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1 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
nt à remercier sincèrement M. W. S. Tuke, d'avoir bien voulu, sous la forme d'une traduction à la fois élé-gante et fidèle, l
loppement de la science ; le naturisme, le stahlianisme et toutes les formes du vitalisme ancien et moderne, sans en excepter
aire grecque, exécutée par des artistes qui n'avaient observé que les formes extérieures, et dont toutes nos connaissances ana
eu près identique, indépendamment des causes qui le produisent et des formes diverses qu'il peut revêtir. Ce qui importait sur
pas être envisagée comme une ligne de démarcation absolue, puisque la forme aiguë et la forme chronique d'un seul et même éta
comme une ligne de démarcation absolue, puisque la forme aiguë et la forme chronique d'un seul et même état pathologique se
; — son rôle ne se borne pas non plus à dévoiler la raison cachée des formes anatomo-pathologiques, enregistrées et classées p
ir qu'il peut exister des lésions des éléments qui, sans altérer leur forme , s'opposent à ce mouvement organique sans lequel
ans lequel ses fonc-tions ne sauraient s'accomplir? Sans altérer leur forme , l'oxyde de carbone enlève aux globules rouges du
ologique, l'athé-rome artériel (1) tend à se séparer profondément des formes habituelles de l'atrophie sénile. Celles-ci parai
p. 898.) 3. « La phthisie chez le vieillard est remarquable par sa forme lente et in-sidieuse. » (Gillette, loc. cit., p.
urs affaires, jusqu'aux derniers moments de leur existence (1). Ces formes insidieuses ne sont donc pas exclusivement pro-pr
e tout à fait insolite. C'est ainsi que la pneumonie peut revêtir une forme larvée et se présenter tantôt avec les ap-parence
altération encéphalique. Chez l'en-fant, la pneumonie peut offrir une forme cérébrale, caractérisée par l'éclampsie ou le com
scriptions ; nous ferons allusion cependant plusieurs fois aux autres formes de l'état fébrile. 1. Les vieillards frissonn
cœur, la péricardite, les gangrènes séniles, le marasme, et diverses formes de cancer. Cet état d'algidité est un symp-tôme g
ds, une profonde analogie, il faut convenir que c'est surtout dans la forme chronique de ces deux affections que la ressembla
t difficile de distinguer la goutte du rhumatisme, surtout dans leurs formes chroniques; et le nom de rhumatisme goutteux, qu'
e plomb. Il faut éviter aussi de trop dessécher le sérum, car il se forme alors des cristaux de phosphate ammoniaco-magnési
moniaco-magnésien, sous 1. Medico-Chirurgical Transactions, 1848. forme de végétations très élégantes. Mais comme ce sel
stules de l'eczéma (Golding Bird) et dans la poussière blanche qui se forme quelquefois sur la peau des goutteux; elle se com
lus. Pendant les accès, les urines sont pâles et abondantes il ne s'y forme pas de dépôts, par le refroidisse-ment, aussi lon
lles ; mobiles latérale-ment, elles ne reproduisent pas exactement la forme et les VI. Les concrétions qui se forment dan
uel-quefois dans les mamelons; ils se présentent, au microscope, sous forme d'aiguilles cristallines; qui siégeraient, d'aprè
ent après les premières manifestations de la goutte. Ce serait là une forme viscérale de la maladie. Bien que les altératio
ouvent une conséquence. On peut observer chez les goutteux l'urémie à forme convulsive ou comateuse ; elle se rattache bien é
iathèse urique. -Goutte aiguë. — Goutte chronique. Sommaire. — Doux formes principales de la goutte : goutte aiguë, goutte c
que, tantôt aiguë, tantôt chronique, la goutte se présente sous deux formes principales, qui méritent l'une et l'autre une de
s accidents fluxionnaires. Ces douleurs se mon-trent brusquement sous forme d'élancements (twinges des auteurs anglais) ; ell
accès, sur le genou ou sur toute autre join-ture. 11 est enfin une forme de la maladie qui mérite une attention spéciale,
assez souvent chez les femmes et les sujets débilités. C'est alors la forme molle ou asfhénique de la goutte aiguë, dont le p
t observer, est une affection essentiellement chronique, même dans sa forme aiguë. 11 est donc indispensable d'étudier les ac
actère, et présente une tendance de plus en plus marquée à revêtir la forme chronique. On voit alors les grandes jointures su
venus plus longs, offrent une moins grande intensité; ils prennent la forme subaiguë, et sont accompagnés d'une réaction fébr
carac-tères de cette dernière affection. Goutte chronique. — Cette forme de la goutte a pour carac-tère essentiel de coïnc
ent les tophus se former de bonne heure, surtout aux mains ; c'est la forme fixe primitive de la goutte, dans laquelle les ac
ianus. A la seconde période, ces dépôts se solidifient et prennent la forme de masses dures, indolentes, plus ou moins arrond
sieurs, se termine l'histoire clinique de la goutte ré-gulière. Cette forme de lamaladie, ainsi que vous avez pu vous en conv
sera le plus facile à reconnaître. On ne saurait en dire autant des formes anomales, irrégulières ou larvées de la goutte ;
prouver que, sans perdre son identité, une maladie, peut revêtir les formes les plus variées. Il est généralement reconnu a
une réaction trop radicale, ont été jusqu'à nier l'existence de cette forme de la goutte. C'est là un scepticisme trop arbi-t
second lieu, l'affection viscérale se présente souvent sous l'une des formes qu'elle revêt habituellement lorsqu'elle coexiste
nentes. I. Nous allons maintenant étudier successivement les deux formes dégoutte viscérale que nous avons reconnues, dans
estomac. Il y a lieu de distinguer ici, avec Budd etScudamore, deux formes symptomatiques. Dans le premier cas, le mal s'ann
formes symptomatiques. Dans le premier cas, le mal s'annonce sous la forme cardialgique ou spasmodique ; il existe alors une
sont tolérés à haute dose. Dans le second cas, la maladie prend une forme inflamma-toire. Il existe une vive douleur épigas
ous venons de parler sembleraient en fournir la preuve. C. Aux deux formes de goutte stomacale que nous venons de décrire, c
es de goutte stomacale que nous venons de décrire, correspondent deux formes de dyspepsie intestinale: la première se caractér
ques modernes, le foie et la rate sont probablement les organes où se forme l'acide urique. Mais les caractères anatomiques
opale ; on voit se manifester des accidents cérébraux qui prennent la forme d'une apoplexie, bien qu'il n'y ait point d'hémor
x maladies marchent parallè-lement sous ce rapport, et que toutes les formes du rhumatisme cérébral se retrouvent dans la gout
ment décrites par Lynch(1), Garrod et Trousseau. Le délire aigu, ou forme méningitique du rhumatisme cé-rébral, se retrouve
d'après Scudamore, chez les goutteux. L'apoplexie rhumatismale, ou forme apoplectique du rhu-matisme cérébral, indiquée pa
la goutte ; seulement, dans le rhumatisme, elles affectent surtout la forme choréique ; dans la goutte, ce sont plutôt des co
t à la Société de médecine des hôpitaux. Mais il existe une seconde forme d'asthme goutteux, qui se rattache à des lésions
ode de la maladie. Elles sont rares, au contraire, dans les diver-ses formes du rhumalisme articulaire chronique. C'est là un
de Calvi), survient surtout chez les sujets débi-lités atteints de la forme chronique de la goutte, et présentant des tophus
rapidement le type adynamique. Ils paraissent exposés,d'ailleurs, aux formes graves de l'éry-sipèle et aux phlegmons diffus. A
M. Marchai (de Calvi) d'avoir un peu trop étendu le domaine de cette forme de diabète, et celui de la diathèse urique en gén
ter dans tous les climats, et se rencontre souvent aux Indes, sous la forme aiguë aussi bien que sous la forme chronique : au
ncontre souvent aux Indes, sous la forme aiguë aussi bien que sous la forme chronique : aussi, pour nous servir de l'expressi
, l'influence de l'hérédité. Ajoutons enfin que ce sont surtout les formes asténiques de la maladie qui prédominent dans le
a maladie est modifié par les conditions générales de l'organisme. La forme sthénique se rencontre surtout chez les individus
se rencontre surtout chez les individus sanguins et pléthoriques ; la forme asthénique, chez les femmes et les sujets nerveux
s sont donc les organes, quels sont les tissus aux dépens desquels se forme l'acide urique? Ici encore, nous nous trouvons en
s diverses lésions. — Modifications qui correspondent aux principales formes cliniques de la maladie. Messieurs, Après avo
utteux de Fuller (rheumatic gout) Les autres considèrent les diverses formes du rhumatism* noueux comme subordonnées à la gout
éder à la pneumonie aiguë. Il est vrai, toutefois, que nous voyons la forme chronique du rhumatisme articulaire se développer
re se développer presque toujours spontanément, et sans passer par la forme aiguë ; mais ce fait négatif ne saurait infirmer
sieurs affections différentes. Nous n'y voyons, au contraire, que les formes diverses d'une seule et même maladie. Pour n'en
de toute impossibi- lité d'établir une distinction réelle entre ces formes diverses du rhumatisme, et qu'il est souvent poss
e Landré-Beauvais ; les nodosités des jointures, de Haygarth. Cette forme est la plus grave ; elle entraîne des infirmités
n distinguer deux espèces. Tantôt primitive, tan-tôt consécutive à la forme aiguë (ce qui est rare), cette affec-tion peut êt
celles de Varthrite sèche, qui sont d'ailleurs communes à toutes les formes chroniques, sauf quelques modifications secondair
réquentes ; il en existe cependant quelquefois. C'est surtout dans la forme bénigne de la maladie qu'elles se rencontrent ; o
ntrent ; on voit survenir, chez quelques-uns de ces sujets, certaines formes d'asthme et d'affections cutanées. Il en est to
d'asthme et d'affections cutanées. Il en est tout autrement dans la forme maligne, qui ne com-porte guère d'affections visc
e, au moins par certains carac-tères. Il n'en est pas de même pour la forme que nous signa-lons ici. Personne, on peut le dir
emier lieu, de démontrer Yunité de cette affection ; car les diverses formes qu'elle peut revêtir se distinguent surtout par l
'ordre se-condaire. Elle nous permet, en second lieu, de rattacher la forme chronique du rhumatisme articulaire à la forme ai
lieu, de rattacher la forme chronique du rhumatisme articulaire à la forme aiguë ou subaiguë ; elle nous permet enfin d'étab
avail morbide qui caracté-rise le rhumatisme articulaire chronique. forme de fibrilles, puis ces fibrilles elles-mêmes disp
es altérations ; mais comme elles ne sont point communes à toutes les formes du rhumatisme articulaire, nous les étudirons en
s cellules embryonnaires de la moelle, et c'est à leurs dépens que se forme le nouveau tissu osseux. C'est ainsi que se pro
; mais il existe de nombreuses modifications à cet égard, suivant la forme clinique du rhumatisme qu'on en-visage et suivant
s les uns aux autres, et qui se vascularise à un moment donné ; il se forme alors une ankylose tantôt celluleuse, tantôt osse
bus coxse senilis (Adams). C. — Modifications qui correspondent aux formes principales du rhumatisme articulaire chronique
der ce sujet, nous voulons vous signaler les analogies qui relient la forme chronique du rhumatisme articulaire à la forme ai
alogies qui relient la forme chronique du rhumatisme articulaire à la forme aiguë. DOUZIÈME LEÇON Parallèle entre le rhum
carac-tères, du rhumatisme articulaire chronique. Ainsi, dans cette forme de maladie, les affections articulai-res ont plus
me articulaire aigu. Nous reconnaîtrons bientôt que les lésions de la forme chronique ne sont, pour ainsi dire, que la plus h
sont, pour ainsi dire, que la plus haute expression des lésions de la forme aiguë ; elles correspondent à une phase plus avan
e clinique comme au point de vue anatomique, une transition entre les formes aiguës et les formes chroniques du rhumatisme art
oint de vue anatomique, une transition entre les formes aiguës et les formes chroniques du rhumatisme articulaire. vent affe
ntestables, s'en rap-prochent encore davantage lorsqu'il s'agit de la forme subai-guë. Ainsi, dans des cas où le rhumatisme a
ana-tomique, la connexité étroite qui relie entre elles les diverses formes du rhumatisme articulaire. Ce ne sont point des a
gé donne lieu aux lésions suivantes : un épanchement séro-san-guin se forme dans la jointure; on y trouve même parfois du san
rent profondément des stalactites épaisses, à bords mousses, ayant la forme de gouttes de suif et généralement peu vascu-lair
directement d'une infection vénérienne. se rapprochent de certaines formes du rhumatisme chronique ; ces dernières sont les
taux libres. c', Même capsule : les cristaux sont dissous, et il se forme d'autres cristaux d'acide urique. c", Capsule d
aspect normal. Nous croyons avoir établi : 1° l'unité des diverses formes cliniques du rhumatisme articulaire chronique au
x ordinaires. Rien de plus rare en effet, chez les vieillards, que la forme aiguë du rhumatisme articulaire ; rien de plus fr
me articulaire ; rien de plus fréquent chez eux, au contraire, que la forme chronique de cette maladie : nous vous l'avons dé
sme articulaire aigu. Nous nous retrouvons ici en présence des deux formes dont nous avons déjà signalé l'existence: d'une p
igu (Garrod, Copland) ou capsulaire (Mac Leod). Il s'agit ici d'une forme de transition, comme nous l'avons déjà dit, dont
culaire aigu. Enfin, l'on peut établir une distinction entre ces deux formes de la ma-ladie, sous le rapport de la durée; elle
lac-tique, produit normal delà désassimilation des tissus fibreux, se forme en excès et donne naissance à tous les phénomènes
royons avoir démontré que le rhuma-tisme articulaire, sous toutes les formes diverses qu'il peut affecter, constitue une seule
du rhumatisme aigu se retrouvent, avec les mêmes caractères, dans les formes chroniques de la maladie. Pendant le cours des
eulement lorsque le retour incessant des accès commence à imprimer la forme chro-nique à la maladie, que l'on voit se dévelop
l'un des ca-ractères principaux de cette affection (au moins dans sa forme aiguë), c'est le développement prématuré de certa
passage. Le rhumatisme chronique primitif diffère à cet égard de la forme aiguë. L'existence de ces affections viscérales e
; et l'on peut dire que plus la maladie a de la tendance à revêtir la forme chronique, plus il est rare de voir de pareilles
le travail morbide débute par la tuméfaction du point malade : il s'y forme de petits mamelons qui sont constitués par les él
contraire. — Tantôt, enfin, l'ul-cération gagne en profondeur ; il se forme alors des perforations valvulaires qui donnent li
l s'agit d'une endocardite ulcéreuse ; mais, à propre-ment parler, la forme ulcéreuse de l'endocardite ne s'accom-pagne pas n
x valvules sigmoïdes, ces dépôts pathologiques prennent volontiers la forme d'une guirlande de végétations. Mais ce qu'il imp
entre les affections du cœur et le rhumatisme. C'est surtout dans la forme chronique que ce point est important à noter, com
ntrer que ces complications ne sont pas exclusivement propres à cette forme de la maladie. On les rencontre d'abord assez f
ologique permet d'établir, à cet égard, un rapport depárente entre la forme aiguë et la forme chronique du rhumatisme articul
établir, à cet égard, un rapport depárente entre la forme aiguë et la forme chronique du rhumatisme articulaire, qui prouve,
es rhumatisants chroniques, sans que la maladie ait jamais affecté la forme aiguë. Deux de ces faits sont consignés dans la t
ique. Mais nous reconnaîtrons bientôt que, par contre, cette dernière forme de la maladie comporte certaines affections presq
re subaigu et chronique; mais elle est beaucoup plus rare que dans la forme aiguë. La pneumonie aiguë est une complication
nte de l'arthro-rhumatisme aigu; je ne l'ai jamais rencontrée dans la forme chronique. J'ai observé, sans doute, quelques cas
1). Certaines affections thoraciques se présentent surtout dans les formes chroniques et mal définies du rhumatisme articu-l
ce d'une laryngite liée au rhumatisme aigu. Garrod a décrit aussi une forme particulière de laryngite chronique dans le rhuma
e parBurows, Mesnet, Griesinger, se trouve assez souvent associée aux formes sub-aiguës du rhumatisme. Des accidents de cett
ladies qui se rattachent à la moelle épi-nière se rencontrent dans la forme chronique du rhumatisme. La paralysie agitante,
elquefois des affec-tions abarticulaires ; il en est de même dans les formes aiguës et chroniques du rhumatisme. Ainsi les d
à la ibis dans la goutte et le rhumatisme, appartiennent surtout aux formes subaiguës et peu intenses de ces deux maladies. O
aussi dans le rhumatisme chronique. Elles sont peu communes dans la forme intense de cette maladie; on les trouve surtout d
leurs variétés. Marche de la maladie. — Altérations consécutives. — Forme atrophique ; — forme œdémateuse. — Perte des mo
e de la maladie. — Altérations consécutives. — Forme atrophique ; — forme œdémateuse. — Perte des mouvements. Déformation d
e ne sont point là, d'ailleurs, trois maladies distinctes, mais trois formes particulières d'une seule et môme maladie. Il n'e
t rentrer dans un cadre unique. Le rhumatisme noueux est aux autres formes de rhuma-tisme chronique ce que le rhumatisme aig
vient souvent se joindre même dès l'origine, phéno-mène qui, dans la forme aiguë, est loin de se manifester au même degré :
'articulation elle-même, le corps des os ou les muscles voisins, sous formes de cram-pes douloureuses. C'est alors qu'on con
hytes contribuent peu aux déformations articulaires. Enfin, dans la forme que nous étudions, il existe une im-mobilité plus
les plus ordinaires en pareil cas. Mais on peut distinguer ici deux formes tout opposées. Dans la forme atrophique, (Vidal)
cas. Mais on peut distinguer ici deux formes tout opposées. Dans la forme atrophique, (Vidal) il se produit une induration
t froide, pâle, lisse et polie, et ne se laisse plus rider. Dans la forme opposée, on voit une infiltration œdémateuse, qui
ntions ingénieuses, ces longues fourchettes dont les dimensions et la forme varient selon le degré d'infirmité des malades, m
i que les choses se passent. On peut invoquer à cet égard : 1° La forme même des déviations; ce sont des attitudes manife
des muscles interosseux, on voit quelquefois les membres prendre des formes qui sont de tout point semblables à celles qu'on
grave dit que le sang est couenneux; il l'est effective-ment dans les formes aiguës, mais on n'y trouve jamais d'acide uriqu
nérale et de la marche des accidents, il y a lieu de reconnaître deux formes essen-tiellement distinctes. Dans le rhumatisme
admettre ici que le rhumatisme d'abord aigu, a pris ultérieurement la forme chronique : cette opinion sou-tenue par divers au
ntre souvent cette affection vers l'époque de la méno- pause. Cette forme a été décrite par Geist(l), sous le nom de goutte
que dans l'état précédent. Nous avons comparé entre elles les deux formes extrêmes pour faire ressortir leurs analogies et
ndes articulations sont le plus souvent frappées. — Début insidieux ; forme chronique d'emblée. — Déformations articulaires.
scription des symptômes du rhumatisme chronique, par l'étude des deux formes principa-les de cette maladie, qui font suite au
eler les différences les plus caractéris-tiques qui séparent ces deux formes d'une seule et même affection. 1° Les articulat
e généralisé. 2° Les grandes jointures, et même celles qui, dans la forme précédente, ne sont que très exceptionnellement a
ptionnellement at-teintes, sont ici frappées le plus souvent. 3° La forme chronique d'emblée est ici la règle. Le début est
une hydarthrose assez considérable pour contribuer à la déformation ( Forme hypertrophique d'Adams). Cette maladie a été su
et, le diagnostic peut alors offrir de grandes difficultés; car cette forme de rhumatisme peut simuler une luxation, une frac
ai point, messieurs, de vous donner une description en règle de cette forme du rhumatisme ; elle appartient surtout, comme je
s phénomènes morbides. Il s'agit, en pareille circonstance, d'une des formes du rhuma-tisme mono-articulaire. Deux cas peuvent
savons que le rhumatisme aigu pré-sente, en germe, les lésions de la forme chronique. B. Le début de l'arthrite déformante
avec fièvre et rétraction mus-culaire; puis la maladie persista, sous forme d'arthrite sèche ; en dernier lieu, des douleurs
erden. Nous allons maintenant nous occu-per des nodosités d'Heberden, forme spéciale du rhumatisme chronique, qui n'a pas enc
Pour moi, je professe une opinion tout opposée , et je dé-signe cette forme de rhumatisme sous le nom de nodosités d'Heberden
de faire à la Salpêtrière on retrouve ici, comme dans les deux autres formes de rhuma-tisme articulaire chronique, les altérat
ion d'ostéopbytes qui reproduisent à peu près, en les exagérant, leur forme et leurs contours naturels. Les tumeurs pisiforme
matisme partiel : preuve nou-velle de la parenté qui réunit ces trois formes d'une seule et même affection. Le rhumatisme d'
cipales du rhumatisme articulaire. — Elles sont communes à toutes les formes de celte maladie. — Pathologie historique. — Prép
En effet, sur le terrain de l'ôtiologie, nous verrons les di-verses formes de cette maladie se rapprocher et se confondre :
ge de vingt ans, comme nous l'avons déjà fait observer (p. 139); La forme aiguë du rhumatisme articulaire se présente rare-
l'appareil génital chez les femmes sur le développement des diverses formes du rhumatisme articulaire. Cela est vrai, non seu
humatisme puerpéral. Une autre condition dans laquelle les diverses formes du rhumatisme (surtout le rhumatisme sub-aigu ou
fférentiels qui séparent la goutte du rhumatisme articulaire. Dans la forme aiguë de cette dernière maladie, M. le professeur
r Monneret avait déjà démontré l'inutilité du colchique : et dans les formes diverses du rhumatisme chro- nique, j'ai pu m'a
e degré d'influence sur les autres inflammations, et sur les diverses formes du rhumatisme articulaire, ainsi que nous l'avons
e actuel (pointes de feu). Ce dernier moyen est surtout utile dans la forme partielle du rhumatisme chronique. Quant aux ea
Salpetrière. Dans la plupart des cas que j'ai vus, elle a re-vêtu la forme hémorrhagïque avec collapsus. Dans ces cas, les m
lus ou moins fréquents. 11 existe la plus grande analogie, quant à la forme et aux conséquences, entre ces accès et les accid
rve cette algidité centrale. En dehors de ces circonstances, dans les formes les plus diverses, la température reste au taux n
infection pendant quelques jours, et, si surtout la gangrène revêt la forme humide, on peut voir la température centrale s'ab
ciable. Cette variété decollapsus constitue un des caractères de la forme sidérante de la plupart des maladies pestilentiel
primitive, nodosités des jointures, rhumatisme articulaire chronique ( forme primitive), etc. ÉTUDES POUR SERVIR A L'HISTOIR
IMITIVE nodosités des jointures rhumatisme articulaire chronique ( forme primitive), etc. (Thèse de doctorat, 1853]. L
aurons à déterminer ; elle n'est pas mobile, elle ne paraît pas sous forme d'accès vérita-bles et ne se transporte jamais ra
er, au pourtour des petites jointures, des végétations osseuses, sous formes de tubercules, et qui ne circonscrivent jamais co
utôt maigreur ; mais il y a quelques saillies osseuses , tuberculi- formes , au niveau des petites jointures ; et on peut rec
de se servir pour coudre. La main gauche présente à peu près la même forme que la droite, mais la flexion y est beaucoup moi
méta-carpiens; les articulations des doigts sont toutes déformées; la forme de la main est extrêmement bizarre, et se rappro-
s points mêmes qu'ils occupaient au-paravant, de nombreux cristaux de formes très variées, mais qui nous ont paru pouvoir être
ulaire d'un goutteux où l'on voit la matière tophacée disposée sous forme d'amas de cristaux aciculaires d'une grande ténui
la matière tophacée se dé-poser dans l'épaisseur du cartilage et sous forme granuleuse, et sous forme de cristaux en aiguille
aisseur des cartilages que la matière des tophus peut se déposer sous forme cristalline. Garrod (toc. cit.) et Lehmann ont vu
ces aiguilles n'a pas été déterminée d'une manière exacte ; mais leur forme rappelait celle qu'on voit prendre souvent à l'ur
gle ou un grain de millet. Elles se présentent, d'ailleurs, sous deux formes principales. Dans une première forme, elles const
ésentent, d'ailleurs, sous deux formes principales. Dans une première forme , elles constituent de petites tumeurs sous-cutané
parence, la substance d'un blanc mat qui les compose. Dans la seconde forme , ce sont de petites plaques arrondies qui semblen
mer en leur place de nombreux cristaux affectant, pour la plupart, la forme rhomboïdale caractéristique de l'acide urique. En
s couches profondes du derme pré-sentaient de semblables dépôts, sous forme d'une fine poussière blanche. Aux genoux, les c
se trouvaient des masses opaques (Fig. 27, N et Fig. 28, C) ayant la forme et le volume des cellules cartilagi-neuses, et de
es opaques se dissolvaient en même temps qu'apparaissaient toutes les formes cristallines propres à l'acide urique (Fig. 27, v
res d'urate de soude. En c'les cristaux libres sont dissous, ci il se forme des cristaux d'acide uriquc,"u ; en c" la membran
cartilagineuses. Les urates sont dans l'intérieur des cellules, sous forme amorphe, et ces dernières, transformées en une ma
et ces dernières, transformées en une masse opaque qui con-serve leur forme arrondie ou ovalaire, servent elles-mêmes de cent
comme on le voit, les caractères qu'a assignés M. Rayer à la deuxième forme de la néphrite albiuni-neuse ; mais, en outre, on
itue comme le moule interne d'un tube urinifère dont elle conserve la forme et le volume. Cette masse amorphe, évidemment con
aisceaux, soit libres, par une de leurs extrémités, et disposées sous formes de rayons. La partie amorphe et la partie cristal
Ces infarctus rénaux, immédiatement liés à la goutte, présentent deux formes bien tranchées, suivant qu'ils sont constitués pa
néphrite albumineuse avec la goutte. Il s'agissait, dans ces cas, des formes chroniques d'albuminurie, dont on a voulu faire,
dans les calices. M. de Castelnau a, le premier, signalé la seconde forme de dépôts qu'on trouve dans le rein, dans un mémo
es ; ce n'est que dans des points très rares qu'on la trouve, sous la forme de granulations amorphes infiniment petites et to
n dans la goutte, et il s'efforce d'établir qu'il y a constamment une forme particulière de néphrite chronique qu'il appelle
eur d'avoir mis en relief, dans son bel ouvrage sur la goutte (1), la forme spé-ciale des dépôts d'urate de soude, dans le re
durs et granulés à leur surface chez les goutteux. Il distingue deux formes de lésion rénale, l'une portant sur le contenu ép
e perdit sa structure cristalline, devint amorphe, opaque, et prit la forme et le volume de tube urinifères. Une partie du co
ana-tomique quelquefois très avancée des reins, qui consiste dans une forme chronique de la néphrite albumineuse (néphrite pa
u-laire d'un goutteux, où l'on voit la matière tophacée disposée sous forme d'amas de cristaux d'une grande ténuité. En 1845,
ant lui, la matière déposée dans les cartilages se présente sous deux formes , tantôt granuleuse et amorphe, tantôt parfaitemen
es points mêmes qu'ils occupaient auparavant, de nombreux cristaux de formes très variées, mais qui nous ont paru pouvoir être
urface du cartilage, et de l'autre, pénétrait dans la profondeur sous forme d'îlots régulièrement disposés les uns auprès des
aussi de centres de cristallisation, et qui avaient le volume et la forme de cellules cartilagineuses parfaitement normales
ules de cartilage d'une part, dans les tubes urinifères d'autre part, forme la base du dépôt et devient le centre d'où s'irra
dans les cou-ches profondes du derme, les dépôts avaient toujours la forme de petits grains arrondis, solidement maintenus,
é, antérieurement au développement de la goutte, une ou plusieurs des formes de l'intoxication saturnine, et exer-çaient la pr
es ; derrière l'olécrâne,il existe de chaque côté une tumeur ayant la forme et l'apparence de l'hygroma, mais qui présente un
es des gros orteils et s'étaient montrées, à plusieurs reprises, sous forme d'accès à début brusque, du-rant chaque fois une
fec-tions rhumatismales qui ne diffèrent en rien, du moins quant à la forme , de celles qui se produisent spontanément (je fai
lisse-ment de cette fonction provoquent souvent le dévelop-pement des formes ordinaires du rhumatisme ; ainsi, la chlorose et
tion du rhumatisme noueux (Charcot; Trastour, etc.). « Grossesse. — Formes subaiguës du rhumatisme articu-laire. (Lorain) To
développer le rhumatisme com-mun. santé, puisqu'elle développe une forme morbide particulière, tantôt son rôle n'est qu'ac
tte peut, comme le rhu-matisme articulaire, revêtir dès l'origine, la forme chronique, pour spécitier les cas de ce genre, M.
rhumatisme. — On a dit que clans la goutte, la douleur se montre sous forme d'un point situé sur le côté de l'articulation et
de son évolution et le rhumatisme articulaire chronique d'emblée, de forme pro-gressive — (rhumatisme goutteux, rhumatisme n
ent qu'un fait du même genre, et parmi les cas très nombreux de cette forme de rhumatisme chronique que j'ai observés, dans l
utte, et qui, depuis cette époque, n'ont pas cessé de reparaître sous forme d'accès, une ou plusieurs fois chaque année, prin
arthrodiaux, où elle se présente tantôt à f'état amorphe, tantôt sous forme d'amas d'aiguilles cristallines. L'acide acétique
les couches profondes du derme présentaient de semblables dépôts sous forme d'une fine pous-sière blanche. L'examen microscop
uites par les concrétions tophacôes : celles-ci se présentent sous la forme de tumeurs irrégulièrement arrondies ou ovoïdes,
eau de ces jointures, dont elles ne reprodui-sent pas, d'ailleurs, la forme et les contours. La peau qui les recouvre, disten
ernier persiste fréquemment, après l'évacua-tion de son contenu, sous forme d'une tumeur arrondie, percée à son sommet d'un p
s relatives au rhumatisme articulaire chronique concernent toutes les formes et toutes les époques de la mala-die. Les cas sur
. Garrod —, mais aussi, d'après mes propres recher-ches, des diverses formes du rhumatisme articulaire chronique. Toutefois,
ette altération du sang se rencontre d'une manière habituelle dans la forme chronique de la maladie de Bright, dans certaines
aucune altération appréciable. Les chondroplastes ont conservé leurs formes et leurs dimen-sions normales; les éléments cellu
fait intervenir l'acide acétique, ils se dissolvent et bientôt il se forme sur les points qu'ils occu-paient des tables rhom
s éprouvent, soit d'une manière pour ainsi dire habituelle, soit sous forme d'accès, des douleurs rénales plus ou moins accu-
ncontre les lésions rénales de la ma-ladie de Brigh't, tantôt sous la forme de la néphrite parenchy-mateuse, tantôt sous cell
ertain que la néphrite albummeuse des goutteux peut, comme les autres formes de la maladie, s'accompagner des redoutables symp
ée au microscope et traitée par les réactifs convenables, offrait les formes cristallines et les caractères chimi-ques qui dis
hez la couleuvre, l'urate se dépose dans la cavité de l'estomac, sous forme d'une boue blanchâtre. 7° La plupart des jointure
hargée d'urate de soude qui, dans la vésicule du fiel, se sépare sous forme concrète. Ces faits de pathologie expérimentale
ète. Ces faits de pathologie expérimentale font connaître sous leur forme la plus accentuée les effets de la saturation uri
a couleuvre, l'urate se dépose même dans la cavité de l'estomac, sous forme d'une boue blanchâtre (voyez la note p. 329). Il
de vue du diagnostic, il est intéressant de remarquer que toutes les formes du rhumatisme cérébral, la céphalée, le délire ai
proposé de ramener, ainsi qu'il suit, à trois types fonda-mentaux les formes très variées sous lesquelles se présentent le rhu
n. Il n'est pas extrêmement rare, par exemple, de voir cette dernière forme succéder immédiatement, sans tempsd'arrêt, au rhu
généralement de rencon-trer l'endocardite et la péricardite, dans la forme chronique du rhumatisme articulaire. Cela, du moi
aire ; tantôt, au contraire, le rhumatisme a revêtu dès l'origine, la forme chronique, et l'on est conduit à reconnaître que
dans un de ces cas. Les valvules avaient conservé d'ailleurs leurs formes et leurs dimensions normales ; si bien que, penda
cœur, telles que l'endocardite et la péricardite, appartiennent à la forme généralisée du rhumatisme articulaire chronique,
dans les 1. Il s'agit des digitorum nodosi, d'Heberden. deux autres formes du rhumatisme articulaire chronique, les altérati
on d'ostéophytes qui reproduisent à peu près, en les exa-gérant, leur forme et leurs contours naturels. Les tumeurs pisiforme
minutieusement étudiées. Les chondroplastes s'hypertrophient et il se forme , dans leur inté-rieur, de nouvelles cellules cart
qu'indiquer les traits les plus généraux, sont communes aux diverses formes du rhu-matisme articulaire chronique. Seulement,
sme généralisé à évolution rapide, elles acquièrent parfois, dans ces formes lentes et particulièrement dans le rhumatisme par
emment ; il n'est pas rare de voir les malades, atteints des diverses formes de cette dernière affection, porter au cou des ci
l'on sait de la goutte (p. 627). Ressemblance des lésions dans les formes aiguës et chroniques du rhumatisme articulaire. —
de vue des lésions anatomiques, d'établir un rappro-chement entre les formes chroniques et la forme aiguë du rhu-matisme artic
miques, d'établir un rappro-chement entre les formes chroniques et la forme aiguë du rhu-matisme articulaire (p. 029-030).
cit,) (p. 630-631). Bons effets des alcalins à haute dose dans les formes aiguës, subai-guës et chroniques du rhumatisme. —
ntenue pendant plusieurs semaines, être suivie de bons effets dans la forme subaiguë de la maladie et aussi dans sa forme chr
de bons effets dans la forme subaiguë de la maladie et aussi dans sa forme chronique généralisée, au moment de ces exacerbat
M. Garrod (p. 617), les arthrites se développent souvent, dans cette forme du rhumatisme articulaire chronique, sans occasio
argée d'urate de soude, qui, dans la vésicule du fiel, se sépare sous forme con-crète (note, page 329 du Traité de Garrod et
M. Marchai (de Calvi) d'avoir un peu trop étendu le domaine de cette forme de diabète et celui de la diathèse urique en géné
suis porté à croire cependant, d'après ce que j'ai observé, que cette forme du diabète se distingue le plus souvent par sa bé
ans. La chorée vulgaire est-elle modifiée en quelque façon dans sa forme , lorsqu'elle est transplantée chez le vieillard ?
sme. On ne rencontre non plus chez les vieilles choréiques aucune des formes du rhumatisme articulaire chronique, qui s'observ
utte. — diathèse urique. — goutte aiguë. goutte chronique. f Deux formes principales de la goutte ; goutte aiguë, goutte c
diverses lésions. — Modifications qui correspondent aux principales formes cliniques de la maladie.......................,
eurs va-riétés. Marche de la maladie. — Altérations consécutives. — Forme atro-phique ; — forme œdémateuse. — Perte des mou
he de la maladie. — Altérations consécutives. — Forme atro-phique ; — forme œdémateuse. — Perte des mouvements. Déformation
ndes articulations sont le plus souvent frappées. — Début insidieux ; forme chronique d'emblée. — Déformations articulaires.
cipales du rhumatisme articulaire. — Elles sont communes à toutes les formes de cette maladie. —Pathologie historique. — Pré-p
rimitive, nodosités des jointures, rhuma-tisme articulaire chronique ( forme primitive), etc. Historique ; synonymie........
escence graisseuse du cœur, 66, 545 ; — chez ies animaux, 69, 532 ; — forme fine pri-mitive de la —, 83 ; — déformations, 83;
érations dans la 571. Goutte gastrique, 92, 546 ; — lar-vée, 93 ; — forme cardiaïgique, 94, 479 ; — forme spasmodique, 94 ;
astrique, 92, 546 ; — lar-vée, 93 ; — forme cardiaïgique, 94, 479 ; — forme spasmodique, 94 ; — fréquence, 95 ; — erreurs de
, 542, 575;.— différence avec la goutte, 248; — siège, 282, 258.; — forme , 248; — début, 255;—anatomie pathologique, 255; —
ce, 38; — chez les vieillards, 295, 318 ; — collapsus dans la —, 345; formes algides de la —, 347. Porter, 147, 149; — fabri
allèle avec le rhumatisme articulaire aigu, 178; — unité des diverses formes cliniques, 191 ; — cardiopathies dans le —, 211 ;
onique partiel, 165, 248; — mode d'envahissement des jointures, 249; — forme hypertro-phique, 249 ; — début, 250; — symp-tômes
ns ; — 235 ; —ordre d'envahissement des articulations, 239, 555 ; — forme atrophique, 240: — lésions arti-culaires, 241; —
2 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
ns de leur collaboration active et éclairée. La suite de ces Leçons forme aujourd'hui une sorte de Traité pratique sur les
es vertèbres à une affection tuberculeuse. C'est là effectivement une forme très-commune du mal vertébral, surtout à l'hôpita
onsécutifs. Les efforts des observateurs doivent tendre à établir les formes symptomatiques qui correspondent à ces diverses a
e le corps de la vertèbre. C'est là un des effets ordinaires de cette forme de la maladie. Je me résume : on distingue dans
aussi profondément lésé sans entraîner de grands changements dans la forme du tronc. Un rapprochement s'opère entre les vert
on des douleurs. D'après ce que je viens de dire, le rachis perd sa forme ; il décrit ordinairement des angles. Nous voyons
pas exception au fait général de l'affaissement; mais, à cause de la forme de la région, il a d'abord pour seul effet le red
marque au début, dans ces mêmes régions, des inflexions arrondies, en forme d'arcs réguliers, appartenant à un cercle d'un tr
ère, lorsque plusieurs vertèbres étant en partie détruites, aucune ne forme d'angle bien prononcé. Tel est l'aspect de la c
idemment? IIe cas. — Il s'agit ici de cavités qui n'altèrent pas la forme extérieure de la vertèbre, qui ne font que la per
du tronc. Les côtes présentent des changements remarquables dans leur forme : elles sont plus convexes en arrière ; leur cour
ononcée et un pli à gauche et en avant. Les poumons s'adaptent à la forme du thorax et se modifient dans leur configuration
résentent bien aussi quelques changements dans leur situation et leur forme ; mais, moins importants que ceux des organes tho
Les enfants soumis à votre examen rendront sensibles ces différentes formes de gibbosité, que j'ai déjà signalées dans l'anat
ntes : Io Une seule apophyse épineuse soulève les téguments sous la forme d'une pointe plus ou moins saillante. La colonne
osité figure une courbe régulière, courte, d'un rayon variable. Cette forme se voit surtout à la région lombaire. h° La gib
urtout à la région lombaire. h° La gibbosité présente également une forme arrondie, parce qu'elle comprend plusieurs vertèb
des les plus avancées ; elle peut succéder à chacune des trois autres formes . (1) J'ai fait passer sons vos yeux, dans la pr
, dans la précédente séance, plusieurs enfants présentant différentes formes de bosse. Nous avons à examiner quelle est la v
parents n'avaient pas reconnue. Valeur diagnostique des différentes formes de gibbosités. — Toutes les fois qu'une vertèbre
n ne l'observe que dans le mal vertébral. Nous avons distingué deux formes de gibbosités en pointe. Une première forme repré
ous avons distingué deux formes de gibbosités en pointe. Une première forme représente, en quelque sorte, un angle géométriqu
re, le sommet de l'angle étant formé par une pointe. Dans la deuxième forme de gibbosité, l'angle est plus effacé; des concav
-dessous du point malade redressent le tronc. L'une et l'autre de ces formes ont la même valeur au point de vue du diagnostic.
iagnostic. Il y a en outre, comme nous l'avons dit, des gibbosités en forme d'arcs plus ou moins étendus. Si, dans cette cour
er, sans pointe sensible. Ce buste en plâtre en est un exemple. Cette forme n'a pas la même valeur diagnostique que les précé
édiane ; sur le second, une gibbosité postéro-latérale. Qu'est-ce qui forme cette bosse latérale? Ce sont les côtes fortement
ement courbées par suite de la torsion du rachis, dévié d'ailleurs en forme à'S en deux sens opposés, à chacun desquels corre
fut qu'après un examen long et minutieux que je pus constater par la forme de l'inflexion, par la douleur produite dans le
e migration, s'éloigne des vertèbres à mesure qu'il se produit; il se forme ce qu'on appelle un abcès par congestion, dont no
lé s'enflamme, s'indure, et finit par s'organiser en membrane ; il se forme une poche, l'abcès s'enkyste. Je ne décrirai pa
onçant alors les doigts, vous sentez l'abcès ; il se présente sous la forme d'une tumeur cylindrique, arrondie à son extrémit
bes, et vient en dernier lieu à la partie postérieure du tronc, où il forme les abcès cervicaux postérieurs, dorsaux et lomba
il forme les abcès cervicaux postérieurs, dorsaux et lombaires. Leur forme est peu régulière ; en général elle est globuleus
uleur à la peau ; ils n'offrent pas, en général, d'inflammation. Leur forme est variable, ordinairement globuleuse. Leur sièg
ons se mortifier par la présence du pus et paraître au dehors sous la forme de champignons. L'orifice de l'abcès ne devint ma
lement jusqu'à la paralysie complète. I. Mouvement réflexe. — Cette forme de la propriété excito-motrice qui produit l'acti
et l'irritabilité musculaire pourra être plus ou moins altérée. La forme la plus ordinaire de paralysie consiste, comme on
haut sur l'existence presque constante des foyers cachés. Les trois formes de mal vertébral que je viens d'indiquer sont reg
ineuses et ligamenteuses forment la deuxième catégorie. Cette seconde forme de la maladie a reçu différents noms; on l'a nomm
rthr algie est moins exclusif; mais il s'applique aussi à la première forme . Le nom de spondy lartfirocace a pris domicile da
vertébral, a conservé la position horizontale. Il y a, en effet, deux formes de luxation; l'une où l'atlas est incliné, l'autr
vital, n'est pas constamment mortelle. Elle peut même guérir dans sa forme la plus profonde et la plus grave. Voici une pi
se du pus épaissie. La guérison, disais-je, s'observe dans les deux formes de l'ar-thralgie sous-occipitale. Dans la synovit
ormations de la moelle peuvent également se trouver consacrées par la forme pathologique du canal, sans lésion des fonctions
ans les trois que comprend la région occipito-vertébrale. Une autre forme d'ankylose est la suivante : il y a glissement de
l'atlas sur l'axis et soudure des deux os dans cette position. Cette forme est la plus fréquente ; les faits de Duverney, ce
odontoïde à l'atlas, malgré leur écartement. On a observé d'autres formes d'ankylose ; elles sont dues à des déplacements l
s les deux articulations sous-occipitales. J'arrive à une quatrième forme de déplacement, qui consiste dans la rotation sim
à huit ans. En faisant l'histoire de cette enfant, je décrirai celte forme d'ankylose. La déformation résulte ici de ce que
latéral est énorme. Le plan tangent aux deux condyles de l'occipital forme un angle aigu avec l'axe du cou ; il y a eu rotat
les dans d'autres parties, la tête et le rachis. La nutrition et la forme de la tête sont modifiées. Lorsque l'affection du
ne inclinaison latérale, ce qu'on observe surtout fréquemment dans la forme unilatérale, il se fait uû arrêt de développeme
symptômes suivants : I. Douleur. — Elle se rencontre dans les deux formes du mal. Elle commence ordinairement d'une manière
u cou, la douleur se fait sentir dans toutes ces directions. De là la forme névralgique que présente généralement la douleur
er au prix de vives souffrances, mais elle retombe aussitôt. La nuque forme un pli considérable, au fond duquel on aperçoit d
; l'inclinaison latérale est peu sensible. La nuque, très-affaissée, forme un pli profond. Les muscles postérieurs, fortemen
déjà des exemples. Cette région présente ordinairement, dans les deux formes de la maladie, un sillon profond, plus marqué s'i
aire sous-cutané. Des abcès altèrent également, dans certains cas, la forme du cou. Ce qui doit nous arrêter surtout et ce
mais ces atteintes diverses se font sentir à de longs intervalles. La forme d'accès est donc un des meilleurs caractères dist
ilatérale. Le torticolis musculaire présente une attitude fixe, des formes spéciales, inhérentes aux muscles affectés et e
passe à la seconde variété, celle qui s'accompagne d'altération de la forme de ces organes. Le torticolis est souvent produit
ui indique une rétraction. La douleur articulaire manque dans cette forme . La plupart de ces caractères peuvent exister d
biguïté du langage, prétend qu'il ne faut pas donner à cette première forme de la maladie le nom d'arthrite, mais celui $arth
ais d'affection nerveuse articulaire simple. Je distinguerai quatre formes dans la synovite au point de vue du traitement, s
e affection tout à fait inconnue dans sa nature ; pour moi, c'est une forme de phlegmasie sui generis. On dit : le rhumatis
tions pathologiques, bien que ces lésions puissent présenter d'autres formes de pseudarthrose ; on ne la rencontre jamais dans
qui en est la partie la plus importante , et de laquelle dépendent la forme et les mouvements de la nouvelle articulation.
état parfait, si je puis ainsi dire. L'allongement est propre à deux formes de la maladie, les luxations congénitales et les
Les suppositions varient suivant l'opinion étiologique que l'on se forme de la maladie. On admet, dans un cas, qu'il n'y a
is à l'état d'allongement et de déplacement des attaches. La première forme donne lieu à cette disposition articulaire que j'
; ses fonctions sont conservées en grande partie. Dans cette première forme , la capsule, parfaitement intacte, renferme la tê
menteuse est propre aux pseudarthroses coxo-fémorales congénitales et forme un signe précieux pour différencier ces lésions d
fémur dans ces pseudarthroses congénitales, et je passe à la seconde forme des altérations de la capsule dans l'état parfait
uxations juxta-cotyloï-diennes. Il est souvent impossible, dans cette forme , de décider ti le déplacement est congénital, ou
C'est douteux. Je vous présente plusieurs exemples de cette seconde forme ; celui-ci est le plus bel échantillon que je pos
la jointure. La disposition de la capsule est différente dans cette forme de luxation et dans là* syndesmose. Dans le premi
utre l'ilium et le fémur. B. Perforation de la capsule. — Une autre forme d'altération , la perforation de la capsule, se v
turelles, lorsqu'elles sont privées de leur modificateur habituel. Sa forme se modifie, change; de rond, il devient triangula
elle ne pouvait plus recevoir la tête du fémur, et présentait déjà la forme triangulaire. Il est au contraire des cas où l'ét
e la tête du fémur. Des changements considérables s'opèrent dans la forme de la tête et du col : la tête diminue souvent de
je signale ; elle montre l'influence des pressions mécaniques sur la forme des os. Les muscles ne jouent qu'un rôle secondai
écision, surtout chez l'enfant, qui offre de l'embonpoint et dont les formes sont arrondies. On détermine, quand on y a recour
te, au lieu des lignes courbes que décrit le ruban en s'adaptant à la forme des parties molles intermédiaires aux points dont
e une différence très-manifeste d'un côté à l'autre. La saillie que forme le grand trochanter du côté luxé est quelquefois
té sain, à cause des modifications que les os ont éprouvées dans leur forme . Deux autres causes d'erreur ont leur source dans
e luxation, elle devient accessible aux sens de la vue et du toucher, forme souvent une saillie arrondie et facilement reconn
econnaissable en dehors de l'épine iliaque antéro-supérieure. Dans la forme la plus ordinaire des luxations, son siège est ra
s fondées sur la dissection des parties, on devra, dans cette seconde forme , s'expliquer avec plus de réserve que dans la pre
s rapports constants entre les os. Le bassin, verticalement dirigé, forme une croupe saillante, surmontée d'une concavité
ations lombaires et sacro-vertébrale ; la portion lombaire de l'épine forme alors avec le bassin un angle aigu d'un côté, obt
mensions étendues. On ne voit là ni le rétrécissement du cotyle ni la forme triangulaire-de cette cavité, caractéristiques d'
doit être pris plus au sérieux; son ouvrage (l), remarquable pour la forme et pour le fond, contient dix-neuf observations ,
l locomoteur, et où se retrouve comme un abrégé complet de toutes les formes de maladies musculaires. Cette affection est le
parfaite, exige deux conditions : 1° pour chaque œil, que l'image se forme dans le prolongement de l'axe antéro-postérieur ;
gement de l'axe antéro-postérieur ; 2° pour les deux yeux, qu'elle se forme dans les points identiques des rétines, c'est-à-d
ne fréquence relative plus grande du strabisme convergent. A ces deux formes j'ajoute le strabisme parallèle simple ou double,
et un raccourcissement permanent. Il faut savoir reconnaître ces deux formes pendant la vie. Dans le strabisme par contraction
et les extenseurs se raccourcir par l'effet de cette attitude , il se forme un pied équin. L'usage des béquilles trop élevé
ente dans cet hôpital, c'est la contrac- (1) Diss. sur la meilleure forme des souliers, 1781, p. 28. (2) Ueber, etc., ou
s, p. 51, Gotha, 1796. ture des extrémités, qui se présente sous la forme aiguë ; les pieds sont portés dans une telle addu
es orteils; il y a effacement de la saillie sous-métatarsienne. Cette forme résulte d'une forte contraction des fléchisseurs
s le plus souvent avec d'autres vices de direction du pied. L'autre forme du pied creux s'éloigne moins de la conformation
x° Le varus vatgus ou adduction-abduction. a. Varus direct. — Cette forme est rare, surtout dans les déviations congeniales
s. Elle n'atteint jamais un très-haut degré, sans passer à la seconde forme . Voici ses caractères : les deux muscles jambiers
ppe au-dessous d'elle une bourse muqueuse. {?. Varus èquin. — Cette forme est beaucoup plus commune que la précédente. Elle
nous en établirons trois principaux. Dans le premier, l'avant-pied forme avec l'axe normal du pied un angle obtus. Dans
a partie antérieure du bord externe et sur le sommet de l'angle qu'il forme avec le calcanéum. Cet angle tend à se fermer dav
utre, de manière que l'extrémité postérieure du cinquième métatarsien forme une troisième saillie osseuse sur le côté convexe
rus direct, que le talon ne porte plus sur le sol. A la longue, il se forme un autre talon au sommet de l'angle médio-tarsien
rtout chez les nouveau-nés. Le pied peut perdre alors complètement ta forme allongée, devenir en quelque sorte circulaire, co
e époque, a transformé ce pied bot en varus du premier degré. Le pied forme un angle obtus avec la jambe ; le talon porte à p
opérée deux lois, à huit mois et à quatre ans, offre aujourd'hui des formes qu'on peut appeler artificielles. M. Duchenne a d
ion tout à fait comparable à celle des doigts, lorsqu'ils prennent la forme de griffes , suivant l'expression de M. Duchenne.
ormation existe au membre supérieur comme à l'inférieur. Remarquez la forme arrondie du poignet; la paume de la main s'appuie
terne du col. Dans un deuxième degré, la tète n'a déji plus la même forme ; elle est un peu rélrécie et tend à devenir point
t est souvent indiqué par l'allongement de la substance osseuse, sous forme d'une apophyse styloïde, à l'angle inférieur inte
s articulaires astragaliennes et cuboïdienne du calcanéum changent de forme et de situation, par l'effet de la rotation de l'
fait remarquer les phalanges des ortei s repliées sur elles-mêmes en forme d'S, ce qui était dû en partie à cette influence
convexe, le bord interne concave. Le pied décrit dans son ensemble la forme d'un S. C'est ce que vous observez sur ce moule,
ois degrés principaux dans le valgus commun. Dans le premier, le pied forme avec son axe normal un angle très-obtus; le bord
3° le pied équin valgus, que je réunis au valgus équin. Suivant la forme et la direction de l'avant-pied, le pied équin es
el du talon dans la station , par l'extension permanente du pied, qui forme avec la jambe un angle obtus. 3° Dans le troisi
ération de sa convexité en avant. Le pied, vu de côté, offre alors la forme d'une S. C'est cette partie antérieure, fortement
son Orthopédie, n'a entendu désigner par le nom de pied équin qu'une forme particulière du pieel. Il ne fait pas même mentio
Des déviations particulières des orteils peuvent se joindre à cette forme commune du pied équin. La plus fréquente est l'ex
orteil avec flexion de la seconde. Quand plusieurs orteils ont cette forme , cela produit l'apparence de griffes, comme dans
sol. On l'a appelé par la même raison pied èquin en dessous. Celte forme de pied équin dorsal est rarement directe, mais e
tension et de l'abduction. Le long péronier ne peut seul produire ces formes de pieds bots, parce que, seul, il ne peut pas so
che, sans causes apparentes. C'est depuis lors que son pied a pris la forme d'un pied équin. Remarquez comme le talon est éle
t normal ; ceux du varus sont très-notablement déformés. Toutefois la forme des os se modilie également à la longue. Ainsi, c
araît de lui-même dès les premières semaines. Enfin, la direction, la forme des bords du pied sont déterminées par le degré d
talus pied creux congénital; mais il pourrait s'en présenter. Cette forme de pied bot s'est montrée jusqu'ici liée à la par
orteils peuvent être diversement déviés dans le talus. Us offrent la forme de griffe dans le talus pied creux, quand les mus
ntation est plus assurée dans le talus pied creux que dans les autres formes de pied bot. Les fonctions du membre sont cependa
rations de chirurgie, p. 530, Bruxelles, 1708. (3) Sur la meilleure forme des souliers, p. 51, 1781. Cependant Delpech, d
péroné. Voici une attelle coudée, portant une semelle de bois, qui forme avec elle un angle obtus. En fixant le pied sur l
sous les yeux deux appareils agissant en sens contraire pour les deux formes principales du pied bot. La mère de cet enfant a
noux, on peut les porter dans une extension tellement exagérée, qu'on forme un angle rentrant en avant, tandis que le jarret
a rotule droite est très-peu développée; on la trouve en dehors, sous forme d'un petit tuber- (1) Huitième leçon, 11 juille
vis est une vis sans fin ; elle fait marcher une partie dentée qui forme l'extrémité de la pièce opposée. Tel est le mécan
urs permanentes. Cette précaution est encore plus nécessaire, s'il se forme une phlyctène. Lorsqu'on n'a pu éviter la forma
uperficielle, celte lésion peut encore guérir sans suppuration; il se forme une croûte sèche, qui laisse, en se détachant, un
rectitude normale ; on pousse la flexion jusqu'au point où la sandale forme avec les montants un angle aigu. Il faut toutefoi
algus, il faut une disposition inverse. En outre, dans cette dernière forme , à l'aide d'une seule branche externe, d'une sort
hodes sont en présence. L'une a pour principe de diviser, dans chaque forme de pied bot, tous les tendons des muscles qui l'o
hille sur des chiens avec une aiguille à cataracte. Ténolomes. — La forme des instruments a quelque peu varié. Sauf de rare
, à la dépression, au vide que l'on sent entre eux. La gaîne fibreuse forme souvent une bride de chaque côté de cet intervall
e qu'on nomme gaîne du tendon. Cette gaîne, entamée par l'instrument, forme une sorte de canal cylindrique , adhérent aux deu
même volumineux, finit par être résorbé, et la cicatrice du tendon se forme comme à l'ordinaire; seulement la cavité de cette
tères de l'état normal, surtout si la déviation était congénitale. Sa forme conserve quelque chose de l'état primitif, ou s'a
de subluxations ; le calcanéum est placé horizontalement; le cuboïde forme seulement une légère saillie à la plante, et le b
rrête pas à son début, et qui, dans le cas contraire, constituent des formes ou des états différents. Je rattacherai toutes
a maladie ; et comme !c système osseux se présente sous une troisième forme quand la guérison a lieu, j'établirai en tout tro
ns les os courts et dans l'épaisseur des os larges. Le tissu compacte forme sur tous ces os une couche plus mince ; mais il o
lules précédentes, ainsi que leurs granules, sont groupées d'abord en forme d'îlots à grand axe longitudinal. Ces îlots finis
encore que, dans le rachitisme, les granules des deux couches ont des formes bizarres et beaucoup plus irrégulières que dans l
s. Il est évident que la persistance, l'étendue, la mollesse de ces formes transitoires du tissu osseux, concourent puissamm
ses caractères. Cette éburnation des os consacre définitivement les formes , les dimensions, que la maladie leur avait donnée
l'opposé de ce qui se passe dans le rachitisme, et le contraste qu'il forme avec cette dernière affection vous rendra plus se
de également, le bassin reste symétrique et sa circonférence prend la forme d'une ellipse transversale plus ou moins allongée
'est sans doute à cette dernière affection qu'on doit rapporter cette forme de resserrement transversal que vous avez sous le
ns osseuses qu'on rencontre le plus communément et qui sont autant de formes symptomaliques du rachitisme. 11 est aussi des co
courbures naturelles. Son col devient horizontal, quelquefois même il forme un angle aigu ; le grand trochanter est dirigé en
t le membre abdominal est dévié en dedans, des deux côtés, ils ont la forme de la lettre X. Dans ce cas, les genoux se touc
n, il existe une double courbure en S dans un seul membre ou d'autres formes plus bizarres. Sur les fœtus atteints de ce que j
orcs de Westphalie était héréditaire. Daubenton (1) se demande si les formes osseuses produites par un rachitisme ancien et gu
ît bien fait. Les membres inférieurs sont courbés en dehors et ont la forme d'une S. Les pieds ont la direction des valgus. C
plement mise en jeu ; 2° la courbure par déformation, résultant de la forme particulière des pièces du rachis. (1) Première
le ; 2° juvénile ; 3° sénile. J'examinerai, en particulier, ces trois formes , puis la cyphose symptomatique. I. Cyphose infa
spinaux concourt, avec la lésion rachitique, à la production de celte forme de cyphose. Ces muscles sont incapables de mainte
tit nombre de vertèbres ; mais elle est encore plus considérable , et forme presque un angle droit dans la région dorsale sup
est beaucoup plus fréquente aux vertèbres dorsales, disposées à cette forme de courbure par leur direction normale, de même l
par suite d'une disposition originelle , comme tout autre trait de la forme extérieure du corps , comme les traits du visage
affecter, comme dans celle-ci, sans érosion, sans mal vertébral, une forme presque anguleuse. (1) A. Roy, De Scoliosi, p.
, en examinant la région postérieure du tronc, afin de reconnaître la forme qu'ils lui impriment. On peut quelquefois , dais
qu'indiquer la lordose dépendant de cicatrices vicieuses; toutes les formes de courbure du rachis peuvent être déterminées pa
ndaire. Cette contracture se montre-t-elle à l'état chronique sous la forme permanente? La chose est possible, mais je n'en c
du cou et l'inclinaison en avant plus considérable. Un pli profond se forme à la nuque, qui est très-courte ; la face est dir
en le faisant asseoir et courber en avant, vous remarquez qu'il ne se forme plus de voussure physiologique. IIe et IIIe cas
ant est assise, tout disparaît; lorsqu'elle se courbe en avant, il se forme une cyphose dorsale physiologique, ce qui prouve
lexion brusque, une sorte d'angle arrondi, au-dessus duquel le rachis forme une ligne presque droite , fortement inclinée en
Guérir la paralysie est l'indication essentielle à remplir dans cette forme de lordose. Ne laisser le sujet debout que le moi
Tl est une lordose congénitale générale, remarquable en ce qu'elle forme à elle seule le trait le plus saillant de la mons
scoliose par déformation, qui diffèrent plus l'une de l'autre que les formes correspondantes de la cyphose. Ces deux espèces s
, ce qui nous intéresse spécialement, c'est (1) Voyez page 85. la forme , la direction de l'axe du rachis dans ses divers
ue ou pelvienne; sa courbure est simple, en forme de C, ou double, en forme d'S ; elle peut être verticale ou plus ou moins o
sont exactement parallèles ; la courbure a la même étendue et la même forme , que l'on considère le rachis du côté des corps v
, et dans toutes les œuvres d'art qui offrent cette pose, qu'il ne se forme généralement alors qu'une seule courbure. E. Ce
e, presque droite, qui répond à une partie de la région dorsale. La forme du tronc tient à la fois, dans ce cas, des courbu
S0 Flexion latérale par douleur. — Très-commune, elle revêt plusieurs formes qui rentrent dans les attitudes physiologiques qu
ytique avec inclinaison considérable du tronc en arrière. C'est cette forme que M. Duchenne (de Boulogne) rapporte à la paral
orsales moyennes, cette partie médiane est le point le plus courbé et forme une saillie très-prononcée en avant; la circonfér
respond exactement au côté gauche des Vertèbres , dans le point où se forme la courbure latérale normale. Cette déformation d
composée de deux courbures régulières, à peu près égales. C'est cette forme que Shaw (1), après Haller (2), appelait serpenti
ecs n'étant nullement notre S. On a comparé (U) assez justement cette forme de scoliose à un zêta (£), quand la petite déviat
ches très-ouvertes. La droite qui joint les deux extrémités du rachis forme la corde des deux courbes, qu'elle coupe à leur p
était le plus prononcée. Dans ce cas, la scoliose affecte d'abord la forme de la flexion physiologique ; les courbures secon
et hors de la ligne verticale passant par le centre de gravité. Cette forme de scoliose se voit surtout dans un âge avancé, e
de la ligne du centre de gravité; le rachis, dans son ensemble, a la forme d'une S qui serait fortement penchée à droite.
tant également jusqu'à leur plus haut degré, la déviation conserve la forme d'une S régulière (1). Mais cela est rare; la cou
, le rachis serpente d'un seul côté de ce plan, à sa droite, clans la forme que j'ai supposée. Au lieu de trois inclinaisons
son développement complet. La gibbosité est-elle posléro-gauche, la forme du rachis est retournée; la déviation procède d'u
contre. La courbure sous-aortique, la courbure lombaire gauche, de la forme sigmoïde peut devenir la courbure dominante, la d
s, toutes les combinaisons de courbures, qui donnent lieu à autant de formes différentes de scoliose. Dans un travail encore m
sur les difformités, j'avais porté à cinquante-trois le nombre de ces formes diverses, et j'en ai rencontré d'autres depuis. J
'un côté, celui de la concavité; ce qui donne aux vertèbres tantôt la forme des voussoirs ou des pierres qui composent une vo
ffectées, la courbe, comme comprimée à son sommet, se rapproche de la forme angulaire. Le rachitisme présente, de même que
on, comme le croyait Del-pech (1). L'existence de l'une ou de l'autre forme dépend moins de la nature de la scoliose que de s
uche; de là l'obliquité des côtés de la vertèbre, ce qui lui donne la forme d'un parallélogramme. Il n'y a pas toujours affai
aissement vertical dans celte variété, qu'il convient mieux de nommer forme rhomboïdate. Elle se rencontre particulièrement d
leur est commune, fait tourner le rachis sur lui-même et lui donne la forme d'un tire-bouchon. Vous en voyez un bel exemple s
qui les inclinent diversement sur les vertèbres ou qui altèrent leur forme , on comprendra l'étendue des désordres qu'on obse
torsion, autant de variétés de bosses. Voyons-en quelques-unes. La forme de déviation la plus commune dans les premières p
ales opposées correspondant à la convexité des deux courbes. Si cette forme persiste pendant l'accroissement de la déviation,
dorsale. En voici une d'une espèce assez rare, en ce que la scoliose forme presque un angle aigu comme la courbure du mal ve
es pièces sont des gibbosités dorsales gauches, répétant à gauche les formes qu'on voit le plus souvent à droite (2). Enfin
e plus souvent à droite (2). Enfin ces six pièces vous montrent une forme qui n'est pas rare, sans être cependant aussi com
transmettent ce mouvement à leurs cartilages, et ceux-ci changent de forme ainsi que la partie antérieure des côtes qui corr
ies courbes. La cavité thoracique est profondément modifiée dans sa forme et dans ses dimensions. Supposons une forte courb
prévoir les différences que ces caractères présentent dans les autres formes de scoliose; un coup d'œil rapide sur ces pièces
ou consécutive à des causes accidentelles, n'altère que lentement les formes du bassin. Les individus gib-beux, non rachitique
lle finit aussi, dans les fortes scolioses, par être modifiée dans sa forme . On observe quelquefois, dès le début, une inégal
tent et auxquels ils s'insèrent; leur situation, leur direction, leur forme , leur étendue subissent de tels changements, que
uttières vertébrales qui logent leurs faisceaux varient, en effet, de forme et de direction. En général, celle qui répond à l
subir l'influence de la courbure latérale de l'épine. Elle change de forme , en effet, avec son étui osseux; elle en suit les
gé, quelquefois comme ratatiné ou replié sur lui-même, il affecte les formes les plus variées. Son allongement et la réduction
nent au foie la figure d'un tricorne. Sur cet autre, au contraire, il forme la petite extrémité de l'organe (3). Plus les ver
la courbure, comme cela a lieu dans le cas figuré ici (4). Dans celte forme de déviation, le foie s'éloigne des vertèbres , e
modifiés par l'inégalité de pression des côtés droit et gauche, et la forme arquée de la tige osseuse devient permanente. Plu
écessaire de prouver que les muscles ne sauraient donner à l'épine la forme sigmoïde, inhérente au début même de la déviati
épaulrs ne sont que des effets de la diffé- BOUVIER. 28 rence de forme des plans du thorax sur lesquels elles reposent.
e les deux extrémités de chaque courbure. Je ne reviens pas sur les formes variées que les courbures peuvent revêtir dès la
rme de côte de melon. L'épaule correspondante la couvre d'abord et en forme le point culminant; mais, à la longue, l'omoplate
s, etc. C'est encore à la même époque que le sternum apparaît sous la forme d'une gibbosité médiane, comme dans la cyphose.
d des courbures secondaires, suivrait la même marche. Dans les autres formes de déviation, telles que la courbure lombaire ou
e par le degré de la difformité, et surtout par les proportions et la forme des gibbosités. L'examen de nombreux sujets, gi
é. Le creux du flanc gauche est également très-prononcé. Remarquez la forme anguleuse des côtes; c'est un des caractères du t
(1). — Nous n'avons encore considéré clans les sujets gibbeux que les formes extérieures sous lesquelles ils s'offrent à nos r
se produit dans ces circonstances en même temps que la différence de forme ; le corps grandit dans un cas, se rapetisse dans
es, selon le sens dans lequel ils s'opèrent. Cela est subordonné à la forme du plan et au côté du corps qui lui correspond.
s sont, de toute nécessité, inégalement contractés. Ceux qui, dans la forme la plus commune, répondent à la convexité dorsale
viendrez à faire taire la contraction, aucun ne se présentera sous la forme d'une corde arrêtant l'effort, comme cela arrive
contraction chez les sujets bien conformés. Je vous ai fait voir les formes diverses que les fléchisseurs latéraux du tronc p
olonne vertébrale, dans les flexions latérales physiologiques. Or ces formes sont tout autres chez les sujets atteints de scol
st rendu imparfait par les changements survenus dans la direction, la forme , la mobilité des côtes, par la difficulté de l'ab
type de ce genre de difformité. Le mal de Pott s'écarte un peu de sa forme habituelle : au lieu d'être antéro-postérieur, co
rmé, la gibbosité postéro-gauche énorme; la dépression postéro-droite forme une excavation prononcée. Il y a une gibbosité an
oportionné aux membres. La face, tout en conservant quelque chose des formes arrondies de l'enfance, commence à présenter le c
ordre. La simple flexion n'est presque jamais double; son siège, sa forme sont les mêmes que dans la flexion physiologique
e; elle occupe généralement un autre siège, se présente sous d'autres formes que la flexion physiologique; elle produit des sa
une jeune fille placée sous vos yeux dans la dernière séance; mais la forme en S spéciale de la courbure vertébrale, les cara
ent au point de vue des courbures latérales qui peuvent en altérer la forme . Celte hygiène constitue une partie importante de
entraînement, à l'aide duquel on parvient à modifier profondément les formes et la proportion des divers systèmes organiques c
que la scoliose par déformation doit sa persistance au changement de forme des vertèbres et de leurs ligaments; mais, d'un a
paraître les courbures latérales du rachis : l'une est de rétablir la forme symétrique des pièces qui le constituent; l'autre
rgie possible aux muscles du rachis, que vous ne changeriez rien à la forme des vertèbres et de leurs ligaments; la courbure
èbres dans la station, et de changer, par une influence mécanique, la forme de ces os et de leurs ligaments. Ils comprennent
mais non du côté de la convexité, à moins que le plan ne présente une forme spéciale. La rencontre des épaules et du bassin a
, d'étendre son côté concave, de manière à favoriser le retour de ses formes normales ; mais il arrive alors ce que vous avez
é dorsale est à gauche. On peut utiliser cette attitude, dans cette forme de déviation, en la faisant répéter très-souvent
rachis, du côté de la convexité, une pression capable de modifier sa forme . Ces faits nous serviront à apprécier son degré d
elque sorte, créé cette branche de la gymnastique, en lui donnant une forme pédagogique. C'est surtout aux travaux des Gutsmu
palmaire et l'exposent à s'excorier. On leur donne ordinairement une forme cylindrique ; s'ils sont plats ou carrés, on évit
niques. — Agir par une force extérieure sur le rachis pour changer sa forme vicieuse, est une idée qui a dû se présenter de b
s vous savez que les anciens ne distinguaient pas clairement ces deux formes . A. Paré a reproduit le procédé d'Hippocrate po
et os, s'accroisse plus en proportion que le côté convexe, et que les formes s'améliorent ou reviennent à peu près à l'état no
t un peu compliqués; je préfère les ressorts. En voici'de plusieurs formes , depuis le ressort classique de Wurzbourg jusqu'a
il. Les pressions latérales ont à la fois pour objet de modifier la forme du thorax et de redresser les courbures du rachis
essité de cette dépression mécanique pour obtenir la restauration des formes du rachis ; ils ont vu que le moyen de l'effectue
ant et en arrière. L'efficacité de ces pressions , pour rétablir la forme du thorax, serait certainement très-grande si sa
rges, plus ou moins bombées ou excavées, suivant l'âge des sujets, la forme de la partie et son degré de sensibilité. Les plu
u bras, je donne ordinairement à cette seconde bande ou épau-lette la forme d'une croupière, dans laquelle on passe le membre
est bon qu'elle soit un peu évasée inférieurement pour s'adapter à la forme des hanches. Il faut des soins particuliers, dans
reil s'oppose à l'inclinaison de l'arc lombaire qui caractérise celte forme dans la troisième période de la scoliose. On ne s
t appliquée sur la convexité lombaire gauche. Étendre son usage à ces formes spéciales est un contre-sens dont les praticiens
formités de la scoliose : la mobilité des vertèbres, le changement de forme des pièces du rachis. Or, tout ce qui dépend de
s, est celle de l'arc ou plutôt de FS dorso-lombaire à droite dans la forme ordinaire de courbure dorsale principale. Elle en
s, sensiblement égales, l'une et l'autre peu prononcées, laissent les formes presque intactes ou ne leur portent que faiblemen
ode est plus avancée, si l'inclinaison est en partie maintenue par la forme des vertèbres et de leurs annexes, le résultat es
, lorsque cela a lieu. Dans la généralité des cas où le changement de forme des vertèbres est démontré par les saillies latér
la jeunesse, le sexe féminin, un développement encore incomplet, des formes minces et souples, favorise le redressement. Tout
e un âge plus avancé, le sexe masculin , un développement achevé, des formes robustes, y apporte plus d'obstacles. Mais l'état
e ; mais c'est la nutrition qui accomplit seule la restauration des formes , et, sous ce rapport, l'état fonctionnel joue un
système osseux, jusqu'à ce que le temps ait arrêté définitivement les formes du squelette; sinon une rechute est inévitable.
les viscères sont plus à l'aise. Le thorax, en particulier, change de forme comme de dimensions; ses deux moitiés s'éloignent
es plus légères, n'est jamais complètement détruite. La situation, la forme des côtes se modifient avantageusement, soit par
ériode...................... *' Valeur diagnostique des différentes formes de gibbosités...... 21 Diagnostic différentiel.
3 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
e une propriété générale du protoplasma vivant, elle est une simple forme de mouvement, elle n'est en effet, d'après l'expr
système nerveux, et que l'on voit certains éléments s'unir sous des formes déterminées, pour constituer les appareils de dig
ils profonde. cellules des neurones centraux peuvent affecter des formes varia- e sont des cellules tantôt multipolaires
ce a été suffisamment imprégnée par le collodion, et que ce dernier forme autour d'elle une couche résis- tante. d'enviro
creux, enchâssé par sa partie supérieure dans une cuve en zinc, de forme rectangulaire et à parois d'une hauteur de 8 ce
- let, de la seizième à la dix-huitième heure de l'incubation, sous forme d'un épaississement longitudinal de l'ectoderme
éphalique anté- rieure. Travaux .de Darestc. rieure, affecte la forme d'un court fuseau (fig. 13), et présente à son
evient le double de son diamètre antéro-postérieur; elle affecte la forme caractéristique d'un marteau (fig. Il, Vo), et
a fente qui entraîne la cyclopie, se fait très prématurément, il se forme à la partie antérieure de la/vésicule encéphaliqu
vexe contre le feuillet ectodermique, ne conserve pas longtemps sa forme , globuleuse (fig. 16, c). La face profonde du f
'étire. Vers la troi- sième semaine de la vie embryonnaire, son axe forme , avec celui de la vésicule oculaire (YO), un an
est très profonde, et la vésicule oculaire se- condaire affecte la forme d'un fer à cheval ouvert en bas et en arrière,
pha- liques secondaires. La troisième xé- sicule encéphalique forme le ventri- cule. I cule oculaire, avec la c
(Is) de His. Elle se caractérise surtout par l'amincissement et la forme losangique d'une partie de sa voûte, qui devient
térieur. Ci\ cristallin.' - Fol, fossette olfactive. /M, fente en forme de selle. - GG, ganglion de Gasser. - Gc, gangl
n'a pas lieu, la membrane obturatrice du quatrième ventricule ne se forme pas et la troisième vésicule encéphalique conse
deuxième vésicule encéphalique grossit rapidement ; elle prend une forme sphérique chez les oiseaux, hémisphérique chez le
ux, sa voûte aux tubercules quadrijumeaux, sa cavité se rétrécit et forme l'aqueduc de Sylvius; elle porte désormais le nom
éliale, que recouvre la future toile choroïdienne ; en arrière elle forme la glande pinéale et la commissure postérieure. S
es saillies; la saillie 1 La deuxième vé- sicule encéphalique forme par sa cavité l'aqueduc de 8)"1 \'in<, par
est plus haute que large (fig. 17); vue de profil, elle affecte la forme d'une cornue ou d'une poire légèrement courbée
mplète de la gouttière encéphalique, et l'axe longitudinal affecte la forme d'une ligne plusieurs fois coudée. Les inflexio
ers la sixième semaine. A cette époque, l'axe de la moelle allongée forme avec celui de la moelle épinière, un angle de p
g. 24), et les parties latérales du cerveau postérieur s'étirent en forme d'auricules, pour former les diverticules ou re
es encéphaliques, entraînent nécessairement des altérations dans la forme de la cavité du lube encéphale-médullaire. Ch
la quatrième semaine, la cavité de la moelle épi- nière affecte la forme d'une fente antéro-postérieure aplatie latéraleme
ve. V, voûte. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 77 ventricule. La forme est en général celle d'un prisme à cinq pans, sau
niveau de la plus grande largeur de la membrane obturatrice, où la forme de la cavité se rapproche de celle d'un prisme à
entraîne une déformation du canal central, qui n'affecte plus la forme d'une fente antéro-postérieure aplatie latérale
es radiées. 1111 Vésicule du qua- trième ventricule. Sa voûte forme la membrane obtura- trice du quatrième vent
git, les parois latérales s'étirent au niveau des plis de flexion en forme d'auricules, dans lesquelles la cavité du quatr
bulbaire, où elle est connue sous le nom d'aile blanche interne, la forme d'un triangle rectangle e.t répond au noyau d'o
ine du nerf grand hypoglosse. Dans sa partie protubérantielle, elle forme une saillie arrondie, l'enzinentia teres propreme
Dans la région protubérantielle, le segment jugal de la lame alaire forme au voisinage de l'aqueduc de Sylvius, le locus Co
e. La racine sensitive du trijumeau apparaît plus tardivement, elle forme au niveau de la substance gélatineuse de Iiolan
intimement au début au faisceau cérébelleux direct de Flechsig, et forme avec lui le tractus inter- medius de Mis. Ces f
e à la lame du cervelet. Le rudiment du cervelet apparaît sous la forme d'une lamelle courbe, qui réunit en arrière les
-lunaires, les valvules de Tarin. Quant au -vermis, il affecte la forme d'une lame recourbée sur son axe horizontal, do
et le commencement du troisième, trois saillies, dont l'inférieure forme le rudi- Fm. 36. - Moelle et encéphale d'un em-
ure du cervelet. Vers le cinquième mois, le cervelet a atteint sa forme définitive ; quatre sillons profonds divisent,
érieure de l'hémisphère cérébelleux, aux lobes amygdalien et cunéi- forme inférieur, en dehors au pédoncule du flocculus; l
u trijumeau s'hypertrophie considérablement chez la torpille, où il forme les lobes électriques, et que chez les poissons
ez les poissons, le noyau de terminaison du vague, très volumineux, forme une forte saillie dans le quatrième ventricule.
eau intermédiaire, s'élève un peu au-dessus du col de ce dernier et forme une sorte de fer à cheval, dont les branches la
ômes, quoique son volume présente les plus grandes variations. Elle forme en effet les volumineux lobes optiques des pois
uban de Reil, existe dans toute la série des vertébrés. Ce ganglion forme chez les mammifères le tubercule quadrijumeau p
région sous-thalamique de Forel ou de région du corps de Luys; elle forme la future bandelette optique et se continue avec
- CP, cerveau postérieur. - Cv, lame du cervelet. - (si, fente en forme de selle. - Gp, glande pinéale. - /, infundibu-
ncher du troisième ventricule n'est pas rectiligne, mais affecte la forme d'une ligne brisée dont le segment postérieur, pr
me d'une ligne brisée dont le segment postérieur, presque vertical, forme la lèvre antérieure de la fente en forme de selle
re du tuber cine- .i Le plancher du cer- veau intermédiaire z forme la membrane basilaire d'Aehy. Les deux segmen
cervelet. - fcit, fente choroïdienne du 4" ventricule. fst, fente en forme de selle. - fp, fissura prima. - Gp, glaude pin
rveau moyen. Le plancher du cerveau inter- médiaire affecte donc la forme d'un entonnoir aplati latéralement, étendu des
antérieure. - La partie postérieure ou rétro-pinéale est petite et forme la commissure postérieure; ses fibres apparaiss
ande pinéale apparaît, ainsi que nous l'avons vu plus haut, sous la forme d'un diverticule en doigt de gant connu sous le
ter-hémisphérique. En se développant, chaque vésicule hémisphérique forme en avant le lobe frontal, en haut le lobe parié
presque complet, ouvert seulement en bas et en avant, et affecte la forme d'un rein ou d'une fève, dont le hile correspond
ienne ou au futur lobule de l'insula. Le ventricule latéral suit la forme générale de la vésicule des hémi- sphères, et e
a. - FS, fosse sylvienne, - fs, fissura serotina. - fst, fente en ' forme de selle. - BC, hémisphères cérébraux. - HCn, hém
one choroïdienne de His; elle est plus étendue que la précédente et forme avec elle un angle obtus, dont le sommet correspo
inter-hémisphérique la refoule en ar- rière en formant le pli falci forme de His, qui s'insinue profondément entre les co
factifs antérieur et postérieur, sont creux au début et leur cavité forme le plancher de la corne frontale du ventricule
lus distincte. Le lobe olfactif antérieur se recourbe en arrière et forme avec le lobe postérieur, un fer à cheval dont l
l'ouverture correspond à l'incisura prima (fig. 51 ). Il affecte la forme d'une petite pyramide aplatie d'avant en arrière,
du deuxième mois de la vie intra-utérine, le corps strié affecte la forme si caractéristique d'un anneau ouvert en avant et
la forme si caractéristique d'un anneau ouvert en avant et en bas, forme qui est propre pour ainsi dire aux organes dévelo
la limite en dedans et en dehors. Le sillon externe corres- 1 Sa forme générale en anneau ouvert. j 1 Son union et
port persiste chez l'adulte, où cette partie libre du corps strié forme le collicuills du noyau caudé. (Voy. noyau ca
reste toutes les parties qui appartiennent au cerveau antérieur, la forme générale d'un anneau ou- vert en bas et en avan
lles l'étage antérieur de la protubérance. Une partie de ces fibres forme ensuite la pyramide antérieure du bulbe, et s'en-
é se rend dans le cordon latéral du côté opposé de la moelle, où il forme le faisceau pyramidal croisé. § 3. Développemen
Ce ventricule n'existe que chez l'homme. Le corps calleux se forme aux dépens Le trigone naît du pli marginal.
n général adhé- rente à la face inférieure du corps calleux où elle forme la lyre de David ou le psalterizcm. Le trigon
gone est situé immédiatement au-dessus du sillon choroïdien dont il forme la lèvre supérieure ou dorsale; son bord externe,
ale. A ce niveau, le tronc du corps calleux se termine en pointe et forme un bec postérieur, mince et effilé, très analogue
allenx. ! i Il 1 du corps calleux, par le fornix transverse qui forme la lyre ou lepsalterium, et le mode de développ
que s'unit au sillon arqué antérieur de /7; il décrit une courbe en forme d'S qui entoure le genou et le bec du corps cal
1). Le sillon ammonique déprime fortement la paroi ventriculaire et forme dans la cavité ventriculaire la saillie de la c
me mois, la scissure pariélo-occi- pitale s'unit à la calcarine, et forme avec cette dernière un couché. La branche commu
re occipito-temp01'ale (ot), qui déprime la paroi ventriculaire, et forme dans la corne occipitale l'éoai- nence collatér
- térieure du sillon de l'hippocampe, reste lisse chez l'adulte, et forme une mince et étroite bandelette transversale qu
e vé- ritable limbe de l'hé- misphère. Sa partie origi- nollc forme la bau- de lette de Giacomini. 128 ANATOMIE D
t déjà vers la lin du premier mois de la vie intra-utérine, sous la forme d'une légère dépression, la fosse sylvienne. Ce
st plus étendu. Vers le troisième mois, la fosse sylvienne affecte la forme d'un arc vertical, dont les segments antérieur
, grâce au développement que prend le lobe fronto-pariétal, qui lui forme vers le cinquième mois une sorte d'opercule (fi
ivise l'insula en deux parties, l'une postérieure ou temporale, qui forme la circonvolution postérieure de l'in- sula, l'
le, en bas par la branche horizontale de la scissure de Sylvius; il forme à la face interne de l'hémisphère le præcuneus.
supérieure est - parallèle à la scissure ihter-hemisphérique; elle forme le bord supérieur du lobe pariétal et correspon
pa2,iéio-occipi- tale et le sillon occipital antérieur de Wernicke, forme à la face inféro-in- . terne le cuneus et le lo
: le corps strié et le manteau cérébral ou pallium. Le corps strié forme , dans toute la série des vertébrés autres que l
lières, d'autres cellules, volumineu- ses, arrondies, qui, par leur forme et leur protoplasma homogène et très transparen
tiplient par voie directe. Or, on ne rencontre, d'après Mis, aucune forme de transition entre les cellules épi- théliales
les épithéliales spongioblastes,. t La substance fi- rillaire forme la 6uche des colonnes. La substance claire
facilement par les réactifs co- lorants ; elle entoure les noyaux, forme à elle seule le prolongement central ou interne
de la cellule, (voile marginal de His), la sub- stance fibrillaire forme un fin reticulum, dans les mailles duquel on tr
erne, tantôt s'effile en pointe (fig. 80 et 81 Ct), tantôt revêt la forme en massue ou en poire, et émet un long et mince p
germinatives leur situation sous la membrane limitante interne, la forme irrégulière et la richesse en chromatine de leur
a moitié interne du noyau, se déjette sur la moitié externe, et y forme un cône qui se continue avec une longue fibre à
iane ni en avant ni en arrière; il en résulte que la couche interne forme à elle seule le plan- cher et la voûte de la mo
la planche et la voûte de la moelle. La couche grise externe forme les cornes de la 'moelle. Fio. 83. - Trois ne
eure, extrêmement nombreux, se disposent en groupes dont l'ensemble forme , dans toute la hauteur de la moelle, la largo c
r manque en effet le contingent des fibres de la corne latérale qui forme le spinal. La division de la colonne nucléaire
sma des cellules de la névroglie, donneraient à cette dernière leur forme ramifiée caractéristique. En d'autres termes, d
e méridien 1 de la section transversale de la moelle, et affecte la forme d'un cône,, décrit par Cajal chez le poulet et
Le canal central de la moelle ne conserve pas pendant longtemps la forme d'une fente aplatie telle que le présente la fig.
ne du septum postérieur n'est plus soufenable aujourd'hui. Il ne se forme pas en effet au niveau de la voûte, une scissure
disposition radiaire joue néanmoins un rôle très im- portant : elle forme en effet la charpente primordiale de l'axe encéph
t au début, vers le troisième mois de la vie intra-utérine, sous la forme de masses elliptiques à grand axe radiaire, gra
rois- sances en forme de pointes également granuleuses. Entre cette forme et les neuroblastes à protoplasma presque homog
oute une série d'intermédiaires (Vignal). Elles revêtent bientôt la forme de cellules étoilées richement ramifiées, prése
witz, Gierke, Ranvier, Renaut, Vignal, etc. Ce sont des cellules de forme étoilée, ri- chement ramifiées (cellules araign
ère d'un embryon de brebis, long de 0m,00. (D'après Vignal.) La forme de la cellule de droite est celle que Boll a dé
surface présente de petites pointes, on en trouve d'autres, dont la forme est très variable, et qui émettent dans toutes
es présentent, comme les cellules centrales, de grandes variétés de forme et de dimen- . sions, sans atteindre toutefois
ques des In- vertébrés. sympathiques sont très irrégulières comme forme et comme dimensions, elles donnent naissance à
drites impriment aux cellules nerveuses de très grandes variétés de forme , qui tiennent moins au volume du corps cel- lul
Le mode d'origine des dendrites imprime aux cellules de Deiters les formes les plus variées. Ces cellules peuvent être, en e
ipolaires, comme les cellules motrices des cornes antérieures ou fusi formes et bipolaires, comme les cellules olfactives et
la fibre nerveuse sont consti- tuées : le faisceau de fibrilles en forme le cylindre-axe ; il est entouré de protoplasma
ées le long de la fibre nerveuse. Sur d'autres enfin, elle revêt la forme de granulations isolées les unes des autres. A
yéline est assez développée dans la cellule connective pour qu'elle forme un petit seg-. ment inter-annulaire (segment in
rise. La substance grise, riche en cellules et en fibres nerveuses, forme les ganglions périphériques et constitue un peu
eux. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 191 Elle forme la plupart des nerfs périphériques ainsi que les
ventriculaires, recouvre la plus grande partie de sa périphérie et forme des amas disséminés dans son épaisseur. La subs
es frontale et occipitale. La substance grise périphérique revêt la forme d'une couche irréguliè- rement onduleuse, qui r
encéphale, con- stitue autant de noyaux de volume très inégal et de forme extrêmement variable, qu'on désigne sous le nom
fibres qui relient l'écorce cérébrale aux ganglions encé- phaliques forme la couronne rayonnante ou grand soleil de Reil, e
moelle et à la périphérie de la moelle et de l'encéphale, où elle . forme une couche continue d'environ 20 à 50 z. d'épaiss
trent avec une trop grande fréquence, une trop grande constance de forme et avec des dimensions trop variées, pour que l
lasma. 3" Cellules nerveuses. - Nous avons étudié plus haut les formes si variées de la cellule nerveuse, ainsi que le
ent en général un certain degré de rétraction et des altérations de forme . Lorsque la cellule n'est pas rétractée, elle occ
plus abondant dans la moelle que dans le cerveau. Dans la moelle il forme des travées péri-vasculaires rayonnant de la pé
1875 (fig'. 124). La cellule unipolaire adulte se présente sous la forme d'un globe assez régulièrement sphérique, entou
ces der- nières, les cellules ganglionnaires se présentent sous la forme de corps à contours très irréguliers, présentan
thiques sont donc multipolaires; elles varient entre elles par leur forme , par leur volume, ainsi que par le nombre et la d
indre-axe par des angles très aigus (fig. 129). Leur longueur, leur forme , leur nombre sont très variables; tantôt sim- p
dro-conique, la gaine de myéline coupée à ce niveau apparaîtra sous forme d'un anneau simple; si au contraire le tube ner
oplasma de Waldcyer, fait partie constituante du cylindre-axe. Elle forme une masse consistante et homogène d'après Tiüllil
fibres de Remak se présentent, après coloration par le carmin, sous forme d'îlots colorés en rouge, et chaque îlot est form
rotoplasma qui entoure leur noyau se répand il leur surface et leur forme une simple gaine. Lorsqu'elles sont formées par p
s se présente, ainsi que l'a montré Ranvier, en '18'72 ? trs-rÍ'Õis formes , à savoir : la gaine lamelleuse qui entoure un ce
après dissocia- .ion, apparaissent recourbées, conservant ainsi la forme qu'elles avaient mtour des tubes nerveux. Elles
différentes espèces de muscles ne dépendent en aucune manière de la forme de leurs terminaisons nerveuses. b) Corpuscules
à de nombreuses arborisations, qui se terminent par des boutons de forme irrégulière, généralement aplatis. Les arborisati
contournent de diverses façons, et se terminent par des boutons de forme et de dimensions variables. Quelquefois le nerf
upées en corpuscules. Ces ménisques tactiles, qui simulent par leur forme des feuilles de lierre, représentent un mode d'
ep- tion des fosses occipitales inférieures; il se présente sous la forme d'un ovoïde à grand axe antéro-postérieur, dont
-postérieur, dont la grosse extrémité serait dirigée en arrière. Sa forme est du reste variable, comme celle de la cavité
. Il se moule très exactement sur l'endocràne, et ses variations de forme sont, on le sait, particuliè- rcment fréquentes
artie antérieure et à sa partie postérieure (fig. 151). En avant il forme le genou (Cc[g]) et le bec ou roslrum (Cc[r], du
la face inférieure de l'hémisphère, franchement concave, affecte la forme d'un rein, répond au lobe sphéno- occipital (GT
exemple chez le singe ou à certaines époques de la vie foetale. Il se forme en effet des anastomoses, entre deux lobes ou c
, porte le nom d'opercule; (fig. 150, 1go, 161, 163, 173, etc.), il forme la lèvre supérieure de la scissure de Sylvius e
e recourbe en avant sur la face infé- rieure de l'hémisphère, où il forme le lobule orbitaire de Gratiolet (fig. 149, 157
, Broca). Les trois circonvolutions frontales se présentent sous la forme de trois plis antéro-postérieurs, plus ou moins
ur de l'hémisphère, borde la grande scissure inter-hémisphérique et forme une partie des circonvolutions (le la face inte
'elles concourent à former. Celte région, il peu près triangulaire, forme la face inférieure ou orbitaire du lobe frontal
dehors par le petit sillon fronto-marginal (fm), le lobule orbitaire forme en arrière la lèvre antérieure de la vallée de
reclus (oFJGr]). La partie externe est plus sinueuse, plus large et forme la limite interne d'un sillon irrégulier, affecta
rge et forme la limite interne d'un sillon irrégulier, affectant la forme d'un II, d'un K ou d'un X. C'est le sillon cruc
rconvolution frontale, ou circonvolution frontale supé- rieure (F,) forme un pli épais, large et sinueux, souvent divisé lo
igines, sa masse et sa terminaison. Elle se présente plutôt sous la forme d'un lobule que d'une circonvolution propre- me
irconvolution frontale. Partie orbitaire. La partie orbitaire forme le désert olfac- tif de Èroca. " . 160 à 162)
l (Hervé). De son origine elle se porte transversalement en dehors, forme la limite postérieure du lo- bule orbitaire (
après avoir décrit de nom- breuses flexuosités qui affectent la forme d'un M, à la partie tout fait in- férieure de
he transversale du sillon t1'Í1'adié ou de Y incisure en H (f 3) et forme le désert olfactif de Broca : tic. 159.-e'ace s
deux branches de la scissure de Sylvius, est caractéristique par sa forme et sa constance ; son sommet fait saillie dans
rtie operculaire (Op F 3)' se continue avec le cap de Broca sous la forme d'un pli étroit et allongé, qui tantôt se rétréci
Plis de passage. La face profonde du pli passage in- férienr forme l'oper- cule rolandique. Lc pli fronto-pa-
e ascendante (Fa) naît à la face interne de ,. l'hémisphère où elle forme la plus grande partie du lobule paracentral (Pa
re l'extrémité inférieure du sillon de Rolando ; sa ' face profonde forme l'opercule rolandique (OpR) et recouvre les circo
- hémisphérique, empiète sur la face interne de 1 hémisphère, où il forme le lobule paracentral (Parc); l'extrémité front
(Parc); l'extrémité frontale est épaisse, volumineuse, ovalaire, et forme presque il elle seule tout ce lobule ; Y extrémit
eurs lobes respectifs. , La circonvolution frontale ascendante (Fa) forme la lèvre antérieure de la scissure de Rolando,
olutions frontales.. ,. La circonvolution pariétale ascendante (Pa) forme la lèvre postérieure de la scissure de Rolando,
misphère, elle s'épanouit à la face interne de l'hémisphère où elle forme le précunéus ou lobule quadrilatère de Foville. C
Sillon occipital an- térieur. chez l'homme, se présente sous la forme d'une pyramide triangulaire, dont le sommet cor
168); le plus souvent il dépasse ce sillon, le coupe à angle droit, forme avec lui un sillon étoile et se prolonge jusqu'au
antérieure s'anastomose avec le lobule pariétal , supérieur (P,) et forme le premier pli de lia.s.wrrelirtniéto-occiyilrrl
? y ? f-&V.i-'t7r¡& ? f{çl'Jle de Gratiolet, I ? ll 0Éolle forme l'an- . 48/ de bifurcation j)OStél'18L11'e.
t. La deuxième cir- convolution occipi- tale (0.=) affecte la forme d'un S; après avoir formé le ra- meau descend
occupe la partie inférieure de l'hémisphère. Il se présente sous la forme d'une pyramide triangulaire très allongée, dont l
ccipitale de Schwalbe (fit.,150, 160, 161, 162). La face supérieure forme la lèvre infé- rieure de la scissure de Sylvius
upérieure constitue l'axe du pli courbe (t,), la branche inférieure forme le sillon occi- pital antérieur de Wernicke (oa
antérieur de Wernicke (oa) (fig. 170), tantôt enfin, affectant une forme étoilée (fig. 172), il reçoit le deuxième sillo
lobule marginal supérieur de Gratiolet (Gsm). Cette circonvolution forme la lèvre inférieure de la scissure de Sylvius;
te circonvolution, située profondément dans la scissure de Sylvius, forme la face supérieure du lobe temporal; elle ne de
dans la scissure de Sylvius, intimement uni au corps strié dont il forme l'écorce, le lobule de l'insula est recouvert c
. Chez le foetus, lorsque la scissure de Sylvius, largement étalée, forme la fosse sylvienne, le lobe de l'insula apparaî
ords de la scissure de Sylvius, l'irt- sula (I) se présente sous la forme d'une saillie irrégulièrement conique, dont le
a (Broca), se dirige en bas et en avant, et dont la base affecte la forme d'un triangle rectangle à bords supérieur, anté
, gulaire peut lui-même faire défaut et que la base peut revêtir la forme d'une conque. Mais quelle que soit sa forme, la
la base peut revêtir la forme d'une conque. Mais quelle que soit sa forme , la base est toujours nettement délimitée des l
re avec celle du côté opposé en avant du genou du corps calleux, et forme un angle ouvert en arrière. Sur cette base tria
ois premières circonvo- lutions des auteurs. met qui affecte la forme d'une crête, dont la direction est sensiblement
ière. Elle naît au niveau de la circonvolution du crochet (U), sous forme d'un pli étroit qui borde le sillon marginal post
obe occipital. Ces lobes sont tout unis à une circonvolution falci- forme , qui représente le grand lobe limbiqua de Broca,
e la scissure perpendiculaire externe de Gratiolet (p. 250), et qui forme une simple entaille à la face externe de l'hémi
saud, Oi. Le segment interne de la scissure pariéto-occipitale (po) forme la limite antérieure du lobe occipital et sépar
r toute l'épaisseur de la circonvolution limbique (L,), présente la forme d'un S italique très allongé. Elle commence au-
'est le sillon sus-orbitaire de Broca (so) (fig. 181, 182, 183). Il forme quelquefois, à la face externe, une encoche sit
tache un peu en avant du coude de la scissure calloso-marginale, et forme la limite antérieure du lobule paracentral, c'e
nier lobule de la circonvolution de l'hippocampe (L.=(lI) dont elle forme la limite externe. Cette scissure est quelquefois
orte en haut et en arrière, limite la scissure inter-hémispherique, forme le bord supé- supérieur de l'hémisphère, et se
remière circonvolution pariétale de la face externe de l'hémisphère forme à la face interne le précunéus (PrC) ou l'avant
e (L,) par le pli cunéo-limbique (-cl), sa face antérieure profonde forme la lèvre postérieure de la scissure pariéto-occ
atiolet (-poi) (lig. 182). Sa [face inférieure, profonde également, forme la lèvre supérieure de la scissure calcarine; e
interne et la face inférieure de l'hémisphère, se présente sous la forme d'une languette, large en arrière, étroite en a
ou moins si- nueux. Ce sillon occupe le sinus de l'angle obtus, que forme la face interne de l'hémisphère avec la face in
tre inférieure. Le pli lingual supérieur, sinueux, mince et étroit, forme la lèvre inférieure de la scissure calcarine, e
crochet. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 29H . il Le pli lingual inférieur forme une petite masse lobulée, à grand axe antéro-po
lon temporal (t3), cette circonvolution mérite véritablement par sa forme le nom de lobule fusiforme, et par sa situation
lution occipito-temporale, mérite d'être scindé ; le lobule lingual forme , en effet, comme nous venons de le voir, un petit
cique de Brissaud. En dedans, la deuxième circonvolution limbique forme la lèvre infé- rieure d'une anfractuosité profo
asciola cinerea. - fg, sillon limbrio-godronné. - Fus, lobule fusi- forme . - H(L-2), circonvolution de l'hippocampe ou deux
lution avortée, qui occupe le fond du sillon de l'hippocampe (h) et forme à la face inféro-interne de l'hémisphère le vér
rieur du trigone (Tgp) qui la recouvre. Elle apparaît alors sous la forme d'un cordon grisâtre, qui suit exactement la cour
ant, au niveau du vélum ter- minale d'Aeby (vl) (fig. 177), sous la forme d'une mince et petite bande- lette lisse, d'asp
iacomini (B G). La circonvolution godronnée on intra-limbique (C g) forme donc, autour du corps calleux et du pédoncule c
CNC) ; elle se prolonge à. la face interne de l'hémisphère, sous la forme d'une mince bandelette grise, com- prise entre
particulier chez le cheval, la cavité du lobe olfactif persiste, et forme un véritable ventricule olfactif, qui s'ouvre par
obes frontal et pariétal. A la face inféro-interne le lobule fusai- forme est désigné T4 par Ecker, 0, par Broca; le lobule
'entre-croisement incomplet des nerfs optiques, se présente sous la forme d'une petite lame quadrilatère, qui mesure e 5
rmcnz, son bord antérieur avec la lame sus-optique. Cette dernière, forme avec la substance grise qui recouvre la face supé
: > interne de la bandelette et le bord postérieur du chiasma et forme la commis- sure inférieure de la base du cervea
ou libre de la bandelette, il affecte sur une section transversale la forme d'un croissant à concavité supérieure et occupe
en effet avec les nerfs optiques que des rapports de voisinage. De forme triangulaire, cette lame est comprise dans l'écar
e perforé postérieur. a) Le tuber cinereum (Tc) se présente sous la forme d'une lame grise et molle, légèrement proéminen
l/dibulllln du troisième ventricule (fib. 188), se présente sous la forme d'un cordon rougeàtre de 4 millimétrés de long,
nus caverneux, en avant et en arrière par le sinus circulaire. De forme ellipsoïde, aplatie d'avant en arrière, à grand a
ou hypophyse proprement dite, revêt sur des coupes horizontales la forme d'un rein qui embrasse par sa concavité la moitié
ers. Ces tubercules reposent sur la commissure grise de la base qui forme la paroi inférieure du troisième ventricule. Il
inler-pédonculairc ou espace perforé postérieur (Spp, fig. 187), de forme triangulaire, s'enfonce par son sommet au-dessus
de Meynert [fasciculus ? o/7p;E ? ). Chez les rongeurs ce faisceau forme , de chaque côté de la ligne médiane, une bandel
, la région des pédoncules cérébraux affecte, dans son ensemble, la forme d'un triangle à sommet tronqué et à bords arron
les deux tiers postérieurs du pédoncule. Le locus niger affecte la forme d'un croissant à concavité postéro-interne dont l
bes ou les cuisses du cerveau, affecte, sur la coupe (fig. 189), la forme d'un croissant à concavité postéro-interne; il es
ement ascendante; leur bord postéro-externe est presque vertical et forme avec le bord supérieur de la ) Locus niger de
ire, de chaque côté de la substance perforée posté- rieure, sous la forme d'un petit faisceau de substance blanche, le pécl
térieure en dedans, région dont la face supérieure ou ventriculaire forme , avec celle du côté opposé, une gouttière antér
longitudinal des tubel'culesquadl'ijumeaux,s'élar- git en avant, et forme à la partie supéro-interne des tubercules quadrij
ont plus volu- mineux que les postérieurs. Ils présentent chacun la forme d'un ovoïde, à grand axe dirigé en avant et en
ventricule ou ventricule moyen (V3), cavité médiane, qui affecte la forme d'un entonnoir aplati latéralement. Sa paroi laté
s-tlzcclanzi yue de Forel. On se rend encore très bien compte de la forme générale des organes du seuil de l'hémisphère e
e ventricule de la cloison (VSl), puis le trigone cérébral (Tg) qui forme une seconde cloison transver- sale, dont la fac
r du corps strié, en dehors. La face interne de la couche optique forme la paroi latérale du troi- FIG. 195. - Coupe sa
ique et le noyau caudé d'un troisième noyau de substance grise,, de forme triangulaire, qui n'est en connexion avec aucun
nche des hémisphères circonscrite par l'écorce grise qui alfecte la forme d'une bordure sinueuse, et n'est interrompue qu
e et le centre ovale de l'hémisphère du côté opposé (lig. 199). Les formes , les connexions, les rapports des noyaux gris cen
hémis- phères (fig. 197), le corps calleux (Ce) se présente sous la forme d'une vaste commissure, d'une large cloison bla
adiations du corps calleux et, des fibres de la couronne rayonnante forme la limite externe des ventricules latéraux. - M
(fig. 151) séparant les deux hémisphères, le corps calleux affecte la forme leux. . d'une voûte, plus recourbée à sa partie
ns. - xll, chiasma des nerfs optiques. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 311 forme le fond. Elle mesure 15 à 20 millimètres. Un sill
en plus grande que cette dernière, elle est tapissée par Yépendymc, forme la paroi supérieure ou voûte des ventricules laté
térieure du corps calleux, en s'infléchissant en bas et en arrière, forme le genou (Cc[g]) et le bec du corps calleux (Cc[r
i communique sur les côtés avec les ventricules latéraux, dont elle forme un véritable diverticule. Cette fente est connue
auteurs anciens, la bandelette géminée de Reil, se présente sous la forme d'un triangle isocèle à base postérieure (fig.
suite aux angles postérieurs du trigone ; ils se présentent sous la forme de deux rubans, aplatis de haut en bas, qui con
partie externe fait suite à la partie interne du corps du trigone et forme la couche blanche intraventriculaire ou l'cclve
pourtour, et juxtaposées simplement par leur partie cen- traie, qui forme le ventricule du septum lucidum. L'embryologie mo
couche optique, représente un véritable carrefour ventriculaire, de forme triangulaire : c'est le trigonum venlriculi later
le latéral, située en arrière du trou de Monro, se présente sous la forme d'une fente hori- zontale (le '1;) millimètres
la queue du I/o ! /au call1{( : (NêlT], KG') se présentent sous la forme d'une masse grise, légèrement saillante, qui occu
ississement de l'épen- dyme ventriculaire; elle se présente sous la forme d'une bandelette gri- sâtre, demi-transparente,
sillon collatéral ou occihito-tenzporal (ot). Le fond de ce sillon forme quelquefois une véritable saillie longitudinale,
présentent au niveau du carrefour ventriculaire un rendement fusi- forme , le glomus des frères Wenzel, dont le volume vari
ique en bas et en avant. Les parois latérales sont verticales et de forme triangulaire ; un sillon curviligne à concavité
chiasma des nerfs optiques (xll) et la lame sus-optique (, laquelle forme avec le chiasma un petit cul-de-sac ouvert en h
ganglion, découvert par Serres (1824-1826) et dénommé par Meynert, forme une petite saillie triangulaire, située à la pa
ulaire qui sépare le cerveau antérieur du cerveau intermédiaire. De forme triangulaire, à sommet antérieur, à base postér
est recouverte par le corps du trigone (Tg), dont elle présente la forme et les dimensions, et auquel elle est unie par
triculaire de la couche optique (Sexv); par sa partie moyenne, elle forme la limite supé- rieure du troisième ventricule,
a partie moyenne est une anfractuosité profonde et étroite, dont la forme rappelle celle du trigone, et qui sépare le cer
doncules du cerveau étaient traversés par des stries de différentes formes , a donné à toutes ces éminences le nom de corpom
idéré dans sa totalité (noyau caudé et noyau lentictilaii,6 ? strié forme une masse grise ovoïde, dont la grosse extrémité
xtrémité antérieure du corps strié, ils forment une masse 24 ,k Forme du corps itrici. La. capsule interne divise
corps strié en deux noyaux. 30 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Forme du noyau caudé. unique située au-dessous du s
al, vertico-transversal et sagittal (fig. 281, 314, 319- 321). Elle forme en effet une légère saillie au niveau de l'espace
ule de l'insula. On ne peut se rendre compte de sa situation, de sa forme et de sa constitu- tion qu'en pratiquant des co
Considéré dans son ensemble, le noyau lenticulaire apparaît sous la forme d'un coin, dont le sommet situé en dedans et en b
s sagittales, sur lesquelles le noyau lenticulaire apparaît sous la forme d'une lentille biconvexe dont la partie moyenne
izontales (fig. 224 à 228). Il n'est pas rectiligne, mais coudé, et forme un angle obtus ouvert en dehors qui correspond
ert en dehors qui correspond au sommet du noyau lenticulaire. Cette forme du bord interne oblige la capsule interne à se
ières couches du noyau lenticulaire ,,(Iig. 222, 223, 242, 243). Il forme à lui seul l'extrémité postérieure effilée du n
- Sur les coupes vertico-transversales les deux noyaux affectent la forme d'un U majuscule, dont la convexité regarde en
imitée en dedans par un tractus médullaire d'un blanc éclatant, qui forme la limite enlre la face supérieure et la face i
antérieur. La face interne, verticale, plane ou légèrement convexe, forme la paroi latérale du troisième ventricule; elle
considérablement renflée, con- nue sous le nom de pulvinar (Pul) et forme une véritable face. Elle est libre, regarde en
e et en dedans. Le corps de Luys se présente sur les coupes sous la forme d'une lentille biconvexe, logée dans la concavi
et en dedans, sépare la tète du noyau caudé du noyau lenticulaire, forme le segment antérieur de la capsule interne et p
dents et fait saillie par sa base dans le ventricule latéral, où il forme le tubercule antérieur de la couche optique.
r (\Ta).-Sur les coupes sagittales, le noyau antérieur présente une forme analogue à celle du noyau caudé (Burdach). Plus
es vertico-transversales (fig. 241 à 252), elle se présente sous la forme d'une lame de substance blanche dirigée obliqueme
ne ligne brisée, ainsi que Vicq d'Azyr l'avait déjà remarqué ; elle forme en effet un angle obtus ouvert en dehors, dans le
eure de ce segment. Le segment postérieur proprement dit (Cip), qui forme à lui seul les quatre cinquièmes internes dupied
laire interne (po), enfin l'extrémité supérieure du cunéus (C), qui forme sur cette coupe un petit îlot complètement sépa
tale est occupée par la première circonvolution occipitale (0[),qui forme à la face interne le cunéus (C). A la face in
al. 39 ? ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. mente considérablement, et forme une couche épaisse, qui coiffe les extrémités - ,
lier, le faisceau occipito- frontal se réunit au cingulum (Cing) et forme un volumineux faisceau à direction antéro-posté
ous-épendymaire qui coiffe le carrefour ventriculaire (fig. 220) et forme il ce niveau, ainsi que le prouvent les cas de ma
on trouve le noyau caudé (NC) sectionné au niveau de son tronc; il forme dans cette coupe la plus grande partie de la pa
ux (sec), on trouve la section triangulaire du cingulum (Cing), qui forme , en ayanl et en arrière, un faisceau foncé nett
supérieur (Arc), et la partie supérieure de Y avant-mur (AM), sous forme d'une mince bandelette grise, légèrement feston
. - La tète du noyau c(tiid ? (NC) a conservé il peu près les mêmes formes et les mêmes dimensions que sur coupe précédente,
lée (Zr). ' La capsule interne (Cia, Cip, Cirl) se présente sous la forme d'une ligne brisée, on y reconnaît, quoique moi
t l'extension plus considérable que prend le cundus (C). Ce dernier forme avec le pli pariéto-lim- bique postérieur (-1tp
iculaire (NL3, XL2) qu'elle dépasse un peu en avant. C'est elle qui forme le lobule de l'insula proprement dit (lobule de
(Tgp) affecte sur cette coupe et sur toutes celles qui vont suivre la forme d'un crochet dont le bord effilé donne insertio
r de la cap- COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 403 queue (NC). Il forme avec ce dernier une seule et même masse, ainsi qu
ons temporales ('1' pT"). La circonvolution temporale profonde (Tp) forme une languette étroite, oblique en avant et en d
du lobe limbique (L,), un nouveau lobe, le lobule lingual (Lg); il forme la lèvre inférieure de la scissure calcarine (K),
ière, le noyau externe se continue avec le pulvinar (Pul), qui n'en forme qu'une dépendance, et qui est sillonné comme lui
onscrivent assez nettement le centre ovale (CO). Le cingulum (Cing) forme un faisceau compacte, sectionné transversalement,
lq,te. C'est dans cette région qu'elle affecte le plus nettement la forme d'une ligne brisée, dont l'angle obtus est ouvert
par le fae>71a tecta (tec) et le cingulum (Cing), qui affecte la forme d'un faisceau triangulaire nettement délimité. La
onné en avant parallè- lement à sa longueur, et se présente sous la forme d'un faisceau blanc qui double l'extrémité anté
ps calleux (Ce) est situé dans la masse blanche du lobe frontal, il forme la limite antérieure de la corne frontale, et con
s, dans l'épaisseur de la circonvolution de l'hippocampe (H), sous la forme d'un étroit diverticule, le divel,ticule du szc
e embryonnaire (lt) où elle se confond avec la substance grise, qui forme à la face inférieure du cer- veau la commissure
calloso-11wruinal (cm) et le sillon sus-orbitaire de Broca (so), et forme l'écorce de la face interne de la première circon
athologiques. La substance blanche de l'hippocampe le contourne, et forme autour de lui trois couches concentriques, assez
aux de fibres qui le composent. Le cingulum (Cing) apparaît sous la forme d'un faisceau triangulaire, dont le sommet se dir
a surface de section de la commissure antérieure (coa) qui revêt la forme d'un ovale, et se caractérise par son aspect blan
ns le tubercule mamillaire. Il se pré- sente sur les coupes sous la forme d'un faisceau lâchement fasciculé. Le pos- téri
e de l'espace perforé antérieur et le noyau caudé (NC). Ce noyau ne forme qu'un très petit îlot qui appartient à la tête
de la partie orbitaire de la troisième frontale (F). Cette dernière forme en effet (voy. Face inférieure du cerveau, fig.
mpe (II), en arrière du lobule lingual (Lg). Le lobule lingual (Lg) forme la pointe occipitale et se continue à la face e
u caudé (NC), qui fait saillie dans la corne frontale dont elle forme en grande partie la paroi externe. Le noyau c
ent antérieur de la capsule interne (Cia). Le système de projection forme la paroi externe de la corne frontale du ventri-
section trans- yersale du forceps an- léoieur (Foa), affecte la forme d'une raquette, dont la queue se con- fond au
aît sur la coupe n° 55 (fig. 243). La partie supérieure du cingulum forme dans toute la série des coupes vertico- transve
Néanmoins, l'ensemble des fibres d'association moyennes et courtes forme sur les coupes de cerveaux durcis par les bichr
ace inférieure du lobe temporal est constituée par le lobule f'usi- forme (Fus) et la troisième circonvolution temporale (T
ment (NL,) apparaît seul ici, sont intimement unis et présentent la forme d'un fer à cheval, dont la partie moyenne, située
ibre, de la tête du noyau caudé fait saillie dans le ventricule, et forme à elle seule la paroi externe du ventricule lat
et 71, fig. 244, 247-248). . Le ventricule latéral (VI) affecte une forme triangulaire à sommet inférieur. Sa paroi exter
MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 449 calleux (Cc). Le noyau caudé (NC) ne forme plus que la partie supérieure de sa paroi inter
n effet dans sa partie antérieure, au niveau du large coude qu'elle forme avant de pénétrer dans le lobe temporal. Elle e
frontale ascendante. - Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusi- forme . H, circonvolution de l'hippocampe. 1, insula. -L
fond est occupé par l'in- sula (I). L'opercule rolandique (OpR) en forme la lèvre supérieure, tandis que la lèvre inféri
re de la circonvolution du crochet (U). Cette dernière circonvolution forme la paroi inférieure du ventricule sphénoïdal (V
ique. 462 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. sur la fig. 249 sous la forme d'une lentille biconvexe, dirigée obliquement en
) et l'apparition de la deuxième circonvolution pariétale (P2), qui forme la lèvre supérieure de la scissure de Sylvius (
n pariétale inférieure (P.,) à la première circonvolution temporale forme la limite posté- rieure de la scissure sylvienn
) l'intéressent dans son segment rétro-lenticulaire (Cirl), elle ne forme plus ici une couche nettement distincte, mais dis
sphénoïdale. 472 2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. temporale (T3) forme le bord inféro-interne de l'hémisphère. A la face
TRES NERVEUX. : ' (fig. 258 et 259), cette circonvolution change de forme . La coupe intéresse en effet ici la partie post
259) intéressent sa partie postérieure; le pilier ptostérieur (Tgp) forme sur ces coupes la couche de substance blaiielie
- tricule latéral (VI) n'a pas varié. Sa face interne et inférieure forme la voûte du carrefour ventriculaire; sa face su
cule et changent de direction; elles se présentent en effet sous la forme de libres blanches, nacrées, sectionnées parall
ion temporale (TJ, l'interne au lobule fusiforme (Fus). Ce faisceau forme la couche sagittale externe du lobe occipital;
ution- temporale (T 3)' La troisième circonvolution temporale (T.,) forme le bord inférieur de l'hémisphère, elle s'étend
fig. 263, 264), le précunéus diminué sur.- les coupes suivantes, et forme sur. la coupe 137 (fig. 266) un îlot cortical,
mi- sphère. A la face externe de l'hémisphère, le Jmicllnéus (PrC), forme la circonvolution pariétale supérieure (P,). En
- 0.;) et le lobule lingual (Lg). Le cunéus (C) se présente sous la forme d'une languette triangulaire, limitée par deux
oit et profond sur les coupes nos 116 et 122 (fig. 263,26) où il ne forme la face interne qu'une mince languette qui corres
l. Situé au-dessous du cuxréus (C), en de- dans du lobule fusi- forme (Fus), limité en haut par la scis- sure calca
de); l'extrémité inférieure s'insinue dansle lobule lingual et forme un di- verticule assez pro- fond, le divertic
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. nzajor(Cc, Fm). Leur section affecte la forme d'un grosfaiscrauarrondi, présentant un aspect
de la première ci ? - convolution limbique (L¡). Son écorce grise forme dans cette région le gyrus rectus (oFj [Gr]),
rébral (P); la partie postéro-supérieure, beaucoup plus considérable, forme les tubercules quadrijumeaux (Qa, Qp) et la rég
e. Ces coupes sagittales montrent très nettement, l'angle droit que forme l'axe du cerveau intermédiaire avec celui du cerv
ce grise situés en a et en , et la masse blanche du lobe frontal ne forme , avec celle des circonvolutions rolandiques (Fa,
s, s'irradient seules sur celte coupe ; elles se présentent sous la forme d'un faisceau blanc, nacré, res- plendissant, i
s temporales (T3' T 2) et avec la circonvolution du crochet (U) qui forme la lèvre inférieure de la vallée de Sylvius (VS
de la face supérieure de la cipculIL'ulution de l'hippocampe (H) el forme la lèvre inférieure des parties latérales de la
r du trigone (Tgp). La corne sphénoïdale (Vsph) se présente sous la forme d'une mince fente verticale, aplatie d'avant en a
e optique (II) est ici très obliquement sectionnée, elle affecte la forme d'un triangle isocèle, extrêmement allongé, com
a coupe suivante n° 21 (ûg. 273), on se rend très bien compte de la forme en éventail assignée à la capsule interne. Le som
se reporte aux coupes horizontales, et que l'on songe au genou que forme la capsule interne, on comprend que les anciens a
llie dans l'étage inférieur du ventricule latéral; son écorce grise forme un îlot complètement séparé du reste de l'écorce
dale (Vsph), et l'étage inférieur du ventricule latéral affecte une forme très allongée et aplatie. Sa limite supérieure
le pied de la couronne rayonnante (pCR). La couronne rayonnante ne forme plus une couche aussi régu- lière que sur les c
râce à la courbe qu'il décrit (Voy. coupe n° 27, fig. 274), sous la forme d'une lamelle grise, étroite et curviligne, situé
portion orbitaire de la troisième circonvolution frontale (oF,) qui forme la lèvre antérieure de la scissure de Sylvius (S)
,). La face supérieure de la première circonvolution temporale (T,) forme la lèvre inférieure de la scissure de Sylvius (S)
ond de la scissure de Sylvius (S), sa surface de section affecte la forme d'un triangle, dont le sommet correspond à la val
nvolution tem- porale profonde de Heschl (Tp). Cette circonvolution forme il elle seule la région rétro-insulaire de Broc
de la corne sphénoïdale (Vsph), qui apparaît sur la figure, sous la forme d'une dépression irrégulière, recouverte par de
la face supérieure de la première circonvolution temporale (T,), qui forme l'oper- cule temporal (OpT,) et par la circonvo
ent se grouper les faisceaux importants de celte coupe, affecte une forme irrégulière ; elle est située plus près de la f
ectionnées parallèlement il leur axe : c'est le cingulum (Cing) qui forme la masse blanche de la première circonvolution
(tec). Au-dessus du genou du corps calleux, le cingulum affecte la forme d'un faisceau triangulaire ou pyriforme, dont le
l'hérnatoxyline. Au- dessous du genou du corps calleux, le cingulum forme un faisceau beaucoup plus petit (Cing'), dont l
ou partie commune au noyau caudé et au putamen. Le noyau caudé (NC) forme toute la paroi externe du ventricule latéral (V
inféro-interne par un large pont de substance grise et affectent la forme d'un U oblique en haut et en dehors. Le noyau
EUX. Les fibres du corps calleux (Ce) se portent en dehors, sous la forme de gros fascicules qui s'entre-croisent sous de
se présente au niveau de la partie externe du pu- lumen (NL3), sous forme d'une lame étroite et brisée qui se dédouble au n
Ces libres sillonnent la plus grande partie du globus pallidus sous forme d'un feutrage très dense. Au niveau du sommet d
ssent de nouveau au niveau de l'angle antérieur du septum,- sous la forme d'un faisceau assez compact connu sous le nom de
se trouve la section oblique de la commissure antérieure (coa) qui forme un petit faisceau ovalaire, entouré de nombreux o
nterne se divise en trois parties : la partie interne et supérieure forme le stmtllm zonale de la couche optique (strz); la
orme le stmtllm zonale de la couche optique (strz); la partie moyenne forme un faisceau allongé et effilé qui atteint presq
u amygdalien. (NA) fait saillie dans la corne sphénoïdale (Vsph) et forme la lèvre supérieure du diverlicule du subiculum.
fascicules ondulés, dont un très grand nombre se porte en dedans el forme , après COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 5t3
lotte du pédoncule cérébral. Il se présente sur cette coupe sous la forme d'un noyau arrondi, très irrégulier, étranglé sa
roi externe de la corne sphénoïdale, où elles se présentent sous la forme d'une couche de fibres forte- ment colorées, fo
du thalamus, un cerlain nombre se recourbe en dehors et en bas, et forme au-dessus de la lame cornée et des fibres du ta'n
n dehors; elle appartient atipilieposléîieiti dit trigone cérébral, forme à elle seule la paroi interne du carre- four ve
de la circonvolution godronnée (Cg); celle-ci s'épaissit ce niveau, forme la fasciola cinerea (Fc), puisse continue avec
la section transversale du cingulum (Cing) qui affecte toujours sa forme triangulaire caractéristique. Les fibres courtes
paroi interne est refoulée par le fond de la scissure calcarine qui forme l'ergot de Morand. La corne occipitale est entour
RES NERVEUX. et du forceps major du corps calleux (Fm) ; ce dernier forme , au niveau de l'angle supérieur de la corne occ
ur traverse le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne, puis forme les fibres les plus inférieures du segment post
, cette couche de fibres en U existe cependant à ce niveau, où elle forme le stratum calcarinum (voy. [strK], coupe suivant
re du p1'écunéus. La corne occipitale (Voc) présente ici encore une forme triangulaire et se trouve entourée par ses troi
igone entoure la partie supérieure de la corne d'Azmon (CA) dont il forme l'alvéus, puis il se continue avec la fimbria d
pCR) à direction verticale, et qui se présentent sur cette coupe sous forme de faisceaux de fibres coupés en travers. Entre
ct; prises dans leur ensemble, elles se présentent toujours sous la forme d'un faisceau large il sa partie moyenne, effil
le tronc (Ce) ou les radiations du corps calleux (RCc). Le tronc (Ce) forme la paroi interne du ventricule latéral (VI), et
le l[('nia tecta (tec). La couche de fibres non différenciées qui forme le centre ovale (CO) et qui constitue tout le t
iculairement à leur longueur, qui se présentent par conséquent sous forme d'un fin pointillé, et qui se groupent en fasci
au genou du corps calleux, \a partie postérieure au tronc (Ce) qui forme la voûte du ventricule latéral (VI). Le corps cal
s (Ne). Sur cette coupe, la du noyau caudé (NC) n'a guère changé de forme et de volume; elle est toujours coiffée au nive
mensions que sa partie antérieure. On se rend facilement compte de la forme de la partie postérieure de ce noyau antérieur,
ès grand nombre de faisceaux, sectionnés per- pendiculairement ; il forme la plus grande partie de la couche optique et reç
u externe du thalamus (Ne). Les fibres internes chemi- nent sous la forme d'un gros faisceau, jusqu'à la partie antérieure
z abondantes dans le tien posté- rieur, où elles se présentent sous forme d'un gros fascicule il direction oblique, qui l
te sur cette coupe comme sur toutes celles qui vont suivre, sous la forme d'une couche étroite, limitée en avant par la que
mboîte le corps genouillé externe qui se loge dans sa concavité; sa forme a été comparée par Wernicke à celle d'une corne d
microscopiques (voy. tin.387), le champ de Wernicke (W) affecte une forme irrégulièrement triangulaire à base inférieure;
aire à base inférieure; sur les coupes horizontales, il présente la forme d'une gouttière verticale ouverte en dedans, do
r (Pul). Le stratum zonale (strz) qui recouvre sa face libre ne lui forme pas une couche continue, et les libres qui le con
nt coupées perpendiculairement à leur axe, et se présentent sous la forme d'un pointillé ; au niveau de l'extrémité posté
trémité antérieure du thalamus, pénètre dans la couche optique sous forme d'un pinceau, dont les fibres embrassent la parti
aire et sur la couche optique. Le pulamen (NL.,) a peu changé comme forme , il s'est un peu rétréci, et n'envoie pas il la
ornée (le) la surface de section du tzenia semi-circularis, sous la forme d'un petit faisceau ovalaire; recouvert par la su
série de coupes un aspect caractéristique ; il se présente sous la forme d'un gros fais- ceau de libres, sectionnées trè
chesse en fibres. Le centre médian de Luys se présente donc sous la forme d'un noyau plus ou moins irrégulièrement arrondi,
i, enclavé profondément dans le thalamus. Il se présente sous cette forme , quelle que soit la direction des coupes (horiz
ittale ou vel'lico-tml1svl ! I'sale), et affecte par conséquent une forme sphérique. Il occupe les parties inférieures de l
: i fascicules de libres, dont la section transversale affecte une forme semi-lunaire à concavité postérieure (Voy. fig.
postérieur est composé de libres vues en section transversale, sous forme de faisceaux ou de fascicules, séparés les uns de
rieure (coa), sont situés dans la masse grise sous- épendymaire qui forme de chaque côté de la ligne médiane le seplum luci
u niveau du pédoncule cérébral. Le segment postérieur de la capsule forme en effet, il lui tout seul, l'étage inférieur du
se loge un amas de substance grise très nettement limité, ayant la forme d'une lentille biconvexe légèrement aplatie, et
vies jusque dans le noyau rouge (Voy. t. II). Le ruban de Reil (Rm) forme sur cette coupe n° 11 (fig. 310) un faisceau ir
ion sous-thalamique inférieure et dans la région pédonculaire , une forme curviligne, semi-lunaire et caractéristique. La
sceau réiroflexe de Meynert (FM), facile à reconnaître, grâce il sa forme et au gros diamètre de ses fibres. En avant du ru
visible ici où elle limite la bandelette optique (II) en dehors et forme la voûte de la partie antérieure du prolongemen
11u ! diall(BrQp +Rm). Le ruban de Reilzndiazz(Rm) présente déjà la forme semi-lunaire qui lui est propre dans tout son tra
divise en deux parties : la partie ventrale, se porte en dehors et forme dans la concavité du ruban delleil médian(Hm)nn
ent du faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui apparaît sous la forme d'un faisceau triangulaire constitué par de gros
rieur (Fli), c'est-à-dire jusqu'au niveau du coude, que ce faisceau forme à la base de la première circonvolution temporale
t représenté que par la couche de fibres qui double sa base, et qui forme l'anse du noyau lenticulaire (Al). Quelques- un
çoit le ruban de Reil médian (Rm) vu en section transversale, et de forme semi-lunaire. 11 se confond en avant et en deda
ère circonvolution limbique et la bandelette dia- oi7ale(bd), où il forme une petite saillie grise, le colliculus du noyau
tubercule mamillaire externe ou latéral (Tml), il apparaît sous la forme d'une petite masse grise, oblongue, qui s'insinue
que la coupe passe par le ganglion, de l'habénula (Gh). Ce dernier forme , un petit triangle de substance grise situé ent
e, formé de fibres parallèles, se recourbe en avant et en dedans et forme de chaque côté du ventri- cule un petit faiscea
érieur (Flp), qui fait sur cette coupe sa première apparition, sous forme d'un petit faisceau triangulaire dont le sommet
); elles se réunissent en un gros fascicule qui se porte en dehors, forme le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa
zone de Wernicke (W), considérablement accru de volume, et dont la forme correspond assez exactement il celle d'une corn
térieure du putamen (NL3). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) forme la limite externe du segment rétro-lenticulaire
nage de l'extrémité effilée du faisceau longitudinal postérieur. Il forme le groupe ventral du noyau latéral de la troisièm
ceau longitudinal posté- rieur (Flp), dans la petite excavation que forme ce faisceau au niveau de la subs- tance grise d
rté du tubercule quadrijumeau anlénir.ur (Qa) et dans l'angle qu'il forme avec ce dernier, apparaît le corps genouillé in
rne (Cgi) et le noyau rouye (NR), le ruban de Reil présente déjà la forme en corne d'abondance ou en croissant, caractéri
i) est apparent il la surface extérieure du pédoncule cérébral, où il forme un petit noyau ovalaire de substance grise, ent
Qp), adossées au ruban de Iteil médian (Rm). Le pulvinar (Pul) ne forme plus qu'une petite masse grise peu considé- rab
rieur (Fli), se fusionne en avant avec le noyau amygdalien (NA) qui forme la paroi inférieure et extérieure du prolongeme
) et passent au-dessous du }Jutamel/ (\L.,). Le pulvinar (Pul) ne forme plus qu'un tout petit segment de substance grise,
bres du laenia semi-cir- cularis. Le corps genouillé. interne (Cgi) forme une petite masse oblongue, très réduite de volu
le; sa capsule est très réduite en dehors, tandis qu'en dedans elle forme un gros faisceau de fibres très serrées, sectio
dian (Rm) affectent dans les régions pédon- culaires inférieures la forme d'un large croissant qui se porte de plus en plus
dans, le pied Au pédoncule cérébral est limité par un faisceau arci forme (Tpo), composé de fibres horizontales qui s'inf
c le centre ovale, c'est la substance blanche ou médullaire dont la forme déter- mine celle de la circonvolution correspo
s exactement sur la substance blanche, l'entoure de toutes parts et forme l'écorce cérébrale. ° L'écorce cérébrale, mesur
s régulièrement stratifiées dans lesquelles les cellules varient en forme et en nombre; ce sont : 1" La couche granuleuse o
tte strie présente dans le lobe occipital une grande épaisseur et y forme une véritable couche, la troisième couche de ll
évroglie et de vaisseaux. Les cellules nerveuses présen- tent des formes très variées : elles sont en général pyramidale
surnuméraires. - C et D, cellules pluripôlaires plus petites et de forme presque arrondie. - a cylindres-aaes. - b, leurs
'associa- tion, soit avec une fibro de projection. Elles ont la forme d'un cône ou d'une pyramide, dont le sommet est
ir. Le noyau de la cellule est volumineux, arrondi, parfois même de forme conique ou triangulaire, et contient un nucléol
e ascendante de la dendrite. La réunion de toutes ces ramifications forme un réticulum très serré. Pour Golgi et Martinot
al. La cellule pyra- midale chez lcs Ver- téhrés. Variétés de forme des petites cellules pyramidales. cérébrale
uées immédiatement au-dessous de la zone moléculaire ne sont pas de forme véritablement pyramidale, mais plutôt polygonal
verruqueuses du cylindre-axe, jusqu'à celui où elles se montrent sous forme de rameaux dichotomisés et terminés par des ext
artinotti, les cellules à cylindre-axe ascendant. Les premières, de forme polygonale, envoient dans tous les sens leurs d
les fibres revêtues de leur gaine de myéline se présentent sous la forme d'une traînée blanche, étendue de la capsule in
l3olando. Ces cellules pyramidales géantes présentent rarement une forme nettement pyramidale (Obersteiner), et sont le
le (Obersteiner), et sont le plus souvent groupées entre elles sous forme de nids de deux à cinq cellules. Pour Bevann Lewi
he des petites et des grandes cellules pyramidales, des cellules de forme pyramidale ou irrégulière, dont la dendrite princ
inotti. La couche des cellules polymorphes renferme des cellules de forme et de dimension variables. A côté de cellules p
sinage de la substance blanche, un certain nombre de cellules fusi- formes , particulièrement nombreuses et serrées au voisin
. 693 1° La couche moléculaire; 2° La couche des cellules fusi- formes verticales; 3° La couche des fibres médul- la
léculaire, on trouve trois ou quatre rangées de petites cellules de forme ovoïde (fig. 346, d), allongées dans le sens vert
va se rami- fier dans la zone moléculaire, l'autre descendante qui forme une arbori- sation horizontale de trois ou quat
fig. 346). Immédiatement au-dessous de la couche des cellules fusi- formes verticales, se trouve le ruban de Vicq d'Azyr ou
la couche précédente (fig. 346, h), cellules triangulaires ou fusi- formes plus épaisses, caractérisées par la présence d'un
étendue (fig. 346, i). Avant d'aborder la couché des cellules fusi- formes , ce cylindre-axe fournit toujours quelques collat
riations dans la structure de l'é- corce du rhinencé- phalon. Formes atypiques. écorce de ! : ), pure- mière circo
férences ne portent que sur le nombre des couches ainsi que sur la forme et le volume des éléments qu'elles contiennent,
es modifications importantes du type normal. Ces modifications, ces formes atypiques, peuvent être la con- séquence soit d
m griseum du corps calleux; ce voile gris se renlle en dedans, sous forme d'une bande longitudinale, de 0,3 à z1 milli- m
circonvolution de l'hippocampe, qui fait suite au lobule fusiforme et forme la lèvre interne de la scissure collatérale, pr
(Cajal). La 2° couche ou couche des petites cellules pyramidales ne forme pas une couche régulière; elle s'emboîte en eff
vertico-transversale, la corne d'Ammon et le subiculum affectent la forme d'un S italique. La courbe inférieure de 1\S' cor
STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 705 1 dément modifiée, plissée en forme débourse dont l'ouverture ou hile regarde en ha
onnée, de telle sorte ; que l'écorce de la circonvolution godronnée forme la paroi de la bourse et 1 que l'écorce de la c
oïdale du ventricule latéral. ' . dales, le nombre et la variété de forme de ses cellules du type II de Golgi, sa richess
ant la corne d'Ammon, l'épaisse couche de fibres tangentielles, qui forme la lame médullaire superficielle du subiculum, se
tratum radiatum (fig. 352, R). Le stratum radiatum se présente sous forme d'une bande limitée en haut par le stratum lacuno
l'alvéus, et sont remar- quables parleurs grandes dimensions, leur forme étoilée, la direction radiée de leurs dendrites
médullaire moyenne (Cajal), stratum medullare médium (Obersteiner), forme le stratum lacuno- szcoz, relie entre eux les p
de l'hippocampe, ce galon se pose à plat sur l'écorce du crochet et forme la bandelette de Giacomini. Du sillon de l'hi
e de la corne d'Ammon, caractérisée surtout par l'irrégu- larité de forme de ses cellules pyramidales géantes. Nous avons v
cellules pyramidales géantes de la corne d'Ammon et s'y trans- forme en fibre mous- sue. convolution godronnée, lu
lle ou zone des cellules pyramidales, la zone moyenne ou plexi- forme et la zone profonde ou zone des cellules fusi-
ou plexi- forme et la zone profonde ou zone des cellules fusi- formes ; ces deux derniè- res sont plus nettement dél
he des cellules polymorphes. Ce sont des cellules étoilées ou fusi- formes , dont les dendrites affectent en général une dire
llules névrogliques : des cellules araignées et des cellules fIlS/- formes . Les cellules araignées ou étoilées, bien décri
a région rolandique. Mais la structure intime du bulbe olfactif, la forme de ses élé- ments cellulaires, la constitution
t très rapprochés de la surface cérébrale, les autres affectent une forme ovoïde ou arrondie et occupent les couches prof
trouvent de préférence dans les îlots super- ficiels, elles sont de forme étoilée, plus petites que les petites cellules py
enferme un grand nombre de cellules volumineuses et irrégulières de forme , qui se comportent comme les cellules pyramidales
uche précédente, se continue profondément avec les faisceaux plexi- formes du corps strié. Ses fibres, qui sont la continuat
gentielles, on rencontre une couche mince de cellules nerveuses, de forme pyramidale et dont le prolongement principal es
misphères, malgré les entre-croisements multiples de ses fibres, ne forme pas un feu- trage inextricable, sauf toutefois
res. Que les fibres calleuses et de projection, alTectent toutes la forme de rayons (grand soleil de Reil), qui convergen
ssociation du rhinencéphalon. 750 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Forme et trajet du cingulum. sous le nom de fornix
de la première circonvolution limbidue (L,). Il se présente sous la forme d'un faisceau arqué, qui contourne le bec, le gen
la racine olfactive externe, et cet auteur comparait le système du Forme du cingu- lum sur une coupe vertico-transvers
ur les. coupes vertico-transversales (fig. 281 à 283) il affecte la forme d'un faisceau irrégulicr, compris entre la capsul
f. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - fa(ip), fibres arci- formes du sillon inter-parital. - fa(pri), libres arcifo
bichromate ou dans l'alcool, le faisceau arqué ne se présente sous forme de faisceau [compact, que dans la région pariét
gions occipitale et pariéto-tempo- Le faisceau u'lJu présente une forme tl'iallg'ulail'c SUI' 1( ? coupes ycrtico-tl'
espond dans l'hémisphère nor- mal ce faisceau occipito-frontal, qui forme au niveau du carrefour ventri- culaire le tapet
rigine de ce fais ceau en avant. Le faisceau occi- pito-frontal forme le tapotum et s'irradie dans la face externe
Ces faits, que nous avons observés chez l'homme, sont du reste con- formes à ce que nous enseigne la pathologie expérimental
e sphéno-occipital et étendu du pôle occipital au pôle temporal. Il forme la couche externe des fibres sagittales du lobe
i- tal au lobe frontal. Faisceau longitu- dinal inférieur. Sa forme dans le* lobe temporal. 166 ANATOMIE DES CENT
e recouvrent (fig. 383 et 389). Pris dans son ensemble, ce faisceau forme , ainsi que Burdachl'amontru, une sorte de goutt
2]). Le faisceau longitudinal inférieur ne présente toutefois cette forme particulière que dans le lobe temporal; dans le
à faisceau longitudinal inférieur affecte dans le lobe occipital la forme d'un WkM anneau plus ou moins irrégulier et ang
ulier et anguleux (fig. 384 et 290), et dans le . lobe temporal, la forme d'une gouttière fortement coudée (fig. 383. Le .
nclusivement, soit le cunéus, le lobule lingual, ou le lobule fusi- forme , - et étudiés par la méthode des coupes microscop
l'ergot de Morand, la sépare du faisceau longitudinal inférieur et forme à elle seule la masse blanche des plis cunéo-li
le nom de raclia- tions calleuses (RCc); leur faisceau compact, qui forme la voûte des ven- tricules latéraux, constitue
ceau d'association occipito-frontal de Forel et Onufrowicz (OF), qui forme le tapetum du lobe sphénoïdal (fig. 381, p. 760
par les piliers antérieurs du trigone (Tga) (fig. 201 à 203). Elle forme avec ces derniers un espace triangulaire, la vulv
4 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
G BERTOLO'I Tl elle frappe avant tout par ses dimensions et par sa forme qui présente tous les caractères de l'acromégal
lat. Le gros orteil est très gros et carré. L'extrémité des orteils forme une ligne oblique très pro- noncée de façon que
aucune particula- rité, digne de remarque. L'examen de toutes les formes de sensibilité superficielle et profonde ne mon
le fond clair correspondant à la portion écailleuse du temporal. La forme et les dimensions de la selle turcique sont très
ont une disposition presque circulaire à convexité supé- rieure qui forme un tracé pointillé au-dessus de la selle turciqne
une altération de la struc- ture des phalangettes qui prennent une forme de petits plumeaux. Or, il suffit de regarder c
blions pas que parmi ces deux types principaux, on peut trouver des formes intermédiaires chez lesquelles les caractères p
décrit par M. Brissaud (infan- tilisme dysthyroïdien), soit sous la forme complète, soit sous la forme fruste. - M. Bau
- tilisme dysthyroïdien), soit sous la forme complète, soit sous la forme fruste. - M. Bauer pense donc comme 1\1. Bris
, aussi bien l'un que l'autre présentait le tableau classique de la forme clinique de Lorain ; forme clinique que je contin
re présentait le tableau classique de la forme clinique de Lorain ; forme clinique que je continuerai à appeler « Infanti
est atteinte d'un syndrome cérébral qui semble déterminé « par une forme d'hydro- céphalie idiopathique ou de méningite
cliniques ne sauraient être confondus si, au lieu de considérer les formes . mal caractérisées, on tient surtout compte des
nsidérer les formes. mal caractérisées, on tient surtout compte des formes typiques. Dans ses discussions, M. E. Levi para
ns ce sens, on com- prend bien qu'on peut avoir diverses espèces et formes de dystrophies. Les plus communes et les plus a
ive ou la dystrophie musculaire progressive, manifestée par tant de formes ou types cliniques. Entre toutes les formes de
manifestée par tant de formes ou types cliniques. Entre toutes les formes de dystrophie musculaire mises en évidence jusq
ute leur développement spécial : mais si on les distin- guait comme formes on les confondait comme origine. Winckler (18î1)
if chez les rachiliques foetaux et pour cela il avait dénommé cette forme rachitis micromelica. Mais c'est Parrot qui en
ca. Mais c'est Parrot qui en 1876 sépare nettement du rachitisme la forme foetale, la considé- rant comme une maladie spé
re dans le champ si inextricable des dystrophies osseuses. Ces deux formes , l'achondroplasie et le rachitisme, sont au moins
nanisme, le gigantisme, le crétinisme, etc., où l'on rencontre des formes qui ne se touchent le plus souvent que par un car
eul ca l'actère super- 1 ficiel décidait le classement dans une des formes citées. Ainsi parmi les i nains il y en avaitde
l. VII). L'achondroplasie peut être tenue jusqu'à présent comme une forme de maladie très rare. Il est vrai que depuis le
mées, leur longueur est de (i cen- timètres. La voûte palatine a la forme normale, Les dents ne représentent riend'arnoma
ro- ximal-micromélie rhizomélique de Pierre Marie. Les mains ont la forme typique pour l'achondroplasie, décrite par le m
ue d'ordinaire (Pierre Marie), ce qui crée un certain trouble de la forme de la région de l'articulation du genou. L'aulre
ès développés (Porak et Durante), existe aussi dans notre cas. La forme du thorax ne présente pas de troubles appréciable
cicatrice, sur le sternum, on palpe une induration de la peau sous forme d'une tumeur de la grandeur d'une prune. Des peti
is 5 ans à l'augmentation de son corps thyroïde ; finalement il s'y forme une tumeur. Depuis deux ans, une autre tumeur s
cervical, la moelle épinière comprimée d'avant en arrière a pris la forme d'un mince ruban, plus large à son bout gauche, p
interne elle y est mieux conservée. La substance grise conserve la forme caractéristique d'un H, mais elle est très clairs
ement assez étrange, et le trajet des différents faisceaux prend la forme en zig-zag. Les racines postérieures sont dégén
leur rapport mutuel, tandis qu'extérieurement la moelle a changé sa forme : elle est comprimée latéralement, et sa moitié
ers sclérosés on trouve des îlots des fibres normales qui vont sous forme d'étroites languettes vers le centre. On constate
le carcinome de la colonne vertébrale chez les femmes qui ont eu la forme spéciale (squirrhe) du carcinome, la néoformali
également a remarqué que le cancer de la colonne naît à la suite de formes dures du cancer du sein. Le temps, qui sépare l
leurs siègent dans la colonne vertébrale et se propagent de là sous forme des névralgies intercostales ou sciatiques. La
Il y a parfois des symptômes du côté des racines antérieures, sous forme de contractions spastiques, paralysies et atrop
s le tableau décrit ci-dessus nous avons donné la description d'une forme de néoformation : « cancer de la colonne vertébra
ructure anatomique de la. moelle frappée par la tumeur maligne. Une forme de tumeur bénigne, l'ostéome de la colonne vertéb
le cas d'Oppenheim et Krause). Le tableau clinique dans d'autres formes de tumeurs (échinocoque, angiome, endothéliome)
. La ressemblance est telle qu'il y a des auteurs qui décrivent une forme spéciale de sarcome vertébral sous le nom de ma
arcomateux (Haymond -Alq uier, cas de Poufain, Pfeiffer). C'est une forme bien rare, puisque Raymond et Alquier n'eu ont
ons suivantes pour distinguer la tumeur delà carie. Premièrement la forme de la saillie vertébrale (dans le cas de carie
matiquement à la réaction de Pirquet et de Calmette pour déceler la forme discrète de spondylite tuberculeuse. La réactio
piller). Dans un cas d'angiome sortant de l'os, la moelle a pris la forme d'un mince ruban (Gerhardt). , Nous avons déj
observé en Perse, en Asie centrale, en Indo-Chine et à Canton, où les formes tuberculeuses à prédominance culnée étaient au
le signe du cubital a une valeur capi- tale dans le diagnostic des formes nerveuses de la lèpre, le nerf, radial peut êtr
près complètement aveugle, elle n'est plus capable de distinguer la forme des objets. Si on lui place sous le nez un obje
et traînait ses pieds en marchant. 110 13ERTOLOTTt Bientôt cette forme de steppage alla en empirant et la marche devint
bien évidents. D'un côté des symptômes cérébraux qui rappellent les formes de la diplégie familiale, c'est-à-dire l'idioti
ue qui sont absolument identiques à ceux que l'on rencontre dans la forme amyotrophique spino-neurotique de Charcot-Marie.
importance et qui,bien qu'à l'étal d'ébauche, se retrouvent dans la forme Charcot-Marie. (1) ITIGIEIt, Deutche Zeitschrif
chapitre des maladies familiales amyotrophiqueset notamment dans la forme Charcot-Marie. - Avant de passer à cet ordre de
t analogue à celle d'IIigier et de même peut être classée parmi les formes de passage, c'est-à-dire à califourchon entre les
plan ; ils ont une importance de premier ordre et ils rappellent la forme de Charcot-Marie avec une analogie clinique tel
es cliniques qui existent entremes observations personnelles et les formes plus nettes d'amyotrophie Charcot-Marie. L'am
amyotrophie Charcot-Marie. L'amyotrophie Charcot-Marie, qui est une forme éminemment familiale et héréditaire (Lorens), d
ation topographique de l'atro- phie est classique : il s'agit d'une forme d'amyotrophie en manchette à l'avant-bras et en
ubles vasomoteurs très caractéristiques que l'on rencontre dans les formes d'amyotrophie Charcot-Marie à évolution déjà av
sale du pied. Et bien, tous les caractères les plus saillants de la forme Charcot-Marie sont très évidents chez nos trois
ore plus ; voyons en effet si parmi les symptômes aty- piques de la forme Charcot-Marie et les symptômes additionnels pré-
re que cette étude de rapprochement des symptô- mes atypiques de la forme Charcot-Marie est dans le cas actuel du plus ha
ui ont été con- sidérés jusqu'à présent comme exceptionnels dans la forme Charcot-Marie, peuvent être résumés de la façon
us avons énumérés dans la catégorie des altérations atypiques de la forme Charcot-Marie, nous les retrouvons dans mes obs
cessaire d'aborder l'élude analytique des symptômes atypiques de la forme Charcot-Marie pour deux raisons : avant tout pour
ait lieu de mettre un peu plus en évidence certains symptômes de la forme Charcot-Marie considérés à tort jusqu'ici d'une i
n des observateurs sur l'atro- phie primitive de la papille dans la forme familiale Charcot-Marie a été Vizioli qui, en 1
le constater, l'atrophie primitive de la pupille constitue dans la forme Charcot-Marie un (1) Vision, Dell'alrofia musco
a plupart des auteurs les al- térations oculaires communes aux deux formes ont été considérées comme un argument en faveur
plus courante, les altérations oculaires que l'on retrouve dans la forme Charcot-Marie ont un caractère nettement défini e
tude des autres symptômes atypiques que l'on peut retrouver dans la forme Charcot-Marie. En ce qui concerne les troubles
bérantiels quel'onpeutobser- ver d'une façon exceptionnelle dans la forme spino-névritique de Charcot- Marie, il faut rap
1) et de Marinesco (2), qui sont là pour démontrer comment dans les formes plus avancées de celte maladie l'atrophie muscu
piques de la réflectivité profonde que l'on peut rencontrer dans la forme Charcot-Marie, la plupart des auteurs sont d'ac
embres inférieurs, bien que rare, n'est pas exceptionnelle dans les formes Charcot-Marie. Ce qui est plus important encore à
ration des sensibilités subjectives. On a écrit souvent que dans la forme spino-névritique de Charcot-Ma- rie, l'atrophie
ai encore que Hoffmann (1) avait constaté l'atrophie des os dans la forme amyotrophique Charcot-Marie et que MM. Ballet et
itiques parfaite- ment identiques à ceux que l'on rencontre dans la forme classique de Charcot-Marie et enfin nous avons
res. Il s'agit ! ad'un symptôme qui n'a jamais été constaté dans la forme Charqot-Marie, même dans les cas les plus atypi
t très bien Strûmpell (1), les maladies familiales représentent une forme spéciale des maladies héréditaires des systè- m
éclose dans ce milieu consanguin présente tous les caractères d'une forme d'altération héré- ditaire étendue à plusieurs
et état des choses pouvoir ranger cette maladie fa- miliale dans la forme Charcot-Marie qui représente, selon moi, une mala
ante. Considérons en effet que, dans la grande majorité des cas, la forme Charcot-Marie peut rester à l'état fruste et êt
rift sur Nervenheilkunde, III, B. VI, Ileftl893. 134 BERTOLOTTI forme Charcot-Marie chez laquelle la dégénération nerve
faire de celle maladie familiale un échantillon type d'une nouvelle forme dégénérative du système nerveux, serait commettre
r mes observations dans un cadre morbide qui rappelle absolument la forme familiale de l'atrophie spino- névritique Charc
liens bien étroits d'affinité pathologique. Dans les différentes formes familiales, on doit distinguer avant tout l'ext
ion nerveuse. La conclusion logique qui en découle, c'est que toute forme dégénérative familiale, héréditaire ou non, s'e
es syndromes plus ou moins étendus selon les cas, et que à côté des formes plus systématisées el plus connues, il en existe
po-phalaugienne paraît normale. Comme autre déformation, on note la forme en boudin de l'annulaire droit, son extrémité éta
localisés et aussi prononcés que ceux présentés par notre sujet. La forme des accidents rappelait celle de la sclérodermi
s dor- saux.Dans le IVe segment dorsal le foyer de lésion avait une forme triangulaire à base orientée vers la périphérie
r la masse néoplasique qui passe par ici dans le canal rachidien sous forme d'un tissu mou, blanchâtre. La masse adhère à l
s petites, sous forme de fines granulations avec un grand nombre de formes intermédiaires. Au milieu du foyer, vaisseaux d
e ler et le 11, segment lombaire) les foyers changent de nouveau de forme et de localisation (fig. 9). On n'y voit plus de
gauche. Dans le droit se voit un grand foyer nettement limité sous forme d'un oeuf ; dans les cordons postérieurs,des fo
e, le gonflement des cellules, quelquefois même la cellule prend la forme de poire avec le noyau excentrique et un petit no
e de la moelle. Il nous semblait qu'il s'agissait dans ce cas d'une forme de myélite aiguë ou subaiguë. L'autopsie démo
térieurs, non loin du sillon longitudinal postérieur et un foyer en forme allongée allant de la périphérie vers le cordon
dans les segments cervicaux de la moelle. Elles ont eu sou- vent la forme de poires, présentèrent la cliromatolyse et dans
étaient bien conservés, les cellules en moins grand nombre mais de forme ordinaire, sans déplacement excentrique des noy
le tableau anatomo-pathologique. Les fibres nerveuses ont changé de forme (le plus souvent sont devenues fines) et de con
urs d'une compression mé- dullaire, des lésions peuvent naître sous forme d'élargissement des espaces lymphatiques (périv
une combinaison de tu- meurs extra et intravertébrales. Mais comme forme typique de ces tumeurs nous considérerons la tu
'examen microscopique a démontré un ancien foyer inflammatoire sous forme d'une raie dans la moelle cervicale, des petite
t postérieurs (quelquefois dans les antérieurs). Us affec- tent une forme en coin, ou en bandelette et correspondant à la d
ou dans leur voisinage une lésion profonde de la substance grise sous forme d'une hémorragie (Bregman -8 tei n ha us) ou mê
e. Le clinicien parfois est fort perplexe à l'autopsie de certaines formes de psychoses. Le malade présentait des symptôme
choses fonctionnelles ! Où classer les épilepsies ? car depuis les formes frustes jusqu'aux formes graves, progressives e
Où classer les épilepsies ? car depuis les formes frustes jusqu'aux formes graves, progressives et avec démence terminale,
blir anatomiquement la distinction qui existe entre les différentes formes de psychoses connues. Aucune de ces altératio
est à tel point que bien des auteurs ne veulent voir dans certaines formes que des syndromes et non des maladies bien dé-
le ; son action sur les muscles est purement réflexe et présente la forme la .plus classique du réflexe; là est son rôle
ns présente le phénomène de dermographisme sous ses deux aspects ou formes : rouge et hlanc. Nicolsky en opposant ces deux
x aspects ou formes : rouge et hlanc. Nicolsky en opposant ces deux formes trouve qu'elles sont le ré- sultat de deux acti
en présence d'un sujet qui présente le dermographisme sous ces deux formes et chez lequel on peut faire apparaître à volon
0 ROUDNEW Encore plus de difficulté présente le cas dans lequel une forme de der- mographisme fait place à l'autre où nou
tibles. Il lui aurait été facile de présenter ses idées sous une forme plus aisé- ment acceptable. « On trouve,sans
. Or, si parfois on peut voir apparaître des variations brusques de forme ou d'ornement (muta-' tions de de Vries),les va
he le réflexe rotulien et alors prend ordinairement le rythme et la forme de la trépidation épi- leploïde, Il se générali
faiblir pendant la dernière période de la maladie ». A propos de la forme anesthésique de la lèpre, Hardy et Labarraque,
les caractères de ces deux infirmes pourtant bien rapprochés par la forme et par le siège de leur infirmité, lescolioli-
èrement, se portent actuellement bien et ne souffrirent ja- mais de formes morbides particulières. Il n'a pas été possible
n occipitale. Visage. La mâchoire inférieure est bien développée et forme un angle aigu et fort proéminent. La.\supérieur
eur à l'ordinaire et dans les années suivantes il resta toujours de forme petite et de constitution assez grêle. La tête n'
ré de rotation). Il est difficile de bien évaluer les rap- ports de forme et de position des diverses parties qui constitue
mités distales des métacarpes sont très élar- gies et présentent la forme d'une feuille à plusieurs lobes. A l'articulation
s, courtes et grossières et elles présen- tent même spontanément la forme eu trident, décrite par M. P. Marie. Aucune ano
Le système musculaire est très développé et aux régions fessières il forme des proéminences très accentuées. Cette accentu
pi- tale du radius). Le radius dans son ensemble, vu de front, a la forme d'une S. Le sommet de la grande convexité de la
araison de leur longueur. Dans l'ensemble les os de la main ont une forme moins grossière que dans l'autre cas (Auguste C.)
les condyles, surtout l'in- terne. Il en résulte par conséquent une forme extrêmement baroque. Les cicatri- ces épiphysai
ieure de cet os est remarquablement déformée. La rotule apparaît de forme et de structure normales. Rien d'autre qui méri
ointe descend un peu plus bas que de coutume. - Le calcanéum est de forme massive. Les trabécules osseuses qui courent le
omme une interruption. Pied. (En position antéro-postérieure). La forme générale des os est lourde et grossière. L'extr
plasie. Nous savons en effet que les caractères principaux de cette forme morbide, qui a été si bien décrite pour la premiè
t manquer sont les anomalies relatives à la longueur des doigts, la forme en trident de la main, l'ensellure lombaire, l'
e rac- courcissement est dû surtout aux doigts. Elles présentent la forme en trident décrite par M. P. Marie, et chez le
-être a-t-il suggéré à M. Kaufmann sa classification bien connue en formes hyperplastique et hypoplastique (outre la forme
ion bien connue en formes hyperplastique et hypoplastique (outre la forme malacique), qu'il a décrites à propos de l'achond
eloppement très fort du tissu adipeux et cellulaire sous-cutané, la forme aplatie du nez et la basse stature ; mais quelque
stature ; mais quelques données suffisent à exclure cette dernière forme morbide. En premier lieu nous avons dit que la
aire. De plus l'examen radiographique repousse absolument une telle forme . Plus facile serait la confusion avec le rachit
aire le diagnostic d'achondroplasie chez un enfant qui présente des formes semblables, seulement à cause de ce qu'elles exis
s. Dans nos cas il n'y a rien qui puisse faire soupçonner une telle forme morbide. Dans le nanisme rachitique la tête est
bide. Dans le nanisme rachitique la tête est grosse, mais pas de la forme que nous avons décrite ; le tronc est très défo
nement si l'on peut hésiter entre l'achondroplasie et quelque autre forme morbide, c'est avec le rachitisme. Aussi avec c
- graphique. Môme dans l'achondroplasie, il existe certainement des formes incomplètes, bâtardes, et l'on a déjà décrit de
inement des formes incomplètes, bâtardes, et l'on a déjà décrit des formes mixtes intermédiaires au rachitisme, au myxoedè
ckstein 268 GIUSEPPE FRANCHINI ET MAURO ZANASI rapporte un cas de forme particulière d'achondroplasie qui selon nous pr
nt morts, l'un à 17 ans et l'autre à 27 ans, et ils avaient la même forme morbide. Si d'un côté le fait congénital, la form
avaient la même forme morbide. Si d'un côté le fait congénital, la forme familiale, la grosseur du corps de cette enfant
rémi- tés inférieures sont des données qui parlent aussi contre une forme parti- culière d'achondroplasie. Ce n'est pas
roître en épaisseur. Encore plus obscure est la pathogénie de cette forme morbide ; ce qu'on a pu bien établir, c'est qu'
lasie ait une tendance à se transmettre héréditai- rement, il ne se forme pas une race d'achondroplasiques, de même qu'il
l ne se forme pas une race d'achondroplasiques, de même qu'il ne se forme pas une race de tuberculeux ou une race de syphil
ent sup- porter impunément des fatigues et que sur eux les diverses formes mor- bides ont peu de prise. Dans ce fait impor
-il ici aussi faire des subdivisions en se basant à la fois sur les formes extérieures et sur l'examen histologique. Il po
is de l'examen de nos cas il faut reconnaître que l'existence d'une forme atavique a reçu une forte sanction. Il faut en
du front où elle surplombe les os de la face. Le visage affecte une forme à peu près rectangulaire, mais si on consi- dèr
arcades sourcilières ne sont pas saillantes, mais elles affectent une forme curieuse : on pourrait dire qu'elles sont en «
t en « sesto acuto », tellement l'ar- cade osseuse est élevée et de forme angulaire dans sa partie moyenne. Les fosses te
considérablement le menton de la femme en conférant à sa figure la forme rectangulaire déjà mentionnée. L'épaisseur du cor
de et manifestement ogivale. Le pavillon de l'oreille est mince, de forme et de consistance normales. Mesures du crâne et
pieds et les mains non seulement ne présentent aucune altération de forme ou de grandeur, mais, tant les premiers que les
LISATION CEPHALIQUE 283 le pagétisme représente essentiellement une forme tardive ou ultratardive de syphilis héréditaire
is après l'infection, le patient mourut. L'autopsie fit relever une forme vasculaire de syphilis cérébrale avec un ramoll
les injections, la céphalée, les douleurs ostéocopes, l'éruption en forme de roupie réapparurent, bien que le patient conti
ackson qui se manifestèrent dans la moitié gauche du corps, sous la forme de paresthésies, commençant au pied et à la main.
i la syphilis du cerveau. Les moments étioiogiques, qui. dans celle forme particulière de syphi- lis cérébrale, ont été i
, examinant minutieusement de nombreux cas de-syphilis cérébrale de formes diverses (artérite, méningite, méningo-encépha
de formes diverses (artérite, méningite, méningo-encépha 1 i le, et formes combinées) n'a pu trouver aucune tare héré- dit
bable qu'elle n'ait exercé son influence sur le développement de la forme ; mais pour les motifs que je viens d'exposer,
èrede la syphilis cérébrale. L'importance de cette hérédité sur les formes multiples de maladies fonc- tionnelles et organ
ue de tous. 302 COSTANT1NI Pour ce qui regarde l'âge auquel cette forme se développe, de l'examen des cas que j'ai recu
tion, entre 33 et 58 ans; comme Pick, qui attribue la gravité de la forme qu'il a observée chez son malade, à l'âge mûr a
on trouve, dans l'anamnésie, des cas ayant les caractères de cette forme , c'est-à-dire à l'abus de l'alcool ; puisque âg
tres auteurs (Althaus, Neumann, Mingazzini, etc.), savoir : que les formes syphilitiques précoces malignes, particulièrement
supposer que cela ne soit d'aucune valeur aussi dans cette dernière forme . Sur la question de savoir si une cure spécifiq
ur, l'affection céré- brale apparaît plus ou moins vite et sous une forme parfois grave. En rapport avec la cure spécifiq
deurs uniques aient pu à eux seuls provoquer le développement d'une forme si maligne. L'on devrait peut-être, dans ce cas
omes (la substance blanche sort à tra- vers la pie-mère déchirée et forme des sortes de champignons à la périphérie de la
ons postérieurs. Ces foyers vont de la périphérie vers le centre sous forme de raies allongées, de coins, de segments ou so
là aussi il n'y a pas de cellules nerveuses. On les décèle sous la forme d'ombres de cellules que l'on reconnaît grâce aux
la région correspondant à la tumeur, la substance grise reprend sa forme caractéristique. Dans les segments dorsaux supé
tèbres dorsales inférieures. on voit une proéminence de la peau qui forme un pli assez gros dirigé avec ses deux bouts en
-dessous du bout inférieur de la suture opératoire. La tumeur a une forme ovale à grand axe, parallèle à la moelle.Son di
que l'antérieure qui recouvre la face antérieure de la tumeur sous forme d'une languette étroite. Les cordons postérieurs
anche dans les cordons postérieurs. Les foyers clairs affectent la- forme irrégulière ou fasciculaire. Ces lésions sont plu
antéro-latéraux aussi bien que les postérieurs. Elles affectent la forme de grands foyers de ramollissement d'aspect alvéo
inière à l'endroit où la tumeur la comprimait. La moelle y avait la forme d'un ruban ; la configuration interne de la sub
ent à reprendre leur configuration normale et la moelle épinière sa forme habituelle. En descendant, on pouvait consta- t
frontal 13 mm. 5, dans le plan sagittal 15 mm. 5. Elleaflectait la forme ronde-ovale, sa consistance était dure la surfa
amollie. Au niveau de la VIIe racine cervicale, la moelle a pris la forme d'un ruban. Au niveau des Y- et VI' racines cer
ent cervical (la ligne 5, fig. 18), la sub,tance grise reprendre sa forme normale. La moitié droite de la moelle au premi
e surtout notre attention, il est dévié en dehors à tel point qu'il forme avec le bord interne du pied un angle presque dro
travers le milieu de la tumeur. La moelle épinière se présente sous forme d'un mince ruban, elle était évidement comprimé
ce ni- veau sont 0 cent.l : 0. 3 cent. La tumeur se présente sous forme d'une masse grise rosâtre, qui, dans le voisina
localisation de la tumeur, on constate que son pôle supérieur sous forme d'une languette atteint le niveau où la IXe racin
rnière ne sont pas encore considérables (fig. 23). Elle adhère sous forme d'un corps allongé fusiforme à la moitié pos- t
, la tumeur diminue de volume et la moelle en même temps reprend sa forme habituelle. On voit le pôle supérieur de la tumeu
oyers on en cons- tataitd'autres dans le cordon latéral gauche sous forme des coins allant de la périphérie vers la profo
Dans les régions correspondantes à la tumeur,la moelle conservait sa forme et la configuration de la substance blanche et
côté des foyers anciens alvéolaires on en remarquait déplus frais en forme de coins constitués par les cellules granuleuse
comme les différentes couches de la dure-mère se sépa- rent et sous forme d'un exsudat pénètrent dans'le tissu néoplasique
. Cette infiltration pénétrait dans la profondeur de la moelle sous forme des prolongements en coin effilés. A côté de ce
veau des gommes assez grandes, la moelle conservait sur la coupe sa forme ronde et sa configuration normale. Au niveau du
au niveau de la partie la plus supérieure de la circonvolution. La forme des cellules est variable, cependant on peut re
osté- rieure de la cuisse gauche, partant de la région interne sous forme d'une bande fortement pigmentée pour s'étaler e
é comme sur la photographie (fig. 3,P1. XLl), le naevus présente la forme générale d'un triangle, limité en bas par une l
ons variant de celles d'une lentille à une pièce de 50 centimes, de forme arrondie; s'étendant d'arrière en avant et de hau
orme arrondie; s'étendant d'arrière en avant et de haut en bas sous forme d'une zone (ri-.10) ayant en moyenne la largeur a
LII. est constitué par deux par- ties symétriques, s'élargissant en forme d'ailes de papillon de chaque côté, les deux ai
lérose en plaques, ou d'un syndrome syringomyélique, ou enfin d'une forme polynévritique. En effet, à faire exclure la pr
rtèbres ne l'ait relever rien de caractéristique pour une semblable forme morbide et le résultat de l'examen neurologique
iographie est de grand secours. Nous savons toutefois que, dans ces formes morbides, dans lesquelles les courbures anormal
otre cas des conclusions spéciales relativement à l'époque où cette forme spéciale d'arthropathie se développe habituelle
ns son étude sur r le nanisme rachitique (1). « Le quatrième orteil forme une saillie sur la face dorsale du pied (des de
achis. La colonne dorsale inférieure et lombaire est normale ; elle forme une courbe à convexité antérieure et n'a pas de d
général est celui d'une infantile ou plutôt d'une gracile. La colonne forme une ensellure lombaire assez prononcée et se dé
inimum et à peine plus étroite que la base ; la tête est élargie et forme avec le corps un angle à sinus radiale. La surfac
s exostoses multiples, « généralement sy- métriques et analogues de forme », les pieds et les mains, dit le catalogue n'o
cordons antéro-latéraux. Les cordons postérieurs se présentent sous forme d'une masse grise, molle, se trouvant en rapport
A part cela toute la moitié gau- che de la moelle se présente sous forme d'une masse brunâtre molle que l'on trouve auss
gauche et les droites : .antérieure et postérieure (elle affecte la forme de II). La coupe microscopique à travers le seg
l'immersion la coupe présente de nombreux pigments de diffé- rentes formes . Ce sont par places des masses rondes brunâtres,
ment de la moelle. Pourtant le syndrome de Brown-Séquard dans sa forme pure est relativement rare. Beaucoup plus souvent
on reconnut d'une part que la sclérose en plaques peut affecter une forme tout à fait atypique et de l'autre que la tumeu
le plus souvent. Nous savons que la tuberculose peut présenter des formes atypiques d'inflammation des mé- (1) Ce cas fut
a1'r24at2GS. Une autre solution de continuité à bords nets, mais de forme irrégulière, se trouve dans le centre ovale cor
c. Deutsche Zeitsch. f. Nervenheil., Bd. 35. (3) Banti, 1 fasia sue forme . Lo sperimentale, 1886. (4) KUSS,)IAUL, Die SWr
corps calleux, que Muratoff appelle le faisceau sous-calleux et qui forme cette partie du tapétum située au-dessus et en
ar conséquent, une voie d'association fronto-occipitale directe. Il forme avec le tapétum un système d'association indivisi
ourrelet cortical ci-dessus décrit et se continue plus loin sous la forme d'une mince couche de fibres qui engaine plus ou
mince, recouvre la paroi interne de la corne temporo-occipitale et forme le tapëtulllll1édian, l'autre, beaucoup plus fo
MICROSOMIE ESSENTIELLE 11ÉRËDO-FAMILIALE. ' DISTINCTION DE CETTE forme CLINIQUE d'avec LES nanismes, ' LES infantilism
ETTE forme CLINIQUE d'avec LES nanismes, ' LES infantilismes ET LES formes mixtes DE CES différentes dystrophies. Par
mbre de cli- niciens de tous pays, qui en ont différencié plusieurs formes cliniques ayant probablement aussi une pathogén
nanismes, beau- coup moins étudiée, moins homogène et dont quelques formes échap- pent encore à toute identification clini
ÊRÉDO-FAM1LIALE 523 sujet nous trouvons la distinction de plusieurs formes de nanisme ; M. Sainton, par exemple, en admet
tent les carac- téristiques cliniques de l'infantilisme ; toutesces formes n'ontdonc aucun droit à être comprises dans une
quelle Brissaud a donné le nom d'infantiles du type Lorain. Ici les formes plastiques ne sont pas celles de l'enfance qui
èrement ici, c'est-à-dire, à la microsomie pure,qui correspond à la forme de pygméisme admise par Sainton. Tous les nai
r âge réel. Eh bien ! ces individus de très petite taille, mais aux formes nette- mentviriles ou féminines (à l'âge, adult
r les idées courantes à propos de la classification des différentes formes de dystrophies par défaut de déve- loppement, n
que cas d'arrêt de développement t somatique,cependant que ces deux formes cliniques doivent étrenettement séparées par le
sme et nous appellerons d'autre part, microsomies essentielles, les formes pures et simples de réduction de la taille. L
s, et sont normaux par l'époque de leur développement. Dans cette forme on ne constate en somme aucune déformation impor-
somme aucune déformation impor- tante en dehors de la petitesse uni forme du corps : les caractères sexuels et le psychis
ues par des exemples probants de l'existence de la plus rare de ces formes , la mi- crosomie pure. Von Hansemann voudrait
tons aussi ce qu'il dit à propos de l'association possible de cette forme de microsomie avec un ou plusieurs symptômes d'in
peu près. Naturellement nous n'en considérons pas moins pour cette forme comme étant d'origine congénitale, mais nous reco
nanisme n'a rien à faire avec l'infantilisme ; dans cette dernière forme on a généralement une micro- somie, déterminée
port avec l'in- fantilisme vrai. Quanta la microsomie, il sépare la forme essentielle, pure et simple, de la microsomie c
mière importance. M. Viola d'ailleurs considère le nanisme comme la forme la plus lé- gitime d'infantilisme : lout ce que
, s'exprime à ce sujet de la façon suivante : « En dehors des' deux formes de microsomie, essentielle et infantile, il exi
ormes de microsomie, essentielle et infantile, il existe encore une forme de microsomie qui n'est ni essentielle ni in- f
mblables à ceux qui'sonl propres à la mentalité infantile. Dans ces formes , en dehors des symptômes relatifs au psychisme et
urs non uniformes et irrégulières) s'observent dans les plus graves formes centrales destructives, telles que les poren- c
le. » M. Sainton et 1l.Launois admettent aussi l'existence de cette forme de 530 / ETTORE LEVI nanisme d'origine cérébr
nier l'existence d'une microsomie d'origine cé- rébrale, mais cette forme est, à notre avis, toujours facilement recon- n
clinique de l'idiotie, soit à celui de l'épilepsie pure. Dans ces formes de microsomie d'origine cérébrale, soit inflammat
, tous de très petite taille, dont plusieurs cependant étaient dif- formes . - Cardano dit avoir vu en 1551 un homme adulte
- rait être étroitement lié à la microcéphalie ; enfin il admet une forme de nanisme simple auquel appartiennent tous les
tre avis, qu'une étude clinique pro- fonde et systématique de cette forme de microsomie n'a pas encore été faite. Nous
t été défendue. Cependant cette collection unique de nains de toute forme éveilla nécessairement l'attention de tous ceux
es fondées sur un examen nécessairement superficiel des différentes formes de nanisme représentées dans la collection du J
eu plus explicite sur ce point si important; après avoir décrit les formes bien connues de nanisme, il ajoute : « en outre
e sujets ayant un développement minime avec har- monie complète des formes . Ce type serait réalisé par la.naine chantée pa
qu'un louis d'or. (Abrégé des Merveilles des Cieux) Des nains de formes aussi harmonieuses ont été figurés par Velasquez
plets ou partiels, par quelques nains rachitiques. En dehors de ces formes bien classées, nous avons été frappés comme uZ.
remarquerau lecteur que les documents cliniques sur cette dernière forme font complètement dé- faut, et c'est pour cela
esse extrême, qui est actuellement vivant, en excellente santé et qui forme l'objet de notre seconde observation. Deux an
ité. - Rien subjectivement. L'examen objectif montre que toutes les formes de sensibilité, superficielles et profondes, sont
sopbiies : 0. Lymphocytes : 22 0/0. Grands mononucléaires : 21 0/0. Formes de passage : 3 0/0. Examen radio graphique (PI.
ement. Tout est normal à l'examen objectif ; la sensibilité à toute forme de stimulation est partaite et prompte. Exame
c, et des différents segments des membres entre eux. L'harmonie des formes est dans ce cas plus évidente, car dans le prem
ilité. Rien subjectivement. L'examen objectif montre que toutes les formes de sensibilité superficielle et profonde sont nor
ophiles 1 0/0 ; lymphocytes 21 0/0 ; grands mononucléaires 15 0/0 ; forme de passage 3 0/0. Examen électrique. - Résultat
le réflexe photo-moteur ait disparu. ' (1) Dupuy-DUTE.)IPS, Sur une forme spéciale d'atrophie de l'iris au cours du labes e
sseuses d'apparition contemporaine. , D'une manière générale, cette forme acquise a un caractère moins « ré- gulier » que
ale, cette forme acquise a un caractère moins « ré- gulier » que la forme congénitale ; mais entre l'une et l'autre affecti
évié. La marche n'est en rien gênée. L'axe des segments phalangiens forme souvent avec l'axe normal un angle plus ou moin
accourci du quart ou du tiers de sa longueur nor- male. Il garde sa forme générale. La diaphyse est brève, souvent légère-
cente du corps semblent norma- les. La tête peut être elle aussi de forme à peu près normale (obs. p. I) mais, de règle,
ositions. La PREMIÈRE phalange du rayon raccourci a généralement sa forme et son volume habituels,sa longueur peut être s
cromélie, brachymélie ou, oligochondroplasie, une telle harmonie de formes , une modification si « finie » du type humain b
ne apparence ; il n'en est pas moins vrai, et bien qu'il existe des formes intermédiaires, qu'hypochondroplasie congénitale
e, en raccourcissant, tend à les égaliser, soit qu'ils gardent leur forme générale, soit que la dia- physe soit trapue et
essus morbide. Nous ignorons les lésions de métacarpiens dans cette forme particulière d'achondroplasie où le noyau osseu
eut créer non seulement des exostoses congénitales, mais encore une forme d'ostéite très prononcée (et symétrique) consista
pertrophie des épiphyses et en raréfaction du tissu osseux... Cette forme d'ostéite non inflammatoire... est confondue clin
s garderons bien de conclure que la brachymélie métapodiale est une forme fruste, atténuée, partielle d'une dystrophie gé
brachymélies seg- mentaires le plus souvent symétriques. Une des formes les plus typiques, la brachymélie humérale, a été
chymélie métapodiale, symétrique, congénitale, serait peut-être une forme atténuée, dissociée, de cette dystrophie cartil
compression peut- être. La brachymélie métapodiate serait alors la forme partielle, atténuée, monosymptomatique d'une dy
e doigt, sans modification de son axe, ni de sa direction, ni de sa forme , au moins dans la majorité des cas ...« Le méta
avec le doigt rentrant reste indemne (3) ». « Le doigt normal comme forme et (1) Péan, Th. de doctorat, Paris, 1860. ,
oluer ainsi d'une façon insidieuse vers la guérison. On connaît les formes atténuées de V ostéomyélite infantile : elle « re
n, carie sèche que l'on considère en général actuellement comme une forme spéciale de tuberculose. Le bacille de Koch peu
veloppement insidieux; elle n'est pas sans analogies avec diverses formes du « rachitisme tardif ». 2° La brachymélie M
aussi qu'après l'opération survient une aggravation passagère sous forme d'une paralysie flasque complète et d'affaiblisse
arition eut lieu à une époque bien déterminée de sa vie, et dont la forme , les carac- tères et la durée permettent à l'al
ement du cerveau malade, s'efforce d'expli- quer l'apparition et la forme des accidents mélancoliques, par les causes ban
entriculaire est légèrement symphysée et la sclérose se prolonge sous forme d'une traînée assez épaisse qui se dirige vers
les contours sont, comme nous l'avons dit, nettement tranchées sous forme d'une ligne irrégu- lière. Lésions épendynàir
us forme de petites saillies ou s'enfonçant vers la profondeur sous forme de pseudo-glandes. La réaction névroglique sous-j
re bouleverse naturellement toute l'ordonnance des couches. Il se forme des foyers d'infiltration, très riches en leucocy
s parois du vaisseau ; et d'autre part des gommes typiques. Cette forme d'aortite se complique rarement de lésions régres
que cel- les dont je viens de donner la description à propos de la forme floride. Mais comme il n'y a pas longtemps que
à ren- contrer des altérations dans l'aorte, ce sera bien plutôt la forme cicatri- cielle évoluée que l'on observe dans c
rganisation cicatricielle. C'est cependant un cas intermédiaire aux formes florides et cicatricielles. On constate çà et l
. Dans l'hémisphère droit ces lésions épendy- maires affectaient la forme de plaques soit linéaires, soit noueuses, légè-
g. 1) est constituée par un amas d'îlots de substance grise dont la forme est régulièrement sphérique Fc. 1. 634 ARCHAM
ssez considérable. La corne frontale (PI. LXXIII-B) affecte donc la forme d'une cavité étroite à direction oblique qui sé
deur de la circonvolution limbique augmente rapidement de vo- lume, forme une saillie globuleuse qui empiète progressivemen
érivés du plexus du troisième ventricule. La toile choroïdienne qui forme la voûte de ce ventricule a donc été en grande
le ventricule latéral redevient perméable dans sa totalité, mais ne forme toutefois qu'une cavité étroite transversalemen
'ensemble des fibres situées en dedans et au-dessus du ven- tricule forme un champ irrégulièrement rectangulaire qui se lai
irconvolution limbique où elles se dessinent très nettement sous la forme d'une bande verticale régulièrement striée. N
a corne temporo-occipitale présente deux saillies considérables, de forme arrondie et dont l'aspect général se rapproche
or- AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX '647 ragique assez considérable, de forme ovalaire et de date relativement récente, détru
lexe. En arrière de la lame terminale, le pilier antérieur du trigone forme un fascicule nettement isolé au milieu de la su
écorce médiane du lobe frontal. Ce sillon semble se prolonger sous la forme d'un septum mal défini qui pénètre dans l'épais
rieur du trigone ayant été évidemment comprimé, se présente sous la forme d'un croissant qui recouvre le tuhercule antérieu
de la toile choroïdienne est encore visible et se prolonge sous la forme de plexus choroïdiens dans la corne frontale et
Morand. Le faisceau sagittal médian (Ballcenlangsbündel de Probst) forme à ce niveau la plus interne des couches sagittale
deur de la circonvolution limbique où il se dessine nettement sous la forme d'une zone radiée.Le progrès de cette substitut
n à travers l'épaisseur du faisceau sagittal, le trigone affecte la forme d'une lyre (6g. 5) bien détachée en raison de s
le de la circonvo- lution limbique. Le cingulum se présente sous la forme d'un fascicule gracile, bien défini sur toute s
région interne de l'hémisphère, et, s'unissant au tapétum latéral, forme avec ce dernier un système de fibres indivisible
us de la lame terminale. L'épaississement qui en résulte affecle la forme d'un triangle dont la pointe, dirigée en avant, d
CROSOMIE ESSENTIELLE 11ÉRÉDO-FAMILIA LE. 4 DISTINCTION DE CETTE forme CLINIQUE d'avec LES nanismes, LES INFANTILISMES
CETTE forme CLINIQUE d'avec LES nanismes, LES INFANTILISMES ET LES FORMES mixtes DE CES différentes dystrophies. (Suite
nt quelques traits caracté- ristiques qui sont communs à toutes les formes pures de nanisme en général (les myxoedémateux
onc,en toute sûreté, éliminer pour nos sujets le diagnos- tic d'une forme soit totale, soit partielle ou fruste de nanisme
x. Le sujet de la première observation, tout en étant en général de formes très harmonieuses, évoque tout de même à premiè
nférieures. Afin d'établir les caractères cliniques propres à cette forme de microso- mie essentielle. nous nous borneron
s générations. En ce qui concerce le caractère héréditaire de cette forme de nanisme, nous ferons remarquer que dans les
taille moyenne mais à tout point de vue absolument normale. Celle forme de microsomie semble donc, selon notre expérience
i nous semblent pouvoir ai- der à l'identification clinique decette forme de nanisme. Chez les deux, en effet, le nez a u
logiques) qui nous permettent d'attribuer nos deux sujets à la môme forme de microsomie, nous pouvons conclure- que, à quel
r le diagnostic différentiel, non seule- ment entre les différentes formes de nanisme, mais surtout entre la mi- crosomie
gique, rien qui rappelle les caractères radiographiques propres aux formes de nanisme achondroplasique, rachi- tique ou po
nt tout symptôme de déficit relatif à ces organes ; on a décrit une forme d'infantilisme d'origine surrénale, mais jamais
ns reconnaître qu'en faveur de l'origine dysthyroï- dienne de cette forme de nanisme total, on pourrait invoquer un argu-
, soient suffisants aussi pour donner lieu à la détermination de la forme de microsomie pure que nos avons décrite. Nous
llement que la dysthyroïdie puisse être la cause déterminante de la forme de nanisme total dont nous avons traité dans ce
t eu des enfants dont la légitimité était prouvée par l'identité de forme de la microsomie qu'ils présentaient. Nous croy
pter, car il nous semble que l'existence indépendante de toutes ces formes secondaires n'est pas en- core suffisamment pro
it que nous ne les con- sidérions pas comme les représentants d'une forme pure de nanisme,mais comme des sujets chez lesq
infériorité sexuelle et psychique. Nous en dirons autant des autres formes de nanisme aux- quelles AI.Launois fait allusio
infantilisme de Lorain en discutant les idées de Schüller sur cette forme d'infantilisme que cet auteur voudrait appeler
exprimé de la façon suivante : « L'hy- pothèse que ces différentes formes cliniques soient toutes dépendantes d'une lésio
existaitpas. Nous n'admettons pas, en somme, qu'on puisse parler de formes pures soit de nanisme, soit de microsomie là où
isme mitral ; selon nous cette dé- nomination n'est pas exacte. Les formes de dystrophies générales d'ori- gine mitrale qu
ce mot. Les soi-disant nains mitraux ne sont, à notre avis, qu'une forme de cet infantilisme anangioplasique dont le dét
oires sur ce sujet nous croyons avoir suffisamment prouvé que cette forme a droit de cité enpatfologie etque ses représenta
e lieu surtout à l'infantilisme du type Lorain età la gracililé des formes . Je ne vous parlerai pas non plus du, nanisme lIl
au type achon- droplasique, soit surtout qu'ils appartiennent à la forme de microsomie que nous venons de décrire. Que
isme il appartient. Nous pouvons nous borner à discuter deux seules formes : l'infan- tilisme de Brissaud et l'infantilism
ilisme de Lorain ? - Non plus ! car notre petit sujet n'a pas les formes délicates et élancées du type Lorain, ni les fo
jet n'a pas les formes délicates et élancées du type Lorain, ni les formes anguleuses, ni les extrémités inférieures longu
e sujet ne rentre exactement ni dans l'une ni dans l'autre des deux formes les plus connues d'infantilisme ; en comparant
tant plus prononcée qu'il s'agirait d'un spécimen très net de cette forme ; non seulement cette faiblesse psychiquen'existe
nt de ces symptômes ne nous permet point de l'attribuera aucune des formes 680 ETTORE LKVI ` connues d'infantilisme, car
combinés tel que nous avons dit s'en trouver très souvent, car les formes combinées de microsomie et d'infantilisme sont, s
la sexualité des nains vrais et de l'héréditarité directe de cette forme . Sera-t-elle, dans l'avenir, une microsomienne
osomie essentielle, qui peut être héréditaire et familiale, est une forme caractérisée par un seul symptôme essentiel : la
vent se compliquer d'infantilisme, donnant lieu, de la sorte, à des formes mixtes et impures qui empruntent leurs caractèr
qui empruntent leurs caractères donzinants à l'une ou à Vautre des formes fondamentales. BIBLIOGRAPHIE Bauer. Infantili
emment normal, possède un noyau osseux supplémentaire. Ce noyau, de forme générale ovale et transparent comme une épiphys
ertations sur les nageoires des raies et les pattes des cétacés. La forme ancestrale de la main et du pied des mammifères n
otation autour de leur axe (fig. 10, 9) ; il existe encore d'autres formes de déformations, mais qui se rencontrent plus r
des vertèbres lombaires diminuées de nombre, avec lesquelles il ne forme aucune espèce de pro- montoir; ! ) se trouve en
rale, dans l'extrémité supérieure du tibia. Cette excavation, et la forme erronée des malléoles, démontrent une connaissanc
e la microsomie essentielle hérédo- familiale. Distinction de celte forme clinique d'avec les nanismes, les - et les fo
inction de celte forme clinique d'avec les nanismes, les - et les formes mixtes de ces différentes dystro- pliies) (7 pl
liale (Contribution à la connaissance de la . Distmction de celte forme clinique d'avec les nanismes, les infantilismes
elte forme clinique d'avec les nanismes, les infantilismes et les formes mixtes de ces différentes dystro- phies) (7 pl.
la microsomie essentielle hérédo-fa- miliale. Distinction de celle forme cli- nique d'avec les - les infantilismes et
n de celle forme cli- nique d'avec les - les infantilismes et les formes mixtes de ces différentes dys- trophies) (7 pl.
la microsomie essentielle héredo-familiale. Distinction de cette forme clinique d'avec les nanismes, les infantilismes
5 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
vérité mais cependant très nets chez le malade. D'autre part, la forme de sa paraplégie est bien typique : c'est celle
dans 80 0/0 des cas de syphilis médullaire, c'est dirions- nous la forme commune. A la vérité elle est surtout l'apanage d
é elle est surtout l'apanage des sujets plus vieux en syphilis, les formes flasques, douloureuses mais presque tou- jours
que tou- jours curables se montrant surtout précoces. Nous disons formes curables ; celle en effet que présente le malade
ait d'une autre nature. Elle appartient celle myélite syphilitique, forme commune dont l'anatomie pathologique est presque
un grand nom- bre de ces malades, carnous le répétons, c'est là la forme commune des my- élopathies syphilitiques et sou
lombaire n'en est pas moins incontestable. C'est associées à cette forme commune de la paraplégie spamodique qu'on obser
ue l'évolution de ces cas se rapproche beaucoup plus de celle de la forme commune de la myélite syphilitique que nous ven
au lieu d'être spasmodique. Il s'agit, comme nous le verrons, d'une forme de myélite syphilitique dont l'évolution est tout
anique des muscles sans réaction de dégénéres- cence ; néanmoins la forme de la contraction se rapproche de celle qu'on obs
s flasques d'origine syphilitique qui revêtent le plus sou- vent la forme de paraplégies ont des allures cliniques beaucoup
araplégies ont des allures cliniques beaucoup plus va- riées que la forme commune de la myélite spasmodique dont nous avons
es différents types de myopathie, et qui n'en font en somme que des formes diverses d'une seule et même affec- tion (1). Q
es distincts de myopathie : la paralysie pseudo-hypertrophique ; la forme juvénile de l'atrophie mus- culaire de Erb ; l'
M. Déjérine fondait définitivement l'anatomie pathologique de celle forme d'amyotrophie, connue communément aujour- d'hui
démontrer que ces trois espèces d'amyotrophies n'é- taient que des formes diverses d'une seule et même affection : la myopa
myopathie progressive primitive ; paralysie pseudo-hyperlrophique, forme juvénile de Br6, atrophie infantile héréditaire d
E 9 identité de nature de la paralysie pseudo-hypertrophiqueet delà forme de Erb, établie par Erb lui-même dans ses impor
i-même dans ses importants travaux; d'autre part également entre la forme de Erb et la forme facio-scapulo-humérale de La
ortants travaux; d'autre part également entre la forme de Erb et la forme facio-scapulo-humérale de Landouzy-Déjérine, id
son évolution, lorsque la face est prise en dernier lieu, un cas de forme facio-scapulo-humérale peut rester longtemps un
'autre les deux types extrêmes : paralysie pseudo-hypertrophique et forme de Lan- douzy-Déjérine. Mais la démonstration d
eut été encore plus écla- tante, si on avait pu faire pour ces deux formes ce que M. Erb avait fait pour la forme juvénile
vait pu faire pour ces deux formes ce que M. Erb avait fait pour la forme juvénile et la paralysie pseudo-hypertrophique. O
e de la pseudo-hypertrophie) ; il a montré l'hyper- trophie dans la forme juvénile de l'atrophie musculaire (myopathie avec
avec prédominance de l'atrophie). Il fallait faire de même pour la forme facio- scapulo-humérale, en constatant sa coexi
r une par- tie du muscle grand pectoral. Le creux sous-claviculaire forme un méplat dont les dimensions verticales sont s
cuisse, les mus- cles sont atrophiés. Le bord interne de la cuisse forme une ligne à concavité interne. A droite l'artic
il existât ou non, constaté chez ses malades, lorsqu'il décrivit la forme infantile héré- ditaire de l'atrophie musculair
élopathiques et que l'on sait aujourd'hui n'être autre chose que la forme facio-scapulo-humérale de la myopathie. Donc, à
a myopathie. Donc, à notre avis, ce cas rentre légitimement dans la forme facio-sca- pulo-humérale. Voici d'ailleurs la
ains muscles. OBS. II. (personnelle). Myopathie progressive de la forme {acio-scapulo-ll1l1Jlérale. Facies myopathique ty
déjà, à notre a-us, plaidassent en faveur de l'identité des diverses formes de myopathie, il manquait cependant, pour que l
tion de la combinaison possible de la pseu- do-hypertrophie avec la forme facio-scapulo-Ilumérale, comme cela existe pour
ie avec la forme facio-scapulo-Ilumérale, comme cela existe pour la forme scapulo-humérale ou jménilc de Erb, dont l'identi
par M. le professeur, Charcot, M. P. Marie et moi, à l'identité des formes diverses de myopathie : paralysie pseudo-hypert
des formes diverses de myopathie : paralysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, formé facio-scapulo-humérale d
tantôt associées comme dans la paralysie pseudo-hypertrophique,' la forme scapulo-humérale de Erb et la forme facio-scapu
ysie pseudo-hypertrophique,' la forme scapulo-humérale de Erb et la forme facio-scapulo-humérale de Landouzy-Déjérine. '
OT3TYPI'S ? r.Asirs A. LONDF. PHOTOCOLLOGRAPHIE C & L MYOPATHIE FORME FACIO-SCAPULO-HUMÉRALE r r NOUV. ICON. DE LA
Mère a dû être isolée dans sa jeunesse pour traitement d'hystérie il forme dé- lirante. Cette affection s'atténue pendant
elfet lui donner raison; la paralysie s'accentue, en conservant la forme hémiplé- gique et la flaccidité complète des me
is il existe des types moins complets d'hémiplégie spasmodique, des formes frustes où il y a dissociation et isolement des d
ographie de la lésion corticale provocatrice d'après seu- lement la forme de l'épilepsie ou de la contracture partielle. On
es peuvent exister dans l'hystérie, soit dans l'hystérie vulgaire à forme convulsive, soit dans l'hystéro-épilepsie. Chez
le deuxième, il s'agissait seulement d'un cas d'hystérie vulgaire à forme convulsive dans lequel une céphalée persistante
et Maisonneuve (2) (1803) avaient eu soin déjà de distin- guer des formes sympathiques d'épilepsie partielle dans lesquelle
forme. Tantôt l'épilepsie partielle d'origine hystérique affecte la forme hémiplé- gique, tantôt la forme monoplégique et
lle d'origine hystérique affecte la forme hémiplé- gique, tantôt la forme monoplégique et celle-ci peut se localiser unique
rganiques du cerveau. L'au- teur y rapporte quatre cas d'hystérie à forme d'épilepsie partielle dont l'un est relatif à u
par lésions organiques de la moelle qui affectent de préférence la forme paraplégique, il reste à imputer aux lésions orga
er aux lésions organiques du cerveau les contractures permanentes à forme hémiplégique ou monoplégique. Le type de la con
. Mais le mode d'in- vasion de la contracture se présente sous deux formes différentes. Le plus souvent, il est brusque, c
stinguer, pour les be- soins de l'analyse et de la description, une forme de contractures post- paralytiques et une forme
la description, une forme de contractures post- paralytiques et une forme de contractures pne-paralytiques, les rapports
ales du cerveau. Il n'y a de rapports il peu près fixes qu'entre la forme des paralysies partielles permanentes et le siège
es paralysies partielles, bien mieux que pour les contractures, des formes qui correspondent direc- tement aux lésions des
ique qui puissent simuler, dans leur processus et sous toutes leurs formes , les dif- férents types de monoplégie organique
organique par lésion limitée de l'écorce ? Si l'on tient compte des formes anormales de monoplégie hystérique, il est poss
e à part (diathèse de contracture). Nous préférons insister sur les formes vulgaires et mon- trer que même pour ces formes
ns insister sur les formes vulgaires et mon- trer que même pour ces formes , les erreurs sont faciles. « Les paralysies cor
initial. - C'est surtout la considération des carac- tères et de la forme de l'anesthésie qui fournit les éléments principa
syndrome complexe qu'il faut décomposer pour en sai- sir toutes les formes et les variantes. Cette complexité du syndrome re
sons pas que l'aphasie hystérique se présente toujours sous la même forme . Des études récentes ont nettement dégagé des a
la même forme. Des études récentes ont nettement dégagé des autres formes d'aphasie hystérique celle qui est considérée c
nservation de la mimique et de la fa- culté d'écrire, il existe des formes déviées, les unes avec un certain degré d'agrap
mutisme (1). D'autres fois l'aphasie chez les hystériques, revêt la forme de bégaiement. Celui-ci peut d'ailleurs se comb
ctéristique de ces deux syndromes, c'est la. paralysie alterne, cette forme de paralysie devant évoquer tout d'abord l'idée
inement autorisé aujourd'hui à établir une relation entre certaines formes d'amaurose, même bilatérale ! , et des lé- 48 N
ssant l'appareil sensitif dans son ensemble, principalement sous la forme d'hémianesthésie, peuvent donner lieu à l'anesthé
RIQUE (1). Le tabes dorsal peut être progressif ou stationnaire. La forme pro- gressive peut offrir une période parétique
n vaso-constrictrice; au contraire elle provoque en général dans la forme stationnaire comme dans les deux premières périod
la forme stationnaire comme dans les deux premières périodes de la forme progressive un amendement notable, quoiqu'elle ne
par un certain degré d'incurvation de l'ongle, mais surtout par la forme en massue que prennent les extrémités des doigts,
tout par la forme en massue que prennent les extrémités des doigts, forme qui résulte de troubles trophiques différents de
la moelle, la sensibilité est com- plètement abolie sous ses trois formes . Mais il y a encore, et c'est là que je veux en
regarder la maladie de Morvan soit comme un épisode, soit comme une forme atypique de la syringomyé- lie (1). Messieurs
n le noue sur le côté. L'ensemble de ce premier point (fil d'appui) forme un véritable cadre qui rapproche les deux extré
rmaux, ni douleur. L'articulation tibio-tarsienne gauche affecte la forme d'une baonnette.. Fig. 3. Détails de l'appareil
a vue est un peu diminuée des deux côtés. Les pupilles sont puncti- formes et présentent le signe d'Argyll Roberlson. Pas d'
de résultat appréciable. Observation III. Maladie de Friedreich. Forme fruste. Déformations caractériliques des pieds.
ce. Ces auteurs ont distingué dans les lésions un certain nombre de formes anatomiques auxquelles nous ferons allusion plu
pinales de la syphilis.- Nous nous bornerons à la description de la forme qui parait de beaucoup la plus commune, celle qui
s la littérature, nous avons acquis la conviction que c'est à cette forme anatomique que se rapportent la très grande major
u avancée, pour permettre d'a- percevoir la lésion en cause sous sa forme et dans sa localisation initiales. 90 NOUVELLE
ante ; et dans les pré- parations colorées par l'hématoxyline, elle forme , sur les coupes transversales, une bordure viol
spinale antérieure. Comme on peut le voir cette lésion considérable forme un contraste assez frappant avec l'intégrité ab
e présentent souvent comme des traînées de cellules 'embryonnaires en forme de triangles très allongés à base périphérique.
e dégénérescence très avancé : atrophie, absence des prolongements, forme ar- rondie, corps cellulaire rempli de granulat
entales ou traumatiques (Fromann, Charcot, Hayem, Joffroy etc.), La forme et la distribution de ces territoires de dégéné
erveux eux-mêmes. Mais nulle part, dans les cordons blancs, elle ne forme sur les .coupes transversales de larges lâches
, à l'aide du carmin d'alun, ces filets nerveux se montrent sous la forme d'amas de cellules embryonnaires au milieu desque
ganique ou dynamique des lésions de l'encéphale manifestées par des formes à peu près semblables de trou- bles oculo-moteu
lésions nucléaires. S'agit-il de paralysies associées, de certaines formes d'ophlalmoplégie ? Les lésions, quand elles ne so
e dû à une lésion hémisphérique du côté opposé. C'est donc la seule forme de paralysie dissociée qui, dans les paralysies d
her la blépharoptose isolée ou monoplé- gie palpébrale de certaines formes d'ophtalmoplégie indiquées plus haut et dont l'
est également sus-nucléaire. Telles sont en résumé les principales formes de paralysies oculaires, d'origine périphérique
se prêter à cette confusion est le ptosis pseudo-paralytique. Cette forme intéresse particuliè- rement l'enfance et peut
our, elle a des crises de nerfs plus fortes que d'habitude. Cette forme de ptosis est incomplète ; il y a de la photophob
s. Car, même à ce point de vue, il serait facile de prouver que les formes irrégulières signalées chez les adultes par M. Ch
re pas sans inté- rêt de faire ressortir au préalable que certaines formes d'hystérie se rap- prochent singulièrement du t
phénomène banal dans l'hystérie où on le rencontre sous toutes les formes . Quelquefois très mobile, la céphalalgie des hyst
ma- nifestée à l'occasion de l'établissement des règles et sous la forme d'accidents méningi tiques. 27 avril. Nuit ca
rages de pathologie médicale ont en général un chapitre réservé aux formes chroniques de la méningite; mais la plus grande c
confu- sion règne encore partout sur la délimitation exacte de ces formes et même sur la dénomination qu'il convient de l
que dans l'art grec, l'âme séparée du corps est représentée sous la forme d'une petite figure nue. Ici, comme sur les cél
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRINGOMYÉLIQIJE Dans une récente communicati
1) sur la valeur de l'examen bactériologique dans le diagnostic des formes fous- tes et anormales de la lèpre, l'un de nou
rate reste très volumineuse. Pendant LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRINGOMYÉLIQUE 123 cinq à six ans il exerce sa
ds taillés à pic et décollés, limitant un creux d'un centimètre, de forme ovalaire, coupant le pli articulaire méta- tars
ied gauche s'accompagne de la production d'un large ulcère cratéri- forme situé à deux travers de doigt en arrière des sill
normal ; les phalanges se sont un peu LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRINGOMYÉLIQUE 123 infléchies. Deux mois après
, et repousse à l'extrémité et sur le bord cubital du doigt sous la forme d'un bloc corné irrégulier. Le doigt est resté
totype négatif A. LONDfi PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne et LONOUET LÈPRE A FORME SYRINGOMYELIQUE J3ATTAJLLE 12T ^C raz ÉDITEUR
E 12T ^C raz ÉDITEURS r. éDITEURS LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME S YR I NG OM YÉL1 Q UE 127 cuisses, les saillie
cère est absolu- ment anestbésique. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYR1NGOVLYÉLIQUE 129 Pied gauche (fig. 8). Les
blés par une hernie circulaire du pannicule adipeux sous-cutané qui forme autour de l'ulcère un bourrelet d'aspect gélatine
et tout le pied sont Fig. J et 10. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRINGOMYÉLIQUE 131 absolument insensibles à la
nir dans ses mains les objets de petit volume ; il ne reconnaît ni la forme ni la nature de ce qu'on met entre ses doigts.
gative. (1) Séance du 23 août 1802. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRINGOMYÉLIQUE 133 Le procédé de Kalindero qui
tissu conjonctif s'est en grande partie substitué l'élément noble; il forme des travées épaisses, entrecroisées, infiltrées
irmé ce diagnostic bactériologique. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRIYG0111YÉLIQUE 135 III ' Le malade a été t
éunies en petits groupes de quatre à huit. Sur ces plaques, dont la forme et la distribution topogra- phiques sont indiqu
nalgésie. Les sensa- Fig. 13 et Il. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SIRINGU1111ELIQUE 137 tions thermiques sont seu
uve dans l'une et l'autre affection avec leurs localisations et leurs formes variées. Les dissociations sensitives que quelq
Urinary diseases, janvier 1890, p. 1. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYXINGOMYÉLIQUE '139 2 ans et au Sénégal pendan
mpte d'une affection médullaire. 3. Dans les trois cas de lèpre à forme syringomyélique que nous venons de citer, on a
x, 1891. (2) Raichline, loc. cil, LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRING01111'ÉLIQUE 'Ht notre cas elles ont appa
miers phénomènes vésicaux, cela consistait soit en ténesme vésical ( formes audias) ou en difficulté pour uriner. Il eut le
manifeste. Grâce à cet élar- gisement la ligne du bassin prend une forme arrondie exagérée comme dans le sexe féminin. M
partie postérieure de ces cordons, elles se sont présentées sous la forme de petits territoires circonscrits, disséminés en
que dans une faible hauteur. A 4 ou 5 millimètres de distance, leur forme , leur distribution sur les coupes se modifient
endues par des corps granuleux ainsi qu'on l'observe dans certaines formes de myélites aiguës. D'ailleurs nous avons signa
une dégénération primitive sont groupés par petits foyers, dont la forme et la disposition sont tout à fait en harmonie av
bservation qui précède peut être considérée comme réalisant sous la forme la plus commune le type anatomique de la maladie
édullaires consécutives aux précédentes . Nous ajouterons que cette forme anatomique correspond le plus souvent au type c
ne observation personnelle, ces auteurs décrivent avec détail cette forme de lésion anatomique. Ici les altérations ne so
t pas compte des lésions méningées, parfois très légères dans cette forme , à décrire à part la phlébite et l'artérite médul
auteurs s'accordent assez généralement aussi en ce qui concerne la forme initiale des lésions vasculaires. Dès qu'Heubner
différentiels des altérations syphilitiques mé- dullaires dans les formes que nous avons en vue ici, et cela pour la simp
n- trant une fois de plus l'analogie entre les deux infections. Les formes dif- fuses, dit M. Raymond, sont les plus fréqu
le gros tubercule de la moelle étant l'exception; et même dans ces formes diffuses, il n'est pas rare de trouver, à l'aid
e Biologie, Séance du 18 février 1893. (2) Raymond. Des différentes formes de lepto-niyéliles tuberculeuses (Revue de méde-
absolue : en même temps survien- nent des douleurs .spontanées sous forme d'élancements. Pendant les mois qui ont suivi,
la 2e jusqu'à la 5e racine. Dans cette région, la moelle présente une forme obli- que ovalaire; sa configuration sur la cou
dans la lumière du vaisseau, de grandes cellules endothéliales des formes les plus bizarres, renfermant 3, 4 noyaux et dava
a névroglie se condense autour des petits vais- seaux auxquels elle forme une bordure colorée en rouge sur les préparatio
cine dorsale, il n'en reste qu'un petit territoire ir- régulier, de forme triangulaire, dans le cordon postérieur droit. La
moelle dorsale in- férieure : les grandes cellules recouvrent leur forme , leurs dimensions : elles sont seulement chargé
rvation I. En un point, cette infiltration est circonscrite sous la forme d'un foyer gommeux- microscopique, situé dans le
es de sclé- rose triangulaires, à base périphérique, rappelant leur forme , les infiltra- tions gommeuses qui émanent de l
atéral du côté opposé, l'épaississement névroglique a f- fectait la forme d'une plaque triangulaire à base tournée en dehor
différents aspects sous lesquels se présente la démence, il y a une forme très simple qui réunit tous les symptômes princip
on peut remarquer des plis verticaux qui se dessinent légèrement en forme d'éventail et qui descendent de l'angle interne
ut la cornée ou elle y adhère à peine ; le lac lacrymal n'a plus la forme d'un golfe détaché, il se confond avec l'ouvertur
cles est générale- ment bien caractéristique et donne au visage une forme toute particulière ; le visage s'allonge, devie
c atten- tion ce genre de physionomies, on pourra constater que les formes du vi- sage changent positivement en relation d
7, mais avec moins d'in- tensité. On peut apprécier également les formes extérieures d'une physionomie pathologique en s
quatrième indice de la démence apathique : inégalité des pupilles, forme irrégulière, troubles dans les réflexes des mus
ns cherchent à déterminer lorsqu'ils disent : « le visage a prix la forme d'un masque et produit une impression de rudesse
psychose, aiguë ou chronique à son origine, commence à prendre une forme incurable. Le visage qui a subi toutes ces alté
n seulement dans la démence paralytique, mais aussi dans les autres formes de la démence secondaire. Deux phénomènes ser
cerne les muscles de la face spécialement, pour cette raison que la forme , la profondeur et la position des sillons naso-
tracture des muscles; Kraft-Ebing l'affirme également (2). Dans les formes bien déterminées de la démence que j'ai examiné
e dans des articles ultérieurs. En résumé, je puis avancer que la forme la plus simple de la démence, la démence apathi
'la démence paralytique et beaucoup moins souvent 1 dans les autres formes de la démence, en sorte qu'il peut être considéré
e. C'est surtout dans la démence paralytique et non dans les autres formes de la démence, que le nerf hypoglosse est attaqué
di- rigé par un savant fort compétent prouvent que, dans certaines formes de la paralysie générale progressive, c'est un
tée de turquoises, les cheveux à longues boucles coupés suivant une forme spé- ciale et recouverts d'un petit bonnet pers
nous laisse un portrait remarquable du Juif-Errant (3). Celui-ci ne forme qu'une partie de la planche dans laquelle on vo
ont les observations ne sont pas moins rares) pour nous limiter aux formes diffuses de la pachyménin- gite syphilitique.
s reste soudée aux faces latérales et postérieures de la moelle. La forme de celle-ci est parfaitement conservée : la subst
Cette dégé- nération non systématisée, s'étend dans la moelle sous forme d'un triangle, dont la base très élargie, répon
e façon il peu près constante à la région cervicale, el, dans cette forme plus que dans toute autre, la dure-mère prend p
ne des for- mes cliniques de la syphilis médullaire en regard d'une forme anatomique exactement déterminée. Le but du pré
ces variétés. Quoiqu'il en soit nous nous attacherons à décrire les formes les mieux caractérisées cli- niquement de syphi
vec la myélite, el que celle combinaison parait être de beaucoup la forme la plus fréquente. - Dans un grand nombre de ca
ent méconnue. Il semble que cela ait lieu plus fréquemment dans les formes graves, qui évoluent clinique- ment avec les al
directement et sans l'intermédiaire des enveloppes. C'est dans cette forme principalement que l'on tend aujourd'hui à fair
SYPIIILITIQUE 237 PÉRIODE DES PARALYSIES MÉDULLAIRES Des diverses formes de paraplégies syphilitiques. Quelqu'ait été le
(voir observa- tion III). Mais les statistiques montrent que cette forme est exception- nelle : dans le mémoire de MM. G
om- bre d'esquisses, identiques quant au fond, variables quant à la forme . Ru- bens, voulant faire un tableau représentan
osé, dans un groupe de faits, il ne prend pas les ex- ceptions, les formes frustes, comme il les appelle, viendront plus tar
écrit l'a- taxie locomotrice, l'atrophie musculaire sous toutes ses formes . Charcot marche avec lui dans cette voie fécond
but il ne vit rien de plus que ses devanciers dans ces paroxysmes à formes si changeantes, dans les convulsions de ce Protée
(Suite et fin) (1). I. Paraplégies SYPHILITIQUES communes. Cette forme de paralysies syphilitiques répond, avons-nous di
érisée, mais il re- connaît qu'elle est souvent combinée à d'autres formes cliniques de la sy- philis spinale ou cérébro-s
bien dégager des autres com- plexus plus ou moins analogues une des formes cliniques incontestable- ment les plus fréquent
que indiqué par Erb, s'il se présente parfois bien isolé et sous sa forme pure (l'observation précédente en est un exem-
partie postérieure du scapulum du même côté, deux cicatrices de même forme DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 259 que ce
eux par des transitions insensibles, et nous limitant toujours aux formes dans lesquelles les accidents médullaires sont
E SYPHILITIQUE 263 La MARCHE de la paraplégie syphilitique, dans sa forme la plus com- mune, est essentiellement chroniqu
e les trou- bles trophiques graves étaient exceptionnels dans cette forme . Ainsi que le fait remarquer Erb, la paralysie
ors d'une manière efficace. Bien que ce soit là, on peut dire, la forme la plus favorable, au point de vue du pronostic
en est pas toujours de même ; et il y aurait lieu de distinguer une forme grave de paraplé- gie syphilitique commune. 11
II due à M.' le Dl' Lancereaux, que l'on peut considérer comme une forme grave de la paraplégie syphilitique commune. En
t émis pendant longtemps des doutes au sujet des relations de cette forme extrêmement grave de la maladie avec la syphilis.
cubitus, etc.. Il reste encore à établir s'il s'agit là aussi d'une forme d'affection spinale syphilitique ». Actuellemen
ait allusion. Notre observa- tion I se rapporte précisément à cette forme de la maladie. Celte paraplégie grave se montre
. Mais il en est presque toujours ainsi particulièrement dans celte forme grave. Elle est généralement an- noncée par une
dans ses Leçons cliniques, a récemment appelé l'atten- tion sur ces formes de paraplégie à début rapide, en faisant ressorti
e. L'intensité des symptômes est ici tout autre que dans les autres formes (1) Julliard (loc. cil., page 50). (2) LANCER
rement affaiblis, le plus souvent abolis dès le début; et, dans les formes particulièrement graves, cette abolition des ré
excitabilité électrique dans les muscles appartien- nent encore aux formes suraigues. Souvent abolie (Déjerine, voir notre
à l'influence possible de la syphilis dans les cas de ce genre. Les formes de paraplégies ci-dessus décrites sont de beaucou
e concordance en- tre les différentes périodes de la syphilis et la forme des lésions spécifi- ques de la moelle épinière
ont les premières en date; elles commandent vi- siblement dans leur forme et dans leur répartition les désordres anatomi-
s particuliers aux méningo-myélites syphilitiques étudiées ici, les formes de lésions récentes seules peuvent donner des r
gie dans la plupart des myé- lites aiguës. Toutefois, même dans ces formes diffuses, l'examen micros- copique peut révéler
, peut donner lieu à des lésions semblables. Vit Cliniquement les formes les mieux caractérisées de méningo-myé- lite sy
me périodes celle des lésions médullaires. Ces paralysies, dans les formes les plus com- munes, se présentent sous l'aspec
semblable de supposer que, l'at- tention une fois attirée sur cette forme de névropathie, on puisse rencon- trer des cas
paraît avoir expé- rimenté la médication révulsive sous toutes ses formes : sinapismes, vésicatoi- res, pointes de feu, e
nnent le mieux. Elles sont terminées inférieurement par une scie de forme circulaire dont les dents sont bien affilées. Leu
une scie de forme circulaire dont les dents sont bien affilées. Leur forme est celle d'un cône tronqué. Cette disposition
i faire changer de position ; dans la région de la glabelle la peau forme des rides profondes : les yeux sont fermés ; il
ale s'incurve en formant une concavité antérieure; le ventre est en forme de voûte. Les mouvements passifs dans les articul
avec eschares au centre ; sur un troisième point, b) bulle ayant la forme et la grosseur de la moitié d'un pois, avec segme
ant à indiquer que, dans sa mar- che, la maladie tend à prendre une forme cyclique. En effet l'alternat des deux états, e
stéo-arthropathie, se retrouvent isolés ou réunis dans les diverses formes de maladies mentales et se rap- portent en part
friabilité, les modifications du tissu cellulaire sous-cutané, sous forme d'épaississement du tissu adipeux, de 330 NOUVE
hémorragie, crachements de sang; les modifications des muscles sous forme d'atrophie ou de tumeur sanguine, le ramollisse-
arthritis dé- formant s'est efforcé d'établir pour l'une et l'autre forme un lien réciproque entre la maladie cérébrale e
st-elle l'indice de quelque maladie constitutionnelle ou de quelque forme aiguë de lésions connues, telles que l'arthrite r
avorables au mécanisme d'une lésion traumatique dans telle ou telle forme ; il ne peut être question ni de luxation, ni d'e
DE LA SALPÊTRIÈRE. est donc impossible de nous arrêter à aucune des formes de l'affection inflammatoire habituelle de l'ar
si bien défini et qui ont probablement quelque lien avec certaines formes déterminées de maladies mentales doivent nous suf
cidents nerveux similaires. L'hérédité en neuropathologie revêt des formes multiples. On voit se suivre ou s'entrecroiser
urasthéniques au premier chef. La céphalée est constante : c'est la forme en casque de Charcot enserrant la tête comme da
Qu'une idée soit suggérée alors, ou qu'elle germe spontanément sous forme d'impulsion, le malade s'y abandonnera tout ent
d'« Automatisme comitial ambulatoire » (1). « Il s'agit là d'une « forme » ou, comme on dit encore, d'un « équivalent ép
. Le Juif-Errant existe donc encore aujourd'hui ; il existe sous la forme qu'il avait prise aux siècles passés. Sa figure
imprimer les comptes rendus de ces séances hebdomadai- res. Le tout forme cinq gros volumes qui de son vivant eurent, chose
s, par IIenry Meige, 19t, 277, 333. Lèpre systématisée nerveuse à forme syrin- gomyélique par Pitres et Sabrages, 121.
IL à XXXI. Juif-Erranl à la Salpêtrière, XXIV à XXXV11. Lèpre à forme syringomyélique, XVII, XVIII. Dléningomyélile
ile syphilitique, coupes de la moelle, XIII, XIV, 'XV. Myopathie, forme facio-scapulo-humérale avec pseudohypertrophie
pseudohypertrophie des mollets et du deltoïde, II, III, IV, V. - Forme facio-scapulo-humérale avec pseu- dohypertrophi
6 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
oies bronchiques et du parenchtjme pulmonaire, considérées dans leurs formes très variées et très complexes ; tuberculose du p
, que l'on hésite plus d'une fois à décider si telle particularité de forme ou de structure appartient à l'une ou à l'autre.
s petits lobules qui, eux, ont à peine les dimensions d'un pois. La forme des lobules est aussi très variable. Les lobules,
ituent les bords tran-chants du poumon, ils offrent habituellement la forme d'un coin dont la base est tournée vers le centre
même peuvent être primitivement le siège de lésions importantes. Elle forme ce qu'on pourrait appeler dans le pou-mon, les es
ble dans la même proportion que celui des bronchioles terminales, ho. forme et les dimensions des acini se rapportent au cont
des divisions, ainsi produites, se termine par un renflement ayant la forme d'une ampoule. Il est facile, sur le modèle de
mique, et se terminent enfin par des extrémités aveugles, renflées en forme d'entonnoir. Le diamètre transverse des conduits
ndibules, soit dans les conduits alvéolaires, ont, chez l'enfant, une forme généra-lement globuleuse ; cependant, quelquefois
forme généra-lement globuleuse ; cependant, quelquefois, ils ont une forme polyédrique. Leurs dimensions sont différentes su
re que le diamètre des con-duits aériens devient plus étroit, mais la forme cylindrique est encore très accentuée dans les ce
ssu cellulaire lâche qui, au contact de l'épithélium, s'épaissit sous forme d'une membrane anhyste (membrane fondamentale). D
b) est, ici encore, très accentuée ; mais elle n'est plus continue et forme une série de petits sphincters sur les dernières
e jusqu'aux bronchioles (Fig. 7, d). A cet endroit, elles prennent la forme cubique et même, à la fin, au niveau de l'abouche
é-riaux que ceux des parois bronchiques, modifiés toutefois dans leur forme , leur nombre relatif et aussi dans leur mode d'a-
rve dans la broncho-pneu-monie subaiguë ou chronique simple — une des formes de la cirrhose du poumon — ou dans la broncho-pne
l'argent, vous le voyez, a dessiné des lignes noires dont la réunion forme des figures polygonales (b). Ces lignes se voient
eux qui n'avaient pas été distendus les cel-lules avaient conservé la forme cubique. Un résultat acquis par M. Kùtlner dans
s d'apparence fusiforme, jointes les unes aux autres par leurs bords, forme un revêtement sur toute l'étendue de la paroi de
ctif, dont ils ne représentent qu'une simple modi-fication quant à la forme , et dont ils possèdent, d'ailleurs, toutes les pr
ité directe avec le revêtement épithélial bronchique, il reproduit la forme des endotheliums; d'un autre côté, sous l'action
verticulum pulmonaire, présentant une extrémité terminale renflée qui forme la vésicule pulmonaire primitive. — St, estomac.
en. III. Il s'agira ici des modifications apportées par certaines formes du processus inflammatoire. Dans les inflammation
urs, les- divers phénomènes de la prolifération par scission. — Il se forme souvent, dans ces circonstances, de grandes plaqu
dans les cellules de l'endothélium ; localisation dans les acini sous forme lobulaire. Faits pathologiques qui montrent que
umo-nie fibroïde des tuberculeux (Thaonj ; carnisation (Legendre), ou forme pseudo-lobaire de la broncho-pneumonie ; caractèr
s cellules épithé-liales gonflées, tuméfiées et tendant à prendre une forme sphérique : leur protoplasma est trouble, grenu (
otre but, dans ces expériences, a été de re-produire chez l'animal la forme de pneumonokonioses qu'on désigne chez l'homme so
ains groupes d'acini voisins les uns des autres, c'est-à-dire sous la forme lobulaire, et non pas d'une façon diffuse. Sur ce
ssi en conséquence de l'épaississement des parois de l'alvéole, il se forme des petits noyaux d'induration lobulaire qui, à l
e plaques a noyaux ou cellules géantes. Je répé-terai que, dans cette forme de pneumonie épithéliale chroni-que primitive, le
cancer est constitué, ainsi que cela se voit du reste, pour d'autres formes du cancer du poumon, —par la paroi alvéolaire ell
place le revête-ment normal et qui, sur certains points, affectent la forme cuboïde tandis que, sur d'autres points, elles so
ueluche, ou même d'une broncho-pneumonie vulgaire. Il s'agit là d'une forme pseudo-lobaire de la broncho-pneumonie ; c'est di
'acini ou de groupes d'acini qui offrent encore des altérations de la forme aiguë ; il s'y dessine souvent des cloisons résul
accompagnements fréquents de ce genre d'altération. C'est là une des formes delà cirrhose du poumon, bien distincte, ainsi qu
pro-longée. Or, Messieurs, le grand caractère histologique dans la forme d'altération dont je viens de vous rappeler les p
e no-dules tuberculeux. N'est-il pas intéressant de voir dans cette forme subaiguë ou chronique de la broncho-pneumonie les
le revêtement épilhélial — issu de Yhypo-blasie —reprend lui aussi la forme qu'il présentait dans la vie intra-utérine. Cet
eçon précédente, un caractère anatomo-palhologique commun à certaines formes de la broncho-pneumonie subaiguë ou chronique. Yo
'hypoblaste, reprendre, sous l'influence d'un processus irritatif, la forme qu'il présentait dans la vie intra-utérine, en mê
-verticulum pulmonaire présentant une extrémité terminale renflée qui forme la vésicule pulmonaire primitive. •— St, estomac.
ent, sur plus d'un point. I. J'invoquerai d'abord l'exemple de la forme de néphrite interstitielle chronique qui, dans le
'au point de vue de la nosographie, une espèce distincte, d'une autre forme d'affection rénale, appartenant, elle aussi, à
loc. cit., pp. 297 et suiv. l'ancien cadre de la maladie de Bright, forme dans laquelle l'or-gane est également atrophié, c
caractère fondamental, et, si elle peut se rencontrer dans les autres formes de la sclérose rénale, elle n'y est jamais qu'un
, désormais la représente, diminue de diamètre et, du même pas, il se forme autour d'elle une couche conjonctive embryonnaire
Arch. de physiologie, 1870, p. 771). sorle, substitué au réseau que forme , dans l'état normal, l'a-nastomose des colonnes d
r entre les cirrhoses biliaires, la cirrhose broncho-pmumonique et la forme de néphrite interstitielle qui, dans le langage d
ologiques, par exemple, les épilhéliums peuvent se modifier dans leur forme , se régénérer, se multiplier sans le concours, ou
nté contracte bientôt des adhérences avec le tissu de granulation qui forme le fond de la plaie et que, consécutivement, on v
ique, regarde les parois du sac lymphatique (Fig. 29). Bientôt, il se forme autour du corps étranger une sorte de fausse memb
he de Malpighi. — c, c, Racine des poils, disposés irrégulièrement et formes de couches concentriques de cellules épithéliales
on est constitué d'abord par des cellules du même ordre que celle qui forme l'épithé-lium dont il provient. C'est sur ce mo
atomiques que cliniques qui séparent les unes des autres les diverses formes de maladies rénales, naguère encore en-globées so
énumération incomplète. Quant à présent, à la vérité, ces diverses formes de pneu-monie chronique, parfaitement séparées au
parlait de caractères analomiques spéciaux tels que Yhépatisationplan/ forme , sans granulations; on relevait dans le domaine c
de Paris, 1850. Fardel. Il résulte de l'étude parallèle de ces deux formes que la pneumonie lobaire doit être séparée anatom
elles une description particulière. Mais, en somme, dans les diverses formes , les traits de ressemblance l'emportent sur les t
es poumons et sur les bords des lobes inférieurs. A gauche, la lésion forme une grande plaque uniforme; à droite elle est dis
riétés d'induration pulmonaire, et représentant à l'état chronique la forme aiguë de la pneumonie lobaire dégagée de toute co
les hôpitaux \ La pneumonie aiguë lobaire simple n'est pas la seule forme d'inflammation parenchymateuse aiguë du poumon qu
Forster8. — Hépa-tisation indurée: Lebert. — Les caractères de cette forme dif-fèrent peu de ceux qui appartiennent à l'hépa
altération. En effet, un des principaux caractères de cette dernière forme de la pneumonie est fondé, ainsi que nous le diro
microscope sont d'ailleurs à peu de chose près les mêmes que dans la forme précédente; ce sont des cellules épithéliales pré
les fusiformes. M. Lebert semble admettre que l'hépatisalion jaune se forme à la suite de l'induration rouge, et que celle-ci
que ces variétés de la pneumonie aiguë devront se retrouver dans les formes lentes et chroniques de la maladie; mais c'est Jà
te rendu de ta clinique médicale. Strasbourg, 1856. tomiquement les formes décidément chroniques de la pneu-monie, il n'en e
l'induration grise. Bien différente de l'hcpatisation aiguë et des formes de l'hô-patisation chronique dont nous venons d'i
ration graisseuse; ils se ramollissent ou suppurent. Par suite, il se forme un genre particulier d'abcès au centre des partie
parois thoraciques, la plèvre qui l'enveloppe de toutes parts et lui forme une espèce de coque fibreuse, est considérablemen
l'inférieur, mais il a certainement réuni dans une même catégorie des formes très diverses d'affections pul-monaires. Quoi qu'
chats des phtisi-ques avec cavernes, mais ne prenant pas cependant la forme num-mutaire. Ils sont extrêmement fétides et le m
emble, dési-gner sous le nom de pneumonie chronique ulcéreuse 2 cette forme de la maladie dans laquelle la fonte ichoreuse s'
c ulcérations. Une des cavernes contenait une concrétion solide d'une forme irrégulière. L'analyse démontra que ce calcul éta
ie ulcéreuse de Bayle, qui bien évidemment n'était autre chose qu'une forme de la gangrène du pou-mon. Charcot. Œuvres comp
n. Charcot. Œuvres complètes, t. y,Poumons. 10 II. Évolution. — Formes de la maladie. — Symptômes géné-raux. — La pneumo
chronique ulcéreuse paraît être plus rapidement fatale que les autres formes de la maladie. L'observation suivante, recueill
juillet très abon-dante. Les crachais ont jusqu'à un certain point la forme nummu-laire et l'apparence du pus, ils n'ont poin
'on cite jusqu'à présent n'appartiennent point, pour la plupart, à la forme chronique proprement dite; ce sont des cas de pne
ttrait déjà de reconnaître, dans la pneumonie chroni-que simple, deux formes principales: 1° la pneumonie chroni-que à forme d
oni-que simple, deux formes principales: 1° la pneumonie chroni-que à forme de phtisie lente; 2° la pneumonie chronique à for
onie chroni-que à forme de phtisie lente; 2° la pneumonie chronique à forme de phtisie rapide. Dans une nosographie organiq
nique est une inflammation parenchymateuse. On peut y distinguer deux formes ou plutôt deux degrés: 1° la pneumonie chronique
on le voit, rien de commun, anatomiquement parlant, avec les diverses formes de l'induration pulmonaire que nous avons décrite
tombe aujourd'hui généralement d'accord sur un point: c'est que cette forme d'ulcération pulmonaire doit être nettement disti
e des canalicules aériens, elle est un accompagnement habituel de ces formes variées d'affections pulmonaires que les anciens
anatomiques, la distinguent comme on voit très nettement des diverses formes de ïinduration pul-monaire. C. Affaissement pul
tion appréciable. Quoiqu'il en soit, et bien que l'existence de celte forme de pneumonie chronique décrite par Corrigan, sous
un bon nombre de cas : ainsi, pour ne citer qu'un exemple, dans cette forme de la mélanose que M. le professeur Nafalis Guill
atière charbonneuse. La maladie des aiguiseurs nous offre une autre forme de l'induration mélanique du poumon. Dans ce cas,
articuliers. Nous en parlerons donc très brièvement. La plupart des formes d'altération pulmonaire que nous avons décrites,
on est en général peu étendue, et, le plus communément, disposée sous forme d'une couche qui n'a guère que quelques lignes d'
hlegmasique. « Ou a aussi décrit Y infiltration gélatineuse comme une forme sous laquelle pouvait apparaître la matière tuber
ppées dans le même point. — Pneumonie lobaire récurrente: Exemples. — Formes de la lésion: induration rouge, induration grise
ion grise ou ardoisée. II. Broncho-pneumonie chronique. — Causes. — Formes . — Caractères histo-logiques. III. Pneumonies c
erruption bien marquée entre les deux phases de la maladie. Une autre forme de pneumonie chroni-que se rattache également à l
même point, la lésion s'offre toujours à l'observation sous les deux formes principales déjà mentionnées: Io L'induration r
sont encore manifestes. Le contenu des alvéoles rétrécis présente la forme de pelotons de cellules épithéliales englobées da
n liberté. Déjà l'épithélium tend à se régénérer : on le voit sous la forme de larges cellules polygonales ; on ne trouve pas
rétrécis; on voit souvent dans leur intérieur des végétations polypi formes de Ha paroi fibreuse, laquelle renferme un grand
re à con-naître. II. — De la broncho-pneumonie chronique '. Celte forme de pneumonie interstitielle est anatomique- 1 S
ais la distinction que veut établir M. Charcot entre les deux grandes formes de pneumonie chronique se trouve à peine ébauchée
ublié des observations intéressantes qui démontrent l'existence d'une forme de transition, d'une broncho-pneu-monie sub aiguë
ait, l'évolution régulière et fixe de la pneumonie lobaire. A côté de formes aiguës qui peuvent simuler la pneumonie lo-baire
ues principaux et même par la marche de la température, il existe une forme subaiguë qui se montre dès l'origine avec son car
indaration atrophique du poumon avec dilatation des bronches. Celte forme peut se présenter surtout après un catarrhe aigu
M. Charcot, après la fièvre typhoïde, bien que dans ce dernier cas la forme aiguë ou subaiguë soit en quelque sorte la règle.
uelque sorte la règle. L'étude macrosco-pique de la lésion dans cette forme subaiguë a clé bien faite par les auteurs, mais t
res, avec tendance remarquable à se fixer dans un. seul lobe, sous la forme pseudo-lobaire ; 2° coloration violacée» ou rosée
u'une broncho-pneumonie ; 3° enfin les nodules péri-bronchiques de la forme aiguë se retrouvent encore sous une forme atténué
ules péri-bronchiques de la forme aiguë se retrouvent encore sous une forme atténuée ou effacée. On distingue autour des bron
ie, sur le fond rosé et lisse de la coupe du poumon. Ainsi, dans la forme subaiguë, ce fond rosé ou violacé qui caractérise
é qui caractérise la carnisation correspond à la splénisation de la forme aiguë, en même temps que la présence des nodules
quée. M. Charcot suit pas à pas les analogies qui existent entre la forme aiguë et la forme subaiguë, et ce parallèle perme
suit pas à pas les analogies qui existent entre la forme aiguë et la forme subaiguë, et ce parallèle permet de mieux interpr
des phénomènes cli-niques qui peuvent contribuer à caractériser cette forme de pneumonie chronique: Io C'est d'abord l'hypert
émoptysies fréquentes (seize fois sur trente-neuf) ; accès fébriles à forme pseudo-intermittente ; enfin Biermer signale une
euse aiguë, chronique dans l'évolution tuberculeuse lente. Dans les formes rapides, on trouve des nodules fibrineux ou puru-
ibrineux ou puru-lents avec les lésions de la splénisation ; dans les formes chro-niques, le contenu alvéolaire et le tissu co
étranger qui est enjeu. Il y aura donc lieu de décrire séparément les formes sui-vantes : 1° Pneumonokonioses anthracosiques
des particules d'un métal, l'acier par exemple, et qui constitue une forme mixte. 3° Enfin il existe encore une pneumonoko
e. Ici, l'agent est l'oxyde de fer. anthracose pulmonaire : Cette forme est la plus commune, et c'est elle qui la pre-miè
ètre dans la profondeur du parenchyme et s'y fixe définitivement sous forme d'amas plus ou moins volumineux. Celte pénétratio
et des bords postérieurs qu'à la base, et qu'au sommet cette matière forme souvent des plaques au niveau desquelles il exist
libres, soit emprisonnés dans des cellules, des corpuscules noirs de forme anguleuse, en tout semblables à ceux que four-nis
urs caractères physiques et chimiques se modi-fient. Ils perdent leur forme discoïde, deviennent globuleux et réfractent plus
: 1° Dans l'anthracose, les particules charbon-neuses ont souvent une forme anguleuse spéciale ; elles pré-sentent toutes la
nt d'origine hématique, au contraire, les granulations ont toutes une forme plus ou moins arrondie, quelquefois même une appa
du sang, se présente au dernier terme de ses transformations, sous la forme de corpuscules noirs qui, par leur couleur et aus
ce cas, la substance pigmentaire noire qui infiltre les cellules se forme vraisemblablement dans la rate, aux dépens de la
le de Versailles, qu'on a préalablement humecté pour lui conserver la forme des empreintes. Lorsque ce moule est terminé, ava
mence à se développer, la lésion se présente, dans le poumon, sous la forme de petits nodules grisâtres, résistant au doigt,
1 millimètre 1/2 environ, et qui présentent le plus ordinairement la forme d'une feuille de trèfle, quel-quefois avec la tig
alvéoles pariétaux, et elle se termine par l'acinus. Chaque acinus forme une petite pyramide à base périphé-rique et a env
chiole acineuse, de un tiers de millimètre de diamètre environ, quien forme le pédicule, se divise en ra-meaux de plus en plu
coupe du lobule hépatique. Ce lobule pulmonaire se présente sous la forme d'un poly-gone auquel on peut reconnaître un cent
aire, mais d'une agglomération de nodules dont on distingue encore la forme : ce sont autant de cercles concen-triques, régul
ho-pneumonie grave pseudo-lobaire ; dans le second cas, une maladie à forme typhoïde avec prédominance des accidents thoraciq
it réapparaître. C'est jus- tement ce que fait la caséification. La forme même de la zone caséeuse donne à penser que la mo
i est déjà transformée en cavité cylindro-conique ouampullaire : elle forme comme le vestibule de la caverne et en fait ainsi
que sorte par la bron-che. La réunion de plusieurs cavernes acineuses forme les cavernes lobulaires qui occupent tout un lobu
ca-séeuse. Cependant, dit M. Charcot, le tubercule considéré sous ses formes les plus diverses est curable, ou tout au moins i
bles à toutes les périodes de leur développement et sous toutes leurs formes : 1° tubercules solitaires ; 2° agrégats tu-bercu
ec avait encore rai-son. Le tubercule fibreux se présente sous deux formes principales : tubercule miliaire et agglomération
s la phtisie essentielle-ment chronique, le tubercule fibreux sous la forme et avec les caractères des agglomérations tubercu
tre souvent limité à quelques parties du pa-renchyme, dans toutes les formes de phtisie à évolution un peu lente : suivant Tha
me de la granulation grise. La granulation grise, est, en effet, la forme qu'affecte la matière tuberculeuse émanée des foy
il s'agit d'un foyer superficiel, la traînée lymphatique qui, sous la forme d'un cordon noueux, relie le foyer pulmonaire pri
stitue la lésion la plus grave de la tuberculose : elle dé-termine la forme aiguë ou chronique. C'est elle qui règle l'état g
ssociées au processus tuberculeux, n'ont rien de particulier. Dans la forme aiguë, on trouve les nodules fi-brineuxou purulen
lents caractéristiques, avec les lésions de la splénisation ; dans la forme chronique, la carnification et toutes les variété
se contente pas de ces généralités, si l'on entre dans le détail des formes cliniques de la tuberculose pulmo-naire, on senti
de la pneumonie. La phtisie aiguë granuleuse se présente sous deux formes principales : Io une forme apyrétique, lente, o
aiguë granuleuse se présente sous deux formes principales : Io une forme apyrétique, lente, où les granulations s'accumule
nulle trace d'exsudats fibrineux ou purulents. Ainsi donc, dans cette forme de tuberculose pulmonaire, la pneu-monie manque s
e circonscrit, mais d'un genre à part. Ses carac-tères sont : 1° La forme nodulaire, l'arrangement concentrique des élé-
tour d'une bronche. Cette dernière localisation est constante dans la forme broncho-pneumonique de la tuber-culose, substratu
ie d'un côté, englobée de l'autre côté dans un tubercule aggloméré de forme semi-lunaire. Le plus petit côté de cette espèce
s la description de M. Virchow, Laënnec ne le connaissait que sous la forme de granulations grises, décrites par Bayle et que
la pneumonie » caséeuse; ils sont presque toujours présents, sous une forme » ou sous une autre ; mais ce n'est là qu'un fa
es points et d'accu-ser les traits plus vigoureusement. Ce sont les formes aiguës dites pneumoniques de la phtisie pulmonair
sa démonstration, par la raison que c'est sur-tout sur l'étude de ces formes là que se fonde la doctrine qu'il veut combattre.
ttre. «Sii'on parvenait, eneffet, à démontrer, dit-il, » que dans ces formes rapides de la phtisie qui prennent, cli-» niqueme
la doctrine en question. » Les auteurs qui professent que, dans ces formes de la phtisie destructive aiguë, la lésion pulmon
ontrer par la critique qu'aucune des observa-tions rapportées à cette forme et où la lésion aurait abouti à la formation de
secondaire tout à fait effacé. Ce qui vient d'être dit au sujet des formes aiguës de la pneumonie caséeuse, on peut le répét
on peut le répéter, à peu près mot à mot, et à fortiori, à propos des formes chroniques. Le tuber-cule qu'on a voulu bannir, m
chroniques. Le tuber-cule qu'on a voulu bannir, même de ces dernières formes , se présente là, cependant, avec les mêmes caract
les, la production de l'in- flammation vulgaire, celte fois sous la forme chronique ; tandis que dans les cas de phtisie pn
nfiltrée ou discrète, comme élé-» ment fondamental, dans les diverses formes de la phtisie » pulmonaire; rien de plus douteux,
cernent uniquement les cellules géantes qui se rencontrent dans cette forme particulière du tuber-cule improprement dénommé t
c que, sur chacune de ces trois coupes, la cellule géante a changé de forme et de constitution; de plus, détail important, el
pte pas celte hypothèse, on doit reconnaître tout au moins qu'il a la forme d'une petite massue, pourvue par conséquent d'un
l'adulte, dans le cours d'une phthisie générale aiguë qui a revêtu la forme typhoïde. Les cas du même genre sont sans doute a
bent à la tuberculisation aiguë, surtout quand la maladie a revêtu la forme typhoïde, le sang se présente habi-tuellement dan
lus particulièrement, mais non exclusivement, toutefois, aux diverses formes du cancer dur qu'il se rattache; on l'observe tou
tômes observés pendant la vie. Si, comme tout porte à le croire, la forme de paraplégie dont il s'agit, n'est pas tout à fa
rebord des côtes et 4 dans le flanc gauche ; en suivant une ligne qui forme avec la précédente un angle légèrement obtus, don
tre 0,0009 et 0,014 millim., plusieurs d'entre eux ont, en outre, une forme moins régulièrement sphérique, sphéroïdale ou pol
nt des globu-les blancs très nombreux qui les accompagnaient par leur forme polyédrique, et, en outre, par l'action de l'acid
dans les alcalis et dans les acides. Il en résulte des corpuscules de forme arrondie ou ovale, généralement très irrégulière,
varie de 0mm,003 à 0mm,012. En raison de l'irrégularité même de leur forme et de l'absence habituelle d'un noyau distinct, c
ées en manière de fuseau, tandis que les autres rappe-laient par leur forme et par leur aspect les globules blancs du sang. C
des plus irrégulières; ils ont des contours anguleux et pren-nent les formes les plus variées : on dirait des fragments vio-le
fin, on les voit assez souvent enveloppés d'une substance hyaline qui forme à leur pourtour une sorte d'aréole transparente.
ement. Peut-elle se surajouter à peu près indifféremment à toutes les formes de l'intoxication palustre ? Meckel est porté à p
iques de l'encéphale propres aux mélanémiques, se présentent sous des formes assez variées : ce sont, dans les cas légers, de
t s'adjoindre. Ces accidents, en effet, quelle que soit d'ailleurs la forme qu'ils revêtent: céphalalgie, vertiges, délire, c
s Morton, des Weiihofï, des Torti et de tant d'autres. Or, toutes ces formes graves de l'intoxication palustre, même dans leur
i devint complètement idiote après avoir éprouvé une fièvre tierce de forme côphalique. Les troubles cérébraux dépendraient-i
ersiste longtemps après la cessation des accès et revêt décidément la forme chronique Alors, d'après les observations de Frer
s principaux ca-ractères chimiques, et dont nous reproduisons ici les formes . [Figure 41.) Obs. — Nécroscopie d'un sujet leu
croscope (430 diamètres). Les plus petits de ces globules offrent une forme sphéroïdafe ; ceux qui sont inter-médiaires entre
er-médiaires entre ies petits et tes normaux ; présentent çà et là la forme discoïde. Tous les globules rouges se sont asse
attentif démontre bientôt que ce sont des octaèdres très allongés, a formes très régulières et assez uniformes i. Us ont d'ai
dimensions variées. Les grands cristaux ont 0mm,04 de longueur i La forme octaédrique devient évidente quand on fait tourne
ins complètement au bout de plusieurs heures, et présentent alors les formes indiquées dans la fig. 41, e. A une tem-pérature
és. Outre les cristaux octaédriques, il y a quelques gros cristaux de formes peu régulières, probablement constitués par du ca
t relatives aux cristaux du sang, et nous n'y avons pas rencontré des formes semblables à celles des cristaux que nous avons o
à plus forte raison, au bout de vingt-quatre heures. La substance qui forme ces cristaux est, eneffet, en dissolution dans le
nous y avons déjà noté l'existence d'un souffle hydrémique. Foie de forme et de volume normaux. — Rate hypertrophiée ; elle
e elle-même étant chauffée, puis traitée par l'acide nitrique, il s'y forme un abondant dépôt d'albumine. Le malade n'éprou
trant, du ventricule droit par une masse de sang noir coagulé, lequel forme presque à lui seul le contenu de l'oreillette et
de l'obser-vation précédente, existent dans le ventricule droit. Même forme , même pédicule, même contenu. 3° Femme de 25 an
s. Quelques petites tumeurs en tout analogues aux précédentes pour la forme et le mode de connexion, sont pleines et entièrem
trouve parfois en partie rempli par une sorte de tumeur fibrineuse de forme régulièrement ovoïde, à surface légèrement rugueu
a percus-sion reste également muette, et cela devait être, puisque la forme et le volume du cœur étaient à peu près normaux,
oloration d'un blanc mat. On ne remarque aucune particularité dans sa forme extérieure. Les ca-vités gauches paraissent seule
cavité est rem-plie dans ses deux tiers inférieurs, par une tumeur de forme ovoïde, bien régulière, à surface légèrement rugu
lé- gèrement accuminée et se prolonge dans la cavité de l'aorte sou forme d'un pédicule très délié qu'on peut suivre dans t
ne grosse noi-sette. IV. Note sur l'endocardite ulcéreuse aiguë à forme typhoïde à propos d'un cas d'affection ulcéreuse
yphoïde et formation d'abcès multiples dans les deux poumons '. Une forme de Y endocardite ulcéreuse aiguë est remarqua-ble
qui semblent devoir être rat-tachés à une septicémie profonde. Cette forme par excellence grave de l'endocardite 2 a été sur
biologie, 1861, p. 205. — En collaboration avec M. Vclpian. s Cette forme paraît correspondre à Yendocardite gangreneuse de
anguin. Il se produit ainsi des pertes de substance dont le siège, la forme , l'étendue, tant en largeur qu'en profondeur, var
cardiaques, ainsi que cela peut avoir lieu d'ailleurs dans toutes les formes de l'endocardite ulcé-reuse, coexistent habituell
a rate, des reins, du foie, ra-rement de véritables abcès ; certaines formes de ramollisse-ment cérébral et certaines ophthalm
Mais ce qui distingue plus particulièrement Xendocardite ulcéreuse à forme typhoïde, c'est précisément l'ensemble de symptôm
esse ou dans l'état puerpéral proprement dit où elle revêt parfois la forme ulcéreuse. Voir sur ce sujet : Virchow, Verkandl.
. Cette ouverture admet presque l'extrémité du petit doigt; elle a la forme d'une boutonnière à moitié béante; c'est l'orific
un grain de chènevis ou même moins. Les abcès les plus petits ont une forme sphéroïdale, les plus grands ont une configuratio
des poumons, soit dans leur profon-deur, on observe des ecchymoses de forme irrégulière, figurant, dans certains points, de p
'artère pulmonaire. La malière qui les emplit et les distend est sous forme d'un cylindre plein, ramifié si le canal est rami
on songe à la possibilité d'une affection ulcéreuse de l'endocarde à forme typhoïde. Pendant les derniers jours de la maladi
aque externe gauches,, dans toute leur étendue, se présentent sous la forme cle cordons volumineux, très durs au toucher. Leu
avec le coagulum de l'iliaque externe, il se termine par en haut sous forme d'un cône de plus d'un centimètre de long, libre
erne, un caillot aplati, déchiqueté, correspondant par l'aspect et la forme avec le caillot contenu dans l'artère pulmonaire;
euse, lequel se prolonge jusqu'à l'embouchure de l'hypogastrique sous forme d'un caillot encore récent, décoloré à la surface
sculaire d'ordre supérieur avec lequel cette veine s'abouche, sous la forme d'un appendice fibrineux, le plus souvent conique
, dans tous les sens, tout en conservant jus-qu'au dernier moment, la forme conique et une surface lisse et régulière ; final
évidemment de date ancienne, et représen-tant assez exactement par sa forme le moule interne du vais-seau où il s'est formé;
provoquer toutefois d'accidents sérieux, parce que, en raison de leur forme irrégulière, ils ne remplissaient pas complètemen
l'artère pulmonaire est devenue complète: 1° extension du corps sous forme d'un léger opistonos; 2° arrêt brusque du cœur; 3
rcée par la colonne sanguine, un caillot libre de toute adhérence, de forme irrégulière, et relativement d'un petit volume, t
ons artérielles; il nous suffira donc défaire observer que toutes les formes de cette altération peuvent se rencontrer sur l
irées, prendra le nom à"anévrisme mixte interne. L'existence de cette forme anatomique n'est guère admise par les pathologist
n suivie de la formation d'un abcès dans la paroi artérielle. — Cette forme particulière est d'une extrême rareté ; nous n'en
n anévrismes vrais, mixtes externes et mixtes internes, et d'après la forme exté-rieure, en fusiformes ou cylindroïdes, et en
ablies, nous allons procéder à une étude détaillée de cha-cune de ces formes anatomiques en particulier. {Fig. 46, etc.). À.
rifice sont lisses et recouverts par la membrane interne altérée. Les formes anatomiques que peut affecter cette espèce partic
se for-ment pas indifféremment dans tous les anévrismes aortiques; la forme et le volume de la tumeur ont une grande influenc
oit. D'après une note que M. Marey a bien voulu nous communi-quer, la forme du pouls artériel, indiquée par le sphygmogra-phe
urs d'une autre nature siègent de préférence à droite, et offrent des formes plus an-guleuses. Stokes fait observer avec rai
l'aorte (Hodgson) ; mais il faut, en pareil cas, que la tumeur ait la forme d'un sac, et permette au sang de sé-journer assez
a 30 qui appartiennent au deuxième degré. . Le troisième degré, ou forme complète de l'anévrisme dis-séquant, est beaucoup
s-séquant, est beaucoup plus rare. Ici le canal accidentel a pris une forme plus régulière ; il est tapissé d'une membrane qu
s que ceux de l'aorte as-cendante ; mais, à l'aorte abdominale, cette forme spéciale n'a pas une gravité exceptionnelle, et s
ce de cette condition anatomique qui donne à la poche ané-vrismale la forme disséquante ou la forme circonscrite. Symptômes
atomique qui donne à la poche ané-vrismale la forme disséquante ou la forme circonscrite. Symptômes. Aussitôt après la rupt
te. En dehors des tumeurs anévrismales, constituées par une poche à forme variable, mais dont les limites sont nettement tr
s, et à la confusion de ses contradicteurs. On trouva un polype d'une forme très régulière, au point qu'il avait indiqué; et,
-clavière gauche, deux kystes puriformes de cette espèce, offrant une forme ellipsoïde, et un volume à peu près égal à celui
t entre les lamelles qui constituent les parois du vaisseau, et il se forme un anévrisme disséquant. Lorsqu'au contraire les
us dire ce qu'ils sont chez le cheval, où ils se rencontrent sous une forme beaucoup plus accentuée et en quelque sorte presq
ent, chez un homme âgé de 26 ans, par des accidents généraux graves à forme typhoïde. APPENDICE APPENDICE i. Sur l'in
valeur de la qualification d'a-bortive donnée par moi à une certaine forme de pneumonies des vieillards: elle s'applique à c
dans les cellules de l'endothélium; localisation dans les acini, sous forme lobulaire. Faits pathologiques qui montrent que
umo-nie fibroïde des tuberculeux (Thaon) ; carnisation (Legendre), ou forme pseudo-lobaire de la broncho-pneumonie ; caractèr
ppées dans le même point. — Pneumonie lobaire récurrente: Exemples. — Formes de la lésion: induration rouge, induration grise
ion grise ou ardoisée. II. Broncho-pneumonie chronique. — Causes. — Formes . — Caractères histo-logiques. III. Pneumonies c
ouze ans................ 397 IV. Note sur l'endocardite ulcéreuse à forme typhoïde, à propos d'un cas d'affection ulcéreu
a méla-némie), 338. Acinus pulmonaire, 20, 23. 26, 236; — nombre, formes , dimensions, texture des —, 21. Adénopathie tra
tructure, 289; — prolongements, 291; — siège, 291; — noyaux, 292; — forme , 293; — accotement, 294. Cellule vaso-formatric
. Lobules pulmonaires, Il ; — indé-pendance réciproque, dimensions, forme , 12; — trame conjonctive des—, 12;— comparaison a
observations de —, 140 ; — traitement, 163 ; — nosogra-phie, 164;— formes , 165. Pneumonie chronique des nouveau-nés, 128.
2, 157; — doctrine de la dualité de la —,2; — curabilité delà—,253;— forme broncho-pneumonique de la —, 271; — miliaire, 272
7 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
stance grise, leur développement ou leur effacement progressifs; leur forme , leur volume, leur situation; leurs rapports entr
du système nerveux cérébro-spinal renfermée dans la cavité du rachis forme l'axe spinal ou moelle épinière, ses éléments con
interposée entre le cerveau et le cervelet; le repli pituitaire, qui forme une loge au corps pituitaire. Un prolongement en
hnoïde, la pie-mère se prolonge sur les expan-sions de l'encéphale et forme le névrilème des racines et des troncs des cordon
de l'encéphale, d'étudier la structure des amas et des noyaux qu'elle forme dans sa masse, de déterminer le rôle que ces élém
noyaux centraux. § 1. — La substance grise périphérique du cerveau forme une couche onduleuse de 2 à 4 millimètres d'épais
. Les cellules des régions profondes, les grandes cellules, ont une forme nettement pyramidale, à sommet tourné vers la sup
ttement apparent, dans les circonvolutions du lobe occipital, sous la forme d'une bandelette blanche. Cette bandelette, signa
jonctif, renfermant un grand nombre de noyaux, appelés myëlocytes, de forme sphérique ou ovoïde de 9 [/.à 11 ¡x, destinés à p
e (Microphotographie, Pl. A, fig. III). Ces cellules géantes ont la forme d'une pyramide allongée. Le corps a l'aspect fibr
substance médullaire des circonvolutions où il se revêt de myéline et forme le cylinder-axis d'une fibre nerveuse. Ces cell
(1). § 2. Substance grise des noyaux centraux — La substance grise forme , dans la masse médullaire du cerveau vers la régi
et de dehors en dedans. Le centre moyen est le plus volumineux, sa forme est arrondie, son diamètre transversal a une long
he optique ; son dia-mètre est de 7 à 8 millimètres environ; il a une forme sphéroïdale et l'aspect d'une petite masse de sub
re histologique particulière et différente de la masse générale. Leur forme et leur délimitation sont dues au mode de distrib
e externe du corps strié est plus volumineuse que la précédente. Elle forme le noyau extra-ventriculaire ou noyau lenticulair
qui embrasse les circonvolutions de l'insula, traverse l'avant-mur et forme une partie de la substance innommée (Pl. XXVIII,
t en haut : les unes vers le noyau lenticulaire ; les autres, sous la forme d'un faisceau conoide, contournent la face intern
système de fibres convergentes, il existe un faisceau de fibres d'une forme particulière, qui suit un trajet différent de ce
formée par l'en-roulement de fibres nerveuses afférentes. Ils ont la forme et le volume d'un gros pois, et sont situés en ar
à la substance corticale, d'un volume égal à celui d'un gros pois. Sa forme est celle d'un cône dont la base est tournée en a
ui est tendu de l'une à l'autre paroi (Pl. I, 16). Le cervelet a la forme d'un segment d'ellipsoïde, composé de deux lobes
ace postérieure du névraxe. Le lobe médian présente une éminence en forme d'arête antéro-postérieure, nommée vermis superio
sur le vermis superior et sur le vermis inferior, des lobules dont la forme et les limites ne sont pas toujours très nettes,
bstance grise du noyau central. § I. La substance grise du cervelet forme à sa périphérie une couche corticale pliée et rep
ements. § %. Substance grise du noyau central. — La substance grise forme en outre à l'intérieur de chaque lobe cérébelleux
ême lobe est formé par des fibres médullaires curvilignes, tendues en forme d'arcs à la base de chaque lamelle. Ce sont les a
prend une direction ascendante vers les tubercules quadriju-meaux; il forme les pédoncules cérébelleux supérieurs. Ces troi
interne des pédoncules cérébelleux inférieurs vient aboutir, sous la forme d'un petit faisceau, dans la substance grise du n
e, dans toute son étendue, de chaque côté de la ligne médiane sous la forme de deux colonnes grises à peu près prismatiques,
on médiane juxtaposée entre les sommets des deux colonnes pyramidales forme la commissure grise de la moelle. Sa partie antér
entes dispositions des diverses parties de sa masse qui changent sa forme ; elle apparaît sous l'aspect d'agglomérations et
plus élevé, enclavé dans la boucle ou genou, le fasciculus teres, que forme le facial à la partie moyenne du sillon médian du
rise présente autour de l'aqueduc de Sylvius une disposition cordi- forme . Dans les angles arrondis delà partie supérieure,
eumogastrique et le glosso-pharyngien. Plus haut, cette colonne grise forme le noyau inférieur du facial et le noyau de la pe
llongée de bas en haut sur le plancher du quatrième ventricule ; elle forme , de chaque côté des masses grises appar-tenant à
es constituant les noyaux sensitifs des nerfs mixtes ; au-dessus elle forme la racine postérieure du nerf auditif, connue sou
et, plus particulièrement, dans un groupe de cellules éparses, d'une forme ovalaire, pourvues de prolongements très minces e
tiguë au canal central après la décussation des cordons de la moelle, forme à la partie supérieure de l'aqueduc de Sylvius de
rieur est mal limité; celui du tubercule quadrijumeau inférieur a une forme beaucoup plus nette. Ces noyaux renferment de pet
t chez certains animaux; sur quelques-uns même, comme sur la raie, il forme un énorme ganglion bilobé libre à l'extrémité ant
ordre particulier, qui partent du chiasma des nerfs optiques sous la forme d'un faisceau unique. Ce faisceau contourne le bo
fascicules qui vont s'amortir séparément dans leur ganglion, sous la forme de lignes concentriques régulièrement emboîtées l
fférentes aux ganglions ressortent dans une direction opposée sous la forme de petits fascicules blanchâtres. Le fascicule du
entrale des tubercules quadrijumeaux. La substance grise du névraxe forme par conséquent, depuis les régions les plus infér
contre une lamelle coudée de substance grise de même nature. Cet amas forme le grand noyau pyramidal de Stilling, ou noyau ju
jet des fibres du pédoncule cérébelleux inférieur, la substance grise forme une colonne allongée, mince, irrégulière, terminé
ph., Pl. G, fig. IV). § 2. Au-dessus des olives, la substance grise forme un amas ovoïde considérable dans la partie antéri
ssus du bord supérieur de la protubérance, un amas de substance grise forme , de chaque côté de la ligne médiane, dans chaque
unâtre, légèrement rosée; ce sont les noyaux rouges de Stilling. Leur forme est régulièrement sphérique; leur diamètre mesure
ouge de Stilling. Ce noyau, que nous appellerons corpus Luysii, a une forme semi-lunaire, renflée à sa partie médiane. Il e
ves. La portion motrice des pyramides pénètre dans le bulbe sous la forme d'un gros faisceau fascicule, à peu près arrondi,
ns du faisceau formé par la grosse racine du trijumeau. Elle prend la forme d'un croissant à concavité interne dirigée vers l
entée de volume, s'infléchit en avant et en dehors; elle présente une forme cylindrique, légèrement spiroïde. Elle n'a plus l
oncule cérébral semble ainsi partagé en deux moitiés blanches : l'une forme Y étage inférieur (pes, crusta) ; l'autre est app
uvement de torsion spiroïde, pour gagner le sommet de la pyramide que forme le noyau lenticulaire; une partie pénètre dans ce
cule cérébral se détachent du faisceau principal, se groupent sous la forme d'un faisceau volumineux parfaitement distinct, p
ling. Il occupe le plan le plus inférieur des pédoncules cérébraux et forme leur bord le plus interne. Il se dirige obliqueme
alotte. Ils lui assignent pour lieu d'origine un amas de cellules qui forme l'étage moyen de la substantia innominata de Reil
de cellules nerveuses que renferme sa masse grise et émergent sous la forme d'un faisceau efférent conoïde, ayant l'aspect on
s sa substance grise et en ressort par la face antéro-externe sous la forme de fibrilles efférentes irradiées, qui se mêlent
elle épinière. Ce gros amas de substance grise donne au névraxe une forme protubérancielle caractéristique; il constitue un
étreux supérieurs, en avant elle entoure la protubérance annulaire et forme avec la gouttière basilaire le trou ovale de Pacc
hippocampes. Ces deux scissures interceptent entre elles un lobule de forme triangulaire, appelé lobule occipital interne ou
dehors. La partie postérieure du corps cal-leux, épaisse et arrondie, forme le splenium ou bourrelet, qui constitue la lèvre
ison (voir Pl. LUI). 4. — La couche optique, thalamus opticus} a la forme d'un ovoide dirigé d'avant en arrière. Sa face su
a substance médullaire des circonvolutions, rend plus apparentes leur forme et leurs limites. En bas et en avant, on aperçoit
A la région postérieure, ces fibres sont unies avec la bandelette qui forme les piliers postérieurs du trigone. En avant, le
o-postérieure a enlevé la substance grisâtre de la couche optique qui forme la paroi du ventricule moyen. Elle montre la disp
t appelée étage supérieur (tegmentum). La protubérance annulaire a la forme d'un noyau ovoïde de substance grise, traversé ho
ubstance grise de ces noyaux. La protubérance annulaire conserve sa forme en noyau. Sa substance grise est traversée vertic
a section de la commissure blanche antérieure (5, Pl. VI) conserve sa forme circulaire; elle apparaît dans les noyaux jaunes
tale, de cavité digitale ou ancyroïde (3); le prolonge-ment inférieur forme la corne sphénoïdale, dans laquelle s'engage le p
ervelet. Les fibres médullaires efférentes se di-rigent en avant sous forme d'un gros faisceau. Le corps rhomboïdal (20) est
sseur, faite en dehors du plan médian. La substance grise corticale forme , à la périphérie de la coupe, une couche ondulée
it sillon, de la substance grise du ganglion olfactif. La voûte que forme le corps calleux n'est plus apparente ; les fibre
les faisceaux de fibres médullaires qui vont s'y distribuer sous une forme arborescente. XI. — Encéphale dont on a détaché
il. 12. — Section de la commissure blanche antérieure conservant la forme d'une bandelette circulaire. 13. — Section des
sseur, faite en dehors du plan médian. La substance grise corticale forme des traînées grises dans la substance médullaire.
aire une courbe ellipsoïde composée d'un grand nombre de replis. Elle forme avec la substance blanche une surface ovalaire, d
rémité postérieure, appelée bourrelet ou splenium, est arrondie; elle forme la lèvre supérieure de la fente cérébrale de Rich
unit au septum lucidum, puis elle s'arrondit, s'infléchit en bas sous forme d'un cordon, nommé pilier antérieur du trigone, p
es : celle qui est en rapport avec le ventricule latéral et celle qui forme la paroi de la cavité. 15. — Prolongement occip
us communément appelée capsule interne. L'intersection des deux plans forme le genou de la capsule interne. Le faisceau des f
nétra-tion des fibres convergentes dans l'intérieur de sa masse et la forme du centre anté-rieur (10, Pl. XVI11) qui a acquis
faisceau blanc appelé capsule interne : ces fibres pénètrent sous la forme de petits filaments dans la substance grise de ce
tricule moyen et gagne latéralement les cavités sphénoïdales, où elle forme l'origine des plexus choroïdes des ventricules la
cavité est nommée subiculmn; le corps frangé, corps bordant ou bordé, forme la fimbria. La substance grise remplit l'espace c
cicules isolés occupent la région lenti-culo-striée. Le fascicule qui forme la capsule externe (4) se porte le long de la fac
elette accessoire des noyaux rouges de Stilling. Ce petit noyau a une forme semi-lunaire, renflée à sa partie médiane. Il éme
es fibres spinales antérieures. 13. — Noyaux rouges de Stilling, de forme sphérique, constitués par un amas de substance gr
icules isolés dans la substance grise du corps strié. Le faisceau qui forme la capsule externe suit la face externe du noyau
ne naissance aux faisceaux efférents cérébelleux; le groupe supérieur forme les pédoncules cérébelleux supérieurs qui se diri
ace perforé posté-rieur, c'est-à-dire au sommet de l'infundibulum que forme le ventricule moyen. Ils sont constitués par un a
ulaire, par sa réunion à celui qui est fourni par le tronc basilaire, forme , à la base du cerveau, un cercle artériel appelé
). 5. — Tuber cinereum ou corps cendré. Cet amas de substance grise forme le plancher du ventricule moyen ; il constitue la
issurantes repose sur la face supérieure des noyaux opto-striés. Elle forme ainsi un espace libre que l'on appelle cavité des
tion est constituée par l'évasement du canal central de la moelle; sa forme est celle d'un losange que traverse le sillon méd
re ouputamen, séparée de Pavant-mur (6) par le faisceau de fibres qui forme la capsule externe (7). 8. — Section de la subs
e, connue sous le nom de grand noyau pyramidal de Stilling (31), a la forme d'une colonne aplatie, coudée à angle droit en de
a substance grise corticale circonscrit les fibres médullaires ; elle forme à l'inté-rieur l'écorce des circonvolutions de l'
érance, par la coupe du lobule du pneumogastrique, reconnaissais à la forme spéciale de ses arborisations. XLIII. — Encépha
rpus Luysii (16, Pl. XLÏ1) présente ses plus grandes dimensions et sa forme semi-lunaire. [1 reçoit des fibres cérébelleuses
isceaux de fibres arci-formes occipito-frontales. 6. — Faisceau qui forme la capsule externe. 7. — Segment externe du noy
ieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale forme autour du centre médullaire une sorte d'écorce pé
térieur ; elle est limitée en bas par la substance grise centrale qui forme le plancher du ventricule moyen. La portion hor
nte. Cet espace est diamétralement opposé à l'orifice nommé Anus, qui forme l'ouverture anté-rieure de l'aqueduc de Sylvius.
e sur le bord externe du gyrus rectus, dans la scissure olfactive, la forme triangulaire de la coupe du tronc des nerfs olfac
onvergentes des régions inférieures et internes. 5. — Fascicule qui forme la capsule externe. 6. — Substance grise de Pav
upérieur et parleur bord inférieur aux deux portions de la boucle que forme le genou du corps calleux (voir Pl. II). 10. —
upe du tronc du nerf olfactif dans la scissure olfactive, montrant sa forme triangulaire et la situation centrale de la subst
'Encéphale ne comprend que les lobes frontaux. La substance grise qui forme la couche corticale est moins abondante que dans
ce grise du corps strié. Ces fibres s'immergent dans sa masse sous la forme de petits filaments très déliés et onduleux. 4.
ricules latéraux. 8. — Coupe du tronc du nerf olfactif, montrant la forme triangulaire et la substance grise située à la ré
8 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
dant à l'anatomie descriptive et qui s'occupe des altérations dans la forme , la consistance, la couleur, en tant qu'elles peu
en travers, — il s'agit toujours du foie du porc, — se montrent sous forme d'espaces polygonaux, à cinq ou six côtés juxtapo
par une arrête. Cette description, un peu aride, vous montre que la forme revêtue par chaque ballon sera celle d'un octaèdr
Maladies du fuie. 2 capillaires, les cellules se dessinent sous la forme de quadrila-tères, dont les angles sont excavés d
es suivant le grand axe. Les cellules se présenteront alors sous la forme de rangée de rectan-gles allongés, séparés de cha
cellule hépatique que, jusqu'ici, nous connaissons seulement sous la forme schématique. Il importe, au point de vue anatomo-
ociation dans le foie de l'animal vivant, elles se présentent sous la forme de sphéroïdes à facettes, laissant voir, quand il
ier lieu, quelles sont les modifications qui peuvent survenir dans la forme des éléments. Supposons une distension permanente
vent la digestion, laquaulité de graisse infiltrée est telle qu'il se forme de grosses gouttelettes dont la présence a pour e
cellu-laire par le procédé que je viens de décrire peux revêtir deux formes principales : la forme aiguë ou même suraiguë, et
édé que je viens de décrire peux revêtir deux formes principales : la forme aiguë ou même suraiguë, et la forme lente. a) U
êtir deux formes principales : la forme aiguë ou même suraiguë, et la forme lente. a) Un exemple de la première forme nous
ë ou même suraiguë, et la forme lente. a) Un exemple de la première forme nous est donné par l'altération hépatique connue
rofondes clans la composition chimique du foie. C'est ainsi que, sous forme cristalline, on trouve, soit immédiatement, lors
tié du corps de la cellule. Telles sont, Messieurs, les principales formes des lésions élémentaires des cellules hépatiques.
-quels l'épithélium tend à s'aplatir progressivement et à pren-dre la forme cubique ; en même temps que le diamètre relatif d
fissures qui séparent les lobules. Ici encore, l'épithélium offre la forme cubique. Ces canaux composent, dans l'intervalle
eures, que, sur une pareille coupe, les cellules apparaissent sous la forme d'un rectangle à grand axe dirigé parallèlement a
njection que l'on re-trouve aussi dans l'intervalle des cellules sous forme d'un fin réseau 'Réseau d'Andrejevie et Mac Gilla
ysiologie, 1871 et Manuel danatomie pathologique. (3) Etude sur une forme de cirrhose hypertrophique du foie. Thèse de Pari
r que, dans quelques cas de cirrhose, appartenant principalement à la forme hypertrophique, les canaux biliaires interlobulai
oit dans le lobule, dont les cellules hépatiques ont dispa- dans la forme de cirrhose à laquelle je fais allusion (1). (Fig
où, en dehors même d'un état pathololgique, le pigment biliaire, sous forme grenue, s'est déposé dans leur cavité. 2° Mais,
es. Ainsi, sur certaines coupes, cinq ou six cellules épithéliales de forme pyramidale reposent par leur base sur le contour
autres éléments du lobule : c'est ce que l'on observe dans plusieurs formes de la cirrhose que, pour cette raison, on appelle
le foie, s'y observe au contraire très fréquemment, au moins sous la forme miliaire. Le microscope est souvent nécessaire po
rine. Cette substance nous intéresse spécialement, car c'est elle qui forme la presque totalité de la plupart des calculs bil
vi. Maladies du foie. 5 lantes, micacées, et, au microscope., sous formes de tablettes rhomboïdriques (système du prisme rh
raisses dans l'intestin. Tous les autres auteurs pensent qu'elle se forme dans d'autres régions de l'organisme et qu'elle e
me de la trombose ou de l'embolie des accidents dont la gravité et la forme dépendent du siège de la lésion. En résumé, il
une disposition cristalline nettement définie ou bien encore sous la forme de cristaux. On obtient ces derniers par l'action
c) Les deux sels sont obtenus, comme produit de labora-toire, sous forme cristalline. Les acides de chacun d'eux peuvent ê
esser d'être tenus en solution et se déposent au sein du liquide sous forme solide. a) C'est en particulier ce qui arrive p
es circonstances, la bilirubine peut se concréter, elle aussi, sous forme soit d'aiguilles cristallines, soit de masses amo
é les uretères, se rencontre en forte proportion dans la bile sous la forme d'urate de soude et se dépose même à l'état concr
à la pré-sence, dans les matières fécales, de sulfure de mercure sous forme pulvérulente. 6° On sait de longue date que, da
liaire, on trouvait un noyau pulpeux qui, lavé, se présentait sous la forme de filaments cylindriques, offrant des branches l
recueillie durant la vie et se retrouver cependant après la mort sous forme cristalline, non-seulement dans le foie mais enco
es précédents à l'atrophie jaune aiguë du foie. 11 s'agit ici d'une forme particulière de fièvre intermittente symptomatiqu
s des voies urinaires (fièvre intermittente cysto-néphrétique) et qui forme en quelque sorte le pendant de la fièvre hépatiqu
s'agissait soit de la fièvre intermittente simple, soit des diverses formes hépatiques de la fièvre intermittente symptomatiq
; l'urée ne se produit qu'en proportion minime et, à sa place, il se forme des substances moins élevées dans la série, à sav
z), dans la sueur, la salive, le liquide cérébro-spinal, etc. Mais se forme-t -elle au sein de ces liquides, ou au contraire se
te, j'entends la goutte véritable, dans laquelle l'acide urique, sous forme d'urate de soude, s'accumule dans le sang et figu
articulaire, la lésion locale est caractérisée par la présence, sous forme cristalline, de dépôts d'urate de soude dans l'ép
tic. 2° L'urate de soude se rencontre encore chez les goutteux sous forme concrète dans les viscères, sur la face interne d
en 1856 par M. Cl. Bernard. Elle se présente dans le laboratoire sous forme d'une poudre blanche, légère, amor-phe, qui, sous
n indirecte, en produi-sant, comme nous le dirons tout à l'heure, une forme parti-culière de glycosurie. Je ne m'arrêterai
entes altérations du foie ou des voies biliaires, telles que certaine forme de la cirrhose, l'an-giocholite catarrhale ou sup
t en quelque sorte sur la cavité de la vési-cule dont ils prennent la forme . — Les calculs multiples — et c'est là un point q
frent d'ordinaire des facettes planes ou arrondies. Quelquefois, la forme générale est ovoïde et les facettes évidemment pr
les cherche avec quelque attention. D'autres fois, chaque calcul aune forme pyramidale, tétraédiique, etc. Dans ce dernier ca
s en quantité relativement considérable (surtout chez les ruminants), forme des couches blanchâtres, paraissant, en dehors de
lestérine, dans les calculs biliaires, se montre d'ordi-naire sous la forme cristalline. C'est à cette circonstance, en défin
siquement. La cholestérine se reconnaît sans peine au microscope à la forme des petits fragments qu'on détache de la zone rad
morphe, plus ou moins mélangée avec la matière colorante pigmentaire, forme quelquefois des calculs entiers ou plus fréquemme
itution de la majorité des calculs. Toutefois, il est rare qu'elle en forme la plus grande partie. En général, c'est dans le
la trouve en quantité assez notable. Là elle se présente : 1° sous la forme de bilirubine pure, soluble dans le chloroforme e
une combinaison de biliverdine avec la chaux assimilable à celle que forme la bilirubine avec cette base. Les calculs, ass
liaires, doivent donc se précipiter. La Cholesterine se dépose sous forme cristalline ; la biliru-bine soit sous forme cris
lesterine se dépose sous forme cristalline ; la biliru-bine soit sous forme cristalline, soit combinée à la chaux. Cette dern
grumeaux de mucus pigmenté, le pigment biliaire lui-même déposé sous forme cristalline ou en masses amorphes, des cristaux d
toire de la migration des calculs biliaires par les voies naturelles, forme un ensemble très étendu et très complexe. Le temp
Il résulte de cette fusion un conduit unique, très court, dilaté sous forme d'ampoule et qu'on désigne communément sous le no
se présentent par conséquent, sur les coupes longitudinales, sous la forme de longues bandelettes. Sur les coupes transversa
ransversales, la surface de section de ces faisceaux apparaît sous la forme d'espaces arrondis. Il n'existe pas, ainsi que
crites dans un mé-moire spécial (1). Ce sont des convulsions épilepti formes qui affectent d'abord les muscles de la région ab
ge n'a pas amené d'ictère atteignaient le volume d'une noisette. La forme anguleuse des calculs ne peut pas être invoquée n
qu'il y ait eu jaunisse, il en est un certain nombre qui offraient la forme tétraédrique. Il est donc nécessaire de faire i
ou sans angïocholite concomitante. Je vous ai déjà entretenu de cette forme de fièvre intermittente symptomqtique, hépatique
migration des cholélithes par les voies biliaires, considérée dans sa forme régulière, me semblent suffisants; aussi, vais-je
le. La distension de la vési-cule est constamment présente dans cette forme d'hépato-macrosie et c'est là, vous le comprenez,
auxquels on a pratiqué la ligature. Je relèverai seulement que cette forme de cirrhose, qui a pour effet de rétrécir progres
suppuration qui succède à la péri-angiocholite se présente sous deux formes principales: 1° Tantôt, on voit survenir au voisi
; — marche chronique ; — terminaison. Analogies entre les diverses formes de fièvre hépatique et les accidents de la fièvre
nerai cet exposé symptomatologique par une brève description de cette forme de fièvre intermittente sympto --matique à laquel
recueillies dans divers auteurs, les caractères fondamentaux de cette forme de fièvre intermittente. Victère peut, actuelleme
enant, en quelques mots,les analogies qui existent entre les diverses formes de la fièvre hépatique et les accidents du même g
voquée revêtent dans quel-ques circonstances le caractère pernicieux, forme algide (Per-drigeon), forme apoplectique (Grisoll
es circonstances le caractère pernicieux, forme algide (Per-drigeon), forme apoplectique (Grisolle) (4). Ces accidents vari
les alté-rations des voies urinaires qui accompagnent les différentes formes de la fièvre uro-septique méritent d'être mises e
particu-lier, d'où dépendraient les accidents très spéciaux de cette forme de fièvre intermittente. (1) M. Charcot a vu ré
ées, dont nous devons actuellement entreprendre l'étude parce qu'elle forme un des chapitres les plus intéressants de la path
directes entre la vésicule et les parois abdo-minales, ou bien, il se forme un cloaque. L'ouverture s'opère quelquefois au ni
es et de certaines cirrhoses. Mais, je crois utile d'insister sur une forme d'angiocholite primitive, la plus intéressante pe
s attributs carac-téristiques. — c) Enfin, nous verrons que certaines formes de cirrhose se constituent quelquefois comme mala
yo-sclérotiques de la paralysie pseudo-hypertro-ptiique, les diverses formes de scléroses des centres ner-veux, la néphrite in
e scléroses des centres ner-veux, la néphrite interstitielle (une des formes de la maladie de Brigth); enfin, au premier rang,
nier point, en vous exposant succinctement le tableau de l'une de ces formes récemment décrites de l'hé-patite interstitielle
torique qui, d'ailleurs, n'est poinl étendue. Anatomiquement, cette forme d'hépatite diffère de la cirrhose vulgaire : 1° p
,920 gr. Il paraît pro-bable que jamais le volume du foie, dans cette forme , ne subit de réduction sensible, car les poids in
a cependant, nous le verrons, des réserves à faire à cet égard. La forme générale de l'organe n'est pas d'ailleurs sensibl
jouent les canalicules biliaires dans la production des lésions de la forme de cirrhose hypertrophiques que nous étu-dions.
parenchyme hépatique. Nous avons donc sous les yeux, en résumé, une forme de cirrhose dont le point de départ est dans les
é de l'ictère si souvent observées dans la clinique. Voilà donc une forme particulière d'obstruction des voies biliaires, c
que, reparaît dans l'étude clinique avec ses caractères spéciaux : la forme , le volume et quelques-uns des autres caractères
e l'espère, d'autant plus d'intérêt que de la comparaison de ces deux formes ressortira un contraste plus frappant. Un mot d
Charcot. Œuvres complètes, v. vi, Maladies du foie. 16 signer la forme d'altération du foie dont il s'agit ne doit pas ê
surtout sur les caractères cliniques, a émis l'avis qu'il existe une forme de cirrhose hypertrophique qui persiste telle que
i nous ont fait connaître les caractères anatomi-ques propres à cette forme de cirrhose, en particulier l'altéra-tion spécial
u scalpel, non plus que sur sa déformation générale qui lui donne une forme globuleuse, des bords mousses, etc. Mais, je dois
épaissie et opaque ou mieux, lorsque celle-ci a été enlevée, sous la forme de petites masses sphériques, ovoïdes, d'inégales
lir à eux seuls une ligne de démarcation tranchée entre les diver-ses formes de la cirrhose et qui, à mon sens, ont été surtou
e la cirrhose vulgaire, la cirrhose hypertrophique et quelques autres formes d'hépatite interstitielle. Ie Nous commencerons
irement à ce qu'écrivent certains auteurs qu1 ont confondu toutes les formes de cirrhose dans une môme description, le tissu c
à la fois intra-lobulaire et extra-lobulaire, Autour du lobule, elle forme des anneaux complets; mais en même temps, dans le
distinct, comme vous le voyez, du précédent, se rattache à certaines formes d'hépatite intersti-tielle encore assez mal déter
obstacle à la circulation hépatique, ces vaisseaux se dilatent. ïl se forme un courant principal. En général, c'est la veinul
rusque, heurtée, sans transition; on ne voit pas, comme dans d'autres formes de la cirrhose, la cirrhose hypertrophique par ex
bre variable de points, de foyers, où les cellules, ayant conservé la forme polygonale, sont devenues de très petites dimensi
s : Des tractus de second ordre, on voit partir des tra-vées ayant la forme d'un promontoire obtus ou acuminé à son extrémité
serai bref sur ce qui concerne l'état des voies biliaires, dans cette forme de cirrhose. Les canaux volumineux ne présentent
et la cir-rhose pourraient coïncider. La maladie de Bright, dans sa forme atrophique, est quel-quefois sous la dépendance d
t, le plus souvent, non pas avec des degrés successifs, mais avec des formes distinctes de la maladie. Avant d'aborder ce chap
respond pas exactement au point où le canal de Henle se recourbe sous forme d'anse ; tantôt, en effet, l'anse se fait aux dép
ap-pellent celles des tubuli contorti. Bientôt le conduit s'effile et forme alors le canal d'union qui s'abouche lui-même ave
e petits points fon-cés (glomérules, c) représentent le labyrinthe. forme de petits cônes moins colorés que ne le sont les
Rolliker compare ce tissu à celui de la névroglie qui, sui-vant lui, forme un véritable réticulum, un réseau de cellules; ma
és les plus superficiels de l'écorce. Dans les rayons médul-laires il forme un réseau capillaire à larges mailles, qui commun
elle se trouve à l'état de concentration extrême, c'est-à-dire, sous forme d'un dépôt cristallin. Charcot. Œuvres complète
ntournés. Étude des cylindres urinaires dans l'urine. — Variétés de forme et de volume. — Variétés suivant les caractères o
maladie de Bright. — Doctrine de l'unicité et de la mul-tiplicité des formes . — Caractères généraux des différentes formes: Gr
de la mul-tiplicité des formes. — Caractères généraux des différentes formes : Gros rein blanc; — Rein contracté; — Rein amyloï
s'observent fré-quemment chez les goutteux, en même temps qu'une des formes de la néphrite interstitielle chronique. Ces dépô
nique. Ces dépôts, qui sont visibles à l'œil nu, se dessinent sous la forme de petites stries d'un blanc crayeux dans la subs
. 2° A côté des infarctus uratiques cristallins, il faut placer une forme de gravelle qu'on pourrait appeler gravelle du re
lètes de M. Charcot, p. 425-457. (B). 3° Il existe encoró une autre forme d'infarctus uratiques, auxquels on a fait jouer u
ot), accumulées dans les canaux collecteurs, elles se présentent sous forme d'aigrettes sur la surface de section des pyramid
'a jamais vu les capsules de Bowmann obstruées par la matière qui les forme ; mais en dehors de ce point, on les peut trouver
titution des cylindres. Ceux-ci se présentent au cen-tre du tube sous forme d'une masse amorphe transparente, quelquefois gra
ns les anses de Henle ; 3° On les rencontre surtout dans les diverses formes delà maladie de Bright. 4° Dans la stéatose phosp
es entrent dans la constitution des cylindres, qui se présentent sous forme d'un magna granulo-graisseux composé d'une masse
ux contournés devront être spécialement étudiés à propos des diverses formes anatomiques de la maladie de Bright ; mais il est
qui se sont formés dans ce liquide par le repos. a) Le volume et la forme des cylindres urinaires varient très vraisemblabl
de chose à ajouter concernant la signification clinique des diverses formes de cylindres urinaires. Je me bornerai aux remarq
tielle. Leur présence peut donc servir à éclairer le diagnostic de la forme , et même dans des cas douteux, le diagnostic abso
, l'occasion de revenir sur ce sujet à propos de l'étude des diverses formes de la maladie de Briglh. III. Je me propose a
utôt de la multiplicité en matière de maladie de Bright, les diverses formes d'altérations rénales révélées à l'autopsie corre
vement chroniques; car j'éloigne du cadre de la maladie de Bright les formes aiguës d'affections rénales que l'on rapporte hab
maladie. J'aurai plus tard à justifier cette exclusion. A. Première forme . — Etiologie. — La maladie se voit surfout chez l
parties oedématiées ; symptômes urémiques moins fréquents que dans la forme suivante, et souvent provoqués par un traitement
su conjonctif n'est altéré que secondairement quand il l'est. Celte forme , qui répond, au second stade des auteurs uni-tair
st sans doute familière, je crois de-voir la conserver. B. Deuxième forme . — Étiologie. — Les sujets succom-bent entre cinq
tes, elles constituent un des caractères les plus importants de cette forme ; hypertrophie du cœur gauche, sans lésions val-v
ésions val-vulares ; rétinite albuminurique, presque spéciale à cette forme ; hémorrhagies par diverses voies ; athérome arté
nt que consécutivement. C'est donc une néphrite interstitielle. Cette forme de néphrite, exception-nellement primitive, est l
-sinets doivent en être nosographiquement séparées. C. La troisième forme a été, dans tous les écrits récents,, nettement
à tout âge, mais surtout de vingt à trente ans. CUniquement, cette forme se rapproche de la précédente par la lenteur de l
lésions. Dans mon opinion, ainsi que je vous l'ai annoncé déjà, les formes variées d'altérations rénales dont il s'agit ne r
nterstitielle) d'autre part ; le troisième type est représenté par la forme amyloïde. I. La distinction que je vous propo
« J'ai été conduit à croire, dit-il quelque part, qu'il y a plusieurs formes de maladies subies par le rein dans l'hydropisie
bien sûr que ces vues soient correc-tes », et il ajoute que les trois formes qu'il a décrites ne sont peut-être que des modifi
la néphrite albumineuse, peuvent être, suivant lui, rattachées à six formes principales, « probablement succes-sives ». La
e maladie, à l'hydropisie qui est, pour ainsi dire, la rè-gle dans la forme caractérisée par le gros rein blanc. Cet ar-gumen
ule, p. 768, 1876. — Tous ces écrits concluent à. la multiplicité des formes do la maladie de Bright. Fig. 33. — Coupe faite
vergence parmi la grande majorité des auteurs qui ont séparé les deux formes de la maladie de Bright. Seul, M. G. Jonhson a so
rappelle ce qui a lieu pour les capillaires biliaires dans certaines formes de la cirrhose du foie, cl pour les parois des al
ois des alvéroles ondes conduits alvéolaires du poumon dans certaines formes de la broncho-pneumonie subaiguë ou chronique.
ode plus avancée, le glomérule a subi la transformation fibreuse ; sa forme est encore esquissée, mais il présente un aspect
tieuse que nous venons de faire des lésions du rein, dans la première forme de la maladie de Bright, peut servir à éclairer l
e. Ce caractère lire du chiffre peu élevé de l'albumine, dans celle forme de maladie de Bright, a été remarqué par tous les
right, a été remarqué par tous les auteurs qui ont distingué les deux formes et il a servi à accuser encore cette distinction.
que, suivant tous les auteurs qui ont songé à établir entre les deux formes de la maladie de Bright une séparation tranchée,
ignaler la prédominance très marquée des ac-cidents urémiques dans la forme interstitielle de la maladie de Briglit. A. — C
ésigne sous le nom fturémie chronique. Sans entrer dans le détail des formes qu'ils peuvent présenter, je vous en signalerai s
ut arriver que l'amhlyopie s'établisse d'une façon perma-nente. Cette forme d'amblyopie n'est souvent qu'un phéno-mène précur
euvent encore, dans la néphrite insterstitielle, se présenter sous la forme aiguë, avec des caractères insolites : Io un indi
ser la pression cardiaque ; en outre, par le fait de la fièvre, il se forme une quantité anormale d'urée qui, non excrétée su
acide urique, en pareille circonstance, s'accumule dans le sang, sous forme d'urate de soude, et telle paraît être, au moins
romaleuse des artères les lésions de la rétine, fréquentes dans cette forme de maladie de Bright et inconnues en quelque sort
ein blanc (Néphrite parenchymateusë). Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique. Forme chronique. — Examen
eusë). Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique. Forme chronique. — Examen macroscopique: — tuméfaction,
Marche et durée. Messieurs, Nous étudierons aujourd'hui celle des formes de la mala-die de Bright que l'on désigne communé
ans l'affection dent il s'agit, contrairement à cé qui a lieu dans la forme précédemment étudiée, la lésion se localise tout
On reconnaît généralement, dans la néphrite parenchyma-teuse, deux formes bien distinctes au point de vue clinique : Io une
-teuse, deux formes bien distinctes au point de vue clinique : Io une forme aiguë ; 2° une forme chronique. Je n'envisage-rai
ien distinctes au point de vue clinique : Io une forme aiguë ; 2° une forme chronique. Je n'envisage-rai ici que les formes s
e forme aiguë ; 2° une forme chronique. Je n'envisage-rai ici que les formes subaiguë et chronique primitive. L'une des figu
aux, est ici effacée ; les vaisseaux ne se montrent que çà et là sous formes de rares taches disséminées. Sur des coupes, on r
e la substance corticale. B. Etude histologique. — 1° Lorsque cette forme se pré-sente dans toute sa pureté, les altération
right dans sa 3e planche (1), par Rayer dans sa 8e (2). C'est la 4e forme décrite par ce dernier auteur. Johnson appelle le
té, de sorte que, en pareil cas, la séparation établie entre les deux formes pourrait, au pre-mier abord, paraître arbitraire.
urs, les principaux états anatomiques qui doivent être rattachés à la forme de la maladie de Bright (1) Motley and tubercul
marcation subsiste sur le terrain de la clinique. À. Le début de la forme de maladie de Bright, qui se traduit anatomiqueme
odification appréciable. Valbuminurie est très accentuée dans cette forme de maladie de Brighl ; certains malades perdent d
omène le plus saillant ; elle est, pour ainsi dire, constante dans la forme de maladie de Brighl que nous étudions, et, déplu
e formulais en commençant cette série d'études, à savoir que les deux formes de maladie de Bright, caractérisées anatomiquemen
e la solu-tion, mais privée d'alcali, et elle se montre alors sous la forme d'une substance de consistance gélatineuse qui of
substance formée d'abord dans le sang, ou bien la matière amyloïde se forme-t -elle sur place aux dépens des tissus préexistants
les sont présentes, de soupçonner l'existence de l'une quelconque des formes d'altération amyloïde, en particulier l'altératio
comme causes possibles le rhumatisme articu-laire chronique, diverses formes de cancer ; il ne faut pas oublier que, dans plus
n intra-rénale du produit de la sécrétion urinaire, constituant une forme particulière d'ischurie ou d'anurie méritant vrai
me après l'extir-pation du rein. Il faut donc admettre que le rein le forme de toutes pièces, aux dépens de substances prée
asser du sang conte-nant de l'acide benzoïque et du glycocolle, il se forme dans le sang de l'acide hippurique. Cette synthès
ifiques de l'urine, urée et acide urique ; c'est là sans doute que se forme de toutes pièces l'acide hippurique qui ne préexi
arent, tandis que, dans celle qui contient l'albumine de l'œuf, il se forme à la surface une condensation jaunâtre qui repré-
pathogéniques générales de l'albuminurie avant d'aborder l'étude des formes anatomo-pathologiques de la néphrite albumineuse
r ligature du canal cholédo-que chez le cochon d'Inde). Différentes formes de la cirrhose du foie. — Les contours des lobule
; — marche chronique ; — terminaison. Analogies entre les diverses formes de fièvre hépatique et les accidents de la fièvre
ntournés. Étude des cylindres urinaires dans l'urine. — Variétés de forme et de volume. — Variétés suivant les caractères o
maladie de Bright. — Doctrine de l'unicité et de la mul-tiplicité des formes . — Caractères généraux des différentes formes: Gr
de la mul-tiplicité des formes. — Caractères généraux des différentes formes : Gros rein blanc; — Rein contracté ; — Rein amylo
ein blanc [Néphrite parenchymateuse). Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique. Forme chronique. — Examen
euse). Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique. Forme chronique. — Examen macroscopique : — tuméfaction
9 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
odeur du chloro- DERMONEUROSE STÉREOSRAPHIQUE ET ÉRYTHRASMA. 11 1 forme et de l'éther; mais sans reconnaître ces substanc
apparition d'une papule érytho- mateuse, répondant exactement comme forme et dimensions à la macule érythémateuse qui lui
cependant suivie de l'apparition d'une macule érythémateuse de même forme et de même dimension qui se recouvrit bientôt d'u
phie, 7t, 12. 188. Archives, t. XVII. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE. formes ou de croûtes de l'intertrigo et de l'eczéma de
ique pourrait en imposer; mais, alors même qu'il n'affecte pas la forme circinée qui lui est habituelle, il est plus roug
c'est-à-dire des symptômes qui peuvent figurer au tableau de cette forme ; 2° des symptômes néga- tifs, c'est-à-dire des
nt et ne doivent même pas prendre part à la constitution de cette forme clinique d'accidents spinaux. A. Symptômes posi
même, il devient un des caractères majeurs et fondamentaux de cette forme ; c'est encore une nou- velle confirmation de l
pas de ceux qui ont été observés au syndrome spasmodique de notre forme centrale spinale latérale, dont il est le seul
odique. L'étude de l'évolution., du syndrome spasmodique de cette forme a présenté les mêmes caractères dans sa marche
orme a présenté les mêmes caractères dans sa marche que celui de la forme centrale spinale latérale : à savoir un mois en
t même pas manquer de jouer son rôle dans la scène morbide de cette forme spinale. On a pu facilement remarquer que ce sy
dique un caractère fondamental. Ces deux syndromes caractérisent la forme centrale postéro-latérale. Le syndrome de sympt
Le syndrome de symptômes tabé- toïdes sert à la différencier de la forme centrale laté- raie. L'existence constante au c
e constante au contraire du syndrome spasmodique la distingue de la forme centrale posté- rieure. Les différents symptôme
dy- sesthésies ou anesthésies en plaques ; soit enfin changer de forme et se pervertir. Cette perversion est très curi
abétoïde qui constituent les deux caractères sine quia non de cette forme , passons à l'examen très rapide des symptômes n
a multiplicité et de la variabilité des symptômes du début de cette forme en d'autres termes le début est éminemment poly
ctères, dis-je, pris dans leur ensemble servent à spécialiser notre forme centrale spinale postéro-latérale. Car son tabl
éro-latérale. Car son tableau clinique, tel qu'il existe pour cette forme ne se rencontre dans aucune autre maladie connu
e dans aucune autre maladie connue du système nerveux central. C. FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE. Observation XX (M
. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 39 PATHOLOGIE DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE. Cette forme d'acc
ES. 39 PATHOLOGIE DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE. Cette forme d'accidents spinaux est bien moins fréquente qu
son observation, il nous a grandement secondé dans l'étude de cette forme clinique etje suis heureux de lui en témoigner
cas, essayons d'esquisser les grands traits de la pathologie de la forme centrale spinale posté- rieure. Avant de proc
vant de procéder à la description des différentes périodes de cette forme , je me hâte de remarquer que chez le malade de
ptôme que nous avons déjà vu dans la symptomatologie du début de la forme centrale spi- nale latérale (OBS. V). Elle a ét
étrospectif sur les trois observations qui forment la base de cette forme spinale, qu'on fixe son attention sur le mode d
s, présente généralement les mêmes caractères, quelle que soit la forme à laquelle elle appartient. En effet, chez les
tilité. Cette altération est repré- sentée chez nos malades sous la forme de paralysie. La 'sensibilité aurait été complè
du rectum figurées dans les trois observations ont revêtu la même forme que ceux de la vessie, à savoir : chez les deux
sentiel et fondamental, c'est l'aboutissant par excellence de notre forme cen- trale spinale postérieure. Passons mainten
légie spasmodique. Ce syndrome, qui était le seul aboutissant de la forme centrale spinale latérale et qui constituait av
tituait avec le syndrome tabétoïde la vraie caractéristique de la forme centrale spinale postéro-latérale fait au contrai
rme centrale spinale postéro-latérale fait au contraire défaut à la forme centrale spinale postérieure. b). Symptômes mya
essie et du rectum. A une étape plus ou moins ultérieure de cette forme , l'uniformité est encore plus prononcée chez no
is jamais progressive, tous ces caractères, dis-je, donnent à notre forme centrale spinale postérieure un cachet de spéci
ont servi à établir les grandes lignes de la pathologie de cette forme , il devient inutile et superflu de réfuter l'id
un scaphandrier, à la suite de la rupture de l'un des tubes. » D. FORME SPINALE POSTÉRIEURE. . Nous ne ferons que signa
E POSTÉRIEURE. . Nous ne ferons que signaler l'existence de cette forme , n'ayant à rapporter qu'une seule observation q
stant. Analyse. Si d'une part on ne peut nier l'exis- tence de la forme spinale postérieure d'accidents spi- naux prove
IDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. je blir la pathologie de cette forme , car un seul cas est loin d'y suffire. Nous nou
est ce qui arrive généralement chez les malades apparte- nant aux formes précédentes, comme aussi à celle qui suivra imm
un des symptômes qui appartiennent à la période du début des autres formes spinales. En effet, pas de symptômes céphalique
sera pas toutefois étonné de rencontrer des cas appartenant à cette forme dont le tableau cli- nique présente des symptôm
scaphan- dres et des symptômes de la période du début des autres formes spinales nous donne le droit de s'y attendre.
e de cas que j'espère rencontrer des malades appartenant, à cette forme et pouvoir alors constituer les grandes lignes
pouvoir alors constituer les grandes lignes de la pathologie de la forme spinale postérieure. E. FORME UNILATERALE. Su
ans la moelle épinière, soit dans les méninges, nous distinguons la forme intra-spiuale ou intra-myélitique et la forme e
nous distinguons la forme intra-spiuale ou intra-myélitique et la forme extra-spinale ou extra-myéiitiquë. A). Forme in
tra-myélitique et la forme extra-spinale ou extra-myéiitiquë. A). Forme intra-spinale ou intra-myélitique. D'après le p
, et puis, appuyé sur elles, nous établirons la pathologie de cette forme dans ses grandes lignes. Observation XXIV. -
E DE LA FORME' INTIIAMTÉLITIQUE . OU INTRASPINALE UNILATÉRALE. La forme intramyélitique ou intraspinale unilatérale est
es, afin d'esquisser les grandes lignes de la pathologie de cette forme . La symptomatologie et leur évolution ultérieur
re nous oblige à diviser en trois périodes la pathologie de cette forme : 1° la période des symptômes du dé- but ou ext
hisme du début qui constitue un des grands caractères de toutes les formes d'accidents spinaux provenant de l'emploi des s
est presque constamment troublée à cette période dans les autres formes spinales, parmi les quatre cas de la forme in-
période dans les autres formes spinales, parmi les quatre cas de la forme in- tramyélitique unilatérale, n'a été rencontr
cela même considéré comme le caractère principal, fondamental de la forme iutra- myélitique unilatérale, je me crois donc
syndrome spasmodique, qui est l'aboutissant par excellence de la forme intramyélitique unilatérale. Or, nous retrouvon
ici les deux grands caractères qui caractérisent presque toutes les formes d'accidents spinaux provenant de l'emploi des s
ale quelconque. ' variété extra-spinale OU EXTRA-MYËLlTIQUE DE la forme unilatérale Cette forme clinique doit être trop
é extra-spinale OU EXTRA-MYËLlTIQUE DE la forme unilatérale Cette forme clinique doit être trop rare pour que nous ne s
périeur droit, exaspération de ces douleurs, de temps à autre, sous forme d'attaque, rigidité musculaire du cou. Dans l'apr
étant permanentes, s'exaspéraient néanmoins de temps à autre, sous forme d'accès durant quelques minutes ; à ce moment l
urs ont beaucoup diminué d'inten- sité et leurs exaspérations, sous forme d'accès, sont devenues plus espacées et moins v
montré par la même manoeuvre. Au moment de sa contraction, il ne forme plus relief sous la peau et à la palpation, il es
u aux*vives douleurs, avec leur exaspération de temps à autre, sous forme d'accès, de la partie postérieure du cou, doule
existait pas*. Aujourd'hui, il nous semble donc indiscutable que la forme d'idiotie que nous avons décrite sous le nom d'
qué; chacun de ces états comprenant d'ailleurs un certain nombre de formes secondaires et laissant place pour les états mi
e. « Les phénomènes très complexes qu'on peut observer dans cette forme se soumettent difficilement à l'analyse. Ils ont
» M. Charcot, dans sa description, a laissé de côté à dessein les formes frustes, Les états mixtes, pensant qu'il était pr
de s'arrêter tout d'abord aux types réguliers, avant d'étudier les formes mal dessinées. M. Charcot ne rejette donc pas,
ssinées. M. Charcot ne rejette donc pas, tant s'en faut, les autres formes de l'hypnose. C'est ce dont on peut se convainc
eut se convaincre par l'exposé qu'a donné son élève, M. Richer, des formes frustes de l'hypnotisme. Il reconnaît même que
d hypnotisme, s'il répond au type parfait, représente cependant une forme rare. L'importance qu'il lui accorde tient donc
d hypnotisme constitue donc pour notre maître, nous le répétons, la forme la plus parfaite, la forme type de l'hypnotisme
pour notre maître, nous le répétons, la forme la plus parfaite, la forme type de l'hypnotisme, et c'est elle qui doit se
formation peut s'opérer. Mais, auparavant, nous devons indiquer les formes les plus importantes de l'hypnose dans lesquell
d'où plusieurs variétés possibles ; la cata- lepsie est, dans cette forme , la période qui nous parait man- quer le plus s
le il a observé l'état cataleptoïde les yeux fermés 1. Toutes ces formes que nous venons de signaler et qui cons- tituen
ns l'immense majorité des cas, chez des hystériques. Ces diverses formes du petit hypnotisme peuvent, comme nous l'avons
modifier suivant telle ou telle circonstance et se convertir en la forme type. La transformation peut être progressive.
nc, comme nous venons de le dire, un caractère qui est commun il la forme type et aux formes frustes que nous avons étudi
ons de le dire, un caractère qui est commun il la forme type et aux formes frustes que nous avons étudiées jusqu'à présent
i per- sistent dans toutes les'autres parties du corps. Outre les formes de l'hypnose que nous venons de passer en revue
econnaître l'existence d'une série d'états^ intermédiaires entre la forme type et la forme la plus effacée. Nous rappel
tence d'une série d'états^ intermédiaires entre la forme type et la forme la plus effacée. Nous rappellerons encore que
ints de vue comparer à l'attaque hystérique. De même que diverses formes convulsives ou psychiques, peuvent être rattachée
re, accès de rire, de larmes, qui peuvent être considérés comme des formes effacées de l'attaque hysté- rique. Ces cas cor
ecter un grou- pement spécial en trois états distincts. C'est là la forme la plus parfaite de l'hypnotisme, celle qu'on d
t de toute suggestion. 4° L'hypnotisme doit être considéré dans ses formes les plus parfaites comme un état pathologique.
ée en trois trousseaux distincts, la commissure postérieure qu'elle forme exclusivement, la couche optique et le lobe fro
orps de celles des cel- lules pyramidales qui possèdent encore leur forme et leurs pro- longements normaux, au lieu de co
'analogie des altéra- tion avec celles du pédoncule cérébral , leur forme au sein des cordons postérieurs , l'absence d'a
s'établit. L. Dans deux de ces cas la folie se présentait sous la forme de la mélancolie aiguë ; dans un autre, il s'ag
structure des vaisseaux cérébraux à l'état sain et dans quelques formes particulières d'aliénation. R. M. C. V. Fractur
epen- dant permis de démontrer qu'il existe précisément plusieurs formes de manie et de mélancolie. La manie reconnaîtrait
velet est relativement plus développé que normalement. Une autre forme d'atrophie est celle qui siège sur un hémisphère
asile s'engage- rait, en retour du prix de pension, à fournir, sous forme d'habi- tation, de mobilier, d'alimentation, de
te une genèse primitive, et une genèse secondaire, c'est-à-dire une forme primi- tive, une forme secondaire. La forme pri
, et une genèse secondaire, c'est-à-dire une forme primi- tive, une forme secondaire. La forme primitive existe sur- tout
daire, c'est-à-dire une forme primi- tive, une forme secondaire. La forme primitive existe sur- tout chez les alcooliques
ans les idées, hallucinatoire aigu, et finissent à la dé- mence. La forme secondaire (7 observations de M. radier) arrive
dans les idées hallucinatoire aigu. L'étiologie comporte : dans la forme primitive, outre l'alcoolisme, des inci- dents-
me, des inci- dents- occasionnels divers (2 observations) ; dans la forme secon- - daine, la séquestration antérieure (3
cérébrale, un priapisme. Les hallucinations, rares dans la première forme (elles sont simplement rares et fugitives au dé
itives au début de la maladie), accompagnent constamment la seconde forme . Conclusions : .' - 10 Le délire de jalousie pr
forme. Conclusions : .' - 10 Le délire de jalousie primitif est une forme de folie systéma- tique fondamentale, propre au
délire de jalousie secondaire apparaît à un âge plus avancé. 4° La forme primitive hante plutôt les hommes; la forme sec
âge plus avancé. 4° La forme primitive hante plutôt les hommes; la forme secondaire, surtout les femmes. 5° Le pronostic
femmes. 5° Le pronostic est généralement défavorable pour les deux formes dans les deux sexes. Discussion : M. Fuerst
antes. 11 n'y a donc pas de pur délire systématique de ce genre. La forme dite originelle ne doit pas seulement être rapp
ué, maissuractivé. Quanta la genèse, on peut en effet admettre deux formes de délire de jalousie. M. SCIIUELE rapporte un
maladies de l'appareil sexuel ne condui- sent pas forcément à cette forme de délire. Chez les veuves et les matrones on l
nquillité publiques ou leur propre sûreté, le préfet peut, dans les formes tracées par l'article 29 et sur l'avis du médec
ions à telle ou telle époque, pendant combien de temps, sous quelle forme , comment se comporte-t-elle maintenant ? Existe
s morbides observés. Quant aux agents nocifs, un tableau vient sous forme d'appendice, donner « un aperçu des professions i
qui existent entre la maladie et le crime : la criminalité est une forme de dégénérescence et c'est comme telle qu'on la
ratif auquel l'expérience semble favorable est l'assistance sous la forme du patronage familial, auquel l'auteur consacre
s pas a rapporter cette tétanisation cataleptique des muscles à une forme modifiée de t'hyperexcitabitité neuro-mus- cula
e malade qu'il vise est aliéné, qu'il est atteint de telle ou telle forme d'aliénation mentale, et qu'il est nécessaire q
e. Evreux. Ch. 11ÉRissry, imp,- 189. Z Tableau III. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE I ) ? - CATSARAS
E SPINALE POSTÉRIEURE I ) ? - CATSARAS. Tableau IV. TABLEAU DE LA FORME SPINALE UNILATÉRALE. Variété intramyélitique ou i
ainsi la région des faisceaux de Goll ; la seconde partie de fibres forme avant sa jonction à la substance blanche la par
. De l'Aphasie sensorielle. Dans les dernières an- nées, diverses formes d'aphasie ont été décrites par Wernicke', et au
fibres commissurales entre les centres visuels et auditifs 2. Ces formes particulières de troubles cérébraux peuvent êtr
comprendre les mots écrits ou imprimés qu'ils voient. Dans ces deux formes , c'est la phase passive de la faculté du langag
mité aux substantifs ou aux noms propres, et l'on a donné à cette forme le nom d'amnésie verbale. Bien que, peut-être,
rieure ne peut la faire revivre. La cécité verbale, est aussi une forme d'amnésie ver- bale, dans laquelle le malade a
de la vision des mots, ou plus généralement des signes écrits. La forme de cécité corticale qu'on a l'occasion d'observ
ALE TRANSITOIRE. Les paralysies qui appartiennent aux différentes formes décrites jusqu'à présent sont plus du moins dur
sent sont plus du moins durables. Les paralysies au contraire de la forme paralytique, que nous allons esquisser dans un
servations, qui suffi- sent amplement pour donner une idée de cette forme . Observation XXIX. Antoine Sorocos, âgé de tr
nous n'avons pu rien cons- tater. Comme on a pu le remarquer, cette forme peut se pré- senter sous trois types distincts
° le type de paralysie partielle. Quel que soit le type que cette forme puisse affecter, elle pré- sente toujours les m
n quelques heures ou en quelques jours. B. Accidents cérébraux ou formes cérébrales. Les accidents cérébraux qui peuvent
d'une pureté remar- quables. Ces cas nous permettent d'étudier les formes simples fondamentales, isolées de tout élément
ger et dégagées de tout mélange. Ce n'est qu'après avoir étudié ces formes simples qu'il nous sera facile d'analyser les c
que est constitué par des symptômes appartenant aux dif- férentes formes simples et fondamentales. Les cas qui sont tomb
ont tombés sous notre observation nous permettent de distinguer les formes simples et fondamentales suivantes : 1 , la for
e distinguer les formes simples et fondamentales suivantes : 1 , la forme aphasique; 2, la forme sensorielle; 3, la forme
imples et fondamentales suivantes : 1 , la forme aphasique; 2, la forme sensorielle; 3, la forme épileptiforme ; DES AC
suivantes : 1 , la forme aphasique; 2, la forme sensorielle; 3, la forme épileptiforme ; DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES
ptiforme ; DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 229 .4, la forme cérébrale paralytique; 5, la forme verti- gineu
PLOI DES SCAPHANDRES. 229 .4, la forme cérébrale paralytique; 5, la forme verti- gineuse ; 6, la forme de perte de connai
la forme cérébrale paralytique; 5, la forme verti- gineuse ; 6, la forme de perte de connaissance. 1. FORME APHASIQUE.
a forme verti- gineuse ; 6, la forme de perte de connaissance. 1. FORME APHASIQUE. On sait déjà que, parmi les symptôme
us allons les voir non plus à titre de symptômes, mais à titre de forme clinique. Les troubles de la parole font alors à
ulté du langage a présentées chez nos malades appartenant à cette forme , nous distinguons (a), l'aphasie motrice; (6),
des mots a figuré à titre de symptôme de la période du début de la- forme centrale spinale postérieure chez le malade de
de l'OBSER- VATION XXI. Nous allons maintenant la voir à titre de forme à part. Observation XXXV. Accident survenu le 3
ois eu tout. On assistait là à une aphasie mo- trice réitérée. 2. forme SENSORIELLE. Le lecteur aura déjà remarqué que
oculaires et auditifs peuvent figurer dans la sympto- matologie des formes diverses et multiples, provenant de l'emploi de
ont figuré comme symptômes de la période du début des différentes formes spinales ; en d'autres termes, à titre de symp-
soriels peuvent survenir chez les plongeurs à scaphandre à titre de forme clinique spéciale, autre- ment dit, ces symptôm
lors tout le tableau clinique. Il nous a été donné d'observer cette forme sensorielle soit sous la variété oculaire, soit
à la cécité provenant de l'emploi des scaphandres, soit à titre de forme clinique spéciale, soit à titre de symp- tôme.
e la période de début. Nous allons main- tenant les voir à titre de forme clinique spéciale, la symptomatologie de ce gen
complète et défi- unitive. Il a une rupture du tympan gauche. 3. FORME ÉPILEPTIFORME. Cette forme cérébrale doit certa
Il a une rupture du tympan gauche. 3. FORME ÉPILEPTIFORME. Cette forme cérébrale doit certainement être rare pour que
avons appris que depuis lors les accès n'ont jamais réapparu. 4. FORME CÉRÉBRALE PARALYTIQUE. Les différentes paralysi
voquée par M. Bernheim consiste à dire et à répéter, sous plusieurs formes différentes, qu'il n'a jamais pu repro- duire c
erexcitable; la suggestion ne fait dans ce cas que renouveler, sous forme d'images, le souvenir de l'excitation cutanée q
à savoir que cette assertion s'applique plus particulière- ment aux formes de l'hypnotisme étudiées par M. Charcot et GRAN
hoisi que des hystériques, par simple fantaisie, mais les grandes formes de l'hypnotisme peuvent' se rencontrer en dehors
d'après nous, à établir que, comme nous l'avons avancé, les grandes formes de l'hypnotisme sont sous la dépendance de l'hy
dont elles paraissent être une émanation. En ce qui concerne les formes frustes de l'hypnose, il semble souvent, il est
ance blanche de ces circonvolutions un grand' nombre de cellules en forme d'araignées. Quelquefois Béliakoff a trouvé de
e hémiplégie droite, sans aphasie, après deux attaques apoplecti- formes . A l'autopsie, on trouva une tumeur coiffant la m
et demi. La moelle comprimée, offrait par places snr une coupe, la forme d'un quart de lune, et pourtant, ses éléments h
ion fournie par une impul- sion antérieure, ne change en rien ni la forme ni la hauteur de la contraction. » Cette loi es
onnelle au nombre des excitations dans un temps déterminé. Ces deux formes se superposent ordinairement, mais elles peuven
es les terminaisons nerveuses ont une grande ressem- blance avec la forme simple des terminaisons des cellules ner- veuse
- /t6< ? 1887). Trois observations prouvant que, même dans les formes légères de paralysie faciale rhumatismale, il p
l ressort net- tement des dégénérescences typiques de l'idiotie, et forme un cercle fermé de l'écorce au cervelet et du c
central qu'il a observée chez une femme; atteinte de folie à double forme . C'est à celte lésion .qu'étaient 96 6 SOCIÉTÉS
ostic différentiel de la paralysie générale, dans la folie à double forme et je dois avouerque jel'ai vue aucontraire souve
hopathies qui en émanent, sont : en'première ligne, la mélancolie à forme stupide rarement la manie jamais la folie systé
rations, on peut, lorsqu'il existe une gros- sière altération de la forme du crâne (il ne saurait être ici question de fi
tion intime avec la folie, mais seu- lement chez les Allemands, une forme qui constitue au contraire un type normal dans
304 SOCIÉTÉS SAVANTES. un Allemand, un français, un Slave, cette forme permet de con- clure à l'ali;nation mentale.
une plus grande importance scientifique. M. 0. 111uEr,Lr·;a. Des formes initiales des psychoses.- Les premiers troubles
de volonté, l'énergie. Cet état peut, après avoir persisté sous une forme vague durant des années, disparaître par le rep
tion progressera souvent rapidement et d'une manière inattendue, la forme changeant (paralysie progressive, neuras- théni
mbre l88ï =. - Présidence DE M. LOEHR. ' M. MINDEL (de Berlin). Des formes périodiques de psychoses3. L'étude des auteurs
t dans la folie pé- riodique que la manie et la mélancolie de cette forme , auxquelles il convient cependant de joindre le
blissement psychique vrai. Quant à la transmutation des aspects des formes psychopathiques, la folie étant la maladie d'un
z. Toute cette question de la paranoia qui aujourd'hui embrasse des formes aiguës, alors que la folie systématique typique
incohérence dans les idées d'origine hallucinatoire et revêtant la forme morbide aiguë, entité morbide qui se prolonge,
les cas si nombreux aujourd'hui où la vio- lence a revêtu certaines formes : l'attaque par le vitriol ou par le revolver.
ur tout autre malade dont l'internement est provoqué et suivant les formes prescrites par les autres articles du projet de l
es observations, de savoir s'il fallait admettre avec M. Magnan une forme spéciale de délire chronique pour les dégénérés
diagnostic différentiel de la paralysie générale avec les diverses formes de la folie. Prix Beluomme. 1,000 francs. Quest
térature un peu touffue, si l'on n'a point présentes à l'esprit les formes diverses qu'ont traversées les doctrines de ces
de distinguer l'hémia- nopsie de l'héiiiiamblyopie. Les différentes formes de cécité chromatique ont échappé jusqu'ici à l
aitis; Membre de la Société )Iedico-psycliologiqtje de l'aiis. 0. FORME MENTALE. Cette forme ne doit pas être très rare
ociété )Iedico-psycliologiqtje de l'aiis. 0. FORME MENTALE. Cette forme ne doit pas être très rare. Nous avons entendu
dans la phréniatrie une espèce de manie aiguë qui se présente sous forme d'un accès caractérisé par une invasion brusque
herons d'expliquer alors les éléments de son tableau clinique. La forme mentale peut-elle revêtir d'autres types, et le
es types, et lesquels ? ... C'est ce que nous ne savons pas... 6. FORME VERTIGINEUSE Nous avons déjà rencontré les vert
, surtout parmi les symptômes de la période du début des diverses formes cliniques. Il ne me serait pas difficile de mul
de multiplier à l'infini les cas qui appartiennent aux différentes formes cliniques et dont la symptoma- tologie du début
plus à titre de symptôme d'importance secondaire, mais à titre de forme clinique dans laquelle le ver- tige est le symp
me de Ménière est à son origine, il se présente cliniquement sous forme de paroxysmes; en d'autres termes, le ver- tige
ysmes; en d'autres termes, le ver- tige fait son apparition sous la forme de crises distinctes, courtes et séparées par d
des sujets en proie depuis longtemps à la maladie de Ménière. 7. FORME DE PERTE DE CONNAISSANCE. ' La perte de connais
res, et surtout, dans la symptomatologie de la période du début des formes spinales. Les obser- vations suivantes nous mon
e peut figurer, non pas à titre de symp- tôme, mais bien à titre de forme clinique distincte. Elle constitue alors, à ell
BBRO-SPINALE. , Nous avons jusqu'à présent décrit les différentes formes des accidents spinaux et cérébraux, suivant que
moelle épinière ou bien au cerveau. En décrivant les différentes- formes spinales, nous avons, il est vrai, plusieurs fo
ermes nous sommes en présence des affections cérébro-spinales. La forme cérébro-spinale ne parait pas fréquente, nous a
, parait démontrer que la manie transitoire peut exister à titre de forme clinique à part, consti- tuant à elle seule tou
mme nous l'avons déjà bien des fois rencontré, mais bien à titre de forme clinique à part, c'est-à-dire que l'élément dou
rer dans la symptomatologie des malades appartenant aux différentes formes cliniques. Je dis seulement qu'il est rare de v
ixième jour, après avoir fait cinq immersions, son corps reprend la forme , c'est seulement les plaques noirâtres et les e
é les différentes DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 413 formes cliniques, isolées de tout mélange, et déga- gé
est composée par des symptômes qui appar- tiennent aux différentes formes décrites. C'est ainsi que la surdité, par exemp
tranger et par cela même constituer la variété auriculaire de notre forme sensorielle, l'apha- sie qui, elle aussi, peut
l'avons déjà étudiée, simple et pure, de manière à constituer la forme aphasique. La perte de connaissance qui à son t
son tour peut, isolée de tout autre symptôme, figurer à titre de forme clinique. Ces trois symptômes, dis-je, l'aphasi
njonctives accompagnée de brûlure comme symptômes oculaires de la forme sensorielle; les douleurs aux lombes et à l'est
autre symptôme céphalique assez fréquent; l'aphasie motrice de la forme aphasique ; une véritable crise mentale de notr
otrice de la forme aphasique ; une véritable crise mentale de notre forme mentale; les vertiges de la forme vertigineuse;
éritable crise mentale de notre forme mentale; les vertiges de la forme vertigineuse; enfin une parésie des membres inf
de réten- tion d'urines qui, elle aussi, peut survenir à titre de forme clinique à part, formant alors à elle seule le ta
ont la plupart à l'état de simplicité, d'isolement, constituent les formes cliniques spéciales, peuvent coexister, se succ
iples qui, à l'état de simplicité et d'iso- lement, constituent les formes typiques et simples. Ces combinaisons, cette co
s analyser, comme nous l'avons déjà démontré; et quelle que soit la forme sous laquelle puisse se pré- senter ce Prothée,
té de le saisir et le reconnaître par la connais- sance précise des formes simples et typiques que nous avons déjà si long
s le possédons à fond, notre oeuvre est presque achevée. Toutes les formes atypiques et anor- males peuvent être aisément
re d'être atteint à différentes époques de son travail de la même forme d'accident, à preuve, par exemple, le malade de
dante, décompression extrêmement brusque. Accident appartenant à la forme centrale spinale latérale. Histoire. Demetres G
ents douloureux multiples; 2° Un accident cérébral appartenant à la forme pa- ralytique, type hémiplégique ; 3° Un acci
lytique, type hémiplégique ; 3° Un accident spinal appartenant à la forme cen- trale latérale. Observation LX. le, ac
entes. - Accident appartenant ci la variété inlramyé- litique de la forme spinale unilatérale. Le nommé Antoine Antonogim
accident survenant par l'emploi des sca- phandres, l'aphasie de la forme aphasique et l'hémi- plégie de la forme cérébra
phandres, l'aphasie de la forme aphasique et l'hémi- plégie de la forme cérébrale paralytique ont contribué à la consti
ransi- toire. Enfin le quatrième est un accident appartenant à la forme spinale unilatérale et plus spécialement à la v
latérale et plus spécialement à la variété intramyélitique de cette forme . De ces observations, on peut voir combien est
y a parfois un strabisme mani- feste. Le n° 66 est atteint d'une forme d'ophthalmoplégie externe que M. Parinaud regar
u nom d'ophthalinoplégie hystérique pour le distin- guer des autres formes . Dans cette ophthalmoplégie hys- térique, ce so
e de l'affection (polycéphalite supérieure de Vernick). C'est là la forme classique de l'ophthalmyplégie exter- ne, qui r
ns la substance grise. Les cellules sont granuleuses, opaques, leur forme est arrondie, elles sont privées de leurs prolo
son noyau. Une autre lésion est la vacuolisation : le protoplasma forme un mince réseau de filets qui s'étendent dans tou
de ces granula- tions, les unes sont dans le protoplasma et ont une forme irrégulièrement sphérique, les autres sont dans
la dégénérescence graisseuse des éléments nerveux. Dans les autres formes de l'aliénation mentale, on trouve exactement l
re vivant, et pour chaque moment de l'état du nerf, il existe une forme déterminée de la striation. VIII. FAITS CLINIQU
velles de l'Université de Varsovie, n° 4,1888. llloczouthowshy. Des formes hystériques de l'hypnotisme. Odessa, 1888. La
tie dégarnies supportent des dents noires, cariées, irrégulières de forme et d'implantation ; la chevelure noire peu abon
vres épaisses, langue volumineuse ; dents cariées irrégulières de forme et d'implantation ; joues pendantes ; cheveux peu
s rapportés précédem- ment, nous parait justifier la création d'une forme particu- lière d'idiotie, sous le nom d'idiotie
More), ce qui en souligne l'idée mai- tresse, ce qui, en un mot, en forme la clé de voûte. C'est parce que ce clinicien a
l propose, un certain groupe dénom- mé : jolies multiples. Que deux formes mentales se juxtaposent chez un même individu,
myosite parenchymateuse subaiguë. L'auteur conclut qu'il y a une forme de myopathie primitive aigué, voisine des formes
nclut qu'il y a une forme de myopathie primitive aigué, voisine des formes chroni- ques. M. le B. SACHES (de New-Yorl;).
ales progressives (1° type de la main; 2° type de la jambe dont une forme , la forme péronéale), Il. Dystrophies primitive
essives (1° type de la main; 2° type de la jambe dont une forme, la forme péronéale), Il. Dystrophies primitives progress
Il. Dystrophies primitives progressives (1° pseudo-hypertrophie; 2° forme d*Erb). Il range la forme Déjerine-Laudouzy dan
progressives (1° pseudo-hypertrophie; 2° forme d*Erb). Il range la forme Déjerine-Laudouzy dans la forme d'L : rb. M. le
ophie; 2° forme d*Erb). Il range la forme Déjerine-Laudouzy dans la forme d'L : rb. M. le De JACOBY pense que l'atrophie
onclusions conformes à la théorie. N'y a-t-il là qu'une question de forme , un procédé d'exposition qu'il était loisible de
toucher à la question du libre arbitre, poser la question sous une forme conciliable avec toute hypothèse et conclure sa
une mo- dification d'une impulsion extérieure, c'est-à-dire en une forme parti- culière de mouvement (Première partie :
ataxie décrite par Grasset. Le Dr lnapp pro- pose de donner à cette forme le nom de spasme du mouvement. - A. R. X% La
311; reproduction graphique de la marche des -, par Arndt, 30; formes initiales des -, par Mueller, 305. Rage (exam
10 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
ncéphalique, enveloppée encore par la dure-mère, se présenter sous la forme d'un ovoïde régulier, dont la grosse extrémité ré
mité au front. Cette masse encéphalique, solidement maintenue dans sa forme et ses dimensions par les méninges, se compose de
a boîte crânienne. Mais en réalité les hémisphères ne conservent leur forme qu'à la condition d'être enserrés par la pie-mère
rent les artères lenticulo-striées. L'espace perforé antérieur a la forme d'un quadrilatère dont les deux côtés antérieurs
u chiasma et qui sont (schéma 3) sectionnés dès leur origine, ont une forme régulièrement cylindrique. Le tuber cinereum (TC)
appelée lobule de l'hippocampe (I1L). Le lobule de l'hippocampe a une forme très caractéristique : c'est un fuseau légèrement
pe est la plus interne des circonvolutions temporales; c'est elle qui forme la limite externe de la base du cerveau; c'est el
onnel, en effet, que ce faisceau s'étale à la surface du pied sous la forme de bandelettes minces, plus ou moins dissociées.
n'étudierons que l'hémisphère cérébral. L'hémisphère cérébral a la forme d'un demi-ovoïde, dont la grosse extrémité répond
é verticalement d'avant en arrière (coupe sagittale), pour montrer la forme des cavités de l'hémisphère. — AQ, aqueduc de Syl
es on a donné le nom de ventricules. Pour se rendre bien compte de la forme et de l'étendue de ces orifices, il faut avoir so
le tuber cinereum. Mais on ne peut concevoir avec quelque netteté la forme générale des ventricules eux-mêmes qu'en pratiqua
s ventricules latéraux. Le schéma 8 (B) donne une idée générale de la forme du ventricule latéral droit. En avant, le ventr
er que le ventricule latéral est creusé dans la substance blanche qui forme la majeure partie de l'hémisphère. Cette substanc
anche à fibres transversales, présentant sur les coupes sagittales la forme d'un arc régulier à grand rayon, terminé en avant
médiatement en arrière du point de réflexion du trigone; ce noyau, de forme elliptique, est incliné en bas, en avant et en de
rémité antérieure, très mince, très effilée, rectiligne, horizontale, forme une crête saillante, Yhabénule (HAB) ou rêne, ou
ou moyenne (CM). Cette commissure n'est pas absolument constante; sa forme et son siège sont variables; quelquefois elle est
pied ou pédoncule du septum. psp. Le pied du septum pellucidum a la forme d'une petite bandelette blanche située en arrière
mal ici, sur le profil du cerveau, mais dont on conçoit facilement la forme et les rapports. Partie de la région postérieure
septum. Elle se compose de deux couches : une antérieure blanche, qui forme une véritable commis- 1. Il y a ici une confusi
; et derrière le corps genouillé externe on constate que le thalamus forme une grosse tuberosi té, libre dans le carrefour v
i pouvaient présenter certains caractères constants de rapports et de forme . La division de l'hémisphère en grands départemen
as et en avant : la scissure occipitale interne (Oi, schéma 14). Elle forme avec la calcarine un angle ouvert en arrière, don
position générale des plis de l'écorce commence à se rapprocher de la forme définitive. Il y a peu de modificji-tions à signa
ans la région antérieure ou frontale. La scissure limbique (L), qui forme la limite postérieure du lobe para-central (Pa) e
i a valu le nom de circonvolution de Vourlet. Un des plis de l'ourlet forme le pli de passage pariéto-limbique (tcL), qui réu
u temps séparé du premier sillon sous-frontal (sF) par un pli tardif, forme la limite antéro-supérieure du grand pli de passa
deuxième sillon sous-frontal (sf) la première circonvolution frontale forme le bord inférieur de l'hémisphère et le bord inte
la troisième circonvolution frontale (F=^), dont elles compliquent la forme et le trajet. La scissure de Rolande {R) augmente
Cette circonvolution fait le tour de la branche verticale de Sylvius, forme le cap (CAP), décrit une nouvelle courbe autour d
ux, et même monstrueux. La plupart du temps la monstruosité dans la forme a pour conséquence une irrégularité dans la fonct
de la moitié postérieure du corps calleux. Chacun de ces ourlets a la forme d'un petit pentagone; ils sont le plus souvent au
aucune anomalie1 ; cela n'empêche pas qu'il soit extraordinaire : sa forme , la multiplicité des sillons continus ou isolés q
e rameau (S'"), n'est autre chose que le cap. Mais le cap n'a plus sa forme schématique. S'il s'agissait d'un hémisphère gauc
onvolution est complètement modifié; on n'y reconnaît plus rien de la forme typique. Il suffit pourtant de constater que l'in
croissement du cerveau, aucune modification appréciable, ni dans leur forme , ni dans leur épaisseur. Il est donc plus que vra
ns ou les scissures apparaissent à des époques relativement fixes, la forme et le volume des circonvolutions qui les entouren
troisième frontale gauche ; mais nous avons vu combien de variétés de formes peuvent modifier le type schématique de cette cir
Mais si l'existence des scissures et des sillons est constante, leur forme , leur direction, leurs courbures, leur profondeur
upérieure est le prolongement supérieur du sillon post-rolandique; il forme la limite antérieure du lobule pariétal supérieur
diant l'anatornie descriptive de l'hémisphère, se rendre compte de la forme générale de la cavité ventriculaire. Nous avons d
ore deux coupes sagittales utiles à faire pour se rendre compte de la forme intérieure de la corne sphénoïdale. Mais on ne sa
mpe (Hip). Celle circonvolution, vue de la cavité ventriculaire, a la forme d'une pyramide à large base, occupant toute la mo
a, s'enroule sur elle-même et vient se montrer à l'extérieur, où elle forme le fascia dentala (Fd). On peut constate)' que la
me circonvolution frontale, qui la recouvre comme un U renversé. Elle forme avec la branche hori FACE EXTERNE DU CERVEAU.
antes et dont Broca a nettement précisé le siège : l'une, supérieure, forme un angle ouvert en arrière ; c'est le genou supér
e ouvert en arrière ; c'est le genou supérieur ; l'autre, inférieure, forme un angle également ouvert en arrière : c'est le g
x genoux des deux circonvolutions rolandiques, la scissure de Rolando forme un angle ouvert en avant, qu'on peut appeler le c
; il a une direction presque perpendiculaire à celle de ce sillon. Il forme la limite supérieure de la troisième circonvoluti
moyenne. fir Le sillon de la deuxième circonvolution frontale a une forme étoiléc. Il divise réellement la circonvolution e
mais on le retrouve au voisinage de la convexité, où il a encore une forme étoiléc. soe. Le sillon orbitaire externe sépar
quel vient se jeter l'extrémité antérieure du sillon pariétal (p). Il forme la limite antérieure du pied du lobule pariétal i
ve immédiatement au-dessous, en dehors et en arrière de ce pli ; elle forme la limite du pli courbe (PC) et de la première ci
(GPs) et le genou inférieur (GPi). En bas, la pariétale ascendante forme une moitié de l'opercule rolandique (OR) ; l'autr
re, est formée parla frontale ascendante (F). La pariétale ascendante forme aussi une moitié de l'opercule pariétal (OP) ; l'
ur de la calcarine (K'). 03. La troisième circonvolution occipitale forme le pôle occipital (PO). Elle se continue sans auc
enfin le pli courbe (PC). T2. La deuxième circonvolution temporale forme le pôle sphénoïdal (PS). Elle s'étend d'avant en
ième circonvolution occipitale (O3). C'est la même circonvolution qui forme le bord inférieur de l'hémisphère, depuis le pôle
passage externe de GratioleL (tcP), de telle sorte que le pli courbe forme deux saillies convexes au-dessous du sillon parié
où celle-ci se relève vers le bord de l'hémisphère. Elle présente la forme d'une étoile à trois branches, servant de limite
étal transverse (pt). BQ. Le bourrelet du lobe carré a également la forme d'un riangle, à très large base postérieure, repr
raî-uncique {PRU) et par le troisième sillon occipito-temporal, a une forme mamelonnée qui ne correspond pas à l'aspect qu'il
ronto-limbique (tcF). Déjà à ce niveau elle décrit un méandre dont la forme rappelle celle de l'ourlet antérieur (PEA), et où
(OT^), il devient indispensable de reproduire exactement la véritable forme de cette région, dont aucune figure schématique f
ès fréquemment dans cette région du sillon pariétal, qui présente une forme étoilée. P. La circonvolution pariétale ascenda
gyrus métopique postérieur (GMP). C'est la scissure limbique (L) qui forme la limite inférieure de ce pli. Mais, par compens
ux, prend un accroissement anormal; c'est elle qui, par compensation, forme le tubercule de jonction (TJ) et le gyrus vestibu
me les figures de la planche précédente, à montrer les différences de forme et de rapports des circonvolutions, et, du mémo c
e grand sillon métopique en est effacé; il ne se présente que sous la forme d'une double incisure, assez profonde d'ailleurs
yrus postérieur du lobe carré (GQA, GQP). 0^ Le cuneus présente une forme très compliquée. Cela tient à ce qu'il est parcou
le également large et épaisse, très sillonnée dans toute son étendue, forme le bord siqiérieur et interne de l'hémisphère. Le
' devant du tubercule du fascia dentata (Tf), s'amincit et prend une forme en croissant à concavité antérieure. Si l'on écar
d'anastomoses sont le plus inconstants, soit au point de vue de leur forme et de leurs anastomoses, soit au point de vue de
\ La troisième circonvolution temporale, très large, et qui cependant forme le bord inférieur de l'hémisphère, est repliée pl
, limitée en avant par le sillon prse-uncique (PRU), apparaît sous la forme d'un losange à grand axe antéro-postérieur et lég
volution temporale (T''). 0\ La troisième circonvolution occipitale forme le pôle occipital. Elle s'anastomose avec le gyru
mporal de la première figure. Cette dilïe-rence tient au nombre, à la forme et au siège des plis d'anastomose qui unissent la
erveau schématique, une bifurcation à branches transversales. Mais la forme de la quatrième circonvolution occipitale (0*) es
lement fait disparaître le trait transversal du sillon en //; mais la forme générale du lobule orbiiaire se reconnaît sans di
et en dehors, beaucoup plus loin que la tète du noyau caudé (NC) qui forme sa paroi externe. La corne postérieure du ventr
optique (NiC). Substance grise. NC. Le noyau caudé homogène a la forme d'un ovoïde; il fait saillie dans le ventricule f
nue en arrière avec la première temporale (T*) ; cette circonvolution forme une longue languette oblique en avant et en dehor
rizontales où il ne fait pas corps avec le noyau caudé, présente la forme d'un quadrilatère : le côté externe, le plus éten
le (2, Pl. X), les trois segments du noyau lenticulaire présentent la forme d'un triangle dont le sommet est représenté par l
arrière et en dehors du tubercule quadrijumeau antérieur, le thalamus forme une saillie à convexité interne, constituée par u
pitale. A la face externe, la deuxième circonvolution frontale (F*) forme un pli isolé; plus en arrière, elle se confond av
e la troisième temporale, le troisième sillon temporal (L), dédoublé, forme la limite antéro-externe de la quatrième circonvo
gris fronto-sphénoïdal est la substance grise du gyrus falciforme. Il forme la paroi supérieure de la vallée de Sylvius. 11 e
Le fascia dentata est la portion libre de l'écorce, dans le repli que forme la circonvolution de l'hippocampe (0^), au voisin
postérieure de l'hémisphère est plus variable que toute autre dans sa forme et dans ses dimensions. Toutefois, lorsqu'on fait
pôle occipital jusqu'au voisinage du pôle sphénoïdal, et qui, dans sa forme et ses connexions profondes, est toujours à peu p
interne, on reconnaît la scissure perpendiculaire interne {Oï)-, elle forme la limite supérieure du cuneus (0®), lequel est e
ipito-temporal {oQ et la troisième circonvolution temporale (T^), qui forme le bord inférieur de l'hémisphère. Cavité ventr
misphère. Cavité ventriculaire. Elle a sur le plan de section une forme rectangulaire, un bord supérieur, un bord inférie
e du cerveau; nous savons que, quand elle ne se présente plus sous la forme d'un carré, elle est reconnaissable encore au mil
est reconnaissable encore au milieu de la substance blanche, sous la forme d'une petite fente verticale à concavité interne.
us allongé dans le sens vertical, et se moule assez exactement sur la forme de la paroi externe du ventricule à laquelle il e
riculaire. Elle est plus large et plus haute, tout en conservant sa forme régulière de rectangle. Substance blanche. FS
ceau des fibres inférieures du forceps major (FOi) est plus épais. Il forme nettement la paroi supérieure de la cavité ventri
e particularité que son angle inléro-interne s'allonge en dedans sous forme d'une pointe, correspondant au sillon inféro-inte
itif, en s'incurvant au-dessous de la paroi inférieure du ventricule, forme en bas et en dehors une assez forte saillie, diri
ale, mais sans l'orieutation sur un liéniisplière donné. Mais si la forme et les dimensions des circonvolutions sont dilïér
scissures. Écorce. C'est toujours le sommet du lobe carré (Q) qui forme le bord supérieur de l'hémisphère. A la face inte
actement à ce que nous avons appelé le Cap (CQ). Le cap du lobe carré forme , comme on le voit sur la figure, un véritable ope
dehors du gyrus fusiforme, la troisième circonvolution temporale (T") forme le bord inférieur de l'hémisphère. A la partie
es n'ont pas encore pris cette direction, et on les distingue sous la forme d'une strie foncée, antéro-postérieure, aplatie e
és en revue sur la figure précédente. Cavité ventriculaire. 1^ De forme rectangulaire, elle n'ofirc de spécial que l'appa
toujours des plus simples. FOm. Le faisceau moyen du forceps major forme la voûte du ventricule latéral. Une partie seulem
en arrière; plus en avant, c'est le faisceau supérieur du forceps qui forme la paroi externe du ventricule (voy. fig. 10, FOs
cingulum. Cependant on constatera tonjours (jue ce dernier affecte la forme représentée sur la figure 8, la maj(Hire partie d
poral {t^). Enfin, la troisième circonvolution temporale (T% fig. 12) forme le bord inférieur de l'hémisphère. Cavité ventr
aire. Elle s'agrandit graduellement, mais en conservant toujours sa forme quadrangulaire. Substance blanche. FS. Le fai
rontale ascendante par la scissure de Rolando. A la face interne elle forme le lobule paracentral (Pa), lequel est limité en
ion qui réunit ces deux circonvolutions. Cavité ventriculaire. Sa forme , comme on peut le voir, se modifie notablement, s
fig. 14, 15 et suiv), à l'angle inféro-externe du ventricule, sous la forme d'un petit faisceau compact (FLi), vertical, situ
vent leur direction antéro-postérieure. Un notable changement dans la forme et la direction de ce faisceau se manifestera sur
ntricule, il se place en dehors du faisceau moyen du forceps (FOm) et forme la presque totalité du tapetum. Son extrémité inf
her de la cavité ventriculaire est légèrement bombé; la saillie qu'il forme ainsi, très variable suivant les sujets, dépend e
rtie de la longueur du cerveau, jusqu'au genou du corps calleux. Elle forme la limite inférieure de la circonvolution du corp
ieux séparé de lui à ce niveau. On voit ses fibres, disposées sous la forme d'un triangle à sommet inférieur, pénétrer dans l
cavité ventriculaire est notablement augmenté et se présente sous la forme d'un ovale blanc sur lequel se dessinent des stri
e-ci avait déjà fait son apparition (même planche, fig. 14) sous la forme d'un mince fuseau (FLi), dans une région correspo
les. Elle s'avance dans la cavité échancrée à ses deux extrémités, et forme une saillie qui, dans la terminologie adoptée dep
angles, le faisceau moyen du forceps proemine dans la cavité, dont il forme la paroi supérieure qui est en quelque sorte flot
bulbe », cxclusive- BRISSAUD. (J ment composé de fibres blanches, forme sur la voûte du ventricule deux saillies. La sail
ivant la direction générale indiquée par lastriation du faisceau, qui forme le plafond ventriculaire ; et il est facile de se
) n'a que l'aspect d'un pli superficiel. Cavité ventrieufaire. La forme quadrilatérale est toujours reconnaissable. Seule
e par le faisceau moyen du forceps, proéminant dans la cavité sous la forme d'une ligne sinueuse (BCP), marquant la section d
ions plus antérieures. On voit donc diminuer peu à peu la saillie que forme le bulbe de la corne postérieure. En même temps,
dans le plan de la section. — Les trois faisceaux en question ont une forme et une situation absolument constantes. 11 est fa
ite Broca, un seul et môme pli fondamental, modifié seulement dans sa forme , chez les primates et surtout chez l'homme, par l
supérieure du corps calleux (ce), composée de fibres transversales, forme en arrière une courbe à concavité postérieure app
t s'allonger entre le forceps et la bandelette cendrée (Fci), sous la forme d'un triangle à sommet supérieur, dont la pointe
eau moyen du forceps (FOm), celui des trois faisceaux du splenium qui forme la voûte de la corne occipitale. Les fibres ainsi
n de l'hippocampe. FPF. Le faisceau pariéto-frontal ne change ni de forme ni de rapports. Il prend de nouvelles insertions
st passé de la quatrième temporale à la cinquième, les rapports et la forme générale du sillon sont identiques à ce qu'ils ét
de la bandelette cendrée (fig. 31, Tf). Cavité ventriculaire. La forme quadrilatérale de la section ventriculaire, encor
diatement à la substance grise du grand sillon occipito-temporal (oQ, forme avec la face interne un angle ouvert en dehors et
onvolution de l'hippocampe. — Le grand sillon occipito-temporal (at^) forme toujours la limite inférieure et externe de la ci
ADRIJUMEAUX POSTÉRIEURS, PUIS ENTAMANT CES TUBERCULES. Écorce. La forme de la coupe et les rapports profonds des circonvo
téral, obliquement en haut et en dedans. On lui reconnaît toujours la forme quadrilatérale, mais avec de profondes modificati
nférieures du corps calleux se portent directement en dehors, sous la forme d'une bandelette blanche, qui va former, à la fac
A PARTIE MOYENNE DU TUBERCULE QUADRIJUMEAU POSTÉRIEUR. Écorce. La forme des surfaces de section est absolument la même qu
gion inférieure, où le plancher et ses deux angles conservent la même forme et les mêmes rapports. Dans la région supérieure,
s reculée de la couche optique apparaissent sur cette planche sous la forme d'un ovale (Th), foncé en dedans, clair en dehors
lleux augmente d'épaisseur sur les figures 37 et 38, puis diminue. La forme du splenium permet de comprendre ces Variations
une partie (TAP, fig. 37, 42) se réfléchit d'arrière en avant sous la forme d'une lamelle foncée, située verticalement dans l
facilement dans la région limbique (fig. 59, 41). Ses rapports et sa forme sont ceux que nous avons déjà signalés. Dans la
la circonvolution limbique, est très caractérisé. Nous connaissons sa forme de croissant; elle reste maintenant invariablemen
érieures, elle présente, au voisinage du pulvinar une irrégularité de forme qui tient surtout ici aux rapports de la fìmbria
tes elle disparaît; ses fibres antéro-postérieures, disposées sous la forme d'une bandelette excessivement ténue, courent sur
calleux à travers la lame médullaire du fasciola cinerea. Cette lame forme en bas, au-dessus du fascia dentata (Fd) la lame
e la corne d'Am-mon, ou substance réticulaire d'Arnold. En haut, elle forme le tractus de Lancisi (NEL), situé au-dessous du
cette couche grise à la partie supérieure de la corne d'Ammon. Elle y forme en effet (fig. 45, 46) un revêtement blanc, étalé
stance réticulaire dArnold ; elle ne se présente pas en effet sous la forme d'une enve- Fragment de la circonvolution de l'
rrogation horizontal. D'autre part, nous savons que le fascia dentata forme une série de saillies godrormées à la surface de
nt les points où on l'examine, de grandes différences de volume et de forme , mais partout continue avec elle-même, sans aucun
ait avec la face externe de la corne d'Ammon dans le ventricule. Elle forme la paroi interne du ventricule ; on la retrouve,
, 47) consiste surtout en fibres transversales dont la majeure partie forme le tapetum. Il en est ainsi dans toute la région
supéro-interne du ventricule ; elle descend vers la corne d'Ammon et forme l'alveus (ALY) ; une externe (FI), située en deda
scissure de Rolando (R) est sectionnée dans son axe même, là où elle forme une concavité antérieure (voy. Schéma, 81). Cette
eau rolan-dique ou faisceau arqué, remarquable par la constance de sa forme et de ses rapports. Laq. Le laqueus n'offre rie
n qui, par le fait du relèvement du fond de la scissure de Sylvius, forme une sorte de péninsule, est ce qui a été déjà étu
s les figures de cette planche), au niveau de son entrecroisement. Il forme à gauche de la ligne médiane un demi-cercle régul
rface des tubercules quadrijumeaux, dont elles indiquent vaguement la forme et le volume. La voussure des deux tubercules qua
e la planche XXI. BQP. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur forme une masse de fibres beaucoup plus importante que
e la calotte se présente toujours, sur les coupes verticales, sous la forme d'une lame de hache dont la convexité répond au l
n verlico-lransversalc do la moitié gauche de la calotte, montrant la forme en lame de hache du faisceau du tegmentum (TEG).
sous-optique. Mais les fibres transversales qui modifient le plus la forme de la bandelette sous-optique sont surtout celles
lum (fig. 64), régulièrement compact sur tout son trajet, présente la forme en croissant que nous avons déjà signalée (voy. p
tricule latéral s'aplatit de plus en plus. Elle conserve toutefois sa forme générale. La corne sphénoïdale diminue de haute
u sensitif interne (FSi, fig. 70). Dans cette région le thalamus ne forme donc d'abord qu'un seul noyau (fig. 68). Mais bie
. Le laqueus, nettement reconnaissable à sa coloration claire et à sa forme arquée (fig. 67), est limité en dedans par le teg
ct du corps genouillé interne, c'est le faisceau de Turck-Meyncrt qui forme la surface de la région du pont. A partir de cett
ongement de la fente de Bichat dans le ventricule. Elle a toujours la forme d'un croissant à concavité inférieure ; elle est
phénoïdal. TRI. Le trigone cérébral (fig. 68) diminue de largeur. H forme une mince languette de fibres obliques, ou presqu
(P^ fig. 67), se condense au-dessus de la scissure de Sylvius sous la forme triangulaire que nous retrouverons ultérieurement
interne de l'hémisphère, que le ganglion de l'habénule (GH, fig. 76) forme une convexité qui peut arrriver jusqu'à la ligne
4, 76, 77), libre dans la corne frontale du ventricule latéral, où il forme une proéminence régulièrement convexe, repose sur
proéminer en arrière, dans le carrefour ventriculaire, tantôt sous la forme d'un hémisphère assez régulier, tantôt sous l'asp
miné. 11 semble, toutefois, que cette-tubérosité, si variable dans sa forme extérieure et dans ses dimensions, ne doive pas ê
pulvinar proprement dit (Pul). Tout à fait en arrière, le pulvinar forme donc tout à la fois la face supérieure et la face
ue la coupe commence à entamer le noyau externe (NeC), le pulvinar ne forme plus que la face inférieure. 11 coiffe les deux c
qu'au-dessous de l'habénule, la substance grise de la couche optique forme la paroi du troisième ventricule. Le fait que le
omme. Assurément il est moins limité que chez certains animaux, où il forme une saillie quelquefois considérable. Mais si ses
on fissuraire qui sépare le ganglion de l'habénule du thalamus et qui forme l'angle inféro-interne du ventricule moyen (fig.
es uns des autres, suivre le même trajet, toujours du côté gauche. La forme et le mode de réunion de ces fascicules varient b
e l'encéphale et le corps genouillé externe. 11 est à la surface ; il forme la paroi supérieure de la fente de Richat. Ses fi
atum zonale du corps genouillé externe (fig. 75, ZGE) indique déjà la forme extérieure de ce noyau, dont la substance grise,
iscus (Lem) et du laqueus (Laq, fig. 75). • Il résulte de là que la forme en lame de hache perd de sa netteté au fur et à m
pl. XXÏI, p. 238). ARC. Le faisceau arqué (fig. 73, 77) présente la forme caractéristique d'un triangle dont le sommet le p
s leur ensemble, le faisceau dont la coupe vertico-transversale a une forme triangulaire si spéciale. Si la base du triangle
n petit fait assez important. Le corps genouillé externe, on le sait, forme au-dessous de la couche optique une saillie très
aux (FP et LTE). Pcs. Le pédoncule cérébelleux supérieur a perdu sa forme primitive de demi-cercle : ses fibres médianes s'
(FM, fig. 82, 83, 84). FSi. Le faisceau sensitif interne (fig. 79) forme la majeure portion des fibres qui passent au-dess
ps genouillé (GE, fig. 80), la couronne rayonnante apparaît sous la forme de stries claires insensiblement confondues avec
'étale dans le recessus antérieur du sillon de l'hippocampe dont elle forme le plancher. A ce niveau, avons-nous dit, elle co
g. 85, 87, 89). Après la la disparition du ganglion de l'habénule, il forme la paroi du ventricule moyen jusqu'au fond de la
alité, il ne se confond pas immédiatement avec la capsule interne; il forme même la limite de séparation de la capsule et de
supérieur du pédoncule cérébelleux inférieur (Pcs, 85) emprunte une forme circulaire à la convexité postérieure du noyau ro
sent. IS. Le stratum intermedium (Meynert), ainsi nommé parce qu'il forme une couche lamellaire de fd^res interposées entre
e (GE) ; ensuite il réapparaît à la face externe de ce noyau, sous la forme d'une crête rayonnante, foncée en dedans, claire
isceau pyramidal pénétrer directement dans la capsule interne sous la forme d'une masse compacte de fibres claires, limitée e
oupe supérieur va se perdre dans le centre ovale; le groupe inférieur forme une notable partie de la couronne rayonnante du n
'est pas encore désigné sur les coupes de la planche 25. Mais déjà sa forme se dessine : le faisceau sensitif externe le pénè
e bandelette sont dirigées d'avant en arrière, leur section, qui a la forme d'une lentille, offre une coloration foncée, très
faisceau longitudinal postérieur (91, 92, 94, 96) s'insinue, sous la forme d'une lamelle foncée, entre la couche optique et
doncule cérébelleux supérieur (Pcs) ; un étage supérieur qui, sous la forme d'un faisceau à section triangulaire, se prolonge
le et s'y mêle Coiiiio vertico - transversale destinée à montrer la forme constante du faisceau aniué (ARC). Ce faisceau
aillie au-dessus et en dehors du noyau interne (NiC, fig. 91). H a la forme d'une demi-sphère [corpus subrotundum) revêtue d'
deux couches : l'une, superficielle, recouvre le tubercule dont elle forme le stratum zonale; l'autre passe au-dessous de lu
l adhère intimement à toutes les autres parties qui l'environnent. Sa forme est celle d'un trapèze dont les deux côtés parall
. 11 s'agit là du faisceau sensitif externe lui-même; et la tache, de forme et de situation absolument constantes, représente
ntiformis (fig. 98, 99, 101) est un noyau gris parfaitement isolé, de forme très régulièrement lenticulaire, situé immédiatem
a surtout été bien décrit par M. Luys, du moins au point de vue de sa forme et de ses rapports généraux. Mais on est encore l
x de la calotte et du pédoncule qui l'environnent. Il a évidemment la forme d'une len-^ A, projection du discm lentiformis
rizontal. Sur le plan vertical (A), le plan de l'équateur du disque forme un angle de 35 degrés avec la ligne horizon-talc
en raison de leur direction antéro-postérieure, apparaissent sous la forme d'une bandelette foncée sur les coupes 101 et 102
nse du noyau lenticulaire (ANL). fig. 101, 102) dont il emprunte la forme . C'est môme à la présence des fibres du faisceau
jacente au ventricule sphénoïdal, marche de dedans en dehors, sous la forme d'une lame horizontale ; arrivée en dehors de la
gnes 101 et 102 sur le schéma 155). On voit aussi que ce faisceau, de forme triangulaire (fig. 102) est situé au-dessus et en
externe, que la troisième circonvolution frontale (F3, fîg. 105) qui forme l'opercule, se relève vers le deuxième sillon fro
LV). A la face interne de l'hémisphère, le trou borgne s'élargit et forme une excavation qui représente sur la coupe 104 l'
ouvre : sur ces deux dernières coupes, la substance grise affecte une forme ovalaire. La portion interne.de l'ovale, plus d
, situé au-dessus du cul-de-sac antérieur du lobe sphénoïdal, dont il forme la voûte, est longé en dehors par les fibres blan
, fig. 107, 108), et quelques fibres du taenia. Le noyau amygdalien forme une sorte de voûte à paroi épaisse au-dessus du c
fibres de l'étage supérieur, en dedans de la lame médullaire externe, forme cette sorte de treillage qu'on a appelé couche gr
dans le pied de la couronne rayonnante et dans le locus niger où elle forme le stratum inter-medium, est réduite ici à un fai
rte en bas vers l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 104) dont elle forme le bord externe à la partie antérieure de la prot
(LML). Elle traverse la capsule interne de dedans en dehors, sous la forme de stries parallèles, disposées comme les barreau
a circonvolution de l'hippocampe (Ts, fig. 108), où il se termine. Il forme lui-même le plancher du diverlicidmn sub subiculo
ntricule latéral (VS) est réduit à une fissure (fig. 112, 115), il en forme encore la paroi supérieure; et lorsque la coupe p
fig. 111); en dedans il est borné par le faisceau de Vicq-d'Azyr, qui forme , ainsi que nous l'avons vu, une véritable paroi,
pace perforé antérieur (schéma 172). Quant à la substance grise qui forme la couche intermédiaire, elle est commune à l'éte
u tuber cinereum; celle-ci, sur ses bords latéraux, s'amincit sous la forme d'une lamelle d'un quart de millimètre d'épaisseu
e pour concevoir avec quelque netteté ses connexions, son étendue, sa forme . La difficulté est de faire passer la laine du co
e point de départ, il rencontre la commissure antérieure qui, sous la forme d'un faisceau compact, suit la face inférieure du
deux faisceaux (fîg. 112, 115). Sur la coupe 115 le faisceau d'Arnold forme môme une masse fibreuse très remarquablement limi
gdalien, de telle sorte que la commissure antérieure (CA, schéma 178) forme une sorte de capsule autour de la racine inférieu
e autour de la racine inférieure du thalamus (ThI), comme celle-ci en forme une autour du noyau amygdalien (NA). CA. La com
mieux faire comprendre l'aspect qu'il présente sur les coupes, que sa forme générale est celle d'un éventail dont le plan aur
te au devant du turercule mamillaire Écorce. Nous avons vu que la forme du lobe frontal ne subissait plus de variations i
férieur s'allonge en dedans vers le tuber cinereum (TC, fig. 120); il forme ainsi le noyau de l'anse (GAP, 120) et est croisé
-laire. Ici le tubercule mamillaire n'est plus reconnaissable qu'à la forme arrondie du tuber cinereum (TC) accolé à sa conve
se. On voit la bandelette sous-optique filer transversalement sous la forme d'une mince lamelle (fig. 117), entre la substanc
, se termine en haut, entre le noyau caudé et la couche optique. Elle forme ici le faisceau le plus interne du segment postér
putamen. GAP. Le noyau de l'anse (fig. 121) s'amincit en avant; il forme un feuillet d'une très faible épaisseur, parfaite
e ; et s'il envoie des fibres à l'anse du noyau lenticulaire, sous la forme d'une lamelle blanche étalée à sa base, c'est que
racine antérieure de la couche optique (fig. 121, 122, 125, 125, 126) forme la partie la plus inférieure et interne de la c
nd avec la voûte (TRI, fig. 122). Un peu plus en avant (fig. 125), il forme le bord le plus antérieur du ventricule moyen et
pas tout : en même temps qu'elle change de direction, elle change de forme . Cylindrique dans la gouttière de Gratiolet, elle
ers l'insula dont la circonvolution la plus antérieure (IN, fig. 130) forme une languette accolée à la troisième frontale (F3
iste. La coupe vertico-transversale de ses fibres se présente sous la forme d'un croissant à concavité interne (fig. 130), em
d disposé comme sur toutes les coupes précédentes, c'est-à-dire qu'il forme la voûte de la corne frontale du ventricule et qu
le nom de roslrum ne peut s'appliquer qu'à une partie présentant une forme de bec; et telle est, en effet, la partie réfléch
um. La section sagittale du roslrum (schéma 196) ligure assez bien la forme générale et la cour- comme la siibslancc réticu
u, est toujours limitée en bas par le fasciculus uncinatus (FU). Elle forme au-dessous du putamen une anse véritable, dont le
, fig. 132). RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé présente la forme et la direction qui ont été déjà indiquées (voy.
, 132) garde, jusque dans les régions antérieures de l'hémisphère, sa forme caractéristique. On voit cependant qu'il diminue
vant du noyau caudé. Elle garde, jusqu'à son extrémité antérieure, la forme triangulaire. Toutefois sa paroi interne n'est pl
visible sur cette planche), elle se relève pour s'interposer, sous la forme d'une lame verticale, entre le putamen et le clau
erticale, entre le putamen et le claustrum. C'est sous cette dernière forme qu'elle s'était toujours présentée jusqu'à présen
fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé (lîNG). prennent la forme , l'aspect et la couleur que le faisceau de la cou
surtout sur ces dernières coupes, c'est que la substance blanche qui forme le manteau du carrefour garde partout sa colorati
t du tapetum. CL. L'avant-mur est étendu d'avant en arrière sous la forme d'une traînée grise, en dehors de la capsule ex
retroflexus (FRF). BOA. Le bras du tubercule quadrijumeau antérieur forme à la surface même de l'isthme cérébral, la paro
en avant vers le lobe sphénoïdal. Mais plus haut (iîg. 2 et 3), elle forme un gros tronc nerveux homogène, qui glisse sous l
e, apparaît ici, sur le plan de section horizontal, au moment où elle forme la partie postérieure de l'espace perforé antérie
putamen ne présente ici rien de spécial, si ce n'est le changement de forme qui se manifeste de la coupe 7 à la coupe 9. Sur
rsqu'il a disparu sur les coupes 8 et 9, c'est le globus pallidus qui forme la limite externe de la capsule interne. On le vo
couronne rayonnante du thalamus. NeC. Le noyau externe du thalamus forme , avec le noyau antérieur (NaC), toute la surface
te au niveau du passage du faisceau d'Arnold (AR). Pul. Le pulvinar forme la paroi antérieure de la fente de Bichat. Il éme
substance grise du noyau caudé (NC). CP. La commissure postérieure forme la limite antérieure du tubercule quadrijuineau a
eau antérieur (qui en réalité ne lui appartient pas en propre) et qui forme la limite externe du ganglion de l'habénule (GH)
rieur de la capsule (CIA), s'enfoncent dans la couche optique sous la forme de deux faisceaux diffus, l'un externe, l'autre i
utre chose que le cul-de-sac du sinus du corps calleux; 9° Enfin la forme et la direction des faisceaux inférieur et moyen
sur tout son pourtour, par une couche blanche. Cette couche, qui lui forme une sorte de capsule, le sépare, en dedans, de la
la surface la bandelette de Giacomini. Tous les détails relatifs à la forme et aux rapports de la corne d'Ammon sur les coupe
11 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
vrais Primates ou des Singes. Le problème se présentait ici sous des formes plus simples, et je comptais sur cette simplicité
e l'anatomie comparée ; enfin, une étude attentive de l'évolution des formes cérébrales a permis de déterminer avec plus de ce
eçu une sanction nouvelle de la considération de quelques-unes de ces formes imparfaites qui résultent d'une impuissance initi
mon illustre maître, M. de Blainville, toute fibre nerveuse complète forme un arc, une des plus compliquée que celle que j
nerveuses agrégées forment un ganglion. Les ganglions, eu égard à la forme et au groupement des cellules, sont de quatre ord
a moelle, dit-il, il existe des amas de subie stance pulpeuse sous la forme de renflements, lesquels « sont de la longueur de
a chaîne nerveuse des insectes représente par ses relations et par sa forme ce qu'on a appelé le nerf sympathique dans les an
issent le ganglion supérieur au ganglion inférieur. Cet ensemble a la forme d'un anneau. Si maintenant nous comparons cet ann
On peut s'expliquer ainsi l'importance de l'anneau œsophagien, et la forme particulière au système nerveux des insectes. Tel
ibution. Le premier anneau, l'anneau céphalique, conservera seul sa forme normale, dans tous les autres, les deux systèmes
La chaîne des ganglions qui composent l'axe nerveux céphalo-rachidien forme une longue tige renflée dans le crâne en un noyau
médiatement le sillon médian postérieur; un petit funicule accessoire forme dans ce cas la marge du sillon. Tels sont les f
la moelle, et se montre au fond du sillon latéral postérieur sous la forme d'une traînée grise longitudinale. Rolando a le
erfs, elles se laissent facilement déprimer, et reçoivent aisément la forme de fibres variqueuses. La transformation des fi
ni vu ni mesuré. Les cellules d'ailleurs variant beaucoup dans leur forme , on ne peut les comparer que d'une manière très-g
us avons négligé dans cette évaluation la cellule elle-même, dont les formes sont trop irrégulières pour se prêter à aucune me
lus renflées que les fibres qu'elles émettent. Ce système de cellules forme un plexus ganglionnaire qui s'étend jusque dans l
-mêmes, ainsi que nous l'avons déjà dit, ne se ressemblent ni pour la forme ni pour la grandeur. Les unes sont oblongues ou f
es que M. Rémak* compare aux globules du sang de la grenouille ; elle forme la base des cornes postérieures qui ont d'ailleur
apparente de la moelle; car en réalité elle se prolonge au delà sous forme d'un cordon grêle enveloppé d'un tube fibreux qu'
diminue évidemment chez l'adulte. Chez l'enfant nouveau-né l'axe gris forme presque toute la masse du renflement lombaire, et
La protubérance est peut-être plus facile à dessiner qu'à décrire. Sa forme générale est celle d'un trapézoïde à base très-la
pont. Elle présente, sur la ligne médiane, une petite échancrure qui forme la marge du trou borgne postérieur. Légèrement so
et gagnent le cervelet. Ces bords, dans leur ensemble, rappellent la forme d'un arc antique fortement bandé. C'est entre c
e le nom de noyau gris d'enroulement du cornet pédonculaire. Ce noyau forme le bouton terminal de chacune des moitiés de l'ax
aire. Assez aplatie dans l'homme, elle apparaît dans les singes, sous forme d'une colline oblongue , peu saillante, toute per
sa concavité existe la trace d'un sillon médian. La substance qui en forme le fond est d'un gris blanchâtre de couleur cendr
e deux substances dans le lobe supérieur, l'une extérieure, rougeâtre forme une couche épaisse de 2mm50 environ, et une intér
nds que les postérieurs, et formés en entier de substance grise. Leur forme est celle de deux ellipsoïdes juxtaposés, dont le
t se terminer dans un tubercule gris fort petit, mais saillant, et de forme arrondie. Ce tubercule se nomme Corps genouillé i
e de l'étage supérieur du ventricule intermédiaire, se porte, sous la forme d'un petit cordon nacré, vers les tubercules quad
ue; d'abord très-adhérente au noyau, elle s'en distingue bientôt sous forme d'un cordon où la substance blanche l'emporte de
ail en dehors de la couche optique, s'atténue peu à peu, descend sous forme d'un cordon grêle à la face inférieure de l'encép
tement au corps strié extra-ventricu-laire, je veux dire que celui-ci forme le centre, l'autre formant la ceinture. Ils ne so
épendamment de ces dilatations médianes, conserve quelque chose de sa forme tubuleuse. Mais de l'arc supérieur du tube naît,
sphénoïdales, occipitales. M. Foville a fort à propos remarqué que la forme des ventricules latéraux est le prototype de cell
t de chaque côté de la voûte au corps calleux, la paroi du ventricule forme , par l'adossement de deux lames symétriques, une
it dans le crâne, tant il est difficile de saisir le passage qui, des formes simples de la moelle, conduit aux formes si compl
e saisir le passage qui, des formes simples de la moelle, conduit aux formes si compliquées de l'encéphale. La malheureuse h
que, les habenœ de la glande pinéale, suivent ce mouvement. De là ces formes circulaires, ces zones enroulées autour des pédon
atéral ou pédoncule moijen ; 3° le processus cerebelli ad testes, qui forme le pédoncule supérieur. Telle est la composition
elet. Vue dans son ensemble, la masse du cervelet dans l'homme a la forme d'un cœur. La face postérieure ou supérieure du c
e l'échancrure marsupiale et de la vallée qui lui fait suite, sous la forme d'une colline intermédiaire, qui est le vermis mé
ent des feuilles', un groupe de feuilles, porté sur une lame commune, forme un lobule, un groupe de lobules est un lobe. 11 y
asses, comprises dans les deux angles que le corps du cervelet médian forme à droite et à gauche avec son vermis, sont les ce
est le vermis latéral ; elle se replie sur les côtés du cervelet, et forme en ce lieu des lobules accessoires. Pour se faire
rs, qui porte à sa face supérieure un certain nombre de feuilles et forme un petit lobule accessoire. Ce petit lobule, qu'o
périphérie et les tranchants confondus sur une lame basilaire. Cette forme distingue au premier aspect le lobe semilunaire d
e, dépassant de chaque côté la loge cérébrale, donnaient au crâne une forme bizarre. Chez les petits enfants, au contraire, l
t toutes choses, il est indispensable de dire ici quelques mots de la forme générale des hémisphères. Cette forme étant bien
de dire ici quelques mots de la forme générale des hémisphères. Cette forme étant bien définie, il sera plus facile d'étudier
orte le nom de lobe central ou d1Insula. L'ensemble de ces lobes a la forme d'un cratère dont le fond est légèrement soulevé.
elque sorte. Alors le cratère', dont le fond est elliptique, prend la forme d'une fosse triangulaire. Cette fosse, d'abord bé
qu'à la naissance ; à cette époque, le cerveau a à peu près acquis sa forme définitive ; toutefois, l'ovale des hémisphères e
11 s'en faut de beaucoup aussi, que dans les cas de microcephalic, la forme des hémisphères atrophiés se rapproche de la form
microcephalic, la forme des hémisphères atrophiés se rapproche de la forme fœtale. La marche du développement a été viciée.
nt ascensionnel n'a pas seulement été affaibli; il a produit d'autres formes , les formes d'une autre espèce qui meurt parce qu
nel n'a pas seulement été affaibli; il a produit d'autres formes, les formes d'une autre espèce qui meurt parce que, de peur q
ertain que ces poids soient l'expression d'une similitude absolue? La forme , les proportions des parties seront-elles les mêm
du précédent par une scissure profonde qui se bifurque en arrière en forme d'Y ; une flexuo- II. 8 site du pli frontal
ulaire externe, comprend deux plis, savoir : 1° un pli ascendant, qui forme la marge postérieure du sillon de Rolando; 2° un
ans les espèces inférieures, et en particulier dans les cynocéphales, forme dans l'Orang et dans le Chimpanzé un lobule consi
quelques anfractuosités. Son bord antérieur tranchant est prolongé en forme d'opercule au-dessus de la scissure perpendiculai
érieur de la corne postérieure du ventricule latéral, et suit sous la forme d'un rouleau un peu recourbé toute la longueur de
et la partie postérieure de la scissure des Hippocampes. Ce lobe, de forme triangulaire, est le lobe occipital interne. Le
és irrégulières que M. Foville a désignée dans l'homme, à cause de sa forme , sous le nom de lobule quadrilatère. Nous donnero
onvolution crêtée sous lequel il avait été décrit par Rolando. Ce pli forme l'étage inférieur du lobe fronto-pariétal. L'ét
aient seuls bien développés. Le crâne, à côté de ce désordre avait sa forme normale. La dure-mère elle-même s'était développé
sa forme normale. La dure-mère elle-même s'était développée sous une forme régulière, et l'enfant qui mourut quatre jours ap
venus. Ils jugeront s'il est prudent de conclure rigoureusement de la forme du crâne à celle des parties qu'il enferme, et si
ns les fosses ethmoïdales. La partie grêle des lobes olfactifs a la forme d'un prisme triangulaire, sa face inférieure est
dépression du faisceau antérieur. Comme nous avons déjà parlé de leur forme , de leur grandeur et de leurs relations, nous nou
. Le groupe du funicule accessoire du faisceau ou cordon latéral, qui forme , à la surface du groupe précédent, une région dis
restiforme qu'elles enveloppent; elles ont reçu le nom de fibres arci formes . Ces fibres n'ont point d'analogues dans la moell
rière est plus court que le plan profond qui demeure à découvert sous forme d'une bande plus ou moins large. Les fibres qui c
u côté gauche manquait absolument. Toutefois la protubérance avait sa forme et sa régularité habituelles, et la saillie du cô
érence totale. Toutefois, à côté des modifications, qui changent la forme sans altérer le type, existent des différences ré
quadrijumeaux s'anastomose sur la ligne médiane avec sa congénère et forme , au-dessous d'eux, une voûte qui recouvre l'aqued
ière autour de la commissure molle. Cette commissure des pédoncules forme le fond de la fosse interpédonculaire; ainsi les
pédonculaire s'unit à celle du bulbe au-devant de la protubérance, et forme avec elle un gros faisceau fibreux que les anatom
commissure, et s'étalent l'une et l'autre en une lame semi-grise qui forme la paroi propre du ventricule dans toute l'étendu
. Une petite artère pénètre avec elles dans l'intérieur de l'olive et forme sur ses parois un réseau très-délié. (1) Arnold
s l'autre le développement de la protubérance et du cervelet sous des formes à peu près semblables. Si nous pouvions, dès à
st ce que les anciens ont nommé écorce grise du cerveau. Cette écorce forme la paroi des deux bourses grises plus ou moins li
s, en sorte que la coupe médiane de l'espace compris entre elles a la forme d'un croissant irrégulier ; dans ce croissant est
éraux. Cette belle préparation fait voir, d'une manière admirable, la forme générale du noyau cérébral, et serait parfaite, à
se portent dans les plis de la région orbitaire du lobe frontal. Il forme une tige arrondie ; cette tige n'est point absolu
l'a récemment écrit, mais qui toutefois ne s'élève pas au-dessus des formes inférieures. C'est là, si je puis m'exprimer ains
sont organes d'intelligence, ils la manifestent, à coup sûr, sous une forme essentiellement inférieure. CHAPITRE VI. ORIG
e de leur trajet dépendrait uniquement des modifications que subit la forme des parties environnantes. (c) Nerf moteur ocul
ceaux moyens, et se terminent, en partie, dans la substance grise qui forme le plancher de l'aqueduc de Sylvius. Un ou deux f
plus petits éléments, résultent à la fois, et des changements dans la forme générale, et la distinction évidente de tissus do
ternelle obscurité du problème. § 3. Perfectionnement successif des formes . La partie dominante de Yencéphale, pendant les
. Il n'y a donc, à cet égard, aucune différence essentielle entre les formes de l'adulte et celles du fœtus, et si nous assimi
derrière, avait un aspect singulier. Il rappelait fort exactement la forme d'un mufle de lion. Les lobes optiques formaient
uis une plus grande épaisseur. Le cerveau intermédiaire avait déjà la forme qu'il conserve pendant toute la vie. Les deux moi
ème semaine que s'accomplissent les développements qui élèvent à leur forme typique la voûte et le corps calleux. Tiedemann a
aux lobes ou au corps des cervelets latéraux, ils demeurent, sous la forme d'une masse presque lisse, dans une sorte de repo
e de l'idiotisme. La description détaillée des modifications que la forme de l'encéphale subit à partir de la fin du sixièm
encéphale, a cru pouvoir déduire de ses observations que la série des formes transitoires qu'amènent ces développements, est p
nsitoires qu'amènent ces développements, est parallèle à la série des formes typiques de l'échelle des vertébrés. « Il est évi
ent peut-être mieux les Êtres que celles de l'âge adulte. Ainsi les formes primitives de l'embryon humain rappellent par leu
rganes. Or, ce parallélisme qu'il essaye d'établir entre la série des formes spécifiques et celle des formes fœtales, révèle-t
l essaye d'établir entre la série des formes spécifiques et celle des formes fœtales, révèle-t-il entre ces harmonies quelque
il se distingue, en effet, par une physionomie particulière, par une forme spéciale, par un ensemble de caractères qui ne so
certain vertébré, qui s'élève par des voies spéciales, qui tend à une forme future et ne ressemble absolument qu'à lui-même.
éjà indiquée, et aucune assimilation absolue n'est possible entre des formes achevées qui ont leur but en elles-mêmes, et ces
ble entre des formes achevées qui ont leur but en elles-mêmes, et ces formes transitoires qui préparent une forme future. ¦
leur but en elles-mêmes, et ces formes transitoires qui préparent une forme future. ¦ § S. Dn développement de chacune de
mportante question en déterminant, avec la plus grande attention, les formes d'ensemble que présente à ses différents degrés d
arquer, en premier lieu, qu'une différence fondamentale distingue les formes primitives de l'encéphale de l'homme à l'état d'e
, il faudrait en conclure qu'à une certaine époque de l'âge fœtal, te forme du cervelet humain donne à peu de chose près l'as
s au summum de leur grandeur relative. Tels sont les faits. Or, ces formes définitives du cervelet des singes ont-elles un m
ut les caractères généraux qui la distingueront plus tard. Ainsi, les formes premières ont un rapport admirable avec les forme
s tard. Ainsi, les formes premières ont un rapport admirable avec les formes futures; elles se compliquent, il est vrai, et ma
le cerveau de l'homme est semblable à celui des singes. C'est la même forme générale, ce sont les mêmes groupes de plis. Or,
rt, à trouver parmi les états successifs du cerveau humain, certaines formes voisines de celles que présentent certains sing
eloppements une série d'états intermédiaires, reproduisant toutes les formes que revêtent les hémisphères dans la série des Pr
une différence capitale. Dans la série des singes, l'achèvement de la forme générale précède les premiers vestiges des plis.
utes les époques diffère de celui de tous les mammifères adultes, ses formes ne diffèrent pas moins de celles que présentent c
un développement énorme; mais il n'y a encore, Voici donc, sous une forme inférieure, des signes de perfection commençante
nimai. B. Cette proposition, fondée sur une étude superficielle des formes de l'âge adulte, est d'ailleurs peu conforme aux
tête étaient d'une petitesse vraiment extraordinaire. D'ailleurs, la forme du corps était svelte et d'une rare élégance. Le
Il est donc absolument faux de dire, soit qu'on étudie la série des formes de l'échelle animale, soit qu'on envisage les dév
énérales sur les membranes qui l'enveloppent immédiatement, et sur la forme du crâne. § fl. BJe la pie-mère. Les centres
ns est fort simple. Elle embrasse immédiatement la moelle épinière et forme deux replis, dont l'un tapisse le fond du sillon
dans les ventricules du cerveau par la fente en fer à cheval, sous la forme d'un voile triangulaire formé de deux lames adoss
ux de Luschka et de Kôlliker (2). Je ne m'étendrai point ici sur la forme et sur les dimensions de ces cellules. Ces détail
uelques points à la première, elle s'en détache en certains lieux, et forme des replis qui, sous le nom de faux ou de tentes,
partout au feuillet périostique, il s'en détache en certains lieux et forme deux replis principaux. L'un de ces replis est
se le nœud de l'encéphale. L'autre repli est médian et vertical; sa forme est celle d'une lame de faux très-large. Son bord
petit sinus circulaire, logé dans la selle turcique du sphénoïde, en forme le centre. Ce sinus est le sinus coronaire. Il en
ique, demeure adhérent aux vertèbres du rachis; l'autre, le viscéral, forme une sorte de sac fort allongé qui est en quelque
es parties sans y adhérer. Le deuxième feuillet, feuillet pariétal, forme un second sac qui enveloppe le premier. Il adhère
o-spinal ou céphalo-rachidien. Dans le rachis, le feuillet viscéral forme à la moelle une enveloppe très-large que distend
divers nerfs rachidiens. » Non-seulement le liquide céphalo-spinal forme à la moelle et au cerveau une enveloppe liquide,
ravail important. CHAPITRE IX. DU CRANE, DE SA COMPOSITION, DE SA FORME DANS L'ESPÈCE HUMAINE, ET DE SES RAPPORTS AVEC LE
car le crâne enfermant le cerveau, sa cavité intérieure en exprime la forme comme une empreinte fidèle. Qui pourrait avec cer
extrait du crâne, ramolli, atfaissé sous sa propre masse, juger de sa forme primitive? Heureusement cette forme, perdue dans
sous sa propre masse, juger de sa forme primitive? Heureusement cette forme , perdue dans le cerveau, subsiste dans le crâne,
tendances, leurs instincts, leurs aptitudes natives, oiïrent dans la forme de la tête des différences non moins frappantes
civilisation (1), et qui ne se laissent aisément ramener à aucune des formes que présentent les peuples de l'ancien continent
tout mélange, tous les crânes se ressemblent. C'est dans tous la même forme et les mêmes proportions ; ainsi deux têtes de Di
ire avec la liberté. Ici l'individu se distingue dans sa race par une forme qui est à lui, par un caractère empreint d'une pe
'est plus malaisé au contraire que de déterminer le type normal de la forme des peuples capables de civilisation, tels que ce
é n'est rien autre chose que la perfection rendue intelligible par la forme . Les trois vertèbres qui composent le crâne, d'
seront d'un grand secours pour définir scientifiquement la meilleure forme du crâne dans l'homme; nous devrons nous appuyer
tude des régions caractéristiques de l'encéphale humain. § 3. De la forme dit crâne. D'après les principes que nous venon
t évident qu'une fois la vertèbre pariétale arrivée à son maximum, la forme la plus parfaite serait celle dans laquelle le ce
rquée de la région pariétale exprime un développement incomplet de la forme crânienne, en tant qu'elle est le signe d'un médi
pas seulement large en avant, elle est encore arrondie sur les côtés, forme qui s'éloigne essentiellement de celle des Alfour
u-dessus. Cette prédominance qui s'effacera bientôt, est un reste des formes fœtales. Or je sais bien que, chez l'enfant nouve
eut-être pas suffisamment remarqué, à savoir : la modification que sa forme générale subit depuis la naissance jusqu'à l'âge
té peu considérable; mais enfin il s'accroît, et très-certainement sa forme se modifie. Il est bien évident que le crâne d'un
ation de la masse seule est stérile, et c'est H. 20 une question de forme autant que d'étendue. S'ensuit-il que la phrénolo
quels sont mes sentiments à cet égard. D'ailleurs, si l'étude de la forme du crâne peut donner une idée générale de la form
, si l'étude de la forme du crâne peut donner une idée générale de la forme du cerveau, l'étude de sa table interne peut four
és. § 4. Dimensions et capacité du crâne. Bien que la question de forme l'emporte à nos yeux sur la question de masse, no
ence de la capacité intellectuelle; car il ne s'ensuivrait pas que la forme fût la même, que la complication des circonvoluti
ellectuel en développe la capacité en môme temps qu'il en améliore la forme . Le crâne des hommes distingués par l'esprit et p
ais (1). Ces mesures ne permettent pas d'apprécier le caractère de la forme , en tant qu'ils ont négligé de donner le rapport
u certains. § 5. Des déformations du crâne. Après avoir parlé des formes normales du crâne, disons quelques mots de ses dé
atténué que la tête, fort large en arrière, avait, vue d'en haut, la forme d'un cœur. Jamais cet enfant n'avait été soumis à
t et sur l'occiput qu'on aplatissait tous deux, et la tête prenait la forme d'un coin : telle est la déformation cunéiforme d
indique un crâne précieux figuré par Morton. Dans un second cas, la forme du crâne, assez semblable à la disposition cunéif
mprimée et dilatée. Dans un quatrième cas, on donnait à la tête une forme carrée. L'une des déformations les plus singuli
los Sacrificios. Un système compliqué de bandes donnait à la tête une forme trilobée. C'est là la cinquième déformation de M.
imée sur le front et sur les côtés de manière à donner au crâne une forme pyramidale, cette déformation produira la tête mo
dale, cette déformation produira la tête mongole, qui est la huitième forme anormale. Outres ces déformations, M. Gosse adm
avons donné plus haut la raison. 10° La tête aplatie sur les côtés. Forme dont les Abassiens du Caucase offrent un exemple
fois déformée sur les côtés et sur le front. Les Turcs préféraient la forme sphé-rique. Ailleurs, un lien ceint étroitement l
ons de race toltécane. Enfin, certains peuples donnaient à la tête la forme d'un cône tronqué, comme l'ont observé à Siam, MM
des enfants louches, et ainsi du reste pour toutes les variétés de la forme , où est l'empêchement qu'un macrocéphale n'engend
acro-céphale (1)? Il est certain que les hommes de Toulouse ont une forme de tête qui les distingue, et qui se transmet par
r rien. D'ailleurs, alors même que ces modifications singuliers de la forme du crâne sont acquises, il y a une question à rés
pas tenue pour battue, et le phénix a ressuscité mais sous une autre forme dans la nouvelle doctrine de Gall. Cette doctri
s, mais surtout de celle 'des poissons? Ici le crâne accuse si peu la forme réelle du cerveau, que de pareilles prétentions s
ne, si l'épaisseur de tous les crânes est la même; enfin, si pour une forme semblable, tous les cerveaux offrent à leur surfa
un de l'autre dans le détail de leurs circonvolutions : voici pour la forme ; mais, après avoir donné à la matière ce qui lui
donné à la matière ce qui lui appartient, et tout en accordant que la forme visible du corps peut exprimer symboliquement, da
visible du corps peut exprimer symboliquement, dans certains cas, les formes invisibles de l'âme, le fera-t-elle jamais au poi
rieure suffit-elle au développement complet de leurs facultés, et des formes cérébrales qui trahiraient l'intelligence d'un bl
ce d'un blanc suffisent à ces faibles natures. Cette suffisance d'une forme cérébrale inférieure dans ces hommes inférieurs s
capacité du crâne, et qu'en vertu du principe de la suffisance d'une forme inférieure dans les êtres inférieurs, telle forme
la suffisance d'une forme inférieure dans les êtres inférieurs, telle forme peut être parfaite dans un sauvage qui serait dan
lorsque le corps a toute sa grandeur et toute sa puissance ; aussi la forme de la région occipitale du crâne subit-elle des v
is rerum ponit, prœter ato-« mos (1). » Pour d'autres, l'âme est la forme d'un corps vivant. Telle est l'opinion d'Aristote
llement que dans la matière qui est destinée à la recevoir. C'est une forme parfaite. Elle est l'essence du corps vivant comm
C'est une forme parfaite. Elle est l'essence du corps vivant comme la forme d'une hache est l'essence de la hache. Elle est d
le « témoignera de la vérité. Car si l'âme n'avait pas un corps, « la forme de l'âme ne serait pas l'image du corps. L'Écritu
pandue dans tout le corps, cette âme le pénètre et le meut. C'est une forme éthérée qui vit dans une forme corporelle, dont e
e âme le pénètre et le meut. C'est une forme éthérée qui vit dans une forme corporelle, dont elle est comme l'ombre ou la lar
se dans toutes les parties du système nerveux, l'âme sensitive a pour forme celle de ce système. Son centre principal est le
es matérielles, quoique chacune, prise séparément ou sous toute autre forme , n'ait pointeette faculté. La pensée serait donc
divisible et toujours active. Cette essence ne se manifeste ni par la forme , ni par la pesanteur, ni par aucune propriété que
ssort des corps élastiques, leur étendue, leur situation relative, la forme . — La troisième espèce comprend les sensations du
qu'on a pu lui attribuer les idées que les aveugles-nés se font de la forme des corps. Une expérience bien simple démontre
tement qui en résulte donne l'idée d'un mouvement. Mais quelle est la forme d'un corps en mouvement ? Voilà ce que notre aveu
'expérience le dément. Quand nous voulons dans l'obscurité toucher la forme d'un objet, nous ne l'appliquons point aux larges
pittoresque un compas à cinq branches. Ainsi, dans la perception delà forme , le toucher seul est impuissant. Il faut pour cel
ouve merits; or la trace de tout mouvement, c'est une figure ou une forme , Eldoç.. Cette forme, il la voit en lui-même ; et
trace de tout mouvement, c'est une figure ou une forme, Eldoç.. Cette forme , il la voit en lui-même ; et ce qui prouve peut-ê
idée de leurs relations successives. Ainsi nous ne connaissons pas la forme par la sensation du contact, mais par un sentimen
où il fait supposer l'existence de nerfs particuliers. L'idée de la forme suppose l'idée de l'étendue en général; mais elle
u'elle est le seul organe qui « nous donne des idées distinctes de la forme des corps. Le a toucher n'est qu'un contact de su
exact et précis « qui est nécessaire pour nous donner une idée de la forme « des corps. Si la main avait un plus grand nombr
st point exact; quand nous voulons loucher et apprécier exactement la forme des (1) Hist. nat. de fhomme. T. III de l'édit.
nt sous les doigts d'une certaine façon. Dans ce cas, nous jugeons la forme bien plus que nous ne la sentons. Si, par exemple
s de la main. 11 serait presque absolument impossible de découvrir la forme d'une canne que l'on tiendrait à pleine main, san
t une succession de contacts. Mais évidemment partout où l'idée de la forme suppose l'idée du nombre, c'est l'esprit qui la c
tion typique la plus élevée. Le jugement qui nous fait connaître la forme , nous fait aussi apprécier la résistance. Nous ju
résulte encore de cette étude rapide, que nous ne connaissons pas la forme des corps par le contact seul, mais par l'intelli
par le contact seul, mais par l'intelligence. Nous ne sentons pas la forme par le toucher, nous la concevons par l'esprit ;
n tire, l'esprit n'aurait aucune idée des choses; il ne saurait ni la forme , ni l'étendue, ni la résistance, ni le mouvemen
çues par un certain organe et un certain nerf, elles le sont sous une forme spéciale et éveillent en nous l'idée de bruit ou
me somme d'action. La symétrie se retrouve donc non-seulement dans la forme mais dans la tendance des organes. Il suit de là
as. Eh bien, nous affirmons qu'un pareil homme ne peut avoir ni de la forme , ni du mouvement des corps aucune idée possible.
us hardi pourrait-il admettre entre un son quelconque et des idées de forme , d'étendue, de surface, de solidité, de mouvement
Voilà pourquoi les sons et les voix sont, non pas l'essence, mais la forme la plus habituelle du langage ; enfin la faculté
avantage. A l'occasion de la vue l'âme a des idées de l'espace, de la forme , du mouvement et du temps; (railleurs la vue est
ments, qui ne peuvent d'ailleurs lui donner aucune idée distincte des formes , sont indéterminés et indécis ; en un mot, la per
qui est magnifique, tout ce qui étincelle d'harmonie, tout ce qu'une forme limite et distingue, tout ce qui se meut, tout ce
rmal par une a marche analogue à celle d'un ressort qui, écarté de sa forme « d'équilibre, revient à cette forme par des osci
e d'un ressort qui, écarté de sa forme « d'équilibre, revient à cette forme par des oscillations dé-« croissantes, en vertu d
les sympathies générales qu'elle éveille peuvent être ressenties sous forme d'inquiétude, de malaise général, ou de bien-être
naturelles de l'esprit. Un de mes amis, doué d'une telle mémoire des formes qu'il fait aisément de souvenir des portraits res
l entraîne incessamment des matières nouvelles dans le tourbillon des formes vivantes; de la matière qui formait le corps de l
rps de l'enfant, il ne reste plus un seul atome dans le vieillard. La forme , suivant Burdach, est l'essence et la matière l'a
La forme, suivant Burdach, est l'essence et la matière l'accident; la forme est l'entéléchie suprême, mais cette forme elle-m
la matière l'accident; la forme est l'entéléchie suprême, mais cette forme elle-même a changé. D'où vient donc ce sentiment
comme un écho des sensations antérieures. Elle les reproduit sous une forme nouvelle, mais avec des teintes plus faibles et q
ons les yeux quand nous voulons imaginer vivement des couleurs ou des formes absentes. De même, pour être plus complètement at
es sensations très-faibles seront d'autant plus aisément perçues sous forme d'idées, qu'elles auront antérieurement été éprou
tablir, des sensations très-faibles peuvent n'être comprises que sous forme d'idées. CHAPITRE V. DU SOMMEIL. § 1. Défin
fois de la vue et du souvenir, mais tout à coup au milieu d'elles une forme plus distincte se dessine, et le rêve commence.
ue instant à ceux qui s'amusent à considérer des uuagcs ou d'antres formes indécises. dormant, lorsque tout à coup j'aperç
i-même une idée distincte ; mais l'idée s'étant subitement revêtue de formes intelligibles, et ce travail obscur passant inape
er, des rêves commençant dès le début du sommeil. se changer en une forme hideuse. Que de déceptions, que d^ dégoûts puniss
s de sa chambre en mouvement. Cette illusion est fort commune dans la forme sardonique du délire. Souvent les malades voient
onge, celui qui dort, pensant encore veiller, voit accourir à lui des formes errantes, différentes, par la grandeur et par l'a
re cette merveilleuse perspicacité de certains songeurs qui, sous une forme ou sous une autre, semblent prévoir des maladies
âme, apercevant dans le repos des sens, mais le plus souvent sous une forme métaphorique, certaines modifications des viscère
Essentiellement, les rêves sont surtout des images, c'est-à-dire des formes , des idées. C'est la vue intérieure qui est la mè
eux fermés ou détruits sont pleins de lumières, phosphènes, spirales, formes kaléidoscopiques, taches, étincelles, ombres, tou
la pensée a toujours pour corps, si je puis ainsi dire, un son ou une forme imaginaire. a. Hallucinations de l'ouïe. De tou
ns excessivement faibles. Ici ce sont des pensées qui s'imposent sous forme interpellative et qui semblent des perceptions sa
nsations dont elles sont revêtues sont subtiles et raréfiées. Cette forme d'hallucinations dont on a de nombreux exemples e
'œil est le siège. Ces hallucinations ont dans la plupart des cas une forme toute particulière. Rarement l'objet fantastiqu
sortant sur le fond noir des ténèbres, et comme phosphorescent. Cette forme n'est pas absolument rare. Ces fantômes ont, ai
blancs sont assez rares dans les ténèbres absolues, mais ils sont la forme la plus habituelle des hallucinations crépusculai
Dion. LXI. contre cette logique irrécusable des faits qui, sous des formes diverses, éclaire les hommes sur l'avenir (1) ?
, comme l'a écrit M. Michéa, une figure distincte et connue, mais une forme pâle et blanche, semblable à un cône (1) Voy.,
e Cassius de Parme. fort allongé que surmonterait une sphère. Cette forme , assez mal définie d'ailleurs, était immobile, et
revenant un soir de la chasse, fut assez longtemps accompagné par une forme humaine enveloppée d'une sorte de suaire, elle ma
es hallucinations crépusculaires; mais celles-ci offrent aux yeux des formes pâles; les fantômes diurnes apparaissent au contr
urnes présentent aux personnes qui sont d'ailleurs bien portantes des formes belles et gracieuses. Ne serait-ce pas là l'origi
l'extase les objets extérieurs cessent d'être aperçus. De quelques formes particulières d'hallucinations diurnes. Dans la p
éressant; aussi nous réservons-nous d'y revenir ailleurs. Parmi les formes les plus remarquables d'hallucinations visuelles,
parut (2). Goethe raconte avoir eu une hallucination semblable. Cette forme est d'ailleurs assez fréquente dans le délire des
i par l'esprit, ces modifications pourraient-elles éveiller l'idée de formes intelligibles ? On a cité, il est vrai, certains
tramonium de si intéressantes recherches, c'est I'excitation. « Toute forme , tout accident du délire ou de la folie propre-«
dial qui sollicite des inspirations involontaires : ajoutez à cela la forme mystique des premiers désirs du cœur, et la fréqu
er sur des faits qui se reproduisent à chaque instant sous toutes les formes possibles. À une époque où des idées d'associat
expliquant les stigmates de saint François d'Assise. « L'âme, dit-il, forme et maîtresse « du corps, usant de son pouvoir sur
t « animé par cet esprit, et s'il ne lui sert, en quelque sorte, de « forme et d'instrument. Ces corps servent de base à l'es
e autour de leur corps, les « unit les uns aux autres. Quelquefois on forme une seconde «c chaîne en se tenant par les mains,
t se transmettre à ses descendants par la génération. Développée sous forme d'une inspiration individuelle, elle peut se chan
t, l'immobilité active du corps tendu vers cet objet révèle, sous une forme intelligible, l'état intérieur de l'âme. Ces si
ignore souvent le vrai sens. Outre ces expressions spontanées de la forme visible, il y a celles de la voix ; celles-ci ont
bêtes, mais ici s'arrête leur langage ; l'homme seul possède les deux formes supérieures. 3. Il y a chez les animaux des ves
e représentation complète d'un objet comprend la représentation de sa forme , l'imitation de certains sons, et, dans tous les
bstances, mais il a communiqué à l'homme seul le pouvoir de créer des formes et deles définir (1). (1) Voyez P. Jolly, De l'
ier abord inexplicable, des mémoires partielles. Tel a la mémoire des formes , tel autre celle des sons; l'un retient les mots,
remières................... 226 § 3. Perfectionnement successif des formes ........... 229 § 4. Exposé des opinions de Tied
............... 278 CHAPITRE IX.—Du crâne, de sa composition, de sa forme dans l'espèce humaine, et de ses rapports avec le
. ib. % 2. Composition du crâne................... 288 g 3. De la forme du crâne................... 297 g 4. Dimensions
12 (1911) La pratique neurologique
a vue donnant à la fois des sensations de lumière, de couleur et de forme , il faut éprouver séparément chacune de ces diver
tions (vision des couleurs) se perd, tandis que l'autre (vision des formes ) est con- servée. ' EXPLORATION DE LA VISION
vée. ' EXPLORATION DE LA VISION CENTRALE Vision centrale pour les formes . - ' (Acuité visuelle centrale.) . L'acuité v
ve précédente est de mesu- rér la sensibilité de la^rétine pour les formes , l'acuité rétinienne. Or, cette sensibilité rét
ingent (hypermétropie), ou bien quand la cornée, au lieu d'avoir sa forme sphérique, prend la conformation d'un ellipsoïd
constater l'existence d'un scotome central, mais en déterminer la forme et l'étendue (fig. 5). ' Il ne suffit pas de re
ets environnant le point fixé vicn- l'ig. 6. Schéma pour montrer la forme du champ visuel. L'oeil fixant le point 0, les ob
grandes qu'elles sont faites en un point plus éloigné deJ'oeil. La forme d'une de ces sections est re- présentée sur le
ET DE LA RÉTINE. 13 Sensibilité de la rétine périphérique pour les formes . (Acuité rétinienne périphérique.) La rétine
macula, peut subir des altérations . portant sur sa sensibilité aux formes , aux couleurs, à la lumière. La meilleure métho
à la lumière. La meilleure méthode pour explorer la sensibilité aux formes de la rétine périphérique, serait d'employer, c
grandeurs. Mais la faculté dissociatrice, l'acuité visuelle pour les formes de* la rétine périphérique est si faible propor
qu'en aucun point de son étendue, elle ne permet de dis- tinguer la forme des lettres. Pour remédier à cet inconvénient,
hérique pour les couleurs. La rétine périphérique, peu sensible aux formes , l'est beaucoup plus aux couleurs. - Fréquemm
ergent. La ligne a L, marquant la direction pathologique de l'oeil, forme avec la ligne z0 0 un angle d proportionnel ! l
nte de la bougie. Mais, dans le cas actuel, l'image de la bougie se forme en un point excentrique de la cornée, en dehors
d'étendue dans le sens des muscles insuffisants, il mo- difiera sa forme (fig. 18 et 1J ? Prise du champ du regard. L'ob
ayon avec méridiens et cercles parallèles (tout à fait analogue comme forme aux schémas du champ visuel), est placé à ? 2 d
sparents, à mesure que l'objet se rapproche, l'image de celui-ci se forme toujours nette sur la rétine, quelle que soit s
25). - L'augmentation de réfraction est due à des modifications de forme du : c EXPLORATION DE LA 110TfLITL INTRINSÈQUE
£ F2 F3 les foyers de ces trois cristal- lins. Les modifications de forme du cristallin, suivant ses différents états de ré
uvre avec la main son oeil droit. Le medcjp examine l'oeil gauche. Il forme avec sa maiu gauche un écran derrière lequel se
t l'oeil du malade. Ils arrivent ainsi au niveau de la pupille sous forme d'un petit filet de lu- mière que l'on projette
s cérébraux. L'embolie de l'artère centrale de la rétine, certaines formes de névrite optique rétrobulbaire à début brusque,
bservé de l'achromatopsie hystérique. Les objets sont vus dans leur forme mais sans leurs couleurs. Ils ont une teinte gr
e est, en effet, dissociable. Une altération. de la vision pour les formes peut exister en même temps qu'une exagération d
point perçus. ' Les lacunes peuvent varier dans leur siège, leur forme et leur éten- due. Toutes ces variations sont .
peut siéger à la périphérie (lacune périphérique) et présenter des formes variées : lacune périphé- Fig. 34. Lacune cen
rs, il est dit relatif. Le scotome central se montre dans certaines formes de névrites toxi- ques, et dans les lésions mac
donne des renseignements très précis sur le siège, l'étendue et la forme de l'hémianopsie. (Voir p. 10.) , Caractères du
-cercle autour du point de fixation (fig. 41, B) ; , ú) Soit sous forme d'une bande plus ou moins épaisse longeant le me-
lacunes du champ visuel sont beaucoup plus étroites et prennent les formes d' hémianopsie en secteur (lig. 41, D), t\' hém
tance de la vision centrale. Dans l'hémianopsie, quelle que soit sa forme , la vision centrale persiste. Pour expliquer ce
La ligne de démarcation empiète un peu sur la moitié manquante sous forme d'une bande longeant le méridien vertical. " LA
tant beaucoup moins étendue que l'autre. Très souvent, dans cette forme d'hémianopsic, la portion restante du champ vis
parlé. C'est un mélange de l'aphasie de Broca et de Fanarthric. La forme d'aphasie la plus fréquente dans l'hémianopsie es
'habitude de passer journellement. Ce trouble ne paraît être qu'une forme de la perte de la mémoire visuelle et doit rentre
hinasale. On observe encore assez souvent une modification dans la forme et LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. i : , l'éten
leur [POULARD.] oli 1; TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. forme nodulaire ou diffuse, leur siège central ou périp
La migraine ophtalmique est d'ail- leurs productrice de scotomes de formes et de dimensions très diverses. Hystérie. Certa
alogiede l'hémianopsie avec l'amaurose uré- nuque. Pronostic. Les formes non organiques de l'hémianopsie (urémie, migrai
roduit (affection rénale, éclampsie, etc.). Il en est autrement des formes organiques; elles sont toujours sé- rieuses. Ce
htalmoplégie peut être aiguë, subaiguë ou chronique. , Un type de forme aiguë est la poliencéphalite aiguë hémorrhagique-
(céphalée, vomissements, vertiges, tendance au sommeil). ' Dans la forme chronique, plus fréquente, l'affection peut reste
es nerfs moteurs de l'oeil par des tractus nerveux, dont l'ensemble forme la voie des mouvements associés. Le siège des cen
veux que se produisent les mydriases spastiques qui accompagnent la forme spastique de l'hLlI11cranic les accès de dyspné
ontre le myosis dans les méningites, les méninge-encéphalites. Il forme un des caractères de Y hémiplégie du type Avellis
il la période aiguë, donne il la pupille une déformation légère, de forme ovalaire, sans angles. Le glaucome ancien, à la p
la paralysie générale, la syphilis cérébro-spinale sous toutes ses formes . Inégalité pupillaire congénitale. Certains ind
l'oeil est humide ; le bord palpébral. légèrement écarté du globe, forme avec celui-ci un fossé rempli de larmes; quelqu
DE L'APPAREIL OCULAIRE. baisse, le champ visuel se modifie dans sa forme et dans son étendue e (rétrécissement irrégulie
'influence d'une plus forte excitation. La cZ1J}lacOllSie est une forme de paracousie qui fait percevoir deux sons pour
o-pneumonie, la rougeole, etc. La tuber- culose fournit surtout les formes purulentes chroniques. Chez les enfants, plus r
écipiter à terre, avec ou sans perte de connaissance, comme dans la forme classique du vertige de Ménière. - Les lésions
lle plus lentement, niais avec la même symptomatologie que dans les formes rapides ou lentes delà syphilis acquise. On sait
porté ce chiffre il 55 pour 100. Elle est encore plus grave que la forme acquise et, sauf de rares exceptions, peut être
iliforme, et de nombreuses gaines vides. Il est fréquent dans celle forme de trouver la paralysie faciale associée à la s
ie les douleurs périauriculairc, qu'on trouve souvent au début, les formes récidivantes et les formes à bascule. Elle comman
airc, qu'on trouve souvent au début, les formes récidivantes et les formes à bascule. Elle commande l'examen de l'oreille
ra-duraux se rencontrent à peu près avec la même fréquence dans les formes chroniques et dans les formes aiguës. Le siège
près avec la même fréquence dans les formes chroniques et dans les formes aiguës. Le siège de la lésion auriculaire a une
ement à l'atténuation de l'affection otique. Il va de soi que cette forme bénigne n'a rien à faire avec les paralysies qu
s auteurs, et Gradenigo sur- tout, ont pensé qu'il s'agissait d'une forme de méningite séreuse loca- lisée, mais le prono
es odeurs. Elfes, sont guéris- sables par suggestion, alors que les formes organiques sont assez souvent incurables. c - .
alement suave ou agréable. La parosmie se présente fréquemment sous forme d'isosmie (Collet), la sensation étant toujours
es névralgies faciales qui sont extrêmement fré- quentes. Certaines formes de névralgie localisée doivent toujours faire s
e les précédents. On peut citer les éternuements et notamment cette forme curieuse de 1'(,,teintictiteizl posl-}J1'andial
u le remarquable rapport de Lannois et Chavanne (de Lyon) sur les « formes cliniques du syndrome de Ménière » ; cet importan
lques cas rares, au vertige intense fait suite une attaque épileli- forme . Syncope ou convulsion peuvent être soit une cons
surtout soit il leur début, soit il une période tardive et dans les formes adynamiques. On l'observe avec une graudc fréqu
des Icrbéliclcccs, qui est assez fréquent, prend le plus souvent la forme du vertige auriculaire, soit par suite de lésions
parlerons plus loin. Le vertige auriculaire peut prendre toutes les formes : y'raloirc lc plus souvent, il peut être oscil
lus ou moins longtemps, par des troubles subjectifs de l'ouïe, sous forme de bourdonnements, de sifflements, de tintements,
ion de l'appareil vestibulaire. Lannois et Chavanne distinguent des formes complètes, des formes atténuées, des formes fru
ibulaire. Lannois et Chavanne distinguent des formes complètes, des formes atténuées, des formes frustes et des formes psy
havanne distinguent des formes complètes, des formes atténuées, des formes frustes et des formes psychiques de ce syndrome.
s formes complètes, des formes atténuées, des formes frustes et des formes psychiques de ce syndrome. Parmi les formes com
s formes frustes et des formes psychiques de ce syndrome. Parmi les formes complètes, ils reconnaissent des variétés apopiec
rmi les formes complètes, ils reconnaissent des variétés apopiecti- forme , aiguë, paroxystique, chronique avec paroxysmes,
mie, de syphilis, de néphrite, d'art ério-sclérose, etc. Dans les formes non traumatiques, le début est brusque, apoplecti
Dans les formes non traumatiques, le début est brusque, apoplecti- forme , et survient chez un sujet dont l'audition est no
ion est normale. Ce vertige est précédé par une courte aura sous la forme d'un sifflement, aigu et stri- dent, parfois de
observe la « névrose de Ménière » décrite par Franid-Hochwart, les formes psychi- ques de Lannois et Chavanne : troubles
près complète; mais celle-ci est irrémé- diable. En dehors de ces formes complètes ou compliquées du syndrome de réméré,
compliquées du syndrome de réméré, on observe très fréquemment des formes atténuées se tradui- sant par une sensation d'é
certains bruits violents par exemple. Frankl-Hochwart a décrit des formes frustes où manquerait l'un des trois symptômes ca
on de dérobeinent du sol; la migraine otique est une variété de ces formes frustes (Lannois). Dans la plupart de ces cas,
îner une chute. Les vertiges des neurasthéniques peuvent revêtir la forme du syndrome de Ménière continu ou intermittent, p
omac et le larynx . f Le vertige stomacal peut prendre toutes les formes ; généralement modéré, il peut être assez intens
aireux et alimentaires, et calmi; par ces vomissements. La première forme serait essentiellement névropathique : à la sec
tablit une hémiplégie évidemment caractérisée. Il existe encore une forme d'apo- plexie qui mérite d'être connue; c'est l
utre méningite, dans la méningite tuber- culeuse du nourrisson, une forme somnolente (Lesage et Alrami). Au début existen
e sommeil, dans les tumeurs cérébrales, peut se présenter sous deux formes . On observe soit des accès de somnolence passagèr
s individus présentant de grandes crises. Le malade tombe foudroyé ( forme apoplec- tique), ou s'assoupit doucement (forme
ade tombe foudroyé (forme apoplec- tique), ou s'assoupit doucement ( forme narcoleptique). Le sujet endormi ne ronfle pas.
e à l'origine de celle variété. 11 est autant de traitements que de formes d'insomnie. On traitera ce trouble morbide par
un cha- pitre spécial). Il existe tout il la fois un trouble de la forme extérieure du langage et un trouble intime de l
t d'abord sur les labiales, puis s'étendent à peu près à toutes les formes verbales 'selon que progressent les troubles paré
s troubles spastiques, si accusés, s'individualisent sous une autre forme dans le bégaiement. On entend de façon banale, so
'accorder sur ses symptômes et sur sa valeur. Mentionnons enfin une forme spéciale; de crampe phonatoire, l'aphlongie. Le
e se répartissent en deux groupes. Les uns intéressent le tracé, la forme de l'écriture; ce sont les troubles calh- graph
A) Troubles calligraphiques élémentaires. Le (racé des lettres la forme et, la direction des figues sont seuls modifiés i
est petite, menue, hésitante. Ces caractères, communs il toutes les formes , s'expli- quent par ce que le malade, pour écri
tions ou des zig-ziigs anguleux de faible amplitude en général. Les formes se modifient naturellement selon que le tremble
La chorée exagère beaucoup les modifications précédentes. Dans les formes les plus légères, le graphisme est compliqué de n
ro- chets, et l'écriture peut être encore déchiffrée. Mais dans les formes intenses, le tracé se réduit à des barres, à de
faciles pourvu qu'ils ne concernent point l'acte d'écrire. Dans la forme ordinaire ou spasmodique, à peine le malade a-t-i
ute écriture est bientôt impossible. Parfois des mouvements choréi- formes ou athétosiques, un tremblement plus ou moins vio
nt la difficulté du tracé. Dans certains cas, la crampe affecte une forme paralytique. La main s'engourdit et reste inert
L'écriture en miroir est donc disposée comme les caractères sur les formes d'imprimerie. Cette écriture est l'écriture nat
mais de désordres men- taux qui viennent troubler non seulement la forme générale du tracé, mais encore, modifier les id
On les rencontre avec leur plein développe- ment dans les diverses formes d'aliénation mentale. Nous reviendrons sur l'ap
'aliénation mentale à la fois sur le contenant, c'est-à-dire sur la forme du tracé, sur le contenu, c'est-à-dire sur les
tracé, sur le contenu, c'est-à-dire sur les pensées exprimées. La forme générale du tracé présente des caractères distinc
git en effet de faits isolés ou de variétés rares, souvent aussi de formes théoriquement dérivées d'un schéma et n'ayant p
plus la réalité des fails. Nous admettrons qu'il existe une" seule forme d'aphasie, dite aphasie intrinsèque (Pierre Mar
te aphasie intrinsèque (Pierre Marie) ou aphasie de Wernicke. Cette forme , carac- térisée par les troubles du langage int
assu- ciée à l'aphasie de Wernicke. ]1 existe donc, en résumé, cinq formes morbides de (roubles dits aphasiques du langage
(aphasies extrinsèques); deux syndromes : l'aphasie de Broca et une forme complexe alexie-aphasie de Wernicke. L'aphasie
e propre est particuliè- rement fréquente et significative dans ces formes de' reliquat. Anarthrie. Dans 1 anarthrie (corr
"anart/n'ie el de l'aphasie de TVl')'lIicloe. Le dosage de ces deux formes dans la cousti- tution du syndrome de Broca est
l'autre très prononcées, il s'agit, d'une aphasie de Broca maxima, forme que les anciens auteurs dési- gnaient sous le n
idenlificalion secondaire des objets. L'agnosique reconnaît donc la forme , les qualités sonores ou colorées d'un objet; i
les interpréter. 11 s'exprime d'ailleurs cor- rectement, et par la forme , et par le fond. Il n'est ni dément, ni apha- s
hasie sensorielle) le malade voit et reconnaît toujours au moins la forme géné- rale de l'écriture et de l'imprimé : il r
, l'excitation maniaque, les délires mégalonianiaques on observe la forme déclamatoire. Katubamn a attiré l'attention sur
iendra compte dans l'examen des écrits de l'aspect du papier, de la forme et de la dimension des lettres, de la signature
que le maniaque, sans s'installer, prend une plume ou un crayon et forme les lettres avec rapidité, que le mélancolique fa
e sur les modalités de la conduite des aliénés, sur les différentes formes cliniques de la pathologie men- tale. - 1° Ac
sistant dans la perception pathologique de paroles, non plus sous la forme d'images sensorielles auditives ou visuelles, d
elles auditives ou visuelles, de mots entendus ou lus, mais sous la forme d'images motrices à l'aille des mouvements adapté
cusateurs. Les idées d auto-accusation dans la confusion mentale il forme déli- mnte sont la résultante de l'automatisme
résultante de l'automatisme psychologique, le délire est mobile il forme de rêve. Dans le délire alcoolique aigu, délire h
t en rapport avec les hallucinations, elles sont mobiles (délire il forme de rêve de Lasègue). Elles se rapportent souvent
quand elles exis- tent, ont aussi un cachet démentiel. , Dans la forme paranoïde de la démence précoce et. chez certains
s sou- vent prédominantes dans le tableau clinique et réalisent une forme spé- ciale de cette affection, la mélancolie hy
inillen le et chez certains débiles. Elle s sont fréquentes dans la forme dépressive de la paralysie gélll'- rale, coexis
exté- rieur. Les idées de négation sont fréquentes dans certaines formes de mélan- colie et très systématisées. Elles ap
oire du moyen âge des cas nombreux de démonopathie; aujourd'hui ces formes cliniques de la paranoïa sont beaucoup plus rares
x l'alimentation forcée. L'hydrothérapie est employée sous diverses formes . Dans les états de dépression mélancolique on c
dre public ou la sûreté des per- sonnes, le préfet pourra, dans les formes tracées par le deuxième paragraphe de l'ar- tic
public ou la sûreté des personnes v seront également admis dans les formes , dans les circonstances et aux con- ditions qui
services financiers, la surveillance de la gestion du receveur, les formes de la comptabilité, sont applicables aux établi
nsi- rinations, et sera exclusivement destiné ;1 pourvoir, dans les formes el pour les cas déterminés dans l'article suiva
contenir les nom, prénoms, âge et domicile de la per- sonne qui la forme et de celle dont le placement est réclamé, ainsi
une région de circonvolutions; il en résulte une cavité ou porus en forme d'entonnoir. Cette perte de substance est, sui-
parfaite de la sen- sibilité au contact. 11 s'agit donc là de deux formes distinctes de sensibilité qui peuvent être nett
syringomyélie- que, il faut placer, d'après Strumpell, une nouvelle forme de dissociation de la sensibilité, dite du « ty
s peuvent également occuper la région nammaire et dorsale sous la forme E.1.lui plastron anesthésique. Ces roubles de
le tabès, exister seuls ou associés à des altérations les autres formes de la sensibilité. Dans les paraplégies, la sen
dons de reconnaître par la palpation et le toucher, la na- ture, la forme géométrique et les propriétés physiques, molécula
re un objet, il entre deux éléments différents : 1° La notion de la forme de l'objet; 2° la notion de la compréhension de c
forme de l'objet; 2° la notion de la compréhension de cet objet. La forme , en effet, ne constitue pas nécessairement pour n
nous voyons ou palpons pour la première fois. La perception de la forme des objets a été appelée identification pl'i- I
els du sens stéréognostique ; il pourra parfaitement reconnaître la forme , la dimension, l'état de lisse ou de rugueux d'
eulement de dire le nom de l'objet, mais encore d'en reconnaître la forme (stéréoagnosie), présenterait des troubles plus
cas, l'anes- thésie empiète sur le côté corres- pondant, sous la forme d'une zone d'hypoesthésie occupant le membre
onc elles membres) ou partielle, et revêtir, comme l'hémiplégie, la forme monoplébique. La sensibilité peut être touché
noncée avec contracture; elle peut comme cette dernière revêtir la forme monoplégique, ou encore se compliquer de phénom
n sensitive radiculaire des téguments. Celle-ci se présente sous la forme de bandes parallèles entre elles et nettement d
- tituée, ils manquent rarement. Au début, ils se présentent sous forme de bandes transversales d'anesthé- sie sur le
s, ils sont plus rarement unilatéraux; quelquefois ils revêtent une forme hémiplégique. Rarement. ils sont croisés par rapp
thésie de la région sacrée, de la plus grande partie des fesses en forme de fer à cheval avec branches descendantes le l
SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 345 oreillons, l'érysipèle. On a décrit dès formes « radiculo-méningées » dans le cancer vertébral
sont caractérisées par la dégénérescence des éléments nerveux. - Formes cliniques. De même que pour les névrites, on peut
ormes cliniques. De même que pour les névrites, on peut classer les formes cliniques des radiculites, suivant leur topograph
la prédominance spéciale de leurs symptômes. On distingue ainsi des formes presque exclusivement sensitives et des formes se
distingue ainsi des formes presque exclusivement sensitives et des formes sensitivo- motrices (ce sont les formes qui nou
usivement sensitives et des formes sensitivo- motrices (ce sont les formes qui nous intéressent ici), et enfin des formes
motrices (ce sont les formes qui nous intéressent ici), et enfin des formes motrices. Les formes sensitives peuvent, à le
rmes qui nous intéressent ici), et enfin des formes motrices. Les formes sensitives peuvent, à leur tour, se diviser en ra
étude est importante pour déterminer- la cause de l'algie. Dans les formes dites acroparesthésiques, les dou- leurs se loc
(scialique radiculaire) (Dejerine, Gauckler et Roussy). A côté des formes limitées, on admet encore des formes disséminées
auckler et Roussy). A côté des formes limitées, on admet encore des formes disséminées et généralisées, dont le diagnostic
ne franche. 'Mais il est à remarquer que cette limite supérieure ne forme pas une ligne perpendiculaire, mais oblique par
es ou multiples, distribués au liasard sur la surface cutanée; leur forme et leur dimension sont variables. [ ROUSSY.]
ie. Les troubles de la sensibilité sont également fréquents dans la forme de chorée dite : chorée hystérique. Dans le g
moteurs affectent le plus habituellement, chez les hystériques, la forme hémiplégique. Or, ceux de ces hémiplégiques qui
ale. Dans la paralysie générale progressive, ils peuvent prendre la forme hémiplégique ou monoptégique, et, dans le cas d
éphalée est un des symptômes prédominants de la syphilis cérébrale ( forme artérielle ou méningée). On l'observe dans les
ès lourd, « céphalée en casque ». Elle peut être localisée, sous la forme de point ou de plaque, il l'occiput ou dans la
la céphalée prend la valeur d'un équivalent epifcp- tique, sous la forme de migraine, de tics douloureux, de chocs cépha-
raine; nous ne pouvons donc que signaler en passant les principales formes de migraines, dans la symptomatologie desquelle
pie périodique, l'amblyopie, la photophobie migraineuse en sont les formes principales; elles peuvent exister indépendamme
er également des crises de douleurs paroxystiques intestinales ou à forme d'angine de poitrine. Les organes génito-urinaire
2° Dans les névroses, les douleurs viscérales permanentes ou sous forme de crises sont communes dans le goitre exophtalmi
ue du corps, à la face, à la nuque, aux membres, au coccyx, sous la forme de zone douloureuse limitée, ne répondant pas à
ent être l'unique manifesta- tion du paludisme, réalisant ainsi une forme larvée névralgique. Les névralgies paludéennes
si parmi les (roubles trophiques les éruptions de zona qui, dans la forme ophtalmique en par- ticulier, peuvent avoir des
oitié de la face. Les troubles trophiques sont fréquents dans cette forme de névralgie. NÉVRALGIE CERVICO-OCCIPITALE La
ralgie ilr'o-scrotale; il faut dans cette affection distinguer deux formes cliniques : tantôt il s'agit d'une névralgie des
algies scrotales ou labiales, des névralgies fmo-perïa/cs. Dans une forme clinique spéciale ces névral- gies génitales so
logue. La scoliose homo- logue s'observerait principalement dans la forme de sciatique spasmodique de Hrissaud. Les dévia
malade se fatigue très facilement. On a opposé l'une à l'autre deux formes cliniques : la sciatique- névralgie et la sciat
beaucoup de cas. Brissaud et Lamy ont attiré l'attention sur une forme spéciale de sciatique, la sciatique spasmodique
diagnostic étiologique. Certaines céphalalgies se manifestent sous forme d'accès, ce sont les migraines. La migraine s
sie du nerf de la troisième paire du côté de l'hëmicrànie, c'est la forme clinique encore appelée; paralysie oculo-motric
hénii- parésie ou d'hémiplégie disparaissant rapidement. Dans les formes vaso-motrices de la migraine on constate des trou
nes névral- gies. L'hydrothérapie est utile spécialement dans les formes chroniques des névralgies. On conseillera, suiv
r fort, ont une extrémité court-taillée et un calibre presque fili- forme ; celles qui sont destinées au trou grand rond on
rveux qui la renvoie par les voies centrifuges à la périphérie sous forme d'excitation motrice. Si le point de départ de
binaisons suivantes : a) Les deux réflexes sont abolis : c'est la forme la plus fréquente; b) Les deux réflexes sont tr
éléments du syndrome des scléroses combinées de la moelle dans la forme tabétique, dans les scléroses combinées de la par
, dans les scléroses combinées de la paralysie générale el dans les formes subaiguës. Dans la forme (abélique, elle est semb
nées de la paralysie générale el dans les formes subaiguës. Dans la forme (abélique, elle est semblable il celle du tabès
paraplégie, signe de Babinski (Pierre Marie et Crouzon). Dans les formes subaiguës : (scléroses combinées de l'anémie penn
s l'anémie perni- cieuse, soit à une période avancée, comme dans la forme décrite parles auteurs anglais; dans ce dernier
dineux. HESLLTATS FOURNIS PAR L'EXAMEN DES REFLEXES..45') Dans la forme cérébelleuse de la sclérose en plaques, on peut o
faire le diagnostic de l'atteinte du nerf sciatique, soit dans les formes de sciatique névrite avec amyotrophie, soit dans
scence de la manie aiguë, à part la manie chronique et une certaine forme aiguë de la -paranoïa, l'abolition du réflexe p
léra, M. Galliard a examiné l'état des réflexes rotuliens. Dans les formes algides, l'abolition du réflexe rotulien existe d
ns suivantes : La sclérose en plaques, qu'elle se manifeste sous la forme spasmo- dique franche ou sous la forme eérébell
qu'elle se manifeste sous la forme spasmo- dique franche ou sous la forme eérébello-spaslllodiq1le, est caractérisée par
spaslllodiq1le, est caractérisée par l'exagération des réflexes. La forme cérébelleuse pure ne parait pas présenter cette
ilitique, l'exagération des réflexes est la caracté- ristique de la forme d'Erb : c'est la paraplégie; spasmodique des mem-
eurs associée à l'exagération des réflexes des membres infé- rieurs forme un ensemble caractéristique de la sclérose latéra
nérale est telle qu'elle peut permettre d'affirmer l'existence dune forme de sclérose latérale ou spasmodique : il y a al
s dans 29 pour 100 des cas. Il n'existe pas de concordance entre la forme de la lièvre typhoïde et l'état des réflexes. L
des réflexes. L'exagération se rencontre cependant surtout dans la forme alaxique et ataxo-adynamique, mais les réflexes
se tend et le vaste externe repoussé en avant donne à la cuisse une forme cylindrique. Ce réflexe du fascia lata peut coï
st atteinte, on a vu se produire quelquefois des mouvements cluwéi- formes ou riralléatoires, ou bien des troubles de la sen
s de caractères spéciaux permettant de distinguer sûrement ces deux formes d'hémiplégie, car on ne peut considérer comme a
ension. Le membre supérieur et le membre inférieur sont, dans cette forme , susceptibles de présenter une atrophie considéra
constate alors des troubles vaso-moteurs accentués. Dans une autre forme , il ne s'agit plus de contracture, mais d'hénn-
embres de ces malades ne présentent pas l'atrophie signalée dans la forme précédente. Du reste, d'une façon générale, les
ris, et, suivant lui, il a une valeur assez grande pour déceler les formes frustes de la maladie; nous avons pu nous-memc
l'adulte, avec atrophie, confirma notre diagnostic. C'est dans ces formes ambulatoires de méningite cérébro-spinale simulan
ticulièrement grave, car on le rencontre plus fré- quemment dans la forme mortelle ou suivie de rechutes. On le rencontre
au besoin cette étude. ' - Description du syndrome paraplégie et formes clini- ques. La paraplégie peut être flasque ou
ble; elle est possible tm peu plus souvent dans le second. Dans les formes aiguës, flaccides ou spas- tiques, elle devient
e des troubles de la marche permettra l'appréciation à distance des formes même atté- nuées. Tout à l'ait au début d'une
n pourra juger de la multiplicité et de la complexité de toutes ces formes . Tétraplégies. - Les quatre membres sont attein
rentes viciations l'ont place a une dissociation syringomyélique. Formes évolutives, aiguës, chroniques. Certaines paraplé
rver à titre exceptionnel de pressants besoins de défécation. Cette forme est susceptible de grandes améliorations, de guér
survenir égale- ment au cours de phénomènes bulbaires. , De cette forme chronique, il faut distinguer les formes subaiguë
mènes bulbaires. , De cette forme chronique, il faut distinguer les formes subaiguës, qui, justement, sont les types à déb
sont les types à début par accidents méningés. On signale aussi des formes curables à rechutes. Il est peu de chose à modi
dire s'ac- compagner d'atrophie. Pour le diagnostic, général de ces formes , nous nous reporterons aux paraplégies flasques
rs, les centres bulbaires. On se rapproche alors sensiblement de la forme suivante. Néanmoins, l'évolution de la meningo-
types. Tous peuvent, aboutir il l'impotence paraplégique, mais deux formes seulement réalisent ce syndrome de façon précoc
oprié, évoluer rapidement vers la guérison, d'autre part, certaines formes de paraplégie, Pott, sclérose en plaques, subisse
ils s'affaiblissent et succombent dans le marasme. A côté de cette forme avec ictus, on peut distinguer, d'après Lherini
a- tives déconcertantes d'amélioration et d'aggravation. Il est des formes frustes, d'autres d'emblée caractérisées et à g
'humérus en arrière, mais amènent une élévation moindre du bras qui forme un angle de 4J degrés avec l'horizon. Quant aux f
eur du cubitus. En bas, le tendon du muscle s'insère sur l'os pisi- forme . Innervation. Nerf cubital. " Physiologie. Le
fortement; c'est ainsi, connue ta l'ait remarquer Duchenne, que se forme la griffe si puissante pour déchirer avec les o
lon reposant sur le sol, le mouvement de rotation interne se trans- forme en abduction; il en est de même, d'ailleurs, pour
extrémité supérieure du tibia en avant de la tubérosité interne. Il forme là, avec les tendons du droit interne et du dem
nastomose avec un rameau provenant de la branche externe du spinal, forme une anse de la convexité de laquelle naissent de
élévation en dehors; modification de la ligne latérale qui prend la forme d'une Sa boucles très allongées; rétrécissement
aux charnus du diaphragme se détachent du centre phrénique qui a la forme d'un trèfle-. Les faisceaux antérieurs ou stern
fibres charnues une direction rectiligne, il leur faire perdre leur forme cintrée, ainsi est agrandi le diamètre vertical
ieur des sept ou huit dernières côtes par autant de digitations. 11 forme un grand éven- tail, ses faisceaux supérieurs o
ieur sur la lèvre postérieure. Les intertransversaires du clos sont formes par des faisceaux étendus du sommet d'une apoph
l'oreille externe. Insertions. - Le muscle auri- culaire antérieur forme avec le temporal superficiel un muscle digas- t
étant saisi par la bouche à l'aide de l'orbiculaire et des incisifs forme un plan rigide qui permet la contraction d'avan
phénoïdal s'insère sur la partie de la grandc aile du sphénoïde qui forme la voûte de la fosse zygomatique, le faisceau i
iées avec facilité des paralysies du type e radiculaire. Quelques formes cliniques parmi les pai alysies radiculaires du p
quand les deux extrémités sont atteintes, rappelle l'attitude et la forme des nageoires d'un phoque (Ftossenstellung). Dans
r des lésions de la moelle, des racines ou des nerfs périphériques, forme une transition logique entre l'étude des paraly
e paralysie faciale repose surtout sur l'examen électrique. Dans la forme grave, on observe la réaction de dégénérescence
s la forme grave, on observe la réaction de dégénérescence; dans la forme bénigne il ny a a pas de modifications des réac
e il ny a a pas de modifications des réactions électriques; dans la forme moyenne, le nerf reste excitable, mais son exci
NERFS CRANIENS La paralysie faciale périphérique présente plusieurs formes cliniques dépendant du siège de la lésion. La p
iale périphérique. Dans la paralysie, faciale a (rigore, qui est la forme la plus habituellement observée en clinique, il
t 4 à 5 respirations par minute. J'ai décrit, avec Guy Laroche, une forme apnéique de la crise bulbaire des tabétiques qu
rès favorable , la guérison complète survient toujours. Parmi les formes cliniques de la paralysie radiale, une des plus i
n agit comme moyen de choix pour la suggestion dans l'hystérie. Les formes névritiques sont justiciables de l'électricité
dition éliologique l'hystérie, mais surtout la neurasthénie dans sa forme anxieuse et l'hypocondrie. Souvent ce sont des ma
lques heures et se répéter plusieurs fois dans la journée. Dans une forme plus sévère, celle du spasme suffocant, le malade
le temps de songer à pratiquer la trachéotomie. Mais même dans ces formes extrêmes, les accidents peuvent se dissiper avec
la respiration artificielle, les inhalations d'éther ou de chloro- forme , sont à essayer : le tubage du larynx ou la trach
l'épilcpsie où à côté des [LANNOIS.] 654 - MALADIES DU LARYNX. formes dites essentielles, il y a la série des cas sympt
mptouialiques, ce qui n'empêche pas d'ailleurs de décrire à part la forme idiopathique. Dans les cas désignés sous le nom
yngoscopique dans ces cas montre du spasme moins accusé que dans la forme précédente, prédominant tantôt sur un muscle, t
nerveuse chronique. Étudiée par Brissaud elle correspond à une des formes de la raucité vocale. Elle se voit chez de jeun
scles s'accompagne tout spécialement de pseudo-hypertrophie, et une forme topographique d'atrophie musculaire I- LÚn. Rcv
la simple inspection que l'on constate une atrophie musculaire, la forme du membre ou de la portion de membre est t modi
c'est sa physio- logie, c'est le fonctionnement du muscle et non sa forme ou sa dimen- sion qu'il faut interroger. Nous a
aissant dans le mode d'évolution la description classique d'une des formes de myopathie. 1. Ducm.,w ? Itecli. éleclro-phys
la séparation des paralysies et des amyotrophies d'origine spinale. FORMES CLINIQUES. - CLASSIFICATION - L'atrophie muscul
fait ordinairement, en myopalhiques, myélopathiques et neurotiques. FORMES CLINIQUES. CLASSIFICATION'. 665 Les diverses at
t de classer. L'atrophie musculaire progressive dite Aran-Duchenne, forme sous laquelle se présente presque toujours l'amyo
s fréquemment l'atrophie musculaire progressive se présente sous la forme d'une maladie de développement et en offre tous l
... Dans ce groupe des maladies de développement entrent toutes les formes des myopathies, c'est-à-dire des cas où ni clin
s de l'enfance et de l'adolescence : a) myopathiques : toutes les formes des myopathies : paralysie pseudo-hypertro- phi
ode avancée, il peut être impossible de reconnaître quelle a été la forme de 1 amyotro- phic; c'est l'étude des antécéden
ontré la dissemblance, il savoir : les myopathies avec toutes leurs formes topographiques. ks amyo- trophies progressives
-Ioffrriaiin, myélopathie, la paralysie pseudo-hypertrophique et la forme Leyden- Moebius, myopathies, qui débutent le pl
i débutent le plus souvent dans la première enfance, sont aussi les formes d'amyotrophies progressives le plus con- stamme
progressives le plus con- stamment héréditaires : ce sont aussi ces formes dont d'ordinaire l'évolu- tion est la moins len
us souvent héréditaires, plus souvent encore, familiales. Enfin, la forme scapulo-humérale d'Erb de la myopathie et la né
plus grand nombre des cas. Dans l'ensemble, les myopathies, dont la forme la plus commune est la forme facio-scapulo-humé
ns l'ensemble, les myopathies, dont la forme la plus commune est la forme facio-scapulo-humérale, sont héréditaires, d'aprè
arie plus ou moins caractérisée. Un fait à remarquer, c'est que les formes de myopathies qui débutent généralement le plus
myopathies qui débutent généralement le plus tardivement, comme la forme juvénile d'Erb, sont aussi celles qui paraissen
t le plus volontiers sauter une génération; il semble que, dans ces formes , les sujets puissent rester pendant toute leur
peu héréditaire de ces variétés il début tardif. Ce sont aussi ces formes qui paraissent se trans- former le plus volonti
tionnel. Cette transformation héréditaire se limite aux différentes formes de myopa- thrips : on n'a pas signalé jusqu'ici
ire que les malades et leurs descen- dants sont atteints de la même forme d'atrophie; chez les myopathiques, elle peut êt
une hérédité aussi indirecte, amyotrophie progressive, même sous sa forme habituellement héréditaire, paraît bien être ac
eyden-Moebius et dans le type Erb, elle semble l'être moins dans la forme Landouzy-Dejerine. L'amyotrophie Charcot-Marie
outurier; elle serait un élément important et caractéristique de la forme juvénile d'Erb. En réalité, l'hyper- trophie a
é, l'hyper- trophie a été signalée depuis le mémoire d'Erb dans des formes diverses de la myopathie, et en particulier dan
pseudo-hypertrophie est assez importante pour caractériser une des formes de la myopathie, la paralysie pseudo-hypertrophiq
a paralysie pseudo-hypertrophique ; elle est très fréquente dans la forme d'Erb, mais elle ne fait absolument dé- faut da
forme d'Erb, mais elle ne fait absolument dé- faut dans aucune des formes de la myopathie ; en revanche elle n'est consta
même, la pseudo-hypertrophie peut manquer, on a alors affaire à la forme dite Leyden-Wibius. Certains muscles y sont tou
fJON. J. o/' ne1'U. a. ment, dis., juin 1905. ' MYOPATHIES. 671 1 formes de myopathies : elles sont surtout fréquentes dan
671 1 formes de myopathies : elles sont surtout fréquentes dans la forme Lan- douzy-Dejerine (Friedreich, Landouzy et De
s ordinaires d'investigation. Plus récemment, Gowers a décrit une « forme distale » de la myopathie (3), Quoi qu'il en so
rophie myélopathique Werdnig-lIof1'mann. L'évolution des diverses formes de la myopathie est en général d'une grande len
d'origine congénitale. Pourtant la lenteur est variable suivant les formes ; la paralysie pseudo-hyperlrophique, qui est la p
ur l'accentuer au degré où on le rencontre parfois. Dans toutes les formes de myopathie, et en particulier dans la l'orme
vant à cause de la lordose lom- baire, ce qui donne aux malades les formes connues de la Vénus Callipyge : mais quand on m
udo-hypertrophique, mais ils ont été signalés aussi dans les autres formes (Fabre, Joffroy, etc.). En 1902, l'association si
à la myopathie classique, comme une variété de la myopathie. Les formes ordinaires de la myopathie peuvent se combiner en
e combiner entre elles; on observe non seulement toute une série de formes intermédiaires aux différents types, mais encor
s cas d'association de la paralysie pseudo-hy- pertrophique avec la forme facio-scapulo-humérale, que Souques (5), Wongts
, ont présenté des malades atteints à la fois des trois principales formes . Cette combinaison possible des diffé- rentes f
is principales formes. Cette combinaison possible des diffé- rentes formes n'est pas le moindre argument qu'on ait fait valo
fait valoir pour démontrer queues différents tvpes ne sont que des formes d'une seule et .même maladie, la dystrophie mus
Variété pseudo-hypertrophique ou myosclérosique de Duchenne. Cette forme atteint surtout et d'abord les membres inférieu
ophie. Or, la pseudo-hypertrolhic est un symptôme transitoire de la forme de Duchenne; aussi, de l'avis même de Leyden et
trophie » .. 5. Variété scapulo-humérale ou juvénile d'Erb. Cette forme atteint d'abord et surtout les muscles de la cein
édominante. Les atrophies, simples ou pseudo-hypertrophiques, de la forme scapulo- humérale déterminent des déformations
les omoplates sont détachées du tronc sur leur bord interne, il se forme entre leur bord interne et leur face antérieure
fois seul à l'atrophie de presque toute la musculature cer- vicale, forme de chaque côté du cou très aplati des saillies la
et aux membres supé- rieurs; elle envahit les mêmes muscles que la forme scapulo-humérale : trapèze, rhomboïde, grand de
mêmes pour le tronc et les membres, il une période avancée, dans la forme d'Erb et dans la forme Landouzy-Dejerine : seule
les membres, il une période avancée, dans la forme d'Erb et dans la forme Landouzy-Dejerine : seule leur période d'appari
ir complè- tement immobile. L'évolution est la même que dans la forme scapulo-humérale, en ce sens que la progression d
essif n'a pas suivi la marche ordinaire : des observa- tions de ces formes anormales sont journellement publiées et ne se
ar quelque maladie intercurrente. 2. Type Werdnig-Hoffmann. - Cette forme d'atrophie est extrêmement rare ; on n'en conna
'ENFANCE ET DE L'ADOLESCENCE Névrite interstitielle hypertrophique ( forme Gom- bault-Dejerine-Sottas et forme Pierre Mari
interstitielle hypertrophique (forme Gom- bault-Dejerine-Sottas et forme Pierre Marie). Cette affec- tion est très rare,
.INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE.. 697 permis à Boveri d'en faire une forme spéciale, la forme Pierre Marie, différant par
ERTROPHIQUE.. 697 permis à Boveri d'en faire une forme spéciale, la forme Pierre Marie, différant par certains caractères
ale, la forme Pierre Marie, différant par certains caractères de la forme Gombault-Dejerine. - L'atrophie débute dans l'e
e progressive de l'adulte est presque toujours mye- lopalhillue. La forme presque constante, la seule bien différenciée, es
afoe est exactement le même que celui que nous avons décrit dans la forme scapulo-humérale de la myopathie; les dévia- ti
atrophie. Ils sont en général diminués dès le début; dans certaines formes d'atrophie Duchenne-Aran, dans la pachy- méning
hypertrophique, dans la sclérose latérale amyotro- pbique, dans la forme spasmodique de la syringomyélie, dans quelques
une importance assez considérable pour que Charcot ait décrit une « forme amyotrophique ». Pour Lejonne ('),.qui en a récem
que ». Pour Lejonne ('),.qui en a récem- ment repris l'étude, cette forme amyotrophique se distingue par certains caractè
ntionnel et massif, nystagmus, troubles de la vi- sion, etc.), la forme amyotrophique de la sclérose en plaques se cara
élie ne s'accompagne pas toujours du syndrome Aran- Duchenne ; la forme de la main est souvent celle de la « main de pr
Sottas, Dejerine et Mirallié). , La-maladie de Morvan n'est qu'une forme de syringomyélie ou de lèpre avec prédominance
ce de- troubles trophiques (panaris analgésique, etc.). La' lèpre à forme nerveuse ne s'accompagne pas toujours d'amyotro-
tologie était, en somme, assez restreinte; telle n'est nullement la forme ordinaire des am)'o- trophil's tabétiques; il é
terons seulement que, si le type Aran-Duchenne est de beaucoup la forme la plus fréquente de toutes ces amyotrophies, on
combinaison des troubles moteurs, sensitifs et trophiques des deux formes précédentes : paralysie atrophique des muscles
ésions vertébrales ou intra-rachidiennes peuvent simuler toutes les formes de paralysies des plexus que nous venons d'indiqu
se externe qui s'accompagnent d'amyo- trophie se présentent sous la forme de la « névrite ascendante ». (1.) Névrite infe
généralisée (polynévrites); on peut observer entre ces différentes formes tous les intermédiaires. La névrite localisée i
n ne le sont qu'exceptionnellement, très tar- divement, ou dans des formes très rapides, aiguës ou suraiguës, qui rap- pel
nie ne sont pas encore parfaitement élucidées. Dans les différentes formes de polynévrites les troubles sensitifs peuvent
ns noté déjà que l'atrophie du tabes se présente parfois sous cette forme et qu'elle est vraisemblablement due dans ce cas
radiculaires antérieures par la méningo-myélite syphilitique; cette forme d'atrophie ne diffère pas en effet de la forme my
syphilitique; cette forme d'atrophie ne diffère pas en effet de la forme myélopathique habituelle, et d'autre part Raymo
générescence et une atrophie des grandes cellules motrices. Mais la forme la plus ordinaire de l'amyotrophie tabétique es
est différente et c'est surtout au sujet de la pathogénie de cette forme que l'on a beaucoup discuté. L'amyotrophie tabé
1. Caractères de l'atrophie : Contractions fibrillaires (pas dans la forme \\'crdriig- Hoffmann) ; pas de pseudo-hypertrop
Erh, qui avait constaté ce fait sur des muscles de myopathiques à forme juvénile,- le croyait spécial aux myopathies et m
e juvénile,- le croyait spécial aux myopathies et même à leur seule forme juvénile. Ce qui est vrai, c'est que, en dehors d
ies myopathiques. Mais elle n'est pas un caractère particulier à la forme juvénile, elle s'observe aussi dans les autres
rticulier à la forme juvénile, elle s'observe aussi dans les autres formes et notamment dans la forme facio-scapulo-hu- ll
e, elle s'observe aussi dans les autres formes et notamment dans la forme facio-scapulo-hu- lllél'1C. L'hypertrophie pr
es muscles, soit sur des muscles différents. Il y a donc toutes les formes de passage entre la myopathie pure et la maladi
ogiquement constantes. Cliniquement : myopathies seulement, surtout formes Duchenne et Erb. Localisées : partielles ou tot
s de spasmodicité ou à l'extension des orteils (sclérose combinée à forme tabé- tique), tantôt la paraplégie spasmodique
ée seulement à un léger degré d'incoordination (sclérose combinée à forme spasmodique, paraplégie syphilitique d'Erb).
es mouvements isolés. Nous signalons dès maintenant ces différentes formes d'incoordination parce qu'il s'agit, selon toute
LLEUSE. 775 en arrière et de courber le tronc d'ans le même sens en forme d'arc. Un individu normal, en même temps qu'il
III. INCOORDINATION DANS LES MALADIES HÉRÉDITAIRES OU FAMILIALES ( FORMES MIXTES) Nous avons réservé, pour les décrire en
l'a décrite avec ses élèves P. Riche et 111ocd, en distinguait une forme paralytique et une forme ataxique. En réalité,
ves P. Riche et 111ocd, en distinguait une forme paralytique et une forme ataxique. En réalité, il s'agit dans les deux c
és être paralysés. j La l'orme ataxique de Charcot ne diffère de la forme paralytique que par l'association de mouvements
ar l'association de mouvements hystériques surajoutés, soit choréi- formes (astasie-abasie clloréiforme), soit trépidants (a
rome bulbaire analogue ou hémiplégie alterne inférieure. Dans cette forme , les membres sont paralysés du côté opposé à la l
il vrai dire, assez super- ficielle. Elle porte uniquement sur les formes extérieures, sur le modelé de la face. Nous ver
Dans l'hémorragie du bulbe, le début est fréquemment al7ol71ecti- forme : la mort peut être foudroyante. Lorsque la mort
e de Cheyne-Stokes : cela est fort rare à la vérité. Évolution et formes cliniques. Certains malades présentent surtout
es provoquent peu de variations dans le syndrome étudié : certaines formes , chez les sujets jeunes il antécédents spécifiq
ie, porencéphalie. L'évolution du syndrome étudié, à s'en tenir aux formes observées chez l'adulte, est variable et irrégu
escriptions précédentes. Dans la paralysie bulbaire aiguë apoplecli forme , l'ictus est unique, sans perte de connaissance l
ingulière affection ne saurait être difficile. On la rencontre sous forme plus ou moins épidémique. en Suisse et au Japon
rminant l'intérêt qui s'attache à la recherche des symptômes et des formes de transition entre les myasthénies, les myopat
es de transition entre les myasthénies, les myopathies atrophiques ( forme banale) et hypertrophiques (forme Thom- sen). T
nies, les myopathies atrophiques (forme banale) et hypertrophiques ( forme Thom- sen). Toutes ces entités cliniques semble
e, diminution des polynucléaires, des lymphocytes, augmentation des formes âgées des mononucléaires; Pel (d'Amsterdam) a,
ent observé une hyperleuco- cytose. Diagnostic. Le diagnostic des formes bien caractérisées de la myasthénie est simple.
erveux, a agi sur lui. L'expérimenta- tion, en réalisant toutes les formes du mouvement musculaire, depuis la contraction
observe ici les évacuations involontaires plus souvent que dans les formes cloniques. Toniques ou cloniques, les convulsio
e attaque. Quelquefois l'accès est unique, particulièrement dans la forme tonique; d'autres fois des accès multiples se r
ée, sur le siège de la première secousse (signal-symptôme) dans les formes qui tendent il la généralisation, enfin et surtou
ussi le moyen d'agir à temps, énergiquement, non seulement dans les formes éclamptiques, simulant l'épilepsie, dont elles ne
longues que celles de l'épilepsie (encéplza- : apathie saturnine à forme convulsive), s'accompagnant de trismus; on a da
Nous ne mentionnons que pour être complet la fièvre pernicieuse il forme convulsive que connaissent les médecins des rég
nstituent en réalité le symptôme initial de l'accès et affectent la forme de troubles moteurs, sensitifs, sensoriels ou p
obnubilation de la vue pouvant aller jusqu'à la cécité, scotomes de formes et de couleurs diverses, vision grossie ou rapeti
sive ou de délire. Ici, comme dans l'épilepsie, il peut y avoir des formes irrégulières ou frustes d'attaques hystériques
maladie de Parkinson; il faut penser quelquefois au tremblement de forme parkinsonienne symptomatique d'une affection céré
esco, Société de Biologie, mai 1895). Tels sont les tremblements de forme parkinsonienne 1)('1" 011 posl-hémi plégiques.
net, etc. Enfin, dans la maladie de Parkinson, on peut observer des formes aty- piques, tels sont les cas des tremblements
ement hysté- rique peut être localisé à une partie du corps sous la forme hémiplégique ou une forme- paraplégique, sa dur
par seconde : ce sont les cas les plus nombreux qui revêtent cette forme , comme le dit Dutil, ce rythme moyen est le ryt
noma à la suite d'ulcé- rations de la langue, ou des lèvres, etc. Formes . La chorée peut se manifester suivant les deux fo
lèvres, etc. Formes. La chorée peut se manifester suivant les deux formes différentes, et les deux tableaux cliniques que
e diagnostic peu- vent se faire très facilement. II est une autre forme de chorée distincte de la forme moyenne que nou
e très facilement. II est une autre forme de chorée distincte de la forme moyenne que nous avons décrite, ce sont les cas
de la chorée en général. Cette évolution varie suivant chacune des formes que nous passerons en revue tout à l'heure. Nou
t d'habitude, se reproduit involontairement, en s'exagérant dans sa forme , dans son intensité et dans sa fréquence, mais
puisqu'il y aurait toujours quelques mouvements du côté sain et la forme la plus fréquente est donc la chorée à prédomin
ment fréquents. Ces troubles moteurs peuvent se présenter sous deux formes , ou bien il s'agit de la chorée paralytique ou
est semblable à un délire d'intoxication et qui se présente sous là forme d'un délire halluci- natoire aigu, d'un état ma
dégénérés à manifestations multiples qui. peut se présenter sous la forme de la mélancolie anxieuse ou d'une excitation man
e à la fièvre quand celle-ci survient dès le début de la maladie. ' Formes . Le type qne nous venons de décrire est la chorée
es. Le type qne nous venons de décrire est la chorée vul- gaire. La forme grave de la chorée est caractérisée, comme nous l
ont le point de départ est souvent cutané. Plus intéressante est la forme à-laquelle nous avons déjà fait allusion, nous
ilatoff, etc., en ont publié des exemples. Nous décrivons ici cette forme de chorée car elle est toute spé- ciale au jeun
idité généralisée des membres ou quelques petits mouvements choréi- formes à intervalles éloignés : ou bien la. paralysie es
t. CHORÉE HYSTÉRIQUE ; La chorée hystérique se présente souvent 2 formes : ta choyée rythmique et la chorée arythmique.
yée rythmique et la chorée arythmique. La chorée rythmique est la forme la plus fréquente, son siège est quel- quefois
forgeron). Elle, se- reproduit d'une manière intermittente et sous forme d'accès pouvant durer de quelques minutes il qu
802 CHORÉES. - ? La chorée est variable dans le temps et dans sa forme : on peut donc dire qu'elle est variable et pol
rphisme est caractérisé par l'irrégularité des mouvements dans leur forme et dans l'amplitude : ce sont des gestes illogiqu
, puisqu'il y a variabilité des mouvements dans le temps et dans la forme . La maladie peut durer longtemps et finir par g
calisés ou généralisés : s'ils sont localisés c'est surtout sous la forme , d'héiuichoréc. Cette hémichorée est pré ou pos
résente des caractères spéciaux qui justifient la distinction d'une forme infantile (Pierre Marie). Elle débute quelquefo
rès souvent associées entre elles : nous signalerons rapidement les formes les plus fréquentes, en suivant la description
exagèrent la dévia- tion. On peut observer tous les degrés dans la forme , dans l'intensité, dans la persistance de l'att
ues. Paris, H107) s'est efforce de disso- cier un certain nombre de formes de torticolis spasmodiques, d'après leur cause et
f-.icial périphérique post-piral y tique. Revive iieiii-ol., Idem. Formes cliniques des tics unilatéraux de la face. Congrè
parence de systéma- tisation fonctionnelle (gestes, mimique) ; leur forme spéciale, leur len- teur, leur développement «
s paralytiques flasques ; l'impotence au contraire évoque l'idée de forme paralytique, or elle est l'exception. De plus,
t encore préférable, il est le seul qui ne préjuge en rien ni de la forme clinique des troubles moteurs ni de leur pathog
ÉTUDE CLINIQUE ET PATHOGÉNIQUE La « crampe des écrivains » est la forme de beaucoup la plus fréquente et la mieux connu
rivent fort peu. Ces troubles moteurs peuvent se présenter sous des formes extrême- ment variées; pour la commodité de la
peut-être que pour son exactitude, on. en a distingué deux grandes formes , la forme spasmodique et la forme paralytique;
que pour son exactitude, on. en a distingué deux grandes formes, la forme spasmodique et la forme paralytique; comme vari
on. en a distingué deux grandes formes, la forme spasmodique et la forme paralytique; comme variétés de la première, de
étés de la première, de beaucoup la plus fréquente, on a décrit une forme tréinulente et une forme choréique. Mais il imp
eaucoup la plus fréquente, on a décrit une forme tréinulente et une forme choréique. Mais il importe de savoir que ces form
éinulente et une forme choréique. Mais il importe de savoir que ces formes sont loin d'être toujours pures, qu'elles alter
irréguliers, des pâtés, des piqûres du papier. La variété athétosi forme , aux mouvements peu étendus, ondoyants et serpigi
tendus, ondoyants et serpigineux, est beaucoup plus rare. Dans la forme paralytique, la main est rapidement ou lentement
atigue. l.es émotions exagèrent la crampe. La qualité du papier, la forme du porte-plume, le confortable de l'installa- t
nt dénommées « tics professionnels » : elles ont du lie, outre leur forme convulsive ordinaire, leur cause dans la répéti
ans les domaines du médian, du radial et du cubital. Dans certaines formes paralytiques, on a observé non seulement une im
dikt, etc.). Bencdikt n a même constaté des faits curieux : dans la forme paralytique, non seulement les muscles qui partic
ent tous. L'électricité ne parait guère efficace que dans certaines formes paralytiques. Le massage et les fric- tions son
fréquemment avec la catatonie. Ce syndrome complexe représente une forme évolutive de la démence précoce de Kroepelin, m
orteils. La peau est sèche, adhérente aux plans sous-jacents. Elle forme aux doigts une gaine étroite, leur donnant un a
s aigus et un groupe d'oedèmcs chroniques, innom- brables étant les formes de transition entre la trophonévrose oedéma- te
on du sang et à la gêne de la circulation dans les tissus. Ainsi se forme la main succulente des syringomyéliques. C'est
u cours d'affections classées. Il nous reste à mentionner certaines formes morbides dans lesquelles les oedèmes sont toute
rses, au prépuce, aux grandes lèvres. Il est parfois symétrique. Il forme tantôt une tuméfaction variable, en nappe sur les
une petite masse cornée accrochée au bout du doigt et recourbée en forme de griffe. La chute de l'ongle, parfois précédée
se réduit et finalement disparaît; il en. est ainsi dans certaines formes , de lèpre mutilante : les phalanges se résorben
on de corps étrangers intra-articulaires pédiculés ou libres. 11 se forme ainsi d'énormes poches ou s'entrechoquent des m
respiratoire. Ce rythme respiratoire pourra être troublé suivant la forme d'une polypnée ou accélération extrême de la re
névroses, dans la maladie de Basedow et enfin dans l'hystérie sous forme d'or- thopnéc on de polypnée : mais dans ces ca
serve dans toutes les variétés de cette maladie, aussi bien dans la forme fruste que dans la forme complète. Elle est, su
iétés de cette maladie, aussi bien dans la forme fruste que dans la forme complète. Elle est, suivant Brissaud, le symptôme
i la différencie de t'epitepsie; on l'observe passagèrement dans la forme léthargique ou lorsque la contracture des membr
découvrir que le globe vésical est distendu, et se présente sous la forme d'une tumeur médiane vohotn- RÉTENTIONS D'URINE
ène, beaucoup plus fréquent qu'on ne le croit, ne constitue pas une forme particulière d'incontinence (Rochet), mais comp
vésicale. Traitement. Les moyens généraux conviennent à toutes les formes dont chacune réclame en plus une thérapeutique
enfants et il les terroriser, il n'a pas de raison d'être pour les formes d'excitation ou d'atonie musculaire, et, dans la
écemment Cathelin a appliqué un traitement chirurgical aux diverses formes d'incontinence, ce sont les injections epidurates
e-caustique, sans produire de résultats encourageants. Dans celle forme , le traitement de beaucoup le plus efficace consi
dans ces affections nerveuses. L'infection vésicale revêt ici deux formes : tantôt le contenu de la vessie seul est infecté
ieures est rapide et grave d'emblée. La pyélo-néphrile affecte deux formes , aiguë et chronique, et est tou- jours ascendan
aiguë et chronique, et est tou- jours ascendante. Dans la première forme , c'est en général après un cathétérisme septiqu
tout le cortège, en un lll01, de l'intoxication urinaire aiguë. La forme chronique peut être tout à l'ait latente, se trad
a peu d'influence sur l'anurie ou l'oligurie hystérique. Dans celle forme connue dans les autres, les révulsifs, les dériva
bre d'affections cérébrales et médullaires, dans presque toutes les formes de l'aliénation mentale, chez les idiots, qu'el
emment la spermatorrée dans la compression lente de la moelle, sous forme du'1,1- culations involontaires non perçues, da
air, dépaysement, douches tièdes ou froides. L'électricité, sous la forme de courants de haute fré- 1(11enec, donne certa
vertes d'érosions polymorphes,- sillonnées, monstrueuses (canines à forme d'incisive), leur fragilité est souvent extrême.
out ce qu'il veut dire, mais un a peine à comprendre les mots qu'il forme incomplètement. L'affection a débuté généraleme
s ou un peu plus tardives; douleurs profondes, rétro-sternales. Une forme atténuée du spasme local du cardia accompagne l
douleurs, tantôt les vomissements peuvent manquer. On a décrit des formes cr,t»llm ? lcs, des crises sèches, des formes a
quer. On a décrit des formes cr,t»llm ? lcs, des crises sèches, des formes avec hématémèses. La défi- nition en est plus f
e lésion organique. Tétanie. En pratique on ne voit guère que des formes très bénignes, limitées aux mains. La contractu
st typique (main d'accoucheur), mais de faible intensité. De telles formes se rencontrent chez les dyspep- tiques, les hys
plusieurs heures; ils se reproduisent sans intervalles réglés. La forme généralisée de la tétanie survient surtout au cou
o-moteurs, de la. paresse intellectuelle consécutifs. Mais même ces formes graves s peuvent guérir [malades opérés en plei
mac. On prôné la gastrotomie temporaire en semblable cas. Une autre forme de gastro- plégie est réalisée par atrophie de
s'ensuit une constipation opiniâtre tant que dure ce spasme; celte forme d'hystérie demande à être dépistée avec soin. Ell
effet est simple, il suffit de manger. Insistons en passant sur cette forme ; car elle peut déterminer les malheureux qui en
mard». La polydactylie est l'augmentation du nombre des doigts ; la forme la plus fréquente est l'existence d'un 6° doigt
es membres peuvent ;être congénitales : elles se présentent sous la forme d'hémihypertrophie partielle ou d'hémihyper- tr
Le plus souvent la main s'accroît « en large » ; elle prend la forme de main en battoir (fig. 2) ; elle est épaiss
ent et friables, sont élargis et convexes en tout sens, ils ont une forme « en verre de montre » et donnent aux doigts vu
celui de l'ostéo-ar- thropathie hypertrophiante pneumique. Il a une forme « en massue », « en tète de serpent », due à un
ou moins simultanées aux deux mains; Charcot a pourtant décrit une forme pendant un temps très prolongé ou même pendant
saillant au niveau de son articulation avec le métacarpe; il a une forme en croissant à concavité dorsale, de sorte 1. P
sorte 1. P. Marie et A. Liini. he rapport du Pr Teissier sur « les formes cliniques du rhumatisme chronique u. Congrès de
n bord externe continué avec celui du premier, métacarpien prend la forme d'un S très allongé. " .' La main typique ..du
dosités d'Heberden (fil. 8) : cesontdepe- tites nodosités fusi- formes , dures, qu'on observe souvent chez . des gens
ec les phalangines (fig. 8) ; il s'agirait, d'après Bouchard, d'une forme spéciale de rhumatisme chro- nique dû à l'auto-
étés du rhumatisme chronique ostéo-articulairc se joint souvent une forme de rhumatisme fibreux qui peut aussi être isolée,
ramollissement général du squelette; les doigts peuvent prendre une forme spéciale qui serait due aux ellorts que font le
ite syphilitique ou spina ventosa syphilitique se présente sous une forme analogue, un gonflement fusiforme d'un ou de plus
ORMITÉS ACQUISES. 1027 sieurs phalanges : les doigts prennent une forme « en fuseau », en rave ou « en radis ». Tardive
neurofibromatose ou maladie de Hel'Idin- ghausen, le névrome plexi forme , peut se développera la main sous lune de ses t
r Pierre Marie, tumeur, repli cutané, éléphantiasis. Cette dernière forme peut être aisément confondue avec toutes les va
laissant des ulcérations superficielles ; dans les deux cas, il se forme des cicatrices irrégulières, blanches, saillant
cissent, se raccornissent, se momifient, un sillon d'élimination se forme et de vastes escarres sèches, noires, tombent en
vasculaires qu'il produirait directement. Nous avons déjà parlé des formes mutilantes de la tuberculose et de la syphilis
s fréquentes. Les mains-botes sont congénitales ou acquises : les formes acquises sont paralytiques ou spasmodiques. les
quises : les formes acquises sont paralytiques ou spasmodiques. les formes congénitales peuvent être paralytiques, spasmod
rétractent, la main-bote paralytique devenant alors spasmodique. La forme la plus remarquable est la a main dé prédicat
e. Fig. 15. ? Main de prédicateur (main gauche). Syringomyélie il forme spas- modique.. , ATTITUDES. VICIEUSES. 'I
emière, parfois ils sont fléchis dans les trois phalanges ; dans la forme spasmodique de la syringomyélie décrite par Pie
ystérique flasque reste flasque, elle est beaucoup plus rare que la forme spasmodique. ' . La main contracturée des hém
t. L'arrêt du développement osseux caractérise généra- lement cette forme de main-bote paralytique. D - Fig. 16. Main eu
nières phalanges de l'index et du médius). La griffe radiale est la forme de beaucoup la plus coimnunedespamlysies saturn
és ou abolis, dans la seconde ils sont toujours exagérés. Certaines formes de méningo-myélile syphilitique produisent un s
iques les pieds sont gros et courts, mais il n'a pas été signalé de forme spéciale du pied analogue à celle de la main. L
contraire très épaissies, ueuoruanies, ue sorte que le cou-de-pied forme un gros bourrelet circulaire, que la partie inf
lle façon que l'articulation niétaearpo-phalangienne du gros orteil forme une saillie angulaire où se trouve parfois un d
les uns sur les autres. L'empreinte du pied tabétique présente' une forme spéciale en rapport avec ces déformations (J. Tei
e l'invasion du foyer par des germes saprogènes ou pyogènes. - La forme gangreneuse de l'ergotisme ressemble tout à fait
ique, la coïncidence chez le même malade ou chez d'autres sujets de formes convulsives, des signes généraux d'intoxi- cati
es. Les pieds-bots sont congénitaux ou acquis; dans les deux cas la forme la plus fréquente est le varus équin; dans les
de Little pro- prement dite : mais, en réalité, il existe entre ces formes des intermédiaires nombreux, et ces affections
vent soit le varus équin, soit l'équin direct. Dans les différentes formes du syndrome amyot1'ophie Amen- Duchenne (poliom
bots dont nous avons déjà parlé, ou à une griffe des orteils. Une forme spéciale de pied-creux congénital est la griffe p
normalement le pied de l'enfant est plat; la voûte plantaire ne se forme que quand il marche. Le pied-plat congénital est
elle de l'extenseur commun, le taltis pied-plat devient varus. La forme la plus importante de pied-plat est. le pied-plat
le plus souvent d'un certain degré de pied-bot équin. On observe sa forme paralytique dans certaines para- lysies, la par
certaines para- lysies, la paralysie alcoolique en particulier, sa forme spasmodique dans des cas rares d'hémiplégie ave
ous les relevons sur le. sujet, -l'autre traduit les variations des formes par des rapports numériques établis entre les c
la Ion- ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE. 1075 gucur, les proportions des formes et des masses musculaires qui entou- rent la ch
être effacés; néan- moins, cet examen portera principalement sur la forme et les dimensions des mains et des pieds, sur l
essive de toutes ses fonctions, à une déformation implacable de ses formes . Il n'est pas sans en éprouver un ressentiment ou
me parfois le syndrome des tumeurs cérébrales. Les crises épilepti- formes , les troubles visuels sont remarquablement fréque
tre utile de connaître enfin l'existence d'une syringo- myél ie à à forme pseudo-acromégalique, caractérisée par l'hypertro
i les signes d'une acromé- galie commençante. Le pronostic de cette forme est fatal à l'heure actuelle. [F. MOUTIER.] ]
ments établis dans ce chapitre. Ce sont des êtres gros et gras, à formes arron- dies, de taille beaucoup moins élevée qu
une régression véritable, et retourne en l'état du nourrisson. La forme générale est arrondie : le tronc est cylindrique,
ectuelle. Ils mènent une vie purement végétative. On voit que cette forme se distingue facilement des syndromes précé- de
précoces. Tête. Il faut examiner à. ce niveau, les anomalies de la forme et du volume, l'état des sutures et des fontane
). Au contraire, la précocité des soudures crée les anomalies de la forme . S'agit-il d'une synostose pré- coce interparié
, orhitaire. Absence d'iris, variations dans sa coloration, dans sa forme . Pupilles inégales (assez fréquent pour qu'il s
cyphosl' I\('réd 0- tl'a uma t iq ue) . Thorax. Les anomalies de forme en sont très nombreuses : thorax en gouttière (
: il ne faudrait pas confondre cette anomalie avec une viciation de forme due à l'onanisme, il s'agit ici d'une réelle hype
risation on trouve le vestige d'une induration cartilagineuse de la forme d'un pois ou quel- quefois de la forme d'une no
uration cartilagineuse de la forme d'un pois ou quel- quefois de la forme d'une noisette. On peut retrouver les adénopath
'existence des adénopathies secondaires ou secondo-tertiaires, sous forme de petits ganglions durs roulant sous le doigt.
la pigmentation brune ou noire : 5° Quand elles présentent une des formes suivantes : , A) La forme arrondie, l'orbicular
re : 5° Quand elles présentent une des formes suivantes : , A) La forme arrondie, l'orbicularité parfaite qui est synonym
La configuration arciforme en demi-lune, en arc de cercle. z C) La forme polycyclique dans laquelle la cicatrice est const
stituée par une série d'arcs de cercles réunis bout à bout. D) La forme serpigineuse à contours festonnés, sinueux, géogr
s non seulement par leur étendue, par leur pigmentation et par leur forme , mais encore par l'atrophie cicatricielle, l'as
tilisme ; quelquefois la réduc- tion de la taille et l'exiguïté des formes vont jusqu'au nanisme. Quelquefois le rachitism
ivant Fournier. C'est un crâne qui représente assez exacte- ment la forme des fesses : il est. renflé à la partie supéro-po
principe, d'une façon intensive. Peut- être y a-t-il dans certaines formes de myélite syphilitique un correctif à faire à
lus ou moins éloignés pendant plusieurs années; cela dépendra de la forme clinique et de l'évolution du cas observé. Le t
icaments employés varieront suivant l'âge de l'enfant et suivant la forme clinique de la syphilis. Des recherches récen
Gom- haut et llalbron avaient choisi des tabétiques de dates et de formes les plus variables. Depuis lors, ces résultat
Souques et Quiserne l'ont trouvée dans une méningite tuberculeuse à forme hémiplégique. Cependant quelques auteurs ont re
adulte et ne prend des proportions considérables que dans certaines formes chroniques, d'origine méningococciques (degré)
aiguë; presque tou- jours elle est irrégulière, intermittente. Ses formes les plus rapides durent volontiers 4 ou 6 semai
rlnic d'ailleurs contingente, de la durée relativement brève de ses formes aiguës et subaiguës, il est identique au syndrome
LAIRES. Le syndrome inflammatoire que nous venons d'étudier dans sa forme la plus générale présente un certain nombre de
n des phénomènes morbides est beaucoup moins dramatique que dans la forme précédente, : la fièvre ne dépasse pas 58 degré
en pareil cas, se présente naturellement à l'esprit. * Ependymite à forme clinique de tumeur cérébrale.- Le syndrome pseu
e pseudo-tumoral est tantôt généralisé, tantôt, partiel. Dans les formes généralisées, on trouve une céphalée diffuse et i
signes accessoires de 1 hyperten- sion intra-cranienne. Dans les formes unilatérales, il arrive que la céphalée se locali
extrême. . [G DELAnfARE] } 1158 SYNDROMES VENTRICULAIRES. La forme comateuse reconnue, on pensera naturellement à la
y a là qu'une indication, nullement un axiome permettant d'écrire : forme somnolente = tuberculose. Pour le croire, il faud
t être réalisé par des épendymites banales, et ne pas connaitre les formes hydrocéphaloïde et pseudo-tumorale de la tubercul
hode plus générale, susceptible de nombreuses applications dans les formes graves du tétanos (Pickerell. Choupin), de la dip
uses guérisons obtenues dans des circonstances presque désespérées ( forme pselldo-suppuraliye de t'ependymite séreuse) pr
e par Hirschberg, étudiée par Merle, par Hirschberg et Grunmach. La forme caractéristique du crâne serait due à une synos
et assez profonds pour que la radiographie montre une caverne sous forme d'une lacune dans l'os, Le mal de Pott ne se révè
le rachis paraissent très excep- 1 ionllelles; Leyden a décrit une forme ulcéreuse analogue au mat de l'oit tuberculeux
rit une forme ulcéreuse analogue au mat de l'oit tuberculeux et une forme ostéophytiqut, plus ou moins semblable au rhuma
difficulté du diagnostic dans ces cas. Stefani signale de même une forme articulaire 1J\'l"labl;tiqup ayant l'aspect cli
l'aire du détroit supérieur. Raymond et Claude (') ont décrit, une forme de dyschondropldsie avec 1. et Claude. Société
nt au point de vue du dia- gnostic radiographique précoce. Dans les formes les [tins habituelles on trouve la couche compa
arrivée il son développement extrême est une maladie rare, mais ses formes ébauchées sont fréquentes; à coté de ces cas ex
comme électrode positive; il est très atténué si l'électrode qu'il forme est tour à tour employée connue électrode posi-
s électro- des plus grandes il ne peut être employé que si leur forme n'a pas besoin d'être modifiée pour épouser l
ions A donner aux électrodes. . Les électrodes peuvent affecter des formes et des dimensions très différentes suivant les
on rccomcrles de plusieurs doubles de peau de 'chamois, les unes on forme de tampon, les autres de forme olivaire. 1204
les de peau de 'chamois, les unes on forme de tampon, les autres de forme olivaire. 1204 APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ.
.\ ; APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. ' une électrode plus petite, de forme et de dimensions appropriées, sert à provoquer
t de préférence par un rouleau mobile autour d'un axe, affectant la forme d'un cylindre, d'une sphère, d'une ellipsoïde ou
tituée par un gros lil, relativement peu long et dont l'enroulement forme beaucoup moins de tours que dans la bobine préc
ttences fréquentes. Ce dernier modèle de chariot a été mis sous unc forme réduite dans une boîte avec deux piles sèches e
facteurs, par exemple de la fréquence des ondes faradiques, de leur forme qui varie suivant la self-induction et suivant le
s de la bobine induite sont reliés à deux électrodes semblables, de forme et de dimensions appropriées ; électrodes en form
et de dimensions appropriées ; électrodes en forme de tampons ou en forme d'olives. Ces deux électrodes, mouillées avec de
courant faradique était employé seul non seulement en raison de la forme de l'onde galvano-faradique représentée schémat
loyer ce mode d'association des deux courants. Si l'on considère la forme de l'onde faradique en pareil cas (fig. 56), on v
peuvent rester légères, mais assez souvent elles évoluent vers une forme plus grave, et la simple hyperexcitabilité élec
tion smfo-carbonéc, dans des paralysies alcooliques, dans certaines formes de paralysies diphtériques, etc.; le pronostic
s affections primitives des muscles. On l'observe dans les diverses formes de myopathies, proportionnelle au degré des altér
on. Les mêmes particularités peuvent se rencontrer dans cer- laines formes de myopathie, alors que les altérations musculair
e grouper et suivant leurs caractères particuliers, constituent des formes diverses auxquelles on pourra sans doute donner d
es affections qui suivent un processus aigu, la Ull affecte soit la forme appelée complète, soit seulement la forme parti
u, la Ull affecte soit la forme appelée complète, soit seulement la forme partielle. La DU n'est bien caractérisée qu'un
la DR sont les unes quantitatives, les autres qualitatives. Dans la forme complète de la DR, les altérations quantitatives
r, car elles sont plus particulièrement caractéris- tiques. Dans la forme complète de la 1)Il, elles ne se montrent que pou
soit conservée. Elles sont de deux ordres portant, d'une part, sur la forme de la contraction musculaire, et, d'autre part,
nversion polaire et l'équivalence polaire se voient plutôt dans les formes partielles de DR que dans la forme complète (2)
laire se voient plutôt dans les formes partielles de DR que dans la forme complète (2). Aux altérations quantitatives e
rtificielle, la contraction n'est généralement pas modifiée dans sa forme et qu'elle reste vive. Cette inversion artifici
le long péronier, les jumeaux, etc. 2. On voit parfois, dans ces formes de réaction de dégénérescence, la contraction r
caractérisées, aiusi qu'on l'observe parfois, mais plutôt dans les formes partielles de la DR que dans la forme complète.
arfois, mais plutôt dans les formes partielles de la DR que dans la forme complète. La DR partielle peut affecter un cert
forme complète. La DR partielle peut affecter un certain nombre de formes plus ou moins différentes qu'il ne nous paraît
llement pour les exci- tations avec l'un et l'autre pôle ; dans des formes atténuées de DR on voit parfois la lenteur de l
erf; les contractions ainsi obtenues sont aussi modifiées dans leur forme et se montrent plus ou moins lentes; enfin ces
des muscles est souvent augmentée, pendant un certain temps, ce qui forme contraste avec l'excitabilité faradique des mus
s toxiques, telles que la paralysie saturnine dans certaines de ses formes . En rapprochant ces données de l'électro-diagnost
igu ou chronique. La DR prend dans ces cas la ferme partielle ou la forme complète, suivant la gravité des lésions. Dans
oupes musculaires, faisant défaut ou ne se manifestant que sous une forme plus atténuée sur d'autres muscles qui sont cep
t peu étendue; c'est ce qu'on observe, par exemple, clans certaines formes de paralysies diphtériques, alors que dans d'au
la DR plus ou moins prononcée. Celle-ci peut faire défaut dans les formes légères de ces paralysies. Dans les affections
que la DR fasse défaut. Ainsi on ne l'observe pas dans les diverses formes de la myopathie, paralysie pseudo-hypertrophiqu
ne la reconnaîtra d'une façon positive et on ne pourra juger de sa forme et de son degré qu'après deux il trois semaines
e et l'inversion polaire peut. être peu accusée. J'ai observé cette forme de DR non seulement dans des lésions de nerfs pér
; elle comporte une signification pronostique plus favorable que la forme commune de la DR dans laquelle, il cette périod
tantes. Les contractions se trouvent, en effet, modifiées dans leur forme : au seuil de l'excitation, les contractions re
ent périphérique des paralysies cérébrales, le plus souvent sous la forme de galvanisation continue; une grande électrode
la région dorsale; la cathode est représentée par une électrode en forme de croissant, dont les deux cornes sont arrondies
naction. Poliomyélite antérieure aiguë. Qu'elle se présente sous la forme la plus fréquente de paralysie spinale infantil
forme la plus fréquente de paralysie spinale infantile, ou sous la forme plus rare de paralysie spinale antérieure des a
uivant le cas un pied, ou les deux pieds : l'autre électrode, sous la forme dune, large plaque, est appliquée sur la région
électrique peut généralement être commencé de bonne heure dans ces formes de polynévrites; il peut être sensiblement le m
tincelles. Les résultats de ces divers modes de traitement dans ces formes de polynévrite se mollirent généralement bons e
icatrice par le courant continu en la recouvrant avec la cathode de forme et de dimensions appropriées; il y a avantage à
diane ou sur le côté opposé à celui de la paralysie; la cathode, de forme et de dimensions appropriées. est placée sur le
ies primitives (Dystrophies musculaires progressives). Les diverses formes de la myopathie primitive, paralysie pseudo-hyper
nerveuses, de lésions des organes du bassin. Dans certaines de ces formes l'électri- sation peut être le traitement princ
ations particulières dont il sera question plus loin. Dans d'autres formes de névralgies l'examen anatomique ne fait pas r
ent tout particulièrement dans la période aiguë des névralgies; les formes et les dimensions des électrodes et les positio
ix dans les névralgies plus graves. Celles-ci comprennent plusieurs formes . Les unes ressemblent aux névralgies des autres n
ses parties. [E.HUET.] 1520 . ÉLECTROTUER.APOE. Dans une autre forme , la névralgie épileptiforme de Trousseau, les d
iaux on a affaire au tic douloureux de la face. Dans ces diverses formes de la névralgie faciale on a employé la galva-
ocalisée à une seule branche du nerf trijumeau. Cette électrode, en forme d'e, présente deux échancrures l'une au niveau de
masque facial de Bergonié, employer des électrodes plus petites, de forme et de dimensions appropriées aux régions qui sont
e rervico-dorsale; une électrode plus petite, de 10 cm2 environ, en forme de tampon, est placée il la partie supérieure d
que l'on venait d'inventer. 11 a continué à en être ainsi, sous des formes plus variées, il mesure que les nouvelles découve
ont parfois hystérogènes, ou bien de douleurs se présentant sous la forme de névralgies, ou encore de ces douleurs qu'on
ode, en forme de bouton de un centimètre de diamètre environ, ou en forme d'olive, est placée sur le cou, au-dessous du m
du cou, de manière qu'elle, recouvre bien tout le corps thyroïde; la forme la plus appropriée à donner à cette électrode p
ans les cas de chorée qui se prolongent. Lorsque la chorée prend la forme de chorée molle ou paralytique, l'électrisation
nnue procédé de traitement suggestif. Myoclonies. Dans les diverses formes de myoclotties et dans la maladie des tics, l'é
évropathie des troubles fonctionnels se manifestant surtout sous la forme de spasmes et de contractures. Ces troubles se dé
vre, délire, troubles ataxo-adynann- ques, principalement, dans les formes cliniques dites cérébrales de ces maladies (liè
après passage au xylol. Les libres à myéline appa- raissent sous la forme de petits cercles noirs, le fond de la préparatio
ires. Définition, 657. Signes, 658. Diagnostic différentiel, 661. Formes cliniques, classification, 662. Tableau de clas
brillaire de Morvan, 8G8. ^ de Sy- rlenlram, 854. Symptômes, 855. Formes . Complications, 858. Évolu- tion, 859. Diagnost
té objec- tive, 556. Description, 849. - Com- plications, 85'1. - Formes . Evolution, t ! 5. Diagnostic différentiel, 855
logie, 542. Crampes des écrivains, 205. - Furme spasmodique, 900. Forme paraly- tique, 901. Crampes professionnelles
suppurative à type d'abcès cérébral. pseudoméningilique, 1151·. - à forme clinique de tumeur cérébrale, 1155. I : pendy
j--és-a- myéline. Marie (Névrite interstitielle hypertro- phique, forme Pierre -), li9li. Masculisme, 1090. Masse com
phies consécu- tives, 7'19. interstitielle hyperlro- phique, 780. Forme Gombault- Dejerine-Sottas et forme Pierre Marie
itielle hyperlro- phique, 780. Forme Gombault- Dejerine-Sottas et forme Pierre Marie, 696. - Hypertrophie des troncs ne
e, phénomène des orteils, 452. - Examen du malade. Description et formes cliniques, 486. - Classification, 491. - Diagno
00. Pseudo-bulbaire (Paralysie -). Symp- tômes, 807. - Evolution. Formes cli- niques. Diagnostic, 811. Pséudo-péritoni
. Topographie radicu- laire. Radiculites. Causes, 544. Lésions. Formes cliniques. Valeur séméiologique, 545. - Réactio
et qualitatives, 1247. - Déplacement des points moteurs, 1248. - Formes de la réaction par- tielle, 1249. - Période ini
loration électrique, 1271. - périphérique. Sen- sibilité pour les formes , pour les cou- leurs, 13. - pour la lumière, 14
ébrales, 121. - - centrale, exploration. Vision centrale pour les formes , 2. - - pour les cou- leurs, 7. - pour la lumiè
parait le n et le 3o de chaque mois dans le format grand ion-8" et forme , chaque année, deux volumes d'environ 800 pages c
13 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
dans la maladie qui nous occupe. Voici maintenant un exemple de la forme hémiplégique de la maladie de Parkinson ; c'est
ant. Pour être complet, je devrais, Messieurs, vous dire un mot des formes frustes de la maladie, caractérisées par la pré
i présentés à mes leçons du mardi, des exemples de l'une et l'autre forme ; je m'empresse de vous dire que ce sont là de
es muscles, associée aux ressources de l'élec- trothérapie, sous la forme du bain statique et de courants de haute fré- q
si que nous le verrons, celte zone varie beaucoup d'éten- due et de forme suivant les niveaux ; elle répond à la zone radic
nes ; c'est là le centre ovale de Flechsig, qui se retrouve avec sa forme et ses dimensions dans le tabes incipiens où il e
Le triangle sacré médian, qui dans cette moelle n'a pas du tout la forme triangulaire, est plus volumineux ; il occupe tou
cordons postérieurs, et qui envahissent même la commissure, sous la forme de petits fascicules arrondis séparés par un ré
élatineuse. 3° .Sacrée.- Le triangle médian en voie d'accroissement forme une bandelette à extrémité postérieure renflée,
bres radiculaires. Le long du septum, dans son 1/3 antérieur, il se forme une zone plus pâle, plus riche par conséquent e
5e Lombaire ? Le triangle médian a beaucoup diminué de volume ; il forme maintenant un tout petit faisceau linéaire situ
ostérieure commence à se regarnir de fibres. Ici le triangle médian forme une ligne minuscule vers l'u- nion du tiers pos
ière racine saine modifie considérable- ment l'aspect; cette racine forme un triangle rectangle dont l'hypothétiuse ex- t
er est nettement tranché, le second est plus flou.La zone dégénérée forme dans son ensemble une équerre, dont la bran- ch
lie par les libres radiculaires a augmenté de volume, en gardant sa forme ; toutefois les fibres envahissent d'une façon d
niveau que l'on constate le dernier vestige du triangle médian, qui forme une ligne presque imperceptible vers l'extrémité
contact pour former deux languettes divergentes. 7° Dorsale. Il se forme eu avant, au niveau de la moitié antérieure du
à la 28 dorsale il s'en rapproche de nouveau ; à la 1r° dorsale il forme de chaque côté une petite languette qui se reco
tra- vail sur la pathogénie du tabes (1). 5e Sacrée. La sclérose forme une mince bande rectiligne située immédia- teme
t très mal délimitée. La 4e sacrée manque. 3e Sacrée. La sclérose forme un triangle au centre du cordon postérieur ; l'
iangle se prolonge jusqu'à l'entrée de la racine posté- rieure sous forme d'une bandelette très mince et très peu accusée.
s petits qu'à l'état normal. 2" Sacrée.- La dégénérescence prend la forme d'un triangle curviligne très mince, qui embras
te de la corne postérieure qu'elle contourne à distance. L'ensemble forme à droite un N, dont le 3° jambage est plus court
la partie externe de la figure précédente, qui prend à ce niveau la forme d'un triangle très mince, obliquement dirigé d'
par une ligne de sclérose dont l'intensité tranche sur le reste. Sa forme est sinueuse. ETUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POST
elette externe sclérosée augmente de volume tout en gardant la même forme . 8e Cervicale. La zone scléreuse est devenue tr
viligne limite un champ postéro-externe tout à fait analogue, comme forme , rapports et dimensions, au champ postéro-externe
i en décroissant. ' fil, Cervicale. Le cordon de Goll reprend une forme plus allongée d'avant en arrière. Les deux band
en dehors. ' : Plus haut, la bandelette prend de plus en plus la forme d'un croissant qui, à la partie inférieure du b
ble clés libres tntra-meaut- laires de chaque fascicule radiculaire forme une petite saillie arrondie qui fait une hernie
du septum médian, y pénètrent et dessinent à la région lombaire la forme d'un fuseau, à la région sacrée celle d'un triang
diane aux environs de la tre sacrée, qui s'élargit en descendant et forme plus bas le triangle de Gombault et Philippe. Dan
ui prend plus ou moins bas sa situation médiane, et qui affecte une forme variable dans la région sacrée. Mais il me faut d
CORDONS POSTÉRIEURS 39 renflement lombaire le champ ovale prend la forme d'un triangle dont le sommet est dirigé en avan
dans son passage à travers la région dorsale.sur les variations de forme du cordon de Goll aux différents niveaux de la ré
EXTERNE DE PIERRET. La bandelette externe affecte successivement la forme d'un triangle à la région lombo-sacrée, d'un tr
ale. C'est là un fait connu. Ce qui est moins bien établi, c'est la forme de la bandelette dans la région de transition e
(PL VI, 1 1., 12 d., 11 d.), la bandelette prend à cette région une forme très compliquée; elle constitue de chaque côté
résulte pas de quelque com- plication ; mais l'étude minutieuse des formes de transition entre cet M et le trajet inférieu
ale ; en effet, la bandelette est figurée, au même niveau. avec une forme analogue dans une observation de Westphal (1). D'
, je possède un 2° cas de tabès où la sclérose prend encore la même forme à la même région ; malheureusement dans ce cas,
second lieu, que la figure en question est un peu plus compliquéeet forme en réalité 2 M 'accolés, un dans chaque cordon.
fais- ceau descendant médio-périphérique, dont le trajet supérieur forme à la région dorsale le faisceau de Hoche. C.
corne posté- rieure ; elle prend à la région dorsale inférieure une forme compliquée qui représente un M de chaque côté.
e sa surface est diminuée si on la compare à une moelle normale; sa forme est modifiée : il existe un aplatissement de la r
et alors la moelle a l'aspect triangulaire; ou bien elle prend une forme losangique avec deux angles latéraux, un angle
au niveau des cordons postérieurs une zone de sclérose affectant la forme d'un triangle, à sommet antérieur et à base ven
2° et 3e cervicales. La lésion du cordon postérieur affecte la même forme triangulaire, mais semble plus limitée au cordon
sale. Dans les cordons postérieurs, la sclérose affecte toujours la forme d'un triangle dont la hauteur serait le sillon po
ninge postérieure. La sclérose du cordon postérieur affecte la même forme dans sa partie médiane ; mais au niveau des ang
sale. La moelle est considérablement diminuée de volume; elle a une forme quadrangulaire ; les quatre angles répondant aux
xternes des cor- dons latéraux d'autre part. Le cordon latéral a la forme d'un triangle avec un Fig. 1, 2, 3, 4. Coupes d
plus en plus déformée ; elle est très petite et tend à passer de la forme quadrangulaire à la forme triangulaire. La part
le est très petite et tend à passer de la forme quadrangulaire à la forme triangulaire. La partie postérieure du cordon l
n moindre degré, dans le cordon antérieur. 5° et 6e dorsales.- Même forme triangulaire de la moelle ; même étendue des lé
angulaire de la moelle ; même étendue des lésions. 7° dorsale. La forme reprend la forme quadrangulaire. Il existe une
oelle ; même étendue des lésions. 7° dorsale. La forme reprend la forme quadrangulaire. Il existe une méningite postéri
graphique des lésions. La moeelle est très grêle et prend tantôt la forme triangulaire, tantôt la forme quadrangulaire. 4
lle est très grêle et prend tantôt la forme triangulaire, tantôt la forme quadrangulaire. 4r° lombaire. Les dimensions de
aire. - La moelle cesse d'avoir un aspect' triangulaire. Elle a une forme nettement aplatie. La sclérose des cordons postér
ne cornu commissurale. Dans les cordons latéraux, la sclérose a une forme triangulaire qui s'étend davantage au niveau de
on dorsale, la moelle présente un calibre extrêmement diminué et sa forme rappelle celle des moelles précédentes. Le cordon
triangle prend le cordon de Goll. Au niveau du cordon latéral, même forme triangulaire de la zone sclérosée qui occupe la z
ieure. Au niveau du cordon latéral, la sclérose affecte toujours la forme triangulaire, occupant le faisceau cérébelleux et
stologique. Au niveau de la 2e Cervicale. La moelle a con- servé sa forme normale. On constate l'existence d'altérations sc
le territoire du faisceau pyramidal direct dans une zone affectant la forme et le siège du faisceau en croissant de P. Mari
cordons latéraux, la zone de sclérose u'est pas triangulaire, elle forme de nouveau une bande qui se prolonge en avant en
nale du faisceau de Burdach. Dans les cordons latéraux, sclérose de forme triangulaire occupant presque exclusivement le
plète en général. - - 6" Dorsale. Le cordon postérieur prend une forme triangulaire : la partie ventrale constitue la
ibres, sauf en une partie de la périphérie où elles persistent sous forme d'une zone bordante : les gaines sont conservées
yles inscripteurs : le graphique du réflexe planti-digital aura une forme différente suivant que ce réflexe sera constitu
manifeste sur les graphiques par des tracés variables. Cependant la forme habituelle du tracé est celle d'une courbe arro
venir insensiblement au niveau primitif du style. Le graphique a la forme générale d'une S horizontale et renversée, à bouc
our des excitations sensiblement identiques, peut présenter soit la forme en flexion pure, soit la forme en flexion et exte
t identiques, peut présenter soit la forme en flexion pure, soit la forme en flexion et extension consécutive,- soit une
pure, soit la forme en flexion et extension consécutive,- soit une forme intermédiaire. Aussi est-il difficile de détermin
lièrement le réflexe planti-digital, celui-ci se présente sous deux formes principales, de fréquence à peu près égale : :
us deux formes principales, de fréquence à peu près égale : : Une forme en flexion pure ; , Une forme en flexion et ext
réquence à peu près égale : : Une forme en flexion pure ; , Une forme en flexion et extension consécutive. ' Celle ex
tations plantaires n'amènent au- cune modification nouvelle dans la forme graphique de ces réflexes, en particulier du ré
nti-digital en flexion et extension consécu- tive, rappelant par sa forme générale le deuxième type normal. Quel- quefois
ce-' réflexe peut affecter indifféremment, chez le même malade, les formes graphiques suivantes : 1 ° Les deux formes norm
ez le même malade, les formes graphiques suivantes : 1 ° Les deux formes normales. 2° Une forme de flexion et d'extensio
ormes graphiques suivantes : 1 ° Les deux formes normales. 2° Une forme de flexion et d'extension consécutive du gros ort
sion étant toujours plus ample et plus longue que la flexion. Cette forme est la plus fréquente. 3° Une forme très rare d
longue que la flexion. Cette forme est la plus fréquente. 3° Une forme très rare d'extension pure, où l'extension est si
a plante, on n'obtient que des traces confuses donnant seulement la forme générale de l'empreinte de la a (1) Roumer, Les
me générale de l'empreinte de la a (1) Roumer, Les variations de la forme normale et pathologique de la plante du pied, é
1886. (3) Cn. Féré et G. DEMANTKÉ, Note sur les variations de la forme de la plante du pied sous l'influence du repos,
humides peuvent d'ailleurs être utilisés dans le même but (2). La forme de l'empreinte plantaire varie chez le même indiv
st facilement essoufflé. Debout, le malade se tient courbé ; le dos forme une convexité postérieure très marquée et très
ouleurs du début, il se rapproche des cas de rhumatisme vertébral à forme pseudo-névralgique décrits récemment par M. Fores
e la spondylose rhumatismale ou rhumatisme vertébral chronique ; sa forme ankylosante, Arch. gén. de médec., juillet-août 1
ceux de sciatiques avec scoliose au contraire très fréquents. La forme clinique de cette sciatique offre également, une
t cette sciatique peut légitimement être considérée comme étant une forme spasmodique. Le mode de début de cette sciatiqu
des organes du sciatique, comme dans les cas de névrites apoplecti- formes du plexus brachial observées par le professeur Dé
l'élément névropathique se surajoute, et alors il y a vraiment une forme pseudo-névratgique, comme j'en ai cité des exem
s articulaires ; c'est la période ankylosante, ou, si l'on veut, la forme ankylosante. En somme, la spondylose rhumatisma
e le rapprochement à faire entre la spondylose rhumatismale sous sa forme , ou si l'on préfère, à sa période pseudo-névral-
La ressemblance de ce cas avec ceux que j'ai classés sous le nom de forme pseudo-névralgique, a été notée par eux : pério
es appen- dices ayant un pédicule relativement long. - Quant à leur forme , les appendices collatéraux se présentent le pl
es collatéraux on observe aussi de petites épines ou des saillies à forme et à dimension variables. - Outre les formations
aississements et ces gonflements sont très variés de grandeur et de forme . Ils ne se succèdent pas avec régula- rité l'un
pas du tout, les appendices de ces dendrites sont piriformes ou en forme d'épingle. Plus souvent on peut voir sur ces de
ces gonflements n'atteignent pas une grande dimension, ils sont de forme variée; mais on ne peut parler ici d'un état moni
ortent toute une série de gonflements et d'épaissisements divers de forme et de grandeur, visibles déjà à un faible gross
s cellulaire et la grosse partie basilaire de la dendrite. Par leur forme les appendices collatéraux ont un aspect en mas
nsidérable d'appendices collatéraux. UN CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE DESTRUCTION DU NOYAU CAUDÉ ;
era peut-être une contribution à l'étude des tumeurs céré- brales à forme psycho-paralytique (1) et par une partie de ses s
ureux d'expri- mer ici tous nos remerciements. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE E 109 Poumons et coeur sains
; pas de paralysie de la musculature externe. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 111 Pas de troubles de la ma
nt; l'aspect à la coupe paraît moins humide. ' TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCIlO-PARALYTIQUE 113 Le pédoncule cérébellle
grise ; 2, coque fibreuse ; 3, tissu ostéoïne. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 115 Fig. 3. - Insula droit :
leux gauche. Fig. 6. - Lobe cérébelleux droit. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCilO-PAHALYTlQU8 117 7 Les travées cellulair
u à des troubles mentauxinten- ses (2) etsi caractéristiques que la forme même de ces troubles devait fixer le diagnostic
e de Psychiatrie, février 1903 (Revue générale). TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 119 J diffuse. Malgré que no
réside très probablement dans le lobe frontal. La connaissance des formes psycho-paralytiques des tumeurs cérébra- les (1
agnons presque nécessaires; il y aurait presque opposition entre la forme épileptique et la forme psychique (Lan- nois).
es; il y aurait presque opposition entre la forme épileptique et la forme psychique (Lan- nois). Le nombre et la distri
ponto-cérébelleuse, Iconog. Salp., 1901, p. 341. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 123 phére cérébelleux gauche
Société de neurologie de Paris, 10 janvier 1901. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 128 serait constatée plus so
rutilant. En outre, les phénomènes cardiaques se sont produits sous forme d'exagéra- tion de l'arythmie eu salves. Une
es démences paralyti- ques et séniles, l'idiotie, toutes les autres formes (sauf certaines périodes transitoires ou aiguës
e d'un principe unique, - doivent être appliquées dans les diverses formes de maladie mentale. Nous connaissons certaines
second lieu parce que les femmes épileptiques et hébéphré- niques, formes où les impulsions sont plus fréquentes, atteigni-
aiguës par collapsus, traumatismes, infections, l'amentia sont des formes mentales qui se développent souvent accompagnée
végétative. z - 144 BIANCHINI TABLEAU III. - Proportion entre les formes cliniques totales et les travailleurs. ERGOTH
RAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE 145 TABLEAU V. Femmes. Proportion entre les formes cliniques et les travailleurs. 146 BIANCHINI
igner suivant les méthodes indiquées pour les psychoses aiguës, les formes de délire hallucinatoire alcoolique, de deliriu
nt été tout récem- ment bien illustrées par Diem (2) sous le nom de formes de démence simple de la démence primitive. Dans
, très rarement par des impulsions ». Tandis que dans les premières formes le travail n'est pas possible, on réussit très bi
appliquer dans' les secondes. On peut le faire aussi dans plusieurs formes mixtes, ltébéphrénico-catatoniques où l'état de
vailleurs avec un excédent de 22 0/0 des femmes sur les hommes. Les formes périodiques sont plus facilement traitables par
périodiques sont plus facilement traitables par le travail que les formes circulaires ; celles à type expansif plus que c
pour nous expliquer à souhait l'emploi de l'ergothérapie dans cette forme mentale. Je crois seulement pouvoir affirmer qu
observés. L'imbécillité inorale donne 40 0/0 de travailleurs. Cette forme , proba- blement congénitale, est une phrénastén
e démence ». Après ces données sur le travail appliqué aux diverses formes de psy- choses, nous allons examiner les rappor
portance secondaire à l'égard du critère exclusivement clinique qui forme la base de l'ergothérapie. Le médecin aliéniste
ît pas les objets, elle peut cependant grossièrement apprécier leur forme . Le sens des mouvements passifs et de la positi
l- laires, mais on les observe plus fréquemment dans les tabes sous forme d'infiltrations dures siégeant soit au pourtour
Le pseudo-oedème décrit par M. Dide (1) dans la démence précoce à forme catatonique, paraît un phénomène à peu près const
, inégalement réparties sur la nuque, le bras gauche, les fesses ; de formes irrégulières, de direction le plus souvent obli
es. Le semis pigmentaire est particulièrement abondant au cou où il forme col- lier ; largement répandu sur le tronc et l
nt dégénéré, la portion sous-ganglionnaire des racines postérieures forme un faisceau aussi dense, aussi compact qu'à l'é
celles qui restent, il en est un grand nombre qui sont régulières de forme , bien colorées, mais quelques-unes sont petites
distingue difficilement; mais elles peuvent t aussi conserver leur forme arrondie et quelques rares éléments sont si atro-
ier et très coloré : ces deux pigments qui présentent de nombreuses formes intermédiaires se colorent intensivement en noi
me nous avons pu le vérifier maintes fois, elles affectent les deux formes que nous avons pré- cédemment décrites. Peut-êt
colorant aussi en noir par l'acide osmique et se présentant sous la forme de grains de dimensions inégales et dont on voi
u déchiré dans sa partie antéro-latérale gauche, le VIII0 segment, de forme normale, ne présente plus qu'une petite infiltr
, à travers le VlIie segment cervical de la moelle. La moelle, de forme normale, ne présente plus qu'une petite infiltrat
lobuleuses présentent tous les degrés de la neuronophagie depuis la forme globuleuse régulière ou échancrée par une seule c
de cuivres stintillants et déchirants, dont certains affectent des formes et des dimensions redoutables ; pavillons monstru
ie aux Myélites syphilitiques. Enfin, il s'est efforcé d'isoler une forme morbide, « affection nerveuse caractérisée par
us- cles du tronc et des extrémités. Nous pouvons donc accepter une forme de début ophtalmoplégique, une autre bulbo-prol
n a été aiguë, en d'autres subaiguë, et en d'autres chronique. La forme ophtalmoplégique doit être distinguée de la migra
ique, en premier lieu, et ensuite de toutes les ophtalmoplégies. La forme bulbo-protubérantielle, de la paralysie bulbaire
sive de Duchenne et de la paralysie pseudo-bulbaire de Lépine. La forme spinale, de la neurasthénie spécialemenl, et de l
ieure hémorra- gique de Wernicke, qui pourrait se confondre avec la forme aiguë,' a un début apoplectique, où elle s'acco
. . La paralysie bulbaire progressive se distingue facilement de la forme bulbaire, par son évolution continue et la prés
s des symp- tômes cérébraux. La neurasthénie a de commun, avec la forme spinale, la fatigue ou as- Ihénie des extrémité
2° Par la localisation de ses premiers symptômes, elle peut être de forme ophtalmoplégique, bulbo-prolubérantielle ou spina
n sont limi- tés ; dans l'attitude d'extension maxima l'axe du bras forme encore avec l'axe de l'avant-bras, un angle de
85 carpienne est placée à 1 centimètre 1/2 en arrière de celle que forme la tête du 3° métacarpien. Ici encore, la rad
BORATOIRE DE M. PIERRE MARIE. - SUR L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE D'UNE FORME D'HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE PAR A. RYDEL (
montré le travail de M. Switalski. (6) P. LONDE, ZOC. Cit. UNE FORME D'HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 291 Douleurs extrê
t particulièrement dans l'orbicu- (1) A. Thomas et J. Houx, Sur une forme d'héénédo-ataxie cérébelleuse, Revue de méd., 1
endant tout le temps que j'ai travaillé dans son laboratoire. UNE FORME D'UÉRÉDO-A'PAXIE CÉRÉBELLEUSE 293 ` ? foi4 FU
altérations dans la coloration et dans le calibre des fibres. UNE FORME U'1lÉHIsDW A'CAX1E cÉnÉBELLEUSE 9Q5 Cordons pos
ach, tandis que celui de Goll montre une dégénérescence intense, de forme carac- téristique, et surtout marquée dans les
le formé par les cornes antérieures et postérieures et prend ici la forme d'un triangle dont le sommet est dirigé vers le c
mbaire supérieure elle envahit aussi l'espace jusqu'alors ÆI °UNE FORME D'UERÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 297 respecté entre
ubstance géla- tineuse. Dans les cordons antérieurs la dégénération forme une courbe dont une des extrémités se perd dans
au pyramidal croisé montre dans cette hauteur une raréfaction. La forme de ces lésions reste la même dans tout le reste d
é de la moelle qu'on trouve une plaque de sclérose périphérique, de forme oblongue, située immédiatement en arrière de l'
lète disparition du faisceau cérébelleux ni de la diminution si UNE FORME D'nÉRÉnO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 299 accentuée de l
les plus élevés de la moelle la dégénération des cordons antérieurs forme une bande-occupant plus que la moitié du cordon.
la substance gélatineuse du 5e ascend. qu'elle se présente sous la forme d'une plaque oblongue fortement sclérosée et qu
et latérale montre une sclérose, qui augmente d'arrière en avant et forme dans son extrémité antérieure une plaque sclérosé
forme dans son extrémité antérieure une plaque sclérosée, qui a la forme d'un triangle situé en arrière des olives. Dans l
versaux sont de la même grandeur, de sorte que la coupe a plutôt la forme carrée au lieu de s'amincir vers les pyramides.
comparant les observations cliniques de ces trois membres de la UNE FORME D'HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 301 famille Hand..
onnées anatomiques, envisager ces trois cas comme appartenant à une forme intermédiaire entre l'hérédo-ataxie cérébelleuse
iladelphia, 1894. (9) Brain, 1901, I. (10) Brain, 1898, IV. UNE FORME D'IiÉRÉDO-ATAX1E CÉRÉBELLEUSE 303 Chez François
it une atrophie de l'éminence thénar et de troubles trophiques sous forme d'une chute des ongles. Des atrophies musculair
r la manière dont travaillent les ma- lades affectés de différentes formes cliniques et l'application de ceux qui sont aff
eriodica ; dans les deux cas précédents le trouble a revêtu la même forme . La malade est affligée d'une hérédité très grave
i en présence de l'amentia (amelltÙ¿ Meynel'ti), mais de l'une de ses formes , plus favorable, à marche plus rapide. Dans la
ncohé- rents du malade affligé de l'ameutia. Nous passons à la 3° forme morbide, paranoïa chronica, représentée par Mme
e paranoïa chronica. Les caractères fondamentaux, typiques de cette forme de trouble mental viennent d'être indiqués : dé
es psychiques violentes qui se rapportent la plupart du temps à des formes de trouble psychique appelées curables, ne se ter
nent malheu- reusement pas toujours par la guérison. Chacune de ces formes laisse dans la population des hospices psychiat
port avec la provenance de l'imbécillité secondaire de différentes formes pri- maires de trouble mental. Nous reproduison
ne possédons pas d'ouvrages tant soit peu marquants dus à d'autres formes de trouble mental telles que la mélancolie, la
nage intéressant de l'ancienneté de la procession dansante, sous la forme qu'elle affecte encore aujourd'hui ; aux costum
relle, la Mania. Selon Platon, le délire prophétique n'est qu'une forme de la révélation qui peut aussi revêtir d'autre
e envoyée par Dionysos. Tel aussi le pouvoir des Muses, et enfin la forme la plus (1) C. Baglivi, Opéra omnia, etc., in-4
nades, et il montre combien ce délire était contagieux (2). Cette forme bruyante et convulsive de la Mania, l'Enthousiasm
nts de la vie agricole. « On les célébrait, dit Plutarque, avec des formes simples qui n'excluaient 'pas la gaieté on port
e manifeste encore de nos jours dans certaines campagnes sous cette forme primitive, exempte de tout symbolisme. On chant
s et mentales. Les uns, comme Calmeil, les ont décri- tes comme une forme de manie contagieuse. Les autres, depuis Charcot,
élan est irrésisti- ble. Elle donne aussi libre essor à toutes les formes de cette Mania des Grecs, dont le nom s'est per
asmes unilatéraux, en particulier au torticolis spasmodique et à la forme décrite par M. Bris- saud sous le nom de torlic
s'accompagnent de perte de connaissance et ont été rangés parmi les formes du petit mal comitial. Nous ne dirons rien du t
nterfibrillaire. Ils ont en général conservé leurs dimensions, leur forme globuleuse ou fusiforme, leur réseau de chromatin
ense soit par l'éosine, soit par le carmin, des masses homogènes de forme plus ou moins irrégulièrement cubique, parfois pl
à former du tissu graisseux. Sur les coupes longitudinales ce tissu forme de larges travées (ibro-grais- seuses, quelquef
n un peu de petitesse de la cellule, qui a conservé d'ail- leurs sa forme polygonale, ses prolongements, et dont le noyau s
es, on peut distinguer au point de vue de l'état des muscles, trois formes : une forme proprement atrophi- que, une forme
istinguer au point de vue de l'état des muscles, trois formes : une forme proprement atrophi- que, une forme pseudo-hyper
des muscles, trois formes : une forme proprement atrophi- que, une forme pseudo-hypertrophique, enfin une troisième forme,
atrophi- que, une forme pseudo-hypertrophique, enfin une troisième forme , sclé- reuse, accompagnée de rétractions ; c'ét
l est certain que le périmysium prolifère et que c'est bien lui qui forme la majeure partie du tissu conjonctif de rempla
vide du sarcolemme qui pourraient être interprétés à tort comme des formes de régression cel- lulaire. Aussi, malgré la
voir et d'analyser comment la fibre musculaire peut évoluer vers la forme fibroïde; 2° ce processus n'est pas le plus fré
des fléchisseurs et des muscles du tronc. Si bien qu'en face des formes pseudo-hypertrophique et atrophique simple des
schématique, les faits de passage étant nombreux entre les diverses formes , nous nous croyons autorisés à faire une place à
iverses formes, nous nous croyons autorisés à faire une place à une forme plus rare il est vrai, mais donc l'existence clin
ais donc l'existence clinique et anatomique nous parait établie, la forme scléreuse avec rétractions. x\it i 23 HOSPICE
ns les plus volumineuses et les plus bizarres sous le rapport de la forme (PI. XL1X, A). Outre les artères, les capillair
tion : en règle générale les vaisseaux ne présentent pas ici de ces formes de dégéné- rescence. Du reste, en soutenant la
ifuge ou de préférence centripète, mais elle peut se présenter sous forme d'îlots ou de plaques qui sur des coupes oc- cu
On peut dire en somme que toutes les opinions ont été émises sur la forme , la nature et l'origine des lésions de l'atrophie
au chiasma ; le chiasma baigne dans l'espace sous-arachnoïdien qui forme à ce niveau l'un des grands lacs de la base de
eaux sous- jacents, dans l'amaurose tabétique l'arachnoïde épaissie forme générale- ment un voile blanchâtre, opaque, à s
ui entoure immédiatement le nerf est aussi généralement épaissie et forme au nerf une enveloppe opaque, surtout dans les
tout cas nullement en proportion de la diminution du nerf,et il se forme entre la gaine durale et le nerf un espace plus o
enserrés dans les couches fibreuses. Quant au tissu granuleux qui forme le fond de la coupe presque tou- jours, en cher
ésions sont celles de toute sclérose syphili- tique, de beaucoup de formes de la syphilis tertiaire que l'on a dites para-
distinguer le jour de la nuit sans lui permettre de reconnaître la forme ou la couleur d'au- cun objet. Ainsi l'atroph
la veine (nerf de Bout..., par exemple), le quadrant dont l'artère forme le sommet est sensiblement moins sclérosé. Ce
aurotiques sont exactement les mêmes dans les scléroses combinées à forme tabétique avec amaurose que nous avons dans toute
ou non à leur centre d'un orifice, soit vide, (i) Il existerait une forme spéciale d'amaurose syphilitique curable par le t
ment l'axe de la corne postérieure. Mais bientôt elle apparaît sous forme d'une fissure ou d'une fente rectiligne et se p
antérieure. Un peu plus haut la lésion, tout en conservant la même forme et la même direction, perd contact avec la péri
d'épaisses nappes. Peut-être aussi faut-il chercher la cause de la forme parfois si régulièrement gaufrée et godronnée d
é est frappante : c'est l'état de leur tunique adventice. Elle leur forme une gaine trop large, séparée de la paroi par u
ne partie de son prolongement dans la corne postérieure gauche sous forme d'une mince tente à bords accolés sauf en un po
verse la corne postérieure et s'élargit légèrement en avant où elle forme une sorte de dilatation ampullaire (PI. LVI, fig.
dromyélie et la syringomyélie ont été reconnus peu valables et des formes de transition affirmées (Schlesinger). De l'aut
s épendymaires et de la prolifération névroglique,'et si la cavité se forme et s'agrandit c'est aux dépens de ce tissu path
u'autour des vaisseaux le tissu conjonctif anorma- lement développé forme des bandes, des tractus épais, sinueux, d'aspect
r de la cavité ; il ne reste donc que la périphérie du tractus sous forme d'une mince couche hyaline, qui est du tissu conj
actères les mieux étudiés de la syringyométie est bien le début, la forme , la topographie des cavités. Il est de notion ban
oubles circulatoires. Quant à la dégénérescence hyaline qui souvent forme de vastes placards, si elle semble rayonner aut
par le seul fait de l'écartement de feuillets adven- titiels. Il se forme en somme un kyste par dilatation d'un espace lymp
ésulter des variétés d'aspects qui en imposent bien à tort pour des formes histologiques différentes. Tantôt elle constitue
us ou moins épaisse limitant la cavité des tissus sains ; tantôt elle forme des nodules arrondis, disséminés, des plaques v
n, etc., d'utiles indications sur son état men- tal. D'une part, la forme des lettres, l'agencement des mots et des lignes
S DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 417 encore une autre forme possible d'aphasie motrice transitoire qu'il faud
vulsive. Cetle aphasie sensorielle, ai-je dit, peut se montrer sous forme d'atta- ques répétées, mais pas plus que l'apha
la prodigalité à ce caractère. L'ex- citation qui apparaît dans la forme apparaît aussi dans le fond ; car dans une autr
oigne, tant Fig. 3. Fig. 4. Fi £ ". 5. . 422 JOFFROY par la forme que par le fond, de l'excitation maniaque avec id
te celle particularité intéres- sante que certaines lettres sont de forme bizarre et contournées. Vous re- connaîtrez dan
voyez, d'écrire assez correc- tement quant aux idées et quant à la forme : cette lettre, dans laquelle il se plaint du b
malade ayant sous nos yeux, au cours d'une conversation, un ictus à forme vertigineuse, nous lui donnons une plume et du pa
ont simplement ce qu'ils étaient auparavant, des dysgraphiques. Les formes persistantes de diverses variétés d'aphasie 'ex
lati * 438 LÉIII ET-WILSON - ce qui tend à donner à la moelle une forme triangulaire à base antérieure, au lieu de la f
à la moelle une forme triangulaire à base antérieure, au lieu de la forme ovalaire normale. Mais ce qui frappe surtout, c'e
si la zone périphérique est moins colorée. La substance grise a une forme plus proche de la normale, mais les cornes anté
2°-3" dorsale. Toutes les lésions sont bien moindres, l'aspect et la forme de la moelle sont beaucoup plus normaux, quoiqu
us petite. Mêmes remarques que pour D *-2 sur la distribution et la forme des cel- lules dans les groupes cellulaires ant
accusées ; la moelle et ses cornes ont presque leur volume et leur forme habi- tuels. Néanmoins il n'y a qu'une ou deux
ans notre cas, être multiples, et se présenter cliniquement sous la forme de la paralysie ascendante aiguë. Un seul fait,
ette dernière. Voici d'abord l'observation. Atrophie musculaire à forme segmenlaire occupant les avant-bras et surtout
ie et du steppage. Abolition des réflexes rotuliens. - lllgotonie à forme de ma- ladie de Thomsen. Ch... Iânace,cocher,
Il y a encore un contraste très manifeste entre les mollets et les formes athlétiques des cuisses. Le même contraste ex
s. med. Wochensch., 1900. (5) Noeuds et Sirol, Maladie de Thomsen à forme fruste avec atrophie musculaire (Nouv. Icon. de
ue. 15 juillet. - Le fond de l'eschare se déterge lentement ; il se forme des bourgeons charnus. 22 août. L'ulcération
diot, 1893. 472 RUDLER ET CIIOMEL premier titre, les anomalies de forme et de volume du crâne et de la face (asymétries
ts d'I-Iippiatrique » de Bourge- lat (1751), les recherches sur les formes extérieures du cheval et l'étude de la mécaniqu
saillant, » Cadéac, Encyclop., t. VIII, p. 134) ; des anomalies de forme variables ; la mieux connue correspond à la pla
entes; mais elle n'empêche nullement l'observation d'ano- malies de forme , et celles-ci ont acquis, à la faveur de recherch
Face. Les asymétries de la face ne sont pas rares, asymétries de forme , de direction, de dimensions. Elles ne sont pas d
il, la déviation du nez, l'irrégularité du visage, de la bouche, la forme de la mâchoire in- férieure, et ces signes, rel
malies l'importance que leur attribuait Morel. Les irrégularités de forme de l'oreille externe ne sont pas rares chez l'a
rture plus ou moins grande de la fente palpébrale, les anomalies de forme et de volume des paupières, la saillie plus ou
constate, chez eux, des anomalies de structure (dents érodées), de forme (surdents), de direc- tion et d'évolution ; des
spécialement Ravigo, par Gladiateur et Alerte) ; de même aussi les formes , tares osseuses résultant de l'ostéite phalangien
ne ; le cheval Président présentait au membre postérieur gauche une forme qu'il tenait de son père Florin; Jacoulet fait
ées,répétées,indépendantes de mouvements de défense, sont l'une des formes les plus fréquentes de la rétivité chez les che
ion de Séglas (2) : « ils s'ob- servent d'ordinaire sous toutes les formes décrites en neuropathoiogie : paralysies, spasm
ne tranquillement sans.sepréoc- cuper de l'angoisse de la patiente, forme un relief très net,mais très naturel, avec l'ap
ccupe la partie latérale et inférieure droite du tableau, qui a une forme géométrique circulaire, encadré de volutes et de
81. Hérédo-ataxie cérébelleuse (sur l'anatomie pathologique d'une forme ) (8 dessins), par A. RYDEL, 289. Hydropiques
pl.), par PAUL Sainton et Rogner Voisin, 189. Tumeur cérébrale à forme psycho-paraly- lique (7 fig.), par ED. Cornu, 1
cheval ; étude clinique,471. Cornu. Un cas de tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique (7 figures), 106. CRouzoN. A
; étude clinique, 471. RYDRL. Sur l'anatomie pathologique d'une forme d'hérédo-ataxie cérébelleuse (8 des- sins), 289
14 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
cin qui l'a dé- crite et qui la considérait, bien à tort, comme une forme héréditaire de l'ataxie locomotrice. Depuis l
mitif, et je vous rappellerai que déjà, en 1896, je décri- vais des formes frustes, fragmentaires, et d'autre part des forme
décri- vais des formes frustes, fragmentaires, et d'autre part des formes hybrides, où la maladie emprunte de nouveaux sy
tous les types que nous aurons à considérer). La première est une forme classique de maladie de Friedreich. Louise V...
rche irrégulière, interrompue par des temps d'arrêt. S'il est des formes de maladie de Friedreich, rares d'ailleurs, que l
ières autopsies. L'illustre médecin crut voir dans cette maladie la forme héréditaire du 12 RAYMOND tabès dorsal is, no
éro-latéral et ses divers faisceaux. En 1896, je décrivais déjà des formes frustes et des formes hybrides de la maladie. C
ers faisceaux. En 1896, je décrivais déjà des formes frustes et des formes hybrides de la maladie. C'est ainsi que je prés
scuter, preuves à 1 appui, les rapports qui existent entre les deux formes de l'ataxie héréditaire, la forme spinale et la
orts qui existent entre les deux formes de l'ataxie héréditaire, la forme spinale et la forme cérébelleuse. UNIVERSITÉ DE
tre les deux formes de l'ataxie héréditaire, la forme spinale et la forme cérébelleuse. UNIVERSITÉ DE GENÈVE SCLÉROSE M
RANSVERSE, SEGMENTAIRE, DORSOLOMBAIRE GAUCHE, MÉTATIfAUIIIATIQUE. FORME CLINIQUE CURABLE. Fracture DU PIED DROIT. Quato
des membres supérieurs, de la nutrition musculaire, cutanée, de la forme du rachis, etc. L'absence de tremblement intent
rdons de Goll et de Burdach). Mais d'autres fois elle reste limitée forme transverse segmentaire - à son point d'arrivée,
ansverse segmentaire - à son point d'arrivée, sans se propager sous forme d'altérations secondaires ascen- (1) Traité de
le se manifestera par le syndrome Brown- Séquard plus ou moins pur, forme qui n'est pas très rare. Déjà mentionnée par Vu
dans leur passé un traumatisme, agent générateur peut-être méconnu, formes clini- ques variées mais unifiées, dans le cadr
ffections chroniques de la moelle en particulier. C'est donc là une forme clinique bien réelle,bien spéciale sur laquelle c
de Biologie, 1873) et par la clinique (Chauffard, Froin et Boidin, Formes curables des hémorragies méningées sous-arachno
ux, t. I, p. 672), nous demandons une heureuse exception pour cette forme qui, accidentelle dans ses causes et ses effets
pu leur faire éprou- ver. Enfin les cliniciens qui ignoraient cette forme de myélite, n'ont guère songé à se demander si
nviction d'ailleurs, établi le diagnostic de sclérose en plaques de forme fruste, d'une de ces formes, qu'après Char- cot
le diagnostic de sclérose en plaques de forme fruste, d'une de ces formes , qu'après Char- cot, M. Jaccoud a décrite et ét
ude criti- que, dont il fait suivre son observation, concernant les formes frustes ou anomales de la sclérose en plaques,
rguments qui peuvent servir ébranler fortement le diagnostic de ces formes . En 1885, le syndrome du déficit cérébelleux étai
tique a le grand avantage de faciliter l'étude et le classement des formes plus ou moins complexes. En clinique il est rare
ésence d'un syndrome absolument pur. Le plus souvent on observe des formes mixtes réunissant dans les proportions variable
à court trajet, soit les fibres de projection. De là ces nombreuses formes cliniques observées chaque jour, de là l'existe
lle est rarement pure, mais on peut la découvrir au milieu'd'autres formes d'aphasie qui l'ac- compagnent. Poursuivant c
ctés : la tre et la 2. temporale, lecunem, lobule lin- gual et fusi forme , les radiations optiques de Gratiolet. Il y a e
et X qu'il est bon de rappeler. OBS. IV. - Guido Banti (Afasia sue forme sperimentale). - Aphasie am- nésique très nette
ctement le moment pré- cis de leur action que par le changement des formes extérieures qu'en- traine leur contraction. L'i
ir montré quel parti on pouvait tirer de l'étude des changements de forme du corps dans leurs rapports avec l'état de con
ent à la palpation et ne donne pas lieu à un changement évident des formes extérieures, à moins que l'inclinaison du corps
te qui représente le sacro- lombaire et le long dorsal réunis, sous forme d'une saillie étendue 10llgitudiualement de cha
ère est un losange parfait, ses deux moitiés sont symétriques, sa forme varie seulement un peu suivant les sujets. Chez l
ent toujours symétriques. Semblable changement se produit dans la forme du losange dorso-lombaire, même dans l'attitude
duit, du côté des saillies musculaires du dos, par un changement de forme de notre losange dorso-lombaire, évident à premiè
é correspondant au côté oscillant devient plus étroite et prend une forme plus allongée ; son angle externe de ce côté devi
du corps d'un pied sur l'autre. Elle a lieu en effet sous la même forme , aussi bien dans l'oscillation sur place, dans
poids du corps d'un pied sur l'autre ; elle se produit sous la même forme aussi bien dans l'oscillation sur place que dans
tement du Trichterbrust. Mais le thorax ne présente pas toujours la forme typique que nous venons de lui décrire. Parfois
côtes. A la partie supérieure de l'abdomen, la région épigastrique forme une vous- sure transversale limitée en bas par
t sur la région dorsale. Le rachis, sauf dans la colonne cervicale, forme une courbure unique à con- vexité postérieure s
rites, mais moins accentuées ; elles correspondent sans doute à des formes encore en évolution, capables de s'accentuer pl
s des déformations des pseudo- Paget ; nous les décrirons comme des formes incomplètes. Dans les formes légères on retrouv
Paget ; nous les décrirons comme des formes incomplètes. Dans les formes légères on retrouve à l'état d'ébauche les déform
La cuvette n'est que faiblement indiquée, et c'est surtout dans ces formes DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA M
établir de confusion qu'au début de la maladie de Paget ou dans des formes atténuées de cette affection. Plus tard en effe
rivait : « Une attitude quelque peu semblable est présentée par une forme de ce que je suppose être une arthrite chronique
compensée par la flexion des cuisses sur le bassin et même dans les formes les plus accusées par la flexion des jambes sur l
En ce qui concerne l'ostéomalacie sénile, Meslay (3), qui en fait une forme spéciale d'ostéomalacie, résume les différentes
ste chez les vieillards Mais il est bien évident qu'à côté de cette forme on rencontre plus fréquemment une déformation t
s'accordent donc pour démontrer l'existence, parmi les innombrables formes des alté- rations de la Personnalité, d'un synd
émoire Sur la licorne. Il reconnaît qu'on n'est pas d'accord sur la forme de cet animal, sur le pays qu'il habite, mais il
distincte au premier abord et le type déjà décrit, il n'existe pas de formes de transition. Ces dernières, en effet, anneaux
la maladie de Friedreich et l'hérédo-ataxie. C'est encore une de ces formes hybrides, dont la fréquence a été si grande ces
n droit de se demander si ceux-ci ne sont pas l'exception. Si ces formes mixtes ont créé de sérieuses difficultés dans le
insuffisance de la clinique seule pour la classification exacte des formes hybrides et des cas frustes de l'ataxie hérédit
ans la maladie de Friedreich, dans le syn- drome de Marie, dans les formes de transition, des types morbides ayant tous co
dies du système ner- veux. Dans le tabes, par exemple, à côté de la forme inférieure, la plus commune, on distingue des f
e, à côté de la forme inférieure, la plus commune, on distingue des formes cervicales, cérébrobulbaires. Dans la sclérose
e en plaques, outre le type classique, cérébrospinal, il existe des formes frustes, cérébrale, spinale, bulbaire ou cérébell
tantôt spinale, tantôt bul- baire, et cependant on réunit les deux formes , quoique différentes dans leur symptomatologie
les variétés de l'ataxie familiale, il est permis d'ajouter que les formes aberrantes et compliquées de cette dernière ne
aire au cours de la maladie de Friedreich peut faire pressentir des formes de liaison avec les atrophies musculaires famil
de maladies familiales et les relations de ces mêmes types avec les formes de transition qui constituent avec eux comme le
l et fusiforme en partie et n'avait du reste que très peu altéré la forme extérieure du lobe occipital. Ses dimensions étai
tance toute particulière, car sa branche médiane est conservée sous forme d'un trait noir mince (Weigert), à proximité im
siformes (cou- pes vertico-transversales) plus rarement ronds, leur forme répondant à celle 01 ' Vr Fio. 2. AJI, avant-
re 1900 ce sont des animaux dont elle ne peut définir exactement la forme , qui remplissent son lit, la piquent et lui font
blent à des chiens ou des chats. Plus tard ces visions ont pris une forme plus déterminée : ce sont tantôt des hommes, ta
« moria » (tendance à l'iro- nie, aux mauvaises ripostes). 3° Une forme d'ataxie analogue à celles que produisent les lés
ert. 152 WEBER ET PAPADAKI - . du tronc encéphalique on change de forme et de position, mais il n'y a que peu de détrui
ur des cellules nerveuses; dans la blanche, partout des vacuoles de formes el de dimensions variables. Nous admettons que
quelques cellules sont un peu petites, mais elles ont conservé leur forme triangulaire, on peut voir l'entrecroisement des
puscules très brillants contiennent en leur centre des cristaux en forme d'aiguil- les diversement orientées.Tantôt ces
s du revêtement épithélial des houppes, vues de face,apparaissentsous forme de belles cellules plates à cinq pans, à noyau
e fait voir un double foyer de ra- mollissement ocre; l'un, sous la forme d'une ligne oblique en dehors et en avant, part
parfois assez marquée pour que Duchesneau ait proposé de créer une forme a)Kyo- trophique. Joffroy et Achard ont trouv
anvier, 3e édit., t. II, p. 228. (2) P. Sainton et Jean State, La forme douloureuse de l'acromégalie. Rev. Neuro- logiq
Quinke (1) a pour la première fois donné la descrip- tion de cette forme morbide : l'oedème circonscrit et aigu delà peau.
ent,et ces poussées peuvent se suivre pendant un temps varié. Cette forme morbide,dont je néglige l'his- toire bibliograp
nfirmé son existence. Mais, dans ces dernières années, une nouvelle forme d'oedème a été décrite chez les sujets qui, com
e série de pous- sée d'oedèmes circonscrits passagers, peu à peu se forme un oedème d'un membre, ou bien d'un segment de
2), qui a le premier appelé l'attention des pathologistes sur cette forme morbide, l'a nommée (à cause d'un de ses caract
aladie : cette affirmation on ne peut pas encore la faire. Ces deux formes morbides ont les caractères communs de surgir 1
ui fontsongerà l'influence du système nerveux. Selon Meige ces deux formes seraient la manifestation d'une maladie unique
maladie unique qui, dans la maladie de Quinke, se présente sous sa forme aiguë, et dans la forme décrite par Debove se p
s la maladie de Quinke, se présente sous sa forme aiguë, et dans la forme décrite par Debove se présente avec une allure ch
mands s'opposent à ces idées ; ils séparent très nettement les deux formes et nient qu'elles soient la manifestation d'une
celles émises par Meige et par tous les auteurs qui ont étudié ces formes morbides. J'exposerai ces idées dans une deuxiè
ns la première les liens cliniques étroits existant entre les trois formes en question. Je ferai précéder l'exposition thé
du genou le membre est nota- blement tuméfié : la jambe n'a plus sa forme normale, elle a la forme d'un cylindre de rayon
ta- blement tuméfié : la jambe n'a plus sa forme normale, elle a la forme d'un cylindre de rayon uniforme du haut en bas.
omme but d'établir les liens cliniques qui existent entre les trois formes morbides : urticaire, oedème de Quinke et trophoe
rofessionnelle dépendrait d'un trouble céré- bral. Il a décrit deux formes de crampes des écrivains : la forme spasmodi- q
e céré- bral. Il a décrit deux formes de crampes des écrivains : la forme spasmodi- que et la forme paralytique. Benedict
deux formes de crampes des écrivains : la forme spasmodi- que et la forme paralytique. Benedict de Vienne a ajouté une troi
ue et la forme paralytique. Benedict de Vienne a ajouté une troisième forme , la forme trémulente. Jaccoud a mentionné une q
me paralytique. Benedict de Vienne a ajouté une troisième forme, la forme trémulente. Jaccoud a mentionné une quatrième for
sième forme, la forme trémulente. Jaccoud a mentionné une quatrième forme , la forme ata- xique ou forme spasmodique réfle
e, la forme trémulente. Jaccoud a mentionné une quatrième forme, la forme ata- xique ou forme spasmodique réflexe. Vivi
te. Jaccoud a mentionné une quatrième forme, la forme ata- xique ou forme spasmodique réflexe. Vivian Poore attribue la c
s mouvements. Comme chez les tabétiques l'ataxie présente plusieurs formes et, suivant le degré d'ataxie, se déclare penda
sur la pointe du premier orteil chez les danseuses, etc. Dans les formes graves de crampes professionnelles, le spasme se
ation d'ataxie professionnelle. Cette ataxie peut présenter ici une forme paralyti- que, comme l'ataxie locomotrice d'imp
ne forme paralyti- que, comme l'ataxie locomotrice d'impotence, une forme spasmodique, comme l'ataxie locomotrice spasmod
ne forme spasmodique, comme l'ataxie locomotrice spasmodique et une forme t ? 'ému{ente,comme l'ataxie loco- motrice avec
venir impotente. Il y a un certain intervalle entre les différentes formes classiques d'ataxie locomotrice. Ces intervalles
ange de plumes à tout propos ; elle rechange ses porte-plumes, leur forme , leur poids, leur composition, leur épaisseur e
arfaite entre eux. L'écriture du terrassier est une écriture ataxique forme tré- mulante, comme l'écriture du premier compt
mier comptable ; l'écriture du journalier est une écriture ataxique forme spasmodique ; et, cependant, m l'un, ni l'autre d
se mettront à apprendre à bien écrire, leur écriture n'aura pas la forme de l'écriture ataxique. Au début des études Fig
t facilement de son bras droit, seule la main a conservé encore une forme disgracieuse par suite d'hy- potonie des extens
est la seule cause de l'écriture présentée par la figure 6 dont la forme ressemble à la crampe spasmodique des écrivains.
accompagné souvent d'uu effet nuisible. Zuber affirme que dans les formes tré- mulaute et paralytique l'application d'un
plus justifiée. Nous massons donc les Fig. 7. Crampe des écrivains ( forme spasmodique). Fig. 8. Flexion du pouce sur le p
eur traitement, nous n'attachons pas une grande importance ici à la forme , ni à la composition des porte-plumes. Cepen- d
soit un porte-plume ordinaire, soit le porte-plume triangulaire. La forme de la plume a plus d'inté- rêt. Nous commençons
entionnels. LA CRAMPE PROFESSIONNELLE . 229 Crampe DES écrivains ( forme trémulante) Fig. 9. - Avant le traitement. IL
. - Après le traitement (écriture ordinaire). CRAMPE DES ECRIVAINS ( FORME SPASMODIQUE) Fig. 12. Avant le traitement. Fi
ion fâcheuse, dans laquelle elle l'a jeté. Au Crampe DES écrivains ( forme paralytique) rééducateur de modifier cette situ
tronc se fait du côté du membre atteint de sciatique ; cette seconde forme appartiendrait surtout aux sciatiques spasmodiq
., 12 février 891 (Anal, in Rev. d'orthop.). · Voy. aussi IIWIER, Forme alternante involontaire de scoliose sciatique.
grise. Au Nissl. Les cellules grandes pyramidales ont conservé leur forme ; les unes ont encore leurs grains chromatiques
A. VIOOUROUX et LIGNFL-L.\V.1STI\E. Contribut. à l'Étude de quelques formes de la paralysie générale. Congr. de Bruxelles,
es de Clarke présentent (méthode de Nissl) des altérations nettes : forme globuleuse, noyau périphérique. Les cor- dons a
territoire juxta-sulcique qui représente par sa situation et par sa forme le centre ovale de Flechsig. On observe cependant
té- rés. Les cellules nerveuses ont pour la plupart conservé leur forme et leur noyau. Les grains chromatiques sont net
l a été soigné à la Salpêtrière ; il avait eu une attaque épilepti- forme à la suite de laquelle il présenta une parésie fa
générescence; les cellules des cornes laté- rales ont conservé leur forme ; on voit encore leurs grains chromatiques, mais
en dégénérescence hyaline. Les cellules nerveuses ont conservé leur forme ou sont en chromatolyse et neuronophagie. Au We
complexes de la cli- nique. ' Le névraxe, comme le foie, le rein, forme une unité réactionnelle que l'étude des process
es plus atrophiées. A leur niveau, la pie-mère est très épaissie et forme de nombreuses brides. Les circonvolutions sous-ja
radiaires paraissent normales. La névroglie est hyperplasiée ; elle forme au niveau de la partie la plus su- perficielle
est dans l'extension sur la cuisse, le pied dans l'extension forcée forme un pied-bot varus équin avec pied creux très cara
ues infruc- tueux, en particulier par la suggestion sous toutes ses formes ) nous avait permis déjà d'écarter le diagnostic
oïdien : les fibres musculaires ont conservé leurs dimensions, leur forme , leurs affini- tés tinctoriales. Il n'existe pa
rdres intestinaux, tandis que cela n'arrive jamais pour la deuxième forme . Cassirer (13) qui a fait une splendide monograph
adies organiques du système nerveux (1). (1) Je laisse à part les formes hystériques des maladies dont nous parlons. Quoiq
ALOBRA comme une simple variété d'urticaire. Rapin (27) l'appelle « forme rare d'urticaire » : Courtois-Suffit(%8), « urt
paraurtica- rienne ». L'école allemande a séparé nettement les deux formes et elle a si bien réussi, qu'à présent, tandis
qui puisse être comparé à ce fait de la séparation nette entre deux formes dont l'étude même superficielle nous démontre l
par cet ordre d'idées. Cela n'est pas admis comme vrai dans l'autre forme . Nous avons vu cependant dans notre quatrième obs
s éléments de cet ordre : nous pouvons affirmer qu'il n'y a pas une forme morbide dans laquelle on a décrit des poussées
and nombre d'observa- tions, la fréquence de l'association des deux formes sur le même sujet nous donne la persuasion qui
pathique associée aux oedèmes de Quinke sont innombrables. Pour les formes symptomatiques nous relatons les faits suivants :
(12). Au point de vue clinique les rapports intimes entre les deux formes me semblent bien démontrés. Si elles peuvent se
ne peut pas comprendre pourquoi Cassirer, qui a si bien étudié ces formes , veut absolument les séparer en se basant seuie
Cette affirmation n'est pas seulement démontrée par le fait que la forme chronique peut suivre l'oedème aigu sans interv
CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 263 par l'observation que les deux formes peuvent se présenter simultanément sur le même
roisième observation d'llertoglae). Et pour les observations où les formes sont indépendantes, nous devons nous souvenir d
de la même famille) (69). Au point de vue du terrain sur lequel ces formes se développent, nous pouvons comparer les oedèm
'influence des mêmes circonstances et des mêmes causes ; toutes ces formes peuvent se présenter dans le même temps chez le m
ervations lesquelles forment une échelle de passage entre les trois formes et qui nous empêchent d'établir un seul caractère
re essentiel profond par lequel nous puissions distinguer les trois formes entre elles. Avant d'aborder la question délica
qui dirigent les fonctions de la peau ? Nous avons vu que les trois formes sont indépendantes des fonctions du coeur et de
s. Il nous sera facile au contraire de nous persuader que les trois formes d'oedème localisé dont nous poursuivons l'étude
ONIQUES 265 A ces données étiologiques, nous devons ajouter que ces formes sont presque toujours héréditaires. Au moins «
du tro- phoedème, alors que les oedèmes passagers sont propres des formes toxiques et névrosiques dans lesquelles des lés
pouvons aborder l'argument très intéressant de la pathogénie de ces formes . Pathogénie. Nous croyons avoir bien démontré n
croyons avoir bien démontré nos assertions, à savoir que les trois formes en question sont liées par des rapports très inti
ré d'oedème persistant : Le phénomène constant, et commun aux trois formes est donc l'oedème. Je désire parler avant tout
ulation lymphatique sous l'influence du système nerveux : les trois formes ont de ce côté de la pathogénie des caractères co
sang du fait de la [stase dans le système veineux. A côté de cette forme d'oedème on admettait une deuxième variété dont l
ire) rendent aussi le sang moins coagulable. L'étude de la deuxième forme , à savoir de l'oedème de Quinke, nous confirme
HRONIQUES 271 Nous avons vu les rapports étroits par lesquels cette forme est liée à l'urticaire. Nous savons que dans l'
efois d'en venir à une con- clusion certaine sur la thérapie de ces formes dans lesquelles Oppen- heim (104) aussi conseil
autre part par Schwimmer, Jrantzel, Besnier, Doyon, dans toutes les formes d'urticaire, cela avec des succès évidents. M
démontrés. Meige a bien compris que le trophoedème consti- tuait la forme chronique de l'oedème de Quinke; mais est-ce qu'i
rs, il est nécessaire de songer à une pathogénie différente pour la forme aiguë et pour la forme chronique de la même mal
e songer à une pathogénie différente pour la forme aiguë et pour la forme chronique de la même maladie. je crois plutôt q
à la périphérie en remplissant les lacunes lymphatiques ; dans les formes élé- phantiasiques qui sont, produites par le s
en demeurant à l'état latent dans les voies lymphatiques ; dans les formes qui suivent la staphylococcie de la peau (Sec-
suivent la tuberculose de la peau ou bien la syphilis (soit sous la forme de lymphangite spécifique, soit de gomme) ; dans
sous la forme de lymphangite spécifique, soit de gomme) ; dans les formes 276 VALOBRA enfin qui reconnaissent comme uni
n) soit la vraie cause de l'éléphantiasis. Pour ce qui concerne les formes éléphantiasiques qui suivent les altérations du s
des réseaux qui forment un vrai tissu caverneux ». Dans toutes les formes on observe toujours en un premier temps l' « oe
Au deuxième temps, ce phénomène disparaît, un vrai tissu nouveau se forme , un tissu solide qui contient dans ses mailles
che (1) ; analogie si parfaite que Meige (133) avant d'éta- (1) Les formes de trophoedème chronique qui aboutissent à la gué
e tissu conjenctif. La conclusion de notre étude clinique des trois formes morbides en parole ' a été qu'elles présentent
toute une série de cas de passage par lesquels on peut passer d'une forme à l'autre sans aucune différence essentielle. L
aître aussi une pathogénie identique. Un élé- ment commun aux trois formes est précisément l'excito-sécrétion lympha- tiqu
pha- tique, laquelle associée ou non à la vasodilatation artérielle forme la base anatomique et physio-pathologique de l'
e et de la tur- gescence de l'oedème de Quinke. Tandis que dans ces formes s'agit d'une altération passagère, car la lymph
u'on ne peut plus considérer ces phénomènes comme constituant trois formes morbides indé- pendantes, mais seulement comme
uver jamais des autopsies ab- solument démonstratives dans ces deux formes . Cependant la fréquence de l'association de ces
st pas rare. « Cette éruption » est facile à reconnaître des autres formes d'ur- ticaire, car tandis que ces dernières son
L'oedème segmentaire. Presse Médicale, 28-5-02. 62. Rnrw. - Sur une forme d'hypertr. des membres. Nouv. Icon. de la Salp.,
1888. Des oedèmes dans la mal. de Basedow. 107. RAi'tN. De quelques formes rares d'urtic., Rev. de la Suisse rom., 1886, p.
'hydrothérapie. Nous avons employé l'hydrothérapie, d'abord sous la forme de douches chaudes à 37°-38% puis sous forme de d
fragments : un interne et un externe. Le fragment interne, dont la forme rappelle celle de la partie correspondante d'un
s, quoique légèrement plus marquées du côté atteint. Le crâne a une forme particulière. Son ossification a été tardive et l
iale assez marquée. Les omoplates sont très mobiles, affec- tent la forme de « scapulae alatoe » ; les fosses sus-épineuses
ensions très variables, le plus souvent inégales des deux côtés. Sa forme est celle d'un fragment de clavicule ou d'un cô
al et paracromial comme chez nos sujets ; ce dernier, conique ou de forme normale, est fortement t articulé avec l'acromi
bipariétal, sa parenté enfin nous autorisent à faire de ce type une forme fruste de l'affection au même titre que l'aplasie
oit être signa- lée à cause de sa rareté, ainsi que les différentes formes d'union des fragments claviculaires qui sont en
n- 326 M. VILLARET ET FRANCOZ t seigné sur certains détails de la forme du crâne, de la colonne lombaire et du bassin.
arpenter). - 8° Nous avons pensé qu'on pouvait considérer comme une forme fruste de dysostose cléido-crânienne le cas de
ns la série familiale suivant la remarque de M. P. Marie. Parmi les formes frustes doit aussi se placer le cas de la mère
, car il admet que la substance cérébrale apparaît dès l'abord sous forme d'un fluide transsudant des vaisseaux, au sein
placentaires qui provoquent cet arrêt de développement. Sous des formes différentes, cette conception mécanique a trouvé
de sorte que les matériaux faisant défaut, la voûte du crâne ne se forme pas. Le phénomème initial est très antérieur à la
ision ; s'ils concluent à une méningo-myélite,c'est presque sous la forme d'une hypothèse ; peu après la publication de son
lus profonde gratitude. Ce sont dix foetus répondant aux di- verses formes classiques ; leur examen comparatif m'a donné les
ur crânienne présente, dans certains cas, quant à son étendue ou sa forme extérieure, diverses particularités intéressantes
profonds en cinq lobes longitudinaux et parallèles entre eux. Elle forme un bourrelet saillant PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENC
pondant à l'os frontal ; la tumeur qui lui fait suite est un sac de forme ovoïde à pédicule sessile large de 62 millimètres
même nature que la tumeur elle-même. Quels que soient l'aspect, la forme et la disposition de la tumeur ou, d'une façon
a tumeur dans toute son étendue. Et il en est ainsi, en dépit de la forme et de la disposition de la tumeur, soit qu'elle
caillé et par- fois aussi une portion de l'écaille membraneuse sous forme d'une bande plus ou moins large, mais toujours
a complètement disparu ; il ne reste que l'occipital conservant sa forme et ses dispositions habituelles , mais dont l'é
ci- pital est alors constitué comme il suit : l'apopliyse basilaire forme un bloc co- hérent occupant la ligne médiane, e
son tour s'articule par son extrémité libre avec un bloc osseux de forme trapézoïdale, plus ou moins réduit suivant les
itué par des parties symétriques disjointes, l'occipital affecte la forme d'un arc de cercle ouvert en haut. Grâce à cet ét
tre, la portion cartilagineuse de l'écaille se retrouve, soit sous sa forme habi- tuelle, soit disjointe en deux blocs indé
un doute possible. Tous deux possèdent un fragment de pariétal sous forme d'une bandelette étroite, allant de l'occipital
-être celui d'un Pseudencéphalien, on remarque un petit pariétal de forme triangulaire reposant sur la base, sans connexion
manière de voir. Ajoutons que l'écaille du temporal existe sous la forme d'une lame dont le petit axe transversal est tr
os membraneux que nous venons de décrire ont totalement perdu leur forme habituelle. Il est très difficile d'admettre qu
sans doute d'une certaine exagération. Quoi qu'il eu soit, cette forme crânienne où l'écartement des parties est pouss
e bord postérieur du coronal s'articule avec les deux pariétaux, de forme quadrilatère, allongés transversalement, égalem
rs cas ; les variations portent sur les dimensions transversales ; la forme générale et les connexions restent les mêmes, a
s'articule directement avec les pariétaux ; il se présente sous la forme d'un cône très allongé, et les deux parties, droi
r E. Geoffroy-Saint-Ililaire. En admettant que l'épactal existe, il forme avec l'écaille du même côté une lame unique très
é droite est nettement séparée de la moitié gauche. Chaque moi- tié forme un triangle dont la base repose sur la masse laté
e la Pseudencéphalie, il n'y a pas passage réel et nécessaire d'une forme à l'autre. Chacune d'elles constitue des cas tr
enva- hit l'organisme foetal. Nous reviendrons sur ce point. Les formes à crâne complet doivent retenir notre attention à
omplet doivent retenir notre attention à un autre point de vue. Ces formes , nettement compliquées d'Exencéphalie, seront pou
éoc- cupés de la destinée des faisceaux blancs ou des variations de forme de la subs- tance grise, n'accordent pas aux fo
est notablement moin- dre, c'est une intensité moyenne : la moelle forme un tout cohérent enveloppé de la gaîne vasculai
e segmentaire a été déjà décrit par d'autres auteurs, mais sous une forme tout à fait différente qui indique une mécon- n
de tissu conjonctif embryonnaire d'épaisseur variable ; l'ensemble forme un tissu très cohérent, dans lequel prédominent
eur de la pie-mère, à la place de la moelle, un amas de débris sans forme , ayant-perdu toute cohérence. On ne reconnaît p
cas que nous avons examinés jusqu'ici, la moelle existait, sous une forme ou une autre, mais existait cependant, et c'est s
érer comme différente. Dans les cas de canal rachidien ouvert, deux formes sont à considérer : celle où ce canal rachidien
rvi- cales ; tout à fait en haut même, le tissu se présente sous la forme d'une membrane extrêmement mince. Un processus
sité, la tumeur pseudencéphalienne n'a pu se constituer que sous sa forme de début la plus atténuée. De toutes façons, au
ement méningitique tend à se faire dans son intérieur, tant sous la forme de prolifération conjonctive que de néoformation
gion intra-crânienne, par une masse de substance compacte. Ces deux formes présentent les mêmes caractères que la tumeur mén
es bien tranchées et qu'on rencontre entre les différents types des formes inter- médiaires qui conduisent insensiblement
t Guillain ont essayé d'isoler sous le nom de « maladie familiale à forme de sclérose en plaques ». Les différences que n
rantiels. Nous ne voulons en aucune façon faire de ce ta- bleau une forme nouvelle de maladie familiale ; mais nous pensons
Cestan et Guillain entre la paraplégie de Lorrain et leur maladie à forme de sclérose en plaque doit être maintenue. 1
Raymond et Souques, Bernhard) on retrouve des secousses nystagmi- formes , et des troubles oculo-pupillaires. La ressemblan
Il nous semble donc inutile de garder le nom de maladie familiale à forme de sclérose en plaques, qui rappelle un tableau
e absolument exact au point de vue clinique. Distinguer entre cette forme et la forme paraplégique pure serait comme si che
exact au point de vue clinique. Distinguer entre cette forme et la forme paraplégique pure serait comme si chez les adulte
érose en plaques on voulait faire une distinction absolue entre une forme paraplégique et une forme disséminée, alors qu'il
t faire une distinction absolue entre une forme paraplégique et une forme disséminée, alors qu'il est excep- tionnel de v
les. Londe a déjà montré il y a longtemps qu'il pouvait y avoir des formes intermédiaires à la maladie de Friedreich et à
ffections sous le nom d'hérédo- ataxie, en faisant du Friedreich la forme spinale, du type Marie la forme cérébelleuse d'
ataxie, en faisant du Friedreich la forme spinale, du type Marie la forme cérébelleuse d'une même affection. D'après Ed
xie de Marie, et cer- tains des signes du Friedreich et de quelques formes de maladies fami- liales spastiques. Touchant
ème musculaire créerait la myopathie, et ainsi s'expliqueraient les formes inférieures dans la première enfance, les forme
expliqueraient les formes inférieures dans la première enfance, les formes supérieures dans l'âge plus avancé. , En tous c
des affections telles que maladies spastiques familiales, maladie à forme de sclérose en plaques (Brissaud, Friedreich, C
s, en somme, une individualité absolue et qu'on peut rencontrer des formes intermé- diaires. Si, en admettant le type de m
s intermé- diaires. Si, en admettant le type de maladie familiale à forme de sclérose en plaques, on veut seulement rappe
ent à le maintenir. Mais il vaudrait peut-être mieux distinguer des formes spinale, bulbo-spinale et bulbo-cérébello- spin
ue toute contraction musculaire modifie dans une certaine mesure la forme de la région où elle se produit et, si l'on veut,
ontractions volon- taires sont normales, ce sont des changements de forme plutôt que des dé- formations ; il me semble na
ns ; il me semble naturel de réserver ce mot à des modifications de forme anormales. Or c'est ce qu'on constate ici ; on ob
ez dont la pointe se porte du côté malade et dont le bord antérieur forme une courbure à concavité tournée du même côté; ou
e l'orbiculaire. Il serait intéressant de rechercher si, sous cette forme , la synergie paradoxale appartient plus spécial
le, d'où le nom de lordose paralytique des muscles spino-iombaires, forme qu'on oppose à la lordose dépendant d'une paral
légère masse musculaire entourant l'humérus ; ils sont réduits à la forme de cylindres très fins, constitués presque partou
ystérie, cette grande capricieuse, ne rentrent souvent pas dans les formes habituelles, souvent même sont incompréhensibles,
on arrive seulement dans ces essais à tendre davantage la corde que forme le muscle sterno-mastoïdien. Les mouvements de dé
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 457 Nos observations concernent une des formes du torticolis hystérique, le torticolis par con
en, nous pouvions même affirmer qu'il n'y avait pas d'altération de forme des vertèbres, pas de torsion du râchis : compl
fmann (1893), basé sur 11 observations, qui cherche à établir trois formes distinctes en se-basant sur les dimensions et l
chez quelques individus du voisi- nage dont la taille exiguë et les formes athlétiques étaient de circonstance. Une statue
proportions caricaturales. Les bouffons de cour, chez lesquels les formes grotesques s'alliaient avec une intelligence pa
ndroplasie ait une tendance à se transmettre par hérédité, il ne se forme pas de races achondroplasiques, pas plus qu'il ne
il ne se forme pas de races achondroplasiques, pas plus qu'il ne se forme de races tuberculeuses ou de races syphilitique
dans quelqués cas exceptionnels dont nous parlerons plus loin lVoy. formes frustes), la micromélie porte également sur les q
aissie, sous-tendue par un abondant et ferme tissu cellulo-adipeux, forme des plis transversaux au |niveau des articulation
il encore prématuré d'établir un. diagnostic ferme il propos de ces formes anormales en l'absence de tout examen histologiqu
eté du médius qui souvent ne dépasse pas les deux doigs voisins. De forme irréguliè- rement conique, larges et au contact
ographique de l'achondroplasie permet, non seulement de vérifier la forme ,et les dimensions des os que nous décrirons plus
é par le traitement thyroïdien. L'auteur tend à le rapprocher de la forme hypoplastique de Kaufmann. En l'absence d'examen
interligne articulaire, ce qui explique peut-être pourquoi la jambe forme avec la cuisse un angle ouvert en dedans. Fig.
rieures du radius et du cubitus. Il en résulte pour ces deux os une forme en if) ou mieux en N très allongé qui n'est pas
cher l'abaissement fréquent de la tête fémorale dont le col, petit, forme un angle presque droit avec le corps et con- tr
trémité céphalique présente le même caractère, le même aspect piri- forme que chez le nouveau-né. La face petite, cachée
s'assurer si l'achondroplasie est seule en cause ou s'il s'agit de formes mixtes où d'autres lésions osseuses sont venues c
LVI, fig. 16). LES MICROMÉLIES CONGENITALES 503 Dans les diverses formes d'achondroplasie ce sont les os longs qui sont al
aplaties et disposées concentriquement. Ces no- dnles qui, pour la forme et la structure, mériteraient le terme d'adénome,
- Ossification périostale chez un achondroplasique. La diaphyse se forme régulièrement aux dépens du périoste qui donne na
des faits publiés, groupent les observations, distinguent ces deux formes de dystrophies osseuses et cherchent à établir le
de fractures anciennes consolidées. Celles- ci se manifestent sous formes d'épaississements ou de viroles saillantes faisan
oyenne, prend un aspect en sablier caractéristique. Peut-être cette forme résulte-t-elle d'un début à une période embryon
rouvent dans les côtes et dans les os de la voûte du crâne. III FORMES ET COMPLICATIONS Le tableau que nous avons donn
ypes, mais il ne se réalise pas toujours exactement : 1° A côté des formes classiques, il existe des cas frustes où un certa
pophyses épi- neuses (Bouchacourt, Legry et Reguault). 3° A cette forme généralisée on peut opposer des formes partielles
egry et Reguault). 3° A cette forme généralisée on peut opposer des formes partielles et in- complètes. 1 Dans les obser
ous, être actuellement trop circonspect dans le dia- gnostic de ces formes anormales et surtout dans celui des formes partie
s le dia- gnostic de ces formes anormales et surtout dans celui des formes partielles, tant que l'examen histologique n'a
lasie et particulièrement l'achondroplasie fruste ou incomplète. 4° Formes complexes. Il est un petit nombre d'observations
chondroplasiques s'accompagnent d'ostéoporose diaphysaire. Ces deux formes pourraient donc exceptionnellement se combiner. C
t à un tronc normal, est un symptôme qui s'observe dans différentes formes de nanisme. On peut, en particulier, le rencont
er la parenté qui les relie, on reconnaît l'exis- tence.de ces deux formes pathologiques. Histologiquement, les lésions ra
chondroplasie et la dysplasie périostale, nous donnons ci-contre sous forme de tableau les caractères principaux de ces tro
nt fracturés. Toutefois, on ne saurait trop rappeler l'existence de formes frustes qui prê- tent à de faciles erreurs si l
l'examen histologique est indispensable, particulièrement dans les formes dites frustes qui peuvent être simulées par d'aut
clavicule/des côtes et de la calotte crânienne ne constitue pas une forme partielle de cette même affection. Dans la dysp
us sont fragiles comme d'autres sont hémophiles. S'agit-il là d'une forme fruste de dysplasie' périostale ? Nous nous bor
sidérées comme des entités morbides, ou ne constituent-elles que des formes spéciales d'autres affections banales ? L'ass
ères cliniques et surtout histologiques. Il est, à vrai dire, des formes frustes ou anormales, des cas limites où les de
doit être établie entre l'achondroplasie vraie et les micromélies à forme pseudo-achondroplasique. Les rapports existant
ntant comme une sclérose du car- tilage de conjugaison, affecte une forme histologique plus souvent réalisée par les infe
usculaire dans un cas, osseuse dans l'autre). Dans l'une et l'autre forme morbide, les altérations bistologiques constatées
ompliquer. Si, pour simplifier, on cherche une cause uni- que à ces formes complexes, on peut admettre que telle affection m
ueuses, des lésions cutanées, des gommes dans divers organes. Cette forme généralisée correspond à la transmission d'un v
us, de l'index et de l'annulaire ainsi que leur déviation. C'est la forme typique de la main en trident, de Pierre Marie.
érenciée avec le temps par les auteurs qui l'ont séparée des autres formes de nanisme et lui ont donné une indivi- dualité
autres dystrophies des cas de transition entre l'état normal et les formes les mieux caractérisées. On trouve encore, ains
ractérisées. On trouve encore, ainsi que nous l'avons déjà dit, des formes mixtes où l'achondroplasie se combine avec d'autr
antiles qui font penser à un certain degré d'hypothyroïdisme. Ces formes mixtes ainsi que les cas de transition méritent d
qui s'articule avec le scaphoïde et le grand os. Avec ce dernier il forme un espace triangulaire ouvert en bas dans leque
bas dans lequel nous trouvons placé le trapézoïde qui présente une forme nettement triangulaire; cet os est dépourvu de
hoïde qui est remplacée par un angle aigu. Le grand os présente une forme normale, mais il ne présente pas ses articulati
symétriques aux lésions décrites dans la main droite : anomalie de forme du trapèze, trapézoïde triangulaire avec lequel
: d'autant que certaines phalanges ne présentent presque plus leur forme nor- male ; mais elles sont aplaties et présent
euxième doigt radial qui se présente très longue, très mince et qui forme une espèce de capuchon à l'uni- que phalange vi
s orienter facilement. Le fait que le gros orteil se présente d'une forme normale et qu'il est suivi du côté externe par qu
tion se font ici particulièrement difficiles car les altérations de forme et des rapports sont très profondes. En corresp
ons congénitales du squelette : 1° Dans les mains : altération de forme et de structure des os du carpe ; po- lydactyli
et luxa- tion externe de son extrémité inférieure. 7° Anomalie de forme et de nombre des os du tarse du côté tibial. Poly
(59). Entre le métatarse et les phalanges des orteils un sillon se forme s'approfondissant sans réaction et sans dou- le
u contraire presque toujours en contact avec le fémur, quoiqu'il ne forme pas une articulation complète. Chez notre sujet
'autre théorie. Je veux parler de la fréquence de l'hérédité de ces formes tératologiques. Nous pouvons ob- server avant t
des mouvements en masse de va et vient, cependant ne change pas de forme si on invite le malade à le faire. Diplopie hom
omogène qu'à l'état normal. La couche névroglique sous-pie-mérienne forme une lisière assez large ; les septa qui s'en dé
èrement démons- trative à l'égard des relations possibles entre des formes anatomiques, qui étant isolées peuvent apparaît
une partie importante de son article du Traité (1) VIZIOLI, Sur une forme d'amyolropleie spinale progressive d'origine syph
tte étiologie aurait été signalée. Peut-être existe-t-il encore des formes liées à l'altération primitive de la corne antéri
loppes conjonctives et osseuses, en dedans vers l'axe nerveux sous forme d'un tissu conjonctivo-vasculaire sans rapport
l'écaillé s'effectue et l'on en retrouve les traces évidentes sous forme d'une lame plus ou moins large. Les cas qui par
pose sur le même plan que la face postérieure du corps vertébral et forme avec ce der- nier un très large plancher. Sur c
série de gonflements semés également d'aspérités. Les côtes ont une forme irrégulière ; elles sont de longueur et d'épaisse
mince, mesurant dans sa partie libre trois centimètres, affecte la forme d'une stalactite terminée en pointe ; la troisièm
parable par sa struc- 630 LAUNOIS ET TRÉMOLIÈRES ture à celui qui forme le cartilage articulaire ; il est dans sa partie
médecine, sur lequel A. Pic ne compta pas moins de 194 exosloses de forme et de volume très variables. Je citerai ensuite l
, de la largeur d'une pièce de dix centimes. 3° Une tumeur qui a la forme d'un bracelet entoure l'extrémité inférieure de
, selon le malade, surgirent presqu'en même temps. 7° Une tumeur de forme légèrement aplatie, large comme un écu d'argent
ter qu'un frère du grand-père eut 7 fils, qui présentèrent tous une forme morbide que l'on décrit ainsi : Jus- qu'à l'âge
que celles des cas précédents, à savoir : circons- tance pierreuse, forme ronde, indolente, tendance à l'accroissement tout
s les écrits du Morgagni. Dans le cas de Giommi, la tumeur avait la forme d'un cône irrégulier, avec de petites bosses ré
es et les enchondromes. Virchow rapporte en effet, la genèse de ces formes de tumeurs à une anormale transformation et ossi-
du carac- tère qu'Ollier a voulu relever, les deux tumeurs ont une forme plus ou moins irrégulièrement arrondie, une con
nous est donné, au contraire, par l'évolu- tion ultérieure des deux formes en question. Nous savons, en effet, que l'accro
ements de la cuisse, oedème, etc.). » Dans notre cas, le volume, la forme mamelonnée, l'indolence et les dérangements méc
stose de développement » (4 ). Ménétrier, dans son chapitre sur les formes anatomiques des tumeurs, énumère les exostoses
n du fait. Ziegler, toutefois, en parlant des exostoses, dit que la forme la plus simple de la néoformation osseuse est c
a raison pour laquelle dans les états d'irritation chronique, il se forme de la substance osseuse dans les tissus connect
s expectorations abondantes et une tante maternelle décédée par une forme morbide, dans laquelle la gonarthrite initiale, a
détritus protoplasmatiques contenant des microbes divers. L'épendyme forme une couche d'un millimètre et demi d'épaisseur,
méninge cérébelleuse au niveau du 4e ventricule se présente sous la forme d'un véritable enduit purulent ; cette infection
ainsi raréfiés les fibres elles-mêmes apparaissent non plus sous la forme d'un trait mince et régulier, mais d'un véritable
orale. Le 30 ventricule est également bien dilaté et altéré dans sa forme , aplati et évasé. L... était un alcoolique avér
araît, en raison de son siège, de l'époque de son apparition, de sa forme même, constituer le reliquat d'un mal de Pott. La
bras en croix. Elles accusent par leur relief et leur netteté, des formes musculaires puissantes et harmonieuses ; elles
paraître le sujet ailé. Les omoplates sont ailées. Chaque scapulum forme avec le thorax un angle fortement ouvert en deh
r chaque main. Le bord inférieur du grand dentelé se per- çoit sous forme d'un cordon dur et résistant fortement tendu au-d
d'at- tache à la neuvième côte. Le sus-épineux est très apparent et forme par sa contraction un boudin transversal volumi
n constate enfin, au toucher, la contraction des rhomboïdes sous la forme d'une barre allant des apophyses épineuses au b
fication soit intervenue dans son état. , S'agit-il de l'une des formes si variées, si complexes et encore mal con- nue
om de scapulce alatce constitue un signe diagnostique important des formes scapulo-humérales des myopathies ; mais cette dis
pe facio-scapulo-huméral de Landouzy-Dejerine ou plus simplement la forme juvénile d'Erb ; elle fait ici totalement défaut.
- laires de l'enfance et de la jeunesse. Ce sont, si l'on veut, des formes très frustes de dystrophies musculaires soit co
les trophiques notables dont on retrouverait la trace sous diverses formes . Nous entrons ainsi dans le vif d'une question
. Nous ne constatons aucune dysharmonie dans le développement de la forme extérieure du corps ; les proportions relatives
avec quelque attention cette théorie, sous l'une ou l'autre de ses formes , on est rapidement conduit à la rejeter entièreme
tement que les cas où une adhérence a été dûment constatée sous une forme ou une autre, loin d'être la majorité, sont au
ppement. - La pseudencéphalie ou l'anencéphalie sous leurs diverses formes ne sont autre chose qu'une mé- ningite cérébro-
mal consolidé, ces con- tractions déterminent des modifications de forme et des changements de situa- tion qui demeurent
est une erreur assez répandue que de considérer l'anomalie comme la forme spéciale de la maladie intra-utérine. L'exemple q
sains qui évoluent dans une voie ou dans une autre, conservant une forme spécifique ou acquérant une forme nouvelle ; mais
ou dans une autre, conservant une forme spécifique ou acquérant une forme nouvelle ; mais cette forme nouvelle est une fo
t une forme spécifique ou acquérant une forme nouvelle ; mais cette forme nouvelle est une forme primitive, d'emblée ; elle
ou acquérant une forme nouvelle ; mais cette forme nouvelle est une forme primitive, d'emblée ; elle n'est pas le résultat
ans la pseu- dencéphalie et dans l'anencéphalie, non seulement deux formes spéciales, aux- quelles il découvrait des carac
phales, pseudencéphales, dérencéphales et anencéphales. Toutes ces formes représentent, soit des degrés dans l'envahissemen
nt au moment de l'invasion. Il est donc sans intérêt de séparer des formes qui ne correspondent à rien de réel ; il est part
ernières, la moelle existe, souvent en bon état, mais affectant une forme générale qui s'é- carte sensiblement de la norm
lusieurs pieds et plusieurs têtes, ils deviennent des monstres par la forme et la dimension, ou bien leur silhouette forme
des monstres par la forme et la dimension, ou bien leur silhouette forme des têtes grimaçantes variées, selon le sens où
un de doubles bras à l'autre une tête à deux visages. A l'angle que forme le bras de la femme, apparaît un profil d'homme
sverse, segmen- laire, dorso-lombaire gauche, onélatrau- matique, forme clinique curable (6 fig.), par RÉVILLIOD, 17.
ns- verse segmentaire, dorso-lombaire gau- che, métatraumatique ; forme clinique curable (6 fig.), 17. Ruiler. Sainl-
15 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
avons nous-même respecté l'usage, . ...l'usaige « qui dans les formes du langaige règne en arbitre souverain ». Bie
heveux fins, les sourcils et les cils encore assez peu fournis. Les formes extérieures ne sont même pas celles d'un adolesce
l'infantilisme VRAI 7 la cachexie strumiprive opératoire ou de la forme expérimentale de cette cachexie à tel point qu'
scientifiquement, le plus hideux morphologiquement. Il conserva des formes foetales, mais il grandit, il fit ses dents, il p
les observations fort intéressantes de deux malades atteints d'une forme d'infantilisme spéciale à l'adulte. Ces deux mala
de la glande thyroïde explique non seule- ment la multiplicité des formes de l'infantilisme, mais encore (avec leurs spéc
u la complexité de leurs combinaisons. Depuis longtemps l'étude des formes frustes de la maladie de Basedow nous a rendu f
e, de maintien correct, affecteux le plus souvent, au moins dans la forme , mais sujets à des impulsions et sans ordre dan
Sanctis), la simultanéité de plusieurs lésions distinctes est con- forme à cette loi formulée par Geoffroy St-Hilaire, en
t immuables. L'Antinous du Vatican exprime la parfaite harmonie des formes juvéniles ; mais cette expression comporte une
extraits glandulaires, exerce une action miraculeuse sur toutes les formes du véritable infantilisme. En résumé, nous voyo
es (gestes, attitudes, paroles...). C'est généralement sous cette forme que se manifestent à l'observateur les états ca
de développement, ils peuvent cependant se rencontrer dans d'autres formes morbides. Nous nous occuperons d'abord du négat
epuis quelques mois des signes manifestes de paraly- sie générale à forme démente simple, lorsqu'est survenue une courte ph
- typée. 26 SÉGLAS Ces particularités ont persisté sous la même forme jusqu'à ce jour. En voici un exemple (novembre
d'ordinaire accompagné d'un geste stéréotypé qui se traduit sous deux formes différentes. La première est un geste des deux
émence, le malade ne manifeste plus ses idées de grandeur que sous la forme de la stéréotypie verbale suivante, qu'il répèt
omme une simple variété de rhumatisme chronique ? - Les principales formes qu'elles affectent peuvent-elles être rapprochées
mettre en contact avec le rebord osseux du bassin, et que le ventre forme un bourrelet qui retombe au-dessus de l'arcade
eschares, ecchymoses, etc., etc. Le tissu cel- lulaire sous-cutané forme partout une couche épaisse de plusieurs centimètr
es ganglions lymphati- ques, comme le montrent leur situation, leur forme et leur apparence géné- rale. Si leur réticulum
XVII, n° 2, p. 8S, 100, mars- avril 1904. ' (2) VfipfI00aEN, Les formes cliniques du rhumatisme chronique, Congrès de Liè
gressive et généralisée. Thèse. Paris, 1900. (2) P. Berger, Sur une forme encore peu connue d'affection ankylosante. Bull,
lorsqu'ils s'exécutent, de percevoir quelques craquements. Dans les formes pures, les autres arti- culations des membres s
avait attribuée au début, et qu'il existe entre eux de nom- breuses formes de transition. Notre cas ne répond pas absolument
ti- vement restreint, en les mettant en comparaison avec les autres formes cliniques des maladies dites familiales ou d'év
e anatomie pathologique spéciales,; on trouverait entre eux trop de formes inter- médiaires. On devra dans l'avenir recher
re chronique. Les cornes antérieures de la substance grise ont leur forme et leurs dimensions habituelles avec un réseau de
ctif intrafasciculaire. Ce dernier, plus abondant qu'à l'état normal, forme une gangue interstitielle, régulièrement répart
nerveu- ses y sont rares. Le tissu conjonctîf intrafasciculaire ne forme plus dans ces régions une gangue interstitielle
l'encre d'anthracène (fig. 5, 6, 7) : a) Les unes ont conservé leur forme normale, la gaine de Schwann n'est pas hypertro
cependant encore une gaine de myéline assez bien fournie quoique de forme irrégulière et crénelée. Cette variante aussi est
utour des fibres nerveuses même bien conservées le tissu conjonctif forme une gaine annulaire, comme dans les nerfs périp
fasciculaire n'est pas modifié. Nous retrouvons donc ici sous une forme atténuée le double processus : atrophique pour
e tissu conjonctif intra-fasciculaire remplit les vides, mais il ne forme pas de gaines fibreuses distinctes autour des é
nique, syringomyélie, sclérose latérale amyotrophique). Seules les formes où les nerfs périphériques ou les racines rachi
ttre de faire le diagnostic de lésions périphériques dans certaines formes cli- niques d'atrophies qui comme l'amyotrophie
es lésions des nerfs mixtes on voit qu'elles se présentent sous une forme typique : diminution du nombre des fibres à myé
eich ont servi dès 1889 à Hoffmann (1) à soutenir l'existence d'une forme dite neurotique ou neurale de l'atrophie muscul
ibles de la névrite interstitielle hypertrophique avec les diverses formes cataloguées en Allemagne atro- phie musculaire
être mises au premier rang et démontrer l'origine spinale de celle forme clinique. Inversement, des observations compa
servation ne vient après beaucoup d'autres que montrer une nouvelle forme de passage à côté des types cliniques que l'on cr
Londe, de Pauly et Bonne la mala- die : 1° atteint sans changer de forme plusieurs enfants d'une même gé- nération ; 2°
plus ou moins longue, car il est à remarquer que la plupart de ces formes cli- ques n'entraînent pas la mort par elles-mê
raînent pas la mort par elles-mêmes (En fait,il n'y a guère que les formes à localisations bulbaires qui puissent créer un d
ne étude d'ensemble. Les lésions essentielles se présentent sous la forme de dégénérescences le plus souvent systématisée
une extension des plus variables qui expliquent la multiplicité des formes cliniques. Pour ne citer que les cas résumés plus
ier la moelle est intacte, la névrite interstitielle périphé- rique forme autour des fibres nerveuses raréfiées des envelop
me augmentation. - On voit combien il serait difficile de créer une forme anatomo-clinique précise d'après ces documents.
d'en faire le diagnostic sur le vivant. La symptomatologie de cette forme répond à l'étendue des lésions ; en même temps
ns ici, elle peut, la chose est cer- taine, être regardée comme une forme très atténuée de la névrite inters- titielle hy
. ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 67 du cervelet, la forme clinique qui nous occupe ne laisse pas de subsist
nt des troubles de la sensibilité sub- jective et objective sous la forme de douleurs dans les membres infé- rieurs et de
s a offert l'occasion d'apporter une contribu- tion à l'étude d'une forme rare des atrophies cérébelleuses. Examen anatom
ais celles-ci sont très petites, manifestement atrophiées, avec une forme globuleuse dans la plupart. Le noyau n'est pas
sistant dans leur diminution de nombre, dans l'irrégularité de leur forme et dans leur inégale coloration ; et cela indép
nvenu d'appeler la maladie de Paget, et plus spéciale- ment à cette forme décrite par Paget et les auteurs anglais,et sur l
sur laquelle M. Lannelongue a tout spécialement attiré l'attention, forme limitée à un très petit nombre d'os et même à u
mort, et du mort écorché, cette chose inerte, flasque, qui prend la forme que l'on veut, qui se place où cela est commode
ns musculaires, on en parlait assurément en quelques mots ; mais la forme vivante, mais les modifications de cette forme
lques mots ; mais la forme vivante, mais les modifications de cette forme entrevue sous la peau, suivant les sujets, suivan
lus tôt. Ce dernier avait conçu le plan d'un ouvrage d'anatomie des formes ex- térieures du corps humain appliquée à la pe
'être vivant ; il faut donc, en écrivant l'anatomie, res- tituer la forme , animer le cadavre (1). » Et de fait, on entrevoi
st apparue à ceux qui, journellement, sont appelés à interpréter la forme humaine, et parmi eux, en première ligne, les cli
iquement son oeuvre. En 1890, Paul Richer publia sa Description des formes extérieures du corps humain au repos et dans le
cher établissait des relations « entre les portions profondes et la forme extérieure, entre les notions anatomiques et le n
tail l'anatomie descriptive, l'auteur inaugurait la description des formes extérieures du corps humain. Il enseignait le n
, chaque muscle se trouvait décrit avec ses insertions précises, sa forme , son volume, mais aussitôt après venait l'étude d
dire, une sorte de préjugé qui nous fait considérer l'anatomie des formes comme une science élémentaire qu'on abandonne v
mme de connaissan- ces anatomiques renferme implicitement celle des formes extérieures, et qu'il doit connaître la morphol
inutilement dans leurs souvenirs la raison anatomique de certaines formes imprévues, bien que parfaitement normales. « La
la machine humaine, ne le fait qu'à la condition d'en détruire les formes extérieures. La mort elle-même, dès les premières
re qu'elle compléterait très heureusement. En effet, l'anatomie des formes ne peut être étudiée que sur le vivant. Elle a
rvation du nu ; son but est de découvrir les causes multiples de la forme vivante et de la fixer dans une description ; ell
os les traces (1) PAUL RiCHER, Anatomie artistique. Description des formes extérieures du corps humain au repos et dans le
de la graisse et de la peau, ne saurait donner une idée exacte de la forme vivante. Paul Richer a d'ailleurs heureusemen
ir du tégument dont le rôle ne consisterait alors qu'à atténuer les formes trop heurtées, sans y rien changer d'essentiel.
ux, dont la présence, suivant les légions, modifie'complètement les formes de l'écorché " ('2). Etcela, non seulement chez
s. · Enfin, nouvelle et importante addition à la connaissance de la forme humaine vivante, la Physiologie de l'homme en m
mence; dès les premiers moments, à perdre l'accent individuel de la forme que seules peuvent donner la souplesse et la fer-
er- meté des tissus où circule la vie. « En un mot, l'étude de la forme est la synthèse vivante de l'anatomie du mort.
'anato-, mie est la même pour nous tous. Combien, au contraire,, la forme diffère avec chacun de' nous ! Et je ne parle p
ent du visage, mais du corps tout entier. Le corps, lui aussi, a sa forme et son expression ca-, ractéristiques. Nous rec
'anatomie est donc une généralisation, elle s'adresse à l'espèce ; la forme est particulière, elle s'adresse à l'individu.
être en mesure de les apprécier. - 1 Ainsi, après l'Anatomie des formes , s'impose la Physiologie des formes. Dans l'un
- 1 Ainsi, après l'Anatomie des formes, s'impose la Physiologie des formes . Dans l'un comme dans l'autre de ces ouvrages,
e humaine sous ses aspects les plus divers. Cette recherche de la forme extérieure dans le mouvement, générale- ment né
ntant par la plume et la photographie, les changements apportés aux formes extérieures suivant les attitudes et suivant le
de la Salpêtrière a publié également un article de Paul Richer : La forme du corps en mouvement (2), où l'on voit, étu- d
les chromo-photographies du vivant, les modifications apportées aux formes extérieures par les différents modes de contracti
linique : elles ont servi à élucider les causes des anomalies de la forme , de la station ou de la marche dans certaines a
r leur instruction anatomique par l'apprentissage de l'Anatomie des formes de l'homme normal vivant. Et il n'est pas témér
nouvelles. Qui sait si le simple fait d'attirer l'attention sur la forme humaine n'a pas suffi pour faire découvrir plus
n vivant. Ne sont-ils pas au premier chef appelés à compter avec la forme extérieure lorsqu'il s'agit de décider d'une inte
triompher. Elle avait été préconisée autrefois par Gerdy : « Les formes extérieu- res, disait-il, par leurs relations a
« Les formes extérieu- res, disait-il, par leurs relations avec les formes intérieures, montrent, à l'intelligence du chir
cutané permettant d'apprécier avec exactitude les modifications de forme et les change-- ments de rapport survenus dans
services les plus immédia- tement pratiques, vient de paraître sous forme d'un manuel conçu et réalisé encore par Paul Ri
sé surtout guider, dans l'étude des muscles, par leur action sur la forme extérieure. C'est ainsi que certains muscles, q
C'est ainsi que certains muscles, que j'appelle les « muscles de la forme », sont décrits avec détail, qu'ils soient superf
s une même description, parce qu'ils n'intéressent pas isolément la forme . « Ce nouveau manuel est justement fait pour fa
lette que pour les muscles reproduits plus particulièrement dans la forme même qu'ils ont sur le vivant. » (1) BRUANDET,
haque dessin du squelette ou des muscles correspond un dessin de la forme extérieure qui lui est superposable. Un simple
sants rapprochements entre l'anatomie descriptive et l'anatomie des formes . La figuration des muscles est cepen- dant enco
tion rationnelle des notions anatomiques à la com- préhension de la forme humaine date seulement d'hier. Car, il n'y a pa
qu'un légendaire cadavre dont les muscles desséchés revêtaient les formes les plus fantaisistes. L'élève de- vait s'effor
peu l'ai te pour faciliter la compréhension et la figuration de la forme humaine vivante. L'avènement de la science mo
nd à reconnaître comment ces os se révèlent à l'extérieur dans leur forme et dans leur situation exacte. En réalité, c'est
mais bien les muscles mêmes du sujet qui pose devant eux, dans leur forme réelle et vivante, avec leur accent individuel, e
es muscles ne saurait suffire aux artistes. Ils ont à reproduire la forme extérieure du corps humain : il faut leur en- s
e-même avec ses dépendances. De là une étude très détail- lée de la forme extérieure dont les moindres particularités sont,
onne conformation, ce qu'Ingres appelait justement la « santé de la forme » . Dans le cours oral, préparé et facilité par
ion du détail. C'est là que se trouvent t traitées les questions de forme extérieure avec toute l'ampleur désirable : var
OMIQUE 115 montréunhomme bien portant ? Etudier les altérations des formes sans con- naître la « santé de la forme », c'es
tudier les altérations des formes sans con- naître la « santé de la forme », c'est un véritable paradoxe pédagogique. L'e
pas de l'anthropologie tout entière; mais seulement de l'étude des formes extérieures, et c'est là le propre de la morpholo
s, leurs rapports, leur mode de répartition, etc... d'où résulte la forme indivi- duelle, et c'est ce qui constitue la mo
intéressés. On a surtout signalé la poliencéphalite totale dans les formes familiales et infantiles. Un deuxième point mér
dduction permanente de la cuisse ; le tendon d'Achille d'autre part forme au niveau du talon une corde absolument inexten
ontraire encore quelques restes du tronc du corps cal- leux sous la forme d'une mince lamelle ; la moitié antérieure du tro
disparues sous forme de petits blocs protoplasmiques homogènes, de forme irrégulière, prenant fortement les colorants. I
mpell (1), en 1884, frappé par les caractères cliniques de certaine forme de l'hémiplégie cérébrale infantile, fut amené à
ôt pour l'établir, sur les analogies de début et d'évolution que la forme par lui détachée du groupe cliniquement bien dé
la zone motrice de l'encéphale est le siège de l'affection dans la forme clinique d'hémiplégie cérébrale infan- tile don
e possible de l'hémiplégie cérébrale infantile et précisément de la forme ayant les particularités cliniques déjà men- ti
(1897) rapporte une épidémie de 18 cas de paralysie infan- tile, à forme tantôt spinale, tantôt cérébrale, survenue dans u
n'y a rien d'arbitraire à admettre qu'il existe dans l'enfance une forme d'encéphalite avec locali- sation prépondérante
de Strümpell-Leichlenstern, et qu'enfin il n'y a pas entre ces deux formes de l'encéphalite aiguë hémorragique des- limite
processus. On a observé en effet des cas où les symptômes des deux formes et leurs localisations se combinaient et des cas
autre; on rencontre en effet des cas où les symptômes de toutes ces formes sont réunies sur le même individu ; et des cas
rapports étiologiques, cliniques et anatomiques entre les diverses formes d'encéphalite aiguë hémorragique et la poliomyéli
colonne ver- tébralela chaîne ganglionnaire sympath ique, moni 1 i forme ,dontles segments correspondent aux différents m
sympathique ainsi impressionné, se produira sur le membre lésé sous forme d'une manifestation du type segmentaire et non
, le Dur Rapin (2), de Genève, dans un travail intitulé : « Sur une forme d'hypertrophie des membres, dystrophie conjonct
e Iconographie de la Salpêtrière, no 6, 1901. 2. Rapin. - Sur une forme d'hypertrophie des membres (dystrophie conjonctiv
R nodulaire, mais il n'en est pas toujours ainsi et à côté de cette forme la plus communément observée on en décrit une a
, ne voyons-nous pas en effet dans l'acromégalie, dans les diverses formes de l'ostéo-arthropathie hypertrophiante, dans l
pouvaient donner que des idées assez vagues, sinon erronées, de la forme et des rapports muscu- laires. Eussent-ils été
pondent à leur but, qui est de faciliter l'analyse scientifique des formes corporelles, mais à une condition, bien entendu
intres et sculpteurs ont sans doute essayé d'étudier l'anatomie des formes . Et quelle anatomie ! ... L'aventure assurément
a graisse, qui, en certaines régions, joue un si grand rôle dans la forme extérieure. Il s'élevait surtout contre leurs i
re au contraire gonflé et volumineux. Il y a là, en somme, entre la forme donnée aux deux : muscles pectoraux une curieus
- ché de bien des erreurs parmi lesquelles il suffit de signaler la forme du grand pectoral droit, le modelé du genou, du
le sont ab- 178 UENRY MEIGE sentes. Les muscles fessiers ont même forme à droite et à gauche, alors que le sujet ne por
impossible, à l'aide de ce genou d'écorché de se rendre compte des formes extérieures du genou d'un modèle vivant placé dan
e faite du rôle très important de certains muscles profonds dans la forme extérieure. « On peut lui reprocher aussi quelq
ateur combattant tout en essayant de conserver l'aspect général des formes et du modelé ; et, pour cela, il n'a pas tenu c
ement aucun' compte des aponévroses pour la production de certaines formes . « Sur une vue prise de profil, vous pouvez con
n. Puis, on se rend compte que l'artiste s'est efforcé de rendre la forme vivante, comme en témoigne le modelé très exact
cher, dont il partageait entiè- rement les idées sur l'anatomie des formes .Malheureusement cette ébauche est incomplète.
re. « Sur aucune, la comparaison entre l'écorché superficiel et les formes extérieures, autrement dit la relation entre le
linlnly·le It·Ulinml, Pm UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 181 des et les formes superficielles. Il suffirait pour cela que le suj
trique, un seul côté fût « ana- tomisé », l'autre côté montrant les formes du nu. La comparaison serait ainsi facilement é
éléments. « 4° Enfin, comme ce qui nous intéresse surtout c'est la forme vivante, les muscles à découvert sur notre écor
vante, les muscles à découvert sur notre écorché devraient avoir la forme qu'ils ont sur le vivant, c'est-à-dire correspo
s simplement distendus. Et nous savons que pour un même muscle, une forme spéciale correspond à chacun de ces divers état
e modèle vivant et le cadavre disséqué aux muscles flasques et sans formes . » Eh bien ! cette statue de l'Ecorché vivant,
bosse cette sculpture d'enseignement qui matérialise en relief les formes exté- rieures de l'homme en vie. Evitant à dess
amment marqués. Innovation importante, ils sont représentés avec la forme réelle qui correspond à la pose du sujet. Sur l
la tête, sont seuls indiqués les muscles qui jouent un rôle dans la forme extérieure de cette région, le masséter et le tem
xactitude. On remarque en particulier dans la région thoracique, la forme du grand pectoral au repos, à la fois distendu
e les plus récentes acquisitions de la morphologie humaine sous une forme toute nouvelle, exactement adaptée à son but pé
e ce genre représentant le muscle en place et envie, et, à côté, la forme extérieure qui le révèle, pourrait être consultée
une hémianopsie ho- monyme latérale droite des plus nettes, avec sa forme habituelle et la légère encoche centrale de 10°
u'il s'agit d'un vaste foyer de ramollissement ancien. Ce foyer, de forme irrégulière, beaucoup plus étendu en hauteur qu
se des pressions et de la résorption de la substance altérée, a une forme serpentine ; la partie postérieure de la moelle s
en faciliter le diagnostic, il convient de grouper les cas en trois formes : la forme légère ou motrice systématisée, avec d
le diagnostic, il convient de grouper les cas en trois formes : la forme légère ou motrice systématisée, avec des al- té
objective, sans réaction de dégénération et d'un cours rapide ; la forme douloureuse ou sensitive ; et la forme grave, o
on et d'un cours rapide ; la forme douloureuse ou sensitive ; et la forme grave, ou mixte, avec des altérations profondes d
VRITE AIGUË INFANTILE 217 1er Cas. - Polynévrite aiguë généralisée, forme légère ou motrice. J. B..., âgé de trois ans, d
les enfants de son âge. 2* Cas. - Polynévrite aiguë généralisée, forme légère ou motrice. M. I..., âgé de 4 ans, de Sa
hyxie le quatrième jour. , 5° Cas. - Polynévrite aiguë généralisée, forme grave. J. Gar..., âgé de 5 ans, du département
portance diagnostique ; mais elles ne sont pas éviden- tes dans les formes légères ou motrices systématiques ; d'autre part
ans la paralysie spinale infantile, probablement quand il s'agit de formes associées, de neuronite. Dans les formes doulou
blement quand il s'agit de formes associées, de neuronite. Dans les formes douloureuses ou sensitives, et dans les formes gr
neuronite. Dans les formes douloureuses ou sensitives, et dans les formes graves ou mixtes, elles acquièrent une grande i
bserve nettement chez les enfants que dans les cas graves. Dans les formes légères, dans celles qu'on appelle motrices sys
ns doute, le moyen de la plus grande valeur diagnostique ; dans les formes légères, les contractions fara- diques sont nor
- diques sont normales ou à peine diminuées (cas 1 et 2) ; dans les formes douloureuses (cas 3 et 4), les muscles paralysé
ermeture du pôle négatif - sont diminuées seulement; enfin,dans les formes graves, il existe une complète réaction de dégéné
nous étions encore au temps où se succédèrent les descriptions des formes diverses des myopathies, que l'on distinguait soi
re que l'observation que nous rappor- tons ici est un exemple d'une forme particulière, non encore décrite de la paralysi
théorie actuel- lement admise : à savoir, que toutes les anciennes formes de la myopathie peuvent se combiner et se confo
nsemble de la physionomie l'aspect de tête d'oiseau. Le crâne a une forme spéciale : court dans le sens antéro-postérieur,
ur- bure à convexité antérieure exagérée ; de plus, le fémur gauche forme une courbure à convexité externe au niveau de l
ne présente ni tête, ni col ; elle con- tinue, sans modification de forme , la diaphyse.La tubérositébicipitale est à pein
s la dysostose, que l'on peut avec ces auteurs considérer comme une forme particulière de leur dyspla- sie périostale, il
ge (PI. XLVI). Ce malade, malgré son âge avancé, avait conservé les formes extérieures de l'enfance et donnait l'apparence
ence de la glande thyroïde, atrophiée, il est vrai, mais normale de forme et d'apparence, l'existence de deux testicules,
l paraissait être un gar- çon de 12 à 14 ans, il avait conservé les formes extérieures de l'enfance et aucun des caractère
fins sourcils existent. Les joues sont arrondies et fermes, leur forme donne à la face l'aspe( naire. La lèvre infér
tères différentiels que la plupart des auteurs assignent à ces deux formes . a) Mydriase paralytique (paralysie de la 1111,
nous est impossible de faire entrer notre cas dans une de ces deux formes de mydriase. Dans une circonstance analogue, Au
ent à l'étude de cette affection ; on peut néanmoins établir que la forme paralytique peut seprésenter sous deux types :
adruk et chandu, éga- lement employées à la pipe ; l'opium à manger forme une troisième variété également à part. Ces exp
la rapidité même. 1 Le délire aigu mortel avec épuisement rapide et forme galopante sub- fébrile peut s'observer, mais au
ce que la religion mahométane y pousse moins et que dans les autres formes de folie il est également rare chez l'Arabe. Au
4. DATES. - 30 septembre 1903 : premiers symptômes de maladie, sous forme d'attaque convulsive, précédée d'une semaine d'
cule droit. 280 WEBER Le 3e ventricule est surtout altéré dans sa forme ; l'aqueduc de S. est ou- vert. .t,' \ Il s
sillon bulbo-cérébelleux droit, d'une tumeur à surface noueuse, de forme cylindrique il peu près. Diamètre : 2 cen- timè
, fig. 9 et 10). Cependant à droite aussi il y a eu rétention, sous forme d'une sorte de kyste (C.fig. 9 et 10) que l'on
soupape, si je puis dire ainsi, le crâne, même de l'adulte, altère sa forme pour faire de la place. Il ne faut pour cela qu
umpliry, et qui, après la cinquième semaine de la vie embryonnaire, forme , non encore dilrérenciés, les fléchisseur commun
nécessaire pour produire cette amputation, le tissu cicatriciel qui forme le fond du sillon agissant à la façon d'un lien
isphérique, portant à sa partie inférieure un très petit lobule, de forme arrondie, qui paraissait être un doigt rudimentai
s haut et sur un plan postérieur. Ces os présentent en raccourci la forme de leurs congénè- res : leurs extrémités supéri
arpien, glisse au-devant des muscles de l'é- minence hypothénar, et forme les deux collatérales de la branche interne de la
nt un moignon conique parfait. A l'extrémité de ce- lui-ci, la peau forme un ou deux replis, sortes de cicatrices, et il ex
u du pli de jonction de la jambe avec la cuisse ou jarret. Le talon forme un moignon qui vient se reposer sur la partie m
dedans et qui constitue le squelette du moignon. Cette masse a une forme quadrilatère; son bord supérieur est soudé au rad
cubitus- descend plus bas que le radius. La main est un moignon in- forme présentant, à sa partie inférieure, un petit appe
Radiographies : le radius, à part son incurvation, semble avoir une forme normale et paraît complet ; le cubitus, au cont
numérique DES TISSUS 327 "1 une masse plus volumineuse,rappelant la forme d'un sabot de cheval. On pcut supposer, d'après
il ne se termine pas en cupule comme un ra- dius, mais présente une forme qui lui donne une ressemblance éloignée avec l'
Le membre supérieur droit n'est représenté que par le bras dont l'os forme à son extrémité inférieure, comme une sorte de
s dans les antécédents. XXXVIII. - KLIPPEL et RABAUD (Et.), Sur une forme rare d'hémimélie radiale intercalaire. Nouv. Ic
comme due à des varices oesophagiennes qui sont fréquentes dans ces formes . Il est re- grettable que la malade n'ait pas v
oit une retraite précipitée devant l'assiégeant, ou bien encore une forme aiguë de scorbut. L'ictus émotionnel jouait san
o- naises, placées là pour ma perte. » ' « En ce qui concerne les formes d'aliénation, elles peuvent se répartir de la m
était précédée d'un complet épuisement de l'organisme causé par une forme aiguë de scorbut ; dans un cas la maladie appar
lexes rotuliens, dans deux cas le trouble de la sen- sibilité, sous forme d'hyperalgésie sans classement régulier. Jusqu'à
trois dans le courant de la semaine qui suivit la capitulation. Les formes de cette affection cérébrale étaient les suivan
matique avec des apparitions mélancoliques et un à la mélancolie de forme légère, ce que Korsakoff nomme dysthymia melanc
orie qui vient d'être énumérée demeurera in statu quo. Les autres formes de psychose étant uniques, n'exigent pas de descr
primaire dans les uns, secondaire dans les 8 autres cas. Toutes les formes d'aliénation développées pendant le siège sont em
de la réserve et de l'armée active souffrant de l'une ou de l'autre forme d'aliénation. TABLEAU II. 348 WLADYCZKO éta
la pleine mer sur ces sujets était différente, cela dé- pendait des formes d'aliénation. Tout d'abord le mal de mer fit troi
n- tale (dysnoia Korsakowi amentia Meynerti) ou de l'une ou l'autre forme de psychose alcoolique. La disposition ! au mal
) S. WLADYZCKO, Influence de la pleine mer et du roulis sur certaines formes de maladies mentales. Kiff, 1906, p. 144. 352
t chacune 4 cas. 5° Le siège imprima un cachet spécial à toutes les formes de psychose. C'est une dépression fortement acc
e presque inconnue en France, s'y mani- feste cependant encore sous forme d'hérédopellagre, ainsi que le récent travail d
e phase ultérieure, car la folie pellagreuse affecte fréquemment la forme chronique avec ou sans rémissions intercalaires
ts et que j'ai signalés comme en rapport avec la syphilis. Les deux formes peuvent cependant se combiner, c'est-à-dire qu'on
ns les trous de laquelle se logent les éléments de la couche plexi- forme ». - 08r.RSTEIiri, loc. cit., p. 533. - VAl'<
ne formation identi- que située plus profondément. La lacune qui se forme au niveau de la couche des grains et de la subs
e et du front, déterminés par les mouvements, se présentant sous la forme d'élan- 366 souques cements ou de serrements.
due à un soulèvement osseux, a aug- menté de volume sans changer de forme . L'impotence motrice a fait de nouveaux progrès
point, la voûte crânienne infiltrée et repoussée en dehors sous la forme de tumeur osseuse, visible au niveau du vertex
l existe, d'ailleurs, entre les deux types cliniques, de nombreuses formes intermédiaires. Du fait que nous avons observ
LIE AVEC CHEIROMÉGALIE 377 teur de la IVe tranche cervicale sous la forme d'une fente mince, plus large en avant qu'en ar
la hauteur de C. VII, la cavité notablement plus développée prend la forme d'un croissant qui suit l'axe des cornes postér
res sont étalées. Plus bas, la cavité tout en conservant la même forme et les mêmes rap- ports occupe toute la longueu
78 - LHERMITTE ET ARTOM naissance à des diverticules d'aspect et de formes variés ; en outre on remar- que des colonnes co
épinière, existait une cavité syringomyélique qui com- mençait sous forme d'une fente au niveau de la III" cervicale, occup
edémateuse et ecchymotique des deux paupières prend abso- lument la forme d'un chémosis. Pas de lésion, d'altération de l
Et entre ces deux résultats d'une même lésion, nous trouvons comme forme de passage le zona hémorragique, constitué par
elle allongée chez le cobaye telle que la section d'un corps resti- forme , a obtenu des hémorragies sous-cutanées dans l'or
n arrêt de développement que d'une amputation intra-utérine, car la forme des os de l'avant-bras rappelle celle des os norm
al, à l'occasion du cas de Variot, disait : « Il existe plu- sieurs formes d'amputations congénitales ; les unes ont pour ca
pect des os nor- maux, à part les dimensions et quelques détails de forme ; on y remarque entre autres particularités imp
mélie. Mais M. Et. Rabaud a montré que l'action mécanique, sous une forme quelconque, n'est pas capable de modifier la croi
liers. Ce n'est point le cas de l'hémimélie vraie où l'harmonie des formes persiste et où, à voir les choses superficielleme
e à se différencier du tissu voisin. b) Grand dorsal et grand rond, forme une masse analogue. a et b sont différenciés l'
commun des doigts s'allonge. Le "tendon du cubital posté- rieur se forme . Les deux radiaux ne sont pas encore séparés l'
ne, au contraire, les formations mus- culaires ont la situation, la forme et les connexions que nous avons trou- vées ; a
aphie de la Salpêtrière, 1906. Klippel et Rabaud (Etienne). Sur une forme rare d'hémimélie radiale intercalaire. Nouvelle
mètres de la scissure in- terhémisphérique, puis, se recourbant, il forme une crête mousse qui va se perdre en arrière au
rieure du vermis supérieur du cervelet. La pie-mère, très épaissie, forme comme un rideau étendu au-des- sus de cette cav
mine maintenant la paroi de la cavité, on voit que cette cavité, de forme assez irrégulière, mais dont l'axe. est cependant
cerveau. Le professeur Zernoff a pris pour hase de son invention la forme plus ou moins sphérique du crâne et du cerveau et
donne pourtant lieu à des erreurs, provenant de l'hypo- thèse de la forme de sphère géométrique de la tète. Comme ni le crâ
oscou, 1891. Thèse. 432 ROSSOLli)10 l'encéphale ne présentent la - forme précise d'une sphère géométrique, l'erreur sera
d'une sphère géométrique, l'erreur sera d'autant plus grande que la forme du crâne observé s'éloignera plus de la forme s
nt plus grande que la forme du crâne observé s'éloignera plus de la forme sphél'oïdale.C'est pourquoi l'exactitude de l'app
est pourquoi nous avons dû inventer un'appareil métallique ayant la forme d'une tonnelle (j) à base annulaire de caoutcho
sibilité est conservée entière sur tout le corps et dans toutes ses formes . L'examen des réactions pupillaires, du champ v
lie amyotrophique (Duchesneau), douloureuse (Sainton et State), une forme paralytique. Pour ce qui se rapporte à l'énorme
certains points ; et, de la sorte, elle a donné lieu à différentes formes d'exostose. Cette condition morbide, exceptionn
ormes d'exostose. Cette condition morbide, exceptionnelle, dans les formes typiques d'acromégalie, mérite d'être signalée
dans son cas, comme dans les autres d'ailleurs il ne s'agit pas des formes spéciales de poliomyélite aiguë ou chronique, for
s'agit pas des formes spéciales de poliomyélite aiguë ou chronique, formes dont la symptomatologie si bizarre a son explic
êtrière envisage l'eedème nerveux circonscrit de l'urticaire, de la forme de Quinckh et du trophoedème chronique, comme la
endue, plus ou moins profonde du derme ou bien de l'hypoderme. La forme de QUINCKE, serait le représentant type de ces oe
pertrophie secondaire du tissu conjonctif sous-cutané. Toutes ces formes représentent des types cliniques séparés, quoique
système lym- pho-sécréteur. L'auteur italien considère ces trois formes d'oedème nerveux « comme la conséquence d'une e
Iconogra- phie de la Salpêtrière, n° 2, 1907. 3. RAPIN. - Sur une forme d'hypertrophie des membres (dystrophie conjonctiv
ses manifestations convulsives suivant leur siège et suivant leurs formes . Enfin, on connaît moins bien' encore son évo-
ns observateurs l'on décrit comme un symptôme pathognomonique d'une forme spéciale de la paralysie faciale. Cette erreur,
16 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
end pas soin d'examiner de 1 A. Joffroy. De la paralysie générale à forme lctbélizte. (Nouvelle Iconographie de la Salpêt
1895.) - Klippel. Paralysie générale. Lésions el symptômes spinaux. Formes pinales. (Archives de Médecine expér., n° 1, 18
tes occupent la partie antérieure du cordon et affectent chacune la forme d'un triangle confinant par l'un des côtés à la
ci-dessus décrite. La substance grise ne parait pas altérée dans sa forme ; mais il existe une diminution légère du nombre
d'autre du septum une zone symétrique. Cette zone sclé- reuse a la forme d'un triangle allongé dont la base la plus courte
tte région dégénérée, il existe encore quelques fibres saines. La forme , la disposition et la constitution de la lésion r
ons se détachent nettement sur l'ensemble du cordon postérieur sous forme d'un triangle isocèle ; sa base est périphériqu
indre la périphérie avec cette dernière. La lésion se présente sous forme d'une bande sclércuse large et très longue. Ell
don. Avant d'atteindre la périphérie, elle envoie une expansion en forme d'ergot dont l'axe se dirige vers la zone de Liss
ntégrité des fibres du centre ovale de Flechsig (quelle que soit la forme de leur groupement : virgule de Schulze, bandel
se trouve en présence d'une bande scléreuse dont la situation et la forme ne sont point celles du champ radiculaire antér
re pour base unique d'un diagnostic histologique la structure et la forme d'un faisceau qui, d'un individu à l'autre, peu
, ou parfois plus ou moins passager. C'est sous ces diffé- rentes formes que nous avons eu l'occasion de les noter dans
marquera que parfois elle répète successivement la même phrase sans forme affirmative puis sans forme négative, en généra
pète successivement la même phrase sans forme affirmative puis sans forme négative, en général à la suite d'une question
ils. Ce qui prédomine rapidement, ce sont des idées de négation, de forme hypochondriaque surtout, et portant sur la person
n'est pas là une expres- sion de mélancolique. Cette mégalomanie, à forme d'idées de grandeur des persécutés qu'on rencon
observation que M. Séglas donne ajuste titre comme rentrant dans la forme typique de Cotard . Annales médica-psychologiqu
ur ainsi dire qu'un voile jeté sur l'appauvrissement psychique, qui forme le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1L t fond
on delà sensibilité ; les troubles partant à la fois sur toutes les formes de la sensibilité, avec prédominance toutefois su
supérieurs, exagération des réflexes tendineux, etc.). Dans cette forme très grave et rare, à évolution rapide, il y a do
eler sens stéréognostique et qui consiste dans l'appréciation de la forme des objets. On est porté à croire qu'une fonction
de cette leçon clinique, l'auteur passe en revue les diffé- rentes formes d'hémiplégie qui peuvent se produire à la suite d
pithélium de la glande. Ces hémorrhagies surviennent souvent sous forme d'accès : il y a un aura ; à la suite d'une fat
extension de l'hyper- plasie des os et des tissus dans les diverses formes des altérations acromégaliques sont l'effet des
sychopathique déjà prouvée par des accidents antérieurs. Quant à la forme cataleptique des accidents cérébraux, on peut.
us l'intoxication urémique, l'expliquer par l'exagération, sous une forme particulière, à l'occasion de l'urémie, des tenda
manifestées par les malades. Dans les encéphalopathies toxiques, la forme des accidents est déterminée, en effet, au moin
ns centraux une zone triangulaire longue de 2 centimètres, ayant la forme d'une grappe de raisin et constituée par des mo
uvements voulus d'un extrémité se réfféchissent sur l'autre sous la forme de vives convulsions musculaires. P. IER : 1V1L
. lIl. Extirpation double du SY1P.IllIQLE cervical pour un cas de forme fruste DE maladie de 13ASEIJOW; par MM. CERKEZ et
Observation d'une jeuue fille de vingt et un ans, atteinte d'une forme fruste de maladie de Basedow, caractérisée par un
M. CHRISTIAN pense que ce qui est surtout caractéristique, c'est la forme du délire. Quelle que soit la condition sociale d
paralysie générale sans délire est très commune. J'ajouterai que la forme et la marche de la démence de la paralysie géné
es bulles remplies de sérosité ou de pus. Troubles vasomoteurs sous forme d'apparition de taches bleu- foncées, et de sen
es névrites très étendues, tandis que celles-ci font défaut dans la forme tubéreuse de lèpre, où la quan- tité de bacille
l n'en est rien; il s'agit dans ces cas d'une paralysie cérébrale à forme de paralysie générale, ou mieux d'une paralysie
certains symptômes, tels que l'agitation,' les attaques apoplecti- formes et épileptiformes, les auto-intoxications digesti
rdon latéral et le cordon postérieur à des' degrés divers, selon la forme et la durée de la maladie. L'un et l'autre de c
ieure, la substance grise, située en avant des cornes postérieures, forme un bloc, dans lequel on distingue à peine la sa
atrophiée n'a plus qu'un prolongement ou deux. Son corps a pris la forme d'un tube nerveux dans l'intérieur duquel il n'
s disparu. La cellule atrophiée revêt d'au- tres aspects; elle a la forme arrondie, sans prolongements, sans noyau et com
du cordon antéro-latéral.' La substance grise est modifiée dans sa forme générale et profondément altérée dans ses détai
d'une amélioration progressive. Dans notre observation, c'est une forme de manie qui a bénéficié également du fait de la
- influence salutaire du fait de cette fièvre éruptive. Les autres formes de folie, en général, n'ont pas été modi- fiées
trois hypothèses : altération de la substance nerveuse qui trans- forme anormalement l'excitation électrique, altération
te la moitié gauche de la face; s'accentuant graduellement, sous la forme de contraction tonique, puis décroissant de mêm
lques trousseaux musculaires ; les convulsions affectent parfois la forme tonique, surtout à l'occasion des mouve- ments
encéphalite hémorrhagique est, au point de vue morphologique, la forme de Wernicke, ou, si l'on préfère, la forme de Stt
de vue morphologique, la forme de Wernicke, ou, si l'on préfère, la forme de Sttümpell, modifiée à l'usage des pédoncules
qu'elle rencontre à l'endroit de la lésion et se manifeste sous la forme d'un mouvement très intense dont le rythme, par
ous l'influence d'une cause indéterminée il s'est développé une des formes d'hystérie latente chez lui; 3° les phénomènes
2G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. donnent à la main un aspect et une forme toute spéciale qui per- mettent de la désigner
7.) .) Observations. Homme de soixante ans, entaché de toutes les formes de l'hérédité névropathique et psychopathique ; a
ves, aggravation continue, mort. P. KERAVAL. XLVII. LÉREUTHOPHOB1E, forme particulière DE trouble névropa- thique; par W.
au moyen du traitement faradique, en grande partie, et quittait la forme d'anesthéoie à forme de gant constatée au début
nt faradique, en grande partie, et quittait la forme d'anesthéoie à forme de gant constatée au début. L'anesthésie hystér
st le traitement de choix du goitre exophtalmique, surtout dans les formes sans goitie, et dans les cas où l'indication se
'ans'Ve1'se, Projections lumineuses; par le U'' Brissaud, de Paris. Forme fruste de maladie de Parkinson; par le Dr Laffo
peutique : De 1'(ili- tentent (repos au lit) dans le tiaitement des formes aiguës de la folie et des modifications qu'il p
on des présents statuts. Il peut toujours être modifié dans la même forme . Professeur DELOOEUF de Liège; par Foret. (Zeit
ci la faculté de Moscou.) Il est indiscutable que l'étude de toute forme nosogra- phique doit être basée principalement
dans le lobe temporal gauche, on voit une tache brune rougeâtre, de forme ronde, d'un centimètre de diamètre; elle ne par
affaire à une néo-formation cellulaire. Les cellules présentent des formes et des dimensions diverses, mais ce sont les cell
pétrifiés. Par places on trouve même des vais- seaux de calibre en forme des anneaux calcaires. Alais outre les vaisseau
ériques de la moelle l'attention est attirée par des territoires de forme irrégulière, presque incolores, constitués d'un
ale l'attention est attirée par un contour sinueux, bien limité; sa forme rappelle un peu l'olive du cervelet. Le contour
dans la partie centrale de la moelle se trouve une grande cavité de forme irrégulière; ses parois sont constituées par de
pondant à la fente est occupé par une hyperplasie névroglique en forme d'un ruban sinueux, parallèle à la corne postérie
ans sa partie centrale l'amas de cellules sarcomateuses persiste en forme d'une tâche à bords diffus; les autres territoi
st que du côté gauche qu'elle continue jusqu'au sillon antérieur en forme d'un mince filet. Le stroma est traversé d'énor
la tumeur a pénétré dans sa sub- stance par la corne postérieure en forme d'un large coin détruisant le tissu nerveux. La
u très nombreux ; sur maintes coupes on en trouve 6-7 de différente forme et grandeur, tapissés d'un épithélium cylindriq
à sa répartition symétrique la néoformation revêt en cet endroit la forme d'un papillon. L'aire de la coupe ne parait plu
me diaphane; les tubes nerveux y sont rares tandis que la névroglie forme un réseau à mailles très vastes, tantôt vides,
s éléments du tissu sont dissociés par un transsu- dat coagulé, qui forme par places de grandes tâches claires; l'hyperém
ÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. H ! 3 croire que la névroglie qui forme la couche périphérique du cordon médullaire soi
ière. Sans doute, il importe de déterminer il quel groupe, à quelle forme appartient le cas soumis à l'examen; cette préc
peuvent survenir à la suite d'une opéra- tion, quelle que soit leur forme . Il y a lieu de distinguer ceux qui dépendent s
ue, les travaux parus jusqu'à ce jour, nous verrons les différentes formes que revêtent les troubles psy- chiques post-opé
cer- veau, manie avec tous ses degrés, mélancolie sous toutes ses formes , depuis la simple dépression jusqu'à la mélancoli
par se suicider. M. Le Dentu, en s'appuyant sur 68 cas, admet deux formes bien différentes de délires traumatiques : 1° l
admet deux formes bien différentes de délires traumatiques : 1° la forme agitée 2° la forme calme, dépressive, lypémania
bien différentes de délires traumatiques : 1° la forme agitée 2° la forme calme, dépressive, lypémaniaque. Dans l'un et l
eur pronos- tic dépendent des causes qui les ont fait naître et des formes qu'ils revêtent. M. Régis (de Bordeaux) ouvre
. On trouve dans cette thèse le résumé de six observations de cette forme spéciale du délire processif. L'auteur en a obs
vantes : « 1° 1\1 ? F... est atteinte depuis plusieurs années d'une forme spéciale d'aliénation mentale qui s'appelle en
fixité monotone du délire mélanco- lique, mais se présente sous la forme d'un système constitué par une série d'interpré
l'évolution est chronique, le délire systématisé persisle sous une forme stéréotypée; quelquefois il survient des idées de
rable. Enfin, le délire d'auto-accusation peut se présenter sous la forme de simples bouffées délirantes, à type de délir
ces cas aigus, les récidives sont fréquentes, souvent sous la même forme . Archives, 2e série, t. VI. 15 226 SOCIÉTÉS
ement de la mélancolie pour se rapprocher, au contraire, des autres formes connues du délire systématisé primitif. Mélan
rie de Charcot. 228 SOCIÉTÉS SAVANTES. 11 existe, du reste, une forme de sclérose primitive symétrique des tractus py
imitive symétrique des tractus pyramidaux dans leur ensemble. Cette forme de sclérose cérébro-spinale est surtout connue
mprises. Or, c'est ici qu'apparait nettement la parenté entre cette forme de paralysie générale et la sclérose latérale a
e cas particulier, s'ils pré- sentent bien les caractères d'une des formes transitoires de l'alié- nation mentale ou s'ils
paraît professer la même opinion. On admet donc en Allemagne qu'une forme au moins d'aliénatien mentale transitoire peut su
Lorsque ces lésions affectent dans le cerveau ou dans la moelle la forme diffuse (méningo-encéphalites, méningo-myélites t
s les dégé- nérescences primitives du téléneurone moteur (certaines formes de atrophie musculaire progressive), de l'archi
is ce qui nous semble actuellement inadmissible, c'est que dans les formes pures de paralysie générale il puisse exister d
ièrement dans l'artérite fémorale. Est-ce qu'un des symptômes de la forme sub- aiguë de cette artérite ne consiste pas pr
ian), ni par le mécanisme des paralysies réflexes, ni enfin par une forme d'hystéro-traumatisme. Il lui semble plus logique
Etude clinique sur l'obsession. MM. 1\1.-\.RIE et ViGouROUx. Les formes chroniques de ce syn- drome sont plus spécialem
manies dégénératives tardives en quelques sorte chroniques dont la forme persistante et même progressive cons- titue pre
E a décrit, en 1897, sous le nom de délire de l'evendi- cation, une forme particulière de délire systématisé des persécutés
persécuteurs, variété de la folie raisonnante. En dehors de cette forme type, il a rencontré quelquefois, à l'origine ou
iode démen- tielle terminale. 3° Elles peuvent se présenter sous la forme du délire systématisé ambitieux primitif et con
cérébral. En résumé, dans les quatre observations présentées, cette forme tardive du délire de revendication se rencontre
ns sont très importantes. Les cellules pyramidales ont perdu leur forme et leur volume. On les voit souvent avec un corps
éritées contre les directeurs-médecins, qu'elle revête toujours des formes parlementaires, un caractère courtois comme cel
rendre toute classification impossible, mêler ensemble toutes les formes de l'aliénation mentale, et cette confusion loin
tratum anatomique toujours le même, mais bien une des si nombreuses formes plus ou moins dégénérées ou frustes de la lèpre
siècles, ait perdu sa spécificité et qui ne présente, même dans ses formes les plus bénignes, ses traits cliniques caractéri
ut ailleurs, et par conséquent nous devrions rencontrer les mêmes formes dégénérées que constate Zambaco Pacha à Constanti
èrement dans les interosseux. Les mains (fig. 20 et 21) ont pris la forme de griffes à cause de la destruction de ces der-
côté gauche, ont presque totalement disparu. Le thorax présente la forme plate des myopathiques, non pas le thorax en bate
s par ce malade sont si clairs, leur ensemble tellement adapté à la forme classique, que le dia- gnostic de la syringomyé
u- leur qui n'a pas de comparaison avec le choc reçu . 1. Dans la forme anesthésique de la lèpre l'atrophie ne se limit
chef de l'asile de Jlaréwlle-ancv. Folie tuberculeuse. - Voilà une forme de folie que l'on est tenté d'admettre depuis q
et les grandes cellules du bulbe étaient très altérées dans leur forme et leur constitution intime. Il n'y avait aucune
ons et mettent en lumière les différences caractéristiques des deux formes morbides, au point de vue du développement sque
tutionnelles. L'auto-suggestibilité pathologique prédomine dans les formes . graves de l'hystérie. Les phénomènes hypnotiq
cause provocatrice de l'accès de rougeur. La psychothérapie, sous forme de suggestion ou d'autosuggestion, serait le seul
rait le seul traitement rationnel. LXXXV. Remarques sur certaines formes d'imbécillité; par J. TIIOIPSON. (Tretttment, m
attire l'attention sur les particula- rités offertes par certaines formes d'imbécillité qu'on observe chez les enfants.
rocéphalie se reconnaît à des signes assez caractéristiques dans la forme et les dimensions de la tête. La fun- tanelle a
que se produit la désintégration des éléments chromatophiles, il se forme , entre les granulations colorées, des fissures
e, entre les granulations colorées, des fissures claires, tantôt de forme allongée et disposées d'une façon concentrique
tare héréditaire ou personnelle Attaques complètes épileptiques, à forme dite essentielle, surve- nues brusquement, avec
évolu- tion de l'affection dans laquelle on constate telle ou telle forme de la réaction dégénérative. Bien plus, la même
elle ou telle forme de la réaction dégénérative. Bien plus, la même forme de réaction dégénérative se peut rencontrer aus
la contraction elle-même n'a pas encore été distinguée de certaines formes de la contrac- tion normale, par exemple, en ma
exemple, en matière de processus régéuératifs, Puis, il existe des formes de transition dégénératives, en particu- lier d
ente. Et il conviendrait de soumettre à un examen du même genre les formes dites de réaction dégénérative partielle. La ré
'interférence, principe de toute transformation de l'énergie, de la forme , du développement quelconque, a de nombreux emp
tent ou disponible, la transmission du sexe se fait non pas dans la forme mais par croisement des termes, par transmissio
tégra- lité de ses relations avec le milieu) se manifestent sous la forme électromotrice, par un appoint chimique. Celles
ctromotrice, par un appoint chimique. Celles de la femelle, sous la forme chimique, par un appoint électromoteur Chaque p
pnotisme 50 malades. Il cherche à dé. montrer que l'hypnose est une forme particulière de sommeil hyp- notique qu'on ne d
choc nerveux suivi de suspension de la respiration sous le chloro- forme : trachéotomie, le malade mourut deux mois et dem
son ne pourrait- on savoir quelles seraient la nature du délire, la forme et la durée des accidents. Il est cependant une
e se tromper : ce sont les alcooliques, chez qui la fréquence et la forme des troubles mentaux, à l'occa- sion d'un traum
sujets prédis- posés les rêves peuvent également donner lieu à des formes aiguës et même aussi à la folie systématisée. L
épileptique ; par H. Higier. (Nezcrolog. Centrnlbl., XVI, 1897.) Forme paralytique de l'épilepsse jacksonienne. Il s'agi
diffuse. 6) Quand l'épilepsie est ancienne (principalement dans la forme vertigineuse), l'intelligence et la mémoire son
les de la sensibilité, etc. (obs, 2, 3, 4, 11 et 12). b) Toutes les formes délirantes et la démence de cette maladie. C'es
SOCIÉTÉS SAVANTES. 339 A l'heure actuelle, il existe une cyphose de forme arrondie, accompagnée d'immobilité complète, de
à propos des mouvements volontaires. L'examen révèle une cyphose de forme , arrondie de la région interscapulaire et cervi
seulement. La moelle épinière se trans- 342 SOCIÉTÉS SAVANTES. forme alors en une mince pellicule de 1 millimètre d'ép
cérébelleux longitudinal (dans la partie caudale), le corps resti- forme (dans la partie proximale), et l'olive. Sur tout
issure grise, dans la moitié antérieure des cordons postérieurs; sa forme et son volume sont variables ; les cornes posté
s sa magistrale Anatomie artistique renfermant la des- cription des formes extérieures du corps humain au repos et dans les
ons normales du corps humain. Paul Richer connaissait trop bien ces formes pour ne pas essayer de les modeler à son tour.
érapeutique. - De l'alitement (repos au lit) dans le traitement des formes aiguës de la folie et des modifications qu'il pou
des délires systématisés, etc., qui peuvent ne différer en rien des formes semblables d'une autre origine, ou qui en diffè
oxémie est accessoire et , HÉPATISME ET PSYCHOSES. 357 alors la forme psychopatique est quelconque. Dans un petit nom
pas sans soulever des questions intéressantes. Et tout d'abord la forme mentale, à l'encontre de ce que l'on eût pu att
lire, dans le cas d'auto- intoxication hépatique, puisse revêtir la forme clinique qu'il a chez l'alcoolique, et les déli
ucina- tions si remarquables par leur mobilité, leur nombre, leur forme , il a, selon le mot de Lasègue, son inventivité q
le dit que ça la soulagerait de faire du mal à quelqu'un. Crises de forme léthargique : soudain elle se laisse tomber inert
is quelques instants après elle a été reprise d'une de ses crises à forme léthargique. Dans l'après-midi, excitation, cri
, droit de songer à l'intervention de cette maladie. Les crises à forme léthargique, en particulier, nous paraissent pouv
te de la malade et de l'hépatisme, et nous reconnaîtrions, sous une forme modifiée par le terrain, la torpeur habituelle
r qui, après s'être manifestée pendant de nombreuses années sous la forme atténuée de crises de forme léthargique, se ser
ée pendant de nombreuses années sous la forme atténuée de crises de forme léthargique, se serait établie à demeure sous l
la prédisposition ainsi créée, malgré l'existence d'une psychose de forme maniaque qui semble avoir été une première cons
aveu même des auteurs qui les ont publiées, se- présentent sous des formes délirantes variables et mul- tiples qui semblen
ons en plus ou moins selon les phases de l'affection ; dans quelles formes mentales ce sens est le plus modifié et dans le
jet ayant les yeux fermés on recherche s'il apprécie nette- ment la forme , la surface extérieure des objets dont il se sert
leau qui étonne, c'est l'état constam- ment normal du tact dans les formes purement dépressives avec conceptions délirante
RECHERCHES SUR LE SUICIDE EN GRANDE-BRETAGNE. 391 que dans la forme mixte, quand les conceptions délirantes dépress
n et de l'abolition du tact, s'étant rencontrées seulement dans les formes agitées, jamais dans les calmes. Il est assez c
fournit les proportions suivantes,- démontrant que c'est dans la forme expansive que les troubles du sens tactile sont l
s troubles du sens tactile sont les plus fréquents, ensuite dans la forme mixte agitée ; puis, serrant celles-ci d'assez
gitée ; puis, serrant celles-ci d'assez près, arrive, troisième, la forme démentielle tandis que dans les formes purement
z près, arrive, troisième, la forme démentielle tandis que dans les formes purement dépressives ainsi que dans les rémissi
mment interpréter les faits où elle se présente sous cette dernière forme ? D'après Adarnkiévicz, c'est le liquide céphal
; mais cela ne suffit pas pour en infirmer l'existence en tant que forme clinique indépen- dante. Ce syndrome se rencont
ation aussi longtemps que possible, de peser soi- gneusement chaque forme de dérangement spécial, et de se rap- peler que
tive d'une déchéance individuelle. Dès lors, dans la généralité des formes 424 REVUE DE thérapeutique. phrénasthénique
424 REVUE DE thérapeutique. phrénasthéniques, dans beaucoup de formes de démence sénile dans certaines formes de déme
théniques, dans beaucoup de formes de démence sénile dans certaines formes de démence chez des sujets jeunes ou adultes, i
sse être élevée à l'importance de lésion primitive dans certaines formes données d'aliénation mentale, soit que dans d'aut
les délirants), puis les divers modes de terminaison, ainsi que les formes variées : mélan- colie dépressive ou hypomélanc
pu à tous les détails du traitement général des psychoses, et si la forme [de mélancolie est peu grave. Le malade devra
qu'après cinq années d'exercice. Le tirage au sort a lieu dans les formes usitées pour les concours des hôpi- taux, en pr
Fa et Pa) intéres- sées par nos coupes, se trouvent des traînées de formes irrégulières se distinguant nettement du tissu
ême consti- tution histologique. On peut facilement distinguer deux formes principales en laissant décote ce que chacune d
n la prend dans telle ou telle autre ré- gion. Prenons une de ces formes dont le dessin fidèle est représenté 436 PATH
KCHE I. Nous la désignons pour plus de com- modité sous le titre de forme A. L'élément principal dans la constitution de
titre de forme A. L'élément principal dans la constitution de cette forme de foyer est représenté par les cellules de neu
. Nulle part nous n'avons vu ces espaces bordés par des cellules en forme de croissant (Randzellen de Friedmann) ou conte
rapports qui' existent entre les différents éléments constituant la forme du foyer que nous décrivons, voici ce que- nous
intermédiaire de leurs prolongements, fait qui est la règle dans la forme sui- vante. Quelques cellules nerveuses, atte
croire. Les cellules nerveuses qui présentent ce phénomène ont une forme de croissant et enveloppent pour ainsi dire le ca
eurs côtés se confondent avec la paroi capillaire. Ce changement de forme de la cellule nerveuse, s'adap- tant exactement
rd de faire ressortir la valeur de cette constatation. La seconde forme de foyer ou forme B occupe une plus large place
ortir la valeur de cette constatation. La seconde forme de foyer ou forme B occupe une plus large place dans nos préparat
tème ner- veux central. Comme morphologie, elles offrent toutes les formes imaginables; elles sont fusiformes, triangulair
mais transparent. Le noyau, dans n'importe laquelle des différentes formes de ces cellules, est situé à leur extrémité la
à l'inverse de ce que nous avons observé dans les cellules du foyer forme A, sont nombreux, très longs, minces et ramifié
possible de poursuivre plus loin son trajet ? En décrivant les deux formes de foyer précédentes, nous avons poussées d'e
tances étrangères. Les noyaux de ces cellules sont très gros, d'une forme ovalaire et bien colorés par le carmin. Dans un
nance sont difficiles à déterminer. Ce sont des corps cellulaires à forme très irrégulière ; leur protoplas- ma, clair et
n'avons parlé que de la substance grise. En effet, toutes les trois formes de foyers précédemment décrits siègent dans la
mieux définir certaines d'elles qu'en les comparant aux différentes formes que prennent les leucocytes lors de leur migrat
ules épithélioïdes. La fi- gure 6 donne le dessin de cette dernière forme . Le protoplasma de ces cellules est coloré très
les pâles et à contours vagues qu'elles étaient, elles prennent une forme de plus en plus déterminée, sont nettement limi
d'entre elles ont perdu leurs prolongements tout en conservant leur forme caractéristique. Enfin on en observe qui ont su
u'à la sclérose secondaire bien carac- térisée, en passant- par les formes intermédiaires. C'est pour ainsi dire un tablea
blir par voie expérimentale et anatOl1lO- pathologique une nouvelle forme d'encéphalite qu'il dénomme encéphalite hyperpl
e cellules-mères des corpuscules purulents. Ayant observé les mêmes formes cellulaires dans trois cas d'altérations pathol
uantité de fibres. et surtout dans celle de Proust (Des différentes formes de ramollissement cérébral, Paris, 1886) la plu
886) la plus riche bibliographie. ' (layem, Etudes sur les diverses formes d'encéphalite, 1SG8.. 444 pathologie nerveuse
ure avait avancé, nous voyons que cet auteur essaie d'établir une forme d'encéphalite tout à fait distincte de ce qu'on a
e Friedmann dans son travail va plus loin : il essaie d'établir une forme d'inflammation aiguë pour le cerveau, dans l'an
un rôle ou au moins un rôle tout à fait secondaire. Pour établir sa forme , Friedmann se base sur des expériences, sur les
ons personnelles. II avance que l'encéphalite expé- rimentale ou la forme subaiguë, comme il la nomme, présen- terait le
Friedmann, ni sur la portée en anatomie pathologique générale de la forme d'inflammation aiguë qu'il admet, cela n'entre
anatomo-cliniques de Friedmann et qui lui ont servi pour ériger sa forme d'encéphalite. Sur les 16 cas que cet auteur ra
s près des autres, ce qui fait que quelquefois elles prennent une forme allongée, irrégulière par compression réciproque.
arition des cellules épil hélioïdes. L'établissement d'une nouvelle forme d'encéphalite par Friedmann, au lieu de répondr
décrit l'encéphalite aiguë hémorragique qu'il pré- sente comme une forme inflammatoire différente de celle de Wernicke,
ë hémorragique de l'autre. Oppenheim2 s'oc- cupe du pronostic de la forme de StrÜmpel1. D'autres auteurs comme Murawielf3
des lésions qu'on rencontre dans ces deux prétendues différentes formes d'encéphalite aiguë nous conduirait plus sûrement
u'on a constaté sommairement dans l'une et dans l'autre de ces deux formes d'encéphalite des altérations microscopiques re
ance blanche était humide. Mais la véritable caractéristique de ces formes d'inflammation ' Leichtenstern, Deulschemed. Vo
prudents dans l'appréciation des altérations caractérisant les deux formes d'encéphalite que nous venons de passer en revu
halite aiguë en foyer. Cette confusion est surtout possible pour la forme décrite par Wernicke chez les alcoo- liques. Ce
sement; 2° de foyers inflammatoires décrits sous le titre de foyers forme il ; 3° de foyers inflammatoires forme B; 4° d'
rits sous le titre de foyers forme il ; 3° de foyers inflammatoires forme B; 4° d'une zone de dégénérescence autour des f
s mal définies du protoplasma cellulaire (Friedmann), mais sur la forme même du noyau de ces cellules. Ce dernier est trè
l'inflam- mation aiguë en général. 1 2. Les foyers inflammatoires forme A ne sont autre chose que ce qu'on a décrit sou
un avec les éléments de la paroi vasculaire ? : ' . 3. Les foyers forme B représentent le tableau fidèle de l'encéphali
dérer comme processus primitifs que les deux premiers; la troisième forme n'est que l'aboutissant des deux autres, partic
ogie NERVEUSE. que ces cellules constituent l'essence même de cette forme d'inflammation. Notre cas démontre que nous n'a
ntant pour cela les mêmes éléments qui caractérisent cette dernière forme . Jamais la prolifération des éléments névrogliq
foyers, spontanée, non suppurative et non hémorragique; 2° Celte forme d'encéphalite aiguë spontanée correspond à l'en
caractères anatomiques diffé- rents des premiers, tout en étant une forme atténuée. 456 psychologie. EXPLICATION DE L
précise '. Dans l'étude de ce phénomène nous trouvons toutes les formes de l'attention, depuis l'attention organique, aut
nce assez précise des premières nous éclairera sur le mécanisme des formes dites supérieures. Lorsqu'une image vient excit
cellules triangulaires différant des précédentes seulement par leur forme , leur plus grand volume, leur nombre plus grand
seconde et à la seconde qu'à la troisième période. 4. C'est dans la forme dépressive de la paralysie générale que le réfl
igine alcoolique, elles peuvent également se produire dans d'autres formes de trou blés mentaux. 1'. Keraval. XVII. Epil
uelques mots en rapport avec la question qu'on lui adresse, sous la forme de verbigération. Pendant l'angoisse elle répèt
sens moral faible, chez lesquels un mysticisme exa- géré donne une forme spéciale au délire ambulatoire dont ils sont po
et sont plus toxiques que celles des individus sains. Dans une même forme de maladie mentale, le coefficient REVUE D'AN
aigu ; i pal' CENI. (Riv. sp. di (l'en., fasc. IV, 1897.) Dans la forme de délire aigu, qui correspond cliniquement à c
testinale, et qu'ils ne peuvent avoir de valeur étiologique pour la forme morbide en question. J. SÉGLAS. LIV. Recherches
aline, qui revêtent en chimie des aspects très divers ont selon ces formes une action spéciale et distincte. Beaucoup d'al
OGIE PATHOLOGIQUES. 501 calleux; plus en arrière, la dégénérescence forme un dessin ver- tical à angle droit dans la subs
qui sont zigzagues, érodés. La résorption des granulations malades forme la vacuole, les mottes chromatiques intervacuo-
e d'étudier les modifi- cations d'un même type de cellules dans des formes variées d'af- feclion, et que, d'autre part, ce
primé un noyau atrophié. Ces cellules sont fréquemment réunies sous forme d'amas, ce qui permet de supposer un trouble lo
tres cellules, les minces corpuscules de Nissl sont disposés sous forme de tourbillons ayant le noyau pour centre. Quelqu
diculaire des cordons antérieurs. Chez l'homme ce système de fibres forme partie constituante du faisceau longitudinal post
rtiennent à un seul et même, système, qui change de situation et de forme aux diverses hauteurs de la moelle ; 9° La sect
rieures laisse après elle de l'ataxie. Toute différente que soit la forme de cette dernière suivant la variété de locomotio
association postérieure ; cette union est indispensable pour que se forme la conception du mot. A cette époque l'enfant c
dans le centre sensorio- moteur de l'écorce (région de Broca) et y forme la mémoire motrice d'articulation. A mesure que
isive du rôle de l'atavisme dans le crime. Or c'est bien sous cette forme , avec ce but d'utilité évidente pour le crimine
e viande de cochon, pensa que même sans enlever à ces dépouilles la forme humaine, on pou- vait arriver à les vendre pour
les-ci : « La réaction sociale pro- prement dite peut prendre trois formes : 10 celle de vengeance pu- blique, sociale et
un ordre de succession, de déri- vation régulière, entre les trois formes de réaction sociale. Et il assigne comme base à
Idées DE négation. Notes sur les - , par Trénel, 23. Imbécillité, Formes de l' -, par Thomson, 300. Impulsion tendant
17 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
inges, l'analogie singulière que présentent, dans tous ces êtres, les formes cérébrales. Le cerveau plissé de l'Homme et le ce
ne scissure de Sylvius enfermant un lobe central. Ainsi, il y a une forme du cerveau propre aux Singes et à l'Homme, et il
etrouve dans les exagérations de Cabanis, et semble renaître sous une forme nouvelle dans les travaux de MM. Purkinje et Vale
eter, à cet égard, dans des écarts infinis. Qui pourrait assigner une forme à ces contours indéterminés comme ceux d'un nuage
e trompe ; mais le travail de M. Tiedemann m'a toujours paru, sous sa forme anatomique en apparence , cacher une intention po
cerveau et va reparaître en bas, tout à côté du nerf optique, sous la forme du lobe de l'hippocampe (fig. 3, î, et fig. 5, i)
e perforé, mais à l'extrémité externe de cette marge antérieure. Elle forme successivement la lèvre antérieure, la lèvre supé
veau qui leur a servi de modèle était profondément affaissé; aussi la forme générale du cerveau est-elle rendue, dans leurs p
t de départ. § VII. LOBES ET plis DU CERVEAU DU callitriche. La forme du cerveau du Callitriche est trop irrégulière po
essous du lobe temporal s'unissant à ia face médiane de l'hémisphère, forme ce que nous appellerons la face interne de l'hémi
externe du champ olfactif. Elle se dirige transversalement en dehors, forme un coude, et, changeant de direction, sillonne la
ers séparés par deux sillons longitudinaux, réunis le plus souvent en forme d'H par un sillon transversal. Ces plis offrent d
Le pli temporal inférieur. Ce pli, situé au-dessous du précédent ee, forme le bord inférieur du lobe temporal et réunit le s
eur passe du deuxième pli ascendant au sommet du lobe postérieur ; il forme , en dehors, un coude fort remarquable i (fig. 2).
et du pli courbe. Il n'en est pas de même de la lèvre postérieure qui forme un des plis les mieux prononcés et les plus const
s. Ce pli, s'unissant à la lèvre antérieure au sommet de la scissure, forme avec elle ce que M. Foville a appelé dans l'Homme
amener; en effet, dans le cas dont il s'agit, la scissure de Sylvius forme un tel angle avec la partie supérieure du sillon
rgents ou convergents du noyau de l'encéphale. Cette ouverture a la forme d'un triangle à angles tronqués et arrondis. La
oire du développement cérébral est relatif à la mesure de l'angle que forme la scissure de Sylvius avec la ligne qui mesure l
toute son étendue, par la bandelette de la voûte à trois piliers; il forme le limbe de la couche corticale, dans toute l'éte
, et se termine, en arrière, au sommet du lobule quadrilatère. Ce pli forme , en avant, la marge de l'hémisphère ; il se réuni
occipital à la base du lobule quadrilatère. Ce pli est superficiel et forme une partie du bord supérieur de la scissure des h
en interne. Ce pli commence, en arrière, par une extrémité déliée, et forme dans toute son étendue la marge inférieure de la
éritent d'être signalées ; d'ailleurs, ce lobe conserve à peu près la forme qu'il a dans les Cercopithèques, il est plus long
ption leur convient également. Dans le Rhésus et dans le Maïmon, la forme générale du cerveau rappelle, à peu de chose près
faible à sa racine, mais à sa partie supérieure il se déve îoppe et forme un lobule assez grand. Ce caractère distingue à l
ssage; 2° La grandeur du deuxième pli de passage. Ce pli, en effet, forme un grand coude, descend, se relève, et vient se t
par des espaces immenses à la surface de la terre, différents par la forme , par la taille et peut-être aussi par les habitud
tion de l'alcool et des sels, a été préparé avec plus de méthode ; sa forme générale et les proportions relatives de ses part
aussitôt la branche descendante. Cette branche, large à son origine, forme un lobule de forme variable que divise, en sens d
e descendante. Cette branche, large à son origine, forme un lobule de forme variable que divise, en sens divers, une profonde
t les flexuosités singulières du pli supérieur de passage a. Ce pli forme un large pont entre le lobe pariétal et le lobe o
ur a servi de modèle ne leur a pas permis d'en apprécier la véritable forme . Placé dans des circonstances plus favorables, j'
it. Le cerveau du Troglodyte Chimpanzé diffère beaucoup, quant à sa forme générale, du cerveau de V Orang-Outang ; il est r
elle, qu'en se réunissant avec le bord antérieur du lobule frontal il forme un angle dont la saillie égale à peu près celle d
des flexuosités parallèles; mais, arrivé au-dessus du pli courbe, il forme un coude et s'étale en un large lobule qui se pro
ourbe, elle est très-grêle, à peine flexueuse, assez longue, et cette forme , qui s'éloigne de celle qu'on observe dans les Or
sité à les ranger dans le même genre, bien que la considération de la forme du crâne et du système dentaire eût pu faire déco
qui me manque par l'étude approfondie de deux moules représentant la forme de la cavité crânienne, le premier d'un Chimpanzé
'encéphale pris en masse, et permettent d'apprécier avec précision la forme réelle du cerveau. Ils permettent de constater,
ure, n'est point om/e comme celui de VOrang, mais presque elliptique, forme que rappelle celle du cerveau des Cynocéphales. A
ille de l'animal, beaucoup plus volumineux que celui du Gorilla. Sa forme , d'ailleurs, s'éloigne beaucoup de celle qu'on ob
ue. D'ailleurs le Chimpanzé paraît être, sous ce point de vue de la forme générale du cerveau, très-supérieur au Gorille, e
u des Cynocéphales et celui des Macaques; et ce fait, rapproché de la forme particulière du crâne des Gorilles, forme qui rap
et ce fait, rapproché de la forme particulière du crâne des Gorilles, forme qui rappelle, au premier abord, bien que sous des
e l'organisation, le physionomiste qui traduit les hiéroglyphes de la forme , proposent leurs hypothèses ; mais l'impossibilit
analogies. § XXIV. des plis cérébraux de l'homme. On connaît la forme du cerveau de l'Homme. La hauteur singulière, la
ce blanche, la régularité primitive disparaît, et, pour retrouver ces formes simples que nous présente le cerveau de la femme
ns ce point, présente, chez l'Homme, de nombreux replis dont la masse forme un lobule, souvent assez grand, qui remplit cet i
upérieure à nos yeux, si nous avions égard seulement à son type, à sa forme abstraite; si, calculant, dans cette harmonie, la
taux et reproduisant absolument, bien que sous un volume moindre, les formes que nous venons de signaler dans la Vénus hottent
ion de l'illustre M. Esquirol, j'ai retrouvé sur ces moules les mêmes formes plus réduites, plus simples, plus régulières enco
ont confirmées par une étude approfondie du cerveau considéré dans sa forme générale. Cette étude ne doit point être faite d'
que, dépouillé des enveloppes qui le soutenaient, il perd aussitôt sa forme naturelle. Aussi doit-on prendre, d'après les pro
tte empreinte, sauf un peu d'exagération dans le volume, reproduit la forme réelle du cerveau et permet d'apprécier de curieu
et permet d'apprécier de curieuses différences. En comparant ainsi la forme de l'intérieur du crâne dans la Vénus hottentote
à l'égard de la race blanche elle-même, qu'un sophisme dangereux. La forme sociale se perfectionne sans doute, les siences,
circonstances, ils demeurent néanmoins les mêmes en puissance, et la forme naturelle est invariable dans les siècles. Cett
e (au sud du Soudan) plusieurs espèces d'hommes caractérisées par des formes exceptionnelles. Les unes semblent confirmer Topi
les systèmes organiques. Dans tous ces systèmes, la suffisance d'une forme inférieure implique l'infériorité du type zoologi
cependant FOrang ne « parle pas. Le cerveau est absolument de la même forme et de la même proportion , et il ne pense pas. Y
terne sont faciles à reconnaître. La scissure perpendiculaire interne forme un angle droit avec la scissure des hippocampes,
ur manque; Le deuxième pli de passage, né du sommmet du pli courbe, forme un coude Irès-sensible et remonte jusqu'au sommet
xterne du cerveau a également une physionomie propre due surtout à la forme singulière du lobe occipital. Outre le cerveau
le, au premier abord, de les grouper dans la même catégorie. Par sa forme générale, ce cerveau rappelle assez bien celui de
ment excessif. Il semble nous dire que de la similitude apparente des formes extérieures on ne peut conclure à la similitude a
de la dégradation des plis cérébraux dans les Singes américains. Sa forme générale conserve le caractère qu'elle a dans tou
ital recouvre la totalité du cervelet. Ainsi, au point de vue de sa forme , de la proportion de son volume avec le corps tou
cisures, et la surface du cerveau est tout à fait unie. D'ailleurs sa forme générale ne se distingue en rien de celle du cerv
érisé par l'absence ou par la présence de plis cérébraux, mais par la forme intrinsèque du noyau cérébral et des hémisphères,
uite de degrés parallèles à ceux de l'échelle zoologique, passant des formes inférieures à des formes plus parfaites, et réali
à ceux de l'échelle zoologique, passant des formes inférieures à des formes plus parfaites, et réalisant ainsi d'une manière
Un pareil cerveau est, sous le rapport du développement général de la forme comme au point de vue de sa constitution his-tolo
e, très-inférieur à un cerveau d'Ouistiti. Il n'est point arrivé à sa forme définitive, bien loin de là; et cependant, malgré
ts sont I*" le développement histologique ; 2° le développement de la forme générale ou première ; 3° le développement des fo
eloppement de la forme générale ou première ; 3° le développement des formes accessoires surajoutées ou secondaires. En d'autr
avons à considérer à la fois les éléments anatomiques du cerveau, sa forme générale et ses plis. Pour que deux cerveaux so
e partielle ne peut résulter l'idée d'une ressemblance totale, car la forme générale du cerveau d'un foetus humain diffère al
dis-je ? le cerveau lisse d'un Ouistiti est complet et achevé dans sa forme générale, dans l'évolution de ses éléments anatom
mps avant d'être parfait dans sa constitution histologique et dans sa forme générale, le cerveau du foetus humain présente dé
a considération de ce système isolé, certaines concordances entre les formes d'un fœtus de mammifère d'un certain âge et celle
existence actuelle, mais par lesquels il doit vivre un jour sous une forme nouvelle. Ainsi, durant toute la vie fœtale, le p
scissure de Sylvius. On distingue aisément 1** le lobe frontal, qui forme l'extrémité antérieure de l'hémisphère. 2" Le lob
-sphénoïdal, situé au-dessous d'elle. 4° Enfin le lobe occipital, qui forme l'extrémité postérieure de l'hémisphère, et qu'un
rémité du pli frontal supérieur. 2" Le deuxième pli ascendant. Ce pli forme un coude à sa partie supérieure, se dilate plus o
re tous les deux cachés sous le bord antérieur du lobe occipital, qui forme alors, au-dessus de la scissure perpendiculaire,
partie postérieure, le pli de la zone interne se relève, s'élargit et forme le lobule quadrilatère dont les plis, quand ils e
u précédent, se confond avec le pli temporal inférieur externe, et ne forme , avec lui, qu'un seul pli, pli temporal inférieur
l, singulièrement refoulé, s'incline en arrière, et prend ainsi cette forme triangulaire qui est si remarquable dans l'espèce
à celui de l'Ouistiti vulgaire, les seuls dont j'aie pu restituer la forme d'après l'empreinte intérieure du crâne qui les c
ans l'alcool, ne peuvent exprimer que d'une manière très-éloignée les formes naturelles. b. Du lobe pariétal. Le lobe pari
ébraux. Mais, quels que soient ces mouvements, ces oscillations, la forme générale du cerveau demeure souvent à peu près la
Dans ces derniers temps, la crânioscopie a pris, en Allemagne, une forme et des allures plus scientifiques. On a pris cert
s de leur surface; mais il n'en est point ainsi. La boîte crânienne forme une vaste et libre cavité. C'est une voûte sous l
a dianoia de tout animal, (le tout individu, se développera, sous une forme spéciale, avec un caractère particulier. Ainsi,
fois résolue de deux manières : 1** En observant attentivement les formes intellectuelles, les moeurs des animaux, et en me
18 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ier 1895. ? 95. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAUD ` ET DE L'É
Ils peuvent devenir prédominants. Aussi a-t-on'pTi'tuFdécrire une forme vaso-motrice (hystérie vaso-motrice). Il est de n
i existent entre les deux affections. Ils permettent de séparer une forme hystérique de la maladie de Raynaud et de l'éry
servation. Maladie de Raynaud à la deuxième période, affec- tant la forme d'état de mal asphyxique, survenue et la suite d'
été prise sous ma direction par M. Turque, externe du service. ° FORME HYSTÉRIQUE ET ER.YTHROMELALGIE. 3 à quinze ans,
tion normale se succédèrent ainsi régulièrement et c'est seulement FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE- S, au bout de ce
région frontale une céphalalgie assez légère, mais persistante sous forme constrictive. La pression provoque une légère d
res très apparentes surtout au pli du coude, qui circonscrivent des formes géométriques ou irrégulières, FORME HYSTÉRIQUE
coude, qui circonscrivent des formes géométriques ou irrégulières, FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTIiR0111ÉLALGIE. 7 comprenant
rande impression sur son esprit, et elle a peur de ne pas guérir. FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 9 Vu les phénomè
elle recevait des lettres de son mari qui étaient toujours cause de FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE. il chagrin. D'au
es menstrues revenant 2 fois par mois.... 12 CLINIQUE NERVEUSE. FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 13 ventre. Elle
de vue. La même remarque s'applique aux cas d'érythromélalgie, au FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 15 nôtre en part
oir ; il avait un pardessus garni de fourrure et un chapeau haut de forme . M. Grévy, d'ailleurs, était souvent venu à Joinv
quisition soup- çonneuse. La seconde, ouverriiel.tlieit primitive à forme amoe- nomaniaque, serait au contraire constitué
ent du désordre extrême de l'intelligence, et elle en fait, sous la forme d'entité morbide, la confusion mentale hallu- c
ais, attribue à la dégénérence mentale une notable influence sur la forme des psychopathies, décrit parmi les psy- chonév
tique.pleine.et entière, pure. Lemécanisme intellectuel est dans sa forme épargné ; le malade juge et conclut d'après des
e terme de Wahnsinn comme synonyme de paranoïa, dont il admet trois formes une forme aiguë une forme chronique une forme s
hnsinn comme synonyme de paranoïa, dont il admet trois formes une forme aiguë une forme chronique une forme stupide (id
ynonyme de paranoïa, dont il admet trois formes une forme aiguë une forme chronique une forme stupide (identique à la cat
dont il admet trois formes une forme aiguë une forme chronique une forme stupide (identique à la catatonie de Kahlbaum).
- tions du délire systématique chronique sont tout simplement des formes du Wahnsinn hallucinatoire aigu. M. Schuele n'a
identiques, sont donc alors adéquats aussi à Verrücktheit, dont la forme origi- nelle est une espèce, ainsi que le délir
lapsus. dans la confusion mentale hallucinatoire, et dans certaines formes du délire hallucinatoire (hallucinatorischer Wa
et des anomalies de l'hu- meur : le malade est tout désorienté. La forme aiguë se déve- loppe très vite, évolue favorabl
nsidère comme entendues malgré lui et non direc- tement. Quant à la forme chronique, elle se distinguerait dé la folie sy
x A côté de cela, M. Salgô voit dans la folie par obsessions une forme abortive de folie systématique, dans le sens de
membres inférieurs, mais ne peuvent se tenir debout ni marcher. Le forme la plus fréquente est la forme paralytique avec
uvent se tenir debout ni marcher. Le forme la plus fréquente est la forme paralytique avec forte diminution ou suppressio
u système nerveux périphérique. Dans la névrite aussi, il y a des formes bénignes etdes formes malignes; les premières gué
riphérique. Dans la névrite aussi, il y a des formes bénignes etdes formes malignes; les premières guérissent, les seconde
session que sa femme le trompe. Ils concluent qu'en raison de cette forme du délire des persécutions, ce persécuteur n'est
ral de dysbasies. Le terme d'abasie, créé par P. Blocq, désigne des formes symptomatiques bien définies; on ne saurait l'é
matiser, à se coordonner, à s'enchaîner, peut se traduire par cette forme de l'agitation qui peut, à bon droit, s'ap- pel
Westphal. Ici iln'y a pas d'affaiblissement intellectuel quanta la forme de l'idéogénèse; le fonctionnement mécanique re
ucinatoriscfier Wahnsinn). c Le délirium tre- mens, surtout dans sa forme prolongée, doit être tenu pour le type de ce dé
4errüclctheit) . Mais, entre ces deux groupes, il faut admettre des formes mixtes, par exemple la folie systématique primi
qui résume les différents tableaux morbides envisagés suprà. Il en forme une maladie, la paranoïa, qu'il divise en paran
exerçant une influence constante sur le tableau morbide. Ces deux formes sont tantôt aiguës, tantôt chroniques. La paran
ut y voir principalement un syndrome secondaire consécutif aux deux formes précédentes de la folie systématique, Wahnsinn
alorische l'e),zviî,2,theil) dont nous avons touché un mot dans les formes violentes de manie; quand celles-ci passent à l
'émotion du malade impressionné ou non par ses idées délirantes, la forme et les allures des hallucinations senso- rielle
e et ses relations effectives DE LA. PARANOÏA. 99 avec les autres formes de la paranoïa, s'explique d'elle-même, puisque
iehen examine ensuite la rapide succes- sion des idées qui, sous la forme de galop, se produit d'emblée à l'état de sympt
fait l'état du sentiment qui ne paraît pas atteint. Mais il y a une forme spéciale de paranoïa, dans laquelle cette incoh
les hallucinations peuvent apparaître à l'état intercurrent dans la forme de paranoïa où domine l'in- cohérence. C'est un
lucinatoire aiguë. Il convien- drait enfin d'admettre une troisième forme principale de para- noïa, la paranoïa simple av
wirrtheit les idées délirantes, polychromes, n'ont du délire que la forme , elles ne sont pas agencées, cons- truites, et
de la confusion mentale. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE. D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAUD ET DE L'ÉRY
l'intensité de la maladie. 1 Voir Archives de Neurologie, n° 95. FORME HYSTÉRIQUE ET ÉltYT11ROlÉrALGIr. '103 Le diagno
ce et ont donné les résultats suivants : 104 PATHOLOGIE NERVEUSE. FORME HYSTÉRIQUE ET EItY1'H11,0111ELALGIE. 105 106 PA
stérie sera plus souvent observée encore. ' Thèse, Paris, 1887. FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 'ICI Ce que nous
propose l'introduction dans les cadres nosologiques d'une nouvelle forme d'hystérie, la forme vaso-motrice intermittente
dans les cadres nosologiques d'une nouvelle forme d'hystérie, la forme vaso-motrice intermittente. Au cours des accès de
u de l'idée fixe subconsciente. 1 Revue de l'hypnotisme, t. IV. FORME HYSTERIQUE ET Î.ftYTHR0 : 1ZFLALGIE. Il 0 'q Da
de gangrène symétrique des extrémités pendant un hiver rigoureux. FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÈLALGIE. 'Ill longés. Bic
rs. Cette malade fit plus tard de la contracture presque subite , FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHR011fÉLALGIE. 113 des doigts
soutien. L'auteur, après avoir exclu le mal de Pott, à cause de la forme particulière de la déformation, l'absence delà
, l'absence delà douleur à la percus- sion de l'épine dorsale et la forme de la paralysie, se croit autorisé à considérer
s publiés récemment par Bechterew, il émet l'idée qu'à côté de la forme classique de la pachyméningite cervicale hyperlro
ngite cervicale hyperlrophique, il faut donner place à une nouvelle forme , qui se caractériserait ana- tomiquement par un
rations de la sensi- bilité. Les phénomènes paralytiques dans cette forme de la maladie seraient dus à la lésion des raci
ande entité morbide étiologiquement bien défi- nie, la lèpre et ses formes atténuées, entité qui dans son ensemble prendra
tes chroniques; 2° les myélites aiguës dont on peut distinguer deux formes : a, la forme nodulaire ; 6, la forme infiltrée
2° les myélites aiguës dont on peut distinguer deux formes : a, la forme nodulaire ; 6, la forme infiltrée ou diffuse.
dont on peut distinguer deux formes : a, la forme nodulaire ; 6, la forme infiltrée ou diffuse. L'observation rapportée
ifestations convulsives comme celles qu'on rencontre dans certaines formes de l'urémie. J'en trouve la preuve dans l'exist
usieurs années, constalé la fréquence de l'albumine dans, certaines formes de la paralysie générale, et aussi l'hypotoxicité
les simples, non compliquées de notre classification, admettent des formes de transition de toute sorte, formes intermédia
classification, admettent des formes de transition de toute sorte, formes intermédiaires de Jolly, de même que les épisodes
ndel) ? M. Jolly croit que dans les phénomènes aigus, il y en a une forme déli- rante et une forme systématisée. Entre le
e dans les phénomènes aigus, il y en a une forme déli- rante et une forme systématisée. Entre les deux il y aurait des fo
- rante et une forme systématisée. Entre les deux il y aurait des formes mixtes, et le même individu passerait alternative
sychoses fonctionnelles simples non compliquées, on se heurte à des formes intermédiaires, très voisines du Wahnsinn de Kr
émence aiguë. Chacun de ces groupes est rattaché au suivant par des formes de transition, dans un sens ou dans l'autre, su
ent chez les mélancoliques, etc. Le second groupe se relie, par les formes aiguës, aux délires fébriles et aux délires tox
x qui ne lui appartiennent pas. Si par exemple nous envisageons les formes aiguës et les formes chroniques du groupe paran
nnent pas. Si par exemple nous envisageons les formes aiguës et les formes chroniques du groupe paranoïa, il y a un certai
sychiatres paraissant avoir considéré la division de la paranoïa en formes simples et formes hallucinatoires comme la plus
t avoir considéré la division de la paranoïa en formes simples et formes hallucinatoires comme la plus opportune (Mendel)
(Mendel) ; du moins est-elle admise sans grande objection pour les formes chro- niques de la paranoïa. Quant à la paranoï
serait à désirer qu'on établit les élé- ments cliniques de ces deux formes . Le même travail est encor SOCIÉTÉS SAVANTES. 1
. Il est indubitable que chaque auteur a en vue, dans l'espèce, des formes psychopathiques tout à fait dis- tinctes ; pour
étés de secours mzctuels, 4861); De la paralysie générale ci double forme (Congrès international de Médecine mentale, 187
bles gastriques imputables à ces deux causes se présentent sous des formes diverses de dyspepsie. il semble qu'il existe u
relation entre ces troubles etles variétés de lypémanie : dans les formes dépressives, la dispepsie aslhénique semble dom
dans la forêt du Mans, le 5 août 1392 ; folie qui dure trente ans. Forme des rémissions : confusion mentale, comme on po
entif, mais sans manifester d'émotion. PATHOLOGIE NERVEUSE. D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAUD ' 1;T DG L'
nous ayons intérêt à aborder la question'. 13. - IL EST CERTAINE FORME D'ÉRYTHROMÉLALGIE QUI EST PUREMENT HYSTÉRIQUE.
biles. Le maxillaire supérieur est proéminent. L'oreille gauche, de forme triangulaire à base supérieure, est mal ourlée.
ce travail dans les conclusions suivantes : A. -1° Il est certaine forme de maladie de Raynaud qui est purement hystériq
olyurie; 4° La gangrène est vraisemblablement possible dans cette forme ; 5° Les exemples de maladie de Raynaud chez les
hez deux soeurs, chez un père et sa fille. 13. - 6° Il est certaine forme d'érythromélalgie qui est pure- ment hystérique
asègue, qui en 1852 a décrit le délire des persécutions, et que les formes chro- niques de la paranoïa ont été magistralem
ères classes de dégénérés de Morel compren- nent presque toutes les formes qui plus tard ont été décrites sous le nom de d
tématisés primitifs. - A la même catégorie appartiennent encore les formes de folie avec prédominance du délire des grande
x névroses ; les délires par lésions organiques de l'encéphale; les formes délirantes élémentaires telles que la manie et
Telle est la synonymie française, reconnue par les Alle- mands, des formes chroniques du délire systématisé ou paranoïa ch
sé ou paranoïa chronique. Ils considèrent, qu'en ce qui a trait aux formes aiguës de la Paranoïa, c'est le récent travail
lui, le nom de confusion mentale primitive. Il la définit : .« une forme de maladie mentale, aiguë ordinairement, qui n'
doit être séparée de ce qu'on appelle la dégénérescence. C'est une forme intermédiaire entre les psychoses et les folies
écrite en France, en ajoutant primitive afin de la distinguer des formes où il y a aussi confusion, mais secondaire. Chasl
ourg dans sa séance du 5 avril '1886 (p. 176). Elle comprend treize formes : la mélan- colie ou folie sombre, la manie, -
es dérangements psychi- ques, j'ai en vue : 40 d'appliquer à chaque forme de dérangement mental une dénomination définie;
ion définie; 2° de fournir une classirica- tion satisfaisant par sa forme essentielle aux nécessités de la clinique. Le
ire primitif rapide dans son apparition et sa disparition. Ces deux formes -là se rapprochent beaucoup de l'amenlia déliran
st l'obnubilation de la conscience ; la paranoïa aiguë est donc une forme de transition entre la paranoïa chronique et l'
t dépressif et l'angoisse, le délire de- meure et s'organise. Les formes mixtes sont représentées par les observations d
les commémoratifs d'une personne chez laquelle-on soupçonne une des formes dégénératives héréditaires, il cherche avec soi
ment de près, et quisontréunis les uns aux autres par de nombreuses formes de transition et par des cas mixtes, types auxq
L'observation présentée par l'auteur est un nouvel exemple de cette forme de gangrène massive des extrémités, d'origine név
ité de ces agents toxiques serait en rapport avec les diffé- rentes formes cliniques de la paralysie générale. Quant aux p
les symp- tômes cérébraux que comporte cette intoxication dans les formes légères, et chez laquelle, brusquement, est app
es, et chez laquelle, brusquement, est apparu un délire d'une autre forme , faisant songer à un délire fébrile. Ce délire ai
ait permis de supposer que ce délire à début brusque, apyrétique, à forme 12 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. maniaque, auq
celui de se procurer et de boire de l'alcool, quelle qu'en soit la forme ; ceux que la police ramasse fréquem- ment dans
e n'est pas une affection purement locale, puisqu'elle engendre une forme spéciale de rhumatisme. Dans le numéro d'avril
sieurs cas de folie consécutive à l'infection blennorrhagique : les formes que revêt cette folie sont le plus souvent la s
ît certain, à l'heure actuelle, que la paralysie générale, dans ses formes typiques, peut être consécutive à une syphilis
re ; 3° parmi les psychoses ainsi transmises, la folie systématique forme le principal contingent; 4° la folie du contami
ont même jamais. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 219 C. A côté de la forme précédente à laquelle on peut donner le nom de
tués et, atteignant leur maximum d'intensité, se présentent sous la forme de véritables impulsions. En regard de ces impu
-vis des motrices; souvent même elles ne se présentent que sous une forme élémentaire ou commune. 4° En revanche, les hal
ordinaires chez ces malades, à l'inverse de ce qui se passe dans la forme sen- sorielle et, de plus, les visions du malad
aussi rencontrer chez ces malades des idées de persécution sous la forme ordinaire. Le diagnostic peut se faire : a. ave
. M. CIIRISTIAN fait une communication sur les attaques épilepti- formes dans la paralysie générale. Il n'est point part
Hesse, afin qu'on introduise les matières de la psychiatrie sous la forme d'un examen spécial (voy. Centralbl. f. Nervenh
re soumis aune surveillance continue. 4. Pour contenir ces diverses formes morbides il faut au moins deux quartiers séparé
acée. L'alcool est toujours nuisible, dans l'épilepsie et certaines formes de ladémence congénitale avecactesimpulsifs, il e
inquante à cinquante-six ans, c'est-à-dire à un age de la vie où la forme typique de la confusion mentale (Ve7,wo7-i-enhe
pas avec les cas dont il a été question. Comment distinguer cette forme de confusion mentale halluci- natoire aiguë de
ne âge, et l'autre à l'époque de la ménopause, ou bien ce sont deux formes différentes par l'aspect d'une même maladie mod
délire initial de la fièvre typhoïde parait se présenter sous deux formes différentes. La première forme ressemble aux idée
hoïde parait se présenter sous deux formes différentes. La première forme ressemble aux idées délirantes comparées aux rê
ohérents, confusion complète des idées qui rapproche cette première forme de la seconde. La seconde forme, en effet, se t
idées qui rapproche cette première forme de la seconde. La seconde forme , en effet, se traduit par une absolue confusion
ur famille et doivent être brûlés). Un trait commun réunit ces deux formes : c'est l'obtusion intellectuelle intense qui met
incohérente du paralytique général ne se tra- duit pas par la même forme de stupeur, il a une certaine liberté 234 SOCIÉ
ais ceci ne se révèle qu'à la limite de la perceptibilité, sous une forme floue et indistincte. Plus l'altération progres
ntes de négation, aussi bien dans la mélancolie que dans les autres formes d'aliénation mentale. Suivant que ces idées délir
aliéné au point de vue physique, délaissant presque complètement la forme d'aliénation mentale. De cette recherche découl
que les vertiges et les accès ne se présentent pas toujours sous la forme isolée, il est fréquent de les voir se grouper
que toute manifestation épileptique quelle que soit sa nature ou sa forme , vertiges, accès, trouble mental ou accidents l
e, avec de la céphalée et un malaise général qui peuvent revêtir la forme d'une violente migraine. Mais en tout cas, il y
(Analyse suivante). , 274 CLINIQUE j MENTALE. se,présente,sous, forme d'un magma ou dune poudre brunâtre, ayant ^ne,
isées que M. Ma- gnan lui a attribuées depuis pour caractériser une forme en- core plus tenace, successivement appelée pa
allemandes et étrangères; l'état symptomatique. · A côté de cette forme , il en est, sans nul doute, une troi- sième, qu
des trois types spéciaux. Bien mieux, suivant lui, il existe des formes initiales, mitigées et exagérées de chacun de ces
usion mentale susceptible aussi bien de se montrer seul que sous la forme de symptôme dans les deux autres. Pourquoi do
torique, des analogies 'qu'avaient trouvées les 'auteurs entre lés' formes de toute 'variante' qu'ils ont dû se représente
tandis qu'il place dans les dégénérescences mentales justement les formes chroniques, c'est-à- dire qu'il fait précisémen
aiioïa dege7 ? ci,(ttiva), n'envisagent la plupart du temps que les formes chroniques. Or l'évolution chronique type est u
tia de Meynert, Wille, Chaslin, il ne- parle en réalité que de deux formes de paranoïa. 1° La forme chronique ou verrüclct
in, il ne- parle en réalité que de deux formes de paranoïa. 1° La forme chronique ou verrüclctheit de Krafft-Ebing, ou
ppliquée par Kirchhoff à la folie systématique en général). 2° La forme aiguë : Elle serait au demeurant la Verwirrtheit
n).'1' Orch'ansky 'identifie1 'encore = davantage' entre elles les' formes aiguës' de trouble paranoïque fquand il dit que
our de la confusion mentale et le délirium tremens grave pour une forme suraiguë de confusion mentale. On peut accuser de
erstner, M. Briand). Les séniles font les frais aussi de toutes les formes de para- noïa, de même que de celles de la mani
a- nies à la suite de .traumatismes sont, également diffus; les.. formes en sont mixtes. ,| , ., 1,1 A. ., .-j La .paran
guës fébriles. '' " ' lf'l l Il'est intéressant de présenter "sous, forme de tableau les points principaux du diagnostic
ans laquelle il est fait la part des trois types de pa- ranoïa, des formes de transition (inclassables suivant les méde- D
di Torino, 1883, p. 210.) ÂMADEi et Tonnini. La paranoïa et le site forme . (Archivio ita- liano per le malattic nervose,
ne fente plus ou moins allongée : les cellules épithéliales ont des formes assez irrégulières. Leur sommet, correspondant
ous du revê- tement épithélial, même lorsque celui-ci a conservé sa forme ty- pique, une disposition canaliculaire des él
erminé une excavation de un pouce de profondeur. La tumeur était de forme globuleuse, du diamètre de 4 centimètres enviro
auteur du mémoire qu'une variété de cerveau normal; ces variétés de formes n'impliquent point une anomalie de foiieLioliii
hénoïdale du plan Incliné à pic de de Krafft- Ebing. En réalité les formes et surfaces de ce plan (clivus) sont multiples.
endue de 1,2 à 1,5 centimètre (2 femmes); trois cas d'hyperostose à forme de tubercule ; enfin des diminutions de consist
s émotions et des passions ? En cas d'affirmative, quelles sont les formes de représentation affectées par ces souvenirs ? Q
ssaye de résoudre. Il y a 310 REVUE 'DE PATHOLOGIE MENTALE ? deux formes distinctes'de mémoire : la mémoire dite de conser
es facultés intellectuelles; lorsque la confusion mentale revêt une forme mélancolique, c'estàla suite d'hallucinations, de
atlièse acquise ou de la diathèse héréditaire; c'est cette dernière forme que rencontrent le plus souvent les aliénistes
types simples de>folie; le trouble mental le plus commun est une forme tranquille, subaigûë ou chronique sans excitati
en a publié un très bel exemple. Leur parole reste cohérente en la forme et courante, mais les propositions sont à peine
s'appuient sur des mots courants; ils revêtent presque toujours la forme de mots^ étrangers som.res. Ces malades ne vous
ivent. Il est impossible de trouver d'idées délirantes revêtant une forme saisissable. Ils seraient plutôt gais et contents
endant plusieurs lustres. Il est plus que probable que c'est là une forme particulière des pro- cessus dégénératifs qui c
toutes les pensées qui lui viennent, nous sommes en présence de la forme la plus légère de i'Jdee ! <c/t. C'est parce
utile du travail intellectuel. '' ' I M. H. DEiiio. De certaines formes de folie périodique. - Il existe des folies'pér
u moyen, d'électrodes, et cela aussi profondément que toute autre forme d'électricité ; naturellement, on peut aussi la l
terrompu. Il aurait une action très supérieure à celles 'des autres formes d'électricité, parce qu'en raison de l'énorme t
t. Puisqu'il n'y a pas de lésions, il s'agit, en pareils cas, d'une forme morbide toute particulière, d'une paralysie bulba
t, suivre pas à pas la technique, con- naître exactement toutes les formes de cellules, leurs altérations, et les causes d
bureaux du Progrès Médical. Lépine (R.). -Sur un cas d'hystérie ci forme particulière. Bioclitire. in-8° de 16 pages. Pa
thénie. Je veux parler du travail de MM. Déjerine et Vialet sur une forme spéciale d'hé- mianopsie fonctionnelle dans la
ue, février 1894, p. 121.) UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. 341 forme hystérique. Les idées fixes constituent dans la p
lois. Une même idée chez le même malade peut passer par ces trois formes , il est. bon, sans doute, de les distinguer; mais
aissent pas de souvenirs nets; ou bien elles se manifestent sous la forme de phénomènes subconscients qui se développent
t à désigner ce groupe de phénomènes sous le nom « d'idées fixes de forme hystérique ». Les idées fixes de la malade que
malade que je vous décris se présen- taient de cette' manière sous forme d'attaques extrêmement curieuses, ! de somnambu
mentaux-qui; avaient disparu depuis longtemps-réapparurent sous une forme "au.moins singulière ? La rriâladelviïltse plain
phénomène qui a été jusqu'ici peu observé, la détermination d'une forme du champ visuel par l'idée fixe. Si cette expli
ij ifi pii;,«iwi t\> -ttttit ? gulièrement, des contractures» de forme étrangères paresies. "' .- ? Jw u r= · un ? ? M
o"m"])"e a la renverse. Sur, la droite, on voit une énorme plaie de forme longitudinale allantljûsqit'àr'l'épicrârië; fét
oubles moteurs qui peuvent, comme nous l'avons déjà dit, revêtir la forme d'une hémiplégie également passagère, mais elle
ue fait penser à la diplégie cérébrale (maladie de Little) dans ses formes tardives ou tabès spasmodique de Erb et Charcot
e) dans ses formes tardives ou tabès spasmodique de Erb et Charcot, formes de l'adulte. On sait en effet depuis les recher
lexe de la maladie. Il, On sait que souvent la chorée même dans des formes graves 's comme celle-ci guérit spontanément, a
lles sur le bras et l'épaule malades. En somme, bien que toutes les formes de monoplégies hysté- riques soient possibles,
non seulement à la singu- larité mais encore à la grande variété de formes sous lesquelles se 'manifestent les contraction
XLYI11. Athétose double; par les D5 BRISSAUD et Hallion. Certaines formes de l'athétose double et de la chorée chronique
ns l'été de 1886. L'auteur conclut à l'hystérie. P. K. XXXIV. DES formes DE l'aliénation mentale QUI ONT déterminé LES p
andis que la syphilis ne joue aucun -rôle important dans les autres formes de psychoses; 3° la paralysie progressive, qui
ce secondaire pour la paralysie progressive ; 6° parmi les diverses formes de la paralysie générale, la forme maniaque est d
ressive ; 6° parmi les diverses formes de la paralysie générale, la forme maniaque est de beaucoup la plus fréquente, pui
la forme maniaque est de beaucoup la plus fréquente, puis vient la forme démentielle, et finalement la forme mélancoliqu
a plus fréquente, puis vient la forme démentielle, et finalement la forme mélancolique ; 7° le pronostic n'a été dans auc
dans les psychoses intellectuelles aiguës à ferme stupide, dans les formes très graves de la manie, dans la mélancolie, dans
sidérablement élevée. Il n'y pas de différence essentielle entre la forme stuporodépression, et la forme exaltée avec exa
s de différence essentielle entre la forme stuporodépression, et la forme exaltée avec exagération de l'idéo-enèse : seul
énéral un peu plus basse dans l'a première que dans la dernière. La forme incohérente est marquée par des oscillations di
que on constate de semblables irrégularités oscillant comme dans la forme précédente, mais ces irrégularités y sont non-s
lle s'accompagne de grande incohérence, peut-être aussi des maintes formes de débilité mentale congénitale et acquise ; 10
sibles. Arrêté pour délit de grivellerie et en proie à un délire de forme ambitieuse, il fut séquestré en 1893. Deux mois
seize ans qui vient d'être lue, ne doit-elle pas, à raison de cette forme obsé- dante de dire certaines paroles et du tic
. Rabbas, Siemens, Sommer, Warschauer. La société se tiendra sous forme de congrès une ou deux fois par an ; elle rayonne
aiguë d'Esquirol, « confusion mentale », constitué en effet une des formes complexes de l'aliénation mentale' Tantôt elle
ques. 406 bibliographie. classiques, à la suite de telle ou telle forme d'aliénation dans laquelle on l'observait. Tant
et c'est l'opinion de notre con- frère, on l'a considérée comme une forme spéciale ayant ses carac- tères propres, anatom
ve, en 1843, fait remarquer que la stupidité est admise - comme une forme particulière caractérisée par l'inertie; il n'ac-
llarger, d'autres, avec Delasiauve, ne voulurent pas accepter cette forme comme une variété du délire mélancolique. Ce de
e symptomatique, une autre épisodique, une enfin essentielle ; la forme épisodique se produirait passagèrement, par exemp
une mélancolie simple à la suite du refus prolongé d'ali- ments, la forme symptomatique étant celle des délires toxiques,
brales, de l'urémie, de l'albuminu- rie, de la glycosurie, etc.. La forme essentielle, primitive, dont il 408 bibliograph
clut de la manière suivante : « On peut admettre l'existence d'une forme de trouble menlal dans laquelle le symptôme psych
n appelle la mélancolie avec stupeur. La description des di- verses formes que présente cette affection est fort intéressant
es Allemandsont désignésous le nom de acute V6f ? ? ? </tett une forme complète et moyenne caractérisée principalement p
ypés, bizarres, des impulsions su- bites. On trouve pour les autres formes d'aulres particularités, tantôt, c'est le troub
itée et stupide ; si c'est l'état somatique qui prédomine, on a les formes qui simulent le mieux une maladie infectieuse e
simulent le mieux une maladie infectieuse et que l'on peut appeler formes typhoïde ou méningitique. bibliographie. 409
els sont le délire de collapsus (collaps delirium de Kraepelin), la forme chronique désignée par Meynert sous le nom d'Am
e nous analysons, c'est l'état de confusion se manifestant sous les formes les plus variables. Si cet état est très peu ma
ctuelle hallucinatoire prend un développement marqué, on a enfin la forme que l'on peut désigner sous le nom de confusion
e sont occupés de cette question et qui ont essayé de classer cette forme de maladie; les discussions auxquelles elle a d
en suffit à la sur- veillance des moindres recoins; mais sous cette forme de glacis la cour revêt forcément une apparence
Nous avons été frappés de l'analogie qui existe entre les diverses formes de l'épilepsie et les intoxications; les points
sont nombreux et méritent d'attirer l'attention. Tout d'abord, la forme que revêtent les accidents épilep- tiques n'est
d, la forme que revêtent les accidents épilep- tiques n'est pas une forme commune; voilà des symptômes qui se présentent
s une forme commune; voilà des symptômes qui se présentent sous une forme critique. Ce sont des accès, des crises d'épile
a pris fin, le malade ne présente plus rien de particulier. Cette forme critique ne nous semble pas pouvoir s'accorder
t pouvoir établir que la scopolanine agit bien dans les différentes formes de convulsions, car dans ses onze expériences a
r l'étincelle négative est plus forte; 2° qu'elle n'a pas la même forme . La courbe du pôle négatif s'élève brusquement su
et rendre ces sujets violents, moroses ou mélancoliques, suivant la forme initiale de leur névropathie. L'addition de sub
sions de ce mémoire sont les suivantes : 1° L'hétérophorie sous une forme quelconque, latente ou mani- feste, peut être d
marques SUR LES EFFETS DE l'alimentation thyroïdienne DANS QUELQUES FORMES D'ALIÉNATION MENTALE; par LE'1S-C. PRUCE. . (Tl
eux maître de la chirurgie fran- çaise. Camuses. XXV. DE quelques formes DE l'intolérance DE l'alcool ET DE SON pronosti
; il ajoute un schéma qui doit expliquer l'association complexe qui forme cette représentation; un centre primaire serait
pensée se déroule dans un ordre logique, l'as- sociation revêt une forme que l'auteur appelle par étape ou cen- tralisée
che d'être unique- ment métaphysique. Lorsque la pensée revêt cette forme , les repré- sentations ont une intensité partic
donne un résumé des problèmes que soulève l'étude de cette dernière forme : ces pro- blèmes sont au nombre de 13; mais po
u'il appelle la prédisposition psychopathique de la paranoïa et des formes voisines. Sur ce point, je ne veux noter qu'une s
du système pileux chez ces enfants, s'effectuant d'après les quatre formes différentes suivantes dans leur ordre de fréque
. 1° Pour l'interprétation des actes apoplectiformes et épilepti- formes de la paralysie générale, il est peut être bon de
er de quelques-uns de ses amis, et à la fin, il eut croyance en une forme de folie dans laquelle le côté social était pri
nte dans la race blanche que chez les populations de couleur. Les formes les plus fréquentes de la folie sont la manie, da
2LSCIE. ? Psychiat, L. 5.) asiles d'aliénés. 489 Admissions des formes morbides. 490 asiles d'aliénés. pliquées : la
, 403; - psyclaatrulue de Berlin, par Iieraval, 137. Sorcellerie, formes d'aliénation mentale qui ont déterminé les pr
19 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l supérieur par l'anse lenticulaire doit être rejeté Tout le facial forme un seul nerf ayant même origine corti- cale et
sourciliers se désinent et proéminent, leur réunion de chaque côté forme un oméga grec, la bouche contractée ; ils sont
la face sans rien sentir et sans y prêter attention. La première forme clinique constitue la mélancolie simple ou la m
délire proprement dit, sans hallucinations ni illusions ; c'est une forme passive, de même que 2° la mélan- colie avec st
ù il y a un arrêt complet de l'activité céré- brale, cette dernière forme souvent confondue avec la confu- sion mentale.
LANCOLIQUES. 37 stupeur complète. 3° La mélancolie anxieuse est une forme active avec agitation ; ici il y a des hallucin
suicides, destructions, se jettent par la fenêtre). Cette dernière forme est encore assez fréquente ; c'est elle qu'on o
abandonne, que les démons les ont saisis, possédés, etc. ; dans la forme nosomane et hypochondriaque, ce sont les préocc
lon les idées, délires, sensations qui prédominent, nous aurons des formes diverses de mélancolie. Lamélancolie est une
fection curable : ai0 et plus p. 100 de guérisons. Il n'y a que les formes qui se prolongent trop longtemps : plus que six
la mélancolie sont caractéristiques de l'incurabilité. Malgré les formes curables, il est à noter que la dépression mora
e constitue le raptus melaucolicus qu'on observe surtout dans- la forme anxieuse de la mélancolie. On combattra la siti
. Sur toute l'étendue du thorax nous trouvons une éruption acnéi- forme . Les pupilles sont égales, dilatées, le réflexe l
rvés au cours d'une même épidémie. La maladie a revêtu, tantôt la forme comateuse, tantôt la forme syncopale et pétécllia
épidémie. La maladie a revêtu, tantôt la forme comateuse, tantôt la forme syncopale et pétéclliale, d'autres foi5, une fo
teuse, tantôt la forme syncopale et pétéclliale, d'autres foi5, une forme abortive. Dans plusieurs cas, elle a eu une évolu
a permis a l'auteur de constater l'existence d'un microbe ayant la forme d'un coccus sphéroïde, tantôt isolé, tantôt gro
plégie avec ou sans contractures, sclérose eu plaques disséminées à forme hémiplégique, névralgie faciale droite, etc.).
ique héréditaire de dix-huit ans, chez qui l'affection a revêlu une forme rapide : en effet, la durée n'a été que de onze
la normale. L'examen du sang ne montra aucune modi- fication de la forme ou du diamètre des globules rouges, altéra- tio
uleuse, mais dispersés, comme on les observe ordinairement dans les formes anesthésiques. L'observation de ce cas confirme
e, le malade choréique '.identiquement aux deux cas ci-dessus, même forme , même marche, senium précoce, démence, a une fi
quarante ans. Aux hyperhidroses réflexes (cl. IV) : a) il joint des formes en rapport avec la dégénérescence mentale ; ce
el qui peut survenir à la suite d'une opération, quelle que soit la forme ou l'origine réelle de ce trouble psychique.
on retrouve encore les états d'excitation qui caractéri- saient les formes précédentes, mais on trouve, d'autre part, des
hronicité. Les états d'excitation sont caractérisés surtout par des formes maniaques avec ou sans délire, pouvant être eng
72 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ment aux états d'excitation, les formes mélancoliques ou anxieuses ne s'observent génér
A côté de ces états d'excitation et de dépression, il existe une forme spéciale de délire qui ne s'observe que dans une
es basilaires présentent sur leur parcours des dilatations momli- formes ou présentent des extrémités en forme de massue.
cas de tumeur du centre ovale avec des périodes d'évolution, l'un à forme cérébelleuse, l'autre simulant l'hémiplé- gie a
complet, de celte affection. Quatre autres malades présentent une forme fruste de cette maladie où l'incoordination motri
mi ceux-ci, l'intoxication alcoolique qui peut se présenter sous la forme de délirium tremens ou sous celle d'ivresse; l'
amen des urines; enfin l'attaque BIBLIOGRAPHIE. 81 hystérique à forme apoplectique ou comateuse où, dans l'absence d'
vrai et celui qu'avec Charcot l'auteur qualifie de neurasthénie à forme héréditaire, de neurasthénie constitutionnelle.
pe général. Il cite ensuite des exemples illustrant les différentes formes cliniques de cérébrasthénie etdomyélasthé- nie
nte et que, s'il parait exister de nombreuses ressemblances dans la forme entre ces deux affections : état neurasthénique
tement doit toujours être énergique et sévère quelle que soit la forme de l'affection, mais en se guidant sur la toléran
terne sera l'hydrothérapie qui peut être appliquée sous différentes formes et l'électricité. Quant au traite- '- ment médi
cier de la névralgie faciale simple tout en admettant cependant des formes de transition. L'étiologie est peu connue, bien
en général facile sauf toutefois avec les paroxysmes hystériques à forme de névralgie faciale où il faut souvent un oeil e
des diabétiques, le vertige épileplique, le paroxysme hystérique à forme de vertige labyrinthique. Le traitement est ent
galement toujours d'origine nerveuse et l'auteur passe en revue les formes principales. Dans l'un comme dans l'autre cas,
es et des synoviales de l'avant-pied et du talon. Neuvième leçon. Formes cliniques et traitement des myélites syphi- lit
s aiguës et les myélites chroniques d'emblée, parmi lesquelles la forme si fréquente connue sous le nom de -paraplégie sp
, déjà décrite par Charcot, et qu'il con- viendrait mieux d'appeler forme syphilitique commune. A côté de cette forme on
endrait mieux d'appeler forme syphilitique commune. A côté de cette forme on doit en placer une autre décrite par M. Gilles
n des réflexes rotuliens et parfois trépidation spinale. Enfin, des formes irrégulières, et parmi celles-ci, la forme amyo
ion spinale. Enfin, des formes irrégulières, et parmi celles-ci, la forme amyotrophique. La syphilis héréditaire de la mo
udo-tabes hystérique et neu- rasthénique, la myélite syphilitique à forme pseudo-tabétique. Le traitement du tabes est en
mes pris au hasard, et 100 femmes seulement atteintes de toutes les formes de psychoses. Sur les 200 hommes, 0/100 présent
les mélancoliques avec une proportion de 32/100. Dans les autres formes de psychoses, le nombre de ma- lades qui présen
u triangle occupant le front. Le crâne est aplati (pla-iocépliale), forme caractéristique de la syphilis héréditaire. La
, car la malade succombe le 12 octobre 1897. Ce cas entre dans la forme de mélancolies décrites sous le nom de mélancol
ntre de la cellule, vient s'adosser contre la paroi où il prend des formes très irrégulières. Ainsi comprimé et rata- tiné
rsque celle-ci est dé- truite, le corps cellulaire ne garde plus sa forme ; le noyau ne peut se maintenir à sa place. La c
présentent une couleur générale uniforme; le noyau est diminué, de forme ovale ou triangulaire, homogène, de couleur som
o-spinal était stérile, et dans le reste des cas se trouvaient huit formes différentes de mi- cro-organismes, tantôt sépar
ez le poisson ; mais d'autre part, la simple couche épithéliale qui forme le manteau de l'hémisphère chez le poisson, pré
de froid) ; par le Dr DANA. Les sensations de froid constituent une forme rare de pares- thésie et ont été décrites sous
S. Les psychro-oesthésies de cette nature se rencontrent dans les formes légères de névrite, névrite alcoolique sciatique,
nier auteur cite quelques cas dans lesquels la douleur de certaines formes de dysménorrhée a été temporairement dissipée p
t, sans exception, plus tard que les fibres fondamen- tales ; il se forme donc des systèmes de diverses valeurs qui sui-
inguent le cerveau humain de celui des anthropoïdes, déterminent la forme du cerveau de l'homme. Il est bon de noter qu
lle-ci seule serait un territoire terminal ; toutefois, la zone qui forme la plus grande partie du lobule pariétal inféri
survenue à l'âge de dix ans, très fréquentes et revêtant parfois la forme grave (coma durant dix heures). Toute médicatio
. On sait, en effet, que les rémissions se montrent surtout dans la forme délirante de la P. G. On prétend que la paralys
98, G. Masson, éditeur.) L'auteur démontre que sous ses différentes formes (myxoedème infantile, opératoire spontané de l'
ons thérapeutiques découlant de ces recherches, la thyroïdothérapie forme le dernier chapitre et en quelque sorte la conc
. Favier. Le cazi7, dans la chorce ; M. Fichaux. Épilepsie larvée à forme gastrique. VARIA. Xe Congrès des médecins ali
t pas oublier que cette altéra- tion est surtout fréquente dans les formes agitées et que dans celles-là il y a toujours u
le fait, d'avoir toujours rencontré le tact normal sous toutes les formes mentales dépressives pures et même dans les for
sous toutes les formes mentales dépressives pures et même dans les formes mentales mixtes quand elles ne s'accompa- gnent
re attente, nous avons toujours noté l'état normal du tact dans les formes purement dépres- sives avec conception délirant
a été constaté quel que fût l'état des malades. XIII. C'est dans la forme expansive que les troubles du tact sont les plu
les plus fréquents, d'après nos constatations; ensuite viendrait la forme mixte agitée, et enfin la forme démentielle, ta
constatations; ensuite viendrait la forme mixte agitée, et enfin la forme démentielle, tandis que, dans les formes pureme
e mixte agitée, et enfin la forme démentielle, tandis que, dans les formes purement dépres- sives et mixte calme ainsi que
e de ses variétés ; 3° le délire toxi- infectieux, au moins dans sa forme habituelle de confusion men- tale subaiguë, est
ble en être la caractéristiqae clinique. A. t' N\.11'ROU. VI. Les formes atténuées de la folie périodique ; par le Dr Ho
mes atténuées de la folie périodique ; par le Dr Hoche. Entre les formes graves de la folie périodique et les oscillations
llations physiologiques de l'équilibre psychique se rencontrent des formes 214 jl REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. de tran
4 jl REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. de transition qui constituent des formes plus ou'moins atténuées de la folie périodique.
s atténuées de la folie périodique. Les individus atteints de ces formes atténuées de la folie pério- dique ne sont pour
le diagnostic, la thérapeu- tique et surtout la prophylaxie de ces formes mentales. Ces der- nières, qui se rencontrent t
dégénéré, ne sont pas moins dangereuses pour la descendance que les formes sévères ; elles le sont même davantage car, en
i n'est souvent que le prélude de la masturbation ; mais à côté des formes d'auto-érotisme dans lesquelles le sujet prend
L'auteur, dans une intéressante élude, passe en revue toutes ces formes de l'auto-érotisme après avoir fait remarquer que
, ayant passé l'âge de la puberté, la masturbation, loin d'être une forme de vice, peut, pratiquée modérément, être salut
ies générales dégénératives, parfois spécifiques ; un paralytique à forme dégéné- 'rative peut rentrer d'ailleurs ultérie
'rative peut rentrer d'ailleurs ultérieurement dans le groupe des formes inflammatoires. 0 L'auteur tire de sa théorie d
nsi que des variétés en apparence contradictoires et disparates des formes expansives et euphoriques ou, au contraire, dép
onfirmée avec symptômes persistants. Avec les lésions spinales, les formes tabétiques, scléreuses, névritiques, amyotrophi
on traitement précoces ; et comme, d'autre part, un grand nombre de formes mentales débutent par des phéno- mènes de dépre
cliloral, le sulfonal, le trional, combattent avec succès certaines formes d'insomnie. Mais il ne faut pas négliger l'hygièn
. L'affection, étendue à 534 malades en trois épidémies, affecta la forme de névrites péri- phériques aigus avec myosites
à développement relativement rapide. Ces cas rentreraient dans des formes intermédiaires aux diverses formes classiques d
e. Ces cas rentreraient dans des formes intermédiaires aux diverses formes classiques décrites. M. Hamel. XXVII. Note su
présenté qu'une paralysie limitée au bras droit, apparaissant sous forme d'accès de courte durée et disparaissant sans l
surprise, à l'arrivée à l'hôpital, qui réussit bien dans toutes les formes de paralysie et de contrac- ture, dans l'astasi
de l'épilepsie, et c'est pour réaliser cet exercice sous toutes ses formes qu'ont été créées les installations variées de
ques multiples et qu'il n'est pas rationnel de généraliser diverses formes d'arrêt de développement sous un même terme d'i
rêt de développement de tout le cerveau, lequel apparait alors sous forme d'une vésicule ou d'une pellicule mince couvrant
1 et ! 2, 1882. mysticisme ET folie. 261 En ce qui concerne les formes de délires systématisés pri- mitifs, nous rappe
t typiques à notre point de vue. Il leur oppose en dernier lieu les formes primitives de Snell, pouvant affecter une forme
n dernier lieu les formes primitives de Snell, pouvant affecter une forme religieuse exaltée ? Hertz, Ripping, Nasse et S
en particulier place les délires religieux comme sous-variété de la forme originaire, de Sander, qu'il divise en hallucina-
édition 1873, p. 361, 363, 367. 3 Snell. Uber monoman als prizzzare forme der Talenslorung, 186.ï, Birh. * Hertz, Nasse
eund, XX. 262 CLINIQUE mentale. Kroepelin distinguant aussi des formes primaires de délires systématisés et d'autres s
es délires religieux du premier groupe'. Witkowski insiste- sur les formes secondaires et établit des modalités de transit
En Italie, Morselli8et Buccola (1883), distinguent aussi plusieurs formes de paranoïa; et à côté du délire des persé- cut
ons proprement dit(Querulenti e litiganti) ils décriventune seconde forme de couleur érotique ou religieuse. Amadei et To
nnini13 (1883) opposent en outre à ces paranoïa dégénéra- tives des formes psychoneurotiques; le délire religieux figure d
ation dans l'un et l'autre groupe à titre de sous-variété de chaque forme (originaire, primitive, tardive, hallucinatoire
hallucinatoire ou non). Riva et Tanzi7 dans leur tableau de sept formes de paranoïa, rangent la folie religieuse en troi-
paranoïa, rangent la folie religieuse en troi- sième lieu après les formes à délire de persécution ou ambi- tieux, et avan
rès les formes à délire de persécution ou ambi- tieux, et avant les formes érotiques. Pour eux, comme nous ' Kroepelin. Co
80.) (Torino, 1883-210.) 1 Amadei et Tonuini. La Paranoïa e le sue forme . (Archietal per le mal, nervo, 1883-1884.) 7
développée par Rosenbach, tan- dis que Greidemberg admet à côté des formes héréditaires, d'autres non dégénératives. les i
ux états mélancoliques, selon la variété de mé- lancolie primitive ( formes hypocondriaques, anxieuses ou avec idées de per
a parfois décrit comme consécutives aux délires de persécution des formes en réalité secondaire à la mélan- colie avec id
ence. Donc dans un groupe, on peut ranger les délires religieux à formes dépressive (systématisation des mélancolies chro-
ou objectif de la personnalité). Notre premier groupe comprend les formes complètes des délires de négation, le deuxième,
rend les formes complètes des délires de négation, le deuxième, les formes religieuses du délire chronique de M. Magan. Le
soit de] l'exagération de l'amour de Dieu (théosophes et prophètes, formes délirantes exubé- rantes), soit de la crainte d
es, formes délirantes exubé- rantes), soit de la crainte de sa loi ( formes dépressives) '. Au point de vue psychologique i
reste à dire quelques mots des états maniaques. « Il n'est aucune forme de maladie mentale, dit Cotard ', où les troubl
ndifféremment, voire même l'un et l'autre ensemble. A côté de ces formes de l'exaltation maniaque « dans les- quelles le
ositions agressives, le besoin de destruction et la fureur. « Ces formes irritables et violentes de la manie, sup- posen
tre les divers éléments psychiques un antagonisme qui rapproche ces formes de la manie des états impulsifs et hallucinatoi
rencontre dans la mélancolie peuvent, par suite se montrer dans ces formes maniaques. La longue citation de Cotard suffi
issance incohérente et non coordonnée. Dans la paralysie générale à forme dépressive mélanco- lique ou hypocondriaque les
ue ou hypocondriaque les délirants peuvent revêtir plus ou moins la forme religieuse , quelquefois même on observe des id
striction inverse des précédents (Klippel). Intoxications. Dans les formes les plus ordinaires où la panophobie avec zoops
, celles-ci peuvent coexister avec cette né- vrose qui n'est qu'une forme de dégénérescence. Ainsi que le dit Brodie, « l
, les auteurs mêmes qui opposent aux psychoses des héréditaires des formes de délire pathognono- miques d'un état non dégé
confirmation. Il y a plus, et nous croyons qu'à chacune des grandes formes 280 PATHOLOGIE MENTALE. d'auto -intoxicatio
ulière et un type ca2,ac- téristique. Nous allons essayer, sous une forme concise, de les mettre en lumière l'un et l'aut
e, mais elle y est relativement rare et s'y présente plutôt sous la forme de sensations subjectives variées, traduites pa
s qu'elles soient, sont suscepti- bles d'être observées dans chaque forme d'auto-intoxication. Il semble néanmoins, que l
é, qu'une différence du plus au moins. Nous venons d'établir que la forme clinique des psychoses d'auto-intoxication est
to-intoxi- cations on trouve la même symptomatologie et les mêmes formes morbides que dans l'alcoolisme, depuis le tremble
stic et recon- naître sous le masque d'une mélancolie anxieuse, une forme larvée de la fièvre typhoïde avec confusion men
anatomie pathologique de la psychose polynévritique et de certaines formes de confusion mentale pri- mitive ; par 111\1. 6
le corps de la cellule ganglionnaire la fibre primitive conductrice forme un réseau mais n'a aucune connexion avec le noy
éaire est invisible. Le nucléole est quelquefois élargi, souvent de forme ovale et déporté vers le bord du noyau. A côt
le cadre des paralysies du grand-dentelé; 2° le trapèze scapulaire forme un muscle distinct anatomiquement, physiologiqu
nt il cite deux obser- vations intéressantes, se présentent sous la forme d'un choc brus- que dans la région céphalique,
e maintenir plus longtemps la théorie utérine de l'hystérie dans la forme primitive d'Hippocrate; mais nombre d'auteurs c
ée avec perte d'une molécule d'eau, laquelle urée est excrétée sous forme d'acide urique. L'expérimentation a montré que
ion, est transformé en carbonate d'ammonium et que c'est sous cette forme qu'il est rejeté de l'organisme. Si la quantité d
ue mais l'ammoniaque qui produit l'intoxication. Quelle que soit la forme sous laquelle il est introduit dans le tissu cell
ontenu dans le sang; mais, selon toutes probabilités, c'est sous la forme de carbamate d'ammonium qu'il manifeste ses eff
phique particulier; 7° Le début de la maladie se présente sous deux formes dis- tinctes ; il est aigu avec léger mouvement
nt les attitudes paradoxales qu'on leur impose comme par exemple la forme de V et l'équilibre sur la position iscliio-sacré
per- ceptions fausses, s'il n'avait été décrit, à l'étranger, une forme spéciale de cette maladie, la Manie hallucinatoir
de laquelle notre cas pourrait, à la rigueur, se ranger. Mais cette forme est loin d'être admise en tant qu'entité morbid
- ci, résultat premier de l'état somatiquc, est constitué par une forme d'affaiblissement et de dissociation intellectuel
dire parmi les psychoses du cerveau complètement développé, cette forme qu'il désigne sous le nom de lValansizia hallucin
cette distinction d'avec la manie ou la mélancolie que c'est là une forme de psychose chez un cer- veau invalide. On voit
sieurs reprises des symptômes d'hystérie (somnambulisme, crises à forme de contracture, sensation de boule). Cette dégéné
e aggravation marquée du délire chez les dégénérés alcoolisés, sous forme d'hallucinations ou plus fréquemment d'illusion
nous pouvons affirmer au point de vue du pronostic que c'est là une forme transitoire et curable, sans toutefois pouvoir
chute n'aura pas lieu dans un temps plus ou moins éloigné, sous une forme ou sous une autre de psychose, si certaines cau
rté, tel qu'on le pratique dans le service de l'Admission, pour les formes aiguës et subaiguës de la folie, calmer l'éréth
gressive des troubles sensoriels à s'effacer pour faire place à une forme plus franchement maniaque, sur- vient enfin la
fixée à d'autres et existe toujours au bout de deux années sous la forme de pla- ques. Un mois et demi après la blessure
IE NERVEUSE. LXI. Myopathie primitive et progressive avec autopsie ( Forme tardive; type huméno-scnpiclo-Jiccical) ; par S
est des plus impor- tants. R. Ciiaron. L1V1. Maladie de Thomsen à forme fruste et avec atrophie muscu- laire ; par E. 1
ra pas un des moindres caractères se traduisant par une infinité de formes au milieu de conditions sociales multiples ! Ma
ystématisés, développés sur des états secon- daires aux principales formes d'aliénation mentale, notamment à la manie, à l
mentale, notamment à la manie, à la mélancolie, à la folie à double forme , aux névroses et aux intoxications. La réalité
orme, aux névroses et aux intoxications. La réalité clinique de ces formes psychopa- thiques est admise par la majorité de
de comparer l'opinion de Krafft-Ebing, qui les considère comme des formes de démence, à celle de Tonnini qui les assimile
s importants et les plus nom- breux. La mélancolie, sous toutes ses formes et à ses diverses périodes, se complique de dél
ême aux troubles sensoriels dont elles sont l'interpré- tation. Ces formes , les plus simples et les moins graves, pourraient
oit SOCIÉTÉS SAVANTES. 377 -1 de les considérer aussi comme des formes de transition entre les mélancolies franches et
ec d'autant plus de raison que le passage de l'une à l'autre de ces formes s'observe, chez le même malade, après plusieurs
nnalité. · 3° Délires systématisés secondaires à 1(t folie à double forme . Les délires systématisés affectionnent particu
le forme. Les délires systématisés affectionnent particuhèrementles formes inter- mittentes de la folie. Cela est vrai aus
mittentes de la folie. Cela est vrai aussi pour la folie à double forme . On y a observé des délires de négation. Nous avo
délirant systéma- tisé. Et le délire empruntait ses caractères aux formes post-mania- ques et aux formes post-mélancoliqu
délire empruntait ses caractères aux formes post-mania- ques et aux formes post-mélancoliques. 4° Délires systématisés sec
nfusion qui surviennent au début d'une para- noïa le plus souvent à forme aiguë. Mais on observe aussi des délires systém
ter que ces délires existent bien, qu'ils peuvent survenir sous des formes et dans des conditions différentes, après toute
rt de M. Anglade, demande à dire quelques mots sur certaines de ces formes délirantes mono- iliéiqnes, que M. Régis classe
ns les polynévrites alcooliques. Cette am- nésie n'était qu'une des formes de cette psychose dont aujourd'hui SOCIÉTÉS S
it les troubles polynévritiques, soit les troubles céré- braux. Les formes cliniques de la psychose polynévritique peuvent
bjectivant l'intoxication de la cellule cérébrale. C'est dans cette forme que l'on observe les délires systématisés dont no
cependant il ne présente aucun symptôme d'hystérie. 2° La deuxième forme clinique est la confusion men- tale dans sa for
e. 2° La deuxième forme clinique est la confusion men- tale dans sa forme classique avec association vicieuse des idées,
quelques années et même se terminer par la démence. 3° La troisième forme est la forme amnésique : altération mentale, ac
es et même se terminer par la démence. 3° La troisième forme est la forme amnésique : altération mentale, accompagnée ou
onnement si on ne fait appel qu'aux événements du moment. Ces trois formes cliniques se confondent souvent et forment des
es psychoses que l'on observe dans de tels cas affectent surtout la forme de la confusion mentale ; pour notre part, nous
se développer dans le sens du progrès de l'espèce, a dévié vers des formes pathologiques dout l'enchaîne- ment conduit à s
iations qui s'étaient peu de temps auparavant systématisées sous la forme onirique. Ainsi en présence d'une fausse angi
ES. '7" L'excitation du cervelet produit des mouvements nystagmi- formes des globes oculaires; ces mouvements très variés
ureux à la palpation. Du côté psychique, trouble de la mémoire sous forme d'amnésie et de faux souvenirs. Le malade ne se r
ens sont exagérés. Du côté psychique, troubles de la mémoire sous forme d'amnésie et de faux souvenirs, caractéristiques
entale n'est, d'après l'auteur, qu'un syndrome comme la stupeur; sa forme accentuée absorbe même un certain nombre de cas
terri- fiant. La confusion mentale a un domaine plus vaste; par sa forme moyenne et légère, elle englobe beaucoup de cas
e. C'est un état morbide de l'esprit mais non un délire. Il y a 3 formes , légère, moyenne et accentuée. Associée à des i
ignalé n'est pas constant). L'étiologie est aussi indécise; dans sa forme isolée, elle est sou- vent d'origine toxique (d
érédité). L'évolution varie souvent il y a guérison même dans les formes accentuées; quelquefois il subsiste de l'affaibli
elle est l'instabilité mentale qui ne sera pas considérée comme une forme larvaire de troubles mieux déterminés et plus c
ble instabilité mentale. L'instabilité mentale se présente sous des formes variées. Elle peut être intellectuelle; sous l'
peut apparaître l'instabilité mentale. L'épilepsie est encore une forme d'instabilité. Elle est dans la plupart des cas
ésolution, la contradiction, l'instabilité du ton émotionnel, trois formes essentielles de l'Instabilité pathologique. Pie
hologique. De même la confusion mental ? , qui conduit à toutes les formes de l'aliénation, présentant comme caractères di
é extrême nait dans la plus grande instabilité, et dans la démence, forme la plus grave de l'aliénation mentale, nous tro
la plus complète. L'irritabilité psycho-pathologique revêt diverses formes selon l'âge, le sexe et le milieu social. Chaqu
les adolescents on peut trouver u peu près toutes, sinon toutes les formes de la folie' en particulier la manie ordinaire,
1culne de 1880-1898 qui contiennent des exemples' de la plupart des formes de la folie de l'enfant et de l'adolescent. 4
le délire d'auto-accusation n'est nullement caractéris- tique d'une forme mentale déterminée et peut se rencontrer dans b
tre que tout autre délire. Si l'on considère, en particulier, les formes systématiques de ce délire d'auto-accusation, n
: 1° des cas à évolution chro- nique; 2° des cas aigus revêtant la forme de délires d'emblée plus ou moins prolongés ou
par lui-même assez caractéristique. Il rappelle exactement celui de formes de délires systématisés primitifs qui nous sont
ssentiellement sur des interprétations délirantes : dans les cas de forme chronique que nous avons observés, nous n'avons
nous portent déjà à le considérer comme se rattachant plutôt à une forme particulière de folie systématique primi- tive
ique de la mélancolie, mais peut se rencontrer dans bien d'autres formes vésaniques au même titre que les autres délires d
cution, de grandeur, mystique, érotique, etc. Le diagnos- tic d'une forme vésanique quelconque ne doit pas reposer seule-
colie délirante aiguë. Il ne peut même pas être considéré comme une forme de délire systématisé secondaire, consécutif à
ffection. Quel est, en pareil cas, l'avenir des malades ? Dans la forme chronique que nous, avons en vue, le délire se
e, le délire se systématise progressivement, puis persiste sous une forme stéréotypée. Parfois surviennent, au bout d'un
élire d'auto-accusation à un délire de négation sté- réotypé. Cette forme délirante peut-elle aboutir à la démence ? Le f
des caractères que nous avons essayé de mettre en lumière pour les formes chroni- ques. Nous n'insisterons pas; nous diro
chent au contraire très nettement îles délires systéma- tisés aigus forme de bouffées délirantes. Il est d'ailleurs un fa
raissent au bout de quelques jours. Mais il est à remarquer que ces formes aiguës du délire systématisé d'auto-accusation,
les guérissent, sont sujettes à récidives et souvent sous la même forme . L'observation suivante en est une preuve. Mmc
é qu'une importance très secondaire, du moins en ce qui concerne la forme clinique revêtue par les troubles déli- rants.
et Lichtheim envisageaient d'une manière trop matérielle, sous la forme de schémas artificiellement construits, les mé-
par les images des lettres ou des mouvements'. Enfin, il existe des formes mixtes dans lesquelles les lésions orga- niques
lis. - A quarante-deux ans : première manifestation hystérique sous forme d'un accès de mu- tisme sans paralysie, sans cé
état présent ou qu'elles aient trait à sa vie antérieure. Dans les formes légères de la mélancolie, comme celle présentée
moment où s'est produit la première manifes- tation hystérique sous forme d'accès de mutisme. Mais s'il est rare de voir
chez les auteurs qui se sont occupés de cette question. Toutes ces formes et variétés pourraient bien être sous la dépendan
sur les virus rabiques, les auteurs ont isolé un micro-organisme de forme nettement bacillaire', se présentant généraleme
n ensemble de symptômes pathologiques très particuliers : les uns à forme aiguë, les autres plus ou moins graves à forme
iculiers : les uns à forme aiguë, les autres plus ou moins graves à forme chronique : contracture de la tête en opistotonos
ants des dégénérés, et. plus particulièrement, des fous moraux, les formes de débuts de SOCIÉTÉS SAVANTES. 481 l'alién
tre évitées facilement. 11 n'en est pas de même lorsqu'il s'agit de formes mal définies et comme M. Giraud, je crois que l
ondam- nations dont sont frappés quelques aliénés atteints de cette forme 1 Nous avons eu, à Bicètre, un certain nombre d
até : paralysie hystérique, toxique ou infectieuse, polyné- vrite à forme de polyomyélite, polyomyélite antérieure subaiguë
nq ombres à contours non définis, ombres rappelant grossièrement la forme des doigts. Pour M. Baraduc cette image résulte
us les malades. Alitement (traitement par le repos au lit) dans les formes aiguës et sub-aiguës de l'alcoolisme. M. Magn
sub-aiguës de l'alcoolisme. M. Magnan. Le délire alcoolique est la forme mentale à laquelle convient le mieux le traitem
ir, si la porte s'ouvre, pris ' Magnan. De l'alcoolisme, des divers formes du. délire alcoolique et de leur traitement. Pa
t chez lui une manifestation bruyante, un état maniaque. C'est la forme qui prédomine habituellement dans les accès de de
, il reste immo- bile dans un état complet de stupeur. De ces trois formes stupide, mélancolique, maniaque, cette dernière
l'alcoolisme, ses avantages n'en sont pas moindres dans toutes les formes aiguës ou sub-aiguës de la folie et nous pensons
ns la convalescence de la ' fièvre typhoïde. M. DuFOUR. Parmi les formes de délire posl-typhique, on note surtout la mon
rasthénique ; ' par Lalanne. Méningite tuberculeuse de l'adulte à forme claoréo-ntlcétosique. M. Boinet. Marie M..., âg
latées à ce propos : VARIA. 513 c Nature de l'hypnotisme et ses formes (M. Bramwell). Du suicide ( statistique Silbald
et le traitement de l ? par Flavianos, 416. Alite- ment dans les formes aiguës de 1' ,par Magnan,489. Les effets de e
Manu, 27. De la - son début, par Croch- les' Claplrans ? ? 3. Les formes allé- nules de la - périodique, par Hoche, 21
la veine basilaire, par d'Astros, 403. tuberculeuse de l'adulte à forme choréo-athétosi- que, 495. Migraine. La fauss
l'a- iiatomie 1)zttliologiqie, de la psy- chose - et de cet Unies formes de confusion mentale primitive, par Ballet et
20 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cki a constaté que l'acétophénone s'élimine par les urines, sous la forme d'hippurates provenant de l'acide benzoïque de l'
s, à l'asile depuis cinq ans. Accès violents d'agitation maniaque à forme consécutive, entée sur une idiotie considérable
édicament, l'agitation musculaire a été moindre que dans les autres formes d'aliénation mentale. Démence par athéromasie.
nous pourrions dire sur plus de trente cas), et cela peu importe la forme revêtue par l'alié- nation mentale, peu importe
ression ne sera pas inutile, quelques-uns niant cette maladie comme forme mor- bide spéciale, et la rattachant à des état
essentielle, carac- téristique de la maladie. Je sais qu'une telle forme morbide a été niée; les faits que j'ai observés
ne étiologie spéciale; elles relèvent toutes des mêmes causes et la forme qu'elles revêtent est plutôt déterminée par des
nstances et les milieux et qui, évoluant, aboutira à telle ou telle forme morbide, selon ces circonstances et ces milieux
n est parfois appelée à jouer un rôle capital dans la genèse de ces formes . Elle n'est en effet, en dernière analyse, au m
s excès de boissons ou des vols. L'impression aura dé- terminé la forme . De fait, l'expérience démontre que DE LA PYROM
existe donc un rapport indé- niable. Peut-être dans la genèse de la forme , l'imita- tion ,joue-t-elle ici encore le rôle
outit pas au bord supérieur de l'hémisphère. Celui de droite a la forme d'un S et se termine normalement à sa partie post
s- tomose au pli combe. A gauche, la circonvolution du pli courbe forme un vaste plateau où se dessinent deux fossettes a
ettes indiquent la place des sillons normaux. Le lobule paracenlral forme à gauche une large surface unie avec une simple
S. rare. Les lobules quadrilatères présentent quelques sillons en forme d'X à droite, et à gauche en forme de V. Ils sont
anes atteignent le poids de 1,450 gr. - «Le cerveau, dit M. Brunet, forme deux saillies prononcées à quelques centimètres
s du nom de Paranoïa, Verrûcktheit, Wahn- sinn. Bien que toutes ces formes aient été étudiées en France, on n'a pas envisa
folie systématisée ou de délire systématisé, qui englobe toutes les formes de Para- nota décrites par les auteurs ; qu'il
) ou passives (idées de persécution). On peut ainsi distinguer deux formes de folie systématisée. En plus Griesinger class
nt ainsi la formation et la perma- nence du délire. A côté de cette forme secondaire nous trouvons une autre forme Wahnsi
du délire. A côté de cette forme secondaire nous trouvons une autre forme Wahnsinn (p. 357), état d'exalta- tion mentale
niaque. A la même époque (185), Ellinger * admettait à côté de la forme secondaire une autre forme de folie systématisée
(185), Ellinger * admettait à côté de la forme secondaire une autre forme de folie systématisée (Verrückhait) primitive,
insiste sur la très grande fréquence de la systématisation dans ces formes , sur la rapidité de l'appari- tion et de la dis
- bration mentale. Le même auteur décrit aussi la fusion des deux formes , expansive et dépressive, de certains délires sys
ormée) et de là au délire des grandeurs, et l'incurabilité de cette forme à évolution parfois rémittente, mais continue,
olie sensorielle que certains auteurs ont regardée depuis comme une forme aiguë de Paranoïa (Westphal). Depuis cette époq
la folie systématisée, en admettant cependant la possibilité d'une forme primitive. C'est Snell 2, qui le premier, en 18
ive. C'est Snell 2, qui le premier, en 1865, décrit nettement une forme fondamentale, distincte de la manie et de la méla
Les idées délirantes en outre n'auraient pas, comme dans les autres formes , un retentissement sur toute la vie men- tale,
écrit sous le nom de Primâre Verrizclclheit. 11 signale en plus les formes hypocondriaque et érotique. Sànder4, poussant p
otique. Sànder4, poussant plus loin l'analyse, étudie en 1868 une forme spécialede Przmâre Veî,i,ückikeit, qu'il appelle
tre les caractères dégénératifs communs aussi d'ailleurs aux autres formes primitives et la note distinctive consistant da
kheile;i. Daiitzi ? 1863. 2 Snell. Ueber Monomanie, als p)- ? 71a-e Forme der Seelenstôrung (Allg. Zeil. f. Ps/ch., 1865.
stie et les perversions sexuelles seraient carac- téristiques de la forme originaire de la folie systématisée (p. 1269).
ping, Nasse. ' Saint en 1874 décrit la variété hallucinatoire de la forme originaire de Sander, en la divisant en deux so
nt qu'un syndrome non caractéristique se retrouvaut dans d'autres formes de folie. Les idées fixes ont pour Samt la même b
vrai délire des grandeurs. Westphal le premier, eu 1878, décrit la forme aiguë et tente une classification de la folie s
stématisée (Verrüclclkeil) qu'il divise en quatre groupes ' : 1° La forme hypochondriaque déjà décrite par Morel, à march
ersécution s'accompagnant d'illu- sions et d'hallucinations.- 2° La forme chronique àdébutlent, à marche rémittente. Les
issent brusque- ment ou graduellement à la guérison. 4° La dernière forme n'est autre que La forme originelle de Sander,
raduellement à la guérison. 4° La dernière forme n'est autre que La forme originelle de Sander, la seule dans la- quelle
Ve2,rùckthez't. Scbuele8, en 1878, décrit la Verrùcktheit parmi les formes dégénératives, et place la Wahnsinn parmi les p
Feauxl sur la folie systématisée hallucinatoire, correspondant à la forme aiguë de Westphal. \lerklin 8 (t879) et Schaefe
VII, p. 55.) 70 REVUE CRITIQUE. Westphal et décrivent en plus une forme hystérique analogue dans sa marche à l'hypochon
s dans la seconde donne une description de la Paranoïa. Il place la forme primitive parmi les dégénérescences mentales :
primitive parmi les dégénérescences mentales : pour lui, c'est une forme morbide qui ne peut se' développer que dans uu
là que les tares dégénératives sont des plus évidentes, La seconde forme , le délire des grandeurs, est étudié aussi dans
-variété de la Paranoia hypochondriaque avec délire de persécution ( forme secondaire), la Paranoia des masturbateurs, se
s, les épileptiques, et surtout les alcooliques, ce ne sont pas des formes caractéristiques spéciales, mais elles doivent
âle, monotone, invariable du délire, différant en cela de celui des formes pri- mitives ; les folies secondaires seraient
'états maniaques. 1 Krafft-Ebing nie complètement l'existence de la forme aiguë, et réunit sous le nom de Wahnsinn halluc
Wahnsinn hallucinatoire la Paranoïa aiguë primitive de Westphal la forme aiguë hallucinatoire de délire sensoriel de Mey
gton, la démence gé- nérale aiguë et subaiguë de Tilling8. Dans ces formes psycho- neurotiques, il n'y aurait jamais, d'ap
ch. B. XXXIV, p. 167, 1878. 'Nous avons vu plus haut que, parmi ces formes , se range aussi la Paranoia hypocondriaque que
e que Krafft-Ebing regarde comme une des terminaisons possibles des formes graves de l'hypochondne, l'autre étant la démen
revient sur la distinction déjà faite par Samt, et distingue deux. formes principales de la maladie, eu éqard à la pathog
formes principales de la maladie, eu éqard à la pathogénie : 1° la forme originaire de Sander; 2° la forme hallucinatoir
eu éqard à la pathogénie : 1° la forme originaire de Sander; 2° la forme hallucinatoire. Voici le résumé de sa théo- rie
doute il n'y a pas de modifications anatomiques profondes. Dans la forme aiguë, au contraire, l'inconscient n'a rien à v
, apparaît alors le délire. 1-(eynert' (1881) décrit également la forme aiguë (halluci- natoire) des délires systématis
u sur le sujet qui nous occupe. Pelmans (1882) nie l'existence delà forme secondaire et partage les idées de Koch, de Kra
Koch, de Krafft-Ebing, etc., à ce sujet. Gnauclcs (1S83) décrit une forme de Paranoia épileptique qu'il sépare de l'épile
2) donne le diagnostic différentiel des délires systématisés et des formes affectives primitives (manie et mé- 1 Meynert.
dernières années, des cas de Paranoia, et cette transformation des formes de la folie serait due pour lui à la dégénéresc
e Koch, Pel- man, Krafft-Ebing, le caractère pâle et décoloré de la forme secondaire; il n'admet pas l'existence des form
et décoloré de la forme secondaire; il n'admet pas l'existence des formes aiguës, tout en décrivant des cas à marche aigu
côté de l'idiotie, de l'imbécillité, du crétinisme. Cette dernière forme (Paranoia primitive origi- nelle), comprend « l
le et en hallucinatoire chacune pouvant être aiguë ou chronique, La forme aiguë de la Paranoia primitive simple débute gé
hallucinations, ils peuvent guérir ou passer à l'état chronique. La forme chro- nique peut se diviser en trois périodes.
ériode, laquelle peut aboutir à la démence. Comme variétés de cette forme , Mendel décrit la Paranoia originaire toujours
HYSIOLOGIE. héréditaire et dégénérative et le délire de la chicane, forme atténuée du délire de persécution, et dans lequ
s tracent ils travers la substance grise, sous le nom de fibres ara formes , des cercles allongés pour gagner la couche oli
rvertébraux sont chargées des communications providentielles. 11 se forme aussi des fibres collatérales assurant la sensi
phische studien, t. I, p. 3'a). M. Wundt la considère comme une des formes de la méthode de comparaison qui doit servir à
a mort, ne peut venir à bout de l'alcalinité; peut-être aussi ne se forme-t -il pas alors d'acide dans l'écorce du cerveau d
c l'activité de la substance grise au même titre que l'acide qui se forme quand le muscle fonctionne; sinon il serait imp
ire va, sans aucun doute, assigner une nou- velle place à certaines formes du délire chronique dans le cadre nosologique d
révision. A côté des individus qui nous offrent les exemples de ces formes capricieuses des troubles de l'esprit, on en vo
aux essentiels, je n'ai à rappeller ici que ceux qui ont trait à la forme et à l'évolution de la vésanie. Un mot peut la
èves, et qui marque l'opposition avec la folie des dégénérés, où la forme pa- roxystique et rémittente est la loi. Est-
onner seul la raison de ces retours subits, se renouvelant sous une forme plus ou moins identique, et ne pouvant être mie
tériens. C'est alors à l'Etat d'intervenir avant le médecin et sous forme d'interdiction prophylactique. Le médecin ou le
atistique exacte est indispen- sable. Ne faut-il pas déterminer les formes de psychoses qu'il y a lieu de poursuivre en l'
'atrophie du corps genouillé externe ; il se présente alors sous la forme d'un ménisque oblique en dehors, mais accolé à la
terrain limitrophe entre la mélancolie et la folie sys- tématique, forme intermédiaire pour laquelle je proposais le nom
atique hallucinatoire hypochondriaque stu- pide mélancolique toutes formes ne s'excluant pas l'une l'autre, pouvant coexis
'il en soit, c'est la folie systématique qui dans la plupart de ces formes est le pivot essentiel du tout; le caractère pa
produit non pas seulement des fous morbides divers, mais encore des formes mixtes difficiles à étiqueter. Il en est de mêm
rare, et pour M. Ritti il est moins fréquent que dans aucune autre forme de mélancolie; M. Meilhou, veut arrivera faire
pand largement, inondant les "prairies et les champs d'alentour, et forme des lacs stagnants' dont les eaux ne peuvent re
ice. En parlant de la commission permanente dont cette organisation forme un rouage essentiel pour la protection de liber
le qui, dans les conditions présentes, n'existent pas. C'est sur la forme et sur le mode d'exécution que portent surtout
on se basera pour cela sur ce que : 1° le plus souvent les diverses formes de l'apha- sie sont combinées chez le même suje
elle, et vice versa; 3° après avoir diagnostiqué pendant la vie une forme déterminée d'a- phasie, on a trouvé après la mo
phasie, on a trouvé après la mort des lésions se rap- portant à une forme d'aphasie différente. Mais en admettant la véri
79 J truit un ingénieux schéma, qui lui a permis d'admettre huit, formes d'aphasie'. Bien que ce schéma me paraisse inco
rtir des faits eux-mêmes, de l'ob- servation clinique, chercher des formes , des types bien distincts d'aphasie ; quand ces
, no 21. 1885. e) G. Ballet, Le lan- gage intérieur et les diverses formes de l'aphasie. Paris, 1886, p. 17. 2 Bernard. De
hasie. Paris, 1886, p. 17. 2 Bernard. De aphasie et de ses diverses formes . Th. de Paris, 1885, p. H5. 3 il. Munck.- Voi
'un timbre métal- 1 G. Ballet.-Le langage intérieur et les diverses formes de l'apha- sie. Th. d'agrég. Paris, 1886, p. 91
verses considérations, je définirai donc la surdité verbale : « Une forme clinique de l'aphasie qui consiste dans l'impos
A SURDITÉ VERBALE. 185 n'ait pas été examiné, que je sache, dans la forme de surdité verbale qui nous occupe, je ne doute
ers temps, à considérer cette am- nésie auditive des mots comme une forme atténuée de la surdité verbale; ce serait comme
centre des images orales, et, dans tous les cas, elle constitue une forme clinique spéciale. On peut même y distinguer de
coup sûr inaperçue. V.-Comment se rendre compte de ces nouvelles formes de surdité des mots ? cela me semble assez faci
Skwortzoff. Loc. cit. ; Obs. X, p. 120. 1 Charcot. Des différentes formes de Caphasie, etc. (Progrès mé dical, 1885, p. 4
rceptibles, non pas seulement, comme dans notre observa- tion, sous forme d'inspiration sifflante par la contraction du d
exe rotulien 'manquait.) Quant au diagnostic, les tics ou certaines formes de tics sont l'affection à laquelle on serait l
s auteurs comme Bourneville aient voulu voir dans cette maladie une forme fruste de la sclérose en plaques ». Des trois o
ique; Par J. SÉGLAS, médecin-adjoint de l'hospice de Bicêtre'. La forme aiguë de la Paranoia primitive hallucinatoire dé-
sistent avec des idées d'empoisonnement, de persécution, etc. Cette forme guérit ou passe à l'état chronique. Elle peut s
iques ou épilep- tiques, à des abus alcooliques ou morphiniques. La forme chan- nique est surtout caractérisée par la. pe
te est la Paranoia hypochondriaque. En somme, Mendel revient sur la forme aiguë sur laquelle il insiste, et, d'un autre c
égénératif dans les délires systématisés, car il ne reconnaît comme forme dégénérative' que la variété origi- naire de la
tfébriles de Kroepelin, tantôt aigu, tantôt chronique, affectant la forme d'agitation mamaque avec désordre dans les idées,
theit hallucinatoire hypochondriaque, stupide, mélancolique, toutes formes ne s'excluant pas, mais pouvant exister concurrem
gtemps une assez grande vigueur), cas à côté desquels on trouve des formes de folie systématisée progressive, généralisée
atisée morphinique analogue à l'alcoolique : nous avons vu déjà ces formes signalées par Gnauck, 111oe11... et ce qu'en fa
peut être : 1° chronique; 2° aiguë; 3° stupide. L'auteur décrit la forme chronique type en disant que tous les cas chron
comprenant deux sous-chapitres : (a, délire des persécutions ; -b, forme expausive). La variété de la Wahnsinn aiguë com
trième, la Wahnsinn stupide aiguë ou stuporo-hallu- cinatoire. La forme stupide de la Wahnsinn (attonita et catatonie)
ie religieuse expansive ; b, la folie religieuse dépressive; c, une forme reposant sur un fond d'hystérie constitutionnel
tat de folie systématique ( Wahnsinn), abortive aiguë présentent la forme de pensées irrésistibles soudaines; f, la folie
guë ('a ? 'at : ota/M//MC ! Ma<0 ! 'MocM<a) en distingue deux formes : l'une héréditaire, l'autre asthénique, la plus
somme le carac- tère des malades atteints de Paranoia ou certaines formes mitigées. En Amérique, Spitzka (1880-1883) ad
it, bien qu'il se serve du mot de mono- manie 1. Il admet que cette forme de délire primitif est l'expres- sion d'un véri
ématisés et non systématisés. Les délires systématisés sont de deux formes : 1° les délires systématisés expansifs (mégalo
, c délire systématisé de caractère expansif religieux. La deuxième forme est celle des délires systématisés dépressifs s
abilité limitée. Au point de vue du délire, on peut distinguer deux formes : 1° le délire des persécutions à contenu varia
ontenu variable suivant l'âge, le milieu, l'édu- cation. Dans cette forme rentrerait la folie de la chicane, vrai délire
a folie de la chicane, vrai délire de persécution actif. La seconde forme serait le délire des grandeurs associé au premi
U. 230 REVUE CRITIQUE. doivent être regardées seulement comme une forme abortive de ces délires, en étant différenciées
ns ces cas, l'influence héréditaire existe la plupart du temps. Les formes que Morselli et Buccola font rentrer dans la fo
terprètes et cachant un délire de persécution. Un certain nombre de formes analogues toutes caractérisées par la pré- domi
dominance d'un groupe donné d'idées et de tendances rentre dans les formes abortives de la folie systématique primitive, t
tuent le groupe des idées fixes où subsiste la conscience. 7° Les formes intermédiaires à la raison et à la folie (tem-
mémoire est la classi- fication. Les auteurs admettent à côté d'une forme dégénéra- tive une forme psychoneurotique et il
cation. Les auteurs admettent à côté d'une forme dégénéra- tive une forme psychoneurotique et ils invoquent les argu- men
n résulte un certain affaiblissement mental. n° Il n'y a dans les formes psychoneurotiques ni plus ni moins d'hérédité q
té que dans la manie ou la mélancolie. 5° La période de maladie des formes aiguës et le début de celle des formes chroniqu
5° La période de maladie des formes aiguës et le début de celle des formes chroniques psychoneurotiques est en con- tradic
ntale antérieure du sujet, tandis qu'il n'en est pas ainsi dans les formes dégénératives. Voici d'ailleurs la classificati
ar des mouvements choréiques, accompagnés de contractions tétani- formes , d'hyperesthésie psychique et sensitive (émotivit
La qualification de chronique s'applique très heureusement à cette forme mentale, mais il faudrait bien se garder de con-
nique. Mais il craint de voir englober dans le délire chronique une forme d'aliénation mentale à laquelle il accorde, à j
e étiquette sup- pose un accord préalable sur la réalité même de la forme de la maladie mentale qu'il s'agirait de dénomm
ou délire chronique n'est pas ce qu'elle est dans certaines autres formes mentales; elle est loin d'être aussi accusée qu
utivement accidents graves, élimination d'esquilles, stigmates sous forme d'une dépression profonde de la région pos- tér
rofondeur commence à 9 cent. 3 de la racine du nez et pré- sente la forme d'un .triangle arrondi d'une longueur et d'une
crétins et pour le traitement des jeunes épileptiques. n Sous cette forme , je crois que le troisième paragraphe pourrait êt
néa spécial. Il résulterait suffisamment de cette modi- fication de forme que la dernière phrase de l'article serait appli-
pas sans intéresser le neuro- patholopiste. Il existe en effet une forme de la lèpre dans laquelle les productions nouve
productions nouvelles se localisent dans les nerfs et constitue une forme anesthésique ou trophoneurotique. Cette forme est
erfs et constitue une forme anesthésique ou trophoneurotique. Cette forme est étudiée avec soin par M. Leloir, et à cet é
x minutes; l'auteur préconise le même traitement surtout dans les formes torpides de la maladie et lorsque le salicylate d
n brusque et isolée de la vision mentale des. signes et des objets ( formes et couleurs). XIV. Révision nosographique des a
urs. L'examen des coups, des plaies, des blessures, des différentes formes de l'homicide et du suicide est l'objet d'une o
même xvm° siècle, la vésanie contagieuse prend encore une nouvelle forme avec le mesmérisme, le magnétisme et le somnamb
ons d'aliénés, peuvent servir les établissements construits sous la forme de maisonnettes séparées avec un intérieur se r
czersiva" des anciens auteurs), nous nous proposons d'étudier une forme particulière de l'épilepsie, dont les accès, au
is se compliquant d'une con- gestion très forte de la face. Cette forme de l'épilepsie, dont on trouve des exem- ples a
uelques mouvements cloniques ; 2° Des accès se présentant sous deux formes , a) Les accès de la première forme sont ou non
s accès se présentant sous deux formes, a) Les accès de la première forme sont ou non précédés d'aura ; ni cri; ni chute;
188'a, il a été pris, après un de ces accès, d'une agitation choréi forme des extrémités supérieures et inférieures, de l
d'affections cérébrales. OBSERVATION. - Mélancolie avec stupeur à forme caialep- tique. Refus d'aliments et mM<MMe&l
Même état. Cependant le malade maigrit. Mu- tisme et état catalepti forme . 22 Juin. - Depuis quelques jours, G... dit un
ons. Ces der- nières lésions ont dû jouer un certain rôle dans la forme mentale dela maladie decet individu maisrious ne
ce genre me paraissent devoir être considérés comme constituant une forme spéciale de surdité verbale, à laquelle je donn
n'en aurai pas moins essayé d'établir une distinction des diverses formes de la surdité verbale aussi com- mode et aussi
ord, abstention de liqueurs spiritueuses de toute nature, soit sous forme médicamenteuse, soit sous toute autre. L'effet
aitement décrit par Broadbent. Mais ces cas, com- parativement à la forme commune, semblent rares. Le second point est pl
que,' peut passer à la Paranoïa à travers le stade des idées fixes, forme rudimentaire ou prodromique de Paranoïa, dont e
ue sur la Paranoia, sorte d'introduction à une monographie de cette forme vésanique faite en collaboration avec Riva 2. P
5). De cela il ne faudrait pas en conclure que la Paranoia soit une forme de débilité mentale. C'est simplement, comme l'
lie raisonnante, type indifférent). En somme, la Paranoia est une forme morbide constitutionnelle et le délire n'est là q
leurs pas absolument spécifique et peut se rencontrer dans d'autres formes psychopathiques sans caractères psychologiques
ratif ; l'autre, la Paranoia dégénérative : il signale aussi une forme de Paranoia consécutive ou secondaire; mais il ne
tive ou secondaire; mais il ne voit pas la nécessité d'en faire une forme particulière comme les deux autres ! . On peut
e observation^ de Paranoia primitive avec délire des persécutions à forme chro- nique qu'il dit être. de nature non dégén
ive. Nous avons vu que c'est Arndt, qui, le premier, a décrit cette forme de Paranoïa. Cette Paranoïa rudimentaire (ou pl
s contesté. Krafft-Ebing 1, Cantarano 11, An- driani7 regardent ces formes comme étant toujours des mani- ' Guicciardi. Ps
pent dans sa classifica- tion des maladies mentales les différentes formes de Paranoïa3. A proprement parler, Morselli sem
ranoïa3. A proprement parler, Morselli semble n'admettre que deux formes typiques de Paranoïa : 1° la Paranoïa originaire
- titution psychopathique le plus souvent congénitale). Quant aux formes , admises par certains auteurs, de Paranoïa aigu
;7t<aH., II, 1885. ' 11 est à remarquer que Morselli désigne ces formes sous les noms de de folie sensorielle aiguë (Fr
matisée secondaire (Pazzia sistematizzata secundaria) réservant aux formes ori- ginaire et rudimentaire le terme Paranoïa
énitale ou héréditaire. 100 ItF\'UN : Cltr'I'1QUI ? avec ses deux formes de persécution et de grandeur, n'est consi- dér
rencon- trons sur ce,sujet que des mémoires isolés, décrivant des formes vésaniques qui. malgré leur nom différent, nous s
aliénés persécuteurs qu'il détache du- groupe des persécutés. Cette forme vésanique rentre aussi dans le domaine de la Pa
ons vu encore que la plupart du temps elle est considérée comme une forme à base dégénérative. Telle parait être aussi l'
n 1882, M. Cotarct décrit sous le nom de délire des néga- tions une forme psychopathique qu'il distingue du délire des pe
i- mitif comme le délire de persécution. Ce serait un exemple des formes de Paranoia dites secondaires. Nous en avons nous
de M. Ma- gnan que nous verrons mieux, par comparaison, à quelles formes nosologiques correspond la Paranoia. En effet, no
de vue, M. Magnan n'en a pas moins par- faitement décrit les mêmes formes que nous venons d'examiner. Reprenant les idées
matisée primitive et que certains auteurs même, n'admettant que les formes dégénératives, regardent comme indispensable, l
ont désigné du nom d'idées fixes, et nous représentent ainsi cette forme de Paranoia rudimentaire qu'Arndt a décrite le
eau rapide des délires à évolution chronique chez les dégénérés les formes de Paranoia délirante à base dégénérative, admi
re groupe de malades qui nous semble correspondre aussi à certaines formes de Paranoia. Ce sont les délirants chroniques.
la terminaison, nous trouvons encore de grandes analogies entre les formes de Paranoia délirante, les délires des dégénéré
qui nous occupe dans le travail de M. Legrain qui étudie toutes les formes de délire que l'on rencontre chez les dégénérés,
sur le délire chronique; et une leçon de M. Bail 2 (1885) sur une forme particulière de délire ambitieux distinct des idé
ote particulière, et la confusion naissant de la multiplication des formes . Qu'y a-t-il à retenir en résumé des différente
de cette revue historique c'est que tous les auteurs admettent une forme de Paranoia primitive entée sur un fonds de dég
e est d'ailleurs indiscutable, mais les uns n'ad- mettent que cette forme avec ses variétés ; d'autres en restrei- gnent
e cette Paranoia psychoneurotique que nous rencontrons à côté de la forme chronique, cette forme de Paranoia dite psychon
neurotique que nous rencontrons à côté de la forme chronique, cette forme de Paranoia dite psychoneurotique aiguë, halluc
symptomatiques. Les discussions sont encore grandes au sujet de la forme de Paranoia dite rudimentaire décrite par Arndt
la conservation de la conscience. D'autres les admettent comme une forme rudimentaire, d'autres comme une période prodro
autres enfin comme un épisode dans le cours delà Paranoia. Quant la forme secondaire son existence est in- discutable mai
secondaire son existence est in- discutable mais ce n'est plus une forme de Paranoia proprement dite, ce n'est plus qu'u
st plus une forme de Paranoia proprement dite, ce n'est plus qu'une forme de délire systématisé simple- ment secondaire à
it d'union entre eux et la démence. Restent encore les soi-disant formes de Paranoïa hystérique, épileptique, alcoolique..
siège de zones jaune-clair, unies, planes ou bossuées, affectant la forme de granulations ou de tu- bérosités. L'étude hi
es postérieures, presque toujours atteinte (douze fois sur treize), forme quelquefois un champ de dégénérescence au- tono
considérable de la verge ; le troisième est un hypospade scrotal à forme vulvaire, un pseudo-hermaphrodite mâle. L'un de
dans comme à la suite d'une iridectomie, don- nent à la pupille une forme ovalaire et au regard un aspect étrange. La p
êtements de femme jiisqzt'a vingt- qualre ans. Hypospade scrotal ci forme vulvaire. Psezido-hermapht-o- dite mâle. - C...
la conformation de ses organes génitaux, est un hypospade scrotal à forme vulvaire, un pseudo-hermaphrodite mâle, sa verg
ut de soudure des deux sacs cutanés dont la réunion à l'état normal forme la double poche scrotale. Ces deux lèvres limiten
On peut encore ajouter que le délire chronique n'est pas la seule forme délirante à marche chronique dont l'exemple nous
mplétant par un adjectif qui permet une distinction avec toutes les formes dépressives de la iolie mé- lancolique. M. Co
étudie indéfiniment le cadre nosologique des différents groupes de formes mentales. ' Voy. Archives </< Neurologie,
article dont je n'ai pas ici le numéro, mais qui apris une nouvelle forme dans les articles 7 et 8 qui vous sont soumis.
à montrer que dans tous les cas qu'il a exa- minés, dans toutes les formes d'aliénation mentale que nous avons énumérées,
ce blanche, et les mêmes phé- nomènes se présentent dans les autres formes d'aliénation men- tale. Cette monographie intér
II. Contribution tt l'étude clinique de la méningite tuberculeuse à forme de delirium tremens ; par A. SonNAS. Thèse de Par
dorés aux armes du comté. Le Dl Macdonald, a donné aussi un uni- forme à ses infirmières et en projette un pour les homm
locéphalie, 319. Mélancolie avec stupeur (note sur un cas de à -) forme ca- taleptique avec conservation de l'intelli
21 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
s sa part d'activité, avec les faits nombreux dont elle s'est accrue, forme aujourd'hui un art distinct dans la thérapeutique
ictionnaires de médecine et de chirurgie. Cette espèce de mérite, qui forme le cachet principal du Sabatier-Dupuy-tren par MM
ces deux causes, ne pourront se produireque par des moyens, sous des formes , et, jusqu'à un certain degré, dans des limites d
e courti-sanerie, mais incapable de manquer à notre conscience et aux formes d'urbanité, si nos jugeniens ne sont pas toujours
eloppe qui assigne à chacun d'eux son lieu spécial, le limite dans sa forme et son volume, et l'isole des parties voisines. L
les qui forment proprement les enveloppes n'offrant d analogue que la forme générale membraneuse appropriée à leur usage comm
iversité de ses usages, de ses connexions ou des associations qu'elle forme avec les parties voisines. Étendue. L'étendue s
plètes, quelles que soient du reste leurs dimensions relatives. Cette forme générale est commune à la fois à toutes les séreu
iscères, par une disposition dont j usqu'à présent l'analogie avec la forme des séreuses n'a pas été remarquée, forme aussi u
présent l'analogie avec la forme des séreuses n'a pas été remarquée, forme aussi une double enveloppe rentrant sur elle-même
e dégagement pour le passage des vaisseaux et des nerfs. Le bassin ne forme une cavité, ou mieux,un cylindre, qu'à sa partie
ant, par rapport à l'os lui-même, qu'une périphérie dont la dure-mère forme le périoste, tandis que la membrane médullaire ta
ur former les parois protectrices du crâne et du bassin. Au rachis il forme , pour la facilité des mouvemens, un levier brisé
exture des os varie quant à la disposition des fibres appropriée à la forme de chacun d'eux; mais elle est pourtant homogène,
diaire d'une couche de tissu cellulaire fibreux à larges mailles, qui forme la trame de support dans laquelle rampent les gra
ibreuse du cœur, offre avec la dure-mère de nombreuses analogies : il forme un sac extérieur tapissé en dedans par le feuille
'à leur sortie du cœur, rappelle les dédouhlemens de la dure-mère qui forme la faux cérébrale et la tente du cervelet. Pour
s ; pour les organes creux, qui sontdans une mobilité perpétuelle, il forme une enveloppe générale, et pour l'intestin en par
e, du moins dans sa portion essentielle, la caisse du tympan, où elle forme également une poche ouvrant à la partie postérieu
l'état de vacuité, où les parties sont revenues sur elles-mêmes, elle forme des rides transversales qui ralentissent le cours
on vésicale. Elle est molle, peu adhérente à la couche musculaire, et forme , à l'état de demi-réplétion, de nombreux replis q
ne muqueuse n'y est même pas prouvée. La peau par cela même qu'elle forme l'enveloppe extérieure générale,exposée partout à
osant l'enceinte de ses cavités. La seule différence consiste dans la forme des parties composantes organisées au point de vu
llèles entre elles, comme elles devaient s'offrir dans des organes de forme conique. Au tronc la direction verticale s'observ
oque fibreuse sphérique, très dense, la sclérotique, qui détermine sa forme et protège les parties délicates qu'il renferme.
cavité de la bouche qu'il remplit dans l'état de vacuité, et dont il forme la paroi inférieure. La langue et le voile du pal
us rond et ovale, fermés chacun par une membrane. La caisse elle-même forme une cavité à part, isolée du labyrinthe,comme nou
e naso-pharyngée. L'oreille externe, à partir de la caisse du tympan, forme un canal ostéo-cartilagineux, qui vient s'ouvrir
s, temporales, niassétérines et ptérygoïdiennes. 2° COU '. Le cou forme un rétrécissement cylindrique intermédiaier entre
enveloppe commune ; au-dessous de la peau s'étend le peaucier qui ne forme que la moitié antérieure de la circonférence, dou
e pharyngienne postérieure. Chacune des parties latérales antérieures forme un nouveau groupe ren fermant les gros vaisseaux,
es trois cinquièmes inférieurs du tronc. Dans l'état de plénitude, sa forme est irrégulièrement celle d'un cylindre aplati d'
nt intimement aux os, à l'exception du deltoïde, dont la face interne forme une cavité de réception pour l'articulation scapu
ur, le triceps brachial. 3° Avant-bras. L'aponévrose anti-brachiale forme aussi un cylindre décroissant qui par ses extrémi
u-pinateurs, et, en arrière, celui des extenseurs. 4° Main. La main forme trois divisions principales : i° fe carpe, qui co
at de vie, les propriétés physiques, inhérentes à la matière sous une forme définie, entrant, comme un auxiliaire obligé, dan
laps de temps considérable. Ce n'est qu'ultérieurement, lorsqu'il se forme des produits morbides, ou des corps étrangers, qu
la thérapeutique médicale; par suite du travail morbide, ce calcul se forme un trajet fistuleux, et vient causer un abcès ent
s que profondes, s'opposent à l'extension de maladies, modifient leur forme parla résistance qu'elles offrent, et, lorsque le
on. Elles se présenteront, à divers degrés de consistance et sous des formes variées, en masses, infiltrées ou enkystées. Cell
uides, et en particulier le pus, qui conserve plus généralement cette forme , détermineront immédiatement des accidens; mais c
tout-à-fait inverses pour les produits organisables, dont la fibrine forme la base, prouvée dans quelques uns, et présumée d
e cas, les parties déplacées, poussant devant elles le péritoine, qui forme ce que l'on appelle le sac herniaire, viennent fa
tour aponévrotique de l'anneau, naissent des fibres apouévrotiques en forme d'entonnoir fibreux, implantées circulaircment su
distinguant par des signes propres, et se trouvant modifiée dans ses formes et son extension par la pression des aponévroses,
nset le péri-crâne. La densité de ce tissu explique l'isolement et la forme aplatie et globuleuse des diverses tumeurs, produ
ion. Située sur la partie moyenne latérale et inférieure du crâne, de forme irrégulièrement demi-circulaire, ses limites, tra
me sans perte de substance. C'est à la même cause cpie se rattache la forme aplatie et demi-sphérique des tumeurs du cuir che
hevelu, la résistance et l'enfoncement du tissu cutané accidentel qui forme les cicatrices. 2° Vaisseaux sanguins. L'abondanc
prononce au dehors que par la proéminence triangulaire du nez qui en forme l'appendice et l'orifice facial. Ses limites, par
être considérées à l'extérieur et à l'intérieur. i° Au visage, le nez forme une saillie pyramidale limitée en haut par la bos
rectile, en donnant lieu à diverses tumeurs qui prennent suivant leur forme des noms différens. 1° Couche cellulo-vasculaire.
NNIÈRE. Située à la partie médiane inférieure de la face, dont elle forme l'extrémité libre ou le menton. La peau, recouver
riétés, elle continue la peau, tapisse en arrière chaque paupière, et forme circulairement un repli autour de l'œil, qu'elle
riculaire. Elle est remarquable par la saillie de l'os jugal, dont la forme est un des caractères de races les plus prononcés
, délimitation. Située à la partie moyenne et latérale de la face, de forme quadrilatère, elle est limitée en haut par la rég
ngulaire de la lèvre inférieure ; au milieu le buccinateur. Ce muscle forme à lui seul la moitié postérieure de la région gén
Située à la partie latérale, postérieure et inférieure de la face, de forme quadrilatère, elle est limitée en haut par l'arca
rd antérieur du sterno-mastoïdien. Inclinée en bas et en dehors, elle forme un plan oblique trapézoïdal, constitué par le pla
legmons. ^Aponévrose cervicale. Très mince, quoique assez dense, elle forme la partie supérieure de l'aponévrose antérieure c
ée de chaque côté à la partie antérieure et moyenne du cou, dont elle forme presque toute la hauteur, la mâchoire étant abais
rnale, et latéralement par le bord antérieur du sterno-mastoïdien, et forme un triangle isocèle très alongé, qui a sa base à
vagues, son étendue ne pouvant être déterminée qu'arbitrairement. Sa forme générale est celle d'un triangle isocèle, dont la
par l'angulaire. L'aire triangulaire comprise entre ces trois lignes forme à l'extérieur une dépression très prononcée en ba
nt en profondeur, vu la résistance de la peau. 3° Aponévrose. Elle ne forme point une couche isolée, et ne se compose en fait
Sur le sillon moyen le ligament cervical, de nature fibro-celluleuse, forme une cloison de séparation entre les deux côtés. 4
t inférieurement la fossette xyphoïdienne; dans toute sa hauteur elle forme une dépression verticale, limitée par les attache
mammaire. A peine rudimentaire chez l'homme, cet organe dans la femme forme une masse demi-sphérique, inégale, granulée, situ
rurgie relativement à la proximité des organes thoraciques, dont elle forme la paroi. Parmi les accidens chirurgicaux les plu
oblique du rebord cartilagineux des côtes. A l'extérieur cette région forme deux saillies latérales, comprises entre trois si
ar-tement des muscles sterno-pubiens en regard de l'anneau, prend une forme rhomboïdale très alongée de haut en bas. Cet élar
et de la masse du sacro-spinal en arrière. Étranglée au contour, elle forme l'adossement des deux cônes tronqués du thorax et
limitation. Située à la partie postérieure et inférieure du tronc, de forme rectangulaire verticalement , elle est limitée de
ominale antérieure, où elle constitue l'hypogastre proprement dit, de forme triangulaire de haut en bas, elle s'étend de la l
nfiguration, délimitation. Située de chaque côté de la précédente, sa forme est celle d'un triangle qui a pour base la ligne
ne blanche et aux pubis. Au-dessus du pli de l'aîné, cette aponévrose forme l'enveloppe extérieure du canal inguinal, et insc
e des pubis et du diamètre antéro-postérieur du bassin , cette partie forme une éminence triangulaire sensible à l'extérieur
es molles, superposées et variables de direction, pour s'adapter à la forme des orifices cutanés qui le traversent, l'orifice
s sa disposition générale, le périnée présente d'avant en arrière une forme rhomboïdale, limitée dans le triangle antérieur p
par ramollissement, soit par une incision. Le triangle postérieur ne forme de saillie que sur le milieu, par le coccyx ; il
périnée figurant une sorte de diaphragme inférieur, on conçoit qu'il forme une cloison horizontale, légèrement oblique d'arr
n avant, au-dessous du pubis, par les racines du pénis, dont la masse forme une longue saillie médiane rétrécie entre les bra
-delà en s'épaississant dans le sillon des fesses. Sur les côtés elle forme les sillons de flexion intermédiaires du périnée
er anal. 4° Muscles. Au milieu, en arrière, est le sphincter anal, de forme ellipsoïde; au-dessus et continu avec lui, le sph
ontinu avec lui, le sphincter rectal, puis le relevcur de l'anus, qui forme le plancher du sillon latéral. En avant, de chaqu
essie à l'extrémité du pénis, situé sur le plan moyen périnéal, où il forme une petite saillie courbe, compris entre les corp
la peau par le muscle bulbo-caverneux. C'est ce même tissu aminci qui forme , sous la moitié pénienne du canal, le tissu spong
ation de haut en bas; sa moitié pénienne, pour entrer dans la vessie, forme un coude à concavité supérieure, qui avait motivé
tion de la sonde droite dans la vessie. Au repos, la portion pénienne forme , par le prolapsus de l'organe, un angle coudé sur
L'extrémité inférieure du rectum, doublée par le sphincter rectal, de forme annulaire, est fermée par le sphincter ellipsoïde
rculairement de leurs sphincters, vaginal et anal, qui déterminent la forme ovalaire des orifices eux-mêmes, et se confondent
e postérieure du bassin, où elle termine inférieurement le tronc, cle forme triangulaire comme le sacrum et le coccyx qui en
es fausses vertèbres sacrées. Dans sa direction générale cette région forme un plan incliné de haut en bas et d'avant en arri
vrotique très forte se compose de deux feuillets; le superficiel, qui forme le tendon membraneux du grand dorsal, et le profo
l'autre à deux ou trois pouces en dedans. Quant au sillon lui-même de forme linéaire en bas par le rapprochement des muscles,
icule, par l'aponévrose coraco-claviculaire et les adhérences qu'elle forme avec l'intercostal externe et les tuniques des va
ne des régions les plus intéressantes en chirurgie. A l'extérieur, sa forme est celle d'une excavation oh fosse inscrite clan
son étendue elle est lisse et unie. 2° Couche cellulo-adipeuse. Elle forme sous la peau un pannicule graisseux assez épais,
t l'étendue. Au sillon médian aboutit la veine radiale antérieure qui forme confluent par les anastomoses des radiales et cub
ouche profonde: muscles, vaisseaux et nerfs. L'aponévrose d'enveloppe forme ici la suture entre les portions brachiale et ant
structure générale, se compose de deux os : en dedans le cubitus qui forme la principale articulation avec le bras; en dehor
mière rangée, le scaphoïde, le pyramidal et le semi-lunaire, le carpe forme , avec l'extrémité des os de lavant-bras, l'articu
breux et adipeux de texture très dense. La gaine tendineuse elle-même forme un canal ostéo-fibreux dans lequel les doubles te
doigt, très dense quoique lisse, 1 Planche i, ri" 48; 0 planche 9. forme des rides transversales en regard des articulatio
e faîne, située à la partie antérieure et supérieure de la cuisse, de forme triangulaire ; elle est limitée en haut par la li
os, la naissance de la jambe est marquée par une saillie osseuse que forme la crête antérieure du tibia. Enfin, sur les côté
re à celles de la cuisse et de la jambe, qu'elle réunit, et dont elle forme l'attache sur les os. En dehors est le tendon de
par les deux jumeaux. Entre ces muscles s'inscrit l'aire poplitée de forme losangique, dont le triangle supérieur est formé
ons malléolaires externe et interne. Dans son ensemble, la jambe a la forme d'un cône aplati en avant et en dedans, décroissa
ur fréquente dilatation variqueuse. 3° Aponévrose superficielle. Elle forme la partie postérieure de l'aponévrose jambière, c
es tendons sont, de dedans en dehors, celui du jam-bier antérieur qui forme le point culminant, et à côté celui du long exten
l'interne, large de deux pouces d'avant en arrière, peu saillante, de forme globuleuse, et présentant son sommet culminant à
ronier antérieur et en arrière par celle des péroniers latéraux, elle forme une longue surface sous-cutanée triangulaire, don
portions inégales : l'une postérieure ou tarso-métatarsienne, qui en forme la masse principale, solide et fixe; l'autre anté
a portion charnue formera la région plantaire. A l'extérieur, le pied forme une double voûte convexe d'avant en arrière et de
dorsale, au-dessus de la saillie des muscles latéraux plantaires. Sa forme générale est celle du pied lui-même, rétrécie en
breux, à larges mailles, renfermant la graisse en épais flocons, elle forme une conclu; isolante très épaisse, destinée à pro
ymptômatiques d'une siphylis ancienne. A l'extrémité dorsale, la peau forme le repli cutané, organe excréteur de l'ongle, qui
rique, la peau, soumise à la pression, prend une grande épaisseur, ef forme sur les bords, par le rapprochement des orteils,
érapeutique, qui a pour objet de remédier aux diverses altérations de forme , de rapports et de texture des organes par l'act
u'il promet. Ainsi, un calcul à extraire étant donné, le volume et la forme du corps étranger, l'état comparatif de l'urètre
inces à anneaux, ciseaux, rasoir, etc. 1 ; 2°Les linges sous diverses formes , charpie, compresses, linges pleins, bandelettes
tranchans, sont les bistouris, les couteaux et les ciseaux. Dans leur forme la plus simple, et en quelque sorte typique, ils
es indications. Néanmoins, pour certains cas spéciaux, ils varient de forme , d'étendue, de structure et de mécanisme, et pren
ser, et comme il le paraît, au premier aspect, sous le microscope. Sa forme réelle est une courbe demi-ovalaire, dont la cord
aît sensiblement uni : du reste, il est régulièrement continu dans sa forme rectiligneou curviligne. Enfin la pointe, soit du
te, par la rencontre des biseaux du tranchant avec le dos de la lame, forme réellement un angle presque aussi parfait au micr
anchant est plus épais; la saillie triple ou quadruple des dentelures forme ce qu'on nomme un morfil, très mince, qui apparaî
l nu le sommet d'un angle aigu. Sous le microscope, il rentre dans la forme commune, et constitue aussi un plan faisant suite
res de métal en saillie, alternant avec des cassures assez profondes, forme une ligne très irrégulièrement continue, comparée
rement continue, comparée à celle des instrument à lame simple. Cette forme de ciseau est répétée par les mors des pinces inc
e l'on attache à l'action de couper, et suivant 1 image que l'on s'en forme communément. Evidemment le volume (un demi-centi-
à savoir graduer ces deux sortes de mouvemens suivant le poids et la forme de l'instrument dont on se sert. La consistance e
parties molles par un instrument tranchant. L'incision, en raison des formes variées qu'elle affecte et de son usage continuel
re partie, que d'une suite d'incisions plus ou moins variables par la forme , l'étendue, la direction, et la nature des partie
ques, dont l'emploi répond au plus grand nombre de cas; les autres de formes variées et réservés pour certaines opérations spé
e trois pouces environ de longueur, qui est reçue dans une châsse. La forme de la lame détermine le nom qu'il porte. Les prin
se termine par un bouton. Cet instrument est in- 1 Voyez , pour la forme , le mécanisme et le mode de fixation des bistouri
dépendamment de l'incision elliptique, celles qui, en raison de leurs formes , ont reçu les noms de cruciale, en T et en V; tou
en formant avec elle un angle d'autant plus aigu que l'écartement qui forme la base du lambeau est plus considérable. Les usa
i forme la base du lambeau est plus considérable. Les usages de cette forme d'incision étant les mêmes que pour l'incision cr
sions, puis on enlève paila dissection le tissu cutané accidentel qui forme ces cicatrices. incisions avec le bistouri sur
dedans en dehors. On peut alors apercevoir ou sentir la saillie qu'il forme au-dessous des tégu-mens, pourvu que les parties
rt : aussi les ciseaux coupent-ils d'autant mieux que leur vive-arête forme un angle plus aigu. Il est inutile d'ajouter qu'e
our que les parties soient incisées, il faut qu'elles se prêtent à la forme de l'angle d ecartement des tranchans entre lesqu
ourne l'instrument tranchant. En général, dans ces cas, la dissection forme le temps moyen des opérations que commence et que
spéciales. i° Section. On l'opère à l'aide de scies de différentes formes , droites, courbes, circulaires; avec les ostéotom
erait à-la-fois imprudente et inutile; car il est inévitable qu'il se forme de nouveau pus, auquel la plaie doit donner issue
renouvelée, on emploie les serre-nœuds. Ces instrumens, variables cle forme , de longueur et de mécanisme, se composent, en gé
e volume des parties à embrasser. La ligature simple est celle qui ne forme qu'une anse, et suffit pour les tumeurs peu volum
s. procédés de striction. LiGATUHE simple. On l'opère suivant trois formes . i° Striction complète. Son objet est d'obtenir
serrer ou relâcher à chaque jour, suivant le besoin. C'est pour cette forme de striction qu'ont été imaginés plusieurs instru
es. Le choix du procédé dépend des indications à remplir d'après la forme , le volume et la composition organique de la tume
l est préférable de laisser le caustique se décomposer entièrement. FORMES DES CAUSTIQUES. Les formes sous lesquelles on e
e caustique se décomposer entièrement. FORMES DES CAUSTIQUES. Les formes sous lesquelles on emploie les caustiques sont tr
vives et d'un violet noir pour l'épiderme ; le plus généralement elle forme une pellicule noire ou d'un brun plus ou moins fo
te par les alcalis, le détritus animal se détache insensiblement sous forme d'une espèce de putrilage entraîné par la suppura
verdâtre avec l'acide hydro-chlorique. Le deuto-chlorure d'antimoine forme , dès l'instant de son contact avec les tissus, un
n lui préfère généralement le nitrate acide de mercure : ce caustique forme également une escharre sèche et solide, facile à
emblerait devoir obtenir la préférence sur les autres ; comme eux, il forme une escharre nette et bien déterminée, dont la ch
t détruire, et prendre garde que la pâte, appliquée négligemment , ne forme des traînées qui auraient inutilement pour effet
temps, le caustique se dessèche, et lorsqu'il a épuisé son action il forme une couche noirâtre qui devient très consistante.
rgent dans son étui, on le nettoie avec soin, pour éviter qu'il ne se forme à sa surface une croûte qui en empêcherait l'effe
, fait couler l'alcali en longs cylindres qui prennent d'eux-mêmes la forme conique par liquéfaction au contact des liquides.
rès vive, on l'applique par couches dont on circonscrit exactement la forme , suivant celle que l'on veut donner à lescharre,
, etc., pétris en une pâte que l'on fait sécher par petites masses de forme conique ou cylindrique. Pour s'en servir, on appl
ce des plaies. Etendu en poudre, en une couche de peu d'épaisseur, il forme , avec les tissus qu'il détruit, une croûte qui se
re se compose d'une tige d'acier dont l'extrémité supé- Heure a une forme appropriée au genre de cautérisation que l'on veu
t le cautère dans différentes directions. Variétés de cautères. Les formes affectées à l'extrémité cautérisante ont détermin
rs lesquelles il pénètre, à une perte de substance en rapport avec sa forme ; il convient lorsque l'action du feu doit s'exerc
clans la profondeur. Cautère cultellaire, hastile ou hastaire. Cette forme est celle d'une petite hacbe dont le tranchant tr
ent est arrondie pour la même raison. Il y a de ces cautères plats de forme carrée et ovale, mais ils sont moins employés que
et ovale, mais ils sont moins employés que les circulaires. Une autre forme de cautère, imaginée par M. Percy, est celle à la
Percy l'employait pour la cautérisation sincipitale. Enfin, diverses formes de cautères ont été imaginées dans ces derniers t
'on pense que la première impression soit insuffisante. C'est à cette forme de cautérisation que s'adresse plus particulièrem
tés qui leur donnent issue. 3° Comme moyen auxiliaire, la compression forme l'un des élémens les plus communs d'un grand nomb
har-monient mieux avec les intentions du chirurgien. 3° La dernière forme est celle de dilatation lente et prolongée des or
es de racines d'iris ou de gentiane, l'éponge préparée sous plusieurs formes , la corde à boyau, les algalies; enfin, divers cy
émens organiques analogues. Si les lambeaux sont assez abondans et de forme appropriée, l'affrontement terminé doit se résume
ive qui donne issue aux liquides. Dans les solutions de continuité de forme irrégulière , consécutives à des pertes de substa
nt inévitable qu'elle causait a motivé son exclusion. C'est à cette forme de suture continue que semble devoir se rapporter
ncipalement à la gastro-raphic et à la staphyloraphie. C'est la seule forme acceptable dans le second cas; mais comme clic ex
pas trop forte. AGGLUTINATIFS. Les agglutinatifs s'emploient sous forme d'emplâtres étendus sur une toile. Les sparadraps
e coagulable. Cette lymphe, dont on sait aujourd'hui que la fibrine forme la base, est, pour les artères, comme pour les au
u corps comprimant, soit le doigt, une pelotte ou tout autre objet de forme appropriée, diriger la résultante de la pression
le médius : telle est aussi la compression de l'aorte abdominale. La forme de la pelote est appropriée à celle du lieu où el
vasculaire, oblitère le vaisseau principal, et par la saillie qu'elle forme , empêche la striction des tégumens, préservés en
emment avec cet instrument, un autre compresseur qui est double. de forme conique. C'est donc en vain que Dalh a imaginé so
igatures diffèrent suivant plusieurs conditions : i0 la substance qui forme le lien ; 2° les in- t. vi. strumens dont on
Inslrumens. L'art en possède un grand nombre qui se réduisent à deux formes principales : des pinces ou des crochets , dits t
avait imaginé deux moyens consignés dans Dionis. Dans le premier, qui forme la transition de l'ancien procédé de ligature au
ssion d'un doigt, empêche qu'il ne se desserre, tandis que le premier forme l'anse du second nœud, qu'il serre comme précédem
s se loge facilement un caillot solide, tandis que la tunique externe forme , au-devant de l'extrémité du vaisseau, un prolong
celles des tissus ostéo-fibreux, elle est introduite sous T. VI. forme d'une tige très menue. On pince, s'il est possibl
rétiques. On s'en sert en poudre ou eu solution. Les plus usités sous forme pulvérulente sont l'alun et les substances végéta
rticulier la colophane, appartiennent à la seconde. Les substances de forme membraneuse peuvent être employées seules; mais l
comme moyen temporaire ; laissé à demeure, au contraire , il sèche et forme des plaques solides très adhérentes qui blessent
récidive d'hémorrha-gie. La toile d'araignée, encore plus adhérente, forme comme un tégument solide, et par cela même est pr
nsables : ce sont des rugines et des poinçons, sortes de grattoirs de formes variées, carrés ou aigus, rectilignes ou curvilig
une surface saine. Instrumens. La lime fine d'horloger, variable de forme et de volume, est l'instrument le plus usité; ell
ment sans avoir besoin de récidiver. 20 Caustiques. On emploie sous forme liquide les acides concentrés, et sous forme soli
stiques. On emploie sous forme liquide les acides concentrés, et sous forme solide, par petits fragmens, la potasse, la pâte
le lieu malade; cette précaution n'est pas nécessaire quand l'ulcère forme un cône creux; on y dépose avec un bec de plume u
En voici rénumération : i° Le spéculum oris ( Fig. i ), de diverses formes , imaginé comme moyen préparatoire pour maintenir
riginale a été singulièrement tourmentée plutôt que modifiée dans les formes et les rapports du crochet et du panneton, fixes
Fig. 27 à 3o), est une tige d'acier, coudée à son extrémité libre, de forme variée, qui sert à luxer les racines dentaires; l
piqué, le liquide ne sort qu'avec beaucoup de lenteur. 4° Il prend la forme d'un globule sphérique. 5° Il se dessèche rapidem
end la forme d'un globule sphérique. 5° Il se dessèche rapidement, et forme à l'extrémité de la lancette un grumeau en appare
n grumeau en apparence gommeux. 6° Répandu sur l'aréole du bouton, il forme un enduit brillant d'un aspect demi-vitré, ayant
e la piqûre; dès qu'il est solide, détacher les petites plaques qu'il forme et les enfermer dans un tube de verre ou un tuyau
de bras à bras, piquer un bouton; il apparaît une gouttelette qui se forme avec lenteur. 3i Quand on a plusieurs enfans
e dénomination les inflammations et les plaies artificielles que l'on forme dans l'intention de déterminer et d'entretenir à
de plusieurs réapplications, et on peut lui donner rigoureusement la forme et l'étendue convenables. — B. Chaleur sèche. i°
substance employée pour déterminer la vésication lente; cette poudre forme la base des emplâtres épispastiques, et sa teintu
ant pour faciliter le soulèvement de la phlyetène. cautère. On le forme de trois manières : par cautérisation, par incisi
que la combustion s'achève, la peau se fronce; elle sèche, jaunit, et forme des rides concentriques à la circonférence du mox
pruntant à une autre partie un lambeau cutané que l'on taille dans la forme et retendue convenables et que l'on applique sur
es régions. 3° La taille du lambeau exige plusieurs conditions ; sa forme est celle de la partie qu'il doit recouvrir; mais
parabolique, cle manière à donner autant que possible à la plaie une forme elliptique, terminée à chaque bout par des anses
st très considérable, de telle sorte que la plaie s'inscrive dans une forme irrégulièrement ovalaire ou môme circulaire, rafr
ons dont le chirurgien s'inspire à chaque fois en opérant, suivant la forme , la disposition et les conditions anatomiques des
M. Jameson emprunta aux tégumens voisins un lambeau de largeur et de forme convenables qu'il renversa et fit pénétrer dans l
s avoir ravivé les bords de la solution de continuité on en calque la forme avec de la cire, un morceau d'étoffe ou du papier
rocher de la plaie, et on taille, puis on dissèque un lambeau de même forme , mais un peu plus étendu, en conservant un pédicu
ns. Cicatrices saillantes. Si la cicatrice n'a que peu d'étendue et forme seulement comme une sorte de verrue, on peut se c
nente. Il n'est pas rare, pendant que dure la cicatrisation, qu'il se forme de nouvelles brides. On doit, suivant le précepte
sa face dorsale, les doigts très écartés, sur une palette en bois de forme appropriée, et on l'y maintient par un bandage. O
1,2, 3 ) de deux à trois pouces de hauteur sur autant de diamètre, de forme variée, demi-sphérique ou demi-ova-laire, dont l'
, de forme variée, demi-sphérique ou demi-ova-laire, dont l'ouverture forme un bord plat et lisse, susceptible de s'appliquer
laquelle il exerce une forte pression sur les piqûres. Un caillot se forme immédiatement après quelques minutes. Il réintrod
cion happe et allonge le membre, l'ajutage refoule les tégumens et en forme un bourrelet circulaire qui interrompt aussitôt l
y. a, b, c, d). On en distingue de trois sortes , suivant l'angle que forme la pointe : la lancette obtuse et dite à grain d'
e la pointe : la lancette obtuse et dite à grain d'orge. La pointe en forme un angle de 5o degrés; elle convient pour piquer
nner une large issue au sang. La seconde espèce, ou à grain d avoine, forme un angle de 35 à 4o degrés: elle n'est employée q
scurité, on reconnaît parfois une veine profonde à l'ombre légère que forme son relief en promenant une bougie autour du memb
de manière à former une plaie triangulaire dont la section de la peau forme la base élargie, et la veine le sommet tronqué. L
milieu pour l'abondance et fournissent le jet le plus régulier. 3" La forme cle l'incision. Elle doit, comme nous l'avons dit
rs cle desserrer un peu et au plus vite, clans la crainte qu'il ne se forme un thrombus. 2° Souvent au bras, si ce n'est la l
ne ligne et demie de profondeur derrière l'aponévrose bieipitale, cpù forme seule la cloison d'isolement, la veine croise obl
re de veines ou de nerfs sous-cutanés, (b) L'incision de l'aponévrose forme un second temps : on la fait franchement et à pla
c précaution, ou sur la sonde cannelée, dans l'interstice fibreux que forme son bord interne avec le jainbier postérieur ; au
consiste à atteindre le sillon profond, persistant quelle que soit la forme de l'incision. Dans un cas de lésion traumatiqu
indique la direction générale de l'artère, à part la courbure qu'elle forme à son origine. Les règles ultérieures varient, su
dans la plaie, à partir du coraco-brachial refoulé en dehors, et qui forme le bord externe, se présentent : le cordon du ner
Lignes d'incision. Les chirurgiens varient d'opinion sur la meilleure forme d'incision cutanée. M. Houx a proposé une incisio
, en dehors de l'iliaque externe, au-dessus de l'arcade crurale, elle forme à sa naissance une coudure en dedans et se dirige
lée un peu au-dessus du repli ou de la gouttière de réflexion qu'elle forme avec le fascia-transversalis. Parvenu ici en plei
l une valeur originale ; les autres ne sont, pour ainsi dire, que des formes différentes d'incision, et n'influent que sur la
fice inguinal interne, et de prendre pour guide l'anse inférieure que forme l'épigastrique pour tomber sur l'iliaque. Appré
la symphyse sacro-iliaque, l'artère iliaque interne ou hypogastrique forme un tronc très court qui se dirige immédiatement v
hamps, sir Henry, Charrière et tant d'autres dont a beaucoup varié la forme et le mécanisme. Assalini affirme avoir guéri ave
corps étranger le moins de temps possible dans la plaie. De là trois formes générales de ligature, temporaire, d'attente et p
ui amène la division et la rupture des tissus : restent donc les deux formes de ligature temporaire et permanente. ligature
oisinage du nœud, ne se trouve ici en contact qu'avec le cylindre; la forme rubanée persiste en arrière, dans le point opposé
niers temps elle présente néanmoins de nombreuses variétés quant à la forme de la ligature elle-même et à la nature de la sub
gature du bout supérieur vînt à se détacher. Ligature simple. Cette forme de ligature, la plus ancienne, est encore la plus
ssion temporaire bien assurée, le trajet de l'artère reconnu dans les formes énoncées pour chaque lieu , inciser parallèlement
ligature sans les nouer. Ce moyen, imaginé parM. Malago, n'est qu'une forme delà ligature temporaire; mais il n'offre aucune
e plus efficace, l'agent électrique s'emploie encore sous différentes formes : par simple communication avec le conducteur d'u
l donne lieu par sa présence à des phénomènes très variés, suivant sa forme , sa situation par rapport aux parties lésées, le
emplis de faits de l'un et de l'autre genre concernant des corps de forme et de nature très variées. Dionis, Ravaton, Bagie
de vue opératoire, les corps étrangers se distinguent, suivant leurs formes et leurs dimensions, en deux ordres. i° Les uns a
mb, bourres de fusil, fragmens de vêtemens, etc. 20 Les autres, d'une forme allongée, peuvent être saisis par l'une de leurs
rmettre l'usage des instrumens. En outre, quand le corps étranger, de forme irrégulière, est fiché ou arc-bouté dans les tiss
rait à-la-fois imprudente et inutile : car il est inévitable qu'il se forme de nouveau pus, auquel la plaie doit donner issue
urelle, puisqu'elle est tirée du premier aspect des altérations de la forme , peut renfermer arbitrairement les maladies les p
eau elliptique de la peau et de l'enveloppe adhérente du kyste qui en forme le sommet. L'opération terminée, la paroi profond
en forme le sommet. L'opération terminée, la paroi profonde du kyste forme la surface de la plaie. Exposée à l'air, elle sup
blanchâtres, plats, ovoïdes, aeriformes, variables de volume, mais de forme constante, et que MM. Bosch et Duméril ont jugés
primer la tumeur à l'une de ses extrémités, et sur la saillie qu'elle forme en sens opposé pratiquer la ponction; introduire
e ces tumeurs dans toutes les parties du corps. Indolentes, dures, de forme globuleuse ou bosselée, à la dissection elles par
tendue de la tumeur, quatre, huit, douze au plus. Si la tumeur est de forme inégale et bosselée, M. Lallemand l'attaque par f
'hui à peu près abandonnée, les résultats de l'étranglement par cette forme étant beaucoup inoins favorables que par le procé
our chaque opération spéciale. Procédé opératoire en général. 10 La forme de l'incision dépend du volume de la tumeur et de
s grandes articulations et particulièrement dans celle du genou. Leur forme et leur volume sont variables; les uns sont arron
es; en effet, ce sont de véritables ciseaux beaucoup plus forts et de forme un peu différente. Ces instrumens agissent toujou
breux intermédiaire, c'est le cas le plus commun; d'autres fois il se forme une capsule articulaire et une synoviale accident
burnées, poreuses ou ostéosarcomes (sir Ast. Cooper); — 3° selon leur forme et leur volume, les exostoses slylaides, arrondie
re puisse être simple ou compliqué non à cause de la nature et cle la forme différente de l'exostose, mais par suite de la di
urnir des insertions aux muscles, dont les tractions contribuent à la forme irrégulière et au volume considérable qu'il affec
formation au moyen d'une incision cruciale ou en T ou bien encore de forme semi-lunaire, comme le conseille M. Vclpeau. Les
es parties, en V ou enT, cruciale ou elliptique, suivant le siège, la forme et l'étendue de la maladie, de manière à en mettr
ut avoir fait disposer un réchaud avec plusieurs cautères de diverses formes (pl. 17) chauffés à blanc : des cautères nummulai
du carton mouillé une sorte de canule dont il est facile d'adapter la forme à la configuration des parties; on en renverse le
ieurs temps. t° Dénudation de Cos. Les chirurgiens ont varié sur la forme à donner à l'incision du cuir chevelu. S'il exist
ns une aussi grande étendue qu'on le désirerait et suivant toutes les formes que nécessiterait le but qu'on se serait proposé;
vant leurs insertions, sont de puissans obstacles qui, sous une autre forme , se retrouvent chez les malades affaiblis par des
me que dans les fractures des phalanges. A mesure que la cicatrice se forme , un tissu ostéo-fibreux réunit les deux bouts de
Comme c'est le plus souvent l'état des parties molles qui commande la forme de l'incision ou du lambeau, ce sera sur le premi
lambeau quadrilatère se renversant en dehors comme une charnière. La forme d'un pareil lambeau a l'inconvénient de favoriser
ns nuire considérablement à la station; d'un autre côté le tarse, qui forme la plus grande partie du pied, est composé d'os c
donne un lambeau qui se prête mieux à une cicatrisation régulière et forme une espèce de coussin sur lequel le talon trouver
aires à convexité interne pour le tibia et externe pour le péroné. La forme de ces lambeaux donnerait de la facilité pour sci
c reposant sur sa face interne, sentir avec les doigts la saillie que forme la tête du péroné. A quatorze millimètres (un dem
section. Procédé de Moreau (pl. 62, fig. 1, 2, 3). Les analogies de forme qui existent entre l'articulation du coude et cel
sé de dedans en dehors et un peu obliquement de haut en bas, ayant la forme d'un triangle dont la base était représentée par
° Résection avec désarticulation dune moitié de l'os maxillaire. La forme de l'incision des parties molles devra varier sui
ille manières l'incision des tégumens et obtenir des lambeaux dont la forme ne saurait être calculée d'avance. Après cette op
pratiquaient quun lambeau ; Vennale et Ravaton en faisaient deux. La forme des lambeaux est ordinairement semi-ovalaire, leu
actions cle membre inégalement pourvues de parties molles, ou dont la forme est un peu plate, comme à lavant-bras ; et surtou
cation aussi bien dans l'une que dans l'autre espèce d'amputation. La forme aplatie des doigts, l'épaisseur des parties molle
tion d'un lambeau externe. Pour l'amputation dans la continuité on le forme par ponction ou par dissection, après avoir incis
s. Au tiers supérieur il suit le procédé de M. Sédillot, seulement il forme un cône rentrant en divisant les chairs profondes
raverser par ses deux angles, et former un lambeau postérieur de même forme et de même longueur que le premier. Procédé de
inq pièces d'inégale longueur, ressemble à une espèce de gril dont la forme trapézoïdale n'est pas sans importance pour la ma
, ouvrit une large carrière aux inventeurs de profession; le lieu, la forme , le nombre, le procédé, furent autant de sujets q
au corps : scier largement, mais à coups mesurés et continus. S'il se forme un éclat, on l'enlève avec la tenaille : il est p
ie, en rasant la face interne du fémur, et tailler ce lambeau de même forme et de même longueur que le premier ; les chairs r
ortent surtout à la division des chairs, puisque les variétés dans la forme des cylindres osseux n'ont qu'une importance très
lambeau qu'on a surtout généralisées pour les désarticulations. Les formes variées que prend le membre, les dispositions irr
es ont encore de l'analogie entre elles parce que dans la première la forme du membre est autant déterminée par les parties m
eux conditions qui ne sont pas toujours réunies : la régularité de la forme de l'articulation, et son peu de profondeur au mi
'il n'y en a qu'un on le taille en dernier lieu ; s'il y en a deux on forme le plus important après qu'on a divisé entièremen
doigt, et tailler, d'arrière en avant, le second lambeau dans la même forme que le précédent. Lorsque l'opération est pratiqu
inclinée en dehors et en arrière dont la tête du deuxième métacarpien forme le sommet. Méthode circulaire. — Procédé de M.
la main ainsi respectée, dit l'auteur, permet de donner au lambeau la forme et l'étendue désirables. Méthode ovalaire. Décr
ssant d'un seul coup le long du bord radial de l'os jusqu'à l'os unci forme , écarter le métacarpien en dedans, couper avec
pienne,qui offredes considérations anatomiques spéciales,suivan t: la forme et le nombre des surfaces cartilagineuses. Le deu
surfaces cartilagineuses. Le deuxième métacarpien, le plus complexe, forme une triple articulation: au milieu un angle de ré
de, le grand os et le troisième métacarpien. Ce troisième métacarpien forme une ligne simple oblique en bas et en dedans; le
Anatomie. La surface radio-cubitale de la première rangée du carpe forme , du scaphoïde au pyramidal, une éminence convexe
e lambeau en ce sens. M. Lisfranc met la main en pronation forcée, et forme un lambeau dorsal semi-lunaire qu'il dissèque. 3°
ndé par l'état des tégumens, il est bon de savoir varier au besoin la forme des lambeaux, pour éviter l'amputation de lavant-
presque à angle droit, par l'axe du membre; le plan inter-articulaire forme une autre ligne légèrement oblique avec la premiè
oracoïdien, qui reçoit la pointe du couteau dans divers procédés ; il forme un intervalle osseux à trois côtés, l'aeromion, l
des considérations suivantes. i° Le résultat définitif. Eu égard à la forme de la plaie sur une seule ligne, dont la directio
s. AMPUTATIONS DANS LES ARTICULATIONS MËTATARSO-PHALANGIENNES. La forme de ces articulations est peu différente de leurs
tarsiens pour l'autre surface, cette articulation, dans son ensemble, forme une ligne courbe, oblique de dedans en dehors, où
ère de l'articulation, qu'il réunit par deux autres latérales de même forme , à trois centimètres environ au-dessous des mallé
région antérieure, où la tête du fémur, revêtue par le psoas iliaque, forme , dans l'extension de la cuisse, une saillie globu
et en avant. La tête du fémur, de même volume, qui s'y est encastrée, forme une graude saillie revêtue par le psoas iliaque,
fixé directement au sommet correspondant de la tète et de la cavité, forme le plus grand obstacle. En raison de son obliquit
d externe de la tête du fémur, en est écarté de trois centimètres, et forme en arrière et en dehors du col une saillie de deu
(deux pouces trois lignes) au-dessous du contour interne de la tête, forme , dans une hauteur de deux centimètres, une sailli
s après les opérations : compression, 105. — Ligature en général; ses formes , ses procédés et ses instrumens, 105—109. — Moyen
septième et huitième paires, et la première dorsale, dont l'ensemble forme le plexus brachial. On a conservé ce plexus pour
nces avec leurs gaines; reçoit, en dehors, l'aponévrose brachiale, et forme la seule ligne réelle de démarcation entre la rég
t. A. Bandelettes de l'aponévrose du grand oblique, airignée, qui forme l'arcade fibreuse crurale sus-vasculaire. 1. Ba
cade fibreuse crurale sus-vasculaire. 1. Bandelette postérieure qui forme le segment antérieur de l'arcade crurale sous l
plaie verticale, l'incision transversale étant déjà faite. Fig. 2. Forme de l'incision en V. Fig. 3. Forme de l'incision é
nsversale étant déjà faite. Fig. 2. Forme de l'incision en V. Fig. 3. Forme de l'incision étoilée. Fig. 4. Incision crucial
uveau-nés. Figure 19. Stylet aiguillé. Figures 20 et 21. Les deux formes usuelles des pinces dites à disséquer. Chacun de
airement coudée à une extrémité qui se termine par des renfleinens de formes diverses, et reçue par l'autre extrémité dans un
s à sa base, et seulement de 6 à son sommet. Get instruaient, d'une forme régulière, s'applique également sur l'un ou sur l
de quatre parties principales : Io Une pelotte fixe d'appui (A), de forme rectangulaire, cousue sur une plaque métallique p
re artère sous-clavière. 2° Une seconde plaque d'acier (B), de même forme que la précédente, sur laquelle elle s'applique e
ze. Cette lame elliptique est garnie en dessous d'une pelotte de même forme , et présente deux boutons (c) pour l'attache des
largeur de la pelotte par l'interposition d'une compresse graduée de forme convenable, sur laquelle elle s'applique. Le lacs
laitement artificiel. Cet appareil ne diffère du précédent que par la forme de la cloche (a), dont l'orifice, rétréci en goul
e compose d'un cylindre en cuivre jaune, disposé horizontalement, qui forme une sorte de vestibule intermédiaire entre les ca
ement principal contourne en dedans la malléole. Figure 6. Diverses formes de lancettes usitées pour la saignée. a. Lancet
antérieur. Au-delà le vaisseau se dilate de nouveau en (H) ; puis il forme un collet d'aplatissement derrière la clavicule (
dans le point où sa bifurcation accidentelle, embrassant l'artère, forme un collet d'étranglement. d. Veine numérale pro
lombaire. Elle reçoit au-dessous l'anastomose de l'obturatrice (g) et forme avec la branche (h) de la même artère, par une au
e l'artère, pénètre dans la poche anévrismale. Il est évident, par la forme de la tumeur, que les mouvemens du biceps ont fai
le sang entre ce muscle et le brachial antérieur, et ont déterminé la forme allongée de l'anévrisme en haut et en dehors. D
d'acier perforé, renfermé dans une canule plate. 33,34. Deux autres formes d'aiguilles à ressort. 35. Instrument de M. Weiss
ur la colonne lombaire du rachis, avec une large pelotte à manche, de forme rectangulaire, de manière à pouvoir, au besoin, s
es par la pression des anses d'intestins. 8. Nerf iléo-scrotal, qui forme le contour, à l'angle inférieur de la plaie.
stose éburnée placée sur la suture occipito-parié-tale. La tumeur, de forme globuleuse et saillante d'environ un pouce, a été
ues le mouvement à une molette terminale ( d ), dont la circonférence forme une scie à double voie. Sur la même tige s'adapte
ace vers la profondeur, ou au-devant de l'opérateur. La figurell, qui forme un trépan, constitue en fait un autre instrument
quelques points de suture entortillée. La dépression de la peau et la forme du membre indiquent l'absence des extrémités arti
GURE 3. RÉUNION DE LA PLAIE APRÈS L'OPÉRATION PRÉCÉDENTE. La joue forme une excavation traversée par une simple incision
asse fibreuse, intermédiaire aux extrémités des divers tissus, et qui forme leur adhérence ou leur cicatrice commune. Figur
s. — 10. Os de l'avant-bras. Dans tous ces os, l'extrémité de section forme un disque ou bourrelet ostéo-vascu-laire, avec de
ulièrement parallèles. Figure 15. Pointe d'une bonne lancette. Elle forme un angle régulier. Les arêtes et les denticules d
on vient de pratiquer la ligature des artères. Le dessin fait voir la forme conique de la cavité du moignon, dont l'humérus f
in fait voir la forme conique de la cavité du moignon, dont l'humérus forme le sommet, k, Main d'un aide qui soutient le memb
s cette planche de donner la figure de ce lambeau, semblable, pour la forme , à celui de l'opération de Chopart figuré dans la
section des chairs représente un cône en creux , dont celle du fémur forme le sommet, i, k. Mains d'un aide qui supportent l
22 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
dèle auquel on ne demande que ce qu'il peut donner, c'est-à-dire, des formes , des couleurs, des rapports, des dimensions et mê
par conséquent cet auteur ne s'est occupé que de chan-gemcns dans la forme et la direction de nos organes, tous objets extrê
; jusqu'à présent nous ne connaissons que l'anatomie pathologique des formes , des rapports, des couleurs, l'anatomie pathologi
uvent ce sont des circonstances peu importantes et même fortuites, de forme , de volume, de consistance, de couleur, qui ont s
mbre des monstruosités est représenté dans la série des êtres par une forme permanente, ils ont fait faire un pas immense à l
oit étudier les altérations organiques; à l'anatomie pathologique des formes et des connexions doit être associée l'anatomie p
sions organiques se partagent en deux grandes classes, les lésions de forme et les lésions de texture. Rien de plus facile qu
rêles et fragiles, ils se rompent à la plus légère traction : d'où la forme de grappes (hydatis racemosa) et leur isolement.
8, 9, 10, 11, 15, i3, \/[, i5, donne une idée exacte des principales formes cpie ces vésicules et leurs pédicules peuvent rev
us-clavière étant alors rejetées en arrière. On voit manifestement sa forme anguleuse, sa continuation avec le premier gangli
du colon qui était dans l'état naturel. Réflexions. — Voilà une des formes composées du cancer du rein. Il nous sera facile
ein. Il nous sera facile de démontrer plus tard que toutes les autres formes du cancer ne sont que des variétés d'une forme qu
que toutes les autres formes du cancer ne sont que des variétés d'une forme qu'on peut considérer comme le type des affection
gauche (fig. 3 ) prodigieusement développé , mais sans changement de forme , remplissait, non-seulement toute la région lomba
igures 4? 5? 6, 7., 8, g, 10, n, 12, i3, représente quelques-unes des formes des papilles dans lesquelles ces vaisseaux lactés
anéum C, la convexité que présente sa face externe, la saillie TC que forme sa tubérosité antérieure; la saillie TA que forme
, la saillie TC que forme sa tubérosité antérieure; la saillie TA que forme la tète de l'astragale, tubérosité et tête qui on
e A qui sert à l'articulation astragalo-scaphoïdienne, l'autre TA qui forme une tubérosité sur la face dorsale du pied et ser
egarde directement en bas; le bord interne du pied regarde en haut et forme avec le tibia un angle droit rentrant en dedans.
pied-bot ( voyez fig. 1, 1 planche iv), c'est le coude ou l'angle que forme la première rangée du tarse avec la deuxième ; la
ité du scaphoïde, est venue se placer sous la peau qu'elle soulève et forme une tumeur d'autant plus volumineuse que le dépla
en partie la facette correspondante du cuboïde ; de là la saillie que forme la tubérosité antérieure du calcanéum sous la pea
nne, existe entre la saillie de l'astragale et la couche fibreuse qui forme le ligament supérieur de cette articulation ; des
longue que de coutume ; son diamètre vertical est de sept pouces. Sa forme a aussi quelque chose d'insolite : elle est oblon
ger les applications thérapeutiques. Voici le fait présenté sous la forme de problème, forme que j'adopterai désormais pour
s thérapeutiques. Voici le fait présenté sous la forme de problème, forme que j'adopterai désormais pour rédiger mes observ
ication constante, uniforme, quel que fût le siège, quelle que fût la forme de la maladie. Ce qui tue dans le plus grand nomb
que la rate? On me demandera peut-être maintenant quelle idée je me forme de la nature ou de la cause prochaine de ce ramol
n d'une manière positive, il faudrait connaître exactement toutes les formes que peut revêtir l'inflammation, toutes les modif
ie de fièvres rémittentes très-graves, dont plusieurs présentèrent la forme que je viens d'indiquer. La presque totalité nniK
arrière, ce qui frappe bientôt tous les regards, c'est une tumeur de forme « irrégulière, et volumineuse comme le tiers d'un
'épaisseur de nos tissus comme dans le récipient du chimiste, sous la forme de lamelles ou écailles brillantes, à la manière
nférieure, dont elle soulevait les tables externe et interne, sous la forme d'une volumineuse tumeur. Dans un troisième cas d
ment TA (planche ni, fig. 1,111e livraison, demi-grandeur), avait une forme ovoïde; elle répondait au-dessous de la fourchett
ées d'une série linéaire de points blancs. Au microscope, on voit une forme aréolaire, une masse homogène, mais point de trac
ire, d'où une poche que le sang remplit bientôt; ce sang se concrète, forme une espèce de bouchon qui prévient la perforation
brunâtre; d'autres fois, n'ayant pas de prise sur ces concrétions, il forme une couche plus ou moins épaisse entre elles et l
abdominale. É m Le foie (planche v, fig. 1, ni" livraison) a une forme singulière ; son diamètre antéro-postérieur est a
e est comme ratatinée, hérissée de granulations d'inégal volume et de formes différentes, qui ont été fidèlement représentées
as le niveau de l'organe; inférieurement la gauche le dépasse et elle forme une saillie sphéroïde assez considérable. L'une e
stes. On trouve, figure 2, de nombreuses et singulières variétés de formes , que rapporteront à des vices de conformation pro
le développement des kystes. Aucun organe n'est plus variable pour la forme et le volume, aucun organe ne se moule plus facil
quelle il est soumis dans l'ascite, détermine, avec son changement de forme , une espèce de racornissement et d'atrophie qui a
sont le siège, des modifications de vitalité telles, que toutes les formes d'altération organique, soit aiguë, soit chroniqu
ires cervicales du côté gauche une tumeur violacée du volume et de la forme d'une grosse amande FAP(fig. 1.) : les faisceaux
(fîg. 3 ) et FAO (fig. 4) donnent une idée exacte du volume et de la forme du noyau : la figure 4 représente en outre les fi
anéité, et sous ce rapport elle a une bien grande affinité avec celle forme d'apoplexie si bien décrite par IYTIVI. Lallemand
mmençai à trouver la moelle épi-« nière dans son intégrité quant à la forme , mais la couleur était d'un rouge très-foncé; en
qu'à « son extrémité supérieure où elle conservât encore un peu de sa forme naturelle et de sa consistance; « l'intérieur par
e le malade conrpare à un rhumatisme, qui s'étend aux membres sous la forme de fourmillemens douloureux et d'engourdissement
arent dans une étendue plus ou moins considérable, et surtout sous la forme hémiplégique ou paraplégique, tiennent toujours à
s se présentent ces tumeurs à découvert : celles de l'estomac sous la forme d'excroissances, de végétations à base large VE,
duodénum VE", située immédiatement au-dessous du pylore PP, ayant la forme d'un champignon qui ne tient aux parois que par u
s muscles j'ai rencontré des masses de concrétions plâtreuses sous la forme de petits grains non cohérens. A un mois d'inte
l. Dans la cavité cotyloïde gauche, matière plâtreuse déposée sous la forme de petites plaques isolées ; cartilage intact. Li
intact. Ligament cotyloïdienet ligament capsulaire infiltrés sous la forme de points et de lignes. Cavité cotyloïde droite t
bissent la loi commune, le tissu propre disparaît, la cellulosité qui forme la trame de tout organe vivant s'hypertrophie et
en bas, refoulée à gauche et en arrière dans sa presque totalité, et forme la base inclinée de l'espèce de pyramide que cons
ALES SUR LA PHLÉBITE UTÉRINE. La phlébite utérine constitue une des formes les plus redoutables et les plus fréquentes de la
point. Enfin nous avons noté une altération que je regarde comme une forme plutôt qu'un degré de phlébite; c'est un foyer sa
. Les symptômes extrêmement graves qui accompagnent la phlébite, la forme ataxo-adyna-mique qu'elle revêt, sont propres à t
largeur, et une épaisseur proportionnelle. Il n'a nullement changé de forme . Ses dimensions sont exagérées, mais d'une manièr
é et représentant alors de petites perles de la plus belle eau : leur forme et leur aspect, ceux du kyste qui les contenait,
parce qu'elle n'avait encore subi qu'un commencement d'atrophie. La forme que je viens de décrire est peut-être la plus fré
rémité. On eût dit qu'il était « infiltré de sérum combiné. » Cette forme aréolaire encéphaloïde s'accompagne ordinairement
veineux. Sarcocèle tuberculeux (tubercules épars) (fig. 5). Cette forme de sarcocèle est assez fréquente; c'est en généra
s de l'opération, qui en général réussit très-bien dans ce cas, cette forme de maladie se conciliant presque toujours avec l'
su cellulaire sous-muqueux de ces replis, qu'ils se tuméfient sous la forme de deux énormes bourrelets qui interceptent le pa
ture, je trouve un abcès dans l'épaisseur du repli muqueux droit, qui forme l'orifice supérieur du larynx. Le cartilage aryté
rieure du larynx et sur ses côtés, qui, vidé du pus qu'il « contient, forme de chaque côté une cavité capable de loger une av
men très-volumineux, tout-à-fait indolent, uniformément développé, en forme d'outre. Fluctuation obscure; on dirait que le fl
nd avec l'hydropisie du péritoine, sous le rapport du volume et de la forme de l'abdomen. A l'aide de quels signes établirons
stomac et des autres tissus que par la capacité de ses mailles. Cette forme de dégénération, sur laquelle j'aurai occasion de
mme granuleux à leur surface, et vraiment méconnaissables, et pour la forme et pour le texture. Les corps genouillés externe
d'un foyer récent se trouvât un foyer très-ancien remarquable par sa forme oblongue, par sa situation au centre de l'hémisph
ulaire a été déchirée ; une veine considérable VCS a été respectée et forme comme une bride qui maintient le caillot. Ayant e
lexie (*). Il n'est pas rare de voir cette fluxion séreuse revêtir la forme intermittente. (*) Voyez Dictionnaire de Médeci
ion Ire. —Méningite sous - arachnoïdienne de la convexité du cerveau [ forme comateuse), fig. i. Leclair (*), palefrenier,
nne de la convexité d'un hémisphère, survenue chez un hémiplégique [ forme comateuse). Carré, soixante-dix-huit ans, selli
t de la base du cerveau, du cervelet et de la protubérance annulaire { forme comateuse et adynamique). Un homme, âgé de quar
rvation IV. —Méningite sous-arachnoïdienne de la base et de la voûte { forme comateuse). Une femme, qui venait d'accoucher,
t-être, à l'aide de ce signe, pourrait-on reconnaître le moment où se forme cette pseudo-membrane. Nous voyons d'ailleurs che
té par une double rangée de racines. Une avance osseuse A (fig. 4) en forme d'épine conoide, née de la face postérieure du co
converti en une poche fibreuse qui fait suite aux calices dilatés et forme comme le fond de la cavité pyriforme qu'ils repré
n la cellulosité qui environne toutes nos parties, qui les pénètre et forme comme une atmosphère autour de chaque fibre, de c
de l'épaule d'un individu amputé depuis un grand nombre d'années. La forme triangulaire de la cicatrice C tient évidemment a
pression remarquable qui prouve que la fièvre n'était pour eux qu'une forme de maladie. Prost, dans un ouvrage qui fut accuei
, soit épidémiquement (**), m'ont permis de l'étudier sous toutes ses formes et dans tous ses degrés; ce sont ces formes diver
l'étudier sous toutes ses formes et dans tous ses degrés; ce sont ces formes diverses et ces degrés qui vont faire le sujet d'
important à la vie peut, comme l'entérite folliculeuse, revêtir trois formes générales bien distinctes : i° la forme sanguine,
folliculeuse, revêtir trois formes générales bien distinctes : i° la forme sanguine, inflammatoire ou active ; i° la forme d
en distinctes : i° la forme sanguine, inflammatoire ou active ; i° la forme de prostration ou de stupeur, forme adynamique; 3
, inflammatoire ou active ; i° la forme de prostration ou de stupeur, forme adynamique; 3° la forme d'excitation désordonnée
e ; i° la forme de prostration ou de stupeur, forme adynamique; 3° la forme d'excitation désordonnée ou de délire, forme atax
forme adynamique; 3° la forme d'excitation désordonnée ou de délire, forme ataxique. Ainsi il est des pneumonies, des pleuré
ire de leurs phénomènes locaux , peuvent se manifester sous la triple forme inflammatoire, adynamique ou ataxique, en l'absen
e des follicules de Peyer; car, dans le plus grand nombre des cas, la forme de l'altération rend si exactement celle des foll
prochement. IV. L'entérite folliculeuse aiguë se présente sous cinq formes anatomiques principales : io sous la forme granul
guë se présente sous cinq formes anatomiques principales : io sous la forme granuleuse et gaufrée ; i° sous la forme pustuleu
ues principales : io sous la forme granuleuse et gaufrée ; i° sous la forme pustuleuse, dont la forme fongueuse n'est qu'une
la forme granuleuse et gaufrée ; i° sous la forme pustuleuse, dont la forme fongueuse n'est qu'une variété ; 3° sous la forme
pustuleuse, dont la forme fongueuse n'est qu'une variété ; 3° sous la forme ulcéreuse ; 4° sous la forme gangreneuse : 5° l'i
gueuse n'est qu'une variété ; 3° sous la forme ulcéreuse ; 4° sous la forme gangreneuse : 5° l'inflammation des ganglions més
and nombre des cas, devient quelquefois prédominante et constitue une forme bien remarquable de la maladie; 6° je crois devoi
her de l'entérite folliculeuse l'entérite pseudo-membraneuse. V. La forme granuleuse et gaufrée est la forme anatomique la
térite pseudo-membraneuse. V. La forme granuleuse et gaufrée est la forme anatomique la plus simple; c'est celle qui a été
sont seulement plus développés que de coutume, se présentent sous la forme de plaques gaufrées, chaque point déprimé réponda
moins grande distance sous cette muqueuse intacte. VI. Une seconde forme anatomique de l'entérite folliculeuse aiguë est l
Une seconde forme anatomique de l'entérite folliculeuse aiguë est la forme pustuleuse, qui consiste en des plaques saillante
ont remplies par une matière concrète et comme pseudo-membraneuse. La forme pustuleuse est lune des plus rapides et l'une des
es que puisse affecter l'entérite folliculeuse; constamment à cette forme anatomique répondent des symptômes ataxiques. Je
fut présenté à l'une de mes leçons; c'était l'entérite folliculeuse ( forme pustuleuse ). Je n'avais aucun renseignement sur
ération des follicules du gros intestin est plus fréquente dans cette forme que dans toutes les autres, et cette altération s
ns toutes les autres, et cette altération se manifeste tantôt sous la forme de gros boutons ulcérés à leur centre, tantôt sou
aussi intense que dans le cœcum. Je regarde comme une variété de la forme pustuleuse la forme fongueuse dans laquelle la mu
ns le cœcum. Je regarde comme une variété de la forme pustuleuse la forme fongueuse dans laquelle la muqueuse qui revêt les
res à bords rouges au niveau des ouvertures de chaque follicule. La forme granuleuse et gaufrée, la forme pustuleuse tenden
ouvertures de chaque follicule. La forme granuleuse et gaufrée, la forme pustuleuse tendent essentiellement à l'ulcération
s alors cette ulcération est consécutive; elle est primitive dans les formes qui me restent à décrire. VIL La forme ulcéreus
elle est primitive dans les formes qui me restent à décrire. VIL La forme ulcéreuse, terminaison commune des formes précéde
restent à décrire. VIL La forme ulcéreuse, terminaison commune des formes précédentes, est très-souvent primitive. Tantôt,
ent festonnés, souvent aussi représentant assez exactement et pour la forme et pour le siège les follicules agminés, elliptiq
ndue au pourtour de l'ulcération, et ses bords comme frangés. Cette forme ulcéreuse présente beaucoup d'analogie avec les u
aladies. VIII. Laforme gangreneuse est quelquefois consécutive à la forme pustuleuse; souvent elle est primitive et présent
rent presque toujours simultanément, ce qui établit leur identité. La forme gangreneuse circonscrite est la seule à laquell
le tend à donner une fausse idée de la maladie. IX. Dans toutes les formes d'entérite folliculeuse aiguë que je viens d'énum
nt affectés sont i° ceux très-nombreux qui occupent l'angle droit que forme l'iléon avec le colon ascendant (angle iléo-coliq
ng, sans augmentation sensible de volume. X. C'est à la suite de la forme gangreneuse, ou bien de la forme ulcéreuse, soit
volume. X. C'est à la suite de la forme gangreneuse, ou bien de la forme ulcéreuse, soit primitive, soit consécutive de l'
fait de la tympanite abdominale. C'est encore à la suite de ces mêmes formes (gangreneuse et ulcéreuse) d'entérite folliculeus
umineuse ouverte au fond d'une ulcération. XL Bien que les diverses formes que je viens d'indiquer soient distinctes les une
il n'est pas rare de les rencontrer combinées diversement : ainsi la forme granuleuse et la forme pustuleuse sont très-souve
es rencontrer combinées diversement : ainsi la forme granuleuse et la forme pustuleuse sont très-souvent simultanées ; la for
granuleuse et la forme pustuleuse sont très-souvent simultanées ; la forme ulcéreuse et la forme gangreneuse marchent souven
e pustuleuse sont très-souvent simultanées ; la forme ulcéreuse et la forme gangreneuse marchent souvent de front sur le même
encontre une lésion à son summum d'intensité. XII. Il est une autre forme d'entérite qui, bien qu'elle ne se rapporte pas à
iforme, très-adhérente, d'un blanc jaunâtre, plus moins morcelée, qui forme à chaque papille une gaîne incomplète : sous elle
s des pertes de substance de la peau et de tous les autres organes. Formes cliniques de lentérite folliculeuse primitive aig
tent une disparition complète de ces phénomènes, pour revêtir la même forme que les phlegmasies sans douleur, et réciproqueme
phlegmasies sans douleur qui revêtent, au bout d'un certain temps, la forme des phlegmasies avec douleur. XVII. Si la forme
n certain temps, la forme des phlegmasies avec douleur. XVII. Si la forme typhoïde est commune à toutes les phlegmasies san
procher ses idées; la vie semble attaquée dans sa source. XVITL lia forme ataxique n'est pas moins fréquente que la forme t
a source. XVITL lia forme ataxique n'est pas moins fréquente que la forme typhoïde; elle est sans contredit bien plus grave
ment avec le délire le plus violent, à la manière des arachnitis sous forme délirante. Un charron vigoureux, âgé de vingt-c
s a appris que c'était effectivement une entérite folliculeuse aiguë ( forme pustuleuse). Sa maladie datait de sept à huit jou
XX. Il n'est pas rare de voir la maladie présenter alternativement la forme typhoïde et la forme ataxique ; alors c'est presq
de voir la maladie présenter alternativement la forme typhoïde et la forme ataxique ; alors c'est presque toujours la forme
forme typhoïde et la forme ataxique ; alors c'est presque toujours la forme ataxique qui est consécutive. Souvent la forme es
st presque toujours la forme ataxique qui est consécutive. Souvent la forme est mixte, il y a une sorte de combinaison de stu
Enfin il est des entérites folliculeuses qui se manifestent sous une forme sub-aiguë ; la maladie marche uno tenore sans aug
» Sa méthode consiste dans l'emploi du quinquina en décoction et sous forme d'extrait et associé aux spiritueux, de l'acétate
par des individus alïectés d'entérite folliculeuse , les uns sous la forme typhoïde, les autres sous la forme ataxique. (*
ite folliculeuse , les uns sous la forme typhoïde, les autres sous la forme ataxique. (**) J'ai décrit les traits principau
lence, le quinquina que je donne en décoction ou mieux eneore sons la forme d'extrait résineux, rarement sous la forme de sul
on ou mieux eneore sons la forme d'extrait résineux, rarement sous la forme de sulfate de quinine. Le quinquina me parait sur
quinquina me parait surtout réussir dans l'entérite folliculeuse sous forme typhoïde; dans la forme ataxique, j'ai recours av
out réussir dans l'entérite folliculeuse sous forme typhoïde; dans la forme ataxique, j'ai recours avec plus d'avantage aux p
celui de la pneumonie. Entérite folliculeuse aiguë gangreneuse (*) { forme ataxique). Mort le quatorzième jour. {Pl. i. )
cru représenter l'état naturel, a figuré l'entérite folliculeuse sous forme granuleuse et gaufrée. Peyer a en outre le mérite
tipation opiniâtre. Diagnostic. Entérite folliculeuse aiguë sous sa forme la plus grave et la plus rapidement funeste. Le d
de Rœderer et Wagler qui figurent l'entérite folliculeuse aiguë sous forme granuleuse, et qui ont signalé le siège de cette
fascicule de Baillie (deuxième édition , 1812), représentent diverses formes d'entérite folliculeuse aiguë. La figure 3 est su
rapport du dessin et surtout sous celui du coloris, rend très-bien la forme des plaques elliptiques. La figure première repré
us le titre de State of the intestines in feuer, rendent très-bien la forme de l'entérite folliculeuse aiguë, que j'appelle g
ont noires d'injection. Ces plaques d'ailleurs ne présentaient pas la forme elliptique des plaques agminées, mais bien une fo
sentaient pas la forme elliptique des plaques agminées, mais bien une forme irrégulièrement circulaire, et je n'ai pu en retr
oyaient de très-petites escarres (F, F, F) en forme de bourbillon, de forme irrégulière, dont le siège était manifestement da
s les autres organes étaient parfaitement sains. Réflexions. — A la forme gangreneuse de l'entérite folliculeuse aiguë m'a
use de l'entérite folliculeuse aiguë m'a paru constamment répondre la forme ataxique. La rapidité de la marche de la maladie,
ation précédente, s'explique par la gravité de l'altération et par la forme ataxique elle-même. L'absence de douleur locale s
icile de reconnaître une entérite folliculeuse très-aiguë, et sous sa forme la plus grave. (Décoction de quinquina, un pot; g
cale, et son voisinage (*). Entérite folliculeuse aiguë pustuleuse [ forme ataxique) mortelle en cinq a six jours. (Planche
depuis la veille. —• Diagnostic : Entérite folliculeuse aiguë sous la forme ataxique. (Boissons gommeuses ; dix - huit sangsu
offert des plaques pustuleuses de diverses dimensions et de diverses formes . Les plus remarquables seules ont été représentée
bre de follicules agminés. Rien n'est plus variable que le nombre, la forme et même la situation précise des follicules agmin
térite folliculeuse aiguë pustuleuse se manifeste constamment sous la forme clinique la plus grave, la plus rapide, et presqu
e clinique la plus grave, la plus rapide, et presque toujours sous la forme ataxique. L'observation qu'on vient de lire m'a p
que. L'observation qu'on vient de lire m'a paru être le type de cette forme de maladie. Ces pustules sont essentiellement for
les papilles, dis-je, sont aussi affectées; il semble que dans cette forme de maladie, la fluxion se faisant d'une manière e
du qui, au plus fort des symptômes d'une entérite folliculeuse aiguë ( forme ataxique), fut pris de tympanite et d'une périton
es contenus dans l'intestin. Entérite folliculeuse aiguë fongueuse [ forme ataxique) mortelle en sept jours. ( Planche m. )
involontaires. Diagnostic. Entérite folliculeuse suraiguë sous une forme extrêmement grave.—21, état ataxique porté au plu
Ce n'étaient ni escarres, ni ulcères, ni même h proprement parler la forme pustuleuse de la planche 11 ; mais la muqueuse so
follicules. La multiplicité de ces plaques, leur rapprochement, leur forme irrégulière, la disposition annulaire de celle qu
nner, vu les variétés innombrables qui existent sous le rapport de la forme , du nombre et de la disposition des follicules ag
isposition des follicules agminés, lesquels affectent souvent la même forme annulaire. Entre ces plaques fongueuses ou pustul
s ou pustuleuses PP, PP se voient des follicules isolés F, F, sous la forme de granulations. — Les ganglions lymphatiques cor
die s'explique par l'acuité et l'intensité de l'altération locale. La forme insolite de l'affection intestinale s'explique pe
influence dans la terminaison si rapidement funeste de la maladie. La forme intermittente de la maladie appelait-elle l'emplo
duit quelques bons effets? Entérite folliculeuse aiguë gangreneuse, forme ataxique, perforation (Fig. 2, Planche m) (*).
. Réflexions. — Voilà un exemple d'entérite folliculeuse aiguë sous forme gangreneuse. Ce n'est que par analogie qu'on peut
tat parfait d'intégrité. Diagnostic. Entérite folliculeuse aiguë sous forme ulcéreuse, tendant à la péritonite. Deux vésicato
si le malade était resté en supination. Entérite folliculeuse aiguë forme ataxique). —Amélioration pendant neuf jours.—Recr
ement auquel il fut soumis. Le 19 octobre, changement complet dans la forme du délire; le malade s'imagine qu'il est mort, il
et les végétations cancéreuses est sujette à beaucoup de variétés. La forme des végétations osseuses introduit elle-même de n
ariétés dans ces tumeurs. Ainsi, tantôt la dégénération cancéreuse ne forme qu'une petite partie de la tumeur, tantôt elle en
'un volume inégal, naissant de la dure-mère dans l'angle rentrant que forme de chaque côté la faux du cerveau FC avec la dure
consistance est moindre que celle du cerveau; aussi changeait-elle de forme sous le doigt qui la comprimait; l'aspect que pré
des exemples de sous-arachnitis aiguë de la convexité du cerveau sous forme comateuse ; nous avons vu que la céphalalgie et l
e par les auteurs, et dont l'autre nous fournira un nouvel exemple de forme comateuse dès le début. Nétivat , âgé de soixan
t qui leur est propre, sont constitués de manière à présenter la même forme , les mêmes apophyses, les mêmes enfoncemens, indé
e voici : nos parties sont organisées les unes pour les autres, leurs formes tiennent à des lois de développement indépendante
ux inflammations chroniques, suite de contusions; en un mot, c'est la forme la plus générale du sarcocèle qui se développe so
n royale de Santé par M. Paul Dubois. La figure 3 donne exactement la forme régulière et sphéroïde et le volume du testicule
esticule. Une tumeur cancéreuse, parfaitement circonscrite, enkystée, forme les cinq sixièmes supérieurs de la tumeur. Le tis
ls se fondaient sur l'indolence de la tumeur, sur sa légèreté, sur sa forme ovoïde, sans bosselures, sur sa mollesse, sur le
deux mois, point de diminution. Nous essayons l'iode sous toutes les formes et à doses toujours croissantes, tant à l'intérie
e SS est parfaitement saine; mais que l'épididyme a un volume énorme, forme à lui seul les trois quarts de la tumeur testicul
elles sont destinées, découlent toutes leurs lésions spéciales et les formes particulières que revêtent les lésions qui leur s
é radial. L'avant-bras paraît beaucoup plus court que de coutume ; il forme un angle droit avec la main, qui est en outre inc
aire ; P, le vestige du pyramidal ; le pisiforme P a seul conservé sa forme et son volume, ce qui se conçoit aisément puisqu'
té inférieure de l'avant-bras vues de profil du côté cubital. La main forme un angle droit avec l'avant-bras; la flexion est
fémur. Il est extrêmement volumineux, et soulève la synoviale qui lui forme une espèce de gaine, et qui commence à s'allonger
été extrêmement facile. A côté se voyaient deux petits kystes de même forme , également recouverts par la synoviale, à laquell
du ramollissement gélatiniforme, et donnent une idée des différentes formes qu'il peut revêtir; j'ai fait remarquer l'analogi
pylore, ou s'il s'y propage, c'est le long du bord libre des plis que forme la muqueuse gastrique; il suffit alors de frotter
e ramollissement pultacé; et en effet, la muqueuse s'enlevait sous la forme de boue, et l'altération était exactement circons
degré d'inflammation des follicules; mais évidemment la gravité et la forme insolite de la maladie ne peuvent pas s'expliquer
t celluleux des organes ; que cet élément celluleux ou résistant, qui forme la charpente de tous les tissus, est le seul qui
rieure. IV. Le cancer aréolaire gélatiniforme se présente sous deux formes bien distinctes : i°sous celle de tubercules diss
réolaire et gélatiniforme. Dans ce dernier cas, l'organe conserve ses formes , mais singulièrement exagérées en épaisseur. La f
e conserve ses formes, mais singulièrement exagérées en épaisseur. La forme ulcéreuse, si fréquente dans les autres espèces d
e la destruction. V. La dégénération aréolaire gélatiniforme est la forme la plus fréquente que revête le cancer des os ou
olaire. Or, cette altération des épiploons se manifeste sous les deux formes que j'ai indiquées. Tantôt ce sont des granulatio
Du reste, l'estomac ne présentait, pas de changement notable dans sa forme générale, et les produits morbides s'étant déposé
étant déposés successivement dans l'espèce de trame celluleuse qui en forme la charpente, son développement avait lieu d'une
du dedans au dehors un obstacle plus ou moins considérable. De là la forme bosselée que présente parfois l'estomac dégénéré.
de l'estomac. Quelquefois il envahit le pylore, et alors il prend la forme d'une zone circulaire. Sa marche est lente et pro
a plus grande partie de l'ulcère U, en sorte que le péritoine seul en forme le fond. Si ce sujet, sur lequel je n'ai aucun re
ait. — Un homme de trente-quatre ans, dont l'estomac présentait cette forme d'irritation gastrique connue sous le nom de dysp
ns les trois quarts environ de la circonférence. Le repli muqueux qui forme un cercle autour du pylore OP est perforé de part
musculaire dans les deux tiers de sa surface. La tunique péritonéale forme donc à elle seule presque tout le fond de l'ulcèr
ritable abcès parfaitement circonscrit. Nous verrons plus tard que la forme sphéroïde, que la circonscription parfaite de l'i
ue démontrée. Les observations qui suivent donneront une idée de la forme et de la marche la plus ordinaires de la phlébite
éreuses, tel est le tissu cellulaire comme aussi la lamelle mince qui forme la couche la plus superficielle des membranes muq
e., La figure 2 représente la coupe de ce même poumon. On y voit la forme irrégulièrement sphéroïde des foyers pneumoniques
pas d'ailleurs qu'il existe de différence fondamentale entre ces deux formes de gangrène. L'une et l'autre reconnaissent les
t de grossesse, la présence de ces tumeurs peut donner à l'utérus une forme insolite, variable, suivant leur siège, suivant l
e tanche dans le vagin et l'orifice vaginal du col utérin. On voit la forme semi-lunaire de cet orifice, des rugosités ou gra
. — Il résulte des détails descriptifs qui précèdent qu'il existe une forme de polypes fibreux de l'utérus, qui consiste dans
ous forme de masses disséminées. Il n'est pas moins positif que cette forme de maladie cancéreuse affecte une prédilection sp
incertain encore. III. i ° Etudier l'altération organique dans ses formes et dans sa texture ; la suivre dans ses diverses
hologique du cancer du foie est très avancée sous le point de vue des formes générales de l'altération ; elle est encore à fai
sque la tumeur superficielle est volumineuse , elle perd en partie sa forme sphéroïdale et se creuse en godet au centre : cet
r masses disséminées du foie présente beaucoup de variétés, depuis la forme miliaire jusqu'à ces tumeurs qui égalent un œuf d
naissant, la tumeur cancéreuse du foie représente exactement, par sa forme , les granulations hépatiques; 3° dans un grand no
on voit l'image fidèle de la texture e'minemment vasculaire de cette forme de cancer. Toutes ces tumeurs e'taient comme macu
ous l'aspect de petits grains d'un vert foncé, d'un volume inégal, de forme irrégulière, disséminés au milieu d'un tissu sain
lable à la matière des vomissemens. Un calcul biliaire présentant une forme conique assez régulière, ayant un pouce trois lig
cavité du duodénum et celle de la vésicule. Un calcul biliaire, d'une forme pyramidale triangulaire, ayant six lignes de haut
ésicule du fiel. Si on dissèque ces canaux, ils se présentent sous la forme de cordes volumineuses, très denses, d'un aspect
radicules biliaires, les granulations du foie s'enflamment, et il se forme de très petits loyers de pus jaunâtre, de matière
La tunique musculeuse T M est considérablement hypertrophiée. Elle forme à elle seule la moitié de l'épaisseur du pylore.
La péritonite pseudo-membraneuse se manifeste très-souvent sous la forme latente: c'est le plus généralement la péritonite
à Londres et à Paris, n'ont fait que confirmer et présenter sous des formes nouvelles les faits consignés dans les modestes b
du choléra, répandues dans le public par milliers et sous toutes les formes , si bien que chaque famille, pourvue des drogues
e de desquamation. La convalescence a été longue et pénible. V. Une forme plus intense de cette irritation gastrique est ce
er l'espèce bilieuse par la dénomination de choléra bilieux. C'est la forme de choléra que provoque le plus habituellement le
lquefois aussi limpide que l'eau distillée, plus souvent trouble, qui forme la presque totalité des selles cholériques, a pré
eaucoup des choléras sporadiques de nos climats tempérés: c'est cette forme de choléra intermédiaire au choléra le plus grave
on. III. Le choléra moyen doit donc être considéré tantôt comme une forme peu grave du choléra, tantôt comme la première pé
ra le plus grave. IV. Le choléra moyen, comme d'ailleurs toutes les formes possibles de choléra, débute presque toujours par
e de cholériques , prétendus convalescents, a été commun à toutes les formes , à tous les degrés du choléra, depuis le simple d
Les observations suivantes fourniront des exemples des principales formes que le choiera moyen peut revêtir , et du traitem
E OU NON ASPHYXIQUE. I. Le choléra très grave se présente sous deux formes bien distinctes; tantôt les malades offrent une c
de-carbonique, tantôt ils n'offrent pas cette coloration. La première forme , qui, d'ordinaire, emporte le malade avec une gra
cial que fait éprouver le contact du corps du malade. Dans la seconde forme , qui n'est pas moins grave, bien qu'elle ne soit
e en partie; le froid n'est pas algide. Nous désignons cette dernière forme sous le nom de choléra très grave non asphyxique.
léra très grave non asphyxique. IL II est excessivement rare que la forme la plus grave du choléra débute sans antécédents.
moindre réaction. Il est rare que dans le cours d'une épidémie, cette forme présente une certaine durée, et ne soit pas bient
présente une certaine durée, et ne soit pas bientôt remplacée par une forme moins indomptable. XIII. Le choléra frès grave
aussi fréquente que dans le choléra asphyxique. Dans Tune et l'autre formes de choléra, le malade ne peut échapper à la mort
des eschares de diverses dimensions, dont quelques-unes présentent la forme oblongue^ elliptique, comme dans le cas d'entérit
lution de ce doute se trouve dans l'étude de l'entérite folliculeuse ( forme granuleuse) (i), qui présente si souvent les même
sivement sur les follicules agminés. La fig. 2, pl. IV, représente la forme la plus habituelle de cette altération granuleuse
table gangrène du gros intestin , c'est dans le cas figuré pl. V : la forme elliptique des plaques gangrenées est remarquable
a fait placer dans cet élément anatomique le siège de la maladie. La forme arrondie des follicules de l'intestin grêle a pu
sphyxié. Mais, si au lieu d'étudier tout d'abord le choléra dans sa forme la plus grave, on observe l'épidémie cholérique t
holérique comme le premier degré du choléra, comme le choléra dans sa forme la moins grave. Or, le dévoiement cholérique es
6*. Les deux poumons très volumineux, sont complètement carnifiés. La forme lobulaire est parfaitement conservée: chaque lobu
e la fosse : un caillot était engagé dans cette fente. La valvule qui forme le fond de la fosse ovale était un peu éraillée.
ies de sérosité. « A la place du cervelet, membrane gélatiniforme, de forme demi-circulaire, )) tenant à la moelle alongée pa
naissance ? Lies débris du cervelet, la membrane gélatiniforme, de forme demi-circulaire, tenant à la moelle alongée par d
cuisse dans la demi-flexion. 3° A inciser la lame aponévrotique qui forme la paroi postérieure de la gaine du pectine. 4°
me hérissée de mamelons coniques inégaux en longueur, en volume et en forme . Ces mamelons occupent principalement le bord gau
jusqu'à quatre lignes de longueur, et leur imbrication rappellent la forme de la pomme-de-pin ou du fruit de l'ananas auxque
les très déliées, parsemé de gouttelettes de sang. Réflexions. — La forme de péricardite que je viens de décrire est assez
é sanguinolente. Nous aurons ailleurs occasion de parler des autres formes de péricardite et plus particulièrement de son di
l'estomac qui était très ample, était ramollie et s'enlevait sous la forme de pulpe, par le frottement le plus léger. EXPL
ur le vivant, et rendent avec la plus grande exactitude le siège , la forme et les nuances de coloration de la surface de ces
eux dernières vertèbres lombaires. La tumeur lombaire (fig. 2) a la forme d'un cœur de carte à jouer; elle est recouverte p
ince à M. Cayol qui voulut bien me l'adresser. Cette tumeur TL a la forme d'un ovale oblong, dont la petite extrémité regar
mposent aucune limite au déplacement. L'extrémité supérieure du vagin forme un vaste cul-de-sac dans lequel peut aisément plo
'il cède, alors le sang y est retenu; une petite poche sphéroïdale se forme , à parois minces, plus ou moins altérées. Le sang
des veines. Les tumeurs ombilicales elles-mêmes, si volumineuses , de forme sphéroïdale, étaient formées par une veine dilaté
urface du cerveau, m'a permis d'apprécier toutes les circonstances de forme , de consistance et de couleur des circonvolutions
paisseur. L'atrophie des circonvolutions se présente sous plusieurs formes : i° souvent elle consiste dans une diminution pur
orte de lobe provenant » de sa propre substance glanduleuse, ayant la forme et le volume d'une noix, et se portant » dans l'i
que côté de l'orifice de la vessie, et qui étaient du volume et de la forme des testicules. Leur substance était blanche et g
tate proémi liaient à la fois dans l'intérieur de la vessie sous la forme de trois végétations arrondies par leurs faces co
sonde, en dilatant le col de la vessie, en écartant, en changeant la forme delà végétation prostatique proéminente, peut rét
e dans les autres organes. On y rencontre: i° l'atrophie dont une des formes consiste dans la dégénération graisseuse de ces o
es muscles comme dans une gaine, et dans celui qui les pénètre et qui forme autour des faisceaux de divers ordres des gaines
e le ventricule droit est considérablement rétréci par la saillie que forme la cloison du ventricule dans sa cavité. Dans le
our les hernies diaphragmatiques accidentelles. Une masse adipeuse se forme entre le péritoine et le diaphragme, derrière l'a
ine la suit, entraîné qu'il est par cette tumeur. Un sac herniaire se forme et ce n'est que plus tard, et souvent d'une maniè
dehors et en avant, Fautre en arrière près de la ligne médiane. Leur forme était irrégulière. D'une part, elles faisaient un
rale elle-même. Dans le cas d'infiltration, la matière tuberculeuse forme une masse imparfaitement limitée et parcourue par
et du cervelet se présente rarement, comme dans les poumons , sous la forme d'une multitude de petits tubercules pisiformes d
ur de chaque couche optique. Un de ces tubercules, du volume et de la forme d'une bille de moyen calibre , occupait le lobule
es A O, qui sont très flexueuses. L'utérus U est remarquable par sa forme , par l'étranglement qu'il présente à la réunion d
es dans un os contenu dans l'épaisseur des parois du kyste et dont la forme est représentée fig. 6. La fig. 7 montre que les
ion tout-à-fait étrangère au reste des parois, 1° elle est convexe et forme deux tumeurs TC, TC , séparées l'une de l'autre p
'au milieu de ce tissu adipeux était une charpente osseuse DO, DO, de forme fort irrégulière, dont toutes les parties sont co
tus momifié sous deux aspects qui donnent l'idée la plus exacte de sa forme et de sa situation. Son attitude est celle du fœt
s sembleraient n'être que la même observation présentée sous diverses formes . Dans toutes ces observations, les femmes, après
liés entre eux par des brides fibreuses extrêmement résistantes. La forme des acéphalocystes était généralement sphéroïdale
ffrait un aspect très irrégulier (Voyez fig. 1, 3, 4, 5, 6, 7). Cette forme irrégulière était déterminée par celle des kystes
rsqu'elle consistait dans un simple pertuis, le prolongement avait la forme d'un mamelon : on eût dit d'un cysticerque avec s
cerque avec sa vessie caudale. On peut juger par l'irrégularité de la forme de l'acéphalocyste représentée fig. 4, que ces pr
ces productions sont essentiellement amorphes. La régularité de la forme , qui est généralement donnée comme un des caractè
aumé de la main, au niveau des 2° 3e et 4e métacarpiens. On voit sa forme circulaire, sa disposition lobuleuse et comme cre
le linge à la manière de l'encre de la Chine. Leur couleur , et leur forme irrégulière et bosselée leur donnait l'aspect de
, une période de crudité et une période de ramollissement , et quatre formes : i° celle de masses enkystées; i° celle de masse
ccidentels ; i° un tissu mélanique bien distinct de toutes les autres formes de lésions avec lesquelles il peut d'ailleurs se
mais au pigmentum , n'a pas trouvé de contradicteurs. Le pigmentum forme le plus souvent une boue noire; quelquefois il es
acquérir le signe pathognomonique de l'hydrocèle, la transparence, la forme particulière de la tumeur qui plongeait dans l'an
anose. 3° Coloration mélanique des tissus accidentels. Les diverses formes de cancer, la matière tuberculeuse peuvent présen
e, soit qu'il y ait développement successif des tumeurs C'est sous la forme tuberculeuse que le cancer mélanique se manifeste
puis le volume d'un grain de mil, jusqu'à celui d'un oeuf. C'est à la forme tuberculeuse du cancer mélanique que Laennec me p
ait déjà eu plusieurs enfans , dont un , a-t-elle dit, revêtait « une forme extraordinaire: les derniers mois de la grossesse
S OS. (Planche i, xxe livraison.) Les os sont sujets à toutes les formes de cancer qui peuvent affecter les parties molles
a ventosa, d'ostéo-sarcôme, ôiexostose désignent quelques-unes de ces formes . Les figures de la planche i sont destinées à r
ormes. Les figures de la planche i sont destinées à représenter une forme de cancer peu étudiée jusqua ce jour, et qui cons
sses disséminées des os se présente sous l'aspect de tumeurs dont les formes variées et peu régulières sont déterminées par le
es os courts ou des extrémités des os longs, elles n'affectent pas de forme déterminée. Les tumeurs cancéreuses des os prés
est limité à une partie d'os ou à un seul os. Il y a, entre ces deux formes de cancer, la même différence qu'entre la pneumon
des os comme d'ailleurs dans tous les organes, et revêtir toutes les formes qu'ils affectent dans les parties molles. Le fa
ns. Réflexions. — Plusieurs faits m'autorisent à admettre que cette forme de cicatrice du cerveau est la suite du ramolliss
ertes de substance tantôt irrégulièrement circulaires, tantôt sous la forme de stries longues et anguleuses. Le pourtour de c
de substance visible à travers les membranes, qui se présente sous la forme d'un sillon jaunâtre. Une section perpendiculaire
mbrane cel-luleuse d'un jaune-serin très dense qui conserve encore la forme des circonvolutions. Cette altération s'étend jus
encier au lit du malade, l'ulcère chronique de l'estomac de certaines formes de gastrite et de l'ulcère cancéreux de cet organ
r organe, que recouvre une couche de tissu fibreux lisse. La muqueuse forme tout autour un bourrelet circulaire, mais ne se c
23 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ssante observation suivante, à laquelle nous laissons exactement sa forme et ses divisions, nous bornant à indi- quer en
aura sa pathologie comme sa physiologie et que toute une série de formes morbides, classées aujourd'hui parmi les maladi
ectif, intellectuel. 'On retrouve donc, dans l'ordre de gravité des formes morbides comme dans l'ordre de succession des s
e tentative de suicide ; mais ensuite Dieu lui est apparu sous la forme créatrice. * Il ne le voit pas réellement, il n'e
190 et suiv. 5 Excitation cérébrale, délire ambitieux et mystique à forme rémil- lente, évolution chronique citez un dégé
ns les vieux auteurs. Le calviniste Elie Marion sent qu'un esprit forme dans sa bouche les paroles qu'il veut lui faire
croyant dire une sentence, ce n'est qu'un chant inarticulé qui se forme par ma voix. Je ne prononce nulles autres paroles
nce nulles autres paroles que celles que l'esprit ou l'ange de Dieu forme lui-même en se servant de mes organes, c'est à
uto-psychoses circonscrites ou par idées fixes de Wernicke sont une forme de l'ancienne folie partielle. Il y a dans cette
ier difficilement avec le tempérament fataliste de l'Arabe; 13° les formes primitives d'alié- nation et surtout la manie,
» ; par le Dr Serge SOU¡¡HANOFF, Le délire chronique présente une forme où les idées absurdes s'expriment sous l'aspect
arque son état morbide ; mais parfois le délire du malade prend une forme particulière, de sorte que l'entourage ne doute
t de jalousie qui. sous l'influence des circonstances, ont pris une forme particulière, celle du délire processif ou de c
lique, chez qui la mélancolie est récente et ne revêt qu'une de ses formes simples, plus spécialement d'origine infectieus
la première branche de l'artère sylvienne. Ce foyer a à peu près la forme d'une molaire qui serait placée horizontalement
ent se généraliser et arriver imiter pres- que le tétanos, celles à formes épileptoïdes plus rares, et enfin les formes in
e le tétanos, celles à formes épileptoïdes plus rares, et enfin les formes intermédiaires qu'il ne faut pas oublier. On ne d
de menaces de tétanie. F.1301ss11<.1\. XXII. SUR UNE nouvelle forme DE neurasthénie partielle (ANAG : '>1U- SIAS
r désir ou leur volonté. Il se distingue enfin de l'ataxie, une des formes de l'ophasie optique, parce qu'alors les signes g
symptôme pathognomonique du tabès dorsal. Il est constant dans les formes graves de l'ataxie, quand il y a impotence ou a
les prolongements protoplasmiques de la cellule des corpuscules de formes diverses, très particuliers, dont on discute ac
ts, une orientation parallèle. Ces granu- lations ou corpuscules, à forme de bâtonnets, de fuseaux, ou de polyèdres, sont
- ments sont bien conservés; leurs granulations y ont conservé la forme et la disposition habituelles. Même état chez les
int jusqu'à la mort; les autres qui maigrissent et présentent cette forme de marasme que les anciens auteurs considéraien
lement choisi sur un plateau élevé, à deux heures de New-York. La forme donnée à l'asile est celle d'une maison de sûreté
ux locaux d'isolement, surveillance générale rendue facile par la forme des constructions, pavillons cellulaires centraux
refois par une association de Shakers, une colo- ')le disposée sous forme d'un village, la Colonie de Craig, dont le but
de la propre exploration du médecin. Le certificat doit indiquer la forme de folie dont le malade est atteint. § 2. En
rs au plus tard. ' § 5. Un simple certificat de collocation dans la forme prescrite par le § 1 est suffisant : 1° Lorsq
nnelle des diverses régions du cerveau correspond à des variétés de forme et de structure des éléments anatomiques de ces
on qui tend à faire dériver la fonction d'un élément nerveux de la- forme de cet élément ; il combat donc l'opinion qui f
bémas de l'écorce cérébrale de Meynert et d'Exner : l'un montre les formes et la disposition des corpuscules nerveux, qui
nt aux fibres ner- veuses. Quelle est la nature de la substance qui forme le corps de la cellule nerveuse ? Selon Golgi,
ou moins grande de la cellule, des ramuscules arborescents, dont la forme varie, et sert à distinguer les fibres nerveuses
ue apparence de vérité ? Golgi nie qu'il y ait à tenir compte de la forme ou de la grandeur des cellules ner- veuses pour
ngements ner- veux, et dans ses connexions anatomiques, non dans la forme de la cellule, que se trouve à cet égard le seu
. En réalité, Golgi ne trouva dans cette circon- volulion que trois formes distinctes de cellules : u, des cellules pyrami
pyramidales (1 ? 2°, 3° couches de Meynert); b, des cellules fusi- formes (5° couche de Meynert); c, des cellules globuleus
ellules du mouvement et de la sensibilité; anatomiquement, les deux formes d'activité spé- civique du système nerveux cent
uis a été souvent vérifiée, celle de « la non-divisibilité des deux formes d'activité spécifique (sensi- bilité et mouveme
c'est que les filaments nerveux sont~des formations permanentes. La forme ou l'ordre suivant lequel cette colonie sociale
evêtement, vraisemblablement de nature neurokéra- tinique, ayant la forme d'un réseau ou d'une couche continue », s'étend
lenti- culaire. Ces noyaux se distinguent les uns des autres par la forme et l'agencement de leurs éléments 'constitutifs
qui s'amincit encore d'arrière en avant. Ici la zone dégé- nérative forme un L, dont la branche verticale atteint à peu prè
petit vestige près de la corne postérieure. La zone dégénérative forme maintenant un triangle dont le sommet occupe l'ex
u de l'entrée de la 3° ra- cine cervicale, la partie dégénérée a la forme d'une raie étroite qui, exactement adaptée à la
égénérée a la forme d'une raie étroite qui, exactement adaptée à la forme de la limite externe du cordon REVUE d'anatomie
hallucinations visuelles qu'elles ont pu être niées dans les autres formes de folie. Les auteurs, en face du caractère de
e déceler la névrose, n'importe à quel moment et quelle que soit la forme revêtue par elle, épilepsie convulsive, épilepsie
VUE DES THÈSES DE BORDEAUX 151 analogue à celui de l'adulte ; 4° la forme raisonnante, qu'on a appelée le délire des dégé
une manifestation mentale de la neurasthénie, ou, si l'on veut, une forme , la plus amère et la plus subtile, de la neu- r
sont plus préjudiciables que ceux du grand sympathique. Quant aux formes anatomiques auxquelles aboutissent les lésions,
olutionnant avec le temps ont acquis dans l'esprit de J. Seglas une forme définitive. Grâce à l'interprétation donnée par l
ardonne ce néologisme) extériorisées sous 164 PATHOLOGIE MENTALE. forme hallucinatoire en vertu de l'excitation que produ
ervation du malade date du troisième accès de délire qui revêtit la forme de manie aiguë. La surexcitation était plus int
verbales apparaissent dans le délire alcoolique, quelle que soit la forme sous laquelle il se présente. Tous nous avons
ns verbales, sensorielles et motrices se trouvent extériorisés sous formes d'hallucinations dans le délire alcoolique, mai
i ne soient les mimiques, et seulement celles-ci peuvent revêtir la forme d'hallucinations dans un tel cas. Après tout,
gue se produit dans les hallucinations verbales, quelle que soit la forme mentale sous laquelle elles se présentent. Quel
pareil à l'aliénation mentale en général, et à quelques-unes de ses formes en particulier, qui s'appelle le rêve ; qu'il s
onnalité. Paris, 1891. ! Ballet. Le langage intérieur et les diverses formes de l'aphasie. Paris, Alcan, 1888. 3 Stricker.
ns ses éléments fondamentaux, le rêve pourra ressembler à certaines formes de l'aliénation; seulement en ceci il pourra re
psychique. Les rêves ont déjà plus de ressemblance avec d'autres formes mentales, telles que le « délire hallucinatoire »
s verbales avec une intensité suffisante pour les extérioriser sous forme hallucinatoire, il extériorise plus difficileme
ue, l'éducation les a dotés des modes de langage suivants, nos deux formes de langage de réception (audition et vision ver
ents spéciaux du langage dactylologique. A côté de cette dernière forme , et comme trait d'union entre le langage verbal
Il possède avec toute la perfection possible chez ces individus les formes de langage citées plus haut. De plus il a des not
ement des lèvres. Ses réponses sont faites par l'une ou l'autre des formes du langage de transmission selon la nature du fan
logue à celui employé en 1894 par M. Ferrant, décrire les six - 2 formes fondamentales et.les nombreuses formes combinées
Ferrant, décrire les six - 2 formes fondamentales et.les nombreuses formes combinées v de l'aphasie chez les sourds-muets.
avail qui pourra s'intituler « le langage intérieur et les diverses formes d'aphasie chez les sourds-muets ». M. Ballet no
ymboliques sensorielles et motrices en har- monie avec les diverses formes de leur langage particulier. CLINIQUE MENTALE.
Cliarcot-Debove. Paris, 1894. 2 Nous ne comptons pas les diverses formes de mimique rationnelle ou conventionnelle. 3
minale de nos délires religieux systé- - matisés, peut affecter des formes démentielles variées ; c'est tantôt une démence
sa bouche. En terminant, nous opposerons aux types précédents les formes frustes écloses sur un terrain dégénératif plus n
ormes frustes écloses sur un terrain dégénératif plus net, dont les formes extrêmes du moins, ne sauraient prêter à confusio
ar les auteurs même qui opposent aux psychoses des héréditaires des formes de délires pathognomoniques d'un état dégénérat
des hosties et des profanations d'hosties. Tout ce qui avait une forme circulaire, tout ce qui était blanc, sans même av
forme circulaire, tout ce qui était blanc, sans même avoir cette forme , était une hostie ou une portion d'hostie. Dans l
tages, dans les sauces, il y a de la graisse fondue et affectant la forme circulaire : ce sont des hosties ; dans le pain,
, les matières fécales, encore des bulles, et par conséquent, des formes circulaires : on ne doit donc rien rendre, car on
llerons'que Schule, parmi les para- noïas dégénératives, décrit une forme onanistique du délire religieux et que Krafft-E
le est cette malade de Morel, citée par M. Ritti (La folie à double forme ) . Elle se croit tour à tour religieuse ou pros
rs, convulsions. ? Cyanose à la naissance. Premières convulsions sous forme d'état de mal à 5 ans avec prédominance à droit
ur, il fut pris d'une nouvelle crise, qui dura jusqu'à minuit, sous forme d'état de mal. Les secousses convulsives, qui éta
r symptôme capital les convulsions qui se sont pré- sentées sous la forme d'un état de mal. Elles ont duré sept heures sa
sclérose cérébrale hémisphérique. 203 serve communément dans cette forme symptomatique du mal comitial. Bien que, en gén
us dispensent d'insister. Rappelons seulement qu'il s'agit là d'une forme assez rare de sclérose cérébrale. Comme lésions
me une méthode de traitement d'im- portance capitale dans certaines formes de folie ; il se base pour soutenir cette opini
, ne voulant parler que de ceux qui ont été soumis au repos sous la forme la plus complète) étaient plutôt favorables au
im en signalait la valeur au point de vue du diagnostic de diverses formes de méningite. Celte année (1895). Fùrhinger a d
s qu'elle peut encore rendre dans des cas exceptionnels, et sous la forme très atténuée qui a été indiquée ? il serait ab
at de l'esprit comparé aux autres altérations mentales. Il y a deux formes d'attention, une attention naturelle ou spontan
d'imbécile, mais ce n'est pas l'imbécile type : chez l'imbécile de forme moyenne, en effet, l'attention peut être altérée
e l'accusé ne permit de découvrir aucune donnée se rapportant à une forme clinique quel- conque d'aliénation mentale. La
LE GOITRE EXOPHTALMIQUE; par le Dr Serge SOUKHANOFF. Différentes formes de maladies mentales accompagnent le goitre exo
ntal qui accompagne le goitre exophtalmique prend extérieurement la forme de manie ou de mélancolie ; d'autres fois, c'es
rement la forme de manie ou de mélancolie ; d'autres fois, c'est la forme intermittente, comme aussi la forme d'obsession
colie ; d'autres fois, c'est la forme intermittente, comme aussi la forme d'obsession avec impulsions irrésistibles, de dél
e délire chronique, de paralysie générale, etc. Bien que toutes ces formes ne soient pas en rapport direct avec le goitre
e, et qu'on ne puisse encore, à l'heure actuelle, considérer aucune forme typique de maladie mentale comme se rapportant
les idées fausses se manifestent dans l'aliénation mentale sous des formes très différentes qui peuvent se ranger en deux
les maladies mentales en général, des données étiologiques et de la forme mentale particulière à chaque cas. J. SÉGLAS.
Observations; expériences. P. K. XXVI. SUR QUELQUES caractères DES formes PSYCIIOPATIIIQUES dans LE MIDI DE L'ITALIE ; pa
mier symptôme qui attire l'attention ; l'auteur décrit avec soin la forme de la tête et les autres symptômes principaux [de
ental Science, janvier 1896.) L'auteur résume son opinion sous la forme suivante : il croit que l'homme est en moyenne
XXXVII. Rapports DE L'AUTO-INTOXIC.ITiON intestinale avec certaines formes communes DE la folie ; par ALLAN MACLANE IIAÜILTO
ut par des concepts, les états de stupeur chro- nique, et certaines formes de démence n'ont guère de relation avec les pro
isme des deux ordres de symptômes. Sans préciser pour chaque cas la forme de folie, on peut remarquer que dans les douze
et aprèsrles blessures et les opérations, c'est la manie qui est la forme la plus commune de folie ; mais, dans les autre
utres conditions, la dépression est plus fré- quente ; toutefois la forme la plus ^répandue est une folie avec délire acc
sions cardiaques et après la fièvre typhoïde; 4° Il n'existe aucune forme spéciale de folie se rattachant à telle ou tell
disparaissent qu'avec la vie. R. DE lIIUSGRAVE-CLAY. XL. SUR UNE FORME d'idiotie DE famille, A terminaison généralement
et l'hyperacuité de l'audition. Quelquefois aussi l'imbécillité, à forme très accentuée, remplace l'idiotie. Les altérat
ctuelles de la société se des- sinent vers l'évolution des diverses formes mentales. Il exprime enfin le souhait que la So
es. Ces derniers sont généralement de nature dépressive, rarement à forme expansive. Le plus important de ces états affec
te et, en raison de cette disposition d'humeur, il perçoit sous une forme douloureuse les sensations provenant de son pro
n n'a pas encore expliqué le rapport qui existe entre le crâne en forme de tour et l'atrophie optique ; cependant, étant
a folie, par Richardson ; - Médication thyroï- dienne dans quelques formes de troubles mentaux, par Clarkee; - Observation
ins états de mentalité, elles sont également applicables à d'autres formes de conduite auxquelles ne s'applique pas l'épi-
nd lieu nous trouvons les mômes fonc- tions altérées sous une autre forme qui est la perversion. La perversion consiste e
branches nasale et linguale du trijumeau, sont des paresthésies de forme variable ; nous les avons surtout observées du
nue, on peut se croire en présence du délire de persécution dans sa forme habituelle. Le tabes peut être fruste, caché au
e de persécutions dont il diffère au fond et dont il n'est qu'une forme purement symptomatique. Le diagnostic se fera f
e l'odo- rat et du goût sont manifestement touchés dans certaines formes du tabes, c'est-à-dire que leur lésion s'accompag
n point important, sur lequel nous reviendrons. C'est donc liés aux formes bulbaires du tabes et accompagnés d'autres sign
s bulbaires du tabes et accompagnés d'autres signes habituels à ces formes que s'observent les troubles du goût et de l'od
'anesthésie, soit par la perversion, ou se montrer atteints sous la forme intermittente et représenter des accidents plus o
une atrophie avancée. Elles étaient petites, apparais- sant sous la forme d'un corps festonné, allongé, avec des granulat
on étaient loin de présenter cette lésion qui était disséminée sous forme d'îlots de cellules. Le processus congestif éta
es nerveuses à prolongements nerveux longs ou courts, et toutes les formes de transition existent à cet égard dans l'écorc
térieur du côté opposé (cel- lules commissurales dont le cylindraxe forme la commissure anté- rieure en se rendant au cor
ifférenciées entie eux, un seul de ces filaments dont l'origine, la forme et la position seraient constantes, assume, dans
ellules du tissu connectif et dans celles de la névroglie ; elle ne forme toutefois d'amas con- sidérables que dans les g
rébrales de celles de la moelle et des ganglions, n'est pas dans la forme extérieure, mais sans doute dans l'architecture
s, reptiles, oiseaux, mammifères, et qui ont été énumérés. IV. La forme allongée des cellules pyramidales, avec ses pro-
ribuer, au moins en partie, le progrès de la fonction à celui de la forme et de la complexité croissante de l'organe, c'e
ue nous sommes de ce qu'est « le mouvement psychique et sous quelle forme demeure latente la perception directe pour se c
voquée par une image visuelle, souvenir acous- tique réveillant des formes et des couleurs, etc.) auraient pour substratum
be optique, etc., présentent constamment la même extension, la même forme , le même degré de rapprochement entre les corps
vité des cellules nerveuses, que, pendant l'activité psychique, les formes des cellules de la névroglie de la substance gr
ans l'intervalle de ces états toutes les transitions possibles. Ces formes , qui ne sont que des phases diverses d'un proce
en et par d'autres, mais elles ont été considérées à tort comme des formes fixes, comme des variétés mor- phologiques des
nées. Ce sont ces cellules qui ont apparu à Ramon y Cajal sous deux formes correspondant à des phases d'activité différentes
894, p. 38), celles dont l'origine est plus ancienne présentent des formes plus différenciées que celles qui ne descendent
les en araignées; dans le cerveau, on ne ren- contre encore que des formes de transition. Chez les amphibiens et les repti
des formes de transition. Chez les amphibiens et les reptiles, ces formes de transition se montrent dans la moelle épiniè
ces vertébrés, qu'un caractère plutôt embryonnaire, on retrouve les formes primitives de ces éléments. Les cellules épithéli
, les cellules épithéliales et celles qui se rapprochent déjà de la forme des cellules en araignées se montrent dans l'éc
ne juge pas du tout l'accusé, et on l'interne, ce qui est une autre forme d'illégalité. Naturellement les jurisconsultes,
t aliéniste, M. Yellowlees, après quelques considé- rations sur les formes de l'ivrognerie habituelle, constate le piteux
rvalles plus ou moins éloignés, avec seulement quelques variétés de forme sans impor- tance, ou quelques différence d'int
'auteur ne peut guère s'empêcher de le rattacher, au moins dans ses formes légères, au REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 323
inion de quelques personnes déterminées, ce qui peut être comme une forme atténuée de mélancolie. L'auteur n'ignore pas q
s, etc. Les manifestations de l'épilepsie sénile revêtent tantôt la forme du grand mal, tantôt celle du petit mal; les éq
rophique des enfants. Ces faits montrent la parenté de ces diverses formes de lésions héréditaires des voies motrices; par
emment est déterminée par une maladie infectieuse. Puis viennent la forme centrale de la paralysie de Landry, la myélite
prédominantes des cordons latéraux et postérieurs). Entre ces deux formes prennent place les myélites disséminées, la scl
élites disséminées, la sclérose multiple, la myélite transverse. La forme centrale de la paralysie de Landry est une mala
d'un poinl déterminé. Aussi la polyomyélite antérieure est-elle la forme de myélite la plus fréquente ; puis viennent les
est-elle la forme de myélite la plus fréquente ; puis viennent les formes disséminées (elles sont les plus communes à l'â
e la moelle sont les plus rares. On rencontre d'ailleurs toutes les formes de transition : la paralysie infantile spinale n'
aussi atteint. La myélite centrale diffuse de Hayem parait-êrte une forme de transition entre la myélite trans- verse et
s nerfs optiques ou la protubé- rance, se fait quelquefois sous une forme aiguë. Elle paraît ne se distinguer des myélite
e continuer, à l'âge adulte, d'une façon lente et progressive, sous forme d'atrophie musculaire spi- nale, ou d'une façon
elle de sujets adultes, l'existence de cellules identiques par leur forme et par leur situation aux cellules de l'épendym
urs les prolonge- ments protoplasmiques de quelque autre cellule et forme autour de ceux-ci tout un réseau d'arborisation
térieur des neurones est d'une extrême variété. Mais, il existe une forme caractéris- tique de neurones pour chaque régio
e substance a la propriété de se contracter et de prendre une autre forme ; toutes les modifications s'y produisent t 340
put constater que la cellule ne reste pas en repos, mais change de forme . De même que l'amibe, la dendrite est munie d'u
même que l'amibe, la dendrite est munie d'un protoplasma mobile, de forme variable, dont les ramifications produisent de
ivement à ses fonctions. Quoique de volume inégal et de différentes formes , les cellules pyramidales gardent partout leurs
lules pyramidales, se trouvent d'autres éléments nerveux qui ont la forme de corpuscules fusiformes, triangulaires et pol
es ramilles terminales du panache protoplasmique peuvent changer de forme , peuvent s'augmenter et se diminuer, tantôt s'é
yramidale quel- conque. Une grande quantité de ces fibres nerveuses forme une longue voie d'associàtion entre le lobe fro
ar l'organe de la vue, se trans- met tôt ou tard, en telle ou autre forme et après avoir subi des modifications, aux voie
des papiers à passer les plus em- ployés. La couleur de ces papiers forme une gamme chroma- tique allant du brun, brun ve
e. Le noyau n'est presque jamais rond; il est aplati, présentant la forme d'un ellipsoïde plus ou moins régulier. D'une m
le patient, alors que persistait la tétanisation. C'est donc une forme de réaction nerveuse nW1'otunique qui est l'opp
ieure; au-dessous de ce niveau (deuxième racine sacrée) il prend la forme d'un coin très mince dont la base touche la pér
l va en dimi- nuant progressivement d'étendue tout en conservant sa forme et ses rapports avec le sillon ; 5° ses fibres
s, 15 depuis plus de dix ans, les autres depuis moins de trois ans. Formes des maladies : REVUE DE pathologie mentale. 371
de possession doit être considéré comme pouvant faire partie des formes les plus variées de psychopathies, bien que plus
imaginatives uni à la ten- dance à concevoir toutes les idées sous forme concrète et sensible, et enfin la fusion entre
'irrita- tion sensorielle et la lucidité, particulières à certaines formes , certaines des conditions psychologiques indisp
es, évidentes dès les premières années. Elle peut, surtout dans les formes précoces, s'engendrer en grande partie, tantôt en
cte. - ). En prenant en bloc toutes les catégories de la folie, les formes acquises comme les formes congénitales, on trou
oc toutes les catégories de la folie, les formes acquises comme les formes congénitales, on trouve que le père aliéné tran
es récents, tels que les rémissions, la paralysie générale à double forme et surtout les pseudo-paralysies générales d'or
renant le mot dans ce sens il s'attache à décrire quelques- nnes do formes les plus communes qui simulent la paralysie géné-
ui est observé chez l'adulte, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 379 la forme précoce de la paralysie générale est aussi fréque
quatre-vingt neuf cas, on n'a observé que dix fois un début sous forme aiguë. La nature de l'affectioh n'est plus douteu
néral, chez les neurasthéniques, on ne constate que des troubles de forme dépressive. Au contraire, chez le paralytique il
es à la paranoïa. Il montre qu'elles peuvent se rencontrer dans les formes dépressives de l'involution sénile. Ces malades
les psychoses épileptiques spécifiques. 2° Les troubles épilepti formes consécutifs aux intoxications chroni- ques (alc
en foyer des centres moteurs ou des faisceaux qui en émanent. Cette forme ne s'accompagne pas de folie épileptique. 4°
ces). 5° L'épilepsie consécutive à lapolioencéphalite de l'enfance ( forme hémiplégique des accès). Au point de vue de l
st renversé ; 3° avant ou après l'accès, excitation violente sous forme de manie qué1'ulante. Pas d'amnésie, pas de désor
n- trerait. Peut-on diagnostiquer la folie épileptique d'après la forme du délire ? - Wildermuth le croit, en se basant
états de confusion, de fureur maniaque sont plus rares. Toutes ces formes sont accom- pagnées d'un trouble plus ou moins
pileptique, on tiendra compte de la fréquence des attaques, de leur forme , du nombre de jours qui sépare l'accomplissemen
nt pas forcément de nature fantastique ; ils peuvent persister sous forme d'idées délirantes ou se développer en se systéma
p. 100 si l'on ne tient compte que des observations complètes. Ces formes des états épileptoïdes sont la source de grosse
ve quelques particularités concernant l'état de la mémoire daus les formes d'obnubilation transitoire de l'épilepsie : la
parle des crises convulsives chez les alcooliques. A côté d'autres formes , on voit parfois les accès se présenter sous fo
côté d'autres formes, on voit parfois les accès se présenter sous forme de convulsions tétaniques avec persistance de la
s épileptiques spécifiques ; elles se rencontrent en effet dans les formes aiguës de la paranoia. Il en est de même de la
t observée aussi dans les folies intermittentes, et dans d'au- tres formes . Il faut, surtout devant les tribunaux, être très
. L'auteur, après avoir insisté sur la nécessité de délimiter des formes cliniques en se basant surtout sur le pronostic,
ysie générale, tandis que .la dégénérescence hyaline évolue sous la forme de la démence sénile. SOCIÉTÉS SAVANTES. 403
e Strasbourg, dans lesquels des apoplexies répétées ont réalisé une forme clinique analogue à la paralysie générale. La p
paralysie générale d'une part, et la démence sénile de l'autre, une forme clinique bien caractérisée, la démence apoplect
on de volume du noyau, du corps cellulaire et, dans le noyau, il se forme une substance qui prend la couleur. Nissl consi
rmis inférieur la tumeur pénétrait dans la substance du cervelet en forme d'un noeud isolé. Les auteurs ont fait mention
mêmes lésions expliquent suivant le point où elles prédominent les formes cliniques très variées qui ont été observées depu
entraînent une stase vei- neuse qui prolonge la convulsion sous la forme clonique. La pâleur de la face au début, le car
e pour les 30 à 40 p. 100 des autres malades, villas disposées sous formes de village avec place publique entourée de tous
s'est chargée d'offrir, avec les maladies de l'âme et les diverses formes d'aliénation mentale, un moyen d'études des plu
tante, ayant malaux dents, m'envoyait acheter deux sous de chloro- forme . J'ai versé le chloroforme dans la bouteille et l
né lieu, en ce qui concerne ses premières périodes, ses différentes formes clini- ques, sa nature et sa curabilité, à d'in
our les causes de mort, les attaques apoplectiformes et épilepti- formes ... Citons ensuite la pneumonie (p. 100 et 101) ».
ns gangreneux, etc. (p. 348) ». Enfin d'après Krafft-Elung3, « la forme du stade terminal est une et la même pour tous
la même pour tous les malades, quelle qu'ait été l'évolution ou la forme de la période intervallaire... La démar- che de
t inverse. Je considère les attaques apoplectiformes ou épilepti- formes non comme une complication de la paralysie généra
les dents sont d'un émail magnifique. La voûte du palais est d'une forme ogivale très prononcée. A sept ans il fit ses p
te attitude, la marche ressemble alors à celle de l'astasie-abasie ( forme paralytique), jusqu'à ce qu'arrive le moment où
dit déjà, Guadalupe est né avec la tête si molle qu'elle prenait la forme Fig. S. 454 RECUEIL DE FAITS. de la surface
u pariétal et de l'occipital (fig. 8), au lieu de présenter la même forme arrondie que la région opposée, est aplatie et
e forme arrondie que la région opposée, est aplatie et reproduit la forme de l'oreiller sur lequel s'appuyait cette parti
il a conservées avec lui en naissant. Clinquement parlant, ce cas forme partie du groupe varié compris aujourd'hui sous
il était presque intact. Ce cas fournit un excellent exemple de la forme très rare de méningite tuberculeuse, dans laque
laquelle les enveloppes de la moelle sont attaquées les premières, forme spinale, forme ascendante. Vraisemblablement l'
nveloppes de la moelle sont attaquées les premières, forme spinale, forme ascendante. Vraisemblablement l'infection tirai
le microscope décèle des lésions myélitiques assez graves et d'une forme très singulière. Dans la partie sacro- lombaire
s dyspeptiques, s'étant trouvés dans 05 p. 100, de tous les cas. La forme la plus ordinaire de la dyspepsie a été l'hyper
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. .convulsions se montrent d'emblée sous la forme clonique, les malades conservent parfois assez
oubles réflexes, se rattachent à des lésions plus étendues ou à des formes combinées. 476 REVUE DE pathologie NERVEUSE.
yl'us. En occupant la partie postérieure du corps, cet organe d'une forme cylindrique est composé de quatre parties : deu
u muqueux qui subdivise l'organe en question en série de lamelles à forme triangulaire. Les nerfs s'attachent au côté pos
ombaire avait un aspect d'une large fente, qui plus haut prenait la forme d'un rein; encore plus haut se détachait du côt
ut se détachait du côté postérieur du canal central une cavité en forme de tube. Elle était close dans la partie supérieu
tes à une heure. L'auteur trouve que nous avons affaire ici à une forme de narcolepsie pure, en contraste de l'état narco
ue totale de la faculté de compréhen- sion du sens; 4° par quelques formes d'agramalisme, qui sont si propres à l'amentia
gènes, fibres de cordon. Chaque système occupe une place définie et forme un faisceau individualisé. Ainsi, le système ra
auteur considérée ; latéral pour la moelle cervicale et dorsale, il forme la virgule de Seliultze médian au niveau de la
e. Il faut aussi prendre garde à la possibilité de l'association de formes diverses de l'aliénation à l'épilepsie. Le déli
dies du coeur et des -, par Fronda, 372. Neurasthénie. Nouvelle forme de partielle par Bianchi, 56. Rap- ports du p
Paranoïa inventoria, par Shouka- 11 oit. Paranoïaques. Délire et formes -, par del Greco, 372. PARAPHASIE et surdité
1 rapports avec la folie, par Rivers, , 232. Psychopatiiiques. Formes - dans le midi de l'Italie, par del Greco, 22
24 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
rdons postérieurs, dans l'ataxie locomotrice progressive, est une des formes de la sclé-rose des centres nerveux. La scléros
prédominent aux: membres supérieurs, et à la région lombaire dans la forme commune, c'est-à-dire quand, les phénomènes morbi
he I, Fig. 2). Sur les coupes transversales, elles se montrent sous forme de deux tractus gris, dirigés d'avant en arrière
L'ataxie locomotrice se montrait en effet, chez cette femme, dans la forme généralisée. Les dou-leurs fulgurantes et l'incoo
une de l'autre, ou, au contraire, entrer en combinaison. L'une de ces formes pourrait être désignée sous le nom de sclérose fa
quant à présent, quels symp-tômes particuliers se rattachent à cette forme de la sclérose postérieure. L'autre forme, la scl
liers se rattachent à cette forme de la sclérose postérieure. L'autre forme , la sclérose fasciculée latérale des cordons post
ment, M. Wilks et M. Lockhart Clarke 1 ont appelé l'attention sur une forme de paraplégie qui s'observe, paraît-il, assez fré
m de paraplégie alcoolique. Un des traits les plus saillants de cette forme pathologique paraît être l'exis-tence de douleurs
re. Il y a lieu de se demander si, ici encore, il ne s'agit pas d'une forme particulière de tabes, d'o-rigine alcoolique cett
leurs fulgurantes pour-ront être rapportées, presque à coup sûr, à la forme parti-culière de sclérose postérieure qui conduit
dant plus de six ans dans nos salles. Voilà, incontestablement, une forme de cardialgie bien sin-gulière, bien remarquable
vous, une occasion d'observer l'ataxie fruste dans quelques-unes des formes variées qu'elle peut revêtir. 1° La nommée Mar.
syphili-tique et la paralysie générale. De la neuro-rétinite. — Ses formes , ses symptômes. — Différences qui la séparent de
re l'amaurose des ataxiques, et de la distinguer de toutes les autres formes d'affaiblissements de la vue. En ce qui concern
dier. A. l'œil nu, l'altération du nerf optique se présente sous la forme d'une induration grise, dont l'aspect rappelle à
ect de la papille optique à l'état normal. —Vous n'avez pas oublié la forme ovaloïde que celle-ci présente; ses contours très
progressive. La papille n'a pas éprouvé de changement, soit dans sa forme , soit dans ses dimensions; ses contours sont touj
ezowski, Benedikt), est en quelque sorte spécifique : il s'agit d'une forme particulière d'achromatopsie caractérisée ainsi q
n persister au moins à un certain degré. Les auteurs admettent deux formes principales de neuro-rétinite. En premier lieu, v
sant pour cause une simple congestion avec exsudation sé-reuse. Cette forme serait liée surtout à l'existence de tumeurs in
. Il existerai!, d'après cela, une sorte de transition entre les deux formes de la neuro-rétinite. 2° La seconde de ces form
on entre les deux formes de la neuro-rétinite. 2° La seconde de ces formes est habituellement désignée sous le nom de yieuro
lques ophtal-mologistes, et entre eux de Graefe, prétendent que cette forme est liée d'une manière spéciale à la méningite, e
ce d'une méningite. Cette atrophie scléreuse caractérise la seconde forme , ou, si l'on préfère, le deuxième degré de la név
s sont les caractères qu'of-fre au clinicien la papille dans ces deux formes ou, si vous le voulez, dans ces deux périodes de
enant les caractères de la névrite opti-queconsidérée dans la seconde forme ? La papille, en quelque sorte élargie, se montre
spère vous faire partager ma ma-nière de voir, il s'agit là d'une des formes multiples de l'ar-thropathie spinale ? Qu'est-ce
arthro-pathies de l'ataxie locomotrice, suivant moi, seraient une des formes de ces affections articulaires, développées sous
aru sans laisser de trace. Voilà, Messieurs, un beau spécimen de la forme bénigne et précoce de la maladie. Deuxième cas.
got. Œuvres complètes, t. ii. 5 nit, d'autre part, un exemple de la forme m.aligne, c'est-à-dire avec désorganisation rapid
ple aux trois premiers cas qui, eux, je le répète, appartiennent à la forme bénigne, laquelle peut se terminer par la guériso
arrière (Fig. 6). Ce cas revient de droit, comme le précédent, à la forme des-tructive de Tarthropathie, puisqu'il y a une
ues mois, le gon-flement disparaît et alors tout rentre dans l'ordre ( forme déni- ataxiques, qu'une arthrite traumatique oc
, répondant à une usure des surfaces osseuses, des luxations variées ( forme mali-qne). En dépit de ces lésions profondes, le
tés. 6° On nous dit encore que, dans l'immense majorité des cas, la forme mono-articulaire de l'arthrite sèche, reconnaît p
épinière, je crois pouvoir déclarer qu'il n'est peut-être pas une des formes morbides auxquelles elle est assujettie qui ne pu
raplégie douloureuse des cancéreux. I. Messieurs, Il existe une forme particulière de paraplégie qui résulte de la comp
ple) se tuméfient d'une manière re-marquable, tout en conservant leur forme . Histologiquement, nous retrouvons dans ces tum
ut devenir le point de départ d'un hématome (cas de Kùhle) 1 ; 2° une forme de la pachyméningite particulièrement fréquente a
hydatiques, peuvent y avoir leur siège primitif. Selon Traube, il se forme aussi dans ce tissu cellulo-graisseux des abcès q
e sur la dure-mère, d'avant en arrière; mais, rarement, le champignon forme un anneau parfait, de telle sorte que la moelle n
la suite du cancer du sein, principalement quand celui-ci revêt les formes dures du carcinome. On l'observe aussi consécutiv
ues que subit la moelle au niveau du point comprimé. — Changements de forme ; ramollissement, indura-tion. — Myélite intersti
ltération de texture plus ou moins profonde, en plus du changement de forme causé par la compression. Il ne s'agit pas là,
en pareil cas, appartient plus spécialement à l'une ou à l'autre des formes décrites par M. Broca. Tout ce que je puis affirm
us attacher. Car c'est leur présence surtout qui impose aux diver-ses formes de la compression spinale lente une physionomie à
sera facile ensuite d'appliquer, dans une certaine mesure, aux autres formes , les résultats que va nous fournir cette première
une physionomie propre à la maladie. C'est lorsqu'il s'agit de cette forme -là, et de celle là seulement, qu'il est juste de
s haut degré, dans la paraplégie par compression que dans toute autre forme de paralysie des membres inférieurs. Mais il ne f
t tranchant. Cependant le médecin est appelé à observer parfois cette forme symptomatique, et, en particulier, lorsqu'il s'ag
iques de la moelle épinière. Je l'ai pour mon compte observé, sous la forme bien dessinée d'hémiparaplégie avec anesthésie cr
es nerveuses mo-trices et tumeurs de la moelle, cause d'une troisième forme de la paraplégie cervicale. De quelques symptôm
certaines parti- I. Nous nous occuperons, en premier lieu, d'une forme singu-lière de paralysie qu'on peut rencontrer en
gré relativement moin-dre. 11 n'est pas très rare de rencontrer cette forme de paraly-sie dans le mal de Pott cervical. a)
sau-rait, Messieurs, je le repète, mettre en doute l'existence de la forme de paralysie des membres supérieurs sur laquelle
éclarer que trois fois j'ai observé ce phénomène persistant, sous une forme très accentuée (20, 30 pulsations par minute), à
p. il. 2 Brown-Séquard. — Diagnostic et traitement des principales formes de paralysie des membres inférieurs. Paris, 1864,
graves. Enfin, Vexaltation des propriétés réflexes, les différentes formes de l'épilepsie spinale qui se voient dans certain
s les cadres classiques, h paralysie glosso-labio-laryngée, certaines formes de l'atrophie muscu-laire progressive, etc. J'esp
isée principalement dans la substance grise, y/iématomyélie, diverses formes de myélite traumalique, soit qu'il s'agisse d'une
la paralysie, atteignant seulement les membres infé-rieurs, revêt la forme paraplégique. En résumé, on observe ici une par
r plus dans la paralysie spinale infantile que dans toutes les autres formes de paralysie des membres". C'est peut-être le lie
que par excellence, et qui, dans l'immense majorité des cas, revêt la forme du varus équin. La laxité des ligaments est ext
ainsi que l'avait parfaitement reconnu M. Laborde 2, le volume et la forme des masses musculaires peuvent être, jusqu'à un c
ois méconnus ou mal interprétés. Or, d'après ce que j'ai lu ou vu, la forme de paralysie spinale dont il s'agit, ne serait pa
èrent ici en général singulièrement de ce qu'ils sont dans les autres formes de paraplégie à début brusque, c'est là un fait a
ements s'atrophient à leur tour, en même temps que le corps prend une forme globuleuse ; bientôt les prolongements ne sont pl
ément, indépendamment de toute lésion de la névroglie, dans certaines formes , par exemple, d'atrophie musculaire progressive,
e, ou de paralysie bulbaire (Fig. 10, C, D). 5° Enfin, une dernière forme d'altération de la cellule nerveuse motrice est c
pour une bonne part, à séparer nettement cette affection des diverses formes de la myélite aiguë diffuse ; elle est phy-siolog
contraire, se rencontrer à des degrés divers, dans toutes les autres formes aiguës d'affection spinale, parce que toutes elle
Il paraît certain que, à peu près toujours, l'épanchement de sang se forme là, au sein de parties préalablement modifiées da
substance grise, tel est le sub-stratum anatomique dans une certaine forme d'atrophie muscu-laire progressive qui répond à p
la qualification de spinale protopathique. La constitution de cette forme protopathique de l'atrophie musculaire spinale, q
une vérification anatomique a eu lieu, voici l'énoncé des principales formes d'affectiun de la moelle épinière qui peuvent don
nent se joindre des amyotrophies à marche pro-gressive . 6° Mais la forme pathologique que je veux relever particu-lièremen
e-même. Ces secousses fibrillaires n'appartiennent pas en propre à la forme protopa-thique. J'ajouterai, en outre, qu'elles s
sains. Elles constituent parfois, dans ce cas, un des symptômes d'une forme particulière d'hypochondrie, assez fréquente, soi
actilité faradique est déjà remarqua-blement modifiée. tiennent aux formes deutéropathiques (sclérose postérieure, sclérose
avec les déformations par contracture, qui se montrent dans certaines formes deutéropathiques et y jouent un rôle intéressant
les conditions habituelles, l'a-trophie vraie dure dix-huit ans sous forme partielle, dix-huit ou vingt ans même, alors qu'e
f du mal *. D'après la considération des caractères anatomiques, la forme d'atrophie musculaire progressive, dont il s'agit
'atrophie des racines antérieures comme le caractère anatomique de la forme d'atrophie musculaire dont il a contri-bué à éluc
ique. Nous allons voir qu'elles n'appartiennent pas en propre à cette forme patholo-gique et qu'elles se retrouvent avec les
ns trophiques des mus-cles. Messieurs, Nous en avons fini avec la forme d'atrophie musculaire pro-gressive qui relève d'u
le le processus inflammatoire peut ainsi se limiter systématiquement, forme pendant la vie fœtale et jusque dans les premiers
ligne fictive transversale, qui passerait par la commissure, sous la forme d'un espace triangulaire correspondant à la parti
res d'altérations constitue juste-ment le substratum anatomique de la forme pathologique sur laquelle je veux appeler votre a
f dans l'exposé clinique, à savoir que l'atrophie musculaire, dans la forme nosographique qui nous occupe, porte rarement sur
les faisceaux mus-culaires y sont atrophiés. Cette conservation de la forme et du volume de l'organe s'explique, dans les cas
tion tran-chée entre la sclérose latérale amyotrophique et les autres formes (X atrophie musculaire spinale, deutéropathique.
tions plus ou moins parfai-tes, qui se rapportent de tous points à la forme pathologique en question et je les ai mises à pro
gressive protopathique. III. Mais les véritables caractères de la forme pathologique, dont la description nous occupe, so
est ce dont témoigne, entre autres, le cas de M. 0. Barth. IV. La forme de paralysie amyotrophique qui nous occupe s'ac-c
s, elle reste limitée, durant quelque temps, à un côté du corps, sous forme hémiplégique. Enfin, dans deux cas, elle a débuté
le amyotrophique. — Amyotrophic consécutive à l'ataxie locomotrice. — Forme particulière de l'atrophie musculaire en pareil c
t temps, par conséquent, de commencer l'exposition de quelques autres formes ^atrophie musculaire spinale deuté- 1 Leçons su
sont à peu près permanentes, mais s'exaspèrent de temps à autre, sous forme d'attaque. Elles retentissent souvent dans les
manière constante ; mais, comme elle ne s'observe pas dans les autres formes d'atrophie musculaire spinale, elle n'en fournit
puis me dispenser d'arrêter un instant votre attention sur une autre forme de myopathie, que M. Duchenne (de Bou-logne) a le
rares. C'est une lacune regrettable. Combien de fois, en effet, cette forme d'amyotrophie, presque toujours confondue avec l'
ns la série des amyotrophies spinales, place in-termédiaire entre les formes aiguës et les formes chroniques, mais l'anatomie
rophies spinales, place in-termédiaire entre les formes aiguës et les formes chroniques, mais l'anatomie pathologique n'a pas
ai pas, Messieurs, après ce qui précède, à énumérer toutes les autres formes possibles de l'amyotrophie spinale deutéropalhiqu
nom, pourraient être ramenés par la critique, à l'une quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules n
particulier, se montrer accidentellement, il est vrai, dans diverses formes d'amyotrophie spinale deutéropa-thique. Seule, la
tte névrite ou cette atrophie nerveuse progressive d'où dériverait la forme d'amyotrophie dont il s'agit. L'observation si in
ent les lésions du grand sympathique font absolu-ment défaut dans les formes les plus variées de l'amyotrophie progressive spi
tain nombre d'affections élémentaires dont la combinaison produit les formes complexes, celles-ci pouvant être, à leur tour, à
bres. — Pronostic et traitement. — Diagnostic: Sclérose en plaques de forme spinale, contracture hystérique, myélite trans-ve
articulière, foncièrement distincte, à mon avis, de toutes les autres formes de la myélite chroni-que. Cette affection, que je
que je vous proposais tout à l'heure d'accepter pour distinguer cette forme pathologique. L'affection dont il s'agit reconnaî
a chose soit ici souvent fort difficile, de la sclérose en plaques de forme spinale. Il peut, en d'autres termes, être séparé
les premières phases de l'ataxie locomotrice, j'entends parler de la forme vulgaire de la ma- 1 OUivier (d'Angers). — Trai
e, les membres affectés commencent à se raidir de temps en temps sous forme d'accès, surtout dans le sens de l'extension et d
à une complication assez fréquente à une période avancée des diverses formes de la sclérose spinale. Le tabès spasmodique, u
côté ; où elles gisent, en réalité, c'est quand il s'agit des autres formes de la myélite chronique. Je voudrais essayer de v
. L'hydrothérapie méthodique longtemps prolongée, qui, dans certaines formes de l'ataxie, amène parfois de si heureux résultat
sceaux latéraux dans une certaine étendue ; soit qu'il s'agisse de la forme insulaire ou, au contraire, de la forme fasciculé
e ; soit qu'il s'agisse de la forme insulaire ou, au contraire, de la forme fasciculée de la sclérose spinale. C'est pourquoi
t, ne sont pas flasques et iner-tes, comme cela a lieu dans certaines formes de paraplégie ; ils sont au contraire rigides dan
dresse la pointe du pied et sou-vent elle survient spontanément, sous forme d'épilepsie spi-nale. J'ai connu cette malade pen
ut parmi les symptômes propres à accentuer la démarcation entre cette forme de myélite et le tabès spasmodique. Dans les ca
ficile, en général, d'établir son identité ; mais quand il s'agit des formes imparfaites, frustes, comme on les appelle encore
nférieurs, avec ou sans rigidité concomitante des membres supérieurs ( forme spinale de la sclérose en plaques) '. Môme, en pa
ren-contrer le clinicien lorsqu'il se trouve en présence de certaines formes frustes de la sclérose en plaques. Chascot. Œuv
apparente au moins, de la moelle épinière. C'est, Messieurs, celte forme de paraplégie urinaire, dési-gnée sous le nom de
égion sacrée, et décident la terminaison fatale. La marche de cette forme de la myélite est d'ordinaire subaiguë. Toutefois
re des membres paraly-sés semblent indiquer qu'il s'agissait là d'une forme de la myélite centrale subaiguë, sur laquelle je
vous permettront de saisir les diffé-rences qui existent entre cette forme de paraplégie urinaire, qui s'observe en réalité
contrairement à l'opinion de Remak, qui semble croire que c'est là la forme la plus ha-bituelle des paraplégies urinaires.
alogue dans les hôpitaux. Les symptômes se présen-tent, ici, sous une forme très accentuée, mais anormale à quel- ques égar
de l'oreille et qui nous a obligeamment prêté son concours. Sous la forme extraordinairement accentuée qu'il revêt chez not
e cas est grave, il devient persistant, dans les intervalles, sous la forme atténuée d'un bourdonnement, d'un tintement plus
je le répète, chez les sujets en proie, depuis de longues années, aux formes graves de la maladie de Ménière. Vous comprenez
En somme, l'affection s'est, à l'origine, présentée chez R... sous la forme de l'apoplexie cérébrale suivie d'hémiplégie tell
ins de Yhérnichorée post-hémiplégique. Or, il paraît établi que cette forme particulière d'hômianesthé- soient montrés ; ou
ire toucher du doigt cer-taines particularités qu'offre souvent cette forme clinique de la syphilis cérébrale. Mais j'aurai s
carac-téristique ; on peut la rencontrer, en effet, dans les diverses formes d'épilepsie partielle, indépendantes de la syphil
: à partir de là, les accès ne se sont plus présentés jamais que sous forme d'épilepsie partielle ou hémiplégique, tantôt ave
laissentbeaucoup à désirer. En dehors de l'épilepsie partielle, des formes cliniques très diverses de la syphilis cérébrale
ongitudinal du membre, bourrelets s'effaçant par les mouvements. La forme de la cuisse est celle d'un cône tronqué. — La cu
irrégulier et incomplet à gauche en cesens que la fracture, qui a la forme d'un angle droit à sommet interne, n'est consolid
d'un genre tout à fait particulier et qu'on ne rencontre pas dans les formes ordinaires de l'arthrite sèche. B. de causes tr
chose fréquente. Dans un cas, les accidents convulsifs ont revêtu la forme de l'épilepsie partielle (cas du docteur W...), e
le, que les accidents groupés sous cette dénomination répondent à une forme clini-que distincte, et qu'il sera possible désor
ésormais de séparer en pratique, à l'aide de certains caractères, des formes connexes. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le
gés distinguerait le genre de « vertige qui nous occupe, des diverses formes du petit mal épileptiquè avec lequel il a d'aille
. L'enveloppe de miélyne ne s'est pas développée à proportion et elle forme autour des cy-lindres hypertrophiés une couche ci
mation nouvelle. Les nœuds du réticulum pré-sentent là des espaces de forme étoilée, renfermant trois et quatre et quelquefoi
moitié latérale gauche, dans la région cervicale, un foyer sanguin de forme ovalaire, mesurant dans les points où il est le p
l: elles sont, de plus, manifestement déformées. Elles ont perdu leur forme allongée et sont globuleuses ; on les dirait dist
s'agit paraît être, on le voit, avec quelques varian-tes, commune aux formes aiguës, subaiguës et chroniques pri-mitives de l'
'observation qu'on va lire et qui est un exemple remarquable de cette forme de l'amyotrophie chronique. Ici, du reste, le dia
ra-spinal. Ainsi, à la partie inférieure du renflement cervical, elle forme autour de la corne antérieure une ceinture presqu
es coupes transversales, ces bandes conjonctives apparaissent sous la forme de ronds ou de petits po-lygones très semblables
la myéline est fragmentée, et dans les intervalles des blocs qu'elle forme , on constate l'existence de noyaux soit isolés, s
elativement considérables. Cette dernière cir-, constance explique la forme onduleuse qu'elles ont prise, ne pou-vant suivre
-cée dans les points où ils sont plus nombreux; elle affecte enfin la forme de bandes scléreuses, étendues de la corne an-tér
. Les points où elle prend une extension plus considérable, où elle forme autour de la corne antérieure une zone d'une cert
fois plus petites que dans l'état normal, ont cependant conservé leur forme étoilée, leurs prolongements et possèdent encore
ble, paraissait avoir perdu ses contours arrondis ; il présentait une forme ovalaire transversalement et s'était évidemment a
avec ses caractères normaux, et, dans bien des muscles, elle revêt la forme de mouvements fibril-laires. La sensibilité sem
l'action du carmin et notablement diminuées de vo-lume, ont pris une forme globuleuse. Elles donnent naissance à de rares pr
la partie antérieure, ce qui reste de la pyramide se détache sous la forme d'une bande rouge transversale, on voit la scléro
A la région lombaire, elle s'est éloignée de la corne pos-térieure et forme une sorte d'îlot situé dans la partie postérieure
qu'on pourrait le croire d'après ce qui précède ; elle a con-servé sa forme , son épaisseur, ses dimensions normales ; elle ne
remplies par des amas de noyaux. Ceux-ci présentaient quelquefois la forme en bissac. Enfin, sur quelques préparations, on o
loration résulte de la présence de granules pigmen-taires réunis sous forme d'amas et ne subissant pas l'influence du carmin.
de volume, elle tend à perdre ses contours an-guleux, et acquiert une forme globuleuse. A un degré plus avancé du processus
de chromique, avec une consistance, toutefois, mani- festement plus forme et une résistance rappelant celle du tissu fibreu
e nom, pourraient être ramenés par la critique à l'une quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules n
ment Y instabilité des doigts, mais encore l'hémianesthésie, sous une forme atténuée, il est vrai, puisqu'il n'y a que de l'a
s accès d'épilepsie partielle. Ainsi, nous avons une analogie dans la forme des troubles moteurs, une analogie dans les condi
syphilitique et la paralysie générale. De la neuro-rétinite. — ^es formes , ses symptômes. — Différences qui la séparent de
ue subit la moelle au niveau du point comprimé. — Changements dans la forme ; ramollissement, indura-tion, — Myélite intersti
es cellules nerveuses et tu-meurs de la moelle causes d'une troisième forme de la paraplégie cervicale. De quelques symptôm
le amyotrophique. Amyotrophie consécutive à l'ataxie locomotrice. — Forme particulière de l'atrophie musculaire en pareil c
bres. — Pronostic et traitement. — Diagnostic: Sclérose en plaques de forme spinale, contracture hystérique, myélite trans-ve
d'apparition, 8, 69. — Faits cliniques, 64, 366. — Température, 67. — Formes et symptômes, 67 et suiv, — Diagnostic, 69. — Lés
25 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e ces malades souffrent, que ces souffrances puissent affecter la forme névralgique, cela n'est pas douteux, mais nous
certaines malades des pièces dentaires. On peut en faire varier la forme , les matières constituantes, user de tous les m
e la pièce prothétique était d'un volume plus considérable ou d'une forme différente de celle que la malade était habitué
yeux une douzaine d'écrins renfermant des pièces pro- thétiques de formes variées. Elle en avait autant chez elle dont el
s fonctions du système nerveux, Herzen démontre que les différentes formes de l'activité psychique, sen- timents, pensées,
embres, les viscères ou les vaisseaux, « retournant ainsi, sous des formes plus élémentaires, en général comme travail méc
a volonté. Pans, 1874. 2 Mantegazza, litre cite Ileizen, admet nenf formes élémentaires de ces transformations du , mouvem
ont nous avons une représentation anticipée, dont nous prévoyons la forme , l'énergie, la inaiclie et l'effet; mais la moe
squissée pour ne la point trouver au moins vraisemblable sous cette forme d'hypo- thèse scientifique. En tout cas, cela r
t les élé- ments des centres nerveux. Dans la démence et dans les formes d'affaiblissement profond de l'intelligence, l'
logique ou cosmique : « Dans ce conflit sans trève, dit Buccola, la forme mentale douée de l'énergie la plus grande survi
et Scip. Marzocchi. Sur les mouvements systématisés danz quelques formes d'alfaiblissent mental'. Par mouvements systéma
lie percezioni ol/atlive. ' Dei znovimenti sistemalizzati in alcune forme di indeGolimenlo men- tale. - Arclnvio ital. pe
liens d'association évidents', sica- ractéristiques dans certaines formes d'excitation de la paralysie générale. La diffu
bon sens, de toute raison et de tout jugement chez ces malades. La forme convulsive que revêt ici, au début, tout, mouve
ensations, perceptions, images, concepts, etc., seraient de « pures formes perçues dans les organes mêmes qui en sont le s
ntifique, 11 et 18 déc. 1886; l"janv. 1887. La pensée n'est pas une forme de l'énergie, c'est la perception des états intér
ion des états intérieurs et de leurs relations. 52 PHYSIOLOGIE. forme spéciale de l'énergie, comme le mouvement, la c
voir comprendre pourquoi une pareille vi- sion, la perception d'une forme , celle d'états intérieurs et de leurs rapports,
te « partie de la substance nerveuse où l'activité s'exerce sous la forme propre de volition est infime, comparée à celle
ne saurait imaginer de rapport nécessaire d'au- cune sorte entre la forme d'un élément nerveux et sa fonction. En ce doma
e dans un travail de MM. Charcot et Richer, sous le titre c Sur une forme spéciale d'impuissance motrice des membres infé
me sujet, à propos d'une malade de son service. atteinte de cette « forme spéciale d'impotence motrice des membres inféri
R l'astasie-abasie. 61 de ses leçons en 1884 à un cas < d'Abasie forme trépidante à la suite d'une intoxication par la
nt après l'influenza2. Ladame décrit un cas de cette affection sous forme d'accès3 et le professeur Binswanger vient de p
. Ces résultats, à part leur interprétation, indiquent une certaine forme de différenciation fonctionnelle, et il est évi
e ces mouvements peuvent avoir une signification différente, et, je forme cette hypothèse, que quelques-uns peuvent être
centres sensoriels ou de perception en rapport avec les différentes formes de sensibilité aussi bien que les centres moteu
èrement dans l'hémisphère gauche sont généralement associés avec la forme spéciale d'aphasie sensorielle appelée « cécité
plication il dit; ce qui me parait être une hypothèse un peu in- forme , que l'extirpation delà région en question a enle
ieurs occupe la partie pari(·lo- posténeure de l'hémisphère où elle forme une petite bande au- dessus du corps strié. Me
seule est affectée ou abolie sans au- cune complication des autres formes de sensibilité spéciale ou gé- néiale et absolu
paraissent avoir été presque invariablement associés avec d'autres formes de troubles sensitifs, mais la façon dont il pr
es seules réactions qui puissent donner naissance à ce corps; il se forme également par l'ac- tion de la chaleur sur l'ac
es capillaires) sont insuffisantes pour permettre de constituer une forme car, outre-qu'elles ne sau- raient être accusée
après laquelle la double pensée consiste en ce que toute conception forme deux images, dont l'une reste sur le foyer de l
xplique comment le malade voit un objet auquel il pense revêtir une forme tangible. M. Hoppe propose la théorie suivante
de la décharge va plus ou moins vite. La conscience participe à ces formes de résonance simultanée involontaire; elle perçoi
on de troubles mentaux. Ces troubles sont variables ; cependant, la forme qu'ils revêtent le plus souvent est celle de la
te de la discussion). M. Charpentier fait une communication sur une forme de mélancolie particulière aux prévenus et cond
rencontre pas chez eux la paralysie générale des aliénés, mais une forme spéciale de paralysie. M. B. xv. CONGRÈS DES
it du cerveau moyen est partout représenté par une lame épaisse qui forme une voûte sphéroidale chez les amphibies, les r
rcules bijumeaux, lobes optiques, etc. La partie antérieure du toit forme chez tous les animaux une lame transversale, cr
ubstance blanche profonde émane de la substance grise du toit; elle forme des tractus transversaux par rapport a l'axe et
es fibres latérales se di- rigent en arrière pour descendre sous la forme de ruban de Reil dans le bulbe latéral. Dans le
a triade symptomatique de cette affection, d'en avoir découvert les formes frustes. On a essayé de rattacher à cer- taines
Dans la méningite, la fièvre varie suivant le mode d'évolution. La forme la plus lréquente de l'enfance, la méningite tu
gré de la lypémanie. En 1854, vint le mémoire sur la folie a double forme qui établit l'existence d'une variété morbide n
quête de la psychiatrie : la lypémanie slu- pide, la folie à double forme et la folie communiquée. En outre, la science l
de la périencéphahte chronique, le délire spécial ambitieux de la forme expansive et le délire spécial hypochondriaque de
ux de la forme expansive et le délire spécial hypochondriaque de la forme dépressive, et M. Baillarger trouva plus tard l
a par la démence paralytique ; 30 des rémissions fréquentes dans la forme maniaque de la paralysie générale en rapport av
té d'une complication de l'affection para- lytique par les diverses formes de la folie, susceptibles de dispa- raître, tan
lirant ou de perversion fonc- tionnelle. Or, là où on avait vu deux formes de la même maladie, M. Baillarger voit, lui, de
la guérison ; enfin, période maniaque de certaines folies à double forme , vieilles de beaucoup d'années, offrant à chaqu
beaucoup d'années, offrant à chaque retour tous les symptômes de la forme maniaque de la paralysie générale. Je ne saurai
411 : INDON de liI.ONTYEL. II. Anatomie artistique. Description des formes extérieures du corps humain au repos et dans le
t ex- plications sont souvent nécessaires dans l'interprétation des formes . Nous disons commentaires, car M. Paul Richer n
particulièrement doué pour saisir d'emblée et sans intermédiaire la forme elle-même, pour la voir, la juger et ensuite l'
voir, la juger et ensuite l'interpréter. Du reste, il en est de la forme comme des couleurs. Elle est loin d'être une et
ée d'offrir aux artistes rien qui puisse ressembler à un modèle des formes ex- térieures du corps humain. « La question de
odèle des formes ex- térieures du corps humain. « La question de la forme , nous dit-il, est entièrement réservée et je dé
e aussi complète que possible du tissu graisseux, ils offraient des formes non pas simples, mais claires, et faites pour a
démonstration. Lorsqu'on aura appris à les voir, on retrouvera ces formes chez les sujets plus jaunes, plus gras, plus si
s études ne doivent pas leur rester étrangères. La connaissance des formes extérieures s'impose non seulement au chirurgie
Dans nos bureaux 3 fr. BERXAttD. De l'aphasie et de ses diverses formes . 2° édition avec une preface et des notes, par
e constater ici, d'une part, que ce vitiligo affecte, exactement la forme et les dimensions des vésicatoires appliqués il
miques toutes nouvelles pour vous. Je veux parler de l'anatomie des formes extérieures ; il faut entendre par là l'anatomi
sus de la rotule. M. Richer, qui a consacré récemment à l'étude des formes extérieures du corps humain un remar- quable ou
limite supérieurement le relief inférieur et le sépare de celui que forme , au-dessus, le corps même du vaste interne. «
'est-à-dire contracter .on triceps. Il ' P. Richer. Description des formes extérieures du corps humain, p. 231. Fiy, 13,
e. En arrière, les vésicules, très confluentes et disposées sous la forme d'une plaque allongée, suivent la direction gén
onsultera ce sujet une bonne thèse de Boisvert : Elude clinique des formes atténuées de la paralysie alcoolique ; Paris, 188
les sont disposées en groupes plus ou moin confluents, affectant la forme d'une demi- ceinture complète ou incomplète, co
embres ou même de la face, le groupement des vésicules présente une forme moins régulière, puisqu'elle est en rapport ave
les- quels aucune modification n'a pu être constatée, ni dans la forme ni dans la constitution de la substance grise, ni
laires, ont été la loca- lisation primitive du processus ? Dans les formes paraplégiques où les muscles homologues des deu
trophie dés muscles tributaires des cellules nerveuses altérées. La forme primitive n'a rien à voir avec ce. que j'ai àvous
ment de vous signaler certains faits curieux qui appartiennent à la forme secondaire. Celle ci s'observe (d'une façon exc
avec sa substance grise et sa substance blanche. En raison de la forme particulière de la première, la se- conde a éga
orme particulière de la première, la se- conde a également pris une forme peu ordinaire. La masse de la substance grise p
en dedans sur la face supérieure du lobule. (Voir la ng. 16.) La forme de la substance blanche qui provient de la subs
. En se redressant en avant, cette lame de tissu gris se ramasse et forme une circon- volution arrondie qui se place au-d
on crétée, on voit, dans ce cas, la lame réticulé se présenter sous forme de petits arcs à concavité inférieure dans les
ut le long de l'île des hémisphères, une production qui prend une forme , un volume et des rapports différents selon les
cale de la corne d'Ammon est d'un grand volume et se montre sous la forme d'un arron- dissement ou tête située entre la v
inerea. Son parcours n'est pas bien régulier, mais un peu ondulé en forme d'S, et se fléchissant un peu en dedans au-dess
e continuer sur la substantia alba reticularis. Le stria tecta ne forme aucune saillie, mais dans les coupes elle se pr
ne forme aucune saillie, mais dans les coupes elle se présente sous forme semi-lunaire, avec sa concavité en dedans limit
ite l'étonnement du professeur Binswanger, quand il distingue trois formes de cette affection, selon que les fonc- tions d
la faiblesse, par l'incoordination ou par les mouvements cadencés ( forme chorée rythmée). M. Charcot adopte dans sa leço
nvertibi- lité réciproque entre l'énergie psychique et les autres formes de l'énergie, celle de la chaleur eu parlier '. »
résul- taient, non d'une simple transmission des excitations sous forme sensitive ou sensorielle, mais de leur dif- fus
nsitive ou sensorielle, mais de leur dif- fusion dans l'écorce sons forme d'émotion. Ainsi, les t Tanzi. - Ricerche lermo
sibles sur la région frontale, la raison en serait que, faites sous forme verbale, les sug- gestions exigeaient que les s
bable- ment, se représentaient encore à' l'esprit des sujets sous forme verbale. Bref, « les processus élémentaires qui
il reste que le tra- vail cérébral, comme celui du muscle, est une forme de l'énergie cosmique, et que la pensée a des é
nerveux et dans celle de leurs connexions anatomiques, non dans la forme de la cellule, que se trouve à cet égard le seu
fonc- tionnelle des centres nerveux. Le travail cérébral est une forme de l'énergie. L'intelligence a des équivalents
e oral du fait. Je ne suis pas encore en mesure de décider si cette forme de sensibilité auditive doit être attribuée aux
et aux autres centres sentitifs, Luciani paraît combattre pour une forme de localisation qui n'est pas du tout de la loc
ne cérébrale avec lesquelles nous sommes plus familiarisés sont les formes variées de ce qu'on appelle « surdité verbale t
y a encore beaucoup d'incertitudes sur le trajet et les centres des formes variées de sensibilité. On admet universellement
ion peut» z être du sens musculaire, le trajet de toutes les autres formes de sensibilité, se porte en haut du côté opposé
- dant été démontré d'une façon décisive, être le trajet d'aucune forme de sensation propre (employant cette expression p
tait pas mentionné et aucun détail-exact n'est donné sur les autres formes de la sensibilité. Des autres cas, dans un le s
éorie qui veut que le sens musculaire reste intact quand les autres formes de la sensibilité sont perdues. Tel est l'état
titué par des bâtonnets et des micrococci qui probablement sont des formes d'une seule espèce encore indéter- minée. La dé
eureusement, il est loin d'être constant; le nystagmus y affecte la forme convulsive. On ne constate d'anomalies pupillai
psychique : l'une corticale, l'autre transcorticale. Dans les deux formes , les images commémoratives des impressions optiqu
fig. 124) l'existence a d'un ou de deux cordons cylindriques nervi- formes , nettement circonscrits, mesurant de Omm,25 à omm
les ; par L. lierez. Ibid., XX, 3.) Etude très consciencieuse de la forme de l'oreille. M. Binder dis- tingue quatre type
liénés, 128 présentaient un lobule anormal, 205 étaient porteurs de formes dégénératives, ce qui donne les proportions res
de pathologie men- tale, il n'y a pas de pouls spécifique d'aucune forme de psychose. On constate simplement que, dans l
s le REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 283 nom de forme parlicullèl d'atrophie musculaire. Quatre obser-
pdr M. l' RIEDM : 1NN. (Arch. f.'PSiJCIL., XXI, 2.) - Histologie et formes de l'encéphalite vraie non suppurée ; par FRIEDUA
désordre dans les idées, des hallucinations, de l'agitation sous forme d'un délire général cédant à la médication antisp
es persécutions. La tumeur était pendant la vie [saillante, sous la forme d'un corps mou, au niveau du vertex. En effet, el
nza. Il l'a eue personnellement ainsi que sa famille, mais sous une forme atténuée. M. MESSE (d'lllken). Tout le personne
tout le monde sait qu'on trouve assez souvent des déviations de la forme ordinaire - des cellules encore plus prononcées
u corps restiforme et séparés de la pyramide par les fibres arci- formes internes. Cette altération ne porte nullement les
l'atrophie ou la diminution du diamètre transversal du corps resti- forme s'observe du côté de la lésion cérébrale. Les ner
et adhérait à la dure-mère dans l'espace d'un centimètre carré; de forme allongée d'avant en arrière, q'uadrangu)aire av
La glande pituitaire est injectée et augmentée de volume; elle a la forme d'un haricot long de deux centimètres et haut de
apparaît normale. L'infun- dibulum est dilaté et fait saillie sous forme d'une tumeur située entre les tubercules mamill
rovrrcu. VI. L'indication chronique par la morphine et ses diverses formes , par le B.-P. Régnier. Paris, 1890, aux Bureaux
tions philoso- phiques sur la pathologie générale : la maladie, ses formes et son traitement. La seconde a trait à l'étiol
siste à placer les ma- lades pauvres, auxquels par suite soit de la forme , soit de la pé- riode de leur affection mentale
une façon générale, les affections mentales congénitales dans leurs formes les moins graves, et les maladies mentales qui,
la période aiguë, sont passées à l'état chronique : ces dernières formes sont le plus souvent, mais non toujours incurable
ie, à l'analyse clinique des vésanies et à l'exa- men judicieux des formes si variées de la paralysie générale. Nous devon
s'est révélé clinicien de premier ordre en créant la folie à double forme (1854), en étudiant les hal- lucinations hypnag
tique et manie avec délire ambi- tieux (1858). Des rémissions de la forme maniaque de la paralysie générale. De la guéris
Dans nos bureaux .. 3 fr. BERNARD. De l aphasie et de ses diverses formes . 2° édition avec une préface et des notes, par
e et moyenne, puis sortent de l'épaisseur de ce dernier organe sous forme d'un tronc unique qui n'est autre chose que l'o
and'mère enfin est atteinte déjà depuis longtemps de folie à double forme . Voilà bien un tableau complet d'hérédité conve
le a eu dans sa première enfance la rougeole et la variole sous une forme béni- gne. A sept ans, elle a commencé à fréque
ts extérieurs. On sait que c'est là une carac- téristique d'une des formes du délire hystérique. Il présente, lui aussi, u
iative du malade qui s'approprie la sensation perçue et la trans- forme à son gré en une hallucination correspondant à
e que si le bredouillemcnt suit habituellement cette loi, certaines formes particulières du bredouillement appa- raissent
aissé penser 368 PATHOLOGIE NERVEUSE. que pour M. Ballet ces deux formes ne se différencient que par la cause), qu'entre
ue, sinon tout à fait totale, d'une anesthésie absolue à toutes les formes d'excitation tactile sur tout le côté droit du
ncules ni de ganglions de la base. Ces expériences prouvent que les formes variées de sensation comprises sous le nom de sen
nsuite entièrement. - Dans quelques cas, l'hémia- nesthésie prit la forme d'une incapacité ou d'une diminution de capacit
On n'a pas pu produire la perte totale et persistante de toutes les formes de la sensibilité commune et tactile du côté oppo
Zuckerkand appelle la circonvolution marginale (Randwindung) qui forme la limite du lobe falciforme, et se continue post
l'hippocampe major. Cette émmence de 23 millimètres de long, de la forme d'une massue, avait un dia- mètre transverse de
raire à la théorie de Meynert qui veut que la commissure antérieure forme un chiasma semblable au chiasma optique où les
cepen- dant plus facile que chez d'autres et les chiens dont le nez forme le principal organe de perception intellectuell
tactile ( ? ) ou mus- culaire : Le malade ne pouvait distinguer la forme des objets parce qu'il ne pouvait pas remuer le
s n'ont pas réussi à decouvrir la plus légère atteinte d'aucune des formes de la sensibilité géné- rale, tandisque l'affec
i ne tombent pas spontanément dans le champ de la vision. C'est une forme de trouble mental qui me parait dépen- dre de l
pour formule CI H" Az 0. Elle se présente à l'état cristallisé sous formes d'aiguilles fines ou de larges tablettes prisma-
us ont été surtout remarquables, dans les névralgies a frigore, à forme congestive, ils sont beaucoup plus nets qu'avec l
nion est contraire à la loi qui ne distingue pas entre les diverses formes et les divers degrés de la folie, car aux terme
squels les sentiments es- thétiques, moraux, religieux ; d'où trois formes de mélancolie : la première caractérisée par la
Mendel la mélancolie religieuse des auteurs ; enfin une troi- sième forme dans laquelle les sentiments sensoriels ainsi que
aque antérieure ; la mélancolie intellec- luelle est de beaucoup la forme la plus fréquente, et la mélancolie hypocondria
e prend chez les hommes beaucoup plus souven que chez les femmes la forme hypocondriaque. M. Mendel termine son intéressa
il a publié les résultats obtenus sur les malades mélancolique, des formes les plus variées. Il arrive aux mêmes conclusions
olies névrosiques ; mais dans ces affections, comme dans les autres formes de maladies mentales, les indications morbides
de persécution vraie, lorsque celui-ci n'est pas associé à d'autres formes mentales, telles que l'alcoolisme, la paralysie
re chronique. Enfin, dans quelques cas rares, le délire existe sous forme in- termittente. Après ce résumé des principa
ne seconde partie de son travail, passe successivement en revue les formes que peut présenter ce délire. ANNALES MÉDICO-PS
ES MÉDICO-PSYCHOLOGIQUES. 439 1° Délire de persécution systématisé. Forme typique. .Maladie de Lasègue. L'idée fixe de
es symptômes prédomi- nants : c'est un délire hallucinatoire mais à forme de persécution. 2° Délire de persécution. Forme
llucinatoire mais à forme de persécution. 2° Délire de persécution. Forme mégalomaniaque. Le délire de persécution peut s
écution peut s'associer à des idées ambitieuses pour constituer une forme complexe. - Dans quelques cas,'dit M. Dagonet,
non de l'incurabilité. Quelquefois, la période- ambitieuse revêt la forme d'un accès maniaque intense avec troubles vaso-
est inconnue. On pouvait, a priori, étant donné qu'il s'agit d'une forme de délire systématisé, penser que le sens qui p
ître les idéesdélirantes, ne fait pas apparaître cette idée sous la forme exprimée par le mot on me persécute (elle serai
te (elle serait incompréhensible pour le malade), mais bien sous la forme d'idées de faits : ces faits sont des mots ente
du développement organique de la maladie. Ainsi, en un mot, dans la forme étudiée, l'idée de persécution est une idée audi-
Cliaslin, considérant ensuite le délire du persécuté persécu- teur ( forme mentale décrite en France par Falrel), remarque a
cutives à la grippe, les psychoses asthéniques, on trouve plusieurs formes ayant pour caractère commun l'affaiblissement r
ve toujours d'autres causes prédisposantes ou occasionnelles. Les formes mélancoliques, les psychoses asthéniques simples,
après une affection fébrile algue, de bien distinguer quelle est la forme clinique de la psy- chose. D 13r.m. REVUE DE
LOGIE MENTALE XXIX. L'INFLUENCE DE LA MÉNOPAUSE SUR LA GENÈSE ET LA FORME DES troubles mentaux; par 1lLTUSCU. (alla. Zeit
s rapports avec la folie systématique, on en doit distinguer quatre formes : - 10 Absence complète et permanente d'idées d
ATHOLOGIE MENTALE. 451 l'hébéphrénie ou folie de la jeunesse ; elle forme avec cette dernière un grand groupe auquel conv
etc). La mélancolie géné- rale, qui peut succéder à l'une des deux formes précédentes, com- prend les deux espèces de lés
on nécessaire, mais qu'elle peut se développer au cours de bien des formes différentes de folie, soit psychoneurotique, so
non seule- ment chez les épileptiques, mais dans presque toutes les formes de maladies mentales et même chez des individus
ronto-faciales suivent chez les aliénés une échelle ascendante, des formes élevées de la dégénérescence mentale (folie cir
(folie circulaire, manie périodique, paranoia primitiva, etc.), aux formes inférieures (démence consécutive, imbécilité, i
ion, voleurs, assassins). Leur fréquence étant plus grande dans les formes inférieures de la dégénérescence et dans la démen
xistantes que l'hypnotisme ne fait que mettre en lumière. Aussi les formes il- nombrables en apparence d'hypnotisme qui on
is étant donné qu'en réalité on a presque toujours à faire avec des formes combinées, il est impossible de présenter une c
ies musculaires dans les arthropathies ». L'auteur distin- gue deux formes d'atrophies musculaires qui diffèrent aussi bien
de vue clinique qu'au point de vue anatomopathologique. La première forme , simple, se caractérise par l'absence des modi-
trophie du pannicule adipeux. De plus, il ne croit pas que les deux formes établies par l'auteur soient nosologiquement sé
ur soient nosologiquement séparées ; il pense, au contraire, que la forme dégénérative est une simple complication de la
ue la forme dégénérative est une simple complication de la première forme par un processus pathologique quelconque. M. MO
a donné nais- sance : l'alcoolisme. Le substratum anatomique de la forme cli- nique connue sous le nom de paralysie alco
111. LITI ? > : on. M. Korsakoi-f fait une communication sur les formes aiguës de la folie. Dans ces dernières années,
e nombre assez considé- rable de travaux consacrés à l'étude de ces formes , leurs limites cliniques dans la série des autr
nique de la folie aiguë M. Roasvxorr a proposé d'en distinguer deux formes : l'une avec stupeur (dysnoia stuperosca), l'au
stuperosca), l'autre délirante (dysnoia deliriosa). Cette dernière forme prend souvent le caractère de la manie et peut
a guérison. Des cas semblables peuvent également être rattachés aux formes aiguës de la folie. Comme par les dénominations
édominant, il s'ensuit qu'en réalité on peut souvent rencontrer des formes transitoires entre les formes aiguës et la foli
éalité on peut souvent rencontrer des formes transitoires entre les formes aiguës et la folie primaire. En étudiant la dé-
n- dromes somatiques; il existe des faits qui indiquent que cette forme lésulte d'une autointoxication de l'organisme et
sées. M. Serbski a fait une communication sur le même sujet : des formes aiguës de la folie. Les formes aiguës de la folie
ommunication sur le même sujet : des formes aiguës de la folie. Les formes aiguës de la folie peuvent être divisées en deu
ieurs types de la confusion aiguë. La confusion aiguë n'est pas une forme dé- générative, l'hérédité ne joue pas dans son
t subaigu des idées délirantes qui ne se présentent jamais sous une forme bien systématisée, l'existence simultanée d'un
ations sur la folie aiguë ne font que passer en revue des anciennes formes ; il leur accorde cependant le droit de donner
ormes ; il leur accorde cependant le droit de donner à ces vieilles formes des nouvelles dénominations, parce qu'ils group
vue. Mais il se de- mande surtout, si nous devons considérer chaque forme nouvelle comme une maladie à part ; nous avons
rer chaque forme nouvelle comme une maladie à part ; nous avons des formes simples, mais seulement chez des individus dive
us d'analyser l'individualité que de décrire les symp- tômes et les formes nosologiques. M. Litvinoff a fait remarquer qu'
466 SOCIÉTÉS SAVANTES. de mélancolie avec stupeur. Pour lui, les formes telles que mélan- colie anxieuse, melancholia a
le cerveau. La psychiatrie con- temporaine doit ramener toutes les formes cliniques sur le terrain anatomo-physiologique
un travail « sur le type 7-écui,- rent dans la marche des certaines formes de la folie aiguë ». La mar- che de certaines f
des certaines formes de la folie aiguë ». La mar- che de certaines formes de la folie aigué (manie, folie primaire), prés
ormaux. Pendant ces trois dernières années, sur trois cents cas des formes aiguës de la folie, l'auteur en a observé sept à
pos de cette communication, M. Jucovenko a proposé d'ins- crire les formes aiguës de la folie dans la classification adoptée
r Dardenne, 766. Ménopause influence de la, - sur la genèse et la forme des troubles mentaux, par Nlattuscli, 119. 11
26 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
n diagnostic séparatif. Néanmoins, là comme ailleurs, il existe des formes complexes qu'il est malaisé de placer dans tel ou
dominance des troubles sensitifs. C'est l'acro-cyanose chronique ci forme sensitive ; 2° La modalité avec atrophie : acro
peu près normal, de sorte que les doigts ont un aspect en fuseau, une forme en radis dont la partie large commence à la pha
t dans l'acrocyanose, au moins comme signes cardinaux ; de plus, la forme des doigts presque caractéristique de l'acrocyano
ctéristique de l'acrocyanose n'appartient pas à l'acromégalie. La forme particulière d'oedème connue sous le nom d'oeme b
res- sion des troncs nerveux ; le symptôme caractéristique était la forme des extrémités digitales qui étaient nettementr
ppé de l'aspect vraiment spécial des mains avec leur teinte et leur forme particulières. La coloration du tégu- ment est,
rations y sont minimes. L'atrophie ne se ren- contre pas dans cette forme qui amène plutot une hypertrophie non seu- leme
ophique et l'extrémité des doigts. Ceux-ci affectent bien plutôt la forme d'un radis, comme dans le spina ventosa. Et cep
es en coup de vent.Or ne peut-on pas soutenir qu'il s'agit là d'une forme de rhumatisme tubercu- leux, dont le polymorphi
ne espèce de loxituberculides qui puisse cadrer avec elle. La seule forme qui offre quelque analogie est le lupus pernio
la pression. Ces lupus peuvent présenter l'atrophie centrale de la forme commune, mais souvent on observe une complicati
; le type acquis, au contraire, se révélant par la diversité de ses formes et de ses associations morbides. C'est au type
ne pneumonie. (1) Voir pour l'historique, la symptomatologie et les formes de cet oedème aigu type Quincke : l'excellente
té maximum, il obéit à la suggestion, et n'évolue jamais sous cette forme lente et progressive. La jeune malade ne présente
me, à la hauteur de la sertissure 38 FÉLIX LE JARS de l'ongle. Sa forme générale est cylindroïde : il figure une sorte de
ations osseuses étaient primitives, et que nous avions-là, sous une forme encore peu avancée, un exemple de cette ostéite
et peu à peu sont ramenés au parallélisme, restituant à la main une forme plus régulière et surtout une meilleure aptitud
e » (p. 181), les sens, l'intelligence, les idées ont un poids, une forme (p. 132,180), etc. ,etc. Fuyons ces disputes, qui
idée s'est fixée dans un mot, elle finit par prendre, grâce à cette forme verbale, un air d'existence réelle, et nous som
ceux-ci arrivent à, reconnaître la signification de certaines petites formes noires dessi- nées sur du papier, ne manquerait
voit-il pas que celle-ci n'est que la reproduction, sous une autre forme , de la question elle-même, comme dans la fameus
ister. M. Bonnier me demande si j'admets « que notre perception des formes , de la distribution des choses sur le champ vis
n ne peut méconnaître que, pour ce qui concerne la perception de la forme , du lieu, de l'attitude, les faits montrent que c
e la sensibilité >> suffit à faire éclore la perception de la forme et du lieu de cette distribution, nous devrions p
nous devrions percevoir - d'après l'hypothèse de M. Bonnier non la forme et la position de nos membres, mais la forme et
e de M. Bonnier non la forme et la position de nos membres, mais la forme et la position des constellations de neurones cor
oins d'admettre que ces constellations reproduisent en miniature la forme de nos segments et M. Bonnier ne le suppose pas
des attitudes explique-t-elle que, en fait, nous percevions non la forme des centres corticaux intéressés, mais celle de
icales correspondant à la vision de cet édifice en représentent' la forme en miniature. Nous sommes d'accord. Mais alors j'
que du mot. Quand il nous dit que les idées, les sensations ont une forme , sont localisées ici ou là, sont « quelque chos
rte qu'il imagine lorsqu'il 1 nous dit (p.1 î) : « La perception de forme est immédiate et résulte direc- tement de la mi
nous donne la sensation immédiate que l'avant-bras est horizontal ou forme un angle droit avec le bras..... Les impression
rant dans l'art de lire pourrait aussi bien demander à quoi bon ces formes diverses qui nous permettent de distinguer les le
de distinguer les lettres de l'alphabet, puisque ces lettres et ces formes ne signifient rien par elles-mêmes ! 1 A PROPOS
oute une série de représentations hétérogènes ou même homogènes ! Forme . - « La perception de forme est immédiate et résu
tations hétérogènes ou même homogènes ! Forme. - « La perception de forme est immédiate et résulte directe- ment de la mi
se résout toujours difficilement à cette extrémité-là. A propos des formes perçues par la rétine, Helmholtz (2) a établi cet
nous aurait alors fait comprendre pour- quoi, si la perception des formes « résulte immédiatement de la distribu- tion to
uelle : les objets se présentent à leur conscience sans ordre, sans forme ; c'est un véritable chaos sensoriel. Les clinic
t observé ces faits ont été amenés à considérer la perception de la forme comme dépendant, non du centre visuel lui-même,
es faits jusqu'ici connus concourent à faire admettre, c'est que la forme de l'image (objective) rétinienne ou corticale
st pas une raison suffisante de la perception (subjective) de cette forme . Pour ce qui concerne la perception des formes
(subjective) de cette forme. Pour ce qui concerne la perception des formes par le toucher, la per- ception stéréognostique
existence d'un germe humain, qui, dans neuf mois verra le jour sous forme d'un enfantelel. Comment a-t-on pu songer il ac
re ; elles reposent sur un tissu névroglique clair, vacuolaire, qui forme une large bande transversale au niveau de la co
; à l'état normal, la capsule de l'articula- tion scapulo-humérale forme un tronc de cône dont la grande circonfé- rence
LTÉ DE MÉDECINE DE NANCY UN CAS DE SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE A FORME CINLB10-SPINAL>;, PAR RICHON Ancien Chef
- gager ; en l'absence des données étiologiques, c'est parfois à la forme anatomique des lésions qu'il faut demander leur
ncoche apparaît également sur la face interne de l'hémisphère, sous forme d'une dépression. de 4 centimètres de largeur.
rmettent pas une limitation exacte des régions intéressées. L'encoche forme une saillie prononcée dans le ventricule latéra
ué par un loucllissement des méninges, tantôt en placards épais, de forme lenticulaire, de toutes dimensions. Ceux-ci se
tance nerveuse est extrême ; le tissu con- jonctif en larges bandes forme les 2/3 de la paroi ventriculaire et contient b
rveuses voisines ; ces derniers cependant sont vivement teintés et'de forme beaucoup plus régulièrement circulaire. Ces ama
considérables ; c'est elle en effet qui entraîne les changements de forme de la colonne grise, qui en aucun point n'est e
es petits vaisseaux sont aussi très atteints ; l'anneau fibreux qui forme leur paroi ne laisse aucune distinction possibl
longs, mais aussi sur les os plats de la voûte crânienne et que ces formes graves cau- sent les plus grands délabrements e
rations les plus étendues. Avec moins de réaction osseuse, d'autres formes de syphilis crânienne entraînent des perforatio
ère gauche, les lésions en placard, surtout localisées à la base, à forme d'exsudat épais, que nous avons notées, nous pa
dullaires de la syphilis héréditaire, plus récente que celle de ses formes céré- brales, date surtout de la thèse de Volpe
st surtout intéressant par l'état des vaisseaux qu'il contient. Les formes à évolution rapide, caracté- risées en général
nécrotiques, montrent le maximum de lésions vasculaires ; dans les formes longues au contraire, c'est l'état de dystrophi
ue des lésions, il faut cependant rapprocher de notre cas certaines formes de lepto-méningites tuberculeuses, établies par R
cilles, la tuberculose pourrait produire, particulièrement dans les formes aiguès, des méningites par simple infiltration de
de petite taille et d'un embonpoint normal. La tête est petite, de forme brachycéphale. Le diamètre antéro-postérieur ne m
de la rétine, la malade reconnut les couleurs en même temps que les formes ; elle pouvait encore s'orienter, mais elle le fa
pré- sente la main, elle voit quelque chose mais ne reconnaît ni la forme , ni la couleur. A l'examen de l'oeil, on ne tro
ipitaux sont petites, ratatinées, atrophiées ; elles ont perdu leur forme normale et sont pénétrées par les fausses membran
l existait des centres séparés pour les couleurs, la lumière et les formes . Bull, Dahms, Henschen et Vialet SCLÉROSE SYMÉT
nce des couleurs fut possible tant que la malade put distinguer les formes . Le parallélisme entre ces différents symptômes
re. » Diminution de l'acuité vi- suelle, abolition de la vision des formes et des couleurs tandis quepii : 3 tent encore d
ographique. A l'état normal, nous conservons dans notre cortex sous forme d'images les diverses modifications déterminées p
hémianopsie double avec conservation de la vision centrale pour les formes , les cou- leurs et la lumière, ce sens était pe
bre. Aplati latéralement mais extraordinairement bombé en avant, il forme une saillie convexe à crête mousse ; en arrière
- Des crises gastriques cadrant avec la description classique de la forme la plus commune des crises gastriques du tabes ;
mal. ' Les membres supérieurs n'offrent rien à signaler, ni comme forme , ni comme longueur, ni comme musculature. Le th
rque immédiatement deux déformations, une cour- burede la jambe qui forme un arcà concavité postérieure, et une diminution
t latéral : on n'arrive pas à sentir le péroné ; quant au tibia, sa forme est changée : on le trouve nettement aplati de de
lus court, mais il est complètement difforme. Il affecte d'abord la forme d'une masse globuleuse continuant la saillie du b
tus aneneepbale avec amyélie - (vu de profil on voit la saillie que forme la face postérieure des corps vertébraux lombaire
veloppés; seule la portion sacrée est fermée. Ce vaste spina bifida forme une excavation peu profonde, ovalaire, longue d
té. Derrière le front, une dépression de 1 centimètre de profondeur forme un fort sillon transversal ; puis le plan osseu
forme un fort sillon transversal ; puis le plan osseux se relève et forme un large plateau, ayant 3 centimètres environ d
du rachis, qui se porte vers le sacrum et vers le dos du foetus et forme avec la colonne lombaire une forte cyphose; il
ement qui leur forment collerette. La moitié supérieure du sacrum forme la partie inférieure de la fosse pathologique,
la peau qui arrive au bord de la cavité. L'épiderme de la membrane forme vers son bord adhérent quelques follicules pile
e chaque côté de la ligne médiane. Le tissu néoplasique apparaît sous forme d'une masse irrégulière qui a remplacé tous les
r, au lieu de se trouver dans le prolongement du sillon postérieur, forme avec celui-ci un angle obtus, ouvert à gauche d
t elle est enchâssée dans le tissu médullaire, on voit qu'elle a la forme d'une masse, unique à son extrémité supérieure,
nous rend ainsi compte du siège de la tumeur, de son volume, de sa forme , de son influence destructive sur le tissu médull
l'épendyme, on en trouve des vesliges à deux endroits différents sous forme de fentes irrégulières, tapissées par une couch
, et celles du gliome; rarement se rencontrent dans les gliomes les formes étoilées qui caractérisent le tissu interstitiel
nerveux. « Leurs éléments sont aussi différents que ceux des autres formes de sarcome, parfois les cellules rondes, ovales o
tout cela de diffé- rences histologiques suffisantes entre les deux formes de tumeurs. Cette opinion de Gowers ne peut plu
eux petits vaisseaux, agglomérés et accolés les uns aux autres sous forme d'angiomes micro- scopiques, nous avons adopté
: il mesure 26 centimètres de circonférence. Le diaphragme refoulé forme une voûte à courbure très accusée. Malgré l'éno
isoler des parties voisines. Dans son ensemble, elle a conservé la forme et les dispositions qu'elle présente à l'état nor
envi- ron. Ainsi augmentée dans ses dimensions, la tige pituitaire forme un mamelon creusé à son centre et occupe sa pos
t la cavité du ventricule latéral correspondant, très dilatée. Elle forme à ce niveau une masse allongée, cylindrique, haut
assez large ; certaines de ces cellules ont des contours nets, une forme en raquette et renferment deux et même trois no
présentent de la dégénérescence granulo-pigmentaire ; elles ont une forme en raquette et renferment un noyau ovalaire volum
urcique) [fort grossissement]. A, Les éléments rappellent encore la forme des éléments cellulaires normaux de 1 hypophyse.
ts,- d'autres au contraire sont assez volumineux (15 à 18 fi). Leur forme générale est polygonale par pression réciproque
ints enfin les cellules, toujours du type éosinophile, prennent une forme allongée, étirée; le cytoplasma effilé s'accole à
its on ne rencontre plus que de très rares cellules éosinophiles de forme typique. Ce sont ces points qui établissent une t
il était contenu et dont les éléments tendent à s'éloigner de leur forme normale ; en un mot, il s'agit d'un épithélioma
par l'un de nous, à savoir que les cellules t éosinophiles sont la forme primordiale d'où dérivent les autres types cellul
ules présentent des for- mes diverses qui toutes se rapportent à la forme polygonale. Cet aspect se voit nettement sur la
a, Ospedate civile di Badia Polesme, Bologna, 1897. (6) STATÉ, La forme douloureuse de l'acromégalie, Obs. X, in Thèse de
Paris, 1900. GIGANTISME ET ACHOMÉGALIE 177 vées chez les malades [ forme douloureuse de l'acromégalie de P. Marie et Sta
inue de la hase du doigt à son extrémité en sorte que le doigt a la forme conique, et que l'ongle a ses dimensions normal
faire et qui est au musée de Saint-Louis (vitrine 95, n° 1588). La forme de la main est restée identique à ce qu'elle ét
l'occasion de relever bien des faits dans l'évolu- tion et dans la forme actuelle du syndrome, qui ne s'accordaient guère
premier jour, nous trouvions cette contracture au moins bizarre. La forme du, pied était peu ordinaire; les pieds hystéri-
s promettions d'étudier cette contracture, peut-être hystérique, de forme au moins anormale. Or, le lendemain, quand nous
yons voulu continuer cette étude, le spasme du pied lui donnait une forme toute différente : la voûte plantaire était abais
voiture est en vue, même à un kilomètre, etc., c'est évidemment une forme d'agoraphobie et de basophobie. Au milieu de to
la rumination mentale ; enfin cette agitation peut aussi prendre la forme motrice et se manifester par des cri- ses d'exc
es doigts fléchis (Pl. XLIV). Malgré cette attitude, l'harmonie des formes est sensiblement conservée, pas d'amaigrissemen
es et sur les deux bras, un grand nombre d'éphélides disposées sous forme ponctuée. Aucun trouble visuel, pas d'anesthési
t songera la myopathie primitive progressive, type scapulo-huméral, forme juvénile d'Erb ; on sait que ce type, le plus sou
plus atteint chez notre malade est habituellement respecté dans la forme juvénile de l'atrophie musculaire progressive.
termine l'attitude de rotation du bras en dedans se rapproche de la forme tonique. Un autre caractère distinclif est tiré
grosses, hautes, rondes ; les progrès ont été assez rapides pour la forme régulière des caractères, puis pour le nombre d
ateux, type Bl·issa2ld, sont aujourd'hui bien connus (1). C'est une forme clinique dont les exemples se montrent cha- que
ment des deux pigmentations suffisait à assurer le diagnostic d'une forme incomplète. Or, outre la double pigmentation et
. méd. des Hop., 18 fév. 1898. (4) Feindel et R. Oppenheim, Sur les formes incomplètes de la neurofibromatose (Arch. gén.
Voy. 1\'ouu. Iconographie de la Salpêtrière, 1902, p. 124. SUR UNE FORME RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE, PAR
ces. L'attention s'est portée depuis plusieurs années sur certaines formes d'ectromélies caractérisées, dans leur ensemble
'urine. C'est un homme de stature moyenne et d'une constitution UNE FORME RARE D'HÉ11MÉLIE RADIALE 1NTEKCALAIRE 239 robus
lange un- guéale et la deuxième phalange ont, l'une et l'autre, une forme sensiblement normale ; elles ne se distinguent
spé- cialement sur le trapèze et sur le scaphoïde. Le trapèze a la forme d'une pyra- mide triangulaire ; répondant par s
ouvements du doigt sont conservés avec leur ampleur habituelle; UNE FORME RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 241 l'opp
rapprochés du nôtre. Ce qui distingue celui-ci, en effet, c'est la forme même et le siège de l'anomalie. Elle n'est point
rt une analogie, nous ne devons point la chercher dans les diverses formes (1) J.-A. Fort, Des difformités congénitales et
té simple. Un os anormalement court conserve à peu de chose prés sa forme habituelle et ne perd aucune de ses connexions. C
soient plus courtes qu'à l'ordinaire, elle a cependant conservé sa forme et ses connexions. La comparaison entre la prem
ange rendra plus saisissant l'état incomplet de la première : si la forme de l'extrémité inférieure de celle-ci rappelle
orme de l'extrémité inférieure de celle-ci rappelle d'assez près la forme habituelle, son extrémité supérieure fait, par
roche donc, non pas d'une ectrodactylie franche, mais de toutes les formes caractérisées par l'absence complète ou partielle
ieur. Ces constatations nous conduisent à rattacher notre cas à ces formes (1) Voir la thèse très documentée de GEORGES VU
carpien). Gazette hebd. de méd. et de chirurgie, 15 avril 1899. UNE FORME RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 243 d'hém
deux phalanges inférieures. Les os carpiens sont modifiés dans leur forme , une partie assez importante de leur masse est
sont, au contraire, simplement intéressées dans leur volume : leur forme est normale et même la longueur de la phalange
mimélie, et d'une facon générale l'ectromélie, quelle qu'en soit la forme (1), n'est pas d'ordinaire stricte- ment limité
commun ? De l'ensemble des relations d'ectromélie sous ses diverses formes et à ses divers degrés publiées jusqu'à ce jour
l'ectromélie englobe deux groupes très distincts d'anomalies. UNE FORME RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 245 troph
ensée, que l'on doive considérer comme appartenant à telle ou telle forme de l'ectromélie toute anomalie déficiente qui a
et l'on serait mal venu d'assimiler ces variations par défaut à la forme tératologique qui nous occupe. Des deux parts, le
stion, en accolant l'épithète d'arrêt de développement à toutes les formes tératologiques. La seule difficulté qui semble
ès de déve- loppement (Bulletin scientifique de Giard, 1901). UNE FORME RARE 1)'IIÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 247 chi
embryonnaire. Tel n'est point le cas, puisque loin de conserver une forme jeune ce tissu conjonctif a acquis tous les car
breux, et l'on sait que ce tissu fibreux ne constitue nullement une forme de passage entre l'ébauche conjonctive d'une pa
le sens de tissu con- jonctif adulte, ce tissu conjonctif a pris la forme fibreuse. Il aurait pu rester en- l'état de tis
er dont il s'agit ici ne paraît pas être le processus de toutes les formes désignées sous l'étiquette commune d'ectromélie.
on nous conduit à considérer ce cas et les cas similaires comme une forme d'ectromélie, à laquelle sa constitution anatomiq
sus consécutifs (C. R. de l'Académie des sciences, 6 mai 1901). UNE FORME RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 249 même
uement permis de dire qu'entre une hexadactylie, par exemple, et la forme caractérisée par une variation histologique de
l, qu'il y ait un ancêtre commun anormal ; nous dirions même que la forme des deux anomalies exclut au contraire toute id
paraissent pas démontrer, au contraire, que les anomalies '( UNE FORME RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE 251 des m
droits.- Arthro- pallie de l'articulation tibio-tarsienne droite ; forme tropho-suppurée. Signes médullaires peu marqués
nombre de fois, avec des résultats variables. Cela s'explique par la forme anatomique à laquelle on s'est adressé. S'il
naître que tous ces signes ne sont pas suffisants pour constituer une forme de pseudo-tabes paralytique spécial. Plus imp
s dans le tabès; cependant Topinard croit que l'on peut séparer une forme cérébrale de cette maladie, distincte de la démen
stématisé, tantôt avec un carac- tère passager (Fournier). Mais les formes psychiques du tabes sont essen- licitement des
er). Mais les formes psychiques du tabes sont essen- licitement des formes délirantes dont le point de départ, peut-être, do
t RAPPORTS DU TABES AVEC LA PARALYSIE GÉNÉRALE 275 rares sont les formes démentielles : la démence qu'on trouve chez les t
contenter d'un simple examen clinique pour accepter ou rejeter les formes de tabes et de paralysie associés : la réponse
laires (Babinski)], ne serait-il pas bon de se demander si dans les formes de paralysie générale et de tabes (oupseudo-tabes
s des Aliénistes et Neurologistes de Bruxelles, août 1903) pour les formes de paralysie générale, a apporté et apportera de
la région lonlbo- fessière, la face postérieure des cuisses, etc., forme des masses lipoma- teuses à contours mal limité
ovenant de la phobie émanant de l'aboulie professionnelle, ou de la forme de kathisophobie, tandis qu'on n'a pas remarqué
des temples, à l'exemple des Romains et les représentèrent sous des formes d'êtres vivants, coutumes regardées comme sacri
ouver l'origine des croyances aux paetred ar zabat, qui changent de formes à volonté, dans le souvenir des initiés aux mys
désert. Les corrigans, les lutins, les fées, changeant à volonté de formes , doivent aussi avoir leur origine dans la soi-dis
que nos pères attribuaient à leurs prêtresses, de revêtir diverses formes d'animaux, de circuler invisibles dans les rivièr
l'imagination terrorisée par la peur du démon prêtait toujours des formes diaboliques. ' Si, par surcroît, le prétendu po
u'on la frappe. Le nom de tymbre a été donné à certains casques, en forme de cloche, et enfin, comme nous venons de le di
uelque peu fantaisiste assurément au point de vue de l'anatomie des formes ,mais reproduisant assez bien une attitude que l'o
nsversale partant de la commissure du pouce, le bout inférieur sous forme d'un autre renflement mou, mais moins jaune que
tumeur du nerf dont le tronc respecte offrait encore la trace sous forme d'une infil- tration graisseuse dissociant les
situés à la périphérie des fibres ou sous le périnèvre et ayant la forme et le volume des cellules granuleuses d'Ihrlicll.
e telle façon qu'ils donnent l'impression d'un corps cellulaire, de forme et de volume variables, duquel partent de nom-
ène, les autres de fibres moniliformes rappelant des cellules fusi- formes unies bout à bout. Quelques-uns de ces éléments p
tique. Mais le lipome, tumeur conjonctive, est généralement limité, forme une tumeur nodulaire bien localisée. Ici, au cont
n effet, que, ensuite des résections anciennes, non seulement il se forme un névrome terminal de régénération bien étudié
ous silence les amas granuleux noirs et ramifiés, rappelant parleur forme certaines cellules nerveuses. Il ne nous est pa
oppement intellectuel presque normal. Nous dirons cependant que les formes frustes de myxoe- dème congénital sont beaucoup
adie bien autonome, il existe peut- être entre les autres états des formes de passage. - On admet, en effet [et Sellerin (
Sellerin (3) codifie à cet égard nos connaissances] au moins trois formes de l'adipose douloureuse : 10 La forme nodulair
aissances] au moins trois formes de l'adipose douloureuse : 10 La forme nodulaire, caractérisée par les tumeurs plus ou m
ouvent symétriques rappelant parfois les lipomes multiples. 2° La forme diffuse localisée, dans laquelle l'adipose se can
res ou aux segments de membres sous forme de masses étendues. 3° La forme diffuse généralisée, dans laquelle la graisse est
otalité du corps. Il ne nous parait pas très légitime d'admettre la forme nodulaire : elle ne répond pas aux descriptions
se et d'autres sont de vulgaires lipomes multiples. Les deux autres formes présentent au contraire une grande homogé- néit
ement, recueil- '- lant sur la langue des toiles d'araignée dont il forme boule et fait maga- sin. La durée des périodes
de vicieuse de léchage n'est pas toujours absolument simple dans sa forme chez le cheval ; elle se complique parfois d'acte
ES DE LÉCHAGE ' 373 des troubles moteurs très compliqués dans leurs formes , le cheval est capable de manifestations psycho
offre des anomalies de structure (dents plus ou moins érodées), de forme (surdents), de direction; indépendam- ment de c
r des écuries de for- tune, y compris des toiles d'araignée dont il forme une boule qu'il roule indé- finiment dans la bo
« La manifestation objective du tic est un mouvement convulsif, de forme clo- nique ou tonique. Il représente une anomal
s cette définition, on ne peut dire d'un acte moteur qu'il revêt la forme clonique que si la contraction musculaire a des c
ez eux, le léchage ne revêt aucun caractère pathologique ni dans sa forme ni dans son opportunité; il ne procède pas par
fréquence, par sa manifestation inop- portune, sans raison, et sous forme d'accès ; « conservant l'apparence d'un acte in
e seule, il y en a au moins autant pour la sépara- tion de ces deux formes , dont chacune se développe, dans des conditions
et même si l'on admettait que le délire alcoolique continu est une forme de la paranoïa alcoolique chronique, il serait in
es. Les indications les plus détaillées et les plus précises sur la forme morbide dont il s'agit, se trouvent dans le Man
rs comme indispensable dans l'étiologie de cette 1 ' ie. Des autres formes de psychoses alcooliques que Wernicke men- . ne
s, présentant une tran- sition graduelle des accès très marqués aux formes abortives. Ces accès (1,2, rarement 3) tantôt p
us avions à notre disposition, ce phénomène a été constaté sous une forme très accentuée; dans quelques-uns de nos cas, c
photocollogr.) par Calîiette et Pages, 26. Ilémimélie (sur une forme rare d'hémimélie radiale intercalaire (1 pl. ph
1 pl.), par R. BLAN- Chiard, 266. Syphilis héréditaire tardive il forme cérébro-spinale (1 photo., 1 pi. en pho- toco
asthéniques (1 pl. 2 dessins), 209. KLIPPEL et E. RABAUD. Sur une forme rare d'hémimélie radiale intercalaire (1 phot
la sensibilité (1 pl., 2 schémas), 108. RABAUD et ILtrrE, Sur une forme rare d'hémimélie radiale intercalaire(1 photo),
dessins), 209. RICHON. Un cas de syphilis héréditaire tar- dive à forme cérébro-spinale (1 phot., 1 pl. en photocoll.),
27 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
les observations où la distribu- tion des troubles moteurs revêt la forme radiculaire, on peut, en l'absence d'autopsie,
omplète du tact simple (pinceau de blaireau). L'analgésie la piqûre forme une bande d'anal- gésie totale liorizontale de
e territoire inférieur descend sur la face externe des bras sous la forme d'une bande s'étendant jusqu'au pli du poignet et
UET toutefois. Il s'agirait dans ce cas d'une paralysie infantile à forme dou- loureuse, comme il en a été rapporté des e
nder s'ils se rapportent bien à des myopathiques vrais et non à des formes se rapprochant du typ.e Charcot-Marie, M. Huet ce
té du type facio-scapulo-hnméral de Landouzy et Déje- rine d'autres formes cliniques : type juvénile d'Erb, types de Leyden-
mot on ne trouve pas dans ce cas le facies si caractéristique de la forme facio-scapulo-hl1. mérale de la myopathie atrop
qui ont pour fonctions de redresser la colonne vertébrale, d'où la forme un peu spéciale de ce cas et l'impotence parti-
s'écarte plus ou moins de cequ'on est convenu de regarder comme la forme schématique, car, ainsi que l'a fait remarquer Je
dies transmises par hérédité, « on serait amené à décrire autant de formes de maladies qu'il y a de familles attein- tes »
fluence d'Erb, de Charcot et de Raymond, le groupement des diverses formes de myopathies en une entité morbide, l'atrophie
Landouzy et Déjerine dans leur travail de 1883 sur la myopa- thie à forme facio-scapulo-humérale. Enfin très exceptionnel
ces malades ne présentent pas de stigmates de dégénérescence et la forme de leur crâne est normale. Nous signalerons l'a
ée; la myopathie, atrophique ou hypertrophique, molle ou scléreuse, forme une seule entité morbide ; tout au plus, pour-
la cuisse et les fesses ont simplement conservé leur volume et leur forme normale. Ses pieds, lorsque les jambes sont pen
conservé. Les membres supérieurs sont intacts ; non seulement leur forme est normale (pas de méplat, pas de saillie non
? Ne peut-il pas se faire qu'il n'en apparaisse encore de nouvelles formes ? Il faut voir si notre cas s'accorde exactemen
M. Charcot-Marie. Trois grands symptômes paraissent caractériser la forme Charcot-Marie, et en marquer la place spéciale da
vec in- tégrité des membres supérieurs, appartiendraient à d'autres formes d'a- myotrophie, ou seraient seulement des cas
plication d'hystérie, une superposition d'hystérie ? Mais l'aslasie forme corps avec les autres symptômes; elle a, d'après
xiger : un tableau parfait de l'af- fection. On devait en venir aux formes atypiques. Le besoin des formes atypiques se fa
af- fection. On devait en venir aux formes atypiques. Le besoin des formes atypiques se fait sentir dans la publication, p
s téta- niques par voie d'excitabilité volontaire et de différentes formes d'irrita- tation, manifestent, en certaines cir
x points d'appui à l'étude de la myotonie. Outre cela, de pareilles formes atypiques de la maladie de Thomsen peuvent rend
ulaires progressives, ayant à leur tour grand besoin de nou- velles formes et de nouvelles sources d'analyse. Notre observ
raire jusqu'aux limites extrêmes. Ce phénomène se présente sous des formes différentes : tantôt les noyaux multipliés se dis
: tantôt les noyaux multipliés se dispo- sent sous le sarcolemme en forme des chaînes plus ou moins longues (a, fig. 4 et
dre la colo- ration, fait l'impression d'une plaque fort colorée de forme irrégulière (d, fig. 5). Dans les fibres fort a
e voit qu'une gaine de sarcolemme remplie de noyaux (e, fig. 5). La forme des noyaux n'est pas constante : s'ils sont iso
rme des noyaux n'est pas constante : s'ils sont isolés, ils sont de forme ronde ou ovoïde et se colorent plus faiblement ;
'ils sont disposés en chaînes ou en ¡lots, ils sont plus petits, de forme ronde ou en facettes et se colorent plus fort.
myopathie primitive risque de perdre bientôt et finalement une des formes des plus larges et protégées par elle,et alors
ent de son domaine de la dystrophie musculaire fré- quente avec ses formes si différentes. En même temps apparaissent des
pter toutes ces causes prétendues comme celles de beaucoup d'autres formes , sans doute DE LA MYOTONIE ATROPHIQUE 77 héré
er de myélite chronique ou d'hématomyélie ? De la ré- vulsion, sous forme d'applications de pointes de feu, dans l'espoir d
souvent, nous en sommes réduits il l'emploi des palliatifs; sous la forme de révulsifs, -applications de pointes de feu, le
er. La lacune de volume moyen est à peu près ronde. Cependant cette forme n'a rien d'absolu. Elle est du reste toujours a
ien d'absolu. Elle est du reste toujours anfractueuse, ce qui rend la forme ronde beaucoup moins caractéristique. Peut-être
ment ? Cela est parfois as- sez nettement visible. En tous cas la forme n'a rien de général et ne rappelle en rien les di
ttendus se rencontrent sur les bords d'une cavité qui paraissait de forme a peu près régulière : tels sont par exemple ceux
avons pu faire, il nous a semblé que quelle que soit son volume, sa forme et sa situation la lacune passait par deux phas
t le noyau très distinct se colore très bien et prend lui aussi une forme plate et allongée, Les différents auteurs ne so
s fibres névrogliques coupées brusquement dans leur trajet. Ce tout forme une sorte de chevelu qui flotte dans la lacune.
s reste à voir ce qu'il y a dans la lacune entre le vaisseau qui en forme le centre et le tissu cérébral qui en constitue
ue nous ayons employés, nous avons en vain recherché la présence de formes microbiennes. Bien que nous ne nous attendions
es que dans les autres nous n'avons trouvé de bactéries sous aucune forme . Cette recherche était nécessaire car on a remar-
révélé l'existence de différents types d'infantiles, la réalité des formes de transition, et nous ont convaincus, que, dans
ement désinfiltrée, désempâtée, a pris descon- tours plus nets, une forme plus allongée. L'aspect de l'enfant a changé, d'u
le grand pectoral,.fait défaut et le creux de l'aisselle a pris une forme particulière. La paroi postérieure est élar- gi
des lésions très diverses provoquer des symptômes identiques. Les formes variées de la maladie sont souvent des distinctio
es distinctions pure- ment théoriques : pour Little il y aurait une forme spinale et une forme cérébro-spinale. Sach pous
ment théoriques : pour Little il y aurait une forme spinale et une forme cérébro-spinale. Sach pousse plus loin la disti
une forme cérébro-spinale. Sach pousse plus loin la distinction en formes hémiplégi- ques, diplégiques et paraplégiques.
ressente pas le contre-coup du trouble physique. La distinction en forme spinale et cérébro-spinale est spécieuse, et pl
s dorsal spasmodi- due pur avec conformation anatomique bien nette ( forme théorique de Charcot et Erb dont nous parlions
j'ai donné aussi le nom de sens des altitudes segmentaires à cette forme du sens des attitudes qui définit le lieu de chaq
ainsi ce que j'ai appelé l'orienta- tion subjective indirecte. La forme des choses, étant la distribution topographique d
et nos idées par exemple ont un lieu géométrique, une étendue, une forme par conséquent, qui est celle de la distribution
ce que j'ai appelé une orientation psychique,qui est elle aussi une forme intracrânienne du sens des attitudes. Cette n
dée s'est fixée dans un mot, elle finit par. prendre, grâce à cette forme verbale, un air d'existence réelle, et nous somme
illusion subjective avec la superstition anthropomorphique sous ses formes les plus religieuses comme sous ses aspects les
s les réceptacles des phénomènes exté- rieurs, qui y prendraient la forme de sensations ; ce sont des milieux organi- que
les sensations, c'est quelque chose de pesant, de chaud, qui a une forme définie et qui, chez l'homme, ne vit qu'aux envir
ptitudes spéciales si l'on veut, des milieux organi- ques ayant une forme , un poids, aussi concrets que des glandes, rempli
ors il lui est possible de n'avoir pas quelque dimension et quelque forme , - si l'image, c'est-à-dire la partie intéressée
s respectifs, propre à chaque corde, située en sa place déterminée, forme ce qui nous apparaît comme un chant. De même la
ité superficielle et profonde de nos mem- bres, d'un côté du corps, forme ses images transversalement, vers le pôle op- p
ssi bien d'admettre comme tout le monde, que notre per- ception des formes , de la distribution des choses sur le champ visue
ement différents. On aura beau additionner des cannes de toutes les formes , cela ne fera jamais un pa- rapluie. » Cette
ance, de la fluidité, de la solidité, et, en partie du moins, de la forme , du volume, etc. » - Et il a fallu que cette co
ts, les ligaments et aponévroses péri-articulaires sont distendus, la forme (1) E. CLAPIRÈOF, Avons-nous des sensat. spéc,
ER du segment varie et les téguments sont le siège de variations de forme , d'ex- pansion, de pression, etc. , « Si nous
état musculaire ; c'est une variation de force, de résistance et de forme dans l'état de presque toutes les parties pro-
nalyser cette sensation d'effort nerveux et à voir si elle varie de forme selon ses applications à telle ou telle fa- cul
es et multiples au point que chez certains types ils ont presque la forme d'un 8. 2° Ces trois plans, qui ne sont pas pla
ie de Breuer. Les canaux semi-circulaires ont des directions et des formes qui favorisent l'enregistrement sensoriel des p
soriel des principaux mouvements de la tête, et la variété de leurs formes correspond, non pas à des plans géométriques inva
ications dans cette faculté si simple, si immédiate de percevoir la forme des choses, dépasse l'imagination. La forme d'u
diate de percevoir la forme des choses, dépasse l'imagination. La forme d'un objet est la distribution de tous ses points
ses points dans l'espace, et cette définition convient à toutes les formes . Chaque point de l'espace, dès qu'il devient ac
nément, directement et immédiatement localisés ou orientés. Donc la forme d'un objet se révèle immédiatement par la distrib
Il n'y a pas plus d'opération sensorielle pour la perception de la forme qu'il n'y a d'opération de la part d'une chambr
ous n'avons donc, il un moment donné, qu'une image incomplète de sa forme . Néanmoins nous pouvons augmenter la surface d'
reinte la notion du relief. La vision binoculaire embrasse ainsi la forme solide d'une surface d'empreinte plus grande qu
nsorielles plus adaptées, d'acquérir une notion plus complète de la forme de l'objet il un moment donné. Or, l'analyse du s
ologiques voient et louchent, résulte l'orientation objective de la forme de l'objet. Si, en outre, nous pratiquons la rech
ent nos attitudes, nous « faisons le tour de l'objet », et toute sa forme nous est connue. Ici encore c'est le sens des a
tte opé- ration qu'on a appelé le loucher actif. La perception de forme est donc immédiate et résulte directement de la m
ibué. Ce qui n'est pas immédiat, c'est le classement spéculatif des formes , la com- paraison d'une forme donnée avec d'aut
, c'est le classement spéculatif des formes, la com- paraison d'une forme donnée avec d'autres formes données et plus ou mo
latif des formes, la com- paraison d'une forme donnée avec d'autres formes données et plus ou moins familières et communes
tués dans notre masse corticale - jaillit cette image cherchée, cette forme spéciale d'idée, cette distribution convenable
as man- quer mais rester inconscientes, tandis que la perception de forme se main- tieudra.On a beaucoup confondu dans l'
la prose sans le savoir, et peuvent garder par exemple la notion de forme tout en étant incapables d'apprécier leurs attitu
tout à fait quand il s'agit de définir aux autres et à soi-même une forme . § 9. - Le sens des attitudes et la motricité a
se limitée dans l'espace est distribuée : elle a donc forcément une forme . Dans ce domaine psychique, la moindre image, l
un com- plexus anatomique. Les idées, les sensations, ont donc une forme comme les images sensorielles elles-mêmes ; et
s ; et il est infiniment plus facile d'admettre qu'une idée ait une forme que d'imaginer un moment qu'elle puisse n'en pas
se compliquant, suffit à caractériser la notion des idées ayant une forme . La recherche psychique, comme le palper actif do
er parfois très distants les uns des autres : une pensée a donc une forme , car elle couvre un certain terrain, elle assoc
rties et de ses divers points dans l'espace fournit la notion de sa forme ; les variations de sa forme ou de sa localisat
dans l'espace fournit la notion de sa forme ; les variations de sa forme ou de sa localisation dans l'espace éveillent la
ariation de localisation dans l'espace se révèle simultanément sous forme de durée, de vitesse, et sous forme d'étendue. La
ce se révèle simultanément sous forme de durée, de vitesse, et sous forme d'étendue. La notion d'étendue ap- partient à l
ement. Car nous voyons se dessiner au milieu de l'urinai une petite forme hu- maine. Ce dépôt urinaire d'un nouveau genre
e un cas de gliomatose diffuse; son intérêt gît dans ce fait que la forme anatomique de la lésion n'est pas une forme com
gît dans ce fait que la forme anatomique de la lésion n'est pas une forme commune, et aussi dans cette particularité que la
n arrière et en haut la 3e circonvolution frontale qui est aplatie et forme au- tour de la tumeur, en haut et en arrière, u
rieuse, mais à cette époque se sont montrées des attaques épilepti- formes qui se sont répétées fréquemment pendant les 2 an
Novembre : ' ? Dans la journée, le malade a deux attaques épilepti- formes . ' 'rt A la première, il a tourné la tête, s'es
re quelques minutes. Le malade urine sans cesse dans son lit, il se forme une escarre sacrée. A partir de ce moment, la t
des hémisphères. Cette tumeur, de coloration gris-rosé, affecte la forme d'un ovoïde aplati à la surface du cerveau, don
Détachée par section de son pédicule, la tumeur se présente sous la forme d'un sphéroïde aplati de dehors en dedans. Exam
e. Le corps de ces cellules est occupé par un noyau volumineux, qui forme à Fig. 3. - Sarcome. Coupe de l'hémi- sphère
. Dans la nuit du 9 au 10 mai, le malade a eu cinq crises épilepti- formes , séparées par des intervalles d'environ 10 minute
rien relevé aux viscères thoraciques ni abdominaux. Tant dans leur forme et leur siège que dans leur fonctionnement, rien
e crânienne a une consistance membraneuse. Cette partie membraneuse forme une bande antéro-postérieure allant de la ré- g
p plus considérable. Le frontal gauche, vu de haut, s'aperçoit sous forme d'une crête osseuse très résistante, de près d'
RIQUEL Dans la cavité crânienne, la fosse cérébelleuse présente une forme en en- tonnoir ; nous y reviendrons au sujet du
n trajet de 45 millimètres, se jeter sur la faux du cerveau. Ce repli forme avec l'axe antéro-postérieur un angle de 1/2 dr
, au lieu d'être mé- dian, est ici déjeté vers la droite. Il est de forme triangulaire à base supérieure, et c'est surtou
erminale de la poche, de la gélatine fondue, de façon à rétablir la forme primitive et à avoir, MONSTRUOSITÉ RARE DE LA F
e présentent aucune particula- rité macroscopique d'insertion ni de forme à relever. Ils existent au nombre complet de 6,
Le cerveau, vu par sa face supérieure, présente dans son ensemble une forme étroite et très allongée. La région frontale ga
e postérieure de la base du crâne a du reste, nous l'avons dit, une forme en entonnoir. A la partie postérieure de l'orig
total. Dans son ensemble donc, la scissure interhémisphérique a la forme d'un S allongé, interrompu à sa partie moyenne
lus importante formation interhémisphérique. Il se présente avec la forme d'un parallélipi- pède à faces courbes, dont la
interhémisphériques. A. Ventricule moyen, dont la coupe présente la forme d'un T : 1 Bande nerveuse antéro-postérieure.
'équivalent du ventricule moyen. Est-il possible de reconstituer sa forme classique : « Un entonnoir, qu'on aurait aplati
vers la gauche sur un plan plus antérieur. Le lobe pariétal est de forme triangulaire. Le sillon interpariétal limite asse
l, non plus s'étendant dans un plan horizontal, mais se relevant eu forme d'une sorte de quadrilatère dont un côté serait
nous espérions pouvoir suivre dans leur trajet et étudier dans leur forme les noyaux centraux, les noyaux optostriés. Mais
être, nous ne le pouvons . .Les ventricules se présentent avec une forme des plus curieuses. A droite ils sont reconnais
communi- cation entre les prolongements frontal et occipital est de forme ovalaire, de 1 centimètre sur cm. 5 environ.
sur des expériences nettes et bien définies. Au point de vue de la forme de la courbe, si l'on examine l'aspect des tracés
espirations : 1° Quoique dissemblables les respirations changent de forme , et au bout de quelque temps revêtent une physi
. Sa face antérieure est à peu près rectiligne. Sa face postérieure forme une courbe concave en ar- rière. Le canal médul
s ordinaires. L'épiphyse infé- rieure, spongieuse, a tout à fait la forme de la malléole interne, avec sa face sous-cutan
tibia, inclinée à angle obtusfen dedans ou en dehors, lui donne la forme d'un arc, d'un sabre. Le pied est quelquefois e
peut, nous semble-t-il, être difficilement soutenu. Le gros os qui forme à lui seul le squelette de la jambe diffère tot
t des sono- rités masculines, par l'absence de l'arrondissement des formes et de l'éva- sement du bassin si caractéristiqu
alculs ainsi enchâssés dont nous donnons ici la photographie est de forme ovoïde. Il mesure 11 centimètres de hauleur et
j'avais déjà communiqué un cas de ce genre, mais seulement sous la forme d'une note. C'est la même obser- vation que je
; tandis que toutes les lettres, alors qu'il en traçait lui-même la forme , avaient conservé leur valeur phonétique. Au
gie et désagrégée comme une carrière à ciel ouvert. Le lobule fusi- forme et même la troisième circonvolution occipitale da
ER MIGNOT, Médecins des asiles d'aliénés de la Seine. L'étude des formes sensorielles de la paralysie générale a jusqu'ici
- mer ont réuni les cas de ce genre sous la rubrique de paralysie à forme atypique. Cette variété symptomatique tient, ai
c de méningo-encéphatite diffuse, mais peuvent faire penser à celle forme sensorielle de la paralysie générale liée à l'exi
moins épais, con- tenant un plus ou moins grand nombre de noyaux de forme variable, repré- sentant les uns des éléments e
e méritant d'être retenu que des douleurs dans la jambe droite sous forme de crampes et de fourmillements à l'âge de 15 a
s. 320 THOMAS ET HAUSER peu spécial de ce tissu. Non seulement il forme aux fascicules un manchon épais, mais il pénètr
ion des racines postérieures, et à la périphérie un petit espace de forme ovalaire dont l'aspect est le même que celui qu
coupes immédiatement voisines du ganglion. Non seulement l'épinèvre forme à la racine une coque épaisse, mais des grosses
dégénéré, la portion sous-gan- glionnaire des racines postérieures forme un faisceau aussi dense, aussi compact qu'à l'é
e petits faisceaux musculaires tassés et agglomérés. La gaine piale forme à la racine un manchon épais constitué d'un tis
ttaché en effet à établir que l'issue de la maladie est souvent une forme plus ou moins grave de démence, que les guérisons
sées. D'une part, Schüle admet une véritable catatonie qui, dans sa forme légère, fait partie de la folie hystérique, et
ans sa forme légère, fait partie de la folie hystérique, et dans sa forme grave appartient à la démence primitive ou à la
xistence de symptômes catatoniques, de pronostic variable, dans des formes très diverses de maladies mentales. En revanche
et Vedrani (2) se rangent à l'opinion de Kroepelin et, à côté de la forme hébéphrénique, décrivent la forme catatonique de
ion de Kroepelin et, à côté de la forme hébéphrénique, décrivent la forme catatonique de la démence précoce. Sur l'ense
ral à titre d'épiphénomène tran- sitoire. Il est au contraire une forme morbide dans laquelle il se manifeste d'ordinai
me et surtout par le contraste qu'il offre avec d'autres lettres de forme très correcte écrites antérieurement, dénote comb
t que dans un. cercle très restreint et ne s'expriment que sous une forme incom- plète, puérile. L'expression verbale est
semble bien inutile d'insister sur le diagnostic différentiel de la forme morbide à laquelle appartiennent les trois observ
it dépasser les limites de cet article, de citer de nombreux cas de formes vésaniques les plus diverses, imbécillité, hyst
des symptômes de nature identique que l'on rencontre dans d'autres formes mentales (hystérie, paralysie générale, etc.).
ons automatiques de contraste psychique, qui ne sont souvent qu'une forme atténuée, supérieure, du négativisme, le dé- fa
otypés, en raison même de leur répétition fréquente et sous la même forme , n'exigent pas comme les actes nouveaux une ada
des parties molles.Nous en retrouvons aujourd'hui les vestiges sous formes de longues cicatrices blanchâ- tres siégeant à
ent l'évolution de ce théâtre. Les influences qu'il a subies et les formes dans lesquelles il s'est enfin fixé. D'après
ous sommes loin de Shakespeare et d'Ibsen. D'autre part, toutes les formes primitives du drame sacré et du drame populaire
prend corps le dédoublement de la personnalité particulière à cette forme dé- lirante. Déjà dans un nô, nous avons vu par
l'attitude « penchée en avant» que présentent les malades, dans la forme commune (type de flexion), mais sans que l'examen
laire contraste avec l'impotence fonctionnelle, systématisée, sous forme de spasmes fonctionnels à certains mouvements c
ension permanente du gros orteil, et M. Ballet faisait remarquer la forme athétosique des mouvements du bras. Nous attiro
t de Friedreich, qui persiste même parfois indé- finimentsous cette forme rudimentaire(l). En juin 1901, nous présentions
ié, nous nous refusions à porter autant de diagnostics qu'il y a de formes différentes de spasme, et nous préférions ne vo
riture (3). Mais, dans ce cas, le trouble ne se produit pas sous la forme d'un spasme, mais d'une incoordination motrice.
bras, et de le tenir immobile, ces contractions s'exagè- rent, sous forme d'ondulations assez lentes, et lui impriment de p
maladies héréditaires et familiales, seront reliés par de nouvelles formes , ménageant entre eux une transition insensible.
s faits. Sommes-nous en présence de la réaction myotonique,ou d'une forme un peu particulière de la réaction de dégénéres
bot, scoliose). Ataxie statique de la tête, du bras, du tronc, sous forme d'oscillation ou de spasme, survenant quand les
plus grave (nos malades), ou à un âge plus ou moins avancé,sous une forme atténuée, monosymptomatique (spasme fonctionnel).
rsales, celle hyper- plasie conjonctive se présente parfois sous la forme de faisceaux ayant un contour arrondi et un cal
t cellules à gros blocs chromatiques) sont reliés entre eux par des formes de transition. Ce polymorphisme complique singuli
le amyotrophique ; comme nous l'avons déjà indiqué plus haut, cette forme de dégénérescence n'exclut pas la possibilité d
quelques problèmes jusqu'ici irrésolus, d'insister sur les diverses formes que peuvent prendre les dégénérescen- ces du ne
quer ce sujet. Le but principal de ma thèse étaitde montrer sous sa forme schématique le type primitif, tel que les parrain
certaines myopathies, c'est ainsi que Bernhardt consi- dérait comme formes frustes, en se basant sur les réactions électriqu
MYOTROPHIE TYPE CHARCOT-MARIE 467 Je n'ai point nié qu'il y eût des formes péronières de la maladie; si l'on se reporte à
un fait positif probant, qui me permît d'admettre l'existence d'une forme limitée aux membres inférieurs, si rationnelle qu
s racines. Voici mes raisons : 9 Les accidents ont débuté sous la forme de douleurs qui irradiaient le long du trajet d
a fesse, se prolongeant à la face postérieure de la cuisse, sous la forme d'une bande dont la largeur va en diminuant, de
passant, la qualification d'apohlectiforme à été donnée à certaine forme de névrites multiples, par Dubois, de Berne, uniq
é celle-ci ; c'est pourquoi nous associerons les révulsifs, sous la forme de pointes de feu appliquées sur la partie infé
issus dans lesquels ils se sont formés paraissent avoir eu sur leur forme et leur extension une influence indépendante de
lus grand (Fi) s'étend sur toute la moitié supérieure du bulbe : sa forme générale est triangulaire ; sa base NOUVELLE Ic
sente une dégéné- rescence intense; dans les régions où ce faisceau forme un triangle allongé d'avant en arrière (bulbe e
nt à une époque plus tardive que les fibres émanées du noyau cunéi- forme , qui occuperaient la partie antérieure de la couc
me le noyau grêle répond' aux membres inférieurs et le noyau cunéi- forme aux membres supérieurs, cela revient à dire que l
orsque, au-dessus du noyau masticateur, le ruban de Reil a pris une forme aplatie d'avant en arrière, nous ne trouvons plus
an prend, au voisinage des tubercules quadrijumeaux postérieurs, la forme d'un L; la brancheantéro-postérieure, moins impor
branche transversale se renfle et l'en- semble du faisceau dégénéré forme ùmtriangle curviligne, dont la base concave emb
supérieure du corps genouillé in- terne, le ruban de Reil prend'une forme moins définie ; il devient irrégu- lièrement ov
uban de Reil, émanées des noyaux grêle (membres inférieurs), cunéi- forme (membres supérieurs), du trijumeau (face) et dest
dans la syphilis nerveuse en voie d'évolution, quelle qu'en soit la forme , qu'il s'agisse de tabes, de paralysie générale
elles s'élèvent ensuite les lésions caractéristiques de chacune des formes de la syphilis du système nerveux. Les récents tr
gros ren- flement en massue; la couche granuleuse se continue sous forme d'un ruban beaucoup moins coloré et se contourn
ts grêles comme dans un tissu fibreux très ancien, mais ils ont des formes ovales et surtout sont disséminés d'une façon dif
L'ÉCORCE DU CERVELET 519 tent de la péri-vascularite subaiguë, sous forme d'un épaississement léger fibrillaire assez ric
la substance blanche étant relativement intacte : la substance grise forme une sorte de petit feston mince, d'aspect sec,
ygonales et souvent même rondes, mais en dehors de ce changement de forme , la cel- lule est bien constituée. En somme,
d'un cervelet en miniature, que les cellules de Purkinje étaient de forme et de nombre normal et qu'il en était de même de
et médullaire qui amène leur tassement et leur condensation sous la forme du mince feston que nous avons décrit ? Nous pe
eur trajet des épaississements et des gonflements très menus, d'une forme tantôt très régulière, tantôt moins régulière. Çà
e de gros épaississements et gonflements de grandeur variable et de forme irré- gulière, disposés sur les dendrites plus
g. Parfois on peut voir sur le trajet des dendrites des saillies en formes de verrues. Cornes postérieures. - Les prolonge
re plus ou moins considérable d'appendices collatéraux, qui ont une forme et une grandeur variables (voy. fig. 2) ; tantô
leur trajet on observe ordinairement çà et là des épaississements à forme irrégulière, et sur les · Fig. 3. Fig. 4. 5
minales assez souvent on voit aussi des gonflements très marqués de forme et de grandeur variables. Il faut encore noter qu
une très grande quantité d'appendices collatéraux de grandeur et de forme variables, pour la plu- part épaissis au bout;
souvent sur leur trajet des épaississe- ments et des gonflements à forme irrégulière. Au sujet des appendices collatérau
s sont parsemés par une grande quantité d'appendices collatéraux de forme variable, parmi lesquels prédominent les append
ins réguliers et sont bien plus riches en appendices collatéraux de forme très variable. La différence que nous notons da
la corne postérieure, richement couvert d'appendices collatéraux à forme variable, commence à perdre ces derniers, lorsq
les, par exemple dans les cornes antérieures, des épaississements à forme irrégulière, des élar- gissements et des rétréc
moelle épinière sont, en somme, riches en appendices collatéraux, de forme bizarre et très variable; le second neurone sen
nd neurone sensitif a pour origine ces cellules, et leur cylindraxe forme les sensitives isolées de la moelle épinière, q
nt les extrémités articulaires et empêchent de sentir le relief que forme à la surface de l'os le cartilage conjugal. D'a
des rayons de Röntgen : chez trois d'entre eux, qui présentaient la forme massive de P. Marie, il a noté une hypertrophie
Chez la quatrième malade, femme de 33 ans, atteinte d'acromégalie à forme géante, chez laquelle l'affection avait débuté à
ompa- rativement à celle des os, était beaucoup moindre que dans la forme mas- sive. Pour cet auteur, de semblables const
s faciliteraient la dis- linction qu'il faut établir entre les deux formes de l'acromégalie : la forme massive, de l'adult
tion qu'il faut établir entre les deux formes de l'acromégalie : la forme massive, de l'adulte ou à début tardif, et la for
cromégalie : la forme massive, de l'adulte ou à début tardif, et la forme géante, de l'ado- lescent ou à début précoce.
rouver que la menstruation a cessé au début de l'affection. Dans la forme géante de l'acromégalie, comme dans la forme or
e l'affection. Dans la forme géante de l'acromégalie, comme dans la forme ordinaire, la slérilité est l'état IiaLi- tuel.
Le second fait notable fut chez elle la taille disproportionnée et la forme particulière de ses mains et de la mâchoire inf
85), c'est-à-dire près de 1/7 de la taille ; elle avait en outre la forme spéciale en battoir, avec des doigts carrés du bo
noïdal gauche, qui GIGANTISME ET INFANTILISME 563 fut retiré sous forme d'un amas de débris ramollis. Pour la même raison
ui était grandement augmenté de volume, fut retiré de travers et sa forme et son contour furent complètement détruits. Le
) et une largeur de 2/3 de pouce (0 m. 02), environ la taille et la forme de la dernière phalange, du petit doigt ; il pe
ubitus. Les deux mains sout très grandes, surtout très longues ; la forme en est cependant tout à fait proportionnée, en so
te. Le sang examiné au microscope a été trouvé normal comme nombre, forme et couleur des globules rouges et blancs. Cav
our aller danser près des mares sales et fangeuses. Ils changent de formes à volonté; tantôt animaux domestiques ou sauvag
ou les cris des divers animaux avec une rare perfec- tion ; mais la forme qu'ils affectionnent le plus, est celle du chat,
galiques, ils perdaient de leur attrait pour les monarques épris de formes surhumaines. Et lors même qu'ils eussent déjà p
signée pendant un certain temps sous le nom de Géant. La vérité des formes cor- porelles en est saisissante, surtout par c
vait voir plusieurs Saint Cristophe. Outre celui de II. Memling.qui forme le panneau central d'un tryptique du Musée de Bru
28 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. : 1 CHAPITRE PREMIER De la syphilis artérielle. De toutes les formes de syphilis cérébrale, celle qui frappe les art
tous ceux qu'elle présente peuvent aussi se montrer dans les autres formes de syphilis cérébrale, et réciproquement. L'édi
aralysie flasque avec abolition des réflexes. Elle peut affecter la forme d'une hémiplégie com- plète, mais le plus fréqu
ramidal, ces phénomènes irritatifs devront faire songer à une autre forme de syphilis, surtout à a syphilis méningée, ou
artielle se voit dans la syphilis des artères comme dans les autres formes ; mais elle est plus rare et \ surtout moins loc
généralisée, elle est rarement monoplégique comme dans les autres formes . Le plus souvent, d'autre part, on peut décou-
s, mouvements choréiques, rares il est vrai aussi dans les autres formes , sont absolument exceptionnels dans celle-ci. B
s de la sensibilité. La céphalalgie existe là comme dans les autres formes ; cependant elle fait défaut beaucoup plus souve
nage, ou l'intoxication. A cette période de début se rattache trois formes symptomatiques. A. Forme paralytique. - Le plus
t se succéder avant l'apparition des lésions irré- médiables. Cette forme a été magistralement décrite par Fournier dans
dans les lésions organiques, il n'est pas très rare d'observer une forme d'aphasie pure, surtout de l'aphasie motrice, s
e ou du membre supérieur droit, on peut aussi la voir s'allier à la forme suivante. Cette aphasie transitoire, intermitte
l'infiltration gommeuse méningée avec congestion de voisinage. C. Forme intellectuelle. Elle est extrêmement difficile
les sujets non prédisposés. 2° Artérites ectasiantes. Toutes les formes précédentes peuvent s'observer : à cette périod
ite. Il n'y a donc pas lieu de décrire avec Charrier et Klippel. la forme paralytique incurable par thrombose. Il suffit
es spéciaux lorsqu'elle reconnaît pour cause la syphilis. Une seule forme symptomatique mérite une description spéciale,
ule forme symptomatique mérite une description spéciale, c'est la forme apoplectique et mortelle. Elle reconnaît un dou
es cellules proliférées. » (Letulle 1.) La symptomatologie de cette forme apoplectique et mor- telle est très restreinte
12 '2 CLINIQUE NERVEUSE. Charier et Klippel' décrivent de plus une forme intellec- tuelle c présentant beaucoup de sympt
re syphilitique se révèle non seulement comme dans les trois autres formes par les pro- dromes mais aussi parce que, outre
as paru se rattacher à la syphilis des artères plutôt qu'aux autres formes ; le plus souvent il s'agit au point de vue anat
es formes; le plus souvent il s'agit au point de vue anatomique des formes mixtes. Tels sont les symptômes qui peuvent que
s sont les symptômes qui peuvent quelquefois servir à distinguer la forme artérielle des autres variétés de [syphilis cér
es dilatations monili- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 17 formes . Autour de ces dilatations anévrismales il n'exis
éterminer des troubles moteurs du. côté opposé, réalisant ainsi une forme d'hémi- plégie alterne. Les cas analogues ne
' Klippel. - La paralysie générale, lésions et symptômes spéciaux, formes spéciales (Arch. de médec, expél-im.), janvier 18
e. Il parla aussi d'un oedème péripupillaire, se présentant sous la forme d'un cercle brunâtre, que l'on rencontrerait da
s la faisons coucher. Deux jours plus tard, une érythème intense se forme dans la région sacro-fessière, et 5 à G jours apr
nées sur les membres inférieurs. Vers le 20 janvier, l'eschare se forme , malgré tous les' soins hygiéniques et antisept
latéralité qui assurent le diagnostic de névrose fonctionnelle. Les formes rares du tremblement clonique de l'extrémité supé
e et d'éléments xanthiques, parce que pendant cette période il se forme , dans la nutrition, plus d'azote, qui apparaît da
sERi. (Riv. di. part. nerv. et ment., fasc. 7, 1896.) XIV. SUR UNE forme SURTOUT ataxique DE crampe DES écrivains avec q
tions illusoires (96,87 p. 100); date et durée de leur apparition ; forme , volume, écartement, température, mobi- lité de
u pompeux, mais beau- coup de faits assemblés et présentés sous une forme assez con- crète et rendant cette thèse intéres
xcitation des filets cardia- ques,la tachycardie. La production des formes frustes s'explique par la variabilité de la loc
omparée pour l'appréciation et l'évaluation onlo-pliiloénétique des formes et des développements différents anatomiques; e
t il l'anatomie pathologique l'appréciation et la distinc- tion des formes sur la base de communs processus morbides et de
des malades. Cet appareil, d'une contenance totale d'un litre, a la forme d'une bombe renversée et peut être, pour facili
'artère carotide interne gauche s'apercevait encore un anévrisme en forme d'hémisphère de la grandeur d'une cerise. Dans
mbrane de myéline, enve- loppant le cylindraxe tantôt d'un côté, en forme d'une demi- lune, tantôt de tous les côtés, com
u particulière, permettant de les distinguer quelquefois des autres formes de syphilis cérébrale. § 1. Caractères généra
ubles moteurs. L'attaque épileptiforme, qui appartient à toutes les formes de syphilis cérébrale, est parti- culièrement f
mes de syphilis cérébrale, est parti- culièrement fréquente dans la forme méningée. Il s'agit le plus souvent d'épilepsie
me dépasser 40°, et cela pendant plusieurs jours de suite. Dans les formes où la symptomatologie est encore peu accusée, o
si elle a une valeur au point de vue du diagnostic des différentes formes de syphilis cérébrale. Tout ce que nous pouvons
i être rapide, aiguë; et il y a lieu de décrire successivement deux formes , aiguë et chro- nique. Chacune d'elles se subdi
formes, aiguë et chro- nique. Chacune d'elles se subdivise en deux formes secon- daires, suivant qu'elle atteint la base
ence d'infections associées manque. B. Méningite chronique. Cette forme est aussi 11'é-· quente que la précédente est r
peutique soit complet. Méningite de la base. C'est de beaucoup la forme la plus fréquente et la mieux connue. Oppenheim
es, sont assez rares : elles se présentent anatomiquement sous deux formes , soit gomme circonscrite entourée d'une capsule
e, soit infiltration gommeuse diffuse à limites indécises. Ces deux formes paraissent pou- voir être réunies dans le même
mélioration spontanée. Recrudescence des symptômes, crises épilepli formes clébu- tant par la main droite, apparition de d
sée, d'aspect un peu rayonnée. fait une saillie notable, affecte la forme d'un cône pointu; les vaisseaux font un crochet
it, par exemple, que la paralysie générale peut affec- ter diverses formes , une forme exubérante, une forme dépressive, un
ple, que la paralysie générale peut affec- ter diverses formes, une forme exubérante, une forme dépressive, une variété a
générale peut affec- ter diverses formes, une forme exubérante, une forme dépressive, une variété ascendante ou spinale (
, les rapports des carac- tères symptomatiques particuliers à telle forme et des lésions ou des causes de cette forme ?
es particuliers à telle forme et des lésions ou des causes de cette forme ? Les opinions émises relativement à l'existenc
er que bien souvent c'est la tare héréditaire qui donne la note, la forme de la folie alcoolique : exubérante chez cer- t
érante chez cer- tains cérébraux, l'aliénation mentale affectera la forme de manie rémittente, par exemple, chez des alco
sion men- tale, d'obtusion intellectuelle. La détermination de la forme peut être fixée à la fois pai- la prédispositio
ysie générale syphili- tique et de laisser comme type classique une forme condui- sant progressivement à la mort en deux
probabilités d'aggravation des caractères ou prédispositions à des formes spéciales de maladies inhérentes aux deux parti
rêves d'ambition et de fortune, et susceptible de devenir, sous la forme d'idées de richesse et de grandeur, ou l'élément
ques, févr.1897.) L. R. 138 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. V. UNE forme DE délire systématisé DES persécutés persécuteurs
souvenait pas du vertige et le trouble post-épileptique prenait la forme d'un rêve pénible. Un second exemple de crise
t été faites qui établissent l'intérêt de ce symptôme dans quelques formes do maladies mentales. Parmi ces dernières, c'
n. Il est vrai que la démence sénile non compliquée cons- titue une forme de la folie bien distincte, il n'est pas moins vr
(Tlzc alienist and neurologist, octobre 1897.) E. BLIN. XII. LES formes stupides ET LES formes CONFUSIONNELLES DE L'AMEND
eurologist, octobre 1897.) E. BLIN. XII. LES formes stupides ET LES formes CONFUSIONNELLES DE L'AMENDA ; par Nicolo BUCCEL
analogie des conditions de développement et des traits généraux des formes , confusionnelles et stupides, considère cependa
. Il propose en conséquence de distinguer l'amenza stupide avec une forme simple ou torpeur cérébrale simple et une forme
za stupide avec une forme simple ou torpeur cérébrale simple et une forme grave ou stupeur primitive et l'a- menza confus
me grave ou stupeur primitive et l'a- menza confusionnelle avec une forme simple ou confusion mentale simple et une forme
usionnelle avec une forme simple ou confusion mentale simple et une forme grave ou confusion mentale hallucinatoire. , J.
- dant du fond d'insuffisance morale qui transparait à travers la forme psycliopatllique. Le principal de ces caractère e
s ne constituent qu'une seule et même maladie. Certains cas de la forme imitative ressembleraient à l'hypnotisme, mais la
rs observations très cu- rieuses et souvent très amusantes des deux formes de Latah. Les cas d'imitation les plus intéress
n généralement adoptée, l'affection mentale n'a nullement revêtu la forme de la paralysie générale. R. DE Musgrave-Clay.
vsie générale atteint son maximum d'accroissement : pour les autres formes de folie, l'accroissement commence à partir de qu
ion dans le type de l'aliénation mentale, un retour régressif à des formes inférieures d'affections cérébrales, une déchéanc
ci le possédait déjà comme qualité inhérente, quoique latente, sous forme , si l'on veut, de prédisposition. C'est. répliq
tères de la névrose trémulante. Dans le cas étudié par M. Labbé, la forme hémiplégique du tremblement et de l'athétose, s
er de l'état somatique dont le fond essentiel est constitué par une forme d'affaiblissement et de dissociation intellectu
e façon essentielle, et qu'elles doivent être considérées comme des formes aiguës, atténuées ou de début, de la méningo-encé
e des persécutés persécuteurs processifs , M. Koch en admet trois formes : lo celle des individus dont le psûchê est intac
base au délire systématisé. P. KERAVAL. XXXVI. Deux exemples DE la forme affective DU délire généralisé ; par le D1' X.
-dire la perte de notion du temps, du lieu, des personnes, etc. Les formes du délire généralisé sont très nombreuses; on p
ons l'auteur reproduit, à titre de docu- ments, deux exemples de la forme affective du délire généralisé : le premier app
opération de choix qu'on doit toujours tenter dans n'importe quelle forme de goitre exophthalmique ; tandis que la thyroï
s'enfonce directement dans la partie centrale de la moelle où elle forme une colonne nette- ment délimitée, pourvue d'un
arrêtée, le sang s'agglomère dans les parties les plus basses et y forme ces taches qui, après sept ou huit heures, ne s
après cinq années d'exercice. « Le tirage au sort aura lieu dans la forme usitée pour les concours des médecins des hôpit
- brun. Sur la peau des pieds et des jambes existe une ichthyose, forme légère, à lamelles fines, brillantes. TROUBLES
ailleux, feuilleté d'une coquille d'huître, et se desquame. Dans la forme la plus grave, après s'être déformé et déco- lo
ongles des orteils et des doigts ; les ongles sont altérés dansleur forme et présentent des sillonsplus ou moins profonds
ur les temps. . Les ongles ont subi presque tous des altérations de forme , de coloration et de texture. Ces troubles remo
du côté gauche. Les ongles des orteils sont très altérés dans leur forme . Lesongles du gros orteil, du 3° orteil et du p
es, surtout chez les femmes. Elle débute aussi par le vertex sous forme de tonsure. Observation XXXI. Alopécie et ichth
s, froides. Les ongles sont feuilletés, épaissis, altérés dans leur forme . L'alopécie est accentuée, en clairière et diss
LE. 195 Deux ans plus tard, M. Joffi-oyl, dans un article sur les formes spinales de la paralysie générale, pense que les
atrophie considérable de la cuisse. Il importe de distinguer ces formes médullaires de l'amyo- trophie d'avec les atrop
la paralysie générale, conclut que l'amyotrophie peut revêtir deux formes principales : la maladie d'Arau- Duchenne (atro
cot (sclérose latérale amyotrophique). On constate dans la première forme l'amyotrophie des éminences thénar, hypothénar
e cas de la malade dont nous rapportons l'observation. Dans l'autre forme , l'atrophie est générale. Les réflexes sont exa
tard l'atrophie des muscles de la main gauche. ' Joflroy. Sur les formes spinales de la paralysie générale. (Journal de
s, au contraire, sont visibles; les ongles changeant de couleur, de forme , s'atrophiant, tom- bant, etc. Notre chiffre es
ent des cas de paralysie générale, de folie alcoolique, et diverses formes de mélancolie et de manie; il est probable que,
araît cette différenciation, où il est décidé que l'individu qui se forme aura un ovaire ou un testicule, se crée une loi
erstice de ces travées ; la texture du spongioplasma détermine leur forme et leur volume ; de leurs angles se détachent d
surtout de grosses cellules ; la subs- tance achromatique organisée forme un réseau à mailles assez larges délimitées par
de tourbillons. Elémemts chromatophiles oblongs, ovoïdes ou fusi- formes . Du fait de la continuité anatomique des fibril
ssion des malades et sur la constatation du liseré plombique. Cette forme d'encéphalopathie saturnine, dénommée par l'aut
ue. Cette forme d'encéphalopathie saturnine, dénommée par l'auteur, forme ménin- gitique est toujours grave ; dans un des
n a engendré des troubles cérébraux simulant un délire vésanique ( forme délirante) ; une ouvrière a présenté pendant cinq
ille avec hallucinations de la vue et de l'ouïe. Dans d'autres cas ( forme convulsive), la maladie s'est traduite par des
'épilepsie qui survient après vingt-cinq ans et l'épilepsie due aux formes variées d'encéphalite infantile présentent, de no
des crises se pré- sentent parfois des troubles mentaux nocturnes à forme de som- nambulisme. - Deux groupes de phénomè
des phénomènes de synthèse mentale qui se manifeste surtout sous forme d'aboulie et d'amnésie continue ; 3° cette insomn
érification anatomique manque, les auteurs inclinent à en faire une forme de transition entre l'béréduataxie cérébelleuse
hognomo- niques. Ces troubles de la mémoire s'observent tantôt sous forme d'oubli permanent (amnésie connue), tantôt sous
t tantôt sous forme d'oubli permanent (amnésie connue), tantôt sous forme d'amné- sie rélrograde. A cdlé de cette forme d
connue), tantôt sous forme d'amné- sie rélrograde. A cdlé de cette forme d'oubli, qui est un symptôme presque constant,
lenteur de l'idéation,'état apathique. . La psychose polynévritique forme-t -elle une entité morbide spé- ciale ? , il arr
dit une vérité simple que la sagesse humaine, quelle qu'en soit la forme , devrait bien recon- naître pour résoudre d'un
nombre de cas un être curable et que la cure du buveur est une des formes les plus intéressantes de l'assistance publique.
gle, a tenté d'y reprendre le dessus, après quelques changements de forme dans son langage et son attitude. D'après les i
du malade. Le délire de dépossession est un délire de dégénérés à forme rai- sonnante. Il constitue une variété de la «
AY. Dans les psychoses, les hallucinations de la vue affectent la forme élémentaire, commune ou verbale. Elles sont le pl
ques peuvent être placés parmi les prédispo- sés dégénérés, et leur forme psycliopalique peut trouver sa situa- tion exac
nvulsif de Trousseau) ; par Ed. Martaud. Intéressante étude de la forme légère de la maladie des tics convulsifs, dont
s magistraux sur la définition, les causes, la symptomatologie, les formes , l'évolution, le diagnostic et le pro- nostic d
ersions sexuelles sont beaucoup moins connues. Quelle que soit la forme de l'inversion sexuelle, si elle est congénital
sive; mais il est resté sujet à des crises d'excitation violente de formes diverses. Il est d'ailleurs à peu près imbécile
s percep- tibles, mais la fontanelle antérieure persiste. Elle a la forme d'un triangle irrégulier, à base antérieure de
r LEGRAIN, Médecin en chef à l'asile de `-ille-Evrard 2. Diverses formes de l'initiative. Le médecin. Abstraction faite de
ppelle normal est celui qui, ayant une héré- dité convenable, a une forme et une structure cérébrales requises et se trou
élio- ration ; le criminel aliéné, la plus dangereuse de toutes les formes ; l'épileptique, le fou, l'imbécile. ' L'impor
l'équilibre soit local, soit général, est détruit. Aussi toutes les formes de la maladie se caractérisent à leur début par
que le froid sur la colonne vertébrale sera indiqué dans toutes les formes spasmodiqhes en chassant l'excès de sang des ce
uteur résume l'état actuel de nos connaissances sur les différentes formes que revêt la syphilis du système nerveux centra
; 23 cas seulement étaient indemnes de prédispositions. Parmi les formes les plus fréquentes de syphilis spinale, l'auteur
joignent à eux les nouveaux symptômes caractéfistiquesdes diverses formes de syphilis cérébrale dont l'au- teur décrit le
u'il faudra instituer, le mercure étant le meilleur remède de cette forme de syphilis. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 31
uvés purs dans les fèces, ces corps se retrouvent dans l'urine sous forme de sulfates. L'examen des matières fécales se
-infection est, pour le moiti,, un important facteur dans plusieurs formes de la folie, et, sans qu'on puisse affirmer pos
HOLOGIE NERVEUSE. un jour nouveau sur la compréhension de certaines formes men- tales difficiles à interpréter autrefois;
La maladie de Friedreich et l'ataxie cérébelleuse peuvent être des formes dif- férentes de la même maladie; il y a des ca
cile le diagnostic entre une paralysie brachiale radiculaire et une forme d'atrophie musculaire du type juvénile d'Erb, i
liolol;i- quement les conditions ambiantes font varier seulement la forme des névroses, leurs différences ne sont pas spé
oques différentes, elle pourra ainsi à divers moments présenter des formes diverses de névrose. Cette instabilité indiffér
nt plus que d'autres une tendance à se trans- mettre avec leur même forme , et surtout celles telles que la mélancolie qui
caractères corporels sans valeur dans certaines familles, comme la forme du nez, des doigts, etc., qu'il rapproche de l'
érédité, mais aussi avec l'influence du milieu qui peut modifier la forme de la prédisposition transmise. On n'a donc pas
sme. Elle est dissociative par son pouvoir de séparer, d'isoler une forme de sensibilité (douleur), par exemple, pour la
ar exemple désagréables. La volition non anéantie n'a que changé de forme , l'état moral persiste et arrête les suggestions
e est un nouvel argument en faveur de l'unité de nature de ces deux formes morbides. J. Séglas. REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
, 2° Dans 23 p. 100 des cas, la démence y fait défaut, mais cette forme n'est le plus souvent autre chose qu'un arrêt de
ence. A côté des variétés évolutives régulières, on rencontre des formes transitoires ou inverties. Tout d'abord celles qu
aractères n'ont rien d'absolu, et il ne faudrait pas croire que ces formes soient seules symptomatiques de l'aliénation héré
et, parmi les aliénés à antécédents héréditaires avérés, toutes les formes évolutives possibles. Quant aux formes invertie
itaires avérés, toutes les formes évolutives possibles. Quant aux formes inverties, dans lesquelles le délire de persécu-
qu'on n'a pas affaire à des délires de persécution, mais bien à ces formes retirées du groupe primitif par M. Falret (pers
. B. XXXV. NOTES sur l'aura épileptique avec relation DE QUELQUES formes rares; par le Dr Pierce Clark. L'étude de l'aur
, REVUE DE pathologie mentale. 335 l'auteur rapporte-douze cas de formes rares. Cas 1 : avant sa crise, le malade pronon
quernertl par des caractères parfois aigus, soit isolément sous une forme plus ou moine atténuée. Il faut distinguer les
riformes qui sont à l'hystérie vraie ce que les attaques épilepti- formes sont à l'épilepsie. Enfin, l'hystérie peut emprun
que, approprié à chaque cas emploi de la suggestion sous toutes ses formes . 22. Des anesthésies coiiséctitioes aux lésions
ns les quatre premiers chapitres sont étudiés, avec les différentes formes , que revêtent lenrs manifes- tations symptomati
se trouvent réunies un certain nombre d'observations d'hystérie, de formes et de degrés variables, depuis la petite hysté-
maladies organiques, à la sclérose en plaque, au tabès, à diverses formes de paraplégie, d'hémiplégie et de myopathie. Ba
ET T A. MARIE, Médecin en chef a la Colonie de Dun. Dans les formes de mélancolie simples, curables, qu'on pourrait
simples, curables, qu'on pourrait appeler aiguës par opposition aux formes chroniques et plus ou moins systématisées, on p
a en lui comme un esprit de contradiction ; à côté du moi ancien se forme un moi nouveau. Plus tard, le malade est dominé
essent, et ce sont ici les sen- sations qui le renseignaient sur la forme de son corps qui sont modiliées ou qui ont disp
us la même impression... ; j'ai senti ma tête changer dix fois de forme , je n'ai plus de cervelle ; il me semble que ma t
jamais ; d'autres en ont, mais d'une façon transitoire ou sous une forme élémentaire. Enfin, il est indispensable de consi
sur le moi, voilà ce qui constitue la mélancolie dépressive dans sa forme la plus simple '. Ettmuler, cité par Esquirol 2
de la mentalité. De là, toute une série d'intermédiaires entre les formes aiguës simples et les cas chroniques complets d
délire systé- matisé secondaire de possession paraît le type. Aux formes frustes et à l'état faible correspondent les ma
le serpent, par exemple, qu'il sentait dans son corps n'est qu'une forme prise par l'esprit malin pour pénétrer en lui .
s'imaginait que ses idées prenaient naissance dans son cerveau sous forme d'oi- seaux ou d'abeilles qui s'envolaient ensu
s impulsions verbales, dites hallucinations psychiques, sur cette forme de délire. Les autres phénomènes impulsifs se com
se propage plus parjiine voie unique; elle prend fin déjà, dans sa forme initiale, à l'arborisation terminale du premier
s bipolaires et multipolaires (crustacés et vers). A s'en tenir àla forme unipolaire, on voit que le corps cel- lulaire,
aient lieuparallèlement à «l'événement psychique P, et cela sous la forme d'un « mouvement se propa- 388 REVUE CRITIQUE.
orme d'un « mouvement se propa- 388 REVUE CRITIQUE. géant sous la forme d'onde (p. 140). Dans le protoplasma de la cell
estime, au contraire, que la cause déterminante du nombre et de la forme des den- drites n'est pas toute dans les rappor
sont réglées de telle manière qu'elles ne répondent qu'à certaines formes déterminées d'excita- tioii. La cellule est pou
. C'est à partir de cette époque qu'elle a été atteinte de crises'à forme hystéro-épiteptique. Sa mère a été alié- née ;
lacés. Dans les nerfs périphériques, la myéline se présente sous la forme de granulations disposées autour du cylindraxe.
e Wei,ert-Pal, dans les deux cordons postérieurs, une zone pâle à forme triangulaire dont la base est dirigée vers la pér
, cette zone se montre aux régions lombaire et dorsale avec la même forme : dans la région cervicale, elle parait double
antérieurs et latéraux, tandis que la partie postérieure de la zone forme contraste avec la partie antérieure en demeurant
e et s'étend de sa base presque jusqu'à l'extrémité de la corne. La forme eL celle d'une poire dont la tête repose antéri
embre 1896.) E. B. LXVIX. Contribution A L'ÉTUDE DES changements DE forme DU POULS artériel ET DU POULS capillaire aux di
ences, les auteurs ont résumé les expériences faites par eux sur la forme du pouls capillaire et artériel aux différentes
les étudiant on voit que : 1° il y a un changement graduel dans la forme de la pulsation d'heure en heure ; ce changement
rothérapie aiiti-3-pbiliLique, le traitement antisyphilitique, sous formes de frictions, a sa raison d'être dans les premi
dale de la partie cen- trale du premier neurone de cette chaîne, se forme une voie arci- forme composée de certaines fibr
trale du premier neurone de cette chaîne, se forme une voie arci- forme composée de certaines fibres de la racine spinale
actéris- tique de la paralysie générale, se rencontre dans d'autres formes mentales. Je ne demande d'ailleurs qu'à être co
ues qui caractérise le délire aigu et font la délimitation de cette forme nosologique d'avec les formes graves de l'amnés
aigu et font la délimitation de cette forme nosologique d'avec les formes graves de l'amnésie. Pour bien différencier le dé
es graves de l'amnésie. Pour bien différencier le délire aigu de la forme galopante de la démence progressive, S. et W. inv
ence progressive, S. et W. invoquent un cas de paralysie générale à forme galopante, qu'ils ont eu l'oc- casion d'examine
obable que l'encéphalite aigu hémorrhagique répond toujours à cette forme clinique qu'on peut considérer comme bien défin
ariété d'encéphalite aiguë hémorrhagique, tout à fait analogue à la forme de poliencéphalite inférieure de Strumpell et W
y a lieu de reconnaitre plutôt des combinaisons et des passages aux formes de Strumpell, Wernicke, etc., et vice versa.
alement il existe une parfaite analogie avec l'évolution des autres formes d'encéphalite hémorrhagique aiguë. L'étiologie
, t. V. 27 418 SOCIÉTÉS SAVANTES. toujours, comme dans les autres formes d'encéphalites aiguës, d'in- fections et d'into
caractère clonique, résultant de la dégénération des fibres arci- formes de la sphère motrice. Discussion. Le professeur
érin, d'un polype ou d'une hypertrophie de la muqueuse nasale, etc. Forme réflexe; 424 BIBLIOGRAPHIE. 3° D'une intoxica
primitive, modifiant fonction- nellement les centres sympathiques. Forme toxique. Cette excitation peut aussi être primi
xique. Cette excitation peut aussi être primitive, caractérisant la forme essentielle, idiopathique de l'affection. Dans
du trajet des voies sensitives intramé- dullaires et de décrire une forme particulière de dissociation de la sensibilité
a première dorsale, puis sorti de la moelle. Généralisations : sous forme d'infil- li-ation diffuse et légère de toute la
li-ation diffuse et légère de toute la pie-mère médullaire ; sous forme de semis polypeux sessiles ou pédicules sur diver
avec une vigueur presque normale ; le long supinaleur se durcit et forme une corde sous la peau. La flexion de l'avant-b
elle s'étend en haut et en bas en s'amincissant progressivement; sa forme générale est celle d'un fuseau; macroscopiqueme
l'axe gris médullaire. Les troubles de la sensibilité offraient une forme assez particulière caractérisée parla dissociat
Nous croyons pouvoir la résumer de la façon suivante : la première forme , anesthésie cutanée avec conservation des sensi
à la Colonie de Dtiti. Les phénomènes impulsifs, en germes dans les formes com- munes de mélancolie, engendrent à l'état f
habituelles ; enfin, l'erreur devient plus complète par suite de la forme que revêt bientôt la pensée lorsque cet état se
e à elle-même comme dans le rêve, se produit spontanément ; elle se forme en paroles... Il s'établit alors une sorte de l
milliers d'années ; elle a le malin esprit dans l'uté- rus sous la forme d'un serpent, quoiqu'elle n'ait pas les organes
malade qui croit que le démon a pris domicile dans son ventre sous forme d'un gros serpent. a Cet homme pousse de temp
cris le bour- ' Fragments psychologiques, loc. cit. ' Cotard. Une forme grave de mélancolie anxieuse. (Annales médico-
de, je n'appartiens plus au genre humain dont il ne me reste que la forme ; depuis que Dieu s'est retiré de moi, j'apparti
iabolique de la mère au fils.) Chez une malade de Griesinger ' se forme une contradic- tion intérieure entre ses propre
feu dans ces régions'.) A cette période la démonopathie affecte une forme 1 tiriesinger. Maladies mentales, p. 2SG-`357.
diable qui est dans leur corps ; ces autodafés affectent parfois la forme de véritables suicides en masse. « Il ne faut
ses ordres. Il l'apercevait dans les nuages ; il le voyait sous la forme d'un bélier, d'un chat, d'une grosse mouche, d'
gnement, le diable se mettait à voltiger sous mes yeux : prenant la forme d'un papillon, il me brouillait l'entende- ment
re ces cellules une légère différence quant à leur volume et à leur forme , les unes étant plutôt arrondies et en oignons,
tant plutôt arrondies et en oignons, les autres piriformes et fusi- formes , d'aucunes polygonales. Maisla fine structure du
dante des racines spinales (Obersteiner), dont le noyau originel forme la substance gélatineuse de Rolando; les fibres d
mite intermédiaire au cordon de Goll et au' cordon de I)tirdacli et forme la lisière dorsale la plus externe du cordon de
rapports médico-légaux, M. Dumaz donne une description succinte des formes que celle-ci présente. Lorsque la lucidité n'es
ons suivantes : l'étiologie d'une maladie doit expliquer toutes les formes de cette affection : l'hérédité pure, le surmen
de l'arséniate de strychnine. Chazarossian (Bedros). Du béribéri à forme paralytique. Gibert (Joseph). Sur l'anesthésie
apports avec les professions.- Ingelrans (Léon). Étude clinique des formes anormales du tabes dorsalis. Iovanovich (Démétriu
à l'étude de la neurofibromatose. Ott (Charles). Etude sur les deux formes de hernie congénitale du cerveau. L'en- céphalo
sme et méningites. - Pokhryschkine(M"°Ta- tiane). Des variations de forme du coeur dans les névroses. gl2 BIBLIOGRAPHIE.
se rénale chez les épileptiques. Roux (Charles). Elude sur quelques formes rares de contractures hystériques. Schwanhard
ures hystériques. Schwanhard (Armand). Contribution à l'étude de la forme pseudo-tabétique de la myélite syphilitique. Se
son prix est très élevé; mais ce qui est plus grave, c'est qu'elle forme bientôt des amas qui exercent une pression sur ta
e, etc.). Tous ces examens seront ensuite continués et pointés sous formes de diagrammes graphiques parallèles, l'obser- v
Amaurose hvstérique unilatérale, par Gilbert Ballet, 223. Amenza. Formes de l' , par Buc- celli, 142. Amputés. Sensati
ions, par Legrts, 81. - de revendica- tions, par Ctillerre , 138. Forme affective du - général, par Fran- cotte, 158.
29 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t d'autres en puissance dans le nez. Ces bruits prennent parfois la forme de la voix arti- culée, et ce sont tantôt des m
sensibilité générale. L'onomatomanie s'est présentée surtout sous forme d'obsessions et d'impulsions coprolali- ques ;
du système nerveux, admet l'existence de la première de ces deux formes de Duchenne, mais il se refuse à (reconnaître l
s cas que dans d'autres...1 - - 1 1 1)' 1 1 1 , Quant la première forme , elle est depuis quelque temps déjà l'objet d'u
uchenne et la polynévrite, gé- 20 pathologie mentale. néralisée à forme de paralysie générale spinale anté- rieure suba
e Déjérine devient une affaire très épineuse. Quant à la deuxième forme de Duchenne, la para- lysie générale spinale di
ison de critiquer Du- chenne, surtout quand ce dernier assigne à la forme morbide qu'il veut dégager, une anatomie pathol
lement maigri. 1 , 1 ' ' L'atrophie est très prononcée, bien que la forme des membres soit encore un peu marquée, c'est-à
nt qu'elle aurait pu passer inaperçu e. Elle s'est fait sentir sous forme de quelques accès en éclair dans les muscles de
vais jamais eu l'occasion de voir cette maladie de l'esprit sous sa forme typique. Vous savez qu'il y a ici dans le servi
sente. Ce sera un bon moyen d'analyser l'amnésie hystérique sous la forme la plus parfaite. Sans doute l'amnésie contin
s atténuée. Elle vient presque constamment se surajouter aux autres formes d'oublis ' Etude sur un cas d'aboulie et d'idée
oit à l'étude du somnambulisme a été conquis. Mais, il y a d'autres formes du somnambulisme, s'est- on écrié aussitôt dès
nt qu'il semble s'agir d'une impulsion dipsomaniaque prolongée sous forme ambulatoire. ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
es couleurs était aussi limité, mais moins que pour le blanc; 6° La forme du champ visuel pour les couleurs suit constammen
ans- formation en conceptions délirantes ? Comment et sous quelle forme surviennent les obsessions dans la paranoïa ? R
t une observation de folie induite chez des jumeaux ayant revêtu la forme de délire systématique (para- noï(t. P. K. VI
juin 1890, il devient négligent, jette l'argent par les fenêtres, forme le projet de grands voyages, de grandes entrepris
la presse et du public. P. K. XI. UN cas DE paralysie générale A FORME circulaire; par H. ROT- TENDILLER. (Cent1'albla
uvent incomplet et imparfait n'est pas davantage le caractère d'une forme morbide spéciale. La catatonie résulte d'une as
soit, 74 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. mais bien plus rarement, sous la forme de psychoses aiguës, fébriles, de longue durée,
e. Enfin, il y a des troubles psychiques, poslfébriles, revêtant la forme soit de psychoses asthéniques, soit de psychopa
i donne à copier, sans en comprendre le sens. Conclusion. Sixième forme clinique de Lichtheim ' : interrup- tion des fa
a paralysie bulbaire. P. K. X. CONTRIBUTION A la connaissance DES formes rares d'aphasie SEN- SORIELLE ; par ADLER. (Neu
es nerveuses centrales de la rétine; finalement perte du sens de la forme et de la couleur avec conservation du sens lumi
s dorsal manifeste une grande tendance à se pro- pager sous la même forme dans l'encéphale. C'est ainsi que le tabes se c
ADER. Dans ces dernières années, j'ai eu l'occasion d'observer deux formes de psychoses toxiques vraies. L'une d'elles est
pports du noyau lenticulaire avec la chorée. Il existerait donc une forme bénigne simple de la chorée de nature infectieuse
ychopathies, à la quantité de leurs stades intermédiaires, de leurs formes mixtes (en 1811, on n'en avait pas idée), on s'
s, qu'il s'en désintéressait. La loi devient une pure question de formes pour les aliénés étrangers. Le consul et l'amba
ons-nous que, dans tout asile d'épileptiques, on observe toutes les formes de l'arrêt de développement intellectuel. Il va
pas placer un médecin à la tête de ce genre d'asiles, parce que les formes morbides à traiter participaient d'une identité
; deux esquilles furent éloignées; la perte constitue un défaut de forme triangu- laire, mesurant à sa base 3 centimètre
oppement ultérieur de cette maladie. De l'avis du rapporteur. cette forme d'atrophie musculaire doit être rangée avec la ma
e de la plante des pieds (pieds creux et griffe des orteils) et des formes dans le genre de l'observa- tion II de Dubreuil
pitre II est un index de tous les symptômes variés des différentes formes vésaniques. Le chapitre III est un index des mala
ent fait par le maître du con- texte didactique, mais encore par la forme plus agréable-et plus soignée de -l'impression.
ssu spongieux. Il considère l'amyotro- phie comme caractérisant une forme particulière d'acromégalie, dont la production
, l'hystérie mâle, le syndrome de Weber, la syphilis cérébrale, les formes frustes de la sclérose en plaques. Ce volume, p
oint de vue l'étude des troubles du langage, considérés en général, forme donc le chapitre le plus important de la psychi
uccessivement les dyslogies par modifications de la rapidité, de la forme , de la syntaxe et du contenu du langage; puis les
n qui est depuis des années soumise à l'es- prit du public sous des formes variées. Elle revient continuelle- ment devant
t à la suite de ses accès, non seulement comme intensité mais comme forme . Coefficient urotoxique calculé sur 775 c. c. e
ransitoires, celles, où le trouble de la vision (quelle que soit la forme et l'intensité qu'il présente) dure un temps très
r les différents auteurs, a le défaut d'indiquer simplement une des formes cliniques, assez variables, selon lesquelles l'
opie transitoire plus largement, d'en subordonner les différentes formes cliniques aux connaissances de la- physiopatholog
ce travail. Nous nous proposons, donc, d'examiner les différentes formes de l'amblyopie transitoire, surtout les moins étu
ou- bles de la parole, etc.) peut en accompagner n'importe quelle forme , nous croyons préférable d'énumérer d'abord les t
ion et ses rapports avec les différentes maladies nerveuses. 1er. FORMES CLINIQUES DE l'amblyopie transitoire. A la véri
puisque plusieurs cas d'amblyopie transi- toire nous présentent des formes mixtes (par exemple hémiopie ou véritable migra
z le même malade les accès d'amblyopie peuvent se succéder avec des formes différentes. Néanmoins, il nous a paru utile de
dans les conclusions sur la physiopathologie de l'affection. a). Forme du scotôme scintillant. Les premiers cas d'amau
est considéré comme un symptôme prodromique de la migraine. Cette forme d'amblyopie transitoire peut se présenter, ainsi
souvent précédé ou suivi de maux de tête, dont l'hémicraine est la forme habituelle, parfois encore de nausées et de vomis
- Dans le cas de Dianoux (13), le scotôme revêtait quelquefois la forme hémiopique (amblyopie dans la moitié droite du ch
inoculaire) et son' bord tourné vers le point de fixation avait une forme concave. Après cinq minutes' le scintillement a
otôme scintillant et; en général, il en est de même pour les autres formes d'amblyopie transitoire. ' - Chez les sujets dé
des causes occasionnelles, telles que nous les avons rappelées. b). Forme de migraine ophtalmique, proprement dite. Dans
s. b). Forme de migraine ophtalmique, proprement dite. Dans cette forme de névrose, le syndrome migraineux est ce qui f
cin.. Quant l'amblyopie,' elle peut se présenter sous différentes formes (hémiopie, scotôme périphérique, etc.) et elle pe
uite d'années non accompagnés du syn- drôme migraineux. Ce sont les formes de migraine ophtal- mique que l'on a appelées f
les accès de migraine et d'amblyo- pie temporaire peuvent alterner ( formes dissociées de la migraine ophtalmique) ou se pr
t le travail du matin, entre 6 et 7 heures, et prenaient parfois la forme du scotôme central bilatéral, parfois encore la
nt parfois la forme du scotôme central bilatéral, parfois encore la forme hémiopique. De quinze à vingt ans les attaques
raine continue plusieurs heures encore, ou toute une journée. c). Forme hémiopique et rétrécissement concentrique du ch
nt concentrique du champ visuel. Nous examinerons ensemble ces deux formes de l'amblyopie transitoire, qui, liées l'une à
t leur origine de lésions organiques de l'encéphale ', peut être la forme de scotôme sous laquelle, comme nous venons de
e médiane. Une observation intéressante d'amblyopie transitoire à forme d'hémiopie homonyme (à droite), est encore celle
(Galézowski). La diminution du champ visuel atteint plus souvent la forme d'un rétrécissement latéral du champ visuel, qu
itoire accompa- gnée de migraine et d'autres troubles nerveux, sous forme de rétrécissement concentrique soudain du champ
e ont été remplacées par de l'am- blyopie transitoire, revêtant des formes diverses. Les attaques sont caractérisées par d
eux yeux- pendant dix à quinze minutes. L'amblyopie n'a jamais la forme typique de l'hémiopie latérale. L'obscurcisseme
aut en bas, tantôt de bas en haut, affectant dans les deux yeux, la forme d'une hémiopie supé- rieure ou inférieure. Da
ans les mêmes conditions. d). Amblyopie transitoire centrale. Cette forme paraît moins fréquente que la forme hémiopique.
pie transitoire centrale. Cette forme paraît moins fréquente que la forme hémiopique. Non rarement, néanmoins, l'amblyopi
garder de côté. » ¡ . Nous pouvons rattacher cette observation à la forme de, l'amblyopie transitoire. '213 'scotôme sc
ole pendant les accès d'amblyopie. transitoire, de n'importe quelle forme , se rencontrent assez fréquemment. Ils tiennent
e l'aphasie transitoire s'observe le plus souvent, lorsque dans les formes associées d'amblyopie transitoire, les troubles
u bras et à la face, quelquefois enfin à tout le côté du corps sous forme d'hémiplégie complète (Féré). 2. Rapports de
des symp- tômes de cette maladie le mal de tête et ses différentes formes . Parmi ces formes il y a.la migraine ophtalmiqu
e cette maladie le mal de tête et ses différentes formes. Parmi ces formes il y a.la migraine ophtalmique, et il est facil
mes. La présence de l'amblyopie transitoire, quelle qu'en soit la forme , dans le syndrôme de la neurasthénie, ne nous éto
s parlons. L'amblyopie transitoire survient (le plus souvent sous forme de migraine ophtalmique) chez les hystériques, à
ètes et si sûres, pour nous per- mettre un diagnostic certain. La forme hémiopique de l'amblyopie transitoire peut se ren
ophtalmique due sûrement à l'hystérie, dans quatre d'entre elles la forme hémiopique de l'amblyopie transitoire est notée :
ce, sans vertige, sans phénomènes lumineux, peut constituer une des formes du petit mal, c'est-à-dire en remplacer les att
it. Nous la devons encore à M. Parinaud, et elle démontre aussi une forme rare de l'am- blyopie transitoire. , M. Haz..
de la langue, et enfin se propage à la jambe du même côté. Cette forme est la forme brachiale, mais si le trouble débute
, et enfin se propage à la jambe du même côté. Cette forme est la forme brachiale, mais si le trouble débute dans la fa
ns la face pour envahir ensuite le bras et la jambe, nous aurons la forme faciale, et s'il commence par le pied et monte
le membre inférieur, puis dans le bras et dans la face, ce sera la forme crurale. Ces trois formes d'épilepsie partielle
dans le bras et dans la face, ce sera la forme crurale. Ces trois formes d'épilepsie partielle sensitive répètent les tr
Ces trois formes d'épilepsie partielle sensitive répètent les trois formes classiques de l'épilepsie partielle motrice (épi-
tout entière, et il peut souvent s'associer à des troubles moteurs ( formes mixtes sensitivo-motrices) ou à des troubles se
occuper des complications motrices de l'épilepsie partielle et des formes de transition avec l'épi- lepsie complète (peti
partielle, sensitive ou sensitivo-sensorielle. Dans cette dernière forme , les symptômes sensoriels sont justement les tr
1. - Migraine ophtalmique, accès d'épilepsie partielle consécutive ( forme mixte). M. llfouch... (cinquante ans), consulta
-à-dire il y a cinq ans. Il les avait seulement du côté droit, sous forme d'un petit scotôme, placé un peu en bas et à dr
lepsie partielle sont accompagnés d'amblyopie transitoire; soit à forme de scotome scintillant, soit de véritable migrain
à l'Académie de médecine. ! Bernard. De l'aphasie et de ses diverses formes . Th. de Paris, 1885; .2° édition, 1889. 3 Ja
ont là pour leur répondre : « que ces investigations ont donné- une forme plus vraie à une des plus importantes dock trin
es circonvolutions cérébrales. Il met- tait en évidence l'ordre, la forme et la régularité qui président à l'agencement d
s. Il enseignait aussi que les phénomènes d'une attaque épilepti- forme partielle et unilatérale, se montraient concurrem
ent ou indirectement en relation avec les fonctions organiques, les formes de la sensibilité, qui entrent si largement dans
- tique, et ont rendu fort probable cette opinion, que toutes les formes de l'épilepsie ont leur point de départ dans une
ividu a longtemps vécu après l'opération. La 248 " THÉRAPEUTIQUE. forme et le caractère de ces orifices prouvent qu'ils f
ence. Quoique bien des cas de fractures par enfoncement et autres formes de lésions traumatiques puissent sembler guérir s
ont été poussées plus loin, et où on aura déterminé les différentes formes de l'aberration mentale avec plus de certitude
s remarquables succès de la chirurgie en ce qui concerne les autres formes de maladie céré- brale, ont fait naître l'appli
et la formation des circonvo- lutions. Cela est si vrai qu'il ne se forme plus de circonvolutions à l'époque où commence,
he superficielle des cir- convolutions s'accroît rapidement, il s'y forme des cellules nerveuses, tandis que le système d
les circonvolutions s'épaississent et se plissent, mais il ne s'en forme pas de nouvelles. P. KERAVAL. II. ELECTROPHTHAL
nzine, gaz hilarant); le type mélancolique (kawa, licheguana) ; les formes mixtes et les états vésaniques (toujours sympto
aison des empoisonnements psychiques. Enfin l'auteur énu- mère sous forme d'axiomes très nets les caractères généraux de
l y a inflammation, la paralysie infantile ordinaire constituant la forme grave (hémiplégie, convulsions, arrêt de déve-
convulsions, arrêt de déve- loppement, contractures), tandis que la forme signalée dans cet article serait la forme attén
tractures), tandis que la forme signalée dans cet article serait la forme atténuée (ni paralysie, ni contractures). La pr
rois et quatre semaines de durée), sans encéphalite interstitielle. Forme du délire aigu. Inflammation diffuse de la pie-
lifaré, les noyaux se sont multipliés, cette hypergenèse affecte la forme d'un coin qui, péné- trant en arrière de la pap
aumatique, des lésions du crâne, le surmenage physique. Quant aux formes morbides, si nous établissons deux groupes : 1°
out. Devant un fond clair, elle voit flotter des organites ayant la forme de fleurs bleues et jaunes, mais dont les parti
logique que les attaques de sommeil complexes, exactement comme les formes diverses du petit-mal et de l'équivalent psycho
intermittentes; par la suite, il s'établit définitivement sous une forme plus ou moins rémittente. Le plus souvent il n'ap
ions suivantes : . . 1° D'une façon générale, et quelle que soit la forme ou l'inten- sité de leur affection, les mélanco
s les idées délirantes spéciales. C'est ainsi que les vésa- nies de forme intermittente, avec idées de négation, ne guériss
héréditaire de ceux-ci est lourde; 7° dans les folies séniles, de forme dépressive, on note assez souvent des idées de né
de ne pouvoir jamais mourir; état de chronicité spécial à certaines formes graves de mélancolie anxieuse, intermittente ou
es variétés de mélancolie anxieuse grave où il se présente sous une forme simple, concrète et pour ainsi dire typique, le
s un grand nombre de maladies mentales diverses, tandis que sous sa forme typique, c'est-à-dire jointe aux autres élément
ent en ce derniur cas se systématiser et l'on rentre alors dans les formes habituelles aux individus plus jeunes. Enfin, les
teurs, sceptiques, damnés, pourris, immortels. Kroepelin décrit une forme qu'il ap- pelle Wahnsinn depressiver, où l'on r
sation, de culpabilité, de négation, d'énormilé, de grandeur. Cette forme , produit d'un cerveau peu valide, est distingué
cliniques tout différents. Certains cas sembleraient constituer des formes de passage entre les états mélan- coliques et l
xiste des idées délirantes de négationqu'on rencontre dans diverses formes mentales. Cotard lui-même a posé cette distinct
n signe de chronicité, mais non d'incurabilité absolue. Ce sont les formes intermittentes qui semblent pouvoir guérir plut
TÉS SAVANTES. 291 vérité clinique. Parmi les mélancolies il est des formes anxieuses, communes, curables, et d'aulres prés
SOCIÉTÉS SAVANTES. confirmant les vues de Cotard, l'existence d'une forme évolutive analogue à ce qu'on voit chez certain
ier, que je l'ai été de voir con- tester jadis l'existence de cette forme systématique et progressive du délire des persé
nsi qu'une question qui se présente le plus fréquemment et sous des formes les plus diverses au médecin aliéniste est celle
des questions seront potées. C'est la même question sous une autre forme . Le médecin qui a eu à traiter les ascendants i
u reste, qu'une variété du secret en général qui, lui, n'est qu'une forme du devoir. Il n'y a vraiment que deux cas dans
ont envoyé dans les asiles que 262 aliénés appartenant à toutes les formes de l'aliénation mentale et, par conséquent, le
e d'y revenir à nouveau. Je me borne donc à les transcrire ici sous forme de conclusions : 1° Création de services spéc
agricoles n'excluent pas la colonisation familiale sous toutes ses formes ; les différentesmé- thodes correspondent seulem
de persécution de ses malades. On ne les rencontre guère sous cette forme que dans les délires liés à la mélancolie et c'
fection. Ils n'ont rien de spécifique et peuvent revêtir toutes les formes . Ils relèvent en réalité de l'association au go
gmates physiques ou psychiques (obsessions et impulsions), enfin la forme de leurs accès délirants. L'association de la m
grande influence ; mais son rôle se borne là, elle ne crée pas les formes du délire qui sont celles habituelles aux alién
ient ou non des antécédents syphilitiques, cela n'influe pas sur la forme de la paralysie générale. Il n'y a pas de paral
t pas de délire, lésion qui a été retrouvée depuis Jendrassik. La forme délirante vraiment caractéristique du tabès est u
re alors chez eux des traces de l'ancien délire. D'autre part, la forme de trouble mental qui accompagne la forme de sc
élire. D'autre part, la forme de trouble mental qui accompagne la forme de sclérose systématique intéressant tout le syst
fester par l'une quelconque de ses expressions motrices. Les deux formes cliniques que je viens de décrire ont été jusqu'à
s sur la microcéphalie (mot générique sous. lequel il désigne les formes multiples de l'idiotie) : 1° ossification prématu
es sur 6 millimètres. Puis, M. Lannelongue a modifié le siège et la forme des incisions. A propos de cette note, M. Ver
tion de vingt-neuf crânes d'idiots appartenant à presque toutes les formes de l'idiotie * et d'où il ressort que les sutur
raphies prises d'année en année de dix malades atteints de diverses formes d'idiotie et sur lesquelles il est facile de se
M. Séglas lit, au nom de M. CHASLIN (de Paris), une note sur une forme distincte de maladie mentale aiguë, la confusion
es cas de ce genre ne sont pas classés actuellement en France comme forme distincte. Ils devraient l'être pourtant, car c
nce comme forme distincte. Ils devraient l'être pourtant, car cette forme est connue en Allemagne sous le titre de Werwir
conclusion de la note de M. Chaslin est la suivante : 11 existe une forme de maladie mentale, aiguë ordinairement, qui n'
t être séparée de ce que l'on appelle « dégénérescence ». C'est une forme intermédiaire entre les psychoses et les folies
r M. Dela- siauve, en ajoutant primitive, afin de la distinguer des formes où il y a aussi confusion, mais secondaire et s
ût mérité d'être détaillé; je ne vois pas la nécessité de créer une forme à part pour les faits de confusion qui ne sont
llement avoir eu la prétention de donner, ni un mot nouveau, ni une forme nouvelle, car il fait tout l'historique de la q
itement de l'aliénation men- tale. Ils l'emploient surtout dans les formes maniaques, la méthode d'action étant la méthode
sent peu au courant des connaissances médicales sur les différentes formes d'idiotie et sur leur traitement. « L'état de c
agnostic. Ces observations concernent : a). Quatre cas d'hystérie à forme d'épilepsie par- tielle ; b). Un cas d'apoplexi
généralement à l'hémiplégie hystérique. Observation I. Hystérie il forme d'épilepsie partielle sensitive. Mme Gi... enlr
toujours souffert de douleurs à la tête, tantôt diffuses, tantôt à forme de migraines : en outre de cela elle ressentait
es articulations. Deux ou trois fois par semaine elle a des accès à forme d'épilepsie sensitive. Ils ont le caractère du
nt : , qui lui sont arrivés. 1 MAItCHE DE la maladie. Les accès à forme d'épilepsie sensitive continuèrent à se manifes
ée; d'autre part, nous avons fait remarquer que l'accès épilepti- forme se manifestait constamment du côté du corps sur l
ertain temps séparément, s'associer tout d'un coup pour prendre une forme 396 pathologie NERVEUSE. d'accès. Dansl'obser
rique. Nous rappellerons seulement qu'il y a lieu de distinguer des formes généralisées, localisées et sys- tématisées '.
ma- ladies qui pourraient avoir donné origine aux accès épilepti- formes nous allons voir qu'aucune d'elles ne pourrait êt
ptique, décrite par le docteur J. Lombroso 3 ? - Il manque de cette forme les phénomènes les plus caractéristiques, la ri
les acquièrent t la valeur d'une idée. Observation II. Hystérie à forme d'épilepsie partielle motrice. Cha..., âgé de t
gnent de diplopie et des étourdissements qui se présentent sous une forme accessionnelle. Qu'étaient ces accès ? Etaient-
t à inter- rompre son travail; cette sensation se présente sous une forme d'accès et s'accompagne de céphalée, de diplopi
façon à pouvoir reprendre son travail ? Comment s'expliquer leur forme d'accès en union aux autres phénomènes qui exis-
ravant ? Il nous paraît plus logique de les inter- préter comme une forme pas encore complète d'attaques hys- tériques.
grave et aggravation de la céphalée, diplopie, étourdissements sous forme d'accès ; léger trauma- tisme : paralysie et tr
t cette période le malade n'a pas présenté d'attaques. En outre, la forme du rétrécissement est très régulière comme on p
et sur l'évo- lution de la maladie. OBSERVATION III. - Hystérie à forme d'épilepsie partielle crurale. Bar..., âgé de d
oite et suivies de perte de la connaissance (attaques hystériques à forme d'épi- lepsie partielle). Dans les intervalles,
LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 417 Observation IV. Hystérie à forme d'épilepsie partielle motrice simulant l'évolut
on nous parait avoir plutôt le caractère d'une attaque hystérique à forme syncopale que d'un ictus apoplectiforme ou d'un
n pour ainsi dire générale, l'influenza dans notre cas a donné leur forme à certaines manifestations de l'hystérie. Nous
a). Si nous avons insisté dans les paragraphes précédents sur les formes de l'amblyopie transitoire et sur les autres synd
° 72, sept. 1892, p. 203. 424 4 CLINIQUE NERVEUSE. réfléchie sous forme d'incitation vaso-motrice jusqu'aux vais- seaux
eurs zones à la fois. » L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 427 Du reste, la forme del'hémiopie, on plutôt de certains cas de rétr
s points symétriques du champ visuel des deux yeux : .' donc, cette forme d'amblyopie transitoire peut être rangée parmi
e chaque rétine. Le scintillement peut accompagner n'importe quelle forme d'amblyopie transitoire, monoculaire ou binocul
e l'ouïe ou de la vue peuvent présenter une cer- taine constance de forme (toujours la même voix, la même vision), et pro
deux yeux et du même côté du champ visuel (hallucination visuelle à forme hémiopique), le phénomène se rapporte aux cas p
lles de l'écorce occipitale. c). Considérons maintenant en quoi les formes hémiopiques de l'amblyopie transitoire peuvent
é atteinte du champ visuel, nul doute que l'amblyopie transitoire à forme hémiopique ne se rapporte pas ' Parmi les obser
burg et de Gowers'; et c'est surtout dans l'amblyopie transitoire à forme hémianopique qu'il sera intéressant d'examiner
ons inter- calaires de la vision. 1 Ce serait la cécité verbale à forme sensorielle, selon Angelucci (42), c'est-à-dire
t les mêmes caractères essentiels et concomit- tants que les autres formes de l'amblyopie transitoire, de sorte que rien n
tre d'autre locali- sation que dans l'écorce cérébrale. Quant aux formes plus rares de l'hémiopie transitoire, l'hé- mio
que ceux dans lesquels le scotôme scintillant, ou n'importe quelle forme d'amblyopie, constituent à eux seuls toute l'at
geons le syndrome migraineux et l'amblyopie transitoire comme des formes rudimentaires de troubles nerveux, le plus souven
onstituer une entité, une unité mor- bide, et parmi ses différentes formes tellement différentes, l'amblyopie transitoire.
sens général du mot, et l'amblyopie transitoire. Il est vrai que la forme hémiopique, si fréquente .dans l'amblyopie tran
rencontre déjà plus souvent : elle constitue, dans ses différentes formes liées avec la migraine, ou avec d'autres névral
tôme scintillant, dont la mère a souffert d'amblyopie transitoire à forme hémiopique et parfois scintillante, se présente
l'am- blyopie transitoire, considérons rapidement les différentes formes de ce trouble, pour les mettre d'accord avec leur
cté, c'est justement parce que le trouble visuel a, dans ce cas, la forme hémiopique, et nous savons que, dans l'hémiopie
hère ; mais, il y a des cas où nous pouvons déduire sûrement, de la forme de l'amblyopie, une affection des deux hémisphè
région maculaire de la rétine (cônes) sert surtout à la vision des formes et les parties périphériques (bâton- nets) à la
ait simplement à noter dans les cas d'ambliopie transitoire, quelle forme ce trouble visuel présente (scotôme périphérique
transi- toire qui a la valeur la plus grande, quelle qu'en soit la forme : seulement, lorsque le syndrome migraineux, ou
ielle, l'amblyopie transitoire consi- dérée comme épiphénomène. Les formes dissociées de migraine ophtalmique, sur lesquel
deux yeux à la fois plus souvent qu'un seul oeil; de sorte que la forme la plus fréquente de l'amblyopie transitoire est
un point de vue général, et en y considérant toutes les différentes formes symptomatologiques, il est très facile de recon
cotôme et parfois du scintillement dans le champ visuel. Les deux formes , monoculaire et hémiopique, de l'amblyopie tran
scintillant ou hémianopsie à droite) est atteint; mais, les autres formes de l'amblyopie tran- sitoire nous démontrent qu
ner le sujet pendant sa durée, on peut en contrôler au périmètre la forme et l'étendue. L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 445 Le
s ces idées, la notion de la couleur des fleurs, la couleur et la forme du chat, puis de nombreuses images d'odorat, de t
nt me dire : « Vous décrivez là les symptômes de l'aboulie, une des formes de la folie du doute, et les sujets dont vous r
cette malade. Mais aujourd'hui, après avoir étudié les nom- breuses formes d'hystérie qui se rencontrent dans ce service,
s monosymptomatiques au moral comme au physique, et qu'une certaine forme d'aboulie ou d'amnésie est caractéristique de c
suggestion; j'ai été obligé de laisser bien des points de côté. Les formes variées que la suggestion peut prendre, ses eff
sieurs maladies mentales, et en particulier dans l'hystérie dont il forme un symptôme essentiel. Cette aboulie n'est pas
e songer à la sclérose en plaques : vertiges, attaques apoplecti- formes , troubles oculaires, troubles de la parole, tremb
des aliénés criminels internés à cet asile. Rapportés aux diverses formes REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 479 d'aliénation me
l'in- fluence que pourraient exercer sur leur état mental d'autres formes d'assistance, telles que la colonie agricole. E
fectifs, les aberrations du sens génital, etc. Enfin, on trouve des formes mixtes dans lesquelles on rencontre à la fois l
eut éviter de les accomplir. Les extravagants constituent l'une des formes les plus souvent observées de dégénérés : ces d
hez les dégénérés les dis- positions morales les plus diverses; les formes d'aliénation mentale qui en résultent présenten
n rapide caractérisent, en général, chez les dégénérés nerveux, les formes d'aliénation men- tale qu'ils présentent. L'a
z les dégénérés à conduite extravagante peut d'ailleurs prendre les formes les plus diverses; on observe quelquefois un vé
ves, t. XXIV. 31 482 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. morale. Dans cette forme de délire rentrent les obsessions et les impuls
mé dico-légales. En résumé, on peut observer chez les dégénérés les formes d'alié- nation mentale les plus diverses lesque
'individu a été atteint. L'aliénation mentale revêt elle-même une forme insolite dans ses phases comme les manifestatio
ur de bras. Quand sa femme est calmée, elle lui semble reprendre sa forme ordinaire. Tant et si bien qu'à force de frappe
les pre- mières expériences sur le méthylal, c'est surtout dans ces formes vésaniques que cet hypnotique aurait réussi. M.
nvironnants. Les autres, incons- cients, sont remarquables par leur forme systématique et coor- SOCIÉTÉS savantes. 493
s résultant de l'ob- session de cogner. Il s'agit là d'une nouvelle forme de dégénéres- cence intéressante à signaler. La
dominale. L'auteur fait remarquer qu'il existe toute une variété de formes de cellules dans le cerveau et dans la moelle.
on n'a plus finalement qu'un grumeau faiblement coloré prenant les formes les plus différentes. En regardant bien, on ape
s, M. Sénator appelle, à juste titre, notre attention sur certaines formes de rigidité spasmodique des membres congénitale
contraction qu'une contrac- tion certaine. Passons maintenant aux formes moyennes de la réaction dégé- néralive dont nou
graisseux secondaire, il n'y a aucune différence au fond. Ces trois formes sont de la sclérose. C'est l'atrophie des fibres
uë; à l'état , SOCIÉTÉS SAVANTES. 509 de foyer scléreux - sous la forme multiloculaire et disséminée sous la forme diff
foyer scléreux - sous la forme multiloculaire et disséminée sous la forme diffuse, à son tour en rapport avec les lésions s
lle. Enfin la maladie de Morvan (syringomyélie) est une cinquième forme des affections chroniques de la moelle. Séance
utive à l'intoxication -, par Popoff, 78. - Paralysie générale, à forme circu- laire, par Rottenbiller, 72; - trouble
30 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
iel considérable, mais nécessairement d'un caractère particulier, qui forme ce que j'appellerai l'ancien fonds, le seul que,
al, les cas très accentués, réputés incurables, sont seuls admis. Les formes légères, atténuées, y font défaut. On n'y apprend
consultation externe, et à celle-ci un service d'hôpital1. Tout cela forme un ensemble dont les parties s'enchaînent logique
te, reconnus de tous, des cadres jusque-là restés vides ou remplis de formes confuses, celte création, dis-je, appartient tout
gaces, qu'elle est toujours présente, à un degré quelconque, dans les formes frustes, anormales, lesquelles ont pu, ainsi, êtr
s, l'affection spinale d'origine articulaire s'est présentée sous une forme bénigne, l'issue sera favorable, et Iraire très
ns proposé la dénomination de grande hystérie pour caractériser celle forme et remplacer ce mot d'hystéro-épilepsie à crises
e circonstance, et qui présente le tic facial non douloureux, sous sa forme commune. C'est une ancienne hystérique, ou plutôt
appellerai que j'ai proposé de ramener à trois types fondamentaux les formes très variées sous lesquelles cette affection se p
adie, qui présente les mêmes caractères de chronicité d'emblée que la forme précédente, reste en général localisée sur une ou
dire que l'arthrite sèche est le subslratum anato-mique de toutes ces formes cliniques ; mais, à chacune d'elles répond une mo
elles répond une modification du type anatomo-pathologique. Ces trois formes , en effet, ne sont pas absolument séparées ; elle
depuis longtemps en chirurgie que, dans certaines arthrites, dans les formes douloureuses en particulier, les jointures affect
à deux types fondamentaux auxquels peuvent être rattachées toutes les formes accessoires. Nous signalerons les traits commun
primitive, nodosités des jointures, rhumatisme articulaire chronique { forme primitive'), Thèse de Paris, 4 853. Voici maint
je le répète, que ce cas, aujourd'hui que l'on sait qu'il existe une forme de paralysie générale où le délire ambitieux ne f
énérale où le délire ambitieux ne figure pas, désignée sous le nom de forme paralytique, ou de paralysie générale sans aliéna
sements sans motif, affaiblissement de la mémoire. Il y a, dans cette forme , prédominance des troubles moteurs, embarras de l
eur intelligence soit affaiblie. 4° Variété congestive ; dans cette forme on observe des sé ries d'attaques dites congest
at permanent. Ces attaques dites congestives sont variées dans leur forme ; ainsi, tantôt c'est une attaque apoplectiforme
début qui s'est produite chez notre malade, et chez lui, les diverses formes d'attaques se sont succédées en quelque sorte.
e temporaire, des attaques épileptiformes, etc.3. Or, même dans ces formes plus graves, la migraine peut s'établir à l'état
jeune Bl..., qui présente l'hémianeslliésie des hystériques, dans sa forme tout à fait classique et bien propre à l'étude. D
on ; il existe, en outre, souvent des troubles dans la perception des formes ; on relève encore l'obnubilation des sensations
rs on dit qu'il y a achromatopsie totale. La malade reconnaît bien la forme des objets, mais les voit en gris, comme une phot
nt les phénomènes qui se rencontrent très vulgairement dans la grande forme de l'hystérie chez la femme, et sur lesquels je v
tracture. — Hystérie chez l'homme, fréquence, hérédité, âge adulte. — Formes frustes. — Contracture d'origine traumatique. M
ue, chez l'homme comme chez la femme, la névrose se manifeste sous la forme fruste, à la manière d'un type effacé; et il est
i dépouillée de ces grands attributs classiques, c'est-à-dire sous la forme fruste ; et c'est justement ce qui se présente ch
'est bien l'hystérie qui est en jeu. J'ai dit déjà qu'il s'agit d'une forme fruste de la névrose ; il n'y a pas eu d'attaques
nd la lésion primitive a pour siège le sein, et quand il s'agit de la forme squirrheuse. Quand elles sont limi tées aux corps
à un cancer du sein, surtout au squirrhe, qui peut se manifester sous forme d'une simple dépression indurée de la peau, dont
et ont été publiées en langue italienne par le D'-ltummo (Différente forme d'afasia, Milano, 1884). Une analyse en a été don
d'une pureté vraiment remarquables. Us nous permettront d'étudier les formes fondamentales du syndrome aphasie, dégagées, ou p
e ne me trompe, un des plus beaux exemples qui se puissent voir de la forme d'aphasie qui, dans ces derniers temps, a été étu
changement de l'écriture, les lettres étant plus verticales et d'une forme plus enfantine et par quelques fautes d'orthograp
t 6 mois après, ces fautes ont disparu, et que l'écriture a repris sa forme normale. A partir de la même époque, il s'est a
combien sont profondément distinctes les unes des autres les diverses formes de l'aphasie, alors qu'elles se présentent, chose
initiateurs dans l'étude, encore peu vulgarisée parmi nous, de cette forme clinique. Notre cas, ajoutai-je, se distingue de
rnicke2, au contraire, appartient la première description d'une autre forme d'aphasie, sur laquelle j'aurai à vous exposer qu
sion brusque et isolée de la vision mentale des signes et des objets ( formes et couleurs)1. Sommaire. — Gall, Gratiolet, Rib
Ribot. Des mémoires partielles. — Destruction partielle des diverses formes de la mémoire. - Mémoire visuelle. — Observation
urs, locales. » Or, s'il est vrai qu'à l'état normal « les diverses formes de la mémoire » — c'est toujours M. Ribot qui par
ut une indépendance relative, il est naturel qu'à l'état morbide, une forme disparaisse, les autres restant intactes. C'est u
s, l'existence en pathologie de cette suppression isolée de l'une des formes de la mémoire. Il s'agit, dans ce cas, de la pe
perte de la vision mentale des objets (Mental lmagery de Galton 1) — formes et couleurs, survenue subitement chez un sujet, q
ait, au premier appel, la représentation des traits des personnes, la forme et la couleur des choses avec autant de netteté,
ait devenu nerveux et irritable. En tous cas, la mémoire visuelle des formes et des couleurs avait complètement-. disparu, ain
peu à peu qu'il pouvait, par d'autres moyens, en invoquant d'autres formes de la mémoire, continuer à diriger convenablement
. Kuss-maul. Ces trois grands types n'excluent pas, d'ailleurs, les formes mixtes de transition. Si, pour plus de commodit
i-ques. — Myopathies primitives. — Paralysie pseudo-hypertrophique. — Forme juvénile de Erb. — Myopathie sans changement de v
e juvénile de Erb. — Myopathie sans changement de volume des muscles. Forme de Leyden. — Analogies de la paralysie pseudo-hyp
de Leyden. — Analogies de la paralysie pseudo-hypertrophique et de la forme juvénile de Erb. — Forme infantile héréditaire de
la paralysie pseudo-hypertrophique et de la forme juvénile de Erb. — Forme infantile héréditaire de Duchenne (de Boulogne).
ditaire de Duchenne (de Boulogne). — Ses caractères. — Cette dernière forme est analogue aux précédentes.— Paralysie pseudo-h
forme est analogue aux précédentes.— Paralysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, forme de Leyden, forme infantile
précédentes.— Paralysie pseudo-hypertrophique,forme juvénile de Erb, forme de Leyden, forme infantile héréditaire de Duchenn
ralysie pseudo-hypertrophique,forme juvénile de Erb, forme de Leyden, forme infantile héréditaire de Duchenne (de Boulogne);
s un travail de MM. Marie et Guinon, intitulé : Sur quelques-unes des formes cliniques de la myopathie progressive primitive.
s nouvelles et plus attentives, on les sépare en un certain nombre de formes distinctes, comme je l'ai fait pour la sclérose l
modernes détachent tous les jours du type Duchenne-Aran. Sous quelle forme nouvelle vont-ils se présenter à nous ; dans quel
tions cliniques qu'on ne l'avait soupçonné tout d'abord. Mais cette forme de myopathie, la paralysie pseudo-hyper-trophique
, un relief énorme, donnant à un membre ou à un segment de membre des formes herculéennes. Anatomiquement, cette hypertrophie
ce de ces organes, vous constatez que s'ils sont herculéens quant aux formes , ils sont loin de l'être quant à la force; il exi
soient bien distinctes l'une de l'autre. Il existe encore une autre forme d'atrophie musculaire sans neuropathie qui attein
Erb (d'Heidelberg), a décrite dans ces derniers temps sous le nom de forme juvénile de V atrophie musculaire progressive et
ssive et qu'il considère avec raison comme parfaitement distincte des formes spinales jusque-là décrites 1. Prof. W. Erb. —
ro-phie,- etc. {Deutsch. 'Archiv, für Min. -Median, 1884). ... : La forme en question n'est peut-être pas tout à faifnouvel
tte diminution de volume des muscles pourrait conduire à confondre la forme d'Erb avec la maladie d'Aran-Duchenne, et de fait
le fait remarquer M. Erb, pourraient parfaitement être rapportés à la forme juvénile. Mais celle-ci se distingue cependant de
inctifs. Ce sont, entre autres : le mode d'envahissement qui, dans la forme juvénile, ne se fait jamais par les mains (éminen
natomo-pathologique, l'absence complète de toute lésion spinale. La forme juvénile décrite par M. le professeur Erb est don
présenter un cas qui marque, en quelque sorte, la transition entre la forme juvénile avec amyotrophie d'un côté et la paralys
c, pour ainsi dire, au point de vue de .l'impotence fonctionnelle, la forme d'atrophie juvénile d'Erb, moins l'atrophie, et l
pparence normaux, quant au volume. Où faire rentrer ce cas, dans la forme juvénile deErb, dans la paralysie pseudo-hypertro
Aran. Mais ce n'est pas tout; je vais encore vous montrer deux autres formes d'atrophie musculaire, qui faisaient autrefois pa
urs atteints de la même maladie, «e cas me semble 1 se rapporter à la forme décrite par M. le professeur Leyden, sous le nom
porter à la forme décrite par M. le professeur Leyden, sous le nom de forme héréditaire de latrophie musculaire progressive,
un des caractères serait de débuter par les membres inférieurs. Cette forme , d'ailleurs, ne s'éloigne pas sensiblement, à ce
es, de cause non spinale. Nous voici donc déjà en présence de trois formes cliniques, à savoir : la paralysie pseudo-hypertr
s formes cliniques, à savoir : la paralysie pseudo-hypertrophique, la forme juvénile de W. Erb, la forme héréditaire de Leyde
: la paralysie pseudo-hypertrophique, la forme juvénile de W. Erb, la forme héréditaire de Leyden, qui, distinc-tes par certa
aient bien être identiques au' fond. Passons maintenant à une autre forme que Duchenne (de Boulogne) a décrite comme représ
l'atrophie musculaire progressive et à laquelle il a donné le nom de forme infantile de l'atrophie musculaire progressive. E
e trouve in extenso dans un mémoire de MM. Charcot et Marie : Sur une forme spéciale d'atrophie musculaire progressive débuta
hie musculaire progressive débutant par les jambes et distincte de la forme de Leyden, (Revue de médecine, février 1886.) t
imum d'occlusion des yeux auquel peut arriver la malade. 1er, cette forme infantile est héréditaire et l'on peut retrouver
cription de l'affection musculaire rentre absolument dans celle de la forme juvénile de Erb. L'atrophie des muscles du bras e
l essaye de le faire, l'orbiculaire se contracte inégalement et il se forme au niveau de la lèvre supérieure comme une sorte
ophie musculaire progressive de cause spinale. Voilà, Messieurs,une forme bien originale ; le début par la face est bien pa
-ce là un caractère spécifique et doit-on, à cause de cela, créer une forme spéciale? Je ne le crois pas. Faites abstraction
participation de la face et vous aurez chez vos malades l'image de la forme juvénile d'Erb. Il est donc très vraisemblable qu
de nombreux points de contact, pour ne pas dire plus, entre ces deux formes , et par conséquent, une analogie avec la paralysi
e part des cas dans lesquels le début aurait eu lieu par les membres ( forme juvénile) et où la face n'aurait été prise que ta
encontrés. Il existe un cas de M. Remak où le début a été celui de la forme juvénile ordinaire, c'est-à-dire où les membres s
histoire d'une famille chez laquelle deux des enfants présentaient la forme juvénile d'Erb à début par les membres supérieurs
ar les membres supérieurs, alors que le troisième était atteint de la forme à début facial, avec pseudo-hypertrophie des memb
ment d'une variété. Donc, en tenant compte des cas de transition, les formes si diverses que nous avons énumérées, distinctes
t à titre de variétés :. 1° la paralysie vscudo-hypertrophique; 2° la forme juvénile de l'atrophie musculaire progressive du
usculaire progressive de F enfance de Duchenne {de Boulogne) ; 4° ces formes de transition, telles que je vous en ai montré un
l'atrophie du biceps et des muscles thénar. trophie ; enfin, 5° la forme héréditaire de latrophie musculaire progressive d
érieurs. Les cas mixtes ou de transition permettent de rapprocher ces formes diverses et même de les confondre. Peut-être même
et des yeux permettrait-il de retrouver quelques-uns des signes de la forme infantile de Duchenne. Chez presque tous nos mala
e de vous montrer et qui sont encore des représentants typiques de la forme infantile décrite par Duchenne (de Boulogne). Le
un mot, la chorée rhythmée, qui revêt chez cette troisième malade la forme malléatoire, est un accompagnement de l'attaque h
ent inefficace, non seulement dans l'hystérie, mais encore dans cette forme d'hystérie qui semble se rapprocher le plus de l'
ui semble se rapprocher le plus de l'épilepsie, à savoir l'hystérie à forme épileptique ou hystéro-épilepsie. Je ne parlerai
'anorexie nerveuse, je pourrais le répéter à propos de la plupart des formes de la névrose hystérique. Mais, il me suffira, po
, en Allemagne, dans le traitement de la neurasthénie et de certaines formes de l'hystérie 1. R. Burkart. — Zur Behaudlung s
a nécessité de chacune : à ce qu'on ne les chausse toutes à une mesme forme , comme on dit communément. » (Jean Wier. — Histoi
lles ont été remplacées par de petits vertiges assez analogues par la forme aux vertiges épileptiques qui toutefois sont deve
n une aneslhésie générale limitée à la face et surtout au front, sous forme d'un masque. Il ne sentait plus les odeurs et sa
petit mal épileptique, et rien de plus. L'épilepsie n'est que dans la forme , non dans le fond, et en somme, le petit mal ép
ommes de 20 à 40 ans, et, en outre, nous envisagerons spécialement la forme intense, très accentuée, celle qui répond à ce qu
ervés chez l'homme et ceux que nous reconnaissons chaque jour dans la forme correspondante de la maladie chez la femme. Enfin
ilepsie vraie d'un côté, grande hystérie de l'autre, se montrant sous forme d'attaques séparées. Un examen plus attentif nous
A propos de six cas d'hystérie chez l'homme (Suite. l) Sommaire. — Formes anormales de l'attaque hystérique chez l'homme. —
d'un blond pâle, qui, comme les précédents, offre à l'étude, sous sa forme la plus classique, toute la symptomatologie de Ph
cette époque, F... ne cessa d'être sous A part une anomalie dans la forme des attaques, sur laquelle je reviendrai dans un
p visuel limité à l'œil droit; points hystérogènes très étendus, sous formes de larges plaques hy-péresthésiques occupant en a
10 mois et était 1. Ballet et Crespin, — Des attaques d'hystérie à forme d'épilepsie par-tielletArch. de Neurologie, 1884,
gérés, tandis que, vous le savez, il en est tout autrement dans cette forme de paralysie spinale. D'ailleurs, et c'est là un
upérieur droit ; on les retrouve, bien qu'atténués, c'est-à-dire sous forme d'analgésie, dans toute l'étendue de ce même côté
plégie de Porcz... ne diffèrent pas de ceux qui distinguent certaines formes de paralysies hystériques bien avérées ; c'est ce
ui douée de tous les caractères qui spécifient cliniquement certaines formes de paralysie. En résumé, vous le voyez, tous les
plus ce caractère de précision mécanique qu'ils présentaient dans la forme précédente et ils prennent au contraire, jusqu'à
et, et ces idées s'objectiveront en quelque sorte fatalement, sous la forme d'actes correspondants ; ou bien encore si, par d
s peuvent, tout au contraire, être reproduits absolument sous la même forme , dans un certain nombre de cas. En premier lieu,
aurait acquis assez de force pour se réaliser objectivement, sous la forme de paralysie. La sensation dont il s'agit aurait
umatisme initial sur le membre inférieur gauche, attitude du malade ; forme de la fesse et du pli fessier. — Analogies cliniq
uelle ; ils savent aussi qu'elle peut se révéler tout d'abord sous la forme d'une affection purement locale en apparence, tel
issent de masque à une coxalgie vraie. — 11 se serait agi alors d'une forme mixte hystéro-organique ou orga-uico-hyslérique,
anique ou orga-uico-hyslérique, comme vous voudrez l'appeler. Cette forme mixte existe-t-elle en réalité dans la clinique?
nerveuses nombreuses qui paraissent avoir été des accès d'hystérie à forme d'épilepsie partielle. A 6 ans, accidents coxalgi
ependant pour qu'on puisse nettement reconnaître chez elles, sous une forme bénigne, l'affection décrite par Brodie. Chez u
roduite ne s'est développée, exagérée et définitivement établie, sous forme d'arthralgie permanente, qu'en raison de l'état p
e qu'il a éprouvé là une commotion cérébrale intense, suivie de cette forme d'amnésie que MM. Ribot et Azam ont décrite sous
'un membre et qu'on voit cette idée se réaliser effectivement sous la forme spéciale de paralysie qui vient d'être décrite, o
développement considérable et se réaliser enfin objeclivement sous la forme d'une paralysie complète, absolue. Cette théori
. Cazelles, 1874, p. 298), c'est que l'idée est déjà le fait sous une forme plus faible. Penser, c'est se retenir de parler o
es» (loc. cit., page 59). « Dans l'acte volontaire, considéré sous sa forme la plus simple, dit M. H. Spencer (Principes de p
nscience. Et comme cette représentation n'est rien autre chose qu'une forme faible de l'état psychique qui accompagne le mouv
agnostiquer sa nature à première vue et de la distinguer des diverses formes d'aphasie de cause organique. J'ai résumé la pl
t objectifs nous firent penser à un mutisme greffé sur une hystérie à forme non conyulsive ou plutôt à une hystérie dont une
5). — H. B..., célibataire, âgée de 24 ans. Pas de changement dans la forme ou la structure du larynx. Les cordes vocales son
rche des zones hystérogènes...), par l'étude des antécédents. Cette forme d'aphasie ne ressemble, en effet, en rien aux aph
ique) des lettres ne lui revenait pas; » elle ne se rappelait plus la forme qu'il faut 1. Extrait du Progrès médical, 1S8^,
entait à l'état de pureté, dégagée de toute confusion avec les autres formes d'aphasie 2, d'autre part, il montrait que, dans
il montrait que, dans certains cas, la 1. J.M. Charcot.— Differenli forme d'afasia, Lezioni redatte del Dr Rummo. Milano, 1
. de Méd.), 1884. faculté graphique persiste, tandis que les aulres formes du langage sont en défaut et qu'alors celle-là pe
ernent non plus la signification des caractères, mais simplement leur forme , leur aspect extérieur, pour ainsi dire, vont s'e
n'en reste pas moins, comme l'a montré M. le professeur Charcot, une forme d'aphasie parfaitement autonome. TABLE DES MATI
ntracture. — Hystérie chez l'homme, fréquence, hérédité, âge adulte.— Formes frustes. — Contractures d'origine traumatique....
.............................. 140 ONZIÈME LEÇON. des différentes formes de l'aphasie, — de i.a cécité verbale. Sommaire
sion brusque et isolée de la vision mentale des signes et des objets ( formes et couleurs). Sommaire. — Gall, Gratiolet, Ribo
Ribot : des mémoires partielles. — Destruction partielle des diverses formes de la mémoire. — Mémoire visuelle. —Observations
-thiques. — Myopathies primitives. — Paralysie pseudo-hypertrophique. Forme juvénile de Erb. — Myopathie sans changement de v
juvénile de Erb. — Myopathie sans changement de volume des muscles. — Forme de Leyden. — Analogies de la paralysie pseudo-hyp
de Leyden. — Analogies de la paralysie pseudo-hypertrophique et de la forme juvénile de Erb. — Forme infantile héréditaire de
la paralysie pseudo-hypertrophique et de la forme juvénile de Erb. — Forme infantile héréditaire de Duchenne (de Boulogne).
réditaire de Duchenne (de Boulogne). — Ses caractères. Cette dernière forme est analogue aux précédentes. — Paralysie pseudo-
orme est analogue aux précédentes. — Paralysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, forme de Leyden, forme infantile
récédentes. — Paralysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, forme de Leyden, forme infantile héréditaire de Duchenn
alysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, forme de Leyden, forme infantile héréditaire de Duchenne (de Boulogne) ;
a propos de six cas d'hystérie chez [/'homme (Suite). Sommaire. — Formes anormales de l'attaque hystérique chez l'homme. —
aumatisme initial sur le membre inférieur gauche, attitude du malade; forme de la fesse et du pli fessier. — Analogies cliniq
lluleuse, 408. Anorexie hystérique, 240. Aphasie (Des différentes formes d'), 154; — motrice pure dans le mutisme hystériq
rie, 229. Epilepsie partielle (Hystérie chez l'homme avec attaque à forme d'), 283. f Face, Tic non douloureux de la
stérie et neurasthénie, 268; — Absence de lésions, 268; — Attaque à forme d'épilepsie partielle, 285; — Absence des attaque
— Siège et mécanisme, 438. Myopathie progressive primitive, 193; — forme pseudo-hypertrophique, 193 ; — îormc juvénile de
ue, 193 ; — îormc juvénile de Erb, \ 96 ; — ses carac!.ères, 196; — forme de transition sans changement de volume des muscl
— forme de transition sans changement de volume des muscles, 197 ; — forme de Leyden, 200; — forme infantile de l'atrophie m
ans changement de volume des muscles, 197 ; — forme de Leyden, 200; — forme infantile de l'atrophie musculaire progressive de
rophie de cause spinale, '¿01 ; — ses caractères, 202; — Ces diverses formes font partie d'un groupe unique, 205. N Névros
31 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ication d'Esquirol diffère peu de celle de Pinel, si ce n'est qu'il forme deux catégories du délire partiel, la monomanie
it le rôle prédominant. Plus tard, il a décrit une folie à double forme , étudiée déjà et dénommée par Falpet père folie
épression, lesquelles dominent, tour à tour, dans la folie à double forme . More ! a cédé à une illusion sensible dans l'é
tres descriptions, si bien faites, portent sur des symptômes ou des formes secon- daires que l'on serait fondé à multiplie
errative, raisonner et agir correctement. Des cas attribués à cette forme , un grand nombre sont à retran- cher. D'autre p
la catalepsie que de la stupidité, dont elle emprunte toutefois les formes extérieures. Les hallucinations, qu'elle ressen
es insanités, les idées normales font concurrence, surtout dans les formes moins accentuées. La raison, la sensibilité, le
insinue des morceaux de caout- chouc. On ne sait, en un mot, quelle forme prendre pour perpétuer et renouveler son suppli
des observations dyna- mométriques exactes. Mais, exprimées sous la forme que leur a donnée leur auteur, elles suggèrent
aire de mélancolie, et non le résultat d'une impulsion liée à une forme particulière de folie instinctive ; 4° Que G...
'aux circonvolutions occipitales ; les autres nous en ont révélé la forme , la hauteur, les dimen- sions et les irradiatio
inuent à mesure qu'on approche de la pointe du lobe occipital. La forme du corps du faisceau peut être assez exactement
sphère, pour la sensibilité tactile, qu'il n'y en a pour les autres formes de sensibilité. La plus ou moins grande facilit
rale, semblaient les mieux assises, sont remises en ques- tion : la forme et la localisation des symptômes ne dépendraient
de territoires circonscrits et isolés affectés à l'élaboration des formes variées de la sensibilité. Est-ce à dire que, a
série ont été presque toujours observés. Quelquefois, dans cette forme d'ataxie; dite héréditaire, il existe du nystagmu
g, la démence persistante qu'amène l'épilcpsie à la longue et les formes vésaniquespassagères,intervallairos, considérées
les, à l'expansion extatique. L'analyse détaillée de chacune de ces formes psychopathiques n'ajouterait rien aux descripti
cès de fièvre qui mé- ritent une mention spéciale : ils revêtent la forme intermit- tente et sont caractérisés par des st
prostration ; ils sont obligés de garderie lit plusieurs semaines ( forme typhoïde de Levinstein). Le diagnostic ne pré
l n'y aurait d'ailleurs aucun signe clinique différentiel entre ces formes nécroscopiques, l'ophthalmoscope lui-même étant
erveuse interviennent déjà dans l'étio- logie. Ce sont, ou bien les formes du premier groupe, mais aux derniers jours delà
rémie ou inflammation'cérébroméningée), ils se présentent sous la forme de la mélancolie anxieuse. Tel est aussi l'aspect
ssé l'âge de vingt-cinq ans. Les psychoses fébriles y revêtent deux formes , celle du collapsus succédant à une agitation i
le, chez une jeune fille de vingt-deux ans, une espèce de démence à forme d'imbé- cillité succédant pendant la convalesce
manière générale la 8 11 le '< REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. forme de la mélancolie active : ressemblant à certains
lapreniière semaine, plus ou moins semblables aux délires initiaux ( formes de pas- sage) ; puis ceux de la période d'état
phénomènes d'excita- tion et de dépression. On en rapprocherait la forme méningi- tique (excitation cérébrale) de Lieber
teurs). L'ignorance où l'on est de la nature et des causes de cette forme clinique explique 116 G SOCIÉTÉS SAVANTES. l'
été po- sées peuvent se résumer à peu près ainsi : Quelles sont les formes mentales dont vous pouvez affirmer la constante
1° le côté moral de l'individu, 2° l'acte accompli par lui, 3° les formes de la psychose, 4° le degré d'empire mental qu'
ervation de la paroi externe de la troisième frontale, de celle qui forme la limite de la branche ascendante de la scissure
en à voir avec la septicémie laquelle pé- nètre l'organisme sous la forme d'un contagium vivum d'origine extérieure. La s
ner les anomalies chimiques de l'urine dans leurs rapports avec les formes des psychoses. L'auteur a analysé avec le , plu
nsi à côté de l'entité : inver- sion du sens génital, il existe une forme morbide identique chez l'onaniste auquel on ne
s encore d'asseoir un jugement précis sur l'une quel- conque de ces formes ; l'examen minutieux du malade incombe à chaque
cultiver. 12" La culture horticole n'a nul avantage sur les autres formes d'occupations champêtres, ni au point de vue mé
éclian- crures en forme de secteurs. AI. Fournier insiste sur les formes associées, mixtes et complexes de l'ataxie, qui
ant mémoire dans lequel M. Lasègue, en 1852, a détaché des diverses formes de mélancolie le délire des persécutions, a été
point de départ de tra- vaux complémentaires qui ont fait de cette forme de vésame l'une des mieux connues dans ses symp
mélancolie avec stupeur, la mélanco- lie anxieuse, on sait que ces formes sont souvent intermittentes, que quelquefois el
ion. Les cas même où le fait est simplement signalé, sont rares. La forme hypochon- driaque du délire des négations seule
n cite- rai plus loin des exemples. Mais le plus souvent ces deux formes de délire s'observent isolément chez des malade
- rentes que soient, dons leurs manifestations externes, ces deux formes de mélancolie, on ne peut se refuser àreconnaît
s malades, sans que le délire soit sensiblement modifié. Dans ces formes prédominent l'anxiété (une anxiété intérieure e
GATIONS. 159 principaux caractères de leur état mental. Dans leur forme la plus atténuée, ces caractères sont ceux de la
eurs facultés morales et intellectuelles,' et présentant déjà une forme négative évidente. « Ils ont honte ou même horr
ts et de forcer les ombres pour achever le tableau de ces dernières formes de mélancolie. Le dégoût de soi-même arrive au
e, soit sur le monde extérieur. Dans le premier cas, il prend une forme hypochondriaque analogue au délire spécial sign
'une rapide description du délire des négations' et de ses diverses formes , pour faire dé ce délire une espèce particulièr
ussi dans le cas où le mal ne paraît pas évoluer au delà de cette forme ébauchée. La maladie a une toute autre allure c
voile se déchire et le malade se réveille comme d'un rêve. Les formes les plus légères, il n'est pas besoin de le dir
motif appré- ciable et disparaître de même brusquement. Dans les formes où prédomine d'emblée la stupeur, la guérison s
ute parti- culière. Leurs recherches ne portent que sur certaines formes de folie liées à quelques états particuliers de l
s sexuelles, en général, chez les aliénées et, en même temps, les formes gynécologiques qui s'associent le plus souvent
s les deux tiers, c'est-à dire dans GG p. 100. En ce qui touche les formes observées par ce dernier auteur, elles sont rep
PATHOLOGIE MENTALE. ne donne aucun détail ni sur l'âge, ni sur les formes mentales des maladies observées dans les autops
gynécolo- giques, a noté quatre-vingt-dix cas associés à diverses formes d'aliénation mentale plus ou moins prononcées.
omènes d'ovarie, troubles de la menstruation, et aussi, les légères formes d'endométrite, de vaginite, etc., doivent néces
chacune des malades examinées les données sui- vantes : 1° âge; 2° forme de la maladie mentale; 30 état physiologique du
sexuel (vierge ou non, nombre découches et de fausses couches); 4° forme de la'mala- 180 PATHOLOGIE MENTALE. die sexii
sexuelle a toujours eu lieu au spéculum et au toucher vaginal. La forme de la maladie mentale est définie par l'exa- me
re (dans celles-ci, neuf avaient eu de huit à douze couches). Les formes des maladies mentales dans le groupe des malade
e, huit. Les malades après la ménopause se divisaient, d'après la forme d'aliénation mentale, de la façon suivante : dé
c- tions sexuelles chez les aliénées accompagnant les différentes formes d'aliénation mentale, en prenant les chiffres à
es aliénées à être affectées des organes génitaux plutôt dans une forme de maladie mentale que dans une autre. Ainsi, d
igine puerpérale, on la trouve trente-deux fois associée à diverses formes gynécologiques (comme métrite chronique et endo
hes, en prenant à peu près le même nombre de malades et les mêmes formes mentales avant la ménopause, on trouve la compl
es lésions génitales. Enfin, sur vingt- cinq cas de mélancolie (les formes puerpérales excluses) avant la ménopause, vingt
t acquis. En ce qui regarde les complications de la folie par les formes des maladies sexuelles accompagnant diffé- rent
e l'appareil générateur, qui se présentent prin- cipalement sous la forme de troubles de la menstrua- tion, de symptômes
forme de troubles de la menstrua- tion, de symptômes d'ovarie et de formes peu graves d'endométrite, de vaginite, etc. Au
Au contraire, dansée groupe des femmes qui ont eu des couches, les formes gynécologiques deviennent beaucoup plus sérieus
, et ils en concluent qu'ils sont sur la pente de la folie. Dans la forme sensorielle elle-même, les hallucinations n'app
hez lesquels l'état de conscience au début est un fait constant. La forme expansive est toujours précédée, comme l'a étab
de cette affection qui peut offrir la même particularité, c'est la forme congestive d'emblée. Si la poussée sanguine du
ômes physiques et psychiques de la paralysie générale progressive à forme expansive, au premier degré. Durant six mois la
nt ne se classent pas parmi elles. Ce qui les individualise et en forme un groupe à part, c'est la présence constante,
eraient pas, particularité qui ne se retrouve point pour les autres formes . Ces folies, contrairement à la célèbre définit
société. Le fait est accepté de tous les aliénistes pour les quatre formes où la conscience est un élément constitutif. Me
ellules. La face inférieure, au lieu d'être convexe, est concave et forme une espèce d'arche; une grande partie de cette
épaisseur et de 4 centimètres de large en moyenne. Cette production forme comme une espèce d'attelle accolée à l'os. Cet
constate l'absence complète de tout travail de consolidation. La forme anatomique de cette fracture se rapproche de cell
peu près le volume de 1 opine sciatique. Le petit trochan- ter ne forme plus qu'une petite éminence ru- gueuse à peine
ête du fémur ont complètement disparu ; le moi- gnon qui subsiste forme une saillie de 2 ou 3 millimètres sur le côté i
re formant une cavité de plus d'un centi- mètre'de profondeur d'une forme générale triangulaire et destinée à recevoir l'
re du tibia présente deux saillies latérales simulant à peu près la forme des condyles du fémur. 0 Cette même surface s
ent usé, tandis que le renflement qui représente le plateau interne forme une saillie ovalaire de un centimètre et demi d
volumineux et à surface poreuse. La pointe du fragment supérieur forme encore une saillie de plus d'un cen- timètre
TAXIQUES. 215 de substance à surface irrégulière mais non rugueuse, forme comme une section allant de la base du grand tr
ucation des cellules nerveuses qui constituent les sources de cette forme particulière d'énergie. Pratiquement, le traite
ômes de la maladie de Ménière confirmée. Elle se présente sous deux formes : l'une, grave, ne laissant nulle trêve au pati
des vertiges revenant à de longs intervalles et pouvant revêtir la forme des paroxsymes décrits plus loin. Dans les cas
des vertiges séparés par un long intervalle et pouvant re- vêtir la forme d'un véritable paroxysme. La maladie dure tant
l'auscultation ; non plus qu'entre ces dernières et les différentes formes d'affections mentales. Il pense que la transm
18/9), on sait que la densité du cerveau varie dans les différentes formes de maladies mentales. Aussi le la 229 REVUE D
ns, ou d'ellipses ; puis « ataxique », c'est-à-dire altérée dans la forme des lettres. Les fautes grammaticales se rencon
lligible, simplement faux. Au point de vue clinique, il admet trois formes , selon que les conceptions irrésistibles se bor
Nous pensons alors que des incitations ont pu se réfléchir sous la forme motrice sans qu'elles soient entrées enrapport av
érature, l'accélération des mouvements respiratoires. De toutes les formes de maladies mentales, c'est dans la manie récur
le Délire aigu; Régis pour un travail sur l'Eliolorlie de quelques formes de la Paralysie générale. M. LASÈGuE demande qu
ssements, et, pour faciliter votre travail, nous avons formulé sous forme interrogative quatre questions principales sur
second point, c'est qu'il existe réellement quelques malades que la forme particulière et heureusement exceptionnelle de le
; toute la première circonvolution temporale violette, mol- lasse, forme une bourse dont la cavité communique avec le ven-
diamétralement opposées sur les plus simples questions ; telles les formes de l'hystérie, de l'épilepsie, la genèse de la
ie. M. Wernicke fait ressortir la description qu'il a donnée de ces formes morbides et dans son Traité des maladies du cerve
mvL d'une folie systématique primitive qui s'est développée sous la forme aiguë en rêve ou pendant l'état de veille (Arch
même physiologique en des états mentaux tout différents. Telles ces formes d'aboulie en quelque sorte parétique, ces trans
colie stupide n'existe pas; on désigne actuellement sous ce nom des formes de monomanie essentielle- ment différentes de l
eux. Quant à la dépression mentale, il ne faut point oublier que sa forme hypochondriaque précède, comme stade prodromiqu
260 BIBLIOGRAPHIE. et de la physiologie du cerveau antérieur; Les formes hallucina- toires aiguës de la monomanie exalté
yens ci employer. M. Fritsch. De l'aliénation mentale. Des diverses formes de l'aphasie dans leurs rapports avec les pertu
.chner. Apport à la pathogénie des hémorrhagies cérébrales dans les formes syphilitiques précoces. M. PASTERNATZ6Y. La str
pportées et discutées à la place qui convient. Chacun des chapitres forme ainsi une sorte de revue critique du sujet- en
etcrol.; t. III, p. 187. · . BIBLIOGRAPHIE. 263 IV. Essai sur une forme rhumatismale de la paralysie agitante ; par VRS
des paralysies agitantes à pathogénies différentes. La variété des formes symptomatiques et des lésions pathologiques mon
symptomatiques et des lésions pathologiques montre qu'il existe des formes différentes de la maladie de Parkinson. L'étude
et il a existé des douleurs rhumatoïdes plus ou moins nettes. Cette forme de paralysie agitante est susceptible d'être am
térogènes sont fréquemment, mais non constamment, symétriques. Leur forme , leur étendue et leur nombre varient avec l'int
osologique, il a égale- ment prouvé que l'accès apoplectiforme, la. forme la plus connue aujourd'hui, n'est point la seul
apoplectiforme, ou au contraire ce qui cause le vertige durable aux formes multiples et méconnues. Voici par avance une pr
rvalles, pendant lesquels le médecin n'est point consulté. Dans les formes les plus graves, où le vertige se répète fréque
e, les cas où, associé au délire des persécutions, il constitue ces formes d'aliénation com- plexes qui nous expliquent co
znomanie, la démonomanie ou posses- sion démoniaque. Cette dernière forme me semble établir une sorte de transition entre
.., âgée de cinquante-trois ans, a déjà eu un accès de mélancolie à forme dépressive et qui n'a pas nécessité son placeme
de nombreuses illusions de la vue, il donne un sens mys- tique aux formes des objets extérieurs, il croit voir des figures
des objets extérieurs, il croit voir des figures d'animaux dans les formes des arbres, etc. 1880. M. A... s'imagine qu'on
dans lesquelles le délire de négation est signalé, au moins dans sa forme hypochondriaque. Je nie 'borne à donner les ind
iatrie, 0))S. II et VII. COTARD. Du délire hypochondriaque dans une forme grave de la mé- laiîcolie anxieuse (4 ? in. méd
ur, pour compléter cette étude clinique et pour bien montrer que la forme des obsessions ou des impulsions ne modifie pas
llie des phénomènes tellement tranchés, qu'on pourrait croire à des formes particulières de maladies mentales, tandis qu'i
poser sur des morceaux de carton qu'il découpe, en leur donnant la forme de la semelle d'une bottine de femme, et surtou
ut de conformation. La turgescence de la verge n'a pas lieu sous la forme habituelle de l'érection ; la verge ne s'allong
sister aux obses- sions et pour échapper à de nouveaux malheurs, il forme le projet d'entrer au couvent de la Trappe. On
berté; mais il est triste, sombre, découragé, devient irritable, et forme par- fois des projets de suicide. Eu six mois,
lci dalla, moelle PL.'V, fi. 1, 2, 4 et 5). La proéminence avait la forme diune,ellipse, elle comprenait toute la moitié
(Pl. \,fig. 3). Sur la coupe transversale cette,' tumeur avait là' forme d'une W nl r yin P),ltsçllQuFiéet,Jn1 i,a·ers
plus qu'une mince couche.. ,1 ? ? Pins bas la tumeur prenait une forme circulaire (Fin. 4) et conti- inivîf 1.1 -171^1
partir de ce point, la tumeur di- minuait et se terminait' par une forme arrondie un peu au-dessous iv . ,imi-< ftifr
a capsule de tissu con- `1T1 I `J , -oll n I n n néoplasie avait la forme d'une 1>ale;·T>;>I1>fzfL ? soi e ?
chie. Il était composé de petites boules opaques'de granaeur'ët de forme irrégulières. On voyait à travers un fort grossis
ès, les deux tiers internes de sa périphérie. Cette couche avait la forme d'une faux, étroite au milieu, large à ses deux
es de la substance grise et dont les noyaux ont, sans exception, la forme ovalaire. f La plupart de ces ganglions transfo
orme ovalaire. f La plupart de ces ganglions transformés avaient la forme de navettes de tisserand, d'autres ressemblaien
qu'à changer complè- SARCOME DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 333 tement de forme , sans pour cela perdre sa conductibilité, on ig
s nerfs, mais les ganglions aussi pouvaient être modifiés dans leur forme . sans subir aucune altération fonctionnelle. Ne
symptômes ne s'observent pas plus spécialement dans telle ou telle forme de la maladie... bien que leur pathogénie soit
il n'est pas exccptioncl, toutefois, qu'elles se présentent sous la forme d'une hémiplégie totale. Il arrive souvent que ce
roit externe survenue dans les mêmes conditions. Ces paralysies à forme hémiplégique générale, ou partielle, doivent êt
rtées à des lésions d'origine encéphalique. Il en existe d'autres à forme paraplégique qui sont attribuablcs à des lésion
pesant sur son crâne (Leudet 5). Bien souvent, la douleur revêt la forme névralgique. Un malade de M. Charcot fut attein
server un fait semblable et du même caractère, « des douleurs sous forme d'éclairs allant de la fesse aux orteils, en suiv
TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 le ! ) place à la seconde forme , soit spontanément, soit sous l'in- Iluence de
galement atteints. Le professeur Panas ' a le mieux décrit cette forme d'amblyo- pie et démontré sa nature. La plupart
omplexes. La cataracte diabétique est regardée comme l'une de ses formes . Elle peut coexister avec les lésions qui nous re
également d'une lésion bulbaire ou protubérantielle (Panas) Y La forme de la rétinite glycosurique n'est pas en rapport
356 . REVUE CRITIQUE. l'ait caractéristique. L'existence de cette forme spéciale de coma dyspnéique, déterminant assez
es et sagittales, apparaissent entre les faisceaux nerveux sous les formes suivantes ; tantôt ils sont rencontrés par le r
à mailles très fines et quadrangulaires dessine très exactement la forme de la corne antérieure suivant les régions. Les c
t;/. XII l. s. c.) Sur des coupes horizontales, on les voit sous la forme de deux lumières vasculaires situées de chaque
matoires et des anomalies vasculaires dans la pie-mère, sans que la forme de la vésanie exerçât une inlluence spéciale su
lite suppurée varie suivant qu'elle est aiguë ou chronique. Dans la forme chronique, l'abcès s'enkyste, ce qui n'a pas li
la forme chronique, l'abcès s'enkyste, ce qui n'a pas lieu dans la forme aiguë. Dans le pre- mier cas, la mort survient
es à celles trouvées dans la paralysie diphthéritiquo et les autres formes de paralysie mentionnées après les maladies aig
eudo-secondaires et de dégénérescences asystématiques, mais sous la forme purement spinale. P. K. XXXIII. Dégénérescence
Le travail de M. Ilack Tuke est une critique, très modérée dans la forme , très amère dans le fond, de la législation, ou
que des mois ou des années plus tard, sans affecter d'ailleurs une forme particulière qui permette de reconnaître la cau
la volonté, sur celles de l'association des idées, sur les diverses formes de fypémanie, sur les intervalles lucides, sur la
ismes ; par JoinE. Thèse de Lille, 1882. Contribution à l'élude des formes frustes de l'ataxie locomotrice ; par 11-nTrr.
tomie, rapports de l'infirmier avec l'aliéné dans les diffé- rentes formes mentales, petite pharmacie. Ces cours se font s
cchioni (granulations de), 368. Paralysie agitante (essai sur une forme rhumatismale de la), par Vesselle, 263. Paral
32 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
vec variations de rythme. L'appareil employé rappelle tant par sa forme que par son emploi, une haltère dont les sphère
squ'ici d'accidents cérébraux. Traitement de l'épilepsie. L\'rI formes du mal caduc et ses complications. Joints aussi
sionomie agréable et expressive. En classe, elle commence à écrire, forme à peu près toutes les lettres, les distingue le
servation, il nous est souvent arrivé de désigner un animal sous la forme d'un redoublement rappelant le plus possible le
le choix. C'est ainsi que nous apprenons le nom des couleurs, des formes , des odeurs (bon, mauvais), que nous donnons la
pré- noms, profession, âge et domicile tant de la personne qui la forme due de la personne dont la placement est réclamé,
thologique l3uutiNrvn.i.ic. Ilieilrc, 1 ! 0. 1 1 1. De quelques formes de nanisme et de leur traitement par la glande
ous publions des observations de malades ap- partenant aux diverses formes cliniques de l'idiotie et 0 (Irant en outre un
t nain, naine, nanisme (de Rochas, Dict. encyclop.) 4 De quelques formes de nanisme. Le nanisme n'a l'ait autrefois l'ob
de neurologie, 190-2, vol. XVI, p. 3S), etc., etc. 6 De quelques FORMES de nanisme. 3 cm. Pendant cette année, l'état,
ïdien. Nanisme par arrêt DE développement simple. 7 8 De quelques formes de nanisme. Nanisme par arrêt de développement
Tableau du poids et de la taille de 1895 Il 1 no;). 10 De quelques FORMES DE nanisme. jusqu'à ce jour (1 m. 47 en novembr
ivant : Nanisme par arrêt de développement simple..11 De quelques formes de nanisme. vomissements pendant tonte la durée
sième traitement du 1°»' janvier au 31 mars 1903. Le 10 De quelques formes de nanisme. traitement a été régulier ; la dose
si- tué qu'à quatre centimètres et demi du bord du pubis (1). Il forme une saillie légère, elliptique, presque lisse, à
. 19. - inlairoi mativit de 1'uiiibiit et de 1 hymen. 0 De quelques formes de nanisme. Obs. VI. Imbécillité avec perversio
différence minime en moins de 2 centim. (lm63). 22 , DE QUELQUES formes DE nanisme. OB$, X. - IDIOTIE ; ÉPILEPSIE ; cro
Taille : 1 m. 28, d'où gain de quatre centimètres. 24 DE quelques FORMES DE nanisme. La malade a continué de grandir. L
. 75 ; - FIG. 20. - Maz... eu loa7 (L 1/;2 ans). 26 DE QUELQUES formes DE nanisme. du 25 mars au 1er août.l gr. La tai
épuce, dé- - f i G. 2C. - MhZ ? en 18aU \5 ans). 28 De quelques formes de nanisme. couvrable. Bourses parsemées de que
0,50 ; 1 gr. FIG. 2. - Iaz... en 1000 (15 ans). 30 DE QUELQUES formes DE nanisme 1 gr. 25. Poids : 42 kil. Taille : 1
ndis qu'avant FIG. 2G, - M"z ? elll\JU4 (lU ailS). 32 De quelques formes de nanisme. le traitement thyroïdien, la taille
demi-centimètre. BOUINFVII,T e, l31cclnr, 1903. 3 34 DE quelques formes DE nanisme. UCS. XXIII. - Imbécillité ; EPILEPS
ont saillie en- tre les grandes lèvres. L'ouverture de l'hymen a la forme d'un coeur lorsqu'on écarte les petites lèvres.
rs suspensions.Poids 27 kg. 500; Taille : 1 m. 27. 30 DE QUELQUES formes DE nanisme. . 1903., lanvier. Poids : 30 kg. 50
ssance. L'insuccès du traitement la met en relief. 38 DE quelques formes DE nanisme. OBS. XXX. - Idiotie complète, nanis
périeure des grandes lèvres, allant jusqu'aux aines, 40 De quelques formes de nanisme. couvrant les deux faces des grandes
sance : yeux convulsés en haut, corps raide ; pas de 42 De quelques formes de nanisme. mouvements cloniques. Pas de paraly
angle droit. Les conques sont profondes ; adroite, la conque a la forme d'une coquille, il gauche, celle d'un cube. Tragu
les deux bras. - Membres inférieurs. Rien à signaler concernant la forme et l'attitude. Léger duvet. Motilité et réflexe
l'attitude. Léger duvet. Motilité et réflexes normaux. Thorax. De forme globuleuse. Pas de déformation. Respi- ration a
n saillant. Cicatrice ombilicale proéminente, petite 44 De quelques formes de nanisme. hernie. La palpation de l'abdomen n
de fer. Température à l'entrée. (,le 1 : , lèle. 46 De quelques formes de nanisme. et un peu au-dessous du mamelon au
'< ! Ufx : Mastication normale. Bave légère. Il a 48 De QUELQUES formes DE nanisme. mangé avec ses mains jusqu'à l'âge
e, à timbre élevé. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1903. 4 ùo ' De quelques formes de nanisme. Le tronc est cylindrique. Le thorax
ièrement de la racine vers le poignet. Epaules basses et tombantes. Forme des mainsetdes doigts normale. Pas d'onychophag
abondants sur tout le pénil Mesures de la tête. 52 DE quelques formes DE nanisme. (14 cm. sur 3) et à la racine des b
me pileux du pénil, la Poids. Taille, Dynamomètre. 54 DE quelques formes DE nanisme. OBS. 1XXVL- IDIOTIE ; nanisme ; inf
es. Tout était normal jusque huit jours avant la fin 5R De quelques formes de nanisme. de la grossesse. A cette époque, la
is son entrée à Bicètre. Température à l'entrée. 58 8 De quelques formes nE nanisme.. z pières sont bien conformées. Fen
0,26. Corps thyroïde à peine sen- sible. Membres supérieurs : de forme , d'attitude, de volume nor- maux. Jointures, ma
ent sur le compte de l'hérédo-syphilis ? Les parents 02 DE QUELQUES formes DE nanisme. interrogés isolément et avec soin n
Il a été réformé par défaut de taille (1 lU 53). i ! DE quelques formes DE nanisme. Le malade. - A l'époque de la conce
écouvert. Testicules du volume d'un oeuf de serin. 66 De quelques formes DE nanisme. La taille de l'enfant restant au-de
ids et taille avant le commencement du traitement. 68 DE quelques formes DE nanisme. Tableau des modifications survenues
s, son facies l'indique, il se livre à l'onanisme. 70 DE quelques FORMES DE nanisme. OBS. XL. (Résumée.) IMBÉCILLITÉ; ru
êm.. " est âgé. * de [Sans. 1 Second traitement. 72 DE QUELQUES FORMES de nanisme. OBS, XLI.IMBÉCILLITÉ : nanisme; inf
l'augmentation de la taille a été la sui- vante : 74 De quelques formes de nanisme. ~ Nanisme avec obésité. 75 élever
, on ne trouve aucune tare, aucune maladie nerveuse, 76 DE QUELQUES formes DE nanisme. pas d'épileptiques, pas d'idiots, p
t eu de convulsions. Ils Fie. 28. - R..., en 1904. 78 DE QUELQUES FORMES DE nanisme. ne sont pas névropathes. Il en est
deux ans, revacciné à l'école. Pas de variole,ni de 80 De QUELQUES formes DE nanisme scarlatine, ni de coqueluche, ni de
était incapable. Nanisme avec obésité. 81 Face. Le visage est de forme arrondie, symétrique. Les arcades sourcilières
e est à grand rayon. Bourneville, Bicêtre, 1903. 6 82 De quelques formes DE nanisme. Menton, assez saillant, doublé d'un
, la percussion et l'auscultation ne dé- notent rien à signaler. Sa forme est globuleuse. Au niveau des creux anleaxillai
du mois d'octobre jusqu'au mois de janvier 1901. 84 De QUELQUES FORMES DE nanisme. et un kilogr. 200 en plus. Par suit
e l'exiguïté de la taille, l'obésité est encore très accusée. Les formes du sujet sont celles d'un adulte. Le thorax est
res. Nanisme avec obésité. 85 MEMBRES SUPERIEURS 86 De quelques FORMES DE nanisme. <j noncées à droite. Poils fins
mais l'obésité a notablement diminué (2 kil. 200). 88 De quelques formes de nanisme. OBS. XLIX. IDIOTIE, na-nisme, OBÉSI
, début des grands accès d'épilepsie. Ils commencent 90 De QUELQUES formes de nanisme. brusquement, sans prodrome. Perte d
est absolument naturelle. L'iris a une coloration brun foncé uni- forme . La pupille a une circonférence régulière et réag
Hélix, bien ourlé, tragus et antitragus normaux. An- 92 DE quelques formes DE nanisme. - thélix petit, le lobule est bien
lles ont été abondantes et non douloureuses. Elles 94 De quelques formes DE nanisme. sont venues ensuite régulièrement.
poids et de la taille. Nanisme avec obésité. 95 96 . DE QUELQUES formes DE NANISME. Deuxième traitement. Le traitemen
se jusqu'à six anus. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1903. 7 98 De quelques formes de nanisme. . Coprophagie jusqu'à six ans. - Tu
es par un épais pannicule adipeux, - Les membres supérieurs sont de forme normale, mais recouverts d'un épais pannicule a
es poids et laille. Nanisme avec OBÉSITÉ. 101 102 DE QUELQUES formes DE nanisme. Nanisme, avec obésité. 103 restée
domen souple, saillant. La partie inférieure de la paroi abdominale forme un repli épais surplombant le pli inguinal. Omb
res supérieurs : adipose très marquée. Membres xi ouf DE QUELQUES formes DE nanisme. . inférieures : Cuisses très dévelo
lle de 1891 à 1895. Nanisme avec obésité. 105 106 DE QUELQUES formes DE nanisme. NANISME AVEC OBf,'ITÉ. 107 la s
eau du poids et de la taille pendant le traitement. 108 De quelques formes de nanisme. On constate qu'il chaque période de
ut le reste du corps. Nanisme avec obésité. 109 11O DE QUELQUES formes DE nanisme. ' OB, LII. Imbécillité congénitale
phalal- gies, caféisme, coléreuse. Grand'mère, accidents hystéri- formes , morte d'un cancer de l'estomac. Plusieurs frères
deux fois le croup, a eu des accidents convulsifs. Il'2 DE QUELQUES formes DE nanisme. Notre malade. - Conception : le mar
émail de mau- 130CI\NEVILLE, Bicêtre,. 1903. 8 Ili 'L De quelques formes de nanisme. 1 vaise qualité; chevauchement des
e 1 cm. 5 en 3 mois, Nanisme avec, obésité. 115 116 DE quelques formes de nanisme. Cette observation met bien en relie
e. Oreilles petites, bien ourlées, non écartées du 4 IR De quelques formes de nanisme. crâne. Lobule soudé. Cou : circonfé
dans le tableau suivant : Nanisme avec obésité. 120 De quelques formes de nanisme. La taille a gagné en six mois trois
et 31). 1'i. 30. - Tliom... en 1898, ù.14 nns. 1 ? -2 De quelques formes de nanisme. En résumé la taille augmente de tro
sles sujets seraient naturels. Aucune taré morale.] 124 DE QUELQUES formes DE nanisme. Mère, 35 ans, ménagère, ni alcoolis
etit clitoris. Petites lèvres très peu développées. 126 De quelques formes de nanisme. Teigne : Epilation, lavage au savon
des aisselles. Les organes génitaux ne se modifient pas dans leurs formes . Les seins ont encore augmenté de volume. Ils N
de parasites. . Tableau du poids et de la taille. 128 De quelques formes DE nanisme. Les régions temporales présentent u
érieure épaisse, en léger ectropion. - Dentition complète. Dents de forme nor- male. Les deux premières molaires supérieu
nt au niveau du poignet. A cet endroit les plis articulaires ont la forme d'encoches profondes. Mains. Carpe large. Mét
ychophagie. Membres inférieurs. Volume énorme. Les cuisses ont la forme d'un très gros cône renversé. Aucune saillie musc
plutôt aplaties mais très volumineuses. Les jambes'ont également la forme d'un cylindre à peu près régulier. Les saillies
t. (Fig. 32, 33, 34), Bourneville. Bicêtre. 1903. 130 DE QUELQUES formes DE nanisme. Fig. 32. - Hus... en mars l9j3, à l
BÉSITÉ 131 Fig. 33. nu;;... en 1901, )'ag9 de 14 ans; De QUELQUES formes DE nanisme. Fig. 34. - Hus... en 1 ! )Oi, à l'A
Nanisme avec obésité. 133 Mensurations du corps. 134 De quelques formes de nanisme. .Abdomen d'un volume énorme, proémi
e ensellure lombaire. Saillie exagérée de la région sacrée qui a la forme d'un triangle isocèle à base supérieure. Aux de
anisme ET rachitisme. Fig. 35. Fig. 36 et 37, t 140 DE QUELQUES formes DE nanisme. assez limité (1). Bien que les cas
longs, de chaque côté du périnée et autour de l'anus. DE QUELQUES formes de nanisme. Le bassin est étroit avec saillie p
rvation, avec une légère saillie des malléoles. Pieds. Le 4e orteil forme une saillie sur la face dorsale du pied (des de
) à 1 gr. Fig. 3 ? . - Vib... en 1901 (17 ans). 144 De QUELQUES formes DE nanisme. Poids : 26 kg. 500 ; Taille : 1 m.
Bicêtre, 1903. 10 Fig. 40. - Vib... il 17 ans. - 146 DE quelques FORMES DE nanisme. Colonne vertébrale : scoliose. La p
ertébrale : scoliose. La portion dorsale de la 1,- à la 12e dorsale forme une courbure à concavité gauche, dé- terminant
Fig. 41.. Radiographie du pied droit de Vibert. lin De quelques formes de nanisme. grandes lèvres. - Clitoris invisibl
les libialeset péronières sont épaissies, surtout ces dernières. La forme de la voûte plantaire, de la face dorsale du pi
MAUGHRKT. Le nanisme relatif constitue l'un des caractères d'une forme d'idiotie décrite par les auteurs anglais, qui
s de neurologie. 1903, 2* série, t. XVI, ]1,2;,2. 150 De quelques FORMES DE nanisme. Pas de consanguinité, - Inégalité d
ndant la grossesse, vif ennui de la mère de se l : i.'3 De quelques formes de nanisme. voir encore enceinte : « J'étais vi
és sont symétriques. Les fontanelles sont soudées. Le visage est de forme ovale. Les yeux présentent assez nette- ment la
visage est de forme ovale. Les yeux présentent assez nette- ment la forme en amande, qui se rencontre dans la race mongol
les autres. - Le menton est rond. - Les oreilles 154 DE QUELQUES FORMES DE nanisme. ne présentent pas d'écoulement, le
t mange seule, se sert de Fig. d5. - Main idiote. 158 DE QUELQUES FORMES DE nanisme. la cuiller et de la fourchette ; a
re ; pas de seins. Aisselles, ventre, fesses, pénil 160 De quelques formes de nanisme. glabres. Grandes lèvres pigmentées,
ans secousses. Bourneville, Bicêtre, 1903. 11 I 162 De quelques formes de nanisme. Nanisme mongolien. 163 Autopsie,
culier, non plus que le bulbe et la protubérance. 164 DE quelques formes de nanisme. Hémisphère droit. - Pie-mère peut-ê
, habitude de s'accroupir a la façon des tailleurs, 16S DE QUELQUES FORMES DE nanisme. accidents scrofuleux divers; enfin,
es observations de Van de Cast... et de Brég... ' 170 De quelques formes de nanisme. l'écorce du cel'veou. Fixation à l'
our ainsi dire lavés, formant ainsi une zone claire 172 DE quelques formes DE nanisme. appréciable avec un faible grossiss
. avait 12 ans et demie, Van don Casti... 20 ans. 174 De quelques FORMES de nanisme. Cerveau. Les lésions de ce cas s'
t. Lloteria. or. mental Science, Jan. 1904, p. 32). 176 De quelques FORMES DE nanisme. § VI. - Nanisme myxoedémateux infan
20 mars, 1 gr. 25 jusqu'au 31 mars. Fig. 49. 1 1 ! SU De quelques formes de nanisme. NANISME DIPLIGIQUE. 181 centimè
roissement nor- - Fig.60. - Idiots diplégiques. 182 De quelques formes de nanisme. mal pour le même laps de temps n'es
rendu de Bicêtre de 1902 (p. 232),sont deux beaux exemples de cette forme de nanisme. Lecl...(René),à 14 ans, mesurait un
x- quelles nous aurions pu en ajouter beaucoup d'autres. Dans les formes de nanisme, le nanisme myxoedéma- teux mis de c
de Bicètre contiennent un certain nombre d'observations des autres formes de nanisme. Signa- Ions, entre autres, le cas d
nisme et d'obésité (1895, p. 126 et 1903), etc. 184 £ De quelques formes de nanisme. nos malades atteints de nanisme pol
s un grand nombre de fois au traitement thyroïdien. 186 DE QUELQUES formes DE nanisme. chez nos myxoedémateux traités jeun
des ; le tourbillon, mal formé, semble constitué de 188 De quelques formes de nanisme. 3 tourbillons secondaires, situés i
plantés. (Fig. 51 et 5 ? ). Mesures de la tête. 190 De QUELQUES formes de nanisme. L'abdomen est de volume moyen. Pas
intelligence sont complètement nulles. De Fin 53. 192 De quelques formes de nanisme. même, la parole. L'enfant fait ente
nævi. On ne constate de ganglions en aucune région. Sa. tête, de forme normale, est asymétrique, le côté droit, front
que le côté gauche. Les fontanelles sont soudées. La face est de forme normale, régulière, symétrique, et ne présente
symétriques; les joues peu volumineuses. La bouche, petite, est de forme et de direction naturelles. Les lèvres sont peu
aillantes, petites en longueur comme en épaisseur. La langue est de forme et de motilité normales. La voûte palatine n'es
le corps thyroïde perceptible à la pal- pation. Le thorax est de forme régulière, de volume moyen. Rien à la percussio
morale). z '20'1 Description DE la malade. L'abdomen est aussi de forme régulière. Rien à signaler en ce qui concerne l
a rate. La région anale est normale. Les membres supérieurs sont de forme régulière. Leur volu- me est le même à droite e
e toucher est normal. (Voir p. 210). Les membres inférieurs sont de forme naturelle. Leur volume, comme leur longueur, es
ébrale. VI. Il s'agissait, en somme, d'une épilepsie partielle il forme hémiplégique, due à une sclérose atrophi- que e
ause première de l'arrêt de développe- ment des centres nerveux, le forme cranienne n'est-elle même que l'expression de c
les cas, l'étude du crâne qui en a été faite est démonstrative : la forme , la disposition des parties osseuses, la valeur
tan- dis que sur le côté opposé on constate la persistance de la forme fcetale. Le renversement parfois complet est l'ex
sion pathologique. Ajoutons pour aider à la compréhension de ces formes : 1° Que sur un certain nombre de crânes ayant
rales. 239 espace rétro-frontal où des proliférations osseuses en forme de lamelles constituaient une croissance osseus
ire sur les modifi- cations de la surface externe du crâne et de la forme géné- - raie. Nous la ferons ultérieurement et
à celles que nous avons exposées à propos des os des membres'. La forme générale est peu transformée en raison des fai-
s à l'état naturel et après leur incision. Le crâne (fig. 65) a une forme régulière. En général, ceux qui mesurent les an
ment de l'un des hémisphères. En tout cas, si l'on conserve à cette forme le nom de plagio- céphalie, il faut, pour évite
tale gauche. La fontanelle antérieure est percep- tible, elle a une forme étoilée et présente environ 35 milli- mètres de
, il est composé d'une sorte de circonvolution épaisse et oo'rtequi forme son. extré- mité antérieure et qui est s'parée
vec la configuration normale. Bien que les circonvo- lutions qui la forme soient assez nettes, FI et la circonvolution du
romure de zinc, de sodium. Thèse de Paris. MORLOT (E.). - Sur une forme grave de l'épilepsie. Thèse de Paris. Travaux
IE Clinique, thérapeutique, anatomie pathologique. I. De quelques formes de nanisme et de leur traitement par la glande
33 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
ès rapide- ment et ne donne que des résultats très minimes, elle ne forme que des idées vagues, douteuses, surprenantes e
pontanée,et certains sujets semblent avoir le choix entre plusieurs formes d'anes- thésies équivalentes. Ces alternances n
se passent comme si le système des phénomènes psychologiques qui forme la perception personnelle chez tous les hommes ét
tre intoxi- cation peut être très durable et prendre tout à fait la forme hystérique; dans ce cas, quel que soit l'agent
isme, c'est-à-dire la repro- duction des phénomènes anciens sous la forme des idées fixes et du délire. L'aboulie est un
on de deux personnalités indépendantes; la désagrégation prend la forme du dédoublement de la personnalité. Il en est t
nésie bien nettes, elles sont toujours in- complètes et prennent la forme d'une distraction et d'un doute continuel. Au l
ivision de son esprit. Nous ne pouvons étudier ici cette nouvelle forme de la désa- grégation mentale qui caractérise l
ts cette définition un peu complexe, on dira : « L'hystérie est une forme de la désagrégation mentale, caracté- risée par
e point qui me paraît digne d'être relevé, c'est qu'il y a quelques formes de paralysie cérébrale qui ne se trouvent pas r
les autres idées qui constituent le moi dont le corps de l'individu forme une partie importante. La lésion serait donc l'
es de dérivation vont d'un trou de conjugaison à un autre, ayant la forme d'un arc dont la concavité regarde le sinus. El
UNE MALADIE TOUTE SPECIALE AFFECTANT TROIS FRÈRES ET SOEURS SOUS LA FORME DE PARALYSIE PROGRESSIVE, AVEC LÉSIONS VASCL'LAIR
es observations de 1436 idiots à des degrés divers et de toutes les formes . Fréquence des traumatismes céphaliques intra-u
donc les lois des actions humaines ? 1° L'hérédité. La race humaine forme une chaîne ininterrompue; le fils hérite du pèr
de permet d'observer les différents éléments du cer- veau dans leur forme et leurs rapports exacts, et présente une supé-
ses; par le Dr RICHARDSON. Etudiant les lois de l'hérédité chez les formes les plus simples de la vie, l'auteur arrive aux
artie de la cellule reproductrice passe à la génération suivante et forme le substratum duquel dérive le futur orga- nism
lules blanches neutophyles 56,2 p. 100; lymphocytes 33,9 p. 100; formes transitoires 9,4 p. 100; formes éosinophyles 0,5
,2 p. 100; lymphocytes 33,9 p. 100; formes transitoires 9,4 p. 100; formes éosinophyles 0,5 p. 100. On constate dans l'uri
génie de la maladie de Graves. - Le rap- porteur distingue : 1° les formes chirurgicales de cette maladie et celles qui dé
pendent de lésions de régions déterminées du système nerveux; 2" la forme réflexe; 3° la forme essentielle. Cette dernièr
régions déterminées du système nerveux; 2" la forme réflexe; 3° la forme essentielle. Cette dernière forme doit être con
rveux; 2" la forme réflexe; 3° la forme essentielle. Cette dernière forme doit être considérée comme une auto- intoxicati
associé à de la démence ou à des troubles paralytiques, d'où quatre formes : folie simple, folie démentielle, folie dément
lie démentielle avec paralysie généralisée. Le délire n'a pas une forme unique ni de caractères spéciaux; il n'est jama
1877 ; De l'enseignement médical, lettre à M. J. Duval, 1868; D'une forme mal décrite de délire consécutif à l'épilepsie,
madaire la liste des principaux articles de M. Delasiauve : D'une forme grave de delirium tremens, 485; - Lettres sur le
ut en discutant avec énergie, mais toujours avec modération dans la forme , les opinions de ses adversaires. C'est dans ce
M. Delasiauve s'est montré un écrivain des plus distingués, avec sa forme particu- lière, son originalité propre servie p
puisés dans l'observation étiologique de son pays. Le volume et la forme du cerveau ; - le poids du cerveau des mi- crac
Les épileptiques aliénés bénéficieraient assurément de cette ré- forme ; la vie simple et saine à la campagne, sous une
e observation dans tous ses détails. OBSERVATION. - Syringomyélie à forme spasmodique, avec atrophie musculaire prédomina
trophies nusculaires progres- sives, la poliomyélite antérieure, la forme spinale de la sclé- rose en plaques, la polynév
ensemble des signes que j'observais était loin de correspondre à la forme classique, habituelle delà pachyméningite cervi
de sensibilité. D'ailleurs à l'époque où j'observais mon malade, la forme spastique de la syringomyélie était mal connue.
umeur formée d'un tissu mou, gélatineux, gris ver- dâtre, qui a une forme arrondie et qui occupe presque entière- ment la
entre de ce tissu néoplasique, se trouve une perte de substance, de forme étoilée sur la coupe, qui est la cavité du kyst
insensiblement avec le tissu sain. Vers la deuxième lombaire, il se forme au sein du néoplasme une masse cylindrique, net
pe du cône terminal; coloration de Pal. La tumeur se montre sous la forme d'une infiltration diffuse située en arrière de l
eau de la troisième dorsale, la cavité est déjà grande ; elle a une forme étoilée et est creusée dans un tissu néoplasique
sté- rieurs. Le canal central est dilaté sur une petite étendue, il forme Fiv. 4. Coupe pratiquée au niveau de la huitièm
e cervicale. La tumeur est creusée à son centre d'une excavation de forme irrégulièrement étoiléc. Aplatissement etètirem
sur les coupes. Le canal central n'est plus dilaté sur ce point; il forme là, comme dans tout le reste de DES TUMEURS NEV
elle une porticn du néoplasme qui est nettement circonscrite et qui forme comme une tige plus ou moins arrondie, excavée da
thrombose. . , Les figures 7 et 8 donnent une excellente idée de la forme et de . la. constitution des tractus conjonctiv
tus conjonctifs envoient dans la tumeur de nombreuses expansions en forme d'épines, il en résulte que la membrane limitan
e la cavité; il ne reste donc que la périphérie du tractus, sous la forme d'une mince couche hyaline, qui est du tissu co
, ainsi que nous allons le voir, il existe une petite cavité qui se forme aux dépens d'un trac- tus conjonctivo-vasculair
vité principale, qui est encore peu développée à ce niveau; elle se forme , par fonte du tissu a,é%rogiique et est remplie d
tes hauteurs de la moelle. Ce sont de petits fascicules nerveux, de forme arrondie, qui ressemblent parfaitement à des ne
erreur, on en conviendra, était bien excusable, surtout en 1889, la forme spasmo- dique de la syringomyélie commençant à
ne l'est d'habitude dans la syringomyélie, le gliome suffit, et la forme spastique de cette maladie peut simuler, jusqu'
lètement circonscrite, ni; complètement diffuse; c'était une de ces formes intermédiaires qui sont très intéres- santes à
fs, des prépositions et des substantifs.' Il'y a donc aphasie de la forme et non de l'essence de' l'idéation. Il en a con
qu'un cas particulier. 1 11,11" ) ! 1 . , uipilmi dCf'(JQ : 9< ♦ Formes rudimentaires. Observation de Borntroeger; observ
due à, un travail musculaire,' aux' convulsions) par exemple. Deux formes : faible, qùiné.dépassé"pas'38°,5 ? élevée; 7qu
présenté de grandes' ressemblances sinon de' degré," au'moins'de; forme .L'auteur présente 1 ensuite des considérations^ l
é 'd'anesthésie des membres inférieurs; crises, , de,, vessie, sous forme intermittente de crises,de rétention, ,9l p ? ô
du côté des extrémités, sans hémianopsie, sans attaques' apoplecti- formes préalables; V-2° mode de l'aphasie correspondant,
t ir"i j J ,ldXf \.\'1"4\ < ...... ? , XXII. Remarques sur LES formes DE la chorée chronique ? OBSER- - jVAT101\S DE,
aient un manque de développement et un défaut de i symétrie dans la forme générale de la tête. On conseilla la craniec-t
0;. a'T ? ( ! f"I ? d' ni QfT"( '10 : ;) 1 1 ... XXIX. DES DIVERSES FORMES D'AGRAPHIEET'EN PARTICUL ! ER DE L'AGRAPHIE XXI
- observations courtes. Traitement antisyphilitique sous di- verses formes . Bonne alimentation; vie régulière; galvanisation
, et demi de {¡ J'inion. Vous'' remarquerez..que l'incision- est.de forme , elliptique, JII mesurant trois quarts i de pou
pparaît à la période tardive * de l'alcoolisme généralement sous la forme de délire isolée quasi mo-b a REVUE · DE r PATH
DE la parole DUS al'hypochondrie ET DES TROUBLES SEMBLABLES DANS LA FORME DE LA PAROLE ARTICULEE CHEZ LES 'ALIÉNÉS en, gé
e progres- sive à marche circulaire, ou paralysie générale à double forme . Observation L-H... de trente-quatre ans; tare
ance psy- chique et physique, mort. Peut-être faut-il attribuer ces formes -là à la tare héréditaire. Discussion. M. PELM
ie consécutive au traumatisme. L'auteur passe en revue les diverses formes de folie consécutives au traumatisme et insiste
édominance des symptômes dans tel ou tel appareil, il distingue les formes atteignant le sys- tème nerveux (cérébro-spinal
cutions, par M. le Dr Séglas; 5° Sur les obsessions et impulsions à forme continue, par M. le Dr Roubinowitch; 6° Communi
imitive, nodosités des jointures, rhumatisme articulaire chronique ( forme primitive). Avec planches. Plus tard il revint
vent citée, M. Charcot utilise des faits per- sonnels et décrit une forme nouvelle qu'il nomme pneumonie chro- nique ulcé
types réguliers, classiques en quelque sorte, avant d'envisager les formes frustes, rudimentaires, mal dessinées. Nous a
ot sur les indications de son mari. Il aimait l'art sous toutes ses formes et il a su faire de ses appartements un véritab
date de l'époque où il avait été nommé membre de l'Institut (1883), forme un volume de 200 pages. Nous nous bornons à ind
d'une intoxication antérieure sur le mode de localisation et sur la forme des accidents hystériques. - 1888 : Arthralgie
mblements hystériques ; L'oedème bleu des hystériques. - 1891 : Des formes frustes de la sclé- rose en plaques. - 1892 : U
rébraux de l'homme (en collaboration avec Pitres, 1883) ; - Sur une forme par- ticcaliére d'atrophie musculaire progressi
dow; Accès d'automatisme ambulatoire de nature comitiale ; Abasie à forme trépidante à la suite de l'intoxication par l'oxy
ite de l'intoxication par l'oxyde de carbone; Amyotrophie spinale à forme scapulo-humérale, comme con- séquence d'une par
blitération artérielle probablement d'origine syphilitique (1891) ; Formes cliniques des névrites périphériques (1892).
lus ou moins longtemps. Il n'est dès lors pas étonnant que dans les formes intermittentes et rémittentes la duboisine ait
s avons observés et en entreprendre l'étude comparative d'après les formes mentales. Tout d'abord dans la paralysie généra
e de calme ait suivi la suppression de la médication. V. Dans les formes intermittentes et rémittentes, la du- boisine s
et d'autres rapportés en tire deux conclusions : 10 qu'il y a deux formes de microcéphalie : (a) congénitale, (b) acquise
le traitement des maladies mentales, les auteurs ont résumé sous forme tabulaire les différents cas, suivis ou non de su
x aspects. Durant le stade fébrile, elles revêtent ordinairement la forme d'un délire aigu. Durant le stade post-fébrile
usion mentale; peut- être y aurait-il lieu d'admettre une troisième forme intermédiaire aux deux précédentes. Les psych
ntoxication est aiguë, la folie se manifeste habituellement sous la forme d'un délire aigu, toxique, semblable au délire
astro-intes- tinale qui s'est présentée cliniquement sous la triple forme simul- tanée du délire aigu, du délire hallucin
ment, la maladie s'est présentée, au point de vue clinique, sous la forme de la confusion mentale avec délire hallucinato
établir l'incertitude du témoignage des aliénés, quelle que soit la forme de leur maladie, et pose en principe qu'ils ne
s ne doivent pas être admis à prêter serment et à témoigner en la forme ordinaire. Tout au plus peuvent-ils être entendus
s à titre de renseignements comme les enfants et mineur ? Certaines formes partielles de l'aliénation sont, à la vérité, c
médecins. M. GIRAUD fait observer que ces conférences se font sous forme de sermons de charité dans la Société du type q
résidence DE M. CHRISTIAN. MM. Bourneville et NOIR. Des différentes formes de l'hydrocé- phalie (Idiotie laydrocéphalique.
36, différence en plus. Sur deux cas d'obsessions et d'impulsions à forme continue. M. Roubinovitch rapporte deux observa
oubinovitch rapporte deux observations qui prouvent qu'à côté de la forme paroxystique des obsessions et impulsions qui est
nternée à la Salpêtrière. Elle présente le type de l'arilhmomanie à forme continue. Dans le diagnostic de ce cas, l'auteur
gt; de la maladie du doute, ni dans la catégorie des obsessions à forme paroxystique. Les caractères propres à l'affectio
sions décrites par lui. On voit en effet que, dans les deux cas, la forme d'obsession n'est pour ainsi dire qu'une habitude
re que ces deux cas d'obsession présentent, surtout à cause de leur forme continue. Ce n'est donc pas dans un but de clas
but de classification théorique qu'il les détache des obsessions à forme paroxystique et de la folie du doute; c'est sur
ileptiques. Il est même indiqué d'assister ainsi bien des aliénés à formes morbi- 268 asiles d'aliénés. des curables. Ma
plément nécessaire et plein de valeur d'un asile public comme une forme d'assistance équivalente aux autres modes d'assis
'est un prolongement postérieur de la tumeur qui s'insinue, sous la forme d'un cône effilé, dans l'épaisseur de la circon
sseur de la circonvolution, qui lui doit son ampleur anormale et sa forme cylindrique. Sur la. coupe de Flecbsig, la tume
nts moléaires s'éparpillent dans le protoplasma : 13 à 15 cellules de formes diverses à noyaux multiples ou divisés. Picro-c
eux ordres de tissus, qui sont disposés au centre de la tumeur sous forme d'îlots sans forme et sans ordre définis. , A
s, qui sont disposés au centre de la tumeur sous forme d'îlots sans forme et sans ordre définis. , A. Le tissu névrogli
erçoit à peine une très fine couche de protoplasma ; ce sont là des formes purement embryonnaires des neuroblastes ; 2° de
s cellules-araignées typiques (8, fig. 16). Sur les coupes ce tissu forme un réseau dont les travées sont constituées par
isse d'un prbtoplasma un peu trouble, très avide de carmin; le tout forme des cellules arrondies, de volume variable (2,
rés. - 1 - 1 , , . , , 'Les cellules ganglionnaires adultes ont des formes très variées; , , , , l , . ¡ , . T j beauc
e la tumeur on en trouve d'autres, en très grand nombre, qui ont la forme d'un triangle allongé et qui sont faites sur le
es, remarquables par la longueur et l'épaisseur du prolongement qui forme leur pointe. Par leur base, elles émettent d'autr
. On rencontre encore une troisième espèce de cellules qui ont la forme d'un fuseau très allongé (7, fig. 16) ; elles son
ents qui portent de semblables noyaux gardent presque toujours une' forme irrégulièrë ét semblent avorter, dans leur évol
volume et présenter des signes évidents dé multiplication directe : forme allongée, en bissac, etc ? un peu pins bas appa
: forme allongée, en bissac, etc ? un peu pins bas apparaissent les formes cellulaires différenciées que nous avons décrit
Tùngcl, Meschede ont décrit des productions analogues. Ce sont des formes manifestement congénitales, qui coïncident souv
qu'elles émettent. Tantôt, et c'est le cas le plus fréquent, il se forme simplement de la névroglie; tantôt, mais c'est
plus ou moins parfaitement les éléments caractéristiques des autres formes . Ainsi, dans le cas actuel, le tissu est mi-par
vide de carmin, à noyau volumineux, reproduisaient exacte- ment les formes intermédiaires entre les neuroblastes et les ce
es intermédiaires entre les neuroblastes et les cellules nerveuses, formes qui sont si abondantes dans la tu- meur qui fai
ravée par des unions trop rapprochées, trop en dedàns. Les diverses formes de l'aliénation mentale dont sont atteints les
es, les contorsions les plus bizarres. L'érotisme lui-même revêt la forme démoniaque, et les succubes ne sont pas rares p
impossible d'établir une constante corres- pondant à telle ou telle forme de maladie mentale. Chez l'épilep- tique, les r
(Riv. sp. di fren., fasc. 111-1V, 1892.) Dans la majeure partie des formes maniaques, le pouvoir isoto. nique (résistance
logiques et donnant seulement 25 p'. 100 d'hypo- globulie. Dans les formes dépressives, dans l'idiotie, dans les démences
se, le pourcentage de l'hémoglobulie augmente notablement. Dans les formes toxiques, il y a diminution encore plus grande
ne et l'hypoglobulie augmente de fréquence et de gravité. Parmi les formes toxiques, la pellagre occupe le, premier rang :
inuant progressivement chez les aliénés à mesure que l'on passe des formes aiguës de lafolie aux formes chroniques et aux
es aliénés à mesure que l'on passe des formes aiguës de lafolie aux formes chroniques et aux démences, pour atteindre son
er 1893.) 4 . C'est la coutume de M. F. Warner d'aborder sous une forme très serrée et dans une langue très concise les
décrit avec soin ces quatre périodes, en s'attachant sur- tout à la forme alcoolique qui est évidemment la plus commune d
tout à la forme alcoolique qui est évidemment la plus commune des formes de névrite multiple par intoxication. R. M.-C.
terminer par la mort; - 2° On peut, pendant la vie, penser à cette forme d'embolie ou la diagnostiquer lorsque l'on cons
par des agents médica- menteux. La tyrannie de l'organisme est une forme de pessimisme contre laquelle le moment est ven
ats autres que la folie, par exemple l'idiotie, ou encore certaines formes spéciales de troubles musculaires ou sensoriels
oriels. Il est important de savoir et de recon- naître que quelques formes d'aliénation mentale liées à une lésion cérébra
, lésions systématiques, lésions disséminées. Ce qui prouve que des formes très différentes de myélite chronique peuvent se
logique. Les processus d'atrophie, de sclérose, de dégénérescence à forme de cellules granuleuses, etc., se confondent, d
Mais il ajoute qu'il importe peu que ce processus s'étende sous la forme de lésions diffuses, disséminées ou systématiqu
x dans le nerf optique ou en d'autres parties'de l'encéphale que la forme spinale de la sclérose en plaques est devenue d
st aussi progresser que d'extraire de la syphilis spinale certaines formes justifiant de leur existence de par la méthode
une autre lésion : les affections systématiques combinées sont des formes de la myélite chronique puisqu'on en constate t
Bamberger, l'ostéo-arthropathie pneumique (Marie) ne sont que des formes d'une seule et même maladie, quoiqu'à divers degr
traumatisme et d'une névrite, les doigts prirent en peu de.temps la forme de baguettes de tambour. Le rapporteur mentionn
ues causes disparaissent : mais les mouvements persistent sous leur forme primitive. 342- SOCIÉTÉS SAVANTES Le malade à
rticu- lière offrant un caractère psychique se répétantsous la même forme présentant ou ayant présenté le caractère-d'act
r J'11'. 1° La maladie des tics convulsifs doit occuper en tant que forme clinique, une place distincte.. · 2° On ne do
atchénié, la maladie des tics convulsifs et la myoclonie sont trois formes cliniques distinctes. ' Cette communication a é
« Le Juif Errant existe donc encore aujourd'hui; il existe sous la forme qu'il avait prise aux siècles passés. Sa figure,
e, cas est' le même que celui que nous avons rapporté, et il est de forme cataleptique ? w La pathologie de cette conditi
alors que la glotte ligamenteuse reste largement ouverte sous la forme elliptique. Le malade ne peut articuler que des s
Varole; le paquet des fibres des pédon- cules cérébelleux moyens ne forme plus la saillie qu'on est habitué à trouver au-
'examen laryngoscopique. RECUEIL DE FAITS PERVERSIONS SEXUELLES A FORME OBSÉDANTE; Par MM. François BOISSIER et GEORGEs
u libre exercice de leurs facultés, étaient PERVERSIONS SEXUELLES A FORME OBSÉDANTE. 375 indistinctement condamnés. Ainsi
maître regrette d'avoir trop longtemps méconnu, Il est frappé de la forme obsédante et impulsive; de l'irrésisdbititè du
1 Magnan. Op. cil. 2 Magnan. Loc. cil. PERVERSIONS SEXUELLES A FORME OBSÉDANTE. 377 donc au groupe des héréditaires
se aptitude pour la percep- tion et la fixation des couleurs, de la forme et des caractères exté- rieurs des objets. Auss
ait; rien chez elles ne devait le tenter. » PERVERSIONS SEXUELLES A FORME OBSÉDANTE. 379 B... n'agit pas en effet aiguill
s centres nerveux, 2e série. Paris, 1893. PERVERSIONS SEXUELLES A FORME OBSÉDANTE. 381 excitation génésique ne se produ
s manifestations typiques de dégénérescence. Il n'a pas eu d'autres formes d'obsessions; il n'a jamais ébauché la moindre
ychologique est encore la même que celle de autres syndromiques. La forme angoissante et implacable de l'acte n'a pas éch
Elle se plaignait habituellement de tout et PERVERSIONS SEXUELLES A FORME OBSÉDANTE. 383 surtout d'elle-même. Scrupuleuse
encore l'histoire des antécédents, et lais- PERVERSIONS SEXUELLES A FORME OBSÉDANTE. 385 sans pronostiquer l'invasion éve
ale; c'est seulement dans les cas anormaux que la décharge prend la forme explosive et donne lieu aux con- vulsions. Ains
o-moteurs, et l'étendue des phénomènes convulsifs et la variété des formes et des symptômes dépendent de la diversité des ce
amène surtout de l'annihilation du juge- ment), du mécanisme de la forme dépressive. Quatre observations. P. K. XLV. R
et même agent nocif. La paralysie générale serait l'effet non de la forme de lésions matérielles, mais de leur consti- tu
araly- tique général. » . R. M. C. L. La manie COMPREND-ELLE deux formes distinctes DE FOLIE, ET DOIT-ELLE être subdivis
e suivre, l'auteur décrit 392 REVUE DE pathologie mentale. quatre formes de manie, que l'on peut logiquement ramener à d
os- térieurs de l'acoustique, non couvertes par ces barbes, sous la forme de trousseaux extrêmement délicats, grisâtres,
ibilité des nerfs peuvent-elles déter- miner cette anomalie dans la forme de la contraction ? Y a-t-il s'il n'en est pas
sont des cellules rudimentaires, dont certaines affectent mieux une forme pyramidale; les noyaux de ces cellules rudiment
ngue 1° des noyaux du tissu conjonctif; 2° des cellules nerveuses à forme pyramidale constituées par un noyau entouré d'u
elles ne sont nullement spéciales à l'une ou à l'autre de ces deux formes d'aliénation, car elles se rencontrent indistinc-
, ainsi que les états hypérémiques. Etant donnée la marche de ces formes aiguës de folie, on ne s'attendrait guère à y o
s que la proportion est renversée pour les cas de manie. Dans les formes chroniques de la manie et de la mélancolie : on
'influence de leur durée, les altérations déjà rencontrées dans les formes aiguës; mais quel- quefois aussi on constate de
s aussi on constate des phénomènes absolument contraires à ceux des formes aiguës. Les altérations de texture de la dure-m
L'hémorrhagie, le ramollissement ne sont pas communs dans ces deux formes d'aliénation ; elles ne figurent que pour 16 p. 1
ome des vaisseaux est de même très également réparti entre ces deux formes de folie chronique. L'auteur remarque en termin
rveaux à circonvolutions régulières que dans n'importe quelle autre forme de folie. On ne peut guère déduire des faits do
quarts des cas) et à un degré tout à fait inusités dans les autres formes , même les plus chroniques, d'alié- nation menta
sent insignifiantes à côté de celles qui appartien- nent aux autres formes morbides. Il en est quelques-unes pourtant qui
Vue par en dessous, la tumeur ressemblait grosso nzodo, tant comme forme que comme volume, à un cervelet, insinué entre
I - Sur le délire des négations . -Pour pronver l'exis- tence de la forme décrite par Cotard dans ses articles consacrés
ent défavorable. M. Tokarski pense que le principal intérêt de la forme décrite consiste moins dans le caractère du dél
ue. Après avoir passé en revue toutes les données relatives à cette forme , le rapporteur présente une malade de sa cliniq
combinaison de phénomènes présentés par la petite malade comme une forme distincte, la chorée paralytique. 2. M. le Dr S
a manière d'être des vaisseaux altérés. Ces modifications dans la forme du nerf optique se distinguent nettement des an
xcursion du cavalier. Or le champ visuel oscillant peut affecter la forme chronique. Il en existe aussi une forme très ra
oscillant peut affecter la forme chronique. Il en existe aussi une forme très rare, le scotome central ou paracentral, d
ux qui 1 Citons quelques-uns des travaux de M. Korsakov : « Sur une forme de maladie mentale combinée avec la neurile mul
ique avec autopsie ,; ; CozzLribze- lion à la symptomatologie de la forme polyncurilique des psychoses postlyphoïdiques »
a forme polyncurilique des psychoses postlyphoïdiques » ; ; Sur les formes aiguës de la folie » ; « Sur l'assis- tance fam
et état de fureur; l'état de confusion mentale avec ses différentes formes : état de rêve, état de délire général et état
ariété de moral insanity, l'hyperalgésie psychique, les différentes formes pathologiques de l'état anesthé- sique, les émo
atique, de rattacher tel ou tel cas observé en clinique à l'une des formes de Krafft-Ebing. Quant à la classification de l
onstitutions psychopathiques. Elle se divise en trois groupes : '10 formes fon- damentales des psychoses; 2° constitutions
ype Lasègue, la folie processive, folie reli- gieuse, érotique ; e) formes mixtes : vésanie mélancolique, cata- tonique, e
; e) formes mixtes : vésanie mélancolique, cata- tonique, etc.; f) formes terminales : paranoïa secondaire et démence sec
a deuxième partie du Traité donne une description des diffé- rentes formes de maladies mentales d'après l'ordre indiqué par
uteur distingue quatre variétés : 1° con- fusion mentale primaire à forme stupide, curable (dysnoïa stupo- rosa de Korsak
- rosa de Korsakov) ; 2° confusion mentale aiguë hallucinatoire à forme délirante avec ses subdivisions : confusion menta
toire à forme délirante avec ses subdivisions : confusion mentale à forme maniaque, confusion mentale à forme mélancoliqu
divisions : confusion mentale à forme maniaque, confusion mentale à forme mélancolique, confusion mentale à forme récurre
niaque, confusion mentale à forme mélancolique, confusion mentale à forme récurrente et alternante de Greidenberg; 3° con-
e récurrente et alternante de Greidenberg; 3° con- fusion mentale à forme démentielle; et 4° confusion mentale à forme ab
on- fusion mentale à forme démentielle; et 4° confusion mentale à forme abortive. Dans l'exposé des psychoses des dégénér
M. Babinski en Vendée pour un cas de névrite du plexus cardiaque à forme anormale. Je lui faisais part incidemment de di
ces accidents sous l'influence d'un traumatisme chirurgical ; 3° La forme de ces manifestations hysté- riques ; 4° La fac
ublier que l'hystérie est susceptible de coexister avec toutes ! es formes d'aliénation mentale.On trouve des dypsomanes hys
s qui l'avaient vivement frappée, lui venaient aux lèvres, de là la forme bizarre de sa folie. La contratnte même qu'elle
es rudimentS|dunerfv optique prouve que le tuyau médullaire s était forme et qu il y.. a eu déchéance régressive de ses é
e la masse entière ? des fibres des circonvolutions de ce lobule et forme , un fort trouez seau, qui se dirige, en haut et
nterne du corps restiforme. Or, les fibres internes du corps resti- forme sont celles de la racine ascendante du nerf vesti
tuée plus en( dehors, acpolee a la masse principale du côrps,resti- forme , qui contient surtout des fibres issues'du noyau
'la séctionxdé l'acoustique chez le chien, modifie le genre' et' ta forme de' l'activité musculaire chez le chien (Schifi
erne.* ? l 4 ' . loin '' Tel, est'le' noyau' dorsal qui,'en réalité forme une' petite colonne de' cellules siluées'priric
Les granulations de d'épendyme qui.se rencontrent souvent dans les , formes . chroniquesjjde .démence, primitiyqi et, seconda
lles-ci,' dans leur développement, , prennent , en . général .une h forme plus ou moins ovoïde, les cellules de nevroghe qu
e les deux maladies. M. Hoffmann, , dans1 son travail, repousse les formes ^ frustes dont'il importe "cependant clé s'inqui
i. était remplacée par quatre à ! cinq~gro'upes 'de'1 noyaux 'fusi- formes Il entourant ri le tfaisceaut6utentier;"entre "eu
ce de noyaux fusiformes et quelques cellules vésiculeuses, ayant la forme de bagues à cachets (Langhans). Chez un troisiè
e les groupes.de fibrilles il y a des espaces libres, dessinant des formes irrégulières, qui ne se colorent point par les
s; elles résident donc volontiers dans le cubital. Il en existe une forme bénigne très supportable. La maladie a pour fac
rds-muets, par Rosenbach, ,v 485. , c ,c , AGHA(;HtE,des diverses formes d ? et en particulier de , l'agraphie ' d'ori
e ? do 1,lIu- tington, par Greppin, 138;'rye- '' marques 'sur les formes de la .. - chronique,' par W. Osier, 142; - a
e, 258 ? .Vv' r r . Dégénérescence, lésions spéciales à "diverses formes de musculaire, par Fuerstner, 495. Delasiauve
s, - cérébrales de l'enfance. par Rosenthal, 503 ' ,, 1 Doigt, en, forme " de bauette de ? tambour, par L.' ]1111101', 310.
, 62; deux cas sin- guliers de -, par Ilossi, 137. " GnosE, des formes atypiques de l' la spinale, par Ôppenheim, 49
Scheldtler, 326. Impulsions, sur deux cas d'obses- sions et d'- à forme continue, par Roubinovitch, 261. Influenza, d
et suggestion, par Benedikt, 478. Manie, la comprend-elle deux formes distinctes de folie, etc. ? par G.-111. Roberts
lt 1] ? 1'1 Obsessions, sur, deux., cas d,· ? et " d'impulsions,, forme /continue, par, ltoelilïovltch; 201 ? r o, nv
d, 29;,ma- ladite toute spéciale affectant deux i 'soeurs sous la forme de ? pro- agressive, par Homen,' 49 ; de.s, d
? aJW wr ..hl ! 'i ? 1111 -51»<>-« Perversions SE\UGLLES'r7L' formes obsédantes ? par'Boissier et La- 1 chaux,' 37
34 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
main, Paris (VI*) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE LES FORMES NERVEUSES D'UNE NOUVELLE TRYPANOSOMIASE CTRYP
plie, eu formant de nombreuses uni- tés, qui se présentent sous une forme arrondie, munies de noyau et de ? 6pharopfasLo,no
î ? 2agisia. Hémiptère inoculateur du 1'oypanoso>nc Cruzi. ' LES FORMES NERVEUSES D'UNE NOUVELLE TRYPANOSOMTASE 3 accom
le môme fait a souvent été observé chez les malades atteints de la forme nerveuse de la maladie. On a également cons- ta
nt cons- tatables dans des cas aigus de trypanosomiase, et dans ses formes chroni- ques. Dans les cas aigus, qui sont prin
ème nerveux central, il déler- Fio. 2. Kystes de la protubérance de forme ronde formés par le TI ? pa1l0soma Cruzi. i C
lte l'extrême gravité du pronostic, les malades qui sur- vivent aux formes nerveuses aiguës de la trypanosomiase étant bien
pourrait, du reste, harmoniser autrement l'existence de nombreuses formes nerveuses chro- niques de la trypanosomiase ave
euses chro- niques de la trypanosomiase avec la haute léthalité des formes nerveuses aiguës. Il est certain que l'anamnèse
faits doivent constituer le petit nombre, vu l'extrême gravité des formes méningo-encépbafiques aiguës. Les formes nerveu
, vu l'extrême gravité des formes méningo-encépbafiques aiguës. Les formes nerveuses chroniques de la trypanosomiase présent
rédominance des troubles moteurs d'un seul côté du corps. Dans la forme nerveuse chronique de la maladie, le syndrome le
st repré- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrilke. T. XXVI. Pl. FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 1. Syndrome d
sinus. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. II FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 6. Paralysie
eurs. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. PI. III FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 3. Diplégie c
ie cérébrale spasmodique. Idiotie. Masson & Cie, Editeurs LES FORMES NERVEUSES D UNE NOUVELLE TRYPANOSOMIASE sentée
efois volumineux, nous n'avons jamais observé^ dans les différentes formes cliniques de la main- (i chagas die, pas même
par l'opothérapie thyroïdienne. Relativement il la fréquence des formes nerveuses de la trypanosomiase, nous possédons
ie lw- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVl. Pl. IV FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 12. Diplégie
lleux. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. V - FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DES CHAGAS Diplégie cér
e cérébrale spasmodique. Idiotie. Masson & Cie, Éditeurs. LES FORMES NERVEUSES D'UNE NOUVELLE TRYPA.NO';OIIA.$E 7 ma
résentent, nous sem- hie-t-il, moins d'un dixième de l'ensemble des formes cliniques dans les- quelles nous divisons la ma
ns vu, est repré- sentée par presque totalité des malades; dans les formes chroniques, les malades supportent longuement l
n avant, comme s'jl précédait dans la marche les membres inférieurs forme avec ceux-ci un angle obtus ; les mem- bres inf
arfait des mouvements volontaires des muscles du bassin; Le ma' LES FORMES NERVEUSES D'UNE NOUVELLE TRYPANOSOMIASE 9 lade
JU111ENT1É ET JARKOWSKI Il y a de la céphalée qui se manifeste sous forme d'accès fréquents et vio- lents s'accompagnant
issement de l'hippocampe et de la partie antérieure du lobule fusi- forme . Ce cerveau nous ayant été remis, nous l'avons ét
devant de deux côtés du thorax,apparaissant dès lors fréquemment sous forme de tiraillement douloureux, en ceinture, au niv
tte même période, le malade res- sentit les premières douleurs sous forme d'arrachement au pied et dans les ge- noux jusq
a membrane, la tumeur se laissa énucléer totalement et apparut sous forme d'une pruue forte, de consistance assez molle.
Troubles de la sensibilité : lé- ger affaiblissement de toutes les formes de la sensibilité depuis la ligne du tronc (D.
atéral, le réflexe plantaire gau- che commence à apparaître sous la forme du phénomène de Babinski. Dou- leurs dans le do
, douleur qui augmente d'intensité, gagne le côté gauche puis, sous forme de tiraillement douloureux entoure la partie bass
faisant qu'en apparence corps avec la moelle. La tumeur (fibrome) à forme distinctement fuselée, sur- face inégale, dure,
pression com- plète des réflexes et de la sensibité sous loules ses formes , à partir du niveau indiqué dans la description
dans la jambe droite et depuis plusieurs mois des paresthésies sous forme de fourmillement ainsi que des contractions invol
t de la chaleur aux membres inférieurs, affaiblissement de ces deux formes de la sensibilité sur le ventre, au niveau du sac
de préjudice, et, comme l'un de nous le montrera prochainement, les formes cliniques en sont fournies par l'association av
synthèse psychologique nouvelle est assez distant de cette dernière forme , aujourd'hui classique. Le caractères généraux
n ton un peu oratoire à ses phrases senten- cieuses empruntées à la forme imagée des sermons évangéliques. L... appartien
es : doigts, mains, face, et se généralisent, progressivement, sous forme hémiplégique ou bien à tout le corps. L'évolution
Que cette désignation soit ahandonnée ou non, elle ne sera qu'une forme du paramyoclonus multiplex, c'est-à-dire une vari
aitement, la façon avec laquelle les contractions sont apparues, sa forme spéciale, nous donnent l'impression que ces secou
n de ces mouvements. Les muscles du tronc entrent en scène sous des formes variées et répétées. Un des mouvements qui appa
actions des muscles de la face, la flexion des bras, etc., sont des formes diverses des contractions musculaires de la malad
n puisse prévoir, avant l'accès, l'intensité qu'elles auront, ou la forme qu'elles revêtiront. Cette brusquerie est surto
. Elles se confondent et ne produisent qu'une unique contraction de forme tétanique. Pierre Marie, qui a publié en 1886 l
re involontairement, sans cause et sans but, en s'exagérant dans sa forme , dans son intensité et dans sa fréquence ; il pre
e est, en général, lent et insidieux et très varia- ble suivant les formes myocloniques. Il y a des cas (comme chez notre
- rent dans les épilepsies partielles. Comme exemple de la première forme nous pouvons citer le cas de Tinel et André Cai
ien par lésion syphilitique du cortex moteur à droite. La seconde forme constitue le syndrome de Kogewnikoff, c'est-à-dir
d'une maladie surajoutée. Ces crises myocloniques peuvent avoir des formes diverses : ou elles se réduisent à de petites c
nous appelons myoclonies essentielles. Elles peuvent présenter les formes suivantes : 1° La myoclonie fibrillaire essenti
séparent très nettement la chorée de la myoclonie ; mais il y a des formes intermédiaires dans lesquelles le diagnostic peut
ntairement, sans cause et sans but. Ces actes sont exagérés dans la forme et l'intensité, mais conservent t toujours une
es autres mouvements convulsifs qui leur sont semblables quant à la forme , mais qui fondamen- talement ont une significat
xtension des mouvements, qui souvent surviennent subitement, par sa forme toujours progressive, un caractère particulier
elles sont brusques, soudaines, essentiellement variables dans leur forme , leur expression et leur intensité. Et comme
et nous pensons que toutes ces hyperciné- sies, variées dans leurs formes , ont des caractères communs et on peut bien les
MONIZ hypercinésies. Dans ce chapitre général nous avons séparé les formes diverses qui onl été décrites avec différentes
ultats éphémères. Dans ce chapitre de la thérapeutique les diverses formes des myoclonies essen- tielles se ressemblent pa
ermann. De ces formations proviennent des fibres qui se dirigent en forme d'arc vers le cylindraxe et vers la gaine de Sc
e comme une toile d'arai- gnée. On peut trouver des formations en forme d'entonnoir qui vont se rétrécissant régulièrem
(fig. 4). Ces enveloppes entourent non seulement les formations en forme d'en- tonnoir. mais ça et là même une plus ou m
c leurs noyaux ronds de volume remarquable et les formations stelli formes . Toute- fois il est difficile de décider si les
mportant dans la pathogénie de la paralysie agitante. Il décrit une forme particulière des cellules névrogliques trouvées
144 HASKOVEC ET BASTA agglomérées en amas sans lumière offrent une forme ronde, tandis que celles dont les follicules so
tandis que celles dont les follicules sont composés présentent une forme tantôt cubi- que, tantôt cylindrique. La colora
. Elle est composée de follicules dont le volume est variable et la forme ronde ou polyédrique. Les cellu- les épithélial
nclure que Jeanne la Folle était atteinte de psychose périodique, à forme de mélancolie in- termittente. Ce diagnostic
saient aucun doute sur la nature de leur nanosomie. A côté de ces formes typiques, il y en a d'autres déjà décrites dont l
rêts de développement. Comme on le sait, on a distingué différentes formes de nanisme : les principales sont le nanisme my
ique. On a voulu par opposition réserver le nom du microsomie à ces formes où, bien qu'un développement somatique et psych
e qu'on peut en faire tout de suite le diagnostic, on a observé des formes incomplètes chez lesquelles, soit par exclusion,
clusion, ou sur la base de symptômes positifs, on doit admettre des formes atypiques d'achondroplasie, seplaçanl entre le
omie essentielle, de même qu'est déjà hors de doute l'existence des formes combinées de nanisme achondroplasique et rachit
rtes, je ne crois pas que ce soit le cas d'élever des doutes sur la forme fondamentale, tandis qu'on pourra discuter si l
inales se font régulièrement, de même qu'il apparaît normal pour la forme et le volume des organes abdo- minaux, pour la
ux proportions normales et constituer enfin l'épiphyse distale à la forme de pyramide. Les cartilages épiphysaires sont p
est gros, tassé et, puisqu'il est moins oblique que d'ordinaire, il forme avec la diaphyse un angle moins ouvert. Le peti
lation du genou, s'avance jusqu'au niveau de celle-ci. Cet os a une forme régulière. La malléole externe n'est point plus
le tibia. Pour le squelette du pied il faut noter la brièveté et la forme extrêmement trapue des phalangines et des phala
`e, 3e et 4" métatarsiens sont de longueur sensiblement égale et de forme normale, tandis que le pre- mier est gros ; l'a
let. La main est carrée et on peul lui faire prendre passivement la forme caractéristique en trident. Le bassin est étroi
nts en faveur de l'achondroplasie, je ne vois pas dans quelle autre forme de nanisme (sans aucun doute il s'agit d'un - n
uve souvent des altérations de cOtes (chapelet rachitique) et de la forme du thorax dans son ensemble (thorax à carène).
ons. On en di- rait autant pour le nanisme mitralique. Contre une forme d'infantilisme du type Lorain ou Brissaud déposen
s trop manifes- - 170 FERRUCCIO RAVENNA tes et donnent lieu à une forme légère, de laquelle on pourra aisément passer à
ladone, il faillit mourir empoisonné. A 20 ans il eut la rougeole à forme grave. Au reste il a a toujours joui d'une exce
éveloppement de l'apophyse coracoide du cubitus, qui du reste a une forme normale. Le radins(PI.XXVI), outre présenter une
cen- tre de la diaphyse. On ne remarque rien de particulier sur la forme et la posi- tion de ses épiphyses. Le squelette
ive pas à l'articulation. Les deux os de la jambe sont robustes, de forme normale avec un développement marqué des éminen
de dispropor- tions propres à altérer visiblement l'harmonie de ses formes . - Cependant il est de taille notablement infér
de la stature : ce n'est vérita- blement pas le cas de supposer une forme quelconque d'infantilisme : il manque de la faç
pement sexuel et de l'ossification. Je voudrais laisser de côté les formes toxi-infectieuses mal précisées pour faire remarq
segmentaire symétrique de Rebnault. On peut exclure tout d'abord la forme typique d'achondroplasie : il manque une excess
. vite, d'un dérangement dans le développement du squelette, et cela forme le premier ordre de faits par lesquels nous nou
or- mes incomplètes d'achondroplasie. On pourrait même penser à une forme de micromélie segmentaire symétrique diffuse au
autonomie qu'elle nous permette d'en décrire déjà des variétés. Ces formes d'achondroplasie partielle dont ma première obser
ns personnelles ne soit pas très importante, je suis d'avis que ces formes sont moins rares que l'on ne pense, el qu'un ex
ude réside, à mon avis, dans la démonstration du fait qu'il y a des formes d'achondroplasie légère, où l'on trouve tous le
c soin permet d'établir le diagnostic avec certitude. Dans d'autres formes , l'achondroplasie est pour ainsi dire latente, et
ns le dé- veloppement de quelque cartilage de conjugaison. Pour ces formes de dystrophies j'ai proposé le nom de chondrohy
s j'ai proposé le nom de chondrohypoplasie, pour les distinguer des formes typiques, très évidentes dont elles diffèrent bea
ats, il serait bon de faire quelques réflexions sur l'étiologie des formes qu'on vient de dé- crire. Il faut cependant rem
suis d'avis qu'une longue discussion sur son étio- logie et sur les formes relatives serait presque inutile. La question a
CHONDROPLASIE ET CHONDROHYPOPLASIE Dufour Achondroplasie partielle, forme atypique. Nouv. Icon. de Sa) ? .. 190G. p. 133.
nne : 9 centimètres. Le médius : 8 centimètres. La main présente la forme en trident caractéristique. L'index et le médiu
4 centimè- tres présente l'aspect normal. Mais sa partie inférieure forme avec la précé- dente un angle obtus qui proémin
radiographie qui représente le thorax on est surtout frappé par la forme peu arrondie de la tête humérale. La radiograph
mbre de vésicules thyroï- diennes. Ces dernières ont en général une forme arrondie. Celles de petit t volume sont les plu
tes. Dans le lobe nerveux on rencontre des cellules pigmentaires de forme irrégulière à granulations de couleur châtain.
amètre transversal prédomine sur celui longitudinal. La tête humérale forme avec le corps de l'os un angle de 90°. Sur l'hu
sillon médian et deux crêtes latérales. Son extrémité supé- rieure forme une véritable tubérosité longue de 5 centimètres
ie avec adiposité démontre la parenté étroite qui unit les diverses formes de nanisme; elle permet de penser que certaines
s. If ne peut être complètement étendu sur ce dernier : allongé, il forme avec lui un angle' de 145° environ. La main est
é entraînée par l'ensemble symptomatique vers une nette et décisive forme bulbaire, étant donné la symptomatologie tout à f
la bosse occipitale droite plus que la gauche. Dans l'ensemble, la forme du crâne ressemble à la forme pentagonoïde des pe
us que la gauche. Dans l'ensemble, la forme du crâne ressemble à la forme pentagonoïde des petits enfants. En regard de
ne longue marche et il reste levé toute la journée. Les différentes formes de sensibilité et les sens spécifiques sont compl
nte dans les membres supérieurs et inférieurs des mouvements choréi formes ; laissé debout, il a de la tendance à tomber,
on d'une partie du cerveau et éventuellement qu'il s'agissait d'une forme de paralysie pseudo-bulbaire des enfants. Cela
symptomatologie se développe après le naissance. De même dans celle forme spéciale il existe une diplégie avec paralysie, o
e, jamais de convulsions épileptiformes, ni aucun mal à la tête. La forme spéciale du crâne, les notables troubles de la
rtébrale, delà basilaire, ou d'une de leurs branches, ou encore une forme de poliencéphalite inférieure aiguë. Dans ces c
a paralysie du corps est unilaté- rale et il peut aussi y avoir des formes alternes de paralysie. Il existe en outre de fr
'en ce qui concerne le développe- ment des symptômes, il existe une forme à évolution subaiguë, laquelle 216 17 ' PUBLIO
sexcep- tionnellement rares. La paralysie spinale aiguë ascendante ( forme de Lan- dry), qui a beaucoup de ressemblance cl
en sens inverse, contribuait à rendre abso- lument improbable cette forme spéciale, dans laquelle en outre, les fonc- tio
ssus névritique que pour une paralysie de Landry. L'existence d'une forme de myasthénie grave pseudo-paralytique pouvait t
a fièvre peut aussi manquer, bien qu'exceptionnelle- ment, dans les formes dénommées larvées. Ces symptômes furent, de fait,
énommées larvées. Ces symptômes furent, de fait, décrits dans cette forme : dysarthrie, anarthrie, voix nasale, parésie du
a phonation s'améliorent encore, pendant que des mouvements choréi- formes et des troubles cérébellaires se rendent évidents
succès passagers, en RÉACUT1SATION DE L'HYDROCÉPHALIE INTERNE 221 forme d'amélioration de l'état subjectif et des phénomè
tieux et par sa successive réacutisation ? Parmi les causes de la forme congénitale il faut rappeler l'alcoolisme, la s
La première pensée qui me vintfut qu'il s'agissait peut-être d'une forme de myopathie d'une certaine catégorie. Afin d'o
t de 27 centimètres ». « Les omoplates sont ailées. Chaque scapulum forme , avec le thorax, un angle fortement ouvert en d
pa- ralysie du grand dentelé, les omoplates s'écartent du thorax en forme d'ailes. Mais pour le cas qui nous occupe, chac
tu- tion de la masse musculaire peut être complète. Ni l'idée de la forme juvénile d'Erb, de la forme héréditaire de Leyd
ire peut être complète. Ni l'idée de la forme juvénile d'Erb, de la forme héréditaire de Leyden-Môbius sans hypertrophie,
tique. , Nous n'avons pu trouver la preuve ni de la combinaison de formes dif- férentes ni de l'existence d'intermédiaire
on de formes dif- férentes ni de l'existence d'intermédiaires d'une forme à l'autre, ni de formes frustes de quelqu'une d
tes ni de l'existence d'intermédiaires d'une forme à l'autre, ni de formes frustes de quelqu'une des maladies mentionnées. I
ons peu à admettre une myopathie primitive. Notre cas en serait une forme à coup sûr bien étrange. Devons-nous plutôt con
ltiples. Thèse de OETTINGEII, Paris, 1885. (2) Etude clinique des formes atténuées de la paralysie alcoolique : paralysie
s plus caractéristiques à noter sont les crochets de inférieurs, la forme bizarre de a de aucun, l'ébauche de e d'environ
ement avec la paume de la main, nous sentons la région reprendre sa forme normale Chose cu- rieuse, l'écriture faite à ce
I-II lombaires (fig. 1). Le canal épen- dymaire est dilaté et'd'une forme irrégulière (L). Tout près de lui on remarque d
ont occupés par une néo- formation dure, de couleur jaune, ayant la forme et les dimensions d'un oeuf de poule. La tumeur
le canal épendymaire ne présentait aucune modification ni - dans sa forme , ni dans sa structure. En analysant les lésions
ent pas d'une manière uniforme, mais peuvent réaliser de véritables formes cliniques. En ce qui concerne nos deux cas, par e
ésentant l'association avec la sciérodermiesont le plus souvent des formes frustes du goitre exophtalmique. Les cas de Bas
s du goitre exophtalmique. Les cas de Basedow typiques, surtout les formes graves de ce syndrome, qui se sont accompagnés
st pas toujours dans le même état. Gauthier (2) distingue même deux formes de sclérodermie : à l'hyperthy- roïdisme corres
'à l'hypolhyroïdisme correspondrait un type spécial différant de la forme ordinaire par un moindre parcheminage de ia peau
e aux gaines des fléchisseurs et qui rappelle absolument la véritable forme de Dupuytren sans les saillies des cordes tendi
yosite interstitielle, analogue à celle que l'on rencontre dans les formes myopathiques. En regardant toujours de profil c
Il n'y a pas de doute à propos du diagnostic : il s'agit bien d'une forme de sclérodermie généralisée. , Le facies est
ants à l'existence de tumeurs dures, indolores, de dimensions et de formes différentes, siégeant sous la peau. Ajoutons en
des nodules cutanés ou sous-cutanés, il est très fréquent, dans les formes de sclérodermie généralisée, de rencontrer l'ex
marquer dans son travail (1), le syndrome de Profichet n'est qu'une forme d'attente et il est probable que des observa- t
s, il y aura donc lieu de retenir dès à présent l'exis- tence d'une forme spéciale de sclérodermie, caractérisée par des dé
fait un contraste frappant avec le reste du corps. Cette zone a la forme d'une ceinture dont le bord supérieur est plus
de-la 3e vertèbre lombaire, on observe une petite excroissance, de forme ovalaire et dont les téguments ont une coloration
uche de la nuque. On observe également une petite tache blanche, de forme irrégulière, au ni- SUR UN CAS DE VITILIGO A TO
mme raison étiologique. Nonne, qui regarde celle anomalie comme une forme d'éléphantiasis congénital et qui croit que ses
is congénital héréditaire, fait remarquer que Virchow a dit que les formes congénitales d'éléphantiasis ne sont pas rares
e avait atteint son maximum de développement, se présentait sous la forme d'un gâteau aplati assez régulièrement arrondi,
ité antérieure. Plus en arrière, le faisceau longitudinal inférieur forme le fond de la cavité (PI. L, B). Au niveau'du t
facial par un courant faradique à intermittences lentes. Dans cette forme , en effet, (1) Huet, Soc. de Neurologie de Pari
s que les contractions musculaires, au lieu de se présenter sous la forme de secousses cloniques, affectent la forme de con
de se présenter sous la forme de secousses cloniques, affectent la forme de convulsions toniques, ne se manifestant qu'à
fondues, soit avec des tics simples, soit avec quelques-unes de ces formes encore mal dé- terminées d'hémispasmes faciaux
ieu d'un clignement léger une contraction soutenue qui affectera la forme d'un blépharospasme clonique. A chaque clignement
ci-dessus ; dans ce dernier cas,les contractions se montrent sous la forme de frémissements répétés, d'aspect ondulatoire.
muscles dans un état de repos apparent. Elles se présentent sous la forme de secousses musculaires à fleur de peau, brève
s, erratiques, apparaissant sur plusieurs points à la fois, sous la forme de palpitations faciales, de frémissements et d'o
rale. Peut-être permettra-t-il aussi de les distinguer de certaines formes de spasme facial primitif. , FACULTÉ DE MÉDEC
it du corps de la 7e vertèbre dorsale ; elle est du volume et de la forme d'une grosse poire et fait saillie dans le thor
les de Loch. Les méninges dures présentent un stroma conjonctif qui forme charpente et dans lequel se trouvent des vaisse
ement dite. Cette dernière proposition nous a paru tout à fait con- forme au casque nous avons observé. Voici d'abord l'obs
les osseuses de tous ces éléments, il y a fixation définitive de la forme cranienne. Si celte ossification a lieu d'une f
in- flammatoires des enveloppes internes du crâne, de même que les formes hydrocéphaiiques peuvent se ramener à des états
lformation de son crâne est d'une date ignorée. L'oxycéphalie est à forme scapliocéphalique comme le montre la photographie
s auditifs externes sont normaux. Au point de vue du calibre, de la forme , de la profondeur, il n'y a rien de par- ticuli
18 0/0 ; médio-mononucléaires 9 0/0 ; grands mononucléaires 3 0/0; formes de transition 0 0/0 ; polynucléaires neutrophiles
e l'observation ci-jointe suffit pour qu'on voit qu'il s'agit de la forme myo-scléreuse (ou pseudo-hypertrophique de Duchen
ld) (5), ces dernières se présentent dans le tissu normal sous deux formes principales : sous forme de petites cellules fond
en cela par le gliaspongium intercellulaire fine- ment réticulé qui forme par exemple les membranes névrogliques autour d
évrogliques 8/"c,ér.thr()- cytes. Fie.. 3. La névroglie atypique. Forme protoplasmatique en granulations. Au milieu un
llules épithélioides (endothéliales). Fig. 4. - Nevroôlie atypique, forme libreuse. PLANCHE LXI11 Fie 5. - Un vaisseau
um à petites mailles se rapprochant comme grandeur de la norme sous forme d'ilois séparés. Dans les endroits où le gliasp
ar places une déchirure du réseau protoplasmique grâce à quoi il se forme des petites excavations. Comme on rencontre dan
e tout le protoplasme et à l'allongement de certaines parties il se forme des cellules névrogliques allongées qu'on appel
ure 2 (de la memhrane réticulaire plus bas). Nous avons examiné une forme pathologique du tissu névroglique riche en prot
ire). Mais au même endroit, il la pé- riphérie, se trouve une autre forme pathologique du tissu névroglidue ca- ractérisé
du gliaspongium qui prennent l'aspect de fentes très minces. Cette forme de la névroglie ressemble, grâce à ses fibrille
il en est nettement différencié par les traits suivants : 1° cette forme de tissu névroglique est continuée immédiatemen
forme de tissu névroglique est continuée immédiatement par d'autres formes dont nous avons parlé plus haut, fai- sant un a
aut, fai- sant un avec elles; 2° les noyaux de ses cellules ont une forme ovoïde, sont assez gros, avec deux, trois nuclé
arlé mais aussi d'un très fin tissu réticulé à mailles étroites qui forme avec les cellules ce qu'on peut nommer la membr
composantes, elle se défait sur son trajet et à cause décela il s'y forme des mailles. La figure 6 servait de démonstrati
ne hyl)ei-1)1(isie de fibrilles conjonctives ; nous voyons ici sous forme pathologique ce qui est commun à la structure nor
s représentés sur les figures, le commencement de for- mation d'une forme atypique de tissu conjonctif, tissu cicatriciel.
stance colla- gène vient du côté de ces fibres collagènes dont elle forme la continuation. Pour finir, revenons au tablea
à la palpation, sont normaux. Les mains sont volumineuses, avec une forme de battoir et une peau ferme et épaisse. Les os
nt normaux et ne présentent pas non plus de modifications dans leur forme ou leur aspect. Il n'y a ni déformation ni exos
ilaires de Bartolotti) ; 2" une selle turcique non modifiée dans sa forme ou ses dimensions ; 3° un aplatissement peu marqu
irrégulières, exubéran- tes, bosselées. On pourrait songer à une forme fruste de la maladie de Paget : le volume du cr
ne famille de blanchisseurs. Mieux encore, on pourrait penser à une forme de maladie de Paget céphalique (Catala, N. I. S.,
me de maladie de Paget céphalique (Catala, N. I. S., 1909) ou à une forme anormale et fruste de maladie de Paget, analogue
ous pourrons éliminer encore d'autres dystrophies : le rachitisme à forme tardive, à cause de la saillie du front, mais les
s pas l'aplasie des clavicules, l'inocclusion des fonta- nelles, la forme ogivale de la voûte palatine et enfin loules les
ttement une plicature de l'écaille de l'occipital qui apparaît sous forme d'un angle aigu d'environ 70° (PI. LXX, fig. 2)
particulièrement énorme. La partie antérieure de la planle du pied forme une grosse tubé- rosité correspondant aux'20 et
considérablement hypertrophiée, la base et la demi-couronne qui en forme l'extrémité sont exubérantes et poussent de cha
La paraplégie peut présenter toutes les variantes possibles, de la forme légère avec petits troubles de la démarche, dou
ertu de laquelle elle se transforme en fibrine et précipite sous la forme de filaments qui s'enchevêtrent, consti- tuant
sera donc exempt de fibri- nogène, celui-ci étant précipité sous la forme de fibrine dans les espaces, sous-arachnoïdiens
ertolotti, 63. Myoclonies essentielles, par Moniz, 85. Nerveuses ( Formes -d'une nouvelle trypano- somiase), pur Chagas,
me facial essentiel), par Pitres (.t Abuhe, 365. Tnafoma magista ( Formes nerveuses d'une nouvelle 1,-tip,711osontiase. 7
"oedpme congénital familial, par Itohs, 3t6, 580. Trypanosomiase ( Formes nerreuses d'une nouvelle -. Trypanosonla Cruzi
romégalie et tabès, 469. Chagas (Carlos) (de Rio-de-Janeiro). Les formes nerveuses d'un- nouvelle trypu- nosomiase (Tryp
multiples) (Rauzier et Baumel). LUI et LIV. Chagas (maladie de), formes nerveuses (CHAGAS), I à V. Chai-les Il (LAIG;
LXII et LXIII. Myoclonies essentielles (Moniz), XVII. Nerveuses ( Formes ) d'une nouvelle tryp,l' nosomiase (Chagas), I V
ation du pied (Marie et Bouttier), LXX et LXXIII. Trypanosomiase, formes nerveuses (Chagas), I il V. Tuberculomes mult
35 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en permis de se montrer sceptique sur sa réalité objective. Dans la forme qu'avait prétendu lui donner Cing..., un délire
ée vers les idées ambitieuses avec hallucinations variées était une forme clinique inconnue par son exagération même. Et
ission du conseil général a pu constater qu'il n'y avait pas d'uni- forme ; à l'asile de Clairbury, notamment, chaque malad
le nom de toucher actif un complexus sensitif qui s'exerce dans sa forme la plus parfaite par la palpa- tion manuelle et
ui permet d'apprécier sans le secours des autres sens la nature, la forme et certaines propriétés extérieures des objets
tudié ', le sens stéréognostique se rapporte surtout à la notion de forme des objets comme l'indique du reste l'étymologie.
e. Ainsi grâce à la notion de position des doigts on reconnaîtra la forme ; la consistance ne sera reconnue que par la per
tion d'effort qui mesure la résistance opposée par l'objet. Mais la forme , l'étendue et la consistance sont des propriété
Dans un important travail aussi attachant par le fond que par la forme , l'auteur montre que la folie n'est qu'une except
veloppée pendant la période florissante de la syphilis. C'est une forme de trouble mental assez peu fréquente et toujours
L'auteur admet que la folie post-opératoire peut revêtir toutes les formes de l'aliénation mentale ; celles-ci peuvent même,
leur fréquence relative aux diverses périodes et dans les diverses formes de la paralysie générale; il étudie aussi les r
o- pathiques. Sur vingt-cinq psychopathes observés, il y eut sept formes ma- niaques. Après une courte phase dépressive.
mois. Terminaison favorable. La plupart des faits concernent des formes dépressives. D'abord agitation hallucinatoire,
sor pris par la maladie. 8° Comment expliquer la modification de la forme ? On manque d'éléments d'appréciation. Ce ne pe
[\¡ : RAVAL. IX. Fréquence relative de la manie simple aiguë et des formes périodiques; par 0. IlmecusES. Indépendamment
endamment des autres détails, on a distingué jusqu'à pré- sent deux formes de la manie tout à fait différentes et par leur
r leur nature : d'une part la manie simple, aiguë; d'autre part les formes périodiques typiques de la manie qui se réuniss
t les formes périodiques typiques de la manie qui se réunissent aux formes circulaires. Ces dernières, formes pério- dique
e la manie qui se réunissent aux formes circulaires. Ces dernières, formes pério- diques et circulaires, sont regardées co
52' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. aiguë se trouve comprise dans les formes maniaques de la folie périodique. La question d
inégalité pupillaire, tremblement de la langue, ictus apoplecti- formes ou épileptiformes, etc. La pachyméningite n'off
tions. - G. D. XIII. Le rôle de l'auto-suggestion dans certaines formes d'aliénation mentale; par 1\1. A. Voisin. (Revu
un terrain névropafhique, mais à névropathies de préférence uni- formes avec manifestations superficielles et transitoire
aggravent sou- vent les affections. Dans les idées fixes, dans les formes multiples de phobies, dans certaines formes d'i
s idées fixes, dans les formes multiples de phobies, dans certaines formes d'insomnie habituelle, si fré- quentes chez les
ie jacksonienne; 5° enfin l'abcès du cerveau principalement sous la forme la plus commune, celle qui est consécutive à un
let; d'autre part, la paralysie partielle de la face et du bras, la forme Jacksonienne de l'épilepsie, la céphalalgie fro
u ou dur, rude ou lisse, mais n'en peut estimer ni le volume, ni la forme , ni le poids. Les sensi- bilités profondes sont
t remarquer que ces malades ne font aucun effort pour déterminer la forme ou la nature de l'objet saisi, ne pensant plus
vertébral avec pachyméningite caséeuse et myélite par propagation ( forme de Charcot et llfichnud). - La troisième autops
ui évolue sans lésions méningée, interstitielle ou vasculaire, sous forme de nodules intra-médullaires au niveau desquels l
dilatées. Ces cas heureusement choisis, démontrent la pluralité des formes de la méningo-myelite tuberculeuse, et l'existe
font une maladie spéciale, distincte, nette- ment caractérisée, qui forme une espèce clinique à part dans le groupe des c
t. IX. 7 98 PATHOLOGIE NERVEUSE. similaires qui appartiennent aux formes de transition ou aux formes frustes, et qu'on v
USE. similaires qui appartiennent aux formes de transition ou aux formes frustes, et qu'on voudrait y ajouter. Celte règle
discuter la question de savoir si ces troubles carac- térisent une forme déterminée de psychose spéciale à cette maladie
éance précoce profonde des facultés intellectuelles. En tout cas il forme , à notre avis, le ') 08 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE
omme Dreves insisté spécialement sur la tendance au suicide dans la forme chronique de la chorée. Il n'en est pas moins v
ion première de Lion- tington. Wollenberg se borne à dire que cette forme de cho- rée présente souvent au début une dépre
nce mentale, et nous devons nous attendre à y rencontrer toutes les formes de psychoses qui s'observent chez les dégé- nér
aient un caractère coordonné. Loewenfeld pense qu'il représente une forme de transition entre la maladie des tics de Gill
ditaire dégénérative pro- gressive à terminaison démente, une autre forme plus légère de la maladie, sans troubles intell
ure de Sylvius. Cette incissure s'étend peu à peu des deux côtés et forme la scissure de Holando. Or, en 4SJ, Cunninbau,
Or, en 4SJ, Cunninbau, à Dublin, découvrit que cette scissure se forme souvent en réalité par deux incissures distinctes
ures distinctes.. Une infé- rieure, qui apparaît la première et qui forme les deux tiers de la scissure de Holando ; une
n maintenant que dans la majorité des cas la scissure de Holando se forme par un seul sillon continu, dont la partie supéri
l en est qu'on ne sera pas obligé d'envoyer si loin, à raison de la forme de leur maladie mentale. Et, en tout cas, le tr
un établissement d'alié- nés. Déments, indifférents, psychopathes à formes mentales finies, immobiles, auxquels on donnera
des fibres qui s'entrecroisent, descendent, indépendantes, sous la forme du cordon antérieur des pyramides, en continuant
-croisement, il se présente, à la surface externe du bulbe, sous la forme d'un triangle dont le sommet vient de la ligne
55 substance noire même. On en retrouve plusieurs laisceaux arci- formes , au niveau du genou de la capsule interne, et un
fois sur la tête et la face, avec la marche et les caractères d'une forme bénigne, et il a parfaitement guéri. Cette obse
une altitude très considérable. Ces troubles prennent surtout la forme d'agitation générale, d'inquiétude, d'insomnie et
rmédiaire du sys- tème nerveux. L'air de la mer aggrave certaines formes de troubles nerveux fonctionnels, mais beaucoup
guérie fait explosion chez ce jeune homme de vingt-cinq ans sous la forme de manie aiguë, et cela sans qu'on ait pu décou
27 novembre 1899. PRÉSIDENCE de M. J. Voisin. L'alitement dans les formes aiguës'de la folie. M. Christian déclare, à pro
olie pério- dique paraissent se présenter assez fréquemment sous la forme familiale. A citer encore le délire aigu chez d
présente souvent des périodes de rémissions très longues. C'est la forme lente, à tendance cicatricielle. La syringomyél
escence, au lieu d'aboutir à des cavités avec parois, comme dans la forme précé- dente, disloque tout le tissu nerveux, e
gomyélie, car ils ont pu saisir tous les intermédiaires entre cette forme et la syringomyélie cavitaire admise par tout le
lie cavitaire admise par tout le monde; ainsi dans un cas, les deux formes avaient évolué sur la même moelle, l'une au-des
nées, très rapidement, avec des symptômes envahis- sants : c'est la forme maligne de la maladie. M. Philippe continue imm
caractères histologiques de la syrin- gomyélie qu'il s'agisse de la forme cavitaire ou de la forme pachy- méningitique. E
de la syrin- gomyélie qu'il s'agisse de la forme cavitaire ou de la forme pachy- méningitique. Elles sont ordinairement l
la phtisie pulmonaire, on peut observer et on note fréquemment des formes multiples de psychoses, depuis la sociétés sava
. M. Dallemagne étudie les troubles de la volonté dans toutes les formes de l'aliénation mentale et adopte, en grande part
en deçà et au delà de ces limites. Ses descriptions des différentes formes de l'aliénation sont très claires, malheureusemen
crises. D'autre part, le traitement médical essayé sous toutes ses formes s'est montré complètement impuissant. Nous n'av
et des intoxications diverses l'une de l'autre. Alors que dans les formes , moins graves, curables, on ne trouve que des s
les, on ne trouve que des staphylocoques et streptocoques, dans les formes graves, mortelles, très rares, il existerait un
Kroepelin aurait exagéré l'importance. L'idée d'absorber dans cette forme tous les cas de manie et de mélancolie ne corre
ru. et ment., fasc. VII, 1899.) Elle est absolument normale dans la forme maniaco-dépressive de Kroepelin, dans l'hypocho
e l'alcalinité du sang qui peuvent se manifester dans les premières formes de psychoses doivent être rapportées à l'agitat
et ment., fasc. IX, 1899.) Plus fréquentes chez les vieillards, les formes de psychose mé- lancolique reuvent cependant se
période moyenne. La femme est plus prédisposée que l'homme à cette forme de psychose, surtout à cette époque de la vie.
ant l'ensemble de leur évolution et leur terminaison, il existe des formes cliniques qui ne peuvent rentrer logiquement da
uement dans les descriptions des maladies communes, et que l'unique forme décrite jusqu'à ce jour, présentant des caractère
Hecker. Ces caractères cliniques fondamentaux se résumant dans une forme particulière d'affaiblissement psychique acquis
e sont pas pathognomoni- ques et caractéristiques à eux seuls d'une forme morbide déter- minée, mais se présentent dans d
ou moins. Il semble seulement qu'ils soient plus fréquents dans ces formes de démence juvénile qui présen- tent les mêmes
ychique peuvent se résumer schématiquement de la façon suivante : Formes vulgaires d'idiotie et Formes classiques, frustes
ématiquement de la façon suivante : Formes vulgaires d'idiotie et Formes classiques, frustes et d'imbécillité . purement
hypertonie, exagération des ré- flexes patellaires, sauf dans les formes de cérébroplégie purement psychique. Malforma
que phéno- mène perturbateur du sommeil, il se présentait sous une forme assez sérieuse pour qu'on fût amené à le consid
rme assez sérieuse pour qu'on fût amené à le considérer comme une forme nette d'attaque épileptique nocturne. L'auteur pe
taque épileptique nocturne. L'auteur pense donc avoir découvert une forme de l'épilepsie nocturne consistant en un orgasm
ence est souvent peu atteinte, aussi a-t-on désigné longtemps cette forme d'aliénation mentale sous le nom de folie parti
LOGIE MENTALE. 243 servent très souvent. Elle se présente sous deux formes , une forme primitive (Wahnsinn) et une forme se
E. 243 servent très souvent. Elle se présente sous deux formes, une forme primitive (Wahnsinn) et une forme secondaire (V
se présente sous deux formes, une forme primitive (Wahnsinn) et une forme secondaire (Verrùcktheit). La première est brus
e crétinisme sporadique; son diagnostic différentiel avec certaines formes d'idiotie et avec d'autres maladies ; par Henry
arités du crétinisme sporadique qui ne se ren- contrent pas dans la forme endémique; dans cette dernière, par exemple, no
t longtemps sans se réunir, et la dentition est retardée. Dans la forme sporadique, la peau est beaucoup plus nettement m
e, la peau est beaucoup plus nettement myxoedé- mateuse que dans la forme endémique. L'auteur a observé plusieurs cas de
es à classer. L'auteur va essayer de décrire quel- ques-unes de ces formes spéciales et de montrer en quoi elles dif- fère
iotie du type mongolien ; 3° la lipomatose généralisée (qui est une forme d'idiotie partielle avec accumulation graisseuse)
es pieds et des mains parfaitement proportionnées. La tête était de forme régulière avec légère tendance à la brachycé- p
présentée surtout par Hirschl ee Vlobius cette maladie n'est qu'une forme tardive de la syphilis; pour l'autre, représent
il faut mentionner les différences de climat. La grande variété de formes sous laquelle la maladie peut se présenter, res
de la simple lecture de la classification d'Arnaud qui décrit une forme démente (sans délire); une forme ambitieuse ou ex
sification d'Arnaud qui décrit une forme démente (sans délire); une forme ambitieuse ou expansive; 250 REVUE DE PATHOLOGI
rme ambitieuse ou expansive; 250 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. une forme mélancolique; une forme mixte; une forme circulai
ive; 250 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. une forme mélancolique; une forme mixte; une forme circulaire ou alternante ; une
DE PATHOLOGIE MENTALE. une forme mélancolique; une forme mixte; une forme circulaire ou alternante ; une forme spinale, e
ncolique; une forme mixte; une forme circulaire ou alternante ; une forme spinale, et enfin une forme épileptique. On a b
ne forme circulaire ou alternante ; une forme spinale, et enfin une forme épileptique. On a beaucoup insisté sur ce qu'on
que. On a beaucoup insisté sur ce qu'on a appelé improprement les formes classiques, et trop peu sur le caractère protéifo
s 95 cas sur 100; mais il est bon de se souvenir qu'il est d'autres formes morbides, ayant avec le type fondamental une si
le que notre opinion sur ce point tient surtout à ce que d'autres formes pathologiques deviennent plus fréquentes, ou à ce
la dissociation de la sensibilité ; l'atrophie musculaire revêt la forme syringomyélique et au début il y a eu des douleur
s qui aient été constatés sont les suivants : tandis qu'à droite la forme du pied et le réflexe cutané plantaire sont nor-
upe principalement le trapèze et le sterno- mastoïdien gauches ; la forme des mouvements, leur mode de succession, l'atti
d la moelle est seule atteinte ce tremblement n'existe pas. D'une forme douloureuse de polynévrite tuberculeuse : du rôle
roit permet de rattacher ce cas à la bacillose. Il se distingue des formes habituelles par sa longue durée, sa localisa- t
la théorie de l'épilepsie. M. Mouratow s'arrête longuement sur les formes transitoires entre l'épilepsie locale, Jacksoni
x existent déjà, mais faibles. L'auteur attire l'attention sur la forme spéciale des paralysies oculaires chez son mala
pparut une faiblesse des doigts de la main droite. La main prend la forme d'une griffe. Il y a deux ans, certaine faibles
ent la théorie classique de l'obsession qui, pour lui, n'est qu'une forme abortive de délire systématisé ; ce dernier à s
très abstraite montrant que l'idéation normale et pathologique se forme comme l'être pensant lui-même, d'une manière grad
ns les cas pathologiques se renforce et s'exprime en outre dans une forme un peu autre. Ce sont les dendrites terminales
trajet des prolongements protoplasmatiques, le plus souvent ont une forme sphérique ou fusiforme ou quelque autre. Leur g
s de l'écorce cérébrale ont la propriété de changer rapidement leur forme sans l'influence de différents narcotiques, et
onvaincre de la propriété des den- drites à changer rapidement leur forme et à passer dans un état variqueux sous l'influ
noué- lian, faites dans son laboratoire, pense que l'état monili- forme des dendrites sert de preuve immédiate d'amoe-
ganes mobiles , alors les modifications même presque nulles de leur forme et de leur grandeur peuvent être accom- pagnées
ements protoplasmatiques des cellules nerveuses. Quelle est donc la forme du trouble de nutrition dans l'écorce cérébrale
nce suigeneris. Bien des auteurs pourl'indicationdel'état monili- forme des dendrites, comme état pathologique, employent
ie, 1891, vol. XXVIII, n° 90.) Léplne (R.). Sur un cas d'hystérie à forme particulière. (Revue de médecine, 1894, p. 713.
citement formulé par le malade, surtout si celui-ci appartient à la forme aiguë du délire religieux ou la conscience subit
e ces trois faits cliniques qui, tous les trois, appartiennent à la forme aiguë hallucinatoire du délire religieux. Obs
vec une corde destinée à la pendre Au moment où le délire change de forme , on a remarqué que la malade faisait de grands
miné par la nature du délire. Observation Il. Délire religieux de forme démonomaniaque. Hallucinations et crises panoph
des explications catégoriques. Observation III. Délire religieux de forme dépressive. Démono- manie, hallucinations, cris
. Pas d'excès vénériens. Fièvre typhoïde à l'dge de dix-huit ans, à forme grave avec délire, et qui dura quatre mois ; tr
nd d'où s'échappe du pus ; cette plaque, plus longue, que large, de forme presque rectangulaire, est noirâtre ; le séques
Dans la position droite du tronc, toutes conditions relatives à la forme , à la posi- tion de la brèche, il l'enfoncement
laboratoire de M. Bechterew. in- gestion dans l'estomac, ou sous la forme de solution alcoolique d'extrait de sangsue, da
es, 9 tabétiques, 7 aveugles, 23 individus bien portants, sous deux formes . 1° Celle du myosis après une énergique et volo
l'effort (maintien des paupières par l'observateur). La première forme du symptôme paraît généralement coïncider avec
ut aussi se produire sur des pupilles réagis- sant bien. La seconde forme apparaît le plus habituellement sur des pupille
ière est troublée, mais se montre bien plus souvent que la première forme chez les individus sains doués d'une bonne réac
ontalement en dehors, et la pu- pille se rétrécit notablement. La forme première de ce symptôme seule avait déjà été obse
terminaisons des dendrites et celles des fibres sensitives sous la forme d'arborescences terminales libres. C'est la str
it réussi trois fois, à la partie de l'encéphale de l'écrevisse qui forme le centre nerveux de la seconde antenne : il n'
ès probable d'une activité nerveuse spécifique. La multiplicité des formes , des rami- fications, des dimensions, des dispo
et triple. Le canal central, simple dans la moelle cervicale, a la forme et le volume habituels; il est presque tout à f
les nerveuses présentent déjà divers degrés de maturité, quant à la forme du corps de la cellule, en divers segments de l
champs embryogéni- ques corticaux 1, 2, 4 de Flechsig), montrent la forme du corps des cellules, la disposition des couch
uccessivement, dans les diverses zones corticales de Flechsig, leur forme définitive, et que la substance intermédiaire s
u subthalamique de Luys qui, chez le chien, le rat, la souris, a la forme d'une olive, et chez le chat ou le lapin, celle
ique dans laquelle les symptômes psychiques prennent tour à tour la forme de mélancolie, de manie, de stupeur, de confusi
elations physiologiques -avec les organes impor- tants, de quelques formes de névroses gastriques, tympanite et vomissemen
ent. Pas de mou- vements de latéralité. Voile du palais, a perdu sa forme arquée Il est abaissé et flasque. Voix épaisse,
discutés avec sagacité. Dans le chapitre n sont résumées toutes les formes que l'action législative peut revêtir dans la l
la marine, dans la classe «, ouvrière ». Chacune de ces divisions forme autant de chapitres où sont condensés une foule
ha- pitre sur la marine, très pittoresque d'allures, stigmatise les formes variées de l'exploitation du marin sous le couv
nes lésions cérébrales ; des actes impulsifs dans les « différentes formes d'aliénation; expériences physiologiques « sur
lèvres. Souvent même la consolation se manifestait sous une autre forme en s'accompagnant d'un secours matériel qu'une
ivait-il, du grand nombre de femmes que la mélancolie sous diverses formes atteint à tout âge, quelques-unes ont apporté e
niques, surtout quand ce délire prend, comme chez notre malade, une forme presque systématique, persistant plusieurs jour
cure, frictionné ou introduit d'une autre manière dans l'organisme, forme des albuminates et de cette manière est retenu
ioduré, doit être positivement abandonné. Voyons maintenant, quelle forme du traitement mercuriel il faut préférer : les
frictions mercurielles ! Il s'agit à présent de savoir sous quelle forme employer le mercure pour les frictions, quelle
ons de nouveau deux malades, friction- nons l'un avec du mercure en forme d'onguent et, faisons à l'autre des injections
me que le mercure dont on fric- tionne la peau et qui reste sous la forme d'albuminates. C'est pourquoi à présent, que no
injections mercurielles sous-cutanées dans le but du traitement des formes premières de la maladie, ainsi que des maladies
désobéissance. Maintenant, parlons du traitement de ces malades. La forme du tabès la plus répandue est la suivante : le
pubis, ou sur le périnée. Quelquefois je donne à cette électrode la forme d'un vase en verre ou en porcelaine, où l'on ve
ènes d'auto -intoxication et de la dilatation de l'estomac dans les formes dépressives et mélancoliques ; il émet l'avis q
s d'auto-intoxication d'origine gastro-intestinale surtout dans les formes dépressives de la folie. ' Dictionnaire encyclo
nsidérable des auto-intoxications sur le développement des diverses formes de la folie. On connaît d'ailleurs les heureux
s malades étaient dans le stade mélancolique d'une folie à double forme . - La présence du phénomène de la corde dans la
de 1897, de paralysie générale avec trouble du sens musculaire à forme hémiplégique, la couche superficielle seule des f
Baillarger étaient demeurées normales, tandis que les libres arci- formes étaient fortement dégénérées. Voici maintenant
ne affec- tion de la sensibilité tactile et du sens de la douleur à forme hémiplégique, le sens musculaire demeure normal
l'intégrité de la sensibilité objec- tive. Il se présente sous deux formes : 1° une forme subaiguë passant à l'état chroni
a sensibilité objec- tive. Il se présente sous deux formes : 1° une forme subaiguë passant à l'état chronique ordinaire o
réditaire de l'riedreich ou au tabès com- biné de Westphal. - 2 Une forme aiguë aboutissant à des para- lysies graves, se
au antérieur. On le voit, au niveau du noyau du pathétique, sous la forme d'un cercle (section tranverse), à égale distan
dont il n'est séparé que par une couche étroite ; à partir de là il forme le segment antéro-médian du tractus strio- thal
aire dorsale. Au niveau de la douzième paire, la virgule a perdu sa forme , elle est remplacée par des grains irré- gulièr
si le sens musculaire est perdu, mais peut persister si toute autre forme de sensation cutanée se perd ou se trouble. 3°
s stéréognostique peut être perdu quand bien même toutes les autres formes de la sensibilité seraient conservées. POULARD.
les extrémités; (6) précoce apparition de troubles trophiques sous forme d'une eschare. ' P. LXX. Paralysie du plexus br
neurologique le délire de la jalousie doit être considéré comme une forme de paranoïa. La plupart des cas sont des variét
'état chro- nique qu'à l'état aigu ; mais l'auteur se borne ici aux formes aiguës, et par là il entend d'une part l'état a
L'auteur insiste en terminant sur la grande importance de ces deux formes de folie au point de vue médico- légal. R. DE I
seul symptôme qui soit constant, et qui appartienne aussi bien à la forme psy- chique qu'à la forme convulsive. Si l'aute
stant, et qui appartienne aussi bien à la forme psy- chique qu'à la forme convulsive. Si l'auteur avait à fournir une déf
ussi désastreux qu'un phénomène de décharge nerveuse. La première forme dont il a été parlé plus haut, c'est-à-dire la
ence, est de beaucoup la plus commune dans l'épilepsie ; la seconde forme , où la perte de conscience est incomplète ou at
arges des centres corticaux. Les états qui relèvent de la troisième forme tendent au somnambulisme, ou plutôt à l'automat
processus de réparation incomplète après chacune des attaques. Les formes d'aliénation mentale que l'on rencontre dans l'ép
oteurs, sensoriels et psychiques que l'on rencontre dans les autres formes de folie trouvent ici leur équivalent ou leur c
appeler psychies les états mentaux, fon- damentaux et psychoses les formes morbides. La psychie peut se présenter sous deu
a avant ou après la puberté, sera appelée idiotie ou démence. Les forme morbides seront divisées selon le ton émotif : ex
tif peut, encore, être envisagé sous sociétés savantes. 439. deux formes différentes suivant qu'il y a des variations péri
ques (folie circulaire) ou qu'il n'en existe pas. Suivant que les formes s'accompagneront ou non d'incohérence, elles do
e myopathique du type Landouzy- Déjerine dont le thorax affecte une forme déprimée qu'il ne faut pas confondre avec le th
ion la plus apparente, se présente sous la SOCIÉTÉS SAVANTES. 443 forme de nodosités, de granulations ou de simples épais
en lorme de demi-veste (gauche). Arthropathie de l'épaule gauche, à forme liypertro- SOCIÉTÉS SAVANTES. 445 phique, à é
rande sous ce rapport; ainsi lorsque l'insensibilité cutanée est en forme de veste, les troubles de la sensibilité vibrat
pour la détermina- tion de la nature des émotions. Tremblement et forme pui,liirso7zieizne. M. BÉRILLON présente un mal
ues, asymbolie, etc. Comme l'indique le titre la cécité psy- chique forme le fond véritable de cette thèse. Cela n'est dû n
ar une corrélation de dépendance réelle. En effet la perception des formes primitivement tactile est passée graduellement
tactile (étant dans l'action expansive ce qu'est la perception des formes sur le terrain spécu- latif) est aussi devenue
trouve rarement isolée (sauf la surdité verbale qui n'en est qu'une forme très partielle, locale et spéciale), son import
à celle de la cécité psychique ; comme l'agnoscie tactile (dont les formes localisées peuvent aussi exister seules) elle n'a
de ses lettres, un médecin psychologue reconnaîtra sans peine cette forme de neurasthénie cérébrale qui s'accompagne si s
: Pathologie interne : Des crises gastri- ques. Pustule maligne. - Formes cliniques de l'urémie. Patho- logie externe : S
d'un chapeau, une boite d'allumettes, il ne sait pas en définir la forme , et prend le bord de son chapeau successivement
e..., un enfant..., tout ce monde pêle-mêle, va et vient, change de forme ... Il voit la statue de Napoléon ler, il est à
siées, modifiée, transfor- mée en image, et projetée au dehors sous forme d'halluci- nation ; même dans les hallucination
bien la face inférieure que la face convexe. Le lobe a conservé sa forme générale. A l'extrémité antérieure, ce qui rest
utions sont petites, arrêtées dans leur développement mais ont leur forme et leur consistance nor- males. (PA, P', moitié
puis la pointe des trois circonvolutions temporales. Le foyer a la forme d'une équerre dont le côté le plus grand corres
hippocampe. - Les circonvo- lutions du foyer ocreux persistent sous forme d'arêtes dures ou de crétes molles comme s'il s
On peut toujours trouver place pour cette affection dans quelque forme de tabès, de myélite chronique, ou de sclérose di
ux qui sont de la période de déclin de leur vie. POULAIID. XXXIV. Formes communes de la méningite et leurs caractères cli-
A. (The journal of nervous and mental diseuse.) L'auteur réduit à 5 formes communes, les nombreuses variétés ' REVUE DE PA
ngite externe et interne; la léptonzéningite qui peut revêtir trois formes : forme cérébro-spinale épidémique ; forme puru
erne et interne; la léptonzéningite qui peut revêtir trois formes : forme cérébro-spinale épidémique ; forme purulente si
qui peut revêtir trois formes : forme cérébro-spinale épidémique ; forme purulente simple ; forme tuberculeuse ; la méni
ormes : forme cérébro-spinale épidémique ; forme purulente simple ; forme tuberculeuse ; la méningite séreuse. Si les deu
ois, guérison et rechute (recurrent serous me- ningitis). Dans la forme aiguë, on trouve comme causes : fièvre infectieus
par la marche ultérieure favorable et par la ponction lombaire. La forme chronique ; prend quelquefois les symptômes de
elle cervicale de fibres sensitives du trijumeau. G. DENY. XLVII. Formes frustes de scléroses en plaques à début mono ou
otrophie; par Glorieux. (Joum. de Neuro- logie, 1899, n° 18.) Ces formes frustes de scléroses en plaques à début mono ou
râniens. A l'étranger la paralysie infantile se montre souvent sous forme d'épidémies, ce qui dans de tels cas est un bon
point de départ des douleurs. Il est du reste de consistance et de forme normales. Résection des nerfs du cordon. Hypoes
0,476., Aliénation. Le rôle de l'auto-sug- gestion dans certaines formes il ? par Voisin, 54. Aliénés. Examen des urin
elkier. é3.- post opératoire, par Dup ay, H. L'alitement dans les formes aisucs de la -, par Chr istlan, 165. - puerpé
ue, pal Mac Nabb, 163. - svphilitiqtie fron- tale, par Sano, 330. Formes com- munes de la et - séreuse, par Dana, 518.
POLIURIE et pollakiurie hystérique, par Abadie, 193. Polynévrite. Forme douloureuse d'une tuberculeuse, par Du- four,
vitaire et-pachy- méningitique. par Philippe et Ouerthur, 72. Les formes -, 173. héréditaire, par NalbandofT, 267. Rec
psychique chez un gly- cosurique, par Farez, 351. Tremblement et forme 1111 kinwn- nienne, par Bérillon, 452. Trépan
36 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r la description, nous permettent de déterminer assez exactement la forme et les dimensions qu'affectait la tumeur à l'in
ans toutes les directions. Les cellules appartiennent au type fusi- forme . Dans certains faisceaux elles sont fibro-plastiq
s. La plupart de ces cellules pré- sentent des noyaux volumineux de forme très irrégulière, vivement colorés, qui se rapp
t évidemment aux différentes phases de la karyokinèse, bien que les formes typiques soient un peu effacées dans cette pièc
LOGIQUE. Deux tubes de gélatine ontpoussé le cinquième jour sous la forme de grains arrondis liquéfiant la gélatine comme
ment. Si cette épilepsie réflexe revêt à un certain moment donné la forme d'épilepsie générale, nous ne pourrons pro- voq
sujet à des accès convulsifs. Le vin pur, l'alcool sous toutes ses formes (eau-de-vie, absinthe, cassis, chartreuse, madère
c. L'auteur a réuni une série d'ob- servations intéressantes de ces formes complexes de l'aliénation mentale. En tête des
observées chez cer- tains aliénés se place la folie circulaire. Les formes les plus diverses d'aliénation donnent à l'aute
ue neurologique, janv. 1895.) E. B. XX. Delà paralysie générale A FORME tabétique; par M. 1l' Dr JOFFIIOY. (Nouvelle lc
affections ne sont en réalité que des cas de paralysie générale à forme tabétique. La paralysie générale débute alors par
que. La paralysie générale débute alors par des symptômes spinaux à forme tabétique, lesquels symptômes dispa- raissent o
éussi aussi à isoler et à présenter les éléments chimiques sous une forme pal- pable. La psychologie physiologique a déte
par une période variable. La neurasthénie revêt le plus souvent la forme hypocondriaque; le tableau clinique est parfois
e pas de psychose traumatique ayant des caractères spé- ciaux : les formes les plus variées peuvent être observées. Certains
il résume la classification des alexies. Il existe, dit-il, deux formes d'alexies sous-corticales présentant les mêmes
jourd'hui. On s'était ingénié, ces temps derniers, à multiplier les formes de ces myopathies primitives, chaque auteur don
ici un cas qui , précisément, ne correspond exactement à aucune des formes qu'on a cherché à différencier autrefois, il n'y
la localisation prédominant à gauche; la conservation apparente des formes extérieures, surtout aux membres inférieurs (ps
une mobilité excessive; les avant-bras ont à peu près conservé leur forme et leur volume. Au tronc : thorax rectangulaire
on- tinuellement, sauf pendant le sommeil, des mouvements choréi- formes . Il y eut des symptômes douloureux; une hyperesth
e de phéno- mènes et par une évolution que le tabès réalise sous la forme typique. Elles figurent avec leur maximum de ne
maintenant que si la lésion du tabes est unique quelle que soit la forme du tabès, il ne s'ensuit pas que les mêmes élém
uit pas que les mêmes éléments nerveux soient lésés dans toutes les formes , on sait que de nombreux cylindre-axe échappent
- rantes aux membres inférieurs. La maladie se manifeste sous une forme remarquablement sensitive. Douze ans environ aprè
enir malade. Les arthropathies syringomyéliques affectent plusieurs formes . D'abord la forme d'hydarthrose, laquelle est r
thropathies syringomyéliques affectent plusieurs formes. D'abord la forme d'hydarthrose, laquelle est rapide ou progressive
se, il s'agit d'un cas de syringomyélie, mais d'une syringomyélie à forme mixte, la syringomyélie type Morvan, décrite pa
nsité d'une d'elles au détriment des autres constitue justement les formes si nombreuses de l'attaque d'hystérie. Ces at
e est applicable aux autres paroxysmes hys- tériques survenant sous forme d'accès, soit simples, soit prolongés ou états
que de l'hystérie ou de l'accès d'épilepsie. Après avoir décrit les formes si nombreuses qui, par prédomi- nance d'un des
de mort au cours du paroxysme hystérique simple ou prolongé sous forme d'état de mal ; l'attaque de spasme paraît avoir
e l'attaque des délires et des étals délirants, l'auteur arrive aux formes somnam. 1 Voir l'obs. de Geneviève et surtout c
e hystérique qui doit être assimilée à un paroxysme ordinaire, à sa forme prolongée ou état du mal. Le second volume de l
ontractures dites essentielles des extrémités ou tétanie dans leurs formes les plus graves; 2° que la tétanie hystérique p
sexe masculin; quant à la manie, M. Pierson la considère comme une forme excep- ' tionnelle. Chez la femme, c'est la mél
n traumatisme du crâne dont les traces sont encore visibles sous la forme d'une vaste cicatrice dont pour le moment nous
s'est renouvelée à diverses reprises, tout en changeant parfois de forme . Ainsi, un jour, on remarque chez elle des tend
servation, il nous est souvent arrivé de désigner un animal sous la forme d'un redoublement rappelant le plus pos- sible
le choix. C'est ainsi que nous apprenons le nom des couleurs, des formes , des odeurs (bon, mauvais), que nous donnons la n
oncée dans les autres parties de la substance blanche, affectant la forme d'ilôts petits. La lésion, d'une netteté très g
u renflement cervical, entre les racines antérieures, il affecte la forme d'un petit ménisque qui disparait à l'extrémité
e la moelle cervicale; plus bas près de son origine, il a plutôt la forme d'un petit ménisque; il est tout à fait triangu
cervicale, au niveau de la troisième paire, se dirigerait, sous la forme d'un trousseau mince, entre les voies pyramidal
ie antérieure. Ces considérations exposées vient la description des formes exté- rieures dans la station verticale symétri
ins, forment un relief mou et arrondi. Les fesses sont aplaties, de forme quadrilatère, à angles arrondis. Le pli fessier
artistique, ce travail constitue une sorte d'anatomie raisonnée des formes extérieures du corps humain, avec les modificatio
ement dilatantes et condensantes. Voici selon l'auteur les diverses formes des deux grandes fonc- tions : 152 REVUE D'AN
constatée 212 fois, qui se répartissent ainsi : haut mal, 87 fois; forme mixte, 69 fois; petit mal, 34 fois; REVUE DE PA
pour des rechutes a été de 15 p. 100; 13° la mélancolie est une des formes de l'aliénation dans lesquelles l'influence de
persécution, tous les auteurs sont d'ac- cord pour admettre que la forme ordinaire de la folie de la méno- pause est la
nnus, mais les modifications mentales peuvent se présenter sous des formes très diverses : insomnie, changement de caractè
antérieures, la cause déterminante, la précocité du traitement, la forme du délire, l'état physique de la malade. Dans l
mple dans l'alcoolisme sans délire systématisé). Le pronostic de la forme affective est meilleur que celui de la forme dé
é). Le pronostic de la forme affective est meilleur que celui de la forme délirante. La durée de la maladie, pour les c
6 morls (13,4 p. 100). Le traitement varie naturellement suivant la forme de folie et suivant l'état de santé de la malad
e l'on a coutume de rencontrer dans les cas de paralysie générale à forme lente avec excitation mentale modérée. R. DE MU
aires, des dégénérés. On trouve chez l'enfant à peu près toutes les formes d'ivresse que l'on observe chez l'adulte, Le pr
par le Dr BURTON. De l'examen du sang au microscope, dans diverses formes men- tales, l'auteur tire les conclusions suiva
c'est qu'on n'a pas encore différencié les unes des autres bien des formes cliniques vésaniques illégitimement réunies. Et
cha- cune de ces deux circonstances, c'est l'une ou l'autre de ces formes cliniques qui se montre le plus souvent ? C'est
39, rue Wimpole. A cette occasion la résolution « que ce metting se forme lui-même en Association » fut proposée par le D
lié dans les Archives de physiologie, Liouville distingue les trois formes suivantes de la tuberculose de la moelle : a) l
élève de Raymond, exprime dans sa thèse concernant les différentes formes de myélites tubercu- leuses l'opinion de son ma
ssée ou complète; 2° Myélites aiguës, qui se présentent sous deux formes distinctes très voisines en apparence : a) les
diffuses nodulaires; b) les myélites diffuses infiltrées. Ces deux formes coexistent presque toujours ensemble et sont ac
erculose aiguë (thèse de Paris, 1885). 2 Raymond. Des différentes formes de leptomyélites tuberculeuses. (Revue de méd.,
principaux ouvrages que nous avons pu con- sulter sur les diverses formes de la tuberculose de la moelle. Dans le présent
infiltrations, s'assemblant autour des vaisseaux, prennent soit la forme d'un cylindre, soit celle d'un anneau. Elles so
it, sont remplacés par une agglomération de leucocytes affectant la forme triangulaire, tandis que dans d'autres on ne vo
corne antérieure droite renferme un très petit amas de leucocytes à forme triangulaire. Au côté gauche du canal central,
elle cervicale. Nous allons maintenant étudier tout spécialement la forme nodulaire de la tuberculose de la moelle. Dans
a myélite aiguë ou subaiguë ou enfin de la myélite chronique. Cette forme de tuberculose de la moelle est très rare. Vo
rface de la moelle est plus ou moins enflammée. S'il s'agit d'une forme plus infiltrée, on ne peut pas la dis- tinguer
-dessus les cas de tuberculose de la moelle, qui appartiennent à la forme nodulaire. Nous ajoutons encore le cas de Hutin
lle (1869) et Raymond (1886). Seulement, à notre avis, ce groupe de formes nodulaires de la tuberculose de la moelle doit
rition. Il s'ensuit une dégénéres- cence des fibres nerveuses, sous forme d'îlots; ou bien qui atteint seulement quelques
avec quelque ampleur. C'est en effet moins le détail du délire, sa forme clinique, qui offre ici de l'intérêt que l'âge
, on obtient en somme un délire polymorphe qui rentre bien dans les formes se ratta- chant à la dégénérescence mentale.
odrome, sans prépa- ration est un indice des plus importants. Cette forme suraiguë n'appartient qu'aux intoxications d'un
a dégéné- rescence mentale,c'est bien là le délire d'emblée dans sa forme hallucinatoire. Dans le cours du délire on renc
pour attribuer les accidents à la dégé- nérescence mentale, que la forme du délire, nous retrouvons d'autres caractères
r que le trait le plus saillant dans ces histoires cliniques est la forme hallucinatoire qu'a revêtu le délire dans les d
e 'sont, par ordre de fréquence : la mélancolie sous ses diverses formes : en particulier la mélancolie simple et la mélan
re systématisé. La mélancolie anxieuse de la vieillesse est une des formes les plus nettement définies par la constante agit
la pourriture; la tendance aux obscénités, l'insomnie, etc., cette forme est très curable. Le délire de persécution, q
y a pas une folie des vieillards, mais des SOCIÉTÉS SAVANTES. 223 formes diverses, des manières d'être de la folie chez le
'être de la folie chez les vieillards. - 2° La manie franche est la forme la plus rare, elle surviendra souvent par accès
3° La mélancolie qui revêt chez les vieillards presque toujours la forme anxieuse, avec ou sans idées de doute ou de sui
lire hypocondriaque absurde, avec ou sans idées de négation, est la forme la plus fré- quente ; elle aboutit souvent au s
orme la plus fré- quente ; elle aboutit souvent au suicide. Cette forme de mélancolie survient le plus souvent chez les v
AVANTES. fréquentes chez les vieillards aliénés et le pronostic des formes diverses de l'aliénation sera généralement grav
ent aussi le goitre exophtalmique; mais ce sont le plus souvent des formes latentes, insoupçonnées et qu'il faut savoir dé
par excellence; mais encore peut-il importer de savoir sous quelle forme je le suis présentement. La théorie thyroïdienn
direct de l'acti- vité sécrétoire de l'épithélium thyroïdien; elle forme des granu- lations réfringentes à l'intérieur d
que, dans la thyroïde des exophtalmi- ques, la thyrocolloïne ne se forme régulièrement que dans les grains marginaux, ce
rer, dans le cadre de l'épilepsie larvée, tout délire transitoire à forme impulsive. Aujourd'hui il existe, parmi les ali
Bien qu'on la rencontre dans d'autres états morbide=, dans d'autres formes impulsives, notamment celles des hystériques, n
celles des hystériques, notamment celles qui se présentent sous la forme de vagabondage, de fugues, etc. Les dégénérés,
voir apprécié les travaux faits sur la question, rapporte, sous une forme humoristique, deux observations de fugues d'hys
hognomonique. Il faut séparer de la paralysie générale typique deux formes qui s'en distinguent au point de vue clinique e
tation de la paralysie générale au point de vue clinique. Parmi les formes qui doivent être séparées de la paralysie progr
ale. On l'a signalée également dans les pseudo-paralysies, dans les formes séniles, les intoxications, les arrêts du dével
les, elle ne peut, à elle seule, avoir grande importance. Parmi les formes qui simulent la paralysie générale, il a observ
' M. Alzheimer. L'atrophie nrtério-scléreuse du cerveau. - Cette forme doit être séparée de la paralysie générale. La ma
iques), de la névroglie au voisinage des vaisseaux dégénérés. Cette forme se dislingue donc par le caractère de la dégéné
lément. Discussion : M. Binswanger. - On peut observer dans cette forme clinique des idées délirantes et des états halluc
évelopper à la faveur de l'altération vasculaire qui caractérise la forme clinique qui vient d'être décrite. z M. Siotr.
es morales fonl en outre souvent défaut. M. MoeLi considère celle forme comme une variété des psychoses séniles. Les ma
démence sénile, 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. . dont ils constituent une forme précoce. La démence de la névrite alcoolique pr
me précoce. La démence de la névrite alcoolique présente avec cette forme de grandes analogies. Il est probable que les l
s cardiopathies non compensées. Sans doule il faut rapprocher cette forme de la démence sénile et l'éloigner de la paralysi
s et présente les nuances les plus variées, avec prédominance de la forme dépressive. La conscience est en général quelqu
tout d'abord, non seulement à son développement, mais encore à sa forme , qu'elle appartenait à un hydrocéphale. Une obser
ant de plus forts grossis- sements, on voit que cette substance qui forme des lignes ou de petits lacs entre les fibres,
origine d'un vaisseau au niveau de son entrée dans la moelle. Il se forme ainsi en plusieurs points des amas triangulaire
ainsi en plusieurs points des amas triangulaires de cellules fusi- formes tellement serrées les unes contre les autres qu'à
au médullaire, par clos cellules aplaties. Ilémaloxyline et éosine. formes ; ces logettes sont remplies chacune par un ou deu
le début. D'autre part l'extension de la lésion au cerveau, où elle forme cette mé- ningo-encéphalite vasculaire diffuse,
iées et tranchent sur les autres tant par leur volume 'que par leur forme régulièrement arrondie. Les nerfs intra-muscu
es ambiants; cette infiltration lâche se condense par places sous forme d'anneaux fusiformes plus oumoins étendus, ou d'a
nérale par des liens étiologiques étroits; nous voulons parler, des formes variées de la syphilis spinale. Ici nous n'avon
sion elle-même, si l'on n'emploie pas le colo- rant approprié. La forme de la lésion est suffisamment montrée par nos d
con- naitre en rien l'atteinte portée à l'élément noble. Outre sa forme , cette lésion semble encore caractérisée par so
lement d'une insuffisance d'excitation sensitive, on aura plutôt la forme atrophique. S'il s'y ajoute un mécanisme de com
Allg. Zeitschr. f. Psychiat., L. 3. 4.) L'auteur en distingue trois formes à localisation (Wernicke, 18 H) : 1° l'aphasie
nicke et Lichthein ont imaginé un schéma d'après lequel il y a sept formes d'aphasie, les deux espèces motrice et sensorie
e, corticale, trans- corticale. Malheureusement pour chacune de ces formes théoriques la localisation effective (anatomiqu
I. Présentation DE crânes montrant l'influence DU CRÉTINISME sur la FORME DES cavités nasales; par Ilarrison -ALLEN. (The
second cas a trait à une paralysie bilatérale complète du facial à forme douloureuse, due probablement à une périnévrite d
pé à la contagion sont exemptes de troubles hystériques d'une autre forme . (Revue neurologique, mai 1895.) E. B. - XXXI
nt un trouble psychique isolé : elles peuvent se manifester sous la forme clinique d'une épilepsie sensorielle surajoutée à
ue, qu'elle soit ou non rythmique : 1° la chorée de Sydenham et ses formes ; a. chorée vulgaire ; 6. chorée molle; c. chor
logique, février 1895.) E. B. XXXIV. CONTRIBUTION A l'étude DE la FORME familiale DE la paraplégie spasmodique spinale
es injections intm-veineuses, M. Paul SOLLIER (de Paris) décrit une forme d'anorexie mentale, primitive, spéciale, distin
du neuropatlhologue américain Hammond, qui a donné en 1871 à cette forme convul- sive spéciale une place déterminée parm
ereux sont lesaliénés atteints du délire chronique de persécution à forme systématique. En un mot les conclusions sont le
aux), cite « un cas d'accidents hystéri- 340 « SOCIÉTÉS SAVANTES. : formes dans la paralysie générale ». C'est un cas assez
ie de Duchenne-Aran devait être net- tement différenciée des autres formes de l'atrophie des muscles. . Dans ce but, M..J.
venir d'ailleurs' : de là paralysie pseudo-hypertrophique dont les formes ont été se multipliant jusqu'à ces dernières anné
tude des guérisons, en dressèrent le procès- verbal en bonne et due forme . Les annales de Notre-Dame de Lourdes en firent
dans les pri- sons. Les médecins commencent cependant à étudier les formes diverses de la folie, mais l'assistance des ali
à l'intervention du démon, les lycanthropes possèdent en réalité la forme d'un loup » - Si des médecins aussi distingué
nouvelle destination. Puis on construisit de vastes bâtiments de forme massive, se rapprochant plus des asiles anglais à
aite- ment médical des psychoses aiguës et de la colonisation des formes chroniques, pour demander la création de deux sor
réalisation des conditions nécessairés au traitement méthodique des formes aiguës, furent suivies de l'essai du traitement
du médecin et du législateur. Après avoir énuméré les causes et les formes diverses de l'alcoolisme, l'auteur indique quel
La recherche de la cause de la paralysie permet d'établir parmi les formes de la paralysie faciale une véritable échelle d
ralysie faciale une véritable échelle de gravité ascendante : a. la forme congestive bénigne et transitoire, due à une otit
e congestive bénigne et transitoire, due à une otite légère; b. les formes dues au contact du nerf avec le pus, plus sérieus
de gravité variable suivant le point où se fait ce contact; c. les formes dues à la nécrose d'une partie du canal de Fallop
tie du canal de Fallope, plus sérieuses encore, en général, que les formes dues au contact du nerf avec le pus. Le prono
essayé la pseudohyosciamine chez certains maniaques, dans quelques formes d'imbécillité et dans l'hystérie. Il est encore
miquement par Leyden, Charcot et Joffroy. Erb en 1879, décrivit une forme qui tout en res- semblant beaucoup à la maladie
ns de Minkowsky ou de Strumpell (paralysie spinale spasmodique ou forme spasmodique de la démence paralytique). P. X. X
- D'après les recherches personnelles de l'auteur il y en a deux formes : une forme subaiguu et une forme chronique. En t
les recherches personnelles de l'auteur il y en a deux formes : une forme subaiguu et une forme chronique. En tout cas il
elles de l'auteur il y en a deux formes : une forme subaiguu et une forme chronique. En tout cas il ne s'agit pas du tout
a péri- phérie. Cette progression graduelle est remarquable dans la forme chronique. Voici comment dans l'ordre suivant
u- devant'de ces gauchissements il y a plusieurs replis serpenti- formes d'une excessive minceur; en d'autres points le cy
pliées mais elles se décomposent. S'agit-il d'une cellule actini- forme , elle devient malle et prend un aspect grenu, ses
la cause fondamentale de leur métamorphose. . ! Ce qui distinguera forme subaiguë, de la forme chronique, c'est que dans
de leur métamorphose. . ! Ce qui distinguera forme subaiguë, de la forme chronique, c'est que dans la première l'infiltr
Sléchochromes. La partie constituante colorée de la cel- lule a la forme de raies ayant 'la même direction. 1. Type des
er ce travail qui ne saurait être résumé, étant présenté sous une forme déjà très concise et ne contenant que des faits p
il faut s'arrêter quoiqu'elle ne soit pas à l'abri de l'erreur. Les formes calmes de la maladie peuvent, en effet, parfait
vaient pris des métiers européens. Ils présentaient presque tous la forme classique de la paralysie générale, la forme ma
taient presque tous la forme classique de la paralysie générale, la forme maniaque. L'origine urbaine ou rurale des ma- l
e prend la place de l'eau- de-vie et des liqueurs. Il n'y a pas une forme unique de delirium tre- mens. Il existe des var
cHAu (de Stettin). De l'influence de la race sur la fréquence cl la forme des maladies mentales et nerveuses. 4 Dans le gro
race mongole se distingue surtout par la fréquence des psychoses à forme d'exaltation : accès de fureur chez les Sa- moy
ées chez les femmes étaient la paranoïa chronique (17 cas), la même forme avec affaiblissement intellectuel (40), la déme
olie communiquée : en raison de sa prédisposition héréditaire cette forme psychopathique a rapidement évolué vers l'affaibl
compagnée d'idées de grandeur. L'auteur croit devoir admettre trois formes spéciales du délire des persécutés-persécuteurs
e trois formes spéciales du délire des persécutés-persécuteurs : 1° forme typique (chez la femme) : apparition du délire
lequel la psychose se montrait chez le sujet contagionné sous une forme différente de celle observée chez le délirant act
mme atteint de moral insanity. Si pour accepter la réalité de cette forme , l'existence d'un certain degré de faiblesse in
terminaison de la paranoia. - Le professeur Kraipelin a décrit une forme particulière d'affaiblissement intel- lectuel d
e se développerait parfois dès la jeunesse, con- sécutivement à une forme de dépression accompagnée d'idées de persécutio
ions délirantes ne tardent pas à rétrocéder ; alors se manifeste la forme spéciale précédemment décrite carac- térisée pa
ions. L'auteur en a observé qui paraissent devoir rentrer dans la forme décrite par Krajpelin. Chez quelques-uns cependan
r des phrases complètement .incohérentes. C'est un exemple de cette forme de confusion verbale que Fovel a appelée « salade
passagère non accompagnée de diabète se ren- contre dans certaines formes d'aliénation mentale. Sa présence précède ou ac
ition. J2cén.- Même traitement. Les spasmes se produisent sous la forme d'un nouveau cri c pia D qu'elle accompagne d'un
e, sait mettre au pluriel les noms et les adjectifs, les notions de forme se précisent dans son esprit; dans les travaux
paralysies, amyotrophies, troubles de la sensibilité), présente une forme clinique bien définie. Il est essentiellement c
outeux mais pas funeste d'ordinaire. Il est grave et fatal dans les formes plus rapides et intenses, si la cause de la mal
ent débilité. Il est, au contraire, généralement favorable dans les formes chroniques alors que l'état général du patient es
ro- musculaire appartiennent, sans ou presque sans exception, aux formes subaiguës au chroniques des maladies infectieuses
PICCINI\0. (annale di neu- 1'olo(jia, fasc. VI, 1894.) Parmi les formes psychopathiques qui simulent le délire aigu et
nt toujours rencontré dans les cas observés jusqu'ici. Il y a des formes de délire sensoriel aigu qui peuvent s'accom- p
le qu'au moyen de l'examen bactériologique du sang. Dans les autres formes de délire aigu et de manie grave, l'examen bact
isolés et en grande abondance révèle un rapport biologiqne entre la forme clinique et leur présence dans le sang, en ce s
e. Les résultats bactériologiques, trouvés dans toutes les autres formes de délire sensoriel qui ressemblent au véritable
rit par Hianchi, mais d'autres variétés de microorgauismes; car ces formes de délire aigu sensoriel et de manie grave sont
xystiques. Les accès circumcursifs ne conservent pas toujours cette forme ; on ne peut savoir s'ils provoquent plus tôt que
démence. Les phénomènes rotaloires peuvent aussi se présenter sous forme d'aura ou d'accès. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
tation est très variable. Les accès ne gardent pas toujours la même forme et sont souvent remplacés par des accès de form
toujours la même forme et sont souvent remplacés par des accès de forme équivalente. Rien de précis sur leur influence au
s aliénés, au moment d'une rechute, quelle que soit d'ail- leurs la forme clinique de la psychose, seuls, à l'insu de tous,
coolique. Les troubles psychiques furent les premiers en date, sous forme d'affaiblissement de l'activité intellectuelle,
r développer l'aliénation mentale mais encore pour en déterminer la forme particulière, suivant qu'ils sont exagérés, aff
athologiques qui caractérisent non seulement la folie mais aussi la forme spéciale du délire. C'est ainsi qu'à côté des
ainsi qu'à côté des folies mentales et impulsives et de cer- taines formes de délire systématisé à caractère affectif, les t
troubles de la personnalité pourraient de leur côté constituer une forme principale d'aliénation mentale. Si la classi
enir plus grand compte, lorsqu'il s'agit de déterminer nettement la forme particulière que revêt l'affection mentale. (An
ssi de provoquer des troubles mentaux chez des sujets adultes. La forme de folie observée a élé dans un cas un délire mél
ch; que ce tableau de la maladie de Friedreich même circonscrit aux formes absolument spinales, correspond précisément au
u cervelet; qu'anatomiquement on ne peut méconnaître l'existence de formes essentiellement spinales et de formes cérébelle
ut méconnaître l'existence de formes essentiellement spinales et de formes cérébelleuses et spinales. J. SGL.15. L1V.SUR L
rvée, qu'il n'est pas rare de constater dans certaines psychoses, à forme de confusion et de per- plexité, des manifestat
euse. Au stade terminal les éléments cellulaires avaient perdu leur forme extérieure normale et se présentaient sous la f
ient perdu leur forme extérieure normale et se présentaient sous la forme de corps polygonaux ou arrondis. Le noyau n'ava
ieurement in extenso. M. Wernicke (de Breslau). Sur les psychoses à forme anxieuse. z La clinique exisie la description d
a clinique exisie la description d'un groupe spécial de psychoses à forme anxieuse : dans ce cas le symptôme dominant est l
tantôt de simples conceptions, tantôt elles se manifestent sous la forme d'hallucinations auditives. Le contenu de ces d
ncolie avec agita- tion doit rentrer dans le groupe des psychoses à forme anxieuse, et n'a rien à voir avec la mélancolie
les mani- festations motrices qui s'exagèrent; tantôt la psychose à forme anxieuse n'est que le premier stade d'une autre
la psychose à forme anxieuse n'est que le premier stade d'une autre forme clinique qui se greffe sur la première au cours
agnostic différentiel doit être fait avec : 1° l'hallucinose aiguë, forme assez vosine de la psychose anxieuse et ayant é
favorable. Les hallucinations et l'anxiété paraissent, dans cette forme clinique, être dans un rapport de dépendance inve
les Grecs ont pu s'enivrer; mais ils n'ont pas l'alcoolisme sou= sa forme moderne, la plus pernicieuse de toutes. En somm
des aliénés, par Mirto, 470. Crétinisme. Influence du - sur la forme des cavités nasales par Allen, 313. Criminell
lies somatiques les plus importantes dans la-, par Kaes, 35. -, à forme tabétique par Jo11roy, 46. Sur la période de
rre, Régis, Gliristian, - 220. Glycosurie et -, par Toy, 426. - à forme anxieuse, par Wernicke, 482. J'L PILLAIRE. Di
37 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
l'an passé, nous avons faites ensemble re- lativement aux diverses formes de l'aphasie. L'un de ces malades présente un e
IE DE 'LA SALPÊTRIÈRE sée par des gestes, le calcul sous toutes ses formes et enfin la musique. Physiologiquement les anal
arfaitement les caractères de l'imprimerie, les lettres groupées sous forme de mots, il ne peut pas les déchiffrer, les com
récède, l'affection dont il s'agit chez notre malade. C'est une des formes de la migraine assez vulgairement connue sous le
nt que les engourdissements des membres et de la face, les diverses formes d'aphasie, viennent se surajouter aux symptômes
ils disparaîtront pour reve- 'nir vraisemblablement plus lard sous forme d'accès. Il n'en est rien en effet, nous savons
taques dites congestives. Les attaques congestives dans certaines formes reviennent, on le sail, par accès, ainsi que qu
on comprend l'apparition de la fausse migraine olllltlmlmiclne sous forme d'accès, dans le cours de cette maladie redouta
and elle se . MIGRAINE 0P11TUALMIQUE ET APHASIE 9 montre dans ses formes légères, mais encore, quand dans quelques-uns de
bois Raymond reprise par Latham pour expliquer. sans distinction de forme les phénomènes de la migraine, 10 NOUVELLE ICON
lésion pourra produire si- multanément l'hémiopie, le scotome, les formes variées de l'aphasie, les troubles moteurs ou d
desnerfs vaso-moteurs sylviens est mise en jeu périodiquement sous forme d'accès ; 1 2° Pourquoi telle artériole est aff
naissance avant terme. Cependant cette faiblesse persista sous une forme un peu particulière. Alors que les fonctions di
l'affection est également manifeste. \ DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE '> PAR - A. JOFFROY, PROFESSEU
les aliénés, Paris, 9 82G, p. 2 : jO. ' DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 31 C'est vers la même époque (1857-18
alysie générale se rapportent à l'une des DE LA PARALYSIE GÉNÉRÉE A FORME TABÉTIQUE , 33 formes spinales de la paralysie
ortent à l'une des DE LA PARALYSIE GÉNÉRÉE A FORME TABÉTIQUE , 33 formes spinales de la paralysie générale. En particulier
ée de 5 il 10 minutes pendant lesquelles DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 35 l'impossibilité de parler était co
ntermédiaire sont épaissis et fibreux. . DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 37 Le faisceau pyramidal croisé, surt
' Editeurs, a Paris IMP MONROCO a iarm s DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 39 des cornes postérieures et de la c
lysie générale peut débuter par des symptômes spi- naux revêtant la forme tabétique à ce point qu'on ne peut alors la disti
sin représente ici l'appareil dans sa grandeur naturelle. Il est de forme cylindrique, long de 10 centimètres. A son extrém
on aura un vingtième de millimètre etc. Le bout de 1 aiguille a une forme conique, dont la base et la hauteur sont égales
ut augmenter la force de pression. D'un autre côté, par suite de la forme conique de l'aiguille, sont irrités non seulement
t viennent à l'appui de cette opinion (2). .... x La fusion des formes corporelles de l'homme avec celles de la femme
eurs habiles assurément, mais avant tout soucieux de l'harmonie des formes . Aussi, les archéologues se sont-ils ralliés po
qui par ses attributs sexuels mérite d'être appelé homme, aura les formes corporelles propres au sexe féminin. Tel autre
r le ciseau ou le pinceau d'un artiste, quelqu'épris qu'il soit des formes natu- relles. Ce sont des monstres, et aucun d'
nature mit un jour sous les yeux d'un artiste de talent, et où les formes de la femme se trouvaient harmonieusement confo
corps : les hanches, les fesses, les cuisses et les extrémités. La forme en est infan- tile, mais se rapproche aussi du
Fischbein (III, 21). V. Fig. 3 (1). Plus rarement, il s'agit d'une forme mâle aux muscles accentués, aux hanches étroite
emarques précédentes sont ap- plicables. L'analyse méthodique des formes et leur comparaison avec les exem- ples de fémi
le, située il la région sacrée gauche, près de la ligne médiane, de forme losan- gique, mesurant 4 centimètres en longueu
udescence, j'aura épuisé rémunération des symptômes dont la réunion forme un ensemble assez caractéristique pour nous con
du côté gauche, près; de la ligne médiane du sa- crum, eschare, de forme irrégulière, de la' grandeur d'une pièce de Nou
agnostic différentiel des affections de la queue de cheval avec une forme spéciale de sciatique compliquée, con- sécutive
fessière, toutes manifestations qui font défaut dans les différentes formes de sciatiqués. Le mal de Pott lombo-sacré s'a
longtemps, et dont il ne reste plus aujourd'hui que des traces sous forme d'une monoplégie atro- phique. Les névrites p
deux premiers malades. Voici par exemple un homme qui présente une forme particulière de polynévrite, d'origine indiscutab
je crois vous avoir convaincu, qu'il est facile de distinguer cette forme de polynévrite des affections de la queue de ch
polynévrite des affections de la queue de cheval. Il est une autre forme de névrite à marche progressive qui, à une phase
tomatique présenté par notre première malade. Je veux parler de la forme d'amyotrophie connue sous le nom de type Charco
région sacrée ; c'est plus qu'il n'en faut pour différencier celte forme de myélite des affections de la queue de cheval
épaisseur. Il a une longueur moyenne de 10 millimè- lres; mais sa forme est quelquefois effilée, et sa longueur atteint
, le cône terminal se prolonge jusqu'au sommet du coc- cyx, sous la forme d'un cordon mince, le filament terminal (lilum te
s vous dire. Je constate donc simplement que l'électricité, sous la forme de la faradisation périphérique, de la galvanisat
ien a déjà entraîné à sa suite, des conséquences irréparables, sous forme d'une dégé- nérescence ascendante occupant une
mie ordinaire de cette affection y est très nettement esquissée et la forme à tumeur n'a pas échappé à cet observateur qui
ins que la description qu'il donne du sein hystérique sans tu- meur forme la plus communément observée du reste mérite d'êt
e aux cas où domine la simple congestion de l'organe. « C'est cette forme , dit-il, que Connard a étudiée sous le nom de s
t pas qu'elles soient hystériques. Si elles le sont, c'est sous une forme bien larvée et souvent sans autre symptôme que
anes du bassin. « J'ai observé, dit-il, un cas remarquable de cette forme de mastodynie chez une femme qui avait subi une
blanc, rosé, ou violet de l'oedème hys- térique. A côté de cette forme où le gonflement du sein est uniforme, il s'en
d'une peau aride, qui. collée sur ces os, en laissoit voir toute la forme ». De plus, « elle tombe de teins en tems dans
e avec fureur un coup de sabot dans le sein du côté gauche. Ce coup forme bientôt un abcès qui dégénère en cancer ». En
les soins d'un habile chirurgien, « le cancer s'ouvre en ulcère et forme ensuite une fistule sous l'aisselle par où s'ex
fection secondaire. ' ÉTUDES DE PHYSIOLOGIE MORPHOLOGIQUE DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT (1). PAR PAUL RICHER
s. Cet état se tra- duira nécessairement par une modification de la forme extérieure correspon- dante, et tout mouvement
spéciales qui varieront avec sa nature et son étendue. Ce sont ces formes qui intéressent particulièrement les artistes. La
connaissance n'importe pas moins aux médecins qu'aux artistes. v Forme DU muscle SUR LE vivant En dehors des états phy
férents dans lesquels il se trouve, le muscle, sur le vivant, a une forme propre qu'il importe de bien préciser, cette (1
icher, qui doit paraître prochainement à la libraire 0. Doin. DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 123 forme vivante ne dépe
ment à la libraire 0. Doin. DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 123 forme vivante ne dépend pas seulement du mode de struct
aux qui la doublent en certains points, ont pour effet d'altérer la forme du muscle lui-même, en y pro- duisant des dépre
ng, plus il se raccourcit, et plus l'opposition sera grande avec la forme de sa contraction et celle de son relâchement. Pa
y a encore un autre état physiologique, du muscle qui inllue sur la forme extérieure. Le muscle, tout on restant inactif,
ans un muscle distendu, et, dans ce cas, elle n'en modifie guère la forme qui reste surbaissée, mais avec une plus ferme ac
r la distention ; le raccourcissement se produit, et, avec lui, les formes de la contraction sur lesquelles nous avons insis
toujours accompagnée de l'allongement du muscle, est la cause d'une forme extérieure tout a fait différente de celle du rel
de raccourcissement et celle qui s'accompagne d'allongement, car les formes extérieures ne sont naturellement pas les mêmes
r le relief distinct des faisceaux secondaires qui le composent. La forme d'un muscle contracté et distendu participe à la
La forme d'un muscle contracté et distendu participe à la fois aux formes spécia- les à la contraction et à la distention
sceaux, dont il se compose, et par un relief des fibres char- DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 125 nues variable avec le
tient le membre immobile dans une position donnée. Cette dernière forme de la contraction a été appelée contraction stati
ion dynamique avec travail négatif des auteurs . ' Cette dernière forme delà contraction est d'un usage extrêmement fréqu
ogique, sous les mêmes, apparences que la contraction dynamique. La forme du muscle est la même dans les deux cas. Les
gnalées plus haut, c'est-à-dire avec une vitesse lente ou modérée, la forme d'un 'membre ne diffère pas sensiblement qu'il
2. Néanmoins, j'ai constaté d'une façon très nette, entre ces deux formes de la con- DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 12
taté d'une façon très nette, entre ces deux formes de la con- DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 127 traction musculaire,
accentuées et plus rares. En tout cas, l'opposition entre les deux formes de contraction est très nette, car elles existe
elle est la valeur de l'effort musculaire déployé dans ces diverses formes de la contraction. Malheureusement la solution du
. Eh bien, si je ne puis comparer directement entre elles ces trois formes de la contraction du biceps puisque j'ignore la
ne semble pas confirmer cet a -priori. J'ai dit, en effet, que les formes de la contraction frénatrice' étaient semblables
près; on trouve sur certaines de nos photographies, entre les' deux formes de la contraction une petite différence non pas
rme générale du muscle, mais dans le degré -d'accentuation de cette forme . Sur les deux photographies de la planche XVI (
Nous ajouterons ;què ces différences de valeur entre les diverses. formes de la contraction varient 'certainement avec la
UR LE BRAS. (Cliché A l.uudr.) L BATTAILLE ET C" ÉDITFURS DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 129 tendent à se rapproch
constances, les différences ne peuvent que s'accentuer entre les deux formes de la contraction dynamique. Nous pouvons don
. 5 et 6) sont parfaitement concluantes. Dans la flexion, le biceps forme un relief qui n'existe plus dans l'extension. J
en mouvement. Il en résulte qu'il n'est point toujours vrai que la forme d'un membre dilfère suivant le sens du mouvement.
nces, l'artiste ne saurait donner au membre qui se fléchit d'autres formes qu'à celui qui s'é- tend. Prenons, comme exem
antagonistes se contractent simultanément et due le mouvement DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 131 produit est la résult
inerte pendant que nous soule- vons son avant-bras jusqu'à ce qu'il forme un angle droit avec le bras, nous constatons qu
t très' rapi- dement, nous voyons' une opposition complète dans les formes .' suivant que le membre monte ou descend. S'il
t de la jambe en sens inverse, etc., etc... Dans tous les cas, la forme du membre en action ne changera guère quel que
nt par l'action d'autres muscles que la rotation en dedans. DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 135 Dans les mouvements l
les antagonistes sont manifestement re- lâchés. ' Dans ce cas, la forme du membre est telle qu'a la seule inspection on p
rte d'ictus qui n'est pas sans analogie avec les attaques apoplecli formes . N'est-ce pas ainsi que procèdent les liémorrha
ement bien portants et choisis pour des éludes de musculature et de forme extérieure. Ils sont tous compris entre 20 et 4
.' étendu sur toute la région et qui ne fait que se modeler sur les formes profondes. Entre les muscles spinaux et le gran
muscles spinaux et le grand dentelé, il existe un espace étroit, de forme triangulaire, ,'\ sommet dirigé en haut et en ded
es pas beaucoup plus heureux au point de vue de la régu- larité des formes et il est curieux de constater comment toutes les
tion hanchée. Le hanchement produit, en effet, une modification des formes du torse bien connue des artistes et ca- ractér
es modifications de texture qui rendent durables des changements de forme primitivement passagers. C'est ainsi que la sta
lié avec le système nerveux. La membrane épithétiate de la peau se forme des mêmes vésicules germinati- ves técoderl1liq
r. Parfois, chez un môme malade, l'anes- thésie affectai t diverses formes selon les parties du corps atteintes (III et IX).
que l'eczéma, du moins dans les cas cités plus haut, était une des formes si nombreuses esl variées de l'hystérie qui peu
ire place à une in- crustation superficielle et jaunâtre. - Cette forme définitive de l'éruption se présente sur la plupa
e Genève et qui figure dans sa collection de photo- graphies. Ces formes spéciales d'hémiplégie indiquent une lésion protu
ui est complètement déviée a gauche (voir planche). Le raphé médian forme une courbe à concavité tournée de ce Nou... ¡.O
que le cuivre est meilleur isolant, et se moulant plus facilement, forme un vêtement plus coquet. Le poids total de ce
été observés principalement sous forme de canitie, mais aussi sous forme d'alopécie (1). A la suite d'attaques d'hystérie,
ieure et à droite on voit 3 ou 4 plaques conglomérées, mais dont la forme circulaire est bien reconnaissable : sur la rég
organes génitaux mis à part, c'est toujours, à très peu près, la même forme corporelle : pas de seins, pas de poils, même t
s, issus de deux corps d'enfant morphologiquement identi- ques, les formes extérieures semblent nettement préétablies. Mai
t grandir, parfois même exagérément : mais il garde de l'enfant les formes extérieures comme aussi son état mental. Torse
lité du corps n'est plus la même. Le féminin participe à la fois des formes de la femme et de celles de l'homme, ou plus ex
ome morphologique caractérisé par la conservation chez l'adulte des formes ex- térieures de l'enfance, et la non-apparitio
chez les femmes maigres, le tissu adipeux des fesses et des flancs forme toujours un relief notable qui contri- bue à él
culisme. Le terme de Virilisme seraitpeut-étrepréfé- rable. Cette forme corporelle est caractérisée par l'adjonction des
est large, ainsi que les hanches. Les cuisses sont grasses, ont une forme fuselée et des lignes féminines ; les fesses sont
la partie correspondante du prépuce, où se trouve une cicatrice en forme d'étoile provenant de la circoncision rituelle;
i- vant : le gland dirigé en dehors des deux feuillets des bourses, forme la masse principale et simule assez bien les or
xplorer la plaie. Souvent aussi il a l'air d'extirper une tumeur de forme sphérique. Les personnages accessoires sont, so
migraines, les vertiges, les pertes de connnaissance, et toutes les formes du délire et de la folie, étaient attribuées à
pire en ce temps-la; on en voit autant de nos jours, sous d'autres formes . La crédulité et la fourberie humaines varient
du patient. La coupure est faite au lieu d'élection, la pierre a la forme voulue, l'opéré est ligotté selon les règles, l
ifformités accidentelles 'de chacun des estropiés ainsi que dans la forme des appareils, pilons, béquilles, etc. utilisés
a tétanie est une affection paroxystique sujette à récidives. De la forme bénigne ou moyenne, Trousseau (4) trace le tablea
-ci est étendue sur la cuisse et la cuisse sur le bassin ». Dans la forme grave, la contracture se généralise aux muscles d
t. Tétanie, 1886. (3) F. HA\MOND, Névrose convulsive et rythmique à forme de tétanie chez un homme de 32 ans. Progrès méd
du système nerveux central ; extirpation du corps thyroïde. Mais la forme essentielle, celle où les précédents facteurs é
laryngo-spasme comme, d'ailleurs, dans nombre d'observations de la forme grave de la tétanie. Certaines attaques de contra
sa thèse qu'une observation personnelle. Il n'est pas jusqu'à la forme épidémique de la tétanie (celle due aux (1) Zal
ontractures dites essentielles des extrémités ou tétanie dans leurs formes les plus bénignes et les plus graves ; 2° Que
époque de «ses premières règles qu'elle commença avoir des crises à forme tétanique ressemblant aux crises actuelles et pou
grossesse, il survint tous les dix jours des crises identiques comme forme et comme intensité aux précédentes. Enfin, la m
es (poudre de rhubarbe) et une cuillerée d'iodure de potassium sous forme d'une simple solution de sel marin. En outre pour
ter une tumeur imaginaire, il est certain qu'il s'est inspiré de la forme de celles, bien réelles, qu'on observe souvent
âce à l'intervention de l'habile physicien. Il y en a de toutes les formes et de toutes les tailles ; un sac demi ouvert d
r le mur, une étagère supportant des cruches et des vases de toutes formes . Un escalier conduit dans une autre pièce peu écl
Il est assis sur un fauteuil à dossier demi-circulaire et, pour la forme , on l'y a attaché avec des liens de paille. Mai
ont voulu ligurer ces tumeurs imaginaires se sont inspi- rés cle la forme des tumeurs véritables du cuir chevelu connues so
la commissure postérieure (Fig. 65). L'ensemble du foyer de myélite forme ainsi un fuseau allongé, plus effilé en bas qu'
nerveuses sont encore conservées, mais elles sont altérées dans leur forme ; leursprolongements sont peu nombreux et elles
l'hypothèse la plus probable, par la réunion de ces deux causes. La forme singulière du foyer, ses limites nettes et irré
res ; on le distingue facilement à l'oeil nu sur les cou- pes où il forme une large tache non colorée. La lésion commence
la 8e paire cervicale ; son étendue est très peu considérable, elle forme une petite bande transversale qui comprend la c
'occupe plus que la substance grise, dont elle dessine très bien la forme ; elle empiète un peu en arrière sur la substanc
urface de section sur la hauteur de 3 racines. Il faut remarquer sa forme en fuseau, la symétrie qu'affecte l'extrémité i
ulaires antérieur et postérieur; mais certains détails, tels que la forme plus ou moins régulièrement en secteur des portio
calibre égal, parfaitement arrondis ; quelques-uns pourtant ont une forme légèrement allongée, mais il est extrêmement rare
es-unes sont fortement infiltrées de cellules em- bryonnaires. La forme du foyer de myélite, les différents détails de st
isseaux. DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 345 D'autre part la forme particulière des lésions vasculaires, les lésions
Cette lésion est fort intéressante par son étendue inusitée, par sa forme rapide. Elle ressemble extérieurement d'une man
elle représente un type extrême de la série, variée à l'infini, des formes anatomiques et cliniques de cette affection. A
fications morphologiques apportées par la maladie de Parkinson à la forme extérieure du corps humain. Depuis le travail d
e est applicable à la majorité des cas. - - Nous ne parlons pas des formes hémiplégiques dans lesquelles une moi- tié du c
888, p. 213. (2) Voy. A. DU'CIL. Sur un cas de paralysie agitante à forme hémiplégique avec atti- tude anormale de la têt
pêtrière, 1880, p. 165. · (3) Voy. le remarquable travail sur les formes cliniques et le diagnostic de la mala- die de P
au centre d'articulation de la tête et du cou, une troisième ligne forme l'axe du cou. Le quatrième axe, celui de la têt
que la ligne brisée formée par la réunion de ces 3 dernières lignes forme deux an- gles obtus ouverts en avant. L'incli
Fic;. 11. Il ne faut pas oublier cependant que dans certai- nes formes cliniques des maladies de Parkinson, le tronc e
ôle véritablement soudée entre les deux épaules (1) ». Les autres formes de station sont très rarement réalisés par les Pa
endroit, la peau trop lâche retombe à la partie inférieure où elle forme , de chaque 370 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
es restes du tissu adipeux au- trefois si abondant en ce point. Ces formes sont la confirmation saisis- sante de la théori
out entier. Tous les muscles paraissent contractés. Ils offrent les formes spéciales caractéristiques de la contraction mu
ait autant de muscles distincts. A J'avant-bras, le long supinateur forme une saillie caractéristique. Ja- mais pour obte
tal normal le long supinateur entrer en contraction. La corde qu'il forme ici, acquiert presque l'importance d'un signe pat
étudier, tous les muscles y dessinant des saillies distinctes. Les formes du genou sont simples comme celles qui résulten
te contracture .soit, il l'instar de ce qui se passe dans certaines formes de contractures hystériques, dans- un état inst
emier de ces ouvrages, celui qui nous intéresse le plus directement forme , dans 1 édition originale écrite en latin, un p
Epidémie Skindisease (maladie de Savill), par T. D. SAvu.L, 48. Forme du corps en mouvement, par P. RICHEH, 14. Gan
par GILLES DE la TOURETTE et MARINESCO, 203. Paralysie générale à forme tabétique, par A. -10leFROY, 30. Paralysie bi
). Déviation de la colonne vertébrale chez les sujets sains, 158. Forme du corps en mouvement, 121. RICIIER (Paul) et H
Disease. Habitus extérieur, VII. - Coupes de la peau, V et VI. Formes du corps en mouvement. Flexion et extension de
rmante de Paget (Lésion mé- dullaire),XXXV. Paralysie générale ci forme tabétique (coupes de la moelle), IV. Paralysi
38 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
eux comprendre la pathogénie de l'affection. (1) James PAGEOT. On a forme of chi-onic inflam.of bones. Medic. chir. Society
esse tous les segments des doigts ; au niveau de l'index droit elle forme deux petits nodules du type Heberden, de chaque c
q chapitres principaux : Prédilection particulière pour le tibia et forme spéciale en « fourreau de lame de sa- bre » (6)
nière de voir. CuIPAULT a décrit une scoliose myxoedémateuse. Cette forme s'observe- rait surtout dans les cas de myxoedè
a vu la coexistence du syndrome de Basedow avec la scoliose sous la forme familiale et hérédi- taire et l'un de nous a vu
oliose des adolescents ainsi que d'autres cas de scoliose comme une forme d'ostéomalacie de la colonne vertébrale, on com
ade se croit enceinte (1). La sensibilité objective dans toutes ses formes a été retrouvée intacte partout. L'examen des r
onction- nelle du voile du palais. La sensibilité sous toutes ses formes demeure parfaitement intacte. A l'examen électr
palais ou du larynx. Notre cas ne peut être classé que dans une des formes d'amyotrophie myélopalhique. L'âge de la malade
par la malade, mais tous les autres symptômes sont négatifs. Toute forme de gliose de la moelle cervico-dorsale a un déb
s muscles du tronc et du cou et il est intéressant de voir dans ces formes , le trapèze envahi de bonne heure dans son chef
ulbaires. L'on sait à ce propos que certains auteurs ont décrit une forme bulbaire de la polyomyélite antérieure chro- ni
antérieures, et notre cas par conséquent doit être classé parmi les formes de la polyomyélite anté- rieure et non de la sc
Bien que à première vue l'on puisse croire que l'étiologie de cette forme morbide soit en rapport à un fait traumatique s
genre. On peut citer le cas de Vulpian (1) qui en 1869 a décrit une forme de polyomyélite chronique à début scapulo-humél
moelle cervicale. Après avoir démontré la nature et le siège de la forme myélopathique présentée par notre malade, il no
l de Cazenave (33) en 1835. Quelques années plus tard, de nouvelles formes de crampes profes- (1) Qu'il me soit permis de
potences, il ne nous semble pas devoir être généralisé à toutes les formes de névroses professionnelles. Sans doute il ser
lles. Sans doute il sera peut-être justement applicable à certaines formes de crampes professionnelles comme celles décrit
des muscles innervés par ce nerf, spasme offrant l'aspect d'une des formes de la crampe des écrivains. D'autres auteurs so
s au territoire atteint, due la plupart du temps à l'athérome, sous forme d'endartérite oblitérante (voir Arche. des mal.
m. médic, 15 février 1896), où il s'agissait d'une folie à dou- ble forme dans laquelle la période d'excitation était rempl
d'une crampe professionnelle avec un torticolis mental. Certaines formes de torticolis spasmodiques ont, à n'en point dout
écriture était impossible. La chorée de celle jeune fille était une forme de la chorée variable des dégénérés décrite par
d'envisager ces phénomènes en soi, ou de les ramener vers d'autres formes morbides. Dans le nombre, certains désordres, b
as seule à incriminer. Celles-là peuvent même exister, et sous leur forme la plus saisissante, en dehors des phénomènes q
un peu obtuse dans toute la moitié gauche du corps pour toutes ses formes : tact, douleur, température. Il y a aussi à re
eule la nécropsie pourrait nous révéler avec certi- tude ; c'est la forme de ce syndrome. Si l'ophtalmoplégie était seuleme
ie était seulement unilatérale droite, nous aurions affaire avec la forme connue d'hémiplé- gie pédonculaire dite aussi a
est juste- ment par cette particularité que notre cas constitue une forme à part de syndrome pédonculaire. TROIS OBSERV
mènes spasmodiques sont peu intenses, ils marchent de pair avec une forme hémiplégique qui n'est relativement pas grave p
re se fait en flexion. La sensibilité est normale dans toutes ses formes sur toute la surface du corps. Examens spécia
le diagnostic d'achondroplasie telle qu'elle a été décrite dans les formes complètes de l'adulte. La taille de notre nain
ion) nous donnera la preuve absolue de l'unicité de ces différentes formes . Nous ajouterons aussi qu'il nous manque toute
roplasie ait une tendance à se transmettre par l'hérédité, il ne se forme pas de races achondroplasiques pas plus qu'il ne
il ne se forme pas de races achondroplasiques pas plus qu'il ne se forme des races tuberculeuses ou des races syphilitique
quement comme une sclérose du cartilage de conjugaison, affecte une forme histologique plus souvent réalisée par les infe
ion des cartilages épyphysaires, quoique selon Variot, même dans la forme hypoplasique décrite par Kauffmann, la mé- dica
adiographique nous semblent parler en fa- veur de l'hypothèse d'une forme non encore décrite d'origine rachi tique ; cett
906. Rev. Neurol, 1907, p. 457. Dufour. Achondroplasie partielle, forme atypique. Nouvel. Icon. de la Salp., 1906, P. 1
e estime on doit tenir et ses propositions et sa terminologie. Elle forme une oeuvre si peu consistante et si peu positiv
le est modifiée par certaines substances : opium, alcool, chloro- . forme , etc. . Le fonctionnement de l'esprit'exige l'a
s rai- sonnements exceptionnels, il faut admettre qu'il est issu de formes ayant une structure moins compliquée, comme tou
écrétion ou de reproduction qui se sont développés entre temps. Il se forme alors pour unir ces différents rouages une cell
tations de la cause, comme étant la cause elle-même sous une nouvelle forme , lorsque celle-ci est vivante et douée d'énergi
'orange par exemple, est représentée dans le cerveau sous autant de formes physiologiques différentes qu'elle est suscepti
qu'elle est susceptible d'impressionner d'organes des sens. Elle a sa forme visuelle, gustative, tactile et dont chacune co
es sensations différentes affectent.en même temps l'organisme, leur forme intérieure est une résultante de leurs~actions.
mettait des vibrations lumineuses, sonores, etc., c'est- à-dire des formes de l'énergie qui constituent l'équivalent et qui,
quiert les propriétés de ses excitants dont elle devient ainsi, une forme organisée et vivante. Le seul fait que le monde
ante. Le seul fait que le monde extérieur se ramène pour nous à des formes de l'énergie établit sur une base d'une valeur
, les coutumes, les rites vont atteindre la substance nerveuse sous forme d'équivalents mécaniques et s'y transformer en
analogue chez un de nos malades, atteint de crampe des écrivains à forme spasmodique, et dont voici l'histoire : Observa
certain nombre de types cliniques : Duchenne, Zuber admettent deux formes : spasmodique et pa1'al ! Jti- que. Jaccoud dis
LÉPINAY mes).Avec Benediktnous décrirons trois types cliniques : la forme spas- modique, la forme paralytique, et la form
ktnous décrirons trois types cliniques : la forme spas- modique, la forme paralytique, et la forme trémulente ; ces trois f
pes cliniques : la forme spas- modique, la forme paralytique, et la forme trémulente ; ces trois for- pies peuvent d'aill
nsité est quelquefois telle que certains auteurs ont pu décrire une forme névralgique de la crampe des écrivains ; mais cel
crire une forme névralgique de la crampe des écrivains ; mais celte forme surtout isolée, sans contractions spasmodiques, e
it en l'air sans qu'ils pussent s'y opposer. , En résumé, dans la forme spasmodique de la crampe des écrivains, tous le
fréquentes ». Les caractères graphologiques de l'écriture, dans la forme spasmodi- que de la crampe des écrivains, sont
u percé par le bec de la plume. Nous allons, avant de quitter cette forme , en donner une description tant au point de vue
a plume ; au crayon le malade pouvait Fia. 2, Crampe des écrivains. Forme spasmodique. ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNE
autres doigts. 202 MACÉ DE LÉPINAY B. Forme paralytique. Cette forme a été décrite pour la première fois par Duchenne
re, on voyait disparaître cette impo- tence passagère. Souvent la forme paralytique de la crampe des écrivains se combine
ent la forme paralytique de la crampe des écrivains se combine à la forme spasmodique ; il y a dès lors paralysie des doigt
jours dans le même ordre (fig. 3). Fio. 3. Crampe des écrivains. Forme paralylico-spasmodique. 204 MACÉ DE LÉPINAY E
is quatorze ans suppléer à la main droite par la ,main gauche. C. Forme TRéMULANTE. Cazenave (33), en 1846 et 1852, a b
e la paralysie générale, de l'éthylisme, de la sénilité, etc. Cette forme de tremblement exclusivement limité à l'acte d'éc
e Oppenheim, Remak l'admettent. Humble (79), de son côté, l'appelle forme trépidente. Nous avons eu l'occasion, à la Salp
it être abandonnée (fig. 4). Mu 14 Fm, 4. Crampe des écrivains. Forme trémulente. 206 - MACÉ DE LÉPINAY Le tremblem
e depuis cette époque. La crampe des écrivains, quelle que' soit sa forme , suit une marche généralement progressive, dans
aggravation. Sa durée est tout à fait indéterminée, et dépend de la forme , du terrain sur lequel elle évolue, de sa cause
es trop marquées, peut guérir, et guérit en effet bien souvent. Les formes douloureuses, les crampes avec mou- vements ass
ment limité à l'acte d'écrire, on élimine la crampe des écrivains à forme trémulente, et l'on porte le diagnostic de chor
il ne faut point prendre pour une crampe des écrivains certai- nes formes de dysgraphie qui peuvent être dues soit à une fo
it la crampe des écri- vains, et pouvant ainsi occasionner soit une forme spasmodique,soit une forme paralytique. Remak d
s, et pouvant ainsi occasionner soit une forme spasmodique,soit une forme paralytique. Remak dit que les douleurs névralgiq
trait) ; cette der- nière lettre renversée (1 trait, 2 points) qui forme le D se faisait mieux, mais cependant avec préc
Le surmenage pro- fessionnel agit sans aucun doute, mais dans cette forme comme dans les autres névroses d'occupation, il
as, à tel point qu'elle devait quitter le piano. Quelle que soit sa forme celle névrose, comme toutes ses congénères, ces
n voulu nous communiquer une observation de crampe des pianistes, à forme névralgique : 216 11f ACF DE LÉPINAY Observat
fet plus souvent atteinte que la droite. On peut rencontrer soit la forme spastique, soit la forme douloureuse. Berger ci
que la droite. On peut rencontrer soit la forme spastique, soit la forme douloureuse. Berger cite par exemple un violoni
Il serait donc possible qu'exceptionnellement l'hystérie revêtît la forme élective des 2 6 MACÉ DE LÉPINAY crampes prof
a diaphyse que les modifications apparaissent le plus nettement. La forme de l'extré- mité inférieure de l'os est arrondi
le voit d'habitude, est très obtus, l'os adulte rappelant ainsi la forme de l'os infantile. La limitation entre diaphyse
mince, à une véritable tranche d'os. Tibia. Les modifications de forme sont aussi des plus nettes ; au lieu d'un plate
ieux d'aspect grisâtre et uniforme. La rotule n'est pas isolable et forme avec le reste de l'os une masse compacte dans l
le milieu de la masse du triceps des épaississements musculaires en forme de boules de la grosseur d'une petite mandarine p
r toute l'extrémité inférieure de l'os; de plus, la modification de forme est nettement caractérisée par la diminution de
ransparence plus grande) ; 2° Les os subissent des modifications de forme . 238 MERLE ET RAULOT Les modifications du pre
tes,, qui peuvent passer inaperçues du malade. Les altérations de forme consistent dans : L'amincissement des diaphyses
Le cou est amaigri, il a 26 centimètres de tour. Thorax amaigri, sa forme générale est en barillet. Au niveau des aisselles
rquée à droite. MYOPATHIE GEI'IÉRAL1SÉE 247 On ne retrouve pas la forme normale du deltoïde. Les omoplates ne se détach
n'y a pas de contractures, de tremblements, de mouvements athétosi- formes . Le malade écrit mais en traînant un peu la mai
rs supérieurs, du brachial, du biceps très réduit de volume, et qui forme une corde dure et tendue, que l'on arrive à pal
pseudo-hypertrophie siège : «) à l'insertion du V deltoïdien, sous la forme d'une masse indurée, arrondie, non mobilisable
comme repliées sur elles-mê- mes, dans son ensemble le thorax a une forme oblique ovalaire. L'ensel- lure lombaire a disp
dernières années on a publié successivement plusieurs cas de cette forme morbide qui, toutefois, ne cesse pas d'être trop
ans, il fut atteint d'une fièvre typhoïde qui se manifesta sous une forme bénigne, ne dura pas plus de 4 semaines et guér
avait été obligé de lui confectionner ses, chapeaux melons avec une forme par- ticulière. Pendant que toutes ces altéra
de suite la dimension exagérée de la tète qui se présente sous une forme plutôt oxycéphalique et qui semble avoir pris u
effilé et dévié à gauche, la bouche est mince et le menton aigu a la forme caractéristique des mentons des vieillards éden
hement sénile (PI. XXXI). La tête du malade dans son ensemble a une forme particulière ; très déve- loppée vers le haut p
e 20 centimètres. Cet écartement des membres inférieurs rappelle la forme d'une ellipse. Par leur incurvation antérieure
. La sensibilité objective du malade a été examinée sous toutes ses formes : les sensibilités : tactile, douloureuse, ther
formations thoraci- ques, celles des membres inférieurs, jusqu'à la forme caractéristique du ventre en bissac (V. la plan
aris le 5 novembre 1908, sur un cas de mala- die osseuse de Paget à forme unilatérale. L'observation des auteurs est la p
dit plus haut, il s'agissait d'un cas de maladie osseuse de Paget à forme unilatérale et à ce propos les deux auteurs rel
v. Iconographie de la Salpêtrière, 1901, no 6. (2) Rapin, Sur une forme d'hypertrophie des membres [dystrophie conjonctiv
ui lui disent qu'elle est sale, malpropre, etc. L'oedème des jambes forme un bourrelet de deux centimètres environ au niv
; chaque partie comprise entre les articulations des doigts de pied forme un bourrelet; le dos du pied présente l'aspect d'
enne et augmente progressivement jusqu'à la partie inférieure où il forme un très gros bourrelet venant recouvrir comme une
e dystrophies dont le myxoedème et le trophoedème de Meige sont les formes les plus tranchées. Entre ces deux affections, il
tranchées. Entre ces deux affections, il existe toute une série de formes intermédiaires différant plus ou moins par leur
les de la main, atrophie qui rappelle d'une manière surprenante une forme très rare de l'atrophie locale hystérique et qu
s professionnelles. 2° L'électricité a été utilisée sous toutes ses formes ; elle est loin d'avoir donné, même en des main
d'application de 3 minutes, deux fois par semaine environ. Dans la forme trémulente et paralytique de la crampe des écri
ébrale ; le pôle négatif sur les muscles et nerfs affectés. Dans la forme spasmodique, l'anode est au contraire utilisée co
ion sédative sur le système nerveux. 30 Le massage, sous toutes ses formes , a donné des résultats plus constants. Ceders
muscles et des nerfs malades ». Ainsi le massage, sous toutes ses formes , peut rendre les plus grands services dans le t
fois de crampe des forgerons. Presque lous ces malades avaient des formes spasmodiques et doulou- reuses de dyskinésies f
ducation méthodique de Kouindjy. luc. 10. Crampe des écrivains ic forme paralytique, avant et après le traitement. 306
s, il faut tenir compte du terrain, de la docilité du malade, de la forme et de l'ancien- neté de la névrose. Il faut e
e à la première menace de récidive. FIG. 11. Crampe des écrivains à forme spasmodique, avant el après le traitement. ÉTUD
e des névroses d'occupation. On peut en décrire trois variétés : La forme spasmodique ; ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONN
rme spasmodique ; ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 319 H La forme paralytique ; La forme trémulente. Ces trois
SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 319 H La forme paralytique ; La forme trémulente. Ces trois variétés peuvent d'ailleu
l'imbrication des côtes. Ce cancer pleural se présente donc sous la forme d'une véritable coque fibrocancéreuse, avec des n
, les lésions de sclérose ancienne prédominent. Le tissu conjonctif forme des alvéoles dans lesquelles sont groupées des
4 centimètres de hauteur, 3 d'épaisseur, 2 cent. 1/2 de largeur, de forme ovoïde, à plus grosse extrémité inférieure, se tr
ules embryonnaires. Les cellules néoplasiques se présentent sous la forme de franges très ser- rées les unes contre les a
ante. La portion inférieure de cette tumeur a dans son ensemble une forme semi-circulaire, englobant les pédoncules céréb
pied droit. Seule, la persistance de la sensibilité sous toutes ses formes aux membres infé- rieurs et l'existence de vive
nt quelques segments myélini- ques en en respectant d'autres. Cette forme de névrite a été étudiée et décrite par GOÜBAUL
l devient beaucoup plus difficile d'expliquer par cette théorie des formes de névrites telles que la névrite segmentaire juv
u des thromboses, celles-ci atteignant les petits vaisseaux dans la forme vaso-pa- ralytique de Gilbert et Lion. Mais, co
lle présente les lésions d'une myélite syphilitique aiguë, sous une forme qui montre bien les difficultés de l'interpréta
issure, respectants, par places seulement, une mince bande, dont la forme et les dimensions varient d'un niveau à l'autre,
aisceau ; un coup d'oeil jeté sur nos photogra- phies montre que la forme et l'étendue de la région démyélinisée, d'une i
avons-nous dit; d'ail- leurs, la multiplicité et les variations de forme et d'étendue des foyers montrent bien que leur
en nombre suffisant pour expliquer l'étendue de la nécrose, dont la forme irrégulière en carte de géographie 372 ALQUIER.
donnant lieu à de petites hémorragies mi- nimes. S'agit-il là de la forme vaso-paralytique dont nous parlions en , commen
eaux san- guins était infiniment plus considérable et cependant, la forme irrégu- lière, le mode de répartition des lésio
ux des nerfs crâniens. Medin établit une distinction entre quelques formes de la maladie, d'après l'extension et la locali
lésions anatomiques et Wickman a encore ajouté un certain nombre de formes nouvelles. Nous y reviendrons. Si nous essayons
férentes delà maladie doit-on admettre ? Faut-il admettre comme une forme spéciale de la maladie la poliomyélite de l'adult
di- ques et des cas épidémiques ? En quel sens faut-il admettre une forme ou des formes encéphaliques de la maladie ? J'e
es cas épidémiques ? En quel sens faut-il admettre une forme ou des formes encéphaliques de la maladie ? J'examinerai, en ou
chidien. Nous leur devons les méthodes qui permettent d'étudier lès formes différentes des élé- ments cellulaires dans le
aucoup d'égards forment un groupe spécial, et aussi un cas avec une forme unique de paralysie persistante des muscles abdom
d'une paralysie des muscles ab- dominaux, pour donner une idée des formes différentes sous lesquelles ces troubles se pré
e) du diaphragme. Comme on le voit, nous avons un certain nombre de formes différentes de paralysie des muscles abdominaux
ne parésie des muscles du dos, qui sont les extenseurs du tronc. La forme de paralysie des muscles abdominaux que l'on obse
proéminence qui est plus prononcée à droite et qui a ici presque la forme d'une hernie. Cette conséquence des paralysies
les du côté des membres inférieurs apparaissaient par périodes sous forme de crises et la mère de la malade a observé que p
de 36 grammes. Son aspect apparaît alors plus nettement : elle a-la forme d'un fer à cheval, constituée par deux parties
libres musculaires (fig. 1), ces cellules- apparaissent moins sous forme d'amas que sous forme d'une infiltration diffuse
ig. 1), ces cellules- apparaissent moins sous forme d'amas que sous forme d'une infiltration diffuse d'éléments cellu- la
phérie. La capsule est épaissie et le tissu conjonctif interacineux forme en certains points des bandes qui accompagnent
r un point de leur paroi une prolifération de leurs cellules. Il se forme ainsi une sorte d'éepron qui pénètre dans la cavi
etites vésicules, réunies par une coque conjonc- tive commune. Leur forme montre clairement qu'elles résultent de divisions
ont loin d'avoir l'aspect « en battoirs », les doigts sont élargis en forme de boudins ; seuls les médius sont épais et car
volumineux et mesurent 7 cent. 5 de long ; l'extré- mité libre, de forme carrée à gauche, est arrondie à droite, où la 2*
rrée à gauche, est arrondie à droite, où la 2* phalange rappelle la forme d'un bulbe d'oignon ; le 2c orteil droit présente
it présente une coufigura- tion analogue. L'extrémité des orteils forme dans son ensemble une ligne fortement oblique e
lazzi ne présente aucun délire systématisé, ni aucun symptôme d'une forme quelconque d'aliénation mentale. Il est en somm
marche est simplement traînant. Sensibilité. L'examen de toutes les formes de sensibilité superficielle et profonde ne dém
icielle et profonde ne démontre aucun trouble déterminé. Toutes les formes de sensibilité apparaissent légèrement émoussée
ui n'ont jamais été décrites dans le gigantisme, quoique dans cette forme on ait trouvé assez souvent des tares congénita
en même temps nous voyons la présence d'ostéophytes, d'exostoses à forme d'éperon, d'épines osseuses anormales. Ces exos
la face que des extrémités : ce caractère aussi est commun aux deux formes . Tous les caractères que nous avons relevé chez
apillomaleuses, ou autres, voire même ces taches rouge vif, poncti- formes , qui apparaissent tardivement chez les sujets scl
? 1 4j 7 intra-utérine. Notre interprétation nerveuse de certaines formes de naevi nous permet donc de préciser la date v
au développement même de la peau. On sait que la surface cutanée se forme par la coalescence d'îlots nés chacun séparément
etite tache brunâtre, de la grosseur d'une pièce de deux francs, de forme oblongue, qui siège à deux travers de doigt au-de
ite tache brunâtre à contours irréguliers, analogue de volume et de forme à la première; elle siège à cinq travers de doi
olli. Il porte des naevi sur la région ab- dominale. Le premier, de forme quadrilatère, siège sur la face antérieure de l
i on pense que le naevus, affection congénitale, tra- duit, dans sa forme radiculo-métamérique, un processus toxi-infectieu
pas que ces racines ou ces cellules n'aient pas été lésées sous une forme ou sous une autre à un moment donné. Il y a des
vertébrale. Osipoff et toute l'école de Bechterew distinguent deux formes de la maladie et soulignent l'origine nerveuse de
ortant aux deux types de la maladie et lorsqu'on aura découvert des formes intermédiaires, car, en réalité, le tableau cli
t brun ferrugineux. Ce pig- ment est tantôt intracellulaire, tantôt forme de petits amas libres. La plupart des cellules
'un cercle. En l'examinant par sa partie antérieure on voit qu'elle forme uue légère sco- liose à gauche dans la région d
, et aplaties d'avant en arrière. Elles ont complètement perdu leur forme demi-circulaire, sont plates et, confondues tou
ment et à gauche par une bande de tissu osseux qui se présente sous forme d'un ligament, d'aspect plus blanc que le reste d
lésions histologiques, Peut-on penser dans notre cas à une autre forme de polyarthrite, à l'arthrite déformante ? Nous
UDNEW de Bechterew et la spondylose rhizomélique de Marie comme des formes « neuropathiques », c'est-à-dire dépendant de c
ant de causes nerveuses. Pourquoi considérer ces maladies comme des formes neuropathiques ? ' ? Est-ce que la mollesse des
tomo- pathologiste). Les corps des vertèbres sont atrophiés et leur forme est modifiée : les vertèbres dorsales dessinent
rouve qu'un processus hyperplaslique qui peutse présenter sous deux formes (Braun).Dans la première, les corps des vertèbr
cas se rapproche par son tableau clinique et par l'étiologie de la forme deBechterew. Quelques auteurs ont exprimé l'idé
e etsyphilis. Nous considérerons notre cas comme appartenant il une forme intermé- diaire à celle de Bechterew et à celle
ière de voir. Quelques auteurs ont déjà exprimé l'idée que ces deux formes ne sont que des variétés d'une même affection, ma
innervée par le médian, il y avait des troubles de sensibilité sous forme d'hypoesthésie au contact, à la douleur, aux vibr
i sur les membres infé- rieurs, aucun trouble objectif des diverses formes de la sensibilité. La parésie du nerf médian s'
ux environs de la région mamillaire; 3° Hypoesthésie aux diverses formes (Contact, douleur, chaud et froid, vi- brations
lent, avec des bords cutanés taillés à pic. L'examen des diverses formes de la sensibilité a donné à cette époque les ré
ibrations du diapason. A la main, partout hypoesthésie aux diverses formes très accentuées ; zones d'anesthésie sur le côt
baire. Destruction partielle de la première lombaire qui affecte la forme d'un coin. Apophyses épineuses, transverses, ar
trième et de la troisième lombaire, en partie détruites, affectant la forme de coins dont les bords tranchants se regardent
stantes. « Vertèbres dorsales et cervicales peu altérées dans leurs formes . Ce- 516 ROASENDA pendant soudure presque com
étendue où l'on note l'existence d'une ostéite proliférante. Cette forme est plus évidente au voisinage des articulations.
baires, les unes s'altèrent profondément dans leur structure et leur forme : des portions entières de vertèbres disparaiss
d'abord sur une de ses parties latérales et la vertèbre affecte la forme d'un cône : les faces supérieure et inférieure so
céda, de façon qu'elle aurait acquis, anatomo-palllologiquement, la forme de coin dont parle Abadie, dans le travail que
éo- formations, produites dans tous les sens, avaient à peu près la forme d'un manchon entourant la vertèbre la plus lésé
n effet, constaté que la sensibilité objective, dans ses di- verses formes , est, en général, beaucoup plus troublée sur le m
son ensemble, être grosse comme la moitié du poing et présenter la forme d'une calotte sphérique avec un diamètre un peu
i de gauche s'est cicatrisé ; celui de droite persiste avec la même forme et la même profondeur. A mon avis, ces faits, j
ouvoir entrevoir dès à présent comment un groupement particulier de formes analogues, qui pourraient constituer une variété
tiques, est chose possible à cause des nombreuses affinités que ces formes présentent entre elles. Je crois utile de rap
re général de la maladie, rapprochent plus ou moins le cas d'autres formes dystrophiques osseuses. Je passe de suite à l'exp
t où est tombé le malade. Les mandibules sont normales tant pour la forme que pour les di- mensions. Les dents, en partie
Tout à l'entour on n'observe pas de veines ectasiques. Le pied, de forme et dimensions normales, est tenu rapproché du t
e constant; en réalité il l'est si peu, que Jonckerai distingue une forme d'ostéite non douloureuse et une forme douloure
que Jonckerai distingue une forme d'ostéite non douloureuse et une forme douloureuse. Si la longue durée de l'affection
cie on peut rappeler sa rareté chez l'homme (il s'agirait ici d'une forme d'ostémalacie sénile), le manque absolu de dou-
e les déformations osseuses ont débuté chez Lippi à 43 ans ; or les formes de rachitisme tardif jusqu'à présent connues (Mie
rentiel de mon cas; il ne vaut pas la peine d'insister sur d'autres formes osseuses qui tiennent une place intermédiaire e
52). Le dernier est le mien ; comme je l'ai dit, il s'éloigne de la forme typique par son début, par des craquements arti
nd chi- rurgien anglais, -pour le rapprocher plus ou moins d'autres formes de dystrophie osseuse. C'est ainsi que Gilles
535 irrégulier de l'hypertrophie qui tend en général à exagérer les formes nor- males, et qui, avec un processus d'ostéite
l'absence de bacilles de Koch dans la sécrétion parlait contre une forme tubercu- leuse, tandis que la durée prolongée d
onstaté des améliorations, par périodes, permettaient d'exclure une forme néoplasique. De sorte que. malgré l'absence de
tibia Lanne- longue avec le tibia Paget, avons-nous entre les deux formes morbides une telle ressemblance de caractères,
emière. Restent les hyperostoses parfois énormes qui exagè- rent la forme et les déformations, qui accentuent les courbures
ros le résultat radiographique serait assez différent dans les deux formes morbides. Il en est de même, selon les données
sion héréditaire parfois similaire ou tout au moins en faveur d'une forme familiale d'ostéite déformante, parlent les obser
ncore la plus grande fréquence de la maladie en An- gleterre où les formes goutteuses sont certainement plus abondantes qu'e
ment dans la suite en ulcérations. Ces dernières sont en général de forme arrondie, à bords réguliers, taillés assez exac
droit, ainsi que le montre la photographie, l'ulcération revêt une forme à peu près circulaire. Son diamètre est de 2 cm.
a plaie du genou, la troisième enfin beaucoup plus considérable, de forme irrégulière, mesurant 10 centimètres de long sur
ès difficile, mais nous n'avons pas observé qu'il ait existé aucune forme typique de troubles respiratoires. En résumé, n
e semblent pas avoir une importance réelle ; en tout cas, c'est une forme de troubles respiratoires qui garde un intérêt
orte des observations où des troubles respiratoires ont apparu sous forme d'attaques qu'il regarde comme un symptôme bulbai
ue. En traitant cette question, je veux attirer l'attention sur une forme tout à fait spéciale de trouble respiratoire qu
naissance d'une compression du bulbe. Nous avons fait connaître une forme de troubles respiratoires se rappor- tant au ce
e la respiration ar- tificielle. Sans doute, il y a encore d'autres formes de troubles respiratoires qui sont dues à un tr
type de Cheyne-Stokes). Mais la question de savoir s'il existe des formes de paralysie de la respiralion se rapportant à un
la respiralion se rapportant à une affection du bulbe autre que la forme décrite ci-dessus, et qui consiste en une para-
du collargol, soit dans une solution pour la- vements, soit sous la forme de l'onguent de Credé, mais je n'ose pas me pro
pour exécuter les mouvements quand le poids du membre (ou du tronc) forme un obstacle. Cette méthode consiste à faire prati
à traiter la question principale de ce chapitre : quelles sont les formes différentes de poliomyélite aiguë dont il faut ad
l'existence ? C'est surtout Medin qui a décrit un certain nombre de formes différentes de la paralysie infantile qui se ra
ystème nerveux, savoir, sauf la poliomyélite ordinaire spinale, une forme qu'il désigne comme polynévrite aiguë, une autre
de la chaux ; ce fait est peut-être en rapport avec la cause et la forme même de la maladie. Il est certain qu'après des
se trouve représenté un bateau à deux mats dont la coque épouse la forme de quelque oiseau fabuleux. Ses voiles sont gon
ent, J... ne recherche que les satisfactions sexuelles sous quelque forme qu'elles se présen- tent. Voué en quelque sorte
accentuées du côté gauche ; à droite on distingue encore un peu la forme des circonvolutions olivaires, le feutrage extrac
e fibres arciformes antéro-externes jusqu'au niveau du corps resti- forme ; il est un peu plus faible que du côté droit; de
re de la pro- tubérance annulaire, sur une coupe transversale, sous forme d'un foyer trian- gulaire à base inférieure de
ne dégénération des plus nettes, affectant à la région cervicale la forme d'une virgule renversée, étendue transversalement
rébelleuses, ainsi que M. I. Rossi l'a récemment montré (3) pour la forme ataxo-cérébello-spasmodi- que. D'après MM. De
; il ne resterait donc plus, au fond, que deux (1) CORDON HOLMES, A forme o/ familiale dégénération of the cerebellum. Brai
és de volume, au point d'atteindre les dimensions d'une orange. Les formes extérieures de ces organes étaient conservées d
ne sont pas extrêmement nombreux ; ils sont fort irréguliers comme forme , comme taille, comme disposition : tantôt arrondi
surface supérieure du cervelet on constate une tumeur kystique, de forme triangulaire, avec la base vers le corps calleux
es de granulations, de graisse et de formations -cristalloïdes sous forme d'aiguilles ou de plaques rhombiques.Ces masses
s, au con- traire, contiennent du colloïde, qui se présente sous la forme d'un bloc réfrin- gent ou de plusieurs boules n
sieurs boules non fusionnées ; il existe en outre des follicules de forme irrégulière et pleins de cellules épithéliales. L
, presque libre de lipochrome, où on ne voit ce dernier que sous la forme de rangées dissé- minées, qui se rencontrent qu
n effet, certaines dystrophies se rencontrent, presque sous la même forme , à la suite des altérations de glandes différente
ité. Un auteur anglais, Guthrie (3), dans une étude sur différentes formes de développement précoce, met l'obésité et l'hype
par le processus acromégalique. Ce fait est surtout évident dans la forme massive de Marie. Au point de vue de l'influenc
tue par un abondant tissu adipeux qui en remplit les interstices et forme comme une espèce de coussinet allongé qui est b
nt ne peut pas tenir la jambe sur la même ligne que la cuisse, mais forme avec celle-ci un angle et se plie d'autant plus
membres et la lenteur de l'évolution. On ne peut admettre aucune forme d'atrophie névritique (alcool, plomb) vu l'abse
a marche est relativement plus rapide et enfin parce que dans celte forme -ci le procès morbide se limite ordinairement aux
ell, etc.) ; d'autres, au contraire, voudraient identifier les deux formes (Bernhardt, Kohler, Dejerine, etc.). Certes, l'
t, Kohler, Dejerine, etc.). Certes, l'on ne peut nier qu'il y a des formes de passage comme par exemple le cas décrit par
exemple le cas décrit par Langer. En tout cas la parenté entre les formes de poliomyélite et l'atrophie musculaire spinal
si on se rappelle les étroits rapports pathogéniques entre les deux formes de paralysie infan- tile (Vizioli, Strümpell, e
qu'il s'agit de deux maladies bien différentes, se rapportant à des formes différentes d'infection, on pourrait expliquer le
omme je l'ai déjà dit, Medin considère la polynévrite comme une des formes de la paralysie infantile. J'indiquerai d'abord
e troubles de la sensibilité, surtout aux extrémités des mem- bres, forme , comme on l'admet généralement, une raison forte
ation au point de vue anatomique ou fonctionnel. Medin a décrit une forme de la paralysie infantile qu'il nomme ataxie ai
des raisons suffisantes pour désigner ces cas comme constituant une forme spéciale, la forme ataxique. A la suite des c
ntes pour désigner ces cas comme constituant une forme spéciale, la forme ataxique. A la suite des considérations exposée
cernant la poliomyélite aiguë. Pour la question de savoir quelles formes différentes de la maladie il faut admettre, j'a
la poliencéphalite, ni la polynévrite, ni l'alaxie aiguë comme des formes de la poliomyélite. Si nous regardons les résul
liomyélite, nous n'aurons pas de raisons suffisantes d'admettre des formes différentes de la maladie. Natu- rellement, nou
sie. Mais il ne me semble pas qu'on soit fondé à indiquer comme des formes différentes les cas où la paralysie a atteint par
m- ple 2 ou 4 membres. Il serait plus naturel de désigner comme une forme spéciale les cas où les noyaux du bulbe ou de l
ien considéré, je ne vois pas de raisons suffisantes d'en faire des formes spé- ciales de la maladie. Wickman a décrit c
aire des formes spé- ciales de la maladie. Wickman a décrit comme formes spéciales les cas où la paralysie a un type asc
i de parler des cas avec paralysie d'un type descendant comme d'une forme spéciale, parce que les cas de cette espèce sont
que.Je tire celle conclusion de ce qu'ont de si caractéristique, la forme du début de la maladie et la forme de la répart
qu'ont de si caractéristique, la forme du début de la maladie et la forme de la répartition des lésions anatomiques et enfi
, une preuve suffisante qu'il s'agit, dans tous les cas, de la même forme d'infection, c'est-à-dire d'une maladie* infect
des stapllylocoques ; Batten, des staphylocoques et encore d'autres formes de microorganismes). Les considérations ci-dess
électrisation localisée, Paris, 1872. 30. Duquennoy (P.). - Sur une forme à début douloureux de la paralysie infantile. T
, Paris, 1897. 83. Raymond et Sicard. Méningite cérébro-spinale à forme de paralysie infantile, cytodiagnostic, Rev. ne
e périostale. Toutefois (p. 32), ils consacrent quelques lignes aux formes partielles et citent l'observation de M. F. Regna
ètement ossifié (fig. 3). Le manubrium s'est peu développé. Il a la forme d'un coin dont la base serait dirigée vers la par
t des humérus achondro- (1) Sous le nom d'achondroplasie partielle, forme atypique, M. Dufour (Iconogra- phie de la Salpê
n de ces humérus, on voit qu'ils se rapprochent beaucoup plus de la forme normale que les humérus achon- droplasiques ; i
de l'énergie chimique passe dans la cellule où elle s'accumule sous forme d'énergie potentielle. La molécule vivante étan
endre actuelles les forces chimiques qui y préexis- taient sous une forme potentielle. Cette énergie chimique ainsi mise en
es séparer des autres phénomènes vitaux. La distinction est de pure forme . Cependant l'instinct présente un caractère absol
s 712 LEFÈVRE nouvelles ; les espèces anciennes évoluent vers des formes nouvelles dont la subsistance et la reproductio
smise par un nerf centripète, puis renvoyée à un organe moteur sous forme de réponse motrice. Dans l'action réflexe, la sen
ts. Reste une grave inconnue à dégager, celle de la vie. Comment se forme la matière organisée ? Certes, on s'explique l'
39 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntrôler au moins les données antérieu- rement acquises. Depuis les' formes légères du petit som- nambulisme, ce cadre path
ose à celui de la vésanie délirante. , L'occultisme sous toutes ses formes est de nos jours plus en faveur que jamais' au
t utile de rechercher les cas MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 3 de délire à forme médianimique et les cas d'aliénation sur- venan
s trois modalités différentes : n 1° Le délire vésanique revêt la forme médianimique, il constitue sous cette forme tou
lire vésanique revêt la forme médianimique, il constitue sous cette forme toute la maladie dont les éléments symptomatiqu
ou moins courte d'une psychose grave qui dans la suite revêtira une forme différente. Il peut être soit un épisode dans l
notre second malade serait un exemple. 3° Un délire vésanique de forme quelconque peut venir compliquer un cas de médi
fère, que les éléments d'un délire peuvent revêtir d'eux-mêmes la forme médianimique sans initiation spéciale et surtout
religieux . MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 9 du mot ne pouvait revêtir la forme concrète d'une voix. Soupçon- nant l'éventualit
in sont toutes dif- «féretites les unes des autres. Chacune d'elles forme un être « animé et ils sont tous pareils (sic).
Dans une réaction chi- a mique quandune couleur se produit, elle se forme par la « création de petits êtres infiniment pe
stique est très altéré. L'automatisme bat son plein sous toutes ses formes . La mémoire des faits actuels est fugace, le so
s voix inconnues, passagères et les a voix stridentes » revêtent la forme d'hallucinations auditives ordinaires, les voix
tout comme la grenouille se croyant « le boeuf ! » " . : .. z La forme et le fond, comme l'écriture de ces pensées cons-
e, c'est la carac- téristique des messages de certains jours. Cette forme parait être le mode intermédiaire entre les com
ausé première de l'arrêt de développe- ment des centres nerveux, le forme cranienne n'est-elle même que l'expression de c
les cas, l'étude du crâne qui en a été faite est démonstrative : la forme , la disposition des parties osseuses, la valeur
tan- dis que sur le côté opposé on constate la persistance de la forme foetale. Le renversement parfois complet est l'ex
sion pathologique. Ajoutons pour aider à la compréhension de ces formes : 1° Que sur un certain nombre de crânes ayant
LOGIQUE. 1, .espace retro-frontal où des proliférations osseuses en forme de lamelles constituaient une croissance osseus
ire sur les modifi- cations de la surface externe du crâne et de la forme géné- rale. Nous la ferons ultérieurement et da
elles que nous avons exposées à propos des os des membres'. '. La forme générale est peu transformée en raison des fai-
à l'état naturel' et après leur incision. Le crâne (fig. 13) a une forme régulière. En général, ceux qui mesurent les an
ment de l'un des hémisphères. En tout cas, si l'on conserve à cette forme le nom de plagio- céphalie, il faut, pour évite
eur eut l'idée de recourir à la jusquiame, qu'il administra sous la forme de bromhydrate d'hyoscine en injection sous-cut
le avec prédominance de troubles sensitifs (acrocyanose chronique à forme sensitive).- -20 La moda- lité avec atrophie (a
à forme sensitive).- -20 La moda- lité avec atrophie (acrocyanose à forme atrophique). 3° L'acro- cyanose avec augmentati
ation personnelle détaillée d'un cas se rapportant à cette dernière forme . R. C. XVIII. Un cas d'hémiatrophie faciale pro
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 57 Un cas de syphilis héréditaire tardive à forme cérébro- spinale ; par BICHON. (NOllV. Iconogl'
trouve dans l'observation publiée par l'auteur. G. C. \\VIII. Des formes anormales de la maladie de Parkinson; par M. Co
llet (Lyon médical, 1er février 1903, n° 5. Sans étudier toutes les formes anormales de la maladie de Parkinson, M. Collet
e les foi mes suivantes : 1° Maladie de Parkinson sans tremblement, forme la plus connue de toutes, où les syptômes cardi
ues. 3° Maladie de Parkinson a tremblement unilatéral; dans cette forme le tremblement reste indéfiniment unilatéral. Ce
. Ce sont ces cas seulement, dit l'auteur, qu'il faut décrire comme forme anor- male, car parfois le tremblement peut res
une et même plusieurs années et se généraliser par la suite. Ces formes unilatérales à généralisation tardive sont relati
aladie de Parkinson à tremblement secondaire unilalérul. Dans cette forme le tremblement après avoir été géné- ralisé, se
tardive du tremblement dans une moitié du corps, aboutissant à une forme secondairement unilatérale; 3° l'extension possib
avec opisthotonos, et, dans quelques cas, des attaques épilepti- formes , des ictus cérébelleux, des paralysies et contrac
que la malacie osseuse touche rarement le crâne du moins dans la forme que l'on observe chez le vieillard. Les auteurs
s jambes pendaut une vingtaine de minutes, et de crises épilepti- formes . L'examen montra une certaine spasmodicité des me
t vrai que les dégénérescences groupées affec- tent généralement la forme atrophique. Mais le sens propagateur des altéra
pique. M. GRENET présente un hysléro-lraumatique qui présente une forme de tremblement hystérique simulant le clonus du p
tration ne sont capables de modifier son système ; et c'est à cette forme de monodéïsme que vient de se heurter la sugges
aorr. M. SEHBSKY envisage la maladie de KOHSAKOFF comme une telle forme qui, comme, par exemple, la paralysie générale es
nt pas sans défauts, car dans la pratique on rencontre toujours des formes complexes (altération des vaisseaux et des élém
, du bromure de sodium en quantité suffi- sante pour que sous cette forme le malade prenne 3 grammes de bromure par vingt
résentaient tous les caractères classiques de la main simienne avec forme en griffe, disposition des cinq doigts sur le m
type. Je vous ferai remarquer d'ailleurs : 1° qu'à cette époque les formes fami- liales n'étaient point encore décrites ;
urs. Il en est un que je veux d'abord retenir, la syringomyélie à forme d'atrophie musculaire : ici la symptomatologie se
ns nous ne pouvons donc pas nous arrêtera l'idée de syringomyélie à forme atrophique, mi il nous reste encore à compter a
élie à forme atrophique, mi il nous reste encore à compter avec les formes anormales; cette même maladie et ceci m'amène à
van à la syringomyélie, on a même décrit un type de syringomyélie à forme de maladie de Mor- van. D'autre part, un médeci
nt en réalité des lépreux, la lèpre affectant dans cette région une forme lar- 122 CLINIQUE NERVEUSE. vée spéciale, mai
oir l'hypertrophie des nerfs périphériques; or nous connaissons une forme de polynévrite qui réalise une semblable augmen
pas plus apparente que réelle, et si la lèpre, au moins dans ses formes larvées, n'était pas demeurée endémique en cer-
le bacille de Hansen. Au point de vue cli- nique on distingue deux formes , la forme tégumentaire ou tuberculeuse et la fo
de Hansen. Au point de vue cli- nique on distingue deux formes, la forme tégumentaire ou tuberculeuse et la forme nerveu
distingue deux formes, la forme tégumentaire ou tuberculeuse et la forme nerveuse, mais il convient encore de compter av
e et la forme nerveuse, mais il convient encore de compter avec une forme mixte, laquelle est en réalité la plus fréquent
ations et mutilations diverses ; enfin, après de longues années- la forme nerveuse peut durer vingt, trente et même quara
logne-sur-Seine. de Boulogne-sur-Seine. Distribution des diverses formes d'automatisme verbal. Rithme ci versification.
rice verbale. Un même esprit pourra s'interrompre lui-même sous une forme différente de celle par laquelle il a commence.
tique. - Les troubles de la sensibilité générale revetent aussi des formes plus spéciales. Les caresses se localisent aussi
ps des deux grandes crises aiguës, les phénomènes hallucinatoires à forme spirite que nous avons passés en revue au long
ts; et que plusieurs d'entre eux, personnages téléologiques sous la forme d'hallucinations profitables, s'attribuent même
e le lan- gage automatique de notre malade revêtait souvent cette forme -là et qu'elle gardait une tendance irrésistible à
une tendance irrésistible à versifier et à rimer machinalement. La forme rythmique est donc une des modalités naturelles
ation de tout un système théologique polythéïste, fantaisiste et de forme à demi païenne; mais ici il faut faire appel po
artir de ce moment-là que son mysticisme mieux éclairé a pris une forme plus réellement chrétienne et théosophique. Ell
savoir non plus de la MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 143 théosophie cette forme de spiritisme rejetée par le spiritisme officie
de sa vie. Ils n'ont différé que sur deux points. C'est d'abord la forme spirite des communications de Cam..., le mot et
créateur si les circonstances ambian- tes avaient dirigé dans cette forme le processus de ses éléments délirants. L'autre
rmale dans laquelle ils ont en paix promené leur délire tant que la forme vésa- nique n'a pas entraîné de leur part soit
sublimînaux se grou- pent, s'ordonnent, se compénètrent suivant la forme « per- sonnelle » à laquelle tend toute conscie
ême l'homicide. OnSOERVATION II. - Hérédité névroputhique. Délire à forme spirite lions de métaphysique, de réformes soci
il voit des symboles partout, il s'aperçoit que le trajet accompli forme un triangle et cela doit avoir une significa- t
enfin des mys- ques. Les spirites sont caractérisés surtout par la forme spéciale de leurs éléments délirants; ils ont a
tout traitement, soumis à un régime et à un mode d'existence uni- formes , soit pendant cette période d'observation, soit p
ans les composants d'autre nature des organes centraux. Les au très formes d'altérations régres- sives représentent des mo
et de réaction de l'appareil vasculaire sanguin et lymphatique sous forme d'exsudations, nous n'avons que très peu de pro
E PATHOLOGIQUES. lement au bord opposé de cet os : la zone sensible forme un cercle irrégulier du diamètre d'une pièce de
' Long mémoire dont voici les conclusions : Io Il existe diverses formes de réaction paradoxale des pu- pilles. Ce sont
dégénérescence plus volumineuse et plus étendue pouvant prendre la forme d'un croissant. En effet, dans ce cordon descen
ture vasculaire dans le tissu cellulaire sous-cutané, comme il s'en forme dans un peu tous les organes du paralytique gén
s devenues obsédantes. De plus l'obsession s'est présentée sous une forme continue, traduisant un état aboulique très pro
chose polynévri- tique, d'après l'opinion des rapporteurs,' est une forme morbide autonome, où les accès psychiques se co
conservée et sa con- duite reste plus ou moins régulière. Dans les formes plus graves et les états plus lourds les fausse
tableau de la maladie de KoRSAKOFF. L'un des phénomènes de cette forme serties confabulations, et c'est déjà un phénomèn
l'on peut dire, que les hémor- 176 SOCIÉTÉS SAVANTES. rhagies en forme d'îlots disséminés, se soient développés simulta-
t possible qu'ils s'associent dans certains cas pour constituer une forme mixte. Citons maintenant des exemples. Observ
que les phobiques du regard ne craignent point de rougir. C'est une forme particulière de la classe des phobies sociales
deu, médecin béarnais né à Izeste. Dans un style où la pureté de la forme le dispute à la profondeur des idées et une hau
t, suivant la période de la vie à laquelle elles apparaissent, deux formes , l'une tardive et l'autre vrécoce, de démence v
symp- tôme fondamental de la démence précoce, quelle que soit sa forme , présente des caractères spéciaux qui le différen
ions, sans excitation ni dépression, on se trouve en présence d'une forme atténuée ou fruste de la maladie (forme simple
se trouve en présence d'une forme atténuée ou fruste de la maladie ( forme simple de M. Sérieux, hébéphrénie miti- gée de
e la démence paranoïde (démence paranoïde simple), qui comprend les formes décrites en France sous le nom de délire polymo
a aiguë. Par contre, dans la deuxième variété de démence paranoïde, forme dans laquelle Kroepeiin a fait rentrer tous les
citation, dé- pression, stupeur) peuvent s'observer dans toutes les formes de démence précoce, mais c'est dans la variété
r en revue sont notablement plus fréquents et plus accusés dans les formes catato- niques et hébéphrcniques de la démence
catato- niques et hébéphrcniques de la démence précoce que dans la forme paranoïde. Ils appartiennent surtout à la pério
omparative qui a été faite de ces mêmes signes dans quelques autres formes d'aliénation mentale, qu'ils sont plus nombreux
allucinatoires), etc., elles ressortissent toutes aux diffé- rentes formes de la démence précoce, et par conséquent, appar-
ues en général, est en réalité consacré presque exclusivement à une forme psychopathique nouvelle, décrite récemment nous
ffectifs sont altérés d'une façon précoce. Il existe, en outre, des formes anormales résultant de l'exagéra- tion d'un sym
s formes anormales résultant de l'exagéra- tion d'un symptôme : les formes catatonique, agitée ou stupide, en sont les exe
, agitée ou stupide, en sont les exemples les plus simples. Dans la forme paranoïde, il existe une période délirante qui
en date. Enfin, la démence précoce, simple, non délirante, est une forme fruste où les états obsédants et impulsifs semb
r ma part, 2 cas de - SOCIÉTÉS SAVANTES. 229 de démence précoce à forme catatoniqne, terminés par la guéri- son. Il s'a
achés à la confusion mentale, car, le plus souvent ces préten- dues formes de la démence précoce se terminent par la guériso
midales, en dehors des zones psychomotrices, sans modification delà forme cellulaire, avec chromatolyse légère) et les lési
la confusion mentale (tuméfaction, gonflement, modifications de la forme cellulaire des cellules géantes de la rolandiqu
a démence précoce permettent de la différencier de certaines autres formes d'affaiblissement intellectuel primitif à côté
nt normales, mais peu nom- breuses, les grandes pyramidales sont de forme normale avec chromatolyse centrale ou totale en
llules ininterrompue et verticale, est consti- tué par une masse de forme et de situation essentiellement varia- bles, su
cours de psychoses. Ces observations font tout de suite penser à la forme catatonique de la démence pré- coce, où ces tro
braux interviennent dans les perceptions de poids, de volume, de forme , de position. Il est indispensable de connaître l
t montre que cette action est bienfaisante non seulement dans les formes congestives de la tuberculose pulmonaire, mais en
art cette influence sédative facilite de beaucoup le traitement des formes ordinaires de la neurasthénie ; enfin elle est
es archives examinées trace en même temps l'évolution des idées; la forme de l'exposition montre l'origine ainsi que la m
t fréquente dans l'hystérie (73 p. 100); surtout fréquente dans les formes accompagnées d'anesthésies (81,81 p. 100), elle
ésies (81,81 p. 100), elle se' montre un peu moins souvent dans les formes à accès (74,60 p. 100), moins encore dans les p
que ce dernier pour établir le diagnostic. Très fréquente dans les formes à accès (84,12 p. 100) elle est moins constante
ente dans l'hys- térie 42 p. 100 ; on la rencontre surtout dans les formes accompa- gnées d'anesthésie (63,63 p. 100), pui
ia lata est très fréquente (59 p. 100) : surtout marquée dans les formes avec anesthésie (72,72 p. 100) elle se rencontre
poignet n'a jamais existé dans nos cas. Surtout fréquent dans les formes accompagnées de paralysies et contractures (11,53
epuis le moment de la fécondation jusqu'à celui de la délivrance. Forme clinique des tics unilatéraux de la face. M. CR
C) D'ordre professionnel. L'auteur'étudie successivement les cinq formes cliniques de ces tics unilatéraux et montre qu'à
er. Stigmates physiques ou anatomiques. Anomalies de volume et de forme du crâne et de la face ; signes fournis par les o
es phénomènes inflammatoires par propa- gation, explique toutes les formes cliniques, suivant que les lésions mécaniques e
l'atrophie post-névritique avec ses carac- tères connus. Dans cette forme , la cécité survient très vite et reste le plus
it d'un malade ayant, depuis quatre ans, de l'atrophie musculaire à forme segmentaire (avant-bras et jambes) avec parésie
a lieu d'établir un asile spécial. SOCIÉTÉS SAVANTES. 277 , Les formes fébriles du tabès. Maurie FAURE (de Lamalou). I
e Lamalou). Il y a des accidents fébriles au cours du tabes, et des formes fébriles du tabes. 1. Les accidents fébriles du
nicité des parois font disparaître ces accidents. II. Il existe des formes fébriles du tabes, rares et d'allures variées,
spéciale et à l'hydrothé- rapie tempérée. Nous ne savons pas si ces formes sont liées à l'évolution fébrile de la lésion t
ées pour l'expliquer. Elles n'existent pas à ce degré et sous cette forme chez les tuberculeux qui n'ont pas pré- senté d
nzaine d'années. x Suit la classification pathologique des diverses formes de défec- tuosité mentale, qui nous conduit à l
oire récom- pensé par l'Académie de Médecine : De la folie à double forme . Circulaire alterne. Paris, 1883, 225 p.,· etc.
é tout pour lui, jamais il n'avait prêté la moindre attention aux formes du corps. Il découvrait comme un monde nouveau. S
s était, la cause principale de l'obsession, laquelle avait pris la forme uréthraie, à cause de son urètthre pudique depu
L'une des périodes de l'état dépressif s'était manifestée dans une forme très accentuée; un temps il y avait même troubl
ent extérieurement. Dans le cas donné, nous avons l'exemple d'une forme hallucinatoire des obsessions morbides ; mais il
possédait le caractère scrupulo-inquiet, que nous envisageons comme forme la plus faible de la constitution idéo-obsessiv
ssi un caractère scrupulo-inquiet; il avait, d'après notre avis, la forme légère de la constitution idéo- obsessive, qui
sence d'un caractère congéni- tal scrupulo-inquiet, comme l'une des formes (la plus légère) de la constitution idéo-obsess
tent déjà une coloration sensorielle et mènent à la formation d'une forme hallucinatoire et illusoire des représentations
nte antérieure est sa dupli- cité : cette seconde petite branche se forme au-dessus ou au dessous de la branche normale.
es de l'auditif s'entrecroisent et se groupent en deux faisceaux de forme arrondie presque régulière qui appartiennent à l'
cence ; par H. GUDDEN (Neurolog. Centralbl., XXII, 1903). La narine forme en avant une fente canaliculée qui témoigne d'u
nditions ambiantes. L'organisme le plus simple peut donc changer la forme de sa postérité dans le sens le plus avantageux
oncé ou noir, les cellules jaunâtres ou brunes, le reste des tissus forme un fond jaunâtre diffus d'un beau contraste. Il f
tégrantes absolues de la cellule nerveuse . P. Ki.raval. LXV. Les formes pathologiques de la rougeur émotive ; par IlAtt
our ainsi dire le stade initial de ce signe. VI. Les altérations de forme de la pupille que nous produisons expérimentale
). X. Chez un enfant nouveau-né, j'ai vu la pupille présenter les formes les plus différentes oe transformant les unes dan
e transformant les unes dans les autres; ce changement continuel de forme de la pupille prouve que chez le nouveau-né il
2.) Ce signe aurait de la valeur dans les lésions syphilitiques à forme de méningo-encéphalite et dans les affections d'o
onnel. Cette sensibilité se peut expliquer par le trait d'union que forme l'ar- t cade entre deux régions crâniennes : qu
olives qui contraste avec la couleur jaunâtre des deux corps resti- formes : le corps restiforme gauche a même une teinte ci
: le corps restiforme gauche a même une teinte cireuse. Ce dernier forme un petit ovale d'une dimension près de deux l'ois
cale. Bechterew a déjà noté que les attaques congestives épilepti- formes des paralytiques généraux coïncident fréquemment
el avait été évidemment arrêté à l'âge de onze ans ; il avait des formes parfaites et ne présentait aucun des changements
psule est dissoute et l'io ioforme est mis en liberté; l'iode, sous forme 358 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. d'iodites et d'io
n des caractères physiques ou mentaux du crétinisme spora- dique la forme infantile du myxoedème. Des radiographies furen
t cependant s'observer à la phase initiale de la ma- ladie daus les formes dites des hôpitaux ou sans délire de Requin. Il
Gheel, où sont placés de nombreux paralytiques, mais où les autres formes de suicide n'ont pas été observées chez ces mal
différents moyens physicothérapiques (hydrothérapie sous toutes ses formes , électricité, bimérithérapie, etc.) sont étudié
du lobe frontal au-dessous du ventricule latéral. Cette partie a la forme d'un fuseau qui s'ar- 1 être en avant à trois c
fiées sur l'expérimentation et l'observation clinique relatives aux formes convulsives en rapport avec les diverses parties
les convulsions permanentes, la chorée, 1 athétose, les différentes formes de tremblements, émanent non de l'excitation de
haîner des convulsions de muscles et groupes muscu- laires isolés à forme d'accès ou continues, et que ces convulsions se
es idiots. L'auteur aurait pu parler de l'idiotie mon- golienne qui forme un groupe très distinct. (B.) REVUE d'anatomie
sphérique. Dès que cesse l'irritation, les cellules reprennent leur forme primitive, la gaine médullaire se rétrécit, l'e
voie d'un trouble somatique. L'angoisse peut revêtir diffé- rentes formes , elle peut être complète, telle qu'on l'a classiq
vent encore d'aucune classification spéciale. M. H. X. Hystérie à forme de paralysie générale ; par Collet et Lepike. (
es aliénés, et qu'on dressât la statistique céphalol11é- trique par formes mentales, tailles, sexes, âges, poids, etc. . P
gique, novembre 1903.) E. B. XVI. Constitution idéo-obsessive comme forme psycho-patholo- gique autonome; par le Dr SOUHI
un cas de mélancolie périodique pure et deux cas de folie à double forme non circu- laire, à accès unique, c'est-à-dire
nt difficile et même impossible n'est dans les cas où il s'agit des formes mixtes de la folie maniaque-dépressive. . G. D.
e douze à vingt-cinq ans. Sur ces 40 malades, G étaient atteints de formes plutôt légères de la maladie et n'of- fraient a
ique de Kraepelin. Les 34 autres étaient atteints, au contraire, de formes graves avec stupeur ou excitation et doivent êt
ur se rapprocher de celle de Aschaffenburg, lequel soutient que les formes légères ou graves ne sont que des degrés d'une
héréditaire (folie intermittente, périodique, circulaire, à double forme , délire systématisé progressif, etc.). Quand à
si elle est acquise, elle ne pourrait donner naissance qu'aux mêmes formes psychopathiques que la prédisposition simple de
prédisposition simple de même origine; si elle est héréditaire, aux formes signalées plus haut viendraient s'ajouter les obs
t de la suractivité des plexus choroïdes enflammés. Dans les autres formes de démence, la pression du liquide est normale
nation, d'auto-suggestion. Il s'agira dans la plupart de ces cas de forme hystériques graves avec épi- sodes plus ou moin
hystérique accusatrice manque de troubles intellectuels évidents de forme ou de contenu, et si l'anomalie psychique se li
e. Sous la dénomination de délires atypiques il faut entendre les formes séparément décrites de l'ivresse pathologique et
eut acheter qu'un litre au moins. L'alcoolisme se manifeste sous la forme d'une ivresse massive et bestiale, qui est le r
eptible de différentes interprétations, confirme natu- rellement la forme intermittente de ses obsessions. En effet, l'acte
e temporal est atteintde sclérose ve1'micellée. En résumé la lésion forme un demi- cercle, comprenant : 10 le lobe fronta
lace des dis- parues, on constate la présence des éléments, dont la forme , la coloration et les dimensions se rapportent
out au voisinage de la couche dp Purkinje. 11 leur a semblé que les formes du type tabes moteur présentaient les lésions l
ment en grossière fibre à matelas. Cette masse, qui reproduisait la forme de l'esto- mac, montrant nettement une grande e
re supé- rieur. ' G. C. XCVIII. Lésions du cervelet dans quelques formes d'aliénation men- tale ; par BRIDIER (Lyon Médi
en imposer par la polynévrite infec- tieuse. R. C. CIII. Sur une forme rare d'hémimélie radiale intercalaire ; par KLI
la paralysie faciale suivie de contracture. G. Carrier. LV. De la forme la plus habituelle des modifications de l'intelli
assez souvent au cours des maladies du nez ; ils peuvent avoir des formes variées, mais eu général se rapportent à un typ
e de Lyon. 14 décembre 1903) D'après M. Destot on peut décrire deux formes de troubles tro- phiques tabétiques. Les uns, t
de la corne antérieure. G. Carriep. .LXIII. Ostéomalacie sénile. Forme nerveuse; par MM. V. Chap- . PET et G. MOURIQUA
n, 22 mars 1904). r Une observation dont l'intérêt réside dans la forme nerveuse de l'ostéomalacie présentée par le mal
ncier des autres psychoses alcooliques. Les particularités de cette forme seraient : Durée plus longue. Accès de delirium
ibelleuse des lésions et des. symptômes ; 3° Para- lysie générale à forme aiguë; 4° Paralysie générale compliquant un tab
pouvoir prêter à discussion. Retenir toutefois la conclusion : à la forme foudroyante, exceptionnelle de la paralysie' gé
de la primiparité, etc. 2° Epoque de début des troubles mentaux, et forme de l'aliéna- tion selon celle-ci. Pas de folie
ommunication sur : le syn- drorrze tlcalantique de Déjel'ine et ses formes bénignes, émet un avis conforme à celui de MM.
provoqué, en dehors de toute suggestion. De même, dans certaines formes de l'hystérie, les malades sont peu accessibles à
idée fixe; et, ainsi, ils se déséquilibrent. Chez eux les diverses formes de trac rentrent dans ces phobies dont j'ai déj
trouver le cri qui, répété de bouche en bouche, exprime, atteste et forme en même temps le voeu du plus grand nombre, pou
érescences secon- daires, par Négel, 65. Lésions du dans quelques formes d'aliénation mentale, pai Bri- dier. 486. C
Conjonctive. Voir Sensibilité. Constitution IDCO-OUSESSIVE comme forme psycho-pathologique auto- nome, par Soukhanoff,
comélie. - et dégénérescence mentale, par La- melle, 405. Sur une forme lare d' radiale intercalaire, par Klip- pelet
e plantaire. Théo- rie physiologique de l ? par Sollier, 406. - à forme de para- lysie générale, par Collet et Le- pi
ion physique. - nerveu- ses. Voir Pupilles. Voir Base- dow. De la forme la plus habi- tuelle des modifications de l'in-
let. 166. OSTÉGIALACIE. Voir 1Vinofj1'(ldsky. Ostéomalacie sénile Forme l1l 1'- veuse, par Chappet et \lourl- quand,
tuel. Les établissements d'aliénés et le -, 524. PARld1\S01\. Des formes anormales 'de la maladie de , par Collet, t,
articulaire franc, par Il Lhermitte, 163. ! Rougeur émotive. Les formes pa- thologiques de la-, par liaiteni- berg, 3
la ver- bale, par Liepmann, 3... De la localisation des diverses formes de la - verbale; par Biscl1ofT, TABLE DES MAT
gnel-Lavastme, 407. Syphilis. Un cas de - héréditaire tardive à forme cérébro-spinale, par Richon, 57. - Voir Affecti
t Ra- vaut, 53. -. Voir Moelle. -. Voir Paralysie générale. Les formes fébriles du -, par Faure. ` ? i7. Contribution
- chtone des sinus, par Good. 322. Tibia. Voir Tabétique. Tics. Forme clinique des - unila- téraux de la face, par Cr
40 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
f, et le tissu osseux, réduit à de simples lamelles et trabécules, ne forme plus que de minces cloisons séparant les canaux ;
out ils baignent dans une substance particulière demi-molle, qui leur forme une véritable atmosphère et par l'intermédiaire d
moelle externe, Le tissu médullaire, comme l'a dé-montré M. Ranvier, forme pour le même os un tout continu qui le baigne com
-croisement, sa vascularité le rapprochent plus des lamineux (Robin), forme enveloppe à la plus grande partie de la surface d
les couches superficielles est très-répandu dans la profonde, où il forme souvent presque une membrane. De nombreux vaissea
omme pouvant résulter d'une periostite. — Graves, en 1835, décrit une forme de periostite circonscrite. ¦— Rognella, en 1855,
éraux graves. La même année, à Strasbourg, Schutzenberger signale une forme de periostite qu'il décrit sous le nom de periost
aux abcès sous-périostiques qui la compliquent. Réunissant à ces deux formes le phlegmon difus et certains cas d'érysipèle, de
e phlegmon difus et certains cas d'érysipèle, de phlébites graves, il forme un groupe morbide auquel il donne le nom caractér
ion (1859). M. Gosselin avait, de son côté et dès 1857, observé une forme très-intéressante de la maladie. A l'occasion d'u
s. 11 l'ap-pelle ostéite épiphysaire aiguë suppurée et l'oppose à une forme chronique. La question se limitait beaucoup et
La question se limitait beaucoup et ces deux auteurs, abusés par les formes qu'ils avaient pu observer, concluaient sur un po
au-dessus de la poulie articulaire ; 5° Un corps étranger, ayant la forme d'une pyramide triangu-laire, long de deux centim
angers intra-articulaires. L'extrémité supérieure de Thumérus a une forme très-singulière. La surlace articulaire est rugue
une amélioration quelconque. De son côté, M. Giraldès a signalé une forme particulière du téta-nos qui débute d'emblée par
du chloral, comme de tout autre médicament par la bouche. Dans cette forme , les malades succombent généralement avec une ext
parence. Au bout de quelques jours, le blessé a été pris de tétanos à forme dysphagique, et l'on a été obligé de lui faire pr
, pour une plaie de Lavant-bras, a été également affecté de tétanos à forme dyspha-gique et a succombé rapidement, malgré l'e
a été pris d'accidents tétaniques qui ont duré treize jours avec une forme bénigne en apparence. Malgré l'emploi du chloral
t être hypérémique, suppurée, angioleucitique, etc. Si chacune de ces formes se distinguait par des symptômes propres ou par u
re de l'estomac, montre les deux extrémités de cet égagro-pile. D'une forme rappelant celle du sablier, il mesurait 16 centi-
L'animal est mort d'accidents dyspnéiques qui, parfois, prenaient la forme d'accès. Les animaux atteints de maladies de pe
s tard lorsqu'il vient brouter les plantes vivaces. Le volume et la forme des égagropiles varient beaucoup. — Il en est qui
bershen parle d'un cas dans lequel une masse de cheveux avait pris la forme exacte de l'estomac. — M. Langdon-Down, médecin d
emment décrit, on trouve le projectile : c'est une balle bavaroise de forme ovalaire. Méninges rachidiennes : normales. — M
it, il serait difficile de trouver un type plus par-fait de tétanos à forme apyrétique, puisque la fièvre traumatique préexis
ans une des grandes gouttières de Bonnet ! L'emploi du plâtre, sous formes d'attelles et de gouttières ren-dues imperméables
underlich 2. I. Enfant de 14 ans, atteint de tétanos traumatique, à forme très-douloureuse. Opisthotonos ; contracture d'un
tismale de la malade, il faudrait au moins admettre là une singulière forme de rhumatisme : rhumatisme n'alternant jamais ave
ère forme de rhumatisme : rhumatisme n'alternant jamais avec d'autres formes plus modestes, car je ne trouve aucun fait où des
us grand diamètre une étendue de 15 centimètres. Cette plaie avait la forme d'un triangle irrégulier, à base supérieure, à so
s qui pourraient rester encore dans l'esprit du mé-decin. Nulle des formes du rhumatisme chronique, par son mode d'inva-sion
is à son tour, de sorte que l'ataxie semble avoir offert au début une forme hémiplégique. L'existence d'une ataxie locomotr
recueille environ 50 grammes de ce liquide dans une ôprouvette; il se forme à la surface une pellicule fibrineuse. A la suite
s. Cette polymorphie ne comporte pas seulement une série nombreuse de formes d'éruptions nette-ment définies, mais elle admet
s encore cette légère squame blanche, qui, vers la fin de l'éruption, forme une sorte de cercle sur la par-tie moyenne de la
oloration qu'en la comparant à la teinte photographique elle-même. La forme et la surface des plaques n'ont présenté aucune h
les arthropathies se dé-velopper dans le même temps où une eschare se forme rapidement au siège3. » Voici le résumé de l'obse
itus que 5 centime res et demi, le rad us que 2. On peut définir leur forme en disant qu'ils offrent celle de leurs con-génèr
essous duquel elle est située. Elle est très-épaisse et représente la forme normale de l'ex-trémité inférieure du radius. Un
que pendant la contrac-tion, se ramasse pendant le repos et prend une forme arrondie ; alors disparaissent en partie dans les
ns alors à une véri-table série. Les convulsions affectent surtout la forme tonique; la cyanose est très-marquée. A la fin de
condyle interne, on voit un ostéophyte, à pédicule assez large, de la forme d'une pyramide triangulaire, ayant cinq centimètr
SES MULTIPLES ET SYMÉTRIQUES HUMERUS, R ad i V S , C U lii t ij S forme d'un ovoïde allongé (cinq centimètres de haut, de
ment pédicules, ces ostéopbytes se dirigent en tout sens, tantôt sous forme d'aiguille, tantôt sous forme de masses ar-rondie
déformation de la pupille s'accuse de plus en plus; celle-ci prend la forme d'un œil dont on aurait enlevé un large croissant
e la pupille anormale présente en haut une cer-taine largeur. Ce bord forme une ligne un peu sinueuse et comme déchiquetée.
igne un peu sinueuse et comme déchiquetée. La pupille anormale a la forme d'un'croissant dont l'angle supé- REVUE PH0TOGR
Etat actuel. — Dans la chambre antérieure existe une tumeur, ayant la forme et les dimensions d'un petit pois, légèrement ova
ire étant peu développés, il en résulte que l'épaule de ce côté a une forme aplatie ; la gauche au contraire est très-bombée,
ude, 22 et demi seulement. Le moignon, long de 7 centimètres, a une forme conique dans l'ex-tension. Son sommet est occupé
se ; le mamelon devient plus saillant et l'en-semble du moignon a une forme hémisphérique1. — Les mouve-ments de flexion et d
ler des accidents urémiques et en particulier de ceux qui revêtent la forme comateuse et convulsive. Le travail qui suit a po
s de son entrée dans la vessie. Le calcul avait les dimen-sions et la forme d'un grain de chanvre ; il pesait 1 grain et un t
gauche était oblitéré à son ori-gine par un calcul d'acide urique, de forme conique, du poids de 52 grains. La surface du cal
il formera des fusées plus ou moins étendues. En même temps que se forme l'abcès sous-périostique, les parties éloignées d
n, précédé dans cette voie par Klose, y a vu le point de départ d'une forme de la maladie. En ce point, la suppuration est
aille le • revêtement séreux et les fibres qui le peuvent doubler, et forme une fusée articulaire, comme il formait plus haut
admis, à l'époque actuelle, que dans toute in-flammation locale il se forme des produits de dénutrition absorbés par le sang
s-rarement le siège de maladie; on y a cependant rencontré toutes les formes de tumeurs que l'on trouve chez la femme. — Jusqu
itude au squirrhe. Toutefois cette production pouvait être une de ces formes de tumeur voisine du squirrhe, une variété de tum
tivement très-longs ; lorsqu'ils sont dans l'ex-tension, l'avant-bras forme avec le bras un angle obtus ouvert en dedans. L'h
il est vrai, moins développés, mais ils ont à peu près conservé leur forme . — La tête, par rapport au reste du corps, est lo
égnait sur l'occipital, et cette repullulation s'était effectuée sous forme d'îlots plus ou moins espacés sur le tissu cicatr
pects principaux : fran-chement inflammatoires ou typhiques. Ces deux formes sont clini-quement loin d'être exclusives. On tro
ions nombre de cas douteux et qui établissent la transition entre les formes inflammatoires et typhiques, et de plus trop souv
r les besoins de la description, nous les étudierons séparément. 1° Forme inflammatoire. La bénignité relative de cette for
séparément. 1° Forme inflammatoire. La bénignité relative de cette forme , la simplicité des symptômes que l'on rencontrait
res de la pathologie. Comme tout y était simple, on la négligea comme forme morbide, l'attention se porta surtout sur ses sui
ses fort diverses rentrant dans l'étude des nécroses en général. 2° Forme typhoïde. La gravité de cette forme, la singulari
ude des nécroses en général. 2° Forme typhoïde. La gravité de cette forme , la singularité de ses symptômes, de sa marche, s
e est pris de réaction inflammatoire plus ou moins vive. Tantôt cette forme est tout à fait transitoire., les phénomènes pren
n faveur de la réalité de l'urémie, qui a revêtu chez notre malade la forme comateuse et dyspnéique. Rappelons encore que,
émie temporaire, l'auteur aborde pleinement son sujet par l'étude des formes anatomiques de l'ova-rite. L'anatomie de l'ovaire
à une classification des différentes espèces d'ovarites. » Une seule forme anatomique, la forme peritoneale peut se rencontr
des différentes espèces d'ovarites. » Une seule forme anatomique, la forme peritoneale peut se rencontrer isolée; mais, dans
s : il les considère plus spécialement et avec juste raison comme des formes chroniques de la maladie, pouvant toutefois se pr
arite, l'auteur arrive à dis-tinguer au point de vue étiologique sept formes principales, qui sont les suivantes : ourleuse, v
omatologie de l'ovarite permet d'envisager celte affection sous trois formes distinctes : suraiguë, aiguë, et subaiguë. La for
ction sous trois formes distinctes : suraiguë, aiguë, et subaiguë. La forme subaiguë constitue une affection sur laquelle les
re-mière ne sont que l'exagération de ceux que l'on rencontre dans la forme aiguë. Dans cette dernière, outre la fièvre et le
e se termine par une petite pointe osseuse, légère-ment contournée en forme d'éperon, et longue de 1 centimètre en-viron. En
nche XXIII. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE mais il a conservé sa forme et ses contours habituels; il est seule-ment un p
former un groupe à part. 11 n'en est rien, on l'a rencontrée dans les formes cliniques les plus diverses ; cette lé-sion est u
morts à cette époque de cette maladie qui, chez eux, avait revêtu la forme hémorrhagique (petite vérole noire). 8* côté,
point de vue du diagnostic que la médullite phlegmoneusc clans ses formes graves. Les observations se ressemblent tellement
es incisions, du drainage, de l'immobilisation. Etat général. Si la forme est franchement inflammatoire, l'indi-cation est
éja. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX CONTRACTURE HYSTÉRIQUE forme hémiplégique REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAU
e occupait un seul membre ; dans deux autres, elle se présentait sous forme hémiplégique, et, dans les trois derniers, elle r
ous forme hémiplégique, et, dans les trois derniers, elle revêtait la forme paraplégique. Il est parfaitement exact que la co
voir faire passer sous vos yeux deux malades qui présentent, l'une la forme hémiplégique (voy. Planche XXV), l'autre la forme
résentent, l'une la forme hémiplégique (voy. Planche XXV), l'autre la forme paraplégique de la contracture hystérique. Nous s
es jointures sont également rigides, et le membre, dans son ensemble, forme comme une barre in-flexible, car, en le saisissan
de connaissance. Cette attaque, selon toute vraisemblance, a pris la forme épileptique de l'hystérie : Etch... pendant l'acc
A P HIQ U E DES HOPITAUX Planche XXVI. CONTRACTURE HYSTÉRIQUE FORME PARA P I, É G l Q U E ressortir; on le trouve é
accusation. 3° Dans le troisième cas, la contracture avait pris la forme hémi-plégique ; elle affectait le côté droit et é
ez la femme. DansVhypertrophie simple, la rate conserve toujours sa forme pri-mitive ; le kyste au contraire déforme l'orga
LSION SPONTANÉE PAR L'URÈTHRE PAR LE DOCTEUR KRAUS (DE VIENNE) La forme de catarrhe compliquée de la diathèse phosphatiqu
'une quantité de phosphate dou-ble d'ammoniaque et de magnésie, il se forme très-rarement de gros calculs ; que le plus souve
ormes, mêlés de cellules de pus et de mucus, sortent du canal sous la forme d'une sphère du volume d'un pois qu'elles gardent
l'urine, comme j'ai eu très-souvent l'occasion de l'observer. Cette forme de sédiments n'est possible que dans la diathèse
ucus et le pus dans la vessie, des sels phosphatiques qui, sous cette forme , n'ont pas le même carac-tère fâcheux que les séd
uée, il ne reste plus de concrétions dans la vessie, et qu'il ne s'en forme par conséquent qu'une à la fois. L'exploration
yer ma proposition de tout à l'heure : que cette espèce de calculs se forme dans le canal de l'urèthre (probablement dans la
ements la fièvre caractéristique qui marque le moment où le calcul se forme . Le mucus purulent, le pus le moins douteux, qu
fester sur la langue, à cette période de la maladie. Certaines autres formes , en général plus tardives, telles que les syphili
plaie. A la partie interne du bras, dans la gaine du biceps, il se forme une petite fusée purulente. Je conduis de haut en
ie un morceau d'os volumi-neux qui se détache de l'omoplate. Il a une forme triangulaire, est épais de plus d'un centimètre.
, de l'omoplate, cette partie épaisse et dense de ce bord externe qui forme console au-des-sous de la cavité glénoïde et cont
l lui fallut y revenir ; en effet, on observa des affections où il se forme dans la rate, aux dépens du sang dé-composé, des
divers organes et les tissus. Caractères physiques du piqment. — La forme qu'affecte d'ha-bitude le pigment, est celle de g
tomatologie.—La pathogénie embrasse deux termes : 1° où et comment se forme le pigment? 2° quelles sont les conséquences qu'e
ion-nelle et à la structure des divers organes? 1° Où et comment se forme le pigment? Il paraît bien prouvé que le pigment
sans soubresaut de l'avant-bras jusqu'aux dernières phalanges. Cette forme particulière est sans doute le résultat de l'atro
dès l'âge de 17 mois. Chez cette dernière malade, en effet, la main forme avec l'avant -bras un angle droit. Nous retrouvon
tout auprès des deux racines de la circonvolution centrale droite, de forme irrégulière, de deux à trois centimètres de long
ge sur la paroi interventriculaire. Le foyer jaune correspondant a la forme d'un coin, est entouré de. petites hémorrhagies e
offrent, pendant la durée de la constitution médical ilu-minante, une forme identique et, semblent être jetées dans un même m
ophiée ; son volume e;t plus que doublé; néanmoins elle a conservé sa forme normale. Sur son bord antérieur, se trouve à quel
r, 25 à 50 centimètres et atteint le poids de 1 à 2 kilogrammes. — La forme est conservée; les dimensions seules sont devenue
la rate, comme dans les autres organes, la congestion reconnaît deux formes , la fluxion et la stase. Les hypérémies dues à
palpation, on peut sentir l'organe tuméfié, et même en reconnaître la forme caractéristique ; cepen-dant, comme la rate dépas
mation. — Nous admettrons donc la splenite, et nous en décrirons deux formes principales : la splenite aiguë et la splenite ch
es aux mortels vulgaires et servant de séjour à de jeunes beautés aux formes gracieuses et enchanteresses, et réu-nies dans ce
tion faite avec des feuilles de cannabis écrasées et de l'eau, ce qui forme une pâte dont on peut prendre par jour plusieurs
s par le Hachisch, phénomènes qui lui rappellent l'image des diverses formes mentales de l'aliénation, M. Moreau (de Tours) cr
un produit chez lequel le professeur Balfour a reconnu, tant dans la forme extérieure que dans les éléments fondamentaux, de
ns relatives tant à la force du principe actif qu'il renferme qu'à sa forme extérieure. D'après cela, il doit résulter que ce
tions de Hachisch. En Orient, on emploie le Hachisch sous plusieurs formes : la plus usitée est celle connue sous le nom de D
yaux multiples, agglomérés, roulant plus ou moins sous le doigt; elle forme une masse unique qui s'est développée progressive
avoir disparu. Examen de la tumeur. — La tumeur se présente sous la forme d'une poire irrégulièrement ovoïde ; son grand di
s et diagnostic. — Pour la symptomatologie, nous devons admettre deux formes distinctes : la forme suraiguë, dans laquelle l
la symptomatologie, nous devons admettre deux formes distinctes : la forme suraiguë, dans laquelle la mort arrive immédiat
a forme suraiguë, dans laquelle la mort arrive immédiatement, et la forme à marche moins rapide, dans laquelle la vie se pr
durée. — Nous avons admis, dans la symptomato* logie de la rate, deux formes que nous retrouverons ici. Dans la première, la m
nerveuse résultant de l'action du plexus splénique. Dans la deuxième forme , la vie peut se prolonger douze à quinze jours ;
aient échoué et ses malades étaient morts. Le hachisch fut donné sous forme d'extrait gras (damawesc) à onze individus dont l
as de cirrhose. M. Hardy fait re-marquer en outre que le ventre a une forme en quelque sorte spé-ciale, qu'il pointe comme ce
s détaché, soit par déchirure, soit par dissection, on constate qu'il forme une sorte de cuirasse cancéreuse ayant, dans ce
rines , par F. Roubaud (anal. G. Bouteillier), 155. — Des différentes formes de l'ovarite aiguë, par Scaglia (anal. F. Villard
41 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
du cerveau où se trouvent les tissus, dont l'état parfait de santé forme une condition sine qua non pour la possibilité
parle des images du monde extérieur dans notre oeil : « Qu'il se forme derechef une peinture 789 (voir le dessin) assés
corps continue sa vie intime, en prenant de l'extérieur ce dont il forme continuellement de nouvelles facultés homogènes.
rat (1) appartient, comme déjà précédem- ment dit, dans sa nouvelle forme au Mag. phil. J. S. Prodan (2). D'après cette h
it, l'hypothèse monadologique de l'atme, particulièrement t dans la forme nouvelle que M. J. S. Prodan lui a donnée, marque
rs le devant : les septa pellucida, les apophyses, qui se plient en forme d'anneau autour de la périphérie de la septa pell
ieure de la circonvolution Fi (PI. IV, B). Cette lésion respecte la forme générale de la région paracentrale, car elle est
rieur sans que le membre supérieur participe à l'hémiplégie. Cette forme clinique est rare ; on a même nié son existence
d'écorce cérébrale en état de conservation relative (1). Or, si ces formes légères de paralysies - (1) En se reportant à u
supérieure de l'hémisphère montrent des circonvolutions ayant leur forme normale, sur la face externe comme sur la face
s plus diverses, rapportée à des causes innombrables. La notion des formes frustes vint en- core compliquer la question et
ucléaires, ne contient que de rares cocci. La phalangette saille sous forme d'un petit point gris noir, vermoulu. L'ongle e
e à l'os, il n'existe entre eux qu'un étroit sillon suppurant.L'ongle forme le bord supérieur de cette ulcération, il sembl
tion de la maladie de Raynaud. Ce cas n'appartient pas non plus aux formes incomplètes du syndrome de Raynaud. Les formes fr
ent pas non plus aux formes incomplètes du syndrome de Raynaud. Les formes frustes qui se rapprocheraient le plus de notre
formes frustes qui se rapprocheraient le plus de notre cas sont les formes lentes. M. Séecite, dans son excellent article
dans deux cas de maux perforants plantaires et dans quelques autres formes de lésions trophiques des pieds. Archives de Ph
chronique non congénital, mais héréditaire et fami- lial. C'est la forme à laquelle appartiennent l'observation de M. Meig
est plus volumineux que le membre correspondant droit, la jambe a la forme d'un cylindre ; en bas, existe au niveau du cou
avant qu'en arrière ; au-dessus de ce sillon, le cylindre jam- bier forme une sorte de bourrelet, que le malade a constaté
'épaisseur de la couche fibro-adipeuse sous-cutanée et cutanée, et la forme sous laquelle elle se dessine : série de bandes
comparaison des manifestations en question, en tenant compte de la forme morbide du pa- tient. Dans Morselli (1) on fait
ieté dans la composition et l'emploi des emblèmes de l'habillement, forme un caractère différentiel qui ne trompe jamais. C
présen- tent, quand elles se rencontrent clans des malades de cette forme mentale, un produit plaisant. Un assombrissemen
e, j'ai choisi,autant qu'il m'a été possible, des sujets malades de forme pure et c'est à celle-ci, en général, que se rap-
e par la persistance dans l'usage du même type d'ornement, les deux formes ont souvent des caractères communs, et en donnant
2), regardés au contraire par Moebius (3) comme les prodromes d'une forme de démence précoce. Et cette nervosité de c '
icale irré- gularité désordonnée dans l'oeuvre du malade de la même forme ; et il est très difficile que l'irrégularité d
figure de Tanzi (1) : et la paranoïa peut être considérée comme une forme très légère de la démence paranoïde : entre ces d
idence, concourir à la plus grande facilité du diagnostic; dans les formes de mala- dies douteuses pour la symptomatologie
e, ils ne portent aucune lumière nouvelle. 2° On n'observe aucune forme d'ornement du costume dans les périodes de méla
elle de Chartres, d'Amiens et de Paris, par une grande noblesse des formes et un spiritualisme très 'particulier des expre
rfait, n'a pas voulu placer au milieu de ces figures gracieuses une forme tourmentée de convulsions et c'est volontairement
en juger d'après les quelques cas décrits par d'autres auteurs. La forme de la région occipitale est plus variable : le pl
rous mastoïdiens, occupant d'ordinaire la position et présentant la forme irrégulière caractéristiques de la partie inférie
La racine du nez, souvent en retrait sous le front saillant, et la forme -de la région occipitale pourraient faire suppo
rêt réel dans la croissance. Cette inf1exion,de la base du crâne en forme d'arc à convexité supé- rieure se trouve déjà i
ameuse était ouverte dans toute sa longueur. Il faut enfin noter la forme insolite du trou occipi- tal, très oblongue et
une fente, due à la non-soudure des os », « une perforation puncti- forme »,etc.,danslavoîtepalaline.-Ordansaucundes9crW ese
ignaler, par contre, que le canal incisif est souvent agrandi et de forme irrégulière ; on a en ou- tre observé dans 3 ca
ans. Le corps de l'os est, en général, bas, mais assez épais et de forme grossière, avec bord alvéolaire peu développé.
gu- lière, développement rudimentaire et anomalies diverses dans la forme ), je puis ajouter que j'ai observé chez un dyso
vertes et vides. Il était impossible de déterminer, en raison de leur forme rudimentaire, lesquelles de ces dents appartena
on des parties inférieures de la paroi latérale du crâne, et par la forme rétrécie que prend le trou occi- pital, et qui
tteint pas l'apophyse zygomatique du tem- poral. 5° Etroitesse et forme ogivale de la voûte palatine. 6° Prognathisme d
° Apparition tardive et rétention des dents. , 2° Anomalies dans la forme et les dimensions. 3° Implantation défectueuse.
ilement énucléable. La substance cérébrale qui l'entoure a perdu sa forme normale et sa couleur : elle est jau- nâtre et
t réduites à quelques vestiges à peine reconnaissables grâce à leur forme , encore assez bien conservée, et à la coloration
tion de Pitres et Vaillard jusqu'à nos jours. Parmi les-différentes formes séparées par Pitres et Vaillard, celle qui prés
aillard, celle qui présente une plus grande rareté c'est la seconde forme , c'est-à-dire, la forme amyotrophique. Le nombr
nte une plus grande rareté c'est la seconde forme, c'est-à-dire, la forme amyotrophique. Le nombre des cas qu'on en trouve
l syndrome on ne pourrait mettre en discussion diagnostique que les formes suivantes : la poliomyélite aiguë de l'adulte ;
s, symp- tômes qui faisaient complètement défaut dans notre cas. La forme de Klippel, elle aussi, est très facile à mettr
e. Il est certain, au contraire, qu'on a souvent confondu l'une des formes avec l'autre et que beaucoup de cas décrits au ch
e amyotrophique descendante,c'est-à-dire,d'une paralysie de Landry ( forme périphérique) à progression inverse, tandis que
de Nauwerck et Barth, de Elsentohr) on avait toujours affaire à des formes franchement ascendantes. Etiologie.-Il serait a
ection transverse de chacune de ces fibres en une tache noire d'une forme plus ou moins arrondie. Au niveau de la commiss
dérègle dans la dégénération récente, ne chan- geant presque pas de forme . On peut cependant ajouter que si la réaction h
berculeuse motrice. Polyclinique, janvier 1900. 66. Dufour. - D'une forme douloureuse de la polynévrite tuberculeuse ; du r
ourrait rentrer, de prime, abord, dans la catégorie des intermittents forme maniaque ; mais un examen tant soit peu attenti
uillage. 0 surprise ! Il se trouve que ce coup de crayon affecte la forme serpentine d'un cordon qui enlace, sans la bles-
e étude d'arbres au point de vue symbolique, en donnant à chacun la forme générale d'un corps humain plus ou moins connu
résentations de sa fougueuse imagina- tion, prenant tour à tour les formes d'un St-Augustin et d'une Ste-Monique (PI. XXIX
un mètre de haut sur un mètre cinquante de largeur,et représente,en forme d'allégorie le très récent revirement de ses am
ues se succédant à intervalles variables et prenant tour à tour les formes de la recherche scientifique et inventive, de la
prochement entre le génie (dans l'acception large de ce mot) et les formes périodiques des psychoses. (1) Bajenow, In Ar
phies musculaires ; ces dernières peuvent exister dès la naissance ( formes congénitales), ou bien elles peuvent se développe
ormes congénitales), ou bien elles peuvent se développer plus tard ( formes héréditaires). Semblablement le trophoedème des j
e. Archives de Neurologie, septembre 1896. 1 M.1TIIIEU. - Sur une forme d'oedème névropalhique. Annales de Dermatologie e
es de myxoedémateux. Les troubles psychiques, qu'on relève dans les formes non myxoedémateuses de l'insuf- fisance thyroïd
ous les degrés possibles depuis l'idiotie myxoedémateuse jusqu'à la forme la plus atténuée de l'infantilisme myxoedémateux
e l'enfant : crédule, insouciant, mais triste et apathique. : Dans sa forme la plus atténuée le myxoedème infantile constitue
isé 208 LAIGNEL-LAVASTINE par la conservation, chez l'adulte, des formes extérieures de l'enfance- et la non-apparition
l'état mental des crétins. Le créti- nisme, en effet, n'est qu'une forme étiologique de l'insuffisance thyroï- dienne. I
hyroïdienne peuvent être plus atténués que dans le myxoedème et ses formes . On peut les grouper en : 1. Infantilisme;
ogique ou fonctionnelle qui ne com- promet pas l'existence. Cette forme d'infantilisme est caractérisée, comme le résume
pitations se joignirent bientôt des troubles psychiques graves sous forme de confusion mentale hallucinatoire, sans qu'il
use peut donner naissance à des troubles psychiques qui revêtent la forme habituelle des psychoses d'intoxication, en un mo
z les basedowiens. , Dans les 42 cas réunis par Hirschl, toutes les formes de folie sont repré- sentées (manie, mélancolie
s, agitation maniaque, mélancolie, obsessions et hallucinations. La forme avec agitation maniaque est de beaucoup la plus
llucinations (Jensen, Boetzer), d'idées de persécution (Jensen). La forme mélancolique est plus rare". Noetel, Bail, Ballet
, ont un aspect assez variable, car elles peuvent se présenter sous forme agitée, violente, sous forme dé- primée avec dé
e, car elles peuvent se présenter sous forme agitée, violente, sous forme dé- primée avec délire exalté, exubérant, vanit
toire à type onirique très caractérisé. Un exemple typique de cette forme est l'observation de 7.alplachta, où il existai
s créent une véritable folie, se présentant le plus souvent sous la forme de mélancolie, soit sous celle de manie, la mél
A ce propos il fait remarquer que le syndrome de Basedow, dans ses formes frustes, estplus souvent qu'on ne pense une cau
une cause d'aliénation mentale. Aussi convient-il de rechercher les formes frustes du goitre exophtalmique chez les aliénés.
IV. - Contribution à la symptomatologie du crélinisme et des autres formes d'idiotie. Arch. of Pediatry, février 1902, no 2.
éd. du Nord, 1898, p. 129. Raymond. htyxcr-déme infantile et autres formes du myxoedème.. Revue internat, de thérap. et de
sque égal à celui de la jambe saine. Cela encore à mon avis est une forme de démarche paradoxale, car en effet le malade
is plutôt la passivité paradoxale ou la compensation paradoxale qui forme le caractère pathognomonique de cette démarche.
ue du diagnostic. Dans l'hystérie on rencontre encore bien d'autres formes de troubles de démarche les plus variées, comme
èrement fléchi ; peut-être y a-t-il également' une (1) GUILLAIN, La forme spasmodique de la syringomyélie. Paris, 1902, 2
bord externe du pouce continué avec le premier métacarpien prend la forme d'un S très allongé (cette attitude semble due au
que les délires du type raisonnant persistent d'ordinaire sous une forme toujours identique à elle-même, sans aboutir à
identique à elle-même, sans aboutir à la démence. Et même pour les formes plus particulières du délire de dépossession, s
obule lingual. Le cuneus est peu développé. Au lieu de présenter la forme d'un coin, il est constitué par un simple pli à
au n'est plus ovalaire, mais piriforme ou pyramidal, il a adapté sa forme à celle de l'élément cellulaire qui le renferme.
est alors atrophié à différents degrés ». Dans la première phase, la forme du noyau est variable, il peut être rond, long,
noyau est variable, il peut être rond, long, ovoïde, ellipsoïde, en forme de coeur ou de poire. Ce qui à ce moment là car
ses. Lésions vertébrales. - Dans son ensemble la colonne vertébrale forme une seule pièce, dont toutes les parties sont s
antéro-poslérieure : cyphose dorso-lombaire. Cette courbe régulière forme un grand arc de cercle dont le sommet correspond
mmet de l'apophyse épineuse est déformé par le prolongement que lui forme l'ossification du ligament sus-épineux. Au niveau
baire l'os- sification du ligament sus-épineux est incomplète. Elle forme un pont incom- plet au niveau du plus grand nom
que sur les vertèbres sacrées. Ailleurs, l'ossification incomplète forme -des stalactites qui ne se rejoignent pas compl
gtemps grabataire. 11 y a là de véritables surfaces dont la réunion forme un plan très régulier indiquant soit une malléa
énomènes en rapport avec l'irritation des nerfs rachidiens, sous la forme de sensation depares- thésie, d'hyperesthésie c
en raison des productions ostéophytiques qui carac- térisent celle forme d'ankylose vertébrale. J. Tessier et ses élèves
crurales, sciatiques, les myalgies, les amyotrophies, et, dans les formes cervicales, les troubles vaso-moteurs cardiaques
hique, mais même sur l'origine et l'entité clinique des différentes formes d'arrêt de déve- loppement. Nous croyons par
ant qu'elles nous permettront, il nous semble, de prouver que cette forme de dystro- phie générale qui a pris le nom de L
tanés ; pas la moindre empreinte myxoedé- mateuse, pas même sous la forme la plus fruste. Les muqueuses visibles sont de
mande dans l'espoir de la guérison. Le souvenir des couleurs et des formes des objets les plus différents est par- faiteme
e. La sensibilité superficielle est normale partout dans toutes ses formes . Pal- lestésie et Barestésie normales. Recher
ongues par rapport au tronc. De conformation osseuse très grêle, de formes pointues, très maigre, il ne paraît pas plus de
chez Marguerite, très peu déve- loppé tandis que le tissu spongieux forme la presque totalité des os longs. La persistanc
et d'arriver à présent avec toute facilité à la détermination de la forme clinique présentée par nos cas et à l'interprét
nous bornerons dans le diagnostic différentiel à la discussion des formes purement néces- saires. . (A suivre) CLINIQ
trale description de M. Pierre Marie classant l'a- cromégalie comme forme morbide bien définie et de pathogénie hypo- phy
son, dans celle d'Erb- Goldflam, ou bien dans certains cas de cette forme de Basedow qui a été décrite sous le nom d'asth
ta le malade se demandait si l'on devait ou non diagnos- tiquer une forme de Basedow. Comme le malade accusait une forte cé
a des cas,et ils ne sont pas rares, où la maladie persiste sous une forme grave même avec une glande presque entièrement
ujourdhui plus de doute que l'ostéoarthropathie pneumique de Marie, forme ayant des points de similitude avec l'acromégal
galie. Pour une maladie comme l'acromégalie, où l'altération des os forme ENCORE SUR L'ACROMÉGALIE 337 une partie essen
l'a- cromégalie une altération des phalangettes, qui leur donne une forme à petit plumeau. Souvent on a aussi trouvé alté
ent à Oppen- heim, qui en 1899 parvint à voir par la radioscopie la forme et les dimen- sions de la selle turcique. D'aut
bien plus large que d'ordinaire ; parfois elle est altérée dans sa forme , car la tumeur peut entamer et même détruire un
demment altérée dans sa constitution ; on y voyait une sinuosité en forme d'entaille, sur une étendue assez longue de l'o
ans mes recherches sur d'autres échanges, selon qu'il s'agissait de formes légères ou graves, j'ai trouvé des résultats bien
eront : a) selon la période de la maladie; b) selon qu'il s'agit de formes aiguës ou chroniques, de formes légères ou grav
a maladie; b) selon qu'il s'agit de formes aiguës ou chroniques, de formes légères ou graves; c) dans les périodes station
ts inflammatoires des enveloppes internes du crâne, de même que les formes hydrocéphaliques peuvent se ramener à des états i
lte on trouve, après ossification, une surélévation osseuse de même forme dont le plus grand diamètre est dans le sens sa
hement, crises éclamptiqnes. Eu mai 1901 première attaque épilepli- forme . Après avoir ressenti des tournements de tête et
n à l'hôpital cantonal 1 an 1/2 après la première attaque épilepti- forme . Etat corporel. Tête souvent tournée à droite,
porale sont un peu dila- tées à gauche. A droite (côté tumeur) leur forme s'est arrondie, mais sans qu'il y ait dilatatio
ne la circulation lymphatique encore plus que celle du sang ; il se forme peu à peu de vastes destructions qui se traduis
us en arrière qu'à droite. Au niveau de Co. a. la gomme prend une forme à peu près triangulaire ; sommet à la hauteur d
a cellule nerveuse. Mais la structure générale de l'écorce, même la forme de la cellule et de son noyau sont bien conserv
g travail qui n'était lui-même qu'une reproduction modifiée dans la forme et complétée des idées que j'avais émises dans
l cité plus haut et auquel je n'ai rien à retrancher, mais sous une forme biologique. J'espère montrer que les deux théorie
voir des manifestations vitales dans d'autres conditions. Parmi les formes d'adaptation dont la nature nous offre le spectac
, parcourt le nerf optique pour atteindre son noyau d'origine, sons forme d'oscillations spécifiques du courant nerveux, de
es morales puissent impressionner la matière vivante, sans être une forme de l'exci- tation. Le domaine de la physique et
eur, ce sentiment si répandu dans les espèces animales,n'est qu'une forme de l'énergie extérieure qui s'est incrustée dans
pas limitée à la photographie en chair du milieu extérieur, à cette forme passive de reproduction ; entre les deux, il y
nte la na- DE LA PATHOGÉNIE DES NÉVROSES 387 ture humaine dans sa forme la plus primitive, ont la réputation de le fair
certains phénomènes extérieurs susceptibles d'être imités. Sous des formes différentes, équivalentes entre elles, ceux-ci ci
et il est rationnellement impossible de la concevoir sous une autre forme . Tout point de l'organisme se trouve sous la dé
ort de leur production qu'au point de vue de leurs modifications de forme , dépendent, pour une part, du mode d'articulati
chee ne levée- totalement : et doit tellement renverser sa teste en forme de pendant en arrière quelle aye plus que autreme
à un acci- dent récent auquel on doit imputer vraisemblablement la forme élargie et apla- tie de la dernière phalange de
ué. Le pied gauche présente un pouce très long, renflé à sa base en forme d'o- voïde. Le petit orteil, presque normal, es
lée au lieu de présenter comme normalement une tète. Il a ainsi une forme conique à base postérieure. Le squelette de l'ort
sté, mais s'est soudée au premier métatarsien, ce qui expli- que la forme anormale du premier métatarsien, et ce fait qu'il
ain et son disciple Faneauclela Cour décrivirent parfai- tement une forme d'infantilisme « caractérisée par la débilité, la
ni- ment chez eux l'établissement intégral de la puberté ». Cette forme clinique a été étudiée par Brouardel, ./o ? '0 ?
isme du type Lorain. M. Brissaud au contraire considérant que cette forme d'infantilisme est souvent liée à un développem
ique de l'infantilisme mi- tral, lequel, à la différence des autres formes , est plus fréquent chez les femmes. Dans l'in
ent à démontrer l'origine congénitale de la sténose mitrale ; cette forme peut se différencier cliniquement des autres pa
sténose de la mitrale, Ferranini invoque la dépendance de ces deux formes pathologiques d'un fait unique de dysgénésie pr
eux se distinguerait des autres non seulement par l'exiguïté de ses formes et la limitation de ses processus vitaux, mais
l'infantilisme mental est moins grave. Lancer eaux pense que cette forme d'infantilisme est déterminée par des lésions s
ableau qui est offert par mes sujets à celui qu'on observe dans les formes frustes du myxoedème infantile (Thibierge) et du
ement décrit par Brissaud. Nous ferons enfin brièvement mention des formes combinées. Voyons donc quelles sont, selon Meige
ion selon Marfan et Guinon et Hertoghe. Type Lorain. Petite taille, formes délicates et élancées, squelette très grêle, pe
ormes délicates et élancées, squelette très grêle, peau fine, pâle, formes anguleuses, épaules larges, extrémités inférieu
, etc. Entre ces deux types à caractères si nets ont pris place des formes de transition qui ont été décrites par Brissaud
n el Brissaud qui n'est pas jus- tifiée par l'existence de quelques formes frustes de passage, cependant que les caractère
sumé par une synthèse rapide les caractères diffé- rentiels de ces' formes d'infantilisme, qui seules nous semblaient devoir
ieur, elles nous représentent deux exemples des plus typiques de la forme d'infantilisme dite de Lorain. Aussi bien chez
u type Brissaud fait défaut. S'il nous a été facile d'exclure cette forme clinique, la tâche nous sera beaucoup plus aisé
tte forme clinique, la tâche nous sera beaucoup plus aisée pour les formes de myxoedème fruste décrites par Thibierye : cell
isme endémique mais il ne doit pas pour cela être confondu avec ces formes pathologiques. De Sanctis a vu souvent aussi, e
oeur de nos deux patientes. Ce même petit os n'est visible que sous forme d'une ombre à peine appréciable sur la radiogra
hez elles ni chez leurs parents. Nous avons exclu en même temps les formes chlorotidues et cardio-an- gio-dystrophiques do
ez notre patient ; sa nature même dépose contre l'hy- pothèse d'une forme congénitale, mais il serait intéressant de savoir
générale et plus importante ; nous devons chercher à définir si la forme d'arrêt de développement général dont nous avon
udra aussi discuter si l'on doit attribuer avec Hertoghe toutes les formes de l'infantilisme à la dysthyroïdie, ou si l'on d
ver jusqu'à preuve du contraire, une distinction clinique entre les formes qui ont une empreinte myxoedémateuse apparente
nalogues déjà cités et qui représentent des exemples typiques de la forme d'arrêt du développement général à laquelle Lor
infantilisme et en conséquence nous ne pouvons admettre pour cette forme clinique que la définition suivante : « l'infanti
tiles vrais; la non-soudure des épiphyses leur est propre comme aux formes nettement dysthyroïdie- nes, quoique à un degré
elle très limitée, telle qu'on la trouve se- lon Ferranini dans les formes dystrophiques de Lorain, de préférence au myxin
rophique. L'incertitude qui règne sur la palhogénie des différentes formes clini- ques auxquelles nous venons de faire all
ne' nous autorise à affirmer qu'on doive rattacher les différentes formes d'infantilisme toujours et seulement à des lésion
- toghe, de Levy et Rothschild, etc., il n'y aurait bientôt plus de forme clinique qui ne put rentrer dans ce giron beauc
antilisme, arrêt de développement somatique et psychi- que dans ses formes complètes, n'est jamais le résultat dé l'altérati
une affection idiopathique des glandes séminales ; il appelle celle forme : primàren disgezitrclisaus. Dans cette nouvell
persistance de cartilages épiphysaires pendant toute la vie, et les formes de sénilisme ou géroderme génito-dystrophique q
st ni utile ni suffisamment fondée. L'hypothèse que ces différentes formes cliniques soient toutes dépendan- tes d'une lés
ment ou secondairement lésées. M. Halmagrand admet en somme sous forme voilée l'origine polyglan- dulaire des infantil
on prépondérante de l'une ou de l'autre glande dans les différentes formes cliniques est claire dans quelques cas et obscu
it cet cïre. De cette définition dérive la nécessité de modifier la forme et le con- tenu de l'analyse psychique dans les
ut à fait impulsifs ; presque toujours affectueux au moins dans les formes , mais souvent sans aucune organisation de la cond
s sont moitié enfants et moitié adultes. M. Gaspero admet enfin des formes partielles d'infantilisme psychique et il recon
t nous voyons en effet que seulement l'aurore de nos études sur une forme clinique déterminée, il nous est-possible d'en en
intermé- diaires, etc. Ce fait qui est vrai en général pour toute forme d'observation clinique s'applique d'autant plus
Celle marche lente et pro- longée se vérifie surtout pour quelques formes de néoplasies telles que le tubercule solitaire
sie de la thyroïde et des testicules. L'auteur ne dit pas de quelle forme clinique d'infantilisme il s'agissait dans son
stique. Mais même l'élargissement notable de la selle turcique, qui forme notre argument le plus puissant, ne peut être inv
ânienne se seraient déterminés bien plus précocement ; en outre ces formes de micro-hydrocé- phalie sont liées généralemen
qu'une néoformation de l'hypophyse. Nous voulons parler de celle forme rare d'hyd2,océlhalie idiopathique de l'adulte
essus exsudait proviendrait surtout des plexus choroïdiens. Cette forme pourrait être assimilée à la pleurésie et la péri
mais surtout il l'alcoolisme et à la syphilis héréditaire. Si cette forme d'hydrocéphalie idiopathique se manifeste chez l'
alie idiopathique se manifeste chez l'adulte 460 ETTORE LEVI sous forme tout à fait aiguë, elle n'est que très difficilem
sorte que cette partie du diagnostic est facilitée. Parfois cette forme de méningite séreuse aiguë acquise se résout en
fférentielles sont,selon Oppenheim, les suivantes : en faveur de la forme d'hydrocéphalie idiopathique ou mé- ningite sér
rlent la disposition congénitale qui se dévoile par le volume et la forme anormale du crâne ; la marche souvent caracté-
'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 461 M. Marri, qui sur cette forme d'hydrocéphalie idiopathique a écrit récemment
opathique, mais que cependant elle est plus propre à cette dernière forme . Il a aussi remarqué qu'on observe très souvent
ière forme. Il a aussi remarqué qu'on observe très souvent dans ces formes des accès de fièvre à marche irrégulière (sans
ts. » Comme conclusion, Murri ne croit pas trop à l'existence d'une forme d'hydrocéphalie idiopathique au sens étroit, ma
out de même pas telle qu'elle pût nous conduire au diagnostic d'une forme spécifique. Pour ce diagnostic parle enfin la m
erite d'abord un arrêt général du développement soma- tique sous la forme d'un infantilisme de Lorain, et ensuite avec des
Ser. présentent un type classique d'infantilisme de Lorain : cette forme d'infantilisme a été très probable- ment déterm
e secondaire cérébral chez Marguerite Ser. a été déterminée par une forme d'hydrocéphalie idiopathique ou de méningite sé
464 ETTORE LEVI malades perme ! tent d'affirmer le diagnostic d'une forme vraie d'infanti- lisme, et nous croyons que ce
crezione dell'Ipofisi. Archiv. di Fisiol., 1905, p. 60. PITFIELD. Formes complètes et incomplètes de l'hypothyroïdie ou du
ans. Au pied gauche, la portion métatarsienne des deux orteils a la forme de boudins ou mieux de navets. 1 b ' Au pied
ervicale. A noter à la partie su- périeure de la région dorsale une forme curieuse : l'extrémité antérieure de la scléros
e la 12e dorsale et de la première lombaire, nous avons retrouvé la forme en M décrite par M. Nageotte à la bandelette ex
s ulcérations bourgeonnent; elles se recouvrent d'épithélium, il se forme des cicatrices clléloïdiennes, pas douloureuses
servation, et elle rentre chez elle. Le soir même de ma visite, il se forme chez elle deux petites plaques escharotiques su
osons ce diagnostic parfois même lorsque le sujet est atteint d'une forme fruste de goitre exophtalmique. Si, au contraire,
a pro-' duction de vraies plaques hémorragiques qui présentaient la forme d'une croix. Chez l'hystérique de M. l3ernlae
des embo- 496 VALOBRA lies ; et comme dans ce dernier cas, il se forme une gangrène sèche, la plaque d'anémie se trans
, que les tissus qui sont alentour prolifèrent, que la cicatrice se forme . S'attendre à ce que les plaques guérissent par
te de toute affection organique et de toute supercherie. 2° Celte forme de gangrène de la peau se produit, dans l'énorme
RIBUTION A L'ÉTUDE DES GANGRÈNES CUTANÉES SPONTANÉES 499 9 3° Cette forme de gangrène peut être reproduite sous l'influence
, et particulièrement « son exagération se retrouve dans toutes les formes de débilité psychique » (Crocq). J'ai observé l
valeur. 3° La photographie de l'ulcération de la plante du pied, à forme géométrique, rectangulaire, ne me semble guère
42 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
é l'ombilic. Au-dessous de ce repli l'abdomen est porté en avant et forme saillie. De ce fait le malade semble pour ainsi d
limètres ; la région la moins épaisse me- sure 13 millimètres. La forme générale du crâne est asymétrique. Toute la moiti
Poids = 670 grammes à l'état presque sec. Le péroné a conservé sa forme , mais les saillies normales ou les dépres- sion
appartienne à l'ostéite défor- mante de Paget. Au point de vue des formes extérieures la comparaison entre notre malade (
ant, aplati sur les côtés ; le malade dit qu'il a toujours eu cette forme . Pas de nodosités en chape- let ; les côtes ont
tiques. J'ai déjà annoncé, que j'ai employé la suggestion sous deux formes prin- cipales : -1° hallucinations négatives; 2
é il les figurer. Les Anciens, les Grecs surtout, séduits par les formes harmonieuses, s'attachèrent peu à rendre les ex
ées, présentaient des caractères de ressemblance frappants avec les formes des nains rachitiques (1). On peut rcncontrer u
aient s'atta- cher à ces représentations où domine l'inharmonie des formes . Mais il n'est pas invraisemblable d'admettre q
éressantes à ce sujet. Pour lui, le délire prophétique n'est qu'une forme de la révélation qui peut aussi revêtir d'autre
des, et il montre combien ce délire était con- tagieux (2), Cette forme bruyante et convulsive de la Mania, l'Enthousiasm
nographiques des monuments de l'antiquité. J'ai consulté toutes les formes artistiques : statues, bas-reliefs, vases peint
ue « chiton » transparente, au travers de laquelle se dessinent ses formes élégantes. Elle tient de la main gauche un chev
Une femme, velue d'une longue « chiton » transparente qui moule les formes de son corps et descend en plis harmonieux jusqu'
lemment en. arrière. Une étoffe souple et transparente dessine ses formes . Le cou et le torse nus sont ornés de colliers,
vaux que celui-ci a entrepris sur l'analyse et l'interprétation des formes extérieures du corps humain. Son « Anatomie art
ce* d'anatomie pure pour donner la description et l'explication des formes humaines, il fallait étudier les modifications
il fallait étudier les modifications que le mouvement imprime à ces formes , chercher la raison et les lois de ces changeme
s distinctes (1) l'. HILIlr.n, Anatomie artistique, Description des formes extérieures du corps hu- main. Pion. Nourrit et
aux membres inférieurs. Nous avons déjà fait remarquer com- ment la forme de coin du sacrum avait pour résultat de répartir
Un muscle contracté, comme nous l'avons déjà dit, n'a pas la même forme qu'un muscle relâché. Il y a entre ces deux aspec
ux membres supé- rieurs, porte sur les deux fémurs. Etant donnée la forme de « noix » des deux articulations coxo-fémoral
is ne le louchent pas dans toute leur étendue. Le pied reproduit la forme de voûte du sque- lette et il ne repose sur le
ne ligne qui joindrait les apophyses des cinquièmes métatartiens. Formes extérieures. Dans la station verticale droite l
la tête, des épaules, des fesses et des talons. Au point de vue des formes extérieures, les caractères morphologiques de l
ou plusieurs sillons transversaux. Les fesses sont aplaties et leur forme se rapproche de celle d'un quadrilatère aux angle
Je n'ai pas besoin de m'étendre ici sur la raison anatomique de ces formes qui se trouve exposée au chapitre du mécanisme et
ension des muscles triceps suraux. Mais il est bien certain que ces formes ne subsis- tent telles que tant que l'équilibre
penche un peu en avant, nous verrons aussitôt les fesses changer de forme , saillir et se creuser en dehors. Si le corps pen
alon. Si la ligne de gravité passe par l'articulation, le sys- tème forme un levier du 2e genre. Si cette même ligne passe
nt par les orteils, le système représente un levier du 1er genre. Formes extérieures. Nous avons vu que, sur le profil d
mbres inférieurs. La caractéristique morphologique réside dans la forme spéciale des mollets par suite de la contractio
n - s'accom- pagne d'une grande richesse et d'une grande variété de formes . Autant la station verticale droite que nous ve
séparément et successi- vement son mécanisme et son action sur les formes extérieures. Mécanisme. Dans la station hanch
m à l'occipital. Si la tête penche gauche la colonne prend alors la forme d'un S italique dont les deux parties de courbu
a colonne dorso-lombaire, l'autre par la colonne dorso-cervicale. Formes extérieures. Pour préciser la direction des div
es centres d'articulations des deux articulations scapulo-humérales forme l'axe des épaules. Cette ligne sur le nu se tro
joint le milieu de l'axe des épaules au milieu de l'axe des hanches forme l'axe du tronc. L'axe du membre inférieur a été t
côté de la jambe portante. Tout ce qui précède devient la raison de formes extérieures bien spécia- les et qui méritent d'
ction de la moitié supérieure de ses muscles (moyen fessier). Cette forme s'accentue encore si DE LA STATION 93 le gran
ême sens que la ligne des épau- les. Je ne parlerai pas ici de la forme du cou, ni de celle des membres su- périeurs qu
ur qui se produit et qui n'est autre que le grand fessier. Aussi la forme des fesses est-elle bien curieuse il étudier dans
rté légèrement en avant, on observe une transformation complète des formes de toute la région. C'est la fesse opposée qui en
e que celle de la station sur la plante des pieds, puisqu'elle a la forme d'un rectangle dont les petits côtés varient su
se Lrans- Fig. 29. 9C NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. forme en une sorte de station assise familière aux indi
en avant ou en arrière. Dans la station assise, le buste droit, les formes extérieures du corps diffèrent notablement de c
e fibres sous la désignation de faisceau tempoJ'o-tJ¡alami- que. La forme et les rapports de ce groupe de fibres nerveuses
SO). Le plan de section ainsi repéré la fait voir toujours sous une forme identique à elle-même : elle est assez régulièr
atement en dehors du tractus optique, toujours reconnaissable il sa forme aplatie, on distingue la bandelette sous-optique
acente au ventricule sphénoïdal marche de dedans en dehors, sous la forme d'une lame horizon- tale ; arrivée en dehors de
à établir une relation étiologique directe entre la syphilis et une forme de méningite spinale accompagnée d'atrophies mu
nous relevons certaines particularités qui n'appartiennent pas aux formes ordinaires de la pachyméningite cervi- cale hyp
e; et l'hémiparaplégie spinale avec anesthésie croisée répond à une forme de myélite 'syphilitique systématisée qui n'est p
êles de certaines variétés d'amyotrophie ils n'ont pas non plus les formes herculéennes si bien décrites par Du- chenne de
. Cette distinction une fois établie, on s'est plu à multiplier les formes de myopathies primitives, chacun croyant trouve
e conception plus synthétique et tend-on à englober les différentes formes sous la dénomination géné- rale de : Myopathie
Parlant d'abord de la paralysie pseudo-hypertrophique qui semble la forme la plus fréquente et la mieux différenciée, il s'
r s'ils appartenaient il la paralysie pseudo-hypertrophique ou à la forme juvénile ». En effet, on peut ranger dans le grou
erre Marie et G. GuLVOrr. Contribution à l'étude de quelques-unes des formes cliniques de la myopathie progressive primitive
DE LA SALPÊTRIÈRE D'autre part, Erb lui-même dit, il propos de sa « forme juvénile ». « On n'y observe pas seulement de l
peut arriver que toute la musculature soit atteinte. L'attitude, la forme du tronc et des extrémités résultant de celte m
nt les ressemblances enlre la paralysie pseudo-hypertrophique et la forme juvénile. Il en résulte que dans la paralysie pse
atteignant toujours les mêmes muscles de la même façon que dans la forme juvénile et la ressemblance existe également pour
t en outre que les muscles présentent des ana- logies dans les deux formes quant il leurs propriétés objectives, leurs réac-
l'hérédité, Pédologie, sont semblables en tous points dans les deux formes . La conclusion qui s'impose est la suivante : «
st la suivante : « Entre la paralysie pseu- do-hypertrophique et la forme juvénile il existe une concordance presque comp
e des cas d'atrophie musculaire dite infantile, c'est-à- dire de la forme avec envahissement primitif du visage, qui offre
sement primitif du visage, qui offre de gran- des analogies avec la forme juvénile et la pseudo-hypertrophie. « Au sujet
avec la forme juvénile et la pseudo-hypertrophie. « Au sujet de la forme juvénile, la ressemblance avec la forme infan-
ertrophie. « Au sujet de la forme juvénile, la ressemblance avec la forme infan- tile de Duchenne a déjà été démontrée pa
h2cnérccl de ces auteurs n'est évidemment pas autre chose que notre forme juvénile et la similitude de ce type scapulo-humé
ints de ressemblance entre la paralysie pseudo-hypertrophique et la forme facio-scapulo-humérale avaient été bien mis en év
déjà à notre avis, plaidassent en faveur de l'identité des diverses formes de myopathie, il manquait ce- pendant, pour que
tation de la combinaison possible de la pseudo-hypertrophie avec la forme facio-scapulo-humérale, comme cela existe pour la
hie avec la forme facio-scapulo-humérale, comme cela existe pour la forme scapulo- humérale ou juvénile d'Erb, dont l'ide
rogressives. ^ Mais son cas`ne correspond^ exactement à aucune- des formes qu'on a cherché à différencier autrefois. 'J ?
pe alors le long de ses jambes. Rien d'appréciable à l'oeil dans la forme des muscles abdominaux. Cependant t l'action de
s au commencement de la maladie. 1 4° La conservation apparente des formes .extérieures surtout aux membres inférieurs (ps
me les résultats obtenus par l'examen de la motilité volontaire. La forme des lèvres, minces, molles, en moue, se voit t
'. La déformation vertébrale se rencontre, dans presque, toutes les formes d'amyotrophies primitives. Elle est ici surtout
rment un contraste avec les bras il canse de leur volume et de leur forme relativement normaux. L'atrophie porte surtout su
ent pas de faire une classification sa- tisfaisante des différentes formes de ces maladies. Aussi, chaque observa- tion cl
re ans et demie. Au point de vue clinique, ce cas correspond à la « forme infantile de paralysie musculaire progressive »
très vraisemblable, comme Charcot l'a fait observer, que toutes ces formes , y compris la paralysie pseudo-hypertrophique de
SALPLTRILRE T. VII, PL. XVIII MYOPATHIE PRIMITIVE GÉNÉRALISÉE Les formes extérieures sont relativement bien conservées, ta
rtion. Parmi les affections qui modifient d'une façon singulière la forme exté- rieure des individus, les amyotrophies ti
ulaire progressive de l'enfance (2), et qu'il considérait comme une forme de celle atrophie musculaire progres- sive de l
la physionomie, en 10 vol. Paris, 1835. (2) Parmi les différentes formes de lèvres dessinées par Lavater, il en est qui so
5. P. Marie ET G. GUINON. - Contrib. à l'étude de quelques-unes des formes cliniques de la myopathie progr. primitive. Rev
i, Miincliener Méd. V'ochenschr., 1886. CHARCOT ET MARIE. - Sur une forme particulière d'atrophie musculaire progres- siv
r. f. Nervensheilk, 1893, p. 427. SIRTORI. Contribut. à l'étude des formes juvéniles de l'atrophie muscul. progres- o sive
o-hypertrophie muscul., Reforma medica, 1893. J.-E. EDGREN. - De la forme névritique de l'atrophie musculaire progressive.
ntrib.. à l'ét. des malad. hérédit. et famil. du syst. nerv. Sur la forme spinale, névritique de l'atr. musc, progr., Virch
férents types de myopathie essentielle ; contrib. Clin, à l'ét. des formes de transition (types mixtes). Th. Montpellier, 18
t d'admettre, pour les besoins de la démonstration, en dehors de la forme commune ou sensitive-motrice, une forme motrice p
onstration, en dehors de la forme commune ou sensitive-motrice, une forme motrice pure et une forme sensitive pure. Il ne
la forme commune ou sensitive-motrice, une forme motrice pure et une forme sensitive pure. Il ne faudrait pas voir dans ce
rapportés à des troubles de la sensibilité musculaire, aucune autre forme de sensibilité n'est compromise. La vision, l'aud
solument méconnaissables. Le condyle externe à disparu ; la jambe forme avec la cuisse un angle obtus ouvert en dehors.
ES DE LA SENSIBILITÉ 217 position : Vous la verrez figurée sous une forme schématique dans la dix-neu- vième leçon de Pie
s que les arthropathies n'existent que dans le labes sensitif . Les formes d'ataxie complètes, classiques, sensitivo-motrice
Vers la même époque, se fait l'apparition de troubles vésicaux sons forme de mictions impérieuses et plus tard d'incontin
bre est en extension, la jambe est très déviée en dedans et son axe forme avec celui de la cuisse un an- gle obtus, ouver
alors dans une atti- tude vicieuse très accusée : l'axe de la jambe forme avec celui de la cuisse un angle obtus ouvert e
out, possible pour le malade en s'appuyant sur une canne, la cuisse forme avec la jambe un angle il sommet externe. Le me
la douleur siège au-dessous du point frappé. Au point de vue de la forme de l'arthropathie, nos faits rentrent dans le t
iption de l'arthropathie syringomyélique typique. Arthropathie il forme d'hydarlhrose : 1" rapide; 2° progressive. En gé-
r locales. D'autres fois (J. B. Charcot) c'est petit à petit que se forme l'épanche- ment articulaire, c'est peu à peu qu
aussi dans l'observation de P. Berbez. L'arthropathie revêt ici la forme d'une hydarthrose chronique. Le liquide que l'o
exemple d'arthropathies simultanées, celle fois symétriques (1). Forme douloureuse. Nous avons insisté sur l'absence de
le sent parfaitement sous la peau qui se renfle Ù son niveau sous forme d'un petit tubercule, et l'on constate qu'il peut
du tiers inférieur de l'avant-bras et de la main. En ce point, elle forme un con- traste frappant avec la main du côté sa
t (épaule, bras, avant-bras, carpe et méta- carpe) ont conservé une forme régulière. En vérité, l'anomalie porte ex- clus
yélie, question encore pendante, nous dirons qu'il s'agit ici d'une forme mixte : syringomyélie type Morvan, décrite par
er, traité). 272 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE c'est la forme monoplégique de la syringomyélie décrite déjà par
Un appareil photographique, instrument inconscient enregistre sous forme d'images tous les objets placés devant l'object
s organes profonds. La neurasthénie, surtout lorsqu'elle affecte la forme hypocondriaque, vous apparaîtra, je l'espère, com
ement nouvelle. C'est bien pour cela que j'ai tant insisté sur- ces formes rares de labes sensitif, dans lesquelles les trou
que les douleurs des hémiplégiques appartiennent principalement aux formes atrophiantes. Si ce que j'avance doit trouver u
. Est-il vrai de dire que cette alté- ration soit identique dans la forme sensitive et dans la forme motrice, c'est- à-di
ette alté- ration soit identique dans la forme sensitive et dans la forme motrice, c'est- à-dire chez les sujets qui souf
iques ; c'est, an contraire, une complication assez commune dans la forme ordinaire, classique, sensitivo- motrice. Du mo
généralisée. Mais à ce titre on peut distinguer suivant Charcot une forme atrophique rare et une forme hyper- trophique p
on peut distinguer suivant Charcot une forme atrophique rare et une forme hyper- trophique plus commune. Contrairement à
ique plus commune. Contrairement à ce qui se passe dans le tabes la forme hypertrophique ne tend pas nécessairement vers l'
s était égale- ment atrophiée. On trouve de nombreux exemples de la forme hypertro- phique. Souvent les deux processus so
é de sang se fit jour spontanément. La pathogénie de cette dernière forme reste entourée de la plus grande obscurité. S'il
in- guer ici comme pour les arthropathies tabétiques (Charcot), une forme bé- nigne (1) et une forme maligne avec pas mal
arthropathies tabétiques (Charcot), une forme bé- nigne (1) et une forme maligne avec pas mal d'intermédiaires. Anatomie
. La première a été faite par Blasius ; viennent ensuite les (1) La forme bénigne de l'arthropathie tabétique comportait el
ic oblige l'opérateur il la connaissance pra- tique de toutes leurs formes , depuis celles qui par l'étendue des destruc- l
s centraux divers, sollicitent dès l'abord son attention, jusqu'aux formes difficiles à reconnaî- tre, môme pour un esprit
ux formes difficiles à reconnaî- tre, môme pour un esprit prévenu : forme aiguë, simulant l'arthrite rhu- matismale ou bl
te rhu- matismale ou blennorrhagique, le phlegmon péri-articulaire; forme hy- darthrose se rapprochant des hydarthroses d
aire; forme hy- darthrose se rapprochant des hydarthroses diverses; formes chroniques, imitant au gros orteil l'hallux val
l'arthropathie tropho-suppurée nécrotique. La première de ces deux formes est souvent signalée parles auteurs dans le cou
seule- ment du liquide sanguinolent et sans doute non infecté. La forme tropho-nécrotique des arthropathies tropho-suppur
pho-nécrotique des arthropathies tropho-suppurées a, moins que leur forme tropho-suppurée aiguë, forme que nous venons de d
ies tropho-suppurées a, moins que leur forme tropho-suppurée aiguë, forme que nous venons de décrire, attiré l'attention
métacarpe et le métatarse se montre sous trois for- mes : 1° Une forme discrète qui se révèle seulement par des craqueme
ment par des craquements, une mobilité articulaire anormale : cette forme demande à être cher- chée ; on la découvrira d'
e du gros orteil gauche, il côté d'un mal perforant guéri. 2° Une forme atrophique, qui pré- sente en raccourci le tabl
- ses très réduites de volume. Nous avons observé deux fois cette forme beaucoup moins commune que la précédente : ch
étonnante avec une patte de singe (Fig. 83 et 84). - : 3° Enfin une forme hypertrophiante qui dévie le gros orteil en dehor
limitée à l'articulation voisine du mal perfo- rant, comme dans les formes précédentes, l'arthropathie fermée du mal perfo
r tout le carpe ou tout le tarse. Cette-nouvelle variété revêt'deux formes très différentes l'une de Fig. S ? Petites arth
de Fig. S ? Petites arthropathies du pied, chez un tabétique : Forme hypertrophiante (ar- ticulation métatarso-phala
iante (ar- ticulation métatarso-phalan- gienne du gros orteil) et forme nécrotique (articulation méta- tarso-phalangi
tatarsien, nécrosée et extraite avec une pince. l'autre. 1° Une forme ankylosante qui s'observe dans la syringomyélie
a dissection peut seule ré- véler l'intensité des lésions. 2° Une forme destructive où tout au con- traire, malgré l'ap
astragalo calcanéennes, soit à la tibio-tarsienne. Dans ces deux formes , l'intérêt pronos- tique du mal perforant dispa
s; arthropathies fermées, soit voisines et petites avec leurs trois formes : fruste, atrophique, hypertrophique, soit éloign
ophique, hypertrophique, soit éloignées et étendues avec leurs deux formes : ankylosanle ou destructive. La diversité clin
autrefois démontrée avec nolre excellent maître M. Tuilier pour la forme la plus légère des arthropathies du mal perforant
de ne permettait de les. expliquer. Dans le mal de Poil, c'est une- forme un peu différente, hydarthrose avec début subaigu
ires par lésion chirurgicale de la moelle affectent généralement la forme hydarthrose : parfois avec début su- baigu, pse
que nous avons opéré il y a un an, pour une arthropathie du genou à forme atrophique, avec hydarthrose et nombreux fragme
u de bons résultats analogues sur des arthropa- thies des orteils à forme hypertrophianle. Mais, si l'arthropathie évolue
même temps analgésiques, et l'opération peut se faire sans chloro- forme : parmi les opérateurs, Czerny et Sokoloff sont c
re devait nous faire ranger sans hésitation dans les syringomyélies forme Mor- van. On ne devra pas oublier du reste qu
avec une facilité particulière : la suppuration s'est montrée sous forme de petits abcès successifs au niveau de la lign
ent éparpillés dans tous les pays du monde; ils combattirent la Ré- forme , défendirent lespapes, liront trembler les prince
ais très iné- galement. Dans la région céphalique ou branchiale, il forme les ganglions latéraux, qui sonl les ganglions
de l'oreille humaine, nous nous bornerons il énumérer les diverses formes de deux grandes fonctions des papilles labyrinthi
ar l'incohérence motrice des globes oculaires, livrés à différentes formes de nystagmus que l'on constate derrière les pau
s voies conductrices dans l'intimité de la masse grise complexe qui forme les noyaux juxtaposés de la VIIIe paire, de la
ur partie supero-externe, le périnée, la région périanale; sous une forme atténuée, ils s'étendaient à une partie de la rég
ouve dans la paroi membraneuse du récipient endolymphatique sous la forme de couche connecto-vasculaire irrégulièrement p
de la couche des éléments infusoriformes. Il esl constitué, dans sa forme adulte, par des cellules bipolaires ; ce sont mêm
n rameau indépendant qui aboutit également au ganglion de Scarpa et forme avec le précédent le rameau moyen de Schwalbe. Co
une position supéro-postérieure; c'est le nerf vestibulaire. L'autre forme un faisceau compact de fibres d'une épaisseur d
à celles de la base des cornes postérieures, petites (20 f'-) et de forme variée (Fig. 90). 2° Le noyau de Bechterew (B),
yau de Deiters à l'olive infé- rieure. VI Nerf cochléaire. Il forme la racine postéro-externe du nerf labyrinthique.
43 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
ur de son plancher (Fig. 9). Dans la région occipitale (Fig. 8), il forme un cône creux qui emboîte la corne occipitale et
obliquement en bas et en dedans, est oblique en bas et en dehors et forme avec le plan médian un angle à sommet supérieur
interne variable suivant les régions, dépend essentiellement de la forme du noyau lenticulaire qui s'insinue entre les s
s antérieur (Cia) et postérieur (Cip) à la façon d'un coin et de la forme de la couche optique dont le pulvinar refoule le
psule interne (Cisl). Sur ces coupes la capsule se présente sous la forme d'un Y couché dont les bras sont formés par les
i passent par la région thala- mique, la capsule interne affecte la forme d'un angle obtus, ouvert en dehors. La branche
ersales, le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl) forme dans son ensemble une bande oblique en bas et e
ayonnante et ses deux faisceaux dont l'un, faisceau de Tiirck (FT), forme la partie externe du pied du pédoncule cérébral
nt avec les fibres du segment inférieur delà couronne', rayonnante, forme une anse dont la convexité antérieure correspon
ue soit leur trajet dans le centre ovale, elles appa- raissent sous forme d'un faisceau compact faiblement coloré par la la
sc), au-dessus et en avant de l'anse du noyau lenticulaire (Al), il forme avec cette dernière l'anse pé- donculaire de Gr
ncu- laire. Le pied du pédon- culo cérébral est exclusivement forme de libres (le projec- tion corticales et ne
occupe la partie externe de la pyramide du bulbe (coupes 2, 3, 4) et forme l'entre-croise- ment supérieur ou sensitif du b
condition ne dégénère, qui est composé de fibres centripètes et qui forme le tiers postérieur du segment postérieur de la
de la protubérance, n'abandonne aucune fibre aux noyaux;pontidues, forme la pyramide bulbaire et se continue avec les fa
DU MANTEAU CÉRÉBRAL. I. - DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES Le neurone forme un tout au point de vue anatomique et physiolo-
droit : plaque jaune du cunéus, des lobu- les lingual et fusi- forme et de l'isthme de l'hippocampe. Dégénérescenc
rieur de la capsule interne (Cia) dans la région thalamique moyenne forme le faisceau géniculé et occupe le genou (Ci[g]) e
es à trajet horizontal de l'anse du noyau lenticulaire(.11), puis forme le cinquième interne du pied du pédoncule céréb
La par- tie non entre-croisée de la pyramide droite agé- ncsiee forme une petite zone sclérosée qui borde le sillon
béi-anLiel et bulbaire (Fig. 149 à l : i2); Fatiophie des fibres arci formes internes du bulbe, de Y entre-croisement sensit
couche interolivaire droite. Diminution de volume des libres arci- formes internes gauches et du feutrage du noyau du cordo
ésicule remplie de liquide céphalo-rachidien mais ayant conservé la forme générale du cerveau normal. Il existe une faux
'hippocampe avec son crochet et la partie adjacente du lobule fusi- forme , les scissures collatérales et calcarine. Les cir
du corps calleux gauche et le long du bord externe du lobule fusi- forme droit. Tout le reste du manteau cérébral, - à sav
ES NERVEUX. ventriculaire des circonvolutions sphéno-occipitales et forme à elle seule (soutenue par la pie-mère) la part
pect d'une petite lame verticale étendue du trigone au repli falci- forme médian qui fait saillie dans la cavité ventricula
oyau caude (NC), un putamen (NL3), un globus pallidus (NL2, NLi) de forme et de dimension normales. Le noyau caudé est reli
rie de lames médullaires^anormales. La conservation de volume et de forme des deux tiers antérieurs du thalamus a lieu de
uronne rayonnante ; il entoure en crochet les fibres cal- leuses et forme au-dessus d'elles une mince couche de fibres à di
ection transversale. Le faisceau inférieur (CSgt), très volumineux, forme une épaisse couche verticale, homo- Fig. 222. C
e divise en deux parties : l'une longe la paroi externe du putamen, forme une capsule externe rudimentaire et s'épuise da
ourbe en dedans, passe entre la queue du noyau caudé et le putamen, forme les segments rétro (Cirl) et sous-lenti- culair
ns de la base en deux parties inégales : l'une se poi te en dedans, forme le segment rétrolenticulaire de la capsule inte
es fonctions motrices, sensitives, sensorielles, et des différentes formes d'aphasie. Parmi les premiers travaux parus sur
n, 1885, - c'est-à-dire la faculté que nous avons de reconnaître la forme des objets par la palpation. Mais pour nous, tous
ans telle ou telle position que l'on vous désigne, la notion de la] forme de l'objet, celle de l'attitude réalisée sont l
sens stéréognostique comporte la reconnaissance non seulementde la forme de l'objet, mais encore des propriétés physique
'est surtout la sensibilité profonde qui nous donne la notion de la forme de l'objet, de même qu'elle nous donne aussi la
cette dernière affection l'hémianesthésie se présente parfois sous forme segmentaire, - anesthésie en gant, en manchette
rieure de ce dernier, qu'elle détruise les lobules lingual et fusi- forme et la pointe occipitale, qu'elle interrompe enfin
d en dernier lieu; aussi voit-on l'agraphie exister dans toutes les formes d'apliasie relevant de lésions siégeant dans la
be temporal gauche, comme dans le cas de Liep- mann. Dans ces trois formes d'aphasie, le langage intérieur est intact, car l
complet et détaillé de- travaux de l'un de nous sur les différentes formes d'aphasie. On trouvera cet exposé dans l'ou- vr
es de deuxième ordre, - facial, hypoglosse, masticateur, spinal. La forme corticale de la paralysie pseudo-bulbaire s'obser
Thèse, Paris, 1881. - Du même. Le langage intérieur et les diverses formes de l'aphasie. Th. agrég., Paris,-] 1886. - Bastun
seulal' sensé. Brain, avril, 1887. - l3Ew.an. L'Aphasie. Ses diverses formes . Th. Doct., Paris, 1885. Bruns. Zwei Palle von
- pli, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Turck; il forme la couche supérieure du segment sous-lenticulai
st comprise entre le trou de Monro et le tubercule mamillaire; elle forme la partie antérieure du troisième ventricule, p
du TRIGONE.(Fig ? l,ll ? GO.)-Lep111e1'pOSL- rieur du trigone (Tgp) forme un volumineux faisceau replié sur lui-même dans
avant, mais la majorité des fibres se porte directement en avant et forme le contingent principal des libres longitudinales
le conserve jusqu'au tubercule mamil- laire. Dans son ensemble, il forme néanmoins un faisceau bien délimité. Toutefois,
e sur la ligne médiane avec le faisceau homologue du côté opposé et forme avec lui, en avant du troisième ventri- cule, l
ventriculaire des segments ventral et dorsal de la corne d'Ammon et forme la paroi interne du ventricule latéral. Il cont
arqué du septum (Bogenbundel des Septum [Ganser]). Le fornix longus forme , de chaque côté de la ligne médiane, un faisceau
. - Les cellules névrogliques du corps strié revêtent en général la forme de cellules étoilées, de cellules araignées. Le
ha]amiqucs et strio-sous-t h a I a m i- ques. chez les poissons forme à lui seul le cerveau antérieur. L'écorce cérébra
essus desquels elle est située (Fig. 2f, 4S, 269, 270 el 293). Elle forme avec ce dernier faisceau l'anse pédonculaire de G
us et en dedans du corps de Luys (Fig. 305), et se présente sous la forme caractéristique d'un faisceau triangulaire, à som
llules de la couche optique se disposent en groupes de volume et de forme variables et distingua chez le lapin près de vi
rée chez l'homme. Les cellules nerveuses du thalamus présentent des formes variables. Les plus nombreuses sont étoilées, p
plus nombreuses sont étoilées, polygonales, triangulaires ou fusi- formes , et ressemblent par leur aspect aux cellules des
étoilées à longs prolongements ramifiés, Kôlliker décrit une autre forme cellulaire, les cel- lules pénicillées (Buschze
S NERVEUX. Le feutrage inter- cellulairc. Noyau antérieur, aa forme . Sa structure. Ses connexions corticales.
nce à de nombreuses branches fines et peu ramifiées. Entre ces deux formes cellulaires se trouvent tous les intermédiaires.
résente, ainsi que nous l'avons vu plus haut (T. Leur, p. 381), une forme en massue, assez analogue à celle du noyau caud
ntérieur par sa partie postéro-externe (Fig. 310) et y pénètre sous forme de fins fascicules rigides, légèrement divergents
aupe, etc., le noyau homologue au centre médian de Luys affecte une forme rubannée; il est situé (med. b), d'après v. Monak
311), (Schalen- formigerKorper,v.Tschisli, Flechsig), Noyau cupuli forme . medialerNeben kern der ventralen Gruppe (vent,
té externe beaucoup plus accusée que celle du segment antérieur, et forme avec ce dernier un angle obtus ouvert en dehors
à la situation dorsale du corps genouillé externe chez ces animaux, forme non pas une mince lamelle comme chez l'homme, m
eurs, tantôt au noyau externe, tantôt au noyau interne, le pulvinar forme il la partie postérieure de la couche optique cet
uche optique cette saillie volumi- neuse et libre, variable dans sa forme et ses dimensions, tantôt conique, tantôt régul
icke (W). Ce champ affecte sur les coupes vertico-transversalcs une forme irrégulièrement triangulaire à base infé- rieur
cavité. Sur les coupes horizontales (Fig. 295), ce champ affecte la forme d'une gouttière verticale, ouverte en dedans, don
ante sur le stratum zonale et dont le bord anté- rieur, très épais, forme une sorte d'éperon saillant qui sert de limite
le fait prévoir son aspect extérieur. Sur les coupes, il affecte la forme d'un coeur de carte à jouer, dont la base regar
tique, et quoique plus volumineux que le corps genouillé externe il forme à la face inférieure du pulvinar une saillie beau
méthodes de Weigert et de Marchi montre que le ruban de Reil médian forme la majorité des fibres de la région du ruban de
de fibres transversales, situé à la base de la glande pinéale, et qui forme la commissure interhabenulaire ou Décussation d
coupes vertico-transversales, le tamia thalami se présente sous la forme d'un faisceau triangulaire, dont la base se conti
la partie renflée du noyau antérieur du thalamus, le tænia thalami forme un faisceau épais, fusionné avec le stratum zonal
n un faisceau à surface de section triangulaire. Ces changements de forme ren- dent assez difficile, au moins chez l'homm
- Ilexe décrit de chaque côté du troisième ventricule une courbe en forme d'S (Fig. 3l). La courbe supérieure à convexité
, impair et médian, de couleur gris rougeâtre, d'as- pect grenu, de forme ovoïde ou conique, dont le sommet regarde en arri
. Sa limite établie par le plan du fais- ceau de Jteynert. Sa forme . La région sous-optique ou sous-thalamique (Fig
est pas située dans l'axe de la calotte du pédoncule cérébral, mais forme avec elle un angle ouvert en bas et en avant et
vant. Sur les coupes horizontales, elle affectera par conséquent la forme d'un triangle à sommet antérieur (Fig. 21, p. 3
les coupes vertico-transversales (Fig. 323, 321, 325), elle est de forme quadrilatérale et d'autant plus petite que l'on e
xamine des coupes plus antérieures. Sur les coupes sagittales, elle forme un triangle très allongé à sommet antérieur (Fi
ace externe de la région sous-optique, oblique en bas et en dehors, forme avec la face inférieure une courbe convexe en deh
ge et avec les fibres longitudinales de la calotte pédonculaire, et forme à elle seule (Fig. 323) la partie de la région so
la partie postérieure et externe de la région sous-optique; il a la forme d'une lentille biconvexe très bien déli- mitée,
-dessus, en dehors et en avant du noyau rouge. Il a chez l'homme la forme d'une lentille biconvexe, très bien délimitée, do
s vertico-transversales sériées, le corps de Luys apparaît, avec sa forme caractéristique de lentille biconvexe, sur les co
la partie postéro - ex- terne de' la région sous-optique. Sa forme . Surlescoupesver- tico-transversales. 398
and nombre de cellules multipolaires et étoilées, quelquefois fusi- formes , qui possèdent toutes un noyau arrondi se coloran
an- cher du troisième ventricule, double la membrane épendymaire et forme la commissure molle. Elle se continue au niveau
us-op- iques et la partie adjacente des régions de la calotte. Elle forme le tuber ;ine°eun et la lame interpédonculaire
randes cellules ganglionnaires multipolaires de la rétine dont elle forme les prolonge- NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
vasculaire du nerf optique le faisceau maculaire (mn, mt} change de forme : il émigre progressivement vers le centre du ner
plètement la périphérie inféro- externe du nerf optique, affecte la forme d'un ovale vertical qui longe encore le côté te
isées, la même situation centrale que dans le nerf optique et qu'il forme un faisceau fermé (Fig. 329, 5, 6, 7). Il n'en es
faisceau nasal (fn Fig. 330), en traversant le chiasma, diverge en forme de fuseau et ses fibres s'entre-croisent dans tou
centrifuges de la bandelette optique proviennent des cellules fusi- formes el étoilées du tubercule quadrijumeau antérieur e
. Ce faisceau persiste intact après l'énucléation des deux yeux, et forme , chez la taupe dépourvue d'organe visuel, à lui s
al, le rhombencéphale de la nomenclature moderne, doit son nom à la forme du quatrième ventricule qu'il circonscrit. Il o
du cervelet. Le vermis supérieur est convexe d'avant en arrière; il forme à la face supérieure du cervelet une saillie pl
correspond au monticule (culmen et déclive) du vermis supérieur et forme le lobe supé- rieur (LS). La partie postérieure
et vice versa. L'asymétrie des lobules porte non seulement sur leur forme et leur étendue, mais encore sur le nombre, la
le lobe postérieur en deux, soit un total de neuf lobes inégaux de forme , d'aspect, de dimension et de volume, qui empru
ent soudée dans toute sa largeur aux régions hémisphériques (Il) et forme avec cette dernière un tout inséparable. Les lame
côté par les sillons marginaux antérieurs (sma) (Fig. 334) dont il forme la lèvre supérieure, en arrière par le sillon s
lobe central, 3° le lobe du culmen, 4° le lobe du déclive. De même forme , mais de dimen- sions fort variables, ces quatr
fibres de la valvule de Vieusscns. La face postérieure est libre et forme la lèvre antérieure du sillon pré- central ; el
p, bras"du tubercule quadrijumeau postérieur. - fui, fibres arci- formes ;supérieures de l'isthme. - Gp, glande pinéale. -
e Vieussens, sa face antérieure présente deux iL quatre lamelles et forme ainsi un petit lobule indépendant en avant duqu
le en arrière pour l'aper- cevoir. Ainsi préparé, le lobe central forme un petit lobe allongé, aplati, cur- viligne, pl
, mince et effilé dans ses parties hémisphériques qui s'étendent en forme d'aile jusqu'au pédoncule cérébelleux moyen sur
'apparaît pas à la face supérieure du cervelet. La face postérieure forme la lèvre antérieure du sillon transverse antéri
upe de lamelles, implanté sur la face antérieure du lobule suivant, forme une petite partie du vermis, se rétrécit au nivea
mis, se rétrécit au niveau du sillon longitudinal Lobe du culmen. Forme , dimension, aspect. Ses faces. Les lobules
pée, qui recouvre le rudiment hémisphérique du lobule précédent; il forme ensuite la lèvre postérieure du sillon post-centr
illon transverse antérieur au voisinage du sillon longitudinal droit, forme un lobule profond à la face postérieure du culm
nt en effet, dans la région ver- mienne, en une branche commune qui forme la branche verticale (bv) de l'arbre de vie méd
be appartient bien au lobe supérieur du cervelet, mais le vermis ne forme plus, comme pour le lobe du culmen, le lobe centr
ui représente à peu près la moitié posté- rieure du vermis, ce lobe forme le déclive, la pente ou revers du monticule; se
anche \ erticale de l'arbre de 'le du permis. Lobe du déclive Forme , dimension, aspect caractcrb- tique. 460 AN
face postérieure convexe et une face supérieure. La face antérieure forme la lèvre postérieure du sillon transverse antér
partie hémisphérique du lobe. La face supérieure est irrégulière de forme . Dans la région du vermis, le déclive s'enfonce
partie médiane ou vermienne et une partie hémisphérique disposée en forme d'aile et qui s'enfonce après un trajet plus ou
médian (Fig. 336). Lapartie inférieure, beaucoup plus considérable, forme le tuber valvule (Tv) des anciens ou les lames
dérable, tapissée de nombreuses lamelles et lobules transversaux et forme la lèvre supérieure du profond sillon post-pyra
e masse excessivement mince dans la région du vermis, développée en forme d'aile dans la région des hémisphères, qui forme
mis, développée en forme d'aile dans la région des hémisphères, qui forme le bord pos- térieur du cervelet et se trouve c
minis. Dans la région des hémisphères, le lobe du bourgeon terminal forme l'important lobe semi-lunaire supérieur (Lsls), m
x à trois lobules secondaires. La face pro- fonde supéro-antérieure forme la lèvre postérieure du sillon supérieur ; elle
ntent souvent sur un même cervelet de grandes variétés d'aspect, de forme , de longueur et de direction. Les lames et lo
core d'un hémisphère à l'autre. Il présente une face supérieure qui forme la lèvre inférieure du grand sillon circonféren
d'Azyr ; et une face inférieure ou superficielle qui pré- sente la forme semi-lunaire caractéristique du lobe. Un sillon
néiforme. Considéré dans son ensemble, le lobe inférieur affecte la forme d'un fer à cheval, inclus dans le lobe postérie
6, 344, 345, 108 et 410 à 414) (pyra- mide lumineuse cle Malacarne) forme un petit lobe piriforme dirigé obli- quement en
amelle qui tapisse la partie la plus saillante du lobule postérieur forme le bord libre et tranchant des ailes. Elle reçoit
de la pyramide, en arrière et en dedans des lobes digastriques; il forme une sorte de gout- Ses rapports. s. Ses faces
ée latéra- lement à la façon d'un coin par les amygdales, la luette forme un polit lobule bien délimité, large en arrière
faces, elle est tapissée de deux à trois lamelles transversales et forme la lèvre postérieure du sillon post-nodulaire (sp
l'amygdale. Leur bord postérieur est libre, mince et tranchant, et forme une crête verticale située en avant et au-desso
achent deux minces voiles membraneux de substance blanche, que leur forme semi-lunaire a fait comparer aux valvules semi-
mobilité, et adhère à la substance blanche centrale du cervelet. Il forme avec la paroi supérieure du toit du ire ven- tr
lus constitue le plus petit des lobes hémisphériques et affecte une forme en poire ou en massue; épais en dehors, il est mi
uillet pic- mérien. La moitié interne est intra-ventriculaire; elle forme , ainsi que nous le verrons, la face supérieure
ne verticale passant par le trou occipital. L'axe du rhombencéphale forme ainsi avec l'axe du cerveau intermédiaire un angl
estige de l'angle iiiichal du fa;tus. Pédoncule du Lloe- culus. Forme . Limites. Direction. 480 ANATOMIE DES CENTR
o- protubérantiel; il la sépare du pied des pédoncules cérébraux el forme sur la ligne médiane le trou borgne supérieur,
cicules qui se portent en bas et en dedans, et s'entre-croisent sous forme de natte avec ceux du côté opposé. L' entre-c
ltalyorts avec la lingula. Freins de la val- vule. Bulbe. Forme et aspect. Sa partie infé- rieure cylindrique
parente, la membrane obturatrice du quatrième ventricule (loV'), de forme triangulaire, à base supérieure, et dont les an
, les diverticules latéraux du quatrième ventricule. Cette membrane forme le toit du quatrième ventricule; elle est génér
le qui comble l'espace en 1' in- tercepté par les corps res- ti formes . On remarque sur la face postérieure du bul-
ant entre elles un angle de 75° environ; puis, elles se renflent en forme cle massue au niveau du sommet du V épendymaire,
Les corps restiformes (Crst) (corpora restiformia, processus resli- formes , cordons cunéiformes, pyramides latérales, crura
ule ont élé arrachés (Fig. 352), on constate : que les corps resti- formes forment la paroi antéro-intel'l1e cle ces diverti
me ventricule est une membrane triangulaire, à base supérieure, qui forme le versant inférieur du toit du quatrième ventri-
antérieures du bulbe. Membrane obtura- tnc('\ln leycntricnh'. Forme . Etendue. 492 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. E
ces et blanches lamelles nerveuses, atrophiées, variables dans leur forme et leur étendue, et dont les lambeaux restent a
ieure n'adhère que par une mince et étroite lamelle au corps resti- forme ; dans ce cas l'épithélium épendymaire comble tou
amyg- dale et le vermis inférieur du cervelet; la partie antérieure forme la toile choroïdienne inférieure, jetée comme u
ius (1870), puis par Hess (1885). Très variable dans son aspect, sa forme et ses dimensions, cet orifice est le plus souven
Plexus choroïdes du te ventricule. Quatrième ventri- cule. Sa forme . Ses diverticules. Variétés jruhvf- duclles
e bec du calamus. La cavité du quatrième ventricule offre dans sa forme de très grandes variétés individuelles ; elle e
mme la cavité du quatrième ventricule, le plancher présente dans sa forme et sa configu- Bibliothèque des Internes en M
ap, area tostrema. - apl, aile blanche interne; sa partie externe forme l'area plumiformis, sa partie interne, l'area
lerne n'est que la partie inférieure de la zone acous- tique ; elle forme un petit triangle, blanc, lisse, légèrement conve
tantôt étroite; sa surface est déprimée, de couleur gris foncé, de forme triangulaire ou plus ou moins ovalaire. Le somm
s. voûte ou toit du quatrième ventricule. Le quatrième ventricule forme sur la coupe sagittale médiane un triangle dont l
du diverticule sur le pédoncule du flocculus et sur le corps resli- forme , on trouve constamment deux bandelettes nerveuses
e blanche, infiniment moins considérable que l'écorce cérébelleuse, forme dans l'intérieur du cervelet une masse compacte,
que côté par quatre amas ganglion- naires, pairs et symétriques, de forme et de volume variés; ce sont, dans le vermis, l
e centrale du vermis. La substance blanche centrale des hémisphères forme sur les 1'ic.3î. - La substance blanche central
eur individualité; la substance blanche centrale tend à prendre une forme de plus en plus ova- laire, elle se continue en
ièrement arrondi, mais d'une masse grise irrégulière qui affecte la forme d'un W et qui envoie dans la branche horizontal
globules. Noyaux gris cen- traux. Noyau du toit. Situation. Forme . Rapportsot aspect sur coupes horizon- tale
dentelé (Oc). Synonymie : Corps TOME Il. 33 1 Situation. 1 t Forme . ; Aspect sur coupes. Connexions avec l'oli
oupes. Connexions avec l'olive cérébelleuse. Noyau sphérique. Forme . Connexions avec l'olive cérébelleuse. Oliv
o cérébelleuse. 514 ik ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Situation. Forme . Direction. Votume dans la série animale.
x du cervelet se présentent sous l'aspect d'un amas gris diffus, de forme irrégulièrement quadrilatère, qui occupe le toi
les pédoncules cérébelleux. Le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) se forme surtout aux dépens du feu- trage sous-lobaire (
et 127 à 436) montrent que le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) ne forme pas dans la région protubérantielle un faisceau
nculaire (VP), entre ces fibres et le ruban de Reil médian (Rm) qui forme la limite antérieure de la région de la calotte;
subdivise en un nombre incalculable de faisceaux, de]volumes et de formes exlrè- mement variables, les fibres de la voie
moyen ou juxta-ventriculaire, le pédoncule cérébel- leux supérieur forme la paroi postérieure du quatrième ventricule et
et intra-tegmentaire, le pédoncule cérébelleux supérieur change de forme . Son extrémité postérieure s'effile, son extrémit
fibres se déjettent en Rapports. Segment juxta ventriculaire. Forme . Rapports Segment intra- tcgmentairc. Sa
ntriculaire. Forme. Rapports Segment intra- tcgmentairc. Sa forme . S24 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. effet en a
s , une couleur gris-rougeâtre qui lui a valu son nom et affecte la forme d'un noyau très bien délimité, un peu ovalaire,
ré- belleux inférieur, qui relie le cervelet au bulbe rachidien, se forme surtout aux dépens du feutrage exlra-ciliaire e
7, p. 561), le pédoncule cérébelleux inférieur change rapidement de forme ; il s'épaissit, et se ramasse en une sorte de b
rantielle inférieure en deux segments inégaux : Le segment externe forme un volumineux faisceau qui occupe l'angle posté
ffic avec le faisceau cérébel- leux direct. Corps juua-resti- forme . Sa constitution : noyau de Deiters. du bul
so-pharyngien. Le corps restiforme diminue d'épaisseur et change de forme de haut en bas; de sa face antérieure, accident
et antérieur se détache de la partie antéro-inlerne du corps resti- forme , passe en dehors de la grosse racine sensitive de
des courbes incluses dans celles du groupe interne des fibres arci- formes cérébello-olivaires; elles s'entre-croisent pour
(coupe S 2, Fig. 359, p. 509), la lame grise fes- tonnée de l'olive forme un anneau complet, aplati d'avant en arrière et d
pinceau Faisceaux ccré- bello-vestibulaires. Ses libres arci- formes . 011\ e bulbaire. Situation. Forme. Mile
aires. Ses libres arci- formes. 011\ e bulbaire. Situation. Forme . Mile de 1 olive Feutrage intra olivaire.
e fail suite à la capsule interne et au pied du pédoncule cérébral, forme l'étage antérieur de la protubérance et la pyrami
nerfs craniens, à l'exception du nerf olfactif et du nerf optique, forme l'étage postérieur de la protubérance et la plus
ngitudinales, la voie pédonculaire, qui en occupe toute la hauteur, forme à elle seule le pied du pédoncule cérébral et l
érantiel, le faisceau pyramidal appa- raît librement à l'extérieur, forme la pyramide antérieure du bulbe et affecte des
es H 8 à H 16, Fig. 370, et 138 à 416, p. 657 à 680). Le volume, la forme , la situation de ce noyau sont variables suivant
on trouve en avant du locus niger une trame névroglique revêtant la forme et la disposition du pied du pédoncule, mais dé
petite et réduite en hauteur, la voie pédonculaire la traverse sous forme d'un fais- ceau compact et arrondi, plongé au s
ncient dans la région inférieure de l'olive bulbaire (Fig 386) sous forme de 5 à 7 fascicules compacts que les fibres arcif
déborde en dehors; en arrière, elle atteint la cavité ventriculaire, forme le plancher de l'aqueduc de Sylvius et du quatr
il existe un groupe de fibres arciformes extrêmement important qui forme le coips l1'apézoïde et se continue en partie d
elleuses comprennent : a) le pédoncule cérébelleux Les fibres arc formes . Les fibres radiée 2° Voios cérdlhe (e1150s
mes, l'une médiane, l'autre latérale. La colonne cellulaire médiane forme , dans le pédoncule cérébral, les noyaux d'origine
toutes les coupes qui passent au-dessus des noyaux du trijumeau et forme avec le noyau du côté opposé une lentille bicon
noyau d'origine du grand hypoglosse. - xpin, entre-croisement pini- forme ou sensitif du bulbe. - l ? pyramide antérieure d
rébello-olivaires. - fio, feutrage intra-olivaire. )-, fibres arci- formes interréticulées, provenant des noyaux des cordons
re du raphé au niveau du bord supérieur de l'entre-croisement pini- forme (xpin). - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, f
ll. - Cl, cordon latéral. - Coa, corne antérieure. fil', fibres arc[ formes interréticulées. - Fit, faisceau latéral du bulbe
rdon de Burdach (coupes H18, H20, Fig. 403, 101). Tout autre est la forme du noyau de Goll (NG) (nucleus funiculi gara- c
mediales hinleres Nebenhorn (Rei- che,t); de même volume et de même forme au début que le noyau de Burdach (coupes H16, H
Goll et;de Burdach diffèrent l'un de l'autre non seulement par leur forme , mais encore par leur aspect; dans le noyau de Go
ique. Fibres arciformes interréticulées et entre-croisement pini- forme (fir, xpin). - Le noyaux de Goll et les noyaux de
t de Burdach sous CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 573 forme de fins fascicules, fortement colorés par la laqu
ent pyramidal ou moteur, un entre-croisement compact qui affecte la forme d'un cône de pin, à sommet postérieur, c'est l'
poglosse. l'y, pyramide antérieure. - xpin, entrecroisement pini- forme ou sensitif du bulbe. 1.. 'C11 lrc-l' l'Olelile
sente chez certains animaux, en particulier chez les carnivores, la forme d'une lame grise festonnée, contournée plusieur
l'olive cérébelleuse. Sur les coupes horizontales, le ruban de Reil forme ainsi une couche de fibres aplatie d'avant en arr
périeur (l'cs), atteint la face latérale du tronc encéphalique et y forme cette couche de fibres obliques désignée par les
n (coupe Hl, Fig. 391), le ruban de Reil latéral (RI) apparaît sous forme d'un faisceau triangulaire adossé à angle droit
gne de l'espace inter-pédonculaire et change d'aspect ; il revêt la forme d'une corne d'abondance, dont le pavillon coiffe
, et Ti«, Fig. 322 à 321), le ruban de Reil médian change encore de forme . Son extrémité antérieure diminue d'épaisseur et
culaire, de lai capsule interne; le ruban de Reil affecte ainsi une forme de croissant, dont la concavité se comble petit
p) occupe la partie postéro- interne de la formation réticulée ; il forme de chaque côté de la ligne médiane un petit fai
réticulé de la calotte, et présente dans son trajet des variations de forme et de volume très appréciables suivant les régi
la surface de section du faisceau longitudinal postérieur change de forme . Sa partie interne s'épaissit, sa parlie externe
nse de ses fibres par la laque hématoxylinique. Il con- serve cette forme d'aile dans toute la région protubérantielle supé
stérieur fait corps avec le reste de la formation réticulée : il en forme l'angle postéro-interne. Celte fusion s'opère dès
-protubérantiel (coupes H 7, H8, Fig. 397 et 398, p. 561 et M3), il forme avec le ruban de Reil médian (Hm) un angle ouve
blanche et du bile de l'olive. Cette coupe montre très nettement la forme du quatrième ventricule (Vt) et FiG. 407. - Cou
9). Le quatrième ventricule présente sur cette coupe SI bis la même forme que sur la coupe SI. La substance grise central
partie antérieure et inférieure du vermis, on trouve l'amygdale sous forme d'un lobe allongé, indépendant, qui refoule la
° Par l'amygdale enfin, dont le développement est considérable et qui forme un lobule ovoïde indépendant, compris entre le
e le long de son bord externe : aussi le faisceau pYl'amidal(Py) ne forme-t -il qu'un mince faisceau qui se continue en haut a
16), la substance blanche centrale des hémisphères présente déjà sa forme ovalaire caractéristique, qu'elle doit, en outre,
astrique auquel il s'unit sur la coupe S 6 (Fig. 414). L'amygdale forme ici encore (coupes S4 et S5) un îlot indépendant,
nerf trijumeau, mais en grande partie aussi au corps juxta ? esti- forme dont la substance grise ou noyau de Deiters (ND)
e que l'olive cérébelleuse (Oc). Celle-ci ne présente pas encore sa forme annulaire, mais décrit une courbe à concavité i
augmente de volume, surtout dans sa partie inférieure et affecte la forme assez régulière d'une ovoïde oblique en haut et
férents lobes et lobules autour d'une substance blanche centrale de forme ovalaire et de dimen- sion relativement considé
'écorce amygdalienne. Le flocculus, très net sur ces deux coupes, forme un lobule irrégulier, réduit sur la coupe S 8 (
érieure du pédoncule du flocculus (PFloc). Celui-ci appa- rait sous forme d'un faisceau volumineux fortement coloré par l'h
le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm); le diverticule latéral (rlV4) forme une petite pochette close de toutes parts et co
(Pcm). - Sur ces deux coupes S 8 et S 9, l'olive cérébelleuse (Oc) forme une pochette festonnée, close de toute part; el
perficiel, mais le pes lemniscus JiI'ofond(PLp) est très développé et forme un faisceau compact qui occupe la partie extern
en arrière du quatrième ventricule en un volumineux faisceau falci- forme , subdivisé par de nombreuses cloisons névroglique
pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Le ruban de Reil médian (Rm) forme une bande transversale qui limite la calotte en
en dehors avec le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Ce pédoncule forme sur la coupe un faisceau épais et volumineux, san
ETUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCEPHALE. 627 Le corps trapézoide (Tr) forme les fibres arciformes antérieures de la calotte.
ro-latéral de la moelle, en avant du fais- ceau cérébelleux direct, forme le faisceau latéral du bulbe et se place dans la
égion du hile du cervelet. Le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) forme encore le faisceau compact d'aspect piriforme d
dehors et en arrière, il est entouré par de nombreuses fibres arci- formes qui font partie des fibres semi-circulaires exter
g. 414 et 415, p. 608 et 609). Le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) forme la plus grande partie de la substance blanche c
s de la lame festonnée se coudent en dedans et que l'olive revêt la forme d'un sac ou d'une bourse. (Voy. Coupe C5, Fig.
postérieure s'adosse au bouchon (Nem) qui revêt à peu près la même forme et les mêmes dimensions que sur la coupe précéden
e cérébelleux inférieur (Pci), considérablement augmenté de volume, forme un faisceau arqué, piriforme, qui embrasse la fac
is latérales du qua- trième ventricule (V,J et présentent les mêmes formes que sur la coupe pré- cédente. Ils sont séparés
rieure (Os), en dedans de la substance gélatineuse de Rolando (SR), forme sur cette coupe un amas volumineux, d'aspect go
il est sectionné à sa sortie du cervelet, au niveau de son coude, et forme sur cette coupe une sorte de bulbe nettement li
allèles et de volume sensiblement égal ; sur la moitié gauche, elle forme une lame festonnée présentant les dentelures et d
rmer le C07'pS juxta-1'estif01'1lle (Cj). L'olive cérébelleuse (Oc) forme sur cette coupe une lame festonnée un peu plus
que sur la coupe précédente. A droite, le bouchon (Nem) présente sa forme pyramidale caractéristique; à gauche, il est sect
e médiane du vermis. A droite, le pédoncule cérébelleux inférieur forme un faisceau piriforme volu- mineux, sans connex
Le corps resti- TOMEM. 11. 42 638 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. forme et les fibres arciformes cérébello-olivaires. Les
te coupe, se prolonge sur la face interne de chacune des pyramides, y forme le noyau arqué ou arciforme (Narc) et peut être
r les coupes de la région protubé- ranlielle inférieure, mais a une forme plan-convexe, sa face postérieure plane ÉTUDE T
oite, l'olive bulbaire (Oi) s'insinue entre ces deux faisceaux sous forme d'une lame circulaire festonnée et dentelée, en
sous l'aspect d'un noyau volumineux situé en avant du corps l'esti- forme (Crst), en dedans du pédoncule du flocculus (PFlo
coupe, est libre de toute connexion avec le cervelet et présente la forme triangulaire propre au segment supérieur ou ouver
ombre et le volume des fibres arciformes émises par le corps resti- forme (Crst); la disparition du noyau central inférieur
is fascicules qui abordent la partie antéro-interne du corps resti- forme (Crst) et dont les unes passent en avant, les aut
illie allongée, qui recouvre la face diverticulaire du corps resti- forme (Crst) et constitue le tubercule acoustique (Tub.
ane obturatrice qui le ferme en arrière appartient à la ligula, qui forme la paroi inférieure ou membraneuse du diver- ti
Le corps restiforme, le corps juxta-restiforme et les fibres arci- formes cérébello-olivaires. Les stries acoustiques, les
ment son extrémité inférieure, et est traversé par les fibres arci- formes qui abordent la face externe de l'olive; quelquef
plus important et longe la face interne ou le hile de l'olive sous forme d'une lame rectiligne, plusieurs fois interrompue
diculaires du nerf hypoglosse (XII). La formation réticulée blanche forme sur cette coupe une couche homogène; on n'y dis
dinales; ce sont ces amas de substance grise, irréguliers dans leur forme et inconstants dans leur apparition et leur si-
lée blanche est traversée dans toute sa hauteur par les fibres anci formes cérébello-olivaioes (fcb), et longée en dehors
ers de substance grise connus sous le nom de noyaux du corps resti- forme (NCrst). La diminution de volume subie par le cor
utrage de fibres qui occupe toute la partie interne du corps resti- forme et dans laquelle apparaissent des fascicules de f
nerf grand hypoglosse. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 673 forme s'accentuent encore et sa substance grise se tran
cordons postérieurs de la moelle. Quant aux fibres du corps l'esti- forme qui n'entrent dans la c nstitution, ni des fibres
u faisceau latéral du bulbe (Fit), et entourée par des fibres arci- formes cérébello-olivaires (fcb) qui s'y terminent en pa
s et limi- tent un espace allongé d'avant en arrière, irrégulier de forme ; les replis épen- dymaires, taenia, ligula ou b
ordons postérieurs (NCp). La surface de section du bulbe a pris une forme plus arrondie, son diamètre transversal a dimin
présente un aspect plus clair et le noyau laté2.al dit bulbe (Nlt) forme une masse volumineuse, irrégulière, mal délimitée
ge extra-olivaire. - fio, feutrage intra-ohvaire. fir, fibres arci- formes interréticulées, provenant des noyaux des cordons
oupes précédentes, et qui, envisagé dans son ensemble, présente une forme oblongue comparée à une pomme de pin, dont le s
piniforme. Le noyau juxta-olivaire interne (Roi) affecte encore une forme coudée; il est bien délimité en avant et en arr
le faisceau de Gowers et le faisceau cérébelleux direct de Flechsig, forme le faisceau latéral du bulbe (Fit) et se contin
en avant, le cordon postérieur de la moelle en arrière. Ce dernier forme sur la coupe un faisceau très compact qui coiff
centrale et sur la formation réticulée (SRg). Le noyau de Goll (NG) forme une masse volumineuse qui détermine la saillie
ent piniforme. L'enlre-croisement piniforme (xpin) se présente sous forme d'un entre-croi- sement épais et court, compris
(NG) et le noyau de Burdach (NB). La pyramide bulbaire a changé de forme , elle s'est déplacée en arrière, s'en- fonçant
686 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le noyau de Goll (NG) affecte une forme en massue ; son bord postérieur con- vexe est e
ment pyramidal est terminé; à droite, la substance grise affecte la forme caractéristique propre à la moelle cer- vicale
,\'B), et le pédicule mince et étroit du noyau de Goll (NG), lequel forme une lame étroite et aplatie transversalement. L
(Fig. 452). - Le noyau de Burdach a disparu, le noyau de Goll (NG) forme un îlot gris, aplati, complète- ment indépendan
eaucoup d'auteurs. Les corps cellulaires, globuleux et aplatis à la forme d'une lentille, sont disposés en une seule rang
es cérébelleux. STRUCTURE ET TEXTURE DU RHOMBENCÉPHALE. 693 des formes en massue et en raquette, et sont dirigés plus ou
e la dendrite, elle esl striée ou fibrillaire, autour du noyau elle forme plusieurs couches concentriques très denses qui
cellulaire situé en dedans de la couche moléculaire, et décrivit la forme étoilée des cellules névrogliques de la substan
e festonnée du corps dentelé. Sur les cellules plus centrales, la forme globuleuse du corps cellu- laire et le mode d'é
6 : )ï), Ce faisceau, connu sous le nom de pédoncule du flocculus, forme la voûte de l'étroit canal qui relie le quatriè
hidien. Il sépare en effet le feutrage sous-lobaire du corps resti- forme el du tubercule acoustique qui le recouvre. Le
aires ex ternes sur les coupes sagittales. Le faisceau falci- forme et ses con- nexions avec le pé- doncule céréb
es en groupe externe et groupe interne. Mais si l'on réfléchit à la forme du noyau dentelé, aplati de dehors en dedans et q
che horizontale de l'arbre de vie. Sa surface de section affecte la forme d'une lame coudée, ouverte en avant (Fig. 465) et
44 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
scou. 11 est connu que la question concernant la catatonie, comme forme morbide, jusqu'à présent, n'est pas encore réso
is vu que divers auteurs, sous le nom de catatonie, comprennent des formes cliniques tout à fait différentes, je dois m'ar
26 investigations cli- niques et 7 autopsies, institua une nouvelle forme morbide à laquelle il donna le nom de catatonie
e. L'auteur en question regarde comme symptôme détermi- natif des formes catatoniques les troubles moteurs typiques, qui
l'impulsion volontaire. Vou- lant prouver l'unité nosologique de sa forme , Kahlbaum lui impute un cours cyclique. « La ca
périodes viennent d'être citées) et avec troubles moteurs. Dans les formes atypiques certaines phases de psychose isolées,
diverses maladies psychiques comme com- plication de l'une ou autre forme typique de maladie men- tale [Westphal (2), Fig
], et les troisièmes, enfin, tout en admettant l'indépendance de la forme en question, donnent une autre explication aux
s ». D'après le type, le cours et l'issue, Kraepelin rapporte cette forme au groupe des dégénérescences psychiques et la
upe des dégénérescences psychiques et la regarde comme proche des formes de la démence précoce (dernentia præcox). L'opi-
opi- nion de Schüle, consiste à peu près dans cela : il prend les formes graves et légères de la catatonie et dit que les
scription clinique, Schüle s'associe à l'opinion de Kahl- baum. Les formes plus légères de la catatonie passent quel- quef
atatonie pure par les mots suivants : « La catatonie pure (dans une forme grave) présente essentiellement une démence pri
uniates de z dégénéralion, on peut noter l'asymétrie de la face, la forme irré- z gulière des oreilles. Dans les organes
te ou seulement des symp- tômes catatoniques qui complètent ici une forme psychique quelconque ? Avant tout, il faut fa
tic, alors il faut indiquer après quelle psychose aiguë a apparu la forme secondaire ? Par conséquent, l'analyse clinique
cement de la maladie doit être exclu. Restent encore deux autres formes , à savoir : l'anzeiîtia de Meynert et la démenc
l'anzeiîtia de Meynert et la démence précoce. Contre la première forme , de même comme contre la mé- lancolie, parle le
maturée dans la démence. Ordinairement, l'amentia de Meynert et les formes qui ont une connexion avec cette lésion, à savo
nations et troubles moteurs caractéristiques, ne ressemble à aucune forme de psychose primaire indépen- dante. . En nou
adie. Il est vrai que nous ne pouvons pas nier chez notre malade la forme morbide qu'on définit comme démence précoce; po
gion psycho- motrice, qui nous donne le droit de reconnaître ici la forme à laquelle Kahlbaum donne le nom de catatonie .
IQUE. 27 4 . Notre deuxième observation présente un cas pur de la forme qui nous occupe. A son analyse, surgissent cert
on ; qui concerne tous les catatoniques; avons-nous à faire à une forme de psychose primaire ou à une démence secon- |*
d'un état mélancolique, pouvaient donner lieu à présumer ici une forme périodique ou circulaire; pourtant, pendant tout
ent prématuré de la démence, nous aurions dû rap- porter ce cas aux formes hébéphréniques de dégénérescence, connues sous
aladie, maintenant corres- pond au type clinique de Kahlbaum. Des formes pures de la démence hébéphrénique notre second
ca- tatoniques, qui durent pendant onze ans, tandis que dans les formes précoces de la démence, ils apparaissent seule-
rons dans la base de la division des maladies; le critérium de la « forme indépen- dante » présente par lui-même une gran
occasion de l'in- diquer dans nos Leçons cliniques relativement aux formes infectieuses, il se compose : 1° D'un tableau
hibi- tion du toxique dans l'organisme est typique par toutes les formes toxiques. Quoique l'auteur de cette forme, Kahl
typique par toutes les formes toxiques. Quoique l'auteur de cette forme , Kahlbaum n'envisage pas la dégénérescence et l
ur dp cela parle premièrement la connexion de la catatonie avec les formes de la démence hébéphrénique ; deuxièmement, la
ue l'examen microsco- pique n'ait pas été fait. Alzheimer, dans les formes termi- nales de la catatonie, note le développe
solnle point d'appui, et, pour prouver l'autorité morbide de celle forme , nous devons nous diriger seulement d'après des
l'écorce cérébrale dans l'origine de ce symp- "tôme. Dans une autre forme morbide et dans une autre expression clinique c
uvenons-nous que ce même symptôme se rencontre aussi, mais dans une forme moins marquée, dans les apoplexies cérébrales,
ur l'apparition de la catalep- sie il faut des conditions à part en forme d'un symptôme local, avec une localisation- dan
ns, ÉTUDE DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. 41 comme en général dans les formes de démence terminale, se sont achevées par une
« catatonie » satisfait parfaitement à la première condition de la forme clinique, à {'unité du symptomocomplexe. Pour
temporain des choses nous aurions pu donner la description de cette forme : Comme bien d'autres psychoses dégénératives,
bouffées épisodiques délirantes, qui, souvent, comme l'auteur de la forme en question l'indique, portent un caractère mél
dique, portent un caractère mélancolique. Pour différencier cette forme de la mélancolie pure, dans la période primordi
a catatonie comme un groupe nosologique indépendant, ou comme une forme clinique, qui entre dans un autre groupe de malad
tiologie des maladies psychiques. Outre un nombre assez médiocre de formes toxiques, para-infec- tieuses et dégénératives,
groupe de dégénéres- cences psychiques et présenter parmi elles une forme mor- bide dont les limites cliniques, qui ont é
. Suppléments médic. au Recueil maritime, 1889. 8 Serbsscy. Sur les formes du trouble psychique, décrit sous le nom de cat
e névroglique, constituée par une énorme quantité de cellules des formes les plus différentes, y compris les globes mats d
2. Une couche de petites cellules nerveuses multipolaires de toutes formes . 3. Une couche de grandes cellules nerveuses, s
dans la partie latérale, externe, de l'organe, qui correspondent en forme et en grandeur aux cel- lules des cornes antéri
orrespond à la troisième couche de petites cellules nerveuses. Elle forme la limite tranchée entre le tubercule quadrijum
tive accusée. Lorsqu'elles dégé- nèrent, outre qu'elles changent de forme , la propriété biréfrin- gente de leurs manchons
S. 1. Pendant le repos (du sommeil) se manifeste l'aspect monili- forme des dendrites; plus le sommeil est profond, plus
énérescence primitive. Celle-ci, dans la fibre ner- veuse, revêt la forme de névrite périaxillairede Gombault. 3. Dans le
ontours moins réguliers et plus riches en appendices collatéraux de forme REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
heim, F. Bernheirruet d'autres auteurs ont prétendu caractériser la forme sous-corticale de l'aphasie motrice. La lésion
ine quels 7 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. sont, dans les diverses formes d'aphasie, les symptômes ou parti cularités qu'
nt de vue anatomique. D'une part, en effet, l'affection a revêtu la forme d'un délire alcoolique sans troubles objectifs.
tude très documentée qu'il publia à cette époque. Il insi-te sur la forme de séquestration arbitraire à laquelle cette do
mpagnée de trou- bles psychiques, de l'idée de grossesse prenant la forme d'une obsession, de l'idée délirante de grosses
riche index bibliographique de 60 pages), il étudie les différentes formes de l'amnésie épileptique : simple, antérograde,
nscience peu- vent être dissociés et, du moins, peut-on dire que la forme de l,a ? n- 88' CORRESPONDANCE. nésie n'indiq
que le coupable a conservé le souvenir de l'acte com- mis par lui), forme qui est facilement prise pour de la simulation;
ispensent d'entrer dans plus de détails, d'opposer, par exemple, la forme et le développe- ment différents des mains chez
nfluence exclusive de la persuasion 3. Et comme une des principales formes de la persuasion, l'hypnotisme, joue un rôle im
du langage rendra très claires ces notions, un peu arides dans leur forme synthétique : Un sujet lit à haute voix. S'il f
s la paralysie générale fournit autant de cas que toutes les autres formes de folies réunies. Les troubles moteurs de l'ir
ur constitution psychique. La mélancolie intermittente n'est qu'une forme clinique de la psychose périodique, pouvant êtr
clinique de la psychose périodique, pouvant être alterne, à double forme oucircu- 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lai
motrice, paralysie flasque du bras droit, légère parésie faciale, à forme graduelle : d'excité, il devient déprimé et il
ui sont propres à la folie. Lorsque l'élément histrionique revêt la forme de la caricature, il représente une manifestati
opsie n'a pas été autorisée. H. de Musgrave-Clay. Il s'agit d'une forme particulière d'idiotie, l'idiotie amau- J'otiqu
physiques. G. DENY. XVI. Etude sur la folie circulaire et sur les formes circulaires des psychoses ; par SouKLAiioFF et
séléreuses a pris un cours circulaire, l'autre de psychose aiguë de forme également circulaire qui s'est terminée favorab
tale, relativement à la popula- tion aryenne, et, si oui, à quelles formes nosologiques spéciales des psychoses ? ? La r
le, ne sont pas quand même à considérer comme normaux, à savoir des formes plus légères de la folie circulaire et surtout
(L'Echo de Lyon, 15 mai 1902, n° 5. M. Thomas range les différentes formes que peut prendre l'idée de grossesse en deux gr
alysie générale, de ne pas définir nettement à quel tabès, à quelle forme de para- lysie générale ils ont eu à faire, et
l'on rencontre fréquemment dans l'évolution de cette maladie. La forme de paralysie générale qui précède, accompagne ou
nt aux types morbides ainsi réalisés : in le délire du début est la forme la plus rare, mais la plus rapide et la plus grav
e du 30 novembre 1903. - Présidence de-M. G. Ballet. Folie à double forme avec syndrome paralytique chez un aliéné atteint
hargée qui eut au cours de sa vie plusieurs accès de folie à double forme pour finir dans la démence, avec des signes de
lysie générale. M. Vallon croit que le diagnostic de folie à double forme doit être réservé et il lui préférerait celui d
mence. Pour lui, les débiles ne peuvent faire de la folie à double forme . M. TOULOUSE a relevé des observations où la pa
reconnaît qu'en effet, ces lésions s'observent, quelle que soit la forme de toxicité pourvu qu'elle ait touché le système
ire SOCIÉTÉS SAVANTES. 'l6t)" survient un jour et se fixe dans la forme systématique. Mais la constitution qui prédispo
idal leur font subir une transformation. Cette modification dans la forme est particulière- ment remarquable dans les mou
adies de la nutrition, les appli- cations et les résultats de cette forme spéciale de dromothérapie. Il présente ensuite
pas de phénoménologie spéciale : souvent ils se manifestent sous forme de mélancolie, mais ils peuvent aussi se traduire
. A présenté dès son entrée tous les signes de paralysie générale à forme maniaque. Le 10 septembre 1903, épo- que de cet
vril 1903. A présenté à l'entrée les signes de paralysie générale à forme maniaque. Actuellement, le 10 septembre 1903, ell
10 avril 1903. Dès son entrée, symptômes de paralysie générale à forme maniaque, avec signes physiques prononcés. Examen
l existait aussi une anesthésie au tact et à la piqûre affectant la forme de bas et de gants jusqu'à mi-cuisse et jusqu'a
ts de trombone de la langue. Tremblement des membres affectant la forme d'une véritable incoordination. Gâtisme. Cette ma
ses chiens, l'auteur ne serait pas éloigné de penser que certaines formes d'épilepsie, et peut-être encore d'autres malad
r rappelle qu'on est d'accord aujourd'hui pour ne pas admettre deux formes d'ostéomalacie, osteromalacia fraclurosa ou fmg
hez le second malade. L'au- teur insiste sur ces faits et sur cette forme nerveuse de l'ostéoma- lacie qui n'est pas sign
s plus accu- sés d'amence ; mais elle est loin d'être rare dans les formes peu avancées d'imbécillité ; toutefois chez les
l'on trouve chez les malades ordinaires. C'est la manie qui est la forme la plus fréquente; ensuite vient la mélancolie
10 à 15 p. 100 du nombre total des cas; ici encore la manie est la forme la plus commune; elle est souvent violente, et
vec les espTits ordinaires. Toutes ses hallucinations revêtirent la forme des évocations ri- tuelles du spiritisme. Elle
table à faire tourner. Son langage automatique prenait souvent la forme versifiée. Guérie, elle est restée une mystique s
Ce spiritisme délirant' peut être toute la maladie en tant que - forme de délire mystique d'une couleur particulière com
s de 256 SOCIÉTÉS SAVANTES. Svedenborg à qui il n'a manqué que la forme du spiritisme classi- que encore inconnue de no
de perd toute vision distincte, toute notion de la couleur et de la forme des objets, une seconde période essentiellement
rai donc la permission de passer en revue avec vous les principales formes cliniques de l'atteinte du système nerveux péri
s de la carcinosemiliaire aiguë; l'expression anatomique de cette forme assurément peu commune dans toute sa pureté, con-
me fré- quence, et on conçoit que le clinicien, en présence d'une forme aussi rare, puisse éprouver quelque hésitation. D
a moelle. Chauffard, Babinski ont observé des lépreux présentant la forme parfaite de l'anesthé- sie syringomyélique. Dan
itique diffuse, ainsi que la lymphocytose, est commune à toutes les formes cliniques de la syphilis nerveuse. Elle ne peut
ence est vrai, on pourra espérer voir évoluer plus longue- ment les formes aiguës de la myélite. Au point de vue théorique
, taux de Lyon, 28 février 1902). L'urémie cérébrale comprend trois formes différentes : une forme convulsive, une comateu
1902). L'urémie cérébrale comprend trois formes différentes : une forme convulsive, une comateuse, une délirante. M. Roqu
ich.. G. C. XXXV. Maladie de Parkinson ; contribution à l'étude des formes unilatérales; par M. P. Grange. (Lyon mèd., n°
rte deux observations de malades atteints de maladie de Parkinson à forme hémiplégique. Observation I. Maladie de Parkins
présentait le tableau symptoma- . tique qui caractérise la deuxième forme de tétanie gastrique individualisée pnr MM, Bou
ahi les muscles de la colonne et de la nuque. On sait que c'est une forme sévère, entraînant rapidement la mort. L'exam
aractère moral hystérique, les troubles somatiques passagers et les formes diverses d'une folie spécifique. Ces derniers é
stic de méningo-encéphalite diffuse. Mais plutôt de reconnaître une forme sensorielle de cette affection en rapport avec
cho-moteurs dont le terme capital serait le négati- visme. Sous ses formes atténuées ou incomplètes, ce syndrome se rencon
lacé pour étu- dier les effets du haschich : il décrit les diverses formes de folie auxquelles le haschich peut conduire,
t préparer un terrain favorable à la suggestion' curative : chloro- forme , éther, protoxyde d'azote, morphine, trional, etc
ffet, peut présenter des modifications dans ses dimensions, dans sa forme , dans sa motilité (réflexe lumi- neux et accomm
é par une affection irienne antérieure, présente généralement une forme régulièrement circulaire. Or nous voyons très f
les paralytiques généraux, l'orifice pupillaire ne pas conserver sa forme normale, se modifier en un ou plusieurs points,
fait place à sa corde. Il en résulte que la pupille prend alors une forme irrégulière. Cette déformation pupillaire a été
es se manifestent après des attaques apoplectiformes ou épilepti- formes , mais le plus souvent elles ne sont pas la consé-
est la plus haute expression du déclanchement moteur et traduit la forme la plus achevée de l'avalanche motrice. I Nos
exacte de ces gouttelettes de graisse d'existence temporaire. Leur forme et leur dimension sont très variables. Leur asp
ceux d'une cellule ganglionnaire. Ces gouttelettes ont perdu leur forme ronde primitive, pour s'accommoder plus ou moins
du leur forme ronde primitive, pour s'accommoder plus ou moins à la forme des éléments entre lesquels elles se sont dével
allongée se manifestent sur la circulation le plus souvent sous la forme de ralentissement des pulsations cardiaques, av
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 387 souvent on nota des formes arythmiques et allorythmiques des mouvements re
ntal. 4° Les irrégularités de la respiration se manifestent dans la forme , la profondeur, et la fréquence des excursions
terminant que Korsakow (Moscou) a le premier fait remarquer qu'une forme spé- ciale de trouble mental que l'on avait aup
lette des enfants. G. Carrier. XXXXVI. Un cas de tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique et à évolution fébrile; par
oscopique de la tumeur : Gliome. Les auteurs mettent en évidence la forme psycho-paralytique de l'évolution clinique, bie
rie que ' les auteurs appliquent à leur cas. G. Carrier. XXXXVII. Formes sévères de l'aérophagie nerveuse ; par M. Bou-
on. L'auteur, dans cette note, veut signa- ! 1er simplement certaines formes moins connues, marquées par des troubles graves
és à reconnaître son exacte pathogénie. Il rapporte aussi une autre forme sévère de , 'aérophagie nerveuse, où il s'agit
es motrices extra-pyramidales. Quant à la paranoïa hallucinatoire à forme démoniaque et mys- tique, greffée sur cette cho
Graves chronique, chez laquelle cette maladie prit brusquement une forme aiguë, avec accompagnement de manie. La mort sur-
uf- t'samment constants et définis pour qu'on puisse en faire une forme particulière de maladie mentale, ce que plusieurs
une période de dépression avec idées de suicide, ou bien, dans une forme plus insidieuse de début, le sujpt devient Arch
rechercher quels sont les rapports de l'hébéphrénie avec les autres formes de maladies mentales. Il est évident qu'elle co
sensoriels, d'où elle était venue et qui prend ainsi de nouveau la forme d'une sensation, de manière à être prise pour l
cinations génitales, parce qu'il lui semble que la variété de leurs formes peut jeter quelque lumière sur la ques- tion de
s malades homicides, que l'auteur a observés ne souffrent pas d'une forme spéciale de maladie mentale. La plupart d'entre
rition et une disparition dont la soudaineté s'accorde mal avec les formes connues des actions toxiques, mais très bien avec
n modifiant momentanément sa couleur et sa consistance, en font une forme intermédiaire, en quelque sorte, aux deux varié
'on peut leur attribuer, la valeur et la signification des diverses formes de chromatolyse, la physionomie et le moment d'
Des altérations cellulaires récentes d'ordre chromatolytique et de formes diverses. Elles s'accompagnent d'une légère infil
4. ' N° 102. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Un cas de forme fruste de démence précoce 1. Par René ni,vssELO
st probable que le délire ou du moins la période de trou- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 435 bles mentaux aig
a retenu que le titre ; on le prie d'écrire et il écrit : UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 437 Î C'est aujourd'
es affaires, il craignait en rentrant à Paris, de ne pou- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 439 voir se diriger,
un malheur imaginaire, ce que l'on peut faire sans danger dans les formes avancées de dé- mence précoce; les circonstance
de son aboulie. Nous avons vu les craintes d'empoisonne- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 4L t ment qu'il épro
où il écrivait chacun de ces mots. Je les lui lis les uns UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 44l après les autres
t. Il s'agit, en résumé, d'un trouble de l'activité spon- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 445 tanée de l'espri
effort nécessaire pour résumer par écrit, et sans douter' UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 447 tervient ici enc
mpés,- qu'il n'était généralement ni triste, ni gai, qui' UN CAS DE FORME FRUSTE DE DEMENCE PRÉCOCE. 449 était le plus so
dans les processus mentaux qui permettent aux touts complexes, que forme la combinaison des diverses représentations, de
ion de la viva- cité des représentations mentales. Voilà donc une forme morbide dans' laquelle, à la suite ' J'ai au co
sion ; on a distrait de la mélancolie, à juste titre, toutes ces formes morbides; sans doute, on observe chez le mélan-
'auto-analyse de M. N..., on pourrait m'objecter qu'il s'agit d'une forme grave de neurasthénie; une pareille opinion tom
ectateur à sa propre déchéance, mais en spectateur indif- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 451 férent, ce qui e
dre de la démence précoce, je n'hésite pas à voir dans ce cas une forme fruste de cette affection. Sans doute, je n'ai pa
i parce que le malade a perdu toute activité, toute plas- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 453 ticité cérébrale
pontanéité intellectuelle, nous les avons retrouvés dans toutes les formes mentales de notre malade, depuis la diminution
sme, les sté- réotypies, les attitudes catatoniques ne sont que les formes extrêmes d'un état intellectuel dans laquelle l
affaiblis- sement intellectuel accentué; il ne s'agit ici que d'une forme fruste dans laquelle les lésions ne portent que
hénomènes stéréotypés. Aschaffenburg 1 a déjà relaté des cas de ces formes frutes de démence précoce. Il a montré que, dan
ie Kalalonief ravage. 411,q. Zeilschr. f. psych, no 54. UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 455 un amoindri inte
s des asiles. Tous les degrés se rencontrent en effet, depuis les formes frustes, comme celle de NI. N..., jusqu'aux états
nt quelque temps trois malades qui nous ont frappé justement par la forme anormale de leur paralysie générale, c'esL-à-di
de. Relevons, en passant, que les hallucinations auditives de cette forme sont aussi mouve- mentées et multiples que les
um tremens serait le délire des « peu cultivés », l'hallucinose, la forme des « lettrés ». En tous cas, le passage d'une
allucinose, la forme des « lettrés ». En tous cas, le passage d'une forme à l'autre serait rare, puisque Bonhoffer dit en
n cas. Il est de règle que le même individu récidive dans la même forme . Qu'il nous soit permis d'exprimer ici notre gr
t quantitative que qualitative. Le type auditif repré- senterait la forme plus légère, le type visuel la forme plus grave
pe auditif repré- senterait la forme plus légère, le type visuel la forme plus grave. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
indiquées, sont les preuves d'une décharge d'énergie sous une autre forme ; et l'énergie addition- nelle de l'impul-ion e
n qui sont discutables, M. Turner est d'avis que les différences de formes , de pouvoir colorant, etc., indiquent une diffé
s'accompagnaient de symptômes psy- chiques très marqués, et qu'une forme spéciale de « folie raison- nante » était assoc
nsistent sur la valeur séméiologique de la démence et décrivent une forme psycho-paralytique de tumeur cérébrale, dans la
e l'esprit, lenteur des réponses. Brissaud a très bien décrit cette forme de stupeur, au milieu de laquelle la con- duite
remplissement graduel d'un vase par de l'eau. Le vase est de telle forme et il est soutenu de telle manière que, à mesur
t proportionnels à la complexité du milieu ambiant; et que, dans sa forme , l'élément volitionnel est entièrement inhibi-
les folies chroniques et dans les cas de manie ou de mélancolie à forme homicide. « Les folies aiguës de caractère hybr
nc les cas où cette application est légitime, et qu'elle en sera la forme ? Sur l'appréciation des cas, les opinions vari
exclusivement à la dose simplement hypnotique, et seulement sous la forme de bromures ou d'une petite quantité d'alcool.
92 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. l'huile de sésame. Elle existe sous deux formes de concentration différente, à 10 et à 33 1/3 p
plus que dans le liquide céphalo-rachidien normal. Tremblement à forme de sclérose en plaques occasionné par une ostéo
u des sugges- tions que lui faisaient inconsciemment, sous diverses formes , 1 en- tourage elles visiteurs. Au réveil, elle
névropathiques de l'écriture; ainsi lacrampe des écrivains est une forme de bégaiement graphique, avec cette différence qu
choses aiguës sont portées aux récidives et la différence entre les formes périodiques et les formes récidivantes ne peut
aux récidives et la différence entre les formes périodiques et les formes récidivantes ne peut pas encore être bien institu
quées et que entre ces deux groupes de maladie sont pos- sibles des formes transitoires. ' Bra, voir Arch. cle \'eur., 190
.-N. BFRNSTPIN ne peut pas être d'accord concernant l'existence des formes transitoires entre la démence précoce et la folie
aturé encore tout raisonnement sur l'influence du patronage sur les formes morbides isolées, le rapporteur pense, pourtant
le ne se propage pas, en somme, toujours égale- ment sur toutes les formes de mémoires, et la capacité de la loca- lisatio
démence paranoïde pour ne voir dans ces trois affections que les , formes d'une maladie unique, la démence précoce. Cette c
la puérilité décidées el dus propos vont en s'accentuant; c'est la forme simple dans laquelle les malades ne présentent
s phénomènes aigus qui ont fait diviser la démence précoce en trois formes selon la prédo- minance de telles ou telles man
stations morbides ; on distingue donc : une l'orme catatonique, une forme hébéphrénique ou déli; riante, une 1'111'nle pa
forme hébéphrénique ou déli; riante, une 1'111'nle parauoïde. La forme catatonique est essentiellement caractérisée par
tiques, violence*, impulsion*, fugues, tentatives de suicide. La forme hébéphrénique est un ensemble d'états de dépressi
caractéristiques de la catatonie : négativisme, suggeslibilité. La forme ¡i(l1'illIo'ide est formée de conceptions déliran
e de conceptions délirantes un peu mieux systématisées que dans les formes délirantes, mais le plus souvent absurdes, qui
pas et prennent rapidement une expression figée et stéréotypée. La forme parauoïde de la démence précoce est la partie l
contem- porains n'admet pas cette manière de voir. Aucune de ces formes n'offre de caractères absolument tranchés : tou
s et cerlains cas cliniques peuvent même évoluer en passant par des formes diffé- rentes. ' Ce qui fait l'homogénéité de
iblisssement intel- lectuel plus ou moins accentué ; léger dans les formes frustres, on peut observer tous les intermédiai
Les guérisons peuvent s'observer quelquefois : 8 p. 100 dans les formes hébéphréniques, 13 p. 100 dans les formes cataton
efois : 8 p. 100 dans les formes hébéphréniques, 13 p. 100 dans les formes catatoniques d après Iiraepelin. Mais il faut ê
l'autre à transmettre la folie à ses descendants ? Les différentes formes de folie diffèrent-elles les - unes des autres
mission de la folie aux filles. Si l'on recherche si les diverses formes de folie diffèrent entre elles au point de vue
à l'acquisition héréditaire, on pose une question qui : sous cette forme , est très difficile à résoudre. On sait toutefo
. On sait toutefois que, bien que l'enfant puisse présenter la même forme de folie que son ascendant, il n'y a là aucune
n directe, et que la diathèse vésanique peut se manifester sous des formes très diverses dans différentes géné- rations. Q
la paralysie géné- rale est moins héréditaire que plusieurs autres formes de folie, mais que l'hérédité constitue néanmoi
e à considérer le bloc des folies ordinaires, comprenant toutes les formes autres que celles sur lesquelles ont porté les
transmettre à ses descendants et se mani- fester chez eux sous une forme similaire ou connexe. Voici près de vingt ans q
omégalie, par Cestan et Hal- bers tad t, 78. Aérophagie nerveuse. Formes sévè- res-de l ? par Bouveret, 397. AKATHISIE
r Syphilis. - précoce nt cafa- lonie. par Séglas, 334. Un cas d.- forme truste Iln - précoce, par lasselon, 's;S3. La -
- et les problèmes de la psychiatrie, par Abbut, 1110, à double forme avec syndrome paralytique chez un aliéné attein
r Sicard et Alquier. 61. Maladie de -, contribution à 1 étude des formes unilatérales, par Grande, 330. Ptéparations de
thogéniedu intentionnel el du - au repos, par de Buclc, 237. - à forme de sclérose en plaques occasionné par unosteo-a
C symptômes (l'immobilité, par Dur 323. Un cas de - cérébrale a forme pavclto-paralyttqne et à évolmton fébrile, par
45 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
onstituent parleur réunion la lame des contours. La plaque supérieure forme plus spécialement le sommet, et l'inférieure la b
pté par la face concave de celui-ci n'est comblé qu'à l'âge adulte et forme , sur le bord postérieur du rocher, un trou décrit
egments du temporal, la face interne montre une partie supérieure qui forme le champ cérébral de l'écaillé, et une partie inf
due. La portion sous-zygomatique ou basilaire, par sa partie moyenne, forme la paroi supérieure du conduit auditif externe. C
econnaît presque toujours ; elle est ordinairement très apparente, et forme souvent une saillie assez forte, ou même très for
ïdienne. Dalla Rosas l'appelle crista retrotempo-ralis, parce qu elle forme la limite postérieure de la surface d'insertion d
lui a donné le nom d'apophyse mastoïde de y.arcoç, mamelle, et eioç, forme . Tout autre est l'aspect que présente cette rég
mme. Chez quelques rongeurs, comme le myocastor coypus, cette surface forme une apophyse étroite et effilée, parallèle à l'ap
appartenant à un homme âgé de 5o à 60 ans, elle se présentait sous la forme d'une colonne osseuse qui se dirigeait obliquemen
ncrure pariétale, jusqu'au bord antéro-externe de l'apophyse, où elle forme quelquefois une couche sensible à travers les tég
de fente. L'orifice endocrânien du canal de la veine émissaire, de forme oblique et presque toujours unique, se trouve sit
use, k la face exocrânienne du rocher par sa portion inférieure. Elle forme , avec la paroi supérieure du conduit, un angle di
e de l'apophyse. A son extrémité supérieure, on trouve une saillie en forme d'épine ou de crête curviligne, plus ou moins app
e volume variable, présentant tantôt la l'orme d'une crête, tantôt la forme d'une bulle : nous l'avons nommée crête ou bulle
astoïdienne. Face interne. — Elle regarde en haut et en arrière, et forme avec la paroi postérieure du rocher, l'angle pétr
té de la cavité crânienne. De même que l'apophyse, l'antre offre la forme d'un cône renversé et aplati transversalement. Il
aux cellules apicales et sinuso-digastriques. La paroi antéro-externe forme avec la corticale prémastoïdienne un angle aigu o
. Sa paroi supérieure, très mince, fait suite à celle de l'attiquc et forme avec elle le tegmen tympani. Sa paroi interne, in
t dans une petite cavité pleine de pus, située dans la rainure. Cette forme anormale de mastoïdite ne pouvait être qu'un empy
l'apophyse est pneumatique. L'infection partielle comprend plusieurs formes , en rapport avec la distribution et l'importance
dement d'avant en arrière. Sur la planche VIII, on peut voir que la forme et les dimensions de cette zone présentent de gra
S /,. — PORTION PÉTREUSE : ROCHER : PÉTROSAL Le rocher affecte la forme d'une pyramide quadrangulaire ayant deux faces en
x côtés, 1.4 fois sur cent. iVu-dessus du foramen, le bord postérieur forme ïauvent jugulaire. La face endocrânienne antéri
rne. La face exocrânienne antérieure, que nous décrirons plus loin, forme la paroi interne de la caisse et celle de la gout
ale. Le sommet du canal soulève la paroi antérieure de la pyramide et forme ainsi Veminentia arcuata; il est séparé de la fos
our de spire du limaçon, en rapport en haut avec le canal de Fallope, forme sur la paroi interne de la caisse la saillie du p
e. Le siège et la nature de ces complications diffèrent avec chaque forme de labyrinthite. Complications endocrâniennes d
auditif externe. Chez beaucoup de mammifères, il se présente sous la forme d'un cylindre complet ou fendu, dont l'axe est dr
que. On voit donc, par ce rapide exposé d'anatomie comparée, que la forme , le développement et les connexions de la bulle t
ne suture importante entre l'anneau tympanique et la lame osseuse qui forme le plancher de la caisse du tympan et la paroi ex
us de la trompe d'Eustache, se trouve une surface, rugueuse aussi, de forme quadrilatérale, et reliée au segment postérieur p
De par l'anatomie comparée, on doit considérer ce segment osseux qui forme la paroi externe de la fosse jugulaire et du cana
droit. La compression de la veine jugulaire interne droite modifie la forme de la saillie et le reflet lumineux. Stygmates ra
énéralement que la première fente viscérale ou fente hyo-mandibulaire forme par son extrémité antérieure la trompe d'Eustache
niques du fœtus sont comblés par du tissu conjonctif embryonnaire qui forme comme un coussinet autour de la chaîne, et dispar
ique soit à un tambour, soit à une lentille biconcave. Selon nous, sa forme rap-pelerait plutôt une pyramide triangulaire don
ée de la saillie du canal de Fallope. Le canal du muscle du marteau forme , au-dessous et en avant du promontoire, un relief
i, relie le promontoire à la pyramide. L'inférieure, moins constante, forme le subiculum promontorii. Elle part aussi du prom
mprend les deux tiers inférieurs de la paroi externe de la caisse. De forme elliptique, elle mesure verticalement 10*11 milli
llement aujourd'hui sous le nom de membrane de Shrapnell. Elle est de forme triangulaire, à sommet coïncidant avec l'apophyse
uit, sous un angle d'autant plus aigu que le sujet est plus jeune, et forme ainsi le sinus de Meyer où viennent se loger les
e à apercevoir et à examiner par suite de la saillie en dos d'âne que forme la paroi antérieure du conduit. A l'extrémité du
met du triangle ou cône lumineux, dont les variations d'étendue et de forme sont dépourvues de signification séméiologique.
e temporaire ou définitive par épidermisation des bords. Le siège, la forme , l'étendue et le nombre des perforations sont ass
de l'aile interne de l'apophyse ptérygoïde. L'orifice pharyngien, de forme ovalaire, est limité en arrière par la saillie du
ces postérieure et interne de la tête de l'osselet. Elle présente une forme elliptique, étranglée en son milieu, à grand axe
e tête. La base ou platine, placée dans le plan sagittal, présente la forme d'une sandale avec un bord supérieur convexe, un
tercrurale, comblé à l'état frais par un repli muqueux. La tête, de forme variable, est séparée des branches par un étrangl
malléaire. Le ligament externe du marteau, disposé horizontalement en forme d'éventail entre le col du marteau et le rebord d
inflammation du segment supérieur constitue l'otite épi tympanique, — forme grave qui se traduit cliniquement par la symptoma
) et l'extrémité ampullaire du canal demi-circulaire horizontal, et y forme , par inflexion brusque en arrière, le coude du gé
ales les grandes cellules du noyau bulbo-protubérantiel. Ce dernier forme une colonne grise, étendue en hauteur depuis le t
rou stylo-mastoïdien et le canal de Fallope. Cette agénésie du rocher forme le substratum anatomo-pathologique de la paralysi
et le ventre postérieur du muscle digastrique. Il se présente sous la forme d'un cordon de i millimètres d'épaisseur, enfoui
re dans le lac dérivatif antérieur » (i). Le coude du sinus latéral forme un angle ouvert en bas et en arrière, d'autant pl
sinus latéral devient horizontal, se moule sur la fosse jugulaire et forme ainsi le golfe ou bulbe de la veine jugulaire.
ipital postérieur. — Il relie les deux extrémités du sinus latéral et forme ainsi, selon l'expression de Gruveilhier, la cord
eux péripharyngien, qui reçoit le sang venant du plexus sous-muqueux, forme plusieurs troncs qui se déversent dans la jugulai
iques. s) Tronc thyro-linguo-facial. — Le tronc thyro-linguo-facial forme une ampoule au-dessus du bord supérieur du cartil
ultiples encéphaliques d'origine septico-pyohémique. On décrit deux formes de pyobémie otitique, l'une avec thrombo-sinusite
on oblitérante. Il est possible de différencier cliniquement ces deux formes de septico-pyohémie d'origine otitique. La premiè
La dure-mère tapisse toute la surface endocrânienne du temporal et forme , autour des orifices osseux, de véritables canaux
rotique la rend inextensible. Par dédoublement de ses feuillets, elle forme les sinus sigmoïde et pétreux, la cavité de Mecke
Macewen. Le feuillet viscéral de l'arachnoïde, relié à la pie-mère, forme la lepto-méninge ou méninge molle des anciens ana
tMahu.) Le processus lepto-méningitique revêt quelquefois une autre forme , qu'on décrit, depuis Quincke, sous le nom de mén
ccipital, le lobe temporal repose sur l'étage moyen du crâne. Il a la forme d'une pyramide triangulaire, dont l'axe serait ho
Des trois bords, le premier est supéro-externe ; le second, interne, forme le sillon de l'hippocampe; le troisième, inféro-e
pital. —Il occupe la partie postérieure de l'étage moyen du crâne. Sa forme est triangulaire, avec un sommet postérieur nommé
tion postéro-inférieure du sillon interpariétal; le segment antérieur forme le gyrus supra-marginalis; le segment postérieur,
ale de l'audition part du noyau ventral ou antérieur de l'acoustique, forme le corps trapézoïde, entre en connexion avec l'ol
e l'objet : c'est l'audition verbale. « Il est prouvé que ces trois formes de l'audition sont bien distinctes les unes des a
(G. Ballet.) Cet exemple peut aussi servir pour l'analyse des trois formes de la vision. Centre de l'audition verbale. — L
ecours seul de la vue. L'aphasie et l'amnésie topographiques sont des formes de la cécité psychique. Les malades qui en sont a
us les modes du langage altérés. » (( En d'autres termes, jamais de forme pure d'aphasie avec une lésion de la zone du lang
sent plus tôt que toutes les autres du lobe temporal (Flechsig); elle forme aussi partie du segment sous-lenticulaire de la c
, voies d'association courte ; h) Le faisceau occipito-frontai, qui forme le tapetum (Déjerine) au niveau du prolongement o
dehors. Examinée sur une coupe frontale, cette zone apparaît sous la forme d'un sablier. Le segment inférieur comprend la tr
e de l'écorce. Aphasie sensorielle sous-corticale.— Les différentes formes d'aphasies, qu'on observe durant l'évolution d'un
d'abcès otitique du lobe temporal gauche dans lesquels existait cette forme d'aphasie acoustico-optique. » (Oppenheim.) On
les oiseaux, celle aussi qui apparaît la première chez l'embryon. Il forme , sur la face supérieure du cervelet, une saillie
au, et, au centres des hémisphères, une zone de substance blanche, de forme plus ou moins triangulaire, et dont les prolongem
l'épaisseur des lobes, lobules, lames et lamelles. Cette disposition forme l'Arbre de vie des anciens anatomistes. Au sein d
elleuse ou corps dentelé. Au niveau du vermis, la substance blanche forme la commissure, réduite à l'état de simple tractus
e moitié latérale et l'extirpation totale de l'organe. Il admit trois formes d'altérations de la motilité dérivant de l'insuff
ilement dissociables, ne seraient, suivant toute apparence, que trois formes d'un même processus. On peut cependant les mettre
a VIIe paires et l'hémiplégie croisée. Vertige. — D'intensité et de forme variables, le vertige se produit dans la position
encéphalique soit situé plus en dedans encore, en plein lobule lu sii forme . Quel est le meilleur de ces trois procédés?
ille. Paris 1900. Ballet (G.), Le langage intérieur et les diverses formes d'aphasie. Paris, 1888. Barbarin (P.), Les comp
t de la moelle. Paris, 1900. Bernard, De l'aphasie et de ses diverses formes . Paris, i885. Bellin (M.), Etude sur l'anatomie
es de laryngologie. Paris, [903. Garnault (P.), Peut-on tirer de la forme du crâne des conclusions sur les dispositions ana
mpan, la fosse jugulaire et le limaçon, dont le premier tour de spire forme le relief du promontoire. La paroi supérieure du
oi postérieure du conduit auditif externe, réséquée en grande partie, forme l'éperon du facial. L'œil peut explorer la paroi
46 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
e jamais sans le système nerveux, et l'on attribue aux différences de forme , de volume et de texture des parties qui composen
agrandissait le champ de l'étude. Au lieu de faire de la maladie une forme complètement exceptionnelle, l'auteur, François L
e la santé, où l'on retrouve, la plupart du temps, les tendances, les formes particulières, l'exagération, et jusqu'aux nuance
rbuch derNaturph'dosoplùe, 2e edit., Jcua, i83r, in-8, p. 256* 1. forme qui constitue les premiers rudimens des animaux s
és, et qui ont la plus grande ressemblance pour leur position et leur forme , avec ceux de l'es cargol. Mais ces ganglions ne
. L'escargot a cinq ganglions et quarante*et-un nerf (l). Malgré la forme spirée de l'animal, les parties centrales de son
microscope. J'ai dit que la réunion des leux ganglions céphaliques forme la partie supérieure de l'anneau, j'ai essayé de
nerveux, réservant le nom de matière médullaire pour la substance qui forme les parois des tubes articulés et celles des tube
a plupart, et l'on peut alors mesurer leur diamètre et apprécier leur forme . Ils ne sont pas aplatis comme les molécules sang
ui se répandent aux organes de la vie végétative, sont toutes de même forme et de même nature *• les globules nerveux, qui re
mollusques n'a, dans son organisation, rien qui ressemble, quant à la forme , au cerveau, au cervelet ou à la moelle rachidien
es, plus préoccupés de la fonction assignée aux ganglions que de leur forme , n'ont pas hésité à donner le nom de cerveau, à c
nions différentes, dont j'examinerai les principales. L'analogie de forme ne doit pas, ce me semble, être prise en grande c
uvent , suivant les espèces d'animaux où on les observe, affecter des formes très différentes ; l'estomac d'un gallinacé est t
ganes, ne serait pas reconnaissable de l'homme à la chauve-souris. La forme ne peut donc être prise que comme un des élémens
essemblera le plus? Mais aucune ne lui ressemble, au moins quant à la forme ; cherchons donc un autre moyen de nous diriger. L
ls vont s'unir, représentent la moelle ra-chidienne des vertébrés. La forme de ces parties est, à la vérité, fort différent
ne s'arrêtait pas, comme nous avons vu que l'a fait M. Serres, à une forme organique déterminée, et il avait grandement rais
ement raison ; car, dans la question dont il s'agit, ce n'est pas une forme que l'on veut trouver, mais un organe remplissant
érébro-rachidien, il tient par sa structure, par ses usages et par sa forme , du système cérébro-spinal et du système ganglion
dhèrent ensemble tant que dure leur vie. Les botrylles sont réunis en forme d'étoile ; si l'on pique un des rayons de l'étoil
sa liqueur noire pour se cacher ; on la voit sortir du nuage qu'elle forme et y rentrer. Elle attrape les poissons à l'aide
maçons, à l'époque ou la chaleur du printemps les a dégourdis , il se forme une double sécrétion, l'une dans l'ovaire, l'autr
il est, on le voit clairement, le résultat d'une idée préconçue. La forme du ganglion céphalique, tel qu'il a été décrit pa
nsitions successives qu'éprouve la matière nerveuse pour passer de la forme de ganglions isolés à la double chaîne ganglionai
uement de deux ganglions ou renflemens noueux, dissemblables par leur forme , leur volume et leur disposition , mais toujours
écrevisse et le homard. Le ganglion céphalique de l'écrevisse a une forme quadrilatère , il est surmonté de deux tubercules
els sont aussi les alimes et quelques autres. (1) 4° Arachnides. La forme d'un animal indique assez bien la disposition de
ganes manduca-toires et les organes des sens; la masse thoracique, de forme rayonnée, envoie, par chacun de ses rayons, des n
ivé pour les monstres en est un exemple bien remarquable ; toutes ces formes singulières et en apparence capricieuses que prés
c terrestre. 5. Les crustacés présentent une grande variété dans la forme de leur système nerveux ; on y retrouve l'analogu
uption. J'ai dit que la moelle se renfle de distance en distance et forme là une espèce de ganglion. En dehors de ce renfle
terre et la sangsue ne sont pas de tout point semblables, quant à la forme et quant à la structure de leur système nerveux.
distance en distance sur le trajet des cordons. Ces ganglions sont de forme lenticulaire, et en les examinant au microscope,
r, de les isoler, ce qui m'a empêché d'en connaître le diamètre. La forme des organes médullaires de l'écrevisse diffère de
onsidérable que tous les autres ganglions du même animal, n'a pas une forme assez régulière pour que j'aie pu le mesurer, et
faiblement, les cordons médullaires ; mais pour en bien connaître la forme et la disposition , pour apercevoir les nerfs , i
mieux compris que Gall avait raison, s'il s'était moins attaché à la forme et plus à la structure. La forme des ganglions es
son, s'il s'était moins attaché à la forme et plus à la structure. La forme des ganglions est très variable, chez la sangsue
nflemens. Quand ce dernier cas se présente, la matière globuleuse qui forme la substance caractéristique des ganglions, au li
t, s'ils combinent, s'ils réfléchissent, que faisons-nous de plus? La forme ... est-ce par là seulement que l'homme diffère de
sformation. c Au commencement du monde, dit Leibnitz , Dieu a créé la forme de tous les corps et par conséquent toutes les âm
sse, l'abdomen soutenu par une bulle d'air qui l'environne ; elle s'y forme une coque qu'elle remplit d'air et qu'elle tapiss
temps plus ou moins long, et ressemblent aux annelides autant par la forme du corps que par leurs facultés instinctives. Ces
our éprouver notre sagacité, cet observateur ne nous décrivait pas la forme des abeilles et nous taisait également certaines
tilagineux; le cervelet est parfois réduit à une exiguïté extrême, il forme alors une simple lame placée en travers de la moe
n'existent pas constamment, et quand ils existent, ils affectent des formes très différentes ainsi qu'on peut le voir (pl. 11
l'endroit correspondant du cerveau de l'homme, où à la vérité elle ne forme aucune saillie; mais où elle donne comme chez les
saurait obtenir la mesure des diamètres de l'encéphale, parce que la forme de cet organe est trop irrégulière pour ne pas of
le plus large, ou le plus étroit, ou celui qui est intermédiaire? La forme des nerfs varie à l'infini, il en est de circulai
angulaires, d'aplatis, de coniques, etc., et presque tous changent de forme comme de dimension dans les différens points de l
ucteur.......1 à 1,161,955 Je ne parle pas des autres nerfs dont la forme est trop irrégulière pour que j'aie pu les mesure
cette différence quand je parlerai de la structure de la moelle. La forme de la moelle de l'anguille diffère de celle des a
us tard. Les poissons conserveraient d'une manière permanente une des formes transitoires de l'homme ; les reptiles, une forme
permanente une des formes transitoires de l'homme ; les reptiles, une forme également transitoire, mais plus avancée, et ains
des parties organisées est celluleuse, les corpuscules nerveux ont la forme des cellules où ils sont logés : d'où il suit que
ue la structure du cerveau ne diffère pas essentiellement, quant à sa forme , de la structure des muscles ; mais qu'elle en di
s ; mais qu'elle en diffère seulement par la substance remplissant la forme (substantia formam implente) (1). » L'objection q
écouvrent, ne diffèrent pas entre eux quant aux apparences, quant aux formes de la substance nerveuse, tandis que les frères W
ce qu'il a annoncé. Des débris de substance cérébrale, affectant des formes très irrégulières, quelques globules elliptiques
e elles; les intervalles qui séparent les nodosités sont inégaux ; la forme des nodosités ou globules diffèrent les uns des a
forme des nodosités ou globules diffèrent les uns des autres, pour la forme et pour le volume. (.(.Forma magno-pere varians,
encore, en appuyant cette vérité sur des observations nouvelles, qui forme la base de tout ce système. 1. Structure de la
invertébrés; mais il n'a pour étayer cette opinion qu'une analogie de forme , et encore une analogie fort éloignée. On a déjà
ontradiction. Et c'est en effet ce qui a lieu, car la substance grise forme en quelque sorte les parois du canal. A cette occ
secondaire de son existence; ce qui la distingue réellement, c'est sa forme granulée mise en opposition avec la forme constam
tingue réellement, c'est sa forme granulée mise en opposition avec la forme constamment fibreuse de la substance blanche. Mai
e des poissons se compose de quatre faisceaux fibreux dont la réunion forme un canal situé dans l'intérieur de cet organe. A
enne, est double de chaque côté, c'est-à-dire qu'elle a à-peu-près la forme d'un X ; l'une de ses extrémités, la supérieure,
qui marchent parallèlement les uns aux autres ; c'est sous une autre forme , ce que j'ai indiqué pour les lames optiques. L
resseur et je vois avancer les taches blanches qui sortent du tube en forme (i) Op. cît,y p. 62. de gouttelettes huileuse
pleins sont blancs ; les autres un peu sombres, mais conservant leur forme rectiligne et leur diamètre. Je vois une fibre du
ne sont pas simplement huileux. Dans le tube, ils n'affectent aucune forme régulière ; ils en occupent toujours le diamètre
appa rence fibreuse, en raison de la ténuité de la membrane qui les forme . Lorsque le fluide qui les remplit a un peu de co
gros: c'est le cas des harengs : un poisson tellement bizarre dans sa forme qu'il a servi de type à la chimère des anciens, s
es qui voltigent au-dessus de l'eau ; à l'aide de leur museau dont la forme est allongée, ils lancent de l'eau sur ces insect
ubstance encéphalique, et si chaque faculté spéciale correspond à une forme déterminée d'une portion quelconque de cette subs
lés ; mais l'impossibilité de faire une appréciation rigoureuse de la forme et du volume du ganglion céphalique, chez la plup
oyez planche 11), ils sont aussi éloignés l'un de l'autre,cniant à la forme , qu'un encéphale de poisson puisse être éloigné d
séquence à tirer de ces faits, c'est qu'il ne faut pas attribuer à la forme qu'affecte la substance nerveuse encéphalique, un
ubstance cérébrale, c'est s'exposer à de nombreux mécomptes. Avec des formes très simples, le système nerveux des insectes don
de ces animaux sont en effet très analogues, pourtant il y a dans la forme du système nerveux cé-phalique des uns et des aut
acial et mettrait au-dessus d'eux la stupide morue. RÉSUMÉ. t. La forme de l'encéphale des poissons ne correspond pas ave
manquent pas d'intérêt, méritent de fixer ici notre attention. Si les formes du système nerveux cérébro-spinal des reptiles so
même de sa structure, et sans l'étude de la structure, l'étude de la forme est souvent stérile. C'est par l'étude de la comp
ne, quels liens unissent entre elles les différentes parties dont les formes extérieures frappent nosveux. Les objets que no
lamandre terrestre, la couleuvre, le meno-branchus, l'amphisbène ; il forme au contraire chez la tortue une masse globuleuse
celui de la plupart des autres reptiles et fort semblable, quant à la forme , au cervelet allongé de la morue et du rouget :
, si la différence dans le choix de leur habitation coïncide avec une forme particulière de leur cerveau. En attendant, dison
plus développé chez le ménopoma (7), le crocodile, le boa (8), où il forme un véritable ganglion, mais toujours d'un petit v
ucoup la partie la plus considérable de l'encéphale des reptiles ; la forme de cet organe varie, il est ovoïde chez quelques-
e est le même pour chacun d'eux; le mode d'exécution varie suivant la forme des instrumens qui exécutent. L'assertion de Ga
d'un cerveau large comme d'un cerveau étroit. Mais la différence de forme de ces cerveaux, d'où provient-elle? Est-ce, comm
'est un organe sous-jacent, c'est le corps strié dont le volume et la forme ne sont pas les mêmes dans tous les reptiles , et
it dans cette classe d'animaux que dans aucun autre vertébré. 2. La forme générale du cerveau est sensiblement la même chez
férence dans l'épaisseur de la lame cérébrale, mais au volume et à la forme du corps strié sous-jacent à cette membrane. CH
ion est abordable, c'est l'examen des conditions de développement, de forme et de structure du système nerveux qui coïncident
nences qui donnent naissance aux nerfs optiques. Fr. Franke décrit la forme du cerveau: ce Les oies, dit-il, ont le cerveau d
ke décrit la forme du cerveau: ce Les oies, dit-il, ont le cerveau de forme pyramidale, tandis que les gallinacés, les corbea
e, tandis que les gallinacés, les corbeaux et les passereaux l'ont de forme ovalaire. » Il trouve chez eux l'analogue de la v
anouissement des cordons fulcraux de la moelle, lequel épanouissement forme une sorte d'enveloppe, de calotte à dès organes s
dans aucun reptile ni dans aucun poisson ; leur face inférieure , qui forme en partie la base du cerveau, un peu concave et e
e portion de matière grise que l'on voit à la base du cerveau sous la forme d'un mamelon placé en arrière de la commissure de
r, chez les oiseaux, se continue à la face inférieure du cervelet, et forme là une luette aussi bien développée comparativeme
endant pas susceptible d'une grande exactitude en raison de ce que la forme de l'encéphale étant très irrégulière, on ne pe
mensions du cervelet en hauteur et en largeur ; mais cet organe a une forme si irrégulière, que ses dimensions donneraient de
nière; une valvule de Vieussens et en arrière, le nerf pathétique qui forme là une autre commissure ayant la forme d'un cordo
rrière, le nerf pathétique qui forme là une autre commissure ayant la forme d'un cordon arrondi, placé au travers de la moell
petit diamètre. La substance blanche, recouvrant la substance grise, forme à la moelle une sorte d'enveloppe divisée par les
il y aussi de la substance grise, mais elle y est disséminée, et n'y forme pas de ganglion ou d'amas analogue au corps oliva
fans aux géniteurs. Que les oiseaux paraissent, et la grâce de leur forme , l'éclat de leur plumage, la vivacité de leurs mo
i fine que just», à en juger par la nature et l'harmonie des sons que forme leur gosier. Plusieurs s'effraient du moindre bru
le. Les nids varient non-seulement par leur position, mais par leur forme , leur structure, et la qualité des matériaux dont
savent cela, se cachent quelquefois dans une espèce de boîte qui a la forme d'un animal paisible, la vache, par exemple, et i
de l'encéphale ou à son volume relatif, j'arrive à ce qui concerne la forme de cet organe. Je n'ai pas à parler ici de la for
e qui concerne la forme de cet organe. Je n'ai pas à parler ici de la forme de la moelle épinière, ni de celle des lobes opti
ls. Quant au cervelet, je n'ai pas non plus à en parler, parce que sa forme ne diffère pas sensiblement dans les diverses fam
n sexe à l'autre, les crânes diffèrent quelquefois tellement par leur forme , qu'on en trouve dans certaines collections, qui
un fait qui n'est pas en rapport avec l'opinion qu'il a émise, sur la forme du cerveau des femelles d'oiseaux, comparée à cel
on; ce sont des crânes qu'il décrit, et encore n'en donne-t-il que la forme extérieure. Si la doctrine de Gall est vraie sur
uels sont les vaisseaux qui les parcourent. Lè volume relatif et la forme de la tuasse cérébrale des oi- (r) Si l'ôfgane
nombre que chez l'homme, et chez le chat, par exemple, elles ont une forme particulière (2). Il ajoute ailleurs : « Les anfr
une ellipse; c'est la seule circonvolution à laquelle il attribue une forme régulière. (2) L'observation de Willis et celle
. Journal complément., t. iV. Paris, 1819, p. 117- * opposé, par la forme , la direction, les rapports, le siège, la longueu
complète. Aussi M. Tiedemann n'a-t-il pas même tenté d'en indiquer la forme ou l'arrangement. En donnant des dessins exacts,
avec un peu d'attention, que celles-ci présentent des différences de forme et de volume assez prononcées; il est digne de re
circonvolutions des animaux, il ajoute : « Chez les quadrumanes , la forme du cerveau présente , en masse, assez de rapport
lions : mais il s'en faut de beaucoup que l'étendue, le nombre et la forme de celles-ci soient identiques chez eux. On trouv
, au contraire, des différences étonnantes de nombre, de volume et de forme (1). Toute la famille des herbivores, le bœuf, la
'avant en arrière ; c'est la scissure de Sylvius. Un corps arrondi PA forme , en se recourbant, le sillon dont il s'agit; ce c
rnière circonvolution I, dont on voit une partie seulement, celle qui forme le lobe d'hippocampe, dans la figure 2, et dont l
autres grands chats. En haut et en arrière, la seconde circonvolution forme presque un angle aigu, conformation qui existe dé
ernes. La circonvolution interne, celle dont l'extrémité inférieure forme la saillie ou lobe d'hippocampe, arrivée au nivea
qu'on ne rencontre pas constamment, et qui varie beaucoup quant à sa forme et à son volume, se trouve entre la troisième et
s externes, l'une sus-orbitaire et la cinquième interne. La civette forme une transition très naturelle et très facile à sa
e leur étendue: dans la civette, au contraire, la première, celle qui forme la scissure de Sylvius, distincte en arrière de l
amille des renards, ne l'est jamais dans celle des ours. La genette forme une transition entre le cerveau de la civette, et
ntre combien il faut être en garde contre les inductions tirées de la forme du crâne, quand il s'agit de déterminer le dévelo
e de V. La circonvolution qui se trouve en avant de ce sillon, et qui forme la pointe antérieure du cerveau, n'est autre qu'u
nguroo et l'oryctérope du Cap, se trouvent réunis par le nombre et la forme de leurs circonvolutions. Deux circonvolutions di
rveau du lapin. 9e groupe. Le cerveau de la famille des moutons qui forme le 9e groupe, n'a en réalité que quatre circonvol
mais elles ont de nombreuses divisions, quelques dépressions, et la forme en est très ondulée. C'est un grossissement, une
ar le volume. Enfin, une dernière circonvolution, celle qui, par sa forme , est propre aux cochons, se trouve à la partie ex
de cet organe, et se dirige d'avant en arriéré. La circonvolution AP forme cette scissure, et n'a pas la régularité de celle
de la saillie d'hippocampe , se porte en arrière sur le cervelet, et forme là un large épanouissement, analogue à celui dont
I, fig. 13), sous-divisée un grand nombre de fois, (1 A, 1 P, fig. 3) forme une sorte de frange qui semblerait fixée au fond
II P., III P., pl. xiv et IV P., pl. xm), très volumineuses, dont la forme rappelle celles de la baleine et même celles du c
observation quelque peu attentive dissipe bientôt cette illusion. La forme générale du cerveau du singe, son développement e
baleine, considérées sous ces différens rapports, descendent vers la forme du cerveau des autres mammifères. Le singe alro
n bas, tout à côté du nerf optique (I, fig. 3, et I, fig. 5), sous la forme du lobe d'hippocampe. Ce lobe ne va pas seulement
enlaire, toutes les circonvolutions des vrais singes. Le nombre, la forme , l'arrangement, les rapports des circonvolutions
a un type qui lui est propre, et ce type est surtout manifesté par la forme des circonvolutions. Chez les renards, des divisi
t bien tranchées ; chez les chats moins de divisions, mais encore des formes bien arrêtées et très simples; dans la famille de
dans la famille des ours et des martres, une tendance vers une aulre forme , conservaiion intacte de quelques circonvolutions
il, le cochon, lephoque, la baleine; puislout-à-coup une addition aux formes générales, des circonvolutions nouvelles pour l'é
-t-il des degrés intermédiaires entre tous les cerveaux? Y a-1 il des formes de cerveau différentes de celles que j'ai décrite
moins pour recouvrir le cervelet. Dans la généralité des cas, il a la forme d'un C dont la convexité est en haut et en dehors
la plus inférieure, elle a quelques di-gitations très faibles, et une forme déjà apercevable, chez les petits animaux, et trè
ie supérieure de chacun des lobes cérébraux, elle se présente sous la forme d'un corps allongé d'avant en arrière, el placé h
face est recouverie par la circonvolution interne. La lace inférieure forme la paroi supérieure des ventricules latéraux; ent
g. llC) et les piliers antérieurs de la voûte, se trouve un espace de forme triangulaire qui est occupé par une cloison mince
ute son étendue jusqu'au bec inférieur du ventricule latéral, sous la forme d'une bande désignée sous le nom de corps frange
en arrière des lobes cérébraux, ces tubercules se présentent sous la forme de quatre éminences solides, les antérieures gris
che. Les herbivores se rapprochent généralement du mouton, quant à la forme et au volume des tubercules antérieurs, et les ca
e tout-à-fait externe (3, pl. m, lapin, fig. lre) qui en raison de sa forme a été aussi appelé flocons, touffe lami-neuse.
a même proportion, une partie de ces fibres se trouve en saiilie et forme une double commissure, l'une 1res large et placée
re de crânes d'animaux, est arrivé à cette conclusion, savoir: que la forme des crânes, dans le règne animal, est liée à des
que chez les oiseaux, ce qui lient sans doute à la grande variété de forme du cerveau des mammifères, qui semblerait n'être
p. i,u), et M. Bouvier l'a reproduite en 18Î9, dans un Mémoire sur la forme générale du crdne dans ses rapports arec le dé~ v
singe, par les tubercules quadrijumeaux, il lui est égal, mais par la forme générale du cerveau, la longueur de son diamètre
emblance chez tous les mammifères quant à leur nombre et quant à leur forme ; les différences les plus notables qui s'y trouve
chien marron. « Ils lui ressemblent beaucoup, dit F. Cuvier, par les formes générales et par la délicatesse des sens ; mais l
que l'on ne retrouve plus chez les chiens habitans des villes. Les formes du chien, son organisation se modifient d'une man
e l'église St-Gervais en contiennent par milliers. Ces combles ont la forme de l'église ; c'est-à-dire qu'ils sont disposés e
me nourriture, même moyen de se défendre, même habitation Le pangolin forme , par son organisation el le lest écailleux dont
tire dans des terriers communiquant à des marais pleins d'eau-, il se forme aussi un nid sur les roseaux, avec des débris de
t très artistement construite, elle est faite de joncs entrelacés, sa forme est celle d'un dôme, et, à l'intérieur, elle est
ent du piège; ils viennent constamment se faire prendre sans qu'il se forme d'association dans leur esprit entre le collier e
Comme les phrénologistes sont d'ordinaire assez peu au courant de la forme du cerveau des animaux, il m'est arrivé d'en fair
u résultat qui en découle? Ensuite, je leur montrais un cerveau d'une forme analogue à celui du loup, mais encore plus élargi
de la circonspection, de la même manière que les grands généraux! La forme du cerveau du serpent boa, du python et de la plu
des lézards et des crocodiles, et n'a pas le moindre rapport avec la forme du cerveau des chefs d'armée. « La loutre et la
t négligé l'étude du cerveau, et s'étaient arrêtés à considérer les formes de l'enveloppe de cet organe. 9° On a entendu d
rieur du cerveau qui est en effet très marqué chez le castor (3), une forme analogue à celle du cerveau du castor devra se re
aut et en avant de la tête, correspondant et pour le lieu, et pour la forme à la circonvolution dont une sinuosité circonscri
seul pour lui dérober l'invention de son système phrénologique. La forme du crâne, et particulièrement l'étendue proportio
t le cervelet chez quelques mammifères, qui ne se révèlent pas par la forme du crâne, parce qu'il y a entre elles et le crâne
ous ici? Il semble que nous soyons sur le point de la découvrir. La forme générale des circonvolutions divise les cerveaux
les instincts et les facultés intellectuelles étaient inhérens à une forme déterminée du cerveau, à une disposition particul
s voyons que l'avantage est tout entier du côté des premiers. Pour la forme générale, pour le nombre et l'étendue des sous-di
la modifient, ou à l'aide desquelles elle se manifeste en prenant des formes variées, n'aurais-je pas maintenant à déduire des
l'étude de l'encéphale? Trouverons-nous dans les modifications de la forme et de la structure du cerveau, la cause qui fait
les mammifères intelligens ne sont pas dans ce cas. 24. II y a des formes de circonvolutions qui n'appartiennent qu'aux mam
tions cérébrales. 25. On trouve des cerveaux très différens pour la forme , chez des animaux semblables pour les mœurs. 26
. 28. Ni la présence des circonvolutions, ni leur nombre, ni leur forme , ne révèlent d'une manière absolue, le nombre et
47 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'une part, on a le delirium tremens et ses variétés, de l'autre des formes quelconques d'aliénation née9.à{l'occasion)d'ex
égitim es,Len, tji qrie ? t,,q peut j\ voirruneofolié urémique 'de forme £ banate,,se.compliq9F.e,, délire toxique3 on j
igu ;,elle a ? olué, nettement dan.losens)y ? q confusion mentale à forme mélancolique avec idées délirantes *,r 'iB)<
ait à elle; que le diable Asmodée prit une fois, dans le choeur, la forme de soeur Sainte-Colombe, et que celle-ci l'obli
rtenu à soeur Buvée, elle s'imaginait que Notre-Seigneur prenait la forme d'un homme* « pour commettre sur elle des actio
nt elle ne put préciser la date, le diable Asmodée lui apparut sous forme d'un homme de cour, aux cheveux blonds et boucl
' - A. Marie." ' >- i I : ` LÈl'RE'SYSTÉU.1TI5ÉEF NERVEUSE ' A'* forme SYR1NG031YÉL1QUE par ' Mli.`le Drs PITRESf·et·.
rès judicieusement Charcot, étaient trop amoureux dé l'harmonie des formes pour peindre l'expression de la' maladie*. Cepe
ypes, connus sous les noms de : paralysie, pseudo-hyperlro- phique, forme juvénile de l'atrophie musculaire deErb, atrophie
e myopathique de Landouzy-Déjerine, ne sont, en réalité que trois formes différentes d'unei seule, et même- affection, la
ive. , gd j,, - j3 -, i £ -.i i-t Erb lui-même avait reconnu que sa forme juvénile se confondait avec la paralysie pseudo
la paralysie pseudo-hypertrophique, et l'on sait maintenant que la forme de Erb se confond également avec le type Landouzy
linique, que ce - type 1 Landouzy-Déjeritie (atrophie myopathique à forme facio-scapulo-humérale) est de nature identique'a
certains muscles.' La sensi- bilité est conservée' dans toutes ses formes . Parfois légères contrac- tions fibrillaires'de
ection a débuté à l'âge' de sept) ans. Myopathie' progressive de la forme facio-scapulo-liuriiérale. 0 Faciès myopathiquë
que est pervertie. La vue est diminuée, les pupilles ; sont puncti- formes , pas d'atrophie papillaire. - ,'i»,i(, 4V) -0 . .
ment relatées; l'auteur tire les données cliniques suivantes -. Les formes les mieux caractérisées de méningo-myélites syphi
le 'des-lésions, médullaires,' est' constituée par des paralysies à formes diverses. La; plus "commune est la' para- plégi
ur de l'origine syphilitique de l'affec- tion. 'Il existe une autre forme de méningo-myélite syphilitique très grave et r
délire de persécution (paranoïa chronique) c'est-à-dire d'une des. formes de la folie systématique (Yerrùc6theit) ', mais
M. Schoenthal. 58 sociétés savantes. vient exclusivement sous la forme de grands bains, l'eau froide peut être utilisé
de psychopathies postépileptiques, et d'une façon générale dans les formes morbides^qui procèdent, par» de( l'hyperthermie^
naison, du début (élude de Kroepelin de 1886). " ' 11 en existe des formes dues à des intoxications. Le délire systématiqu
douzième jour, guérison absolue à la fin de la deuxième semaine. La forme subaiguë : les accidents aigus persistent une à
ion des hallu- cinations au bout de quelques années. C'est dans les formes subai- guës qu'interviennent les prédisposition
mari avait des faiblesses. Pour M.VALLON,X... parait atteint de la forme d'épilepsie connue sous le nom de petit mal. Ma
ablir si les idées d'auto-accusation étaient pathognomoniques d'une forme mentale particulière et j'ai constaté qu'elles
articulière et j'ai constaté qu'elles s'observaient dans toutes les formes . On fait, à tort, entrer ces maladies dans le gro
e première classe comprend les vésanies ou folies proprement dites ( formes primitives). C'est d'abord la manie aiguë (forme
proprement dites (formes primitives). C'est d'abord la manie aiguë ( forme typique) avec ses variétés, furieuse, gaie, tra
stématisés chroniques, tels que le délire des persécutions dans ses formes typique, méga- lomaniaque, maniaque dans la par
anormales. L'auteur fait remarquer à ce propos que plusieurs de ces formes d'aliénation mentale peuvent se développer dans
sont étudiées à part. La quatrième classe est constituée par les formes secondaires. Ce sont les folies nervosiques, in
Observation. Paralysie générale progressive à évolution lente, à forme démente avec lésions destructives, épaississeaneu
sibles et le corps de la cellule semble réduit à un protoplasma de forme arrondie ou ovalaire sans les angles tels qu'on l
savoir l'atrophie des protoplasmas cellulaires, les changements de forme de la cellule nerveuse qui, de triangu- laire q
qu'une manifestation du paludisme, le paludisme lui-même sous sa forme larvée. Ce double rôle étiologique s'exerce aussi
isme larvé est très fréquent au Caucase, et la neurasthénie t3a ? s formes variables qu'il revêt. Cette neurasthénie perif
s, que je tâcherai de donner un court aperçu symptomatique de celte forme spéciale de l'impaludisme larvé. On rencontre l
isme et constipation opiniâtre, ectopie rénale et accès névralgi- formes du grand sympathique abdominal. Mais il faut note
ays salubres, sans pouvoir se débarrasser de ses troubles protéi- formes , si leur nature reste méconnue. Etiologie. -Les
indemnes de paludisme, et où le paludisme sévit pourtant, sous ses formes larvées. Les troubles digestifs manquent dans l
cluses dans les hématies. Elles sont rosâtres à contours nets et de formes variables, le plus souvent sphériques, parfois
t les mouvements amiboïdes et souvent elles changent lentement leur forme , de sphériques elles prennent la forme d'un bis
es changent lentement leur forme, de sphériques elles prennent la forme d'un biscuit ou autre; elles se colorent par l'éo
ore assez obscure, servent à rattacher notre neurasthénie à une des formes si variées du paludisme; car les plasmodies non
tions qu'elles ont signées, après en avoir entendu lecture dans les formes de la justice. Interpelle tous les théologiens
l'indépendance relative des centres nerveux dont l'agrégat complet forme le substratum du moi- conscient. VII. Crétixi
erminer en disant que le visage est devenu bestial, qu'il a pris la forme d'un masque. Ces différents caractères de la mi
es de ce genre doivent se rapporter plus spécia- lement à certaines formes phychopathiques, mais la question n'est encore
titres de ce qu'on a appelé l'épilepsie syphi- litique ou mieux la forme épileptique de la syphilis cérébrale. Cette épi
IE MENTALE. inversions du testicule se sont montrées sous plusieurs formes l'inversion antérieure est la plus fréquente et
plus favorable est de trente à quarante ans. 5° 11 n'existe pas de formes différentes dans l'évolution clinique de la mal
dans l'un ou l'autre sexes, et il parait superflu de considérer une forme spéciale de la paralysie générale, dite forme f
flu de considérer une forme spéciale de la paralysie générale, dite forme féminine. 6° Le rôle de la syphilis dans la p
usion mentale (amentia), qui joue le rôle de symptôme soi t dans la forme de délire systématique connu sous le nom de Wahn-
les troubles de la sensibilité morale, représente, sous le titre de forme princi- pale de de la paranoïa, les affections
termédiaire des contractions musculaires provoquées et non sous la forme douloureuse. Il existe une contracture permanente
e grandeurs) pro- cède d'un stade préparatoire primitif revêtant la forme de mélan- colie ou de manie. Snell l'attaque
uffisante l'étude de la pathologie mentale déjà bien encom- brée de formes d'aliénation mentale non encore nettement définie
ucinations psychiques et psycho-sensorielles, sur la folie à double forme et surtout sur la paralysie générale, tra- vaux
devise, Falret la folie circu- laire, Baillarger la folie à double forme . Cette question toute nou- velle, quoique peu f
s qu'elle devait avoir, la cons- titution définitive d'une nouvelle forme mentale. Vous pouvez être satisfaits, chers maî
vent dans des états de confusion mentale, où il existe une certaine forme d'amnésie. Les malades me citent parfois les ro
, " sur la rive gauche" et qui comprend la presqu'île précitée, elle forme Zuà coteau boisé ;-et la partie située sur la r
ouvent des Ursulles d'Auxonne, à cet effect, monitoire octroyé à la forme des édicts et arrest, informations faites tant
e l'a- trophie ne se révèle par aucune modification appréciable des formes extérieures, il permet d'affirmer à coup sûr l'
ont, dans des proportions considérables, hantés par des angoisses à forme somatique qui remplacent des 214 REVUE DE PATHO
hérédo-ataxie cérébelleuse et la maladie de Friedreich existent des formes de transition. L'intéressante observation rap-
els groupe- ments ganglionnaires arrivent à s'emmagasiner, sous une forme * variée du mouvement, les images auditives ou o
lle n'en est que le premier degré. » Cette proposition qui, dans sa forme vague, est susceptible de plus d'une critique, se
notre esprit assiste en spectateur aux associa- tions d'idées qu'il forme , aux volitions qu'il élabore et à l'exécution d
rte pas à cette idée. L'absorption de notre esprit, qui est une des formes de la distraction, réduit au minimum la somme d
pathique, dont les membres constitutifs représentent ' les diverses formes de déviation qu'imprime aux organismes, de géné
a naissance le produit d'une génération viciée se manifeste par les formes les plus diverses d'affections nerveuses ou menta
aintes morbides, aux impulsions, enfin par une tendance à certaines formes de délire transitoires ou durables. ' Or, c'est
A côté de la grande attaque avec toutes ses phases, il existe des formes incomplètes, frustes. Parmi ces dernières, il en
ique une part exclusive ou au moins prépondérante. C'est dans ces formes frustes que l'on rencontrera des délires simulant
Mais cet anéantissement de la conscience ne s'observe que dans les formes vraiment accusées de délire. On a expliqué le d
saire d'envisager les cas dans lesquels le som- nambulisme revêt sa forme la plus complète. Il constitue alors un état se
gement sa description. C'est qu'en effet il n'est pas une seule des formes de la folie qui ne puisse s'associer à l'hystér
sont jusqu'à présent difficiles à classer. Les rattacher sans autre forme de procès à la dégénérescence mentale, comme le
s fréquent d'observer l'association de l'hystérie et des nombreuses formes de la dégénérescence mentale. On peut dire que
aintes morbides, aux impulsions, enfin par une tendance à certaines formes de délire transitoires ou durables ». J'avoue que
e et la dégénérescence et le sujet qui a * une tendance à certaines formes de délires transitoires ou durables*'me semble
sclérose latérale. De même l'hystérie doit être séparée des autres formes de la dégéné- rescence. 'w Ces considérations
de poser les conclusions sui- vantes : 1° L'hystérie est une des formes de la dégénérescence mentale ; 2" Sur ses confi
uissent être remplacées par des crises de manie qui constituent une forme fruste de l'attaque. Il s'agit seulement de sav
3° par la parfaite concor- . dance qui existe entre les différentes formes de l'expression mimi- que et les conceptions dé
que l'on trouve le plus grand café de tempérance du monde, sous la forme d'un hôtel de premier rang; mais c'est à Liverp
andement sur les résultats. Le monopole peut être établi sous trois formes distinctes qui peuvent être combinées entre ell
dement sur ses résultats. Le mo- nopole peut être établi sous trois formes distinctes qui peuvent être combinées entre ell
at subaigu, aigu ou suraigu;-3° enfin les aliénés dont les diverses formes mentales ont pu être occasionnées par des excès
s n'avez pas le droit de les interner; ils ne rentrent pas dans les formes habituelles, classiques de l'aliénation mentale.
pour avoir la quantité d'alcool con- sommé par chaque habitant sous forme d'eau-de-vie, il convient de doubler au moins l
l'appa- rition, chez les vieux tabétiques, de véritables délires à forme lypémaniaque ou à forme de délire de persécutio
s vieux tabétiques, de véritables délires à forme lypémaniaque ou à forme de délire de persécution. J'en ai rapporté plus
és en un seul faisceau, car il n'y a entre eux qu'une différence de forme , déterminée par leur cause occasionnelle. Le ph
que phénomène le rang qui lui revient, non pas seulement d'après sa forme , mais encore et surtout d'après 'son évolution.
ppe donc pas au hasard. Il faut, pour le faire naître, une certaine forme cérébrale qui est presque toujours donnée par l
res qui se pro- longent dans le temps, mais restent fixes dans leur forme , ne sont le plus souvent que la traduction d'un
e cérébrale commence à diminuer, sa personnalité exagérée revêt une forme nouvelle. Aux idées de persécution succèdent le
nd que celui qui est fourni par les cantons de la Beauce. Quant aux formes habituelles de l'aliénation, elles sont les mêm
aucune. . Pour donner l'idée de la fréquence relative des diverses formes psychopathiques chez les aliénés d'Eure-et-Loir
es sont dans la très grande majorité des cas représentées par leurs formes élémentaires, manie et mélancolie. Ainsi, sur 391
nos malades. Ainsi, il fait voir, d'une façon irréfutable, que les formes expan- sives et dépressives de la folie, la man
centres. Il fait voir également qu'on observe souvent les diverses formes de la mélancolie, surtout chez les femmes. Et à
12 femmes. Si en plus on considère que dans les pays agricoles, la forme démentielle de la paralysie générale est de bea
uente que dans les centres populeux, et que la paralysie générale à forme démentielle est soignée, non à l'asile, mais da
ation très digne fut adressée par le Procureur Général Languet sous formes de Remontrances faites à Sa Majesté pour protes
ion de Mgr le chancelier et leurs sentiments se sont trouvés con- formes à ceux de MAI. les docteurs de Sorbonme que Votre
ses ursulines parcoururent la gamme entière de l'hystérie depuis la forme la plus atté- nuée jusqu'à la plus sévère. L'
ême avec la méthode de Nissl, se dif- férencie nettement quant à la forme . P. K. XIII. Contribution A la pathologie DU no
tte communication sera publiée prochainement.) Paralysie générale A forme tabétique. M. Joffroy. Dans le courant de l'ann
Beard; il appelle en même temps l'attention du Congrès sur d'autres formes dites pseudo-neurasthénies et neu- rasthénies p
du grand sympathique dans la paralysie générale et les différentes formes de folies vésaniques (lypémanie, hypocondrie, e
nsversale de la croix d'impré- gnation de Ranvier. La substance qui forme ce petit corps est brillante, tandis que le cyl
naissance, dans laquelle l'hallucination se soit manifestée sous la forme d'une épilepsie sensorielle surajoutée à une hémi
ithélium deviennent rares, à longs prolongements dont l'intrication forme le réseau allongé que j'appelle 13 chemin de Re
cas de frères et soeurs internés en même temps, et douze fois la forme d'aliénation mentale s'est trouvée sensiblement l
ômes s'im- pose. Le faciès myopathique, considéré comme propre à la forme facio-scapu]o-humérale, se trouve atténué ou mo
acio-scapu]o-humérale, se trouve atténué ou modifié dans toutes les formes de myopathie progressive. L'auteur signale plusie
aupière inférieure qui a perdu ses cils. Enfin l'auteur signale des formes particulières des lèvres qui lui ont paru constan
ières des lèvres qui lui ont paru constantes. DE la nature ET DE la forme DE la folie DE Charles VI. M. Auguste BRACHET,
de lecture plus instructive, lecture du reste très agréable, car la forme , si souvent négligée en littérature médicale, e
e plus saillant est un trouble de la mémoire, se présentant sous la forme dite amnésie continue . Les renseignements re
ur attribue une autre interprétation et pense qu'il s'agit là d'une forme de sommeil hypnotique. -, Pour M. Pierre Janet,
nous nous reportons à nos expériences personnelles, voici, sous une forme résumée, ce que nous avons pu obser- ver. L'occ
ante de son attaque, c'est l'hallucination visuelle du gendarme qui forme le pivot de tout le délire dans lequel elle cau
et dans un grand nombre de maladies. On l'observe, dans différentes formes d'aliénation mentale et si elle est plus fréque
ie générale ; 2 °la variation de cette constitution moyenne avec la forme clinique de la paralysie générale ; 3° la variati
rtain nombre de paralytiques quelconques sans aucune distinction de forme ou d'évolution de la maladie et nous avons touj
seconde période de la mala- die, ainsi que les variations dues aux formes et aux épisodes de cette affection. PSYCHOLOG
rtie ? La solution se présente immé- diatement à l'esprit sous deux formes pratiques. La première, la plus simple, la meil
int de fixation et s'étend de là dans telle ou telle direction sous forme d'un voile plus ou moins épais, limité en dehor
ccès en comprimant l'oeil atteint; modifiant par cette manoeuvre la forme de l'arc, et des flammes scintillantes du sco-
lité réflexe pathologique de la moelle lombaire. P. K. ' LXV. Des formes de diplégie cérébrale héréditaire; par S. FREUD.
es spasmodiques des mouvements des extrémités. ' Il y en a quatre formes cliniques : 1° raideur généralisée (para- lysie
s aussi prédominent les troubles des muscles des yeux ; quant aux formes morbides, ces derniers sont plus souvent mélancol
té admis pour la première fois : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 405 Forme de la maladie : 406 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
me (= 34 cas, soit 27 p. 100). Criminalité (délits) de 19 femmes. Forme mentale. Psychopathie, surtout aiguë et passagère
Chronique s'il en fut, primitif et ori- ginel. Il ne est une autre forme également chronique mais acquis, dans lequel le
ire individualisées; marche lente et régressive. Enfin la troisième forme , semblable aux deux précédentes, est secondaire;
des illusions; la confusion mentale, au contraire, surtout dans sa forme maniaque, se juge parmi affai- blissement des f
e l'objet, mille perceptions distinctes associées (couleur, espèce, forme , temps). L'impulsion volontaire est perçue par
tions et contre-indications spéciales des visites dans les diverses formes des maladies mentales. Il éta- blit les conclus
- timents, au moins temporairement ; - 2° dans la manie, quand la forme en est grave, on proscrira toute visite. Il vaut
sortie; 3° la folie systématique aiguë, suivant, qu'elle revêt une forme dépressive ou exaltée, impose l'obligation d'en
e peut-être encore plus prudent en pareil cas. Il faut ici peser la forme des hallucinations sensorielles, sur-' tout qua
ou en butte à des actions physiques, en dehors des rémissions. Les formes expansives permettent plus de libéralisme dans le
admis jusqu'alors. Dans un grandnombre de cas ce n'est pas sous la forme d'angoisse que l'accès parvient à la conscience
forme d'angoisse que l'accès parvient à la conscience, il revêt la forme d'asthme, de vertiges, de passion. Tel ce monsi
lire des persécutions fut dégagé par Lasègue, en 1852, des autres formes mentales. Mais, je vous l'ai dit, le caractère du
mentée, a pris corps ; elle est maintenant solidement fixée dans sa forme ; mais dans un instant, nous la verrons dissipée
sa forme; mais dans un instant, nous la verrons dissipée devant une forme nouvelle : l'idée de grandeur. L'histoire des
s, peu à peu, ces mots s'accentuent, et ne tardent pas à prendre la forme des plus grossières injures : a Vache, salope,
sine materia. La polyurie héréditaire des dégénérés, tout au moins, forme une catégorie distincte et irréductible ; 2°
o-pathologique de ces myélites s'est constituée si lente- ment. Les formes graves rapidement fatales sont l'exception ; et
écoce, et proposaient une classification ration- nelle des diverses formes anatomiques observées. En résumé, on admet géné
insisté sur la signification de la rachialgie Moc- turne dans cette forme , en tout point comparable à la céphalée nocturn
s la variété pré- cédente, font défaut ou sont insignifiants. Les formes cliniques les plus communes, de beaucoup ont un
hie papillaire, des cé- phalées nocturnes à l'origine, etc... Les formes aiguës, bien que plus rares, ne sont cependant
de troubles trophiques graves (eschares à extension rapide). Ces formes aiguës sont des plus redoutables parmi les com-
de faire se rapportent au type de la méningo-myélite. C'est à cette forme anatomique que les accidents précédemment étudi
myélite. A. La pachyméningite propagée à la moelle correspond aux formes cliniques dans lesquelles les prodromes méningés
ement à aucun signe d'irritation méningée. Elle correspond donc aux formes dans lesquelles la moelle parait touchée pri- m
re assez bien avec la prédominance des lésions vasculaires dans les formes qui rappellent, aussi bien au point de vue clin
eux intra-pariétaux (fig. 17). Fig. 16. - Ao- ? ? /6e syphilitique ( forme aitié). Coupe transversale de la région dorsale
aveu de tous, Snell, en l8Gâ, sous le nom de mono- manie, décrit la forme chronique de la Paranoïa, dans la genèse de laq
s. Il y a bien, dans l'espèce, dislocation (Veî-î-ücklheit) dans la forme de la pensée, mais non dans la liaison des idées,
qu'il pense. Il peut aussi se produire non de la déviation dans la forme de la pensée, mais une dislocation de l'enchaîn
la marche aiguë de la Verrùcktheit, il n'a pas caractérisé cette forme en termes plus précis. Il reconnaît en revanche l
llemands Wahn (délire) et Sinn (sens). Mais Schoefer en admet : une forme simple une forme hypocondriaque z qui peuventêt
lire) et Sinn (sens). Mais Schoefer en admet : une forme simple une forme hypocondriaque z qui peuventêtrel'uneet l'autre
t pour facteur principal les hallucinations. Il y rattache aussi la forme originelle de Sander. Merklin, reprenant le ter
indéniable d'un type morbide (systématisation), être appliqué à une forme toute différente dans son dessin pathologique.
atique chronique qu'elles signifient réellement dans le fonds et la forme , d'après les six observateurs que nous venons d
sinn type, dont l'essence est en réalité chronique, il en admet une forme simple, et une forme hypochondriaque, pouvant à
ence est en réalité chronique, il en admet une forme simple, et une forme hypochondriaque, pouvant à leur tour être chacu
Il croit cependant que les hallucina- tions engendrent surtout les formes aiguës, ce qui est bien vague, puisque les hall
des granulations de grandeurs différentes, mais ayant toutes une forme arrondie. Chaque cellule est munie d'un noyau,
outes une forme arrondie. Chaque cellule est munie d'un noyau, de forme arrondie, ovale ou irrégulière, et chaque noyau
au;mentent de volume, deviennent plus transparents et prennent une forme plus arrondie. z 2° Sous l'influence de l'exc
réseau cellulaire. Les noyaux, quand ils existent, présentent une forme arrondie avec des nucléoles très nettement dess
ière à enrayer les progrès de l'avenir. Il faut, pour certaines des formes en question, attendre la découverte de lésions
uelette, des attaques épileptiformes. Or ceci n'existe pas dans leb formes de l'amentia que l'on rapporte à des causes tox
et l'amentia. Or nous avons à délimiter non des syndromes, mais des formes 490 SOCIÉTÉS SAVANTES. morbides. Cette préocc
t ! ')'</tet<). - Elle s'applique à l'ameuta considérée comme forme morbide et aussi aux états mentaux les plus dif
tial et la faiblesse des transmissions. Pour sortir de ce chaos des formes morbides de l'amentia, de la folie systématique
nous appuyer d'abord sur lafoiiesystématique chronique, qui est la forme iapiusgénéralement et la plus anciennement conn
plus de l'expression de Wahnsinn. Morel en publiant sa théorie des formes héréditaires avait enlevé du groupe de la folie s
emplit toute la vie. Elles procèdent par poussées; il en existe une forme mélancolique, exaltée, hallucina- SOCIÉTÉS SAVA
sans réserve par Griesinger. W. Sander en publie des exemples d'une forme originelle; enfin C. Westphal, en 1878, montre qu
notamment, qui donnent naissance au délire; enfin il en existe une forme originelle dans laquelle le délire, latent dans l
pement de l'individu. West- phal ajoute que les obsessions sont une forme de folie systéma- tique abortive parce qu'en pa
he aiguë de cette maladie, indépendamment de sa genèse aiguë; cette forme aiguë peut guérir, de sorte que la folie systém
sque Mey- nert sépara la confusion mentale ou amentia et en fit une forme morbide, les auteurs en l'étudiant se demandère
ficulté préside à la dis- tinction et à la délimitation de ces deux formes . La division de M. Mendel n'a rien modifié à ce
élire fixe des persé- cutions. On pourrait faire rentrer dans cette forme la folie systé- matique des prisonniers, condam
e délire faisant brusquement explo- sion ou se développant sous une forme expansive assez intense, malgré l'apparence par
les délires qui constituent les limites les plus extrêmes des mêmes formes aiguës. Quelle idée faut-il se faire du délire
ensée et dans l'humeur. On ne lui trouve pas ce cachet expansif qui forme toujours le fond de la folie systématique; elle
ésignée sous le nom de délire hallucinatoire; on y cons- tate : les formes rapportées supra de la confusion mentale, la foli
se pénètre bien de ce qu'est l'alcoolisme aigu ; l'examen de cette forme mor- bide permet de saisir la différence et la
quelques semaines pour guérir encore. Ou bien enfin elle se trans- forme en folie systématique chronique (paranoia chronic
. Entre ces deux groupes de délires alcooliques, il y a aussi des formes mixtes dans lesquelles une histoire mythique inva
maladie autour duquel tourne un monde de visions mobiles. Mais ces formes mixtes, comme on le voit, ne dé- truisent pas l
et la folie systématique aiguë (para- noia acuta), il y a les mêmes formes de transition que celles qui existent]entre le
noïa (folie systématique), mais il faut savoir qu'il s'agit de deux formes proches parentes. Il convient d'y ajouter une t
e nom d'anoia acuta. Il n'en sera pas question ici. A côté de ces formes morbides constituées par un trouble des sources
ite, il est tout arbitraire de ranger ces observations dans une dos formes typiques. En conséquence, pour ne pas violenter
art et la confusion mentale et la psranom de l'autre, il existe des formes mixtes, tout aussi bien qu'entre ces deux derni
iste des formes mixtes, tout aussi bien qu'entre ces deux dernières formes ; on arrive ainsi, suivant la pré- dominance de
tat mélancolique marqué et persistant. Il est donc établi que les formes aiguës des troubles psychiques, dont il est que
conceptions délirantes et d'hallucinations sensorielles, il y a des formes de transition. Ainsi on reconnaît des cas dans
nette des choses et personnes qui entourent le malade représente la forme de beaucoup la plus rare ; la plupart de ces ca
fait des rapports de sa personne avec les autres. L'idée du moi se forme dès le début de la vie à l'aide des sensations et
primitives qui, dans les rapports de la vie, les plaisanteries, la forme des réponses sont autant d'éléments qui vous fr
s, univoques. Mais cela est difficile, car la clinique fourmille de formes de transition, de formes mixtes. Pour étudier ces
st difficile, car la clinique fourmille de formes de transition, de formes mixtes. Pour étudier ces formes mixtes, on est
urmille de formes de transition, de formes mixtes. Pour étudier ces formes mixtes, on est obligé de laisser de côté le gui
endrer ces complexus symptomatiques spéciaux de la psychose sous la forme de phénomènes concomitants ou 'consécutifs. Cette
Jouve, 1891. Les vieillards et surtout les femmes sont sujets à une forme spé- ciale de mélancolie. Comme la sénilité, qu
rte à faire de la neurasthénie et de la mélancolie dépressives deux formes ou plutôt deux expressions symptomatiques delà
des rapports des phénomènes somatiques et des phénomènes psychiques forme deux autres chapitres, dans lesquels l'auteur d
-pathologique de la question. Le résumé de tant de travaux sous une forme à la fois concise et claire était une tâche dél
t localisations, par Struthers, 55. Lèpre systématisée nerveuse à forme syringomyétique, par Pitres et Sabrazès, 37.
litiques, par Plato- now, 128 ; chez la femme, par Idanow, 134; à forme tabétl- que, par Joffroy. 321; urines dans la
48 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
folies intermittentes, de psychoses périodiques, de folies à double forme , alterne , circulaire , etc., états que l'on te
puisé les éléments de son célèbre mémoire sur la Folie ci double forme . . Les travaux de ces deux auteurs ayant servid
pond à la découverte de la folie circulaire et de la folie à double forme ; c'est la période française par excellence, ce
itten- tes,rcmittentes, périodiques, de folies alternes, ! double forme ,circulaires, etc. Née d'hier, puisqu'elle a com-
iode d'excitation de Informe circulaire des maladies mentales cette forme consiste, non comme on l'a dit fréquemment, dan
assigné dès cette époque quel- ques caractères particuliers à celte forme circulaire et qu'il en ait signalé en particuli
enre de folie que Baillarger désigna sous le nom de folie et double forme . Il montra en outre que les accès de cette affe
s, un travail ayant pour titre « Mémoire sur la folie circulaire, forme de maladie mentale caractérisée parla repro-- d
un intervalle lucide plus ou moins prolongé. » Les accès de cette forme se composaient donc de trois stades juxtaposés
. Il résulte clairement de ces textes, qu'entre la folie à double forme de Baillarger et la folie circulaire de P. Falr
me de folie cir- culaire, opposé par lui à celui de folie il double forme . Ce qui prouve l'exactitude de celte interpréta
espectivement donné le nom de folie circulaire et de folie à double forme ; mais en réalité, il ne s'agissait là, comme o
t pas accorder une place dans sa classification à la folie à double forme ou circulaire : « Je ne puis, dit-il un peu déd
u dédaigneusement, en parlant de cette affection, accepter pour des formes distinctes, pour des genres (1) J. l'. Falret.
ude que Morel et n'accorda qu'une brève mention à la folie à double forme dans son Traité des maladies mentales, sans lui
t Baillarger en proposant de n'appliquer le nom de folie à double forme qu'aux accès de manie-mélancolie qui sont sépa-
à la même époque Jules Faire ! sur la folie circulaire ou folie à formes alternes, et enfin, après la publica- tion,en 1
monographie, aujourd'hui classique, de Ritti sur la folie à double forme . (1)nI0lt>rr.. Traité des maladies mentales,
94, etc., s'accordèrent pour ranger la folie circulaire ou à double forme , à côté de la manie et de la mélancolie récidiv
sente alors, dit cet auteur, un cercle morbide dans lequel ces deux formes mentales alternent souvent d'une façon régulièr
(1). L. Meyer,en 1874, cherche à établir que la folie à dou- ble forme est due iL des troubles trophiques. L. Kirs, en
isée, les folies périodiques dont il distingue quatre groupes : les formes délirante*, les formeswa- niaques, les formes c
quatre groupes : les formes délirante*, les formeswa- niaques, les formes circulaires et les formes dé- pressives. Sauf
es délirante*, les formeswa- niaques, les formes circulaires et les formes dé- pressives. Sauf quelques légères variante
sychoses dites inter- mittentes, périodiques, circulaires, à double forme , alternes, etc., présentant toutes la même évol
it être définitivement exclue du cadre des maladies mentales, comme forme clinique indépendante, et que tous les états d'
s ajoute : «11 n'y a donc pas lieu de dé- crire a la folie à double forme une symplomatologie spéciale; il suffit d'indiq
ée (1). La manie périodique seconfondraitdoncavec la folie à double forme , [opinion qui avait, du reste, été déjà formulé
ous le nom de folie maniaque-dépressive les accès de folie à double forme ou de folie circulaire, puisque chacun de ces a
emier abord, que cette ex- pression soit impropre pour désigner les formes inter- mittentes ou périodiques qu'on distingue
u tableau de la folie mania- que-dépressive, puisque les uns sont à forme mania- que, les autres à forme dépressive. Mais
e-dépressive, puisque les uns sont à forme mania- que, les autres à forme dépressive. Mais il y a plus, et commel'avait d
us d'excitation ou de dépression sont en réalité des accès a double forme frustes dans lesquels l'une des phases morbides
maniaque ou le type dépressif sont, en réalité, des accès à double forme . Il est à peu près cons- tant, en effet, d'appr
Elle est également à l'abri de la critique dans les cas de folie à formes alternes (Délaye, Legrand du Saulle), dans laqu
si l'état patho- logique qui constitue la folie périodique dans sa forme la plus caractéristique, n'était pas simplement
mélangent et au lieu de se succéder' comme flans la folie à double forme ; c'est ensuite ce fait, corollaire du précéden
ancolie simples, intermittentes ou périodiques, de folies ci double forme , circulaires, etc., doivent être considérés dés
états différents, reliés, il est vrai, entre eux, par de nombreuses formes intermé- diaires : des états maniaques, des éta
ceux qui présentent des malaises sensoriels et psychiques, dans les formes d'épilepsie déterminant des troubles du caractè
», est très analogue à l'ataxie du tabès : celle-ci elle revêt des formes de même ordre (paralytique, spa«- modique, tI'é
ype anafonio-palhologique cortical (chromato- lyse a début central, forme globuleuse de la cellule, migration périphériqu
émence précoce. 1 ? . Tissot. \'I. Sur un cas de tumeur cérébrale à forme psychi- que ; asthénie générale sans paralysie
nntclale. Cette masse, suivant l'examen histologique, était uni- forme , très riche en capillaires; on y voit des cellule
e diverses 36 REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. formes , pyramidales,ovalaires, rondes, fusiformes, plong
nerveuses en fascicules. Cette observation concourt à l'étude de la forme psycho-mo- trice des tumeurs cérébrales. Les ph
sait que (ïahlhaum a décrit sous le nom d'héboï<lophré- nie une forme atténuée d'hébéphrénie qui ne s'accompagne ni d
pide et délinitif des facultés intel- lectuelles. En outre de cette forme bénigne de démence précoce simple ou fruste, l'
la profon- deur de la démence, le degré du déficit peut varier. Les formes frustes de la démence précoce expliquent bien l
ce d'a- faihlissemcnt intellectuel et la logique apparente (dans la forme mais non au fond) des raisonnements ; il n'exis
e join- drelesinsuflisances rénale et cérébrale. F. TISSOT. '1. - Formes atypiques de la paralysie générale (hémi- ' plé
éphalites diffuses ; par Pas- CAL. (L'Encéphale, 190G, n° 2.) Ces formes sont celles qui se compliquent d'un syndrome en
de ces diverses lésions sont l'hémiplégie et l'aphasie. Parmi les formes hémiplégiques l'auteur retient celle qui relève d
paralysies générales ah piques aphasiques, l'au- teur distingue une forme aphasique à prédominance motrice et une à prédo
matique du faisceau pyramidal gauche. Il est rare de trouvera cette forme mentale un substratum ana. fornique. Dans le ca
caractères spéciaux, une mani- festation involulive, mais bien une forme distincte qu'on rencon- re avec, prédilection i
e part la constance delà dégénérescence graisseuse du foie dans les formes catatoniques, l'autre pari la fréquence de la t
catatoniques, l'autre pari la fréquence de la tuberculose dans les formes hébéphréno-cafatoniques. lien con- clut que la
psychose toxi-infectieaso subaiguë ou chronique, primitive pour la forme hébéphréno-catatonique, secondaire pour la forme
primitive pour la forme hébéphréno-catatonique, secondaire pour la forme pa- ranoide. Dans tous les cas la dégénérescenc
voulait Bayle, dont les observations ne semblent comprendre que des formes inflammatoires (infections micro- bipennes.;
te paralysie générale diabétique peut se manifester sous di- verses formes : lu être accidentelle et disparaître rapidement;
iabétique est un fait clinique réel et on doit l'ajouter aux autres formes de « pseudo-parahsie » (syphilitique, arthritiq
e.) (Reçue 1¿eUI'O- logique, juillet 150 ? ) 1. 11). NI\'. Sur la forme stationnaire de la démence para- lytique ; par
peut atteindre dix, quinze ans et plus : il s'agit bien alors d'une forme stationnaire de la démence paralytique. L'auteur
ence d'une lymphocytose rachidienne. Il termine, pour expliquer ces formes stationnaires de la démence paralytique, par ce
lle. L'impaludisme n'occasionne des troubles délirants que dans ses formes chroniques et pour ainsi dire jamais dans ses f
s que dans ses formes chroniques et pour ainsi dire jamais dans ses formes aiguës : il n'y a d'ailleurs au- cune relation
matisme crânien est une cause fréquente de la folie sous toutes ses formes , surtout des troubles iL caractère démentiel et
vomissement. M. Paul FARFZ. - Le vomissement, sous ses différentes formes est, dans son étiologie. sa pathogénie ou sa cu
uvent rentrer dans aucune affection déterminée. Constituent-ils une forme morbide spéciale ou sont-ils symptomatiques d'é
cription des symptômes, les états mélancoliques sont réduits à deux formes : sans délire ou avec délire, l'anxiété se ratt
se rattachant le plus souvent à la première, et la stupeur étant la forme extrême de toutes les variétés ; mais ces formes
la stupeur étant la forme extrême de toutes les variétés ; mais ces formes ne doi- vent pas être conservées comme des réal
aurait dû obtenir, en souffre. Suit une fine analyse des tendances, forme d'activité in- termédiaire entre l'instinct et
olie affective axant l'âge de 45 ans et ne relevant d'aucune de ces formes ; et, dans les mélan- colies d'involution, il e
progression numérique des maladies mentales, et aussi de certaines formes spéciales de ma- ladies moniales chez les diffé
sur la 62 VARIA. présence ou l'absence de telle ou telle autre forme d'aliénation chez tel peuple civilisé ou non. 3
énomènes. 4° Recueil et choix du matériel regardant l'appad- tionde forme d'aliénation mentale chez les animaux. IL Héréd
ar des normes législatives. 3° Conditions héréditaires de certaines formes spéciales d'alié- nation sur la base d'un très
n des maladies en général et en particu- lier, différence entre les formes de ces maladies chez les gens qui boivent et ch
us et le vermis ; son bord inférieur, libre sur toute, son étendue, forme la limite supérieure d'une vaste- anfractuosité
ie du métencéphale, Le lobe temporal droit est fortement déprimé et forme une sorte de calotte coiffant 1'liéniispliii-,3 c
ure temporale (il) qui, au-dessus et en ar- rière du pôle temporal, forme la limite inférieure de la circonvolution de l'
pondant aux trois pédoncules cérébelleux. « Ce tu- bercule avait la forme d'une amande, sa surface était cannelée de mani
tard l'hémisphère céré- belleux. Celui-ci ne commence à prendre sa forme défi- nitive que dans le courant du quatrième m
ême dans l'hystérie) mais, caractère distinctif, se présente sous forme d'ltémianestl/( ! sie et est due à l'alcoolisme
inienne avec décoloration de la papille qu'on trouve au début de la forme mélan- colique, de même qu'elle existe chez les
illaires sont très nets et immuables , qu'ils se présentent sous la forme de : Signe d'A7gyll Robertson ou de pseudo-Argy
cile à cause de l'indocilité fréquente du malade. Ici intervient la forme : ou cxpansive, ou dé- pressive, ou tabétiforme
ciale- ment étudiés dans ces derniers temps, représentent une des formes de la « claudication intermittente du cerveau »
out remarquer par leur caractère intermit- tent ou paroxystique. La forme légère se révèle par la fatigue mentale rapide,
mentale rapide, la faiblesse de l'idéation et des conceptions. Les formes graves se manifesteraient par des troubles ment
sée (cardiaque, aortique, rénale, périphéri- que, etc.) Certaines formes simulent la paralysie générale ; les rémissions
ellectuelle no- table. J'ajoute qu'avant d'interpréter les diverses formes pa- raplégiques par ces lacunes, il faudra s'en
croscopiques, ont établi solidement l'existence anatomique de cette forme de paraplégie. 11 peut évidemment exister chez
ellicr). - J'appelle l'attention sur un détail curieux de certaines formes de paralysie cérébrale chez les scléreux qui ma
volontaires isolés des membres chez les hémiplégiques lacu- naires forme , en effet, un contraste frappant avec les trouble
lue l'hystérie joue un rôle primordial dans le déterminisme et la forme des délits divers que peut commettre l'hystérique
toujours,en effet, chez elle des diminutions de la sensibilité sous forme d'anesthésie ; d'autre part des exagérations de
d'anesthésie ; d'autre part des exagérations de la sensibilité sous forme d'hyperesthésie. Des diminutions et des exagéra-
x elles éléments de soutien : tousles éléments de la moelle ont une forme 'bipolaire identiques et sont produits par kari
u 3'jour, les neu- roblastes des ganglions sont bipolaires, ont une forme en fuseau, et sont identiques à ceux de la moel
ant ; le corps cellulaire correspondant aux deux pôles s'allonge et forme comme un capuchon au noyau. Les autres parties
usions suivantes : 1° Les cellules du feuillet ectodermique ont une forme allon- gée et présentent à leurs deux pôles deu
tion, en rapport, par leurs prolongements, avec les prolongements à forme stellaire des éléments mésodermiques avoisinant
s de Sandri qui a trouvé que la formule hémo-leucocytaire, dans les formes hébéphrénique et paranoïde de la démencç pré- c
re jouer un rôle étiologique..1. SI : GLAS. XXIII. Leptomyélite a forme tabétique. Hétérotopie de la moelle épinière ;
tube médullaire ont dans les premières phases du développement une forme bipolaire en fuseau, : dans leurprotoplasma se
4" La cellule nerveuse n'est pas une unité embryologique. Kilo se forme à partir du moment où le réseau nerveux est const
qui ont commencé dix ans auparavant et ont revêtu successivement la forme de névralgies faciales et de crises convulsives
fois spinales, nerveuses et musculaires. De ces rapports entre les formes myopathique, neurale et neuro-spinale de l'atro
Buch et Deroubaix. Contribution à l'llistopathologie de cer- taines formes de psychoses appartenant à la démence précoce (
IIUiSK ! . -Soc. méd. des hôpitaux. Séance du 22 mars 1899. Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive il une lési
de deux états dis- tincts pourront faire croire à l'existence d'une forme nouvelle, inédite, à décrire ; ou bien, ils fer
ucinations, parce qu'il ne parait pas logique de confondre ces deux formes . Nous ne pensons pas qu'il soit indifférent de
bouche, sans morsure delà langue, sans perte d'urine, mais sous la forme d'évanouissement : elle poussait un cri, tombai
sion ? De tout cela résulte qu'il s'agissait de crises nerveuses de forme liystéro-épileptique. Seulement on peut se dema
ce point. 202 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. Formes prodromiques dépressives de la démence précoce.
iques dépressives de la démence précoce. ]\Ille le Dr PASCAL. - Les formes prodromiques de la démence précoce sont, dans l
dromiques de la démence précoce sont, dans la majorité des cas, des formes dépressives : neurasthéniques et mélancoliques.
à la stéreotypie sont pathognomoniques de la démence précoce. La forme mélancolique se distingue par l'état mental parli
ndra peut-être un jour ! 1 . Sur quelques caractères de certaines formes de nymphomanie. M. Gilbert Ballet. 11 existe de
tion de Claisse, la morphine à la dose de 1 : milli·r., le chloro- forme , la compresse de Priessnitz, les bains chauds, le
mites bien tranchées, on rencontre entre les différents types des formes intermédiaires qui conduisent insensiblement de l
maladies familiales, il vaudrait peut- être mieux y distinguer des formes spinale, bulbo-spinale, bulbo- cérébello-spinal
vulgaire de Syndenham. Le pronostic varie évidemment suivant les formes . La thérapeutique doit s'attacher aux causes lors
ricité, les nervins : la suggestion n'a aucune action, sauf dans la forme de Carrière. Au cours de leur travail, Iluchard
d, il y a quelques symptômes légers surajoutés, le troisième est la forme grave avec signe de Calins.11 Il existe des for
troisième est la forme grave avec signe de Calins.11 Il existe des formes complexes avec des complications de tou- tes so
se produisaicl1Ltantôt simultanément tantôt isolément, tantôt sous forme d'accès, tantôt d'une façon continue. Quelques
4.) Les psychoses d'insolation existent réellement et revêtent la forme de confusion mentale sous l'une quelconque de ses
ns la folie gémellaire, laquelle peut revêtir, en effet, toutes les formes mentales et dont les caractères spéciaux, dont
la folie gémellaire depuis longtemps signalée n'est en somme qu'une forme spéciale de psychose fami- liale, la manifestat
ite à part comme un fait bizarre et curieux, plutôt que comme une forme morbide particulière. Or la vraie folie gémellair
re, la seule à laquelle il faudrait conserver ce nom, devient une forme particulière, sinon par les troubles intellectuel
ait plus de la folie gémellaire, mais une folie familiale à deux, forme simultanée de Régis. Dans la vraie gémellaire, la
alogues et presque contempo- rains, mais l'identité absolue dans la forme et dans le temps suppose, il leur semble, l'int
il n'a pas eu occasion d'ob- server qui l'ont décidé à repousser la forme spéciale dé- crite par Bail et à faire, avons-n
mixtes. D'où l'on peut tirer la conclusion que le changement de la forme de l'activité a une influence favorable sur le
liénés morts tuberculeux dans ces asiles, 92,060/. présentaient une forme démentielle de la folie. Ses chif- fres qui por
culeuses à l'autopsie, soit 25,9 %. Il donne le détail suivantdes formes de folie : LA TUBERCULOSE DANS LES ASILES D'A
te fautive », sans insister davantage, sans se préoccuper des ré- formes à réaliser. MM. Valon, Charpentier, et bien d'aut
torique, le Ruz' Blum étudie l'anesthésie psychique surtout dans sa forme analgésique. Il passe en revue l'histoire des m
dmel que cette anesthésie ner- veuse est absolument identique comme forme à l'anestbétie suggérée. ' Le but du troisièm
les garde à midi à l'école et on les \' nourrit. Le rez-de-chaussée forme foute l'école ; on évite de cons- truire des es
lut v. 51, no. 12, Mardi 21. Léri, André, Mening. cérébro-spinale à forme ambul. ayant évo- lué pendant huit mois ; reche
4, p. 591-592. Raymond et Sicard, J. A. Méningite cérébro-spinale à forme de paralysie infantile, cyto-diagnc,stic. llev.
l, qu'il devait écrire la lettre mais il ne se souvenait plus de sa forme . Il écrit sous notre dictée : Nous sommes auj
riels multiples, variant fréquemment, se groupant parfois sous la forme d'hémianesthésie sensitivo-sensorielle. Rien à
, la diazoréaction d'Ehrlich qui ne donne de résultats que dans les formes aiguës ou avancées, enfin la radiographie qui n
les plus légères, parmi lesquelles les microbes ; à la surface se forme un voile dont on rait un frottis, qu'on fixe et q
t si avancée dans certains pays étrangers. L'aérothérapie reçoit sa forme la plus complète dans la vie. sous la tente, pr
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES \\\1'l.- Sur une forme spéciale du globule rouge dans la démence préco
e présentent avec une structure caractéristique généra- lement sous forme d'une imago ombiliquoe et d'un volume plus gran
86 REVUE D'ANA10MIE ET DE physiologie pathologiques. tant que cette forme spéciale n'est pas pathognomonique de la démenc
ctère surtout héréditaire, et n'ayant aucun rapport avec les autres formes de chorée, spécialement avec la chorée de Syden-
ymateuse. Les auteurs croient cependant avoir remarqué que, dans la forme cafalonique do la démence précoce, les lésions
épilepsie, puisqu'elle manque dans la plus grande partie des autres formes mentales. Au sujet des principes antitoxiques
ranulations qui rappelle tout d'abord la disposition réticulée puis forme « une masse put- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
e, de la moitié gauche de l'épi-lotte,de la muqueuse du sinus pi ri forme , de la moitié gauche de la paroi postérieure du
ux démence paranoide pseudo-systématique) qui fait rentrer ces deux formes dans la démence précoce, est sans doute une des
ubles qui retentissent sur le volume du cerveau et par suite sur la forme du crâne peuventne pas influencer la taille. Eu
s. « Que la plus grande part des résultats curatifs porte sur les formes les plus fréquentes et les plus simples de la man
siste sur la médication BIBLIOGRAPHIE. /,ou hydrothérapique qui forme un élément de traitement important mais qui doi
a donné de meilleurs résultats. « Contre les états d'agitation à forme maniaque, nous avons usé des bains de durée, va
(exprimables par des nombres) change avec toute modification dansla forme de la courbe. Il en résulte qu'en changeant les
sulte qu'en changeant les conditions expérimen- tales, on change la forme de la courbe et,en même temps, la valeur des pa
anique est considéra- blement accru. La courbe alcoolique change de forme ,en s'allongeant considérablement. Le calcul des
e distingue pas les cou- leurs, et n'a aucune notion précise sur la forme des objets environnants. - Pommelles peu sailla
, branche supérieure effacée, fossette à peine visible. Conque de forme quadrangulaire et peu profonde ; conduit auditif
A la suite d'une de ses crises, elle eut un délire hallucinatoire à forme lycanLlhropique. Elledit être un chat, " un cha
érie bien caractérisée et bien classique. Chez cette malade cette forme de délire ne se présenta qu'une s-,ule fois et
e et ses affluents forment un paquet variqueux qui lors des efforts forme i ce ni- veau une masse du volume d'une grosse
li- que, aiguille ou épingle recouverte partout d'une couche uni- forme et épaisse do rouille, une portion est libre, l'a
Jean Lépine la méningite spinale peut se manifes- ter déjà dans les formes relativement bénignes du rhumatisme chronique.
d'aboutir.La mélan- colie d'involution sénile ou pré-sénile est la forme sur laquelle se manifeste le plus l'influence d
bliés semblent indiquer que le rhumatisme chro- nique, soit sous la forme d'attaques aiguës récidivantes, soit sous la fo
ue, soit sous la forme d'attaques aiguës récidivantes, soit sous la forme dyscrasique, occupe une place importante dans l'é
ires mo- dérés. Les accidents médullaires ne sont donc pas liés aux formes les plus graves du rhumatisme chronique. Deux
ire, ainsi que sur l'effica- cité de la suggestion contre certaines formes du mal de mer. - Cette discussion ne peut être
onvient à ce propos de signaler que l'étude des mala- dies mentales forme une branche particulière etspéciale des scien-
le nom de flirt, il nous semble, à ce sujet, que Forel comprend des formes d'excitation sexuelle beaucoup trop sensuelles
lle beaucoup trop sensuelles ; il le condamne d'ailleurs sous cette forme . Toutes les irradiations de l'amour sont passée
t ; nous vivons, dit Forel, sous l'empire de Mammon. Au sujet de sa forme , il a été d'abord mo- nogame, puis polygame, pu
An- theaume et Parrot, p. 42. Démence précoce. Voir Moelle. Les formes frustes de la - précoce ; par Crocq, p 39. La
tal toxi-mfectieux subaigu ou chronique, par Dide, p. 43. Sur la forme stationnaire de la paralytique, par Serge Soukh
paralytique, par Serge Soukha- noff, p : 44. précoce. Voir Ictus. Formes prodosmique dépressives de la précoce, par Pa
be occipital droit, par Raven- na, p. 139. Globule ROUGE. Sur une forme spéciale du dans la démence précoce, par Pigh
rcu- laire Clémenceau sur la même loi, p. 480. LEPTO\1YÉ¡ ITE à forme tabétique Hétérotopie de la moelle épi- mère,
rer- vluse. Nymphomanie. Sur quelques ca- ractères de certaines formes de - , par Ballet, p. 2 : 0. Nystagmus associ
et hérédi- taire, par Chaillous et Pagniez, p. 225. Paralysie. Formes atypiques de la générale (hémiplé- gique et a
Marie et Rolet, p. 287, 362. Tumeur cérébrale. Sur un cas de à forme psychique, asthé- nie générale sans paralysie;
49 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
Toutes les irradiations capsulaires frontales se présentent sous la forme de lignes courbes plongeant vers la base (lobul
heureux avec le délire. DE L'ALIÉNATION MENTALE. 25 De toutes les formes vésaniques, seule la démence est, par nature, i
ence des actes. La maladie évoluait donc selon le type continu avec formes alternes. Nouvelle lacune dans les renseignemen
mie, urinémie, etc.) sur le système nerveux central. Pourtant les formes ci iniques si diverses de l'urémie dans les affec
scarlatine. Cette succession de phé- nomènes, si analogues par leur forme , permet de soupçonner l'identité de leur uature
voir plus de rapport avec l'éclampsie, comme les convulsions sans forme déterminées et l'hystérie '. » ' D'autre part,
s antécédents hystériques', et surtout des antécédents convulsifs à forme éclamptique qui se sont présentés à différentes
état névropathique qui peut se transmettre aux descendants sous des formes variables, montre encore les liens de famille d
eptembre 1880) un mémoire dans lequel il attire l'attention sur une forme grave de mélancolie anxieuse, caractérisée par
), le même médecin décrit, sous le nom de délire des négations, une forme de délire spécial qu'il distingue du délire de
ancolie anxieuse, et qui nous parait se rapprocher intimement de la forme de mélancolie qui fait le sujet de son précéden
t, excepté ce qu'elle est, et ce désir s'ex- prime souvent sous les formes les plus drôles. Il suffit d'un mot prononcé de
vant elle ou d'un objet qui frappe sa vue pour que AIme A. \1... en forme l'objet de ses souhaits. C'est ainsi qu'elle vo
iété augmente encore à ce moment. - Elle est le diable qui, sous la forme du serpent, a tenté Eve; Satan s'est incarné en
in des siècles; ni puissant, puisqu'elle ne peut guérir. A quelle forme d'aliénation mentale doit-on rattacher cette ob
ervation ? Il nous semble qu'on ne peut guère hésiter qu'entre deux formes , le délire chronique et la mélancolie anxieuse,
corps est changé en nerfs, elle n'est plus en chair de monde. Cette forme particulière de délire hypochon- driaque se rap
cela n'est que passa- ger et le délire ne tarde pas à reprendre sa forme caractéris- tique. Les signes physiques sont
ant de sensations fausses ou faussement interprétées. De toutes les formes de vésanie, c'est certainement la mélancolie qu
nance des troubles sensoriels commence donc déjà à distinguer cette forme particulière de la mélancolie anxieuse, distinc
s. Qui nous porte maintenant à considérer cette maladie comme une forme particulière de mélancolie anxieuse ; et quel i
iers. Il nous semble cepen- dant que l'on peut faire de ces cas une forme spéciale dans le grand cadre de la mélancolie.
notre malade. Doit-on faire de cette sorte de maladie une nouvelle forme de folie religieuse se développant dans la méla
e cas que nous venons de rapporter et les autres semblables dans la forme dont ils se rapprochent le plus par l'ensemble
A. M... une mélanco- lique anxieuse. Nous avons affaire alors à une forme particu- lière, grave de mélancolie anxieuse qu
.) Sur la surface de coupe de l'acoustique, entre le coi psrebti- forme et le noyau interne de ce nerf, sur les côtés du
rapport avec les fibres latérales du ruban de Reil. Le corps resti- forme reçoit encore des fibres issues des fibres arcifo
omprend tout à fait en dedans, des fibres issues du faisceau cunéi- forme ; une couche moyenne formée des cordons latéraux
é- bral en rapport immédiat avec le tabès. Des attaques epilepti- formes , justiciables des mêmes appréciations se montrent
vingt-deux jours avant la mort sur tout le côté gauche du corps. La forme des mouvements, leur sélection sur les extrémit
ZE (d Heidel- berg). (Neurol. Centrttl6l., 1882.) Il s'agit d'une forme paraplégique. La substance grise antérieure de
nnés par la mort, des transferts, des renvois : détails suivant les formes d'aliénation mentale, les sexes, les religions,
lambdoïde, l'usure de la table interne de la voûte crânienne sous forme de dentelures et de fossettes rugueuses, la tensi
aliéné paralysé, gâteux-, agile, en proie à des attaques apoptecti- formes ou épilepliformes, sous l'influence manifeste de
. Régis a essayé de noter la durée des accès dans la folie à double forme . M. REY lit une note sur le poids du cervelet,
pour un mémoire intitulé : Du délire hypochondriaque dans quelques formes d'aliénation mentale. Prix Aubanel. - M. Garnie
es, rectales et par la méthode hypodermique dans presque toutes les formes men- tales. La dose active moyenne, celle que d
ement des maladies mentales et nerveuses, M. Billod reproduit, sous forme d'instruction, le rapport qu'il a rédigé à ce s
arpentier. IV. Etude sur la méningite tuberculeuse de l'adulte. Les formes anormales en particulier; par H. Chantemesse, i
ntes : elles démontrent, en effet, BIBLIOGRAPHIE. z5 que dans ces formes anomales de la méningite tuberculeuse (formes c
IE. z5 que dans ces formes anomales de la méningite tuberculeuse ( formes convulsives, paralytiques, délirantes, etc.), tou
nalement état vacuolaire et destruc- tion de ces cellules. Ainsi se forme , d'après M. Chantemesse, un ramollissement infl
, les lé- sions corticales, M. Chantemesse aborde le diagnostic des formes anomales qu'il a si bien étudiées. Reprenant so
ien étudiées. Reprenant sous forme de con- clusions, l'étude de ces formes , il les ramène à quatre types dif- férents : l-
de de ces formes, il les ramène à quatre types dif- férents : l- la forme latente qui s'observerait chez les cachectiques
pidement, après les convulsions ou le délire, au coma mortel; 2" la forme délirante qui présente deux variétés : le type ai
ième jours, le type chronique durant une ou plusieurs années; 3° la forme spinale qui simule parfoisl'évolu- tion d'une m
ù des accidents cépha- liques viennent assurer le diagnostic; 4» la forme hémiplégique avec ou sans aphasie, suivant le s
RCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (étude d'une nouvelle var
leptique. Mais il s'agit alors simplement d'un état de mal épilepti forme , comme l'appelle M. Charcot, qui, il y a longte
s, le tableau clinique était celui de l'épilep- sie jacksonnienne à forme hémiplégique; dans le second celui de l'épileps
forme hémiplégique; dans le second celui de l'épilepsie partielle à forme circons- crite ou monopiégique. De plus, chez l
es étaient, quant. la physiono- mie des convulsions, des.attaques à forme d'épilepsie partielle sans immixtion d'aucun ph
anomale et jusque-là inconnue d'attaques d'hystérie, d'attaques à forme d'épilepsie partielle ; ou bien d'une épilepsie
STER1E. lit « Chez Co..., dont les crises ont un cachet épilepti- forme si prédominant et si fortement accentué, dit no
par notre maître est de tous points applicable aux convulsions à forme d'épilepsie partielle,* comme elle l'est aux co
à forme d'épilepsie partielle,* comme elle l'est aux convulsions à forme de grand accès comitial,' si bien qu'on peut po
ents convulsifs partiels, lorsque ces accidents se manifestent sous forme d'attaques successives et souvent répétées, si
e sa vie, elle a été affectée d'un grand nombre d'accès épilepti- formes . Ces accès, comme les précédents, se sont groupés
d'invostiga- 1 Gazelle médicale de Paris, 1879. * Des différentes formes de l'aphasie. (Progrès médical, juin L-S3.j '1
uns s'attachant uniquement aux symptômes qu'ils décrivaient comme formes déterminées, ont continué à multiplier les dé-
s les recherches de M. Magnan, il a été nettement dégagé des autres formes delà vésanie, et, en simplifiant le problème cl
. Pendant la vie foetale, en ,,effet, il est une, période, pu, elle forme une véritable fosse. Et. .du reste, mêmesurun c
La scissure orbitaire ou sulcus o,bitalis (Ecker) ; sillon cruci- forme (solco crociforme) de Rolando; sillon irradiale,
le; TOi, première circonvolution temhoro-occyitalè, ou lobule fiisi forme ;' TO-2,' deuxième ' cinconvolntion ;. temporo-o
nche de bifurcation antérieure de la scis- sure de Sylvius, où elle forme l'opercule (couvercle) du lobule de l'insula, e
s ou poster o-centralis, 2,etî,oce)zt ? ,alis. Cette circonvolution forme la lèvre postérieure du sillon de Rolando. Elle
us le titre de gyrus angulaire (expression d'Huxley), à raison dosa forme . Dans la classification d'Ecker, par conséquent
dans le lobule lingual. Delà un ou deux gyri descendentes ayant la forme générale d'un bourrelet mar- ginal dirigé en av
ution n'est pas admise par M. Pozzi. Pourlui, la deuxième temporale forme ordinairement une sorte de lo- bule entre le pl
se/'e)' Rintei,hatiptsîvi ? zdu ? zgszug (Bischoff) ; Lobule fu- si forme (Huschke). c. La seconde scissure temporo-occip
windungsgruppe (Bischoff) ; Circon- volution à crochet ou pli icnci forme (de Vicq d'Azyr) ; Lobule lingual (Huschke).
des à une classe sociale particulière, la classe agricole, et à une forme spéciale de la prospérité. l'aisance pécu- niai
prisés,' accidents pulmonaires à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 205 forme congestive, avec température élevée; mauvais état
eur ajoute un'peu plus' loin que pour réaliser une' pareille ré- (,, forme , il ne faudi'ait'Iienmoins'assurément qüé la reco
quer les faits ;'on' voit' apparaître' l'élément amnésique, ! ) une forme de^défectuôsité de la mémôirepâr incoordination,'
ue, ! ) une forme de^défectuôsité de la mémôirepâr incoordination,' forme * dans' laquelle là malade' oublié 'les motsprop
lexus choroïdes on trouve une jiétité`tuniéirî· du volume. et de la forme d'un, haricot. Dépôts pigmentaires en divers po
ordinaires.propres à divers troubles mentaux, la'présence de deux formes de délire qui ne se rencontrent jamais simultaném
aux conclusions suivantes : 1° L'alcoolisme chronique n'est pas une forme morbide ; ce n'est pas non plus un genre nosolo
, termédiaire de l'ajcpolismeychrgniquçj^d^ou, cliniquepient, une forme , non,, spécifique, niais.^lypique, e ? eyl,ççrlai
ych'opathiquès, qu'or ? emprunte'ra'des documents relatiss1 à'' ces formes 'de' transition^'difficiles'qui11 ne nous fourn
t.tr ? o ? · nh 111. Enn (d*Heidelber-). Renza2,qzies sur certaines formes d'atrophie 9 névropathique , (connue, sous, ]e4
nerveux central comporte une période fondamentale dans laquelle se forme une riche substance intercellulaire. Ranvier fait
aztèques, crânes et palais étroits, asymétries) correspondent à des formes morbides dégénératives fixes. . y, , , u at^iis
c anxiété farouche. Dans la stupeur,, ii fautqu'on ait affaire. aux formes les, plus,, prononcées (catalepsie, Ictanisatio
nts correspon- dants ne viennent se peindre sur les traits que sous forme d'indices fugaces. Pareille ondulation relève d
e la volonté); on en rencontre de véritablement convulsifs dans les formes dégénératives de troubles psychiques. C'est à des
uente, à raison dunc guérison,incomplète. On,constate, en, tant que formes , avant tout, la dystitymio et. la vésanie (mélan-
er de, nouvelles idées par la nou- velle existence à laquelle on le forme graduellement. De là la né- cessité de professe
psychologie ; l'enseignement des devoirs et de la nature de l'homme forme le caractère et apprend à se dominer. La divisi
vit pour la première fois. Zeller fut l'auteur qui distingua une forme primitive et une forme secondaire de la maladie (
fois. Zeller fut l'auteur qui distingua une forme primitive et une forme secondaire de la maladie (issue par exemple de
la mélancolie), Criesinger qui, au débul, ne reconnais- sait que la forme secondaire, finit, à la suite des travaux de Swll
primitive. Puis vint Sanderqui décri- vit un genre spécial de cette forme primilhe, sous le nom de, folie systématique «o
ussée ; elles ont trait aux agités et aux tapageurs : cet édi- fice forme un autre angle droit, par rapport aux ailes latér
e un peu plus de 23 hectares 82. La plus grande part du sol cultivé forme des jardins. Le nombre des journées de travail
il en était ainsi en 1880. BIBLIOGRAPHIE V. De la folie ci double forme , circulaire, alterne ; par le Dr 1\fonnnT, méde
de vue plus particuliers de l'auteur sont les suivants : dans cette forme de folie, le désordre des actes et des sentimen
mélancolie sans leur relief. ([''adret) ». L'auteur n'admet pas une forme paralytique de cette maladie, mais reconnaît qu
fisent pour expli- quer le passage d'une phase à l'autre dans cette forme morbide, et préfère expliquer ses deux phases p
lles entre chaque oscillation sont égaux ; chaque oscillation a une forme régulière et se compose d'une ligne ascendante
aménorrhée fréquente, albuminurie, fièvre mor- phinique sous trois formes : intermittente, typhoïde, hectique. Amorphinis
et l'autre migraines, l'apparition d'attaques de l'une ou l'autre forme chez le même individu; la transformation de l'une
forme chez le même individu; la transformation de l'une et l'autre formes par transmission héréditaire. '" On doit regard
anopsies transitoires non suivies de céphalalgie.I[ y a beaucoup de formes de migraine, et toutes peuvent exister sans cép
ion hypnotique et sédative de la plaraldélayde dans les différentes formes d'aliénation mentales; par iVnc.». (Thèse de Pari
as été si- gnalée dans cette affection. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (ÉTUDE D'UNE NOUVELLE VAR
alité d'une variété particulière d'attaques d'hystérie, l'attaque à forme d'épilepsie partielle, constituée uniquement da
de comme la première malade était atteinte d'attaques hystériques à forme d'épilepsie partielle. Dans les deux observat
est des cas dans lesquels la fausse épilepsie par- tielle revêt la forme monoplégique ou circonscrite, les convulsions s
e .perd nullement connaissance dans sa crise. C'est bien, dans la forme , de l'épilepsie partielle. Mais il n'y a là qu'
de l'hystérie, la place qu'y occupent d'habitude, les convulsions à forme de grand mal, et si elles étaient d'ordinaire s
l'hémispasme avec rotation de la tête et des yeux du côté convulsé ( forme hémiplégique), soit par des monospasmes (forme
ux du côté convulsé (forme hémiplégique), soit par des monospasmes ( forme monoplégique); 5° Ces convulsions partielles ép
- sidérables, constituant alors un véritable état de mal épilepti forme ; 7° Il est des signes qui permettent de diagnos
. Depuis les remarquables travaux de M. Huglilings Jackson sur la forme d'épilepsie à laquelle il a attaché son nom, un
luleuse ; elle est distendue par le liquide céphalo-rachidien, sous forme de pseudo-kyste. Les artères de la base paraiss
cien où la pie-mère se présente sous ÉPILEPSIE JACKSONNIEKNE. H07 forme d'une lamelle qui entraine un peu de substance ne
vec des ilôts rosés. (PL. VI). Il semblerait que la substance grise forme une sorte de voile mobile sur la crête de la su
ses. La première envoie de sa partie moyenne un pli assez large, de forme conique vers le fond de la scissure de Sylvius.
début de la lésion initiale qu'apparaît l'épilepsie d'abord sous la forme de vertiges (quatorze ans), puis sous forme d'a
ilepsie d'abord sous la forme de vertiges (quatorze ans), puis sous forme d'accès (dix-sept ans;. Pendant l'accès, les ye
e de ce même côté, les secousses tétani- 310 () RECUEIL DE FAITS. formes étaient égales des deux côtés; mais, pendant la p
utde la portion transverse de la scissure de Sylvius, à cause de la forme qu'elle affecte. Schwalbe décrit séparément et
) part de la scissure perpendicu- laire interne, avec laquelle elle forme , à quelques millimètres du bourrelet du corps c
sthme delà circonvolution du corps calleux, (antecalcarinien), elle forme le gyrus hippocampi et le gyrus unciforme. Il
longements qu'elles projettent en divers sens. On en distingue deux formes principales ; les unes ne possèdent presque pas d
les secondes. -Au point de vue de la texture générale, la névroglie forme la substance de soutien et d'enveloppe des élém
tituer de vraies mem- branes. Dans la substance grise, la névroglie forme des ré- seaux cellulaires dont les intervalles
ch., XIV, 2.) Sous ce titre, l'auteur rapporte deux observations de formes associées de sclérose multiloculaire et de para
lules nerveuses, sans qu'il soit permis de préciser davantage. Deux formes seraient admissibles : 1'unelonte, traînante, e
es âgés de trente-deux à cinquante-huit tans, ayant étéatteinte des formes galopante, circulaire, hypochondriaque, démente d
'homme vivant des bains galvaniques et faradiques. Une électrode de forme appropriée, reliée à l'un des pôles de l'appareil
uche; la troisième porte sur une paralysie faciale rhuma- tismale à forme moyenne. Dans tous ces cas, la convulsion est l
plus reparu depuis neuf mois. P. K. LIV. Remarques sur certaines formes DE l'atrophie névrotique (dite névrite dégénéra
it leur apparition au même moment chez des jumeaux, mais sous une forme différente; l'un en effet devenait fou, taudis qu
r 1883, p. 3.) L'auteur rappelle que l'on décrit ordinairement deux formes d'atrophie cérébrale : l'une dans laquelle on c
erveuses qui succèdent ordinairement à la couche granuleuse sous la forme d'un petit centre blanc distinct à l'inté- rieu
caractère, les allures, l'humeur; de l'excitabilité sous toutes ses formes , de la propension à l'isolement; de la céphalalgi
raison du mode d'exécution de l'acte, des motifs allégués, de la forme et de la teneur des réponses; absence de sens mor
es observa- tions recueillies par lui, l'auteur peut dire que trois formes de troubles de la vue se montrent chez les para
re de prétendre que c'est en faisant ainsi la part exacte de chaque forme nosologique qui se compromet, si l'on peut ains
ou bien ils se présentent dans la substance musculaire même sous la forme de lames larges ou de stalactites pointues, lib
out à fait improbable que l'énorme masse de substance cérébrale qui forme le lobe frontal de l'homme soit totalement prépos
à l'obligeance du 1), Dymock, de Bombay. Elle se présente sous la forme d'une masse compacte, brun-noir, assez molle, exh
philis, sans qu'il existe d'étiologie nette, il s'installe, sous la forme subaiguë ou chronique, un affaiblissement de la m
ercussion. Il existe fréquemment des convulsions fibrillaires, sous forme ondulatoire, dont la genèse, aujourd'hui spontané
ique décèle un épuise- ment de l'excitabilité, qui souvent revêt la forme de la réaction la- cunaire de l3enediht; 3° d'u
générale, l'excitabilité électrique est diminuée. Un cas offrait la forme moyenne de réac- tion dégénérative de Erb, A SZ
ppèrent au traitement. Malgré les analo- gies irréfutables de cette forme morbide avec la paralysie spinale subaiguë de D
ention, on voit que la pluralité des cellules, qu'il s'agisse de la forme svelte des cellules olfactives de M. Schultze o
occasion d'une cause patente de refroidissement, alleclanl, sous la forme intermittente, les extrémités inférieures, soci
itation spinale (névrite optique ? ); celle-ci, en s'aggravant sous forme d'accès, engendrerait etlesconvul- sions tétani
oduit et 2,700 grammes du second. C'est à Dalldorf, dans toutes les formes possibles de psychopathies, qu'on a expé- rimen
obnubilés, ainsi que sur les paralysés généraux agités. Les au très formes de perturbation mentale, l'insomnie nerveuse, etc
ticale et médullaire de l'organe ; à la convexité de ce dernier, il forme une proéminence arrondie. L'examen micros- copi
on a considéré que l'anesthésie optique qui affecte au périmètre la forme de rétrécissement concentrique du champ vi- sue
veau, sont particulièrement atteints. En second' lieu, les diverses formes sous lesquelles ellese manifeste traduisent des
dire à tel ou tel âge de la maladie des tractus nerveux, sous la forme aujourd'hui de mélancolie, plus tard de manie, et
exaltation de la conscience du moi, s'il existe en même temps une forme gaie et une forme triste delà manie, c'estqueles
conscience du moi, s'il existe en même temps une forme gaie et une forme triste delà manie, c'estqueles expressions de m
rgane psychique légère- ment fatigué ; puis, un stade de manie, qui forme la première pé- riode de l'épuisement mortel de
complète; le défaut i-adicalde l'un des stades permet d'établir les formes incomplètes, abortives. La uésunie cu- tatoniqu
déchéance du malade, s'appelle vésanie paralytique progressive; ses formes et leurs variétés sont les mêmes que dans la vé
distinguer dans la vésanie typique complète les folies ci double forme , circulaire, etc. ; dans la vésanie typique incom
ychose présente, comme toute névrose, une marche chronique, que les formes transitoires ne sont que les plus fortes explosio
tomie; rapports de l'infirmier avec l'a- liéné dans les différentes formes mentales; petite pharmacie. Ces cours se feront
ulée, par Robertson, 217. Folie systématique, 252. Folie a double forme , par Mordret (An. Charpentier), 206. Force de
(état mental dans l'), 356). Hystei·ie, 121 ; - (attaqucs d'- à forme d'épilepsie partielle (étude d'une nouvelle var
50 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ond de l'oeil chez les paralytiques généraux, lésions revê- tant la forme d'une névrite optique interstitielle qui en évo-
ever d'un de ces deux fac- teurs. Pour qui sait la multiplicité des formes que revêtent les altérations syphilitiques de l
euronophages d. les libres nerveuses, également altérées, nioliiii- formes en o ont disparu en certains points a. LE FOND
aux, bien colorés par l'alun à l'bématoxyline, sont de volume et de forme variable ; le plus souvent ovalaires, ils sont
sme est généralement abondant et les contours cel- lulaires sont de forme irrégulière. Ces cellules sont pourvues de prol
ombre des éléments névrogliques interfasciculaires qui sont de même forme , de même nombre et affectent les mêmes rapports
nous trouvons d'innombrables cellules de névroglie de volume et de forme variables, à noyau volumineux, le plus souvent
n transversale du nerf optique le tissu de sclérose apparaît sous forme d'îlots périvasculaires non reliés entre eux dans
nfin, chez les paralytiques généraux en rémission ou atteints d'une forme lente à longue évolution, il a été impossible d
s possible de saisir sur le fait et d'analyser les phases. III. Les formes psychopatiques auxquelles peut aboutir l'obsess
r à la production d'un accès aigu de mélancolie, le plus souvent de forme anxieuse. Ces accès de mélancolie, une fois con
de tous rapports sexuels, les obsessions persistèrent, revêtant la forme d'une sorte de maladie du doute avec délire du
to- matisme des idées aboutissant parfois à un véritable délire à forme de rêve. Il n'y a là, en fait, que l'exagération
oses viennent à s'accentuer et l'on assiste à un véritable délire à forme de rêve, qui peut durer plusieurs jours et même
ne pouvait le con- vaincre de son erreur. Ce délire particulier, à forme de rêve, dura chez lui presque un mois à chaque
ine d'années, ces obsessions, qui se présentaient jusque-là sous la forme classique, se sont quelque peu modifiées. Souve
de dix-sept ans, d'ob- sessions anxieuses diverses, surtout sous la forme de maladie du ÉVOLUTION DES OBSESSIONS ET LEUR
ouvent même, ces caractères s'accentuent et les délires revêtent la forme que nous avons 42 CLINIQUE MENTALE. - décrite
résente, depuis l'âge de dix-huit ans, des obsessions de doute sous forme d'interrogations; recherches métaphysiques. Plu
rrogations; recherches métaphysiques. Plus tard, idées obsédantes à forme de contraste; manie blas- phématrice, impulsion
rmations que nous venons de décrire. D'après Pitres et Régis, les formes qui aboutissent au délire systématisé sont les
tir à des accidents vésaniques carac- térisés, quelle qu'en soit la forme , sont surtout les obsessions dites intellectuel
es- sions,une variété à part, intermédiaire aux obsessions et aux formes vésaniques caractérisées, les délires systématisé
7mizlaii-e. S'il est très difficile d'établir des rapports entre la forme 44 Il CLINIQUE MENTALE. de l'obsession et son
léments de pronostic me paraissent devoir être tirés, non pas de la forme de l'obsession, mais du complexus symp- tomatiq
s si différents les uns des autres, fussent-ils atteints de la même forme d'obsessions. Que ces modifications se résument
ente qu'on ne le croit, de phénomènes spéciaux d'automatisme sous forme de tendances impulsives avec illusions ou halluci
ces délires de rêve que nous avons signalés, ou bien à des états à forme de mélancolie anxieuse. Mais le bouleversement
délires systématisés. Ces considérations nous expliquent encore la forme que revêtent quelquefois ces délires, les idées
e, si elle n'est pas retardée, ou brusque, ou irrégulière dans sa forme . Après ces diverses recherches, on ne- connaît
re de chaque muscle envisagé isolément se montre anormale dans sa forme . Nous n'insisterons pas ici sur les caractères de
Les expérimentateurs que nous venons de nommer ont repris sous une forme nouvelle des essais que des physiologistes avaien
rs emprisonner et martyriser le pied de la Chinoise pour obtenir la forme traditionnelle voulue par l'esthétique des Célest
à la lumière, la plupart du temps bilatérale, qui peut affecter la forme d'une immobilité presque complète. Ce sont géné
hyroïdes se dérelop- pent tout d'abord des troubles psychiques sous forme d'excitation maniaque avec idées de persécution
leux doit-être prévenu de son état ; mais je pense qu'il y faut des formes et des ménagements ; le médecin de famille peut
hologie que la détermination des causes qui produisent les diverses formes de caractère, nous devons y voir en même temps
r les philosophes contemporains. M. Paulhan s'est plus occupé de la forme que du fond. Il ne voit que les tendances et le
n. Paulhan, estimant qu'un caractère est déterminé d'un côté par la forme par- ticulière que revêt l'activité de l'esprit
e Ménière hystérique extrêmement rare et pouvant revêtir parfois la forme apoplectique; otalgie; algie mastoïdienne (pseu
l'idée maladive, jusqu'à la manifestation délirante sous toutes ses formes . Cet état, créé par suggestion, a été dénommé d
e il fait rentrer les observations de Lasègue et Falret. Dans cette forme , comme Lasègue et Falret l'ont dit eux-mêmes, i
Ballarger, avait été repris par Lasègue et Falret pour décrire une forme de folie à deux que M. Marandon appelle folie i
ent de nombreux travaux sur la contagion mentale morbide et sur les formes de folie qu'elle engendre. 1 . M. Pronier1, d
imposée à la folie communiquée. Il considère la première comme une forme de transition avec la normale. M. Kinkel ne c
vraisemblance du délire. Comme ce dernier, il reconnaît les trois formes cliniques décrites ; mais pour lui la folie imp
e Belgique, 1893, p. il6). 3 Arnaud. La folie la deux, ses diverses formes cliniques (Annales méd.-psycliol., mai-juin 189
de persé- cution seul serait contagieux et montre que toutes les formes délirantes peuvent se communiquer, depuis les for
que toutes les formes délirantes peuvent se communiquer, depuis les formes maniaques pures jusqu'aux délires systématisés.
les étrangers, en Allemagne et en Amérique, ont cherché à créer une forme nouvelle de folie par contagion, la folie indui
ransmission d'idées délirantes d'un aliéné à un autre aliéné. Cette forme , comme l'a dit M. Ma- randon en '1894, n'est qu
ont paru sur la folie à deux. En général, les auteurs admettent les formes cli- niques classées par Marandon : les uns app
GION. 133 La contagion morbide est la raison d'être de toutes les formes de folie par imposition, par communication, par
lée récemment par MM. Sérieux et Capgras'. 1 En somme, toutes les formes délirantes peuvent être con- tagieuses, deux l'
ieuses, deux l'ont été'plus particulièrement jusqu'ici, ce sont les formes anxieuses de la mélancolie et les idées de pers
élirantes. Comme MM. Marandon et Arnaud, nous reconnaîtrons trois formes cliniques : lafolie imposée, type Lasègue-Falret;
. -psychol., mai-juin 1902. '140 CLINIQUE MENTALE. Dans ces trois formes , les éléments pathogéniques sont identiques; ce
ifférents auteurs sont très variables sur la compréhension de cette forme de folie par contagion. Elle a été d'abord la f
ension de cette forme de folie par contagion. Elle a été d'abord la forme décrite par Lasègue Falret, sous le nom de foli
uence du sujet actif. Enfin, M. Nina Rodriguès pense que dans cette forme , on peut avoir de véritables délires transitoir
a nécessité absolue de le séparer de son codélirant. La deuxième forme est la folie simultanée, bien indivi- dualisée
l nous suffise de dire qu'elle est l'éclosion simultanée d'une même forme délirante et par influence réciproque chez deux
action inter-mentale et par imitation inconscienle. La troisième forme est la folie communiquée dont M. Ma- randon a b
d'avoir couché avec sa fille après l'avoir endormie avec du chloro- forme , etc... L'influence de l'agent actif se faisant
uteurs étrangers, qui n'est qu'un cas particulier de cette dernière forme . C'est l'influence suggestive morbide d'un alié
es codélirants, indication qui a sa raison d'être dans toutes les formes que l'on a décrites. Nous avons vu, en effet, q
les; 2° il y a nécessité de séparer les codélirants dans toutes les formes de folie par contagion ; 3° il y a nécessité de
ns considèrent ces phénomènes morbides comme des troubles liés aune forme spéciale de neurasthénie (Kraepelin) (Régis) ;
ient plus accentué, mais sans cesser de se maintenir cependant sous forme d'impulsion (tendance) sans jamais amener fatal
présente les caractères décrits plus haut par Meige. Vit. Sur une forme d'hypertrophie des membres; par E. Rapin. (oMt)
à une heure. On constate 30°, 3° et même 31°. C'est en réalité une forme d'attaque, qui quelquefois revient trois- quatr
et apparition tantôt le matin, tantôt l'après-midi, soit sous la forme d'intermittences régulières et retour au même mom
vertiges, asthénie neuro-musculaire etc... On peut rencontrer des formes sévères où la nutrition est gravement atteinte.
ytes dans toutes les encéplalo- pathies syphiliques. Or, toutes les formes de syphilis cérébrales ne se terminent pas par
lysie générale, comme il en est du tabès, dont nous connaissons des formes frustres. M. Legrain croit que plusieurs into
GIE Séance du 15 janvier 1903. Présidence de M. P. RICHER Sur une forme clinique et <tM<omo-pa<AoogMe de inditi7
du tronc et des membres. Ces mouvements sont tantôt convulsifs, de forme tonique ou de forme clonique, tantôt, ce sont d
es. Ces mouvements sont tantôt convulsifs, de forme tonique ou de forme clonique, tantôt, ce sont des gestes ou des attit
On peut se demander s'il ne s'agit pas là d'un trouble convulsif de forme tonique, intermittent, localisé sur les muscles d
la coexistence ou l'alternance avec les phé- nomènes convulsifs de forme clonique présentés par les tiqueurs. Il s'agit
ly, etc.), qui ont toujours soutenu l'origine centrale de certaines formes Se paralysie saturnine, notamment pour la forme
ale de certaines formes Se paralysie saturnine, notamment pour la forme généralisée et purement amyotrophique. Elle démon
délirer (11a·aadoa) » et c'est encore là une raison de séparer ces formes de la forme ' M. Lucien Picqué. Soc. de chirurg
·aadoa) » et c'est encore là une raison de séparer ces formes de la forme ' M. Lucien Picqué. Soc. de chirurgie, 1897,
à chaque cerveau et produire, comme nous le verrons plus loin, une forme de délire différente selon les cas. L'importa
sychoses post-opé- ratoires il convient tout d'abord d'éliminer les formes qui ressortissent à des lésions anatomiques bie
e jusqu'alors latente ? A quelle cause attribuer la variabilité des formes déli- rantesque l'on peut observer à la suite d
rantesque l'on peut observer à la suite des opérations ? C'est la forme variable de la mentalité ou de la prédisposition
forme variable de la mentalité ou de la prédisposition qui crée la forme de la psychose, tout comme la variété de l'agent
manie, l'acte opératoire pourra développer une psychose revêtant la forme de la manie hystérique. Chez telle autre, la ps
ion pourra avoir sur l'opéré une influence déterminante, quant à la forme de la psychose. Les opérations pénibles, la per
uissance génésique de l'homme, engendrent plus particulièrement les formes mélancoliques. Et si ces formes sont fréquentes
ngendrent plus particulièrement les formes mélancoliques. Et si ces formes sont fréquentes à la suite des opérations, ce n
des opérations, ce n'est pas tant parce qu'elles constituent les formes les plus ordinaires de l'aliénation, que parce qu
atoires, tenir compte de l'âge, des antécé- dents héréditaires, des formes de troubles mentaux présen- tés par la malade,
variétés intermédiaires et l'on doit se demander si dans ce cas la forme même du délire ne pourrait pas fournir une indi
e bref sur le traitement des psychoses post-opératoires. Dans les formes septicémiques, l'indication est très nette. Rec
des antécédents héréditaires, du degré de la prédisposition, de la forme des troubles mentaux; présentés antérieurement
qu'il importe au chirurgien de bien connaître. Le diagnostic des formes est important à établir, puisqu'il conduit à de
du pro- nostic et du traitement. Presque toujours bénin dans les formes infectieuses locales, justiciables d'une interven
voir thèse MaUet). - Pour l'aliéniste, la connaissance exacte des formes de la psychose le conduira à solliciter l'inter
FACIALE On reconnaît généralement à la névralgie faciale une « forme bénigne » et « une forme grave », cette dernière
généralement à la névralgie faciale une « forme bénigne » et « une forme grave », cette dernière se rapportant plus spéc
ie épileptiforme ». Toutefois il est permis de se demander si cette forme grave représente bien une forme de la « névralg
est permis de se demander si cette forme grave représente bien une forme de la « névralgie faciale ». Car, si la « névra
ces dernières, tantôt légère, tantôt sérieuse, tenace et rebelle (à forme grave par conséquent), la névralgie faciale épi
erritoires nerveux. D'ailleurs, rien n'est semblable entre les deux formes de névralgie faciale : d'une part, en effet, do
s permettre une comparaison, nous dirons qu'il y a entre ces « deux formes » une différence aussi tran- chée qu'entre la n
n'ont pas assez insisté, c'est que la douleur, quelle que soit sa forme , suit toujours le trajet d'une branche nerveuse,
fférencier une variété spéciale de la grande névralgie faciale « la forme convulsive ». Mais il est certain qu'on a abusé
« la forme convulsive ». Mais il est certain qu'on a abusé de cette forme , car les auteurs ont ici bien souvent considéré
mais bien la réalité, car l'épiphora se rencontre surtout dans les formes convulsives. Fort peu connue est l'augmentation
emple, l'administration de sulfate de qui- nine s'imposera dans les formes de « paludisme larvé », le traitement iodo-hydr
tiologie aura nettement montré qu'on se trouve en présence de cette forme particulière que l'on appelle la névralgie des
istré suivant la méthode de Trousseau et l'aconitine donnée sous la forme de pilules de Moussette sont encore les médicam
e, stypage), mais ils n'ont été vraiment démonstratifs que dans les formes peu intenses, passagères ou hyperesthésiques du
recours à l'électricité et celle-ci a été employée sous toutes ses formes avec des résultats variables et différemment ap
'après la plupart des auteurs, un excellent révulsif dans certaines formes extrêmement légères mais manque absolument d'ef
es extrêmement légères mais manque absolument d'efficacité dans les formes graves, et cela même dans les névralgies à type
après plusieurs alternatives de dessication et de madé- faction, il forme une masse compacte qui se prête mal à la confor
e détente qui se trouve surtout marquée dans les cas de névralgie à forme grave. Un des effets particuliers de la séance
ter de 3 séances par semaine. Ce chiffre est celui qui convient aux formes peu ou moyennement douloureuses de la névralgie
s avons cherché à préciser la ligne de démarcation entre les deux « formes » de névralgie faciale. On y trouvera que la né
sciatique qui se montre sous les aspects les plus variés, depuis la forme la plus légère, jus- qu'aux formes les plus ext
spects les plus variés, depuis la forme la plus légère, jus- qu'aux formes les plus extraordinairement rebelles. Or, pour
au trajet des fibres radiculaires postérieures, qui n'altère pas la forme de la moelle. Racines postérieures, région extern
es, la tuméfaction de la névroglie qui est énorme, ex : cer- taines formes de sclérose poly-insulaire ou diffuse, avec ou sa
soit rarement aussi nette que normalement. Et effectivement ici la forme du souvenir des incendies prouve un trouble de la
éveloppement du goût : meilleure est la race, plus régulière est la forme des circonvolutions, plus développé est le sens d
de valeur diagnostique comme pathognomonique pour l'une ou l'autre forme de maladies mentales; on l'observe aussi bien d
e des téguments du crâne, se détruit en cette cavité prend alors la forme d'un entonnoir à base externe ; le sommet commu
rectales et à des crises de diarrhée. A. Fenayrou. XXIX. Sur une forme récurrente de la polynévrite interstitielle hyp
dical News, 28 juin 1902). L'auteur ramène à quatre les principales formes sous lesquelles on voit le plus souvent surveni
laire fait défaut et les réactions électriques sont normales. Cette forme de paralysie bulbaire a été appelée successivem
tensité de ces lésions et aussi de leur cause productrice. Ainsi la forme nerveuse de l'arthropathie est grave surtout pa
douloureuse, déjà décrite par Dercum, peut se pré- senter sous deux formes principales : une forme diffuse se confon- dant
par Dercum, peut se pré- senter sous deux formes principales : une forme diffuse se confon- dant par son aspect avec l'o
forme diffuse se confon- dant par son aspect avec l'obésité et une forme disséminée avec nodules lipomateux multiples. D
premières se rapportent à deux femmes hystériques ayant présenté la forme disséminée avec nodules adi- peux douloureux et
déenne; par BURQUET. {Revue de médecine, août 1901.) LUI. Sur une forme d'hérédo-ataxie cérébelleuse; par Tnounn et Rou
les ont été déjà décrits par MM. Klippel et Durante. M. H. L1V. Une forme spéciale de tabès amyotrophiques ; par Chrétien
qui pourraient être considérés comme une transition entre les deux formes . il. C. L1X. Contribution à l'étude anatomo-pat
rologique, mars 1902). E. 13. LXIX. Sclérose en plaques infantile à forme hémiplégique d'ori- gine hérédo-syphilitique pr
tat normal. En 1901, réapparition des accidents, cette fois sous la forme de paralysie associée des mouvements de latéralit
racines. M. Marie considère que la r.»gion postérieure de la moelle forme nn bloc composé de l'élément nerveux, vasculair
ivantes des psychoses syphilitiques : i. Trouble de cons- cience en forme d'accès de sommeil pathologique, différent du s
gnale ses cas par le nom de démence stupeureuse syphilitique. Cette forme morbide doit être différenciée de l'amentia stu
apparaître comme l'un des chaînons terminaux de la longue série des formes morbides provenant de la syphilis. , . DISCUS
s avoir de relation avec le noyau ; l'aspect du réseau dépend de la forme du corps cellulaire ; ainsi, par exemple, dans
cale et en particulier des opérations gynécologiques dans certaines formes d'aliénation mentale (avec le Dl Picqué), commu
OIRE ET CRITIQUE. 2° Après une autre année de santé passable, il se forme chez elle des abcès du foie, dont elle nous déc
iques, que sa mère a souffert également d'une névral- gie faciale à forme grave. Pas de rhumatisme, pas d'impaludisme. Ma
vers le milieu de ce mois. D'ordinaire elles se présentent sous la forme de crises, de douleurs aiguës en coup de fouet,
ien de particulier dans les antécédents. Traitement. Bien que cette forme de névralgie semble indé- terminée, nous soumet
antôt le type nocturne, tantôt diurne, se présentant tantôt sous la forme d'éclair, tantôt sous la forme de pincements, t
diurne, se présentant tantôt sous la forme d'éclair, tantôt sous la forme de pincements, tantôt sous la forme de douleurs
forme d'éclair, tantôt sous la forme de pincements, tantôt sous la forme de douleurs en zig-zag, mais, caractère particu
ou deux minutes. 35° ? 6HIQtJE nerveuse. de névralgie faciale à forme grave que présente ce malade, il existe de temp
névralgie dans le côté droit de la face, depuis octobre 1901, sous forme d'élance- ments douloureux. Déjà depuis deux an
ATOSE ET PARALYSIE GENERALE. Obi seins. Elles affectent les unes la forme sessile et dure et les autres la forme mollusco
Elles affectent les unes la forme sessile et dure et les autres la forme molluscoïde et molle. Sur les bras elles sont d
; elle ne quitte plus le lit. 5 janvier 1902. Entérite grippale à forme grave, suivie de cachexie, d'escarres au sacrum
accentuées d'amélioration, suivant la gravité et le caractère de sa forme . 4. Ses symp- tômes ne présentent la plupart du
e pour le sexe féminin se transforma en une impulsion anor- male de forme rare. Il remarqua un jour que cela lui faisait
l'hallucination, se manifester dans certaines expériences sous leur forme habituelle. Il est à remarquer que, la plupart
à celui de Weber pour 10 vérifier si, comme le prétend W. James, la forme et la dissemblance des contacts n'a aucune infl
ne indication suffisamment précise pour permettre de reconnaître la forme de la maladie dont cet individu était atteint.
tement spécifique n'a donné aucun résultat. Etude clinique de la forme tabétique des scléroses combinées. MM. P. Marie
quels étaient les signes permettant de faire le diagnostic de cette forme des scléroses com- binées qui est le plus souve
ées qui est le plus souvent une trouvaille d'autopsie, alors que la forme spasmodique de cette même affection correspond à
e combinée, D..., au point de vue de la dégénérescence des diverses formes de la sensibilité, et des modifications que la pr
stème des sensations musculaires profondes des membres supérieurs forme la base de l'orientation dans la vie quotidienne
miné le liquide céphalo-rachidien de vingt tabétiques de date et de formes variables. Ils ont constaté dans tous les cas l
tic de la paralysie infantile bilatérale, ne se rapportant pas à la forme ordinaire, mais à celle qui apparaît comme famili
f des symptômes s'explique par les causes endogènes, comme dans les formes héréditaires : le nystagmus et le trem- blement
s supérieur et inférieur gauches. Les convulsions apparaissaient en forme d'accès qui étaient tantôt très fréquents, tant
e soli- taire, qui doit être exclu comme tout autre tumeur, mais en forme d'une plaque tuberculeuse méningienne (méningit
ée en matière qui d'emblée l'ait apprécier au lecteur les multiples formes que peut revêtir ce qu'on appelle tic, les aute
nt tout la manière non identique chez les aliénistes d'envisager la forme morbide en question. Cette considération a ob
pourceniage avec le degré de la tare héréditaire dans d'au- tres formes de maladies mentales qui ont été examinées par
erre Thomas du Fossé, loc. cit., 492. 432 ' HISTOIRE ET CRITIQUE. forme 1 ». Un de ses amis lui attribue « une prière san
ma- turée, non rupture ou accouchement, oeuf entier, mâle hydati- forme , hvdramnios) ; toutes les anomalies du cordon (in
t délirer comme ceux qui en sont indemnes, ni présenter les mêmes formes morbides. De même, les présentations droites de l
le d'une petite lentille et ne dépasse pas celle d'un haricot, leur forme est à peu près ronde, plus allongée dans le sen
nt de crainte qui m'étreint chaque fois que je regarde cet animal à forme humaine. L'aliéné a conservé la même enveloppe
tion, à une prison, et il ne s'est pas complètement libéré de cette forme matérielle et morale. On a supprimé les cellules,
où le malade est parti- culièrement irritable : mais dans d'autres formes d'aliénation mentale, il existe, sans que peut-
début un peu d'anesthésie qui ne persiste aujourd'hui que sous la forme d'une plaque au membre inférieur droit. Il n'y a
es 'élèves et le corps enseignant. L'école de médecine américaine forme un tout, une sorte d'en- traînement mutuel pour
re, la haine, la méchanceté, la violence. Ces sentiments varient de forme et de degré, suivant qu'il s'agit du conducteur
nce di, courte durée. Les anomalies sexuelles dans l'une ou l'autre forme sont très sou- vent observées dans les idées ob
ifs, c'est-à-dire ceux dans lesquels l'état anxieux se produit sous forme intellectuelle ou d'idée, ce sont les obsessions
, etc. MM. Pitres et Régis donnent huit observations d'obsessions à forme panophobique qui montrent l'anxiété latente, di
identelles. Les phobies cons- lit2ctioznelles se présentent sous la forme de répulsions angois- santes ou de peurs anxieu
t précoce (enfance, puberté); la persistance indéfinie sous la même forme , avec des alternatives de paroxysme et d'accalm
s, soit dissemblables. L'obsession se manifeste habituellement sous forme paroxystique, s'impose iL la conscience révolté
onsidérable (dans les quatre cinquièmes des cas) ; parfois sous une forme similaire. Les obsessions sont des syn- dromes
e d'inhibition souvent victorieuse (obses- sions impulsives). Les formes cliniques des impulsions sont nombreuses : impul-
humanité, 1886. p. 124. - Boissier et Lachaud Perversion sexuelle à forme obsédante. (Arcla. de Neurologie, 1893, t.XXVI
re guéri sous l'influence exclusive de la persuasion . Il est une forme de la persuasion qui joue un grand rôle dans la
eprésentent les diverses phases de la même maladie ou ceux d'autres formes voisines qu'il importe de connaître pour le dia
es sections d'agités, sont dallées. Les baignoires sont en zinc, de forme elliptique. L'eau d'arrosage (jardins) est four
ensi- tivo-motrice généralisée aux quatre membres et à la face, à forme de polynévrite ascendante, avec un minimum d'inte
très accentuée et sont très parésiés ; l'autre d'une polynévrite à forme pseudo-tabétique mais sans troubles des réactio
médullaires. G. Carrier. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 533 LXXV. Formes cliniques du tremblement dans la paralysie agitan
es médicales de Lyon. 15 janvier 1902). M. Collet a recherché les formes anormales du tremblement dans la paralysie agit
son. D'après ses recherches, l'auteur range en quatre groupes les formes anormales de tremblement : 1 ? Les cas où le tr
suite. M. Collet cite à l'appui des observations de ces différentes formes cliniques du tremblement. G. C. LXXVI. Paraly
3° La partie supérieure (antérieure) de la première occipitale, qui forme entre autres aussi le segment supérieur du coin,
lons transitoires et les sillons permanents. La scissure de Sylvius forme une exception. Elle est, en effet, entourée d'u
ielle d'une paralysie complète du sphincter irien. 11 y a donc deux formes de réaction lente de la pupille à l'accommodati
Strasburger, est le prodrome faible de celle de Saenger. Ces deux formes émanent de l'atrophie progressive et de la contra
nes altérations pathologiques dans le tissu même de l'iris et où la forme myotonique du mouvement des pupilles apparaît à
ignées sous le nom commun de réaction tonique, mou- vement tonique, forme tonique du mouvement des pupilles. P. IiERAVAL.
t s'associe aux remarques de M. Christian, il ne s'a- git pas d'une forme psycbo-patbiqne nouvelle. En présentant ces obs
s dendi ites étaient parsemées d'appendices collatéraux de diverses formes et grandeurs; lesprolongementsprotopiasmatiques,a
au-nés, je n'ai trouvé qu'une seule fois le signe de Babinski, sous forme d'extension, plus accusée au gros orteil. Par c
Slll'l'il- natomie pathologique de - par SNViLil,1,i, 88. Sur une forme d' , par Thomar, 281. HÉRI.DO-ST('fIILIS. Voi
e. Un cas d' - épileptique, par Smith, 193. Hypertrophie. Sur une forme Il' - des membres, par Rapin, 179. Hypnotisme
céphalo-rachidien, 1lt.smco-GCI : PH\I.1TF tuberculeuse. Sur une forme clinique et ana- tomo-pathologique de , par An-
. Poliomyélite chronique, par Debrav, 538. Polynévrite. Sur une forme récur- rente de ia.intf'rstitienehyppr- troph
ie l'épaule, par Lannois et Da- viot, 279. en plaques infantile à forme hémiplégique d'origine hérédo-sypliilitique pro
vision binoculaire droite, par Ballet, 287. Elude clinique de la forme tabétique des combinées, par P. Marie et Crou
veau cas de fruste chez un n syphilitique, par Glorieux, 274. Une forme spéciale de amyotro- phique, par Chrétien et Th
51 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
d'opacité. A certains doigts même (Cf. index main gauche, fig.'V),' forme un large anneau autour de cette articula- tion
'articulation semble respectée. Crâne cubique : aurait acquis cette forme après un traumatisme (fracture du crâne) ? Pa
te ne revêt d'ailleurs pas toujours le même aspect, et à côté de la forme classique, d'autres types sont assez individual
tèbres participent au processus et la colonne s'incurve. Dans cette forme classique, la peau et les parties molles sont peu
éveille l'attention, et le médecin pense à l'acromégalie. C'est la forme pseudo- acroinégalique (1). Très souvent enco
gonfle- ment des extrémités des doigts (2). Nous distinguerons deux formes . Dans la première, pseudo-hippocratique, le doi
utorisés (3) ; la radiographie est de toute néccessité. La deuxième forme ne peut plus être confondue à première vue qu'ave
D'ACRODACTYLOPATHIE HYPERTROPHIANTE .9 banale, c'est-à-dire dans la forme pseudo-acromégalique, les auteurs (1) font rare
ccroissent par adjonc- tion de tissu néoformé. Sans méconnaître les formes de transition, il importe donc d'opposer l'hype
champ des hypothèses est t donc assez circonscrit. - Bien que la forme de la tête de notre malade n'ait peut-être aucun
iques d'liyperpituitarisme pour adé- nome du lobe antérieur, et les formes de la dystrophie adiposo-génitale de Fra;lich..
s travaux à démontrer la fixité du diagnostic radiologique dans les formes acromégaliques con- POLYDACTYLIE ET TÉHATOME HY
raphique peuvent être absolument variables et inconstants. Dans les formes dystrophiques de Froelich on peut rencontrer à l'
ve, landis que par oppo- sition elle est toujours positive dans les formes acromégaliques. Ainsi posé le diagnostic de tum
bleu, pouvait distinguer les couleurs, bien qu'il ne pût indiquer la forme des objets, chose qu'on ne rencontre pas dans l
r la peau des paupières, tandis que la fente palpébrale acquiert la forme d'un s italique couché (() et le bord libre de la
rie de cas, où la maladie nerveuse évolue, le plus souvent sous une forme chronique, chez de jeunes gens; dans la plupart
fusiformes, le protoplasma groupé aux pâles, des noyaux, souvent à formes très irrégulières. Quelques lymphocytes, plasma
s, du reste ils sont très pauvres en chromatine. Dans l'écorce leur forme est souvent régulière, parfois ils sont anguleu
es autres noyaux névrogliques on retrouve le type petit, compact, à formes souvent irrégulières et des éléments plus clair
urs contours sont d'une irrégula- rité plus grande : on en trouve à forme pyramidale, à forme multilubulaire, on en trouv
une irrégula- rité plus grande : on en trouve à forme pyramidale, à forme multilubulaire, on en trouve, qui sont fusiform
te ; entre elles une forte pro- lifération de noyaux névrogliques à formes ovoïdes, arrondies ou plus irrégu- Fio. 2. Gran
e ordinaire plusieurs fois. Ce sont encore des vésicules claires, à formes plutôt rondes, ovales ou irrégulières ; il y a
t contradictoires, nous autorisent à rapprocher ce cas de certaines formes de démence vésanique. (1) M. Rainaud, Th. Paris
aris, 1862-1863, n 36. , (2) V. 1 1TT1, Traité de la folie à double forme , Paris 1883. (3) Dîne et TiEi,sT, cités par lTl
e et d'une disposition maladive de l'individu examiné. Ce phénomène forme , comme la différence de tempé- rature cutanée o
symptomatiques, d'abord im- précises, s'affirmèrent ensuite sous la forme d'un syndrome de Brown- Séquard. La durée de la
igert-Pal, le Van Gieson on trouve un gros tubercule soli- taire de forme ovoïde, dont la partie centrale est caséifiée. Pa
clure à la suppression de toute la substance blanche qui a perdu sa forme ou sa coloration normale. Les dégénérescences s
de Neurologie en 1911 (2), M. Babinski a fixé les caractères d'une forme de paraplégie organique qui n'avait pas été suffi
des, limitées à quelques fibres, et même discutables. (1) Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésio
Elle aurait débuté, nous assure le malade à Page de 26 ans, sous la forme d'une tumeur d'aspect verruqueux située au ment
nt les racines gauches, qu'une tumeur du volume d'un petit pois, de forme assez régulièrement sphé- rique et développée s
resque absolument normale. Les cornes antérieures n'ont pas la même forme et le même volume; sur la majorité des coupes,
r,quelles jouent un certain rôle dans la constitution clinique delà forme de paraplégie dont nous nous occupons. - Noto
es menus. 2° M. S-,âgé de 43 ans ; malade mois, manifeste les trois formes de la pel- ladre. Le sang contient beaucoup de
vec un écroulement. 4° N. M., âgé de 53 ails. Malade 3 ans de trois formes pellagriques. On a trouvé dans le sang : des le
es, quelques-uns avec des vacuo- les, des grands lymphocytes et des formes transitives, deux ou trois myélo- blastes. 5°
mononucléaires ? 6° V. L., âgée de 50 ans. Malade uu mois et demi ; forme cutanée, intesti- nale et nerveuse d'une pellag
de Fiirex. 8° ti. V., âgée de 40 ans; malade à peu près 5 mois des formes cutanées- ititestiiiiles de la pellagre. Le san
es promyélocytes. UO M. M., âgée de 27 ans. Malade pendant 4 mois ; forme cutanée-intestinale et nerveuse d'une pellagre.
hocytes exigus. 10, A. Z., figé de 42 ans. Malade 4 mois d'une même forme pellagrique. On a trouvé dans, le sang des myél
et mégaloblastes. , 4(i° Y. M., âgé de 8 ans. Malade de toutes les formes pellagreuses. Le sang contient : beaucoup de mo
resque tous ceux qui ,provoquent une psychose. Il concerne les deux formes des lym- phocytes ; nous y trouvons ici des pet
ta joint les cellules de Fürex, ou les cel - Iules d'irritation aux formes pathologiques. « Anzi da alcune autori queste c
comme dans la cirrhose du foie, l'irritation orliée, dans plusieurs formes d'anémie et ceci prend une forme transitive dan
irritation orliée, dans plusieurs formes d'anémie et ceci prend une forme transitive dans la leucocytose. Lohlein compte, q
ction d'organisme sur une intoxication circulante réaction dans une forme âprement exprimée par une accumulation dans le
e tatouage, et depuis lors, il n'a pas cessé cet exercice (nouvelle forme de ken- tomanie, provoquant, à la longue, des l
ma chronique qu'elle se rapprocherait le plus, tenant à la fois dés formes pityriasique et lieliénoïde : il y a, en effet, é
en se servant de craie sur un tableau noir sans faire attention aux formes qu'il des- sinait, mais en concentrant ses effo
e faite pouréchapper aux exigen- ces du travail. Le suicide est une forme extrême de la fugue. En voici deux exemples ; d
voure l'harmonie de l'ensemble, la pureté des lignes, le charme des formes . Mais s'il cherche à pénétrer plus avant dans l
vant dans l'intimité de cette oeuvre, il s'aperçoit bientôt que les formes de ces trois corps féminins sont dissemblables.
ent d'un sculpteur secondé par une connais- sance approfondie de la forme humaine. L'enseignement de l'anatomie vivante,
les premières tentatives de dissection ; en savourant la beauté des formes , on se préoc- cupait d'en connaître les dessous
es ; elle témoigna aussi d'un goût singulier pour la morbidesse des formes , pour le charme émouvant que la maladie donne s
e demain être plus rétrograde encore et se donner comme idéal cette forme antique dont la beauté harmonieuse traduit le b
lminant de la lèpre nerveuse est t'anesthésie. Aussi décrit- on une forme de lèpre anesthésique. C'estaussi le symptôme qui
prides anlpulleuses ou maculeuses qui contribuent à caractériser la forme nerveuse de la lèpre. Diverses variétés de. par
algiques, comme les douleurs et 1'liypei-alcésie ; mais l'anesthésie forme toujours la base sur laquelle reposent lous les
teignent un haut degré d'intensité et puissent revêtir tou- tes les formes qu'on rencontre dans les autres affections nerveu
f peut se rétablir, mais si elle progresse, le nerf se détruit. Celle forme d'évolution peut se répéter plusieurs fois, mai
épreuse se caractérise de préférence en ce qu'elle envahit sous une forme exlensive et superlicielle des organes distincts
ure, sur le cou et enfin sur la poitrine, le dos et le ventre. La forme en est irrégulière avec limite sinueuse, accompag
me nerveux central. La cause en est que, avant qu'on puisse voir la forme de distribution affecter la projection d'un nerf
plaires courants de ce type. Je crois que cette aneslhésie, dans sa forme faciale supérieure, par sa fréquence et par sa
que, peut être appelée « masque anes- thésique lépreux ». C'est une forme de distribution typique d'anesthésie lépreuse d
lle a dans les autres régions. Il est évident que ce n'est pas la forme névritique. Il est démontré aussi qu'elle n'aff
la forme névritique. Il est démontré aussi qu'elle n'affecte pas la forme de distribution segmentaire qu'elle n'acquiert
ntaire qu'elle n'acquiert pas non plus dans le reste du corps. La forme segmentaire de l'aneslhésie de la peau de tète et
ouvent toujours réunis. Dans ce type d'anesthésie, il y a une autre forme dislincte, topographie- quement, de la précéden
e ou de la lolalilé de la peau des exlrémilés par une anesthésie en forme de gant avec ou sans manches, de plus grande ou d
c ou sans manches, de plus grande ou de moindre élendue, et sous la forme de chaussettes ou de bas. Elle ressemble par co
forme de chaussettes ou de bas. Elle ressemble par conséquent à la forme hystérique, mais elle se distingue de celle derni
la rencontre dans des cas tels que ce- lui de la figure 12, et elle forme une condition symplomatique de la plus grande i
e sur lequel nous avons insisté. Le contraste que, sensoriellement, forme le pied tabétique avec le pied lépreux cause en
parce que la distance est raccourcie et le trajet simplifié. Celte forme motrice est propre aux étals d'anesthésie simple
ormale par de fausses orienta- tions ou des écarts qui n'onl. ni la forme rythmique, ni la forme oscilla- toire ; cela co
rienta- tions ou des écarts qui n'onl. ni la forme rythmique, ni la forme oscilla- toire ; cela constitue le mouvement at
e ou sans aucune autre complication nerveuse. ` Laissant à part les formes aiguës ou actives de labyrinthisme dans les- qu
u labyrinthique a quelque chose de caractéristique notamment par la forme spéciale du sujet dans sa démarche et dans l'at
s malades chez qui l'insuffisance est considérable et chronique. La forme spéciale de la démarche a pour objet d'acquérir
téralement en contact, alors elle marche et elle court dans la même forme et dans la même vitesse que toute autre per- so
nnervation intéressée pour l'acte ne sortent point du muscle. Cette forme de contracture est le bien propre de la lèpre,
orisation de l'hérédité lépreuse débute chez lui et, déplus, que la forme de la maladie sera plutôt nerveuse que tubéreus
à leur donner la valeur de léprides huileuses. Le pemphigus est la forme de dermatose propre de celle variété de lèpre q
lépride, la lépride maculeuse et l'atrophie cutanée accompagnent la forme nerveuse. On voit l'atrophie cutanée dans les f
3 est un type de dépigmentation. Je me contente ici d'énumérer les formes les plus communes de der- matoses que l'on voit
s phlegmons ou par scléroder- mie, les mains peuvent acquérir cette forme de griffe d'oiseau de proie que l'on voit dans
La perte de substance peut se présenter sous plusieurs aspects. En forme de résorption moléculaire dans laquelle l'os se r
dont le pied appartient à un cas de cette maladie. Il y a une autre forme de destruction par résorption dans laquelle les
ère phalange du deuxième doigt de la même figure. Ces différentes formes se mêlent, se combinant généralement entr'elles.
etc., nous trouvons l'atrophie osseuse par résorp- tion, d'une même forme et d'une même évolution. La main de la figure 6
a le volume normal. Celle image, ai-je dit, constitue un type due forme lépreuse. Est-elle un témoignage qui donne une
ture de tel ou tel faisceau du muscle fléchisseur ou extenseur, la forme parcellaire de l'atropine des muscles faciaux.
e peut se présenter sous des aspects cliniques divers. A côlé de la forme classique que je viens d'envisager, il faut place
lé de la forme classique que je viens d'envisager, il faut placer une forme 184 ` SOUQUES plus rare, contestée pendant lo
e forme 184 ` SOUQUES plus rare, contestée pendant longtemps : la forme péronière ou « pero- neal-type » de Tooth, dans
de la famille citée par Hanel. - Je ne mentionnerai à côté de ces formes cliniques, déterminées par le siège initial ou
s par le siège initial ou par l'arrêt de l'évolution, que certaines formes exception- nelles plus récemment étudiées, cara
ière par Lejonne et Rose, le second par Long. Ce ne sont pas là des formes véritables ; ce sont de simples variations fami
le de fibres. Cette dégénérescence capsu- laire se présente sous la forme d'une zone arquée, laquelle semble émaner du ch
très visible au niveau du champ juxta-ruhri- que latéral dont elle forme en réalité le segment inférieur. Immédiatement en
externe de la couronne rayonnante un peu en dehors du cro- chet que forme le corps calleux l'angle supéro-externe du ventri
érescence s'impose. On voit très bien, en effet, qu'elle affecte la forme d'un hémicycle fortement décoloré, le- quel occ
CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 217 coup plus considérable et forme un foyer rectangulaire, lequel détruit large- m
ués. Les doigts, aussi gros à leur extrémité qu'à la racine, ont la forme « en saucisson ». L'alliance du malade qu'il po
. De plus, le liquide céphalo-rachidien s'écoule à la ponction sous forme d'un véritable jet que l'on est oblige de modérer
arpien el cet os correspond, par sa situa- tion, comme aussi par sa forme , à l'os cylindrique de la main gauche. Mais il
ement que celte impulsion dépendait de l'image cénesthésique qui se forme d'habitude par suite de la représentation très
ellulaires, ni amas pigmentaires, autour ,des vaisseaux. L'épendyme forme une couclie cellulaire très régulière. Coupe Il
nt très serrés. A sa base nous remarquons un faisceau volumineux en forme d'écharpe : l'ansa lenticularis. D'autres fibres
ment qui reste. Plusieurs d'entre elles ont pourtant conservé leur forme typique. Les noyaux de Deiters,les noyaux ambig
énérescence pigmentaire plus avancée, elles ont pourtant gardé leur forme caractéristique. D'après la méthode d'Alzheimer
ulaire, la densité du réseau capillaire et la présence des noyaux à formes très allongées ne laissent aucun doute ; nous a
SE, SEGMENTAIRE, DORSO-LOMBAIRE GAUCHE, 1111 : TATRAUtV9ATIQUL. . FORME CLINIQUE CURABLE - Par le Professeur Léon RÉV
transverse, segmentaire, dorso- lombaire gauche mélatrazcnzatique. Forme clinique curable. - Fracture du pied droit, limai
souvent hyalines que se trouvent des dépôts calcaires, tantôt sous forme d'incrusta- tions cylindriques de longues trabé
ucture concentrique. Quant à la dure-mère elle-même, cette memhrane forme une couche solide autour de la tumeur qui en est
dominales et les décrit comme nous l'avons fait; il constate que la forme de l'abdomen n'est pas symétrique, la moitié dr
cubes à 5 0/0 d'extrait de lobe postérieur. On a décrit, à côté des formes pour ainsi dire classiques, des formes frustes
eur. On a décrit, à côté des formes pour ainsi dire classiques, des formes frustes et même des cas dans lesquels la maladi
bles delà pari de l'appareil génital, nous assimilons noire cas aux formes frustes de la dystrophie adiposo- génitale, et
sont légers. Son fils semble atteint de la même affection sous une forme plus fruste. Il présente une tumeur unique, mai
re des métacarpiens n'a subi aucune modification importante dans sa forme ; elle montre que le noclule de la phalange de
gienne (Pl. LVII). A. Les trois sujets suivants appartiennent à une forme un peu dif- férente. Voici tout d'abord un homm
re, sur les os du carpe. Ceux-ci, à vrai dire, sont au complet ; la forme seule, pour d'eux d'entre eux tout au moins, pa
es normaux. Cette disposition est nécessairement en rapport avec la forme de la surface articulaire des métacarpiens. De ce
presque totalité des squelettes, mais aussi par la modification de forme des rudiments métacarpiens, qui se manifeste surt
haut, peut être assimilé au scaphoïde dont il possède assez bien la forme et les rapports avec le radius ; le plus volumine
is ; seule, l'apophyse du bord interne peut être assimilée au pisi- forme . Déplus, le volume relatif de cet os paraît supér
up plus petites, disposées sur une ligne légèrement courbe, ont une forme lenticulaire; chacune d'elles porte un ongle ru
se forment ne sont pas des parties d'os normaux, mais des os d'une forme nouvelle. Nous sommes alors conduits à une interp
. En effet, la radiographie montre, pour les deux phalangettes, une forme nettement anormale. L'une et l'autre sont asymétr
ieurs, a forliori quand elle existe en même temps et sous une autre forme aux membres inférieurs, la théorie mécanique de
nnelle suivant toutes leurs dimensions; chacun d'eux a conservé une forme voisine de la normale, aucun d'eux n'offre de tra
sence con- génitale du péroné. Notre observation est /relative à la forme la moins fréquente, la forme bilatérale, qui co
. Notre observation est /relative à la forme la moins fréquente, la forme bilatérale, qui correspond au tiers environ des c
issible qu'une déformation traumatique devienne héréditaire sous la forme même où elle s'est produite. Un tel phénomène n
analo. gues et rien ne permet de penser à une simple convergence de forme . Suivant toute évidence, il s'agit dans les deu
es atta- ques épileptiques, iaporencéphaiie, la sclérose tubéreuse ( forme d'idiotie), la paralysie cérébrale infantile, l
et de l'hypophyse, la dystrophie adiposo-génilale, les différentes formes de syphilis du système nerveux central (syphilis
sent n'ont abouti à aucune conclusion. PAT11OGT : NIE DE QUELQUES FORMES D'ÉPILEPSIE 369 Il semble, à priori, vraisembla
céphalite ne causent aucune altération de la papille. De toutes ces formes de ménin- gite, c'est la forme séreuse qui semb
ration de la papille. De toutes ces formes de ménin- gite, c'est la forme séreuse qui semble surtout donner lieu à des papi
un épanchement sanguin subdural et de la méningite sous toutes ses - formes , tandis qu'on ne trouva macroscopiquement au- c
nt souvent sous la PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES D'ÉPILEPSIE r313 forme du phénomène de Babinski, spasmes unilatéraux ave
psie, à l'épilepsie corticale, suite de la méningo-encéphalite. Ces formes d'épilepsie cérébrale se rattachent donc tout à f
infantile est dans le fait que, dans un cas, il s'agit de lésions de forme strictement en foyers, dans d'autres cas, au co
attaques épilep- tiques. Il n'y a aucune raison pour séparer celle forme des autres formes cérébrales et pour lui donner
tiques. Il n'y a aucune raison pour séparer celle forme des autres formes cérébrales et pour lui donner un autre nom (épi
travail presque interminable de séparer l'une de l'autre toutes les formes presque innombrables d'épilepsie cérébrale et de
quette propre. Cependant il est encore moins permis de porter celle forme hydrocé- phalique au comple de l'épilepsie esse
processus cérébral primitif et on doit donc également ranger cette forme dans l'épi- lepsie cérébrale. Il en est de même
e mentionner doivent donc, sans restriction, être comptés parmi les formes cérébrales sous réserve de la possibilité que l
ques, l'affection primitive et les attaques appartiennent donc à la forme cérébrale de l'épilepsie. Naturellement on doit a
ns tous ces cas il serait important pour le malade de savoir quelle forme d'épilepsie est en jeu, il est vraiment nécessa
essentielle », la plus grande partie appartient à toutes sortes de formes d'épilepsie cérébrale et seulement la minorité à
epsie essentielle et qu'il faudrait finalement rapporter toutes les formes à des affections cérébrales (Redlich, Heilbronn
vement attribuer que la plus petite partie (environ 10 0 0) à cette forme de la maladie ; aussi plusieurs auteurs (P. Mar
otéolytillues) dans le sérum sanguin ; cette pathogénie de quelques formes d'épilepsie 383 augmentation se montrerait le p
nt la thyroïde contient beaucoup d'iode. De PATIIOGÉNIE DE quelques formes d'épilepsie 385 plus, l'iodothyrine, aussi bien
e la troisième et de la quatrième branchie, tandis que le thymus se forme ventralement à la troisième branchie ; la gland
e, il existe néanmoins entre les deux systèmes une corrélation sous forme .d'une action complètement suppléante. En faveu
amais montré le moindre symptôme de démence; ils appartenaient à la forme essentielle et ont été aussi, grâce au traiteme
caractère, l'irritabilité et, finalement, la démence. Dans les deux formes le cortex cérébral est intoxiqué : dans l'épile
e (pour ces deux dernières intoxications, il ne se produit, dans la forme chronique, qu'une très faible démence, mais des d
pilepsie- essentielle peut être regardée comme une preuve que cette forme ne dépend pas d'anomalies primitives du cerveau
à établir les conclu- sions suivantes : . pathogénie DE QUELQUES formes d'épilepsie 401 - CONCLUSIONS. 1° L'épilepsie
SIONS. 1° L'épilepsie essentielle et l'épilepsie cérébrale sous ses formes nom- breuses ne peuvent absolument pas en l'éta
u métabolisme de lout l'organisme et de l'ali- mentation ; dans les formes cérébrales, au contraire, elles proviennent du
métabolisme défectueux dans la région atteinte. 5° Dans toutes les formes d'épilepsie, il faut regarder l'attaque comme u
r. f. Neivenheilkunde, 1906, t. 31, p. 472. PATHOGÈNE DE QUELQUES FORMES D'ÉPILEPSIE 4D3 110RSLEY (J.). - Die chirurgisc
, par KLIPPEL et Rabaud, 333. z Epilepsie (Palhogénie de quelques formes d' - dites épilepsie essentielle et épi- leps
aaverse, segmen- taire, dorso-lombaire gauche, métatrau- matique, forme clinique curable, par Révilliod, 307. Souvent
nogénèse, 13. Bolten (G.-C.) (de la Haye). Pathogénie de quelques formes d'épilepsie dites épilepsie essentielle et épil
, 424 TABLE DES AUTEURS dorso-lombaire gauche, métatraumatique, forme clinique curable, 307. BOU131NOVITCII et REGNAU
52 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
luence, elles sont plutôt sensorielles, fugaces et variées dans les formes expan- sives ; elles sont assez souvent persist
istantes et identiques à 4 CLINIQUE MENTALE. elles-mêmes dans les formes dépressives, dans les rémissions incomplètes et
et réac- tions caractéristiques. Bouffées secondaires épisodiques à forme mélancolique (auto-accusation, idées de suicide
des altérations en moins, 100 p. 100, s'est trouvée avec les trois formes mentales où il n'y a eu ni alté- ration en plus
re génital intense. Certes si on demande à un paralytique général à forme * expansive, quelle est la puissance'de ses orga
l s'avouera au contraire bon à rien si la maladie revêt chez lui la forme dépressive. Il n'y a pas lieu à mon avis, de te
let 1891. Première période. Syphilis, alcool et excès vénériens, forme surtout démentielle avec agitation. Le malade ne
gros qu'une noisette. En dehors de cette conception hypocondriaque forme expansive classique, Mail... trouve le mot mill
l'homme le plus riche de la terre, mais encore le plus puissant; il forme à lui tout seul conseil des ministres car il a
pour lâcher de s'en débarrasser. Au point de vue mental il avait la forme expansée calme; il se prétendait Philippe-Augus
27 avril 1891. Première période. Syphilis et surmenage cérébral. Forme expansive calme avec abolition du sens génital et
de causes bien définies : ni syphilis, ni alcool. Première période, forme mixte. Délire d'inventions et de richesses, mai
entré le 25 juil- let 4891 . Première période. Syphilis et misère. Forme expansive calme avec exagération marquée du sen
state plus aucune trace de ce délire hypocondriaque et génital ; la forme mentale est redevenue exclusivement expansive a
uisier; entré le 2 août 1892. Première période. Syphilis et alcool. Forme mixte. Le ma- lade a des conceptions délirantes
vaillamment rempli son devoir conjugal. Au bout de quelques mois la forme expansive est seule restée tandis que le malade
moins. XIII. Contrairement à l'opinion ayant cours c'est dans les formes démentielles et lors des périodes de calme que no
avons jamais trouvé d'altération en plus, ni d'état normal avec les formes dépressives, calmes ou agitées, ni non plus ave
avec les formes dépressives, calmes ou agitées, ni non plus avec la forme démentielle agitée. XV. La forme démentielle av
ou agitées, ni non plus avec la forme démentielle agitée. XV. La forme démentielle avant le maximum des altéra- tions
téra- tions en plus, le maximum des en moins a été dans les trois formes précédentes. XVI. D'après nos constatations la
des vertébrés. Sur- prendre, comme à l'état naissant, les premières formes orga- niques des fonctions primordiales de la v
élie est indubitable, à raison de l'autopsie, et qu'il s'agit d'une forme absolument clas- sique d'arthropathie du genou.
tels points, qu'il n'y a pas à mettre en cause le trau- matisme. La forme si personnelle des altérations ne rappelle nul-
qui dépend de l'affection du système nerveux. P. KERAVAL. III. Des formes frustes de la sclérose en plaques ; par M. Scn.u-
uv. ]C01Wgl'. de la Sclpêtriére, n° 0, 1900.) , Observation d'une forme anormale ayant pu faire croire tout d'abord à u
pu faire croire tout d'abord à une variété de syringomyélie. IX. Forme rare de syringomélie vasculaire avec méningite
il débute le plus souvent par des phénomènes dorso- lombaires. La forme clinique la plus fréquente de la paralysie généra
ue la plus fréquente de la paralysie générale post-tabétique est la forme maniaque. La durée de la maladie dans son ensem
lui de la paralysie générale qui évolue plus repidement que dans la forme commune et amène la mort en douze ou vingt-quat
ou acquise, et, sauf le cas de complications, ne représente pas une forme de 4 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. folie : c'est
ociété. La théorie positiviste se présente d'ailleurs sous diverses formes : il y a une école qui réduit la responsabilité
les conclusions suivantes : 1° 11 existe une folie partielle, et la forme et le degré du trouble mental influent directem
ES. ment qu'elle est lobulée et douloureuse. Il s'agit donc d'une forme légère, d'un cas dans lequel la dystrophie est pe
andes cellules sont beaucoup mieux conservées. Elles ont gardé leur forme mais, leurs contours sont ondulés, irréguliers
pris part à la discussion MM. TOFARShY et HOTH. G. RossoLlMo. Une forme particulière du trouble de la déglu- lition.
t chaque type morbide est étudié en lui- même d'abord puis dans les formes qu'il caractérise, ainsi les chapitres « manie
ne tendance à se renouveler, d'où le désir. La volonté n'est qu'une forme particulière du désir. Pour Herbart, il n'y a p
l'âme un tranquille bien-être. Pour Herbart, le bien n'est qu'une forme du beau; notre volonté est faite pour vouloir l
grand honneur de Herbart, c'est d'avoir conçu la pédagogie sous une forme systématique et de l'avoir présentée comme une
contre l'objection de simple coïncidence. La tuberculose crée des formes spéciales et favorites de maladies mentales. Ce
la stupeur ; c'est parlois une manie par accès. La première de ces formes se produirait de préférence quand l'apparition
nt précédé l'intoxication. Enfin, et dès lors, nous entrons dans la forme psychologique de notre amnésie, de Beauvais" mo
re ans, atteinte après intoxication oxycarbonée de psychose aiguë à forme de con- fusion hallucinatoire, et chez laquelle
l'exclusion de presque tout autre symp- tôme mental, une amnésie de forme continue. Ce qui géné- ralement, est considéré
s'installant dès cette époque'pourse prolonger dans l'avenir, sous forme d'amnésie continue. Dans sa partie rétrograde,
est apparu chez notre malade, immédiatement au sortir du coma, une forme spéciale d'amnésie antérograde à. laquelle M. J
nature hystérique. Et cela d'autant mieux qu'au point de vue de la forme même, il y a de grandes ana- logies psychologiq
Cet auteur conclut, en effet, forl ingénieusement que dans cette forme particulière la lésion de la mémoire ne réside
l'on soit autorisé ici à incriminer l'hystérie. D'ailleurs, cette forme continue de l'amnésie a été signalée par différ
ager s'est déclarée une amnésie retro- antérograde persistante sous forme continue pendant dix mois, jusqu'à la mort To
sée et ses senti- ments mûris et conscients, de concevoir ce qui se forme à peine Archives, 2' série, t. XII. 8 114 REV
et il s'en faut de toute la différence qui sépare un esprit qui se forme d'un esprit formé. Dans l'esprit en voie de for
P. KRAV,\L. XII. Contribution à l'étude de la pensée qui prend la forme de voix ; par A. Ylswa'rscmvvhi. (06oréraié psi
le pneumogastrique a été réséqué ; G° La vacuolisation est une des formes du processus de dégéné- ration cellulaire. IL C
a seconde couche du bulbe olfactif. Il décrit en outre les diverses formes des cellules mitrales qu'on peut observer dans
protoplasmatique. L. D. XXVIII. Le vague dans ses rapports avec les formes malignes de la rougeole ; par Cioffi. (informa
informa medica. 5 mars 1900.) L'auteur, analysant les symptômes des formes malignes de la rougeole, les rapporte à l'irrit
veux, on peut la rencontrer aussi, et bien plus marquée dans des formes simplement névrosiques. L. D. XXIX. Altération
e les facteurs impriment à l'acte sont absents ou obscurcis dans la forme alcoolique. Il faut reconnaitre qu'il y a quelq
prétation : - A. 1° La malade était atteinte de folie puerpérale, forme de maladie mentale qui n'est pas rare chez les
onsécutivement à la folie. - 3° L'épilepsie s'est présentée sous la forme relativement rare de 1 Voir dans le Compte rend
e l'odorat dans la démence. 2° Perversions de la vue dans les mêmes formes de folie, rayant la 'même signification que plu
r de la face, uni ou bilatérale, sueurs unilatérales, dans diverses formes ' de' manie et ^spécialement chez les épileptiq
t de vue mental, perte de mémoire, incohérence, idées délirantes de forme soupçonneuse. Hallucinations et illusions de la
laider en faveur de l'étiologie syphilitique. On a décrit plusieurs formes de folie syphilitique ; celle-ci corres- pondra
agit d'un jeune homme de 19 ans atteint de névralgie opthalmique de forme typique, sur- venue à la suite d'un coryza, et
ItLEa. (Journal of nervous and Mental Desease, février 1900.) Les formes graves de migraine complexe peuvent être regardée
ême personne. -Le fait important c'est, qu'une per- sonne qui a une forme complexe de migraine, avec aphasie temporaire,
lissement, ne permettent pas d'avoir cette opinion. , P. XXV. Une forme de névrite subaiguë par compression; par Th. -IL
ins abondants que dans un foyer de ramollissement vrai); dans cette forme , la névroglie subit, elle aussi, une dégénération
duc de Sylvius et sous la pie-mère médullaire. , Tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique. * 1\1111. CESlAi'i et Lej
évrite. Les lésions incontestables paraissent être surtout dues aux formes à prédominance sensitive et de longue durée. En
e et définitive. M. BÉRILLO,'4. C'est la suggestion sous toutes ses formes qui modifie le plus sûrement l'incontinence ; l
elles sont visuelles, générales et verbales, combinées à toutes les formes des hallucinations de l'ouïe, aux hallucination
ormes des hallucinations de l'ouïe, aux hallucinations psychiques à forme de langage cogitatif interne et psychomotrices
Boumeville. Noies sur l'étiologie et le traitement îles différentes formes de l'idiotie; hémor- l'agies cutanées liées aux
nons aussi une bonne à tout faire qui, au deuxième acte, se trans- forme en femme athlète jonglant avec des poids, aidée d
s du côté de la sensibilité, si l'hy- peresthésie sous ses diverses formes est assez fréquemment notée, l'anesthésie, par
la malade se trouve dans l'impossibilité d'apprécier le volume, la forme et les dimensions des objets divers qu'on lui p
tre de large envi- ron, qui s'étend à droite de la ligne médiane et forme comme une transition entre le côté gauche insen
riquet in Traité clin, et lliér. de l'hyst., p. 2 ! J : i). - « Cette forme depara- lysie de l'audition est fort rare ». (P
ifiée ; nous revien- drons plus loin sur la seconde qui, sous cette forme , ne répond pas à tous les faits. Les faits so
physique, nous relevons surtout l'existence d'unevocite palatine de forme ogivale et un thorax en carène. Malgré une étude
re. On sait que la confusion mentale présente elle-même plusieurs formes cliniques dont la forme maniaque, c'est la plac
usion mentale présente elle-même plusieurs formes cliniques dont la forme maniaque, c'est la place qu'on lui assignerait
XIV. De l'élimination rénale du bleu de méthylène dans les diverses formes de psychoses; parBoDONi. (lliv. sp. di (l'en., 18
rveux, action qui se reflète sur l'élimination du bleu lui-même. La forme psychopathique influe toutefois sur l'éliminati
es fous aux troubles généraux qui produisent et maintiennent chaque forme morbide; et c'est en raison deces troubles que
- tères différents dans la première ou la seconde classe. Dans la forme directement parasitaire, les caractères anatomiqu
réquemment spécial, et alors anatomiquement on se trouve en face de formes incomplètes de myélites ou de méningo-myélites,
en face de formes incomplètes de myélites ou de méningo-myélites, formes incomplètes, soit parce que la rapidité de la mor
s germes, résistance exceptionnelle de l'orga- nisme... . Dans la forme toxi-infectieuse, la caractéristique anatomique
é, de l'ané- mie cérébrale; pour Lucas, Marie, Lunier, Dagol1et, la forme la plus grave de l'exaltation maniaque; Baillar
délire de rêve, Régis, un délire onirique. On peut expliquer cette forme SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 de délire et l'excitat
ette manière de voir, Schiile 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. décrit trois formes du délire aigu suivant qu'il y a oedème, con- g
AVANTES. 251 D'après le tableau clinique, M. Carrier reconnaît deux formes au délire aigu : l'une relativement bénigne et
romatolyse que la dégénérescence jaune globulaire dans toutes leurs formes et à toutes leurs phases. Le corps dei2lelé (lu
qui ne serait pas, si le processus inflammatoire était primitif. La forme initiale des lésions cellulaires est en pleine
rganismes en quantité consi- dérable dans l'urine des malades. Leur forme était celle de petits bâtonnets et de corpuscul
ë'probabiè'et'qu'rts ne'peuvent avoir de'valeur étiologique dans la forme morbide en question. Kolzowsky (1898) signala d
rapporté quatre observations, sous la rubrique de cérébro-typhus à forme de délire aigu, et qui seraient des délires [ai
de leurs deux premiers mémoires. Ils en déduisent qu'il existe une forme cocciquc du délire aigu outre Informe bacillair
me dans la période prémonitoire du délire aigu des attaques hystéri formes ou épilp.ptifo1'1nes. Audemard a cité plusieurs
sibilité assez rare de voir débuter le délire aigu pccr une phase à forme paranoïaque. J'ai eu l'occa- sion d'observer, e
anoïa aiguë. Mais au bout du troisième jour, le délire aigu prit sa forme ordinaire de confusion, et six jours après la mal
paraly- sie générale. Elles se rapprochent l'une de l'autre par la forme démentielle habituellement notée dans la paraly
de la syphilis ac- quise. M. Marchand insiste sur ce fait que la forme démente d'emblée est de beaucoup la plus fréque
conceptions délirantes ayant pour objet l'invention. Ce délire qui forme un tout bien net, bien complet, se rencontre pr
mbre d'observations rapportées par l'au- teur, il ressort que cette forme de paralysie générale est très fré- quente, car
s. Pour M. Duffou, la paralysie générale sans délire constitue la forme type de la maladie. Quant à la démence elle exist
t national; Nous déclarons publiquement : L'alcool, sous toutes ses formes , est un poison. L'alcool ne soutient ni ne réch
phérie du faisceau des radicelles lombo-sacrées, dont le groupement forme la queue de cheval. Aussi n'est-il pas étonnant
rticulaire plus ou moins accentuée, mais elle a pu prendre aussi la forme tétanique et immobiliser pendant plusieurs minu
rieur de la capsule interne, où passent les fibres pyramidales sous forme d'un faisceau compact. Deux des observations perm
vue ophtalmologique, on peut adopter la subdivi- sion du tabes en « forme spinale » et « forme cérébrale » ou « forme opt
on peut adopter la subdivi- sion du tabes en « forme spinale » et « forme cérébrale » ou « forme optique». Dans la « form
i- sion du tabes en « forme spinale » et « forme cérébrale » ou « forme optique». Dans la « forme optique » du tabes, on
rme spinale » et « forme cérébrale » ou « forme optique». Dans la « forme optique » du tabes, on voit apparaitre, au débu
rement brumeux ; les artères rétiniennes, particulièrement dans les formes syphilitiques de l'affection, montrent des lési
ration qui contraste peu avec les tissus voisins. La vision pour la forme et la couleur, après la période d'amé- lioratio
ils entrent en action. t REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 301 La « forme spinale » se voit moins souvent dans les clinique
ande majorité des cas, est irrégulier et légèrement dentelé dans sa forme . Pupilles myoliques, souvent punctiformes; réacti
philis cérébrale est héréditaire ou acquise, et sous cette dernière forme elle est environ trois fois plus fréquente chez
ui est hyperplasique. La dégénérescence de la gomme peut prendre la forme caséeuse ou la forme fibreuse. Ces tumeurs sièg
a dégénérescence de la gomme peut prendre la forme caséeuse ou la forme fibreuse. Ces tumeurs siègent de préférence à la
en fautes, et non les cellules subordonnées de la moelle : la même forme de rai- sonnement est applicable aux troubles d
issent à des lois et ne sont si accidentelles ni simulées. Une des. formes les plus intéressantes de l'hyperalgie hystériq
es par les auteurs français et fréquent au contraire d'observer des formes abortives. La paralysie, sans indication de nat
on de nature, n'a aucune valeur dia- gnostique. Il y a pourtant une forme de paralysie fiasque qui ne se rencontre que da
e range à l'opinion de Frend quant l'indépendance clinique de cette forme de névrose mais fait des réserves au point de v
ne façon particulièrement mar- quée, surtout en ce' qui concerne la forme mentale. Dans une excellente monographie du Tar
génie de ce symptôme si important. Il se pourrait, en effet, que la forme myotonique soit le résultat d'une simple exagér
onique soit le résultat d'une simple exagération du tonus et que la forme myotétanique soit au contraire la conséquence d
nerveuses et chroniques de l'enfance qui produisent les différentes formes d'idiotie, d'imbécillité, d'arriération intelle
ellectuelles et morale. Nous procédons de même pour les différentes formes d'épilepsie, d'hys- térie et d'hébéphrénie. Auj
. L'enfant subit les conséquences de l'alcoolisme sous une série de formes : 1° l'alcoolisme chronique du père ou de la mè
s sont sujets des gens bien portants et raisonna- bles. Ce sont des formes , des images, des figures inattendues, résultant
nt reconnaître. Dans un ciel orageux, les nuages figurent de vagues formes d'animaux, de monstres,' de fantômes. Dans les
avait la puissance d'appa- raitre aux hommes, sous toutes sortes de formes , soit pendant le jour, soit durant la nuit. De
ont nous rappellerons seulement ici les caractères fonda- mentaux : forme globuleuse de la cellule, migration périphérique
anatomie pathologique de la psychose polynévritique et de certaines formes de confusion mentale primitive (en collaboration
première fois par Al. Ballet et consistant essentiellement dans la forme globuleuse de la cellule, la chromatulyse et la m
'étend chaque jour : il emploie les pronoms, les verbes à propos et forme des phrases qui souvent nous étonnent par les e
procéder nous a donné des résultats assez satisfaisants. Latter... forme maintenant toutes les petites lettres et quelques
ment l'idée de la figure que l'enfant a voulu représenter, enfin il forme presque toutes les lettres et commence à les as
. Sa parole nous surprend souvent par la longueur des phrases qu'il forme et les idées qu'elles expriment. ' Très mal dou
ous les chiffres, se rend compte des quantités qu'ils représentent, forme bien les petites lettres, com- mence à les asse
très améliorée, commence, à cette époque, à être bien distincte, il forme de petites phrases. En 1894, il s'habille et se
cll, comme un syn- drome susceptible de se rencontrer sous diverses formes psycho- patliques, en particulier de la stupeur
ARUE rapportent sept cas d'astoso-basophobie. Ils distinguent trois formes : simple, associee, mixte. Au point de vue de l
mixte. Au point de vue de l'aspect clinique, ils reconnaissent deux formes , l'une con- tinue, l'autre par accès. Ils disti
e est utile dans certains cas, elle n'est d'ailleurs souvent qu'une forme d'hypnotisation indirecte. M. Hamel. XI. Cont
st l'aliénation avec la normalité la plus forte, les trois autres formes se suivent de très près. Les paralytiques sont le
n de la cavité de l'arachnoïde cranienne par des filaments fibreux. Forme épi- leptiforme. Démence simple, sans euphorie.
tus avec symptômes épileptiformes. Une deuxième attaque épilepti- forme survint dix-huit mois après, à la suite de laquel
nstitue pour les aliénés une cause d'immunité. En ce qui touche les formes de folie où se rencontre la glycosurie, le ur B
ut de la maladie, à l'exception de ce qui concerne une seule de ses formes , à savoir, la paralysie générale associée au tabe
ce, janvier 1900). Le but de ce travail est d'examiner les diverses formes de folie que l'épilepsie peut compliquer : l'au
élancolie séniles, et l'épilepsie se présente alors souvent sous la forme de petit mal. Ces cas se ter- minent par la dém
amille, s'atta- chant à l'établissement ; ils sont d'une fixité qui forme contraste avec le personnel des infirmiers. Ain
d'infirmiers dans tous les asiles, organisées sur un modèle uni- forme . Elles sont dues à l'Association 7nédieo-sgclcolo
par la généralité du personnel et le système d'examen étant uni- forme , dans tout le pays, ces diplômes ont une réelle v
pli- cable à toutes les variétés nosologiques, mais notamment aux formes maniaques légères, aux périodes de dépression de
res, aux périodes de dépression de la folie circulaire, à certaines formes de folies sensorielles et surtout à la confusio
n. Elle peut provenir du monde extérieur et se manifester sous la forme d'une imitation inconsciente, allant du mimétisme
'impression féconde que peut produire en nous le beau, sous quelque forme qu'il se présente ; elle peut enfin être produi
élire et la fièvre redoublent ainsi qne la diarrhée; une escarre se forme au sacrum et la malade succombe le 6 mai dans l
vit. Brugia et S. Marzocchi. Dei movimenti sislemalizzali in alcune forme di indebolimento mentale. Archivio 1taliano per l
idées de persécution prédominent toujours, à peu près sous la même forme , mais des idées de grandeur sont appa- ' Cit. p
ns la suite. Aussi ne faisons- nous que les signaler ici. III. La forme typique des stéréotypies se trouve dans les dél
duisaient plusieurs fois par minute pen- dant un certain temps sous forme d'une sorte de décharge convulsive. La malade p
« il se borne à la répéter à tout venant, exacte- ment sous la même forme , et avec les mêmes expressions... le délire est
t conscients, systématisés eux aussi, mais se répétant sous la même forme , c'est-à-dire déjà fixes, stéréo- typés. Quand
dévelop- pement, on peut les observer cependant dans les diverses formes de démence. C'est ainsi qu'elles ne sont pas rare
es démences vésaniques secondaires caractérisées et même dans ces formes d'affaiblissement intellectuel désignées sou- v
yeux 1. Les stéréotypies sont aussi très marquées dans une autre forme délirante qu'on pourrait rapprocher de la précéde
ce que ordinairement les mouvements athétosiques ne revêtent pas la forme de mouvements intentionnels. , Ce sont ces mê
es stéréotypies; et dans les deux cas, ils ne ressemblent pas comme forme aux mouve- ments stéréotypés. Les différentes
ent qui continue à s'ac- complir par une sorte d'habitude, sous une forme désormais immuable, automatique et stéréotypée.
des démences des signes précieux pour nous faire diagnosti- quer la forme de la psychose primitive, puisqu'elles sont en
grandes ressemblances entre elles, que chacune d'elles sous la même forme peut résulter d'idées différentes et peut- être
s éléments histologiques artificiels est résolue par l'examen de la forme équivalente de la cellule. On peut ranger sous tr
ement. Ce sont eux que Nissl a tenté de coordonner en décrivant des formes particulières de cel- lules morbides : il en a
. Plus M. Heibronner a prolongé ses recherches, plus le nombre^ des formes lui a paru s'accroître. Jamais il n'a trouvé un
ort plus heureux : il a pu, à côté de types pathologiquement uni- formes de cellules nerveuses, discerner des altérations
iscerner des altérations parallèles de la névroglie; en tout quatre formes définies. Nissl a été lui aussi favorisé : il a
i ne se sont rencontrées que dans les cas les plus graves, dans les formes les plus aiguës : jamais, jusqu'à présent, on ne
lus aiguës : jamais, jusqu'à présent, on ne les a trouvées dans les formes chroniques, ni dans les observa- tions où l'ago
plus pourrait-on essayer de poser les bases de l'évolution sous une forme générale. Ainsi Alzheimer et Rins- wanger ont f
générale. Ainsi Alzheimer et Rins- wanger ont formulé que dans les formes mentales légères il existe des altérations de l
des altérations de la substance chromatique, tandis que, dans les formes mentales graves, dans la démence, etc., il y a de
echerches possible : c'est ainsi que l'on arrivera à la formule des formes des lésions de l'ensemble de l'écorce. Tel est
lande pituitaire joue un rôle dans le nanisme, le rachitisme et les formes naines du crétinisme; 5° il est possible qu'un
de mémoire, les différentes parties de cette impression (couleur, forme , volume, etc.) sont transmises à l'intelligence p
ux artères, aux fibres et aux cellules ner- veuses, auxquelles elle forme un milieu général de soutien : l'au- teur y a t
de la mésoglie et qui sont constituées par un corps cellulaire de forme typique, un noyau et plusieurs prolongements, les
autrefois diminués ou-abolis, l'état normal était conservé dans les formes bénignes. La trépidation épileptoïde existait q
aillées sur la pathogénie du glaucome et constate que, sauf dans la forme hémorragique, l'excision du ganglion sympathique
ications adoptées ou propo- sées dans le traitement des différentes formes d'aliénation men- tale. R. de Musgrave-Clay. -
e, états de stupeur et démence primaire, particulièrement quand ces formes d'aliénation mentale ne répon- dent pas aux mét
rapportée à une imbécillité congénitale. Méningite tuberculeuse ci forme mélancolique. M. Vigouroux communique l'observa
ieurs mois avant sa mort, avait présenté un état mélancolique d'une forme clinique un peu spéciale. M. ViGouRoux se dem
des tâtonnements, je suis arrivé aux formules suivantes : Dans les formes cachectiques j'emploie le sérum d'IIayem. S'il,
umeur - et élii- lcpsie, par Marchand, 269. Cérébrale. Tumeur - à forme psycho-par;lytique. par Cestan et Lejeune, 15
la - dans les vieilles localités, par Pailhas, 313. Béglltition. Forme particulière du trouble de la -, par Rossolimo,
les grandes villes, par Bonhoffer, 445. Méningite tuberculeuse forme mé- lancolique, par Vigouroux, 541. MÉNINGO-E
ar Peeters, 55, Pensée. Contribution à l'étude de la qui prend la forme de voix, par Piniatchewski, 119. PLRSONEL. En
tieure de 1 la moelle, par Olivier, 299. Sclérose en plaques. Des formes bustes de la-. parScl7ackewitsch, 39. -, par
dies nerveuses des enfants, par Bourueville, 331. Syringomyelie. Forme rare de - avec méningite tuberculeuse, par li
villes, par Bonhûlïer, 445. Vague. Le dans ses rapports avec les formes malignes de la rou- geole, par Cioffi, 127. V
53 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rtance des réflexes tendineux, mais il montre qu'ils ne sont qu'une forme des 2-égii- lations inconscientes de nos mouvem
e, et une ataxie où l'élément cérébel- leux accompagne nettement la forme spinale de cette affection; les troubles du sen
u traitement médical des psychoses aiguës et de la colonisation des formes chroniques, pour demander également la création d
epos psychique, du repos du cerveau, elles sont constantes dans les formes aiguës. Qu'il s'agisse en effet d'états d'excit
eprésentent les diverses phases de la même maladie ou ceux d'autres formes voisines qu'il importe de connailre pour le dia
vidu chez lequel l'habitude existe : elle peut être héritée sous sa forme automatique ou habituelle. Toute action nerveus
it habituelle devient fâcheuse, tout comme l'usage persistant d'une forme par- ticulière de raisonnement. Appliquées à to
orme par- ticulière de raisonnement. Appliquées à toutes choses, la forme mathématique et la forme imaginaire du raisonne
isonnement. Appliquées à toutes choses, la forme mathématique et la forme imaginaire du raisonnement peuvent être égaleme
colie sont les suivantes : elle ne se rencontre pas dans les autres formes d'aliénation mentale ; elle disparait au sur et
ar là, il devait naturel- lement être conduit à essayer, dans cette forme d'aliénation, les agents thérapeutiques auxquel
Intéressante revue, dont l'auteur résume les conclusions sous la forme d'un schéma provisoire de classification que nous
structure et de connexions des cellules nerveuses corticales. Il se forme ainsi des mécanismes susceptibles d'exercice et
tive somnolente du foetus est remplacée graduellement par une autre forme de vitalité, dans laquelle des sensations diver
pathologiques du cerveau qui consti- tuent la base des différentes formes de folie ; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 57 16
personnalité, et qui sont consécutives et secondaires aux autres formes de folie. R. DE 1VIUSGRAVE-CLAY. XII. Observati
ique les éléments du diagnostic diffé- rentiel avec diverses autres formes mentales. Puis il expose que la taxonomie actue
ion judicieuse devrait avoir pour but d'indiquer la cause de chaque forme de folie ; il propose la classification suivante
l'asile. Enfin, l'auteur regrette que dans les institutions où l'on forme des garde-malades professionnelles ou volontair
soient pas consacrées aux soins spéciaux que réclament les diverses formes d'aliénation mentale. R. DE nIUSGRAVE-CL.1Y.
res, et par la marche ordinairement subaiguë des processus, il se forme souvent des figures très caractéristiques. Les
anatomiques sans rapport avec les éléments nerveux; tantôt enfin la forme delà systématisation est en rapport à la fois a
nce entre ces deux processus per- met de comprendre les différentes formes de la maladie de Charcot (forme amyotrophique e
met de comprendre les différentes formes de la maladie de Charcot ( forme amyotrophique et paréto-spasmodique). Nous croy
Contribution à l'élude de la Paralysie musculaire progressive de la forme familiale ; par Bruns (de Hanovre). (Présentation
laires, on peut en admettre, avec Leyden et Goldscheider, plusieurs formes : myélite transverse, myélite diffuse ascendant
ouleurs au niveau des articulations sacro-iliaques. Il s'agit d'une forme atténuée de spon- dyle rhyzomélique survenant c
miliale, soit bien plutôt qu'elle se révèle chez lui sous une autre forme , soit encore que l'autre jumeau ait succombé pr
aussi voit-on ici les DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 101 formes psychologiques s'élever en dignité ; c'est le dél
l y ait simultanéité, ressemblance, concordance dans le début, la forme et l'évolution de la psychose ; mais c'est à la c
nts, nous voyons ici se produire des accidents psychopathiques sous forme d'épisodes aigus qui ne relèvent pas nécessaire
es cellules nerveuses des ganglions spi- naux se montrent avec leur forme normale, non seulement quant à leur substance c
t diminué de nombre (toujours dans d'étroites limites) et que leurs formes s'étaient modifiées, ces par- ticularités anato
e travail ne leur ont pas permis de la déceler. Si le changement de forme et la diminution de nombre des cellules des gan
s, la paralysie générale n'est qu'un épisode du tabès, le tabes une forme fruste de la paralysie générale, et, alors même
généraux, soit sous forme de paralysie générale vulgaire, soit sous forme delypémanie, de mélancolie, de délire des persé
t particulièrement affecté constituent jusqu'à un certain point une forme spéciale que Pierre Marie appelle le labes supéri
le le labes supérieur ou le tabès cérébral. Il admet que dans cette forme l'évolution de l'affection puisse rester assez
' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. Sur les formes atypiques et extraordinaires du cerveau, considé-
preuve que la substance chromophile existe bien réellement 'sous la forme décrite par Nissl, et qu'elle n'est pas artific
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 139 - maie en disant que sa forme est irrégulièrement anguleuse, avec de nombreux
es points, et qui s'en séparent par une extension protoplasmique en forme d'éventail. 'La cellule est fortement teintée à
ce granuleuse de la substance chromophile : la cel- ,Iule prend une forme plus ou moins globuleuse, et le nombre de ses p
La cellule ne présente -dans la majorité des cas aucune anomalie de forme ; elle est grande ,et émet généralement de nombr
)' : D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 11 s'agit là d'une forme de chromatolyse, mais elle diffère à plu- sieur
ure qu'elles se rattachent plus spécialement à l'une ou l'autre des formes de folie de nos classifications cou- rantes. ·
base, il existe des parties pâles irrégulières avec des kystes, de forme et de grandeur à peu près égales. Les parties p
es avec débris de noyaux, ouenlin, une masse incolore, grenue, sans forme aucune. Les kystes n'ont pas de paroi propre ;
ulaires, au moment où les cellules sont déjà en possession de leurs formes définitives. Les premiers qui apparais- sent et
auses physiques et par l'énergie nerveuse, particulièrement sous sa forme mentale. L'auteur mentionne les travaux faits d
éphales. Son crâne, et c'est la règle très générale pour toutes les formes de l'idiotie, n'offre pas de synostose prématurée
n. L'hémi- sphère sous-jacent est réduit à la substance blanche; la forme générale des circonvolutions est conservée ; le
s et leur coloration est légèrement rosée. 0 0 Il s'agit là d'une forme de méningo-encéphalite très accentuée et différ
qu'un choc émotionnel ou une attaque épiteptiforme ou apoplecti- forme (apoplexie hystérique) simulant une hémorragie cé
et d'établir les bases pour le diagnostic différentiel de ces deux formes . Cependant, il y a des hémiplégies dont la natu
tionnels. Il. Les symptômes de loyer. I. L'apiiasik dans toutes ses formes . 11 n'est pas difficile de la distinguer du mut
. Dans l'hys- térie, la déviation de la langue se présente sous des formes variées et capricieuses bien connues (hémispasm
'intensité. III. - Les contractures sont caractéristiques dans leur forme et évolution. IV. - L'exagération des réflexe
e l'on observe des diflérences notables dans l'intensité et dans la forme de la courbe du courant d'action. La forme de la
s l'intensité et dans la forme de la courbe du courant d'action. La forme de la courbe que l'on obtient en représentant g
t, mais d'une façon continue, vers zéro. La courbe se présente sous forme d'une ascension brusque suivie d'une ligne de d
ois après la soixantaine (neurasthénie sénile proprement dite). 'La forme cérébro-spinale est la plus fréquente. Le diagn
ez les aliénés. L'idée principale qui s'en dégage est que, dans les formes mélancoliques, la pression sanguine dépasse not
es, la pression sanguine dépasse notablement la normale. Dans les formes maniaques, au contraire, elle descend. L'intérêt
observé des cas analogues. Il considère cet état comme une nouvelle forme de la maladie et même une aggra- vation et ne v
énilité chez les mélan- coliques chroniques. Une deviendrait qu'une forme particulière de démence. Le mélancolique marcha
que le malade n'est pas définitivement guéri ou qu'il présente une forme intermittente de la mélancolie. , M. SÊRiFux
stitutio ad integrum. Cependant, la psychothérapie, sous toutes ses formes , permet de rassurer le malade, de lui rendre le
on, et Masson et Cie, éditeurs il Paris. Ce petit volume qui a la forme d'un élégant carnet de poche est destiné, comme
eur gauche au moment de la paralysie, persisteraient encore sous la forme de douleurs spon- tanées et provoquées par la p
ion semble se diffé- rencier nettement de nos observations. Dans sa forme la plus pure, la paralysie spasmodique familial
atriques ont ainsi un double problème à ea<N<OMt ! <es. C. Formes paranoïdes : 1° Démence paranoide ; 2° Dé- lire
dépressifs; états mixtes). - A. Forme simple. B. forMepë ? OtKe. C. Forme circulaire. X. La FOLIE systématisée. XI. Les
le médicament est employé utile- ment comme sédatif dans toutes les formes de folie chronique avec agitation, et dans quel
nt d'une façon remarquable de l'emploi de l'opium sous ses diverses formes ; en revanche, les malades de trente ans et au-
.) L'hédonal est un dérivé de l'uréthane, qui se présente sous la forme d'une poudre blanche facilement soluble dans l'al
les plus satisfaisants ont été obtenus dans la chorée et les autres formes de spasme, dans les névralgies (surtout celles
itations, la dyspepsie nerveuse, l'alcoolisme chronique et diverses formes de maladies mentales, particulièrement la mélan-
nt l'auteur conseille l'emploi comme hypnotique dans les diverses formes de neurasthénie et chez les aliénés dont l'agitat
ure que la portion hypertrophiée de la glande pituitaire, dont elle forme probable- ment une partie. Le corps thyroïde et
t étudiée sur une série de soixante cas. Elle se présente sous la forme d'une bande transversale régnant autour du corp
pré- céder l'anesthésie des jambes. On ne sait pas encore si cette forme d'anesthésie se rencontre dans d'autres maladie
stée, dans les soixante et onze cas chez les malades atteints d'une forme psychique de dégénérescence mentale. Parmi les ma
me psychique de dégénérescence mentale. Parmi les malades ayant une forme aiguë ou curable, aucun n'a été atteint, non plus
n tout à fait angoissantes. Ces douleurs s'accompagnent de diverses formes de paresthésie, mais jamais d'anesthésie com- p
e les symptômes se sont montrés graduellement, pre- nant souvent la forme de la neurasthénie ou de l'hystérie. Chez tous
atées. Trois malades avaient des syncopes. La paralysie, sous une forme ou sous une autre, a été notée dix fois et n'a
e, même au niveau de la fracture était parfaitement ferme, avait la forme normale et ne présentait extérieurement aucun s
e travail a pour objet de rappeler les caractères distinctifs d'une forme particulière de céphalalgie qui paraît avoir droi
ur les caractères qui permettent d'éta- blir le diagnostic de cette forme spéciale du mal de tôle et entre dans quelques
de cette paralysie est très rare dans la syphilis spinale, mais sa forme incomplète, comme dans le cas actuel, y est ass
t n'est qu'une suite à ses observations nombreuses sur les diverses formes de la criminalité, entre autre la criminalité p
e est encore anémique, d'un caractère difficile, sombre : « elle se forme des idées » ; deux fois, pendant une demi-heure
, le lobe occipital persiste avec des circonvolutions qui ont une forme . Sur la face interne de l'hémisphère droit, au
dominance à droite, survenues au quin- zième jour, se montrant sous forme d'état de mal à partir de ce jour, jusqu'au six
ue cet abcès était primitif car les auteurs n'admet- tent pas cette forme . - Il existe dans la science de très nombreux c
cercles, malgré que beaucoup d'entre eux soient homogènes, par leur forme globuleuse et leur volume plus sensiblement éga
ontré les corps hyaloïdes indiqués récemment parDagonet Ils sont de forme irrégulière et beaucoup présentent une dispos s
bles à ceux qu'il a trouvés ailleurs dans les vaisseaux malades. la forme allongée de quelques-uns de ces élé- ments, ave
dullaires (Obersteiner). Elles sont très nombreuses dans toutes les formes de dégénérescence où la fibre nerveuse est atte
Si l'on analyse les symptômes, on voit qu'il parait y avoir deux formes de paresthésie froide : dans l'une, le symptôme n
ien de douleurs, et souvent de troubles vaso-moteurs ; dans l'autre forme , oupsychro-esthésie proprement dite, le malade
mais, ni la sensation de piqûres, ni celle d'engourdissement. Cette forme de psychro-esthésie est complètement isolée, li
édé employé, et constate les résul- tats. En considérant toutes les formes de folie ci-dessus indiquées dans leur ensemble
tent la frontière entre l'était normal et l'état pathologique. Leur forme est ordinairement arrondie, mais non toujours,
st per- mis de tirer les conclusions suivantes : 11 n'existe pas de forme de folie qui soit propre aux prisons cellulaire
dique, d'hyp- notisme physique et d'hypnotisme suggestif. Ces trois formes peu- vent être employées séparément ou conjoint
isme. La classification la plus communément adoptée pour les deux formes de mentalité est celle qui la divise en esprit co
sens objectifs sont en état d'inactivité : en un mot, il est cette forme d'intelligence qui se manifeste chez un sujet h
ur par le sujet, l'oubli de toutes les choses extérieures; c'est la forme d'hypnotisme la plus communé- ment employée : e
isme, morphinisme et impulsions criminelles). Mais il y a une autre forme , qui peut-être beaucoup plus large- ment employ
ubjectif du malade de son entourage somatique de souffrances. Cstte forme ne détermine de fatigue ni chez le sujet ni che
sauf la perte de quatre orteils (le gros orteil seul subsiste), sa forme normale. Ce cas démontre, dit l'auteur, que l'o
l Journal, 35 décembre 1897.) Ce cas est surtout intéressant par la forme particulière du sui- cide qui en a été la consé
ades, com- prend les épileptiques, les paralytiques généraux et les formes congénitales et puerpérales. L'autre groupe, pl
ce qui touche la fréquence de la prédisposition hérédi- taire, les formes de folie observées chez les malades admis à l'a
ont une tendance très accusée à se transmettre sans modification de forme d'une génération à une autre ; 10° Dans la pl
génération à une autre ; 10° Dans la plupart des cas cependant la forme de la folie chez les descendants diffère notabl
la forme de la folie chez les descendants diffère notablement de la forme observée chez les ascendants, et différents mem
différentes de maladies mentales ou d'autres troubles nerveux. Une forme de folie déterminé chez un malade par une tenda
hérédité de famille non par l'aliénation mentale, mais par d'autres formes de maladies nerveuses. 11° La propension aux ma
es symptômes est habituel,, comme la brus- querie du début. Dans la forme la plus atténuée, le malade, devenu indoient et
is si rapide qu'en six semaines on peut voir se suivre toutes ces formes cliniques ». ' Les hallucinations de la vue et
erce la saignée dans l'urémie, dont l'aspect symptomatique, dans sa forme cérébrale a des analogies avec le tableau sympt
iquant la ponction rachidienne chez des malades atteints d'urémie à forme cérébrale. Hé7nyasyizc),gie avec hémilremblemen
io ad intey>7cm. , Cependant, la psychothérapie, sous toutes ses formes , permet de rassurer le malade, de lui rendre le
faut-il admet- tre des causes additionnelles; peut-être sont-ce les formes larvaires BIBLIOGRAPHIE. 353 du ver et non le
res nerveux un ac- cident tardif de nature syphilitique et même une forme de para- lysie générale. M. Mott fait observer
e. 3° Femme, hémiplégie droite (de naissance), attaques épilepti- formes depuis l'âge de douze ans, démence progressive, m
vingt-quatre heures; elles étaient annoncées par une aura, sous la forme d'une sensation anormale qui parcourait le membre
llay, de nombreux faits concernant la trépanation dans les diverses formes de l'épilepsie. (f3.) .) THÉRAPEUTIQUE. Le tr
intégral. il. M. C. XLIX. Des troubles moteurs à évolution aiguë, à forme d'ataxie cérébelleuse, chez les ivrognes; par W
ssement du corps calleux. surtout en arrière. Quelques anomalies de forme et de répartition des circonvolutions et des si
12.) 11 s'agit d'une femme frappée à 26 ans d'un ictus apoplecti- forme suivi de contracture, puis de paralysie flasque.
e sommeil, peut être rangé ce cas de sommeil physiolo- gique par sa forme , pathologique par sa durée. Il élimine succes-
philides secondaires ; installation rapide de ces troubles selon la forme sensitivo-motrice aiguë ou la forme exclusivement
rapide de ces troubles selon la forme sensitivo-motrice aiguë ou la forme exclusivement motrice ou la forme pseudo-tabéti
rme sensitivo-motrice aiguë ou la forme exclusivement motrice ou la forme pseudo-tabétique ; évolution selon la'forme asc
e-Klumpke ou Duchemin- Erb. Ils présentaient souvent, en outre, une forme caractéristique, par suite d'une paralysie préd
achées à l'action du virus spécifique, et qui se présentent sous la forme d'endartérite, avec occlusion ultérieure du vai
abès et de la paralysie générale ne l'est pas de la syphilis; 4° la forme de la pupille, qui s'écarte d'un façon bien accus
la forme de la pupille, qui s'écarte d'un façon bien accusée de la forme circulaire, et cela en l'absence de toute iritis
sence de toute iritis antérieure; à la vérité cette irrégularité de forme se rencontre en dehors de la syphilis, mais ell
n ne trouvait aucun des facteurs étio- logiques ordinaires de cette forme d'hémorragie, et l'on ne peut invoquer qu'un ef
celles que l'on peut légitimement qualifier de réflexes. Parmi ces formes particulières de névroses, celles qui se rattac
t actuellement n'est pas un carcinome au vrai sens du mot, mais une forme particulière de gliome, et comme elle tend à se
e particulière de gliome, et comme elle tend à se présenter sous la forme alvéolaire, on pour- rait la définir un « gliom
nature et l'origine du néoplasme, et de le distinguer nettement des formes secondaires et métastatiques du cancer. La pé
c la cellule épithéliale; 3° l'hyperchromatose des noyaux; et 4° la forme anormale des noyaux. Contre le carcinome, il y
règne autour des vaisseaux est tout à fait caractéristique de la forme d'endothéliome désignée sous le nom d'angiosarcom
indiqué d'ectopie embryonnaire). Le gliome est représenté comme la forme la plus fréquente de tumeur cérébrale. Comme le
est évident actuelle- ment que le carcinome ordinaire et certaines formes de gliome ont été jusqu'ici confondus. Peut-êtr
ensemble plus complet de symptômes généraux et spinaux, et dans la forme disséminée, les symptômes sont épars, comme les
ingite qui précède la paralysie, et les symptômes cérébraux dans la forme cérébro-spinale; dans la forme ordinaire de pol
, et les symptômes cérébraux dans la forme cérébro-spinale; dans la forme ordinaire de poliomyélite antérieure, la paraly
ervicale du rachis. Une anesthésie aussi étendue est rare; mais une forme commune, relativement du moins, est celle où la
s,'au bassin sur une surface qui rappelle un peu irrégulièrement la forme du caleçon de bain, sur de petits points plus o
les surfaces sensibles sont plus vastes. Enfin l'auteur décrit les formes décroissantes, dans l'ordre de l'étendue, de cett
l'anesthésie arrive à n'occuper que la face dorsale des doigts. La forme mentale où cette anesthésie se rencontre le plus
mécanisme de cette anesthésie. - R. de Musgrave-Clay. XXXIX. Une forme dégénérescente-de folie syphilitique, avec type
que la règle; cependant il y en a des cas authentiques, bien que la forme progressive soit au contraire la règle; cette d
enant ce mot dans son sens générique, est intimement associée à des formes de troubles mentaux que nous rencontrons quotid
mpêcher le malade d'écrire. ' 424 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. La forme d'aphasie qui entrave le moins la faculté d'expre
sont manifestés alors qu'ils apparaissent généralement, dans cette forme de folie, vers le moment de la puberté, et en tou
ou de tabes, dans lesquels le malade n'accuse qu'un chancre mou, forme bénigne, qui n'est peut-être que le résultat d'un
ner lieu à des affections parasyphilitiques. Enfin l'auteur cite la forme juvé- nile de la paralysie générale comme l'arg
velle est variable. Elles sont d'un pronostic fâcheux à cause de la forme de maladie mentale qu'elles accompagnent le plu
nérescence graisseuse du coeur qui est la conséquence ordinaire des formes aiguës. La cause de l'apparition du béribéri n'
« modéré- ment virulente » et le bacille appartenait à un malade à forme grave, qui a succombé. Peut-être la virulence e
te corticale aiguë ; c'est pourquoi il faut le considérer comme une forme d'eiicéplia- lite de Strumpell (poliencéphalite
intramédullaires peuvent être d'origine très diffé- rente ; 2° La forme la plus fréquente des cavités est celle que nous
nc pas s'agir ici de l'hy- dromyélie ; mais même là où la cavité se forme , le processus com- mence par une gliose. Il exi
se retrouve à la fois chez les supérieurs et chez les névrosés,qui forme le lien entre la supériorité et lanévrose. Le c
langue acquiert une certaine stabilité et le tremblement prend la forme nettement fibrillaire. 40 Instabilité des mains
ion dans l'étiologie de la maladie à tous les âges, sous toutes ses formes et dans tous les pays. Pour en terminer sur c
e dans son ensemble, ainsi que nous l'avons récemment démontré 1. Forme démente. La seconde particularité à relever dans
La seconde particularité à relever dans notre observation, c'est la forme exclusivement démente, sans aucun délire, de la
, où existe le délire mégalomaniaque habituel, se manifeste sous la forme pure- ment démente. Cette particularité, qui
t une fois déplus l'axiome anthro- pologique qui dit : « Le cerveau forme le crâne » ; l'espé- rance est donc frustrée de
n de cet enfant, nous avons compté six attaques, produites en cette forme : la tête penchée en avant, contracture général
thyroïdien. - 25° If est également impossible de dire dans quelles formes de maladies mentales il donnera des résultats a
te-cinq ans, et à [exception d'un seul, tous étaient atteints d'une forme ou d'une autre de mé- lancolie ; 2 ï° L'âge de
n diminuant le pouvoir de lui résister. Il est évident que dans les formes d'aliénation men- tale qui exagèrent à un degré
inairement goutte à goutte; dans la position verticale il sort sous forme de léger filet. Il vaut mieux le laisser couler
p. ilift-ell., 189), lasc. 3 4). Les auteurs distinguent suivant la forme de névralgie quatre groupes de psychoses dus à
aencéphatatgiques. Ils subdivi- sent ensuite chaque groupe en trois formes selon la durée et l'intensité de la psychose, u
e en trois formes selon la durée et l'intensité de la psychose, une forme aborlive, une forme aiguë ou transitoire de que
lon la durée et l'intensité de la psychose, une forme aborlive, une forme aiguë ou transitoire de quelques heures à une o
aiguë ou transitoire de quelques heures à une ou deux semaines, une forme prolongée pendant des semaines ou des mois. C
semaines ou des mois. Ce sont les céphalalgies qui fournissent le^ formes les plus nom- breuses de psychopathies ; puis v
hopathies dues au prosopalgies et aux névralgies périphér.ques. Les formes prolongées qui se développent à la suite de la
ent provoquées par la céphalalgie et la névralgie intercostale. Les formes abortives sont presque exclusives de la céphalalg
Les formes abortives sont presque exclusives de la céphalalgie. Les formes hallucinatoires, associées à un degré plus ou moi
iques dans leur ensemble frappent plutôt l'homme que la femme ; les formes abor- tives dominent exclusivement chez la femm
abor- tives dominent exclusivement chez la femme, tandis que les formes transitoires ou aiguës sont plus fréquentes chez
hystérique ou épileptique. Au point de vue symptomatologique les formes ont-elles un aspect spécifique ? Tantôt elles r
veau. Il est très-probable qu'il s'agit d'une paralysie générale, à forme démentielle, com- pliquée de symptômes représen
ne d'années, mais il n'y a quejiuit ou, neuf ans qu'il a pris cette forme obsédante. Le patient a maintenant trente-cinq an
p;'tKtft'tt, IV, 1899.) L'auteur examine les allures des diverses formes mentales qui ne REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 49
ensations anor- males, plus ou moins élémentaires, qui prennent une forme obsé- dante en telles ou telles circonstances.
n'atteignent pas le plein'degré de sensations réelles, affectent la forme de psemlo-lallucinaliuus ou hallucinations incomp
ssent celles qui dérivent d'idées délirantes s'objectivant sous une forme sensible. Les primi- tives sont des hallucinati
élire de 11111, M... et de M"10 C... ait été le même, mais sous une forme atténuée que celui de la soeur qu'elles étaient
la vue et de l'ouïe. Ces deux cas se rattachent évidemment à cette forme de folie que Régis a décrite sous le nom de « f
... qui a été dans cette affaire l'agent véritablement actif; 2° la forme de la folie et l'état mental ont été absolument
passer pour delà manie ou de la mélancolie, les attaques épilepti- formes pour des attaques d'épilepsie. - , SOCIÉTÉS SAV
a maladie du doute. M. P. SOLLIER développe l'opinion que certaines formes de la maladie du doute tiennent à des troubles
ne position directe, le spasme étant vaincu. Un peu de bégaiement à forme hystérique, le rétrécissement bilatéral du cham
on qui est un type aussi pur que possible de leptomyélite diffuse à forme infiltrée, avec spécificité bactériologique évi
ution progressive et la systématisation du délire distinguent cette forme de l'équivalent chronique d'épilepsie. Discussi
s en France, de statistiques détaillées portant sur les différentes formes de l'aliénatienmentale. Dans sa thèse, M. Migno
considèrent que les troubles pupillaires ne sont spéciaux à aucune forme d'aliénation mentale, et trouvent des altératio
es. Les altérations des réflexes existent également dans toutes les formes morbides, mais, tandis que le trouble observé e
sbourg. Le reste du travail contient la description des différentes formes patho- logiques, leur classification et la desc
nesthésie du tronc dans il-, par Patrick. 246. Troubles moteurs à forme il'- cérébelleuse chez les ivrognes, par Becbte
eau. Contusion du simulant le delirium tt,emetis, par Ambler, 52. Formes atypiques du -, par Mickle, 135. Formation de f
s, 405. Happ0 ! tsde)aetdetafotie, par Mott, 427. Syphilitique. Forme dégénérescente de folie, - pai- Welsli. 420.
54 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
ervice de près de 150 lits où il nous est donné d'observer toutes les formes de l'épilepsie et de l'hystérie grave. Ce n'est p
cien qui les prend pour la maladie tout entière. Telles sontcertaines formes de X atrophie muscu-laireprogressive considérées
outre, tantôt de pe-tites exulcérations, tantôt un ulcère unique, de forme ovalaire qui occupe la partie moyenne de cette me
sont de deux espèces : 1° Les premiers consistent en des éruptions de forme variable, mais surtout vésiculeuses ou huileuses.
ins ont décrit une affection delà peau qui peut être rapprochée de la forme précédente. 2° En second lieu viennent les érup
tions cutanées diverses, mais se rappro-chant, en général, quant à la forme , tantôt du zona et tantôt du pemphigus. — Dans un
, rappelantle tissu de granulation, lesquels, plus tard, prennent une forme allongée, disparaissent et font place à du tissu
multipolaires qui siègent dans cette région. Telles sontles diverses formes de la sclérose fasciculée, que celle-ci soit prot
raient par des troubles fonctionnels et par des modifications dans la forme des parties qui ne resteraient pas longtemps inap
riginelle ou acquise, tend fatale-ment à se généraliser. Dans l'autre forme , sur laquelle nous appelions votre attention, il
Archiv. de médecine, septembre 1871, pp. 277, 302. 2. Sur les deux formes de l'amyotrophie progressive de cause spinale : v
pinière. Dans la pathogénie de la paralysie infantile et des diverses formes de l'amyotrophie de cause spinale, ce rôle ne par
cutanée dont je vais vous entretenir se montre, à l'origine, sous la forme d'une plaque érythémateuse, sur la-quelle se -dév
aris, 1871, p. 43. 2' Decubitus... Eschare [Alt. Wundliegen] qui se forme au sacrum et ail-leurs, etc.. Littré et Robin, Di
électrique (faradique) des muscles, bientôt suivie de l'atrophie, une forme particulière d'arthro-pathie sur laquelle j'aurai
catégories principales. A. La première comprend les arthropathics à forme aiguë ou subaiguë, accompagnées de tuméfaction, d
est remarquable de voir ces arthropathies, consécutives aux diverses formes aiguës ou subaiguës de la myélite, se développer
en-cent à s'atrophier ou encore dans le temps même qu'une es-chare se forme rapidement au siège. Uarthropathie des hémiplég
main, le pied, sont les parties les plus fréquemment affectées. Gette forme d'arthrite paraît se montrer surtout dans les cas
s avait joui d'une santé parfaite et n'avait jamais souffert d'aucune forme de maladie arthritique, fut atteinte tout à coup
teur cherche à expliquer, ainsi qu'il suit, le développement de cette forme d'arthrite, chez les hémiplégiques : « Les relati
remarquable de voir, dans cette observation, que le dépôt goutteux se forme exclusivement dans les jointures des membres pa-r
ou subaigu étant une affection à laquelle se lient souvent certaines formes de ramollissement cérébral et qui, d'ailleurs, se
qui exis-teraient entre certaines lésions de l'encéphale et diverses formes de la pneumonie, la tuberculisation pulmonaire. —
hrœder van der Kolk entre autres, ont émis l'opinion que les diverses formes de la pneumonie, et même la fuberculisation pulmo
t ner-veux ; la nutrition s'altère, le malade perd son sommeil, il se forme des eschares qui terminent la scène morbide. Te
emblement borné durant longtemps aux membres d'un seul côté du corps ( forme hémiplégique), ou encore aux deuxmernbres inférie
du corps (forme hémiplégique), ou encore aux deuxmernbres inférieurs ( forme paraplégique ). La tête est toujours à peu près r
uite, mettre en relief, car le con-traire se remarque souvent dans la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques. Je d
r-constance importante plaide contre cette explication: c'est que les formes de rhumatisme articulaire aigu ou chronique se mo
rance, bulbe, moelle épinière. — Plaques de sclérose sur les nerfs. — Formes spinale eéphalique ou bulbaire,cérébro-spinale. —
énéral du cerveau proprement dit n'a subi aucune modification dans sa forme et nous pouvons ajouter ni dans sa couleur,,., ca
ons en clinique. Tantôt les plaques occupent exclusivement la moelle ( forme spinale); tanlôt elles prédominent dans l'encé-ph
a moelle (forme spinale); tanlôt elles prédominent dans l'encé-phale ( forme céphalique ou bulbaire); enfin, l'existence simul
e simul- tanée de plaques dans l'encéphale et la moelle répond à la forme cérébro-sp ina le. Pour en finir avec l'anatomi
eux extrêmement délié qui unit et sépare les fibres cérébrales et qui forme une trame excessivement ténue ». (Loc. cit., p. 2
importante danslamasse de l'organe. Remarquez en premier lieu qu'elle forme , à la partie périphérique de la coupe, un anneau,
re solidaires [Kôlliker (1), Max Schultze, From-mann (2).] Dans cette forme de tissu connectif. il n'existe que fort peu de s
ainsi dire, sans ligne de démarcation appréciable ; dans le cas où la forme cel-lulaire n'est pas distincte, les noyaux, nus
e la physiologie, etc., n° 1, 1876 — Hayem. — Etudes sur les diverses formes d'encéphalite, 1868. premier cas, elles simulen
résenter, sur les préparations traitées par ce dernier agent, sous la forme d'un appareil réticulé. A ces objections ont été
n peut compter deux, trois, rare-ment plus, dans chaque nœud (1) ; la forme cellulaire se montre là plus disLincte, par suite
réticulum fibroïde a disparu ; on ne rencontre plus ni trabécules ni formes cellulaires distinctes ; les noyaux sont moins no
Tel est, Messieurs, le dernier terme du processus morbide, dans la forme de sclérose qui nous occupe; et cette persistance
en connexion avec les fibrilles conjonctives ; d'autres ont pris une forme irrégulière, due à l'action de la solution ammoni
ent volumi-neuses, dont les bords sombres, sinueux dessinent, soit la forme d'un globule ovalaire irrégulier,soit celle d'une
déterminer les caractèreshistologiques qui la distin-guent des autres formes de la sclérose des centres nerveux, et aussi de p
es systèmes nosologiques où elle doit prendre place à côté des autres formes , mieux connues, de la sclérose primitive des cent
iège nous ont conduitàreconnaître,aupointde vue anatomique, les trois formes suivantes: forme cèphalique, forme spinale, forme
uitàreconnaître,aupointde vue anatomique, les trois formes suivantes: forme cèphalique, forme spinale, forme mixte on cérébro
pointde vue anatomique, les trois formes suivantes: forme cèphalique, forme spinale, forme mixte on cérébro-spinale. Il était
tomique, les trois formes suivantes: forme cèphalique, forme spinale, forme mixte on cérébro-spinale. Il était aisé de prévoi
ixte on cérébro-spinale. Il était aisé de prévoir qu'à chacune de ces formes répondrait un ensemble symptomatique particulier.
centrons tout d'abord, si vous le voulez bien, notre attention sur la forme cérébro-spinale: c'est d'ailleurs à tous égards l
n un cas de la maladie nouvelle ; c'était un fort beau spécimen de la forme cérébro-spinale. Le malade quittant son lit fit q
s'agissait tout simplement d'un cas, à la vérité très complet, de la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques. C. L
. C. La paralysie agitante estsurtout la maladieavec laquelle cette forme de la sclérose en plaques a été le plus longtemps
depuis longtemps proclamé, un symptôme à peu près cons-tant, dans la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques. Il ne
oublier toutefois qu'il existe des cas exceptionnels relatifs à cette forme , et où — circonstance tout à fait inexpli-cable j
n mentale, des troubles psychi-ques qui revêtent l'une ou l'autre des formes classiques de l'aliénation mentale. Un des mala
peu plus haut. Il ne s'agit pas là, suivantmoi, d'une combinaison des formes élémentaires de deux maladies — l'ataxie locomotr
crite par M. Brown-Séquard. — Nous l'observons chez Mlle V... dans la forme que j'ai proposé d'appeler tonique. — Cette forme
z Mlle V... dans la forme que j'ai proposé d'appeler tonique. — Cette forme . 1. Brown-Séquard. — Archives de physiologie, t
ement dans l'indu-ration grise multiloculaire, peut être opposée à la forme salta-toire, laquelle prédomine au contraire dans
s appoplectiformes dans la sclérose enpla-ques. — Des périodes et des formes . — Physiologie pathologique. — Etiologie. — Trait
conde et troisième périodes. — Symptômes de paralysie bulbaire. — Des formes et de la durée de la sclérose en plaques. Physi
ut étudiées en raison de leur fréquence. On les rencontre là sous les formes assez variées qu'elles peuvent revêtir. Aussi la
ses divisions et subdivisions. Mais, en somme, toutes tes variétés de forme que l'observation clinique a fait reconnaître, —
plexy des méde-cins anglais); 2° les attaques eonvulsiees oxxépilepti formes . Les caractères des deux types peuvent d'ailleurs
arlant, un trait commun à ces attaques, quelle que soit d'ailleurs la forme qu'elles affectent et la maladie à laquelle elles
et s'enchaînent ces éléments aux diverses phases et dans les diverses formes de la maladie. Celle-ci, en effet, ne se présente
est encore à une époque voisine de son début ou lorsqu'elle revêt une forme imparfaite, qu'il importerait d'apprendre à la re
les retrouverons, à peu près avec les mêmes caractères, dans d'autres formes de sclérose de la moelle épinière et en particuli
nous l'avons observé, mon ami Duchenne (de Boulogne) et moi, dans la forme de myélite centrale subaiguë ou chronique qui pro
araît inutile d'entreprendre la description particulière des diverses formes que peut revêtir la sclérose multiloculaire. Les
des diverses formes que peut revêtir la sclérose multiloculaire. Les formes cérébrale:, et spinale correspondant à un envahis
con-sidérés isolément, n'en sont pas pour cela modifiés. La première forme est très rare, la seconde assez fréquente, au con
ès rare, la seconde assez fréquente, au contraire, mais, en somme, la forme cérébro-spinale représente le type normal, celui
paralysie agitante dont la durée normale est beaucoup plus longue. La forme spinale laisse habituellement plus de répit ; ell
ocu-laire ; mais elle se montre là plus prononcée que dans les autres formes de la sclérose des centres nerveux. Elle peut êtr
uer que l'ischurie hystérique est un phénomène rare, du moins sous sa forme très accentuée, car il estimpossible, nous l'avon
et thérapeutique de l'hystérie. Paris, 1859. démontré que, dans une forme spéciale de l'hystérie—que j'ap-pellerai, si vous
devantvous, sont, si je ne me trompe, des exemples évidents de cette forme de l'hystérie; vous pourrez, en les examinant, vo
nt dans un coma plus ou moins profond, précédé ou non de convulsions ( forme comateuse de l'hystérie"! etchez laquelle on aura
uniqué récemment l'histoire à laSociété de Biologie,et chez lequel la forme de tremblement, dont j'ai voulu vous donner une i
rôle prédominant qu'à mon sens il joue dans la clinique de certaines formes de l'hystérie me paraît mériter toute votre atten
uateur de Brodie, dans une série très intéressante de leçon s sur les formes locales chirurgicales del'hystérie{2), comme il l
paraît être un phéno-mène constant, permanent par excellence, dans la forme d'hys-térie qui nous occupe, de telle sorte que,
e en relief le rôle vraiment prédominant de lovaralgie dans l'une des formes de l'hystérie. ^émmmmmm Vous xrenez de voir c
entiel de celles qui appar-tiennent à l'hystérie lorsqu'elle revêt la forme épidémique. Or, c'est à ce moment-là qu'apparaît,
ors elle nous offre, à l'état embryonnaire pour ainsi dire et sous la forme sporadique, un spécimen de ces danses du Moyenâge
arié-tés dans l'espèce, présentent à l'état rudimentaire les diverses formes convulsives qui se montrent à un degré beaucoup p
allet. DOUZIÈME LEÇON De la contracture hystérique. Sommaire. — Formes de la contracture hystérique. — Description de la
et celle qui dépend d'une lésion en foyer du cerveau. — Exemple de la forme pjn^ajD.hégicnie de la contracture hystérique.
cupait un seul membre; dans deux autres, elle se pré-sentait sous une forme hémiplégique, etdans les trois derniers, elle rev
s une forme hémiplégique, etdans les trois derniers, elle revêtait la forme paraplégique. Il est parfaitement exact que la co
uvoir faire passer sous vos yeux deux malades qui présentent l'une la forme hémiplégique, l'autre la forme paraplégique de
x deux malades qui présentent l'une la forme hémiplégique, l'autre la forme paraplégique de la contracture hystérique. Nous
s jointures sont également rigides, et le membre, dans son en-semble, forme comme une barre inflexible, car, enle saisissant
de connaissance. Cette attaque, selon toute vraisemblance^ a pris la forme épi-leptique de l'hystérie. Etch..., en effet, pe
accusation. 3° Dans le troisième cas, la contracture avait pris la forme hémiplégique ; elle affectait le côté droit et ét
ité que ces accidents convulsifs se distin-guent, c'est encore par la forme qu'ils revêtent, et, ce qui frappe le plus l'obse
aits plus ou moins prononcés qui rappellent Yépilepsiè. De fait, la forme convulsive, qui s'observe chez toutes ces femme
ous le nom à'hystéro-épilepsie, et, remarquez-le bien, c'est la seule forme qu'on rencontre chez elles. Toutes ces femmes ne
érie se montre combinée avec l'épilepsie, de manière à constituer une forme mixte, une sorte d'hybride composé mi-partie d'hy
aires de l'hystérie convulsive ? Vépilepsie ne serait là que dam la forme extérieure ; elle ne serait pas dans le fond des
remiers, conviendrait à désigner ces attaques mixtes. La convulsion à forme épileptique y apparaîtrait comme elle apparaît da
Si quelquefois beaucoup à l'épilepsie. » Aussi, eu a-t-on fait une forme particulière de l'hystérie, sous le nom dH hystér
rvation, dit que cette espèce hystérie à attaques mixtes n'est qu'une forme parliculière de l'hystérie ; ce n'est que de l'hy
à l'individu affecté, seraient la source de ces modifications dans la forme des attaques. La nature même de l'hystérie n'en e
lures et le pronostic qui lui est propre. A l'égard de cette première forme de l'hystéro-épilepsie, tout le monde est d'ac-co
le mélange s'est effectué et, dans les attaques ultérieures,les deux formes convulsives se montreront toujours combinées,bien
des membres. Ne paraît-il pas d'après cela vraisem-blable déjà que la forme dite épileptique, n'est à proprement parler que l
e, car il y a là matière à une importante distinction, que dans cette forme de l'hystéro-épilepsie, l'attaque épileptiforme,
ut entier, est dans l'extension; son grand axe, dirigé verticalement, forme un angle droit avec le plan du lit sur lequel la
, et de façon la plus accentuée,les symptômes locaux permanents de la forme d'hystérie que nous a\7ons pro-posé d'appeler ova
annoncé, présente tous les ca-ractères de l'hystérie ovarique sous la forme la plus régulière, la plus classique. Je vais ess
vait être considérée comme la continuation, la prolongation, sous une forme nouvelle, de l'attaque hysté-rique avortée. Mais
état de mal hystéro-épileptique, alors même qu'il se présente sous la forme la plus accentuée. A ce titre, il nous parait rat
n, en outre des symptômes hystériques antécédents ou concomitants, la forme môme des accidents , à savoir surtout : l'harmoni
us le constatez, l'agitation cho-réique rentre évidemment, quant à la forme des mouvements pathologiques, dans la description
n'est pas non plus absolument exact — au moins appliqué à certai-nes formes , cependant très accusées, bien que le tremblement
symptôme nécessaire de la maladie de Parkinson. il est, eneffet, une forme de cette maladie, forme fruste par excellence, po
la maladie de Parkinson. il est, eneffet, une forme de cette maladie, forme fruste par excellence, pour employer les ex-press
à dans la première édition de ses Leçons, M. Charcot a parlé de cette forme fruste. Il a rapporté sommairement l'his-toire d'
lus grosse. (B.) Sclérose en plaques disséminées : Cas fruste de la forme spinale ; — possibilité de la guérison. — Nouvell
e malade nous offre donc un cas de sclérose en plaques fruste dans la forme spinale. Elle nous montre aussi que la sclérose e
utes les couleurs cessent d'être perçues ab-solument, la notion de la forme étant conservée, et alors les objets n'apparaisse
tif d'attaques-accès (2). Il ne sera question ici que de la seconde forme d'hystéro-épilepsie, c'est-à-dire de l'hystéro-ép
pour éviter toute confusion,il propose d'appeler hysteria major cette forme de la maladie ; l'épilepsie ne serait là, d'après
me de la maladie ; l'épilepsie ne serait là, d'après lui, que dans la forme , elle ne seraitpas dans le fond des choses. C qsï
faits prouvent péremptoirement que l'épilep-sie n'est là que pour la forme : 1° la compression ovarienne peut arrêter plus o
ngtemps que l'imi- talion peut avoir une certaine influence, sur la forme que revê-tent les accidents de l'attaque hystériq
nt-Médard..., Les attaques passionnelles se retrouvent isolées sous forme d'extases ou de représentations, suivant l'expres
onsiste à con-sidérer les grands types avant d'en venir à l'étude des formes frustes et atténuées, car il est incontestable qu
e qui précède, nous sommes conduits tout naturel-lement à l'étude des formes frustes ou des variétés de l'attaque d'hystéro-ép
e. A. Variétés par prédominance d'une des périodes. — lre Variété. — Forme ép ileptoïde. L'attaque hystéro-épileptique se tr
au contraire toujours l'état de mal épileptique (1). 2° Variété. — Forme démoniaque. Celle variété est princi-palement con
temps à autre, spontanément, sans aucune provocation extérieure, sous forme d'accès. Il s'y surajoute quelquefois, principale
Saint-Guy (Chorea Germanorum) qui, à plusieurs reprises, a régné sous forme pandémique, dans les provinces du Rhin, pendant l
e que ces phénomènes appartiennent à l'affec-tion hystérique, dans sa forme grave, dont ils sont des mani-festations vulgaire
es et îlots de sclérose, irrégulièrement disséminés, de dimensions et formes variées, irrégulières, isolées où s'unissant par
qui exis-teraient entre certaines lésions de l'encéphale et diverses formes de la pneumonie, la tuberculisation pulmonaire. —
rance, bulbe, moelle épinière. — Plaques de sclérose sur les nerfs. — Forme spinale, cépha-lique ou bulbaire, cérébro-spinale
s apoplectiformes dans la sclérose en plaques. — des pério-des et des formes , — physiologie pathologique. — étiologie. — trait
nde et troisième périodes. — Symptômes de paralysie bulbaire. — Des formes et de la durée de la sclérose en plaques. Physi
. 320 DOUZIÈME LEÇON de la contracture hystérique. Sommaire. — Formes de la contracture hystérique. — Description de la
Sommaire. — Formes de la contracture hystérique. — Description de la forme hémiplégique ; analogies et différences entre la
et celle qui dépend d'une lésion en foyer du cerveau. — Exemple de la forme paraplégique de la contracture hystérique. Pron
........ 421 IV. Sclérose en plaques disséminées : Cas fruste de la forme spinale; — possibilité de la guérison....... ..
-tudes passionnelles, 438 ; — P. terminale, 439. — Variétés, 445. — Forme épileptoïde, 445. — F. démoniaque, 446. — F. exta
s de la substance grise de la moelle, 62. — Lésions de ces cellules : forme aiguë (pa-ralysie infantile), 68 ; — forme chroni
Lésions de ces cellules : forme aiguë (pa-ralysie infantile), 68 ; — forme chronique (atrophie musculaire progressive, 69. —
loroforme sur la —, 349. — Tré-înulation convulsive dans la —, 350. — Forme hémiplégique de la —, 347, 351. — caractères qui
. — caractères qui la différencient de l'hémiplégie orga-nique, 351 — Forme hémipara-plégique de la —, 358, 366. — Forme para
plégie orga-nique, 351 — Forme hémipara-plégique de la —, 358, 366. — Forme paraplégique, 347, 355, 360. — Pronostic de la
s-térique, 350, 364 ; — dans la sclé-rose en plaques, 245, 262. — Ses formes , 267. — Arrêt de 1'—, 338, 375. (V, Etat de mal é
érations des vaisseaux dans la —, 211. — Na-ture de la lésion, 219. — Forme spinale, 194, 222. — Forme cépha-lique ou bulbair
la —, 211. — Na-ture de la lésion, 219. — Forme spinale, 194, 222. — Forme cépha-lique ou bulbaire, 194, 222. — Forme cérébr
Forme spinale, 194, 222. — Forme cépha-lique ou bulbaire, 194, 222. — Forme cérébro-spinale, 1Ï5, 222. — Causes d'erreurs d
. — Pro-nostic, 271, 423.-Traitement,271. — Cas de guérison, 422. — Forme fruste de la —, 423. Secours (Des) chez les con
55 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tracer les rapports avec l'état mental normal et les princi- pales formes psychopathiques dans lesquelles il se montre, tel
nne- ment. l'idée fixe. 19 La conception délirante passagère se forme-t -elle, géné- ralement par suite d'essais d'expli
ébit et à l'association des idées, mais généralement, elle prend la forme d'accès, et toujours en provoquant la résistanc
t enlre l'obsession et l'idée fixe ? Le sujet en est très varié, la forme , multiple; rumination de problèmes philosophiqu
e la conscience, de falsifications des souvenirs qui, sous diverses formes , pro- duisent, de compte à demi avec l'idée fix
tes, à moins que « l'on ne s'obsline à regar- der précisément celte forme mentale comme une preuve de dégénérescence. »
er au xvltte siècle, pour voir les épidémies de délires religieux à forme dépressive, faire définitivement place à celles
religieux à forme dépressive, faire définitivement place à celles à forme théomaniaque. Antérieurement, on rencontre bien
élevé ou que pro- fesse le sujet aurait une grande influence sur la forme du délire ; voici comment s'exprime cet auteur
dées sanguinaires comme un objet de culte et une veille de Noël, il forme le projet atroce de faire un sacrifice expiatoi
ent politique, suivant leur caractère et le milieu ambiant. Dans sa forme habituelle, ce délire se traduit par la croyanc
les mystiques, est encore plus stupéfiante lors- qu'elle affecte la forme collective et épidémique; on a observé aux xvue
sques, plus limités, se répétant tou- jours à peu près sous la même forme (mouvements brusques de projection des bras en
ion, chorée variable, impliquant à la fois des va- riations dans la forme et dans le temps, dans la durée, est plus génér
u les révéler. La maladie avait débuté par des attaques épilepti- formes avec convulsions localisées au bras et à la jambe
c intermittence de calme et d'agitation, troubles hallucinatoires à forme zoophique, paraplégie symétrique bilatérale avec
a permis l'essai de modes d'hospitalisation appropriés aux diverses formes d'aliénation mentale observées. L'étude compara-
e dès lors l'élément le plus redoutable du délire, surtout dans les formes de la folie dont les préoccupations hypochondri
cale, et en particulier des opérations chirurgicales dans certaines formes d'aliénation mentale. Ces observations sont rép
ntale dans les Bouches- du-Rhône et quelques considéralions sur les formes de la folie. L'alcoolisme a fait des progrès da
lation arabe offre un intérêt particulier, tant au point de vue des formes mentales et des différentes manifestations du d
, J.-B. Baillière et fils.) Ce petit volume, aussi agréable dans la forme que substantiel dans le fond, constitue une sui
impose le traitement, il passe successivement en revue les grandes formes médullaires de la syphilis acquise : la syphili
rveux, les myélites aiguës, les myélites chroniques, les myélites à formes irrégulières. La seconde partie de l'ouvrage tr
: l ! , Privât. , Nocuia (E.) et SIHOL (J.). Maladie de Thomsen il. forme fruste avec atrophie musculaire. Brochure in-8°
rendu à la liberté. Observation VII (LEGnAin). Débile. Idée fixe à forme mystique. Délire religieux. Evolution chronique
sation. Dieu lui dit de suivre ses pensées. Il lui apparaît sous la forme créa- trice. Il ne le voit pas réellement, il n
état. Observation VIII (Krafft-Ei>11ng). Dégénérée. Idée fixe « forme érotiquc. Evolution chronique. L.... Rose, qu
INIQUE MENTALE. Observation X (Personnelle). Dégénéré. Idée fixe ci forme omGi- tieuse aboutissant au délire des dégénéré
ie. C'est vers 1895 que le délire fit sa pre- mière apparition sous forme d'une idée fixe de grandeur. Cette idée se déve
est ce qui a entraîné l'erreur. L'idée fixe en cette espèce morbide forme souvent un élément très net. Elle naît quelquef
i, comme je l'ai eu dans l'idée, il est possible que l'on donne une forme d'homme à un animal tel que porc ou autre, et q
e à constater qu'à expliquer par des mensu- rations précises. Les formes dans leur ensemble sont plus nettement mascul
ouches des pyramides petites et moyennes). Des éléments spéciaux de forme variée. mitrale, semi-lunaire, etc., mais surto
nsidérable que celui des grandes pyramides. Du corps cellulaire, de forme étoilée ou triangulaire, sortent trois ou un pl
déterminés : l'intoxication alcoolique (aigué ou chronique) et les formes déli- ¡'antes alcooliques. Dans l'intoxicatio
ide pour apprécier le degré de responsabilité du sujet. Quant aux formes délirantes alcooliques elles ne tirent de l'alcoo
chémas généralement simples, souvent d'une grande banalité, sous la forme desquels les sujets observés avaient emmagasiné
on actuelle l'alcoolisme sévit à tous les degrés et sous toutes les formes , avec ses funestes conséquences. Il résulte de
roduite qu'après un temps assez long; 4° généralement les aliénés à formes chroniques ne rêvent pas de leurs idées morbide
nérescence, cette maladie représentant une 144 SOCIÉTÉS SAVANTES. forme de dégénérescence. En résumé, le malade en questi
griffe et plantes voûtées. M. Rossolimo fait le diagnostic de la forme de Déjerine, de névrite interstitielle, avec fa
ts, plus durs, peut-être aussi uu peu gonflés. Du côté clinique, la forme de Déjerine se distingue par son évolution pio-
s comme de la démence précoce chez les épileptiques ne sont que des formes méconnues de paralysie générale. M. ARKAUD. A
t pas. Pourtant il admettait que le mutisme n'était en somme qu'une forme d'apha- sie. Comment expliquer alors la surdité
ssaud pense qu'il s'agit d'une artérite goutteuse qui détermine une forme spéciale de claudication intermittente ; en eff
trau- matisme semblant agir comme suggestion. Elle présente deux formes : to une forme pure dont les symptômes, la douleu
semblant agir comme suggestion. Elle présente deux formes : to une forme pure dont les symptômes, la douleur et la contr
es tout particuliers, sans phéno- mènes locaux réactionnels; 2° une forme mixte ou hystéro-orga- nique, constituée par l'
gie à une affection préexistante de nature inflammatoire. Dans la forme pure, l'articulation est d'ordinaire indemne de
roduire diverses lésions matérielles. Le diagnostic surtout dans la forme mixte est parfois très difficile à établir : l'
ar auto-intoxication et peu- vent donner naissance à la plupart des formes mentales connues, qui varieront selon le terrai
ent terminer cette attachante série de faits. Chacun de ces 152 cas forme un tout qui porte en soi sa part relative de co
osés, les héréditaires, les dégénérés. Aussi, n'existe-t-il pas une forme spéciale de folie des tuberculeux. Chacun délir
que Bail, dans son étude de la folie tuberculeuse, en décrit trois formes qui répondent aux conditions suivantes : 1° Les
eille l'idée d'aller voir ; puis l'image du mouvement à exécuter se forme en moi, je me lève et dirige mon regard vers la
ée de la tête et des yeux associée il l'hémianopsie latérale. Cette forme n'est pas décrite iso- lément dans les traités
nné une description pré- cise, les traits caractéristiques de cette forme d'apoplexie consistent dans l'absence de perte
lie à l'extérieur puis s'enfun- çant dans la substance blanche sous forme d'une bande étroite qui n'atteint pas la corne
rayonnante. Elle s'étend en arrière vers l'insula, mais plutôt sous forme d'infiltration, en particulier du côté de la ca
tiques peuvent atteindre leur maximum d'intensité dès le début sous forme d'une hémi- plégie flasque. La paralysie pèut
'ingTavescent apoplexy peut constituer au point de vue clinique une forme d'apoplexie, elle doit cette distinction au car
néanmoins le cas, de par sa marche générale, doit entrer dans cette forme ainsi la malade après un ictus rapide reprend c
s le ventricule, dépasse un peu en arrière le noyau lenticulaire et forme ub foyer à la partie la plus pos- térieure de l
nos cas d'apo- plexie progressive, nous pouvons dire que dans cette forme d'apoplexie, l'hémorragie n'a point originellem
ogressive au point de vue cli- nique peut être considérée comme une forme d'apoplexie, mais qui n'est pas tellement disti
orme d'apoplexie, mais qui n'est pas tellement distincte des autres formes qu'on ne puisse trouver des intermédiaires qui
r à peu de temps d'intervalle, deux malformations sem- blables sons forme de diverticules intestinaux, peut-être à des ét
aux semi-circulaires : c'est l'association des deux excitations qui forme l'image sensorielle du mouvement rotatoire, tan
mentale - des tendances à la vacuolisation - des modifica- tions de formes du noyau repou,ssé à la périphérie ou isolé au
vations très intéressantes dont une autobiographie. Il s'agit de la forme grave d'homosexualité avec perversion des insti
mmet de l'articulation esl formé par la rotule, l'articulation a la forme angulaire. Pour Sclultess l'allon- gement du li
nées. Lorenz conseille l'opération non sanglante sous le chloro- forme vaincre la résistance des adducteurs. D'après Lor
lement infectieuse (influenza ? ). L'observation présenterait une forme mixte Strümpell-1'er- nicke. Discussion. M. M
e vers les noyaux de la protubérance des deux côtés, en partie sous forme d'un faisceau vertical qui remonte le long du rap
'avoir été un précurseur dans le traitement hypnotique de certaines formes d'aliénation mentale. L'hypnotisme et le traite
aigu, qui n'est que l'exagération du subaigu peut se présenter sous forme dépressive ou sous forme agitée. Dans la forme
gération du subaigu peut se présenter sous forme dépressive ou sous forme agitée. Dans la forme dépressive, la stupeur es
ut se présenter sous forme dépressive ou sous forme agitée. Dans la forme dépressive, la stupeur est profonde, les hallucin
rsécution, d'où tendance au suicide (lièvre chaude des anciens). La forme agitée n'est autre chose qu'une sorte de deliri
nstitue la fièvre pernicieuse coma- teuse. Il se présente sous deux formes différentes : la dépressive (stupeur intense) e
passant par l'idée fixe délirante intermé- diaire. En dehors de ces formes de jalousie morbide, idiopathiques pour ainsi d
les, notamment dans l'exci- tation maniaque pure, la folie à double forme , la paralysie géné- rale au début, l'imbécillit
général, le pronostic est grave ; il varie, non pas tant suivant la forme et l'intensité du délire que suivant le l'acteur
c. Cette capacité et cette respon- sabilité varient donc suivant la forme clinique du délire et son intensité et aussi, d
la forme clinique du délire et son intensité et aussi, dans chaque forme , suivant les individus. 11 n'y a donc pas de rè
t par impuissance à agir. L'aboulie du pouvoir se présente sous une forme obsédante. On a ainsi une obsession-inh'bition
ns, l'obses- sion-inhibition peut se présenter en clinique sous les formes les plus variées : parmi les plus fréquentes il
ielle organique. La syncope géni- tale peut se présenter sous trois formes : le puissance conservée pour toutes les femmes
ussi il serait indiqué de procéder à l'isolement du malade sous une forme appropriée. Malheureusement, on se heurte en pra-
u zona facial dans la paralysie générale. Duquennoy (Paul). Sur une forme à début douloureux de la paralysie infantile.
leyre (Charles). Neurasthénie et genitopathieb féminines, étude des formes utérines secondaires de la névrose. - Sterlin (
- Szum- lanski (Paul). Un cas d'arthropathie tabélique p1'Pcoce ci forme hyper- trophique chez un vieillard. Truelle (
à ce qui existe pour ces vésanies qui affectent nécessairement une forme quelcon- que, les vrais troubles psychiques pos
- met-elle pas de « prévoir quelle serait la nature du délire, la forme et la durée des accidents ». En outre de ces di
les dix ou quinze dernières années de sa vie. Nous ignorons quelle forme ont revêtu les troubles mentaux signalés chez cet
it à le tenter pour l'emmener avec lui en Enfer ; le Démon avait la forme d'un homme noir; il n'en avait pas peur, au con
e s'est amélioré. De .plus, la folie a revêtu chez notre malade, la forme que certains auteurs, en particulier M. le D''
la confusion mentale. Le délire toxi-infectieux, au moins dans sa forme habituelle de confusion mentale subaiguë, est un
i tient sous sa dépendance la fonction psychique. Si les diverses formes que revêt la folie post-opératoire étaient touj
eut jouer un rôle actif et même décisif dans la production d'autres formes de folie. De même que l'intoxication éthylique
ne permet elle pas de prévoir quelle serait la nature du délire, la forme et la durée des accidents ». Nous n'insistero
ale pro- gresse de jour en jour. Cependant, M... ne présente aucune forme d'aphasie, ni cécité verbale, ni surdité verbal
possédons cinq observations, que nous avons recueil- lies dans les formes suivantes : 10 Une mélancolie simple, sine deli
nsitoire. Remarquons d'abord l'existence de l'aménorrhée dans des formes mentales très différentes ; nous avons trois mani
fonctions psychiques ; elle semble normale dans les intervalles. La forme mentale ainsi établie en dehors de la névrose h
s latérales de la verge, mais la face inférieure est à nu ; la peau forme donc une 394 RECUEIL DE FAITS. sorte de pont,
tronc et des membres, la finesse des dents, la gracilité des os, la forme du thorax, et surtout par le développement des
xagéré. Il est donc manifeste que l'hermaphrodisme, même dans ses formes les plus simples, se complique fréquemment de d
et trop vagues, mais il ne serait pas mauvais de carac- tériser les formes par un symptôme dominant, et résultant nette- m
de l'affection, mérite à ces divers titres de servir à désigner la forme ou la phase du tabes dans laquelle se REVUE DE
° Les premières récidives constituent dans la pluralité des cas des formes plus graves de paralysie (électri. quement parl
ns l'hystérie. Il n'a pas d'autre particularité que d'appartenir la forme pleinement pure, typique. Il s'agit d'une vieil
e astasie-abasie persistante (elle dure depuis quatre ans), est une forme paralytique, à carac- tères hystériques, elle a
ectrode nécessaire, ronde, en 318 S REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. forme de bouton mesure 5 millimètres ; on la revêt de c
deux frères de onze ans et de treize ans et demi on cons- tate une forme progressive caractérisée par : 1° de l'ataxie sta
on latente. Il est bon d'insister sur les mouvements irréguliers en forme de tics (de la tête) des deux enfants, et sur c
y ait des points de contact avec la paralysie infantile cérébrale à forme monoplé- gique, avec la contracture tardive pos
qui continue à exécuter sa fonction spécifique. La modification de forme et le rapetissement de la cellule du ganglion,
29 malades examinés dans deux manicomes et appartenant aux diverses formes men- tales qui s'y rencontrent généralement. Il
ographie intéressante, à plus d'un titre, le Dr 'l'rénel décrit une forme de délire assez rare et dont la plupart des tra
e continue. Quoi qu'il en soit, le délire menstruel peut revêtir la forme maniaque, mélancolique ou hallucinatoire ; souv
romure de potassium sont naturellement indiqués ; dans les accès de forme dépressive et dans les périodes dépressives si fr
Dans une étude intéressante, l'auteur passe en revue les diverses formes de folie qui peuvent tirer leur origine de l'infe
IE MENTALE. 329 naissance à une paralysie générale vraie mais à une forme men- tale qui lui ressemble tout en ayant des s
Fournier, hubino et d'au- tres auteurs affirment l'existence d'une forme épileptique de syphilis cérébrale secondaire qu
due à une défectuosité héréditaire du neurone qui peut conduire aux formes graves des phobies confinant elles-mêmes aux id
ques F... s'arrête au diagnos- tic d'encéphalite, et notamment à la forme décrite par Leyden et Goldscheider sous le nom
spèces : 1° accès épi- leptiformes généralisés; 2° accès partiels à forme corticale, consis- tant en secousses convulsive
cas de cysticerques multiples observé par lui et qui évolua sous la forme d'une myélite par com- pression à marche rapide
r dorsal inclusivement. Il s'agit sans doute d'une hémato- myélie à forme tubulaire, ayant intéressé principalement les g
ême temps les hémorragies ont cessé. La deuxième malade présente la forme fruste de la maladie de Basedow, masquée par de
ie de Basedow, a pu servir de point de départ pour diagnostiquer la forme fruste de cette affection. Discussion. - M. POS
eur un petit coup sec sur un muscle en état de relâchement, il se forme parfois à l'endroit de la percussion, en même tem
issu musculaire lui- même. L'existence de la démence précoce, comme forme autonome, n'est pas encore suffisamment démontr
ous les intermédiaires existent; c'est une suite ininter- rompue de formes symptomatiques, depuis la simple rigidité jusqu
édicale DU Canada (nos 1 à 4, 1899). Cette revue mensuelle, dont la forme et la langue sont celles de notre pays et qui c
s ont conflué et forment des blocs plus gros, irréguliers dans leur forme et leur répartition ; corpuscules cliromatophyl
ue aussi-parfaite que le bleu de méthylène. Les modifications de la forme des cellules sont toujours plus rares et moins
t quitté les parois de leur loge névroglique ; leur corps prend des formes anguleuses et se déforme encore par la rupture
ts on rapproche cette autre particu- larité : la variété infinie de formes et de dimensions des cellules de la moelle, on
qu'a libérées la rupture du dendrite, le corps cellulaire prend une forme irrégulière, le noyau est ainsi plus ou moins é
sa situation au centre de la cellule, son contenu plus homogène, sa forme plus régulière, il soit moins accessible que la
nsistants qui servent de moule aux fluctuations artificielles de la forme du cytoplasme, sur les contours duquel ils form
ns voiles ni pelli- cules. Sur gélose à+ 37°, cultures maigres sous forme d'un mince voile grisàtre à peine visible et tr
-ci : diplocoques à grains un peu allongés, ressemblant à certaines formes des pneumocoques, et très courtes chaînettes ;
lieux solides (agar, gélatine). Nous pensons avoir eu affaire à une forme un peu spéciale de streptocoque et nous croyons
ui explique la pureté du type clinique : myélite ascendante aiguë à forme exclusivement motrice. On sait en effet que rie
ériphérique viennent compliquer le tableau, faut-il distinguer deux formes de paralysie ascen- dante, l'une névritique, l'
, par une évolution plus lente et une guérison plus fréquente. La forme médullaire pure ne s'accompagnerait jamais de t
aux bulbaires. Notre cas serait un des types les plus purs de cette forme médullo-bulbaire. Boudin', dans sa thèse a tent
lconques*. » D'ailleurs attacher le nom de maladie de Landry à la forme médullaire pure de paralysie ascendante aurait le
S. 373 Conclusions. - 1° Il est des cas de paralysie ascendante à forme motrice pure, dus à des lésions exclusives de la
ales, les auteurs ont été amenés à les étudier dans les différentes formes de vésanies, au hasard de la clinique. Sont-ell
à voix basse les mots que dit mon langage intérieur; c'est là notre forme d'images vives à nous moteurs 2. » A l'état p
restent grands ouverts, la pupille te dilate au point que l'iris ne forme plus qu'une zone presque imperceptible. Comme l
parables. (Revue neurologique, mai ISH.) E. B. XIV. Des différentes formes de paraplégie due à la compression de la moelle
usculaires. Cela posé, l'auteur réunit dans le tableau suivant, les formes les plus typiques de paraplégie due à une compres
es fibres motrices et ensuite sur les fibres sensitives. A côté des formes typiques, il existe des formes irrégulières, atyp
ur les fibres sensitives. A côté des formes typiques, il existe des formes irrégulières, atypiques : telles sont, par exem
imum d'intensité d'abord sur les fibres sensitives. Dans une de ces formes dont la production n'a pas encore reçu d'explic
oteurs plus ou moins accusés, une exagéra- tion de l'une ou l'autre forme de la sensibilité. A. FENAYROU. XV. Les phénomè
iale, et contient des mottes, de grosseurs les plus différentes, de forme angulaire, grumeleuse, distordue. Les grosses s
lu avec dégénérescence extrême des racines posté- rieures. Ce noyau forme , comme dans les préparations normales, une vési
sente une i 404 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. forme anormale. La substance chromatique est normalemen
gion de la zone acoustique d'Ahlbom. Sa plus grande partie, sous la forme d'un large ruban, s'en va, par le pédoncule cér
fibres radiculaires postérieures. Mais elle peut atfecter plusieurs formes , par exemple la forme en virgule (Schultze) ou
térieures. Mais elle peut atfecter plusieurs formes, par exemple la forme en virgule (Schultze) ou se traduire par la dég
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 07 dans leur segment antérieur. Mais la forme de la dégénérescence est tout à fait différente
- sant ininterrompu, pourvu d'épais renflements très nombreux, de formes irrégulières (Golgi. Fine structure du système ne
structure de la substance fondamentale de la cellule est bien réti- forme et en rayons analogues à ceux d'une ruche. Mais l
; puis, il oblique de haut en bas et de de- hors en dedans sous la forme d'une couche grêle qui reste cepen- dant à égal
. L'entrée du nerf optique dans le globe de l'oeil a lieu sous la forme d'une étroite tige oblique, toujours dirigée de h
t de sphère interne, inférieur et postérieur de l'oeil. L'angle que forme la papille avec la perpendiculaire est d'un peu p
t d'un peu plus de 30°. La tige de la papille et l'éventail qu'elle forme en faisant sail- lie à l'intérieur du globe de
uand les attaques sont accompagnées d'une extrême irritabilité sous forme d'excitation ou de dépres- sion. Un bon succéda
ho descriptif, indique nettement un accès transitoire d'agitation à forme maniaque. D'après Luys les lésions du lobe céré
idents déjà anciens. Il s'agissait d'un accès violent d'agitation à forme maniaque s'étant déclaré subitement, avec hyperth
té noté aucun trouble moteur. En 1892, nouvel accès d'agitation à forme maniaque avec hyper- thermie : 39°,3, troubles
système de projection des frontales et de la frontale ascendante ne forme plus qu'un magma sangui- nolent et rempli de ca
où la substance grise était intéressée. Ces convulsions épilepti- formes se sont surtout montrées fréquentes et violentes,
tège de manifestations psycho-palhologiques : : accès d'agitation à forme maniaque et à début brusque, se traduisant par
s gastro-intestinaux, auto-intoxication, troubles hallucinatoires à forme terrifiante, particulièrement de la vue, douleu
ativité même des impressions reçues au cours de l'examen de cette forme pathologique si mobile, nous gardent de généralis
i- cole, des jardins, du bétail : ils doivent être organisés sous forme de fermes. Il recommande les occupations en plein
epos psychique, du repos du cerveau, elles sont constantes dans les formes aiguës. Qu'il s'agisse en effet d'états d'excit
que donne le séjour au lit ; la physionomie de l'asile se trans- forme et tend à se rapprocher de celle d'un hôpital.
ès Brosius, le séjour au lit dans les états maniaques et les autres formes avec excitation. 'Les chiffres ci-dessous monta
ell comme traitement systématique de l'hystérie grave, de certaines formes de neurasthénie et de la chorée intense '. E.
tre. : " Du traitement méthodique de la neurasthénie et de quelques formes d'hystérie. » Paris, 1883.) Avant Weir Mitchell
le mérite de saisir les indications du repos au lit dans diverses formes psychopathiques, n'eurent pas la bonne fortune de
.) \ 7 lagilan. Il/lemenl, Traitement par le repos au lil, dans les formes aiguës el subaigucs de l'alcuolisme. [Dixième C
ereboullet et Allard, relative,à un cas de névrite périphé- rique à forme hémiplégique, il résulta de l'examen électrique q
de la chorée variable de Brissaud, tandis que la troisième est une forme de la chorée de Sydenham, la seconde est une fo
roisième est une forme de la chorée de Sydenham, la seconde est une forme de transition, une chorée chronique non progres
t atteinte aux adducteurs et aux extenseurs de la jambe, modifie la forme et la situation du pli cutané des adducteurs. L
il s'abaisse de cinq à dix millimètres, et, parfois au-dessous, se forme un second pli moins creux, ce dernier surtout c
ment normal, met autant de temps que le sang défibriné à déposer et forme alors un plus gros dépôt que normalement. Il se
étation-là serait postérieure à l'autre. P. KËRAVAL. LXV. Sur une forme psychopathique particulière de rétention d'urin
VAL. 1.Y\III. Des attaques épileptiques et épileptoïdes revètant la forme d'angoisse; par W. DE BFCIITEREW. (Nellrol. Cen
le cours de l'épilepsie en général. Elles peuvent survenir sous la forme ' De nombreux faits montrent l'action puissante
nce de contracture de la moitié paralysée. Le raphé de la langue ne forme pas de crochet, la langue ne s'incurve pas du c
pointe revenant au côté sain; en un mot le raphé ne prend pas la forme d'un S. « Il est probable, dit M. Hoffmann, que t
sque le malade retire sa langue, le côté paralysé retarde; ainsi se forme l'incur- vation du raphé du côté sain contracté
t remplis de vaisseaux pleins à éclater mais ne présentant point la forme de tire-bou- chons ; on y constate aussi de nom
nnes ne peuvent pas suivre la même voie et donner ainsi certaines formes de syringomyélie. M. Paul Londe. Sur les troubl
Enfin, comme le disait Charcot, en 1892, il faudrait rechercher les formes mentales de la maladie et ses symptômes psychiq
- sentera à la fois les dangers de la suggestion et ceux du chloro- forme . D'ailleurs, si, après échec de l'hypnotisme,' on
gie accumulée sous pression dans le cerveau. Il en décrit plusieurs formes variant suivant les tempéraments. Naturellement
de la -, par Worcester, 501). Cellules dans les hôpitaux et ré- formes urgentes, par Bourneville, 522. - Centres ner
te doulou- reuse, par Brissaud, 157. Compression. Des différentes formes de paralysie due à la - de la moelle épinière
res sponta- nées pendant les accès -, par Charon, 484. Attaques - forme d'angoisse, par de liechterew, 500. Esprit SC
e abdominale chez le chien, par llotbmanu, 226. Des difré- rentes formes de paraplégie due à la compression de la épiniè
56 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
peuvent réaliser ; et, dans la pratique, le diagnostic des diverses formes entre elles et même avec les lésions en foyer i
bservations qui en ont été publiées, puisque aussi bien c'est là la forme la plus fréquente d'hémorrhagie méningée primit
est irrégulière, du moins sur une de ses moitiés qui est dilatée et forme un petit sac contenant du sang. L'exis- tence d
l son tour complètement. L'endartérie ou mieux sa portion interne forme , adossée à l'adventice, la paroi de la dilatation
stices du tissu fibreux pariétal et tout autour de cette paroi sous forme d'un caillot volumineux indique selon toute pro
s épileptiformes survenant sans cause connue et se montrant sous la forme intermittente suffisaient à établir le diagnost
la deuxième, ni à la troisième période; seulement à l'occasion des formes spinales, il parle d'un satyriasis habituel, bi
rs nuances, leur fréquence absolue et relative selon les diverses formes mentales, l'intensité des troubles moteurs aux ph
les altérations en plus et en moins du sens génital et les diverses formes mentales que peut présenter la paralysie généra
diverses formes mentales que peut présenter la paralysie générale, formes expansives, dépressives et mixtes, formes démen
er la paralysie générale, formes expansives, dépressives et mixtes, formes démentielles et de rémission, formes calmes ou
ives, dépressives et mixtes, formes démentielles et de rémission, formes calmes ou agitées ? Le tableau suivant répond à c
ès laquelle l'altération en plus serait particulièrement propre aux formes expan- sives, opinion due sans doute à l'étalag
ces malades de leurs excitations génitales; ce sont en réalité les formes démentielles, dans lesquelles il faut au contra
nt fourni le maximum d'exaltation génésique, et détail curieux, les formes démentielles calmes avec la forte proportion d'
t d'exagération tandis que le fait n'a jamais été relevé avec les formes démentielles agitées. D'après notre tableau, en e
ases d'agi- tation ; nous venons de constater le contraire dans les formes démentielles, nous constatons de même pour les
aire dans les formes démentielles, nous constatons de même pour les formes mixtes que la proportion de l'altération en plu
raison donnée plus haut, ne serait donc fondée que pour cette seule forme mentale. En troisième lieu, à noter l'absence d
lieu, à noter l'absence d'excitation génitale dans tous les cas à forme dépressive, que la dépression fût calme ou agitée
trième rang par ordre de fréquence, le troisième étant pris par les formes mixtes calmes, et le cinquième et le dernier ex
et le cinquième et le dernier ex-oequo, à 1 p. 100 près, par les formes expansives calmes et mixtes agitées ; nous avons
ait jamais été exagéré. Il est maintenant à remarquer que ces trois formes men- tales, démence agitée, dépressive calme et
une façon très nette de la répartition des îlots de sclérose, de la forme des circonvolutions et un peu des sillons super
.. que nous ne l'avons vu dans d'autres cas. IV. Les accès épilepti formes ont été très rares durant le séjour de l'enfant
observés par l'auteur on comptait 8 garcons et 5 filles. Toutes les formes de psychoses peuvent se rencontrer chez les enf
orth a décrit il y a peu de temps deux cas de maladies cérébrales à forme de dégénérescence observés chez des enfants et
service des enfants de Bicêtre de nombreux exemples des différentes formes de la folie chez les enfants et les adolescents.
ation du bleu de méthylène dans l'épilepsie, l'hystérie et quelques formes mentales; par H. Bonfigli. (Riv. sp. di frein.,
des bons effets de la mé- dication glandulaire, par le thymus sous forme d'extraits en tablettes. A signaler dans le n
de l'alcoolisme est la privation absolue du poison sous toutes ses formes . A la fin de son travail, M. Legrain exprime ce
l'activité intellectuelle, certaines fluctuations de l'humeur, les formes et les nuances de l'extériorisation psychique de
s que posent les adversaires des colonies, l'auteur considère cette forme d'assistance comme la meilleure pour le désenco
es y reçoivent est exclusivement industriel. On y trouve toutes les formes d'idiotie et quelques cas curieux de difformités
les ordinaires, se souvenir que, à Gheel, on n'admet pas toutes les formes d'aliénation men- tale : les malades violents,
abaissement de l'oeil ne prend aucune part. SOCIÉTÉS SAVANTES. C7 Forme anormale de la maladie de Recklinghausen. MM. Ren
logique, l'autre psychologique ; et pour y distinguer en outre deux formes , suivant que l'attention 70 BIBLIOGRAPHIE. in
um, à des doses progressives et rapidement élevées. L'opium, sous forme d'extrait, est ainsi administré au début, à la
signale aussi l'améliora- tion des accidents psychiques, surtout il forme mélancolique. . Aurelio Lui,, sur 3 cas, a obte
auma- tisme céphalique est pris dans la suite de crises épilepti- formes à localisation corticale très nettement détermina
et demeurait lente et obtuse. Ces attaques révélaient exactement la forme sui- vante : Léonie éprouvait une aura sensitiv
t 5.) L'histoire préépileptique de cette malade aussi bien que la forme et le caractère de ses attaques devaient nécessai
exes rotuliens, point qui est au contraire la caractéristique de la forme décrite par M. Sottas sous le nom de myélite ps
ssen- tiellement des malades de M. Gilles de la Tourette. Dans sa forme pseudo-tabétique, on constate un myosis et une di
eau et Lévy, bilatéral dans un autre cas de syringomyélie-tabéti- forme . Ce sont là des faits exceptionnels et nos malade
n'avons pas vu signalées des observations de paraplégie spasmodique forme Erb, avec signe d'Argyll. Le plus souvent on dé
troubles du goût. Les oreilles n'ont rien de particulier dans leur forme : otite moyenne chronique double, forme fongueu
en de particulier dans leur forme : otite moyenne chronique double, forme fongueuse; il n'y a plus de tympan, fond de cai
un panaris. Les membres inférieurs sont bien développés, normaux de forme , de volume et d'attitude. On constate une cicat
, le rachitisme et l'ostéomalacie, la folie et le crime sont toutes formes morbides qui peuvent avoir pour cause le crétin
de nutrition, une détérioration spéciale qui nous apparaît sous la forme scrofuleuse dont le goitre est un des premiers sy
ancien maitre, Baillarger avait dit longtemps avant : » Toutes les formes de dégradation organique se rattachent à l'endémi
tain temps pour qu'ils reparaissent, ce qu'ils font alors sous une forme exagérée. Dans le cas dont il s'agit (et cela est
nduit un nerf sensitil, les cellules nerveuses motrices changent de formes . Les auteurs ont néanmoins là-dessus des opinio
seau de fibrilles primitives intracellulaires autrement que sous la forme de séries de granulations plus ou moins.denses.
ans le système nerveux central révélées par le sel d'argent sous la forme de neurosomes isolés. L'impéné- trable embrouil
tement, quelques-unes même très volontiers ; 10° Des 13 aliénées de formes mentales différentes soumises à l'alitement cin
evint le résultat. Voici par quartiers le nombre des malades et les formes morbides en traitement en septembre 1897. 142 R
rapidement, soit graduellement. C'est ce qui a eu lieu, dans les formes mentales suivantes : 144 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE
our 34, plus de 3 mois pour 11. Autant dire que, quelle que soit la forme mentale, deux ou trois semaines au plus d'alite
. XX, p. 308.) D'un examen complet de l'hémianopsie sous toutes ses formes 152 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' (homonyme
'ankylose avec incurvation de la colonne vertébrale constituant une forme mixte, tenant à la fois des laits de Struempell
erses manières, mais ont eu concurremment un même résultat. La même forme clinique de l'alcoolisme se produira dans tel c
elle (7 fois seulement sur 237 malades). Délire hypochondriaquc à forme évolutive- - M. CASTIN commu- nique l'observati
TIN commu- nique l'observation d'un cas de délire hypochondriaque à forme évolutive ayant duré toute la vie. Il s'agit d'
s d'une même génération (frères, soeurs, cousins et cousines). La forme mentale doit aussi être la même chez tous les suj
OCIÉTÉS SAVANTES. l'être aussi, il serait fatalement voué à la même forme ; j'ai fait des recherches dans la même directi
trois caractères princi- paux : 1° Elles atteignent sans changer de forme plusieurs enfants d'une même génération ; 2° el
t analogue à la dipsomanie, et peut, comme celle-ci, présenter deux formes , selon son origine et sa nature. Ce peut être u
es fibres tangentielles de la substance grise sous-épendymaire, qui forme le toit du ventricule latéral, dans le corps ca
omyélites pures et des polynévrites proprement dites, il existe des formes où la lésion frappe à la fois la cellule et le
yphilis ou le mercure. Après une étude de l'hystéro-traumatisme à forme paraplé- gique, vient une leçon fort intéressan
leçons sont consacrées à l'étude du myxoedème sous ses différentes formes , infantile et spontanée, et à son traitement. T
a mort des paralytiques généraux, par le Dr Arnaud (de Vanves). Les formes pathologiques de la rougeur émotive, par le Dr
érapeutique. De l'alitement (repos au lit) dans le traite- ment des formes aiguës de la folie et des modifications qu'il pou
is con- ducteur placé entre deux corps bons conducteurs. Or il se forme normalement des diélectriques, dans les conduct
ondes nerveuses continuent de traverser le neuro-diélectrique sous forme d'effluves, comme il arrive dans le condensateu
té peut alors être considéré comme une manifestation d'une certaine forme de folie. Les malades sont, dans ce cas, comme ce
eurs ont été pris les premiers. Leyden a cru devoir distinguer deux formes , bulbaire et névritique, afin d'expliquer la fa
Kerwal. Accès épileptiques et épileptoïdes se manifestant sous la forme d'angoisses ; par W.-M. Bechterew. (nbO : 1'p¡¡ie
de l'hippocampe, occupant le domaine des lobules lingual et fusi- forme . L'artère cérébrale postérieure était obstruée pa
est important de connaître l'évolution particulière de chacune des formes patho- logiques pour en tirer, au point de vue
édecins consistait en ce que les premiers admettaient que certaines formes et certains degrés de folie entraînaient seuls
tes, et soutenaient, avec raison suivant l'au- teur, que toutes les formes et tous les degrés de folie impliquaient l'irre
chaque phénomène le rang qui lui revient, non seulement d'après sa forme , sa couleur, son con- tenu, mais surtout d'aprè
bles psychiques qui survivent à l'accès peuvent affecter toutes les formes cliniques depuis la manie et la mélancolie, dep
seule se trouvent réunis ; 3° Les manifestations morbides de cette forme particulière de psychose, et les altérations co
es psychoses pures, ou plutôt celles qui se rapprochent le plus des formes pures, présentent des tableaux atypiques, des f
le plus des formes pures, présentent des tableaux atypiques, des formes mixtes qui guérissent dans plus de la moitié des
a moitié des cas; 5° La mélancolie apparaît le plus souvent sous la forme grave de la stupeur, s'accompagnant d'actes imp
mysticisme et l'onanisme ; 0° La manie se présente rarement sous la forme bénigne , elle revêt le plus souvent le caractè
(hébéphrénie) décrite par Kahlbaum et Hecker, se présente sous deux formes : une grave et une légère. La forme grave peut
Hecker, se présente sous deux formes : une grave et une légère. La forme grave peut offrir les symptômes de la stupeur, de
nfusion mentale... C'est ce qui en rend le diagnostic difficile. La forme légère ou démence pré- coce simple (stigmate de
affaiblissement mental ; 3° Folies périodiques, 20 cas. Toutes les formes y sont représentées; 4° Récidives à échéances v
observés. Ces phénomènes psychiques sont surtout les émotions. Les formes pathologiques de la rougeur émotive; par P. HARTE
suivant lui la qualité de l'irrégularité sexuelle qui donnerait sa forme à la névrose. Cette théorie générale n'étant pas
ffèrent absolument de la neurasthénie à stig- mates classiques. Une forme pure de névrose d'angoisse n'a rien de commun a
s. Une forme pure de névrose d'angoisse n'a rien de commun avec une forme pure de neurasthénie dépressive ; 2° Elle paraî
sa précision. Il serait bon de posséder un nom pour qualifier cette forme de névropathie, où la dépression est absente, m
lesse irritable du système cérébro-spinal. Il en est ainsi pour les formes pures. Mais dans la pratique, comme les causes mo
i,- dons postérieurs, d'origine héréditaire ; d'abord, on en fit la forme héréditaire du tabes dorsalis, de l'ataxie loco
l'existence d'une sclérose qui envahit les centres nerveux sous la forme d'îlots disséminés; les recherches cliniques de
Hayem nous ont fourni les preuves matérielles de l'existence d'une forme d'atrophie muscu- laire progressive, en rapport
appellent des réactions multiples. Les unes s'extériorisent sous la forme de mouvements qui d'abord ont pour unique but l
rs, sur les idées de souvenirs de toute caté- gorie. Le jugement se forme sur les résultats de notre propre expérience et
EUTIQUE. De l'alitement (repos au lit) dans le traitement<iies formes aiguës des maladies mentales et les modi< fi
as, en affaiblis- sant l'énergie mentale, contribuer au passage des formes curables de ce l'amentia » en formes incurables
ale, contribuer au passage des formes curables de ce l'amentia » en formes incurables, et si, la forme diagnostiquée « dem
formes curables de ce l'amentia » en formes incurables, et si, la forme diagnostiquée « dementia præcox » ne sérail parfo
égime au lit sur les maladies mentales est incontestable. Certaines formes graves avec le complexus symptomatique de «-del
sont devenues sous ce régime presque toutes non mortelles, d'autres formes avec l'excitation maniaque suivent leur cours d
les mélancoliques, enfin, chez presque tous les malades atteints de formes aiguës des psychoses à leur période initiale. L
it agit sur l'énergie de la force direc- trice de l'esprit dans les formes si fréquentes d' « amentia » (confusion mentale
vant les indications individuelles presque à toutes les psychoses à forme aiguë, surtout à la période initiale de la mala
ues, sur ceux qui souffrent du délire alcoolique, dans beaucoup des formes de confusion mentale et de mé- lancolie. Il peu
de quinze ans, une lièvre typhoïde de trois semaines de durée et de formes régulières, à la période d'apyrexie de laquelle
tion assez mûre, les conclusions assez solides pour leur donner une forme plus .définitive. Je n'en parlerais donc pas si
umière, son, électricité ne sont - on le sait aujourd'hui,- que des formes différentes de l'énergie dont on peut établir l
que je soutiens, c'est que la force nerveuse n'est également qu'une forme de l'énergie : se confond-elle avec une des for
également qu'une forme de l'énergie : se confond-elle avec une des formes connues, et avec l'électricité en particulier,
ulière, d'où les différences qu'on pouvait observer, différences de forme , mais non de nature. La similitude est telle en
travers le système nerveux, la force qui a agi sur lui se trans- forme donc, que ce soit une vibration lumineuse, thermi
itation purement mécanique. Au niveau des neurones, ces différentes formes d'énergie prennent une nouvelle forme : énergie
es neurones, ces différentes formes d'énergie prennent une nouvelle forme : énergie nerveuse et psychique. M. Binet-San
ire qui se calque sur ce qu'on peut obser- ver dans les différentes formes et applications de l'énergie électrique. C'est
des rensei- gnements surtout sur les anomalies de dimensions et de forme . Mais nous trouvons, dans les Mémoires de l'il
anciennes observations insistent davantage sur les dimensions et la forme de la tête, dans l'anatomie pathologique de l'i
t que « la crois- sance du cerveau est le facteur déterminant de la forme du crâne». A l'examen microscopique, les cellul
5 rieure et antérieure à la naissance. Mais dans les deux cas, la forme de la tête, inversement ovoïde, si on la regarde
rement à la naissance. Un cas intéressant de l'association des deux formes que nous venons de décrire a été publié par le
uvelles-Hébrides et des îles Carolmes. D'après sir W. Turner, cette forme du crâne est due à des causes agissant pendant
4° Dans la variété d'idiotie désignée sous le nom de Mongolique, la forme de la tête est caractéristique ; elle est brachyc
amélioration est peu marquée du côté des membres paralysés. Dans la forme acquise, il y a perte de substance nerveuse, pa
ssus des arcades sourcilières ; dans l'hydrocéphalie la tête est de forme arrondie; mais dans l'hypertrophie, elle se rap
embranes du cerveau est beaucoup ' plus fréquemment observée que la forme aiguë mais toutes deux attaquent principalement
ique mentale à Saint-Pétersbourg. La classification des différentes formes de l'idiotie proposée par M. Bourneville1, basé
s à l'hétérotopie ordinaire, car cette dernière se présente sous la forme d'îlots de cellules ganglionnaires incrustés da
MÉDECINE. très rares, dispersées, isolées et jamais agglomérées en forme d'ilots dans la substance blanche. En outre, da
rphes. Ainsi les neuroblastes qui conservent un certain temps leurs formes embryonnaires, et qui se trouvent dans un état
teur a fait à la Section une véritable leçon de choses. Pour chaque forme pathologique il a montré deux ou trois cerveaux
er, quant à présent, au point de vue anato1l ! o- pathologique, les formes suivantes : 1° Idiotie symptomatique de méningi
symptômes d'irritation, premièrement dans toutes les maladies de forme aiguë ; 7° Il faut tenir compte de l'état menta
'ont obtenu aucun effet utile, quelles qu'aient été la nature et la forme de l'aliénation mentale. B. Les secondes sont
B. Les secondes sont au nombre de 55 et présentent toutes une des formes ou l'un des genres d'aliénation mentale que l'on
considéré comme suffisant. Or, on peut montrer que non seulement la forme et la marche du phénomène se comprennent au mie
e d'autres troubles en partie fonctionnels du même genre, certaines formes d'écholalie, la logor- rhée paraphasique dans l
ntre de la main éduquée pour l'écriture. (Les observations de cette forme d'aphasie motrice pure n'ont pas encore levé to
Hémiplégie sensiliuo-molrice, accompagnée de mouvements ctllvéto.i- formes et ({taxi/ormes et d'une paralysie des mouvements
). Les mouvements d'en- semble de la marche se présentent sous deux formes principales : type de flexion et type d'extensi
t être démontrée ni chez l'enfant ni chez l'adulte. Celle-ci ne s'y forme donc pas plus tard ; elle ne s'y développe jamais
r les premiers signes de l'involution psychique par l'apparition de formes spéciales de la folie. Malgré certains traits c
de la vie qui ne peuvent être considérées comme des phases d'autres formes de la folie. En outre des troubles de la vie af
conceptions délirantes ont un contenu tout à fait absurde. C'est la forme clinique décrite sous le nom de Wahnsinn dépres
que dans la mélancolie simple. La conscience est aussi dans cette forme plus gravement altérée, l'orientation est défec
ymptômes sont accompagnés de troubles accusés de la conscience. Ces formes , dont les unes guérissent et les autres se termin
ur le point de savoir s'il faut ranger dans la mélancolie certaines formes , analogues au point de vue clinique, qui sont e
ge plus avancé des malades, on voit augmenter progressi- vement les formes à conceptions délirantes absurdes. Le sexe fémi
éniles. Dans ces dernières années Kraepelin s'est convaincu que ces formes et ces formes seules ont entre elles des rapports
es dernières années Kraepelin s'est convaincu que ces formes et ces formes seules ont entre elles des rapports étroits. De
l n'est pas sûr qu'il faille attribuer ces cas à la mélancolie. Les formes de la mélanco- lie avec faiblesse psychique gra
signes physiques, si la maladie a évolué progressivement et sous la forme d'une démence graduelle. Kraepelin ne se pronon
mmencement par la béquille, et, plus tard par la canne. La béquille forme le troisième pied du trépied de la stabilité. L
. La plus petite peut être placée à volonté sur la plus grande, qui forme la première marche de la plate-forme. Celle-ci
par les exercices faits avec des appareils simples, dont l'ensemble forme la mécanothé- rapie compensatrice. Ce traitem
cts, sont en effet compris tous dans un vaste bâtiment affectant la forme suivante : ? Cette construction monumentale est
allées ombra- gées, kiosques, bancs. Les jardins des agités sont de forme carrée, assez grands, plantés d'arbres et bien.
séparées par le bâtiment des services écono- miques ; ce dernier eu forme de T, élevé de deux étages, est situé à 18 mètr
rrain d'assiette, d'un accès facile de tous côtés, ce bâtiment a la forme d'un T renversé, dont la partie horizontale, anté
au malade de prendre commodément ses repas au lit. Cette table a la forme suivante : =1 La partie horizontale inférieure
lle soulève2. M. Hitzig considère la folie des quérulants comme une forme du délire systématisé chronique, caractérisée p
avec les aliénés ; ils font connaissance dans ce pavillon avec les formes les plus graves des maladies men- tales. Un a
500 grammes. La hauteur du raccourcissement musculaire dépend de la forme de l'excitation et de sa localisation. Une seco
ortante qui découle de ces expériences c'est que l'électricité sous forme voltaïque ou statique convenablement appliquée
de penser en effet ou que dans la myasthénie généralisée il y a des formes bénignes ou que le syndrome d'Erb correspond à
ue très peu de résultats sûrs. L'anatomie comparée, surtout sous la forme de l'étude des dégénérescences secondaires expé
stance grise. Rapprochant cela du fait que dans la moelle certaines formes de syringomyélie dites myélites cavitaires affe
uve ; il prend deux points d'appui sur l'un de ces rails, qui a une forme prismatique et sert de conducteur sur l'autre r
dont nous rappellerons seulement ici les caractères fondamentaux : forme globuleuse de la cellule, migration périphé- ri
- daient pas tous, dans sa description magistrale, à un type uni- forme . Parmi eux se trouvaient des déments, des inconsc
il est corporel et ne vise, en ce cas, qu'une partie déterminée des formes féminines, ou tel attribut de son sexe (mollets,
térale de la moelle : les réflexes sont exagérés; Troisième type. Forme cérébrale : les cordons de la moelle sont intac
s le réflexe cutané plantaire, ou plutôt d'une modification dans la forme de ce réflexe, dans certains états pathologique
ls. Et Cestan dit : « Dans la paralysie générale et surtout dans la forme clinique désignée sous le nom de paralysie géné
ief les caractères du réflexe cutané plantaire sous ses différentes formes dans la paralysie générale, nous décrirons en q
nt devenir une cause d'erreur dans l'interprétation des différentes formes du réflexe plan- taire. C'est ainsi que nous av
l'inten- sité du réflexe plantaire, mais aussi un trouble dans la forme de cette réaction motrice. Ceci ressort encore de
ersion génitale : Une perversion totale de l'instinct génésique, ci forme obsédante et impulsive, impliquant une tendance
nante et souvent dan- gereuse. On peut définir l'érotomanie : Une forme toute psychique de l'amour morbide dans laquelle
endants que chez leurs descendants et leurs collatéraux, toutes les formes pos- sibles de maladies nerveuses et mentales :
t donner naissance à des troubles psychiques se manifestant sous la forme de confusion mentale avec délire à type onirique
ès pénible et aggrave leur état. On peut subdiviser les différentes formes de l'idiotie morale, d'après l'instinct égoi-te
tive caractérisée par l'excitation de l'instinct destructeur est la forme la mieux caractérisée, la plus fréquente ; elle
principe peut servir à établir une classification des diffé- rentes formes de folie. SECTION DE PSYCHIATRIE. 491 l nous
1° Distension des grandes cellules de la couche pyramidale dont la forme est devenue arrondie ; cette modification paraiss
ration présente exactement les mêmes caractères dans tous les cas : forme globuleuse de la cellule, "migration périphériq
thalité et sur le système nerveux, ces derniers s'exprimant sous la forme de ces stigmates que l'on regarde comme l'expre
sse, de la jambe et une flexion dorsale du pied, rarement une autre forme de mouvement, sont des réflexes pathologiques r
(Lemberg). Il y a lieu de séparer nettement l'une de l'autre deux formes de tabes avec cécité. A. Le tubes avec atrophie
re. 13. L'a- trophie papillaire des labélisants. La première de ces formes com- prend des tabétiques classiques offrant to
ent pas d'espèces morbides essentiellement distinctes dans ces deux formes de cécité tabétique, car l'étiologie est la même,
s; mais, 'ce qui est exacl, c'est qu'il en existe des variétés, des formes nombreuses. Si sur cette première question je m
tion d'arrêt que la lésion oculaire exerce- rait, mais à ce que les formes dites frustes sont beaucoup plus communes que l
ce que les formes dites frustes sont beaucoup plus communes que la forme dans laquelle la plupart des symptômes du tabcs
neifs optiques « le monstre s'était satisfait », mais parce que les formes frustes du tabes sont beau- coup plus communes
ue les formes frustes du tabes sont beau- coup plus communes que la forme complète. M. Ilonm (d11elsingfors). - Je pourra
rdach commence à la cinquième dorsale. Le cordon de Goll montre une forme caractéristique et définie dans chaque segment.
éristique et définie dans chaque segment. Chaque déviation de cette forme indique une dégéné- rescence incomplète de ses
erveuses sensibles intratendineuses. Un facteur physique : c'est la forme du mouvement produit par le réflexe. La trans
e 1900.) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BODDAEBT (R.). - Etude sur une forme cl'oxomatomanie. - Brochure in-8- de 8 pages. B
par A. Marie et Toulouse, 493. Alitement dans le traitement des formes aiguës des maladies men- tales, par Korsakow, 2
thylène Elimination du - dans l'épilepsie, l'hystérie et quelques formes mentales, par û0lltlll, 45. Cellulaires. Lési
ensorielle accompagnée de mou- vements atliétosiformes, et ataxi- formes , par liaymond, 332. Théo- rie des-. par Pick, 4
57 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Papille volumineuse, blanche, à contours très vagues, affectant la forme en éclatement. Nombreux foyers hémorragiques au
e. La tumeur non adhérente à la dure-mère et facile à énucléer a la forme d'un ovoïde à grosse extrémité antérieure. Sa s
peu après son origine il se disperse à la surface du néoplasme sous forme d'un faisceau étalé de fibrilles grêles. Le fac
ent brisé. Quelques cellules encore à protoplasma plus étendu et de forme irrégulière, présentent des amas de granula- ti
es terminales. Les cellules du ganglion de Gasser ont conservé leur forme régulière, elles ne sont pas atrophiées, mais o
n haut. L'existence de ces hallucinations visuelles de deux espèces forme l'un des côtés intéressants de cette observatio
qu'elles apparaissent comme substratum de la vie psychique. Ni leur forme exté- rieure, ni leur richesse en prolongements
fonctions des autres cellules ner- veuses ne consiste point dans la forme extérieure, mais dans les particularités de la
substance pro- toplasmique est accompagnée d'une modification de la forme des dendrites fines, et dans certains cas d'un
ncitée par des impulsions extérieures et est capable de modifier sa forme de son propre accord. Cette remarque ne s'appli
que les terminaisons des prolongements protoplasmiques changent de formes , mais pas de manière à se désunir de la fibre c
céré- brale, se contractent et modifient à un certain point leur forme , de sorte que le nombre des points d'attouchement
rant nerveux est fort et si la dendrite est stimulée davantage, la forme du prolongement protoplasmique subit de plus gran
amène un affaiblisse- ment plus marqué de la vie psychique. Toute forme de démence, à quelque catégorie qu'elle appar-
contemporains des investigations micros- copiques. Dans quelques formes de maladies mentales, particulière- ment dans l
faiblissement des facultés psychiques, un trouble de la mémoire, en forme d'amnésie et de réminiscences fausses. Dans des
maniaques et mélancoliques nous devons supposer que dans toutes les formes agitées la mobilité des ramuscules protoplasmiq
au dé- but s'aider de ses doigts pour faire prendre à ses lèvres la forme arrondie qui caractérise cette voyelle. Pour la
s et assez vite retenues par lui 3° Des adjectifs de couleurs, de formes , de dimensions, de qua- lités physiques et mora
, donne immédiatement à l'en- fant qui a un sentiment à exprimer la forme syntaxique qui convient, et ensuite par l'aide
ock. La température peut s'abaisser de plusieurs de- grés. Dans les formes graves le pouls devient imperceptible. La force
VUE DE THERAPEUTIQUE. 4o riser ce mode d'action. On le donnera sous forme d'élixir ou avec du vin léger. Il faut veiller
aralysie infantile vulgaire, fiasque avec atrophie musculaire à ces formes spasmodiques; la première devait être d'origine
sclérose latérale d'abord, puis de la pachyméningite cervicale, des formes familiales d'atrophie musculaire myopathique, d
la société la dirigent vers l'étude de l'évolution des différentes formes mentales. Il exprime enfin le souhait que la so
ter des traits, qui le rapprochent, sous certains rap- ports, d'une forme d'encéphalite hémorragique aiguë, décrite par S
surgit la question, a-t-on le droit de séparer l'une de l'autre ces formes morbides ; il se peut que la poliencéphalite supé
e peut que la poliencéphalite supérieure de Wernicke ne soit qu'une forme , décrite par St1'umpell, mais se modifiant dans
encore les symptômes suivants : un trouble mental manifesté par une forme d'amnésie très marquée, une paramnésie et une p
ofesseur KOJEWNIKOFF remarque que la principale particularité de la forme nosologique, décrite par lui, consiste en une c
de Landry, tandis que la seconde prit l'aspect de la polynévrite à forme de poliomyélite antérieure), M. le professeur Ray
agnant très souvent de troubles de l'intelligence et revê- tant les formes cliniques variés de poliomyélite antérieure, de
'hérédo-syphilis et d'une manifestation spinale. La syringomyélie à forme anormale n'est pas rare, et son impor- tance es
otubéran- BIBLIOGRAPHIE 85 tielles peuvent donner naissance à des formes extraordinaires, mais qu'explique l'anatomie to
ne semblerait au premier abord. Dans le cas actuel, il s'agit d'une forme rare, une aboulie systématisée de la miction, u
schberg (de Paris) : 1. « Surle tabes dorsal juvénile. » 2. Sur une forme réputée rare du tabes dor- sal. » Outre les tro
es thèmes : professeur Cesare Lombroso (de Turin) : « Les nouvelles formes des épilep- sies. » Professeur B. Sachs (de New
a paralysie générale des aliénés; délimitation de cette maladie des formes morbides voisines. Rapports prévus : pro- fesse
e Pédologie mais nullement la nosologie; elle explique seulement la forme et la localisation de la maladie. Puis on a'étu
nd la syphilis envahit la neuropathologie ordinaire, c'est sous une forme particulière et partielle qui a obligé Fournier
de 27 à 30. Le biceps dans ses plus grands efforts de contrac- tion forme une boule comme un petit oeuf de poule qui n'est
loureux ; quatre ans après, deuxième atteinte qui dure six mois : forme chronique qui attaque les petites articulations,
gressive. Au lieu de la sclé- rose latérale amyotrophique, c'est la forme Aran-Duchenne de l'atrophie musculaire progress
de clin, Ire série, p. 522 et 535. 122 CLINIQUE NERVEUSE. clérose forme « le lien initial commun de bien des maladies à
me porte à le croire, car la- maladie des deux femmes revêtait une forme absolu- ment semblable. REVUE DE PATHOLOGIE M
cas, il y en avait quatre de mélancolie, un de paralysie générale à forme dépressive, et quatre de démence : l'auteur en
lique, et comme il est légitime de l'induire pour diverses autres formes de folie, à une insuffisance des connexions cellu
ù l'on observe d'ordinaire cette REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 139 forme mentale. La guérison fut obtenue au bout de six a
rdinaire puissance des illusions qui se rattachaient sur- tout à la forme hypocondriaque : il y avait en même temps une o
t irritable. Ce cas de folie à deux rentre, dit l'auteur, dans la forme appelée par les auteurs français, « folie commu
? ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XII. UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE, FORME HYPOCONDRIAQUE, AVEC symptômes tabétiques; par
mentale était un cas bien caractérisé du type nommé par les auteurs forme hypocondriaque de la paralysie générale. Aucune
tête atroces, gémissements et cris insolites, attaques épilepti- formes fréquentes suivies de coma, jamais de paralysie,
de fibres périphériques et d'organes terminaux dstincts pour chaque forme de la sensibilité cutanée, que de déterminer pour
me de la sensibilité cutanée, que de déterminer pour chacune de ces formes des trajets médullaires et des centres corti- c
table osseuse de la gran- deur d'une pièce de deux francs, mais de forme ovale. La surface convexe du crâne portait des
rface convexe du crâne portait des dépressions correspondant à la forme de la tumeur. Le cerveau n'a malheureusement pas
otie. 7° L'assertion suivant laquelle le palais en V ou toute autre forme particulière de palais constituraient un a stig
dans l'agrypine simple, dansl'insomnie qui accompagne les diverses formes de neurasthénie et même dans l'insomnie des psy
, dont les manifestations peuvent atteindre le système nerveux sous forme d'idées délirantes, de tendances au suicide, de
ux- mêmes, sans certificat, demander leur internement, et sur les formes d'aliénation mentale qui poussent le plus ordinai
l doute fort que l'on puisse actuellement établir l'existence d'une forme particulière de folie due au chanvre indien, et p
quelquefois plusieurs mois et ne guérissent pas toujours. Enfin la forme la plus commune, chez les fidèles du haschisch,
vel excès de poison, de poussées aiguës qui se rapprochent par leur forme d'une manie aiguë, mais très atténuée. D'après de
hoses. Répéter les leçons précé- dentes en commençant la leçon sous forme d'interrogation. 8° A la fin du cours, prendre
re de bien public. Je leur recommande de donner ces notions sous la forme la plus simple, la plus familière, et, par suite,
° L'obésité et les courants de haute fréquence. 2° La neurasthénie; formes diverses; gué- ]isonou amélioration par les cou
îtra, sur les coupes microscopiques convenablement colo- rées, sous forme d'une tache dite scléreuse, facile à distin- gu
es fibres occupent la zone dite cornu-radiculaire ; cette zone a la forme d'un crois- sant (fig. 1). Sa pointe postérieur
ll. DES LOCALISATIONS MÉDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 185 Pierret, forme un ruban étroit, situé parallèlement au bord in
il atteint en dehors le septum intermedium ; il se présente sous forme d'un triangle à base postérieure large, à sommet
tteindre en largeur le septum intermedium; le restant du cordon, de forme irrégulière (Tg. 8, G") est occupé par les tria
pelle plus spécia- lement « virgule de Schultze . Cette virgule, de forme assez irrégulière, a l'aspect d'une bandelette
Ce faisceau apparaît, dans chaque moitié du cordon postérieur, sous forme d'une bande décolorée au milieu des régions sai
e 1%u. 10 (cône terminal). - Cette figure est destinée à montrer la forme et les dimensions du faisceau endogène descenda
, en effet, qu'un grand nombre deces fibres radiculaires moyennes forme le groupe des fibres dites sensitivo-réflexes (Ko
L'action de l'acide urique sur le cerveau peut produire certaines formes de dépression mentale (hypocondrie, mélancolie).
graphique. En dehors de cetteagraphie amnésique, toutes les autres formes de l'agraphie, irréductibles, méritent les noms
ces observations si com- plètes, si suggestives, de folie à double forme , de délire de persé- cution avec idées de grand
es géniales, véritables éclairs projetés sur l'avenir, qui, sous la forme aphoristique où elles sont exprimées, pourraient
st-à-dire de dedans en dehors; l'inverse se produit dans les autres formes , la syphilis par exemple, dont chacun connaît l
s congestives initiales se traduisent par des convulsions épilepti- formes , des paralysies à la première période; la décaden
es, de bronchites, de pneumo- nies, de fièvres typhoïdes, etc. La forme la plus grave, généralement incurable et avec rém
ière, qui établissent bien nettement les limites de l'hystérie, ses formes , son traitement. Naturellement l'hystérie infan
, mais elle est décrite ; non seulement elle est reconnues dans ses formes convul- sives, mais elle est dépistée sous ses
nues dans ses formes convul- sives, mais elle est dépistée sous ses formes non convulsives, et même larvées. La troisièm
ses élèves, dont nous donnerons la nomencla- ture au chapitre de la forme convulsive, et que l'on trouve en par- tie dans
e l'hystérie chez l'enfant. On y trouve la description des diverses formes de l'hystérie à cet âge, notamment le début par
gnostic et le traitement sont établis de bonne heure, et signale la forme épidémique. Peu après paraît la thèse de 111 ?
ait sur lequel nous aurons à revenir, en rappelant, au chapitre des formes cliniques, les cas de ce genre, cités par Olliv
1° avant trois ans; 2° de sept à treize ans. L'incontinence se con- forme strictement à celte règle : sur les trente-six ca
que a été acceptée sans conteste dans le traite- ment de toutes les formes de l'hystérie chez l'adulte. Par contre, l'empl
et. Suggestibilité est, en fait, synonyme d'éducabilité. Toutes les formes de l'hystérie peuvent se rencontrer chez l'en-
umatisme, des ecchymoses situées au niveau des bras et affectant la forme de raies disposées parallèlement le long des me
ntion de vouloir appli- quer le système de l'Open-door à toutes les formes de la folie. Cer- tains malades peuvent seuls e
us les deux mois, sauf accident. Et il en est de même pour d'autres formes des maladies mentales. (B.) -) 218 SOCIÉTÉS SAV
confrères des accusations qu'on est habitué il rencontrer sous une forme bien peu différente dans certains journaux qui n'
chez le sauvage, et avec les conditions qui se rencontrent dans les formes communes de a paranoïa »; il indique leur place n
vers degrés de l'obsession, et au lieu d'en indiquer longuement les formes cliniques il reproduit le récit d'un obsédé, qu
remières et des meilleures descriptions qui exis- tent de certaines formes d'obsession. R. DE 1\lUSGR,\VE-CLH. FAITS DIVER
us apoplectique, par accidents .congestifs, convulsions épilepti- formes , etc., et il s'étonne que l'on ait pu croire si l
e névrose dans cette partie du 300 CLINIQUE NERVEUSE. Bocage, les formes multiples sous lesquelles elle se présen- tait
confusion en mêlant les accidents- trop dissemblables, quant à leur forme du moins. J'ai songé alors à les grouper d'aprè
lade pouvant appartenir à des catégories différentes, en raison des formes multiples sous lesquelles son hystérie nous app
e de ce trouble congénital de la kératinisation qui se traduit sous forme d'ichtyose. A ce propos, il est intéressant de
respiratoires; puis rigidité du système musculaire entier; le corps forme un arc de cercle, avec saillie de l'abdomen dur
ique et hystéropathique, Réflexes normaux. P. Keraval. XXV. D'une forme peu connue DE névralgie professionnelle; par M.
MM. P. VALENTIN et P. Hartenberg (de Paris). Parmi les nom- breuses formes d'aboulies que nous avons étudiées et interprétée
ralysie générale, elle donne naissance à une syphilis céré- brale à forme de paralysie générale. En résumé, les causes pa
ls n'auraient pas présenté, au début de la paralysie géné- rale, la forme sénile, on trouve au coeur, au foie, aux reins, l
L'alcoolisme personnel mine le cerveau, atteignant la cellule sous forme de délire, de démence, et les vaisseaux sous form
la cellule sous forme de délire, de démence, et les vaisseaux sous forme d'attaques et de congestions liées naturellemen
groupes de manifestations paludéennes : les accès pernicieux et les formes simples qui cependant peuvent conduire à la cache
lonne verté- brale, et soulèvent légèrement l'enfant. La tête a une forme spé- ciale aplatie, il semble qu'un coup violen
lcooliques; accès de fureur épileptique; parfois des convulsions en forme d'épilepsie générale. Mort après l'âge de trent
ès marqué de l'écorce cérébrale. Ce cas peut être regardé comme une forme intermédiaire entre la paralysie infantile et l
six dans chaque fibre), une déformation des contours des fibres (en forme des zigzags) et une apparition des vacuoles (se
ée. Le foyer décrit du cerveau est considéré par l'auteur comme une forme intermé- diaire, à laquelle il propose de donne
a seconde, le plus souvent. Telle est, très résumée, la théorie qui forme la première partie. Elle est d'une psychologie
es crises se répétant tous les mois, pendant un an et demi, dans la forme que j'ai décrite plus haut, leur disparition de
bien chez le nouveau-né et à la première enfance, qu'à la seconde forme et dans l'âge qui précède la puberté. Ce point
me un écho des doctrines alle- mandes, elle peut revêtir toutes les formes , je dirai même que la forme somatique de l'affe
mandes, elle peut revêtir toutes les formes, je dirai même que la forme somatique de l'affection est la plus fréquem- m
epter qu'ils se reproduisent avec une telle facilité, soit sous une forme , soit sous un aspect de nature différente que j
rale de chaque espèce possède, à titre de caractère spécifique, une forme définie et constante. Le nombre et la profondeu
pas moins cons- tants et définis. Quelles sont les. causes et de la forme et de Archives, 2" série, t. IV. 26 402 REVUE
corce dans chaque espèce ? Lugaro invoque cette loi biologique : la forme et la dimension de chaque organe est en rapport
rt avec les besoins physiologiques de l'organisme, ainsi qu'avec la forme et les dimensions des autres organes. On peut d
reste à déterminer à quelle nécessité d'adaptation cor- respond la forme circonvolutionnée de l'écorce. 11 existe à ce s
de, et ces adaptations fonctionnelles doivent encore influer sur la forme du cerveau. , Si, au cours de l'évolution phylo
E. 1 de l'encéphale durant tout le développement phylogénique, la forme de la calotte crânienne pourrait, à litre de fact
déterminer la direction des sillons. Outre l'action du cerveau, la forme du crâne subit en effet d'autres influences mod
orphologie de l'organe nerveux. Ces influences modificatrices de la forme du crâne, Lugaro les énumère ainsi : le rapport
t également fondé à Lugaro ; mais, comme la raison génétique de ces formes du crâne nous échappe, on peut se demander si e
s que des causes, effets de causes inconnues, ayant déterminé ces formes céphaliques, expressions probables de caractères
es de caractères ethniques. L'étude de toutes ces influences sur la forme et la division des sillons corticaux est encore
meure fort éloigné de leur accorder une action prépondérante sur la forme du crâne. Cette action, il la voit toujours dan
le 1. Dans le développement lent et continu de la phylogéniede la forme du cerveau, si l'on ne saurait exclure l'influenc
e, qu'il convient de chercher la cause principale des progrès de la forme organique du cer- veau. Cette forme, avec tous
se principale des progrès de la forme organique du cer- veau. Cette forme , avec tous ses mécanismes, tels qu'ils se montr
montrent dans l'embryon, le foetus et le nouveau-né, est sortie de formes très simples, très rudimentaires, héritées des
onal, de la paraldabyde, de l'uréthane. Il réussit surtout dans les formes d'excitation plutôt que dans celles de dépressi
ia, Copenhague, Londres, Bruxelles et aussi en Amérique', soit sous forme d'établissements privés, soit sous forme d'inst
si en Amérique', soit sous forme d'établissements privés, soit sous forme d'instituts annexés aux écoles primaires. Si un
s. On a donc ainsi une série d'états obsédants, qui, partis de la forme la plus élémentaire, l'anxiété vague ou diffuse,
été vague ou diffuse, sorte d'ébauche indistincte, aboutissent à la forme achevée ou complète, l'obsession idéative, en p
quer la décharge, qui peut même se produire dans le summeil sous la forme de chocs anxieux (ernotional discharpes, de Wei
ion émotive, demeurer unique et persister indéfiniment sous la même forme avec des alternatives de pa- roxysme et d'accal
le de savoir si l'obsession est souvent, comme nous le pensons, une forme aggravée ou, pour mieux dire, intellectualisée de
ectualisée de la phobie. Or l'obsession n'est plus souvent qu'une forme aggravée ou pour mieux dire intellectualisée de
e à l'état de veille. L'obsessionse manifeste habi- tuellement sous forme paroxystique et il est rare qu'elle soit tout à
ns impulsives. - Au point de vue psychologique, l'exis- tence d'une forme d'obsession particulière, caractérisée par des .
obsédante). Dans les deux cas, l'hallucination peut affecter une forme quelconque, être verbale ou commune, sensorielle
la sensibilité générale.' .' Marche. Durée. Pronostic. Terminaison. Forme aiguë. La marche des obsessions est aiguë ou ch
craintes passées et avoue qu'elles étaient absolument injustifiées. Forme chronique. La forme chronique est intermittente,
avoue qu'elles étaient absolument injustifiées. Forme chronique. La forme chronique est intermittente, rémittente ou cont
lus rare, mais elle existe. On la rencontre en particulier dans les formes intellectualisées de l'obsession, comme celle d
ême dans ces cas, les paroxysmes ne font pas défaut. La durée de la forme chronique, toujours longue, est de plusieurs mois
or- mation psychique occasionnée par l'émotivité morbide. IL La forme psychique de l'obsession est un concept con-
e en fonction par déséquilibre fonc- tionnel du cerveau. II. La forme psychique de l'idée fixe est l'idée simple, ou
s et tendaient, tout en ayant conservé leurs prolongements, vers la forme globuleuse. Dans quelques-uns, le noyau non alt
s, c'est-à-dire la tuméfaction de la cellule, qui tend à prendre la forme globuleuse, la dissolution des granulations chrom
ents sont disposés concentriquement autour du noyau et affectent la forme polygonale. A mesure qu'on s'éloigne du centre,
chromatophiles, et que c'est de la texture du réseau que dépend la forme de ces éléments. Quel est le rapport des fibril
organisation et permet à la cellule de revenir plus rapidement à sa forme , normale. Le injections de strychnine produisent
du phénomène de l'hyperesthésie relative et des mouvements choréi- formes localisés au pouce, à l'annulaire et au petit doi
avant tout et le plus souvent en une accumulation de sang pur sous forme d'hématomyélie centrale ; ensuite on peut const
simuler, au point de vue clinique et anatomo-patholoique, certaines formes de syringomyélie à évolution lente ou à symp- t
inuer le traitement spécifique ou de recommencer plus tard sous une forme quelconque. Si au contraire il y a un effet que
la sclérose, médullaire ou autre, reste l'iode sous ses différentes formes . On peut employer les iodures alcalins (potassi
nt quand il y a une intolérance absolue de l'iode sous toutes les formes , ou bien j'alterne les sels d'argent avec les pré
e feu le long 'du rachis, tous les'huit ou dix jours, même dans les formes chro- niques. J'estime que les indications de l
le tableau clinique de l'atrophie, une sépa- ration nette entre les formes spinales et myopathiques des atro- phies muscul
mble et en laissant de côté les lignes brisées de son périmètre, la forme rectangulaire. Il mesure une surface de 35 hec-
PHIE. VI. Contribution à l'étude de l'encéphalite aiguë primitive à forme hémorragique; par le D1' L. Murât. Lyon, 1897.
yon, 1897. L'encéphalite hémorragique doit être considérée comme la forme typique des encéphalites primitives aiguës non
anquent, ou les symptômes, d'une marche capricieuse, engendrent les formes les plus disparates. La maladie, d'une durée mo
domaine des encéphalo- pathies infectieuses et de la méningite des formes souvent curables qui ne sont que des encéphalit
paroxystiques et provoquent dans certains cas des accès délirants à forme maniaque. RECUEIL DE FAITS. UNE OBSERVATION D
ères un peu épaissies. Le nez est accru dans tous ses diamètres; il forme une saillie assez forte. Les pommettes sont trè
illis dans la littérature médi- cale '. Dans ces 43 cas, toutes les formes de folie, manie, mélancolie, paranoia, folie du
ent de psychose ; que si cette complication survient, c'est avec la forme maniaque, et que les autres psychoses, qui peuv
le-ci peut se compliquer de troubles vésaniques qui empruntent leur forme et leur ori- gine à la maladie première. D'autr
apport entre les deux affections. Logiquement, il semblerait que la forme d'aliénation men- tale qui découle de la maladi
malaises de l'estomac, quoique moindres, ont reparu sous une autre forme ; le malade ne peut rester à jeun sans éprouver
Le lobe gauche du corps thyroïde est très augmenté de,voluitie - il forme une masse du volume d'une grosse mandarine. Il
démontré que déjà la dilatation de l'estomac peut créer un délire à forme hypochondriaque par un mécanisme ' D'Devay. Con
ow, comme une association morbide temporaire, ou plutôt comme une forme spéciale d'un état mental propre au goitre exopht
IE ET GOITRE EXOPHTALMIQUE. 497 manie, à l'encontre des psychoses à forme dépressive, alors que logiquement l'état cérébr
amélioration, nous avons assisté à l'éclosion brusque d'un accès à forme paroxystique de ma- ladie de Basedow, qui dura
que spécial qui peut se transformer en folie, se présentant sous la forme de mélancolie. Celle-ci doit être considérée co
nt plus obsédants que jamais (quatrième période). Il en existe deux formes , suivant que l'obsession ne laisse pas au malad
pour l'exagération de ces tics vocaux, les jurons obscènes sont une forme des manifestations défensives; les anamnestique
résentés par des besoins irrésis- tibles de casser des vitres, sous forme d'attaques stéréotypées, ou, quand l'occasion m
ale; par BMSLEH. (Ne2c·olog. Cenlrulbl., XV, 1896.) Il existe une forme de l'épilepsie qui débute par des déchar- ses m
ie (Brown-Sequard, Schiff, NoLliiiagel). Il propose d'appeler cette forme morbide myoclonie épileptique ou épilepsie spin
gie du plexus brachial autant en regard de leurs causes quede leurs formes cliniques. - 3. L'auteur passe en revue beaucoup
Dans cette étude les auteurs-se sont particulièrement attachés aux formes typiques de la mélancolie, aux cas pouvant abouti
colie vraie, essentielle, avec des caractères fondamentaux dont les formes chroniques systématisées ne sont que l'accentua
tuation progressive, la cristallisation si l'on peut dire ainsi, la forme stéréotypée en un mot (délire chronique des néga-
a maladie commence à devenir stationnaire. En ce qui concerne les formes des maladies mentales, l'hypno- tisme peut donn
morbides, ainsi que dans la perversion sexuelle. Dans toutes ces formes , l'influence favorable de l'hypnotisme se manifes
urt guère le risque d'être infirmée, est que l'alcoolisme, sous une forme ou une autre, est non seulement la cause princi
des lésions de la zone psychomotrice de l'encéphale. Elle offre des formes multiples rare- ment circonscrites, avec des ma
rdre psychique n'ont pas été dominants. J'ai observé quelquefois la forme mégaloma- niaque, rarement la forme de manie ai
ts. J'ai observé quelquefois la forme mégaloma- niaque, rarement la forme de manie aiguë; après l'intervention, la guéris
ion. Celle- 524 SOCIÉTÉS SAVANTES. ci peut se présenter sous deux formes : goitreux devenus basedo- wiens et basedowiens
des, quelquefois même vibra- toires, se présentant d'ordinaire sous forme d'accès et apparaissant ou disparaissant sans c
d'une décision récente, remplir les fonctions de nourricier. Les formes morbides que l'on rencontre le plus fréquemment à
inés. Les deux pre- mières périodes de la paralysie générale et les formes mélancoliques sont les plus riches en hallucina
taire ; 2° l'hystérie ainsi développée affecte plus spécialement la forme convulsive; les manifestations parétiques étant p
ysie générale. Accès convul. sifs dans la -, par Mouratoff, 80. - forme hypoclioudriaque avec symptômes tabétiques, par
58 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vail intitulé : La phobie du regard, le Dr Ilartenberg a décrit une forme pathologique d'une nouvelle phobie, celle du re
ns lequel la crainte du regard d'autrui s'est manifestée sous une forme bien vive (2). Voilà ce qui est dit dans les mé-
les autres cas, la phobie du regard d'autrui s'observait dans sa forme simple, très pénible pour le malade ; parmi ces
ité Aisuetie sont normales. L'ouïe, le goût, l'odorat et toutes les formes de sensibilité cutanée sont sans changement. Né
ns certains cas, laphol>ic du regard d'autrui apparaît 'dans une forme plus ou moins pure sans combinaison avec d'autr
ison avec d'autres états pathologiques et elle pré- sente alors une forme spéciale de la crainte pathologique. Quant au t
dget de certains Asiles. On peut, au contraire, concevoir une ré- forme qui ne grèverait en aucune sorte le patrimoine de
lution osmio-chromiquo déjà et souvent utilisé. P. Keraval. X. La forme des éléments nerveux de l'écorce du cerve- let
variété d'aspects de ces cellules suivant les divers animaux, leur forme dont la comple- xité et les particularités corr
sure que croît l'organisme. ? Pourquoi maintes cellules ont-elles une forme compliquée et possèdent-elles quantité de dendr
ne activité plus intense et plus productive. 3. La complexité de la forme paraît donc être le reflet et la condition de l
la complexité de l'activité fonctionnelle. Ce parallélisme entre la forme des éléments nerveux et leur fonction est confi
la forme des éléments nerveux et leur fonction est confirmé par la forme extérieure des cellules cortico- cérébelleuses
rminent dans cette écorce. Puis les cellules de Purkinje varient de forme selon les animaux; plus un animal esl élevé en
x; plus un animal esl élevé en organisation, plus complexe est la forme extérieure des cellules, plus elles sont riches e
ilés, chez les oiseaux), des particularités correspondantes dans la forme extérieure des cellules de Purkinje. Enfin les
des cellules de Purkinje éclairent le fait de la complication de la forme en même temps que de la fonction qui s'opère dans
lifient 48 revue d'anatomie ET de physiologie pathologiques. leur forme avec la croissance de l'animal, ressemblant en ce
atérales peu abondantes sur d'autres; la complexité graduelle de la forme des éléments d'un rang élevé (cellules de Purki
polarité dynamique de l'activité nerveuse change extrêmement peu de forme et même de volume. P. KERAVAL. XI. Contributi
on recommence le même cycle de coloration et de décoloration. Il se forme dès qu'on remet la coupe dans le bleu de méthyl
pui de son opinion : qu'on a tort de faire actuellement des quatre formes cliniques décrites de la démence précoce des vari
t doit encore être étudiée avant qu'on en puisse grouper toutes les formes dans un même cadre. Contractions associées para
s du ganglion optique basai de Meynert. Il se-prolonge parfois sous forme d'un petit faisceau dans la partie supéro-exter
espondant pour les femmes et, cet excès porte complètement sur deux formes pathologiques : la manie alcoolique, et la para
giques : la manie alcoolique, et la paralysie générale ; les autres formes morbides se présentant en nombres à peu près ég
gique. Elle commence par un remarquable mémoire sur les différentes formes de nanisme et leur traitement par le corps thyr
on, ancienne, lente, conti- nue, se traduisant cliniquement par des formes bâtardes et torpi- des d'aliénation aboutissant
atténuant en quelques jours et laissant alors, au premier plan, des formes d'aliénation qu'on pourrait appeler para-alcool
écisément à quel défaut d'élocution il est fait allusion, et quelle forme particulière d'exer- cice de la main semble l'a
ngitc est faible, à peine accusée, dans d'autres, la pachyméningite forme une bande très épaisse de tissu fibreux entoura
e zone légèrement décolorée, située de chaque côté du septum, ayant forme de vir- gule, à concavité correspondant au bord
e parésie des mains, ont fait penser à une polynévrite alcoolique à forme surtout sensitive. L'autopsie nous montre que l
l'abondance, supérieure à la normale, de fibres grêles, sans aucune forme de dégénérescence de la fibre nerveuse. Même en
Ce cas m'a paru digne d'être publié par ce qu'il se rapporte à une forme anatomique et clinique particulière sous laquel
ie sont très constantes.» La gloutonnerie surprenante des malades forme quelquefois un contraste singulier, dit Griesin
ait que la mélancolie franche est considérée par Magnan comme une forme morbide bien caractérisée, le plus souvent exem
t, retraite, logement, etc.) Il a été adopté par le Conseil sous la forme suivante : Il est désirable qu'au sur et à mesu
s à séparer REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 109 la paralysie générale des formes non inflammatoires de syphilis cérébrale. Usemb
ent faible. La ponction lombaire permet-elle dedistinguer certaines formes de l'alcoolisme chronique de la paralysie génér
sénile, alcoolisme chronique, démence précoce (quelle qu'en fût la forme ). Sur 12 éil·lltirxre.s avant eu des attaques a
e autre maladie. Le liquide cérébro-spinal peut contenir toutes les formes d'ele- ilictits. Ce qu'on y trouve le plus ce
on peuvent être colorées à l'hématoxyline de Green ; le protoplasma forme un fond gris-violet sur lequel tran- che en noi
s, fournit des tuyaux spiroïdes ou droits ; le second, sans parois, forme des crevasses. Lasection transverse de ces bran
le produit duquel, par graduel accole- ment de nouvelles masses, se forme la motte chromatophile. La motte qui apparaît c
ain de la motte chromatophile. Donc la substance chromatophile se forme par les processus de métamorphose régressive de l
liquide cérébro-spinal. On sait du reste depuis longtemps que les formes variées sous lesquelles se manifeste la substan
en droit de supposer qu'il existe dans les cellules nerveuses trois formes de canalicules : 1° un réseau de bourgeons arté
é pupillaire réflexe typique. La même lésion peut présider aux deux formes de l'immobilité pupillaire, mais elle a des siè
ux du cerveau présentent la dégéné- rescence calcaire sous diverses formes et à divers degrés. Dans les boules de chaux ai
Chyoslek, Hoffmann et Trousseau ; mais ce dernier n'affecte pas la forme typique. Toute excitation mécanique, élec- triq
une thermo-analgésie limitée à une surface cutanée déterminée, sous forme d'une hémizone qui correspond exactement et inv
344 ; il manquait chez 6S. 11 est apparu dans presque toutes les forme mentales. On a laissé de côté les psychoses de l'
et marcher). S il s'agit ici d'une maladie de Thomsen, c'est là une forme exception- nelle de cette affection, soit que l
l'accident dont ils ont été victimes. Si la simulation est une des formes de la ruse, l'exagé- ration est un phénomène ps
de l'or- ganisation du parasitisme social. Le parasitisme revêt les formes les plus variées et les plus inattendues. Le pa
à la simple hypotaxie. La pensée de l'auteur s'exprimant sous une forme imprécise s'adapte à chaque auditeur suivant l'ét
nergie des images mentales. M. Paul FAREZ. Il faut distinguer trois formes de trac : 1° La forme ordinaire, commune, banal
s. M. Paul FAREZ. Il faut distinguer trois formes de trac : 1° La forme ordinaire, commune, banale, presque normale qua
valle des audi- tions, il devient une phobie tyrannique et revêt la forme de l'ob- session chez les dégénérés. 3° Une t
êt la forme de l'ob- session chez les dégénérés. 3° Une troisième forme (que les auteurs différencient mal des précéden
peu que le terrain s'y prête, des obsédés. Dans les deux premières formes do trac, dans la première sur- tout, l'hypnotis
ive, donne d'écla- tants et de rapides succès. Dans cette troisième forme , c'est par éducation ou une rééducation méthodi
. J)1' Lux. Médecin major de 11'0 classe. La suggestion de l'uni- forme et des insignes militaires. , Dr Berillon. Péda
ques est de 520 et celui des paralytiques généraux de 514. Ces deux formes mentales forment le plus fort contingent (plus
des idées à la moralité. 150 CORRESPONDANCE. Présenté sous une forme simple, précise, et de lecture aisée, l'ouvrage
e s'il ne peut pas exister, àcûté de ce syndrome si douloureux, une forme latente qui ne se reconnaîtraitqu'à l'examen hi
111'l'oCllOi\I)RII ? . > 100 l'odorat. Le facteur déterminant la forme de l'hallucination serait donc la localisation
'atteinte profonde de son système sympathique. De même qu'il y aune forme spinale, il y au- rait une forme sympathique de
sympathique. De même qu'il y aune forme spinale, il y au- rait une forme sympathique de la paralysie générale, caractéri-
mélancolique et le persécuté ne peut plus être admise sous la même forme qu'autrefois. Il y a des mélancoliques hypo- ch
hes constitutionnels , les paranoïaques hypochondria- ques, dont la forme morbide a été décrite par les différents auteur
- que croit les siens perdus en même temps que lui. Il existe une forme hypochondriaque du délire de persécution qu i p
aller à un échec, il doit, selon nous, envisager successivement la forme du délire, l'état mental du malade, et la natur
me du délire, l'état mental du malade, et la nature de la lésion. Forme du délire. - S'il s'agit d'un délire hypochondria
d'un délire hypochondriaque systématisé, surtout quand il revêt la forme zoopathique, le chirurgien, le plus souvent, do
st liée à la paralysie générale, à la démence, dans ses principales formes sénile, précoce ou alcoolique, Etal local. Rest
dans la pathogénie du délire hypochondriaque ouvre pour certaines formes d'entre elles une voie nouvelle à la chirurgie,
quer M. Régis, ces théo- ries ne sont que la reproduction, sous une forme à peine ra- jeunie, des doctrines qui depuis le
me conviction délirante peut compliquer un délire de persécution de forme classique : Cas d'une malade per- suadée que se
its personnels, anciens et récents, nous croyons que cette dernière forme , à laquelle il faut réserver le nom de tic hyst
de s'introduire dans l'armée.C'est ainsi que,annuellement,on ré- forme pour l'aliénation mentale 0,40 % d'effectif,et le
par- fois supportable,la douleur, se réveille, par instants, sous forme de crises paroxystiques d'une intensité extrême.
laies infectées des mains, ne sont pas démonstratifs à cet égard. Formes . On peut distinguer les processus ascendants in
eux, nous avons trouvé des reliquats d'inllammation méningée sous forme soit d'amas lymphocytaires, soit d'épaississement
n moyenne de 0',07. Un cas de paralysie spinale aiguë de l'adulte à forme monoplégique. Dr CASTES (de Rennes). La paral
Dr CASTES (de Rennes). La paralysie spinale aiguë de l'a- dulte à forme monoplégique est rare ; la statistique de Mûllcr
IE DE L'OTHÉMATOME. 199 particulier chez lui, outre la rareté de la forme de la paraly- sie, c'est qu'aucun muscle n'a ét
le drap mouillé fortement tordu, les lotions froides.. 1 Dans les formes plus accusées, telle que la mélancolie avec stu
dications individuelles et symptoma- tiques dominent aussi dans les formes de folie survenant chez les jeunes gens. Toujou
aucoup augmenté, en même temps que ceux-ci s'altéraient dans leur forme (aspect crénelé). La connaissance de certaines de
INS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Diagnostic de la démence précoce à forme paranoïde et des psychoses à base d'interprétat
hercher quelles différences pourraient séparer la démence précoce à forme paranoïde de ces psychoses à base d'interprétat
pourraient servir à établir dès le début le diagnostic en- tre ces formes , de maladie mentale. En effet, le diagnostic de
cipaux les signesque nous croyons distincts de la démence précoce à forme paranoïde. 1° Parmi les phénomènes mentaux, l'a
lus tardif, ilest vrai,néan- moins excellent : la démence précoce à forme paranoïde évo- lue en quelques années et les ma
s hallucinations. 1 En résumé, nous dirons que la démence précoce à forme paranoïde se distingue très facilement du délir
et que, d'autre part, la clémence paranoïde ne peut se séparer des formes hébé- nhréno-catatoniaues. SIGNES OCULAIRES D
un symptôme fixe et permanent. LÉSIONS DU FOND DE L'OEIL. ' " Les formes des lésions du fond de l'oeil que nous avons tr
iques, présentent un caractère commun, celui de se répéter sous une forme presque invariable chez le même sujet. Cette co
es imagesdu passé. L'imaginationest commeun moule vide qui donne la forme de tout ce qu'on y jette. Les effets de l'imagi
244 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. lité de celte forme clinique en lui donnant comme base ana- tomique
buté par les mains et présentant tous les caractères attribués à la forme Aran-Duchenne. Or, celle- ci a débuté quatre à
. L'assistance familiale des aliénés se présente en fait sous trois formes : 1° la colonie annexée à un asile ; '2° la col
aliénés criminels libérés. Le patronage familial sous ces dn erses formes s'est parfaitement acclimatéaux Etats-Unis où i
(La) est la faculté d'apprécier correctement, les yeux fermés, les formes des corps géométri- ques et des objets placés d
nsation de tranformation corporelle est tou- jours prédominante, la forme délirante seule -varie ; IL... est maintenant u
tade fébrile, la psychose infectieuse revêt ordinairement l'une des formes de la confusion mentale aiguë en particulier la
nt l'une des formes de la confusion mentale aiguë en particulier la forme de délire onirique halluci- natoire, ou celle d
lieu notamment dans les accidents polynévri- tiques. . Une autre forme de confusion mentale qui est suscep- tible de s
ériode hyperthermique, soit surtout dans la convalescence, c'est la forme à syndrome paralytique, caractérisée par les sy
ence, 276 PATHOLOGIE MENTALE. aussi bien celles qui affectent des formes d'apparence grave, comme le syndrome paralytiqu
ccio 1895, Brancati 1902). Ce délire revêt habituellement l'une des formes les plus aiguës de la confusion mentale, en par
s formes les plus aiguës de la confusion mentale, en particulier la forme du délire aigu méningitique. « Le soir, le mala
y a rien de constant ; on peut le trouver accéléré.Il y a aussi une forme apoplectique dans laquelle le malade perd conna
malade perd connaissance, tombe dans le coma. La gravité de cette' forme est excessive ; la maladie dure peu, deux ou tr
rs. Mais avant que ce dé- veloppement soit définitif, le cerveau se forme progres- sivement. Il y a toute une période d'é
ns volonté (1). Au cent dix-septième jour, la volonté apparaît sous forme d'attention, de fixation de l'objet en même tem
ouverte de croûtes, présentant à sa base un sillon profond, qui lui forme un vrai pédicule. On re- marque que cette tumeu
uset.les progrès dcla technique histologique et la décoll- verte de formes de transition entre des affections considérées
seur en présente deux, dont un avec examen histologique, véritables formes intermédiaires entre la maladie de Friedreih et
ntermédiaires entre la maladie de Friedreih et la maladie de Marie, formes hybrides dont la fréquence a été si grande ces
as indéniables de maladie de Friedreich. D'où il ressortqueles deux formes d'ata- xie héréditaire, la forme spinale et la
reich. D'où il ressortqueles deux formes d'ata- xie héréditaire, la forme spinale et la forme cérébelleuse, ne possè- den
rtqueles deux formes d'ata- xie héréditaire, la forme spinale et la forme cérébelleuse, ne possè- dent pas de caractères
rbides dis- tintes. 11 faut voir dans ces deux maladies et dans les formes de transition qui les relient, des types morbid
lisé, mais tous rattachés par le syndrome cérébelleux commun. Ces formes intermédiaires constituent les anneaux nouveaux
début se fait le plus souvent par la musculature externe de l'oeil ( forme ophtalmoplegiquc), ou bien par les muscles qui
cles qui reçoivent leur innervation du bulbe et de la protubérance ( forme bulbo-protubérantielle), soit par les muscles d
paralysie. L'auteur fait le diagnostic différentiel de ces diverses formes . Le repos général et local des organes attaqués
ifiques (les doigts. - F. T. \'1. Sur l'anatomie pathologique d'une forme d'hérédo- ataxie cérébelleuse ; par livucr. (ll
phiées, les fibres raréfiées. L'auteur rattache ces trois cas à une forme intermédiaire entre 1'liéi-édo-ala ? ie cérébel
deux mains. La première phalange de la main gauche a conservé sa forme et son volume ; en tous cas elle n'est pas hypert
à dit bien des auteurs. C'est une phase, un état particulier, une forme infectieuse ai- gué de la pellagre (Landouzy),
leurs observations, Cestan et Lejonne concluent à l'existence d'une forme définie de myopathie, la forme scléreuse avec rét
ejonne concluent à l'existence d'une forme définie de myopathie, la forme scléreuse avec rétrac- tions. F. 1'ISSOT. XXX
un arrêt de développement intellec- tuel. L'auteur a constaté deux formes de méningite avec nombreux intermédiaires : dan
formes de méningite avec nombreux intermédiaires : dans la première forme , il s'agit d'une lésion mé- ningée dans laquell
ningée dans laquelle l'inflammation est encore évidente : à cette forme correspond une démence à marche progressive mais
orrespond une démence à marche progressive mais lente ; la deuxième forme est une lésion méningée arrêtée dans son évo- l
forme est une lésion méningée arrêtée dans son évo- lution : cette forme répond à des syndromes mentaux stationnai- res
Les sujets que nous avons observés, étaient atteints de toutes les formes mentales de la mé- lancolie, depuis la forme si
tteints de toutes les formes mentales de la mé- lancolie, depuis la forme simple jusqu'à la mélancolie stupide. ' Un au
prises, a donné le signe de Gmelin. Observation IX. Folie il double forme ; mélancolie stnhirfe actuellement. Glycosurie.
entale de ]3elgi(lue ont décidé de se réunir périodiquement sous la forme d'un Congrès natio- nal de Neurologie et de Psy
démence précoce, tantôt de la folie maniaque dépressive ou d'autres formes psychopathiques, mais n'ayant pas d'existence p
ment caractérisée ; le second, un adolescent de 10 ans, présente la forme juvénile de celte maladie. Discutant le diagnos
gr. de la Salpêtrière, 1904, n° 6.) Dans la production des diverses formes du langage, on peut considérer un élément physi
rme classique delà paralysie géné- rale ; elle a cédé la place à la forme démentielle. Ce changement de caractère est pro
u tronc est plus intense que celle des muscles de la face Dans la forme tabétique de la paralysie générale, les 1'I',lIl'
? €--( ! ii-'t ! ncH ! s des modalités en apparence homomorphes de formes morbides dillérenles. Il ne nous reste donc en l'
nogr. de la Salpètrière, 1 905, nu I.) Ce syndrome spécial, une des formes multiples d'altération de la personnalité, est
s du l'Ol'P' d'un pied sur l'autre, et elle se produit sous la même forme llll"i bien dans l'oscillation surplace que dan
e, transverse. segmentaire, dorso-lombaire gauche, métatraumatique. Forme cli- nique curable; parle \)1' II ! : vn.ttou.(
ues qu'il passe sous silence, Knapp essaiera surtout de montrer les formes plus rares se rapprochant des autres états psy-
ller jus- qu'à friser l'étal démentiel. L'auteur décrit ensuite des formes hallucinatoires sans systématisation et avec sy
sants relevant le plus souvent de sensalions hypocondriaques, d'une forme l'.\ IHlI1sh e a\ ec <lMi l'P des grandeurs,
es, d'une forme l'.\ IHlI1sh e a\ ec <lMi l'P des grandeurs, des formes maniaques oUI11l\lancoliqnesl'at'es. des psycho
rares à caractères hébé- phéniqucs, etc. De cette multiplicité de formes . l'auteur croit pouvoir conclure que les psyclt
qu'après cinq années d'exercice. Le tirage au sort a lieu dans les formes usitées pour le concours des hôpitaux, en pré-
étude histologique de la dure-mère, nous explique la façondont se forme cette myélite ; les matières caséeuses des ver-
nt com- primée. Mais très fréquemment aussi la moelle conserve sa forme et'son volume normaux ; même elle a un volume p
peut faire quelques réserves (1) Philippe et Cestan'. - Principales formes histologiques et his- togenèse de la myélite tu
que la myélite cesse pour celad'être tuber- culeuse. Ainsi dans la forme de méningomyélitè diffuse infiltrée de RAYDLOND
YDLOND (1), les tumeurs miliaires sont moins nombreuses que dans la forme diffuse nodulaire; aucon- traire.la myélite est
é- léments inflammatoires propagés suivant les vaisseaux. Dans la forme décrite par Piilippe et Cestan (Le) le seul car
ater dans la moelle même ni masses caséeu- ses ni bacilles. Dans la forme décrite' par ODDO (2) et OLMRR, l'absence de to
e cas publié par Philippe et Cestan (/. c.) : (1) - Des différentes formes des Icyto-rr : yélites tubel eu- leuses. Revue
tuberculine circulant dans la moelle, .. f Voici donc une nouvelle forme de myélite qui vient augmenter le polyphol'llli
enter le polyphol'lllisll1e tle la myélite tuberculeuse : c'est une forme essentiellement parenchymateuse, dé- pourvue de
ne mince bande de libres conservées : le faisceau de '1·url : ,sous forme d'une bande située le long du sillon antérieur.
très nettement jusqu'au segment S 2, où la degene- ration prend la forme d'un triangle avcc base périphérique : au nivea
lne seulement la moitié postérieure du faisceau lIe' (i011, sons la forme d'un triangle acheva) sur le sopLumpostérieur,l
ué dans la moelle. ' Nous ne pouvons pas non plus interpréter celle forme de myélomalacie comme un ramollissement d'origi
blent pas être diminuées de nombre : beaucoup d'entre elles ont une forme globuleuse, sans prolongements ou avec des prol
vcau tlt ermunls L` ? -LI, le faisceau central conservé reprend une forme à peu près trian- gulaire, à cheval sur le sept
ne distribution vasculaire quelconque, ne se présentent pas sous la forme de ramollissement, mais sous la formc d'une per
usjacent (L3) où la pachyméningite est aussi forte, la moelle a une forme normale. Nous avons déjà traité à propos des gé
qui pénètre entre elles el dans l'intérieur de la racine même sous forme Il'infiltration péri-vasculaire en suivant les
moelle présente le plus de lésions, celles-ci se montrent sous deux formes : d'une part sous la forme de perte en fibres n
ions, celles-ci se montrent sous deux formes : d'une part sous la forme de perte en fibres nerveuses qui, dilfuse à toute
arties antérieures des cordons pos- térieur s;d'autr e part sous la forme d'oedème des éléments du tissu nerveux qui frap
es autres régions de la moelle, à cause de la myélite qui sous la forme simple d'infiltration périvasculaire s'est ajouté
prêtant à confusion, une trop large place faite à la description de formes anormales qui sont des formes (1) Il n'est ques
large place faite à la description de formes anormales qui sont des formes (1) Il n'est question ici que des travaux posté
e crois utile de remettre les choses au point et je précise : Les formes du neurocoque dans le sang se réduisent à ceci
diplocoques.- Cocci et diplocoques peuvent aussi se présenter sous forme de ooglées, de petits amas plus ou moins réguli
es premières notes (1) et me contente de rappeler que le neurocoque forme sur agar un semis d'une très grande finesse. *
ître la ma- nière dont travaillent les aliénés dans les différentes formes de maladies mentales et aux diverses époques d'
autres déments précoces. Il s'agit de deux cas de démence précoce à forme hébéphréni- que. Ces deux observations ont plus
neuro-psychopathologie. En matérialisant, pour ainsi dire sous une forme objective et du- rable,' le fonctionnement défe
s, c'est-à-dire l'ordonnance généraledes écrits, la direction et la forme des lignes, la direction, la forme et l'a- genc
ledes écrits, la direction et la forme des lignes, la direction, la forme et l'a- gencement des lettres, etc. Viennent en
Broca. L'altération des images graphiques se manifeste sous deux formes principales, l'effacement et la confusion. Dans l
Brissaud et de Henri Meige, MM. P. Roy et Launois décrivirent deux formes : legifJanlisme iii/;211- tile, celui des sujet
on avec une hypertrophie de l'hypophyse ; enfin ils signalèrent une forme intermédiaire de passage entre le gi- gantisme
c, par Bnurneville, p. 206, 337. Dia- gnostic de la - précoce à forme paranoïde et des psy- choses ù. base d'interpré
11fr- reuses.. z Ecriture. Voir Troubles. Eléments XEHVEUX. La forme des de l'écorce du cer- TABLE DES MATIERES. 5
'1'\xm cérébelleuse. Voir Sur l'II\1a- tomie pathologique d'une forme d'- - cérébelleuse, pnr llydel, p. 315. - - ce-
? egluentairC', ùor- 5o-lontbnre gauche, méta- t,¡'tIlUnntiql1e. Forme clini- que curable, par lievilliod, p. 397.en
Farez, p. 140. Traitement médico-pédagogi- que des différentes formes de 1 idiotie, par Bourneville, p. 206. - diét
59 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
cotyloïde; à ce dépôt s'ajoute quelquefois une production osseuse, en forme d'arc-boutant étendu de la tête au corps de l'os;
ume la base du col du fémur: que, comme de coutume aussi, l'angle que forme le col avec le corps du fémur, se rapproche de l'
émur il y a, i° déplacement suivant la longueur du fémur; l'angle que forme le col avec le corps de l'os, devient droit et mê
nd trochanter de la crête iliaque ; saillie de ce même trochanter qui forme une tumeur sphéroïdale, beaucoup plus volumineuse
approchée de la crête que dans la fracture ; que dans la luxation, la forme de la saillie n'est pas la même. Pour apprécier
r l'os coxal dans le cas de luxation ancienne, c'est un changement de forme qui consiste dans l'union à angle droit du bord a
état naturel,cette union se fait à angle très obtus. Ce changement de forme est une conséquence nécessaire de la situation de
eure de cette capsule se trouve refoulée sur le col du fémur, où elle forme une sorte de collier qui imprime sur la base de c
pu voir à découvert (fig. i ) l'extrême obliquité du fémur dont l'axe forme , avec le plan horizontal, un angle de 45 degrés;
lir ses limites avec l'ancienne capsule. La capsule fibreuse nouvelle forme les deux tiers environ d'un ligament orbiculaire
ehors, et atrophiés. COL, fig. i, fig. 2, est l'espèce de collier que forme l'ancienne capsule déchirée sur le col du fémur;
ette ancienne capsule se trouve refoulée, ramassée sur le col où elle forme une espèce de collier qui s'imprime sur lui. Le
-dessous du bulbe raehidien. lia figure 1 représente la saillie que forme l'atlas au-devant de l'axis et celle de l'apophys
erai remarquer que, chez beaucoup de vieillards, l'apophyse odontoide forme une saillie considérable qui soulève les ligamens
a 3e vertèbre cervicale : la dépression est telle, que la 3e vertèbre forme , avec la 2e, un angle obtus rentrant en avant.
articulaire date de longues années, des changemens de rapports et de formes s'établissent entre les extrémités osseuses; les
d'origine syphilitique, prescrivirent des mercuriaux sous toutes les formes , qui ne produisirent aucun effet. Une consultatio
suifeuse a été extraite de quelques aréoles dont on peut apprécier la forme et la disposition. Réflexions.—L'altération don
blir que le cancer avait son siège dans les capillaires veineux. La forme aréolaire du cancer des os ne doit pas plus étonn
La forme aréolaire du cancer des os ne doit pas plus étonner que la forme aréolaire du cancer des parties molles. Quel que
nge : ce suc cancéreux, généralement peu consistant, s'écoule sous la forme d'une crème; lorsqu'il a acquis plus de consistan
e crème; lorsqu'il a acquis plus de consistance, on l'exprime sous la forme de vermicelle, ayant la consistance du saindoux.
ou moins profondément sillonné et divisé en mamelons ou tubercules de forme très variable, de volume très inégal. De ces lobu
irconférence de la tumeur, qu'elle occupe en outre son centre où elle forme de grosses masses. On voit quelques géodes, des m
ût pu la faire juger gélatineuse. Elle pouvait être comparée, pour la forme « seulement, à une énorme pomme de terre, composé
es. Fendu avec la scie, l'os s'est trouvé conserver supérieurement sa forme et sa consi-« stance. Au niveau de la tumeur, les
eurs implantées sur le périoste seul, et « qui se développent sous la forme de champignon : elles sont cartilagineuses, conti
bules distincts unis par un tissu fibreux très dense. Ces lobules, de forme conoïde ou plutôt pyramidale, avaient leur base d
s, sur lequel ils s'implantaient par un pédicule extrêmement délié en forme d'aiguille. La coupe de la tumeur iliaque exter
disposés à angle. La jambe est constituée par un seul os. C'est là la forme qui a le plus d'analogie avec celle qu'Homère et
es joues sur la ligne médiane ; 4° la bouche, largement ouverte, a la forme d'un carré long, dont les bords supérieur et infé
le de l'œil unique, qui est ellipsoïde plutôt que sphéroïde, et parla forme ovale et non circulaire de la cornée, de l'iris e
oint d'organes génitaux : seulement à leur place, petit tubercule, en forme d'ergot, qui m'a paru être le vestige du clitoris
, donne une idée parfaite des rapports du pied avec la jambe et de la forme des deux pieds, vus par leur face dorsale. Dans l
lètement : il y a absence complète du vagin. Le petit tubercule, en forme d'ergot CR,seul vestige des parties génitales ext
le. La ligure 3, xxxvni6 livraison, fournit un exemple de l'une des formes les plus communes de l'étranglement interne, l'ét
chose que des cicatrices d'ulcération folliculeuse de l'estomac. Leur forme irrégulière n'est pas en opposition avec cette ma
n. Or, l'inflammation ulcéreuse des follicules de l'estomac est une forme assez fréquente de la gastrite: les petites ulcér
s couleur de suie : la matière colorante était mêlée au mucus sous la forme de stries noirâtres : à travers cette couche épai
uquel s'élevaient une multitude de végétations polypeuses de diverses formes et de diverses dimensions. Plusieurs étaient grou
tations polypeuses de l'estomac sont presque toujours multiples, leur forme varie dans les premiers temps de leur production;
qui n'ont aucun caractère morbide. La figure 2 représente une autre forme d'érosions hémorrhagiquës. Ici les érosions UH, U
mptômes comme traduisant à l'extérieur ou une maladie nouvelle ou une forme nouvelle de maladie; i° par l'anatomie pathologiq
l'anatomie pathologique, qui constate une lésion nouvelle ou quelque forme nouvelle d'une lésion connue, et en fait un genre
chacun une granulation. Les pédicules représentaient si exactement la forme des papilles ou villo-sités , que j'ai dû examine
nue dont la surface, ayant plus d'étendue que la membrane musculeuse, forme de gros replis sinueux qui donnent à l'estomac re
nt, je pus limiter une tumeur oblongue qui représentait assez bien la forme et la direction de l'estomac. La malade conserva
e les trois quarts de l'épaisseur de l'estomac La membrane musculeuse forme l'autre quart. Une circonstance fort remarquabl
simule en cet endroit une poche de la grosseur d'une poire, et d'une forme analogue à celle de l'estomac. La trompe du coté
l paraît au premier coup-d'œil libre d'enveloppes (fig. i ), tant ses formes extérieures sont bien dessinées; cependant, en ex
i, après s'être appliquées étroitement sur lui, se prolongent sous la forme de brides AF, AF et vont se fixer aux colons asce
ie de manière à diminuer considérablement le diamètre bi-pariétal; sa forme est celle d'une pyramide triangulaire. Des trois
, tandis que dans l'invagination ordinaire, la partie invaginée qui forme deux doubles d'intestin, est reçue dans un troisi
colon transverse, c'est la partie contenante; le cylindre moyen, qui forme la surface de la tumeur, est formé par le cœcum;
n, pag. a5o. — (a) Tom. n, pag. a54j 235. xxive livraison. s'il se forme des hernies par l'anneau ombilical chez l'adulte,
se sont échappés les intestins, on trouve toujours l'ombilic sous la forme d'un point dur ou plus ferme que le reste de la l
L'anneau ombilical est toujours rond, les anneaux accidentels ont une forme ovale et jamais parfaitement régulière. On conç
on est toujourssessile; que lorsque la tumeur ombilicale présente une forme conique, c'est à l'anneau que répondra la base de
r en cire et déposer au musée Dupuytren. XXIV* livraison. hernie se forme au-dessus de l'ombilic, s'accroît dans tous les s
ire cinq jours après l'étranglement : la tumeur avait le volume et la forme d'un chapeau; elle tenait à l'abdomen par un pédi
ure des détails dans lesquels je suis entré jusqu'ici. Quoiqu'il se « forme sur la face antérieure de la colonne vertébrale,
I. Au point I, on voit l'intestin invaginé étreint par un anneau que forme l'intestin replié sur lui-même. Il est probable q
la partie la plus élevée de la tumeur. Le cylindre le plus externe forme la poche d'enveloppe ; les deux cylindres moyen e
sur son épaisseur. Le lieu le plus épais répondait au cul-de-sac que forme le cylindre central au moment où il se réfléchit
tions, dont l'une, principale, longue de huit à neuf pouces, avait la forme d'un boudin recourbé sur lui-même à son extrémité
point où le cylindre central est étranglé par le repli annulaire que forme la duplicature des cylindres moyen et externe, do
ue je considère comme des cicatrices d'ulcérations : on y remarque la forme irrégulière de ces pertes de substance; le défaut
doivent être classés parmi les lésions susceptibles de guérison. La forme ulcéreuse est une des formes les plus fréquentes
es lésions susceptibles de guérison. La forme ulcéreuse est une des formes les plus fréquentes de l'entérite folliculeuse ai
tance, débordant en tous sens les follicules agminés, prend une autre forme , s'étend suivant la circonférence de l'intestin,
tant que possible, si bien que le tissu nouveau de la cicatrice ne se forme que lorsque la peau circonvoisine a atteint, en q
e manière avec le pourtour de l'ulcère muqueux, dont la circonférence forme un bourrelet ou rebord lacinié, frangé, sous lequ
s inférieur [de l'intestin grêle et représentaient exactement pour la forme et pour le siège « les ulcérations de la fin de l
cer-« taine distance, en sorte que les taches noires présentaient des formes irrégulières qui « semblaient les éloigner de la
sentaient des formes irrégulières qui « semblaient les éloigner de la forme normale des follicules agminés. Le gros intestin
tin, au contraire, est le siège d'une lésion extrêmement grave, d'une forme assez peu commune, ce qui m'a décidé à la faire r
urs. Je dirai seulement ici que cet érysipèle affecte très souvent la forme erratique, qu'il envahit successivement toutes le
onces. J'ai vu des malades présentant des érysipèles erratiques, sous forme typhoïde, avec fuliginosité, prostration extrême,
espérais. Aucun érysipèle n'a été limité par cette application. La forme d'entérite représentée pl. 3, mérite encore de fi
isible quand cette cause morbide n'est pas épuisée. Ainsi, dans cette forme de pneumonie, que j'ai cru devoir désigner sous l
je diagnostiquai sans hésiter une entérite folliculeuse pustuleuse ( forme ataxique ). Je prescrivis 20 sangsues aux jugul
asculaire sensible, sans ulcération. Entre ces plaques pustuleuses de forme et d'étendue si diverses, se voyaient des granula
l'ai mentionné pag. 7), à l'occasion de l'entérite folliculeuse sous forme pustuleuse. Constamment, à cette forme anatomique
e l'entérite folliculeuse sous forme pustuleuse. Constamment, à cette forme anatomique de phlegmasie correspondent des symptô
e anatomique de phlegmasie correspondent des symptômes cérébraux sous forme délirante, qui emportent le malade en quelques jo
e; cependant il est vrai de dire que les entérites folliculeuses sous forme délirante les plus intenses et le plus rapidement
ment et plus généralement envahis. Je dois dire également que cette forme primitivement ataxique de l'entérite folliculeuse
mation folliculeuse des intestins ne serait que l'expression. Cette forme ataxique de l'entérite folliculeuse primitive est
les, remarquables par leur grand développement, se présentent sous la forme de granulations sphéroïdales sans pertuis. On sai
ne livraison), j'ai admis l'entérite pseudo-membraneuse comme une des formes anatomiques de la maladie connue de nos jours sou
; on y voit la corrugation de l'intestin ou plutôt de la muqueuse qui forme des plis peu réguliers, et qui est incomplètement
ions. 1. La dysenterie se présente rarement dans nos climats sous une forme aussi grave que dans les cas précédens; ce n'est
euse rectale, occupait le colon? Je ne le pense pas ; en sorte que la forme dysentérique de la phlegmasie de la muqueuse du g
de toute la muqueuse du gros intestin. 5. La dysenterie est une des formes d'entérite qui se manifeste le plus souvent à la
lles la dysenterie a, dès son début, si je puis m'ex-primer ainsi, la forme chronique. Pendant que j'habitais Limoges, j'ai é
e. Il y a ulcération de la muqueuse, et l'ulcération affecte diverses formes , présente plusieurs degrés. J'ai vu des cas dans
ent parfaitement à travers les parois abdominales , amaigries sous la forme d'une grosse corde , noueuse, mobile, que je pouv
même légère, mais incomplètement guérie, comme la source de plusieurs formes de ces états de langueur générale, de dépérisseme
i-même. Presque toujours, au contraire, ce cancer se présente sous la forme ulcéreuse, et détruit successivement couche par c
les points de la hauteur de l'intestin : il peut affecter toutes les formes possibles de dégénération. Ordinairement primitif
s-ci étaient comme disséquées et séparées les unes des autres sous la forme de brides circulaires et longitudinales, disposit
ammation chronique ou bien d'une dégénération cancéreuse. Quant aux formes du cancer rectal, aucune des formes du cancer ne
énération cancéreuse. Quant aux formes du cancer rectal, aucune des formes du cancer ne lui est étrangère. J'ai vu plus fréq
colon se dessinait à travers les parois abdominales amincies sous la forme de bosselures extrêmement considérables. A chaque
hors des réservoirs qui le contiennent dans l'état naturel, la nature forme sur-le-champ une membrane muqueuse, qui, d'abord
au cancer gélatiniforme, que je suis fondé à considérer comme une des formes les plus fréquentes, sinon la plus fréquente, du
ssés les uns contre les autres, en sorte qu'on pourrait appeler cette forme de cancer, cancer gélatiniforme enkystée. L'anu
iforme est le plus fréquent de tous les cancers du canal digestif. La forme enkystée ne devra pas surprendre, si on admet que
petits tubercules du foie fussent de même nature. L'existence d'une forme de tubercules excessivement petits, parfaitement
chargée de verser le sang que rapporte au foie une grosse veine, qui forme à elle seule la moitié du sang de la veine-porte.
ion. On remarquera, en outre, que les acéphalocystes présentaient des formes très variées qui résultaient probablement des pre
ductions libres avaient été soumises. Au reste, cette irrégularité de forme ne prouve pas plus le défaut de vitalité, que leu
égularité de forme ne prouve pas plus le défaut de vitalité, que leur forme , si régulière dans d'autres cas, ne prouve cette
roéminent à la surface convexe du foie était réduit au volume et à la forme d'une petite noix. Il était multiloculaire; ses p
és des tubercules reconnaissables moins par leur densité que par leur forme globuleuse, et surtout par le suc cancéreux dont
tif du poumon se manifeste généralement de deux manières ou sous deux formes distinctes : i° tantôt sous celle de grosses mass
de cholestérine. Réflexions._i ° De V influence des corsets sur la forme du foie. — La figure i montre un des effets des
foie qui est restée à sa place accoutumée participe aux changemens de forme qu'a subis la portion déplacée : elle soulève le
atomie descriptive, et qui m'ont fait dire que le foie n'avait pas de forme particulière, mais que cette forme était détermin
it dire que le foie n'avait pas de forme particulière, mais que cette forme était déterminée par les organes environnans, sur
e du foie qui proéminait à l'épigastre et dans le flanc droit sous la forme d'une tumeur sphéroïdale, ne pouvaient laisser au
très longue pour isoler du milieu de ces parties la vésicule sous la forme d'un petit kyste à parois excessivement épaisses,
ngé, là vert foncé, ailleurs verdâtre. Ces petits foyers n'ont pas de forme déterminée : les uns semblent formés par une radi
mais encore toute l'épaisseur de cet organe. On peut apprécier leurs formes diverses, leurs différences de volume, leur textu
ique paraît avoir, à un degré bien plus considérable que les autres formes de cancer, le triste privilège de se développer s
supérieur du médiastin ; i° lorsque le corps thyroïde qui en général forme un canal qui se moule sur la trachée, exerce une
e ? Les deux choses sont possibles: je n'ai rencontré que la dernière forme d'hydrocèle cervicale. Rien d'ailleurs ne serait
très considérable, et la moindre pression le faisait suinter, sous la forme d'une bouillie rosée. Au milieu de ce tissu se vo
ie est la suite inévitable de cet engouement [œdème du poumon) qui se forme souvent en quelques heures. Or, la sérosité vésic
Réflexions. Les plaques cireuses de la surface du poumon sont une des formes les plus ordinaires du cancer consécutif de cet o
éritoine indépendant de toute lésion des viscères dont cette membrane forme le tégument séreux. Je possède même un cas fort c
céphalocystes expectorés avec des fragmens pseudo-membraneux; mais la forme tubuleuse des [fausses membranes, la différence d
Il est donc plus que probable que la portion de membrane séreuse qui forme Je sac herniaire est une membrane de nouvelle for
s des muscles intercostaux, et précédé par la plèvre costale, qui lui forme un sac herniaire? Ou bien, semblable aux éventrat
neumonie du fœtus; j'ai montré qu'elle pouvait se présenter sous deux formes , tantôt sous la forme lobulaire, tantôt sous la f
montré qu'elle pouvait se présenter sous deux formes, tantôt sous la forme lobulaire, tantôt sous la forme ordinaire; j'ai m
nter sous deux formes, tantôt sous la forme lobulaire, tantôt sous la forme ordinaire; j'ai même dit que c'était chez les fœt
ma position à la Salpétrière me permettant de la voir sous toutes ses formes , et mon esprit étant sans cesse préoccupé de la p
ds. La pneumonie des vieillards ne se présente pas toujours sous la forme franchement inflammatoire qui la caractérise chez
ennes. La pneumonie des vieillards se présente très souvent sous la forme adynamique: prostration , stupeur, irascibilité,
pas ne pas croire que la pneumonie datait de vingt-huit jours, que sa forme latente l'avait fait méconnaître , qu'on s'était
ue totalité de son étendue: il est volumineux,extrêmement pesant. Ses formes sont parfaitement dessinées et représentent celle
nt que j'ai rencontré plusieurs fois, dans certaines pneumonies, sous forme adynamique ou typhoïde. Ce n'était point la gangr
ction d'un certain nombre de lobules ou de portions de lobules. Cette forme est propre au sommet du poumon. Ala même forme se
ions de lobules. Cette forme est propre au sommet du poumon. Ala même forme se rapportent les dépressions ombiliquées, consti
use blanche ou noire, de laquelle partent comme des radiations. Cette forme s'observe sur tous les points de la surface du po
ré du tissu pulmonaire malade par une membrane celluloso-fibreuse qui forme une espèce de barrière à l'envahissement de la dé
sang concret arrondi en globules ou diversement configuré suivant la forme des aréoles ou cellules dans lesquelles il est
'à celui d'un gros pois, présentant d'ailleurs toutes les variétés de forme et d'aspect des phlébolithes si communs dans les
médiaires. C'est aussi la première fois que je lui vois affecter la forme de petites tumeurs sphéroïdales bien circonscrite
xxxe livraison) présente une multitude de tumeurs variqueuses sous la forme de petites masses bleuâtres, molles, flétries, s'
u, à travers la transparence de laquelle elles apparaissaient sous la forme de taches bleuâtres : ce n'étaient pas des tumeur
ines : ce sont les varices par dilatation simple et uniforme. Cette forme de varices peut s'expliquer de deux manières, ou
eutique de cette maladie; ainsi aux toniques employés sous toutes les formes , à l'intérieur et à l'extérieur, Dupuytren a subs
plus considérables, c'est là qu'on peut les étudier sous toutes leurs formes et à tous leurs degrés; c'est là qu'on peut bien
e. Cette membrane interne est lacérée dans un ou plusieurs points, et forme des ulcères à bords déchiquetés qui reposent sur
t, M. Denonvilliers établit que cet anévrysme, bien que présentant la forme propre aux anévrysmes par rupture, a cependant ét
la vie; mais l'anévrysme lui-même n'avait pas été soupçonné; il était forme XXVHl* LIVRAISON. 3 de la manière suivante :
hémorrhagie par rupture de la poche. L'aorte représente assez bien la forme d'un estomac dont le grand cul-de-sac répondrait
artie moins considérable de la circonférence de l'artère, il prend la forme des bosselures représentées pl. i, i, 3, et alors
illant sur une grande surface ; voici, du reste, de quelle manière se forme le rétrécissement annulaire qui constitue le coll
e à gauche qu'à droite. Vu à l'intérieur, le rétrécissement avait une forme circulaire très régulière. Son diamètre était cel
sommet du ventricule droit. Le ventricule gauche avait d'ailleurs une forme sphéroïdale. La fig. 1 représente le ventricule
e ouvert par une section horizontale. On voit que le ventricule droit forme une espèce d'appendice du ventricule gauche sur l
st le premier effet d'une inflammation des vaisseaux. Le sang coagulé forme quelquefois une digue suffisante pour préserver l
élasticité. On voit que la portion ventriculaire du cœur présente une forme sphéroïdale, c'est-à-dire qu'elle s'est développé
ellent mémoire intitulé : Recherches dy anatomie pathologique sur une forme particulière de dilatation et d'hypertrophie du c
Ici la graisse est encore plus abondante que dans ce dernier cas, et forme une couche plus épaisse, qui s'étend en diminuant
autant que possible. Le thorax ouvert, apparaît le péricarde sous la forme d'un sphéroïde bleuâtre ou violacé, qui touche im
nu est d'abord rudimentaire, et le pus en partie infiltré; puis il se forme une poche à parois grenues commedans les abcès or
,dont une principale, remplissait exactement la petite excavation qui forme le sommet du cœur. La petite racine était pleine,
, percé à son centre d'un trou très régulièrement circulaire,ayant la forme et les dimensions d'une lentille. Ce diaphragme,
videmment formé aux dépens de ces valvules. La fig. 2 représente la forme insolite du cœur, forme insolite qui tient à ce q
ns de ces valvules. La fig. 2 représente la forme insolite du cœur, forme insolite qui tient à ce que le ventricule droit a
, chez beaucoup de sujets, l'adhésion du bord libre de la valvule qui forme le fond de la fosse ovale, n'étant pas complète,
polypiforme du coeur ne doit pas plus étonner que les tumeurs de même forme et de même nature naissant du péritoine ou des su
; mais ces granulations miliaires, qui ne sont autre chose qu'une des formes de la fausse membrane, diffèrent essentiellement
ec la nature carcinomateuse delà maladie, mais bien avec le siège, la forme de la tumeur, son volume, et la direction suivant
mes de verre, m'a . présenté une multitude de petites granulations de forme diverse, les unes sphéroïdales, les autres oblong
a substance médullaire du cerveau, ne peuvent pas rendre compte de la forme paraplégique de la maladie. Toutefois on ne saura
ontanés , un mode particulier de cicatrice? Est-ce une des nombreuses formes de dégénération cancéreuse par masses disséminées
mais l'absence de myotilité; car ce chatouillement est perçu sous la forme de douleur. Je n'ai pas noté chez cette malade la
lésions ou compressions de la moelle peuvent même se manifester sous forme hémiplégique, par exemple, lorsque la partie supé
i'), la dégénération grise apparaît dans toute son évidence, sous la forme de taches T, T,T, plus ou moins considérables. On
éanmoins distincts, pourvus de leurs gaines, etreconnaissables à leur forme et à leurs disposition fascicu-lée. Plusieurs mus
rrhagie constitue de petits noyaux pisiformes, tantôt le sang épanché forme des stries disposées linéairement suivant la dire
là ne sont pas mortels, et ce n'est que lors de la coïncidence de ces formes légères d'apoplexie de la protubérance avec d'aut
onvolutions de l'hémisphère gauche. C'est bien plus souvent sous la forme épileptique ou convulsive que sous la forme apopl
bien plus souvent sous la forme épileptique ou convulsive que sous la forme apoplectique que se manifestent les accidens céré
s est remplacée par une pellicule jaunâtre. La substance blanche, qui forme le centre ou noyau du lobe occipital, présente, i
c'est l'apoplexie capillaire à son minimum, Y apoplexie capillaire à forme sablée. Réflexions. Ce cas établit l'analogie q
e du corps strié, Vautre d'une circonvolution.—Apoplexie capillaire à forme sablée.— Multitude de cicatricules miliaires.— Ci
ers, le sang est épanché hors de ses réservoirs. Quelle que soit la forme sous laquelle elle se montre, l'apoplexie capilla
La perforation du crâne, par laquelle s'échappait la tumeur, avait la forme et les dimensions du trou occipital. La tumeur a
voit que cette partie supérieure est formée de deux corps inégaux en forme et en volume , qui ne ressemblent nullement aux a
ale, on voit apparaître et s'allonger le corps du cysticerque sous la forme d'un petit corps cylindrique qui rentre au dedans
i n'a pas été faite, j'ai cru utile de publier ce fait à raison de la forme insolite de la poche, remplie par le liquide. On
ue le pus trouvé dans la cavité crânienne, dans le cas d'otorrhée, se forme primitivement dans la caisse et pénètre à travers
cette tumeur, du poids de 85 grammes, représentait exactement pour la forme , le volume et même la consistance, la tumeur repr
Du reste, dans cette partie indurée, qui conservait incomplètement la forme primitive, il n'y avait plus de distinction entre
le cas actuel, la destruction de toute cette portion du cerveau, qui forme la paroi inférieure de la portion réfléchie du ve
onnent lieu au développement d'une odeur spécifique de la matière qui forme les cors aux pieds. ce Analyse. —• Une macérati
plus de séparation; mais en portant la liqueur à l'ébullition, il s'y forme aussitôt des ce flocons abondans dont la matière
. Tncinérée, elle donne 0,015 de résidu dont le phos-« phate de chaux forme la presque totalité. « Les connaissances imparf
ces savans ont vaguement désigné sous le nom d'albumine oxygénée, qui forme , selon eux, la « totalité de l'épiderme, des ongl
coupée, elle aurait, comme toutes les productions cornées, affecté la forme d'une corne à base adhérente et aurait été plus o
adhérente et aurait été plus ou moins contournée sur elle-même. Sa forme est celle d'un bulbe, légèrement aplati sur les c
édé. Les premières coupes donnèrent des fragmens cornés très (1) La forme et la disposition de la corne de François Trouill
poule sur le sommet de laquelle se trouvait une production cornée en forme d'ergot. Cette tumeur, qui était située à la joue
rale avec un rasoir mal affilé. Il survint une excroissance cornée de forme conique, un peu contournée sur elle-même, composé
t la plus petite au sommet, de manière à donner à ces concrétions une forme pyramidale. Un des cas les plus curieux de prod
, comme s'ils n'étaient pas porteurs du virus syphilitique. Une des formes les plus fréquentes de l'infection, de la cachexi
es de l'infection, de la cachexie cancéreuse, c'est sans contredit la forme tuberculeuse. J'en ai déjà décrit et figuré plusi
cachexies, suite de cancer mammaire, la dégénération cancéreuse sous forme tuberculeuse pouvait se manifester dans toutes le
ouvait se manifester dans toutes les parties du corps. Du reste, la forme tuberculeuse du cancer est rarement primitive. Un
rophie. L'atropbie des nerfs présente plusieurs degrés et plusieurs formes bien distinctes. L'atrophie se juge, non d'après
é de volume; mais il le faut bien, puisque la réunion de ces filamens forme un volume moindre que dans un nerf qui n'a pas ét
pourrait, en déplaçant les granulations, concourir aux changemens de forme que présente cette glande. Sous ce rapport, le dé
tion des lobules et ne venant pas butter contre la soupape unique que forme si souvent le lobe moyen prostatique hypertrophié
, c'est l'existence d'une eschare contenue dans la vessie et ayant la forme de la face interne de laquelle elle s'était détac
habile. Etat local. Urines toujours troubles et purulentes. Le pus forme la moitié du liquide rendu et se dépose par le re
ontenait un calcul brisé en deux fragmens, dont le supérieur avait la forme d'un cône. Le fragment inférieur qui a été dessin
se prolonger dans les calices , de manière à présenter assez bien la forme rameuse du corail ou d'un polypier. C'est ce que
eur. Cette tumeur était formée aux dépens du rein, dont elle avait la forme . Son volume était de trente à quarante fois plus
ein. Dans ce sac commun, il y avait quatre calculs du volume et de la forme d'une grosse noisette, flottans librement dans ce
étendu d'eau. Il en est de même des clavicules qui ont conservé leur forme , leur double courbure et leur longueur, mais qui
la moitié antérieure de leur longueur. La partie carnifiée a la même forme et un peu plus de grosseur que la partie non carn
rfait d'intégrité. Le tibia n'a éprouvé aucun changement ni dans sa forme ni dans son volume; sa partie moyenne est carnifi
ches les plus profondes. Aux extrémités de l'os, la dégénération a la forme de tubercules ou petites masses irrégulières, occ
était pénétré de suc cancéreux peu abondant. Le cancer fibreux est la forme la plus commune du cancer des os. explication d
tive. Fig. i. La peau était mobile sur la tumeur qui présentait une forme sphéroïdale, et qui était lobu-leuse et enkystée.
e description détaillée est xxvie livraison. i une des nombreuses formes des maladies connues sous le nom de cancer des ma
e nom de cancer des mamelles ; mais quel rapport y a-t-il entre cette forme et la forme ulcéreuse, atrophique, entre les cara
cer des mamelles ; mais quel rapport y a-t-il entre cette forme et la forme ulcéreuse, atrophique, entre les caractères analo
ande mammaire; dans tous les cas, leur circonscription parfaite, leur forme sphéroïdale, leur consistance, leur mobilité, leu
n une membrane fibreuse surmontée par un certain nombre de lobules de forme pyramidale. Indépendamment de cette cavité cent
iquide synovial. Certes, cette altération ne ressemble à aucune des formes cancéreuses généralement décrites. On l'a appelée
compriment le nerf médian. Les autres organes étaient sains. i° La forme du cancer. — La forme dure et atrophique du cance
dian. Les autres organes étaient sains. i° La forme du cancer. — La forme dure et atrophique du cancer, est-elle propre aux
raient f indiquer. Mais je viens d'observer un cas qui établit que la forme encéphaloïde la plus aiguë, si je puis m'exprimer
ne ordinairement de tubercules cutanés plus ou moins multipliés. 4° Forme tuberculeuse du cancer.—La forme tuberculeuse du
tanés plus ou moins multipliés. 4° Forme tuberculeuse du cancer.—La forme tuberculeuse du cancer a beaucoup fixé l'attentio
ltat du développement du cancer de la plèvre,qui se manifeste sous la forme de plaques cireuses, c'est-à-dire de plaques blan
igures dans lesquelles je ferai connaître les principales variétés de forme et de siège qu'elle présente. Heureux si l'étude
utérus, au voisinage de la muqueuse, est celui où la couche mince qui forme la coque de la tumeur du côté de la cavité utérin
ifficile dans l'état actuel de la science; car ils ont tous deux même forme , même aspect, même consistance; cependant l'exame
sse qu'acquièrent quelquefois les corps fibreux; i° aux changemens de forme et de rapports que subit l'utérus au milieu duque
ive des fragmens plus profondément situés. i° Sous le rapport de la forme qu'affecte l'utérus qui est le siège du développe
te l'utérus qui est le siège du développement de corps fibreux, cette forme est des plus bizarres, lorsque les corps fibreux
le siège du développement d'un seul corps fibreux, alors il prend une forme sphéroïdale tout-à-fait semblable à celle de l'ut
rin ramolli devient en quelque sorte ductile et se prête à toutes les formes imaginables. J'ai vu, dans ce cas, des utérus con
, se détache aisément à l'aide du manche du scalpel, s'effile sous la forme de vermicelle par une pression latérale, ou est e
ueux, si on lacère avec non moins de précaution le réseau veineux qui forme en quelque sorte la trame de ce conduit, on voit
ité inférieure présente un renflement considérable, et dont la cavité forme un canal étroit et régulier. G° Derrière l'utér
vessie, pour peu que le déplacement de celle-ci soit considérable, et forme un cul-de-sac qui est toujours de beaucoup au-des
museau de tanche étant très rétrécie, l'utérus présente assez bien la forme d'une calebasse. Du reste, l'hypertrophie du muse
a pression exercée sur les bords de la coupe faisait suinter, sous la forme de vermisseaux, le suc cancéreux épais contenu da
ence de ce suc dans le système capillaire veineux. Réflexions. — La forme du cancer dans laquelle l'utérus est transformé e
en un tissu spongieux d'où l'on fait suinter par la pression, sous la forme de vermisseaux, un suc cancéreux plus ou moins co
eprésente une sorte de feutre ou de tissu aréolaire caverneux , cette forme , dis-je, qu'on pourrait appeler cancerpultacéaréo
collatéraux qui sont considérablement dilatés et dans lesquels ce suc forme des espèces de foyers. Cancer de l'utérus , de
droite. Elle avait cinq pouces de longueur sur quatre de largeur. Sa forme était celle d'une pyramide à trois faces. L'une d
ueuse, plissée longitudinalement dans toute la longueur de l'uretère, forme en outre deux replis ou diaphragmes extrêmement r
e induration chondroïde du tissu cellulaire du bassin? Est-ce une des formes .du cancer, la forme squirrheuse à son maximum.de
de du tissu cellulaire du bassin? Est-ce une des formes.du cancer, la forme squirrheuse à son maximum.de développement? Je n'
à l'œdème, étaient un des effets de la phlébite, et constituaient la forme que j'ai désignée ailleurs sous le titre de phléb
se lie presque toujours à des lésions viscérales. Relativement à la forme du cancer qui fait le sujet de cette observation,
couches internes du tissu utérin aux couches les plus externes; cette forme , ou plutôt ce mode d'envahissement du cancer est
omptions; car cette exploration ne peut résoudre que des questions de forme , de volume, et jusqu'à un certain point de consis
squ'à un certain point de consistance ; et les notions relatives à la forme , au volume et à la consistance des organes, ne pr
e je ne pourrais le faire par une description, toutes les variétés de forme et d'aspect que présentent les cellules, qui form
ur épaisseur une sorte de gâteau aréolaire représentant assez bien la forme et l'aspect du placenta. Une femme de la Salpét
e dans l'intérieur de la cellule ouverte, de manière à lui donner une forme euboïde. Les parois de ces cellules étaient trè
du kyste contenaient dans leur épaisseur un gâteau aréolaire ayant la forme , l'aspect et le volume du placenta. Ce gâteau aré
che l'extrémité pelvienne; que la tête, relativement très développée, forme la portion la plus considérable du squelette ; qu
obes du foie étaient à-peu-près égaux en volume et semblables pour la forme . Cœur. — Les deux figures 2 et 3 représentent l
environnantes, et ne subit plus impunément que lui des changemens de forme par le fait soit de pressions extérieures, soit d
Ie LIVRAISON.) Cancer gela Uniforme de V estomac et du péritoine. — Forme tuberculeuse du cancer du péritoine. Je n'ai au
titude innombrable de granulations et de tubercules variables pour la forme et le volume: ici disséminés, lenticnlaires, pisi
itif de la maladie. Le cancer consécutif se manifeste toujours sous forme granuleuse ou tuberculeuse; le cancer primitif af
use ou tuberculeuse; le cancer primitif affecte le plus souvent cette forme , mais, dans d'autres cas, il se présente sous l'a
ncéphaloïde; cependant il n'est pas rare devoir ce cancer affecter la forme aréolaire et gélatiniforme. Enfin, j'ai vu le can
c et du péritoine. Cancer gélatiniforme de l'estomac et du péritoine. Forme tuberculeuse du cancer du péritoine. Considératio
du corps strié, l'autre d'une circonvolution. Apoplexie capillaire à forme sablée. Multitude de; cicalricules miliaires. Cic
rt le cinquième jour après la naissance. 15e liv., pl. 11, p. 2. — La forme ataxique de l'entérite folliculeuse primitive est
rophie de l'utérus affecté de corps fibreux. 24e liv., pl. m, p. 5. — Formes , degrés et causes de l'atrophie des nerfs. 35e li
-Propos, p. iv. — Mention d'une de ses planches représentant diverses formes d'entérite folliculeuse aiguë. 7e liv., pl. i, n,
: définition ; caractères anatomiques; obscurité des symptômes; deux formes bien distinctes ; fréquence de cette dégénération
s causes et de son véritable caractère. 12e liv., pl. 11 et m, p. /.— Formes générales de cette altération. 12e liv., pl. 11,
un grand nombre d'organes. 19e liv., pl. ni, iv, p. 3. — Les diverses formes de cancer peuvent présenter la couleur noire en c
résenter la couleur noire en conservant leurs caractères spécifiques. Forme la plus ordinaire du cancer mélanique. 19e liv.,
autre part avec la peau qui entoure l'anus. 25e liv., pl. m, p. 4- — Formes et effets du cancer rectal.=Cancer de la partie s
Le cancer mammaire affecte tous les âges. 27e liv., pl. m, p. 2. — La forme dure et atrophique du cancer est-elle propre aux
7e liv., pl. m ;p. 4; 31e liv., pl. 11, p. i. — Considérations sur la forme tuberculeuse du cancer. 27e liv., pl. m, p. 4.
pl. m, iv, p. 1. — Le cancer des os est rarement primitif. = Une des formes les plus fréquentes de l'infection est la forme t
primitif. = Une des formes les plus fréquentes de l'infection est la forme tuberculeuse.= Tout cancer mélanique est lié à un
v., pl. n, p. 2. — Cancer gélatiniforme de l'estomac et du péritoine. Forme tuberculeuse du cancer du péritoine. 37e liv., pl
vi, p. S. — Méningite sous-arachnoïdienne de la convexité du cerveau ( forme comateuse). 6e liv., pl. 1,11, p. 4. — Méningite
dienne de la convexité d'un hémisphère survenue chez un hémiplégique ( forme comateuse). 6° liv., pl. 1, 11, p. 2. — Méningite
u cerveau, m Méningite sous-arachnoïdienne de la base et de la voûte ( forme comateuse). = Méningite sous-arachnoïdienne de la
t de la base du cerveau, du cervelet et de la protubérance annulaire ( forme comateuse et adyna-mique). 6e liv., pl. 1, n, p.
u générale, congéniale ou postérieure à la naissance; ses différentes formes ; diminution pure et simple, ratatinemeui granuleu
e occipiiale gauche. 33e liv., pl. 11, p. 4. — Apoplexie capillaire à forme sablée. — Observation. Deux foyers apoplectiques,
du corps strié, l'autre d'une circonvolution. Apoplexie capillaire à forme sablée. Multitude de cicatricules miliaires. Cica
TION. Cicatrisation des pertes de substance résultant des différentes formes d'entérites folliculeuses aiguës. 7e liv., pl. 1,
stins. 26e liv., pl. vi,p. *. CORSETS. Influence des corsets sur la forme du foie. 29e liv., pl. iv, p. i.— Idem, sur la si
nique; la dysenterie incomplètement guérie est la source de plusieurs formes de ces étals de langueur générale avec digestion
ent pour siège la fin de l'intestin grêle; elle se présente sous cinq formes anatomiques principales : Io forme granuleuse etg
grêle; elle se présente sous cinq formes anatomiques principales : Io forme granuleuse etgauffrée. 7e liv., pl. 1, 11, ni, iv
Io forme granuleuse etgauffrée. 7e liv., pl. 1, 11, ni, iv, p. 2.—2° Forme pustuleuse. 7e liv. , pl. 1, 11, m, îv, p. 3.— 3°
iv, p. 2.—2° Forme pustuleuse. 7e liv. , pl. 1, 11, m, îv, p. 3.— 3° Forme fongueuse ; 4° forme ulcéreuse; 5° forme gangrene
ustuleuse. 7e liv. , pl. 1, 11, m, îv, p. 3.— 3° Forme fongueuse ; 4° forme ulcéreuse; 5° forme gangreneuse. 7e liv., pl. 1,1
pl. 1, 11, m, îv, p. 3.— 3° Forme fongueuse ; 4° forme ulcéreuse; 5° forme gangreneuse. 7e liv., pl. 1,11, ni, iv, p. 4. — D
forme gangreneuse. 7e liv., pl. 1,11, ni, iv, p. 4. — Dans toutes les formes d'eniérite folliculeuse aiguë, les ganglions mése
lammation des follicules; perforations du péritoine consécutives, des formes gangreneuse ou ulcéreuse ; fréquente simultanéité
formes gangreneuse ou ulcéreuse ; fréquente simultanéité des diverses formes . = Entérite pseudo-membraneuse,- importance des é
5. — Cicatrisation des perles de substance, résultant des différentes formes d'entérite folliculeuse primitive aiguë. = Formes
ant des différentes formes d'entérite folliculeuse primitive aiguë. = Formes cliniques de l'entérite folliculeuse primitive ai
iguë. = Formes cliniques de l'entérite folliculeuse primitive aiguë : forme typhoïde. 7e liv., pl. 1, ii, m, iv, p. 6. — Fo
rimitive aiguë : forme typhoïde. 7e liv., pl. 1, ii, m, iv, p. 6. — Forme ataxique. = Entérite folliculeuse sur-aiguë. 7e l
se sur-aiguë. 7e liv., pl. 1, 11, m, iv , p. 7. — Alternaron des deux formes , typhoïde et ataxique, forme mixte. 7e liv., pl.
11, m, iv , p. 7. — Alternaron des deux formes, typhoïde et ataxique, forme mixte. 7e liv., pl. 1, 11, m, iv, p.7. —Thérapeut
ssance de l'art. - Exemple d'eniérite folliculeuse aiguë gangreneuse ( forme ataxique); mort le quatorzième jour.= Coïncidence
greneuse (forme ataxique); mort le quatorzième jour.= Coïncidence des formes gangreneuse et ataxique. 7e liv., pl. 1, n, m, iv
liv., pl. 1, n, m, iv, p. 18. —Entérite folliculeuse aiguë fongueuse ( forme ataxique) mortelle en sept jours. 7e liv., pl. 1,
, pl. 1,11, ni, iv, p. 20. — Entérite folliculeuse aiguë gangreneuse ( forme ataxique), perforation. 7e liv., pl. 1, n, m, iv,
ence. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. 22. — Entérite folliculeuse aiguë ( forme ataxique). Amélioration pendanl neuf jours ; recr
. 10.—Entérite par plaques gangreneuses. 31e liv., pl. ni, p. /. — La forme ulcéreuse est une des formes les plus fréquentes
angreneuses. 31e liv., pl. ni, p. /. — La forme ulcéreuse est une des formes les plus fréquentes de l'entérite folliculeuse ai
stuleuse ; correspondance des symptômes cérébraux délirans avec celle forme anatomique de phlegmasie; cette forme ataxique de
s cérébraux délirans avec celle forme anatomique de phlegmasie; cette forme ataxique de l'enlérile folliculeuse primitive est
iploon. 37e liv., pl. m, p. ô. ÉRYSIPÈLE. Erysipèle puerpéral ; ses formes , sa marche, ses caractères et son traitement. 31e
définition ; caractères anatomiques ; obscurité des symptômes ; deux formes bien distinctes ; fréquence de cette dégénéralion
pl. 11, m , p. /. — Cancer gélaliniforme de Tesiomac et du péritoine. Forme tuberculeuse du cancer du péritoine. 37e liv., pl
, pl. v, p. f. — Aucun organe n'est plus variable que le foie pour la forme et le volume. 3e liv., pl. v, p. 3. — Cancer gang
tement du cancer au foie est inconnu. 12e liv., pl. ii, tir,p. *, 8.— Formes de celte altéra-ration. 12e liv., pl. n, m, p. .
-ombilicales. 25e liv., pl.v,vi, p. 5. — Influence des corsets sur la forme du foie. 29e liv., pl. iv, p. k—Des calculs bilia
, p. — La dysenterie incomplètement guérie est la source de plusieurs formes de ces états de langueur générale avec digestion
ustuleuse. Correspondance des symptômes cérébraux délirans avec celte forme anatomique de phlegmasie. La forme ataxique de l'
ômes cérébraux délirans avec celte forme anatomique de phlegmasie. La forme ataxique de l'entérite folliculeuse primitive est
nique. La dysenterie incomplètement guérie est la source de plusieurs formes de ces états de langueur générale avec digestion
ieille femme. — Cancer dur, atrophique chez une femme de 50 ans. = La forme dure et atrophique du cancer est-elle propre aux
e. 27e liv., pl. m, p. 4; 31e liv., pl. n,p. 4.—Considérations sur la forme tuberculeuse du cancer. 27e liv., pl. m, p. 4-—Do
riculaire.=Mé-ningile sous-arachnoïdienne de la convexité du cerveau ( forme comateuse) 6e liv., pl. 1, n, p. /. — Méningite s
enne de la convexité d'un hémisphère, survenue chez un hémiplégique ( forme comateuse ). 6e liv., pl. 1, n , p. 2.—Méningite
u cerveau. = Méningite sous-arachnoïdienne de la base el de la voûte ( forme comateuse). Méningiie sous-arachnoïdienne de la c
de la base du cerveau, du cervelet et de la protubérance annulaire ( forme comateuse et adynamique). 5e liv., pl. 1, n , p.
t encore à faire. Sur quoi portent les lésions anatomiques des nerfs. Formes , degrés et causes de l'atrophie des nerfs. Altéra
OSTÉOSARCOME. 10? liv., pl. m, iv, p. 2 ; 20e liv., pl. 1, p. 1 .— Sa forme la plus fréquente est la dégénération aréolaire g
orations du péritoine consécutives à une entérite folliculeuse aiguë ( forme gangreneuse ou ulcéreuse). 7e liv., pl. 1, h, m
orations du péritoine consécutives à une entérite folliculeuse aiguë ( forme gangreneuse ou ulcéreuse). 7e liv., pl. 1, n , mi
., pl. 1, p. 3. — Cancer gélatiniforme de l'estomac et du péritoine : forme tuberculeuse du cancer du péritoine. 37e liv., pl
ébite utérine. 4e liv., pl. vi, p. 1. — La phlébite constitue une des formes les plus redoutables et les plus fréquentes de la
des vieillards se présente le plus souvent à l'état latent ou sous la forme adyna-mique. 29e liv., pl. v, p. 2. — Affinité en
des vieillards se présente le plus souvent à l'état latent ousous la forme adynaniique. 29e liv., pl. v, p. 2. —Affinité ent
autre part, avec la peau qui entoure l'anus. 25e liv., pl. m, p. 4-— Formes et effets du cancer rectal. = Cancer de la partie
p. 4. — Le sarcocèle épididymaire est la plus fréquente de toutes les formes du sarcocèle qui se développent sous l'influence
rine. 4e liv., pl. vi, p. / . — La phlébite utérine constitue une des formes les plus redoutables et les plus fréquentes de la
sur le ramollissement des corps fibreux. 24e liv., pl. 1, n, p. 3. — Formes qu'affecte l'utérus siège du développement de cor
60 (1934) Oeuvre scientifique
stème nerveux, de la syphilis, du tabes qui d'ailleurs n'est qu'une forme de la syphilis nerveuse, de diverses autres inf
attire seulement votre attention sur un trouble qui parait être une forme de cette asynergie, localisée dans l'appa- reil
érieurs, et enfin je fais palper par le malade des objets ayant des formes diverses. Si je n'en obtiens pas une réponse im
odification dans son intensité, mais aussi une perturbation dans sa forme . II DU PHÉNOMÈNE DES ORTEILS ET DE SA VALEUR
n particulier du gros orteil. Je désigne cette modification dans la forme du mouvement réflexe sous la dénomi- nation de
us prononcée. Le phénomène des orteils peut se présenter sous des formes frustes, c'est-à-dire que le réflexe plantaire
e cette névrose se fut manifestée par des troubles de la motilité à forme hémiplégique ou à forme paraplégique, par de la
anifestée par des troubles de la motilité à forme hémiplégique ou à forme paraplégique, par de la paralysie flasque ou pa
es orteils, on s'aperçoit immédiatement que cette inversion dans la forme du réflexe cutané plantaire est liée à des affe
du réflexe « légitime » le « faux » mouvement réflexe. Outre que la forme de ce dernier n'est pas identique à celle du pr
s du tabes se présentent, au moins à une certaine période, sous une forme asymétrique. L'irréflectivité on vient de le vo
ure indéfiniment la seule manifestation clinique du tabès. D'autres formes de la maladie se traduisent par des douleurs ful-
s, dès le début, une abolition de tous les réflexes ; dans d'autres formes où l'évolution est lente, l'irré- flectivité s'
fé- rences en ce qui concerne l'irréflectivité. Cependant certaines formes déterminent de préférence l'abolition de tel ou
t souvent difficile à affirmer. Le diagnostic différentiel de cette forme d'avec la pseudo-scia- tique (névralgie hystéri
ÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 55 La névrite radiale, dans la forme que j'ai décrite('), est caractérisée par des d
e, à du tabes. Pour mettre ce trait en évidence, j'ai désigné cette forme de spondylose sous la dénomination de « pseudo-
ans un assez grand nombre de cas, une trépidation identique dans sa forme à celle qui dépend d'un état pathologique. Je f
Une fois constituée, l'exagération des réflexes tendineux, dans la forme d'hémiplégie dont nous nous occupons, ne subit
endant une période plus ou moins longue, se comporter comme dans la forme habituelle dont il a été question précédemment.
ession lente, contraire- ment à ce que l'on observe dans les autres formes d'hémiplégie, la surré- flectivité n'est jamais
ù les faisceaux pyramidaux sont intéressés, quelque autre espèce ou forme de contracture qui ne dépende pas de la surréfl
ès dorsal spasmodique, consacrée par l'usage, étant appliquée à une forme de paraplégie où la contracture est remarquable
érés et les faisceaux pyramidaux sont intacts. e) Voir : a) Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une 'lési
(Ibid., g mai 1912). RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 83 la forme précédente ; elle est sujette à des variations fr
neuses. Je ne m'étendrai pas sur les lésions qui déterminent cette forme de para- plégie ; qu'il me suffise de dire qu'i
ce jour. Je reviens à la clinique. La rigidité musculaire de cette forme de para- plégie constitue bien une contracture
si une contracture différente, il est vrai, de la précédente par sa forme déterminée par des lésions ner- veuses centrale
irmées sur tous les points par plusieurs neurologistes ('). Cette forme de contracture, surtout commune aux membres infér
les réflexes cutanés de défense dont elle parait dépendre, comme la forme habituelle de la contracture dépend de la surré
Pour mettre ces traits en évidence et pour donner à chacune de ces formes de contracture qui peuvent d'ailleurs s'associe
bles. Elles m'ont prouvé que la suggestion, quelles qu'en soient la forme et la durée, est sans action sur les réflexes t
e se modifier notable- ment dans leur intensité ainsi que dans leur forme , non seulement du jour au lendemain, mais même
pied et de la main ; lorsque les jambes sont pendantes, l'angle que forme le pied avec la jambe est plus grand du côté para
fférents : d'une part un mouvement ayant une amplitude égale et une forme identique à celle d'un réflexe normal (réflexe te
oter simplement son degré d'intensité, on prend en considération sa forme . J'ai montré, il y a déjà plusieurs années, qu'
e « phénomène des orteils » cette modification pathologique dans la forme du mouvement réflexe et j'en ai donné une descrip
est en contact avec la paume de la main. Pour donner une idée de la forme de la contracture hystérique, je dirai qu'une con
est sous la dépendance de la lésion d'un système anatomique, a une forme spéciale que la volonté ne peut réaliser et qu'
on de la plante du pied subit ordinairement une inversion dans sa forme ; les orteils, au lieu de se fléchir, s'étenden
orteils, appartient à toutes les périodes de l'hémiplégie. 8" La forme de la contracture a un aspect particulier et ne
l'excitation de la plante du pied ne subit pas d'inversion dans sa forme . Le phé- nomène des orteils fait défaut. 8° L
sion dans sa forme. Le phé- nomène des orteils fait défaut. 8° La forme de la contracture peut être reproduite par une
, de se modifier rapidement dans leur intensité ainsi que dans leur forme , de présenter des rémissions transitoires pou
s de défense du membre inférieur. Mais ils peuvent varier dans leur forme , leur rapidité, leur amplitude et dans l'étendu
ques, comme nous l'avons déjà indiqué, sont identiques quant à leur forme aux mouvements réflexes de défense « provoqués »
gérés et c'est peut-être là le caractère le plus essentiel de cette forme de paraplégie. Le lien qui unit ces deux phénom
il était nécessaire de faire une subdivision et de distinguer deux formes de rigidité musculaire qui souvent, il est vrai
i souvent, il est vrai, s'associent l'une à l'autre. L'une de ces formes est constituée par la contracture vulgaire en rel
neux ; on peut l'appeler contracture tendino-ré flexe . La deuxième forme de contracture se différencie principalement de l
tre qui fasse mieux ressortir le contraste essentiel entre les deux formes de contracture en question. Elle remplit d'ailleu
ta4 SÉMIOLOGIE blit d'une manière frappante le lien qui unit cette forme de contracture à l'exagération des réflexes de
tés en clinique neurologique et n'ayant pas la vision précise de la forme des mouve- ments réflexes pathologiques seraien
. 4"3. (2) Société médicale des Hôpitaux, ac5y), P. V ? : v Sur une forme de paraplégie spasmodique consé- cutive 1l une
on de ces réflexes, ainsi que cela se voit assez souvent dans cette forme de paraplégie. » e,) Revue Neurologique, '912,
problème. L'intensité des réflexes de défense et les diversités de forme qu'ils présentent sont-elles en rapport avec l'in
férieurs, soit dans les deux et, alors, tantôt ils revêtent la même forme des deux côtés, tantôt ils donnent lieu à une f
euvent être pro- voqués même par des excitations très légères. Leur forme varie suivant la position des membres et l'endr
façon la plus indis- cutable, au cours de la sclérose en plaques à forme spasmodique et de la syringomyélie. « Voici c
re. Mes observations m'ont conduit à assigner à chacune de ces deux formes de paraplégie, celle en extension et celle en f
cependant cette stabilité n'atteint guère le même degré que dans la forme précédente ; elle est sujette à des variations fr
euses. « Je ne m'étendrai pas sur les lésions qui déterminent cette forme de paraplégie ; qu'il me suffise de dire qu'il
e jour. « Je reviens à la clinique. La rigidité musculaire de cette forme de para- plégie constitue bien une contracture
si une contracture différente, il est vrai, de la précédente par sa forme déterminée par des lésions nerveuses centrales
nfirmées sur tous les points par plusieurs neurologistes. « Cette forme de contracture, surtout commune aux membres infér
les réflexes cutanés de défense dont elle parait dépendre, comme la forme habituelle de la contracture dépend de la surré
Pour mettre ces traits en évidence et pour donner à chacune de ces formes de contrac- tures qui peuvent s'associer une dé
n.o ? é flexe et celui de cutanéo-réflexe à l'autre. » A côté des formes types, il y a des formes qu'on pourrait appeler i
de cutanéo-réflexe à l'autre. » A côté des formes types, il y a des formes qu'on pourrait appeler inter- médiaires où l'on
et guérie à la suite de l'intervention chirurgicale. Cette dernière forme comporte un pronostic moins sévère que la paraplé
nseurs et les fléchisseurs forment deux groupes soumis chacun à une forme spécifique d'activité réflexe ; elle est tonique
celui RÉFLEXES DE DEFENSE 155 des extenseurs soumis chacun à une forme spécifique d'activité réflexe : les réflexes d'
omatique et de telle façon que ces divers mouvements sont dans leur forme subor- donnés les uns aux autres. Ceux-ci son
provoque momentanément une contrac- ture en flexion reproduisant la forme de paraplégie spasmodique que j'ai décrite réce
constate une dilatation de l'aorte ascendante, se présentant sous la forme d'un tronc de cône dont la base se confond avec
, , séance du g novembre 1899. désire entretenir la Société d'une forme de troubles de motilité, t dont la cause anatom
ter la tête en arrière et à incliner le tronc dans le même sens, en forme d'arc, les membres inférieurs restent presque i
rme les yeux, il n'apparaît guère de changement appréciable dans la forme du mouvement exécuté. Parfois, il est vrai, le do
'un trouble du sens musculaire ; car la sensibilité sous toutes ses formes , explorée avec les divers moyens dont on dispos
bles, se prêtait favorable- ment à l'étude des phénomènes dans leur forme type. Le malade, dont la force musculaire est n
orter la tête en arrière et à courber le tronc dans le même sens en forme d'arc. On observe alors qu'ayant imprimé à son
açon identique. Il n'y a là rien, ni dans les conditions ni dans la forme , qui puisse être confondu avec le signe de Romb
ne présentent pas toujours, tant s'en faut, une pareille fixité de forme , ils n'atteignent pas constamment un pareil dév
s divers modes d'asso- ciations peuvent exercer sur l'intensité, la forme et la durée des symp- tômes cérébelleux. BaI)
t réflexe, comme cela est très probable, il faut reconnaître que sa forme diffère notablement des autres réflexes muscula
. N. > F. C., que la contraction est lente, paresseuse et que la forme du mouvement diffère sui- vant le sens du coura
que soit le sens du courant, la secousse est lente, paresseuse. La forme du mouvement diffère suivant le sens du cou- ra
par la saignée dans l'urémie, dont l'aspect symptomatique, dans sa forme cérébrale, a des analogies avec le tableau symp
uant la ponction rachi- dienne chez des malades atteints d'urémie à forme cérébrale. TROIS CAS DE GLIOMATOSE CÉRÉBRALE ?
uve à la face inférieure du lobe frontal droit, une tumeur ayant la forme d'un oeuf de poule et en atteignant presque le vo
mblent dues à la présence de fibres à myéline et qui (') a) Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésio
exact. Le malade est soumis à une cure hydrargyrique sous diverses formes et on s'acharne à ce traitement surtout si, com
ite en un autre lieu sont les suivants : la hernie cérébrale qui se forme ordinairement après l'incision de la dure-mère co
nt en SUR UN CAS D'HÉMISPASME - ! 5 ? jeu. Quoi qu'il en soit, la forme des mouvements, leur mode de succes- sion, les
ne dure pas, que les spasmes se reproduisent ensuite sous une autre forme . Qu'il en soit souvent ainsi, je ne le conteste
s dit précédemment, comparables à ce que l'on observe dans d'autres formes de la kinésie paradoxale parkinsonienne. C'est
de Neurologie de Paris, 3-4 juin 192 1. (-1) J. Babinski, Sur une forme de dysarthric paraissant liée à une lésion du cor
de est venue consulter à la Pitié en mars 1922. Il se présente sous forme d'accès se produisant fréquemment et ayant les ca
peu. Ses mouvements sont lents et d'une manière intermittente, sous forme d'accès fréquents, sa respiration devient irrég
orter la tête en arrière et à courber le tronc dans le même sens en forme d'arc, les membres inférieurs restent presque imm
orter la tête en arrière et à courber le tronc dans le même sens en forme d'arc. Fig. t5. Attitude d'un sujet sain dans
ter la tète en arrière et à courber le tronc dans le même sens en forme d'arc. Fig. 16. Attitude du malade pendant la m
premier foyer s'étend sur toute la moitié supérieure du bulbe ; sa forme générale est triangulaire ; sa hase s'appuie à la
lontaire, donner lieu à des troubles i vaso-moteurs et thermiques à forme hémiplégique. Voici cette observation : B...,
ans tout le côté droit du corps, sauf à la face, une dissociation à forme syringomyélique des divers modes de la sensibilit
s vaso-constrictives réflexes : différence d'amplitude, différence de forme . La différence d'amplitude trouve son explicati
n état plus marqué de turgescence initiale. Quant aux différence de forme , il faudra déterminer, par des expériences réalis
es veines, en se dilatant, ont manifesté une modification dans leur forme ; c) enfin, l'immersion des mains dans l'eau fr
ésigner une pareille affection sous le nom de sclérose en plaques à forme destructive. 9° La sclérose en plaques dont la
ne évolution aiguë. On peut dire dans ces cas qu'on a affaire à une forme aiguë de la sclérose en plaques. 10° Il existe
n peut la dénommer : pseudo-sclérose en plaques. ' , II SUR UNE FORME DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE CONSÉ- CUTIVE A UNE L
r droit et du cou. (Mars 18gô, d'après une photographie.) SUR UNE FORME DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 317 malade maintient
bulbe refoulé a subi un mouvement de torsion sur son axe. SUR UNE FORME DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 319 progressivement e
com- pression est considérable et la moelle a pris à ce niveau la forme d'un croissant; elle n'a d'ailleurs pas subi un
s de dé- générescence visible des faisceaux pyramidaux. SUR UNE FORME DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 321 A l'âge de quaran
e est fléchie sur le bassin, et la jambe, en flexion sur la cuisse, forme avec celle-ci un angle droit ; les tractions ex
n n'arrive pas au contact de la cuisse. Au mois d'avril 1897, il se forme une eschare à la région sacrée. Le 20 mai, la m
comme un oeuf; à gauche, on trouve la trace d'un ancien foyer sous la forme d'une fente un peu pigmentée à la face externe
mais j'insisterai davantage sur le contraste qu'il y avait SUR UNE FORME DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 323 dans ce cas entre
rticularités individuelles, présentaient, comme trait com- mun, une forme de paralysie crurale caractérisée à sa période d'
ugmentant encore la déformation. Il y a lieu de rechercher si cette forme clinique de paralysie spasmo- dique correspond
voulait l'appliquer à tous les cas de paraplégie spasmodique de la forme dont il est ici question. Il est difficile de n
de la maladie. Je suis ainsi conduit à émettre l'hypothèse que la forme de para- plégie spasmodique qui nous occupe est
Q. A l'appui de cette idée, j'ajouterai que les caractères de cette forme de paraplégie avaient été poussés au maximum d'
n vue ici que la paraplégie qui se développe chez l'adulte. SUR UNE FORME DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 325 Je rapprocherai d
était extrême- ment forte. Je crois donc pouvoir conclure que la forme de paraplégie spasmo- dique dont j'ai donné la
outre la médication bromurée employée depuis la (1) Voir : Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésio
l y a lieu de continuer encore le traitement hydrargyrique sous une forme aussi intensive que possible. Du mois de décemb
R COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 3 ? cérébrale acceptable, cette forme de paralysie constitue un argument de grande va
déjà plus de dix ans ('), j'ai cherché à éta- blir qu'il existe une forme spéciale de paraplégie spasmodique se - L carac
montré les examens anatomiques, j'avais émis l'hypothèse que cette forme de paraplégie était causée par des lésions du s
ce qui est relatif à ce sujet. Je me propose donc de dégager une forme de paraplégie spasmodique organique qui n'a pas
l se distingue par les signes suivants : contracture en (') Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive il une lési
s, du..moins dans un grand nombre de cas. Considérons maintenant la forme de paraplégie spasmodique que nous visons. L'
les muscles de cette femme, qui présente à un degré très marqué la forme de paraplégie en question, sont dans un état de
blement exagérés. Les réflexes en question peuvent varier dans leur forme suivant le point sur lequel porte l'excitation
constitue peut-être le caractère qui différencie le mieux les deux formes de paraplégie spasmodique que nous mettons en p
allèle. Le lien qui unit l'exagération de ces réflexes cutanés à la forme de contracture que je considère est comparable
ure en flexion parait atteindre l'intensité la plus grande. Cette forme de contracture se complique presque inévitablemen
lution de l'affection. Dans quelles circonstances se développe la forme de paraplégie spas- modique dont je m'occupe ?
pré- senté qu'une contracture relativement modérée. En résumé, la forme de paraplégie spasmodique que je viens de décri
abes dorsal spasmodique ». Il y a tout lieu d'admettre que ces deux formes de contracture, qui sou- vent s'associent parti
tanés de défense). 1 Avant de terminer, je répète que quand cette forme de contracture en flexion est très intense, ce
serait inexacte ; car, ainsi que je l'ai dit précédemment, dans la forme de paraplégie dont je m'occupe, le réflexe abdomi
t pas exagérés, mais sont même abolis. Il existe, sans doute, une forme de contracture sur laquelle j'ai appelé l'atten
logique de l'activité musculaire, différentes il est vrai dans leur forme , mais conditionnées toutes deux par une irritatio
tout au moins extrêmement discrètes ? Ne s'agit-il pas plutôt d'une forme d'arthropathie syphilitique (') ? » TABES HÉRÉD
à être cherché parce qu'il se manifeste dans bien des cas sous une forme fruste et ne s'impose pas alors à l'attention du
binski et IL Barré, La Tribune médicale, 28 mai igio. VII SUR UNE FORME DE PSEUDO-TABES (NÉVRITE OPTIQUE RE'TRO-BULBAIR
à le démontrer, et qui peut être considéré comme appartenant à une forme particulière de pseudo-tabes différant du pseudo-
métrique. La névrite observée dans ce cas a les caractères de celte forme spéciale de névrite optique que Parinaud a bien
o-bulbaire. Parinaud estime qu'il serait bon, pour distinguer cette forme de névrite de celle qui est causée par l'alcool
bilité, dépendent de la même cause. Ce fait appartient donc à une forme de pseudo-tabes bien différente, au point de vu
4 PARAPLÉGIES - affections de La moelle loin d'être d'accord sur la forme du rétrécissement du champ visuel dans l'atroph
me sens assez porté à pen- ser, avec M. Berger, qu'il n'y a pas de forme de rétrécissement du champ visuel caractéristiq
temporal. M. Charcot l'a vu, dans la ma- jorité des cas, prendre la forme de rétrécissement concentrique inégal. Les scot
el peut être si peu marquée que le rétrécissement prend parfois une forme concentrique. Dans toutes nos observations, il s'
i quatre observations inédites, ce qui tendrait à prouver que cette forme n'est pas exceptionnelle. ' Il existe donc des
ique des nerfs optiques évoluant d'une façon aussi différente de la forme habituellement fatale de cette affection. 3"
que le rétrécissement périphérique du champ visuel peut prendre la forme d'un secteur se rapprochant peu à peu, comme le
stants du rétré- cissement du champ visuel, rétrécissement ayant la forme d'un secteur dont le sommet aboutit au point de
i° Il n'existe pas, dans l'atrophie tabétique du nerf optique, une forme de rétrécissement du champ visuel particulière
ts réflexes : comme on le voit sur le schéma, elle se présente sous forme d'une ligne nettement horizontale. Si nous la com
de la sensibilité dus à des lésions médullaires se présentent sous la forme radiculaire ; , 5° Les données anatomo-pathol
erçoit de suite une tumeur bien circonscrite, ayant le volume et la forme d'une grosse olive, de couleur rouge violacée, si
'odorat sont conservés. Il y a de la céphalée qui se manifeste sous forme d'accès fréquents et violents s'accom- pagnant
quivalence à une section complète de la moelle ; et, en fait, cette forme peut se rencontrer. En- Fig. 53. Myélite transv
ertébrale, si elle a augmenté un peu d'étendue, n'a subi ni dans sa forme ni dans sa situation de modification appré- cia
xes de défense présentent des variations considérables quant à leur forme et leur intensité : tantôt c'est la triple flexio
eu du corps de la VU" vertèbre dorsale et s'arrête là en prenant la forme d'une coupole, d'une voûte. Vingt jours plus tard
ter la masse faisant obstacle au passage du lipiodol et qui, par sa forme , rappelle bien une tumeur intra-dure-mérienne.
férieurs, soit dans les deux, et alors, tantôt ils revêtent la même forme des deux côtés, tantôt ils donnent lieu à une f
peuvent être provoqués même par des excitations très légères. Leur forme varie suivant la position des membres et l'endr
e confond à peu près avec la ligne ombilicale ; pour la piqûre elle forme une ligne courbe, à concavité tournée en bas, sit
la masse lipiodolée, arrêtée à la 3e vertèbre dorsale, présente une forme d'ovoïde allongé dont l'extrémité inférieure (côt
oupes à l'hématéine-éosine, l'examen a montré un méningioblaslome à forme épithéliale avec nombreux corpus- cules calcair
l'image de la bille arrêtée à la 3e vertèbre dorsale présentait une forme , qui, à première vue, pouvait surprendre. En ef
e, arrêtée à la 3e vertèbre dorsale, présente, comme on l'a vu, une forme d'ovoïde allongé dont l'ex- trémité inférieure
la radiographie donne l'image de la tumeur, ayant dans l'espace une forme ovoïde, tandis que l'huile iodée n'ayant pas de c
e est séparée par la dure-mère, ne peut en dessiner pareillement la forme . Notre diagnostic a été confirmé à l'opéra- tio
pi- thète de « nucléaire ». Quelle que soit l'opinion que l'on se forme sur ce dernier point ce qui résulte incontestab
raplégie spasmodique, type « extension-flexion » ('). Mais ces deux formes de paraplégie spasmodique n'appartiennent pas e
opinion que cette femme a eu deux grossesses terminées (') Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésio
de sciatique intense, avec amyotrophie notable, correspondant à la forme que l'on désigne sous la dénomination de sciati
on de sciatique névrite, mais aussi chez des malades atteints de la forme légère de cette affection, que l'on appelle sciat
NÉVRITE RADIALE J'ai décrit à la Société de Neurologie en 1903 une forme spéciale de névrite radiale caractérisée par le
que toute contraction musculaire modifie dans une certaine mesure la forme de la région où elle se produit et, si l'on veu
contractions volontaires sont normales, ce sont des changements de forme plutôt que des déformations; il me semble naturel
ons; il me semble naturel de réserver ce mot à des modifications de forme anormales. Or c'est ce qu'on constate ici; on obs
ez dont la pointe se porte du côté malade et dont le bord antérieur forme une courbure à concavité tournée du même côté ; o
progressive primitive. Cette myopathie se présente sous différentes formes que nous ne décri- rons pas avec détails ('), d
vue, ce que nous dirons s'applique à toutes les variétés. Dans une forme de la myopathie, la paralysie pseudo-hypertrophiq
ertain nombre de cas('), peuvent se prendre aussi dans la suite. La forme héréditaire de Leyden-Mobius, au point de vue de
ocalisa- tion, ressemble beaucoup à la précédente. Dans une autre forme , la forme infantile de l'atrophie musculaire prog
tion, ressemble beaucoup à la précédente. Dans une autre forme, la forme infantile de l'atrophie musculaire progres- siv
férieurs peuvent être atteints avec les progrès de la maladie. La forme dite juvénile d'Erb est presque identique à la pr
que la face serait ici indemne, tan- dis qu'elle est prise dans la forme précédente. Il y a enfin des formes de transiti
dis qu'elle est prise dans la forme précédente. Il y a enfin des formes de transition, dans lesquelles l'affection débute
i en même temps que les membres. Nous avons indiqué, à propos de la forme infantile de Duchenne, la participation de cert
temps des muscles extrinsèques de l'épaule. Mais quelle que soit la forme à laquelle on ait affaire, ces muscles se prenn
qui concerne la localisation de l'affection, ce qui différencie les formes les unes des autres, c'est la prédominance et l
l'amyotrophie dans telle ou telle région ; mais quelle que soit la forme que l'on considère, lorsqu'une région est envah
mes muscles qui sont atteints ; ainsi, par exemple, lorsque dans la forme infantile de Duchenne, les membres inférieurs vie
us ses malades à notre disposition, dix sujets atteints de diverses formes de la myopathie. Nous avons constaté que la rép
provoqués par des causes psychiques, de se succédersous différentes formes chez les mêmes sujets, qu'ils ne retentissent p
variétés de paralysies, de contractures, d'anesthésies, toutes les formes d'attaques peuvent être reproduits par suggesti
que nous avons été en mesure de reproduire par sug- gestion la même forme de monoplégie. Je demande qu'on procède de la m
rieurs, et enfin, je fais palper par le malade des objets ayant des formes diverses. Si je n'en 470 ' ? II YS T l Il 1 E -
e n'est pas une modification corporelle et, d'autre part, certaines formes de vésanie accompagnées de troubles corporels n
thénie, adressez-vous à un cas de neuras- thénie bien franche, à la forme dite constitutionnelle ; là encore vous ne tard
exes tendineux et l'épilepsie spinale parfaite (2) qui n'est qu'une forme de cette exagération. Mes idées sur ce sujet sont
s l'action qu'on lui prête. S'il en était ainsi, la fréquence et la forme de ces troubles devraient être, contrairement à c
de devenir maîtresse des troubles pithiatiques, d'en déterminer la forme , d'en doser, en quelque sorte, l'intensité et l
happent à l'influence de la volonté qui est incapable d'en fixer la forme , l'intensité et la durée. Expérimentalement, je
de dépendre essentiellement, dans leur apparition, leur durée, leur forme , leur disparition, du milieu psychique où viven
nts semblables, est prise d'une crise hystérique identique, dans sa forme , à celles qu'elle a eues devant les yeux, puis
qu'il est hypnotisé. L'hypnotisme, d'ailleurs, se présente sous des formes très variées, plus ou moins parfaites, plus ou
nt à tous les aspects du som- meil hypnotique, entre autres à cette forme très commune où le sujet, les yeux fermés, parl
es; elles se propageaient autrefois dans les salles de malades sous forme d'épidémie, lorsqu'on n'en connaissait pas bien l
ssait pas bien le mécanisme. La suggestion peut intervenir sous une forme différente dans les asso- ciations hystéro-orga
mprendre la variabilité des manifestations hystériques quant à leur forme et à leur fréquence suivant les époques et les
nais aussi les faits de kinésie paradoxale décrits par Souques, ces formes de polypnée, de mutisme liées au syndrome parkins
accidents hystériques. La notion de la suggestion, de l'imitation, forme de la suggestion, explique au contraire ce chan
i l'origine de troubles hystériques. Ceux-ci varieront quant à leur forme , leur intensité, leur localisation, suivant les
our cause, de se borner à éliminer la suggestion médicale. D'autres formes d'hétéro-suggestion ou l'auto-suggestion peuvent
consciemment. Les attaques hystériques se distinguent encore par la forme qu'elles revêtent, grands mouvements, gesticulati
'obéissent pas à des règles bien précises. Elles prennent tantôt la forme dimidiée - nous en avons déjà parlé à propos de
imidiée - nous en avons déjà parlé à propos des stigmates tantôt la forme en îlots irréguliers : assez souvent elles imit
noplégies brachiales ou crurales. La plus fréquente de toutes ces formes de paralysie semble être la para- plégie. Elle
, simple ou trépidante, avec les caractères classiques, ou d'autres formes de paralysies systématiques ne sont pas rares en
s accidents hystériques, des paralysies, des contractures, diverses formes d'astasie-abasie, des convulsions chez des indi
e de la méthode graphique (3). Il résulte de ce qui précède que ces formes diverses de contractures et de paralysies obser
mélange de parésies et de contractures. Mais, quelle qu'en soit la forme , le trouble moteur est le plus souvent incomple
- tabilité mécanique des muscles. Elle est surtout marquée dans les formes (') Tous ces examens ont été pratiqués avec le
QUES paralytiques ou parétiques, mais on la constate aussi dans les formes hypertoniques. C'est dans les petits muscles de
obtient, par des mouvements passifs, une surflexion de la main qui forme avec l'avant-bras un angle très aigu, une surex
t exagérés dans les contrac- tures du membre inférieur que dans les formes hypertoniques observées au membre supérieur. Ce
ociété de Neurologie, 2 mars Ig 1 G. C) G. Guillain et J.-A. Barré, Forme clinique de la névrite ascendante. Presse Médical
s troubles réflexes nous paraissent aussi s'associerfréquemment aux formes douloureuses des névrites. La plupart des neurolo
hiques et vaso-moteurs. P. Marie et I"'e Ath. Benisty, décrivant la forme douloureuse des lésions du nerf médian, font rema
la jambe gauche, un mode de déambulation singulier constituant une forme de chorée ryth- 57fi TROUBLES PHYSIOPATHIQUES
rque avant de terminer cette étude de pathogénie. Quelques-unes des formes cliniques : main figée, main d'accoucheur, acro-
tre induit en erreur; le tabès peut en effet se manifester sous une forme bénigne restant telle sans aucun traitement : il
la triple flexion), mais ordinairement attitude en extension. Cette forme qui, d'ailleurs sauf cette attitude, se distingue
e nous présentons souffre depuis plusieurs années d'une névralgie à forme grave, siégeant du côté droit du visage, pour l
tendon d'Achille dans le tabes (Id., 26 octobre 1898). 51. Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésio
ec arrêt du développement des organes génitaux (Id.). 62. Sur une forme de pseudo-tabes. Névrite optique rétrobullaire in
on de dégénérescence (Société de Neurologie, 12 janvier igo5). 114. Formes latentes des affections du système pyramidal (Id.
le : thermo-asymétrie et vaso-asymétrie; hémianesthé- sie alterne à forme syringomyélique. Hypothèse nouvelle sur la conduc
c Froment. Académie de Méde- cine, 19 octobre 1915). 227. Sur une forme de contracture organique d'origine périphérique,
avec Jarkowski. Société de Neurologie, 3 juin 1920). 261. Sur une forme de syncinésies dans l'hémiplégie organique (en co
plaques. Paraplégies. 1. - Sclérose en plaques ... 313 IL Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésio
xe du tendon d'Achille dans le tabes............ 343 VII. - Sur une forme de pseudo-tabes 349 VIII. Du champ visuel et de
61 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
INE 1889 NOUVELLE ICONOGRAPHIE A 'q DE LA SALPÊTRIÈRE D'UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX DES EXTRÉMITÉS
ssez semblables entre eux militerait en faveur de l'existence d'une forme particulière d'affection névritique, mais, seul
ions tout à fait semblables/mais moins accentuées. t'ic. 1. UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 3 Au point de
nterosseux gauche lequel présente la réaction de dégéné- rescence à forme mixte. Il n'y a pas de secousses fibrillaires.
'insuffisance mitrale ; les autres appareils sont sains. [, : il; FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 5 Ces. 111. -
u bout d'un mois. Rien il noter du côté des autres appareils. UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX 7 II Relevon
, et c'est en général à cette période de la maladie que la main UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. gauche, jusqu
par un méplat; l'éminence thénar s'aplatit. Enfin la main prend la forme dégriffé, la situation vicieuse des doigts étant
d.. OBS. V L'RCnOSNtRR ET DA13(, ÉDITEURS 1 1 ? 1\" 1 j UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 11 fléchies.
Il Cliché A. Lande OBS. VI LECROSNIER ET Barye, ÉDITEURS UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. la professeur
la fracture du coude, aurait vu cette affection se réaliser sous la forme d'une névrite cubitale. Dans l'observation su
e, juillet). - Nouvelles études {Archives de neurologie, 1888). UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 15 La sensibi
ue nous avons décrite, et il nous suffira d'avoir mis en relief une forme patho- logique, syndrome ou espèce morbide, qui
forme de la façon suivante : la première phalange est redressée; elle forme DES SUITES ÉLOIGNÉES DES THAUMATISMES DE LA MOE
onsidère chaque lettre en particulier on peut aisément reconnaît ! sa forme dans les, différentes écritures du même individ
il constata dans les derniers temps un épaissis- sement notable, la forme générale du visage aurait changé dans les dernièr
sont aussi assez fortement proéminents. La tête toute entière a une forme particulière d'ovale allongé qui répond entière
Les mains et les pieds se montrèrent bleuis, froids, épais et sans formes , les ongles plus larges, mais moins longs que n
Iroublées. La tête est épaisse, le visage grand et large, mais sa forme générale est plutôt ovale. Le nez très large et
ils se trompèrent singulièremen 1. Le merveilleux, sous toutes ses formes , jouit en effet d'une vertu fascinatricesans égal
que des vésanies certains cas particuliers constituant une nouvelle forme pathologique désignée du nom de catatonie. Nous
iculiers à la catatonie. C'est d'abord le caractère pathétique sous forme d'exaltation théâtrale, d'extase tragico-religi
niques ou cloniques, ou sous forme de raideurs musculaires, ou sous forme d'états cataleptoïdes. Il faut noter aussi le mut
e de retrouver seulement quelques-uns des traits qu'il assigne à la forme vésanique qu'il veut isoler. En face d'elles, n
e pendant l'opération. Ces deux parties de la pièce médiane sont de forme triangulaire al- longée et sensiblement pareill
menton est assez délicate : elle dé- pend de la grosseur et de la forme de la tête et du cou du sujet. En ce qui rega
ébrale de se faire. Pour cela, les pièces des aisselles, qui ont la forme d'un ovoïde ma- telassé il son extrémité inféri
la tête étaient peu ou pas altérées, de façon que la face avait la forme d'un oeuf avec le gros bout en bas, différant ain
nd la malade est debout, les chairs sous la pression rebroussent sous forme d'un large bourrelet (iig. 37). Les jambes cert
qui ont leur sensibilité normale, de même que deux zones qui ont la forme de manchons d'une hauteur de sept ou huit centi
n de juin 1888. Ils dispa- raissaient subitement et revenaient sous forme d'attaques. On peut dire néanmoins que la malad
vrieuxl883) M. Paul Richer en rapporte plu- sieurs cas revêtant des formes différentes. . Tantôt il s'agit d'un, blépharos
une contracture énergique et permanente des paupières ; dans celte forme comme dans la pré- cédente la photophobie peut
e la face, du même côté. M. P. Richer décrit encore une troisième forme de blépharospasme hystérique qu'il dénomme avec
omme avec M. Parinaud` blépharplose pseudo- paralytique. Dans cette forme , les deux muscles antagonistes, le rele- veur d
mentaire; elle com- prend les paupières supérieure et inférieure et forme une bande circulaire de un centimètre et demi d
agus. Il en résulte que l'orifice du con- duit auditif externe a la forme d'une fente de 5 millimétrés de largeur dirigée
ant en une torsion sur son axe et en un changement de direction. De forme cylindrique la est terminée à son extrémité antér
septembre. - Pas d'accès, le délire continue toujours avec la même forme . ANOMALIES DES ORGANES GÉNITAUX CHEZ UN ÉPILEPT
les, sinon celles des doigts pliés en marteaux. La poitrine dont la forme a été décrite plus haut présentait de chaque côté
cie, ce qui frappa tout de suite l'attention fut la petitesse et la forme du cerveau comparées à la forme et au volume qu
te l'attention fut la petitesse et la forme du cerveau comparées à la forme et au volume que présentait extérieurement le c
ur; le cerveau se montrait petil plus qu'à l'ordinaire et avait une forme comme sphérique. Quelle pouvait être la raison
du crâne. , La glande pituitaire pesait 1 grammes, elle était de forme irrégulière- ment sphéroïde, avait son diamètre
onsidérable. Les cellules contenues dans les interstices étaient de forme et de volume très variables; les plus petites m
mpues pendant la pré- paration du squeletle, seules leurs bases, de forme pyramidale, subsistent. Ces apophyses étaient c
eur de 14 millimètres, une lame très mince de substance compacte de forme carrée interrompue seulement à sa partie médiane
peau du thorax et des membres une des- quamation de l'épiderme sous formes d'écailles rappelant l'ichtyose. Sous la tète d
arqué, il se fait sur tout le corps une desquamation abondante sous forme d'écailles blanches transparentes. Pour peu que
Baillarger). Pourtant l'atrophie musculaire peut se présenter sous forme épisodique, comme le montre la troisième observat
tc. Ses idées délirantes se manifestèrent quelquefois sous d'autres formes : il resta, vers la fin d'août, i.8 heures sans v
xacte et'vraie pour la grande généralité des cas. Mais à côté de la forme commune, où la flexion l'emporte dans l'altitud
clinique du 19 juillet. Il s'agit d'un cas de paralysie agitante à forme hémiplégique. Le membre supérieur pré- sente l'
chés en avant comme il est de règle. Ons. I. Maladie de Parkinson à forme hémiplégique. Attitude anormale. - Extension ex
te particularité que les bords en sont fortement relevés; elle a la forme d'un bateau et le malade ne peut ni la mettre à
-cléido mastoïdien gauche fait une forte saillie sous la peau, sous forme d'une corde rigide. La tète est légèrement inclin
on à droite : le sterno-cléido-mastoïdien gauche est contracture et forme une, corde rigide sous la peau. Il existe à gau
r contracture isolée est envisagée, pour ainsi dire, sous autant de formes , d'entités morbides particulières qu'il y a de sp
lette (pl. XXXI). - Tous ceux qui, ayant présentes il la pensée les formes des squelettes des premiers spécimens du grand ar
des membres inférieurs. Voyons maintenant quelles modifications de forme et de texture sont sur- venues dans les divers
ieure, tandis qu'au voisinage de leur angle elles sont grêles et de forme prismatique. Le bassin présente des trous obtur
, en général, se montrent volumineux avec des canaliculcs courts en forme d'épines; quelques-uns de ces corpuscules, mais p
s côtes fussent envahis par le processus morbide, la régularité des formes ne devait pas avoir été altérée. Puis, lorsque
ur mieux dire de ANATOJIIE PATHOLOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE. 19'. la forme très singulière qu'avait acquise le thorax de Ghi
ami Paul Richer, dont les longs et beaux travaux sur l'anatomie des formes du corps humain vont bientôt t être réunis etvo
acée à gauche surtout à son extrémité externe, où le relief qu'elle forme en avant de la fosse temporale est bien moindre
prits ne saurait nous aisser indifférents; les étudier sous quelque forme que ce soit c'est encore payer leur génie un ju
r plusieurs autres que j'appuyais les bases d'une description d'une forme nouvelle de contracture hystérique, forme que j
s d'une description d'une forme nouvelle de contracture hystérique, forme que je désignais sous le Fie. 50. Contracture
nférieur droit. OBSERVATION DE CONTRACTURE HYSTÉRIQUE. 211 nom de forme cérébrale, pendant que la contracture hystérique
pendant que la contracture hystérique vul- gaire prenait le nom de forme spinale. Sans entrer ici dans la discussion sur
dans la discussion sur le mécanisme et la pathogé- nie de ces deux formes de contracture, je rappellerai qu'elles trouvent
nterai de donner le résumé du tableau clinique que j'ai tracé de la forme cérébrale dans le travail cité plus haut. FiG
lité des parties contracturées est généralement moindre que dans la forme spinale. La raideur varie d'un moment à l'autre,
nt pendant le sommeil, pour reparaître, ce qui n'a pas lieu dans la forme spinale. c) Les attitudes variées imprimées aux
res diffèrent d'or- dinaire de celles décrites généralement dans la forme spinale. Elles sont étranges, inusitées. d) L
nusitées. d) Les troubles de la sensibilité, très fréquents dans la forme spi- nale, n'existent généralement pas. e) El
sthésiogènes. f) La diathèse de contracture qui l'accompagne est la forme som- nambulique, pendant que la diathèse qui ac
la forme som- nambulique, pendant que la diathèse qui accompagne la forme spi- nale est la diathèse de contracture léthar
Elle offre des analogies avec la contracture somnambulique, 'et la forme spinale avec la contracture léthargique. La for
bulique, 'et la forme spinale avec la contracture léthargique. La forme cérébrale de la contracture hystérique, ainsi que
est de céder pendant le sommeil. Suivant nous, la contracture de forme cérébrale n'est pas néces- sairement liée à une
ns laquelle les antagonistes sont pris au même degré, comme dans la forme spinale. Pour le reste, nous nous rapprochons d
us ou moins fréquente des paroxysmes épileptiques sous toutes leurs formes . Le fait suivant nous a paru mériter quelque inté
mon, les spasmes ont subi une nouvelle recrudescence sous une autre forme . Le succès de mesures hygiéniques fort simples
n enseigne dans les ouvrages classiques que le muscle grand fessier forme la saillie de la fesse et se trouve être en même
l'atténuer et à le faire disparaître. Quelques mots d'abord sur les formes de la région. En arrière du bassin proémine la
pli fessier du côté de la jambe portante se creuse profondément et forme comme un lien qui enserre solidement la racine
le pli fessier tend à disparaître et le muscle contracté dessine sa forme très exactement sous la peau avec son bord infé
avant le chiasma des nerfs optiques qui est complètement aplati, et forme une large bandelette rubanée ayant plus d'un ce
mi de largeur; son épaisseur est réduite à 1 ou 2 millimètres; elle forme une vaste concavité en rapport de configuration
n cervical supérieur gauche est très volu- mineux; il a conservé sa forme , et mesure 45 millimètres de longueur, sur 15 m
ur. Portion dorsale. - Le grand sympathique dans toute cette région forme un cordon présentant au niveau des ganglions de
s plus grands qu'à l'ordinaire (fig. 65, 66). Les orbites ont une forme irrégulière, produite par ce fait que l'angle inf
sses canines demeurent très profondes de sorte qu'elles prennent la forme de gouttières.Les proces- sus alvéolaires et le
ies mais plus en lon- gueurqn'en largeur et leur bord postérieur ne forme pasun angle secontinuant avec la portion horizo
tement plus grosses que les autres, avec les extrémités bifides, et forme un angle de 110° avec la première vertèbre sacr
5 millimètres (au lieu de 8G millimètres). Pas d'anomalie dans leur forme , sinon la présence des aspérités déjà signalées.
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. La voûte crânienne, d'une forme ovale allongée avec partie frontale étroite, se
QUE DE L'ACROMÉGALIE. 237 Les circonvolutions cérébrales sont d'une forme compliquée avec nombreux plis de passage, le si
e la grosseur d'une noisette qui remplit la selle turcique dilatée et forme au-dessus de celle-ci une saillie hémisphérique
plati, et, lorsqu'on le détache de la tumeur il se présente sous la forme d'un ruban plat d'un cent. de-largeur; le nerf
x sont d'une largeur et d'une épaisseur extraordinaires, mais d'une forme régulière; au niveau de leur insertion aux os ils
de grands détails). - Le thymus 'est remarquablement développé; il forme une masse trian- gulaire se prolongeant en haut
'élevurcs spongieuses.' ; La.' cavité gléto'ide dit, temporal a une forme anguleuse, le sommet de l'angle étant formé par
nt névropathes; le premier est hystérique, a eu une con- tracture à forme hémiplégique qui après avoir duré deux mois a dis
rs; pas de perte de connaissance. Ces attaques frustes d'hystérie à forme d'épilepsie partielle reviennent encore aujourd
urs de la jambe est énorme, donnant aux deux segments du membre une forme cylindrique. Les saillies et méplats ont dispar
née à l'une de ces périodes ou avec prédominance de cette période : forme épileptoïde, léthargique, etc.; 3° l'attaque à
ette période : forme épileptoïde, léthargique, etc.; 3° l'attaque à forme d'épilepsie partielle; 4° les attaques de choré
polyurie lorsqu'elle existe. L'étude des états de mal hystérique à forme épileptoïde, à forme d'épilepsie partielle, cat
existe. L'étude des états de mal hystérique à forme épileptoïde, à forme d'épilepsie partielle, cataleptique (attitudes
e d'une importance qui n'échappera à personne. Dans l'état de mal à forme épileptoïde, par exemple, la fréquence des accès,
taque ou mieux qu'une série de grandes attaques modifiées dans leur forme extérieure. « Les intéressantes recherches de M
nous pouvons donc conclure : L'état de mal hystérique, quelle que forme qu'il revête, n'est qu'une attaque d'hystérie p
sur la fièvre du goitre exophtalmique et, comparativement, sur les formes spéciales ri quelques autres névroses, Lyon, 18S8
mentaient d'intensité et de durée et présentaient plus nettement la forme de la grande attaque typique si admirablement d
e les deux trous palatins postérieurs. Elle a dans son ensemble une forme arrondie remarquable. En son milieu, elle prése
n avant et en dedans. De là résulte que l'échancrure piriforme a la forme d'une gourde. Cloison nasale. Déviée de façon à
crête qui la limite en arrière remonte fortement vers une bosse que forme la moitié gauche de la surface olfactive du sph
ut à gauche qu'il droite et en arrière qu'en avant; et il prend une forme triangulaire, d'où une crête antérieure, mousse.
(cyphosc). 331 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI'TRII;ItE. Cette forme devient très accentuée de la 4° il la 7° dorsales
légère, inverse de la précédente. Les dorsales ont une tendance à la forme triangulaire, avec une crête mousse un peu repo
u de cette apophyse, le corps (face antérieure) a 28 mill. de haut. Forme et cour- bures normales. Au changement de courb
terne assez fortement recourbé vers la fosse sous-sca- pulaire sous forme d'une petite colonne terminée par une insertion m
dans le sens vertical, pour l'humérus droit surtout sur lequel elle forme une sorte de crochet au-dessus du col anatomique.
autour de la tête, trous vasculaires considé- rables. Le corps a la forme ordinaire. Relief deltoïdien très accentué, formé
ce articulaire; 2° il ce que l'extrémité inférieure du bord externe forme une crête saillante qui va il la base de la sty
trêmement spongieux et friables. Les métacarpiens ont conservé leur forme générale et il a été facile de les mettre en posi
le du col de 130° à 135°. La ligne inter-trochantérienne antérieure forme près du grand trochanter une rugosité épaisse,
mill. Péroné. - Le bord antérieur, extrêmement mince et tranchant, forme une véritable aile placée de champ entre les fa
canéum, en particulier, a une tubérosité postérieure et interne qui forme un vrai crochet sous la plante du pied et une t
res maladies du système nerveux), 11, 12. Tloubles nerveux (d'une forme particulière de - des extrémités supérieures),
, 30, 31, 32. Saignée (la) miniature, 49. Troubles nerveux (d'une forme particulière de -) 1, 2, 3, 1. Syringomyélie
lles de la Tourette, `11.1. P01'(liysie agitante (sur un cas de à forme hémiplégique avec attitude anormale de la têt
erveux), par Gilles de la Toui reste, 85. Troubles nerveux (d'une forme particulière de - des extrémités supérieures),
62 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oins diffuses, occupant tel ou tel ' Van Gehuchten. Les différentes formes de paraplégie dues à la com- pression de la moe
e chronique (par compression syphilitique ou tuberculeuse) est la forme la plus fréquente des myélopathies qui peuvent
ègle ; il faut ajouter que dans presque tous les cas relatifs à ces formes , la mort sur- vient rapidement. -- Il n'y a d
Le durcissement obtenu, on constate que la pachyméningite . externe forme une longue lanière étendue sur toute la hauteur d
nales, la sclérose de la moelle, lorsqu'elle se présente sous la forme que nous venons de décrire, équivaut aussi bien à
an Ge- huchten) ou anesthésie complète (Ilabel). Voilà encore des formes qui ne sont pas prévues dans le tableau de M. Van
Archives, 2° série, t. XIII. 2 18 ô THÉRAPEUTIQUE. innombrables formes que peuvent réaliser les hasards cli- niques, m
arle d'elle parfois dans les traités spéciaux, c'est plutôt pour la forme . Ce n'est que dans les quelques services des ma
deMotchous- kowski ne lui ont pas enlevé son principal défaut, qui forme pour ainsi dire le procédé même de la pendaison
. 7 ? 6. TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. · 31 lions, ayant la forme d'un T. La portion verticale, la plus longue, s
mbre des cas publiés. Avant de porter un diagnostic ferme sur une forme atypique, on a dû rechercher si l'on ne se trou
e famille à une autre, d'où l'impossibilité de leur reconnaître des formes cliniques nettement définies. G. DE<'iY. REV
a région lombaire, où elles attei- gnent leur maximum sous les deux formes , atrophique et hyper- trophique. Le processus a
signes importants considérés comme caractéristiques des différentes formes d'amyotrophies essentielles classées jusqu'à ce
auteurs voient une nouvelle confirma- tion de cette opinion que les formes intermédiaires de cette affec- tion sont fréque
er. A la période d'état, la maladie peut se présenter sous diverses formes : hémichorée, généralisation avec prédominance
it; sa localisation reste d'ordinaire plus fixe que dans les autres formes . La généralisation avec prédo- minance hémilaté
u l'autre et passe quelquefois de l'un à l'autre, prenant ainsi une forme alternante, ce qui fait penser à l'auteur qu'il
d'embjée sont assez rares et sont d'ordi- naire caractéristiques de formes graves. Les amyosthénies dans la chorée peuvent
douleurs fulgurantes marqué le début de l'affection. M. H. XXIII. Formes frustes de sclérose en plaques à début mono ou
1899.) . M. H. XXIV. Un cas de sclérose cérébro-spinale multiple de forme anato- mique spéciale avec antécédents hérédita
eur conclut pour ces faits que la spondylose thygométique était une forme d'arthrite déformante. L'étiologie, la symptoma
sformations de l'une en l'autre; Mobius trace un parallèle de leurs formes cliniques; Fère en fait deux équivalents. Tous
épilepsie sont cliniquement unies, cette dernière apparaît sous les formes suivantes : phénomènes sensoriels jacksoniens,
? 10° la migraine a besoin d'une thérapeutique en rapport avec ses formes étiologiques. La migraine cliniquement liée à l
asthénique. Pendant une première phase, la maladie a évolué sous la forme d'une infection de nature indéterminée, ayant sa
n générale, vaso-motrice, du système ner- veux central. C'était une forme légère -d'aphasie amnésique tran- sitoire. P. I
présent, oublie le passé de date fraiche, et cet oubli revient sous forme d'accès en présentant la même physionomie stéré
comme cela arrive dans les cas extrêmes de manie, de démence, etc., formes qui sont facilement reconnaissables, on ne pour
sont des paranoiaques ou des monomanes. Beaucoup de victimes de ces formes de folie ont parfaitement la notion du bien et du
pourraient prendre également place. SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 Sur une forme d'hypertrophie des membres. Dystrophie conjonctiv
s suivants : céphalée constante, vomissements, attaques epilepti- formes , hémiplégie droite, nystagmus, le tout sans ancun
alisation nette à un groupe radiculaire délimité. Syringomyélie à forme radiculaire. MM. IIUET et GESTAN présentent une
es apparaissent pen- dant la convalescence. L'auteur reconnaît deux formes cliniques assez nettes : 1° L'une caractérisée
ortelle. Au point de vue pathogénique, on peut envisager ces deux formes , suivant la théorie de M. Raymond, comme les mani
ferons suivre mettront en relief les principaux caractères de cette forme de paralysie des membres supérieurs. Observat
n bras droit, pour lequel il vient à la consultation, est normal de forme , de couleur, de température : sans troubles troph
ant tous les éléments de la vie phy- sique et morale de tout ce qui forme l'être pensant, réfléchi, impressionnable, acti
De tout ce qui précède nous concluons, que l'extension est la seule forme de suspension qui doit être conservée, comme mo
tébrale, et la motilité s'améliore, mais le réflexe fémoral sous la forme de flexion plantaire des trois premiers orteils
ième dorsale, plutôt plus bas, détermine le réflexe fémoral sous la forme de l'extension du triceps, tandis qu'une lésion s
e dans la dernière observation, provoque le réflexe fémoral sous la forme de flexion plantaire des orteils. Il est à pens
résente une évidente prolifération des libres musculaires lisses de forme arrondie (figure). On constate la même anomalie
s sont des noyaux, pourvues d'une substance filamenteuse et réti- forme chromatique, d'une substance uniforme indifférenc
circonscrivent d'assez près, en gardant leur individualité et leur forme sphéroïdale. Tantôt leurs membranes d'enveloppe
a fibre qui ont enclavé le noyau divergent et déterminent par là la forme de la cellule pyramidale. La structure fibrilla
ladies mentales et nerveuses de Saint-Pétersbourg. La péroraison en forme en quelque sorte la conclusion. Nous voyons, y
corspuscules de Nissl embrasse pres- que toute la cellule, dont la forme est encore plus ronde : elle est comme gonflée,
s conditions de leur entrecroisement sont presque les mêmes : il se forme une zone symétrique qui se développe en arrière p
ne, du coin, et du pôle occipital, la simple percep- tion lumineuse forme , avec le concours de l'élément moteur de l'oeil
ltérée; son axe est dévié en bas, et la tête, très modifiée dans sa forme est comme aplatie à la face interne de la masse
de perception, c'est-à-dire d'une erreur intellectuelle. C'est une forme de micropsie; mais d'ordinaire, les malades qui
se à la Société de se prononcer en faveur du patronage, comme d'une forme très rationnelle d'as- sistance des aliénés. La
ades ont passé sous ses yeux, il a pu les étudier sous toutes leurs formes , sous tous leurs aspects : chacun d'eux a été l
vue toutes les variétés d'épilepsie et les étudie dans toutes leurs formes et leurs variétés; leur anatomie pathologique,
-neurotique, vaso-moteur, mais sans décrire 1 Boucher. Note sur une forme particulière d'obsession chez une héré- ditaire
de Bordeaux, novembre 1896.) 5. Bechterew. Rougeur de la face comme forme particulière de trouble nerveux. (Obozrenie psi
ire l'éreuthophobie comme une maladie distincte. C'est pour lui une forme 'de phobie dérivant le plus souvent de la neura
di fretzialria, vol. XXVI, fasc. 23, p. 512.) 20. Hartenberg. Les formes cliniques d'éreulhophobie. (Congrès inter- nati
re rappelle de près l'irrégularité d'émotivité anxieuse. Les deux formes de l'émotion éreuthophobique produisent les mêm
'aux époques où ils n'avaient pas leurs attaques. Les quatre autres formes mentales se suivent de près. Si maintenant no
s variétés mentales qui se suivent de très près. Enfin il y a trois formes mentales sur sept : la démence, l'hystérie et l
seulement d'une manière générale mais encore dans chacune des sept formes mentales. La plus rare après elle est l'absence
la débilité mentale et la démence et dans la première de ces deux formes mentales égale à l'absence de toute réaction. Q
ment quatre maladies mentales distinctes : lypémanie, manie, double forme , systématique. Il serait intéressant de recherc
nous n'avons rencontré la dermo- graphie ni dans la folié à double forme ou folie circulaire ni dans la folie systématiq
ente chez ces derniers. Je le comprends pour la folie systématique, forme essentiellement chronique dans laquelle d'ordin
t psychiques de l'état normal. Je le comprends moins pour la double forme composée comme on sait de deux états aigus, man
s, ce dernier est supérieur de 20,4 p. '100. Dans la folie à double forme nous trouvons égalité de norma- lité et d'anorm
s; d'ailleurs même pour les deux autres catégories, manie et double forme , les écarts sont aussi assez faibles, de telle
'avons trouvé un peu dans la lypémanie, mais surtout dans la double forme . Il en résulte que le minimum des altérations e
psychose par auto- intoxication ; Magnan, psychose dégénératrice à forme lypéma- niaque. Comment un praticien de clinipu
des affec- tions différentes sont considérées aujourd'hui comme des formes : 214 Il . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. d'une
lfactives et gustatives, craintes, jalousie, soupçons, etc. Dans la forme la plus simple de folie puer- pérale, il y a or
uelles il est dangereux de s'abandonner : il n'y a cependant pas de forme d'activité intel- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
ésentent les caractè- res identiques. Ils ont pénétré, soit sous la forme de têtards avec l'eau des marais usitée comme b
soit évidente. Qu'on lise avec soin l'observation de folie à double forme terminée par une méningo-encéphalite, et qu'on
s produites, l'auteur tire les conclusions suivantes : , . 1° Les formes mentales les plus différentes n'ayant rien decom-
graduateurs : les menaces, les coups, les opiacés, sous toutes les formes , lehaschisch et l'alcool sont égalemet mis enje
arché à trois ans et, jusqu'à l'âge de quinze ans, elle a revêtu la forme de l'infantilisme simple. A ce moment sont arri
ésulte de plusieurs avis exprimés dans la précédente séance que les formes de tabes à évolution bénigne sont aujourd'hui b
ntiels : La l'orme ordinaire du tabes, de' nos jours, n'est pas une forme à évolution progressive et fatale. Dans la plup
sortes de sensibilités correspondant à la hiérarchie des êtres. Sa forme supérieure est la forme consciente. Avec de tel
correspondant à la hiérarchie des êtres. Sa forme supérieure est la forme consciente. Avec de telles données, qu'il appuie
Télangiectasie du lobe frontal gauche avec convulsions épilepti- formes ; par BrADLEs. Trois cas différents de lésions
autopsie : sclérose disséminée ne répondant par son aspect à aucune forme décrite. Les lésions semblent avoir été confiné
pas encore été tenté. S'il est déjà extrêmement difficile, dans les formes banales de troubles mentaux, de découvrir l'ori
ie morale et en par- ticulier du mensonge comme symptôme de cette forme mentale ; Par BOURNEVILLE et J. BOYI;ft . Nom
s grand nombre se prononce pour l'emploi des doses fortes soit sous forme de liqueur de Fowler ou de liqueur de Boudin. L
tivement élevées. M. Lannois rapporte cinq observations de diverses formes de chorée qu'il a traitées dans son service par
plus indistincte. Cette réaction ne se constate pas dans toutes les formes de blépharoptose : M. Bre-man l'a vue manquer dan
3 millimètres en arrière, près de l'angle aigu ouvert en avant que forme ce pli avec le pli pétroclinoïdien médian. Il s
en parole arti- culée vraie. - Il. Les arrêts de développement des formes gram- maticales du langage. -III. Les troubles
positions dissociés, soit dépourvus de flexions, soit agrémentés de formes de mots tronqués : l'enfant est incapable de ré
ler peut tenir à ce que l'individu n'ayant pas à sa disposition les formes grammati- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
très rare de consta- ter des troubles unilatéraux permanents. La forme des pupilles est modifiée : pupilles elliptiques,
longueur et le volume démesurés de ces doigts qui ont conservé leur forme : difformité congénitale, mais non héréditaire,
. Arnaut. M. Toulouse semble ranger le délire de grossesse dans les formes dépressives de la folie. On voit souvent des femm
ombre d'espèces cliniques et susceptible de se pré- senter sous une forme aiguë (en général sans systématisation) ou sous
sous une forme aiguë (en général sans systématisation) ou sous une forme chronique (avec systématisation). SOCIÉTÉS SAVA
cultés intellectuelles (pas de période de démence). C'est à cette forme clinique déjà signalée en France par quel- ques
ÉTÉS SAVANTES. , cinq à quarante ans. On a distingué ainsi sous une forme à début précoce et une forme tardive. Parfois
nte ans. On a distingué ainsi sous une forme à début précoce et une forme tardive. Parfois il semble que le début ait eu
se demandent pourquoi ils n'ont pas rencontré plus souvent cette forme d'altération. Est-ce à cause la lenteur du proces
ues, mais seulement alors chez les vésaniques syphilitiques. » La forme que peut prendre l'orifice pupillaire est très va
tout d'abord, puis bilatérale; c'est tou- tefois souvent sous cette forme bilatérale qu'elle se présente dès les premiers
l'articulation du coude, l'exostose de l'olécrane se présente sous forme d'un os sésamoïde séparé. Les muscles se contra
2° des altérations caractéristiques de la paralysie générale, sous forme d'épendymite granuleuse et de lésions paren- ch
cidents tertiaires ou trophoneurotiques (il admet, en effet, que la forme trophoneurotique parait la terminaison constant
que la forme trophoneurotique parait la terminaison constante de la forme tuberculeuse et que la forme trophoneurotique q
parait la terminaison constante de la forme tuberculeuse et que la forme trophoneurotique quand elle ap- parait de'mblée
nécessaires pour l'examen cytoscopique. ' Toutefois, dans certaines formes de psychoses (persécution et mélancolie) il peu
que cette substance, loin de s'accumuler au moment des accès ne se forme alors qu'en quantité moindre. Il admet en outre
est maintenant appelé à se demander quelle est la substance qui se forme dans l'organisme à la place de l'acide urique.
pilepsie à crises distinctes ». En effet, il est certain que, si la forme hybride des deux névroses, admise longtemps par
tres : Gilles de la Tourette, Op, cit., t. II, chap. XI ; Chauveau, Forme clinique et pathogénie de la fièvre hystérique (T
iveau de l'articulation, le moignon mesure 23 centimètres ; il a la forme conique et la pointe en est lisse. Fig. 17.
ent qu'il s'agit, en ce qui concerne celle de notre malade, de la forme de monstruosité désignée sous le nom d'lIÉ\IIrtÉL
ous les noms d'ect·o7télie et de phocomélie, y ajoute une troisième forme de monstruosité désignée sous le nom d'hémiméli
e troisième forme de monstruosité désignée sous le nom d'hémimélie, forme dans laquelle rentre tout à fait celle de notre
on admission tous les signes de la paralysie générale progressive à forme lypémaniaque avec délire des néga- tions. Affec
rée à l'asile, son état est le suivant : Mélancolie présentant la forme de délire des négations; très déprimé, il répon
l'autre à quarante-sept ans de la paralysie géné- rale progresive à forme mélancolique avec délire des néga- tions. Chez
f dans son trajet ou à son origine. L'auteur insiste surtout sur la forme complète de la surdité qui est, dit-il, brusque
dit-il, brusque, totale, absolue ; il ne fait que men- tionner une forme , rare d'ailleurs, de surdité temporaire, qu'il
optiques, dues à la syphilis héréditaire : elles appartiennent aux formes de transition entre la paralysie infantile céré
jouer un rôle important dans la maladie de Basedow, même dans la forme fruste. P. KERAVAL. . LXXI. Encore quelques m
u gauche surtout, sont alté- rées, en outre du lobe temporal. Cette forme de l'écholalie ne se manifeste jamais que lorsq
'achondroplasie, il y a lieu cependant de réserver à cette dernière forme une place distincte en raison des caractères co
l de l'achondro- plasie et du rachitisme et en particulier de cette forme qualifiée dysostose cléido-cranienne. Il conclu
tre rapprochée de l'hystérie. L'auteur examine ensuite sous quelles formes la syphilis céré- bro-spinale peut-se manifeste
i est caracté- ristique dans la sclérose multiple : 4° Hémiplégie : forme fréquente de la syphilis nerveuse, souvent très
lité et des fonctions vésicale et rec- tale qui font défaut dans la forme non syphilitique ; 8° Poliomyé- lite antérieure
tractions par minute. La nature du tremble- ment, la variabilité de forme de la contraction rendent le diagnostic parfois
favorable aux mélancoliques et aux hypocon- driaques, même dans les formes graves. Il agit au contraire défavorablement, a
I. Ataxie spinale aiguë (non tabétique), ses rapports avec d'autres formes d'ataxie aiguë; par Charles L. Dnw. (The 1\'ezo-I
insi qu'on l'a déjà fait remarquer se rattachent probablement à des formes de sclérose multiple. L'auteur rapporte ici avec
ble que l'on puisse tirer des données étiologiques, c'est que cette forme d'ataxie esi due à des altérations sémlcs des a
sécutive à une infection aiguë, et est ordinairement le début d'une forme de sclérose multiple. L'ataxie aiguë, d'origi
es nerfs de la sensibilité : on la rencontre ordinairement dans les formes non alcooliques de névrite, particulièrement daus
i varié, faudra-t-il donc porter autant de diagnostics qu'il y a de formes différentes de spasme ? il est probable que ces
iété de Neurologie et paraissant représenter un type accompli de la forme facio-scapulo- humérale de Landouzy-Déjerine, s
Noter, en outre, ce qui a rapport à la signification péjorative des formes extrêmes, à l'importance à attribuer aux REVUE
ence, qui revêt avec plus ou moins d'intensité l'une ou l'autre des formes suivantes : convulsions motrices, sensorielles
iminel qu'au point de vue pathologique. 11 faut noter qu'il y a des formes d'épilepsie qui prédisposent plus que d'autres
ques, celles-ci ayant cessé. 1° Avant les attaques, ils prennent la forme de perversions sen- sorielles, (sensation de te
de leur apparition, dans leur intensité,- dans leur gravité. Leurs formes sont très variées aussi ; très souvent le malade
nt dans l'intervalle des attaques se montrent ordinairement sous la forme de crises pa- roxystiques de manie violente; le
et sur des faits analogues, les auteurs proposent de distinguer une forme senso- rielle de la paralysie générale, caracté
fois une intensité exceptionnelle. Méningite c¿1'ébl'o-spin,lle à forme de paralysie infantile. Cyto-diagnostic. MM.
andique. L'étiologie des abcès est probablement grippale. Sur une forme particulière de réaction des cellules radiculaire
u moins large, où les corpuscules colo- rants se présentent sous la forme de longs bâtonnets, faiblement colorés parfois.
u contraire, . ils se continuent sans changement de direction ou de forme dans les prolongements opposés, ou bien dans le
en est rapide et peut même être foudroyante. L'auteur cite comme formes cliniques : une forme de dissociation à marche ty
t même être foudroyante. L'auteur cite comme formes cliniques : une forme de dissociation à marche typique pour les deux
orme de dissociation à marche typique pour les deux maladies ; deux formes de superposition : la forme d'excitation, la fo
typique pour les deux maladies ; deux formes de superposition : la forme d'excitation, la forme de dépression avec varié
maladies ; deux formes de superposition : la forme d'excitation, la forme de dépression avec variété foudroyante : une fo
d'excitation, la forme de dépression avec variété foudroyante : une forme prolongée. , L'agent pathogène peut être le pne
, la lèpre. les arthropathies tabétiques. L'auteur reconnaît deux formes aux ostéo-artliropalliies 1° les ostéo-arthropa
nostic de la maladie elle-même, soit pour la différenciation de ses formes , soit pour son pronostic. Se basant sur de nom-
s la chorée de Sydenham, 90 p. 100 des cas. Dans presque toutes les formes un peu intenses de la maladie, ils sont affaibl
s intense que normalement sur l'arc médullaire excitateur. Dans les formes légères, ils sont excessivement variables, et c
formes légères, ils sont excessivement variables, et c'est dans ces formes seules qu'on peut rencontrer des réflexes norma
figures schémati- ques qui servent à la représentation des diverses formes d'hémianopsie. Vous ne devez jamais perdre de
ce grise, et principalement dans le corps genouillé externe, sous forme d'arborisations terminales. Celles-ci enlaceraien
e la couche ganglionnaire, rétinienne et son prolongement long, qui forme le cylin- draxe de la fibre nerveuse constituan
hémianopsie. En pareils cas, celle-ci se présente également sous la forme homonyme ; de plus, elle s'associe habituelleme
oites ou gauches des deux champs visuels. C'est encore sous cette forme que se présente l'hémianopsie symptomatique d'une
29) vous fera bien saisir les rapports du siège des lésions avec la forme d'hémianopsie, qui en résulte. Naturellement le
explica- tion et le mécanisme de la structure psychologique d'une forme d'hallucinations qu'habituellement on nomme psych
e l'acti- vité mentale se manifeste presque intégralement sous la forme du langage intérieur. On désigne habituellement
élaboration complète de notre activilé mentale se manifeste sous la forme d'un langage parlé intérieurement qui se poursu
tellectuelle qui paraît en rap- port avec une démence paralytique à forme mélancolique ancienne, désordre extrême des pro
ques d'une paralysie générale progres- sive en pleine évolution, de forme mélancolique. L'affection évolue rapidement et
e-neuf ans, à la suite de chagrins multiples (paralysie générale il forme mélancolique avec idées de négation, à marche r
e à l'asile, son état, est le suivant : mélancolie, présen- tant la forme de délire des négations ; tout est perdu, la nour
'une PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 493 paralysie générale de même forme , survenue également sans cause apparente. C'est
e plus grand rétrécissement, leur anéantissement complet, sous la forme de scotome central pour les couleurs, n'a pu être
ment absents, s'observent cependant assez rarement ; 8° comme il se forme souvent des lacunes en des endroits diffé- rent
su connectif inter- calé aux fibrilles nerveuses se détache sous la forme de petites raies et taches, d'abord du côté nas
onnes. Le surveillant en chef est à l'asile depuis sa fondation, et forme les serviteurs nouveaux, remplaçant ainsi une é
ui les colonies, actuellement à l'ordre du jour, ne seraient qu'une forme primitive d'assistance justement condamnée dans
M. P. Marie présente un malade chez lequel une hémiplégie droite à forme banale consécutive à un ictus a complètement ré
me qui continue dignement la série de ses devanciers; la collection forme un véritable compendium des ma/¡¡- dies chroniq
roubles delaréflexion et de la systématisation des idées. Sous leur forme la plus atténuée les symptômes consistent surtout
l la conscience semble à peu près vide de repré- sentations, est la forme la plus accentuée de ce phénomène. A un degré m
me la plus accentuée de ce phénomène. A un degré moindre, certaines formes intellectuelles tendent à se repro- duire sans
u'il considère la catatonie. symptôme impor- tant de début dans une forme spéciale de démence précoce, comme le résultat
, si fréquentes chez ces sujets, peuvent être considérées comme des formes de la suggestibilité : une repré- sentation mot
cience, s'obscurcissent : ceux qui subsistent tendent à prendre une forme stéréotypée. Le trouble du souvenir porte primi
Fowler, de liqueur de Boudin ou de beurre arsenical, en somme sous forme inorganique, il y a dans la majorité des cas de
us efficace et sans inconvénient. G. C. XXIII. Etude clinique des formes unilatérales de la paralysie agi- tante; par Lo
Michaud est une étude clinique où il insiste sur le diagnostic des formes unilatérales de la maladie de Parkinson avec le
900-1901.) M. Lévy s'occupe, dans sa thèse fort intéressante, d'une forme de mutité survenant chez des enfants de trois à
pi- nions des différents auteurs qui ont essayé de classifier cette forme de mutisme chez les entendants. Depuis Stard et
'avec Coën (de Vienne) que commence l'his- toire véritable de cette forme de mutité; il la dénomme « alalia idiopalica »
inique; par François Gaaz. (Th. Lyon, 1900-1901). Les principales formes d'aliénation mentale observées par M. Graz chez
épisodique. Mettant à part la paralysie générale, la plupart de ces formes se terminent souvent par la guérison. Les princ
e les poisons, l'alcool, la morphine, la cocaïne, déterminent des formes cliniques qui présentent des caractères identique
la nature de leurs lésions : il s'agit donc là d'un groupement de formes morbides naturel. Malheureusement, en psychiatrie
'exemple des intoxications. Le difficile est de distinguer dans les formes cliniques les symptômes essentiels des signes a
erminent par la démence. Il est grandement à désirer que toutes ces formes si différentes au point de vue du pronostic pui
ique ? pal 0. Fragmto. 148. motrices de la moelle. Voir Ané- mie. Forme particulière de reac- tion des- radiculaires, p
É1'HAUTE. Voir Ilalltt- cinaiions. ' Méningite cérébro-spinale il forme de paialysie infantile, par Ray- mond et Sica
dans la - pro- gressive des aliénés, par Naed,e. 501. Etudes des formes unilaté- rales de la - agitante, par Mi- chau
53. - par Ballet, 515. Sclérose CCIir.nn0-SPI\ \LE multiple de forme anatomique spéciale avec antécédents héréditair
gastri- ques. Troubles trophiques de la , par Nalbandow, 66. - à forme radiculaire, par Huet et Cestan, 88. Topograp
63 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'une constituant le fond de la maladie, et l'autre déterminant la forme , donnant le pourquoi de sa mani- festation. Vou
générale, suffisamment com- plète de la maladie et des principales formes qu'elle peut revêtir. Les deux premiers se rapp
ent à des tics localisés; le troisième est un exemple typique de la forme généralisée ; le quatrième tire surtout son int
tics généralisés. C'est là un rapprochement de plus entre les deux formes de la ma- ladie des tics. Observation III. -
tre particularité concerne la coprolalie qui se manifeste sous deux formes absolument distinctes. Tantôt les paroles ordur
re légèrement obtus de ce côté ; la main apprécie imparfaitement la forme des objets. Réflexes pharyngien et conjonctival
les de repos, écrit-elle très lisiblement, et les lettres qu'elle forme n'offrent pas trace d'irrégularité. Que l'on co
la cadence avec laquelle ils se produisent. Qu'ils surviennent sous forme d'accès ou se montrent pendant un temps plus lo
rédité, très chargée de part et d'autre, s'est manifestée sous deux formes distinctes, et de même qu'elle peut donner nais
ouble existe (Obs. III). La coprolalie peut se manifester sous deux formes distinctes : à haute voix ou à voix basse ; à h
laires; à voix basse, ellez sont émises en dehors d'elles. Ces deux formes peuvent se rencontrer chez le même malade (Obs.
lioti, Millano. 1883. Ballet et Crespin. Des attaques d'hystérie ii forme d'épilepsie partielle. (Archiv. de Neu- )-ologi
troubles du langage, peuvent se vérifier dans l'hystérie toutes les formes d'aphasie avec les mêmes caractères comme dans
r Charcot, est spécifique de la névrose hystérique. Pour les autres formes , nous ne pourrions nous guider, pour un diagnos
ièle au-devant sur l'os frontal en s'étalant de façon à prendre une forme triangulaire avec l'apex dirigé en arrière. Son p
u rebord costal. Dans la région sus- claviculaire, dans une zone de forme triangulaire ayant pour base 56 PATHOLOGIE NERV
ours allée plus se bornant vers le moignon de l'épaule, assumant la forme caractéristique en man- chon. Le sens musculair
git donc d'une douleur d'ori- gine psychique, laquelle s'exacerbe à forme de crises. B... est très agité, il gémit contin
de névrose traumatique pour les défenseurs de l'autonomie de cette forme morbide. Il s'agissait d'un homme très vigoureux,
otre cas, il nous reste à expli- quer pourquoi la paralysie prit la forme hémiplégique. En premier lieu, nous devons rapp
t maladies différentes, et c'est tou- jours le même membre, la même forme traditionnelle que l'on découvre dans les fouil
étant de nature organique et proposèrent l'abla- rehaut. - Sur une forme de la gangrène successive et disséminée de la p
inévitable, d'autant plus affreuse qu'elle restait inconnue dans sa forme et surtout dans le moment précis de son avèneme
nique ? Sont-elles le résultat de congestion cérébrale apoplecti- forme , ou d'aploplexie nerveuse, cette dernière étant u
rsécutions et de démence sénile. Degré de toxicité. Dans toutes les formes d'aliénation men- tale, autres que la démence s
été augmenté, dans des proportions différentes du reste, suivant la forme d'aliénation et l'acuité de la maladie. Tandis qu
LOGIE MENTALE. traire, une toxicité beaucoup plus énergique ; et la forme n'est guère qu'un élément secondaire au point d
intensité de la maladie : chez tous les malades, quelle que soit la forme revêtue, plus la maladie était intense, plus le
ssion symptomatique, ce qui existe che; l'individu atteint de cette forme d'aliénation mentale. L'urine des lypémaniaqu
de l'innervation et de l'impul- sion volontaire. P. K. XXVII. Des formes aiguës delà démence (Amentia) ET DE la folie SYST
Pyschiat., XLVIII, 4.) Les folies aiguës se présentent sous deux formes . ' 1° Désordre des idées hallucinatoire (amenti
athie disparait. 2° Catatonie de Kahlbaum. C'est, dit l'auteur, une forme morbide autonome, indépendante. 1 P. K. REVUE
interne, quelques cellules ressemblant, par leur grandeur et leur forme , à celles du noyau externe. Ce sont ces cellules
le côté, c'est-à-dire vers le corps restiforme et les fibres arci- formes émanées du cordon cérébelleux. On en peut suivre
droit était rudimentaire. Les noyaux internes du faisceau cunéi- forme étaient bien développés; mais les noyaux externes
élément; après chaque explosion, l'enveloppe de l'élément opti- que forme un pli annulaire qui représente une sorte de raie
l'extrémité antérieure du filament étant détruite, il faut qu'il se forme toute une série d'échanges physico-chimiques, e
i résumer : 1° L'association fréquente chez un même sujet des trois formes de folie avec prépondérance d'une seule; -2° la
a- blie, se demande quelle est sa valeur clinique et dans quelles formes vésaniques elle s'observe. Il cite d'abord le cas
que de ce que Krafft Ebing a décrit sous le nom de paranoïa dans sa forme primitive ou de ce qui en France est connu sous
cution, les hallucinations verbales psycho-motrices ont, suivant la forme cli- nique du délire une valeur séméiologique d
, au lieu d'une évolution anormale, l'anomalie' se présente sous la forme d'une dissociation psychique rapide. D'autres f
s mêmes lésions pour expliquer la pathogénèse au moins de certaines formes des atro- phies musculaires, surtout de l'atrop
os l'opinion de Roux qui considère la paralysie de Landry comme une forme de la rage paralytique qu'on ne croyait propre
racté- ristique des folies rhumatismales. La mélancolie serait la forme principale mais non la seule ; l'arthritisme ét
si bien que sous son titre modeste, ce manuel représente dans une forme concise un véritable traité des maladies mentales
stupeur, que l'auteur semble toujours rattacher sans dictinction de forme , à la mélancolie. En revanche, un des meilleurs
l rattache franchement à la neurasthénie, dont elles constituent la forme psychique. M. Régis est le premier auteur franç
agents sur la nutrition, sur les actes, psychiques, la vitesse, la forme , l'énergie des mouvements secondaires, sur la p
xistence, mais peut encore étudier les qualités, leur énergie, leur forme , leur précision, leur rapidité. Ces modificatio
ans le même sens, et peut arriver à créer de véri- tables délires à forme de rêve. D'ailleurs, l'analogie qui existe entr
me de rêve. D'ailleurs, l'analogie qui existe entre les différentes formes de mé- lancolie et de manie et les émotions nor
que secondaire et consécutive à la douleur morale. Les différentes formes de manie et de mélancolie naissent sur un fond
ologique d'un état émotionnel unique, la douleur. La manie dans ses formes furieuses n'est que l'exagération en durée et e
u inerte, constitue d'ail- leurs une prédisposition aux différentes formes de psychoses. De même qu'on ne peut affirmer un
l'intérêt de l'individu ou de l'espèce. Elle se présente sous deux formes , une émotivité diffuse et permanente qui constitu
ulières et toujours les mêmes pour le même individu. Celte dernière forme est bien mise en évi- dence dans la catégorie d
ocalisation des troubles physiques d'origine émotionnelle et sur la forme spéciale des .roubles psychiques. Les trouble
premier édifice destiné à 100 malades du régime commun (indigents) forme un asile complet avec ses sections convenables,
ant qu'on adopte la doctrine unitaire ou séparatiste des diverses formes sous lesquelles elles peuvent se pré- senter. M
, par Eulenbourg et Conheim en 1866, et par moi-même en 1871. Cette forme resta longtemps l'uni- que représentant du grou
ui, par la suite, s'est fort étendu. . En 1884, M. Erb décrit une forme juvénile d'atro- phie musculaire progressive, q
qu'elle est aussi indépendante, de toute altération spinale. Cette forme se développe en général vers la vingtième année
cier aisément des atrophies progressive, d'ori- gine spinale. Cette forme avait cependant été englobée dans la descriptio
qui a trait à un cas d'atrophie répondant bien certainement à la forme juvénile d'Erb.. Vers la même époque, en 1884,
époque, en 1884, MM. Landouzy et Déjerine ont repris l'étude de la forme infantile de l'atrophie musculaire progressive,
ans leur description, de préciser les caractères cliniques de cette forme , et de montrer qu'indépendante de toute altérat
ndes lignes du dai- 168 CLINIQUE NERVEUSE. gnosticdiuerentiel des formes spinales del'amyotrophie progressive, vis-à-vis
il présente. En tout cas, il doit savoir l'analyser sous toutes ses formes et à tous ses degrés. Il faut d'abord voir s'
i, pendant sa vie avait offert le tableau devenu classique de cette forme de myopathie primi- tive dite héréditaire infan
mi- tive dite héréditaire infantile de Duchenne (de Boulogne) ou, forme facio-scapulo humérale de Landouzy et Déjerine.
t, où non seulement ils complétèrent l'histoire cli- nique de cette forme morbide, mais où encore et surtout ils en fixèr
arie et Georges Guinon. Contribution ù l'élude de quelques unes des formes cliniques de la myopathie primitive progressive.
, et non sur les muscles de la région antéro-interne de la jambe. Formes extérieures. La clavicule, des deux côtés, est as
iceps et du tri brachial antérieur, leur face antérieure a pris une forme concave. Les avant-bras sont normaux. Des deux
grands efforts d'occlusion. Les lèvres prennent de plus en plus la forme de museau. Au tronc, l'ensellure s'accentue ; l
nification. Quant aux fibres musculaires, elles diffèrent par leurs formes et par leurs dimensions. Il importe d'ajouter a
t par leur couleur claire sur le reste du faisceau nerveux.. Leur forme est irrégulièrement ovoïde; elles sont situées
fasciculaire du fascicule nerveux. L'espace ainsi circonscrit, qui forme l'ensemble du système, est occupé par des figures
re variable. Ceux-ci, qui peuvent atteindre de 20 à 25 p. ont une forme généralement arrondie; limitée par' un contour
d'un leucocyte polynucléé. D'autres de ces éléments présentent des formes un peu différentes, dans le détail desquelles n
'idiots, et c'est là ce qui fait l'intérêt de cette observation. La forme de la tête, les tics coordonnés complexes, mult
reux, d'hystéro-épilepsie. J. Séglas. XXII. L'acide URIQUE dans les formes DE dépression mentale; par le or Marzocchi. (Ri
occhi. (Riv. sp. di (l'en., t. XVIII, fasc. 2, 1892.) Dans quelques formes de mélancolie, il y a augmentation, abso- lue o
péralion que quand nous reconnaissons deux ordres de force ou deux formes d'attention : lorsque l'attention agit spontanéme
e poids du corps n'a aucune valeur pronos- tique. P. K. IV. D'UNE forme grave spéciale d'épiphénomènes consécutifs A la
3ull. de la Soc. dc tlled. ment. de Belgique, 1891.) .) XIII. D'UNE FORME rare DE neurasthénie SEXUELLE avec obsessions;
manifestations variées de l'hystérie ou de la neurasthénie; 4° des formes plus rebelles et d'une localisation spéciale se
-il assez grand pour pouvoir être séparé des autres cas en tant que forme séparée. Ses observations personnelles durant ces
ue 35 à 40 p. 100 de ces malades avaient eu la syphilis. 2° Cette forme syphilitique de la myélite dorsale a-t-elle des c
érentiels qui la distinguent ? Il faudra l'observer. - 3° Parmi les formes nombreuses des affections spinales syphilitiques,
se dégagent : 1° l'occurrence de convulsions cloniques affectant la forme de névrose généralisée consécutive au traumatis
tion marquée de la papille; en rapprochant cette altération de la forme du truuble visuel, de l'existence d'un scotome ce
ès maigre; les extrémités digitales présentent dès la naissance une forme étrange qui est due à ce que le corps de l'orga
emps, les accidents atteignent une acuité extrême ; ils revêtent la forme de la manie aiguë (agitation, volu- bilité du l
gaîté et de dépression, pouvant aller jusqu'à l'angoisse, selon la forme des hallucinations. 11 existe, en effet, de nombr
a lieu. La santé ne s'est pas démentie depuis. M. L. Laquer. D'une forme particulière de paresthésie des extrémités. Sér
é. Mais cette statistique ne comprend point la ville de Breslau qui forme à elle seule un district, au point de vue de l'
cordon postérieur, une partie veuve de fibres myéliniques qui a la forme d'un coin à sommet dirigé en avant. Celte zone
i souvent la mélancolie stupide, qui affecte assez fréquemment la forme de la démence aiguë. L'isolement n'a pas d'influe
'il examine au point de vue des modifications de la rapidité, de la forme , de la syntaxe et du contenu; 2° à des troubles
et originaux, puis la valeur qu'il faut attacher aux- écrits, leur forme et leur contenu 304 BIBLIOGLAPHIE. en général
nt aux contractures proprement dites, M. Richer en dis- tingue deux formes : 1° contracture hystérique permanente se subdi
hésie ou d'hy- péresthésie de la peau; 2° contracture hystérique de forme psy- chique. Il insiste sur la différence sympt
symptomatique, plus apparente que réelle, croyons-nous, de ces deux formes . La contracture vul- gaire aurait un caractère
ysies hystériques, défend l'opinion que la contracture n'est qu'une forme de l'activité musculaire, et n'est qu'une exagé
u tonus musculaire. Quant aux preuves du siège cérébral de quelques formes de la contracture hystérique, il les range en d
qui peut être regardée comme une akinésie psy- chique systématisée, forme le premier groupe. Dans les dysbasies parafonct
ement : saltatoire, choréique et orthétosique. La marche abasique forme un groupe intermédiaire et peut être paralytiqu
e paralytique (ou parétique), ou ataxique et alors tantôt choréi- forme , tantôt trépidante. La marche titubante non spasm
e et de trois médecins (professori) choisi parmi les aliénistes. La forme du concours est soumise aux prescriptions du rè
s de lésion du plexus ou de ses racines. Par sa topographie, par la forme arrondie de ses contours, elle est toutàfait pa
nt névropathique s'est révélé chez plusieurs membres, sous diverses formes . Il est lui-même mort, vers l'âge de soixante a
que celle du côté droit. Cette différence ne dépend nullement d'une forme particulière de la cage thoracique en ce point;
apper trois générations successives et conserver à peu près la même forme , le même type. Nous trouvons encore là une preu
Ils nous ont démontré que ce tremblement peut présenter toutes les formes différentes du tremblement, qui ont été jamais
, le tremblement chez notre malade peut être rapporté à la première forme du groupe moyen, suivant la classification de D
e dans l'évolution de la grande névrose. M. Pitres en décrivant une forme du tremblement qu'il a nommée trépidatoire, cit
apparition et' était entre- mêlé d'attaques hystériques d'une autre forme ; en un mot, il était dépourvu de toutes les pa
e. En première ligne, se ren- contrent les obsessions conscientes à forme interrogative ou dubita- tive et qu'on peut dis
our en gémir et se lamenter. Après Cotard, M. Séglas a étudié cette forme psycho-pathétique et a mis en lumière l'altérat
roupe particulier de folies aiguës parfaitement distinct des autres formes reconnues généralement en France et dont on ne
la confusion mentale primitive serait une psychose constituant une forme intermédiaire entre les folies purement fonctio
l'existence de cette dernière, sa place dans la classification, ses formes sont loin d'être établies; l'apparition rapide d'
que les délires non systématisés variables et peu profonds de cette forme vésanique. Quand il y avait manie chronique simpl
de l'hystérie ; Georget et Lieutaud font de ces deux névroses deux formes symptomatiques de la même maladie : 38.-) REVUE
bservation, siègent depuis quatorze ans aux membres inférieurs sous forme d'ulcères inguérissables, symétriquement disposés
le nom de Paranoïa consiste à rechercher s'il existe réellement une forme aiguë de cette maladie. Bien que cette forme ai
existe réellement une forme aiguë de cette maladie. Bien que cette forme aiguë ait été décrite par Westphal et admise par
es M. Dunn est disposé à se ranger, renoncent à l'admettre. Sous la forme chronique, elle peut ou être' primitive, c'est-à-
être' primitive, c'est-à- dire apparaître d'emblée, et c'est là sa forme la plus typique et la mieux caractérisée, ou bi
our le terminer, à un état mental pathologique antérieur. Parmi les formes les plus usuelles et les plus généralement admi
ci, et dont il trace d'ahord un historique assez étendu. Sous cette forme , la maladie apparait généralement entre trente-
moire, elle aboutit à la démence complète. Il est enfin une autre forme , à caractères un peu spéciaux, et que Krafl,-Eb
énital, elles affecteraient plus souvent la vue que dans les autres formes , les malades seraient exceptionnellement irrita
. LIV. LE DÉLIRE SENSORIEL dans SES rapports avec LES DIFFÉRENTES formes DE Paranoïa; par Del GtEco. (Il manicomio, fasc.
ports avec la paranoia et cela, en faisant l'analyse d'une série de formes intermédiaires entre le délire sensoriel typique
n que ressemblant par certains côtés à la manie ou à la mélancolie, forme cependant une classe à part. Il lui faut pour s
re sensoriel vrai et la paranoia chronique, il y a une multitude de formes dans lesquelles la personnalité morbide, plus o
ns cohérente, se dessine dans un temps relativement court. Dans ces formes , la modification de la personnalité se révèle au
ions de la période prodomique de la paranoia chronique. C'est à ces formes que doit s'appliquer exactement le nom de paran
er exactement le nom de paranoia aiguë. Malgré la grande variété de formes cliniques intermédiaires entre le délire sensor
dégénérescence mentale. Selon le fonds du caractère, elle prend des formes et des allures diverses : dans quelques formes
tère, elle prend des formes et des allures diverses : dans quelques formes aiguës, on peut observer une rémission, presque
e ces observations, l'auteur tire les conclusions suivantes : I. La forme du délire chronique décrit par M. Magnan existe
rques sur l'influence DE la désinfection intestinale , sur QUELQUES formes DE folie aiguë; par John MACPHERSON. (The Journ
s rapidement. Elle se croit possédée du démon, ce qui constitue une forme rare de nos jours. Les malades accusent plus gé
e l'histoire de la manie et des états maniaques dans les di- verses formes mentales. Tout le monde est d'accord pour admet
troisième partie, la plus étendue, décrit et développe les diverses formes de l'inversion considérées dans leurs causes dire
aintenant que leur prix les rend plus abordables ? 8° Quelle est la forme la plus avantageuse et la moins dangereuse sous l
ise eût montré la variété de ces phénomènes « plus nombreux que les formes de Protée et que les couleurs du caméléon », on
surviennent sans 'ordre préétabli et se succèdent sous différentes formes et à différentes époques chez les mêmes sujets;
aurait acquis assez de force pour se réaliser objectivement sous la forme de paralysies11'... » Plus tard, M. Charcot app
ent non seu- lement la maladie hystérique en général mais encore la forme très particulière que prend l'accident. A la mê
e somnambulisme nocturne, tantôt il se développe en plein jour sous forme d'attaque précédée ou non de convulsions. Quelq
epsies plus ou moins complètes, etc., ne sont que des degrés ou des formes variées du somnambulisme, des réapparitions plu
eu'plus ouvert que le droit; le pincement des lèvres n'est pas uni- forme ; tandis qu'à droite elles sont fortement appliqu
ressent dans la tête, mérite d'être retenu, car il dépeint, sous une forme très juste et très pittoresque, le phénomène au
gitante, le cas est des plus classiques, l'on est en présence de la forme vulgaire de la maladie où sont représentées, à
les états d'excitation psychique ou motrice accompagnant diverses- formes de maladies mentales. Comme telle, on doit la pré
désordre des idées et des actes comme dans.la manie aiguë. Dans les formes de manie chronique, dans les états d'agitation,
2.) Recherches sur la noix de Kola, le borate de soude, le bromo- forme , l'azotate de soude. Signalons en particulier ces
coque pyogène. Il n'y a aucune importance à rechercher dans quelles formes mentales se déve- loppe de préférence l'otémato
i trop peu préoccupé de l'influence de l'insolation (sous la double forme de coup de soleil 460 REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
seconde ligne, puis la diminution du pouvoir musculaire. Plusieurs formes d'aliénation mentale se sont montrées à l'état
t de leurs opi- nions. R. M.-C. LXXXII. La KATATONIE EST-ELLE UNE forme particulière DE TROUBLE mental; par M. J. NOLAN
sants qu'on a pu constater chez eux les traits principaux des trois formes de katatonie décrites par Schüle, à savoir : la
ux des trois formes de katatonie décrites par Schüle, à savoir : la forme religieuse expansive, la forme démonoma- niaque
e décrites par Schüle, à savoir : la forme religieuse expansive, la forme démonoma- niaque, la forme hystérique. R. M.-C.
voir : la forme religieuse expansive, la forme démonoma- niaque, la forme hystérique. R. M.-C. L1YYI\'. UN cas DE tumeur
de M. Bernheim ne sont pas réellement hypnotisés ; il pense que la forme légère de l'hypnotisme, telle qu'on l'observe c
loi du mot paranoïa, c'est-à-dire réserver le mot paranoïa pour une forme clinique ' Voy. Archives de Neurologie, séance
- rantes systématisées. Je dirai tout à l'heure en traitant d'une forme spéciale des néo- formations délirantes ce que
s choréiques ou athétosiques, en sont les manifestations; tantôt la forme en est paraplégique sur les membres inférieurs,
montre ainsi, par exemple, que la partie non croisée des fibres ne forme pas un fais- ceau compact sur tout leur parcour
, 92 : par l'rondor, 390; polymorphe, par Arnaud, 272. Démence, formes aiguës de la -, par Serbslci, 103. . Dermomia
64 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
C'est que les maladies ne se présentent pas toujours sous les mêmes formes ; c'est que les malades ont leur indi- vidualité
E ET DE PHYSIOLOGIE. PATHOLOGIQUES 53 ovoïdes, bacillaires, etc. La forme la plus typique parait être la chaînette termin
aînette terminée à chaque extrémité par un grain plus volumi- neux [ forme en boulets enchaînés). Ces corps sont animés d'on
ent si bien qu'il faut les suivre longtemps pour être fixé sur leur forme véritable. Ils adhèrent fréquemment aux globule
ée à diverses reprises xi chez le lapin, reproduit dans le sang les formes parasitaires type- 1 ques du sang comitial. I
al, 3 août 1901.) Il s'agit d'un fragment de la boite crânienne, de forme irrégu- lièrement ovale, et mesurant un pouce e
lysie générale démentielle, typique. La paralysie générale atypique forme , en somme, le pendant de la paralysie générale
s sous le nom de faciès de Sphinx. MM. Déjerine et Marie : C'est la forme classique du cou dans les myopathies. Prépara
ue de tous les organes et de l'axe encéptialo-médullaire, elle a la forme d'une grosse olive placée au centre de la calot
de néoplasme papillomateux et très végétant, se présentant sous la forme de collerette de grosses cellules entourant un
signalé plus haut des proliférations plus accentuées encore sous la forme de petits bourgeons qui vont pé- nétrer dans le
r avec tremblement post-hémiplégique. Ainsi les mouvements ataxi- formes présentés par notre malade ne nous paraissent pas
mblement ou 103 'l) PATHOLOGIE NERVEUSE. du Nystagmus simples aux formes rendues plus complexes par les signes nouveaux
nous avons passées en revue présente son maximum d'intérêt dans les formes familiales. La loi de l'hérédité similaire que
euse nettement caractérisée comme la maladie de Friedreich pour les formes isolées, comme l'hé- rédo-ataxie cérébelleuse p
ts ressortissant les uns à la névrose trémulante, les autres aux- formes plus complexes des maladies héréditaires. Il est
pas seulement une étude sur un point d'aliénation mentale; sous sa forme scientifique, il éclaire un chapitre important
ut-être aussi, au point de vue de l'hystérie, celle qui présente la forme la plus classique, la plus clinique pour parler
ieuses comparai- sons et sur leur didactisme ennuyeux s'étalent des formes agréables. SES LIVRES preuves DE sa MALADIE.
où cela est possible, à discerner leurs rapports avec les diverses formes de troubles mentaux. R. de hIUSGRAV1 CLAY. RE
eaux malades. Les cellules sont de deux variétés : les unes sont de forme irrégulière, à noyau relativement volumineux; l
ntendus, se rencontrent sur- tout, mais non exclusivement, dans les formes hallucinatoires de la démence précoce, chez les
ses chez les juifs. C'est un fait incontestable que les différentes formes de dégénérescence nerveuse (paralysie générale,
.parmi les femmes juives. Les cas graves d'aphonie hystérique, sous forme endémique, sont fréquents chez, les juifs des deu
érique est presque caractéristique d'une origine juive : les autres formes convulsives et psychopathiques sont d'ailleurs
éressant au point de vue de la persistance dans une même famille de formes semblables d'aliénation mentale. R. M.-G. REV
L'anesthésie a été obtenue dans tous les cas au moyen du chloro- forme et c'est à l'action toxique de cet agent sur les
sensations causées par le froid, lesquelles étaient perçues sous la forme de sensations de chaleur. Toutefois à cette ano
dans une page d'im- pression, des lettres dont on distingue bien la forme et le caractère; mais sans pouvoir les lire. En
e réveil d'une image visuelle particulière. Paralysie générale ci forme sensorielle. 1t. P. Sérieux communique en son n
En novembre 1900 et en mars 1901, à la suite de crises épilepti- formes , X... présente d'abord de la surdité corticale, p
de méningo-encéphalite diffuse, mais doivent faire pensera à cette forme sensorielle de la paralysie générale liée à des f
tte question. Parchappe dit nettement que la paralysie générale « forme une espèce distincte du genre folie ». Dès lors l
chez les catatoniques. Il semblerait d'ailleurs que cette dernière forme parait plus rare en France qu'en Allemagne. Mar
lades, le frère et la soeur atteints d'atrophie distribuée selon la forme de l'hémiplégie c'est-à-dire atteignant tous le
au tronc et à la face. Il y a donc là un type nouveau d'atrophie à forme hémiplégique, et une notion nouvelle familiale.
uver voix plus autorisée que celle de l'auteur pour présenter, sous forme claire et précise, le résumé de nos connaissanc
ts précoces. 111-8- (le 266 pages. Boyer edit. Gl-illain (G.).-La forme spasmodique de la syringomyélie, la névrite asc
atre ans la quantité des malades atteints de paralysie générale, en forme démente et de para- lysie générale en forme man
paralysie générale, en forme démente et de para- lysie générale en forme maniaque. Le rapport'du nombre de formes dément
e para- lysie générale en forme maniaque. Le rapport'du nombre de formes démentes au nombre des formes maniaques, chez l
e maniaque. Le rapport'du nombre de formes démentes au nombre des formes maniaques, chez les hommes était : PARALYSIE GÉ
de rire inconvenants. Accuse des hallucinations audi- tives sous la forme de voix agréables ou déplaisantes. Amnésie. » C
s ainsi observées se loca- lisent de la façon suivante : 1" Deux de forme lenticulaire, sont à la périphérie de la cornée
ans. 1 ir. 25 à 28. 214 CLINIQUE NERVEUSE. 2° Une troisième, de forme ovalaire, occupe la partie inférieure et médian
pression habituelle de sa physionomie, sa démarche, sa mimique, la forme de son langage, tout l'ensemble de ses allures re
in ; tout à coup dans mon cerveau, par le fait de la maladie, 3° se forme l'image d'un diable ; 20 cette image part du ce
mme il n'y avait aucune image, je ne pouvais distinguer sous quelle forme il était ; mais pour être toujours à mon côté d
r bizarre, qu'un Dieu. pour se manifester, n'ait pas choisi d'autre forme que celle antérieurement conçue par des peintre
se est en proie aux hallucinations ayant pour base le démon ; cette forme que prend son délire lui est suggérée par les p
crier aux oreilles qu'elle est le jouet du diable, qu'il prend la forme du Sauveur pour agir en elle, tant et si bien qu'
le corps de Jésus ». Le démon lui apparaissait quelquefois sous des formes horribles; il lui parlait d'un ton menaçant, av
t. Le médecin est habitué à considérer la genèse et l'évolution des formes et des phénomènes, à reconnaître partout l'acti
nalité qui en sont la conséquence. Aussi a-t-on pu dis- tinguer une forme aiguë et 'une forme chronique, cette dernière à
a conséquence. Aussi a-t-on pu dis- tinguer une forme aiguë et 'une forme chronique, cette dernière à la suite des travau
re le résultat de la transformation progressive de l'obsession. Les formes psychopathiques sont la mélancolie anxieuse et
et on peut admettre que toute psychose débute par de l'anxiété. Les formes mentales dans lesquelles l'an- goisse se montre
la manie, la 252 SOCIÉTÉS SAVANTES. mélancolie, la folie à double forme , chez les persécutés mélanco- liques, dans les
outes leurs variantes. Les tics de la parole se manifestent dans la forme la plus grave, la maladie de Gilles de la Toure
dante qui est le plus sûr agent d'entretien du tic. Telles sont les formes d'association du tic et de l'obsession, comme l
ulsive, aussi pose-t-il la question : « Le tic ne serait-il pas une forme d'impul- sion ? » Opinion très défendable, qui
uses générales et des causes spé- ciales, celles-ci variant avec la forme du tic, il est aussi des asso- ciations et des
tage prendre place dans le chapitre des myoclonies ; dans certaines formes associées de pj ! ra ? H)/oc<OKM et de tics, l
uite qu'un tic est toujours clonique ; et que, par con- séquent, la forme tonique du tic n'existe pas ; en particulier, le
al ; 6" le torticolis mental et, d'une manière générale, toutes les formes toniques ou simples, attitudes d'ordre mental, do
s beau- coup plus communs où c'est elle, au contraire, qui, sous la forme d'actes de siège et d'intensité différents, pré
névropathe, se vit, vers l'âge de cinquante ans, atteint d'un tic à forme de torticolis du côté gauche. Sa tête se tournait
Les caractères chez les monstres doubles. M. Bellemanière. Diverses formes de l'attention chez l'enfant. M. Lepinay. L'hyp
es jours. L'on agrandit ceux qui existent; on les modifie dans leur forme extérieure : on construit des quartiers indépen
a place des boutons. L'une portait un chapeau de feutre gris, d'une forme ultra sim- ple, mais d'un diamètre excessif; le
on égale, identiques toujours par le fond et quelquefois même parla forme . C'était soit l'énoncé d'un fait qu'elles se ra
ix-huit mois de désarroi elle a conservé sa ceinture, un chapeau de forme reconnaissable et même un ornement d'argent. El
cune conviction ne pénètre en elle profon- dément. Voici, dans sa forme dialoguée, le compte rendu de leur interrogatoi
out de l'observation clinique, conclut fort justement : « C'est une forme non aiguë de méningo- encéphalite. » . Cette
ue d'un ange qui se tenait près de moi, à mon côté gauche, sous une forme corporelle. Il n'était pas de haute taille, mai
Elle a l'aura, ce coup de sifflet indicateur de la crise, sous la forme d'un sentiment de refroidissement ; puis elle a l
s contracturées assez longtemps ; elle a le délire transitoire sous forme d'hallucinations diverses ; elle a les gémissem
C : ld- leau intérieur, sainte Thérèse a reproduit sous une autre forme le même ordre d'idées ; ce château fort se compos
inction et le classement mé- thodique des différentes catégories et formes d'aliénation mentale, l'éloignement de celles d
lombaire permet de distinguer la paralysie géné- rale des diverses formes de l'alcoolisme, et surtout de ces accès d'alco
-deux ans dans ma thèse, quand j'ai dit, le premier en date, que la forme chronique et rémittente de la paralysie général
eloppent à la faveur de l'angoisse, et leur objet, qui n'est que la forme intellectuelle dans laquelle l'an- goisse se ju
nces. Je puis citer trois observations de malades atteints de cette forme de névropathie, et chez lesquels on ne trouve a
les symptômes délirants qu'un simple rapport de coexistence. Les formes psychopathiques auxquelles peut aboutir l'obsessi
ssion. Lorsqu'il s'agit d'accès aigus, ils revè- tent en général la forme anxieuse : les idées morbides ne sont que la tr
leurs, les éléments de pronostic ne doivent pas être tirés de la forme de l'obsession, mais du complexus symptomatique e
qui préside à la transformation de l'obsession vers les différentes formes délirantes et dont l'origine dernière doit être
du projet de loi portant revision de la loi du 30 juin 18381, con- formes à ceux qu'ont voté sur nos Rapports le Congrès in
hogénique du délire mélancolique. Ce délire, qui affecte d'abord la forme d'idées de culpabilité générale, diffuse, peut,
és à l'alcoolisme chronique. L'auto-accusation représente une des formes délirantes de l'ivresse psychique, qu'on observ
barbare, atteintes d'hystérie, de débilité mentale et des diverses formes démonopathiques du délire de possession, repré-
pillaire. Chez les neuf paralytiques en rémission ou atteints d'une forme lente, à longue évolution, il a été impossible
mé, dans les métastases cancéreuses vertébro-spinales, à côté de la forme primitivement osseuse classique, il faut faire
la forme primitivement osseuse classique, il faut faire place à une forme radiculo-méningèe. IV. Les altérations intéress
tudié dans une autre communication avec MM. Philippe et Cestan, une forme peu connue de sarcome, le sarcome solitaire env
dans les scléroses céré- brales atrophiques, et même dans certaines formes de paralysie générale. Enfin dans les scléroses
use ; nous avons pu en suivre toutes les étapes; la dernière est la forme arrondie qui les fait se confondre avec les corps
iques, où, malgré la disparition des éléments'nobles, persistent la forme et la charpente antérieure de la région, doiven
ture allemande, nous autorisent à admettre l'existence de plusieurs formes analomo-cli- niques parmi les sarcomes primitif
ue. Dans ce groupe, très important en pathologie'nerveuse, les deux formes qui mé- ritent d'être individualisées sont : d'
et définitive. B. Sarcomes solitaires des centres nerveux. Cette forme est rare. Nous avons pu en observer 4 cas ; tro
rs 7nul- tiples envahissant tout le système nerveux central sous la forme de noyaux isolés, plus ou moins volumineux (mén
ux ans -dans ma thèse, quand j'ai dit, le premier en date, que la forme chronique et rémittente de la paralysie générale
oindre résistance où l'iu- fection secondaire s'installe, évolue et forme la lésion tabétique. Les origines infectieuses
ue l'ont décrite Magnan et Legrain. Sclérose en plaques infantile à forme hémiplégique d'origine /te<'6o-)/pAt'/<&l
ence extérieure la plus complète d'une grossesse avancée (volume et forme de l'ab- domen, démarche); les règles étaient a
i a suc- combé, au bout de trois années, à une paralysie générale à forme démentielle simple, non délirante. L'autopsie a
les ne pourrait qu'augmenter la contracture. La gymnastique sous la forme de mouvements actifs on passifs rend des servic
ffuse du sarcoplasma avec prolifération des noyaux. Localisée, elle forme des taches claires ou grenues, des amas protoplas
ystérie. Toutefois, l'auteur ne rejette pas la possibilité d'autres formes de paramyo- clonus produites par des lésions or
oid donne un chloroplatinate en sphérules de coloration jaune et de forme identique aux lécithines elles-mêmes. Le seul f
désassimilation. Dans la préparation par la baryte à chaud elle se forme seule et cela aux dépens de la base à chloropla
synthétiques. - 1 l'état de chlorures, elles se présentent sous la forme de pulpes qui sont insolubles dans l'eau, dans
ans la germination de l'idée de culpabilité, il n'influe que sur la forme que revêtira l'idée de culpabilité, le délire de
ée de culpabilité. Comme elle doit ainsi fatale- ment aboutir à une forme d'idée de culpabilité, le rôle du raisonnement
malade est aiguillonnée par le doute, par le besoin de don- ner une forme déterminée à l'idée de culpabilité qui germe en
ession, besoin impulsif de développer cette idée, de lui donner une forme ; cette obsession, ainsi causée par l'idée late
lpabilité, amène à son tour l'évolution ou plutôt la fixation de la forme de l'idée de culpabilité, et, son rôle accompli
ons s'effacer. Comment l'obsession conduit-elle à la fixation de la forme de l'idée de culpabi- lité ? La continuité et l
nts ; si vous nous voyez ces torti- colis, c'est pour avoir pris la forme des coins (sic). Nous donnions l'ordre au coche
ont en train d'écrire, elle consent à rédiger quinze lignes sous la forme d'une protesta- tion. Dans la cellule voisine,
sion de la santé physique. Nous devons ajouter, il est vrai, que la forme de bacillose à laquelle elle a sucombé n'était
que la forme de bacillose à laquelle elle a sucombé n'était pas la forme consomptive (pneu- monie caséuse). ' , Au déb
18 RECUEIL DE FAITS. Lasègue et Falret, « qu'il s'agit là d'une des formes de l'aliénation, intermédiaires entre la raison
ie morale et en par- ticulier du mensonge comme symptôme de cette forme mentale ; Par BOURNEVILLE et J. BROYER Voici
moyen, symétrique, ni bosses, ni fontanelles ; front assez élevé. Forme du visage ovale. Cicatrice de brûlure très étendu
nnées de Gowers et de Kliatsch- kine. . P. KERAVAL. 1 XVI. Deux formes rares du tic facial; par W.-M. Bechterew (Obo :
il gauche diminuait. L'auteur a pu ainsi constater toutes sortes de formes curieuses du champ visuel qui se modifiait à me
ire du plus haut intérêt clinique, décrit pour la première fois une forme de troubles de motihté dont la cause anatomique
stupeur accen- tuée ; 7° Il parait donc probable en somme que la forme de folie dans laquelle ce traitement sera le pl
l'influence que l'alitement exerce sur chaque malade et sur chaque forme de maladies mentales ; 3° c'est cette étude qui
de de traite- ment n'est pas appliqué spécialement à telle ou telle forme d'aliénation mentale, mais indistinctement à to
eux nouveaux cas de troubles mentaux, d'origine toxi-infectieuse, à forme de confusion mentale, accompagnés de lésions ce
lulaires corticales sont : gonflement de la cel- lule qui prend une forme globuleuse et arrondie ; disparition des grains
médecine men- tale et ses qualités d'administrateur. Leur ensemble forme un véri- table traité de médecine et de science
l et de l'auteur; l'enseignement du Pr Raymond. Le second, sous une forme concise, lira avec fruit un chapitre nouveau do
il.n'existe que peu d'asiles où le patronage existe soit sous cette forme , soit sous une autre. B. VARIA. Congrès inter
ent être soumis à ce traitement, la colonie familiale représente la forme d'assistance la plus naturelle, la plus libre,
uer la décharge, qui peut même se produire dans le sommeil, sous la forme de chocs anxieux (décharges émotionnelles de We
rconstances, qui, à un degré' plus élevé dans^ l'échelle .morbide,, forme l'état obsédant avec anxiété systématisée ou mo
ou phobies proprement dites. Ces der- nières se présentent sous la forme d'une répulsion ou peur anxieuse originelle, ch
on- nelle, demeurer unique et persister indéfiniment sous la même forme avec des alternatives de paroxysmes et d'accal-
peur. L'obsession n'est lis 7 1 CLINIQUE MENTALE. souvent que la forme aggravée ou intellectualisée de'la pho- bie. Lo
sessions impulsives ou actives. L'idée fixe. physiologique, est. la forme quasitétanique de l'attention (Ribot). Elle peu
r fous dans l'obsession : ce dédoublement s'accentue dans certaines formes chroniques et incurables de l'obsession où l'id
soit que le malade cède à son idée, soit que celle-ci revête une forme particulière. DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENT
éellement bien moi. » Un enfant de douze ans, atteint d'obsession à forme cons- titutionnelle, notamment d'obsession du d
rer ou de s'être livrée à d'autres, de la sexualité sous toutes ses formes , de la contamination par les excréments, les po
les tendances du sujet. Le plus souvent, il s'agit d'obsessions de forme religieuse. Les malades veulent prier, faire un
e, à l'état de veille. L'obsession se manifeste habituellement sous forme p01'O- xystique et est rarement tout à fait con
n fini à la partie supé- rieure du thorax, quand une tuméfaction se forme au niveau du 'fiers supérieur du sternum, tuméf
, et, à l'expiration, ressort mélangé au pus et à la sérosité, sous formes de bulles qui éclatent à l'orifice cutané. L'au
bres des colonnes de Clarke, en rapport intime avec le cervelet. La forme ataxique delà névrite et la sensumobilité d'Exi
phié dans sa totalité, ses faisceaux centrifuges sont lésés sous la forme de dégé- nérescence disséminée dans la région d
ant pas les siens, il accom- . plit des actes immotivés, idiots. La forme en varie suivant les malades, mais reste fixe c
bord, il apparaît, à la périphérie, des granulations colorables, de forme et de grandeur différentes. Ces granulations se
ant à des lois pliysicoeliimique, pour former à la (in des corps de formes géométriques, les éléments chromatopliiles, à m
teintes, une réduction du nombre des éléments clii omatiques ; leur forme change égale- ment et devient arrondie. Cette d
es sur les régions frontale, occipitale et cérébelleuse, et sous la forme de blocs dans la zone périphérique du protoplas
'insuffisance de la faculté d'attention, congénitale ou acquise; la forme acquise s'observe dans certaines psychoses ou n
ut en possédant leurs sens au com- plet, ne perçoivent pas; sous sa forme la plus légère, cet état 510 REVUE DE PATHOLOGI
10 REVUE DE PATHOLOGIE. MENTALE. caractérise la stupidité ; sous sa forme extrême il constitue la démence. 13. nE \fuscn.
culièrement REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. âii le développement. La forme d'aliénation mentale le plus souvent observée e
mentale le plus souvent observée est la mélancolie sous toutes ses formes , souvent avec tendance au suicide ; on constate
as de manie aiguë et de mélancolie ; il l'est moins dans les autres formes de manie et surtout dan= la manie avec délusions.
ssent con- lirmer ces vues a priori. Dans t'insutILance mitrale, la forme de psychose que l'on rencontre le plus souvent
s s'attendre à trouver entre la nature de la lésion cardiaque et la forme du délire une relation qui soit invariable. Apr
t la folie. Toutefois la manie et la mélancolie paraissent les deux formes les plus communément en' rappot avec les affectio
de la peau se manifestent chez les paralytiques généraux sous leurs formes les plus variées (érythème, purpura, zona, ichthy
sur l'influence exercée par l'auto-intoxication sur la genèse et la forme des troubles-psychiques : « Dans certaines circ
pas à elle seule les desordres psychiques et ne détermine pas leur forme essentielle, elle intervient cependant pour en mo
ier 1900.) Le délire de la paralysie générale, quelle que soit sa forme , possède sept caractères constants : tout d'abo
puis Ileclcer ont donnée de l'hébéphrénie : en effet, les débuts à forme maniaque ou mélancolique ne sont pas les plus f
sive,' l'impulsion soudaine. La démence précoce peut revêtir deux formes , grave et légère, et la forme grave comprend el
La démence précoce peut revêtir deux formes, grave et légère, et la forme grave comprend elle-même deux variétés : la forme
et légère, et la forme grave comprend elle-même deux variétés : la forme simple, dans laquelle les muscles ne sont pas a
forme simple, dans laquelle les muscles ne sont pas atteints, et la forme catatonique, dans laquelle le système musculair
profondément troublé dans son fonctionnement. Quelle que soit la forme du délire, il se produit, au bout d'un certain
ssives avec automatisme ambulatoire et psychisme partiel sous trois formes distinctes et réciproquement amnési- ques. XX
sans méconnaître tout ce que les inexacti- tudes de chiffres, ou la forme même donnée aux statistiques peuvent introduire
n sadisme « et qu'il était atteint d'érotomanie, c'est-à-dire d'une forme voilée de psychopathie sexuelle (folie amoureus
de con- centrer et de soutenir sa pensée, et ses livres prirent la forme -d'aphorismes courts, de phrases où l'on découv
ger, à Iéna. On désigna sa maladie sous le nom de cl paralysie à forme atypique ». Pendant que M. Ireland achevait ce tr
dique ni la hauteur, ni l'intensité. Méningite cérébro-spinale ci forme de syndrome de Liltle ' et de pseudo-bulbaire.
r stade de la maladie, les états émotionnels pathologiques et les formes délirantes occupent le premier plan, si bien que
en : u) besoin de mouvement (actes sans but, mouvements clioréi- formes ou épileptiformes de Kdhfbaum ; b) impulsion aux
t ainsi au type hébéphrénique de Ii-aepelin. Les 34 autres sont des formes graves où l'auteur dis- VARIA. 1 543 tingue u
s- VARIA. 1 543 tingue une variété torpide et une variété agitée, formes graves qui correspondraient ainsi à la forme ca
t une variété agitée, formes graves qui correspondraient ainsi à la forme catatonique de Kraepeiin. Contre Kraepehnqut ma
rme catatonique de Kraepeiin. Contre Kraepehnqut maintient les deux formes morbides hébé- phrénique et calatonique, fait i
ange plutôt du côté d'Aschaffenburg qui prétend qu'entre toutes ces formes , les plus légères et les plus graves, n'existen
l' morale et en particulier du mensonge comme symptôme de cette forme mentale, par Bourne- ville et Boyer, 418. Ima
ns, simu- lant la guérison, par Crochet, 53à. céi,ébro ? pinale à forme de syndrome de Llttle et de pseu- dobu'ibaire
ortance en médecine gé- nérale, par Steitsmann. 1G1. - générale à forme sensorielle, par Sérieux, 167. - radiculaire tr
dactylique, par de Macre, 159. Sclérose en plaques infantile il forme hémiplégique d'origine lié- rèdo-syphilitique p
65 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
anuleuse disposée autour d'une cavité en forme de V ; une troisième forme de parasite présente seulement la tête de forme s
e V ; une troisième forme de parasite présente seulement la tête de forme sphérique avec une seule ventouse et des restes
coloration au bleu de méthylène est dif- fuse, le noyau a perdu sa forme ovale ou ronde. Très fortement coloré, il est r
pathologique récente ou aiguë : le corps de l'élément est gros, de forme sphérique, globuleuse et l'on ne peut distinguer
r les naturalistes, entre les diverses dénominations appliquées aux formes parasitaires. Il nous faut donc, avant tout, préc
ne façon générale pour les helminthologistes des vers vésiculaires, formes de transition des ténias qui s'en distinguent p
u cysticerque (tenia solium), dans le développement duquel il ne se forme jamais qu'une tête qui prend naissance à la fac
donner par cet auteur le nom d'acéphalocyste ; il croyait que cette forme du pa- rasite était particulière à l'homme et i
rès méd., 1899. BRALLT ET LoEpEn. - Trois cas de tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique, Archives général, de méd.,
etit pois, dures au toucher, saillantes, arrondies, allongées ou de forme irrégulière, kystiques à la coupe, ou formant de
sieurs, insérées en des points très voisins (Fig. 3). On trouve la forme en hal- i tère (Bitot et Sabrazès) caractérisée
et le kyste adventice. Quand on examine à la loupe, on retrouve la forme piriforme de l'embryon. 1 C'est la tête d'un fu
reste de la vé- sicule. Il s'agit du cysticercus cellulosce, de la forme larvée du oetu'a solium. M. le Professeur Blanc
ercus cellulosse (ainsi appelé par Rudolphi). Le cysticerque est la forme enkystée de l'embryon du toenia. Notre observat
Griesinger, Leubuscher, Friedrich. Rapprochons des crises épilepti- formes les hallucinations de la vue et de l'ouïe observé
e l'influence de quelques autres causes dans le développement de la forme acquise, celle-ci manque encore de caractè res
ou, type de genu recurvatum ; vu de profil (P. III), il affecte une forme arquée à concavité antérieure très prononcée, l
u varum (PI. 11). , Enfin, en arrière, la face postérieure du genou forme une saillie très mar- ! Nouv. Iconographie DE l
thopédique. LE GENU RECURVATUM DANS LA COXALGIE 55 nifeste que forme le fémur avec le tibia dans la station debout, ce
qui débute en général tardivement, après la guérison : c'est cette forme seule que nous avons en vue dans le cours de ce
toute une série de représentations de miracles et de guérisons, sous forme de petites mosaïques, assez bien conservées, ma
s'appuie sur un long bâton, terminé par une crosse horizontale, en forme de T. Toute sa démarche a un caractère hésitant
femme hydropique. Le ventre est très volumineux, mais il n'a pas la forme étalée, comme à Sa- lerne et à Monreale ; au co
' A. Roettmca). On peut reconnaître, au point de vue clinique, deux formes principales à la paralysie spinale syphilitique
, deux formes principales à la paralysie spinale syphilitique : une forme à début brusque et une forme chronique d'emblée
a paralysie spinale syphilitique : une forme à début brusque et une forme chronique d'emblée et à marche généralement progr
hologique fournit des résultats précis surtout pour l'é- tude de la forme aigué qui a pu être analysée jusque dans ses prem
es. L'interprétation des lésions scléreuses est moins aisée dans la forme xiv ' 8 106 LONG ET WIKI lente de la paraly
consi- dérer comme le résultat de processus analogues à ceux de la forme rapide, mais moins étendus et moins intenses. S
s interstitiels ne se fait pas avec la même régularité que dans les formes aiguës ou subaiguës. - En résumé, les travaux
- niére, lorsqu'elle est frappée par la syphilis, présente dans les formes à évolution rapide des lésions nécrotiques, dan
tenses surtout dans l'intérieur de la moelle, où elles prennent les formes les plus variables ; nous aurons à re\enir tout i
e, bien qu'il y ait encore une diminution de volume appréciable, la forme de la moelle tend - it redevenir normale. Les f
s, ces lésions des vaisseaux intramédullaires se présentent sous la forme d'un simple épaississement de la tunique externe,
onclusion s'accorde bien avec ce qui a été dit maintes fois sur les formes cliniques de la paralysie spinale syphilitique. ,
r les formes cliniques de la paralysie spinale syphilitique. , La forme rapide est due à des lésions inflammatoires, vasc
ovoquent en peu de temps la formation de foyers de nécrose. Dans la forme lente les phénomènes paralytiques du début sont
ion d'un abcès par con- ° gestion. A une période plus avancée de la forme chronique, si les locali- sations vasculaires d
longée et du cervelet se rencontrent presque toujours sous une même forme . D'ailleurs avec des matériaux nouveaux nous pou-
en bas par rapport à la ligne médiane. En bas le cervelet prend une forme conique et son volume diminue peu à peu ; plus
entricule est visible ; il s'est abaissé considérable- ment et a la forme de triangle, un angle tourné vers le bas. Des côt
s de la moelle allongée, laquelle en bas du 4° ventricule prend une forme de cylindre aplati d'avant en arrière, ar- rond
sale. A la partie inférieure du cervelet on voit un prolongement de forme conique, comprimé d'arrière en avant et corresp
les et étendus de côté. Le faisceau pyramidal existe seulement sous forme d'un faisceau de Turck, disposé à la périphérie d
ncent de la périphérie vers la profondeur. La moelle allongée a une forme ovale. En arrière existe une fissure large et pro
téralement entourent au-devant et en dehors la moelle allongée sous forme d'une lame qui en arrière, peu à peu devient mi
conservées seule- ment dans la moelle allongée et de chaque côté en forme d'une lamelle assez étroite et foncée, se trouv
. De chaque côté de la moelle allongée nous trouvons une lamelle en forme d'une demi-lune de fibres verticales, con- tinu
t la substance blanche du cordon latéral de la moelle épinière sous forme d'un arc contournant la substance gélatineuse d
ntaux du cordon latéral ; de cette manière elles avaient ou bien la forme d'un arc, ou bien elles étaient placées à angle d
qui se produisent dans une moelle normale ; en même temps change la forme de cou- pes ; seulement en comparaison de la mo
trouvent plus haut ; ils n'ont pas leur plein développement, mais une forme irrégulière (Phot. 19). Le lobe médian est abse
ies musculaires bien développées qui paraissent correspon dre comme forme et comme disposition aux muscles de l'éminence th
pour le doigt. Les phalanges paraissent sensiblement normales comme forme et comme volume ; les parties molles qui les reco
timètres sur la radiographie. La tète numérale paraît normale comme forme et comme volume ; la diaphyse parait sensiblement
il ne se termine pas en cupule comme un ra- dius, mais présente une forme qui lui donne une ressemblance éloignée avec (1
correspondre à la fois au scaphoïde et au trapèze. L'os unique qui forme le métacarpe est assez bien conformé et présent
nférieure est d'ailleurs bien con- formée et rappelle assez bien la forme de la tète d'un métacarpien. A son ni- veau on
troisième phalange, ou phalange unguéale, est mieux conservée comme forme et comme volume ; elle s'articule avec la deuxièm
ras d'ailleurs reste plus ou moins fermé sur le bras avec lequel il forme toujours un angle aigu. La flexion de l'avant-b
bsence du cubitus. Au niveau du coude, il est vrai, l'os unique qui forme le squelette de l'avant-bras correspond à la pa
orrespond à la partie interne de l'humérus, et, à cette hauteur, sa forme ne rappelle guère celle du radius ; mais il n'e
le coude existe latéralement une saillie osseuse très développée en forme d'apophyse (une apophyse semblable existe aussi a
vu sa grande fréquence au XIV siècle. C'est là une main de lèpre à forme mutilante et sclérodermique. C'est dans ces forme
e main de lèpre à forme mutilante et sclérodermique. C'est dans ces formes -là que l'on voit ces atrophies musculaires, ces
pié plus ou moins fidèlement était atteint de lèpre nerveuse. Cette forme de lèpre, sans doute fréquente alors, n'était p
guérit saint Basile présente de très sérieuses qualités. Son corps forme l'arc de cercle. Il a les yeux convulsés vers le
de la partie antérieure de l'hémisphère gauche, la lésion, sous la forme d'une volumineuse tumeur sphé- noidnle grosse c
roite. La figure 1 donne une idée exacte du siège, du volume, de la forme et des rela- tions de voisinage de la tumeur.
im Gehirn,Berlin,1888. (3) BRAULT et LOEPER, Tumeurs cérébrales il forme psycho-paralytique. Archiv. de Médecine, mars 1
Médecine, mars 1900. (4) DEVIC et GAUTHIER, Tumeurs cérébrales à forme ysycleo paralylique, Id., dé- cembre 1900. 18
pré- sence d'un nombre considérable de petits corps ayant tous une forme arrondie, de volume variable et prenant énergiq
périphériques ont changé d'aspect : elles sont ici détachées, leur forme rappelle un croissant, et le noyau est moins vi
s points, qui rappellent des globules sanguins. L'ensemble du globe forme donc une masse amorphe centrale entourée par une
te tumeur.Comme nous l'avons déjà dit, elles se présentent sous trois formes distinctes : des fentes vasculaires, des vaisse
petites cavités creusées au milieu des éléments cellulaires ; leur forme est irrégulière, soit arrondie, soit plus ou mo
son. Cette zone, qui semble jouer le rôle de membrane endothéliale, forme des petits festons faisant saillie dans la cavité
décrites par nombre d'auteurs sous le nom de sarcome, tandis que la forme des cellules et les caractères des vaisseaux le
renciées, souvent très spéciales et notamment distinctes des autres formes du sarcome, qui est le cancer du mésoderme. « D
ntriquemen t,s'infil trent de sels calcai l'es et ainsi le globe se forme petit à petit, appendu au vaisseau par un petit
à mettre en évidence par l'action des acides, se présente sous deux formes : soit des cristaux, comme ceux figurés par Lan
s, les cellules avoisinantes se res- serrent, la partie centrale ne forme plus qu'une masse homogène, tandis qu'à la péri
ions moins avancées. Les petites cellules ont à peu près gardé leur forme ,mais il y a absence com- plète de corps chromat
les cellules pyramidales. Très peu de ces dernières ont gardé leur forme normale. Elles sont gonflées, les angles d'où s
assez fréquente, elle coïncide avec la conservation relative de la forme cellulaire normale : TUMEUR CÉRÉBRALE 199 Sou
le. Les prolongements sont encore très nets lorsque la cellule a sa forme normale, et ils s'estompent de plus en plus,au
nts, et confluant autour des cellules. Ils se présentent sous trois formes . Les uns, volumineux, sont ovales et allon- gés
gmentent de quan- tité ; mais la localisation est spéciale à chaque forme . Entre la cellule et les plus gros, existe un c
tance, troubles intellectuels, pseudo-méningites, mouvements choréi formes , convulsions, attaques hystériformes ou épilept
au dos, aux fesses, etc. La sensibilité musculaire qui n'est qu'une forme de la sensibilité tac- tile, et dont les neuron
rieure est placée la partie abaissée de la moelle allongée ayant la forme de croissant. La surface convexe du croissant e
ontenant des fibres myéliniques seulement dans leur partie médiane en forme de croissant ; ce sont surtout ceux qui ont pas
dans la partie abaissée de la moelle allongée; de cette manière se forme un isthme assez large entre les deux parties, ist
. 27) ; en arrière, entre les cordons antérieurs et les latéraux se forme la coupe du ruban de Reil, et en avant d'elle,
nière : Les cordons antérieurs sont encore cou- verts de myéline en forme d'une étroite lame. Les cordons latéraux sont vis
liniques se sont conservées seulement dans la partie antérieure, en forme d'un angle assez petit. En échange la quantité de
dans la partie abaissée de la moelle a nettement augmenté. Sous la forme d'une bande large qui occupe plus du 1/3 de toute
fibres arciformes, apparaît la substance gélatineuse de Rolando, sous forme d'un corps allongé touchant d'un côté aux cordo
niques ont une autre structure, et leur disposition n'a pas la même forme , et leur 'quantité est plus petite. Plus loin la
es se rapprochent et au commen- cement le cervelet apparaît sous la forme d'une petite lame, couvrant le 4e ven- tricule
culent (Phot. 38) et en- tre la partie antérieure et postérieure se forme un isthme (Phot. 39) ; mais dans ce dernier cas
direction en arrière et passe dans le quatrième ventricule,ainsi se forme un canal. Les fibres myéliniques hori- zontales
e et le cervelet reste à sa place et seulement une petite partie en forme de lame, ensemble avec la valvule de Tarin, cou
ce des dents d'un trident (PI. XXXIV, D et E) (P. Marie) » et cette forme est d'autant plus nette chez notre petite malad
nt beaucoup de celles du rachitisme dont elles représenteraient une forme précoce et incom- plète » (Soc. anat., 1900, p.
c une tendance indéniable à se transmettre par hérédité. S'il ne se forme pas de véritables races d'achondroplases, c'est
e thorax ne présente pas de déformations primitives. La moitié droite forme une saillie assez prononcée, mais qui se trouve
volume et lon- gueur démesurés de ces doigts qui ont conservé leur forme . Cette diffor- mité est congénitale, mais non h
ent. Ce tremblement est très irrégulier dans ses allures et dans sa forme . Il est indépendant des contractions rythmées et
is. Les réflexes tendineux (soléaire, rotulien, olécranieu) sont de forme et d'in- tensité normales. Les réflexes cutan
diverses couches sont normales comme nombre, comme volume et comme forme , seulement, leurs prolongements sont peu abonda
ce interne de l'hémisphère est aussi lisse et aplatie que celle qui forme le fond de la loge ; la partie postérieure du l
tement limitée au lobe pariétal. La tumeur, des dimensions et de la forme d'une mandarine, présente un apla- tissement de
t de plus en plus mince vers le centre. Cette zone de sclérose a la forme d'un cône. Les faisceaux céré- belleux directs,
'est que les cornes anté- rieures ont subi une modification de leur forme , surtout dans tous les seg- ments de la région
lus grand que le diamètre trans- versal, ici c'est le contraire. La forme la moins altérée des cornes antérieures est enc
uses sont plus minces que ceux du nerf gauche; ils ont perdu leur forme polygonale, ils sont plus arrondis, le tissu co
ance blanche est plus mince. 11ÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 381 leur forme polygonale, ils sont plus arrondis ; le tissu con
nombre ; elles s'étendent moins en profondeur. Elles ont perdu leur forme pyramidale et le réseau épais qui les entoure h
ue. Certaines cellules offrent un aspect nettement vacuolaire. Leur forme est variable. Elles sont tantôt plus ou moins rég
autres sont vivement colorées, mais la coloration est toujours uni- forme . Le nucléole qui le plus souvent indique seul la
rrière du sillon anté- rieur (Fig. 3). , Une zone de fibres fines forme la bordure antérieure et antéro-interne de cett
re du sillon antérieur, et de les voir se jeter dans cette zone qui forme la bordure antérieure etantéro-interne du bulbe e
nguins gorgés de sang on observe soit dis- séminés soit réunis sous forme d'amas un grand nombre de globules blancs. Mais
ique neseprésente pas toujours avec des manifestations univoques.La forme la plus banale est celle de la névralgie, de la m
de découvrir dans la glande quelques nodules quel'obsession trans- forme en noyaux cancéreux. Tous les chirurgiens connais
s, avril 1901. xiv 28 406 LANNOIS Après la mastodynie, c'est la forme présentée par ma malade qui est la plus commune
un traitement psychique. Il n'est donc pas douteux qu'il existe une forme de tumeur hystérique du sein. (1) P. DELDET, Tr
tion. UNE OBSERVATION DE SEIN HYSTÉRIQUE 407 Il va de soi que ces formes n'existent que par la prédominance d'un symptôm
d'insister sur l'intérêt que présente le diagnostic de ces diverses formes au point de vue du traitement. Les malades n'ont
ôtes ne semblaient pas prises, et la cage thoracique avait gardé sa forme ordinaire. Membres supérieurs. Les deux clavicu
es os des deux jambes sont d'ailleurs parfaite- ment conservées, de forme et de volume. Les pieds ne présentent ni déforma-
la face antérieure est fortement exagérée. A sa partie moyenne, il forme en dehors une convexité marquée (qui se sentait
GET 419 physe supérieure, friable, poreuse, a gardé sensiblement sa forme . Le tuber- cule antérieur est très hypertrophié
est alors une lame aplatie d'avant en arrière. La face anté- rieure forme avec la face externe du tibia un angle ouvert en
st altéré que dans ses deux tiers supérieurs. L'épiphyse supérieure forme une sorte de géode dans le tissu spongieux. Ce ti
la torsion qu'elle subit à son milieu. Là, le tissu, plus compact, forme une tache sombre. Quant au radius correspondant,
maladie de Pajet, vu l'absence d'altérations crâniennes, l'âge et la forme des tibias, qui étaient tuméfiés, mais non reco
té du véritable oedème aigu circonscrit de Quincke, et en outre des formes atypiques qu'on y rattache, il existe bien réelle
ssi comme une dystrophie héré- ditaire et familiale. C'est de cette forme que nous avons eu l'occasion de nous occuper an
tif. r.. La dystrophie musculaire se manifeste généralement sous la forme atrophique, mais on sait qu'elle revêt parfois
ent sous la forme atrophique, mais on sait qu'elle revêt parfois la forme hypcrlropllique. La dystrophie conjonctive semb
ystrophie conjonctive semble affecter au contraire de préférence la forme hypertrophique ; elle présente alors l'apparence
lopctltiq2te, - comparable à la pa- ralysie infantile, - les autres formes a début insidieux, les formes familiales surtou
a pa- ralysie infantile, - les autres formes a début insidieux, les formes familiales surtout, demeurant parallèles à la d
r sous le nom de Trophoedème sera définitivement établie. SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES (DYSTROPHIE CONJONCT
A C B D 1- DYSTROPHIE CONJONCTIVE MYELOPATHIQUE . SUR UNE FORME ¡>'¡HPER1ROPllIE DES MEMBRES 475 nuer de vol
d'abord; jusqu'alors elle n'avait constaté chez son enfant que des formes avan- tageuses : Vois comme notre Alice a de be
rête net, en avant, au pli de l'aine, laissaut à la grande lèvre sa forme normale ; en arrière, au pli fessier, sans partic
s quelques confrères auxquels nous avons montré l'enfant. SUR UNE FORME D'nYPEnTROPniE DES MEMBRES 477 La température d
e jeune sujet et la paralysie infantile, existe une étroite SUR UNE FORME D'IIYPEIITROPHIE DES MEMBRES 479 parenté et que
le degré d'atrophie ou de texture des muscles (1) Collette, Sur une forme d'arthropathie, Thèse de Paris, 1812. (2) DUCII
VERGNES, De l'adipose sous-cutanée, thèse de Paris, 1818. - SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES 481 aux compressions
affirmer le diagnostic, ils ne se présentent pas tou- jours sous la forme classique que nous connaissons; leur aspect peut
ns les phénomènes, se- lon l'absence de tel ou tel d'entre eux, des formes frustes, susceptibles en raison de leur physion
t rien révélé et que l'affection revête le type familial. SUR UNE FORME D'IIYPEIITROP111E DES MEMBRES 483 consécutifs t
er au début un pronostic prématuré en se basant sur l'existence, la forme ou l'absence de tel ou tel phénomène. La variété
e spinale ? Dire que l'agent pathogène fait son choix, n'est qu'une forme de langage. Il serait plus conforme à la vérité d
consécutives à la paralysie infantile, Presse méd., 1896. SUR UNE FORME D'IIYPERTITOPIIIE DES MEMBRES .485 que ces élém
si pénibles de chaleur dans certaines affections nerveuses SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES 487 cifique, M. Vanl
e demander, il est vrai, pourquoi le bras où la vaso-motri- SUR UNE FORME D'BYPERTROPQ1E DES MEMBRES 489 Chacun des éléme
hysionomie et leur évolution, comme si elles apparte- naient à deux formes distinctes. Les troubles trophiques du bras ont
n, semble-t-il, dans un trouble vaso-moteur qui rapprocherait cette forme des hypertro- phies décrites par Trélat et Mono
s, un de ces points de contact, un pont permettant le passage d'une forme à une autre et laissant supposer un lien de par
du corps. La mobilité pas- (1) Lyon médical, 1897, no 21. SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES 491 sive et active d
trice de l'hypertrophie. On l'eût peut-être trou- vée, soit sous la forme d'une simple fièvre, soit sous celle de quelque m
ement définies. Et de ces analogies contentons-nous d'inférer, sous forme hypothétique, qu'il n'est pas impossible.qu'une
ure ne commence qu'au-dessous du genou et comprend la jambe sous la forme d'un volumineux ovoïde qui se termine en bas par
là face. (Rapin, de Genève.) Masson & Cie, Éditeurs SUR UNE FORME D·II1P);ItTR01'llIL DES MEMBRES 493 3't : i la
trop de témérité. Nous avons rencontré un curieux exemple de cette forme d'hypertrophie et nous sommes heureux de pouvoi
se au toucher, occupant le milieu du dos de la main droite, sous la forme d'une plaque indurée rougeâtre de la dimension d'
as il mettre à nu le quatrième métacarpien. La malade avait SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES 493 beaucoup maigri.
était pratiquement confondu. Il a par- ticulièrement insisté sur la forme héréditaire du mal. Nous publions aujourd'hui t
Le haut du corps, surtout, est atrophié. C'est une infantile, de la forme transitoire entre l'infantilisme Lorain et le myx
dimensions : TROPHDEDÈ11ME CHRONIQUE 501 trière. La maigreur, la forme du membre sain, la conformation du thorax, les
e dans le grand myxoedème, les arrêts de croissance et les diverses formes d'insuffisance thyroïdienne sont bril- lants. I
t pas l'hypothy- roïdie dans tous ses modes. Elle n'atteint que ses formes les plus gros- sières. Elle n'arrive qu'à dégro
gauche n'est pas seulement hypertrophiée, mais elle est encore dif- forme , elle est large, étalée, en battoir.La différence
le voir sur les photographies ci-jointes ; la colonne vertébrale a la forme (1) Pour exprimer néanmoins dans une dénominati
considérablement déformée. La tète fémorale a perdu complètement sa forme sphérique et le col n'existe pour ainsi dire pl
dedans, il est dirigé de haut en bas et de dehors en dedans. ' La forme en est très irrégulière, toutefois on peut la com
t remplacé par une surface plane, dont le contour rappelle assez la forme d'une oreille. Dans la concavité de celte oreil
sertion du ligament rond intraarticulaire. - Cette surface plane en forme d'oreille est dépourvue de cartilage; tout le r
alement. Cavité cotyloïde. Elle est très large et très profonde, de forme conique plutôt que sphérique, de façon à s'adap
e, de forme conique plutôt que sphérique, de façon à s'adapter à la forme analogue de la tête fé- morale. Elle a vraiment
apter à la forme analogue de la tête fé- morale. Elle a vraiment la forme d'une cuvette, et non celle d'un bol qui se rap
r métatarsien présente une disposition' spéciale ; la crête osseuse forme ici deux larges expansions à la face inférieure
s inflexions ; tout d'abord elle s'infléchit en bas et à gauche, et forme une première cour- bure à convexité gauche dont
t est plus prononcé d'un côté que de l'autre, et la vertè- bre a la forme d'un coin triangulaire. Les quatre premières ve
cette face, et se perd sur la face antérieure. La 5° dorsale a une forme très irrégulière. Elle est comme formée de deux
SPONDYLOI;PIPHYSA1RE pourrait servir, semble-t-il, à dénommer cette forme morbide. NOTE SUR UN VASE GREC DE L'ERMITAGE
st une étude morphologique d'un réalisme admirable; la sénilité des formes corporelles ne saurait être mieux rendue ; la mai
Quant la saignée du bras en elle-même, elle est parfaitement con- forme à la réalité : la plaie de la lancette siège à la
Mayet (1 pl. en photograv.), 266. Hypertrophie des membres (Sur une forme d'), par E. Rapin (2 pl. eu photocollogr.), 4
itaires du cerveau (1 pl. en photocollogr.), 19. Rapin E. Sur une forme d'hypertrophie des membres (2 pl. en photocollo
66 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e les crises se fussent espacées et notablement atténuées dans leur forme . .Iluitioul-s après, l'enfant était replacée, m
stérielle du mai 18(12 ; ce sont des aliénées présentant toutes les formes de la pathologie mentale, la plupart délirantes
paraît-il, qui ne contienne une erreur : rien n'y vaut, ni fond ni forme . . Or voici bien chez mon Aristarque une premiè
soumis à une existence conjuguée. Voulez-vous l'idée sous une autre forme ? Voici : De même que chaque branche de l'astér
ube respiratoire n'est qu'un pro- longement du tube digestif, et se forme comme celui-ci. Or nous expliquerons tout à l'h
, ainsi que l'anatomie em- bryonnaire vient de nous l'apprendre, la forme du tube nerveux définitivement constituée est m
est formé de deux rangs de cellules, alors même que cet organe n'en forme plus tard qu'une seule ; et avec ce surcroît de
Bonne les énumère lui-même : différence au moins de degré, dans les formes de l'activité qui exigent une dépense musculair
termine ainsi : « Ce sujet devint une larve dont la queue avait la forme , la longueur et la structure habituelle. Les troi
dit pas. Toutefois il faut remarquer qu'il n'a décrit qu'une seule forme de dimidiation au stade II, celle où le blastom
ade II, celle où le blastomère gauche est tué. Il prévoit l'au- tre forme , celle qui, le blastomère droit étant tué, donner
arve or- dinaire, elle n'est pourtant que la moitié d'une larve. La forme gé- nérale est assez bonne. Le tronc et la queu
en individu voulant vivre et elles modifiaient en conséquence leur forme dans le sens de la larve normale : simple quest
és ou se réfractant, elles varieront incessam- ment de volume et de forme . La cavité de segmentation qui au stade XVI naî
elle explique le sentiment de la Liberté et correspond ainsi à des formes nécessaires de notre vie psychique. Preuve psyc
arve normale » ; ce n'est donc pas un « hémiorgane » puisqu'elle se forme puis évolue com- me dans les conditions habitue
st à prouver, prend chaque moitié pour un individu, affirme qu'elle forme , au lieu de dire qu'elle est formée, et voit da
p. 25,-30) », l'A. com- bat une erreur imaginaire. Quand la rate se forme , le mésogastre est-il déjà oblique ou encore sa
e et incontestable. Mais où ai-je « déclaré que le tube digestif se forme par une ébauche médiane simple » ? Vous avez pr
z les Mam- mifères parce que, chez d'autres Vertébrés, la moelle se forme par suture progressive, le lung de l'axe, des b
l'encéphale presque tout entier pré- existe à la concrescence et se forme dans la portion des parois du blastopore qui es
enne et une ecchymose encore visible bien que très atté- nuée, sous forme débande cubitale. La surface ecchymotique a dis
ponévrotiques; - chez des enfants atteints de paralysie infantile à forme hémiplégique ou de rachitisme grave. En général
ême instabilité, tel qu'on peut s'attendre à le rencontrer dans des formes organiques -en quelque sorte ina- chevées. M.
vail, 70 % présentaient une structure défectueuse, et 90 %, sous la forme de thrombus, un état du sang capable d'agir à l
omparablement plus susceptibles que les autres de répondre sous une forme explosive à la stimulation. Il est possible aus
ou de paralysie générale, l'auteur a constaté que, dans les autres formes d'aliénation mentale, on ne rencontrait pas com
s'est propagée à l'origine de ce nerf et s'est ensuite étendue sous forme de névrite interstitielle, à la pupille.Ce proc
briles : dans une monographie (1891),il montra que cette der- nière forme ne s'observe que dans les villes où la tétanie es
t les tailleurs et cordonniers de 15 à 25 ans. Il s'en tient à deux formes endémo-épidémiques, la tétanie de la maternité
plus bas); ces cas pourraient être considérés aussi bien comme des formes à récidives aiguës. Quant à la symptomatologie,
iologie de la sclérose en plaques et qu'on est fondé à admettre une forme de sclérose en plaques syphilitique tout à fait
orme de sclérose en plaques syphilitique tout à fait comparable aux formes de n'importe quelle autre origine infec- tieuse
és cliniques que les aphasies : comme pour celles-ci d'ailleurs les formes simples (surdité, cécité, agraphie, amusie musica
Encéphale, 1906, n° 6.) ; Syndrome mental dont.Kroepelin fait une forme spéciale et qu'il range, avec la mélancolie, da
s préjudices, non comme une entité morbide spéciale, mais comme une forme atténuée et prématurée de démence sénile. F. TI
e, 1906, no 22.) L'auteur dit n'avoir pas observé une seule fois la forme mania- que de la confusion mentale aiguë chez l
entre eux se trouvait en état de dépres- sion : ils présentaient la forme stuporo-mélancolique, la forme mé- lancolique e
e dépres- sion : ils présentaient la forme stuporo-mélancolique, la forme mé- lancolique et la forme délirante. On a noté
taient la forme stuporo-mélancolique, la forme mé- lancolique et la forme délirante. On a noté en outre,au cours de la ma
tus convulsif est le plus fréquent, il se rencontre surtout dans la forme catatonique, à la période de début. Les ictus app
avancer que certains cas rapportés à la paralysie générale à double forme sont des cas ' de folie intermittente dans lesq
poisonneuses, étude psychologique et médico-légale et Mlle Pascal : formes atypi- ques de la paralysie générale. Prix Se
t l'efficacité du traitement,comme aussi pour être renseigné sur la forme desuggestion qui convient à chaque malade. Ep
jour de ce médicament. Puis la grande hystérie se développe sous la forme de crises convulsives auxquelles s'ajoutent, da
ulisme, délire. A partir du second mois, l'accès délirant prend une forme en quelque sorte systéma- tique : Objectivant s
s, la langue tuméfiée, pendant hors de la bou- che. Ces attaques de forme asphyxique n'amenant pas le résul- tat attendu,
respiration. A un moment donné il arma la suite de ces attaques à forme syncopale, Mme \... .. revenait à elle sans recou
Les crises de délire nocturne reparaissent, mais sous une nouvelle forme : plus d'hallucinations terrifiantes, plus de t
ujours sous cet aspect d'indigence psycho- logique, peutrevêtir des formes innombrables et tout à fait opposées ; que loin
cin expert de répondre à la question posée par les ju- ges, dans la forme même où elle est posée. Les objections que ces
ti- ciable de son application, et, pour ma part, c'est sous cette forme que je voudrais voir poser aux experts les questi
n 185 1, de la manie et de la mélancolie simples, la folie à double forme et la folie circulaire, variétés de la même ent
nt selon divers modes qui permettent de dé- crire la folie à double forme ; la folie circulaire, la folie alterne. Entre l
ais uniquement ma- niaques ou mélancoliques, mais toujours à double forme ; enfin des malades présentent à la fois des sy
u lobe occipital ». Au point de vue thérapeutique,les différentes formes de la folie périodique ou de la folie maniaque-
cas de manie ou de mélancolie qu'il a observés appartiendraient aux formes sim- ples, non récidivantes,de ces affections.
eurs. En ce qui me concerne, je n'oserai pas aller jusqu'à nier ces formes simples non réci- divantes, mais je dois dire q
lerai que ces psychoses étiquetées : alternes circulaires, à double forme CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTE
enchevrêtent, au lieu de se suc- céder comme dans la folie à double forme ou dans la psychose circulaire ; c'est ensuite
fré- quents et peuvent exister à l'état isolé. Quelle que soit la forme revêtue.par les perversions de l'état mental, exc
nime, de Pa à la zone, motrice corticale. Nervosisme thyroïdien. Formes cliniques ; , par les Drs Léopold Lève et H. DE
dans le développe- ment de la mentalité. Aussi l'hystérie, dans sa forme pure, est-elle la maladie des individus jeunes,
chale, inutile et douloureuse, l'alimentation sous-cutanée, sous la forme de cacodylate de soude, 4 eentigr. en injection
soude, 4 eentigr. en injections, et l'alimentation rectale, sous la forme du lave- ment peptonisé. En dehors de ce phén
able d'en déter- miner et d'en faire varier à sa guise le siège, la forme , l'inten- sité et la durée. C'est ce qui a lieu
la plupart des troubles dits hys- tériques se rencontrent sous une forme plus ou moins atté- nuée chez tout le monde, pa
minsberg). - La syphilis cérébrale diffuse appartient au groupe des formes vasculaires de la lues cerebralis. Ses lésions
nente des membres et du tronc, nous avons trouvé un cerveau avec sa forme conservée, mais des circonvolutions mal dévelop
cas l'affection est progressive, peut être de nature bacillaire, Forme osléo-hypei-li-ophique de l'artltropathie tabétiq
espèces considérées. Il y a ainsi un nombre plus ou moins grand de formes intermédiaires à l'élément primitif et au neuro-
est d'autant plus lente que l'animal est plus élévé et le segment à forme plus complexe. L'auteur accorde une place impor
des méthodes qui donnent, l'une exclusivement, l'autre surtout, la forme des cellules et de leurs prolongements. élément
lquefois, il s'agit d'une obnubilation de la vision sous toutes ses formes , parfois même de cécité plus bu moins complète.
bonnet rouge. En effet, lorsqùe l'aura visuelle se présente sous forme de vision colorée, ainsi que Gowers et Féré (2)
qui lui fait une grande peur, mais il ne peut en distinguer ni les formes , ni la couleur ; ce « quelque chose » s'avance
s avons examinée, il existait seulement des modifications dans la forme et l'aspect de quelques cellules surtout du lobul
,ni conjonctivo-vasculaire; il existait des modi- fications dans la forme et l'aspect de quelques grandes et petites pyra
er, et la date de leur entrée en fonctions sont pris dans les mêmes formes que les arrêtés relatifs aux médecins des asile
et trouble les malades. Ce syndrome, propre aux dégénérés, est une forme sensitive spéciale de la déséquilihration const
digestifs, d'émotivité exaltée, la psychothérapie, sous quel- que forme qu'on l'applique. hypnotisme, suggestion ou per
e. Rapporteur : Dr 1,AIGNr--L-LkVASTINE (Pa- ris). 2° Diagnostic et formes cliniques des névralgies. Rap- pqrteur : Dr VER
ches de la science qui s'oc- cupe de l'étude de la vie mentale, qui forme le caractère principal de ce congrès internatio
l'anthropologue criminelle, ne trouvent plus, du moins'dans leur forme primitive, que..peu de défenseurs, la législation
nets dans lesquels on retrouve ce délire tout particulier sous des formes diverses complètes ou incomplètes'. Ce sont des
pose et qui n'est pas sans dif- ficultés c'est celle de ces idées à forme somnambulique ou à forme médiamique avec les di
s dif- ficultés c'est celle de ces idées à forme somnambulique ou à forme médiamique avec les diverses obsessions des psy
peuvent porter sur la parole ou sur l'écriture ont revêtu bien des formes . On retrouve ici la même exagération, la même r
e. La disparition de la fatigue, la lenteur de la décontraction, la forme de la courbe de contraction dans ces membres disp
de la suggestion elle-même. En un mot l'hystérie me semble être une forme de la dépression mentale caractérisée par la te
e définition claire et précise, qui puisse s'appliquer à toutes les formes que présente celte maladie. - Nous considérons
ibilité dans un autre point du corps, qui se manifes- tera sous une forme quelconque,de sorte que l'ensemble de la sensi-
lisent le type clinique de beaucoup le plus fréquemment observé, la forme spi- nale latérale de Catsaras. L'explosion d
celui d'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne, à forme scapulo-)zumérale. M. Leclerc, à propos du diag
située à la partie antéro-latérale droite de la moelle et avait une forme allongée, mesurant 4 cent. de hauteur et 2 cent
produit l'orgasme génital. A cause de cela on pourrait nommer cette forme de fétichisme - « féti- chisme du dégoûtant ».
sus mentionné pré- sente une analogie complète avec les différentes formes CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES PERVERSIONS SEXUELLE
érés. Le fétichisme chez Mme X. se présente cliniquement sous une forme assez pure, parce que dans le tableau cli- niqu
-senso- rielle du côté gauche, une zone d'hyperesthésie du tronc en forme de ceinture, large de 10-12 centimètres, exagér
nfluence de certaines idées délirantes, d'hallucinations, etc.; les formes grossières et évidem- demment pathologiques de
ologique a le caractère plus mitigé et ne se manifeste-pas sous une forme si grossière, si maté- rielle que chez Mme Y. (
nt bien développés. Le diagnostic de perversion sexuelle, sous la forme de sadisme compliqué de fétichisme, est bien cl
importance pour l'étude non seulement de ce cas, mais de plusieurs formes des anomalies sexuelles. Il s'a- git de ce que
du conseil général. En voyant se succéder sur cette question, sous forme d'articles ou de délibérations, les avis indivi
e n'était pas encore trop gâteux et se mouvait assez facilement. La forme spéciale de cel- les-ci : grande étendue dans l
con- tiguës : l'une est une plaque de gangrène sèche, violacée, de forme vaguement trapézoïde, avec un de ses côtés bien
it à comparer, au point de vue de la patho- genèse, les différentes formes des délires de persécution ; travail d'analyse
ment sur le délire d'interprétation, qu'ils considè- rent comme une forme clinique spéciale. Nous avons eu l'occasion, du
es, si on peut s'exprimer ainsi, qu'elle semble bien constituer une forme spéciale des psychoses délirantes, le délire d'
orme spéciale des psychoses délirantes, le délire d'interprétation, forme diffé- rente des autres psychoses délirantes ch
cept conduisant à un but lumineux, mais au contraire elle offre des formes variées, elle se présenle sous des aspects dive
troublées. Ces h. peu- vent être sans rapport aucun de nature ou de forme avec leur cause occasionnelle ; ce ne sont pas
mi- liarer amaurotischer Idiotie. (Nouvelle communication sur une forme particulière d'I. A. par Spielmeyer, de Fribourg-
avail, pouvant chez des sujets à tare névropathique, con- duire aux formes graves de la folie des adolescents. R. DE MUSGR
puissent un jour aider la psy- chiatrie à débrouiller le chaos des formes observées. Les quelques lésions notées dans les
lle est particulièrement abondante mais n'existe toutefois que sous forme d'une très fine poussière dans les cellules ner
iffuses, l'association des deux n'étant d'ailleurs pas rare sous la forme d'encéphalomyélite. Malgré la confusion qui penda
on ; il incrimine la nervosité au sens de Krapelin, c'est-à-dire la forme constitutionnelle originelle de faiblesse nerveus
ibilité de ramener lalangue sur la ligne médiane ; dans cer- taines formes frustes, les deux moitiés de la face peuvent être
par oedème du dos des mains avec exacerbations. Plus tard, l'oedème forme des bosses distantes les unes des autres, indol
ongue critique de chacun des symptômes des 5 cas : « combinaison de formes communes de la névrose vasomotrice avec presque
Séquard ; par KLIPPEL et Chabrol. (L 'Encéphale, 1907, n° 7.) La forme complète, classique, du syndrome de Brown-Séquard
n'est presque jamais réalisée en clinique. C'est donc sur- tout des formes partielles, atypiques, que l'on observe ; celles-
nt la pré- dominance des symptômes et la localisation des lésions : formes frustes sensitives comprenant les trois sous-va
syringomyéli- que, tactile, avec modifications du sens musculaire ; formes où pré- dominent les troubles sympathiques (syn
pré- dominent les troubles sympathiques (syndrome sympathique) ; formes avec troubles trophiques (syndrome des cornes ant
symptomatique : érythème cutané, diarrhée, trou- bles psychiques à forme de confusion mentale, la psychose pella- greuse
confusion mentale, la psychose pella- greuse se manifestant sous la forme confusionnelle avec ou sans délire hallucinatoi
t l'étude clinique,anatomo-pa- thologique et pathogénique des trois formes bien distinctes de pa- raplégies séniles : lacu
venir ; les paramnésies de certitude peuvent se présenter sous deux formes ; ou bien le sujet n'est pas sûr d'un fait qui s'
opie, qui conduisait les malades à des crimes réels. Dans une autre forme de folie religieuse, l'hystéro-démo- nopathie,
ées seulement du démon de la lubricité ! La théomanie lui une autre forme de folie religieuse, où l'on observait des atta-
et plus spéciale sur les nerfs de la main et du pied. La première forme d'affection des nerfs périphériques ca- ractéri
ynévritique aiguë ou pseudo-tabes polynèvritique aigu ; la deuxième forme est caractérisée par la sensibilité exa- gérée
de la motilité et de la coordination ; nous avons déjà nommé cette forme l'acronévrite de la main et du pied. L'ataxie p
iques se sont montrés, comparativement, plus tenaces. Dans les deux formes de polynévrite, il existe une tendance à affect
principalement les branches plus petites des nerfs et dans les deux formes nous trouvons aussi le caractère partiel des tr
x cen- tral. « L'ataxie aiguë » en soi n'est pas, sans doute, une forme clinique déterminée, au contraire, ce n'est qu'un
é (1) les accidents gastro-intestinaux se présentent aussi sous une forme de la gastro-entérile aiguë infectieuse, varian
ations alimentaires »,la gastro-entérite se présente aussi sous une forme typhoïde (Richardière) (2),laquelle doit-on bie
parais- sant normal ainsi que le larynx. Membres supérieurs : de forme , attitude et motilité parais- sant normales. Se
les ven- touses sèches, la quinine, l'éther prolongé, le chloro- forme . VII. Cette observation renferme, comme toujour
parties respectivement consa- crées à la sémiologie générale, aux « formes cliniques de la folie » et à l'étude médico-lég
r objectif de classer les symptômes pour la critique ultérieure des formes adoptées, et de montrer leurs rapports réciproq
ce. L'insuffisance distinctive qualitative est l'origine des deux formes de l'erreur pathologique, l'idée délirante et la
t de leurs rapports avec le moi. L'obsession diffère de la première forme de l'erreur pathologi- que par le rôle prépondé
sitations la conception de Krapelin sur la folie mani-dépressive, « forme pri- mitive, qualitative, quantitative, et psyc
stincte de tous les autres groupes de troubles mentaux : les seules formes intermédiaires connues sont certains «états psy
eurs ont édifié, côté de la manie et de la mélancolie, les diverses formes , assez mal différenciées les unes des autres, de
se, excitation dépressive, etc. L'auteur insiste par contre sur les formes mixtes à brusques alter- natives, et sur celles
sus fondamental, qu'ils sont équivalents, de même que les multiples formes aber- rantes de l'accès épileptique », que, là
définie, un seul trouble fondamental, commun non seulement aux deux formes symptomatologiques extrêmes mais à l'immense va
eux formes symptomatologiques extrêmes mais à l'immense variété des formes évolutives, il ne suffit peut-être pas d'avoir
tatei, longtemps après un accès isolé, des troubles)rappelant la forme affectée par celui-ci et tranchant plus ou moins
créant tantôt l'alternance régulière, l'intermittence ou la double forme , etc., tantôt les accès isolés ou les accès récid
nvestiga- teur sur certaines particularités symptomatiques, sur les formes mixtes et de transition, et sur les stades de d
rmer la réalité d'une prédisposition commune et propre à toutes les formes évolutives de manie et de dépression pures. I
ncept paranoïa », et à parcourir la table des ma- tières, que cette forme ait effacé jusqu'au souvenir des groupe- ments
oujours sans modification du « noyau de la personnalité ». ' Deux formes connexes : la folie quérulante et la.paranoia hyp
es connexes : la folie quérulante et la.paranoia hypo- chondriaque, forme rare, caractérisée par l'existence d' « une idée
s un des traits les moins ' caractéristiques qui- distinguent cette forme des états dépressifs de la psychose mani-dépres
elles, délire émotif. ». L'auteur insiste particu- lièrement sur la forme très grave où le sujet n'est débarrassé de son
is l'acte qu'il réprouve et dont il envisage et redoute les suites, forme qui conduisit à rapprocher les troubles mentaux
order à celles dont la collaboration est capable de les modifier et forme seule la totalité de la personnalité consciente
Dr Sollier, dont l'auteur reconnaît s'être inspiré pour opposer les formes apathi- ques de l'imbécillité et de la ('ébilit
es de l'imbécillité et de la ('ébilité (vagabondage, mendicité) aux formes « versatiles », éré1hiques (crimes et délits, sur
YCHIATRIE. 443 l'emploi de la méthode de Stadelmann pour déceler la forme d'asso- ciations prédominante (phonétiques ou a
gement). Sous le titre de caractère pathologique sont rangées les « formes dégénératives, constitutionnelles, de l'insuffi
i aux leçons de l'expérience. La démence précoce conserve ses trois formes classiques et l'on mentionne seulement les pare
sont pour un peu plus de moitié de la province milanaise ; leurs formes psychopa1 hiquesdominantes furent en 1905, z co
x légers passent ainsi inaperçus pour aboutir à un suicide ou à une forme incurable d'aliénation. Fait-on,en Angleterre
lle type Fleiner à Maréville, ils auraient donc eu affaire dans ces formes à des états para-dysentériques d'après la nomen
lle est applicable à toutes les catégories de malades, à toutes les formes de la maladie, elle doit intervenir dans tous l
échirure probable des lobes occi- pitaux) et des troubles mentaux à forme de démence précoce hé- béphrénique chez un syph
édisposition à des troubles mentaux, surtout de prévoir vers quelle forme clinique celle-ci évoluera. Jusqu'ici, en effet
rée des dystrophies de toutes natures. F. TISSOT. ` XVI ? Sur une forme de délire ambulatoire automatique cons- cient c
é des halluci- nations.dans la P.G. justifie la distinction de deux formes cliniques de-cette maladie : la forme sensoriel
tifie la distinction de deux formes cliniques de-cette maladie : la forme sensorielle et la forme confusionnelle hallucin
deux formes cliniques de-cette maladie : la forme sensorielle et la forme confusionnelle hallucinatoire, dans lesquelles
maine s'est par trop élargi, aussi convienf-il de le restremdre aux formes -simples, acquises, presque toujours curables,
rasthénie doit être acquis 462 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. à une forme morbide nouvelle, la psychasthénie de Janet, qui
ante à la théorie de l'auto- in loxiuation comme cause de certaines formes mentales, théorie qui acquiert chaque jour un n
t, en outre, être rythmée par scansion de tous les mots. Toutes les formes d'excitation primaire ou «besoin de parler» ont
rs mots qui se présentent à l'esprit du ma- lade. Dans toutes les formes énumérées jusqu'ici, il y a changement continue
ue de Menert et la paralogie de Kussmaul. Il remarque enfin que les formes complexes sont encore très mal con- nues ; que
en plus,à un argu- ment de circonstance. Dans la pratique, sous des formes diver- - -ses, tous les experts admettent des d
n'est pas toujours facile ni même possible, au moins pour certaines formes mentales, de faire à l'alcoolisme sa part. Il est
er et la date de leur entrée en fonctions, sont pris dans les mêmes formes que les arrêtés relatifs aux médecins des asile
IIHOPA TIIll : sséniles des doigts par Parisot et Etienne, p. 74. Forme ostéo-hypertrophique d' tabétique, par Klippel
. Caun. Rupture du-, ralentisse- ment du pouls, crise épilcpti- forme ; importance pathogéni- que des lésions cardiaq
. Un cas de délire - d'interprétation, par Bénon, p. 317. Sur une forme de am- bulatoire automatique cons- cient chez
319. Dysenterie. Voir Sérothérapie. Ecchymoses spontanées zoni- formes , par Etienne, p. 212. ECORCE CÉRÉBRALE. L' - pa
pronostic de) ? par Voisin, p. 92. Nouvelle communication sur une forme particulière de l' -, par Spiel- TABLE DES MA
Injections. Crâniens. Voir fractures . NEltVOSIS\1E thyroïdien. Formes cliniques, pm'L. Lévi et 1 I. de Rothschild,
67 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
met en usage. Il en résulte que la thérapeutique des organes des sens forme une fraction considérable de la chirurgie opérato
mal, à l'extrémité du bord palpébral correspondant, dans l'angle qui! forme avec le bord cutané de la caroncule, se dirige d'
e et fibreuse. Cette dernière, épaissie en dehors et en avant où elle forme le sac, se fixe au pourtour osseux sur l'apophyse
ier, la tumeur est oblongue et bilobée par l'étranglement mitoyen que forme le tendon de l'orbiculaire. 3° Canal nasal. Il
tourner l'angle, d'environ quatre-vingts degrés, ouvert en avant, que forme l'axe du canal nasal avec le plan du méat inférie
ue celui de la sonde de Laforest. Pour en approprier l'extrémité à la forme même du canal, il la confec-tionné d'après un mou
la canule cleDesault, qu'il a légèreaient courbée pour l'adaptera la forme du canal. On lintroduit sur un mandrin (pl. 2, fi
turée, qu'ont été imaginées les diverses modifications apportées à la forme de l'instru-ment. C'est à Foubert que Ion rappo
enfin M. Gerdy emploie une canule conique (fig. 24 ), simulant par sa forme six petits cônes dégra-dans et emboîtés. Procéd
e procédé formulé par Dupuytren et également usité quelle que soit la forme de la canule qu'on emploie. Les instru-mens néces
s, le déplacement pré-maturé de la canule accuse l'imperfection de la forme que lui a donnée Dupuytren. C'est pour y remédier
l nasal étant frayée par un mandrin, introduire un instrument de même forme garni sur les faces opposées de deux rainures ver
l'expérience, ils rétablissent mieux la voie ; mais l'une et l'autre forme de traitement exigent un temps con-sidérable , de
, en regard de l'arcade sourcilière, une incision curvi-ligne de même forme , égale en étendue à la fente palpébrale entre ses
iptique, soit, sur le bord palpébral, par une incision simple de même forme ou une double incision en V : les deux bords de l
sent, comme sommet, sur le centre de la cornée. Mais le ptérygion, de forme triangulaire, est borné au grand angle de l'œil,
Ptérygion (planche 7, fig. 9). C'est une végétation membra-neuse de forme triangulaire, épaisse et d'apparence charnue, si-
rygion ne consiste pas seulement dans l'existence de ces vaisseaux et forme comme une membrane distincte par une sécrétion in
C'est un état général de dilatation va-riqueuse de la conjonctive qui forme comme une sorte de voile vasculairc sur toute la
Instrumens ( pl. 2 ). On a beaucoup varié dans ces derniers temps la forme de l'aiguille à cataracte. Les plus usitées en Fr
emi-millimètre dans la moitié de sa longueur vers la pointe. Celle-ci forme un petit dard ou fer de lance incurvé sur le plat
bulant, M. Bowen, pour les cas de cataracte purement capsulaire, elle forme la base de son procédé et de celui nouvellement p
Instrumens. Les ophthalmologistes allemands ont préconisé différentes formes spéciales d'aiguilles droites, courbes, à pointes
moyens mécaniques de fixer l'œil ; les ophthalmostats de diffé-rentes formes n'ont pour ainsi dire jamais été employés. Il en
a curette, qui ordinairement appliquée à l'extrémité du kysti-tome ne forme avec lui qu'un même instrument; 4° comme pré-voya
uble deReisinger (pl. 2, fig. 54), soit toute autre plus simple et de forme ordi-naire (pl. 2, fig. 34-37). Il existe un gran
ig. 34-37). Il existe un grand nombre de ces in-strumens variables de formes et de dimensions; chaque chirur-gien a eu, pour a
; à double tranchant, de Jae-ger, etc. Telles sont aussi les diverses formes de kystitomes : en forme de serpette, de Boyer,
-ger, etc. Telles sont aussi les diverses formes de kystitomes : en forme de serpette, de Boyer, ou en aiguille lancéolaire
de l'opération. i° Le choix du couteau doit être calculé suivant la forme et les dimensions de l'œil. Le couteau de Richter
timètre.de largeur, et un milli-mètre d'épaisseur au talon Dans cette forme il coupe régulière-ment la cornée en glissant. En
te en une lance or-dinaire terminée par une autre petite lance, de la forme d'une ai-guille à cataracte, légèrement courbe et
ente avec la première, de façon que les deux sections représentent la forme d'un V dont le sommet correspond au centre de l'i
ou un déplacement de la pupille natut^elle, la traction changeant la forme de son orifice de circulaire en ellipsoïde. Le bo
de la mâchoire, dont les mouvements lui impriment des changeniens de forme (Richerand ! ; en bas avec la glande protide. D
be sur la ligne nasale antéro-postérieure, de manière que cette ligne forme avec l'axe de la trompe un angle de 135 degrés un
anche à l'une de ses extré-mités. L'autre se termine en une pointe de forme conique. Jus-qu'à deux lignes de cette pointe, el
s'exposer à la gangrène, séparer le lambeau du crâne. On lui donne la forme convenable en lui conservant une largeur deux foi
de substance. Peu à peu ce lambeau se rétracte, se durcit et prend la forme d'un bourrelet dont la teinte est plus foncée que
ieu d'une sonde en argent, en prendre une en gomme élastique, de même forme , et soutenue par une mandrin en argent ( pl. 12,
il suffit du simple stylet coudé à angle de i35° (pl. i , fig. 2). Sa forme nous paraît plus conve-nable que celle donnée aux
injectée jusque dans le tympan. La muqueuse du conduit, se refoulant, forme un bourrelet obturateur au-devant du bec de la so
, se compose de deux cartilages latéraux séparés par un troisième qui forme la cloison nasale : la souplesse et l'élasti-cité
postérieures représentent un parallélogramme à angles arrondis : leur forme et leurs diamètres doivent être pris en considéra
ront, de manière à ce que sa pointe soit dirigée en bas. On marque la forme et la grandeur du lambeau avec de l'encre ou du n
sions verticales pénétrant jusqu'aux os et suivant les contours de la forme nasale. Il en résulte ainsi une bande de peau iso
latérales, réunies en avant mais écartées en arrière et en dehors, en forme d'Y ren-versé. La dissection de la peau étant fai
ou resserrement des narines. Les maladies susceptibles d'altérer la forme du nez peuvent oblitérer les narines, ou les rétr
iège. M. Velpeau est parvenu à extraire un petit caillou lisse, de la forme et du volume d'une amande, avec un stylet ordinai
sont aujourd'hui com-plètement abandonnés. CAUTÉRISATION. Les deux formes sous lesquelles on l'opère ont partagé, à divers
re boutonné, garni de linge jusqu'auprès de sa pointe, et, quant à la forme , droit, concave ou convexe, suivant la direction
convexe, suivant la direction dans laquelle s'offre le polype, et la forme du trajet par lequel on peut y atteindre. Procé
ue beaucoup plus récente;, à Dionis (pie l'on doit d'avoir précisé la forme et l'usage de ces instrumens. Néanmoins, pendant
faire glisser au besoin, clans un sens ou dans l'autre, la canule qui forme l'anse. Si l'on franchit le pédicule sans l'avoir
e au-dessous, qui constitue le méat inférieur; l'autre au-dessus, qui forme le méatmoyenau sommetduquel, comme nous l'avons v
ers la muqueuse ou même à travers la lame os-seuse peu résistante qui forme la paroi interne du sinus. Ce dernier cas rentre,
ple, bifide ou trifide; d'autres fois, par la réunion des lobes, sous forme d'une saillie transversale qui se retourne en ava
considère comme une maladie fœtale, opinion qui rendrait compte de la forme et de la direction irréguliere du tubercule incis
ec-de-lièvre. Déjà on sent que cette théorie ne rend pas raison de la forme du tubercule sous-nasal toujours unique et qui de
é en huit de chiffre, est encore celui mis actuel-lement en usage. La forme et la nature des aiguilles ont beau-coup varié. P
t un dard en acier pour en faciliter le passage. C'est cette dernière forme qui a prévalu; toutefois, à l'exemple de La Faye,
cule médian. 2° Tailler d'abord les côtés du tubercule sous-nasal, la forme qu'il doit avoir après l'opération devant influer
ons de la manière la plus avantageuse pour imiter après la réunion la forme normale de la lèvre supérieure, reste à appliquer
trois fragmens à la fois. Les lignes de réunion prennent a lois une forme différente suivant la confi-guration des parties
peut ou non former le tubercule moyen, et les deux lignes prennent la forme d'un V (fig. 4); ou ce tubercule n'occupe qu'une
n de la hauteur de la lèvre et souvent donne aux lignes de réunion la forme d'un Y. IÎEC-IE-LlÈVIlE COMPLIQUÉ. La coïncid
issure palatine occupe tout le plancher osseux d'avant en arrière, et forme une seule lente d'écartement latérale ou médiane;
le tubercule incisif, isolé de chaque côté des deux os maxil-laires, forme une saillie sous-nasale très proéminente, et dont
riable des parties molles de la joue, que se rapportent les di-verses formes d'excision, avec des lambeaux variés pour corrige
cisions une perte de substance obligée qui, dans ce cas, se trouva de forme quadrilatère, et disséqué un peu la lèvre in-féri
traça sur le côté du cou au-devant du sterno-mastoïdien un lambeau de forme appropriée qu'il tailla en réservant un large péd
t la maladie enlevée en entier, reste une large perte de substance de forme quadrilatère. Il ne s'agit plus que de dissé-quer
la joue dans la direction normale du canal, trajet auquel se prête la forme de l'instrument. Monro introduisit dans le nouvea
supérieure du canal. M. Zancj a recours à la même substance, mais il forme le trajet avec un trocart et glisse avec plus de
s la bouche deux ori-fices, de manière que la nouvelle voie salivaire forme un Y avec le bout supérieur du canal qu'elle cont
dans le rnoyen-âge usitée chez les Arabes et pratiquée sous diverses formes à la re-naissance par Franco et A. Paré. Ce derni
et le muscle sterno-mastoïdien en arrière, et prend naturellement la forme rectangulaire de l'espace qui la renferme. Toutef
. Toutefois le bord maxillaire, reçu dans l'épaisseur de la glande, y forme un étran-glement vertical, et au delà de ce bord
aqué l'une des parties osseuses au con-tour. Tout étant disposé, la forme de l'incision cutanée est détermi-née par la form
étant disposé, la forme de l'incision cutanée est détermi-née par la forme et le volume de la tumeur. L'incision en T ou l'i
sue aux liquides le long des fils à ligature, pour éviter qu'il ne se forme des foyers purnlens qui pourraient occasionner de
'emploi de ce procédé que le creux temporo-maxil-laire, surtout vu la forme irrégulière de la glande parotide. C'est donc ave
rifice métallique, à l'écoulement de la salive, en attendant qu'il se forme par la cicatrisation sur le corps étranger une fi
seaux courbes, de sorte que le liquide étant évacué, le fond du kyste forme im-médiatement paroi de la cavité buccale. A pein
l se prolonge quelquefois jusqu'auprès de la pointe de la langue sous forme d'un mince repli muqueux que l'on peut inciser in
dentellement. Les maladies de la langue sè présentent sous diverses formes , qui modifient le procédé opératoire. On les opèr
dent de modifier la surface de fa plaie par la cautérisation. La même forme de maladie se prête également bien à l'emploi de
e s'en isole, (c) Enfin si le mal, situé à la surface de la langue, forme une traînée en longueur sans profondeur, on saisi
vec un grand bistouri, la section nette en travers. Mais, comme cette forme de plaie est en elle-même la moins propre à la ré
ulière, qu'il se limite sur une ligne horizontale, et, au con-traire, forme toujours, en arrière, un prolongement courbe, mé-
perte de substance , peut offrir toute espèce de variétés quant à sa forme ou à son siège ; mais la d ivision congéniale, pr
aire, affecte une disposition régu-lière; elle se présente sous trois formes , i. Divison simple ou dermo-musculaire. Dans cett
role, qui prend un timbre nasal. A l'examen, elle se présente sous la forme d'une fente verticale en ogive, i. Division incom
a canule, dont le piston la chasse à son extré-mité libre. Cette tige forme deux mors, dont un petit, mobile, s'applique sur
dienne, taille de chaque côté sous la voûte palatine un lambeau d'une forme et d'une étendue convenables, qu'il dissèque d'av
t les ciseaux. Ce dernier instrument a prévalu gé-néralement, mais sa forme a été singulièrement modifiée. De tant de variété
les uns, à gauche, suivant les autres, pour faciliter la section, la forme et le volume de la petite tumeur pouvant exiger,
à la suite des inflammations chroniques, et se présente alors sous la forme d'une tumeur oblongue de plusieurs centimètres d'
séparément les deux moitiés. Cette idée, dont la reproduction récente forme la base de la méthode générale de M. Mayor de Lau
égard de plus général et de plus vrai, c'est que c'est bien plutôt la forme et les rapports de la tumeur qui doit décider de
l existe un nombre considérable de faits douteux, cpii, sous diverses formes de terminaison, soit continua-tion de la maladie,
séparément. D'autres patriciens se sont également ingénié à varier la forme et le mé-canisme de ces instrumens : tels sont MM
que. Pour une fistule de ce genre, Dupujtren en aviva le contour en forme d'une incision longitudinale, dont il réunit les
de d'un mandrin ou stylet dont l'extrémité était recourbée suivant la forme du trajet à parcourir, et retirait ensuite ce man
ois, une pièce de monnaie, un morceau de métal, etc., si variables de forme et de volume, fichés ou encastrés dans l'œsophage
hétérisme ordi-naire , si, comme on peut le présumer, la nature et la forme du corps étranger décident du genre d'instrument
usité en France est la simple tige de baleine garnie d'une éponge qui forme l'une des extrémités de la sonde préhen-sive de D
isme, et que l'on n'a aucune certitude de prévenir des lésions que la forme , le volume, la résistance et la direction du corp
l'œsophage reconnaissable à la légère saillie plate et arrondie qu'il forme , à sa direction verticale, à son aspect charnu, à
lieu qu'à des préceptes généraux, le siège, le volume, la dureté, la forme de ce corps variant dans presque tous les cas. S'
est d'enlever le cancer assez à temps, lorsqu'il est encore local et forme une tumeur mobile et bien circonscrite. Les chanc
il est pro-bable que les côtes sont altérées. Incision cutanée. La forme de ces incisions a beaucoup varié. Les anciens et
érante pour la réunion après l'enlèvement de la tu-meur. La meilleure forme de l'incision étant déterminée, sa direc-tion n'e
les poumons et les plèvres étant sains, chaque moi-tié de la poitrine forme une grande cavité entièrement remplie, excepté à
'état pathologique cette disposition change. Dès qu'un épanchement se forme , il s'interpose dans la cavité des plèvres et ref
, il gagne les points déclives, 23 et, suivant la loi de gravité, forme une couche horizontale, à la circonférence abdomi
tre côté de la poitrine. Telle est la théorie de l'épanchement qui se forme rapidement et avec abondance. Mais s'il se forme
l'épanchement qui se forme rapidement et avec abondance. Mais s'il se forme peu-à-peu ou avec le temps, si une portion s'en r
ige l'obliquité du trajet. La plèvre étant mise à dé-couvert, si elle forme une saillie bombée avec fluctuation évi-dente, in
itrine, la conduite est différente suivant l'es-pèce, le volume et la forme de ce corps; suivant aussi qu'il est perdu à l'in
ngéniale, Morand et Ledran conseillent de ponctionner l'hydrocèle qui forme le point le plus déclive de l'épanchement. Quand
), où le corps étranger n'était rien moins qu'une fourchette, dont la forme semble si peu se prêter à une expulsion régulière
brane muqueuse, suffisent pour fermer la plaie, et peut-être aussi se forme-t -il, dans la plu-part des cas, des adhérences entr
au péritoine pa-riétal, dans une surface assez étendue, dont la plaie forme le grand axe, par une compression exercée de deda
y, vers la fin du xvne siècle, qu'il fut bien établi que le péritoine forme un sac au devant des organes déplacés. On continu
nfermer presque toute la masse intestinale avec le grand épiploon. Sa forme , généralement arrondie, et pouvant varier en rai
u viscère pour constituer un sac qui se moule sur le volume et sur la forme des parties déplacées. Toutes les fois que l'orga
divisé la paroi abdomi-nale, en comprenant le péritoine, celui-ci ne forme plus une enveloppe à l'organe déplacé, et il n'ex
ad-hérences qui s'opposent ensuite à sa réductibilité. D'ailleurs sa forme , son amplitude et son épaisseur varient en raison
r. Cela est facile à concevoir. Dans l'intérieur du sac , tout ce qui forme une bride sur l'intestin peut intercepter le cour
r et l'autre inférieur, et en outre des parois limitant sa cavité. La forme du canal est assez régulièrement cylindroïde, mai
conduite de l'épine iliaque antéro-supérieure à l'angle du pubis. Sa forme est semi-lunaire ; le côté interne de sa circonfé
de ligament de Gimbernat. L'espace circonscrit par ces piliers a une forme ovalaire, et son grand diamètre est dirigé de hau
existe toujours dès le moment de la naissance, mais parce qu'elle se forme en vertu d'une disposition qui elle-même est cong
happent dans la hernie crurale. Ainsi limité , l'anneau crural a la forme d'un triangle à bords arrondis. Sa base qui regar
saphène interne, pour se jeter dans la fémorale, aurait à-peu-près la forme d'un Z ; mais un tel canal n'existe point en réa-
ache pubienne de l'a-ponévrose. Dirigé presque transversalement et de forme triangu-laire, il a son bord antérieur confondu a
aris une pièce qui avait quelque rapport avec un cas semblable. Cette forme particulière de la hernie fémorale se comporte d'
domen. Chez le fœtus, au moment de la naissance, l'anneau ombilical forme une ouverture à-peu-près circulaire, à travers la
le cordon au dehors, ce cul-de-sac devient plus pro-fond et prend la forme d'un entonnoir dont la base répond à Fin- térie
e es-pèce de hernie ombilicale. Il ne faut pas donner à cette seconde forme le nom de hernie congeniale, puisque le petit mal
e la peau et la couche musculaire, au pourtour de la cicatrice, il se forme une dépression extérieure au niveau de l'ombilic.
ière l'ombilic, elle ne peut se déplacer beaucoup, et alors le sac se forme plutôt par distension cpie par déplacement, d'où
n bas; quelquefois disposés régulièrement ils donnent à la tu-meur la forme trilobée; d'autres fois les deux artères ombilica
brayer composé d'un cercle d'acier flexible, et muni d'une pelote en forme d'écusson. Blegny (167G), clerc delà compagnie de
es élastiques façonnés en acier flexible et pouvant s'accommoder à la forme et aux mouvemens des parties qu'ils embrassent et
eur et la courbure du ressort doivent varier suivant la largeur et la forme des hanches du malade ; mais absolument parlant,
, il importe surtout que la cour-bure du ressort soit accommodée à la forme de la hanche du sujet, car trop faible ou trop gr
urné en haut. L'écusson est une plaque d'acier comme le ressort, de forme elliptique, ovale ou arrondie, cpti se fixe au re
crou, etc., et qui supporte la pelote. L'inclinaison de l'écusson, la forme et le volume de la pelote ont été l'objet de beau
es sens : l'écusson de la figure 5 ne diffère du précédent que par sa forme qui est plus convenable pour une hernie inguinale
ture de l'anneau. L'écusson supporte la pelote, qui doit être d'une forme , à* un volume et d'une consistance déterminés ; l
a couche de graisse. Ceci nous montre qu'on devra toujours adapter la forme de la pelote à la conve-nance de la hernie et du
diatement au-dessous du ligamentde Fallope, dans l'angle rentrant que forme ce ligament avec l'épine du pubis. Relativement à
inguinale cpie par la brièveté un peu plus grande de son col, par la forme toujours ovale et l'étroitesse de haut en bas de
e ces brayers.) Rien n'est variable, au reste, comme la largeur et la forme que l'on est. obligé de donner à la pelote. Fré
gle fixe, le chi-rurgien est obligé d'imaginer un bandage adapté à la forme , au volume et au siège de quelques hernies ventra
sez embarrassante ; on le reconnaît à sa surface lisse et polie, à sa forme spbérique, au Iremblottement qu'on y éprouve à la
u à l'intérieur de la poche , le chirurgien reconnaît l'intestin à sa forme arrondie, à sa surface lisse et parfois aux fibre
x, de celui en particulier qui longe la branche horizontale du pubis, forme un cercle presque com-plet au pédicule de la hern
de Fallope, et quel-quefois on est obligé, à cause du volume et de la forme arrondie de la tumeur, de pratiquer une incision
au crural à découvert tailla dans la peau voisine un petit lambeau en forme cle lame cle lancette, l'in-troduisit dans l'anne
ngle mésentérique, les deux bouts s'adossant l'un à l'autre, le repli forme à l'intérieur de la cavité la saillie en croissan
D'autre part, sur le bord libre au pourtour de l'ulcéra-tion , il se forme avec le collet du sac une ceinture d'adhérences p
hérences, tiraillé, s'allonge et se dilate sous la pression, et il se forme , entre l'in-testin et la fistule, un canal dilata
dentel. Un accident ordinaire est. l'invagination de l'intestin qui forme tumeur au dehors (Pl. 33, fig. i). Les observat
bords, une rainure ovalaire, destinée à recevoir une saillie de mémo forme et de mémo grandeur , placée à la face interne do
ns grêles. Le péritoine, en se réfléchissant en de-hors et en dedans, forme un angle plus ou moins saillant. La couleur du
s'affaisse point sur lui-même comme les autres intestins, parce qu'il forme un canal lié aux parois de l'abdomen comme une ar
ieurs caractères : la couleur violacée de la peau, la saillie qu'elle forme pendant les cris de l'enfant dans le lieu où devr
la porter de suite au plus grand volume possible, en lui donnant une forme conique pour en faciliter la pénétration et le gl
la fistule borgne interne qui s'ouvre au contraire dans le rectum et forme cul-de-sac dans le tissu cellulaire sous-cutané.
ète. Configuration. Toute fistule à l'anus se compose d'un foyer de forme irrégulière, avec un pertuis d'ulcération qui ouv
eulement borgne externe, et dans tous les cas il faut re-connaître la forme et l'étendue du trajet fistuleux. Trois moyens d'
des substances détersives esebarotiques et caustiques sous toutes les formes , liqueurs, pâtes, pommades, onguens et troebisque
le gorgeret en bois à celui en métal de Marchettis. Mais c'est sur la forme et le mode d'action qu'ont porté presque toutes l
t été ten-tés dans cesderniers temps. La cautérisation, sous ses deux formes principales, a repris faveur en Allemagne. A l'ex
ire, qu'ils remontent profondément. Cette distinction sup-pose que la forme et l'étendue des clapiers fistuleux ont déjà été
, mieux vaut les fendre par des incisions en croix ou enT, suivant la forme et l'étendue de la portion décollée, et en excise
peut être appelé à extraire du rectum sont si variables de nature, de forme et de volume, qu'il est impossible de tracera cet
d'instrumens. Si le corps étranger n'est pas très volumineux ou d'une forme trop irrégu-lière, on peut ordinairement l'extrai
ement incomplète et s'offrant à des degrés différens , tantôt sous la forme d'un diaphragme percé à son centre d'un trou plus
ncer se développe le plus souvent. Il peut se présenter sous diverses formes : tantôt, c'est une tumeur à large base, couverte
rte la partie du rectum dénudée et toute la partie de la muqueuse qui forme une pro-cidence, avec de forts ciseaux courbes su
te à forcer le liquide de l'hydrocèle de s'écouler, à mesure qu'il se forme , à travers un conduit fistuleux artificiel. M. Ba
jour, a imaginé un instrument qui remplit parfaitement son but. Sa forme est celle d'un fer achevai; les deux extrémités s
formation de caillots sanguins et arrêter ainsi la circulation. Il se forme bien en effet des caillots pendant que l'instrume
indiqués par M. Velpeau. Lorsqu'une tumeur du scrotum , ayant la même forme , le même volume , la même régularité, la même ins
vers le gland; il enfonce la pointe de l'instrument sous la bride qui forme l'étranglement, et la coupe en abaissant le manch
croupir comme les femmes pour uriner. A. Paré a imaginé une canule de forme conique, en buis ou en métal, destinée à diriger
et reconnaît pour cause la suspension du pé-nis à son ligament; elle forme une courbe à sa concavité in-férieure, mais qui n
re 2 de la planche 5i, peuvent donc donner une idée très exacte de la forme , de la longueur et de la position de ces courbur
age par les chirurgiens, que nous avons voulu fixer définitivement la forme , la longueur, les courbures et les dilatations lo
neuse , bulbeuse et spongieuse. i° Portion prostatique. La prostate forme presque toujours un cercle complet autour de l'ur
nnoir du col de la vessie, elle est rétrécie par le cercle du col, et forme elle-même une dilatation olivaire qui se resserre
tie mem-braneuse; de manière qu'on peut en quelque sorte assimiler sa forme à celle du réservoir à mercure du baromètre ordin
mplis d'un sable brunâtre. Il n'est pas rare de voir la saillie que forme le veru monta-num en arrière, prendre un développ
'écoulement des urines; d'autres fois le veru monta-num s'épanouit et forme non plus un tubercule, mais deux replis latéraux
t, de sorte que sa moitié postérieure, un peu oblique de bas en haut, forme un canal continu avec les portions membraneuse et
u une fente verticale longue de 8 mil-limètres, dont le méat, de même forme , est l'orifice, et qui tient lieu d'une espèce de
-rés en haut, le gland est fendu, et la portion pénienne de l'urè-tre forme une gouttière, à surface muqueuse qui s'enfonce s
On n'est pas précisément d'accord sur le degré de l'incurvation et la forme qu'on doit lui donner. Les sondes anciennes avaie
ures plus courtes des figures 6 et 7, mieux appropriées à l'angle que forme le bulbe de l'urètre avec les portions membraneus
ade sans l'incommoder sensible-ment, parce qu'elles se moulent sur la forme de l'urètre et se prê-tent à tous les mouvemens.
ur les introduire il faut les placer sur un mandrin qui leur donne la forme . Lorsqu'il est retiré, elles tendent à revenir à
usque derrière le corps prostatique, et dans la poche « rétractée que forme le réservoir de l'urine. » Dans d'autres cas on
trent avec moins de facilité que ces dernières. Lorsque le canal a sa forme naturelle, on place dans leur cavité un mandrin s
e, près de « la racine, une autre lanière de gomme élastique, dont on forme « un anneau enjoignant ensemble les extrémités, a
puisque, par la position donnée au pénis, on a effacé la courbure que forme l'urètre au-dessous et en arrière de la symphyse
euse; 5ï M. Dufresse dans son mémoire déjà cité se Tondant sur la forme et le siège des rétrécissemens de ce genre, concl
foulement à tergo, dans les uretères et les reins, des altérations de forme et de texture fort graves. Ainsi le rétrécissemen
que soit l'ancienneté d'un rétrécissement, son siège, sa nature et sa forme , l'urètre n'est jamais entièrement oblitéré. Le t
remière chose à faire est de reconnaître son siège, son ouverture, sa forme et son étendue. Il existe pour cela plusieurs pro
il s'agit d'en trouver l'orifice et de dé-terminer la longueur et la forme du trajet rétréci. Poury parvenir, on fait usage
usieurs nœufs qu'on trempe dans de la cire fondue, et on lui donne la forme d'un bourrelet; on passe cette soie dans la sonde
envoyer dans sa cavité un prolongement qui repré-sente exactement sa forme et sa position. Il ne faut presser ni trop, ni tr
l'instrument des mouvemens de rotation, dans la crainte d'al-térer la forme de l'empreinte qu'il rapporte, de contourner sa t
e la paroi inférieure, se tasse, se pelotonne et ne donne plus qu'une forme sur l'exactitude de laquelle on ne peut pas compt
ut ni avancer ni reculer. L'instrument fermé est droit et présente la forme d'un stylet dont l'extrémité vésicale est arrondi
la portion la plus large à la portion la plus étroite de celle-là, et forme une sorte d'onglet qui, ramené avec douceur et le
e sert, sont des tiges flexibles pleines, lisses et polies, ayant une forme cylindrique ou un peu conique; leur diamètre vari
e de coin, qui n'exerce d'influence que par ses qualités physiques de forme , de résistance et de volume ; en un mot elles agi
près avoir mesuré la distance du rétrécissement au méat et reconnu sa forme , la po-sition de son ouverture et son étendue, Du
peuvent même quelquefois induire en erreur, à cause des changemens de forme et de longueur qu'éprouvent les tissus par leur s
pointe, deux fentes ou yeux pour laisser passer deux lames qui ont la forme d'ailes et qui s'écar-tent beaucoup de la canule
. Celui de M. Ricord ne diffère de celui de M. Dupierris que par la forme de la lame destinée à inciser, et la manière dont
e à la sonde exploratrice, excepté qu'à l'extrémité de la ca-nule qui forme cette sonde, et qui correspond à la lentille du m
rs il arrive ici ce qui arriva à Lafaye lorsqu'il sonda Astruc. fl se forme sous l'influence de la présence de la sonde un ca
ennent les deux bords parallèles antérieur et pos-térieur. Ce lambeau forme donc un véritable obturateur, dont les trois bord
et s'adapte à la convexité de la première. Au repos, l'instrumenta la forme d'une sonde courbe ordinaire ; lorsqu'il est arri
canule porte-nœud, mais surmontée d'un embout courbe qui lui donne la forme d'une sonde ordi-naire. Près du point d'union de
doigt dans le rectum, que, dans l'ischurie, le bas-fond de la vessie forme une tumeur bien sensible qui comprime cet in-test
oin de suffire pour faire reconnaître les changemens survenus dans la forme et la direction des parties sous l'influence delà
te de l'ulcération delà paroi postérieure de la vessie, un trocart de forme et de longueur convenables remédie à tous les inc
ance que l'on peut encore apprécier; mais si le corps étranger est de forme irrégulière, plat et allongé, comme on ignore de
et dont il s'enveloppe à mesure qu'il s'accroît. Il existe sous deux formes : (a) le calcul enchatonné dont une portion fait
dans la vessie, par une ou même plusieurs ouvertures arrondies ou de forme irrégulière, mais trop étroites pour don-ner pass
ens chimiques des calculs, on n'avait pas prévu celle du mucus qui en forme le ciment com-mun, phénomène bien autrement impor
injections et en irrigations avec la sonde à double courant, mais la forme dont on a le mieux constaté les effets est en bai
cul ; mais d'après cette composition chimique elle-même et d'après la forme de ce corps, il aurait pensé que ce devait être u
aille. Lorsqu'on veut introduire l'instrument dans la vessie, il a la forme d'une sonde courbe ordinaire. Dans sa composition
du litholabe et de blesser la vessie. Cette partie vésicale du stylet forme une espèce de tête arron-die, appelée fraise, plu
une échancrure quadrilatère destinée à saisir le renflement, de même forme , de la canule extérieure de l'instrument lithotri
es du litholabe soient aussi rapprochées que possible, et prennent la forme d'une olive à leur extrémité libre, qu'on rend li
dont la tête fenètrée laisse passer deux petits renflemens dentés en forme d'ailes. Ces ailes se développent au centre de la
dans leur position normale, of-fraient, avec la canule, à-peu-près la forme et la courbure d'une sonde ordinaire. Elles étaie
t au-dessous d'elle une anse plus ou moins large, ayant à-peu-près la forme d'un triangle sphérique. Cette anse dans la-quell
ar un pignon engrenant une cré-maillère (Pl. 61, fig. 20). Ainsi la forme qu'on a définitivement adoptée est celle de l'in-
sante pour « rompre des calculs volumineux et résistans. L'anse qu'il forme « semble peu favorable à la saisie de ces calculs
sen-tent que des modifications légères de cet instrument primitif. Sa forme générale est celle d'une sonde ordinaire de 9 à 1
). Celui qui est fabriqué par M. Charrière présente une masse dont la forme est à-peu-près celle d'un dé à coudre, mais envir
efois son ma-lade sur un coussin résistant, contenu dans une boîte en forme de livre, pouvant, au moyen d'un pivot, élever
'ac-tion et l'intensité de la force comprimante, et les autres sur la forme des mors. Modifications apportées au mode dacti
oyen de l'écrou brisé dont il est muni. Modification portant sur la forme des mors. Nous avons vu que les mors du premier
és auxquels on ne peut pas obvier complètement. Enfin, une dernière forme des mors est celle dans laquelle ils forment deux
cul allait se loger dans le cul-de-sac plus ou moins considérable que forme la vessie au-dessous de la prostate, lorsque l'ex
il faut bien s'assurer du volume des calculs, de leur dureté, de leur forme et de leur nombre. Par là on pourra juger approxi
l un peu moins gros mais très dur. 3" Configuration des calculs. La forme aplatie de la pierre, depuis l'invention du percu
nstru-mens avec le canal, que du redressement forcé résultant de leur forme rectiligne. Ces accidens, indépendans du plus ou
rinée, chez l'homme, est un espace qui, vu extérieurement, affecte la forme d'un triangle allongé circonscrit sur les côtés p
e avec le dartos, et se termine autour du pénis par une gaîne qui lui forme un étui. En arrière, elle va s'attacher au pourto
gament sous-pubien , remplit l'arcade pubienne, dont elle, affecte la forme triangulaire, s'insère à son pourtour en se con
rectum où elle se confond avec l'aponévrose ischio-rectale, dont elle forme le feuillet ischia-tique. Ce feuillet aponévrotiq
se. Il paraît aussi destiné à résister à la pression des viscères, et forme une barrière qui ré-siste au pus et aux matières
convexe, elle repose sur le rectum. Le sommet du cône, dont elle a la forme , regarde en avant et en haut, et sa base en arriè
à la précédente , l'ouverture par laquelle doit passer le calcul a Ja forme d'un triangle isocèle, dont chacun des côtés à 22
Philippe Collot, re-présenté pl. 68, fig. 7 et 8, avait à-peu-près la forme d'une grosse lancette; c'est une chasse composée
s avec lesquelles elle s'ar-ticule au moyen d'un coude aplati qu'elle forme en ce point. Un levier long de 1 o à 11 centimètr
ithotome caché, l'incision intérieure est pres-te que transversale et forme un angle très obtus avec l'incision et extérieure
tre arrivée vers son extrémité. Au lieu de donner à la gouttière une. forme concave, Abcrnethy lui donna une forme triangu-la
de donner à la gouttière une. forme concave, Abcrnethy lui donna une forme triangu-laire. iScarpa voulait que le gorgeret, t
la distance de 4 centimètres environ de son extrémité qu'il prend la forme d'une gouttière propre à diri-ger les tenettes.
tat intérieur, de chercher à déterminer la position , le volume et la forme de la pierre, et de s'assurer si elle est libre o
les cas où l'on peut atteindre la pierre, de saisir la tumeur qu'elle forme avec une tenette, et de la presser et mâ-cher à p
ées et remplies de caillots de sang; quant à la pierre, elle avait la forme d'une callebasse dont la partie renfermée dans le
la vessie et le rectum. Cette canule, ainsi préparée, présente une forme conique, afin de pouvoir pénétrer plus facilement
rectum peut être blessé lorsque sa ca-vité est très grande, et qu'il forme une espèce de gouttière autour de la prostate et
toute son étendue elle est dépourvue de péritoine; le cul-de-sac que forme cette membrane entre l'intestin et la vessie ne s
state jusqu'à l'anus est concave en arrière et convexe en avant; elle forme le bord postérieur du triangle périnéal dont le b
océdés diffèrent par toutes les conditions essentielles : le lieu, la forme , l'éten-due et la direction des incisions, le nom
e voie des calculs d'un volume et d'un poids énorme, et souvent de la forme la plus bizarre. M. Krimer a extrait un calcul pe
çant dans la vessie, par l'urètre, une sonde à laquelle il a donné la forme d'un siphon qu'il appelle siphon aspirateur. La p
aux. Mais si cette médication n'ar-rête pas les accidens, ei qu'il se forme des foyers purulens, un des meilleurs moyens d'em
ns sa cavité, et le décolle en entier de derrière les pubis, où il se forme une large poche qui devient presque nécessairemen
aires. Néanmoins comme tout ce qui tient à l'extrac-tion des calculs, forme un sujet à part, et en quelque sorte un art spéci
on doit agir, est limitée en dehors par les uretères, et présente la forme d'un triangle dont le sommet re-garde en avant, e
ntrée du vagin, on le perçoit avec la pulpe du doigt indi-cateur sous forme d'un tubercule ou d'un bourrelet plus ou inoins s
d'un œuf cCaiilriiclio ; toutes quatre étaient pédiculées et pyri - formes . Lorsque les tumeurs éléphantiasiques sont pédi
médiatement après la naissance, l'urine s'accumule dans la vessie, et forme bientôt une tumeur saillante au-dessus de l'hypog
gée de faire pour revenir à la surface cutanée de la lèvre droite. La forme exactement demi circulaire des aiguilles de M. Ro
doigts, on cherche à reconnaître les changemens et les altérations de forme et de texture qui se manifestent dans l'utérus, s
um dont on se sert pour examiner les parties de la gé-nération , a la forme d'un cône tronqué ou d'un cylindre destiné à écar
geur et le degré d'extensi-bilité des parties sexuelles ; il avait la forme d'un cône tronqué ; son extrémité la plus étroite
spéculum cylindrique, les parois du vagin le pressent, et sa muqueuse forme une rosace qui présente son orifice au centre de
et des organes génitaux externes. Ces fistules sont très variées de forme et de direction. Tantôt elles sont longitudinales
toute l'épaisseur des parois vésico-vaginales, de crainte qu'il ne se forme des abcès, ou même d'autres fistules, par la filt
ansversales. i° Pour les fistules longitudinales, l'instrument a la forme d'une pièce à deux branches articulées entre elle
is à découvert comme dans le cas précédent, un petit cautère ayant la forme d'une fève de haricots, et chauffé à blanc, doit
e plus simple et de plus commode. Cette aiguille, dont la pointe a la forme d'un fer de lance de 8 à 9 millimètres de longueu
de 2 à 3 centimètres , sans toucher à ses extrémités, de façon qu'il forme une arcade. Ensuite, faisant filer de bas en haut
a vessie cessait d'être soutenue et descendait jusqu'à la vulve, sous forme d'un fongus rougeâtre, à travers l'ouverture anor
e la membrane est la plus pro-noncée. Dans divers cas d'opération, la forme du lambeau était elliptique (Marshall, Heming), q
it, sur la cloison recto-vaginale, un lambeau de la muqueuse ayant la forme d'un triangle isocèle dont le sommet, corresponda
omains et les Arabes en faisaient un fréquent usage. La matière et la forme de ces instrumens ont beau" coup varié. Anciennem
été de n'être pas facile-ment altérés par les sécrétions vaginales. Formes générales des pessaires. Il serait difficile de l
uit de chiffre. Ils ont été inventés par Brü-ninghausen. D'après leur forme que leur nom indique assez, on conçoit qu'ils se
t le sommet ou le premier anneau est fixe, tandis que le dernier, qui forme la base, est libre, et peut être rapetissé par la
nt et convexes en arrière, afin qu'ils puissent s'ac- commoder à la forme du vagin, de la vessie et du rectum. Leur extrémi
de rotation par lequel on ramène leur face convexe en ar-rière. Leur forme s'accommode très bien à celle tics parties ; mais
e laiton, très mince et contourné en spirale; cette carcasse qui a la forme d'un cône tronqué, est revêtue, à sa surface exté
direction verticale, et, par conséquent, s'accommoder facilement à la forme du vagin, sans s'aplatir ou s'affaisser sur lui-m
irconférence, de manière à l'aplatir latéralement, et à lui donner la forme d'une ellipse. Quel que soit le pessaire qu'on
) qu'on ne peut accorder de préfé-rence exclusive à aucun d'eux, leur forme , devant, pour ainsi dire, varier pour chaque cas
aire aucune tentative, s'assurera, par letoucher,dela position, de la forme et de la nature des corps, et cherchera à les dég
cléer, en un mot, sans crainte d'hémorrhagie, tandis que plus tard il forme un tout inséparable. M. Velpeau pense que ces tum
lement après; et dans un autre, il en détacha une partie qui avait la forme d'une tranche de melon, et dont la soustraction p
u pédicule, un instrument auquel il a donné le nom de polypodéon : sa forme est celle d'une pince à disséquer, dont les mors,
formée de couches concentriques, pesait 338 grammes ( 11 onces). Sa forme et son volume rappelaient ceux d'un petit œuf d'a
en caractérisé? Sont-ce les bosselures, les duretés, le changement de forme et de volume, qui se montrent si fréquem-ment sur
scendus hors de la vulve et les vis-cères invaginés dans la poche que forme le vagin renversé, ayant été réduits, un aide, pl
'on se propose d'obtenir la chute de la matrice par mortification, et forme un temps préparatoire de l'excision, si cette mét
tumeur par excision sans ligature préalable. Leur surface interne ne forme quelquefois qu'une seule loge ; mais d'autres foi
ostérieures ont acquis une grande solidité. A. Leroy prétend qu'il se forme un tissu cellulo-fibreux intermédiaire qui fait q
ne pût s'ef-fectuer, sans que ces incisions ne se prolongeassent sons forme de déchirure, jusqu'au-delà du col de la matrice;
pisioraphie, oblitération du vagin, 317, 318. —Pessaires. Historique, formes générales, application, extraction, accidens, 3i8
rieur jusqu'à la rencon-tre des tendons musculaires. En ce point elle forme une gaîne pour les tendons des obliques (selon no
re d'écartement des deux feuillets où aboutissent les quatre tendons, forme sur (1) Gazette des hôpitaux, 4 février 1841.
ière (i) : « Il y a long-temps qu'un médecin italien a avancé, sous forme « spéculative, que le strabisme, dû à la contract
l'oeil dévié se dessine fortement, et l'œil sain fonctionnant « seul, forme un contraste frappant par sa rectitude. » (Bau-de
doucement en avant, y amena le muscle recouvert de la conjonctive en forme d'anse; prit un petit bistouri étroit, concave su
e; prit un petit bistouri étroit, concave sur son tranchant, et de la forme d'une serpette allongée, l'insinua entre l'œil et
ité il est utile que les pinces soient à griffes et les ciseaux d'une forme et d'une dimension déterminée; mais à la rigueur
e n'être pas certain d'avoir tout coupé. Toutefois, disons que par la forme de la lame et la ma-nière dont elle est introduit
rs muscles: l'exophtlialmic, l'immobilité de l'œil et des névroses de formes variées. T Exopiitiialmie. La proéminence exagé
pour être recueillie par Fabrice de Hilden à la renaissance, sous la forme ordinaire de traditions populaires. Enfin , de
ce qu'elle constitue une réapparition des procédés anciens et qu'elle forme la base de ceux de nos jours qui paraissent devoi
o-glosses , afin de dessiner une corde médiane superposée à celle que forme la portion tendineuse de ces muscles ; nous plong
l faut respecter le caillot sanguin noirâtre et d'aspect fongueux qui forme quelquefois une tumé-faction considérable derrièr
niques éprouve, sous l'influence de la difformité, des chan-gemens de forme , de dimensions, de direction et de texture. (1)
té-notome ou myotome. Cela posé, on comprend toutes les varié-tés de forme qu'ont pu revêtir ces instrumens, suivant le beso
ait préalablement une piqûre à la peau avec une petite lancette d'une forme particulière (PlancheN, fig. 16). La pointe de l'
tendon, entre le pouce, l'indicateur et le médius de chaque main, il forme un pli cutané perpendi-culaire, le plus élevé qu'
laute). établi une cinquième variété qui est le plantaire. Ces cinq formes primitives sont plus ou moins susceptibles de se
antagonistes rétractés ou restés à l'état normal. « Les différentes formes anatomiques ou variétés du pied-bot, tels que le
irec-tion d'action des muscles rétractés détermine la direction et la forme du pied. C'est ainsi que le pied équin résulte de
e et atrophie des jumeaux et soléaire. « C'est encore ainsi que ces formes primitives peuvent se com-biner entre elles et of
ire la section des tendons des muscles rétractés, déter-minant chaque forme du pied-bot : contre l'équinisme, le tendon d'Ach
simultanéité de leur rétraction dans les différentes combinaisons de forme que présente le pied-bot. « 5° Ces indications
ur les variétés anal. cong. du pied-bot. 1839, page 7 et suivantes. forme d'après les dénominations vagues de premier, seco
parfois le court extenseur ou pédieux. 5° Plantaire. Cette dernière forme de pied-bot, trouvée ré-cemment par M. J. Guérin,
posés de telle substance, qu'ils puissent se mouler exactement sur la forme du pied, quelles qu'en soient les irrégularités.
que par une succession de moulages qui représentent tous les états de forme et de di-rection intermédiaires , depuis la diffo
t allongement des groupes musculaires de la face op-sée. De ces trois formes principales, la plus commune est la demi-flexion
années, il existe, pour les divers tissus, des altérations forcées de forme , de volume, de direction et même de texture qui r
qui persiste invariablement après la section du muscle. » De cette forme de rétraction nous pouvons déduire, quant à ses e
ur et les résultats de sa pratique : i° le faisceau sterno-mastoïdien forme une corde d'où résulte l'incurvation en sens oppo
vés sous ce point de vue. » Ces observations de M. Bouvier, sur les formes de rétraction du muscle sterno-cléido-mastoïdien
e. L'application de mon second procédé exige une modification dans la forme de l'instrument, qui, au lieu d'être concave sur
e côté sain, le chirurgien, après avoir déterminé le lieu d'élection, forme un pli soulevé à la peau en ramenant de très loin
chirurgien s'assurede l'état intérieur de la tumeur, suivant qu'elle forme une cavité ou libre ou multiloculaire, ou qu'elle
ours à un traitement général, attendant qu'une nouvelle collection se forme pour avoir recours à une nouvelle opération. Nous
anal nasal, séparé du sac lacrymal, sur la figure, par l'anneau qui forme le tubercule lacrymal. 19. Vaisseaux et nerfs f
eçu par une extrémité dans une lame d'écaillé à bord cylindrique, qui forme un élévateur. 2. Autre élévateur de B. Bell.
théter de M. Gensoul. En raison de sa courbure (c), appropriée à la forme du canal nasal, ce cathéter est double, un pour c
ticulés. 34 à 37. Pinces à pupilles, dont les branches sont dans la forme ordi-naire des pinces à disséquer, les mors seuls
nt nous avons calculé les courbures suivant le trajet à parcourir. La forme précise de cette tige est, selon nous, celle que
ie frontale formée par la peau du front taillée pour le lambeau. Elle forme trois triangles : deux latéraux pour les ailes du
en k. Troisième incision verticale qui limite en dedans le cancer et forme , aux dépens de la moitié saine de la lèvre inféri
sur divers points des fosses nasales. Le nu-méro 10, en particulier, forme une double courbure. Figure 11. Petite scie a r
ique des fosses nasales. L'extrémité qui se fléchit par une charnière forme un cône de réception pour une éponge imbibée de c
.— Fig. 14. Serre-nœud de Desault. Un anneau dans lequel passe le fil forme une extrémité, l'autre est une plaque fendue où s
st pratiquée et dont la se-conde s'achève avec le bistouri (h); cette forme d'incision, plus favorable, permet une réunion qu
ction de la trachée avec le trocart de Bouchot. Cet instrument, parla forme ellipsoïde et aplatie de sa canule, n'offre pas,
ons préféré faire représenter la ligature de cette tumeur suivant une forme systéma-tique. La tumeur étant mise à découvert p
(de A en B). De ces fils, l'un, déjeté latéralement par chaque bout, forme une première anse horizontale qui est fermée à ga
r les deux branches principales de la thoracique longue. La plaie, de forme elliptique, s'é-tend diagonalement en regard et a
e 3. Deux hernies crurales (entérocèles sur une femme de 49 ans ). La forme de ces deux tumeurs est d'un modèle plus heureux
u crural. c. Feuillet aponévrotique de revêtement des vaisseaux qui forme la paroi antérieure du canal crural accidentel.
adruplé ou quintuplé; de sorte que l'intervalle entre les bandelettes forme un large triangle où les fibres obliques descenda
ment en bas et en dehors. A'. Fig. 2. Le pont aponévrotique (c) qui forme l'orifice de l'an-neau étant conservé, on a ouver
s de l'intestin. Ce moyen donne lieu à une perte de substance dont la forme est celle du canal lui-même. FIGURE 5 bis. Pinc
puytren. L'inconvénient de cet in-strument est de donner lieu, par sa forme et son mode d'action, à une longue fente dans la
ue l'on retire après la ponction, de sorte que l'instrument en entier forme un petit trocart. La canule est laissée à demeure
vice de M. Baudens. A la partie supérieure se voit une ulcération qui forme l'orifice cutané d'une fistule. Figure 2. Sarco
ro-supérieure du canal depuis le col de la vessie jusqu'au gland, qui forme seul le pénis. Ce cas nous a été communiqué par M
1. Intestin rectum. (f ) Ampoule ou portion terminale du rectum qui forme une courbure à convexité supérieure pour se termi
obes latéraux, fait hernie dans la vessie par l'orifice de son col et forme un obstacle au passage de l'urine. Figure 8. Ob
fère les cour-bures plus courtes 6,7, mieux appropriées à l'angle que forme la bulbe de l'urètre avec les portions membraneus
éplétion, comme il existe quand il est distendu par une injection, sa forme réelle en ayant été prise sur plusieurs moules en
d'action et l'intensité de la force comprimante et les autres sur la forme des mors. Les derniers instrumens offrent l'assem
cal, et de l'autre (b) soulève le scrotum. L'incision des chairs, qui forme un arc d'environ 100°, étant terminée, le doigt i
.) Celte figure représente la vessie par son plan postérieur, dans sa forme et dans son volume, à l'étal de réplélion. L'or-g
éter de Guérin, de Bordeaux, a. Anneau de préhension, b. Bran-che qui forme le cathéter, dont la portion vésicale (c) est can
s (b, b), articulées avec les mors. L'instrument, introduit fermé, ne forme qu'une tige. Quand les tenettes s'ouvrent dans la
on se propose d'ob-tenir la chute de la matrice par mortification, et forme un temps prépara-toire de l'excision, si cette mé
que est reçu dans les plaques creuses. 5, 6, 7. Cautère de diverses formes pour aviver les lèvres des fistules (Leroy-d'Etio
té partout en dehors de manière que sa petite circonfé-rence cornéale forme une vaste circonférence érignée au contour du glo
onférence érignée au contour du globe de l'œil. Selon nous, ce fascia forme deux feuillets continus avec 1rs gaines d'envelop
la piqûre faite d'avant en arrière ; un aide dont la main gauche (a), forme point d'appui sous la rotule, tandis que sa main
rémité postérieure articulaire ; le reste de sa surface de glissement forme une face verticale rugueuse qui ne pourrait plus
e s'incliner en bas, il remonte vers la face postérieure du tibia. La forme de celte surface articu-laire est singulièrement
de la seconde rangée du tarse sont beaucoup moins altérés dans leurs formes que ceux de la pre-mière. C'est dans l'articulati
s le sens de la rétraction du pied. Le petit cunéi-forme a presque sa forme habituelle; enfin les métatarsiens ne sont que lé
e, dans le varus, c'est principale-ment aux dépens de l'astragale qui forme la charnière du coude-pied et con-sécutivement du
ntation, que s'effectue le renversement du pied par les changemens de formes de ces deux os et les modifications de leurs rapp
aule droite. FIGURE 2. La même jeune fille quatre ans plus tard. La forme et la dimension du tronc s'expliquent et par l'ef
ate terminée par un fer de lance et fixée sur un manche dont le talon forme un pas de vis ; (b) une canule éga-lement plate p
, auprès, un robinet qui la ferme hermétiquement. Pour s'adapter à la forme et au volume des parties, il y a des trocarts dro
68 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
ire du médecin qui l'a soigné, la lame du couteau, très effilée, de forme catalane, aurait pénétré dans les chairs, à une
x épaules ne sont plus situées au même niveau. Ces variétés dans la forme , ces changements d'aspect des parties symétriqu
on du hanchement dans la représentation de la figure humaine, cette forme spéciale de la station est devenue monnaie couran
oin de se contenter d'une description plus ou moins pittoresque des formes extérieures du monstre, de sa morphologie génér
eures remplacées par deux masses charnues avec appendice non digiti forme ; extrémités supérieures représentées par deux mo
plate qui occupe sa place habituelle; l'ensemble, garni de muscles, forme de chaque côté un moignon sessile légèrement ac
n permettait de prendre pour un os ; puis un second segment ossi- forme , allongé, à grosse extrémité supérieure, à diap
es seulement à droite, de sorte que cette partie du membre prend la forme d'un cône dont la base'serait le pli du coude e
e siège d'une régénération partielle, et que des appendices digiti- formes se sont produits sur son extrémité libre. M. le p
mate ou un accumulateur (Fig.1) ; l'axe du moteur porte une came de forme spéciale destinée a soulever à chaque tour un b
mer- cure : il est coupé chaque fois qu'elle en sort. Grâce à la forme de la came, l'im- mersion dans le mercure dure
nsi à préciser, sur le vivant, le siège, le nombre, le volume et la forme des segments osseux, avec une exactitude que les
uses qui appartiennent en propre à chacun de ces os. A droite, la forme de la phalangine se rapproche davantage de la nor
ormation du cinquième métacarpien est toute différente. L'os est de forme irrégulière, incurvé, concave du côté du quatri
le cinquième métacarpien semble constitué par deux métacarpiens de forme régulière et de longueur presque égale, intimem
re. - Le métatarsien est volumineux dans toute son étendue, mais de forme régulière ; il ne paraît pas avoir été formé pa
date. N'a-t-on pas retrouvé à Pompeï (3) des ventouses en bronze de forme identique à celles dont nous nous servons encor
ais corps, et lorsque vous verrez le tout presque cuit -et comme en forme d'onguent fort, ce qui ne sera pas volontiers e
l'officine du musée de Cassel, l'intérieur que nous montre Teniers forme un ensemble plus que suffisant pour donner une
conformes à la tradition. Bocaux de pharmacie, fioles de verre aux formes singulières, soigneusement bouchées de parche-
struments dont l'application est loin d'être indolore, mais dont la forme et l'emploi se sont perpétués, à quelques variant
e cas présent, tout cet attirail professionnel n'est là que pour la forme . Il s'agit simplement de remplacer un vieil emp
En même temps que ce groupe, pénètre dans la salle la Mort, sous la forme d'un squelette qui sonne de la trompette. En ha
trée. En mai 1895, les crises réapparurent, toujours sous les mêmes formes , mais deplusen plus nombreuses. M... interrompi
consistance est molle, presque diffluente, sa couleur rougeâtre; sa forme simule assez fidèlement celle d'un bait posé sur
a totalité du bord supérieur de l'hémisphère, le nouveau tissu a la forme d'une bande d'un centimètre d'épaisseur environ
ndiquée une néoforma- lion osseuse à contour très régulier ayant la forme d'un grand segment d'élip- soide (1). Sur le
bord interne du cubitus, il existe une autre formation osseuse, de forme pyramidale, dont le sommet dirigé transversalemen
bitus. . Cette liyperoslose osseuse, a laquelle on peut assigner la forme d'un fuseau irrégulier, n'est autre chose, a mo
e la dispa- rition des parties molles.- La main, réduite'ainsi'a sa forme squelettique, est comme resserrée à sa racine.
ongés, sont nettement striés longitudinalemenl. , .' L'aspect, la forme et l'altitude de la main droite sont tout dil1'Úr
dons s'accuse fortement. Les espaces interosseux sont profonds. La forme de la main se rapproche beaucoup plus de celle
existent entre les têtes de méta- carpiens sont remplies et la peau forme des espèces de ponts. La couleur de la peau de
plutôt rouges. Les doigts ne sont pas moins caractéristiques. Leur forme est modifiée; ils sont fusiformes chez tous ces m
eant principalement dans le tissu sous-cutané et grâce auquel il se forme des éléments nouveaux de tissu conjonctif qui rem
e blanc, oedème bleu des hystériques. Mais l'attitude et surtout la forme delà main dans l'oedème hystérique sont toutes di
us. Dans la région déformée, le radius est considérablement élargi et forme une saillie considérable sur la face postérieur
humérus gauche très dé- formé est incurvé dans son 1/3 inférieur et forme une saillie très appréciable à la vue et au tou
constate au niveau des parenchymes une tuberculose disséminée sous forme d'ilots broncho-pneumoniclues, surtout marquée au
accentuées que son congénère. Le péroné gaucho déformé prend une forme de massue (déformation clavi- forme). L'hypertr
péroné gaucho déformé prend une forme de massue (déformation clavi- forme ). L'hypertrophie commence à 15 centimètres de la
mesure 18 centi- mètres au lieu de 13 cm. 1/2 pour l'os opposé. La forme générale de l'extré- mité est conservée. A ne c
mesure qu'elle s'approche de la périphérie de la moelle et prend la forme d'une bouteille il goulot allongé. . Suivant le
ornes antérieures semblent présenter leur nombre, leur volume, leur forme , ainsi que leurs prolongements normaux. Dans la
diquons enfin la régularité de l'hypertrophie qui ne modifie pas la forme générale de l'os. (1) Démange, Étude clinique e
térêt que d'émotion. Sa main droite plonge dans une petite boîte de forme assez singulière, qui ren- ferme peut-être des
écemment démontré (1). On saura à l'occasion l'associer, sous cette forme particulière, au traite- ment principal de l'af
pareil, qui consiste en une sangle à quatre branches af- fectant la forme d'un X. Ses deux branches supérieures sont munies
up de cellules, les éléments chromatiques très den- ses.'changés de forme et de volume, sont accumulés autour du noyau qui
de la corne antérieure, la substance chromatique est disposée sous forme de grumeaux qui s'étalent à la périphérie de la
la périphérie en s'insérant il une condensation protoplasmique qui forme la membrane cellulaire. La ques- tion de savoir
lules mesurent de 37 à 40 N sur 24 à 25 ? elles ont con- s81vé'leur forme , multipolaire (Fig, 3, planche XIX, D), leur noja
soit distribués sans ordre. Ces filaments, bien arrêtés dans leur forme ,pourraient donner à première vue l'impression d
45°. De sorte que la main placée sur une table par sa face palmaire forme comme un pont et ne repose sur le plan que par
presque entièrement quand ils sont tout à fait fléchis. Elle est de forme arrondie ; sa partie la plus saillante se trouve
culation des doigts avec le métacarpe qui lui sert de soutien. Elle forme là une espèce de pont. Les extrémités se terminen
par- tie supérieure. « La peau située dans la direction du doigt forme des plicatures en arc de cercle, dont la concav
nquante livres, pou- vaient être appendus à l'espèce de crochet que forme le doigt, sans que pour cela son angle de flexi
nte pour qu'elle ne m'invite pas à y insis- ter. C'est seulement la forme fibreuse que j'aurai en vue, puisque les ar- ti
ent et correspondent à l'extrémité antérieure du sillon dorsal, où il forme une sorte d'ombilic dorsal antérieur, non sans
ogue à celui de la gliose péri-épendymaire. Il arrive même qu'il se forme dans les cordons postérieurs de véritables cavité
ent les segments sous-jacents, bras, avant-bras et main. Dans cette forme scapulo-humérale les muscles de la .main conser
indistinctement, ies muscles des membres supérieurs. Dans ces trois formes ascendante, descendante et diffuse, l'atrophie
manière constante; mais comme elle ne s'observe pas dans les autres formes d'atrophie musculaire, elle n'en fournit pas moin
de ces deux derniers caractères. Et tout d'abord, est-ce que cette forme spé- ciale d'atrophie musculaire que réalise la
u'on rencontre chez les malades, donnent à la main un aspect et une forme toute spéciale, ce qui permet de la désigner so
d qui serait posé sur l'épaule gauche. C'est là un spasme du cou, à forme spéciale, dont l'analyse clinique est déjà inté
e, ou d'hyperkinésie de l'accessoire de Willis. Il en dé- crit deux formes : une forme tonique plus fréquente, et une forme
kinésie de l'accessoire de Willis. Il en dé- crit deux formes : une forme tonique plus fréquente, et une forme clonique p
en dé- crit deux formes : une forme tonique plus fréquente, et une forme clonique plus rare à laquelle paraît appartenir
rte et comme hébété dans l'intervalle des spasmes, tout, en un mot, forme un tableau caractéristique qu'il n'est guère po
c. Comme le dit Raymond (4), cette maladie est caractérisée dans sa forme bénigne par des tics propre- ment dits (grimace
ments brusques et involontaires des membres), « tandis que, dans la forme grave, ces mouvements involon- taires s'accompa
e non seulement ne présente aucun de ces symptômes essentiels de la forme grave, mais il ne présente pas même la superposit
sition ou la succession de divers tics nécessaire à caractériser la forme bénigne de la névrose tiqueuse. Donc, notre h
che des tics qui est bien distincte de la branche des myoclonies et forme une autre subdivision spéciale des cho- rées. 1
indépendants les uns par rapport aux autres, n'agissant que par une forme de synergie spéciale et dans un but fonc- tionn
répété de la fonction, de la profession n'est pas indifférent à la forme du tic. rc 1 Il est en effet curieux que notre
he. Ceci n'est pas fortuit : ce colporteur réalise son tic sous une forme dif- férente de celle que réaliserait une danse
i la profession antérieure de colporteur ne sert à expliquer que la forme du tic. Il faut la collaboration d'autres cause
après, comme cela a eu lieu. Donc, la profession n'explique que la forme du tic; il faut qu'il y ait d'autres causes.
, de Quervain cite des faits à pathogénie analogue : la cause de la forme du torticolis spasmodique semble bien être un a
la tète et cette irritation s'est manifestée dans la suite sous la forme d'un tic rotatoire ». 238 GRASSET De Quervain
morphologique caractérisé par la con- servation chez l'adulte, des formes extérieures de l'enfance, et la non- apparition
épaisses, les grosses joues rondes, tout simulait le myxoedème. Les formes extérieures n'étaient pas même celles d'un adoles
fan- tilisme myxoedémateux, que M. Combe conserve ma désignation de forme fruste du myxoedème de, l'enfant : « Si, dit M.
aurons affaire' cette variété du myxoedème que nous appellerons la forme fruste du myxoedème de l'enfant » (1). Voilà do
lai il y a quatre ans une variété d'infantilisme équiva- lant à une forme fruste du myxoedème, je m'efforçai de démontrer q
Henry Meiee lui convient de tout point : c'est la conservation des formes extérieures de l'enfance et la non- apparition
oici le passage : « Le myxoedème spontané ne présente- t-il pas des formes atténuées, compatibles avec une longue vie, avec
ence, le lendemain du jour où je signalais l'infantilisme comme une forme du myxoedème, mon collègue M. Gley communiquait
abre sur le thorax, sur le visage ; cheveux longs, fins et soyeux ; forme particulière de l'oeil, des paupières, cils longs
ienne. L'infantilisme de Lasègue, de Lorain et de Faneau de la Cour forme un groupe beaucoup moins homogène. Il se compos
vice originel de nutrition, soit un défaut de l'hématose, fixent la forme définitive du sujet comme en un moule de pelit ca
igmentées d'un brun fauve, sans re- lief, légèrement brillantes, de forme allongée dans l'axe général du naevus, en bande
urs, on a signalé la coexistence chez un même individu de plusieurs formes histologiques, combinées (observ. I et VIII) ou i
NI'.VI DANS LEURS RAPPORTS AVEC LES TERRITOIRES NERVEUX 273 dont la forme se serait retrouvée plus ou moins vaguement repor
dian, est constitué par deux parties symétriques, s'élargisssant en forme d'aile de papillon de chaque côté de la colonne
ractérisée par un écar- tement du pavillon et prend quelquefois une forme de conque. La ressem- blance avec une oreille d
ie artistique et historique de Vienne (1) et représentant, sous une forme burlesque, une Tentation de Saint Antoine, se t
ntiel est de remarquer' qu'elles diffèrent notablement, et par leur forme et par leur point d'adhérence, des figurations de
. La présence de ces excroissances verruqueuses sur le visage, leur forme et leur répartition, nous ont fait songer à une
à gauche, elle revêt assez bien les apparences d'un névrome plexi- forme ; elle semble une glande mammaire hors d'usage qui
une tumeur semblable. Aurait-on donc affaire à deux névromes plexi formes symétriques ? « Cette symétrie est un peu décon
observés. Cependant rien n'est impossible à ce genre de tumeurs de forme et de siège irréguliers et bizarres. 1 « En déf
assez il celle de notre pseudo-goîtreux, en particulier quant à la forme du nez et des lèvres. De plus, elle est cribl
lbe, pour se terminer dans la corne antérieure du côté opposé, sous forme d'une arborisation terminale qui enlace une g
s peu élevé, au-dessus de celui où elle pénètre dans la moelle sous forme d'une racine postérieure. L'anatomie nous ensei
nt voici les observations. OBS. I. Paralysie spinale infantile sous forme paraplégique remontant it l'cïe de deux ans. Po
uvements d'athétose, dont ils n'ont d'ailleurs pas la lenteur ni la forme arrondie, sont en rap- port avec des contractio
ne observation, des convulsions dans l'autre. La paralysie affecte la forme paraplégique chez le premier malade. Elle a att
, un développement considérable des poils sur la face (5). Dans les formes graves de la mélancolie on observe quelquefois
spé- ciaux et surtout une analgésie bien marquée. Il présente des formes très variées de troubles paroxystiques : 1° des
de substance achromatique. La substance chromatique, ou chromatine, forme dans le corps des cellu- les et dans les prolon
a cellule est grande, plus le noyau s'avance vers la périphérie; il forme quelquefois sur la périphérie de la cellule une
aient principalement en la désagrégation dans l'une ou dans l'autre forme des corpuscules chromati- ques qui, dans certai
ig. 1. , 364 HENRY MEIGE 'pattes est assez fantaisiste, mais leur forme générale n'est pas trop mal indiquée. L'image a
évrites, des myélites, de l'hémi- plégie. Il n'y a pas non plus une forme d'arthropathie spéciale à chaque lésion médulla
omyélie, les lésions spinales ne sont pas exclusives) que les trois formes d'arthropathie suivantes : 1° une forme qui se te
exclusives) que les trois formes d'arthropathie suivantes : 1° une forme qui se termine par résolution ou par suppuratio
lué à l'instar du rhumatisme articulaire aigu avec mobilité; 2° une forme qui, après avoir débuté comme la précédente d'une
avoir débuté comme la précédente d'une façon aiguë, s'éternise sous forme d'hydarthrose avec plus ou moins d'empâtement de
ydarthrose avec plus ou moins d'empâtement de la synoviale ; 3° une forme qui débutant d'une façon rapide ou insidieuse s
par ankylose fibreuse ou osseuse. Ce qui caractérise chacune de ces formes c'est surtout leurs terminaisons par résolution,
nique, par ankylose. Nous avons d'abord à démontrer que les trois . formes ne correspondent pas chacune à une lésion spécial
ne correspondent pas chacune à une lésion spéciale de la moelle. 1° Forme aiguë. - J. K. Mitchell relate deux cas d'arthrop
ucoup plus atteints que les supérieurs par la paralysie. De cette forme aiguë une variété spéciale quant à la localisatio
u contraire l'arthropathie nerveuse pure était anesthésique (2). 2° Forme subaiguë (se terminant par arthrite chronique san
rd, puis aux articulations tibio-tarsiennes surtout la gauche, sous forme d'arthrites douloureuses : il y eut toujours un
il ne peut être question d'arthro- pathie nerveuse vraie (1). 3° Forme chronique (se terminant par ankylose). W.Mitchell
ONDE Inutile de dire qu'il n'y a aucun rapport entre la cause et la forme clinique. Les formes de l'arthropathie conséc
u'il n'y a aucun rapport entre la cause et la forme clinique. Les formes de l'arthropathie consécutive à une névrite sont
opathies médullaires exposés plus haut. Nous rangerons : 1° dans la forme aiguë l'observation de Hamilton, l'observation
bservation de Hamilton, l'observation 8 de W. Mitchell ; 2° dans la forme subaiguë : les observa- tions 11, 39 et 51 de W
aiguë : les observa- tions 11, 39 et 51 de W. Mitchell ; 3° dans la forme chronique les obser- vations 31, 33, 35, 49 de
e l'on puisse trouver tous les intermédiaires entre ces différentes formes . Il peut arriver qu'une seule articulation soit
ropathies l'examen clinique ne peut les dif- férencier des diverses formes du rhumatisme. Le fait suivant montre combien i
eurs et parfois d'au- tres troubles trophiques, tout comme dans les formes spinales et névrili- ques. La douleur est exqui
'autopsie ne révèle que des lésions de synovite. Considérer cette forme comme toujours infectieuse- serait sans doute e
ment ; aussi n'apparaît-elle qu'assez tardivement contrairement à la forme aiguë. Elle atteint particulièrement la hanche
ement la hanche et surtout l'épaule, cela se conçoit, tandis que la forme aiguë frappe plutôt le poignet, le coude, la ma
pied. Ainsi l'autopsie est encore ici complète avec les différentes formes de rhumatismes. D. Rhumatisme chronique. '
;p.4t2.1LssnLOxco reconnaît au rhumatisme articulaire chronique les formes suivantes : 1° arthropathies infectieuses; 2° a
nue (Manuel de médecine, Dsuove et Achard), M. Massalongo admet une forme mixte : cela nous permet de penser que les formes
ssalongo admet une forme mixte : cela nous permet de penser que les formes infectieuse, dyscrasique et nerveuse représente
élément étiologique prédominant mais non ex- clusif. L'existence de formes éliologiques et même cliniques n'infirme pas enco
suite que l'hypertrophie porte surtout sur la phalangette élargie en forme de spatule et va augmentant de la racine du doi
R E. FEINDEL. Parmi les tics, ces maladies d'habitude, il est une forme remarquable par la constance de son aspect exté
ez rare depuis que l'on a cessé de confondre avec elle les diverses formes d'amyotrophies actuellement bien différenciées. M
les rappeler en cette occasion : 1° Dans tous les pays où la lèpre forme des foyers ou prend une grande extension, l'iso
dire qu'ils n'avaient que l'embarras du choix entre les différentes formes symptomatiques affectées par la lèpre. Aussi, les
artistes anciens en sera facilitée. On a décrit de la Lèpre deux formes principales : 1° la Lèpre tuberculeuse ou phyrn
'accidents coexistent fréquemment sur le même sujet, constituant la forme mixte de la Lèpre, la plus commune. L'Art a rep
s exemples de la Lèpre tuberculeuse, de la Lèpre nerveuse, et de la forme mixte de cette ma- ladie. Nous ne nous attach
ar des plaques érythé- mateuses, d'un rouge plus ou moins vif et de forme plus ou moins arron- die, planes, ou peu sailla
ambe, fléchis- seurs du pied et péroniers, créant des pieds-bots de formes variées. Les muscles de la cuisse, les fessiers
doigt, d'une main ou d'un pied tout entier. Puis, une cicatrice se forme et le membre tronqué reste réduit à l'état de m
membre tronqué reste réduit à l'état de moignon. On a donné à cette forme redoutable le nom significatif de Lèpre mutilan
fournir que des renseignements très hypothétiques. La couleur et la forme en sont parfois très vagues, soit que le peintre
nificatifs encore sont les documents figurés où la maladie revêt la forme sclérodermique, réduisant les patients à l'état d
ractures dans le sens de la flexion et les doigts sont recourbés en formes de griffe. (1) Il n'est pas sans intérêt de rem
n haut, de part et d'autre, Dieu le Père et le Saint-Es- prit, sous forme d'une colombe, également entourés d'anges. En bas
tractions ten- dineuses consécutives aux amyotrophies lépreuses. La forme du cinquième doigt recourbé en crocheta été évi
ur les oeuvres d'art. « C'est bel et bien un lépreux, atteint d'une forme mixte de la maladie. Sur la face, principalemen
à la lèpre, et qui compte au nombre des manifestations de certaines formes de cette terrible maladie. » On peut se rendre
ne diffèrent pas de celles que l'on peut voir de nos jours dans les formes un peu sévères de la (1) Voy. Difformes et Mal.
ne représentent-elles pas des syphilides tuber- culeuses avec leur forme conique et leur teinte violacée ? ..... « On co
réole rouge vineux », ces grosses pustules tuberculeuses « avec leur forme conique et leur teinte violacée » se retrouvent
ces, largement ulcérée. Le pied énorme, tuméfié à l'excès, n'a plus forme humaine. La cuisse au-dessus du genou, est en-
ble vérité l'aspect éléphantiasique que l'on observe dans certaines formes de Lèpre proliférante. A cet égard, ce document
e processus d'atrophie et de sclérose. On pourrait penser à quelque forme de sclérodermie généralisée, parti- LA LÈPRE DA
an Orley. Et même, la coloration brune de la peau signalée dans les formes sclérosantes de la Lè- pre est rendue avec une
tions ne sont jamais à négliger. Cependant,- à ne considérer que la forme et la disposition des lésions du visage, nous c
69 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
té est un trait qui différencie les affections du groupe des diverses formes de myélites que nous avons étudiées jusqu'ici et
aves. Enfin : l'exaltation des propriétés réflexes, les différentes formes de Vépilepsie spinale, qui se voient dans certain
p. 21. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX PARALYSIE INFANTILE forme généralisée. s* 1 REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HO
PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche III. PARALYSIE INFANTILE forme généralisée. N° 2 M. Duchenne (de Boulogne) a b
la paralysie, atteignant seule-ment les membres inférieurs, revêt la forme paraplégique. (Yoy. plaische I.) En résumé, on
he, dont la phalangette est inclinée latéralement sur la phalange, et forme avec elle un angle assez prononcé. Les doigts son
iose, déjà annoncée, est très-accusée à gauche. La colonne vertébrale forme un coude, depuis la partie moyenne de la région
paraît luxé sur le fémur. En dehors et en arrière, le condyle interne forme une saillie très-accusée en avant et en dedans. D
I). Le malade marcherait sur l'extrémité des orteils. La face dorsale forme une convexité en avant. Quoique bien fortement at
inution sen-sible de l'appétit. Un peu plus tard se déclarèrent, sous forme d'ac-cès, des symptômes plus accusés : douleurs c
, apparaissent en grand nombre les globules nains ou microcytes. — La forme de ces microcytes est par-faitement sphérique; le
on-venir qu'il y a là, aussi bien dans l'évolution du mal que dans la forme même des symptômes, quelque chose d'étrange qu'il
phéricité parfaite, la persistance remarquable de l'intégrité de leur forme , leur résistance aux réactifs, leur isolement con
ar les reins; ceux-ci, néanmoins, l'élimineront en grande partie sous forme à'urophéine, mais une autre partie ne pourra aban
'effet du sulfate de quinine et de l'ipéca fut de la convertir en une forme rémittente, d'amener d'abord des intermissions, p
ans la pratique, des élé-ments fournis par le cyrtomètre, qui sont la forme exacte de la courbe tlioracique, les divers diamè
r plus dans la paralysie spinale infantile que dans toutes les autres formes de paralysie des membres3. C'est peut-être le lie
ue par excellence, et qui, dans l'immense ma-jorité des cas, revêt la forme varus-equin (Planche 1). La laxité des ligaments
, ainsi que l'avait parfaitement reconnu M. Laborde3, le volume et la forme des masses musculaires peuvent être jusqu'à un ce
loboma est presque transversal, disposition fort rare, de môme que la forme du coloboma. Ce dernier, en effet, forme vers la
on fort rare, de môme que la forme du coloboma. Ce dernier, en effet, forme vers la macula un angle très-aigu et se porte ver
sprit est porté à transformer toutes ses sensations, à les revêtir de formes palpables, tangibles, aies matérialiser, pour ain
'excitation cérébrale se produit également, mais elle peut revêtir la forme du délire furieux (Mongeri, Grimaux) ; ce délire
ilieu de la hauteur et un peu à gauche de la ligne dorsale. Elle a la forme d'une petite poire pen-dant par sa queue est légè
r agent pourrait être plus exagéré encore, mais il n'aurait pas cette forme . Concluons donc que notre malade est affecté d'
Signalons encore la présence singulière d'une espèce d'échan-crure en forme d'ulcération au bord libre des ongles des deux de
du cubital. Avec ces connaissances, il est facile de s'expliquer la forme de la griffe. Les travaux de M. Duchenne (de Boul
tincte. Sur une coupe de nerf normal, les faisceaux primitifs ont une forme arrondie; ici, l'épaississement du tissu con-jonc
chisch pour 60 grammes de véhicule. M. Saussure administra sous cette forme et sans inconvénient jusqu'à 15 grammes de tein-t
e aussi complète que possible de l'intoxication urineuse. Ces* ce qui forme i'introduclion de l'ouvrage que nous avons à anal
struments flexibles. Les premières ont forcément une direction et une forme fixes ; les seconds ont, au contraire, une direct
me fixes ; les seconds ont, au contraire, une direction mobile et une forme varia-ble; delà résultent des manœuvres spéciales
auxquelles d'abord doit s'habituer le chirurgien, quelle que soit la forme de la sonde; c'est: 1° la sensation de résistance
lus considérable, une moyenne et une inférieure. La partie supérieure forme un trou presque régulièrement arrondi, mesurant 2
que dans son pourtour en haut et de chaque côté. Le tissu osseux qui forme les bords de l'orifice est mince, régulier, et ne
si dire qu'un accident. « Pendant la vie intra-utérine, dit-il, il se forme une hernie des méninges. L'ouverture herniaire es
X... reprend bientôt toutes ses habitudes. La pierre (fig. 3) a la forme générale d'un galet; les couches superficielles q
nviron au-dessous de la clavicule gauche, une saillie transversale de forme irrégulière, avec un gros renflement à chacune de
ée des parties molles qui l'entourent, la tumeur se pré-sente sous la forme d'une masse jaunâtre, irrégulière, hérissée de sa
la mobilité observée pendant la vie vers son extrémité externe. La forme de la masse morbide est trop irrégulière pour qu'
la première fois. Il rejeta l'idée d'une cirrhose et, en raison de la forme particulière du ventre, il pensa qu'on avait à fa
atologie se réduisait à ceci : V 1° ascite, donnant au ventre une forme particulière, rappelant l'as-pect du ventre d'une
rès-louable peuvent être altérées à plai-sir, afin de leur donner une forme commerciale et un aspect qui les rendent plus att
ye éditeur. Cette brochure est destinée à prouver l'existence d'une forme de la fièvre intermittente qui est peu connue des
t là le cas auquel se rap- porte l'étude de M. Armaingaud, prend la forme d'une pneumonie : c'est une vraie fièvre larvée.
osseuse disséminés çà et là. Ces îlots affectent le plus souvent une forme irrégulière ; quelques-uns sont arrondis et s'enf
muscles de la partie antérieure de la cuisse, mais ont conservé leur forme fasciculée. Quant à leurs insertions, elles sefon
examine en premier lieu l'extrémité supérieure de la tumeur qui, sous forme d'un bouchon arrondi, faisait saillie dans la cav
us ces nodules cartilagineux, les éléments se sont modifiés dans leur forme . Et, d'arrondis ou d'ovalaires, ils tendent à dev
, dans certains de ces nodules, commencement de calcification sous la forme de granulations cal-caires se déposant à la périp
our nous en trouvons deux beaux exemples. Dans l'un « le testicule ne forme qu'une masse homogène, ovoïde, avec l'épididyme,
rivant un large canal central rempli de moelle jaune. L'os a pris une forme arrondie par suite de la disparition de toutes le
isseur. Elle manque à l'extrémité an-térieure de l'angle osseux et ne forme nulle part de ligament distinct. 2° Les surface
de suc huileux. L'articulation tibio-tarsienne est modifiée dans sa forme ; la mal-léole interne est portée en arrière immé
otre pensée. On rencontre la rate chez tous les vertébrés ; mais sa forme , son volume, sa consistance, ses connexions varie
gnie se sont ralliés; ce nous paraît être une entérite épizootique de forme spéciale. Quoi qu'il en soit, dans cette affectio
on prend plus spécialement le nom de sang-de-rate. Quelle que soit la forme que rêvet le charbon (charbon essentiel, fièvre c
uer que l'ischurie hystérique est un phénomène rare, du moins sous sa forme très-accentuée ; car il est possible, nous l'avon
ns, en 1870, je vous ai présenté cette malade comme un spécimen de la forme hémiplégique de la contracture hystérique1. Dan
n aspect normal. L'axe de la vulve était fortement dévié à gauche. La forme de la masse morbide était celle d'une poire, dont
âle, abattue; ces accidents sont attribués à la chloroformisation. La forme de la plaie est à peu près exactement celle d'une
udés sur la ligne médiane par leur extrémité inférieure présentant la forme d'un fer à cheval à concavité supé-rieure. (Voy.
xplique la position du pied, qui est tout à fait déjeté en de-hors et forme avec la jambe un angle presque droit, la face pla
urellement en deux portions distinctes par l'in-sertion du vagin, qui forme une véritable rigole circulaire autour du museau
es adjacents reprirent leur position naturelle dans le bassin. III. Formes et dimensions du col hypertrophié. — Les différen
n. III. Formes et dimensions du col hypertrophié. — Les différentes formes que peut affecter le col de l'utérus hypertrophié
extrémité inférieure qu'au point où le vagin s'insère sur lui. Cette forme se rencontre chez les femmes qui ont eu et chez c
t conique, allongé et son orifice est plutôt rétréci qu'élargi. Celte forme appartient aux femmes qui n'ont pas eu d'enfants.
sse quelquefois. Quatrième variété. Le caractère essentiel de cette forme est le développement plus considérable d'une seul
et la formation d'un caillot obtu-rateur favorisée. Enfin, grâce à la forme particulière, aplatie, du ballon, le déplacement
formation, on en trouve quelquefois de semblables dans la rate. Cette forme de pneumonie, connue dans le langage vétérinaire
qu'elles peuvent en décupler la masse et en altérer complète-ment la forme . On a vu des rates infectées de tumeurs mélanique
ris, 1872, page 57. éruptions variées que l'on peut réduire à trois formes principales : Io une forme érythémateuse ; 2° une
ons variées que l'on peut réduire à trois formes principales : Io une forme érythémateuse ; 2° une forme populeuse; 5° une fo
uire à trois formes principales : Io une forme érythémateuse ; 2° une forme populeuse; 5° une forme pustuleuse. » (Leç. the'o
cipales : Io une forme érythémateuse ; 2° une forme populeuse; 5° une forme pustuleuse. » (Leç. the'or. et clin, sur les affe
nées artifi-cielles,]). 201). Il faudrait donc admeltre une quatrième forme , la forme huileuse. BIBLIOGRAPHIE Communicati
i-cielles,]). 201). Il faudrait donc admeltre une quatrième forme, la forme huileuse. BIBLIOGRAPHIE Communication de la c
ue celle-ci est placée sur le côté gauche, la tumeur apparaît sous la forme d'un énorme rein qui s'insérerait par un large hi
ion la plus externe, elle fait saillie en dehors de la fesse, sous la forme d'une masse épaisse, charnue, convexe et arrondie
e. Ces lobules ont peu de résistance, quoique l'ensemble de la tumeur forme une masse assez dure. Nulle part on ne sent de fl
nt est interrompu, il se pro-duit un changement moléculaire, et il se forme dans un circuit métallique un courant induit qui
, plus la cessation d'un cou-rant est brusque, plus le courant qui se forme à ce moment est fort. On doit se représenter les
nterruptions rares, il a ajouté un métronome. Le courant induit ne se forme qu'à chaque double os-cillation. On peut ainsi av
. Villard a publié sur le Cancer primitif des voies biliaires, et qui forme une brochure de cent pages. Cette affection très-
graphie. Le cancer peut revêtir dans les voies biliaires les quatre formes qu'on lui connaît : 1° l'encéphaloïde, qui est la
s les quatre formes qu'on lui connaît : 1° l'encéphaloïde, qui est la forme la plus com-mune; 2° la squirrheuse ; 3° la varié
des conclusions qui ter-minent cette étude : «.....Quelle que soit la forme sous laquelle se présente la dégénérescence, l'
le courant cesse, on con-state avec un galvanomètre sensible qu'il se forme un courant en sens inverse du courant primitif, e
r-cuit, après avoir préalablement cessé d'éleclriser le membre. Il se forme donc dans les tissus, au moment de la rupture du
d, Matteucci en talie et M. Becquerel en France démontraient qu'il se forme des courants électriques dans toute espèce de t
ue ce fait, qui à lui seul est déjà très-importanl, à savoir qu'il se forme partout et dans toute espèce de substance organiq
es modernes ; effet mécanique que l'on ne peut rendre ma-nifeste sous forme d'électricité que dans certaines conditions parti
, l'électricité subit une série de métamorphoses et apparaît avec des formes et des propriétés différentes. De même que la cha
uelques globules blancs qui nagent dans le liquide. Telles sont les formes spéciales qu'on peut décrire. Il va sans dire que
s sanguins, mais des masses irrégulières dont l'aspect physique et la forme rappelait très-bien l'aspect des cellules épithél
ans la cavité vaginale qu'elle remplit, cette tumeur est allongée, de forme conoïde à base supérieure. Si, avec le doigt, on
Après plusieurs chapitres consacrés à l'historique, la division, les formes , les variétés de la maladie, chapitres dans lesqu
sité que ces accidents convulsifs se distinguent, c'est encore par la forme qu'ils revêtent, et, ce qui frappe le plus l'obse
its plus ou moins pro-noncés qui rappellent ïépilepsie. De fait, la forme convulsivc, qui s'observe chez toutes ces femmes,
ous le nom dliystéro-épilepsie, et, remarquez-le bien, c'est la seule forme qu'on rencontre chez elles. Toutes ces femmes ne
rie se montre combinée avec l'épilepsie, de ma-nière à constituer une forme mixte, une sorte d'hybride composé mi-partie d'hy
es de l'hystérie convul-sive ? L'épilepsie ne serait là que dans la forme extérieure; elle ne se-rait pas dans le fond des
emiers, convien-drait à désigner ces attaques mixtes. La convulsion à forme épilep- tique y apparaîtrait comme elle apparaî
emblent quelquefois beaucoup à l'épilepsie. Aussi, en a-t-on fait une forme particulière de l'hystérie, sous le nom d'hystéri
tion, dit que cette espèce d'hystérie ci attaques mixtes n'est qu'une forme particulière de l'hystérie; ce n'est que de l'hys
les à l'individu affecté, sont la source de ces modifications dans la forme des attaques. La nature même de l'hys-térie n'en
ures et le rro-nostic qui lui est propre. A l'égard de cette première forme de l'hystéro-épilepsie, tout le monde est d'accor
le mélange s'est effectué et, dans les attaques ultérieures, les deux formes convul-sives se montreront toujours combinées, bi
mbres. Ne paraît-il pas d'après cela très-vraisem-blable déjà, que la forme dite épileptique, n'est à proprement par-ler, que
, car il y a là matière à une ¦importante distinction, que dans cette forme de l'hystéro-épilepsie, l'attaque épileptiforme,
ug-mentation de la contractilité, on ne considère ni l'énergie, ni la forme normale de la contraction, mais bien le simple ra
ssement ou le réchauffement d'une partie se pré-sente sous une double forme : d'abord un phénomène physique, et, à ce titre,
rate et montré qu'elles sont relatives à l'existence, au nombre, à la forme , au vo-lume et à la position de l'organe, l'auteu
très-manifes-tement les inflexions et les dilatations de l'artère qui forme cette partie de la tumeur totale. Le pavillon d
dans le lac vasculaire. La tumeur pâlit rapidement, se durcit, il se forme une eschare superficielle le lendemain. Œdème del
rants désorganise les tissus en contact avec les rhéophores, et il se forme des eschares qui mettent des mois à guérir et qui
emblable sépare également la muqueuse des parties sous-jacentes, sous forme d'une mince couche grisâtre. Ce tissu spongieux
ent du tremblement mercuriel. G. Peltier. BIBLIOGRAPHIE Sur une forme d'arthropathie, par le docteur Collltte, ancien i
res musculaires primitives. Quant au tissu cellulaire sous-cutané, il forme une couche plus épaisse, que M. Gubler mesure ave
a face interne de la côte faisant saillie dans la cavité pleurale, de forme globuleuse, du volume d'une noisette, nettement d
ales se rétablirent complètement, et les matières fécales pri-rent la forme de gros boudins cylindriques1. 1 Rapprochons de
pitre suivant qui aura trait à l'examen histologique des diffé-rentes formes d'hypertrophies. Nous avons aussi négligé à des
1° par le vagin sur une étendue de 3 cen-timètres, à l'endroit où se forme son cul-de-sac postérieur; 2° par la face postéri
nférieurement 9 centimètres 1/2, su-périeurement 15 centimètres. — La forme du col est donc en apparence conique, mais il ne
ndus de la Société de chirurgie, 1872; Revue, p. 178, pl. XVI. deux formes bien tranchées : tantôt elle est due à la compres
fondes qui se distinguent par certains caractères spéciaux des autres formes de la sclérose médullaire: réduction considérable
uisse disparaître sans qu'il se pro luise aucune modification dans la forme de la gibbosité. Pour compléter cette élude, l'
thropathies, zona, eschare sacrée, etc.; 6° Variétés de siège et de forme . Le mal de Pott cervical est surtout intéressant
n et delà déglutition, la paralysie qu'elle amène peut présenter deux formes spéciales : l'hémiplégie liée à la lésion d'une s
r dans les maladies des voies uri-naires. Ce livre est écrit dans les formes adoptées en général pour les traités de thérapeut
li-pomes en pareil cas. Lors de notre premier examen, la tumeur, de forme ovoïde, avait à peu près le volume du poing ; sa.
alangienne relevée c:i avant, de telle sorte que l'axe de chaque pied forme par sa brisure un angle obtus ouvert en dehors et
nt de la colonne vertébrale, entre les deux reins. Ce renflement a la forme d'un haricot, à grand diamètre horizontal. De sa
La colonne cer-vicale est formée par une seule vertèbre affectant la forme d'un axis sans trou pour le passage de la moelle.
de la moelle. L'axis se compose de deux pièces principales : une qui forme le corps et la masse laté-rale gauche, supportant
odontoïde dont le sommet cartilagineux non soudé ; une seconde pièce forme la masse latérale droite. La face antérieure de l
trophiques. Nous les étudierons successivement en commençant par la forme la plus commune, à savoir : l'hypertrophie résult
ie à la vulve. D'après Yirchow, il existe-rait constamment dans cette forme d'hypertrophie un développement considérable des
la mollesse des tissus ; aussi a-t-on, à juste raison, désigné cette forme sous la dénomination d'hypertro-phie molle. Cette
lir d'em-blée le diagnostic de cette variété d'hypertrophie d'avec la forme fibromateuse, où le tissu utérin est dur et rigid
nmoins, M. Demarquay avait, à cette époque, déjà dis-tingué plusieurs formes différentes d'hypertrophies du col utérin, et, no
aire. De ces divers détails il résulte que la connaissance de celte forme d'hypertrophie du col a une importance capitale a
in ; l'agent ner-veux, expression de la vie, est pris dans toutes ses formes , clans toutes ses nuances ; aussi l'auteur aurait
ges. Ad, Delahaye, libraire-éditeur. grand pas à la question, caria forme cristalline est aux yeux de la généralité des chi
m de feu sacré, de feu de Saint-Antoine, peuvent être rapportées à la forme gangreneuse de l'ergotisme. C'est depuis cette ép
vec tous les développements nécessaires ; l'auteur nous montre que la forme convulsive et la forme gangreneuse appartiennent
ents nécessaires ; l'auteur nous montre que la forme convulsive et la forme gangreneuse appartiennent bien toutes deux à l'in
hologie de la rate, par G. Pel-tier (Anal. F. Roque), 519). — Sur une forme d'arthropatliie, par Col-lette (Anal. F. Roque),
8. CLASSEMENT DES PHOTOGRAPHIES Planche I. Paralysie infantile ( forme paraplégique) .... i Planche II. Paralysie infant
tile (forme paraplégique) .... i Planche II. Paralysie infantile ( forme généralisée, n° 1). . . 5 Planche III. Paralysie
(forme généralisée, n° 1). . . 5 Planche III. Paralysie infantile ( forme généralisée, n° 2). . . 5 Planche IV. Autoplasf
70 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
e par l'action de certains rayons sur la plaque photographique : la forme exacte d'une fracture, la détermination de la p
ire et par la méthode de M. Roentgen. Dans la premiè- re épreuve la forme extérieure du membre est seule visible et on ne s
longtemps, l'anesthésie dissociée, quand elle se-présentait sous la forme de l'analgésie et de la thermo-anesthésie avec co
effet, dans l'hystérie, l'anes- thésie se rencontre tantôt sous la forme d'hémi-paralysie du sentiment, nettement circon
ar une ligne mé- diane qui passe par l'axe du sujet, tantôt sous la forme de zones circons- crites, segments géométriques
actères de l'anesthésie. Nous ne constatons pas chez cette femme la forme d'anesthésie qui est habituelle dans les cas de s
l'anesthésie dissociée. Mais pour si habituelle qu'elle soit, celle forme d'anesthésie est loin d'être constante. Ne perdez
e dernière, et à cette occasion, je n'ai pas compté moins de treize formes atypiques de syringomyélie ; j'y pour- rais ajo
ituelle dans la syringomyélie, 1'(i)iesihésie se présentant sous la forme de la tlrennao-rcaaestlcésie et de l'anal- gési
nombre de faits de syringomyélie pure, où l'anesthésie revêtait la forme vulgaire, c'est-à-dire intéressait les trois mode
. Voire que dans les cordons posté- rieurs, elle se présentait sous forme d'îlots qui paraissaient être indépen- dants de
ppenheim (2), dans une première publication consacrée à l'étude des formes atypiques de la syringomyélie, s'était occupé spé
es atypiques de la syringomyélie, s'était occupé spécialement de la forme qui simule avec plus ou moins de ressemblance le
vous ex- pliquer pourquoi l'anesthésie se présente tantôt, sous la forme partielle dissociée, tantôt sous la forme total
présente tantôt, sous la forme partielle dissociée, tantôt sous la forme totale. J'ai déjà eu l'occasion de vous dire qu
re devient tel, après la sor- tie du liquide que la moelle prend la forme et l'aspect d'un ruban étalé ; on ne trouve pas
mplète du droit interne gauche) il apparaît des secousses nystagmi- formes . Le mouvement de convergence s'exécute assez bi
laires à un tabes supérieur. On constate assez fréquemment dans ces formes l'ab- sence du signe de Westphal et du reste no
pas d'accès de douleurs notamment. 1 La sensibilité sous ses trois formes ne présente pas de modifications. Los réflexes
sa partie extérieure de huit petites selles métalliques qui ont la forme d'un n grec, peuvent se mouvoir dans la directi
une large place aux peintres qui, moins soucieux des détails de la forme et plus séduits par les impressions d'ensemble, p
appellent assez bien le type naturel du Féminisme. Le mé- lange des formes qui appartiennent en propre à l'homme et à la fem
ains (2). ' , . Dans les peintures pompéiennes, la prédominance des formes féminines est cependant à noter. L'Hermaphrod
ermettent de se prononcer. Un Féminin seul réalise cette fusion des formes corporelles de l'un et de l'autre sexe. Plusieu
androgynes. L'intention licencieuse est rendue évidente ici par la forme donnée aux draperies qui passent sur les jamhes
ment de la chirurgie hé- roïque que l'artiste a représenté selon la forme de ceux qui étaient usités de son temps. Voyo
ite par l'antisepsie, si la matière des instruments avait varié, la forme n'avait subi que des modifications insignifiant
une collection de ventouses (I), de grosseurs différentes, sont de forme identique à èelles'qu'on emploie encore aujourd'h
servation que nous publions ici est un exemple remarquable de cette forme pathologique ; elle nous a fourni, aussi bien au
de nature indéter- minée, mais d'évolution rapide (début apoplecti forme ) : hématomyélie ? myélite aiguë localisée ? ram
st par conséquent supérieure à celle du renfle- ment cervical. La forme de la coupe est elliptique à grand diamètre trans
diamètre, situé à la hauteur de la 2e paire dorsale, la tumeur, de forme circulaire assez bien circonscrite, occupe toute
une trace. Immédiatement autour de l'adhérence, on la retrouve sous forme d'une banderolle sinueuse, plus épaisse qu'à l'
éosine, on est frappé par le dessin pour ainsi dire schématique que forme la pie-mère, dont l'infil- tration nucléaire do
e, tranchant nettement sur le fond rosé du reste de la préparation, forme des figures élégantes et d'un coloris frappant.
la richesse est poussée à l'extrême autour des racines antérieures, forme des amas plus abondants autour des vaisseaux pi
issus de la périphérie du névraxe ; chaque artériole, chaque vemule forme comme un affluent qui charrie vers le centre de l
thode de Weigert, on est frappé, même à l'oeil nu, de l'identité de forme , de texture et de rapports des deux masses gomm
: A ce niveau, les deux tumeurs sont symétriques et présentent une forme , des rapports et des caractères histologiques i
: tandis que les racines motrices droites ont gardé leur champ uni- forme de tubes nerveux, avec leur gaine de myéline et l
bien est souvent embarrassant un pareil diagnostic, puisque dans la forme anatomique qui aboutit à la production d'une tume
uberculose; nous n'y voyons, au contraire, que caractères communs : forme arrondie et circonscrite,- agglomération con- f
disposée d'une façon asymétrique. Le canal central est dilaté sous forme d'une fissure triangulaire très développée. Q
la région dorsale, au niveau de la commissure blan- che antérieure, forme un diverticule toujours revêtu de la pie-mère leq
oit, au niveau du renflement cervical, le canal central dilaté sous forme d'une fissure qui, de la commissure blanche ant
enfermant de nombreux vaisseaux dilatés. Le canal central n'a plus sa forme de fissure ; il revêt un aspect uniforme, coupa
nal central, tout. en se disposant transversalement, et en prenant sa forme en croix, s'élargit de façon il envahir la supe
ver grâce aux photographies de Roentgen à mesurer exactement sur la forme vivante certains diamètres des bassins rétrécis
ations exactes ren- draient les plus grands services dans certaines formes de viciations pel- viennes qu'il vise spécialem
is acquise. Un jour viendra certainement où l'on pourra classer ces formes mais, pour le moment, clans ce sujet encore à p
ns, on le comprend, émettre qu'une hypothèse. Cette existence d'une forme de paraplégie spasmodique chez les enfants héré
mann formule en ces termes : . « Il existe, chez les enfants, une forme typique de paralysie spasmodique desmembres inf
'on doit différencierdela paraplégie spasmodique congénitale. Cette forme parait appartenir la syphilis héréditaire. Elle s
et l'absence clinique de symptômes céré- In'aux. -^ . - z « Cette forme est rapprocher de la paralysie syphilitique spasm
ure latérale de la colonne vertébrale de telle sorte que le pli que forme la hanche droite est plus marqué que le pli de la
anche gauche. En avant, saillie bombée de tout le thorax qui a la forme d'une pyramide très basse à base très large. '
1862 et 1872, récidives mul- tiples de ces syphilides sous la même forme . En outre, accidents syphilitiques nombreux : f
ché son nom et que nous avons pour notre part (1) proposé d'appeler forme commune de la syphilis médullaire tant sa fréqu
e de l'incisive latérale droite. Canine droite striée, affectant la forme d'un tournevis. Les molaires qui res- tent sont
taches de rétinite pigmen- taire, les unes arrondies, les autres en forme d'ostéoblastes. Ces taches sont 148 NOUVELLE IC
é- brale envahit de préférence le mésocéphale, de même que dans les formes médullaires pures elle affecte une prédilection
llaire, indice de la généralisation initiale du processus, dans ses formes cliniques la syphilis héréditaire précoce et su
s moins long que le mé- tacarpien du pouce ; il a du reste gardé sa forme biconcave habituelle ; sa partie supérieure par
Il faut aussi faire entrer en ligne de compte l'extrême variété des formes pathologiques. Les cas types, exactement superp
ités didactiques,sont,dans la nature, de rarissimes exceptions. Les formes frustes, les variétés mixtes, les combinaisons, l
ifs portant sur les différents systèmes^ et modifiant, soit dans la forme , soit dans le volume, la confor- mation normale
me morphologique, caractérisé par la conservation chez l'adulte des formes e.r- térieures de l'enfance et la non-apparitio
ts atteints par cette maladie. Ainsi, en s'en tenant à l'examen des formes extérieures, est-il prudent de ne pas .préciser
ieure présente une double gibbosité, dorsale et thora- cique ; elle forme un angle ouvert en arrière avec la région lombair
ubi un mou- vement d'ascension qui le rend presque horizontal. Il forme ainsi en avant une bosse que toucherait le ment
rs, s'il s'agissait de rachitisme, on en verrait l'in- dice dans la forme des membres, des jambes principalement. Celles-
ble avoir subi l'omoplate droite, et la position du bras gauche qui forme un arc- boutant destiné à maintenir la stabilit
dicale des Hôpitaux (2). Toutefois, la proéminence du sternum, la forme anguleuse de la gibbosité, l'obliquité des côte
môme origine. (1) Un esclave, qui porte sur ses épaules un fardeau, forme le manche d'un usten, sile de toilette, au musé
le classement des oeuvres d'art. - On se contentera d'indiquer la forme de la déviation (cyphose, lordose, scoliose) et
gré de la pesanteur, et le relâchement des muscles est tel, que la forme même-du membre en est modifiée. En dehors de l'in
que intérêt non seulement en raison de sa na- ture mais aussi de sa forme . Dans deux cas, j'ai observé en même temps que
a une évacua- tion périodique de petites pierres, de couleurs et de formes différentes, sortant soit par la bouclle, soit
dues par Geneviève, et, à côté, un petit tas de pierres, ayant même forme , même consistance et même couleur, si semblable
s le voisi- nage de la maison de la malade, et façonnées d'après la forme des précé- dentes. Leur ressemblance est parfai
légère et rien n'est négligé. Le style indique un rare souci de la forme littéraire. Il est clair, simple et d'une grand
cas d'hystérie où les manifesta- tions de la névrose ont revêtu les formes les plus variées. I Geneviève Martin, fille d
cette opéra- tion lui fit jetter une pierre de la grosseur et de la forme d'une noisette; après les indices que Geneviève
substance extrêmement dure, d'une couleur brune et grisâtre, d'une forme irrégulière. Dans l'intervalle de ces deux dern
Elle en a jeté deux autres de la même nature, longuettes, et d'une forme oliviire. < Depuis ce temps, une grande fa
senti de nouvelles douleurs, une autre pierre à peu près de la même forme , absolument de la même nature, un peu plus grosse
lles ont dû être excoriées même déchirées, soit par la quantité et la forme des pierres qui ont été tirées, soit par l'intr
lles de la Tourette (2) croit pouvoir reconnaître l'existence de la forme généralisée dans deux observations de Carré de Mo
chesne). Il cite un fait personnel qui confirme la réalité de cette forme , plus rare il est vrai que l'oedème unilatéral
e de Crémone, et qu'elle jettait par l'anus il y a une pierre d'une forme ovale irrégulière, longue de trois pouces, large
estomac, reins, vessie. Les troubles vaso-moteurs, affectent tantôt forme éruptive, tantôt la forme-oedémateuse. Les st
dre d'idées, il me sem- ble bien que cet homme va nous présenter la forme congénitale de ce syn- drome anatomo-clinique q
tées ; surtout en avant, au nombre de 29, 14 en haut, 15 en bas, de forme à peu près nor- male, sans signification partic
palatine est profonde, le voile surabaissé ; les piliers sont con- formes , mais la luette est rudimentaire, représentée par
éellement agi ? Est-ce plutôt qu'une syncope, une attaque apoplecti forme de courte durée ; le fait est vraisemblable, ma
us aucune autre cause d'intoxication. , C'est donc en somme une des formes de ces paralysies passagères qu'on peut observe
est-il impossible de prédire d'après l'âge du sujet quelle sera la forme des lésions qu'on peut rencontrer dans ses dive
marquable par sa tendance à la .dégénérescence se présenter sous la forme de .gommes, elles peuvent aboutir à la sclérose,
ont elles-mêmes extrêmement variables, elles comprennent toules les formes ,de dégénérescence cellu- laire, l'atrophie, la
ui s'enfonce dans le sillon longitudinal antérieur est tu- méfié et forme une grosse travée épaisse presque d'un millimètre
ue normalement, on ne trouve plus trace de myéline, une couche uni- forme colorée faiblement en rose par le picrocarmin for
une couche uni- forme colorée faiblement en rose par le picrocarmin forme la partie périphé- rique de la fibre nerveuse e
disposée d'une façon asymétrique. Le canal central est dilaté sous forme d'une fissure triangulaire très développée. Q
ntérieur dans la région dorsale au niveau de la commissure blanche, forme un diverticule toujours revêtu de la pie-mère, le
oit, au niveau du renflement cervical, le canal central dilaté sous forme d'une fissure qui, de la-commissure blanche ant
enfermant de nombreux vaisseaux dilatés. Le canal central n'a plus sa forme de fissure, il revêt un aspect cruciforme coupa
canal central, tout en se disposant tranversalement et en prenant sa forme en croix, s'élargit de façon à envahirla superf
beaucoup trop vaste pour les éléments qu'il renferme, la dure-mère forme un premier anneau. Entre la dure-mère et les pa
nctif très serré où les vaisseaux tiraillés, comprimés prennent des formes irréguliè- res pendant que leurs parois s'épais
aisseaux radiés, on reconnaît bien leur gaine lymphatique vide sous forme d'un espace clair autour d'eux, leurs parois tr
t libres, dans l'espace sous-arachnoïdien. Elle se présente sous la forme d'un trait très fin, légèrement onduleux, concen-
e moelle. En effet les lésions vasculaires quelles que soient leurs formes n'occupentja- mais qu'un point limité du trajet
ES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 301 normale, elle se présente sous la forme d'une bande épaisse disparaissant complètement
out marquée dans la partie postérieure, le processus néoplasique ne forme pas un cercle régulier mais plutôt une sorte de
cises constata- tions. En général, les cellules ollt conservé leurs formes , leur groupement, leur nombre, leurs dimensions
mère, n'adhère pas à la moelle à cause de la rétraction de celle-ci ; forme une ligne mince légèrement sinueuse, contenant
et ses enveloppes sont d'apparence normale. La moelle a conservé sa forme normale, la dure-mère paraît très épaisse, l'es
tout au niveau de l'insertion du septum mé- dian antérieur, où elle forme un triangle de tissu conjonctif très serré dans
e, mais aussi en dehors, bien que d'une manière beaucoup moins uni- forme vers la dure-mère. La dure-mère a une épaisseur
racines sont ici absolument englobées dans le tissu fibreux qui leur forme une vraie ceinture conjonctive épaisse, d'énorm
TRIÈRE demi-circulaire, aplatie, comprimant la moelle qui prend une forme allongée dans le sens transversal et au lieu d'
des sortes de triangles d'infil- tration qui, nés de la méninge qui forme leur base, vont eu s'atténuant vers le 'centre
les nerveux. Région lombaire. -- La moelle est très altérée dans sa forme , le canal épen- dymaire a pris un aspect étoilé
fractueuses bordées par un tassement du tissu conjonctif voisin qui forme ainsi d'épaisses parois à ces vaisseaux de form
ien d'ailleurs ce quepensé unevieille femme,coiffée d'un feutre in- forme , un panier au bras, les mains cachées sous son ta
ils présentent des troubles de la sen- sibilité objective, sous la forme d'anesthésies circonscrites qui portent sur tou
'accompagnent assez souvent de troubles trophiques cutanés, sous la forme d'érttplions(excoriations, eczémas suintants), so
sous la forme d'érttplions(excoriations, eczémas suintants), sous la forme de la chute des cheveux et des poils, sous la f
tants), sous la forme de la chute des cheveux et des poils, sous la forme de cet état luisant connu sous le nom de glossg
t quelquefois son commensal, présenta les mêmes accidents, sous une forme atténuée. Or savez-vous ce que fit découvrir l'
ps, la paralysie guérit totalement, sans laisser de résidus sous la forme de ces atrophies musculaires et de ces rétraction
aigu. M. Dana a conclu, en fin de compte, qu'indé- pendamment de la forme commune de paralysie arsenicale, où l'incoordina-
, où l'incoordina- tion peut s'associer à la parésie, il existe une forme ataxique pure, qui offre de la ressemblance ave
pure, qui offre de la ressemblance avec le 'tabès, l'une et l'autre forme relevant d'une névrite multiple et non d'une my
spinales, et les deux à la fois. Pour ce qui est de confondre cette forme ataxique de l'empoisonnement arsenical avec le
nement arsenical aigu peut laisser des traces persistantes, sous la forme de rétrac- tions tendineuses. Je ne connais pas
sont celles que je vous ai décrites sous les noms de polynévrite à forme paralytique et ((trophique et de polynévrite à fo
polynévrite à forme paralytique et ((trophique et de polynévrite à forme de psewlo-tllbes, la première étant de beaucoup
ralysie amyotrophique peut laisser des traces ineffaçables, sous la forme de rétractions tendineuses. Dans les deux cas l'a
guer la paralysie arsenicale des aulrcs variétés de poly- névrite à forme de poliomyélite antérieure. Je vous ai déjà dit c
intégrale; elle peut cependant laisser des traces persistantes, sous forme de rétractions tendineuses, et par suite réduir
, disjointe, irrégulière dans la région dorsale, elle re- prend une forme il peu près normale dans la région lombaire mais
fente transversale irrégulière et sinueuse se reconnaissent à leur forme cylindrique; on peut encore suivre en partant d
rise avec les cellules motrices, mais il est impossible de fixer la forme de la moelle confondue à sa périphérie avec la pi
tration nucléaire qui en part. , Cependant la dure-mère a repris sa forme arrondie, en cercle sur la coupe. Elle n'est pl
r au lieu de correspondre à Taxe antéro-postérieur du canal vertébral forme avec celui-ci un angle à peu près droit, de plu
issie bourrée de noyaux adhère comme nous l'avons vu à la moelle et forme la limite de toute une partie dégénérée de l'axe
ologique avec l'aspect que nous venons de décrire. La moelle a sa forme normale, ses vaisseaux propres sont éminemment di
nez en forme de bec, que le timbre de voix de Polichinelle, que la forme bombée de son thorax aient pu faire songer à un
n de cetle substitution de nom. Il est possible qu'elle tienne à la forme du nez de Maccus, au son de sa voix, à la configu
71 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
classiques. Lasègue et Landouzy ont insisté sur la différence des formes cliniques et établi une distinction fondamen- t
si l'on veut, à proprement parler de la contracture, mais c'est une forme d'acti- vité musculaire qui s'en rapproche sing
on irrémédiable. III.- Nous avons observé dix cas absolument con- formes à la description générale qui précède. D'autre
ie, n° 13, janvier 1888, p. 24 et n° 4, p. 187). 1 Charoot. -Abasie forme trépidante, etc. Leçons du Mardi, 1888-80. Leço
le petit nombre d'obser- vations connues. M. Blocq distingue trois formes , selon que les fonctions sont amoindries, aboli
fonctions sont amoindries, abolies ou troublées, et chacune de ces formes peut exister sous de nombreuses variétés. M. le
e la faiblesse, de l'incoordination et des mouvements cadencés (à forme de chorée rythmée). M. Charcot propose la divis
asie 1 paralytique trépidante Ahasie ataxiquo trépidante ( chorei forme Notre observation ne rentre ni dans l'une ni da
inhibitoire qui l'arrête net dans sa marche. C'est une abasie sous forme d'attaques. Bien que notre malade ne possède au
sommeil, de catalepsie, etc., il faudra donc ranger désormais cette forme nouvelle, l'attaque abasique, dont nous pensons
un ou l'autre des cordons laté- raux en diverses combinaisons et de formes diverses. En général, l'examen microscopique pr
, etc. Ces amas étaient cir- conscrits et nettement délimités; leur forme était presque tou- jours irrégulièrement ovale.
pliquer au point de vue phy- siologico-pathologique les différentes formes cliniques que revêtent les accidents des scapha
par les accidents cérébraux et tâchons d'ex- pliquer une à une les formes cérébrales. oc). Forme aphasique. La clinique e
ux et tâchons d'ex- pliquer une à une les formes cérébrales. oc). Forme aphasique. La clinique est arrivée, on le sait
aissance de ces données, de faire la physiologie pathologique de la forme apha- sique ? Assurément non. Ainsi une obstruc
me s'y attendre, mais jusqu'à présent, je n'en ai jamais observé. FORME cérébrale paralytique. L'étude de la localisati
e- nant de l'emploi des scaphandres, ce qui n'a pas eu lieu. y) Forme épileptiforme. - De cette forme rare, nous n'av
ndres, ce qui n'a pas eu lieu. y) Forme épileptiforme. - De cette forme rare, nous n'avons eu à rapporter qu'un seul ca
décharge est le spasme musculaire, le trait saillant de l'accès. Forme SENSORIELLE. 1. Yariélé oculaie. Le plus grave
variété auriculaire est le même que celui de la variété oculaire. Forme VERTIGINEUSE. Les vertiges des Observa- TIONs L
, et de cette manière empirer l'état vertigineux de notre malade. Forme mentale. - La pathogénie des accidents en quest
ure de l'agent irritatif explique la durée fugi- tive de l'accès. Forme DE PERTE DE connaissance. La perte de con- nais
période prodromique de ces acci- dents est la même pour toutes les formes . Les symp- tômes qui la constituent sont dus à
nent au centre et aux cordons latéraux de la moelle, nous avons la forme centrale spinale latérale; quand c'est au centr
dons latéraux et postérieurs que les lésions se localisent, naît la forme centralespi- nale postéro-latérale, avec les sy
ésions au centre et aux cordons postérieurs, donne naissance à la forme centrale spinale postérieure. La localisation e
isation exclusive des lésions aux cordons postérieurs, produit la forme spinale postérieure. Enfin, si les lésions siègen
i les lésions siègent à la moitié de l'organe spiual, nous avons la forme unilatérale avec ses variétés intramyélitique o
t, le chien se tenait les membres écartés. D'ailleurs, toutes les formes de la sensibilité étaient normales, ainsi que l
ance blanche autour des cornes grises postérieures (faisceau cunéi- forme de Burdach et segment postérieur du rejeton des c
les fibres du nerf optique se terminent en ramifications arbori- formes dans le corps genouillé externe et qu'il existe u
erronné et controuvé de Sander. L'ensemble de toutes ces anomalies forme les paramnésies. Considéré au point de vue cl
s, la folie a existé pendant un grand nombre d'années, revêtant des formes ordinai- rement dangereuses, sans que leur état
l'autre de ces malades avait commis un crime, - hypothèse que la forme du délire rendait vraisemblable,-on n'aurait pas
d'appétit, et c'est même là un des traits caractéristiques de cette forme d'aliénation mentale. Certains maniaques s'abst
ale, à l'alcoolisme 126 SOCIÉTÉS savantes. et à la folie a double forme . Tout le monde accepte ces modifica- tions. Il
es éliminations successives on peut encore distinguer quatre autres formes de mélancolie : cl). La mélancolie avec conscie
a mélancolie on retrouve des symp- tômes variés se rattachant à des formes très dissemblables et englobés cependant dans u
ns le cas présent, le malade perçoit les impressions optiques de la forme de l'objet, puisqu'il les dessine, il n'y a don
onsciente des impressions optiques et la faculté d'en reproduire la forme à l'état d'images commémoratives. 1 Voir in Arc
fférentiel tirés du symptôme connu sous le nom de verbigéralion. La forme spéciale de loqua- cité ainsi désignée par Kali
de se prononcer, savoir quel est l'état des muscles dans les autres formes d'aliéna- tion mentale. Il se rappelle un cas d
t pris à l'intérieur trois mille unités pharmacodynamiques, quelque forme mentale qu'ils pré- sentassent. Les résultats o
lu en pathologie mentale; mais leurs classifications, basées sur la forme , l'étendue plus ou moins grande des- troubles m
ollaboration avec Lasègue, et la folie circulaire ou folie à double forme , décrite en 18;;4 par le Dr Falret père et Bailla
substantiel. L'histo- génie permet de constater des différences de forme , de volume et d'évolution entre les cellules ép
airie F. Alcan. BOURGUET (L.).- Amyotrophie primitive progressive. ( Forme juvénile de Erb.) Brochure in-8 de 14 pages ave
ate, est tendue entre les deux bords. A un niveau moins élevé, la forme du foyer se modifie encore (V. fig. 20); elle a
offre une coloration jaunâtre; il affecte encore plus ou moins la forme d'un T; il. est situé à l'extrémité du cordon p
on arrive dans le voisinage de la région où la lésion disparaît, la forme de cette dernière se modifie (V. fg. 21); elle
lion, en même temps que des dégénérescences secondaires. Par leur forme , leur dimension, leur situation, ils ressemblen
nnelle des diverses régions du cerveau correspond à des variétés de forme et de structure des éléments anatomiques de ces
nt aux fibres ner- veuses. Quelle est la nature de la substance qui forme le corps de la cellule nerveuse ? Selon Golgi,
moins grande de la cellule, des ramuscules arbores- cents dont la forme varie et sert à distinguer les fibres nerveuses
apparence de vérité ? Golgi nie qu'il y ait à tenir compte de la forme ou de la grandeur des cellules nerveuses pour l
longements nerveux, et dans ses connexions anatomiques, non dans la forme de la cellule, que se trouve à cet égard le seu
, En réalité, Golgi ne trouve dans cette circonvolution que trois formes distinctes de cellules : «, des cellules py- ra
ellules du mouvement et de la sensibilité; anatomiquement, les deux formes d'activité spécifique du système nerveux centra
pareil péri- phérique des sens et de la répétition d'un mode uni- forme d'exatations. Mais, si la fonction des éléments
cette région de l'é- corce,'elles y sont sans doute conservées sous forme d'images visuelles commémoratives, et s'y trouv
ux que montrer, avec ses conséquences physiologiques, la dernière forme qu'a revêtue la doctrine histologique de Golgi.
les nerveuses des corps striés, pyramidales, globuleuses on fusi- formes , varient de 20 à 50 , et leurs noyaux de 5 à '
ns- titutifs, en noter le nombre, le volume, les con- nexions, la forme . Ou pourrait espérer d'arriver ainsi à établir
'étendue de cette circonvolution, confondues avec les deux autres formes de cellules nerveuses. Soit; mais si l'on const
hautes densités spécifiques du cerveau ont été trouvées dans les formes alcooliques et épileptiques de l'aliénation menta
us bases, dans les phrénasthésies et les démences paralytiques. Les formes chroniques de démence consécutive et de délires
ent en général un poids spécifique du cerveau supérieur à celui des formes aiguës et typiques de manie et de lypémanie. Le
processus atrophiques de la substance cérébrale; médiocre dans les formes aiguës typiques de folie ; élevé, dans les form
médiocre dans les formes aiguës typiques de folie ; élevé, dans les formes chroniques, secondaires et dégénératives; très
nienne serait aussi plus vaste, pour les hommes, que dans lesautres formes demaladie mentale, ce que Amadei attribuaitau d
rgeur à peu près égale au collet et affectant très grossièrement la forme conique. Après cet organe un nouvel espace libr
sez fortement en dehors. En arrière, la partie supérieure du thorax forme une convexité très accusée, surtout au voisinag
nne dorsale. La colonne vertébrale est sinueuse, la portion dorsale forme une convexité heaucoup plus prononcée qne d'hab
potasse. Après rectification, l'acide valérianique se présente sous forme d'un liquide incolore, oléagineux, à odeur tenace
s le nom de valérianates ou valérates. Cet acide est monobasique et forme des sels neutres ; il existe cependant des sels
et digérés par le système de l'alimentation, mais que, tandis qu'il forme des constituants d'un côté, d'un autre, il augm
plus haut expliquent sa signification en insinuant que la thyroïde forme le plasma et les corpuscules, et qu'en outre RE
épileptiques, ou somnambules. Mais l'alternance ou le changement de forme de la névrose ne se produit pas nécessairement
'études critiques dans lesquelles nous cueillons le principal. La forme de dégénérescence nerveuse la plus simple et la p
sions épileptiformes, le cas dont il s'agit a simulé à un moment la forme tranquille et démente de la paralysie générale.
osées. Ces mélancolies multiples méritent une place à part, car les formes mentales qui se rencontrent ainsi s'influencent r
M. Charpentieu croit voir dans ce malade un persécuté simple ; la forme anormale de la maladie tient au jeune àge du suje
ers degrés de la rétrogradation déterminent des différences dans la forme des oreilles ; la forme des oreilles varie égalem
adation déterminent des différences dans la forme des oreilles ; la forme des oreilles varie également par suite de l'enr
bien que la partie correspondante du bord de l'oreille conserve sa forme embryonnaire. Dans ce dernier cas, on observe une
té des oreilles que les auteurs considèrent comme dégénérées ou des formes d'oreilles rangées parmi les signes de dégénére
acquière de la valeur, il faut : « 1° Que l'on classe les diverses formes d'oreilles en prenant pour base l'anatomie comp
développement; - 2° que l'on établisse la statistique des diverses formes d'oreilles observées dans la population normale
utres médicaments, tels que, par exemple, la morphine ou le chloro- forme . - 4. Il faut étudier la suggestion au même tit
t cependant, on ne constatait dans l'espèce pas d'ostéomalacie à la forme du bassin. L'examen de deux autres malades atte
tribution à l'histologie et à la classification no- sographique des formes de l'encéphalite aiguë commune non suppurée. -
itive du ramollissement cérébral, on a eu surtout pour objectif les formes suppuratives; mais, à côté de l'encépha- lite a
notamment l'habitude de tenir l'inflammation non suppurée pour une forme évolutive ou curative de l'inflammation suppurati
urée décèle des analogies surprenantes entre cette affection et les formes traumatiques. On y constate : 1° des SOCIÉTÉS S
ite ordinaire consécutive à une plaie traumatique; 4" une cinquième forme , c'est l'encéphalite gommeuse. Aucune de ces mo
genre de mélancolie c'est l'ob- session; elle se manifeste sous la forme d'idées de culpabilité associée à des obscénité
stôt par des hallucinations embryon- naires qui n'atteignent pas la forme parfaite. En même temps on note les symptômes p
res des extrémités, avec sentiment de froid et d'engourdissement (à forme hémiplégique), tremblements ' Voyez sur ce suje
qui apparaît de par des lésions apo- plectiques ou névritiques. La forme et la marche de la P. G. spéci- fique ne sont p
Quand la mémoire perd de son énergie, on a affaire à coup sûr à des formes graves qui généralement aussi se compliquent dès
il me parait établi que, dans les temps modernes contemporains, la forme classique de la paralysie générale caractérisée
la par une faiblesse extrême des facultés intellec- tuelles sous la forme de puérilité aussi parfaite que possible tant d
Sa Majesté est dans un état avancé de folie; elle souffre de celte forme d'affection mentale que les aliénistes connaissen
IN (J.). La cellule nerveuse. Etudes d'histologie zoologique sur la forme dite mvélocyte. - Volume in-8 de 61 pages, avec u
. Jules Worms faisait con- naître l'existence dans le diabète d'une forme de né- vralgie double et symétrique, tantôt sci
t encore plus loin et admet- tent l'existence dans le diabète d'une forme paraly- 316 CLINIQUE NERVEUSE. tique ou mieux
t rendre impossible la distinction entre le tabes et le diabète à forme paraplégique. Il n'y aurait plus pour faire le
s paraplégies diabétiques rentrent dans ce cadre et si, outre cette forme -là, on n'en trouvera point d'autres dans lesque
la périphérie. La zone marginale externe de Lissauer (Z L e, 8) qui forme un revête- ment triangulaire à la corne postéri
traitons par les réactifs ordinaires. La laque hématoxylique qui se forme dans ces con- ditions est beaucoup plus persist
ertaines coupes. Le faisceau pyramidal est également sclérosé et sa forme est semblable à la section de P. Y. S du schéma
s sui- vants. Le cordon de Goll est atteint d'une sclérose uni- forme à partir de la région lombaire inférieure jus-
ent anormal, on comprendra déjà qu'il n'est pas inadmissible que la forme et la distri- bution de la sclérose y revête un
issement, mais peut entrer dans le domaine de la conscience sous la forme d'une image nette, soit sous l'influence de la
même aspect. C'est surtout l'hystérie mâle qui offre parfois cette forme d'anes- thésie que l'on peut appeler grave. Dan
(g. z1) la dégénérescence des cordons de Goll se présente sous la forme de deux bandes qui, partant du sillon médian post
n cas publié par Gowers, ' dont l'évolution s'est accomplie sous la forme de l'ataxie héréditaire, les cordons postérieur
se reproduit le plus fré- quemment dans les observations, c'est la forme et la distribution de la dégénérescence des cor
générescence gagne l'intérieur des cor- dons latéraux, affectant la forme d'un coin dont la base est dirigée vers la péri
tardivement leur myéline se rapproche beaucoup par sa situation, sa forme , sa direction de la bandelette que nous avons t
que ce cas est un de ceux qui correspondent le plus exactement à la forme d'affection mentale que M. Clouston a décrit da
mosées par des espèces de nodosités ou des épaississements funi- formes . Le nucléole est homogène ou composé de granula
re émettent assez souvent des prolongements aculéiformes ou séti- formes qui rejoignent les noeuds du réseau nucléaire. Ce
ndant de temps à autre dans le nucléole plusieurs organites dont la forme , le volume, la réfrangibilité rappellent le nuc
uds du réseau. Sur une coupe transverse, on voit la capsule sous la forme d'un cordon brillant, et, entie deux cellules,
riphérie de cellules voisines se réunissent dans cet organe sous la forme d'une petite nodosité granuleuse; quand la caps
illusion du chez soi et de l'activité personnelle. Quelles sont les formes mentales auxquelles s'applique ce mode de trait
deux autres faits concernent la démence chronique consécutive à des formes indéterminées de folie systématique ; la nouvel
'as- sistance familiale à Dalldorf; elle comprend deux espèces de formes et donne généralement des résultats satisfaisants
de l'axe cérébro-spinal est réservée la localisation réelle de ces formes convulsives. Il est en effet impossible d'attri
an après, Sander détache de cette folie systématique primitive une forme originelle (originaire Verrucktheit) ; il insis
Hambourg de 1876 propose une classification et une étiologie des formes primitives de cette folie systématique; mais quel
stigmatise pas du tout l'élément caractéristique, essentiel, de la forme morbide qui débute par des hallucinations et ce
ut à fait de raison. Sous le nom de Wahnsinn, Griesinger décrit une forme psychopathique qui débute par un stade mélan- c
tématique (Wahnsinn) aiguë et une folie systématique chronique. Les formes qu'il leur reconnaît sont t les suivantes : 1
3n Folie systématique aiguë primitive dontles espèces sont : a) la forme hallucinatoire aiguë : b) la forme mélancolique
ive dontles espèces sont : a) la forme hallucinatoire aiguë : b) la forme mélancolique ; c) la forme maniaque expansive;
a) la forme hallucinatoire aiguë : b) la forme mélancolique ; c) la forme maniaque expansive; il) la forme stupide; e) la
: b) la forme mélancolique ; c) la forme maniaque expansive; il) la forme stupide; e) la forme cataleptoïde (attonisches).
lique ; c) la forme maniaque expansive; il) la forme stupide; e) la forme cataleptoïde (attonisches). Toutes ces formes p
a forme stupide; e) la forme cataleptoïde (attonisches). Toutes ces formes peuvent, d'après lui, guérir. Il maintient le t
e congénitale (ol'iginæl'e) de Sander; il croit qu'il en existe une forme abortive qui se manifeste sous la forme d'inci-
l croit qu'il en existe une forme abortive qui se manifeste sous la forme d'inci- dents, d'épisodes psycliopathiques; ces
aire avec les affec- tions citées plus haut ainsi qu'avec certaines formes de rhumatisme et le gigantisme. La marche en es
nts, sont nécessairement t « fonctionnelles ». 2. Dans toutes les formes de maladie mentale, la tendance com- mune la pl
utissant secondairement à la démence, peut être considérée comme la forme typique de ma- ladie mentale. 428 8 VARIA.
organique (folie de la ménopause, folie sé- nile) qu'à toute autre forme d'aliénation mentale; car alors elle ne ferait
ARCHIVES DE NEUROLOGIE 13ERXARD, - De l'aphasie et de ses diverses formes . 2° édition avec une préface et des notes par l
eur-gérant, BOl'IINEVILLE, TABLE DES MATIÈRES Abasie-astasie sous forme d'attaques, par Ladame, 40. Acéto-phénone (ef
72 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
otie avec cachexie pachydermique. Tête symélrique, assez grosse, de forme rectangulaire ; le front est bombé sur une asse
coloration plus claire. Pas d'éruption eczémateuse. Le visage a une forme rectangulaire il est plus large au niveau des jou
° anomalie d'éruption de la S 1 C'est pour montrer la différence de forme du nez de la malade de celle du nez de ses père
est arrondi, les épaules sont peu saillantes. La colonne vertébrale forme une saillie notablement exagérée au niveau de l
cceur. L'abdomen est volumineux, saillant, proéminent. L'ombilic forme une petite saillie. Les fesses, par rapport au vo
nviron trois centimètres et une largeur un peu plus grande sous une forme étoilée. A aucune époque du trai- r TROIS cas
on peut voir dans le début des lésions qui nous occupent, c'est une forme tout à fait différente : sur une coupe transver
soit par d'autres, nous pouvons conclure qu'il ne s'agit pas d'une forme spéciale, mais au con- traire d'un processus ba
dairement. Le cylindraxe apparaît énorme tandis que la myéline ne forme plus autour de lui qu'une mince enveloppe. C'es
ndée par celle du tissu ambiant. Peu à peu un tissu de sclérose à forme myxomaleuse ou inflammatoire va remplacer le ti
nom d'alexie et Déjerine sous celui de cécité verbale pure. Cette forme d'alexie consiste dans l'impossibilité de lire, l
s, atteints de névrite diabétique dont une affectait tout à fait la forme de névrite ataxique. tandis qu'ils conservaient
ur s'occupe surtout ici du myxoedème acquis des adultes. Dans cette forme de myxoedème, les résultats sont tellement cert
substance tyroïdienne pulvérisée est aujoud'hui considérée comme la forme qui doit être préférée; on peut ainsi la doser
soigneusement observée : elle débute de deux manières; la première forme de début,' qui est de beaucoup la plus ordinair
capable d'abaisser la tension vaso-motrice : elle peut revêtir des formes très diverses. L'auteur a observé, et il rappor
ue les lésions sensorielles ou cérébrales actionnent et donnent une forme précise à la prédis- position. Souvent alors vo
ers ; il est très rare d'en trouver une ayant nettement conservé la forme pyramidale ou triangulaire et possédant '112 CL
nt '112 CLINIQUE MENTALE. un noyau à contours nets; elles ont des formes rondes ou ovales, sans prolongements visibles.
895) M. H. Bordicr nous montre une action toute différente de cette forme de l'électricité sur la température. "L'effluve
nt de muscles. L'excita- bilité du nerf et des muscles pour une des formes de courant ou pour les deux est plus fréquemmen
grès de Bor- deaux, 1895). Il emploie l'électricité sous toutes ses formes en l'as- sociant aux injections hypodermiques d
ervent, respective- ment, d'une manière plus accusée dans certaines formes de crimi- nalité, ne soient très utiles pour cl
tuosités s'accom- pagnent quelquefois d'anomalies anatomiques de la forme du corps, et spécialement du crâne; mais la val
préférer le mot de « dépravation morale >, et de distinguer une forme active (perversité morale) et une forme passive
>, et de distinguer une forme active (perversité morale) et une forme passive (insuffisance morale). Il faut toujou
vement de l'aliénation mentale que lorsqu'ils se présentent sous la forme de véritables explosions et ne sont pas seuleme
égorie de personnes (Edridge Green). Une aptitude spéciale pour une forme d'art paraît limiter l'aptitude pour les autres
iale pour une forme d'art paraît limiter l'aptitude pour les autres formes , et les poètes sont souvent fort mal doués au p
généralement une incohérence de la pensée musicale comme des autres formes de la pensée. Dans la manie subaiguë, les malad
s sains dénués de culture musicale. Dans les folies acquises, les formes supérieures de la faculté musicale, celles où l
cas, s'il s'agit ici d'un cas d'ataxie, il faut qu'il ait été d'une forme particulièrement aiguë. Mais si, d'autre part, on
ent précoce de la maladie, on n'a pas noté que l'excrétion des deux formes de sulfates s'écartât sensiblement de la normal
à des périodes diverses de la maladie la proportion entre les deux formes de sulfates ten- dait à s'accroître à mesure qu
montrent après l'infection typhique, (délires asthéniques), et les formes du début (initialdelirium) des délires fébriles
lus d'une quinzaine. ` Symptomatologie. - L'auteur distingue deux formes : 1° la forme délirante ; 2° la forme maniaque.
nzaine. ` Symptomatologie. - L'auteur distingue deux formes : 1° la forme délirante ; 2° la forme maniaque. Dans la premi
e. - L'auteur distingue deux formes : 1° la forme délirante ; 2° la forme maniaque. Dans la première on note, avant le dé
lcoolique, bien que Je malade ne fût pas un buveur. Dans la seconde forme les symptômes d'excitation maniaque passent au
é des cas recueillis par l'auteur, il n'y avait que trois ou quatre formes relativement légères. Anatomie pathologique et
ifs). A un degré plus accentué on observe la systématisation de ces formes patho- logiques'de l'humeur; enfin l'action dir
ique soigneux . sans lesquels le diagnostic et la thérapeutique des formes si variées de la folie sont choses impossibles
rficielle de l'aliénation mentale de manière « à en reconnaître les formes , après en avoir constaté l'existence. « Par sui
d'une lésion organique tangible qui s'agrandissent aux dépens de la forme idiopathique. Dans bien des cas d'épilepsie idi
n de la substance blanche, surtout dans les cordons postérieurs, en forme des corps amylacés. Payne démontre une altérati
ps thyroïde en nature, tantôt après lui avoir fait revêtir diverses formes pharmaceu- tiques. Nous passerons successivemen
ielsen et IIaslund, de Copenhague, administrent cette poudre sous forme de pilules qui en renferment chacune 5 centigramm
, et 27 a 28 p. 100 de poudre sèche. Cet extrait peut être mis sous forme pilu- laire ou introduit dans une tablette à la
introduit dans une tablette à la dose de S centi- grammes. Ces deux formes pharmaceutiques représentent alors 25 centigram
ns nécessitant l'emploi soit de la chaleur, soit de dissolvants. La forme capsulaire peut, jusqu'à un cer- tain point, me
édisposition des nerfs vagues à subir des altérations dans d'autres formes de névrite, par exemple dans la polynévrite alcoo
sentent de nombreuses petites lignes qui traversent la myéline sous forme d'irradiations irrégulières, et qui prennent lo
e symp- tôme digne d'être noté; il se présente actuellement sous la forme d'une exostose de l'os frontal, ayant son maxim
surtout vrai quand l'exagération est bilatérale et d'intensité uni- forme . L'exagération unilatérale du réflexe du genou
de lacération à une hémorrhagie corticale. Dans ces deux dernières formes la tempé- rature est plus élevée que dans la va
ractère et la fréquence du pouls sont sans relation précise avec la forme , le siège ou l'étendue de l'hémorrllanie. L'appar
ture. Contusion générale. - Elle complique constamment les autres formes de traumatismes intra-craniens, mais elle existe
naison promplement fatale. Il est commun de rencontrer dans cette forme de traumatisme une sensibilité anormale aux impre
é décrit. Cette pigmentation ne parait spécialement liée à aucune forme d'aliénation, bien qu'elle soit incontestablement
tons toujours égaux, quels que soient l'âge, l'épaisseur des os, la forme du crâne, sauf erreur pour les crânes très obli
t l'opinion de Nageotte pour qui la paralysie générale n'est qu'une forme de tabès, ou le tabes une forme fruste de paral
la paralysie générale n'est qu'une forme de tabès, ou le tabes une forme fruste de paralysie générale. P. K. XXIII. UNE
ies fondamen- tales du corps de la cellule, en disant qu'elle a une forme (appa- rente), c'est-à-dire qu'elle est colorab
partie constitutive du même corps cellulaire qui, elle, n'a pas de forme (apparente), c'est-à-dire n'est pas colo- rable
ules quadrijumeaux). La sphère vascu- laire médiane, injectée, a la forme d'un triangle à base vers le pied du pédoncule
pas le centre le plus voisin ; 3° la régression variera suivant la forme de la cellule; d'une manière générale, il s'agira
lières des portions du protoplasma colorables ; puis, pour quelques formes de cellules, de phénomènes spécifiques dans le
volumineux que le gauche. Il est de consistance très molle, mais sa forme extérieure est assez bien soutenue par le lacis
lleuses oblitérées dès leur origine n'apparaissent plus que sous la forme de filets ténus et imperméables. La multiplicit
affection suffisamment dis- tincte pour qu'on la sépare des autres formes de spasmes muscu- laires (et l'auteur penche po
on dans quelques détails sur la nature et les symptômes de diverses formes de paraplégie. R. de MUSGRAVE CLAY. XLII. Un
rie de syphilis cérébrale de Fournier, c'est-à-dire à la syphilis à forme céphalalgique : il est remarquable par la longue
is dont on ne trouvait cependant aucun autre symptôme, et qui était forme )-- lement niée par le malade. Aussi l'examen op
oplégies temporaires; 9° aphasie tempo- raire, quelle qu'en soit la forme ; 10° apoplexie avant l'âge de cin- quante ans (
des crises bizarres, précédées d'une aura (qui se manifeste sous la forme d'un goûL amer dans la bouche) et qui commencen
ogique qui datait d'environ deux ans, et qui se manifestait sous la forme d'une constipation telle qu'il ne pouvait aller
au bout de deux mois tout rentre dans l'ordre. Lwoff. LUI. SUR la forme grave DE la sclérose artérielle DU système NERV
bulbe ne louent qu'un rôle effacé ou ne sont pas seules en jeu. Les formes graves de l'arlério-sclérose se localisent en e
uoique la maladie soit de toute saison, et qu'il n'y ait que peu de formes graves à la saison froide. Rareté des douleurs
scussion intéressante, les auteurs rattachent ce cas complexe à une forme anormale de tabès combiné chez un syphi- litiqu
le tableau clinique com- plexe et polymorphe une seule maladie, une forme fruste de la sclérose en plaques. Il y aurait l
facial et moteur oculaire externe. A côté des trois variétés des formes frustes de la sclérose en plaques par intervent
mbinée de la situa- 296 ,~ ' ` . SOCIÉTÉS SAVANTES. tion et dé la forme particulière d'amnésie (amnésie continue, antér
ne du nom de promnésie. Il serait intéressant de rechercher quelles formes d'amnésie coexis- tent avec la fausse mémoire.
impor- tante est la discussion des scissures transversales et leur forme variée dans les différentes classes des gyrencé
rnal of Mental Science, juillet 1894.) L'auteur énumère, sous une forme parfois humoristique, les ennuis et les déboire
à part, la seconde ne voyant dans les névroses traumatiques que des formes d'hystérie, mais d'une hystérie spéciale, ayant
voit dans les troubles nerveux consécutifs aux traumatismes que des formes hystériques ou neurasthéniques. Chacune de ces
ous les médecins soucieux de connaître et d'apprécier la nature, la forme , la marche et la gravité des troubles si comple
st frappé par le riche développement des cellules de noyaux arci- formes des deux côtés. Dans la moelle épinière, à la hau
il n'y avait pas de trace d'un processus primitif quelconque, sous forme d'une inflammation, d'une dégénéres- cence, etc
parotidiennes, fièvre intense; une vaste collection puru- lente se forme au côté gauche avec induration de toute la région
umé : manie aiguë très violente datant d'un mois. Fièvre typhoïde à forme adynamique grave. Pendant la période d'état, di
plus solides (62 p. 100) chez les maniaques que'dans toute autre forme vésanique. Cette amélioration peut aller dans c
de et le doute. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXVII. La forme spasmodique ET L1 FORME tabétique dans la para-
R.-S. STEWARD. (The Journal of Mental Science, avril 1895.) , La forme de paralysie générale qui s'associe à la force lo
t une étroite relation, à la fois clinique et pathologique, avec la forme d'affection médullaire que l'on désigne sous le
imitive. Dans un petit nombre de cas, la maladie participe des deux formes , mais cette combinaison de symptômes est rare,
de symptômes est rare, et le rattachement primitif à l'une des deux formes est toujours possible. Les recherches de l'au
de paralysie générale, parmi lesquels 85 p. 100 appartenaient à la forme spas- modique et 15 p. 100 à la forme tabétique
85 p. 100 appartenaient à la forme spas- modique et 15 p. 100 à la forme tabétique ; cette proportion est la même pour l
me tabétique ; cette proportion est la même pour les deux sexes. La forme spasmodique débute d'ordi- naire entre trente e
pasmodique débute d'ordi- naire entre trente et quarante ans, et la forme tabétique entre quarante et cinquante ans; et e
tabétique entre quarante et cinquante ans; et en cela, chacune des formes parait se modeler sur le type d'affection purem
ype d'affection purement médullaire auquel elle correspond. Dans la forme spasmodique, la durée moyenne de la maladie est
ue, la durée moyenne de la maladie est de un à deux ans, et dans la forme tabétique de, deux à trois ans. Les crises cong
poplectiformes, paralysies passagères) sont plus fréquentes dans la forme spasmodique; elles sont aussi plus rapprochées
pprochées et plus longues. L'excitation maniaque prédomine, dans la forme spasmodique, et la mélancolie dans la forme tabé-
aque prédomine, dans la forme spasmodique, et la mélancolie dans la forme tabé- tique. - Le poids du cerveau est notablem
règle dans la paralysie générale ; mais il est à noter que dans la forme spasmodique, elle se présente sous la forme d'un
est à noter que dans la forme spasmodique, elle se présente sous la forme d'un ratatinemenl latéral, tandis que dans la f
résente sous la forme d'un ratatinemenl latéral, tandis que dans la forme tabétique, elle prend l'aspect d'un aplatisseme
sont plus ou moins des persécutés, mais quelques-uns présentent une forme particulière de délire; ils ont des ennemis, qu
ent, caractérise sur- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 343 tout cette forme du délire de persécution, c'est sa curabilité (Ba
l'ouïe. Les obsessions et possessions sont fré- quentes dans cette forme , et ont été bien étudiées par Séglas. (Nous ne
montre que la tuberculose revêt, chez les hommes de cou- leur, une forme beaucoup plus active et une marche notablement
rme beaucoup plus active et une marche notablement plus rapide. Les formes très chroniques sont rares chez le noir, et la
s rapide. Les formes très chroniques sont rares chez le noir, et la forme miliaire est au contraire très commune. C'est le
lite, soit de l'entérite, soit encore de l'entéro-colite, souvent à forme ulcéreuse. On ne trouve habituellement à ces diar
«abcès des aliénés »), des éruptions herpétiques et huileuses, des formes insidieuses de pneumonie probablement d'origine
une irritation centrale du nerf vague. Buzzard, parlant de cette forme de diarrhée chez les tabétiques, la rattache à un
ppareil dans 158 cas, qui se répartissent ainsi au point de vue des formes d'aliénation mentale : paralysie générale, 18 c
ité, et 11,3 livres pour la concavité. 3° Dans presque toutes les formes d'aliénation mentale, la résis- tance est dimin
sidérable, il continue à penser que les affec- tions rénales, d'une forme ou d'une autre, sont extrêmement com- munes dan
stiques, il n'est pas aussi évi- dent qu'il l'avait pensé que cette forme d'affection rénale soit tou- jours la néphrite
ibuer des caractères ethnolo- giques propres. Au point de vue des formes de la folie, on constate une prédo- minance rem
Amok et sakit-hati, tels sont les deux noms donnés aux deux grandes formes d'aliénation mentale qu'on observe chez les Mal
une sorte d'hébétude avec dépression et confusion mentale. Les deux formes peuvent alterner comme dans la folie circulaire
paralysie psy- chique est une paralysie centrale qui porte sur des formes déter- minées du mouvement mais non sur quelque
anie. Depuis quelques années on a rencontré chez le nègre certaines formes de maladies men- tales qu'on n'avait jusque-là
riétale gauche, resta atteint d'hystéro-neurasthénie traumatique de forme classique. Le point intéressant de l'observatio
ion à la lumière de la pupille droite. P. KERAY AL, LXIX. Sur une forme très rare DE scoliose alternante dans la sciati
t obser- vations personnelles, cherche à démontrer qu'il existe des formes intermédiaires, entre la maladie de Friedreich,
uteurs. 390 revue d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. Ces formes intermédiaires sont caractérisées par des trouble
t pas diminués. Dans le cordon de Burdach : zone de dégéuération de forme triangulaire à sommet REVUE d'anatomie ET DE PH
ndarLériLe, mais seulement une périartérite très discrète. Dans les formes compliquées d'infection septique secondaire, les
décrites, une des plus fréquentes est l'isolement superficiel, sous forme d'îlot, d'une partie du lobule quadrilatère, or
une courbe uniforme à concavité vers l'abscisse, mais une courbe en forme d'S à courbure inférieure très courte et convex
ectricité, l'action chimique, etc. ; la force nerveuse n'est qu'une forme du mouvement. Les stimuli qui l'ex- citent sont
e conserver l'image. Mais si l'on évalue, con- formément aux autres formes du mouvement, la somme d'énergie dégagée dans u
ose un nouveau qui met les faits d'accord avec la théorie, dans les formes rudi- mentaires de la vie, la réponse localisée
dans les endroits où la foule s'amasse, s'approchent des femmes aux formes saillantes, se frottent contre leur derrière, e
Il montre que les états cataleptiques s'y peuvent observer sous une forme généralement atténuée, incomplète et rémittente
muscle des extrémités, par exemple; les varia- tions, en un mot, de formes et de dimensions peuvent être considérables ; m
ails de sa struc- ture en parlant de ses lésions) et d'un noyau. La forme , l'as- pect, les différences relatives de ces c
mbryologique qui montre que chacun d'eux dérive d'un neuroblaste et forme un tout dès l'origine. Le neurone se présente
nglion intervertébral marche en effet vers le centre du neurone qui forme les cellules de ces ganglions; elle doit donc s
actérisant la dégénérescence ou mieux l'atrophie rétrograde dans sa forme typique. ' Revue de Méd., janvier 1895 et numér
re particulier : au point de vue anatomique elle se confond dans sa forme , si non par sa pathogénie, avec la dégénérescen
ologie DES systèmes DE NEURONES. Le neurone qui est le même partout forme , en se mettant au contact avec les neurones voi
e ces chaînes de neurones constitue le système moteur ; une autre forme le système sensitif; d'autres chaînes de neurones
hologie et une structure pareille, la question de détail (dimension forme , longueur des prolongements, etc.) étant mise à
rones sont dans les voies psychiques, motrices et sensibles, con- formes à cette unité de structure, c'est-à-dire les même
anatomiques du tabès 432 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. vulgaire et de la forme tabétique de la paralysie générale des aliénés,
nes de la chaîne dont les lésions primitives constituent les autres formes des maladies tabétiques. Ces dernières maladies
froy, etc. Voir aussi noire mémoire : Lésions et symptômes spinaux, formes spinales de la paralysie générale. (.4rele. de
Ainsi, par exemple, il n'y a pas d'atrophie de la papille dans les formes spinales tabétiques de la paralysie générale 2 do
intraspinaux. La lésion se poursuit du haut en bas. Cette dernière forme n'a aucun retentissement sur les branches du ne
n exclusive d'ailleurs, de M. Marie, qui ferait de cette variété la forme type du tabes des paralytiques généraux, puisqu
tré- mité. De là une dégénérescence des cordons postérieurs d'une forme toute spéciale, une dégénérescence descendante de
ens très étendu. Ces faits doivent être très rares. Ainsi dans la forme tabétique de la paralysie générale où la lésion o
un peu carré. Dentition. Il existe, à chaque mâchoire, 14 dents de forme normale, d'assez bonne qualité, peu serrées, bi
ieur. Les muscles pectoraux sont volumi- neux ; leur bord inférieur forme un relief prononcé. La région pectorale droite
itude habituelle, la cuisse droite est fléchie sur le bassin ; elle forme un angle d'environ 45° et ne peut être étendue
xtension {ankylose incomplète). Le tendon d'Achille est rétracté et forme une corde saillante sous la peau. Le pied semble
les mouvements de flexion et d'extension sont limités. L'index a la forme d'un moignon boudiné terminé par une sorte de c
s fibres arciformes externes y apportent des fibres du corps resti- forme . Peut-être même celui-ci donne-t-il au noyau du c
, ni 2, 1896.) Dans quelques cas, correspondant cliniquement à la forme appelée par Bianchi « délire aigu bacillaire »,
me un processus de dégénérescence mentale qui trouve dans plusieurs formes paranoïaques inévolutives, station- naires, l'a
e caractéristique aurait quelque importance pour la distinction des formes paranoïaques proprement dites avec les formes s
la distinction des formes paranoïaques proprement dites avec les formes sensorielles et lypémaniaques. J. SEGLAS. LXI.
ns l'organismedébilitéparun travail excessif du système nerveux. La forme anatomique comme les symptômes cliniques sont, da
morbides que l'extension de la civilisation entraîne avec elle. Les formes cliniques sont très variables, mais il est diff
: si ses avantages peuvent être encore mis en doute dans certaines formes de maladies men- tales, ils sont certainement i
irement à ce que le Dr Cainuset a observé pour les deu".e premières formes : la dépression n'apparaissait chez les maniaqu
illesse elle-même. On peut rencontrer dans la vieillesse toutes les formes mentales : il n'y a pas de type constant. La dé
ines idées fixes et délirantes de la folie systématique. Il y a des formes bénignes de cette dernière que l'on peut consid
e par exagération de l'attention, délire d'inquisition, de suspect, forme de l'inquiétude par exagéra- tion morbide de la
s chaque cas a son allure clinique spéciale. On observe surtout des formes paralytiques, spastiques, trémulantes ; puis vi
ngreneux hystérique n'avait pas d'autre cause. La répartition et la forme des paralysies et des anesthésies démon- trent
e chez les enfants à la mamelle comme bien difficile à faire. Les formes graves de l'hystérie sont, pour l'enfant comme po
n : M. WiciiMANN a observé dans une école une épidémie d'hystérie à forme convulsive. Il a constaté aussi des cas de gué-
troubles psychi- ques provoqués par l'alcool, est de 15 p. 100. Les formes cliniques observées sont les suivantes : parano
e trop brièvement analyser, signalons dans ce volumes publiées sous forme d'appendice, de savantes études dues aux élèves
e, à isoler souvent de simples symptômes pour en faire de nouvelles formes qui, scienti- fiquement, n'ont pas plus de rais
fournir la méthode d'observation » ; il passe en revue toutes les formes de maladies mentales, et cherche si à chacune d'e
par llerting, 392. et tabès chez mari et femme, par Mendel, 403. Forme spasmodique et forme tabétique de la -, par S
t tabès chez mari et femme, par Mendel, 403. Forme spasmodique et forme tabétique de la -, par Stewart, 340. Rap- por
z un syphilitique, par Olivier et Ilalipre, 286. - en plaques à forme d'hémiplégie alterne, par Wizel, 287. Sciatiq
73 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
s grande facilité. En règle générale, l'ulcération du derme avait une forme légèrement conique, le fond de l'ulcération étant
ou muscles, portent plus particulièrement les altérations, dans cette forme de paralysie ; si ces altérations sont, comme on
nt que cette ma-ladie éclate simultanément sur plusieurs points, sous forme épidémique, ou bien encore isolément, sous forme
usieurs points, sous forme épidémique, ou bien encore isolément, sous forme sporadique, sans qu'on puisse, cette fois, malgré
traits de ressemblance avec la do- thiénentérie, lorsqu'il revêt la forme typhoïde, ce qui s'observe fréquemment, à certain
n cas de tuberculisa-fion générale aiguë, lorsque la maladie revêt la forme typhoïde (825, B.), l'erreur de diagnostic sera
nnelles (114. C. D. E.). Ici, surtout, les périodes de la maladie, la forme qu'elle affecte primitivement ou qu'elle revêt à
de la première période, si la ma-ladie se montre franchement sous la forme hyperstlaénique (1728), on pourra, chez l'adulte,
fièvre typhoïde ; in Arch. yen. de méd. t. XVIII, 4e série). Dans la forme bilieuse bien dessinée (1728 B), la saignée n'est
affections fébriles que l'on peut aujourd'hui rapporter aux diverses formes de la fièvre typhoïde. Plusieurs auteurs, et des
dication empirique et spécifique. On pourra toutefois l'explorer sous forme d'essai, à condilion d'y renoncer si elle n'améli
s ne devons pas revenir sur les indications relatives aux différentes formes du délire après ce qui en a été dit plus haut (G.
Ce fait est des plus intéressants, mais la nécrose n'est pas la seule forme sous laquelle se manifestent les maladies laryn-g
ment les ulcérations du larynx; surtout on s'était peu préoc-cupé des formes pathologiques autres que l'ulcération. Ainsi, que
mateuse (1852) et étudie précisément, et avec un soin particulier, la forme morbide observée par M. Baudot, et qu'il désigne
la fièvre dont nous parlons (p. 116). » Puis il spécifie les diverses formes observées et leurs proportions respectives. Dans
s décrit spécialement (Pathol. Anat., 3e Bd. Ie lief., p. 19) une des formes de cette affection, Yulcère laryngé étyphique(typ
assez, complète du laryngo-typhus. Il faut d'abord y distinguer deux formes principales : la forme ulcéreuse et la forme nécr
ngo-typhus. Il faut d'abord y distinguer deux formes principales : la forme ulcéreuse et la forme nécrosique. 1° L'ulcère l
abord y distinguer deux formes principales : la forme ulcéreuse et la forme nécrosique. 1° L'ulcère laryngé lyphique siège
tte était venu com-pliquer la laryngite nécrosique aiguë. Aces deux formes d'altérations, il faut joindre la laryngite dipht
idus, pouvaient toujours, suivant lui, rendre suffisamment compte des formes variées que celte maladie peut revêtir, sans pour
phus peut, suivant les circons-tances où il se développe, revêtir les formes les plus diverses. Deux de ces formes, dérivées d
où il se développe, revêtir les formes les plus diverses. Deux de ces formes , dérivées du type primitif, doivent ici fixer not
typhoïde. Enfin, s'il est vrai que l'on puisse voir l'une de ces deux formes du typhus régner, sous forme épidémique, à l'excl
que l'on puisse voir l'une de ces deux formes du typhus régner, sous forme épidémique, à l'exclusion de l'autre, il est plus
raction des cas de transition, par-venir à tracer des tableaux où ces formes d'une même maladie 1. « Dans notre pays (en Irl
l'Europe ont vu, dans ces derniers temps, régner simultanément, sous forme épidémique, la fièvre typhoïde et un typhus avec
ne sont pas deux maladies essentiellement distinc-tes, mais bien deux formes d'une même maladie. (Voy. Roki-tansky, Handbuch d
ntoxication paludéenne (1450. B.) ne peuvent- elles pas revêtir les formes symptomatiqu.es les plus diverses? Cependant n'on
mplication des symptômes et des vices anatomiques particuliers à deux formes d'une même maladie. Quoi qu'il en soit, alors m
Nous manquons malheureusement de détails suffisants à l'égard de ces formes mixtes qui serviraient, suivant certains auteurs,
toutes, dans l'espace de deux ou trois jours, après quoi, il ne s'en forme plus de nouvelles. Il en est qui ne sont pas plus
Maladies infectieuses. 5 nécroscop1e. Vexanthème intestinal, qui forme le principal et le meilleur des caractères anatom
primitif du typhus qui régnent dans ces pays-là ha-bituellement sous forme sporadique, mais qui s'y montrent souvent aussi s
ement sous forme sporadique, mais qui s'y montrent souvent aussi sous forme d'épidémies meurtrières. g. La plupart des méde
qu'on peut extraire de télégrammes La fièvre à rechute simple ou de forme bilieuse s'est mon-trée à Saint-Pétersbourg, pour
mérite d'autant plus de fixer l'atten-tion des médecins, que, dans sa forme bilieuse, c'est une affection grave et qui fait d
convul-sions n'ont été observées que dans un seul cas. Telle est la forme simple de la fièvre à rechute ; la forme bilieuse
un seul cas. Telle est la forme simple de la fièvre à rechute ; la forme bilieuse (febris recurrem biliosa, biliôse typhoi
lieu, 'en général, du dixième au douzième jour de la maladie. Dans la forme bilieuse, l'étude méthodique des symptômes fébril
omissements de sang, plus ou moins altéré, appartiennent surtout à la forme bilieuse. La durée totale de la maladie varie d
pour les faits observés àl'hôpital d'Obuchoff, de 10,77 pour 100. La forme bilieuse est de beaucoup la plus redoutable, surt
ie russe paraît devoir être rapportée surtout à la prôdominence de la forme bilieuse (syndrome ictère grave : — ictère intens
l'observation rien de nouveau, rien d'inconnu à la science; point de forme uni-que, mais bien le genre typhoïde avec diverse
» En 4 840, cette maladie sévit très sérieusement à Moscou, sous la forme bilieuse tout particulièrement, où elle fut étudi
s les » lieux ordinaires, c'est-à-dire aux aines et aux aisselles, la forme épidé-" mique de la maladie, la contrée où elle r
fièvre à bubons qui a sévi à plusieurs reprises, de 1817 à 1838, sous forme épidémique, dans diverses contrées de l'indoustan
Dans la scolie de l'observation XI, Forestus distingue nettement deux formes de peste. Dans l'une de ces formes, la fièvre pes
Forestus distingue nettement deux formes de peste. Dans l'une de ces formes , la fièvre pestilentielle est accompagnée de sign
es fondamentaux, auxquels il est aisé de rattacher ensuite toutes les formes secondaires que peut revê-tir la peste, quelque v
quelque variées qu'elles puissent paraître. Nous distinguerons trois formes principales, savoir: 1° la peste fou-droyante pes
he-not ; lre variété, de Clot-Bey). B. Prodrome commun aux diverses formes de la peste. — Pendant le cours des épidémies de
, les malades, et pré-vient toute réaction de l'organisme. Dans cette forme terrible de la maladie, les pestiférés succombent
ation extrême des forces, aphonie, tendance à la syncope, coma. Cette forme ataxique par excellence, est toujours des plus gr
o-mènes avant-coureurs. L'invasion se fait, en général, comme dans la forme précédente, par un frisson unique et violent ou p
ier point ; le pouls est fréquent, irré-gulier, faible, et sous cette forme , la maladie peut se prolonger parfois pendant dix
urs copieuses, par exemple (Chenot). ê. Il peut arriver, dans cette forme de la peste, que la fièvre soit assez peu marquée
es épidé-mies. La -peste sporadique se montre le plus souvent sous la forme bénigne. F. a. Cet aperçu de la symptomatologie
, et Valleix, Guide du médecin praticien, t. V, p. 541), a décrit une forme de la peste dans laquelle une éruption de charbon
, plus rarement en-core dans le creux poplité. Ils se présentent sous forme d'une tumeur ovoïde, lisse ou légèrement bosselée
sieurs vésicules surmon-tant une induration lenticulaire ; puis il se forme à l'entour une tumeur érysipélato-phlegmoneuse, d
semblables à ceux que nous venons de décrire ; revêtir, en un mot, la forme de fièvre charbonneuse, accompagnée ou non d'érup
les points habités de ce vaste territoire peuvent la voir régnei sous forme d'épidémies plus ou moins meurtrières ; mais il e
distinctement, à toutes les périodes de la maladie et dans toutes ses formes . Tantôt, par exemple, la prostration des forces s
à l'aide des cordiaux les plus énergiques ; tantôt, au contraire, la forme hyperthénique se dessinera assez franchement pour
ncore à de la suie. — Il se manifeste des hémorrhagies passives, sous forme d'épistaxis, de ménorrhagie, d'hématurie, d'hémop
y a indication évidente d'employer les émissions sanguines. — Dans la forme congestive, l'action du poison paraît être, dès l
se relève pas promp-tement de l'état de col lapsus qui caractérise la forme conges-tive, la mort survient nécessairement dans
ont efforcés, dans ces derniers temps, de légitimer l'existence d'une forme de la fièvre jaune dans laquelle la maladie se pr
maladie se montre cons-tamment, pendant sa première période, sous la forme d'une fièvre continue présentantparfoisdesexacerb
sure qu'on s'avance vers le nord de l'Amérique, ses apparitions, sous forme épidé-mique, sont moins fréquentes, sinon moins m
e dans les pays où elle est endémique et où elle revêt fréquemment la forme épidémique. Aux Antilles, pat-exemple, les étrang
unisse et le vomissement noir, dans l'ictère grave ; l'algidilé de la forme congestive se ren-contre dans le choléra asiatiqu
u moins en partie, dans la fièvre jaune, alors même qu'elle revêt une forme anormale, mettrait sur la voie du diagnostic. 7
vements con-vulsifs, sont aussi des signes du plus fâcheux augure. La forme congeslive est en général beaucoup plus grave que
augure. La forme congeslive est en général beaucoup plus grave que la forme inflammatoire. — On doit, suivant M. Dutroulau {l
uivant l'intensité des cas, la prédominance de certains symptômes, la forme que revêt la maladie, la période à laquelle elle
es derniers agents, si la maladie se présentait dès l'origine sous la forme congestive. L'opium, le camphre, le musc, trouven
ccessivement, une à une, à des intervalles très inégaux. Une bulle se forme tout à coup, en quelques heures, et acquiert rapi
(,3e degré). — Les capsules surrénales ont leur volume normal et leur forme habituelle. Elles sont divisées du hile au bord c
ire partie des éléments normaux du derme. Le pigment dans le derme ne forme pas une couche con-tinue, mais est réparti sur de
embrane déchi-rée en plusieurs endroits, elle prenait d'elle-même une forme sphérique. Examinée avec soin, on la trouvait com
oucher vaginal combinés donnèrent pendant la vie une bonne idée de la forme et des rap-ports de la tumeur. Les phénomènes les
dents qu'il cause du côté des voies urinaires, malgré la tumeur qu'il forme dans le rectum en le repoussant; cette tumeur du
qui aurait pu contenir un /erre de liquide. Cette ouverture était de forme ovalaire et avait près d'un pouce de hauteur ; la
ble; car elle seule peut faire connaître, d'une manière précise, leur forme et leur volume, service que la palpation ne pouva
lle a toujours été presque continue et ne s'est jamais présentée sous forme d'accès capable de faire croire à l'existence de
gion du flanc droit et dont la partie supérieure, qui rappelle par sa forme le bord tranchant du foie, descend jusqu'à deux t
sentaient, bien qu'elles ri eussent éprouvé bailleurs, soit dans leur forme , soit dans leurs autres caractères, une modificat
nt suspenseur du foie, la face supérieure et antérieure de cet organe forme la paroi inférieure d'un vaste kyste, dont le dia
t, coiffés par le péritoine. Us sont suspendus par un pédicule qui se forme très probablement par l'effet des tiraillements f
ourgeonnement n'est pas régulier et donne lieu à des excroissances de formes très variées. La membrane germinale et les échino
alors l'estomac se gonflait de telle sorte que l'on re-connaissait sa forme en examinant la paroi abdominale. C'est alors aus
quantité à'algue du froment (crypotococcus cerevisiœ, Kiitzinc). Elle forme à elle seule en-viron la moitié de la masse des m
ètre de long. Un certain nombre égale-ment sont remarquables par leur forme régulièrement ou presque régulièrement hexagonale
mesure qu'il absorbait Thumidité de l'air, et alors tous prenaient la forme hexagonale, avec des stries parallèles aux arêtes
vait le plus facilement ces cristaux, même lorsqu'il était élendu. La forme de ces cristaux et leurs réactions rapprochent ce
on ascendant ; 2° d'une partie du côlon transverse, qui remonte, sous forme d'anse, en avant du foie; 3° d'une petite partie
t dila-tées. Au commencement de l'S iliaque, nouvelle dilatation sous forme d'ampoule, puis nouveau rétrécissement; nouvelle
circonstances diverses qui peuvent modifier une même maladie, dans sa forme et dans ses tendances vers la guérison ou vers la
n, devrait-on les prescrire si la maladie venait à revêtir une de ces formes graves dont les fièvres intermit-tentes pernicieu
s accès de goutte articu-laire, principalement lorsqu'il s'agit de la forme asthénique de la maladie. On trouverait au besoin
érapeutique. «La gravité incon-testable de la pneumonie, sous quelque forme que cette mala-die se présente, suffit pour nous
des catégories, et se poser en-suite le problème sous cette nouvelle forme : Y a-t-il des pneumonies qu'il est avantageux
c'est dans l'intensité plus ou moins grande de l'affection, dans la forme qu'elle revêt, dans l'influence de la constitutio
e comptée au nombre des plus tardifs : ceux-ci, très variés dans leur forme , mais remarquables presque toujours par leur gran
nt sont décom-posés et passent à l'état insoluble principalement sous forme d'oxyde d'ar-gent et d'argent métallique et peut-
rs douleurs dans le dos à peu près continues, mais s'exaspé-rant sous forme d'accès et accompagnée d'un sentiment de cons-tri
où la dose du médicament était accrue. En somme, aux doses et sous la forme que nous avons indiquées, le nitrate d'argent a
comme nous ne savons pas encore, d'une manière positive, sous quelle forme les sels d'argent ingérés dans l'estomac sont abs
opérations de la nature, car il est assez probable que c'est sous la forme d'une combinaison pro-téique que l'argent pénètre
de cette base : en effet, le métal est toujours absorbé sous quelque forme qu'on l'administre, et du moment qu'il a pénétré
andes croit qu'il existe à l'état d'oxyde, et Krahmer prétend qu'il forme un albuminate. On attribue en général ce singulie
point de vue médi-cal, une action à peu près identique. Sous quelque forme qu'on l'administre, l'argent, dissous dans les su
nt sont décomposés et passent à l'état insoluble, principalement sous forme d'oxyde d'argent et d'argent mé-tallique ; et cep
être administré en pilules ou en solution ; mais, sous cette dernière forme , il est beaucoup plus irritant. Powel a pu en pre
sont au nombre de 17, 12 femmes et S hommes; tous appartenaient à la forme poly-articulaire. La plupart étaient d'intensité
t à penser que cette médication n'est pas applicable seulement à la forme aiguë du rhumatisme articulaire. Je l'ai vue déjà
ulaire. Je l'ai vue déjà plusieurs fois suivie de bons effets dans la forme subaiguë de la maladie, et même aussi dans sa for
ns effets dans la forme subaiguë de la maladie, et même aussi dans sa forme chronique primitive, au moment de ces exacerbatio
as où le rhumatisme articulaire, qui s'était présenté d'abord sous la forme aiguë généralisée, s'est, au bout de quelques jou
— convalescence, 133; — variétés, 133 ; — type inflamma-toire, 134; — forme congestive, 134; — forme algide, 134; — bé-nigne,
ariétés, 133 ; — type inflamma-toire, 134; — forme congestive, 134; — forme algide, 134; — bé-nigne, 134; — type rémittent et
démie de St-Pétersbourg, 74, 85 ; — inva-sion, 75; — symptômes, 76; — forme simple, 76; — forme bi-lieuse, 77; — terminaison
urg, 74, 85 ; — inva-sion, 75; — symptômes, 76; — forme simple, 76; — forme bi-lieuse, 77; — terminaison des accès, 78 ; — ph
iographie, 93: — défini-tion, 95;— synonymie, 95; — symptômes, 96 ; — formes , 97; — prodrmes communs, 97; — peste foudroyant
; — formes, 97; — prodrmes communs, 97; — peste foudroyante, 98; — forme ataxique, 99; — peste grave, 100 ; — bubons, 10
74 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
. En premier lieu, c'est la sclérodermie considérée dans une de ses formes , la forme dactylique, scléro-dactylie de M. Bail,
ier lieu, c'est la sclérodermie considérée dans une de ses formes, la forme dactylique, scléro-dactylie de M. Bail, variété m
e. En second lieu, vient la lèjore, mais la lèpre envisagée dans la forme dite anesthésique, variété mutilante, lepra mutil
le M. le professeur Bail, qui en a fait une importante étude, est une forme de la maladie, décrite autrefois par Alibert, pui
tions, les quatre doigts de chaque main sont pris. Ils ont perdu leur forme primitive et ils sont devenus absolument coniques
isse et ne présente à peu près aucune trace de rides. La bouche a une forme singulière ; elle est en quelque sorte complèteme
ostic de cette maladie. Arrivons maintenant à la lèpre. C'est de la forme anesthésique exclusivement que je veux vous parle
ns. Tout anesthésique qu'elle soit et différente en apparence dans la forme de la lèpre tuberculeuse, elle lui est cependant
par Cornil sur les lépreux de Grenade. Souvent, d'ailleurs, les deux formes coïncident. C'est aujourd'hui pour nous une mal
ue, quand les malades l'ignorent et qu'elle se présente chez eux sous forme d'atrophie musculaire, en particulier des mains.
mains. Voici quelles sont les déformations que peut produire cette forme de lèpre au niveau des extrémités et en particuli
s; tremblements hystériques oscillatoire, vibratoire et intentionné!. Formes généralisées ou partielles. Leur mode d'apparitio
attachera désormais à l'étude de ce phénomène. L'hystérie, dans cette forme , pourra simuler toutes les espèces de tremblement
ons qu'ils se montrent tantôt généralisés, tantôt partiels, tantôt de forme monoplégique, paraplégique ou encore hémiplégique
à la suite d'une attaque hystérique, quelle qu'en soit d'ailleurs la forme , convulsive ou apoplectique, constituera un carac
des types que je viens de vous signaler tout à l'heure. Il s'agit de formes généralisées du tremblement hystérique. Je n'ai e
ue. Je n'ai en ce moment, sous la main, aucun sujet atteint d'une des formes localisées. Mais j'espère vous en montrer un jour
une de ses conférences cliniques (1), un nouveau malade atteint de la forme intentionnelle du tremblement hystérique. Je donn
rle, chez la malade en question. Bien qu'elle se présente là sous une forme relativement un peu anormale, le cas, vous le rec
ine ne paraît pas constituer une entité, une unité; elle comprend des formes , deux au moins, tellement différentes par leurs a
sont depuis lontemps devenus coutumiers du fait. A propos de cette forme de la migraine, je rappellerai que le pronostic p
a douleur s'accompagne d'ailleurs généralement, comme dans les autres formes de la migraine, de malaises, de nausées et de vom
crit. Mais, dans tous ces auteurs, je ne vois guère signalée qu'une forme de l'œdème que nous appellerons, si vous voulez,
ai pas trouvé, autant que je sache, de mention explicite d'une autre forme d'oedème, qui, comme celui de Sydenham, est repré
e qu'elle frappe l'œil tout d'abord, si je puis ainsi parler. Cette forme d'œdème névropathique ne diffère point, je pense,
articulations des phalanges ; la peau à ce niveau, à la face dorsale, forme un bourrelet très accusé, de coloration plus fonc
de la colonne vertébrale. Du côté du genou, légère modification de forme due peut-être aux altérations du tissu sous-cutan
-sacré, dit M. le professeur Lannelongue, elles se présentent sous la forme de sciatique, de névralgie crurale ; elles ne dev
ez, les sciatiques en primitives et symptomatiques ; on distingue une forme bénigne qui relève plutôt de la scia-tique-névral
ne forme bénigne qui relève plutôt de la scia-tique-névralgie, et une forme grave qui appartient à la sciatique-névrite, ce q
ction des cellules motrices. Ce procespus se rencontre dans certaines formes de l'alcoolisme et de la diphthérie comme l'ont m
nt donné de rencontrer une paralysie double des muscles de l'œil sous forme d'Ophthalmoplegie externe. Dufour en compte 19 ca
également, et le segment de membre a conservé presque complètement sa forme . Aux mains la paume présente l'aplatissement de l
t au premier abord absolument indemnes. Les cuisses ont conservé leur forme normale, ainsi que les jambes. La résistance à to
eur gauche. — Dynamomètre = 0. La main ne serre pas du tout. La paume forme un creux que le malade ne peut faire disparaître.
r partie inférieure qu'à leur partie supérieure, des bras qui ont une forme cylindrique, des épaules qui ont perdu leur ronde
ir le malade debout. L'amaigrissement du triceps est tel que le genou forme comme une forte saillie entre la cuisse et la par
lioencéphalite : la myopathie progressive, en par- tieulier dans sa forme facio-scapulo-humérale. L'ha-bitus extérieur est
adie myopathique. On peut en dire autant du faciès si spécial de la forme facio-scapulo-humérale de la myopathie. La chose
trophie musculaire, troubles de la sensibilité, troubles tro-phiques. Formes frustes et atypiques. Symptômes de la maladie d
dernières années de la syringomyélie et de la maladie de Morvan, deux formes noso-graphiques récemment introduites dans la cli
roupe morbide dit maladie de Morvan ne serait plus qu'un épisode, une forme , une variété delà syringomyélie. Il est devenu
e seulement, tout originale qu'elle puisse paraître cliniquement, une forme atypique de la maladie syringomyélique (1). Mai
e musculaire progressive généralisée dans de certaines conditions, il forme un ensemble caractéristique, surtout s'il s'y joi
pasmosdique, ceux-ci au groupe tabétique. Telle est en raccourci la forme typique de la syringomyélie. Mais, de même que da
ante de la 5e paire), il fallait s'attendre à voir intervenir ici les formes atypiques, anormales, frustes, par dégradation du
gradation du type, ou par adjonction de symptômes extrinsèques. Ces formes frustes et anormales n'ont pas encore, comme dans
t qu'un. Toutefois, en raison de leurs caractères spéciaux, certaines formes de la syringomyélie devront être vraisemblablemen
vie clinique. Je vous proposerai, en conséquence, d'appliquer à cette forme la dénomination de syringomyélie, type Morvan (2)
0, M. Jules Worms faisait connaître l'existence dans le diabète d'une forme de névralgie double et symétrique, tantôt sciatiq
ont encore plus loin et admettent l'existence, dans le diabète, d'une forme paralytique ou mieux paraplégique et plus précisé
aient rendre impossible la distinction entre le tabès et le diabète à forme paraplégique. Il n'y aurait plus pour faire le di
les paraplégies diabétiques rentrent dans ce cadre et si, outre cette forme -là, on n'en trouvera point d'autres dans lesquell
rne et moyenne, puis sortent de l'épaisseur de ce dernier organe sous forme d'un tronc unique qui n'est autre chose que l'ocu
grand'mère enfin est atteinte déjà depuis longtemps de folie à double forme . Voilà bien un tableau complet d'hérédité conve
le a eu dans sa première enfance la rougeole et la variole sous une forme bénigne. A sept ans, elle a commencé à fréquenter
oici venir la période critique. Il s'agit maintenant de discerner les formes imparfaites, les formes frustes de la maladie, et
itique. Il s'agit maintenant de discerner les formes imparfaites, les formes frustes de la maladie, et l'histoire de ces 1 L
Leçon du 5 mai 1891, recueillie par M. Hallion, interne du service. formes , qui serait si intéressante pour éclairer le diag
. Je n'insiste pas, vous connaissez l'influence de la scoliose sur la forme de la cage costale. J'ajoute qu'il n'existe dans
Mais la disposition de cette zone est bien singulière. Pourquoi cette forme de languette sur le bord interne du bras et de l'
re commise. En raison de la multiplicité de ses localisations, de ses formes et de ses dimensions, la lésion lacunaire est cap
ties blanches adjacentes et, de ce fait, il est permis d'admettre une forme clinique en quelque sorte typique et caractérisée
modique pure et simple. Il n'est pas à notre connaissance que cette forme clinique ait encore été signalée. En dehors de
linique fondamental. D'ailleurs si le syndrome de Morvan répond à une forme fruste de syringomyélie, nous savons, à n'en pas
circumduction, sans faire aucun effort pour lever le pied. Dans cette forme « on balaie le sol en marchant. » Ce signe est
était fort atténuée chez notre malade ; elle n'existait plus que sous forme d'ébauche, de vestiges qui ne sont pas encore eff
, c'est-à-dire une destruction irréparable. En d'autres termes, il se forme un foyer de ramollissement. Et si l'artérite qui
nir assombrir encore une situation déjà si profondément triste. Des formes frustes de la sclérose en plaques ( I ) ; Somma
Des formes frustes de la sclérose en plaques ( I ) ; Sommaire. — Formes classiques, spinale, cérébrale et cérébrospinale
laires. Vertiges, attaques apoplectiformes. Mobilité des symptômes. Formes frustes par effacement. Formes atypiques abortive
lectiformes. Mobilité des symptômes. Formes frustes par effacement. Formes atypiques abortives ou frustes primitives. Formes
tes par effacement. Formes atypiques abortives ou frustes primitives. Formes atypiques par intervention de phénomènes insolite
ue, tabétique, latérale amyotrophique. Présentation d'un exemple de forme fruste par effacement. Messieurs, La sclérose
ntion aujourd'hui — et ceci nous servira d'introduction à l'étude des formes anormales — sur certaines manifestations moins bi
e qu'il va tout à l'heure nous servir de guide dans le diagnostic des formes atypiques que nous allons aborder ensemble. Lai
ument d'une portée en quelque sorte décisive (1) .» Au surplus, ces formes atypiques ont déjà une histoire que je dois vous
gaire, l'incoordination motrice par exemple... De ce jour l'étude des formes anormales du tabes était inaugurée. En raisonnant
ette médicale de Paris, 8 janvier 1878. (2) Charcot. Diagnostic des formes frustes de la sclérose en plaques, Progrès médica
de la Clinique deux malades atteints de sclérose en plaques anormale ( forme paraplégie spas-modique avec nystagmus). Tous les
ent..... 2° Les signes concomitants, que l'on constate souvent sous forme d'embarras de la parole, de diplopie, de nystagmu
e de pratiquer l'examen ophtalmoscopique. (1) Bouicli. Anomalies et formes frustes de la sclérose en plaques. Th. de Paris,
ou la bandelette. Il est clair que la constatation, dans certaines formes anormales de sclérose en plaques, de lésions opht
tance de l'examen ophthalmoscopique au point de vue du diagnostic des formes atypiques de la sclérose en plaques. Vous devrez
oubles de la vision. J'arrive maintenant à l'étude diagnostique des formes anormales ou frustes de la sclérose en plaques. J
aques. Je dis frustes en appliquant cette épithète indifféremment aux formes effacées et aux formes incomplètes, en dépit des
n appliquant cette épithète indifféremment aux formes effacées et aux formes incomplètes, en dépit des critiques de certains p
laissé entraîner et poursuivons notre étude. Le tableau général des formes frustes de la sclérose en plaques peut se diviser
e la sclérose en plaques peut se diviser en trois parties : A). Les formes atypiques ou frustes par effacement. — Il s'agit
). Les formes atypiques ou frustes par effacement. — Il s'agit ici de formes effacées, frustes dans le sens restreint des puri
de formes effacées, frustes dans le sens restreint des puristes. Ces formes sont le plus souvent représentées en clinique par
e sclérose en plaques fruste appartenant à cette catégorie. B). Les formes atypiques abortives ou frustes primitives. — Ici
arrêt de développement et n'est jamais arrivée au type parfait. Cette forme anormale est également représentée d'ordinaire pa
c. Je vais dans quelques instants vous en donner la preuve. C). Les formes atypiques ou frustes par intervention de phénomèn
étés principales : Io La variété hémiplégique. — L'hémiplégie, sous forme d'hémiplégie cérébrale, n'est pas absolument étra
itive et devenir le signe prédominant. Vous avez alors devant vous la forme hémiplégique, cette variété si curieuse déjà indi
alades qui vont nous permettre de constater de visu la réalité de ces formes frustes et d'appliquer les principes nécessaires
ule, je veux dire les notions fondamentales pour le diagnostic de ces formes frustes. Vous voyez que ses mains ne tremblent pl
ire aigu ; elle a progressé insensiblement et a fini par atteindre la forme complète et typique de la sclérose cérébro-spin
ons appris à connaître le tremblement hystérique qui, sous une de ses formes (type Rendu), simule à s'y méprendre celui de la
at. J'en ai fini pour aujourd'hui avec cette étude générale sur les formes frustes de la sclérose en plaques. Vous connaisse
ystériques. « Ce phénomène, dit-il, est fréquent dans les psychoses à forme dépressive, dans l'hypocondrie, la mélancolie; on
I, avant de présenter des crises véritables de bâillements, deuxième forme de cette manifestation, bâillait pour ainsi dire
s convulsives limitées ou généralisées de l'hystérie se groupant sous forme d'attaques. Il existe dans tous ces cas un fonds
tempes; puis, après un temps variable, éclatent les bâillements sous forme d'accès. Ils se précipitent alors beaucoup plus
ccès. Ils se précipitent alors beaucoup plus rapidement que dans la forme précédemment décrite, empiétant les uns sur les a
nt pour passer à l'état intermittent ou revenir ultérieurement sous forme d'une nouvelle crise. Il est bien rare que la c
e période ou de délire. La prédominance des bâillements fixe seule la forme de l'attaque. Parfois l'attaque de bâillements
ntiel peut se poser. Lorsque les bâillements ne sont pas groupés sous forme d'attaques, le rythme et la cadence sont des élém
e convulsive, sont également applicables aux bâillements hystériques, forme rare de l'attaque. Dans un cas que nous avons obs
s d'une série de bâillements précipités, convulsifs, se groupant sous forme d'attaque. Or, nous notons encore dans cette péri
e les bâillements qui surviennent à l'état isolé sans se grouper sous forme d'attaques n'influencent pas les phénomènes nutri
e temps qu'elle. C'était une hystérique vulgaire à grandes attaques à forme de somnambulisme nocturne, qui se mit, sous l'inf
; tremblements hystériques oscillatoire, vibratoire et intentionnel. Formes généralisées ou partielles. Leur mode d'apparitio
trophie musculaire, troubles de la sensibilité, troubles tro-phiques. Formes frustes et atypiques. Symptômes de la maladie d
ésentation d'un malade de cette seconde catégorie. . 385 XXI. Des formes trustes de la sclérose en plaques. (Leçon). S
es formes trustes de la sclérose en plaques. (Leçon). Sommaire. — Formes classiques, spinale, cérébrale et cérébrospinale
laires. Vertiges, attaques apoplectiformes. Mobilité des symptômes. Formes frustes par effacement. Formes atypiques abortivc
lectiformes. Mobilité des symptômes. Formes frustes par effacement. Formes atypiques abortivcs ou frustes primitives. Formes
tes par effacement. Formes atypiques abortivcs ou frustes primitives. Formes atypiques par intervention de phénomènes insolite
e, tabétique, latérale amyo-trophique. Présentation d'un exemple de forme fruste par effacement........;..........399 XXI
aralysie agitante : démarche dans la —, 50 ; tremblement hystérique à forme de —, 50. Paralys:e faciale hystériq ue, 290, 2
thésies dans la —, 400 ; Troubles oculaires dans la —, 400, 403, 407; Formes frustes de la —, 402, 409; Diagnostic des forme
—, 400, 403, 407; Formes frustes de la —, 402, 409; Diagnostic des formes frustes de la —, 405 ; Formes abortives delà—, 41
tes de la —, 402, 409; Diagnostic des formes frustes de la —, 405 ; Formes abortives delà—, 410; Forme hémiplégique de la ,
nostic des formes frustes de la —, 405 ; Formes abortives delà—, 410; Forme hémiplégique de la , 411; Variété tabétiforme de
syringomyélie, 336. Tremblement hystérique, 46 ; classification et formes diverses dos — hystériques, 50 ; — hystérique et
75 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le. A propos des psychoses fonctionnelles, Sommer a insisté sur les formes peu connues des praticiens (démence paranoïde,
sabre à la partie moyenne pour retrouver en partie aux épiphyses sa forme cylindrique. Les arti- culations scapulo-huméra
41 Tête assez grosse, volumineuse à la partie supérieure. Crâne : forme ovoïde : la partie postérieure est très volumineu
al, jusqu'à neuf mois. Surviennent à ce moment des convulsions sous forme d'état de mal (2 heures), qui se 1'ir, tl. Lem.
es fréquemment de neuf mois à deux ans presque quotidiennement sous forme plutôt de petits accès. De deux à trois ans, el
de 60 ans. C'était un imbécile congé- nital, dont la tête était de forme à peu près normale, le corps et 64 REVUE D'ANAT
s de la moelle, qui ne conservent que le degré le plus faible ou la forme la plus élémentaire d'irritabilité réflexe. H
RVEUSE. 69 Il s'agit de deux cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse d'une forme particulière caractérisée : 10 Par le début p
ntestable et que la grande névrose est susceptible de créer'une des formes quelconques de l'aphasie motrice ou de l'aphasie
ait exister. (Revue neurologique, avril 1901). E. B. VII. Sur une forme de myopathie progressive primitive avec ptosis
M. le D 1. MARIE. La division de la myopathie progressive en trois formes , d'après la localisation de l'affaiblissement m
faiblissement débute et se localise dans les membres inférieurs, la forme est dite de Leyden llfubius; quand il occupe su
ceinture scapulaire et de la ceinture pelvienne, on a affaire à la forme juvénile de Erb ; enfin, si les muscles des lèv
culaire des paupières sont affectés, on se trouve en présence de la forme facio-scapulo-liumérale de Landouzyet Déjerine.
mérale de Landouzyet Déjerine. Il semble cependant qu'a côté de ces formes fondamentales il y ait lieu de faire une place
rités assez importantes, ne sauraient être classées dans aucune des formes précitées. Dans l'observation qui fait l'objet
ssement des muscles masticateurs qui n'appartiennent nullement à la forme facio-scapulo-liumérale de la myopathie. C'est
on des mouvements de masti- cation, qui n'appartient nullement à la forme facio-scapulo- humérale. (Revue neurologique. l
du plexus bracliial, ne constitue pas un syn- drome spécial à cette forme de syringomyélie (Revue neurologique. Février 1
juillet 1902). Cas. L Atrophie musculaire progressive juvénile, ( forme d'Er6). Fillette de six ans, d'origine russe :
'un traumatisme. Plus tard, apparurent des troubles mentaux sous la forme de catatonie agitée. Réactions électriques des
s les idées sociologiques ne permettent plus de maintenir sous sa forme absolue le dogme du secret professionnel. Si la m
suivant leur cas pathologique, c'est l'une ou l'autre de ces trois formes qui assure l'eflicacité de la suggestion thérap
dentels, 102 alcooliques habituels, 71 dipsomanes, 19 alcooliques à formes mélangées, en tout 250 hommes. Les alcoo- lique
res d'infortune de la victime pour laquelle je plaide, je me trans- forme en accusateur. et je demande la condamnation d'un
Ires obliquement en haut et en arrière. L'inclinaison decette face forme avec 1'liorizotilaie l'angle que nous avons sig
nt, comme on peut s'en rendre compte en 10, fig. 19, notamment, une forme irrégulière; ils sont gonflés et tortueux, parfoi
rés; leur article externe est presque toujours très gonflé, il a la forme d'une sphère, énorme parfois, il a éclaté en ce
e couche, sont plus ou moins altérées, quel- ques unes perdent leur forme polygonale et sont plus ou moins ar- rondies, l
onstatation de la glycosurie alimentaire et de l'urobi- linurie, la forme polycyclique de la courbe d'élimination du bleu
é, chez un brightique, s'est développée une me- ningo-encéphalite à forme spéciale (type Klippel). Chez ce malade, sur le
tique qui sera institué remplacera et sera le supplément des autres formes de travail manuel. L'opinion formulée par les
ement d'hy- drothérapie. On y traite des malades libres affectés de formes de psychoses légères, et les cas de troubles me
sont moins communs chez les paralytiques généraux que dans d'autres formes de folie, la folie sénile, par exemple. Les cri
ment fréquents, et le plus souvent la tendance au vol accompagne la forme expansive de la maladie ; elle est rare chez le
e sait, communs au début de la paralysie générale sur- tout dans sa forme expansive. , L'auteur s'attache ensuite à étudi
présentent des signes de sénilité prématurée, et Cullerre a noté la forme dépressive dans les cas où la maladie est assoc
0 paralytiques alcoo- liques, Talon n'a rencontré que douze fois la forme expansive. Même observation pour l'intoxication
énérale survient chez un persécuté, il est naturel de penser que la forme affective en subisse l'influence et sera une fo
de penser que la forme affective en subisse l'influence et sera une forme dépressive ; c'est ce que l'ou observe en effet.
ique est saine et normale, les sentiments effec- tifs revêtiront la forme optimiste, et si cette forme est particulière-
s sentiments effec- tifs revêtiront la forme optimiste, et si cette forme est particulière- ment fréquente, c'est que la
les mêmes symptômes opti- mistes doivent se retrouver dans d'autres formes de démence, où l'intégrité des fonctions organi
dans l'alcoolisme (Régis, Camuset), dans la démence due à d'autres formes de lésions organiques du cerveau (Jastrowitz, B
s du goût et de l'odorat : les idées délirantes revêtent souvent la forme sexuelle. 158 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. L'inf
pé- rale et folie de l'allaitement. La folie de la grossesse est la forme la plus rare, la folie puerpérale la forme la p
e de la grossesse est la forme la plus rare, la folie puerpérale la forme la plus commune. L'étude des cas observés à Bro
ur, parfois, se prolonger à un âge avancé. Il apparaît seul sous la forme de dmii- nution du réflexe de la déglutition, o
aucun point de l'aire motrice. Il. de Musgravë-Clvy. XXVIII. Les formes silencieuses de l'Epilepsie ; par William P. SP
tobre 1902). On a soutenu depuis longtemps, et avec raison, que les formes mineures de l'épilepsie, notamment le petit mal
e les formes mineures de l'épilepsie, notamment le petit mal et les formes plus purement psychiques étaient plus difficile
ans lesquelles le cerveau n'est intéressé que secondairement. Les formes silencieuses de l'épilepsie ont leur point de dép
les lobes frontaux. Ces altérations peuvent donner naissance à deux formes d'épilepsie : l'épilepsie psychomotrice et l'ép
ésulte de leurs recherches que les aphasiques, quelle que soit leur forme nonsographique ont une association extrêmement
aines secousses myocloni- ques qui sont d'ailleurs comme les autres formes du mal comitial heureusement influencées par le
condriaques reposent sur J'hyperesthésie gastro-in- testinale. La forme zoopathique interne du délire s'explique par la d
t dans toute sa fécondité. On avait multiplié, comme à plaisir, les formes ou types d'atrophie musculaire progressive. Le me
progressive; il propose de les ramener à deux grandes espèces : une forme spinale qu'on dési- gna encore sous le nom d'at
le nom d'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenue; une forme myopathique, maladie essentiellement familiale,
uchenne ; il n'existe pas de ligne de démarcation absolue entre les formes spinale myopathique d'atrophie musculaire progres
es spinale myopathique d'atrophie musculaire progressive, entre les formes familiale et non familiale. Nous connaissons au-
rmes familiale et non familiale. Nous connaissons au- jourd'hui une forme d'atrophie musculaire progressive (type We)'<
c art, ainsi que les retours vers leschapitres antécédents, sous la forme de coups d'oeil rétrospectifs, tant les argumen
pectifs, tant les arguments frappent, présentés qu'ils sont sous la forme de faits qui imposent la conviction. Pourtant une
qu'elle a pris dans le dernier quart de ce siècle. Ecrites sous une forme animée, souvent attrayante, ces leçons font une
, de Kraepetin, après quoi M. Rogues de Kursac étudie chacune des formes dont nous donnons la liste : Psychoses infectieus
rt doublé d'un médecin très érudit. Une revue rapide de différentes formes cliniques d'amnésies et de leurs causes les plu
u de la responsabilité pénale qu'entraînent souvent ces.différentes formes d'amnésie. On ne saurait trop féliciter M. Maxw
s démonstrative, en quoi elles s'expriment justement et dans quelle forme , je me permets de citer ici un des cas de ce ge
déjà exclut l'existence ici du délire de jalousie, comme l'une des formes de la paranoïa raisonnante ; la malade en quest
s ce cas de jalousie hystérique, qui s'exprime dans une toute autre forme ; cette malade n'a point de symptômes de dégénér
ère scrupulo-inquiet, apparais- sant, d'après notre avis, comme une forme peu accentuée de la constitution idéo-obsessive
malade aussi existent des idées hypochondriaques, s'exprimant en forme d'une peur d'avoir une maladie psychique avec per
s accessoires. Pourtant, vu cela que les peurs obsédantes dans la forme indiquée ne sont pas tout à fait ordinaires pour
tes ont revêtu cette manifestation particulière externe. La seconde forme de peurs obsédantes, sur laquelle nous voudrion
e cas donné existait encore une peur de voir les objets modifiés en forme , lorsqu'ils se reflètent dans quelque chose de
s de la constitution idéo-obsessive qu'on peut considérer comme une forme psychopathologique autonome. CLINIQUE NERVEUSE.
a Fondation Vallée. État actuel (juin). La tête est normale dans sa forme et ses dimensions. Les cheveux, châtain foncé,
modi- fiées, rappellent une expression grossière : c'est plutôt une forme de coprolalie qu'une véritable écholalie. Exe
tatonie » avait surgi, quelles étaient ses relations avec les autes formes morbides, quelle était la place qu'elle devait
tent pas moins d'être connus. Je veux parler- des crises épilepti- formes survenant dans la forme catatonique de cette affe
nnus. Je veux parler- des crises épilepti- formes survenant dans la forme catatonique de cette affection, et dont nous av
ont les stéréotypies du mouve- ment, certains tics, les différentes formes d'échokinésie ou d'écho- praxie. Ces deux tro
ction motrice existent aussi, à des degrés variables, dans diverses formes de psychoses et de névro- ses, et même au cours
a- tion et une inflammation avec diapédèse intense. Mais les deux formes s'entraînent étroitement et la seconde peut sans
a possibilité de toutes les transitions entre le délire aigu et les formes les plus len- tes de la paralysie générale. D
e pas davantage l'inflammation diapédétique. Quel- ques-unes de ces formes ont été décrites sous le nom de pseudo- paralys
l'opposition des lésions avec celles des 234 i SOCIÉTÉS SAVANTES. formes inflammatoires, tantôt celui de paralysies généra
ans la longue série des cas, par rapport à ce qu'elles sont dansles formes les plus franchement inflammatoires, des encéph
si le stade initial varie suivant les cas et en particulier si les formes inflammatoires ne sont pas tout d'abord des tas
s inflammatoires ne sont pas tout d'abord des tascitla7,ites et les formes dégénératives des dégé- nérescenees nerveuses p
es dégé- nérescenees nerveuses primitives. Mais, dans ces dernières formes , j'ai toujours trouvé des dégénérescences des v
ortion en est variable. On peut admettre théoriquement que dans les formes et dans les phases où l'infection est la plus aig
lus aigui', il existe un bon nombre de polynucléaires, que dans les formes et dans les phases les plus lentes, ce sont les
de l'agent infectieux sur telle ou telle portion de territoire, les formes cliniques que peut revêtir la para- lysie génér
contre toutes les transi- tions entre certains délires aigus et les formes les plus chroniques de paralysies générales. J'
sies générales, entre lesquels il existe, d'ailleurs, de nombreuses formes intermédiaires. Un premier groupe est constitué
t. Les omoplates sont peu modifiées dans leur position ou dans leur forme . Cepen- dant celle du côté gauche est plus sail
NTES. rapide et fatale, avec fièvre et signes infectieux. C'est une forme fébrile de tahes qui n'a pas encore été décrite
limites, en sorte qu'on peut établir des chiffres moyens servant de formes de comparaison. 2° En cas d'hypotonie, le nombr
délire, multiplié des dénonciations reconnues mal fondées. Sur la forme la plus habituelle des troubles de mentalité qui
éritables délires. Les maladies qui les ont causées, comme aussi la forme du trouble mental, étaient diverses. Cependant,
infectieux prend la pre- mière place, on reconnaît qu'il existe une forme à peu près cons- SOCIÉTÉS SAVANTES. 269 tante
forme à peu près cons- SOCIÉTÉS SAVANTES. 269 tante. C'est cette forme que présentent, avec des variations d'intensité
SOCIÉTÉS SAVANTES. 275 manifester de différentes façons : 1° ses formes légères s'expriment par un caractère scrupulo-i
(psychopathie) ; 3° les cas encore plus graves s'expriment sous la forme de psychose, d'idées obsédantes (psychose idéo-ob
idéo-obses- sice). Il va sans dire qu'il existe un grand nombre de formes tran- sitoires se rapprochant l'une ou l'autre
me survenir d'emblée chez un vieillard. La symptomatologie de celte forme ne diffère guère de celle de la neurasthénie de
pour moi cette conviction pro- fonde que D... est atteint de cette forme particulière de dégéné- rescence mentale que l'
s phy- sico-chimiques les produisent on peut reconnaître diverses formes de l'agitation. En l'absence de données sur la ca
e dément précoce, le dément paralytique ou sénile. C'est sous cette forme que l'agitation est le plus incoercible. Dans c
pouvons dire espèces, car il existe de l'une à l'autre de multiples formes de passage, on doit reconnaître tous les degrés
ormale du sommeil. Mais llichelson a observé une courbe d'une autre forme . La précédente traduit une augmentation et une
sont lentes à se produire et sont moins marquées que dans l'aulre forme ; mais aussi le sommeil reste plus profond jusqu'a
pas ceci ne peut être accepté que sous toutes réserves. Les deux formes de la courbe se retrouveraient chez les circu-
vation clinique, on peut chercher à établir un certain nombre de formes d'insomnie chez ces malades. Pour schématiser, ad
du sommeil, mais de l'insomnie. Une place à part appartient à une forme d'insomnie très spé- ciale que Janet a décrite
éces- sité d'élever les doses ; ou peut admettre qu'il n'y a pas de forme d'insomnie qui résiste à son action ; mais chez
umance devra rendre très prudent. Chez les aliénés, il n'est pas de forme morbide qui n'ait été soumise avec succès à son
sommeil est précédé d'une période d'excitation qui peut prendre la forme d'une véritable ivresse. Il est impossible actu
médicament utile et précieux dans l'anxiété et un certain nombre de formes mélancoliques. Il est un médicament que je ne v
é l'institu- tion Solvay. Séance du 7 août (soir). Note sur une forme particulière de sitiophobie. M. A. Cullerre (La
cependant, échappent à cette pathogénie et sem- blent relever d'une forme d'anorexie voisine de l'anorexie hystén- que (L
Lasègue, Cliarcot) ou plutôt de l'anorexie mentale (Sollier). Cette forme est assez rare; les troubles psychopathiques du m
ve dans les clas- sifications existantes ? Eléments du choix : âge, forme délirante, date de la maladie, etc. Organisatio
mptôme, en somme, ne nous permet de croire qu'elle donne lieu à une forme cliniquement différenciable de l'amyotrophie sp
, pathoio- giques ou non, d'altération psychique. Les différentes formes cliniques peuvent donner à la démence certains
par altéra- tion congénitale. Chez le dément précoce , l'inhibition forme la base de l'état psychique; le dément précoce
s sur l'étendue du tableau clinique delà folie maniaque dépressive. Formes prolon- gées. (Démonstration). Y a-t-il une exa
dépressive ? (Démonstration). Existe-t-il une vraie folie à double forme qui n'appartienne à la folie maniaque dépressive
d'un trouble régulièrement périodique, assez semblable à certaines formes de délire circulaire. Mais ce qui est singulier
crises se sont régularisées comme de véritables tics et ont pris la forme périodique dans laquelle elles réapparais- sent
sse de son scepti- cisme et faire pénétrer ses suggestions sous une forme convenable. D'après notre expérience, c'est l'é
eligieuse ? Nous pensons que la suggestion à l'état de veille, sous forme ma- térialisée, doit entrer dans l'arsenal thér
e, cryogénine, parodyne et autres du même genre. Sa terminaison « forme » pourrait faire penser à tort qu'il s'agit d'un
ne autre partie des circonvolutions centrales; dans la partie qui forme le centre du nerf gtosso-pharyngien et voici le r
anée et de tout neurofibrome, on doit songer à la coexistence d'une forme incomplète de la maladie de Heckling- hausen av
on, la résistance de l'affection aux agents thérapeuti- ques. Une forme spéciale de spasme facial a été décrite dans des
s du consilium admirent en ce cas l'acromegalie et comme dans cette forme du dérangement de la nutrition du cerveau l'hypop
tte des mains et des pieds était proportionnellement développé : la forme de la main ne pou- vait aucunement être désigné
te pression se développa peu à peu l'affaiblissement de la vue sous forme d'hémianopsie sinistra, qui plus tard s'étendit
t dans le pavillon d'isolement sont au nombre de 47. La plupart des formes d'aliénation mentale y sont représentées. C'est
nternational de 1900 et propose au Congrès de le renouveler sous la forme suivante : « Que des mesures de prophylaxie mét
r une petite part, à l'augmentation de volume, avec modification de forme , des os; l'hyperémie passive y joue un grand rô
ie cérébrale prématurée, qui entraîne la démence juvénile. Mais ces formes précoces de la dégénérescence nerveuse si carac
ivie d'une observation personnelle. La syringomyélie évolua sous la forme d'une sclérose latérale amyotrophique hémi- lat
nt à l'étude des sym- ptômes d'ordre moteur si remarquables dans la forme catatonique de la démence précoce. Après avoir
sidèrent la catatonie comme un syndrome ne préjugeant en rien de la forme morbide où on le rencontre. A côté des termes h
que et paramoïde de la démence précoce, il admet avec Sérieux une forme simple, qui s'installe sans manifestation déliran
rs années, ce mieux est demeuré sta- tionnaire. C'est en réalité la forme catatonique de la démence pré- coce. Cette ma
utique, et du gonflement paroti- dien. Au point de vue mental, la forme mélancolique est la forme délirante la plus com
aroti- dien. Au point de vue mental, la forme mélancolique est la forme délirante la plus commune; les hallucinations d
on observe à la période correspondante de la paralysie géné- rale à forme mélancolique. Il faut remarquer que cette mélanco
rale à forme mélancolique. Il faut remarquer que cette mélancolie forme un contraste frappant avec la forme usuelle de la
remarquer que cette mélancolie forme un contraste frappant avec la forme usuelle de la folie chez les Arabes, qui est pr
me usuelle de la folie chez les Arabes, qui est presque toujours la forme maniaque avec exci- tation, si bien que lorsqu'
lagre, et on en recherche les stigmates. Enfin il faut signaler une forme rare de folie pellagreuse, dont la description
stitue un air com- plet ou tout autre morceau de musique, prend une forme définie et pénètre dans la conscience dans le c
e ces opérations multiples étant la présen- tation à l'esprit d'une forme complète. En outre, de même que, dans tout mouv
de nombreux moyens de distraction sont offerts aux malades sous la forme de concerts, de soirées théâtrales, etc. Les pe
térieures, au niveau desquelles il se présente le plus souvent sous forme d'amas assez considérables, de couleur jaune-fo
naux se sont diffusés, immédiatement après le coup de couteau, sous forme d'une véritable paraplégie, de telle soi le que
façon, avec les mêmes caractères. Ceux-ci varient en effet avec les formes morbides et aux différentes étapes de leur évol
trinsèques. En dehors de ces caractères objectifs, extrinsèques, de forme , il y a lieu d'étudier les caractères, de fond,
es deux pieds d'or, deux boutons, puis quatre boutons. » Il est une forme de monologue qui mérite aussi une men- tion spé
el ton pour la réponse. Tel est par exemple D..... dément précoce à forme parano.de, avec dette différence toufefois qu'i
aire chanter. On peut rapprocher de ces cas ceux des monologues à forme dialoguée dans lesquelles une des deux parties re
quelles une des deux parties res- tant consciente, l'autre revêt la forme de la parole involon- taire et inconsciente qui
s sont les monologues que l'on observe dans les étals délirants à forme de rêve, dans les somnambulismes hystériques, la
gens bien portants, où il n'a d'autre signification que d'être une forme anormale du langage. L'existence pure et simple
u monologue ne peut non plus servir au diagnostic de telle ou telle forme d'aliénation, car on peut poser en principe qu'
- rale que nous avons noté le monologue plus fréquemment dans les formes chroniques que dans les formes aiguës de l'alié
monologue plus fréquemment dans les formes chroniques que dans les formes aiguës de l'aliénation mentale. Que dans les
que dans les formes aiguës de l'aliénation mentale. Que dans les formes chioniques, il nous a paru se montrer surtout d
LE. est encore le moyen le plus sûr de connaître le caractère, la forme et la couleur d'un délire ; parce que le malade n
es de son affection. En voici un exemple pris chez un mélancolique ( forme déli- rante), homme instruit, dont la préoccupa
rence vraie. Dans le premier cas, il est plutôt en rapport avec une forme aiguë (excitation maniaque, par exemple) et sou
ire se reliant a une idée prépondérante) sont surtout le fait des formes systématiques et chroniques. Ceux d'origine émo-
ine hallucinatoire n'ont guère d'im- portance que s'ils revêtent la forme d'une conversation ou Archives, 2» séiie, t. XV
8 8 CLINIQUE MENTALE. d'un dialogue suivi ; ils indiquent alors une forme systéma- tique chronique ou un état démentiel.
aves qu'on arrive aux états d'inconscience si accentués propres aux formes chro- niques, épilepsie, démence, confusions ch
termittent ou habituel : le premier coïncide généralement avec des formes aiguës ou des périodes d'agitation. Le se- cond
e diurne ou nocturne. Le soli- loque diurne est surtout le fait des formes de folie chronique qui ne s'accompagnent pas d'
aques et des hallucinations de la vue : elle voit le diable sous la forme d'un singe, des bêtes courent sur son lit, sort
voit nettement que le creux épiuastriqiie est attiré en arrière et forme un entonnoir au mn- ment de chaque inspiration,
u plus longue. Chez elle prédominent des signes de déchéance, et la forme démen- tielle de la maladie sans délire; 8° dan
ations en devenaient variées et originales au dernier point, que la forme expansive, maniaque, disparaissait de plus en p
péciale neuro-psy- chique qui comprend quelques nevropathies et les formes mixtes de maladies mentales et nerveuses telles
s inculpés dont l'état mental a besoin d'être étudié. La salle a la forme d'un corridor, et les 54 lits sont ainsi répart
ière automatique au lieu de servir comme substratum général à toute forme de l'effort intellectuel. La polarisation se fait
ant le même temps. Ce traitement ne peut être appliqué que dans les formes rele- vant de l'hystérie; il a sur les autres l
. Il n'existe donc pas une segmentation des centres médullaires, en forme ganglionnaire, comme on le croit communément. L
épilcpsie. par Ballet et Illocli 478. -ne de M10PAIIIIE. Sur une forme de - progressive piniiitive a\ec ptost, bilat
ISSIf : et tabès, par Gauraud, 91. Tkolblcs de inentalilé. Sur la forme la plus habituelle des - qui se produisent au
76 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
igure (PI. 1). Les yeux à Ileur de tête, la conformation du nez, la forme de la bouche et des dents donnent, en effet, à
que la mâchoire infé- rieure est peu développée. Vu de profil, la forme en tour du crâne est encore plus frappante et le
comme dans le cas précédent, la saillie médiane très prononcée qui forme comme une crête. La veine frontale est anorma
mporales. Vue de face (PI. II) la tête affecte dans son ensemble la forme ovoïde avec parties les plus saillantes au nive
profonde. Les autres sutures paraissent bien individualisées. La forme extérieure du crâne de ce garçon est donc netteme
rvations I et II. Vue de face, la tête affecte dans son ensemble la forme d'un ovale très allongé, cet ovale est décompos
énoïdal qui apparaît dans la radiographie latérale du crâne sous la forme d'une petite cavité ovalaire avec son diamètre
taire externe, comme nous avons dit plus haut, ne pré- sente pas sa forme habituelle ; et au lieu d'être allongé dans le se
euse dans l'étude du mécanisme hydrau- lique qui agit dans ces deux formes pathologiques. Pour moi, l'hydrocéphalie et l'o
oir la thèse de STATE (Paris, 1900), ou P. SAINTON et ,T. STATE, La forme douloureuse de l'acromé- galie, Revue Neurol.,
une grimace provoquée par la céphalée qui a des exacerbations sous forme d'élancements douloureux très vifs. Il reste co
ils soient cependant tous bien nets. La céphalée est permanente, sous forme d'élancements douloureux. Il dit avoir la sensa
mulations de lymphocytes et de cellules plasmatiques. A côté de ces formes cellulaires on voit des cellules grandes, avec
n traité bien connu sur les maladies nerveuses, men- tionne que les formes aiguës de méningite séreuse peuvent être accompa-
ien la base du cerveau. Naturellement qu'il peut exister toutes les formes intermédiaires, la méningite ne se limitant pas
tence des troubles psychiques dans'les méningites, surtout dans les formes chroniques tuberculeuses. Sterling (1) a observé
d à faire de ces types cliniques et des variétés intermédiaires les formes syndromiques d'une seule et même affection consis
rédo-ataxie cérébelleuse atypiques, on rencontre encore parfois des formes assez pures de l'une et de l'autre. Telle l'obser
vers )'age de 34 ans, après plusieurs années de troubles mentaux à forme maniaque qui s'aggravèrent à la suite d'un accou-
is ans après son mariage qu'apparurent les troubles mentaux sous la forme de chan- gement du caractère et de misanthropie
-SpaSnlOdlqllf·, avec atrophie musculaire, de l'instabilité chol'éi forme , une attitude ébrieusc, quelques phénomènes par
nt similaire, elle est en général constituée par une des nombreuses formes de la névropalhie. On a vu quel legs vé- saniqu
n de constituer la règle. Le plus souvent en effet on rencontre des formes hybrides de ces maladies nerveuses dites hérédita
t pas de limites bien tranchées, qu'elles sont plutôt, elles el les formes de transition qui les relient, des modalités cl
cerne spécialement l'ataxie héréditaire, Raymond pense que les deux formes types de celte affection, spinale de Friedreich
eur du côté droit une zone de sclérose assez bien délimitée dans sa forme générale qui est triangulaire, mais néanmoins dif
s diffusant un peu en avant et en arrière ; elle a grossièrement la forme d'un H dont la branche verticale interne attein
es de Westplial. La branche horizontale, transversale de l'H, a une forme irrégulière ; elle occupe le milieu du cordon p
crite existe encore nettement, mais ses contours s'estompent et sa forme devient imprécise ; elle occupe sensiblement la
ipilliiie et l'a tro- phie papillaire des tabétisants ; la première forme comprend des tabéti- ques classiques avec ataxi
igne de Romberg, trouble delà nutrition générale; clans la deuxième forme , il n'existe pas de troubles trophiques, les ma
ntre les bords antérieur et postérieur de la lésion ; celle-ci a la forme d'une ellipse irrégulière d'environ trois centimè
indubitablement une blessure en selon ; plus précisément, c'est la forme que les Allemands appellent « Furchen-n ou « Ri
ans une mesure non négligeable aussi la moitié gauche des yeux sous forme d'un rétrécissement concentrique du champ visuel.
e associative qui, ipso facto, est synthétisée dans la mémoire sous forme d'images plus ou moins durables. La lecture coura
nomise l'énergie motrice, est une méthode exclusive qui retient les formes générales aux dépens des détails : il s'ensuit qu
autes de lecture qui dépendent d'une inter- prétation erronée de la forme générale du mot sont, d'une façon secon- daire,
risés, au même titre que les images verbales reconnues grâce à leur forme ; déjà les observations de Redlich et de Schuster
ilité relative, et il paraît se rendre partiel- lement compte de la forme des différentes lettres, sans pourtant arriver à
e commencement d'un mot, et si en outre, à l'aide de sa mémoire des formes , il a su deviner la suite, alors la réalisation
vêtements, quand ils existent, laissent entre- voir ou deviner les formes ; les chevelures toujours se montrent particulièr
'élève ici à 112. La radiographie montre : 1° que le col du fémur forme un angle droit, au lieu d'un angle obtus avec l
nt les éléments du diagnostic, n'ont garde d'omettre la mention des formes frustes, et des formes dans lesquelles l'achond
nostic, n'ont garde d'omettre la mention des formes frustes, et des formes dans lesquelles l'achondroplasie se complique de
propos d'une nouvelle observation d'achondroplasie ; peut-on de la forme des troubles psychiques dans celle maladie, tirer
te hypothèse et la légitimer d'une façon abso- lue. Ce n'est ni une forme mixte, ni une forme systématisée tégumentaire o
égitimer d'une façon abso- lue. Ce n'est ni une forme mixte, ni une forme systématisée tégumentaire ou nerveuse. Il n'y a
ui s'accorderait avec l'opinion de certains auteurs considérant les formes pigmentées de l'infection comme précédent de lo
'offre pas, par conséquent, la symptomatologie com- plète d'une des formes de la lèpre, celle association d'hyperchromie et
st donc unilatérale que dans 36, 66 pour cent des cas seulement. La forme unila- t.êra)e,qui constitue la majorité des ca
post- méningée par excellence, le tabes. Dans le tabes, dans ses formes frustes parmi lesquelles rentrent sans doute un
utes les hémorragies méningées et de toutes les méningites dont les formes frustes sont si fréquentes, ,les racines sacrées
t à la région lombaire, se déposent dans toute la région sacrée qui forme fond. La longueur plus grande des gaines méningée
ues, lesquelles peuvent abolir le réflexe achilléen même dans leurs formes légères (Babinski), sont très communes et sont
et réflexes. Le sens commun, c'est essentiellement la fonction qui forme les idées que nous avons des choses, ce que nou
à aucun canal, qu'elle n'est pas libre, et que la substance qui la forme est continue avec la substance cérébrale (5).
ixateurs qui sont tous coagulants et qui par conséquent altèrent la forme du complexus colloï- dal représenté par la cell
s a proposé le terme de « phase ». On dit d'après lui qu'un système forme une phase (c'est-à-dire qu'il est homogène) lorsq
ndifféremment dans tous les sens et si la particule présente par sa forme quelque point de repère,on constate aussi qu'el
lui différentes propriétés physiques telles que les changements de forme , l'élasticité, le gonflement, les gels, puis la
inage du fil de soie, ne contient pas de particules visibles, il se forme tout près du fil des images qui, examinées avec
é, on ne voit pas de réseau ouvert comme par l'albumine, mais il se forme des mailles fermées. Ceci ressort de l'analyse
. La gélatine traitée par la formaline se présente toujours sous la forme d'un réseau. Mais toutes ces structures observées
r exemple lorsque la solution de colloïde est très diluée, il ne se forme pas de réseau, mais il apparaît seulement des a
s granules obtenus de cette façon peuvent être considérés comme des formes de passage au ré- seau ; ils sont en partie tou
arable aux modifications qu'éprouve un hydrosol chaud qui se trans- forme en hydrogel par refroidissement. Pauli a nié la
tions et la non-existence, dans les cellules vivantes,de grumeaux à formes géométriques connues sous le nom de corpuscules d
on plus ou moins considérable de la cellule, tout en affecta ni des formes variables. Tandis que les granulations pigmentair
rt en passant par différents tons d'émeraude. Au point de vue de la forme , on peut distinguer des granulations pigmentaires
tion sur le pigment hu- main. Nous croyons aussi avoir remarqué des formes de transition entre les granulations lumineuses
légère produit une déformation passagère et la cellule revient à sa forme antérieure. Mais si la compression dure davantage
re davantage ou qu'on l'exagère, nous constatons des changements de forme qui mettent en évi- dence le degré de consistan
git d'une compression plus accusée, la cellule s'allonge, prend une forme plus ou moins ovoïde et que le noyau s'adapte é
au s'adapte également à cetle modification en prenant lui aussi une forme en conséquence. La déformation n'est pas toujours
se demande;' si la précipitation des granulations colloïdales suus forme de corpuscules de Nissl par le traitement des cel
ent des blocs granuleux ou des corpuscules de précipitation dont la forme et la disposition correspondent assez exactemen
ions on distingue deux régions, l'une, celle du noyau qui change de forme , la seconde, une auréole vide entourant le noyau
ccusé que dans l'acide acétique. Le noyau est bien conservé dans sa forme , demi-luminosité sans coagulation inlranucléair
u dans le noyau autour du nucléole. La masse précipitée affecte des formes variables selon le degré de rétraction qu'elle
lle subit. On dirait que la contraction s'accuse de plus en plus et forme un conglomérai lumineux autour du nucléole dont
ellipsoïde. A mesure que la rétraction progressera zone vide qui se forme entre la face interne du noyau et la masse rétr
même, celle charpente qui semble immuable, qui donne aux êtres leur forme extérieute et sur laquelle viennent se fixer le
La direction générale de la coloune vertébrale est modifiée : elle forme une courbe à convexité postérieure, ce qui tien
Nous pensons qu'il n'existe ni atlas, ni axis, et que le pivot que forme l'a- pophyse odontoïde de l'axis en s'articulan
ion, qui doit normalement correspondre aux vertèbres cervicales, ne forme pas une courbe à convexité antérieure, mais se co
des apophyses transverses volumineuses, véritables apophyses costi- formes ; enfin des apophyses épineuses horizontales et t
que le cerveau ou la moelle puissent amener des changements dans la forme du crâne ou dans la disposition du canal verléb
or- tion fibreuse. Les auteurs considèrent ces deux cas comme une forme spéciale d'hy- drocéphalie à laquelle ils donnè
i-même. D'ailleurs il est assez mauvais observateur. 11 attribue la forme du crâne à la compression par la catchula (sort
ar son grand diamètre atteint 4 centimètres. Cette dépression a une forme irrégulière et à son extrémité postérieure, ell
Porak et Duran te(3¡)) voient dansla dysostose cléido-crânienne une forme particulière de leur dysplasie périostale et da
rière, n 1, 1909. 41. Raymond. Du myxoedème infantile et des autres formes de myxcedèma. Revue internationale de thérapeut
pelin. Tant que la démence précoce, et en l'espèce la catatonie, ne forme qu'un groupe purement symplomalologique, indéte
rie comme un trouble psycho-sexuel re- vêt constamment de nouvelles formes et vient, par la théorie moderne de Freud d'êtr
la périphérie, des granulations chromatopbiles moins visibles, une forme plus globuleuse par effacement des angles, parf
onjonctif intrafasciculaire est plus abondant qu'à l'état normal et forme des travées fibreuses, mais on ne trouve plus ici
es nerveuses ; hypertrophie fréquente des gaines de Schwann sous la forme d'un épais manchon cylindrique ; tissu conjonct
termittents et d'inten- sité variable. Par droit de priorité, cette forme clinique est restée clas- sique et a sa place d
est intitulée « Amyotrophie spinale progressive ; combinaison de la forme Duchenne-Aran avec la forme Charcot-lJarie (1)
spinale progressive ; combinaison de la forme Duchenne-Aran avec la forme Charcot-lJarie (1) ». Les cas de D âlinhii-clt
nous retrouverons avec les documents anatomiques, ont établi que la forme d'atrophie musculaire progressive, que l'on dén
oqué des opinions très divergentes. Les lésions essentielles de ces formes cliniques sont-elles spinales ou périphériques ?
ol. X, p. 143, 1896), par exemple, d'une myopathie évoluant sous la forme de l'atrophie neurotique et révélée seulement p
vrite ascendante, l'altération des nerfs intramusculaires. Dans les formes plus extensives, elle atteindrait les troncs ne
rvorum. Cette observation, qui s'écarte notablement de la série des formes complètes de névrite interstitielle hypertrophi
ces deux observations représentent au point de vue anato- mique des formes atténuées de névrite interstitielle hypertrophiqu
us avons trouvées ont été ob- servées à plusieurs reprises dans des formes cliniques limitées, comme les nôtres, à des dés
uteurs (Dejerine, P. Marie) de soumettre à une même description des formes morbides dissemblables par bien des points. C
hies musculai- res névritiques, c'est la connaissance des multiples formes de transi- tion qui s'observent dans les maladi
pyrami- daux ou des faisceaux cérébelleux, parfois diffuses sous la forme d'un éclaircissement des fibres myélinisées. Ce
la moelle (2). Ainsi se fait, par l'anatomie, une transition vers des formes morbides telles que la paraplégie pasmodique fa
e fréquence très spéciales, rappelant celles que l'on voit dans les formes rapides de sclérose latérale all1,)'otrophique,
u tissu fibreux ( f), analogue à celui de la pie- mère. Ce tissu ne forme pas une masse compacte, il est infiltré par les c
neuse de la substance gélatineuse de Rolando (gR.). A mesure que se forme ainsi la partie postérieure de la moelle, la subs
eur a complètement disparu et où la moelle reconstituée a repris sa forme normale, les cornes antérieures sont presque to
s, se continuent avec le tissu fibreux qui entoure la tumeur et lui forme une coque, cette dernière ne paraît qu'être un dé
ai pu mettre à étudier la littérature qui porte sur les différentes formes de dystrophie musculaire progressive, il ne m'a
mme atteint de cette maladie, qui s'est manifestée chez lui sous la forme facio-scapulo- humérale exclusivement limitée l
(avril 1912). . Examen morphologique. Le crâne se présente sous une forme sensible- ment régulière. La bosse pariétale de
aucun signe d'atrophie, sauf la tendance de l'omoplate à prendre la forme de l'omoplate ailée. L'examen objectif a permis
ais eu de paresthésies,que chez lui aucun trouble n'affecte quelque forme que ce soit de la sensibilité, que la compressi
t, pour ne pas supposer que le jeune homme ait été affecté d'autres formes de maladies avec lesquelles on pourrait confondre
tonner, car on sait que, xxv 22 330 M1NGAZZINI surtout dans les formes mixtes de dystrophie musculaire progressive (cas
utre, il ne faut pas oublier, fait qui se présente rarement dans la forme en question,que le masséter était frappé d'atroph
ait rare, mais que quelques auteurs ont égale- ment signalé dans la forme facio-scapulo-humérale de la dystrophie mus- cu
donc dans le fait qu'au lieu d'être symétrique et bilatérale cette forme de dystrophie musculaire est au contraire remar
rrespondait à ce que l'on a signalé, des deux côtés, dans plusieurs formes de dystrophie musculaire progressive. Je rappor
tégrité de l'extré- mité inférieure, et nous avons constaté la même forme sur les radiogra- phies d'ostéites identiquemen
e : « A la suite de modifications portant primitivement soit sur la forme , soit sur la fonction, soit à la fois sur la fo
ment soit sur la forme, soit sur la fonction, soit à la fois sur la forme et sur la fonction, il se produit des changemen
et des transformations secondaires également aussi réglées dans les formes extérieures des os. » Aujourd'hui, l'aspect d
t possible d'interpréter autrement les modifications de structure à forme pagétique que nous observons sur l'extrémité infé
et l'importance de ce rôle du traumatisme dans la détermination des formes frustes du syndrome de Paget. DU DÉLIRE CHEZ LE
iais.Je ne voyais pas qu'un Diable... Il avait tou- « tes sortes de formes . C'était quelquefois comme un monsieur habillé en
rophie à type Aran-Duchenne était associée à la sclérose combinée à forme amyotrophique. Nous nous sommes arrêtés quelque
qu'il n'existe pas à notre connaissance d'étude d'ensemble de cette forme d'atrophie isolée non progressive en dehors d'un
aines myéliniques vides, et quelques tubes nerveux déformés, monili formes . L'on peut dire pourtant,sans grande erreur, qu
es dégénérations qui n'ont ici qu'un intérêt secondaire. Cavité. Sa forme est variable, de même que celle de la moelle et d
RPLASIE DU TISSU CONJONCTIF 573 374- INDIiÉ-TH011rAS ET QUERCY Sa forme embrasse ordinairement celle de la cavité, qu'il
une fois que nulle part il n'est normal ; il n'a ni sa place, ni sa forme habituelles. On trouve des amas de cellules polyé
elques-unes de ces fibres s'incrustent dans le bloc névroglique qui forme la paroi du diverticule. Au lieu d'être occupé
geonnements ; elles ont indiscutablement contribué leur donner leur forme et leur topographie. Dans ce cas il ne semble pas
usceptible de se manifester accidentellement à l'âge adulte sous la forme de végétations conjonctives et liomateuses. Cet
écoulé entre celui-ci et l'apparition des crises convulsives, de la forme même de ces crises, consti- tuent des éléments
te également, assez fréquemment, des équivalents épileptiques, sous forme d'accès d'automatisme procursif. Alors que, paisi
tes, et qui s'accompagnent vers (le 35 ans de troubles mentaux sous forme d'idées délirantes poly- morphes, de crises de
ure des vertèbres entre elles, et que la tuberculose, affectant une forme aiguë ou subaiguë, le processus pathologique en
vertébrale apparut pour la première fois à un âge avancé et sous la forme d'affection com- primante de la moelle, et suiv
de tuberculose des vertèbres. Alquier, dans son travail Principales formes des troubles nerveux dans le mal de Pott sans g
x dans le mal de Pott sans gibbosité, lâche de distinguer plusieurs formes cliniques principales de l'affection et d'en co
t cervical, on aperçoit une masse caséeuse entourant la moelle sous forme d'anneau complet; au-dessus et au-dessous de ce
remier symptôme de la maladie. Dans son travail sur les principales formes du mal de Pott sans gibbosité, Alquier souligne
temps être le seul symptôme de l'affection et apparaissent sous des formes CARIE DES VERTÈBRES 403 variées, quoiqu'elles
auche du type Aran-Duchenneetdes troubles de la sensibilité sous la forme de dissociation ; l'ensemble de ces symptômes pou
l'adulte. Nouv. Icon., 1906, t. XIX. 3. Alquier. Les principales formes de troubles nerveux dans le mal de Pott sans gi
ut juger pour ces derniers par l'exa- men radiographique. C'est une forme mixte, croyons-nous, de spondylose ankylosante
soudaine mobilité des pupilles qui changent transitoirement même de forme . Les yeux sont enfoncés, l'espace libre entre l
rite déformante. C'est qu'ici, comme ailleurs, existent beaucoup de formes mixtes, de formes de passage, qui troublent les
'est qu'ici, comme ailleurs, existent beaucoup de formes mixtes, de formes de passage, qui troublent les diagnostics différe
t de douleurs, ni des extrémités, ni du rachis.Ce n'est pas donc la forme la plus commune, la forme la plus fréquente du
émités, ni du rachis.Ce n'est pas donc la forme la plus commune, la forme la plus fréquente du rhumatisme chronique, qui
région aussi, respectés. Il s'agit donc, nous semble-t-il, d'une forme particulière d'arthrite ver- tébrale' chronique
ité. Le trijumeau est pris à droite. La sensibilité sous toutes ses formes est diminuée surtout aux zones de l'ophtalmique e
de remarquables par leur constance, permettant d'individualiser une forme clinique d'amyotrophie isolée non progressive.
un carac- tère absolu et - pour ainsi dire - de définition de cette forme . Il n'y a pas d'amyotrophie, il n'y a pas d'aff
u'il peut exister dans les névrites alcooli- ques ou saturnines des formes limitées au type Aran-Duchenne. Somme toute, on
Médecine, 1885, p. 591 et 139. Iannois et PoHOT. Syphilis spinale à forme amyotrophique, Revue de Médecine, 1906, p. 561.
ude analomique et clinique de l'acromégalie et en particulier d'une forme amyotrophique de celle maladie, Thèse de Lyon, t8
au picro-ponceau montrent l'augmentation du tissu conjonc- tif, qui forme d'épaisses et lourdes travées. Quelques-unes se p
et se présenter presque fatalement comme une intoxication rapide à forme nerveuse. II. - Ceci pourrait déjà constituer
lre les deux affections, puisque la première impose à la seconde sa forme , sa marche, et presque sa terminaison. Mais nou
énorme jusqu'à la partie supérieure du rectum, représentait une des formes de l'affection connue sous le nom de méga- côlo
l'état normal couvre les reliefs musculaires et donne aux membres des formes arrondies, rappelant celles des femmes. Le syst
peuse dans la maladie del3aylepeut se montrer non seulement sous la forme diffuse, mais aussi sous une forme circonscrite
se montrer non seulement sous la forme diffuse, mais aussi sous une forme circonscrite rappelant celle qu'on trouve dans
bres inférieurs. Les pieds sont normaux. Les jambes ont conservé leur forme générale. Au niveau des genoux l'articulation a
les fesses. Comme on le voit sur les photographies, l'anatomie des formes est profondé- ment modifiée. De face (Fig. 1)
té du pincement, l'absence de godel t sous la pression du doigt, la forme cylindrique de la cuisse, l'absence de phénomèn
c- compagne de crises d'asphyxie symétrique. Le myxædème dans une forme généralisée, avec le facies lunaire et le cortè
stique pour être confondu avec l'adipose de notre malade ; mais des formes atté- nuées et localisées sont beaucoup plus dé
sseux sous-cutané, dont on connaît l'importance dans l'anatomie des formes . Comme l'a dit parfaitement Henry Meige (2) à p
de comme atteint deiymphadénome ganglionnaire, variété aleucémique, forme lipomateuse, Launois défendu une théorie analog
émi- plégie. Au point de vue thérapeutique il distingue plusieurs formes d'hémiplé- gies dont quelques-unes peuvent être
77 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
des. Pour ceux-ci, le gigantisme et l'acromégalie représentent deux formes d'un même trouble du développement de l'individ
suration que nous en avons faite renseignent très exactement sur sa forme et son développement. Ils montrent, lorsqu'on les
mplète de ses caractères sexuels secondaires et l'en- semble de ses formes corporelles (excepté ses mains et ses pieds), ce
sque, mais sans être ni trop large, ni trop grosse, sans prendre la forme en battoir. Les doigts, d'une longueur sensible
gigantisme d'une part, l'acromégalie de l'autre, représentent deux formes d'un même trouble du développe- ment de l'indiv
. 2° Cependant, ce premier type peut s'associer à l'acromégalie; il forme ainsi un type mixte constitué par la combinaiso
rieure une légère scoliose dont la concavité regarde à droite. La forme du bassin se dessine parfaitement sous les tégume
se est conservée, et il en est probablement de même pour les autres formes de sensibilité.bien que l'état psychique de la ma
e-pâle. Sur une coupe on constate des petits foyers fibreux sous la forme des îlots blanc rougeâtre qui tranchent sur la
la glande, qui attire l'attention par la réaction des cellules, la forme des follicules et l'hyperplasie du tissu conjonct
Les cellules sont disposées sous forme de séries, parfois isolées, de forme variable, rondes, oblongues ou irrégulièrement
pâles. Les cellules de cette dernière sont tassées et disposées sous forme de tubes. Mais on n'observe pas la disposition
surface de cette masse il existe des nodules lymphocytaires dont la forme et la grandeur est variable. Parfois ces dernière
cules normaux. Les follicules dont le volume est très réduit ont une forme arrondie et contiennent chacun une goutte de co
a vu la coexistence du syndrome de Basedow avec la scoliose sous la forme héréditaire et fami- liale, et l'un de nous a v
'on trouve bien fréquemment la tétanie infan- tile, surtout sous la forme de laryngospasme, associée au rachitisme. Or le
les différents cas ne sont pas comparables en ce qui concerne leur forme , la durée du traitement ainsi que la manière do
ns la trophicité des os. La résorption des phalanges dans certaines formes de syringomjélie, des fractures sponta- nées da
rouvé une diminution marquée de la substance minérale des os qui ne forme plus que 24 pour 100 au lieu de 66 pour 100, ch
ier non seulement au point de vue quantitatif,mais aussi quant à la forme physico-chimique sous laquelle il se trouve, et q
difformité soi-disant de Madelung ou bien fait-il partie de quelque forme similaire ? Pour pouvoir classifier mon cas ave
actement classée. En effet, si avant cet auteur on avait décrit une forme particulière de subluxalion radiocarpienne qui ra
à-dire dès que Madelung eut rappelé davantage l'attention sur cette forme particulière de subluxation spontanée du poi- g
sa surface articulaire ». Et c'est précisément celle altération de forme du radius qu'on peut très souvent observer dans
ire. Congénital fllt enfin mon cas qui certainement appartient à la forme décrite par Madelung et que je m'efforcerai de dé
symétrique. Lèvre inférieure grosse. Dents régulières comme nombre, forme , grandeur et implantation. Etat normal du tronc
souventque celle despieds dans le rapport de 3 à 1 (Spoto) (8). La forme la plus commune est l'hexa- dactylie, mais l'he
ils sont remplacés par des formations définitives appartenant à une forme ani- male donnée et qui se fixent par loi d'hér
t entre le tableau clinique et l'étiologie, que dans les cas où des formes cliniques bien nettes se manifestent couramment à
uand elle reprit conscience, elle présenta le tableau typique de la forme délirante de la psycho-polynévrite. A l'examen
énescence ; comme la psycho-poly- névrite, elle s'observe sous deux formes , l'une aiguë, délirante, l'autre chro- nique ;
ons pathologiques de l'état affectif (Gemütslage) et cela sous deux formes : tantôt c'est une euphorie, qui n'est pas en r
, les propos faisaient immé- diatement penser à une démence. « La forme aiguë ou délirante a les mêmes symptômes fondamen
forme aiguë ou délirante a les mêmes symptômes fondamentaux que la forme chronique, excepté, peut-être, l'amnésie rétroact
mence sénile simple qui représente toujours le stade terminal de la forme chronique. » Deuxième texte (1). - « L'influenc
xercée par la sénescence, ou invo- lution sénile du cerveau, sur la forme et la marche des psychoses, est peu connue. Pou
ciale, la sénilité; il lui assigne, comme à une entité morbide, des formes cliniques, une évolution propre et un diagnos-
raepelin, relatif à la Presbyophrénie (1) : « Parmi ces différentes formes de Démence sénile, il faut isoler un petit grou
esbyophrénie est-elle une maladie particulière, ou seulement ? file forme ? ` ? « Question discutable ; quoi qu'il en soi
a Presbyophrénie, pour Kraepe- lin, n'est plus, semble-t-il, qu'une forme clinique de la démence sénile, non une affectio
r ces auteurs,se présente fréquemment, mais non toujours, comme une forme clinique de la psychose de Korsakoff, et, en règl
rois qu'il faut se garder de trop généraliser ; il existe certaines formes de démence sénile dans lesquelles les symptômes
ation ; il re- présente un cas de « Mythomanie associée». « Cette forme (4) de la démence sénile, étudiée par Wernicke so
omme une entité morbide, a été considérée, tour à à lour, comme une forme clinique de la démence sénile ou de la psychose
unes des autres et figurent un éventail ou une natte. Dans d'autres formes , les fibrilles sont plus épaisses, et reproduis
jamais Fischer ne remarqua de réaction inflammatoire. A côté de ces formes délimitées, l'auteur décrit une lésion diffuse ca
té, ne prétendent plus, semble-t-il, qu'à décrire les lésions d'une forme clinique et non d'une entité morbide. La conc
une entité morbide. La conception de Kraepelin, la Presbyophrénie forme clinique delà dé- mence sénile, réunit, en Alle
ion certainement heureuse, et relativement originale, à l'étude des formes cliniques de la démence sénile. Celte conceptio
lise. Au lieu de restreindre le diagnostic de Presbyophrénie, à une forme clinique de la démence sénile, on peut observer
peut observer au contraire, que les éléments dis- tinctifs de cette forme spéciale (amnésie de fixation, désorientation, fa
pporter trop vite, et comme de parti pris, le tableau morbide à une forme clinique de la démence sénile. Transformée en s
ie pa- thologique d'une entité morbide esl possible, si celle d'une forme clinique, quelque différenciée soit-elle, est t
ours, au moins à l'état d'ébauche, et parfois très accusé, dans les formes les plus franches, les plus normales, les plus
sprit, si ' elle continue à s'exercer, ne se manifeste plus sous la forme de l'halluci- nation, comme dans Ierêve.L'objec
lle est rejetée ail- leurs, dans le passé ou dans l'avenir, sous la forme , non d'un rêve, mais d'une conception ou d'un r
t, lui aussi, chez les déments et chez les confus (2). Dans celle forme de fabulation paramnésique, plus particulière à l
émentiels, dans la démence sénile, par exemple, elle représente une forme aberrante, répondant à la période initiale de l
tout autant par leur extrême petitesse que par l'harmonie de leurs formes ,, présentent à toutes les époques de leur exis-
matismales chroniques. Le premier de ces groupes est constitué de formes pathologiques assez bien étudiées,tandis que la
dégager du vaste cadre des arthrites rhumatismales chroniques, une forme pathologique nouvelle, une nouvelle unité patho
ne vertébrale et une série d'affections du système nerveux ». Cette forme a reçu plus tard le nom de « Cyphose hérédo-tra
nt restées intactes. Mais dans cet effort pour dégager une nouvelle forme pathologique de la masse des affections « rhuma
monaire. La cyphose de la par- tie dorsale de la colonne vertébrale forme une courbe régulière bien prononcée. La cage tb
ze observations que nous venons de décrire, il s'agit 14 fois de la forme d'immobilité de la colonne vertébrale et des arti
consécutive au rhumatisme articulaire, et qui rappelle beaucoup la forme précédente. En se basant sur les données de ces
fait lentement et insensiblement et a un cours chronique. Dans les formes aiguës (5 fois sur 14) la maladie commence immédi
qu'apparaît le second symptôme de la maladie : l'ankylose. Dans les formes subaiguës, le début de la maladie est le même, se
le même, seule- ment les douleurs sont moins aiguës. b) Dans les formes clii,oiiiques(9cas),qili sont les plus fréquentes
s les mêmes parties de la colonne vertébrale que dans les cas de la forme aiguë. Dans les mêmes parties se développent, e
pe. La glande thyroïde est énorme : 172 grammes. Elle a conservé sa forme normale, l'hypertrophie est symétrique. A la co
dense domi- nant partout Par places les vésicules ont conservé leur forme normale et les cellules épithéliales ont conser
s dimensions. Il semblerait donc ne pas s'agir ici simplement d'une forme de nécrose. Je ne trouve pas non plus d'explica
n pois. On voit donc qu'une tumeur de longue durée peut modifier la forme du crâne, même de l'adulte. Il est très curieux
ce, entre les faisceaux de substance blanche. Ce sont des amas,de formes variées, jaunes et réfringents au carmin, noirs
e tableau clinique. On sait que l'on a déjà cherché à expliquer les formes paranoïdes par une lésion anatomique de la subs
es lobes (p. ex. frontaux et occipi- taux) se tassant, prennent une forme massive ; leurs bords médians sont plaqués l'un
l- loïde, ce qui permet fout au moins un maximum d'adaptation de la forme . 9° Destruction de tissu nerveux, ce qui sans d
hes ou dictons se rappor- tant à chacune des gravures dont la suite forme le Triumphe. C'est cette dernière partie qui no
eur de celte opinion sont d'abord matériel- lement que le sujet, la forme et le style sont bien rabelaisiens (tellement q
gine le vieux mot goron (cochon) : d'autant plus qu'il présente les formes gorron, goron, gourron (Godefoy), analogues a gor
de l'Isledes Esclots qui « avaient la braguette de leurs chausses à forme de pantoufles (Pan- tagruel, liv. V, ch. XXVII)
ter le personnage doit avoir un de ces « palais, auquel souvent s'y forme le chancre qui fait ung pertuis ou deux soulz l
arcineuses et rudes comme la peau d'ung chien marin, en coulleur et forme de la pelure d'un vieil formage. » Les malades
dis que la deuxième et la troisième fléchissent ; la main a pris la forme de main en griffe. Les muscles interosseux s'at
s couleurs... Les doigts ne sont pas moins caractéris- tiques. Leur forme est modifiée ; ils sont fusiformes chez tous ces
NCE PRÉCOCE 221 IL - Une femme. Puis ne répond plus. Il sort sans forme de politesse. - On a noté qu'il urine de temps
ement le 15 décembre 1908 el durent encore aujourd'hui sous la même forme (fig. 9). Comment le cas doit-il être interprét
te remarque de Kroepelin que « bien des cas qui se montrent sous la forme d'accès semblables et bien séparés n'appartienn
ermettant à coup sûr, dans un cas douteux, de distin- guer les deux formes , on peut se rendre compte de la difficulté de ce
rts plus étroits qu'on ne le croit généralement et à distinguer des formes intermé- diaires. C'est ainsi qu'au point de
u point de vue qui nous occupe, Wieg W iclcental de Halle admet une forme intermittente comme sous-groupe défini de la dé-
ceprécoce. William Rush Dunton (2) décrit aussi comme distincte une forme intermittente, comprenant une variété circulaire,
teint pas la ligne médiane. Plus bas, au niveau de la 7e côte, elle forme un nouveau coude, se dirige horizontalement en
raisseux; dans tous les cas nous pouvons admettre l'existence d'une forme fruste, avariqueuse. Mais ce qui nous intéresse
FIG. 2. - Vue macroscopique do la rangée des arcs des vertèbres qui forme avec les apophyses képi- neuses nne colonne sép
astomosent entre eux et forment assez souvent des élargissements en forme d'anse. Les corpuscules et les lamelles osseuses,
, avec les parois des ca- naux de Havers et avec leurs processus en forme d'araignée (fis. 5, (j et 7, PI. XXVI). luc.
dis que dans toute la masse du car- tilage elles se présentent sous forme d'agglomération de 5, 10 cellules et plus. La p
ylose rhizo- mélique et signes anatomiques différentiels des quatre formes les plus voisines d'ankylose de la colonne vert
ri0 La spondylite syphilitique est une affection très rare. Dans sa forme d'ostéite et de périostite gommeuses, elle prés
elle présente des symptômes analo- gues à ceux de la carie; dans sa forme d'ostéite ossifiante, les corps des vertèbres e
sur quelques vertèbres; la tumeur en traversant les muscles dorsaux forme sur la colonne vertébrale des excroissances compa
articulations des hanches que décrit Striimpell est évidemment une forme de la spon. dylose rhizomélique de Il. Marie, a
cale du rachis auraient pu être atteintes à leur tour comme dans la forme de la spondylose rhizomélique. 3° Forme traum
à leur tour comme dans la forme de la spondylose rhizomélique. 3° Forme traumatique héréditaire de M. 13c%Irtere/f. Dans
re la différencie de la spondylose rhizomélique. On distingue trois formes de la spondylose rhumatismale : a) Dans la form
distingue trois formes de la spondylose rhumatismale : a) Dans la forme simple, la spondylose se propage sur tout le ra-
se passagère du rachis ; l'affection guérit également. c) Dans la forme allkylosallte la spondylose, après une période de
tit à une ankylose complète du rachis. Opposons le tableau de cette forme dernière avec celle de la spondylose rhizoméliq
ma- tismale que nous avons recueillies. 6° Spondylite déformante ( forme partielle d'arthrite déformante).- On distingue
e partielle d'arthrite déformante).- On distingue aujourd'hui trois formes de celte affection : I. - L'arthrite ou spondyl
'1/lamte considérée par certains au- 250 ELDAROFF leurs comme une forme nosologique spéciale, est le résultat d'un troubl
) qui sont provoqués par les dépôts osseux compresseurs. Dans cette forme , les petites articulations des extrémités sont
urs affectées. II. - L' arthrite sèche ulcéreuse se distingue de la forme précédente par une prédominance des altérations
: il s'agit de Polyarthrite chronique rhumatismale. Cette dernière forme d'affection se rencontre le plus souvent entre
de dénomination de la maladie : « Arthrite des pauvres ». Les trois formes signalées de spondylite-arthrite déformante peuve
es muscles et des douleurs provoquées par les mouvements. Une autre forme d'immobilité du rachis d'origine myopathique (DrP
dénomination de : Afaladieankylosante progressive et chronique, une forme d'ankylose des articulations. En 1905, M. Berge
ue le siège de l'affection qui établisse une diffé- rence entre ces formes . Toutes les parties du squelette qui sont affecté
articulations des hanches et des épaules, restent intactes dans la forme Raymond-Berger, et, réciproquement, loutes les
estent intactes à la spon- dylose rhizomélique sont ankylosées à la forme Raymond Berger. ÉTIOLOGIE L'étal actuel de la
l'écoulement; l'anamnèse de cinq autres malades signale une légère forme d'urétrorrhée sans aucun rapport évident avec l'a
nte, comme une entité morbide spéciale. La Spondylite déformante ( forme partielle de l'arthrite déformante) et la Spond
r nature et leurs symptômes. On peut assigner une place à part à la forme du profes- seur Bekhtereff, « la cyphose hérédo
ereff, « la cyphose hérédo-traumatique »,mais en ce qui concerne la forme de Strumpell : « inflammation ankylosante chroniq
llulesparencllymateuses, est caractérisé par un grand noyau dont la forme est variable, ordinairement ovale, qui contient p
s depuis les noyaux qui évacuent leur boule jusqu'à ceux qui ont la forme d'un fer à cheval et jusqu'à ceux qui n'ont qu'
isent avec les autres cellules. Ces cellules névrogliques sont de formes différentes. Ordinairement elles émettent leurs
plusieurs directions ; mais on voit assez souvent des cellules fusi formes à noyaux oblongs qui émettent seulement dans deux
ulations indistinctement limitées. Les noyaux ont ordinairement une forme triangu- laire. Il y a peu de protoplasma qui s
t, distinctement limité et neutrophile ou faiblement acidophile. La forme de ces cellules est très variable ; elles sont or
cifications dans les septa ; elles sont alors plus petites et d'une forme oblongue, Le pigment est aussi souvent décrit ;
'un grand nombre d'entr'elles sont des mastcellules ou une certaine forme de cellules de déblai. En tout cas il est remarqu
and que dans toute autre partie du cerveau. Donc, les différentes formes de cellules que nous avons trouvées dans les se
. 2° Le processus sécrétoire se fait de la manière suivante : il se forme dans les noyaux des boules à granulations faibl
su conjonctif de la glande pinéale on trouve toujours dif- férentes formes de cellules dont une partie ressemble à celles qu
iple coloration de Mallory, on peut voir deux petits corpuscules de forme sphérique très rap- prochés l'un de l'autre et
proéminent pas à la périphérie, le nucléole garde en cet endroit sa forme circulaire. De la périphérie du nucléole hypert
u ne présente rien d'anormal ; il a ses dimensions habituelles, une forme ovalaire; les filaments du réseau de linine con
te partie amincie, proémine dans le cyto- plasma cellulaire où elle forme une sorte de ménisque convexe ou une sorte de c
au qui possède une sembla- ble membrane prend, dans l'ensemble, une forme spéciale qu'on pourrait t grossièrement compare
er de plus en plus dans le cytoplasma et en même à temps changer de forme pour prendre celle d'un cône il sommet émoussé, a
déforme. Ainsi, au lieu d'être nettement circulaire, il apparaîtde forme allongée, ova- laire, triangulaire, ou de forme
aire, il apparaîtde forme allongée, ova- laire, triangulaire, ou de forme irrégulière. Dans cet état sa structure granule
Leur taille peut être égale ou de dimension variable ; quant à leur forme , elle est toujours sphérique. Quant au bourgeon
lations oxyneutrophiles. Ces der- nières sont de taille inégale, de forme plus ou moins irrégulière tandis que les sphéru
tandis que les sphérules sont le plus souvent de taille égale et de forme réguliè- rement sphérique. Mais cette différenc
aire, seraient susceptibles d'augmenter de volume et de prendre une forme irrégulière. Comme l'origine nucléolaire RECHER
llules. On se trouve en présence de noyaux à contours réguliers, de forme ronde ou ovalaire, situés au centre de la cellu
ons apparais- sent de (aille inégale, les unes sont volumineuses de forme sphérique d'autres beaucoup plus fines, isolées
ui qu'on rencontre dans les ganglions normaux. Ces vacuoles sont de forme arrondie, ovalaires ou moniliformes séparées les
des bandes de proloplasma plus ou moins épaisses; l'aspect monili- forme parait dû à la fusion de plusieurs vacuoles situé
it à la périphérie de la cellule les corps de Nissl apparaissent de forme fusiforme allongés et disposés à peu près sur u
leur capsule que par un ou deux points. Leurs noyaux apla- tis, de forme à peu près fusiforme ou incurvés en forme de croi
'aspect tout à fait particulier. Cette formation le plus souvent en forme de rosace se trouve dans les cellules à substance
rés comme des états successifs d'un processus d'évolution vers une forme définitive qui serait celle que l'on retrouve d
absolue.Le polymorphisme de ce corpuscule n'est que relatif car les formes ne varient pas a ! 'infini mais paraissent bien s
les cellules en état de désintégra- tion granuleuse 011 remarque la forme A,danslescellulesprésentantla même altération o
lesprésentantla même altération on aura à peu près toujours la même forme A au lieu de C,D,E..x. Dans d'autres cellules e
.x. Dans d'autres cellules en état d'achromatose absolue on aura la forme B. Examinant un nombre variable de cellules en
en achromatose absolue nous verrons dans toutes, à peu près la même forme B, c'est-à-dire le même type au lieu de C, D, E
'un centrosome, d'un pyrénosome ou d'un plasmo- pyrénosome ? par sa forme , sa taille, sa structure, et sa situation a une
ents dans les HÉIVfISYNDROME BULBAIRE PAR LÉSION PÉRIPHÉRIQUE 309 formes bulbaires de la syringomyélie et nous-môme avons
bout d'un certain temps, les troubles psychiques apparurent sous la forme d'une forte agitation, d'hallucinations, d'illu
autre ! part à : cause de la description souvent insuffisante de la forme clinique de la maladie. C'est la psychose mania
la gla- belle. Lèvres minces. Dents normales quant au nombre, à la forme , à la gran- deur, et régulièrement plantées. Dé
30 FUMAROLA droite, 46 centimètres à gauche. Les clavicules ont une forme et une direc- tion normale. La colonne vertébra
carpe n'est constituée que par l'os pisiforme et par un autre os de forme allongée, semilunaire, à convexité supérieure et
ie est formée de trois os, l'os unciforme, le grand os et un autre de forme ovale, légèrement proéminent, dû évidemment à l
. A droite : Extrémités du radius et du cubitus normales quant à la forme . Il n'en est pas de même de leur grandeur. Comp
atane non empesée faisant le tour plusieurs fois, de sorte qu'on en forme un corset depuis les seins jusqu'au-dessus des ge
évolution morbide à l'altération des cellules nerveuses est de même forme et ceci est prouvé par les recherches expérimenta
a micromélie à prédominance rhizo- mélique, la lordose lombaire, la forme des mains, etc. , Voici les résultats métriques
Revue Neurol., 1901, p. 451. DUFOUn. - Achondroplasie partielle, forme atypique. Nouv. Iconographie de la Salpè trière
ROPOS D'UNE NOUVELLE OBSERVATION, D'ACHONDROPLASIE PEUT-ON, DE LA FORME DES TROUBLES PSYCHIQUES DANS CETTE MALA- DIE, T
séduisante qui, basée surtout sur des comparaisons avec les autres formes de nanisme et avec le gigantisme, manque cepend
rt Ballet, Traité de pathologie mentale, p. 873. (2) Regnault, La forme du corps chez les bossus, les achondroplases et l
e véritable infantilisme. Les sujets onl repris cette gracilité des formes , cette minceur de la taille et du thora\, cette
nt ou deviennent glabres. Il peut se produire un épaississement des formes avec développe- ment des seins, constituant un
ections en môme temps que s'atrophient ses orga- nes génitaux ; ses formes s'amincissent et l'on assiste à une chute presque
le trouve rap- 430 CORDIER ET REBATTU proché de l'anneau, sous la forme et la grandeur d'un haricot blanc. Il est in- d
c atrophie consécutive des testicules. Peau blanche. Cheveux longs. Formes féminines. Point de barbe. L'INFANTILISME RÉGRE
émission de liquide spermatique ou sper- moïde. Seins développés. Formes arrondies du corps. Faiblesse musculaire. Obs
plètement disparu : on est, croirait-on, devant un adolescent. Les formes géné- rales du corps sont plutôt féminines, ave
nfond avec la sclérose interlobulaire et qu'on ne reconnaît qu'à sa forme et sa paroi moins dense. Les lésions sont donc
Remarquons en passant que l'achondroplasie se rencontre, et sous sa forme habituelle, dans l'Afrique centrale. Nous donno
de la même longueur, tandis que le premier est relativement court. La forme en trident de la main est bien évidente sur la
que dans trois cas sur les six ici décrits, elle se présente sous une forme absolument pure. Et d'ailleurs l'un de nous (H.
pl. par Rebattu, 368. - {Nouvelle observation d' -. Peul on de la forme des troubles psychiques dans celte maladie tire
zière. Une nouvelle ohser- vation d'achondroplasie. Peut-on de la forme des troubles psychiques dans cette maladie, tir
Uwuas. Une nouvelle obser- vation d'achondroplasie. Peut-on de la forme des troubles psychiques dans cette maladie, tir
78 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
énéralement plusieurs heures de suite et parfois se présentent sous forme d'élancements apparaissant et disparaissant t b
vraiment fructueux, des connaissances relatives à l'anatomie des formes du corps humain, plus étendues et plus DE LA DÉ
ssi très bien admettre que, chez certains sujets prédisposés, il se forme , après un laps de temps plus ou moins long, com
! coordina- tion automatique». « Enpa ! ! 1Ogéni; 'dit-il, cette forme ne' diffère de t'ataxie; complète que par' la con
et par l'adaptation régulière des mouvements au but voulu. Cette forme , très rare, n'a été vue jusqu'ici que chez les
dans la Medicina Contemporanea, en 1883, sous ce titre : « Sur une forme spéciale d'im- puissance motrice des membres in
e aussi les différences et les analogies qui existent entre « cette forme spéciale d'impotence motrice des membres inféri
es d'incoordination motrice chez les hystériques. Le premier est la forme étudiée par Briquet et Lasègue3 3 dans laquelle
ue les malades sont privés du contrôle de la vue. Le second est une forme non encore décrite. Quelquefois elle est combin
de la lenteur de l'exécution de cette excitation En général, cette forme intéres- sante d'incoordination est relative se
fonctionnelle. Erlenmeyer rapproche les convulsions statiques de la forme décrite par Bamberger sous le nom de spasme sal
ans laisser aucune trace. Mais je ne pus donner aucune raison d'une forme clinique aussi étrange. Sur un lit, on voyait u
inrentdes attaques hystéro- épileptiques qui paraissent avoir eu la forme classique (arc de cercle, attitudes passionnell
tites filles. Sa soeur a treize ans; elle est atteinte d'hystérie à forme anorexique. bllie G... elle-même est réglée dep
al Saint-Louis. Dans son enfance, il a été atteint de scrofule sous forme d'é- coulement d'oreilles et d'adénopathie cerv
écédée d'une phase d'un genre particulier. Puis secousses tétani- formes de la face et des membres. Période clonique. -
L'état mental actuel n'est que la conséquence d'une longue folie à forme rémittente, accompagnée d'accès d'excitation et
oisième volume renferme une description des attaques de sommeil qui forme la monographie la plus complète que nous posséd
estion est importante à préciser surtout t lorsque l'on envisage la forme d'attaque de sommeil plus par- ticulièrement dé
e l'explosion des accidents hystériques envisagés sous toutes leurs formes . Nous devons dire cependant que les récentes ét
l'a fait M. Achard, dirons-nous avec lui, en ne considérant que la forme particulière de l'attaque de sommeil qu'il a étud
paroxystique, Elles se produirait dans les psychoses aiguës sous la forme de semi-rigidités ou de semi- convulsions muscu
éraux, la substance grise, les fibres nerveuses. P. K. VII. D'UNE forme TOUTE particulière D'ILLUSIONS DE la VUE ; par
roupe : Idées de persécutions chez les arthritiques mélancoliques à forme torpide. Septième groupe : Idées de persécution
ond qu'ils ne se rencontrent que chez les paralytiques jénér raux à forme ataxique, au moment où les lésions, qu'elles débu
mots. On serait en droit, dès lors, de les rapprocher de certaines formes d'onomatomanie qui semblent dépendre d'une exci
maux 1. M. le directeur 13.ItTIIOLD. Du développement du sens de la forme chez les idiots. Les enfants que l'on rencontre
ussi susceptibles d'un développement différent. Ainsi le sens de la forme est plus capable de développement que le sens d
e de développement que le sens du nombre. D'ailleurs, le sens de la forme se compose de i'intel-' ' Nous ne pouvons nous
) SOCIÉTÉS SAVANTES. ligence (reconnaissance et distinction), de la forme et de la mémoire de la forme. Suivant qu'existe
(reconnaissance et distinction), de la forme et de la mémoire de la forme . Suivant qu'existe ou que prédomine chez tel ou
modalités de la faculté totale ou l'une des facultés du sens de la forme , l'individu en question est apte à subir telle
dessiner, lire. La prédominance, chez lui, de l'intelligence de la forme , l'entraî- nera à apprendre à écrire et à dessi
à écrire et à dessiner, mais non à lire. Si c'est la mémoire de la forme qui tient la tête, l'enfant apprendra bien à li
mais non à écrire ni à dessiner. C'est aussi du genre du sens de la forme que dépendront les progrès dans l'enseigne- men
it donc comporter dans une large mesure la culture du sens de ! a forme . Enseignement théorique par les démonstrations de
ens de ! a forme. Enseignement théorique par les démonstrations des formes et l'ensemble de l'enseignement visuel, enseign
du calcul, du tra- vail manuel. L'étude plastique et théorique des formes oblige à fixer, à observer, regarder, comparer,
ation du reste de renseignement visuel, et vice vend. Le sens de la forme grandit par l'enseignement de l'écri- ture, de
é de recon- naitre, comparer, juger la représentation graphique des formes matérielles. En combinant ces diverses branches
el, puis l'analyser, le reproduire graphiquement; qu'il s'agisse de formes géométriques, du lettres, de clJill'res, d'orneme
professeur ERB (d'Heidelberg). Etat anatomique des muscles dans la forme juvénile de la dystrophie musculaire progressive.
rncnuavrr (de Stephansfeld). Des altérations histologiques dans les formes traumatiques de l'encéphalite aiguë. - Résultats
ne se produit pas d'abcès : la substance conjonctive se détruit et forme avec le pus des amas cellulaires pleins de micr
s vasculaires, de sorte que dans les pre- mières semaines, il ne se forme pas de réseau conjonctif continu. Donc le premi
tion sur le fait en question, et de faire remarquer que, dans cette forme d'aphasie, c'est sans exception la moitié gauch
le genou gauche et sur le ventre on observe des taches blanches de forme irrégulière, en- tourées d'une bordure plus pig
médius de la main droite n'existe pas et l'extrémité de la seconde forme un moignon un peu épaissi. La colonne vertébral
ue la ligne moyenne, allant de l'incisure jugulaire vers l'ombilic, forme un arc, dont la convexité est dirigée à droite.
long supinateur a presque disparu et se fait sentir au palper sous forme d'un mince cordon; en général, tout l'avant-bra
rçoit pas de différence moindre de 5° et sur un certain espace de forme sémi-lunaire, dont la limite convexe supérieure
inquante-quatre ans. Theermo-anesthésie partielle et analgésie sous forme hémiplégique. Plus tard lésion du coté opposé.
brachial (appa- rition d'une petite boule semblable à celle qui se forme à la suite d'un coup sec sur le muscle). A la m
nt. Sur la paume de la main la ligne séparant la partie anesthesiee forme dans le tiers supé- rieur de la main une courbe
demi- flexion à angle droit avec le tronc. Enfin, dans une autre forme , la station et la marche ne sont plus que gênée
nous en avons tirée, il est déjà possible de distinguer plusieurs formes d'astasie et d'abasie correspondant aux divers
ique. Or, on sait que la paralysie hystérique se présente sous deux formes cliniques typiques qui, au premier abord, sembl
où il est debout. Quand l'affection se présente sous sa dernière forme , c'est-à-dire qu'il existe des mouvements désor-
aux le rythme et la cadence des mouvements, leur intermittence sous forme d'ac- cès ; de plus, les accès eux-mêmes se pro
'une suggestion d'impuissance motrice se réalisant sous l'une des formes que nous nous sommes attaché à décrire. Ne pour
ujet, ait pu acquérir assez d'intensité pour se réaliser sous une forme objective ? Il n'est pas douteux, d'après les f
voit le plus souvent à la suite de vertiges ou d'accès aigus; cette forme est la plus fréquente, et beaucoup d'auteurs n'
nt à la suite de vertiges et d'accès, mais constitue encore une des formes les plus communes de l'épilepsie larvée. Obse
nt saillante et linéaire; l'orifice anormal à l'état ordinaire a la forme d'un triangle isocèle dont la base répond à la
xième scissure frontale. Le sillon de Rolando, très profond, a la forme d'un S. - La scissure perpendiculaire externe n'a
lobe occi- pital. La scissure interpariélale est très irrégulière, forme en arrière de la circonvolution pariétale ascen
mée, est très sillonnée. Le lobule pamcentral, bien développé, a la forme d'une bourse dont l'ouverture siégerait au nive
égers, tantôt forts. Dans le premier cas, ils se présentent sous la forme vertigineuse : pâleur de la face, chute sans mo
aum ', qui tente, dans une importante monographie, de délimiter une forme de maladie dans laquelle certains symptômes som
un rôle capital daus tout le pro- cessus morbide. Cette nouvelle forme de vésanie serait extrêmement voisine de ce qu'
ut qualifier d'extase pathétique et aussi une tendance à parleren forme de discours, à déclamer; qui donneraient à la mú
et ensemble constitue la Catatonie. Jusqu'à un certain point, cette forme serait un pen- dant à la paralysie générale ave
ues de la Catatonie on trouve qu'elle présente successivement les formes principales qu'affectent les troubles intellectue
t le stade de stupeur. C'est d'abord le caractère pathétique . sous forme d'exaltation théâtrale, d'extase tragico-religieu
verbigération peut se transformer en l'une quelconque de ces autres formes . En outre à côté de la verbigération il faut no
hthisie, rare pour Kahlbaum dans les autres LA CATATONIE. 2;)V li formes mentales. Ce fait seraità opposer à la prédominan
la première place Les causes occasionnelles sont celles des autres formes mentales; à signaler encore cependant le trauma
e sorte que les svrn [p tômes psychiques revêtent successivement la forme de la mélancolie, de la manie, de la stupeur, d
nerveux moteur présentant le caractère général de la crampe. Cette forme v' LA CATATONIE. 261 t de maladie ainsi carac
aient au contraire le caractère de paralysies. ' Près de ces deux formes de maladies si distinctes vient s'en ranger une
ne présente rien du côté- du système nerveux moteur. Cette dernière forme que l'on ren- contre souvent dans les asiles da
la guérison est nommée ordinaire- ment manie, et en opposition aux formes maniaques mul- tiples, manie simple ou véritabl
ux formes maniaques mul- tiples, manie simple ou véritable. A ces formes à marche cyclique on doit opposer tous les cas
iénations idiopathiques et sympathiques. On pourrait distinguer des formes de Catatonie épileptique, r tétanique, choréiqu
tions sans caractère régulier (C. gravis). Enfin, dans une dernière forme (C. prolongée), les symptômes d'excitation n'ap
indifférence vide. l3rosius croit que déjà on peut distinguer trois formes de Ca- tatonie : 1° une forme méningitique dont
it que déjà on peut distinguer trois formes de Ca- tatonie : 1° une forme méningitique dont la marche prolongée est liée
nfin l'oedème cérébral décrit par Etoc-Demazy3 serait une troisième forme . Kiernan1, dans deux mémoires consécutifs sur l
ert, deux ans avant Kahlbaum, avait décrit la Catatonie comme une forme particulière de mélancolie attonita, et il cite l
es auteurs que nous venons de citer. Pour lui, la Catatonie est une forme spéciale du délire systématisé aigu hallucina- r
marche de la névrose vaso-motrice. Au point de vue clinique, cette forme de Wahnsinn peut se di- viser en Catatonie expa
itant de l'hystérie, Schüle revient sur cette question et parmi les formes que peut affecter la folie hystérique il décrit
cter la folie hystérique il décrit le Wahnsinn catatonique. Cette forme très fréquente du Wahnsinn hystérique a de règle
ie de Kahlbaum et rejette la description de Schtile qui en fait une forme de délire systématisé (Wahn- sin). Car, pour lu
ps après la cessation des injections hypo- dermiques. » Tout cela forme un faisceau de faits dont nous verrons en- core
faits : ceux dans lesquels l'attaque de sommeil se présente sous la forme apoplectique avec hémiplégie, ceux dans lesquels
orps. Ceci nous amène à dire quelques mots complémentaires sur la forme apoplectique de l'attaque de sommeil récemment
l n'en est plus ainsi dans certains cas de stupeur mélanco- lique à forme léthargique ou dépressive. Ce sont encore là, du
t pas un véritable sommeil, ce qui suffit, ' Sthpeur mélancolique à forme léthargique. Sommeil apparent et non discontinu
tion spéciale du délire chronique suffit à le distinguer des autres formes mentales, dont la symptomatologie peut com- pre
laisse pas que d'étonner de rencontrer unies chez un même sujet ces formes morbides d'ordre si différent, délire chronique
sont justement pas irri- guées par cette artère. M. MUFLLER. Les formes initiales de la paralysie générale ne sont pas
Une expérience de plusieurs années m'a imposé la conviction que des formes tout à fait initiales peuvent se terminer par la
l'extrême fréquence des rechutes de la folie et en particulier des formes de folie les plus dangereuses d'une mesure qui
t le nom, profes- sion, age et domicile, tant de la personne qui la forme que de celle dont le placement est réclamé, et
nt entre elles « La demande est écrite et signée par celui qui la forme ; elle est visée par le juge de paix, le maire o
isines. De cette façon, la nourriture pourrait être servie sous une forme plus appétissante; une moins grande quantité en
le regard vague, les symptômes spasmodiques, les accès apoplecti- formes et épileptiformes, et les symptômes psychiques, a
avec la gouge dans les trous de conjugaison se 'présentent avec la forme , le volume et la consistance de ganglions norma
s atteints de paralysie générale ou d'aliénation mentale sous une forme quelconque, etc. Et alors cette paralysie faciale
jusqu'à pré- sent, la diathèse nerveuse qui se manifeste sous une forme plus ou moins éclatante, c'est l'hérédité directe
lants de cette observation, nous avons préféré la reproduire sous forme de tableau généalogique. DE LA PARALYSIE FACIAL
s groupes : dans le premier groupe DE LA PARALYSIE FACIALE. -375 ( forme légère), il n'y a aucune anomalie dans l'excita-
ilité faradique ou galvanique des nerfs et des mus- cles ; c'est la forme essentiellement bénigne dont la guérison ne dem
ois. Dans le troisième groupe vien- nent se ranger les paralysies à forme grave avec réaction de dégénérescence complète;
n autre cas qui 376 CLINIQUE NERVEUSE. avait les apparences d'une forme grave avec tous les caractères de la réaction d
trième côte ; qu'il est refoulé en bas vers la cavité abdominale et forme une voussure fluctuante qui se trouve au niveau
médiaire le sillon occipital'transverse. La scissure interpariétale forme en arrière de la circonvolution pariétale ascen
sur le rebord la position d'après laquelle l'axe céphalo-rachidien forme un angle aigu avec la barquette. Douzième expér
p. 1026.) LA CATATONIE. 421 Il Arndtr rejette l'existence comme forme essentielle, de la folie de tension (Spannungs-
des grandeurs le mieux caractérisé, mais la catatonie n'est pas une forme spéciale d'aliénation, elle n'est qu'une verruc
ignes qu'on attribue à la catatonie : -. il n'admet nullement cette forme et pour lui la stupeur et les autres phénomènes
es cas décrits comme typiques méritent de constituer vraiment uue forme morbide spéciale parce que les phénomènes calaton
marche est celle des vésanies typiques. Pour lui, la rapportant aux formes acceptées dans nos classifications, il incline
ncipales tentatives qui ont été faites pour isoler la catatonie des formes vésaniques voisines. Nous avons pu déjà être fr
55.) - 8 J. Voisin. - Notes sur un cas de mélancolie avec stupeur à forme cataleptique, etc. (Archiu. de new'olog, 1877,
tisans même de celle-ci. Enfin dans son livre sur la folie à double forme , M. Ritti 2/' signale la présence des états cat
ns en face de ces deux opi- nions : 1° ou bien la catatonie est une forme morbide essen- - tielle ; 2° ou bien les cas ra
énumérés ci-dessus sont-ils véritable- ment caractéristiques d'une forme mentale spéciale ? Consi- dérons-les d'abord en
, 1883, p. 4 ï8.) * Ritti. - Traité clinique de la folie à double forme , 1883, Obs. XI, XII, XIII. LA CATATONIE. 425
lie à double forme, 1883, Obs. XI, XII, XIII. LA CATATONIE. 425 formes ou états cataleptiformes et même les simples raid
e, nous pou- vons voir que chacun d'eux peut se rencontrer dans les formes psychopathiques les plus variées (Arndt, Krafft
dépression de la folie circulaire (ilitli) et dans les différentes formes de l'intoxication alcoolique où ils sont pour ain
stupeur panopho- bique qui présentait ces manifestations sous trois formes diffé- rentes, secousses musculaires, raideurs
dans ce cas l'hypothèse de l'hystérie primitive. Dans les autres formes de mélancolie, qui ne présentent pas l'état de
aux états maniaques (Lagardelle). On sait d'ailleurs que dans les formes plus graves d'excitation, et en particulier dans
i que, dominé par l'idée de l'élément spasmodique capital dans la forme qu'il veut décrire, Kalhbaum fait de la verbigéra
s, ce n'est pas une base assez solide pour y édifier une nouvelle forme nosologique. D'ailleurs, quelle que soit l'explic
ours de la maladie elle peut se transformer en l'une quelconque des formes dont il la distingue auparavant (redesucht ordi
. Brugia e S. Marzocchi. - Dei movimenti sistematizzafl in alcllne' forme diindebolirnento mentale. (Arch, ital. per le mal
s ou moins régulières d'excitation se présentant aussi bien sous la forme d'excitation maniaque que d'anxiété mélancoliqu
mélancolie attonita, qui a été considérée jusqu'à présent comme une forme spéciale, ne se développe cependant primi- tive
a démence, la mélancolie attonita ne doit être considérée comme une forme particu- lière. » L'argument est peut-être exce
attonita, à savoir qu'elle ne doit pas être consi- dérée comme une forme particulière, au moins pour sa marche. Nous avo
nous venons de passer en revue ne peut à lui seul caractériser une forme psychopathique spéciale. En est-il autrement de
l'alaxie locomotrice, l'ataxie héréditaire et la chorée. Dans la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques, on o
lité cutanée soit dans tous ses modes, soit dans plusieurs, sous la forme bila- térale, hémilalérale, disséminée (en plaq
as). Chez le même individu, ces perturbations varient, quant à la forme , à divers moments; elles sont dans leur ensemble
iaques, mais à titre de phé- nomène secondaire et exceptionnel, des formes de manie et de délire qu'on a pu ranger sous le
tions partielles, consécutives aux attaques congestives apoplecti- formes et aux accès d'épilepsie. P. K. XVII. Observati
gique. Il existe des types d'ivro- gnerie intermédiaires à ces deux formes . Signalons en un, se rapprochant de la forme co
rmédiaires à ces deux formes. Signalons en un, se rapprochant de la forme continue, daus lequel la propeusion à boire n'e
dont 14 syphilitiques. Il n'existe pas, d'après la statistique, de forme clinique particu- lière de paralysie générale s
es troubles dans les différents phénomènes de cette nutrition. La forme arrondie des plaques de vitiligo, et la marche ex
parmi les partisans eux-mêmes du délire chronique au sujet de cette forme psychopalhique prétendue si simple et si claire.
Briand ont ouvert cette description, j'avais cru comprendre que la forme nosologique dési- gnée par Lasègue de délire de
ésie faciale à droite, et, à plusieurs reprises, attaques épilepti- formes avec trouble de la connaissance (convulsions clon
nerfs olfactifs et avait donné nais- sance aux hémisphères sous la forme d'une vésicule unique. Le cer- veau antérieur p
'arc marginal. Base normale. - Suture frontale ossifiée; le frontal forme en avantun angle aigu ; en arrière la calotte e
e en avantun angle aigu ; en arrière la calotte est plus aplatie et forme un plan oblique très escarpé, tête trigonocépha
nture de voltige et d'un appareil d'Esmarch). Il traite enfin d'une forme de convulsion musculaire idiopathique, rappelan
de préférence chez la femme. Les paralysies revêtent la plupart des formes connues, hémiplégie, paraplégie, mono- plégie,
en français, il y est joint une traduction française certifiée con- forme . « Dans les trois jours de la notification de c
79 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s'étend jusqu'à la moitié de la clavicule. Elle entoure l'épaule et forme un véritable gigot. A la face, anesthésie du cô
rte et comme hébété dans l'intervalle des spasmes, tout, en un mot, forme un tableau caractéristique qu'il n'est guère po
ouverons bien dans l'histoire antérieure de notre ma- lade d'autres formes de ses convulsions cloniques ; mais jamais l'ap
sions cloniques ; mais jamais l'apparition et la disparition de ces formes diverses ne se sont faites rapidement. Chaque t
point d'un tic isolé et passager, mais d'une série ininterrompue de formes symptomatiques variées, et dont l'en- semble co
s si l'on envisage la localisation du phénomène en la comparant aux formes classiques, on constate que la localisation sur
olie. Quoi qu'il en soit, il est bon de connaitre les principales formes de ces stigmates psychiques pour pouvoir mieux le
peur d'avoir peur. Dans ce 'même ordre d'idées, mais sous une autre forme , on note la folie du pourquoi, non pas du pourq
à placer une moitié des objets à droite, l'autre à- gauche. » Celte forme est l'analogue, avec un degré de plus, du besoi
xtrême est pour nous un symptôme de déséquilibration mentale, une forme de neurasthénie psychique que j'ai eu le bonheur
mélrophilie, mais je préfère bountétrie. JI Suit une série d'autres formes dont j'emprunte la des- cription sommaire à Gui
ont eux-mêmes autre chose que des tics psychiques, c'est-à-dire des formes symptomatiques, des manifestations spéciales de
On y distingue des contours peu nets qui limitent des espaces de forme irrégulièrement arrondie ou polygonale et l'on y
presque toutes alté- rées : elles présentent une grande variété de forme , de dimension et d'aspect : toutes dépassent no
le noyau n'est plus ap- parent. La plupart ont gardé pourtant leur forme normale. Quant aux méninges et aux racines nerv
corrodée : au lieu de se présenter comme un tissu cohé- renl, elle forme une trame dont les mailles irrégulières apparais-
ire cervicale, on trouve dans les cornes antérieures des cavités de forme irrégulière, contenant un vaisseau, tapissées e
cas et d'autre part, il n'est point du tout établi que les diverses formes étiolo- giques de myélite aiguë possèdent des c
yphoïde ou éruptive, une pneumonie..., c'est une maladie nerveuse à forme convulsive qui se déclare chez un épileptique,
se généralise, il affecte particulièrement les muscles extenseurs, forme opisthotonos. L'affection se montre avec une gr
n maniement réclame certaines précautions et un choix judicieux des formes phar- maceutiques. Il a été préconisé contre le
ulée, dysménorrhée mâle par infection; elle revêtit chez le mari la forme de névralgies lombo-sacrées avec diarrhée sangl
lcération tuberculeuse. P. Keraval. XVII. MAL vertébral, nouvelle forme de gastralgie; parM. 13oce. (Centrcalb. f. Nerw
s six générations, par A. Eulenburg. (Neurol. Cen- tralbl. 1886.) Forme toute spéciale congénitale héréditaire d'idiosync
une température de 10 à il° R.; la chaleur les dissipe sous toutes formes ainsi qu'un bon repas. Les mains peuvent cepend
al déterminent l'appa- rition de l'hystérie et principalement de sa forme convulsive, militent fortement en faveur de cet
qu'elle contient simultanément des élé- ments fondamentaux des deux formes morbides : dépression per- sistante avec produc
athiques et en particulier avec la folie systématique. - A côté des formes stationnaires de la folie systématique, il en exi
des formes stationnaires de la folie systématique, il en existe des formes progressives qui tôt ou tard permettent de reconn
es après une courte période de délire, et se manifeste souvent sous forme d'une lacune intellectuelle persistante, irrépa-
base à une division clinique distinguant, suivant l'évolution, des formes de faiblesse psychique : .mélanco- lique - stup
n dans l'huile), sortir des corpuscules de Ranvier. Les unes ont la forme de demi-lunes ; les autres, *de polygones. M. Ro-
logique et histologique de treize : faits de paralysies générales à formes diverses ; six cas de démences séniles et secon
ns brillantes libres ou contenues dans des cellules. Cette dernière forme de l'altération se rattacherait aux cas d'athér
e la corne antérieure (territoire d'origine moyen). Au moment où se forme la corne latérale, c'est-à-dire un peu au-dessu
e se comportent de même que ces derniers, mais le troisième segment forme ici plutôt un arc ver- tical. P. KERAVAL. XII
r contenu dans le cordon latéral en avant du faisceau pyramidal. Il forme un long ruban à la hauteur de la commissure pos
llette de 19 ans. Arrêt de développement de l'insula gauche dont la forme et le volume comparés à ceux du même organe de
certaines affections mentales, le langage réflexe s'observe sous un forme exagérée ; 5° que la voie du langage réflexe est
acula, à l'aide dnquel on construit, par la pensée, une figure, une forme , devenant bien vite hallucination, de même qu'o
plus fréquem- ment dans la paralysie générale que dans toute autre forme de folie, c'est que c'est surtout dans la paral
ces recherches les conclusions suivantes : 1° Dans les différentes formes de folie, l'influence du système nerveux sur le
utre du caractère normal. 2° Dans la manie aiguë et dans les autres formes de folie qui s'accompagnent d'excilation mental
lut : 10 Que la neurasthénie engendre des névroses de différentes formes et des psychoses de dégénérescence. - 2° Que da
doute peut se manifester à l'état pur, ou être associée à d'autres formes de psychose de dégénérescence, à des délusions
rariété. Les deux premiers cas peuvent se i encontrer dans d'autres formes de folie; le troisième parait être spécial aux im
es se sont graduellement aggravés. R. M. C. VII. Sur UNE nouvelle forme de trouble ment\l présentant DES CARACTÈRES BIE
cence, bien qu'il diffère par plusieurs points essentiel- de cette forme de folie. Les troubles mentaux qui précèdent ou a
ées. Tableaux. Analyse. Le poids du cerveau diminue dans toutes les formes de 1'31léuation mentale, surtout chez les hommes
i plus tard dégénère eu encéphalite et myélite diffuse, revêtant la forme symptomatique de paralysie générale. Inactivité
es de suicide; l'ensemble de ces nouvelles idées délirantes prit la forme d'obsessions. i\1. WKNDT. M. Krcemer, dans son
a paru utile d'en faire une communication. Ils appar- tiennent à la forme mixte cérébro-hulbaire et montrent une fois de
sont cependant plus ou moins graves sans qu'on sache pourquoi. Les formes varient également ; la folie induite témoigne n
sistance se lève en l'honneur de sa mémoire. 111. 13UDDEBERG. De la forme dépressive à évolution aiguë de la démence para
e sur certains points. P. B. II. Amyotrophie primitive progressive ( forme juvénile de Erb); par L. BOURGUET. Montpeilier,
, d'un malade du service du Dr Grasset, atteint d'amyotrophie de la forme juvénile, il caractère familial ; sans antécéde
matisme psychologique; essai de psychologie expérimen- tale sur les formes inférieures de l'activité humaine; par Pierre J
re à profit la méthode des sciences expérimentales pour étudier les formes élé- mentaires de l'activité humaine; en d'autr
une sorte de plan simplifié de la sociologie humaine. Les diverses formes de gou- vernement sont ensuite reconnues et étu
génie commune. Qu'on ail affaire à l'épilepsie vulgaire, qui est la forme chronique, ou aux diverses éclampsies, qui cons
la forme chronique, ou aux diverses éclampsies, qui constituent la forme aiguë, les causes invoquées, émotions morales,
lière- ment ses recherches sur la folie paralytique et les diverses formes de la parulysie générale, dans lesquelles il ét
éférence par les membres supérieurs où l'on observe l'une des trois formes de Archives, t. XX 9 130 varia. griffe, la
as du tout réalisé. Nous allons expliquer pourquoi. La Sûreté a une forme circulaire. Au centre s'élève une sorte de tour
t également exagéré des deux côtés. La sensibilité, sous toutes ses formes , est parfaitement conservée; elle est égale des
lui-même, la caractéristique de la chorée chronique : il. - Cette forme de chorée est héréditaire. Il y a des familles
a façon suivante : hérédité, souvent extrêmement ac- cusée, sous la forme similaire; développement tardif; marche chroniq
clut : « Il existe principalement chez l'adulte et le vieillard une forme chronique de la chorée. On la rencontre aussi,
identiques et l'on pourrait définir la maladie de Huntington : une forme chronique, développée chez l'adulte, de la chorée
lutôt, d'une chorée rythmique ? De fait, le dia- gnostic avec cette forme morbide sera difficile à établir, d'au- tant qu
emblement dans le cadre desquels rentrent habituellement toutes les formes de ce symptôme. On arrive à peu près toujours,
'il s'agit en un mot, dans notre cas, d'un tremblement hystérique à forme de tremble- ment sénile. Nous pouvons affirme
ue ! Non pas qu'elle ait jamais eu de grandes crises et présenté la forme convulsive de la névrose; ces manifestations br
été médicale des hôpitaux ('1 avril 1889). Pitres distingue trois formes de tremblements hystériques : la variété trépid
oire, la variété vibratoire et le tremblement intentionnel. 1° La forme {¡'épidatoi1'e est ainsi caractérisée par l'auteu
ie trépidante, elle fut notée ,Ço,hez, l ? l1l¡ade atteint de cette forme d'hystérie-que plusieurs , d'entre vous ont pu,
ve à la variole, qui pourrait bien être un tremblement hystérique à forme de sclérose en plaques. Vous voyez, que le trem
pportons à la classification de Pitres, ce serait un tremblement à. forme vibratoire. Je préfère, toutefois à cette class
Nous aurions'affaire dans l'espèce, et un tremblement hystérique à forme de tremblement' sénile. ' Je ne vous- ai point
anière de voir, à savoir qu'il s'agit d'un tremblement hystérique à forme de tremble- ment sénile. Ceci nous amène à une
mettre que notre malade est atteinte d'un tremblement hystérique, à forme de MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT. O tremble
t bornée à l'une de ces quatre périodes, soit encore par la crise à forme d'épilepsie partielle, de toux, de bàillement,
longue, et rebelle ? si, l'on. considère le fond morbide; mais les formes symptomatiques 208 CLINIQUE NERVEUSE. sont va
n - dont la para- lysie n'est qu'un symptôme- peut présenter deux formes , l'une chronique, l'autre aiguë. Dans le pre- m
est qu'au point de vue symptomatique ces paralysies affectent les formes les plus diverses : tantôt elles se localisent à
même côté du corps. Cette localisation spéciale donnait lieu à une forme , Leude ! . - Troubles des nerfs périphériques
n. Laroche : ¡, dans sa thèse, a montré que l'hémiplégie était la forme la plus fréquente de l'intoxication oxy- carbon
esthésie à la face dorsale de la main et sur tout le pied. Dans les formes monoplégiques et hémiplégiques tantôt il y a an
Dans les hémiplégies la guérison est la règle, sur- tout dans les formes où la sensibilité, est profondé- 1 Hùrchzimer.
possible de dire que les autres hémiplégies et sur- tout les autres formes de paralysies reconnaissent la même cause. On p
s des apo- physes styloïdes. - Ses limites inférieures affectent la forme de « bagues » situées à la partie supérieure de
e la motilité de l'oeil et des réflexes tendineux. P. K. XXXVI. UNE FORME particulière DES troubles DU mouvement DE la PU
venh., 1886.) Contraction inégale du muscle irien prenant ainsi les formes les plus bizarres et variant à chaque instant d
t ainsi les formes les plus bizarres et variant à chaque instant de forme , sa mobilité étant conservée. Dans l'immense ma
paralysé. La périodicité très nette des phé- nomènes survenant sous forme d'accès fugaces, séparés par des intervalles pl
Douze femmes atteintes de cette affection, dont six présentaient la forme circulaire, ont été pesées avec soin pendant troi
colie. P. Keraval. XXIX. CONTRIBUTION A la relation ENTRE certaines FORMES D'ÉPILEPSIE ET l'excrétion d'acide urique; par
telles que l'agoraphobie, la claustrophobie, etc., ne sont que les formes extérieures d'une seule et même crainte patholo
n question. Le courant augmente manifestement l'action du chloro- forme , et il n'y a pas à cela d'autre interprétation qu
il est bon de signaler des accès convulsifs épileptoïdes de toutes formes , n'abolissant pas toujours la conscience, malgré
pendant que les paralytiques généraux non syphilitiques. Toutes les formes de pa- ralysie générale peuvent s'observer chez
s cas de démences guéries. Au point de vue étiologique, l'auteur en forme dix grou- pes : 1° les démences des enfants nor
lysie générale et la manie consécutives à des traumatismes sont des formes congestives d'alié- nation mentale. Il est impo
ie. M. Dubuisson pense que le traumatisme peut provoquer toutes les formes d'aliénation, mais principalement la paralysie
diatement le traumatisme. M. Boucher communique l'observation d'une forme ] spéciale d'obsession chez une héréditaire. llm
s sont sous la dépen- dance de celui qui est affecté. La variété de formes pourrait s'appeler variété essentielle. La tube
t en dedans de la substance gélatineuse de la corne postérieure. Il forme en cet endroit un trousseau distinct et dense p
agnostic différentiel de la paralysie générale dans les différentes formes de la fulie. Le banquet annuel n'a pas eu lieu.
titre d'exemples, plusieurs observations caractéristiques. D'autres formes , au contraire, se font remarquer par l'absence to
rapporte les faits de six mélancoliques qu'il a observés (quatre à forme dépressive, deux àformeanxieuse) et six fois, c
nt, servir au diagnostic d'une affection coexistante, telle que les formes frustes de la maladie de Basedow. M. Charpentie
ères pages, on le dévore jusqu'au bout, préci- sément à cause de la forme du dialogue, des parenthèses du cli- nicien, de
vel appareil de projection et de coordonnées propre à déterminer la forme géométrique et l'association mathématique des d
dio-vasculaire, le vertige simple, le vertige avec crises épilepti- formes et le vertige avec pouls lent permanent et crises
Dans nos bureaux 3 fr. BERNARD. - De l'aphasie et de ses diverses formes . 2" édition avec une préface et des notes, par
ions irrégulières, sans lien, et susceptibles de revêtir toutes les formes imaginables, est au contraire, comme l'a établi
giques' quand il s'agit de troubles nerveux qui se manifestent sous forme d'accès. 2° L'évolution de l'affection peut fou
nte : elle aperçoit à gauche une figure qu'elle compare, quant à la forme , à une étoile qui s'agrandirait petit à petit, do
t. III, p. 202) et dans un mémoire, de MM. Marie et Guinon, sur les formes cliniques de la myopathie progressive (Revue de
ont elle ne peut, en raison de leur mobilité, préciser davantage la forme et les autres caractères; au bout de cinq minut
antérieur. Celui-ci, après avoir traversé le tubercule mamillaire, forme le pilier réfléchi P. r., qui va à la couche op
sphère liquide sur laquelle elle s'étale. La membrane olfac- tive forme une masse ellipsoïdale allongée , sans cavité r
AREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 347 Cette partie blanche a la forme d'un triangle dont un des côtés, l'externe, est
ace sont occupés en arrière par une bande de tissu blanc qui a la forme d'un triangle dont le sommet tronqué, di- rigé
f. La bande diagonale est épaisse; en dedans, nous avons vu qu'elle forme un relief comblé par la substance grise; nous v
ui au lieu d'être étalée sur cet espace se ramasserait sous cette forme . En effet, dans ce cas, la substance grise manq
il y a lieu d'en tirer quelques conclusions spéciales pour chaque forme morbide, et combien la perceptibilité différen-
ment de percevoir une ombre donnée, il faut encore distinguer la forme de cette ombre, il faut lire les lettres. Les e
nsi bien plus grandes, l'oeil percevant encore l'ombre alors que la forme des caractères n'est plus discernable; enfin la
vue psycho-physique. Effectivement, toute anes- thésie n'est qu'une forme pathologique de la diminu- tion de l'excitabili
férentielle à différents degrés de l'éclairage. On peut dire que la forme générale de la Fig. 31.-Courbe obtenue par la m
eumatique. Comme le poisson, la grenouille sans cerveau possède une forme de vision; excitée, elle ne se précipite pas en
ébelleux et mésencéphaliques dans la régularisation des différentes formes d'activité, nous pou- vons, pratiquement quelqu
nces de Steiner, de Schroeder et d'autres auteurs, montrent que les formes d'activité qu'on a cou- 416 PHYSIOLOGIE PATHOLO
erte de l'intelligence. C'est simplement relater les faits sous une forme plus métaphysique mais moins intelligible. Nous
localisations par Hughlinges Jackson (1861) 3 qui, par l'étude des formes de l'épilepsie qui portent justement son nom, a
dit que, quoique la convexité des hémisphères ne réagit pas à cette forme de stimulant, cependant il a pu produire des mo
rès l'opération : dégénérescence secondaire. Cette dégénéres- cence forme , au point où la racine entre dans la moelle, un t
ane le faisceau de Goll ; la section des racines du plexus brachial forme une zone dégénérative qui 428 REVUE D'ANATOMIE
lysie générale. Il divise l'atrophie des fibres blanches en quatre formes : 1° dégénérescence systématique fusiforme; 2° ci
he; 4° atrophie diffuse simple de la substance blanche. La première forme émane des lésions en foyers corticales ou médul
es de la base aug- ment-ils de volume. Mais l'écorce, à cause de sa forme sphérique, ne peut s'étendre qu'en se repliant
ol. Centralbl., 1888.) Une sorte de planche à bouteilles non percée forme un table de 47 sur 39 centimètres; les dépressi
X, 2.) Sénilité ne signifie pas vieillesse et inversement. C'est la forme de la lacune intellectuelle qui constitue la pi
psychoses de toutes sortes, il existe une albumi- nurie propre aux formes suraiguës de psychopathies (notamment au délire
reaux .............. 3 fr. BERNARD. De l'aphasie et de ses diverses formes . 2" édition avec une préface et des notes, par
homonyme droite, par Bruns et Schultze, 250. Aliénation, nouvelle forme d ? par Mesched(, 105; de l'adoles- cence, pa
rapport de la paraly- tique avec la syphilis, parSiemens, 110; - forme dépressive 1 évolu- TABLE DES MATIÈRES 469 ti
grave d' - réflexe par Eulenburg, 2f7; - rapports entre certaines formes d' et l'excré- tion d'acide urique,par Haig,255
étation des 472 TABLE DES MATIÈRES symptômes par Heddoeus, 76 ; forme spéciale de troubles par Salgo, 239 · - immobil
ar Oppcn- hein, 74. Urique, excrétion de l'acide dans certaines formes d'épilepsie, par Haig, 255. Vessie, centres d
80 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
E ET DU LABORATOIRE DE il. LE PROFESSEUR RAYMOND. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX DANS LE MAL DE POTT SANS G
urs irradiées dans les membres inférieurs, ont presque toujours une forme un peu vague et ne prennent une valeur que pour
V. Mena un, Etude sur le Mal de Poli. Paris, 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 3 pour le diagnostic. Chez
ranger, nous nous proposons d'exposer succinctement les principales formes cliniques des troubles nerveux dans le mal de Pot
gnostic dont chacune d'elles peut être la cause. § 1. Principales formes cliniques. Il serait extrêmement important de p
rift sur Nervenheilkunde, t. xvi (1899), 110 pages. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX S savons seulement que la
e diagnostic. Le rachis, jusqu'à la terminaison fatale, conserva sa forme régulière. » Montrant les pièces anatomiques, C
, il y a 20 jours, (1) CHARCOT, loc. cü., p. 122. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 7 une paraplégie spasmodiq
Masson et Ci-, Editeurs Pootot)1ue Bert6aud, Pa^us LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 9 9 mois après le début on
c D MAL DE POTT SANS GIBBOSITE (L. Alqitier.) LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 11 compression de la moell
roit. MAL DE POTT SANS GIBBOSITE (L..Alr¡uier.) LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 13 des douleurs dans le ge
Schéma des troubles sensitifs chez leur malade. ' LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 15 rotuliens forts, achill
ir rapporter tous ces accidents au mal sous-occipital, éliminant la forme spasmodique de la syringo- . myélie, malgré cer
(2) Ruys, Cercle médical de Bruxelles, 2 mars 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 17 aucun trouble du côté d
t. MAL DE POTT SANS GIBBOSITE (T. ? lt ! ! Cl ? LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 19 fléchit sous le poids d
inges cer- vicales avec compression de la moelle. LES PRINCIPALES FORMES DES TTOUBLES NERVEUX 21 tion, on trouve signalé
Diagnostic différentiel. Au début, nous l'avons vu dans toutes les formes , et pour toutes les régions du rachis, le malad
aud, etc...) (1). On devra donc, en présence d'une douleur névralgi forme , tenace des membres ou du tronc, et dont la cau
es racines ou des nerfs, comme dans le mal de Pott. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 23 c'est-à-dire dans le ma
e faiblesse des mains, on avaitpensé à une polynévrite alcoolique à forme surtout sensi- tive en raison de la prédominanc
la partie du segment cervical, située au-dessus de LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 25 l'origine des racines d
(3) Phelps, Buffalo med. Journ., septembre 1901. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 27 Effectivement, dans les
ermet d'arriver à diagnostiquer le mal de Pott avec LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 29 troubles nerveux sans g
spondylose rhizomélique se distingue non moins nettement des autres formes d'ankylose rachidienne, notam- ment de celles d
te étiologie qui distingue la spondylose rhizomélique de toutes les formes du rhumatisme chronique. Comme le rhumatisme chro
celles qui sont pourvues d'un fort renforcement ligamenteux sous la forme d'un bourrelet ou d'un ménisque. , Nous avion
une fracture. En avant cette luxation se manifeste par un angle que forme la colonne cervicale avec la colonne dorsale; cet
ation de ce délire mélancolique, deuxième phase d'un accès à double forme , qui se dissipa vers le commencement de février
été assez bien, mais à cette époque il eut uu autre accès à double forme . Il s'exalta de nouveau, donnait tout ce qu'il
et qui parlent dans le même sens. Etal actuel. Comme l'examen des formes est de la plus haute importance dans ce que je
bsence complète des caractères sexuels secondaires, et encore par ses formes extérieures. (PI. XII.) Il s'agit donc, et je
, avec l'absence de barbe, c'est l'atteinte portée à l'harmonie des formes , devenues monstrueuses, par l'accumulation de l
use qui couvre la région antéro-latérale du cou, et qui, prenant la forme d'un croissant, monte des deux côtés, encadre e
a convexité transversale; ils sont aplatis et se présentent sous la forme de lames planes. Déplus, les on- gles sont atro
é ses 167 centimètres de taille, con- serve, à l'âge de 37 ans, les formes extérieures de l'enfant. Le squelette se dévelo
ns son ensemble et chacun de ses organes en particulier, d'après la forme et les proportions qu'ils avaient dans les ancê
os longs et la longueur anormale des os du métacarpe, ainsi que la forme très particulière triangulaire du dernier métatar
eut-être le « glossyskin » qui est caractéris- tique pour certaines formes de névrite. Les bras maigres vous rappelleront le
vie pratique. En outre, l'acromégalie se pré- sente aussi sous des formes atypiques : et dans une de celles-ci l'hypertroph
surtout à droite ; mais les pro- portions ne sont pas changées, la forme normale est conservée. Une croissance excessive
des toxines spécifiques est présumée être la cause directe de cette forme de gigantisme. L'école française me semble parf
alie et paraplégie avec contracture ; aux deux pieds infiltration à forme de pseudo-oedème avec cyanose intense et algidi
hant le sol quand le pied y repose. En aucun point la pres- sion ne forme de godet. ' La teinte de cet oedème est très fo
notique mais beaucoup moins tendue qu'aux pieds ; les doigts ont la forme de boudins (main succulente). Coeur. A l'ausc
uses et musculaires. - Aux pieds, infiltration élastique du derme à forme de pseudo-oedème. . Beauv. Berthe, née en 1881,
élastique, tendu, qui ne prend pas l'empreinte du doigt. Cet oedème forme un bourrelet manifeste à la racine des orteils
difficulté'de travail prolongé. J'ai essayé des lorgnons variés de formes et différents par les ressorts et les points d'
longues années on a soutenu que l'oeil de l'homme différait dans sa forme de celui de la femme ; les anatomistes du xvii0 s
ôle im- portant ;,1'oeil fortement convexe sur les statues d'hommes forme une sur- face pour le contraste de la lumière e
à l'Académie des sciences à Berlin une étude sur la reproduction de formes de l'oeil dans la (1) GREEFF, Studien niber die
eil pour la déter- mination des époques de la sculpture antique. La forme de l'oeil est un important critérium diagnostiq
ue imperceptible. C'est justement ce détail purement anatomique qui forme un critérium diagnostique précieux chez les Dio
E DE PARIS Séance du jar février 1906. ACHONDROPLASIE PARTIELLE FORME atypique. PAR HENRI DUFOUR. A côté des form
PLASIE PARTIELLE FORME atypique. PAR HENRI DUFOUR. A côté des formes typiques d'achondroplasie, il existe toute une ga
tte affection. M. Félix Regnault a déjà décrit quelques-unes de ces formes anorma- les, M. Durante également. J'ai eu l'oc
térations conjonctives et vasculaires qui accompa- gnent les autres formes de l'atrophie et qui sont surajoutées à la dispa-
a définition qui vient d'en être donnée. Et d'autant plus que cette forme d'arrêt de développement se produit après la na
de plus, la jambe est légèrement déviée en dehors (genu valgum) et forme avec l'axe du pied un angle rentrant en dedans.
derniers doigts, et quand la main repose sur le lit, la ire phalange forme une véritable voûte à concavité inférieure. Seu
abondante même aujourd'hui qu'autrefois, si épaisse parfois qu'elle forme croûte. Enfin depuis 15 jours elle a des vertig
on a affaire à de « petits hommes » ou à de « petites femmes ». Les formes plastiques ne sont pas celles d'un enfant, mais
res nerveuses, une multitude de granula- tions de volume inégal, de formes variées, quelquefois sous forme de corpus- cule
bes, aux pieds. En résumé : distribution topographique irrégulière, forme généralement arrondie à l'exception des deux tu
racine unique qui ira former le plexus. Et maintenant, de quelle forme est la paralysie de notre malade ? Est-ce une p
'au tapetum ; de petits foyers existent encore dans le lobule fusi- forme . Les autres circonvolutions sont respectées : lob
tie moyenne du segment horizontal de cette couche, elle affecte une forme triangulaire. Sur cette coupe, la dégénérescence
la couche sagittale externe, une zone totalement dégénérée ayant la forme d'une triangle. Ce triangle, dont la base est d
Dejerine, ce faisceau existe également dans le cerveau normal ; il forme une bonne partie du tapetum, et au niveau du lobe
s qui se rencontrent dans cette région. Cette irrégularité est con- forme à la règle générale; nous ne croyons plus comme a
points attireront successivement notre attention : 1° l'etatmonili- forme des cylindraxes radiculaires antérieurs et postér
tte racine. En b, l'épaississement des méninges a augmenté et il se forme au centre du nerf radiculaire une cavité communiq
(Gonflements, état moniliforme). Cette lésion est banale dans sa forme ; nous savons en effet de longue RÉGÉNÉRATION CO
ns et des nerfs radiculaires les régénérations apparaissent sous la forme de fibres extrê- mement fines pour la plupart,
usieurs reprises autour de ces anses (Pl. XXVIII, g); ou bien il se forme simplement un écheveau embrouillé aux dépens d'
de petit volume au^ niveau de chaque bifurcation. Dans la troisième forme de divi- vision les branches, très fines, naiss
néoformées sont enveloppées dans une membrane conjonctive qui leur forme un étui et qui porte des noyaux allongés espacés
s espacés de distance en distance (gaine de Henle) ; cette membrane forme autour des boules ter- minales une capsule nucl
n en voit de très petites, qui mesurent seulement 2 à 3 micra. Leur forme est parfois arrondie, mais le plus souvent elles
r forme est parfois arrondie, mais le plus souvent elles sont pyri- formes ou ovoïdes ; parfois elles sont très allongées, c
massue, un renflement brusque de la fibre, qui garde néanmoins une forme cylindrique jusqu'au voisinage immédiat de sa ter
fig. 1) ; dans le tabes ancien au contraire, on voit apparaître des formes très petites, ou bien des massues irrégulières et
e des formes très petites, ou bien des massues irrégulières et dif- formes (Pl. XXXVIII, b, b", c, c', c", c ? d). Quelle
dans les cornes de la moelle, j'ai décrit des massues qui ont même forme , même aspect que les massues des ganglions rachid
de em- bryonnaire ; dans le tabes elles ont le même volume, la même forme et la même capsule que dans les cicatrices nerv
tion possède des caractères très spéciaux, qui la distinguent de la forme actuellement classique et qui en font une catégor
n font une catégorie à part, non encore décrite. En effet, la seule forme de régénération que nous connais- sions actuell
hypothèse que je propose est exacte. Conclusions. I. A côté de la forme de régénération nerveuse qui est seule connue a
du corps cellulaire lui-même, soit du prolongement nerveux, sous la forme de collatérales. Comme celles de la régénération
l'évolution clinique en deux temps d'une encéphalopathie complexe à forme surtout méningée, et qui en imposa pour une mén
plus vaste, de même contenu, de la dimension approximative et de la forme d'une orange, creusé aux dépens de la région pa-
one, et varient d'aspect suivant le degré de leur développement. La forme de ces éléments est généralement arrondie : la li
r le fond nucléaire bleu foncé. Il n'est pas rare de rencontrer des formes multinucléaires et des figures de karyokinèse.
amas assez volumineux, ces dernières se présentent surtout sous la forme de gros éléments dont le protoplasma irrégulier p
cial, et renferme toujours un espace clair à bords estompés. Leur forme , très irrégulière, est tantôt ovoïde, tantôt poly
u noyau de ces masses rappelle l'aspect d'une rosace. A côté de ces formes adultes, il en existe d'autres, plus petites, où
res. - Les altérations nucléaires ne sont pas moins importantes. De forme arrondie ou allongée, tous les noyaux sont très
ormal, surtout dans les régions frontales et motrices. Une deuxième forme d'altération est représentée par toute une série
nts symétriques ; il en résulte une figure dont la coloration et la forme rappellent l'aspect du nucléole d'un noyau névrog
les prolongements sont devenus indistincts, dont le corps a pris une forme ratatinée. Cependant les cellules d'apparence n
i séparent la pa- raplégie par rétraction du vieillard des diverses formes de rhumatisme chronique avec déformation des mu
isme chronique avec déformation des muscles et principalement de la forme décrite par Jaccoud (1) en 1867. Dans ces fai
n signaler les parti- cularités qui autorisent à la classer dans la forme myopathique. Le sujet dont parle Démange était
l'extension surtout ne peuvent s'accomplir complète- ment, la jambe forme un angle obtus avec la cuisse, les muscles posté-
as sur le bras est impossible; à angle obtus le biceps très amaigri forme un relief dur et douloureux. La flexion du br
graisseuse se limite à quelques fibres. Celle-ci se pré- sente sous forme d'un piqueté noir très ténu, les granulations son
aît limitée à des fragments très réduits de la fibre, présentant la forme des boules ovoïdes bosselées. La nature de cette
e mouvement exécuté. Persistance du sens musculaire sous toutes ses formes . Les réflexes rotuliens sont exagérés avec tend
la droite étant la plus dilatée ; la gauche est un peu excentrique,de forme oblique ovalaire. La langue est animée d'un tre
t qui concerne un malade atteint de maladie de Recklinghausen d'une forme spéciale, malade que nous avons présenté à la S
taches brunes de couleur café au lait, de dimensions variables, de forme ronde ou allongée et sur NOUVELLE Iconographie
glisser peu à peu le long du bras ; la peau se plisse, se gaufre et forme bientôt de grands replis ; c'est seulement alor
sque noire ; et taches caractéristiques de couleur café au lait, de forme ronde, ovalaire ou très allongée, réparties sur
rps cellulaire ; plus rarement, il avait observé l'ordination fusi- forme des éléments chromatiques ou la vacuolisation. Au
. Outre qu'il existe plusieurs types cellulaires avec de nombreuses formes de transition, pour une même espèce de cellules
llules diminuées, beaucoup d'entre elles petites, pigmentées, ou de forme anguleuse. Wollenberg (3), dans 14 cas de tabes,
égénèrent dans le bout ganglionnaire, et on peut les retrouver sous forme dé boules éparses dans le nerf qui sort du gang
'existe aucune prolifération des petites cellules capsulai- res. La forme du corps cellulaire est normale à l'exception de
es à myéline. Sur des coupes plus élevées, cette zone pre- nait une forme triangulaire. Nous n'avons pas fait de numération
à voir avec la syphilis ; il reconnaît cependant l'existence d'une forme de syphilis cérébro-spinale à foyers disséminés.
oint, le nom de sclérose diffuse. « Au point de vue clinique, cette forme morbide se distingue également par quelques car
r exemple celui de sclérose multiloculaire diffuse. Cette. dernière forme , en conclusion, pourrait être mise sur le compte
e leur nature histologique justifie une assimilation entre les deux formes . D'après lui, la différence essentielle est const
burg, Flatau et Koelichen, Bielschowsky. Dejerine décrit un cas à forme de sclérose latérale amyotrophique, et ayant tr
veloppement La seconde, au contraire, serait à considérer comme une forme acquise ; elle aurait pour origine des infectio
SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 341 i ques tout en acceptant une forme de myélite syphilitique disséminée, éta- blisse
forme de myélite syphilitique disséminée, éta- blissent entre cette forme et la sclérose en plaques légitime (qu'ils attrib
foyers avec une destruction plus ou moins complète des cylindraxes ( forme destructive de [Babinski). Les difficultés devi
absolument impossible de faire un diagnostic différentiel entre une forme consécutive par exemple à une fièvre typhoïde e
ntre une forme consécutive par exemple à une fièvre typhoïde et une forme de myélite disséminée syphilitique à foyers un
aître, on ne conçoit t pas pourquoi on la doit considérer comme une forme rare de syphilis ner- veuse. Car si la syphilis
arables à celles de la sclérose multiple, cela cons- titue bien une forme spéciale de syphilis nerveuse, mais il n'y a pas
yphilis nerveuse, mais il n'y a pas de raisons pour refuser à cette forme l'étiquette de sclérose en plaques uni- quement
tituent une autre preuve très importante qui fait reconnaître à cette forme de sclérose des caractères identiques à ceux qu
inique et d'autres, par ci par là, eux aussi, assez nombreux, d'une forme variée, parfois même fort bizarre, granu- 352 G
tégrité, car on les retrouve remplacés par un amas de 8-10 noyaux à forme et à dimension va- riable. Cette constatation
Nonne dans son livre,admet qu'elle ne copie exclusi- vement que des formes frustes ou atypiques. Müller dit que si le diagno
iologie de la sclérose en plaques et qu'on est fondé à admettre une forme de sclérose en plaques syphilitique tout à fait
orme de sclérose en plaques syphilitique tout à fait comparable aux formes de n'importe quelle autre origine infectieuse.
21. Dejerine. - Elude sur la sclérose en plaques cérébro spinale à forme de sclérose laté- roamyotroplaigue. Revue de mé
la question, définit l'amusie, ou aphasie musicale, comme « une des formes de l'asymbolie. un mode d'altération de l'emplo
» ou cécité' musicale; le malade conservait normalement les autres formes du langage musical : il chantait, il écrivait la
8 mars Charcot présenta deux malades : un jeune homme atteint d'une forme transitoire d'aphasie, se présentant par accès, e
sie musicale n'était pas accompagnée d'aphasie verbale, sous aucune forme . Le malade était un paralytique général progres
ilité de fonctionner pour une cause quelconque, on aurait les mêmes formes que pour le langage ordinaire. « Dans le cas co
ançaise). Paris, 1885. (4) BERNARD, De l'aphasie et de ses diverses formes . Paris, 1886. (5) Ballet, Le langage intérieur.
tisation des désordres du langage musical. Cet auteur distingue six formes cliniques : 1° L'amusie motrice (ou aphémie mus
de musique). Ces auteurs décrivent les divers types d'amusie comme formes spéciales des aphasies correspondantes. III.
musies en simples et complexes ; les premières n'af- fectent qu'une forme du langage musical, tandis que les dernières dépe
véritable a été, en effet, signalée, il y a déjà longtemps. Dans sa forme pure le sujet devient in- capable de reconnaîtr
es tons. , Ferrand, en un travail postérieur (1), a insisté sur ces formes patholo- giques de « surdité tonale », semblabl
ur ces formes patholo- giques de « surdité tonale », semblables aux formes congénitales décrites avec le même nom par Daur
c per- sistance de l'aptitude pour le chant ; c'est, sans doute, la forme . moins rare du dédoublement pathologique du lan
inaux de Massenét. Dans les agraphies verbales associées à d'autres formes d'aphasie motrice qui sont fréquentes l'agraphi
ale) est la perte de l'exécution instrumentale. Elle est rare en sa forme pure;, fréquente dans la forme complexe. Le cas
n instrumentale. Elle est rare en sa forme pure;, fréquente dans la forme complexe. Le cas de Charcot est un des mieux décr
us avons pu l'ob- server dans une autre étude (1), puisque les deux formes du langage ont une valeur purement symbolique.
a- sie : elle est combinée. 2° La perturbation affecte toutes les formes du langage musical : l'amu- sie est totale ; el
- lement le langage musical (il n'y a pas d'aphasie), en toutes ses formes et empêche d'une façon absolue son fonctionneme
es sont nombreux, et permet- tent des inductions bien définies. Les formes complexes et combinées sont fréquentes ; les fo
n définies. Les formes complexes et combinées sont fréquentes ; les formes simples et pures sont rares. La bibliographie est
ntionnés par les auteurs. Nous avons pu observer une seule nouvelle forme de dissociation du langage musical, dans la cli
rs fonctions élémentaires du langage, mais par leur déviation de la forme ordinaire. Font donc partie de ce groupe les go
s types ont pu être observés cliniquement dans presque toutes leurs formes ; la maladie ne nous montre pas seulement le lang
oduit une sorte d'étalement; d'autres fois la phalangette prend une forme nettement cylindrique. - L'aspect est rendu plu
tre être très marquée sur des doigts nulle- ment émaciés. ' Cette forme sénile ne comporte nulle déviation, le doigt rest
illoz, a montré (V. radiog.9 , PI. LVII) une modi- fication dans la forme et le volume des têtes des phalanges et des métac
ant type P. Marie et Léri. Existe-t-il un rapprochement entre cette forme demain sénile et le type spécial indiqué par M.
novembre. Un mois et demi après il y est ramené en pleine urémie,à forme pulmonaire surtout, et il meurt le soir même de
rieur de la fosse pituitaire qui donne l'image d'une large coupe de forme hémisphérique). fies circonstances indépendante
du squelette, et la nécessité s'impose à votre esprit de donner une forme con- crète aux vérités qui se sont révélées à v
fibres hypertrophiées et d'autres présentant des renflements fusi- formes sur leur trajet, de dimensions parfois considérab
une excavation ; de sorte que dans son ensemble, la cicatrice a la forme d'un x irrégulier, dont la ligne de jonction se
fférent suivant l'orientation de la coupe. Tantôt, elles sont fusi- formes , oblongues, longues, représentent des espèces de
ours (chien). On y voit des lames de tissu conjonctif d'aspect uni- forme entre lesquelles il y a des fibroblarts, fb, fb'
ues d'un ou plusieurs noyaux qui, suivant leur siège,en modèlent la forme (Fig. 5). Nous allons donner maintenant le résu
on lésée, de la paraplégie flasque et de l'anesthésie de toutes les formes de sensibilité. Il est mort 29 jours après l'ac
MARINESCO ET MINEA de la compression où la moelle est plus mince et forme comme une espèce de pont entre le bout supérieu
Le noyau des cellules des bandes protoplasmiques est allongé, fusi- forme et granuleux. Dans leur protoplasma on trouve par
la régénérescence des nerfs périphériques nous ont montré qu'il se forme dans le bout périphérique d'un nerf, quelques j
celle des fibres des centres nerveux ; aussi nous avons vu qu'il se forme de pareilles colonies dans la cicatrice de la m
es caractères de l'accès épileptique qui, le plus souvent, prend la forme jacksonienne, la rareté des vertiges épileptiques
musculaires. La main droite est nettement dirigée en dedans ; elle forme avec l'avant- bras un angle dièdre ouvert en ha
t de son métacar- pien ; 2° que la main non maintenue par le radius forme un angle plus ou moins aigu avec le cubitus ; 3
type Lorain, état pathologique caractérisé parla a persistance des formes juvéniles et l'arrêt d'évolution du système génit
tion du système génital, à côté du type d'hypotrophie simple où les formes sont celles d'un adulte réduit, infantilisme an
s en partie, n'ont pas l'ap- parence hérédo-syphilitique. Le palais forme une voûte ogivale. Le pha- NOUVELLE TCOXOGRAPII
ganisé, en quelque sorte cicatriciel. Le périnèvre est épaissi et forme autour de chaque fascicule un anneau scléreux,
res conjonctives et de gaines vides semées denoyaux de volume et de forme divers, le tout contenant une ou quelques rares f
fibres ou en noyaux ; les noyaux sont volumineux, le plus souvent de forme circulaire, mais assez irréguliers, et se disti
breux. Les gaines à myéline qui persistent sont très altérées de forme ,leur diamètre est irrégulier, elles sont comme
à l'opinion de Raymond qui regarde le type Charcot-Marie comme une forme fruste de la névrite interstitielle hypertrophiqu
s avec dégénération ascendante dans les cordons (1) V. Bedaschi, Le forme fruste della neurite intersliziale ipertrofica e
vement intacte, est repoussée vers le canal ra- chidien, lorsque se forme la gibbosité; d'autres fois, les débris des corps
nt les racines de la queue de cheval. La moelle présente partout sa forme et son volume normaux. Histologiquement les m
d'un tiers environ. Au-dessus et au- dessous, elle reprend vite sa forme et ses dimensions normales. Histologiquement le
tout cas., sans infiltrations péri vasculaires. Les lésions tabéti formes sont douteuses dans l'observation XIII. Dans ce
la moelle. - Obs. VI : elle est comprimée latéralement et prend la forme d'une prisme triangulaire à arête antérieure. A
ar la partie moyenne de la protubérance, le foyer hémorrhagique, de forme vaguement triangulaire à sommet antérieur, et à
e de la coupe. Le foyer sous-lobaire du lobe semi-lunaire supérieur forme une dégénéres- cence massive. On distingue de
minales, puis vont se grouper à la partie profonde des corps resti- formes , avec lesquels elles pénètrent dans le cervelet.
combinées et de scléroses latérales amyotrophiques. Cette dernière forme a dans toutes les observations le type tonique
ed dn pédoncule cérébral. La réunion de ces deux pieds de pédoncule forme donc un V ouvert en avant, et dont la pointe tr
inales). Quant aux cellules ganglionnaires elles sont pour nous des formes modifiées des grandes cellules que l'on ren- co
obablement sous peu. TABLE DES AUTEURS ALQUIER. Les principales formes des trou- bles nerveux dans le mal de Pott sans
me méningé (3 Ilg., i pl.), 239. DuFouR. Achondroplasie partielle forme atypique (3 pl.), 133. Dupré et DEVAUX. Abcès
1 pl.), par Dupré et DE- veaux, 239. ' Achondroplasie partielle, forme atypique (3 pl.), par DUFOUR, 133. Acromégali
g.), par Féré, 115. Mal de Pott sans gibbosité (les principales formes des troubles nerveux dans le) (4 pl.), par ALQU
81 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s sans citer aucune observation; Horner, d'autre part, a décrit une forme de ptosis qu'il attribue à la paralysie des fib
é, sont encore des caractères que l'on ne retrouve guère dans les formes actuellement connues de la migraine. On pourrai
en est quelquefois ainsi dans la paralysie générale, dans certaines formes de syphilis cérébrale, où les rechutes échappen
en aucun point détruite totalement, et sa face infé- rieure, saine, forme toujours la partie antérieure du ventricule lat
empiéter sur quelques fibres du faisceau interne; elle affecte une forme régu- lière, une répartition égale sur toute l'
à la sclérose en plaques, qui est irrégulière et disséminée sous forme d'ilôts très limités (Cliarcot, Bourneville').
imple. Outre un état de déséquilibration bien carac- téristique qui forme comme le fond môme du caractère des individus,
i-même ; on en a décrit trois principales : des changements dans la forme et les fonc- tions des globules sanguins, une a
aminé le sang pendant la vie n'ont rien constaté d'anormal dans les formes des globules rouges. Le fonctionnement défectue
eux qui terminent par-' fois le diabète. Pour Kaulich, l'acétone se forme dans l'esto- mac, par fermentation, aux dépens
à ceux que provoquent, à moins forte dose, l'éther et le chloro- forme . Il admit comme probable que l'acétone, passant d
afférente à celle qui nous occupe. Peu importe comment l'acétone se forme dans l'organisme, le point capital est qu'elle
acétone se forme dans l'organisme, le point capital est qu'elle s'y forme et qu'elle y existe. Or, la présence de l'acéto
autre nature dont nous avons formé notre première catégorie. II. FORMES CLINIQUES DU COMA DIABÉTIQUE I. Coma diabétique
xion assez constante pour qu'il ne soit pas permis d'en faire des formes distinctes. La constitution de variétés cliniqu
visent habituellement les auteurs dans leurs descrip- tions, est la forme à marche rapide et continue, aboutissant à la m
te-huit heures à dater du début des symptômes d'intoxication. Cette forme est le type de l'acé- tonémie à sa plus haute p
général, qui va en s'accentuant jusqu'à la mort. Môme dans cette forme aiguë de l'acétonémie, les accidents n'ont pas
faits de ce genre servent en quelque sorte de transition entre les formes rapides de l'intoxication et ce que nous appelo
ne, c'est l'état d'accablement, d'affaissement, commun à toutes les formes d'acétonémie. Le malade, épuisé, torpide, 72 '
rofit de l'acétone. 3° Acétonémie intermittente. A côté de ces deux formes à évolution continue et fatalement mortelle, il
acétonique de l'urine, en même temps que se mani- festent sous une forme atténuée quelques-uns des symptômes fonctionnel
ues passagères et avortées, une dernière crise finit par revêtir la forme grave aiguë et le malade succombe dans le coma
. - Enfin, la myopathie atrophique progressive se distingue de la « forme .juvénile » de Erb par la participation de la f
- tionnaire. Dix-neuf observations. Elle s'y rencontre a, sous la forme passagère : à la suite de l'attaque, quand l'atta
ve pas à la suite des attaques purement convulsives; - h, sous la forme stationnaire : chez les épileptiques malades depu
ue. On rencontrerait l'anesthésie sensorielle aussi bien dans les formes les plus légères que dans les formes les plus gra
ensorielle aussi bien dans les formes les plus légères que dans les formes les plus graves et les plus opiniâtres de l'hys
dre dans les idées accompagné d'hallucinations avec excitation, qui forme une phase de transition ; dans l'état maniaque
grande liberté, a conduit à fonder des colonies d'aliénés sous deux formes principales : des colonies de familles, des colo-
e matin; recrudescence dans l'après-midi, les douleurs affectant lu forme d'accès névralgiques ; grande lourdeur dans les
x n'ont d'ordinaire qu'un rôle secondaire. M. 11dI3LB.UM. Sur une forme clinique de la folie morale. L'hébéphrénie de l
de l'asymétrie du crâne, absence du lobule de l'oieijle, etc. Cette forme nouvelle est de Yhelioîdophrénie ou de l'/teoMf
onnante, des irradiations de la capsule interne. La capsule externe forme , sur une coupe transverse (coupes verticales et
s effets thérapeutiques de l'électricité statique. Employée sous la forme de douche, l'électricité statique serait un puiss
les) a donné lecture d'un tra- vail de M. Régis sur les différentes formes de délire émotif. Dans la séance de mardi, 111.
la pratique et auxquelles on rattacherait comme variétés les autres formes morbides que l'observation clinique ne révèle.
EaEOihr (de Vienne) a tracé un tableau très complet des différentes formes de ,1a neurasthénie chez l'enfant et chez l'adu
kt a montré les relations de la neurasthénie avec les différentes formes de la criminalité, et tenté un groupement de crim
natomie, rapports de l'infirmier avec l'aliéné dans les différentes formes mentales, petite pharmacie. Ces cours se font s
progrès très réel sur les anciennes. La cuisine de l'établissement forme un pavillon isolé, entre les nouveaux bâtiments
e de l'aliénation mentale, il se localise davantage au moment où se forme l'abcès périphérique au niveau duquel semble se
le, ces lésions n'apparaissent que plus tard à l'extérieur, sous la forme d'un empâ- tement inflammatoire limité d'abord
entiel du tabès dorsal spasmodique et du tabes ordinaire, parle des formes intermédiaires ou plutôt mêlées (inischfoîïnen)
ité et de la vessie. Il admet qu'il y a là une combinaison des deux formes de la maladie, coexis- tence de lésions ordinai
même système (sclérose latérale amyotrophique). Ils considèrent la forme de Friedreich comme une maladie systématisée co
e que le fait d'être héréditaire ne peut nullement caractériser une forme spéciale de tabès, ni même une forme quelconque
eut nullement caractériser une forme spéciale de tabès, ni même une forme quelconque de maladie nerveuse. L'hérédité do
ine la neuropathologie tout entière. Elle est si peu inféodée à une forme plutôt qu'à une autre, que l'on voit dans les s
tabes, aussi bien au tabes ordinaire qu'au tabes com- biné. Aucune forme ne se spécialise à ce point de vue et, il est i
ambe se contracturent en extension et tout le membre in- férieur ne forme plus qu'une barre rigide avec les membres gros
e se con- tracturent en extension, et tout le membre inférieur ne forme plus qu'une barre rigide avec ses muscles gros
res visuels de l'écorce des circonvo- lutions. A propos des trois formes d'hémianopsie, je considérerai comme démontrées
e, du hachisch, de la noix vomique et de l'arsenic sous différentes formes , et d'un régime alimentaire plus substantiel, a
e et portant d'énormes végétations rugueuses, une presque polypi- forme . Des coupes de ces végétations, traitées par la m
rveux. Dans ces conditions, la fibre nerveuse se pré- sente sous la forme de tuyaux clairs comme de l'eau, dont la paroi
nt d'aspect à tout instant; ces organites apparaissent soit sous la forme de bâtonnets courts et épais, soit sous celle d
er l'opinion de Monakow d'après laquelle des fibres du corps resti- forme passeraient dans le segment interne du pédoncule
hant lentement et affec- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 255 tant la forme 'de bourrelet circonscrit : contraction locale,
urrelet circonscrit : contraction locale, idiomuscttlvire. Ces deux formes de contractions peuvent être pro- voquées chez
is générale des nerfs optiques. Lésion des cordons postérieurs sous forme d'une étroite bande longeant les cornes postéri
l qui fait de la transmission héréditaire une cause créatrice d'une forme spéciale de vésanies. Il admet volontiers qu'un
porte peu ; c'est l'âge où le malade a été atteint qui détermine la forme du mal. Il est plus étonnant de trouver des dif
héréditaire a des caractères spéciaux qui permettent d'en faire une forme à part de la folie. M. Bouciiereau voit avec pe
,mais ne luifont jouer qu'un rôle étiologique sans influence sur la forme morbide. Les autres au contraire pensent, aveemor
es d'Ainmon, des vaisseaux, le micros- cope révèle simplement, sous forme dubitative, une faible multi- plication des noy
n'ait observé (quelques psychoses. Ou en a même distingué diverses formes auxquelles on a donné des noms différents, orig
ces, c'est-à-dire de celles qui ont déjà publié leur recen- sement, forme un ensemble de 1G ? 00,000 habitants; il y aurait
nais, avec la disposition typographique accoutumée, dans lequel les formes morbides de la folie sont dési- gnées en allema
n produit de distillation chez plus de cent patientes, atteintes de formes psychopathiques les plus diverses, dans la plup
es et celle de maints diabétiques faisait supposer que l'acétone se forme dans l'organisme inanitié, car on croyait que l
jour de l'abstinence, et sur le seuil de l'inanition, l'acétone se forme dans l'organisme, car toujours alors, sinon l'uri
sou- vent vif, mais généralement tête baissée et sombre. Crâne de forme normale ; rien de particulier dans l'indication d
et dans leur intensité. Discussion : M. Jastrowitz. Combien peu la forme des psy- choses correspond aux causes qui les o
de Goll ainsi que dans les zones des cordons cunéiformes qui ont la forme d'un F; de cette forme on reconnait-surtout les
les zones des cordons cunéiformes qui ont la forme d'un F; de cette forme on reconnait-surtout les détails à l'aide de la
faits d'angionévroses cutanées sont notamment fournis par certaines formes d'érythème et par l'urticaire; 3° on ne saurait
(dystrophies névrotiques et paratroplies). Des exemples évidents de forme relatives aux §§ a et sont constitués par l'atr
constitués par l'atrophie et l'hypertrophie faciales unilatérales, formes cliniques pures, à rapprocher des mêmes acciden
tions du système nerveux et déterminent généralement des névroses à forme spé- ciale. Il faut enfin tenir pour des dyscra
t choisi comme président. Secrétaire : M. Tannen. M. SNELL. Sur les formes morbides présentées par les aliénés reçus à l'a
E .SOCIETES SAVANTES. 295 plus souvent que dans la mélancolie les formes légères; cela s'explique par le fait que la man
cela s'explique par le fait que la manie, si atténuée qu'en soit la forme , cause d'ordinaire beaucoup de désordre, et dev
ander à l'asile un traitement de plusieurs années, et les délires à forme aiguë jettent le désarroi et devien- nent dange
x imputables à l'épi- lepsie. La progression relative du nombre des formes incurables sus-énoncées explique la diminution
et remplacées par des masses I)ya- lines. Conclusion. Il existe une forme de poliomyélite antérieure aiguë qui emprunte l
e remarquer qu'il s'agit, dans l'es- pèce, d'une poliomyélite de la forme la plus légère, c'est-à-dire dépourvue d'atroph
dre les « résultats de semblables recherches portant sur les autres formes « de démences; un établissement destiné au trai
graves. Ces mouvements apparaissent môme au début, les uns sous la forme d'accès (agitations convulsives avec rotation e
on par folie systématique ou l'affaiblissement intel- lectuel. 2° Forme . Se.produit spontanément sans cause occasionnelle
de transition entre le délire et une maladie mentale ordinaire. La forme et la durée de l'affec- tion, le degré du troub
folie systématique alcoolique aiguë, mais il existe aussi d'autres formes se rattachant plus exactement à la manie, à la
, chez des êtres impubères. Quant au delirium tremens lui-même, les formes mixtes en sont plus fréquentes que les cas tout
oppera parfois, à la suite d'excès exceptionnellement intenses, des formes mixtes de délire. il convient aussi de séparer
complique ex- trêmement fréquemment le delirium tremens. Dans les formes mixtes de delirium tremens spontané, d'abord il
telles que des hémorrhagies. Dans ces circonstances, existent les formes de transition les plus multiples . Tremblement, f
variété des genres de pa- thouénie, on voit se montrer les diverses formes du delirium tre- mens. Ce fait est propre à fai
nuité sur toute la longueur de la fibre nerveuse. A côté de cette forme , il en est une autre, décrite pour la première
dont les nerfs périphériques présentaient ces altérations. Cette forme nouvelle de névrite n'est nullement spéciale au
chez un sujet dont l'affection avait évolué clinique- ment sous la forme d'une paralysie ascendante aiguë '. Toutefois,
agie pulmonaire. Intégrité du cerveau et de la moelle. Névrites à forme segmentaire des nerfs périphériques et des raci
me qui le recouvre se fendille, s'exfolie; le derme rougit et il se forme sur trois points différents un ulcère arrondi,
initiales que se manifestent les dissemblances. Dans une première forme , les altérations s'établissent sur le mode suiv
l'atrophie est complète. La gaîne de Schwann se présente sous la forme d'un mince tractus incolore ou légèrement teinté
mieux reconnaissable que dans les cas précédents. Dans une autre forme de l'altération segmentaire les phé- nomènes in
et le coraco-brachial présentent des lésions dont l'étendue et la forme ne diffèrent en rien de celles qui ont été signal
ndant les tubes sains sont en propor- tion fortement dominante. Les formes de la lésion sont d'ail-' leurs complètement se
ntrer quelques tubes conservant les attributs de l'état normal. Les formes de la lésion sont d'ailleurs celles qui ont été
lument intacts. La lésion y présente les caractères et les diverses formes de la névrite segmentaire signalés à propos des
dégénérés sur toute leur longueur. Or, tel n'est point le cas; les formes de la lésion sont identiques de part et d'autre
tituer un fait général. D'après le premier de ces auteurs, ces deux formes de lésion sont liées l'une à l'autre par un lie
it encore cette opinion en décrivant dans la névrite alcoolique une forme d'altération à laquelle il donne le nom de phas
suite, que la névrite segmentaire peut évoluer tantôt sous cette forme , tantôt sous une autre, représentant toutes deu
caractères communs et des tendances éminemment destructives. La forme segmentaire de la névrite que nous avons observ
rs sur l'hypnotisme, on trouve une grande série- de diffé- rentes formes , même on trouve à peine deux expéri- mentateurs
pourra en ajouter un très grand nombre. Est-ce qu'il y a plusieurs formes du sommeil hypnotique où peut- être les expérim
roduire isolément chez certains individus tout à- fait dans la même forme , comme on la voit se produire en apparence spon
ans une modification de l'activité réflexe qui ne serait pas uni- forme dans tous les points de l'axe médullaire. En ou
S COMBINÉ. 393 2. a. Les symptômes douloureux sont notés sous des formes diverses, dans 19 des 33 cas. Dans 10 observati
sme cesse, elle devient sourde. 0 Quand un accident, d'une certaine forme cessait, dit sa mère, un autre apparaissait. » El
s doigts. Cette tentative ne détermine, qu'une attaque d'hystérie à forme cataleptoïde : les membres sont raides, étendus
ecouverte par une mince couche de substance cérébrale. Cette tumeur forme l'une des parois d'une cavité contenant un liqu
ons épileptiques développées parallèlement, quelle qu'en ait été la forme . Les expériences pratiquées par Ferrier et Noth
sultats fournis par ces recherches sont présentés au public sous la forme la plus instructive que l'on puisse souhaiter. Il
u'ils fussent publiés d'une façon collective, et peut-être alors la forme tabulaire serait- elle celle qui serait particu
une influence appréciable REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 435 sur la forme , la durée ou les conséquences du delirium tremens
rique; toutes deux sont actuellement aliénées et présentent la même forme d'aliénation : elles sont toutes deux mélanco-
lence, tout comme l'épilepsie ordinaire peut quelquefois revêtir la forme de l'excitation mentale au lieu de se traduire pa
il y avait passé six ans sans avoir d'accès convulsifs de quelque forme que ce fût, et après l'incident qui vient d'être
commutateurs, les galvanomètres, les électrodes et les différentes formes qu'il convient de leur donner; puis il résume c
uart Mill qui, rompant dvec la théorie scolastique, a établi que la forme syllogistique n'est pas le raisonnement lui-mêm
une conséquence d'une 448 BIBLIOGRAPHIE. proposition générale. La forme syllogistique ne fait que légali- ser le raison
au), qui d'ailleurs reste souvent inconscient ou non formulé sous forme de proposition, mais qui n'en existe pas moins. L
milation partielle de deux images. Or, examinons un raisonnement en forme : tous les hommes sont mortels; Socrate est hom
es et leurs successions permet d'en mieux comprendre et retenir les formes frustes, les recherches nouvelles de Féré, Ball
hèse, 188p.) L'auteur résume d'abord les caractères des principales formes de folie à deux, qui ont été décrites : Io la f
délire de l'autre sur sa propre prédisposition héréditaire. Cette forme ne se distingue de la première qu'en ce que le su
sujet passif est un prédisposé à l'aliénation, tandis que, dans la forme décrite par Faire et Lasègue, c'est simplement
formation, auxquels on peut adapter les définitions des différentes formes de folie à deux. Il est impossible d'entreprend
es chapitres suivants sont décrites certaines variétés et certaines formes de la sclérose en plaques qui n'ont pas encore
ésigner une pareille affection sous le nom de sclérose en plaques à forme destructive. Si la marche de la sclérose en pla
évolution aiguë; on peut dire dans ces cas qu'on a affaire à une forme aiguë de la sclérose en plaques. Enfin, il exis
ication du même traitement. Cu. F. IX. Eludes sur les différentes formes de myélites tuberculeuses ; par L.-J3. 1'olsr.
èse, 11885.) - La myélite tuberculeuse peut se présenter sous trois formes ana- tomiques : a, forme infiltrée; b, forme di
tuberculeuse peut se présenter sous trois formes ana- tomiques : a, forme infiltrée; b, forme diffuse àgranulationsisoia-
présenter sous trois formes ana- tomiques : a, forme infiltrée; b, forme diffuse àgranulationsisoia- bles ; c, forme sub
a, forme infiltrée; b, forme diffuse àgranulationsisoia- bles ; c, forme subaiguë ouchrouique à tumeur volumineuse unique
ec des caractères cliniques assez variables ; tantôt, comme dans la forme chronique ou subaiguë, elles affectent tous les
les symptômes d'une compression de la moelle : tantôt comme dans la forme infiltrée ou nodulaire, elles donnent lieu à de
ort rapide avec symp- tdmes), par Savage, 92. Manie (est-elle une forme morbide autonome ? ), par Tilling, 86. Manie
82 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
dement à cet égard et le phénomène ne nous apparaît plus que sous une forme atténuée. J'ajouterai que chaque bâillement se mo
d'aujourd'hui ne sont, en quelque sorte, que la réédition, sous une forme nouvelle, d'accidents antérieurs. De trois à hu
ques comitiales, mais bel et bien d'attaques hystériques de la grande forme hystéro-épilepsie. Une affection^ désignée sous
Ils ont reparu en mai dernier, sans cause spéciale apparente, sous la forme suivante : ce fut d'abord un enrouement bientôt s
ance au voisinage immédiat de ce membre, suffit pour déterminer cette forme de contracture que nous avons désignée sous le no
lier ; c'est qu'en effet elle paraît appartenir en propre à certaines formes d'une affection d'ailleurs fort vulgaire puisque
qu'exceptionnellement et surtout, bien que non exclusivement, dans la forme intense. Ce que je tiens à relever, c'est que lor
t à lui qu'on doit aussi d'avoir nettement accusé l'existence de deux formes bien distinctes de l'affection : l'une relativeme
te d'une façon permanente et n'y sévit plus seulement par paroxysmes; forme lente, chronique par exemple, marquée souvent par
d'hui. Celle-ci s'est déclarée pour ainsi dire tout à coup sous une forme en quelque sorte suraiguë il y a cinq ans. Le séj
apparaître le mal, bien qu'ils puissent contribuer à lui imprimer une forme grave. Mais au fond la maladie nerveuse se montre
Mais, Messieurs, la neurasthénie n'est pas, tant s'en faut, la seule forme neuropathique qui puisse se produire sous l'actio
à l'heure. En somme donc, hystérie et neurasthénie, voilà les deux formes neuropathi-ques qui s'offrent le plus vulgairemen
lorsqu'il existe, se rattache à la grande hystérie hystérie épilepti forme , et nullement à l'épilepsie. Chez notre malade,
xisteà l'état rudimentaire, engerme,ou si vous l'aimez mieux sous une forme fruste. Voici en effet ce que l'on observe à gauc
l s'agit évidemment ici d'attaques hystériques se produisant sous une forme rudimentaire, sans doute, mais suffisamment carac
ent les unes ds£ autres en môme temps qu'elles sont distinctes par la forme . L'hystérie est une et indivisible, c'est du mo
stic différentiel, je vous dirai qu'il s'agit chez cette enfant d'une forme paralytique, de la chorée, de la chorée molle com
malade ; la première fois que j'ai été frappé de l'existence de cette forme de chorée, c'était en 1879, chez une jeune fille
ère monographie qui ait été consacrée à l'étude particulière de cette forme de la chorée. Je vais essayer maintenant de com
fait tirer la langue au malade. Cet organe en effet prend alors cette forme de crochet à concavité dirigée vers le côté paral
lement dans l'hystérie, espèce une et indivisible, des variétés, des [ formes ; cela est élémentaire. L'ivresse produit, par l'
rque d'une hystérie spéciale, elle peut se rencontrer dans toutes les formes de l'hystérie. Après avoir montré que tous les
ritable myélite transverse hémilatérale gauche, équivalant quant à la forme paraplégique produite, à une section véritable. M
gaiement et un épileptique dans la famille ; 4° Vertige de Ménière; forme chronique et vertiges par accès. lre Malade.
e du sommeil hystérique, diffère « des sommeils » propres à certaines formes de la névrose hypnotique ; je fais allusion ici,
examen électrique a donné les résultats suivants le 10 novembre 1888: forme légère de la réaction de dégénérescence. — Pronos
l s'agit du vertige ab aure lissa se présentant non seulement sous la forme d'accès séparés, mais encore sous celle du vertig
nstant parce qu'elles tendent à établir qu'il ne s'agit pas ici d'une forme pure et qu'il existe une complication que nous de
las, les meilleurs conseils, alors même qu'ils sont présentés sous la forme poétique et renforcés par le concours du rythme m
lique de notie homme. « Il ne s'agit pas ici, vous disais-je, d'une forme pure : il y a une complication que nous devrons d
e heure, vers l'âge de dix mois, d'une paralysie spinale infantile de forme paraplégique développée à la suite de « convulsio
diathèse nerveuse qui pourra ou non se traduire déjà chez lui par une forme névropathique nosographiquement bien déterminée ;
e voir l'alcoolisme du père retentir sur lui septième enfant, sous la forme de paralysie infantile spinale, alors que six de
cette histoire. L'alcoolisme du père a retenti sur le fils sous la forme de la paralysie infantile spinale. Les abus du fi
fication établie par M. le professeur Erb, des paralysies faciales en forme légère, moyenne, et grave, classification fondée
joue droite flasque et immobile. La réaction électrique indique une forme légère. Il a été impossible de trouver dans les a
tteint de paralysie faciale depuis une huitaine de jours; c'est de la forme non douloureuse qu'il s'agit. Il s'en est aperçu
les indications fournies par l'étude des réactions électriques, d'une forme légère. ai), ueia soc. daTyp. - «o.a«i-. .,«, r
endons des fièvres graves. Serait-ce donc qu'il s'agit ici de cette forme paralytique de la chorée dont je vous montrais l'
à l'état chronique (chorée chronique) soit qu'elle conduise, dans la forme aiguë, plus ou moins rapidement et sans le concou
nées de perte de connaissance, ce qui les distingue de la plupart des formes diverses du petit mal. Je suis étonné que M. Re
; et, pour ce qui est de l'attaque, si elle ne s'accuse pas sous une forme très accentuée, elle est représentée cependant pa
es autres valvules et orifices. Poumons et plèvres sains. Foie de forme , de couleur et de volume normaux. Il pèse 1.400 g
i-je dit et répété, une seule des affections nerveuses dontl'ensemble forme ce que j'appelle la famille neuropathologique qui
veux dont souffre notre homme se montrent cependant chez lui sous une forme assez accentuée, assez typique,pour devenir l'obj
r les viscères et en particulier sur l'estomac ; alors se produit une forme de dyspepsie à laquelle convient le nom de neuras
lus, l'attaque hystérique est ici représentée nettement sinon sous la forme convulsive, du moins sous la forme non moins typi
eprésentée nettement sinon sous la forme convulsive, du moins sous la forme non moins typique d'un vertige avec perte de conn
stoire symptomatologique de la paralysie infantile considérée dans sa forme classique. Je crois même qu'il conviendra, en vue
tions secondaires, diverses lésions médullaires et en particulier une forme d'amyotrophie spinale progressive: mais c'est là
lexus noso-logiques dont il s'agit ne représentent pas en réalité des formes hybrides, produits variables et instables, d'un m
papille, papille tabétique. L'aspect papillaire est différent dans la forme vulgaire, essentiellement transitoire de l'amauro
que, de la papille nacrée aux bords nets et tranchés qui distingue la forme tabétique. N'oubliez pas le pronostic fatal qui s
r faire que la rigidité permanente se réalise définitivement sous une forme plus ou moins accentuée. Combien de fois, en effe
urface de la dure-mère, mais rarement le champignon qu'elle constitue forme un anneau complet, de 1, Tuberculose vertébrale
, depuis si longtemps en apparence éteinte, s'était produite sous une forme congestive ou autre, soit sur la dure-mère, soit
uoi qu'il en soit, ce sont ceux-ci pensons-nous, qui ont déterminé la forme particulière et aussi la localisation spéciale qu
ait naître dans son esprit la crainte de voir se reproduire, sous une forme plus grave encore peut-être, toute la série des a
e l'hyperesthésie cutanée chez notre homme. La région hyperes-thésiée forme comme une large ceinture qui, en arrière, au nive
olongent presque indéfiniment, comme cela arrive quelquefois dans ces formes bénignes du Tabès, sur lesquelles j'ai bien des f
e pendant l'opération. Ces deux parties de la pièce médiane sont de forme triangulaire allongée, et sensiblement pareilles
se faire. En vue de oela, les pièces des aisselles, qui présentent la forme d'un ovoïde matelassé à son extrémité inférieure,
ers sans doute parce que chez eux, le tabès revêt le plus souvent une forme grave et évolue très rapidement, les autres penso
ue des bénéfices qu'ils sont appelés à retirer de la suspension. La forme des accidents tabétiques est plutôt à considérer
effet, ont eu pour caractère de se reproduire de temps à autre, sous forme d'accès, pendant lesquels une oudeux jointures se
sence de la durée nécessairement longue du traitement, quand c'est la forme permanente du vertige qui est en cause, ont au co
re y feraient absolument défaut. Je n'ignore pas que cette notion des formes frustes de la maladie de Basedow que nous nous
u'il a découvert,et il se serait placé en mesure de diagnostiquer les formes frustes à l'aide des caractères qui sont maintena
sant — à mesure que Fœil du clinicien apprend à les reconnaître — des formes rudimentaires, des formes frustes, comme vous vou
u clinicien apprend à les reconnaître — des formes rudimentaires, des formes frustes, comme vous voudrez les appeler. Notre
s voudrez les appeler. Notre cas d'aujourd'hui n'appartient pas aux formes frustes, car en outre du tremblement spécial et d
toujours présents, sans doute, mais ils n'existent plus que sous une forme atténuée, et il ne nous parait pas téméraire d'es
etrouverons encore avecles mêmes caractères, mais cette fois sous une forme beaucoup plus accentuée dans un quatrième cas : a
en moins, les principaux symptômes qui constituent cliniquement cette forme paraplégique spéciale sur laquelle nous allons re
pouvoir émettre l'opinion que le syndrome en question représente une forme particulière de paraplégie qu'il conviendra peut-
de chacune de ces mémoires est représentée en clinique par autant de formes de l'aphasie, à savoir : l'aphasie motrice d'arti
rition des accidents nerveux qui cette fois se sont produits sous une forme grave. Depuis cette époque en effet, c'est-à-dire
posent ses pieds. Cependant, pas d'analgésie ou d'anesthésie sous une forme quelconque; pas de douleurs autres que celles que
pérvier ». L'épervier est, vous le savez peut-être, un grand filet en forme d'entonnoir dont l'orifice très large est garni d
ttaque, ou mieux qu'une série de grandes attaques modifiées dans leur forme extérieure. Les intéressantes recherches de MM.
à ce propos ; Charcot. De Y hypèresthésie de l'ovaire dans certaines formes de l'hystérie. Leçons faites à la Salpêtrière en
i de l'aine, empiétant un peu sur l'adomen, tandis qu'en arrière elle forme une courbe à convexité supérieure qui de l'extrém
e la dernière leçon : il s'agissait, vous ne l'avez pas oublié, de la forme clinique complexe que je vous proposais de désign
du côté où les membres sont paralysés, (attaque hystéro-épileptique à forme d'épilepsie partielle.) Voilà certes un tableau
thénie survenant chez l'homme vigoureux, voué aux travaux manuels, la forme nosographique reste fixe en présence de la variét
quelques auteurs, distingueraient la névrose traumatique des autres formes de Yhystéro neurasthénie mâle traumali que ou non
uivant nous, d'automatisme comitial ambulatoire ; c'est-à-dire d'une « forme » ou,comme on dit encore,d'un « équivalent épilep
au synoptique que j'ai fait placer sous vos yeux ; il résume sous une forme facile à saisir, les grands faits de l'histoire p
le bromure et voilà qu'au bout de trois mois, le mal reparaît sous la forme d'un accès exceptionnellement intense. Ces résult
ment après l'accident, elle ne se reproduisent pas par la suite, sous forme d'accès plus ou moins souvent répétés et séparés
r qu'il en est quelquefois de même de l'épilepsie considérée dans ses formes les plus variées et telle est l'interprétation qu
» Nous voyons là pour notre compte un cas d'épilepsie tardive, sous forme d'accès d'automatisme ambulatoire, développée à l
appelé quelquefois le somnambulisme spontané pathologique ; c'est une forme qui appartient à l'hystérie : les accès ambulants
e étudié à part. Ce serait ici le lieu de vous dire un mot de cette forme de somnambulisme spontané à accès considérablemen
on seulement dans leur type vulgaire, classique, mais encore dans les formes très variées, souvent paradoxales en apparence et
. Le contraste est des plus frappants, et voilà incontestablement une forme de cardialgie bien singulière,bien remarquable da
cit., p. 195. ans après le début des accidents gastriques, sous la forme d'incoordination motrice et c'est alors seulement
es crises gastriques tabétiques, lorsqu'elles se présentent sous leur forme typique. Il semble que lorsqu'on est en présenc
eur forme typique. Il semble que lorsqu'on est en présence de cette forme clinique si accentuée, si originale, on ne puisse
justement, un des labeurs du clinicien est d'apprendre à dépister ces formes frustes, défigurées et à les ramener aux types d'
tenant le chapitre, fort riche encore, vous allez le reconnaître, des formes anomales. Il me semble que, dans ces derniers tem
s alimentaires ou muqueux. Cette sorte de gastralgie tabétique est de forme essentiellement intermittente. Elle se manifeste
ts, de boissons ou de remèdes. Tout ce qui était ingéré, sous quelque forme que ce fut, était expulsé séance tenante. Une obs
o-diques avec tendance à la suffocation ; crises laryngées enfui sous forme d'ictus. La description de ces dernières surtout
usivement la mémoire des mouvements qu'il faut faire pour donner leur forme aux lettres et pour les assembler sous forme de m
ntrer toujours dans ce domaine-là, pas plus qu'ailleurs du reste, des formes absolument pures, des types parfaits. C'était,
dirigé par le professeur Sem-mola. Ce travail a pour titre : Sur une forme spéciale d'impuissance motrice des membres inféri
« avoir défaut dans l'action antagoniste normale des muscles... Cette forme « d'incoordination est relative seulement aux mou
uteur ne manque pas, du reste ,de différencier le syndrome des autres formes d'incoordination motrice avec lesquelles on pourr
ints, à cloche-pied, marcher à quatre pattes, etc., etc. Sous cette forme les mouvements anormaux des membres inférieurs, d
flexion). c. Enfin je désignerai sous le nom d'abasie trépidante la forme dans laquelle la marche est gênée par des mouveme
on ne saurait d'un autre côté, confondre l'abasie, avec les diverses formes de spasmes fonctionnels ouprofessionnels, comme v
le eût été, si elle se fût développée spontanément, variable dans ses formes , mais toujours la même au fond. V C'est ici l
es douleurs très violentes, apparaissant brusquement et revenant sous forme d'accès : parfois si ces douleurs le prennent pen
et moralement. Alors l'état morbide s'est décidément constitué et la forme névropathique qu'il a revêtue n'est point diffici
malade le caractère d'une image « forte » et s'est objectivée sous la forme de l'abasie. C'est là en somme, vous le reconnais
4. iSS9, 2. Voir sur la combinaison de l'hystérie avec les diverses formes de lu dégénérescence mentale plusieurs travaux in
stérogènes. Nous ne sommes pas encore tout à fait renseignés sur la forme que présentent les attaques convulsives qui se re
re soumis à notre examen est relatif à une amyotrophie généralisée,de forme progressive, développée chez un sujet qui, dans l
ns toutes les directions. Un examen sommaire vous fait reconnaître la forme conique des membres inférieurs, la coloration vio
aiguë, cause de tousles désordres. Ils se présenteraient là, sous la forme d'un tissu cicatriciel plus ou moins étroitement
t que j'ai proposé d'adopter dans le temps, pour classer les diverses formes d'atrophie musculaire à évolution progressive.
uchenne, non pas comme espèces distinctes à mon avis, mais bien comme formes cliniques intéressantes à considérer séparément,
ou en voie d'atrophie. Or, pareille chose ne se voit dans aucune des formes de la myopathie primitive. Dans celle-ci, les sec
. Mais ici.il y a de?, distinctions à établir. S'agit-il de l'une des formes quelconques des amyotro, hies spinales deutéropat
s symptômes de tephro-myélite qui évoluent cette fois, tantôt sous la forme subaiguë ainsi que MM. Landouzy et Dejérine en on
ple intéressant, suivi d'autopsie ; tantôt, plus fréquemment, sous la forme chronique. Ainsi, vous le voyez, l'existence pass
en quelque sorte, une prédisposition au développement ultérieur de la forme subaiguë et plus particulièrement de la forme chr
ppement ultérieur de la forme subaiguë et plus particulièrement de la forme chronique de la lésion systématique des cornes an
bilité que les causes provocatrices mettraient en jeu, tantôt sous la forme d'un processus aigu, tantôt sous celle d'un proce
e, vous rappeler la grande différence qui existe suivant moi, dans la forme , comme d'ailleurs dans le fond, entre l'attaque d
l'ai depuis bien longtemps proclamé, l'épilepsie n'est là que dans la forme . Dans une seconde phase, le sujet s'agite, se t
mière phase qui seule est épilcptique, non dans le fond, mais dans la forme , est, comme tout le reste, hystérique et rien qu'
de feu très brillante et qui tourbillonnait. Elle avait à peu près la forme et les dimensions d'un petit baril de bière, c'es
sur la foudre envisagée comme météore et considérée dans ses diverses formes ; qu'il ne connaît guère enfin, du phénomène de l
. » Pour ce qui est du globe lui-même, les uns le comparent pour la forme et les dimensions, à la lune, au soleil, à un gro
pas, même dans les cas les plus intenses, et alors qu'il s'agit d'une forme paraplégique, de paralysie de la vessie et du rec
bre inférieur gauche ; elle occupait les deux membres inférieurs sous forme paraplégique, dans un cas du même genre. Enfin, l
le dame et sa nièce, à Borlington (1). La paralysie peut revêtir la forme d'une hémiplégie, d'une paraplégie ou encore, et
ssieurs, si la paralysie ou mieux la parésie — car il s'agit là d'une forme légère — observée chez notre homme, appartient au
vous l'avez compris, à l'aura hystérique. Ils se sont renouvelés sous forme d'accès, un grand nombre de fois depuis : à deux
nt ; bégaiement ; état mental particulier mais fort vulgaire dans les formes les plus diverses de l'hystérie virile et, quelle
in droite et suivies de perte de connaissance (attaques hystériques à forme d'épilepsie partielle). La caractéristique de l
ace et des paupières, l'aphonie, le mutisme, le bégaiement, certaines formes de tremblements et autres accidents qui appartien
me de 44 ans ; 2° Abasie trépidante chez un homme de 49 ans ; 3° Même forme chez un vieillard de 75 ans. Messieurs, Dans
petittic convulsif ou tic vulgaire, et je relevais qu'entre ces deux formes il n'y a pas, tant s'en faut, un abîme. La différ
t du tic convulsif, se rencontrent à peu près également dans ces deux formes . J'insistais en outre sur ce point, que les mou
au contraire, elle se rattache à celle-ci, qu'elle représente sous la forme chronique (1). Mais ce n'est pas cela qui importe
é à paraître à l'âge de 12 ans. Ils se sont présentés d'abord sous la forme de tics vulgaires, consistant dans de brusques mo
ent, sont tout extérieures, toutes superficielles. Elles sont dans la forme et nullement dans le fond. Il y a lieu en somme,
Telle est, messieurs, l'astasie-abasie paralytique : c'est sous cette forme , je vous l'ai dit, que le syndrome m'est apparu l
vent, autant qu'on sache, l'abasie et l'astasie, quelle qu'en soit la forme , doivent être considérées comme se rattachant à l
cipitant l'allure de manière à rappeler, à quelques égards, certaines formes de la démarche spas-modique. Nous retrouvons donc
el, de parésie, rien enfin qui rappelle l'attaque hystérique sous une forme quelconque. Il faut dire encore que, chez lui, l'
à déterminer, il y a toujours à compter sur la présence possible des formes frustes, dégradées, défigurées. Mais ils estiment
Joffroy, mon interne d'alors qui, tout récemment, a consacré à cette forme anatomique qu'il appelle myélite cavitaire, un tr
l'hyperplasie des éléments de la nevroglie qui se présentent sous la forme de volumineuses cellules à prolongements multiple
ons cavitaires dont nous avons à nous occuper. C'est en effet à cette forme anatomo-pathologique que se rapportent jusqu'ici
point très rare qu'ils occupent exactement toute une moitié du corps ( forme hémianalgésique) ou, à des degrés divers, le corp
vies parfois de la chute desongles, représentent en quelque sorte une forme relativement bénigne du précédent processus. Il
ies végétantes tout à fait comparables à celles qui se voient dans la forme dite hypertrophique des lésions articulaires tabé
e amyotrophique, lapachyméningite cervicale hypertrophique, certaines formes du tabes, telles sont, sans parler de la lèpre an
thèse. On était plutôt enclin à penser qu'il s'agissait là soit d'une forme anomale de l'atrophie musculaire progressive, du
l'ai annoncé dès le début exister entre la syringomyélie et certaines formes d'hystérie de façon à tenir le diagnostic en éche
es, par zones géométriquement limitées, par segments de membres, sous forme hémiplégique, etc., etc., vous comprendrez aiséme
ont réellement ainsi, je devrais essayer de vous détromper. Certaines formes d'atro-phiemusculaire,en effet,relèvent directeme
e dans la famille.................... 78 4°. Vertige de Ménière : forme chronique et vertige par accès.................
omme de 44 ans; 2° Abasie trépidante chez un homme de 49 ans; 3° Même forme chez un vieillard de 75 ans....................
76. Analgésie syringomyélique, 495, 496. Andrée, 425. Aphasie ( Formes de F), 250. — et mutisme hystérique, 247, 249,
xophthalmie, 233, 234, 236, 239, 241. — (Fièvre dans la), 237, 238. — Formes frustes, 233, 234. — Goitre, 233,234, 235, 236, 2
449. — à distance, 451. — Début,450.—Durée,452.—expérimentale, 450.— Formes , 451. — Siège, 451. — Symptomatologie, 450, 451.
2. —Troubles trophiques, 519. — (Unité de F), 36, 121. — Variétés des formes , 470, 471. — Vomissements 272, 273. Hystérie ma
(Déformation du tronc dans la), 19, 22, 27.— (Douleur dans la), 25. — Formes , 25. —Historique, 24. — Maligne, 25. (Points doul
parai, alcoolique, 388. — et syringo- . myélie (Diagnostic), 502. — ( Formes bénignes du), 199. — (Impuissance) et suspension,
83 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
i se sont développés progressivement, et qui se manifestent sous la forme de vertiges accompagnés d'accès répétés d'an- g
un point d'appui. Sa démarche n'est pas ataxique, mais titubante, à forme ébrieuse.11 présente nettement le symptôme de l
r elle n'a pas encore été décrite, à notre connaissance, sous cette forme ascendante. Cette dégénération localisée permet d
orps restiforme à gauche n'était que partielle, et les libres arci- formes internes de cette région étaient bien conservées
e noyau dorsal du vague et le groupe cellulaire assez développé qui forme un réseau à la partie médiane du corps restiforme
cations pathologiques singulières. Ces modifications portent sur la forme des pièces squelettiques et sur la qualité du tis
et à gauche. Sa face antérieure re- garde légèrement à gauche. La forme n'est plus celle d'une plaque osseuse sensiblemen
e voussure antérieure. Le sternum est complètement disloqué dans sa forme mais non dans sa con- tinuité. Deux inflexions
ord replié en dedans semble maintenir le foie en position haute. La forme du foie est conservée, le péritoine périhépatiq
s nerfs mésentériques présentent de très nombreux renflements fusi- formes . . Les racines rachidiennes et les ganglions ra
'assemblage de plusieurs nodules secondaires de volume iné- gal, de forme irrégulièrement ovoïde, s'emboîtant, se moulant e
1, fibre musculaire normale; 2, fibre musculaire atrophiée et de forme irrégulière; 3, tissu interstitiel homogène p
entuée. Elles sont sessiles avec tendance à la pédiculisation. Leur forme est à peu près hémisphérique. Elles ne sont pas
u derme et de 1'liyl)odci,me sont de deux sortes : les unes sont de forme irrégulière et sans capsule, les autres sont no-
des blocs fibro-cellulai- res riches en éléments cellulaires. Leur forme est polygonale ; au milieu du bloc on retrouve
grosses altéra- tions. A part une certaine diminution de volume, la forme , la couleur, la con- sistance étaient normales,
l nu les masses musculaires ne nous avaient paru modifiées ni comme forme ni comme couleur, ni comme consistance, et cepe
e nerveuse, lipo- mes diffus du cou et de la nuque, IYIÏ1phadénie à forme lipomateuse (Hayem). En utilisant les recherc
tte tuméfaction se développe la ré- gion antérieure du cou prend la forme d'un menton à double ou triple étage analogue à
ton à double ou triple étage analogue à celui des gens obèses ou la forme du cou dit proconsu- laire. La face se trouve a
sont généralement petites, tantôt arrondies, tantôt allongées sous forme d'une amande, tantôt plaquées sur la région pér
x supérieures et une inférieure). Ces tumeurs reproduisent alors la forme d'une feuille de trèfle et les sillons qui les
té céphali- que, depuis les épaules jusqu'au sommet du vertex, a la forme d'une py- ramide tronquée à base inférieure et
dont les parois étaient hypertrophiées. En résumé, la symétrie, la forme diffuse et les localisations spéciales, tels so
t, lorsque la jeune fille 'était habillée, avec la gracilité de ses formes et la jeunesse de son allure (PI. XII). Obser
haque instant : ce sont des visions du diable sous toutes Sortes de formes , puis la vue s'obscurcit, et bientôt elle ne voit
pâle, quelquefois acnéique. L'abdomen se présente au repos avec sa forme et sa consistance normales. La pression même pr
sente le plus souvent chez des fem- mes, au moment des règles, sous forme d'un météorisme permanent, en- traînant par sa
tableau clinique est bien moins dramatique : il s'agit alors, sous formes de tumeurs gazeuses mobiles, tumeurs fantômes des
les plans pro- fonds. , La tumeur enlevée pesait 6 kitog. 200. De forme ovoïde, mollasse, elle avait à la coupe une cou
e inclus dans la boîte crânienne se rencontre encore dans certaines formes mentales. La facilité et le succès des trépanatio
ulées dans le cerveau et qui ne lardent pas à s'y concréter sous la forme de pierres de tète ! ... Qui n'a pas quelque mi
este tumeur ; à côté, les pierres sont suspendues, de tailles et de formes diverses, flan- quées du coutelas qui servit à
de Crémone, et qu'elle jettait par l'anus, il y a une pierre d'une forme ovale irrégulière, longue de trois pouces, larg
toute histoire il faut une morale. Carolus Allaerdt l'a donnée sous forme d'un dernier dessin représentant le mode d'expu
ait évaluer à 40 ou 50 grammes. La tumeur a la dimension et même la forme d'une mandarine ; la couleur est rouge sombre s
tés intellectuelles, de la sensibilité et du mouvement, souvent une forme de coma léger ou même le sommeil. Si j'élague tou
concernant les arthropathies vertébrales de ces malades. Sous cette forme cependant et dès ce moment, elles â- . viennent
2. lombaire. Destruction partielle delà 1r° lombaire qui affecte la forme d'un coin. Apophyses épineuses, transverses, arti
rent alors plus fréquentes, apparurent bientôt tous les jours sous la forme térébrante. La marche devient tout à fait hésit
artie libre, de six centimètres et demi à sa partie adhé- rente qui forme un relief vers le tiers supérieur de la fosse int
l. XVIII, A) est fortement inclinée en arrière sur le bassin ; elle forme un angle saillant en arrière et à gauche. Elle es
l partir de la dixième dorsale ; la partie supérieure de la colonne forme un angle de z50 environ avec une ligne horizontal
gmentée par la présence à droite d'une masse osseuse, tourmentée de formes , lisse dans sa portion externe, rugueuse dans s
ombaires et ayant sa convexité tournée à droite. La région lombaire forme un angle à sommet dirigé en arrière. La malade
ite, à deux centimètres de l'épine. iliaque antéro-supérieure, a la forme d'uno lan- guette triangulaire fortement aplati
, le bord de la face inférieure est encore dentelé et saillant : il forme , dans sa por 132 Jean ABADIE tion antérieure,
e médiane, par une saillie osseuse dirigée en avant et affectant la forme d'un cône à sommet antérieur; elle reparaît plus
un centimètre le bord supérieur de la première lombaire : elle a la forme d'un triangle, de 3 cent. 1/2 de base, de 2 cen
aire part une nouvelle exostose, arrondie, d'une courbe élégante, à forme de casque implanté par l'extrémité de son couvr
l'irrégularité de sa surface, une volumineuse apophyse épineuse, de forme quadrangulaire, garnie de dépressions et d'aspé-
rièzne et de la troisième lombaire, en partie détruites, affectant la forme de coins dont les bords tranchants se regardent
restantes. Vertèbres dorsales et cervicales peu altérées dans leurs formes . Cependant sou- dure presque complète de la sep
nte aux plaisirs vénériens dont elle usait et abusait sous toutes les formes possibles. A quinze ans, elle contracte un ch
mur, les plateaux du tibia sont excessivement développés. La rotule forme un large gâteau qua- drangulaire de neuf centim
servés. Les ongles sont dystrophiés, ils sont épaissis, ils ont une forme pyramidale à 6 pans, à sommet dirigé en haut, d
rtèbre lombaire (PI. XIX, G,Liv).est très altérée : elle affecte la forme d'un coin à grosse extrémité droite, à bord tranc
bre lombaire (PI. XIX, G,Lm) affecte de même que la pré- cédente la forme d'un coin, mais à direction opposée et de dimensi
nt à droite. Elle donne nais- sance à une apophyse ostéophytique en forme d'aile de six centimètres de longueur sur trois
se 144 JEAN ABADIE confondre cependant, et sans donner il l'os la forme de coin qu'affectent les vertèbres sous-jacente
bord interne du fémur apparaissent deux exostoses volumineuses, de formes et de dimensions différentes. La première prend n
ournier, Boix, Brunsgaard, Gaucher, Champenier. Existe-t-il par ces formes localisées une pathogénie semblable à celle des n
n dehors de tout accident, hystérique, des troubles moteurs sous la forme de névrites multiples chroniques ou aiguës. En 18
sait défaut chez le malade de Spillmann et Etienne. A côté de cette forme aiguë, nous devons placer une forme subaiguë repr
ann et Etienne. A côté de cette forme aiguë, nous devons placer une forme subaiguë représentée par le malade de Midleton,
ercu- riel. Ainsi la polynévrite syphilitique a évolué sous trois formes , motrice, sensitivo-motrice, pseudo-labétique.
ais affecté unemarche ascendante rapide, elle a évolué soit sous la forme ascendante lente, soit sous la forme disséminée,
de, elle a évolué soit sous la forme ascendante lente, soit sous la forme disséminée, elle ne s'est pas accompagnée de tr
l'es- pèce, il n'offre pas pi us de difficulté que dans les autres formes de polyné- vrite. Il faut pourtant se rappeler
férieur de l'avant-bras la déforma- tion est également manifeste et forme une saillie régulière, volumineuse ; les doigts
e chez notre malade les angiomes sous-cutanés se présentent sous la forme de tuméfactions molles, incomplètement réductible
n des Hôpitaux. Le syndrome de Weber se présente d'habitude sous la forme simple, consécutivement à une lésion unilatéral
malade, elle présentait tous les signes d'une hémiplégie droite de forme moyenne. Le bras tombait le long du corps et la m
ez elle que l'index du côté paralysé avait conservé ses différentes formes de sen- sibilité (fig. I). Les corps chauds com
ciente du côté des parties anesthésiées. Les notions de poids, de forme et de relief ont été presque complètement aboli
plaçant une grande médailedans la main elle n'a pu en deviner ni la forme , ni dire l'espèce de l'objet, elle a seulement
s l'hémiplégie organique, que dans cer- tains ca le pied affecte la forme de pied varus, dans d'autres celle de pied en g
mment. Il est beaucoup plus diffus et ne se présente jamais sous la forme de tuméfactions plus ou moins indépendan- tes l
e considérait comme atteint d'une 1 y mpliidéiiie ganglion- naire à forme lipomateuse (1). (1) M. Pierre Delbet a eu égal
entation de volume et plus tard un ratatinement de la glande, il se forme autour de l'organe une masse de graisse qui dev
oins de maestria et n'est armé que d'un instrument professionnel de forme indécise. Son client, pauvre hère aux habits tr
t que la moustache, est assis sur une chaise, coiffé d'un bonnet de forme phrygienne, habillé d'un vêlement à large col,d
ous l'avons vu, le traumatisme est essentiellement variable dans sa forme et aussi dans son point d'application. Tantôt une
s sérieux peut se produire, c'est l'issue de matière cérébrale sous forme d'amas pulpeux et blanchâtres. Cette perte de s
ique était solidement lixé dans le crâne. Cependant par suite de la forme de la pointe (v. figure 1) l'extrémité inférieure
nt plus accusés et l'issue fatale paraît plus fréquente que dans la forme immédiate. Dans le cas suivant du professeur vo
zygo- matiques. Dans toute sa portion antérieure le néoplasme a une forme assez régulière : il ne paraît que vaguement lo
e paraît très vigoureux. La tumeur pour laquelle est venu consulter forme autour du cou une volumineuse collerette. Elle
miné à leur contact deux ulcérations buccales se présentant sous la forme de petites plaques jaunâtres, in- durées à la b
a perdu sa lordose nor- male et la saillie des apophyses épineuses forme une ligne verticale que conti- nuent les apophy
les semelles y appuient à peine. L'exécution brusque des mouvements forme un contraste frappant avec les pe- tits pas du
ormale. La piqûre est sentie sans aucun retard mais partout sous la forme d'une vive brûlure. Les sensations de chaud et
il repose alors uniquement par ses épaules et son bassin, le tronc forme un vé- ritable pont, la voussure dorsale devien
analyse critique et la descrip- tion des coupes des ganglions plexi formes et de la région bulbaire en connexion avec le p
ise en évidencé, soit par l'éosine, soit par l'érylhro- sine ; elle forme la trame même de la cellule et de ses prolongemen
u pré- cédent). il 310 CHARLES LADAME La substance achromatique forme également la trame de l'axone et des prolongeme
ou moins volumineux de substance chromatique, dont le nombre et la forme sont très variables. Nissl, van Gehuchten et
e Moscou, et ce qui les différencie des cellules motrices, c'est la forme spéciale sous laquelle s'y présente le plus souve
ort de Moscou, p. 332 312 CHARLES LADAME et se présentent sous la forme de fins bâtonnets de longueur variable. L'axone
qu'abondants qu'ils soient. Du reste, on peut observer une série de formes de transition entre l'ordon- nance des blocs da
ane est devenue nettement visible, de sorte qu'il fait saillie sous forme d'une grosse vésicule sphérique (P. XLV. i) La
e réseau nucléaire se voit distinctement. Le nucléole est foncé, de forme parfaitement régulière. Cependant le noyau est
porte bien, il n'y a pas de suppuration ; il est tué par le chloro- forme le cent dix-huitième jour après l'opération. A
e cellules nerveuses, isolés de tout protoplasma, ayant encore leur forme vésiculeuse normale, très entourés de tissu conjo
itesse du cervelet et de la protubérance. Le cervelet a conservé sa forme générale, mais les lames et les lamelles sont trè
nsiblement diminuées. Au niveau du bulbe la saillie du corps resti- forme est peu marquée. Il n'existe pas d'altérations hi
e. Les choses sont d'autant plus obscures qu'en cas de lésion il se forme une sorte de magma de sang et de substance céré
i l'opération du formolage : En L se trouve une lésion affectant la forme d'une déchirure; NC, noyau caudé; A1\I, avant-m
blessure du frontal droit. Il est à G. Bikeles qui l'intitule : une forme inusitée de blessure par coup de feu du cerveau.
tal est stationnaire. Elle ne peut dire que quelques mots,mais s ne forme aucune phrase. Elle est irritable, passionnée et
igne convexe en avant et en bas et on détacha de l'os un lambeau de forme ovalaire, on trouva dessous une sorte d'opercul
sucré, qui paraît, d'ailleurs, de date assez récente. L'examen des formes permet de constater une certaine disproportion en
encore du métacarpien. Les phalangines et les phalangettes ont leur forme , leur structure, leurs dimensions normales ou à
ropathie tabétique, bien des traits sont communs aussi bien dans la forme de l'ostéopathie que dans le début par l'oedème é
adulte myxoedéma- teuse franche, fait ressortir l'analogie de leurs formes . Le hasard me met' môme de produire aujourd'hui
ain (PI. LX et LXI). Il estbon que l'eei du médecin s'habitue à ces formes particulières, étranges, dont l'ensemble dénote
ie musculaire essentielle, n'a pu subsister devant la découverte de formes de Iransitions. Actuellement ce n'est plus entre
t de Duchenne, d'Ërb et de Landouzy-Dejerine que l'on recherche des formes intermédiaires, mais bien entre les atrophies myo
la maladie. Etat actuel. Aspect extérieur. Le crâne présente une forme il peu près normale ; les bosses pariélales son
pondant aux sous-épineux, de même le grand dorsal fait saillie sous forme d'un bourrelet oblique au niveau de son passage
sont même incurvés du côté dorsal, l'avant-bras étendu sur le bras, forme un angle obtus ouvert en arrière. Le deltoïde e
de névrite périphérique. Restent les myopathies essentielles et les formes de transition. Au premier abord notre malade se
assification en types bien distincts a disparu devant le nombre des formes intermédiaires. Et cependant notre malade doit êt
e réaction de dégéné- rescence. Il n'appartient pas davantage aux formes rassemblées par M. Bosc sous le nom d'amyotroph
de la pseudo-hypertro- phie. Bref, nous sommes en présence d'une forme atypique, d'une forme de transition un peu diff
- phie. Bref, nous sommes en présence d'une forme atypique, d'une forme de transition un peu différente de celles qui o
ie sur une convexité dorso-lombaire (ob. II). Telles sont les trois formes de gibbosité que nous avons pu relever dans nos
t, ceux du détroit moyen et inférieur diminuent. Le bassin prend la forme en entonnoir. Dans le deuxième cas, au contrair
détroits moyens et inférieurs sont agrandis. Le bassin tend vers la forme en éteignoir. Ce sont là deux types schématique
Dow que nous verrons bientôt. L'encadrement dans une fenêtre et la forme arrondie du haut du panneau se retrouvent souvent
rses sortes de tabatières. On y trouve des renseignements sur leurs formes , sur les matériaux employés pour leur fabricati
cus (I), publié à Amsterdam en 1726, reprend la même thèse sous une forme plus satirique et plus mordante. L'auteur a rés
iè- res, mais personne ne peut rendre à leurs organes leur ancienne forme . Heureusement, pour les infortunés priseurs, l'
que la lésion nu- cléaire ne se manifeste pas exclusivement sous la forme d'une oplitalmo- plégie externe, opinion que Br
culaires dans la substance blanche on pouvait observer des cellules à forme ir- régulière, étendues, chez lesquelles le cor
té assez considérable de blocs noirs principalement plus menus et à forme bizarre et variable ; on rencontre plus de blocs
dans la substance blanche, par places s'étendent des blocs noirs à forme irrégulière et variable, de différentes dimensi
la dégénérescence est la plus marquée, a approximativement la même forme , en occupant l'échancrure droite entre la corne
eure présentent en général beaucoup de varia- tions concernant leur forme et la disposition dans le corps cellulaire des
cellules assez souvent est disposé exceutriquement et a parfois une forme aplatie. Les éléments chromophiles dans ces cellu
. Puisque nous avons déjà parlé en détail des modifica- tions de la forme du corps cellulaire et de sa structure, en décriv
ellules, sont d'une 488 SOUKHANOFF ET GEIPR couleur foncée ; leur forme est modifiée et allongée et leur dimension diminu
elle, une colo- ration diffuse des cellules, une modification de la forme du noyau, des vacuo- les dans le corps cellulai
es cellules dont le volume était diminué et le noyau présentait une forme irrégulière. Cas II. A. D..., 32 ans. Deux an
isposés en groupes, souvent ressortant sur un fond plus clair d'une forme irrégulière.-c) Région motrice.- Pour l'examen fu
me groupe de ces cas il s'agissait des malades qui présentaient une forme démente de paralysie générale sans symptômes psyc
ous avons suffisamment décrit au chapitre précédent les différentes formes de gibbosité, les cour- bures secondaires de la
enfin les lombaires. Les vertèbres cervicales gardent toujours leur forme et leur aspect habi- tuels : il n'existe pas ch
leur maximum de déve- loppement. Elles se présentent ici sous deux formes bien distinctes, la forme atrophique et la form
ement. Elles se présentent ici sous deux formes bien distinctes, la forme atrophique et la forme hypertrophique : elles réa
ent ici sous deux formes bien distinctes, la forme atrophique et la forme hypertrophique : elles réalisent ainsi les deux
ffet, les unes s'altèrent profondément dans leur structure et leurs formes ; des portions entières d'os disparaissent, ell
tent des productions osseuses nouvelles, irrégulières, imprévues de formes et de di- mensions essentiellement variables. C
se con- fondent en un bord tranchant. La vertèbre affecte alors la forme d'un coin. La grosse extrémité du coin répond a
. Tel est le processus atrophique. Il comporte des modifications de formes et de structure d'une ou de plusieurs vertèbres
s : ils présentent sur toute leur étendue de petites exos- toses de forme et de volume variables. Généralement triangulaire
compensations spontanées établie par Bizzozero et ses élèves, à la forme atrophique se joint en plus la forme hypertrophiq
Bizzozero et ses élèves, à la forme atrophique se joint en plus la forme hypertrophique. D'autre part, Chipault (3) a dé
s unissant étroitement entre elles. Ils affectent d'autres fois des formes bizarres; solidement implantés par leur base, i
érence est .quelquefois difficile à établir entre elles et quelques formes de rhumatisme chronique déformant ou quelques ma-
symptômes vertébraux ont de grandes analogies avec les différentes formes de l'arthro- pallie vertébrale tabétique, ces d
ons appropriées le manque d'équilibre de sa base : le thorax se dé- forme , le bassin s'adapte aux nouvelles formes du squel
sa base : le thorax se dé- forme, le bassin s'adapte aux nouvelles formes du squelette thoracique et tous ces changements
la coupe transversale est ellip- tique. Parfois même la coupe ne forme qu'un ruban très mince, dont le grand dia- mètr
les unes sont ratatinées, ramassées en un paquet de protoplasma in- forme , très foncé, au sein duquel on ne voit que rareme
au ex- centrique. D'autres cellules (PI.LXXVI,f) reviennent à une forme plus régulière, avec un noyau plus central et u
ur donnent une apparence spé- ciale ; ils ont également repris leur forme normale. Ici encore les mensurations ne conduis
rgit dans un point quelconque de la cellule (Pl. LXXVII, k) sous la forme d'une tache claire, transparente, taillée à l'e
eint si rare, peut être sans exemple lorsque l'affection cérébrale se forme indépendamment des blessures, au contraire asse
une lettre violente dont il oublia pres- que aussitôt le fond et la forme et qui lui causa de très sérieux désagréments .
En ce qui concerne le pariétal gauche, on y trouve une blessure en forme de V avec un prolongement inférieur dans le tes
isséminée; 4° la polyo-myélite antérieure aiguë. Les deux premières formes , malgré une certaine ressemblance qu'elles présen
localiser au-dessus du foyer à la substance grise. Dans toutes ces formes de myélite aiguë, nous trouvons un certain degré
rise injectée et même striée de sang. La lésion, quelle que soit la forme de la myélite, un maximum d'intensité, comme on e
t la méningo-myélite que j'ai pu constater ici s'est présentée sous forme de foyers discrets, suivant plus particulièrement
Il est possible cependant que quelquefois les mailles du réseau que forme le tissu altéré soient vi- des, justifiant ains
te masse de leucocytes. L'ia- filtration se présente parfois sous forme de nodules qui existent tantôt autour des cellu
éré présentait une infiltration diffuse de leucocytes et aussi sous forme circonscrite de nodules. La condition anatomique
chez l'homme des réactions vasculaires plus ou moins intenses, sous forme d'hyperhémie et d'infiltration leucocytaire pér
ules nerveuses sont très variables quant à leur intensité et à leur forme . Dans les ganglions spinaux, les cellules, comm
brillants ayant habituellement la grandeur d'un globule de sang de forme ronde ou ovoïde et qui se teint très bien par l
ion des microbes'joue un rôle essentiel dans la détermination de la forme de myélite aiguë. Ainsi la pénétration des micr
explique d'une manière très simple la production des dif- férentes formes de myélite. L'application de ces données à la pat
ments chromatophiles, parfois ces derniers changent complètement de forme , ils s'amincissent, prennent l'aspect de bâtonnet
de petites granulations bien colorées. La masse de granulation qui forme comme une espèce d'atmosphère autour du cytopla
eux, les prolongements sont comme amputés, enfin le noyau, qui a la forme d'une ellipse allongée, est homogène, coloré d'
e, et par la balnéation continuelle. Dans un cas de myélite aiguë à forme très douloureuse j'ai Fm. 28. ' 596 MARINESCO
e canal arachnoïdien sont susceptibles de présenter des variétés de forme ,de multiplication etc., suivant leur nature et
tres telle qu'elle . se manifeste à notre esprit, c'est-à-dire sous forme d'écriture droite, est une mauvaise condition p
res renversés presque sans se douter de ce qu'il fait, il trace des formes , c'est- à-dire des lettres, auxquelles son oeil
ervile, trait pour trait ; elle reproduit successivement une série de formes isolées et très simples dont l'ensemble constit
mples dont l'ensemble constitue le dessin ou le mot. Chacune de ces formes devient ainsi la représentation graphique d'un
pupillaire et muscle ciliaire). Nous avons désigné cette dernière forme de paralysie congénitale sous le nom de paralys
plus faible, un mouvement de rota- tion du globe oculaire (sous la forme de secousses nystagmiformes rares autour d'un a
e l'on ne trouve dans aucun cas de modification dans l'aspect ou la forme des globes oculaires et que la tension de ces d
que. Elle peut se résumer dans la proposition suivante : A côté des formes isolées et partielles des paralysies congénitales
ées et partielles des paralysies congénitales des muscles des yeux, formes qui sont parfaitement connues, il en existe une,
, dans le groupe si confus des oedèmes d'origine névropathique, une forme spécifiée par son caractère héréditaire et fami
mes, ajoute-t-il. Et il n'arrive à citer dans l'historique de cette forme héréditaire et familiale que les noms de Desnos
transversales. - 634 LANNOIS ' Le genou est empâté et a perdu sa forme , mais au-dessus de lui les cuisses ont sensible
gauche est moins cylindroïde que le droit ; il a mieux conservé sa forme générale, et si la circonférence maxima est de 40
ussion des faits à laquelle il s'est livré pour arriver à isoler la forme clinique du trophoe- dème chronique héréditaire
es lignes sim- plifiées, se multiplier sous des aspects divers, les formes aberrantes ou anormales dont la position ne se
ypique de syringomyélie, nous nous sommes aperçu être en face d'une forme assez exceptionnelle de la dermo-neuro-fibromat
sise. Après avoir cru un instant à une myélite transverse, ou à une forme fruste de sclérose en plaques, compliquée de tr
férieurs : mais nous savons que l'on a décrit des syringomyélies à forme UN CAS DE DERM0-NEUR0-F1BR0MAT0SE 643 de sclé
UN CAS DE DERM0-NEUR0-F1BR0MAT0SE 643 de sclérose en plaques et à forme de tabes spasmodique (Strumpell, Kah- ler, Schl
tion des manifestations cutanées, pourrait être considéré comme une forme de début, ou comme une for- me fruste, si l'on
ure de la maladie nous fût donnée par la fibromatose cutanée, à une forme fruste de la syringomyélie. La scoliose peut ce
lexiformes après la résection du pneumogastrique. La vacuolisation, forme de dégénération cellulaire. Une forme curieuse
astrique. La vacuolisation, forme de dégénération cellulaire. Une forme curieuse de dégénération de la cellule nerveuse e
oir nous rattacher aux auteurs qui voient dans la vacuolisation une forme spéciale de dégénérescence cellulaire, en nous ba
hromatique des cellules nerveuses. 14. La vacuolisation est une des formes du processus de dégénération cellulaire. 15.
blicat. de l'Odontologie, M. C. M.). L'auteur y a condensé sous une forme excellente les documents déjà parus sur ce arra
irurgiens affirment avoir vu sortir des dents ca- riées des vers de formes diverses. Un certain Philippe Salmuth en chassa u
s de formes diverses. Un certain Philippe Salmuth en chassa un « en forme de ciron » d'un demi-pouce de long, au moyen de v
84 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
ment très fréquente, elle se ' « montre encore sous une infinité de formes diverses, et si le médecin « n'a pas beaucoup d
es simulateurs ; c'est le nom sous lequel nous pouvons désigner ces formes cliniques de la névrose. On conçoit donc que, d
G. Guinon', ', Brissaud, etc., pensent que l'hystérie, sous quelque forme qu'elle se pré- sente, quel que soit son agent
s par conséquent. » L'hystérie a son histoire natu- relle ; elle ne forme pas dans la pathologie une classe à part; elle es
ions anatomo-pathologiques, se donner la représentation mentale des formes cliniques de la sclé- rose en plaques. Il suffi
ois. Il est classique de décrire la sclérose en plaques sous quatre formes : les formes cérébro-spinale, cérébrale, spinal
lassique de décrire la sclérose en plaques sous quatre formes : les formes cérébro-spinale, cérébrale, spinale et bulbo-prot
lbo-protubérantielle. A côté d'elles prennent place une infinité de formes frustes. L'hystérie peut les simuler toutes; ma
nt, c'est démontrer, a fortiori, qu'elle peut prendre le masque des formes incomplètes ou effacées. Un symptôme domine l
actères nous croyons qu'ils'agit encore là d'hystérie. L'hystérie à forme épileptoïde n'est pas rare. MM. G. Ballet et Cr
ersistante de la température, hémiplégie droite, attaques épilepti- formes ; mort par bronchite. A l'autopsie, absence de lé
simulateur. Si l'on songe qu'elle peut parfois se présenter sous la forme monosymptomatique, il serait bien possible que qu
25 juin 1881). Sclérose en plaques dissé- minées cérébro-spinale à forme insolite. Amélioration très notable pro- dnite
être affectés, comme dans l'ataxie loco- motrice. De là une de ces formes mixtes qu'il est toujours bon de décrire quand'
s, il rentre dans son pre- mier état. L'auteur conclut sans autre forme de procès : « En présence du fa- ciès caractéri
sclérose » de Westphal. Nous croyons qu'il s'agit bien plutôt d'une forme bizarre d'hystérie, d'un de ces syndromes que n
ement, et le segment de membre a conservé presque complè- tement sa forme . Aux mains la paume présente l'aplatissement de l
pre- mier abord absolument indemnes. Les cuisses ont conservé leur forme nor- male, ainsi que les jambes. La résistance
partie inférieure qu'a leur partie supérieure, des bras qui ont une forme cylindrique, des épaules qui ont perdu leur ron
le malade debout. L'amaigrissement du triceps est tel que le genou forme comme une forte saillie entre la cuisse et la p
doctrine séduisante, qui paraissait expliquer à merveille certaines formes spé- ciales de crâne, a dû plier devant les fai
point de vue. On a observé et décrit des altérations non plus de la forme , mais de la substance cérébrale chez certains mic
tête du sujet doit être rasée; on appréciera le volume du crâne, sa forme , on en prendra les diverses courbes. La constat
aient à se développer en hauteur, ce qui constituait un crâne d'une forme bizarre comparable à celui de certains oiseaux (f
deux os, le frontal et le pariétal. D'habitude ces lambeaux ont la forme d'un U ou d'un V ren- versés, d'un rectangle. I
tension forcée. Le bras est abattu le. long du corps avec lequel il forme un angle de 30' environ. La main forme la griffe
long du corps avec lequel il forme un angle de 30' environ. La main forme la griffe (PI. XI). Le temps nécessaire pour qu
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite') 1) En résumé, il existe une forme de tremblement hystérique carac- térisée par de
la maladie de Basedow), nous a paru devoir être distrait des autres formes de tremblement que nous allons maintenant étudi
te le tremblement mercuriel, tel du moins que le dépeignent dans sa forme la plus accomplie, les observations les plus préc
n quoi il en diffère. , Lorsqu'on voit un malade affecté de cette forme de tremblement se lever et se mettre en marche,
ints semblable au tremblement mercuriel, tel qu'il apparaît dans sa forme généralisée, à son plus haut degré de dévelop-
n fondé à dire que ce tremblement est identique, au moins quanta la forme , au tremblement mercuriel. C'est ici le lieu de
apoplectiques. Nous avons été frappé également par la diversité des formes de ces tremblements mercuriels; on y retrouve p
les mêmes modes de début, tantôt insidieux, tantôt brusque et sous forme d'attaques. Et quand on interroge attentivement
ctuel, 30 mai 1890. M. X... est de petite taille, très robuste, aux formes viriles, au faciès intelligent. Les yeux sont lég
méd. des hôpitaux, 12 avril 1889]). Oss. VII (Rendu, loc. cit.). FORME PARAPLEGIQUE TREMBLEMENT SIMULANT LA TRÉPIDATIO
toute plaque de sclérose. Jusqu'ici la névrose hystérique avec ses formes si multiples, si variées, semble être à peu prè
munes » ? Plus près de nous, Leyden 3 constate que, « de toutes les formes de la paralysie hystérique, la pa- raplégie est
es organiques consécutives à un traumatisme. Celui-ci, sous quelque forme qu'il se présente : chute d'un lieu élevé, choc v
s auraient débuté en 1868 à la suite d'un accouchement et revêtu la forme de la folie du doute. En 1881, il y a dix ans,
rature) est normale. Le tact n'est pas altéré : elle dis- lingue la forme des objets, leur poids approximatif, reconnaît le
e, dans une note qui a pour titre Sur un cas de paralysie agitante, forme originale de la névrose traumatique (pseudo-paral
insidieusement, il persiste depuis six mois. IV - TREMBLEMENTS DE FORMES VARIÉES ET CHANGEANTES Nous avons réuni dans ce
odique. Ils serviront du moins à accentuer la diversité extrême des formes que peut revêtir le tremblement chez les hystériq
en effet, offre des rides très accusées. La peau molle et pendante forme au-dessous du menton une sorte de poche ridée q
lisse avec la plus grande facilité et elle garde pour ainsi dire la forme qu'on lui a donnée, ou plutôt elle reprend asse
urni par Claw...); parfois même l'extrémité de la ligne d'ascension forme une boucle avec le commencement de la ligne de de
. Enfin certains tremblements hystériques, quand ils prennent la. forme hémiplégique ou monoplégique, pourraient aisément
est très variable. Au résumé, il s'agit d'un tremblement rapide, à forme vibratoire, localisé au membre supérieur droit.
ce tremblement, le malade en présente parfois un autre, mais d'une forme différente, au membre inférieur droit. Comme le p
sur la grande analogie qui existe entre le tremblement hystérique à forme vibratoire et les tremblements également rapide
tremblement mercuriel, celui de la sclérose en plaques et certaines formes de tremblement hystérique. Nous devons encore
ela à tel point que le tremblement prend alors les caractères de la forme vibratoire. Les oscillations devenant ainsi plu
ns jamais avoir présenté d'attaques, a eu une fois une contracture ( forme hémiplégique gauche), contracture qui a duré de
le pratiquer, on se borne à examiner les seules modifications de la forme du corps en rapport avec la maladie existante.
maladie existante. Chez les aliénés, au contraire, cet examen des formes du corps, doit être fait complètement et en dét
Inspection du crâne. L'inspection qui nous renseignera déjà sur la forme et le volume du crâne comporte l'examen sur quatr
montrera le développement proportionnel de la face et du crâne, la forme du 1. P. Broca, Instructions générales pour les
molles ou aux parties osseuses. Elle nous permettra d'apprécier la forme générale du crâne, sa gros- seur, les dépressio
n et la palpation ont déjà pu nous donner des renseignements sur la forme , le volume du crâne, il importe de les compléte
ces manoeuvres. Mais il arrive aussi que l'encéphale s'adapte à la forme excentrique donnée àla boîtecranienne. Quelles
polioencéphalite : la myopathie progressive, en particulier dans sa forme facio-scapalo- z)8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
adie myopathique. On peut en dire autant du facies si spécial de la forme facio-scapulo- humérale de la myopathie. La cho
ilatérale dès le début, l'affection est restée localisée. Dans la forme subaiguë, la mort parait fatale dès que se manife
plus graves : par son évolution fatalement extensive dans certaines formes , elle finit par entraîner la suppression des fo
vague et glossopharyngien) ainsi que de l'olive et des corps resti formes . A partir de l'origine de la 6- paire, lésions
é, s'étendait jusque près de la commissure postérieure et avait une forme ovalaire à grand diamètre en partie parallèle au
e du précédent, au niveau de son extrémité supérieure, il avait une forme ovalaire à grand diamètre horizontal. Ces deux
ux espèces morbides distinctes; ne s'agissait-il pas plutôt de deux formes cliniques d'une même espèce nosologique ? Les a
seulement, tout originale qu'elle puisse paraître cliniquement, une forme atypique de la maladie syringomyélique... Le ca
qu'un. Toutefois, en raison de leurs caractères spéciaux, certaines formes de la syringomyélie devront être vraisemblablem
e clinique. Je vous proposerai, en conséquence, d'appliquer à cette forme la dénomination de syringomyélie, type Morvan.
t en 1887, à vingt-deux ans, que survient le premier accident, sous forme d'un « abcès » indolore de l'index gauche accom
raient qu'immédiatement sous l'épendyme dans la substance grise qui forme le fond du quatrième ventricule : elles n'allaien
squ'à ces dernières années on ne s'était pas attaché à spécifier la forme sous laquelle se présentaient ces paralysies oc
erveau est susceptible de lésion systématique non seulement dans la forme chronique, mais aussi dans la forme aiguë. » CO
tématique non seulement dans la forme chronique, mais aussi dans la forme aiguë. » CONCLUSIONS De l'étude qui précède n
de la paralysie spinale antérieure subaiguë. 1 7° Quelle que soilla forme de polioencéphalomyélite, subaiguë ou chro- j n
(à l'âge de deux ans), la coexistence chez un si jeune sujet de la forme noueuse et des nodosités d'IIeberden, enfin son
ez lui l'être imparfait et une intelligence très rudimentaire. La forme de sa calotte crânienne est pointue, très déprimé
lté- ration des facultés. Nous aurons l'occasion à propos de chaque forme en particulier d'étudier en détail les différen
s, comme ratatinée chez les crétins. De même, on jugera ainsi de la forme du visage, ronde, ovoïde, de la forme des yeux,
e même, on jugera ainsi de la forme du visage, ronde, ovoïde, de la forme des yeux, du nez, de la bouche, du développemen
rma lateralis) l'inspection servira encore à nous renseigner sur la forme et le volume de la face en nous permettant 1. V
ation des diamètres de la face a pour but de nous renseigner sur sa forme et son développement; l'indice du visage faisan
forme et son développement; l'indice du visage faisant connaître la forme générale du visage, allongée ou arrondie, tandi
rmale (fig. 59). Je ne vous parlerai pas de la situation ni de la forme générale de l'oreille humaine que vous connaiss
met postérieur, située au devant du conduit auditif externe dont il forme le contour extérieur. Il est séparé en haut de
r le lobule, sorte de masse charnue, musculaire, sensible, ayant la forme d'un ovoïde aplati latéralement. Libre sur ses de
variable, et s'accentue assez parfois pour que l'oreille prenne la forme d'un entonnoir comme chez les mammifères ou soit
ai enfin les asymétries des pavillons, asymétries de dimensions, de forme , d'implantation (de Blainville.) Dans d'autres
es (fig. GO). Hélix. - La racine de l'hélix, comme nous l'avons vu, forme , à l'état normal, à la partie antérieure de la
en arrière sur la circonférence même du pavillon qui perd alors sa forme ovoïde, car l'extrémité supérieure au lieu d'être
a forme ovoïde, car l'extrémité supérieure au lieu d'être arrondie, forme un angle à la partie postéro-supérieure. Il arriv
es dédoublée, le plus souvent la posté- rieure et prennent alors la forme d'un trident; par suite il y a deux fossettes i
suivre une ligne régulière. Dans ces cas la racine de l'antitragus forme une saillie dans l'intérieur de la conque. No
re du conduit auditif, au lieu d'être ovalaire, se présente sous la forme d'une simple fente. La cavité de la conque présen
neux, il est alors comme palmé. De plus, l'angle posté- rieur qu'il forme avec l'hélix peut s'effacer, il est alors indisti
iénés acquière de la valeur, il faut : 1° qu'on classe les diverses formes d'oreilles en prenant pour base l'anatomie comp
et l'embryologie; 2° que l'on établisse la statistique des diverses formes d'oreilles obser- vées dans la population norma
ière, trace de la membrane clignotanle des oiseaux, et affectant la forme d'un simple repli semi-lunaire recouvrant la caro
OGIQUE CHEZ LES ALIÉNÉS ET LES IDIOTS. 287 phthalmie); soit dans sa forme (anomalies de courbure et astigma- tisme) ; soi
éré 1) pouvant porter soit sur la coloration de l'iris, soit sur la forme , soit sur les dimensions de l'ouverture pupilla
, il faut noter l'enfoncement ou la saillie de la racine du nez, la forme du profil du nez, droit, convexe, concave ou si
sous, peut être plus ou moins écrasée et nous offre à considérer la forme et la disposition des narines elliptiques, allo
es mâchoires, des dents. Pour les lèvres, vous noterez d'abord la forme et la grandeur de l'ouverture buccale, sa direc
ourrez rencontrer également des fissures plus ou moins étendues, sa forme asymétrique, sa profondeur exagérée sa disposit
rapprochement (atrésie) des deux moitiés de cha- cune d'elles, leur forme ellipsoïde ou très fréquemment sinueuse. Nous a
. Ces dents sont numérotées à partir de la ligne médiane. Pour leur forme , les incisives sont tranchantes, la cauine coni
ces très variées (fig. 61 et C2) : ce sont : '1° Des anomalies de formes , telles que la dent est parfois méconnais- sabl
alies apparentes de l'articulation qui en résultent, les anomalies de forme , d'éruption, les anomalies dénombre, d'une sign
ffet : (1) Topinard, loc. cit. (2) Paul \licher, Descriptions des formes extérieures du corps humain. Paris, 1890. 291 N
iverses, telles que le goitre, l'inclinaison du thorax en avant, la forme tombante des épaules, le thorax comprimé latéra
des divers segments des membres, leurs déviations (rachitisme), la forme effilée ou ramassée des doigts, leur longueur r
autres doigts, son peu d'opposabilité, la ligne palmaire unique, la forme large et aplatie du pied, la saillie du talon,
rapports de la verge et du scrotum (verge palmée) ; le volume et la forme du gland, gland affilé des pédérastes, verge en b
anormal, direction presque horizontale. Il faudra examiner aussi la forme ,des grandes et des petites lèvres, parfois tomban
tivement aux autres parties et à l'âge du sujet, la situation et la forme du méat, l'effacement de la fosse naviculaire.
endroit anormal) ou de déformations acquises (aspect infundibuli- forme , effacement des plis radiés) pouvant révéler des
entaire, polymastie chez la femme, gynécomastie chez l'homme), leur forme et leur position (forme en poire, insertion à l
la femme, gynécomastie chez l'homme), leur forme et leur position ( forme en poire, insertion à la base du thorax), les c
té de la barbe chez l'homme, et son développement chez la femme; la forme des cheveux, plats, ondés, frisés; leur abondan
rt à l'âge du malade (albinisme, canitie et calvitie précoces) ; la forme de la cal- vitie (syphilitique, arthritique ou
dans les régions symétriques des coudes et des genoux; l'anesthésie forme autour de ces régions un manchon très allongé.
se ? pendant, que tout le corps portait; les stigmates. d'une autre forme du mal, la lèpre atrophiques. « Cette. représen
d'abord -se rétrécit ensuite d'avant en arrière affectant ainsi une forme conique, d'où le nom de thorax en entonnoir.
e petite fossette qui, à partir de douze ans, s'excava davantage en forme d'entonnoir jusqu'à pouvoir admettre une tète d
aque côté, une voussure très notable de cette partie du thorax, qui forme les bords laté- raux de la partie inférieure de
bute au niveau de-l'insertion du quatrième carti- lage costal, sous forme d'une gouttièra, puis s'accentue davantage pour
e thorax en entonnoir que présente ce malade est de tout point con- forme à la description que nous avons donnée des cas pr
étrécissement du thorax avec double gouttière latérale), l'abdomen ( forme globuleuse) et les membres (nouures articulaire
u lieu de plon- ger vers le rachis, proémine fortement en avant; il forme ce qu'on a appelé la poitrine en carène ou de p
ommet de la dépression donnerait une courbe rappelant assez bien la forme d'un rein avec son hile pro- fondément excavé.
également une déformation thoracique produite par la pression de la forme sur la poitrine. Au niveau des articulations ch
gnée de callosités qui indiquent son origine; elle n'affecte pas la forme en entonnoir et n'entraîne pas une déformation de
acique antérieure devient plane, quelquefois même concave, le sternum forme alors une sorte de gouttière dont les parois la
certaines familles, dit Eichhorst, le thorax en en- 1. A. Bloch, la Forme des doigts et les nodosités de Bouchard (Assoc. f
urs cas d'anesthésie généralisée et absolue, dans lesquels les deux formes de la diathèse de contracture étaient développé
apparaître dans d'autres parties du corps, le plus souvent sous la forme hémiplégique du côté de la con- tracture primit
rieurs jusque vers le coude et à la partie postérieure du bras sous forme de plaques serpigineuses. Dans ces cas, il ne ces
chée de celle qui a été signalée par M. Rittil de la folie à double forme avec l'asphyxie locale des extrémités, où il a vu
des extrémités dans la période de dépression de la folie ci double forme (AmI. 2éd.-ysch., 1882). 2. W. Alexander, The t
e. La comparaison des deux figures réunis- } sant la planche XXXVII forme un contraste manifeste. L'examen des veux pra-
ymptôme qu'il avait diagnostiqué la tuberculose vertébrale ; or, la forme de la région est absolument normale; l'enfant dep
1889). Avec ce traitement la paraplégie jusque-là'flasque change de forme et devient spasmodique : lamaladesoulenue sous le
86. 4. Barié, Bullet. de la Soc. méd. des hôp., 1886. 5. Chameau, Formes cliniques et palllOg. de la fièvre hystérique. Th
i donner raison. C'était un cas d'hystérie avec « phénomènes ataxi- formes », suivant son expression. En dehors de ces deu
ique n'est pas exceptionnel, et qu'il mérite bien de constituer une forme clinique spéciale. Dans tous les cas, quel que so
mécanisme. MM. Charcot et P. Richer7 appellent l'attention sur une forme particulière d'impuissance motrice dont M. P. Blo
u tabes. Ici les symptômes se dégradent ou s'effacent : ce sont les formes frustes; là ils coexistent en nombre restreint
formes frustes; là ils coexistent en nombre restreint : ce sont les formes incomplètes, atypiques. Eh bien, ce sont précis
les formes incomplètes, atypiques. Eh bien, ce sont précisément ces formes frustes, incomplètes que la névrose simule de p
roxysmes vespéro-noc- turnes, les douleurs persistent mais sous une forme très tolérable. La force musculaire dans les me
s. Ces douleurs se sont montrées d'abord dans la jambe gauche, sous forme d'éclairs, parcourant rapidement le membre entier
puis elles se sonl montrées avec les mêmes caractères mais sous une forme très légère dans le membre du côté opposé. Autour
exus nosologiques dont il s'agit ne représentent pas en réalité des formes hybrides, produits variables et instables d'un mé
néral. 1° A cette question de savoir s'il ne s'agirait pas là d'une forme ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS »
ître ou s'effacer quand survient le tabes. Ce défaut de réciprocité forme un contraste qui est bien dans la logique des cho
peut les voir dis- paraître et reparaître tour à tour sous la même forme ou sous une forme équivalente. Les symptômes hy
paraître et reparaître tour à tour sous la même forme ou sous une forme équivalente. Les symptômes hystériques débutent d
ment que l'on peut sans témérité décrire aujourd'hui, il côté de la forme primitive, une nouvelle variété d'atro- phie mu
élopathique », les deux pouvant se présenter indifféremment sous la forme diffuse ou sous la forme circonscrite. On pourr
ouvant se présenter indifféremment sous la forme diffuse ou sous la forme circonscrite. On pourrait les schématiser de la
rt, MM. Ballet et Crespin ont bien étudié les attaques d'hystérie à forme d'épilepsie partielle. Néanmoins, il ne nous pa
fantile avec atrophie. Dans la paralysie spi- nale de l'enfance, la forme hémiplégique est si rare qu'elle est même niée
t point, dit-il, une seule des affections nerveuses dont l'ensemble forme ce que j'appelle la famille neuropathologique q
Jousefovitsch le 10 décembre 1889. Cette malade est atteinte d'une forme classique de tabcs dont le début remonte il dix
ait de nouveau la pression atmosphérique qui venait de recouvrer sa forme primitive, les parois des vaisseaux se rapprochai
MER..183 La planche XLV représente le baquet magique, mais sous une forme satirique. On peut juger d'après l'attitude des
ici .pour se guérir ! » ? , La planché XLVI représente Mesmer sous forme d'un baudet provo- quant une crise d'hystérie c
85 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
her deux masses de substance grise ; l'une antérieure et externe a la forme d'une virgule, d'une larme batavique , dont la gr
que les deux autres se trouve un troisième noyau, ayant à peu près la forme d'une lentille plane-convexe, d'où le nom de noya
stance grise de la moelle épinière (cellules motrices). — Dimensions, forme , corps, noyau, nucléole, protoplasma, fibrilles e
p.. M. Gerlach dit cependant qu'il peut aller jusqu'à 0, 120 ^. Leur forme est plus ou moins globuleuse, rarement allongée
rps de la cellule ou d'un de ses prolongements les plus gros, sous la forme d'un filament très grêle, mais qui, peu à peu,' d
d'au-tres, est anguleux et re-Fiçj. 4. produit en quelque sorte la forme générale de la cellule. Le nucléole, lui, n'offre
grise. On y trouve encore des petits éléments cellulaires, ayant une forme glo-buleuse, rarement pyramidale, mesurant de 0.0
fait, on a qualifiés de cellules gigantesques. Tout en conservant la forme pyramidale propre aux éléments cellulaires nerveu
bule paracentral. Nous avons donc sous les yeux un petit lobule, de forme quadrilatère, dont le plus grand diamètre est d'a
particulier) ? 11 ne s'agit pour le mo-ment, cela va de soi, que des formes les plus usuelles, les plus vulgaires et aussi de
de aigu, la paralysie infantile; dans le mode chronique, les diverses formes d'amyotrophie spinale à mar-che progressive. — Il
lémentaires est d'un grand secours pour débrouiller les hybrides, les formes complexes. Nul doute, que l'étude de ces lésion
pales, tout près de leur origine, et s'enfoncent immé-diatement, sous formes d'artérioles, dans l'épaisseur des mas-ses gangli
ue d'abord,à la péri-phérie, la substance grise qui se montre sous la forme d'un feston ayant une épaisseur de 2 à 3 millim
sommet tronqué dirigé vers les parties centrales. C'est, en effet, la forme qu'affectent la plupart des ramollissements dits
la substance blanche sous-jacente. La partie superficielle du foyer forme ce qu'on appelle une plaque jaune. La coloration
et postérieure et de la sylvienne. Disposition des noyaux gris : leur forme et leurs rapports. — Considérations sur la capsul
capsule interne : tels sont les divers compartiments dont la réunion forme ce qu'on pourrait appeler le système central, par
de la cou-che optique. Je ne veux faire qu'indiquer en passant, la forme et les principaux rapports des noyaux gris que je
et très étroites avec les parties contiguës. 2° Le noyau caudé a la forme d'une virgule — ou encore d'une pyramide, — dont
s du trajet les vaisseaux, imitant ainsi tant par le siège que par la forme es foyers d'hémorrhagie qui se produisent dans l'
s ces régions; les artères striées sont, en effet, très sujettes à la forme spéciale de sclérose artérielle qui produit les a
yaux gris centraux, sont ceux Yhémiplègie cérébrale vul-gaire. Celle, forme d'hémiplégie cérébrale peut être dite cen-trale,
lésions dis-je, produisent l'hémiplégie cérébrale vulgaire, sous une forme , en général, très accentuée et plus ou moins pers
ulo-optique de la capsule interne ont pour conséquence obligatoire la forme d'hémianesthésie, que j'appelle cérébrale, et dan
Messieurs, Dans la dernière séance, j'ai essayé d'établir qu'une forme particulière de l'hémianesthésie est une conséque
à'hémianesthésie cé-rébrale, pour la distinguer de toutes les autres formes d'ob-nubilation ou de suppression dimidiée de la
al-tération athéromateuse. Je n'insiste pas plus longuement sur ces formes dé l'hé-miopie, qui, quant à présent, ne nous int
soit, si je ne me trompe, un moyen facile de se représenter sous une forme très simple les faits assez complexes révélés par
pas un groupe homogène; dans une première catégorie, il s'agit d'une forme particulière de la migraine (1), c'est-à-dire d'a
ultés, dont la solution est réservée à l'avenir. (1) Voir sur cette forme de la migraine les travaux de Tissot, de Labarraq
ation scléreuse doit être cherchée ; la région lésée apparaît sous la forme d'un espace triangulaire, de co-loration grise, s
ie sclérosée diminue progressivement de diamètre et tend à revêtir la forme ovalaire {Fig. 40). Enfin dans le renflement lomb
oint de vue anatomique, il existe une analogie considérable entre les formes primitives et la forme consécutive de la sclé-ros
il existe une analogie considérable entre les formes primitives et la forme consécutive de la sclé-rose fasciculée latérale.
gie, 1875. ciens(l). La lésion, dans ces cas, se présentait sous la forme de plaques jaunes, plus ou moins étendues en larg
ses comme elles sont dans la réalité, et attachons-nous seulement aux formes pathologiques dans lesquelles l'existence constan
ours présente à un degré quelconque. Elle ne fait pas défaut dans les formes frustres anormales, si variées, si différentes du
ormal. Sa présence constante a permis de rattacher avec assurance ces formes , dont le nombre semble augmenter chaque jour, au
ttachée à la lé-sion cérébro-spinale. Le type régulier est rare ; les formes anor-males sont fréquentes, au contraire, et nomb
moins à peine ébauchés : ça et là, on les aperçoit disséminés sous la forme de cylindres axiles non encore recouverts de leur
ceaux corres-pondent aux régions occupées par la lésion, dans une des formes les plus intéressantes des affections systématiqu
du cordon latéral où ils sont représentés par un faisceau compact de forme trian-gulaire, touchant en arrière à la substance
iègent à la face interne des cordons antérieurs, et présentent là une forme ellipsoïde, à grand axe antéro-postérieur. En gén
uarts moyens de l'étage inférieur. se montrent sur la coupe sous la forme de noyaux rouges (Rothe Kerne, V. Stilling.) Ces
l n'en est pas de même du segment moyen. Celui-ci se présente sous la forme d'un espace de forme rhom-boïde et opaque, parce
e du segment moyen. Celui-ci se présente sous la forme d'un espace de forme rhom-boïde et opaque, parce qu'en ce point, les f
nterne du noyau len-ticulaire. Ces deux parties se réunissent sous la forme d'un an-gle obtus que l'on pourrait appeler, avec
ine. En ce point, les faisceaux du centre ovale se présentent sous la forme de deux tractus blancs qui semblent marcher à la
formation, et s'avance dans la direction du sillon de Rolande L'autre forme une espèce d'anse blan- che circonscrivant la d
ons systématiques de la moelle épinière. Je commencerai l'étude des formes diverses qui composent cette classe, par les alté
t à rele-ver, la partie dégénérée est grisâtre et se présente sous la forme d'un espace triangulaire, occupant la partie médi
t, on voit que la lésion se présente sur une section normale, sous la forme d'un espace quadrilatère occupant la partie moyen
enne du pied, s'étendant depuis la substance grise de Scemmering, qui forme sa limite supérieure et répond au côté le plus ét
istence des cellules ganglionnaires ou nerveuses qui, en raison de la forme sous laquelle elles se présentent, sont appelées
possible de mécon-naître les analogies qui, malgré les différences de forme et de siège, rapprochent d'une part les grandes c
nerveux, sans que la dégénération secondaire, à un degré ou sous une forme quelconque, en soit la conséquence. î. Consid
égénération par en bas. La lésion se présente sur la coupe, sous la forme d'une bandelette mince qui commence au niveau de
limitées à la substance grise, ainsi que cela se voit, soit sous une forme aiguë comme dans la paralysie infantile, soit sou
sous une forme aiguë comme dans la paralysie infantile, soit sous une forme chronique comme dans l'amyo-trophie spinale proto
la région lombaire, il se montre sur les coupes transversales sous la forme de deux petits nodules, circonscrits de toutes pa
le choisi, de l'hémorrhagie intra-encéplialique se présentant dans sa forme la plus vulgaire. — Où siège le foyer ? Quelles p
ébrale. Enfin, Messieurs, elles sont particulièrement sujettes à la forme d'artériose qui conduit à la formation des anévry
is, qui, lorsque le sang épanché s'est résorbé, se présentent sous la forme d'une cicatrice ocreuse linéaire, limitant le con
réflexe est de 40 millièmes de seconde. La courbe de contraction a la forme normale. existe entre la contraction réflexe du
ire est beaucoup plus élevée ; la contraction est plus brusque, et de forme différente. (Dicrolismc.) moitié de la moelle q
considérable, et que, d'autre part, il dure plus longtemps.Enfin, la forme de la contrac-tion du muscle en question est nota
. Tantôt il s'agit d'un ramol-lissement partiel se présentant sous la forme d'une plaque jaune ou d'un foyer d'inflammation c
tendineux distinguent, cliniquement, d'après mes observations, cette forme d'atrophie musculaire spinale de celle dans laque
modique peut assez fréquemment se présenter dans la clinique sous une forme qui pendant bien longtemps n'a pas été remarquée
supérieurs. M. Erb a émis l'idée que ces cas se rapportaient à une forme pathologique spéciale qu'il a proposé de caractér
iculier de bon nombre de ces cas qui affectent dans la clinique cette forme de la paralysie spasmodique ; et j'ai pro-posé de
e à la paraplégie tétanoïde de Séguin (démarche spasmodique d'Erb). Formes lentes de la myélite transverse. Tabès dorsal s
de leurs attributs ordinaires et se présentant, comme on dit, sous la forme fruste ; mais qu'il s'agit d'une affection partic
ui, anatomiquement et cliniquement, et qui, dans quelques-unes de ses formes frustes, peut se traduire presque exclusivement p
èce et que bon nombre de symptômes fas-sent défaut. Ainsi, dans telle forme , on n'observera que de;-troubles céphaliques, ver
es fonctions de la vessie et du rectum, si caractéristique dans cette forme de myélite; à l'autopsie existaient des lésions d
si vous voulez la paralysie spasmo-dique peut se manisfester sous les formes de myélite les plus diverses. Mais dans l'espèce
systématiques. -- Amyotrophies protopathiques et deutéropathiques. Formes aiguës : paralysie spinale infantile, paralysie s
iguës : paralysie spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte. — Forme subaiguë : paralysie générale spinale antérieure
ie générale spinale antérieure subaiguë de Du-chenne (de Boulogne). — Forme chronique : atrophie musculaire pro-gressive de D
-tématiques. 4° Dans la plupart des cas, surtout quandil s'agit des formes aiguës ou subaiguës, les divers réflexes sont ou
e le répète, les observations anatomo-pathologiques relatives à cette forme n'ont pas encore fourni de résultats péremptoires
oliomyélite antérieure systématique chro-nique est représentée par la forme d'amyotrophie dont Aran et Duchenne ont tracé le
rieure qui, dans bien des cas, s'étend à la subs-tance grise. Mais la forme morbide sur laquelle, dans cette énumération, je
ématique, à éléments combinés, comme on dit en Allemagne. C'est cette forme que j'ai cru devoir étudier avec détails plusieur
être à la vérité considérée comme un petit organe indépendant : elle forme le lien qui rattache plusieurs systèmes les uns a
les extrémités périphériques des nerfs musculaires se terminaient en formes d'anses, dans l'in-tervalle des faisceaux primiti
élémentaires peuvent, en se groupant de mille façons, cons-tituer les formes si nombreuses et si variées des affections qu'on
e paralysie initiale ferait défaut; 3° Il n'existerait qu'une seule forme de paralysie bulbaire : celle qu'a décrite Duchen
ariés, demandaient à être recherchés minutieusement sous toutes leurs formes ; si, dans les observations de Pick etdeKahler, i
es dont l'autonomie n'est contestée par personne : et, cependant, les formes anormales, les formes frustes diffèrent singulièr
est contestée par personne : et, cependant, les formes anormales, les formes frustes diffèrent singulière-ment du type décrit
type décrit par Duchenne. Bien plus, on pourrait dire que ce sont ces formes mêmes qui, une fois ramenées à l'interprétation v
sait remarquer que l'obnubilation visuelle peut se manifester sous la forme d'une véritable amblyopie croisée. A l'appui de c
bstance grise de la moelle épimère (cellules motrices). — Dimensions, forme , corps, noyau, nucléole, protoplasma, fibrilles e
postérieure et de la sylvienne. Disposition des noyaux gris : leur forme et leurs rapports. — Considérations sur la capsul
e à la paraplégie tétanoïde de Séguin (démarche spasmodique d'Erb). Formes lentes de la myélite transverse. Tabès dorsal s
s systématiques. — Amyotrophies protopathiques et deutéropathiques. Formes aiguës : paralysie spinale infantile, paralysie s
iguës : paralysie spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte. — Forme , subaiguë : paralysie générale spinale antérieure
ie générale spinale antérieure subaiguë de Dn ehenne (de Boulogne;. — Forme chronique : atrophie musculaire pro-gressive de D
268. Démarche spasmodique, 366 ; — Elle peut se manifester dans les formes de myélites les plus diverses, 366. DlASTALTlQu
mentale, 156. Hémiopie, 125 ; — homologue uni-latérale, 127, 129; — Formes de 1' —, 129, 130 ; — Causes de 1' — latérale, 14
86 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
M. L. Guinon de constater que l'hérédité nerveuse sous toutes ses formes se rencontre d'une facon constante dans les anté-
divers membres de la famille, ainsi que les psychoses, les diverses formes du délire, l'épilepsie, les convulsions, le str
érie, la neurasthénie, l'hypocon- drie, le nervosisme sous diverses formes , la folie, le suicide, la paralysie générale, l
intéressantes nous voyons se présenter en première ligne toutes les formes , précises ou vagues, du nervosisme et de la dés
ions nées de l'incontinence, ne nous semble pas douteuse. C'est une forme originale du rôle énorme de l'automatisme psych
fois. La station assise prolongée, la compression du ventre par la forme ou la chaussure jouent-elles un rôle dans la pr
ncontinents diurnes, dont l'infir- mité se présente souvent sous la forme continue. Et à ce pro- pos, nous ferons remarqu
ent à des familles où la tare névropathique se fait sentir sous les formes les plus diverses, mais où ne paraît pas domine
anesthésiées sont symétriques et qu'elles ont, de chaque côté, même forme et même étendue. Cette description clinique p
ysie de la troisième paire d'un côté et des membres de l'autre. Ces formes d'hémiplégie indiquent une lésion protubérantie
s myopathies est loin d'être éclaircie. Après avoir été divisées en formes multiples, les amyotrophies myopathiques ont ét
es, les amyotrophies myopathiques ont été de nouveau réunies en une forme unique. Bien plus, il paraît que la distinction
chée qu'on aurait pu le croire tout d'abord et qu'entre les deux formes extrêmes d'amyotrophie progressive on pourrait tr
formes extrêmes d'amyotrophie progressive on pourrait trouver des formes intermédiaires, telle l'amyotrophie forme Charcot
on pourrait trouver des formes intermédiaires, telle l'amyotrophie forme Charcot-Marie; due manifestement à des lésions
ier, l'épilepsie a été déterminée par deux kystes appartenant à une forme spéciale de gliome et situés, l'un dans l'écorc
rs, il en est pour eux comme pour l'astasie-abasie seule, c'est une forme d'hystérie monosymptomatique. A plus forte rais
uvements, mais d'une façon toute passagère. P. KERAVAL. XX. D'une forme DE NIsVItITE l'RODL 1T1 : PAIt des affections vas
n portant qui n'a eu jusqu'alors que des malaises neurasthéniques à forme d'irritation spinale. Tous ces accidents suppos
og. Ceatral6G., XIV, 1895.) Observation I. - Paralysie générale à forme démentielle chez une fillette de dix-neuf ans,
s), et chez la femme à quarante-quatre ans (infection syphilitique, forme démentielle). Autopsies confir- matives. Obse
raitement DES maladies mentales ; par le Dr Irwin NEFF. Certaines formes de folie, en particulier celles qui dépendent d
nté l'alimentation thyroïdienne dans les cas d'aliénation mentale à forme chronique. Si le nombre des expériences est enc
doute. M. SOLLOER. - On ne comprend pas bien il quoi tiennent les formes qu'on observe dans les obsessions qui paraissent
linique du trional et du tétronal, à leurs effets dans les diverses formes que peut revêtir l'aliénation mentale. D'aprè
alanne (3°). Epreuve écrite : Faisceau pyramidal ; .épreuve orale : Formes cliniques de l'urémie. Pour la région de Paris
e la moelle D, voilà donc un territoire qui non seulement change de forme mais aussi diminue de volume aiusi qu'on peut s
dier si l'action nocive produite par l'alcool absorbé sous ces deux formes est identique ; le problème est du reste résolu
e ce point, cet important et intéressant rapport médical prend la forme d'un plaidoyer en faveur de Roberto, mais d'un pl
t v bourreau. Peu après la scène change, sa physionomie se traus- forme , ses traits se détendent, sa mimique est celle d'
e cet état pathologique existe loujours dans la vie normale sous la forme des petites obsessions anodines qui surviennent d
evue générale complète de la question. L'auteur examine d'abord les formes étendues : pour la paralysie générale il expose
crauieune. Un chapitre spécial traite de l'liérédo-53philis, de ses formes spinale et cérébrale, des hémiplégies graves ap
11 y a des microcéphalies très diverses comme élio- logie et comme forme anatomique; et parmi les différentes calé- ' 11
doit opérer. F. BoissiER. IV. DE l'impulsion : sa définition, ses formes et sa valeur psychologique; par le Dr BOURDI\.
a) l'impulsion est précédée de l'idée de l'acte à accom- plir sous forme d'obsession, nette, consciente, de suffisamment
s consé- quences de l'acte qu'il va fatalement exécuter. Dans cette forme , l'impulsion, à proprement parler, se trouve êt
ion et l'acte ; c'est, en quelque sorte, la décharge motrice. Celle forme d'impulsion se rencontre chez les dégénérés sup
z un sujet prédisposé et le déterminant à des actes extrêmes. Cette forme , qui constitue ce qu'on a appelé la folie moral
tre chez les dégénérés, chez les hystériques ; c) dans une dernière forme , l'idée antérieure est presque nulle, tant elle e
avant que le jugement ait pu intervenir, l'acte est accompli. Celte forme se rencontre chez les dégénérés, les hysté- riq
t suggérée par un esprit étranger au moi; 3° A la suite de ces deux formes d'impulsion vraie, s'en placent d'autres moins
le, l'idiot, les déments de toutes variétés ; 4° Enfin l'hystérie forme un type mixte où se rencontrent tantôt des impu
type mixte où se rencontrent tantôt des impulsions vraies de toutes formes , conscientes ou inconscientes, tantôt de fausse
la vieillesse en établissant la possibilité chez le vieillard d'une forme de délire de persécution, non encore signalée à
a plus de l'examen des manifes- tations psychiques que dé celui des formes physiques de l'individu; - aussi voyons-nous l'
éviations des proportions générales du corps, les asymétries et les formes particulières de différentes parties; 2° Les dé
et la folie. Les statistiques de l'auteur montrent qu'il existe des formes de tuber- culose héréditaire ou autre chez 40 à
corticale. Les éléments moteurs sont constitués par des cellules de forme spéciale, mais ces cellules ne sont pas limitée
ivité corticale paraissent-ils être dus bien plus à des cellules de formes différentes, répandues dans les diverses couches
s qui doivent être em- ployés pour le rechercher. Cramer étudie les formes diverses d'alié- nation mentale dans lesquelles
nvalescence de la manie, dans la manie chronique, dans le cours des formes aiguës de la paranoïa (amentia, confusion aiguë
hall, paraissent évoluer plus lentement, affecter de préférence une forme dépressive et se compliquer plus rarement d'acc
t au groupe de la paranoïa. Quand il s'agit d'états périodiques, de formes circulaires, l'excitation est le sym. plôme pri
. 111TZIG n'admet pas que la folie des persécuteurs ne soit pas une forme clinique, qu'il n'y ait pas de « querulantenwahns
iologiques différents, on peut en dire autant de presque toutes les formes cliniques. Si, en outre, on invoque cet argument
t insister sur ce point qu'on ne peut admettre également, parmi les formes de la paranoïa, les cas dans lesquels le délire
ppellation générale, tout en refusant à ce mot de repré- senter une forme clinique unique et tout en le rejetant au point d
facteurs étiologiques divers ne prouve rien contre l'unité de la forme clinique que ce mot désigne. Ce délire peut const
, mais il est avant tout une variété clinique de la paranoïa. Cette forme apparaît sur un fond de débilité mentale, parfo
aut con- sidérer. La folie des persécuteurs, qu'il s'agisse de la forme clinique spé- ciale désignée habituellement sou
n. Le délire de persécution se présente, en effet, sous plusieurs formes cliniques et l'on peut admettre cinq variétés. No
s zoopsies, leurs hallucinations terrifiantes ? Il existe aussi des formes mixtes, celle où les caractères dés mélan- SOCI
tion chronique a pour caractère l'incurabilité. Cependant certaines formes guérissent : quelles sont-elles ? Ce sont les p
e à disparaître. Aujourd'hui, ce qu'il faut diagnostiquer, c'est la forme clinique du délire. Puisque l'anatomie patholog
s variétés ? M. ARNAUD. - On en pourrait' dire autant de toutes les formes mentales. M. Charpentier exagère l'insuffisance
t il montre un exemple à ses lecteurs. La paralysie pseudo-bulbaire forme une transition toute natu- relle pour arriver à
l'hérédité un des attributs de la cellule. L'étude des myoclonies forme deux chapitres intéressants de cet ouvrage. Ent
oncé à la base des doigts et, de plus, le centre de la face dorsale forme une saillie arrondie d'oedème, d'empâtement chr
cé (oedème caméléo- nien de Higier). L'apparition de chacune de ces formes s'ac- compagnerait, au dire de la malade, d'une
es mouvements bien restreints cependant de la main ont déterminé la forme de ces petites plaies. T. G. 21°,3; T. D., 2 ?
naissable. C'est, sur le front, un oedème rigoureusement médian, de forme régulièrement arrondie. Ce sont les sourcils de
13 194 . RECUEIL DE FAITS.' ' cente 'très allongée. A droite, la forme de la pulsation est normale. <A ce moment P
frisson, il est notablement moins élevé tout en conservant la même forme générale, et sa fré- quence est diminuée légère
ilieu d'une indolence parfaite d'ailleurs, la trace appa- raît sous forme d'une raie blanche, qui rapidement s'élargit en
és de France, de l'ancienne « renfermerie » qui a pris peu à peu la forme et les proportions d'un village, de ce vaste ét
e complet de ce discours, aussi remarquable par le fonds que par la forme . M : Pitres a fait un exposé complet des raison
asiles d'aliénés que par des types accentués ou compliqués dontles formes atténuées ou simples se rencontre ni cou- ramme
culaires, les ulcères trophiques des extré- mités caractérisant les formes anesthésique, atrophique et muti- lante de la l
arthritique, il représentait vraisemblablement, lui aussi, une des formes par lesquelles peut se manifester l'infection d
existe pas en 208 ' .SOCIÉTÉS SAVANTES. 1 réalité. C'est donc une forme pathologique de la perception voisine et distin
souvent sous le nom de maladie de Raynaud, se présentent sous deux formes différentes : l'asphyxie locale et la gangrène
ène de gangrène. L'asphyxie locale des extrémités peut revêtir deux formes distinctes que Raynaud a appelées : la syncope
ns l'intervalle des accès la peau présente un aspect sain. Ces deux formes d'asphyxie locale peuvent s'associer et alterner
ants. La gangrène symétrique débute, d'après Raynaud, par une des formes précédentes. Les doigts deviennent violacés, les
imination des escarres durant de vingt jours à dix mois. C'est la forme aiguë de la maladie; dans la forme chronique, l
ngt jours à dix mois. C'est la forme aiguë de la maladie; dans la forme chronique, les accès sont intermittents, moins
me permanent et la lésion des parois vasculaires se produit sous la forme d'un gonflement et d'un décollement de l'endo-
coloration ordinaire, jamais la cyanose ne s'était manifestée sous forme d'accès, jamais il n'y avait eu de phlyctènes ni
du noyau), s'arrondit, rompt ses prolongements, et aboutit à une forme en sac, avec confusion finale du kinétoplasma et
logique des tremblements est variable parce qu'il y a de nombreuses formes de transition entre les divers -types décrits,
de transition entre les divers -types décrits, parce que certaines formes sont encore mal définies et mal connues. Ils pe
ui de rien dire à ce sujet de bien scientifique. Le tremblement à forme vibratoire est extrêmement fréquent chez des su
i se concilient difficilement avec la len- leur et la solennité des formes judiciaires et qui sont faciles et na- turelles
placer dans les asiles, en prenant les précautions que nécessite la forme particulière de leur délire. C'est là une ques-
on qu'il est habitué à redouter. Délire des persécutions à double forme . M. Vallon. On sait que l'on distingue deux sor
nées, j'ai observé un malade chez lequel on trouva réunies'ces deux formes du délire des persécutions, qui est à la fois u
e parait mériter la désignation de délire des persécutions à double forme . Les faits de ce genre doivent être très rares,
médicament est resté sans effet dans la sitiophobie liée à d'autres formes d'aliénation mentale. La dose employée pour les i
ons au début de cette note, à la manifestation de la pensée sous la forme dulangateparlé. Voici dans quelles circonstance
: d'une façon générale, les accidents con- vulsifs y affectent une forme atténuée et parfois le malade étant assis ou mê
ctères cependant l'en différencient et pour ne s'appuyer que sur la forme des acci- dents convulsifs les secousses sont d
remière impor- tance qui permettent, malgré certaines apparences de forme de faire promptement la distinction. On trouv
ique que nous avous tenté de faire. Malgré quelques appa- rences de forme avec l'épilepsie jacksonienne les manifesta- ti
a que nous avons pensé qu'il y avait quelque intérêt à signaler ces formes rares de la déséquilibration cérébro-médullaire
loppement physique avec l'âge... Signes de sénilité prématurée... Forme du crâne... Mensurations : Circonférence...
rges. 48. Les salaires des hommes et des^ femmes n'étant pas uni- formes , le rapport ne l'est pas davantage. Cependant, en
également très hypérémiées. Au microscope, vaste foyer de myélite à forme très irrégulière, commençant au niveau de la hu
l'axe du tronc est oblique de haut en bas et d'arrière en avant, il forme avec l'axe des membres infé- rieurs un angle ob
essus, c'est ordinairement le mésocéphale qui est atteint. Dans les formes médullaires pures, c'est surtout la moelle cervic
foyers de ramollissement cérébral, enfin des hémorragies puncti- formes multiples dans la couche optique gauche. La natur
x. L'attaque convulsive du soir dure une ou deux heures. Toules les formes de la sensibilité sont intactes, si ce n'est la
ote aussi une tendance au sommeil. Jastrowilz déclare qu'il est une forme de trouble psychique, un état de démence avec e
pré- sentait lui aussi, dans la seconde période de sa maladie, une forme d'excitation maniaque avec tendances aux plaisa
été observés principalement sous forme de canitie, mais aussi sous forme d'alopécie. M. Féré a souvent observé, chez les
morphologique caractérisé par la conservation, chez l'adulte, des - formes extérieures de l'enfance, et la non -apparition d
la femme une anomalie inverse, le masculisme ou virilisme. Cette forme corporelle est caractérisée par l'adjonction des
e périphérique en toute sa longueur. L'expression clinique de cette forme , c'est l'amaigrisse- ment rapide, les secousses
à prouver au début avec le microscope. Ces affections sont quelques formes de la myopathie, des amyo- trophies toxiques, e
vertu des statuts de la société, la jeunesse française..L'une des formes de l'activité de cette société est, en effet, la
ploi thérapeutique. M. Colin (Jean) : Contribution ci l'élude d'une forme spéciale de vomissements nerveux. 1\1. Serrigny
l n'y a pas de diplopie, ni de strabisme. Les pupilles sont puncti- formes , légèrement déformées. Elles présentent le signe
ération des centres nerveux. Ensuite Korsakoff avait décrit trois formes , d'ailleurs ordinaire- ment coexistantes et peu
Morel ou épilepsie masquée des auteurs anglais parait à l'auteur la forme la plus pure de l'équivalent psychique de la cr
x que souvent l'équivalent psychique de l'attaque se manifeste sous forme d'une perversion morale, dipsomanie, exhibition,
té peu favorable. Le second proupe (psychoses séniles) comprend des formes à évolution plus rapide, à symptômes moins bruy
e des séniles. P. Sérieux. XXV. Observation DE paralysie générale a forme CIBCUL41RG ; par FpOENKEL. (Nezrrolog. Central.
L'auteur veut établir qu'il existe, au point de vue clinique, une forme particulière d'attaque épileptique, caractérisée
t possible, dans certaines conditions de fortune, et dans certaines formes mentales déterminées, d'instituer une mé- thode
le degré de la fièvre. (La Force vitale, notre corps fluidique, sa forme biométrique, Carré éd.) Dans l'iconographie qu'
sé en nous. C'est cette nuée odique de vivante lumière qui prend la forme , l'image que notre esprit lui donne, grâce à sa
Le psychicone est donc la nuée odique de force vitale imaginée en forme , par l'imagination psychique. C'est une création
'absence de traits de lignes, ils sont une relation de lumière, une forme nuageuse de nuée odique, par points, pois, esto
ne image, la module avec la force vitale humaine, se voile dans une forme qui l'exprime et l'exté- riore sous cette forme
, se voile dans une forme qui l'exprime et l'exté- riore sous cette forme qui se graphie sur la plaque à laquelle la main
tricité ou par les effluves de la main. Ces effluves présentent une forme en rapport avec l'image tentée lorsqu'elle est
figuré sous le nom de diabolisme ; enfin la réalité objectivale des formes hallucinatrices entrenues en lui, par le fou lu
c'est-à-dire le parasite fluidique. 4° Philosophique. Le monde des formes , expérimentalement démontré, vient confirmer ou
une pensée intime cachée au fond de nous, mais il se voile dans la forme iconographiable de notre lumière de vie qu'il m
du langage et le centre de l'idéation seraient interceptées. Les formes corticales sont les plus fréquentes. L'aphasie
des enfants, de la ville natale, du métier). Il n'y a que dans les formes intenses que le malade perd la faculté de recon
donnait aux monomanies un aspect caractéristique. De nos jours, des formes gouvernementales nouvelles, une surveillance pl
z les hallucinés, qu'on les tourmente à l'aide de l'électricité. La forme du délire change donc avec les siècles, mais au
t peut faire varier dans ses manifestations extérieures, dans la forme , mais non dans sa nature intrinsèque. » « L'asp
ieux et aux croyances ambiantes loin d'être superficiels et de pure forme , apparaissant d'autant plus profonds qu'on les
e. Les hallucinations psycho-sensorielles si importantes dans ces formes offrent quelques caractères qui les différencient
psychiatrie, signale comme particularités de son dèlire religieux à forme exaltée la prédominance d'hallucina- tions visu
pens des troubles auditifs prédominant au contraire dans les autres formes de délires systématisés primi- tifs. c Ces in
t en apparitions diaboliques où les malades voient Satan sous des formes diverses, ou bien des spectres et des revenants.
c'est le Diable. C U A X r MIRACULEUX X Vision d'un Démon sous la forme d'un chat. , Sons la foi me d'un chat giis, aux
anie qui nous occupe diffère aussi de la méga- lomanie de certaines formes modernes, où le malade arrive à se croire Dieu
e sénestre », il faisait le bien. Le diagnostic de ces cas avec les formes périodiquement al- ternantes des psychoses non
tive et progressive. Le diagnostic n'est pas moins délicat entre la forme qui nous occupe et les cas de vésanies combinée
s sorciers, 1. I, en. il. 5 -M. Ritti. Traité de la folie il double forme , 1883, obs. XVII,XIX, XXX, XXXI. , Séglas. An
s bien et ne souffrait plus du tout. Le professeur insiste sur la forme symétrique de l'affection en laquelle il voit u
leine campagne, une hallucination. Il voit devant lui un « esprit à forme humaine » qui disparaît à son approche. L'année
ciale siégeant à chaque genou, qui donne aux membres inférieurs une forme réellement très bizarre. Quand le malade est co
assis, les genoux semblent normaux; quand il est debout, la cuisse forme avec la jambe un angle obtus ouvert en avant, l
en aux membres qu'au tronc. Une telle association combinée avec les formes si variées de l'oe- dème neuro-paralytique pent
ant remarqué que souvent la luette présentait quel- que anomalie de forme ou de direction a examiné plus spéciale- ment c
la déviation à gauche. La proportion est encore plus forte dans les formes dégénéra- tives de la folie, si bien que la pro
de la contracture avec exagération des réflexes. L'aphasie prend la forme d'aphasie transcorticale de Wernicke et Lichthe
n cer- taines régions, telles que Macassar, les Célèbes, revêtir la forme épidémique, plaident contre l'opinion d'Ellis q
des couleurs, de la lumière, à la perception immédiate ou non de la forme des corps, du relief, etc. D'autre part, les co
- mètres et demi, est dépourvue du renflement lombaire, elle a la forme d'un cône régulier, sa largeur en haut est do 18
nce de deux encoches latérales, et la pièce sous le microscope a la forme d'un 8. En continuant à étudier les coupes de p
petits trous, disposés sur la ligne médiane d'avant en arrière, se forme dans la masse adhérente. Les encoches latérales
is l'introduction du cheval de fer dans le traiter ent des diverses formes d'aliénation mentale on a noté, paraît ,1, les
. Marie. 21G; Séglas. 216; Pitres, 247. - des persécutés à double forme , par Vallon, 250. Démenti : sénile et toxicité
par Spillmann rtEtirnllC, 22 ? Prndo- - , par )nancotte, 353. - u forme ctrculaire, lar lr<enl : el, 38 ? - infant
87 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
En soulevant celle-ci, on ^ oit qu'elle marque son em- preinte sous forme d'un léger sillon sur la partie postérieure de
i nævi. On ne constate de ganglions en aucune région. Sa tête, de forme normale, est asymétrique, le côté droit, SCLÉRO
ue le côté gauche. Les fontanelles sont soudées. · La face est de forme normale, régulière, symétrique, et ne présente
symétriques; les joues peu volumineuses. La bouche, petite, est de forme et de direction naturelles. Les lèvres sont peu
aillantes, petites en longueur comme en épaisseur. La langue est de forme et de motilité normales. La voûte palatine n'es
le corps thyroïde perceptible à la pal- pation. Le thorax est de forme régulière, de volume moyen . Rien il la percuss
cultation, tant du coeur que des poumons. "- L'abdomen est aussi de forme régulière. Rien iL signaler en ce qui concerne
a rate. La région anale est normale. Les membres supérieurs sont de forme régulière. Leur volu- me est le même à droite e
toucher est normal. (Voir p. ? 10). Les membres inférieurs sont de forme naturelle. Leur volume, comme leur longueur, es
cérébrale. VI. Il s'agissait, en somme, d'une épilepsie partielle forme hémiplégique, due à une sclérose al1'01,111- qu
la couche tangentielle de la substance grise sous-épcndy- maire qui forme le toit du ventricule latéral, dans le corps cal-
évrite spinale de Charcol, 31arie, Hoffmann, - mais c'en serait une forme atypique il cause de la paresieha- live des mus
e la persistance des réflexes palellairrs. Mais ce serait aussi une forme atypique iL raison de l'existence de la réactio
31. de Buck admet, en outre que les cas de paralysie générale il forme expansi\e et délirante sont remarquables par le g
ion moléculaire, dégé- nérescence graisseuse, etc.), tandis que les formes démentielles pures se manifestent surtout par l
: celui-ci est considéré par 3131. Soukhanoff et Rontenko comme une forme morbide autonome, caractérisée il la fois par d
nce avec l'idée de culpabilité qui s'y attache, cette l'ois sous la forme obsédante. Toute action normale devient puur ce
QUE. * C'9 épargnés. Les jambes furent les premières atteintes ; la forme de la paralysie y fut infiniment plus nav e et
'é,enlent ulle malade dont l't.tat SOCIÉTÉS SAVANTES. 71 revêt la forme de torticolis .mental avec geste antagoniste..Mai
qmnouaavous constaté chez le malade, il y a lieu d'insister sur les formes curables des polio- myélo-név rites chez certai
emar- (mer que je ne l'ai jamais rencontrée dans la mélancolie de forme typique, ce qui arien de bien surprenant si l'o
t suffisamment intéressantes pour n'avoir pas à le regretter. Cette forme d'aliénation est d'ailleurs peu commune, plus f
s classiques. L'excitation sexuelle s'y présente d'a- bord sous une forme épisodique et intermittente, avec ma- noeuvres
utable. OBS, A'. Héréditaire dégénéré : psychose svsféinalisée de forme religieuse ; agitation maniaque ; stupeur, pliénn
avec désordre des actes, malpropreté, gâtisme volontaire, tantôt de forme anxieuse avec gémissements, délire de culpabili
es de stupeur avec phénomènes catatoni- (jules, crises délirantes à forme l(' 1 i ? i ('Lise, crises mélancoliques avec d
s des idées de persécution, mais qui affectaient le plus souvent la forme mélancoli- que, avec réaction et suicide, dont
ses idées délirantes do persécution et de jalousie, et même dans la forme de celles-ci. Les ma- nifestations vésaniques o
médecins d'Asiles doivent non seulement traiter leurs aliénés, les formes mentales, les maladies incidentes, les affectio
elles réagissent aux influences extérieures, éliminent, changent de formes cl sont susceptibles de se reconstituer. 3° Err
n rapport avec une malforma- tion du crâne, surtout avec le erdneeu forme détour; mai-, pour REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
aune fracture du crâne; la gaine se remplissant de sang, la papille forme un renflement modéré- ment saillanl, dès les qu
colonne vertébrale sans qu'on puisse la suivre au-delà ; elle a la forme et la largeur d'une côte avec exostose. Cette t
e calalonisine sans stupeur. Le < plus ordinairement il suit des formes hallucinatoires. Le calalonisine, au point de v
s l'espèce, utile, car nous rencontrons l'amnésie verbale, dans ses formes les plus pures sans la surdité verbale, avec, p
.1'ER. (Xeurolog. CcMmI/JI" \\1LL,1904.) La catato- nie en tant que forme indépendante de trouble mental ; par \\'.l'. Os
olution clinique el la symplomalologie permettent d'en admettre une forme indépendante ; c'est surtout l'évolution qui ju
e de flocons blancs avec augmentation de la quantité d'albumine, la forme spéciale du coagulum librineux, la présence des
VUE DE THÉRAPEUTIQUE. Weschsclhaum, diplocoque de Fl'oenkcl dans la forme épi ! lé- mique, le staphylocoque, le hacLel'Íu
la pellagre le pou- v oir réducteur est assez faible ; 10° dans la forme grav e de la chlo- rose augmentation de pressio
lu liquide céphalo- rachidien ; 11° l'ictère chronique est la seule forme de la maladie LlÙ le lir¡uidc cépha1o-l'achitLi
ulatoire par la multiplication des leucocytes polynucléaires el des formes intermédiaires aux dépens despetites et grandes
o 1 ton·mhre lD0'r. - PaLStnr : NCt : de l : DRUNET. Folie à double forme arec syndrome paralytique. MM. DOUTarBI : NT1 ?
ant 17 ans. Il s'agiL d'un syphilitique al- tcinL de folie à double forme et présentant le syndrome paralyti- que avec ac
-bras sont atteints de paralysie avec réaction de dégénérescence. Formes frustes de lésions-du système pyramidal. M. Bab
que ce lobe occipilal a subi des mo- difications profondes dans sa forme . Par suite do résorption de parties détruites e
e- ment appauvri en libres et Fli. qui du côté sain apparaît sous forme d'un U noir, ne se distingue presque pas dans sa
éciable entre le Tap. des deux côtés ; Rth. du côté pathologique ne forme qu'une étroite bandelette autour du Tap., puis
s, tandis que le jambage latéral mon- tre un défect net situé, sous forme d'une bandelette, dans' la partie interne de Fl
11111-il[A et, JIaiizocciii. Dei movimenti sistematiiiati in alcune forme di indebolimento mentale (Archivio italiano per l
nt dans l'activité musculaire statique ; cllc appartient aussi à la forme dynamique de cette activité. Ce sont llcs mots,
able d'éveiller son attention. Mlle B.... qui loge au même pavillon forme avec la pré- cédente un contraste évident. Les
erbale, réside dans la recherche de certaines terminaisons, dans la forme de certaines let- tres, dans la richesse de la
aut, les phénomènes cataloniqucs se ma- nifestant seulement sous la forme atténuée de l' « hésita- tion psycho-motrice »,
iple point de vue : a) Fréquence globale ; b) Fréquence suivant' la forme de /'t ? fection ; c) Fréquence suivant la péri
équence des manifestations stéréo typiques est variable suivant les formes de l'affection, chaque forme étant considérée e
réo typiques est variable suivant les formes de l'affection, chaque forme étant considérée en bloc. Les catatoniques so
se systé- matiser. L'expressiun des conceptions erronées sous une forme de plus eh plus monotone et la persistance de la
delbcl'g ne réside pas tant dans le fait de réunir a posteriori des formes clini- ques ayant même issue que dans celui de
culière des attitudes fixes et, clos mouvements monotones clans la forme catatonique de l'affection, et voici juste- men
i juste- ment que tous les auteurs s'accordent à considérer celle forme comme la plus curable, à ce point que d'après K
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES XXXVI. Sur la forme du palais chez les aliénés; par Ferdi- nando UG
liev. sp. di frein. t. XXIX, fasclll.) Sur 1000 crânes d'aliénés,la forme du palais, en ce qui regarde la disposition de
ceptionnelle- ment, 10 %, le type elliptique ; jamais une véritable forme en up- silon. Si l'on considère la l'orme du
énés ne présentent pas de particula- rités caractéristiques dans la forme du palais et qu'il est préma- turé d'établir de
latine, ainsi que l'on a cherché à le faire, spé- cialement pour la forme ogivale. J. SÉGLAS. Archives, 2" série, 1905, l
nes de thel'modysesthésie, surtout au début de la maladie. Dans les formes moins graves d'hémiplégie, .les troubles de sensi
un très léger affaiblissement de la sensibilité tactile,telle eslla forme de dissociation nolée par l'auteur au cours de
t ces troubles en lumière en fatiguant le malade surtout dans les formes frustes. Souvent il y a une hypotonie des plus ma
continu de la fièvre typhoïde. Fabre, de Marseille, distingue cinq formes : éphémère, chronique, inter- mittente, pseudo-
L. W. XXXIV. Observation de dystrophie musculaire congéni- tale à forme hypertrophique ; par htta. (7.'tc. crit. di clini
aret présentent un malade atteint du syndrome nivasthénique dans sa forme bulbo-spinale (IJrh-Golflam). Mais la myasthéni
onus du pied et nystagmus. Il s'agirait d'une sclérose en plaques à forme spinale. Cette affection ne paraît pas relever
clairer la nature vle l'alfecliun " ! Hé¡'édo-syphilis dl/névraxe à forme tabétique très améliorée par le . traitement me
Gottorp. Le « mal de PuLL (lont on parle est, on le sait, une des formes les plus désastreuses de la tuberculose infantile
mme dans l'epi- lepsie. Durée, de un jour il plusieurs semaines ; formes périodiques à grands intervalles lucides altern
combinaison des phases élémentaires du mécanisme moteur propre ala forme du mouvement exécuté. Elle provient d'une modif
'un faisceau descendant médio-périphérique dont le trajet supérieur forme à la région dorsale le faisceau de Hoche. - Il
la corne postérieure; elle prend à la région dorsale inférieure une forme compliquée qui représente un M de chaque côté.
es de la moelle épinière. Il, C. LXXX. Un cas de tumeur cérébrale à forme psycho- paralytique ; par Cornu. (1\'oLCO. Icon
esse qu'à l'Age de virilité. Mais dans le premier cas elle revêt la forme hébéphrénique presque spécifique 64 % et la cat
spécifique 64 % et la catatonique 79 % ; dans l'âge viril, c'est la forme paranoide, 82,5 % . Les formes hébéphrénique et
e 79 % ; dans l'âge viril, c'est la forme paranoide, 82,5 % . Les formes hébéphrénique et catatonique apparaissent surtout
atonique apparaissent surtout entre 15 et 25 ans (66 %, 6'1 %) ; la forme parano'ide de 25 à 35 ans (51 %), c'est-à-dire
sculin et féminin 26 %-28. Sur 100 démences primitives, 56 sont des formes hébéphréni- ques, 8 catatoniques, 36 paranoides
mes il y a 61 hébéphréniques, 7 catatoniques, 29 para- noides. La forme hébéphrénique frappe surtout le sexe féminin 61 %
. La forme hébéphrénique frappe surtout le sexe féminin 61 % ; la forme paranoide le sexe masculin 43 % ; la catatonique,
ument prépondérante est l'hébéphrénie (64 % , 48 %) ; puis vient la forme pal'ano'ule (13 % , 29 %) puis, à une grande'di
ore beaucoup de cas dans lesquels on trouve e réunies deux ou trois formes de l'hérédité morbide. L'hérédité morbide génér
ture tant dans le sexe masculin que dans le féminin ; tant dans les formes hébéphréniques que catatoniques : presqu'é- gal
e catatoniques : presqu'é- gale par rapport aux deux sexes dans les formes paranoïdes, mais inférieure de 15-20 ? il celle
6 ? une intelligence alleinle dont8 ? depin'énast))éuiea\érée. La forme hébéphrénique de la démence primitive occupe dans
établissements scolaires. L. WAHL. XX ! V. Epilepsie procursive à forme anormale ; par Cour- TELLEMONT et TOUCHARD. (Bu
re jusqu'à 12 ans pour se dissi- per (Marandon de Montvel). Dans la forme Iv pique, qui et d'aiIll'l11's (l'ès l'are el q
manic slupide de Baillarger. Sauze a montré avec raison que lesdeux formes existent. Dans le 1) pl' Chaslin, il y a à la s
. Ce l) pede grande cyphose se rapproche du rhumatisme vertébral il forme pseudo-névralgique el paraît dépendre autant d'
de la Ivmphangile et s'inslallant ensuite sans amélioration sous la forme el les caractères du Iroplui'dème. Pas d'hérédité
des accès de boulle (réré). L'auteur analyse la palhogénie et les formes de 1'(l11goisseprécol'diaie et de l'angine de poi
ses su ri es dangers de'la syphilis héréditaire, aussi bien dans sa forme pré- coce que dans sa forme tardive (Fournier).
yphilis héréditaire, aussi bien dans sa forme pré- coce que dans sa forme tardive (Fournier). L'éminent. clinicien - insi
de l'asthénie lH'UI'O-l11llbculail'e el des troubles psychiques il forme dépressive allant jusqu'à une tenla- tatie de s
arrive par exclusion au diagnostic de maladie de Dercum mais d'une forme exception- nelle ; la face est atteinte (pointe
: aspect rhumatoïde, scialique, elc. Lancinantes, en éclairs, sous formes d'accès, s'exacerbant en un point circonscrit,
se des accidents yu'uu poinL tle we tlul'lurctlif(.C'esl surtout la forme commune que l'on observe, [mis viennent la form
(.C'esl surtout la forme commune que l'on observe, [mis viennent la forme démoulée ! laformeaiguo. La morl sun ienlle plu
pporte 27 observations dé- taillées minutieusement, portant sur les formes démente et com- mune, montrant soif l'action is
yen des toxines élaborées par les agents microbiens en cause. Les formes aiguës revêtent habituellement l'aspect de la con
lucinatoire aiguë avec excitation (ancienne manie puerpérale) ; les formes chroniques prendront plutôt le type de la dépre
tlisLinuer : 1° suivant l'intensité du processus auto toxique, des formes graves (délire septicél1lique avec agitation dé
lire de collapsus par épuisement suraigu post-hémorrha- que) et des formes légères (délire polymorphe des dégénérés, ob- s
eintes) ; 20 suivant l'évolution du processus auto-to : \i(IUe, des formes aiguës (excitation maniaque pure ou hallucinato
s formes aiguës (excitation maniaque pure ou hallucinatoire) et des formes chroniques (dépression mé- lancolique, démence)
fices chimiques complexes mais définis, et cristallisant sous des formes définies qui sont celles des êtres vivants. La
nt sous des formes définies qui sont celles des êtres vivants. La forme étant, pour les végétaux et les animaux comme p
tion chimique, il y a autant de bioprotéons différents qu'il y a de formes différentes, c'est-à-dire qu'il y a d'êtres, ca
s la composition, ct pal' conséquCJl1. si légère soit-elle, dans la forme générale de l'être, dans la composition et dans
e, dans la forme générale de l'être, dans la composition et dans la forme aussi des cellules qui le composent, et en part
s sexuelles, par suite, des modifications dans la composition et la forme du produit. Si l'on vient a retourner un bour
blème de la dégénérescence. La dégénérescence en effet n'est qu'une forme de l'hé- rédité. C'est le remplacement, par sui
serait, pour Lancereaux, et je partage sa manière de voir, une des formes de la dégé- nérescence alcoolique. Le microbe c
ers. ^- Ils n'ont pas tous le même volume, le même poids, la même forme , la même résistance, mais, au point de vue du b
dans l'intérieur même des prolongements ncuroniens,sans que leur forme en soit sensiblement modifiée, et qu'elle n'in-
ler. Les tubes de Geissler, auxquels on peut donner différen- tes formes , deviennent lumineux au moment ou le cou- rant
aire, puis centrifugé. 1 CI' cas : jeune lille atteinte de rage à forme prolongée vérifiée histologiquement et par inoc
e. Examen cytologique négatif. 2e cas : enfant* de 8 ans atteint de forme délirante et halluci- natoire. Diagnostic confi
ésultat négatif. - 3e Cas : homme de 3G ans, mort en trois jours de forme hydro- phobique. Diagnostic confirmé histolog
ntalement. Résultat négatif de l'examen après la mort. ' 4e Cas : Forme furieuse chez un homme. Diagnostic confirmé par
dans le liquide céphalo-rachi- dien des rabiques au moins dans les formes stis-indiquées. Expé- rimentalement, examen de
e, mais les muscles du cou, principalement le muscle mnolt-oltlien, forme une véritable san- gle qui comprime plusou moin
on début et son évolution. Au point de vue séméiologique, c'est une forme rare de tétanos. Le malade présenta, dès le déb
n passant. Quelques auteurs ont signalé des observa- lions de cette forme à début localisé, mais elle est en général rare.
ent être di- visés en trois catégories distinctes : 1 les tétanos à forme aiguë etsuraigué, chez lesquels le traitement e
ué, chez lesquels le traitement estinefticace : -2" les téta- nos à forme chronique, sans lièvre où avec peu de fièvre, san
guérissent sans le secours d'aucune médica- tion ; 30 les tétanos à forme subaigu : : avec crainte d'accidents aigus ulté
ises de sommeil. G. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXVII. D'une forme originale de fétichisme ; par \\-. M. BECHTEREW
exclusivement consacré aux aliénés tubercu- leux quelleque soif la forme de leur affection mentale ; qu'un régime alimen
fréquemment ut il isée comme procédé de traitement sous toutes ses formes , drap mouillé, douche mobile, en cercle, froide
ne sort pas. Il est fixé dans la muqueuse par un crochet pointu qui forme hameçon par sa concavité dirigée en haut. Un dé
rniers con- sistant moins, dit-il, dans leur volume que dans leur forme effilée et tranchante. La perforation vasculaire
t dans de semblables conditions. A l'autopsie, on trouva un os de forme prismatique et triangulaire placé en arrière du
types (Etienne) : 1° la parai) sie as- cendante de Landry ; 2° une forme qui rappelle les pulyév rites infectieuses et t
rme qui rappelle les pulyév rites infectieuses et toxiques ; 3° une forme mixte. Rarement, on est en présence d'une ménin
e prof. Pitres appelle les topoalgies d'origine corticales. Dansles formes périphériques, il y a en général de l'endolorisse
a paraplégie spasti- que familiale pure et à la maladie familiale à forme de sclérose en plaques, types isolés artificiel
\1. Baymond et (I : ST\N, d'après 18 cas, en reconnaissent qua- trc formes , le type Cltarcot est le plus rare. L'n 1 pe plus
de tahes spasniodique. Il y a un certain parallé li",ll1e entre la forme clinique elles lésion*. - t - IIèmot'l'hayie so
érapeu- tique, les résultats sont médiocres. Cela lient surtout aux formes pathologiques des malades admises. Sur les cinq
des ; 30 enfants au 1 cr jaIn iel' 1903, d'où mélange de toutes les formes de la dégénérescence, (,'est l'exiguïté du quar
x communs aux maladies mentales, sur la classification, l'étude des formes principales de la folie, sur la loi de 1838, le
apporter d'importantes contributions à la connaissance des divcrscs formes de la folie. Est-il né- cessaire de rappeler ic
t hospitalier qui l'aura accueilli. C'est ce qu'a exprimé, sous une forme pittoresque, un des maîtres les plus affectionn
tique à l'étude de la - , par Pasini et Madia,140. La en tant que forme indépen- dante de trouble mental, par Ossipow
ent spasmodique de l'rosa, phage,par Bregman,241. -pro- cursive à forme anormale, par Courtellemont et Touchard, 309.
yramidal, par Straeussler, 51. -Y. Voir Moelle. Fétichisme. D'une forme origi- nale de , par Bechterew,390. Fibres ne
chi, 137. Folie. Drame de la , 79. La d'un père, 79. à double forme avec syndrome paraly- tique, parDoutrebenteet M
loco dolenti, par Ver- ger, 448 Névraxe. Ilérédo-s%pliilis du à forme tabétique très amélio- rée par le traitement me
e la hanche gauche, par Brissaud et Rathery, 71. Palais. Sur la forme du -chez les aliénés, par Ugolotti, 225. Papi
affecté d'idiotie amau- rotique familiale de Sachs, par Frey, 52. Formes frustes de lésions du pyramidal, par Babinski
eux, par Bloumenaou et 'l'ikhomirow, : Z94. Un cas de cérébrale à forme psy- cho-paralytique. par Cornu, 303. ' . T
88 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
vrage de notre collaborateur le Dr Paul Riclier sur rA)M<one des formes extérieures du corps humain. Bien que plus spéc
il répond pleinement au désir exprimé par notre éminent maître. La forme humaine y est représentée sous tous ses aspects
orps, il ne faut pas oublier qu'entre la surface de l'écorché et la forme du nu il y a loin encore, plus loin peut-être q
du tégument dont le rôle ne consisterait alors qu'à en atténuer les formes trop heurtées, mais sans y rien changer d'essen
ux, dont la présence, suivant les régions, modifie complètement les formes de l'écorché. Et ceci se produit non seulement ch
e produit non seulement chez les sujets doués d'embonpoint dont les formes disparaissent pour ainsi dire noyées dans la gr
rendra combien son développement plus ou moins grand influe sur les formes extérieures. Elles seront plus enveloppées chez
l'enfant, c'est à l'abondance du pannicule adipeux que l'on doit la forme plus généralement arrondie et l'effacement pres
r atténuer les heurts de l'écorché, mais comme facteur direct de la forme , au même titre que les muscles et les os. Il y
e de la glande mammaire, c'est lui qui détermine et le volume et la forme des seins. Les seins volumi- neux sont surtout
dans les cellules d'un tissu conjonctif élastique qui le comprime, forme une sorte de coussinet élastique destiné à s'adap
ligaments, des insertions musculaires, etc. Au point de vue de la forme extérieure, il joue un rôle qui mérite d'être s
e l'aisselle et le creux poplité. Au-dessous du tendon rotulien, il forme deux reliefs latéraux, très importants à connaî
nette- ment appelé l'attention des cliniciens sur la pluralité des formes du tremblement hystérique et indiqué l'analogie
e et indiqué l'analogie frappante qui existe entre certaines de ces formes et le tremblement, soit de la paralysie agitant
cal, M. le professeur Pitres insiste également sur la diversité des formes que peut prendre le tremblement hystérique. « I
rvations de MM. Pitres et Rendu en ce qui concerne la diversité des formes que peuvent revêtir les tremblements hystériqnes
riqnes et la très grande analogie qui existe entre certaines de ces formes et la plupart des tremblements déjà décrits et
cas, ils se localisent tantôt aux membres d'un même côté du corps ( forme hémiplégique), tantôt aux membres supérieurs, ou
ntôt aux membres supérieurs, ou bien encore aux membres inférieurs ( forme paraplégique). Enfin, on peut les voir se canto
stériques que nous avons observés.. - Eu étudiant ces différentes formes de tremblement, nous ne nous bornerons pas à l'
agitation 1. P. Marie. -Contribution à l'élude et au diagnostic des formes frustes de la maladie de Basedow. : ! f; NOUV
. les réflexes tendineux n'étaient pas exagérés. Ce tremblement à forme vibratoire peut persister, nous l'avons déjà di
gré d'intensité. L'écriture est alors manifestement altérée dans sa forme , et parfois même impossible; les autres mouveme
r dans les cours de l'hôpital, conservant toujours le tremblement à forme vibratoire dont il était affecté depuis plusieurs
e que ce mode de début (à la suite d'une attaque convulsive ou sous forme d'attaque de trem- blement) n'est pas le seul.
n'en sait rien. » On pourra voir aussi le tremblement hystérique à forme vibra- toire apparaître à la suite d'une frayeu
verticaux ou transversaux du point lumi- neux se reproduiront sous forme d'une ligne continue sur la plaque sensible ou su
par le surmenage chez un chauffeur de locomotives. - Tremblements à forme vibratoire. Hacq... (Victor), âgé de trente-qua
e présente d'autre déformation qu'une oreille à pointe rappelant la forme soi disant régressive signalée par Dar- win. Qu
ertébrale. Quelques anomalies anatomiques semblent indiquer que ces formes légendaires ne sont pas des inventions de pure
es ne sont pas des inventions de pure fantaisie. Si les oreilles de forme animale se retrouvent chez un -certain nombre d
coccyx et cette anomalie superficielle coïncident souvent avec une forme particulière delà région sacrée. Le sillon inter-
st ouvert à sa partie supérieure, et le sacrum s'y présente sous la forme d'une surface en fer de lance divisée de haut en
é sur la figure 28. Quelquefois le coccyx, tout à fait superficiel, forme quelquefois une espèce de cap à la partie supér
aux, sont à peine capables, sauf lorsqu'elles se présentent sous la forme d'un appendice mobile, comme dans quelques cas
cas rares, d'inspirer les représentations qui nous restent sous la forme des satyres. Ce n'est guère qu'en supposant des
parleur configuration générale, reproduisent presque exactement les formes humaines, ne paraît pas susceptible d'une inter
l'lill.lal : . région lombaire. Cette plaque velue qui a souvent la forme d'un losange à deux angles situés sur la ligne
ils et une anomalie de l'évolution de la paroi rachidienne. Sous la forme où elles se présentent assez souvent,' ces plaq
er à cet endroit la « tache » que nous avons indiquée, laquelle, de forme ovalaire à grand diamètre vertical, mesurait en
r exemple, où M. Charcot a montré que l'attaque revêtait souvent la forme maniaque et se passait pour ainsi dire toute en p
la possession de Louviers, Madeleine Bavent voit le diable sous la forme d'un petit cerf-volant fort noir '. On sait combi
l'amant de la demoiselle G..., hysté- rique à crises convulsives à forme léthargique ou de sommeil. La liaison durait de
iode évolutive, l'impression reçue peut être vivement ressentie, la forme maniaque de l'hystérie prédominant, ainsi que nou
sins ci-joints, a bien voulu nous donner au sujet de l'anatomie des formes de cette malade la note ci-dessous : « La déf
au niveau de la région lombaire. ? ? « Enfin, au point de vue de la forme extérieure, cette déformation osseuse a pour ef
phique, juillet 1889). - D. Bernard, De l'aphasie et de ses diverses formes , 2° édition; 1890, avec des notcs par Gt. Féré,
térêt que d'émotion. Sa main droite plonge dans une petite boite de forme assez singulière, qui renferme peut-être des ob
douleur du patient; pitié ou raillerie des assis- tants, tout cela forme un ensemble de détails parfaitement observés et
ystériques. « Ce phénomène, dit-il, estfréquentdans les psychoses à forme dépressive', dans l'hypocondrie, la mélancolie; o
es bâillements qui surviennent à l'état isolé sans se. grouper sous forme d'attaques n'influencent pas les phénomènes nut
A TA LEP TT Ii' 0 fLvI E Kahlbaum, en 187, décrivit le premier une forme nouvelle d'affec- tion mentale qu'il désigna du
, avant de présenter des crises véritables de bâillements, deuxième forme de cette manifestation, bâillait pour ainsi dir
convulsives limitées ou généralisées de l'hystérie se groupant sous forme d'attaques. Il existe dans tous ces cas un fond
empes; puis, après un temps variable, éclatent les bâillements sous forme d'accès. Ils se précipitent alors beaucoup plus
ccès. Ils se précipitent alors beaucoup plus rapidement que dans la forme précédemment décrite, empiétant les uns sur les
nt pour passer à l'état intermittent ou revenir ultérieurement sous forme d'une nouvelle crise. Il est bien rare que la
période ou de délire. La prédominance des bâillements fixe seule la forme de l'attaque. Parfois l'attaque de bâillements
iel peut se poser. Lorsque les bâillements ne sont pas groupés sous forme d'attaques, le rhythme et la cadence sont des é
ntrés, tels que le caractère pathétique des actes, des paroles sous forme d'exaltation théâtrale ou d'extase religieuse,
l'on n'admet pas comme caractéristiques et indispensables de cette forme pathologique certains symptômes qui font défaut d
e contracturéc en flexion, la pointe du pied dirigée en bas dans la forme du pied-bot équin direct. L'autre jambe est sai
eule béquille dont il se sert du côté contracturé. Quelle est cette forme de contracture ? Si l'on tient à un diagnostic,
es bras et des jambes. En haut à gauche, le diable s'enfuit sous la forme d'un petit génie ailé suivant la tradition que le
tologie des polynévrites, l'auteur décrit un type de polynévrite à forme de paralysie générale spinale, mais n'insiste p
er, bien que l'auteur n'envisage pas ici le diagnostic de certaines formes de polynévrite avec la paralysie spinale aiguë
t, où nous considérerons seulement les rapports de la polynévrite à forme amyotrophique avec la paralysie générale spinal
raît avéré, et l'une de nos observations en fait foi, qu'il est des formes attribuées à la polynévrite qui revêtent jusqu'à
ysie infantile n'est pas actuellement mise en doute, et ce sont les formes de paralysie spinale de l'adulte qui ont été se
a paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte, si l'histoire des formes subaiguës et chroniques de cette dernière ne de
'adulte que par une évolution moins rapide, et qu'à l'instar de ces formes aiguës, elle devait dépendre d'une lésion atrop
En outre de cette logopllthalmie paralytique, il existe une autre forme , logophthalmie active ou spasmodique, dans laquel
tout lorsqu'elle manque que l'arc formé par la paupière supérieure forme une convexité très marquée : la surface découvert
portrait qu'elle est un peu grosse; mais la face ne présente pas la forme particulière qu'elle a aujourd'hui. Elle est à pe
s de tirer des conclusions bien sé- rieuses au point de vue de leur forme . Vers dix-sept ans, elle entra comme demoiselle
moment la malade, qui était assez grosse, n'avait cependant pas la forme de face qu'elle présente aujourd'hui. Elle est tr
ysée agit toujours en retard de 25 à 30 centièmes de seconde, et la forme du tracé présente une ascension plus lente, plu
ons irrégulières. Chez les individus qui sont atteints des diverses formes d'impotence que nous venons de passer en revuc, e
'état habituel, mais surtout dans la période postparoxys- tique une forme particulière du tracé pneumographique, une expira
à la finales troubles moteurs qui'ilsi présentent sont sur- tout de forme ataxique, plutôt que formellement paralytiques* e
ar la projection de la langue (Gb. 51, .52) ne montrent pas la même forme d'ascension en escalier que danslaparésie ,post
s d'une manière effrénée aux boissons alcoo- liques sous toutes les formes ; et on peut dire que l'abus de ces der- nières
tribuer cette propriété du tembéki, qui, administré sous toutes les formes pharmaceutiques par la voie gastro-intestinale,
de chose près, identiques à ceux pro- duits par le tabac, fumé sons forme de cigare ou cigarette. Un seul point digne de
ous-jacents au plancher du quatrième ventricule. Il en décrit trois formes : aiguë, subaiguë et chronique, et deux variété
erne met d'ordinaire un certain temps avant de se présenter sous sa forme achevée. Sans doute, elle peut être uniquement co
natomique. Il semble cepen- dant qu'il s'est agit dans ce cas d'une forme de paralysie spinale subaiguë. Les altération
les unes des autres par du tissu conjonctif interfasci- culaire qui forme une gangue beaucoup plus épaisse qu'à l'état no
es premières douleurs apparurent dans les membres infé- rieurs sous forme d'élancements, de tiraillements; parfois on eut d
-on d'autres preuves, que nous nous adresserions à la lèpre dans sa forme anesthésique. Comme l'indique notre collègue et
e fit songer à la névralgie sciatique. Il s'agissait en effet d'une forme fruste que cette déformation du tronc fit soupçon
e l'attitude sciatique. Est-il plus facile de définir le rôle de la forme de la sciatique et celui de la durée et du degré
C'est pour cette raison que désormais l'exploration sous le chloro- forme doit être toujours pratiquée. Elle rendra compte
l est encore impossible de déterminer l'influence pronostique de ln forme de la sciatique, de la durée et du degré de la dé
détail, surtout dans la scène inférieure dont le personnage possédé forme le .. centre. Ce personnage lui-même a subi une
t clinicien fait reposer le dia- gnostic clinique de cette dernière forme sur les bases suivantes : d, Début subit de la
.Dans toutes ces relations, on note en effet un stade de début sous forme d'état général fébrile, du délire, et des paralys
appartient à Duchenne de Boulogne2. En résumé : 1° Il existe des formes morbides dont l'expression clinique corres- pon
de paralysie spinale antérieure aiguë et subaiguë de l'adulte. Ces formes sont en réalité, selon les prévisions de cet au
pitre que de paralysie labio-glosso-laryngée se présentant sous une forme achevée et indé- pendante de toute autre affect
iabilité des altérations cellulaires qui commandent les différentes formes . Enfin nous ignorons à peu près complèlement qu
quelques bourgeons gliomateux. Le reste de la substance médullaire forme les parois aplaties de cette cavité. La région
'entourent sont réduits à des proportions encore moindres; aussi la forme générale de la coupe de l'axe spinal est-elle res
89 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
étré- cissement est toujours semblable pour les deux yeux dans sa forme , parfois inégal comme degré. Pendant toute la d
ée des troubles hallucinatoires, le rétrécissement persiste dans sa forme , et 'disparait presque toujours en totalité ave
xaminés, nous n'avons noté le symptôme que dans 32 % des cas. Les formes que peut prendre la pupille sont des plus varié
ale, il est vrai, un oedème péripapillaire qui se présentait sous forme de cercle brunâtre (J. Galezowski, th. de Paris,
l est évident que beaucoup d'entre eux ignorent à peu près tout des formes typiques d'aliénation ; ils ont géné- ralement
cellules pyramidales. IL DE MUSGRAVE CLAY. IV. Psychologie d'une forme particulière d'intoxication patho- logique ; pa
5.) Remarques intéressantes, basées sur des observations, sur les formes et les causes des délires toxémlques. R. M. C.
I. Relevé quantitatif et qualitatif des leucocytes dans différentes formes de maladies mentales ; par A. S. 11. PEEBL s. (
oire de l'hyponlosse du même côté. 1 .1. S. VI. Observation d'une forme rare de pseudoesthésie ; par le Dr MATTiROLO (J
le dans les liquides chauds. L'auteur l'a employé dans les diverses formes de maladies mentales, toujours avec succès, et
issait pas du bacille de Hoff- mann, ni du bacille xerosis ni d'une forme actmo-mycosique ou leptothrix équivalent en bea
e persécution ou d'exaltation : peu importe d'ailleurs que ces deux formes existent séparément, simultanément ou par trans-
« délusions fixes » doit être appliquée aux états consécutifs à des formes aiguës de folie dans lesquels les délusions per
mentale terminale. Il est possible que la démence précoce, avec ses formes hébéphrénique, catatonique et paranoide devienn
ont associés à des conditions de luxe relatif, et qui trouvent leur forme la plus fréquente dans les excès qu'on pourrait
nduire, et conduisent souvent à l'ivresse, mais, au moins dans leur forme pure, ils ne tendent guère à l'alcoolisme chron
nce, et de diviser les malades dont il s'agit en trois groupes : 1° forme simple ; 2° forme délusionnelle ; 3° forme kata
les malades dont il s'agit en trois groupes : 1° forme simple ; 2° forme délusionnelle ; 3° forme katatonique. R. DE Mus
it en trois groupes : 1° forme simple ; 2° forme délusionnelle ; 3° forme katatonique. R. DE Musgrave CLAY. XXI.Observati
ns ces deux choses à la fois ; 2° une variation structurale dans la forme et dans les fonctions des divers organes du cor
inay et GMt.LET. Le tic chez les animaux revêt un certain nombre de formes différentes. Chez eux on appelle tic un mouveme
tion des impressions et étals du cerveau-âme à l'extérieur, sous forme d'actions. L'analyse de ces trois domaines est su
sont pas des maladies mentales, sontpassés en revue, et suivis des formes mentales et nerveuses, M. Forel divise ces form
ue, et suivis des formes mentales et nerveuses, M. Forel divise ces formes en 4 groupes : .lncmvta, 3° série, 1907, 1. I.
truction des cellulles nerveuses par phagocytose. M. Sano trans- forme cette obscure question en un lumineux chapitre d'
ude, représente comme une monographie entière de cette intéressante forme clinique. , L'auteur donne beaucoup de détails
s psychopathiques déterminés, qu'on doit strictement distinguer des formes cliniques, c'est-à-dire des maladies mentales ;
tat maniaque ; 2° l'état mélancolique ; 3° l'état amentif, dans ses formes variées ; a) simple état amentif (conclusion' m
'ataxie hérédi- taire cérébelleuse, que l'auteur propose de nommer « forme céré- belleuse de la maladie de Friedreich. » I
combinaison de la myopathie progressive avec les différentes autres formes de l'atro- phie progressive, telles que : atrop
ressive, amyotrophie de Charco- j)Iarie atrophie névritique dans sa forme généralisée. Selon l'avis de l'auteur, les symp
l'avis de l'auteur, les symptômes » classiques » des dif- férentes formes de l'atrophie musculaire progressive établis en
ns, néanmoins il est très im- portant pour Ieltropostic de fixer la forme fondamentale. Alexandre AQUMAN, Assistant à l
u reste devrait être modifié dans son entier. L'art. 25 est de pure forme . SECTION II. - Des placements ordonnés par l'au
' Enfin les art. 33 et 34, qui terminent la section, sont de pure forme (A suivre.) CLINIQUE MENTALE Les fugues dans
ilne c striée. Pour Giovanni, depuis les manifestations simples des formes névrosiques jusqu'aux diver- ses formes cliniqu
manifestations simples des formes névrosiques jusqu'aux diver- ses formes cliniques, parmi lesquelles il faut citer la mala
sychose et quel- quefois de coma et de mort. On peut distinguer des formes légères, et des formes' graves avec séquelles.
et des formes' graves avec séquelles. Le pronostic varie avec la forme .Les formes graves sont parfois mortelles.Le diagn
formes' graves avec séquelles. Le pronostic varie avec la forme.Les formes graves sont parfois mortelles.Le diagnostic est
veiller l'alimentation. . . L. Waiil. XVII. La syphilis spinale à forme amyotrophique ; par LAU- Nois et POROT, (Revue
gne de Kernig. A l'autopsie, tumeur du cervelet. L. WAHL. XXII. - Formes frustes du Tabes ; par Raymond. (Bulletin médic
médical, n" 55.) Le professeur Raymond insiste avec raison sur ces formes qui sont si souvent d'un diagnostic si difficil
arac- tère particulier des faits analogues qui ont été publiés : la forme du délire était la paranoïa chronique. 1.11LC.
tendances criminelles diminuer; l'égoisme pratique sous toutes ses formes s'est restreint : il y a eu un relèvement du resp
ROUSSINIE cite le cas d'un jeune homme qui, au cours d'une grippe à forme intestinale, croyait ne plus avoir d'estomac. M
e l'expéri- mentation qu'ils ont faite du véronal, dans différentes formes mentales. Troubles mentaux dans la sclérose e
la radiographie confirmèrent le diagnostic d'ectasie aorti- que, à forme légèrement ampullaire. II insiste sur les service
taine d'années, chez lequel éclatèrent des troubles intellectuels à forme mystique, consécutivement à des pratiques de magn
caractéristique de sa débilité mentale Un cas de délire chronique à forme nxégalomaniaque, avec autopsie. M. Marchand com
bloc unique, AI. Grasset (lit que pour ses partisans, l'humanité ne forme qu'un bloc, une série, allant du plus sensé au
armes. BOURNEVILLE. Traitement médico-pédagogique des différentes formes de l'idiotie. In-8° de 136 pages avec 55 fig. P
es zoologistes assignent aux Phytozoaires et aux Artio- zoaires des formes ancestrales communes « simples, analogues, à un
- latérale prédominât toujours dans le cours du développement;ces formes étaient aptes par conséquent à acquérir dans la s
ar lesquelles l'animal agit sur le milieu : la locomotion. Chez les formes primitivement fixes, ou devenues ultérieurement
ordonne tous les faits connus et subordonne toujours l'organe et la forme à la fonction : l'Au- teur n'y fait aucune allu
énérale. La locomotion exerce encore une influence indirecte sur la forme du corps et des organes par les fonctions dériv
ans les yeux composés à facettes des Insectes, l'image réti- nienne forme une mosaïque grossière ; comme chaque facette re-
t né ? sa masse va se diviser, se séparer en deux petites masses de forme ovoïde, qu'on nomme blastomères. Dès ce moment,
latérale. La première est représentée, pour l'embryologiste, par la forme du corps et de ses cavités propres ; la seconde e
fet, comme ses deux éléments formateurs,de rapports étroits avec la forme du corps ; il est maintenant libre dans une poc
ution ontogénique est donc tardive et ne commence que lors- que les formes du corps et de ses cavités sont à peu près défini
tive de continuité avec l'ectoderme cutané : celui- ci, finalement, forme pont au-dessus du «vide nerveux » maintenant in
et l'évolution des tendances, on sait que ses fibres, avant même de formes plexus pour innerver les organes aux- quels ell
même négligeable, la réaction viscérale, inconnue dans ses détails, forme un tout indivisible et commun aux deux moitiés,
synthèse de sensa- tions ou d'états 'de conscience qui implique les formes de temps et d'espace et constitue les notions d
plus '6'ù moins nette, 'dans là plupart 'dé nos pensées, soiis des formes diverses : nouvelle c'oininunauté, nouvelle 'dé
, cet aliéné sera-t-il condamné ? Oui, d'après la loi, mais pour la forme sans doute, car, quelques jours après, lorsque
n ligne : nouvelle expertise par conséquent, et nouveaux frais. Les formes actuelles sont plus simples,et par suite me par
ent il n'est pas possible que le législateur arrive d'emblée à la forme définitive. Telle qu'elle est, la loi de 1907 n
, fasc. III, IV.) Ou peut distinguer au point de vue clinique trois formes clini- ques de l'idiotie : une forme avec pseud
u point de vue clinique trois formes clini- ques de l'idiotie : une forme avec pseudo-hypertrophie, une seconde avec atro
ssus de destruction estévidemmentirrégulier. On peut voir ces trois formes en se reportant aux pièces conser- vées par Eou
ium coli etc., Toutes ces variétés correspondent certainement à des formes cliniques et anatomiques variées. Au point de v
ns. La pathogénie de la microencéphalie permet de considérer deux formes : la vraie et la fausse ; la vraie peut être simp
liés à des altérations localisées ne se rencontre dans aucune autre forme d'idiotie ; dans ces conditions on peut la sépa
rminée non mortelle de spores. Ces conclusions font admettre que la forme de pellagre due à une infec- tion par la spore
N.La suggestion involontaire joue un rôle immen- se sous toutes les formes dans la production de maints effets ohte- nus d
ne- ra une dépense supplémentaire de 8,003 fr. » C'est là une ré- forme indispensable. Si l'on veut que les malades soien
r comprendra tous les cas d'alcoolisme simple, quelle qu'en soit la forme (confusion mentale, délire hallu- cinatoire, ép
rie. Avril 1907. No 4 ARCHIVES DE ..NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Formes mélancoliques de la démence précoce (Période in
prouvent les statistiques, débute presque toujours (sauf dans ses formes fébriles) par des phénomènes particu- liers où
En étudiant ces états dépressifs prodromiques, j'ai pu isoler une forme neurasthénique, une tormeneurasthénico- hystéri
ne forme neurasthénique, une tormeneurasthénico- hystérique, et une forme mélancolique. La forme mélan- colique de la dém
, une tormeneurasthénico- hystérique, et une forme mélancolique. La forme mélan- colique de la démence précoce représente
e cet étatdépressif, permet de considérer la mé- lancolie comme une forme appartenant à la fois à la pé- riode prodromiqu
atologie de la démence précoce (Allg. Zen. J. Psyciriatr., 1905). FORMES MÉLANCOLIQUES DE LA DÉMENCE PRECOCE. 275 sur 20
sur les symptômes de la démence pré- coce. Thèse de Paris, 1902. FORMES MÉLANCOLIQUES DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 277 son in
cusé (anxiété, déli- re ou stupeur). Nous avons vu en étudiant la forme neurasthénique (1) comme les réactions individu
ctuel est manifeste et la douleur morale passagère comme dans les formes rapides (la catatonie principalement), le dia-
tics. La surveillance prolongée est alors absolument nécessaire. FORMES MÉLANCOLIQUES DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 281 CONCEP
édominance des idées hypo- condriaques d'origine sexuelle. Dans les formes mélan- coliques, la nutrition générale est plus
tent plus ». Comme les idées de négation qui surviennent dans les formes mélancoliques delaparalysie générale, elles sont
ns les deux affections, mais plus rarement dans la démence précoce ( forme simple de M. Sérieux). Le plus souvent elles so
Le refus d'aliments (négativisme démentiel) les auto-mutilations, FORMES MÉLANCOLIQUES' DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 285 les f
de suite. « .le vais mourir, je n'ai plus rien. je sens que c'est - FORMES MÉLANCOLIQUES DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 287 lilli»
els il apprend des tragédies par coeur (théâtre de V. I luol tlu'il FORMES MÉLANCOLIQUES DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 2SI récite
t lierlin et toute l'Allelllao-ne, c'pst une voix inlérieuie qui le FORMES MÉLANCOLIQUES DE LA DEMENCE PRÉCOCE. 291 lui di
ne voit là qu'une affirmation répé- 316 PSYCHOLOGIE. tée sous des formes diverses sans le moindre effort pour apporter q
(p. 32) ; elle préexistait au moi. On ne peut dire non plus qu'elle forme celle du moi à un moment donné ; tout au moins
que volonté » (p. 56). Bref, « chacune de'nos facultés présente une forme inférieure correspondant*à5la vie psychique de
distinction habituelle.présentée par Maine de Biran, entre les deux formes ,de cette faculté, passive ou reproductrice, et
m, prénom, pro- fession, âge et domicile tant de la personne qui la forme que de celle dont le placement est réclamé, et
stent entre elles. La demande est écrite et signée par celui qui la forme : elle est visée par le juge de paix, le maire
el de la décision du tribunal pourra être relevé dans les délais et formes prévus à l'article 9. ART. 19. Dans les cas de
i résulte de l'hérédité alcoolique est,- plus que toutes les autres formes d'instabilité, révélée par a) sa na· ture convu
ture convulsive ; b) sa tendance à la limitation (comme dans les formes de folie dites systématisées) ; c) sa périodicité
n. L'épilepsie, la chorée, l'hystérie, les psy- choses convulsives ( formes morales et impulsives de folie) et quel- ques é
ler, est particulièrement exposé à ces sortes de troubles, dans les formes paternelles de transmission. D'autre part, les ar
. Phlegmon diffus; complications abdominales de la fièvre typhoïde. Formes cliniques de la variole ; fractures de côtes. Dia
ou pour mieux dire des états qui leur correspondent. Sous quelle forme se conservent ces images ; comment les centres
es accidents. Il y a encore un autre facteur à considérer dans la forme des manifestations hystériques, ce sont les varia
'SàPiO, 1907, t. I. \ . 24 370 PSYCHOLOGIE. de changement dans la forme et l'intensité des troubles hystériques, et les
encore son substrat anatomique. Voyons ^d'abord com- ment le moi se forme . La Formation du moi est envisagée à propos de
licisme : supposons que la syn- thèse mentale qui, à l'état normal, forme la personnalité, soit tou- jours incomplète et
e con- tinue à régner en maîtresse là-bas. Ayant pris, en 1906 la forme épidémique, elle a fait de nombreuses victimes.
ute mesure d'ordre devient impossible. Le médecin demande des ré- formes , que le directeur ne peut ou ne veut pas réaliser
iques, leur propre sûreté ou leur guérison, le préfet peut dans les formes tracées par l'article 26 et sur l'avis du médec
ù est situé l'asile, qui statuera en cham- bre du conseil, dans les formes prévues à l'article 36, sur leur main- tien dan
ées de droit au tribunal, qui statue en chambre du conseil dans les formes prescrites par l'article 36. Si la sortie n'est
au préfet et au chef responsable de l'établissement ont lieu en la forme admi. nistrative. Les frais de procédure faits
o- tivée, est susceptible d'un recours au Conseil d'Etat dans les formes légales. ART. 70. La présente loi est applicabl
dit que la tendance pathologique et clinique la plus forte de toute forme de maladie mentale, était d'aboutir à la 424 RE
en d'autres termes, de progresser : cette proposition n'est qu'une forme nouvelle de la doctrine déjà ancienne de Sankey
nsidéra- tions où il serait trop long de le suivre sur ces diverses formes de maladies mentales. La conception que propo
ie n'est pas signalée. L'écholalie comporte des degrés et aussi des formes différentes. Arnaud a es- sayé d'en décrire six
et aussi des formes différentes. Arnaud a es- sayé d'en décrire six formes , mais elles se confondent facilement les unes d
s attaques Jacksoniennes. , Dans beaucoup de cas de folie aiguë à forme confusionnelle, on 428 REVUE DE PATHOLOGIE MENT
la description de la démence précoce ; et ce serait surtout dans la forme katatonique que se rencontrerait l'écholalie (K
ie va régulièrement en dimi- nuant ; de 35 à 40 ans on constate les formes les plus aiguës, et après ce dernier âge, la du
lle que, dans un précédent travail, s'est attaché à distinguer deux formes d'alcoolisme, l'alcoolisme qu'il appelle conviv
n pourrait presque dire qu'il existe pour chaque métier ouvrier une forme traditionnelle d'alcoolisme, ayant pour base l'in
'alcool. Mais l'élément qui introduit le plus de varié- té dans les formes de l'alcoolisme ouvrier, c'est la facilité plus o
nnel des asiles est proba- blement due,soit à une infection par une forme virulente de quel- que micro-organisme très rép
énagements appropriés qu'il conviendrait de fournir aux différentes formes de folie; par John MiLsoMRnoDEs (The Journal of
(The Journal of Mental Science, octobre 1904.) Etude critique de la forme usuelle des tableaux statistiques en matière d'
lexes sans trouble de la sensibilité ; ils posent la question d'une forme atypique d'atrophie du type Charcol-Marie. MM.
pui de deux cas où il a cherché à prouver que la sitiomanie est une forme ,le psychose intermittente, en particulier de m
if qui en fait ressortir les points saillants, donnentsous diverses formes le résultat de toutes les opérations effectuées
par le centre, c'est-à-dire par la psychothérapie sous toutes les formes . Il est absurde de se priver de telle méthode ou
er au déterminisme la connaissance de ce sentiment (p. 158), de ses formes et de ses effets ? La foule de ceux qui n'ont j
doivent non à leur matière, ainsi que l'intuduction, mais à leur forme . 2° En donnant donc à sa méthode,qu'il croit à
ne connaît jamais que leur contribution commune, quelle que soit la forme sous laquelle elle lui est présentée : notions
A- ge otte. (Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1906, n° 3.) La seule forme de réparation nerveuse connue jusqu'ici est celle
'un cas remarquable par la complexité du contenu et la fixité de la forme : il s'agit d'un malade qui depuis sept ans ré-
EPSAT (Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1906, n° 1.) Infiltration à forme de pseudo-oedème avec cyanose intense et algidi
la douleur. Ces troubles spinaux se rencontrent aussi bien dans les formes simples et hébéphréni- quesque dans les variété
onique etparanoide de la démen- ce précoce; mais dans aucune de ces formes ils ne semblent avoir d'électivité spéciale pou
utive qui commandent l'attitude en flexion. Les muscles prennent la forme de cordes rigides douloureuses à la pression ; la
l'atrophie et de la rétraction. Les articulations conservent leurs formes . Les nerfs ne sont pas douloureux. Les réaction
ciales suivant ces divers tissus. F. TISSOT. XXXV. Les principales formes des troubles nerveux dans le mal de Pott sans g
e. F. T. SOCIÉTÉS SAVANTES. 4P9 XXXVI. -Achondroplasie partielle, forme atypique ; par DUFOUR (Nouv. Icon, de la Salpêt
x «Troubles de l'intelligence », a 1' « Aphasie et à ses diverses formes », au « Traitement des aliénés dans la famille »,
ismes ; 10° La- vements ; b) Pour l'usage interne : 3 leçons : Leur forme : liquide (potions, sirops, huiles, gouttes), s
ments a été négligé. Après quelques indications sur les principales formes pharmaceutiques, nous nous sommes surtout attac
plus douteuse chez les tabéti- ques avérés; quoi qu'il en soit, la forme d'application de choix est l'injection hypoderm
de l'hié- rogénie.-Dans l'introduction sont rappelées les diverses formes de la croyance : on croit parce qu'on objective
FEINDi;L. 1\'lll.- Traitement médi--o-pédagogiqt6e des différentes formes de l'idiotie; par BOURNEVILLE. (Vol. de 135 pag
sur la genèse de l'Hystérie. Psychoses alcooliques chroniques, les formes pures de Démence exceptées. Asymbolie et Aphasie.
Diagnose différentielle entre la Démence-Paralytique et les autres formes de Démence acquise. Localisation corticale des
ntractures secondaires de l'hémiplégie. Myasthenia gravis et autres formes de myasthénie. Il. Psycho- logie et Psyclio -ph
s de ce crime au magistrat compétent, s'est vu congédier sans autre forme , avec ce mot administratif et imbécile : Appo
- DUPRAT La spaLiallle des faits psychiques. - Th, ItII30T. Sur une forme d'illusion affective. - BOGUES DE FunsAc. Notes
on et paranoïa ; par Deny et Camus, p. 152. Un cas de chronique à forme mégalo- maniaque, avec autopsie, par Marchand
, p. fi5. précoce. Voir Folie. - précoce ; par Johnstonc, 1). 74. Formes mé- lancoliques de la - précoce, par \1 ? Pas
ements ap- propriés qu'il conviendrait de fournir aux différentes formes de folie ; par Atilson Rhodes, p. -131. -, Vo
es d'aliénés du Nord, p. 271. · Intoxication. Psychologie d'une forme particulière d'- patho- logique ; par Pick, p.
UCOCYTES. Relevé quantitatif et qualitatif des dans diffé- rentes formes de maladies mentales ; par Peebles, p. 51. Li
e ; par Rowe .Icremy, p. 51. Pseudoesth ésie. Observation d'une forme rare de ; par Matlirolo, p. 53. Psychiatrie.
avec ophtal- moplégie double ; par Achard, p. 52. La - spinale à forme amyotrophique ; par Launois et Porot, p. 137.
. SYSTÈME nerveux. Voir Ame. Tabès. Voir Lésions syphilitiques. Formes frustes du - ; par Raymond, p. 139. Un cas de
Voir Tubes. - Voir Idiols. midico-péclanogiqucs des dif- férentes formes de l'idiotie ; par Bourneville, p. 518. table
uelle dans la folie ; par Sydney J. Cole, p. 495. Les principales formes des nerveux dans le mal de Pott sans gibbosit
90 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
on et de l'audi- tion. Le réflexe plantaire se produisait sous la forme de la flexion des orteils. Les réflexes tendine
oordination. La sensibilité objective est conservée sous toutes ses formes . La jambe étant placée dans l'extension, on not
cause appréciable, des accidents gastro-intestinaux aigus, sous la forme de vomissements et de diarrhée. Les jambes se son
erie dans l'invasion des accidents est un mode de début, commun aux formes aiguës de la poliomyélite antérieure et de la p
ure se complique de troubles cardiaques et respira- toires, sous la forme d'une tachycardie, d'une accélération de la respi
yélite anté- rieure aiguë se présentent presque toujours sous cette forme . Des troubles en rapport avec une paralysie des
n des plus sûrs caractères distinctifs de la po- lynévrite aiguë, à forme de polynévrite motrice. Au surplus, et pour en
ronostic. Notre diagnostic est donc : polynévrite aiguë généralisée forme de poliomyélite antérieure, de cause obscure. M
chez un adulte, évolue sans laisser de traces irréparables, sous la forme d'une atrophie limitée à un segment de membre o
imitée à un segment de membre ou d'un groupe de muscles, et sous la forme de rétractions tendineuses consécutives. Nombreux
oncours d'un orthopédiste ou d'un chirurgien. MALADIE DE THOMSEN A» FORME FRUSTE AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE PAR Et E. N
NOGRAPHIE DE LA SALFLIRtÈRF. T. XII. PI. III MALADIE DE THOMSEN Forme fruste, avec atrophie musculaire. (1 : . Vuu ct
vantage au type Landouzy-Déjerine (Favio- scrtpulo-hmnéral) et à la forme juvénile de Erb. Cetteconstatationpeut-ellenons
minés, la clinique nous apprend que l'on observe tous les jours des formes nouvelles qu'il est parfois difficile de rattache
a myopathie progressive primitive, il semblait que ces deux grandes formes qu'on opposait l'une à l'autre, l'une individuell
utre. » Le type de Charcot-Marie est un des mieux étudiés parmi ces formes irrégulières. Dans une certaine mesure, le cas
ssique donné par Marie qu'à l'heure actuelle l'exis- tence de cette forme nosologique spéciale doit être considérée comme s
iblissement des muscles oculaires moteurs avec secousses nystag- mi formes ; 10° Mimique faciale exagérée chez le 2e et le
on. Sensibilité. La sensation douloureuse est conservée, les autres formes de la sensibilité ne semblent pas altérées mais
fisance intellectuelle. Peau,. On note une cicatrice incolore de la forme et de la largeur d'une pièce d'un centime au mi
Or, justement chez elle le cer- veau est bien formé, présentant une forme de vésicule, ce qui n'aurait pas pu être en auc
llules nerveuses. Au-dessus de l'ouverture, la moelle épinière a la forme ordinaire, seulement elle est un peu comprimée d'
comprimée d'avant en arrière. A cela près, la moelle épinière a la forme ordinaire de celle d'un enfant nouveau-né (Pl.
, située en arrière, est sensiblement agrandie, elle a conservé une forme triangulaire, mais les coins sont fortement arron
er- veau terminal avec le bulbe olfactif. La cavité du télencéphale forme les ventricules latéraux. Le plus souvent l'h
L : Rll'lllES MYOPATHIE PRIMITIVE ET PROGRESSIVE AVEC AUTOPSIE ( FORME TARDIVE; TYPE HUMÉRO-SCAPULO-FACIAL) (1) P,vrs
ucoup plus large que le membre qu'elle enveloppe ; les pl is que l'on forme en la soulevant entre le pouce et l'index ont u
mie, sur la face palmaire des mains, est épaissi, sec, squameux; il forme , à la pulpe digitale, une ca- rapace cornée ave
ntercalaire est de consistance très dure. La rate petite, ferme, de forme irrégulière, de consistance fibreuse, pèse 110
t exclusivement par une maladie de la peau ; et, selon le siège, la forme , l'étendue de l'éruption, vous serez en mesure d'
près les caractères cliniques les plus apparents, a distingué trois formes prin- cipales de sclérodermie : ·1° La scléro
ue par un trouble de l'innervation trophique la disposition zoni- forme des plaques éruptives et les atrophies d'appare
s cellules s'accomplit de telle sorte que les organes prennent leur forme , acquièrent leur volume, réalisent leur spécifi
e périartérite qui est à son maximum dans la région cervi- cale, et forme de véritables petites gommes, intéresse aussi bie
rès grêle si on le compare à celui du côté opposé. Il a conservé sa forme conique ; la partie charnue a gardé sa configurat
onstate il droite un état particulier des tégu- ments. Le pli qu'on forme ainsi est trois fois plus épais environ à droite
che ; elle est plus résistante il droite. Cependant le pli que l'on forme disparaît assez vite. Les os faciles à examiner
ne nous indi- que que* le genre de l'affection sans en spécifier la forme ni la phase.- Il importe donc de lui adjoindre
- Il importe donc de lui adjoindre tel qualificatif qui définira la forme cli- . nique ou la phase de l'affection tabétiq
de tabès dorsal ne doit pas être abandonné, car il caractérise nne forme et une phase du tabes ; et de plus il comprend
me de tabès supérieur, qui, lui, est bien mauvais, pour désigner la forme ou la phase de la maladie, manifes- tée par des
ans l'obscurité, l'agoraphobie et la claustrophobie, les nombreuses formes des irradiations bulbaires et centrales du vert
binaisons les plus diverses des troubles de l'oculo-mo- tricité, la forme spasmodique du signe de Ch. Bell, les oscillation
ndirecte pour l'opposer à la suivante. Il existe en effet une autre forme d'orientation subjective, que l'on doit 142 PIE
il n'y a pas de repères objectifs, c'est-à-dire extraorganiques. Sa forme ,la plus concrète est ce que j'ai nommé sens des
les ligaments et aponévroses péri- articulaires sont distendus, la forme du segment varie et les téguments sont le siège
me du segment varie et les téguments sont le siège de variations de forme , d'expansion, de pression, etc. Si nous analyso
ariation de LE TABES LABYRINTHIQUE 145 force, de résistance et de forme dans l'état de presque toutes les parties profo
nalyser celle sensation d'effort nerveux et à voir si elle varie de forme selon ses applications à telle ou telle fa- cul
re et du sens des attitudes segmentai- res se manifeste par une des formes du signe de Romberg. L'exercice mus- culaire de
ouvent symptomatiques du trouble labyrinthique, el caractérisent la forme ou la phase labyrinthique du tabes, comme d'aut
u la phase labyrinthique du tabes, comme d'autres en définissent la forme ou la phase dorsale. Les troubles auditifs cons
la symptomato- logie du tabes. Ce vertige auriculaire, et même la forme brutale du vertige de Menière, n'est pas rare d
ve chez le labyrinthique tabétique. J'en ai ailleurs (1) étudié les formes . Tant qu'il n'y a pas tabes dorsal, c'est-à-dir
iens. Cette correction manque chez les tabétiques ordinaires. Cette forme de signe de Romberg est de règle dans beaucoup
gmus permanent d'origine labyrinthique est assez rare II en est une forme extrêmement fréquente sur laquelle j'attirerai l'
sens ampullaire. Si celui-ci est lésé le malade présente l'une des formes du signe de Rom- berg, de l'incertitude dans la
on peut,dans une large mesure, rattacher ces symp- tômes, soit à la forme , soit à la phase labyrinthique du tabes, et défin
ont la prétention de représenter des instruments de chirurgie. Leur forme terrifiante ainsi que leur couleur noire, entiè
dans l'attitude précédente ; le bord spinal se détache du thorax et forme la gouttière verticale classique, profonde ici
u-dessus du trapèze, entre la ligne médiane et le hord spinal, a la forme d'une rigole étroite ; quant à la partie inféri
bord inférieur du trapèze et l'angle inférieur de l'omoplate, elle forme sous la face interne du scapulum une dépression p
et très saillants qui donnent aux fosses sus et sous-cpineuses une forme convexe contrastant avec l'aspect normal du côté
élévation en dehors; modification de la ligne latérale qui prend la forme d'une S à boucles très allongées ; rétrécisseme
suivants qui rentrent également dans les sclérodermies localisées ( forme disséminée en plaques). (1) L. Spillmann, Scl
dernii- 202 P. HAUSHALTER ET L. SPILLMANN ques se présentent sous formes de petites lamelles ou de grands placards légèr
e palmp-plantaire. Cette affection difficile à classer est-elle une forme de début de sclérodactylie ? L'avenir le montre
cas de Neumann et de Cruse, il semble s'être agi de sclérodermie à forme circonscrite avec épaississement de la peau. L'at
de Cruse. A ces 5 observations de troubles trophiques de la peau à forme de sclé- rodermie, nous ajoutons, sans vouloir
la nuque, une tache blanche de 3 centimètres de hauteur environ, de forme irrégu- lièrement quadrangulaire. A droite de c
rodermie, bien qu'on ait pu signaler entre le vitiligo et certaines formes de sclérodermie, quelques analogies plus ou moi
s d'observer récemment un cas qui peut, en quelque sorte, servir de forme de transition entre ! e vitiligo et la scléro-
e des hôpitaux. Depuis qu'en 1886, Charcot et Marie ont décrit la « forme particulière d'atrophie musculaire progressive
isse sous un angle de 120° ; le pied en adduction et en varus équin forme un angle plus que droit avec la jambe, l'extrém
la jambe et le pied sont rejetés en dedans, le pied en varus équin forme un angle obtus avec la jambe, les extrémités in
atopliiles sont raréfiés et quelques-uns de ceux-ci sont changés de forme et de volume. Le noyau et le nucléole sont beau
ndément altérés et sur la coupe, la teinte claire qu'ils présentent forme un contraste frappant avec la colora- tion des
olora- tion des autres cordons. La dégénération se présente sous la forme d'une bande en forme de virgule, très allongée.
ont on entreprend aujourd'hui l'analyse, en l'envisageant comme une forme psychopathique spéciale (2). Le « mal d'amour »
vages a consacré une étude détaillée à la chlorose ; l'une des cinq formes qu'il décrit porte le nom de chlorose par amour
fréquentes aussi sont les névralgies. Qu'il s'agisse de céphalée à forme neurasthénique ou de né- vralgie faciale, ou en
a grossesse, peuvent exercer une influence heureuse sur cer- taines formes de chlorose. Le mal d'amour était justiciable d
l'amour est encore coupable, il a du moins su galamment ménager les formes de sa séduisante victime. La blancheur de son tei
liginosités. » Le moyen, le voici. Une vieille femme l'apporte sous forme d'une se- ringue qu'elle s'apprête à manoeuvrer
ppareils pour injections spéciales. On peut y regarder de près ; la forme est reconnaissable. Alors, il ne s'agirait plus
e qui frappe surtout, c'est son embonpoint. Or, à bien examiner ses formes , je me suis demandé si maître Steen n'avait pas
s. Le tableau de la galerie Nostitz nous ferait ainsi connaître une forme du mal d'amour qui n'a rien de commun avec les
ectueuse réunion de famille ! Enfin', Jan Steen n'ignorait. pas les formes que revêt l'amour, lorsqu'il s'adresse au coeur
impossible de lui donner un nom. C'est une chose rou- geâtre et de forme arrondie que la malade tient à pleine main entre
saud les a signalés et s'est même avancé jusqu'à dire que certaines formes relèvent de l'insuffisance du principe thyroïdien
r, ne s'en tiendra pas là. Buschau consacre à peine deux lignes aux formes frustes du myxoedème des adultes : « Le diagnot
ie est im- parfaitement développée ou lorsqu'elle se présente comme forme transi- toire vers l'obésité. » Il propose de j
ition profonde et la lecture en est attrayante. Il dit à propos des formes frustes dont l'élude est encore à faire et qui
e uniquement par une tendance morbide à l'embonpoint et certai- nes formes d'obésité tardive ne sont peut-être que des cas d
et bien confirmée. Chez les enfants, Thibierge admet qu'il y a des formes frustes : « Bris- saud, dit-il, pense que l'éta
l, pense que l'état décrit sous le nom d'infantilisme peut être une forme atténuée de myxoedème. » Thibierge lui-même, en 1
t souvent les bérédo-syphilitiques mis à part - des myxoedémateux à forme atté- nuée. (1) Furlher observations on the c
ère, à savoir : l'unité dysthyroïdienne étiologique £ le toutes les formes de l'infantilisme (1). « Cette extension du domai
anc. Le traitement thyroïdien est vivement ressenti dans toutes les formes d'in- fantilisme. Là où l'ossification n'est pa
infantiles (type Lorain). J'en connais de monstrueuses. Il y a une forme d'infantilisme qui affecte l'appareil vocal : per
ménorrhagies. La mère est manifestement hypothyroïdienne. Certaines formes de strabisme ou plutôt de défaut de synergie de
de t'hypothyroïdie bénigne chronique chez la femme adulte, de cette forme de myxoedème qui ne marche pas fatalement vers
n se met à penser qu'il Fig. 2. - A..., Gtj ans. Myxoedème franc; forme rhumatismale, avant le traitement. Fig. 3. - A.
ans 1'lipotli\,t-oï(lie grave et se retrouve avec persistance dans la forme bénigne, qu'en la monlrant chez les enfants myx
L. XLV. IY1CDrl; F.RUSTE (Hertoghe) 14. Mme G. Myacdème franc à forme hémorrhagique. - y. La même. Après guérison. 16
Je le fais à dessein afin de se familiariser petit à petit avec les formes larvées qui sont l'objet de notre étude. L'épou
nfantilisme, le suivant ensuite à travers l'adolescence, jusqu'à sa forme définitive d'adulte com- plet. Il n'est pas p
tant, dénotent le myxoedème franc, et ce n'est pas pour décrire ces formes que j'ai fait ce mémoire. A première vue, la fe
onne heure. Qui ne connaît de ces femmes dont la chevelure d'argent forme un si vif con- traste avec une physionomie enco
e cérébrale. Celle céphalalgie hypotltyroïdienne revêt surtout deux formes . Tantôt elle semble partir des sinus frontaux, s'
dysménorrhée et de la ménorrhagie dans le grand myxoedème. Dans les formes larvées, ces mêmes symptômes sont constants.
réelle souffrance à se relever d'une chaise ou à s'agenouiller. Une forme fréquente est la douleur de la plante du pied,
mpréhensible que sa fréquence. Je considère l'em- physème comme une forme de sénilité pulmonaire. Or le myxoedème se 290
sés sur le dos de la main. Lorsque la main est gantée, elle perd sa forme , et quand on la serre, elle fait l'effet d'un g
t couverts d'égratignures. Il y a certainement chez les enfants une forme de prurigo sec, dépendant de l'inanition thyroï
leur excruciante du dos à la région rénale ou les symptômes angini- formes du coeur, se dissipent à l'instant par l'ingestio
nt tantôt d'une manière aiguë, tantôt d'une manière chronique ; les formes les plus fréquentes sont les lésions érythémate
encé à perdre la mémoire par moments et à souffrir de douleurs sous forme d'élancements dans les membres. Il imaginait un s
constatées et que l'on peut considérer comme caractéristique de cette forme d'amyotrophie. 1° Lésions médullaires (5). La
matophiles sont raréfiés et quelques-uns d'entre eux sont modifiés de forme et de volume. Le noyau et le nucléole de la cel
vêtir de tout autres caractè- res, elles peuvent se montrer sous la forme de douleurs constrictives, en ceinture, en brac
eurs constrictives, en ceinture, en bracelet, en brodequin, sous la forme de crises viscéralgiques il sièges extrêmement
perception stéréognostique en vertu de laquelle nous apprécions la forme et la nature des objets à l'aide des renseignem
ons par rapport à celui des excitations qui se manifestent sous les formes de tétanos sensitif, de polyesthésies, de somma
à urines, il se produit une sorte de remous où bientôt apparaît une forme animée. Cela se meut, s'agite, se démène ; cela p
ls tics pouvaient affecter toutes les régions du corps et prendre les formes les plus diverses. « Le torticolis spasmodique,
stématiques dont nous avons déjà parlé (1). Il constitue encore une forme très spéciale de l'idée fixe : le système de phén
côté. , L'éminence thénar, à droite et à gauche, non seulement ne forme plus de relief, mais est représentée par un mép
trophies et les déformations qui en résultent, donnent aux mains la forme de griffes (PI. LXI, C). Aux avant-bras, les mu
ils disparaissent brusquement dans la région prétendineuse, d'où la forme d'avant-bras en fuseaux. Les bras ne paraissent
e l'avant-bras, muscles disparus, os saillant. L'espace interosseux forme un méplat à la partie postérieure. Les muscles
sur la 4r, et la 39 en extension (Pl. LXII, D). La paume de la main forme une concavité hémisphérique séparée en 2 par la
également marquée de tous les muscles de l'avant-bras ; - qui a la forme d'une planchette de 6 centimètres de largeur sur
es plus tard, la tumeur est encore sensible à la pression, ayant la forme d'un épais bourrelet dans l'aisselle; la peau la
ertion supérieure du deltoïde est une plaque (fig. M, L) osseuse en forme d'épaulette, mesurant 7 centimètres dans sa dimen
enne qui dé- bute par les petits muscles des mains, ce n'est pas la forme scapulo-hu- morale de Vulpian où les contractio
lus fréquente que chez les individus normaux. Au point de vue de la forme des troubles mentaux, Brunet sépare nettement les
Pour lui, les psychoses sont essentiellement cons- tituées par des formes dégénératives, et la dégénérescence mentale doit
abète, le rhumatisme...). ). Peut-être faudrait-il chercher dans la forme de l'hérédité la condition de ces difl'é- rence
thésique transversale, qui, réunie à la zone mamillaire antérieure, forme une ceinture complète. La perception tactile es
. 0,33. L. O ? i, LE MAL d'amour 425 Le mal d'amour, sous quelque forme qu'on l'envisage, peut doncs'ac- compagner d'év
e est magnifique. Une robe du satin blanc le plus soyeux épouse ses formes opulentes, le velours rouge de son casaquin est
-anesthé.çie. - Attaques épi- leptiformes. - Troubles psychiques de forme circulaire. - Mort par hémor- rhagie cérébrale.
ui se trouve réalisée dans'toutes les autres coupes) Il affecte une forme en V ou en L renversé () ; la partie verticale
ne de la 111, temporale, qui limite en haut le sillon parallèle et en forme le fond, est envahie par l'hémorrhagie. En bas
ièrement détruite. Coupe 3 (Pl. LXXVIII et Schéma 7). L'hémorrhagie forme une mince Nouv. IcnnnenHmE nF la SAI,l'lÎmll\lI
tiples sous ou infra-corticales, bilatérales (1) : les symptômes de forme pseudo-bulbaire ne sont pas assez nets pour qu'on
face, la peau est mince et souple, les contours sont réguliers, les formes correctes. Et il en est ainsi de la jambe gauch
ès une pres- sion longue et forte dans les points où la tuméfaction forme les plus gros bourrelets, au pourtour des chevi
it un peu diminuer de volume ; mais jamais elles ne retrouvent leur forme normale. L'enflure augmente régulièrement au mo
s téguments oedémateux sont hy- peresthésiés (oedèmes hystériques à formes arthraigiques) ; ou anesthésies (oedèmes superp
III)11,, OEdème hystérique, thèse Paris, 1897. (3) Mathieu, Sur une forme particulière d'oedème névropallzique, .lnn. de de
1891. 470 HENRY MEIGE avait été précédé de douleurs affectant la forme de sciatiques doubles. Aussi, M. Mathieu, s'app
s aigus et les chroniques. Le cas de Follet semble démontrer que la forme chronique peut apparaître à la suite de poussées
aiguës ; c'est aussi le cas de notre malade, Fe... D'autre part, la forme chronique peut persister pendant de longues an-
nt définies. Et de ces analogies, con- tentons-nous d'inférer, sous forme hypothétique, qu'il n'est pas impossi- ble qu'u
des accidents dystrophiques d'un même système d'affecter tantôt des formes exubérantes, tantôt d'évoluer vers l'atrophie.
ssaud et ses élèves ont attiré l'attention des cliniciens sur cette forme de tic spasmodique, les observations de tortico-
cale du dos des mains est dès lors de 27°. Tous les doigts ont la forme de fuseaux allongés. Le pouce est en ex- tensio
gèrement infléchis ; le petit doigt, en rectitude dans l'abduction, forme avec l'annulaire un angle assez ouvert. A la
ur deux cas), par Raymond et P. JAXET, 353. Thomsen (Maladie de) ( forme fruste avec atrophie musculaire), 15. Tortico
tal (4 phot.), 183. NouuÈs E. et J. SIROL. Maladie de Thomsen à forme fruste avec atrophie musculaire. (3 phot.l, 15.
l (4 phot.), 483. SIROL J, et E. Noguès. Maladie de Thom- sen à forme fruste avec atrophie muscu- laire (3 phot.), 15
91 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
DuFoun en Janvier 1897. L'hémiplégie par lésion cérébrale revêt des formes plus ou moins com- pliquées et l'on peut consid
formes plus ou moins com- pliquées et l'on peut considérer comme la forme la plus simple l'hémiplégie purement motrice da
veau du bulbe avec celui du côté opposé. A côté de cette première forme purement motrice on peut placer une forme plus
A côté de cette première forme purement motrice on peut placer une forme plus complexe dans laquelle des troubles sensitif
iels se joignent aux phénomènes paralytiques, revêtant comme eux la forme hé- miplégique, et comme eux siégeant du côté o
phère cé- rébral droit. Voilà brièvement résumées les principales formes d'hémiplégie obser- vées à la suite d'une lésio
voyons maintenant quelles sont les modifications que subissent ces formes quand la lésion siège au-dessous du cerveau, da
ie, partie directe ou as- cendante de la cérébrale postérieure, qui forme un des côtés de l'hexagone de Willis et si elle
x cérébral, capable de troubler, directement ou indirectement, sous forme de paroxysmes, les fonctions de centres psycho-mo
es. Elle était entourée par une capsule consistante, présentait une forme elliptique, mesurait cinq millimètres dans le sen
Nothnagel arriva en 1879, et qui, telle qu'elle est exposée dans sa forme vague, me semble encore être la plus juste. Mai
ie il n'y a pas une distinction fondamentale entre les deux grandes formes d'épilepsie. Et cette distinction n'existe pas da
and mal toute une gamme de cas in- termédiaires, qui rattachent les formes extrêmes. Mieux encore : tout le monde connaît
on arrive à connaître d'une façon pré- cise le nombre, le siège, la forme et la structure des segments osseux normaux ou
arence plus grande que ceux des autres doigts. La direction et la forme du métacarpien rudimentaire sur lequel ce doigt
rêt de développement ayant complètement bouleversé sa texture et sa forme . La même difficulté se présente pour l'examen d
après lui, un segment osseux recourbé en sens inverse du précédent forme la dent opposée de la pince. Ces deux appendi
Evidemment la notion du relief, l'appréciation par le toucher de la forme des objets ne sont pas le faitd'une sensation sim
r sens stéréognostique, et qui consiste dans l'ap- préciation de la forme des objets; mais c'est là une sensation complexe
teur, etc., dont il a gardé le souvenir ; il apprécie le relief, la forme , la nature de l'objet, 1 Il il le reconnaît, il
elle est formée. Que les ataxiques aient perdu l'appréciation de la forme des objets il n'y a rien là de surprenant, leur
uelles et cependant conserva le souvenir de l'aspect extérieur, des formes et des couleurs des objets vus autrefois. Mais
ques : Un Dentiste qui se trouve dans la galerie de Schwerin, etqui forme pen- dant à l'Opération sur l'oeil dont nous al
UNE OPÉRATION SUR L'OEIL 61 les giboulées, son feutre a pris une forme et une couleur indescriptibles avec des bords f
outes ces mo- difications minimes en soi, mais dont le groupement forme un ensemble très ca- ractéristique, que se comp
GUE ET DE LA COURSE Gï ont une marche spéciale. Les vêtements et la forme des chaussures influent également sur la marche
le ne se déplace qu'à la con- dition d'être poussée en avant. Cette forme de marche tient donc à la fois et de la marche
inaires de la marche est autorisée. Nous avons connaissance dé deux formes de marche sportive entièrement différentes : l'
de de rétention. La vessie apparaît distendue, mais elle n'a pas sa forme habituelle. Elle ne forme pas un globe arrondi, é
apparaît distendue, mais elle n'a pas sa forme habituelle. Elle ne forme pas un globe arrondi, étalé, mais - est princip
e postérieure, champ postéro-externe. Le ter- ritoire sclérosé a la forme d'un triangle à sommet inférieur. (Pl. X, C.) 4
déjà indiqué persiste, mais est un" plus postérieur et affecte une forme plutôt quadrangulaire. (PI. XI, A.) 5° Au nivea
voit encore se continuer avec les fibres postérieures, une zone en forme d'L qui borde le sillon postérieur et la périph
car on trouve souvent des éléments éruptifs de ces deux différentes formes chez les mêmes personnes (Kaposi, Lassar, Neuma
veux de nature orga- 96 A. LINDETREM nique ou fonctionnelle de la forme de névroses fonctionnelles et vaso- motrices.
peau. IL- Un )lOmme de 48 ans,j ni f. - Lichen ruber planus sous la forme de stries composées de petites papules planes a
des et se replient en avant, la voûte palatine ogivale, une dent en forme de défense à la place de la dent gauche incisiv
urait con- servé son intégrité. En effet, si par sa taille et ses formes plastiques il est resté un enfant de six ans, s
n'a pas 70 centimètres de tour de poitrine. Cependant, dévêtu, ses formes plastiques ne sont plus colles d'un en- fant ;
ns sa croissance à partir de la dixième année, et rappelant par ses formes un adulte, tout en restant de taille exiguë et
par de Dusch : La myosite ossifiante progressive. Il créa ainsi une forme morbide, confondue, jusque-là, avec d'autres ossi
nsition que l'on oit- serve entre cette dernière et les différentes formes de la diathèse ossifiante, et il en rapportait
ITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 117 (1885), qui toutes appartiennent aux formes localisées de la myosite ossi- fiante (1). En
e grandes cellules étoilées avec des prolongements de diffé- rentes formes ; beaucoup plus rarement on rencontre des fibres m
; celui-ci prolifère de plus en plus et 1 finalement se rétracte et forme une tumeur fibreuse dure et consistante. DE LA
st très riche en cellules de différentes 122 A. WEIL ET J. NISSIM formes , depuis les cellules fusiformes jusqu'aux grosses
le. Les fibres musculaires sont-elles complètement détruites, il se forme de petites brèches ou des fentes, alors même qu
us avons vu combien ce tissu est riche en éléments cellu- laires de formes variables, il représente lui-même un étal transit
. Sur le squelette, le processus ossifiant affecte généralement la forme de petites saillies pointues, ou arrondies et a
s -muscles qu'elle exerce ses plus grands ravages, c'est là qu'elle forme des grosses masses monstrueuses, tandis que parto
veau des tendons et des aponévroses, elles conservent en général la forme de ces derniers. « Les tumeurs osseuses sont bl
ment, uni- quement par des symptômes locaux très peu marqués. Il se forme en un point du système musculaire une tumeur in
llulaire sous-cutané est lui-même atteint, très oedéma- tié ; il se forme ainsi une tumeur diffuse, sans limites bien préci
une masse molle, caoutchoutée, correspondant à peu près quant à sa forme et à son siège au muscle atteint. Celui-ci montre
ransformés en un morceau d'os ayant les mêmes dimensions et la même forme . Ultérieurement il survient quelques particular
le au milieu des parties molles. Dans le premier cas, elle offre la forme d'une exostose puissante, d'une saillie arrondi
ion longitudinale du squelette ; dans le deuxième, au contraire, la forme de la tumeur n'a rien de particulier. Nous veno
ux fébriles et de signes locaux parfois assez marqués, com- ment se forme la tumeur d'abord pâteuse, presque molle, plus ta
édents la photographie d'une remarquable statuette synthétisant les formes extérieures et les attitudes dans la Maladie de
atine, on sen- (1) F. Raymond, Du myxoedème infantile et des autres formes de myxoedème. Revue internat. de thérapeut, et
on- génital : tout'le corps semble infiltré d'une graisse molle qui forme des bourrelets au niveau des plis cutanés ; 'au
e-même par- ticipe à la boursouflure générale et rappelle, sous une forme plus fruste, l'aspect des idiots myxoedémateux
gurés reproduits autre- fois par Charcot et Paul Richer dans les Di/ formes et malades dans l'Art, ainsi qu'à l'étude que n
ns purulentes ; dans d'autres cas, au contraire, lorsque l'abcès se forme pendant les pauses, il y a des déchirures vascula
osite « chaque fois que je tombe, dit le malade de Skin- ner, il se forme une tumeur » ; « plus je vieillis plus je tombe,
et, sous forme de bourrelet osseux, alors que la myosite ossifiante forme des tumeurs diffuses, sans limites bien précise
et là on constate des masses osseuses qui détruisent l'harmonie des formes . Le pseudo-hypertrophique est un athlète, l'ossif
Hawkins a employé successivement les vésicatoires, le mercure, sous forme de calomel associé à l'opium, et il croit avoir t
s, de sorte que la dépression centrale offre, dans son ensemble, la forme d'un coeur de carte il jouer légè- rement irrég
ouleurs fulgurantes duraient depuis onze ans. (1) DÉJERINE, Sur une forme particulière de maladie de Friedreich avec atroph
est de 3 centimètres. Derrière les hémisphères on voit une fosse à forme rhomboïde dont le fond est recouvert d'une substa
centimètres et de la gauche de 3 centimètres. La couche droite a la forme d'un fer à cheval, l, sa partie horizontale res
formité du ceneau est très considérable. L'aqueduc de Sylvius a une forme très singulière, il est formé de plusieurs canaux
3 et 4). L'aspect des cellules est très varié, tantôt elles ont la forme de demi- lunes, avec plusieurs prolongements, t
tantôt elles sont fusiformes ; d'au- tres fois encore elles ont une forme plus ou moins ronde et parfois leur aspect est
consistaient seulement en noyaux (Fig. 6). Le grand noyau avait une forme ronde. Il n'y avait pas depro- toplasme autour
que l'embryon se développe, la cellule aussi commence à prendre une forme plus définie, ses contours devien- nent plus ac
), mais la cellule est encore loin d'être formée complè- tement, sa forme est encore très bizarre (Fig. 10). La cellule est
r-verlébraux sont déjà tout à fait bien développées ; elles ont une forme régulière, riches en chromatine qui a l'aspect
de 12 centimètres de longueur. La cellule est réduite à un noyau de forme ronde autour duquel on ne distingue pas de pr
t est à terme les cellules sont totale- ment formées, elles ont une forme polygonale et contiennent beaucoup de chromatin
inière se sera établie que les cellules commenceront à prendre leur forme régulière. La chromatine s'accumule alors sous
e d'être en cause, étant donné que dans la symptomatologie de cette forme d'auto-in- loxication figurent précisément la p
e, avec son appareil symptomatique bien connu. Mais à côté de cette forme commune, intégrale, il en existe d'autres : for
s à côté de cette forme commune, intégrale, il en existe d'autres : formes frustes, irrégulières; j'ai eu plusieurs fois l
lusieurs fois l'occasion de vous en montrer des exemples. Parmi ces formes frustes, il en est qui peuvent simuler la symptom
ait, à la rigueur, que nous ayons affaire, chez elle, il une de ces formes irrégulières de sclérose en plaques, mais tel n'e
lles affectent le front, où elles peuvent se pré- senter sous trois formes très distinctes : ie Front proéminent en masse,
de la déviation des pariétaux déjetés en dehors ; Soit, sous une forme plus accentuée, mais plus rare aussi, en ce qu'on
nom, en disant : c'est un crâne qui représente assez exactement la forme des fesses (nates), et cela à deux points de vu
rois fosses ; 3° Sur le trou occipital, tout à fait irrégulier de forme ; 4° Enfin jusque sur les vaisseaux : ainsi, da
que- là avait mis en doute le caractère spécifique attribué à cette forme crânienne) se déclare convaincu ; les quatre bo
itation, un hérédo-syphilitique. L'épaississement des os du crâne, la forme même de ce crâne, la spléno-mégalie, la mort su
London, 1879, XXX, p. 333. 242 EDMOND FOURNIER III. Anomalies DE forme DU crâne. Le crâne peut, d'ensemble, être malfo
signalée dans l'hérédo-syphilis. Est-ce au type exagéré de celle forme , dit scaphocéphalie, que doit être rattaché un
description du crâne en question pour appeler l'attention sur cette forme si particulière et poser le premier jalon de re
n avant de cette dernière bosselure, une dépression très notable en forme de rigole ; - 5° Une bosselure temporale gauche
L'angle postérieur du pariétal gauche est occupé par une lésion de forme ovalaire, grande comme une pièce de cinq francs
l'angle postérieur du pariétal droit ; celle-ci est irrégulière, de forme large comme un noyau d'abricot, et présente le
niveau du gland, et adénopathies cervicales. Dernier accident, sous forme d'une minime érosion labiale, en mai 1870. Co
ier et aplati. 1 Du côté sain au contraire, le condyle interne a sa forme arrondie, sa dispo- sition régulière. La rotule
e de la crête de la face postérieure (ligne oblique du tibia). La forme de l'os est d'ailleurs très différente, ainsi qu'
issement (fig. 1). Alors que le tibia sain offre, si l'on veut, une forme en brioche, déterminée en partie par la saillie
eur, 23 millimètres transversalement, que le canal médullaire a une forme piriforme, le tibia atrophié presque arrondi su
ent arrondi. 1 Le péroné droit offre sur la coupe une tendance la forme quadrangulaire, par émoussement de ses ai-eles.
i sont grêles, moins étendues et réunies à ce niveau par un pli. La forme générale est celle d'un U ouvert en haut. Vu
es par groupes, le plus important est le groupe antéro- externe. La forme arrondie est conservée il droite, mais les dimens
rne atrophiée et de la corne saine, ni dans le vo- lume, ni dans la forme de la cellule, ni dans le développement des prolo
ellement disposées à l'ossification qu'aucun os n'avait conservé sa forme habituelle; ils avaient envoyé de tous côtés de
278 A. WEILL ET J. NISSIM plus ou moins atteints. Le grand dorsal forme une grande plaque osseuse, de- puis son origine
n fessier droit ; il offre de larges et longues aiguilles stalacti- formes . 1 10 Les adducteurs droits jusqu'au milieu de
passage aux vaisseaux nourri- ciers. Dans l'espèce de canal qu'elle forme on trouve un tissu spongieux com- posé de cellu
e,et, chaque fois que l'enfant reçoit un coup, invariablement il se forme un- gonflement semblable, accompagné de douleur
ifié part d'un nodule situé sous le mamelon, traverse l'aisselle et forme une crête dure qui se continue dans le biceps j
trémité inférieure des couturier, semi-tendineux et semi-membraneux forme une tumeur douloureuse. DE LA MYOSITE OSSIFIA
e l'extenseur commun des doigts (Fig. 2). Le biceps brachial gauche forme une masse dure comme de la gutta-percha ; de sa
ectoral. Une lame osseuse, réunie à la clavicule, et une autre sous forme d'arcade, allant se perdre en bas et en arrière v
minuèrent de plus en plus d'épaisseur et finalement apparurent sous forme d'exostoses osseuses (Fig. 5 et 6). A 6 ans, sc
nale; anky- lose complète des deux épaules. Apophyses coracoïdes en forme d'aile d'oiseau. Les clavicules offrent des exo
bras et de la main.Dans le brachial antérieur une masse osseuse sous forme de stylet, longue de 8 centimètres, attirée en
nt jusqu'à la partie moyenne du dos ; la colonne dorsale supérieure forme un segment de circonférence à concavité antérieur
t de la colonne osseuse soudée, par le front et le genou ; le corps forme un arc dont le profil de la table est la corde
s. Le thorax est aplati d'avant en arrière. LE sternum a perdu sa forme et sa position nor- males : la ligue médio-ster
chent beaucoup de la normale ; le bassin n'est pas vicié quant à sa forme générale ; il n'y a en particulier pas d'aplatiss
rochanter gauche est plus volumineux que le droit. La cuisse gauche forme avec le bassin un angle de 150° environ. Tous les
e, il se contracte moins énergiquement. - Nous avons déjà noté la forme globuleuse de la partie inférieure de l'abdomen.
déformation rachidienne ; toute la colonne vertébrale (sauf le cou) forme une tige droite. Ankylose des articulations des
l'indication de plu- sieurs cas que l'on pourrait rapprocher de la forme étudiée ici. Les faits d'anatomie pathologique
A côté de l'atrophie musculaire nous avons mentionné chez Duf... la forme globuleuse du ventre au-dessous de l'ombilic et l
f des reproductions photographi- ques qui en ont été publiées. La forme acquise est en revanche plus rare et beaucoup moi
cellulaire, de tissu conjonctif néo-formé, d'amas de cellules fusi- formes , etc. CES. XIII. (Mac Grégor (A. N.), A 1'ema1'
d alvéolaire du maxillaire inférieur est asymétrique- Le côté droit forme une courbe dont le rayon est plus court qu'à gauc
e semble participer à cette déviation et la ligne médiane du visage forme une courbe à concavité tournée du côté opposé à
nienne médiane, existait une parcelle de cerveau, comparable par sa forme et sa grosseur à un oeuf de pigeon. Dans la fes
l'écorce cérébrale amincie ne prend pas 372 NICOLAS SOLOVTZOFF la forme d'une vésicule à parois fines, tapissant les os d
nasaux ne sont pas soudés entre eux. Ainsi se produit une tumeur de forme irrégulière. Comme exemple de ce genre de monst
ation aplatie et arrondie ; veiitraleiiient se voyait une tumeur de forme irrégulière, qui faisait saillie à l'extérieur pa
ce est une membrane, qui recouvre les os ; plus bas, cette membrane forme un repli infundibuliforme et ga- gne la moelle
lus étendu que précédemment. Vue d'en haut, la partie déformée a la forme d'un ovale, limité sur les côtés par ce qui reste
gi, de sorte que la moelle épi- nière présente dans ces endroits la forme d'un tube aux parois très amin- cies ; il est à
peu de grains de chromatine, qui sont disposés irrégulièrement; la forme des cellules est irrégulière; on voit aussi un ré
elles contiennent des grains de chromatine; ces derniers sont d'une forme irrégulièrc et ne sont pas nombreux; l'aspect e
par certains stades de Fig. 3. - Cellule de la corne antérieure de forme irrégulière contenant des vacuoles (Cas V). 3
s coupes transversales de la moelle épi- nière n'auraient pas eu la forme d'un anneau, mais simplement 'd'une membrane.
u- laire. L'autre se trouve sur le côté gauche ; elle offre la même forme et s'étend de l'aisselle à la ligne scapulaire
étroite plus bas ; la moitié supérieure est en- tièrement fixe, et forme une masse compacte avec les muscles qui entourent
près de la symphyse et s'étend à droite du cartilage cricoïde sous forme d'une corde arrondie et dure. Des angles de cet
de grandes cellules étoilées avec des prolongements de différentes formes , beau- coup plus rarement on rencontre des fibr
fo- génique avec certains accidents causés par la Lèpre (ceux de la forme sclé- rodermique principalement). Cliniquemen
ne sera accomplie que quand la croyance au surnaturel, sous quelque forme que ce soit, aura disparu comme la croyance à l
du grand dentelé est fréquente, plus fréquente, semble-t-il, que la forme pure et isolée. Dans la discussion qui suivit l
e statistique exacte, tou- chant la fréquence comparée des diverses formes de paralysie du grand dentelé. Il n'en reste pa
paralysie du grand dentelé. Il n'en reste pas moins démontré que la forme isolée est rare, et que les formes associées so
n reste pas moins démontré que la forme isolée est rare, et que les formes associées sont fréquentes. Et parmi les formes as
est rare, et que les formes associées sont fréquentes. Et parmi les formes associées, celle que nous avons en vue est la p
; elle nous parait, au point de vue comparatif, plus commune que la forme isolée. Etant donnée la fréquence de la paralys
postérieure du mastoïdo-huméral s'unit au trapèze supérieur dont il forme le faisceau occipito-claviculaire. Quant au trapè
cadre des paralysies du grand dentelé. ` ? ° Le trapèze scapulaire forme un muscle distinct anatomiquement, physiologiqu
plus loin ; elle apparait aussi der- rière l'oreille droite où elle forme une traînée assez considérable allongée dans le
uelques observations de Charcot et Weir-Mitchell de connaître cette forme primitive de dyspnée, qui, parmi celles qui sont
UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 467 s'agirait aolrs d'une forme très bénigne et évoluant tout à fait comme une
pé aux dépens de la somatoplèvre s'ossifie, que ce tissu conjonctif forme la charpente de la musculature striéeou se calc
e par- ticulier ; 7° Le début de la maladie se présente sous deux formes distinctes, il -1 est aigu avec léger mouvement
;HtLcar<)))pC ? h)s lard autour de ce dernier toute une série de formes el de variétés se- (,olldaircs ? Ce procédé lui
de trêve que le jour où il par- vient il traduire ses idées sous la forme d'un schéma, ce fameux schéma qu'ont reproduit
tâche considérable. de décrire et, de repré- senter l'aiialomie des formes extérieures de l'homme sain. Mais Nicher est au
il très haut l'importance qu'il y a pour le médecin il connaître la forme corporelle el la nécessité d'éludier le au vivant
nsciemment évoqués et qui, SpOI1- tanément, se matérialisaient sous forme d'images plus ou moins précises. Les plus nombr
re connues aujourd'hui. le 1111-ce que pour faire entrevoir une des formes les plus curieuses de l'esprit d'observation do
lardacée en coup de sabre de la région frontale, crises épilepti- formes concomitantes, par Louis SPILL- I.\ : 'i : ; (1
92 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du corps. Ce n'est que la joue droite,, le front et une partie en forme de raie longeant la face postérieure des deux c
préliminaire de l'anesthésie dans un seul membre et ensuite sous forme d'hémithermanesthésie est très caractéristique ;
L'AXE CÉRÉBRO-SPINAL. 41 à l'écorce cérébrale dans les différentes formes d'apltasie : l'aphé- mie (I), l'agraphie (II),
e suscite encore cette localisation. La localisation des diverses formes de l'aphasie' est aujour- d'hui presque complèt
s, 1887, T. III, p. 152. Bernard. De l'aphasie et de ses di- verses formes . Th. Paris, 1885. G. Ballet. Du langage iiit., et
ogr. Méd. i fév. 1888; Pierre Marie), et ces définitions des quatre formes d'aphasie : 1° l'aphé- mie, ou amnésie verbale
harcot), que l'on place la localisation corticale de la qua- trième forme d'aphasie, au niveau de la partie moyenne de la
lation mélatarso-phalan- gienne du premier orteil, une ulcération à forme ovalaire, large environ comme une pièce de deux
ées physiologiques déterminées, par quoi peut se carac- tériser une forme morbide ? nous ne voyons guère que l'évo- lutio
ans tel cas donné au point de vue de l'origine de la maladie, de la forme particulière qu'elle pourra revêtir et de la ma
dégénérescence en général. Quant à l'hystérie qui, surtout dans ses formes délirantes, peut se rapprocher et même se class
ses malades et ses observations l'ont en somme amené à décrire une forme de catatonie hystérique (sixième type de l'hysl
ut le monde admet bien la possibilité de la stupeur dans toutes les formes mentales : mais ceux-ci s'en tiennent là, ceux-
mes mentales : mais ceux-ci s'en tiennent là, ceux-là décrivent une forme spéciale de stupeur. Parmi ces derniers, les un
n argument pour la stupeur, il faut l'étendre à toutes les autres formes vésaniques. Le second point sur lequel insiste
ils ne sont que des symptômes se présentant dans presque toutes les formes psychopathiques, et que, lorsqu'ils se montrent
ment pas un ensemble régulier soit dans leur marche, soit dans leur forme ou même dans leurs caractères intrinsèques s'il
e ou même dans leurs caractères intrinsèques s'il s'agit d'une même forme . Aussi terminerons-nous cette étude en disant q
telle est la nouvelle dénomination proposée par M. Guinon. Dans sa forme bénigne cette maladie n'est caractérisée que pa
elleux et des cordons de Goll sont ascendantes. Le diagnostic de la forme qui nous occupe ici est encore impossible penda
pyramides dans la moelle allongée; un tractus de dégénérescence, de forme arrondie, dans REVUE DE pathologie mentale. 78
. 78 la colonne latérale gauche; un tractus analogue, mais cunéi- forme dans la colonne droite. OBS. Vil. Lésion médull
ersiste, la systématisation s'effectue et le délire demeure sous la forme de délire de persécution (OBs. III, IV), toujours
es symptômes liés à la cognition, et peuvent être rapportés à cette forme de trouble mental que l'on désigne habituelleme
exempts de toute maladie. 2° Il existe plusieurs variétés de cette forme de folie ; mais on peut dire d'une façon généra
soustraits au contrôle de celui qui les commettait. Il n'est aucune forme de folie où il SOCIÉTÉS SAVANTES. 81 soit aus
orizontal. Or, d'après les tableaux donnés par M. Topinard, ce plan forme , au-dessous du plan horizontal' de Broca, un angl
de malades ayant été affectés d'atrophie musculaire progressive ( formes musculaires), l'orateur décrit en détail un cas d
uës simples. Ce sont les auteurs français qui ont mis en relief les formes de l'atrophie musculaire simple consécutive aux
crâne et celui du cerveau s'influencent réciproquement, et que la forme du crâne, notamment la forme pathologique est d'o
'influencent réciproquement, et que la forme du crâne, notamment la forme pathologique est d'ordinaire la résultante de p
eur se compose uniquement du corps strié qui contient un noyau en forme de calotte sphérique. Ce noyau fournit, chez les
re la dupe des appa- rences, n'est-ce pas trop sacrifier aux seules formes , que d'aller, après la décision du seul tribuna
T. ladie si obscure et souvent si bizarre, de ce Protée aux mille formes qui déroute si souvent l'eeil le plus perspicace
étents pour les confirmer ? Dans une matière où la simplicité des formes est d'autant plus nécessaire et d'autant plus e
doive éton- ner. L'auteur donne avec ces observations un résumé des formes frustes dont les éléments sont puisés dans le t
ues spé- ciaux. L'amnésie toxique est précédée d'hypermnésie, a une forme progressive et s'arrête lorsque l'intoxication
II. Contribution à l'étude de la maladie de Parkinson. (De quelques formes anormales); par LACOSTE. Th., Paris, 1887. M. C
rkinson s'écartant du type classique; c'est à la description de ces formes qu'est consacré la thèse de M. Lacoste, qui con
cas de l'évolution de la maladie et de l'absence de paralysie. Une forme très particulière est constituée par la maladie d
pré- ? ncmvFS, t. XVI. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE. sente plusieurs formes morbides dont chacune se ma- nifeste cliniqueme
es. accidents et qui constituent un nombre vraiment considérable de formes multiples et variées, était tout à faire. On de
n- semble de l'anatomie pathologique, expliquer . les différentes formes cliniques qui seront décrites par nous, en d'au
spinal, les accidents nerveux se présentent cliniquement sous des formes multiples et très variées qui doivent être divi-
riées qui doivent être divi- sées en trois grandes catégories : A), Formes spinales; B), Formes cérébrales, et C), Formes
divi- sées en trois grandes catégories : A), Formes spinales; B), Formes cérébrales, et C), Formes cérébro-spinales. A.
des catégories : A), Formes spinales; B), Formes cérébrales, et C), Formes cérébro-spinales. A. Formes spinales. Nos obser
spinales. Nos observations nous autorisent à distinguer différentes formes spinales, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHA
t déterminée par des caractères cli- niques spéciaux. Aucune de ces formes ne peut rentrer dans une maladie quelconque con
es nuances cliniques spéciales donnent un cachet d'originalité. Ces formes spinales sont : a). La forme centrale spinale l
donnent un cachet d'originalité. Ces formes spinales sont : a). La forme centrale spinale latérale ; b). La forme centra
s spinales sont : a). La forme centrale spinale latérale ; b). La forme centrale spinale postéro-latérale ; -- c). La for
térale ; b). La forme centrale spinale postéro-latérale ; -- c). La forme centrale spinale postérieure ; d). La forme spi
ro-latérale ; -- c). La forme centrale spinale postérieure ; d). La forme spinale postérieure ; e). La forme spinale para
ale spinale postérieure ; d). La forme spinale postérieure ; e). La forme spinale paralytique /ra ? - sitoire ; f). La fo
érieure ; e). La forme spinale paralytique /ra ? - sitoire ; f). La forme unilatérale (spinale). De cette dernière forme
- sitoire ; f). La forme unilatérale (spinale). De cette dernière forme spinale nous distinguons deux variétés, suivant
litique, ce sont : la variété intramyélitique ou intraspinale de la forme unilatérale, et la variété extramyélitique ou e
inale. Passons maintenant à l'élude successive de ces différentes formes , en commençant par la description de celle qui
ption de celle qui est de beaucoup la plus fréquente, à savoir la forme centrale spinale latérale. A. FORME CENTRALE SP
d'une sensation de chaleur à la nuque qui bientôt après se trans- forme en une constriction que le malade compare à quelq
pour constituer les grandes lignes de l'histoire clinique de notre forme spinale centrale latérale. , On peut facileme
te un coup d'oeil sur le tableau suivant que l'explosion de cette forme d'accidents spinaux a lieu tantôt immédiatement
devons diviser en trois grandes catégories les symptômes de cette forme : 1° les symptômes de début qu'on peut à juste
tères cliniques spéciaux de cette aphasie, que nous décrirons comme forme spéciale d'accidents *cérébraux; on peut l'appe
extrémités, il y a des ! endroits ou des régions qui peuvent avoir la forme ; de taches ou de raies longitudinales, occupan
ôtres n'en présentent pas l'anesthésie peut se manifester sous la forme habituelle qu'elle a dans les affections de la
ré consi- dérable : elles sont surtout nettement accusées dans la forme hémianesthétique. Plus rarement, il y a DE LA G
riétal supérieur au lobe occipital. La scissure interpariétale, qui forme en arrière de la pariétale ascendante une sciss
supérieur au lobule occipital. La scissure perpendiculaire externe forme , en arrière de la pariétale ascendante, une sciss
ascendante par deux plis de passage à niveau, atrophiés, vernzi- formes ; elle est complètement atrophiée, vermiforme, da
ntimètre carré qui présente toutefois une couleur un peu ocreuse et forme son extrémité postérieure. Le pli pariétal infé
ique antérieur et un pos- térieur ; la scissure sous-pariétale a la forme d'un -1. La scissure perpendiculaire interne es
ste pour l'heure actuelle dans l'inconnu. Le sommet du triangle que forme sur 1 Brissaud. Th. Paris,, 1880. Loc. cit. °
tte ligure, on peut se rendre compte d'une façon très précise de la forme en pyramide que prend dans son ensemble le fais
4" groupe. Amyotrophies d'origine myopathique représentées par les formes : -. lo Forme infantile de l'atrophie musculair
rophies d'origine myopathique représentées par les formes : -. lo Forme infantile de l'atrophie musculaire progressive de
essive de Duchenne ou type facial de MM. Landouzy et Dejérine. 2° Forme juvénile d'Erb. 3° Type paralysie pseudo-hypert
rcot) ; Myorite interstitielle li- pomateuse de M. Lancereaux. 4° Forme héréditaire de Leyden-Mobins ou type des membres
duire à cette zone corticale, Dans la moelle, le faisceau sensitif forme dans sa totalité le cordon postérieur (PL. II,
t. II, 1885. Leçon I) établit dans la sclé- rose postérieure «deux formes bien distinctes, lesquelles peuvent se montrer
ouble, dans lequel il est impossible de distinguer le noyau; leur forme est arrondie; elles sont complètement dépourvues
t conservé et se présente avec des contours bien tranchés, par leur forme arrondie, résultant de l'absence à peu près com
de illcczulcczer (malgré la len- teur de la réaction pupillaire), à forme aiguë, complète ou presque complète. La rigidit
à la Société de continuer la discussion par l'étude des différentes formes de la mélancolie. MARCEL Briand. 28G SOCIÉTÉS S
otisme chez les aliénés, M. Bins- wanger est parvenu à produire des formes d'hypnotisme abortif très originales, consistan
tion, violence, loquacité) impose la séquestration. 11 n'est qu'une forme de manie pour laquelle la sortie soit possible :
ETES SAVANTES. le malade le souvenir de son délire. àl. Hertz ; Les formes al- ternes rentrent dans les catégories de AI.
nce du 15 décembre 1886'. - Présidence de AI. LOEHR. M. GocK. D'une forme rare de névrose vasculaire de la peau. La premi
e la Prusse, en 1885, j'ai développé mes opinions en détail, sur la forme con- venable à donner à la surveillance des asi
utte d'acide acétique. Il y a diacéturie quand le perchlorurede fer forme dans l'urineune coloration rougeâtre qui pâlit pa
u : , Ch. IIsmsser, mp. -- 56. Catsaras, Tableau I. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE LATÉRALE Vol. XVI. Novembre 18
érable d'années, elle est en proie à un dé- lire de persécution qui forme aujourd'hui tout un système. Son vocabulaire sp
on délire aura la marche et la durée justement en rapport avec la forme du délire qu'il aura créée. Si le délire du ma-
des différents symp- tômes qui peuvent constituer le début de cette forme spinale, on est certainement frappé aussi bien
es du groupe gastrique, annoncent en même temps l'invasion de cette forme . DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 34
rents malades qui ont servi de sujets pour la constitution de cette forme morbide d'accidents spinaux a mis en évidence :
pes de symptômes qui peuvent figurer au tableau clinique de notre forme ; B), des cortèges symptomatiques négatifs, à s
s jouer de rôle dans la représentation de la scène morbide de cette forme . A). Symptômes positifs. Les divers symptômes
ut, et par cela même il devient le caractère fonda- mental de cette forme . Presque toutes, pour ne pas dire toutes les pa
ladie, deviennent moins constants à une étape ulté- rieure de cette forme . En effet, à cette époque, la moitié de nos obs
ion motrice et l'absence des réflexes font absolument défaut à la forme centrale spinale latérale de la patho- logie dé
ssi bien de la multiplicité que de la variabilité du début de cette forme ; en d'autres termes, son début est éminemment p
pres- que uniforme pour tous les cas. Précisons davantage : cette forme peut être inaugurée par les symptômes les plus
lexus clinique toujours identique, à savoir troubles moteurs sous forme de paralysie, troubles de la sensibilité sous A
sensibilité sous AIICIIIVES, t. XVI. 21 370 CLINIQUE NERVEUSE. forme d'anesthésie et troubles de la vessie et du rec-
me à la fois constant et fondamental de l'étape ultérieure de cette forme . Voilà l'aboutissant par excellence de la forme
ultérieure de cette forme. Voilà l'aboutissant par excellence de la forme centrale spi- nale latérale, de beaucoup la plu
presque jamais pro- gressive, ces caractères, dis-je, donnent notre forme centrale spinale latérale un cachet clinique to
ntre dans aucune maladie con- nue du système nerveux central. 13. Forme centrale spinale l'0511'sn0-LAllin.lLC. OusHRVA
pation était combattue par Jespurgatifs. Le 10 juin, une escarre se forme à la région sacrée, très étendue, accompagnée d
ayer d'esquisser les grandes lignes de l'histoire clinique de notre forme centrale spinale postéro-latérale. Ici encore,
orme centrale spinale postéro-latérale. Ici encore, comme pour la forme que nous venons de décrire, l'explo- sion de ce
pour la forme que nous venons de décrire, l'explo- sion de cette forme d'accidents spéciaux, tantôt se fait sans aucun
au clinicien, presque sous les mêmes allures cliniques que dans la forme centrale spinale latérale. En effet, les symptô
tômes respiratoires. Ce syn- drome est largement représenté dans la forme que nous décrivons, car nous le rencontrons tro
rents symptômes qui peuvent constituer la période du début de cette forme , nous fait clairement voir leur extrême variabi
ions. 3). L'épendyme du canal central normal s'hyper- plasie sous forme d'une tumeur plus limitée et solide; dans ces c
re plus diffuse et pénètre entre les éléments nerveux. Dans cette forme se produit le plus souvent la dégénéres- cence
s'agir ici de tumeur rigoureusement parlant. Schultze appelle cette forme gliose de la moelle épinière, mais ordinairemen
plastiques de 398 PATHOLOGIE NERVEUSE l'épendyme plus limitées de forme et de structure, comme nous l'avons vu dans le
employons la dénomination gé- nérale de gliomatose pour toutes ces formes . - Comme on le voit,-sur trois.cas de Schultze,
orrespondant pas rigoureusement parlant au ta- bleau clinique de la forme analysée ici la mort est survenue par suite de
la vraie cause de son développement est incon- nue. Dans d'autres formes de la gliomatose de la moelle épinière et de sy
E LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 409 tral ou de l'épendyme. Mais dans la forme qui nous occupe les anomalies embryologiques se
articularités de localisation eût été en tout identique à celui qui forme la base du groupe de cas étudiés par nous. D'au
s les cas de localisation bilatérale; dans la thermanes- thésie à forme hémiplégique, ou avec la zone therma- nesthétiq
ésie) à localisation caractéristique (moitié supérieure du corps, forme hémiplégique, disposition par région, etc.) man
s d'une démonstration relative à l'origine de ces accès épilepti- formes dans le cervelet lésé; bien au contraire, les att
<<oSte.'Sclérose en plaques spinu- bulbo-protubérautielle, à forme diffuse dans le bulbe et la protu- bérance. Par
nce nous apprend-elle que la syphilis céré- orale puisse revêtir la forme d'une psychose à évolution précisée et nettemen
ura une portée que n'auront pas les vaines in- vestigations de pure forme avec les inconvénients de la publicité de la ch
de Gavardie. Messieurs, je ne reprendrai pas la discussion sous une forme détournée ; cela en vaudrait cependant la peine ;
proté- ger. Vous organisez un semblant de justice ; ce sera pour la forme qu'on se présentera devant la chambre du consei
stologique de la sclérose en plaques et du tabes. Les principales formes cliniques qui expriment cette altération de la
a branche horizontale antérieure de la scissure de Sylvius. Elle se forme par dédoublement du second étage frontal primitif
rbitaire. En s'y réunissant en un point de convergence commun, elle forme te p6lc fro>zGul,situé à l'extrémité postéri
qu'on y trouve, car l'auteur ne s'est pas borné à nous parler des formes que la folie affecte chez les enfants, mais aussi
tion artifi- cielle dans l'tclampsie puerpérale. Le Etude sur les formes cliniques de la paralysie saturnine. Dupain : Elu
l'élude de la · VARIA. 487 chorée rythmée. Jleloir : Etude sur la forme épileptique de la 17.éniiigite tuberculeuse de
ntribution à l'élude du strophantus. 13oisvert : Etude clinique des formes atténuées de la paralysie alcoolique. Concour
Ch. lial,issuv, imp. - 1188. CATSARAS. Tableau II. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRO-LATÉRALE.
93 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
actères classiques du syphilome. Nous connaissons actuellement deux formes de myélites, ou plutôt de méningo-myélites syph
eaucoup plus considérable. La preuve qu'il n'y a pas entre ces deux formes des différences fondamentales, est dans ce fait
our former des myélites à la fois gommeuses et diffuses. C'est la forme diffuse que MM. Gilbert et Lion désignent sous
, et c'est ainsi que se forment, suivant toute vrai- semblance, les formes scléreuses et seléro-gomineuses. Enfin lorsque
face supérieure du cervelet. Cet épanchement, de couleur rougeâtre, forme un caillot qui mesure environ un centimètre et
roi; le sang filtre 1 travers les éléments embryonnaires altérés et forme l'hémorrhagie méningée de la base, au milieu de
n d'eux porte sur sa convexité une cicatrice qui a sur la coupe une forme triangulaire et. qui va jusqu'au bas- sinet. L'
sur les coupes colorées par la méthode de Pal. La zone malade a une forme triangulaire : elle est limitée en avant et en
st beaucoup plus facile de diagnostiquer, la lésion qui produit une forme spéciale d'aphasie que de déterminer lat lésion
auteurs qui aient cherché faire une classification plus précise des formes de l'idiotie ,avaient mis, implicitement en que
e, ce fait en' évidence. Le premier, en effet,' rattache toutes ces formes à une lésion' spéciale du cerveau. Il ressort d
Elle rentre dans le cadre des psychopathies dégénératives, où^elle forme , un type àpart. (.6<<i .m ' n ,J.\<s«
o/'M ! S6[y, 1893.) E. 1)'. VIII. UN cas DE FOLIE POST-CHOLÉRIQUE A forme DE confusion mentale - . PRIVI1T1'IE; par le D'
> ? M ? i 1 ab a fil B. IX. La folie A DEUX,'< ses . diverses formes cliniques; ti i-itun : 'tpar le Dr L. Z ? ') b
,,uo>ti-'ii' ,Au point de, vue clinique on peut considérer trois formes de folie à deux : 'Ti.ip ,9 i° La folie impos
1.) @l -t) i . C ,. BUlti-'iq " »A3l. '< .-l*n. ? Ç;est dans cette forme que la séparation des deux- malades, s'im- pose
.<> n ? 3r .n» 1 .. ? I.â cômJnunication va toujours/dans cette, forme , jusqu'à l'alié- nation confirmée ? comme dans
e second malade ; du reste, ces deux types sont rapprochés par, des formes intermédiaires. Dans le développement de toutes
par, des formes intermédiaires. Dans le développement de toutes les formes de folie à deux, ou retrouve'trois conditions c
ntiment'<est : des plus, complexes, et avec la civilisation, ses formes multiples sont devenues infiniment variées. Tou
ne liypei, ou hypoactivité de la fonc- tison respiratoire. Dans les formes dépressives,;lorsqu'à la diminu- tion de l'acti
la force de terme, car jamais non plus il n'a pris son poison sous forme du solution. ( ., f" ·, ^;,v1 ? Mlt)J ! ^ ? z ?
ractères particuliers invoqués par les partisans' de cette dernière forme il ressort que* ni- les' symptômes, ni la'marche,
rmé, ne produit pas la paralysie générale vraie, mais seulement une forme fruste de la méningo-encéphalite, une pseudo-pa
existe des rémissions plus ou moins complètes dans cette dernière forme ; d'autre part, la pseudo-paralysie alcoolique peu
paralysie générale vraie. ' Le mémoire de M. Vallon donne sous une forme concise et claire l'exposé critique d'une quest
réfringente, '4 non'' granuleuse ? à'peine'colorée par l'éosine, forme 'des pansions ou plutôt' des renflements multiple
s bizarre et donnant au'corps cellulaire uë .1 apparence coiolli- forme . 1 1 .rnn,, ,nfrl ·f ? Le tissu composant les f
à la structure normale du nerf, chez les solipèdes, l'ensemble des formes mésoneuriales qu'il a décrites. Mais on rencont
odule (PL. L fig. 11; PL. ll,flg. 19),lequel apparaît alors sous la forme d'un' petit bloc isolé (PL. II, fig. 18) sembla
inales, il présente au contraire une configura-, tion fusiforme. La forme du fuseau reste géométriquement imparfaite en c
contrent dans l'intérieur même du faisceau ; ils affectent alors la forme d'ilôts accolés à ces grandes cloisons dont la
hé- liale (l. I, fig. 8, ii; PL. II, fig. z18, c); d'autres fois il forme . presque à lui seul toute la masse du nodule (P
,« ? En-plus. du schéma que'je'.viens de décrire; il existe des ? formes aberrantes assez nombreuses mais ! ressortissant
centriques, on retrouve lès noyaùx3déjà;mentionnés. Cette,dernière. forme , qui. ne s'est montrée que, rarement dans mes;
d'un foyer, unilobulaire et, que la structure du nodule répond à la forme bulbeuse de Langhans. Sur le,trajet des trabécu
rement un épaississement scléreux de l'adventice. Telles sont les formes que l'on peut rapporter au premier type, lequel
iphériques ; on les~voit au contraire s'élargir tout en prenant une forme plus circulaire à mesure qu'elles pénètrent dan
système tubulaire car d'une'coupe à l'autre on lës'voit changer'de forme et dispa- raître. ? ^ ! R,l 'n° ' -u ? "" >l
s à classer dans l'un quelconque dé*ces groupes. Je veux parler des formes intermédiaires et des, formes composites., 0 '
ue dé*ces groupes. Je veux parler des formes intermédiaires et des, formes composites., 0 ' jn^ji») ? o '«..13 Parmi les p
réalisés par ces diffé- rentes, combinaisons,, il est cependant des formes décrites pad'autresjmteur ? que je^ai jamais ob
rangées concentriquement autour de lui. Voici, au surplus, sous une forme abrégée, la description qu'ils en donnent. Sur
es remplissant éventuellement l'office de corps central, ni avec la forme ordinairement noduleuse des foyers mésoneu- rit
rcevra que leurs « aires claires » s'écartent très sensiblement des formes habituelles. Plusieurs d'entre elles sont si la
noduleux, dérive bien certainement du système mésoneurial. Sous sa forme la plus simple, telle qu'elle se montre chez l'
rmal par l'hétérogénéité de leurs nodules et l'irrégularité de leur forme . Il se produit enfin, dans certaines circonstan
de sa régularité paradigmique, on le voit donner naissance à des formes tourmentées, inégales, hétérogènes qui présentent
e : les nerfs des solipèdes, par exemple, où l'appareil nbro-hyalin forme un véritable manchon autour du faisceau nerveux
cher le pourquoi de cette curieuse localisation, il est plus con- forme aux principes de la biologie moderne de se demand
s foyers du mésonèvre primitifs ou secondaires- affectent-ils telle forme plutôt que telle autre, c'est là une question à
e considérée comme indifférente, car j'ai trouvé chez mon chien des formes identiques à celles que Trzebinski a rencon- tr
1° L'hyperplasie mésoneuriale accidentelle se manifeste sous deux formes typiques : la forme noduleuse et la forme lamel
soneuriale accidentelle se manifeste sous deux formes typiques : la forme noduleuse et la forme lamelleuse'. ? '[·t ? . "
e se manifeste sous deux formes typiques : la forme noduleuse et la forme lamelleuse'. ? '[·t ? . "'<" j La preinièr
plaslique. LA MÉSONEURITE NODULEUSE. 109 2" Indépendamment de ces formes bien tranchées, il s'en rencontre d'autres à ca
surtout au voisinage du faisceau nerveux (g), représentant une des formes diffuses du tissu mésoneurial. En f, des cellul
useau composite. La comparaison des trois images met en évidence la forme noduleuse des foyers mésoneuritiques élémentaires
ssement' générale a^t''c La sensibilité est revenue dans toutes ses formes aux membres inférieurs : elle a môme été rempla
s à des lésions'de iacines situées trcs bas dans la moelle, j- sous forme d'un triangle' étroit' dont sa pbinté'atteint pou
étudie à une certaine distance du foyer de sclérose, affectent une, forme étoilée. Ces corps ressemblent un peu à une cel
pATHULOHIE NERVEUSE.Ra 31UT3 Jrpoint malade; ces-corps prennent une forme plus ou moins 'arrondie i- et se foncent beauco
m,v'inr .·. W · or it. y F· 0,mais, ainsi qu'on là"nsàit,"éettég forme "est 5 fréqueîité° ôlié`z` la ' ,.lemme; sur^ce
si qu'on l'observe quelquefois ; la paralysie générale affectait la forme de Requin ; l'évolution avait été très rapide.
fait que le faisceau pyrami- - dal direct n'est pas atteint ; et la forme de la moelle ne permet 'pas de supposer que l'e
encéphale ; dans ce cas, il sepeut que ces altérations affectent la forme gommeuse et permettent de juger la nature du pr
ucun épisode intéressant à signaler ;' le malade reste figé'dans la forme pre- mière tant au point' de.1 vue ' des phénom
s les récidives ont'd'ailleurs guéri à une seule exception près. La forme de la récidive est fréquemment la même que celle
s mortels ? Les guérisons dépassent 50 p. 100; elles concernent des formes qui rappellent le délire d'inanition et revêten
quilibre instable dans les fonctions psycho-cérébrales ? .Quant aux formes morbides, la psychopathie maniaque arrive à la
urasthéniques, (mélancolie hypochondrie); un peu moins bon pour les formes rangées sous la/ rubrique délire d'inanition;'
r, péniblement, au milieu delà misère physiologique sous toutes ses formes . (Annales médico- psychologiques, 1893.)"' "' '
descriptions bien des lacunes et des contradictions surtout dans sa forme bulbane. On ignore aussi pourquoi, en maints ca
mages commémoratives optiques ou sérieusement acquises tant pour la forme que pour la couleur et n'a plus la faculté d'en
à fournir une ample ma- tière à son délire, et va nous expliquer la forme toute spéciale de ses idées ambitieuses. Mentio
de la folie du doute, qui n'est, comme l'a établi M. Magnan, qu'une forme d'obsession. Ici il nous suffira de citer, pour
profonde, deux petites tumeurs voisines l'une de l'autre, ayant la forme de disques, de lentilles. La plus volumineuse a
ssus. Là,ria substance cor- ticale est absolument'désorganisée/elle forme un véritable pytri- la-e de couleur brun rougeâ
évident qu'il's'agit/ dans tous'ces cas, ,(d'une seule. et : même : forme ; morbide ? diversrstades de dévelop- - piment.
anatomique - les.» parésiesjspasmodiques., Parfois. elle, revêt; la forme de sclérose latérale amyotrophique, ence casle di
: z ' '; ? a' ".ai <n ? 9p tftBL ? W2^ 'T.3 ? n ) 1 XL. D'une forme particulière DE paresthésie des extrémités z (.
yeux, tantôt apparaît en,deux temps, se- manifestant. d'abord sous forme d'hé- miopie homonyme d'un côté, à laquelle; pl
vroses fonctionnelles irradiées.' Entre ces deux groupes il y a'des formes intermédiaires ayant pour'symptt5mescummuns : l
qu'au moindre choc, péri- phérique ou émotif, l'angoisse revêt une forme concrète (halluci- nations sensorielles). Le mo
un trousseau latéral qui convergent vers le centre du corps cupuli- forme de Flechsig d'où ils repartent. Le trousseau laté
> , t · l(T(b R91tül -, ' ) ? t If 5l, .. ,.t'r ? W · XXV. Des formes atypiques de la GLIOSE spinale; par H. OPPENHEIM.
élie. S'agit-il là d'un tabes com- biné à la syringomyélie ou d'une forme spéciale de la syringomyélie qui, prolongée dan
s in utéro ou peu de'.temps aprèsila naissance ! 8° Ses différentes formes (figures) peuvent être classées en deux, genres
assées en deux, genres; -renflement étroit,t renfle- ment large. La forme étroite est un peuiplustfréquente, la forme lar
renfle- ment large. La forme étroite est un peuiplustfréquente, la forme large se (montre plutôt dans les palais plats.
ur,, anticonvuisivant, que, l'oti connaisse. II tl réussit dans les formes e 1 ieux éncôre,dârïs lés,aiguës. Il n'y a guère
on générale, obtenue dans tous les cas., Il réussit surtout dans la forme psychopathique reposant sur un fonds d'épuiseme
T) r f. rt1-+ m. VI. LE TRAITEMENT PAR L'ÉLECTRICITÉ . DE CERTAINES FORMES , DETNEU- ASTHéNIE; par M. F°'R.oBiNsoN''H.-D.&
rr1893.) -$"Nrp.-fe. isfeq , -ifUï"ff 1/ L'auteur surtout dans, les formes cérébrales,de la neurasthénie préconisé le trai
t été divisées en trois grandes classes et une quatrième classes se forme actuelle- ment. 37ela 3M ? 1 ! UH Les cas de
ports de ces altérations avec la capsule interne et à en marquer la forme et l'extedsion sur les schémas ad hoc. Si au co
Folie ? L'hallucination de la vue'në s'observe pas dans toutes les formes d'aliénation mentale.' Fréquente et habituelle
a détona- tion, la porte s'ouvré, et Dieu lui-même apparaît sous la forme d'un beau vieillard entouré de lumière; il s'ap
phénomènes pathologiqqqs8pU ? ouy ' lexes, -dont l'hallucination forme le fond- .8 711 ? 9b >lvl . mofrl Irb A'rrE,
rii,^lji lii.ijn' », · n ·v.v ? i ? «iii- jsia»> on ». tance, ni forme ,, ni contour,' ni, voix,- ni rien, gui puisse ren
caca sur les' lésions * cérébrales qu'occasionnents les diverses9 ! formes ? de l'idiotie. QoVoilà;;entrésumé;dit-il,IlesL
aleur curative importante à la craniectomie dans : la plu- ? part des formes de l'idiotie, nous avons dit que l'idiotie d'orig
surtout est trans- W I` ! r 1 ? t'r) ft'n.-t.) ? F; In 1 f1 r f . forme : I enfant pleure comme un être humain ( ? ! ). P
l° I : ér40;'jicini893; D ? prâtiqilâùrië`seçônde·craniectomie en forme d'L* a'dr61të'd) ? sihus'longitudinal ;3,le-;péri
autres catégories de malades, mais qu'il sera en outre exposé à une forme grave d'alcoolisme cérébral avec démence précoc
"0-. . J <t. ' - ' dans la., proporlion dey53.po Lr,T 100,3d une forme ^mélancolique, mélancolie simple, ou hallucinato
nt les plus.fréquents. La , lobe puerpérale, lorsqu'elle,, prend la forme , d excitation maniaque, est d'un pronostic défa
l'automatisme, psychologique, assez fréquemment observé dans des formes vésaniquesàltype de confusion mentale. G. DE1 ? ,
à la fi)lie systéiiialiqzic, ii2,coliéi,eiîte,ou t dissociative, , forme , qu'il y a lieu ? de distinguer,, de, la folie
hauteur d'une psychopa- thie bien délimitée, car, enlre chacune des formes de la folie systé- matique il y a de nombreuses
trois directions principales de la-maladie.- 11 y a duireste- desf formes mixtes surtout entre la folie systématique hall
a manie, la démence aiguë d'autre part; on rencontre'une série'de formes , de transitions dont on pourrait constituer le sc
e ou dea'manie, suivent presque immédiatement la pyrexie ; que' les formes dépressives et méiancoHques sont'notabte- 'ment
-11 £ 5JI1.6lipffib à jyniv nh s-ibomq fil .93* 9°'Existe-t-il une' forme de folie provoquée par linfluenza, qucne s'obse
ymruJ-tyqt ? arl gb ylo ? 9 4'A 'quel traitement lès 'différentes " formes de psyc/tOSM'pos<-9 ? 'tpp( : M. Ces traitemen
version de la'race malaise pour l'alcool, sous n'im- t porte'quelle forme ,' exclut ici' toute- explication étiôlo; : ique'r
ulue, à des émotions et-à des- chagrins, qui éveillent'en'iui celte forme spéciale de fureur homi- cide, le Malais devien
outir à l'affaiblissement, relatif des facultés, il existe d'autres formes ,intéressantes à discuter ici. Nous, rencontrons
;4r*U Ju .ln,Ut1 eY - En tout cas, loin de guérir rapidement, cette forme morbide marche toujours vers la chronicité. ! D
irôniqué'hâbitilêl;rôripènt rencontrer des 1 1 #li- ^ ^rn. -. ? ? formes pour ainsi dire'' galopantes' encore insuffisamme
nob '1 -mip-iu'. 1. Sur la munie de collectionner dans les diverses formes psychopa- thiques; par le D'' A)IIG.17.ZI1\I-(I
veau du centre moteur du langage et des centres mastica- teurs, les formes variées des divers accès délirants qui vinrent
et réactions carac- téristiques. Bouffées secondaires épisodiques à forme mélancolique : (auto - accusation ; idées de su
».' - - Dans le courant du mois d'août, cette bouffée épisodique à forme mélancolique' se dissipe; les idées'de persécut
rtant/ dans -la genèse d'unsdélire de persécution et de réactions à forme mélancolique et enfin de la variété d'as- pect
rfr;(| t hi -^ Gilbert Ballet. Le langage intérieur et les diverses formes de l'aplia- sie.'t2* étlit. Ilai@ii 1888; p : 4
( : t ^..j.j SUR UN CAS D'FIALLUCINATIONST\IOTR1CES VERBALES. 347 formes ? aùtopsieÏ : ' semis de tubercules'au'niveau'dés
x ? Conlribul.à'1 l'étude de' la tuberculose' méningée de l'adulte, forme tétanique. Trismus d'origine cérébrale'. (Révt(è'
s très particulières : nous voulons parler de véritables bouffées à forme mélancolique, qui venaient se greffer- sur les
asiesenparticulier; 3° parce qu'on la' trouve dans les différentes. formes de l'aliénation mentale, soit que sa presm nce
e est plus fréquente dans.la paralysie âénéiale,que dans les autres formes de maladies, mentales, elle fait généralement d
e éllulézîéi'= vetise est un termeigénérique qui comprend bien des, formes 'de cellules^ nerveuses, <ayant chacune sa m
colorée par cet^agent.- Lasubstaiicelcolorable7se puéseüfessoussla' forme =de iodulesti plus jeu,- moinsj3.volumineux, tarro
substahcecgrise'du'système1 nerveux 7central'Test habitée par- des formes cellulaires de même construction apparente. Il es
f, ou, d 115 nyau, seii- «' sitifidutrijumeau se-traduisent,par,une forme de cellules à strue 1 tureségalementvdéterminée
UROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE , SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE TABES AU DÉBUT CHEZ UN SYPHILITIQUE ; Par
^ xc ? sane auiq hait u ui·rrnanoa ? #s Jmruob PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE * TABES AU DÉBUT. 403 1 En juin 1889, V... s
mvHLnts-" - - ri tr' '· '1rW -*i"" <*, , .. PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE TABES AU DÉBUT. ' 405 et se rend compte si s
reiest survenu brusquement, un* matin, alors PARALYSIE GÉNÉRALE .'A FORME DE TABES AU DÉBUT.. t< 407 a'que sonenfant`
le des prétendues tentatives d'empoisonnement ? PARALYSIE GÉNÉRALES FORME ; DE TABES AU DÉBUT. 409 son animosité vis-à-vi
poH ! du mardi, 1887-1888, p. 267. > ^ç-a PARALYSIE GÉNÉRALE "A* FORME ^DE TABES AU DÉBUT. ? 411 *" méhts, l'époquë'à'
se sont.'produits'de'la sorte 'à2trois 'reprises différentes, sous forme d'accès, d'une durée de huit dix jours, ''entre
une'très remarquable leçon de M. le professeur J Joffroy : Sur les formes spinales de la paralysie générale, in Journal "
par Marie, 1892, p. 362. FI ' . 1 ..y ? v n PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE TABES AU DÉBUT. 417 ' Quanta attribuer à cet
' ' ' ' 1" ÉLECTROPHYSIOLOGIE ? ? " I. Influences DES différentes FORMES DE l'électricité d'usage COURANT EN ÉLECTROTHÉR
s moyens de contrôle ont été la pesée et l'examen histologique. Les formes électriques étudiées ont été les formes galvani
l'examen histologique. Les formes électriques étudiées ont été les formes galvanique et faradique rythmée et non rythmée et
e l'électricité sur la nutrition musculaire est com- plexe. Sous la forme de courants continus elle agit autrement que co
le. L'électrode indifférente employée dans ces recherches' avait la forme et les dimensions de .celle d'Erb.'EDe était fi
n pointe. Au moyen de cet ' instrument' l'auteur a pu' obtenir une' forme particulière de réaction qu'il nomme réaction d
s de.ux, toujours dignes de considération et on les trouve dans les forme » avec plus de dégénération psychique (épilepsie
t ' ? tt.< il t ..t., ? - ). h <' yr' -) ? 'i M. Koenig. Une forme rare de paralysie infantile, d'origine céré- bi
utions et en,même temps du délire des grandeurs. Genèse habituelle. Forme chronique; - 3° Observa- tion, de catatomie- al
intellectuelles aiguës/Ia menstruation semble net-pas revêtir de' forme qui permette d'établir une loi. Toutefois'dans to
mence''(démence secondaire). Si, l'épisode .passionnel .revêt la' forme d'exaltation --légère ou de moyenne intensité, la
e soixante à soixante'dix ans. Ils se répartissent ainsi, selon'la' forme de l'aliénation mentale, ' ' * ? "'"' ? t " 1 1
blication des principaux travaux français relatifs aux' différentes formes de l'Idiotie. On sait que par ce mot on désigne
l'auteur .termine par une étude de la névrose traumatique sous ses formes hystériques com- munes, ou; avec, prédominance
1865 ; Leço ? ? sur le diagnostic et le traitement, des' diverses r formes des affections paralytiques, convulsives' et' m
surtout au voisinage du faisceau nerveux (9), représentant une des formes diffuses du tissu mésoneurial. En f, des cellul
useau composite. La comparaison des trois images met en évidence la forme noduleuse des foyers mésoneuritiques élémentaires
uri, 52 ; nouvel hôpital d' '"due Boston, par Fisher, 69 ;' ré- * forme dans' le traitement des -; ', ' ' par Hack Tuke
r, , 144 ? ; ;, ? < - Electricité, influence des différentes ? formes de 1' sur la nutrition du muscle, par, Debedat,
région rolandique, par ' 'Alhertoni et Brigatti, 194. GnosE/des' formes atypiques de la spinale,' par Oppenheim, 209.
e =, par Ventra, 146; traitement par l'électricité de cer- taines formes de , par Robinson, 229; et dégénérescence, par
e spasmodique *de Erb; par.Carmona, 151. Paralysie infantile, une forme rare de . d'origine cérébrale, par Kcenig,,45
94 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
Gautier que la poésie moderne nous a décrit en beaux vers certaines formes de la nature humaine : « On voit dans le musé
ue commun aux cas de cette espèce. L'inspection du corps révèle des formes féminines, avec prédominance, en longueur, du s
oncée de la région mammaire, aréoles hypertrophiées. Néanmoins, les formes ne sont pas féminines. La voix est normale. App
ont pas féminines. La voix est normale. Appareil génital : pénis de forme et de dimensions normales. Bourse scro- tale vi
re obèse. Enfance saine. Il y a deux ans, parotidite épidémique, de forme modérée. Crâne bien conformé, cheveux normaux.
ment à l'âge de 22 ans. A l'asile ils ont attiré l'attention sur la forme particulière de la tête de la malade et dépendent
une fois sorti de la boîte crânienne ne conserve pas exactement sa forme ; c'est pourquoi il nous paraît utile de décrir
et transversal n'étant que de t centimètre. Vu de i côté, il a une forme conique dans sa partie supérieure, au-dessus d'un
sont étroits. Sur les coupes transversales, le lobe occipital a une forme triangulaire, comme tirée au cordeau. Une des con
; par endroits, de petites hémorragies. Certains vaisseaux ont une forme caractéristique en spirale ou tire-bouchon. A la
tions, comme si elles avaient été nivelées par la boite osseuse, la forme triangulaire, presque rectiligne, du lobe occip
e avec les symptômes objectifs, en possédant leur esprit, se trans- forme en une véritable infirmité ; au lieu de s'en déba
u pouce. La faute de l'innervation musculaire se manifeste sous des formes très différentes. En premier lieu ce sont les a
fonctions musculaires et que ce trouble peut se manifester sous les formes les plus diverses. - Le substratum anatomique c
tiques. Il y a cependant, une différence essentielle entre les deux formes : malgré la destruction des fibres 'centripètes
e cas chez nos malades. Il y a encore une grande différence avec la forme de parésie, qu'on attribue à la destruction des
lepsie dite idiopathique, les accès spontanés étaient de différentes formes chez le même individu. Chez tous les malades ch
a partie interne du bras. Lorsque la lésion du nerf médian revêt la forme particulière décrite sous le nom de forme doulo
n du nerf médian revêt la forme particulière décrite sous le nom de forme douloureuse, la main prend un aspect qui mérite
é des tissus, tandis que les troubles trophiques et vasomoteurs des formes douloureuses correspondent à un hyperfonction-
ur en sémiologie. Académie de médecine, 19 octo- bre 1915 ; Sur une forme de contracture organique d'origine périphérique e
tures . Il n'y a pas toujours une délimitation bien nette entre les formes précédemment décrites et les contractures pures,
joint des asiles. MM. Pierre Marie et Foix (1) ont décrit comme une forme spéciale de paralysie paratonique de la main ce
nom de mains figées, interprétés par Pierre Marie et Foix comme des formes spéciales de paralysie paratonique et nommés pa
t beaucoup moins réelle qu'apparente. Cette apparence résulte de la forme en gouttière imprimée à la paume de la main par
La cicatrice de sortie siège au-dessus de l'éminence hypothénar, sous forme d'une estafilade oblique de haut en bas, de ded
raction en avant des quatrième et cinquième doigts). La cause de la forme en ciseaux résulte de l'adduction des interosse
tion et qu'on regarde le dos du membre, la main se présente sous la forme d'une surface rectangulaire de l'extrémité prox
ier, deux nouvelles et longues incisions furent faites sous chloro- forme , l'une le long du bord interne du long supinateur
fréquence et l'importance des grosses lésions vasculaires dans les formes causalgiques des blessures des nerfs, et nous é
on nombre d'observations où des blessures des nerfs avaient pris la forme causalgique et où de grosses' lésions vasculair
de la IV° armée, il y avait eu pendant de longs mois des douleurs à forme nettement causalgique dans le domaine du sciati
ement totale, l'hy- potonie est beaucoup moins prononcée et'la main forme avec l'avant-bras 132 LÉRI un angle très obtu
qu'à des erreurs d'interprétation. IV CAUSALGIE DU RADIAL. Les formes très douloureuses, causalgiques, des blessures de
UX 135 En somme, nous trouvons dans ce cas tous les caractères des, formes causalgiques des blessures du médian ou de la b
rmé la constance et la netteté de cette déformation dans toutes les formes cau- salgiques des blessures du sciatique (tron
» est constant, à un degré plus ou moins accentué, dans toutes les formes douloureuses, causalgiques, des lésions du scia
rmation est l'analogue de celle que l'on observe à la main dans les formes douloureuses de lésion du nerf mé- dian ; main
nerveuse et non de destruction ; c'est pour cela sans doute que les formes très doulou- reuses ne déterminent très souvent
une déformation qui s'observe d'une façon constante dans toutes les formes dquloureuses des blessures de la branche intern
s du nerf. Les figures de la planche XXXI représentent une série de formes doulou- reuses, causalgiques, de lésion du scia
au rhumatisme soit diathési- que, soit infectieux, la plupart à une forme hybride qu'ils appellent le « rhumatisme goutte
aire de la main droite mesure 38 millimètres. Il se pré- sente sous forme d'un appendice dont le bord distal prolonge le ho
otamment la phalangine. La première phalange affecte vague- ment la forme d'un pisiforme ; elle a la dimension du sésamoide
phie. Le 6e orteil, lui, est composé de quatre os. Le premier, de forme vaguement cubique, a sensiblement la dimension de
ntant le métatarsien du 6- orteil. Puis vient la phalange, qui a la forme générale des autres phalanges et la taille des
extrémité supérieure de la 1. ro phalange. Celle-ci affecte la même forme que les autres premières pha- langes ; plus pet
tres phalanges sont soudées entre elles en un seul os affectant uue forme de bonnet de coton, et plus long à lui seul que l
En effet, nous l'avons dit, la polydactylie peut se présenter sous forme isolée ou sous forme familiale. Tantôt les aute
ns dit, la polydactylie peut se présenter sous forme isolée ou sous forme familiale. Tantôt les auteurs n'ont pas noté, ou
ue au niveau des doigts, nous ne pouvons présenter ce cas comme une forme certaine de cette affection. Il est à noter que
s que les autres. Ce sont de petits sachets de cuir ou' de métal, à forme carrée et aplatie comme un porte-monnaie, où re
ts moins durs et aux environs des kystes (A et B), du tissu fibreux forme des cavités de dimensions variées (PL XLV). Elles
flasques, nettement atrophiés. Les troubles sensitifs, surtout sous forme douloureuse, sont constants, et généralement ou
uis la phase pyrétique s'est prolongée jusque vers le 520 joui,, en forme rémittente vaguement ondulée. Après la forte
ilité d'une méningite aiguë, on peut trouver un bon signe, dans les formes très diffuses, dans le relâchement des muscles
(Il ne nous a pas été possible d'obtenir des renseignements sur la forme de mercure qui a été employée). Peu de temps aprè
y avait non plus que quelques cylindres hyalins. Par conséquent, la forme de la né- phrite en ce cas correspond bien à ce
un tableau clinique différent du type ordinaire, s'agir d'une autre forme de maladie que la polynévrite ? Ici il faut se
bable et l'âge de l'infection syphilitique n'est pas connu, mais la forme de l'éruption syphilitique nous fait accepter l'i
gite gommeuse, ou il y a une affection des vaisseaux. Pour ces deux formes de processus morbides, il faut accepter la présen
, il ne nous a pas été possible d'obtenir des renseignements sur la forme de mercure qui a été employée avant l'entrée à
des inter- valles si courts et surtout s'il s'agit d'injections de forme insoluble de mercure (nous savons bien combien
tainement sont les plus grands, s'il s'agit d'in- jeciions avec des formes insolubles de mercure. Pour ce qui est des inter-
dans un but prophylactique et où nous donnons le traitement sous la forme d'injections de sels' insolubles qui subsistent t
erv. and ment dis., vol. 25, p. 594, 1898. Gilles DE la TOURETTE. - Formes cliniques et traitement des myélites syphilitique
a immédiatement res- senti le tiraillement du plexus brachial sous forme d'une douleur ascen- dante de la main à l'épaul
Marie et Foix, Société de neurologie, 1913. - Il n'est pas jusqu'aux formes aiguës de poliomyélite antérieure de l'adulte q
sur la jambe et le pied du côté opposé. La jambe gauche n'a plus sa forme tronconique normale, elle est presque cylindriq
omoplate (scapulae alatae). Les bras de notre malade présentent une forme masculine : les deltoïdes et les biceps étant h
servées. - Postérieurement, on voit que les omoplates présentent la forme des scapulae alatae (fig. 3 et 4). L'extrémité
côtés l'hypertrophie des deltoïdes. Rien à signaler à propos de la forme et de la fonction des muscles de la face, de la
ié du côté gauche. La narine droite plus large que la gauche est de forme circulaire, tandis que celle du côté opposé a une
gauche est de forme circulaire, tandis que celle du côté opposé a une forme ovalaire légèrement excavée dans sa partie inte
ur. Le tiers supérieur du corps du tibia se termine en pointe, sous forme d'une apophyse, protubérante sous le tissu. Le
et atrophie du tarse et du méta- tarse, de telle sorte que le pied forme un angle d'ouverture supérieure et antérieure,
im 26 observations emprun- téesà divers auteurs ! Il distingue deux formes de dysartlirie,l'uneparaly- tique, l'autre spas
1 I APHASIE ET DYSARTHRIE 305 parfois môme impossible. Dans la forme spasmodique, il y a difficulté de l'émission de
ause. Ces deux variétés sont du reste reliées l'une l'autre par des formes de transition. C'était le cas dans notre observat
cas dans notre observation 11, qui est un exemple typique de cette forme mixte de paralysie pseudo-bul- haire infantile.
riculaires se montrent ordinairement à la ponction lombaire sous la forme d'un mélange sanguin, à cause du continuel écou-
le dans cet espace. " * SUR LES HÉMORRAGIES MÉNINGÉES ' 315 Ces formes d'hémorragies cérébrales, qui sont caractérisées
es de chemin) en voiture et a eu, pendant le trajet, une attaque de forme épileptique avec des convulsions dans les mains
té et apathique- Est amené le 27 mars. Le patient est un homme de formes graciles, mais normalement construit. Teint blê
révèle dans la paroi latérale du ventricule gauche une cicatrice de forme kystique, autour de laquelle la substance céréb
peu creusée et de couleur brune. Certainement, il s'agit ici d'une forme de porencéphalie, comme on la voit après un pro
Irait si caractéristique des altérations syphilitiques des vaisseaux, forme en même temps une barrière contre les ruptures.
e aseptique secondaire. Souvent on voit celui-ci s'annoncer sous la forme des états d'irritation psychiques, des délires
m. mil., t. 63, 1914. Chauffard (A.), Froin (G.), et Borntv (L.). - Formes curables des hémorragies sous- arachnoïdiennes.
s de la moelle épinière, t. II. PAVY. - Les hémorragies méningées à forme méningitique. 1905, Thèse de Mont- pellier. R
vraisemblablement d'ailleurs tous les intermédiaires entre ces deux formes cliniques extrêmes, c'est ce que l'avenir nous ap
ives de l'épaule et de la main. Troubles trophiques de la main sous forme d'un pseudo-rhumatisme chronique. Réactions éle
iques qui possèdent dans la règle, une topo- graphie proximale ; la forme Aran-Duchenne semble n'avoir été signalée en pa
s, et encore s'agit-il d'arthropathies isolées ayant évolué sous la forme de la daclylite spécifique, syndrome clinique b
on diagnostic, en raison de sa ressemblance d'aspect avec certaines formes de rhumatisme chro- nique simple. Il est probab
d'arthropathies chroniques' qui s'éloignent plus ou moins des deux formes classiques de 'la syphilis articulaire tertiaire
ni saturnisme, ni goutte. 1 Malgré une certaine analogie dans la forme des mains avec l'aspect du rhumatisme déformant
te polyarthropathie diffère du rhumatisme tuberculeux, qui, dans sa forme chronique, évolue comme le rhumatisme déformant
l'absence d'ostéite et cons- tituer un caractère particulier de la forme hydarthrosante de l'arthropa- thie tertiaire ;
e multiple, l'arthropathie tabétique ne se présente jamais sous une forme polyarticulaire qui puisse être rapprochée de cet
e individualité, qui méritera peut-être de prendre place à côté des formes déjà décrites de la syphilis articulaire. (1) M
lée depuis cette époque, qui s'est manifestée dès le début sous une forme violente et rapide. Au moment où nous avons obser
d dans le groupe générique de la dystrophie génito- glandulaire les formes suivantes : a) Dystrophie génito-glandulaire du
t, plus rarement d'une amande. Dans d'autres cas, ils pren- nent la forme d'un cordon, et quant à la consistance ils peuven
s caractères somatiques de cette catégorie, on signale l'absence de formes et de développement du bassin qui sont les attrib
rononcée selon le degré de dystro- phie, et pouvant même revêtir la forme de polysarcie ou obésité. Au sujet de ce symptô
le « catabolisme ». Symptomatologie spéciale. La multiplicité de formes et de dénominations sous lesquelles on a décrit
qui permettent un diagnostic immédiat, à la seule inspection des - formes extérieures. Notre observation nous a cependant p
nt le propre des autres types de cette dystrophie. Ainsi il y a une forme , certainement la plus rare de toutes, surtout e
ls, sans rien déplus. Il nous parait qu'il s'agit en l'espèce d'une forme tardive du type simple de la dystrophie génito-gl
un exemple d'atavisme ou de régression ; il s'agit clairement d'une forme d'hétéro-chronisme. Il est digne d'attention qu
jadis » n'est pas moins instructive. Zambaco Pacha ap- pelle cette forme d'infantilisme « eunuchisme naturel, ou infantili
die. La nécropsie a constaté une glande thyroïde atrophiée, mais de forme et d'apparence normales ; les testicu- les (l'u
t de causes diverses. Et plus d'une fois l'auteur fait allusion aux formes de passage entre l'infantilisme pur et la forme
fait allusion aux formes de passage entre l'infantilisme pur et la forme hypophysaire et eunuchoïde de la dystrophie adipo
appelle- rons, avec Gilford, essentielle, pour la distinguer de la forme sympto- matique. La première comprend les cas
us paraît raisonnable : « Sur la base de ces faits, Falta admet une forme d'infantilisme qu'il appelle echter infantilismus
s à sécrétion interne éclairent aussi la pathogénèse de la première forme , sans affirmer que celle-ci soit d'origine extr
ui semble spontanée et quelquefois par son hérédité. Il y en a deux formes : ateleiosis etprogeria. L : ateleiosis est l'inf
disme réside évidemment dans l'aspect général du corps, où sous une forme plus ou moins pure la constitution morphologique
duvet, leur disposition prend alors comme dans le type féminin une forme limitée par une ligne supérieure horizon- tale
e la dystrophie génito-glandulaire c'est l'adiposité, qui revêt une forme très spéciale. Quel que soit le degré qu'elle ait
génitaux (obs. V) ; la région sub-pubienne, élevée, se détache sous forme d'un trapèze. Cette adiposité se constitue dès
pagné de néoplasme hypophysaire, est tenu par les auteurs comme une forme d'origine primitivement hypophysaire ; opinion
E CASTRO L'auteur tire alors la conclusion que le sénilisme est une forme de transition entre les syndromes mono et pluri
t dans l'âge mûr, et qui pour cela précisé- ment se distingue de la forme commune : c'est l'eunuelioïdisrne tardif, décri
e : c'est l'eunuelioïdisrne tardif, décrit par Falta (1), en 191 I, forme bien représentée dans notre observa- tion VI. I
cela il s'agira du type simple de la dystrophie génito-gandulaire, forme tar- dive. C'est précisément ce qui arrive chez
e gérodermique ou l'eunuchoïde, beaucoup plus propres à l'homme. La forme eunuchoïde tardive, en particulier, est tout à fa
électrique (courant faradique, fil fin, trois résistances) sous la forme d'applications rapides et intermittentes des élec
de la camptocormie en utilisant la psychothé- rapie sous une autre forme , notamment sous la forme d'un corset plâtré. Ma
ilisant la psychothé- rapie sous une autre forme, notamment sous la forme d'un corset plâtré. Mais il faut savoir que le
illusions, voire même à des manifestations hallucinatoires et à des formes délirantes. 1 440 HENRY MEIGE caprice bizarre
i- neuse, s'envolent.les phantaisies : - phantaisie des armes, sous forme d'un petit gnome ailé, coiffé d'un bonnet de fo
le, on sait que son nom lui vient d'un appendice chitineux ayant la forme des pinces qui servaient à percer le lobule de
t plus français que flamand. Les pots de pharmacie sont aussi d'une forme plus française.- Enfin, ce tableau porte, égale
gés à des rats. Ce traitement devait convenir plus spécialement aux formes hypochondriaques. N'était- il pas logique, dans
sûreté. « As-tu un grain de trop ? Ta folie sera aiguë ou à double forme . Y a-t-il, au contraire, une fêlure à ton cerve
95 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ifférer notable- ment ni par la hauteur, ni par la durée, ni par la forme de celle obtenue comparativement chez un indivi
ent, à intervalles aussi égaux que possible. Les changements de forme du muscle étaient communiqués par un tube de
lui-ci DU VERTIGE DE MEN1ÈRE. 27 Ï sur le tube de caoutchouc, qui forme un appareil résonnateur, et l'épreuve devient p
Mais la folie épileptique revêt toujours chez le même individu deux formes opposées; elle se mani- feste tout à la fois pa
hose, relativement à l'affection en question; et, ce n'est que sous forme de doute qu'on émit l'opinion de l'existence poss
avait en présence, on porta le diagnostic : sclé- rose en plaques à forme fruste. Des cas semblables ont d'ailleurs été r
hors, elle s'étend jusque sur le prolongement'du corps calleux, qui forme la voûte de la corne antérieure du ventricule lat
t dans les ventricules, par la membrane qui tapisse leurs parois, forme une véritable boule d'oedème. Des morceaux découp
se multiloculaire, dont la traduction clinique a pris le masque des formes appelées frustes par M. Charcot et s'est accusé
mptomatique. 58 RECUEIL DE FAITS. Observation. Troubles visuels « forme hémiunopsiquc, revenant, par accès, avec engour
re les personnes, et en particulier l'infanticide sous ses diverses formes , qui restent ignorés. Ceci revient à dire que l
o-supérieure arriw jusqu'à la scissure inter-hémisphérique, où elle forme une encoche de près d'un centimètre de profonde
arés et parfaitement réguliers. La troisième frontale présente sa forme ordinaire en M, et son cap est tout -IL fait ne
nombreuses pièces, ces anastomoses n'ont jamais exactement la même forme , et ne sont jamais symétriques sur les deux hém
ki, depuis plusieurs années médecin dans ce pays, y a observé une forme de l'hystérie qu'il décrit fort bien, et qui n'es
outes les maladies. Le plus souvent l'hystérie se présente ici sous forme d'attaques épileptoïdes et choréïques. L'hystér
fille de dix-huit ans, très irré- gulièrement menstruée, et que la forme spéciale de ses crises avait d'abord conduite à
mple d'hystéro-épilepsic à crises distinctes, c'est-à-dire de cette forme de 1'liystéro-épilopsie dans laquelle il y a co
rigine et de distribution avaient pour l'expli- cation de certaines formes de paralysie labio-glosso-laryngée (Voy. Arcla.
s- seur inégale des téguments recouvrant l'épine nasale, et de la forme changeante de la sous-cloison. 3° Quant à la co
NERVEUSE. 91 tachant parfaitement comme les réflexes exagérés à la forme cérébrale (Ordenstcin, l3amurond, Setschenow) e
t disséminés et se détruisent. C'est un degré élevé, voire même une forme particulière d'oedème, avec tous ses signes dis
s notable. Lorsque la masse gélatineuse devient considérable, il se forme des replis. Dans un des cas observés, la partie
à la douleur et sens musculaire partout normaux. Le radial gauche forme en outre une tuméfaction f uni forme entre le ven
tout normaux. Le radial gauche forme en outre une tuméfaction f uni forme entre le ventre du brachial antérieur et le vas
e segment la disparition des colonnes de Glarke. Caractérisant la forme des altérations du nom de myélite celltilo-g2,aii
re des négations, qui serait selon lui le couronnement de certaines formes mélancoliques. Discussion sur la création d'asi
mande la permission d'en dire quelques mots. On distingue plusieurs formes dans la mélancolie : la mélancolie avec conscie
M. Cotard a très nettement établie dans son travail entre ces deux formes mélancoliques. Poursuivant plus loin la compara
l'ataxie faisaient défaut. M. Hammond serait porté à faire de cette forme une maladie à part et la localiserait, soit dans
e ; à fortiori se gardc-t-on d'accorder l'exeat quand il s'agit des formes de dépression chronique, de folie systématique
ce portante de 35 à 40 liil. et des armures magnétiques de diverses formes (collier, bracelet, jarretière, etc.). Les aima
eté des personnes ou leur propre sûreté, le Préfet pourra, dans les formes tracées par l'art. 23, décerner un ordre spécia
re, le tribunal sera tenu de désigner en même temps, dans les mêmes formes , un curateur à la personne de l'aliéné. Ce cura
ies de l'encéphale. Les paralysies d'origine centrale revêtent deux formes particulièrement intéressantes. Ce sont les par
omme une nécessité, la pathologie le confirme, en nous montrant des formes cliniques qui répondent à la lésion de ces cent
eurs autres, vint confirmer ses prévisions et démontrer que cette forme de paralysie relève d'une lésion siégeant au ni-
e bornerai-je à citer des exemples de paralysie des prin- cipales formes de mouvements associés binoculaires, en signala
s paralysies seront bien connus, on distinguera plus facilement les formes atté- 150 CLINIQUE NERVEUSE. nuées ou plus co
aux français antérieurs ; il a en outre remarqué qu'il y a d'autres formes de paralysies associées, dont il cite des exemp
types simples autour desquels il sera ensuite facile de grouper les formes plus com- plexes. J'étudierai donc les paraly
tômes pa- ralytiques ont été limités aux muscles de l'oeil. Cette forme de paralysie, qui me fit porter dès le début le
suel est normal ainsi que la vision centrale pour la perception des formes , de la lumière et des couleurs. II - + 1,75 Dio
estl6î Schmidt (loco citato), nous aurons trois variétés d'une même forme de paralysie ainsi constituées : PARALYSIE DE
nt de divergence. Les .observations suivantes appartiennent à une forme de paralysie caractérisée par l'impossibilité de
arer des lésions unilatérales des mouvements d'abduc- tion. Cette forme de paralysie est essentiellement caracté- risée
ontraire de cette PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 171 forme de diplopie par la lésion d'un centre qui serait
la diplopie puisqu'ils l'ont précédée de plusieurs années. Cette forme de diplopie parait donc habituellement liée à l
moucher, déglutition), plus ou moins mécaniques; il y a aussi une forme névrosique, et une forme con- gestive, dans les
plus ou moins mécaniques; il y a aussi une forme névrosique, et une forme con- gestive, dans lesquelles la lésion de l'or
it dans les mains de M. Charcot. Le médicament par excellence des formes névrosiques, est certainement le sulfate de qui
ate de quinine, administré suivant la méthode du maître. Dans les formes douloureuses l'extrait de jusquiame à l'intérie
nçons plus ou moins nombreux. Les blocs ainsi produits diffèrent de forme et de longueur : tantôt ils sont courts, cylind
mais la myéline s'y montre plus morcelée et divisée en fragments de forme sphérique. Ce sont des boules plus ou moins vol
a fibre nerveuse. Etat variqueux, monilifornie. Renflements fusi- formes . (PI. II, Fig. 8, 9, 10.) La myéline finement d
ophiées. Il y a là une différence importante à signaler entre cette forme de 206 PATHOLOGIE NERVEUSE. névrite spontanée
sque toutes marquent encore les premières phases de la névrite ; la forme dominante, en effet, est la fragmentation en bl
st le cas le plus fréquent, elle est segmentée en granulations et forme des varicosités (type 3) ; ou bien elle a totalem
spect gélatineux ; on trouve du pus concret sous l'arachnoïde, sous forme d'îlots et de traînées le long des vaisseaux, s
la variole dans le cours de son enfance. Ces maladies ont revêtu la forme bénigne. Une de ses soeurs, plus âgée qu'elle,
sont dans la supination et un peu dans l'ab- duction. L'avant-bras forme avec le bras un angle très ouvert d'en- viron H
elques faits qui l'ont précédée et qui ont eu de l'influence sur la forme des attitudes passionnelles. La veille, c'est-à
es crises ou dans celles qui surviennent au cours de la maladie, la forme et le motif des hallucinations et du délire. Ma
eut-on admettre les dépendances de l'hystérie qu'elle qu'en soit la forme , à l'égard des maladies des organes sexuels de
xis- tence en plein canal vertébral d'un sarcome à cellules fusi- formes , péridure-mérien qui, implanté sur la face antéri
trophique; les formules normales y sont conservées, mais avec des formes spéciales des secousses musculaires. Après avoi
ssu con- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2 i 9 jonctif est dû à une forme d'obstruction lymphatique qui peut être rapport
'individu est aliéné ou ne l'est pas. Ensuite, le tribunal, sous la forme impersonnelle et irresponsable, jugerait en chamb
ir à une seule et même plaque terminale. 4° Il existe de nombreuses formes de transition entre les appareils termi- naux m
ant plusieurs jours, se présentant à leur plus faible degré sous la forme du grand mal de Faire, mais laissant derrière e
a connaissance, à la suite de perturbation mentale épileptique sous forme d'accès. Des vertiges el vomissements considéré
s dans le conduit auditif externe la présence d'un corps ayant la forme d'un bracelet; c'est un canal semi-circulaire. M.
e du nerf optique de par une affection' intra-cra- nienne, sous une forme encore inconnue. Contribution ci l'hislor.hiuli
us de syphilitiques dans la paralysie générale que dans toute autre forme de psychose. M. Hundoegger attaque la question
ledic. XXXIX; 2 et 3). P. 1 BIBLIOGRAPHIE De la manie chronique à forme rémittente; par S. Marit. Thèse de Paris, chez
Sainte-Anne, passe en revue les caractères communs aux différentes formes de manies revenant par accès et désignées 'indi
al, mais sans manifestations délirantes; c'est la manie chronique à forme rémittente. Les accès reviennent à des époques
u lauréat en monnaie d'or des États-Unis, ou, s'il le préfère, sous forme d'une médaille avec inscription et devise. So
ion-nettement opaque,, est ? distendue par un caillot adhérent, qui forme une sorte de tube,fibrineux décoloré dont. le,
st encore noir, et rouge. , " . Le lobule paracentral a conservé sa forme , mais sa substance offre un aspect spongieux, u
partie) supérieure ; ? f tl 1 1"t)11J 1 1) I) .Ju 1 1 . elle a une forme triangulaire a sommet intérieur,. le sommet , s
t;,> ? ,.t ? l utr,o,,n7Vf .rf(W `lnrl'i.·yttihfn, dune certaine forme de la contracture musculaire une 1" ? r ? · 1 .
avons, donc : soumis aux itibilatioiis ide. chloro- ', ' ? iJ . w forme uuemaladehypuotisée : et,,en;létâtde,létharie e
; qui, , jointes, à, la,phase. léthargique, constituent rles- trois formes , fondamentales de.l'hypno- tisme hystérique, ai
l'auteur traite ensuite des, céphalalgies temporales qui, sous la' forme de migraine,- précèdent, dans les cas invé- tér
causent la brusquerie des phé- nomènes, les hystéries aiguës ouïes formes chroniques. C'est pourquoi les climats, les peu
arition de la sécrétion sanglante..... , D. BERNARD. XXX. SUK une forme particulière ET curable DE myélite centrale dif
lite centrale diffuse elle-même (Vulpian). 11 s'agissait donc d'une forme nouvelle de myélopathie généra- lisée et chroni
t suppo- ser les symptômes observés. , ? ,. D. B. , .YlL'SU12 une forme particulière de crises gastriques non gastralgi
e vomissements, il faut désormais décrire chez les tabétiques une forme beaucoup plus rare de crises gastriques, caractér
se voient des corpuscules libres, ayant les mêmes caractères, comme forme et comme dimension, que ceux qui sont contenus
corps solides et non comme des cavités; celui-ci les fixe dans leur forme et les colore en brun. ' Quelles sont maintenan
els au professeur IIagen, sont relatifs à un délire aigu et à trois formes de mélancolie. Ces trois dernières , complexes
un délire aigu ou l'équivalent des convulsions urémiques, sous la - forme de lypémanie et manie actives, accompagnées d'h
ne corticale motrice. 2° Voici le cas décrit sous la rubrique : Une forme mixte, cotis/t- tuant la transition de la paral
E. 367 des sujets jusqu'alors bien portants. C'est a cette dernière forme que M. Drosdow applique le nom de morbus Ilypno
' dégénérescence qui 'gagne dej6urenjour,"qu'il faut. attribuer les formes de la folie systématique empruntant ? su (161)L
se révèle dans les.moeurs, coutumes,,et souvent jusque.. dans des formes plastiques. Du reste, il en existerait tojsdegrés
conscient. Un acte inconscient est bien fréquent dans l'épilepsie à forme larvée ou vertigineuse. M. B1LL01). Certaines f
l'épilepsie à forme larvée ou vertigineuse. M. B1LL01). Certaines formes de paralysie générale se manifestent aussi par
che de loi sur la pénalité de l'ivresse, à faire ressortir, sous la forme de pétition SOCIÉTÉS SAVANTES. 391 1 adressée
nder, les conclusions du bureau. La discussion roule enfin sur la forme des questions. On remet sur le tapis le questio
ortes, guérissables. Curables aussi se montrent en général diverses formes d'aliénation infantile liée à de la fai- blesse
iénation infantile liée à de la fai- blesse. Critiques. -Bien des formes d'idiotie s'améliorent parle traite- ment médic
niennes avec l'indication des hauteurs, comparaisons graphiques des formes réduites au pantographe, tels sont les résultat
qu'une entité psychopathique bien nette. Ce ne serait guère qu'aux formes désormais stables (démence légère, grand nombre
cillité (faiblesse intellectuelle congénitale). Le diagnostic de la forme psychopathique importe moins que la considérati
discussion qui se résume ainsi : Faufil exiger le diagnostic de la forme morbide (Sander) ? Couvieut-ild'adoltur le tabl
des insuffisants ; la première loi prescrivant un placement con- forme à l'état mental du criminel (1800) ; la loi de 18
t caraco tériséc par des trémulations rhythmiques survenant sous la forme d'accès, à propos d'un mouvement intentionnel o
t jaune). Il fournit neuf observations tendant à faire admettre une forme particulière de démence mixte, distincte de la
la démence paralytique et de la démence athéromateuse simple; cette forme cliniquement se traduirait par des symptômes ps
M. A. Voisin, qui, dans les autopsies de cette 412 BIBLIOGRAPHIE. forme , a constaté une prédominance des lésions athéroma
ysie générale, rares ou partielles ; parce que l'admission de cette forme de paralysie générale sénile subordonnée presqu
e la paralysie générale. L'auteur, dans ses conclusions, dit que sa forme mixte peut être diagnostiquée pendant la vie à
pas rapportée. Charpentier. Traité clinique de la folie à double forme (folie circulaire, délire ci formes alternes) ;
té clinique de la folie à double forme (folie circulaire, délire ci formes alternes) ; par A. BITTI (ouvrage couronné par l'
folie circulaire (Falrc[), folie ti double 2)hase (Billod), folie à formes alternes (Délaye), délire « formes altei,izes (
double 2)hase (Billod), folie à formes alternes (Délaye), délire « formes altei,izes (Le-riiid du Sau])e),pc/tOsec ! /c ? f
barras de la parole, l'inégalité pupillaire, des attaques épilepti- formes . Dans les accès à courte période, l'agitation sur
lreL). Pour M. Ritti, ce dernier mode d'évolution carac- térise une forme d'aliénation périodique, une folie périodique ci
térise une forme d'aliénation périodique, une folie périodique ci formes alternes, qui doit être séparée de la folie à dou
ique ci formes alternes, qui doit être séparée de la folie à double forme . Quel que soit son mode d'évolution, l'accès se
égulièrement espacés. Quant à sa marche, elle se présente sous deux formes : Io folie ci double forme à type périodique (f
à sa marche, elle se présente sous deux formes : Io folie ci double forme à type périodique (folie à double forme de Marc
formes : Io folie ci double forme à type périodique (folie à double forme de Marcé), caractérisée soit par des accès isol
s les unes des autres par un intervalle lucide ; 2° folie ci double forme ci type continu (folie circulaire de larcé), sans
d'autant plus difficile que la paralysie générale peut affecter la forme circulaire (Espiau de la llac'stre, Fabre, etc.
aire (Espiau de la llac'stre, Fabre, etc.) et que la folie à double forme peut comme la paralysie générale se développer
lquefois, la maladie se ter- mine en se transformant sous une autre forme de folie, mélancolie ou manie. Quand la mort ar
uxième leçon contient une description très complète des différentes formes de l'épilepsie : grande attaque, vertige, absence
rasser les cinq doigts à leur racine, et moulé grossièrement sur la forme de la main, de façon que le pouce y puisse occu
ns délires aigus ne présentent aucune lésion à l'autopsie; mais ces formes sont rares, et, sans les nier, l'auteur étudie su
, le cours et la fin de l'), pal' Lecoq, 250. Ataxie locomotrice ( forme particu- lière de crisesgatriques, non -as- t
40. Folie chez les enfants, par illoeller, 365. Folie à double forme , par Ritti, 4 ! 2. Folie systématique, par Juna
deux organes, par Fiii-stitei- et Zacher, 373. Manie chronique a forme rémittente, par 268. ' Méningite tuberculeuse
te des cornes grises, 120. .Myélite centrale iiiiitise chronique ( forme particulière et curable), par Déjelinc, 3311.
96 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
rurale par irritation de la région paracentrale. — Fréquence de cette forme de l'épilepsie Jacksonienne; raisons tirées de la
ues. Nous avons, M. Ballet et moi, appris à connaître ces hystéries à forme d'épilepsie partielle, et, pour ne parler que du
ons terminales de ces trois branches artérielles. De plus, comme elle forme le point culminant de l'hémisphère, ces branches,
sances sur le rôle des centres moteurs : Un agglomérat tuberculeux se forme , au niveau de la région paracentrale, constitué p
objets extérieurs. On sait que c'est là une caractéristique d'une des formes du délire hystérique. Il présente, lui aussi, une
ses leçons. Leur diagnostic est souvent des plus embarrassants. Les formes simples, les moins rares, sont celles qui ressort
La difficulté s'accroît considérablement dès qu'il s'agit des autres formes , de celles que M. Charcot a proposé de désigner s
érences, en apparence considérables, qui séparent les variétés de ces formes , présentent comme limites extrêmes d'un côté la p
ystérique et hypnotique. Le somnambulisme épileptique comprend deux formes : grand et petit automatisme. Le somnambulisme hy
sme. Le somnambulisme hystérique admet un nombre extrêmement varié de formes — dont nous avons décrit quelques types — mais qu
irée par lui sur quelques-unes d'entre elles et en particulier sur la forme délirante de l'attaque (1). Dans ses leçons clini
esque innombrables qu'on pourrait signaler dans ce groupe, il est une forme , pas très fréquente à la vérité, qui paraît mérit
fréquente à la vérité, qui paraît mériter une mention spéciale.Cette forme est caractérisée par le bizarre changement de la
Chez cette jeune fille nous voyons les accès se produire sous deux formes bien distinctes. Tout d'abord l'élément convulsif
t une demi-minute environ. Puis toujours les mêmes scènes, la bête en forme d'araignée, grosse comme une tortue, toute noire
'ici le délire hystérique de la phase passionnelle se manifester sous forme d'épisode d'une durée relativement courte, bien q
ons tout à l'heure à la seconde). « c) Le somnambulisme apparaît sous forme d'accès distincts chez une malade qui, d'autre pa
e type modèle auquel on vient rapporter et comparer toutes les autres formes rencontrées. Jamais il ne nous est venu à l'idée
des hors l'état d'attaque (1). » Une pareille affirmation, sous cette forme du moins, est peut-être un peu absolue. Mais elle
Pitres. — Loc. cit., p. 286. (2) Blanc-Fontenille. — Etude sur une forme particulière de délire hystérique (délire avec ec
ce qui les entoure que des corps sans personnalité ou des objets sans forme définie, simples obstacles matériels qu'ils tourn
its garçons et petites filles, chez qui elle revêt le plus souvent la forme délirante. Mais, dans ces divers cas, il y a à
en qu'identiques quant au fond, ne se ressemblent pas tous quant à la forme . L'attaque à forme de délire se voit de préférenc
ant au fond, ne se ressemblent pas tous quant à la forme. L'attaque à forme de délire se voit de préférence chez l'enfant. L'
furieux, tous les types de transition se rencontrent, constituant les formes très variées en apparence, mais identiques dans l
zones hysté-ro-frénatrices, dont l'excitation fait cesser l'attaque à forme spéciale dont la malade est affectée, en provoqua
lle suggestioni. (Giorn. di Neuropath , 1885). Charcot, t. ii. 13 forme un peu anormale et mélangée de phénomènes hypnoti
uite d'une attaque con-vulsive, laquelle se présente toujours sous la forme typique de la grande attaque décrite par M. Charc
on de détails dans le livre déjà cité de MM. Bourru et Burot, dont il forme , pour ainsi dire, la base et le fondement. (1)
stérie à allure épileptiforme qui se reproduisent plusieurs fois sous forme d'états de mal pendant cette période. (1) Voir
s encore sur les sens spéciaux. L'anesthésie cutanée, distribuée sous forme d'hémianesthésie dans l'état normal, était totale
nt soutenue par notre maître, à savoir que l'état second n'est qu'une forme particulière de l'attaque avec prédominance de la
que toujours grande attaque convulsive, arcs de cercle ou attaques à forme épileptoïde marquent la fin et le commencement de
nchit le seuil de sa porte restée ouverte et, brusquement, sans autre forme de procès lui dit : « Madame D..., préparez un li
suspecter sa véracité et sa bonne foi. Bientôt un rassemblement se forme dans la maison et, pendant qu'on prodigue à cette
ité un souvenir inconscient, car elle ne sait ni la grandeur, ni la forme , ni la couleur de ce carnet ; elle ne le reconnaî
'attaque d'hystérie, d'une attaque d'hystéro-épilepsie prolongée sous forme d'amnésie. Vous savez que la période délirante de
le-ci sous le nom de glycosurie d'origine tabétique. Ce sont là des formes cliniques du tabès et du diabète indiscutables, p
et des mollets. Ces douleurs sont vives etcourtes, quotidiennes, sous forme d'accès qui durent une heure environ et se répète
nce d'un corps au bout de mes jambes, mais je ne puis rien dire de sa forme ni de ses limites. C'est une chose indéterminée,
heures une quantité de sucre égale ou supérieure à celle que le foie forme journellement à l'état normal, soit 200 grammes a
tion motrice se manifestant dans les jambes et les bras, d'abord sous forme d'incertitude, puis avec les caractères ataxi-for
vations de MM. Desnos (5), Féréol (6) et Hallo-peau (7). Mais cette forme clinique do la paralysie de ce nerf a été surtout
nce grisâtre dont le centre est plus ou moins analogue à du mastic et forme un noyau central à bords irréguliers. Le nodule l
s du bord inférieur de la protubérance (Fig. 12), elle se montre sous forme d'un petit noyau à droite du raphé, et à quelques
près du néoplasme est situé en deçà du raphé ; mais, en raison de sa forme circonféren-tielle, il n'intéresse pas le noyau d
noyau gauche correspondant n'est pas encore affectée, en raison de la forme du néoplasme. Fig. 15. Fig. 16. Sur les coupe
tre {Fig. 16), mais ils ne tardent pas à se réunir, figurant ainsi la forme d'un 8 dont la longueur est de 2 centimètres {Fig
aire gauche ait été tardivement intéressé. Cependant, en raison de sa forme circulaire, le tubercule n'a pas détruit ce noyau
s préparations, des cellules nerveuses, encore reconnaissables à leur forme et à leur volume, dépourvues de leur prolongement
les différents types de myopathie, et qui n'en font en somme que des formes diverses d'une seule et même affection (2). Quelq
pes distincts de myopathie : la paralysie pseudo-hypertro-phique ; la forme juvénile de l'atrophie musculaire de Erb ; l'atro
arie et Georges Guinon. — Contribution à l'étude de quelques-unes des formes cliniques de la myopathie progressive primitive ;
la myopathie progressive primitive ; paralysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, atrophie infantile héréditaire d
c M. Dejerine fondait définitivement l'anatomie pathologique de cette forme d'amyotrophie, connue communément aujourd'hui sou
t de démontrer que ces trois espèces d'amyotrophies n'étaient que des formes diverses d'une seule et même affection : la myopa
rt, identité de nature de la paralysie pseudo-hypertro-phique et delà forme de Erb, établie par Erb lui-même dans ses importa
i-même dans ses importants travaux ; d'autre part, également entre la forme de Erb et la forme facio-scapulo-humé-mérale de L
ortants travaux ; d'autre part, également entre la forme de Erb et la forme facio-scapulo-humé-mérale de Landouzy-Dejerine, i
e son évolution, lorsque la face est prise en dernier lieu, un cas de forme facio-scapulo-humérale peut rester longtemps un p
l'autre les deux types extrêmes : paralysie pseudodiypertrophique et forme de Landouzy-Dejerine. Mais la démonstration d'ide
tardif do MM. Landouzy et Dejerine in Rev. de méd., 1886. ces deux formes ce que M. Erb avait fait pour la form.3 juvénile
nance de la pseudo-hypertrophie) ; il a montré l'hypertrophie dans la forme juvénile de l'atrophie musculaire (myopathie avec
ie avec prédominance de l'atrophie). Il fallait faire de même pour la forme facio-scapulo-humérale en constatant sa coexisten
t par une partie du muscle grand pectoral. Le creux sous-claviculaire forme un méplat dont les dimensions verticales sont sup
e la cuisse, les membres sont atrophiés. Le bord interne de la cuisse forme une ligne à concavité interne. A droite l'articul
et suivantes. non, constaté chez ses malades lorsqu'il décrivit la forme infantile héréditaire de l'atrophie musculaire pr
myélopathiques et que l'on sait aujourd'hui n'être autre chose que la forme facio-scapulo-humérale de la myopathie. Donc, à
a myopathie. Donc, à notre avis, ce cas rentre légitimement dans la forme facio-scapulo-humérale. Voici, d'ailleurs, la r
uscles. Observation II (personnelle). Myopathie progressive de la forme facio-scapulo-humérale. — Faciès myopathique typi
s déjà à notre avis, plaidassent en faveur de l'identité des diverses formes de myopathie, il manquait cependant, pour que la
tatation de la combinaison possible de la pseudo-hypertrophie avec la forme facio-scapulo-humérale, comme cela existe pour la
ophie avec la forme facio-scapulo-humérale, comme cela existe pour la forme scapulo-humérale ou juvénile de Erb, dont l'ident
s dès 1885 par M. le Pr Charcot, M. P. Marie et moi, à l'identité des formes diverses de myopathie : paralysie pseudo-hy-pertr
des formes diverses de myopathie : paralysie pseudo-hy-pertrophique, forme juvénile de Erb, forme facio-scapulo-humérale de
myopathie : paralysie pseudo-hy-pertrophique, forme juvénile de Erb, forme facio-scapulo-humérale de Landouzy-Dejerine. Et p
l, tantôt associées comme dans la paralysie pseudo-hypertrophique, la forme sca-pulo-humérale de Erb et la forme facio-scapul
alysie pseudo-hypertrophique, la forme sca-pulo-humérale de Erb et la forme facio-scapulo-humé-rale de Landouzy-Dejerine. D
tre maître, M. le Pr Charcot, où il était entré atteint de myopathie ( forme de Erb), diagnostiquée pendant la vie et confirmé
s dans l'intérieur du thorax. Quant au second élément de ce vice de forme , il (1) P. Marie et Onanoff. — Sur la dé format
s présentons à ce propos un malade, le nommé B..., qui, atteint de la forme facio-scapulo-humérale de la myopathie, offre au
malades cités dans le numéro précédent et qui, atteint de myopathie ( forme Lan-douzy-Dejerine), présentait des muscles pseud
paraît être assez fréquente puisque, sur cinq myopathiques de toutes formes , actuellement présents dans le service de cliniqu
as sur sa face le cachet typique de sa maladie, c'est-à-dire dans les formes scapulo-humérales, la constatation d'une semblabl
arie et Georges Guinon. — Contribution à l'étude de quelques-unes des formes de la myopathie progressive primitive, etc. (Rev.
re de prodromes, sont éminemment variables, revêtent toutes sortes de formes , quelquefois celle du délire. Ils paraissent beau
oriels, etc. Enfin, nous avons remarqué la fréquence relative d'une forme d'aura encore peu étudiée et que nous classons so
sions qui n'ont jamais cessé. De 11 à 17 ans, les accès ont revêtu la forme procursive. Accès caractéristique : cri, pâleur
etit diminutif de la crise jacksonnienne typique à début lingual, qui forme l'aura vraie. Au contraire les observations I e
tique, au contraire, y est entraîné souvent par une aura qui prend la forme de colique et, arrivé là, il tombe en crise. Si
e. Un autre se rapporte à une malade chez laquelle l'aura revêtait la forme du syndrome : vertige de Ménière, c'est-à-dire
avons pu réunir, il semble qu'elle soit loin d'être rare, puisqu'elle forme à elle seule presque le quart de la totalité de n
s délirantes à l'âge de 14 ans, qui ont duré quatre ans sous diverses formes et ont cessé depuis. De 20 à 22 ans, excès alcool
ttirer spécialement l'attention. C'est la fréquence relative de cette forme un peu inattendue de l'aura comitiale. Nous la tr
part, des phénomènes spécifiques. Leur association sous une certaine forme , leur allure générale, leur durée, en font dans c
qui donnent les chiffres les plus élevés, et que, parmi les diverses formes de l'aura, il en est une, l'aura hystéroïde, qui
8 Amyotrophies d'origine indéterminée..... 10 Myopathie de toutes formes ......... 7 Hémilésion de la moelle (syndrome de
tte.—Notes sur quelques paroxysmes hystériques peu connus; attaques à forme de névralgie faciale, etc.. (Prog. mèd., 1891. ¹
ère nosographique et de signification clinique, se présenter sous des formes très variées, très diverses, s'éloignant quelquef
ce du moins, du type toux (tussis) ou du type hoquet (singultus). Ces formes sont désignées communément d'après la ressemblanc
seulement par un ingénieux mécanisme (1). II. — Quelle que soit la forme qu'affectent les bruits laryngés des hystériques,
comme les autres bruits lanmgés hystériques, se présente souvent sous forme ^Wc^^pbaj^ou moins prolonges, se montrant en génér
dans laquelle ces accidents existent représente en quelque sorte une forme anormale, un groupe à part ; ainsi les attaques c
c. Il semble en somme qu'il y ait une sorte d'antagonisme entre cette forme et les autres. Et c'est là une circonstance qui,
te, a dit H. Spencer, c'est déjà l'acte en puissance, l'acte sous une forme affaiblie, l'acte en germe. La pensée, a dit Bain
s esprits, un état psychique analogue à celui qui s'observe, sous une forme typique, dans le somnambulisme artificiel. Et dan
uté de bien important depuis, ce me semble. Cet auteur décrit trois formes d'encéphalopathie saturnine; ce sont les formes d
t auteur décrit trois formes d'encéphalopathie saturnine; ce sont les formes délirante, comateuse et convulsive. La forme conv
saturnine; ce sont les formes délirante, comateuse et convulsive. La forme convulsive, ou épilepsie saturnine, est la plus f
un côté du corps, et chez K..., il y a aussi, parfois, des attaques à forme d'épilepsie partielle; mais, dans l'épilepsie sat
ettre ces attaques sur le compte du saturnisme, il faudrait créer une forme nouvelle d'épilepsie saturnine, différente, à tou
M. Ballet et Crespin, dans leur travail sur les attaques d'hystérie à forme d'épilepsie partielle. L'an dernier j'ai montré
é droit du corps, c'est-à-dire du côté paralysé (attaque hystérique à forme d'épilepsie partielle). Le malade fut renversé, e
rurale par irritation de la région paracentrale. — Fréquence de cette forme de l'épilepsie jacksonnienne; raisons tirées de l
partielle, 1 ; — crurale, 8; — hystérique, 8, 9; Attaque d'hystérie à forme d'—, 70, 132. F Facial : névralgie —e dans l'
51) ; Phase des attitudes passionnelles dans l'attaque d' —, 64, 71 ; Forme délirante de l'attaque d' —, 71 ; — infantile, 76
4, 71 ; Forme délirante de l'attaque d' —, 71 ; — infantile, 76, 77 ; Formes frustes de l'attaque d'-, 133; Suicide dansl'—, 1
es frustes de l'attaque d'-, 133; Suicide dansl'—, 103; Attaque d'— à forme d'épilepsie partielle, 70, 132; — et amnésie rétr
rimitive : — type Landouzy-Dejerine avec pseudo-hypertrophie, 367 ; Formes diverses de la — , 368 ; Identité des formes de l
eudo-hypertrophie, 367 ; Formes diverses de la — , 368 ; Identité des formes de la —, 368, 383 ; Contractions fébrillaires d
97 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- riole qui procède de l'une d'elles; l'anastomose de ces rameaux forme à 1,a surface des deux renflements un réseau à
ls, qui relèvent, sans doute, d'influences circulatoires. Certaines formes de névralgies, certains troubles fonctionnels,
s symbolisant ses idées délirantes. Ici je ne veux parler que de la forme même de son délire : il présente en effet à un
scu- table au point de vue spécial qui m'occupe. Il semble que la forme classique, complète, du délire de per- sécution
ue la forme classique, complète, du délire de per- sécution soit la forme délire chronique systématisé (Magnan) '. Et, d'
des mollets. Ces douleurs sont vives et courtes, quotidiennes, sous forme d'accès qui durent une heure environ et se répè
e d'un corps au bout de mes jambes, mais je ne puis rien dire de sa forme ni de ses limites. C'est une chose indéter- min
nosographique et de signification clinique, se présenter sous des formes très variées, très diverses, s'éloignant quelque-
du moins, du type toux (tussis) ou du type hoquet (sin.qultus). Ces formes sont désignées communément d'après la ressembla
mé seulement par un ingénieux mécanisme '. II. Quelle que soit la forme qu'affectent les bruits laryngés des hystérique
autres bruits la- ryngés hystériques, se présente souvent sous forme d'accès plus ou moins pro- longés, se montran
s laquelle ces accidents existent repré- sente en quelque sorte une forme anormale, un groupe à part ; ainsi les attaques
Il semble en somme qu'il y ait une sorte d'antagonisme entre cette forme et les autres. Et c'est là une circonstance qui
dit H. Spen- cer, c'est déjà l'acte en puissance, l'acte sous une forme affaiblie, l'acte en germe. La pensée, a dit Bain
esprits, un état psychique analogue à celui qui s'observe, sous une forme typique, dans le somnambulisme artificiel. Et d
inte à la base) qui s'étend à toute la muqueuse buccale tantôt sous forme d'accès, tantôt à l'état permanent. Sommeil et
le d'établir un diagnostic différentiel réellement certain entre la forme névropathique (spinale) et la forme myopathique
l réellement certain entre la forme névropathique (spinale) et la forme myopathique de l'atrophie musculaire. Nous ne tro
la moelle ? Enfin, souvent on néglige l'examen des muscles dans la forme spinale et cependant, on y trouverait des altér
ependant, on y trouverait des altérations semblables à celles de la forme myopa- thique. Voici, par exemple, dans une fam
886), tandis que sa soeur "âgée de dix-neuf ans et demi présente la forme spinale : il existe dans la famille une tare hé
e une tare héréditaire névro et psychopathique ; par 'conséquent la forme myopathique émane aussi du système ner- veux ce
ainsi. La première observation s'est présentée cliniquement sous la forme d'une affection spinale, dans la seconde il sembl
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE QUELQUES formes aiguës d'aliénation mentale ET DE leurs rapport
dévelop- pement de la paronoïa avait indiqué des cas aigus de cette forme d'aliénation mentale. A l'assemblée annuelle
) autrement dit la paranoïa, fut reconnue à l'unanimité comme une forme distincte, tandis que de sa modification aiguë, n
e de la folie primaire servit presque uni- quement pour indiquer la forme chronique et de la forme aiguë il ne fut plus q
rvit presque uni- quement pour indiquer la forme chronique et de la forme aiguë il ne fut plus question dans les écoles a
en France où M. Magnan et ses élèves démontrèrent l'existence d'une forme d'aliénation mentale, le délire chronique, cara
érisée justement par les mêmes symp- tômes qui font l'essence de la forme typique de la paranoïa chro- nique des auteurs
ranoïa chro- nique des auteurs allemands. Cependant l'étude de la forme aiguë a été reprise au cours de ces dernières a
la psychiatrie clinique de Schüle, nous retrouvons de nouveau deux formes de délire systématisé primitif ou paranoïa, la
nouveau deux formes de délire systématisé primitif ou paranoïa, la forme aiguë et la forme chronique, réunies dans le mê
es de délire systématisé primitif ou paranoïa, la forme aiguë et la forme chronique, réunies dans le même chapitre, comme
veau valide. Mais Schùle montre la nécessité de bien distinguer les formes aiguë et chronique, la paranoïa chronique rentran
ïa aiguë appartient au groupe des psycho-névroses, cette der- nière forme étant considérée comme un état hallucinatoire, de
des sens l'accablant soudainement. Il ne les réunit qu'à cause des formes intermédiaires qui ne sont, pour ainsi dire, qu
aires qui ne sont, pour ainsi dire, que la répétition abrégée de la forme chronique et dans lesquelles la maladie débute
pas autre chose que la folie hallucinatoire aiguë, c'est-à-dire la forme aiguë de la « Wahsinn ». L'école française n'
les foi mes aiguë et chronique du délire primitif dans une seule forme moi bide. Mais, d'autre part, la forme aiguë n'a
lire primitif dans une seule forme moi bide. Mais, d'autre part, la forme aiguë n'a pas été bien longtemps reconnue comme
me la mélancolie, la manie, la démence, etc. En dernier lieu, ces formes ont été bien connues sous le nom de délire d'em
IE MENTALE. remarquer que ni Kralft, Ebing ni Schüle ne prennent la forme aiguë de la paranoïa pour une manifestation de
lire d'emblée de M. Magnan n'embrasse pas toutes les variétés de la forme aiguë. En résumé, à mesure que les observations
ont accu- mulées, on a vu se produire la tendance à reconnaître les formes aiguës comme un groupe indépendant d'aliénation
sur elle une opinion admise de tous, de même que sur le rapport des formes aiguës avec la forme chronique du délire chroni
dmise de tous, de même que sur le rapport des formes aiguës avec la forme chronique du délire chronique, du délire systém
rapports que l'auteur nous présente une série d'observations de la forme aiguë prises dans la clinique du pro- fesseur M
17 7 nation, d'où la nécessité de les séparer de toutes les autres, formes d'affections psychiques. Dans la mélancolie e
la dépression ou avec l'exaltation. Quant à la différence entre les formes aiguës étudiées dans ce travail, avec le délire
idité de la conscience et l'absence de la réaction affective. Ces formes aiguës ont donc le droit d'être classées dans un
Reste à savoir dans quel groupe des affections psychiques placer la forme mentionnée ? Doit-on la classer parmi les psycho-
tionnée ? Doit-on la classer parmi les psycho-névroses ou parmi les formes de dégénérescence psychique ? La plupart des au
rescence psychique ? La plupart des auteurs qui ont écrit sur cette forme se prononcent contre le carac- tère dégônératif
lle ou d'une maladie générale, il y aurait lieu de considérer cette forme d'aliénation mentale comme un des modes de réac
influences défavorables et de la placer avec Krafft-Ebing parmi les formes primitives de l'alfection psychique, telles que
élirantes et des erreurs des sens se calme, et, de leurs restes, se forme l'un ou l'autre délire stationnaire. Mais puisque
reurs des sens et le délire d'emblée sont propres encore à d'autres formes psychopathiques, qui n'ont rien de commun avec la
ésistible par accès (echokinésie, logokinésie), surve- nant sous la forme d'épisodes avec mouvements impulsifs, dans la m
es symptômes locomoteurs respiratoires et conceptuels dans les deux formes morbides. D'autre part, il n'y a pas de pensée
ues Ce premier volume, illustré de figures dues à M. Paul Richer, forme un ensemble bien complet. En deux mots c'est l'hi
nts articulaires, alternant avec eux, leur suc- cédant ; variant de forme selon les circonstances, ce qui ne permet pas d
es circonstances, ce qui ne permet pas d'admettre l'existence d'une forme déterminée de folie rhuma- tismale, mais présen
Etat actuel. G... est de taille petite, ses membres sont grêles de forme . Il n'est point amaigri cependant et son visage e
corps (mains, cuisses, etc.), mais qui, parfois, se produisent sous forme d'attaque d'épilepsie sensitive. En pareil cas,
côté jusque dans la main et les doigts. C'est là, bien que sous une forme atténuée, un véri- table accès d'épilepsie sens
tions différentes. D'abord, ils peuvent avoir des accès délirants à forme maniaque et d'une intensité extrême pendant le
chronique.. ,, : il ' 'J .1111 " ." \"1'\ , ,I(I..Ç'S dans, cette,, forme d'aliénation .appelée . folie «alcoolique , sub
i De même; le suicide,, qui, n'est,pas rare non plus dans,cette, forme , d'alcoolisme, -n'est pas ,le résultat d'une im
res une quantité de sucre égale ou supé- rieure à celle que le foie forme journellement à l'état normal, soit 200 grammes
on motrice se manifestant dans les jambes et les bras, d'abord sous forme d'incertitude, puis avec les caractères ataxi-
d'abord sous forme d'incertitude, puis avec les caractères ataxi- formes ; trouble de la parole; absence de douleurs fulgu
es quadrijumeaux. Ces lésions accompagnent communément les diverses formes de démence, quelle qu'en soit l'origine. R. M.
ental Science, janvier 1889.) Courte, mais intéressante étude d'une forme un peu spéciale d'aphasie (peut-être serait-il
ection du genou, ils ne se montrèrent qu'après une semaine, sous la forme d'un accès subaigu de manie, avec mélancolie et
DE PATHOLOGIE MENTALE. 227 manie consécutive à l'opération revêt la forme aiguë, que lors- qu'elle prend la forme chroniq
tive à l'opération revêt la forme aiguë, que lors- qu'elle prend la forme chronique. L'auteur souhaite en terminant que d
r du petit nombre de cas observés par lui. R. M. C. XXIX. SUR UNE forme rare d'affection mentale (G)'M6et<C/t<) ; p
- tal a été considéré par quelques auteurs français comme une des formes de la folie du doute; elle s'en distingue pourlan
DYSl01lPII0PII0BIE ET la TAPIIÉPliOBIE dans LEURS rapports avec LES formes analogues DE folie du DOUTE (Paranoïa 1'tldimenta
équentes ; on peut constater de ''l'anesthésie dans les différentes formes de folie chronique, ainsi que dans l'imbécillit
ique, dont l'auteur examine les manifestations dans les différentes formes vésaniques. Nous ne pouvons entrer ici dans une
loi du bain turc : 1° Comme agent curatif : A, dans les différentes formes de folie alcoolique et dans les autres folies t
e fréquemment chez les goutteux d'un âge mûr ou avancé; C, dans les formes de mélancolie qui s'accompagnent de sécheresse
ou des mois plus tard, les mêmes symptômes reviennent revêtant une forme grave, à des intervalles périodiques, s'accompa
ient au niveau des cloisons et des espaces péri-vasculaires sous la forme de cellules granulo- graisseuses accumulées; le
ne autour de la papille et de la macula qui se présente ici sous la forme d'une plaque d'un Touge cerise. La perception l
malade le boive aussi chaud que possible. De cette manière il ne se forme que peu SOCIÉTÉS savantes. 253 de précipité e
. le professeur Charcot, l'auteur s'est proposé d'étudier certaines formes rares de l'hystérie dont l'ignorance pourrait c
choperturbateurs de la lutte pour la vie et de la civilisation. Les formes psychopathiques sont à peu près les mêmes chez
304 CLINIQUE MENTALE. névrose; et dire que : quelle que soit leur forme : exta- tique, cataleptique, - syncopale, létha
pre, puisque l'héré- dité exerce son action, rayonne sur toutes les formes vésaniques : qui dit. psychoses, dit maladies é
rler simplement de l'apparition du dissemblable, c'est-à-dire de la forme progressive ou transformée de More), mais on tr
elle-même. Le crâne dans son ensemble est plagiocéphale, il a la forme d'une boule irrégulière asymétrique, aplatie d'
par .une luette bifide. Les métacarpiens sont soudés entre eux : la forme de la main rappelle celle que prendrait une mai
dégénérescence, on remarque seulement comme chez les onanistes la forme en massue de la verge; ses autres organes ne no
core remarqué, les.médecins verront le lendemain qu'il existait une forme d'anesthésie hystérique non soupçonnée. Le sens
anesthésies, quelles qu'elles soient, peuvent se présenter sous des formes innombrables que nous rangerons dans cer- taine
e royale de médecine de Belgique, 1886, et'du même auteur : Sur une forme rare d'amblyopie hystéro-traumatique, bulletin
cipales : 1° les sensations existent dans l'esprit humain sous deux formes différentes, sous forme de perceptions per- son
messieurs, que j'avais écrit moi-même ce même mot et avec les mêmes formes de lettres. N'est-ce pas une bonne preuve de la
t à lui-même, sans aucun traitement, afin de ne modifier en rien la forme des symptômes qu'il. pourrait présenter, ni leu
a sans doute alors des modifications, quant à ses symptômes et à sa forme , il se systématisera peut- être davantage et se
st, par conséquent, inutile que je les reproduise en terminant sous forme d'un résumé. Mon but principal a été de relat
c'est-à-dire sur la clinique et sur la physiologie cérébrale. La forme de ce court travail m'obligeait à présenter d'a
empêcher. Il est évident qu'on a affaire ici à un accès de délire à forme mélancolique non pure, mais enté sur un terrain
du nombre des rameaux vasculaires; ainsi, dans l'un des angles que forme une branche avec le tronc, il y a toujours un noy
. SCHNOPF- HAGEN. (Jahrbuch. f. Psych £ at., IX, 3.) Expliquer la forme de la surface externe du cerveau par la texture
on, telle est la tentative anatomique de l'auteur de ce mémoire qui forme les neuf dixièmes du présent cahier. M. Schnopf-
émisphère et surtout l'écorce qui en émane, dans le sens et sous la forme qui résulte de leur direction. Ainsi, les fibres
que sorte les actions périphériques et, en les bridant, assurent la forme ovoïde des hémisphères. Les sillons de l'écorce
arties des racines de l'accessoire qui affectent en cette région la forme d'une anse. On sait que, chez la grenouille,- l
e scinder, de désagréger quelques éléments nerveux du complexus qui forme la base organique d'un esprit sain. J. SÉGLAS.
ibition cérébrale et ses suites nous conduisent à supposer qu'il se forme entre les cellules ner- yeuses des groupements
s. L'hypothèse, c'est que « durant « la période d'inhibition, il se forme entre les cellules nerveuses « des groupements
s la pie-mère, des traces d'hyperhémie récente. , Dans les autres formes d'aliénation mentale (folie périodique, épilept
ricules latéraux dilatés etrem- plis de sérosité. Dans toutes les formes d'aliénation, l'épaississement de la pie-mère d
vitales, de porter l'attention principalement sur la nature de ses formes albuminoïdes. Cette idée générale doit sans dou
toplasma du corps de la cellule en général, contient au moins trois formes albuminoïdes : l'albumine, la globuline et la str
e y ont démontré d'une façon indiscutable la présence de toutes les formes albumi- noïdes : globuline, stromine et nucléïn
de plus, les colonies d'aliénés de Gheel assistent toute espèce de formes vésaniques, même à leurs périodes primitives :
qui les entourent. 11 va de soi que cette amélioration dépend de la forme , du degré, de la période de leur perturbation m
professions de nos nourriciers ? 432 SOCIÉTÉS SAVANTES. Etude des formes morbides. Les aliénés actuellement en trai- tem
rapport avec les attaques congestives apoplectiformes ou épilepti- formes , il est évident qu'en en étudiant les symptômes,
iaux peuvent effrayer, et qui seront heureux de trouver là sous une forme concise toutes les méthodes d'examen et de diag
ude anatomique et clinique de l'acromégalie et en particulier d'une forme amyotrophique de cette maladie. Volume in-8° de
pérations chirur- Archives, t. XXIII. gicales, par Dent, 226; - à forme rare, par Norman, 227; - à cinq, par Woods, 2
98 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
s sont paresseuses, toniques, très lon- guement persistantes. Il se forme localement des dépressions et des sillons sous
on les contractions se font lentement, paresseusement ; souvent il se forme des sillons ou des dépressions plus ou moins pe
substance blanche dépendait surtout de la pression négative qui se forme sous l'influence de la suspension. En chercha
ie de prolifération et d'épaississement de la névroglie. Dans les formes interstitielles de l'inflammation, les lésions so
i ne suivent ni une marche uniforme ni un type déterminé et dont la forme varie dans chaque cas particulier. Le rapport de
rie qui peut se présen- FIÈVRE HYSTÉRIQUE. 45 ter avec toutes les formes imaginables et qui fui considérée dans des lemps
lever. Etant déjà apyrétique, des taches congestives, petites et de forme irrégulière apparurent aux bras et il la jambe
simule, sans qu'elle existe positivement. Briand (1) établit trois formes de fièvre hystérique : 1° Forme lente, primitiv
vement. Briand (1) établit trois formes de fièvre hystérique : 1° Forme lente, primitive ou secondaire (celle décrite par
rme lente, primitive ou secondaire (celle décrite par Briquet) ; 2° Forme intermittente, généralement de type tierce ; 3°
iquet) ; 2° Forme intermittente, généralement de type tierce ; 3° Forme brève, à type typhoïde, ordinairement primitive,
cement de l'hystérie. L'auteur publie 3 observations de la dernière forme . Dans les trois cas, les femmes n'avaient pas eu
t la nature hystérique n'est point douteuse. Parmi ceux-ci, trois à forme briève, type typhoïde (Briand) ; deux, à type i
u : celui de Debove et celui que je décris. Avec l'antécédent de la forme fébrile que l'hystérie avait pris chez cette mala
t des contractures dépendent les attitu- des des membres ; dans les formes légères, c'est-à-dire dans des cas où les mouve
le mange par exemple (PI. XII). Mais ces mouvements variables comme forme et intensité siègent surtout aux quatre extrémi
es maladies nerveuses, a exa- miné notre malade au point de vue des formes extérieures etc., comparaison avec une autre en
gauche. En vérité on peut affirmer qu'il n'existe pas un type uni- forme de déviation, Nous avons remarqué en parlant de
each (2), Audry, etc... ont rencontré les mêmes phénomènes sous des formes différentes. 2, Troubles intellectuels. État
t du sacrum et du coccyx qui descend verticalement en esquissant la forme d'une queue (4). Dans le cas actuel, (1) E. Lan
us connaissons bien mal, il faut l'a- vouer, les proportions et les formes du corps. M. Paul Richer, mon collaborateur el
Dans le cours des recherches qu'il a entreprises sur l'anatomie des formes , il a imaginé un « canon » de l'homme normal. V
ge de mesures auxquelles il a manqué un lien qui les réunit, et une forme d'ensemble qui en fil pour ainsi dire la synthèse
point de repère peut s'appeler la li- gne épi-trochantérienne. Elle forme la limite supérieure du membre infé- rieur et s
ni il la pression ! i ou il la percussion. Les modifications de la forme générale du corps el de l'atti- tude répondent
x hanches. « La coloune ver- tébrale est déviée. La région lombaire forme un angle il sommet dirigé eu ar- rière ». Mort
iné sans doute, comme dans un cas de Pitres, par la modification de forme d'une ou de plusieurs vertèbres altérées. Mais
tion de Bad... « La colonne vertébrale est fortement déviée. Elle forme un angle sail- tant en arrière et ;i gauche. C'
s lésions. La première est pres- que totalement détruite. Elle a la forme d'un coin dont le tranchant serait dirigé vers
es symptômes d'une sclérose en plaques. Celle- ci évolue suivant la forme cérébro-spinale et se termine par la mort à l'àge
es ; seulement le méca- nisme de la déviation diffère, ainsi que sa forme , dans l'un et l'autre cas. A l'état normal, dan
- ment à ce qu'on observe dans la paralysie des fléchisseurs. Cette forme de lordose est habituelle dans beaucoup de myop
La scoliose sciatique est assez fréquente, si l'on lient compte des formes peu accentuées, capables d'échapper facilement
le constitue une forte difformité. Elle complique de préférence les formes graves de la sciatique, répondant il la sciatique
et de scoliose homologue. I. Scoliose sciatique croisée. Cette forme est la plus commune. C'esl elle qui a été décrite
scles se tendre lentement et progressive- ment, soit parce qu'il se forme sous l'électrode excitatrice un sillon ou une d
ns reste toujours plus considérable à NF qu'à PF. Relativement à la forme de la contraction nous constatons, comme Erb l'a
marqués qu'avec le pôle négatif, comme l'indique sur les tracés la forme arrondie que prend la courbe de la contraction.
é sur nos tracés, c'est l'in- fluence des secousses répétées sur la forme de la contraction. Cette influence se manifeste
halie n'est pas seulement très apparente, elle af- fecte encore une forme particulière par suite de l'aplatissement de la p
e depuis l'âge de 14 ans et atteint d'athétose. Les accès épilepti- formes augmentant, trépanation amenant une diminution de
paralysies rares dans l'athétose double, sont fréquentes dans cette forme de chorée, qu'on appelle encore chorée molle. C'e
uvements athétosiques ; en effet on ne remar- que jamais dans cette forme , les mouvements involontaires lents, coordon- n
LPÊTRIÈRE. cette vésicule s'étend, le liquide devient louche, il se forme une vésico- pustule surmontée d'une croûtelle j
ncoriation. Congrès de Londres, t. 3, 1881, p. 184. Renaut. Sur une forme de la gangrène succes- sive et disomnie de la p
nQ 1, p. 203. 206 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Cette forme est beaucoup plus rare que la précédente. La conv
, soit une courbure à convexité droite. Remak n'a pas trouvé là une forme particulière de sciatique, avec participation des
e depuis deux années, et offrant avec quelques légères variantes la forme décrite par Erb. L'atrophie musculaire était à
nous contenterons de quelques remarques. On peut, de l'identité des formes cliniques, conclure avec beaucoup de probabilit
quer la vérification pos- sible des théories par la comparaison des formes cliniques de déviations névropathiques les unes
droite, déterminant une gibbosité dont l'angle postérieur des côtes forme le point culminant. L'épaule droite est un peu pl
lente, paresseuse et tonique, dont la courbe prend sur le tracé une forme arrondie ou en plateau, la décontraction du muscl
aresseuse. Toutes ces contractions de PO se ressemblent beaucoup en forme , étendue et lenteur. Les fermetures du pôle nég
description de se rendre compte de la différence qui existe dans la forme de la contrac- tion, même dans les cas où les c
e négatif se montrent déjà avec un courant de 6 milliam- pères ; la forme des tracés montre que les secousses du pôle posit
se montre souvent en même temps, quelquefois même avant NFTe. La forme des secousses reste normalepour toutes les excita
ous les autres, d'où le nom de saltatoire, que l'on a donné à cette forme de chorée. D'autres fois, le sujet frappe à cou
ant l'attaque d'hystérie avec perte de connaissance peut revêtir la forme de chorée rhythmée (1). Enfin il existe souvent
'athétose double. Nous signalons, pour mémoire la chorée rhythmée à forme non paroxys- tique dans laquelle les mouvements
elle les mouvements, ressemblant à ceux de la chorée hysté- rique à forme paroxystique, diffèrent totalement de ceux de l'a
onfondre l'athétose dou- ble avec la tétanie. La tétanie, dans sa forme commune, est aussi une affection de l'enfance e
la lumière et vous bénirez le Seigneur » . L'attitude de la mère forme un constraste frappant avec celle du fils. Elle
r l'électricité. La tige percutante bien plutôt que vibrante est de forme va- riable : c'est un bouton, un disque, un pet
is le traite- ment est surtout recommandable dans la neurasthénie à forme cérébrale ou spinale, dans la migraine et dans
les médecins aliénistes emploient, dans le traitement de certaines formes de l'aliénation mentale, des courants trans- cé
rapeutiques sur des cas variés de folie, particulièrement sur cette forme de mélancolie associée à des névralgies localisée
ystème nerveux ; en fait elle est contre-in- diquée dans toutes les formes de manie, sauf dans la manie hystérique, dans l
ta- tion de l'hystérie, les accidents convulsifs qui constituent la forme habi- tuelle de cette maladie ne se montrant ni
t fléchis et que peu à peu ces mains sont devenues complètement in- formes (pl. XXXIX). Du côté des pieds, les orteils se so
cu comme entité morbide ; elle n'est plus à l'heure actuelle qu'une forme , qu'un type clinique de la syringomyélie. Les d
eure du crâne. Saillie des régions pariétales. La région occipitale forme une sorte d'angle avec la partie supérieure. Bipa
des doigts sont dans l'extension forcée telle qu'ils prennent une- forme concave à concavité postérieure tandis qu'ils son
n d'orifice, péricarde normal. Estomac. Pas de lésion ; la muqueuse forme des plis nombreux dus à la rétraction de l'orga
ts athétosiques par ce fait qu'ils ne sont pas identiques dans leur forme , leur localisation, leur extension plus ou moins
ans, la main est le neuvième de la taille. A tous les âges, le pied forme environ 0,15 ou 0,16 de la hauteur totale prise p
héorie des triangles semblables. Le compas est à quatre branches en forme d'X (voy. fig. 42). D'un côté, la longueur des
raît tous les mois, par livraisons de 6 à 7 feuilles grand in-8, et forme ainsi à la fin de chaque année deux forts volumes
qui ne cherche qu'à se dissimuler ». Ainsi donc, multiplicité de formes , unité de fonds, c'est la double con- clusion q
très commune, même chez les tout jeunes enfants, où elle revêt des formes frustes quelquefois bien curieuses (1) ». M. le
iales à l'enfance. Loin de nous d'ailleurs l'idée de nier certaines formes délirantes d'hys- térie infantile, si bien décr
e. Nous aurions voulu parler ensuite des lésions du cervelet et des formes d'hystérie qui pouvaient simuler ces lésions. M
udier parallèlement les syndromes hystériques simulateurs de chaque forme de lésion des cen- tres moteurs. Or, ces form
ulateurs de chaque forme de lésion des cen- tres moteurs. Or, ces formes varient surtout suivant l'étendue des lésions : c
phasie. Il entre donc dans le cadre de l'hémiplégie spasmodique des formes où les phénomènes spasmodiques n'occupent pas l
te maladie. Voyons maintenant comment l'hystérie peut simuler cette forme clini- que d'hémiplégie chez les enfants. En d'
f- fections. Déjà M. Oulmont, dans sa thèse (1878), distinguait une forme primitive, indépendante de toute lésion nerveus
ue à Perret (de Lyon) (2) mentionne, chez une enfant de 11 ans, une forme hémiplé- gique de mouvements innommés que l'aut
Chambard (3) (1881) a rap- porté un cas d'hémichorée associé à une forme d'héttre.aableaent hystéri- que. M. le professe
els et d'attaques comitiales, ce qui se présente seulement dans les formes graves d'hémiplégie spasmo- dique infantile, on
formation des membres s'étant surajoutée à leurs mouvements choréi- formes . A partir de cet accident jusqu'à son entrée à
enté de considérer comme atteint d'une lésion cérébrale organique à forme hémiplégique et à caractère spasmodique, a néanmo
t les provoquer au membre supérieur du même côté. (Fig. 43). Leur forme est la même, c'est-à-dire arythmique, désordonnée
hiffre habituel, 60 à 80 par minute, il est facile de voir que leur forme s'est modifiée. Ce sont maintenant des oscillatio
t de repos, se rapportant soit à la chorée rhytmée, soit il certaines formes de tremblement hystérique et s'exagérant par l'
sitions du sujet. En plus de ces modifications dans le nombre et la forme des mouvements de l'hémichorée, la première app
ion. Le 10 juillet. - Les modifications indiquées plus haut dans la forme de l'hé- michorée, de la contracture, et le ret
Dictionnaire encyclopédique, reposaient dans leur ensem- ble sur la forme de l'affection qui était nettement hémiplégique e
leurs réac- tions électriques. Enfin, si l'hémichorée affectait une forme spéciale, il n'était pas possible de décrire co
icité faradique n'a-t-elle pas diminué la contracture et modifié la forme de l'hémichorée ? Aux mou- vements incoordonnés
cédé des oscillations rhytmi- ques, régulières comme dans certaines formes de tremblement hystérique. La thèse de M. Dutil
a lumière qu'ils jettent sur la genèse, encore très obscure, de ces formes de l'hystérie qui peuvent être provoquées par les
. Du côté droit, la sensibilité se conserve intacte dans toutes ses formes . Nous trouvons seulement une plaque analgésique
phénomènes que nous observons ne se présentent pas sous cette même forme . Nous n'avons pas pu rencontrer la polyopie mo-
nt toujours insé- parables se présentent ici dissociés, et sous une forme exceptionnelle. Avant d'abandonner ce fait, nou
quiert la force nécessaire pour se réaliser objec- tivement sous la forme de paralysie. La sensation dont il s'agit, aurait
verses manifestations de ces névroses les moins favorables sont les formes convulsives, double circonslance que nous trouv
t est un enfoncement du bord interne de la pupille de sorte qu'elle forme un entonnoir. Quelquefois aussi l'oeil parait s'e
ou moins accentués, ils ont mis les organes génitaux du mâle. Cette forme , est-elle exclusivement le produit de leur imag
les yeux sont clos. Le corps tout entier offre le modèle achevé des formes féminines dans'toute leur jeunesse et' leur grâce
grâce. Mais l'artiste y a ajouté les. signes delà virilité sous la forme d'organes génitaux dont- le pénis est" en état
de, d'état intermédiaire fort habilement conçu et exécuté entre les formes de la femme et celles de l'homme. Les organes g
rmaphrodites en deux catégories distinctes, l'une dans laquelle les formes féminines sont parfaitement développées comme dan
s comme dans les her- maphrodites couchés, l'autre qui présente des formes féminines atténuées, sorte de parti pris interm
ce type de l'androgyne spécialement consacré à la pro- miscuité des formes mâles et femelles, l'antiquité a très souvent dot
té des formes mâles et femelles, l'antiquité a très souvent doté de formes efféminées plusieurs personnages mâles de son Pan
l'hermaphrodite antique, non pas par sa parfaite similitude de ses formes avec celles de la femme, mais par la présence che
des plus intéres- sants. Il présente des attaques de sommeil d'une forme spéciale et nons ne saurions mieux faire, à ce
a Clinique des maladies du système nerveux. (1) Parmentier, De la forme narcoléptique de l'attaque du sommeil hystérique,
99 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i va ri étés1.1 d 1 êtl'ès'- p'aHai te- '1 ment' dist iilClesi.des' formes ¡ qúe récemment une' ÓbsÙ- vation1 pluscattenti
t . tn ? ) 0 qui se transmet des aïeux aux, descendants sous; des formes assez variables, mais qui passe, toujours, d'une
¡.. f 1'1 n l'hypochondrie du malade, ces sentiments pénibles, de formes diverses,- prendront au contraire peu à peu le
DANS,LA1.VÉSANIE. 25 ,Il - Cétteiévolutiomdu délire passant de, la ( forme hypo- ï) chondriaqueqà- ! djutres 1 formes ,"co
du délire passant de, la (forme hypo- ï) chondriaqueqà- ! djutres 1 formes ,"comme.<,de stade oemu stade, ! est fort in
sï" ? mont; où le.délire,' d'abordthypochohdriaque, setrans->b forme ,plus tard en ,une,démonomanie;¡AaFovillelfils : '
l) 1 .- Ir, j'- J' · L¡ £ r}l'I" ? Il Quelles sont, précisément les formes , par. lesquelles peut : évoluer ,le, délire. vé
ire. vésanique,11, u]térieu,rem,ent au début hypochondriaque ? .Ces formes , .singulièrement variables,- dépendent du milie
ous n'avons.point là d'entités irréductibles, nousi n'avons que des formes , accessoires , : le fond essentiel, c'est le se
itieuses. qui en sont le résultat;rquelle que soit` d'ailleurs leur forme , poli- tique, sociale, 'mystique - ou- autre :
M. Baillarger' tout le monde était d'accord sur'' )'existence d'une forme particulière d'aliénation' m'en- ^ taie caracté
'<) 4w --I i M"1 ? « -.[(irn <)-îqti«T ? ..., folie a double forme permettra, grâce aux, renseigne-; ments fournis
,' et;rechuta) en; core. Enfin, en 1881, la maladie avait revêtu la forme .rémit- tente. Malgré cette durée assez longue,
té;psychol6giquéj(maisdes rëpréséntâ- ions'1mentales' conscienteslà forme soupçonneuse. Tous les,cas,si intéressants ! ra
eut-être. .U ! l;OEl ! meHhp ? nt en faveur de l'existence de cette forme ésanique. fti'>1XIV : >La conservation de
rte plusieurs P. Marie. Contribution à l'élude et au diagnostic des formes frustes de la maladie de Basedow. Thèse de Pari
e, tremblement senne,, paralysie géné- rale, alcoolisme). Dans, ses, formes les, mieux..accentuées, ce .tremblement est- gé
ent directe- ment avec 1 aesophaâé, qui se continue ensuite sous la forme d'une gouttière ou demi-canal jusqu'au feuillet
t\cgmmi;3sQcco,nLérieure, il s'épuise sur le septum lucidum sous la forme d'une irradiation en éventail. l qrgejJÇl'eJlvj
? 3up al vu ,.... ,, , . 1 fT'" ri J'IJI"n;'jJu 1119" ? IyG ? t uug, forme ,noucelle de, , paralysie,, générale spmao.que de-
! ('1'1t " ! JIll l' tjj. '1 - - f ,i »ji ? 0 mIII/Sous le titre de forme de. dégénér,esçence pal,.ticllliè1e de,lf ! , "
"8n tÍ'iéÚ] l'gitluch'è ? 1 roil ? ¡Íëi-ç'Oi t "lIt "WJie' so us la forme .d'une tumeur dure] 1 e : \trêmement -sellsible !
? ir" Il1, alfai ! 'e (il f une, r, p .. , , t m.,...,y j . 4,, . z formes de tumellrs,' du saCl'lll1l. Il ."VI ,1,.j,1 ? t»
z deux enfants de sept- et. douze'ans (fillette, et, (garçon). La,, forme , psychique,, demeura .généralement celle de la
l'on observe chez les, hystériques et, en particulier,, dans, cette forme d'hystérie bien connue aujourd'hui sous le ! lJ
tr-* « J110J VMe. On peut suggérer une appréciation fausse, sur la forme d'uuobjet'quéle'sujet verra plus grand ou plus
genre. Les illusions et les hallucinations de toucher revêtent des formes encore plus variées; tous les modes de la sensi
et état d'esprit s'accompagne d'hallucina- tions spontanées dont la forme varie, mais dont l'expérimentateur est toujours
e réintégrer. L'emploi de la force ou plutôt son mode, dépend de la forme de la résistance (passive ou active), déployée
psychose. Enfin, la mélancolie dite hypochondriaque ne se trans- forme pas en folie systématique, la folie systématique
is à quatre semaines. Cette prolongation est obliga- toire pour les formes chroniques, entrecoupées d'accès d'agitation. L
'est pas autonome, qu'elle n'est qu'un syndrome greffé sur d'autres formes morbides. La discussion s'engage. M. Gauster co
atomique. du délire aigu idiopathique. Cette cause,réside : dans;la forme et levolume des deux trous déchirés postérieurs
ère de ses observations, se résume ainsi : La maladie comprend deux formes dont l'évolution est \jndrré ? r1ment" tt ? \PT
ormes dont l'évolution est \jndrré ? r1ment" tt ? \PTq ! ;npte. Une forme maniaque; une forme mélancolique. Le ? ta,d,e f
on est \jndrré ? r1ment" tt ? \PTq ! ;npte. Une forme maniaque; une forme mélancolique. Le ? ta,d,e f,Pxodf9 ! ni(fue est
surtout long dans cette dernière. Il se manifeste, surtout dans la forme maniaque, par de l'expansivité verbale et épistol
xpansivité verbale et épistolaire. Six cas de récidive sous la même forme quatre, pour la manie, deux pour la mélancolie.
e, grandes oscillations thermiques. Signes favorables pour les deux formes , : pouls constamment .très rapide, désordre ext
.hallucinations sensorielles terrifiantes. Signes particuliers à la forme maniaque, : impétuosité enragée sans tendances
lirantes perdent de leur corps et se rectifient spontanément. Autre forme explosion non plus aussi soudaine; prédominance d
t; plus' rare dans ce sexe et elle n'y revêt' que 'par exception la forme classique quanta ta'modalité à.'la"'duréé à l'é
individu' à se développer normale- ment ; elle peut, comme dans' la forme acquise/être laJ résultante de processus anatom
s parois de la fosse jusque sur l'épendyme, tandis que l'arachnoïde forme couvercle au trou a la superficie du cerveau. S
ide simplement dans leur siège à la surface du cerveau et dans leur forme ' qu'explique le haut degré de développement du
es processus congénitaux sont de beaucoup les plus fréquents; leurs formes sont'typiques : ils n'atteignent que l'ensemble
te, mais il peut y avoir de l'aphasie. On constate aussi dans cette forme des paraly- sies avec contractures ; elles sont
élirante, et nous 17 'l PATHOLOGIE MENTALE. aurons ainsi diverses formes de démence. Ces di- verses formes, d'ailleurs,
MENTALE. aurons ainsi diverses formes de démence. Ces di- verses formes , d'ailleurs, ces variétés, ces subdivisions de
déchéance mentale qui se retrouve partout le même : la variété des formes dépend sim- plement de conditions secondaires,
une hypochondrie incohérente. On ne saurait donc assimiler ces deux formes hypochondriaques : l'une, du début, est un vrai
de prêter attention et de vouloir dégager la loi permanente de la forme accidentelle; et, dès lors, quand se présentera
c., ne représente point des espèces morbides distinctes. Toutes ces formes délirantes n'ont aucune existence par elles-mêm
de variations possibles. Qu'on nous permette une comparaison : ces formes délirantes ne sont, pour ainsi dire, que les di
ur est donc là, comme un index : il faut le bien connaître, dans sa forme générale; et l'on saura toujours alors le recon
he est difforme; il est constitué par un petit bourgeon corné, de forme conique, très épais, et si peu adhérent aux parti
deviennent très pé- nibles. Vers cette même époque, une eschare se forme sur la partie moyenne de la fesse droite, et pr
autres contiennent encore quelques granulations ambrées. A ces deux formes dominantes de l'altération vient s'ajouter, sur
des sensations n'existe pas, comme on sait, dans beaucoup d'autres formes de céphalal- gies, et notamment dans celles lié
en rapprocherait le plus serait l'asthéno- pie sous ses différentes formes . Mais nos jeunes ma- lades ne se plaignaient pa
vés. On sait, du reste, combien les céphalalgies, sous toutes leurs formes , sont fréquentes dans les races goutteuses. Mai
r de la névrasthénie, ou plutôt, de la parésie cérébrale, une des formes de cet état. Grâce à M. Charcot principale- men
obile en jet brisé à laquelle nous don- nerons la préférence. Cette forme de douche, à la pro- pagation de laquelle M. le
e du protoplasma, se colorant par les réactifs d'une manière uni- forme . Cette tuméfaction se bornait exclusivement au co
illimètres. Dans ces cas, le noyau et le nucléole conservaient leur forme et leur position nor- males et ne présentaient
excentrique du noyau et l'aspect vitreux de la cellule. La dernière forme de l'altération cellulaire est enfin la formati
u proto- plasma non lésée encore, en laissant libres les parties de forme circulaire. (IL. III, fig. 3.) Quand le corps d
irculaire. (IL. III, fig. 3.) Quand le corps des cellules prend une forme polygonale, dans l'intérieur duquel s'entrecroise
que des pointes très minces et très courtes. Les altérations de la forme des cellules se présentent de la manière suivan
forme, soit pyramidal, se tuméfie comme nous l'avons dit, prend une forme arrondie et, plus tard, tout en conservant ses
tard, tout en conservant ses caractères d'hypertrophie, affecte une forme polygonale irrégulière. Les mensurations de ces
oints, ne pré- sentaient point d'altérations notables, soit dans la forme du corps et des prolongements, soit dans leur r
ules dites araignées. Relativement à la prépondé- rance de ces deux formes d'altération des cellules et des vais- seaux, o
ltérations dans le corps des cellules, remarque que, dans certaines formes de myélites, les cellules nerveuses peuvent sub
rticale du cerveau d'un aliéné. Ces lésions se présentent sous deux formes : l'une analogue aux faits indiqués par Bournev
I et CXXXIII). Dans ce mémoire, l'auteur dit qu'on trouve certaines formes de gliomes avec éléments, dont la nature nerveu
LFrt.mvH : . Le fait qu'on va lire fournit un nouvel exemple de la forme d'idiotie, consécutive à une méningo-encéphalit
ps prochain, il sera possible.de tracer un tableau complet de cette forme d'idiotie, qui, dans ce cas, était compliquée d
s tardives plus ou moins complètes ? N'a t-on pas vu, même dans les formes les plus graves de la démence paralytique, des
alors aucune altération spécifique du cerveau. Peut-être certaines formes de syphilis sont-elles capables de déterminer d
némie, soit une hypérémie vasculaire, et la sensation en soi est la forme de perception subjective de la somme des phéno-
tion des phéno- mènes psychiques ou de l'abolition de la pensée, la forme du trouble de la connaissance ne pouvant servir
ne stupeur psychique (pseudo-stupeur de Westphal), qui comprend les formes abortives et aboutit à l'extase, à la catalepsi
ie avec agitation motrice) ; une stupeur intercurrente relevant des formes cala- toniques de la folie systématique. La gen
ux sortes de courants, sans qu'il existât de modi- fication dans la forme des convulsions.1' ' > " UJ Inl ? M ? , , ?
itentiaire vrai, comme cela' se'pratique en Saxe, ou sous une autre forme en Angleterre. De tels errements, que l'on comm
3 à 2 : i ans). Au point de vuc clinique, l'auteur distingue quatre formes de kak-kè : une forme rudimenlairc, une forme a
t de vuc clinique, l'auteur distingue quatre formes de kak-kè : une forme rudimenlairc, une forme atrophique, une forme h
eur distingue quatre formes de kak-kè : une forme rudimenlairc, une forme atrophique, une forme hydropique, une forme aig
ormes de kak-kè : une forme rudimenlairc, une forme atrophique, une forme hydropique, une forme aiguë pernicieuse. ! " ..
forme rudimenlairc, une forme atrophique, une forme hydropique, une forme aiguë pernicieuse. ! " .. n< BIBLIOGRAPHIE
s Iraut\'degré' d¡his la' dj"s'¡Ù1ée"a'Spliyxiquë' te1'l1\in'àlc delà forme aiguë pernicieuse ; ? 3° ]es7[t/('op)s : cs,' s
énés ; par GUILLE111N. Thèse de Paris, 1883. Des anomalies et des formes frustes de la sclérose en plaques dissé- minées
céphale; par FRANÇOIS. Thèse de Paris, 1883. De la folie à double forme ; par le D MORDRE. Thèse de Paris, 1883, in-8o.
ux sur la nutrition; par LAG.RRIGUF.. Thèse de Paris, 1883. De la forme méningitique de la fièvre typhoïde chez les enfan
le ; par LASSÈGUE. Thèse de Paris, 1883. Du suicide dans quelques formes d'aliénation mentale ; par Clament. Thèse de Pa
côté gauche il y a deux mois). L'articulation tarso-métatarsienne forme également une saillie presque à angle droit, des
ertains points. Vingt- cinq fragments osseux de volume divers et de formes irré- gulières se sont détachés des os principa
ment rencontré chez des petits bébés des sons tel que t, sous une forme si peu différenciée que nous avions de la peine
de l'apprentissage du langage, on ren- contre à la fois beaucoup de formes transitoires, dont l'enfant use sans choix, man
ade). Le développement des sons de la période ultérieure naît des formes de sons fondamentales de la période antérieure.
t diverses, de sorte qu'un seul et même son, qu'une seule et même forme d'articulation définitivement individualisée peut
ent chez quelques enfants de l's, en traversant une longue suite de formes transi- toires entre s et j; chez d'autres, il
et de la variabilité du langage des enfants, du mélange bigarré des formes acquises établies avec les formes arbitraires,
s enfants, du mélange bigarré des formes acquises établies avec les formes arbitraires, et des exceptions incompréhensible
s'il n'est pas le fils de Dieu. Il émet divers apophtheg- mes sous forme sentencieuse : le plus petit est le plus grand;
lus vivement persécuté, et, 1 Magnan. De l'Alcoolisme, des diverses formes du délire alcoolique et de leur traitement. Par
HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 3'1.7 systématisation plus grande, une forme expansive. Les hallucinations suivent en généra
oisé. La prostate et les vésicules séminales étaient intactes. La forme du crâne était régulière, ses os ne présentaient
ues pla- ques calcaires; le plexus veineux était rempli de sang. La forme et la grandeur de la moelle épinière étaient no
rvicale, la partie dégé- nérée se présentait de chaque côté sous la forme d'un triangle, dont la base était tournée vers
même place 36 RECUEIL DE faits. et se présentait de même sous la forme d'un triangle ; seule- ment ses dimensions en a
iculairement à la direction de ses fibres cette place présentait la forme d'une trapèze; ce dernier occu- pait à peu près
naient trop de pigment ; quelques- unes d'entre elles offraient une forme anormale arrondie, et semblaient privées de pro
otre sujet, nous sommes bien convaincu qu'il était atteint de cette forme morbide que M. le Archives, t. VI. 24 370 - R
eau dans les hémisphères, les faisceaux pyramidaux vont, t, sous la forme d'un faisceaux compacte dans la capsule; ils oc
nstituée surtout par des noyaux conjonc- tifs peu altérés dans leur forme et réunis par une matière amorphe peu consistan
I, V et VII). P. K. XVI. SUR L'ÉTAT DE LA TEMPÉRATURE DANS QUELQUES FORMES DE MALADIES mentales (rapproché du centre régul
grandeurs n'affecte point une REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. li 07 forme fixe, ne soit pas stéréotypé. lis sont parfaiteme
ez des névropathes prédisposés, s'associe assez souvent à certaines formes d'aliénation mentale ou à certains états psycho-
ve; par 0. Berger. - (Neurolog. Centalbl., 1882.) Il s'agit d'une forme de démence ayant débuté chez une femme de vingt
ui nous occupe a remplacé l'accès fébrile. Elle en constituerait la forme larvée. P. K. XXVIII. Notes sur l'épilepsie; pa
hommes, qu'il appar- tient principalement il un âge avancé, que les formes de ce pouls ne semblent pas aussi défavorables,
inspirations profondes; une heure après l'accès il avait repris sa forme originelle. P. K. XXX11. Contribution A l'étiol
aint- Pétersbourg, 1883). L'auteur cite les cas déjà connus de la forme mentale appelée hébéphrénia en ajoutant deux ob
ations personnelles. L'auteur pense que l'hébéphrénia n'est pas une forme mentale sui gene1'is et croit que c'est l'âge o
a maladie est la suivante : Trois ans après la syphilis primaire, forme très bénigne maux de tête et diplopie. Deux ans
rale type autour de laquelle viennent se grouper une foule d'autres formes ayant des caractères communs, mais aussi des sy
C. Mesures de prudence qui doivent présider à l'usage de l'iodo- forme : 1° Ne jamais employer l'iodoforme qu'à la dose
troubles psychiques qui, se présentant la plupart du temps sous la forme d'accès d'agitation, accompagnent les processus
néfice du calme. Les autres consistent en des apparitions douées de formes : grimaces, caricatures, spectres; de là des an
ellectuels. Le délire h3-oscyaminique consiste en l'apparition sous forme aiguë de conceptions incohérentes, confuses, pu
s vertigineuses bizarres (ballottement), illu- sions relatives à la forme , à la couleur, à la dimension des objets, notam
n de l'ensemble des faits et doivent être réunis sous le titre de : formes classique, pures, simples. On peut les diviser
ur édifier un en- semble morbide partout continu et logique dont la forme se rap- proche des modalités chroniques de la f
anifestations morbides se montrent dans les états pathologiques des formes les plus différentes représentées en tout établ
ansi- toire et précédant l'attaque, cet état psychique détermine la forme du délire, auquel l'ictus épileptique imprime s
ion épileptique est la même; mais elle peut se ma- fester sous deux formes , as Dans l'une, le malade, après le choc, pours
la faculté et le désir, le besoin, le goût de l'acti- vité sous une forme quelconque ? ... A cette perte de force im- pul
bservation de sclérose en plaques disséminées : début (ipoplecti- - forme , hémiplégie droite, troubles de la sensibilité; p
Loi de 1838, 121. Maladies mentales ( température dans quelques formes de), 403. Manie transitoire consécutive. à la
100 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ffections mentales. L'hérédité de l'aliénation dans ses différentes formes est aujourd'hui admise par tout le monde, et le
admettre qu'il est relativement rare qu'elle se transmette dans sa forme , bien que cela se puisse voir 3. Le plus souven
anie, la mélancolie, l'imbécillité, l'idiotie. Toutefois, certaines formes semblent plus particulièrement se transmettre e
mulée, capitalisée en quelque sorte avant de se mon- trer sous une forme nettement caractérisée. On trouve souvent parmi
pathologique soit quelque peu avancée, qui semble constituer une forme mixte névro-psychopathique, en ce sens que souv
énérale n'a que des rapports de parenté peu marqués avec les autres formes de folies, nous verrons qu'elle est un lien à d
ues (petit et grand mal intellectuel), ou quelquefois avant, sous forme d'aura psychique. D'autres fois, les troubles m
, Spitzka) : ce sont des délires aigus se présentant tantôt sous la forme expansive, tantôt sous la forme dépressive, tan
aigus se présentant tantôt sous la forme expansive, tantôt sous la forme dépressive, tantôt sous la forme m&niaque.
forme expansive, tantôt sous la forme dépressive, tantôt sous la forme m&niaque. Trop souvent enfin la répéti- tio
enfin la répéti- tion des accès épileptiques, quelle que soit leur forme , amène la démence. Outre les troubles mentaux
ins cas, présenter des manifestations épileptiformes. Il existe une forme particulière d'hystérie, la grande hystérie, l'
n qualifie d'hystériques ces divers troubles psy- chiques ; mais la forme de la psychose n'a rien de spé- cial et, consid
leur hérédité, mais aussi par leurs combinaisons. II. Certaines formes d'aliénation, et, en particulier, celles qu'on
a résumées dans la for- mule le génie estime névrose. Si toutes les formes de la ' nervosité peuvent se rencontrer chez le
soit chez ses ascendants; qu'elle peut même se transmettre sous sa forme ; et que, d'autre part, elle peut être liée à l'
3, p. 254.) l'. Marie. Contribution iL l'étude et au diagnostic des formes frustes de 11 maladie de B(isedow. (Thèse de Pa
LA FAMILLE .\ÉVR01'ATHIQUE. 27 La migraine, dans certaines de ses formes , peut s'ac- compagner de phénomènes épileptifor
e de grandes analogies avec la migraine et, en particulier, avec la forme dite ophthalmique, et elle peut s'associer à d'
i l'a observée dans la période de dépression de la folie à double forme =. On n'a guère de notions sur l'hérédité de cet
a vésanie; pour nous, les troubles sensoriels n'influent que sur la forme du délire, ils ne le créent point. Quant à l'au
imbécile. Observation XLIII. M. A.... ataxique. Crises épilepti- formes dans l'enfance ; puis, tic des paupières. Obser
rtie dorsale supérieure et cervicale inférieure. Sur ce point, elle forme une sorte de bande trans- versale qui recouvre
2 et 3 (Pr.. I); elle s'avance vers le centre de la moelle sous la forme d'un triangle à base péri- phérique élargie, qu
M. Charcot qui l'a étudiée le premier, au moins en France, « aux formes aiguës, subaiguës et chroniques primitives de l
bre de cellules araignées, qu'il est facile de reconnaître à leur forme irrégulière, à leurs prolongements nom- breux,
aissent propres à mettre en relief l'origine spéciale à chacune des formes de sclé- rose précitées. Or, ce qui spécifie un
pourquoi donc vouloir que, dans la moelle, la syphi- lis prenne une forme différente de celle qu'elle revêt fréquemment e
des jambes; l'enfant tombe. Les convulsions reparaissent alors sous forme d'une trépidation dont les oscillations vont en
ent à lui, et, au bout de deux minutes, il est pris d'une attaque à forme épileptoïde. 18$. 1 juin. - On fait une dernièr
r une aura, revê- taient des aspects divers. a) En premier lieu, la forme syncopale, consignée si fréquemment chez les hy
chez les hystériques démoniaques ou extatiques d'autrefois. 1 b) La forme vertigineuse se présentait ici avec des caractère
délivrer une fille possédée du malin esprit il Louviers (1301), qui forme le second volume de la Bibliothèque diabolique,
. 105.) Etat actuel (août 1882). - Tête régulière et symétrique, en forme de pain de sucre : les bosses sont à peine marq
e sillon transversal incom- plet. Le lobule pariétal supérieur a la forme d'un quadrilatère avec un sillon en forme d'x;
e pariétal supérieur a la forme d'un quadrilatère avec un sillon en forme d'x; le lobule pariétal inférieur est réduit à
ns. Il n'y a pas de sillon eallosO-rnal'[fÏ1wl. Le lobe paracentral forme une sorte de boucle dont les branches descendan
et un sillon vertical qui aboutit au corps calleux. - Le coin a la forme d'une enclume, dont la partie horizontale se co
couches résulte de l'interposition d'un plan de petites cellules à forme angalaire et pyramidale. Il y a une remarquable
ules corticales chez le porc et le mouton. Dans les deux espèces la forme de ces cellules est presque invariablement cell
, à trois heures de l'après-midi, les crises changent subitement de forme . A l'attaque épileptoide, qui a été décrite et
ous avons affaire à un cas d'hysléro-épilepsie se distin- guant des formes ordinaires par deux points très importants : 1°
t des formes ordinaires par deux points très importants : 1° Par la forme des crises épileptoides qui est tout à fait ana-
eptiques aient des séries purement épileptoïdes : quelquefois cette forme d'attaques existe seule pendant des mois 3. Cet
d'attaques existe seule pendant des mois 3. Cette anomalie dans les formes des attaques étonnera moins si on veut bien consi
anormale et jusque- là inconnue d'attaques d'hystérie, d'attaques à forme d'épilepsie partielle, ou bien d'une épilepsie
deux hypothèses que je rappelais plus haut, celle d'une hystérie à forme non connue jusqu'à ce jour, ou d'une épilepsie
e hystérie à forme non connue jusqu'à ce jour, ou d'une épilepsie à forme partielle sans élévation de température. Or, la
le diagnostic était resté hésitant. S'agissait-il réellement d'une forme anoriiiale d'attaques hystériques ou d'accès d'
en temps de spasmes du membre inférieur gauche, rappelant certaines formes de l'épilepsie partielle. La conclusion à tirer
ions qui précèdent, c'est que l'hystérie s'approprie la plupart des formes symptomatiques de l'épilepsie. Elle emprunte so
ccipitale fut ouverte, et la pie-mère, déchirée à l'endroit où elle forme le lac cérébelleux inférieur, de sorte que le ven
l sur toute sa longueur. Observation VII. Paralysie glosso-labiée à forme pseudo- bulbaire. - Lésions symétriques des deu
llet et des péroniers, diminution de la sensibilité sous toutes ses formes jusqu'à un pouce de l'ombilic, incontinence d'u
pied-bot, le strabisme, etc., coïncident fréquemment avec certaines formes de dégénérescence du système nerveux, notamment
le spéciale, intelligence. M. Charcot fait remarquer que toutes les formes du rhumatisme cérébral, la céphalée, le délire
d'aliénation mentale (Dagonct) 4. Berthier admettait que toutes les formes de la folie peuvent se montrer chez les goutteu
mêmes conclusions'. La goutte rétrocédée donnerait surtout lieu aux formes aiguës, surtout à la manie, quelquefois à la pa
manifestement atrophiée du côté droit. Ce côté atrophié présente la forme de circonvolutions bien décrite dans l'atrophie
qui précède a été observé en 1875, c'est-à-dire à une époque où les formes frustes du tabes étaient moins bien connues qu'
l'existence de l'hémiatrophie de la langue au cours d'un tabes à forme fruste. Il en sera très vraisemblablement de l'
hez ce dernier n'était pas tout simplement le symptôme d'uu tabes à forme fruste. Depuis cette époque, le malade a succom
dans un certain nombre de cas d'hystérie et en particulier dans la forme désignée sous le nom de grande hystérie. C'est
le Sainte-Anne les urines de 6,000 aliénés, présentant les diverses formes mentales, et, en dehors de quelques cas très ra
avec la môme vigueur sous l'influence d'un nouvel effort. ' Cette forme de rétention s'observe dans certains cas de mén
ale, dans le tabès spasmodique, la myélite 11'Ons- verse. Certaines formes anormales de la sclérose en plaques et en parti
uvent offrir ce même trouble de la miction. C'est, en général cette forme de rétention que l'on observe dans l'hysté), ?
l'attaque d'épilepsie, au début de la con- vulsion tonique. ' Une forme moins grave encore de l'incontinence constitue
rine s'écoule sans que le malade ait même songé à résister. Cette forme de miction involontaire qui, comme la précédente,
tuent des atténuations gra- duelles de l'incontinence. Il est une forme d'incontinence qui mérite d'appeler particu- li
d'une façon passagère. C. Les Troubles de la sensibilité varient de forme et de siège. a) Existe-t-il une 17éphl'algie es
s sphincters : il y a ténesme ou spasme douloureux. Ces différentes formes de vessie irritable peuvent se rencontrer dans
névralgie de l'urèthre, à ]' w'étll1'al,qie, dont on a signalé des formes continues et inter- mittentes, son existence n'
a sensibilité de l'urèthre et de la vessie se présentent sous trois formes : anesthésie, dysesthésie, et crises douloureus
, trouvent leurs analogues, non seulement au point de vue de leur forme , mais encore au point de vue de leur évolution, d
lieu d'être plus ou moins continus et uniformes, se présentent sous formes de crises', sur lesquels M. Charcot a tout d'ab
la rétention, c'est l'incontinence par regorgement qui n'a, dans sa forme , rien qui soit spécial à l'ataxie. Quelquefois
intervalles réguliers, est assez rare, au moins dans le jour; cette forme d'incontinence noc- turne est au contraire asse
ées s'écoulent de nou- veau. Il importe de remarquer que, dans la forme dite ataxie hé- réditaire ou maladie de Z%riedr
nouveaux exemples de cette maladie qui peut se montrer sous quatre formes diverses : dans la pre- mière, tous les muscles
me providentielle, etc.1». Inutile de vous en dire plus long sur la forme de son délire, ni sur les con- clusions du proc
du tabes, il était nécessaire d'en bien étudier les symptômes, les formes cli- niques variées, habituelles ou anormales,
Des paralysies chez les choréiques» (Charcot), M. Ollive décrit une forme de paralysie assez rare qui a été dési- gnée so
fin de la chorée est plus fré- quente, elle peut affecter diverses formes , hémiplégiques, para- plégiques, mais plus souv
es névralgies; par QUERMONNE. Thèse de Paris, 1884. 1 Sur une des formes frustes de la sclérose en plaques disséminées;
isséminées; par BwB.wLD. Thèse de Paris, 1883. Elude sur quelques formes rares d'éclampsie chez les femmes en- ceintes;
tions. Il m'a paru intéressant de noter la coexistence avec cette forme vésanique, de la perte de la vision men- tale.
st trois fois plus grande que sa partie extérieure ; elle est d'une forme ovale avec une sur- face légèrement rugueuse. L
t tangibles de la région épigastrique. En frottant la région, il se forme , dans la li- mite où la percussion dénote la pr
près celui du soir, des parties d'aliments ingérés remontaient sous forme de boules solides de deux centimètres de diamètre
bientôt des phénomènes de constipa- tion avec amaigrissement. » r Formes . M. 0. Koerner a essayé de distinguer deux form
grissement. » r Formes. M. 0. Koerner a essayé de distinguer deux formes : l'une simple ou idiopathique ; l'autre symptoma
aractères sur lesquels elle repose peuvent s'observer dans les deux formes . Quelquefois dans le mérycisme simple, la rumi-
- ciles à l'asile) et les trois autres sont atteints de l'une des formes de l'aliénation mentale (sur quatre cent soixante
he, en tant que phénomènes irritatifs, des convulsions affectant la forme de tensions musculaires passa- gères, de rotati
d'infiltration de la région du cerveau. P. K. XXV. Deux cas de la FORME DE paralysie combinée DU bras ET DE l'épaule, D
malade à la moelle au moyen des méninges infiltrées de pus, sous la forme de myélite disséminée. Les dégénérescences second
lève dans les deux premiers accès des attaques parétiques de toutes formes , des élancements dans les quatre extrémités, de
ur; tels sont les arguments en faveur de l'opinion que c'est là une forme de transition clinique et ana- tomique entre la
nérescence sarcomateuse des parois artérielles (angio-sarcome) sous forme purement inflammatoire. Ces deux cas marquent l
ation de l'humérus en avant. L'extré- mité radiocubitale inférieure forme moignon, les carpes étant à peu près à un centi
tre les jeunes épileptiques et les épileptiques adultes; la puberté forme la ligne de séparation. Les dénominations précise
erveux central à s'affecter en plusieurs segments à la fois, sousla forme de disparition progressive des éléments nerveux (
-disant caractéristiques de la démence paralytique, dans les autres formes de la démence, dans les affections mentales sénil
tion , la fonte du protoplasma peut être attribué à l'oedème qui se forme pendant l'agonie. Posséder une petite quantité
'ensemble du système nerveux central d'un homme ayant succombé à la forme tabétique de la paralysie générale progressive
cellules nerveuses ganglionnaires présentent les mêmes variétés de forme qu'à l'état normal ; les unes sont notoirement
ais ré- partis dans les différentes sections de l'asile, suivant la forme de leur délire. Il est également d'avis qu'on r
a maladie, constitue avec l'affaiblissement musculaire la se- conde forme dite folie paralytique. M. Sauton se rattache à c
onsidère le délire non comme la manifestation caractéristique d'une forme spéciale de la maladie, maisseulementcomme un p
ient se reproduire cinquante ans plus tard dans la même ville, sous forme épidémique. La possession de Françoise Fontaine
tique; par RorERT. Thèse de Pa- ris, 1884. Etude clinique sur une forme de contracture infantile intéressant particuliè
e Paris, 1884. Elude sur la méningite tuberculeuse de l'adulte, les formes ano- males en particulier; par CH.1NTEIESFE. Th
s abonnés, 70 c. Marie. Contribution à l'étude et au diagnostic des formes frustes de la maladie de Basedow. Volume in-8"
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 417 i Mabit. - De la manie chronique à forme rémittente. Brochure in-8" de 240 pages. Prix 4
de 24 pages. Ritti (Ant.). - Traité clinique de la folie à double forme . (Folie cir- culaire, délire à formes alternes)
clinique de la folie à double forme. (Folie cir- culaire, délire à formes alternes). Un volume in-8" de 393 pages. Prix :
/ 198