocondrie, la mélancolie; on
I, avant de présenter des crises véritables de bâillements, deuxième
forme
de cette manifestation, bâillait pour ainsi dire
s convulsives limitées ou généralisées de l'hystérie se groupant sous
forme
d'attaques. Il existe dans tous ces cas un fonds
tempes; puis, après un temps variable, éclatent les bâillements sous
forme
d'accès. Ils se précipitent alors beaucoup plus
ccès. Ils se précipitent alors beaucoup plus rapidement que dans la
forme
précédemment décrite, empiétant les uns sur les a
nt pour passer à l'état intermittent ou revenir ultérieurement sous
forme
d'une nouvelle crise. Il est bien rare que la c
e période ou de délire. La prédominance des bâillements fixe seule la
forme
de l'attaque. Parfois l'attaque de bâillements
ntiel peut se poser. Lorsque les bâillements ne sont pas groupés sous
forme
d'attaques, le rythme et la cadence sont des élém
e convulsive, sont également applicables aux bâillements hystériques,
forme
rare de l'attaque. Dans un cas que nous avons obs
s d'une série de bâillements précipités, convulsifs, se groupant sous
forme
d'attaque. Or, nous notons encore dans cette péri
e les bâillements qui surviennent à l'état isolé sans se grouper sous
forme
d'attaques n'influencent pas les phénomènes nutri
e temps qu'elle. C'était une hystérique vulgaire à grandes attaques à
forme
de somnambulisme nocturne, qui se mit, sous l'inf
; tremblements hystériques oscillatoire, vibratoire et intentionnel.
Formes
généralisées ou partielles. Leur mode d'apparitio
trophie musculaire, troubles de la sensibilité, troubles tro-phiques.
Formes
frustes et atypiques. Symptômes de la maladie d
ésentation d'un malade de cette seconde catégorie. . 385 XXI. Des
formes
trustes de la sclérose en plaques. (Leçon). S
es formes trustes de la sclérose en plaques. (Leçon). Sommaire. —
Formes
classiques, spinale, cérébrale et cérébrospinale
laires. Vertiges, attaques apoplectiformes. Mobilité des symptômes.
Formes
frustes par effacement. Formes atypiques abortivc
lectiformes. Mobilité des symptômes. Formes frustes par effacement.
Formes
atypiques abortivcs ou frustes primitives. Formes
tes par effacement. Formes atypiques abortivcs ou frustes primitives.
Formes
atypiques par intervention de phénomènes insolite
e, tabétique, latérale amyo-trophique. Présentation d'un exemple de
forme
fruste par effacement........;..........399 XXI
aralysie agitante : démarche dans la —, 50 ; tremblement hystérique à
forme
de —, 50. Paralys:e faciale hystériq ue, 290, 2
thésies dans la —, 400 ; Troubles oculaires dans la —, 400, 403, 407;
Formes
frustes de la —, 402, 409; Diagnostic des forme
—, 400, 403, 407; Formes frustes de la —, 402, 409; Diagnostic des
formes
frustes de la —, 405 ; Formes abortives delà—, 41
tes de la —, 402, 409; Diagnostic des formes frustes de la —, 405 ;
Formes
abortives delà—, 410; Forme hémiplégique de la ,
nostic des formes frustes de la —, 405 ; Formes abortives delà—, 410;
Forme
hémiplégique de la , 411; Variété tabétiforme de
syringomyélie, 336. Tremblement hystérique, 46 ; classification et
formes
diverses dos — hystériques, 50 ; — hystérique et
le. A propos des psychoses fonctionnelles, Sommer a insisté sur les
formes
peu connues des praticiens (démence paranoïde,
sabre à la partie moyenne pour retrouver en partie aux épiphyses sa
forme
cylindrique. Les arti- culations scapulo-huméra
41 Tête assez grosse, volumineuse à la partie supérieure. Crâne :
forme
ovoïde : la partie postérieure est très volumineu
al, jusqu'à neuf mois. Surviennent à ce moment des convulsions sous
forme
d'état de mal (2 heures), qui se 1'ir, tl. Lem.
es fréquemment de neuf mois à deux ans presque quotidiennement sous
forme
plutôt de petits accès. De deux à trois ans, el
de 60 ans. C'était un imbécile congé- nital, dont la tête était de
forme
à peu près normale, le corps et 64 REVUE D'ANAT
s de la moelle, qui ne conservent que le degré le plus faible ou la
forme
la plus élémentaire d'irritabilité réflexe. H
RVEUSE. 69 Il s'agit de deux cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse d'une
forme
particulière caractérisée : 10 Par le début p
ntestable et que la grande névrose est susceptible de créer'une des
formes
quelconques de l'aphasie motrice ou de l'aphasie
ait exister. (Revue neurologique, avril 1901). E. B. VII. Sur une
forme
de myopathie progressive primitive avec ptosis
M. le D 1. MARIE. La division de la myopathie progressive en trois
formes
, d'après la localisation de l'affaiblissement m
faiblissement débute et se localise dans les membres inférieurs, la
forme
est dite de Leyden llfubius; quand il occupe su
ceinture scapulaire et de la ceinture pelvienne, on a affaire à la
forme
juvénile de Erb ; enfin, si les muscles des lèv
culaire des paupières sont affectés, on se trouve en présence de la
forme
facio-scapulo-liumérale de Landouzyet Déjerine.
mérale de Landouzyet Déjerine. Il semble cependant qu'a côté de ces
formes
fondamentales il y ait lieu de faire une place
rités assez importantes, ne sauraient être classées dans aucune des
formes
précitées. Dans l'observation qui fait l'objet
ssement des muscles masticateurs qui n'appartiennent nullement à la
forme
facio-scapulo-liumérale de la myopathie. C'est
on des mouvements de masti- cation, qui n'appartient nullement à la
forme
facio-scapulo- humérale. (Revue neurologique. l
du plexus bracliial, ne constitue pas un syn- drome spécial à cette
forme
de syringomyélie (Revue neurologique. Février 1
juillet 1902). Cas. L Atrophie musculaire progressive juvénile, (
forme
d'Er6). Fillette de six ans, d'origine russe :
'un traumatisme. Plus tard, apparurent des troubles mentaux sous la
forme
de catatonie agitée. Réactions électriques des
s les idées sociologiques ne permettent plus de maintenir sous sa
forme
absolue le dogme du secret professionnel. Si la m
suivant leur cas pathologique, c'est l'une ou l'autre de ces trois
formes
qui assure l'eflicacité de la suggestion thérap
dentels, 102 alcooliques habituels, 71 dipsomanes, 19 alcooliques à
formes
mélangées, en tout 250 hommes. Les alcoo- lique
res d'infortune de la victime pour laquelle je plaide, je me trans-
forme
en accusateur. et je demande la condamnation d'un
Ires obliquement en haut et en arrière. L'inclinaison decette face
forme
avec 1'liorizotilaie l'angle que nous avons sig
nt, comme on peut s'en rendre compte en 10, fig. 19, notamment, une
forme
irrégulière; ils sont gonflés et tortueux, parfoi
rés; leur article externe est presque toujours très gonflé, il a la
forme
d'une sphère, énorme parfois, il a éclaté en ce
e couche, sont plus ou moins altérées, quel- ques unes perdent leur
forme
polygonale et sont plus ou moins ar- rondies, l
onstatation de la glycosurie alimentaire et de l'urobi- linurie, la
forme
polycyclique de la courbe d'élimination du bleu
é, chez un brightique, s'est développée une me- ningo-encéphalite à
forme
spéciale (type Klippel). Chez ce malade, sur le
tique qui sera institué remplacera et sera le supplément des autres
formes
de travail manuel. L'opinion formulée par les
ement d'hy- drothérapie. On y traite des malades libres affectés de
formes
de psychoses légères, et les cas de troubles me
sont moins communs chez les paralytiques généraux que dans d'autres
formes
de folie, la folie sénile, par exemple. Les cri
ment fréquents, et le plus souvent la tendance au vol accompagne la
forme
expansive de la maladie ; elle est rare chez le
e sait, communs au début de la paralysie générale sur- tout dans sa
forme
expansive. , L'auteur s'attache ensuite à étudi
présentent des signes de sénilité prématurée, et Cullerre a noté la
forme
dépressive dans les cas où la maladie est assoc
0 paralytiques alcoo- liques, Talon n'a rencontré que douze fois la
forme
expansive. Même observation pour l'intoxication
énérale survient chez un persécuté, il est naturel de penser que la
forme
affective en subisse l'influence et sera une fo
de penser que la forme affective en subisse l'influence et sera une
forme
dépressive ; c'est ce que l'ou observe en effet.
ique est saine et normale, les sentiments effec- tifs revêtiront la
forme
optimiste, et si cette forme est particulière-
s sentiments effec- tifs revêtiront la forme optimiste, et si cette
forme
est particulière- ment fréquente, c'est que la
les mêmes symptômes opti- mistes doivent se retrouver dans d'autres
formes
de démence, où l'intégrité des fonctions organi
dans l'alcoolisme (Régis, Camuset), dans la démence due à d'autres
formes
de lésions organiques du cerveau (Jastrowitz, B
s du goût et de l'odorat : les idées délirantes revêtent souvent la
forme
sexuelle. 158 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. L'inf
pé- rale et folie de l'allaitement. La folie de la grossesse est la
forme
la plus rare, la folie puerpérale la forme la p
e de la grossesse est la forme la plus rare, la folie puerpérale la
forme
la plus commune. L'étude des cas observés à Bro
ur, parfois, se prolonger à un âge avancé. Il apparaît seul sous la
forme
de dmii- nution du réflexe de la déglutition, o
aucun point de l'aire motrice. Il. de Musgravë-Clvy. XXVIII. Les
formes
silencieuses de l'Epilepsie ; par William P. SP
tobre 1902). On a soutenu depuis longtemps, et avec raison, que les
formes
mineures de l'épilepsie, notamment le petit mal
e les formes mineures de l'épilepsie, notamment le petit mal et les
formes
plus purement psychiques étaient plus difficile
ans lesquelles le cerveau n'est intéressé que secondairement. Les
formes
silencieuses de l'épilepsie ont leur point de dép
les lobes frontaux. Ces altérations peuvent donner naissance à deux
formes
d'épilepsie : l'épilepsie psychomotrice et l'ép
ésulte de leurs recherches que les aphasiques, quelle que soit leur
forme
nonsographique ont une association extrêmement
aines secousses myocloni- ques qui sont d'ailleurs comme les autres
formes
du mal comitial heureusement influencées par le
condriaques reposent sur J'hyperesthésie gastro-in- testinale. La
forme
zoopathique interne du délire s'explique par la d
t dans toute sa fécondité. On avait multiplié, comme à plaisir, les
formes
ou types d'atrophie musculaire progressive. Le me
progressive; il propose de les ramener à deux grandes espèces : une
forme
spinale qu'on dési- gna encore sous le nom d'at
le nom d'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenue; une
forme
myopathique, maladie essentiellement familiale,
uchenne ; il n'existe pas de ligne de démarcation absolue entre les
formes
spinale myopathique d'atrophie musculaire progres
es spinale myopathique d'atrophie musculaire progressive, entre les
formes
familiale et non familiale. Nous connaissons au-
rmes familiale et non familiale. Nous connaissons au- jourd'hui une
forme
d'atrophie musculaire progressive (type We)'<
c art, ainsi que les retours vers leschapitres antécédents, sous la
forme
de coups d'oeil rétrospectifs, tant les argumen
pectifs, tant les arguments frappent, présentés qu'ils sont sous la
forme
de faits qui imposent la conviction. Pourtant une
qu'elle a pris dans le dernier quart de ce siècle. Ecrites sous une
forme
animée, souvent attrayante, ces leçons font une
, de Kraepetin, après quoi M. Rogues de Kursac étudie chacune des
formes
dont nous donnons la liste : Psychoses infectieus
rt doublé d'un médecin très érudit. Une revue rapide de différentes
formes
cliniques d'amnésies et de leurs causes les plu
u de la responsabilité pénale qu'entraînent souvent ces.différentes
formes
d'amnésie. On ne saurait trop féliciter M. Maxw
s démonstrative, en quoi elles s'expriment justement et dans quelle
forme
, je me permets de citer ici un des cas de ce ge
déjà exclut l'existence ici du délire de jalousie, comme l'une des
formes
de la paranoïa raisonnante ; la malade en quest
s ce cas de jalousie hystérique, qui s'exprime dans une toute autre
forme
; cette malade n'a point de symptômes de dégénér
ère scrupulo-inquiet, apparais- sant, d'après notre avis, comme une
forme
peu accentuée de la constitution idéo-obsessive
malade aussi existent des idées hypochondriaques, s'exprimant en
forme
d'une peur d'avoir une maladie psychique avec per
s accessoires. Pourtant, vu cela que les peurs obsédantes dans la
forme
indiquée ne sont pas tout à fait ordinaires pour
tes ont revêtu cette manifestation particulière externe. La seconde
forme
de peurs obsédantes, sur laquelle nous voudrion
e cas donné existait encore une peur de voir les objets modifiés en
forme
, lorsqu'ils se reflètent dans quelque chose de
s de la constitution idéo-obsessive qu'on peut considérer comme une
forme
psychopathologique autonome. CLINIQUE NERVEUSE.
a Fondation Vallée. État actuel (juin). La tête est normale dans sa
forme
et ses dimensions. Les cheveux, châtain foncé,
modi- fiées, rappellent une expression grossière : c'est plutôt une
forme
de coprolalie qu'une véritable écholalie. Exe
tatonie » avait surgi, quelles étaient ses relations avec les autes
formes
morbides, quelle était la place qu'elle devait
tent pas moins d'être connus. Je veux parler- des crises épilepti-
formes
survenant dans la forme catatonique de cette affe
nnus. Je veux parler- des crises épilepti- formes survenant dans la
forme
catatonique de cette affection, et dont nous av
ont les stéréotypies du mouve- ment, certains tics, les différentes
formes
d'échokinésie ou d'écho- praxie. Ces deux tro
ction motrice existent aussi, à des degrés variables, dans diverses
formes
de psychoses et de névro- ses, et même au cours
a- tion et une inflammation avec diapédèse intense. Mais les deux
formes
s'entraînent étroitement et la seconde peut sans
a possibilité de toutes les transitions entre le délire aigu et les
formes
les plus len- tes de la paralysie générale. D
e pas davantage l'inflammation diapédétique. Quel- ques-unes de ces
formes
ont été décrites sous le nom de pseudo- paralys
l'opposition des lésions avec celles des 234 i SOCIÉTÉS SAVANTES.
formes
inflammatoires, tantôt celui de paralysies généra
ans la longue série des cas, par rapport à ce qu'elles sont dansles
formes
les plus franchement inflammatoires, des encéph
si le stade initial varie suivant les cas et en particulier si les
formes
inflammatoires ne sont pas tout d'abord des tas
s inflammatoires ne sont pas tout d'abord des tascitla7,ites et les
formes
dégénératives des dégé- nérescenees nerveuses p
es dégé- nérescenees nerveuses primitives. Mais, dans ces dernières
formes
, j'ai toujours trouvé des dégénérescences des v
ortion en est variable. On peut admettre théoriquement que dans les
formes
et dans les phases où l'infection est la plus aig
lus aigui', il existe un bon nombre de polynucléaires, que dans les
formes
et dans les phases les plus lentes, ce sont les
de l'agent infectieux sur telle ou telle portion de territoire, les
formes
cliniques que peut revêtir la para- lysie génér
contre toutes les transi- tions entre certains délires aigus et les
formes
les plus chroniques de paralysies générales. J'
sies générales, entre lesquels il existe, d'ailleurs, de nombreuses
formes
intermédiaires. Un premier groupe est constitué
t. Les omoplates sont peu modifiées dans leur position ou dans leur
forme
. Cepen- dant celle du côté gauche est plus sail
NTES. rapide et fatale, avec fièvre et signes infectieux. C'est une
forme
fébrile de tahes qui n'a pas encore été décrite
limites, en sorte qu'on peut établir des chiffres moyens servant de
formes
de comparaison. 2° En cas d'hypotonie, le nombr
délire, multiplié des dénonciations reconnues mal fondées. Sur la
forme
la plus habituelle des troubles de mentalité qui
éritables délires. Les maladies qui les ont causées, comme aussi la
forme
du trouble mental, étaient diverses. Cependant,
infectieux prend la pre- mière place, on reconnaît qu'il existe une
forme
à peu près cons- SOCIÉTÉS SAVANTES. 269 tante
forme à peu près cons- SOCIÉTÉS SAVANTES. 269 tante. C'est cette
forme
que présentent, avec des variations d'intensité
SOCIÉTÉS SAVANTES. 275 manifester de différentes façons : 1° ses
formes
légères s'expriment par un caractère scrupulo-i
(psychopathie) ; 3° les cas encore plus graves s'expriment sous la
forme
de psychose, d'idées obsédantes (psychose idéo-ob
idéo-obses- sice). Il va sans dire qu'il existe un grand nombre de
formes
tran- sitoires se rapprochant l'une ou l'autre
me survenir d'emblée chez un vieillard. La symptomatologie de celte
forme
ne diffère guère de celle de la neurasthénie de
pour moi cette conviction pro- fonde que D... est atteint de cette
forme
particulière de dégéné- rescence mentale que l'
s phy- sico-chimiques les produisent on peut reconnaître diverses
formes
de l'agitation. En l'absence de données sur la ca
e dément précoce, le dément paralytique ou sénile. C'est sous cette
forme
que l'agitation est le plus incoercible. Dans c
pouvons dire espèces, car il existe de l'une à l'autre de multiples
formes
de passage, on doit reconnaître tous les degrés
ormale du sommeil. Mais llichelson a observé une courbe d'une autre
forme
. La précédente traduit une augmentation et une
sont lentes à se produire et sont moins marquées que dans l'aulre
forme
; mais aussi le sommeil reste plus profond jusqu'a
pas ceci ne peut être accepté que sous toutes réserves. Les deux
formes
de la courbe se retrouveraient chez les circu-
vation clinique, on peut chercher à établir un certain nombre de
formes
d'insomnie chez ces malades. Pour schématiser, ad
du sommeil, mais de l'insomnie. Une place à part appartient à une
forme
d'insomnie très spé- ciale que Janet a décrite
éces- sité d'élever les doses ; ou peut admettre qu'il n'y a pas de
forme
d'insomnie qui résiste à son action ; mais chez
umance devra rendre très prudent. Chez les aliénés, il n'est pas de
forme
morbide qui n'ait été soumise avec succès à son
sommeil est précédé d'une période d'excitation qui peut prendre la
forme
d'une véritable ivresse. Il est impossible actu
médicament utile et précieux dans l'anxiété et un certain nombre de
formes
mélancoliques. Il est un médicament que je ne v
é l'institu- tion Solvay. Séance du 7 août (soir). Note sur une
forme
particulière de sitiophobie. M. A. Cullerre (La
cependant, échappent à cette pathogénie et sem- blent relever d'une
forme
d'anorexie voisine de l'anorexie hystén- que (L
Lasègue, Cliarcot) ou plutôt de l'anorexie mentale (Sollier). Cette
forme
est assez rare; les troubles psychopathiques du m
ve dans les clas- sifications existantes ? Eléments du choix : âge,
forme
délirante, date de la maladie, etc. Organisatio
mptôme, en somme, ne nous permet de croire qu'elle donne lieu à une
forme
cliniquement différenciable de l'amyotrophie sp
, pathoio- giques ou non, d'altération psychique. Les différentes
formes
cliniques peuvent donner à la démence certains
par altéra- tion congénitale. Chez le dément précoce , l'inhibition
forme
la base de l'état psychique; le dément précoce
s sur l'étendue du tableau clinique delà folie maniaque dépressive.
Formes
prolon- gées. (Démonstration). Y a-t-il une exa
dépressive ? (Démonstration). Existe-t-il une vraie folie à double
forme
qui n'appartienne à la folie maniaque dépressive
d'un trouble régulièrement périodique, assez semblable à certaines
formes
de délire circulaire. Mais ce qui est singulier
crises se sont régularisées comme de véritables tics et ont pris la
forme
périodique dans laquelle elles réapparais- sent
sse de son scepti- cisme et faire pénétrer ses suggestions sous une
forme
convenable. D'après notre expérience, c'est l'é
eligieuse ? Nous pensons que la suggestion à l'état de veille, sous
forme
ma- térialisée, doit entrer dans l'arsenal thér
e, cryogénine, parodyne et autres du même genre. Sa terminaison «
forme
» pourrait faire penser à tort qu'il s'agit d'un
ne autre partie des circonvolutions centrales; dans la partie qui
forme
le centre du nerf gtosso-pharyngien et voici le r
anée et de tout neurofibrome, on doit songer à la coexistence d'une
forme
incomplète de la maladie de Heckling- hausen av
on, la résistance de l'affection aux agents thérapeuti- ques. Une
forme
spéciale de spasme facial a été décrite dans des
s du consilium admirent en ce cas l'acromegalie et comme dans cette
forme
du dérangement de la nutrition du cerveau l'hypop
tte des mains et des pieds était proportionnellement développé : la
forme
de la main ne pou- vait aucunement être désigné
te pression se développa peu à peu l'affaiblissement de la vue sous
forme
d'hémianopsie sinistra, qui plus tard s'étendit
t dans le pavillon d'isolement sont au nombre de 47. La plupart des
formes
d'aliénation mentale y sont représentées. C'est
nternational de 1900 et propose au Congrès de le renouveler sous la
forme
suivante : « Que des mesures de prophylaxie mét
r une petite part, à l'augmentation de volume, avec modification de
forme
, des os; l'hyperémie passive y joue un grand rô
ie cérébrale prématurée, qui entraîne la démence juvénile. Mais ces
formes
précoces de la dégénérescence nerveuse si carac
ivie d'une observation personnelle. La syringomyélie évolua sous la
forme
d'une sclérose latérale amyotrophique hémi- lat
nt à l'étude des sym- ptômes d'ordre moteur si remarquables dans la
forme
catatonique de la démence précoce. Après avoir
sidèrent la catatonie comme un syndrome ne préjugeant en rien de la
forme
morbide où on le rencontre. A côté des termes h
que et paramoïde de la démence précoce, il admet avec Sérieux une
forme
simple, qui s'installe sans manifestation déliran
rs années, ce mieux est demeuré sta- tionnaire. C'est en réalité la
forme
catatonique de la démence pré- coce. Cette ma
utique, et du gonflement paroti- dien. Au point de vue mental, la
forme
mélancolique est la forme délirante la plus com
aroti- dien. Au point de vue mental, la forme mélancolique est la
forme
délirante la plus commune; les hallucinations d
on observe à la période correspondante de la paralysie géné- rale à
forme
mélancolique. Il faut remarquer que cette mélanco
rale à forme mélancolique. Il faut remarquer que cette mélancolie
forme
un contraste frappant avec la forme usuelle de la
remarquer que cette mélancolie forme un contraste frappant avec la
forme
usuelle de la folie chez les Arabes, qui est pr
me usuelle de la folie chez les Arabes, qui est presque toujours la
forme
maniaque avec exci- tation, si bien que lorsqu'
lagre, et on en recherche les stigmates. Enfin il faut signaler une
forme
rare de folie pellagreuse, dont la description
stitue un air com- plet ou tout autre morceau de musique, prend une
forme
définie et pénètre dans la conscience dans le c
e ces opérations multiples étant la présen- tation à l'esprit d'une
forme
complète. En outre, de même que, dans tout mouv
de nombreux moyens de distraction sont offerts aux malades sous la
forme
de concerts, de soirées théâtrales, etc. Les pe
térieures, au niveau desquelles il se présente le plus souvent sous
forme
d'amas assez considérables, de couleur jaune-fo
naux se sont diffusés, immédiatement après le coup de couteau, sous
forme
d'une véritable paraplégie, de telle soi le que
façon, avec les mêmes caractères. Ceux-ci varient en effet avec les
formes
morbides et aux différentes étapes de leur évol
trinsèques. En dehors de ces caractères objectifs, extrinsèques, de
forme
, il y a lieu d'étudier les caractères, de fond,
es deux pieds d'or, deux boutons, puis quatre boutons. » Il est une
forme
de monologue qui mérite aussi une men- tion spé
el ton pour la réponse. Tel est par exemple D..... dément précoce à
forme
parano.de, avec dette différence toufefois qu'i
aire chanter. On peut rapprocher de ces cas ceux des monologues à
forme
dialoguée dans lesquelles une des deux parties re
quelles une des deux parties res- tant consciente, l'autre revêt la
forme
de la parole involon- taire et inconsciente qui
s sont les monologues que l'on observe dans les étals délirants à
forme
de rêve, dans les somnambulismes hystériques, la
gens bien portants, où il n'a d'autre signification que d'être une
forme
anormale du langage. L'existence pure et simple
u monologue ne peut non plus servir au diagnostic de telle ou telle
forme
d'aliénation, car on peut poser en principe qu'
- rale que nous avons noté le monologue plus fréquemment dans les
formes
chroniques que dans les formes aiguës de l'alié
monologue plus fréquemment dans les formes chroniques que dans les
formes
aiguës de l'aliénation mentale. Que dans les
que dans les formes aiguës de l'aliénation mentale. Que dans les
formes
chioniques, il nous a paru se montrer surtout d
LE. est encore le moyen le plus sûr de connaître le caractère, la
forme
et la couleur d'un délire ; parce que le malade n
es de son affection. En voici un exemple pris chez un mélancolique (
forme
déli- rante), homme instruit, dont la préoccupa
rence vraie. Dans le premier cas, il est plutôt en rapport avec une
forme
aiguë (excitation maniaque, par exemple) et sou
ire se reliant a une idée prépondérante) sont surtout le fait des
formes
systématiques et chroniques. Ceux d'origine émo-
ine hallucinatoire n'ont guère d'im- portance que s'ils revêtent la
forme
d'une conversation ou Archives, 2» séiie, t. XV
8 8 CLINIQUE MENTALE. d'un dialogue suivi ; ils indiquent alors une
forme
systéma- tique chronique ou un état démentiel.
aves qu'on arrive aux états d'inconscience si accentués propres aux
formes
chro- niques, épilepsie, démence, confusions ch
termittent ou habituel : le premier coïncide généralement avec des
formes
aiguës ou des périodes d'agitation. Le se- cond
e diurne ou nocturne. Le soli- loque diurne est surtout le fait des
formes
de folie chronique qui ne s'accompagnent pas d'
aques et des hallucinations de la vue : elle voit le diable sous la
forme
d'un singe, des bêtes courent sur son lit, sort
voit nettement que le creux épiuastriqiie est attiré en arrière et
forme
un entonnoir au mn- ment de chaque inspiration,
u plus longue. Chez elle prédominent des signes de déchéance, et la
forme
démen- tielle de la maladie sans délire; 8° dan
ations en devenaient variées et originales au dernier point, que la
forme
expansive, maniaque, disparaissait de plus en p
péciale neuro-psy- chique qui comprend quelques nevropathies et les
formes
mixtes de maladies mentales et nerveuses telles
s inculpés dont l'état mental a besoin d'être étudié. La salle a la
forme
d'un corridor, et les 54 lits sont ainsi répart
ière automatique au lieu de servir comme substratum général à toute
forme
de l'effort intellectuel. La polarisation se fait
ant le même temps. Ce traitement ne peut être appliqué que dans les
formes
rele- vant de l'hystérie; il a sur les autres l
. Il n'existe donc pas une segmentation des centres médullaires, en
forme
ganglionnaire, comme on le croit communément. L
épilcpsie. par Ballet et Illocli 478. -ne de M10PAIIIIE. Sur une
forme
de - progressive piniiitive a\ec ptost, bilat
ISSIf : et tabès, par Gauraud, 91. Tkolblcs de inentalilé. Sur la
forme
la plus habituelle des - qui se produisent au
igure (PI. 1). Les yeux à Ileur de tête, la conformation du nez, la
forme
de la bouche et des dents donnent, en effet, à
que la mâchoire infé- rieure est peu développée. Vu de profil, la
forme
en tour du crâne est encore plus frappante et le
comme dans le cas précédent, la saillie médiane très prononcée qui
forme
comme une crête. La veine frontale est anorma
mporales. Vue de face (PI. II) la tête affecte dans son ensemble la
forme
ovoïde avec parties les plus saillantes au nive
profonde. Les autres sutures paraissent bien individualisées. La
forme
extérieure du crâne de ce garçon est donc netteme
rvations I et II. Vue de face, la tête affecte dans son ensemble la
forme
d'un ovale très allongé, cet ovale est décompos
énoïdal qui apparaît dans la radiographie latérale du crâne sous la
forme
d'une petite cavité ovalaire avec son diamètre
taire externe, comme nous avons dit plus haut, ne pré- sente pas sa
forme
habituelle ; et au lieu d'être allongé dans le se
euse dans l'étude du mécanisme hydrau- lique qui agit dans ces deux
formes
pathologiques. Pour moi, l'hydrocéphalie et l'o
oir la thèse de STATE (Paris, 1900), ou P. SAINTON et ,T. STATE, La
forme
douloureuse de l'acromé- galie, Revue Neurol.,
une grimace provoquée par la céphalée qui a des exacerbations sous
forme
d'élancements douloureux très vifs. Il reste co
ils soient cependant tous bien nets. La céphalée est permanente, sous
forme
d'élancements douloureux. Il dit avoir la sensa
mulations de lymphocytes et de cellules plasmatiques. A côté de ces
formes
cellulaires on voit des cellules grandes, avec
n traité bien connu sur les maladies nerveuses, men- tionne que les
formes
aiguës de méningite séreuse peuvent être accompa-
ien la base du cerveau. Naturellement qu'il peut exister toutes les
formes
intermédiaires, la méningite ne se limitant pas
tence des troubles psychiques dans'les méningites, surtout dans les
formes
chroniques tuberculeuses. Sterling (1) a observé
d à faire de ces types cliniques et des variétés intermédiaires les
formes
syndromiques d'une seule et même affection consis
rédo-ataxie cérébelleuse atypiques, on rencontre encore parfois des
formes
assez pures de l'une et de l'autre. Telle l'obser
vers )'age de 34 ans, après plusieurs années de troubles mentaux à
forme
maniaque qui s'aggravèrent à la suite d'un accou-
is ans après son mariage qu'apparurent les troubles mentaux sous la
forme
de chan- gement du caractère et de misanthropie
-SpaSnlOdlqllf·, avec atrophie musculaire, de l'instabilité chol'éi
forme
, une attitude ébrieusc, quelques phénomènes par
nt similaire, elle est en général constituée par une des nombreuses
formes
de la névropalhie. On a vu quel legs vé- saniqu
n de constituer la règle. Le plus souvent en effet on rencontre des
formes
hybrides de ces maladies nerveuses dites hérédita
t pas de limites bien tranchées, qu'elles sont plutôt, elles el les
formes
de transition qui les relient, des modalités cl
cerne spécialement l'ataxie héréditaire, Raymond pense que les deux
formes
types de celte affection, spinale de Friedreich
eur du côté droit une zone de sclérose assez bien délimitée dans sa
forme
générale qui est triangulaire, mais néanmoins dif
s diffusant un peu en avant et en arrière ; elle a grossièrement la
forme
d'un H dont la branche verticale interne attein
es de Westplial. La branche horizontale, transversale de l'H, a une
forme
irrégulière ; elle occupe le milieu du cordon p
crite existe encore nettement, mais ses contours s'estompent et sa
forme
devient imprécise ; elle occupe sensiblement la
ipilliiie et l'a tro- phie papillaire des tabétisants ; la première
forme
comprend des tabéti- ques classiques avec ataxi
igne de Romberg, trouble delà nutrition générale; clans la deuxième
forme
, il n'existe pas de troubles trophiques, les ma
ntre les bords antérieur et postérieur de la lésion ; celle-ci a la
forme
d'une ellipse irrégulière d'environ trois centimè
indubitablement une blessure en selon ; plus précisément, c'est la
forme
que les Allemands appellent « Furchen-n ou « Ri
ans une mesure non négligeable aussi la moitié gauche des yeux sous
forme
d'un rétrécissement concentrique du champ visuel.
e associative qui, ipso facto, est synthétisée dans la mémoire sous
forme
d'images plus ou moins durables. La lecture coura
nomise l'énergie motrice, est une méthode exclusive qui retient les
formes
générales aux dépens des détails : il s'ensuit qu
autes de lecture qui dépendent d'une inter- prétation erronée de la
forme
générale du mot sont, d'une façon secon- daire,
risés, au même titre que les images verbales reconnues grâce à leur
forme
; déjà les observations de Redlich et de Schuster
ilité relative, et il paraît se rendre partiel- lement compte de la
forme
des différentes lettres, sans pourtant arriver à
e commencement d'un mot, et si en outre, à l'aide de sa mémoire des
formes
, il a su deviner la suite, alors la réalisation
vêtements, quand ils existent, laissent entre- voir ou deviner les
formes
; les chevelures toujours se montrent particulièr
'élève ici à 112. La radiographie montre : 1° que le col du fémur
forme
un angle droit, au lieu d'un angle obtus avec l
nt les éléments du diagnostic, n'ont garde d'omettre la mention des
formes
frustes, et des formes dans lesquelles l'achond
nostic, n'ont garde d'omettre la mention des formes frustes, et des
formes
dans lesquelles l'achondroplasie se complique de
propos d'une nouvelle observation d'achondroplasie ; peut-on de la
forme
des troubles psychiques dans celle maladie, tirer
te hypothèse et la légitimer d'une façon abso- lue. Ce n'est ni une
forme
mixte, ni une forme systématisée tégumentaire o
égitimer d'une façon abso- lue. Ce n'est ni une forme mixte, ni une
forme
systématisée tégumentaire ou nerveuse. Il n'y a
ui s'accorderait avec l'opinion de certains auteurs considérant les
formes
pigmentées de l'infection comme précédent de lo
'offre pas, par conséquent, la symptomatologie com- plète d'une des
formes
de la lèpre, celle association d'hyperchromie et
st donc unilatérale que dans 36, 66 pour cent des cas seulement. La
forme
unila- t.êra)e,qui constitue la majorité des ca
post- méningée par excellence, le tabes. Dans le tabes, dans ses
formes
frustes parmi lesquelles rentrent sans doute un
utes les hémorragies méningées et de toutes les méningites dont les
formes
frustes sont si fréquentes, ,les racines sacrées
t à la région lombaire, se déposent dans toute la région sacrée qui
forme
fond. La longueur plus grande des gaines méningée
ues, lesquelles peuvent abolir le réflexe achilléen même dans leurs
formes
légères (Babinski), sont très communes et sont
et réflexes. Le sens commun, c'est essentiellement la fonction qui
forme
les idées que nous avons des choses, ce que nou
à aucun canal, qu'elle n'est pas libre, et que la substance qui la
forme
est continue avec la substance cérébrale (5).
ixateurs qui sont tous coagulants et qui par conséquent altèrent la
forme
du complexus colloï- dal représenté par la cell
s a proposé le terme de « phase ». On dit d'après lui qu'un système
forme
une phase (c'est-à-dire qu'il est homogène) lorsq
ndifféremment dans tous les sens et si la particule présente par sa
forme
quelque point de repère,on constate aussi qu'el
lui différentes propriétés physiques telles que les changements de
forme
, l'élasticité, le gonflement, les gels, puis la
inage du fil de soie, ne contient pas de particules visibles, il se
forme
tout près du fil des images qui, examinées avec
é, on ne voit pas de réseau ouvert comme par l'albumine, mais il se
forme
des mailles fermées. Ceci ressort de l'analyse
. La gélatine traitée par la formaline se présente toujours sous la
forme
d'un réseau. Mais toutes ces structures observées
r exemple lorsque la solution de colloïde est très diluée, il ne se
forme
pas de réseau, mais il apparaît seulement des a
s granules obtenus de cette façon peuvent être considérés comme des
formes
de passage au ré- seau ; ils sont en partie tou
arable aux modifications qu'éprouve un hydrosol chaud qui se trans-
forme
en hydrogel par refroidissement. Pauli a nié la
tions et la non-existence, dans les cellules vivantes,de grumeaux à
formes
géométriques connues sous le nom de corpuscules d
on plus ou moins considérable de la cellule, tout en affecta ni des
formes
variables. Tandis que les granulations pigmentair
rt en passant par différents tons d'émeraude. Au point de vue de la
forme
, on peut distinguer des granulations pigmentaires
tion sur le pigment hu- main. Nous croyons aussi avoir remarqué des
formes
de transition entre les granulations lumineuses
légère produit une déformation passagère et la cellule revient à sa
forme
antérieure. Mais si la compression dure davantage
re davantage ou qu'on l'exagère, nous constatons des changements de
forme
qui mettent en évi- dence le degré de consistan
git d'une compression plus accusée, la cellule s'allonge, prend une
forme
plus ou moins ovoïde et que le noyau s'adapte é
au s'adapte également à cetle modification en prenant lui aussi une
forme
en conséquence. La déformation n'est pas toujours
se demande;' si la précipitation des granulations colloïdales suus
forme
de corpuscules de Nissl par le traitement des cel
ent des blocs granuleux ou des corpuscules de précipitation dont la
forme
et la disposition correspondent assez exactemen
ions on distingue deux régions, l'une, celle du noyau qui change de
forme
, la seconde, une auréole vide entourant le noyau
ccusé que dans l'acide acétique. Le noyau est bien conservé dans sa
forme
, demi-luminosité sans coagulation inlranucléair
u dans le noyau autour du nucléole. La masse précipitée affecte des
formes
variables selon le degré de rétraction qu'elle
lle subit. On dirait que la contraction s'accuse de plus en plus et
forme
un conglomérai lumineux autour du nucléole dont
ellipsoïde. A mesure que la rétraction progressera zone vide qui se
forme
entre la face interne du noyau et la masse rétr
même, celle charpente qui semble immuable, qui donne aux êtres leur
forme
extérieute et sur laquelle viennent se fixer le
La direction générale de la coloune vertébrale est modifiée : elle
forme
une courbe à convexité postérieure, ce qui tien
Nous pensons qu'il n'existe ni atlas, ni axis, et que le pivot que
forme
l'a- pophyse odontoïde de l'axis en s'articulan
ion, qui doit normalement correspondre aux vertèbres cervicales, ne
forme
pas une courbe à convexité antérieure, mais se co
des apophyses transverses volumineuses, véritables apophyses costi-
formes
; enfin des apophyses épineuses horizontales et t
que le cerveau ou la moelle puissent amener des changements dans la
forme
du crâne ou dans la disposition du canal verléb
or- tion fibreuse. Les auteurs considèrent ces deux cas comme une
forme
spéciale d'hy- drocéphalie à laquelle ils donnè
i-même. D'ailleurs il est assez mauvais observateur. 11 attribue la
forme
du crâne à la compression par la catchula (sort
ar son grand diamètre atteint 4 centimètres. Cette dépression a une
forme
irrégulière et à son extrémité postérieure, ell
Porak et Duran te(3¡)) voient dansla dysostose cléido-crânienne une
forme
particulière de leur dysplasie périostale et da
rière, n 1, 1909. 41. Raymond. Du myxoedème infantile et des autres
formes
de myxcedèma. Revue internationale de thérapeut
pelin. Tant que la démence précoce, et en l'espèce la catatonie, ne
forme
qu'un groupe purement symplomalologique, indéte
rie comme un trouble psycho-sexuel re- vêt constamment de nouvelles
formes
et vient, par la théorie moderne de Freud d'êtr
la périphérie, des granulations chromatopbiles moins visibles, une
forme
plus globuleuse par effacement des angles, parf
onjonctif intrafasciculaire est plus abondant qu'à l'état normal et
forme
des travées fibreuses, mais on ne trouve plus ici
es nerveuses ; hypertrophie fréquente des gaines de Schwann sous la
forme
d'un épais manchon cylindrique ; tissu conjonct
termittents et d'inten- sité variable. Par droit de priorité, cette
forme
clinique est restée clas- sique et a sa place d
est intitulée « Amyotrophie spinale progressive ; combinaison de la
forme
Duchenne-Aran avec la forme Charcot-lJarie (1)
spinale progressive ; combinaison de la forme Duchenne-Aran avec la
forme
Charcot-lJarie (1) ». Les cas de D âlinhii-clt
nous retrouverons avec les documents anatomiques, ont établi que la
forme
d'atrophie musculaire progressive, que l'on dén
oqué des opinions très divergentes. Les lésions essentielles de ces
formes
cliniques sont-elles spinales ou périphériques ?
ol. X, p. 143, 1896), par exemple, d'une myopathie évoluant sous la
forme
de l'atrophie neurotique et révélée seulement p
vrite ascendante, l'altération des nerfs intramusculaires. Dans les
formes
plus extensives, elle atteindrait les troncs ne
rvorum. Cette observation, qui s'écarte notablement de la série des
formes
complètes de névrite interstitielle hypertrophi
ces deux observations représentent au point de vue anato- mique des
formes
atténuées de névrite interstitielle hypertrophiqu
us avons trouvées ont été ob- servées à plusieurs reprises dans des
formes
cliniques limitées, comme les nôtres, à des dés
uteurs (Dejerine, P. Marie) de soumettre à une même description des
formes
morbides dissemblables par bien des points. C
hies musculai- res névritiques, c'est la connaissance des multiples
formes
de transi- tion qui s'observent dans les maladi
pyrami- daux ou des faisceaux cérébelleux, parfois diffuses sous la
forme
d'un éclaircissement des fibres myélinisées. Ce
la moelle (2). Ainsi se fait, par l'anatomie, une transition vers des
formes
morbides telles que la paraplégie pasmodique fa
e fréquence très spéciales, rappelant celles que l'on voit dans les
formes
rapides de sclérose latérale all1,)'otrophique,
u tissu fibreux ( f), analogue à celui de la pie- mère. Ce tissu ne
forme
pas une masse compacte, il est infiltré par les c
neuse de la substance gélatineuse de Rolando (gR.). A mesure que se
forme
ainsi la partie postérieure de la moelle, la subs
eur a complètement disparu et où la moelle reconstituée a repris sa
forme
normale, les cornes antérieures sont presque to
s, se continuent avec le tissu fibreux qui entoure la tumeur et lui
forme
une coque, cette dernière ne paraît qu'être un dé
ai pu mettre à étudier la littérature qui porte sur les différentes
formes
de dystrophie musculaire progressive, il ne m'a
mme atteint de cette maladie, qui s'est manifestée chez lui sous la
forme
facio-scapulo- humérale exclusivement limitée l
(avril 1912). . Examen morphologique. Le crâne se présente sous une
forme
sensible- ment régulière. La bosse pariétale de
aucun signe d'atrophie, sauf la tendance de l'omoplate à prendre la
forme
de l'omoplate ailée. L'examen objectif a permis
ais eu de paresthésies,que chez lui aucun trouble n'affecte quelque
forme
que ce soit de la sensibilité, que la compressi
t, pour ne pas supposer que le jeune homme ait été affecté d'autres
formes
de maladies avec lesquelles on pourrait confondre
tonner, car on sait que, xxv 22 330 M1NGAZZINI surtout dans les
formes
mixtes de dystrophie musculaire progressive (cas
utre, il ne faut pas oublier, fait qui se présente rarement dans la
forme
en question,que le masséter était frappé d'atroph
ait rare, mais que quelques auteurs ont égale- ment signalé dans la
forme
facio-scapulo-humérale de la dystrophie mus- cu
donc dans le fait qu'au lieu d'être symétrique et bilatérale cette
forme
de dystrophie musculaire est au contraire remar
rrespondait à ce que l'on a signalé, des deux côtés, dans plusieurs
formes
de dystrophie musculaire progressive. Je rappor
tégrité de l'extré- mité inférieure, et nous avons constaté la même
forme
sur les radiogra- phies d'ostéites identiquemen
e : « A la suite de modifications portant primitivement soit sur la
forme
, soit sur la fonction, soit à la fois sur la fo
ment soit sur la forme, soit sur la fonction, soit à la fois sur la
forme
et sur la fonction, il se produit des changemen
et des transformations secondaires également aussi réglées dans les
formes
extérieures des os. » Aujourd'hui, l'aspect d
t possible d'interpréter autrement les modifications de structure à
forme
pagétique que nous observons sur l'extrémité infé
et l'importance de ce rôle du traumatisme dans la détermination des
formes
frustes du syndrome de Paget. DU DÉLIRE CHEZ LE
iais.Je ne voyais pas qu'un Diable... Il avait tou- « tes sortes de
formes
. C'était quelquefois comme un monsieur habillé en
rophie à type Aran-Duchenne était associée à la sclérose combinée à
forme
amyotrophique. Nous nous sommes arrêtés quelque
qu'il n'existe pas à notre connaissance d'étude d'ensemble de cette
forme
d'atrophie isolée non progressive en dehors d'un
aines myéliniques vides, et quelques tubes nerveux déformés, monili
formes
. L'on peut dire pourtant,sans grande erreur, qu
es dégénérations qui n'ont ici qu'un intérêt secondaire. Cavité. Sa
forme
est variable, de même que celle de la moelle et d
RPLASIE DU TISSU CONJONCTIF 573 374- INDIiÉ-TH011rAS ET QUERCY Sa
forme
embrasse ordinairement celle de la cavité, qu'il
une fois que nulle part il n'est normal ; il n'a ni sa place, ni sa
forme
habituelles. On trouve des amas de cellules polyé
elques-unes de ces fibres s'incrustent dans le bloc névroglique qui
forme
la paroi du diverticule. Au lieu d'être occupé
geonnements ; elles ont indiscutablement contribué leur donner leur
forme
et leur topographie. Dans ce cas il ne semble pas
usceptible de se manifester accidentellement à l'âge adulte sous la
forme
de végétations conjonctives et liomateuses. Cet
écoulé entre celui-ci et l'apparition des crises convulsives, de la
forme
même de ces crises, consti- tuent des éléments
te également, assez fréquemment, des équivalents épileptiques, sous
forme
d'accès d'automatisme procursif. Alors que, paisi
tes, et qui s'accompagnent vers (le 35 ans de troubles mentaux sous
forme
d'idées délirantes poly- morphes, de crises de
ure des vertèbres entre elles, et que la tuberculose, affectant une
forme
aiguë ou subaiguë, le processus pathologique en
vertébrale apparut pour la première fois à un âge avancé et sous la
forme
d'affection com- primante de la moelle, et suiv
de tuberculose des vertèbres. Alquier, dans son travail Principales
formes
des troubles nerveux dans le mal de Pott sans g
x dans le mal de Pott sans gibbosité, lâche de distinguer plusieurs
formes
cliniques principales de l'affection et d'en co
t cervical, on aperçoit une masse caséeuse entourant la moelle sous
forme
d'anneau complet; au-dessus et au-dessous de ce
remier symptôme de la maladie. Dans son travail sur les principales
formes
du mal de Pott sans gibbosité, Alquier souligne
temps être le seul symptôme de l'affection et apparaissent sous des
formes
CARIE DES VERTÈBRES 403 variées, quoiqu'elles
auche du type Aran-Duchenneetdes troubles de la sensibilité sous la
forme
de dissociation ; l'ensemble de ces symptômes pou
l'adulte. Nouv. Icon., 1906, t. XIX. 3. Alquier. Les principales
formes
de troubles nerveux dans le mal de Pott sans gi
ut juger pour ces derniers par l'exa- men radiographique. C'est une
forme
mixte, croyons-nous, de spondylose ankylosante
soudaine mobilité des pupilles qui changent transitoirement même de
forme
. Les yeux sont enfoncés, l'espace libre entre l
rite déformante. C'est qu'ici, comme ailleurs, existent beaucoup de
formes
mixtes, de formes de passage, qui troublent les
'est qu'ici, comme ailleurs, existent beaucoup de formes mixtes, de
formes
de passage, qui troublent les diagnostics différe
t de douleurs, ni des extrémités, ni du rachis.Ce n'est pas donc la
forme
la plus commune, la forme la plus fréquente du
émités, ni du rachis.Ce n'est pas donc la forme la plus commune, la
forme
la plus fréquente du rhumatisme chronique, qui
région aussi, respectés. Il s'agit donc, nous semble-t-il, d'une
forme
particulière d'arthrite ver- tébrale' chronique
ité. Le trijumeau est pris à droite. La sensibilité sous toutes ses
formes
est diminuée surtout aux zones de l'ophtalmique e
de remarquables par leur constance, permettant d'individualiser une
forme
clinique d'amyotrophie isolée non progressive.
un carac- tère absolu et - pour ainsi dire - de définition de cette
forme
. Il n'y a pas d'amyotrophie, il n'y a pas d'aff
u'il peut exister dans les névrites alcooli- ques ou saturnines des
formes
limitées au type Aran-Duchenne. Somme toute, on
Médecine, 1885, p. 591 et 139. Iannois et PoHOT. Syphilis spinale à
forme
amyotrophique, Revue de Médecine, 1906, p. 561.
ude analomique et clinique de l'acromégalie et en particulier d'une
forme
amyotrophique de celle maladie, Thèse de Lyon, t8
au picro-ponceau montrent l'augmentation du tissu conjonc- tif, qui
forme
d'épaisses et lourdes travées. Quelques-unes se p
et se présenter presque fatalement comme une intoxication rapide à
forme
nerveuse. II. - Ceci pourrait déjà constituer
lre les deux affections, puisque la première impose à la seconde sa
forme
, sa marche, et presque sa terminaison. Mais nou
énorme jusqu'à la partie supérieure du rectum, représentait une des
formes
de l'affection connue sous le nom de méga- côlo
l'état normal couvre les reliefs musculaires et donne aux membres des
formes
arrondies, rappelant celles des femmes. Le syst
peuse dans la maladie del3aylepeut se montrer non seulement sous la
forme
diffuse, mais aussi sous une forme circonscrite
se montrer non seulement sous la forme diffuse, mais aussi sous une
forme
circonscrite rappelant celle qu'on trouve dans
bres inférieurs. Les pieds sont normaux. Les jambes ont conservé leur
forme
générale. Au niveau des genoux l'articulation a
les fesses. Comme on le voit sur les photographies, l'anatomie des
formes
est profondé- ment modifiée. De face (Fig. 1)
té du pincement, l'absence de godel t sous la pression du doigt, la
forme
cylindrique de la cuisse, l'absence de phénomèn
c- compagne de crises d'asphyxie symétrique. Le myxædème dans une
forme
généralisée, avec le facies lunaire et le cortè
stique pour être confondu avec l'adipose de notre malade ; mais des
formes
atté- nuées et localisées sont beaucoup plus dé
sseux sous-cutané, dont on connaît l'importance dans l'anatomie des
formes
. Comme l'a dit parfaitement Henry Meige (2) à p
de comme atteint deiymphadénome ganglionnaire, variété aleucémique,
forme
lipomateuse, Launois défendu une théorie analog
émi- plégie. Au point de vue thérapeutique il distingue plusieurs
formes
d'hémiplé- gies dont quelques-unes peuvent être
des. Pour ceux-ci, le gigantisme et l'acromégalie représentent deux
formes
d'un même trouble du développement de l'individ
suration que nous en avons faite renseignent très exactement sur sa
forme
et son développement. Ils montrent, lorsqu'on les
mplète de ses caractères sexuels secondaires et l'en- semble de ses
formes
corporelles (excepté ses mains et ses pieds), ce
sque, mais sans être ni trop large, ni trop grosse, sans prendre la
forme
en battoir. Les doigts, d'une longueur sensible
gigantisme d'une part, l'acromégalie de l'autre, représentent deux
formes
d'un même trouble du développe- ment de l'indiv
. 2° Cependant, ce premier type peut s'associer à l'acromégalie; il
forme
ainsi un type mixte constitué par la combinaiso
rieure une légère scoliose dont la concavité regarde à droite. La
forme
du bassin se dessine parfaitement sous les tégume
se est conservée, et il en est probablement de même pour les autres
formes
de sensibilité.bien que l'état psychique de la ma
e-pâle. Sur une coupe on constate des petits foyers fibreux sous la
forme
des îlots blanc rougeâtre qui tranchent sur la
la glande, qui attire l'attention par la réaction des cellules, la
forme
des follicules et l'hyperplasie du tissu conjonct
Les cellules sont disposées sous forme de séries, parfois isolées, de
forme
variable, rondes, oblongues ou irrégulièrement
pâles. Les cellules de cette dernière sont tassées et disposées sous
forme
de tubes. Mais on n'observe pas la disposition
surface de cette masse il existe des nodules lymphocytaires dont la
forme
et la grandeur est variable. Parfois ces dernière
cules normaux. Les follicules dont le volume est très réduit ont une
forme
arrondie et contiennent chacun une goutte de co
a vu la coexistence du syndrome de Basedow avec la scoliose sous la
forme
héréditaire et fami- liale, et l'un de nous a v
'on trouve bien fréquemment la tétanie infan- tile, surtout sous la
forme
de laryngospasme, associée au rachitisme. Or le
les différents cas ne sont pas comparables en ce qui concerne leur
forme
, la durée du traitement ainsi que la manière do
ns la trophicité des os. La résorption des phalanges dans certaines
formes
de syringomjélie, des fractures sponta- nées da
rouvé une diminution marquée de la substance minérale des os qui ne
forme
plus que 24 pour 100 au lieu de 66 pour 100, ch
ier non seulement au point de vue quantitatif,mais aussi quant à la
forme
physico-chimique sous laquelle il se trouve, et q
difformité soi-disant de Madelung ou bien fait-il partie de quelque
forme
similaire ? Pour pouvoir classifier mon cas ave
actement classée. En effet, si avant cet auteur on avait décrit une
forme
particulière de subluxalion radiocarpienne qui ra
à-dire dès que Madelung eut rappelé davantage l'attention sur cette
forme
particulière de subluxation spontanée du poi- g
sa surface articulaire ». Et c'est précisément celle altération de
forme
du radius qu'on peut très souvent observer dans
ire. Congénital fllt enfin mon cas qui certainement appartient à la
forme
décrite par Madelung et que je m'efforcerai de dé
symétrique. Lèvre inférieure grosse. Dents régulières comme nombre,
forme
, grandeur et implantation. Etat normal du tronc
souventque celle despieds dans le rapport de 3 à 1 (Spoto) (8). La
forme
la plus commune est l'hexa- dactylie, mais l'he
ils sont remplacés par des formations définitives appartenant à une
forme
ani- male donnée et qui se fixent par loi d'hér
t entre le tableau clinique et l'étiologie, que dans les cas où des
formes
cliniques bien nettes se manifestent couramment à
uand elle reprit conscience, elle présenta le tableau typique de la
forme
délirante de la psycho-polynévrite. A l'examen
énescence ; comme la psycho-poly- névrite, elle s'observe sous deux
formes
, l'une aiguë, délirante, l'autre chro- nique ;
ons pathologiques de l'état affectif (Gemütslage) et cela sous deux
formes
: tantôt c'est une euphorie, qui n'est pas en r
, les propos faisaient immé- diatement penser à une démence. « La
forme
aiguë ou délirante a les mêmes symptômes fondamen
forme aiguë ou délirante a les mêmes symptômes fondamentaux que la
forme
chronique, excepté, peut-être, l'amnésie rétroact
mence sénile simple qui représente toujours le stade terminal de la
forme
chronique. » Deuxième texte (1). - « L'influenc
xercée par la sénescence, ou invo- lution sénile du cerveau, sur la
forme
et la marche des psychoses, est peu connue. Pou
ciale, la sénilité; il lui assigne, comme à une entité morbide, des
formes
cliniques, une évolution propre et un diagnos-
raepelin, relatif à la Presbyophrénie (1) : « Parmi ces différentes
formes
de Démence sénile, il faut isoler un petit grou
esbyophrénie est-elle une maladie particulière, ou seulement ? file
forme
? ` ? « Question discutable ; quoi qu'il en soi
a Presbyophrénie, pour Kraepe- lin, n'est plus, semble-t-il, qu'une
forme
clinique de la démence sénile, non une affectio
r ces auteurs,se présente fréquemment, mais non toujours, comme une
forme
clinique de la psychose de Korsakoff, et, en règl
rois qu'il faut se garder de trop généraliser ; il existe certaines
formes
de démence sénile dans lesquelles les symptômes
ation ; il re- présente un cas de « Mythomanie associée». « Cette
forme
(4) de la démence sénile, étudiée par Wernicke so
omme une entité morbide, a été considérée, tour à à lour, comme une
forme
clinique de la démence sénile ou de la psychose
unes des autres et figurent un éventail ou une natte. Dans d'autres
formes
, les fibrilles sont plus épaisses, et reproduis
jamais Fischer ne remarqua de réaction inflammatoire. A côté de ces
formes
délimitées, l'auteur décrit une lésion diffuse ca
té, ne prétendent plus, semble-t-il, qu'à décrire les lésions d'une
forme
clinique et non d'une entité morbide. La conc
une entité morbide. La conception de Kraepelin, la Presbyophrénie
forme
clinique delà dé- mence sénile, réunit, en Alle
ion certainement heureuse, et relativement originale, à l'étude des
formes
cliniques de la démence sénile. Celte conceptio
lise. Au lieu de restreindre le diagnostic de Presbyophrénie, à une
forme
clinique de la démence sénile, on peut observer
peut observer au contraire, que les éléments dis- tinctifs de cette
forme
spéciale (amnésie de fixation, désorientation, fa
pporter trop vite, et comme de parti pris, le tableau morbide à une
forme
clinique de la démence sénile. Transformée en s
ie pa- thologique d'une entité morbide esl possible, si celle d'une
forme
clinique, quelque différenciée soit-elle, est t
ours, au moins à l'état d'ébauche, et parfois très accusé, dans les
formes
les plus franches, les plus normales, les plus
sprit, si ' elle continue à s'exercer, ne se manifeste plus sous la
forme
de l'halluci- nation, comme dans Ierêve.L'objec
lle est rejetée ail- leurs, dans le passé ou dans l'avenir, sous la
forme
, non d'un rêve, mais d'une conception ou d'un r
t, lui aussi, chez les déments et chez les confus (2). Dans celle
forme
de fabulation paramnésique, plus particulière à l
émentiels, dans la démence sénile, par exemple, elle représente une
forme
aberrante, répondant à la période initiale de l
tout autant par leur extrême petitesse que par l'harmonie de leurs
formes
,, présentent à toutes les époques de leur exis-
matismales chroniques. Le premier de ces groupes est constitué de
formes
pathologiques assez bien étudiées,tandis que la
dégager du vaste cadre des arthrites rhumatismales chroniques, une
forme
pathologique nouvelle, une nouvelle unité patho
ne vertébrale et une série d'affections du système nerveux ». Cette
forme
a reçu plus tard le nom de « Cyphose hérédo-tra
nt restées intactes. Mais dans cet effort pour dégager une nouvelle
forme
pathologique de la masse des affections « rhuma
monaire. La cyphose de la par- tie dorsale de la colonne vertébrale
forme
une courbe régulière bien prononcée. La cage tb
ze observations que nous venons de décrire, il s'agit 14 fois de la
forme
d'immobilité de la colonne vertébrale et des arti
consécutive au rhumatisme articulaire, et qui rappelle beaucoup la
forme
précédente. En se basant sur les données de ces
fait lentement et insensiblement et a un cours chronique. Dans les
formes
aiguës (5 fois sur 14) la maladie commence immédi
qu'apparaît le second symptôme de la maladie : l'ankylose. Dans les
formes
subaiguës, le début de la maladie est le même, se
le même, seule- ment les douleurs sont moins aiguës. b) Dans les
formes
clii,oiiiques(9cas),qili sont les plus fréquentes
s les mêmes parties de la colonne vertébrale que dans les cas de la
forme
aiguë. Dans les mêmes parties se développent, e
pe. La glande thyroïde est énorme : 172 grammes. Elle a conservé sa
forme
normale, l'hypertrophie est symétrique. A la co
dense domi- nant partout Par places les vésicules ont conservé leur
forme
normale et les cellules épithéliales ont conser
s dimensions. Il semblerait donc ne pas s'agir ici simplement d'une
forme
de nécrose. Je ne trouve pas non plus d'explica
n pois. On voit donc qu'une tumeur de longue durée peut modifier la
forme
du crâne, même de l'adulte. Il est très curieux
ce, entre les faisceaux de substance blanche. Ce sont des amas,de
formes
variées, jaunes et réfringents au carmin, noirs
e tableau clinique. On sait que l'on a déjà cherché à expliquer les
formes
paranoïdes par une lésion anatomique de la subs
es lobes (p. ex. frontaux et occipi- taux) se tassant, prennent une
forme
massive ; leurs bords médians sont plaqués l'un
l- loïde, ce qui permet fout au moins un maximum d'adaptation de la
forme
. 9° Destruction de tissu nerveux, ce qui sans d
hes ou dictons se rappor- tant à chacune des gravures dont la suite
forme
le Triumphe. C'est cette dernière partie qui no
eur de celte opinion sont d'abord matériel- lement que le sujet, la
forme
et le style sont bien rabelaisiens (tellement q
gine le vieux mot goron (cochon) : d'autant plus qu'il présente les
formes
gorron, goron, gourron (Godefoy), analogues a gor
de l'Isledes Esclots qui « avaient la braguette de leurs chausses à
forme
de pantoufles (Pan- tagruel, liv. V, ch. XXVII)
ter le personnage doit avoir un de ces « palais, auquel souvent s'y
forme
le chancre qui fait ung pertuis ou deux soulz l
arcineuses et rudes comme la peau d'ung chien marin, en coulleur et
forme
de la pelure d'un vieil formage. » Les malades
dis que la deuxième et la troisième fléchissent ; la main a pris la
forme
de main en griffe. Les muscles interosseux s'at
s couleurs... Les doigts ne sont pas moins caractéris- tiques. Leur
forme
est modifiée ; ils sont fusiformes chez tous ces
NCE PRÉCOCE 221 IL - Une femme. Puis ne répond plus. Il sort sans
forme
de politesse. - On a noté qu'il urine de temps
ement le 15 décembre 1908 el durent encore aujourd'hui sous la même
forme
(fig. 9). Comment le cas doit-il être interprét
te remarque de Kroepelin que « bien des cas qui se montrent sous la
forme
d'accès semblables et bien séparés n'appartienn
ermettant à coup sûr, dans un cas douteux, de distin- guer les deux
formes
, on peut se rendre compte de la difficulté de ce
rts plus étroits qu'on ne le croit généralement et à distinguer des
formes
intermé- diaires. C'est ainsi qu'au point de
u point de vue qui nous occupe, Wieg W iclcental de Halle admet une
forme
intermittente comme sous-groupe défini de la dé-
ceprécoce. William Rush Dunton (2) décrit aussi comme distincte une
forme
intermittente, comprenant une variété circulaire,
teint pas la ligne médiane. Plus bas, au niveau de la 7e côte, elle
forme
un nouveau coude, se dirige horizontalement en
raisseux; dans tous les cas nous pouvons admettre l'existence d'une
forme
fruste, avariqueuse. Mais ce qui nous intéresse
FIG. 2. - Vue macroscopique do la rangée des arcs des vertèbres qui
forme
avec les apophyses képi- neuses nne colonne sép
astomosent entre eux et forment assez souvent des élargissements en
forme
d'anse. Les corpuscules et les lamelles osseuses,
, avec les parois des ca- naux de Havers et avec leurs processus en
forme
d'araignée (fis. 5, (j et 7, PI. XXVI). luc.
dis que dans toute la masse du car- tilage elles se présentent sous
forme
d'agglomération de 5, 10 cellules et plus. La p
ylose rhizo- mélique et signes anatomiques différentiels des quatre
formes
les plus voisines d'ankylose de la colonne vert
ri0 La spondylite syphilitique est une affection très rare. Dans sa
forme
d'ostéite et de périostite gommeuses, elle prés
elle présente des symptômes analo- gues à ceux de la carie; dans sa
forme
d'ostéite ossifiante, les corps des vertèbres e
sur quelques vertèbres; la tumeur en traversant les muscles dorsaux
forme
sur la colonne vertébrale des excroissances compa
articulations des hanches que décrit Striimpell est évidemment une
forme
de la spon. dylose rhizomélique de Il. Marie, a
cale du rachis auraient pu être atteintes à leur tour comme dans la
forme
de la spondylose rhizomélique. 3° Forme traum
à leur tour comme dans la forme de la spondylose rhizomélique. 3°
Forme
traumatique héréditaire de M. 13c%Irtere/f. Dans
re la différencie de la spondylose rhizomélique. On distingue trois
formes
de la spondylose rhumatismale : a) Dans la form
distingue trois formes de la spondylose rhumatismale : a) Dans la
forme
simple, la spondylose se propage sur tout le ra-
se passagère du rachis ; l'affection guérit également. c) Dans la
forme
allkylosallte la spondylose, après une période de
tit à une ankylose complète du rachis. Opposons le tableau de cette
forme
dernière avec celle de la spondylose rhizoméliq
ma- tismale que nous avons recueillies. 6° Spondylite déformante (
forme
partielle d'arthrite déformante).- On distingue
e partielle d'arthrite déformante).- On distingue aujourd'hui trois
formes
de celte affection : I. - L'arthrite ou spondyl
'1/lamte considérée par certains au- 250 ELDAROFF leurs comme une
forme
nosologique spéciale, est le résultat d'un troubl
) qui sont provoqués par les dépôts osseux compresseurs. Dans cette
forme
, les petites articulations des extrémités sont
urs affectées. II. - L' arthrite sèche ulcéreuse se distingue de la
forme
précédente par une prédominance des altérations
: il s'agit de Polyarthrite chronique rhumatismale. Cette dernière
forme
d'affection se rencontre le plus souvent entre
de dénomination de la maladie : « Arthrite des pauvres ». Les trois
formes
signalées de spondylite-arthrite déformante peuve
es muscles et des douleurs provoquées par les mouvements. Une autre
forme
d'immobilité du rachis d'origine myopathique (DrP
dénomination de : Afaladieankylosante progressive et chronique, une
forme
d'ankylose des articulations. En 1905, M. Berge
ue le siège de l'affection qui établisse une diffé- rence entre ces
formes
. Toutes les parties du squelette qui sont affecté
articulations des hanches et des épaules, restent intactes dans la
forme
Raymond-Berger, et, réciproquement, loutes les
estent intactes à la spon- dylose rhizomélique sont ankylosées à la
forme
Raymond Berger. ÉTIOLOGIE L'étal actuel de la
l'écoulement; l'anamnèse de cinq autres malades signale une légère
forme
d'urétrorrhée sans aucun rapport évident avec l'a
nte, comme une entité morbide spéciale. La Spondylite déformante (
forme
partielle de l'arthrite déformante) et la Spond
r nature et leurs symptômes. On peut assigner une place à part à la
forme
du profes- seur Bekhtereff, « la cyphose hérédo
ereff, « la cyphose hérédo-traumatique »,mais en ce qui concerne la
forme
de Strumpell : « inflammation ankylosante chroniq
llulesparencllymateuses, est caractérisé par un grand noyau dont la
forme
est variable, ordinairement ovale, qui contient p
s depuis les noyaux qui évacuent leur boule jusqu'à ceux qui ont la
forme
d'un fer à cheval et jusqu'à ceux qui n'ont qu'
isent avec les autres cellules. Ces cellules névrogliques sont de
formes
différentes. Ordinairement elles émettent leurs
plusieurs directions ; mais on voit assez souvent des cellules fusi
formes
à noyaux oblongs qui émettent seulement dans deux
ulations indistinctement limitées. Les noyaux ont ordinairement une
forme
triangu- laire. Il y a peu de protoplasma qui s
t, distinctement limité et neutrophile ou faiblement acidophile. La
forme
de ces cellules est très variable ; elles sont or
cifications dans les septa ; elles sont alors plus petites et d'une
forme
oblongue, Le pigment est aussi souvent décrit ;
'un grand nombre d'entr'elles sont des mastcellules ou une certaine
forme
de cellules de déblai. En tout cas il est remarqu
and que dans toute autre partie du cerveau. Donc, les différentes
formes
de cellules que nous avons trouvées dans les se
. 2° Le processus sécrétoire se fait de la manière suivante : il se
forme
dans les noyaux des boules à granulations faibl
su conjonctif de la glande pinéale on trouve toujours dif- férentes
formes
de cellules dont une partie ressemble à celles qu
iple coloration de Mallory, on peut voir deux petits corpuscules de
forme
sphérique très rap- prochés l'un de l'autre et
proéminent pas à la périphérie, le nucléole garde en cet endroit sa
forme
circulaire. De la périphérie du nucléole hypert
u ne présente rien d'anormal ; il a ses dimensions habituelles, une
forme
ovalaire; les filaments du réseau de linine con
te partie amincie, proémine dans le cyto- plasma cellulaire où elle
forme
une sorte de ménisque convexe ou une sorte de c
au qui possède une sembla- ble membrane prend, dans l'ensemble, une
forme
spéciale qu'on pourrait t grossièrement compare
er de plus en plus dans le cytoplasma et en même à temps changer de
forme
pour prendre celle d'un cône il sommet émoussé, a
déforme. Ainsi, au lieu d'être nettement circulaire, il apparaîtde
forme
allongée, ova- laire, triangulaire, ou de forme
aire, il apparaîtde forme allongée, ova- laire, triangulaire, ou de
forme
irrégulière. Dans cet état sa structure granule
Leur taille peut être égale ou de dimension variable ; quant à leur
forme
, elle est toujours sphérique. Quant au bourgeon
lations oxyneutrophiles. Ces der- nières sont de taille inégale, de
forme
plus ou moins irrégulière tandis que les sphéru
tandis que les sphérules sont le plus souvent de taille égale et de
forme
réguliè- rement sphérique. Mais cette différenc
aire, seraient susceptibles d'augmenter de volume et de prendre une
forme
irrégulière. Comme l'origine nucléolaire RECHER
llules. On se trouve en présence de noyaux à contours réguliers, de
forme
ronde ou ovalaire, situés au centre de la cellu
ons apparais- sent de (aille inégale, les unes sont volumineuses de
forme
sphérique d'autres beaucoup plus fines, isolées
ui qu'on rencontre dans les ganglions normaux. Ces vacuoles sont de
forme
arrondie, ovalaires ou moniliformes séparées les
des bandes de proloplasma plus ou moins épaisses; l'aspect monili-
forme
parait dû à la fusion de plusieurs vacuoles situé
it à la périphérie de la cellule les corps de Nissl apparaissent de
forme
fusiforme allongés et disposés à peu près sur u
leur capsule que par un ou deux points. Leurs noyaux apla- tis, de
forme
à peu près fusiforme ou incurvés en forme de croi
'aspect tout à fait particulier. Cette formation le plus souvent en
forme
de rosace se trouve dans les cellules à substance
rés comme des états successifs d'un processus d'évolution vers une
forme
définitive qui serait celle que l'on retrouve d
absolue.Le polymorphisme de ce corpuscule n'est que relatif car les
formes
ne varient pas a ! 'infini mais paraissent bien s
les cellules en état de désintégra- tion granuleuse 011 remarque la
forme
A,danslescellulesprésentantla même altération o
lesprésentantla même altération on aura à peu près toujours la même
forme
A au lieu de C,D,E..x. Dans d'autres cellules e
.x. Dans d'autres cellules en état d'achromatose absolue on aura la
forme
B. Examinant un nombre variable de cellules en
en achromatose absolue nous verrons dans toutes, à peu près la même
forme
B, c'est-à-dire le même type au lieu de C, D, E
'un centrosome, d'un pyrénosome ou d'un plasmo- pyrénosome ? par sa
forme
, sa taille, sa structure, et sa situation a une
ents dans les HÉIVfISYNDROME BULBAIRE PAR LÉSION PÉRIPHÉRIQUE 309
formes
bulbaires de la syringomyélie et nous-môme avons
bout d'un certain temps, les troubles psychiques apparurent sous la
forme
d'une forte agitation, d'hallucinations, d'illu
autre ! part à : cause de la description souvent insuffisante de la
forme
clinique de la maladie. C'est la psychose mania
la gla- belle. Lèvres minces. Dents normales quant au nombre, à la
forme
, à la gran- deur, et régulièrement plantées. Dé
30 FUMAROLA droite, 46 centimètres à gauche. Les clavicules ont une
forme
et une direc- tion normale. La colonne vertébra
carpe n'est constituée que par l'os pisiforme et par un autre os de
forme
allongée, semilunaire, à convexité supérieure et
ie est formée de trois os, l'os unciforme, le grand os et un autre de
forme
ovale, légèrement proéminent, dû évidemment à l
. A droite : Extrémités du radius et du cubitus normales quant à la
forme
. Il n'en est pas de même de leur grandeur. Comp
atane non empesée faisant le tour plusieurs fois, de sorte qu'on en
forme
un corset depuis les seins jusqu'au-dessus des ge
évolution morbide à l'altération des cellules nerveuses est de même
forme
et ceci est prouvé par les recherches expérimenta
a micromélie à prédominance rhizo- mélique, la lordose lombaire, la
forme
des mains, etc. , Voici les résultats métriques
Revue Neurol., 1901, p. 451. DUFOUn. - Achondroplasie partielle,
forme
atypique. Nouv. Iconographie de la Salpè trière
ROPOS D'UNE NOUVELLE OBSERVATION, D'ACHONDROPLASIE PEUT-ON, DE LA
FORME
DES TROUBLES PSYCHIQUES DANS CETTE MALA- DIE, T
séduisante qui, basée surtout sur des comparaisons avec les autres
formes
de nanisme et avec le gigantisme, manque cepend
rt Ballet, Traité de pathologie mentale, p. 873. (2) Regnault, La
forme
du corps chez les bossus, les achondroplases et l
e véritable infantilisme. Les sujets onl repris cette gracilité des
formes
, cette minceur de la taille et du thora\, cette
nt ou deviennent glabres. Il peut se produire un épaississement des
formes
avec développe- ment des seins, constituant un
ections en môme temps que s'atrophient ses orga- nes génitaux ; ses
formes
s'amincissent et l'on assiste à une chute presque
le trouve rap- 430 CORDIER ET REBATTU proché de l'anneau, sous la
forme
et la grandeur d'un haricot blanc. Il est in- d
c atrophie consécutive des testicules. Peau blanche. Cheveux longs.
Formes
féminines. Point de barbe. L'INFANTILISME RÉGRE
émission de liquide spermatique ou sper- moïde. Seins développés.
Formes
arrondies du corps. Faiblesse musculaire. Obs
plètement disparu : on est, croirait-on, devant un adolescent. Les
formes
géné- rales du corps sont plutôt féminines, ave
nfond avec la sclérose interlobulaire et qu'on ne reconnaît qu'à sa
forme
et sa paroi moins dense. Les lésions sont donc
Remarquons en passant que l'achondroplasie se rencontre, et sous sa
forme
habituelle, dans l'Afrique centrale. Nous donno
de la même longueur, tandis que le premier est relativement court. La
forme
en trident de la main est bien évidente sur la
que dans trois cas sur les six ici décrits, elle se présente sous une
forme
absolument pure. Et d'ailleurs l'un de nous (H.
pl. par Rebattu, 368. - {Nouvelle observation d' -. Peul on de la
forme
des troubles psychiques dans celte maladie tire
zière. Une nouvelle ohser- vation d'achondroplasie. Peut-on de la
forme
des troubles psychiques dans cette maladie, tir
Uwuas. Une nouvelle obser- vation d'achondroplasie. Peut-on de la
forme
des troubles psychiques dans cette maladie, tir
énéralement plusieurs heures de suite et parfois se présentent sous
forme
d'élancements apparaissant et disparaissant t b
vraiment fructueux, des connaissances relatives à l'anatomie des
formes
du corps humain, plus étendues et plus DE LA DÉ
ssi très bien admettre que, chez certains sujets prédisposés, il se
forme
, après un laps de temps plus ou moins long, com
! coordina- tion automatique». « Enpa ! ! 1Ogéni; 'dit-il, cette
forme
ne' diffère de t'ataxie; complète que par' la con
et par l'adaptation régulière des mouvements au but voulu. Cette
forme
, très rare, n'a été vue jusqu'ici que chez les
dans la Medicina Contemporanea, en 1883, sous ce titre : « Sur une
forme
spéciale d'im- puissance motrice des membres in
e aussi les différences et les analogies qui existent entre « cette
forme
spéciale d'impotence motrice des membres inféri
es d'incoordination motrice chez les hystériques. Le premier est la
forme
étudiée par Briquet et Lasègue3 3 dans laquelle
ue les malades sont privés du contrôle de la vue. Le second est une
forme
non encore décrite. Quelquefois elle est combin
de la lenteur de l'exécution de cette excitation En général, cette
forme
intéres- sante d'incoordination est relative se
fonctionnelle. Erlenmeyer rapproche les convulsions statiques de la
forme
décrite par Bamberger sous le nom de spasme sal
ans laisser aucune trace. Mais je ne pus donner aucune raison d'une
forme
clinique aussi étrange. Sur un lit, on voyait u
inrentdes attaques hystéro- épileptiques qui paraissent avoir eu la
forme
classique (arc de cercle, attitudes passionnell
tites filles. Sa soeur a treize ans; elle est atteinte d'hystérie à
forme
anorexique. bllie G... elle-même est réglée dep
al Saint-Louis. Dans son enfance, il a été atteint de scrofule sous
forme
d'é- coulement d'oreilles et d'adénopathie cerv
écédée d'une phase d'un genre particulier. Puis secousses tétani-
formes
de la face et des membres. Période clonique. -
L'état mental actuel n'est que la conséquence d'une longue folie à
forme
rémittente, accompagnée d'accès d'excitation et
oisième volume renferme une description des attaques de sommeil qui
forme
la monographie la plus complète que nous posséd
estion est importante à préciser surtout t lorsque l'on envisage la
forme
d'attaque de sommeil plus par- ticulièrement dé
e l'explosion des accidents hystériques envisagés sous toutes leurs
formes
. Nous devons dire cependant que les récentes ét
l'a fait M. Achard, dirons-nous avec lui, en ne considérant que la
forme
particulière de l'attaque de sommeil qu'il a étud
paroxystique, Elles se produirait dans les psychoses aiguës sous la
forme
de semi-rigidités ou de semi- convulsions muscu
éraux, la substance grise, les fibres nerveuses. P. K. VII. D'UNE
forme
TOUTE particulière D'ILLUSIONS DE la VUE ; par
roupe : Idées de persécutions chez les arthritiques mélancoliques à
forme
torpide. Septième groupe : Idées de persécution
ond qu'ils ne se rencontrent que chez les paralytiques jénér raux à
forme
ataxique, au moment où les lésions, qu'elles débu
mots. On serait en droit, dès lors, de les rapprocher de certaines
formes
d'onomatomanie qui semblent dépendre d'une exci
maux 1. M. le directeur 13.ItTIIOLD. Du développement du sens de la
forme
chez les idiots. Les enfants que l'on rencontre
ussi susceptibles d'un développement différent. Ainsi le sens de la
forme
est plus capable de développement que le sens d
e de développement que le sens du nombre. D'ailleurs, le sens de la
forme
se compose de i'intel-' ' Nous ne pouvons nous
) SOCIÉTÉS SAVANTES. ligence (reconnaissance et distinction), de la
forme
et de la mémoire de la forme. Suivant qu'existe
(reconnaissance et distinction), de la forme et de la mémoire de la
forme
. Suivant qu'existe ou que prédomine chez tel ou
modalités de la faculté totale ou l'une des facultés du sens de la
forme
, l'individu en question est apte à subir telle
dessiner, lire. La prédominance, chez lui, de l'intelligence de la
forme
, l'entraî- nera à apprendre à écrire et à dessi
à écrire et à dessiner, mais non à lire. Si c'est la mémoire de la
forme
qui tient la tête, l'enfant apprendra bien à li
mais non à écrire ni à dessiner. C'est aussi du genre du sens de la
forme
que dépendront les progrès dans l'enseigne- men
it donc comporter dans une large mesure la culture du sens de ! a
forme
. Enseignement théorique par les démonstrations de
ens de ! a forme. Enseignement théorique par les démonstrations des
formes
et l'ensemble de l'enseignement visuel, enseign
du calcul, du tra- vail manuel. L'étude plastique et théorique des
formes
oblige à fixer, à observer, regarder, comparer,
ation du reste de renseignement visuel, et vice vend. Le sens de la
forme
grandit par l'enseignement de l'écri- ture, de
é de recon- naitre, comparer, juger la représentation graphique des
formes
matérielles. En combinant ces diverses branches
el, puis l'analyser, le reproduire graphiquement; qu'il s'agisse de
formes
géométriques, du lettres, de clJill'res, d'orneme
professeur ERB (d'Heidelberg). Etat anatomique des muscles dans la
forme
juvénile de la dystrophie musculaire progressive.
rncnuavrr (de Stephansfeld). Des altérations histologiques dans les
formes
traumatiques de l'encéphalite aiguë. - Résultats
ne se produit pas d'abcès : la substance conjonctive se détruit et
forme
avec le pus des amas cellulaires pleins de micr
s vasculaires, de sorte que dans les pre- mières semaines, il ne se
forme
pas de réseau conjonctif continu. Donc le premi
tion sur le fait en question, et de faire remarquer que, dans cette
forme
d'aphasie, c'est sans exception la moitié gauch
le genou gauche et sur le ventre on observe des taches blanches de
forme
irrégulière, en- tourées d'une bordure plus pig
médius de la main droite n'existe pas et l'extrémité de la seconde
forme
un moignon un peu épaissi. La colonne vertébral
ue la ligne moyenne, allant de l'incisure jugulaire vers l'ombilic,
forme
un arc, dont la convexité est dirigée à droite.
long supinateur a presque disparu et se fait sentir au palper sous
forme
d'un mince cordon; en général, tout l'avant-bra
rçoit pas de différence moindre de 5° et sur un certain espace de
forme
sémi-lunaire, dont la limite convexe supérieure
inquante-quatre ans. Theermo-anesthésie partielle et analgésie sous
forme
hémiplégique. Plus tard lésion du coté opposé.
brachial (appa- rition d'une petite boule semblable à celle qui se
forme
à la suite d'un coup sec sur le muscle). A la m
nt. Sur la paume de la main la ligne séparant la partie anesthesiee
forme
dans le tiers supé- rieur de la main une courbe
demi- flexion à angle droit avec le tronc. Enfin, dans une autre
forme
, la station et la marche ne sont plus que gênée
nous en avons tirée, il est déjà possible de distinguer plusieurs
formes
d'astasie et d'abasie correspondant aux divers
ique. Or, on sait que la paralysie hystérique se présente sous deux
formes
cliniques typiques qui, au premier abord, sembl
où il est debout. Quand l'affection se présente sous sa dernière
forme
, c'est-à-dire qu'il existe des mouvements désor-
aux le rythme et la cadence des mouvements, leur intermittence sous
forme
d'ac- cès ; de plus, les accès eux-mêmes se pro
'une suggestion d'impuissance motrice se réalisant sous l'une des
formes
que nous nous sommes attaché à décrire. Ne pour
ujet, ait pu acquérir assez d'intensité pour se réaliser sous une
forme
objective ? Il n'est pas douteux, d'après les f
voit le plus souvent à la suite de vertiges ou d'accès aigus; cette
forme
est la plus fréquente, et beaucoup d'auteurs n'
nt à la suite de vertiges et d'accès, mais constitue encore une des
formes
les plus communes de l'épilepsie larvée. Obse
nt saillante et linéaire; l'orifice anormal à l'état ordinaire a la
forme
d'un triangle isocèle dont la base répond à la
xième scissure frontale. Le sillon de Rolando, très profond, a la
forme
d'un S. - La scissure perpendiculaire externe n'a
lobe occi- pital. La scissure interpariélale est très irrégulière,
forme
en arrière de la circonvolution pariétale ascen
mée, est très sillonnée. Le lobule pamcentral, bien développé, a la
forme
d'une bourse dont l'ouverture siégerait au nive
égers, tantôt forts. Dans le premier cas, ils se présentent sous la
forme
vertigineuse : pâleur de la face, chute sans mo
aum ', qui tente, dans une importante monographie, de délimiter une
forme
de maladie dans laquelle certains symptômes som
un rôle capital daus tout le pro- cessus morbide. Cette nouvelle
forme
de vésanie serait extrêmement voisine de ce qu'
ut qualifier d'extase pathétique et aussi une tendance à parleren
forme
de discours, à déclamer; qui donneraient à la mú
et ensemble constitue la Catatonie. Jusqu'à un certain point, cette
forme
serait un pen- dant à la paralysie générale ave
ues de la Catatonie on trouve qu'elle présente successivement les
formes
principales qu'affectent les troubles intellectue
t le stade de stupeur. C'est d'abord le caractère pathétique . sous
forme
d'exaltation théâtrale, d'extase tragico-religieu
verbigération peut se transformer en l'une quelconque de ces autres
formes
. En outre à côté de la verbigération il faut no
hthisie, rare pour Kahlbaum dans les autres LA CATATONIE. 2;)V li
formes
mentales. Ce fait seraità opposer à la prédominan
la première place Les causes occasionnelles sont celles des autres
formes
mentales; à signaler encore cependant le trauma
e sorte que les svrn [p tômes psychiques revêtent successivement la
forme
de la mélancolie, de la manie, de la stupeur, d
nerveux moteur présentant le caractère général de la crampe. Cette
forme
v' LA CATATONIE. 261 t de maladie ainsi carac
aient au contraire le caractère de paralysies. ' Près de ces deux
formes
de maladies si distinctes vient s'en ranger une
ne présente rien du côté- du système nerveux moteur. Cette dernière
forme
que l'on ren- contre souvent dans les asiles da
la guérison est nommée ordinaire- ment manie, et en opposition aux
formes
maniaques mul- tiples, manie simple ou véritabl
ux formes maniaques mul- tiples, manie simple ou véritable. A ces
formes
à marche cyclique on doit opposer tous les cas
iénations idiopathiques et sympathiques. On pourrait distinguer des
formes
de Catatonie épileptique, r tétanique, choréiqu
tions sans caractère régulier (C. gravis). Enfin, dans une dernière
forme
(C. prolongée), les symptômes d'excitation n'ap
indifférence vide. l3rosius croit que déjà on peut distinguer trois
formes
de Ca- tatonie : 1° une forme méningitique dont
it que déjà on peut distinguer trois formes de Ca- tatonie : 1° une
forme
méningitique dont la marche prolongée est liée
nfin l'oedème cérébral décrit par Etoc-Demazy3 serait une troisième
forme
. Kiernan1, dans deux mémoires consécutifs sur l
ert, deux ans avant Kahlbaum, avait décrit la Catatonie comme une
forme
particulière de mélancolie attonita, et il cite l
es auteurs que nous venons de citer. Pour lui, la Catatonie est une
forme
spéciale du délire systématisé aigu hallucina- r
marche de la névrose vaso-motrice. Au point de vue clinique, cette
forme
de Wahnsinn peut se di- viser en Catatonie expa
itant de l'hystérie, Schüle revient sur cette question et parmi les
formes
que peut affecter la folie hystérique il décrit
cter la folie hystérique il décrit le Wahnsinn catatonique. Cette
forme
très fréquente du Wahnsinn hystérique a de règle
ie de Kahlbaum et rejette la description de Schtile qui en fait une
forme
de délire systématisé (Wahn- sin). Car, pour lu
ps après la cessation des injections hypo- dermiques. » Tout cela
forme
un faisceau de faits dont nous verrons en- core
faits : ceux dans lesquels l'attaque de sommeil se présente sous la
forme
apoplectique avec hémiplégie, ceux dans lesquels
orps. Ceci nous amène à dire quelques mots complémentaires sur la
forme
apoplectique de l'attaque de sommeil récemment
l n'en est plus ainsi dans certains cas de stupeur mélanco- lique à
forme
léthargique ou dépressive. Ce sont encore là, du
t pas un véritable sommeil, ce qui suffit, ' Sthpeur mélancolique à
forme
léthargique. Sommeil apparent et non discontinu
tion spéciale du délire chronique suffit à le distinguer des autres
formes
mentales, dont la symptomatologie peut com- pre
laisse pas que d'étonner de rencontrer unies chez un même sujet ces
formes
morbides d'ordre si différent, délire chronique
sont justement pas irri- guées par cette artère. M. MUFLLER. Les
formes
initiales de la paralysie générale ne sont pas
Une expérience de plusieurs années m'a imposé la conviction que des
formes
tout à fait initiales peuvent se terminer par la
l'extrême fréquence des rechutes de la folie et en particulier des
formes
de folie les plus dangereuses d'une mesure qui
t le nom, profes- sion, age et domicile, tant de la personne qui la
forme
que de celle dont le placement est réclamé, et
nt entre elles « La demande est écrite et signée par celui qui la
forme
; elle est visée par le juge de paix, le maire o
isines. De cette façon, la nourriture pourrait être servie sous une
forme
plus appétissante; une moins grande quantité en
le regard vague, les symptômes spasmodiques, les accès apoplecti-
formes
et épileptiformes, et les symptômes psychiques, a
avec la gouge dans les trous de conjugaison se 'présentent avec la
forme
, le volume et la consistance de ganglions norma
s atteints de paralysie générale ou d'aliénation mentale sous une
forme
quelconque, etc. Et alors cette paralysie faciale
jusqu'à pré- sent, la diathèse nerveuse qui se manifeste sous une
forme
plus ou moins éclatante, c'est l'hérédité directe
lants de cette observation, nous avons préféré la reproduire sous
forme
de tableau généalogique. DE LA PARALYSIE FACIAL
s groupes : dans le premier groupe DE LA PARALYSIE FACIALE. -375 (
forme
légère), il n'y a aucune anomalie dans l'excita-
ilité faradique ou galvanique des nerfs et des mus- cles ; c'est la
forme
essentiellement bénigne dont la guérison ne dem
ois. Dans le troisième groupe vien- nent se ranger les paralysies à
forme
grave avec réaction de dégénérescence complète;
n autre cas qui 376 CLINIQUE NERVEUSE. avait les apparences d'une
forme
grave avec tous les caractères de la réaction d
trième côte ; qu'il est refoulé en bas vers la cavité abdominale et
forme
une voussure fluctuante qui se trouve au niveau
médiaire le sillon occipital'transverse. La scissure interpariétale
forme
en arrière de la circonvolution pariétale ascen
sur le rebord la position d'après laquelle l'axe céphalo-rachidien
forme
un angle aigu avec la barquette. Douzième expér
p. 1026.) LA CATATONIE. 421 Il Arndtr rejette l'existence comme
forme
essentielle, de la folie de tension (Spannungs-
des grandeurs le mieux caractérisé, mais la catatonie n'est pas une
forme
spéciale d'aliénation, elle n'est qu'une verruc
ignes qu'on attribue à la catatonie : -. il n'admet nullement cette
forme
et pour lui la stupeur et les autres phénomènes
es cas décrits comme typiques méritent de constituer vraiment uue
forme
morbide spéciale parce que les phénomènes calaton
marche est celle des vésanies typiques. Pour lui, la rapportant aux
formes
acceptées dans nos classifications, il incline
ncipales tentatives qui ont été faites pour isoler la catatonie des
formes
vésaniques voisines. Nous avons pu déjà être fr
55.) - 8 J. Voisin. - Notes sur un cas de mélancolie avec stupeur à
forme
cataleptique, etc. (Archiu. de new'olog, 1877,
tisans même de celle-ci. Enfin dans son livre sur la folie à double
forme
, M. Ritti 2/' signale la présence des états cat
ns en face de ces deux opi- nions : 1° ou bien la catatonie est une
forme
morbide essen- - tielle ; 2° ou bien les cas ra
énumérés ci-dessus sont-ils véritable- ment caractéristiques d'une
forme
mentale spéciale ? Consi- dérons-les d'abord en
, 1883, p. 4 ï8.) * Ritti. - Traité clinique de la folie à double
forme
, 1883, Obs. XI, XII, XIII. LA CATATONIE. 425
lie à double forme, 1883, Obs. XI, XII, XIII. LA CATATONIE. 425
formes
ou états cataleptiformes et même les simples raid
e, nous pou- vons voir que chacun d'eux peut se rencontrer dans les
formes
psychopathiques les plus variées (Arndt, Krafft
dépression de la folie circulaire (ilitli) et dans les différentes
formes
de l'intoxication alcoolique où ils sont pour ain
stupeur panopho- bique qui présentait ces manifestations sous trois
formes
diffé- rentes, secousses musculaires, raideurs
dans ce cas l'hypothèse de l'hystérie primitive. Dans les autres
formes
de mélancolie, qui ne présentent pas l'état de
aux états maniaques (Lagardelle). On sait d'ailleurs que dans les
formes
plus graves d'excitation, et en particulier dans
i que, dominé par l'idée de l'élément spasmodique capital dans la
forme
qu'il veut décrire, Kalhbaum fait de la verbigéra
s, ce n'est pas une base assez solide pour y édifier une nouvelle
forme
nosologique. D'ailleurs, quelle que soit l'explic
ours de la maladie elle peut se transformer en l'une quelconque des
formes
dont il la distingue auparavant (redesucht ordi
. Brugia e S. Marzocchi. - Dei movimenti sistematizzafl in alcllne'
forme
diindebolirnento mentale. (Arch, ital. per le mal
s ou moins régulières d'excitation se présentant aussi bien sous la
forme
d'excitation maniaque que d'anxiété mélancoliqu
mélancolie attonita, qui a été considérée jusqu'à présent comme une
forme
spéciale, ne se développe cependant primi- tive
a démence, la mélancolie attonita ne doit être considérée comme une
forme
particu- lière. » L'argument est peut-être exce
attonita, à savoir qu'elle ne doit pas être consi- dérée comme une
forme
particulière, au moins pour sa marche. Nous avo
nous venons de passer en revue ne peut à lui seul caractériser une
forme
psychopathique spéciale. En est-il autrement de
l'alaxie locomotrice, l'ataxie héréditaire et la chorée. Dans la
forme
cérébro-spinale de la sclérose en plaques, on o
lité cutanée soit dans tous ses modes, soit dans plusieurs, sous la
forme
bila- térale, hémilalérale, disséminée (en plaq
as). Chez le même individu, ces perturbations varient, quant à la
forme
, à divers moments; elles sont dans leur ensemble
iaques, mais à titre de phé- nomène secondaire et exceptionnel, des
formes
de manie et de délire qu'on a pu ranger sous le
tions partielles, consécutives aux attaques congestives apoplecti-
formes
et aux accès d'épilepsie. P. K. XVII. Observati
gique. Il existe des types d'ivro- gnerie intermédiaires à ces deux
formes
. Signalons en un, se rapprochant de la forme co
rmédiaires à ces deux formes. Signalons en un, se rapprochant de la
forme
continue, daus lequel la propeusion à boire n'e
dont 14 syphilitiques. Il n'existe pas, d'après la statistique, de
forme
clinique particu- lière de paralysie générale s
es troubles dans les différents phénomènes de cette nutrition. La
forme
arrondie des plaques de vitiligo, et la marche ex
parmi les partisans eux-mêmes du délire chronique au sujet de cette
forme
psychopalhique prétendue si simple et si claire.
Briand ont ouvert cette description, j'avais cru comprendre que la
forme
nosologique dési- gnée par Lasègue de délire de
ésie faciale à droite, et, à plusieurs reprises, attaques épilepti-
formes
avec trouble de la connaissance (convulsions clon
nerfs olfactifs et avait donné nais- sance aux hémisphères sous la
forme
d'une vésicule unique. Le cer- veau antérieur p
'arc marginal. Base normale. - Suture frontale ossifiée; le frontal
forme
en avantun angle aigu ; en arrière la calotte e
e en avantun angle aigu ; en arrière la calotte est plus aplatie et
forme
un plan oblique très escarpé, tête trigonocépha
nture de voltige et d'un appareil d'Esmarch). Il traite enfin d'une
forme
de convulsion musculaire idiopathique, rappelan
de préférence chez la femme. Les paralysies revêtent la plupart des
formes
connues, hémiplégie, paraplégie, mono- plégie,
en français, il y est joint une traduction française certifiée con-
forme
. « Dans les trois jours de la notification de c
s'étend jusqu'à la moitié de la clavicule. Elle entoure l'épaule et
forme
un véritable gigot. A la face, anesthésie du cô
rte et comme hébété dans l'intervalle des spasmes, tout, en un mot,
forme
un tableau caractéristique qu'il n'est guère po
ouverons bien dans l'histoire antérieure de notre ma- lade d'autres
formes
de ses convulsions cloniques ; mais jamais l'ap
sions cloniques ; mais jamais l'apparition et la disparition de ces
formes
diverses ne se sont faites rapidement. Chaque t
point d'un tic isolé et passager, mais d'une série ininterrompue de
formes
symptomatiques variées, et dont l'en- semble co
s si l'on envisage la localisation du phénomène en la comparant aux
formes
classiques, on constate que la localisation sur
olie. Quoi qu'il en soit, il est bon de connaitre les principales
formes
de ces stigmates psychiques pour pouvoir mieux le
peur d'avoir peur. Dans ce 'même ordre d'idées, mais sous une autre
forme
, on note la folie du pourquoi, non pas du pourq
à placer une moitié des objets à droite, l'autre à- gauche. » Celte
forme
est l'analogue, avec un degré de plus, du besoi
xtrême est pour nous un symptôme de déséquilibration mentale, une
forme
de neurasthénie psychique que j'ai eu le bonheur
mélrophilie, mais je préfère bountétrie. JI Suit une série d'autres
formes
dont j'emprunte la des- cription sommaire à Gui
ont eux-mêmes autre chose que des tics psychiques, c'est-à-dire des
formes
symptomatiques, des manifestations spéciales de
On y distingue des contours peu nets qui limitent des espaces de
forme
irrégulièrement arrondie ou polygonale et l'on y
presque toutes alté- rées : elles présentent une grande variété de
forme
, de dimension et d'aspect : toutes dépassent no
le noyau n'est plus ap- parent. La plupart ont gardé pourtant leur
forme
normale. Quant aux méninges et aux racines nerv
corrodée : au lieu de se présenter comme un tissu cohé- renl, elle
forme
une trame dont les mailles irrégulières apparais-
ire cervicale, on trouve dans les cornes antérieures des cavités de
forme
irrégulière, contenant un vaisseau, tapissées e
cas et d'autre part, il n'est point du tout établi que les diverses
formes
étiolo- giques de myélite aiguë possèdent des c
yphoïde ou éruptive, une pneumonie..., c'est une maladie nerveuse à
forme
convulsive qui se déclare chez un épileptique,
se généralise, il affecte particulièrement les muscles extenseurs,
forme
opisthotonos. L'affection se montre avec une gr
n maniement réclame certaines précautions et un choix judicieux des
formes
phar- maceutiques. Il a été préconisé contre le
ulée, dysménorrhée mâle par infection; elle revêtit chez le mari la
forme
de névralgies lombo-sacrées avec diarrhée sangl
lcération tuberculeuse. P. Keraval. XVII. MAL vertébral, nouvelle
forme
de gastralgie; parM. 13oce. (Centrcalb. f. Nerw
s six générations, par A. Eulenburg. (Neurol. Cen- tralbl. 1886.)
Forme
toute spéciale congénitale héréditaire d'idiosync
une température de 10 à il° R.; la chaleur les dissipe sous toutes
formes
ainsi qu'un bon repas. Les mains peuvent cepend
al déterminent l'appa- rition de l'hystérie et principalement de sa
forme
convulsive, militent fortement en faveur de cet
qu'elle contient simultanément des élé- ments fondamentaux des deux
formes
morbides : dépression per- sistante avec produc
athiques et en particulier avec la folie systématique. - A côté des
formes
stationnaires de la folie systématique, il en exi
des formes stationnaires de la folie systématique, il en existe des
formes
progressives qui tôt ou tard permettent de reconn
es après une courte période de délire, et se manifeste souvent sous
forme
d'une lacune intellectuelle persistante, irrépa-
base à une division clinique distinguant, suivant l'évolution, des
formes
de faiblesse psychique : .mélanco- lique - stup
n dans l'huile), sortir des corpuscules de Ranvier. Les unes ont la
forme
de demi-lunes ; les autres, *de polygones. M. Ro-
logique et histologique de treize : faits de paralysies générales à
formes
diverses ; six cas de démences séniles et secon
ns brillantes libres ou contenues dans des cellules. Cette dernière
forme
de l'altération se rattacherait aux cas d'athér
e la corne antérieure (territoire d'origine moyen). Au moment où se
forme
la corne latérale, c'est-à-dire un peu au-dessu
e se comportent de même que ces derniers, mais le troisième segment
forme
ici plutôt un arc ver- tical. P. KERAVAL. XII
r contenu dans le cordon latéral en avant du faisceau pyramidal. Il
forme
un long ruban à la hauteur de la commissure pos
llette de 19 ans. Arrêt de développement de l'insula gauche dont la
forme
et le volume comparés à ceux du même organe de
certaines affections mentales, le langage réflexe s'observe sous un
forme
exagérée ; 5° que la voie du langage réflexe est
acula, à l'aide dnquel on construit, par la pensée, une figure, une
forme
, devenant bien vite hallucination, de même qu'o
plus fréquem- ment dans la paralysie générale que dans toute autre
forme
de folie, c'est que c'est surtout dans la paral
ces recherches les conclusions suivantes : 1° Dans les différentes
formes
de folie, l'influence du système nerveux sur le
utre du caractère normal. 2° Dans la manie aiguë et dans les autres
formes
de folie qui s'accompagnent d'excilation mental
lut : 10 Que la neurasthénie engendre des névroses de différentes
formes
et des psychoses de dégénérescence. - 2° Que da
doute peut se manifester à l'état pur, ou être associée à d'autres
formes
de psychose de dégénérescence, à des délusions
rariété. Les deux premiers cas peuvent se i encontrer dans d'autres
formes
de folie; le troisième parait être spécial aux im
es se sont graduellement aggravés. R. M. C. VII. Sur UNE nouvelle
forme
de trouble ment\l présentant DES CARACTÈRES BIE
cence, bien qu'il diffère par plusieurs points essentiel- de cette
forme
de folie. Les troubles mentaux qui précèdent ou a
ées. Tableaux. Analyse. Le poids du cerveau diminue dans toutes les
formes
de 1'31léuation mentale, surtout chez les hommes
i plus tard dégénère eu encéphalite et myélite diffuse, revêtant la
forme
symptomatique de paralysie générale. Inactivité
es de suicide; l'ensemble de ces nouvelles idées délirantes prit la
forme
d'obsessions. i\1. WKNDT. M. Krcemer, dans son
a paru utile d'en faire une communication. Ils appar- tiennent à la
forme
mixte cérébro-hulbaire et montrent une fois de
sont cependant plus ou moins graves sans qu'on sache pourquoi. Les
formes
varient également ; la folie induite témoigne n
sistance se lève en l'honneur de sa mémoire. 111. 13UDDEBERG. De la
forme
dépressive à évolution aiguë de la démence para
e sur certains points. P. B. II. Amyotrophie primitive progressive (
forme
juvénile de Erb); par L. BOURGUET. Montpeilier,
, d'un malade du service du Dr Grasset, atteint d'amyotrophie de la
forme
juvénile, il caractère familial ; sans antécéde
matisme psychologique; essai de psychologie expérimen- tale sur les
formes
inférieures de l'activité humaine; par Pierre J
re à profit la méthode des sciences expérimentales pour étudier les
formes
élé- mentaires de l'activité humaine; en d'autr
une sorte de plan simplifié de la sociologie humaine. Les diverses
formes
de gou- vernement sont ensuite reconnues et étu
génie commune. Qu'on ail affaire à l'épilepsie vulgaire, qui est la
forme
chronique, ou aux diverses éclampsies, qui cons
la forme chronique, ou aux diverses éclampsies, qui constituent la
forme
aiguë, les causes invoquées, émotions morales,
lière- ment ses recherches sur la folie paralytique et les diverses
formes
de la parulysie générale, dans lesquelles il ét
éférence par les membres supérieurs où l'on observe l'une des trois
formes
de Archives, t. XX 9 130 varia. griffe, la
as du tout réalisé. Nous allons expliquer pourquoi. La Sûreté a une
forme
circulaire. Au centre s'élève une sorte de tour
t également exagéré des deux côtés. La sensibilité, sous toutes ses
formes
, est parfaitement conservée; elle est égale des
lui-même, la caractéristique de la chorée chronique : il. - Cette
forme
de chorée est héréditaire. Il y a des familles
a façon suivante : hérédité, souvent extrêmement ac- cusée, sous la
forme
similaire; développement tardif; marche chroniq
clut : « Il existe principalement chez l'adulte et le vieillard une
forme
chronique de la chorée. On la rencontre aussi,
identiques et l'on pourrait définir la maladie de Huntington : une
forme
chronique, développée chez l'adulte, de la chorée
lutôt, d'une chorée rythmique ? De fait, le dia- gnostic avec cette
forme
morbide sera difficile à établir, d'au- tant qu
emblement dans le cadre desquels rentrent habituellement toutes les
formes
de ce symptôme. On arrive à peu près toujours,
'il s'agit en un mot, dans notre cas, d'un tremblement hystérique à
forme
de tremble- ment sénile. Nous pouvons affirme
ue ! Non pas qu'elle ait jamais eu de grandes crises et présenté la
forme
convulsive de la névrose; ces manifestations br
été médicale des hôpitaux ('1 avril 1889). Pitres distingue trois
formes
de tremblements hystériques : la variété trépid
oire, la variété vibratoire et le tremblement intentionnel. 1° La
forme
{¡'épidatoi1'e est ainsi caractérisée par l'auteu
ie trépidante, elle fut notée ,Ço,hez, l ? l1l¡ade atteint de cette
forme
d'hystérie-que plusieurs , d'entre vous ont pu,
ve à la variole, qui pourrait bien être un tremblement hystérique à
forme
de sclérose en plaques. Vous voyez, que le trem
pportons à la classification de Pitres, ce serait un tremblement à.
forme
vibratoire. Je préfère, toutefois à cette class
Nous aurions'affaire dans l'espèce, et un tremblement hystérique à
forme
de tremblement' sénile. ' Je ne vous- ai point
anière de voir, à savoir qu'il s'agit d'un tremblement hystérique à
forme
de tremble- ment sénile. Ceci nous amène à une
mettre que notre malade est atteinte d'un tremblement hystérique, à
forme
de MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT. O tremble
t bornée à l'une de ces quatre périodes, soit encore par la crise à
forme
d'épilepsie partielle, de toux, de bàillement,
longue, et rebelle ? si, l'on. considère le fond morbide; mais les
formes
symptomatiques 208 CLINIQUE NERVEUSE. sont va
n - dont la para- lysie n'est qu'un symptôme- peut présenter deux
formes
, l'une chronique, l'autre aiguë. Dans le pre- m
est qu'au point de vue symptomatique ces paralysies affectent les
formes
les plus diverses : tantôt elles se localisent à
même côté du corps. Cette localisation spéciale donnait lieu à une
forme
, Leude ! . - Troubles des nerfs périphériques
n. Laroche : ¡, dans sa thèse, a montré que l'hémiplégie était la
forme
la plus fréquente de l'intoxication oxy- carbon
esthésie à la face dorsale de la main et sur tout le pied. Dans les
formes
monoplégiques et hémiplégiques tantôt il y a an
Dans les hémiplégies la guérison est la règle, sur- tout dans les
formes
où la sensibilité, est profondé- 1 Hùrchzimer.
possible de dire que les autres hémiplégies et sur- tout les autres
formes
de paralysies reconnaissent la même cause. On p
s des apo- physes styloïdes. - Ses limites inférieures affectent la
forme
de « bagues » situées à la partie supérieure de
e la motilité de l'oeil et des réflexes tendineux. P. K. XXXVI. UNE
FORME
particulière DES troubles DU mouvement DE la PU
venh., 1886.) Contraction inégale du muscle irien prenant ainsi les
formes
les plus bizarres et variant à chaque instant d
t ainsi les formes les plus bizarres et variant à chaque instant de
forme
, sa mobilité étant conservée. Dans l'immense ma
paralysé. La périodicité très nette des phé- nomènes survenant sous
forme
d'accès fugaces, séparés par des intervalles pl
Douze femmes atteintes de cette affection, dont six présentaient la
forme
circulaire, ont été pesées avec soin pendant troi
colie. P. Keraval. XXIX. CONTRIBUTION A la relation ENTRE certaines
FORMES
D'ÉPILEPSIE ET l'excrétion d'acide urique; par
telles que l'agoraphobie, la claustrophobie, etc., ne sont que les
formes
extérieures d'une seule et même crainte patholo
n question. Le courant augmente manifestement l'action du chloro-
forme
, et il n'y a pas à cela d'autre interprétation qu
il est bon de signaler des accès convulsifs épileptoïdes de toutes
formes
, n'abolissant pas toujours la conscience, malgré
pendant que les paralytiques généraux non syphilitiques. Toutes les
formes
de pa- ralysie générale peuvent s'observer chez
s cas de démences guéries. Au point de vue étiologique, l'auteur en
forme
dix grou- pes : 1° les démences des enfants nor
lysie générale et la manie consécutives à des traumatismes sont des
formes
congestives d'alié- nation mentale. Il est impo
ie. M. Dubuisson pense que le traumatisme peut provoquer toutes les
formes
d'aliénation, mais principalement la paralysie
diatement le traumatisme. M. Boucher communique l'observation d'une
forme
] spéciale d'obsession chez une héréditaire. llm
s sont sous la dépen- dance de celui qui est affecté. La variété de
formes
pourrait s'appeler variété essentielle. La tube
t en dedans de la substance gélatineuse de la corne postérieure. Il
forme
en cet endroit un trousseau distinct et dense p
agnostic différentiel de la paralysie générale dans les différentes
formes
de la fulie. Le banquet annuel n'a pas eu lieu.
titre d'exemples, plusieurs observations caractéristiques. D'autres
formes
, au contraire, se font remarquer par l'absence to
rapporte les faits de six mélancoliques qu'il a observés (quatre à
forme
dépressive, deux àformeanxieuse) et six fois, c
nt, servir au diagnostic d'une affection coexistante, telle que les
formes
frustes de la maladie de Basedow. M. Charpentie
ères pages, on le dévore jusqu'au bout, préci- sément à cause de la
forme
du dialogue, des parenthèses du cli- nicien, de
vel appareil de projection et de coordonnées propre à déterminer la
forme
géométrique et l'association mathématique des d
dio-vasculaire, le vertige simple, le vertige avec crises épilepti-
formes
et le vertige avec pouls lent permanent et crises
Dans nos bureaux 3 fr. BERNARD. - De l'aphasie et de ses diverses
formes
. 2" édition avec une préface et des notes, par
ions irrégulières, sans lien, et susceptibles de revêtir toutes les
formes
imaginables, est au contraire, comme l'a établi
giques' quand il s'agit de troubles nerveux qui se manifestent sous
forme
d'accès. 2° L'évolution de l'affection peut fou
nte : elle aperçoit à gauche une figure qu'elle compare, quant à la
forme
, à une étoile qui s'agrandirait petit à petit, do
t. III, p. 202) et dans un mémoire, de MM. Marie et Guinon, sur les
formes
cliniques de la myopathie progressive (Revue de
ont elle ne peut, en raison de leur mobilité, préciser davantage la
forme
et les autres caractères; au bout de cinq minut
antérieur. Celui-ci, après avoir traversé le tubercule mamillaire,
forme
le pilier réfléchi P. r., qui va à la couche op
sphère liquide sur laquelle elle s'étale. La membrane olfac- tive
forme
une masse ellipsoïdale allongée , sans cavité r
AREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 347 Cette partie blanche a la
forme
d'un triangle dont un des côtés, l'externe, est
ace sont occupés en arrière par une bande de tissu blanc qui a la
forme
d'un triangle dont le sommet tronqué, di- rigé
f. La bande diagonale est épaisse; en dedans, nous avons vu qu'elle
forme
un relief comblé par la substance grise; nous v
ui au lieu d'être étalée sur cet espace se ramasserait sous cette
forme
. En effet, dans ce cas, la substance grise manq
il y a lieu d'en tirer quelques conclusions spéciales pour chaque
forme
morbide, et combien la perceptibilité différen-
ment de percevoir une ombre donnée, il faut encore distinguer la
forme
de cette ombre, il faut lire les lettres. Les e
nsi bien plus grandes, l'oeil percevant encore l'ombre alors que la
forme
des caractères n'est plus discernable; enfin la
vue psycho-physique. Effectivement, toute anes- thésie n'est qu'une
forme
pathologique de la diminu- tion de l'excitabili
férentielle à différents degrés de l'éclairage. On peut dire que la
forme
générale de la Fig. 31.-Courbe obtenue par la m
eumatique. Comme le poisson, la grenouille sans cerveau possède une
forme
de vision; excitée, elle ne se précipite pas en
ébelleux et mésencéphaliques dans la régularisation des différentes
formes
d'activité, nous pou- vons, pratiquement quelqu
nces de Steiner, de Schroeder et d'autres auteurs, montrent que les
formes
d'activité qu'on a cou- 416 PHYSIOLOGIE PATHOLO
erte de l'intelligence. C'est simplement relater les faits sous une
forme
plus métaphysique mais moins intelligible. Nous
localisations par Hughlinges Jackson (1861) 3 qui, par l'étude des
formes
de l'épilepsie qui portent justement son nom, a
dit que, quoique la convexité des hémisphères ne réagit pas à cette
forme
de stimulant, cependant il a pu produire des mo
rès l'opération : dégénérescence secondaire. Cette dégénéres- cence
forme
, au point où la racine entre dans la moelle, un t
ane le faisceau de Goll ; la section des racines du plexus brachial
forme
une zone dégénérative qui 428 REVUE D'ANATOMIE
lysie générale. Il divise l'atrophie des fibres blanches en quatre
formes
: 1° dégénérescence systématique fusiforme; 2° ci
he; 4° atrophie diffuse simple de la substance blanche. La première
forme
émane des lésions en foyers corticales ou médul
es de la base aug- ment-ils de volume. Mais l'écorce, à cause de sa
forme
sphérique, ne peut s'étendre qu'en se repliant
ol. Centralbl., 1888.) Une sorte de planche à bouteilles non percée
forme
un table de 47 sur 39 centimètres; les dépressi
X, 2.) Sénilité ne signifie pas vieillesse et inversement. C'est la
forme
de la lacune intellectuelle qui constitue la pi
psychoses de toutes sortes, il existe une albumi- nurie propre aux
formes
suraiguës de psychopathies (notamment au délire
reaux .............. 3 fr. BERNARD. De l'aphasie et de ses diverses
formes
. 2" édition avec une préface et des notes, par
homonyme droite, par Bruns et Schultze, 250. Aliénation, nouvelle
forme
d ? par Mesched(, 105; de l'adoles- cence, pa
rapport de la paraly- tique avec la syphilis, parSiemens, 110; -
forme
dépressive 1 évolu- TABLE DES MATIÈRES 469 ti
grave d' - réflexe par Eulenburg, 2f7; - rapports entre certaines
formes
d' et l'excré- tion d'acide urique,par Haig,255
étation des 472 TABLE DES MATIÈRES symptômes par Heddoeus, 76 ;
forme
spéciale de troubles par Salgo, 239 · - immobil
ar Oppcn- hein, 74. Urique, excrétion de l'acide dans certaines
formes
d'épilepsie, par Haig, 255. Vessie, centres d
E ET DU LABORATOIRE DE il. LE PROFESSEUR RAYMOND. LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX DANS LE MAL DE POTT SANS G
urs irradiées dans les membres inférieurs, ont presque toujours une
forme
un peu vague et ne prennent une valeur que pour
V. Mena un, Etude sur le Mal de Poli. Paris, 1900. LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX 3 pour le diagnostic. Chez
ranger, nous nous proposons d'exposer succinctement les principales
formes
cliniques des troubles nerveux dans le mal de Pot
gnostic dont chacune d'elles peut être la cause. § 1. Principales
formes
cliniques. Il serait extrêmement important de p
rift sur Nervenheilkunde, t. xvi (1899), 110 pages. LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX S savons seulement que la
e diagnostic. Le rachis, jusqu'à la terminaison fatale, conserva sa
forme
régulière. » Montrant les pièces anatomiques, C
, il y a 20 jours, (1) CHARCOT, loc. cü., p. 122. LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX 7 une paraplégie spasmodiq
Masson et Ci-, Editeurs Pootot)1ue Bert6aud, Pa^us LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX 9 9 mois après le début on
c D MAL DE POTT SANS GIBBOSITE (L. Alqitier.) LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX 11 compression de la moell
roit. MAL DE POTT SANS GIBBOSITE (L..Alr¡uier.) LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX 13 des douleurs dans le ge
Schéma des troubles sensitifs chez leur malade. ' LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX 15 rotuliens forts, achill
ir rapporter tous ces accidents au mal sous-occipital, éliminant la
forme
spasmodique de la syringo- . myélie, malgré cer
(2) Ruys, Cercle médical de Bruxelles, 2 mars 1900. LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX 17 aucun trouble du côté d
t. MAL DE POTT SANS GIBBOSITE (T. ? lt ! ! Cl ? LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX 19 fléchit sous le poids d
inges cer- vicales avec compression de la moelle. LES PRINCIPALES
FORMES
DES TTOUBLES NERVEUX 21 tion, on trouve signalé
Diagnostic différentiel. Au début, nous l'avons vu dans toutes les
formes
, et pour toutes les régions du rachis, le malad
aud, etc...) (1). On devra donc, en présence d'une douleur névralgi
forme
, tenace des membres ou du tronc, et dont la cau
es racines ou des nerfs, comme dans le mal de Pott. LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX 23 c'est-à-dire dans le ma
e faiblesse des mains, on avaitpensé à une polynévrite alcoolique à
forme
surtout sensi- tive en raison de la prédominanc
la partie du segment cervical, située au-dessus de LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX 25 l'origine des racines d
(3) Phelps, Buffalo med. Journ., septembre 1901. LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX 27 Effectivement, dans les
ermet d'arriver à diagnostiquer le mal de Pott avec LES PRINCIPALES
FORMES
DES TROUBLES NERVEUX 29 troubles nerveux sans g
spondylose rhizomélique se distingue non moins nettement des autres
formes
d'ankylose rachidienne, notam- ment de celles d
te étiologie qui distingue la spondylose rhizomélique de toutes les
formes
du rhumatisme chronique. Comme le rhumatisme chro
celles qui sont pourvues d'un fort renforcement ligamenteux sous la
forme
d'un bourrelet ou d'un ménisque. , Nous avion
une fracture. En avant cette luxation se manifeste par un angle que
forme
la colonne cervicale avec la colonne dorsale; cet
ation de ce délire mélancolique, deuxième phase d'un accès à double
forme
, qui se dissipa vers le commencement de février
été assez bien, mais à cette époque il eut uu autre accès à double
forme
. Il s'exalta de nouveau, donnait tout ce qu'il
et qui parlent dans le même sens. Etal actuel. Comme l'examen des
formes
est de la plus haute importance dans ce que je
bsence complète des caractères sexuels secondaires, et encore par ses
formes
extérieures. (PI. XII.) Il s'agit donc, et je
, avec l'absence de barbe, c'est l'atteinte portée à l'harmonie des
formes
, devenues monstrueuses, par l'accumulation de l
use qui couvre la région antéro-latérale du cou, et qui, prenant la
forme
d'un croissant, monte des deux côtés, encadre e
a convexité transversale; ils sont aplatis et se présentent sous la
forme
de lames planes. Déplus, les on- gles sont atro
é ses 167 centimètres de taille, con- serve, à l'âge de 37 ans, les
formes
extérieures de l'enfant. Le squelette se dévelo
ns son ensemble et chacun de ses organes en particulier, d'après la
forme
et les proportions qu'ils avaient dans les ancê
os longs et la longueur anormale des os du métacarpe, ainsi que la
forme
très particulière triangulaire du dernier métatar
eut-être le « glossyskin » qui est caractéris- tique pour certaines
formes
de névrite. Les bras maigres vous rappelleront le
vie pratique. En outre, l'acromégalie se pré- sente aussi sous des
formes
atypiques : et dans une de celles-ci l'hypertroph
surtout à droite ; mais les pro- portions ne sont pas changées, la
forme
normale est conservée. Une croissance excessive
des toxines spécifiques est présumée être la cause directe de cette
forme
de gigantisme. L'école française me semble parf
alie et paraplégie avec contracture ; aux deux pieds infiltration à
forme
de pseudo-oedème avec cyanose intense et algidi
hant le sol quand le pied y repose. En aucun point la pres- sion ne
forme
de godet. ' La teinte de cet oedème est très fo
notique mais beaucoup moins tendue qu'aux pieds ; les doigts ont la
forme
de boudins (main succulente). Coeur. A l'ausc
uses et musculaires. - Aux pieds, infiltration élastique du derme à
forme
de pseudo-oedème. . Beauv. Berthe, née en 1881,
élastique, tendu, qui ne prend pas l'empreinte du doigt. Cet oedème
forme
un bourrelet manifeste à la racine des orteils
difficulté'de travail prolongé. J'ai essayé des lorgnons variés de
formes
et différents par les ressorts et les points d'
longues années on a soutenu que l'oeil de l'homme différait dans sa
forme
de celui de la femme ; les anatomistes du xvii0 s
ôle im- portant ;,1'oeil fortement convexe sur les statues d'hommes
forme
une sur- face pour le contraste de la lumière e
à l'Académie des sciences à Berlin une étude sur la reproduction de
formes
de l'oeil dans la (1) GREEFF, Studien niber die
eil pour la déter- mination des époques de la sculpture antique. La
forme
de l'oeil est un important critérium diagnostiq
ue imperceptible. C'est justement ce détail purement anatomique qui
forme
un critérium diagnostique précieux chez les Dio
E DE PARIS Séance du jar février 1906. ACHONDROPLASIE PARTIELLE
FORME
atypique. PAR HENRI DUFOUR. A côté des form
PLASIE PARTIELLE FORME atypique. PAR HENRI DUFOUR. A côté des
formes
typiques d'achondroplasie, il existe toute une ga
tte affection. M. Félix Regnault a déjà décrit quelques-unes de ces
formes
anorma- les, M. Durante également. J'ai eu l'oc
térations conjonctives et vasculaires qui accompa- gnent les autres
formes
de l'atrophie et qui sont surajoutées à la dispa-
a définition qui vient d'en être donnée. Et d'autant plus que cette
forme
d'arrêt de développement se produit après la na
de plus, la jambe est légèrement déviée en dehors (genu valgum) et
forme
avec l'axe du pied un angle rentrant en dedans.
derniers doigts, et quand la main repose sur le lit, la ire phalange
forme
une véritable voûte à concavité inférieure. Seu
abondante même aujourd'hui qu'autrefois, si épaisse parfois qu'elle
forme
croûte. Enfin depuis 15 jours elle a des vertig
on a affaire à de « petits hommes » ou à de « petites femmes ». Les
formes
plastiques ne sont pas celles d'un enfant, mais
res nerveuses, une multitude de granula- tions de volume inégal, de
formes
variées, quelquefois sous forme de corpus- cule
bes, aux pieds. En résumé : distribution topographique irrégulière,
forme
généralement arrondie à l'exception des deux tu
racine unique qui ira former le plexus. Et maintenant, de quelle
forme
est la paralysie de notre malade ? Est-ce une p
'au tapetum ; de petits foyers existent encore dans le lobule fusi-
forme
. Les autres circonvolutions sont respectées : lob
tie moyenne du segment horizontal de cette couche, elle affecte une
forme
triangulaire. Sur cette coupe, la dégénérescence
la couche sagittale externe, une zone totalement dégénérée ayant la
forme
d'une triangle. Ce triangle, dont la base est d
Dejerine, ce faisceau existe également dans le cerveau normal ; il
forme
une bonne partie du tapetum, et au niveau du lobe
s qui se rencontrent dans cette région. Cette irrégularité est con-
forme
à la règle générale; nous ne croyons plus comme a
points attireront successivement notre attention : 1° l'etatmonili-
forme
des cylindraxes radiculaires antérieurs et postér
tte racine. En b, l'épaississement des méninges a augmenté et il se
forme
au centre du nerf radiculaire une cavité communiq
(Gonflements, état moniliforme). Cette lésion est banale dans sa
forme
; nous savons en effet de longue RÉGÉNÉRATION CO
ns et des nerfs radiculaires les régénérations apparaissent sous la
forme
de fibres extrê- mement fines pour la plupart,
usieurs reprises autour de ces anses (Pl. XXVIII, g); ou bien il se
forme
simplement un écheveau embrouillé aux dépens d'
de petit volume au^ niveau de chaque bifurcation. Dans la troisième
forme
de divi- vision les branches, très fines, naiss
néoformées sont enveloppées dans une membrane conjonctive qui leur
forme
un étui et qui porte des noyaux allongés espacés
s espacés de distance en distance (gaine de Henle) ; cette membrane
forme
autour des boules ter- minales une capsule nucl
n en voit de très petites, qui mesurent seulement 2 à 3 micra. Leur
forme
est parfois arrondie, mais le plus souvent elles
r forme est parfois arrondie, mais le plus souvent elles sont pyri-
formes
ou ovoïdes ; parfois elles sont très allongées, c
massue, un renflement brusque de la fibre, qui garde néanmoins une
forme
cylindrique jusqu'au voisinage immédiat de sa ter
fig. 1) ; dans le tabes ancien au contraire, on voit apparaître des
formes
très petites, ou bien des massues irrégulières et
e des formes très petites, ou bien des massues irrégulières et dif-
formes
(Pl. XXXVIII, b, b", c, c', c", c ? d). Quelle
dans les cornes de la moelle, j'ai décrit des massues qui ont même
forme
, même aspect que les massues des ganglions rachid
de em- bryonnaire ; dans le tabes elles ont le même volume, la même
forme
et la même capsule que dans les cicatrices nerv
tion possède des caractères très spéciaux, qui la distinguent de la
forme
actuellement classique et qui en font une catégor
n font une catégorie à part, non encore décrite. En effet, la seule
forme
de régénération que nous connais- sions actuell
hypothèse que je propose est exacte. Conclusions. I. A côté de la
forme
de régénération nerveuse qui est seule connue a
du corps cellulaire lui-même, soit du prolongement nerveux, sous la
forme
de collatérales. Comme celles de la régénération
l'évolution clinique en deux temps d'une encéphalopathie complexe à
forme
surtout méningée, et qui en imposa pour une mén
plus vaste, de même contenu, de la dimension approximative et de la
forme
d'une orange, creusé aux dépens de la région pa-
one, et varient d'aspect suivant le degré de leur développement. La
forme
de ces éléments est généralement arrondie : la li
r le fond nucléaire bleu foncé. Il n'est pas rare de rencontrer des
formes
multinucléaires et des figures de karyokinèse.
amas assez volumineux, ces dernières se présentent surtout sous la
forme
de gros éléments dont le protoplasma irrégulier p
cial, et renferme toujours un espace clair à bords estompés. Leur
forme
, très irrégulière, est tantôt ovoïde, tantôt poly
u noyau de ces masses rappelle l'aspect d'une rosace. A côté de ces
formes
adultes, il en existe d'autres, plus petites, où
res. - Les altérations nucléaires ne sont pas moins importantes. De
forme
arrondie ou allongée, tous les noyaux sont très
ormal, surtout dans les régions frontales et motrices. Une deuxième
forme
d'altération est représentée par toute une série
nts symétriques ; il en résulte une figure dont la coloration et la
forme
rappellent l'aspect du nucléole d'un noyau névrog
les prolongements sont devenus indistincts, dont le corps a pris une
forme
ratatinée. Cependant les cellules d'apparence n
i séparent la pa- raplégie par rétraction du vieillard des diverses
formes
de rhumatisme chronique avec déformation des mu
isme chronique avec déformation des muscles et principalement de la
forme
décrite par Jaccoud (1) en 1867. Dans ces fai
n signaler les parti- cularités qui autorisent à la classer dans la
forme
myopathique. Le sujet dont parle Démange était
l'extension surtout ne peuvent s'accomplir complète- ment, la jambe
forme
un angle obtus avec la cuisse, les muscles posté-
as sur le bras est impossible; à angle obtus le biceps très amaigri
forme
un relief dur et douloureux. La flexion du br
graisseuse se limite à quelques fibres. Celle-ci se pré- sente sous
forme
d'un piqueté noir très ténu, les granulations son
aît limitée à des fragments très réduits de la fibre, présentant la
forme
des boules ovoïdes bosselées. La nature de cette
e mouvement exécuté. Persistance du sens musculaire sous toutes ses
formes
. Les réflexes rotuliens sont exagérés avec tend
la droite étant la plus dilatée ; la gauche est un peu excentrique,de
forme
oblique ovalaire. La langue est animée d'un tre
t qui concerne un malade atteint de maladie de Recklinghausen d'une
forme
spéciale, malade que nous avons présenté à la S
taches brunes de couleur café au lait, de dimensions variables, de
forme
ronde ou allongée et sur NOUVELLE Iconographie
glisser peu à peu le long du bras ; la peau se plisse, se gaufre et
forme
bientôt de grands replis ; c'est seulement alor
sque noire ; et taches caractéristiques de couleur café au lait, de
forme
ronde, ovalaire ou très allongée, réparties sur
rps cellulaire ; plus rarement, il avait observé l'ordination fusi-
forme
des éléments chromatiques ou la vacuolisation. Au
. Outre qu'il existe plusieurs types cellulaires avec de nombreuses
formes
de transition, pour une même espèce de cellules
llules diminuées, beaucoup d'entre elles petites, pigmentées, ou de
forme
anguleuse. Wollenberg (3), dans 14 cas de tabes,
égénèrent dans le bout ganglionnaire, et on peut les retrouver sous
forme
dé boules éparses dans le nerf qui sort du gang
'existe aucune prolifération des petites cellules capsulai- res. La
forme
du corps cellulaire est normale à l'exception de
es à myéline. Sur des coupes plus élevées, cette zone pre- nait une
forme
triangulaire. Nous n'avons pas fait de numération
à voir avec la syphilis ; il reconnaît cependant l'existence d'une
forme
de syphilis cérébro-spinale à foyers disséminés.
oint, le nom de sclérose diffuse. « Au point de vue clinique, cette
forme
morbide se distingue également par quelques car
r exemple celui de sclérose multiloculaire diffuse. Cette. dernière
forme
, en conclusion, pourrait être mise sur le compte
e leur nature histologique justifie une assimilation entre les deux
formes
. D'après lui, la différence essentielle est const
burg, Flatau et Koelichen, Bielschowsky. Dejerine décrit un cas à
forme
de sclérose latérale amyotrophique, et ayant tr
veloppement La seconde, au contraire, serait à considérer comme une
forme
acquise ; elle aurait pour origine des infectio
SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 341 i ques tout en acceptant une
forme
de myélite syphilitique disséminée, éta- blisse
forme de myélite syphilitique disséminée, éta- blissent entre cette
forme
et la sclérose en plaques légitime (qu'ils attrib
foyers avec une destruction plus ou moins complète des cylindraxes (
forme
destructive de [Babinski). Les difficultés devi
absolument impossible de faire un diagnostic différentiel entre une
forme
consécutive par exemple à une fièvre typhoïde e
ntre une forme consécutive par exemple à une fièvre typhoïde et une
forme
de myélite disséminée syphilitique à foyers un
aître, on ne conçoit t pas pourquoi on la doit considérer comme une
forme
rare de syphilis ner- veuse. Car si la syphilis
arables à celles de la sclérose multiple, cela cons- titue bien une
forme
spéciale de syphilis nerveuse, mais il n'y a pas
yphilis nerveuse, mais il n'y a pas de raisons pour refuser à cette
forme
l'étiquette de sclérose en plaques uni- quement
tituent une autre preuve très importante qui fait reconnaître à cette
forme
de sclérose des caractères identiques à ceux qu
inique et d'autres, par ci par là, eux aussi, assez nombreux, d'une
forme
variée, parfois même fort bizarre, granu- 352 G
tégrité, car on les retrouve remplacés par un amas de 8-10 noyaux à
forme
et à dimension va- riable. Cette constatation
Nonne dans son livre,admet qu'elle ne copie exclusi- vement que des
formes
frustes ou atypiques. Müller dit que si le diagno
iologie de la sclérose en plaques et qu'on est fondé à admettre une
forme
de sclérose en plaques syphilitique tout à fait
orme de sclérose en plaques syphilitique tout à fait comparable aux
formes
de n'importe quelle autre origine infectieuse.
21. Dejerine. - Elude sur la sclérose en plaques cérébro spinale à
forme
de sclérose laté- roamyotroplaigue. Revue de mé
la question, définit l'amusie, ou aphasie musicale, comme « une des
formes
de l'asymbolie. un mode d'altération de l'emplo
» ou cécité' musicale; le malade conservait normalement les autres
formes
du langage musical : il chantait, il écrivait la
8 mars Charcot présenta deux malades : un jeune homme atteint d'une
forme
transitoire d'aphasie, se présentant par accès, e
sie musicale n'était pas accompagnée d'aphasie verbale, sous aucune
forme
. Le malade était un paralytique général progres
ilité de fonctionner pour une cause quelconque, on aurait les mêmes
formes
que pour le langage ordinaire. « Dans le cas co
ançaise). Paris, 1885. (4) BERNARD, De l'aphasie et de ses diverses
formes
. Paris, 1886. (5) Ballet, Le langage intérieur.
tisation des désordres du langage musical. Cet auteur distingue six
formes
cliniques : 1° L'amusie motrice (ou aphémie mus
de musique). Ces auteurs décrivent les divers types d'amusie comme
formes
spéciales des aphasies correspondantes. III.
musies en simples et complexes ; les premières n'af- fectent qu'une
forme
du langage musical, tandis que les dernières dépe
véritable a été, en effet, signalée, il y a déjà longtemps. Dans sa
forme
pure le sujet devient in- capable de reconnaîtr
es tons. , Ferrand, en un travail postérieur (1), a insisté sur ces
formes
patholo- giques de « surdité tonale », semblabl
ur ces formes patholo- giques de « surdité tonale », semblables aux
formes
congénitales décrites avec le même nom par Daur
c per- sistance de l'aptitude pour le chant ; c'est, sans doute, la
forme
. moins rare du dédoublement pathologique du lan
inaux de Massenét. Dans les agraphies verbales associées à d'autres
formes
d'aphasie motrice qui sont fréquentes l'agraphi
ale) est la perte de l'exécution instrumentale. Elle est rare en sa
forme
pure;, fréquente dans la forme complexe. Le cas
n instrumentale. Elle est rare en sa forme pure;, fréquente dans la
forme
complexe. Le cas de Charcot est un des mieux décr
us avons pu l'ob- server dans une autre étude (1), puisque les deux
formes
du langage ont une valeur purement symbolique.
a- sie : elle est combinée. 2° La perturbation affecte toutes les
formes
du langage musical : l'amu- sie est totale ; el
- lement le langage musical (il n'y a pas d'aphasie), en toutes ses
formes
et empêche d'une façon absolue son fonctionneme
es sont nombreux, et permet- tent des inductions bien définies. Les
formes
complexes et combinées sont fréquentes ; les fo
n définies. Les formes complexes et combinées sont fréquentes ; les
formes
simples et pures sont rares. La bibliographie est
ntionnés par les auteurs. Nous avons pu observer une seule nouvelle
forme
de dissociation du langage musical, dans la cli
rs fonctions élémentaires du langage, mais par leur déviation de la
forme
ordinaire. Font donc partie de ce groupe les go
s types ont pu être observés cliniquement dans presque toutes leurs
formes
; la maladie ne nous montre pas seulement le lang
oduit une sorte d'étalement; d'autres fois la phalangette prend une
forme
nettement cylindrique. - L'aspect est rendu plu
tre être très marquée sur des doigts nulle- ment émaciés. ' Cette
forme
sénile ne comporte nulle déviation, le doigt rest
illoz, a montré (V. radiog.9 , PI. LVII) une modi- fication dans la
forme
et le volume des têtes des phalanges et des métac
ant type P. Marie et Léri. Existe-t-il un rapprochement entre cette
forme
demain sénile et le type spécial indiqué par M.
novembre. Un mois et demi après il y est ramené en pleine urémie,à
forme
pulmonaire surtout, et il meurt le soir même de
rieur de la fosse pituitaire qui donne l'image d'une large coupe de
forme
hémisphérique). fies circonstances indépendante
du squelette, et la nécessité s'impose à votre esprit de donner une
forme
con- crète aux vérités qui se sont révélées à v
fibres hypertrophiées et d'autres présentant des renflements fusi-
formes
sur leur trajet, de dimensions parfois considérab
une excavation ; de sorte que dans son ensemble, la cicatrice a la
forme
d'un x irrégulier, dont la ligne de jonction se
fférent suivant l'orientation de la coupe. Tantôt, elles sont fusi-
formes
, oblongues, longues, représentent des espèces de
ours (chien). On y voit des lames de tissu conjonctif d'aspect uni-
forme
entre lesquelles il y a des fibroblarts, fb, fb'
ues d'un ou plusieurs noyaux qui, suivant leur siège,en modèlent la
forme
(Fig. 5). Nous allons donner maintenant le résu
on lésée, de la paraplégie flasque et de l'anesthésie de toutes les
formes
de sensibilité. Il est mort 29 jours après l'ac
MARINESCO ET MINEA de la compression où la moelle est plus mince et
forme
comme une espèce de pont entre le bout supérieu
Le noyau des cellules des bandes protoplasmiques est allongé, fusi-
forme
et granuleux. Dans leur protoplasma on trouve par
la régénérescence des nerfs périphériques nous ont montré qu'il se
forme
dans le bout périphérique d'un nerf, quelques j
celle des fibres des centres nerveux ; aussi nous avons vu qu'il se
forme
de pareilles colonies dans la cicatrice de la m
es caractères de l'accès épileptique qui, le plus souvent, prend la
forme
jacksonienne, la rareté des vertiges épileptiques
musculaires. La main droite est nettement dirigée en dedans ; elle
forme
avec l'avant- bras un angle dièdre ouvert en ha
t de son métacar- pien ; 2° que la main non maintenue par le radius
forme
un angle plus ou moins aigu avec le cubitus ; 3
type Lorain, état pathologique caractérisé parla a persistance des
formes
juvéniles et l'arrêt d'évolution du système génit
tion du système génital, à côté du type d'hypotrophie simple où les
formes
sont celles d'un adulte réduit, infantilisme an
s en partie, n'ont pas l'ap- parence hérédo-syphilitique. Le palais
forme
une voûte ogivale. Le pha- NOUVELLE TCOXOGRAPII
ganisé, en quelque sorte cicatriciel. Le périnèvre est épaissi et
forme
autour de chaque fascicule un anneau scléreux,
res conjonctives et de gaines vides semées denoyaux de volume et de
forme
divers, le tout contenant une ou quelques rares f
fibres ou en noyaux ; les noyaux sont volumineux, le plus souvent de
forme
circulaire, mais assez irréguliers, et se disti
breux. Les gaines à myéline qui persistent sont très altérées de
forme
,leur diamètre est irrégulier, elles sont comme
à l'opinion de Raymond qui regarde le type Charcot-Marie comme une
forme
fruste de la névrite interstitielle hypertrophiqu
s avec dégénération ascendante dans les cordons (1) V. Bedaschi, Le
forme
fruste della neurite intersliziale ipertrofica e
vement intacte, est repoussée vers le canal ra- chidien, lorsque se
forme
la gibbosité; d'autres fois, les débris des corps
nt les racines de la queue de cheval. La moelle présente partout sa
forme
et son volume normaux. Histologiquement les m
d'un tiers environ. Au-dessus et au- dessous, elle reprend vite sa
forme
et ses dimensions normales. Histologiquement le
tout cas., sans infiltrations péri vasculaires. Les lésions tabéti
formes
sont douteuses dans l'observation XIII. Dans ce
la moelle. - Obs. VI : elle est comprimée latéralement et prend la
forme
d'une prisme triangulaire à arête antérieure. A
ar la partie moyenne de la protubérance, le foyer hémorrhagique, de
forme
vaguement triangulaire à sommet antérieur, et à
e de la coupe. Le foyer sous-lobaire du lobe semi-lunaire supérieur
forme
une dégénéres- cence massive. On distingue de
minales, puis vont se grouper à la partie profonde des corps resti-
formes
, avec lesquels elles pénètrent dans le cervelet.
combinées et de scléroses latérales amyotrophiques. Cette dernière
forme
a dans toutes les observations le type tonique
ed dn pédoncule cérébral. La réunion de ces deux pieds de pédoncule
forme
donc un V ouvert en avant, et dont la pointe tr
inales). Quant aux cellules ganglionnaires elles sont pour nous des
formes
modifiées des grandes cellules que l'on ren- co
obablement sous peu. TABLE DES AUTEURS ALQUIER. Les principales
formes
des trou- bles nerveux dans le mal de Pott sans
me méningé (3 Ilg., i pl.), 239. DuFouR. Achondroplasie partielle
forme
atypique (3 pl.), 133. Dupré et DEVAUX. Abcès
1 pl.), par Dupré et DE- veaux, 239. ' Achondroplasie partielle,
forme
atypique (3 pl.), par DUFOUR, 133. Acromégali
g.), par Féré, 115. Mal de Pott sans gibbosité (les principales
formes
des troubles nerveux dans le) (4 pl.), par ALQU
s sans citer aucune observation; Horner, d'autre part, a décrit une
forme
de ptosis qu'il attribue à la paralysie des fib
é, sont encore des caractères que l'on ne retrouve guère dans les
formes
actuellement connues de la migraine. On pourrai
en est quelquefois ainsi dans la paralysie générale, dans certaines
formes
de syphilis cérébrale, où les rechutes échappen
en aucun point détruite totalement, et sa face infé- rieure, saine,
forme
toujours la partie antérieure du ventricule lat
empiéter sur quelques fibres du faisceau interne; elle affecte une
forme
régu- lière, une répartition égale sur toute l'
à la sclérose en plaques, qui est irrégulière et disséminée sous
forme
d'ilôts très limités (Cliarcot, Bourneville').
imple. Outre un état de déséquilibration bien carac- téristique qui
forme
comme le fond môme du caractère des individus,
i-même ; on en a décrit trois principales : des changements dans la
forme
et les fonc- tions des globules sanguins, une a
aminé le sang pendant la vie n'ont rien constaté d'anormal dans les
formes
des globules rouges. Le fonctionnement défectue
eux qui terminent par-' fois le diabète. Pour Kaulich, l'acétone se
forme
dans l'esto- mac, par fermentation, aux dépens
à ceux que provoquent, à moins forte dose, l'éther et le chloro-
forme
. Il admit comme probable que l'acétone, passant d
afférente à celle qui nous occupe. Peu importe comment l'acétone se
forme
dans l'organisme, le point capital est qu'elle
acétone se forme dans l'organisme, le point capital est qu'elle s'y
forme
et qu'elle y existe. Or, la présence de l'acéto
autre nature dont nous avons formé notre première catégorie. II.
FORMES
CLINIQUES DU COMA DIABÉTIQUE I. Coma diabétique
xion assez constante pour qu'il ne soit pas permis d'en faire des
formes
distinctes. La constitution de variétés cliniqu
visent habituellement les auteurs dans leurs descrip- tions, est la
forme
à marche rapide et continue, aboutissant à la m
te-huit heures à dater du début des symptômes d'intoxication. Cette
forme
est le type de l'acé- tonémie à sa plus haute p
général, qui va en s'accentuant jusqu'à la mort. Môme dans cette
forme
aiguë de l'acétonémie, les accidents n'ont pas
faits de ce genre servent en quelque sorte de transition entre les
formes
rapides de l'intoxication et ce que nous appelo
ne, c'est l'état d'accablement, d'affaissement, commun à toutes les
formes
d'acétonémie. Le malade, épuisé, torpide, 72 '
rofit de l'acétone. 3° Acétonémie intermittente. A côté de ces deux
formes
à évolution continue et fatalement mortelle, il
acétonique de l'urine, en même temps que se mani- festent sous une
forme
atténuée quelques-uns des symptômes fonctionnel
ues passagères et avortées, une dernière crise finit par revêtir la
forme
grave aiguë et le malade succombe dans le coma
. - Enfin, la myopathie atrophique progressive se distingue de la «
forme
.juvénile » de Erb par la participation de la f
- tionnaire. Dix-neuf observations. Elle s'y rencontre a, sous la
forme
passagère : à la suite de l'attaque, quand l'atta
ve pas à la suite des attaques purement convulsives; - h, sous la
forme
stationnaire : chez les épileptiques malades depu
ue. On rencontrerait l'anesthésie sensorielle aussi bien dans les
formes
les plus légères que dans les formes les plus gra
ensorielle aussi bien dans les formes les plus légères que dans les
formes
les plus graves et les plus opiniâtres de l'hys
dre dans les idées accompagné d'hallucinations avec excitation, qui
forme
une phase de transition ; dans l'état maniaque
grande liberté, a conduit à fonder des colonies d'aliénés sous deux
formes
principales : des colonies de familles, des colo-
e matin; recrudescence dans l'après-midi, les douleurs affectant lu
forme
d'accès névralgiques ; grande lourdeur dans les
x n'ont d'ordinaire qu'un rôle secondaire. M. 11dI3LB.UM. Sur une
forme
clinique de la folie morale. L'hébéphrénie de l
de l'asymétrie du crâne, absence du lobule de l'oieijle, etc. Cette
forme
nouvelle est de Yhelioîdophrénie ou de l'/teoMf
onnante, des irradiations de la capsule interne. La capsule externe
forme
, sur une coupe transverse (coupes verticales et
s effets thérapeutiques de l'électricité statique. Employée sous la
forme
de douche, l'électricité statique serait un puiss
les) a donné lecture d'un tra- vail de M. Régis sur les différentes
formes
de délire émotif. Dans la séance de mardi, 111.
la pratique et auxquelles on rattacherait comme variétés les autres
formes
morbides que l'observation clinique ne révèle.
EaEOihr (de Vienne) a tracé un tableau très complet des différentes
formes
de ,1a neurasthénie chez l'enfant et chez l'adu
kt a montré les relations de la neurasthénie avec les différentes
formes
de la criminalité, et tenté un groupement de crim
natomie, rapports de l'infirmier avec l'aliéné dans les différentes
formes
mentales, petite pharmacie. Ces cours se font s
progrès très réel sur les anciennes. La cuisine de l'établissement
forme
un pavillon isolé, entre les nouveaux bâtiments
e de l'aliénation mentale, il se localise davantage au moment où se
forme
l'abcès périphérique au niveau duquel semble se
le, ces lésions n'apparaissent que plus tard à l'extérieur, sous la
forme
d'un empâ- tement inflammatoire limité d'abord
entiel du tabès dorsal spasmodique et du tabes ordinaire, parle des
formes
intermédiaires ou plutôt mêlées (inischfoîïnen)
ité et de la vessie. Il admet qu'il y a là une combinaison des deux
formes
de la maladie, coexis- tence de lésions ordinai
même système (sclérose latérale amyotrophique). Ils considèrent la
forme
de Friedreich comme une maladie systématisée co
e que le fait d'être héréditaire ne peut nullement caractériser une
forme
spéciale de tabès, ni même une forme quelconque
eut nullement caractériser une forme spéciale de tabès, ni même une
forme
quelconque de maladie nerveuse. L'hérédité do
ine la neuropathologie tout entière. Elle est si peu inféodée à une
forme
plutôt qu'à une autre, que l'on voit dans les s
tabes, aussi bien au tabes ordinaire qu'au tabes com- biné. Aucune
forme
ne se spécialise à ce point de vue et, il est i
ambe se contracturent en extension et tout le membre in- férieur ne
forme
plus qu'une barre rigide avec les membres gros
e se con- tracturent en extension, et tout le membre inférieur ne
forme
plus qu'une barre rigide avec ses muscles gros
res visuels de l'écorce des circonvo- lutions. A propos des trois
formes
d'hémianopsie, je considérerai comme démontrées
e, du hachisch, de la noix vomique et de l'arsenic sous différentes
formes
, et d'un régime alimentaire plus substantiel, a
e et portant d'énormes végétations rugueuses, une presque polypi-
forme
. Des coupes de ces végétations, traitées par la m
rveux. Dans ces conditions, la fibre nerveuse se pré- sente sous la
forme
de tuyaux clairs comme de l'eau, dont la paroi
nt d'aspect à tout instant; ces organites apparaissent soit sous la
forme
de bâtonnets courts et épais, soit sous celle d
er l'opinion de Monakow d'après laquelle des fibres du corps resti-
forme
passeraient dans le segment interne du pédoncule
hant lentement et affec- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 255 tant la
forme
'de bourrelet circonscrit : contraction locale,
urrelet circonscrit : contraction locale, idiomuscttlvire. Ces deux
formes
de contractions peuvent être pro- voquées chez
is générale des nerfs optiques. Lésion des cordons postérieurs sous
forme
d'une étroite bande longeant les cornes postéri
l qui fait de la transmission héréditaire une cause créatrice d'une
forme
spéciale de vésanies. Il admet volontiers qu'un
porte peu ; c'est l'âge où le malade a été atteint qui détermine la
forme
du mal. Il est plus étonnant de trouver des dif
héréditaire a des caractères spéciaux qui permettent d'en faire une
forme
à part de la folie. M. Bouciiereau voit avec pe
,mais ne luifont jouer qu'un rôle étiologique sans influence sur la
forme
morbide. Les autres au contraire pensent, aveemor
es d'Ainmon, des vaisseaux, le micros- cope révèle simplement, sous
forme
dubitative, une faible multi- plication des noy
n'ait observé (quelques psychoses. Ou en a même distingué diverses
formes
auxquelles on a donné des noms différents, orig
ces, c'est-à-dire de celles qui ont déjà publié leur recen- sement,
forme
un ensemble de 1G ? 00,000 habitants; il y aurait
nais, avec la disposition typographique accoutumée, dans lequel les
formes
morbides de la folie sont dési- gnées en allema
n produit de distillation chez plus de cent patientes, atteintes de
formes
psychopathiques les plus diverses, dans la plup
es et celle de maints diabétiques faisait supposer que l'acétone se
forme
dans l'organisme inanitié, car on croyait que l
jour de l'abstinence, et sur le seuil de l'inanition, l'acétone se
forme
dans l'organisme, car toujours alors, sinon l'uri
sou- vent vif, mais généralement tête baissée et sombre. Crâne de
forme
normale ; rien de particulier dans l'indication d
et dans leur intensité. Discussion : M. Jastrowitz. Combien peu la
forme
des psy- choses correspond aux causes qui les o
de Goll ainsi que dans les zones des cordons cunéiformes qui ont la
forme
d'un F; de cette forme on reconnait-surtout les
les zones des cordons cunéiformes qui ont la forme d'un F; de cette
forme
on reconnait-surtout les détails à l'aide de la
faits d'angionévroses cutanées sont notamment fournis par certaines
formes
d'érythème et par l'urticaire; 3° on ne saurait
(dystrophies névrotiques et paratroplies). Des exemples évidents de
forme
relatives aux §§ a et sont constitués par l'atr
constitués par l'atrophie et l'hypertrophie faciales unilatérales,
formes
cliniques pures, à rapprocher des mêmes acciden
tions du système nerveux et déterminent généralement des névroses à
forme
spé- ciale. Il faut enfin tenir pour des dyscra
t choisi comme président. Secrétaire : M. Tannen. M. SNELL. Sur les
formes
morbides présentées par les aliénés reçus à l'a
E .SOCIETES SAVANTES. 295 plus souvent que dans la mélancolie les
formes
légères; cela s'explique par le fait que la man
cela s'explique par le fait que la manie, si atténuée qu'en soit la
forme
, cause d'ordinaire beaucoup de désordre, et dev
ander à l'asile un traitement de plusieurs années, et les délires à
forme
aiguë jettent le désarroi et devien- nent dange
x imputables à l'épi- lepsie. La progression relative du nombre des
formes
incurables sus-énoncées explique la diminution
et remplacées par des masses I)ya- lines. Conclusion. Il existe une
forme
de poliomyélite antérieure aiguë qui emprunte l
e remarquer qu'il s'agit, dans l'es- pèce, d'une poliomyélite de la
forme
la plus légère, c'est-à-dire dépourvue d'atroph
dre les « résultats de semblables recherches portant sur les autres
formes
« de démences; un établissement destiné au trai
graves. Ces mouvements apparaissent môme au début, les uns sous la
forme
d'accès (agitations convulsives avec rotation e
on par folie systématique ou l'affaiblissement intel- lectuel. 2°
Forme
. Se.produit spontanément sans cause occasionnelle
de transition entre le délire et une maladie mentale ordinaire. La
forme
et la durée de l'affec- tion, le degré du troub
folie systématique alcoolique aiguë, mais il existe aussi d'autres
formes
se rattachant plus exactement à la manie, à la
, chez des êtres impubères. Quant au delirium tremens lui-même, les
formes
mixtes en sont plus fréquentes que les cas tout
oppera parfois, à la suite d'excès exceptionnellement intenses, des
formes
mixtes de délire. il convient aussi de séparer
complique ex- trêmement fréquemment le delirium tremens. Dans les
formes
mixtes de delirium tremens spontané, d'abord il
telles que des hémorrhagies. Dans ces circonstances, existent les
formes
de transition les plus multiples . Tremblement, f
variété des genres de pa- thouénie, on voit se montrer les diverses
formes
du delirium tre- mens. Ce fait est propre à fai
nuité sur toute la longueur de la fibre nerveuse. A côté de cette
forme
, il en est une autre, décrite pour la première
dont les nerfs périphériques présentaient ces altérations. Cette
forme
nouvelle de névrite n'est nullement spéciale au
chez un sujet dont l'affection avait évolué clinique- ment sous la
forme
d'une paralysie ascendante aiguë '. Toutefois,
agie pulmonaire. Intégrité du cerveau et de la moelle. Névrites à
forme
segmentaire des nerfs périphériques et des raci
me qui le recouvre se fendille, s'exfolie; le derme rougit et il se
forme
sur trois points différents un ulcère arrondi,
initiales que se manifestent les dissemblances. Dans une première
forme
, les altérations s'établissent sur le mode suiv
l'atrophie est complète. La gaîne de Schwann se présente sous la
forme
d'un mince tractus incolore ou légèrement teinté
mieux reconnaissable que dans les cas précédents. Dans une autre
forme
de l'altération segmentaire les phé- nomènes in
et le coraco-brachial présentent des lésions dont l'étendue et la
forme
ne diffèrent en rien de celles qui ont été signal
ndant les tubes sains sont en propor- tion fortement dominante. Les
formes
de la lésion sont d'ail-' leurs complètement se
ntrer quelques tubes conservant les attributs de l'état normal. Les
formes
de la lésion sont d'ailleurs celles qui ont été
lument intacts. La lésion y présente les caractères et les diverses
formes
de la névrite segmentaire signalés à propos des
dégénérés sur toute leur longueur. Or, tel n'est point le cas; les
formes
de la lésion sont identiques de part et d'autre
tituer un fait général. D'après le premier de ces auteurs, ces deux
formes
de lésion sont liées l'une à l'autre par un lie
it encore cette opinion en décrivant dans la névrite alcoolique une
forme
d'altération à laquelle il donne le nom de phas
suite, que la névrite segmentaire peut évoluer tantôt sous cette
forme
, tantôt sous une autre, représentant toutes deu
caractères communs et des tendances éminemment destructives. La
forme
segmentaire de la névrite que nous avons observ
rs sur l'hypnotisme, on trouve une grande série- de diffé- rentes
formes
, même on trouve à peine deux expéri- mentateurs
pourra en ajouter un très grand nombre. Est-ce qu'il y a plusieurs
formes
du sommeil hypnotique où peut- être les expérim
roduire isolément chez certains individus tout à- fait dans la même
forme
, comme on la voit se produire en apparence spon
ans une modification de l'activité réflexe qui ne serait pas uni-
forme
dans tous les points de l'axe médullaire. En ou
S COMBINÉ. 393 2. a. Les symptômes douloureux sont notés sous des
formes
diverses, dans 19 des 33 cas. Dans 10 observati
sme cesse, elle devient sourde. 0 Quand un accident, d'une certaine
forme
cessait, dit sa mère, un autre apparaissait. » El
s doigts. Cette tentative ne détermine, qu'une attaque d'hystérie à
forme
cataleptoïde : les membres sont raides, étendus
ecouverte par une mince couche de substance cérébrale. Cette tumeur
forme
l'une des parois d'une cavité contenant un liqu
ons épileptiques développées parallèlement, quelle qu'en ait été la
forme
. Les expériences pratiquées par Ferrier et Noth
sultats fournis par ces recherches sont présentés au public sous la
forme
la plus instructive que l'on puisse souhaiter. Il
u'ils fussent publiés d'une façon collective, et peut-être alors la
forme
tabulaire serait- elle celle qui serait particu
une influence appréciable REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 435 sur la
forme
, la durée ou les conséquences du delirium tremens
rique; toutes deux sont actuellement aliénées et présentent la même
forme
d'aliénation : elles sont toutes deux mélanco-
lence, tout comme l'épilepsie ordinaire peut quelquefois revêtir la
forme
de l'excitation mentale au lieu de se traduire pa
il y avait passé six ans sans avoir d'accès convulsifs de quelque
forme
que ce fût, et après l'incident qui vient d'être
commutateurs, les galvanomètres, les électrodes et les différentes
formes
qu'il convient de leur donner; puis il résume c
uart Mill qui, rompant dvec la théorie scolastique, a établi que la
forme
syllogistique n'est pas le raisonnement lui-mêm
une conséquence d'une 448 BIBLIOGRAPHIE. proposition générale. La
forme
syllogistique ne fait que légali- ser le raison
au), qui d'ailleurs reste souvent inconscient ou non formulé sous
forme
de proposition, mais qui n'en existe pas moins. L
milation partielle de deux images. Or, examinons un raisonnement en
forme
: tous les hommes sont mortels; Socrate est hom
es et leurs successions permet d'en mieux comprendre et retenir les
formes
frustes, les recherches nouvelles de Féré, Ball
hèse, 188p.) L'auteur résume d'abord les caractères des principales
formes
de folie à deux, qui ont été décrites : Io la f
délire de l'autre sur sa propre prédisposition héréditaire. Cette
forme
ne se distingue de la première qu'en ce que le su
sujet passif est un prédisposé à l'aliénation, tandis que, dans la
forme
décrite par Faire et Lasègue, c'est simplement
formation, auxquels on peut adapter les définitions des différentes
formes
de folie à deux. Il est impossible d'entreprend
es chapitres suivants sont décrites certaines variétés et certaines
formes
de la sclérose en plaques qui n'ont pas encore
ésigner une pareille affection sous le nom de sclérose en plaques à
forme
destructive. Si la marche de la sclérose en pla
évolution aiguë; on peut dire dans ces cas qu'on a affaire à une
forme
aiguë de la sclérose en plaques. Enfin, il exis
ication du même traitement. Cu. F. IX. Eludes sur les différentes
formes
de myélites tuberculeuses ; par L.-J3. 1'olsr.
èse, 11885.) - La myélite tuberculeuse peut se présenter sous trois
formes
ana- tomiques : a, forme infiltrée; b, forme di
tuberculeuse peut se présenter sous trois formes ana- tomiques : a,
forme
infiltrée; b, forme diffuse àgranulationsisoia-
présenter sous trois formes ana- tomiques : a, forme infiltrée; b,
forme
diffuse àgranulationsisoia- bles ; c, forme sub
a, forme infiltrée; b, forme diffuse àgranulationsisoia- bles ; c,
forme
subaiguë ouchrouique à tumeur volumineuse unique
ec des caractères cliniques assez variables ; tantôt, comme dans la
forme
chronique ou subaiguë, elles affectent tous les
les symptômes d'une compression de la moelle : tantôt comme dans la
forme
infiltrée ou nodulaire, elles donnent lieu à de
ort rapide avec symp- tdmes), par Savage, 92. Manie (est-elle une
forme
morbide autonome ? ), par Tilling, 86. Manie
dement à cet égard et le phénomène ne nous apparaît plus que sous une
forme
atténuée. J'ajouterai que chaque bâillement se mo
d'aujourd'hui ne sont, en quelque sorte, que la réédition, sous une
forme
nouvelle, d'accidents antérieurs. De trois à hu
ques comitiales, mais bel et bien d'attaques hystériques de la grande
forme
hystéro-épilepsie. Une affection^ désignée sous
Ils ont reparu en mai dernier, sans cause spéciale apparente, sous la
forme
suivante : ce fut d'abord un enrouement bientôt s
ance au voisinage immédiat de ce membre, suffit pour déterminer cette
forme
de contracture que nous avons désignée sous le no
lier ; c'est qu'en effet elle paraît appartenir en propre à certaines
formes
d'une affection d'ailleurs fort vulgaire puisque
qu'exceptionnellement et surtout, bien que non exclusivement, dans la
forme
intense. Ce que je tiens à relever, c'est que lor
t à lui qu'on doit aussi d'avoir nettement accusé l'existence de deux
formes
bien distinctes de l'affection : l'une relativeme
te d'une façon permanente et n'y sévit plus seulement par paroxysmes;
forme
lente, chronique par exemple, marquée souvent par
d'hui. Celle-ci s'est déclarée pour ainsi dire tout à coup sous une
forme
en quelque sorte suraiguë il y a cinq ans. Le séj
apparaître le mal, bien qu'ils puissent contribuer à lui imprimer une
forme
grave. Mais au fond la maladie nerveuse se montre
Mais, Messieurs, la neurasthénie n'est pas, tant s'en faut, la seule
forme
neuropathique qui puisse se produire sous l'actio
à l'heure. En somme donc, hystérie et neurasthénie, voilà les deux
formes
neuropathi-ques qui s'offrent le plus vulgairemen
lorsqu'il existe, se rattache à la grande hystérie hystérie épilepti
forme
, et nullement à l'épilepsie. Chez notre malade,
xisteà l'état rudimentaire, engerme,ou si vous l'aimez mieux sous une
forme
fruste. Voici en effet ce que l'on observe à gauc
l s'agit évidemment ici d'attaques hystériques se produisant sous une
forme
rudimentaire, sans doute, mais suffisamment carac
ent les unes ds£ autres en môme temps qu'elles sont distinctes par la
forme
. L'hystérie est une et indivisible, c'est du mo
stic différentiel, je vous dirai qu'il s'agit chez cette enfant d'une
forme
paralytique, de la chorée, de la chorée molle com
malade ; la première fois que j'ai été frappé de l'existence de cette
forme
de chorée, c'était en 1879, chez une jeune fille
ère monographie qui ait été consacrée à l'étude particulière de cette
forme
de la chorée. Je vais essayer maintenant de com
fait tirer la langue au malade. Cet organe en effet prend alors cette
forme
de crochet à concavité dirigée vers le côté paral
lement dans l'hystérie, espèce une et indivisible, des variétés, des [
formes
; cela est élémentaire. L'ivresse produit, par l'
rque d'une hystérie spéciale, elle peut se rencontrer dans toutes les
formes
de l'hystérie. Après avoir montré que tous les
ritable myélite transverse hémilatérale gauche, équivalant quant à la
forme
paraplégique produite, à une section véritable. M
gaiement et un épileptique dans la famille ; 4° Vertige de Ménière;
forme
chronique et vertiges par accès. lre Malade.
e du sommeil hystérique, diffère « des sommeils » propres à certaines
formes
de la névrose hypnotique ; je fais allusion ici,
examen électrique a donné les résultats suivants le 10 novembre 1888:
forme
légère de la réaction de dégénérescence. — Pronos
l s'agit du vertige ab aure lissa se présentant non seulement sous la
forme
d'accès séparés, mais encore sous celle du vertig
nstant parce qu'elles tendent à établir qu'il ne s'agit pas ici d'une
forme
pure et qu'il existe une complication que nous de
las, les meilleurs conseils, alors même qu'ils sont présentés sous la
forme
poétique et renforcés par le concours du rythme m
lique de notie homme. « Il ne s'agit pas ici, vous disais-je, d'une
forme
pure : il y a une complication que nous devrons d
e heure, vers l'âge de dix mois, d'une paralysie spinale infantile de
forme
paraplégique développée à la suite de « convulsio
diathèse nerveuse qui pourra ou non se traduire déjà chez lui par une
forme
névropathique nosographiquement bien déterminée ;
e voir l'alcoolisme du père retentir sur lui septième enfant, sous la
forme
de paralysie infantile spinale, alors que six de
cette histoire. L'alcoolisme du père a retenti sur le fils sous la
forme
de la paralysie infantile spinale. Les abus du fi
fication établie par M. le professeur Erb, des paralysies faciales en
forme
légère, moyenne, et grave, classification fondée
joue droite flasque et immobile. La réaction électrique indique une
forme
légère. Il a été impossible de trouver dans les a
tteint de paralysie faciale depuis une huitaine de jours; c'est de la
forme
non douloureuse qu'il s'agit. Il s'en est aperçu
les indications fournies par l'étude des réactions électriques, d'une
forme
légère. ai), ueia soc. daTyp. - «o.a«i-. .,«, r
endons des fièvres graves. Serait-ce donc qu'il s'agit ici de cette
forme
paralytique de la chorée dont je vous montrais l'
à l'état chronique (chorée chronique) soit qu'elle conduise, dans la
forme
aiguë, plus ou moins rapidement et sans le concou
nées de perte de connaissance, ce qui les distingue de la plupart des
formes
diverses du petit mal. Je suis étonné que M. Re
; et, pour ce qui est de l'attaque, si elle ne s'accuse pas sous une
forme
très accentuée, elle est représentée cependant pa
es autres valvules et orifices. Poumons et plèvres sains. Foie de
forme
, de couleur et de volume normaux. Il pèse 1.400 g
i-je dit et répété, une seule des affections nerveuses dontl'ensemble
forme
ce que j'appelle la famille neuropathologique qui
veux dont souffre notre homme se montrent cependant chez lui sous une
forme
assez accentuée, assez typique,pour devenir l'obj
r les viscères et en particulier sur l'estomac ; alors se produit une
forme
de dyspepsie à laquelle convient le nom de neuras
lus, l'attaque hystérique est ici représentée nettement sinon sous la
forme
convulsive, du moins sous la forme non moins typi
eprésentée nettement sinon sous la forme convulsive, du moins sous la
forme
non moins typique d'un vertige avec perte de conn
stoire symptomatologique de la paralysie infantile considérée dans sa
forme
classique. Je crois même qu'il conviendra, en vue
tions secondaires, diverses lésions médullaires et en particulier une
forme
d'amyotrophie spinale progressive: mais c'est là
lexus noso-logiques dont il s'agit ne représentent pas en réalité des
formes
hybrides, produits variables et instables, d'un m
papille, papille tabétique. L'aspect papillaire est différent dans la
forme
vulgaire, essentiellement transitoire de l'amauro
que, de la papille nacrée aux bords nets et tranchés qui distingue la
forme
tabétique. N'oubliez pas le pronostic fatal qui s
r faire que la rigidité permanente se réalise définitivement sous une
forme
plus ou moins accentuée. Combien de fois, en effe
urface de la dure-mère, mais rarement le champignon qu'elle constitue
forme
un anneau complet, de 1, Tuberculose vertébrale
, depuis si longtemps en apparence éteinte, s'était produite sous une
forme
congestive ou autre, soit sur la dure-mère, soit
uoi qu'il en soit, ce sont ceux-ci pensons-nous, qui ont déterminé la
forme
particulière et aussi la localisation spéciale qu
ait naître dans son esprit la crainte de voir se reproduire, sous une
forme
plus grave encore peut-être, toute la série des a
e l'hyperesthésie cutanée chez notre homme. La région hyperes-thésiée
forme
comme une large ceinture qui, en arrière, au nive
olongent presque indéfiniment, comme cela arrive quelquefois dans ces
formes
bénignes du Tabès, sur lesquelles j'ai bien des f
e pendant l'opération. Ces deux parties de la pièce médiane sont de
forme
triangulaire allongée, et sensiblement pareilles
se faire. En vue de oela, les pièces des aisselles, qui présentent la
forme
d'un ovoïde matelassé à son extrémité inférieure,
ers sans doute parce que chez eux, le tabès revêt le plus souvent une
forme
grave et évolue très rapidement, les autres penso
ue des bénéfices qu'ils sont appelés à retirer de la suspension. La
forme
des accidents tabétiques est plutôt à considérer
effet, ont eu pour caractère de se reproduire de temps à autre, sous
forme
d'accès, pendant lesquels une oudeux jointures se
sence de la durée nécessairement longue du traitement, quand c'est la
forme
permanente du vertige qui est en cause, ont au co
re y feraient absolument défaut. Je n'ignore pas que cette notion des
formes
frustes de la maladie de Basedow que nous nous
u'il a découvert,et il se serait placé en mesure de diagnostiquer les
formes
frustes à l'aide des caractères qui sont maintena
sant — à mesure que Fœil du clinicien apprend à les reconnaître — des
formes
rudimentaires, des formes frustes, comme vous vou
u clinicien apprend à les reconnaître — des formes rudimentaires, des
formes
frustes, comme vous voudrez les appeler. Notre
s voudrez les appeler. Notre cas d'aujourd'hui n'appartient pas aux
formes
frustes, car en outre du tremblement spécial et d
toujours présents, sans doute, mais ils n'existent plus que sous une
forme
atténuée, et il ne nous parait pas téméraire d'es
etrouverons encore avecles mêmes caractères, mais cette fois sous une
forme
beaucoup plus accentuée dans un quatrième cas : a
en moins, les principaux symptômes qui constituent cliniquement cette
forme
paraplégique spéciale sur laquelle nous allons re
pouvoir émettre l'opinion que le syndrome en question représente une
forme
particulière de paraplégie qu'il conviendra peut-
de chacune de ces mémoires est représentée en clinique par autant de
formes
de l'aphasie, à savoir : l'aphasie motrice d'arti
rition des accidents nerveux qui cette fois se sont produits sous une
forme
grave. Depuis cette époque en effet, c'est-à-dire
posent ses pieds. Cependant, pas d'analgésie ou d'anesthésie sous une
forme
quelconque; pas de douleurs autres que celles que
pérvier ». L'épervier est, vous le savez peut-être, un grand filet en
forme
d'entonnoir dont l'orifice très large est garni d
ttaque, ou mieux qu'une série de grandes attaques modifiées dans leur
forme
extérieure. Les intéressantes recherches de MM.
à ce propos ; Charcot. De Y hypèresthésie de l'ovaire dans certaines
formes
de l'hystérie. Leçons faites à la Salpêtrière en
i de l'aine, empiétant un peu sur l'adomen, tandis qu'en arrière elle
forme
une courbe à convexité supérieure qui de l'extrém
e la dernière leçon : il s'agissait, vous ne l'avez pas oublié, de la
forme
clinique complexe que je vous proposais de désign
du côté où les membres sont paralysés, (attaque hystéro-épileptique à
forme
d'épilepsie partielle.) Voilà certes un tableau
thénie survenant chez l'homme vigoureux, voué aux travaux manuels, la
forme
nosographique reste fixe en présence de la variét
quelques auteurs, distingueraient la névrose traumatique des autres
formes
de Yhystéro neurasthénie mâle traumali que ou non
uivant nous, d'automatisme comitial ambulatoire ; c'est-à-dire d'une «
forme
» ou,comme on dit encore,d'un « équivalent épilep
au synoptique que j'ai fait placer sous vos yeux ; il résume sous une
forme
facile à saisir, les grands faits de l'histoire p
le bromure et voilà qu'au bout de trois mois, le mal reparaît sous la
forme
d'un accès exceptionnellement intense. Ces résult
ment après l'accident, elle ne se reproduisent pas par la suite, sous
forme
d'accès plus ou moins souvent répétés et séparés
r qu'il en est quelquefois de même de l'épilepsie considérée dans ses
formes
les plus variées et telle est l'interprétation qu
» Nous voyons là pour notre compte un cas d'épilepsie tardive, sous
forme
d'accès d'automatisme ambulatoire, développée à l
appelé quelquefois le somnambulisme spontané pathologique ; c'est une
forme
qui appartient à l'hystérie : les accès ambulants
e étudié à part. Ce serait ici le lieu de vous dire un mot de cette
forme
de somnambulisme spontané à accès considérablemen
on seulement dans leur type vulgaire, classique, mais encore dans les
formes
très variées, souvent paradoxales en apparence et
. Le contraste est des plus frappants, et voilà incontestablement une
forme
de cardialgie bien singulière,bien remarquable da
cit., p. 195. ans après le début des accidents gastriques, sous la
forme
d'incoordination motrice et c'est alors seulement
es crises gastriques tabétiques, lorsqu'elles se présentent sous leur
forme
typique. Il semble que lorsqu'on est en présenc
eur forme typique. Il semble que lorsqu'on est en présence de cette
forme
clinique si accentuée, si originale, on ne puisse
justement, un des labeurs du clinicien est d'apprendre à dépister ces
formes
frustes, défigurées et à les ramener aux types d'
tenant le chapitre, fort riche encore, vous allez le reconnaître, des
formes
anomales. Il me semble que, dans ces derniers tem
s alimentaires ou muqueux. Cette sorte de gastralgie tabétique est de
forme
essentiellement intermittente. Elle se manifeste
ts, de boissons ou de remèdes. Tout ce qui était ingéré, sous quelque
forme
que ce fut, était expulsé séance tenante. Une obs
o-diques avec tendance à la suffocation ; crises laryngées enfui sous
forme
d'ictus. La description de ces dernières surtout
usivement la mémoire des mouvements qu'il faut faire pour donner leur
forme
aux lettres et pour les assembler sous forme de m
ntrer toujours dans ce domaine-là, pas plus qu'ailleurs du reste, des
formes
absolument pures, des types parfaits. C'était,
dirigé par le professeur Sem-mola. Ce travail a pour titre : Sur une
forme
spéciale d'impuissance motrice des membres inféri
« avoir défaut dans l'action antagoniste normale des muscles... Cette
forme
« d'incoordination est relative seulement aux mou
uteur ne manque pas, du reste ,de différencier le syndrome des autres
formes
d'incoordination motrice avec lesquelles on pourr
ints, à cloche-pied, marcher à quatre pattes, etc., etc. Sous cette
forme
les mouvements anormaux des membres inférieurs, d
flexion). c. Enfin je désignerai sous le nom d'abasie trépidante la
forme
dans laquelle la marche est gênée par des mouveme
on ne saurait d'un autre côté, confondre l'abasie, avec les diverses
formes
de spasmes fonctionnels ouprofessionnels, comme v
le eût été, si elle se fût développée spontanément, variable dans ses
formes
, mais toujours la même au fond. V C'est ici l
es douleurs très violentes, apparaissant brusquement et revenant sous
forme
d'accès : parfois si ces douleurs le prennent pen
et moralement. Alors l'état morbide s'est décidément constitué et la
forme
névropathique qu'il a revêtue n'est point diffici
malade le caractère d'une image « forte » et s'est objectivée sous la
forme
de l'abasie. C'est là en somme, vous le reconnais
4. iSS9, 2. Voir sur la combinaison de l'hystérie avec les diverses
formes
de lu dégénérescence mentale plusieurs travaux in
stérogènes. Nous ne sommes pas encore tout à fait renseignés sur la
forme
que présentent les attaques convulsives qui se re
re soumis à notre examen est relatif à une amyotrophie généralisée,de
forme
progressive, développée chez un sujet qui, dans l
ns toutes les directions. Un examen sommaire vous fait reconnaître la
forme
conique des membres inférieurs, la coloration vio
aiguë, cause de tousles désordres. Ils se présenteraient là, sous la
forme
d'un tissu cicatriciel plus ou moins étroitement
t que j'ai proposé d'adopter dans le temps, pour classer les diverses
formes
d'atrophie musculaire à évolution progressive.
uchenne, non pas comme espèces distinctes à mon avis, mais bien comme
formes
cliniques intéressantes à considérer séparément,
ou en voie d'atrophie. Or, pareille chose ne se voit dans aucune des
formes
de la myopathie primitive. Dans celle-ci, les sec
. Mais ici.il y a de?, distinctions à établir. S'agit-il de l'une des
formes
quelconques des amyotro, hies spinales deutéropat
s symptômes de tephro-myélite qui évoluent cette fois, tantôt sous la
forme
subaiguë ainsi que MM. Landouzy et Dejérine en on
ple intéressant, suivi d'autopsie ; tantôt, plus fréquemment, sous la
forme
chronique. Ainsi, vous le voyez, l'existence pass
en quelque sorte, une prédisposition au développement ultérieur de la
forme
subaiguë et plus particulièrement de la forme chr
ppement ultérieur de la forme subaiguë et plus particulièrement de la
forme
chronique de la lésion systématique des cornes an
bilité que les causes provocatrices mettraient en jeu, tantôt sous la
forme
d'un processus aigu, tantôt sous celle d'un proce
e, vous rappeler la grande différence qui existe suivant moi, dans la
forme
, comme d'ailleurs dans le fond, entre l'attaque d
l'ai depuis bien longtemps proclamé, l'épilepsie n'est là que dans la
forme
. Dans une seconde phase, le sujet s'agite, se t
mière phase qui seule est épilcptique, non dans le fond, mais dans la
forme
, est, comme tout le reste, hystérique et rien qu'
de feu très brillante et qui tourbillonnait. Elle avait à peu près la
forme
et les dimensions d'un petit baril de bière, c'es
sur la foudre envisagée comme météore et considérée dans ses diverses
formes
; qu'il ne connaît guère enfin, du phénomène de l
. » Pour ce qui est du globe lui-même, les uns le comparent pour la
forme
et les dimensions, à la lune, au soleil, à un gro
pas, même dans les cas les plus intenses, et alors qu'il s'agit d'une
forme
paraplégique, de paralysie de la vessie et du rec
bre inférieur gauche ; elle occupait les deux membres inférieurs sous
forme
paraplégique, dans un cas du même genre. Enfin, l
le dame et sa nièce, à Borlington (1). La paralysie peut revêtir la
forme
d'une hémiplégie, d'une paraplégie ou encore, et
ssieurs, si la paralysie ou mieux la parésie — car il s'agit là d'une
forme
légère — observée chez notre homme, appartient au
vous l'avez compris, à l'aura hystérique. Ils se sont renouvelés sous
forme
d'accès, un grand nombre de fois depuis : à deux
nt ; bégaiement ; état mental particulier mais fort vulgaire dans les
formes
les plus diverses de l'hystérie virile et, quelle
in droite et suivies de perte de connaissance (attaques hystériques à
forme
d'épilepsie partielle). La caractéristique de l
ace et des paupières, l'aphonie, le mutisme, le bégaiement, certaines
formes
de tremblements et autres accidents qui appartien
me de 44 ans ; 2° Abasie trépidante chez un homme de 49 ans ; 3° Même
forme
chez un vieillard de 75 ans. Messieurs, Dans
petittic convulsif ou tic vulgaire, et je relevais qu'entre ces deux
formes
il n'y a pas, tant s'en faut, un abîme. La différ
t du tic convulsif, se rencontrent à peu près également dans ces deux
formes
. J'insistais en outre sur ce point, que les mou
au contraire, elle se rattache à celle-ci, qu'elle représente sous la
forme
chronique (1). Mais ce n'est pas cela qui importe
é à paraître à l'âge de 12 ans. Ils se sont présentés d'abord sous la
forme
de tics vulgaires, consistant dans de brusques mo
ent, sont tout extérieures, toutes superficielles. Elles sont dans la
forme
et nullement dans le fond. Il y a lieu en somme,
Telle est, messieurs, l'astasie-abasie paralytique : c'est sous cette
forme
, je vous l'ai dit, que le syndrome m'est apparu l
vent, autant qu'on sache, l'abasie et l'astasie, quelle qu'en soit la
forme
, doivent être considérées comme se rattachant à l
cipitant l'allure de manière à rappeler, à quelques égards, certaines
formes
de la démarche spas-modique. Nous retrouvons donc
el, de parésie, rien enfin qui rappelle l'attaque hystérique sous une
forme
quelconque. Il faut dire encore que, chez lui, l'
à déterminer, il y a toujours à compter sur la présence possible des
formes
frustes, dégradées, défigurées. Mais ils estiment
Joffroy, mon interne d'alors qui, tout récemment, a consacré à cette
forme
anatomique qu'il appelle myélite cavitaire, un tr
l'hyperplasie des éléments de la nevroglie qui se présentent sous la
forme
de volumineuses cellules à prolongements multiple
ons cavitaires dont nous avons à nous occuper. C'est en effet à cette
forme
anatomo-pathologique que se rapportent jusqu'ici
point très rare qu'ils occupent exactement toute une moitié du corps (
forme
hémianalgésique) ou, à des degrés divers, le corp
vies parfois de la chute desongles, représentent en quelque sorte une
forme
relativement bénigne du précédent processus. Il
ies végétantes tout à fait comparables à celles qui se voient dans la
forme
dite hypertrophique des lésions articulaires tabé
e amyotrophique, lapachyméningite cervicale hypertrophique, certaines
formes
du tabes, telles sont, sans parler de la lèpre an
thèse. On était plutôt enclin à penser qu'il s'agissait là soit d'une
forme
anomale de l'atrophie musculaire progressive, du
l'ai annoncé dès le début exister entre la syringomyélie et certaines
formes
d'hystérie de façon à tenir le diagnostic en éche
es, par zones géométriquement limitées, par segments de membres, sous
forme
hémiplégique, etc., etc., vous comprendrez aiséme
ont réellement ainsi, je devrais essayer de vous détromper. Certaines
formes
d'atro-phiemusculaire,en effet,relèvent directeme
e dans la famille.................... 78 4°. Vertige de Ménière :
forme
chronique et vertige par accès.................
omme de 44 ans; 2° Abasie trépidante chez un homme de 49 ans; 3° Même
forme
chez un vieillard de 75 ans....................
76. Analgésie syringomyélique, 495, 496. Andrée, 425. Aphasie (
Formes
de F), 250. — et mutisme hystérique, 247, 249,
xophthalmie, 233, 234, 236, 239, 241. — (Fièvre dans la), 237, 238. —
Formes
frustes, 233, 234. — Goitre, 233,234, 235, 236, 2
449. — à distance, 451. — Début,450.—Durée,452.—expérimentale, 450.—
Formes
, 451. — Siège, 451. — Symptomatologie, 450, 451.
2. —Troubles trophiques, 519. — (Unité de F), 36, 121. — Variétés des
formes
, 470, 471. — Vomissements 272, 273. Hystérie ma
(Déformation du tronc dans la), 19, 22, 27.— (Douleur dans la), 25. —
Formes
, 25. —Historique, 24. — Maligne, 25. (Points doul
parai, alcoolique, 388. — et syringo- . myélie (Diagnostic), 502. — (
Formes
bénignes du), 199. — (Impuissance) et suspension,
i se sont développés progressivement, et qui se manifestent sous la
forme
de vertiges accompagnés d'accès répétés d'an- g
un point d'appui. Sa démarche n'est pas ataxique, mais titubante, à
forme
ébrieuse.11 présente nettement le symptôme de l
r elle n'a pas encore été décrite, à notre connaissance, sous cette
forme
ascendante. Cette dégénération localisée permet d
orps restiforme à gauche n'était que partielle, et les libres arci-
formes
internes de cette région étaient bien conservées
e noyau dorsal du vague et le groupe cellulaire assez développé qui
forme
un réseau à la partie médiane du corps restiforme
cations pathologiques singulières. Ces modifications portent sur la
forme
des pièces squelettiques et sur la qualité du tis
et à gauche. Sa face antérieure re- garde légèrement à gauche. La
forme
n'est plus celle d'une plaque osseuse sensiblemen
e voussure antérieure. Le sternum est complètement disloqué dans sa
forme
mais non dans sa con- tinuité. Deux inflexions
ord replié en dedans semble maintenir le foie en position haute. La
forme
du foie est conservée, le péritoine périhépatiq
s nerfs mésentériques présentent de très nombreux renflements fusi-
formes
. . Les racines rachidiennes et les ganglions ra
'assemblage de plusieurs nodules secondaires de volume iné- gal, de
forme
irrégulièrement ovoïde, s'emboîtant, se moulant e
1, fibre musculaire normale; 2, fibre musculaire atrophiée et de
forme
irrégulière; 3, tissu interstitiel homogène p
entuée. Elles sont sessiles avec tendance à la pédiculisation. Leur
forme
est à peu près hémisphérique. Elles ne sont pas
u derme et de 1'liyl)odci,me sont de deux sortes : les unes sont de
forme
irrégulière et sans capsule, les autres sont no-
des blocs fibro-cellulai- res riches en éléments cellulaires. Leur
forme
est polygonale ; au milieu du bloc on retrouve
grosses altéra- tions. A part une certaine diminution de volume, la
forme
, la couleur, la con- sistance étaient normales,
l nu les masses musculaires ne nous avaient paru modifiées ni comme
forme
ni comme couleur, ni comme consistance, et cepe
e nerveuse, lipo- mes diffus du cou et de la nuque, IYIÏ1phadénie à
forme
lipomateuse (Hayem). En utilisant les recherc
tte tuméfaction se développe la ré- gion antérieure du cou prend la
forme
d'un menton à double ou triple étage analogue à
ton à double ou triple étage analogue à celui des gens obèses ou la
forme
du cou dit proconsu- laire. La face se trouve a
sont généralement petites, tantôt arrondies, tantôt allongées sous
forme
d'une amande, tantôt plaquées sur la région pér
x supérieures et une inférieure). Ces tumeurs reproduisent alors la
forme
d'une feuille de trèfle et les sillons qui les
té céphali- que, depuis les épaules jusqu'au sommet du vertex, a la
forme
d'une py- ramide tronquée à base inférieure et
dont les parois étaient hypertrophiées. En résumé, la symétrie, la
forme
diffuse et les localisations spéciales, tels so
t, lorsque la jeune fille 'était habillée, avec la gracilité de ses
formes
et la jeunesse de son allure (PI. XII). Obser
haque instant : ce sont des visions du diable sous toutes Sortes de
formes
, puis la vue s'obscurcit, et bientôt elle ne voit
pâle, quelquefois acnéique. L'abdomen se présente au repos avec sa
forme
et sa consistance normales. La pression même pr
sente le plus souvent chez des fem- mes, au moment des règles, sous
forme
d'un météorisme permanent, en- traînant par sa
tableau clinique est bien moins dramatique : il s'agit alors, sous
formes
de tumeurs gazeuses mobiles, tumeurs fantômes des
les plans pro- fonds. , La tumeur enlevée pesait 6 kitog. 200. De
forme
ovoïde, mollasse, elle avait à la coupe une cou
e inclus dans la boîte crânienne se rencontre encore dans certaines
formes
mentales. La facilité et le succès des trépanatio
ulées dans le cerveau et qui ne lardent pas à s'y concréter sous la
forme
de pierres de tète ! ... Qui n'a pas quelque mi
este tumeur ; à côté, les pierres sont suspendues, de tailles et de
formes
diverses, flan- quées du coutelas qui servit à
de Crémone, et qu'elle jettait par l'anus, il y a une pierre d'une
forme
ovale irrégulière, longue de trois pouces, larg
toute histoire il faut une morale. Carolus Allaerdt l'a donnée sous
forme
d'un dernier dessin représentant le mode d'expu
ait évaluer à 40 ou 50 grammes. La tumeur a la dimension et même la
forme
d'une mandarine ; la couleur est rouge sombre s
tés intellectuelles, de la sensibilité et du mouvement, souvent une
forme
de coma léger ou même le sommeil. Si j'élague tou
concernant les arthropathies vertébrales de ces malades. Sous cette
forme
cependant et dès ce moment, elles â- . viennent
2. lombaire. Destruction partielle delà 1r° lombaire qui affecte la
forme
d'un coin. Apophyses épineuses, transverses, arti
rent alors plus fréquentes, apparurent bientôt tous les jours sous la
forme
térébrante. La marche devient tout à fait hésit
artie libre, de six centimètres et demi à sa partie adhé- rente qui
forme
un relief vers le tiers supérieur de la fosse int
l. XVIII, A) est fortement inclinée en arrière sur le bassin ; elle
forme
un angle saillant en arrière et à gauche. Elle es
l partir de la dixième dorsale ; la partie supérieure de la colonne
forme
un angle de z50 environ avec une ligne horizontal
gmentée par la présence à droite d'une masse osseuse, tourmentée de
formes
, lisse dans sa portion externe, rugueuse dans s
ombaires et ayant sa convexité tournée à droite. La région lombaire
forme
un angle à sommet dirigé en arrière. La malade
ite, à deux centimètres de l'épine. iliaque antéro-supérieure, a la
forme
d'uno lan- guette triangulaire fortement aplati
, le bord de la face inférieure est encore dentelé et saillant : il
forme
, dans sa por 132 Jean ABADIE tion antérieure,
e médiane, par une saillie osseuse dirigée en avant et affectant la
forme
d'un cône à sommet antérieur; elle reparaît plus
un centimètre le bord supérieur de la première lombaire : elle a la
forme
d'un triangle, de 3 cent. 1/2 de base, de 2 cen
aire part une nouvelle exostose, arrondie, d'une courbe élégante, à
forme
de casque implanté par l'extrémité de son couvr
l'irrégularité de sa surface, une volumineuse apophyse épineuse, de
forme
quadrangulaire, garnie de dépressions et d'aspé-
rièzne et de la troisième lombaire, en partie détruites, affectant la
forme
de coins dont les bords tranchants se regardent
restantes. Vertèbres dorsales et cervicales peu altérées dans leurs
formes
. Cependant sou- dure presque complète de la sep
nte aux plaisirs vénériens dont elle usait et abusait sous toutes les
formes
possibles. A quinze ans, elle contracte un ch
mur, les plateaux du tibia sont excessivement développés. La rotule
forme
un large gâteau qua- drangulaire de neuf centim
servés. Les ongles sont dystrophiés, ils sont épaissis, ils ont une
forme
pyramidale à 6 pans, à sommet dirigé en haut, d
rtèbre lombaire (PI. XIX, G,Liv).est très altérée : elle affecte la
forme
d'un coin à grosse extrémité droite, à bord tranc
bre lombaire (PI. XIX, G,Lm) affecte de même que la pré- cédente la
forme
d'un coin, mais à direction opposée et de dimensi
nt à droite. Elle donne nais- sance à une apophyse ostéophytique en
forme
d'aile de six centimètres de longueur sur trois
se 144 JEAN ABADIE confondre cependant, et sans donner il l'os la
forme
de coin qu'affectent les vertèbres sous-jacente
bord interne du fémur apparaissent deux exostoses volumineuses, de
formes
et de dimensions différentes. La première prend n
ournier, Boix, Brunsgaard, Gaucher, Champenier. Existe-t-il par ces
formes
localisées une pathogénie semblable à celle des n
n dehors de tout accident, hystérique, des troubles moteurs sous la
forme
de névrites multiples chroniques ou aiguës. En 18
sait défaut chez le malade de Spillmann et Etienne. A côté de cette
forme
aiguë, nous devons placer une forme subaiguë repr
ann et Etienne. A côté de cette forme aiguë, nous devons placer une
forme
subaiguë représentée par le malade de Midleton,
ercu- riel. Ainsi la polynévrite syphilitique a évolué sous trois
formes
, motrice, sensitivo-motrice, pseudo-labétique.
ais affecté unemarche ascendante rapide, elle a évolué soit sous la
forme
ascendante lente, soit sous la forme disséminée,
de, elle a évolué soit sous la forme ascendante lente, soit sous la
forme
disséminée, elle ne s'est pas accompagnée de tr
l'es- pèce, il n'offre pas pi us de difficulté que dans les autres
formes
de polyné- vrite. Il faut pourtant se rappeler
férieur de l'avant-bras la déforma- tion est également manifeste et
forme
une saillie régulière, volumineuse ; les doigts
e chez notre malade les angiomes sous-cutanés se présentent sous la
forme
de tuméfactions molles, incomplètement réductible
n des Hôpitaux. Le syndrome de Weber se présente d'habitude sous la
forme
simple, consécutivement à une lésion unilatéral
malade, elle présentait tous les signes d'une hémiplégie droite de
forme
moyenne. Le bras tombait le long du corps et la m
ez elle que l'index du côté paralysé avait conservé ses différentes
formes
de sen- sibilité (fig. I). Les corps chauds com
ciente du côté des parties anesthésiées. Les notions de poids, de
forme
et de relief ont été presque complètement aboli
plaçant une grande médailedans la main elle n'a pu en deviner ni la
forme
, ni dire l'espèce de l'objet, elle a seulement
s l'hémiplégie organique, que dans cer- tains ca le pied affecte la
forme
de pied varus, dans d'autres celle de pied en g
mment. Il est beaucoup plus diffus et ne se présente jamais sous la
forme
de tuméfactions plus ou moins indépendan- tes l
e considérait comme atteint d'une 1 y mpliidéiiie ganglion- naire à
forme
lipomateuse (1). (1) M. Pierre Delbet a eu égal
entation de volume et plus tard un ratatinement de la glande, il se
forme
autour de l'organe une masse de graisse qui dev
oins de maestria et n'est armé que d'un instrument professionnel de
forme
indécise. Son client, pauvre hère aux habits tr
t que la moustache, est assis sur une chaise, coiffé d'un bonnet de
forme
phrygienne, habillé d'un vêlement à large col,d
ous l'avons vu, le traumatisme est essentiellement variable dans sa
forme
et aussi dans son point d'application. Tantôt une
s sérieux peut se produire, c'est l'issue de matière cérébrale sous
forme
d'amas pulpeux et blanchâtres. Cette perte de s
ique était solidement lixé dans le crâne. Cependant par suite de la
forme
de la pointe (v. figure 1) l'extrémité inférieure
nt plus accusés et l'issue fatale paraît plus fréquente que dans la
forme
immédiate. Dans le cas suivant du professeur vo
zygo- matiques. Dans toute sa portion antérieure le néoplasme a une
forme
assez régulière : il ne paraît que vaguement lo
e paraît très vigoureux. La tumeur pour laquelle est venu consulter
forme
autour du cou une volumineuse collerette. Elle
miné à leur contact deux ulcérations buccales se présentant sous la
forme
de petites plaques jaunâtres, in- durées à la b
a perdu sa lordose nor- male et la saillie des apophyses épineuses
forme
une ligne verticale que conti- nuent les apophy
les semelles y appuient à peine. L'exécution brusque des mouvements
forme
un contraste frappant avec les pe- tits pas du
ormale. La piqûre est sentie sans aucun retard mais partout sous la
forme
d'une vive brûlure. Les sensations de chaud et
il repose alors uniquement par ses épaules et son bassin, le tronc
forme
un vé- ritable pont, la voussure dorsale devien
analyse critique et la descrip- tion des coupes des ganglions plexi
formes
et de la région bulbaire en connexion avec le p
ise en évidencé, soit par l'éosine, soit par l'érylhro- sine ; elle
forme
la trame même de la cellule et de ses prolongemen
u pré- cédent). il 310 CHARLES LADAME La substance achromatique
forme
également la trame de l'axone et des prolongeme
ou moins volumineux de substance chromatique, dont le nombre et la
forme
sont très variables. Nissl, van Gehuchten et
e Moscou, et ce qui les différencie des cellules motrices, c'est la
forme
spéciale sous laquelle s'y présente le plus souve
ort de Moscou, p. 332 312 CHARLES LADAME et se présentent sous la
forme
de fins bâtonnets de longueur variable. L'axone
qu'abondants qu'ils soient. Du reste, on peut observer une série de
formes
de transition entre l'ordon- nance des blocs da
ane est devenue nettement visible, de sorte qu'il fait saillie sous
forme
d'une grosse vésicule sphérique (P. XLV. i) La
e réseau nucléaire se voit distinctement. Le nucléole est foncé, de
forme
parfaitement régulière. Cependant le noyau est
porte bien, il n'y a pas de suppuration ; il est tué par le chloro-
forme
le cent dix-huitième jour après l'opération. A
e cellules nerveuses, isolés de tout protoplasma, ayant encore leur
forme
vésiculeuse normale, très entourés de tissu conjo
itesse du cervelet et de la protubérance. Le cervelet a conservé sa
forme
générale, mais les lames et les lamelles sont trè
nsiblement diminuées. Au niveau du bulbe la saillie du corps resti-
forme
est peu marquée. Il n'existe pas d'altérations hi
e. Les choses sont d'autant plus obscures qu'en cas de lésion il se
forme
une sorte de magma de sang et de substance céré
i l'opération du formolage : En L se trouve une lésion affectant la
forme
d'une déchirure; NC, noyau caudé; A1\I, avant-m
blessure du frontal droit. Il est à G. Bikeles qui l'intitule : une
forme
inusitée de blessure par coup de feu du cerveau.
tal est stationnaire. Elle ne peut dire que quelques mots,mais s ne
forme
aucune phrase. Elle est irritable, passionnée et
igne convexe en avant et en bas et on détacha de l'os un lambeau de
forme
ovalaire, on trouva dessous une sorte d'opercul
sucré, qui paraît, d'ailleurs, de date assez récente. L'examen des
formes
permet de constater une certaine disproportion en
encore du métacarpien. Les phalangines et les phalangettes ont leur
forme
, leur structure, leurs dimensions normales ou à
ropathie tabétique, bien des traits sont communs aussi bien dans la
forme
de l'ostéopathie que dans le début par l'oedème é
adulte myxoedéma- teuse franche, fait ressortir l'analogie de leurs
formes
. Le hasard me met' môme de produire aujourd'hui
ain (PI. LX et LXI). Il estbon que l'eei du médecin s'habitue à ces
formes
particulières, étranges, dont l'ensemble dénote
ie musculaire essentielle, n'a pu subsister devant la découverte de
formes
de Iransitions. Actuellement ce n'est plus entre
t de Duchenne, d'Ërb et de Landouzy-Dejerine que l'on recherche des
formes
intermédiaires, mais bien entre les atrophies myo
la maladie. Etat actuel. Aspect extérieur. Le crâne présente une
forme
il peu près normale ; les bosses pariélales son
pondant aux sous-épineux, de même le grand dorsal fait saillie sous
forme
d'un bourrelet oblique au niveau de son passage
sont même incurvés du côté dorsal, l'avant-bras étendu sur le bras,
forme
un angle obtus ouvert en arrière. Le deltoïde e
de névrite périphérique. Restent les myopathies essentielles et les
formes
de transition. Au premier abord notre malade se
assification en types bien distincts a disparu devant le nombre des
formes
intermédiaires. Et cependant notre malade doit êt
e réaction de dégéné- rescence. Il n'appartient pas davantage aux
formes
rassemblées par M. Bosc sous le nom d'amyotroph
de la pseudo-hypertro- phie. Bref, nous sommes en présence d'une
forme
atypique, d'une forme de transition un peu diff
- phie. Bref, nous sommes en présence d'une forme atypique, d'une
forme
de transition un peu différente de celles qui o
ie sur une convexité dorso-lombaire (ob. II). Telles sont les trois
formes
de gibbosité que nous avons pu relever dans nos
t, ceux du détroit moyen et inférieur diminuent. Le bassin prend la
forme
en entonnoir. Dans le deuxième cas, au contrair
détroits moyens et inférieurs sont agrandis. Le bassin tend vers la
forme
en éteignoir. Ce sont là deux types schématique
Dow que nous verrons bientôt. L'encadrement dans une fenêtre et la
forme
arrondie du haut du panneau se retrouvent souvent
rses sortes de tabatières. On y trouve des renseignements sur leurs
formes
, sur les matériaux employés pour leur fabricati
cus (I), publié à Amsterdam en 1726, reprend la même thèse sous une
forme
plus satirique et plus mordante. L'auteur a rés
iè- res, mais personne ne peut rendre à leurs organes leur ancienne
forme
. Heureusement, pour les infortunés priseurs, l'
que la lésion nu- cléaire ne se manifeste pas exclusivement sous la
forme
d'une oplitalmo- plégie externe, opinion que Br
culaires dans la substance blanche on pouvait observer des cellules à
forme
ir- régulière, étendues, chez lesquelles le cor
té assez considérable de blocs noirs principalement plus menus et à
forme
bizarre et variable ; on rencontre plus de blocs
dans la substance blanche, par places s'étendent des blocs noirs à
forme
irrégulière et variable, de différentes dimensi
la dégénérescence est la plus marquée, a approximativement la même
forme
, en occupant l'échancrure droite entre la corne
eure présentent en général beaucoup de varia- tions concernant leur
forme
et la disposition dans le corps cellulaire des
cellules assez souvent est disposé exceutriquement et a parfois une
forme
aplatie. Les éléments chromophiles dans ces cellu
. Puisque nous avons déjà parlé en détail des modifica- tions de la
forme
du corps cellulaire et de sa structure, en décriv
ellules, sont d'une 488 SOUKHANOFF ET GEIPR couleur foncée ; leur
forme
est modifiée et allongée et leur dimension diminu
elle, une colo- ration diffuse des cellules, une modification de la
forme
du noyau, des vacuo- les dans le corps cellulai
es cellules dont le volume était diminué et le noyau présentait une
forme
irrégulière. Cas II. A. D..., 32 ans. Deux an
isposés en groupes, souvent ressortant sur un fond plus clair d'une
forme
irrégulière.-c) Région motrice.- Pour l'examen fu
me groupe de ces cas il s'agissait des malades qui présentaient une
forme
démente de paralysie générale sans symptômes psyc
ous avons suffisamment décrit au chapitre précédent les différentes
formes
de gibbosité, les cour- bures secondaires de la
enfin les lombaires. Les vertèbres cervicales gardent toujours leur
forme
et leur aspect habi- tuels : il n'existe pas ch
leur maximum de déve- loppement. Elles se présentent ici sous deux
formes
bien distinctes, la forme atrophique et la form
ement. Elles se présentent ici sous deux formes bien distinctes, la
forme
atrophique et la forme hypertrophique : elles réa
ent ici sous deux formes bien distinctes, la forme atrophique et la
forme
hypertrophique : elles réalisent ainsi les deux
ffet, les unes s'altèrent profondément dans leur structure et leurs
formes
; des portions entières d'os disparaissent, ell
tent des productions osseuses nouvelles, irrégulières, imprévues de
formes
et de di- mensions essentiellement variables. C
se con- fondent en un bord tranchant. La vertèbre affecte alors la
forme
d'un coin. La grosse extrémité du coin répond a
. Tel est le processus atrophique. Il comporte des modifications de
formes
et de structure d'une ou de plusieurs vertèbres
s : ils présentent sur toute leur étendue de petites exos- toses de
forme
et de volume variables. Généralement triangulaire
compensations spontanées établie par Bizzozero et ses élèves, à la
forme
atrophique se joint en plus la forme hypertrophiq
Bizzozero et ses élèves, à la forme atrophique se joint en plus la
forme
hypertrophique. D'autre part, Chipault (3) a dé
s unissant étroitement entre elles. Ils affectent d'autres fois des
formes
bizarres; solidement implantés par leur base, i
érence est .quelquefois difficile à établir entre elles et quelques
formes
de rhumatisme chronique déformant ou quelques ma-
symptômes vertébraux ont de grandes analogies avec les différentes
formes
de l'arthro- pallie vertébrale tabétique, ces d
ons appropriées le manque d'équilibre de sa base : le thorax se dé-
forme
, le bassin s'adapte aux nouvelles formes du squel
sa base : le thorax se dé- forme, le bassin s'adapte aux nouvelles
formes
du squelette thoracique et tous ces changements
la coupe transversale est ellip- tique. Parfois même la coupe ne
forme
qu'un ruban très mince, dont le grand dia- mètr
les unes sont ratatinées, ramassées en un paquet de protoplasma in-
forme
, très foncé, au sein duquel on ne voit que rareme
au ex- centrique. D'autres cellules (PI.LXXVI,f) reviennent à une
forme
plus régulière, avec un noyau plus central et u
ur donnent une apparence spé- ciale ; ils ont également repris leur
forme
normale. Ici encore les mensurations ne conduis
rgit dans un point quelconque de la cellule (Pl. LXXVII, k) sous la
forme
d'une tache claire, transparente, taillée à l'e
eint si rare, peut être sans exemple lorsque l'affection cérébrale se
forme
indépendamment des blessures, au contraire asse
une lettre violente dont il oublia pres- que aussitôt le fond et la
forme
et qui lui causa de très sérieux désagréments .
En ce qui concerne le pariétal gauche, on y trouve une blessure en
forme
de V avec un prolongement inférieur dans le tes
isséminée; 4° la polyo-myélite antérieure aiguë. Les deux premières
formes
, malgré une certaine ressemblance qu'elles présen
localiser au-dessus du foyer à la substance grise. Dans toutes ces
formes
de myélite aiguë, nous trouvons un certain degré
rise injectée et même striée de sang. La lésion, quelle que soit la
forme
de la myélite, un maximum d'intensité, comme on e
t la méningo-myélite que j'ai pu constater ici s'est présentée sous
forme
de foyers discrets, suivant plus particulièrement
Il est possible cependant que quelquefois les mailles du réseau que
forme
le tissu altéré soient vi- des, justifiant ains
te masse de leucocytes. L'ia- filtration se présente parfois sous
forme
de nodules qui existent tantôt autour des cellu
éré présentait une infiltration diffuse de leucocytes et aussi sous
forme
circonscrite de nodules. La condition anatomique
chez l'homme des réactions vasculaires plus ou moins intenses, sous
forme
d'hyperhémie et d'infiltration leucocytaire pér
ules nerveuses sont très variables quant à leur intensité et à leur
forme
. Dans les ganglions spinaux, les cellules, comm
brillants ayant habituellement la grandeur d'un globule de sang de
forme
ronde ou ovoïde et qui se teint très bien par l
ion des microbes'joue un rôle essentiel dans la détermination de la
forme
de myélite aiguë. Ainsi la pénétration des micr
explique d'une manière très simple la production des dif- férentes
formes
de myélite. L'application de ces données à la pat
ments chromatophiles, parfois ces derniers changent complètement de
forme
, ils s'amincissent, prennent l'aspect de bâtonnet
de petites granulations bien colorées. La masse de granulation qui
forme
comme une espèce d'atmosphère autour du cytopla
eux, les prolongements sont comme amputés, enfin le noyau, qui a la
forme
d'une ellipse allongée, est homogène, coloré d'
e, et par la balnéation continuelle. Dans un cas de myélite aiguë à
forme
très douloureuse j'ai Fm. 28. ' 596 MARINESCO
e canal arachnoïdien sont susceptibles de présenter des variétés de
forme
,de multiplication etc., suivant leur nature et
tres telle qu'elle . se manifeste à notre esprit, c'est-à-dire sous
forme
d'écriture droite, est une mauvaise condition p
res renversés presque sans se douter de ce qu'il fait, il trace des
formes
, c'est- à-dire des lettres, auxquelles son oeil
ervile, trait pour trait ; elle reproduit successivement une série de
formes
isolées et très simples dont l'ensemble constit
mples dont l'ensemble constitue le dessin ou le mot. Chacune de ces
formes
devient ainsi la représentation graphique d'un
pupillaire et muscle ciliaire). Nous avons désigné cette dernière
forme
de paralysie congénitale sous le nom de paralys
plus faible, un mouvement de rota- tion du globe oculaire (sous la
forme
de secousses nystagmiformes rares autour d'un a
e l'on ne trouve dans aucun cas de modification dans l'aspect ou la
forme
des globes oculaires et que la tension de ces d
que. Elle peut se résumer dans la proposition suivante : A côté des
formes
isolées et partielles des paralysies congénitales
ées et partielles des paralysies congénitales des muscles des yeux,
formes
qui sont parfaitement connues, il en existe une,
, dans le groupe si confus des oedèmes d'origine névropathique, une
forme
spécifiée par son caractère héréditaire et fami
mes, ajoute-t-il. Et il n'arrive à citer dans l'historique de cette
forme
héréditaire et familiale que les noms de Desnos
transversales. - 634 LANNOIS ' Le genou est empâté et a perdu sa
forme
, mais au-dessus de lui les cuisses ont sensible
gauche est moins cylindroïde que le droit ; il a mieux conservé sa
forme
générale, et si la circonférence maxima est de 40
ussion des faits à laquelle il s'est livré pour arriver à isoler la
forme
clinique du trophoe- dème chronique héréditaire
es lignes sim- plifiées, se multiplier sous des aspects divers, les
formes
aberrantes ou anormales dont la position ne se
ypique de syringomyélie, nous nous sommes aperçu être en face d'une
forme
assez exceptionnelle de la dermo-neuro-fibromat
sise. Après avoir cru un instant à une myélite transverse, ou à une
forme
fruste de sclérose en plaques, compliquée de tr
férieurs : mais nous savons que l'on a décrit des syringomyélies à
forme
UN CAS DE DERM0-NEUR0-F1BR0MAT0SE 643 de sclé
UN CAS DE DERM0-NEUR0-F1BR0MAT0SE 643 de sclérose en plaques et à
forme
de tabes spasmodique (Strumpell, Kah- ler, Schl
tion des manifestations cutanées, pourrait être considéré comme une
forme
de début, ou comme une for- me fruste, si l'on
ure de la maladie nous fût donnée par la fibromatose cutanée, à une
forme
fruste de la syringomyélie. La scoliose peut ce
lexiformes après la résection du pneumogastrique. La vacuolisation,
forme
de dégénération cellulaire. Une forme curieuse
astrique. La vacuolisation, forme de dégénération cellulaire. Une
forme
curieuse de dégénération de la cellule nerveuse e
oir nous rattacher aux auteurs qui voient dans la vacuolisation une
forme
spéciale de dégénérescence cellulaire, en nous ba
hromatique des cellules nerveuses. 14. La vacuolisation est une des
formes
du processus de dégénération cellulaire. 15.
blicat. de l'Odontologie, M. C. M.). L'auteur y a condensé sous une
forme
excellente les documents déjà parus sur ce arra
irurgiens affirment avoir vu sortir des dents ca- riées des vers de
formes
diverses. Un certain Philippe Salmuth en chassa u
s de formes diverses. Un certain Philippe Salmuth en chassa un « en
forme
de ciron » d'un demi-pouce de long, au moyen de v
ment très fréquente, elle se ' « montre encore sous une infinité de
formes
diverses, et si le médecin « n'a pas beaucoup d
es simulateurs ; c'est le nom sous lequel nous pouvons désigner ces
formes
cliniques de la névrose. On conçoit donc que, d
G. Guinon', ', Brissaud, etc., pensent que l'hystérie, sous quelque
forme
qu'elle se pré- sente, quel que soit son agent
s par conséquent. » L'hystérie a son histoire natu- relle ; elle ne
forme
pas dans la pathologie une classe à part; elle es
ions anatomo-pathologiques, se donner la représentation mentale des
formes
cliniques de la sclé- rose en plaques. Il suffi
ois. Il est classique de décrire la sclérose en plaques sous quatre
formes
: les formes cérébro-spinale, cérébrale, spinal
lassique de décrire la sclérose en plaques sous quatre formes : les
formes
cérébro-spinale, cérébrale, spinale et bulbo-prot
lbo-protubérantielle. A côté d'elles prennent place une infinité de
formes
frustes. L'hystérie peut les simuler toutes; ma
nt, c'est démontrer, a fortiori, qu'elle peut prendre le masque des
formes
incomplètes ou effacées. Un symptôme domine l
actères nous croyons qu'ils'agit encore là d'hystérie. L'hystérie à
forme
épileptoïde n'est pas rare. MM. G. Ballet et Cr
ersistante de la température, hémiplégie droite, attaques épilepti-
formes
; mort par bronchite. A l'autopsie, absence de lé
simulateur. Si l'on songe qu'elle peut parfois se présenter sous la
forme
monosymptomatique, il serait bien possible que qu
25 juin 1881). Sclérose en plaques dissé- minées cérébro-spinale à
forme
insolite. Amélioration très notable pro- dnite
être affectés, comme dans l'ataxie loco- motrice. De là une de ces
formes
mixtes qu'il est toujours bon de décrire quand'
s, il rentre dans son pre- mier état. L'auteur conclut sans autre
forme
de procès : « En présence du fa- ciès caractéri
sclérose » de Westphal. Nous croyons qu'il s'agit bien plutôt d'une
forme
bizarre d'hystérie, d'un de ces syndromes que n
ement, et le segment de membre a conservé presque complè- tement sa
forme
. Aux mains la paume présente l'aplatissement de l
pre- mier abord absolument indemnes. Les cuisses ont conservé leur
forme
nor- male, ainsi que les jambes. La résistance
partie inférieure qu'a leur partie supérieure, des bras qui ont une
forme
cylindrique, des épaules qui ont perdu leur ron
le malade debout. L'amaigrissement du triceps est tel que le genou
forme
comme une forte saillie entre la cuisse et la p
doctrine séduisante, qui paraissait expliquer à merveille certaines
formes
spé- ciales de crâne, a dû plier devant les fai
point de vue. On a observé et décrit des altérations non plus de la
forme
, mais de la substance cérébrale chez certains mic
tête du sujet doit être rasée; on appréciera le volume du crâne, sa
forme
, on en prendra les diverses courbes. La constat
aient à se développer en hauteur, ce qui constituait un crâne d'une
forme
bizarre comparable à celui de certains oiseaux (f
deux os, le frontal et le pariétal. D'habitude ces lambeaux ont la
forme
d'un U ou d'un V ren- versés, d'un rectangle. I
tension forcée. Le bras est abattu le. long du corps avec lequel il
forme
un angle de 30' environ. La main forme la griffe
long du corps avec lequel il forme un angle de 30' environ. La main
forme
la griffe (PI. XI). Le temps nécessaire pour qu
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite') 1) En résumé, il existe une
forme
de tremblement hystérique carac- térisée par de
la maladie de Basedow), nous a paru devoir être distrait des autres
formes
de tremblement que nous allons maintenant étudi
te le tremblement mercuriel, tel du moins que le dépeignent dans sa
forme
la plus accomplie, les observations les plus préc
n quoi il en diffère. , Lorsqu'on voit un malade affecté de cette
forme
de tremblement se lever et se mettre en marche,
ints semblable au tremblement mercuriel, tel qu'il apparaît dans sa
forme
généralisée, à son plus haut degré de dévelop-
n fondé à dire que ce tremblement est identique, au moins quanta la
forme
, au tremblement mercuriel. C'est ici le lieu de
apoplectiques. Nous avons été frappé également par la diversité des
formes
de ces tremblements mercuriels; on y retrouve p
les mêmes modes de début, tantôt insidieux, tantôt brusque et sous
forme
d'attaques. Et quand on interroge attentivement
ctuel, 30 mai 1890. M. X... est de petite taille, très robuste, aux
formes
viriles, au faciès intelligent. Les yeux sont lég
méd. des hôpitaux, 12 avril 1889]). Oss. VII (Rendu, loc. cit.).
FORME
PARAPLEGIQUE TREMBLEMENT SIMULANT LA TRÉPIDATIO
toute plaque de sclérose. Jusqu'ici la névrose hystérique avec ses
formes
si multiples, si variées, semble être à peu prè
munes » ? Plus près de nous, Leyden 3 constate que, « de toutes les
formes
de la paralysie hystérique, la pa- raplégie est
es organiques consécutives à un traumatisme. Celui-ci, sous quelque
forme
qu'il se présente : chute d'un lieu élevé, choc v
s auraient débuté en 1868 à la suite d'un accouchement et revêtu la
forme
de la folie du doute. En 1881, il y a dix ans,
rature) est normale. Le tact n'est pas altéré : elle dis- lingue la
forme
des objets, leur poids approximatif, reconnaît le
e, dans une note qui a pour titre Sur un cas de paralysie agitante,
forme
originale de la névrose traumatique (pseudo-paral
insidieusement, il persiste depuis six mois. IV - TREMBLEMENTS DE
FORMES
VARIÉES ET CHANGEANTES Nous avons réuni dans ce
odique. Ils serviront du moins à accentuer la diversité extrême des
formes
que peut revêtir le tremblement chez les hystériq
en effet, offre des rides très accusées. La peau molle et pendante
forme
au-dessous du menton une sorte de poche ridée q
lisse avec la plus grande facilité et elle garde pour ainsi dire la
forme
qu'on lui a donnée, ou plutôt elle reprend asse
urni par Claw...); parfois même l'extrémité de la ligne d'ascension
forme
une boucle avec le commencement de la ligne de de
. Enfin certains tremblements hystériques, quand ils prennent la.
forme
hémiplégique ou monoplégique, pourraient aisément
est très variable. Au résumé, il s'agit d'un tremblement rapide, à
forme
vibratoire, localisé au membre supérieur droit.
ce tremblement, le malade en présente parfois un autre, mais d'une
forme
différente, au membre inférieur droit. Comme le p
sur la grande analogie qui existe entre le tremblement hystérique à
forme
vibratoire et les tremblements également rapide
tremblement mercuriel, celui de la sclérose en plaques et certaines
formes
de tremblement hystérique. Nous devons encore
ela à tel point que le tremblement prend alors les caractères de la
forme
vibratoire. Les oscillations devenant ainsi plu
ns jamais avoir présenté d'attaques, a eu une fois une contracture (
forme
hémiplégique gauche), contracture qui a duré de
le pratiquer, on se borne à examiner les seules modifications de la
forme
du corps en rapport avec la maladie existante.
maladie existante. Chez les aliénés, au contraire, cet examen des
formes
du corps, doit être fait complètement et en dét
Inspection du crâne. L'inspection qui nous renseignera déjà sur la
forme
et le volume du crâne comporte l'examen sur quatr
montrera le développement proportionnel de la face et du crâne, la
forme
du 1. P. Broca, Instructions générales pour les
molles ou aux parties osseuses. Elle nous permettra d'apprécier la
forme
générale du crâne, sa gros- seur, les dépressio
n et la palpation ont déjà pu nous donner des renseignements sur la
forme
, le volume du crâne, il importe de les compléte
ces manoeuvres. Mais il arrive aussi que l'encéphale s'adapte à la
forme
excentrique donnée àla boîtecranienne. Quelles
polioencéphalite : la myopathie progressive, en particulier dans sa
forme
facio-scapalo- z)8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
adie myopathique. On peut en dire autant du facies si spécial de la
forme
facio-scapulo- humérale de la myopathie. La cho
ilatérale dès le début, l'affection est restée localisée. Dans la
forme
subaiguë, la mort parait fatale dès que se manife
plus graves : par son évolution fatalement extensive dans certaines
formes
, elle finit par entraîner la suppression des fo
vague et glossopharyngien) ainsi que de l'olive et des corps resti
formes
. A partir de l'origine de la 6- paire, lésions
é, s'étendait jusque près de la commissure postérieure et avait une
forme
ovalaire à grand diamètre en partie parallèle au
e du précédent, au niveau de son extrémité supérieure, il avait une
forme
ovalaire à grand diamètre horizontal. Ces deux
ux espèces morbides distinctes; ne s'agissait-il pas plutôt de deux
formes
cliniques d'une même espèce nosologique ? Les a
seulement, tout originale qu'elle puisse paraître cliniquement, une
forme
atypique de la maladie syringomyélique... Le ca
qu'un. Toutefois, en raison de leurs caractères spéciaux, certaines
formes
de la syringomyélie devront être vraisemblablem
e clinique. Je vous proposerai, en conséquence, d'appliquer à cette
forme
la dénomination de syringomyélie, type Morvan.
t en 1887, à vingt-deux ans, que survient le premier accident, sous
forme
d'un « abcès » indolore de l'index gauche accom
raient qu'immédiatement sous l'épendyme dans la substance grise qui
forme
le fond du quatrième ventricule : elles n'allaien
squ'à ces dernières années on ne s'était pas attaché à spécifier la
forme
sous laquelle se présentaient ces paralysies oc
erveau est susceptible de lésion systématique non seulement dans la
forme
chronique, mais aussi dans la forme aiguë. » CO
tématique non seulement dans la forme chronique, mais aussi dans la
forme
aiguë. » CONCLUSIONS De l'étude qui précède n
de la paralysie spinale antérieure subaiguë. 1 7° Quelle que soilla
forme
de polioencéphalomyélite, subaiguë ou chro- j n
(à l'âge de deux ans), la coexistence chez un si jeune sujet de la
forme
noueuse et des nodosités d'IIeberden, enfin son
ez lui l'être imparfait et une intelligence très rudimentaire. La
forme
de sa calotte crânienne est pointue, très déprimé
lté- ration des facultés. Nous aurons l'occasion à propos de chaque
forme
en particulier d'étudier en détail les différen
s, comme ratatinée chez les crétins. De même, on jugera ainsi de la
forme
du visage, ronde, ovoïde, de la forme des yeux,
e même, on jugera ainsi de la forme du visage, ronde, ovoïde, de la
forme
des yeux, du nez, de la bouche, du développemen
rma lateralis) l'inspection servira encore à nous renseigner sur la
forme
et le volume de la face en nous permettant 1. V
ation des diamètres de la face a pour but de nous renseigner sur sa
forme
et son développement; l'indice du visage faisan
forme et son développement; l'indice du visage faisant connaître la
forme
générale du visage, allongée ou arrondie, tandi
rmale (fig. 59). Je ne vous parlerai pas de la situation ni de la
forme
générale de l'oreille humaine que vous connaiss
met postérieur, située au devant du conduit auditif externe dont il
forme
le contour extérieur. Il est séparé en haut de
r le lobule, sorte de masse charnue, musculaire, sensible, ayant la
forme
d'un ovoïde aplati latéralement. Libre sur ses de
variable, et s'accentue assez parfois pour que l'oreille prenne la
forme
d'un entonnoir comme chez les mammifères ou soit
ai enfin les asymétries des pavillons, asymétries de dimensions, de
forme
, d'implantation (de Blainville.) Dans d'autres
es (fig. GO). Hélix. - La racine de l'hélix, comme nous l'avons vu,
forme
, à l'état normal, à la partie antérieure de la
en arrière sur la circonférence même du pavillon qui perd alors sa
forme
ovoïde, car l'extrémité supérieure au lieu d'être
a forme ovoïde, car l'extrémité supérieure au lieu d'être arrondie,
forme
un angle à la partie postéro-supérieure. Il arriv
es dédoublée, le plus souvent la posté- rieure et prennent alors la
forme
d'un trident; par suite il y a deux fossettes i
suivre une ligne régulière. Dans ces cas la racine de l'antitragus
forme
une saillie dans l'intérieur de la conque. No
re du conduit auditif, au lieu d'être ovalaire, se présente sous la
forme
d'une simple fente. La cavité de la conque présen
neux, il est alors comme palmé. De plus, l'angle posté- rieur qu'il
forme
avec l'hélix peut s'effacer, il est alors indisti
iénés acquière de la valeur, il faut : 1° qu'on classe les diverses
formes
d'oreilles en prenant pour base l'anatomie comp
et l'embryologie; 2° que l'on établisse la statistique des diverses
formes
d'oreilles obser- vées dans la population norma
ière, trace de la membrane clignotanle des oiseaux, et affectant la
forme
d'un simple repli semi-lunaire recouvrant la caro
OGIQUE CHEZ LES ALIÉNÉS ET LES IDIOTS. 287 phthalmie); soit dans sa
forme
(anomalies de courbure et astigma- tisme) ; soi
éré 1) pouvant porter soit sur la coloration de l'iris, soit sur la
forme
, soit sur les dimensions de l'ouverture pupilla
, il faut noter l'enfoncement ou la saillie de la racine du nez, la
forme
du profil du nez, droit, convexe, concave ou si
sous, peut être plus ou moins écrasée et nous offre à considérer la
forme
et la disposition des narines elliptiques, allo
es mâchoires, des dents. Pour les lèvres, vous noterez d'abord la
forme
et la grandeur de l'ouverture buccale, sa direc
ourrez rencontrer également des fissures plus ou moins étendues, sa
forme
asymétrique, sa profondeur exagérée sa disposit
rapprochement (atrésie) des deux moitiés de cha- cune d'elles, leur
forme
ellipsoïde ou très fréquemment sinueuse. Nous a
. Ces dents sont numérotées à partir de la ligne médiane. Pour leur
forme
, les incisives sont tranchantes, la cauine coni
ces très variées (fig. 61 et C2) : ce sont : '1° Des anomalies de
formes
, telles que la dent est parfois méconnais- sabl
alies apparentes de l'articulation qui en résultent, les anomalies de
forme
, d'éruption, les anomalies dénombre, d'une sign
ffet : (1) Topinard, loc. cit. (2) Paul \licher, Descriptions des
formes
extérieures du corps humain. Paris, 1890. 291 N
iverses, telles que le goitre, l'inclinaison du thorax en avant, la
forme
tombante des épaules, le thorax comprimé latéra
des divers segments des membres, leurs déviations (rachitisme), la
forme
effilée ou ramassée des doigts, leur longueur r
autres doigts, son peu d'opposabilité, la ligne palmaire unique, la
forme
large et aplatie du pied, la saillie du talon,
rapports de la verge et du scrotum (verge palmée) ; le volume et la
forme
du gland, gland affilé des pédérastes, verge en b
anormal, direction presque horizontale. Il faudra examiner aussi la
forme
,des grandes et des petites lèvres, parfois tomban
tivement aux autres parties et à l'âge du sujet, la situation et la
forme
du méat, l'effacement de la fosse naviculaire.
endroit anormal) ou de déformations acquises (aspect infundibuli-
forme
, effacement des plis radiés) pouvant révéler des
entaire, polymastie chez la femme, gynécomastie chez l'homme), leur
forme
et leur position (forme en poire, insertion à l
la femme, gynécomastie chez l'homme), leur forme et leur position (
forme
en poire, insertion à la base du thorax), les c
té de la barbe chez l'homme, et son développement chez la femme; la
forme
des cheveux, plats, ondés, frisés; leur abondan
rt à l'âge du malade (albinisme, canitie et calvitie précoces) ; la
forme
de la cal- vitie (syphilitique, arthritique ou
dans les régions symétriques des coudes et des genoux; l'anesthésie
forme
autour de ces régions un manchon très allongé.
se ? pendant, que tout le corps portait; les stigmates. d'une autre
forme
du mal, la lèpre atrophiques. « Cette. représen
d'abord -se rétrécit ensuite d'avant en arrière affectant ainsi une
forme
conique, d'où le nom de thorax en entonnoir.
e petite fossette qui, à partir de douze ans, s'excava davantage en
forme
d'entonnoir jusqu'à pouvoir admettre une tète d
aque côté, une voussure très notable de cette partie du thorax, qui
forme
les bords laté- raux de la partie inférieure de
bute au niveau de-l'insertion du quatrième carti- lage costal, sous
forme
d'une gouttièra, puis s'accentue davantage pour
e thorax en entonnoir que présente ce malade est de tout point con-
forme
à la description que nous avons donnée des cas pr
étrécissement du thorax avec double gouttière latérale), l'abdomen (
forme
globuleuse) et les membres (nouures articulaire
u lieu de plon- ger vers le rachis, proémine fortement en avant; il
forme
ce qu'on a appelé la poitrine en carène ou de p
ommet de la dépression donnerait une courbe rappelant assez bien la
forme
d'un rein avec son hile pro- fondément excavé.
également une déformation thoracique produite par la pression de la
forme
sur la poitrine. Au niveau des articulations ch
gnée de callosités qui indiquent son origine; elle n'affecte pas la
forme
en entonnoir et n'entraîne pas une déformation de
acique antérieure devient plane, quelquefois même concave, le sternum
forme
alors une sorte de gouttière dont les parois la
certaines familles, dit Eichhorst, le thorax en en- 1. A. Bloch, la
Forme
des doigts et les nodosités de Bouchard (Assoc. f
urs cas d'anesthésie généralisée et absolue, dans lesquels les deux
formes
de la diathèse de contracture étaient développé
apparaître dans d'autres parties du corps, le plus souvent sous la
forme
hémiplégique du côté de la con- tracture primit
rieurs jusque vers le coude et à la partie postérieure du bras sous
forme
de plaques serpigineuses. Dans ces cas, il ne ces
chée de celle qui a été signalée par M. Rittil de la folie à double
forme
avec l'asphyxie locale des extrémités, où il a vu
des extrémités dans la période de dépression de la folie ci double
forme
(AmI. 2éd.-ysch., 1882). 2. W. Alexander, The t
e. La comparaison des deux figures réunis- } sant la planche XXXVII
forme
un contraste manifeste. L'examen des veux pra-
ymptôme qu'il avait diagnostiqué la tuberculose vertébrale ; or, la
forme
de la région est absolument normale; l'enfant dep
1889). Avec ce traitement la paraplégie jusque-là'flasque change de
forme
et devient spasmodique : lamaladesoulenue sous le
86. 4. Barié, Bullet. de la Soc. méd. des hôp., 1886. 5. Chameau,
Formes
cliniques et palllOg. de la fièvre hystérique. Th
i donner raison. C'était un cas d'hystérie avec « phénomènes ataxi-
formes
», suivant son expression. En dehors de ces deu
ique n'est pas exceptionnel, et qu'il mérite bien de constituer une
forme
clinique spéciale. Dans tous les cas, quel que so
mécanisme. MM. Charcot et P. Richer7 appellent l'attention sur une
forme
particulière d'impuissance motrice dont M. P. Blo
u tabes. Ici les symptômes se dégradent ou s'effacent : ce sont les
formes
frustes; là ils coexistent en nombre restreint
formes frustes; là ils coexistent en nombre restreint : ce sont les
formes
incomplètes, atypiques. Eh bien, ce sont précis
les formes incomplètes, atypiques. Eh bien, ce sont précisément ces
formes
frustes, incomplètes que la névrose simule de p
roxysmes vespéro-noc- turnes, les douleurs persistent mais sous une
forme
très tolérable. La force musculaire dans les me
s. Ces douleurs se sont montrées d'abord dans la jambe gauche, sous
forme
d'éclairs, parcourant rapidement le membre entier
puis elles se sonl montrées avec les mêmes caractères mais sous une
forme
très légère dans le membre du côté opposé. Autour
exus nosologiques dont il s'agit ne représentent pas en réalité des
formes
hybrides, produits variables et instables d'un mé
néral. 1° A cette question de savoir s'il ne s'agirait pas là d'une
forme
ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS »
ître ou s'effacer quand survient le tabes. Ce défaut de réciprocité
forme
un contraste qui est bien dans la logique des cho
peut les voir dis- paraître et reparaître tour à tour sous la même
forme
ou sous une forme équivalente. Les symptômes hy
paraître et reparaître tour à tour sous la même forme ou sous une
forme
équivalente. Les symptômes hystériques débutent d
ment que l'on peut sans témérité décrire aujourd'hui, il côté de la
forme
primitive, une nouvelle variété d'atro- phie mu
élopathique », les deux pouvant se présenter indifféremment sous la
forme
diffuse ou sous la forme circonscrite. On pourr
ouvant se présenter indifféremment sous la forme diffuse ou sous la
forme
circonscrite. On pourrait les schématiser de la
rt, MM. Ballet et Crespin ont bien étudié les attaques d'hystérie à
forme
d'épilepsie partielle. Néanmoins, il ne nous pa
fantile avec atrophie. Dans la paralysie spi- nale de l'enfance, la
forme
hémiplégique est si rare qu'elle est même niée
t point, dit-il, une seule des affections nerveuses dont l'ensemble
forme
ce que j'appelle la famille neuropathologique q
Jousefovitsch le 10 décembre 1889. Cette malade est atteinte d'une
forme
classique de tabcs dont le début remonte il dix
ait de nouveau la pression atmosphérique qui venait de recouvrer sa
forme
primitive, les parois des vaisseaux se rapprochai
MER..183 La planche XLV représente le baquet magique, mais sous une
forme
satirique. On peut juger d'après l'attitude des
ici .pour se guérir ! » ? , La planché XLVI représente Mesmer sous
forme
d'un baudet provo- quant une crise d'hystérie c
her deux masses de substance grise ; l'une antérieure et externe a la
forme
d'une virgule, d'une larme batavique , dont la gr
que les deux autres se trouve un troisième noyau, ayant à peu près la
forme
d'une lentille plane-convexe, d'où le nom de noya
stance grise de la moelle épinière (cellules motrices). — Dimensions,
forme
, corps, noyau, nucléole, protoplasma, fibrilles e
p.. M. Gerlach dit cependant qu'il peut aller jusqu'à 0, 120 ^. Leur
forme
est plus ou moins globuleuse, rarement allongée
rps de la cellule ou d'un de ses prolongements les plus gros, sous la
forme
d'un filament très grêle, mais qui, peu à peu,' d
d'au-tres, est anguleux et re-Fiçj. 4. produit en quelque sorte la
forme
générale de la cellule. Le nucléole, lui, n'offre
grise. On y trouve encore des petits éléments cellulaires, ayant une
forme
glo-buleuse, rarement pyramidale, mesurant de 0.0
fait, on a qualifiés de cellules gigantesques. Tout en conservant la
forme
pyramidale propre aux éléments cellulaires nerveu
bule paracentral. Nous avons donc sous les yeux un petit lobule, de
forme
quadrilatère, dont le plus grand diamètre est d'a
particulier) ? 11 ne s'agit pour le mo-ment, cela va de soi, que des
formes
les plus usuelles, les plus vulgaires et aussi de
de aigu, la paralysie infantile; dans le mode chronique, les diverses
formes
d'amyotrophie spinale à mar-che progressive. — Il
lémentaires est d'un grand secours pour débrouiller les hybrides, les
formes
complexes. Nul doute, que l'étude de ces lésion
pales, tout près de leur origine, et s'enfoncent immé-diatement, sous
formes
d'artérioles, dans l'épaisseur des mas-ses gangli
ue d'abord,à la péri-phérie, la substance grise qui se montre sous la
forme
d'un feston ayant une épaisseur de 2 à 3 millim
sommet tronqué dirigé vers les parties centrales. C'est, en effet, la
forme
qu'affectent la plupart des ramollissements dits
la substance blanche sous-jacente. La partie superficielle du foyer
forme
ce qu'on appelle une plaque jaune. La coloration
et postérieure et de la sylvienne. Disposition des noyaux gris : leur
forme
et leurs rapports. — Considérations sur la capsul
capsule interne : tels sont les divers compartiments dont la réunion
forme
ce qu'on pourrait appeler le système central, par
de la cou-che optique. Je ne veux faire qu'indiquer en passant, la
forme
et les principaux rapports des noyaux gris que je
et très étroites avec les parties contiguës. 2° Le noyau caudé a la
forme
d'une virgule — ou encore d'une pyramide, — dont
s du trajet les vaisseaux, imitant ainsi tant par le siège que par la
forme
es foyers d'hémorrhagie qui se produisent dans l'
s ces régions; les artères striées sont, en effet, très sujettes à la
forme
spéciale de sclérose artérielle qui produit les a
yaux gris centraux, sont ceux Yhémiplègie cérébrale vul-gaire. Celle,
forme
d'hémiplégie cérébrale peut être dite cen-trale,
lésions dis-je, produisent l'hémiplégie cérébrale vulgaire, sous une
forme
, en général, très accentuée et plus ou moins pers
ulo-optique de la capsule interne ont pour conséquence obligatoire la
forme
d'hémianesthésie, que j'appelle cérébrale, et dan
Messieurs, Dans la dernière séance, j'ai essayé d'établir qu'une
forme
particulière de l'hémianesthésie est une conséque
à'hémianesthésie cé-rébrale, pour la distinguer de toutes les autres
formes
d'ob-nubilation ou de suppression dimidiée de la
al-tération athéromateuse. Je n'insiste pas plus longuement sur ces
formes
dé l'hé-miopie, qui, quant à présent, ne nous int
soit, si je ne me trompe, un moyen facile de se représenter sous une
forme
très simple les faits assez complexes révélés par
pas un groupe homogène; dans une première catégorie, il s'agit d'une
forme
particulière de la migraine (1), c'est-à-dire d'a
ultés, dont la solution est réservée à l'avenir. (1) Voir sur cette
forme
de la migraine les travaux de Tissot, de Labarraq
ation scléreuse doit être cherchée ; la région lésée apparaît sous la
forme
d'un espace triangulaire, de co-loration grise, s
ie sclérosée diminue progressivement de diamètre et tend à revêtir la
forme
ovalaire {Fig. 40). Enfin dans le renflement lomb
oint de vue anatomique, il existe une analogie considérable entre les
formes
primitives et la forme consécutive de la sclé-ros
il existe une analogie considérable entre les formes primitives et la
forme
consécutive de la sclé-rose fasciculée latérale.
gie, 1875. ciens(l). La lésion, dans ces cas, se présentait sous la
forme
de plaques jaunes, plus ou moins étendues en larg
ses comme elles sont dans la réalité, et attachons-nous seulement aux
formes
pathologiques dans lesquelles l'existence constan
ours présente à un degré quelconque. Elle ne fait pas défaut dans les
formes
frustres anormales, si variées, si différentes du
ormal. Sa présence constante a permis de rattacher avec assurance ces
formes
, dont le nombre semble augmenter chaque jour, au
ttachée à la lé-sion cérébro-spinale. Le type régulier est rare ; les
formes
anor-males sont fréquentes, au contraire, et nomb
moins à peine ébauchés : ça et là, on les aperçoit disséminés sous la
forme
de cylindres axiles non encore recouverts de leur
ceaux corres-pondent aux régions occupées par la lésion, dans une des
formes
les plus intéressantes des affections systématiqu
du cordon latéral où ils sont représentés par un faisceau compact de
forme
trian-gulaire, touchant en arrière à la substance
iègent à la face interne des cordons antérieurs, et présentent là une
forme
ellipsoïde, à grand axe antéro-postérieur. En gén
uarts moyens de l'étage inférieur. se montrent sur la coupe sous la
forme
de noyaux rouges (Rothe Kerne, V. Stilling.) Ces
l n'en est pas de même du segment moyen. Celui-ci se présente sous la
forme
d'un espace de forme rhom-boïde et opaque, parce
e du segment moyen. Celui-ci se présente sous la forme d'un espace de
forme
rhom-boïde et opaque, parce qu'en ce point, les f
nterne du noyau len-ticulaire. Ces deux parties se réunissent sous la
forme
d'un an-gle obtus que l'on pourrait appeler, avec
ine. En ce point, les faisceaux du centre ovale se présentent sous la
forme
de deux tractus blancs qui semblent marcher à la
formation, et s'avance dans la direction du sillon de Rolande L'autre
forme
une espèce d'anse blan- che circonscrivant la d
ons systématiques de la moelle épinière. Je commencerai l'étude des
formes
diverses qui composent cette classe, par les alté
t à rele-ver, la partie dégénérée est grisâtre et se présente sous la
forme
d'un espace triangulaire, occupant la partie médi
t, on voit que la lésion se présente sur une section normale, sous la
forme
d'un espace quadrilatère occupant la partie moyen
enne du pied, s'étendant depuis la substance grise de Scemmering, qui
forme
sa limite supérieure et répond au côté le plus ét
istence des cellules ganglionnaires ou nerveuses qui, en raison de la
forme
sous laquelle elles se présentent, sont appelées
possible de mécon-naître les analogies qui, malgré les différences de
forme
et de siège, rapprochent d'une part les grandes c
nerveux, sans que la dégénération secondaire, à un degré ou sous une
forme
quelconque, en soit la conséquence. î. Consid
égénération par en bas. La lésion se présente sur la coupe, sous la
forme
d'une bandelette mince qui commence au niveau de
limitées à la substance grise, ainsi que cela se voit, soit sous une
forme
aiguë comme dans la paralysie infantile, soit sou
sous une forme aiguë comme dans la paralysie infantile, soit sous une
forme
chronique comme dans l'amyo-trophie spinale proto
la région lombaire, il se montre sur les coupes transversales sous la
forme
de deux petits nodules, circonscrits de toutes pa
le choisi, de l'hémorrhagie intra-encéplialique se présentant dans sa
forme
la plus vulgaire. — Où siège le foyer ? Quelles p
ébrale. Enfin, Messieurs, elles sont particulièrement sujettes à la
forme
d'artériose qui conduit à la formation des anévry
is, qui, lorsque le sang épanché s'est résorbé, se présentent sous la
forme
d'une cicatrice ocreuse linéaire, limitant le con
réflexe est de 40 millièmes de seconde. La courbe de contraction a la
forme
normale. existe entre la contraction réflexe du
ire est beaucoup plus élevée ; la contraction est plus brusque, et de
forme
différente. (Dicrolismc.) moitié de la moelle q
considérable, et que, d'autre part, il dure plus longtemps.Enfin, la
forme
de la contrac-tion du muscle en question est nota
. Tantôt il s'agit d'un ramol-lissement partiel se présentant sous la
forme
d'une plaque jaune ou d'un foyer d'inflammation c
tendineux distinguent, cliniquement, d'après mes observations, cette
forme
d'atrophie musculaire spinale de celle dans laque
modique peut assez fréquemment se présenter dans la clinique sous une
forme
qui pendant bien longtemps n'a pas été remarquée
supérieurs. M. Erb a émis l'idée que ces cas se rapportaient à une
forme
pathologique spéciale qu'il a proposé de caractér
iculier de bon nombre de ces cas qui affectent dans la clinique cette
forme
de la paralysie spasmodique ; et j'ai pro-posé de
e à la paraplégie tétanoïde de Séguin (démarche spasmodique d'Erb).
Formes
lentes de la myélite transverse. Tabès dorsal s
de leurs attributs ordinaires et se présentant, comme on dit, sous la
forme
fruste ; mais qu'il s'agit d'une affection partic
ui, anatomiquement et cliniquement, et qui, dans quelques-unes de ses
formes
frustes, peut se traduire presque exclusivement p
èce et que bon nombre de symptômes fas-sent défaut. Ainsi, dans telle
forme
, on n'observera que de;-troubles céphaliques, ver
es fonctions de la vessie et du rectum, si caractéristique dans cette
forme
de myélite; à l'autopsie existaient des lésions d
si vous voulez la paralysie spasmo-dique peut se manisfester sous les
formes
de myélite les plus diverses. Mais dans l'espèce
systématiques. -- Amyotrophies protopathiques et deutéropathiques.
Formes
aiguës : paralysie spinale infantile, paralysie s
iguës : paralysie spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte. —
Forme
subaiguë : paralysie générale spinale antérieure
ie générale spinale antérieure subaiguë de Du-chenne (de Boulogne). —
Forme
chronique : atrophie musculaire pro-gressive de D
-tématiques. 4° Dans la plupart des cas, surtout quandil s'agit des
formes
aiguës ou subaiguës, les divers réflexes sont ou
e le répète, les observations anatomo-pathologiques relatives à cette
forme
n'ont pas encore fourni de résultats péremptoires
oliomyélite antérieure systématique chro-nique est représentée par la
forme
d'amyotrophie dont Aran et Duchenne ont tracé le
rieure qui, dans bien des cas, s'étend à la subs-tance grise. Mais la
forme
morbide sur laquelle, dans cette énumération, je
ématique, à éléments combinés, comme on dit en Allemagne. C'est cette
forme
que j'ai cru devoir étudier avec détails plusieur
être à la vérité considérée comme un petit organe indépendant : elle
forme
le lien qui rattache plusieurs systèmes les uns a
les extrémités périphériques des nerfs musculaires se terminaient en
formes
d'anses, dans l'in-tervalle des faisceaux primiti
élémentaires peuvent, en se groupant de mille façons, cons-tituer les
formes
si nombreuses et si variées des affections qu'on
e paralysie initiale ferait défaut; 3° Il n'existerait qu'une seule
forme
de paralysie bulbaire : celle qu'a décrite Duchen
ariés, demandaient à être recherchés minutieusement sous toutes leurs
formes
; si, dans les observations de Pick etdeKahler, i
es dont l'autonomie n'est contestée par personne : et, cependant, les
formes
anormales, les formes frustes diffèrent singulièr
est contestée par personne : et, cependant, les formes anormales, les
formes
frustes diffèrent singulière-ment du type décrit
type décrit par Duchenne. Bien plus, on pourrait dire que ce sont ces
formes
mêmes qui, une fois ramenées à l'interprétation v
sait remarquer que l'obnubilation visuelle peut se manifester sous la
forme
d'une véritable amblyopie croisée. A l'appui de c
bstance grise de la moelle épimère (cellules motrices). — Dimensions,
forme
, corps, noyau, nucléole, protoplasma, fibrilles e
postérieure et de la sylvienne. Disposition des noyaux gris : leur
forme
et leurs rapports. — Considérations sur la capsul
e à la paraplégie tétanoïde de Séguin (démarche spasmodique d'Erb).
Formes
lentes de la myélite transverse. Tabès dorsal s
s systématiques. — Amyotrophies protopathiques et deutéropathiques.
Formes
aiguës : paralysie spinale infantile, paralysie s
iguës : paralysie spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte. —
Forme
, subaiguë : paralysie générale spinale antérieure
ie générale spinale antérieure subaiguë de Dn ehenne (de Boulogne;. —
Forme
chronique : atrophie musculaire pro-gressive de D
268. Démarche spasmodique, 366 ; — Elle peut se manifester dans les
formes
de myélites les plus diverses, 366. DlASTALTlQu
mentale, 156. Hémiopie, 125 ; — homologue uni-latérale, 127, 129; —
Formes
de 1' —, 129, 130 ; — Causes de 1' — latérale, 14
M. L. Guinon de constater que l'hérédité nerveuse sous toutes ses
formes
se rencontre d'une facon constante dans les anté-
divers membres de la famille, ainsi que les psychoses, les diverses
formes
du délire, l'épilepsie, les convulsions, le str
érie, la neurasthénie, l'hypocon- drie, le nervosisme sous diverses
formes
, la folie, le suicide, la paralysie générale, l
intéressantes nous voyons se présenter en première ligne toutes les
formes
, précises ou vagues, du nervosisme et de la dés
ions nées de l'incontinence, ne nous semble pas douteuse. C'est une
forme
originale du rôle énorme de l'automatisme psych
fois. La station assise prolongée, la compression du ventre par la
forme
ou la chaussure jouent-elles un rôle dans la pr
ncontinents diurnes, dont l'infir- mité se présente souvent sous la
forme
continue. Et à ce pro- pos, nous ferons remarqu
ent à des familles où la tare névropathique se fait sentir sous les
formes
les plus diverses, mais où ne paraît pas domine
anesthésiées sont symétriques et qu'elles ont, de chaque côté, même
forme
et même étendue. Cette description clinique p
ysie de la troisième paire d'un côté et des membres de l'autre. Ces
formes
d'hémiplégie indiquent une lésion protubérantie
s myopathies est loin d'être éclaircie. Après avoir été divisées en
formes
multiples, les amyotrophies myopathiques ont ét
es, les amyotrophies myopathiques ont été de nouveau réunies en une
forme
unique. Bien plus, il paraît que la distinction
chée qu'on aurait pu le croire tout d'abord et qu'entre les deux
formes
extrêmes d'amyotrophie progressive on pourrait tr
formes extrêmes d'amyotrophie progressive on pourrait trouver des
formes
intermédiaires, telle l'amyotrophie forme Charcot
on pourrait trouver des formes intermédiaires, telle l'amyotrophie
forme
Charcot-Marie; due manifestement à des lésions
ier, l'épilepsie a été déterminée par deux kystes appartenant à une
forme
spéciale de gliome et situés, l'un dans l'écorc
rs, il en est pour eux comme pour l'astasie-abasie seule, c'est une
forme
d'hystérie monosymptomatique. A plus forte rais
uvements, mais d'une façon toute passagère. P. KERAVAL. XX. D'une
forme
DE NIsVItITE l'RODL 1T1 : PAIt des affections vas
n portant qui n'a eu jusqu'alors que des malaises neurasthéniques à
forme
d'irritation spinale. Tous ces accidents suppos
og. Ceatral6G., XIV, 1895.) Observation I. - Paralysie générale à
forme
démentielle chez une fillette de dix-neuf ans,
s), et chez la femme à quarante-quatre ans (infection syphilitique,
forme
démentielle). Autopsies confir- matives. Obse
raitement DES maladies mentales ; par le Dr Irwin NEFF. Certaines
formes
de folie, en particulier celles qui dépendent d
nté l'alimentation thyroïdienne dans les cas d'aliénation mentale à
forme
chronique. Si le nombre des expériences est enc
doute. M. SOLLOER. - On ne comprend pas bien il quoi tiennent les
formes
qu'on observe dans les obsessions qui paraissent
linique du trional et du tétronal, à leurs effets dans les diverses
formes
que peut revêtir l'aliénation mentale. D'aprè
alanne (3°). Epreuve écrite : Faisceau pyramidal ; .épreuve orale :
Formes
cliniques de l'urémie. Pour la région de Paris
e la moelle D, voilà donc un territoire qui non seulement change de
forme
mais aussi diminue de volume aiusi qu'on peut s
dier si l'action nocive produite par l'alcool absorbé sous ces deux
formes
est identique ; le problème est du reste résolu
e ce point, cet important et intéressant rapport médical prend la
forme
d'un plaidoyer en faveur de Roberto, mais d'un pl
t v bourreau. Peu après la scène change, sa physionomie se traus-
forme
, ses traits se détendent, sa mimique est celle d'
e cet état pathologique existe loujours dans la vie normale sous la
forme
des petites obsessions anodines qui surviennent d
evue générale complète de la question. L'auteur examine d'abord les
formes
étendues : pour la paralysie générale il expose
crauieune. Un chapitre spécial traite de l'liérédo-53philis, de ses
formes
spinale et cérébrale, des hémiplégies graves ap
11 y a des microcéphalies très diverses comme élio- logie et comme
forme
anatomique; et parmi les différentes calé- ' 11
doit opérer. F. BoissiER. IV. DE l'impulsion : sa définition, ses
formes
et sa valeur psychologique; par le Dr BOURDI\.
a) l'impulsion est précédée de l'idée de l'acte à accom- plir sous
forme
d'obsession, nette, consciente, de suffisamment
s consé- quences de l'acte qu'il va fatalement exécuter. Dans cette
forme
, l'impulsion, à proprement parler, se trouve êt
ion et l'acte ; c'est, en quelque sorte, la décharge motrice. Celle
forme
d'impulsion se rencontre chez les dégénérés sup
z un sujet prédisposé et le déterminant à des actes extrêmes. Cette
forme
, qui constitue ce qu'on a appelé la folie moral
tre chez les dégénérés, chez les hystériques ; c) dans une dernière
forme
, l'idée antérieure est presque nulle, tant elle e
avant que le jugement ait pu intervenir, l'acte est accompli. Celte
forme
se rencontre chez les dégénérés, les hysté- riq
t suggérée par un esprit étranger au moi; 3° A la suite de ces deux
formes
d'impulsion vraie, s'en placent d'autres moins
le, l'idiot, les déments de toutes variétés ; 4° Enfin l'hystérie
forme
un type mixte où se rencontrent tantôt des impu
type mixte où se rencontrent tantôt des impulsions vraies de toutes
formes
, conscientes ou inconscientes, tantôt de fausse
la vieillesse en établissant la possibilité chez le vieillard d'une
forme
de délire de persécution, non encore signalée à
a plus de l'examen des manifes- tations psychiques que dé celui des
formes
physiques de l'individu; - aussi voyons-nous l'
éviations des proportions générales du corps, les asymétries et les
formes
particulières de différentes parties; 2° Les dé
et la folie. Les statistiques de l'auteur montrent qu'il existe des
formes
de tuber- culose héréditaire ou autre chez 40 à
corticale. Les éléments moteurs sont constitués par des cellules de
forme
spéciale, mais ces cellules ne sont pas limitée
ivité corticale paraissent-ils être dus bien plus à des cellules de
formes
différentes, répandues dans les diverses couches
s qui doivent être em- ployés pour le rechercher. Cramer étudie les
formes
diverses d'alié- nation mentale dans lesquelles
nvalescence de la manie, dans la manie chronique, dans le cours des
formes
aiguës de la paranoïa (amentia, confusion aiguë
hall, paraissent évoluer plus lentement, affecter de préférence une
forme
dépressive et se compliquer plus rarement d'acc
t au groupe de la paranoïa. Quand il s'agit d'états périodiques, de
formes
circulaires, l'excitation est le sym. plôme pri
. 111TZIG n'admet pas que la folie des persécuteurs ne soit pas une
forme
clinique, qu'il n'y ait pas de « querulantenwahns
iologiques différents, on peut en dire autant de presque toutes les
formes
cliniques. Si, en outre, on invoque cet argument
t insister sur ce point qu'on ne peut admettre également, parmi les
formes
de la paranoïa, les cas dans lesquels le délire
ppellation générale, tout en refusant à ce mot de repré- senter une
forme
clinique unique et tout en le rejetant au point d
facteurs étiologiques divers ne prouve rien contre l'unité de la
forme
clinique que ce mot désigne. Ce délire peut const
, mais il est avant tout une variété clinique de la paranoïa. Cette
forme
apparaît sur un fond de débilité mentale, parfo
aut con- sidérer. La folie des persécuteurs, qu'il s'agisse de la
forme
clinique spé- ciale désignée habituellement sou
n. Le délire de persécution se présente, en effet, sous plusieurs
formes
cliniques et l'on peut admettre cinq variétés. No
s zoopsies, leurs hallucinations terrifiantes ? Il existe aussi des
formes
mixtes, celle où les caractères dés mélan- SOCI
tion chronique a pour caractère l'incurabilité. Cependant certaines
formes
guérissent : quelles sont-elles ? Ce sont les p
e à disparaître. Aujourd'hui, ce qu'il faut diagnostiquer, c'est la
forme
clinique du délire. Puisque l'anatomie patholog
s variétés ? M. ARNAUD. - On en pourrait' dire autant de toutes les
formes
mentales. M. Charpentier exagère l'insuffisance
t il montre un exemple à ses lecteurs. La paralysie pseudo-bulbaire
forme
une transition toute natu- relle pour arriver à
l'hérédité un des attributs de la cellule. L'étude des myoclonies
forme
deux chapitres intéressants de cet ouvrage. Ent
oncé à la base des doigts et, de plus, le centre de la face dorsale
forme
une saillie arrondie d'oedème, d'empâtement chr
cé (oedème caméléo- nien de Higier). L'apparition de chacune de ces
formes
s'ac- compagnerait, au dire de la malade, d'une
es mouvements bien restreints cependant de la main ont déterminé la
forme
de ces petites plaies. T. G. 21°,3; T. D., 2 ?
naissable. C'est, sur le front, un oedème rigoureusement médian, de
forme
régulièrement arrondie. Ce sont les sourcils de
13 194 . RECUEIL DE FAITS.' ' cente 'très allongée. A droite, la
forme
de la pulsation est normale. <A ce moment P
frisson, il est notablement moins élevé tout en conservant la même
forme
générale, et sa fré- quence est diminuée légère
ilieu d'une indolence parfaite d'ailleurs, la trace appa- raît sous
forme
d'une raie blanche, qui rapidement s'élargit en
és de France, de l'ancienne « renfermerie » qui a pris peu à peu la
forme
et les proportions d'un village, de ce vaste ét
e complet de ce discours, aussi remarquable par le fonds que par la
forme
. M : Pitres a fait un exposé complet des raison
asiles d'aliénés que par des types accentués ou compliqués dontles
formes
atténuées ou simples se rencontre ni cou- ramme
culaires, les ulcères trophiques des extré- mités caractérisant les
formes
anesthésique, atrophique et muti- lante de la l
arthritique, il représentait vraisemblablement, lui aussi, une des
formes
par lesquelles peut se manifester l'infection d
existe pas en 208 ' .SOCIÉTÉS SAVANTES. 1 réalité. C'est donc une
forme
pathologique de la perception voisine et distin
souvent sous le nom de maladie de Raynaud, se présentent sous deux
formes
différentes : l'asphyxie locale et la gangrène
ène de gangrène. L'asphyxie locale des extrémités peut revêtir deux
formes
distinctes que Raynaud a appelées : la syncope
ns l'intervalle des accès la peau présente un aspect sain. Ces deux
formes
d'asphyxie locale peuvent s'associer et alterner
ants. La gangrène symétrique débute, d'après Raynaud, par une des
formes
précédentes. Les doigts deviennent violacés, les
imination des escarres durant de vingt jours à dix mois. C'est la
forme
aiguë de la maladie; dans la forme chronique, l
ngt jours à dix mois. C'est la forme aiguë de la maladie; dans la
forme
chronique, les accès sont intermittents, moins
me permanent et la lésion des parois vasculaires se produit sous la
forme
d'un gonflement et d'un décollement de l'endo-
coloration ordinaire, jamais la cyanose ne s'était manifestée sous
forme
d'accès, jamais il n'y avait eu de phlyctènes ni
du noyau), s'arrondit, rompt ses prolongements, et aboutit à une
forme
en sac, avec confusion finale du kinétoplasma et
logique des tremblements est variable parce qu'il y a de nombreuses
formes
de transition entre les divers -types décrits,
de transition entre les divers -types décrits, parce que certaines
formes
sont encore mal définies et mal connues. Ils pe
ui de rien dire à ce sujet de bien scientifique. Le tremblement à
forme
vibratoire est extrêmement fréquent chez des su
i se concilient difficilement avec la len- leur et la solennité des
formes
judiciaires et qui sont faciles et na- turelles
placer dans les asiles, en prenant les précautions que nécessite la
forme
particulière de leur délire. C'est là une ques-
on qu'il est habitué à redouter. Délire des persécutions à double
forme
. M. Vallon. On sait que l'on distingue deux sor
nées, j'ai observé un malade chez lequel on trouva réunies'ces deux
formes
du délire des persécutions, qui est à la fois u
e parait mériter la désignation de délire des persécutions à double
forme
. Les faits de ce genre doivent être très rares,
médicament est resté sans effet dans la sitiophobie liée à d'autres
formes
d'aliénation mentale. La dose employée pour les i
ons au début de cette note, à la manifestation de la pensée sous la
forme
dulangateparlé. Voici dans quelles circonstance
: d'une façon générale, les accidents con- vulsifs y affectent une
forme
atténuée et parfois le malade étant assis ou mê
ctères cependant l'en différencient et pour ne s'appuyer que sur la
forme
des acci- dents convulsifs les secousses sont d
remière impor- tance qui permettent, malgré certaines apparences de
forme
de faire promptement la distinction. On trouv
ique que nous avous tenté de faire. Malgré quelques appa- rences de
forme
avec l'épilepsie jacksonienne les manifesta- ti
a que nous avons pensé qu'il y avait quelque intérêt à signaler ces
formes
rares de la déséquilibration cérébro-médullaire
loppement physique avec l'âge... Signes de sénilité prématurée...
Forme
du crâne... Mensurations : Circonférence...
rges. 48. Les salaires des hommes et des^ femmes n'étant pas uni-
formes
, le rapport ne l'est pas davantage. Cependant, en
également très hypérémiées. Au microscope, vaste foyer de myélite à
forme
très irrégulière, commençant au niveau de la hu
l'axe du tronc est oblique de haut en bas et d'arrière en avant, il
forme
avec l'axe des membres infé- rieurs un angle ob
essus, c'est ordinairement le mésocéphale qui est atteint. Dans les
formes
médullaires pures, c'est surtout la moelle cervic
foyers de ramollissement cérébral, enfin des hémorragies puncti-
formes
multiples dans la couche optique gauche. La natur
x. L'attaque convulsive du soir dure une ou deux heures. Toules les
formes
de la sensibilité sont intactes, si ce n'est la
ote aussi une tendance au sommeil. Jastrowilz déclare qu'il est une
forme
de trouble psychique, un état de démence avec e
pré- sentait lui aussi, dans la seconde période de sa maladie, une
forme
d'excitation maniaque avec tendances aux plaisa
été observés principalement sous forme de canitie, mais aussi sous
forme
d'alopécie. M. Féré a souvent observé, chez les
morphologique caractérisé par la conservation, chez l'adulte, des -
formes
extérieures de l'enfance, et la non -apparition d
la femme une anomalie inverse, le masculisme ou virilisme. Cette
forme
corporelle est caractérisée par l'adjonction des
e périphérique en toute sa longueur. L'expression clinique de cette
forme
, c'est l'amaigrisse- ment rapide, les secousses
à prouver au début avec le microscope. Ces affections sont quelques
formes
de la myopathie, des amyo- trophies toxiques, e
vertu des statuts de la société, la jeunesse française..L'une des
formes
de l'activité de cette société est, en effet, la
ploi thérapeutique. M. Colin (Jean) : Contribution ci l'élude d'une
forme
spéciale de vomissements nerveux. 1\1. Serrigny
l n'y a pas de diplopie, ni de strabisme. Les pupilles sont puncti-
formes
, légèrement déformées. Elles présentent le signe
ération des centres nerveux. Ensuite Korsakoff avait décrit trois
formes
, d'ailleurs ordinaire- ment coexistantes et peu
Morel ou épilepsie masquée des auteurs anglais parait à l'auteur la
forme
la plus pure de l'équivalent psychique de la cr
x que souvent l'équivalent psychique de l'attaque se manifeste sous
forme
d'une perversion morale, dipsomanie, exhibition,
té peu favorable. Le second proupe (psychoses séniles) comprend des
formes
à évolution plus rapide, à symptômes moins bruy
e des séniles. P. Sérieux. XXV. Observation DE paralysie générale a
forme
CIBCUL41RG ; par FpOENKEL. (Nezrrolog. Central.
L'auteur veut établir qu'il existe, au point de vue clinique, une
forme
particulière d'attaque épileptique, caractérisée
t possible, dans certaines conditions de fortune, et dans certaines
formes
mentales déterminées, d'instituer une mé- thode
le degré de la fièvre. (La Force vitale, notre corps fluidique, sa
forme
biométrique, Carré éd.) Dans l'iconographie qu'
sé en nous. C'est cette nuée odique de vivante lumière qui prend la
forme
, l'image que notre esprit lui donne, grâce à sa
Le psychicone est donc la nuée odique de force vitale imaginée en
forme
, par l'imagination psychique. C'est une création
'absence de traits de lignes, ils sont une relation de lumière, une
forme
nuageuse de nuée odique, par points, pois, esto
ne image, la module avec la force vitale humaine, se voile dans une
forme
qui l'exprime et l'exté- riore sous cette forme
, se voile dans une forme qui l'exprime et l'exté- riore sous cette
forme
qui se graphie sur la plaque à laquelle la main
tricité ou par les effluves de la main. Ces effluves présentent une
forme
en rapport avec l'image tentée lorsqu'elle est
figuré sous le nom de diabolisme ; enfin la réalité objectivale des
formes
hallucinatrices entrenues en lui, par le fou lu
c'est-à-dire le parasite fluidique. 4° Philosophique. Le monde des
formes
, expérimentalement démontré, vient confirmer ou
une pensée intime cachée au fond de nous, mais il se voile dans la
forme
iconographiable de notre lumière de vie qu'il m
du langage et le centre de l'idéation seraient interceptées. Les
formes
corticales sont les plus fréquentes. L'aphasie
des enfants, de la ville natale, du métier). Il n'y a que dans les
formes
intenses que le malade perd la faculté de recon
donnait aux monomanies un aspect caractéristique. De nos jours, des
formes
gouvernementales nouvelles, une surveillance pl
z les hallucinés, qu'on les tourmente à l'aide de l'électricité. La
forme
du délire change donc avec les siècles, mais au
t peut faire varier dans ses manifestations extérieures, dans la
forme
, mais non dans sa nature intrinsèque. » « L'asp
ieux et aux croyances ambiantes loin d'être superficiels et de pure
forme
, apparaissant d'autant plus profonds qu'on les
e. Les hallucinations psycho-sensorielles si importantes dans ces
formes
offrent quelques caractères qui les différencient
psychiatrie, signale comme particularités de son dèlire religieux à
forme
exaltée la prédominance d'hallucina- tions visu
pens des troubles auditifs prédominant au contraire dans les autres
formes
de délires systématisés primi- tifs. c Ces in
t en apparitions diaboliques où les malades voient Satan sous des
formes
diverses, ou bien des spectres et des revenants.
c'est le Diable. C U A X r MIRACULEUX X Vision d'un Démon sous la
forme
d'un chat. , Sons la foi me d'un chat giis, aux
anie qui nous occupe diffère aussi de la méga- lomanie de certaines
formes
modernes, où le malade arrive à se croire Dieu
e sénestre », il faisait le bien. Le diagnostic de ces cas avec les
formes
périodiquement al- ternantes des psychoses non
tive et progressive. Le diagnostic n'est pas moins délicat entre la
forme
qui nous occupe et les cas de vésanies combinée
s sorciers, 1. I, en. il. 5 -M. Ritti. Traité de la folie il double
forme
, 1883, obs. XVII,XIX, XXX, XXXI. , Séglas. An
s bien et ne souffrait plus du tout. Le professeur insiste sur la
forme
symétrique de l'affection en laquelle il voit u
leine campagne, une hallucination. Il voit devant lui un « esprit à
forme
humaine » qui disparaît à son approche. L'année
ciale siégeant à chaque genou, qui donne aux membres inférieurs une
forme
réellement très bizarre. Quand le malade est co
assis, les genoux semblent normaux; quand il est debout, la cuisse
forme
avec la jambe un angle obtus ouvert en avant, l
en aux membres qu'au tronc. Une telle association combinée avec les
formes
si variées de l'oe- dème neuro-paralytique pent
ant remarqué que souvent la luette présentait quel- que anomalie de
forme
ou de direction a examiné plus spéciale- ment c
la déviation à gauche. La proportion est encore plus forte dans les
formes
dégénéra- tives de la folie, si bien que la pro
de la contracture avec exagération des réflexes. L'aphasie prend la
forme
d'aphasie transcorticale de Wernicke et Lichthe
n cer- taines régions, telles que Macassar, les Célèbes, revêtir la
forme
épidémique, plaident contre l'opinion d'Ellis q
des couleurs, de la lumière, à la perception immédiate ou non de la
forme
des corps, du relief, etc. D'autre part, les co
- mètres et demi, est dépourvue du renflement lombaire, elle a la
forme
d'un cône régulier, sa largeur en haut est do 18
nce de deux encoches latérales, et la pièce sous le microscope a la
forme
d'un 8. En continuant à étudier les coupes de p
petits trous, disposés sur la ligne médiane d'avant en arrière, se
forme
dans la masse adhérente. Les encoches latérales
is l'introduction du cheval de fer dans le traiter ent des diverses
formes
d'aliénation mentale on a noté, paraît ,1, les
. Marie. 21G; Séglas. 216; Pitres, 247. - des persécutés à double
forme
, par Vallon, 250. Démenti : sénile et toxicité
par Spillmann rtEtirnllC, 22 ? Prndo- - , par )nancotte, 353. - u
forme
ctrculaire, lar lr<enl : el, 38 ? - infant
En soulevant celle-ci, on ^ oit qu'elle marque son em- preinte sous
forme
d'un léger sillon sur la partie postérieure de
i nævi. On ne constate de ganglions en aucune région. Sa tête, de
forme
normale, est asymétrique, le côté droit, SCLÉRO
ue le côté gauche. Les fontanelles sont soudées. · La face est de
forme
normale, régulière, symétrique, et ne présente
symétriques; les joues peu volumineuses. La bouche, petite, est de
forme
et de direction naturelles. Les lèvres sont peu
aillantes, petites en longueur comme en épaisseur. La langue est de
forme
et de motilité normales. La voûte palatine n'es
le corps thyroïde perceptible à la pal- pation. Le thorax est de
forme
régulière, de volume moyen . Rien il la percuss
cultation, tant du coeur que des poumons. "- L'abdomen est aussi de
forme
régulière. Rien iL signaler en ce qui concerne
a rate. La région anale est normale. Les membres supérieurs sont de
forme
régulière. Leur volu- me est le même à droite e
toucher est normal. (Voir p. ? 10). Les membres inférieurs sont de
forme
naturelle. Leur volume, comme leur longueur, es
cérébrale. VI. Il s'agissait, en somme, d'une épilepsie partielle
forme
hémiplégique, due à une sclérose al1'01,111- qu
la couche tangentielle de la substance grise sous-épcndy- maire qui
forme
le toit du ventricule latéral, dans le corps cal-
évrite spinale de Charcol, 31arie, Hoffmann, - mais c'en serait une
forme
atypique il cause de la paresieha- live des mus
e la persistance des réflexes palellairrs. Mais ce serait aussi une
forme
atypique iL raison de l'existence de la réactio
31. de Buck admet, en outre que les cas de paralysie générale il
forme
expansi\e et délirante sont remarquables par le g
ion moléculaire, dégé- nérescence graisseuse, etc.), tandis que les
formes
démentielles pures se manifestent surtout par l
: celui-ci est considéré par 3131. Soukhanoff et Rontenko comme une
forme
morbide autonome, caractérisée il la fois par d
nce avec l'idée de culpabilité qui s'y attache, cette l'ois sous la
forme
obsédante. Toute action normale devient puur ce
QUE. * C'9 épargnés. Les jambes furent les premières atteintes ; la
forme
de la paralysie y fut infiniment plus nav e et
'é,enlent ulle malade dont l't.tat SOCIÉTÉS SAVANTES. 71 revêt la
forme
de torticolis .mental avec geste antagoniste..Mai
qmnouaavous constaté chez le malade, il y a lieu d'insister sur les
formes
curables des polio- myélo-név rites chez certai
emar- (mer que je ne l'ai jamais rencontrée dans la mélancolie de
forme
typique, ce qui arien de bien surprenant si l'o
t suffisamment intéressantes pour n'avoir pas à le regretter. Cette
forme
d'aliénation est d'ailleurs peu commune, plus f
s classiques. L'excitation sexuelle s'y présente d'a- bord sous une
forme
épisodique et intermittente, avec ma- noeuvres
utable. OBS, A'. Héréditaire dégénéré : psychose svsféinalisée de
forme
religieuse ; agitation maniaque ; stupeur, pliénn
avec désordre des actes, malpropreté, gâtisme volontaire, tantôt de
forme
anxieuse avec gémissements, délire de culpabili
es de stupeur avec phénomènes catatoni- (jules, crises délirantes à
forme
l(' 1 i ? i ('Lise, crises mélancoliques avec d
s des idées de persécution, mais qui affectaient le plus souvent la
forme
mélancoli- que, avec réaction et suicide, dont
ses idées délirantes do persécution et de jalousie, et même dans la
forme
de celles-ci. Les ma- nifestations vésaniques o
médecins d'Asiles doivent non seulement traiter leurs aliénés, les
formes
mentales, les maladies incidentes, les affectio
elles réagissent aux influences extérieures, éliminent, changent de
formes
cl sont susceptibles de se reconstituer. 3° Err
n rapport avec une malforma- tion du crâne, surtout avec le erdneeu
forme
détour; mai-, pour REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
aune fracture du crâne; la gaine se remplissant de sang, la papille
forme
un renflement modéré- ment saillanl, dès les qu
colonne vertébrale sans qu'on puisse la suivre au-delà ; elle a la
forme
et la largeur d'une côte avec exostose. Cette t
e calalonisine sans stupeur. Le < plus ordinairement il suit des
formes
hallucinatoires. Le calalonisine, au point de v
s l'espèce, utile, car nous rencontrons l'amnésie verbale, dans ses
formes
les plus pures sans la surdité verbale, avec, p
.1'ER. (Xeurolog. CcMmI/JI" \\1LL,1904.) La catato- nie en tant que
forme
indépendante de trouble mental ; par \\'.l'. Os
olution clinique el la symplomalologie permettent d'en admettre une
forme
indépendante ; c'est surtout l'évolution qui ju
e de flocons blancs avec augmentation de la quantité d'albumine, la
forme
spéciale du coagulum librineux, la présence des
VUE DE THÉRAPEUTIQUE. Weschsclhaum, diplocoque de Fl'oenkcl dans la
forme
épi ! lé- mique, le staphylocoque, le hacLel'Íu
la pellagre le pou- v oir réducteur est assez faible ; 10° dans la
forme
grav e de la chlo- rose augmentation de pressio
lu liquide céphalo- rachidien ; 11° l'ictère chronique est la seule
forme
de la maladie LlÙ le lir¡uidc cépha1o-l'achitLi
ulatoire par la multiplication des leucocytes polynucléaires el des
formes
intermédiaires aux dépens despetites et grandes
o 1 ton·mhre lD0'r. - PaLStnr : NCt : de l : DRUNET. Folie à double
forme
arec syndrome paralytique. MM. DOUTarBI : NT1 ?
ant 17 ans. Il s'agiL d'un syphilitique al- tcinL de folie à double
forme
et présentant le syndrome paralyti- que avec ac
-bras sont atteints de paralysie avec réaction de dégénérescence.
Formes
frustes de lésions-du système pyramidal. M. Bab
que ce lobe occipilal a subi des mo- difications profondes dans sa
forme
. Par suite do résorption de parties détruites e
e- ment appauvri en libres et Fli. qui du côté sain apparaît sous
forme
d'un U noir, ne se distingue presque pas dans sa
éciable entre le Tap. des deux côtés ; Rth. du côté pathologique ne
forme
qu'une étroite bandelette autour du Tap., puis
s, tandis que le jambage latéral mon- tre un défect net situé, sous
forme
d'une bandelette, dans' la partie interne de Fl
11111-il[A et, JIaiizocciii. Dei movimenti sistematiiiati in alcune
forme
di indebolimento mentale (Archivio italiano per l
nt dans l'activité musculaire statique ; cllc appartient aussi à la
forme
dynamique de cette activité. Ce sont llcs mots,
able d'éveiller son attention. Mlle B.... qui loge au même pavillon
forme
avec la pré- cédente un contraste évident. Les
erbale, réside dans la recherche de certaines terminaisons, dans la
forme
de certaines let- tres, dans la richesse de la
aut, les phénomènes cataloniqucs se ma- nifestant seulement sous la
forme
atténuée de l' « hésita- tion psycho-motrice »,
iple point de vue : a) Fréquence globale ; b) Fréquence suivant' la
forme
de /'t ? fection ; c) Fréquence suivant la péri
équence des manifestations stéréo typiques est variable suivant les
formes
de l'affection, chaque forme étant considérée e
réo typiques est variable suivant les formes de l'affection, chaque
forme
étant considérée en bloc. Les catatoniques so
se systé- matiser. L'expressiun des conceptions erronées sous une
forme
de plus eh plus monotone et la persistance de la
delbcl'g ne réside pas tant dans le fait de réunir a posteriori des
formes
clini- ques ayant même issue que dans celui de
culière des attitudes fixes et, clos mouvements monotones clans la
forme
catatonique de l'affection, et voici juste- men
i juste- ment que tous les auteurs s'accordent à considérer celle
forme
comme la plus curable, à ce point que d'après K
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES XXXVI. Sur la
forme
du palais chez les aliénés; par Ferdi- nando UG
liev. sp. di frein. t. XXIX, fasclll.) Sur 1000 crânes d'aliénés,la
forme
du palais, en ce qui regarde la disposition de
ceptionnelle- ment, 10 %, le type elliptique ; jamais une véritable
forme
en up- silon. Si l'on considère la l'orme du
énés ne présentent pas de particula- rités caractéristiques dans la
forme
du palais et qu'il est préma- turé d'établir de
latine, ainsi que l'on a cherché à le faire, spé- cialement pour la
forme
ogivale. J. SÉGLAS. Archives, 2" série, 1905, l
nes de thel'modysesthésie, surtout au début de la maladie. Dans les
formes
moins graves d'hémiplégie, .les troubles de sensi
un très léger affaiblissement de la sensibilité tactile,telle eslla
forme
de dissociation nolée par l'auteur au cours de
t ces troubles en lumière en fatiguant le malade surtout dans les
formes
frustes. Souvent il y a une hypotonie des plus ma
continu de la fièvre typhoïde. Fabre, de Marseille, distingue cinq
formes
: éphémère, chronique, inter- mittente, pseudo-
L. W. XXXIV. Observation de dystrophie musculaire congéni- tale à
forme
hypertrophique ; par htta. (7.'tc. crit. di clini
aret présentent un malade atteint du syndrome nivasthénique dans sa
forme
bulbo-spinale (IJrh-Golflam). Mais la myasthéni
onus du pied et nystagmus. Il s'agirait d'une sclérose en plaques à
forme
spinale. Cette affection ne paraît pas relever
clairer la nature vle l'alfecliun " ! Hé¡'édo-syphilis dl/névraxe à
forme
tabétique très améliorée par le . traitement me
Gottorp. Le « mal de PuLL (lont on parle est, on le sait, une des
formes
les plus désastreuses de la tuberculose infantile
mme dans l'epi- lepsie. Durée, de un jour il plusieurs semaines ;
formes
périodiques à grands intervalles lucides altern
combinaison des phases élémentaires du mécanisme moteur propre ala
forme
du mouvement exécuté. Elle provient d'une modif
'un faisceau descendant médio-périphérique dont le trajet supérieur
forme
à la région dorsale le faisceau de Hoche. - Il
la corne postérieure; elle prend à la région dorsale inférieure une
forme
compliquée qui représente un M de chaque côté.
es de la moelle épinière. Il, C. LXXX. Un cas de tumeur cérébrale à
forme
psycho- paralytique ; par Cornu. (1\'oLCO. Icon
esse qu'à l'Age de virilité. Mais dans le premier cas elle revêt la
forme
hébéphrénique presque spécifique 64 % et la cat
spécifique 64 % et la catatonique 79 % ; dans l'âge viril, c'est la
forme
paranoide, 82,5 % . Les formes hébéphrénique et
e 79 % ; dans l'âge viril, c'est la forme paranoide, 82,5 % . Les
formes
hébéphrénique et catatonique apparaissent surtout
atonique apparaissent surtout entre 15 et 25 ans (66 %, 6'1 %) ; la
forme
parano'ide de 25 à 35 ans (51 %), c'est-à-dire
sculin et féminin 26 %-28. Sur 100 démences primitives, 56 sont des
formes
hébéphréni- ques, 8 catatoniques, 36 paranoides
mes il y a 61 hébéphréniques, 7 catatoniques, 29 para- noides. La
forme
hébéphrénique frappe surtout le sexe féminin 61 %
. La forme hébéphrénique frappe surtout le sexe féminin 61 % ; la
forme
paranoide le sexe masculin 43 % ; la catatonique,
ument prépondérante est l'hébéphrénie (64 % , 48 %) ; puis vient la
forme
pal'ano'ule (13 % , 29 %) puis, à une grande'di
ore beaucoup de cas dans lesquels on trouve e réunies deux ou trois
formes
de l'hérédité morbide. L'hérédité morbide génér
ture tant dans le sexe masculin que dans le féminin ; tant dans les
formes
hébéphréniques que catatoniques : presqu'é- gal
e catatoniques : presqu'é- gale par rapport aux deux sexes dans les
formes
paranoïdes, mais inférieure de 15-20 ? il celle
6 ? une intelligence alleinle dont8 ? depin'énast))éuiea\érée. La
forme
hébéphrénique de la démence primitive occupe dans
établissements scolaires. L. WAHL. XX ! V. Epilepsie procursive à
forme
anormale ; par Cour- TELLEMONT et TOUCHARD. (Bu
re jusqu'à 12 ans pour se dissi- per (Marandon de Montvel). Dans la
forme
Iv pique, qui et d'aiIll'l11's (l'ès l'are el q
manic slupide de Baillarger. Sauze a montré avec raison que lesdeux
formes
existent. Dans le 1) pl' Chaslin, il y a à la s
. Ce l) pede grande cyphose se rapproche du rhumatisme vertébral il
forme
pseudo-névralgique el paraît dépendre autant d'
de la Ivmphangile et s'inslallant ensuite sans amélioration sous la
forme
el les caractères du Iroplui'dème. Pas d'hérédité
des accès de boulle (réré). L'auteur analyse la palhogénie et les
formes
de 1'(l11goisseprécol'diaie et de l'angine de poi
ses su ri es dangers de'la syphilis héréditaire, aussi bien dans sa
forme
pré- coce que dans sa forme tardive (Fournier).
yphilis héréditaire, aussi bien dans sa forme pré- coce que dans sa
forme
tardive (Fournier). L'éminent. clinicien - insi
de l'asthénie lH'UI'O-l11llbculail'e el des troubles psychiques il
forme
dépressive allant jusqu'à une tenla- tatie de s
arrive par exclusion au diagnostic de maladie de Dercum mais d'une
forme
exception- nelle ; la face est atteinte (pointe
: aspect rhumatoïde, scialique, elc. Lancinantes, en éclairs, sous
formes
d'accès, s'exacerbant en un point circonscrit,
se des accidents yu'uu poinL tle we tlul'lurctlif(.C'esl surtout la
forme
commune que l'on observe, [mis viennent la form
(.C'esl surtout la forme commune que l'on observe, [mis viennent la
forme
démoulée ! laformeaiguo. La morl sun ienlle plu
pporte 27 observations dé- taillées minutieusement, portant sur les
formes
démente et com- mune, montrant soif l'action is
yen des toxines élaborées par les agents microbiens en cause. Les
formes
aiguës revêtent habituellement l'aspect de la con
lucinatoire aiguë avec excitation (ancienne manie puerpérale) ; les
formes
chroniques prendront plutôt le type de la dépre
tlisLinuer : 1° suivant l'intensité du processus auto toxique, des
formes
graves (délire septicél1lique avec agitation dé
lire de collapsus par épuisement suraigu post-hémorrha- que) et des
formes
légères (délire polymorphe des dégénérés, ob- s
eintes) ; 20 suivant l'évolution du processus auto-to : \i(IUe, des
formes
aiguës (excitation maniaque pure ou hallucinato
s formes aiguës (excitation maniaque pure ou hallucinatoire) et des
formes
chroniques (dépression mé- lancolique, démence)
fices chimiques complexes mais définis, et cristallisant sous des
formes
définies qui sont celles des êtres vivants. La
nt sous des formes définies qui sont celles des êtres vivants. La
forme
étant, pour les végétaux et les animaux comme p
tion chimique, il y a autant de bioprotéons différents qu'il y a de
formes
différentes, c'est-à-dire qu'il y a d'êtres, ca
s la composition, ct pal' conséquCJl1. si légère soit-elle, dans la
forme
générale de l'être, dans la composition et dans
e, dans la forme générale de l'être, dans la composition et dans la
forme
aussi des cellules qui le composent, et en part
s sexuelles, par suite, des modifications dans la composition et la
forme
du produit. Si l'on vient a retourner un bour
blème de la dégénérescence. La dégénérescence en effet n'est qu'une
forme
de l'hé- rédité. C'est le remplacement, par sui
serait, pour Lancereaux, et je partage sa manière de voir, une des
formes
de la dégé- nérescence alcoolique. Le microbe c
ers. ^- Ils n'ont pas tous le même volume, le même poids, la même
forme
, la même résistance, mais, au point de vue du b
dans l'intérieur même des prolongements ncuroniens,sans que leur
forme
en soit sensiblement modifiée, et qu'elle n'in-
ler. Les tubes de Geissler, auxquels on peut donner différen- tes
formes
, deviennent lumineux au moment ou le cou- rant
aire, puis centrifugé. 1 CI' cas : jeune lille atteinte de rage à
forme
prolongée vérifiée histologiquement et par inoc
e. Examen cytologique négatif. 2e cas : enfant* de 8 ans atteint de
forme
délirante et halluci- natoire. Diagnostic confi
ésultat négatif. - 3e Cas : homme de 3G ans, mort en trois jours de
forme
hydro- phobique. Diagnostic confirmé histolog
ntalement. Résultat négatif de l'examen après la mort. ' 4e Cas :
Forme
furieuse chez un homme. Diagnostic confirmé par
dans le liquide céphalo-rachi- dien des rabiques au moins dans les
formes
stis-indiquées. Expé- rimentalement, examen de
e, mais les muscles du cou, principalement le muscle mnolt-oltlien,
forme
une véritable san- gle qui comprime plusou moin
on début et son évolution. Au point de vue séméiologique, c'est une
forme
rare de tétanos. Le malade présenta, dès le déb
n passant. Quelques auteurs ont signalé des observa- lions de cette
forme
à début localisé, mais elle est en général rare.
ent être di- visés en trois catégories distinctes : 1 les tétanos à
forme
aiguë etsuraigué, chez lesquels le traitement e
ué, chez lesquels le traitement estinefticace : -2" les téta- nos à
forme
chronique, sans lièvre où avec peu de fièvre, san
guérissent sans le secours d'aucune médica- tion ; 30 les tétanos à
forme
subaigu : : avec crainte d'accidents aigus ulté
ises de sommeil. G. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXVII. D'une
forme
originale de fétichisme ; par \\-. M. BECHTEREW
exclusivement consacré aux aliénés tubercu- leux quelleque soif la
forme
de leur affection mentale ; qu'un régime alimen
fréquemment ut il isée comme procédé de traitement sous toutes ses
formes
, drap mouillé, douche mobile, en cercle, froide
ne sort pas. Il est fixé dans la muqueuse par un crochet pointu qui
forme
hameçon par sa concavité dirigée en haut. Un dé
rniers con- sistant moins, dit-il, dans leur volume que dans leur
forme
effilée et tranchante. La perforation vasculaire
t dans de semblables conditions. A l'autopsie, on trouva un os de
forme
prismatique et triangulaire placé en arrière du
types (Etienne) : 1° la parai) sie as- cendante de Landry ; 2° une
forme
qui rappelle les pulyév rites infectieuses et t
rme qui rappelle les pulyév rites infectieuses et toxiques ; 3° une
forme
mixte. Rarement, on est en présence d'une ménin
e prof. Pitres appelle les topoalgies d'origine corticales. Dansles
formes
périphériques, il y a en général de l'endolorisse
a paraplégie spasti- que familiale pure et à la maladie familiale à
forme
de sclérose en plaques, types isolés artificiel
\1. Baymond et (I : ST\N, d'après 18 cas, en reconnaissent qua- trc
formes
, le type Cltarcot est le plus rare. L'n 1 pe plus
de tahes spasniodique. Il y a un certain parallé li",ll1e entre la
forme
clinique elles lésion*. - t - IIèmot'l'hayie so
érapeu- tique, les résultats sont médiocres. Cela lient surtout aux
formes
pathologiques des malades admises. Sur les cinq
des ; 30 enfants au 1 cr jaIn iel' 1903, d'où mélange de toutes les
formes
de la dégénérescence, (,'est l'exiguïté du quar
x communs aux maladies mentales, sur la classification, l'étude des
formes
principales de la folie, sur la loi de 1838, le
apporter d'importantes contributions à la connaissance des divcrscs
formes
de la folie. Est-il né- cessaire de rappeler ic
t hospitalier qui l'aura accueilli. C'est ce qu'a exprimé, sous une
forme
pittoresque, un des maîtres les plus affectionn
tique à l'étude de la - , par Pasini et Madia,140. La en tant que
forme
indépen- dante de trouble mental, par Ossipow
ent spasmodique de l'rosa, phage,par Bregman,241. -pro- cursive à
forme
anormale, par Courtellemont et Touchard, 309.
yramidal, par Straeussler, 51. -Y. Voir Moelle. Fétichisme. D'une
forme
origi- nale de , par Bechterew,390. Fibres ne
chi, 137. Folie. Drame de la , 79. La d'un père, 79. à double
forme
avec syndrome paraly- tique, parDoutrebenteet M
loco dolenti, par Ver- ger, 448 Névraxe. Ilérédo-s%pliilis du à
forme
tabétique très amélio- rée par le traitement me
e la hanche gauche, par Brissaud et Rathery, 71. Palais. Sur la
forme
du -chez les aliénés, par Ugolotti, 225. Papi
affecté d'idiotie amau- rotique familiale de Sachs, par Frey, 52.
Formes
frustes de lésions du pyramidal, par Babinski
eux, par Bloumenaou et 'l'ikhomirow, : Z94. Un cas de cérébrale à
forme
psy- cho-paralytique. par Cornu, 303. ' . T
vrage de notre collaborateur le Dr Paul Riclier sur rA)M<one des
formes
extérieures du corps humain. Bien que plus spéc
il répond pleinement au désir exprimé par notre éminent maître. La
forme
humaine y est représentée sous tous ses aspects
orps, il ne faut pas oublier qu'entre la surface de l'écorché et la
forme
du nu il y a loin encore, plus loin peut-être q
du tégument dont le rôle ne consisterait alors qu'à en atténuer les
formes
trop heurtées, mais sans y rien changer d'essen
ux, dont la présence, suivant les régions, modifie complètement les
formes
de l'écorché. Et ceci se produit non seulement ch
e produit non seulement chez les sujets doués d'embonpoint dont les
formes
disparaissent pour ainsi dire noyées dans la gr
rendra combien son développement plus ou moins grand influe sur les
formes
extérieures. Elles seront plus enveloppées chez
l'enfant, c'est à l'abondance du pannicule adipeux que l'on doit la
forme
plus généralement arrondie et l'effacement pres
r atténuer les heurts de l'écorché, mais comme facteur direct de la
forme
, au même titre que les muscles et les os. Il y
e de la glande mammaire, c'est lui qui détermine et le volume et la
forme
des seins. Les seins volumi- neux sont surtout
dans les cellules d'un tissu conjonctif élastique qui le comprime,
forme
une sorte de coussinet élastique destiné à s'adap
ligaments, des insertions musculaires, etc. Au point de vue de la
forme
extérieure, il joue un rôle qui mérite d'être s
e l'aisselle et le creux poplité. Au-dessous du tendon rotulien, il
forme
deux reliefs latéraux, très importants à connaî
nette- ment appelé l'attention des cliniciens sur la pluralité des
formes
du tremblement hystérique et indiqué l'analogie
e et indiqué l'analogie frappante qui existe entre certaines de ces
formes
et le tremblement, soit de la paralysie agitant
cal, M. le professeur Pitres insiste également sur la diversité des
formes
que peut prendre le tremblement hystérique. « I
rvations de MM. Pitres et Rendu en ce qui concerne la diversité des
formes
que peuvent revêtir les tremblements hystériqnes
riqnes et la très grande analogie qui existe entre certaines de ces
formes
et la plupart des tremblements déjà décrits et
cas, ils se localisent tantôt aux membres d'un même côté du corps (
forme
hémiplégique), tantôt aux membres supérieurs, ou
ntôt aux membres supérieurs, ou bien encore aux membres inférieurs (
forme
paraplégique). Enfin, on peut les voir se canto
stériques que nous avons observés.. - Eu étudiant ces différentes
formes
de tremblement, nous ne nous bornerons pas à l'
agitation 1. P. Marie. -Contribution à l'élude et au diagnostic des
formes
frustes de la maladie de Basedow. : ! f; NOUV
. les réflexes tendineux n'étaient pas exagérés. Ce tremblement à
forme
vibratoire peut persister, nous l'avons déjà di
gré d'intensité. L'écriture est alors manifestement altérée dans sa
forme
, et parfois même impossible; les autres mouveme
r dans les cours de l'hôpital, conservant toujours le tremblement à
forme
vibratoire dont il était affecté depuis plusieurs
e que ce mode de début (à la suite d'une attaque convulsive ou sous
forme
d'attaque de trem- blement) n'est pas le seul.
n'en sait rien. » On pourra voir aussi le tremblement hystérique à
forme
vibra- toire apparaître à la suite d'une frayeu
verticaux ou transversaux du point lumi- neux se reproduiront sous
forme
d'une ligne continue sur la plaque sensible ou su
par le surmenage chez un chauffeur de locomotives. - Tremblements à
forme
vibratoire. Hacq... (Victor), âgé de trente-qua
e présente d'autre déformation qu'une oreille à pointe rappelant la
forme
soi disant régressive signalée par Dar- win. Qu
ertébrale. Quelques anomalies anatomiques semblent indiquer que ces
formes
légendaires ne sont pas des inventions de pure
es ne sont pas des inventions de pure fantaisie. Si les oreilles de
forme
animale se retrouvent chez un -certain nombre d
coccyx et cette anomalie superficielle coïncident souvent avec une
forme
particulière delà région sacrée. Le sillon inter-
st ouvert à sa partie supérieure, et le sacrum s'y présente sous la
forme
d'une surface en fer de lance divisée de haut en
é sur la figure 28. Quelquefois le coccyx, tout à fait superficiel,
forme
quelquefois une espèce de cap à la partie supér
aux, sont à peine capables, sauf lorsqu'elles se présentent sous la
forme
d'un appendice mobile, comme dans quelques cas
cas rares, d'inspirer les représentations qui nous restent sous la
forme
des satyres. Ce n'est guère qu'en supposant des
parleur configuration générale, reproduisent presque exactement les
formes
humaines, ne paraît pas susceptible d'une inter
l'lill.lal : . région lombaire. Cette plaque velue qui a souvent la
forme
d'un losange à deux angles situés sur la ligne
ils et une anomalie de l'évolution de la paroi rachidienne. Sous la
forme
où elles se présentent assez souvent,' ces plaq
er à cet endroit la « tache » que nous avons indiquée, laquelle, de
forme
ovalaire à grand diamètre vertical, mesurait en
r exemple, où M. Charcot a montré que l'attaque revêtait souvent la
forme
maniaque et se passait pour ainsi dire toute en p
la possession de Louviers, Madeleine Bavent voit le diable sous la
forme
d'un petit cerf-volant fort noir '. On sait combi
l'amant de la demoiselle G..., hysté- rique à crises convulsives à
forme
léthargique ou de sommeil. La liaison durait de
iode évolutive, l'impression reçue peut être vivement ressentie, la
forme
maniaque de l'hystérie prédominant, ainsi que nou
sins ci-joints, a bien voulu nous donner au sujet de l'anatomie des
formes
de cette malade la note ci-dessous : « La déf
au niveau de la région lombaire. ? ? « Enfin, au point de vue de la
forme
extérieure, cette déformation osseuse a pour ef
phique, juillet 1889). - D. Bernard, De l'aphasie et de ses diverses
formes
, 2° édition; 1890, avec des notcs par Gt. Féré,
térêt que d'émotion. Sa main droite plonge dans une petite boite de
forme
assez singulière, qui renferme peut-être des ob
douleur du patient; pitié ou raillerie des assis- tants, tout cela
forme
un ensemble de détails parfaitement observés et
ystériques. « Ce phénomène, dit-il, estfréquentdans les psychoses à
forme
dépressive', dans l'hypocondrie, la mélancolie; o
es bâillements qui surviennent à l'état isolé sans se. grouper sous
forme
d'attaques n'influencent pas les phénomènes nut
A TA LEP TT Ii' 0 fLvI E Kahlbaum, en 187, décrivit le premier une
forme
nouvelle d'affec- tion mentale qu'il désigna du
, avant de présenter des crises véritables de bâillements, deuxième
forme
de cette manifestation, bâillait pour ainsi dir
convulsives limitées ou généralisées de l'hystérie se groupant sous
forme
d'attaques. Il existe dans tous ces cas un fond
empes; puis, après un temps variable, éclatent les bâillements sous
forme
d'accès. Ils se précipitent alors beaucoup plus
ccès. Ils se précipitent alors beaucoup plus rapidement que dans la
forme
précédemment décrite, empiétant les uns sur les
nt pour passer à l'état intermittent ou revenir ultérieurement sous
forme
d'une nouvelle crise. Il est bien rare que la
période ou de délire. La prédominance des bâillements fixe seule la
forme
de l'attaque. Parfois l'attaque de bâillements
iel peut se poser. Lorsque les bâillements ne sont pas groupés sous
forme
d'attaques, le rhythme et la cadence sont des é
ntrés, tels que le caractère pathétique des actes, des paroles sous
forme
d'exaltation théâtrale ou d'extase religieuse,
l'on n'admet pas comme caractéristiques et indispensables de cette
forme
pathologique certains symptômes qui font défaut d
e contracturéc en flexion, la pointe du pied dirigée en bas dans la
forme
du pied-bot équin direct. L'autre jambe est sai
eule béquille dont il se sert du côté contracturé. Quelle est cette
forme
de contracture ? Si l'on tient à un diagnostic,
es bras et des jambes. En haut à gauche, le diable s'enfuit sous la
forme
d'un petit génie ailé suivant la tradition que le
tologie des polynévrites, l'auteur décrit un type de polynévrite à
forme
de paralysie générale spinale, mais n'insiste p
er, bien que l'auteur n'envisage pas ici le diagnostic de certaines
formes
de polynévrite avec la paralysie spinale aiguë
t, où nous considérerons seulement les rapports de la polynévrite à
forme
amyotrophique avec la paralysie générale spinal
raît avéré, et l'une de nos observations en fait foi, qu'il est des
formes
attribuées à la polynévrite qui revêtent jusqu'à
ysie infantile n'est pas actuellement mise en doute, et ce sont les
formes
de paralysie spinale de l'adulte qui ont été se
a paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte, si l'histoire des
formes
subaiguës et chroniques de cette dernière ne de
'adulte que par une évolution moins rapide, et qu'à l'instar de ces
formes
aiguës, elle devait dépendre d'une lésion atrop
En outre de cette logopllthalmie paralytique, il existe une autre
forme
, logophthalmie active ou spasmodique, dans laquel
tout lorsqu'elle manque que l'arc formé par la paupière supérieure
forme
une convexité très marquée : la surface découvert
portrait qu'elle est un peu grosse; mais la face ne présente pas la
forme
particulière qu'elle a aujourd'hui. Elle est à pe
s de tirer des conclusions bien sé- rieuses au point de vue de leur
forme
. Vers dix-sept ans, elle entra comme demoiselle
moment la malade, qui était assez grosse, n'avait cependant pas la
forme
de face qu'elle présente aujourd'hui. Elle est tr
ysée agit toujours en retard de 25 à 30 centièmes de seconde, et la
forme
du tracé présente une ascension plus lente, plu
ons irrégulières. Chez les individus qui sont atteints des diverses
formes
d'impotence que nous venons de passer en revuc, e
'état habituel, mais surtout dans la période postparoxys- tique une
forme
particulière du tracé pneumographique, une expira
à la finales troubles moteurs qui'ilsi présentent sont sur- tout de
forme
ataxique, plutôt que formellement paralytiques* e
ar la projection de la langue (Gb. 51, .52) ne montrent pas la même
forme
d'ascension en escalier que danslaparésie ,post
s d'une manière effrénée aux boissons alcoo- liques sous toutes les
formes
; et on peut dire que l'abus de ces der- nières
tribuer cette propriété du tembéki, qui, administré sous toutes les
formes
pharmaceutiques par la voie gastro-intestinale,
de chose près, identiques à ceux pro- duits par le tabac, fumé sons
forme
de cigare ou cigarette. Un seul point digne de
ous-jacents au plancher du quatrième ventricule. Il en décrit trois
formes
: aiguë, subaiguë et chronique, et deux variété
erne met d'ordinaire un certain temps avant de se présenter sous sa
forme
achevée. Sans doute, elle peut être uniquement co
natomique. Il semble cepen- dant qu'il s'est agit dans ce cas d'une
forme
de paralysie spinale subaiguë. Les altération
les unes des autres par du tissu conjonctif interfasci- culaire qui
forme
une gangue beaucoup plus épaisse qu'à l'état no
es premières douleurs apparurent dans les membres infé- rieurs sous
forme
d'élancements, de tiraillements; parfois on eut d
-on d'autres preuves, que nous nous adresserions à la lèpre dans sa
forme
anesthésique. Comme l'indique notre collègue et
e fit songer à la névralgie sciatique. Il s'agissait en effet d'une
forme
fruste que cette déformation du tronc fit soupçon
e l'attitude sciatique. Est-il plus facile de définir le rôle de la
forme
de la sciatique et celui de la durée et du degré
C'est pour cette raison que désormais l'exploration sous le chloro-
forme
doit être toujours pratiquée. Elle rendra compte
l est encore impossible de déterminer l'influence pronostique de ln
forme
de la sciatique, de la durée et du degré de la dé
détail, surtout dans la scène inférieure dont le personnage possédé
forme
le .. centre. Ce personnage lui-même a subi une
t clinicien fait reposer le dia- gnostic clinique de cette dernière
forme
sur les bases suivantes : d, Début subit de la
.Dans toutes ces relations, on note en effet un stade de début sous
forme
d'état général fébrile, du délire, et des paralys
appartient à Duchenne de Boulogne2. En résumé : 1° Il existe des
formes
morbides dont l'expression clinique corres- pon
de paralysie spinale antérieure aiguë et subaiguë de l'adulte. Ces
formes
sont en réalité, selon les prévisions de cet au
pitre que de paralysie labio-glosso-laryngée se présentant sous une
forme
achevée et indé- pendante de toute autre affect
iabilité des altérations cellulaires qui commandent les différentes
formes
. Enfin nous ignorons à peu près complèlement qu
quelques bourgeons gliomateux. Le reste de la substance médullaire
forme
les parois aplaties de cette cavité. La région
'entourent sont réduits à des proportions encore moindres; aussi la
forme
générale de la coupe de l'axe spinal est-elle res
étré- cissement est toujours semblable pour les deux yeux dans sa
forme
, parfois inégal comme degré. Pendant toute la d
ée des troubles hallucinatoires, le rétrécissement persiste dans sa
forme
, et 'disparait presque toujours en totalité ave
xaminés, nous n'avons noté le symptôme que dans 32 % des cas. Les
formes
que peut prendre la pupille sont des plus varié
ale, il est vrai, un oedème péripapillaire qui se présentait sous
forme
de cercle brunâtre (J. Galezowski, th. de Paris,
l est évident que beaucoup d'entre eux ignorent à peu près tout des
formes
typiques d'aliénation ; ils ont géné- ralement
cellules pyramidales. IL DE MUSGRAVE CLAY. IV. Psychologie d'une
forme
particulière d'intoxication patho- logique ; pa
5.) Remarques intéressantes, basées sur des observations, sur les
formes
et les causes des délires toxémlques. R. M. C.
I. Relevé quantitatif et qualitatif des leucocytes dans différentes
formes
de maladies mentales ; par A. S. 11. PEEBL s. (
oire de l'hyponlosse du même côté. 1 .1. S. VI. Observation d'une
forme
rare de pseudoesthésie ; par le Dr MATTiROLO (J
le dans les liquides chauds. L'auteur l'a employé dans les diverses
formes
de maladies mentales, toujours avec succès, et
issait pas du bacille de Hoff- mann, ni du bacille xerosis ni d'une
forme
actmo-mycosique ou leptothrix équivalent en bea
e persécution ou d'exaltation : peu importe d'ailleurs que ces deux
formes
existent séparément, simultanément ou par trans-
« délusions fixes » doit être appliquée aux états consécutifs à des
formes
aiguës de folie dans lesquels les délusions per
mentale terminale. Il est possible que la démence précoce, avec ses
formes
hébéphrénique, catatonique et paranoide devienn
ont associés à des conditions de luxe relatif, et qui trouvent leur
forme
la plus fréquente dans les excès qu'on pourrait
nduire, et conduisent souvent à l'ivresse, mais, au moins dans leur
forme
pure, ils ne tendent guère à l'alcoolisme chron
nce, et de diviser les malades dont il s'agit en trois groupes : 1°
forme
simple ; 2° forme délusionnelle ; 3° forme kata
les malades dont il s'agit en trois groupes : 1° forme simple ; 2°
forme
délusionnelle ; 3° forme katatonique. R. DE Mus
it en trois groupes : 1° forme simple ; 2° forme délusionnelle ; 3°
forme
katatonique. R. DE Musgrave CLAY. XXI.Observati
ns ces deux choses à la fois ; 2° une variation structurale dans la
forme
et dans les fonctions des divers organes du cor
inay et GMt.LET. Le tic chez les animaux revêt un certain nombre de
formes
différentes. Chez eux on appelle tic un mouveme
tion des impressions et étals du cerveau-âme à l'extérieur, sous
forme
d'actions. L'analyse de ces trois domaines est su
sont pas des maladies mentales, sontpassés en revue, et suivis des
formes
mentales et nerveuses, M. Forel divise ces form
ue, et suivis des formes mentales et nerveuses, M. Forel divise ces
formes
en 4 groupes : .lncmvta, 3° série, 1907, 1. I.
truction des cellulles nerveuses par phagocytose. M. Sano trans-
forme
cette obscure question en un lumineux chapitre d'
ude, représente comme une monographie entière de cette intéressante
forme
clinique. , L'auteur donne beaucoup de détails
s psychopathiques déterminés, qu'on doit strictement distinguer des
formes
cliniques, c'est-à-dire des maladies mentales ;
tat maniaque ; 2° l'état mélancolique ; 3° l'état amentif, dans ses
formes
variées ; a) simple état amentif (conclusion' m
'ataxie hérédi- taire cérébelleuse, que l'auteur propose de nommer «
forme
céré- belleuse de la maladie de Friedreich. » I
combinaison de la myopathie progressive avec les différentes autres
formes
de l'atro- phie progressive, telles que : atrop
ressive, amyotrophie de Charco- j)Iarie atrophie névritique dans sa
forme
généralisée. Selon l'avis de l'auteur, les symp
l'avis de l'auteur, les symptômes » classiques » des dif- férentes
formes
de l'atrophie musculaire progressive établis en
ns, néanmoins il est très im- portant pour Ieltropostic de fixer la
forme
fondamentale. Alexandre AQUMAN, Assistant à l
u reste devrait être modifié dans son entier. L'art. 25 est de pure
forme
. SECTION II. - Des placements ordonnés par l'au
' Enfin les art. 33 et 34, qui terminent la section, sont de pure
forme
(A suivre.) CLINIQUE MENTALE Les fugues dans
ilne c striée. Pour Giovanni, depuis les manifestations simples des
formes
névrosiques jusqu'aux diver- ses formes cliniqu
manifestations simples des formes névrosiques jusqu'aux diver- ses
formes
cliniques, parmi lesquelles il faut citer la mala
sychose et quel- quefois de coma et de mort. On peut distinguer des
formes
légères, et des formes' graves avec séquelles.
et des formes' graves avec séquelles. Le pronostic varie avec la
forme
.Les formes graves sont parfois mortelles.Le diagn
formes' graves avec séquelles. Le pronostic varie avec la forme.Les
formes
graves sont parfois mortelles.Le diagnostic est
veiller l'alimentation. . . L. Waiil. XVII. La syphilis spinale à
forme
amyotrophique ; par LAU- Nois et POROT, (Revue
gne de Kernig. A l'autopsie, tumeur du cervelet. L. WAHL. XXII. -
Formes
frustes du Tabes ; par Raymond. (Bulletin médic
médical, n" 55.) Le professeur Raymond insiste avec raison sur ces
formes
qui sont si souvent d'un diagnostic si difficil
arac- tère particulier des faits analogues qui ont été publiés : la
forme
du délire était la paranoïa chronique. 1.11LC.
tendances criminelles diminuer; l'égoisme pratique sous toutes ses
formes
s'est restreint : il y a eu un relèvement du resp
ROUSSINIE cite le cas d'un jeune homme qui, au cours d'une grippe à
forme
intestinale, croyait ne plus avoir d'estomac. M
e l'expéri- mentation qu'ils ont faite du véronal, dans différentes
formes
mentales. Troubles mentaux dans la sclérose e
la radiographie confirmèrent le diagnostic d'ectasie aorti- que, à
forme
légèrement ampullaire. II insiste sur les service
taine d'années, chez lequel éclatèrent des troubles intellectuels à
forme
mystique, consécutivement à des pratiques de magn
caractéristique de sa débilité mentale Un cas de délire chronique à
forme
nxégalomaniaque, avec autopsie. M. Marchand com
bloc unique, AI. Grasset (lit que pour ses partisans, l'humanité ne
forme
qu'un bloc, une série, allant du plus sensé au
armes. BOURNEVILLE. Traitement médico-pédagogique des différentes
formes
de l'idiotie. In-8° de 136 pages avec 55 fig. P
es zoologistes assignent aux Phytozoaires et aux Artio- zoaires des
formes
ancestrales communes « simples, analogues, à un
- latérale prédominât toujours dans le cours du développement;ces
formes
étaient aptes par conséquent à acquérir dans la s
ar lesquelles l'animal agit sur le milieu : la locomotion. Chez les
formes
primitivement fixes, ou devenues ultérieurement
ordonne tous les faits connus et subordonne toujours l'organe et la
forme
à la fonction : l'Au- teur n'y fait aucune allu
énérale. La locomotion exerce encore une influence indirecte sur la
forme
du corps et des organes par les fonctions dériv
ans les yeux composés à facettes des Insectes, l'image réti- nienne
forme
une mosaïque grossière ; comme chaque facette re-
t né ? sa masse va se diviser, se séparer en deux petites masses de
forme
ovoïde, qu'on nomme blastomères. Dès ce moment,
latérale. La première est représentée, pour l'embryologiste, par la
forme
du corps et de ses cavités propres ; la seconde e
fet, comme ses deux éléments formateurs,de rapports étroits avec la
forme
du corps ; il est maintenant libre dans une poc
ution ontogénique est donc tardive et ne commence que lors- que les
formes
du corps et de ses cavités sont à peu près défini
tive de continuité avec l'ectoderme cutané : celui- ci, finalement,
forme
pont au-dessus du «vide nerveux » maintenant in
et l'évolution des tendances, on sait que ses fibres, avant même de
formes
plexus pour innerver les organes aux- quels ell
même négligeable, la réaction viscérale, inconnue dans ses détails,
forme
un tout indivisible et commun aux deux moitiés,
synthèse de sensa- tions ou d'états 'de conscience qui implique les
formes
de temps et d'espace et constitue les notions d
plus '6'ù moins nette, 'dans là plupart 'dé nos pensées, soiis des
formes
diverses : nouvelle c'oininunauté, nouvelle 'dé
, cet aliéné sera-t-il condamné ? Oui, d'après la loi, mais pour la
forme
sans doute, car, quelques jours après, lorsque
n ligne : nouvelle expertise par conséquent, et nouveaux frais. Les
formes
actuelles sont plus simples,et par suite me par
ent il n'est pas possible que le législateur arrive d'emblée à la
forme
définitive. Telle qu'elle est, la loi de 1907 n
, fasc. III, IV.) Ou peut distinguer au point de vue clinique trois
formes
clini- ques de l'idiotie : une forme avec pseud
u point de vue clinique trois formes clini- ques de l'idiotie : une
forme
avec pseudo-hypertrophie, une seconde avec atro
ssus de destruction estévidemmentirrégulier. On peut voir ces trois
formes
en se reportant aux pièces conser- vées par Eou
ium coli etc., Toutes ces variétés correspondent certainement à des
formes
cliniques et anatomiques variées. Au point de v
ns. La pathogénie de la microencéphalie permet de considérer deux
formes
: la vraie et la fausse ; la vraie peut être simp
liés à des altérations localisées ne se rencontre dans aucune autre
forme
d'idiotie ; dans ces conditions on peut la sépa
rminée non mortelle de spores. Ces conclusions font admettre que la
forme
de pellagre due à une infec- tion par la spore
N.La suggestion involontaire joue un rôle immen- se sous toutes les
formes
dans la production de maints effets ohte- nus d
ne- ra une dépense supplémentaire de 8,003 fr. » C'est là une ré-
forme
indispensable. Si l'on veut que les malades soien
r comprendra tous les cas d'alcoolisme simple, quelle qu'en soit la
forme
(confusion mentale, délire hallu- cinatoire, ép
rie. Avril 1907. No 4 ARCHIVES DE ..NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE
Formes
mélancoliques de la démence précoce (Période in
prouvent les statistiques, débute presque toujours (sauf dans ses
formes
fébriles) par des phénomènes particu- liers où
En étudiant ces états dépressifs prodromiques, j'ai pu isoler une
forme
neurasthénique, une tormeneurasthénico- hystéri
ne forme neurasthénique, une tormeneurasthénico- hystérique, et une
forme
mélancolique. La forme mélan- colique de la dém
, une tormeneurasthénico- hystérique, et une forme mélancolique. La
forme
mélan- colique de la démence précoce représente
e cet étatdépressif, permet de considérer la mé- lancolie comme une
forme
appartenant à la fois à la pé- riode prodromiqu
atologie de la démence précoce (Allg. Zen. J. Psyciriatr., 1905).
FORMES
MÉLANCOLIQUES DE LA DÉMENCE PRECOCE. 275 sur 20
sur les symptômes de la démence pré- coce. Thèse de Paris, 1902.
FORMES
MÉLANCOLIQUES DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 277 son in
cusé (anxiété, déli- re ou stupeur). Nous avons vu en étudiant la
forme
neurasthénique (1) comme les réactions individu
ctuel est manifeste et la douleur morale passagère comme dans les
formes
rapides (la catatonie principalement), le dia-
tics. La surveillance prolongée est alors absolument nécessaire.
FORMES
MÉLANCOLIQUES DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 281 CONCEP
édominance des idées hypo- condriaques d'origine sexuelle. Dans les
formes
mélan- coliques, la nutrition générale est plus
tent plus ». Comme les idées de négation qui surviennent dans les
formes
mélancoliques delaparalysie générale, elles sont
ns les deux affections, mais plus rarement dans la démence précoce (
forme
simple de M. Sérieux). Le plus souvent elles so
Le refus d'aliments (négativisme démentiel) les auto-mutilations,
FORMES
MÉLANCOLIQUES' DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 285 les f
de suite. « .le vais mourir, je n'ai plus rien. je sens que c'est -
FORMES
MÉLANCOLIQUES DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 287 lilli»
els il apprend des tragédies par coeur (théâtre de V. I luol tlu'il
FORMES
MÉLANCOLIQUES DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 2SI récite
t lierlin et toute l'Allelllao-ne, c'pst une voix inlérieuie qui le
FORMES
MÉLANCOLIQUES DE LA DEMENCE PRÉCOCE. 291 lui di
ne voit là qu'une affirmation répé- 316 PSYCHOLOGIE. tée sous des
formes
diverses sans le moindre effort pour apporter q
(p. 32) ; elle préexistait au moi. On ne peut dire non plus qu'elle
forme
celle du moi à un moment donné ; tout au moins
que volonté » (p. 56). Bref, « chacune de'nos facultés présente une
forme
inférieure correspondant*à5la vie psychique de
distinction habituelle.présentée par Maine de Biran, entre les deux
formes
,de cette faculté, passive ou reproductrice, et
m, prénom, pro- fession, âge et domicile tant de la personne qui la
forme
que de celle dont le placement est réclamé, et
stent entre elles. La demande est écrite et signée par celui qui la
forme
: elle est visée par le juge de paix, le maire
el de la décision du tribunal pourra être relevé dans les délais et
formes
prévus à l'article 9. ART. 19. Dans les cas de
i résulte de l'hérédité alcoolique est,- plus que toutes les autres
formes
d'instabilité, révélée par a) sa na· ture convu
ture convulsive ; b) sa tendance à la limitation (comme dans les
formes
de folie dites systématisées) ; c) sa périodicité
n. L'épilepsie, la chorée, l'hystérie, les psy- choses convulsives (
formes
morales et impulsives de folie) et quel- ques é
ler, est particulièrement exposé à ces sortes de troubles, dans les
formes
paternelles de transmission. D'autre part, les ar
. Phlegmon diffus; complications abdominales de la fièvre typhoïde.
Formes
cliniques de la variole ; fractures de côtes. Dia
ou pour mieux dire des états qui leur correspondent. Sous quelle
forme
se conservent ces images ; comment les centres
es accidents. Il y a encore un autre facteur à considérer dans la
forme
des manifestations hystériques, ce sont les varia
'SàPiO, 1907, t. I. \ . 24 370 PSYCHOLOGIE. de changement dans la
forme
et l'intensité des troubles hystériques, et les
encore son substrat anatomique. Voyons ^d'abord com- ment le moi se
forme
. La Formation du moi est envisagée à propos de
licisme : supposons que la syn- thèse mentale qui, à l'état normal,
forme
la personnalité, soit tou- jours incomplète et
e con- tinue à régner en maîtresse là-bas. Ayant pris, en 1906 la
forme
épidémique, elle a fait de nombreuses victimes.
ute mesure d'ordre devient impossible. Le médecin demande des ré-
formes
, que le directeur ne peut ou ne veut pas réaliser
iques, leur propre sûreté ou leur guérison, le préfet peut dans les
formes
tracées par l'article 26 et sur l'avis du médec
ù est situé l'asile, qui statuera en cham- bre du conseil, dans les
formes
prévues à l'article 36, sur leur main- tien dan
ées de droit au tribunal, qui statue en chambre du conseil dans les
formes
prescrites par l'article 36. Si la sortie n'est
au préfet et au chef responsable de l'établissement ont lieu en la
forme
admi. nistrative. Les frais de procédure faits
o- tivée, est susceptible d'un recours au Conseil d'Etat dans les
formes
légales. ART. 70. La présente loi est applicabl
dit que la tendance pathologique et clinique la plus forte de toute
forme
de maladie mentale, était d'aboutir à la 424 RE
en d'autres termes, de progresser : cette proposition n'est qu'une
forme
nouvelle de la doctrine déjà ancienne de Sankey
nsidéra- tions où il serait trop long de le suivre sur ces diverses
formes
de maladies mentales. La conception que propo
ie n'est pas signalée. L'écholalie comporte des degrés et aussi des
formes
différentes. Arnaud a es- sayé d'en décrire six
et aussi des formes différentes. Arnaud a es- sayé d'en décrire six
formes
, mais elles se confondent facilement les unes d
s attaques Jacksoniennes. , Dans beaucoup de cas de folie aiguë à
forme
confusionnelle, on 428 REVUE DE PATHOLOGIE MENT
la description de la démence précoce ; et ce serait surtout dans la
forme
katatonique que se rencontrerait l'écholalie (K
ie va régulièrement en dimi- nuant ; de 35 à 40 ans on constate les
formes
les plus aiguës, et après ce dernier âge, la du
lle que, dans un précédent travail, s'est attaché à distinguer deux
formes
d'alcoolisme, l'alcoolisme qu'il appelle conviv
n pourrait presque dire qu'il existe pour chaque métier ouvrier une
forme
traditionnelle d'alcoolisme, ayant pour base l'in
'alcool. Mais l'élément qui introduit le plus de varié- té dans les
formes
de l'alcoolisme ouvrier, c'est la facilité plus o
nnel des asiles est proba- blement due,soit à une infection par une
forme
virulente de quel- que micro-organisme très rép
énagements appropriés qu'il conviendrait de fournir aux différentes
formes
de folie; par John MiLsoMRnoDEs (The Journal of
(The Journal of Mental Science, octobre 1904.) Etude critique de la
forme
usuelle des tableaux statistiques en matière d'
lexes sans trouble de la sensibilité ; ils posent la question d'une
forme
atypique d'atrophie du type Charcol-Marie. MM.
pui de deux cas où il a cherché à prouver que la sitiomanie est une
forme
,le psychose intermittente, en particulier de m
if qui en fait ressortir les points saillants, donnentsous diverses
formes
le résultat de toutes les opérations effectuées
par le centre, c'est-à-dire par la psychothérapie sous toutes les
formes
. Il est absurde de se priver de telle méthode ou
er au déterminisme la connaissance de ce sentiment (p. 158), de ses
formes
et de ses effets ? La foule de ceux qui n'ont j
doivent non à leur matière, ainsi que l'intuduction, mais à leur
forme
. 2° En donnant donc à sa méthode,qu'il croit à
ne connaît jamais que leur contribution commune, quelle que soit la
forme
sous laquelle elle lui est présentée : notions
A- ge otte. (Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1906, n° 3.) La seule
forme
de réparation nerveuse connue jusqu'ici est celle
'un cas remarquable par la complexité du contenu et la fixité de la
forme
: il s'agit d'un malade qui depuis sept ans ré-
EPSAT (Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1906, n° 1.) Infiltration à
forme
de pseudo-oedème avec cyanose intense et algidi
la douleur. Ces troubles spinaux se rencontrent aussi bien dans les
formes
simples et hébéphréni- quesque dans les variété
onique etparanoide de la démen- ce précoce; mais dans aucune de ces
formes
ils ne semblent avoir d'électivité spéciale pou
utive qui commandent l'attitude en flexion. Les muscles prennent la
forme
de cordes rigides douloureuses à la pression ; la
l'atrophie et de la rétraction. Les articulations conservent leurs
formes
. Les nerfs ne sont pas douloureux. Les réaction
ciales suivant ces divers tissus. F. TISSOT. XXXV. Les principales
formes
des troubles nerveux dans le mal de Pott sans g
e. F. T. SOCIÉTÉS SAVANTES. 4P9 XXXVI. -Achondroplasie partielle,
forme
atypique ; par DUFOUR (Nouv. Icon, de la Salpêt
x «Troubles de l'intelligence », a 1' « Aphasie et à ses diverses
formes
», au « Traitement des aliénés dans la famille »,
ismes ; 10° La- vements ; b) Pour l'usage interne : 3 leçons : Leur
forme
: liquide (potions, sirops, huiles, gouttes), s
ments a été négligé. Après quelques indications sur les principales
formes
pharmaceutiques, nous nous sommes surtout attac
plus douteuse chez les tabéti- ques avérés; quoi qu'il en soit, la
forme
d'application de choix est l'injection hypoderm
de l'hié- rogénie.-Dans l'introduction sont rappelées les diverses
formes
de la croyance : on croit parce qu'on objective
FEINDi;L. 1\'lll.- Traitement médi--o-pédagogiqt6e des différentes
formes
de l'idiotie; par BOURNEVILLE. (Vol. de 135 pag
sur la genèse de l'Hystérie. Psychoses alcooliques chroniques, les
formes
pures de Démence exceptées. Asymbolie et Aphasie.
Diagnose différentielle entre la Démence-Paralytique et les autres
formes
de Démence acquise. Localisation corticale des
ntractures secondaires de l'hémiplégie. Myasthenia gravis et autres
formes
de myasthénie. Il. Psycho- logie et Psyclio -ph
s de ce crime au magistrat compétent, s'est vu congédier sans autre
forme
, avec ce mot administratif et imbécile : Appo
- DUPRAT La spaLiallle des faits psychiques. - Th, ItII30T. Sur une
forme
d'illusion affective. - BOGUES DE FunsAc. Notes
on et paranoïa ; par Deny et Camus, p. 152. Un cas de chronique à
forme
mégalo- maniaque, avec autopsie, par Marchand
, p. fi5. précoce. Voir Folie. - précoce ; par Johnstonc, 1). 74.
Formes
mé- lancoliques de la - précoce, par \1 ? Pas
ements ap- propriés qu'il conviendrait de fournir aux différentes
formes
de folie ; par Atilson Rhodes, p. -131. -, Vo
es d'aliénés du Nord, p. 271. · Intoxication. Psychologie d'une
forme
particulière d'- patho- logique ; par Pick, p.
UCOCYTES. Relevé quantitatif et qualitatif des dans diffé- rentes
formes
de maladies mentales ; par Peebles, p. 51. Li
e ; par Rowe .Icremy, p. 51. Pseudoesth ésie. Observation d'une
forme
rare de ; par Matlirolo, p. 53. Psychiatrie.
avec ophtal- moplégie double ; par Achard, p. 52. La - spinale à
forme
amyotrophique ; par Launois et Porot, p. 137.
. SYSTÈME nerveux. Voir Ame. Tabès. Voir Lésions syphilitiques.
Formes
frustes du - ; par Raymond, p. 139. Un cas de
Voir Tubes. - Voir Idiols. midico-péclanogiqucs des dif- férentes
formes
de l'idiotie ; par Bourneville, p. 518. table
uelle dans la folie ; par Sydney J. Cole, p. 495. Les principales
formes
des nerveux dans le mal de Pott sans gibbosit
on et de l'audi- tion. Le réflexe plantaire se produisait sous la
forme
de la flexion des orteils. Les réflexes tendine
oordination. La sensibilité objective est conservée sous toutes ses
formes
. La jambe étant placée dans l'extension, on not
cause appréciable, des accidents gastro-intestinaux aigus, sous la
forme
de vomissements et de diarrhée. Les jambes se son
erie dans l'invasion des accidents est un mode de début, commun aux
formes
aiguës de la poliomyélite antérieure et de la p
ure se complique de troubles cardiaques et respira- toires, sous la
forme
d'une tachycardie, d'une accélération de la respi
yélite anté- rieure aiguë se présentent presque toujours sous cette
forme
. Des troubles en rapport avec une paralysie des
n des plus sûrs caractères distinctifs de la po- lynévrite aiguë, à
forme
de polynévrite motrice. Au surplus, et pour en
ronostic. Notre diagnostic est donc : polynévrite aiguë généralisée
forme
de poliomyélite antérieure, de cause obscure. M
chez un adulte, évolue sans laisser de traces irréparables, sous la
forme
d'une atrophie limitée à un segment de membre o
imitée à un segment de membre ou d'un groupe de muscles, et sous la
forme
de rétractions tendineuses consécutives. Nombreux
oncours d'un orthopédiste ou d'un chirurgien. MALADIE DE THOMSEN A»
FORME
FRUSTE AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE PAR Et E. N
NOGRAPHIE DE LA SALFLIRtÈRF. T. XII. PI. III MALADIE DE THOMSEN
Forme
fruste, avec atrophie musculaire. (1 : . Vuu ct
vantage au type Landouzy-Déjerine (Favio- scrtpulo-hmnéral) et à la
forme
juvénile de Erb. Cetteconstatationpeut-ellenons
minés, la clinique nous apprend que l'on observe tous les jours des
formes
nouvelles qu'il est parfois difficile de rattache
a myopathie progressive primitive, il semblait que ces deux grandes
formes
qu'on opposait l'une à l'autre, l'une individuell
utre. » Le type de Charcot-Marie est un des mieux étudiés parmi ces
formes
irrégulières. Dans une certaine mesure, le cas
ssique donné par Marie qu'à l'heure actuelle l'exis- tence de cette
forme
nosologique spéciale doit être considérée comme s
iblissement des muscles oculaires moteurs avec secousses nystag- mi
formes
; 10° Mimique faciale exagérée chez le 2e et le
on. Sensibilité. La sensation douloureuse est conservée, les autres
formes
de la sensibilité ne semblent pas altérées mais
fisance intellectuelle. Peau,. On note une cicatrice incolore de la
forme
et de la largeur d'une pièce d'un centime au mi
Or, justement chez elle le cer- veau est bien formé, présentant une
forme
de vésicule, ce qui n'aurait pas pu être en auc
llules nerveuses. Au-dessus de l'ouverture, la moelle épinière a la
forme
ordinaire, seulement elle est un peu comprimée d'
comprimée d'avant en arrière. A cela près, la moelle épinière a la
forme
ordinaire de celle d'un enfant nouveau-né (Pl.
, située en arrière, est sensiblement agrandie, elle a conservé une
forme
triangulaire, mais les coins sont fortement arron
er- veau terminal avec le bulbe olfactif. La cavité du télencéphale
forme
les ventricules latéraux. Le plus souvent l'h
L : Rll'lllES MYOPATHIE PRIMITIVE ET PROGRESSIVE AVEC AUTOPSIE (
FORME
TARDIVE; TYPE HUMÉRO-SCAPULO-FACIAL) (1) P,vrs
ucoup plus large que le membre qu'elle enveloppe ; les pl is que l'on
forme
en la soulevant entre le pouce et l'index ont u
mie, sur la face palmaire des mains, est épaissi, sec, squameux; il
forme
, à la pulpe digitale, une ca- rapace cornée ave
ntercalaire est de consistance très dure. La rate petite, ferme, de
forme
irrégulière, de consistance fibreuse, pèse 110
t exclusivement par une maladie de la peau ; et, selon le siège, la
forme
, l'étendue de l'éruption, vous serez en mesure d'
près les caractères cliniques les plus apparents, a distingué trois
formes
prin- cipales de sclérodermie : ·1° La scléro
ue par un trouble de l'innervation trophique la disposition zoni-
forme
des plaques éruptives et les atrophies d'appare
s cellules s'accomplit de telle sorte que les organes prennent leur
forme
, acquièrent leur volume, réalisent leur spécifi
e périartérite qui est à son maximum dans la région cervi- cale, et
forme
de véritables petites gommes, intéresse aussi bie
rès grêle si on le compare à celui du côté opposé. Il a conservé sa
forme
conique ; la partie charnue a gardé sa configurat
onstate il droite un état particulier des tégu- ments. Le pli qu'on
forme
ainsi est trois fois plus épais environ à droite
che ; elle est plus résistante il droite. Cependant le pli que l'on
forme
disparaît assez vite. Les os faciles à examiner
ne nous indi- que que* le genre de l'affection sans en spécifier la
forme
ni la phase.- Il importe donc de lui adjoindre
- Il importe donc de lui adjoindre tel qualificatif qui définira la
forme
cli- . nique ou la phase de l'affection tabétiq
de tabès dorsal ne doit pas être abandonné, car il caractérise nne
forme
et une phase du tabes ; et de plus il comprend
me de tabès supérieur, qui, lui, est bien mauvais, pour désigner la
forme
ou la phase de la maladie, manifes- tée par des
ans l'obscurité, l'agoraphobie et la claustrophobie, les nombreuses
formes
des irradiations bulbaires et centrales du vert
binaisons les plus diverses des troubles de l'oculo-mo- tricité, la
forme
spasmodique du signe de Ch. Bell, les oscillation
ndirecte pour l'opposer à la suivante. Il existe en effet une autre
forme
d'orientation subjective, que l'on doit 142 PIE
il n'y a pas de repères objectifs, c'est-à-dire extraorganiques. Sa
forme
,la plus concrète est ce que j'ai nommé sens des
les ligaments et aponévroses péri- articulaires sont distendus, la
forme
du segment varie et les téguments sont le siège
me du segment varie et les téguments sont le siège de variations de
forme
, d'expansion, de pression, etc. Si nous analyso
ariation de LE TABES LABYRINTHIQUE 145 force, de résistance et de
forme
dans l'état de presque toutes les parties profo
nalyser celle sensation d'effort nerveux et à voir si elle varie de
forme
selon ses applications à telle ou telle fa- cul
re et du sens des attitudes segmentai- res se manifeste par une des
formes
du signe de Romberg. L'exercice mus- culaire de
ouvent symptomatiques du trouble labyrinthique, el caractérisent la
forme
ou la phase labyrinthique du tabes, comme d'aut
u la phase labyrinthique du tabes, comme d'autres en définissent la
forme
ou la phase dorsale. Les troubles auditifs cons
la symptomato- logie du tabes. Ce vertige auriculaire, et même la
forme
brutale du vertige de Menière, n'est pas rare d
ve chez le labyrinthique tabétique. J'en ai ailleurs (1) étudié les
formes
. Tant qu'il n'y a pas tabes dorsal, c'est-à-dir
iens. Cette correction manque chez les tabétiques ordinaires. Cette
forme
de signe de Romberg est de règle dans beaucoup
gmus permanent d'origine labyrinthique est assez rare II en est une
forme
extrêmement fréquente sur laquelle j'attirerai l'
sens ampullaire. Si celui-ci est lésé le malade présente l'une des
formes
du signe de Rom- berg, de l'incertitude dans la
on peut,dans une large mesure, rattacher ces symp- tômes, soit à la
forme
, soit à la phase labyrinthique du tabes, et défin
ont la prétention de représenter des instruments de chirurgie. Leur
forme
terrifiante ainsi que leur couleur noire, entiè
dans l'attitude précédente ; le bord spinal se détache du thorax et
forme
la gouttière verticale classique, profonde ici
u-dessus du trapèze, entre la ligne médiane et le hord spinal, a la
forme
d'une rigole étroite ; quant à la partie inféri
bord inférieur du trapèze et l'angle inférieur de l'omoplate, elle
forme
sous la face interne du scapulum une dépression p
et très saillants qui donnent aux fosses sus et sous-cpineuses une
forme
convexe contrastant avec l'aspect normal du côté
élévation en dehors; modification de la ligne latérale qui prend la
forme
d'une S à boucles très allongées ; rétrécisseme
suivants qui rentrent également dans les sclérodermies localisées (
forme
disséminée en plaques). (1) L. Spillmann, Scl
dernii- 202 P. HAUSHALTER ET L. SPILLMANN ques se présentent sous
formes
de petites lamelles ou de grands placards légèr
e palmp-plantaire. Cette affection difficile à classer est-elle une
forme
de début de sclérodactylie ? L'avenir le montre
cas de Neumann et de Cruse, il semble s'être agi de sclérodermie à
forme
circonscrite avec épaississement de la peau. L'at
de Cruse. A ces 5 observations de troubles trophiques de la peau à
forme
de sclé- rodermie, nous ajoutons, sans vouloir
la nuque, une tache blanche de 3 centimètres de hauteur environ, de
forme
irrégu- lièrement quadrangulaire. A droite de c
rodermie, bien qu'on ait pu signaler entre le vitiligo et certaines
formes
de sclérodermie, quelques analogies plus ou moi
s d'observer récemment un cas qui peut, en quelque sorte, servir de
forme
de transition entre ! e vitiligo et la scléro-
e des hôpitaux. Depuis qu'en 1886, Charcot et Marie ont décrit la «
forme
particulière d'atrophie musculaire progressive
isse sous un angle de 120° ; le pied en adduction et en varus équin
forme
un angle plus que droit avec la jambe, l'extrém
la jambe et le pied sont rejetés en dedans, le pied en varus équin
forme
un angle obtus avec la jambe, les extrémités in
atopliiles sont raréfiés et quelques-uns de ceux-ci sont changés de
forme
et de volume. Le noyau et le nucléole sont beau
ndément altérés et sur la coupe, la teinte claire qu'ils présentent
forme
un contraste frappant avec la colora- tion des
olora- tion des autres cordons. La dégénération se présente sous la
forme
d'une bande en forme de virgule, très allongée.
ont on entreprend aujourd'hui l'analyse, en l'envisageant comme une
forme
psychopathique spéciale (2). Le « mal d'amour »
vages a consacré une étude détaillée à la chlorose ; l'une des cinq
formes
qu'il décrit porte le nom de chlorose par amour
fréquentes aussi sont les névralgies. Qu'il s'agisse de céphalée à
forme
neurasthénique ou de né- vralgie faciale, ou en
a grossesse, peuvent exercer une influence heureuse sur cer- taines
formes
de chlorose. Le mal d'amour était justiciable d
l'amour est encore coupable, il a du moins su galamment ménager les
formes
de sa séduisante victime. La blancheur de son tei
liginosités. » Le moyen, le voici. Une vieille femme l'apporte sous
forme
d'une se- ringue qu'elle s'apprête à manoeuvrer
ppareils pour injections spéciales. On peut y regarder de près ; la
forme
est reconnaissable. Alors, il ne s'agirait plus
e qui frappe surtout, c'est son embonpoint. Or, à bien examiner ses
formes
, je me suis demandé si maître Steen n'avait pas
s. Le tableau de la galerie Nostitz nous ferait ainsi connaître une
forme
du mal d'amour qui n'a rien de commun avec les
ectueuse réunion de famille ! Enfin', Jan Steen n'ignorait. pas les
formes
que revêt l'amour, lorsqu'il s'adresse au coeur
impossible de lui donner un nom. C'est une chose rou- geâtre et de
forme
arrondie que la malade tient à pleine main entre
saud les a signalés et s'est même avancé jusqu'à dire que certaines
formes
relèvent de l'insuffisance du principe thyroïdien
r, ne s'en tiendra pas là. Buschau consacre à peine deux lignes aux
formes
frustes du myxoedème des adultes : « Le diagnot
ie est im- parfaitement développée ou lorsqu'elle se présente comme
forme
transi- toire vers l'obésité. » Il propose de j
ition profonde et la lecture en est attrayante. Il dit à propos des
formes
frustes dont l'élude est encore à faire et qui
e uniquement par une tendance morbide à l'embonpoint et certai- nes
formes
d'obésité tardive ne sont peut-être que des cas d
et bien confirmée. Chez les enfants, Thibierge admet qu'il y a des
formes
frustes : « Bris- saud, dit-il, pense que l'éta
l, pense que l'état décrit sous le nom d'infantilisme peut être une
forme
atténuée de myxoedème. » Thibierge lui-même, en 1
t souvent les bérédo-syphilitiques mis à part - des myxoedémateux à
forme
atté- nuée. (1) Furlher observations on the c
ère, à savoir : l'unité dysthyroïdienne étiologique £ le toutes les
formes
de l'infantilisme (1). « Cette extension du domai
anc. Le traitement thyroïdien est vivement ressenti dans toutes les
formes
d'in- fantilisme. Là où l'ossification n'est pa
infantiles (type Lorain). J'en connais de monstrueuses. Il y a une
forme
d'infantilisme qui affecte l'appareil vocal : per
ménorrhagies. La mère est manifestement hypothyroïdienne. Certaines
formes
de strabisme ou plutôt de défaut de synergie de
de t'hypothyroïdie bénigne chronique chez la femme adulte, de cette
forme
de myxoedème qui ne marche pas fatalement vers
n se met à penser qu'il Fig. 2. - A..., Gtj ans. Myxoedème franc;
forme
rhumatismale, avant le traitement. Fig. 3. - A.
ans 1'lipotli\,t-oï(lie grave et se retrouve avec persistance dans la
forme
bénigne, qu'en la monlrant chez les enfants myx
L. XLV. IY1CDrl; F.RUSTE (Hertoghe) 14. Mme G. Myacdème franc à
forme
hémorrhagique. - y. La même. Après guérison. 16
Je le fais à dessein afin de se familiariser petit à petit avec les
formes
larvées qui sont l'objet de notre étude. L'épou
nfantilisme, le suivant ensuite à travers l'adolescence, jusqu'à sa
forme
définitive d'adulte com- plet. Il n'est pas p
tant, dénotent le myxoedème franc, et ce n'est pas pour décrire ces
formes
que j'ai fait ce mémoire. A première vue, la fe
onne heure. Qui ne connaît de ces femmes dont la chevelure d'argent
forme
un si vif con- traste avec une physionomie enco
e cérébrale. Celle céphalalgie hypotltyroïdienne revêt surtout deux
formes
. Tantôt elle semble partir des sinus frontaux, s'
dysménorrhée et de la ménorrhagie dans le grand myxoedème. Dans les
formes
larvées, ces mêmes symptômes sont constants.
réelle souffrance à se relever d'une chaise ou à s'agenouiller. Une
forme
fréquente est la douleur de la plante du pied,
mpréhensible que sa fréquence. Je considère l'em- physème comme une
forme
de sénilité pulmonaire. Or le myxoedème se 290
sés sur le dos de la main. Lorsque la main est gantée, elle perd sa
forme
, et quand on la serre, elle fait l'effet d'un g
t couverts d'égratignures. Il y a certainement chez les enfants une
forme
de prurigo sec, dépendant de l'inanition thyroï
leur excruciante du dos à la région rénale ou les symptômes angini-
formes
du coeur, se dissipent à l'instant par l'ingestio
nt tantôt d'une manière aiguë, tantôt d'une manière chronique ; les
formes
les plus fréquentes sont les lésions érythémate
encé à perdre la mémoire par moments et à souffrir de douleurs sous
forme
d'élancements dans les membres. Il imaginait un s
constatées et que l'on peut considérer comme caractéristique de cette
forme
d'amyotrophie. 1° Lésions médullaires (5). La
matophiles sont raréfiés et quelques-uns d'entre eux sont modifiés de
forme
et de volume. Le noyau et le nucléole de la cel
vêtir de tout autres caractè- res, elles peuvent se montrer sous la
forme
de douleurs constrictives, en ceinture, en brac
eurs constrictives, en ceinture, en bracelet, en brodequin, sous la
forme
de crises viscéralgiques il sièges extrêmement
perception stéréognostique en vertu de laquelle nous apprécions la
forme
et la nature des objets à l'aide des renseignem
ons par rapport à celui des excitations qui se manifestent sous les
formes
de tétanos sensitif, de polyesthésies, de somma
à urines, il se produit une sorte de remous où bientôt apparaît une
forme
animée. Cela se meut, s'agite, se démène ; cela p
ls tics pouvaient affecter toutes les régions du corps et prendre les
formes
les plus diverses. « Le torticolis spasmodique,
stématiques dont nous avons déjà parlé (1). Il constitue encore une
forme
très spéciale de l'idée fixe : le système de phén
côté. , L'éminence thénar, à droite et à gauche, non seulement ne
forme
plus de relief, mais est représentée par un mép
trophies et les déformations qui en résultent, donnent aux mains la
forme
de griffes (PI. LXI, C). Aux avant-bras, les mu
ils disparaissent brusquement dans la région prétendineuse, d'où la
forme
d'avant-bras en fuseaux. Les bras ne paraissent
e l'avant-bras, muscles disparus, os saillant. L'espace interosseux
forme
un méplat à la partie postérieure. Les muscles
sur la 4r, et la 39 en extension (Pl. LXII, D). La paume de la main
forme
une concavité hémisphérique séparée en 2 par la
également marquée de tous les muscles de l'avant-bras ; - qui a la
forme
d'une planchette de 6 centimètres de largeur sur
es plus tard, la tumeur est encore sensible à la pression, ayant la
forme
d'un épais bourrelet dans l'aisselle; la peau la
ertion supérieure du deltoïde est une plaque (fig. M, L) osseuse en
forme
d'épaulette, mesurant 7 centimètres dans sa dimen
enne qui dé- bute par les petits muscles des mains, ce n'est pas la
forme
scapulo-hu- morale de Vulpian où les contractio
lus fréquente que chez les individus normaux. Au point de vue de la
forme
des troubles mentaux, Brunet sépare nettement les
Pour lui, les psychoses sont essentiellement cons- tituées par des
formes
dégénératives, et la dégénérescence mentale doit
abète, le rhumatisme...). ). Peut-être faudrait-il chercher dans la
forme
de l'hérédité la condition de ces difl'é- rence
thésique transversale, qui, réunie à la zone mamillaire antérieure,
forme
une ceinture complète. La perception tactile es
. 0,33. L. O ? i, LE MAL d'amour 425 Le mal d'amour, sous quelque
forme
qu'on l'envisage, peut doncs'ac- compagner d'év
e est magnifique. Une robe du satin blanc le plus soyeux épouse ses
formes
opulentes, le velours rouge de son casaquin est
-anesthé.çie. - Attaques épi- leptiformes. - Troubles psychiques de
forme
circulaire. - Mort par hémor- rhagie cérébrale.
ui se trouve réalisée dans'toutes les autres coupes) Il affecte une
forme
en V ou en L renversé () ; la partie verticale
ne de la 111, temporale, qui limite en haut le sillon parallèle et en
forme
le fond, est envahie par l'hémorrhagie. En bas
ièrement détruite. Coupe 3 (Pl. LXXVIII et Schéma 7). L'hémorrhagie
forme
une mince Nouv. IcnnnenHmE nF la SAI,l'lÎmll\lI
tiples sous ou infra-corticales, bilatérales (1) : les symptômes de
forme
pseudo-bulbaire ne sont pas assez nets pour qu'on
face, la peau est mince et souple, les contours sont réguliers, les
formes
correctes. Et il en est ainsi de la jambe gauch
ès une pres- sion longue et forte dans les points où la tuméfaction
forme
les plus gros bourrelets, au pourtour des chevi
it un peu diminuer de volume ; mais jamais elles ne retrouvent leur
forme
normale. L'enflure augmente régulièrement au mo
s téguments oedémateux sont hy- peresthésiés (oedèmes hystériques à
formes
arthraigiques) ; ou anesthésies (oedèmes superp
III)11,, OEdème hystérique, thèse Paris, 1897. (3) Mathieu, Sur une
forme
particulière d'oedème névropallzique, .lnn. de de
1891. 470 HENRY MEIGE avait été précédé de douleurs affectant la
forme
de sciatiques doubles. Aussi, M. Mathieu, s'app
s aigus et les chroniques. Le cas de Follet semble démontrer que la
forme
chronique peut apparaître à la suite de poussées
aiguës ; c'est aussi le cas de notre malade, Fe... D'autre part, la
forme
chronique peut persister pendant de longues an-
nt définies. Et de ces analogies, con- tentons-nous d'inférer, sous
forme
hypothétique, qu'il n'est pas impossi- ble qu'u
des accidents dystrophiques d'un même système d'affecter tantôt des
formes
exubérantes, tantôt d'évoluer vers l'atrophie.
ssaud et ses élèves ont attiré l'attention des cliniciens sur cette
forme
de tic spasmodique, les observations de tortico-
cale du dos des mains est dès lors de 27°. Tous les doigts ont la
forme
de fuseaux allongés. Le pouce est en ex- tensio
gèrement infléchis ; le petit doigt, en rectitude dans l'abduction,
forme
avec l'annulaire un angle assez ouvert. A la
ur deux cas), par Raymond et P. JAXET, 353. Thomsen (Maladie de) (
forme
fruste avec atrophie musculaire), 15. Tortico
tal (4 phot.), 183. NouuÈs E. et J. SIROL. Maladie de Thomsen à
forme
fruste avec atrophie musculaire. (3 phot.l, 15.
l (4 phot.), 483. SIROL J, et E. Noguès. Maladie de Thom- sen à
forme
fruste avec atrophie muscu- laire (3 phot.), 15
DuFoun en Janvier 1897. L'hémiplégie par lésion cérébrale revêt des
formes
plus ou moins com- pliquées et l'on peut consid
formes plus ou moins com- pliquées et l'on peut considérer comme la
forme
la plus simple l'hémiplégie purement motrice da
veau du bulbe avec celui du côté opposé. A côté de cette première
forme
purement motrice on peut placer une forme plus
A côté de cette première forme purement motrice on peut placer une
forme
plus complexe dans laquelle des troubles sensitif
iels se joignent aux phénomènes paralytiques, revêtant comme eux la
forme
hé- miplégique, et comme eux siégeant du côté o
phère cé- rébral droit. Voilà brièvement résumées les principales
formes
d'hémiplégie obser- vées à la suite d'une lésio
voyons maintenant quelles sont les modifications que subissent ces
formes
quand la lésion siège au-dessous du cerveau, da
ie, partie directe ou as- cendante de la cérébrale postérieure, qui
forme
un des côtés de l'hexagone de Willis et si elle
x cérébral, capable de troubler, directement ou indirectement, sous
forme
de paroxysmes, les fonctions de centres psycho-mo
es. Elle était entourée par une capsule consistante, présentait une
forme
elliptique, mesurait cinq millimètres dans le sen
Nothnagel arriva en 1879, et qui, telle qu'elle est exposée dans sa
forme
vague, me semble encore être la plus juste. Mai
ie il n'y a pas une distinction fondamentale entre les deux grandes
formes
d'épilepsie. Et cette distinction n'existe pas da
and mal toute une gamme de cas in- termédiaires, qui rattachent les
formes
extrêmes. Mieux encore : tout le monde connaît
on arrive à connaître d'une façon pré- cise le nombre, le siège, la
forme
et la structure des segments osseux normaux ou
arence plus grande que ceux des autres doigts. La direction et la
forme
du métacarpien rudimentaire sur lequel ce doigt
rêt de développement ayant complètement bouleversé sa texture et sa
forme
. La même difficulté se présente pour l'examen d
après lui, un segment osseux recourbé en sens inverse du précédent
forme
la dent opposée de la pince. Ces deux appendi
Evidemment la notion du relief, l'appréciation par le toucher de la
forme
des objets ne sont pas le faitd'une sensation sim
r sens stéréognostique, et qui consiste dans l'ap- préciation de la
forme
des objets; mais c'est là une sensation complexe
teur, etc., dont il a gardé le souvenir ; il apprécie le relief, la
forme
, la nature de l'objet, 1 Il il le reconnaît, il
elle est formée. Que les ataxiques aient perdu l'appréciation de la
forme
des objets il n'y a rien là de surprenant, leur
uelles et cependant conserva le souvenir de l'aspect extérieur, des
formes
et des couleurs des objets vus autrefois. Mais
ques : Un Dentiste qui se trouve dans la galerie de Schwerin, etqui
forme
pen- dant à l'Opération sur l'oeil dont nous al
UNE OPÉRATION SUR L'OEIL 61 les giboulées, son feutre a pris une
forme
et une couleur indescriptibles avec des bords f
outes ces mo- difications minimes en soi, mais dont le groupement
forme
un ensemble très ca- ractéristique, que se comp
GUE ET DE LA COURSE Gï ont une marche spéciale. Les vêtements et la
forme
des chaussures influent également sur la marche
le ne se déplace qu'à la con- dition d'être poussée en avant. Cette
forme
de marche tient donc à la fois et de la marche
inaires de la marche est autorisée. Nous avons connaissance dé deux
formes
de marche sportive entièrement différentes : l'
de de rétention. La vessie apparaît distendue, mais elle n'a pas sa
forme
habituelle. Elle ne forme pas un globe arrondi, é
apparaît distendue, mais elle n'a pas sa forme habituelle. Elle ne
forme
pas un globe arrondi, étalé, mais - est princip
e postérieure, champ postéro-externe. Le ter- ritoire sclérosé a la
forme
d'un triangle à sommet inférieur. (Pl. X, C.) 4
déjà indiqué persiste, mais est un" plus postérieur et affecte une
forme
plutôt quadrangulaire. (PI. XI, A.) 5° Au nivea
voit encore se continuer avec les fibres postérieures, une zone en
forme
d'L qui borde le sillon postérieur et la périph
car on trouve souvent des éléments éruptifs de ces deux différentes
formes
chez les mêmes personnes (Kaposi, Lassar, Neuma
veux de nature orga- 96 A. LINDETREM nique ou fonctionnelle de la
forme
de névroses fonctionnelles et vaso- motrices.
peau. IL- Un )lOmme de 48 ans,j ni f. - Lichen ruber planus sous la
forme
de stries composées de petites papules planes a
des et se replient en avant, la voûte palatine ogivale, une dent en
forme
de défense à la place de la dent gauche incisiv
urait con- servé son intégrité. En effet, si par sa taille et ses
formes
plastiques il est resté un enfant de six ans, s
n'a pas 70 centimètres de tour de poitrine. Cependant, dévêtu, ses
formes
plastiques ne sont plus colles d'un en- fant ;
ns sa croissance à partir de la dixième année, et rappelant par ses
formes
un adulte, tout en restant de taille exiguë et
par de Dusch : La myosite ossifiante progressive. Il créa ainsi une
forme
morbide, confondue, jusque-là, avec d'autres ossi
nsition que l'on oit- serve entre cette dernière et les différentes
formes
de la diathèse ossifiante, et il en rapportait
ITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 117 (1885), qui toutes appartiennent aux
formes
localisées de la myosite ossi- fiante (1). En
e grandes cellules étoilées avec des prolongements de diffé- rentes
formes
; beaucoup plus rarement on rencontre des fibres m
; celui-ci prolifère de plus en plus et 1 finalement se rétracte et
forme
une tumeur fibreuse dure et consistante. DE LA
st très riche en cellules de différentes 122 A. WEIL ET J. NISSIM
formes
, depuis les cellules fusiformes jusqu'aux grosses
le. Les fibres musculaires sont-elles complètement détruites, il se
forme
de petites brèches ou des fentes, alors même qu
us avons vu combien ce tissu est riche en éléments cellu- laires de
formes
variables, il représente lui-même un étal transit
. Sur le squelette, le processus ossifiant affecte généralement la
forme
de petites saillies pointues, ou arrondies et a
s -muscles qu'elle exerce ses plus grands ravages, c'est là qu'elle
forme
des grosses masses monstrueuses, tandis que parto
veau des tendons et des aponévroses, elles conservent en général la
forme
de ces derniers. « Les tumeurs osseuses sont bl
ment, uni- quement par des symptômes locaux très peu marqués. Il se
forme
en un point du système musculaire une tumeur in
llulaire sous-cutané est lui-même atteint, très oedéma- tié ; il se
forme
ainsi une tumeur diffuse, sans limites bien préci
une masse molle, caoutchoutée, correspondant à peu près quant à sa
forme
et à son siège au muscle atteint. Celui-ci montre
ransformés en un morceau d'os ayant les mêmes dimensions et la même
forme
. Ultérieurement il survient quelques particular
le au milieu des parties molles. Dans le premier cas, elle offre la
forme
d'une exostose puissante, d'une saillie arrondi
ion longitudinale du squelette ; dans le deuxième, au contraire, la
forme
de la tumeur n'a rien de particulier. Nous veno
ux fébriles et de signes locaux parfois assez marqués, com- ment se
forme
la tumeur d'abord pâteuse, presque molle, plus ta
édents la photographie d'une remarquable statuette synthétisant les
formes
extérieures et les attitudes dans la Maladie de
atine, on sen- (1) F. Raymond, Du myxoedème infantile et des autres
formes
de myxoedème. Revue internat. de thérapeut, et
on- génital : tout'le corps semble infiltré d'une graisse molle qui
forme
des bourrelets au niveau des plis cutanés ; 'au
e-même par- ticipe à la boursouflure générale et rappelle, sous une
forme
plus fruste, l'aspect des idiots myxoedémateux
gurés reproduits autre- fois par Charcot et Paul Richer dans les Di/
formes
et malades dans l'Art, ainsi qu'à l'étude que n
ns purulentes ; dans d'autres cas, au contraire, lorsque l'abcès se
forme
pendant les pauses, il y a des déchirures vascula
osite « chaque fois que je tombe, dit le malade de Skin- ner, il se
forme
une tumeur » ; « plus je vieillis plus je tombe,
et, sous forme de bourrelet osseux, alors que la myosite ossifiante
forme
des tumeurs diffuses, sans limites bien précise
et là on constate des masses osseuses qui détruisent l'harmonie des
formes
. Le pseudo-hypertrophique est un athlète, l'ossif
Hawkins a employé successivement les vésicatoires, le mercure, sous
forme
de calomel associé à l'opium, et il croit avoir t
s, de sorte que la dépression centrale offre, dans son ensemble, la
forme
d'un coeur de carte il jouer légè- rement irrég
ouleurs fulgurantes duraient depuis onze ans. (1) DÉJERINE, Sur une
forme
particulière de maladie de Friedreich avec atroph
est de 3 centimètres. Derrière les hémisphères on voit une fosse à
forme
rhomboïde dont le fond est recouvert d'une substa
centimètres et de la gauche de 3 centimètres. La couche droite a la
forme
d'un fer à cheval, l, sa partie horizontale res
formité du ceneau est très considérable. L'aqueduc de Sylvius a une
forme
très singulière, il est formé de plusieurs canaux
3 et 4). L'aspect des cellules est très varié, tantôt elles ont la
forme
de demi- lunes, avec plusieurs prolongements, t
tantôt elles sont fusiformes ; d'au- tres fois encore elles ont une
forme
plus ou moins ronde et parfois leur aspect est
consistaient seulement en noyaux (Fig. 6). Le grand noyau avait une
forme
ronde. Il n'y avait pas depro- toplasme autour
que l'embryon se développe, la cellule aussi commence à prendre une
forme
plus définie, ses contours devien- nent plus ac
), mais la cellule est encore loin d'être formée complè- tement, sa
forme
est encore très bizarre (Fig. 10). La cellule est
r-verlébraux sont déjà tout à fait bien développées ; elles ont une
forme
régulière, riches en chromatine qui a l'aspect
de 12 centimètres de longueur. La cellule est réduite à un noyau de
forme
ronde autour duquel on ne distingue pas de pr
t est à terme les cellules sont totale- ment formées, elles ont une
forme
polygonale et contiennent beaucoup de chromatin
inière se sera établie que les cellules commenceront à prendre leur
forme
régulière. La chromatine s'accumule alors sous
e d'être en cause, étant donné que dans la symptomatologie de cette
forme
d'auto-in- loxication figurent précisément la p
e, avec son appareil symptomatique bien connu. Mais à côté de cette
forme
commune, intégrale, il en existe d'autres : for
s à côté de cette forme commune, intégrale, il en existe d'autres :
formes
frustes, irrégulières; j'ai eu plusieurs fois l
lusieurs fois l'occasion de vous en montrer des exemples. Parmi ces
formes
frustes, il en est qui peuvent simuler la symptom
ait, à la rigueur, que nous ayons affaire, chez elle, il une de ces
formes
irrégulières de sclérose en plaques, mais tel n'e
lles affectent le front, où elles peuvent se pré- senter sous trois
formes
très distinctes : ie Front proéminent en masse,
de la déviation des pariétaux déjetés en dehors ; Soit, sous une
forme
plus accentuée, mais plus rare aussi, en ce qu'on
nom, en disant : c'est un crâne qui représente assez exactement la
forme
des fesses (nates), et cela à deux points de vu
rois fosses ; 3° Sur le trou occipital, tout à fait irrégulier de
forme
; 4° Enfin jusque sur les vaisseaux : ainsi, da
que- là avait mis en doute le caractère spécifique attribué à cette
forme
crânienne) se déclare convaincu ; les quatre bo
itation, un hérédo-syphilitique. L'épaississement des os du crâne, la
forme
même de ce crâne, la spléno-mégalie, la mort su
London, 1879, XXX, p. 333. 242 EDMOND FOURNIER III. Anomalies DE
forme
DU crâne. Le crâne peut, d'ensemble, être malfo
signalée dans l'hérédo-syphilis. Est-ce au type exagéré de celle
forme
, dit scaphocéphalie, que doit être rattaché un
description du crâne en question pour appeler l'attention sur cette
forme
si particulière et poser le premier jalon de re
n avant de cette dernière bosselure, une dépression très notable en
forme
de rigole ; - 5° Une bosselure temporale gauche
L'angle postérieur du pariétal gauche est occupé par une lésion de
forme
ovalaire, grande comme une pièce de cinq francs
l'angle postérieur du pariétal droit ; celle-ci est irrégulière, de
forme
large comme un noyau d'abricot, et présente le
niveau du gland, et adénopathies cervicales. Dernier accident, sous
forme
d'une minime érosion labiale, en mai 1870. Co
ier et aplati. 1 Du côté sain au contraire, le condyle interne a sa
forme
arrondie, sa dispo- sition régulière. La rotule
e de la crête de la face postérieure (ligne oblique du tibia). La
forme
de l'os est d'ailleurs très différente, ainsi qu'
issement (fig. 1). Alors que le tibia sain offre, si l'on veut, une
forme
en brioche, déterminée en partie par la saillie
eur, 23 millimètres transversalement, que le canal médullaire a une
forme
piriforme, le tibia atrophié presque arrondi su
ent arrondi. 1 Le péroné droit offre sur la coupe une tendance la
forme
quadrangulaire, par émoussement de ses ai-eles.
i sont grêles, moins étendues et réunies à ce niveau par un pli. La
forme
générale est celle d'un U ouvert en haut. Vu
es par groupes, le plus important est le groupe antéro- externe. La
forme
arrondie est conservée il droite, mais les dimens
rne atrophiée et de la corne saine, ni dans le vo- lume, ni dans la
forme
de la cellule, ni dans le développement des prolo
ellement disposées à l'ossification qu'aucun os n'avait conservé sa
forme
habituelle; ils avaient envoyé de tous côtés de
278 A. WEILL ET J. NISSIM plus ou moins atteints. Le grand dorsal
forme
une grande plaque osseuse, de- puis son origine
n fessier droit ; il offre de larges et longues aiguilles stalacti-
formes
. 1 10 Les adducteurs droits jusqu'au milieu de
passage aux vaisseaux nourri- ciers. Dans l'espèce de canal qu'elle
forme
on trouve un tissu spongieux com- posé de cellu
e,et, chaque fois que l'enfant reçoit un coup, invariablement il se
forme
un- gonflement semblable, accompagné de douleur
ifié part d'un nodule situé sous le mamelon, traverse l'aisselle et
forme
une crête dure qui se continue dans le biceps j
trémité inférieure des couturier, semi-tendineux et semi-membraneux
forme
une tumeur douloureuse. DE LA MYOSITE OSSIFIA
e l'extenseur commun des doigts (Fig. 2). Le biceps brachial gauche
forme
une masse dure comme de la gutta-percha ; de sa
ectoral. Une lame osseuse, réunie à la clavicule, et une autre sous
forme
d'arcade, allant se perdre en bas et en arrière v
minuèrent de plus en plus d'épaisseur et finalement apparurent sous
forme
d'exostoses osseuses (Fig. 5 et 6). A 6 ans, sc
nale; anky- lose complète des deux épaules. Apophyses coracoïdes en
forme
d'aile d'oiseau. Les clavicules offrent des exo
bras et de la main.Dans le brachial antérieur une masse osseuse sous
forme
de stylet, longue de 8 centimètres, attirée en
nt jusqu'à la partie moyenne du dos ; la colonne dorsale supérieure
forme
un segment de circonférence à concavité antérieur
t de la colonne osseuse soudée, par le front et le genou ; le corps
forme
un arc dont le profil de la table est la corde
s. Le thorax est aplati d'avant en arrière. LE sternum a perdu sa
forme
et sa position nor- males : la ligue médio-ster
chent beaucoup de la normale ; le bassin n'est pas vicié quant à sa
forme
générale ; il n'y a en particulier pas d'aplatiss
rochanter gauche est plus volumineux que le droit. La cuisse gauche
forme
avec le bassin un angle de 150° environ. Tous les
e, il se contracte moins énergiquement. - Nous avons déjà noté la
forme
globuleuse de la partie inférieure de l'abdomen.
déformation rachidienne ; toute la colonne vertébrale (sauf le cou)
forme
une tige droite. Ankylose des articulations des
l'indication de plu- sieurs cas que l'on pourrait rapprocher de la
forme
étudiée ici. Les faits d'anatomie pathologique
A côté de l'atrophie musculaire nous avons mentionné chez Duf... la
forme
globuleuse du ventre au-dessous de l'ombilic et l
f des reproductions photographi- ques qui en ont été publiées. La
forme
acquise est en revanche plus rare et beaucoup moi
cellulaire, de tissu conjonctif néo-formé, d'amas de cellules fusi-
formes
, etc. CES. XIII. (Mac Grégor (A. N.), A 1'ema1'
d alvéolaire du maxillaire inférieur est asymétrique- Le côté droit
forme
une courbe dont le rayon est plus court qu'à gauc
e semble participer à cette déviation et la ligne médiane du visage
forme
une courbe à concavité tournée du côté opposé à
nienne médiane, existait une parcelle de cerveau, comparable par sa
forme
et sa grosseur à un oeuf de pigeon. Dans la fes
l'écorce cérébrale amincie ne prend pas 372 NICOLAS SOLOVTZOFF la
forme
d'une vésicule à parois fines, tapissant les os d
nasaux ne sont pas soudés entre eux. Ainsi se produit une tumeur de
forme
irrégulière. Comme exemple de ce genre de monst
ation aplatie et arrondie ; veiitraleiiient se voyait une tumeur de
forme
irrégulière, qui faisait saillie à l'extérieur pa
ce est une membrane, qui recouvre les os ; plus bas, cette membrane
forme
un repli infundibuliforme et ga- gne la moelle
lus étendu que précédemment. Vue d'en haut, la partie déformée a la
forme
d'un ovale, limité sur les côtés par ce qui reste
gi, de sorte que la moelle épi- nière présente dans ces endroits la
forme
d'un tube aux parois très amin- cies ; il est à
peu de grains de chromatine, qui sont disposés irrégulièrement; la
forme
des cellules est irrégulière; on voit aussi un ré
elles contiennent des grains de chromatine; ces derniers sont d'une
forme
irrégulièrc et ne sont pas nombreux; l'aspect e
par certains stades de Fig. 3. - Cellule de la corne antérieure de
forme
irrégulière contenant des vacuoles (Cas V). 3
s coupes transversales de la moelle épi- nière n'auraient pas eu la
forme
d'un anneau, mais simplement 'd'une membrane.
u- laire. L'autre se trouve sur le côté gauche ; elle offre la même
forme
et s'étend de l'aisselle à la ligne scapulaire
étroite plus bas ; la moitié supérieure est en- tièrement fixe, et
forme
une masse compacte avec les muscles qui entourent
près de la symphyse et s'étend à droite du cartilage cricoïde sous
forme
d'une corde arrondie et dure. Des angles de cet
de grandes cellules étoilées avec des prolongements de différentes
formes
, beau- coup plus rarement on rencontre des fibr
fo- génique avec certains accidents causés par la Lèpre (ceux de la
forme
sclé- rodermique principalement). Cliniquemen
ne sera accomplie que quand la croyance au surnaturel, sous quelque
forme
que ce soit, aura disparu comme la croyance à l
du grand dentelé est fréquente, plus fréquente, semble-t-il, que la
forme
pure et isolée. Dans la discussion qui suivit l
e statistique exacte, tou- chant la fréquence comparée des diverses
formes
de paralysie du grand dentelé. Il n'en reste pa
paralysie du grand dentelé. Il n'en reste pas moins démontré que la
forme
isolée est rare, et que les formes associées so
n reste pas moins démontré que la forme isolée est rare, et que les
formes
associées sont fréquentes. Et parmi les formes as
est rare, et que les formes associées sont fréquentes. Et parmi les
formes
associées, celle que nous avons en vue est la p
; elle nous parait, au point de vue comparatif, plus commune que la
forme
isolée. Etant donnée la fréquence de la paralys
postérieure du mastoïdo-huméral s'unit au trapèze supérieur dont il
forme
le faisceau occipito-claviculaire. Quant au trapè
cadre des paralysies du grand dentelé. ` ? ° Le trapèze scapulaire
forme
un muscle distinct anatomiquement, physiologiqu
plus loin ; elle apparait aussi der- rière l'oreille droite où elle
forme
une traînée assez considérable allongée dans le
uelques observations de Charcot et Weir-Mitchell de connaître cette
forme
primitive de dyspnée, qui, parmi celles qui sont
UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 467 s'agirait aolrs d'une
forme
très bénigne et évoluant tout à fait comme une
pé aux dépens de la somatoplèvre s'ossifie, que ce tissu conjonctif
forme
la charpente de la musculature striéeou se calc
e par- ticulier ; 7° Le début de la maladie se présente sous deux
formes
distinctes, il -1 est aigu avec léger mouvement
;HtLcar<)))pC ? h)s lard autour de ce dernier toute une série de
formes
el de variétés se- (,olldaircs ? Ce procédé lui
de trêve que le jour où il par- vient il traduire ses idées sous la
forme
d'un schéma, ce fameux schéma qu'ont reproduit
tâche considérable. de décrire et, de repré- senter l'aiialomie des
formes
extérieures de l'homme sain. Mais Nicher est au
il très haut l'importance qu'il y a pour le médecin il connaître la
forme
corporelle el la nécessité d'éludier le au vivant
nsciemment évoqués et qui, SpOI1- tanément, se matérialisaient sous
forme
d'images plus ou moins précises. Les plus nombr
re connues aujourd'hui. le 1111-ce que pour faire entrevoir une des
formes
les plus curieuses de l'esprit d'observation do
lardacée en coup de sabre de la région frontale, crises épilepti-
formes
concomitantes, par Louis SPILL- I.\ : 'i : ; (1
du corps. Ce n'est que la joue droite,, le front et une partie en
forme
de raie longeant la face postérieure des deux c
préliminaire de l'anesthésie dans un seul membre et ensuite sous
forme
d'hémithermanesthésie est très caractéristique ;
L'AXE CÉRÉBRO-SPINAL. 41 à l'écorce cérébrale dans les différentes
formes
d'apltasie : l'aphé- mie (I), l'agraphie (II),
e suscite encore cette localisation. La localisation des diverses
formes
de l'aphasie' est aujour- d'hui presque complèt
s, 1887, T. III, p. 152. Bernard. De l'aphasie et de ses di- verses
formes
. Th. Paris, 1885. G. Ballet. Du langage iiit., et
ogr. Méd. i fév. 1888; Pierre Marie), et ces définitions des quatre
formes
d'aphasie : 1° l'aphé- mie, ou amnésie verbale
harcot), que l'on place la localisation corticale de la qua- trième
forme
d'aphasie, au niveau de la partie moyenne de la
lation mélatarso-phalan- gienne du premier orteil, une ulcération à
forme
ovalaire, large environ comme une pièce de deux
ées physiologiques déterminées, par quoi peut se carac- tériser une
forme
morbide ? nous ne voyons guère que l'évo- lutio
ans tel cas donné au point de vue de l'origine de la maladie, de la
forme
particulière qu'elle pourra revêtir et de la ma
dégénérescence en général. Quant à l'hystérie qui, surtout dans ses
formes
délirantes, peut se rapprocher et même se class
ses malades et ses observations l'ont en somme amené à décrire une
forme
de catatonie hystérique (sixième type de l'hysl
ut le monde admet bien la possibilité de la stupeur dans toutes les
formes
mentales : mais ceux-ci s'en tiennent là, ceux-
mes mentales : mais ceux-ci s'en tiennent là, ceux-là décrivent une
forme
spéciale de stupeur. Parmi ces derniers, les un
n argument pour la stupeur, il faut l'étendre à toutes les autres
formes
vésaniques. Le second point sur lequel insiste
ils ne sont que des symptômes se présentant dans presque toutes les
formes
psychopathiques, et que, lorsqu'ils se montrent
ment pas un ensemble régulier soit dans leur marche, soit dans leur
forme
ou même dans leurs caractères intrinsèques s'il
e ou même dans leurs caractères intrinsèques s'il s'agit d'une même
forme
. Aussi terminerons-nous cette étude en disant q
telle est la nouvelle dénomination proposée par M. Guinon. Dans sa
forme
bénigne cette maladie n'est caractérisée que pa
elleux et des cordons de Goll sont ascendantes. Le diagnostic de la
forme
qui nous occupe ici est encore impossible penda
pyramides dans la moelle allongée; un tractus de dégénérescence, de
forme
arrondie, dans REVUE DE pathologie mentale. 78
. 78 la colonne latérale gauche; un tractus analogue, mais cunéi-
forme
dans la colonne droite. OBS. Vil. Lésion médull
ersiste, la systématisation s'effectue et le délire demeure sous la
forme
de délire de persécution (OBs. III, IV), toujours
es symptômes liés à la cognition, et peuvent être rapportés à cette
forme
de trouble mental que l'on désigne habituelleme
exempts de toute maladie. 2° Il existe plusieurs variétés de cette
forme
de folie ; mais on peut dire d'une façon généra
soustraits au contrôle de celui qui les commettait. Il n'est aucune
forme
de folie où il SOCIÉTÉS SAVANTES. 81 soit aus
orizontal. Or, d'après les tableaux donnés par M. Topinard, ce plan
forme
, au-dessous du plan horizontal' de Broca, un angl
de malades ayant été affectés d'atrophie musculaire progressive (
formes
musculaires), l'orateur décrit en détail un cas d
uës simples. Ce sont les auteurs français qui ont mis en relief les
formes
de l'atrophie musculaire simple consécutive aux
crâne et celui du cerveau s'influencent réciproquement, et que la
forme
du crâne, notamment la forme pathologique est d'o
'influencent réciproquement, et que la forme du crâne, notamment la
forme
pathologique est d'ordinaire la résultante de p
eur se compose uniquement du corps strié qui contient un noyau en
forme
de calotte sphérique. Ce noyau fournit, chez les
re la dupe des appa- rences, n'est-ce pas trop sacrifier aux seules
formes
, que d'aller, après la décision du seul tribuna
T. ladie si obscure et souvent si bizarre, de ce Protée aux mille
formes
qui déroute si souvent l'eeil le plus perspicace
étents pour les confirmer ? Dans une matière où la simplicité des
formes
est d'autant plus nécessaire et d'autant plus e
doive éton- ner. L'auteur donne avec ces observations un résumé des
formes
frustes dont les éléments sont puisés dans le t
ues spé- ciaux. L'amnésie toxique est précédée d'hypermnésie, a une
forme
progressive et s'arrête lorsque l'intoxication
II. Contribution à l'étude de la maladie de Parkinson. (De quelques
formes
anormales); par LACOSTE. Th., Paris, 1887. M. C
rkinson s'écartant du type classique; c'est à la description de ces
formes
qu'est consacré la thèse de M. Lacoste, qui con
cas de l'évolution de la maladie et de l'absence de paralysie. Une
forme
très particulière est constituée par la maladie d
pré- ? ncmvFS, t. XVI. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE. sente plusieurs
formes
morbides dont chacune se ma- nifeste cliniqueme
es. accidents et qui constituent un nombre vraiment considérable de
formes
multiples et variées, était tout à faire. On de
n- semble de l'anatomie pathologique, expliquer . les différentes
formes
cliniques qui seront décrites par nous, en d'au
spinal, les accidents nerveux se présentent cliniquement sous des
formes
multiples et très variées qui doivent être divi-
riées qui doivent être divi- sées en trois grandes catégories : A),
Formes
spinales; B), Formes cérébrales, et C), Formes
divi- sées en trois grandes catégories : A), Formes spinales; B),
Formes
cérébrales, et C), Formes cérébro-spinales. A.
des catégories : A), Formes spinales; B), Formes cérébrales, et C),
Formes
cérébro-spinales. A. Formes spinales. Nos obser
spinales. Nos observations nous autorisent à distinguer différentes
formes
spinales, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHA
t déterminée par des caractères cli- niques spéciaux. Aucune de ces
formes
ne peut rentrer dans une maladie quelconque con
es nuances cliniques spéciales donnent un cachet d'originalité. Ces
formes
spinales sont : a). La forme centrale spinale l
donnent un cachet d'originalité. Ces formes spinales sont : a). La
forme
centrale spinale latérale ; b). La forme centra
s spinales sont : a). La forme centrale spinale latérale ; b). La
forme
centrale spinale postéro-latérale ; -- c). La for
térale ; b). La forme centrale spinale postéro-latérale ; -- c). La
forme
centrale spinale postérieure ; d). La forme spi
ro-latérale ; -- c). La forme centrale spinale postérieure ; d). La
forme
spinale postérieure ; e). La forme spinale para
ale spinale postérieure ; d). La forme spinale postérieure ; e). La
forme
spinale paralytique /ra ? - sitoire ; f). La fo
érieure ; e). La forme spinale paralytique /ra ? - sitoire ; f). La
forme
unilatérale (spinale). De cette dernière forme
- sitoire ; f). La forme unilatérale (spinale). De cette dernière
forme
spinale nous distinguons deux variétés, suivant
litique, ce sont : la variété intramyélitique ou intraspinale de la
forme
unilatérale, et la variété extramyélitique ou e
inale. Passons maintenant à l'élude successive de ces différentes
formes
, en commençant par la description de celle qui
ption de celle qui est de beaucoup la plus fréquente, à savoir la
forme
centrale spinale latérale. A. FORME CENTRALE SP
d'une sensation de chaleur à la nuque qui bientôt après se trans-
forme
en une constriction que le malade compare à quelq
pour constituer les grandes lignes de l'histoire clinique de notre
forme
spinale centrale latérale. , On peut facileme
te un coup d'oeil sur le tableau suivant que l'explosion de cette
forme
d'accidents spinaux a lieu tantôt immédiatement
devons diviser en trois grandes catégories les symptômes de cette
forme
: 1° les symptômes de début qu'on peut à juste
tères cliniques spéciaux de cette aphasie, que nous décrirons comme
forme
spéciale d'accidents *cérébraux; on peut l'appe
extrémités, il y a des ! endroits ou des régions qui peuvent avoir la
forme
; de taches ou de raies longitudinales, occupan
ôtres n'en présentent pas l'anesthésie peut se manifester sous la
forme
habituelle qu'elle a dans les affections de la
ré consi- dérable : elles sont surtout nettement accusées dans la
forme
hémianesthétique. Plus rarement, il y a DE LA G
riétal supérieur au lobe occipital. La scissure interpariétale, qui
forme
en arrière de la pariétale ascendante une sciss
supérieur au lobule occipital. La scissure perpendiculaire externe
forme
, en arrière de la pariétale ascendante, une sciss
ascendante par deux plis de passage à niveau, atrophiés, vernzi-
formes
; elle est complètement atrophiée, vermiforme, da
ntimètre carré qui présente toutefois une couleur un peu ocreuse et
forme
son extrémité postérieure. Le pli pariétal infé
ique antérieur et un pos- térieur ; la scissure sous-pariétale a la
forme
d'un -1. La scissure perpendiculaire interne es
ste pour l'heure actuelle dans l'inconnu. Le sommet du triangle que
forme
sur 1 Brissaud. Th. Paris,, 1880. Loc. cit. °
tte ligure, on peut se rendre compte d'une façon très précise de la
forme
en pyramide que prend dans son ensemble le fais
4" groupe. Amyotrophies d'origine myopathique représentées par les
formes
: -. lo Forme infantile de l'atrophie musculair
rophies d'origine myopathique représentées par les formes : -. lo
Forme
infantile de l'atrophie musculaire progressive de
essive de Duchenne ou type facial de MM. Landouzy et Dejérine. 2°
Forme
juvénile d'Erb. 3° Type paralysie pseudo-hypert
rcot) ; Myorite interstitielle li- pomateuse de M. Lancereaux. 4°
Forme
héréditaire de Leyden-Mobins ou type des membres
duire à cette zone corticale, Dans la moelle, le faisceau sensitif
forme
dans sa totalité le cordon postérieur (PL. II,
t. II, 1885. Leçon I) établit dans la sclé- rose postérieure «deux
formes
bien distinctes, lesquelles peuvent se montrer
ouble, dans lequel il est impossible de distinguer le noyau; leur
forme
est arrondie; elles sont complètement dépourvues
t conservé et se présente avec des contours bien tranchés, par leur
forme
arrondie, résultant de l'absence à peu près com
de illcczulcczer (malgré la len- teur de la réaction pupillaire), à
forme
aiguë, complète ou presque complète. La rigidit
à la Société de continuer la discussion par l'étude des différentes
formes
de la mélancolie. MARCEL Briand. 28G SOCIÉTÉS S
otisme chez les aliénés, M. Bins- wanger est parvenu à produire des
formes
d'hypnotisme abortif très originales, consistan
tion, violence, loquacité) impose la séquestration. 11 n'est qu'une
forme
de manie pour laquelle la sortie soit possible :
ETES SAVANTES. le malade le souvenir de son délire. àl. Hertz ; Les
formes
al- ternes rentrent dans les catégories de AI.
nce du 15 décembre 1886'. - Présidence de AI. LOEHR. M. GocK. D'une
forme
rare de névrose vasculaire de la peau. La premi
e la Prusse, en 1885, j'ai développé mes opinions en détail, sur la
forme
con- venable à donner à la surveillance des asi
utte d'acide acétique. Il y a diacéturie quand le perchlorurede fer
forme
dans l'urineune coloration rougeâtre qui pâlit pa
u : , Ch. IIsmsser, mp. -- 56. Catsaras, Tableau I. TABLEAU DE LA
FORME
CENTRALE SPINALE LATÉRALE Vol. XVI. Novembre 18
érable d'années, elle est en proie à un dé- lire de persécution qui
forme
aujourd'hui tout un système. Son vocabulaire sp
on délire aura la marche et la durée justement en rapport avec la
forme
du délire qu'il aura créée. Si le délire du ma-
des différents symp- tômes qui peuvent constituer le début de cette
forme
spinale, on est certainement frappé aussi bien
es du groupe gastrique, annoncent en même temps l'invasion de cette
forme
. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 34
rents malades qui ont servi de sujets pour la constitution de cette
forme
morbide d'accidents spinaux a mis en évidence :
pes de symptômes qui peuvent figurer au tableau clinique de notre
forme
; B), des cortèges symptomatiques négatifs, à s
s jouer de rôle dans la représentation de la scène morbide de cette
forme
. A). Symptômes positifs. Les divers symptômes
ut, et par cela même il devient le caractère fonda- mental de cette
forme
. Presque toutes, pour ne pas dire toutes les pa
ladie, deviennent moins constants à une étape ulté- rieure de cette
forme
. En effet, à cette époque, la moitié de nos obs
ion motrice et l'absence des réflexes font absolument défaut à la
forme
centrale spinale latérale de la patho- logie dé
ssi bien de la multiplicité que de la variabilité du début de cette
forme
; en d'autres termes, son début est éminemment p
pres- que uniforme pour tous les cas. Précisons davantage : cette
forme
peut être inaugurée par les symptômes les plus
lexus clinique toujours identique, à savoir troubles moteurs sous
forme
de paralysie, troubles de la sensibilité sous A
sensibilité sous AIICIIIVES, t. XVI. 21 370 CLINIQUE NERVEUSE.
forme
d'anesthésie et troubles de la vessie et du rec-
me à la fois constant et fondamental de l'étape ultérieure de cette
forme
. Voilà l'aboutissant par excellence de la forme
ultérieure de cette forme. Voilà l'aboutissant par excellence de la
forme
centrale spi- nale latérale, de beaucoup la plu
presque jamais pro- gressive, ces caractères, dis-je, donnent notre
forme
centrale spinale latérale un cachet clinique to
ntre dans aucune maladie con- nue du système nerveux central. 13.
Forme
centrale spinale l'0511'sn0-LAllin.lLC. OusHRVA
pation était combattue par Jespurgatifs. Le 10 juin, une escarre se
forme
à la région sacrée, très étendue, accompagnée d
ayer d'esquisser les grandes lignes de l'histoire clinique de notre
forme
centrale spinale postéro-latérale. Ici encore,
orme centrale spinale postéro-latérale. Ici encore, comme pour la
forme
que nous venons de décrire, l'explo- sion de ce
pour la forme que nous venons de décrire, l'explo- sion de cette
forme
d'accidents spéciaux, tantôt se fait sans aucun
au clinicien, presque sous les mêmes allures cliniques que dans la
forme
centrale spinale latérale. En effet, les symptô
tômes respiratoires. Ce syn- drome est largement représenté dans la
forme
que nous décrivons, car nous le rencontrons tro
rents symptômes qui peuvent constituer la période du début de cette
forme
, nous fait clairement voir leur extrême variabi
ions. 3). L'épendyme du canal central normal s'hyper- plasie sous
forme
d'une tumeur plus limitée et solide; dans ces c
re plus diffuse et pénètre entre les éléments nerveux. Dans cette
forme
se produit le plus souvent la dégénéres- cence
s'agir ici de tumeur rigoureusement parlant. Schultze appelle cette
forme
gliose de la moelle épinière, mais ordinairemen
plastiques de 398 PATHOLOGIE NERVEUSE l'épendyme plus limitées de
forme
et de structure, comme nous l'avons vu dans le
employons la dénomination gé- nérale de gliomatose pour toutes ces
formes
. - Comme on le voit,-sur trois.cas de Schultze,
orrespondant pas rigoureusement parlant au ta- bleau clinique de la
forme
analysée ici la mort est survenue par suite de
la vraie cause de son développement est incon- nue. Dans d'autres
formes
de la gliomatose de la moelle épinière et de sy
E LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 409 tral ou de l'épendyme. Mais dans la
forme
qui nous occupe les anomalies embryologiques se
articularités de localisation eût été en tout identique à celui qui
forme
la base du groupe de cas étudiés par nous. D'au
s les cas de localisation bilatérale; dans la thermanes- thésie à
forme
hémiplégique, ou avec la zone therma- nesthétiq
ésie) à localisation caractéristique (moitié supérieure du corps,
forme
hémiplégique, disposition par région, etc.) man
s d'une démonstration relative à l'origine de ces accès épilepti-
formes
dans le cervelet lésé; bien au contraire, les att
<<oSte.'Sclérose en plaques spinu- bulbo-protubérautielle, à
forme
diffuse dans le bulbe et la protu- bérance. Par
nce nous apprend-elle que la syphilis céré- orale puisse revêtir la
forme
d'une psychose à évolution précisée et nettemen
ura une portée que n'auront pas les vaines in- vestigations de pure
forme
avec les inconvénients de la publicité de la ch
de Gavardie. Messieurs, je ne reprendrai pas la discussion sous une
forme
détournée ; cela en vaudrait cependant la peine ;
proté- ger. Vous organisez un semblant de justice ; ce sera pour la
forme
qu'on se présentera devant la chambre du consei
stologique de la sclérose en plaques et du tabes. Les principales
formes
cliniques qui expriment cette altération de la
a branche horizontale antérieure de la scissure de Sylvius. Elle se
forme
par dédoublement du second étage frontal primitif
rbitaire. En s'y réunissant en un point de convergence commun, elle
forme
te p6lc fro>zGul,situé à l'extrémité postéri
qu'on y trouve, car l'auteur ne s'est pas borné à nous parler des
formes
que la folie affecte chez les enfants, mais aussi
tion artifi- cielle dans l'tclampsie puerpérale. Le Etude sur les
formes
cliniques de la paralysie saturnine. Dupain : Elu
l'élude de la · VARIA. 487 chorée rythmée. Jleloir : Etude sur la
forme
épileptique de la 17.éniiigite tuberculeuse de
ntribution à l'élude du strophantus. 13oisvert : Etude clinique des
formes
atténuées de la paralysie alcoolique. Concour
Ch. lial,issuv, imp. - 1188. CATSARAS. Tableau II. TABLEAU DE LA
FORME
CENTRALE SPINALE POSTÉRO-LATÉRALE.
actères classiques du syphilome. Nous connaissons actuellement deux
formes
de myélites, ou plutôt de méningo-myélites syph
eaucoup plus considérable. La preuve qu'il n'y a pas entre ces deux
formes
des différences fondamentales, est dans ce fait
our former des myélites à la fois gommeuses et diffuses. C'est la
forme
diffuse que MM. Gilbert et Lion désignent sous
, et c'est ainsi que se forment, suivant toute vrai- semblance, les
formes
scléreuses et seléro-gomineuses. Enfin lorsque
face supérieure du cervelet. Cet épanchement, de couleur rougeâtre,
forme
un caillot qui mesure environ un centimètre et
roi; le sang filtre 1 travers les éléments embryonnaires altérés et
forme
l'hémorrhagie méningée de la base, au milieu de
n d'eux porte sur sa convexité une cicatrice qui a sur la coupe une
forme
triangulaire et. qui va jusqu'au bas- sinet. L'
sur les coupes colorées par la méthode de Pal. La zone malade a une
forme
triangulaire : elle est limitée en avant et en
st beaucoup plus facile de diagnostiquer, la lésion qui produit une
forme
spéciale d'aphasie que de déterminer lat lésion
auteurs qui aient cherché faire une classification plus précise des
formes
de l'idiotie ,avaient mis, implicitement en que
e, ce fait en' évidence. Le premier, en effet,' rattache toutes ces
formes
à une lésion' spéciale du cerveau. Il ressort d
Elle rentre dans le cadre des psychopathies dégénératives, où^elle
forme
, un type àpart. (.6<<i .m ' n ,J.\<s«
o/'M ! S6[y, 1893.) E. 1)'. VIII. UN cas DE FOLIE POST-CHOLÉRIQUE A
forme
DE confusion mentale - . PRIVI1T1'IE; par le D'
> ? M ? i 1 ab a fil B. IX. La folie A DEUX,'< ses . diverses
formes
cliniques; ti i-itun : 'tpar le Dr L. Z ? ') b
,,uo>ti-'ii' ,Au point de, vue clinique on peut considérer trois
formes
de folie à deux : 'Ti.ip ,9 i° La folie impos
1.) @l -t) i . C ,. BUlti-'iq " »A3l. '< .-l*n. ? Ç;est dans cette
forme
que la séparation des deux- malades, s'im- pose
.<> n ? 3r .n» 1 .. ? I.â cômJnunication va toujours/dans cette,
forme
, jusqu'à l'alié- nation confirmée ? comme dans
e second malade ; du reste, ces deux types sont rapprochés par, des
formes
intermédiaires. Dans le développement de toutes
par, des formes intermédiaires. Dans le développement de toutes les
formes
de folie à deux, ou retrouve'trois conditions c
ntiment'<est : des plus, complexes, et avec la civilisation, ses
formes
multiples sont devenues infiniment variées. Tou
ne liypei, ou hypoactivité de la fonc- tison respiratoire. Dans les
formes
dépressives,;lorsqu'à la diminu- tion de l'acti
la force de terme, car jamais non plus il n'a pris son poison sous
forme
du solution. ( ., f" ·, ^;,v1 ? Mlt)J ! ^ ? z ?
ractères particuliers invoqués par les partisans' de cette dernière
forme
il ressort que* ni- les' symptômes, ni la'marche,
rmé, ne produit pas la paralysie générale vraie, mais seulement une
forme
fruste de la méningo-encéphalite, une pseudo-pa
existe des rémissions plus ou moins complètes dans cette dernière
forme
; d'autre part, la pseudo-paralysie alcoolique peu
paralysie générale vraie. ' Le mémoire de M. Vallon donne sous une
forme
concise et claire l'exposé critique d'une quest
réfringente, '4 non'' granuleuse ? à'peine'colorée par l'éosine,
forme
'des pansions ou plutôt' des renflements multiple
s bizarre et donnant au'corps cellulaire uë .1 apparence coiolli-
forme
. 1 1 .rnn,, ,nfrl ·f ? Le tissu composant les f
à la structure normale du nerf, chez les solipèdes, l'ensemble des
formes
mésoneuriales qu'il a décrites. Mais on rencont
odule (PL. L fig. 11; PL. ll,flg. 19),lequel apparaît alors sous la
forme
d'un' petit bloc isolé (PL. II, fig. 18) sembla
inales, il présente au contraire une configura-, tion fusiforme. La
forme
du fuseau reste géométriquement imparfaite en c
contrent dans l'intérieur même du faisceau ; ils affectent alors la
forme
d'ilôts accolés à ces grandes cloisons dont la
hé- liale (l. I, fig. 8, ii; PL. II, fig. z18, c); d'autres fois il
forme
. presque à lui seul toute la masse du nodule (P
,« ? En-plus. du schéma que'je'.viens de décrire; il existe des ?
formes
aberrantes assez nombreuses mais ! ressortissant
centriques, on retrouve lès noyaùx3déjà;mentionnés. Cette,dernière.
forme
, qui. ne s'est montrée que, rarement dans mes;
d'un foyer, unilobulaire et, que la structure du nodule répond à la
forme
bulbeuse de Langhans. Sur le,trajet des trabécu
rement un épaississement scléreux de l'adventice. Telles sont les
formes
que l'on peut rapporter au premier type, lequel
iphériques ; on les~voit au contraire s'élargir tout en prenant une
forme
plus circulaire à mesure qu'elles pénètrent dan
système tubulaire car d'une'coupe à l'autre on lës'voit changer'de
forme
et dispa- raître. ? ^ ! R,l 'n° ' -u ? "" >l
s à classer dans l'un quelconque dé*ces groupes. Je veux parler des
formes
intermédiaires et des, formes composites., 0 '
ue dé*ces groupes. Je veux parler des formes intermédiaires et des,
formes
composites., 0 ' jn^ji») ? o '«..13 Parmi les p
réalisés par ces diffé- rentes, combinaisons,, il est cependant des
formes
décrites pad'autresjmteur ? que je^ai jamais ob
rangées concentriquement autour de lui. Voici, au surplus, sous une
forme
abrégée, la description qu'ils en donnent. Sur
es remplissant éventuellement l'office de corps central, ni avec la
forme
ordinairement noduleuse des foyers mésoneu- rit
rcevra que leurs « aires claires » s'écartent très sensiblement des
formes
habituelles. Plusieurs d'entre elles sont si la
noduleux, dérive bien certainement du système mésoneurial. Sous sa
forme
la plus simple, telle qu'elle se montre chez l'
rmal par l'hétérogénéité de leurs nodules et l'irrégularité de leur
forme
. Il se produit enfin, dans certaines circonstan
de sa régularité paradigmique, on le voit donner naissance à des
formes
tourmentées, inégales, hétérogènes qui présentent
e : les nerfs des solipèdes, par exemple, où l'appareil nbro-hyalin
forme
un véritable manchon autour du faisceau nerveux
cher le pourquoi de cette curieuse localisation, il est plus con-
forme
aux principes de la biologie moderne de se demand
s foyers du mésonèvre primitifs ou secondaires- affectent-ils telle
forme
plutôt que telle autre, c'est là une question à
e considérée comme indifférente, car j'ai trouvé chez mon chien des
formes
identiques à celles que Trzebinski a rencon- tr
1° L'hyperplasie mésoneuriale accidentelle se manifeste sous deux
formes
typiques : la forme noduleuse et la forme lamel
soneuriale accidentelle se manifeste sous deux formes typiques : la
forme
noduleuse et la forme lamelleuse'. ? '[·t ? . "
e se manifeste sous deux formes typiques : la forme noduleuse et la
forme
lamelleuse'. ? '[·t ? . "'<" j La preinièr
plaslique. LA MÉSONEURITE NODULEUSE. 109 2" Indépendamment de ces
formes
bien tranchées, il s'en rencontre d'autres à ca
surtout au voisinage du faisceau nerveux (g), représentant une des
formes
diffuses du tissu mésoneurial. En f, des cellul
useau composite. La comparaison des trois images met en évidence la
forme
noduleuse des foyers mésoneuritiques élémentaires
ssement' générale a^t''c La sensibilité est revenue dans toutes ses
formes
aux membres inférieurs : elle a môme été rempla
s à des lésions'de iacines situées trcs bas dans la moelle, j- sous
forme
d'un triangle' étroit' dont sa pbinté'atteint pou
étudie à une certaine distance du foyer de sclérose, affectent une,
forme
étoilée. Ces corps ressemblent un peu à une cel
pATHULOHIE NERVEUSE.Ra 31UT3 Jrpoint malade; ces-corps prennent une
forme
plus ou moins 'arrondie i- et se foncent beauco
m,v'inr .·. W · or it. y F· 0,mais, ainsi qu'on là"nsàit,"éettég
forme
"est 5 fréqueîité° ôlié`z` la ' ,.lemme; sur^ce
si qu'on l'observe quelquefois ; la paralysie générale affectait la
forme
de Requin ; l'évolution avait été très rapide.
fait que le faisceau pyrami- - dal direct n'est pas atteint ; et la
forme
de la moelle ne permet 'pas de supposer que l'e
encéphale ; dans ce cas, il sepeut que ces altérations affectent la
forme
gommeuse et permettent de juger la nature du pr
ucun épisode intéressant à signaler ;' le malade reste figé'dans la
forme
pre- mière tant au point' de.1 vue ' des phénom
s les récidives ont'd'ailleurs guéri à une seule exception près. La
forme
de la récidive est fréquemment la même que celle
s mortels ? Les guérisons dépassent 50 p. 100; elles concernent des
formes
qui rappellent le délire d'inanition et revêten
quilibre instable dans les fonctions psycho-cérébrales ? .Quant aux
formes
morbides, la psychopathie maniaque arrive à la
urasthéniques, (mélancolie hypochondrie); un peu moins bon pour les
formes
rangées sous la/ rubrique délire d'inanition;'
r, péniblement, au milieu delà misère physiologique sous toutes ses
formes
. (Annales médico- psychologiques, 1893.)"' "' '
descriptions bien des lacunes et des contradictions surtout dans sa
forme
bulbane. On ignore aussi pourquoi, en maints ca
mages commémoratives optiques ou sérieusement acquises tant pour la
forme
que pour la couleur et n'a plus la faculté d'en
à fournir une ample ma- tière à son délire, et va nous expliquer la
forme
toute spéciale de ses idées ambitieuses. Mentio
de la folie du doute, qui n'est, comme l'a établi M. Magnan, qu'une
forme
d'obsession. Ici il nous suffira de citer, pour
profonde, deux petites tumeurs voisines l'une de l'autre, ayant la
forme
de disques, de lentilles. La plus volumineuse a
ssus. Là,ria substance cor- ticale est absolument'désorganisée/elle
forme
un véritable pytri- la-e de couleur brun rougeâ
évident qu'il's'agit/ dans tous'ces cas, ,(d'une seule. et : même :
forme
; morbide ? diversrstades de dévelop- - piment.
anatomique - les.» parésiesjspasmodiques., Parfois. elle, revêt; la
forme
de sclérose latérale amyotrophique, ence casle di
: z ' '; ? a' ".ai <n ? 9p tftBL ? W2^ 'T.3 ? n ) 1 XL. D'une
forme
particulière DE paresthésie des extrémités z (.
yeux, tantôt apparaît en,deux temps, se- manifestant. d'abord sous
forme
d'hé- miopie homonyme d'un côté, à laquelle; pl
vroses fonctionnelles irradiées.' Entre ces deux groupes il y a'des
formes
intermédiaires ayant pour'symptt5mescummuns : l
qu'au moindre choc, péri- phérique ou émotif, l'angoisse revêt une
forme
concrète (halluci- nations sensorielles). Le mo
un trousseau latéral qui convergent vers le centre du corps cupuli-
forme
de Flechsig d'où ils repartent. Le trousseau laté
> , t · l(T(b R91tül -, ' ) ? t If 5l, .. ,.t'r ? W · XXV. Des
formes
atypiques de la GLIOSE spinale; par H. OPPENHEIM.
élie. S'agit-il là d'un tabes com- biné à la syringomyélie ou d'une
forme
spéciale de la syringomyélie qui, prolongée dan
s in utéro ou peu de'.temps aprèsila naissance ! 8° Ses différentes
formes
(figures) peuvent être classées en deux, genres
assées en deux, genres; -renflement étroit,t renfle- ment large. La
forme
étroite est un peuiplustfréquente, la forme lar
renfle- ment large. La forme étroite est un peuiplustfréquente, la
forme
large se (montre plutôt dans les palais plats.
ur,, anticonvuisivant, que, l'oti connaisse. II tl réussit dans les
formes
e 1 ieux éncôre,dârïs lés,aiguës. Il n'y a guère
on générale, obtenue dans tous les cas., Il réussit surtout dans la
forme
psychopathique reposant sur un fonds d'épuiseme
T) r f. rt1-+ m. VI. LE TRAITEMENT PAR L'ÉLECTRICITÉ . DE CERTAINES
FORMES
, DETNEU- ASTHéNIE; par M. F°'R.oBiNsoN''H.-D.&
rr1893.) -$"Nrp.-fe. isfeq , -ifUï"ff 1/ L'auteur surtout dans, les
formes
cérébrales,de la neurasthénie préconisé le trai
t été divisées en trois grandes classes et une quatrième classes se
forme
actuelle- ment. 37ela 3M ? 1 ! UH Les cas de
ports de ces altérations avec la capsule interne et à en marquer la
forme
et l'extedsion sur les schémas ad hoc. Si au co
Folie ? L'hallucination de la vue'në s'observe pas dans toutes les
formes
d'aliénation mentale.' Fréquente et habituelle
a détona- tion, la porte s'ouvré, et Dieu lui-même apparaît sous la
forme
d'un beau vieillard entouré de lumière; il s'ap
phénomènes pathologiqqqs8pU ? ouy ' lexes, -dont l'hallucination
forme
le fond- .8 711 ? 9b >lvl . mofrl Irb A'rrE,
rii,^lji lii.ijn' », · n ·v.v ? i ? «iii- jsia»> on ». tance, ni
forme
,, ni contour,' ni, voix,- ni rien, gui puisse ren
caca sur les' lésions * cérébrales qu'occasionnents les diverses9 !
formes
? de l'idiotie. QoVoilà;;entrésumé;dit-il,IlesL
aleur curative importante à la craniectomie dans : la plu- ? part des
formes
de l'idiotie, nous avons dit que l'idiotie d'orig
surtout est trans- W I` ! r 1 ? t'r) ft'n.-t.) ? F; In 1 f1 r f .
forme
: I enfant pleure comme un être humain ( ? ! ). P
l° I : ér40;'jicini893; D ? prâtiqilâùrië`seçônde·craniectomie en
forme
d'L* a'dr61të'd) ? sihus'longitudinal ;3,le-;péri
autres catégories de malades, mais qu'il sera en outre exposé à une
forme
grave d'alcoolisme cérébral avec démence précoc
"0-. . J <t. ' - ' dans la., proporlion dey53.po Lr,T 100,3d une
forme
^mélancolique, mélancolie simple, ou hallucinato
nt les plus.fréquents. La , lobe puerpérale, lorsqu'elle,, prend la
forme
, d excitation maniaque, est d'un pronostic défa
l'automatisme, psychologique, assez fréquemment observé dans des
formes
vésaniquesàltype de confusion mentale. G. DE1 ? ,
à la fi)lie systéiiialiqzic, ii2,coliéi,eiîte,ou t dissociative, ,
forme
, qu'il y a lieu ? de distinguer,, de, la folie
hauteur d'une psychopa- thie bien délimitée, car, enlre chacune des
formes
de la folie systé- matique il y a de nombreuses
trois directions principales de la-maladie.- 11 y a duireste- desf
formes
mixtes surtout entre la folie systématique hall
a manie, la démence aiguë d'autre part; on rencontre'une série'de
formes
, de transitions dont on pourrait constituer le sc
e ou dea'manie, suivent presque immédiatement la pyrexie ; que' les
formes
dépressives et méiancoHques sont'notabte- 'ment
-11 £ 5JI1.6lipffib à jyniv nh s-ibomq fil .93* 9°'Existe-t-il une'
forme
de folie provoquée par linfluenza, qucne s'obse
ymruJ-tyqt ? arl gb ylo ? 9 4'A 'quel traitement lès 'différentes "
formes
de psyc/tOSM'pos<-9 ? 'tpp( : M. Ces traitemen
version de la'race malaise pour l'alcool, sous n'im- t porte'quelle
forme
,' exclut ici' toute- explication étiôlo; : ique'r
ulue, à des émotions et-à des- chagrins, qui éveillent'en'iui celte
forme
spéciale de fureur homi- cide, le Malais devien
outir à l'affaiblissement, relatif des facultés, il existe d'autres
formes
,intéressantes à discuter ici. Nous, rencontrons
;4r*U Ju .ln,Ut1 eY - En tout cas, loin de guérir rapidement, cette
forme
morbide marche toujours vers la chronicité. ! D
irôniqué'hâbitilêl;rôripènt rencontrer des 1 1 #li- ^ ^rn. -. ? ?
formes
pour ainsi dire'' galopantes' encore insuffisamme
nob '1 -mip-iu'. 1. Sur la munie de collectionner dans les diverses
formes
psychopa- thiques; par le D'' A)IIG.17.ZI1\I-(I
veau du centre moteur du langage et des centres mastica- teurs, les
formes
variées des divers accès délirants qui vinrent
et réactions carac- téristiques. Bouffées secondaires épisodiques à
forme
mélancolique : (auto - accusation ; idées de su
».' - - Dans le courant du mois d'août, cette bouffée épisodique à
forme
mélancolique' se dissipe; les idées'de persécut
rtant/ dans -la genèse d'unsdélire de persécution et de réactions à
forme
mélancolique et enfin de la variété d'as- pect
rfr;(| t hi -^ Gilbert Ballet. Le langage intérieur et les diverses
formes
de l'aplia- sie.'t2* étlit. Ilai@ii 1888; p : 4
( : t ^..j.j SUR UN CAS D'FIALLUCINATIONST\IOTR1CES VERBALES. 347
formes
? aùtopsieÏ : ' semis de tubercules'au'niveau'dés
x ? Conlribul.à'1 l'étude de' la tuberculose' méningée de l'adulte,
forme
tétanique. Trismus d'origine cérébrale'. (Révt(è'
s très particulières : nous voulons parler de véritables bouffées à
forme
mélancolique, qui venaient se greffer- sur les
asiesenparticulier; 3° parce qu'on la' trouve dans les différentes.
formes
de l'aliénation mentale, soit que sa presm nce
e est plus fréquente dans.la paralysie âénéiale,que dans les autres
formes
de maladies, mentales, elle fait généralement d
e éllulézîéi'= vetise est un termeigénérique qui comprend bien des,
formes
'de cellules^ nerveuses, <ayant chacune sa m
colorée par cet^agent.- Lasubstaiicelcolorable7se puéseüfessoussla'
forme
=de iodulesti plus jeu,- moinsj3.volumineux, tarro
substahcecgrise'du'système1 nerveux 7central'Test habitée par- des
formes
cellulaires de même construction apparente. Il es
f, ou, d 115 nyau, seii- «' sitifidutrijumeau se-traduisent,par,une
forme
de cellules à strue 1 tureségalementvdéterminée
UROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE , SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE A
FORME
DE TABES AU DÉBUT CHEZ UN SYPHILITIQUE ; Par
^ xc ? sane auiq hait u ui·rrnanoa ? #s Jmruob PARALYSIE GÉNÉRALE A
FORME
DE * TABES AU DÉBUT. 403 1 En juin 1889, V... s
mvHLnts-" - - ri tr' '· '1rW -*i"" <*, , .. PARALYSIE GÉNÉRALE A
FORME
DE TABES AU DÉBUT. ' 405 et se rend compte si s
reiest survenu brusquement, un* matin, alors PARALYSIE GÉNÉRALE .'A
FORME
DE TABES AU DÉBUT.. t< 407 a'que sonenfant`
le des prétendues tentatives d'empoisonnement ? PARALYSIE GÉNÉRALES
FORME
; DE TABES AU DÉBUT. 409 son animosité vis-à-vi
poH ! du mardi, 1887-1888, p. 267. > ^ç-a PARALYSIE GÉNÉRALE "A*
FORME
^DE TABES AU DÉBUT. ? 411 *" méhts, l'époquë'à'
se sont.'produits'de'la sorte 'à2trois 'reprises différentes, sous
forme
d'accès, d'une durée de huit dix jours, ''entre
une'très remarquable leçon de M. le professeur J Joffroy : Sur les
formes
spinales de la paralysie générale, in Journal "
par Marie, 1892, p. 362. FI ' . 1 ..y ? v n PARALYSIE GÉNÉRALE A
FORME
DE TABES AU DÉBUT. 417 ' Quanta attribuer à cet
' ' ' ' 1" ÉLECTROPHYSIOLOGIE ? ? " I. Influences DES différentes
FORMES
DE l'électricité d'usage COURANT EN ÉLECTROTHÉR
s moyens de contrôle ont été la pesée et l'examen histologique. Les
formes
électriques étudiées ont été les formes galvani
l'examen histologique. Les formes électriques étudiées ont été les
formes
galvanique et faradique rythmée et non rythmée et
e l'électricité sur la nutrition musculaire est com- plexe. Sous la
forme
de courants continus elle agit autrement que co
le. L'électrode indifférente employée dans ces recherches' avait la
forme
et les dimensions de .celle d'Erb.'EDe était fi
n pointe. Au moyen de cet ' instrument' l'auteur a pu' obtenir une'
forme
particulière de réaction qu'il nomme réaction d
s de.ux, toujours dignes de considération et on les trouve dans les
forme
» avec plus de dégénération psychique (épilepsie
t ' ? tt.< il t ..t., ? - ). h <' yr' -) ? 'i M. Koenig. Une
forme
rare de paralysie infantile, d'origine céré- bi
utions et en,même temps du délire des grandeurs. Genèse habituelle.
Forme
chronique; - 3° Observa- tion, de catatomie- al
intellectuelles aiguës/Ia menstruation semble net-pas revêtir de'
forme
qui permette d'établir une loi. Toutefois'dans to
mence''(démence secondaire). Si, l'épisode .passionnel .revêt la'
forme
d'exaltation --légère ou de moyenne intensité, la
e soixante à soixante'dix ans. Ils se répartissent ainsi, selon'la'
forme
de l'aliénation mentale, ' ' * ? "'"' ? t " 1 1
blication des principaux travaux français relatifs aux' différentes
formes
de l'Idiotie. On sait que par ce mot on désigne
l'auteur .termine par une étude de la névrose traumatique sous ses
formes
hystériques com- munes, ou; avec, prédominance
1865 ; Leço ? ? sur le diagnostic et le traitement, des' diverses r
formes
des affections paralytiques, convulsives' et' m
surtout au voisinage du faisceau nerveux (9), représentant une des
formes
diffuses du tissu mésoneurial. En f, des cellul
useau composite. La comparaison des trois images met en évidence la
forme
noduleuse des foyers mésoneuritiques élémentaires
uri, 52 ; nouvel hôpital d' '"due Boston, par Fisher, 69 ;' ré- *
forme
dans' le traitement des -; ', ' ' par Hack Tuke
r, , 144 ? ; ;, ? < - Electricité, influence des différentes ?
formes
de 1' sur la nutrition du muscle, par, Debedat,
région rolandique, par ' 'Alhertoni et Brigatti, 194. GnosE/des'
formes
atypiques de la spinale,' par Oppenheim, 209.
e =, par Ventra, 146; traitement par l'électricité de cer- taines
formes
de , par Robinson, 229; et dégénérescence, par
e spasmodique *de Erb; par.Carmona, 151. Paralysie infantile, une
forme
rare de . d'origine cérébrale, par Kcenig,,45
Gautier que la poésie moderne nous a décrit en beaux vers certaines
formes
de la nature humaine : « On voit dans le musé
ue commun aux cas de cette espèce. L'inspection du corps révèle des
formes
féminines, avec prédominance, en longueur, du s
oncée de la région mammaire, aréoles hypertrophiées. Néanmoins, les
formes
ne sont pas féminines. La voix est normale. App
ont pas féminines. La voix est normale. Appareil génital : pénis de
forme
et de dimensions normales. Bourse scro- tale vi
re obèse. Enfance saine. Il y a deux ans, parotidite épidémique, de
forme
modérée. Crâne bien conformé, cheveux normaux.
ment à l'âge de 22 ans. A l'asile ils ont attiré l'attention sur la
forme
particulière de la tête de la malade et dépendent
une fois sorti de la boîte crânienne ne conserve pas exactement sa
forme
; c'est pourquoi il nous paraît utile de décrir
et transversal n'étant que de t centimètre. Vu de i côté, il a une
forme
conique dans sa partie supérieure, au-dessus d'un
sont étroits. Sur les coupes transversales, le lobe occipital a une
forme
triangulaire, comme tirée au cordeau. Une des con
; par endroits, de petites hémorragies. Certains vaisseaux ont une
forme
caractéristique en spirale ou tire-bouchon. A la
tions, comme si elles avaient été nivelées par la boite osseuse, la
forme
triangulaire, presque rectiligne, du lobe occip
e avec les symptômes objectifs, en possédant leur esprit, se trans-
forme
en une véritable infirmité ; au lieu de s'en déba
u pouce. La faute de l'innervation musculaire se manifeste sous des
formes
très différentes. En premier lieu ce sont les a
fonctions musculaires et que ce trouble peut se manifester sous les
formes
les plus diverses. - Le substratum anatomique c
tiques. Il y a cependant, une différence essentielle entre les deux
formes
: malgré la destruction des fibres 'centripètes
e cas chez nos malades. Il y a encore une grande différence avec la
forme
de parésie, qu'on attribue à la destruction des
lepsie dite idiopathique, les accès spontanés étaient de différentes
formes
chez le même individu. Chez tous les malades ch
a partie interne du bras. Lorsque la lésion du nerf médian revêt la
forme
particulière décrite sous le nom de forme doulo
n du nerf médian revêt la forme particulière décrite sous le nom de
forme
douloureuse, la main prend un aspect qui mérite
é des tissus, tandis que les troubles trophiques et vasomoteurs des
formes
douloureuses correspondent à un hyperfonction-
ur en sémiologie. Académie de médecine, 19 octo- bre 1915 ; Sur une
forme
de contracture organique d'origine périphérique e
tures . Il n'y a pas toujours une délimitation bien nette entre les
formes
précédemment décrites et les contractures pures,
joint des asiles. MM. Pierre Marie et Foix (1) ont décrit comme une
forme
spéciale de paralysie paratonique de la main ce
nom de mains figées, interprétés par Pierre Marie et Foix comme des
formes
spéciales de paralysie paratonique et nommés pa
t beaucoup moins réelle qu'apparente. Cette apparence résulte de la
forme
en gouttière imprimée à la paume de la main par
La cicatrice de sortie siège au-dessus de l'éminence hypothénar, sous
forme
d'une estafilade oblique de haut en bas, de ded
raction en avant des quatrième et cinquième doigts). La cause de la
forme
en ciseaux résulte de l'adduction des interosse
tion et qu'on regarde le dos du membre, la main se présente sous la
forme
d'une surface rectangulaire de l'extrémité prox
ier, deux nouvelles et longues incisions furent faites sous chloro-
forme
, l'une le long du bord interne du long supinateur
fréquence et l'importance des grosses lésions vasculaires dans les
formes
causalgiques des blessures des nerfs, et nous é
on nombre d'observations où des blessures des nerfs avaient pris la
forme
causalgique et où de grosses' lésions vasculair
de la IV° armée, il y avait eu pendant de longs mois des douleurs à
forme
nettement causalgique dans le domaine du sciati
ement totale, l'hy- potonie est beaucoup moins prononcée et'la main
forme
avec l'avant-bras 132 LÉRI un angle très obtu
qu'à des erreurs d'interprétation. IV CAUSALGIE DU RADIAL. Les
formes
très douloureuses, causalgiques, des blessures de
UX 135 En somme, nous trouvons dans ce cas tous les caractères des,
formes
causalgiques des blessures du médian ou de la b
rmé la constance et la netteté de cette déformation dans toutes les
formes
cau- salgiques des blessures du sciatique (tron
» est constant, à un degré plus ou moins accentué, dans toutes les
formes
douloureuses, causalgiques, des lésions du scia
rmation est l'analogue de celle que l'on observe à la main dans les
formes
douloureuses de lésion du nerf mé- dian ; main
nerveuse et non de destruction ; c'est pour cela sans doute que les
formes
très doulou- reuses ne déterminent très souvent
une déformation qui s'observe d'une façon constante dans toutes les
formes
dquloureuses des blessures de la branche intern
s du nerf. Les figures de la planche XXXI représentent une série de
formes
doulou- reuses, causalgiques, de lésion du scia
au rhumatisme soit diathési- que, soit infectieux, la plupart à une
forme
hybride qu'ils appellent le « rhumatisme goutte
aire de la main droite mesure 38 millimètres. Il se pré- sente sous
forme
d'un appendice dont le bord distal prolonge le ho
otamment la phalangine. La première phalange affecte vague- ment la
forme
d'un pisiforme ; elle a la dimension du sésamoide
phie. Le 6e orteil, lui, est composé de quatre os. Le premier, de
forme
vaguement cubique, a sensiblement la dimension de
ntant le métatarsien du 6- orteil. Puis vient la phalange, qui a la
forme
générale des autres phalanges et la taille des
extrémité supérieure de la 1. ro phalange. Celle-ci affecte la même
forme
que les autres premières pha- langes ; plus pet
tres phalanges sont soudées entre elles en un seul os affectant uue
forme
de bonnet de coton, et plus long à lui seul que l
En effet, nous l'avons dit, la polydactylie peut se présenter sous
forme
isolée ou sous forme familiale. Tantôt les aute
ns dit, la polydactylie peut se présenter sous forme isolée ou sous
forme
familiale. Tantôt les auteurs n'ont pas noté, ou
ue au niveau des doigts, nous ne pouvons présenter ce cas comme une
forme
certaine de cette affection. Il est à noter que
s que les autres. Ce sont de petits sachets de cuir ou' de métal, à
forme
carrée et aplatie comme un porte-monnaie, où re
ts moins durs et aux environs des kystes (A et B), du tissu fibreux
forme
des cavités de dimensions variées (PL XLV). Elles
flasques, nettement atrophiés. Les troubles sensitifs, surtout sous
forme
douloureuse, sont constants, et généralement ou
uis la phase pyrétique s'est prolongée jusque vers le 520 joui,, en
forme
rémittente vaguement ondulée. Après la forte
ilité d'une méningite aiguë, on peut trouver un bon signe, dans les
formes
très diffuses, dans le relâchement des muscles
(Il ne nous a pas été possible d'obtenir des renseignements sur la
forme
de mercure qui a été employée). Peu de temps aprè
y avait non plus que quelques cylindres hyalins. Par conséquent, la
forme
de la né- phrite en ce cas correspond bien à ce
un tableau clinique différent du type ordinaire, s'agir d'une autre
forme
de maladie que la polynévrite ? Ici il faut se
bable et l'âge de l'infection syphilitique n'est pas connu, mais la
forme
de l'éruption syphilitique nous fait accepter l'i
gite gommeuse, ou il y a une affection des vaisseaux. Pour ces deux
formes
de processus morbides, il faut accepter la présen
, il ne nous a pas été possible d'obtenir des renseignements sur la
forme
de mercure qui a été employée avant l'entrée à
des inter- valles si courts et surtout s'il s'agit d'injections de
forme
insoluble de mercure (nous savons bien combien
tainement sont les plus grands, s'il s'agit d'in- jeciions avec des
formes
insolubles de mercure. Pour ce qui est des inter-
dans un but prophylactique et où nous donnons le traitement sous la
forme
d'injections de sels' insolubles qui subsistent t
erv. and ment dis., vol. 25, p. 594, 1898. Gilles DE la TOURETTE. -
Formes
cliniques et traitement des myélites syphilitique
a immédiatement res- senti le tiraillement du plexus brachial sous
forme
d'une douleur ascen- dante de la main à l'épaul
Marie et Foix, Société de neurologie, 1913. - Il n'est pas jusqu'aux
formes
aiguës de poliomyélite antérieure de l'adulte q
sur la jambe et le pied du côté opposé. La jambe gauche n'a plus sa
forme
tronconique normale, elle est presque cylindriq
omoplate (scapulae alatae). Les bras de notre malade présentent une
forme
masculine : les deltoïdes et les biceps étant h
servées. - Postérieurement, on voit que les omoplates présentent la
forme
des scapulae alatae (fig. 3 et 4). L'extrémité
côtés l'hypertrophie des deltoïdes. Rien à signaler à propos de la
forme
et de la fonction des muscles de la face, de la
ié du côté gauche. La narine droite plus large que la gauche est de
forme
circulaire, tandis que celle du côté opposé a une
gauche est de forme circulaire, tandis que celle du côté opposé a une
forme
ovalaire légèrement excavée dans sa partie inte
ur. Le tiers supérieur du corps du tibia se termine en pointe, sous
forme
d'une apophyse, protubérante sous le tissu. Le
et atrophie du tarse et du méta- tarse, de telle sorte que le pied
forme
un angle d'ouverture supérieure et antérieure,
im 26 observations emprun- téesà divers auteurs ! Il distingue deux
formes
de dysartlirie,l'uneparaly- tique, l'autre spas
1 I APHASIE ET DYSARTHRIE 305 parfois môme impossible. Dans la
forme
spasmodique, il y a difficulté de l'émission de
ause. Ces deux variétés sont du reste reliées l'une l'autre par des
formes
de transition. C'était le cas dans notre observat
cas dans notre observation 11, qui est un exemple typique de cette
forme
mixte de paralysie pseudo-bul- haire infantile.
riculaires se montrent ordinairement à la ponction lombaire sous la
forme
d'un mélange sanguin, à cause du continuel écou-
le dans cet espace. " * SUR LES HÉMORRAGIES MÉNINGÉES ' 315 Ces
formes
d'hémorragies cérébrales, qui sont caractérisées
es de chemin) en voiture et a eu, pendant le trajet, une attaque de
forme
épileptique avec des convulsions dans les mains
té et apathique- Est amené le 27 mars. Le patient est un homme de
formes
graciles, mais normalement construit. Teint blê
révèle dans la paroi latérale du ventricule gauche une cicatrice de
forme
kystique, autour de laquelle la substance céréb
peu creusée et de couleur brune. Certainement, il s'agit ici d'une
forme
de porencéphalie, comme on la voit après un pro
Irait si caractéristique des altérations syphilitiques des vaisseaux,
forme
en même temps une barrière contre les ruptures.
e aseptique secondaire. Souvent on voit celui-ci s'annoncer sous la
forme
des états d'irritation psychiques, des délires
m. mil., t. 63, 1914. Chauffard (A.), Froin (G.), et Borntv (L.). -
Formes
curables des hémorragies sous- arachnoïdiennes.
s de la moelle épinière, t. II. PAVY. - Les hémorragies méningées à
forme
méningitique. 1905, Thèse de Mont- pellier. R
vraisemblablement d'ailleurs tous les intermédiaires entre ces deux
formes
cliniques extrêmes, c'est ce que l'avenir nous ap
ives de l'épaule et de la main. Troubles trophiques de la main sous
forme
d'un pseudo-rhumatisme chronique. Réactions éle
iques qui possèdent dans la règle, une topo- graphie proximale ; la
forme
Aran-Duchenne semble n'avoir été signalée en pa
s, et encore s'agit-il d'arthropathies isolées ayant évolué sous la
forme
de la daclylite spécifique, syndrome clinique b
on diagnostic, en raison de sa ressemblance d'aspect avec certaines
formes
de rhumatisme chro- nique simple. Il est probab
d'arthropathies chroniques' qui s'éloignent plus ou moins des deux
formes
classiques de 'la syphilis articulaire tertiaire
ni saturnisme, ni goutte. 1 Malgré une certaine analogie dans la
forme
des mains avec l'aspect du rhumatisme déformant
te polyarthropathie diffère du rhumatisme tuberculeux, qui, dans sa
forme
chronique, évolue comme le rhumatisme déformant
l'absence d'ostéite et cons- tituer un caractère particulier de la
forme
hydarthrosante de l'arthropa- thie tertiaire ;
e multiple, l'arthropathie tabétique ne se présente jamais sous une
forme
polyarticulaire qui puisse être rapprochée de cet
e individualité, qui méritera peut-être de prendre place à côté des
formes
déjà décrites de la syphilis articulaire. (1) M
lée depuis cette époque, qui s'est manifestée dès le début sous une
forme
violente et rapide. Au moment où nous avons obser
d dans le groupe générique de la dystrophie génito- glandulaire les
formes
suivantes : a) Dystrophie génito-glandulaire du
t, plus rarement d'une amande. Dans d'autres cas, ils pren- nent la
forme
d'un cordon, et quant à la consistance ils peuven
s caractères somatiques de cette catégorie, on signale l'absence de
formes
et de développement du bassin qui sont les attrib
rononcée selon le degré de dystro- phie, et pouvant même revêtir la
forme
de polysarcie ou obésité. Au sujet de ce symptô
le « catabolisme ». Symptomatologie spéciale. La multiplicité de
formes
et de dénominations sous lesquelles on a décrit
qui permettent un diagnostic immédiat, à la seule inspection des -
formes
extérieures. Notre observation nous a cependant p
nt le propre des autres types de cette dystrophie. Ainsi il y a une
forme
, certainement la plus rare de toutes, surtout e
ls, sans rien déplus. Il nous parait qu'il s'agit en l'espèce d'une
forme
tardive du type simple de la dystrophie génito-gl
un exemple d'atavisme ou de régression ; il s'agit clairement d'une
forme
d'hétéro-chronisme. Il est digne d'attention qu
jadis » n'est pas moins instructive. Zambaco Pacha ap- pelle cette
forme
d'infantilisme « eunuchisme naturel, ou infantili
die. La nécropsie a constaté une glande thyroïde atrophiée, mais de
forme
et d'apparence normales ; les testicu- les (l'u
t de causes diverses. Et plus d'une fois l'auteur fait allusion aux
formes
de passage entre l'infantilisme pur et la forme
fait allusion aux formes de passage entre l'infantilisme pur et la
forme
hypophysaire et eunuchoïde de la dystrophie adipo
appelle- rons, avec Gilford, essentielle, pour la distinguer de la
forme
sympto- matique. La première comprend les cas
us paraît raisonnable : « Sur la base de ces faits, Falta admet une
forme
d'infantilisme qu'il appelle echter infantilismus
s à sécrétion interne éclairent aussi la pathogénèse de la première
forme
, sans affirmer que celle-ci soit d'origine extr
ui semble spontanée et quelquefois par son hérédité. Il y en a deux
formes
: ateleiosis etprogeria. L : ateleiosis est l'inf
disme réside évidemment dans l'aspect général du corps, où sous une
forme
plus ou moins pure la constitution morphologique
duvet, leur disposition prend alors comme dans le type féminin une
forme
limitée par une ligne supérieure horizon- tale
e la dystrophie génito-glandulaire c'est l'adiposité, qui revêt une
forme
très spéciale. Quel que soit le degré qu'elle ait
génitaux (obs. V) ; la région sub-pubienne, élevée, se détache sous
forme
d'un trapèze. Cette adiposité se constitue dès
pagné de néoplasme hypophysaire, est tenu par les auteurs comme une
forme
d'origine primitivement hypophysaire ; opinion
E CASTRO L'auteur tire alors la conclusion que le sénilisme est une
forme
de transition entre les syndromes mono et pluri
t dans l'âge mûr, et qui pour cela précisé- ment se distingue de la
forme
commune : c'est l'eunuelioïdisrne tardif, décri
e : c'est l'eunuelioïdisrne tardif, décrit par Falta (1), en 191 I,
forme
bien représentée dans notre observa- tion VI. I
cela il s'agira du type simple de la dystrophie génito-gandulaire,
forme
tar- dive. C'est précisément ce qui arrive chez
e gérodermique ou l'eunuchoïde, beaucoup plus propres à l'homme. La
forme
eunuchoïde tardive, en particulier, est tout à fa
électrique (courant faradique, fil fin, trois résistances) sous la
forme
d'applications rapides et intermittentes des élec
de la camptocormie en utilisant la psychothé- rapie sous une autre
forme
, notamment sous la forme d'un corset plâtré. Ma
ilisant la psychothé- rapie sous une autre forme, notamment sous la
forme
d'un corset plâtré. Mais il faut savoir que le
illusions, voire même à des manifestations hallucinatoires et à des
formes
délirantes. 1 440 HENRY MEIGE caprice bizarre
i- neuse, s'envolent.les phantaisies : - phantaisie des armes, sous
forme
d'un petit gnome ailé, coiffé d'un bonnet de fo
le, on sait que son nom lui vient d'un appendice chitineux ayant la
forme
des pinces qui servaient à percer le lobule de
t plus français que flamand. Les pots de pharmacie sont aussi d'une
forme
plus française.- Enfin, ce tableau porte, égale
gés à des rats. Ce traitement devait convenir plus spécialement aux
formes
hypochondriaques. N'était- il pas logique, dans
sûreté. « As-tu un grain de trop ? Ta folie sera aiguë ou à double
forme
. Y a-t-il, au contraire, une fêlure à ton cerve
ifférer notable- ment ni par la hauteur, ni par la durée, ni par la
forme
de celle obtenue comparativement chez un indivi
ent, à intervalles aussi égaux que possible. Les changements de
forme
du muscle étaient communiqués par un tube de
lui-ci DU VERTIGE DE MEN1ÈRE. 27 Ï sur le tube de caoutchouc, qui
forme
un appareil résonnateur, et l'épreuve devient p
Mais la folie épileptique revêt toujours chez le même individu deux
formes
opposées; elle se mani- feste tout à la fois pa
hose, relativement à l'affection en question; et, ce n'est que sous
forme
de doute qu'on émit l'opinion de l'existence poss
avait en présence, on porta le diagnostic : sclé- rose en plaques à
forme
fruste. Des cas semblables ont d'ailleurs été r
hors, elle s'étend jusque sur le prolongement'du corps calleux, qui
forme
la voûte de la corne antérieure du ventricule lat
t dans les ventricules, par la membrane qui tapisse leurs parois,
forme
une véritable boule d'oedème. Des morceaux découp
se multiloculaire, dont la traduction clinique a pris le masque des
formes
appelées frustes par M. Charcot et s'est accusé
mptomatique. 58 RECUEIL DE FAITS. Observation. Troubles visuels «
forme
hémiunopsiquc, revenant, par accès, avec engour
re les personnes, et en particulier l'infanticide sous ses diverses
formes
, qui restent ignorés. Ceci revient à dire que l
o-supérieure arriw jusqu'à la scissure inter-hémisphérique, où elle
forme
une encoche de près d'un centimètre de profonde
arés et parfaitement réguliers. La troisième frontale présente sa
forme
ordinaire en M, et son cap est tout -IL fait ne
nombreuses pièces, ces anastomoses n'ont jamais exactement la même
forme
, et ne sont jamais symétriques sur les deux hém
ki, depuis plusieurs années médecin dans ce pays, y a observé une
forme
de l'hystérie qu'il décrit fort bien, et qui n'es
outes les maladies. Le plus souvent l'hystérie se présente ici sous
forme
d'attaques épileptoïdes et choréïques. L'hystér
fille de dix-huit ans, très irré- gulièrement menstruée, et que la
forme
spéciale de ses crises avait d'abord conduite à
mple d'hystéro-épilepsic à crises distinctes, c'est-à-dire de cette
forme
de 1'liystéro-épilopsie dans laquelle il y a co
rigine et de distribution avaient pour l'expli- cation de certaines
formes
de paralysie labio-glosso-laryngée (Voy. Arcla.
s- seur inégale des téguments recouvrant l'épine nasale, et de la
forme
changeante de la sous-cloison. 3° Quant à la co
NERVEUSE. 91 tachant parfaitement comme les réflexes exagérés à la
forme
cérébrale (Ordenstcin, l3amurond, Setschenow) e
t disséminés et se détruisent. C'est un degré élevé, voire même une
forme
particulière d'oedème, avec tous ses signes dis
s notable. Lorsque la masse gélatineuse devient considérable, il se
forme
des replis. Dans un des cas observés, la partie
à la douleur et sens musculaire partout normaux. Le radial gauche
forme
en outre une tuméfaction f uni forme entre le ven
tout normaux. Le radial gauche forme en outre une tuméfaction f uni
forme
entre le ventre du brachial antérieur et le vas
e segment la disparition des colonnes de Glarke. Caractérisant la
forme
des altérations du nom de myélite celltilo-g2,aii
re des négations, qui serait selon lui le couronnement de certaines
formes
mélancoliques. Discussion sur la création d'asi
mande la permission d'en dire quelques mots. On distingue plusieurs
formes
dans la mélancolie : la mélancolie avec conscie
M. Cotard a très nettement établie dans son travail entre ces deux
formes
mélancoliques. Poursuivant plus loin la compara
l'ataxie faisaient défaut. M. Hammond serait porté à faire de cette
forme
une maladie à part et la localiserait, soit dans
e ; à fortiori se gardc-t-on d'accorder l'exeat quand il s'agit des
formes
de dépression chronique, de folie systématique
ce portante de 35 à 40 liil. et des armures magnétiques de diverses
formes
(collier, bracelet, jarretière, etc.). Les aima
eté des personnes ou leur propre sûreté, le Préfet pourra, dans les
formes
tracées par l'art. 23, décerner un ordre spécia
re, le tribunal sera tenu de désigner en même temps, dans les mêmes
formes
, un curateur à la personne de l'aliéné. Ce cura
ies de l'encéphale. Les paralysies d'origine centrale revêtent deux
formes
particulièrement intéressantes. Ce sont les par
omme une nécessité, la pathologie le confirme, en nous montrant des
formes
cliniques qui répondent à la lésion de ces cent
eurs autres, vint confirmer ses prévisions et démontrer que cette
forme
de paralysie relève d'une lésion siégeant au ni-
e bornerai-je à citer des exemples de paralysie des prin- cipales
formes
de mouvements associés binoculaires, en signala
s paralysies seront bien connus, on distinguera plus facilement les
formes
atté- 150 CLINIQUE NERVEUSE. nuées ou plus co
aux français antérieurs ; il a en outre remarqué qu'il y a d'autres
formes
de paralysies associées, dont il cite des exemp
types simples autour desquels il sera ensuite facile de grouper les
formes
plus com- plexes. J'étudierai donc les paraly
tômes pa- ralytiques ont été limités aux muscles de l'oeil. Cette
forme
de paralysie, qui me fit porter dès le début le
suel est normal ainsi que la vision centrale pour la perception des
formes
, de la lumière et des couleurs. II - + 1,75 Dio
estl6î Schmidt (loco citato), nous aurons trois variétés d'une même
forme
de paralysie ainsi constituées : PARALYSIE DE
nt de divergence. Les .observations suivantes appartiennent à une
forme
de paralysie caractérisée par l'impossibilité de
arer des lésions unilatérales des mouvements d'abduc- tion. Cette
forme
de paralysie est essentiellement caracté- risée
ontraire de cette PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 171
forme
de diplopie par la lésion d'un centre qui serait
la diplopie puisqu'ils l'ont précédée de plusieurs années. Cette
forme
de diplopie parait donc habituellement liée à l
moucher, déglutition), plus ou moins mécaniques; il y a aussi une
forme
névrosique, et une forme con- gestive, dans les
plus ou moins mécaniques; il y a aussi une forme névrosique, et une
forme
con- gestive, dans lesquelles la lésion de l'or
it dans les mains de M. Charcot. Le médicament par excellence des
formes
névrosiques, est certainement le sulfate de qui
ate de quinine, administré suivant la méthode du maître. Dans les
formes
douloureuses l'extrait de jusquiame à l'intérie
nçons plus ou moins nombreux. Les blocs ainsi produits diffèrent de
forme
et de longueur : tantôt ils sont courts, cylind
mais la myéline s'y montre plus morcelée et divisée en fragments de
forme
sphérique. Ce sont des boules plus ou moins vol
a fibre nerveuse. Etat variqueux, monilifornie. Renflements fusi-
formes
. (PI. II, Fig. 8, 9, 10.) La myéline finement d
ophiées. Il y a là une différence importante à signaler entre cette
forme
de 206 PATHOLOGIE NERVEUSE. névrite spontanée
sque toutes marquent encore les premières phases de la névrite ; la
forme
dominante, en effet, est la fragmentation en bl
st le cas le plus fréquent, elle est segmentée en granulations et
forme
des varicosités (type 3) ; ou bien elle a totalem
spect gélatineux ; on trouve du pus concret sous l'arachnoïde, sous
forme
d'îlots et de traînées le long des vaisseaux, s
la variole dans le cours de son enfance. Ces maladies ont revêtu la
forme
bénigne. Une de ses soeurs, plus âgée qu'elle,
sont dans la supination et un peu dans l'ab- duction. L'avant-bras
forme
avec le bras un angle très ouvert d'en- viron H
elques faits qui l'ont précédée et qui ont eu de l'influence sur la
forme
des attitudes passionnelles. La veille, c'est-à
es crises ou dans celles qui surviennent au cours de la maladie, la
forme
et le motif des hallucinations et du délire. Ma
eut-on admettre les dépendances de l'hystérie qu'elle qu'en soit la
forme
, à l'égard des maladies des organes sexuels de
xis- tence en plein canal vertébral d'un sarcome à cellules fusi-
formes
, péridure-mérien qui, implanté sur la face antéri
trophique; les formules normales y sont conservées, mais avec des
formes
spéciales des secousses musculaires. Après avoi
ssu con- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2 i 9 jonctif est dû à une
forme
d'obstruction lymphatique qui peut être rapport
'individu est aliéné ou ne l'est pas. Ensuite, le tribunal, sous la
forme
impersonnelle et irresponsable, jugerait en chamb
ir à une seule et même plaque terminale. 4° Il existe de nombreuses
formes
de transition entre les appareils termi- naux m
ant plusieurs jours, se présentant à leur plus faible degré sous la
forme
du grand mal de Faire, mais laissant derrière e
a connaissance, à la suite de perturbation mentale épileptique sous
forme
d'accès. Des vertiges el vomissements considéré
s dans le conduit auditif externe la présence d'un corps ayant la
forme
d'un bracelet; c'est un canal semi-circulaire. M.
e du nerf optique de par une affection' intra-cra- nienne, sous une
forme
encore inconnue. Contribution ci l'hislor.hiuli
us de syphilitiques dans la paralysie générale que dans toute autre
forme
de psychose. M. Hundoegger attaque la question
ledic. XXXIX; 2 et 3). P. 1 BIBLIOGRAPHIE De la manie chronique à
forme
rémittente; par S. Marit. Thèse de Paris, chez
Sainte-Anne, passe en revue les caractères communs aux différentes
formes
de manies revenant par accès et désignées 'indi
al, mais sans manifestations délirantes; c'est la manie chronique à
forme
rémittente. Les accès reviennent à des époques
u lauréat en monnaie d'or des États-Unis, ou, s'il le préfère, sous
forme
d'une médaille avec inscription et devise. So
ion-nettement opaque,, est ? distendue par un caillot adhérent, qui
forme
une sorte de tube,fibrineux décoloré dont. le,
st encore noir, et rouge. , " . Le lobule paracentral a conservé sa
forme
, mais sa substance offre un aspect spongieux, u
partie) supérieure ; ? f tl 1 1"t)11J 1 1) I) .Ju 1 1 . elle a une
forme
triangulaire a sommet intérieur,. le sommet , s
t;,> ? ,.t ? l utr,o,,n7Vf .rf(W `lnrl'i.·yttihfn, dune certaine
forme
de la contracture musculaire une 1" ? r ? · 1 .
avons, donc : soumis aux itibilatioiis ide. chloro- ', ' ? iJ . w
forme
uuemaladehypuotisée : et,,en;létâtde,létharie e
; qui, , jointes, à, la,phase. léthargique, constituent rles- trois
formes
, fondamentales de.l'hypno- tisme hystérique, ai
l'auteur traite ensuite des, céphalalgies temporales qui, sous la'
forme
de migraine,- précèdent, dans les cas invé- tér
causent la brusquerie des phé- nomènes, les hystéries aiguës ouïes
formes
chroniques. C'est pourquoi les climats, les peu
arition de la sécrétion sanglante..... , D. BERNARD. XXX. SUK une
forme
particulière ET curable DE myélite centrale dif
lite centrale diffuse elle-même (Vulpian). 11 s'agissait donc d'une
forme
nouvelle de myélopathie généra- lisée et chroni
t suppo- ser les symptômes observés. , ? ,. D. B. , .YlL'SU12 une
forme
particulière de crises gastriques non gastralgi
e vomissements, il faut désormais décrire chez les tabétiques une
forme
beaucoup plus rare de crises gastriques, caractér
se voient des corpuscules libres, ayant les mêmes caractères, comme
forme
et comme dimension, que ceux qui sont contenus
corps solides et non comme des cavités; celui-ci les fixe dans leur
forme
et les colore en brun. ' Quelles sont maintenan
els au professeur IIagen, sont relatifs à un délire aigu et à trois
formes
de mélancolie. Ces trois dernières , complexes
un délire aigu ou l'équivalent des convulsions urémiques, sous la -
forme
de lypémanie et manie actives, accompagnées d'h
ne corticale motrice. 2° Voici le cas décrit sous la rubrique : Une
forme
mixte, cotis/t- tuant la transition de la paral
E. 367 des sujets jusqu'alors bien portants. C'est a cette dernière
forme
que M. Drosdow applique le nom de morbus Ilypno
' dégénérescence qui 'gagne dej6urenjour,"qu'il faut. attribuer les
formes
de la folie systématique empruntant ? su (161)L
se révèle dans les.moeurs, coutumes,,et souvent jusque.. dans des
formes
plastiques. Du reste, il en existerait tojsdegrés
conscient. Un acte inconscient est bien fréquent dans l'épilepsie à
forme
larvée ou vertigineuse. M. B1LL01). Certaines f
l'épilepsie à forme larvée ou vertigineuse. M. B1LL01). Certaines
formes
de paralysie générale se manifestent aussi par
che de loi sur la pénalité de l'ivresse, à faire ressortir, sous la
forme
de pétition SOCIÉTÉS SAVANTES. 391 1 adressée
nder, les conclusions du bureau. La discussion roule enfin sur la
forme
des questions. On remet sur le tapis le questio
ortes, guérissables. Curables aussi se montrent en général diverses
formes
d'aliénation infantile liée à de la fai- blesse
iénation infantile liée à de la fai- blesse. Critiques. -Bien des
formes
d'idiotie s'améliorent parle traite- ment médic
niennes avec l'indication des hauteurs, comparaisons graphiques des
formes
réduites au pantographe, tels sont les résultat
qu'une entité psychopathique bien nette. Ce ne serait guère qu'aux
formes
désormais stables (démence légère, grand nombre
cillité (faiblesse intellectuelle congénitale). Le diagnostic de la
forme
psychopathique importe moins que la considérati
discussion qui se résume ainsi : Faufil exiger le diagnostic de la
forme
morbide (Sander) ? Couvieut-ild'adoltur le tabl
des insuffisants ; la première loi prescrivant un placement con-
forme
à l'état mental du criminel (1800) ; la loi de 18
t caraco tériséc par des trémulations rhythmiques survenant sous la
forme
d'accès, à propos d'un mouvement intentionnel o
t jaune). Il fournit neuf observations tendant à faire admettre une
forme
particulière de démence mixte, distincte de la
la démence paralytique et de la démence athéromateuse simple; cette
forme
cliniquement se traduirait par des symptômes ps
M. A. Voisin, qui, dans les autopsies de cette 412 BIBLIOGRAPHIE.
forme
, a constaté une prédominance des lésions athéroma
ysie générale, rares ou partielles ; parce que l'admission de cette
forme
de paralysie générale sénile subordonnée presqu
e la paralysie générale. L'auteur, dans ses conclusions, dit que sa
forme
mixte peut être diagnostiquée pendant la vie à
pas rapportée. Charpentier. Traité clinique de la folie à double
forme
(folie circulaire, délire ci formes alternes) ;
té clinique de la folie à double forme (folie circulaire, délire ci
formes
alternes) ; par A. BITTI (ouvrage couronné par l'
folie circulaire (Falrc[), folie ti double 2)hase (Billod), folie à
formes
alternes (Délaye), délire « formes altei,izes (
double 2)hase (Billod), folie à formes alternes (Délaye), délire «
formes
altei,izes (Le-riiid du Sau])e),pc/tOsec ! /c ? f
barras de la parole, l'inégalité pupillaire, des attaques épilepti-
formes
. Dans les accès à courte période, l'agitation sur
lreL). Pour M. Ritti, ce dernier mode d'évolution carac- térise une
forme
d'aliénation périodique, une folie périodique ci
térise une forme d'aliénation périodique, une folie périodique ci
formes
alternes, qui doit être séparée de la folie à dou
ique ci formes alternes, qui doit être séparée de la folie à double
forme
. Quel que soit son mode d'évolution, l'accès se
égulièrement espacés. Quant à sa marche, elle se présente sous deux
formes
: Io folie ci double forme à type périodique (f
à sa marche, elle se présente sous deux formes : Io folie ci double
forme
à type périodique (folie à double forme de Marc
formes : Io folie ci double forme à type périodique (folie à double
forme
de Marcé), caractérisée soit par des accès isol
s les unes des autres par un intervalle lucide ; 2° folie ci double
forme
ci type continu (folie circulaire de larcé), sans
d'autant plus difficile que la paralysie générale peut affecter la
forme
circulaire (Espiau de la llac'stre, Fabre, etc.
aire (Espiau de la llac'stre, Fabre, etc.) et que la folie à double
forme
peut comme la paralysie générale se développer
lquefois, la maladie se ter- mine en se transformant sous une autre
forme
de folie, mélancolie ou manie. Quand la mort ar
uxième leçon contient une description très complète des différentes
formes
de l'épilepsie : grande attaque, vertige, absence
rasser les cinq doigts à leur racine, et moulé grossièrement sur la
forme
de la main, de façon que le pouce y puisse occu
ns délires aigus ne présentent aucune lésion à l'autopsie; mais ces
formes
sont rares, et, sans les nier, l'auteur étudie su
, le cours et la fin de l'), pal' Lecoq, 250. Ataxie locomotrice (
forme
particu- lière de crisesgatriques, non -as- t
40. Folie chez les enfants, par illoeller, 365. Folie à double
forme
, par Ritti, 4 ! 2. Folie systématique, par Juna
deux organes, par Fiii-stitei- et Zacher, 373. Manie chronique a
forme
rémittente, par 268. ' Méningite tuberculeuse
te des cornes grises, 120. .Myélite centrale iiiiitise chronique (
forme
particulière et curable), par Déjelinc, 3311.
rurale par irritation de la région paracentrale. — Fréquence de cette
forme
de l'épilepsie Jacksonienne; raisons tirées de la
ues. Nous avons, M. Ballet et moi, appris à connaître ces hystéries à
forme
d'épilepsie partielle, et, pour ne parler que du
ons terminales de ces trois branches artérielles. De plus, comme elle
forme
le point culminant de l'hémisphère, ces branches,
sances sur le rôle des centres moteurs : Un agglomérat tuberculeux se
forme
, au niveau de la région paracentrale, constitué p
objets extérieurs. On sait que c'est là une caractéristique d'une des
formes
du délire hystérique. Il présente, lui aussi, une
ses leçons. Leur diagnostic est souvent des plus embarrassants. Les
formes
simples, les moins rares, sont celles qui ressort
La difficulté s'accroît considérablement dès qu'il s'agit des autres
formes
, de celles que M. Charcot a proposé de désigner s
érences, en apparence considérables, qui séparent les variétés de ces
formes
, présentent comme limites extrêmes d'un côté la p
ystérique et hypnotique. Le somnambulisme épileptique comprend deux
formes
: grand et petit automatisme. Le somnambulisme hy
sme. Le somnambulisme hystérique admet un nombre extrêmement varié de
formes
— dont nous avons décrit quelques types — mais qu
irée par lui sur quelques-unes d'entre elles et en particulier sur la
forme
délirante de l'attaque (1). Dans ses leçons clini
esque innombrables qu'on pourrait signaler dans ce groupe, il est une
forme
, pas très fréquente à la vérité, qui paraît mérit
fréquente à la vérité, qui paraît mériter une mention spéciale.Cette
forme
est caractérisée par le bizarre changement de la
Chez cette jeune fille nous voyons les accès se produire sous deux
formes
bien distinctes. Tout d'abord l'élément convulsif
t une demi-minute environ. Puis toujours les mêmes scènes, la bête en
forme
d'araignée, grosse comme une tortue, toute noire
'ici le délire hystérique de la phase passionnelle se manifester sous
forme
d'épisode d'une durée relativement courte, bien q
ons tout à l'heure à la seconde). « c) Le somnambulisme apparaît sous
forme
d'accès distincts chez une malade qui, d'autre pa
e type modèle auquel on vient rapporter et comparer toutes les autres
formes
rencontrées. Jamais il ne nous est venu à l'idée
des hors l'état d'attaque (1). » Une pareille affirmation, sous cette
forme
du moins, est peut-être un peu absolue. Mais elle
Pitres. — Loc. cit., p. 286. (2) Blanc-Fontenille. — Etude sur une
forme
particulière de délire hystérique (délire avec ec
ce qui les entoure que des corps sans personnalité ou des objets sans
forme
définie, simples obstacles matériels qu'ils tourn
its garçons et petites filles, chez qui elle revêt le plus souvent la
forme
délirante. Mais, dans ces divers cas, il y a à
en qu'identiques quant au fond, ne se ressemblent pas tous quant à la
forme
. L'attaque à forme de délire se voit de préférenc
ant au fond, ne se ressemblent pas tous quant à la forme. L'attaque à
forme
de délire se voit de préférence chez l'enfant. L'
furieux, tous les types de transition se rencontrent, constituant les
formes
très variées en apparence, mais identiques dans l
zones hysté-ro-frénatrices, dont l'excitation fait cesser l'attaque à
forme
spéciale dont la malade est affectée, en provoqua
lle suggestioni. (Giorn. di Neuropath , 1885). Charcot, t. ii. 13
forme
un peu anormale et mélangée de phénomènes hypnoti
uite d'une attaque con-vulsive, laquelle se présente toujours sous la
forme
typique de la grande attaque décrite par M. Charc
on de détails dans le livre déjà cité de MM. Bourru et Burot, dont il
forme
, pour ainsi dire, la base et le fondement. (1)
stérie à allure épileptiforme qui se reproduisent plusieurs fois sous
forme
d'états de mal pendant cette période. (1) Voir
s encore sur les sens spéciaux. L'anesthésie cutanée, distribuée sous
forme
d'hémianesthésie dans l'état normal, était totale
nt soutenue par notre maître, à savoir que l'état second n'est qu'une
forme
particulière de l'attaque avec prédominance de la
que toujours grande attaque convulsive, arcs de cercle ou attaques à
forme
épileptoïde marquent la fin et le commencement de
nchit le seuil de sa porte restée ouverte et, brusquement, sans autre
forme
de procès lui dit : « Madame D..., préparez un li
suspecter sa véracité et sa bonne foi. Bientôt un rassemblement se
forme
dans la maison et, pendant qu'on prodigue à cette
ité un souvenir inconscient, car elle ne sait ni la grandeur, ni la
forme
, ni la couleur de ce carnet ; elle ne le reconnaî
'attaque d'hystérie, d'une attaque d'hystéro-épilepsie prolongée sous
forme
d'amnésie. Vous savez que la période délirante de
le-ci sous le nom de glycosurie d'origine tabétique. Ce sont là des
formes
cliniques du tabès et du diabète indiscutables, p
et des mollets. Ces douleurs sont vives etcourtes, quotidiennes, sous
forme
d'accès qui durent une heure environ et se répète
nce d'un corps au bout de mes jambes, mais je ne puis rien dire de sa
forme
ni de ses limites. C'est une chose indéterminée,
heures une quantité de sucre égale ou supérieure à celle que le foie
forme
journellement à l'état normal, soit 200 grammes a
tion motrice se manifestant dans les jambes et les bras, d'abord sous
forme
d'incertitude, puis avec les caractères ataxi-for
vations de MM. Desnos (5), Féréol (6) et Hallo-peau (7). Mais cette
forme
clinique do la paralysie de ce nerf a été surtout
nce grisâtre dont le centre est plus ou moins analogue à du mastic et
forme
un noyau central à bords irréguliers. Le nodule l
s du bord inférieur de la protubérance (Fig. 12), elle se montre sous
forme
d'un petit noyau à droite du raphé, et à quelques
près du néoplasme est situé en deçà du raphé ; mais, en raison de sa
forme
circonféren-tielle, il n'intéresse pas le noyau d
noyau gauche correspondant n'est pas encore affectée, en raison de la
forme
du néoplasme. Fig. 15. Fig. 16. Sur les coupe
tre {Fig. 16), mais ils ne tardent pas à se réunir, figurant ainsi la
forme
d'un 8 dont la longueur est de 2 centimètres {Fig
aire gauche ait été tardivement intéressé. Cependant, en raison de sa
forme
circulaire, le tubercule n'a pas détruit ce noyau
s préparations, des cellules nerveuses, encore reconnaissables à leur
forme
et à leur volume, dépourvues de leur prolongement
les différents types de myopathie, et qui n'en font en somme que des
formes
diverses d'une seule et même affection (2). Quelq
pes distincts de myopathie : la paralysie pseudo-hypertro-phique ; la
forme
juvénile de l'atrophie musculaire de Erb ; l'atro
arie et Georges Guinon. — Contribution à l'étude de quelques-unes des
formes
cliniques de la myopathie progressive primitive ;
la myopathie progressive primitive ; paralysie pseudo-hypertrophique,
forme
juvénile de Erb, atrophie infantile héréditaire d
c M. Dejerine fondait définitivement l'anatomie pathologique de cette
forme
d'amyotrophie, connue communément aujourd'hui sou
t de démontrer que ces trois espèces d'amyotrophies n'étaient que des
formes
diverses d'une seule et même affection : la myopa
rt, identité de nature de la paralysie pseudo-hypertro-phique et delà
forme
de Erb, établie par Erb lui-même dans ses importa
i-même dans ses importants travaux ; d'autre part, également entre la
forme
de Erb et la forme facio-scapulo-humé-mérale de L
ortants travaux ; d'autre part, également entre la forme de Erb et la
forme
facio-scapulo-humé-mérale de Landouzy-Dejerine, i
e son évolution, lorsque la face est prise en dernier lieu, un cas de
forme
facio-scapulo-humérale peut rester longtemps un p
l'autre les deux types extrêmes : paralysie pseudodiypertrophique et
forme
de Landouzy-Dejerine. Mais la démonstration d'ide
tardif do MM. Landouzy et Dejerine in Rev. de méd., 1886. ces deux
formes
ce que M. Erb avait fait pour la form.3 juvénile
nance de la pseudo-hypertrophie) ; il a montré l'hypertrophie dans la
forme
juvénile de l'atrophie musculaire (myopathie avec
ie avec prédominance de l'atrophie). Il fallait faire de même pour la
forme
facio-scapulo-humérale en constatant sa coexisten
t par une partie du muscle grand pectoral. Le creux sous-claviculaire
forme
un méplat dont les dimensions verticales sont sup
e la cuisse, les membres sont atrophiés. Le bord interne de la cuisse
forme
une ligne à concavité interne. A droite l'articul
et suivantes. non, constaté chez ses malades lorsqu'il décrivit la
forme
infantile héréditaire de l'atrophie musculaire pr
myélopathiques et que l'on sait aujourd'hui n'être autre chose que la
forme
facio-scapulo-humérale de la myopathie. Donc, à
a myopathie. Donc, à notre avis, ce cas rentre légitimement dans la
forme
facio-scapulo-humérale. Voici, d'ailleurs, la r
uscles. Observation II (personnelle). Myopathie progressive de la
forme
facio-scapulo-humérale. — Faciès myopathique typi
s déjà à notre avis, plaidassent en faveur de l'identité des diverses
formes
de myopathie, il manquait cependant, pour que la
tatation de la combinaison possible de la pseudo-hypertrophie avec la
forme
facio-scapulo-humérale, comme cela existe pour la
ophie avec la forme facio-scapulo-humérale, comme cela existe pour la
forme
scapulo-humérale ou juvénile de Erb, dont l'ident
s dès 1885 par M. le Pr Charcot, M. P. Marie et moi, à l'identité des
formes
diverses de myopathie : paralysie pseudo-hy-pertr
des formes diverses de myopathie : paralysie pseudo-hy-pertrophique,
forme
juvénile de Erb, forme facio-scapulo-humérale de
myopathie : paralysie pseudo-hy-pertrophique, forme juvénile de Erb,
forme
facio-scapulo-humérale de Landouzy-Dejerine. Et p
l, tantôt associées comme dans la paralysie pseudo-hypertrophique, la
forme
sca-pulo-humérale de Erb et la forme facio-scapul
alysie pseudo-hypertrophique, la forme sca-pulo-humérale de Erb et la
forme
facio-scapulo-humé-rale de Landouzy-Dejerine. D
tre maître, M. le Pr Charcot, où il était entré atteint de myopathie (
forme
de Erb), diagnostiquée pendant la vie et confirmé
s dans l'intérieur du thorax. Quant au second élément de ce vice de
forme
, il (1) P. Marie et Onanoff. — Sur la dé format
s présentons à ce propos un malade, le nommé B..., qui, atteint de la
forme
facio-scapulo-humérale de la myopathie, offre au
malades cités dans le numéro précédent et qui, atteint de myopathie (
forme
Lan-douzy-Dejerine), présentait des muscles pseud
paraît être assez fréquente puisque, sur cinq myopathiques de toutes
formes
, actuellement présents dans le service de cliniqu
as sur sa face le cachet typique de sa maladie, c'est-à-dire dans les
formes
scapulo-humérales, la constatation d'une semblabl
arie et Georges Guinon. — Contribution à l'étude de quelques-unes des
formes
de la myopathie progressive primitive, etc. (Rev.
re de prodromes, sont éminemment variables, revêtent toutes sortes de
formes
, quelquefois celle du délire. Ils paraissent beau
oriels, etc. Enfin, nous avons remarqué la fréquence relative d'une
forme
d'aura encore peu étudiée et que nous classons so
sions qui n'ont jamais cessé. De 11 à 17 ans, les accès ont revêtu la
forme
procursive. Accès caractéristique : cri, pâleur
etit diminutif de la crise jacksonnienne typique à début lingual, qui
forme
l'aura vraie. Au contraire les observations I e
tique, au contraire, y est entraîné souvent par une aura qui prend la
forme
de colique et, arrivé là, il tombe en crise. Si
e. Un autre se rapporte à une malade chez laquelle l'aura revêtait la
forme
du syndrome : vertige de Ménière, c'est-à-dire
avons pu réunir, il semble qu'elle soit loin d'être rare, puisqu'elle
forme
à elle seule presque le quart de la totalité de n
s délirantes à l'âge de 14 ans, qui ont duré quatre ans sous diverses
formes
et ont cessé depuis. De 20 à 22 ans, excès alcool
ttirer spécialement l'attention. C'est la fréquence relative de cette
forme
un peu inattendue de l'aura comitiale. Nous la tr
part, des phénomènes spécifiques. Leur association sous une certaine
forme
, leur allure générale, leur durée, en font dans c
qui donnent les chiffres les plus élevés, et que, parmi les diverses
formes
de l'aura, il en est une, l'aura hystéroïde, qui
8 Amyotrophies d'origine indéterminée..... 10 Myopathie de toutes
formes
......... 7 Hémilésion de la moelle (syndrome de
tte.—Notes sur quelques paroxysmes hystériques peu connus; attaques à
forme
de névralgie faciale, etc.. (Prog. mèd., 1891. ¹
ère nosographique et de signification clinique, se présenter sous des
formes
très variées, très diverses, s'éloignant quelquef
ce du moins, du type toux (tussis) ou du type hoquet (singultus). Ces
formes
sont désignées communément d'après la ressemblanc
seulement par un ingénieux mécanisme (1). II. — Quelle que soit la
forme
qu'affectent les bruits laryngés des hystériques,
comme les autres bruits lanmgés hystériques, se présente souvent sous
forme
^Wc^^pbaj^ou moins prolonges, se montrant en génér
dans laquelle ces accidents existent représente en quelque sorte une
forme
anormale, un groupe à part ; ainsi les attaques c
c. Il semble en somme qu'il y ait une sorte d'antagonisme entre cette
forme
et les autres. Et c'est là une circonstance qui,
te, a dit H. Spencer, c'est déjà l'acte en puissance, l'acte sous une
forme
affaiblie, l'acte en germe. La pensée, a dit Bain
s esprits, un état psychique analogue à celui qui s'observe, sous une
forme
typique, dans le somnambulisme artificiel. Et dan
uté de bien important depuis, ce me semble. Cet auteur décrit trois
formes
d'encéphalopathie saturnine; ce sont les formes d
t auteur décrit trois formes d'encéphalopathie saturnine; ce sont les
formes
délirante, comateuse et convulsive. La forme conv
saturnine; ce sont les formes délirante, comateuse et convulsive. La
forme
convulsive, ou épilepsie saturnine, est la plus f
un côté du corps, et chez K..., il y a aussi, parfois, des attaques à
forme
d'épilepsie partielle; mais, dans l'épilepsie sat
ettre ces attaques sur le compte du saturnisme, il faudrait créer une
forme
nouvelle d'épilepsie saturnine, différente, à tou
M. Ballet et Crespin, dans leur travail sur les attaques d'hystérie à
forme
d'épilepsie partielle. L'an dernier j'ai montré
é droit du corps, c'est-à-dire du côté paralysé (attaque hystérique à
forme
d'épilepsie partielle). Le malade fut renversé, e
rurale par irritation de la région paracentrale. — Fréquence de cette
forme
de l'épilepsie jacksonnienne; raisons tirées de l
partielle, 1 ; — crurale, 8; — hystérique, 8, 9; Attaque d'hystérie à
forme
d'—, 70, 132. F Facial : névralgie —e dans l'
51) ; Phase des attitudes passionnelles dans l'attaque d' —, 64, 71 ;
Forme
délirante de l'attaque d' —, 71 ; — infantile, 76
4, 71 ; Forme délirante de l'attaque d' —, 71 ; — infantile, 76, 77 ;
Formes
frustes de l'attaque d'-, 133; Suicide dansl'—, 1
es frustes de l'attaque d'-, 133; Suicide dansl'—, 103; Attaque d'— à
forme
d'épilepsie partielle, 70, 132; — et amnésie rétr
rimitive : — type Landouzy-Dejerine avec pseudo-hypertrophie, 367 ;
Formes
diverses de la — , 368 ; Identité des formes de l
eudo-hypertrophie, 367 ; Formes diverses de la — , 368 ; Identité des
formes
de la —, 368, 383 ; Contractions fébrillaires d
- riole qui procède de l'une d'elles; l'anastomose de ces rameaux
forme
à 1,a surface des deux renflements un réseau à
ls, qui relèvent, sans doute, d'influences circulatoires. Certaines
formes
de névralgies, certains troubles fonctionnels,
s symbolisant ses idées délirantes. Ici je ne veux parler que de la
forme
même de son délire : il présente en effet à un
scu- table au point de vue spécial qui m'occupe. Il semble que la
forme
classique, complète, du délire de per- sécution
ue la forme classique, complète, du délire de per- sécution soit la
forme
délire chronique systématisé (Magnan) '. Et, d'
des mollets. Ces douleurs sont vives et courtes, quotidiennes, sous
forme
d'accès qui durent une heure environ et se répè
e d'un corps au bout de mes jambes, mais je ne puis rien dire de sa
forme
ni de ses limites. C'est une chose indéter- min
nosographique et de signification clinique, se présenter sous des
formes
très variées, très diverses, s'éloignant quelque-
du moins, du type toux (tussis) ou du type hoquet (sin.qultus). Ces
formes
sont désignées communément d'après la ressembla
mé seulement par un ingénieux mécanisme '. II. Quelle que soit la
forme
qu'affectent les bruits laryngés des hystérique
autres bruits la- ryngés hystériques, se présente souvent sous
forme
d'accès plus ou moins pro- longés, se montran
s laquelle ces accidents existent repré- sente en quelque sorte une
forme
anormale, un groupe à part ; ainsi les attaques
Il semble en somme qu'il y ait une sorte d'antagonisme entre cette
forme
et les autres. Et c'est là une circonstance qui
dit H. Spen- cer, c'est déjà l'acte en puissance, l'acte sous une
forme
affaiblie, l'acte en germe. La pensée, a dit Bain
esprits, un état psychique analogue à celui qui s'observe, sous une
forme
typique, dans le somnambulisme artificiel. Et d
inte à la base) qui s'étend à toute la muqueuse buccale tantôt sous
forme
d'accès, tantôt à l'état permanent. Sommeil et
le d'établir un diagnostic différentiel réellement certain entre la
forme
névropathique (spinale) et la forme myopathique
l réellement certain entre la forme névropathique (spinale) et la
forme
myopathique de l'atrophie musculaire. Nous ne tro
la moelle ? Enfin, souvent on néglige l'examen des muscles dans la
forme
spinale et cependant, on y trouverait des altér
ependant, on y trouverait des altérations semblables à celles de la
forme
myopa- thique. Voici, par exemple, dans une fam
886), tandis que sa soeur "âgée de dix-neuf ans et demi présente la
forme
spinale : il existe dans la famille une tare hé
e une tare héréditaire névro et psychopathique ; par 'conséquent la
forme
myopathique émane aussi du système ner- veux ce
ainsi. La première observation s'est présentée cliniquement sous la
forme
d'une affection spinale, dans la seconde il sembl
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE QUELQUES
formes
aiguës d'aliénation mentale ET DE leurs rapport
dévelop- pement de la paronoïa avait indiqué des cas aigus de cette
forme
d'aliénation mentale. A l'assemblée annuelle
) autrement dit la paranoïa, fut reconnue à l'unanimité comme une
forme
distincte, tandis que de sa modification aiguë, n
e de la folie primaire servit presque uni- quement pour indiquer la
forme
chronique et de la forme aiguë il ne fut plus q
rvit presque uni- quement pour indiquer la forme chronique et de la
forme
aiguë il ne fut plus question dans les écoles a
en France où M. Magnan et ses élèves démontrèrent l'existence d'une
forme
d'aliénation mentale, le délire chronique, cara
érisée justement par les mêmes symp- tômes qui font l'essence de la
forme
typique de la paranoïa chro- nique des auteurs
ranoïa chro- nique des auteurs allemands. Cependant l'étude de la
forme
aiguë a été reprise au cours de ces dernières a
la psychiatrie clinique de Schüle, nous retrouvons de nouveau deux
formes
de délire systématisé primitif ou paranoïa, la
nouveau deux formes de délire systématisé primitif ou paranoïa, la
forme
aiguë et la forme chronique, réunies dans le mê
es de délire systématisé primitif ou paranoïa, la forme aiguë et la
forme
chronique, réunies dans le même chapitre, comme
veau valide. Mais Schùle montre la nécessité de bien distinguer les
formes
aiguë et chronique, la paranoïa chronique rentran
ïa aiguë appartient au groupe des psycho-névroses, cette der- nière
forme
étant considérée comme un état hallucinatoire, de
des sens l'accablant soudainement. Il ne les réunit qu'à cause des
formes
intermédiaires qui ne sont, pour ainsi dire, qu
aires qui ne sont, pour ainsi dire, que la répétition abrégée de la
forme
chronique et dans lesquelles la maladie débute
pas autre chose que la folie hallucinatoire aiguë, c'est-à-dire la
forme
aiguë de la « Wahsinn ». L'école française n'
les foi mes aiguë et chronique du délire primitif dans une seule
forme
moi bide. Mais, d'autre part, la forme aiguë n'a
lire primitif dans une seule forme moi bide. Mais, d'autre part, la
forme
aiguë n'a pas été bien longtemps reconnue comme
me la mélancolie, la manie, la démence, etc. En dernier lieu, ces
formes
ont été bien connues sous le nom de délire d'em
IE MENTALE. remarquer que ni Kralft, Ebing ni Schüle ne prennent la
forme
aiguë de la paranoïa pour une manifestation de
lire d'emblée de M. Magnan n'embrasse pas toutes les variétés de la
forme
aiguë. En résumé, à mesure que les observations
ont accu- mulées, on a vu se produire la tendance à reconnaître les
formes
aiguës comme un groupe indépendant d'aliénation
sur elle une opinion admise de tous, de même que sur le rapport des
formes
aiguës avec la forme chronique du délire chroni
dmise de tous, de même que sur le rapport des formes aiguës avec la
forme
chronique du délire chronique, du délire systém
rapports que l'auteur nous présente une série d'observations de la
forme
aiguë prises dans la clinique du pro- fesseur M
17 7 nation, d'où la nécessité de les séparer de toutes les autres,
formes
d'affections psychiques. Dans la mélancolie e
la dépression ou avec l'exaltation. Quant à la différence entre les
formes
aiguës étudiées dans ce travail, avec le délire
idité de la conscience et l'absence de la réaction affective. Ces
formes
aiguës ont donc le droit d'être classées dans un
Reste à savoir dans quel groupe des affections psychiques placer la
forme
mentionnée ? Doit-on la classer parmi les psycho-
tionnée ? Doit-on la classer parmi les psycho-névroses ou parmi les
formes
de dégénérescence psychique ? La plupart des au
rescence psychique ? La plupart des auteurs qui ont écrit sur cette
forme
se prononcent contre le carac- tère dégônératif
lle ou d'une maladie générale, il y aurait lieu de considérer cette
forme
d'aliénation mentale comme un des modes de réac
influences défavorables et de la placer avec Krafft-Ebing parmi les
formes
primitives de l'alfection psychique, telles que
élirantes et des erreurs des sens se calme, et, de leurs restes, se
forme
l'un ou l'autre délire stationnaire. Mais puisque
reurs des sens et le délire d'emblée sont propres encore à d'autres
formes
psychopathiques, qui n'ont rien de commun avec la
ésistible par accès (echokinésie, logokinésie), surve- nant sous la
forme
d'épisodes avec mouvements impulsifs, dans la m
es symptômes locomoteurs respiratoires et conceptuels dans les deux
formes
morbides. D'autre part, il n'y a pas de pensée
ues Ce premier volume, illustré de figures dues à M. Paul Richer,
forme
un ensemble bien complet. En deux mots c'est l'hi
nts articulaires, alternant avec eux, leur suc- cédant ; variant de
forme
selon les circonstances, ce qui ne permet pas d
es circonstances, ce qui ne permet pas d'admettre l'existence d'une
forme
déterminée de folie rhuma- tismale, mais présen
Etat actuel. G... est de taille petite, ses membres sont grêles de
forme
. Il n'est point amaigri cependant et son visage e
corps (mains, cuisses, etc.), mais qui, parfois, se produisent sous
forme
d'attaque d'épilepsie sensitive. En pareil cas,
côté jusque dans la main et les doigts. C'est là, bien que sous une
forme
atténuée, un véri- table accès d'épilepsie sens
tions différentes. D'abord, ils peuvent avoir des accès délirants à
forme
maniaque et d'une intensité extrême pendant le
chronique.. ,, : il ' 'J .1111 " ." \"1'\ , ,I(I..Ç'S dans, cette,,
forme
d'aliénation .appelée . folie «alcoolique , sub
i De même; le suicide,, qui, n'est,pas rare non plus dans,cette,
forme
, d'alcoolisme, -n'est pas ,le résultat d'une im
res une quantité de sucre égale ou supé- rieure à celle que le foie
forme
journellement à l'état normal, soit 200 grammes
on motrice se manifestant dans les jambes et les bras, d'abord sous
forme
d'incertitude, puis avec les caractères ataxi-
d'abord sous forme d'incertitude, puis avec les caractères ataxi-
formes
; trouble de la parole; absence de douleurs fulgu
es quadrijumeaux. Ces lésions accompagnent communément les diverses
formes
de démence, quelle qu'en soit l'origine. R. M.
ental Science, janvier 1889.) Courte, mais intéressante étude d'une
forme
un peu spéciale d'aphasie (peut-être serait-il
ection du genou, ils ne se montrèrent qu'après une semaine, sous la
forme
d'un accès subaigu de manie, avec mélancolie et
DE PATHOLOGIE MENTALE. 227 manie consécutive à l'opération revêt la
forme
aiguë, que lors- qu'elle prend la forme chroniq
tive à l'opération revêt la forme aiguë, que lors- qu'elle prend la
forme
chronique. L'auteur souhaite en terminant que d
r du petit nombre de cas observés par lui. R. M. C. XXIX. SUR UNE
forme
rare d'affection mentale (G)'M6et<C/t<) ; p
- tal a été considéré par quelques auteurs français comme une des
formes
de la folie du doute; elle s'en distingue pourlan
DYSl01lPII0PII0BIE ET la TAPIIÉPliOBIE dans LEURS rapports avec LES
formes
analogues DE folie du DOUTE (Paranoïa 1'tldimenta
équentes ; on peut constater de ''l'anesthésie dans les différentes
formes
de folie chronique, ainsi que dans l'imbécillit
ique, dont l'auteur examine les manifestations dans les différentes
formes
vésaniques. Nous ne pouvons entrer ici dans une
loi du bain turc : 1° Comme agent curatif : A, dans les différentes
formes
de folie alcoolique et dans les autres folies t
e fréquemment chez les goutteux d'un âge mûr ou avancé; C, dans les
formes
de mélancolie qui s'accompagnent de sécheresse
ou des mois plus tard, les mêmes symptômes reviennent revêtant une
forme
grave, à des intervalles périodiques, s'accompa
ient au niveau des cloisons et des espaces péri-vasculaires sous la
forme
de cellules granulo- graisseuses accumulées; le
ne autour de la papille et de la macula qui se présente ici sous la
forme
d'une plaque d'un Touge cerise. La perception l
malade le boive aussi chaud que possible. De cette manière il ne se
forme
que peu SOCIÉTÉS savantes. 253 de précipité e
. le professeur Charcot, l'auteur s'est proposé d'étudier certaines
formes
rares de l'hystérie dont l'ignorance pourrait c
choperturbateurs de la lutte pour la vie et de la civilisation. Les
formes
psychopathiques sont à peu près les mêmes chez
304 CLINIQUE MENTALE. névrose; et dire que : quelle que soit leur
forme
: exta- tique, cataleptique, - syncopale, létha
pre, puisque l'héré- dité exerce son action, rayonne sur toutes les
formes
vésaniques : qui dit. psychoses, dit maladies é
rler simplement de l'apparition du dissemblable, c'est-à-dire de la
forme
progressive ou transformée de More), mais on tr
elle-même. Le crâne dans son ensemble est plagiocéphale, il a la
forme
d'une boule irrégulière asymétrique, aplatie d'
par .une luette bifide. Les métacarpiens sont soudés entre eux : la
forme
de la main rappelle celle que prendrait une mai
dégénérescence, on remarque seulement comme chez les onanistes la
forme
en massue de la verge; ses autres organes ne no
core remarqué, les.médecins verront le lendemain qu'il existait une
forme
d'anesthésie hystérique non soupçonnée. Le sens
anesthésies, quelles qu'elles soient, peuvent se présenter sous des
formes
innombrables que nous rangerons dans cer- taine
e royale de médecine de Belgique, 1886, et'du même auteur : Sur une
forme
rare d'amblyopie hystéro-traumatique, bulletin
cipales : 1° les sensations existent dans l'esprit humain sous deux
formes
différentes, sous forme de perceptions per- son
messieurs, que j'avais écrit moi-même ce même mot et avec les mêmes
formes
de lettres. N'est-ce pas une bonne preuve de la
t à lui-même, sans aucun traitement, afin de ne modifier en rien la
forme
des symptômes qu'il. pourrait présenter, ni leu
a sans doute alors des modifications, quant à ses symptômes et à sa
forme
, il se systématisera peut- être davantage et se
st, par conséquent, inutile que je les reproduise en terminant sous
forme
d'un résumé. Mon but principal a été de relat
c'est-à-dire sur la clinique et sur la physiologie cérébrale. La
forme
de ce court travail m'obligeait à présenter d'a
empêcher. Il est évident qu'on a affaire ici à un accès de délire à
forme
mélancolique non pure, mais enté sur un terrain
du nombre des rameaux vasculaires; ainsi, dans l'un des angles que
forme
une branche avec le tronc, il y a toujours un noy
. SCHNOPF- HAGEN. (Jahrbuch. f. Psych £ at., IX, 3.) Expliquer la
forme
de la surface externe du cerveau par la texture
on, telle est la tentative anatomique de l'auteur de ce mémoire qui
forme
les neuf dixièmes du présent cahier. M. Schnopf-
émisphère et surtout l'écorce qui en émane, dans le sens et sous la
forme
qui résulte de leur direction. Ainsi, les fibres
que sorte les actions périphériques et, en les bridant, assurent la
forme
ovoïde des hémisphères. Les sillons de l'écorce
arties des racines de l'accessoire qui affectent en cette région la
forme
d'une anse. On sait que, chez la grenouille,- l
e scinder, de désagréger quelques éléments nerveux du complexus qui
forme
la base organique d'un esprit sain. J. SÉGLAS.
ibition cérébrale et ses suites nous conduisent à supposer qu'il se
forme
entre les cellules ner- yeuses des groupements
s. L'hypothèse, c'est que « durant « la période d'inhibition, il se
forme
entre les cellules nerveuses « des groupements
s la pie-mère, des traces d'hyperhémie récente. , Dans les autres
formes
d'aliénation mentale (folie périodique, épilept
ricules latéraux dilatés etrem- plis de sérosité. Dans toutes les
formes
d'aliénation, l'épaississement de la pie-mère d
vitales, de porter l'attention principalement sur la nature de ses
formes
albuminoïdes. Cette idée générale doit sans dou
toplasma du corps de la cellule en général, contient au moins trois
formes
albuminoïdes : l'albumine, la globuline et la str
e y ont démontré d'une façon indiscutable la présence de toutes les
formes
albumi- noïdes : globuline, stromine et nucléïn
de plus, les colonies d'aliénés de Gheel assistent toute espèce de
formes
vésaniques, même à leurs périodes primitives :
qui les entourent. 11 va de soi que cette amélioration dépend de la
forme
, du degré, de la période de leur perturbation m
professions de nos nourriciers ? 432 SOCIÉTÉS SAVANTES. Etude des
formes
morbides. Les aliénés actuellement en trai- tem
rapport avec les attaques congestives apoplectiformes ou épilepti-
formes
, il est évident qu'en en étudiant les symptômes,
iaux peuvent effrayer, et qui seront heureux de trouver là sous une
forme
concise toutes les méthodes d'examen et de diag
ude anatomique et clinique de l'acromégalie et en particulier d'une
forme
amyotrophique de cette maladie. Volume in-8° de
pérations chirur- Archives, t. XXIII. gicales, par Dent, 226; - à
forme
rare, par Norman, 227; - à cinq, par Woods, 2
s sont paresseuses, toniques, très lon- guement persistantes. Il se
forme
localement des dépressions et des sillons sous
on les contractions se font lentement, paresseusement ; souvent il se
forme
des sillons ou des dépressions plus ou moins pe
substance blanche dépendait surtout de la pression négative qui se
forme
sous l'influence de la suspension. En chercha
ie de prolifération et d'épaississement de la névroglie. Dans les
formes
interstitielles de l'inflammation, les lésions so
i ne suivent ni une marche uniforme ni un type déterminé et dont la
forme
varie dans chaque cas particulier. Le rapport de
rie qui peut se présen- FIÈVRE HYSTÉRIQUE. 45 ter avec toutes les
formes
imaginables et qui fui considérée dans des lemps
lever. Etant déjà apyrétique, des taches congestives, petites et de
forme
irrégulière apparurent aux bras et il la jambe
simule, sans qu'elle existe positivement. Briand (1) établit trois
formes
de fièvre hystérique : 1° Forme lente, primitiv
vement. Briand (1) établit trois formes de fièvre hystérique : 1°
Forme
lente, primitive ou secondaire (celle décrite par
rme lente, primitive ou secondaire (celle décrite par Briquet) ; 2°
Forme
intermittente, généralement de type tierce ; 3°
iquet) ; 2° Forme intermittente, généralement de type tierce ; 3°
Forme
brève, à type typhoïde, ordinairement primitive,
cement de l'hystérie. L'auteur publie 3 observations de la dernière
forme
. Dans les trois cas, les femmes n'avaient pas eu
t la nature hystérique n'est point douteuse. Parmi ceux-ci, trois à
forme
briève, type typhoïde (Briand) ; deux, à type i
u : celui de Debove et celui que je décris. Avec l'antécédent de la
forme
fébrile que l'hystérie avait pris chez cette mala
t des contractures dépendent les attitu- des des membres ; dans les
formes
légères, c'est-à-dire dans des cas où les mouve
le mange par exemple (PI. XII). Mais ces mouvements variables comme
forme
et intensité siègent surtout aux quatre extrémi
es maladies nerveuses, a exa- miné notre malade au point de vue des
formes
extérieures etc., comparaison avec une autre en
gauche. En vérité on peut affirmer qu'il n'existe pas un type uni-
forme
de déviation, Nous avons remarqué en parlant de
each (2), Audry, etc... ont rencontré les mêmes phénomènes sous des
formes
différentes. 2, Troubles intellectuels. État
t du sacrum et du coccyx qui descend verticalement en esquissant la
forme
d'une queue (4). Dans le cas actuel, (1) E. Lan
us connaissons bien mal, il faut l'a- vouer, les proportions et les
formes
du corps. M. Paul Richer, mon collaborateur el
Dans le cours des recherches qu'il a entreprises sur l'anatomie des
formes
, il a imaginé un « canon » de l'homme normal. V
ge de mesures auxquelles il a manqué un lien qui les réunit, et une
forme
d'ensemble qui en fil pour ainsi dire la synthèse
point de repère peut s'appeler la li- gne épi-trochantérienne. Elle
forme
la limite supérieure du membre infé- rieur et s
ni il la pression ! i ou il la percussion. Les modifications de la
forme
générale du corps el de l'atti- tude répondent
x hanches. « La coloune ver- tébrale est déviée. La région lombaire
forme
un angle il sommet dirigé eu ar- rière ». Mort
iné sans doute, comme dans un cas de Pitres, par la modification de
forme
d'une ou de plusieurs vertèbres altérées. Mais
tion de Bad... « La colonne vertébrale est fortement déviée. Elle
forme
un angle sail- tant en arrière et ;i gauche. C'
s lésions. La première est pres- que totalement détruite. Elle a la
forme
d'un coin dont le tranchant serait dirigé vers
es symptômes d'une sclérose en plaques. Celle- ci évolue suivant la
forme
cérébro-spinale et se termine par la mort à l'àge
es ; seulement le méca- nisme de la déviation diffère, ainsi que sa
forme
, dans l'un et l'autre cas. A l'état normal, dan
- ment à ce qu'on observe dans la paralysie des fléchisseurs. Cette
forme
de lordose est habituelle dans beaucoup de myop
La scoliose sciatique est assez fréquente, si l'on lient compte des
formes
peu accentuées, capables d'échapper facilement
le constitue une forte difformité. Elle complique de préférence les
formes
graves de la sciatique, répondant il la sciatique
et de scoliose homologue. I. Scoliose sciatique croisée. Cette
forme
est la plus commune. C'esl elle qui a été décrite
scles se tendre lentement et progressive- ment, soit parce qu'il se
forme
sous l'électrode excitatrice un sillon ou une d
ns reste toujours plus considérable à NF qu'à PF. Relativement à la
forme
de la contraction nous constatons, comme Erb l'a
marqués qu'avec le pôle négatif, comme l'indique sur les tracés la
forme
arrondie que prend la courbe de la contraction.
é sur nos tracés, c'est l'in- fluence des secousses répétées sur la
forme
de la contraction. Cette influence se manifeste
halie n'est pas seulement très apparente, elle af- fecte encore une
forme
particulière par suite de l'aplatissement de la p
e depuis l'âge de 14 ans et atteint d'athétose. Les accès épilepti-
formes
augmentant, trépanation amenant une diminution de
paralysies rares dans l'athétose double, sont fréquentes dans cette
forme
de chorée, qu'on appelle encore chorée molle. C'e
uvements athétosiques ; en effet on ne remar- que jamais dans cette
forme
, les mouvements involontaires lents, coordon- n
LPÊTRIÈRE. cette vésicule s'étend, le liquide devient louche, il se
forme
une vésico- pustule surmontée d'une croûtelle j
ncoriation. Congrès de Londres, t. 3, 1881, p. 184. Renaut. Sur une
forme
de la gangrène succes- sive et disomnie de la p
nQ 1, p. 203. 206 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Cette
forme
est beaucoup plus rare que la précédente. La conv
, soit une courbure à convexité droite. Remak n'a pas trouvé là une
forme
particulière de sciatique, avec participation des
e depuis deux années, et offrant avec quelques légères variantes la
forme
décrite par Erb. L'atrophie musculaire était à
nous contenterons de quelques remarques. On peut, de l'identité des
formes
cliniques, conclure avec beaucoup de probabilit
quer la vérification pos- sible des théories par la comparaison des
formes
cliniques de déviations névropathiques les unes
droite, déterminant une gibbosité dont l'angle postérieur des côtes
forme
le point culminant. L'épaule droite est un peu pl
lente, paresseuse et tonique, dont la courbe prend sur le tracé une
forme
arrondie ou en plateau, la décontraction du muscl
aresseuse. Toutes ces contractions de PO se ressemblent beaucoup en
forme
, étendue et lenteur. Les fermetures du pôle nég
description de se rendre compte de la différence qui existe dans la
forme
de la contrac- tion, même dans les cas où les c
e négatif se montrent déjà avec un courant de 6 milliam- pères ; la
forme
des tracés montre que les secousses du pôle posit
se montre souvent en même temps, quelquefois même avant NFTe. La
forme
des secousses reste normalepour toutes les excita
ous les autres, d'où le nom de saltatoire, que l'on a donné à cette
forme
de chorée. D'autres fois, le sujet frappe à cou
ant l'attaque d'hystérie avec perte de connaissance peut revêtir la
forme
de chorée rhythmée (1). Enfin il existe souvent
'athétose double. Nous signalons, pour mémoire la chorée rhythmée à
forme
non paroxys- tique dans laquelle les mouvements
elle les mouvements, ressemblant à ceux de la chorée hysté- rique à
forme
paroxystique, diffèrent totalement de ceux de l'a
onfondre l'athétose dou- ble avec la tétanie. La tétanie, dans sa
forme
commune, est aussi une affection de l'enfance e
la lumière et vous bénirez le Seigneur » . L'attitude de la mère
forme
un constraste frappant avec celle du fils. Elle
r l'électricité. La tige percutante bien plutôt que vibrante est de
forme
va- riable : c'est un bouton, un disque, un pet
is le traite- ment est surtout recommandable dans la neurasthénie à
forme
cérébrale ou spinale, dans la migraine et dans
les médecins aliénistes emploient, dans le traitement de certaines
formes
de l'aliénation mentale, des courants trans- cé
rapeutiques sur des cas variés de folie, particulièrement sur cette
forme
de mélancolie associée à des névralgies localisée
ystème nerveux ; en fait elle est contre-in- diquée dans toutes les
formes
de manie, sauf dans la manie hystérique, dans l
ta- tion de l'hystérie, les accidents convulsifs qui constituent la
forme
habi- tuelle de cette maladie ne se montrant ni
t fléchis et que peu à peu ces mains sont devenues complètement in-
formes
(pl. XXXIX). Du côté des pieds, les orteils se so
cu comme entité morbide ; elle n'est plus à l'heure actuelle qu'une
forme
, qu'un type clinique de la syringomyélie. Les d
eure du crâne. Saillie des régions pariétales. La région occipitale
forme
une sorte d'angle avec la partie supérieure. Bipa
des doigts sont dans l'extension forcée telle qu'ils prennent une-
forme
concave à concavité postérieure tandis qu'ils son
n d'orifice, péricarde normal. Estomac. Pas de lésion ; la muqueuse
forme
des plis nombreux dus à la rétraction de l'orga
ts athétosiques par ce fait qu'ils ne sont pas identiques dans leur
forme
, leur localisation, leur extension plus ou moins
ans, la main est le neuvième de la taille. A tous les âges, le pied
forme
environ 0,15 ou 0,16 de la hauteur totale prise p
héorie des triangles semblables. Le compas est à quatre branches en
forme
d'X (voy. fig. 42). D'un côté, la longueur des
raît tous les mois, par livraisons de 6 à 7 feuilles grand in-8, et
forme
ainsi à la fin de chaque année deux forts volumes
qui ne cherche qu'à se dissimuler ». Ainsi donc, multiplicité de
formes
, unité de fonds, c'est la double con- clusion q
très commune, même chez les tout jeunes enfants, où elle revêt des
formes
frustes quelquefois bien curieuses (1) ». M. le
iales à l'enfance. Loin de nous d'ailleurs l'idée de nier certaines
formes
délirantes d'hys- térie infantile, si bien décr
e. Nous aurions voulu parler ensuite des lésions du cervelet et des
formes
d'hystérie qui pouvaient simuler ces lésions. M
udier parallèlement les syndromes hystériques simulateurs de chaque
forme
de lésion des cen- tres moteurs. Or, ces form
ulateurs de chaque forme de lésion des cen- tres moteurs. Or, ces
formes
varient surtout suivant l'étendue des lésions : c
phasie. Il entre donc dans le cadre de l'hémiplégie spasmodique des
formes
où les phénomènes spasmodiques n'occupent pas l
te maladie. Voyons maintenant comment l'hystérie peut simuler cette
forme
clini- que d'hémiplégie chez les enfants. En d'
f- fections. Déjà M. Oulmont, dans sa thèse (1878), distinguait une
forme
primitive, indépendante de toute lésion nerveus
ue à Perret (de Lyon) (2) mentionne, chez une enfant de 11 ans, une
forme
hémiplé- gique de mouvements innommés que l'aut
Chambard (3) (1881) a rap- porté un cas d'hémichorée associé à une
forme
d'héttre.aableaent hystéri- que. M. le professe
els et d'attaques comitiales, ce qui se présente seulement dans les
formes
graves d'hémiplégie spasmo- dique infantile, on
formation des membres s'étant surajoutée à leurs mouvements choréi-
formes
. A partir de cet accident jusqu'à son entrée à
enté de considérer comme atteint d'une lésion cérébrale organique à
forme
hémiplégique et à caractère spasmodique, a néanmo
t les provoquer au membre supérieur du même côté. (Fig. 43). Leur
forme
est la même, c'est-à-dire arythmique, désordonnée
hiffre habituel, 60 à 80 par minute, il est facile de voir que leur
forme
s'est modifiée. Ce sont maintenant des oscillatio
t de repos, se rapportant soit à la chorée rhytmée, soit il certaines
formes
de tremblement hystérique et s'exagérant par l'
sitions du sujet. En plus de ces modifications dans le nombre et la
forme
des mouvements de l'hémichorée, la première app
ion. Le 10 juillet. - Les modifications indiquées plus haut dans la
forme
de l'hé- michorée, de la contracture, et le ret
Dictionnaire encyclopédique, reposaient dans leur ensem- ble sur la
forme
de l'affection qui était nettement hémiplégique e
leurs réac- tions électriques. Enfin, si l'hémichorée affectait une
forme
spéciale, il n'était pas possible de décrire co
icité faradique n'a-t-elle pas diminué la contracture et modifié la
forme
de l'hémichorée ? Aux mou- vements incoordonnés
cédé des oscillations rhytmi- ques, régulières comme dans certaines
formes
de tremblement hystérique. La thèse de M. Dutil
a lumière qu'ils jettent sur la genèse, encore très obscure, de ces
formes
de l'hystérie qui peuvent être provoquées par les
. Du côté droit, la sensibilité se conserve intacte dans toutes ses
formes
. Nous trouvons seulement une plaque analgésique
phénomènes que nous observons ne se présentent pas sous cette même
forme
. Nous n'avons pas pu rencontrer la polyopie mo-
nt toujours insé- parables se présentent ici dissociés, et sous une
forme
exceptionnelle. Avant d'abandonner ce fait, nou
quiert la force nécessaire pour se réaliser objec- tivement sous la
forme
de paralysie. La sensation dont il s'agit, aurait
verses manifestations de ces névroses les moins favorables sont les
formes
convulsives, double circonslance que nous trouv
t est un enfoncement du bord interne de la pupille de sorte qu'elle
forme
un entonnoir. Quelquefois aussi l'oeil parait s'e
ou moins accentués, ils ont mis les organes génitaux du mâle. Cette
forme
, est-elle exclusivement le produit de leur imag
les yeux sont clos. Le corps tout entier offre le modèle achevé des
formes
féminines dans'toute leur jeunesse et' leur grâce
grâce. Mais l'artiste y a ajouté les. signes delà virilité sous la
forme
d'organes génitaux dont- le pénis est" en état
de, d'état intermédiaire fort habilement conçu et exécuté entre les
formes
de la femme et celles de l'homme. Les organes g
rmaphrodites en deux catégories distinctes, l'une dans laquelle les
formes
féminines sont parfaitement développées comme dan
s comme dans les her- maphrodites couchés, l'autre qui présente des
formes
féminines atténuées, sorte de parti pris interm
ce type de l'androgyne spécialement consacré à la pro- miscuité des
formes
mâles et femelles, l'antiquité a très souvent dot
té des formes mâles et femelles, l'antiquité a très souvent doté de
formes
efféminées plusieurs personnages mâles de son Pan
l'hermaphrodite antique, non pas par sa parfaite similitude de ses
formes
avec celles de la femme, mais par la présence che
des plus intéres- sants. Il présente des attaques de sommeil d'une
forme
spéciale et nons ne saurions mieux faire, à ce
a Clinique des maladies du système nerveux. (1) Parmentier, De la
forme
narcoléptique de l'attaque du sommeil hystérique,
i va ri étés1.1 d 1 êtl'ès'- p'aHai te- '1 ment' dist iilClesi.des'
formes
¡ qúe récemment une' ÓbsÙ- vation1 pluscattenti
t . tn ? ) 0 qui se transmet des aïeux aux, descendants sous; des
formes
assez variables, mais qui passe, toujours, d'une
¡.. f 1'1 n l'hypochondrie du malade, ces sentiments pénibles, de
formes
diverses,- prendront au contraire peu à peu le
DANS,LA1.VÉSANIE. 25 ,Il - Cétteiévolutiomdu délire passant de, la (
forme
hypo- ï) chondriaqueqà- ! djutres 1 formes ,"co
du délire passant de, la (forme hypo- ï) chondriaqueqà- ! djutres 1
formes
,"comme.<,de stade oemu stade, ! est fort in
sï" ? mont; où le.délire,' d'abordthypochohdriaque, setrans->b
forme
,plus tard en ,une,démonomanie;¡AaFovillelfils : '
l) 1 .- Ir, j'- J' · L¡ £ r}l'I" ? Il Quelles sont, précisément les
formes
, par. lesquelles peut : évoluer ,le, délire. vé
ire. vésanique,11, u]térieu,rem,ent au début hypochondriaque ? .Ces
formes
, .singulièrement variables,- dépendent du milie
ous n'avons.point là d'entités irréductibles, nousi n'avons que des
formes
, accessoires , : le fond essentiel, c'est le se
itieuses. qui en sont le résultat;rquelle que soit` d'ailleurs leur
forme
, poli- tique, sociale, 'mystique - ou- autre :
M. Baillarger' tout le monde était d'accord sur'' )'existence d'une
forme
particulière d'aliénation' m'en- ^ taie caracté
'<) 4w --I i M"1 ? « -.[(irn <)-îqti«T ? ..., folie a double
forme
permettra, grâce aux, renseigne-; ments fournis
,' et;rechuta) en; core. Enfin, en 1881, la maladie avait revêtu la
forme
.rémit- tente. Malgré cette durée assez longue,
té;psychol6giquéj(maisdes rëpréséntâ- ions'1mentales' conscienteslà
forme
soupçonneuse. Tous les,cas,si intéressants ! ra
eut-être. .U ! l;OEl ! meHhp ? nt en faveur de l'existence de cette
forme
ésanique. fti'>1XIV : >La conservation de
rte plusieurs P. Marie. Contribution à l'élude et au diagnostic des
formes
frustes de la maladie de Basedow. Thèse de Pari
e, tremblement senne,, paralysie géné- rale, alcoolisme). Dans, ses,
formes
les, mieux..accentuées, ce .tremblement est- gé
ent directe- ment avec 1 aesophaâé, qui se continue ensuite sous la
forme
d'une gouttière ou demi-canal jusqu'au feuillet
t\cgmmi;3sQcco,nLérieure, il s'épuise sur le septum lucidum sous la
forme
d'une irradiation en éventail. l qrgejJÇl'eJlvj
? 3up al vu ,.... ,, , . 1 fT'" ri J'IJI"n;'jJu 1119" ? IyG ? t uug,
forme
,noucelle de, , paralysie,, générale spmao.que de-
! ('1'1t " ! JIll l' tjj. '1 - - f ,i »ji ? 0 mIII/Sous le titre de
forme
de. dégénér,esçence pal,.ticllliè1e de,lf ! , "
"8n tÍ'iéÚ] l'gitluch'è ? 1 roil ? ¡Íëi-ç'Oi t "lIt "WJie' so us la
forme
.d'une tumeur dure] 1 e : \trêmement -sellsible !
? ir" Il1, alfai ! 'e (il f une, r, p .. , , t m.,...,y j . 4,, . z
formes
de tumellrs,' du saCl'lll1l. Il ."VI ,1,.j,1 ? t»
z deux enfants de sept- et. douze'ans (fillette, et, (garçon). La,,
forme
, psychique,, demeura .généralement celle de la
l'on observe chez les, hystériques et, en particulier,, dans, cette
forme
d'hystérie bien connue aujourd'hui sous le ! lJ
tr-* « J110J VMe. On peut suggérer une appréciation fausse, sur la
forme
d'uuobjet'quéle'sujet verra plus grand ou plus
genre. Les illusions et les hallucinations de toucher revêtent des
formes
encore plus variées; tous les modes de la sensi
et état d'esprit s'accompagne d'hallucina- tions spontanées dont la
forme
varie, mais dont l'expérimentateur est toujours
e réintégrer. L'emploi de la force ou plutôt son mode, dépend de la
forme
de la résistance (passive ou active), déployée
psychose. Enfin, la mélancolie dite hypochondriaque ne se trans-
forme
pas en folie systématique, la folie systématique
is à quatre semaines. Cette prolongation est obliga- toire pour les
formes
chroniques, entrecoupées d'accès d'agitation. L
'est pas autonome, qu'elle n'est qu'un syndrome greffé sur d'autres
formes
morbides. La discussion s'engage. M. Gauster co
atomique. du délire aigu idiopathique. Cette cause,réside : dans;la
forme
et levolume des deux trous déchirés postérieurs
ère de ses observations, se résume ainsi : La maladie comprend deux
formes
dont l'évolution est \jndrré ? r1ment" tt ? \PT
ormes dont l'évolution est \jndrré ? r1ment" tt ? \PTq ! ;npte. Une
forme
maniaque; une forme mélancolique. Le ? ta,d,e f
on est \jndrré ? r1ment" tt ? \PTq ! ;npte. Une forme maniaque; une
forme
mélancolique. Le ? ta,d,e f,Pxodf9 ! ni(fue est
surtout long dans cette dernière. Il se manifeste, surtout dans la
forme
maniaque, par de l'expansivité verbale et épistol
xpansivité verbale et épistolaire. Six cas de récidive sous la même
forme
quatre, pour la manie, deux pour la mélancolie.
e, grandes oscillations thermiques. Signes favorables pour les deux
formes
, : pouls constamment .très rapide, désordre ext
.hallucinations sensorielles terrifiantes. Signes particuliers à la
forme
maniaque, : impétuosité enragée sans tendances
lirantes perdent de leur corps et se rectifient spontanément. Autre
forme
explosion non plus aussi soudaine; prédominance d
t; plus' rare dans ce sexe et elle n'y revêt' que 'par exception la
forme
classique quanta ta'modalité à.'la"'duréé à l'é
individu' à se développer normale- ment ; elle peut, comme dans' la
forme
acquise/être laJ résultante de processus anatom
s parois de la fosse jusque sur l'épendyme, tandis que l'arachnoïde
forme
couvercle au trou a la superficie du cerveau. S
ide simplement dans leur siège à la surface du cerveau et dans leur
forme
' qu'explique le haut degré de développement du
es processus congénitaux sont de beaucoup les plus fréquents; leurs
formes
sont'typiques : ils n'atteignent que l'ensemble
te, mais il peut y avoir de l'aphasie. On constate aussi dans cette
forme
des paraly- sies avec contractures ; elles sont
élirante, et nous 17 'l PATHOLOGIE MENTALE. aurons ainsi diverses
formes
de démence. Ces di- verses formes, d'ailleurs,
MENTALE. aurons ainsi diverses formes de démence. Ces di- verses
formes
, d'ailleurs, ces variétés, ces subdivisions de
déchéance mentale qui se retrouve partout le même : la variété des
formes
dépend sim- plement de conditions secondaires,
une hypochondrie incohérente. On ne saurait donc assimiler ces deux
formes
hypochondriaques : l'une, du début, est un vrai
de prêter attention et de vouloir dégager la loi permanente de la
forme
accidentelle; et, dès lors, quand se présentera
c., ne représente point des espèces morbides distinctes. Toutes ces
formes
délirantes n'ont aucune existence par elles-mêm
de variations possibles. Qu'on nous permette une comparaison : ces
formes
délirantes ne sont, pour ainsi dire, que les di
ur est donc là, comme un index : il faut le bien connaître, dans sa
forme
générale; et l'on saura toujours alors le recon
he est difforme; il est constitué par un petit bourgeon corné, de
forme
conique, très épais, et si peu adhérent aux parti
deviennent très pé- nibles. Vers cette même époque, une eschare se
forme
sur la partie moyenne de la fesse droite, et pr
autres contiennent encore quelques granulations ambrées. A ces deux
formes
dominantes de l'altération vient s'ajouter, sur
des sensations n'existe pas, comme on sait, dans beaucoup d'autres
formes
de céphalal- gies, et notamment dans celles lié
en rapprocherait le plus serait l'asthéno- pie sous ses différentes
formes
. Mais nos jeunes ma- lades ne se plaignaient pa
vés. On sait, du reste, combien les céphalalgies, sous toutes leurs
formes
, sont fréquentes dans les races goutteuses. Mai
r de la névrasthénie, ou plutôt, de la parésie cérébrale, une des
formes
de cet état. Grâce à M. Charcot principale- men
obile en jet brisé à laquelle nous don- nerons la préférence. Cette
forme
de douche, à la pro- pagation de laquelle M. le
e du protoplasma, se colorant par les réactifs d'une manière uni-
forme
. Cette tuméfaction se bornait exclusivement au co
illimètres. Dans ces cas, le noyau et le nucléole conservaient leur
forme
et leur position nor- males et ne présentaient
excentrique du noyau et l'aspect vitreux de la cellule. La dernière
forme
de l'altération cellulaire est enfin la formati
u proto- plasma non lésée encore, en laissant libres les parties de
forme
circulaire. (IL. III, fig. 3.) Quand le corps d
irculaire. (IL. III, fig. 3.) Quand le corps des cellules prend une
forme
polygonale, dans l'intérieur duquel s'entrecroise
que des pointes très minces et très courtes. Les altérations de la
forme
des cellules se présentent de la manière suivan
forme, soit pyramidal, se tuméfie comme nous l'avons dit, prend une
forme
arrondie et, plus tard, tout en conservant ses
tard, tout en conservant ses caractères d'hypertrophie, affecte une
forme
polygonale irrégulière. Les mensurations de ces
oints, ne pré- sentaient point d'altérations notables, soit dans la
forme
du corps et des prolongements, soit dans leur r
ules dites araignées. Relativement à la prépondé- rance de ces deux
formes
d'altération des cellules et des vais- seaux, o
ltérations dans le corps des cellules, remarque que, dans certaines
formes
de myélites, les cellules nerveuses peuvent sub
rticale du cerveau d'un aliéné. Ces lésions se présentent sous deux
formes
: l'une analogue aux faits indiqués par Bournev
I et CXXXIII). Dans ce mémoire, l'auteur dit qu'on trouve certaines
formes
de gliomes avec éléments, dont la nature nerveu
LFrt.mvH : . Le fait qu'on va lire fournit un nouvel exemple de la
forme
d'idiotie, consécutive à une méningo-encéphalit
ps prochain, il sera possible.de tracer un tableau complet de cette
forme
d'idiotie, qui, dans ce cas, était compliquée d
s tardives plus ou moins complètes ? N'a t-on pas vu, même dans les
formes
les plus graves de la démence paralytique, des
alors aucune altération spécifique du cerveau. Peut-être certaines
formes
de syphilis sont-elles capables de déterminer d
némie, soit une hypérémie vasculaire, et la sensation en soi est la
forme
de perception subjective de la somme des phéno-
tion des phéno- mènes psychiques ou de l'abolition de la pensée, la
forme
du trouble de la connaissance ne pouvant servir
ne stupeur psychique (pseudo-stupeur de Westphal), qui comprend les
formes
abortives et aboutit à l'extase, à la catalepsi
ie avec agitation motrice) ; une stupeur intercurrente relevant des
formes
cala- toniques de la folie systématique. La gen
ux sortes de courants, sans qu'il existât de modi- fication dans la
forme
des convulsions.1' ' > " UJ Inl ? M ? , , ?
itentiaire vrai, comme cela' se'pratique en Saxe, ou sous une autre
forme
en Angleterre. De tels errements, que l'on comm
3 à 2 : i ans). Au point de vuc clinique, l'auteur distingue quatre
formes
de kak-kè : une forme rudimenlairc, une forme a
t de vuc clinique, l'auteur distingue quatre formes de kak-kè : une
forme
rudimenlairc, une forme atrophique, une forme h
eur distingue quatre formes de kak-kè : une forme rudimenlairc, une
forme
atrophique, une forme hydropique, une forme aig
ormes de kak-kè : une forme rudimenlairc, une forme atrophique, une
forme
hydropique, une forme aiguë pernicieuse. ! " ..
forme rudimenlairc, une forme atrophique, une forme hydropique, une
forme
aiguë pernicieuse. ! " .. n< BIBLIOGRAPHIE
s Iraut\'degré' d¡his la' dj"s'¡Ù1ée"a'Spliyxiquë' te1'l1\in'àlc delà
forme
aiguë pernicieuse ; ? 3° ]es7[t/('op)s : cs,' s
énés ; par GUILLE111N. Thèse de Paris, 1883. Des anomalies et des
formes
frustes de la sclérose en plaques dissé- minées
céphale; par FRANÇOIS. Thèse de Paris, 1883. De la folie à double
forme
; par le D MORDRE. Thèse de Paris, 1883, in-8o.
ux sur la nutrition; par LAG.RRIGUF.. Thèse de Paris, 1883. De la
forme
méningitique de la fièvre typhoïde chez les enfan
le ; par LASSÈGUE. Thèse de Paris, 1883. Du suicide dans quelques
formes
d'aliénation mentale ; par Clament. Thèse de Pa
côté gauche il y a deux mois). L'articulation tarso-métatarsienne
forme
également une saillie presque à angle droit, des
ertains points. Vingt- cinq fragments osseux de volume divers et de
formes
irré- gulières se sont détachés des os principa
ment rencontré chez des petits bébés des sons tel que t, sous une
forme
si peu différenciée que nous avions de la peine
de l'apprentissage du langage, on ren- contre à la fois beaucoup de
formes
transitoires, dont l'enfant use sans choix, man
ade). Le développement des sons de la période ultérieure naît des
formes
de sons fondamentales de la période antérieure.
t diverses, de sorte qu'un seul et même son, qu'une seule et même
forme
d'articulation définitivement individualisée peut
ent chez quelques enfants de l's, en traversant une longue suite de
formes
transi- toires entre s et j; chez d'autres, il
et de la variabilité du langage des enfants, du mélange bigarré des
formes
acquises établies avec les formes arbitraires,
s enfants, du mélange bigarré des formes acquises établies avec les
formes
arbitraires, et des exceptions incompréhensible
s'il n'est pas le fils de Dieu. Il émet divers apophtheg- mes sous
forme
sentencieuse : le plus petit est le plus grand;
lus vivement persécuté, et, 1 Magnan. De l'Alcoolisme, des diverses
formes
du délire alcoolique et de leur traitement. Par
HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 3'1.7 systématisation plus grande, une
forme
expansive. Les hallucinations suivent en généra
oisé. La prostate et les vésicules séminales étaient intactes. La
forme
du crâne était régulière, ses os ne présentaient
ues pla- ques calcaires; le plexus veineux était rempli de sang. La
forme
et la grandeur de la moelle épinière étaient no
rvicale, la partie dégé- nérée se présentait de chaque côté sous la
forme
d'un triangle, dont la base était tournée vers
même place 36 RECUEIL DE faits. et se présentait de même sous la
forme
d'un triangle ; seule- ment ses dimensions en a
iculairement à la direction de ses fibres cette place présentait la
forme
d'une trapèze; ce dernier occu- pait à peu près
naient trop de pigment ; quelques- unes d'entre elles offraient une
forme
anormale arrondie, et semblaient privées de pro
otre sujet, nous sommes bien convaincu qu'il était atteint de cette
forme
morbide que M. le Archives, t. VI. 24 370 - R
eau dans les hémisphères, les faisceaux pyramidaux vont, t, sous la
forme
d'un faisceaux compacte dans la capsule; ils oc
nstituée surtout par des noyaux conjonc- tifs peu altérés dans leur
forme
et réunis par une matière amorphe peu consistan
I, V et VII). P. K. XVI. SUR L'ÉTAT DE LA TEMPÉRATURE DANS QUELQUES
FORMES
DE MALADIES mentales (rapproché du centre régul
grandeurs n'affecte point une REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. li 07
forme
fixe, ne soit pas stéréotypé. lis sont parfaiteme
ez des névropathes prédisposés, s'associe assez souvent à certaines
formes
d'aliénation mentale ou à certains états psycho-
ve; par 0. Berger. - (Neurolog. Centalbl., 1882.) Il s'agit d'une
forme
de démence ayant débuté chez une femme de vingt
ui nous occupe a remplacé l'accès fébrile. Elle en constituerait la
forme
larvée. P. K. XXVIII. Notes sur l'épilepsie; pa
hommes, qu'il appar- tient principalement il un âge avancé, que les
formes
de ce pouls ne semblent pas aussi défavorables,
inspirations profondes; une heure après l'accès il avait repris sa
forme
originelle. P. K. XXX11. Contribution A l'étiol
aint- Pétersbourg, 1883). L'auteur cite les cas déjà connus de la
forme
mentale appelée hébéphrénia en ajoutant deux ob
ations personnelles. L'auteur pense que l'hébéphrénia n'est pas une
forme
mentale sui gene1'is et croit que c'est l'âge o
a maladie est la suivante : Trois ans après la syphilis primaire,
forme
très bénigne maux de tête et diplopie. Deux ans
rale type autour de laquelle viennent se grouper une foule d'autres
formes
ayant des caractères communs, mais aussi des sy
C. Mesures de prudence qui doivent présider à l'usage de l'iodo-
forme
: 1° Ne jamais employer l'iodoforme qu'à la dose
troubles psychiques qui, se présentant la plupart du temps sous la
forme
d'accès d'agitation, accompagnent les processus
néfice du calme. Les autres consistent en des apparitions douées de
formes
: grimaces, caricatures, spectres; de là des an
ellectuels. Le délire h3-oscyaminique consiste en l'apparition sous
forme
aiguë de conceptions incohérentes, confuses, pu
s vertigineuses bizarres (ballottement), illu- sions relatives à la
forme
, à la couleur, à la dimension des objets, notam
n de l'ensemble des faits et doivent être réunis sous le titre de :
formes
classique, pures, simples. On peut les diviser
ur édifier un en- semble morbide partout continu et logique dont la
forme
se rap- proche des modalités chroniques de la f
anifestations morbides se montrent dans les états pathologiques des
formes
les plus différentes représentées en tout établ
ansi- toire et précédant l'attaque, cet état psychique détermine la
forme
du délire, auquel l'ictus épileptique imprime s
ion épileptique est la même; mais elle peut se ma- fester sous deux
formes
, as Dans l'une, le malade, après le choc, pours
la faculté et le désir, le besoin, le goût de l'acti- vité sous une
forme
quelconque ? ... A cette perte de force im- pul
bservation de sclérose en plaques disséminées : début (ipoplecti- -
forme
, hémiplégie droite, troubles de la sensibilité; p
Loi de 1838, 121. Maladies mentales ( température dans quelques
formes
de), 403. Manie transitoire consécutive. à la
ffections mentales. L'hérédité de l'aliénation dans ses différentes
formes
est aujourd'hui admise par tout le monde, et le
admettre qu'il est relativement rare qu'elle se transmette dans sa
forme
, bien que cela se puisse voir 3. Le plus souven
anie, la mélancolie, l'imbécillité, l'idiotie. Toutefois, certaines
formes
semblent plus particulièrement se transmettre e
mulée, capitalisée en quelque sorte avant de se mon- trer sous une
forme
nettement caractérisée. On trouve souvent parmi
pathologique soit quelque peu avancée, qui semble constituer une
forme
mixte névro-psychopathique, en ce sens que souv
énérale n'a que des rapports de parenté peu marqués avec les autres
formes
de folies, nous verrons qu'elle est un lien à d
ues (petit et grand mal intellectuel), ou quelquefois avant, sous
forme
d'aura psychique. D'autres fois, les troubles m
, Spitzka) : ce sont des délires aigus se présentant tantôt sous la
forme
expansive, tantôt sous la forme dépressive, tan
aigus se présentant tantôt sous la forme expansive, tantôt sous la
forme
dépressive, tantôt sous la forme m&niaque.
forme expansive, tantôt sous la forme dépressive, tantôt sous la
forme
m&niaque. Trop souvent enfin la répéti- tio
enfin la répéti- tion des accès épileptiques, quelle que soit leur
forme
, amène la démence. Outre les troubles mentaux
ins cas, présenter des manifestations épileptiformes. Il existe une
forme
particulière d'hystérie, la grande hystérie, l'
n qualifie d'hystériques ces divers troubles psy- chiques ; mais la
forme
de la psychose n'a rien de spé- cial et, consid
leur hérédité, mais aussi par leurs combinaisons. II. Certaines
formes
d'aliénation, et, en particulier, celles qu'on
a résumées dans la for- mule le génie estime névrose. Si toutes les
formes
de la ' nervosité peuvent se rencontrer chez le
soit chez ses ascendants; qu'elle peut même se transmettre sous sa
forme
; et que, d'autre part, elle peut être liée à l'
3, p. 254.) l'. Marie. Contribution iL l'étude et au diagnostic des
formes
frustes de 11 maladie de B(isedow. (Thèse de Pa
LA FAMILLE .\ÉVR01'ATHIQUE. 27 La migraine, dans certaines de ses
formes
, peut s'ac- compagner de phénomènes épileptifor
e de grandes analogies avec la migraine et, en particulier, avec la
forme
dite ophthalmique, et elle peut s'associer à d'
i l'a observée dans la période de dépression de la folie à double
forme
=. On n'a guère de notions sur l'hérédité de cet
a vésanie; pour nous, les troubles sensoriels n'influent que sur la
forme
du délire, ils ne le créent point. Quant à l'au
imbécile. Observation XLIII. M. A.... ataxique. Crises épilepti-
formes
dans l'enfance ; puis, tic des paupières. Obser
rtie dorsale supérieure et cervicale inférieure. Sur ce point, elle
forme
une sorte de bande trans- versale qui recouvre
2 et 3 (Pr.. I); elle s'avance vers le centre de la moelle sous la
forme
d'un triangle à base péri- phérique élargie, qu
M. Charcot qui l'a étudiée le premier, au moins en France, « aux
formes
aiguës, subaiguës et chroniques primitives de l
bre de cellules araignées, qu'il est facile de reconnaître à leur
forme
irrégulière, à leurs prolongements nom- breux,
aissent propres à mettre en relief l'origine spéciale à chacune des
formes
de sclé- rose précitées. Or, ce qui spécifie un
pourquoi donc vouloir que, dans la moelle, la syphi- lis prenne une
forme
différente de celle qu'elle revêt fréquemment e
des jambes; l'enfant tombe. Les convulsions reparaissent alors sous
forme
d'une trépidation dont les oscillations vont en
ent à lui, et, au bout de deux minutes, il est pris d'une attaque à
forme
épileptoïde. 18$. 1 juin. - On fait une dernièr
r une aura, revê- taient des aspects divers. a) En premier lieu, la
forme
syncopale, consignée si fréquemment chez les hy
chez les hystériques démoniaques ou extatiques d'autrefois. 1 b) La
forme
vertigineuse se présentait ici avec des caractère
délivrer une fille possédée du malin esprit il Louviers (1301), qui
forme
le second volume de la Bibliothèque diabolique,
. 105.) Etat actuel (août 1882). - Tête régulière et symétrique, en
forme
de pain de sucre : les bosses sont à peine marq
e sillon transversal incom- plet. Le lobule pariétal supérieur a la
forme
d'un quadrilatère avec un sillon en forme d'x;
e pariétal supérieur a la forme d'un quadrilatère avec un sillon en
forme
d'x; le lobule pariétal inférieur est réduit à
ns. Il n'y a pas de sillon eallosO-rnal'[fÏ1wl. Le lobe paracentral
forme
une sorte de boucle dont les branches descendan
et un sillon vertical qui aboutit au corps calleux. - Le coin a la
forme
d'une enclume, dont la partie horizontale se co
couches résulte de l'interposition d'un plan de petites cellules à
forme
angalaire et pyramidale. Il y a une remarquable
ules corticales chez le porc et le mouton. Dans les deux espèces la
forme
de ces cellules est presque invariablement cell
, à trois heures de l'après-midi, les crises changent subitement de
forme
. A l'attaque épileptoide, qui a été décrite et
ous avons affaire à un cas d'hysléro-épilepsie se distin- guant des
formes
ordinaires par deux points très importants : 1°
t des formes ordinaires par deux points très importants : 1° Par la
forme
des crises épileptoides qui est tout à fait ana-
eptiques aient des séries purement épileptoïdes : quelquefois cette
forme
d'attaques existe seule pendant des mois 3. Cet
d'attaques existe seule pendant des mois 3. Cette anomalie dans les
formes
des attaques étonnera moins si on veut bien consi
anormale et jusque- là inconnue d'attaques d'hystérie, d'attaques à
forme
d'épilepsie partielle, ou bien d'une épilepsie
deux hypothèses que je rappelais plus haut, celle d'une hystérie à
forme
non connue jusqu'à ce jour, ou d'une épilepsie
e hystérie à forme non connue jusqu'à ce jour, ou d'une épilepsie à
forme
partielle sans élévation de température. Or, la
le diagnostic était resté hésitant. S'agissait-il réellement d'une
forme
anoriiiale d'attaques hystériques ou d'accès d'
en temps de spasmes du membre inférieur gauche, rappelant certaines
formes
de l'épilepsie partielle. La conclusion à tirer
ions qui précèdent, c'est que l'hystérie s'approprie la plupart des
formes
symptomatiques de l'épilepsie. Elle emprunte so
ccipitale fut ouverte, et la pie-mère, déchirée à l'endroit où elle
forme
le lac cérébelleux inférieur, de sorte que le ven
l sur toute sa longueur. Observation VII. Paralysie glosso-labiée à
forme
pseudo- bulbaire. - Lésions symétriques des deu
llet et des péroniers, diminution de la sensibilité sous toutes ses
formes
jusqu'à un pouce de l'ombilic, incontinence d'u
pied-bot, le strabisme, etc., coïncident fréquemment avec certaines
formes
de dégénérescence du système nerveux, notamment
le spéciale, intelligence. M. Charcot fait remarquer que toutes les
formes
du rhumatisme cérébral, la céphalée, le délire
d'aliénation mentale (Dagonct) 4. Berthier admettait que toutes les
formes
de la folie peuvent se montrer chez les goutteu
mêmes conclusions'. La goutte rétrocédée donnerait surtout lieu aux
formes
aiguës, surtout à la manie, quelquefois à la pa
manifestement atrophiée du côté droit. Ce côté atrophié présente la
forme
de circonvolutions bien décrite dans l'atrophie
qui précède a été observé en 1875, c'est-à-dire à une époque où les
formes
frustes du tabes étaient moins bien connues qu'
l'existence de l'hémiatrophie de la langue au cours d'un tabes à
forme
fruste. Il en sera très vraisemblablement de l'
hez ce dernier n'était pas tout simplement le symptôme d'uu tabes à
forme
fruste. Depuis cette époque, le malade a succom
dans un certain nombre de cas d'hystérie et en particulier dans la
forme
désignée sous le nom de grande hystérie. C'est
le Sainte-Anne les urines de 6,000 aliénés, présentant les diverses
formes
mentales, et, en dehors de quelques cas très ra
avec la môme vigueur sous l'influence d'un nouvel effort. ' Cette
forme
de rétention s'observe dans certains cas de mén
ale, dans le tabès spasmodique, la myélite 11'Ons- verse. Certaines
formes
anormales de la sclérose en plaques et en parti
uvent offrir ce même trouble de la miction. C'est, en général cette
forme
de rétention que l'on observe dans l'hysté), ?
l'attaque d'épilepsie, au début de la con- vulsion tonique. ' Une
forme
moins grave encore de l'incontinence constitue
rine s'écoule sans que le malade ait même songé à résister. Cette
forme
de miction involontaire qui, comme la précédente,
tuent des atténuations gra- duelles de l'incontinence. Il est une
forme
d'incontinence qui mérite d'appeler particu- li
d'une façon passagère. C. Les Troubles de la sensibilité varient de
forme
et de siège. a) Existe-t-il une 17éphl'algie es
s sphincters : il y a ténesme ou spasme douloureux. Ces différentes
formes
de vessie irritable peuvent se rencontrer dans
névralgie de l'urèthre, à ]' w'étll1'al,qie, dont on a signalé des
formes
continues et inter- mittentes, son existence n'
a sensibilité de l'urèthre et de la vessie se présentent sous trois
formes
: anesthésie, dysesthésie, et crises douloureus
, trouvent leurs analogues, non seulement au point de vue de leur
forme
, mais encore au point de vue de leur évolution, d
lieu d'être plus ou moins continus et uniformes, se présentent sous
formes
de crises', sur lesquels M. Charcot a tout d'ab
la rétention, c'est l'incontinence par regorgement qui n'a, dans sa
forme
, rien qui soit spécial à l'ataxie. Quelquefois
intervalles réguliers, est assez rare, au moins dans le jour; cette
forme
d'incontinence noc- turne est au contraire asse
ées s'écoulent de nou- veau. Il importe de remarquer que, dans la
forme
dite ataxie hé- réditaire ou maladie de Z%riedr
nouveaux exemples de cette maladie qui peut se montrer sous quatre
formes
diverses : dans la pre- mière, tous les muscles
me providentielle, etc.1». Inutile de vous en dire plus long sur la
forme
de son délire, ni sur les con- clusions du proc
du tabes, il était nécessaire d'en bien étudier les symptômes, les
formes
cli- niques variées, habituelles ou anormales,
Des paralysies chez les choréiques» (Charcot), M. Ollive décrit une
forme
de paralysie assez rare qui a été dési- gnée so
fin de la chorée est plus fré- quente, elle peut affecter diverses
formes
, hémiplégiques, para- plégiques, mais plus souv
es névralgies; par QUERMONNE. Thèse de Paris, 1884. 1 Sur une des
formes
frustes de la sclérose en plaques disséminées;
isséminées; par BwB.wLD. Thèse de Paris, 1883. Elude sur quelques
formes
rares d'éclampsie chez les femmes en- ceintes;
tions. Il m'a paru intéressant de noter la coexistence avec cette
forme
vésanique, de la perte de la vision men- tale.
st trois fois plus grande que sa partie extérieure ; elle est d'une
forme
ovale avec une sur- face légèrement rugueuse. L
t tangibles de la région épigastrique. En frottant la région, il se
forme
, dans la li- mite où la percussion dénote la pr
près celui du soir, des parties d'aliments ingérés remontaient sous
forme
de boules solides de deux centimètres de diamètre
bientôt des phénomènes de constipa- tion avec amaigrissement. » r
Formes
. M. 0. Koerner a essayé de distinguer deux form
grissement. » r Formes. M. 0. Koerner a essayé de distinguer deux
formes
: l'une simple ou idiopathique ; l'autre symptoma
aractères sur lesquels elle repose peuvent s'observer dans les deux
formes
. Quelquefois dans le mérycisme simple, la rumi-
- ciles à l'asile) et les trois autres sont atteints de l'une des
formes
de l'aliénation mentale (sur quatre cent soixante
he, en tant que phénomènes irritatifs, des convulsions affectant la
forme
de tensions musculaires passa- gères, de rotati
d'infiltration de la région du cerveau. P. K. XXV. Deux cas de la
FORME
DE paralysie combinée DU bras ET DE l'épaule, D
malade à la moelle au moyen des méninges infiltrées de pus, sous la
forme
de myélite disséminée. Les dégénérescences second
lève dans les deux premiers accès des attaques parétiques de toutes
formes
, des élancements dans les quatre extrémités, de
ur; tels sont les arguments en faveur de l'opinion que c'est là une
forme
de transition clinique et ana- tomique entre la
nérescence sarcomateuse des parois artérielles (angio-sarcome) sous
forme
purement inflammatoire. Ces deux cas marquent l
ation de l'humérus en avant. L'extré- mité radiocubitale inférieure
forme
moignon, les carpes étant à peu près à un centi
tre les jeunes épileptiques et les épileptiques adultes; la puberté
forme
la ligne de séparation. Les dénominations précise
erveux central à s'affecter en plusieurs segments à la fois, sousla
forme
de disparition progressive des éléments nerveux (
-disant caractéristiques de la démence paralytique, dans les autres
formes
de la démence, dans les affections mentales sénil
tion , la fonte du protoplasma peut être attribué à l'oedème qui se
forme
pendant l'agonie. Posséder une petite quantité
'ensemble du système nerveux central d'un homme ayant succombé à la
forme
tabétique de la paralysie générale progressive
cellules nerveuses ganglionnaires présentent les mêmes variétés de
forme
qu'à l'état normal ; les unes sont notoirement
ais ré- partis dans les différentes sections de l'asile, suivant la
forme
de leur délire. Il est également d'avis qu'on r
a maladie, constitue avec l'affaiblissement musculaire la se- conde
forme
dite folie paralytique. M. Sauton se rattache à c
onsidère le délire non comme la manifestation caractéristique d'une
forme
spéciale de la maladie, maisseulementcomme un p
ient se reproduire cinquante ans plus tard dans la même ville, sous
forme
épidémique. La possession de Françoise Fontaine
tique; par RorERT. Thèse de Pa- ris, 1884. Etude clinique sur une
forme
de contracture infantile intéressant particuliè
e Paris, 1884. Elude sur la méningite tuberculeuse de l'adulte, les
formes
ano- males en particulier; par CH.1NTEIESFE. Th
s abonnés, 70 c. Marie. Contribution à l'étude et au diagnostic des
formes
frustes de la maladie de Basedow. Volume in-8"
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 417 i Mabit. - De la manie chronique à
forme
rémittente. Brochure in-8" de 240 pages. Prix 4
de 24 pages. Ritti (Ant.). - Traité clinique de la folie à double
forme
. (Folie cir- culaire, délire à formes alternes)
clinique de la folie à double forme. (Folie cir- culaire, délire à
formes
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