i 91ovnsr 9L 9L Je .9ldslosqqu 97slsb ansa 9la.a NOTE SUR UN CAS DE
FOLIE
URLViIQUEiCOVSI;CUTIFI1'UV J2nil· j ? - (1 nl n
2'N'fwr.n or;, 'Si j'emploie,'en tête de.cette note,, expression de
folie
, \ire- ? MeQet 'noncel ! eje/b ! e,6)'t< ? Me,
qff))J e'ilillo'l(i fl" ! A.' Cullerre. -4 Quelques observations de
folie
briglalique (Compte rendu du congrès des médeci
'et s'est surmené. " ''' * JUnuUf ? â°"m^™^f ? Le nouvel accès de
folie
s'est manifesté quelques1 jours 'après1 sa sort
plein de microbes, qu'on adultère ses aliments ; NOTE SUR UN CAS DE
FOLIE
URÉMIQUE. t) 4, 6l 0' tu ai 91 kl ? ,y ,que l
de,ée"cds7,c]iiqu 1 l)'+, -6; ' que' 1, nous -1 1 Il qu 'àlifion's,de,
folie
urémique ? il faut démontrer l'existence de l'u
' de' cette'complication ? "j llâintënânt,pôûrquôi le diagnostic de
folie
urémique et;non celui 9dè' folie'alcooli que( p
de'chir. ? 3 3 août, 1890)1 ni) ? bn5as,r ,li NOTE SUR UN, CAS, DE,
FOLIE
. URÉMIQUE. V) tLtEtsiJje,reviens de, nouveau,su
172 9 ! TIL. iy Un] autre. )argument)en faveur) du l diagnostic, de
folie
uré- tmique, ciest la-rechute survenue : peu .d
puter les nouveauxgaccidénts, nerveüx pro- duits;,c'est-à-diré· la·
folie
.strptluool6'lsb sïi 3s sup buo'oq ulq 111, Lasè
éclore le délire..On.serait.ainsi en présence d'un cas mixte, d'une
folie
alcoolito-urémique. En 1852, Lasègue invo- quai
vjî^ ah t't ? n\<''<« ? tA .{«ghEV ih .H ' 1 Spigaglia. De la
folie
* urémique ou /'oe.7'c'Ha<e (Genève, "1891). \K
ésument les caractères différentiels de - la fugue morbides dans la
folie
, dans l'épilepsie, dans l'hystérie; dans la neu
it être excusé pour cause de folié ? si'ce n'est'que 'lorsque cette
folie
le faisait ressembler à une bête ! Les progrès
cas"1 de Mâc'Naughtéil ? ilsétablü'entqec'estl'action qui prouvera'
folie
. Nori; une action' folle'en' apparence' peut êt
< Aspect médical de la question : Il est"1 faut "de"1 juger' la'
folie
d'après la conduite, comme le fait la loi. Il e
me,, on ne peut pas établir a priori de, moyens de recon- naître la
folie
et par suite la responsabilité. Il est absurde, i
ions : z ", ? ? 1° L'accusé a-t-il la maladie du cerveau qui est la
folie
? 4p ? 1 ", 20 Le.crime est-il le résultat de'
nrh uo« n. < t ni c ;( . ? OBSERV.1T10NrI. Tentative de -meurtre.,
Folie
systématique chro- . nique. C'est bien actuelle
rsécution (paranoïa chronique) c'est-à-dire d'une des. formes de la
folie
systématique (Yerrùc6theit) ', mais à début ano
du délire partiel'monomaniaque. La pyromânie est une 'forme de' la'
folie
impulsive." L'existence de ce délire 'instincti
en sévice et adultère, contre le. mari pour lequel fut invoquée la
folie
circulaire, mais le jugement' repoussa l'argument
rendre la loi pénale applicable dans ces cas de crime causé par la
folie
. (Medico-legal Journal, X, 3.) A. Marie. 1 ii
des délires systématisés chroniques, de la dégénérescence et de la
folie
des dégénérés. D'autres, comme celui de la paraly
al de Paris en 1889. Une première classe comprend les vésanies ou
folies
proprement dites (formes primitives). C'est d'a
es délires systématisés secondaires. Un dernier groupe comprend les
folies
périodiques. Une seconde classe est formée pa
Une seconde classe est formée par la dégénérescence mentale et les
folies
dégénératives : débilité mentale, débilité morale
lité mentale, débilité morale, psy- choses dégénératives telles que
folie
du doute, agoraphobie, psy- choses anormales. L
toute prédisposition héréditaire et que l'extension donnée au terme
folie
des dégénérés lui parait par suite excessive. L
née au terme folie des dégénérés lui parait par suite excessive. La
folie
morale et la folie impulsive forment une classe
des dégénérés lui parait par suite excessive. La folie morale et la
folie
impulsive forment une classe distincte et sont ét
rième classe est constituée par les formes secondaires. Ce sont les
folies
nervosiques, infectieuses, toxiques, parmi lesque
antes : 1° Pathologie mentale : Des rapports de l'hystérie et de la
folie
. Rapporteur : M. Gilbert Ballet, professeur agr
sion, eussent été obligés « de ne plus y croire et d'imputer tout à
folie
, à maladie ou méchanceté ». D. N'y a-t-il point
j'appelle tout ce qu'il y a d'hommes au monde pour nous dire si ces
folies
doivent être prises pour des marques de possess
AURE. (Arch. clin. de Bordeaux, 1893, nos 10 et 11.) III. UN cas DE
folie
systématisée RELIGIEUSE avec hallucinations PSY
ique la maladie, de penser à l'état oculaire. E. Régis. V. Cas de
folie
consécutive A une OVA110-S ? LPI,,GECTOMIE; par l
es, etc. De sorte que pour conclure, on peut dire que si parfois la
folie
est la seule cause de l'hypothermie, bien souve
par MM. Pelman et F1N6L13URG. M. BARTELS. Deux cas remarquables de
folie
systématique (para- noïa). La première observat
istes allemands, session de léna). Mais il existe concurremment une
folie
systéma- tique secondaire (secundoere Verrûckth
ord présentée sous l'aspect de la mélancolie puis qui a tourné à la
folie
systéma- tique, il ne s'agit plus ici des conce
té- matisées, et restent telles, par la malade. En 1885 apparaît la
folie
mélancolique qui ne guérit point ; en 1892, com
en 1889. C'est le district industriel de Dusseldorf dans lequel la
folie
infantile le plus progressé (de 15 il a atteint
5.) P. KËHAVAL. BIBLIOGRAPHIE. III. Contribution à l'étude de la
folie
héréditaire. Folies concomi- tantes; par M. Lou
BIBLIOGRAPHIE. III. Contribution à l'étude de la folie héréditaire.
Folies
concomi- tantes; par M. Louis Pain. (Thèse de N
L'auteur ayant eu l'occasion d'observer un certain nombre de cas de
folies
à deux, trois, etc., a remarqué que, contrairemen
ce. Il se base sur des faits de ce genre et sur les observations de
folie
à deux déjà publiées pour faire ressortir la fa
, eu égard à l'importance capitale de l'hérédité dans la genèse des
folies
familiales et il croit que créer une subdivision
e des folies familiales et il croit que créer une subdivision de la
folie
héréditaire pour la folie à deux, c'est complique
il croit que créer une subdivision de la folie héréditaire pour la
folie
à deux, c'est compliquer sans justi- fication s
vie en commun une condition sine (lua non dans la pathogénie de la
folie
à deux. Paris. IV. Vade Piecuin du médecin-expe
ire partiel exclusivement limité à un seul sujet; il a découvert la
folie
circulaire et la folie du doute, qui est devenu
nt limité à un seul sujet; il a découvert la folie circulaire et la
folie
du doute, qui est devenue le point de départ de
e, qui est devenue le point de départ des études ultérieures sur la
folie
avec conscience elles obsessions; il a décrit,
r, sur les hallucinations psychiques et psycho-sensorielles, sur la
folie
à double forme et surtout sur la paralysie généra
ux VARIA. 155 géants se mesurèrent prenant pour devise, Falret la
folie
circu- laire, Baillarger la folie à double form
nt prenant pour devise, Falret la folie circu- laire, Baillarger la
folie
à double forme. Cette question toute nou- velle
ent guider dans l'examen du malade et dans l'élude cli- nique de la
folie
; sa symptomatologie générale est un modèle du g
des organes chez les premiers-nés; des Rapports de médecine légale;
Folie
simulée et aliénés dits criminels, 1889. Depuis
rteur. « L'hystérie, a dit Esquirol, dégénère et passe souvent à la
folie
et, dans beaucoup de cas, elle n'en est que le
Les idées depuis lors se sont notablement modifiées et l'étiquette
folie
hystérique, qui fut naguère courante, n'est plu
devenir noso- logique. Etudier les rapports de l'hystérie et de la
folie
ne saurait plus consister à énumérer simplement
préalable ce que l'on doit entendre par ces deux termes hystérie et
folie
, l'un s'appliquant à une maladie psychique dont i
les espèces morbides dont ils sont la traduction clinique. Le mot
folie
a été pris tour à tour dans un sens étendu ou res
us rendre compte des rap- ports qui existent entre l'hystérie et la
folie
. Les auteurs anciens attribuaient à l'hystérie
dégénérescence mentale. M. Falret a décrit chez les hystériques une
folie
morale ou raison- nante. Quand on parcourt les
qu'on avait été trop loin quand on a voulu faire de l'hystérie une
folie
. La r réhabilitation des hystériques » a été un
ns qui expliquent la tendance qu'on a eue à faire de l'hystérie une
folie
. On trouve d'ailleurs dans l'attaque d'hystérie
et qu'il convient d'étudier pour arriver à fixer les rapports de la
folie
et de l'hystérie. SOCIÉTÉS SAVANTES. 225 C'es
plus ou moins arbitrairement confondus dans le groupe confus de la
folie
hystérique, y trouve-t-on, conformément aux idées
lires qui portent l'empreinte de la dégénérescence. Ces variétés de
folie
ne sauraient être plus longtemps confon- dues a
derniers temps les auteurs ont étendu outre mesure le domaine de la
folie
hystérique et surchargé étrangement sa descript
cription. C'est qu'en effet il n'est pas une seule des formes de la
folie
qui ne puisse s'associer à l'hystérie. Parmi ces
désirerais présenter quelques réflexions. Je parlerai à peine de la
folie
hystérique. Je crois, pour ma part, que les hysté
art, que les hysté- riques sont susceptibles d'être atteintes d'une
folie
véritable, peut- être moins fréquemment qu'on n
véritable, peut- être moins fréquemment qu'on ne pense et que cette
folie
peut revêtir chez elles, par suite du terrain s
iscuter du rapport de M. Gilbert Bal- let que le point relatif à la
folie
hystérique. Tout d'abord M. Ballet a voulu, sui
era toujours l'expression de la vérité. M. Ballet ne croit pas à la
folie
hystérique; suivant lui, quand la folie s'obser
M. Ballet ne croit pas à la folie hystérique; suivant lui, quand la
folie
s'observe chez une hystérique, c'est que celle-ci
cence. Voilà un mot bien vague. Dire d'une SOCIÉTÉS SAVANTES. 235
folie
que c'est une dégénérescence c'est remplacer un m
par un autre, ce n'est pas définir. Je crois, pour ma part, à la
folie
hystérique. Certes, la manie hystérique, décrit
age qui est moins haché et plus brillant. Un caractère encore de la
folie
hystérique c'est l'idée fixe. De plus, la manie
e que soit la cause qui 236 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'ait conduit à la
folie
, a toujours différé des autres, qui a toujours
T. SUITE DE LA DISCUSSION SUR LES RAPPORTS DE L'HYSTÉRIE ET DE LA
FOLIE
. M. Mendelsohn (de Moscou) prend la défense de
étriques intéressantes, et développe la théorie d'après laquelle la
folie
hystérique pourrait être considérée comme un éq
s étiologiques de l'hys- térie et pas assez de ses rapports avec la
folie
: c'est pour ce motif que je vous demande la pe
s demande la permission de vous présenter quelques remarques sur la
folie
hystérique proprement dite, que je n'hésite pas
ande à l'entrée ni voeu ni promesse. Chaque cas est considéré comme
folie
suicide, exigeant un long traitement médical et l
e l'alcool, se manifeste une augmentation dans le nombre des cas de
folie
alcoolique, et la fraude n'est pas étrangère à
cation précise. Il faut étudier : 1° sa genèse; 2° son évolution.
Folie
diathésique et folie sympathique : Hérédité et fo
ut étudier : 1° sa genèse; 2° son évolution. Folie diathésique et
folie
sympathique : Hérédité et folie, graduation de
son évolution. Folie diathésique et folie sympathique : Hérédité et
folie
, graduation de l'influence héréditaire dans les
s systématisés dans les états maniaques et . mélancoliques, dans la
folie
intermittente, le délire chronique . et la dégé
ion. MESSIEURS, Deux méthodes sont en présence pour l'étude de la
folie
. L'une fragmente le grand complexus symptomatiq
onoma- nies : délire des persécutions, démonopathie, agoraphobie,
folie
du doute, etc. L'autre méthode donne à chaque p
t décrire avec Berthier des névroses diathésiques, ou avec Bail des
folies
diathésiques : folie tubercu- leuse, goutteuse,
r des névroses diathésiques, ou avec Bail des folies diathésiques :
folie
tubercu- leuse, goutteuse, rhumatismale, cancér
rhumatisme, la syphi- lis, etc. peuvent de toute pièce engendrer la
folie
, qui, par elle-même, a pourtant des caractères
ls sont cancéreux, c'est vrai, mais ils sont aussi prédisposés à la
folie
, et l'on retrouve dans cette prédisposi- tion,
antécédents héréditaires, la véritable cause du délire. Ils ont la
folie
en puissance et les manifestations can- céreuse
'il n'y avait rien de syphilitique dans cette manifestation de la
folie
, que les secousses morales endurées par la jeune
fait le D Skae, à admettre comme autant d'espèces particulières la
folie
amé- norrhéique, la folie post-connubiale, la f
e comme autant d'espèces particulières la folie amé- norrhéique, la
folie
post-connubiale, la folie de la grossesse, la f
articulières la folie amé- norrhéique, la folie post-connubiale, la
folie
de la grossesse, la folie puerpérale, la folie
norrhéique, la folie post-connubiale, la folie de la grossesse, la
folie
puerpérale, la folie de la lactation, de la ménop
post-connubiale, la folie de la grossesse, la folie puerpérale, la
folie
de la lactation, de la ménopause, la folie utér
la folie puerpérale, la folie de la lactation, de la ménopause, la
folie
utérine qu'il désigne du nom de ovario-mania, uté
qu'il désigne du nom de ovario-mania, utéro- mania, sans compter la
folie
de la masturbation. Il suffit d'énumérer ces es
les héréditaires dégénérés. Ceux-ci ont toujours un pied dans la
folie
; d'un brusque écart, sous l'action des causes les
) présenter un accès de manie ou de mélancolie simple : chez eux la
folie
est fortuite, passagère et en général ne repara
e de leurs facultés. Manie et mélancolie simples, délire chronique,
folie
inter- mittente, dégénérescence mentale sont de
accès maniaques ou mélancoliques chez des dégénérés. Les accès de
folie
intermittente se traduisent ordinairement DÉLIR
éré'que se passe-t-il ? L'hérédité en a fait comme un terroir de la
folie
. Bien avant la floraison délirante, des anomali
jusque-là valide apte à l'éclosion'de la 280 , CLINIQUE MENTALE.
folie
? Quoiqu'il soit, au moment précis où le délire s
le dégénéré accepte, s'il s'assujettit tout de suite au joug de la
folie
, le délirant chronique proteste et se défend. Il
expliquait uniquement par un accroissement proportionnel des cas de
folie
en Eure-et-Loir. Mais il n'en n'est rien, et même
en n'est rien, et même, pour ma part, je suis porté à croire que la
folie
ne sévit pas aujourd'hui, dans le département,
urs formes élémentaires, manie et mélancolie. Ainsi, sur 391 cas de
folies
simples, nous n'avons que 53 cas de délires parti
façon irréfutable, que les formes expan- sives et dépressives de la
folie
, la manie et la mélancolie, se pré- sentent en
sie générale. ' A s'en tenir scrupuleusement au tableau, les cas de
folie
alcoo- lique seraient rares, et l'alcool ne fer
la sorte. Oui, il arrive rarement à l'asile des malades atteints de
folie
alcoolique typique avec son délire et ses halluci
que vingt de ces malades, mais la cause en est dans ce fait que la
folie
alcoolique typique se dissipe souvent très vite
irantes et les hallucinations des pre- mières. Ainsi, peu à peu, la
folie
hystérique se propagea, en se développant succe
t troublé, car c'est là le côté le plus intéressant de leur commune
folie
. - La raison de la physionomie spéciale que pri
- nés à délire mystique,' notamment chez ceux qui sont atteints de
folie
systématisée religieuse, mais ici elles occupent
sympathique dans la paralysie générale et les différentes formes de
folies
vésaniques (lypémanie, hypocondrie, etc.). D'ap
vres qui lui ont paru constantes. DE la nature ET DE la forme DE la
folie
DE Charles VI. M. Auguste BRACHET, ancien exami
sabilité de Charles VI dans les rémissions de ces vingt-huit ans de
folie
. L'histoire n'a point été étudiée par les alién
Angleterre, l'Ecosse et l'Irlande réunies, les progrès faits par la
folie
au cours des trente dernières années. On compta
férents objets, bien que fort diffeile, a parfaitement réussi. La
folie
. Horlczi ? L'auteur de la tentative de meurtre co
e étoile. 11 avait déjà précédemment donné des signes manifestes de
folie
. C'est aux difficultés mises à l'admis- sion de
t un plan. Prix : 7 fr. Pour nos abonnés, 5 fr. Fcxayrou (A.). La
Folie
dans l'Aveyron. Contribution à l'étude des foli
Fcxayrou (A.). La Folie dans l'Aveyron. Contribution à l'étude des
folies
morales. Un volume in-8° de 188 pages. Toulouse,
nie, la démence primitive et consécutive, la paralysie générale, la
folie
systématique (plus rare), la démence aiguë (ame
hallucinations, Le délire systématique hallucinatoire aigu est une
folie
aiguë à hallucinations dont la teneur et le gro
e de la perversion intellectuelle. Dans ce groupe il faut ranger la
folie
puerpérale, phtisique, infectieuse à idées de p
ssion morbide est tout aussi indispensable à la communication de la
folie
. M. Pronier a divisé les impressions vésaniques
'une part se placent les manies et les lypémanies, c'est-à-dire les
folies
qui frappent vivement l'imagination, les folies
s, c'est-à-dire les folies qui frappent vivement l'imagination, les
folies
impressionnantes qui forment un tableau saisiss
nie. On croyait toujours avec Delasiauve et Lunier que les faits de
folie
à deux n'appartenaient qu'au délire partiel sys
st à Narre que revient le mérite d'avoir combattu cette erreur : la
folie
générale est d'autant plus conta- gieuse qu'ell
ellent les larmes et remuent jusqu'au fond des entrailles. Dans les
folies
systématisées, il y a, on le sait, deux espèces d
ion vésanique et impression morbide directe pour la contagion de la
folie
, l'auteur recherche le temps de conta- gion, c'
nation chez un sujet sain. D'une manière générale, la contagion des
folies
générales est assez rapide et surtout beaucoup
les est assez rapide et surtout beaucoup plus rapide que celles des
folies
partielles ; alors que pour celles-là quelques
A côté de ces deux conditions essentielles pour la contagion de la
folie
: la prédisposition .psychopathique et l'impressi
aussi importante qu'on le dit généralement pour la contagion de la
folie
surtout s'il s'agit de délires généraux qui agi
raisemblance du délire ne peut avoir d'influence que s'il s'agit de
folies
systématiques, car elle est plutôt nuisible avec
agit de folies systématiques, car elle est plutôt nuisible avec les
folies
générales qui sont d'autant plus contagieuses qu'
rtains auteurs regardent comme indispensable à la propagation de la
folie
, peut bien faci- liter grandement le phénomène,
et dire avec Lasè-ue et Faire que l'on ne cède à la pression de la
folie
que si elle vous fait entrevoir la réalisation
ir reconnaître l'impor- tance au point de vue de la contagion de la
folie
. 8° A côté de la misère et agissant de la môme
automne de la même année, à Stuttgart; Zeller ouvrit le congrès; la
folie
raison- nante et la diminution de la responsabi
iquent les visites autant que pos- sible jusqu'à leur sortie; 3° la
folie
systématique aiguë, suivant, qu'elle revêt une
plus difficile ; 6° il est impossible de tracer des règles dans la
folie
systématique Archives, t. XXVIII. 27 418 SOCI
visites ; on les autorisera aux périodes plus avancées; 9° dans la
folie
alcoolique, on choi- sira avec un soin extrême
t se fier à eux, on exigera l'intervention de témoins ; 10° dans la
folie
hysté- rique et constitutionnelle, pas de visit
hysté- rique et constitutionnelle, pas de visites, surtout dans la
folie
du caractère ou folie morale, à moins que les v
itutionnelle, pas de visites, surtout dans la folie du caractère ou
folie
morale, à moins que les visiteurs ne méritent'
devoir admettre la transmission des instincts. M. FRIEDMANN.-I)e la
folie
menstruelle primordiale. L'orateur communique d
rofonde avec troubles de la conscience tout à fait sem- blables aux
folies
menstruelles typiques; ces accès durent de trois
prend son cours normal. Cela les distingue de ce qu'on a appelé la
folie
menstruelle typique; ce qui les distingue encor
sence totale de prédisposition de ce genre. Les courts symdromes de
folie
transitoire intense qui se produisent chez certai
que. Il est donc natu- rel de regarder ces manifestations comme des
folies
menstruelles en rapport avec le développement o
ieu dans l'hystérie. M. ScHOENTHAL rappelle que les observations de
folie
menstruelle qu'il a antérieurement décrite (Arc
dans les trois principaux états où on les ob- serve en dehors de la
folie
proprement dite : l'épilepsie, l'hystérie, la n
eurs proches, de trouble mental, ils n'entrent pas d'emblée dans la
folie
: une assez longue période les y prépare. Le
n à l'idée de grandeur, sont précisément ceux qui ont versé dans la
folie
sur le tard, après une existence normale, qui,
en somme une force pathologique. Ce mécanisme épouvantable de la
folie
systématique justifie, ajouterons-nous à notre to
ica paranoïa doivent se traduire par l'expression correspondante de
folie
systématique chronique qu'elles signifient réel
- toire, - instinctive. Evidemment, il s'agit ici à la fois de la
folie
systématique chro- nique à phases et surtout à
s au gré des observateurs sous les noms de : mélancolie délirante ,
folie
instinctive, mélancolie avec idées de persécuti
non-coordination des idées délirantes et des halluci- nations de la
folie
systématique chronique (paranoïa chronica.) 3°
riesinger désigné sous le nom de Yerrucktheit primoere est bien une
folie
systématique chro- nique, mais Sander préfère l
n une folie systématique chro- nique, mais Sander préfère l'appeler
folie
systématique originelle (originoere Yerrüchthei
er et Mercklin, il y aurait les mêmes éléments morbides que dans la
folie
systématique chronique, mais non plus amalgamés
acuter ou la Ve ? ')'MeA</[e ! < actile, par l'expression de
folie
systématique aiguë. Folie aiguë ne ren- drait p
lt;/[e ! < actile, par l'expression de folie systématique aiguë.
Folie
aiguë ne ren- drait pas le sens de Verrûchlheit
e Wahnsinn acuter ou la Verrûcktheit acute. 5° En tout cas, dans la
folie
systématique chronique rentrent dès maintenant,
omme cause de dégénérescence et facteurs de sélection naturelle; la
folie
aboutissant d'une part par conjugaison des héré-
apports de MM. Cramer et IWDE6EIi. Délimitations et divisions de la
folie
systé- matique (paranoïa) ? - M. MENDKL. L'an
paranoïa qu'il propose. A côté de la manie, de la mélancolie, de la
folie
systématique, je reconnais, comme psychoses fonct
allucinatoire et la démence aiguë. Sous le nom d'amentia (Meynert),
folie
hallucinatoire (Fuerstner), con- 1 Ce qui suit
que ces symptômes-là se montrent à l'état passager dans toutes les
folies
fonctionnelles et organiques : mais elles n'en
guë : il n'est pas possible de la faire rentrer dans le cadre de la
folie
systématique (paranoïa). M. JASTROVITZ. - Je ne
a découverte de lésions anatomiques encore absentes; ainsi, dans la
folie
systéma- tique chronique, qui se prolonge penda
ns. Pour sortir de ce chaos des formes morbides de l'amentia, de la
folie
systématique aiguë (paranoïa acuta) et de la fo
l'amentia, de la folie systématique aiguë (paranoïa acuta) et de la
folie
systématique chro- nique, il nous faut,à l'exem
ant sa théorie des formes héréditaires avait enlevé du groupe de la
folie
systéma- tique, la folie systématique (Ver)'MC/
héréditaires avait enlevé du groupe de la folie systéma- tique, la
folie
systématique (Ver)'MC/<</tC ! <) hypocon
e. Dans ces con- ditions, dit Fr. Hoffmann (1862), la variété de la
folie
hypocon- driaque de Morel étant rare, il faut c
gnes positifs, à la rigueur curable ». Pour cet auteur, beaucoup de
folies
systéma- tiques sont congénitales, elles font p
S. 01 toire et instinctive; dans cette dernière il faut englober la
folie
morale (moralischer Wahnsinn). Eu 1865 parait
sinn). Eu 1865 parait le travail de Snell aîné, sur la genèse de la
folie
systématique primitive; qu'il appelle encore mo
s d'une forme originelle; enfin C. Westphal, en 1878, montre que la
folie
systématique (V(' ? ')'MC/t</tet<) peut s
l'individu. West- phal ajoute que les obsessions sont une forme de
folie
systéma- tique abortive parce qu'en pareil cas,
ssentiel, c'est l'existence de conceptions anormales, comme dans la
folie
systé- matique, les troubles de la sensibilité
intellectuel ne fait pas partie des traits caractéris- tiques de la
folie
systématique. Il mentionne également l'existence
de sa genèse aiguë; cette forme aiguë peut guérir, de sorte que la
folie
systématique peut être mise au nombre des folie
ir, de sorte que la folie systématique peut être mise au nombre des
folies
curables. Cette simple mention, sans descriptio
es. Cette simple mention, sans description ni délimitation, d'une
folie
systématique aiguë à marche rapide est la cause,
d'en faire une étude exacte, de se demander d'abord s'il existe une
folie
systématique aiguë, comment elle est constituée,
S. et un pronostic, on diagnostiquerait aujourd'hui tous les cas de
folie
systématique aiguë. Si réellement le complexus
nce de ce qu'il désignait sous le nom d'amentia, ce que devenait la
folie
systématique aiguë et inversement, quand il pos
systématique aiguë et inversement, quand il posait le diagnostic de
folie
systématique aiguë, ce que devenait l'amentia. C'
entia. C'est pourquoi i Wille, en traitant de l'amentia : où est la
folie
systématique aiguë ? dit-il. Et pour beaucoup d
tificielle. Je traiterai donc en peu de mots successivement : de la
folie
systématique chronique simple (paranoïa chronic
e systématique chronique simple (paranoïa chronica simplex) de la
folie
systématique chronique hallucinatoire (paran. chr
chronique hallucinatoire (paran. chron. hallit- ci7zaloî,ia), de la
folie
systématique aiguë simple (paranoïa acuta simpl
la folie systématique aiguë simple (paranoïa acuta simplex), de la
folie
systématique aiguë hallucinatoire (para ? ne : &l
ique aiguë hallucinatoire (para ? ne : <<. hallucinat.). La
folie
systématique chronique (paranoïa chronica) a pour
ont les signes apparaissent d'ailleurs dès les premiers stades delà
folie
systématique chronique. A ce propos la terminolog
ÉS SAVANTES. voient; or on sait qu'elles ne manquent jamais dans la
folie
s3·sté matique chronique : ils sont le jouet de
e confusion mentale avec une agitation, si nous avons affaire à une
folie
systématique chronique ou à une folie systématiqu
, si nous avons affaire à une folie systématique chronique ou à une
folie
systématique aiguë curable. Un sérieux obstac
la démence. SOCIÉTÉS SAVANTES. 495 Nous arrivons maintenant à la
folie
systématique chronique hallucinatoire (paranoi(
e des persé- cutions. On pourrait faire rentrer dans cette forme la
folie
systé- matique des prisonniers, condamnés à la
ble, on peut croire à une intermittence ou une paranoïa aiguë. La
folie
systématique aiguë, simple, et hallucinatoire (pa
s parlé plus haut pouvant exister dans l'amentia. La marche de la
folie
systématique aiguë est donc rapide; la terminaiso
r de la démence confuse (dementia coifus(z ? Peut-elle aboutir à la
folie
systématique chronique ? Des auteurs recomman-
orbides que nous venons d'indiquer s'implantent dans le cerveau; la
folie
systématique en est la conséquence obligée. Si
s de cette espèce sans que tout espoir de guérison soit perdu. La
folie
systématique aiguë simple (paranoïa acuta simplex
moi, en effet, la démence (derneittia) appartient aux signes de la
folie
systématique chronique et non à ceux de la foli
t aux signes de la folie systématique chronique et non à ceux de la
folie
systématique aiguë; son apparition signifie donc,
II. 32 498\ ? <.'r ! L'3 ? SOCIÉTÉS SAVANTES. mon sens, que la
folie
systématique aiguë se transforme en folie systé
AVANTES. mon sens, que la folie systématique aiguë se transforme en
folie
systématique chronique et devient incurable.
ique et devient incurable. S'il peut être difficile de délimiter la
folie
systématique aiguë, de la distinguer de plusieu
en nous maintenant rigoureusement dans le cadre symptomatique de la
folie
systématique aiguë, tel que nous venons de le t
l'existence de cette maladie, nous en fixons les analogies avec la
folie
systéma- tique chronique. Ce faisant, nous verr
la folie systéma- tique chronique. Ce faisant, nous verrons que la
folie
systématique aiguë perdra de son importance, qu
e la belladone ? Qu'a-t-il à faire avec les différentes variétés de
folie
systématique (paranoïa) ? Examinons l'ensemble
emble de la marche de ces délires; quelle en est l'analogie avec la
folie
systématique chronique (paranoïa chro- nica) ?
lia su6c7t ! Kca qui peut durer des mois, voire des années, dont la
folie
des accouchées est un exemple entre tous, et no
ale a perdu toute notion, con- trairement à ce qui se passe dans la
folie
systématique aiguë, les accidents morbides sont
lui trouve pas ce cachet expansif qui forme toujours le fond de la
folie
systématique; elle va de la tristesse la plus noi
ÉTÉS SAVANTES. est le cachet des manifestations psychiques, dans la
folie
systé- matique (paranoïa) celles-ci sont désaju
. La confusion mentale se distingue donc, de par sa nature, de la
folie
systématique aiguë; elle s'en distingue aussi de
aractères différentiels dans sa terminaison, puisque, comme dans la
folie
systématique aiguë, elle peut guérir, mais elle g
qui est certain, c'est que la confusion mentale n'aboutit pas à la
folie
systématique chronique. Si la gué- rison incomp
e une lacune intellectuelle qui sert de terrain à l'évolution d'une
folie
systématique chronique (cela est hors de doute)
formation directe de l'amentia en paranoïa chronique, tandis que la
folie
systématique aiguë (para- noia acuta) passe dir
systématique aiguë (para- noia acuta) passe directement à l'état de
folie
systématique chro- nique (paranoia chronica).
Ainsi MM. Cramer et Boedeker ont fait ressortir la parenté de la
folie
systématique chronique (paranoïa chronica ) , de
nté de la folie systématique chronique (paranoïa chronica ) , de la
folie
systématique aiguë (paranoia acuta) et de la co
'on admette que ces trois types morbides ont pour base com- mune la
folie
systématique ou paranoïa. Un delirium tremens n'a
ons- tate : les formes rapportées supra de la confusion mentale, la
folie
systématique aiguë et chronique (paranoia acuta
Quant au nouveau type décrit récemment par M. Mendel sous le nom de
folie
systématique péi,iodique (pai,aizoiapei,iodica) i
a devant soi des symp- tômes essentiellement analogues à ceux de la
folie
systématique chronique ou des complexus symptom
stent entre la confusion mentale aiguë (acute Yerwirrtlaeit), et la
folie
systématique aiguë (pai,a ? zoia acuta) acquièr
nges morbides au point de se systématiser de plus en plus; voilà la
folie
systématique aiguë (paranoia acuta alcoolica de
semaines pour guérir encore. Ou bien enfin elle se trans- forme en
folie
systématique chronique (paranoia chronica alcooli
Verwirrtheit) ou désordre intellectuel aigu, les autres sont de la
folie
systématique aiguë (paranoia acuta). S02 SOCIÉT
lirantes systématiques, et alors on peut dire qu'il s'est agi d'une
folie
systématique chronique (poranoiu chronica) ayant
ment un rôle, mais pas toujours un rôle considérable. C'est de la
folie
systématique aiguë (paranoïa acuta), qui mérite s
orable, mais il n'est pas rare du tout de la voir se transformer en
folie
systématique chronique (paranoia chronica) ; il
re qu'entre la confusion men- tale aiguë (acute Verwirrtheit) et la
folie
systématique aiguë (para- noia acuta), il y a l
ique aigu simple et le délire alcoolique aigu systématique. Dans la
folie
systématique aiguë aussi on observe des épisode
u début de la maladie, soit dans son cours; c'est fréquent. Dans la
folie
systé- matique aiguë également la dissociation
On est donc parfaitement en droit de distinguer deux variétés de
folie
intellectuelle primitive aiguë, sous les rubrique
us les rubriques de confusion mentale (Veriviri,theit) et paranoïa (
folie
systématique), mais il faut savoir qu'il s'agit
prio- rité du trouble. On en peut dire autant pour quelques cas de
folie
systématique aiguë caractérisés par un état cén
e secondaire. » Ce n'est pas tout à fait exact. Sans doute, dans la
folie
systématique chronique, ce qui est le plus rema
bilité intime entre en jeu. Tout au moins est-ce à supposer dans la
folie
systématique chronique. Quant à la confusion me
qui nous occupe puisque, à l'origine, il ne faisait rentrer dans la
folie
systématique primaire 508 SOCIÉTÉS SAVANTES.
r qui ait constitué d'emblée le nouveau type en quelque sorte de la
folie
systématique primitive (primoere Paranoia). Pou
ce que Ziehen a oublié de mentionner lorsqu'il a révélé que dans la
folie
systématique (paranoia) il peut SOCIÉTÉS SAVANT
les troubles morbides quiproduisent ce phénomène, notamment dans la
folie
systématique, échappent à toute recherche direc
n suffisants pour pouvoir constater une altération anatomique. La
folie
systématique aiguë simple (paranoïa simplex acuta
, les lésions doivent être rapprochées de celles observées dans les
folies
liées aux maladies aiguës ; dans le second, en
gement presque normal pour les choses de la vie de chaque jour. 2
folie
systématique chronique simple*. ' 2 hallucinato
lissement intellectuel très accusé et dépourvus de spontanéité. 1
folie
processive. 1 démence consécutive à la suite de
1 démence consécutive à la suite de stupeur aiguë (vagabond). 1 de
folie
hallucinatoire pendant une détention. 1 démen
llucinatoire pendant une détention. 1 démence consécutive à de la
folie
alcoolique (4° admission). 2 folie systématique
1 démence consécutive à de la folie alcoolique (4° admission). 2
folie
systématique hallucinatoire chronique. 6 4° A
sans une discipline, dépourvus d'énergie, mais utilisables ici. 6
folie
systématique hallucinatoire chronique. 1 folie
utilisables ici. 6 folie systématique hallucinatoire chronique. 1
folie
circulaire (dont les stades durent des années, ut
mbécillité très marquée, illettré. 8 5° Automates en démence. 5
folie
systématique chronique hallucinatoire'. 3 confu
e chronique hallucinatoire'. 3 confusion mentale secondaire'. ' 2
folie
systématique chronique simple (déchéance). 3 dé
ique simple (déchéance). 3 désordre dans les idées consécutif à une
folie
aiguë. 3 démence sans qu'on puisse préciser la
ciser la maladie du début. 2 après mélancolie. 1 consécutive à la
folie
de la puberté. 1 idiotie. 20 ' 'L'un d'eux
; recher- ches sur le -, par Wagner, 40). Criminel, allégation de
folie
dans les affaires , par Springthorpe et Huile
le du nerf dans la sécrétion des larmes, par Jeu- drassik, 314.
Folie
systématisée religieuse avec hallucinations psy
es aliénés, par Bouchard, 135. Hystérie, rapport de l' et de la
folie
, par G. Ballet, 219; con- fusion mentale, etc.,
n- fusion mentale, etc., par Séglas et Connus, 353. Hystérique,
folie
-, par Moravcsik, 405. Idées fixes, rôle des
l'étude des pseudo hystériques, par Brugère, 513. Menstruelle,
folie
primordiale, par Friedmann, 420. Mentales, tr
OTO,IIE crânien, par Chipault, 311. OV.1ROSAL1'INGEC'l'OIIE, cas de
folie
conséoutivei\une,parRée)s, 130. PACIIY.IÉ-,
strement des , par Lefillittre, 161. Urémique, note sur un cas de
folie
consécutif à un rétrécissement 11,-itim-iti(I
ENTALE \> Hospice de la S.LP>Jrltlialc : Dr G. DENY De la
folie
maniaque-dépressive Historique, critique et déf
tats psychopathiques encore communé- ment désignés sous les noms de
folies
intermittentes, de psychoses périodiques, de fo
ous les noms de folies intermittentes, de psychoses périodiques, de
folies
à double forme, alterne , circulaire , etc., ét
travaux de l'Ecole allemande, à grouper sous le terme générique de
folie
maniaque-dépressive. .le vous entretiendrai d'a
à 1867, que Jean-Pierre-Falrel a décrit pour la première fois la
Folie
circulaire. C'esl dans une division voisine, et
, que Baillarger a puisé les éléments de son célèbre mémoire sur la
Folie
ci double forme. . Les travaux de ces deux au
e ces deux auteurs ayant servide hase à la conception actuelle delà
Folie
MMU ! Mg-6 ? rg.s- AncllIY¡ ? 2' série 19Ce, '.
siècle qui vient de finir ; elle correspond à la découverte de la
folie
circulaire et de la folie à double forme ; c'est
r ; elle correspond à la découverte de la folie circulaire et de la
folie
à double forme ; c'est la période française par
mélancolique simples, intermitten- tes,rcmittentes, périodiques, de
folies
alternes, ! double forme,circulaires, etc. Née
en réalité, que des rapports très éloi- gnés avec l'histoire de la
folie
maniaque-dépressive et que vous trouverez facil
lie, mais encore l'alternance de ces mêmes accès et aussi DE LA
FOLIE
MANIAQUE-DÉPRESSIVE 3 la transformation de la m
fait banal, accidentel, une simple particularité de la marche delà
folie
. Dès cette époque, cependant, plusieurs auteurs
e médecine, en 1854, d'un mémoire intitulé : « Noie sur un genre de
folie
dont les accès sont caractérisés par deux pério
nie, mais qu'ils constituent un genre spécial d'aliénation, DE LA
FOLIE
MANIAQUE-DÉPRESSIVE. 5 caractérisé par l'existe
des, l'une d'excitation, l'autre de dépression ». C'est ce genre de
folie
que Baillarger désigna sous le nom de folie et
». C'est ce genre de folie que Baillarger désigna sous le nom de
folie
et double forme. Il montra en outre que les acc
quelques jours après, un travail ayant pour titre « Mémoire sur la
folie
circulaire, forme de maladie mentale caractéris
ées iso- lément. Il résulte clairement de ces textes, qu'entre la
folie
à double forme de Baillarger et la folie circul
de ces textes, qu'entre la folie à double forme de Baillarger et la
folie
circulaire de P. Falret, la seule différence co
ccès et qu'il ne l'y avait introduit que pour justifier le terme de
folie
cir- culaire, opposé par lui à celui de folie i
justifier le terme de folie cir- culaire, opposé par lui à celui de
folie
il double forme. Ce qui prouve l'exactitude de
de son mémoire : « Les dettx etats dont la succession constitue la
folie
circu- laire, ne sont ni la manie, ni la mélanc
linique à laquelle ces auteurs ont respectivement donné le nom de
folie
circulaire et de folie à double forme ; mais en
s auteurs ont respectivement donné le nom de folie circulaire et de
folie
à double forme ; mais en réalité, il ne s'agiss
ret, ne voulut pas accorder une place dans sa classification à la
folie
à double forme ou circulaire : « Je ne puis, dit-
t. In Leçon* ''Uniques de médecine moniale, 1854, p. 249. DE LA
FOLIE
MANIAQUE-DÉPRESSIVE. 7 spéciaux, des situations
ions pathologiques qui sont obser- vées dans toutes les variétés de
folie
en général » (1). Examinant ensuite comment il
pour la création d'un genre spécial, d'une variété particulière de
folie
; et suivant encore une fois les mêmes errement
la même attitude que Morel et n'accorda qu'une brève mention à la
folie
à double forme dans son Traité des maladies men
d Pierre Falret et Baillarger en proposant de n'appliquer le nom de
folie
à double forme qu'aux accès de manie-mélancolie
e du mémoire que fit paraître à la même époque Jules Faire ! sur la
folie
circulaire ou folie à formes alternes, et enfin
araître à la même époque Jules Faire ! sur la folie circulaire ou
folie
à formes alternes, et enfin, après la publica-
on,en 1882,dela monographie, aujourd'hui classique, de Ritti sur la
folie
à double forme. (1)nI0lt>rr.. Traité des mal
en 1892, Gilbert Ballet en 1894, etc., s'accordèrent pour ranger la
folie
circulaire ou à double forme, à côté de la mani
x formes mentales alternent souvent d'une façon régulière (c'est la
folie
circulaire sur laquelle les Français ont discut
u en mélancolie » (1). L. Meyer,en 1874, cherche à établir que la
folie
à dou- ble forme est due iL des troubles trophi
orme est due iL des troubles trophiques. L. Kirs, en 1878, range la
folie
circulaire parmi les psychoses pé- riodiques. S
dies constitutionnel- les incurables marche chronique, à côté de la
folie
systématisée, les folies périodiques dont il di
s incurables marche chronique, à côté de la folie systématisée, les
folies
périodiques dont il distingue quatre groupes :
1) GtUESINf'.ER. Traité des.maladies mentales, 1873 p. 275. DE LA
FOLIE
MANIAQUE DÉPRESSIVE. 9 classement, comme on le
nts d'une seule maladie fondamentale, à laquelle il donna le nom de
folie
ma- niaque- dépressive . Se basant ensuite su
tous les états d'excitation décrits sous ce nom relevaient de la
folie
maniaque-dépressive. Kroepelin fit remarquer en
ernent avec des étals d'excitation, ils doivent être rattachés à la
folie
mania- que-dépressive, quand ils ne sont pas sy
de Berlin, que les distinctions établies par les auteurs entre les
folies
intermittentes, les folies alternes, les folies
ons établies par les auteurs entre les folies intermittentes, les
folies
alternes, les folies circulaires, etc., reposaien
s auteurs entre les folies intermittentes, les folies alternes, les
folies
circulaires, etc., reposaient « sur des caractè
a-l-il de conserver seulement ladénomination du reste impropre - de
folies
intermittentes ; mais il écarta délibérément de
Recherches sur les centres nerveux, 2° série, 1893, 499. DE LA
FOLIE
MANIAQUE-DÉPRESSIVE. 11 chimériques différences
ins considérable que celle de la démence précoce, la synthèse de la
folie
maniaque- dépressive n'a eu jusqu'ici que peu d
les idées allemandes, contient une description très exacte de la
folie
maniaque-dépressive. Les autres auteurs, ou gar
dit cet auteur, Kroepelin a singulièrement étendu le domaine de la
folie
périodi- que, en y comprenant tous les cas comm
pensée, Régis ajoute : «11 n'y a donc pas lieu de dé- crire a la
folie
à double forme une symplomatologie spéciale; il
.t. In Tmit¿ de 111édecille,2,(.¡Jition,X'volume, p. 893. DE LA
FOLIE
MANIAQUE-DÉPRLSS1VK. 13 de mélancolie, pour en
régulière des étals de dépression et d'agitation, c'est- à-dire la
folie
circulaire. Mais comme il n'est pas possi- ble
u moins accentuée (1). La manie périodique seconfondraitdoncavec la
folie
à double forme, [opinion qui avait, du reste, é
en groupe des psychoses périodiques, devenu aujourd'hui celui de la
folie
ma- niaque-dépressive . Mais cette première q
us faut encore essayer de justifier le terme un peu rébarhalif de
folie
maniaque-dépressive. On ne manquera pas, en eff
9. EE LA FOLIE MANIAQUE-DÉPRESSIVE. 15 choses périodiques ou de
folies
intermittentes générale- ment usitées aujourd'h
n comprend, en effet, à la rigueur, que l'on désigne sous le nom de
folie
maniaque-dépressive les accès de folie à double
'on désigne sous le nom de folie maniaque-dépressive les accès de
folie
à double forme ou de folie circulaire, puisque
e folie maniaque-dépressive les accès de folie à double forme ou de
folie
circulaire, puisque chacun de ces accès se comp
déjà en droit de dire que ces accès appartiennent au tableau de la
folie
mania- que-dépressive, puisque les uns sont à f
erme les éléments de l'excitation et de la dépres- sion. L'accès de
folie
circulaire devient ainsi le proto- type dont dé
a- niaque ou il prédominance dépressive » (2). La dénomination de
folie
maniaque-dépressive est donc encore, à ce nouve
égitime. Elle est également à l'abri de la critique dans les cas de
folie
à formes alternes (Délaye, Legrand du Saulle),
i 1'I>I\OTü. - In A1lI1. r,éd. psychologiques, z p. 214. DE LA
FOLIE
MANIAQUE-DEPRESSIVE. 17 11 suffit, du reste, de
egré, des circulaires, et si l'état patho- logique qui constitue la
folie
périodique dans sa forme la plus caractéristiqu
oexistent, se mélangent et au lieu de se succéder' comme flans la
folie
à double forme ; c'est ensuite ce fait, corolla
t déjà conclure des considérations précédentes, que l'expression de
folie
maniaque-dépressive est doublement légitime pui
e manie et de mélancolie simples, intermittentes ou périodiques, de
folies
ci double forme, circulaires, etc., doivent êtr
des manifestations d'une seule et même maladie fondamen- tale, la
folie
maniaque-dépressive, qui comporte seu- lement t
tation et de dépression. Ainsi que l'indique cette définition, la
folie
maniaque- dépressive n'est encore différenciée
ne simple entité clinique, dont la place naturelle est à côté de la
folie
systématisée chronique, dans le broupedesp.sc7c
s dé- lires transitoires parmi lesquels l'auteur range les accès de
folie
périodique. Le médicament qu'il emploie le pl
imordiale et de cause occasionnelle la cause la plus générale de la
folie
est la prédisposition le plus sou- vent liée à
élirantes. Pour Maran- don de Montyel, ces causes efficientes de la
folie
peuvent être rattachées a trois groupes distinc
rôle de l'infection fracas- torienne reste important comme cause de
folie
. Pour la fièvre typhoïde, Marandon de 31ontyel
es prédisposés pen- dant ou après la dothiénentérie; cette dernière
folie
est générale- ment peu curable et se termine fr
re le délire et la gravité de l'infection palustre ; celte formelle
folie
rappelle les modalités si diverses de l'alcoo-
G. confirmée. Le traumatisme crânien est une cause fréquente de la
folie
sous toutes ses formes, surtout des troubles iL
clinicien sur une foule de points très obscurs de l'l-tiolo"ic des
folies
; il insiste sur une foule de points de pathologie
nt surtout dans : la dégénérescence mentale, la démence précoce, la
folie
périodique, la neurasthénie, la paralysie génér
ancolies qui ne relèvent pas de l'insénescence ap- partiennent à la
folie
maniaque-dépressive,à la démence précoce, à la
rtiennent à la folie maniaque-dépressive,à la démence précoce, à la
folie
des dégénérés, ou à l'hystérie. Masselon est cond
aranties, en vue d'éviter le placement de condamnés qui simulent la
folie
pour échapper au régime rigoureux de la prison,
thies réputées incurables. , Si une thérapeutique rationnelle de la
folie
est créée, ce sera en partant de ces faits si b
st au moins prudent de ne jamais rejeter d'emblée l'hypothèse d'une
folie
transitoire, alors même qu'elle est en l'espèce
RIA LES ALIÉNÉS EN LIBERTÉ Tentative de suicide. Dans un accès de
folie
, Jules Arsène, journalier à Pont-1'Evèque, s'es
but de leur maladie. Quadruple noyade Ii Kpitial. Dans un accès de
folie
, une femme Faron, âgée de vingt-sept ans, dont
eurant dans une cour de la rue Deaurevaert, versa, dans un accès de
folie
le contenu d'une bouteille de pétrole sur ses hab
ales ont fait un terrain merveilleusement propre à l'éclosion de la
folie
. Ce malade est,en effet,un déraciné, fils de pa
ctobre 1306. ? 130 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE La
Folie
Gémellaire; Par le D' E. IARAN1)ON DE MONTYEL
DE MONTYEL Médecin en chef de \'ille-Evrard. Il faut entendre par
folie
gémellaire une folie qui éclate exclusivement c
en chef de \'ille-Evrard. Il faut entendre par folie gémellaire une
folie
qui éclate exclusivement chez quelques-uns et q
s qui font d'elle une es- pèce spéciale, absolument distincte de la
folie
qui frappe les autres jumeaux et les autres jum
leur oeuvre néfaste en réalisant, pour la con- tagion mentale et la
folie
gémellaire, la confusion très regrettable qu'il
r englober et décrire sous le nom de « démence précoce » toutes les
folies
dégé- 1/éra/ives qui, si elles sont très sujett
hez la femme, au moment de la méno- pause, à la cinquantaine. Or la
folie
gémellaire, elle aussi, éclate à tout âge et re
la mère ; il en résulte que les vésanies des deux jumeaux sont des
folies
dégénératives et que, par conséquent, la folie
jumeaux sont des folies dégénératives et que, par conséquent, la
folie
gémellaire rentre de plein droit, d'après l'école
de s'arrêter en si beau chemin et il s'est empressé d'ajouter aux
folies
dégénératives toutes les folies simples ; toutes
et il s'est empressé d'ajouter aux folies dégénératives toutes les
folies
simples ; toutes les manies avec toutes les lyp
nies furent appelées, elles aussi, démence précoce. Dès lors,que la
folie
gémel- laire fùtounondégénérative,elle en deven
ce mentale due à la faible résistance du cerveau qui n'a en- LA
FOLIE
GÉMELLAIRE. 243 core acquis ni tout son dévelop
la seule à conserver, est celle qui se rencontre parfois dans la
folie
gémellaire, laquelle peut revêtir, en effet, to
ous parlerons dans un instant,ne proviennent pas du délire. Si la
folie
gémellaire est absolument en dehors de la démen
e nous protestons.Il n'est donc pas étonnant qu'ils y rattachent la
folie
gémellaire; ceux qui, comme nous, restent fidèl
ue la seule, la vraie contagion mentale, ne joue aucun rôle dans la
folie
gémellaire. II. Au professeur Bail revient le m
, pour les bien isoler et distinguer, qu'il faut réserver le nom de
folie
gémellaire, les autres cas, qui se présentent c
umeaux et jumelles, rentrent sim- plement dansle groupe général des
folies
familialespuis- qu'ils n'ont rien de particulie
-psychologique. C'est donc bien à tort qu'on englobe sous le nom de
folie
gémellaire toutes les psychoses des jumeaux et
été mieux étudiée on n'aurait pas donné indif- féremment le nom de
folie
gémellaire à toutes les vésanies qui frappent l
es frères et les soeurs nés de couches successives ; or, par LA
FOLIE
G'MELLHIŒ. 2,15 suite de cette néglig
. Aussi M. Trenel est-il encore dans le vrai quand il ajoute que la
folie
gémellaire depuis longtemps signalée n'est en s
rieux, plutôt que comme une forme morbide particulière. Or la vraie
folie
gémellaire, la seule à laquelle il faudrait con
cte de 1\1, Toulouse qui, dans son beau volume Sur les causes de la
folie
, a traité avec un grand talent et une grande ex
finie, qu'il faut actionner pour mettre en valeur. Or dans la vraie
folie
gémellaire, il n'est pas possible de trouver ce
rtune qui les faisait vivre heureux et tranquilles, mais alors la
folie
qu'ils ou qu'elles présentent n'est pas la vraie
ais alors la folie qu'ils ou qu'elles présentent n'est pas la vraie
folie
gémellaire,c'est une folie familiale quelconque
u qu'elles présentent n'est pas la vraie folie gémellaire,c'est une
folie
familiale quelconque,le plus sou- vent très dif
points de vue chez les deux. Nous avons donc raison de dire que la
folie
gémellaire réalise une exception ; toutefois s'
t pas du tout, car l'éclosion au même moment ne serait plus de la
folie
gémellaire, mais une folie familiale à deux, fo
sion au même moment ne serait plus de la folie gémellaire, mais une
folie
familiale à deux, forme simultanée de Régis. Da
ceptions délirantes et ses hallucinations. C'est notre groupe de la
folie
communiquée, que M. Régis a mis autant d'empres
le sien. C'est un grand accapareur qui veut faire entrer toutes les
folies
à deux dans sa folie simultanée. Que mon éminen
d accapareur qui veut faire entrer toutes les folies à deux dans sa
folie
simultanée. Que mon éminent collègue de Bordeau
collègue de Bordeaux, à qui la psychiatrie doit, en outre de cette
folie
simultanée, d'autres travaux remarquables, tell
e sommes plus seul aujourd'hui à avoir publié des observations de
folie
communiquée ; beaucoup d'aliénistes éminents l'on
en soit, certains auteurs ont donc tort d'employer ces cas dans la
folie
gémellaire puisqu'on les observe chez frères et
condition formulée par Bail est donc indispensable pour la vraie
folie
gémellaire. 248 PATHOLOGIE MENTALE. La troi
x ; un état maniaque qui,après une certaine amélioration, se LA
FOLIE
GÉMELLAIRE. 249 compliqua d'une très violente a
té signalée par l'auteur n'est qu'apparente, et que tous les cas de
folie
gémellaire rentrent dans le groupe de la folie
que tous les cas de folie gémellaire rentrent dans le groupe de la
folie
simultanée. Malgré l'intensité des influences p
de leur faire remarquer que la question n'est pas de sa- voir si la
folie
gémellaire décrite par Bail comme la seule méri
faits qui doit fournir la réponse. Or la clinique a répondu que la
folie
gémellaire de Bail existait par l'intermédiaire
r un zéphir favorable. Quand le professeur Bail a mis en doute la
folie
induite ou folie transformée que venaient de décr
orable. Quand le professeur Bail a mis en doute la folie induite ou
folie
transformée que venaient de décrire des aliénis
nant qu'ils n'aient pas eu encore l'occasion de rencontrer la vraie
folie
gémellaire, qui est si rare que des aliénistes
de Bail,il n'y a qu'une observation personnelle et également LA
FOLIE
GÉMELLAIRE. 251 il n'y en a qu'une dans ce mémo
à ma connaissance du moins, du dernier tra- vail d'ensemble sur la
folie
gémellaire est M. Serge Sou- khanoff, privat-do
e conception du terme. Il déclare en débutant que, sous le nom de
folie
gémellaire, il comprend toutes les lésions psyc
mble. A son avis,on ne peut être d'accord avec Bail, qui dit que la
folie
gémellaire, dans la véritable signification de
ou, dans ces con- ditions, de rassembler 29 cas de ce qu'il appelle
folie
gé- mellaire ; mais toutes les statistiques qu'
nombre aussi élevé d'observations, vu, je le répète, que la vraie
folie
gémellaire, la seule qui doit être désignée sous
es les uns des autres. IV. - Disons enfin que, pour comprendre la
folie
gé- mellaire avec les trois conditions, une qua
illard.La formule est donc générale : pas de prédisposition, pas de
folie
; seulement en ce qui concerne la folie gémella
s de prédisposition, pas de folie ; seulement en ce qui concerne la
folie
gémellaire, elle est toujours congénitale, jama
s étaient des êtres à part,doués d'une organisation spéciale LA
FOLIE
GÉMELLAIRE. 253 et que ceux-là seuls qui posséd
ssédaient cette organisation spéciale pouvaient devenir aliénés. La
folie
,en e1l'et,choi- sit ses victimes ; parmi les ju
, il y en a qu'elle frappe d'un coup double,créant, soit la vraie
folie
gémellaire, soit la folie gémellaire simplement f
pe d'un coup double,créant, soit la vraie folie gémellaire, soit la
folie
gémellaire simplement fami- liale, et d'autres,
plement fami- liale, et d'autres, au contraire, qu'elle épargne. La
folie
ne tient donc pas à la double gestation et il f
x qui n'en pâ- tissent pas. Et cela est surtout exact pour la vraie
folie
gémellaire qui, avons-nous vu,éclate souvent au
s et physiques ; d'un autre côté nous savons également que la vraie
folie
gémellaire survient spontanément, sans l'interv
s des différences chez l'un et l'autre jumeaux. Donc, dans la vraie
folie
gémellaire,nécessité absolue d'une prédispositi
ts rapportés par les auteurs et qui sont bien relatifs à la vraie
folie
gémellaire, quand des renseignements exacts ont
gnements exacts ont pu être obtenus, les observateurs ont relevé la
folie
ou tout au moins un nervosisme très marqué, soi
rs à établir que les jumeaux, ou les jumelles, atteints de la vraie
folie
gémellaire, étaient dans tous les cas por- teur
ganisation pathologique congénitale du système nerveux, les cas de
folie
gémellaire soulignent et font ressortir encore
eulement les hal- lucinations et les conceptions délirantes dans la
folie
gé- mellaire, mais encore l'évolution avec tous
'y a que l'éclosion simultanée, et la simultanéité des symp- LA
FOLIE
GÉMELLAIRE 255 tûmes et de l'évolution qu'il n'
spéciale iso- lée par Bail et à laquelle il faut réserver le nom de
folie
gémellaire, afin de la distinguer des psychoses
au de Tours était celui qui, en 15 ? avait publié le premier cas de
folie
gémellaire.Non seulement chez nous, mais encore
ans auparavant, M. Rush a rapporté, en 1sol ? , une observation de
folie
gémellaire. Elle n passé complètement inaperçue
nces physiologiques qui en découlent. Et avec raison, il dit que la
folie
gémellaire, dans ces cas, n'est, en pathologie
s ca- ractères, presque au même instant. C'est là, remarque- LA
FOLIE
GEMELLAIRE. 257 t-il, une preuve manifeste de l
seulement, et il l'affirme, cher, quelques-uns des jumeaux à vraie
folie
gémellaire qu'on constate des antécédents héréd
que sans doute rien n'est plus commun que de voir le même genre de
folie
se dé- velopper chez plusieurs des frères et so
diverses issues du même tronc, mais qu'en ce qui concerne la vraie
folie
gémellaire, il n'en estplus de même, l'hérédité
ion et il en résulte dans certains cas, ceux qui aboutissent à la
folie
gémellaire, sinon dans tous, une profonde analo-
seule origine pathologiqueadmissible de ces accidents de la vraie
folie
gémellaire, accidents qui se manifestent au mêm
e réunion de cas tranchera définitivement ; or nous savons la vraie
folie
gémellaire très rare, il faudra donc du temps p
de la prédisposition héréditaire que celle acquise dans la vraie
folie
gémellaire, nous dirons que si les idées théoriqu
n'expliquent pas du tout le fait essentiel, capital, à savoir : la
folie
. Tous les jumeaux se trouvent dans la situation
ifférence à cet égard entre deux jumeaux qui sont atteints de vraie
folie
gémellaire et deux autres qui ne deviennent jam
produits d'une double gestation, devraient tous être atteints de la
folie
gémellaire. Mais le Professeur Bail rattache la
tteints de la folie gémellaire. Mais le Professeur Bail rattache la
folie
gémellaire à la consanguinité. En effet, il dit
i- nité avait une signification nettement déterminée ets'ap- LA
FOLIE
GÉMELLAIRE. po pliquait au. produit de la fécon
rdité de la consanguinité, on n'explique pas du tout pour cela la
folie
gémellaire. Tout d'abord, parla raison donnée tou
s dans la ques- tion : pour quoi alors les uns sont-ils atteints de
folie
gémellaire, tandis que les autres restent sains
sanguinité ne crée rien, elle ne saurait donc pas plus engendrer la
folie
gémellaire que n'importe quelle autre maladie m
disposition vésanique et les deux jumeaux pourront être atteints de
folie
gémellaire. Mais encore une fois, là où il n'y
du très grand retentissement qu'a eu et qu'a encore sa leçon sur la
folie
gémellaire. 11 n'est pas plus permis dans tout
ous dirons que l'hérédité domine la question tout entière et que la
folie
cher. les jumeaux n'est que la manifestation la
e propose une explication très ingénieuse et très séduisant-; de la
folie
gémellaire tou- jours si obscure et même encore
ts. Voici son intéressante interpréta- tion : Si on admet dans la
folie
gémellaire une question d'lié- LA FOLIE GÉMEL
n : Si on admet dans la folie gémellaire une question d'lié- LA
FOLIE
GÉMELLAIRE. 201 rédité, pour M. Sorel comme pou
ts, il est peut-être possible, croit-il, de se faire une idée de la
folie
gémel- laire. En effet, d'après les travaux les
Dantec à l'explication de l'éclosion simulta- née il distance de la
folie
chez les deux jumeaux et de l'identité du délir
e à cet âge et sous une telle direction, il une époque encore où la
folie
gémellaire non seulement ne soulevait aucune po
en fourniraient d'autres; mais notre espoir a été déçu; ou donc la
folie
gémellaire est d'une rareté excessive, ou nous
èse de M. Sorel, viennent de nouveau d'appe- ler l'attention sur la
folie
gémellaire. Le voici : Soeurs jumelles, hérédit
ment d'entrailles; elles curent simultanément la rougeole, les LA
FOLIE
GÉMELLAIRE. 203 oreillons et une vanoloide très
l avait les yeux flamboyants et la main droite armée d'un tri- LA
FOLIE
GÉMELLAIRE. 205 -) dent. La Vierge, elle, avait
. C'était, comme on voit, la fidèle reproduction à notre époque des
folies
diaboliques du Moyen-Age dont elles a- varient
es comptes rendus détaillés, on est frappé de la (1) Georoet. De la
folie
. (2) l3onnowe et ELUS. Gominenl.ii-ies ol' insa
dans ces asiles, 92,060/. présentaient une forme démentielle de la
folie
. Ses chif- fres qui portent sur les années 1877
à l'autopsie, soit 25,9 %. Il donne le détail suivantdes formes de
folie
: LA TUBERCULOSE DANS LES ASILES D'ADHNKS. 29
à maintes reprises au chef de, quartier Cuzon qu'il avait simulé la
folie
, alors qu'il était à la prison d'Yvelot,de faço
contrôler ses allégations en ce qui concernait la simulation de la
folie
. Son crime commis, JIadec s'est montré calme, d
dans le nombre des admissions, dont elles forment presque le quart (
folie
compliquée d'épilepsie, démence sénile et organ
t pas qu'elles sont les premières victimes de leur imprudence. La
folie
alcoolique entre pour 18 unilés : (10 H. el 2 F.)
psychose maniaco-dépressive, le dé- lire chronique systématique, la
folie
périodique, la confusion mentale, enfin la déme
ence mentale, les vices de déve- loppement, les folios toxiques, la
folie
morale et impulsive, les folies névrotiques.
loppement, les folios toxiques, la folie morale et impulsive, les
folies
névrotiques. Les placements volontaires sont le
fluence sans cesse croissante de l'alcoolisme dans l'éclosion de la
folie
et son déve- loppement dans le département de l
amille. Camhridge (111minois) 1 cr odobre, Hier, dans un accès de
folie
, Mme Mariiham tua à coups de hache ses sept enf
l'urgence n'en existerait pas moins. Les aliénés EN LIBERTÉ La
folie
. - Un charretier, i\1. Charles Batours, âgé de qu
agistral a fait conduire le fou à l'infirmerie spéciale du Dépôt.
Folie
mystique. - Après un songe, un tailleur hindou se
hemineau nommé Frances Auguste, trente-cinq ans, pris d'un accès de
folie
, pénétrait dans le domicile d'un journa- lier,
ur empêcher les fils de fous de se marier et de propager ainsi leur
folie
. La commission a rappelé à l'appui de son voeu
ie chasser. (Semeur de l'Oise, S septembre 1906.) Terrible scène DE
FOLIE
. Il s'est déroulé à la gare centrale du chemin
nait de Chiasso ne lui en donnait pas le droit. Pris tout à coup de
folie
furieuse, il tira de sa poche un grand couteau
e l'Intérieur, G. CLETIENCE.1U. BIBLIOGRAPHIE \L- Mysticisme et
folie
; par le Dr A.Marie. Préface du Dr IL TnULIÉ, (
t Fischer, p. 397. Fièvre typhoïde. Voir C071/1l- sion mentale.
Folie
. De la maniaque dépres- sive, par G. Deny, p. 1
amal- game, quel que soit le mécanisme de ce trouble, tandis que la
folie
systématique cristallisée procède du raisonneme
Nous voilà débarrassé du souci d'avoir à traduire et à expliquer la
folie
systématique aiguë. M. de Krafft-Ebing, qui, à
a, la paranoïa sexuelle ou maslzurliatoire seraient, de même que la
folie
par obsessions, des maladies mentales dues à de
e (syslematische Paranoïa), aussi l'auteur refuse-t-il d'y voir une
folie
systématique aiguë (paranoïa acuta) ; c'est, di
suite de névroses constitutionnelles. Elle est primitive; c'est la
folie
systématique.pleine.et entière, pure. Lemécanisme
nalogue de la confusion mentale hallucinatoire aiguë, tandis que la
folie
systématique, toujours chronique (il n'y a pas de
cuteurs chicaniers (Quoerulantenvahnsinn), décrit au chapitre de la
Folie
héréditaire. D'après cet auteur, le Wahnsinn, a
es à la diminution et à l'ex- clusion de l'activité cérébrale. La
folie
systématique chronique type (typische chronische
son ouvrage est amplement fourni. Il nous suffira d'indiquer que la
folie
systématique originelle (oî-igizx7-e Verrüchtla
originelle (oî-igizx7-e Verrüchtlaeit) y représente un groupe de la
folie
systématique chronique type (typischer Wahnsinn
matique chronique type (typischer Wahnsinn) qui n'est pas, comme la
folie
systématique acquise, le produit d'une affectio
cerveau. C'est net, Wahnsinn égale paranoia, et paranoïa veut dire
folie
systématique. Celle-ci est aiguë ou chronique,
- tement. Quant à la forme chronique, elle se distinguerait dé la
folie
systématique vraie ou Verrüclalaeit, par sa march
de grandeur et l'exaltation de l'humeur, et se distinguant de la
folie
systématique ou e ? ' ? 'MCAe de même nuance, par
sion mentale (Verwirrtheit). La Verrùcktheit àe Kroepelin, c'est la
folie
systématique véri- table. Elle consiste en une
rsécutions hallucinatoire; 2° Délire des per- sécutions combiné; 3°
Folie
systématique(Ver°üclctheit) hypo- chondriaque ;
des grandeurs hallucinatoire ; 6° Délire des grandeurs combiné ; 7°
Folie
systématique origi- nelle (ortMoere Ye ? ·ückth
délire des grandeurs épisodique contrastant avec les variétés de la
folie
vraiment systématique décrite sous le nom de Ve
que décrite sous le nom de Verrücktheü. M. Salgô pense que, dans la
folie
systématique(Verrücktheit), il y a toujours aff
ique(Verrücktheit), il y a toujours affaiblissement psychique. A la
folie
systéma- tique, rarement curable, il oppose la
us loin, cet auteur s'élève contre la classification actuelle de la
folie
systématique (Vei,2,ücktheit), visant vraisemblab
ées de grandeurs et de persécutions, on a même prononcé le mot de
folie
systématique (Verrüclctheit) avec prédominance de
n devient des plus douteux. x A côté de cela, M. Salgô voit dans la
folie
par obsessions une forme abortive de folie syst
a, M. Salgô voit dans la folie par obsessions une forme abortive de
folie
systématique, dans le sens de Westphal. La co
nflammation, la sai- gnée a disparu comme moyen thérapeutique de la
folie
, pour faire place à l'indication, féconde en ré
ble : malheureusement le public n'a pas encore appris à regarder la
folie
comme une maladie qui peut être cause de crime;
a-t-on dans la période d'agitation, pendant qu'ils sont atteints de
folie
alcoolique aiguë, de delirium tremens ? On vo
conclusion, j'estime que le seul moyen d'enrayer lespro. grès de la
folie
alcoolique consiste dans la rectification des alc
-chi sur le système nerveux central des nouveau-nés. KoaFELD. De la
folie
systématique. (paranoïa) originaire. PINELES. P
ernicke, d'après laquelle le délire de chicane et tout un groupe de
folies
partielles proviennent d'idées présomptueuses o
l y a souvent, dans les cas choisisparl'auteur, trèslontemps que la
folie
en question a eu lieu, au moment où le même suj
psychopathie]simple par la paralysie générale, c'est-à-dire de la
folie
simple se transformant en paralysie générale term
n-8°; Des maladies de la moelle épinière. Paris, 1839. In-8°; De la
folie
con- sidérée sous le point de vue pathologique,
t régné dans les monastères. Exposé des condamnations auxquelles la
folie
méconnue a souvent donné lieu. Paris, 1845, 2 v
ite de cette mesure que l'épidémie cessa. » Dans son ouvrage sur la
Folie
, M. Calmeil s'y révèle comme un écrivain distin
mots présentant un son plus agréable, Nous ne pouvons pas guérir la
folie
en l'appe- 76 G VARIA. lant d'un nom différen
egré du trouble mental. Une maladie mentale partielle, fût-elle une
folie
processive, peut imposer une interdiction, mais
délire de grandeur et de persécution. Mais elle se distingue de la
folie
systématique (paranoïa), par l'état de la lucid
se- ment nerveux et qui sont de l'amentia. Quant à la Paranoïa ou
folie
systématique chronique primi- tive (cfa·onisc'e
es de confusion mentale (amentia) avec manie, ayant été précédée de
folie
systématique (paranoïa) dans lesquels, ce syndr
n voit se produire la systématisation délirante bien ordonnée de la
folie
systématique, ni les observations dans les- que
chopathies les plus différentes. M. Wille accepte l'existence d'une
folie
systématique aiguë (paranoïa aczcta), caractéri
xtes donnent une grande clarté aux mots et aux choses. L'idée de la
folie
systématique aiguë y est exprimée sans ambape,
-il dit, on y constate les éléments dissociés mais surnageant de la
folie
systématique chronique. Ils montrent aussi l'as
ussi l'association de la confusion mentale à ces deux aspects de la
folie
systématique et leurs relations pathogénétiquos.
Mayser propose -pour la confusion mentale '{ Verwirrtheit), ou la
folie
systématique aiguë (acute paranoïa), ad libitu2n,
longée, doit être tenu pour le type de ce délire. » A côté de cette
folie
systématique primi- tive (ou 17e ? î,üeletheil)
ue primi- tive (ou 17e ? î,üeletheil), il y aurait à distinguer une
folie
systé- matique originelle (originoere 4errüclct
es deux groupes, il faut admettre des formes mixtes, par exemple la
folie
systématique primitive (p ? )Koe ? 'e Ve2,rückthe
ou des persécutés persécuteurs (Quoerulantenwahn), l'érotomanie, la
folie
systématique (Ve7-i,ücktheit) par obses- sions.
antôt chroniques. La paranoïa simple chronique a pour variétés : la
folie
systé- matique originelle (originccre Verrüclct
délires plus ou moins cohérents désignés sous le nom de paranoïa ou
folie
systématique, prend un corps parfaitement concr
e complexe. La plupart du temps elle apparaît dans le cours de la
folie
systématique ( 6'errüclctheit) primitive, tant ai
e, tant aiguë que chronique et, en particulier, dans le cours de la
folie
systéma- tique (Fer7,iicklheil) dégénérative, d
nquisition (l3eaclatungswalan) de Meynert. » Il y aurait donc une
folie
systématique aiguë, simple ou halluci- natoire
n germe non encore systématisées, avec ou sans hallucinations), une
folie
systématique chronique simple, une folie systém
sans hallucinations), une folie systématique chronique simple, une
folie
systématique secondaire, une confusion mentale
genre de délires, pour les autres, apparaissant dans le cours de la
folie
systématique aiguë ou chronique, enfin peut-êtr
ples, d'après nous fonctionnels, en : a, mélancolie ; b, manie ; c,
folies
pério- diques ; d, paranoïa. La paranoïa se d
syndrome secondaire consécutif aux deux formes précédentes de la
folie
systématique, Wahnsinn ou Verrucktheit. « Nous
s susceptibles de germer jusqu'à l'étal de système, ce mot signifie
folie
systématigene en général; encore incohérente, v
alop, se produit d'emblée à l'état de symptôme intercurrent dans la
folie
systématique hallucinatoire aiguë (acute halluc
natorische paranoïa), ainsi que dans les exacerbations aiguës de la
folie
systématique hallu- cinatoire chronique (chroni
rat- tachées à la paranoïa, car on y note tout autant que dans la
folie
systématique chronique (chronische Paranoia), des
es con- ceptions délirantes. S'il n'y a guère, d'après Ziehen, de
folie
systématique chro- tique simple (einfache claro
ait à l'occasion des hallucinations, inversement il n'y a guère de
folie
systématique, hallucinatoire aiguë (hallucinalo ?
ai analytique de la confusion mentale et de ses rela- tions avec la
folie
systématique. Il en résulte que partout et toujou
éralisée (All.- gemeine Verwirrtheit) se montrerait parfois dans la
folie
systé- matique chronique primitive (primoe2,e c
Elles affirment la compréhen- sion de la paranoïa aiguë en tant que
folie
délirante à éléments systématiques encore insuf
Verwirrtheit délire hallu- cinatoire) se sépare parfaitement de la
folie
systématique chro- nique (paranoïa chronica), n
as, est caractérisé par l'existence d'un trouble de l'intelligence,
folie
intellectuelle comprenant la folie systématique
d'un trouble de l'intelligence, folie intellectuelle comprenant la
folie
systématique plus ou moins cohérente désignée s
Nous voulons parler des épisodes maniaques ou mélancoliques de la
folie
systématique pure ou dégénérative, ou inversement
anoïa aiguë simple; d'après M. Jolly, il faudrait la rattacher à la
folie
aiguë systématique (paranoïa acuta systematisir
a guérison, la démence (amentia chronica ou dementia confusa) ou la
folie
systé- matique chronique (paranoïa chronica). P
cohérence. La paranoïa aiguë systématisée (sic) comprend les cas de
folie
intellectuelle aiguë dans lesquels il n'y a guère
tale, 1878), etc. BIBLIOGRAPHIE. IX. Eludé sur la contagion de la
folie
; par le Dr Ronier. (Genève, 1892.) La conclus
1892.) La conclusion capitale de ce travail intéressant est que la
folie
n'est contagieuse que pour des individus prédis
l'aliéné, son ascendant habituel sont des conditions favorables. La
folie
transmise guérit toujours quand le sujet passif
infirmiers des asiles ne sont pas plus exposés à la contagion de la
folie
que s'ils vivaient dans tout autre milieu. L'au-
érale, infirmités cérébrales, états mélancoliques, états maniaques,
folie
puerpérale, folies toxiques, folies partielles,
cérébrales, états mélancoliques, états maniaques, folie puerpérale,
folies
toxiques, folies partielles, épilepsie, folie imp
mélancoliques, états maniaques, folie puerpérale, folies toxiques,
folies
partielles, épilepsie, folie impulsive. Il est
s, folie puerpérale, folies toxiques, folies partielles, épilepsie,
folie
impulsive. Il est très difficile de se prononce
ient rue de la Tour- d'Auvergne. Cet enfant qui est atteint de la
folie
du meurtre, se complaît à faire souffrir les an
ctions of the Pathological Society of London. . FENAYnou (A.). La
folie
dans l'Aveyron. Contribution à l'élude des foli
FENAYnou (A.). La folie dans l'Aveyron. Contribution à l'élude des
folies
rurales. Volume in-8° de 187 pages. Toulouse, 189
épouse la fille d'un fou; arrière- grand-père, Robert de Clermont,
folie
traumatique consécutive à une commotion cérébra
deux mois après, insolation dans la forêt du Mans, le 5 août 1392 ;
folie
qui dure trente ans. Forme des rémissions : con
ernement complète pendant les 48 rémissions de ces trente années de
folie
. Conclusion : Chartes VI, folie d'origine infec
émissions de ces trente années de folie. Conclusion : Chartes VI,
folie
d'origine infectieuse chez un héréditaire (at h
rs 1895. ? 97 ARCHIVES DE NEUROLOGIE MÉDECINE LÉGALE. UN CAS DE
FOLIE
SIMULÉE. RAPPORT MEDICO-LEGAL; 1 PAR 1 .
ant nous, Maumy, dès notre première visite, a joué la comédie de la
folie
; pendant plusieurs mois il a tenu son rôle sans
us trouvions en pré- sence non d'un aliéné, mais d'un simulateur.
FOLIE
SIMULÉE. 163 D'habitude, les individus qui simu
eur. FOLIE SIMULÉE. 163 D'habitude, les individus qui simulent la
folie
se découvrent par l'exagération même qu'ils app
ce. D'un autre côté, nous avions à tenir compte de ce fait que la
folie
peut se développer dans les premiers temps de l'e
gliger dans les expertises relatives aux aliénés et qui n'est nulle
FOLIE
SIMULÉE. 165 part mieux approprié que dans les
E SIMULÉE. 165 part mieux approprié que dans les cas suspects de la
folie
simu- lée, c'est de ne se prononcer qu'après un
ténuer sa responsabilité, repoussant d'ailleurs toute imputation de
folie
. Maumy serait-il alcoolique ? Il se grisait que
même, parait-il, mais cela ne prouve pas qu'il ait été atteint de
folie
alcoolique. Quand nous l'avons vu pour la premièr
phyxie locale intermittente. L'intérêt doit porter surtout sur la
folie
circulaire. Ritti* a publié en 1882 deux observ
r la folie circulaire. Ritti* a publié en 1882 deux observations de
folie
circu- laire où pendant les périodes de dépress
extrémités dans la lypémanie, la paralysie géné- rale et surtout la
folie
circulaire ; 9° Il est nécessaire, pour le trai
ous résumerons cette partie de son étude. L'auteur reconnaît que la
folie
systématique chronique ou paranoïa chronique es
hypocondriaques, persécutés et méga- lomanes, et la dénomination de
folie
systématisée appliquée par le même savant à la
imitifs. - A la même catégorie appartiennent encore les formes de
folie
avec prédominance du délire des grandeurs de Fovi
ares héréditaires de Jaquet (1876) et Falret. Mais ce domaine de la
folie
systématique chronique, qu'il semblerait si nat
t pourquoi Magnan, reprenant et étendant la théorie de Morel sur la
folie
des dégénérés, des héréditaires dégénérés, prop
période, celle du délire des grandeurs, et terminé par la démence,
folie
systé- matique par excellence. Il s'agit de s
- rescence mentale joue un rôle dans les psychoses ? S'il y a une
folie
caractérisant la dégénérescence mentale ? S'il y
une folie caractérisant la dégénérescence mentale ? S'il y a une
folie
systématique progressive à quatre périodes. Les
entielles comprendraient alors deux grandes classes : il, celle des
folies
chroniques régulières ou délires chroniques; 2°
elle des folies chroniques régulières ou délires chroniques; 2° les
folies
irrégulières ou délires des dégénérés. La tare
érescence. C'est une forme intermédiaire entre les psychoses et les
folies
"à lésions accentuées et profondes ; elle revêt
ose polynévritique (Korsakow) ; Délire sensoriel (Scherschetsky);
Folie
générale (Rosenbach); Paranoïa aiguë ou halluci
ce sujet. Pour M. Cramer, Mor- selli et Buccola ont, sous le nom de
folie
systématisée (pazzia sistemalizzata) , distingu
ubi préalablement des anomalies de développement. C'est, dit-il, la
folie
systématique originelle origincere Vei-21lekthe
il '1886 (p. 176). Elle comprend treize formes : la mélan- colie ou
folie
sombre, la manie, - la paranoïa ou folie systém
ormes : la mélan- colie ou folie sombre, la manie, - la paranoïa ou
folie
systématique primitive (liercvitsclanoe soumass
éphé- mère ou si nous sommes au début d'une affection longue. La
folie
systématique primitive {paranoïa primordialis-pri
o- nique, son seul caractère distinctif, c'est que le début de la
folie
systématique (pomieschateilstvo) remonte à l'âge
connaissance avec quelques-uns d'entre eux quand nous décrirons la
folie
systématique (ponaieschateilstvo) par obses- si
ations physiques il est probable que dans le cas d'idées fixes sans
folie
, il n'y a aucune lésion, et que celle-ci n'appa
e, 40 étaient des idiots ou des imbéciles et 10 étaient atteints de
folie
épileplique. Ce stigmate, non encore signalé, e
reux pendant l'accès d'ivresse. Quant aux alcooliques atteints de
folie
alcoolique aiguë, de délirium tremens, on les p
es aliénés femmes, l'autre à un hôpital d'ivrognes. E. B. XII. La
folie
BLENNORRHAGIQUE; par le D1' CULLERRE. (Annales mé
e ces affections microbiennes dont, jusqu'ici, les rapports avec la
folie
n'avaient pas été établis par l'observation cli
nier de la Riforma Diedica, le Dr Venturi a publié plusieurs cas de
folie
consécutive à l'infection blennorrhagique : les
sécutive à l'infection blennorrhagique : les formes que revêt cette
folie
sont le plus souvent la stupidité et parfois la
pagnée ou non d'hallucinations et d'agitation, est le type de la
folie
infectieuse d'après les travaux les plus récents.
mélancolique : ce sont aussi ceux qu'on rencontre dans les autres
folies
infectieuses. Dans ce cas, sous l'influence d'une
218 XIV. NOTE SUR TROIS cas DE guérison, après LONGUE DURÉE DE la
folie
; parle Dr CAMPBELL. (An2e7,ican Journal oflnsanit
la transformation de la pensée en voix. P. KERAVAL. XVI II. DE la
folie
induite (folie communiquée) ; par M. ScnOENFELDT
on de la pensée en voix. P. KERAVAL. XVI II. DE la folie induite (
folie
communiquée) ; par M. ScnOENFELDT (Archiv f. Ps
raphie. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 217 Conclusions : ioll y a
folie
induite quand un aliéné implante ses idées délira
ène relativement rare ; 3° parmi les psychoses ainsi transmises, la
folie
systématique forme le principal contingent; 4°
nsmises, la folie systématique forme le principal contingent; 4° la
folie
du contaminant et celle du contaminé présentent p
I. LES hallucinations ET LE dédoublement DE la personnalité DANS LA
FOLIE
SYSTÉMATIQUE; par le Dr SÉGLAS. Dans une commun
les symptômes hallucinatoires qu'on observe habituellement dans la
folie
systématique avec délire des persécutions. Au p
'adjonction d'un autre élément morbide et appartenir en propre à la
folie
systématique. Caractère important, au contraire d
tative de meurtre sur sa femme, avait aisément fait la preuve de la
folie
de cet individu, lequel, de persécuté, était de
aux dépens de'leur responsabilité, qu'ils n'ont pas, en matière de
folie
, les connaissances qu'ils se figurent posséder; e
ticuliers et n'auront pas les mêmes raisons de se méfier. Enfin, la
folie
sera complètement leur chose, et cette prise de
onné une expertise médicale. Les diagnostics étaient les suivants :
folie
intermittente, idées de persécution, mélancolie,
suivants : folie intermittente, idées de persécution, mélancolie,
folie
morale. M. LFGRAIN lit une communication de M.
idera sur les chiffres des admissions. 3. On y placera : les cas de
folie
récente, les sitiophobes et suicides, les gâteu
e les mêmes signes dans les diverses espèces de mélancolie' et de
folie
systématique aiguë (paranoia acuia) que dans la c
confu- sion mentale (Yerworrenlceil). On ne saurait penser à une
folie
périodique, malgré la brièveté de l'évolution, pa
n étudie successivement les symptômes, l'évolution psychologique (
folie
des négations) et la marche clinique. Dans un cha
s, les différents aspects qu'il revêt dans la mélancolie et dans la
folie
circulaire, et enfin son diagnostic et son . pr
de négation en dehors de la mélancolie : dans certaines variétés de
folie
systé- matisée de persécution, dans la folie sy
certaines variétés de folie systé- matisée de persécution, dans la
folie
systématisée hypocondriaque et dans la débilité
it être conservée au moins comme base de recherches ultérieures. La
folie
des négations ne doit être comprise que comme u
s secondes qui sont déterminantes. Cette doctrine étiologique de la
folie
est défendue dans ce tra- vail avec talent et a
psychopathique, seule cause reconnue par quelques aliénistes de la
folie
puerpérale doctrine décourageante s'il en fut,
ce, funeste souvent, inutile toujours. ' L'auteur conclue : 1° La
folie
puerpérale n'est pas une et dépend de plusieurs
e un rôle important, mais secondaire et ne suffit pas à produire la
folie
du type puerpéral franc. Le trai- tement second
ions et de leurs définitions. u ? ? ' t Sûr la modalité 'morbide de
folie
systématisée chronique, l'esprit' se montre uni
nous n'en jugeons pas ainsi, car nous remplaçons cette notion d'une
folie
ou d'un délire systématique aigu par les expressi
utres conceptions plus ou moins coordonnées, plutôt moins que plus,
folie
aiguë (Parchappe), syndrome épisodique de la dé
o- hérence habituelle, d'ordre hallucinatoire, 'constatée dans la
folie
systématique aiguë (paranoïa, Wahnsinn, Verrùcktb
de grandeur et de persécution parvenant à l'état par- fait dans la
folie
systématique chronique, mais encore indé- cises
ns la folie systématique chronique, mais encore indé- cises dans la
folie
systématique aiguë. Ce trio nosographique, tout
. Il existe des symptômes communs aux trois tableaux morbides de la
folie
systématique chronique (Verrûcktheit) ; de la f
morbides de la folie systématique chronique (Verrûcktheit) ; de la
folie
systématique moins cohérente (Wahnsinn); de la
nt la Verwirrtheit n'est qu'un degré supérieur du Wahnsinn. Dans la
folie
systématique aiguë (Wahnsinn acuter), en effet,
, Parallèlement ? 111 : w12agnan nous dit' : La"paranoïa chronique ? (
folie
. systématique cbronique),, c'est,le délire, chron
tes, dans leur, allure et dans leurs éléments ,,morbides,. sont la,
folie
des, dégénérés.; Le dégénér.éc'estoun ? produit d
modalités (fort variables, comprenant l'obsession, les, phobies, la
folie
morale, , la manie raisonnante ou, selon les ca
atoire (halluciztatonisclver Wahnsi71n), qui est l'équivalent de la
folie
systé- matique aiguë primitive (acide p)'z;KOE;
étudiant les travaux italiens qui, eux aussi, lorsqu'ils parlent de
folie
systématique dégé- iiérative (paraiioïa dege7 ?
nt que chez les non dégénérés... Chastin, bien qu'il accorde à la
folie
des dégénérés une explosion brusque, une évolutio
'est-à-dire la Verrûcktheit et le Wahnsinn chroniques, en français,
folie
systématique chronique progressive dont les car
eptions délirantes et des hallucinations sen- sorielles (idée de la
folie
systématique originelle ou originaire T'crrückl
riginelle ou originaire T'crrückllaeit appliquée par Kirchhoff à la
folie
systématique en général). 2° La forme aiguë :
Meynert, Wille. Il y a même une certaine difficulté à distinguer la
folie
systématique surtout hallucina- toire (hallucin
ntale généralisée est, ajoutent-ils, capable de se produire dans la
folie
systématique chronique primitive (chi-onische p
que primitive (chi-onische pîii ? 2oej»e Verrûcktheit) (Serbsky) ou
folie
systématique chronique simple (einfaclae chroni
ituer un'stade de'dé- veloppement, ou une phase intercurrente de la
folie
systéma- tique primitive, (primoe're verrùckthe
re verrùcktheil) aiguë ou'chronique',1 et, 'en particulier, de' la'
folie
systématique dégénérative (degenefa- J tive Ver
sent alors que ce dernier s'observe dans la démence paralytique, la
folie
systématique primitive, les ma- ladies aiguës o
mentale (Vecve) ? dit encore que les cas les plus caractérisés de
folie
systématique révèlent toujours une anomalie du se
mé- lancolie. Quant aux épisodes maniaques ou mélancoliques de la
folie
systématique chronique..., ils rie prêtent pas lo
L'aphorisme de Cramer reste donc bien réellement à méditer ? c La
folie
systématique ou paranoïa, est une affection de
Traité des maladies mentales, 1860. Fo1'ILLE. Elude clinique sur la
folie
avec prédominance de délire des grandeurs, 1871
iat., L, 5.) Autopsie du cerveau d'une malade ayant été atteinte de
folie
systé- matique. 1° L'étude complète des sillons
/c/t0os't<yugs/ oc- tobre 1894.) . r 1 E. BLIN. ' ' z XXIV. La
folie
dans ses rapports avec la LOI. La castration chez
itaire avec toutes ses productions dans lé domaine du crime et delà
folie
De quel droit, dit-il, serait-il per- mis à 'de
st, avril 1894.) ' ' , E. B. , z XXV. Sur les moyens de prévenir la
folie
et de lui échapper; . ,r ,r ,par leD''r11'. IaE
nal of insanily, 1894.) E. L3 : i XXVIII. Substratum physique DE la
folie
ET DIATIIÈSE DE la folie , ' . par le Dr ŸIIITE
. L3 : i XXVIII. Substratum physique DE la folie ET DIATIIÈSE DE la
folie
, ' . par le Dr ŸIIITE. ' ", . r - Il est ind
chaque phénomène psychique» correspond un phéno- mène nerveux : la
folie
n'est donc rien autre qu'un symptôme^ complexe
ives au traitement. Les conditions de la diathèse héréditaire de la
folie
sont étroitement reliées à l'idiotie et à l'imb
e la folie sont étroitement reliées à l'idiotie et à l'imbécillité;
folie
et imbécillité ou idiotie ne sont cependant pas
cillité ou idiotie ne sont cependant pas choses identiques, car- la
folie
suppose une maladie corticale actuelle greffée
ppé ou.non. .Qu'elle soit acquise ou héréditaire, la diathèse de la
folie
pré- sente des signes à peu près identiques, av
4.) t,i,t , ,.E. B. i j .l ri h .. ' ( , 'l 1 1· . i .1,, YI1.L.1
folie
chez LES criminels; par le Dr Fallison. , Le cr
s spéciales qu'il est une étude intéressante pour le médecin; et la
folie
, la débilité mentale se rencontrent si fré-- qu
ducation : , > > 'j < t' i> - > < ^ Les formes'de
folie
présentées -pari -les condamnés admis à 1'llô-
on mentale. (American journal of insa-' azity, 1894.) E. B. XXXI.
FOLIE
consécutive A UNE OVARO-SALPINGECTOMOE; par le
d'idées, tandis qu'en même temps il y a excito-motri- cité. Dans la
folie
par épuisement, c'est purement et simplement à
travail intellectuel. '' ' I M. H. DEiiio. De certaines formes de
folie
périodique. - Il existe des folies'périodiques
es puerpérales, elle présentait la complication symptomatique de la
folie
systématique hallucinatoire1 aiguë, sans délire
de Auch. FAITS. DIVERS. A 335 LE mort vivant. Un singulier cas de
folie
a été constaté hier à l'hôpital Tenon. Un pensi
ec le diable et quelques-unes allant se dénoncer. En revanche,,la
folie
systématique chronique et la mélancolie sont po
vec le [stade prodromique et avec le stade ulté- rieur ; 3° dans la
folie
systématique aiguë souvent, il n'y a pas de max
ée par des oscillations diurnes particulièrement fortes; 4° dans la
folie
systématique hal- lucinatoire chronique on cons
t non-seulement plus rares mais aussi moins accentuées ; 5° dans la
folie
systématique chronique simple, courbes thermiques
anormale moyenne qui survient dans la mélancolie, la stupidité, la
folie
systématique avec stupidité, il faut encore disti
out à fait anormales. On les trouve dans la démence paralytique, la
folie
sys- tématique aiguë, notamment quand elle s'ac
RN. En août 1890, à l'asile de Piëtzchen, Feldmann était atteint de
folie
systématique secondaire, pour un rien il était
és, EN rapport avec NOS CONNAISSANCES ACTUELLES SUR LA NATURE DE LA
FOLIE
ET LES RÉFORMES AYANT POUR BUT D'ASSURER POUR E
slation, à propos des aliénés. La croyance à l'incurabilité de la
folie
est répandue dans le public et même parmi les m
taques se présentent en série et sont suivies de trouble mental, de
folie
épileptique. Pendant tout le temps que durent l
réflexe, les vertiges, les accès paraissent, puis le délire, et la
folie
épileptique. Tant que durent ces accidents, c'est
manie, les neurasthénies, le tétanos. La résistance diminue dans la
folie
alcoolique, l'idiotie, la mélancolie, la chorée
les troubles mentaux suffisamment caracté- risés pour constituer la
folie
existaient depuis plus de trois ans chez l'une
récupération fonctionnelle du tissu cortical. L'un était un cas de
folie
puerpérale, datant de quelques semaines et term
ement curable, il ne faut plus désespérer de guérir certains cas de
folie
avancée. Le second fait est celui que l'auteur vi
nne. R. DE MUSGRAYE CLAY. XV. Les drogues tirées du chanvre ET la
folie
; par J.-H. TULL Walsii. (1'Ize Journal of ment
très léger abus des substances tirées du chanvre peut aggraver la
folie
, manifeste ou latente, et rendre ces sujets viole
es préparations de chanvre n'ont fait que provoquer réclusion d'une
folie
latente. R. DE MUSGRAYE CLAN. XVI. SUR la gym
le traitement thyroïdien parait particulièrement avantageux dans la
folie
de l'adolescence, delà ménopause et delà périod
dmann sur le délire, présente en réalité une théorie générale de la
folie
, fondée sur les vues particulières que l'auteur
s les auteurs allemands, et ils sont nombreux, qui ont écrit sur la
folie
depuis une quarantaine d'années, qu'il est abso
if intérêt toutes les choses ayant rapport à la psychologie et à la
folie
. En 1874, il vint à Londres où il finit par s'é
il consacra une grande réflexion et une grande attention, ce fut la
folie
morale. 11 s'en fit une idée très définie, qui
lques-uns de ses amis, et à la fin, il eut croyance en une forme de
folie
dans laquelle le côté social était principaleme
f insanity, 1894.) E. B. XIV. Contribution A la statistique DE la
folie
A la COLONIE du CAP; par le Dr GnEExLEES. D'a
ez les populations de couleur. Les formes les plus fréquentes de la
folie
sont la manie, dans la proportion de 53,8 p. 10
de Moreau de Tours et de Lombroso, sur le génie proche parent de la
folie
. II existe une Vie en gravures de saint Ignace
s du serpent. De même certaines névroses observées de nos jours, la
folie
en particulier, ont existé dès les premiers âge
sacrés et profanes. C'est ainsi que la Bible enregistre les cas de
folie
, mais seulement lorsqu'ils se sont manifestés c
rend certains des prophètes qui ont manifesté quelques symptômes de
folie
, les Démoniaques, et les rois Sauf et Nabuchodo
ou qu'on lise au 1VO chapitre du livre de Daniel, l'histoire de la
folie
de Nabuchodonosor, roi de Bahylone, se croyant tr
moeurs de ces temps primitifs, une description classique de cas de
folie
avec leurs signes précur- seurs, leur début, le
la névrite alcoo- lique, par de Sacerda, 205. RLE\NORItti.IGIQUE,
folie
-. par Cul- lerre, 213. Bromures, les- et l'a
iur DE poule, par Mackenzie, 37. Ciunvre, drogues tirées du et la
folie
, par \valse, 465. Ciiarcot, souscription du mon
r, 141. Dédoublement, hallucination et de la personnalité dans la
folie
systématisée, parSéglas,218. Dégénérescence,
u d' -, par Selle, 53. Fétichisme de souliers, par Noecke, 208.
FOLIE
, contagion de la , par Ro- nier, 153; simulée,
téo-arthropathie pneumique, par Villard, 122. Ov.ao-saurmcccroum,
folie
consécu- tive à une -, par Régis, 316. PAcnYt
0. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE CLASSIFICATION DES
FOLIES
. - DISCUSSION A PROPOS D'UNE PRÉTENDUE MONOMANI
ité et à l'idiotie propre- ment dite. Il a mentionné, en outre, une
folie
raison- nante et une manie sans délire, dont la
eur comprenait parmi les manies sans délire, et Prichard, parmi ses
folies
morales. D'UNE prétendue MONOMANIE RELIGIEUSE.'
magination y jouait le rôle prédominant. Plus tard, il a décrit une
folie
à double forme, étudiée déjà et dénommée par Fa
ne folie à double forme, étudiée déjà et dénommée par Falpet père
folie
circulaire. Alternant dans des phases successives
tion ou de la dépression, lesquelles dominent, tour à tour, dans la
folie
à double forme. More ! a cédé à une illusion se
En même temps que les conditions d'un classement plus rationnel des
folies
, nous avons entrevu une systématisation psychol
inel ? A quels signes précis reconnaître sa manie sans délire et sa
folie
raisonnante ? Les genres d'Esquirol ne sont guè
s, il se voyait avec effroi, étonné, sur la pente du crime ou de la
folie
. 8 . PATHOLOGIE MENTALE. Ce n'était. point de
e fasci- nation oppressive, vague et incertaine. Les traits de la
folie
générale ne s'y rencontraient pas d'avantage, p
es cas nuageux, diversement qualifiés : manie sans délire, manie ou
folie
raisonnante, folie morale, monomanie raisonnant
ersement qualifiés : manie sans délire, manie ou folie raisonnante,
folie
morale, monomanie raisonnante, délires impulsif
e au septième ciel, comme saint Paul, on est en proie à une céleste
folie
, comme sainte Thérèse. Certaines rnonomanies pe
s mentales, notamment dans la manie, l'obtusion hallucinatoire, les
folies
épileptique, hystérique, etc. A Bicêtre, un de
ait dans la méditation et refusait la nourriture. Appartenant à des
folies
d'ordres divers, ces symptômes n'ont ici qu'une
s stupidités très légères. Tanquerel (des Planches), à propos de la
folie
satur- nine, M. Moreau (de Tours), dans son ana
dans les stu- pidités, produit d'un pur désordre automatique. La
folie
consécutive à l'épilepsie nous en offre quotidien
mot, subit l'atteinte d'une monomanie ou, plus correctement, d'une
folie
systéma- tisée ; car il n'est guère d'exemples
ance l'effet d'une maladie nerveuse. D'autre part, ayant ouï que la
folie
se caractérisait quelquefois par des phénomènes
et non le résultat d'une impulsion liée à une forme particulière de
folie
instinctive ; 4° Que G... soit rendu au tuteur,
u de troubles psychiques. Cn. F. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I.
Folie
postépileptique ; par Wilhelm Sommer. (A ? ,ch.1.
aison de la névrose avec un des types cliniques connus (mélancolie,
folie
systématique, paralysie gé- nérale). Périodique
SUR la chronicité ET l'hérédité dans la détermination des types DE
folie
; par M. le D BILLOD. (Bulletin de la Société d
t à la chronicité, elle constituerait un procédé à l'aide duquel la
folie
héréditaire qui évolue par générations succes-
lences et sitophobie chez le si ère de cette malade âgé de six ans (
folie
à deux); enfin à un délire hallucinatoire chez
a est vrai dans toutes les expertises médico-légales relatives à la
folie
, cela est vrai surtout - SOCIÉTÉS SAVANTES. d
commission parlementaire a donner leur avis sur la curabilité de la
folie
et l'opportunité d'inscrire dans la nouvelle loi,
ntachés de la tare héréditaire et, partant, la diffusion des cas de
folie
. De nos jours on prend pour habitude de concen-
congénitales ou habituelles, le rapport exact qui lie l'action à la
folie
, la fourberie du sujet et le degré de conscience,
aliéné criminel dont la nocuité a récidivé avec un nouvel accès de
folie
; la nature psychopathique étant patente, se montr
la discussion par quelques chiffres concer- nant la fréquence de la
folie
chez les délinquants; il les emprunte à tous le
est écoulé moins de trois mois de détention avant l'explosion de la
folie
chez 30,4 p. 100 des hommes et 10, 16 p. 100 ch
imulateurs, ne se ren- dent que trop tardivement à l'évidence de la
folie
. ' M. L.EHR comprend d'autant mieux la mise à e
s dont trois avaient trait à des modalités un peu différentes de la
folie
du doute, et la qua- trième concernait une méla
proportion se trouvait moindre de à à p. 100 dans les trois cas de
folie
de doute. A la suite de quelques remarques prés
n sujet dont bien des points demeurent encore dans l'ombre, sur les
folies
périodiques. Il en communique à la Société un f
" quand domine l'élé- ment moteur (manies chroniques à rémission ou
folies
circulaires); 3° lorsque la démence s'accompagn
r, ils sont opposés à tout ce qu'on leur demande de faire. C'est la
folie
d' opposition. A cette folie d'opposition, Gu
u'on leur demande de faire. C'est la folie d' opposition. A cette
folie
d'opposition, Guislain rattache le mu- tisme, l
rs excréments. Mais il ne signale pas le délire de négation dont la
folie
d'opposition n'est pour ainsi dire que le côté
ent faire autrement. Le refus des aliments, si étroitement lié à la
folie
d'opposition, présente aussi quelques caractère
et qui se prolonge indéfiniment. Ces malades présentent souvent la
folie
d'opposition au plus haut degré, ils sont muets
ment curable; ils pré- sentent eux aussi dans la plupart des cas la
folie
d'op- position, dont Guislain a signalé le fâch
e, par son début, par sa terminaison brusque, quand elle guérit, la
folie
des négations se rattache au groupe des vésanie
rattache au groupe des vésanies d'accès ou intermit- tentes et à la
folie
circulaire. Si même on réserve le nom de délire
uence des affections génitales sur la production et la marche de la
folie
et des maladies nerveuses chez les femmes a déj
es anomalies fonctionnelles sexuelles peuvent produire des accès de
folie
, observations notées en grande partie dans le l
rs traités, à discuter de l'influence des maladies sexuelles sur la
folie
chez la femme. Ainsi, dans la bibliographie fra
une des causes prédisposantes occasionnelles et indirectes de la
folie
(p. 66); et, en ce qui touche la fréquence des
s fonctions génitales et leurs anomalies peuvent être cause de la
folie
chez la femme, sans,' toutefois, aborder, comme
touchent presque pas non plus cette question. Mairet5 croit que la
folie
peut être 1 Esquirol. Traité des maladies menta
et. Leçons cliniques sur les maladies mentales, 18G4. larcl. Sur la
folie
des femmes enceintes, 18o8. )Iitirft. Maladies
contraire, ne croit pas à l'influence des maladies sexuelles sur la
folie
. Enfin, Boyé 3, se fondant sur les travaux des
les aliénées et que ces maladies sont fréquemment la cause de la
folie
. Quant aux auteurs allemands : Griesinger', Lei
, soit même, dans certaines conditions, en provoquant un accès de
folie
aiguë. Krafft-Ebbing8, Ripping9, et 1 Azam. Fol
ant un accès de folie aiguë. Krafft-Ebbing8, Ripping9, et 1 Azam.
Folie
entretenue et pbuoquée par les lésions de l'utéru
3 Boyé. - Essai clinique sur les rapports des troubles génitaux à la
folie
chez la femme. Thèse de Montpellier, 1880. *
aux chez la femme sont une des causes les plus essentielles de la
folie
et ont une influence sérieuse sur l'affection m
chez la femme une certaine influence soit sur l'évolu- tion de la
folie
, soit sur son développement, l'abordent chacun
culière. Leurs recherches ne portent que sur certaines formes de
folie
liées à quelques états particuliers de la femme
une influence quelconque sur le développement et l'évolution de la
folie
, sont dans le même cas quant à une conclusion.
la question du rapport des maladies sexuelles chez la femme avec la
folie
, il restait à se 1 M. Schmidt. Ai,chiv sur Psyc
ent défaut sur ce point intéressant de la pathologie générale de la
folie
, mais encore que celles qui existent diffèrent
èrement entre elles. Ainsi, II. Furke1 dit très brièvement que la
folie
chez la femme est accompagnée de maladies sexue
medicine, 1862. - .L-C. Skene. Rapport des affections utérines à la
folie
. Extrait dans les Archives de Neurologie, 1881,
uer considérablement le véritable chiffre des com- plications de,la
folie
par les altérations des organes sexuels. , v ""
réquence des affections sexuelles chez la femme dans le cours de la
folie
. Mes prédécesseurs n'ayant donné dans cette que
ffre à l'expression centésimale,- on aurait la complication de la
folie
en général chez la femme par les maladies sexue
le et de récente provenance ont été constatées dans quatre cas de
folie
puerpérale. Les vaginites et vulvites i- (le i
as (sept cas de vaginite et 'quatre de vulvite). Enfin, un cas de
folie
puerpérale était accompagné d'un kyste de l'ova
à droite, deux fois à gauche). En examinant la complication de la
folie
par les maladies sexuelles d'après t'âge, on vo
xpression centé- simale, on trouverait qu'avant le retour d'âge, la
folie
est compliquée par les troubles génitaux dans 8
nséquent, un fait acquis. En ce qui regarde les complications de la
folie
par les formes des maladies sexuelles accompagn
la femme, influent d'une façon manifeste sur la complication de la
folie
par les maladies sexuelles. En résumé, les ré
echerches me paraissent être les suivants : La complication de la
folie
par les maladies sexuelles chez la femme doit ê
Quant à l'influence des maladies sexuelles chez la femme, sur la
folie
déjà existante, est-elle correspon- dante à leu
ur l'encéphale, dont les fonctions se trouvent déjà altérées par la
folie
. D'autre part, si l'on se souvient que la physi
s'agit d'appréciation de phénomènes aussi compliqués que ceux de la
folie
, faut-il d'abord examiner en détail toutes les
santes, qu'elles peuvent influer sérieusement sur l'évolution de la
folie
et sur ^on appari- tion ; de sorte que, pour le
appari- tion ; de sorte que, pour le plus grand nombre des cas de
folie
chez la femme avant le retour d'âge, la compli-
l'asile Sainte-Anne [asile clinique). RECHERCHES CLINIQUES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE; Par le D E. MARAXDON DE )IONTY
en chef de l'asile public d'aliénés de )1,tiseille. L'expression «
folie
avec conscience » est une des plus vagues de la
ire, est du domaine delà morale ; elle s'applique RECHERCHES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE. 189 à cette voix intérieure qu
d'étudier dans tous leurs détails les états de conscience dans la
folie
devrait donc, pour seconformeraux sens du motet à
s quelque utilité pour l'étude de la conscience réfléchie dans la
folie
. En nous enfermant dans ces étroites limites, nou
s au titre donné à ce travail, car, en pathologie mentale, les mots
folie
avec cons- cience s'appliquent aux seuls malade
, se rappeler dans quel sens nous, employons les mots conscience et
folie
avec conscience. Ce travail ne sera ni une oe
retracer l'historique des travaux publiés jusqu'à ce jour sur la
folie
avec conscience que celle d'interpré- ter ce po
AVEC CONSCIENCE. 191 I scientifique des états de conscience dans la
folie
, mais je ne veux pas pour le moment me livrer à
ts et de réserver pour l'avenir les considérations théoriques. La
folie
n'est pas une de ces maladies soudaines, accide
n- dément remué, car il est faux que chaque homme ait un grain de
folie
tout prêt à germer. Ainsi, que la folie soit hé
haque homme ait un grain de folie tout prêt à germer. Ainsi, que la
folie
soit héréditaire ou acquise elle n'est pas l'oe
t ils souffrent, et ils en concluent qu'ils sont sur la pente de la
folie
. Dans la forme sensorielle elle-même, les hallu
. Si telle est l'évolution ordinaire, est-ce à dire que jamais la
folie
n'a une éclosion soudaine et incons- ciente ? C
ngtemps le feu a couvé sous la cendre, qu'ils ont RECHERCHES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE. 193 lutté, dissimulé le plus p
ie, simule une brusque apparition. Ce que nous venons de dire des
folies
vésaniques s'applique aussi dans beaucoup de ca
ire des folies vésaniques s'applique aussi dans beaucoup de cas aux
folies
para- lytiques, à celles surtout improprement n
t bien bien conservés, M ? C... réclamait souvent RECHERCHES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE. 195 ses enfants et son mari do
ures morales. Après une période de début plus ou moins longue, la
folie
progresse et passe à sa période d'état. D'ordi-
nscience n'équivaudrait-il pas à la guérison ? A ce point de vue la
folie
paralytique se rapproche de la folie vésanique.
rison ? A ce point de vue la folie paralytique se rapproche de la
folie
vésanique. Il n'est pas rare, écrivait der- niè
s troubles paralytiques, tels que tremblement des RECHERCHES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE. 197 mains, embarras de la paro
manie aiguë. Quand, dans le cours d'une lypé- mànie simple ou d'une
folie
sensorielle, la bonne foi du malade a été compl
faibli qu'il est et sans se douter de sa nature. La lutte contre la
folie
que nous avons vue pour ainsi dire caractéristi
ces cas qui doivent désormais nous occuper. , , RECHERCHES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE. 199 Tout d'abord, dirons-nous,
SCIENCE. 199 Tout d'abord, dirons-nous, il y a quatre variétés de
folie
qui s'accompagnent constamment de conscience, c
ochondrie morale de Fairet, l'agora- phobie ou peur des espaces, la
folie
du doute avec délire du toucher et les folies i
u peur des espaces, la folie du doute avec délire du toucher et les
folies
impulsives. La caracté- ristique de ces aliénat
car nous aurons tout à l'heure à faire connaître de nombreux cas de
folie
qui présentent ce double caractère et qui incon
particularité qui ne se retrouve point pour les autres formes. Ces
folies
, contrairement à la célèbre définition de M. Ba
e petite statistique que la conservation de la conscience dans la
folie
se rencontre de préférence chez ceux dont l'in-
cidents névropathiques ou des anomalies intellec- RECHERCHES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE. 201 tuelles. Enfin, dans la tr
les ; comment faut-il les envisager ? Quelles sont les causes de la
folie
? - Coin- ment doit-on se conduire vis-à-vis de
te sous le nom de : 6' ? 'K&e/sM<;At (manie des subtilités),
folie
du doute avec délire du toucher, pseudomonomani
e du doute avec délire du toucher, pseudomonomanie, délire partiel,
folie
avec conscience, délire émotif, folie lucide, e
udomonomanie, délire partiel, folie avec conscience, délire émotif,
folie
lucide, expressions auxquelles sont attachés les
irante (aberration totale), est trop absolue; car il est des cas de
folie
systématique aiguë primaire dans lesquels l'ali
bserver des conceptions irrésistibles au rang de symptômes dans les
folies
aiguës et chroniques. A l'encontre de Westphal,
VUE de pathologie mentale. ici, la personnalité disparait devant la
folie
systématique. Cette impulsibilité apparaît en e
Un pas encore, et la conception délirante émerge, c'est-à-dire la
folie
proprement dite avec ses états émotils, ses altér
raphie sous le titre de fnr'e arec conscience; à ce point de vue la
folie
systématique et la mélan- colie terminales sera
ls se livrent. Leurs instincts pervers, loin d'être atténués par la
folie
, comme l'a dit M. Christian, sont au contraire ex
les individus criminels, étaient le plus sou- vent modifiés par la
folie
: il n'a jamais été si affirmatif dans son dire
s où, par superche- rie, l'un des conjoints atteint d'épilepsie, de
folie
intermittente, de dipsomanie, ou d'imbécillité,
st un de ces ivrognes chez qui les excès alcooliques déterminent la
folie
. En tout cas, le divorce, pour l'une de ces cau
nt pervertis qui côtoient sans cesse la limite entre le crime et la
folie
et auxquels le régime de la prison semble seul co
l'état pathologique en question. Il s'agit, pour M. 'VcsrmvL d'une
folie
systématique primitive qui s'est développée sou
conisée Griesinger. L'isolement qui est la base du traitement de la
folie
ne peut produire de bons résultats que dans les a
vementdans la position assise où elle se trouve habituellement. La
folie
d'opposition est à son comble, 11 ? E... refuse d
ils ne sont plus rien, ils n'ont pas d'âme, Dieu n'existe plus.
Folie
d'opposition. Refus des aliments total. Les n
t passagèrement. Si les antécédents héréditaires ne révèlent pas de
folie
proprement dite chez les ascendants, il n'en re
ires de pédérastie et de sodomie, effleure à peine la question de
folie
, et, à la fin de son travail, après avoir montré
chez lesquels la perversion morale pour- rait atteindre jusqu'à la
folie
. J'ai dit que l'affaiblisse- ment des fonctions
tion que cet auteur dis- tingué laisse une porte entre-baillée à la
folie
. Et 4 ' Tardieu. Elude médico-légale sur les
t' les excitations impulsives : c'est là un caractère de plus de la
folie
héréditaire. , 1'D'4 opès 1 ce qui précëde, nou
e tremblement des doigts en ce qui concerne les exacerbations de la
folie
systématique (Meyer). Souvent, ajoute M. Kohn,
de circula- tion précédant ceux de l'innervation (manie périodique,
folie
sys- tématique, hystérie) : il en est de même d
elle l'auteur reviendra... , Cn. F. ' t ' .... ' z XVII. Sur la
folie
morale; par J.-Il. GASQuET. 7 ? e Journal - ! o
asquet pense que si l'on éprouve quelque difficulté à concevoir une
folie
morale distincte de la folie intellectuelle, ce
uve quelque difficulté à concevoir une folie morale distincte de la
folie
intellectuelle, cela provient surtout de ce que
e ces processus mentaux que l'on désigne sous le nom de' moraux, la
folie
peut intervenir pour les priver de leur caractè
eur écarte tout d'abord, comme n'ap- partenant pas au domaine de la
folie
morale, les actes accom- plis, soit sous l'infl
ont rien de réel. Ce que les per- sonnes étrangères à l'étude de la
folie
conçoivent moins facile- ment, c'est que les fa
tifs de tristesse. Il résulte des études qui ont été, faites sur la
folie
morale que cet état se rencontre surtout dans deu
onique avec' idées de violence et de destruction, et dans un cas de
folie
chronique avec hallucinations terrifiantes de l
insi au bien-être de ceux qui y sont internés 1. R. de M.-C. XXI.
Folie
associée A la chorée; deux observations; par Jo
en 1870 (The Journal of Mental Science, n° de juillet) deux cas de
folie
rhu- matismale : dans les deux cas qui viennent
derniers, ou d'une façon plus précise, chez les soldats atteints de
folie
non aiguë, la paralysie ' générale étant exclue
Dans un autre ordre d'idées, les chapitres sur le traitement de la
folie
, la colonisation des aliénés, les aliénés dangere
onsidéré dans ses rapports avec le crâne), par Féré, 365. Chorée (
folie
associée à la), 393. Conceptions délirantes, 25
Luc, 87. Experts aliénistes et responsabilité criminelle, 397.
Folie
, 96. Folie associée à la chorée, 393. Folie m
xperts aliénistes et responsabilité criminelle, 397. Folie, 96.
Folie
associée à la chorée, 393. Folie morale, 388.
criminelle, 397. Folie, 96. Folie associée à la chorée, 393.
Folie
morale, 388. Folie postépileptique, par Som-
Folie, 96. Folie associée à la chorée, 393. Folie morale, 388.
Folie
postépileptique, par Som- mer, 92. Folies pér
. Folie morale, 388. Folie postépileptique, par Som- mer, 92.
Folies
périodiques, 129. Folie avec conscience (recher
lie postépileptique, par Som- mer, 92. Folies périodiques, 129.
Folie
avec conscience (recherches sur la), par Marand
conscience (recherches sur la), par Marandon de Mon- tyel, 188.
Folies
(classificaton des), par Dela- - siauve, 1. F
le possède en deçà de la ligne forcé- ment arbitraire qui sépare la
folie
de la raison. Le législateur anglais a appliqué
épare la folie de la raison. Le législateur anglais a appliqué à la
folie
, sans tenir compte de cette ligne arbitraire, u
issance de la nature bonne ou mauvaise de l'action commise; mais la
folie
confirmée est parfaitement compatible avec cett
supprime naturellement toute distinction entre la méchanceté et la
folie
: mais cette dis- tinction, si elle existe réel
as plus qu'un corps parfaitement sam. Mais il y a des sujets sur la
folie
desquels tout le monde est d'accord : ce que l'
ces lésions ne se ren- contrent pas : ce sont ceux chez lesquels la
folie
est prouvée par les habitudes pernicieuses qui
paragraphe en disant que les habitudes mentales qui produisent des
folies
objectives ayant trait à l'impu- reté, à l'ivro
a gourmandise, etc., sont des exemples de ce que l'on a appelé la «
folie
morale » et que, au fond de toutes ces habitude
ATHOLOGIE MENTALE. IX. Les rapports de la syphilis acquise et de la
folie
; revue cri- tique ; par W.-R. DAWSON. (The Jour
éma provisoire de classification que nous reprodui- sons ici : I.
Folie
de la syphilis précoce (période primaire et secon
olie de la syphilis précoce (période primaire et secon- daire) : 1°
folie
toxique aiguë (analogue au délire ou à la manie
vec ou sans démence, probablement due à l'anémie cérébrale. - II.
Folie
de la syphilis tardive (période tertiaire) : 1° f
ébrale. - II. Folie de la syphilis tardive (période tertiaire) : 1°
folie
due à une lésion syphilitique de la base et des
olie due à une lésion syphilitique de la base et des vaisseaux ; 2°
folie
due à une lésion syphilitique de la convexité.
p de cas, sinon tous les cas de syphilis cérébrale dans lesquels la
folie
a été causée par l'épilepsie rentreront dans la
e catégorie (II, 2), mais seraient plus logiquement classés avec la
folie
épileptique, puisqu'ils ne se rattachent qu'indir
squ'ils ne se rattachent qu'indirecte- ment à la syphilis. - III.
Folie
métasyphilitique (parasyphilitique) : 1° folie du
la syphilis. - III. Folie métasyphilitique (parasyphilitique) : 1°
folie
du tabès (à la condition qu'elle soit due à d'a
ques du cerveau qui consti- tuent la base des différentes formes de
folie
; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 57 16° Les fol
érentes formes de folie ; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 57 16° Les
folies
, envisagées à ce point de vue, rentrent dans des
xtrémité de l'échelle sont placées d), les phrénopathies (vésanies,
folies
alcooliques aiguë et chronique, paralysie génér
ésanies, folies alcooliques aiguë et chronique, paralysie générale,
folie
de la ménopause, etc.) ; entre ces deux extrême
alité, et qui sont consécutives et secondaires aux autres formes de
folie
. R. DE 1VIUSGRAVE-CLAY. XII. Observations sur l
. DE 1VIUSGRAVE-CLAY. XII. Observations sur la classification de la
folie
, par EDWIN STEPHEN PAShtORE. (The Journal of Me
res formes mentales. Puis il expose que la taxonomie actuelle de la
folie
est insuffisante et qu'une classifi- cation jud
ieuse devrait avoir pour but d'indiquer la cause de chaque forme de
folie
; il propose la classification suivante qui rep
gie et l'ana- tomie pathologique : Classification principale : 10
Folie
autotoxique; 20 Folie exotoxi- que ; 3° Folie é
pathologique : Classification principale : 10 Folie autotoxique; 20
Folie
exotoxi- que ; 3° Folie épileptoïde ; 4° Folie
ation principale : 10 Folie autotoxique; 20 Folie exotoxi- que ; 3°
Folie
épileptoïde ; 4° Folie de dégénérescence ; 5° Fol
olie autotoxique; 20 Folie exotoxi- que ; 3° Folie épileptoïde ; 4°
Folie
de dégénérescence ; 5° Folie hystéroïde ; 6° Fo
otoxi- que ; 3° Folie épileptoïde ; 4° Folie de dégénérescence ; 5°
Folie
hystéroïde ; 6° Folie congénitale ; 7° Folie si
épileptoïde ; 4° Folie de dégénérescence ; 5° Folie hystéroïde ; 6°
Folie
congénitale ; 7° Folie simulée. Détail de la cl
de dégénérescence ; 5° Folie hystéroïde ; 6° Folie congénitale ; 7°
Folie
simulée. Détail de la classification : .' I.
ngénitale ; 7° Folie simulée. Détail de la classification : .' I.
Folie
autotoxique ou deprimentia : 1° diabétique ; 2° g
° goutteuse ; 3° néphritique ; 4° cataméniale ; 5° cardiaque. II.
Folie
exoloxique. A) pathogénique : a) folie infectieus
améniale ; 5° cardiaque. II. Folie exoloxique. A) pathogénique : a)
folie
infectieuse : il folie accompagnant ou suivant
. II. Folie exoloxique. A) pathogénique : a) folie infectieuse : il
folie
accompagnant ou suivant les fièvres aiguës spéc
nt d'origine pyémique ; 3° manie aiguë délirante (spécifique ? ) b)
Folie
phthisique ; c) folie syphilitique; d) folie bl
; 3° manie aiguë délirante (spécifique ? ) b) Folie phthisique ; c)
folie
syphilitique; d) folie blennorrhagique, manie d
nte (spécifique ? ) b) Folie phthisique ; c) folie syphilitique; d)
folie
blennorrhagique, manie de l'hydrophobie.- B). Tox
d) folie blennorrhagique, manie de l'hydrophobie.- B). Toxique ; 1°
folie
alcoolique ; 2° folie métallique (plomb, etc.) ;
ue, manie de l'hydrophobie.- B). Toxique ; 1° folie alcoolique ; 2°
folie
métallique (plomb, etc.) ; 3° folie médicamente
ique ; 1° folie alcoolique ; 2° folie métallique (plomb, etc.) ; 3°
folie
médicamenteuse (morphinomanie, etc.). III. -
mb, etc.) ; 3° folie médicamenteuse (morphinomanie, etc.). III. -
Folie
épileptoïde : 1° idiopathique ; 2° hystéro-épilep
téro-épileptique ; 3° psycho-épiteptique : a) manie récurrente ; 6)
folie
dite circu- laire ; c) épilepsie larvée des aut
dite circu- laire ; c) épilepsie larvée des auteurs français. IV.
Folie
de dégénérescence. A. Paralysie générale et ses
hie idiopathique du cerveau. d) méningite progressive chronique. e)
folie
consécutive aux maladies du système ner- veux (
e ner- veux (ataxie locomotrice avec symptômes mentaux, etc.). V.
Folie
hystéroïde : 1° Grande hystérie ; 2° folie morale
tômes mentaux, etc.). V. Folie hystéroïde : 1° Grande hystérie ; 2°
folie
morale ; 3° folie de la masturbation ; 4° hypoc
. V. Folie hystéroïde : 1° Grande hystérie ; 2° folie morale ; 3°
folie
de la masturbation ; 4° hypocondrie et neurasthén
e, « trance », extase, etc.). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 59 VI.
Folie
congénitale : 1° Idiotie ; 2° imbécillité ; 3° cr
e en cas de survie au suicide. R. DE il LIS(3 RAVL- CLAY. XIV. La
folie
dans la cientôle privée; par H. C. Bristowe. (T
que privée. La première pensée du méde- cin en présence d'un cas de
folie
est tout à la fois de dégager sa responsabilité
nt sur ce territoire que l'on a justement appelé la frontière de la
folie
. Il faut évidemment laisser loin de l'asile le
MENTALE. d'idées hypocondriaques, en un mot toutes les idées de la
folie
systématisée chronique. Le terrain sur lequel
ependant confondre la paranoïa aiguë avec les poussées aiguës de la
folie
systématisée chronique ; à côté de cela il y a
er sur son père et sa mère. Fonteneau était atteint d'une espèce de
folie
mystérieuse et avait été interné à plu- sieurs
. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Deux nouveaux cas de
folie
gémellaire ; . ParteD'A.CULLERRE, Médecin dir
de la Roche-sur-Yon. i Je me propose de présenter ici deux cas de
folie
gémel- laire que j'observe depuis de nombreuses
- logiques (septembre-octobre 1900) *. Mais d'abord, y a-t-il une
folie
gémellaire ? En d'autres termes, les faits que
ns décrire, cela fait, sauf erreur ou omission, trente-trois cas de
folie
gémellaire connus jusqu'à ce jour. ' Archives,
elques cas où il semble que chez l'un des jumeaux il se soit agi de
folie
communiquée. La folie chez les jumeaux malgré d
e que chez l'un des jumeaux il se soit agi de folie communiquée. La
folie
chez les jumeaux malgré de notables divergences
t toutes les psychoses acciden- telles, nous amènent à voir dans la
folie
gémellaire un ra- meau de la folie des dégénéré
les, nous amènent à voir dans la folie gémellaire un ra- meau de la
folie
des dégénérés et c'est en effet ce que démon- t
' Société obstétricale de Paris, juillet 1879. DEUX NOUVEAUX CAS DE
FOLIE
GÉMELLAIRE. 99 sesse géméllaire, en apparence n
oces ou constitutionnelles, groupe auquel appartient précisément la
folie
gémellaire, dans la majorité des cas. Mais ce
ontaminé par l'hérédité psychopatique. Dans la plupart des cas de
folie
gémellaire où l'hérédité a été recherchée, on l'a
gré intensif. Pour M. Marro 3, qui a publié des cas intéressants de
folie
gémellaire, elle est la manifestation la plus é
part les cas de psychose gémellaire vraie, on rencontre souvent la
folie
chez l'un des jumeaux seulement, soit que l'un
ullerre. Pronostic éloigné des psychoses de la puberté. 3 Marro. La
folie
gémellaire, Annali di Freniatria, 1893. '100 CL
s cause connue. On ne signale aucun antécédent héréditaire ; pas de
folie
chez ses parents ni chez ses nombreux frères et
..., fille de quarante ans, atteinte depuis de nombreuses années de
folie
systématisée chronique à la période ambitieuse.
aliénée, morte dans un asile. Le père, original, était atteinte de
folie
processive. 6° P..., fille de vingt-quatre ans,
e dégénérative marquée ; aussi voit-on ici les DEUX NOUVEAUX CAS DE
FOLIE
GÉMELLAIRE. 101 formes psychologiques s'élever
dignité ; c'est le délire systématisé, l'excentricité d'esprit, la
folie
processive. - En faisant quelques recherches, o
t extraordinaires et devons-nous nous en étonner ? Pour qu'il y ait
folie
gémellaire, il est entendu qu'il faut qu'il y ait
omènes pathologiques eux-mêmes. « Dans toutes les observations de
folie
gémellaire que nous avons réunies, dit Ball, la r
ui indubitablement enseigne, à qui sait observer, l'existence de la
folie
gémellaire avec ses caractères de concordance,
oolique d'une santé précaire, fils unique dont DEUX NOUVEAUX CAS DE
FOLIE
GÉMELLAIRE. 103 le père est mort d'une pyrexie
urtes et subites qui se traduisent surtout par DEUX NOUVEAUX CAS DE
FOLIE
GÉMELLAIRE. 105 des mouvements automatiques : e
élirantes. Elle n'a aucune mémoire, ne se rap- DEUX NOUVEAUX CAS DE
FOLIE
GÉMELLAIRE. 107 pelle rien, n'a pas conscience
ecueillir aucun renseignement sur l'enfance et DEUX NOUVEAUX CAS DE
FOLIE
GÉMELLAIRE. 109 l'adolescence des deux jumeaux
sse, chirurgien de la Légion d'honneur, etc. » DEUX NOUVEAUX CAS DE
FOLIE
GÉMELLAIRE. 111 Si l'on veut bien se reporter à
irrégulièrement. Vers l'âge de vingt- sept ans, il eut un accès de
folie
furieuse avec fièvre qui dura trois ou quatre m
ccupe régulièrement aux travaux agricoles. , DEUX NOUVEAUX CAS DE
FOLIE
GÉMELLAIRE. J J 3 En 1899, il se mit tout à cou
rois pas que l'on puisse refuser à cette observation l'étiquette de
folie
gémellaire : on y trouve dans leurs grandes lig
c crises d'excitation maniaque. En résumé, pour le diagnostic de la
folie
gémellaire, il faut donc s'attacher beaucoup pl
esco a signalée après la section d'un nerf moteur. Dans 71 cas de
folie
l'auteur a pratiqué l'examen méthodique d'un po
es se rattachent plus spécialement à l'une ou l'autre des formes de
folie
de nos classifications cou- rantes. · Sur les
descend. L'intérêt pratique de cette constatation est que, dans la
folie
circulaire, il est possible rien que par l'étud
nquante-sept ans qui, persécutée-persécutrice, présentait un cas de
folie
à deux, avec stigmates de dégénérescence mental
olie. B. Délire de préjudice présénile. C. Démence sénile. IX. La
folie
maniaque-dépressive (Etats maniaques et délirants
- A. Forme simple. B. forMepë ? OtKe. C. Forme circulaire. X. La
FOLIE
systématisée. XI. Les névroses générales : .1.
riques, C. La névrose lran7nalique. XII. Les états psychopathiques (
Folie
des dégénérés) : A. La f/q)''M- sion constituti
Folie des dégénérés) : A. La f/q)''M- sion constitutionnelle. B. La
folie
obsédante. C. La folie impulsive. D. L'inversio
A. La f/q)''M- sion constitutionnelle. B. La folie obsédante. C. La
folie
impulsive. D. L'inversion sexuelle. ' XIII. L
ent est employé utile- ment comme sédatif dans toutes les formes de
folie
chronique avec agitation, et dans quelques cas
mentales, insiste sur les simulateurs et les dissimulateurs, sur la
folie
lucide les psychoses de la vieillesse, les alié
aponi, demeurant rue de la Colline, 28, sous l'empire d'un accès de
folie
, s'est levé subitement de son lit vers une heur
; deux fois, pendant une demi-heure environ, elle a eu des «ccès de
folie
avec divagation et suivis de sommeil. Elle a eu
é, et constate les résul- tats. En considérant toutes les formes de
folie
ci-dessus indiquées dans leur ensemble, et les
S. G. 1037 S. B. 1038 4° Démence simple : S. G. 1038 S. B. 1043. 3°
Folie
épileptique : S. G. 1038 S. B. 1042. - 0" Imbéc
bservations sur les relations de la* physiologie cellulaire avec la
folie
. Si, comme paraissent le prouver les travaux ré
ils abordent l'étude de ces altérations anatomiques dans les cas de
folie
aiguë, décrivent les méthodes histologiques emp
t l'étudient enfin dans l'aliénation mentale. Ce n'est que dans les
folies
aiguës et dans la paralysie générale, que la ch
ux ou l'intelligence est intacte. Les auteurs ont étudié six cas de
folie
aiguë dans lesquels la mort était survenue par
stade de la désintégration étaient beaucoup plus nombreuses dans la
folie
. Dans quelques-uns des cas, tout au moins, il y
is de tirer les conclusions suivantes : 11 n'existe pas de forme de
folie
qui soit propre aux prisons cellulaires et qui pu
opre aux prisons cellulaires et qui puisse être appelée du nom de «
folie
pénitentiaire ». Les folies que l'on observe da
s et qui puisse être appelée du nom de « folie pénitentiaire ». Les
folies
que l'on observe dans ces établissements sont l
onvulsif et mourut. R. DE IUSGR.1VE-CLAT. XXIII. Acromégalie avec
folie
; par David f3Laa. (The Journal of Mental Scienc
la seule particularité qu'il présente est son association avec la
folie
de la persécution. La malade cont il s'agit a été
on mentale. Il. DE Musgrave-Clay. XXVII. Analyse des causes de la
folie
chez mille malades; par J.-V. 1;1 ? CIIFORD. (7
aussi que la période de 20 à 37 ans est celle ou l'apparition de la
folie
est sur- tout fréquente. Il semble que l'hérédi
nt de la fréquence de la prédisposition héréditaire dans les cas de
folie
. A l'asile de Cumberland et de Westmorland, on
. 100 des malades admis dans l'établissement ; 2° La présence de la
folie
chez les parents, que ce soit en ligne directe
preuve suffisante de prédisposition héréditaire. Ce n'est pas la
folie
elle-même qui se transmet, c'est la tare hérédita
, subséquemment, reparaître ; 3° La prédisposition héréditaire à la
folie
atteint son maximum quand elle est reçue à la f
e à l'influence paternelle dans la transmission de la tendance à la
folie
; 5° La folie transmise par le père est légèrem
paternelle dans la transmission de la tendance à la folie ; 5° La
folie
transmise par le père est légèrement plus dange-
légèrement plus dange- reuse pour les fils que pour les filles ; la
folie
transmise parla mère est beaucoup plus dangereu
6o Le sexe féminin est nettement plus exposé aux atteintes de la
folie
héréditaire que le sexe masculin ; 7° En ce qui
uche la fréquence de la prédisposition hérédi- taire, les formes de
folie
observées chez les malades admis à l'asile de G
; 2° mélancolie ; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 3l9 9 3°manie; 4"
folie
épileptique; 5° démence; 60 paralysie générale;
ysie générale; 8° La tendance au suicide est très fréquente dans la
folie
héré- ditaire ; 9° Le suicide et la dipsomani
une autre ; 10° Dans la plupart des cas cependant la forme de la
folie
chez les descendants diffère notablement de la
s de maladies mentales ou d'autres troubles nerveux. Une forme de
folie
déterminé chez un malade par une tendance hérédit
tinction de la famille ; mais il se peut aussi que la tendance à la
folie
s'élimine progressivement dans la succession de
contrées dans une famille. 13° La prédisposition héréditaire à la
folie
dans une famille est souvent associée à la diat
diathése tuberculeuse. 14° Les causes provocatrices des attaques de
folie
paraissent être en somme à peu près de même nat
ue le sujet présente ou non une prédisposition héréditaire. lo La
folie
héréditaire a une tendance particulière à se mani
ulière à se mani- fester aux époques critiques de la vie ; ainsi la
folie
puerpérale est proportionnellement beaucoup plu
sposition'; - 16° Les rechutes sont plus fréquentes dans les cas de
folie
héré- ditaire que dans ceux de folie non hérédi
lus fréquentes dans les cas de folie héré- ditaire que dans ceux de
folie
non héréditaire. 1 n" La folie héréditaire se m
lie héré- ditaire que dans ceux de folie non héréditaire. 1 n" La
folie
héréditaire se manifeste à une époque de la vie u
aire se manifeste à une époque de la vie un peu plus précoce que la
folie
non héréditaire. 18° Les attaques de folie héré
peu plus précoce que la folie non héréditaire. 18° Les attaques de
folie
héréditaire peuvent survenir à n'im- porte quel
euvent survenir à n'im- porte quelle époque de la vie; même dans la
folie
sénile la propor- tion des cas héréditaires n'e
a proportion constatée pour tous les âges réunis. 19° Toutefois, la
folie
héréditaire fait souvent son apparition vers la
eurs générations successives. Quand la tare va en s'accroissant; la
folie
tend à se manifester à un âge plus précoce dans
aires est considérablement plus forte parmi les malades atteints de
folie
héréditaire que parmi les indemnes de toute pré
ion. 21° La proportion des guérisons dans les cas héréditaires de
folie
est considérablement plus forte que dans les cas
durée de la vie est un peu plus courte chez les malades atteints de
folie
héréditaire que chez les aliénés pris dans leur
roportion des décès par tuberculose est plus élevée dans les cas de
folie
héréditaire que dans les cas de folie non hérédit
t plus élevée dans les cas de folie héréditaire que dans les cas de
folie
non héréditaire. 2on La durée de l'attaque de f
dans les cas de folie non héréditaire. 2on La durée de l'attaque de
folie
dans les cas héréditaires qui guérissent ne par
autrefois comme atteints de manie, de mélancolie, de paranoïa, de
folie
circulaire. , Au point de vue étiologique, il f
la vie se pro- longe pendant en moyenne 12 ans après le début de la
folie
, un peu plus longtemps chez les femmes que chez
à la période initiale de la paralysie générale ou à une phase de la
folie
circulaire. Lasègue décrivit ensuite le délire
il se résout dans les principales maladies suivantes : 1° Dans la
folie
périodique, l'état dépressif n'a en lui-même qu
lie survenant chez un jeune sujet doit toujours faire soupçonner la
folie
intermittente, d'autant plus que les accès cons
ans autonomie, se retrou- vant dans les multiples expressions de la
folie
. Il expose alors une conception nouvelle dont l
. 331 1 part il importe de ne pas se laisser tromper par les cas de
folie
intermittente ou de démence précoce à début tar
ie. Celle-ci ne doit-être enfin ni du délire émotif de More], ni la
folie
avec conscience de Pritli, ni un syndrome de dé
antdin, à Passy, a été mise en émoi, hier matin, par un drame de la
folie
qui mé- rite d'être conté. 11m° une riche ren
a surexcité les cerveaux et nous avons à signaler plusieurs cas de
folie
. C'est 1 - VARIA. 1 363 d'abord un individu d
gare de Saint-Laud, à Angers, une dame âgée, atteinte d'un accès de
folie
qu'on a dû diriger. sur l'asile d'aliénés de Sa
habituelles, un nommé Augustin Girault, plâtrier, pris soudain de
folie
sanguinaire, a répandu la terreur dans le pays, e
, âgée de trente ans. Il y a quelques jours, elle était prise de la
folie
de la persécution, folie douce, qui ne faisait
y a quelques jours, elle était prise de la folie de la persécution,
folie
douce, qui ne faisait prévoir en aucune façon l
merie du Dépôt. (Le Petit Soit du 3 décembre 1900.) - Drame de la
folie
. M. Sléfani, vieil étudiant très connu au quart
ie. Un autre aliéné, con- sidéré comme inoffensif, dans un accès de
folie
furieuse, saisit un de ses sabots et en frappa
thésie. - R. de Musgrave-Clay. XXXIX. Une forme dégénérescente-de
folie
syphilitique, avec types cliniques; par G.-A. W
e, la démence est complète. R. de Musgrave-Clay. XLI. Un cas de «
folie
circulaire » dans lequel la durée de chaque pha
sait que l'hérédité se rencontre presque toujours à l'origine de la
folie
circulaire ; on remarquera encore que la malade
ifestés alors qu'ils apparaissent généralement, dans cette forme de
folie
, vers le moment de la puberté, et en tout cas R
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. 427 XLIV. Rapports de la Syphilis avec la
Folie
, ouverture de la discus- sion ; par F.-W. Mott.
lus important de la paralysie générale. R. DE Musgrave-Clay. XLV.
Folie
et mariage; par G. E. Moum. (The Journal of Menta
nfusion maniaque, de manie, de mélancolie, de démence primitive, de
folie
circulaire, etc. Le début de la maladie coïncid
et d'une façon indépendante, dans d'autres cas il s'agissait de la
folie
induite. L'auteur relate le cas de deux frères
lques bizarreries de caractère. L'un des deux eut un court accès de
folie
il y a huit ans. Dans le cours des six dernière
s sur cette somme, puis il prétendit que sa tante était atteinte de
folie
furieuse. Raoult appela un docteur qui arriva a
1 juil- let 1900.) ' Le crime d'une alcoolique. Dans un accès de
folie
alcoolique la veuve Desabeie, cultivatrice à Sa
gagement formel d'un autre versement de 100 francs. Un drame de la
folie
. La femme Eugénie Rougier, âgée de trentre-quat
, nommé Barthélémy P..., était depuis quelque temps atteint de la
folie
de la persécution. Il y a trois jours, M. P..., c
ment blessé. (Le Bonhomme Normand; 7 février 1901). - Drame de la
folie
. Nous avons raconté hier dans quelles cir- cons
8 pages. Bruxelles, 1900. Librairie G. Kusson. 0 . D-nsL (Th). La
folie
, ses causes, sa thérapeutique au point de vue p
tal Sei,îice, avril 1898.) Jeune femme de vingt-six ans atteinte de
folie
puerpérale avec tendance au suicide : vers Noël
es salles. R. DE iiIUGft.a1'L-CL.1Y. XII. Sur le traitement de la
folie
par la médication thyroïdienne ; par J. Middlem
de s'en abstenir. A ce point de 484 REVUE DE THRAPFUTIQUE. vue la
folie
peut diminuer les effets du châtiment de deux man
e leur état pulmonaire et de leur santé générale, ont guéri de leur
folie
, et ont obtenu leur sortie. Pratiquement, les
donc une période prodromique, intermédiaire entre la santé et la
folie
, incomparablement plus fréquente que dans les aff
de delà dégénérescence mentale, notam- ment de l'imbécillité, de la
folie
morale. Les limites de la folie sont encore évi
notam- ment de l'imbécillité, de la folie morale. Les limites de la
folie
sont encore évidentes chez les sujets qui penda
s sont capables de hanter des individus non aliénés. Le début de la
folie
systématisée ne laisse pas de donner matière a
raies maladies mentales, mais qui, par eux-mêmes, ne sont pas de la
folie
. Les déséquilibrés, qui frappent par l'étranget
chée à ce diagnostic tant qu'ils n'ont pas franchi les bornes de la
folie
. Quelle cause peut bien, dans les diverses caté
es passées pré- cédemment en revue, mener l'homme à la limite de la
folie
? Peut- être qu'un de ces jours l'étude d'une a
siologiques. Pour terminer, M. Rosenbach discute les rapports de la
folie
et du génie. Nous ignorons les conditions du sy
Au point de vue psychologique, la ressemblance entre le génie et la
folie
doit être regardée simplement comme superficiel
tuosités mentales. Il n'y a pas de lien intime entre le génie et la
folie
; si les confins de la folie dépendent d'un déve-
as de lien intime entre le génie et la folie ; si les confins de la
folie
dépendent d'un déve- loppement inégal, défectue
2° séiie, I. XL 32 498 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. LX11. Cas de
folie
communiquée; par E. W. CiiiFri ? (The journal o
ntrer chez elle, en bonne santé, mais le lendemain des symptômes de
folie
se manifestent chez elle. Le huitième jour Mme
t de l'ouïe. Ces deux cas se rattachent évidemment à cette forme de
folie
que Régis a décrite sous le nom de « folie simu
demment à cette forme de folie que Régis a décrite sous le nom de «
folie
simultanée o; ils montrent par un exemple frapp
s du tout par un transfert direct des idées morbides, comme dans la
folie
à deux, mais sous l'iiiniience d'im- pressions
é dans cette affaire l'agent véritablement actif; 2° la forme de la
folie
et l'état mental ont été absolument similaires;
re purement psychique. W. 11OURATO\'. Contribution il l'étude de la
folie
épileplique. SOCIÉTÉS SAVANTES. ;i19 Homme âg
tiques) se sont multipliés. Ce sont autant de différences d'avec la
folie
compliquée d'épilepsie. D'autre part l'évolutio
om à part. iAI. 5num.v est convaincu qu'il s'agit dans ce cas de la
folie
épi- leptique, mais il ne voit pas de raisons s
as du malade de M. Mouratow rentre parfaitement dans le cadre de la
folie
épilep- tique chronique, bien connue. MM. Sou
qu'il n'y a pas plus de raisons de distinguer plu- sieurs fomes de
folie
épileptique, que de différencier plusieurs type
ent ensuite, 14,G p. 100, les hallucinations après, 11,6 p. 100, la
folie
primitive, 11,4 p. 100, les aliénés hystériques,
, t'imbcci- hté et le délire aigu; 20 les psychoses dégénérées : la
folie
primaire, la folie périodique, la psycho-neuras
le délire aigu; 20 les psychoses dégénérées : la folie primaire, la
folie
périodique, la psycho-neurasthénie dégénérée avec
ar Broolc., ` ? 'r3. - avec diabète, par Chadebournr, °5S. - avec
folie
., par Hlinr, 32ô. , par errand;31+. - Etude d
Voisin, 158. Tiépiriation - du membre inférieur, par Block, 172.
Folie
- , par llouratow, 518. Ereltophobie, par Bec
lin, 178. F\MH.iALE. Maladie , par Lenoble et Aubiueau, 512.
Folie
, Happons de la sypbylis ac- quise et de la -. p
mphysème sous-cutanée dans un cas de -, par Norman.'f9. àlipi%GE.
Folie
et -. par ulould, 427. Médecin expert. Vade i
ion, par Touche, 507. Syphilis. Rapports de la - acquise et de la
folie
, par Dawson, 5. spinale par Sptllcr, ? 50. -spi
detafotie, par Mott, 427. Syphilitique. Forme dégénérescente de
folie
, - pai- Welsli. 420. SwmconoLt.te. Pathogénie d
tion de la lande -, par BalJi, 39. Thyroïdienne. Traitement de la
folie
par la médication,parMiddle- inass, 480. Ti
teneur rappelle les obsessions antérieures. 11m° ..., atteinte de
folie
du doute, de scrupules religieux, de doutes sur
Je suis continuellement distrait, me disait un malade atteint de la
folie
du doute ; malgré tous mes efforts, je regarde
traiter de suite les troubles mentaux de ce genre. varia. 119 J
Folie
incendiaire.- L'auteur des incendies qui ont détr
à la préfecture. (Petite Gironde, 21 septembre). Les drames de la
folie
. Une scène tragique s'est déroulée hier 12, rue
r des parents (Petite Gironde, 21 septembre 1902). Un drame de la
folie
. D'après une dépêche de Privas du 12 sep- tembr
une dépêche de Privas du 12 sep- tembre : « Un horrible drame de la
folie
vient de se produire à Toulaud. La femme Marthe
t de ses parents, que ses facultés mentales en furent ébranlées. Sa
folie
empira encore du jour où elle devint mère, et e
gée sur l'infirmerie spéciale du Dépôt. Drames DE l'alcoolisme.
Folie
alcoolique. M. Barré, boulanger à Lisieux, avait
mmé d'un seul coup. Arras, 29 sep- tembre. A la suite d'un accès de
folie
alcoolique, le sujet belge Welle, vingt-quatre
nig School for Feeble- Mindedchiidren. Fontanelles (J.-P.). De la
folie
morale. Des degrés dans la responsabilité moral
ES 'DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE, Contribution fui, l'étude des
folies
par contagion. Par le D' Geoiuies CARRIER, Mé
créé par suggestion, a été dénommé dans le cadre nosologique de la
folie
sous le nom de folie à deux, délire à deux, etc
été dénommé dans le cadre nosologique de la folie sous le nom de
folie
à deux, délire à deux, etc., expression qui ne no
semble pas assez générale, et qu'on pourrait remplacer par celle de
folie
par contagion. La définition que nous donnons,
n que nous donnons, en prenant l'élément primordial de ce groupe de
folies
comme thème, a un pre- mier avantage, croyons-n
té décrites. Elle a un deuxième avantage, celui d'être générale, la
folie
à deux n'étant qu'un effet particulier de la su
uteur cite quatre observations de 13aillar-er. Quelques exemples de
folie
communiquée (Gaz. des II6Pilaux, Annales naécl.
ie, t. XV. 9 130 CLINIQUE MENTALE. ce genredefolie, qu'il dénomme
folie
communiquée. MM. Mo- reau1 (de Tours) et Dagron
alret^ en '1877, reprenant les idées éparses sur la contagion de la
folie
, décrivent la folie à deux ou folie communiquée
renant les idées éparses sur la contagion de la folie, décrivent la
folie
à deux ou folie communiquée. Ils mettent en évi
parses sur la contagion de la folie, décrivent la folie à deux ou
folie
communiquée. Ils mettent en évidence trois condit
es conçues pour l'avenir. M. Régis6, en '1880, décrit un genre de
folie
à deux, qu'il dénomme folie simultanée, caracté
M. Régis6, en '1880, décrit un genre de folie à deux, qu'il dénomme
folie
simultanée, caractérisé par réclusion simul- ta
aulle. Du délite des persécutions, 1871. " Laségue et Falret. De la
folie
à deux (Annales médico-psycholo- giques, 1877.
a folie à deux (Annales médico-psycholo- giques, 1877. ' ° Régis.
Folie
à deux ou folie simultanée, th., Paris, 18SO. C
Annales médico-psycholo- giques, 1877. ' ° Régis. Folie à deux ou
folie
simultanée, th., Paris, 18SO. CONTRIBUTION A L'
x ou folie simultanée, th., Paris, 18SO. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
FOLIES
PAR CONTAGION. 131 travaux parurent, soit en .F
. 131 travaux parurent, soit en .France soit à l'étranger, sur la
folie
à deux. C'est à M Marandon de Montyel que revient
nt l'honneur d'avoir décrit les différentes variétés cliniques de
folie
à deux et d'avoir étudié d'une façon approfondie
ie'. En 1881, dans un premier article, il distingue trois sortes de
folie
à deux : 1° la folie imposée, dans laquelle il
premier article, il distingue trois sortes de folie à deux : 1° la
folie
imposée, dans laquelle il fait rentrer les obse
ont dit eux-mêmes, il n'y a qu'un aliéné, un seul halluciné ; 2° la
folie
simultanée de Régis ; 3° la folie com- muniquée
aliéné, un seul halluciné ; 2° la folie simultanée de Régis ; 3° la
folie
com- muniquée, dont le terme, créé par Ballarge
r, avait été repris par Lasègue et Falret pour décrire une forme de
folie
à deux que M. Marandon appelle folie imposée. C
lret pour décrire une forme de folie à deux que M. Marandon appelle
folie
imposée. Ce qui caractérise la folie simultanée
deux que M. Marandon appelle folie imposée. Ce qui caractérise la
folie
simultanée et la folie communiquée, c'est l'alién
appelle folie imposée. Ce qui caractérise la folie simultanée et la
folie
communiquée, c'est l'aliénation des deux codéli
eux codélirants. Dans ce premier article, il croit en outre, que la
folie
à deux ne peut apparaître que dans le cas de déli
ième article, M. Marandon étudie l'étiologie et la pathogénie de la
folie
communiquée. Il met surtout en évidence le rôle
ant de la prédisposition. Lelimann 3, en 1885, propose d'appeler la
folie
communiquée : folie induite; mais il n'apporte
on. Lelimann 3, en 1885, propose d'appeler la folie communiquée :
folie
induite; mais il n'apporte aucun document nouveau
induite; mais il n'apporte aucun document nouveau à l'histoire des
folies
par contagion. A partir de 1892, parurent de no
breux travaux sur la contagion mentale morbide et sur les formes de
folie
qu'elle engendre. 1 . M. Pronier1, dans son i
. M. Pronier1, dans son intéressante thèse sur la contagion de la
folie
, soutient que la folie imposée de Marandon n'est
on intéressante thèse sur la contagion de la folie, soutient que la
folie
imposée de Marandon n'est que le premier degré
imposée de Marandon n'est que le premier degré de la contagion des
folies
non impres- sionnantes, c'est-à-dire des folies
de la contagion des folies non impres- sionnantes, c'est-à-dire des
folies
systématisées, où l'indi- vidu contaminé le ser
le deuxième. ' Marandon de Montyel. Contribution ci l'élude de la
folie
à deux (Annales zt2éclico-hspchol.. 1881, p. 2S
2S). Marandon de Montyel. De l'imitation dans ses rapports avec la
folie
communiquée (encéphale, 1882. p. 58J. ' Lehma
iiid XIV, ilelft c, p. li5. - Pronier. Elude sur la contagion de la
folie
, th., Lausanne, 1892. 133 CLIrIQ; E ,111EnTALE.
IQ; E ,111EnTALE. M. Marandon' publie de nouveau une observation de
folie
multiple partiellement communiquée, d'où il tir
uniquée, d'où il tire cette double conclusion : que dans les cas de
folie
multiple, le sujet actif ne communique au sujet
folie multiple, le sujet actif ne communique au sujet passif que la
folie
à laquelle ce dernier est prédisposé ; que d'au
a folie à laquelle ce dernier est prédisposé ; que d'autre part, la
folie
communiquée évolue par elle-même sans être infl
à la Société de médecine mentale de Belgique sur la contagion de la
folie
, tout en admettant les-trois variétés de folie
r la contagion de la folie, tout en admettant les-trois variétés de
folie
à deux, de Maran- don, rattache la folie imposé
tant les-trois variétés de folie à deux, de Maran- don, rattache la
folie
imposée à la folie communiquée. Il considère la
étés de folie à deux, de Maran- don, rattache la folie imposée à la
folie
communiquée. Il considère la première comme une
male. M. Kinkel ne croit pas que les groupes individualisés de la
folie
à deux soient bien tranchés. M. Jeerger divise le
il reconnaît les trois formes cliniques décrites ; mais pour lui la
folie
imposée se distingue de la folie communiquée pa
niques décrites ; mais pour lui la folie imposée se distingue de la
folie
communiquée par l'intensité de la transmission
nouveaux articles parus en 1894, M. Marandon 1 Marandon de Montyel.
Folie
multiple partiellement communiquée avec dissimu
s (Ifev. neurol., 1893, p. 575. ' De Boeck. De la contagion de la
folie
(Bulletin de la Société de médecine mentale de
iété de médecine mentale de Belgique, 1893, p. il6). 3 Arnaud. La
folie
la deux, ses diverses formes cliniques (Annales
éd.-psychol., 1894, t. XIX, 1. 266-167). CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DES
FOLIES
PAR CONTAGION. 133 cherche à mettre au point la
ève contre la conception de M. Arnaud, qui ne sépare pas assez la
folie
imposée de la folie commuuiquée,et il en retrace
eption de M. Arnaud, qui ne sépare pas assez la folie imposée de la
folie
commuuiquée,et il en retrace les caractères cli
Allemagne et en Amérique, ont cherché à créer une forme nouvelle de
folie
par contagion, la folie induite ou folie trans-
, ont cherché à créer une forme nouvelle de folie par contagion, la
folie
induite ou folie trans- formée, c'est-à-dire la
réer une forme nouvelle de folie par contagion, la folie induite ou
folie
trans- formée, c'est-à-dire la transmission d'i
e l'a dit M. Ma- randon en '1894, n'est qu'un cas particulier de la
folie
com- muniquée et ne doit pas constituer une esp
èce indépendante. Depuis 1894, de nombreux mémoires ont paru sur la
folie
à deux. En général, les auteurs admettent les f
ées par Marandon : les uns apportent de nou- velles observations de
folie
communiquée2, de folie trans- formée 3, de foli
uns apportent de nou- velles observations de folie communiquée2, de
folie
trans- formée 3, de folie simultanée, de folie
es observations de folie communiquée2, de folie trans- formée 3, de
folie
simultanée, de folie gémellaire, que les 1 Mara
lie communiquée2, de folie trans- formée 3, de folie simultanée, de
folie
gémellaire, que les 1 Marandon de iliontyel. De
ltanée, de folie gémellaire, que les 1 Marandon de iliontyel. De la
folie
à deux el de ses trois grandes variétés cliniqu
itaux, 1894, p. 75, 79, 80, 81). Legrain. Contribution à l'élude la
folie
communiquée (Aiiii. méd.- psych., 11- 46). 2
i. méd.- psych., 11- 46). 2 Oscar Woods. Note sur quelques cas de
folie
(t deux chez plusieurs membres d'une même famil
ience, il- d'oc- tobre 1897). Meyer. Contribution M l'étude de la
folie
communiquée (mal. de Kor- sakofT). (Allg. Zeils
Zeilsch. f. Psychiatrie, t. LV, f. 3, août 1898). Burzio. Un cas de
folie
u deux (R. ricademia di medicina di Torino, 4 j
Torino, 4 juillet 1899). Gonzalès. Contribution et l'étude de la
folie
communiquée (Rivis. .<pet-. di freniatria, a
eniatria, an. XXXVII, f. 1, p. 57-59, 1900). E.-A. Hénik. Un cas de
folie
à deux (Rev. neuaol., 1898, p. 25). Jelh. Folie
A. Hénik. Un cas de folie à deux (Rev. neuaol., 1898, p. 25). Jelh.
Folie
à deux (Boston, med. and Surg. Jounn., 1900, 11-
x (Boston, med. and Surg. Jounn., 1900, 11- 14). W. Griffin, Cas de
folie
communiquée (The Journ. of ment. Science, janvi
ment. Science, janvier 1900). Meyer. Contribution à l'élude de la
folie
à deux et de la folie quérzc- lente (.11,ch. f.
er 1900). Meyer. Contribution à l'élude de la folie à deux et de la
folie
quérzc- lente (.11,ch. f. Psychiatrie, t. XXXIV
lente (.11,ch. f. Psychiatrie, t. XXXIV, fasc. 1, 1901). Kalmus.
Folie
à deux ayant donné lieu au divorce (Arch. f. Ps
Psychiatrie, t. XXXV, f. 1, 1901). 3 L. Finkelstein. Deux cas de
folie
par transformation (Jalrobücher f. l'sycltiatri
de Bechterew8, de Tarde et surtout celui de Nina Rodriguès9 sur la
folie
des foules, où le professeur bré- silien dévelo
communication des phénomènes psychiques et où il montre bien que la
folie
communiquée comme la folie des foules relève du
s psychiques et où il montre bien que la folie communiquée comme la
folie
des foules relève du même facteur pathogénique.
oules relève du même facteur pathogénique. II. - Pour qu'il y ait
folie
par contagion, il faut deux élé- ments pathogén
s. Les Phobies à deux (Sem. mécl., 1896, p. 7). 1 Schonfeld. Sur la
folie
communiquée (Rev. neurol., 1895, p. 513). c Sor
(Rev. neurol., 1895, p. 513). c Sorel. Contribution à l'élude de la
folie
<t deux; rôle de l'imitation dans la co ? zl
ou acquise, avec considération sur quelques mesures préventives de
folie
et dégénérescence (American Journ. of 171saîzily,
que (Arch. iieiii-ol., juillet 1901, p. t6). ° Nina Rodriguès. La
folie
des foules, nouvelle contribution et l'élude de
odriguès. La folie des foules, nouvelle contribution et l'élude des
folies
épidémiques au Brésil (Annal, Me'<<.-pc/i0
;<.-pc/i0 ? 190), p. 19, 189, 370). CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
FOLIES
.PAR CONTAGION. 133 La contagion morbide est la
La contagion morbide est la raison d'être de toutes les formes de
folie
par imposition, par communication, par transmis
ne crois pas, disait-il, à la communica- tion proprement dite de la
folie
; la vésanie transmise de toute pièce n'existe
e 1894, montre bien l'évolution de cette idée de la contagion de la
folie
. Elle fut développée par Lasègue et Falret en 1
MM. Lapointe, Kreuser-Schulz, Martinenq. Taguet, prouvèrent que les
folies
générales comme les folies 'systé- matisées pou
z, Martinenq. Taguet, prouvèrent que les folies générales comme les
folies
'systé- matisées pouvaient se transmettre, et l
rès lesquelles un esprit peut agir sur un autre. ' illacoy. De la
folie
communiquée ou du délire à deux ou plusieurs pe
plusieurs personnes, th., Paris, 1S74. - Brunet. Contagion de la
folie
(Annal, méd.-psych-, 1S75). 3 Nasse. Elude sur
facteurs qui prédomine sur les autres ; ainsi, dans le groupe des
folies
communiquées, l'imitation prédominera dans les
groupe des folies communiquées, l'imitation prédominera dans les
folies
émotionnelles ou impressionnantes qui frappent l'
teur principal au contraire dans les délires systématisés. Dans les
folies
simultanées, l'action intermen- tale jouera le
multanées, l'action intermen- tale jouera le premier rôle. Dans les
folies
imposées, enfin, ce ne sera plus l'un ou l'autr
ffet, si la suggestion morbide estindispensableà à l'éclo- sion des
folies
par contagion, un autre élément n'est pas moins
ou à rejetter. . ' Tarde. Loc. cil. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
FOLIES
PAR CONTAGION. ' ! 37 Il en est de même au poin
nce de réagir à son tour morbidement, ce qui se présente dans les
folies
communiquées et simultanées. Suivant le degré d
tées de façon différente. Ce fait est démontré en clinique dans les
folies
imposées, où la suggestion a moins de prise à c
inverse de la prédisposition. Les deux éléments essentiels de toute
folie
par contagion sont donc : la suggestion morbide
disposé, moins il faudra d'impression morbide. En somme, dans toute
folie
par contagion, il y a sugges- tion, impression
-Nous venons de voir les trois éléments essentiels et généraux des
folies
par contagion ; passons maintenant en revue les
oubles senso- riels ; 4° la vraisemblance du délire dans les cas de
folies
sys- tématisées ; 5° l'appât d'un intérêt perso
par les phénomènes délirants. r1 ce point de vue, on peutdiviserles
folies
en foliesimpres- sionnantes et folies convainca
int de vue, on peutdiviserles folies en foliesimpres- sionnantes et
folies
convaincantes. Les folies impressionnantes, qui
s folies en foliesimpres- sionnantes et folies convaincantes. Les
folies
impressionnantes, qui sont les folies générales
et folies convaincantes. Les folies impressionnantes, qui sont les
folies
générales comme les manies, les lypémanies, fra
de paraîtra plus fou. Ce sont d'elles que relèvent les épidémies de
folie
du moyen âge et celle qu'on a observées et qu'o
s plus contagieux. Les états maniaques le sont plus rarement. Les
folies
convaincantes sont les délires systématisés, qui
(Rev. de Psychiatrie, mai 1902, p. 208). CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
FOLIES
PAR CONTAGION. 139 interprétations délirantes d
anxieuses de la mélancolie et les idées de persécution. IV. Toute
folie
par contagion se réduit à deux éléments cliniqu
trois formes cliniques : lafolie imposée, type Lasègue-Falret; la
folie
simultanée, type Régis ; la folie communiquée, ty
imposée, type Lasègue-Falret; la folie simultanée, type Régis ; la
folie
communiquée, type Marandon. ' Sérieux et Capg
re des facteurs et plus particulièrement de la prédisposition. La
folie
imposée est l'action incessante et répétée du suj
uteurs sont très variables sur la compréhension de cette forme de
folie
par contagion. Elle a été d'abord la forme décrit
e a été d'abord la forme décrite par Lasègue Falret, sous le nom de
folie
communiquée ; M. Pro- nier la considère comme l
mmuniquée ; M. Pro- nier la considère comme la première étape de la
folie
par communication. M. Marandon qui l'a identifi
que doit posséder le sujet passif. Ce qui caractérise pour nous la
folie
imposée, c'est que le sujet passif n'édifie jam
aprovocationetses conséquences troublent CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
FOLIES
PAR CONTAGION. 141 trop profondément ses facult
rat et de la sensibilité générale », et devint le sujet actif d'une
folie
imposée. Le jeune homme légè- rement prédisposé
les faits rapidement relatés dans cette observation, cas typique de
folie
imposée, retenons simplement ceci : que la sugg
pendant le temps-de l'influence sugges- tive. En résumé, dans les
folies
imposées, le sujet passif est celui qui emprunt
absolue de le séparer de son codélirant. La deuxième forme est la
folie
simultanée, bien indivi- dualisée par M. Régis,
-mentale et par imitation inconscienle. La troisième forme est la
folie
communiquée dont M. Ma- randon a bien précisé l
e qui la caractérise et la différencie d'une façon très nette de la
folie
imposée, c'est que le sujet passif, sous l'infl
trois facteurs de la suggestion morbide. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
FOLIES
PAR CONTAGION. 143 Le sujet passif, fortement p
M. Marandon a publié en 1893, dans lequel le sujet actif atteint de
folie
multiple ne transmet au conta- miné que l'uniqu
nous rapportons plus loin. La séparation des codélirants dans les
folies
communiquées a donc sa nécessité. Dans le table
la continuité de la suggestion morbide du sujet actif. En somme, la
folie
communiquée est caractérisée par la transmissio
é de séparer les codélirants pour leur traitement. Observation '.
Folie
communiquée par la fille à sa mère. 1. - Agent
rantes. Excitation et dépression par intervalles. Agent actif d'une
folie
communiquée à sa mère. 111m° G. Marie, âgée d
le service de notre maître, M. Magnan. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
FOLIES
PAR CONTAGION. 145 maladie indéterminée. Sa mèr
ples, insomnies, excès alcooliques. Parait être l'agent actif d'une
folie
à deux. Signé : Dr LEGUAS. Certificat d'entré
is eu d'hallucinations de la vue. Elle devient le sujet actif d'une
folie
qu'elle com- munique après plusieurs mois à sa
les éléments que doit présenter l'agent actif suggestif, dans toute
folie
communiquée. Elle nous montre aussi l'évolution
re part son affaiblissement intellectuel CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
FOLIES
PAR CONTAGION. 149 donne aux interprétations dé
Elle nous dit dans la soirée de ce même CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
FOLIES
PAR CONTAGION. 151 jour « qu'elle a entendu une
on travail- lerait toutes les deux dans la lingerie ». Ce cas de
folie
communiquée fait bien ressortir la patho- génie
u sujet passif sous l'influence suggestive de l'élément actif. A la
folie
communiquée on doit rattacher la folie induite
ive de l'élément actif. A la folie communiquée on doit rattacher la
folie
induite ou transformée des auteurs étrangers, q
jà délirants. Le phénomène pathologique est identique à celui de la
folie
communiquée et ses condi- tions pathogéniques s
êmes; nous ne nous y arrê- terons pas. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
FOLIES
PAR CONTAGION. 183 V. Au point de vue du traite
DES FOLIES PAR CONTAGION. 183 V. Au point de vue du traitement des
folies
par conta- gion, sans nous arrêter à la thérape
ts et en augmentant la puissance de la prédispo- sition. Dans les
folies
imposées, les sujets passifs ne délirent que so
élirants qui ne sont que des phé- nomènes de suggestion. Dans les
folies
communiquées, bien qu'on ait à faire à des suje
'avons vu, de fâcheux résultats sur les sujets passifs. Quant aux
folies
simultanées, dont nous n'avons pu obser- ver de
mble donc bien que l'indication importante dans le traitement des
folies
par contagion, soit de soustraire les sujets à le
onsidérations médico- légales que peut faire naître la question des
folies
par con- tagion, il est un fait cependant qui d
'est la condition médico-légale des sujets passifs, dans les cas de
folie
imposée. Tous les auteurs, sauf récemment M. Ni
es légalementrepréhensibles. C'est ainsi que, dans l'observation de
folie
imposée que nous avons rapportée, le jeune homm
cte qu'il aurait pu commettre. Nous croyons, en effet, que dans les
folies
imposées, les sujets passifs doivent être consi
ico-légal, considérés comme absolument irresponsables. ' Dans les
folies
simultanées et communiquées, la question n'est
cuter, puisque les codélirants sont aliénés. Conclusions. -,Il' Les
folies
à deux doivent être comprises dans une dénomina
oivent être comprises dans une dénomination plus générale, celle de
folies
par contagion ou suggestion morbide. Cette ap
s qui ont comme point de départ la suggestion morbide, depuis les
folies
communiquées jusqu'aux folies des foules; 2° il y
art la suggestion morbide, depuis les folies communiquées jusqu'aux
folies
des foules; 2° il y a nécessité de séparer les
a nécessité de séparer les codélirants dans toutes les formes de
folie
par contagion ; 3° il y a nécessité de considérer
de considérer, au point de vue médico-légal, les sujets passifs des
folies
impo- sées comme étant en état suggestif et par
temps à autre avec les diverses manifestations morbides liées à la
folie
des dégénérés, prin- cipalement avec les innomb
une coexistence d'un certain nombre d'obsessions et impulsions. La
folie
du doute est associée non seulement au délire d
ment. Nous verrons ultérieurement les opinions qu existent sur la
folie
du doute et les différentes objections dont elles
rtenant à la grande famille des dégénérés. Le second syndrome, la
folie
du doute, demande aussi quelques commentaires à
u'il a reçu de la part des aliénistes. Falret père, qui décrivit la
folie
du doute pour la pre- mière fois, d'une façon a
idées. Pour M. Magnan et pour nous, nous sommes loin d'envisager la
folie
du doute sous un pareil aspect ; elle ne consti
degré d'intensité; 3° le caractère et les dispositions du sujet; la
folie
du doute disparaît rarement; les phobies au con
restait applicable quand la partie lésée établissait que l'état de
folie
sous l'empire duquel a été commis l'acte qui lu
ux. On ne doit pas plus les confondre qu'on ne confond les cas de
folie
puerpérale qu'onamèneàl'asileavec des délirespuer
d'intoxication passagère, qu'on peut découvrir la coexistence d'une
folie
durable. Les délires d'asiles, les vraies psych
ue M. Marandun de Monthyel désigne plus spécialement sous le nom de
folie
post-opératoires pour les distinguer des délire
ons et des idées de suicide. Elle était d'ailleurs prédisposée à la
folie
; car une cousine était aliénée et le père alco
Jules Voisin. Chez les héréditaires, chez les individus atteints de
folie
morale, en particulier, les symptômes se succèden
icqué) Con- grès des aliénistes de Marseille, 1899 ; Observation de
folie
sym- pathique (avec le Dr Picqué), Société médi
er 1901, on comptait 557 malades (282 H. et 275 F.), dont 17 cas de
folie
alcoolique. Les admissions dans l'année ont été
uent librement devant une société complice. E. BLIN. X. Un cas de
folie
brightique ; par le Dr VIALLON. (Annales médico-
s pour engager à ten- ter de nouvelles expériences. E. B. XII. La
folie
des foules. Nouvelle contribution à l'étude des f
E. B. XII. La folie des foules. Nouvelle contribution à l'étude des
folies
épidémiques au Brésil ; par le Dr N)NA RODRIGUE
janvier-octobre 1901). Dans une première étude sur une épidémie de
folie
religieuse au Brésil, l'auteur s'était attaché
illé. Un cas BIBLIOGRAPHIE. 393 r7. ri. 394 BIBLIOGRAPHIE. de
folie
infantile suivi de la bibliographie de la questio
t. C'est encore un crime de l'alcoolisme et des marchands de vin.
Folie
et sorcellerie. Le nommé Kissier, marchand ambula
e. Le nommé Kissier, marchand ambulant à Anost (Côte-d'Or), pris de
folie
et prétendant que sa femme l'avait ensorcelé, l
hez les gens normaux et chez ceux qui sont affectés d'épilepsie, de
folie
systématisée chronique de pa- ralysie générale
de (peur angoissante de la phtisie, des épingles, des chiens, de la
folie
, de maladies diverses). Les auteurs étudient en
z grand nombre d.' aliénés chroniques parmi les entrants (26 cas de
folie
simple remontaient à plus de six mois). D'où la
NNER AUX ALIÉNÉS ET LA SURVEILLANCE QUI EST NÉCESSAIRE. Drame de la
folie
. Un jeune homme de vingt-quatre ans, Georges Li
nt ébranlé la raison, a été pris soudain, hier matin, d'un accès de
folie
furieuse, et, sai- sissant par les cheveux une
eu. Un pas de plus et Dieu leur parle. Ils sont sur le chemin de la
folie
. A1M. KLIPIIEL et Viguurocx présentent trois ob
le malheureux à l'asile d'aliénés (Le Matin, 19 septembre 1902).
Folie
et mysticisme. La concierge de l'immeuble situé 1
être. A la vue des arrivants, la pauvre femme qui était atteinte de
folie
mystique à laquelle se joignait la manie de la
enfermé dans une maison d'aliénés pour avoir tué, dans un accès de
folie
, un agent de police; remis en liberté, il parti
à une expertise médicale (La Presse, 5 octobre 1902). Drame DE la
folie
. Roubaix. Au numéro 50 de la rue Labruyère viva
leur famille, composée de huit enfants. Le mari était atteint de la
folie
de la persécution et avait tenté plusieurs fois
ierre pesant 10 kiiogs. (Bonhomme Normand 10 avril). Drame de lit
folie
. - On a procédé hier matin, à l'arrestation d'u
ÈRES. S83 Fibromvtose et paralysie générale, par Cullerre, 359.
Folie
incendiaire, 119. Les drames de la-, 119. Un dr
les gens normaux et étiez ceux uni sont affectés d'épilepsie, de
folie
systématisée chronique, de paralysie générale p
s et de l'orchite; le deuxième jour, il 'est pris de délire et de
folie
furieuse et succombe le troisième. Il ne fut pas
uels il donne naissance, est ce que l'on a désigné sous le nom de
folie
héréditaire. Dès lors, chacun des phénomènes bi
U SENS GÉNITAL. 45 stigmates psychiques de la déchéance mentale. La
folie
héréditaire n'est autre que cette déchéance men
séparer l'un de l'autre ces deux termes : dégénérescence mentale et
folie
héréditaire si l'ouveut bien attachera ce derni
stigmates psychiques le plus communément rencontrés au cours de la
folie
héréditaire est l'aber- ration du sens génital
(une observ.), mais la manie se montre encore comme épisode dans la
folie
circulaire (une observ.), dans la folie systéma
ore comme épisode dans la folie circulaire (une observ.), dans la
folie
systématique aiguë (une observ.), dans la folie c
e observ.), dans la folie systématique aiguë (une observ.), dans la
folie
catato- nique systématique ou non (une observ.)
s utiles pour l'appréciation de cas analogues. G. D. V111. Cas DE
folie
sénile, AVEC remarques; par G. -H. Swage. (Jour
s considérations sur les états pathologiques qui sont associés à la
folie
chez les vieillards ou qui compliquent certaine
moins jusqu'ici. M. G.-li. Savage fait remarquer à ce propos que la
folie
qui survient au delà de l'âge de soixante ans n
qu'un rôle secondaire. M. 11dI3LB.UM. Sur une forme clinique de la
folie
morale. L'hébéphrénie de l'auteur représente un
re d'examiner les Relations qui existent entre la criminalité et la
folie
. Ces deux questions ont déjà été l'objet des dé
de ialcoul devin dans le trcvitcmentde la plupart des manies et des
folies
organiques ; M. GIR.1UU, médecin de l'asile de Qu
s maladies mentales et celui encore controversés, des rapports delà
folie
avec la civi- lisation, une statistique interna
Semas dans un rapport sur les Relations entre la criminalité et la
folie
est, en somme, celle qui depuis plusieurs année
es autres pour lesquels la communauté d'ori- gine du crime et de la
folie
est absolument incontestable. S'appuyant aussi
ts par notre savant « collègue. Si donc il existe une psychose, une
folie
criminelle, « c'est-à-dire une aberration psych
te de terrain neutre sur lequel évoluent avec une égale facilité la
folie
et la criminalité. Pour- suivant cette étude au
s d'aliénation mentale; B, à tout individu ayant commis, en état de
folie
reconnue un crime quelconque ; C, aux grands cr
ui existaient, dans ce cas, entre la marche et la terminaison de la
folie
et la marche et la terminaison d'un abcès qui s
ère, cause qui ne figure pas jusqu'à présent dans l'étiologie de la
folie
. A quoi attribuer cette modalité particulière d
présence d'un cas de Archives, t. Xi. 9 130 PATHOLOGIE MENTALE.
folie
congestive ou paralytique de M. Baillarger ? Quel
ons inflammatoires de l'ap- pareil auditif peuvent donner lieu à la
folie
? Comment enfin avait agi la fièvre saisonnière
on- sidérable que celui qui existe généralement dans la manie, la
folie
revêt assez bien la physionomie de cette derniè
ns comparativement le déve- loppement de ces lésions et celui de la
folie
, nous voyons que, si les premières ne se sont m
tion de cause à effet entre cette émotion et le développement de la
folie
. Mais jusqu'où va l'influence pathogénique de c
. Elles sont rarement suffisantes pour produire par elles seules la
folie
; il faut pour cela qu'elles soient ou excessive
u atteint dans sa santé physique ; c'est ainsi qu'on peut voir la
folie
éclater, à la suite d'une émotion morale, chez
es cellules cérébrales un ébran- lement suffisant pour aboutir à la
folie
, cette cause dû être puissamment aidée. Et ce
lequel elle agis- sait était peu prédisposé à la réalisation de la
folie
; l'hérédité qui pèse sur B... est de peu d'imp
use susceptible d'ex- pliquer chez notre malade la production de la
folie
, ne suffit pas pour nous permettre d'établir un
ujourd'hui communément regardées comme pou- vant être des causes de
folie
, il n'en est pas de, même des fièvres saisonniè
ues et l'aliénation mentale; ces lésions ne sont pas la cause de la
folie
, elles sont de même âge que celle-ci, ont la mê
M. Baillargera donné, on le sait, aux faits de cet ordre le nom de
folie
para- lytique. - 1 Baillarger. Sur la théorie
883.) 1 44 PATHOLOGIE MENTALE. Chez B..., ce n'est.donc pas à une
folie
paralytique , telle-que le comprend M. Baittarg
sont des cas de fausses para- lysies générales, ce sont des cas de
folie
paraly- tique. . L'observation de B..., dans
e, comme paraissent le penser certains auteurs '. i Sajous. De la
Folie
pai-atylirornze. Th. de Muntpeitier, 1885. DE L
1877, daus le journal The Lancet1. Dans cette der- 1 Rhys-William.
Folie
associéeà un abcès communiquant avec l'oreille
e des rapports qui ont existé entre les lésions périphériques et la
folie
. Chez B..., l'aliénation men- tale et les lésio
re, des rapports qui existent entre les maladies de l'oreille et la
folie
. Tous les auteurs en effet, qui, dans ces derni
ous montrant que, chez notre malade, les lésions auriculaires et la
folie
ont une commune origine, répond, d'une manière
n'attache aucune relation de cause à effet entre cette fièvre et la
folie
; pas plus, il est vrai, qu'entre cette dernière
envisage non plus seulement la fièvre saisonnière comme cause de
folie
, mais les maladies aiguës en général, on ne tarde
rale peut être, comme chez notre ma- lade, le point de départ de la
folie
ainsi que le prouve l'observation suivante pris
logique de Rome. Des signes physiques intellectuels et moraux de la
folie
héréditaire. (Suite de la discussion.) M. Cot
ues présentés par MM. Falret etMagnan; mais il critique Je nom de
folie
héréditaire. Il critique également la théorie de
travaux de MM. Billod etLasègue qui ont cherché à établir que la
folie
dite héréditaire peut se produire en dehors de l'
réduite, et il faut admettre que d'autres causes peuventproduire la
folie
héréditaire, SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 et on se
'à l'hérédité que l'on doit rapporter les caractères spéciaux de la
folie
héréditaire. Cherchant quelles peuvent être ces c
me du mal. Il est plus étonnant de trouver des différences entre la
folie
datant de l'enfance qu'entre les para- lysies d
té de l'adulte et la surdi-mutité de l'enfance. L'étiologie de la
folie
dite héréditaire doit se confondre avec celle d
s ces excep- tions n'empêchent pas de formuler cette opinion que la
folie
héréditaire a des caractères spéciaux qui perme
aractères spéciaux qui permettent d'en faire une forme à part de la
folie
. M. Bouciiereau voit avec peine s'établir une c
. M. Bouciiereau voit avec peine s'établir une confusion entre la
folie
héréditaire et la folie des dégénérés. Les premie
avec peine s'établir une confusion entre la folie héréditaire et la
folie
des dégénérés. Les premiers sont des gens qui,
uver la parole. Des signes physiques, intellectuels et moraux de la
folie
hérédi- tuire. ' M. F.LRET est parfaitement d
: les uns admettent, avec Esquirol, l'hérédité comme cause de la
folie
,mais ne luifont jouer qu'un rôle étiologique sans
s autres au contraire pensent, aveemorel, qu'il excite un groupe de
folies
héréditaires ayant ses caractères particuliers.
n enseignement et ses communications, admet, en dehors de cela, une
folie
particulière, se manifestant dès l'enfance par
er et transforme en un certain moment la simple prédisposition en
folie
confirmée. La médecine légale a surtout besoin de
- nue M. Falret, que M. Magnan a encore trop étendu le cercle des
folies
héréditaires déjà trop large. Pour lui, il n'y au
es héréditaires déjà trop large. Pour lui, il n'y aurait que peu de
folies
: 1° les folies organiques dont la paralysie géné
déjà trop large. Pour lui, il n'y aurait que peu de folies : 1° les
folies
organiques dont la paralysie générale est le ty
es folies organiques dont la paralysie générale est le type; 2° les
folies
vésaniques; 3° les folies héréditaires, compre-
la paralysie générale est le type; 2° les folies vésaniques; 3° les
folies
héréditaires, compre- nant tous les degrés de l
ne pas créer de groupes trop étendus. J'estime, par exemple, que la
folie
du doute, celte affection qui entre cer- tainem
u doute, celte affection qui entre cer- tainement dans le cadre des
folies
héréditaires, mériterait une description spécia
a. cherché à démontrer le rapport existant entre certains types de
folies
héréditaires et certaines lésions organiques. P
M. Semelaigne. ' Des signes physiques intellectuels et moraux de la
folie
héréditaire. ' M. Charpentier combat le groupe
ux de la folie héréditaire. ' M. Charpentier combat le groupe de la
folie
héréditaire avec les arguments suivants : 4 la
olie héréditaire avec les arguments suivants : 4 la dénomination de
folie
héréditaire est inexacte; 2° la folie héréditai
ivants : 4 la dénomination de folie héréditaire est inexacte; 2° la
folie
héréditaire admise par les auteurs ! qui veulen
dre nosologique de la pathologie mentale, n'est pas limitée; 3- les
folies
comprises sous cettedéno- mination n'ont aucun
ous cettedéno- mination n'ont aucun caractère commun ; 4° le groupe
folie
héré- SOCIÉTÉS SAVANTES. 263 ditaire comprend
le groupe folie héré- SOCIÉTÉS SAVANTES. 263 ditaire comprend des
folies
disparates; 5° les faits de M. Falret s'éloigne
° si les dégénérés de M. Magnan doivent entrer dans le groupe de la
folie
héréditaire, comme ces dégénérescences reconnai
cendants, il reste à déduire que ce groupe se compose de toutes les
folies
héréditaires transmises par hérédité; 7° les re
articuliers des maladies transmises par hérédité ; 8° le groupe des
folies
héréditaires est le résultat de la méthode synt
s contradictions nombreuses au sujet du caractère particulier des
folies
héréditaires; 10° les stigmates physiques doivent
générés; il y a d'ailleurs des dégénérés à stigmates physiques sans
folie
; 11° le groupe des folies héré- ditaires n'est
s des dégénérés à stigmates physiques sans folie; 11° le groupe des
folies
héré- ditaires n'est utile ni au point de vue s
se comprennent en employant cette expression; B. Le groupement des
folies
en folies héréditaires ne peut être tel que si
nnent en employant cette expression; B. Le groupement des folies en
folies
héréditaires ne peut être tel que si on veut se
générés de M. Ma- gnan ; C. Un groupe qui pourrait seul être appelé
folie
hérédi- taire, car il est limité, restreint et
e hérédi- taire, car il est limité, restreint et q'uil comprend les
folies
les plus difficiles à apprécier, serait celui d
rend les folies les plus difficiles à apprécier, serait celui de la
folie
morale, raison- nante,' lucide, instinctive.
8 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Sébastian donne le compte rendu d'un cas de
folie
aiguë mortelle accompagnée de convulsions local
de même ordre que l'on trouve quelques compte rendus sur des cas de
folie
. Il n'est cependant pas dou- teux que, dans les
ents sur ce point. Fré- quence de la mélancolie, de la manie, de la
folie
systématique, mais les malades de la première e
ion typographique accoutumée, dans lequel les formes morbides de la
folie
sont dési- gnées en allemand et en anglais. L
TÉS SAVANTES. maines plus tard, nouveau dégoût du travail, sorte de
folie
systé- matique hallucinatoire aux idées d'empoi
et, somme toute, une psychose présentant tous les caractères d'une
folie
traumatique avec ses alternatives de mieux et d
sociai ion sur la répercussion viettî,iiii2le de l'asthme et tle la
folie
, observée par lui plusieurs fois,sans qu'il ait t
rtains troubles psychiques : psychopathie spéciale des phthisiques;
folie
surve- nant dans le cours de la pneumonie. Will
fibres nerveuses de l'écorce; il l'a trouvée dans quelques faits de
folie
systématique ainsi que dans certaines observati
s aptes à la conserva- tion. Il est certain que ses observations de
folie
systématique et de folie épileptique concernaie
on. Il est certain que ses observations de folie systématique et de
folie
épileptique concernaient des alcooliques et il re
de l3eeumler vient de ce que Tuczek a introduit le nom impropre de
folie
transitoire. Qu'il se serve plutôt du terme de
et dans sa psychopathologie légale. Il a choisi la dénomination de
folie
transitoire parce qu'avant tout, ce qui importe
en danger. En revanche, il n'est pas rare devoir la terminaison par
folie
systématique ou l'affaiblissement intel- lectue
fréquente est celle que l'on désigne en Alle- magne sous le nom de
folie
systématique alcoolique aiguë, mais il existe a
projette des agrandissements nouveaux, adaptés au traitement de la
folie
; d'autre part, on a ouvert des salles spéciales
etc.). D'après Rieger, l'hypnotisme « n'est ni plus ni moins qu'une
folie
(Wahnsinn) pro- duite par l'expérience ». Abstr
entrevois 36 PATHOLOGIE NERVEUSE. pas pourquoi on qualifierait de
folie
une contracture ou une paralysie que l'on peut
ce, asymétrie RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 407 faciale,
folie
épileptique, manie religieuse ; hallucinations. A
ou du coeur. La malade supporte mal le bromure. En 1884, accès de
folie
épileptique, gaité exagérée avec éclats de rire
E t XX. DE la valeur DE L'ÉLECl'ItICIl'li DaN3 le TRUTEMENT DE la
folie
; - . par A. II. Newth. (The Journal o/'meatut S
aitées incidemment'. R. n1. C. XIV. Les affections utérines ET la
folie
; par Joseph WiGLESWORTH. (The Journal of Mental
en sera pas étonné si l'on songe que le « nombre des cas récents de
folie
que j'ai pu étudier a été beau- « coup moindre
anie aiguë terminé promptement par la mort. R. M. C. XVI. UN cas DE
FOLIE
consécutive A UN traumatisme DE la 1tète; par H
e soit pas démontré que l'anémie soit par elle- « même une cause de
folie
, il n'en est pas moins vrai que l'état ané- « m
. R. M. C. XXIV. SUR QUELQUES rapports du DELIRIUM TRE61ENS avec la
folie
; parG.-H. S.1VAGE. (TILC Joztrrzal of AIz2Ltul
inent une instabilité mentale très favorable au développement de la
folie
avec hallucinations. R. M. C. XXV. Note SUR UN
ns. R. M. C. XXV. Note SUR UN cas DE maladie D'ADMSON associée A la
FOLIE
; par S. RUTHERFORD Macphail. (The Journal of Me
eur lui-même est d'avis qu'il ne faut voir chez cet homme, entre la
folie
et la maladie d'Addison, d'autre relation qu'un
cidence n'avait, jusqu'ici, jamais été observée. R. ill. C. XXVI.
Folie
CHEZ LES jumelles : deux jumelles atteintes DE MÊ
atée avec détail. R. M. C. XXVII. Cas DE MEURTRE durant UN accès DE
FOLIE
temporaire provo- QUÉ PAR DES EXCÈS DE BOISSON.
AR DES EXCÈS DE BOISSON. EpILEPSIE zizi) ACQUITTEMENT POUR cause DE
folie
; par D. YELLOWLRES. (The Journal of Mental Scienc
ima l'avis qu'il était, lors du meurtre, sous le coup d'un accès de
folie
temporaire; depuis ce moment, on n'a noté aucun
e soldat a été acquitté comme ayant agi sous l'empire d'un accès de
folie
. Ce résultat était à peu près inévitable au poi
égorgé sa mère. Il s'évade et commet successivement sept meurtres.
Folie
religieuse systématique avec hallucination le p
services, mais que c'est en quelque sorte sur les frontières de la
folie
qu'elle trouvera le terrain le plus favorable à
u quatre heures. Des signes physiques intellectuels et moraux de la
folie
hérédi- taire. (Suite de la discussion.) M. B
l'hérédité en pathologie mentale. Il regrette qu'on ait confondu la
folie
héréditaire et la folie des dégénérés. La pre-
mentale. Il regrette qu'on ait confondu la folie héréditaire et la
folie
des dégénérés. La pre- mière se transmettrait d
. L'auteur a choisi pour sujet les aliénés héréditaires et non la
folie
héréditaire. C'est en cherchant à répondre à la q
estion : A 451 BIBLIOGRAPHIE. quels signes peut-on reconnaître la
folie
héréditaire, qu'il a été conduit à recueillir s
rapporter à une cause de dégénérescence autre que l'hérédité de la
folie
. Comme signes intellectuels plus fré- quents, l
e les aliénés héréditaires qui existent incontestablement et non la
folie
héréditaire qui n'est qu'une sorte de caput mor
u'on - ne veut pas avouer. Charpentier. V. Des analogies entre la
folie
à deux et le suicide à deux; par .T. ( : 11POL1
L'auteur résume d'abord les caractères des principales formes de
folie
à deux, qui ont été décrites : Io la folie imposé
es principales formes de folie à deux, qui ont été décrites : Io la
folie
imposée (J. Falret et Lasègue), dans laquelle u
et Lasègue), dans laquelle un seul sujet est aliéné et impose sa
folie
à l'autre qui est débile; 2° la folie simultanée
sujet est aliéné et impose sa folie à l'autre qui est débile; 2° la
folie
simultanée (Régis), dans laquelle des sujets pr
, et s'imprègnent réciproquement de leurs idées délirantes; 3° la
folie
MmntM)M'<jfude(Marandon de Montyel),dans laque
RAPHIE. 455 pronostic à'porter sur l'avenir du sujet passif ; 4° la
folie
trans- formée (Kiernan), dans laquelle plusieur
rer que cet acte n'est pas nécessairement une manifestation de la
folie
, contrairement à l'opinion d'Esquirol, de ralret,
t des aliénistes contemporains; pour lui, rattacher le suicide à la
folie
constitue un danger social, parce que, si ou pe
ui veut », et il pense que le suicide à deux peut être comparé à la
folie
à deux, et que les dif- férents exemples de sui
imposé; 2° un suicide simultané (le seul exemple cité est un cas de
folie
gémel- laire) ; 3° un suicide coanmuniqué; 4° u
auxquels on peut adapter les définitions des différentes formes de
folie
à deux. Il est impossible d'entreprendre une disc
mentale et à la médecine légale. Nous cite- rons entre autres : La
Folie
devant les tribunaux, couronné par l'Institut,
par l'Institut, Paris, 1884; Le Délire des persécutions, 1873; La
Folie
héréditaire, 1873; La Folie du doute, 1875; Etude
4; Le Délire des persécutions, 1873; La Folie héréditaire, 1873; La
Folie
du doute, 1875; Etudes mé- dico-légales sur les
e sur la peur des espaces (agoraphobie), 1878; Signes physiques des
folies
rai- sonnantes, 4878; -Etude médico-légale sur
78; -Etude médico-légale sur les testaments contestés pour cause de
folie
(couronné par l'Institut), 1879; Etude mé- dico
qu'un soldat du 9° de ligne cantonné à Marchin, pris d'un accès de
folie
, a quitté son poste et a gagné le bois voisin, me
3); Considérations méclico-psycholo- giques sur le traitement de la
folie
(thèse, <846); Des maladies de la volonté ou
onicité et de l'hérédité dans la détermination de certains types de
folie
(Ann. méd. 2)sych.), etc. La plupart de ses mémoi
Librairie J.-B. Bailhère et lits. SAuny (H.). Etude clinique sur la
folie
héréditaire (Les dégénérés). Brochure in-8» de
Acétonurie des aliénés, par Lcebr 277. Addison (maladie d'- et
folie
), 435. Alcool dans le traitement de ma- nie,
t, 114. Couronne rayonnante, par Meynert, 116. Criminalité et
folie
, 123. Crâne (mouvement du sang dans le), Gi,a
moelle, par Ilublé, 19. Délire émotif, 119. Delirium tremens et
folie
, 434; - (opium dans le), 458. Diabète (troubl
gation du facial), 441. Faisceaux grêles et cunéiformes, 234.
Folie
aiguë mortelle accompagnée de convulsions local
mortelle accompagnée de convulsions localisées, par Levy, 268.
Folie
gémellaire, 435. Folie héréditaire, 258, 261, 2
e convulsions localisées, par Levy, 268. Folie gémellaire, 435.
Folie
héréditaire, 258, 261, 262, 447. Folie sénile,
. Folie gémellaire, 435. Folie héréditaire, 258, 261, 262, 447.
Folie
sénile, par Savage, 92. Folie et électricité, 4
ie héréditaire, 258, 261, 262, 447. Folie sénile, par Savage, 92.
Folie
et électricité, 419; - (et ma- ladies utérines)
r Schroe- ter, 281. Meurtre et alcoolisme, par Fritsch, 87; (et
folie
), 436, 437. table des matières. 467 7 Microcé
Babinsky, 455. Sclérose latérale amyotrophique, 291. Sénile (
folie
), par Savage, 92. Sens de la température à l'ét
uosités mentales ne constituaient pas par elles-mêmes une espèce de
folie
, ce qui la cons- titua ce fut précisément ce be
anie ou à la lypémanie ; ils naissent avec une prédisposition à une
folie
quel- conque qui évoluera ou n'évoluera pas sel
cupe, on en cause, on cherche à s'en pré- server. Voilà pourquoi la
folie
impulsive chez le paysan se manifestera par un
malades que j'eus à examiner n'avaient jamais donné aucun signe de
folie
. Pour se convaincre combien peu ces deux caract
ps est loin où la préméditation, la simple ruse même, excluait la
folie
; il est admis aujourd'hui sans conteste que no
on et la ruse se doivent rencontrer sou- vent, n'est-ce pas dans la
folie
impulsive, qu'elle tende à l'homicide ou à l'in
lutte douloureuse de son esprit contre la marche envahissante de la
folie
, nul ne soupçonnera son état et l'acte criminel
els ne mé- ritetit pas moins de sollicitude. Les prédisposés à la
folie
ont été divisés avec raison en trois groupes :
demandait d'urgence la consoli- dation sous peine de démolition. La
folie
bien cons- tatée du cordonnier arrêta les pours
ticularité que l'expert ne doit pas ignorer. Il est connu que les
folies
génitales sont caractérisées par la fréquence et
pas de là l'incendie fut découvert; mais il ne donna aucun signe de
folie
ou d'ivresse. Dans cette même commune, le diman
e déclarait en même temps qu'il n'avait jamais donné aucun signe de
folie
, et qu'il était parfaitement en état de se rend
aussi pour bon enfant et pour n'avoir jamais donné aucun signe de
folie
; aussi tous les témoins entendus dans l'instructi
us ces termes peu- vent se traduire en français par l'expression de
folie
systématisée ou de délire systématisé, qui engl
r les idées de grandeurs. En Allemagne Griesingerl (1845) décrit la
folie
systématisée (p. 382) (Die Ve7@ûcktheil) et la
ves (idées de persécution). On peut ainsi distinguer deux formes de
folie
systématisée. En plus Griesinger classe cette v
linger * admettait à côté de la forme secondaire une autre forme de
folie
systématisée (Verrückhait) primitive, mais sans
rire. 1 En somme, jusqu'ici, nous n'avons rien de bien net sur la
folie
systématisée; et si cette conception a été entrev
c'est à lui que revient la première place dans la description de la
folie
systématisée par son étude sur le délire des pe
étude sur le délire des persécutions 2 (1853). Nous retrouvons la
folie
systématisée dans les ouvrages de Morel. Dans s
. Dans soc Traité des maladies mentales (1860), il adopte le mot de
folie
systématisée, le substituant à celui de monoman
ec ces deux maîtres, la psychiatrie française décrit la première la
folie
systématisée primitive. Nous pouvons citer enco
citer encore dans ce sens les travaux de Lélut et de Voisin sur la
folie
sensorielle que certains auteurs ont regardée d
e fidèle à la doctrine de Griesinger sur l'origine secondaire de la
folie
systématisée, en admettant cependant la possibi
sexuelles seraient carac- téristiques de la forme originaire de la
folie
systématisée (p. 1269). En 1873, Snell décrit
lie systématisée (p. 1269). En 1873, Snell décrit sous le nom de,
folie
systématisée ( Wahnsinn) consécutive à'ta mélan
inn) consécutive à'ta mélancolie, à la manie ou à l'épi- lepsie une
folie
systématisée secondaire ou impropre, adoptée de
syndrome non caractéristique se retrouvaut dans d'autres formes de
folie
. Les idées fixes ont pour Samt la même base pat
r, eu 1878, décrit la forme aiguë et tente une classification de la
folie
systématisée (Verrüclclkeil) qu'il divise en qu
69 Murh ', en 1876, rapporte l'autopsie d'un individu atteint de
folie
systématisée non originaire, dans lequel il y ava
re droit du cerveau. Leidesdorf 2 (1S78) revient sur la théorie des
folies
systéma- tisées secondaires ; il va même jusqu'
daire et procède de J'état émotionnel ; ce serait l'inverse dans la
folie
systématisée. Kahlbaum (1878) frappé des différ
ous signalerons encore cette même année un travail de Feauxl sur la
folie
systématisée hallucinatoire, correspondant à la
ndriaque , de persécution , de grandeur ; avec sa sous- variété, la
folie
de la chicane, où ce n'est plus la vie du malad
ou à' l'intoxication. En particulier, Krafft-Ebing range parmi les
folies
alcooliques, le délire de persécution des buveu
du délire, différant en cela de celui des formes pri- mitives ; les
folies
secondaires seraient surtout l'issue d'états mé
élires systématisés (Wahnsinn). Max Buch2 (1881) rapporte un cas de
folie
systématisée aiguë primitive survenue chez un h
on caractère pa- thogénique. ' Aloeli7 (188 : ) décrit des cas de
folie
systématisée, déve- loppés à la suite de maladi
nées, des cas de Paranoia, et cette transformation des formes de la
folie
serait due pour lui à la dégénérescence somatiq
st pas une maladie autonome, mais un symptôme de mélancolie ou de
folie
systématique. Il se sépare de Krafft-Ebing, en ce
pour lui la mélancolie dite hypochondriaque ne se transforme pas en
folie
systématique et la folie systématique hypcchon-
te hypochondriaque ne se transforme pas en folie systématique et la
folie
systématique hypcchon- driaque n'aboutit pas à
tte dernière forme (Paranoia primitive origi- nelle), comprend « la
folie
morale, p la paranoia partielle (rudimentaire o
e discussion sur les signes physiques intellectuels et moraux de la
folie
héréditaire va, sans aucun doute, assigner une no
ur le mode d'action des causes qui président au développement de la
folie
en général, ou d'une ma- ladie mentale en parti
ogressera-t-il selon un mode uniforme et continu dans la voie de la
folie
chronique, où les périodes s'éta- ient dans une
iations à l'hérédité. Aussi bien, puisque je fais ici allusion à la
folie
héréditaire, permettez-moi de profiter de ce qu
te date de sa maladie, l'individu se présente sous les dehors de la
folie
des grandeurs, mais, à mesure qu'il grandit ainsi
ité par M. Magnan et ses élèves, et qui marque l'opposition avec la
folie
des dégénérés, où la forme pa- roxystique et ré
descendance menacée (psychoses dégénératives ou constitutionnelles,
folies
épileptiques chroniques, hystéries enracinées i
tiques chroniques, hystéries enracinées incurables, alcoo- lisme et
folie
morale, psychopathies alcooliques à répétition) e
s inéduqués, et surtout que d'effets pernicieux sur la descendance (
folies
épileptiques); ces sortes de virus héré- ditair
ries d'ob- servations antérieurement spécifiées', y compris même la
folie
systématique, à la condition qu'il surveille at
is de l'existence d'un terrain limitrophe entre la mélancolie et la
folie
sys- tématique, forme intermédiaire pour laquel
tématique, forme intermédiaire pour laquelle je proposais le nom de
folie
systématique mélancolique, sans préjuger de sa ge
ue de se manifestation i. Le processus fondamental invariable de la
folie
systémitique est toujours la fixité des idées d
erver une place : on en consacre l'existence par les expressions de
folie
systématique hallucinatoire hypochondriaque stu-
re, pouvant coexister, ou se succéder. C'est ainsi qu'il existe une
folie
systématique illusionnaire, dans laquelle les hal
ut de la ma- ladie. Dès les premières années, on voit aussi de la
folie
systématique surtout avec exaltation, de violen
ne modalité intermédiaire à la mélancolie pro- prement dite et à la
folie
systématique; à cette modalité se rat- tachent
sorcelés, damnés, immortels, pourris). Quoi qu'il en soit, c'est la
folie
systématique qui dans la plupart de ces formes es
i du mélancolique, tout porte le cachet de la vésanie organisée. La
folie
, systématique peut aussi verser dans la débilité
ovenir de la débilité mentale. Dans le premier cas, il s'agit d'une
folie
systématique progressive, généralisée, aboutis-
e des formes mixtes difficiles à étiqueter. Il en est de même de la
folie
de la puberté; elle est évidemment formée parla
sible de poser un diagnostic différentiel entre la mélancolie et la
folie
systématique que par une observation prolongée.
systématique que par une observation prolongée. Le passage de la
folie
systématique à la démence a lieu très promptement
use occasionnelle de l'explosion de la maladie. En d'autres cas, la
folie
systématique peut persister de longues années s
s ordinaire est la démence. Cri. F. V. Du suicide dans le délire ou
folie
des persécutions, par M. AIEILHOU. (Thèse de Bo
st pourtant que trop vrai que pendant des siècles on a considéré la
folie
comme une punition du ciel, une posses- sion du
l, qui les premiers ont fait entendre ces paroles mémorables : « La
folie
est un mal du ressort de la médecine ». Le rôle
flagrante; car l'asile ne doit s'ou- vrir que pour l'aliéné dont la
folie
est dûment reconnue, et nulle- ment à des indiv
owitz dit qu'il n'a jamais vu de mélancolie \raie se transformer en
folie
systématique; mais il a vu des fous systématiques
es mélancoliques s'accusent eux-mêmes, a observé aussi cela dans la
folie
systématique Donc ce n'est pas la teneur, mais la
temps de l'existence delà mélancolie et l'époque d'apparition de la
folie
systématique ultérieure, on pourrait croire que
tique aigu (Acuieî- Wahnsinn), de Schaefer, le premier groupe de la
folie
aiguë partielle de Rretz', les délires d'épuise
ë partielle de Rretz', les délires d'épuisement de Voigt, le cas de
folie
systématique primitive de M. Buch. enchaînement
nt ressortir sont passibles de l'objection 11 suivante : lorsque la
folie
systématique a semblé prendre son origine dans
ent .constitué le point de départ des conceptions ultérieures de la
folie
systématique. 11. Moel) prétend que la teneur d
ur des idées ne peut servir de diagnostic entre la mélancolie et la
folie
systématique. M. Mendel répond que cest bien la
il invoque. L'intervalle qui s'est écoulé entre la mélancolie et la
folie
systématique n'ajamais été chez ses malades une
nations multiples, léger affaiblisse- ment intellectuel ou celle de
folie
périodique. 1 KL-etz. XV- Congrès des aliéniste
un rapport semblable avec la débilité mentale. Tels sont ces cas de
folie
systématisée partielle et stationnaire (chez de
assez grande vigueur), cas à côté desquels on trouve des formes de
folie
systématisée progressive, généralisée aboutissa
t pauvres. L'auteur conclut qu'en somme la Verrücktheit désigne une
folie
à idées délirantes concrètes, stables, avec ten
renforcer et le soutenir comme dans les modalités chroniques de la
folie
systéma- tique primitive. ' Witkoswki. Cony'M
Citons encore le travail de Vejas' * (1886) sur l'épilepsie et la
folie
systématisée et celui de Smidt 2 (1886) sur la fo
pilepsie et la folie systématisée et celui de Smidt 2 (1886) sur la
folie
systématisée morphinique analogue à l'alcooliqu
Schuele3(1886) nous donne des renseignements très détaillés sur la
folie
systématisée. Il distingue de la façon la plus fo
oppement OR6·I10-PSYCHIQ06, 226 REVUE CRITIQUE. héréditaire et la
folie
héréditaire simple (folie par obsession, du dou
, 226 REVUE CRITIQUE. héréditaire et la folie héréditaire simple (
folie
par obsession, du doute, de la chicane), et la
itaire simple (folie par obsession, du doute, de la chicane), et la
folie
morale et l'idiotisme; cette Verrüclïtlaeit ori
nsinn (attonita et catatonie) comprend trois sous-variétés : -a, la
folie
religieuse expansive ; b, la folie religieuse d
end trois sous-variétés : -a, la folie religieuse expansive ; b, la
folie
religieuse dépressive; c, une forme reposant su
décrit au chapitre de l'hystérie. Là, en effet, Schuele décrit une
folie
systématique ( Wahn- sinn ou indifféremment Ver
e ( originaria laeeditaria Verrücktlaeil); b, un type qui est de la
folie
systématique hypochondriaque ( lerpochondiasche
on et dont la teneur varie; e, un type décrit sous le nom d'état de
folie
systématique ( Wahnsinn), abortive aiguë présen
aiguë présentent la forme de pensées irrésistibles soudaines; f, la
folie
systématique ( Wahnsinn) catatonique ; - g, l'hys
e, les idées émises dans les principaux ouvrages allemands ' sur la
folie
systématisée ; les autres pays s ont suivi l'im
ion. C'est ainsi qu'en Russie nous retrou- vons la conception de la
folie
systématisée dans les travaux de Tiling (1878-t
ération de la personnalité. Le Dr Greidenberg a (t885), étudiant la
folie
systématisée hallucinatoire aiguë ('a ? 'at : o
t les extrémités sont formées l'une par l'idiotie et l'autre par la
folie
avec délire systématisé primitif. Au milieu se
élire systématisé primitif. Au milieu se classent l'imbécillité, la
folie
morale et la folie épileptique 4. Dans un autre
rimitif. Au milieu se classent l'imbécillité, la folie morale et la
folie
épileptique 4. Dans un autre ouvrage 6, le même
ant l'âge, le milieu, l'édu- cation. Dans cette forme rentrerait la
folie
de la chicane, vrai délire de persécution actif
t du temps. Les formes que Morselli et Buccola font rentrer dans la
folie
systématisée primitive sont les sui- vantes :
vantes : 1° La monomanie intellectuelle d'Esquirol. < 2° La
folie
sensorielle quand les hallucinations n'engendrent
cutions dans lesquels l'état mélancolique est secondaire. 4° Les
folies
hypocondriaques dans lesquelles les halluci- na
sécution caché sous les idées hypocondriaques. 5° Certains cas de
folie
hystérique qui présentent un délire érotique sa
onné d'idées et de tendances rentre dans les formes abortives de la
folie
systématique primitive, tandis que d'autres con
ste la conscience. 7° Les formes intermédiaires à la raison et à la
folie
(tem- péraments de fous), les graphomanes à idé
omanes à idées de grandeurs ca- chées. 0 8° Certains cas types de
folie
lucide ou raisonnante. 90 Les excentriques, les
ion musculaire, et convulsions toniques interrompant brusquement la
folie
choréique. Exagération des phénomènes musculair
nnelles. M. Charpentier est loin cependant de croire aux prétendues
folies
hémorrhoidaires, arthritiques ou herpét- ques q
de soixante et onze ans, mort dans le marasme, ayant été atteint de
folie
systématique hallucinatoire, qui fut séquestré pe
n qu'il propose : Idiotie Crétinisme Psychose paralytique Démence
Folie
toxique Manie Mélancolie Folie circulaire. Une co
tinisme Psychose paralytique Démence Folie toxique Manie Mélancolie
Folie
circulaire. Une com- mission a été nommée qui s
on mentale s'accroît, la question des rapports entre le crime et la
folie
, etc., engageraient M. Guttstadt à prendre l'av
aquelle la foi des populations attribuait le privilège de guérir la
folie
. Les aliénés y accouraient; à leur arrivée, on
a sorcellerie qui commence, remplacée deux siècles plus tard par la
folie
du ma- gnétisme, du somnambulisme et représenté
it des miracles de saint Médard nous donne ensuite la formule de la
folie
par imitation au xvm° siècle; de démoniaque qu'
l'histoire clinique d'une famille qui fournit un curieux exemple de
folie
communiquée. Une jeune fille de dix-huit ans co
. Ptterihurger JI(,di(inische Wochens- chrifs, n"36. 1880.) De la
folie
comme motif de DIVORCE au point DE vue du droit
des coups ; pas de stertor, pas de miction in- volontaire ; pas de
folie
. L'intelligence et la mémoire n'au- 326 CLINIQU
pas à pro- prement parler, il raisonne à faux, c'est un paradoxal (
folie
raisonnante, type indifférent). En somme, la Pa
de la Paranoia simple, en voyant que l'auteur la range à côté des
folies
morale, impulsive, sensorielle, des délires émoti
par Tamburini* en trois classes : 1° les idées fixes simples (Ex. :
folie
du doute pure) sans tendance à se transformer e
les idées émotives avec actions simultanées (azioni coatte) (Ex. :
folie
du doute avec délire du toucher), c'est-à-dire
dite aiguë ou hallucinatoire ou curable, est décrite sous le nom de
folie
sensorielle aiguë et placée à côté des états ma
t placée à côté des états maniaques et mélancoliques. L'autre, la
folie
systématisée * secondaire {Paranoïa dite secondai
est à remarquer que Morselli désigne ces formes sous les noms de de
folie
sensorielle aiguë (Frenosi sensoria acuta) et de
s noms de de folie sensorielle aiguë (Frenosi sensoria acuta) et de
folie
systématisée secondaire (Pazzia sistematizzata
principalement. dans ce sens le travail de M. Ach. Foville ' sur la
folie
avec prédominance du délire des grandeurs (1871
héréditairement tarés. ' ''Ach. Foville. - Elude clinique sur la
folie
avec prédominance du délire des grandeurs, 1871
uteurs (Arzn. méd. psych., 1876). " Nous avons traduit ces mots par
folie
de la chicane, bien qu'ils expri- ment de plus
développé dans ses leçons cliniques ou dans les discussions sur la
folie
héréditaire à la Société médico- psychologique
mes que nous venons d'examiner. Reprenant les idées de Morel sur la
folie
héréditaire, il l'é- tudié dans ses différentes
négations). (Arckia. de nei41,olog., 1884.) ' Magnan. Leçons sur la
folie
héréditaire, 1882-1883; Les délirants chronique
nts chroniques et les dégénérés. Gaz. des hôpit., avril 1884. De la
folie
héréditaire. (Joum des conn. nzéd., 1885, n° 48
t en tout cas, c'est là le terrain favorable au développement de la
folie
systématisée primitive et que certains auteurs mê
2 Nous ne pouvons exposer ici toute la doctrine de M. Magnan sur la
folie
héréditaire. Nous renvoyons, pour plus de détails
tte revue en citant le livre de M. Régis ' (1885) où sous le nom de
folie
partielle il reproduit les idées de Magnan sur le
rculaires, persécutés, paralytiques généraux et qu'il assimile à la
folie
avec prédominance du délire des grandeurs de M.
discussion sur les signes physiques intel- lectuels et moraux à la
folie
héréditaire. Les stigmates physiques se traduis
rs ne lui convenant point il est entré bientôt dans le service de 4
Folie
à deux. Thèse de Paris, 1880. SOCIÉTÉS SAVANTES
mentale chez une jeune fille dont le frère est atteint lui- même de
folie
intermittente. Cette jeune fille qui se rend un
fla. iN bave, ni écume, ni évacuations : durée cinq minutes. Pas de
folie
pré-ou post-épileptique. Sa mère n'aurait pas c
26 juillet 1898), elle aurait eu après ses crises des atta- ques de
folie
. Elle mangeait de l'herbe, se roulait par terre,
ier étage comme si elle voulait se jeter dans la rue. Les crises de
folie
duraient deux ou trois heures. Pas d'onanisme. ,
2° que les altérations histo-pathologiques qui surviennent dans la
folie
dépendent uniquement du degré de la démence et
ré de la démence et sont indépendantes du temps pendant lequel la
folie
a existé. R. de Musgrave CLAY. 111. ' Méthode p
te, s'est transportée au hameau du Vésine à l'effet de constater la
folie
furieuse dont venait, d'être happé un nommé Terro
lette, appelé immédiatement, a déclaré que Terreux était atteint de
folie
épi- /epu6 et que son admission à l'hospice de
. Pas d'antécédents héréditaires de tuberculose, d'alcoolisme ou de
folie
. A onze ans, chute de trois mètres sur la tète,
ment négligé, ou imparfaitement appliqué. R. de Musgrave CL4Y. V.
Folie
chez les jumeaux : deux jumelles atteintes de mél
nt à l'asile le même jour. M. Wilcox pense qu'il s'agit bien ici de
folie
gémellaire et non de folie à deux, et il appuie
M. Wilcox pense qu'il s'agit bien ici de folie gémellaire et non de
folie
à deux, et il appuie cette opinion sur trois ra
rédisposition.. REVUE LE PATHOLOGIE MENTALE. · 155 Maintenant, la
folie
. chez les juifs, se rapporte-t-elle à la race ' ?
de déterminer des états neuro-pathologiques et particulièrement la
folie
et la paralysie générale. On admet aujourd'hu
privations. Mais il y a d'autres raisons à cette augmentation de la
folie
: ils sont devenus ambitieux à mesure que la li
nt que les documents officiels l'accroissement du nombre des cas de
folie
chez les juifs. ' R. de Musgravc-Clay. IX. Un
' R. de Musgravc-Clay. IX. Un arbre généalogique démonstratif de la
folie
et du sui- cide ; par J.-M.-S. Wood et A.-ri. U
poser la question sur le terrain anatomopathologique. L'étude des «
folies
sympathiques », -si en honneur autrefois, celle d
ent que la paralysie générale « forme une espèce distincte du genre
folie
». Dès lors la lutte allait s'engager entre les
e More ! ». La question de l'existence ou de la non-existence de la
folie
raisonnante, en tant que type morbide défini a
és avec conscience de leur état, l'étude des signes physiques de la
folie
raisonnante, celle de certains symptômes tels q
de bonne heure. Il fut reçu docteur, en 183, avec une thèse Sur la
folie
paralytique et les diverses paralysies générale
a mémoire des mois dans les tiffec- tions cérébrales (1864), sur la
Folie
raisonnante ou folie morale (1866). 'sur la Con
ns les tiffec- tions cérébrales (1864), sur la Folie raisonnante ou
folie
morale (1866). 'sur la Consanguinité, l'Amnésie
re de potassium à hautes doses chez les épileptiques (1871), sur la
Folie
ci deux ou folie communiquée (1877), en collabora
hautes doses chez les épileptiques (1871), sur la Folie ci deux ou
folie
communiquée (1877), en collaboration avec .Lasè
ou folie communiquée (1877), en collaboration avec .Lasègue, sur la
Folie
circulaire (1878-1879), son Rapport au Congrès
etc. M. B. VII. Des maladies mentales, introduction à l'étude de la
folie
, par I. HIAC 1'liEltso.,q, Londres, i)lac Mitta
e partie traite de l'hérédité morbide de l'évolution générale de la
folie
et de ses causes. Une deuxième partie traite de
tenterons d'en donner une idée par la division du sujet. < 1 1°
Folies
idiopathiques (manie mélancolique, folie intermit
ision du sujet. < 1 1° Folies idiopathiques (manie mélancolique,
folie
intermit- tente et délires systématisés progres
nt compris dans les auto-intoxications microbiennes et autres) ; 3°
folie
des dégénérés (types Magnan) ; 4° folie en rapp
icrobiennes et autres) ; 3° folie des dégénérés (types Magnan) ; 4°
folie
en rapport avec les névroses ; 5° délires seconda
du 20 au 20 juin 1902.) . Fureur alcoolique. Un crime causé par la
folie
alcoolique a été commis à Cautaron, petit villa
uestions d'intérêt. L'assassin est un faible d'esprit atteint de la
folie
de la persécution. (L'Indicateur de Cognac, 2G ju
folie de la persécution. (L'Indicateur de Cognac, 2G juin 1902.)
Folie
de vieillard. Un ancien pêcheur de Grandchamp, pr
ien. (Bonhomme Normand, du 13 au 19 juin 1902.) Horrible accès de
folie
. Une veuve Labouglie, domiciliée à Courcelles-s
1889, il a été admis que les obsessions ne se transformaient pas en
folie
. Depuis cette époque, Pitres et Régis, en Franc
France, Wille, Mercklin, Sommer, en Allemagne, ont démontré que la
folie
pouvait être le résultat de la transformation p
s lesquelles l'an- goisse se montre le plus souvent, sont : dans la
folie
des dégéné- rés, dans les obsessions et les imp
lsions et dans la manie, la 252 SOCIÉTÉS SAVANTES. mélancolie, la
folie
à double forme, chez les persécutés mélanco- li
me que les tics ne sont que des manifestations symptomatiques de la
folie
héréditaire (More)) et de la dégénérescence menta
nt prédisposés à devenir aliénés. Dans la période prodromique de la
folie
, surviennent des tics douloureux passagers, si la
l'internement des aliénés resta la règle générale. Le flot de la
folie
montant toujours, on se trouva, en face de l'en
1902.) · Rue de Rome, la dame Neukery, quarante ans, atteinte de
folie
, a tout brisé dans sa chambre et après avoir mis
elle avait depuis longtemps perdu la raison et était atteinte d'une
folie
douce et inoffensive. Cette infortunée recevait
à Annonay, route de Levert, a été pris le 19 février d'un accès de
folie
furieuse et s'est jeté sur sa femme, qui se tro
e spéciale. Service DE M. Paul GAUNIER Contribution à l'étude de la
folie
communiquée - et simultanée ; Par \I11. GULII
et de CLÉR : 11L3AULT, Internes du service. I. La question de la
folie
à deux ou folie communiquée fut étudiée pour la
L3AULT, Internes du service. I. La question de la folie à deux ou
folie
communiquée fut étudiée pour la première fois p
rd, MM. Falret et Lasègue consa- crèrent un mémoire à l'étude de la
folie
communiquée 2. Voici leurs conclusions : 10 D
conclusions : 10 Dans les conditions ordinaires, la contagion de la
folie
n'a pas lieu d'un aliéné à un individu sain d'e
. Du délire des persécutions, ch. vi, 1871. s Lesègue et Falret. La
folie
à deux ou folie communiquée (Archives générales
persécutions, ch. vi, 1871. s Lesègue et Falret. La folie à deux ou
folie
communiquée (Archives générales de médecine, se
est très rare d'un aliéné à un autre aliéné. 2° La contagion delà
folie
n'est possible que dans des conditions exceptio
conditions exceptionnelles que nous.venons d'étudier sous le nom de
folie
à deux. 3° Ces conditions spéciales peuvent ê
3° Ces conditions spéciales peuvent être résumés ainsi : a. Dans la
folie
à deux, l'un des deux individus est l'élément act
conviction de l'un 'de s'implanter dans l'esprit de l'autre. 4° La
folie
à deux se produit toujours dans les conditions ci
mme chez l'enfant, l'adulte et le vieillard. 50 Cette variété de la
folie
est plus fréquente chez la femme, mais on l'obs
aliéné, dans le sens social et légal du'mot. Il n'a pas ÉTUDE DE LA
FOLIE
COMMUNIQUEE ET SIMULTANÉE 291 alors besoin d'êt
fit remarquer qu'il y avait lieu de distinguer les cas de véritable
folie
communiquée « de ceux beaucoup plus fréquents o
celles-ci puissent être considérées comme réellement atteintes de
folie
. » Il y a communication des idées délirantes d'
rches sur les maladies mentales, t. I, p. 557. Quelques exemples de
folie
communiquée, 1890. 292 CLINIQUE MENTALE. , pa
à l'influence de celui qui les lui avait communiquées. Telle est la
folie
communiquée. Dans un second groupe, M. Régis ra
a) Deux individus sont héréditaires, c'est-à-dire prédisposés à la
folie
; b) Ils vivent en contact intime et perpétuel; c)
ment aucune influence heureuse sur leur état mental. Telle est la
folie
simultanée 1. La distinction faite par M. Régis
mor- bide (Ann. nécl.-psycJe., 1894, p. zig et 487). ÉTUDE DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE ET SIMULTANÉE 293 héréditaire ou ac
qu'il a reçu lui confère une immunité défini- tive à l'égard de la
folie
? Ce serait une erreur de le penser. Bien au co
n fâcheuse pour l'avenir 2. » Mais, dans tous ces cas, il s'agit ds
folie
communiquée. Dans le second groupe, celui de la
il s'agit ds folie communiquée. Dans le second groupe, celui de la
folie
simultanée, alors que le délire est éclos en mê
plus haut. L'erreur des aliénistes qui ont confondu ces cas avec la
folie
communiquée a été de vouloir découvrir, malgré
unes. » Mais, et c'est là le point essentiel, il s'agit toujours de
folie
simulta- née. Ces considérations vont s'éclai
autre un délire communiqué par la mère à son fils. Observation I.
Folie
simultanée chez trois sccuns avec prédomi- nanc
Rangées côte à côte, elles formaient un trio étrange. ÉTUDE DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE^ ET SIMULTANÉE 295' Interrogées, el
art qui revient à chacune d'elles dans la production du ÉTUDE DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE ET SIMULTANEE 297 délire semble avo
, elle gronde ,sa soeur Jeanne de ne pas dire toute la ETUDE DE LA.
FOLIE
COMMUNIQUÉE ET SIMULTANÉE 299 vérité. « Tu ne t
rend malheureuses, nous nous entendons parfaitement. ÉTUDE DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE KT SIMULTANÉE 301 D. « « Vous vous
t ou si elle pleure ! C'est une glorieuse extravagance, une céleste
folie
où l'on découvre la vraie sagesse, c'est-à-dire
désordonnés de tout le corps, parmi lesquels le spasme cynique, la
folie
libidineuse des anciens ; parfois l'attaque se
oraisons, et à pénétrer avec elle dans le château fort hanté par sa
folie
. Mais en donnant comme aliment religieux, aux p
nt ; la raison et la science doivent prendre la place de toutes les
folies
religieuses. ' Le 15 décembre 10 j. Vallée de
u'est cet opuscule. D. R. Aliénés EN Hi ! ERTË Les drames de la
folie
. - Un drame attribué à la folie s'est déroulé h
iénés EN Hi ! ERTË Les drames de la folie. - Un drame attribué à la
folie
s'est déroulé hier soir à sept heures, à Arc-su
(t fr. 50 par jour). Au cours de l'année, il a été admis 19 cas de
folie
alcoolique (14 hommes, 5 femmes), et 2 cas de c
n de leurs travaux. Séance du 4 août 1902, (soir). Traumatisme et
folie
. MM. Marie et Picqué. liéstenté : Dans les psyc
être divisés en deux grandes classes, traumatismes consécutifs à la
folie
, traumatismes antérieurs. Les premiers peuvent
premiers peuvent être accidentels ou directement en rapport avec la
folie
précédente. Ils peuvent dans un cas comme dans
ns imposent souvent aux magistrats ins- tructeurs l'hypothèse de la
folie
chez l'autoaccusateur. Celui-ci, élargi ou diri
Ils doivent, en présence d'un cas d'auto-dénonciation, songer à la
folie
et soumettre l'individu à un examen médico-léga
, M. Champommier, à Montluçon (Allier). Pendant la nuit, prise de
folie
furieuse, elle lui a coupé les oreilles avec un r
Le nommé Abel Ollivier, coiffeur, à. Bruay (Pas-de-Calais), pris de
folie
, s'est jeté dans la rue sur une femme Laure Cam-
é tué à coups de couteau par son frère Désiré Boucherie, atteint de
folie
. (Le Bonhomme Normand du 27 juin au 3 juillet 1
Eure, 8 août). Comme cette femme avait déjà donné des signes de .
folie
, elle aurait dû être hospitalisée à l'asile d'Evr
e clas- sification rationnelle des vésanies proprement dites, des
folies
ne se rattachant à aucune affection physique et à
e spéciale. Service DE M. PAUL GARNIER Contribution à l'étude de la
folie
communiquée et simultanée ; Par GUI-RD et DE
te, prenaient les places de coin. Clotilde s'installait au milieu :
folie
communiquée ET simultanée 409 car avec ses gran
Comme on les prie de se laisser conduire il l'atelier de photo- , 1
FOLIE
COMMUNIQUÉE ET SIMULTANÉE 411 graphie elles rép
is unités délirantes, tel qu'il a été institué. - Observation II.
Folie
communiquée par la mère à son fils. Psy- chose
- bourg, était un savant, un inventeur qui découvrit des procédés
FOLIE
COMMUNIQUÉE ET SIMULTANÉE 413 nouveaux pour la
e des Planètes Rocheuses « livre métaphysique et philosophique. »
FOLIE
COMMUNIQUÉE ET SIMULTANÉE 415 Elle avoue avoir
. a présenté des idées de persécution, qui, ne rentrant pas dans la
folie
maternelle, ont été considérées par M ? J... co
suicide qui nécessita son envoi a l'infirmerie spéciale. Sa mère y
FOLIE
COMMUNIQUÉE ET SIMULTANÉE lui. 17 fut conduite
tions déprimantes de toutes sortes et surtout de la misère « et la
folie
à deux est surtout le lot des malheureux; on co
ar l'un d'eux'. » » , Nous pouvons donc conclure que la division en
folie
com- muniquée et folie simultanée est légitime
ous pouvons donc conclure que la division en folie com- muniquée et
folie
simultanée est légitime et répond à la réalité
ne des formes de l'aliénation, intermédiaires entre la raison et la
folie
et qui exemptes de troubles physiques caractéri
accen- tuée ; 7° Il parait donc probable en somme que la forme de
folie
dans laquelle ce traitement sera le plus utile
e réaliser. - - ' R. de IUSGRAVE.CLH. V. Traitement moderne de la
folie
; par Seymour TUKE. (Brit. med. · Joum., octobr
le de la psychiatrie par les médecins; la prophylaxie sociale de la
folie
à substituer à son assistance, et en attendant le
itement clas- sique de Weir Mitchell savent que, la frontière de la
folie
une fois franchie, ce traitement n'a plus d'ava
TIQUE. 4 Ik 5 Dans quelques cas d'affaiblissement de la volonté, de
folie
du doute, ou encore chez les personnes qui, apr
r que les suicides sont aussi fréquents dans la convalescence de la
folie
que pendant la période d'aliénation. Il est à p
p. 601-614.) - On a fait davantage, dit l'auteur, pour les cas de
folie
aiguë que pour les malades chroniques. Il envis
traitement immédiat étant la plus grande chance de guérison dans la
folie
. Le Congrès constate, ensuite, qu'il importe qu
à l'asile d'aliénés de Lafond, on aurait évité, ce dernier acte de
folie
. J'ai des chats dans les jambes ! ... - Les pas
le syndrome est avant tout un état cérébral. L'ouuluatonomie, la
folie
du doute, le délire du toucher, l'écholalie, so
c pho- bie (sensation d'abolition de la vie, d'évanouissement, de
folie
imminente, d'accident inévitable, etc.) et accomp
n nets d'obses- sion, M. Régis a trouvé surtout : l'obsession de la
folie
, de la gale, de laj-yphilis, du cancer, de l'at
e du cerveau des cen- tres d'inhibition. R. DEMUSCRAVE-CLAY. XII.
Folie
consécutive à l'influenza à l'asile de Cumberland
s conclusions générales de l'auteur peuvent se résumer ainsi : La
folie
consécutive à l'influenza peut survenir à n'impor
entre les lésions du coeur 512 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. et la
folie
. Toutefois la manie et la mélancolie paraissent l
affections cardiaques, et il est remarquable que ces deux types de
folie
soient aussi les types les plus ordinaires de l
eux types de folie soient aussi les types les plus ordinaires de la
folie
dite puerpérale. Les causes de la folie puarpér
s les plus ordinaires de la folie dite puerpérale. Les causes de la
folie
puarpérale demeurent encore obtures et con- tro
rencontrerait plus souvent des troubles cardiaques dans les cas de
folie
puerpérale. 1. DE IUf,AAVE-CL : 1Y. XIV. Para
écrite sous le nom de trichotillomanie. R. C. XVII. Spiritisme et
folie
; par les Drus Maeie et Vigouroux (Revue de psyc
la possession. MM. Marie et Vigoureux signalent la fréquence de la
folie
chez les médecins; ils rapportent deux intéress
t que dissociation progressive de la synthèse mentale, fournit à la
folie
son tribut de systèmes déli- rants secondaires
inctes et réciproquement amnési- ques. XXIX. Note sur deux cas de
folie
consécutive à la chorée : par Rotusay G. SrEWAR
erminé par la guérison, et l'autre par une amélioration. Les cas de
folie
choréique paraissent avoir quelques symptômes c
se trouve dans les couches optiques. Clouston a publié deux cas de
folie
choréique étroite- ment associée au rhumatisme,
on de la composition du sang. R. nr.111USGUAV-CLaY. XXX. Phtisie et
folie
: étude principalement basée sur les statis- ti
a un REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE; 823 lien entre la phtisie et la
folie
, ou en d'autres termes, si c'est parce qu'ils s
mencé à mettre en doute la légitimité de l'opi- nion qui fait de la
folie
une prédisposition à la phtisie. En étu- diant
s n'est nullement due à une prétendue influence prédisposante de la
folie
, mais aux conditions de la vie dans les asiles;
ère comme dans celle de son père il y avait une prédisposition à la
folie
. L'enfant ne parla qu'à deux ans et demi et mon
otomanie, c'est-à-dire d'une forme voilée de psychopathie sexuelle (
folie
amoureuse chaste). L'étude des oeuvres de Nietzch
- tale, et peut-être quelquefois, mais rarement, le prélude de la
folie
. Un mot qui revient souvent, dans ses écrits, c'e
on l'a vu, dit Je. Ireland, Nietzche passa de la santé mentale à la
folie
par des périodes de transition D, et ce passage
une chez les au- teurs. Le début apparent de la première crise de
folie
de Nietzche fut caractérisé par une chute à la
ar la maladie... « Son état était celui qu'on décrit sous le nom de
folie
du doute. » Le pouvoir de rai- sonner correctem
opathique et il est mort en état-d'alié- nation mentale, mais de sa
folie
avant les accidents termi- Ancmvrs, 20 série, t
théorie d'une imprégnation toxique préalable, constante dans toute
folie
héréditaire ou non. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉT
dit M. Faucher, l'influence de l'alcoolisme dans l'éclosion de la
folie
et nous donne une idée du développement de l'alco
ctuel définitif. E. Blin. VARIA. . Les aliénés EN liberté. - La
folie
d'un ancien magistral. Des agents ont arrêté, la
, dans la magistrature. C'est là qu'il a contracté les germes de sa
folie
actuelle. (Le Journal, du 9 octobre 1902). Sa
rès-midi, pour un motif des plus futiles, il fut pris d'un accès de
folie
furieuse au cours duquel il sortit armé d'une h
que le maire aurait pu éviter. Cinq enfants étranglés. Drame de la
folie
.- Un maître d'école hollandais. Suicide du meur
ingue, le maître d'école, nommé Lemke, ayant été pris d'un accès de
folie
furieuse, a étranglé cinq élèves et en a griève
double influence des crises et du traitement dans la guérison de la
folie
. Après avoir été médecin du quartier d'aliénés de
sie, par Léonard Weber, 55. Arbre généalogique démonstratif de la
folie
et du suicide, par \\-ood et Urquhart, 157. A
vements, par Jnbinski, 537. Chorée de Svdenllatn.Voir ï,7cs..Voir
Folie
. Cinquantenaire de la Société médi- co-psycho
s-Chrrbacl : . 495. ll.rcutc. Voir Dégénérescence con- il Cale.
Folie
chez les jumeaux : deux ju- melles atteintes de
ringo- nzyélie. Maladies mentales, introduction à l'étude de la
folie
, par Mac Pher- son, 186. Des états anxieux dans
étiques, par Faui@e et Courten ? oux, 377. Mélancolie aiguë. Voir
Folie
. Trois cas de avec symptômes d'un intérêt cli
Personnalité multiple. Un cas de , par Gilbert, 522. Phtisie et
folie
par Drapes, 522. z Sur l'innervation des vais-
sie riltlicu- lalre et cordonale, par Snnot I : i9. Spiritisme et
folie
, par Marie et Vigoureux, 51 4. Suicide d'un a
tenberg, 447. » Toxémie. Voir Troubles mentaux. Traumatisme. Voir
Folie
. Tremblements infantiles et nystag-- mus cong
ations ne sont pas sans jouer un cet tain rôle dans la genèse de la
folie
et, parmi ces auto-intoxications, l'urémie occu
sformations du délire observées chez cer- tains aliénés se place la
folie
circulaire. Les formes les plus diverses d'alié
mais il y a loin de là à confondre toutes les manifestations de la
folie
dans le vaste sein de la dégé- nérescence et à
d'une psychose chronique antérieure. Cinq observations dont deux de
folie
systématique (avec et sans halluci- nation'-),
tement des rapports avec leurs femmes. Et l'hérédité ! 2. Un cas de
folie
à deux. - Ou plutôt belle observation de folie
édité ! 2. Un cas de folie à deux. - Ou plutôt belle observation de
folie
à trois (trois soeurs). Tare héréditaire patern
nsciemment son délire aux deux autres. 3. Cas de catatonie alterne.
Folie
circulaire à succession régu- lière des deux ph
ez la seconde, y a division de la personnalité. - 5. Observation de
folie
obsédante. 6. Observation de délire du toucher
tats anxieux et les ob.-essions ou impulsions; 5° les parapsychies (
folies
héréditaires); 6° la folie périodique. Dans l
ons ou impulsions; 5° les parapsychies (folies héréditaires); 6° la
folie
périodique. Dans le cinquième groupe, l'auteur
le cinquième groupe, l'auteur range les psychopathies sexuelles la
folie
raisonnante- le délire de chicane les con- cept
'il serait bon de géné- raliser et de compléter. P. K. XIV. DE la
folie
INDUITE ET DE quelques phénomènes contagieux ou
LLER. (Allg. Zeistch. /. - Psychiat., L, 3, 4.) 10 Observation de
folie
à deux. Deux soeurs, dont l'une est un élément
ie acquise, de beaucoup de phobies et d'obsessions, et de certaines
folies
hallucinatoires. Il prétend que ces névroses so
nopause, avec affaiblissement intellectuel progressif et finalement
folie
systématique aiguë. Elle a été hypnotisée jadis
aissent des attaques convulsives (observations) ou des syndromes de
folie
aiguë (observations L'auteur discute enfin l'
Cet accès se dissipa vite. Une autre fois, il a eu une « bouffée de
folie
», dont il avait conscience; il s'est présenté
On ne peut, en effet, douter que cet individu ne soit atteint de
folie
périodique, il offre tous les symptômes classique
s les plus insensés. Tout cela indique, d'une façon irréfutable, la
folie
périodique. Enfin, les actes incriminés ont été
t dévelop pées, il n'y a pas de mauvais instincts, pas de signes de
folie
morale. L'émotivité est extrême et se manifeste
de l'accomplissement de l'acte et quel a pu être le résultat de sa
folie
, soit par rapport à son inaptitude à dis- REVUE
el endogène et maladie psychique 'sont deux concepts différents. La
folie
morale à l'état isolé doit être rejetéé. C'est,
ait reconnu la nécessité d'une délimitation entre le crime et la
folie
, et en ait tenté l'esquisse. Mais il considère qu
ttaque pour se terminer au vigilambulisme ; il en est de même de la
folie
hystérique, sujet si controversé qui, à aucun pri
stématisés chroniques ou de confusion hallu- cinatoire ; les cas de
folie
intermittente ont été assez nombreux. Rarement
on hallucina- toire, les délires systématisés chroniques; enfin les
folies
inter- mittentes. L'hérédité a été notée dans
le d'autopsie 1. E. B. IV. SUR LE prétendu accroissement DES cas DE
folie
; par D. HACK TUKE. (The Journal of Mental Scien
se- ment de la population, ne prouve pas que le nombre des cas de
folie
tende d'une manière générale à s'élever, car il y
nombre des admissions dans les asiles ne prouve pas non plus que la
folie
soit devenue plus fréquente, car il faut tenir
, grès de nos connaissances médicales. R. DE Murgrave CLAY. V. La
FOLIE
AUGMENTE-T-ELLE EN Amérique (Etats-Unis); par F
ur conclut dans le sens de l'affirmative. R. Al. C. , ,. VARIA.
Folie
MYSTIQUE. Il existe actuellement à Echternach,
téressant. A noter les figures qui l'accompagnent. C. Drame DE la
folie
. Depuis quelque temps, M. Maximilien Borche, ou
ne connaissait pas les troubles mentaux de l'hystérie. Le terme de
folie
hystérique était pour lui, comme pour tous les mé
pour lui, comme pour tous les méde- cins de son temps, synonyme de
folie
raisonnante ou de folie morale. Poursuivons :
us les méde- cins de son temps, synonyme de folie raisonnante ou de
folie
morale. Poursuivons : Les seuls faits que don
ce, par des femmes pour lesquelles on invoque l'excuse banale de la
folie
. Je prends les cas eux-mêmes que citeMarcé et s
demande le savant aliéniste. 1 Tardieu. Étude médico-légale sur la
folie
. Paris, 1872. INFANTICIDE ET HYSTÉRIE. 99 On
s'empare de cer- taines femmes pendant le travail ne soit pas de la
folie
et ne puisse excuser de piano le crime commis à
accouche et il pourra poser, en dépit de Tardieu, un diagnostic de
folie
transitoire solidement établi. Qu'on interroge
res ou quel- ques jours, et d'un délire parfaitement distinct de la
folie
puer- pérale infectieuse. Il pourra dépister
entait indé- pendamment de cet état gastrique des vertiges et de la
folie
furieuse avec hallucinations terrifiantes. Nous
c la saturation bromique arrivaient ces accidents vertigineux et de
folie
furieuse. Chez ce même malade ainsi que chez un
le crime et celui qui en naissant présente une prédisposition à la
folie
; le sub- stratum organique de l'anomalie psychi
s de cet important travail sont les suivantes : 1° parmi les cas de
folie
observés dans les asiles, la mélancolie est à p
é du fonc- tionnement intellectuel. R. DE Musgrave CLAY. XXVI. La
folie
DE la ménopause; par E. GooDUaLL et M. CRAIG. (
UaLL et M. CRAIG. (The Journal of Mental Science, avril 1894.) La
folie
apparaissant d'ordinaire chez la femme à un âge p
auteurs sont d'ac- cord pour admettre que la forme ordinaire de la
folie
de la méno- pause est la mélancolie : bien que
pause est la mélancolie : bien que moins fréquentes, la manie et la
folie
avec délusions ne sont pas rares et revêtent l'al
portantes la cessation des règles peuvent être les prodromes de la
folie
et doivent par conséquent être prises en sérieu
tudes toxiques (morphinomanie, cocaïnomanie). Les symptômes de la
folie
, confirmée à la ménopause, ne sont que la conti
13,4 p. 100). Le traitement varie naturellement suivant la forme de
folie
et suivant l'état de santé de la malade; mais i
e et internée dans un asile. Il est à noter, toutefois, que dans la
folie
de la méno- pause comme d'ailleurs dans la foli
efois, que dans la folie de la méno- pause comme d'ailleurs dans la
folie
puerpérale, lorsque la malade a atteint un cert
st d'une manière nettement défavorable. Quant à la pathogénie de la
folie
de la ménopause, on n'a guère avancé jusqu'ici
s d'hébéphrénie. L'hébéphrénie ne doit pas être con- fondue avec la
folie
de la puberté ou la folie de l'adolescence. Ces
énie ne doit pas être con- fondue avec la folie de la puberté ou la
folie
de l'adolescence. Ces dernières sont des cas de
puberté ou la folie de l'adolescence. Ces dernières sont des cas de
folie
survenant chez des enfants ou des adolescents e
. Fauconneau, comme exemple de ce que certains auteurs appellent la
folie
cardiaque. En effet, à première vue, l'affectio
grand symptôme sur lequel est bâti le diagnostic différentiel de la
folie
cardiaque. Or, en reprenant les antécédents per
d'un alcoolique et la petite-fille d'une femme qui a eu un accès de
folie
puerpérale. Ce fait vient corroborer l'opinion
on s'est engagé dans une mauvaise voie quand on a voulu décrire des
folies
spéciales à chaque maladie, à la puer- péralité
re qu'on considère la prédisposition héréditaire comme une cause de
folie
. M. TOULOUZE. Si les auteurs ne le disent pas d
, comme l'ont prouvé il y a longtemps les observations deM. Magnan (
folie
du doute à soixante-cinqans,onomatomanieàsoixan
és de cette spécialité, mais seulement de manière à soup- çonner la
folie
naissante, le nombre des erreurs judiciaires dimi
imple et la mélancolie anxieuse; la confusion mentale; la manie; la
folie
morale; le délire systématisé. La mélancolie an
lié en 1890 en collaboration avec M. Lallemand. 1° Il n'y a pas une
folie
des vieillards, mais des SOCIÉTÉS SAVANTES. 223
SOCIÉTÉS SAVANTES. 223 formes diverses, des manières d'être de la
folie
chez les vieillards. - 2° La manie franche est
hérentes, diffuses, souvent transitoires, sans ressemblance avec la
folie
proprement dite. ? Les lésions du coeur sont très
u premier abord, ces malades font plutôt penser à l'ivresse qu'à la
folie
. Malgré l'abondance de leurs idées on ne consta
nt capital et établit une distinction tranchée entre cet état et la
folie
chronique systématisée ambitieuse désignée autre-
a vraisemblablement des lésions vasculaires. Pour ce qui est de la
folie
présénile, ne peut- on la considérer comme rele
s formes qui simulent la paralysie générale, il a observé un cas de
folie
alcoolique et un - cas de névrite alcoolique.
pu- Ilique... - Le premier projet de loi n'avait pas considéré la
folie
comme pouvant être invoquée pour motiver la sép
. M. Mendel et Kralft-Ebing ont signalé la nécessité de classe la
folie
parmi les faits'pouvant être invoqués en faveur d
es prisons). Le délire hallucina- toire a un rôle important dans la
folie
périodique et circulaire. Il ne se termine'jama
e. Guérison. - 11° partie, par Bounu,.A et fnsTnr.onu : pilepsie et
folie
épileptique due « un lrcttt- 111atisme crânien
, l'insomnie, la perte de la mémoire, des crises épileptiformes, la
folie
, etc., ont été signalées comme consécutives à l
nte de manie chronique et de fibrome du sein : elle a guéri de sa
folie
. ' Discussion avec 1\lI. Regnier, Laroussinie,
°r mai 1894 qu'on parvint à l'arrêter. Il essaya bien de simuler la
folie
. Mais, cette fois, personne ne s'y laissa prendre
lgré tous les certificats exhibés) n'a pas cru à la réalité de la «
folie
» de Dalanoy et s'est refusé à l'admettre, en f
ssai sur l'influence des états utérins sur le déve- loppement de la
folie
. - MAUGUE. Contribution à l'étude de la maladie
due hier soir dans sa chambre. La malheureuse était en proie il une
folie
mystique intense; elle était sortie il y a quelqu
isance des connaissances des médecins en ce qui concerne l'étude la
folie
et qui leur fait trop souvent croire à l'incura
nes un service d'aliénés et ont pu acquérir quelques notions sur la
folie
. , GARNIER (S.). Barbe Buvée. - En religion, so
premières années du xix°, on ne voit dans les individus atteints de
folie
que des sujets dangereux, et on les détient le
s médecins commencent cependant à étudier les formes diverses de la
folie
, mais l'assistance des aliénés reste encore bie
er Psychiatrie, 3° édit. Stuttgart, 1888, p. 42. ' Calmeil. De la
folie
considérée sous le point de vue pathologique, p
iècle. Les conceptions erronées sur la nature et les causes de la
folie
se perpétuent encore au cours de la deuxième péri
se nier toute intervention diabolique dans les manifestations de la
folie
. 11 fait, en effet, jouer un rôle aux esprits d
Loc. cil. ' 356 asiles d'aliénés. tingue cependant, lui aussi, la
folie
ordinaire et la folie démo- niaque. « Il reconn
es d'aliénés. tingue cependant, lui aussi, la folie ordinaire et la
folie
démo- niaque. « Il reconnaît une variété d'exta
une section spéciale d'une léproserie, quelques sujets atteints de
folie
; mais il faut t arriver à la fin du xve siècle
> * * i· ? 1 J' ..... 3's'qii'alors, les sujets atteints de
folie
avaient été générale- " ment considérés comme i
us vigoureusement réagi contre le pré- jugé de l'incurabilité de la
folie
, et d'avoir créé, en 1805, le premier « établis
célèbre de l'Ecole spiraYualiste ou psychologique pour laquelle la
folie
n'était qu'une maladie de l'âme, engendrée par
Allemagne. L'influence de conceptions erronées sur la nature de la
folie
se traduisit pendant longtemps par l'emploi de
t aussi dans le but d'ap- prendre au public que l'on peut guérir la
folie
, que l'on créa des hôpitaux actifs d'aliénés où
ions, sans influence sur la marche de l'épilepsie chronique vers la
folie
; 2° Le naphtol peut rendre quelques services, m
nation ? Les opérations ont été surtout préconisées dans les cas de
folie
traumatique ou de pression intracrânienne, et c
e la théorie d'lleinrolh, la fameuse doctrine du péché, cause de la
folie
. Ideler montre que son père n'était pas, ainsi
A. Mercklin. (Allg. Zeitschr. f. Psychiul., LI, 3.) Au début de la
folie
systématique chronique, le malade peut regarder
dans la race malaise. 4° Les races rougea sont peu exposées à la
folie
. L'alcoolisme y détermine plus souvent l'épilep
ui les a communiquées à toute la famille. Chez le mari il s'agit de
folie
imposée : le délire s'est évanoui dès qu'il a été
é éloigné de sa femme. Chez la fille c'est à proprement parler la
folie
communiquée : en raison de sa prédisposition héré
ui lui sont imposées et les abandonne, une fois séparé de sa femme (
folie
imposée des Français). La fille, une héréditair
on de son traité, avait placé le délire des quérulents à côté de la
folie
morale. Dans les éditions ultérieures il le ran
utés-persécu- teurs. M. Hoestermann rapporte brièvement un cas de
folie
à deux dans lequel la psychose se montrait chez
; c'est ce qui n'est pas prouvé. Le con- cept un peu mystique de la
folie
morale est loin d'apporler la lumière dans l'in
ui se produit dans tout accès de 468 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
folie
. Alors que les malades, guéris d'un accès, sorten
par AGOS'rlNl. (Riv. sp. di frein., t. 1, fasc. 111-1V.) Dans la
folie
épileptique, la sensibilité à la douleur est la p
eux faibles ou nuls, la sensibilité à la douleur moindre. Dans la
folie
paralytique, à la période initiale, la sensibilit
au tronc et se diffusent dans le membre de l'autre côté. Dans la
folie
alcoolique, exagération fréquente de la sensibili
tendineux; les autres, culanés et muqueux, sont faibles. - Dans la
folie
pella- greuse, hypoalgésie : atténuation des ré
es tendineux, des idio-musculaires et souvent du plantaire.-Dans la
folie
hypocondriaque, hyperalgésie; rapidité REVUE DE
et muqueux, exagération des tendineux et idio-musculaires. Dans la
folie
hystérique, faiblesse de la sensi- bilité à la
tions en opposition avec elle. J. Ségalas. LVIII. MAL DE BRiGIIT ET
folie
; par le D'' BO : \DUIIANT. Au cours des recherc
e lésions chroniques du rein chez 50 p. 100 des malades atteints de
folie
chronique. Les faits recueillis lui permettent
hez la plupart des malades atteints en même temps de néphrite et de
folie
, c'est la néphrite qui est la cause de la folie,
s de néphrite et de folie, c'est la néphrite qui est la cause de la
folie
, cette dernière n'étant qu'un symptôme mental d
i ». Dans une première série la paranoïa morale, autrement dit la
folie
morale, comprend ceux chez qui de mauvaises condi
tous les éléments pathologiques qui caractérisent non seulement la
folie
mais aussi la forme spéciale du délire. C'est
mais aussi la forme spéciale du délire. C'est ainsi qu'à côté des
folies
mentales et impulsives et de cer- taines formes
ricains récents d'Alice Milchell et Guy Olmstead. A. Marie. LXXI.
Folie
dlennorriiagique ET PYOPIIRÉNOES ; par le profess
apporte de nou- veaux faits cliniques à l'appui de ses idées sur la
folie
blennorrha- gique. Les malades dont l'histoire
, quoique la blennorrhagie soit plus fréquemment en raprort avec la
folie
hébéphrénique, elle est capable aussi de provoq
ovoquer des troubles mentaux chez des sujets adultes. La forme de
folie
observée a élé dans un cas un délire mélan- REV
r rapporte deux cas démonstratifs comme preuve de l'existence d'une
folie
consé- cutive à des écoulements vaginaux purule
- séquence, d'accepter dorénavant l'existence non seulement de la
folie
blennorrhagique, mais d'une classe de folies, que
nce non seulement de la folie blennorrhagique, mais d'une classe de
folies
, que l'on pour- rait appeler pyophrémes, dont l
e classe de folies, que l'on pour- rait appeler pyophrémes, dont la
folie
bJennol'l'hagique serait une espèce, en rapport
pèce, en rapport direct avec un élément infectieux spécifique ; les
folies
puerpérales, celles qui sont dues à des écoulents
étude particulière, il avait déjà publié un grand nombie de cas de
folie
traumatique. (Prager JIedie. Wochensch¡ ? 187\),
NCER EAUX, médecin à l'ilâtel- Dieu de Paris. . L'ivresse est une
folie
passagère; aussi l'alcool est-il le grand pourv
ont sombrer l'intelligence. Quand il ne produit pas diieclenient la
folie
, il en prépare et facilite l'éclosion par l'état
e cérébrale. Les descen- dants d'alcoolisés sont des candidats à la
folie
, et c'est parmi ces malheureux que la faute des
f. 1, 1895.) Paul Sérieux. BIBLIOGRAPHIE. VIII. Les causes de la
folie
. Prophylaxie et assistance; par Edouard TOULOUS
eur Joffroy de faire une série de conférences sur l'étiologie de la
folie
, a réuni ces der- nières et les a complétées da
tent d'être conservés. Le livre II étudie les causes directes de la
folie
. Les causes sociales comprennent : 1° la civili
es pratiques poussées à l'excès, conduisent au mysticisme et à la
folie
; 4° l'état civil (mariage, célibat, veuvage, etc
idées et l'en- gouement en politique, enfin les cas intéressants de
folie
imposée, de folie simultanée et de folie commun
ement en politique, enfin les cas intéressants de folie imposée, de
folie
simultanée et de folie communiquée. Les causes ph
in les cas intéressants de folie imposée, de folie simultanée et de
folie
communiquée. Les causes physiques ont un rôle p
pports et donne à chacune la part qui lui revient en pareil cas. La
folie
est le plus souvent le produit de facteurs nomb
e possible. En résumé, le livre de M. Toulouse sur les causes de la
folie
, la prophylaxie et l'assistance des aliénés est
ntale, était prise, samedi, vers onze heures du soir, d'un accès de
folie
furieuse. Armée d'une broche à rôtir, elle se met
-, par S. \Ieyer 59. Accroissement. Sur le prétendu - des cas de
folie
, par H. Tul : e, 87. Acoustique. Trajet central
e. Accidents cérébraux dans la , par Pitres 209. Blennorriugique.
Folie
-, et pyo- phrémes par Venturi, 47>. i. BL
s. Note sur une épidémie de , par Féré, 316. Brsu.ur. Mal de - et
folie
, par Bon- durant, 470. Bulbaire. Complexus sy
IGur; des muscles sous l'action des poisons nerveux parRossi,466.
Folie
. De la induite par Roller, 44. La augmente-t-el
générale et la syphilis spinale par Nageotte, 273. " Ménopause.
Folie
de la -, par Goodhall et Crain, 159. , Menstr
ke, 482. J'L PILLAIRE. Diagnose -, par Munk, 399. PyopiiÉ,;iEs.
Folie
blennorrhagique et -, par Venturi, 474. Quéru
' par Agostini, 468. Responsabilité. Critérium de la - dans la
folie
, par Brainerd, 58. Rétinite des paralytiques, p
lité fleurit sur, un terrain héréditaire plus ou moins voisin de la
folie
; les criminels deviennent fréquemment aliénés,
LE. 115 berg, en 1877, sur la proposition du professeur Meynert, la
folie
primaire (p1'imoe1'e Verrùcktheit, respective p
estphal, il ne fut même pas question. Plus tard, la catégorie de la
folie
primaire servit presque uni- quement pour indiq
hronique, la paranoïa chronique rentrant plutôt dans le cadre de la
folie
dégénérative alors que la para- noïa aiguë appa
he des exacerbations qui, en résumé, ne sont pas autre chose que la
folie
hallucinatoire aiguë, c'est-à-dire la forme aig
la systématisation des idés délirantes, le caractère partiel de la
folie
, la lucidité de la conscience et l'absence de la
eit * au délire chronique.- L'auteur préférerait l'appellation de «
folie
générale ». Reste à savoir dans quel groupe des
de trente-six aliénés classés sous les rubriques de : mélancolie, -
folie
neurasthénique, démence aiguë (qua- torze obser
, - folie neurasthénique, démence aiguë (qua- torze observations) ;
folie
systématique (paranoïa) chronique (huit observa
matique (paranoïa) chronique (huit observations) ; imbécillité avec
folie
systématique (obser- vation n° 25); folie pério
tions) ; imbécillité avec folie systématique (obser- vation n° 25);
folie
périodique (observations nos 26-28); manie péri
e (observations nos 26-28); manie périodique (observations n° 29 de
folie
systématique pério- dique) ; paralysie générale
tématique pério- dique) ; paralysie générale (quatre observations);
folie
épi- leptique (observations n°s 34, 35, 36). Et
nt alors un facteur aggravant qui les conduit sur les confins de la
folie
. C'est la répétition des actes délictueux qui a d
uestion, encore bien obscure. P. S. 126 BIBLIOGRAPHIE. III. Des
folies
diathésiqucs; par le De H. MABILLE, médecin en ch
asile de Lafond. En proposant pour programme du prix Falret : les
folies
diathé- siques, l'Académie de médecine n'entend
it assurément pas demander aux concurrents de décrire une à une des
folies
diathé- siques à une époque qui a vu les diathè
ons principales. Une partie importante du mémoire est consacrée aux
folies
rhu- matismales. Le rhumatisme articulaire aigu
que adoptée, nécessaire à son déve- loppement. Ils nous montrent la
folie
se développant en même temps que les accidents
qui ne permet pas d'admettre l'existence d'une forme déterminée de
folie
rhuma- tismale, mais présentant, cependant, dan
ire du rhumatisme du délire alcoolique : d'en faire, en un mot, une
folie
toxique. Les folies goutteuses, diabétiques, et
délire alcoolique : d'en faire, en un mot, une folie toxique. Les
folies
goutteuses, diabétiques, etc., ne sont que des cu
t à MM. Mabille et Lalle- mant, le caractère le plus saillant de la
folie
chez les arthritiques. Des recherches irrologiq
e et Lallemant ont su rajeunir à souhait cette vieille question des
folies
diathésiques et leur mémoire est de tous points
Il importerait d'être fixé sur ce second point. Les drames de la
FOLIE
. - Nancy, 16 décembre. Après de longues recherc
ariée avec un lieutenant du 8° d'artillerie. C'est dans un accès de
folie
qu'elle s'était jetée dans le canal. (L'Eclair.
t de recommen- cer à la prochaine occasion, Cet homme atteint de la
folie
de la persécution est, pour tous les habitants
ice de Bicêtre, qui manque d'eau (Progrès médical.) < Accès DE
folie
furieuse. - Un jeune homme de vingt. ans a frap
erelle extrêmement futile qu'il lui porta soudain, dans un accès de
folie
furieuse, quatre coups de couteau à la tête. Ma
ructions pour que l'hospitalisation se passe sans délai, dès que la
folie
est constatée. Malheureuse- ment, la plupart de
la vérité en disant qu'on la rencontre dans un tiers des cas. La
folie
et la paralysie générale sont bien d'ail- leurs
e de Bombai. 1. L'homicide n'est malheureusement pas rare dans la
folie
, et si la Folie homicide n'existe pas en tant q
. L'homicide n'est malheureusement pas rare dans la folie, et si la
Folie
homicide n'existe pas en tant que entité morbid
rait exposer méthodiquement toute la seméiologie du meurtre dans la
folie
, ce qui constituerait une étude très intéressan
cupations habituelles. Mais en l'étudiant, on reconnaît vite que la
folie
, chez lui, est déjà ancienne ; ses parents, ses
aturellement envieux, soupçon- neux, orgueilleux. Ils arrivent à la
folie
progressive- ment et par suite, pour ainsi dire
e lieu de rechercher les rapports qui exis- tent entre ces accès de
folie
fui ieuse (fureur épilép- tique) et la névrose
s comitiaux, mais sous l'in- fluence de la passion plutôt que de la
folie
dite épi- leptique. ' L'état mental habituel
olence les entraîne jusqu'à l'homicide. Il n'y a pas, dans ces cas,
folie
proprement dite, mais cependant le fonctionneme
Leur cas se confond -alors avec celui d'autres aliénés à accès ! de
folie
sou- ' vent brusques et transitoires;, dont il
'1LL ri'" " Nous arrivons maintenant à l'homicide- dans les , r
folies
pa11l,intoxication.. " L'homicide n'est..pas rare
folies pa11l,intoxication.. " L'homicide n'est..pas rare dans la
folie
alcoolique, on' l'a observé aussi dans d'au- It
dans la folie alcoolique, on' l'a observé aussi dans d'au- Itrs ,
folies
, -par <. intoxication,. dans la morphinomanie,
tracer, en quelques lignes,, les caractères, de d'homicide dans, la
folie
.alcoolique, qui est si,fréquente et qui peut !
" ." \"1'\ , ,I(I..Ç'S dans, cette,, forme d'aliénation .appelée .
folie
«alcoolique , subaiguë', ,ou' plutôt, alcoolism
, non chez tous cependant, des accidents divers, comme les accès de
folie
qui viennent d'être décrits, comme des crises d
ocessus pathologique que j'indique, mais à d'autres moments de la *
folie
alcoolique, il a une genèse toute différente. Ain
escence intël- lectuelle ne réagissent pas, sous l'influence de' là
folie
, de la ! même ! façon qu'elles autres. 'L'irrég
paux caractères que la dégénéres- cence intellectuelle imprime à la
folie
, le seul qui doive nous préoccuper ici, consist
e com- mis parles sujets désignés sous la nom de fous moraux . La
folie
morale, malgré le nom qu'on lui donne, est à mo
malgré le nom qu'on lui donne, est à mon avis chose étrangère à la
folie
. Il faut, en effet en exclure (de la folie mora
vis chose étrangère à la folie. Il faut, en effet en exclure (de la
folie
morale) les malades dont il vient d'être questi
nt pathologique. Quels sont alors les sujets qui restent dans cette
folie
morale qu'on veut rattacher, à l'aliénation men
mune. Cette origine est la dégénérescence qui aboutit,' soit à la
folie
, soit à la criminalité. Nous ne devons donc pas
ité. Nous ne devons donc pas nous occuper de l'homi- cide dans la
folie
morale, ce serait quitter le domaine de la méde
erses, dans lesquelles on observe le meurtre pendant le cours de la
folie
, j'appel- lerai l'attention sur un point qui n'
' (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE VII. LE MYXOEDÈME ET sa
FOLIE
; par J. Cumming MACKENZIE. (The Journal of ment
n'y avait chez l'accusé d'autres antécédents hérédi- taires que la
folie
d'un grand-oncle du côté paternel. D'autre part,
quelle qu'en soit l'origine. R. M. C. XXI. Observation D'UN cas DE
FOLIE
A deux chez CINQ MEMBRES D'UNE MÊME famille; pa
plus ou moins accusé. C'est là un curieux et assez rare exemple de
folie
communiquée ou de folie collective : notons en
'est là un curieux et assez rare exemple de folie communiquée ou de
folie
collective : notons en passant que l'auteur aur
ue l'auteur aurait pu préférer l'un de ces deux termes à celui de «
folie
à deux a, qu'il a employé, puisqu'il s'agit de ci
que parlait l'enfant. R. M. C. XXV. UN cas de chorée associée A la
folie
; par George P. COPE. (The Journal of Mental Sci
octobre 1888.) L'auteur relate longuement l'observation d'un cas de
folie
chez un jeune homme de dix-neuf ans atteint de
epuis sa création jusqu'à l'époque actuelle. R. M. C. XXVIII. DE la
FOLIE
CONSÉCUTIVE aux opérations CH1RURGICALES; par C
(The Journal of Mental science, avril 1889.) L'auteur pense que la
folie
consécutive aux opérations chirurgi- cales, bie
pecte d'être plus favo- rables que les autres à la production de la
folie
, il y aurait lieu de tenir rigoureusement compt
ue. L'auteur souhaite en terminant que de nouvelles observations de
folie
post-opératoire soient recueil- lies avec soin,
considéré par quelques auteurs français comme une des formes de la
folie
du doute; elle s'en distingue pourlant par quel-
T la TAPIIÉPliOBIE dans LEURS rapports avec LES formes analogues DE
folie
du DOUTE (Paranoïa 1'tldimentail'e),- / par le
ne sont pas là des maladies spéciales, mais de simples variétés de
folie
du doute, devant prendre place dans le cadre de
moins nota- blement atténuée. J. Séglas. XXXII. Analgésie dans la
folie
; par le Dr KENISTON. (American journal of insa
on peut constater de ''l'anesthésie dans les différentes formes de
folie
chronique, ainsi que dans l'imbécillité et l'id
ar J. Draper. (Amel'ican jou1'11al of insanity, octobre 1890.) La
folie
prend naissance soit dans le système cérébro-spin
e joué par le système ganglionnaire dans les phases initiales de la
folie
. ' Le début de beaucoup de troubles mentaux est
n qu'il soit, des organes de reproduction, comme pathogénique de la
folie
. E. B. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE I. La PARALDÉ
et une odeur désagréable. R. M. C. Il. Quatre cas DE guérison DE
folie
chronique, avec UN RELEVÉ DE QUATORZE AUTRES CA
usions générales ; mais ils montrent du moins que la guérison de la
folie
chronique n'est pas aussi rare qu'on le pense e
n turc : 1° Comme agent curatif : A, dans les différentes formes de
folie
alcoolique et dans les autres folies toxiques ;
dans les différentes formes de folie alcoolique et dans les autres
folies
toxiques ; B, dans les cas de démence partielle
se de la peau et de troubles de la fonc- tion hépatique; D, dans la
folie
puerpérale. 2° Comme agent palliatif : A, dans
D, dans la folie puerpérale. 2° Comme agent palliatif : A, dans la
folie
épileptique ; B, dans la paralysie générale des
ie générale des aliénés, surtout à la première période ; C, dans la
folie
chronique. R. M. C. IV. Notes sur L'EMPLOI du S
banons d'aliénés de cet établissement. Hier soir, après un accès de
folie
furieuse, il dut être mis en cellule. La porte
orique intéressant des différents procé- dés de thérapeutique de la
folie
employés depuis l'antiquité jus- qu'à nos jours
t contenir 450 malades. 2° Création d'une commission d'Etat pour la
folie
, destinée à exercer une surveillance gouverneme
dans les onze constructions aménagées pour les malades atteints de
folie
à des degrés différents, on peut y loger au plus
ée par M. le Dr Briand qui, comme les autres médecins, conclut à la
folie
de la jeune fille. * Mm° Dourches déclare qu'à
omme qui lui plaisait. Que voulez-vous ? Ce n'est pas une raison de
folie
. De nombreux voisins ou amis de la famille Dour
rdiction des séances publiques d'hypnotisme. (L'Eclair.) Crime ET
FOLIE
. - On se rappelle le drame de Chantelle, à la s
cin-adjoint dps Asiles de la Seine. HÉRÉDITAIRES dégénérés. H05
folie
héréditaire. Les délires, à leur tour, ont leur
leurs tendances maladives. On s'est élevé contre l'expression de
folie
hérédi- taire, expression assurément impropre,
nte du contact du chien. Nous avons donc conservé l'expression de
folie
héréditaire parce qu'elle comprend un groupe de
ncilier toutes les opinions. Les caractères' symptomatiques de la
folie
des dégé- nérés se divisent en trois groupes :
affirmer qu'un meurtre donné, a été commis sous l'influence de la
folie
, il faut encore montrer que le meurtre en quest
il appartient à une famille dans laquelle on n'a jamais observé ni
folie
, ni épilepsie. Son père et sa mère sont morts a
evenu un cerveau infirme, par accident, et sous l'influence de la
folie
, il réagira à la façon des cerveaux infirmes par
onditions que l'on connaît, il était naturel de le supposer dû à la
folie
épileptique, à la folie alcoolique ou au délire
, il était naturel de le supposer dû à la folie épileptique, à la
folie
alcoolique ou au délire de persécution. L'exame
ésenter d'abord un aperçu de la sémeiologie de l'homicide dans la
folie
, c'est ce que j'ai fait en m'efforçant de ne re
ur au physique comme au moral. Le bon Dieu manifeste cela par de la
folie
. On a l'air d'être folle. Je ne suis plus rien.
'hyperhémie récente. , Dans les autres formes d'aliénation mentale (
folie
périodique, épileptique, démence consécutive, e
la culpabilité qui leur serait imputée; en prison, ils simulent la
folie
; à l'asile l'honnêteté. Ils arrivent en évoluant
nos jours, ils 'ont été désignés comme atteints de manie chronique,
folie
inter- mittente, périodique, dipsomanie, épilep
dipsomanie, épilepsie larvée, délire vertigi- neux, délire d'accès,
folie
raisonnante, folie morale, folie hérédi- saire,
ie larvée, délire vertigi- neux, délire d'accès, folie raisonnante,
folie
morale, folie hérédi- saire, folie des dégénéré
ire vertigi- neux, délire d'accès, folie raisonnante, folie morale,
folie
hérédi- saire, folie des dégénérés. Ils partage
lire d'accès, folie raisonnante, folie morale, folie hérédi- saire,
folie
des dégénérés. Ils partagent leur existence en tr
mulation; elles constituent plutôt le signe du vice que l'indice de
folie
. M. CHRISTIA1V. Si l'on voulait résumer la comm
liéné; c'est un simulateur. Je ne veux pas nier la simulation de la
folie
, mais il faut reconnaître qu'elle est beau- cou
on est tellement anracinée chez les Japonaises qu'elle confine à la
folie
. M. B. SOCIÉTÉS SAVANTES. 419 Séance du 28 ma
user l'excitation anor- male des centres moteurs, dans la manie, la
folie
systématique aiguë, la folie impulsive, l'autom
des centres moteurs, dans la manie, la folie systématique aiguë, la
folie
impulsive, l'automatisme épileptique, la logorrhé
pulsive, l'automatisme épileptique, la logorrhée irrésistible de la
folie
systématique chronique, les impulsions, la cata
tales. Il s'agit ici de délire, de conceptions déli- rantes dans la
folie
systématique ou le désordre dans les idées hall
de l'ampleur au champ visuel. M. HAHN présente un malade atteint de
folie
chronique consécu- tive à des excès prolongés d
s générales à localisation anor- male. M. HAHN présente un cas de
folie
aiguë chez un enfant. Il s'agit d'un garçon de
AVANTES. 439 tres régions. L'orateur a examiné à ce point de vue la
folie
épilep- tique, d'autant qu'à l'asile de Rybnik,
bnik, il y a un grand nombre d'épi- leptiques. Il a trouvé que la
folie
transitoire des épileptiques ne présente, quant
de observée ailleurs. Il n'en est pas de même en ce qui concerne la
folie
épileptique chronique. Par exemple, les épilepti-
ssins. Or, hier, vers huit heures du soir, à la suite d'un accès de
folie
furieuse, elle s'empara d'une barre de fer et f
ait à Levallois, au numéro 70 de la rue Danton. En dernier lieu, la
folie
s'emparant d'elle peu à peu, elle s'imaginait ê
ns et renseignements gratuits. Commentaires inutiles. Drame DE la
FOLIE
. - Lyon, 18 mars. - M. Porleret, âgé de trente-
ose double et chorées chro- niques de l'enfance, par Audry, 125 ;
folies
diathésiques, par Maxille, 126 ; syndromes hys-
ileptiques, assistances des, - 155. 1 . Faits divers, 135, 456.
Folie
, associée à des états patholo- giques divers, p
uveret et Cur- tillet, 109. Myxoedème, par Krepelin,'91; -et sa
folie
, par Mackenzie, 217. NÉCROLOGIE, 287. Nerfs,
se rencontrerait surtout dans la pa- ralysie générale, puis dans la
folie
systématique (confusion des personnes), parfois
e l'immobilité des pupilles à la lumière. P. K. 11F . Deux cas DE
folie
larvée ; par CONOLLY Norman. (The Journal of Me
THOLOGIE MENTALE. graves responsabilités ; chez ces deux hommes, la
folie
a existé pendant un grand nombre d'années, revê
yméningite hémorrhagique est extrêmement rare dans les cas aigus de
folie
. On peut se demander si dans le cas dont il s'a
octobre 488;i.) Etude intéressante qui comprend : 1° deux cas de
folie
morale, portant sur un père et son fils; 2° deu
R. M. C. - 122 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. VIII. U : '\ C \5 de
folie
saturnine; par Hall Willl'r. (The Journal of Me
iste pen- danteplusieurs mois, etpeut même quelquefois aboutir à la
folie
confirmée. R. 111. C. IX. DE l'appétit dans l
aboutir à la folie confirmée. R. 111. C. IX. DE l'appétit dans la
FOLIE
; par J.-A. CAMPBELL (The Journal of Mental Sci
paralysie générale, à l'alcoolisme 126 SOCIÉTÉS savantes. et à la
folie
a double forme. Tout le monde accepte ces modific
état actuel de la science. - La para- lysie générale des aliénés ou
folie
paralytique est le meilleur exemple à prendre à
ngue les désordres mentaux variés que l'on a groupés sous le nom de
folie
morale, raisonnante. Enfin,' les deux mémoires
nante. Enfin,' les deux mémoires les plus récents ont pour objet la
folie
à deux, en collaboration avec Lasègue, et la fo
nt pour objet la folie à deux, en collaboration avec Lasègue, et la
folie
circulaire ou folie à double forme, décrite en
ie à deux, en collaboration avec Lasègue, et la folie circulaire ou
folie
à double forme, décrite en 18;;4 par le Dr Falr
e travail ; les dégâts sont assez considérables. LES DRAMES DE LA
FOLIE
Une dépêche d'Alger en date du 30 novembre dit
Une dépêche d'Alger en date du 30 novembre dit qu'un drame dû à la
folie
s'est déroulé dans la soirée à Alger. Un pauvre
baisse aussi à l'âge adulte, pour se relever dans la vieillesse. La
folie
tend en général à augmenter le poids spécifique d
la substance cérébrale; médiocre dans les formes aiguës typiques de
folie
; élevé, dans les formes chroniques, secondaire
énés. Peut-être même, ce qu'on appelle disposition héréditaire à la
folie
pour- rait-il, suivant Sommer, dans beaucoup de
er la séclusion comme mesure disciplinaire chez les malades dont la
folie
s'accompagne de méchanceté native ; mais cette
t. XIX. 16 242 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. pendant un accès de
folie
; dans plusieurs cas. où il existait des vomiss
l'estomac, ces symptômes se sont amendés ou ont disparu dès que la
folie
s'est développée. Dans un cas de paraplégie hys
e a également remarqué l'alternance entre les crises d'asthme et la
folie
; cette alternance se reproduisait régulièremen
s névropathes, et il a observé un malade qui fut pris d'un accès de
folie
aiguë la première année où il n'eut pas à l'épo
t à l'épilepsie, il a vu l'épilepsie nocturne être remplacée par la
folie
, et dans plusieurs cas des attaques vio- lentes
u est une des maladies qui paraissent tendre à s'associer avec la
folie
. La suppression ou la non-apparition de la goutte
a non-apparition de la goutte peut donner lieu à l'apparition de la
folie
: on objectera ici qu'à défaut de la localisati
ue qu'occupent les lésions des circonvolutions dans les cas où la
folie
est associée à une tumeur du cerveau. 3° L'abse
normal complet chez les trois vésaniques, malgré l'ancienneté de la
folie
qui dans un cas, datait de 47 ans; " 2° L'intég
on procède avec ménagement. M. 11AHLIS : 1U11 lit un mémoire sur la
folie
juvénile, à la lumière de deux observations. Il
as seule, non pas non plus exclusivement. Ce n'est donc point de la
folie
morale; 4° Ces psychopathies se développent che
ale plus particulièrement la publication de Koster (Evolution de la
folie
. b'1'enfeund, 1865, et le mémoire de Raggi et B
t de faire remarquer que le type morbide en question ressemble à la
folie
transitoire neurasthéni- que de Krafft-Ebing et
nt ; le voilà totalement guéri; il n'a pas eu d'autre rechute. La
folie
systématique dont, nul ne l'ignore, le pronostic
st pas basée sur la loi. Le Soleil, 3 janvier 1890. VARIA. 28U La
Folie
du 1t01 Louis Il DE BAVLÈRE; par Villiam-W. IRE-
ressants à l'histoire du développement et de la propagation de la
folie
et de l'idiotisme dans les familles royales, s'es
nt que pathologique, l'évolution d'une disposition héréditaire à la
folie
, favorisée par les circonstances exté- rieures.
que le droit divin peut fréquemment se confondre avec le droit à la
folie
. La famille de Wittelsbach, souche des rois de
nt certains biographes, ce serait ce prince qui aurait introduit la
folie
dans la famille, par son mariage avec Marie de
el) la princesse Alexandra aurait présenté en 1850 des symptômes de
folie
(elle croyait avoir avalé un sopha en cristal)
surtout du regard du roi, dont les yeux, disait-il, annonçaient la
folie
future. De cette époque date l'antipathie du ro
Il est probable toutefois, d'après l'ensemble de ces faits, que la
folie
du roi commença dès sa jeunesse, et qu'elle fut
édical lu devant le Landtag de Bavière fait remonter le début de la
folie
en 1880; mais le baron Mundy nous apprend que l
iche, et favorable aux princes allemands dépossédés. Cependant la
folie
du roi s'aggravait; il ne pouvait supporter la
ouverain de simples excentricités, mais bien de véritables actes de
folie
. Louis continua pourtant de régner trois mois e
les termes sui- vants : 1° Sa Majesté est dans un état avancé de
folie
; elle souffre de celte forme d'affection mental
ésoudre ces questions. (A suivre.) REVUE DE MÉDECINE LÉGALE I. La
folie
ET LE crime; par S.-W. 1VORTH. (The Journal of
L'auteur s'est proposé dans ce travail d'étudier les rapports de la
folie
avec le crime et la question de la responsabilité
prudence relative à la responsabilité des prévenus chez lesquels la
folie
est invoquée, est conforme à l'exactitude des f
t à l'accomplissement du crime, un médecin Il avait diagnostiqué la
folie
sans indiquer d'ailleurs que l'atiénation Il me
singulière, et absolument sans motifs. On a tour à tour invoqué la
folie
, le somnambulisme, et l'alcoolisme soit chroniq
l mais chez lesquels on n'a pu démontrer de rapport direct entre la
folie
et le crime. M. Langreuter, après l'étude minutie
général. - Mort. R. M. C. VIII. SUR la prétendue AUGMENTATION DE la
FOLIE
; par D. HACK TUhE. (The Journal of Mental scien
accroissement ne s'est produit dans le chiffre des cas nouveaux de
folie
depuis l'année 1878. 7° Il est toutefois nécess
lques réserves; car il a pu se produire un accroissement des cas de
folie
relevant de certaines causes parallèlement à une
de personnes, à cerveau instable, qui habitent les frontières de la
folie
, au sujet desquelles la statistique demeure nat
sième tour de scrutin. Des rapports du goitre exophtalmique avec la
folie
. M. GEOF- FROY présente une malade atteinte de
rois déments ; la démence était consécutive à l'hébéphrénie et à la
folie
systématique avec catatonie ; la vie de famille e
nent la démence chronique consécutive à des formes indéterminées de
folie
systématique ; la nouvelle existence à laquelle o
gravité. Elle ne convient qu'à l'idiotie légère et à quelque cas de
folie
systématique chronique, compatible avec l'exist
ne signifie rien, puisque, dansla langue courante, elle veut dire :
folie
, a été employée par Griesinger dans sa Patholog
enté sur un fonds d'affaiblissement des facultés intellec- tuelles (
folie
aiguë de Parchappe). Dans ces deux espèces, il s'
nom de monomanie primitive qne, deux ans plus tard, il qualifie de
folie
systématique primitive (primcere Verrucktheit).
itive (primcere Verrucktheit). Un an après, Sander détache de cette
folie
systématique primitive une forme originelle (or
une classification et une étiologie des formes primitives de cette
folie
systématique; mais quelques mois plus tard Hert
videmment de la paralysie générale type. Snell avec sa monomanie ou
folie
systématique (Wahnsinn 1865) porte un coup mort
e manière de voir. Aussi, quand en 1873, à Hanovre, Snell divisa la
folie
systématique ou Wuhnsinn (il avait répudié l'ex-
pression de monomanie) en'folie systématique primitive ou vraie, et
folie
systématique secondaire ou fruste consécutive à l
de vemiccntltcit dans la même accep z tion excepté dans un cas. La
folie
systématique primitive (primoere verriickthcit)
thcit) comprend les dégénérescences mentales ; elle s'an- nexe à la
folie
raisonnante et à la folie morale, et représente u
rescences mentales ; elle s'an- nexe à la folie raisonnante et à la
folie
morale, et représente une psychopathie le plus
nte une psychopathie le plus souvent incurable. Il existe aussi une
folie
systématique secondaire (secundare Verrucktheit
ne psychose par inanition ; il y faut comprendre un grand nombre de
folies
puerpérales et des délires de l'alcoolisme. Le
maître, en est favorable ; c'est pourquoi lui aussi raccorde cette
folie
systémaliquehallucinatoire (hallucinalorischer wa
à la manie. « Je ne l'ai jamais vue, conclut-il, se terminer par la
folie
systématique cristallisée (Verrucktheit) » ; ce
franchement le Wahnsinn Vel'1'21cktheit. Il admet néaumoins que sa
folie
systématique hallucinatoire (hal- lucinatorisch
hallucinatoire (hal- lucinatorischer lVahnsinn) est identique à la
folie
systématique pri- mitive aiguë (acide primoere
stphal j elle l'est aussi à la manie hallucinatoire de Mendel, à la
folie
systématique hallucinatoire (hallucinatorische
rucktheit) de Fritsch ou de Meynert. Kroepelin ne parle que d'une
folie
systématique (re)'t'Mc7f</te); elle est prim
que stade terminal d'une affection psychique. Schuele décrit une
folie
systématique (Wahnsinn) aiguë et une folie syst
ue. Schuele décrit une folie systématique (Wahnsinn) aiguë et une
folie
systématique chronique. Les formes qu'il leur rec
onique. Les formes qu'il leur reconnaît sont t les suivantes : 1°
Folie
systématique chronique, dépressive, qui comprend
ressive, qui comprend le délire des persécutions proprement dit, la
folie
systématique hypochondriaque, et le délire plus
ondriaque, et le délire plus ou moins organisé des onanistes ; 2°
Folie
systématique chronique expansive; mémoires orig
rchives de Neurologie, XVIII. p. 159. SOCIÉTÉS SAVANTES. 421 1 3n
Folie
systématique aiguë primitive dontles espèces sont
i, guérir. Il maintient le terme de Verrucktheit qu'il réserve à la
folie
sys- tématique congénitale (ol'iginæl'e) de San
nostic ? Mendel formulera une manie hallu- cinatoire. Wessphal, une
folie
systématique aiguë primitive (Verrucktheit). De
c'est le terme consacré par la langue vulgaire à tous les genres de
folie
; on appelle couramment toqué (ve-i,ùclct) les
eaux morbides différents; ils éta- blissent la distinction entre la
folie
systématique primitive et la folie systématique
blissent la distinction entre la folie systématique primitive et la
folie
systématique secondaire. Il est certain que le pr
jet; c'est à lui qu'il con- vient de réserver le terme de Wahnsinn (
folie
systématique orga- nisée proprement dite). Ce q
des rouages des conceptions; gardons-lui le terme de Verrucktheit (
folie
systématique par dérangement conceptuel). En n'
désignaient la démence confirmée sous le nom de Verrucktheit, et la
folie
systématique (Waluisinn) par celui de paranoïa.
a mort virtuelle des facultés mentales les plus élevées, toutes les
folies
signifient mort mentale et mort sociale. 4. L
constituent les deux tiers des aliénés. 5. Sur cent cas nouveaux de
folie
, il y en a quarante qui abou- tissent prompteme
e pure et sans complications ne sur- vient pas communément dans les
folies
qui se manifestent après le développement compl
du et avant la période de déchéance organique, comme par exemple la
folie
puerpérale ou la folie de la lactation, ni dans
déchéance organique, comme par exemple la folie puerpérale ou la
folie
de la lactation, ni dans celles qui, à cet âge, r
tent d'un surcroît de travail ou de causes émotionnelles. 21. Les
folies
mélancoliques et alternantes, les folies d'inhibi
ses émotionnelles. 21. Les folies mélancoliques et alternantes, les
folies
d'inhibition ou avec délusions, ne constituent
ous les cas de démence secondaire pure ont pour point de départ les
folies
de dévelop- pement (folie de l'adolescence, fol
ndaire pure ont pour point de départ les folies de dévelop- pement (
folie
de l'adolescence, folie de la puberté). 23. La
nt de départ les folies de dévelop- pement (folie de l'adolescence,
folie
de la puberté). 23. La masturbation peut être u
insi imposée au plus délicat de tous les tissus organisés. 28. La
folie
de l'adolescence, aboutissant secondairement à la
29. Il paraitrait plus naturel que la démence fût consécutive aux
folies
de déchéance organique (folie de la ménopause, fo
l que la démence fût consécutive aux folies de déchéance organique (
folie
de la ménopause, folie sé- nile) qu'à toute aut
nsécutive aux folies de déchéance organique (folie de la ménopause,
folie
sé- nile) qu'à toute autre forme d'aliénation m
rincipalement affectés au traitement des cas curables et récents de
folie
, et dans lesquels on n'accumule pas de malades
leur s'est proposé dans ce discours d'étudier la pathologie e de la
folie
dans ses rapports avec l'organe de l'intelligence
rapports avec l'organe de l'intelligence, puis la pathologie de la
folie
, dans les cas où celle-ci est la conséquence de
tie des cas qui sont généralement considérés comme des cas vrais de
folie
. Il conclut de cette dernière étude, que dans u
e cette dernière étude, que dans un groupe consi- dérable de cas de
folie
, c'est la fonction qui est modifiée et non l'or
r Sanger Brown, 429; projet de loi sur les 433. Appétit dans la
folie
, par Campbell, 122, Asiles d'aliénés; promoti
(origine nucléaire de la bran- che oculaire du par Mendel, 111.
Folie
, larvée, par Nommant 119; saturnine, par Hall-W
on du sympathique, par Engelskjoen, 110. Goitre exophthahnique et
folie
, par Joffroy, 401. Hallucination du souvenir,
t de la - par l'o- pium), par Jolly,1130. Mariages consanguins et
folie
, par Schutleworth, 402. Mélancolie (deux cas
Séquestration, condamnation d'un médecin, 300. Simulation de la
folie
, par Tigges, 278. Société médico-psychologiqu
s, demeurant 10, rue de la Comète qui errait en proie à un accès de
folie
, est entré hier, vers quatre heures, dans l'hôp
e second, ces idées apparaissent dans la période mélancolique d'une
folie
périodique alternante. Enfin dans le troisième
r vérifier ce qu'il en était en réalité. Observation II. Sommaire :
Folie
périodique à marche irrégu- lière ayant débuté
al faire. La soeur pnrail avoir été comme notre malade, atteinte de
folie
intermittente : elle fut, en cll'et, soignée à
anxiété semblent avoir toujours eu, comme c'est ! la règle dans les
folies
périodiques, des caractères identiques : '. les
sera enfermé dans une maison de santé. (Temps, 23 juin 1898.) - La
folie
d'un poète. - Un homme de lettres, M. Emile Bois-
'aliénation mentale, était pris, hier dans la soirée, d'un accès de
folie
et menaçait son concierge de l'assommer s'il ne
in 1898 ) D'où la nécessité de l'hospitalisation dès le début de la
folie
. FAITS DIVERS. Asiles publics d'aliénés. Nomi
ce salutaire du fait de cette fièvre éruptive. Les autres formes de
folie
, en général, n'ont pas été modi- fiées. Ces étu
Touggourt (Constantine). Le délire de revendication en dehors de la
folie
raisonnante ; par le D'' Cullerre, directeur-méde
- tentent (repos au lit) dans le tiaitement des formes aiguës de la
folie
et des modifications qu'il pourrait entraîner d
rté sur les lieux et a commencé une enquête. (Le Temps, 20 juin.)
Folie
meurtrière. On nous télégraphie de Grenoble qu'hi
n mentale. Qui mieux que nouspourrait dire les sombres drames de la
folie
, les ruines qu'elle prépare, les convoitises qu
CIÉTÉS SAVANTES. I En 1865, Court publie la première observation de
folie
consé- cutive à une opération gynécologique.
Bowne (1881), Schnabel (1883) et bien d'autres signalent des cas de
folie
consécutifs à une ampu- tation de cuisse, à des
85, Barwel communique à la Pathological Society of London un cas de
folie
consécutive à l'ovariotomie et plusieurs de ses
le D'' Denis. Les deux auteurs affirment qu'entre l'opération et la
folie
, il y a réellement un lien étiolo- gique, que c
tout chez les prédisposés que les opérations donnent naissance à la
folie
et que ce sont les opérations gynéco- logiques
si intéres- sante que M. le D,, Régis (1893) a faite sur un cas de
folie
consécu- tive à une ovaro-salpingectomie et sur
utanées de suc ovarien. M. Régis admet que dans beaucoup de cas les
folies
post-opératoires relèvent d'une auto-intoxicati
les, l'excellent maitre fait nettement ressortir que la cause de la
folie
post-opératoire réside en dehors de l'intervent
cette catégorie de malades qu'il faut chercher les prétendus cas de
folie
post-opératoire. Si, trompé par leurs écrits et
ntiques avec une évolution cons- tante, que l'on pourrait étiqueter
folie
post-opératoire. On trouve signalés presque tou
ble. Aussi, comme le fait observer le Dr Picqué, une observation de
folie
post- opératoire dans laquelle on n'a pas noté
tes statistiques publiées, qu'on ne rencontre guère que deux cas de
folie
post-opératoire sur cent interventions. Tantôt
mann, le traumatisme n'estque le coup final qui fait tomber dans la
folie
un cerveau déjà vacillant. Si cette action réfl
te intervention portant directement sur un nerf devrait produire la
folie
. L'opération en elle-même n'a pas une grande in
est devenue une rareté, il devrait donc en résulter que les cas de
folie
consécu- tifs aux intoxications chirurgicales d
l'infection était seule coupable. Or, il est facile de voir que la
folie
218 SOCIÉTÉS SAVANTES. post-opératoire n'a
xiste point de type spécial de psychose que l'on pourrait étiqueter
folie
post-opératoire. 2° Si l'on en excepte certaine
ccusation systématique. M. SÉGL.1S (de Paris). Il existe des cas de
folie
systématique dans lesquels le délire est unique
peu plus près. 11lttl'cé, comme on l'a vu, englobe sous le titre de
folie
transitoire, les accès de folie qui offrent des i
on l'a vu, englobe sous le titre de folie transitoire, les accès de
folie
qui offrent des intervalles- lucides, des inter
faits- sont d'un autre ordre; ils appartiennent à la catégorie des
folies
intermittentes, périodiques, des délires par ac
nt autant de conditions étiologiques favorables à l'explosion de la
folie
transitoire. Pour s'édifier sur les carac- tère
pé constituait un terrain favo- rable pour l'éclosion d'un accès de
folie
. En étudiant minutieu- sement l'existence entiè
ilibrés qui, avant de faire un court voyage sur le territoire de la
folie
, en ont longtemps côtoyé les frontières. Enfin,
e ainsi : « L'expert doit se souvenir expressément que les faits de
folie
soudaine et transitoire s'observent rarement, pou
toxication alcoolique. En Allemagne on se fait généralement, de la
folie
transitoire et des conditions dans lesquelles ell
fférente de celle qui a cours en France. Krafft-Ebing, à côté de la
folie
transitoire causée par une névrose ou une maladie
puis m'empêcher de mettre en avant. Pour les auteurs allemands, la
folie
transitoire est liée à des états congestifs du
es sortes, périodiques, intermit- tents. Il est bien étrange que la
folie
transitoire, qui reconnaît pour base anatomique
ts hérédi- taires. D'un autre côté, rien ne ressemble à un accès de
folie
tran- sitoire comme un accès de folie périodiqu
en ne ressemble à un accès de folie tran- sitoire comme un accès de
folie
périodique. La folie périodique reconnaissant p
accès de folie tran- sitoire comme un accès de folie périodique. La
folie
périodique reconnaissant plus que toute autre l
dique reconnaissant plus que toute autre l'hérédité comme cause, la
folie
transitoire devrait également s'observer chez l
s états morbides, je ne puis me défendre d'un doute à l'égard de la
folie
transitoire idiopathique. Ce doute, je le traduis
ions suivantes qui me serviront de conclusions : 10 Existe-t-il une
folie
transitoire se développant chez des indi- vidus
on alcoolique, etc. ? 2° Si oui, quels sont les caractères de cette
folie
transitoire ? 3° Quelles sont ses conditions pa
orteur, déclare n'avoir jamais vu dans sa longue carrière de cas de
folie
transitoire qu'il n'ait pu rattacher à un état
re de délire systématisé des persécutés persécuteurs, variété de la
folie
raisonnante. En dehors de cette forme type, il
a rencontré quelquefois, à l'origine ou dans le cours de certaines
folies
plus caractérisées, des idées délirantes de rev
a cause occasionnelle des acci- dents. De même qu'il n'y a plus une
folie
post-opératoire, il n'y a pas une hystérie post
des aliénés, qui est un des plus puissants moyens de guérison de la
folie
quand elle est curable, et de son amélioration
e reçoit par an que 137 aliénés sur lesquels il n'y a que 80 cas de
folie
récente, qui ne sont pas même tous suscep- tibl
cinquante ans, demeurant, 62, rue de Paris, pris hier d'un accès de
folie
furieuse, s'arma d'une énorme barre de fer avec l
toine Vigier, âgé de quatre-vingt-quatre ans, a, dans un accès de
folie
sénile, tué sa femme, âgée de quatre-vingt-cinq a
ies » qui pullulent aux abords de la place Maubert. A ce régime, la
folie
vient vite. Hier, un peu avant midi, l'ouvrier
. Barth. Poisson (G.). - Du râle de l'alcool dans l'éliologie de la
folie
. - Volume in-8o de 99 pages. - Nancy, 1898. - I
Dr Alexandre PARIS, Médecin en chef de l'asile de Jlaréwlle-ancv.
Folie
tuberculeuse. - Voilà une forme de folie que l'on
l'asile de Jlaréwlle-ancv. Folie tuberculeuse. - Voilà une forme de
folie
que l'on est tenté d'admettre depuis quelques a
ysique laisse plus à désirer qu'il y a cinq mois. Voilà deux cas de
folie
que l'on aurait été tenté de consi- dérer comme
e qui prouve bien qu'il ne peut réellement pas être question ici de
folie
tuberculeuse, de folie causée par une infection
ne peut réellement pas être question ici de folie tuberculeuse, de
folie
causée par une infection d'origine tuberculeuse
ces deux exemples doivent faire hésiter à por- ter le diagnostic «
folie
tuberculeuse » lorsque l'on se trouve en face d
XIV. La théorie DE RONCOIIO1VI SUR la genèse physiologique DE la
FOLIE
systématisée (paranoïa) ; par E. JE1TSCH. (Centra
saire pour le développe- ment des accidents désignés sous le nom de
folie
post-opératoire. « Chez certains prédisposés, d
et les antiseptiques né jouent également, dans la pathogénie de la
folie
post-opératoire, qu'un rôle peu actif, sauf peu
s que l'on puisse arriver à prédire avec certitude l'éclosion de la
folie
post-opératoire, en s'appuyant sur l'existence
celle des relations d'identité ou d'équivalence entre le rêve et la
folie
; et 2° celle des rapports étiologiques entre c
sont semblables au rêve de l'individu normal, il n'existe entre la
folie
et le rêve qu'un rapport éloigné de simple anal
seconde question, l'auteur croit que les rêves peuvent produire la
folie
de deux façons différentes : in en agis- sant c
euvent également donner lieu à des formes aiguës et même aussi à la
folie
systématisée. La connaissance de cette donnée é
de donnera à une affection que nous regardons maintenant comme une
folie
épileptique compliquée de symptômes de périencé
il. - Maladies inflammatoires du cerveau. , Parchappe. Traité de la
folie
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 331 d'une forte constit
côté les VIe et IX- observations. Cinquième observation. Sommaire :
Folie
épileptique; mort du ' Au moyen de notes et de
velet s'enlèvent tacitement'. i. Huitième observation. - Sommaire :
Folie
épileptique ; mort à la suite d'attaques. Adhér
alitement (repos au lit) dans le traitement des formes aiguës de la
folie
et des modifications qu'il pourrait entraîner d
demeurant rue Hermel prolongée. Il a déjà été enfermé six fois pour
folie
. 11 est assez étrange qu'on laisse un fou couri
. (Petite Gironde, 18 septembre.) 3cZ BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
Folie
ET professions EN ALLEMAGNE. D'après une statisti
es chirurgiens qui sont le plus souvent exposés aux atteintes de la
folie
. La proportion dans cette profes- sion est de 1
pa- tique intercurrente sur la marche et la symptomatologie de la
folie
chronique et, avant de passer à l'exposé des fait
atique dans l'étiologie des maladies mentales en géné- ral et de la
folie
des alcooliques en particulier est de la plus g
el. - De l'insuffisance hépatique dans les maladies mentales. De la
folie
hépatique (Archives gén. de Méd., août et septemb
on des troubles mentaux. Nous citerons plus loin une observation de
folie
liée à une affection calculeuse du ,foie. Hammo
à lui seul créant le délire : on se trouve alors en présence de la
folie
hépatique ; tantôt elle intervient concurremmen
est l'alcool ; aussi est-ce dans les ' Charrin. Maladies du foie et
folie
(Société de biologie, 30 juil- let 1892). 3
sance hépatique. Ainsi M. Klippel admet nettement l'existence d'une
folie
hépatique. M. Charrin, dans sa communication à
utre, pour faire un rapprochement tout indiqué d'ailleurs, entre la
folie
hépatique qu'ils ont en quelque sorte découvert
tre la folie hépatique qu'ils ont en quelque sorte découverte et la
folie
brightique, de naissance plus ancienne et dont
ncliner ; mais si les auteurs ont entendu affirmer la réalité d'une
folie
hépatique, en s'appuyant sur l'existence d'une
réalité d'une folie hépatique, en s'appuyant sur l'existence d'une
folie
brightique, ils se sont laissés aller à une pur
de principe. Il n'est pas nécessaire, en effet, de démontrer que la
folie
brightique n'existe pas et que l'on confond sou
llement ou en totalité à une auto-intoxication d'origine rénale. La
folie
brightique comprend le délire, fébrile ou non,
s ils ne cons- tituent pas une psychose autonome méritant le nom de
folie
brightique. Il ne saurait en être différemmen
nom de folie brightique. Il ne saurait en être différemment de la
folie
hépatique. M. Klippel exprime l'opinion que dan
n'existe- rait pas ; ce sont ces derniers qui constituent la vraie
folie
hépatique. Pareille distinction a été établie à
olie hépatique. Pareille distinction a été établie à propos de la
folie
brightique, sans plus de raison d'ailleurs. Il n'
la preuve en est fournie par M. Klippel lui-même. Son cas unique de
folie
hépatique débute par le syndrome de la manie am
s de ces observations, la remarque que nous faisions à propos de la
folie
brightique, qu'il existe certains symptômes rév
n d'origine hépatique. Cela dit, à quels signes reconnaîtra-t-on la
folie
d'origine hépatique ? D'abord aux signes révéla
même dans la seule observation jusqu'ici expressément qualifiée de
folie
hépatique par son auteur, M. Klippel, et qui dé
I. Dans notre seconde observation, nous avons affaire à un cas de
folie
aiguë éclos au cours d'une crise hépatique provo-
tat de souffrance des voies biliaires. Au cours de ce processus, la
folie
éclate sous l'influence probable d'un choc mora
e, en un mot ? Cette hypothèse, en somme, pourrait se soutenir. Les
folies
sympathiques, après avoir joui d'une grande fav
en effet, que les troubles psychiques en question soient un cas de
folie
du type confusion mentale primitive. Nous avo
IV. Un fait digne d'intérêt est que l'éclosion, au cours d'une
folie
chronique, d'une affection du foie n'en modifie o
nformément à ce qui s'est passé dans les cas publiés sous le nom de
folie
hépatique. Observation V. - Elisabeth B..., née
rants chez les gens jusqu'alors réputés sains d'esprit ; les cas de
folie
hépatique de M. Charrin rentrent précisément da
fait pour dissiper l'obscurité dont est enveloppée l'origine de la
folie
et des délires la psy- chose préexistante dispa
tions, peut intervenir pour hâter l'ap- parition du délire et de la
folie
, mais son action n'ôte rien de sa valeur à la p
orale, mais surtout morale, suffira à provoquer l'explosion de la
folie
. Le foie intervient sans doute, dans ce cas, par
'intervention d'une affection organique du foie dans le cours de la
folie
chronique n'en modifie pas nécessairement la ma
, telles sont les données statistiques relatives au crime et à la
folie
. Les statistiques du suicide appartiennent aussi
mité. En même temps que les fausses conceptions qu'on se fait de la
folie
dans le public, en même temps que la crainte du
criminels de l'Aveyron, est en rap- port javec la prédominance des
folies
dégénératives inférieures dans le département.
ican journal of insanity, janvier 1898.) E. 13. IV. UN aspect DE la
folie
simulée; par le Dr ALL1SON. ' En raison de l'in
criminels que se rencontre le plus fréquemment la simulation de la
folie
. L'auteur attire l'attention sur ce fait que si
r ce fait que si un individu montre qu'il a simulé plus ou moins la
folie
, il ne s'ensuit pas forcément que cet individu
qui encourage et favorise chez les criminels la simula- tion de la
folie
. A. Marie. IX. UXORICIDE Er parricide imputés A
un malade ; il y a des relations étroites entre l'ivrognerie et la
folie
et une séparation exacte de ces deux étals ne peu
règle générale. A. Vigouroux. XI. Discussion SUR l'allégation DE la
FOLIE
chez LES criminels. (British met ! , journ., 3
teur supposé, telle meurtre de son enfant par une femme atteinte de
folie
puerpérale ; 3° Peu d'aliénés sont entièrement
e rendus responsables de crimes qu'ils commettent dans des accès de
folie
intermittente, état ma- ladif plutôt que volont
ou des annexes normales, comme moyen curatif de l'hystérie ou de la
folie
. L'hys- térie même constitue presque une contre
re à étudier les maladies au point de vue de leurs rapports avec la
folie
, . VARIA. 427 7 l'aliéniste doit aussi être
M. Girard; mais il est sujet depuis quelques années à des accès de
folie
au cours desquels il commet des extrava- gances
sse à s'attacher à des détails minutieux sans importance. Ainsi, la
folie
morale a été décrite avec ses subdivisions : py
montre que ce n'est qu'une question de degré; que, dans tout cas de
folie
le sens moral est louché, et que dans les cas de
tout cas de folie le sens moral est louché, et que dans les cas de
folie
morale les facultés intellectuelles ne sont pas n
d'en prévoir les conséquences. Cette conceplion psychologique de la
folie
fut la cause de bien des confusions et des erre
sont des symptômes très marqués et très importants dans beaucoup de
folies
, étaient pris pour le résultat d'une action men-
chiatre ne se contente plus de la classification rudimen- laire des
folies
, il laisse de côté les six Désordres de l'esprit,
is, combien est répandu actuellement le changement d'opinion snr la
folie
. Malgré de telles dispositions la tâche des alién
lique pas assez à leur confier le traitement des cas au début de la
folie
. Les statistiques démontrent la progression des
andis que les pauvres sont obligés d'attendre la confirmation de la
folie
avant de pouvoir la traiter. Nous savons tous q
er. Nous savons tous que si l'on exclut la paralysie générale et la
folie
épileptique 80 p. 100 au moins des autres cas s
es hôpitaux ordinaires ne reçoivent pas les personnes suspectées de
folie
, sous prétexteque les asiles sont créés pour ce
ment de la médecine, le praticien ordinaire traiterait bientôt la
folie
comme il soigne chaque jour les autres maladies e
esii2étlico-psychologiqzies, avril 1898.) L. BLm. XI. Epidémie DE
FOLIE
religieuse au Brésil; par le Dr Nmn-RoDmGUES.
la psychologie spéciale de l'époque et du milieu où a travaillé la
folie
d'Antonio Conselheiro, trouvant du combustible po
combustible pour alimen- ter l'incendie d'une véritable épidémie de
folie
. (Annales médico- psychologiques, juin 1898.) E
chi ou non ce que l'on est convenu d'appeler les « frontières de la
folie
». Entre la neurasthénie et la mélancolie, par
ons sensorielles, par nécessité psychologique (mé- lancolie, manie,
folie
systématisée) - ni celles qui surviennent chez
en leur genre. Mais qui peut dire si la femme a été poussée par la
folie
érotique ou par l'effroi d'une existence vouée à
internés pour donner 80 suicides causés par l'ivresse et 45 cas de
folie
, suite de l'alcool, sur 100. Est-ce tout ? Non.
uchten, 495. Faisceau nu Gowers, son trajet, par Rossolino, 33.
Folie
. Théorie* de Roncorini sur la - systématisée, p
1.) L'émotivité exagérée et l'appréhension déterminent souvent la
folie
, soit que le sujet, trop impressionnable, se préo
. X. DES TROUBLES DE la connaissance ET DE LEURS rapports avec la
folie
systématique ET la démence; par J. ORSCRA,-iSKY.
dre avec confusion dans les idées (\Ville); - démence (Esquirol); -
folie
systématique hallucinatoire aiguë (Meynert); fo
ce (Esquirol); - folie systématique hallucinatoire aiguë (Meynert);
folie
systématique aiguë primitive (Westphal); folie
ire aiguë (Meynert); folie systématique aiguë primitive (Westphal);
folie
sensorielle systématique aiguë (Schùle); somnia
alies chez un seul et même individu. P. K. XVI. DE la théorie DE la
folie
morale; par H. SCHLOESS. (Jularbicch. f. Psych.
t la débilité mentale qui constitue le terrain sur lequel évolue la
folie
morale; cette maladie est une idiotie morale ou
entale est congénitale, héréditaire, ou acquise. Il existe donc une
folie
morale symptomatique de la sénilité, de l'épileps
oolisme, de la paralysie générale, des psychoses périodiques et une
folie
morale symptomatique de la débilité congéniale.
nd il ne se croit pas observé. P. K. XIX. Sur la pathologie DE la
FOLIE
avec délusions (Monomanie) ; par Joseph Wigldsw
qui suivent : - Dans la maladie connue sous le nom de monomanie ou
folie
avec délusions, les hallucinations (ou les illu
tème nerveux périphérique est parfaitement capable de déterminer la
folie
avec délusions. Il n'y a rien d'illogique, a su
aux. L'aménorrhée peut précéder de quelques mois l'apparition de la
folie
, mais elle peutaussi ne se montrer que plusieur
ues mots son opinion, sur les rapports de la masturbation avec la
folie
, et il conclut qu'on ne peut rien généraliser en
punément. Il ajoute que l'on a décrit autrefois les symptômes d'une
folie
dite folie des masturbateurs; mais il estime qu
l ajoute que l'on a décrit autrefois les symptômes d'une folie dite
folie
des masturbateurs; mais il estime que ces sympt
ves d'évasion. Dans la dernière partie de son travail, il étudie la
folie
puerpé- rale ; mais ici encore, il s'attache pl
ait àl'expérience de ses confrères sera entendu. - R. M. C. XXIV.
Folie
chronique : quatre cas DE guérison; parS.-A.-K. S
han. (The Journal of Mental Science, juillet 1888.) Les cas où la
folie
chronique se termine par la guérison sont loin
ations et cauchemar ? , qui faisaient craindre l'installation d'une
folie
systématique, cèdent à leur tour. Elle considér
nérale ne se développe pas d'ordinaire chez les anémiques d311s les
folies
chroniques, dans l'hystérie, mais ces faits nég
ychiques du cerveau. L'orateur rapporte une série d'observations de
folie
circulaire et périodique qui ont paru subir une
le plus haut degré de la lypémanie. En 1854, vint le mémoire sur la
folie
a double forme qui établit l'existence d'une vari
ehors de la monomanie et de la manie, il existe un genre spécial de
folie
caractérisée par deux périodes régulières, 1 un
quand, en 1873, Lasègue et M. Falret appelèrent l'attention sur la
folie
à deux périodes, on crut, et moi comme les autr
mination, puisque l'article était intitulé : Quelques exemples de
folie
communiquée. Aussi, le nom de 11. Baillarger do
ois grandes conquête de la psychiatrie : la lypémanie slu- pide, la
folie
à double forme et la folie communiquée. En outre,
psychiatrie : la lypémanie slu- pide, la folie à double forme et la
folie
communiquée. En outre, la science lui est encor
tre, dans son essai sur une classification des différents genres de
folie
, démontra que sous le nom de mélancolie, on confo
s original mémoire : Recherches statis- tiques sur l'hérédité de la
folie
, qui a fixé pour la première fois la part reven
eux ou inconnu, un article confirmatif des idées de Sydenham sur la
folie
consécutive aux fièvres intermittentes, et des
ur la trans- formation de la manie en délire aigu, ainsi que sur la
folie
des accouchées. Si nous ajoutons à cet ensemble
agre et de la paralysie générale. Les auteurs qui avaient étudié la
folie
pellagreuse avaient mentionné, sans en donner l
, plaies, anthrax, eschanes ou amputa- tions, sur la guérison de la
folie
paralytique, et, comme toujours, les cliniciens
lication de l'affection para- lytique par les diverses formes de la
folie
, susceptibles de dispa- raître, tandis que rest
oit, lui, deux maladies différentes, la démence para- lytique et la
folie
paralytique. Pour démontrer que la seconde a un
se terminant par la guérison ; enfin, période maniaque de certaines
folies
à double forme, vieilles de beaucoup d'années,
ns, j'écri- vais : Qui sait si la démence paralytique n'est pas aux
folies
congestives ce qu'est la démence simple aux fol
ue n'est pas aux folies congestives ce qu'est la démence simple aux
folies
névrosiques ? » A cette question, que je me pos
du mercredi sont consacrées il. l'étude pratique du diagnostic delà
folie
. Les leçons ont pour objet cette année, l'étude
à celles du manteau, que c'est lui qui est le plus affecté par les
folies
secondaires, que les parties du manteau plus dé
que les parties du manteau plus développées que les autres dans les
folies
primitives souffrent au contraire le plus dans
dans les folies primitives souffrent au contraire le plus dans les
folies
secondaires. Nombreux tableaux. P. K. VIII. E
issent dans la paralysie géné- rale, la mélancolie avec stupeur, la
folie
systématique chronique, la démence sénile, l'id
que d'aucune forme de psychose. On constate simplement que, dans la
folie
circulaire on ne trouve pas la compensation vas
N MENTALE A LA SU11E DE L'INJ1LUENZA, par C. BECKER. Guérison D'UNE
folie
systématique (paranoia) par l'action DE l'influ
ades a cependant succombé (sorte de méningite aiguë surajoutée à la
folie
systématique). Le second groupe pourrait être d
roisième groupe, ils'agitde l'action curative de l'influenza sur la~
folie
(M. Metz, Bartels) ; l'observation de Metz mont
sur la~folie (M. Metz, Bartels) ; l'observation de Metz montre une
folie
systématique qui, durant depuis le milieu de l'ét
ion du sort des indigents. Commission des prix. PRIX AUnaNEL. De la
folie
chez les vieil- lards. Un seul mémoire a été dé
ans, qui fut pris de pneumonie, puis d'idées d'empoisonnement et de
folie
religieuse (hallucination de l'ouie); ce malade
tout dans les quartiers d'hommes et dans ceux de femmes atteints de
folie
aiguë. Ils recommandent l'acquisition d'un terr
ur le flacon une étiquette portant la mention poison. Drames delà
folie
. Un nommé Verghes, annonce une dépêche de Rodez
du 6 février, demeurant à Colombie, pris subite- ment d'un accès de
folie
, s'est levé hier au milieu de la nuit, et, se d
en cas de maladie. - La morphinomanie A deux. On a décrit jadis la
Folie
à deux. Aujourd'hui c'est la Morphinomanie à de
le et pathologique du cerveau, à la physiologie des syndromes de la
folie
, à l'analyse clinique des vésanies et à l'exa-
a traité avec succès de la Classification des différents genres de
folie
(18S3); de l'Etat désigné chez les aliénés sous l
1843), mais il s'est révélé clinicien de premier ordre en créant la
folie
à double forme (1854), en étudiant les hal- luc
d'une nouvelle sonde oeso- phagienne (18r6). - Quelques exemples de
folie
communiquée (1860). Hallucination reproduisant
5). Des faux jugements à l'oc- casion des sensations (181'J). De la
folie
à la suite des fièvres inter- 318 ô NECROLOGIE.
remière menstruation après l'accouche- ment sur la production de la
folie
(1856). - De la diète lactée dans le traitement
odalités du délire des paralytiques, et, d'une manière générale, la
folie
paraly- tique l'ont eu pour initiateur. En trou
ues locales du cerveau et des maladies de la moelle (1881). - De la
folie
avec prédominance du délire des grandeurs dans se
nérale (1879). - Influence des suppu- rations sur la guérison de la
folie
paralytique (1858). - Théorie de la paralysie g
- venu. Sa grand'mère enfin est atteinte déjà depuis longtemps de
folie
à double forme. Voilà bien un tableau complet d
autrefois pour de la mélancolie ; elle est aujourd'hui atteinte de
folie
circulaire (six mois d'excitation et six mois d
sion exercée sur lui, il cesse d'être responsable. c La question de
folie
ou de contrainte n'est point posée d'une manièr
s imposer l'obligation de poser une question spéciale relative à la
folie
, la loi ne la défend pas, peut-être serait- il
ne ma- ladie mentale ? » D M. Proal reconnaît que la preuve de la
folie
ne peut être faite que par un rapport médico-lé
e, pré- parer la décision par son rapport et non l'imposer. Si la
folie
est bien caractérisée, la tâche du médecin et du
distingue pas entre les diverses formes et les divers degrés de la
folie
, car aux termes de l'article 64, il u'y a ni crim
cessent de maintenir la distinction fondamentale du crime et de la
folie
n'entraîneraient pas seule- ment la négation de
ne cause de justification : l'alcoolisme ne peut être assimilé à la
folie
. De ce que le criminel présente quel- quefois u
es considérations suivantes : le symptôme saillant et essentiel des
folies
mélancoliques est le trouble morbide des sen- t
ctricité peut rendre des services importants dans le traitement des
folies
névrosiques ; mais dans ces affections, comme dan
e d'autres manifestations délirantes comme l'hypocondrie, comme les
folies
impulsives, comme le délire de persécution, pou
. Falret a dit que la fréquence del'hallucinalion de l'ouie dans la
folie
tient à la liaison étroite entre la pensee et son
r ce qui a trait à la présence des hallucinations de la vue dans la
folie
religieuse idiopathique, il devient facile de mon
] : 1° celles qui demeurent purement théoriques parmi lesquelles la
folie
du doute sous forme de questions; 2° celles qui
ns im- pulsives qui provoquent une action immédiate. Pour Wille, la
folie
du doute et les obsessions en général forment l
a folie du doute et les obsessions en général forment le groupe des
folies
avec conscience qui appartient à la grande fami
des folies avec conscience qui appartient à la grande famille de la
folie
héré- ditaire. La plupart des auteurs, depuis
ttre comme une variété clinique méritant une description à part, la
folie
du doute. lI. le Dr Ladame (de Genève) va plus
' thèse, que l'on sépare en deux variétés cli- niques distinctes la
folie
du doute et le délire du toucher qui s'asso- ci
ui sont dipsoma- nes, suicides, homicides, pyromanes, ou qui ont la
folie
du doute ; soit que l'ébranlement périodique qu
l'on sait que la distinction entre le délire fubiile et celui de la
folie
esL purement artificielle : on considère les dé
NTALE. 449 l'influenza à elle seule ne suffit jamais à provoquer la
folie
; lors- que celle-ci éclate après la grippe, on
'importance, au point de vue du pronostic, chaque fois qu'un cas de
folie
éclate après une affection fébrile algue, de bi
s psychoses chroniques. P. K. XXX. Les IDLES DE présomption DE la
folie
systématique : par L. SNLLL. (Alla. Zcitsch. f.
on considère les idées de pre- somption dans leurs rapports avec la
folie
systématique, on en doit distinguer quatre form
tés par lesquelles se manifeste la vie. Il ne s'agit plus ici de la
folie
partielle, mais d'un délire portant sur les actes
i représentent cependant toute la ma- ladie. Ce n'est donc plus une
folie
morale. 4° C'est essentielle- ment une maladie
e étroitement à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 451 l'hébéphrénie ou
folie
de la jeunesse ; elle forme avec cette dernière
forme avec cette dernière un grand groupe auquel convient le nom de
folie
hébétique et qui comprend deux espèces : l'hébé
- tion mentale; c'est l'explication de l'auteur. P. K. XXXIII. LA
FOLIE
A deux; par D. KROENER. (Allg. Zeitsch., f. Psy
s analyses de 146 cas empruntés aux auteurs. Il Différence entre la
folie
imposée et la folie communiquée. Cette distinct
s empruntés aux auteurs. Il Différence entre la folie imposée et la
folie
communiquée. Cette distinction n'est pas heureu
tion n'est pas heureuse, d'après M. Kroener; 2° différence entre la
folie
communiquée et la folie simultanée; importance
d'après M. Kroener; 2° différence entre la folie communiquée et la
folie
simultanée; importance de ces deux types. Con
folie simultanée; importance de ces deux types. Conclusions : La
folie
communiquée se produit chez un grand nombre d'i
se produit chez un grand nombre d'individus indemnes d'hérédité; la
folie
imposée appartient à des sujets talés. La folie
mnes d'hérédité; la folie imposée appartient à des sujets talés. La
folie
simultanée est une (orme d'aliénation mentale que
mission d'une psychose à un sujet bien portant jusqu'alors. Dans la
folie
communiquée, le terrain de la personne secondai
ment atteinte a seul de l'importance pour nous, tandis que, dans la
folie
simultanée, les deux individus douent être exam
il aussi sug- gestion, La prophylaxie constitue le traitement de la
folie
à deux. Deux observations personnelles. l'. K.
'elle peut se développer au cours de bien des formes différentes de
folie
, soit psychoneurotique, soit dégénérative. Puis
que causes prédisposantes de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 4SS
folie
. Les asymétries fronto-faciales de moyenne et de
es manifestations pathologiques simples, coïncidant parfois avec la
folie
, l'épilepsie, mais sans avoir avec ces maladies
chelle ascendante, des formes élevées de la dégénérescence mentale (
folie
circulaire, manie périodique, paranoia primitiva,
ature dégénérative de l'épilepsie et démontrer son affinité avec la
folie
morale et la delinquence congénitale. J. S. XLI
mémoire l'influence des maladies intercurrentes sur le cours de la
folie
. Bien queles circonstances l'aient poussé dans un
ense jamais à l'appliquer en France. Syndromes 'épisodiques de la
folie
héréditaire survenus Ii la suite d'une hémorrha
M. Korsakoi-f fait une communication sur les formes aiguës de la
folie
. Dans ces dernières années, la question des psych
n, démence. Après avoir décrit brièvement le tableau clinique de la
folie
aiguë M. Roasvxorr a proposé d'en distinguer de
être dé- nommée dysnoia deliriosa maniacalis. Dans quelques cas, la
folie
aiguë présente dès le début des phénomènes d'af
trent qu'il existe des cas qui ressemblent d'après leurs accès à la
folie
aiguë primaire, mais qui présentent un début asse
semblables peuvent également être rattachés aux formes aiguës de la
folie
. Comme par les dénominations de paranoïa, dystx
nt rencontrer des formes transitoires entre les formes aiguës et la
folie
primaire. En étudiant la dé- mence aiguë, il es
fait une communication sur le même sujet : des formes aiguës de la
folie
. Les formes aiguës de la folie peuvent être div
même sujet : des formes aiguës de la folie. Les formes aiguës de la
folie
peuvent être divisées en deux grands groupes :
aiguë avec prédomi- nance des troubles du côté de la conscience et
folie
aiguë pro- prement dite (paranoia acuta) avec p
ant du dehors ou se développant au sein de l'organisme lui-même. La
folie
aiguë proprement dite se caractérise par une cl
ës. M. Sikorski déclare que les auteurs des communications sur la
folie
aiguë ne font que passer en revue des anciennes f
sur le type 7-écui,- rent dans la marche des certaines formes de la
folie
aiguë ». La mar- che de certaines formes de la
s formes de la folie aiguë ». La mar- che de certaines formes de la
folie
aigué (manie, folie primaire), présente quelque
aiguë ». La mar- che de certaines formes de la folie aigué (manie,
folie
primaire), présente quelquefois un type récurre
trois dernières années, sur trois cents cas des formes aiguës de la
folie
, l'auteur en a observé sept à type récurrent (2
cation, M. Jucovenko a proposé d'ins- crire les formes aiguës de la
folie
dans la classification adoptée par le premier c
ite générale, spéciale et ré- lle-,e chez les), par .\osUni, 455.
Folie
(troubles de la connaissance dans la-) systémat
et krontha1,453. Noyau lenticulaire, syndrome épi- sodique de la
folie
héréditaire survenue à la suite d'une hémor-
e à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. I. Diagnostic différentiel DE la
folie
; par le Dr BURR. Tout en reconnaisant qu'une c
nq groupes : étals de dépression mentale états d'excitation mentale
folies
inter- mittentes états d'affaiblissement intell
octobre 1896.) E. B. II. QUELQUES erreurs courantes relatives A la
folie
; i parle D E. Mink. L'auteur est surpris de v
est surpris de voir quelle idée fausse se font, en géné- ral, de la
folie
non seulement le grand public pour lequel un fou
scrites ou par idées fixes de Wernicke sont une forme de l'ancienne
folie
partielle. Il y a dans cette théorie une part d
nérale du sujet qui est en cause. Et il ne s'agit point d'une vraie
folie
systématisée auto- mécanique. Encore sous une i
bat. Et c'est ainsi que se déroule le délire de chicane qui est une
folie
systématisée (paranoïa querelans). P. KE11.\VAL
E PATHOLOGIE MENTALE. 39 VIII. CON'rRIBU'l'fON A LA QUES1'IOV de la
folie
MORALE; par P. lC6E. (Neurolog. Centralbl, XV,
bl, XV, 1896.) Remaniement critique de la question. Tous les cas de
folie
morale se peuvent ramener à trois groupes : : -
l'acide phosphorique par LES urines dans la phase dépressive D'UNE
folie
cyclique; par le D' UMBERTO Steffani, aide de c
cide phosphorique et de l'urée, pendant la période dépressive d'une
folie
alternante, il espère apporter un document nouv
ainsi. Avec le temps ce trouble intellectuel se transforma en une
folie
alternante typique, dont voici la formule : lre p
actique très importante ; 5° le Kabyle est moins souvent atteint de
folie
que l'Arabe ; plus que lui, du reste, il résist
érédité doit avoir une influence prépondérante sur l'éclosioo de la
folie
chez les Arabes; 8° la syphilis, sous forme de
malades observés sont des intoxiqués. 10° Le trait dominant de la
folie
des Arabes est leur tendance à la violence, les
t déjà depuis longtemps chez le malade. On voit que l'élément de la
folie
raisonnante, à savoir Je terrain de dégérescenc
n- deur se développent progressivement sans avoir l'élément de la
folie
raisonnante. La « paranoïa inventoria » est une m
quelles le processus inflammatoire est le plus développé. Dans la
folie
, les recherches sur la température superficielle
el. MARCEL Briand. BIBLIOGRAPHIE. 1. Des variétés cliniques de la
folie
en France et en Allemagne; par J. ROCBlNOVITCH,
iste à rapprocher, à comparer les diverses variétés cliniques de la
folie
telles qu'elles sont décrites en France d'une p
les théories ayant cours sur l'aliénation mentale. Les idées sur la
folie
de la période hippocratique, du galénisme, des
ipes sensualistes que Pmel et Esquirol ont basé leurs études sur la
folie
. ; 70 BIBLIOGRAPHIE. , En Allemagne, sans dou
sont en France les démences secondaires précoces ou tardives. La
folie
catatonique de Halhaum ne correspond pas chez nou
la dépression mélancolique, l'excitation maniaque, la stu- peur, la
folie
intermittente et la démence. La paranoïa des au
s français. ASILES D'ALIÉNÉS. 71 L Pour la manie raisonnante, les
folies
périodiques, les folies névro- siques la descri
LIÉNÉS. 71 L Pour la manie raisonnante, les folies périodiques, les
folies
névro- siques la description et la dénomination
e sénile, des lésions cérébrales circonscrites, de l'idiotie, de la
folie
morale, etc., etc. Le travail de M. Roubinovitc
euse critique qui parallèlement aborde les variétés cliniques de la
folie
eu France et en Allemagne, se basant non sur la
encore se prêter à leur traite- ment, lorsque, par exception, leur
folie
est curable. Or, c'est vou- loir proscrire tout
non condamnés et de traiter, à l'avenir, les condamnés frappés de
folie
, dans des quartiers de prison. Cette séparation
é est d'abord un criminel. A l'inverse de l'autre type d'aliéné, la
folie
est chez lui l'accident, l'épiphénomène. - Sup-
la folie est chez lui l'accident, l'épiphénomène. - Sup- primez la
folie
, et le criminel reste avec ses tares et ses tenda
e exploration du médecin. Le certificat doit indiquer la forme de
folie
dont le malade est atteint. § 2. En règle génér
homicides, des paralytiques généraux sans délire au début, quelques
folies
par- tielles dégénératives et des hallucinés av
et nombreux sont ceux qui le croient encore, que la guérison de la
folie
nécessitait le retrait de la vie commune, la ru
la raison. Avec une telle conception du traitement à appliquer à la
folie
, il était logique de considérer les relations a
ions visuelles qu'elles ont pu être niées dans les autres formes de
folie
. Les auteurs, en face du caractère de ces hallu
le mal, rendant aux unes la raison et provoquant chez les autres la
folie
'. IL Contribution A L'ÉTUDE DES hémorragies DE
Les hallucinations et le dédoublement de la per- sonnalité dans la
folie
systématique, in Leçons cliniques, etc., p. 563 e
ncluait en affirmant l'identité psychologique entre les rêves et la
folie
. Et nous rappellerons enfin ces paroles de Chasli
s faite plus haut des éléments du rêve, montre que ceux-ci (rêve et
folie
) sont identiques ou à peu près . » Il est certa
ombien sont fréquentes les hallucinations verbales jusque dans la «
folie
émotive de Morel », « folie des dégénérés (à ob
allucinations verbales jusque dans la « folie émotive de Morel », «
folie
des dégénérés (à obsessions) de Magnan », « par
cas où il y a prédominance des phénomènes halluci- ' Calmeil. De la
folie
, t. II, p. 359. 2 Schùle. Traité des maladies m
amille, restés depuis indemnes, étaient l'élément passif dans cette
folie
commu- niquée ; notre malade représentait le ch
tés par- tielles, de leur instabilité mentale, se traduisant par la
folie
im- pulsive ou les perversions instinctives. Ce
G9.] D'après Bail, il existe un rapport presque constant entre la
folie
religieuse et l'excitation sexuelle à tel point q
n tranchée. Telle est cette malade de Morel, citée par M. Ritti (La
folie
à double forme) . Elle se croit tour à tour rel
ure (léger degré d'épispadias). Onanisme. 1885. 5 janvier. Pas de
folie
après les accès. Pas d'inéga- - lité des pupill
e du mal comitial. Bien que, en général, il n'y ait pas non plus de
folie
20t RECUEIL DE FAITS. après les crises, que l
ues jours de repos au lit; ce sont d'abord les malades atteintes de
folie
puerpérale; puis les sujets musculairement faib
u M. Clouston constate en terminant que s'il existe quelques cas de
folie
reconnaissant pour cause un surmenage physique,
er la cellule ner- veuse. L'auteur conteste que cette théorie de la
folie
et de l'in- somnie, fournisse une explication c
hode de traitement d'im- portance capitale dans certaines formes de
folie
; il se base pour soutenir cette opinion sur de
tération réagit à son tour sur la cellule. Mais en ce qui touche la
folie
la lésion de la cellule est la condition primit
ne stimulation trop continue (l'auteur laisse de côté les cas où la
folie
relève d'une dégénérescence des éléments nerveu
d'importantes économies. R. M. C. X. NOTES SUR LE traitement DE la
folie
épileptique; par J. H. 'l'ULL VLS11. (The Journ
agent pour l'auteur d'une longue étude d'un grande nombre de cas de
folie
épileptique sont les 'suivantes : on ne retire
es 'suivantes : on ne retire pas, il s'en faut de beaucoup, dans la
folie
épileptique, les mêmes avantages du traitement
vis qu'il faut répri- mer la promptitude avec laquelle on accuse de
folie
les faits qui s'éloignent par un fait extraordi
ssaire et suffisante. J. Séglas. XXIV. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE de la
FOLIE
puerpérale; par PIANETTA. (Ann. di neural., ann
le; par PIANETTA. (Ann. di neural., anno XIII, fasc. III, VI.) La
folie
dite puerpérale et surtout celle qui se développe
ulement dans le délire alcoo- lique (Liepmann), mais encore dans la
folie
systématique, dans la REVUE DE pathologie menta
s la folie systématique, dans la REVUE DE pathologie mentale. 229
folie
épileptique et hystérique et même dans la paralys
résultats peu satisfaisants 1. R. DE 111USGRAVE CLAY. XXVIII. La
folie
DIMINUE : données statistiques QUI PORTENT A LE
me suivante : il croit que l'homme est en moyenne moins exposé à la
folie
actuellement qu'il ne l'était il y a trenle ans
e quelques remarques sur l'origine de la lésion. R. M. C. XXX. La
folie
DE l'amour, étude sur L'ARIOSTE, par 11. Kornfeld
e résoudre : « Y a-t-il quelque chose de plus caractéristique de la
folie
que de se détruire soi-même pour nuire aux autr
e de se détruire soi-même pour nuire aux autres. » R. M. C. XXXI.
Folie
DE la CONDUITE; par Geo. H. Savage et C. Mercier.
uteurs relatent successivement plusieurs cas très inté- ressants de
folie
morale, dans lesquels l'aliénation mentale s'est
ar un désordre manifeste de la conduite. R. M. C. XXXII. TYPES DE
folie
traumatique; par Thomas Pmup C01VAN. (The Journ
AY. XXXII. La psychologie expérimentale DANS SES rapports avec la
folie
; par W. H. R. RivERs. (The Journal of Mental Scie
guère de s'assurer de leur exis- tence certaine. Ensuite vient la
folie
soupçonneuse, puis les modifications de l'atten
AUTO-INTOXIC.ITiON intestinale avec certaines formes communes DE la
folie
; par ALLAN MACLANE IIAÜILTON. (New-York Médica
Des indi- cations de ce genre se rencontrent généralement dans les
folies
aiguës avec symptômes à développement rapide.
on avec les produits de putréfaction intestinale. 6° Les diverses
folies
d'origine post-fébrile, traumatique, alcoolique o
on des sulfates combinés suivent une marche parallèle à celle de la
folie
confirmée, les accès et les attaques épileptifo
. XXXVIII. QUELQUES remarques SUR LES rapports DU diabète avec la
folie
; par C. Hubert Bond. (The Journal of Mental Scien
ler sont au nombre de 17 : dans douze d'entre eux, les symptômes de
folie
, au moment où l'existence du sucre a été consta
vue de l'alternance des symptômes de glycosurie et des symptômes de
folie
. On observerait plutôt le contraire, c'est-à-di
deux ordres de symptômes. Sans préciser pour chaque cas la forme de
folie
, on peut remarquer que dans les douze cas aigus
, il existait des antécédents héréditaires : six fois, on a noté la
folie
chez d'autres membres de la même famille ; sept
les conclusions suivantes ; la Il est relativement rare de voir la
folie
vraie survenir dans le cours des maladies somat
cours des maladies somatiques : 2° Dans les hôpitaux généraux, la
folie
se manifeste le plus com- mnnément après les fi
es opérations, c'est la manie qui est la forme la plus commune de
folie
; mais, dans les autres conditions, la dépression
est plus fré- quente ; toutefois la forme la plus ^répandue est une
folie
avec délire accentué de persécution, s'accompag
t après la fièvre typhoïde; 4° Il n'existe aucune forme spéciale de
folie
se rattachant à telle ou telle maladie somatiqu
l particulier qui accompagne les paralysies alcoo- liques ; 5° La
folie
apparaît avec une fréquence extraordinaire dans l
rit sur ces sujets. R. DE ! \IUSGRAVE-CLAY. XLII. UN cas léger DE
folie
avec STUPEUR, dans LEQUEL ON pouvait PROVOQUER
té noté dans d'autres obser- vations. M. Kerries. Quelques cas de
folie
communiquée. - Le premier cas 252 SOCIÉTÉS SAVA
ations. Les observations qui précèdent doivent être rangées dans la
folie
communiquée. Ces faits exigent, pour se produir
rencontrent-ils habituelle- ment chez des parents. Pour qu'il y ait
folie
induite, communi- quée, il est nécessaire qu'un
nation mentale, par Rohe ; Signification des troubles moteurs de la
folie
, par Richardson ; - Médication thyroï- dienne d
cellules nerveuses corticales, par Berkley; - Classification de la
folie
et obscurité du diagnostic, par Mitchell ; Cas de
s les études de plusieurs médecins italiens ont nettement établi la
folie
de Torquato Tasso, niée pourtant par plusieurs
acultés intellectuelles qui, pour le grand public, carac- térise la
folie
. Il était incontestablement sujet à des attaques
ALE. I. DE LA RESPONSABILITÉ CRIMINELLE DANS SES RAPPORTS AVEC LA
folie
: OUVERTURE DE la discussion; par H. MAUDSLEY. (T
e rébellion tacite. Que fait-on eu effet quand un accusé suspect de
folie
est condamné à mort ? On fait après ce qu'on au
nés dans tous les criminels, mieux encore d'assimiler le crime à la
folie
. Il faut reconnaître que l'altitude des médecin
la responsabilité des aliénés au point de vue général, comme si la
folie
était quelque chose de défini et de toujours id
t de toujours identique, au lieu de se souvenir qu'il n'y a pas une
folie
, mais des folies, et de s'en tenir à l'étude du c
entique, au lieu de se souvenir qu'il n'y a pas une folie, mais des
folies
, et de s'en tenir à l'étude du cas particulier
plusexpéditif que le nôtre.) A. M. VI. RESTRAMT mécanique dans la
folie
; par CLARK BELL. L'auteur rappelle la teueur d
e à tous ses degrés d'atténuation. A. Marie. VIII. Prévention DE L\
FOLIE
; par CLARENCE LIGÜTNEfi. (Medico-legal Journal,
ure médicale ne soit pas très riche sur ce point l'apparition de la
folie
dans la maladie de Graves est un fait connu, su
est autrement de certains états mentaux, qui ne vont pas jusqu'à la
folie
, qui sont assez difficiles à décrire, mais qui pr
nt quelquefois des illusions sensorielles sans aucun autre signe de
folie
: Galezowski a signalé les hallucinations de la v
édité esl, sans contredit, une des causes les plus puissantes de la
folie
et la phase de l'hérédité qui a les rapports les
THOLOGIQUES. admise par plusieurs physiologistes. Un curieux cas de
folie
rap- porté par Bruce donne à cette théorie un s
s. Dans l'état de raison, il n'avait aucun souvenir de ses états de
folie
, mais il se rappelait très bien ce qui se rappo
ns dé- lirantes. Cet exemple peut servir à montrer le passage de la
folie
sensorielle à la paranoïa; il montre aussi, com
aques. Des délirés du même genre apparaissent aussi souvent dans la
folie
sensorielle parce qu'ils trouvent dans le désor
tains cas les troubles de l'appareil circulatoire sont une cause de
folie
; beaucoup plus souvent c'est la maladie mental
niques du coeur. R. DE Musgrave CLAY. LI. Statistique relative A la
FOLIE
héréditaire, portant SUR PLUS de mille cas obse
rédité directe. - ). En prenant en bloc toutes les catégories de la
folie
, les formes acquises comme les formes congénitale
considérations intéressantes. R. DE Musgrave CLAY. LUI. UN cas DE
FOLIE
dégénérescence DE DÉVELOPPEMENT, avec INVER- SI
vent se rencontrer dans les psychoses d'involution. De même dans la
folie
circulaire, on peut également observer des conc
383 encore une fois le calme rétabli. Sur cer.tquarante-deux cas de
folie
circulaire, l'auteur a observé des conceptions
Grie- singer, de Sander (1872), de Samt (1875-7G), qui considère la
folie
épileptique comme caractérisée surtout par sa s
roubles maladifs de la conscience, c'est-à-dire par des attaques de
folie
passa- gère. En général, on ne trouve pas d'aut
ou des faisceaux qui en émanent. Cette forme ne s'accompagne pas de
folie
épileptique. 4° L'épilepsie réflexe, par excita
tatée précédemment en de- hors des accès. Wildermuth considère la
folie
épileptique comme assez rare par rapport à la f
r rapporte un cas qui le démon- trerait. Peut-on diagnostiquer la
folie
épileptique d'après la forme du délire ? - Wild
lus haute importance, au point de vue médico-légal. Tous les cas de
folie
transitoire doivent faire penser à l'épilepsie,
alternante décrite par Siemerling, qui est observée aussi dans les
folies
intermittentes, et dans d'au- tres formes. Il f
strons ce fait à titre de document pour servir à l'his- toire de la
folie
chez les enfants et les adolescents. Il y aurait
servir aujourd'hui. D'autre part, les facteurs étiolo- giques de la
folie
ont augmenté en fréquence et en intensité, d'où
humaine et plus scientifique; l'idée générale qu'on se fait [de la [
folie
s'est transformée; de nombreux sujets qui étaie
ck Tuke(1894) a énergiquement combattu l'opinion qui consi- dère la
folie
comme augmentant de fréquence en Angleterre. Le
s admissions ne démontreraient l'existence d'une augmentation de la
folie
. En Ecosse, le nombre des premières admissions
e 28 p. 100. Le Dr Spencer conclut de ces recherches que les cas de
folie
ne sont pas plus nombreux actuellement en Ecoss
ent dans les autres pays civilisés, le nombre de sujets atteints de
folie
ne varie pas, pour une même période et pour une
le diagnostic avec le délire chronique. La manie raisonnante et la
folie
morale ne sont que l'exagération de cet état me
par Turnbell, 220. Amok. Sur l' -, par van Brero, 226. Amour. La
folie
de l' -. Etude sur l'Arioste par Kornfeld, 230.
ion. Rapport de 1' - intestinale avec les lormes com- munes de la
folie
, par Hamilton, 23L Bibliographie, 69, 15.'t,
bète et aliénation mentale, par Uand, 36. - Rapports du - avec la
folie
, par Band, 235. Diabétique. Epilepsie -, par Ja
médical devant la pour- suite correctionnelle, par Ahbott, 317.
Folie
. Diagnostic différentiel de la - , par Burr, 35
les, 428. Psychologie expérimentale dans ses 1 rapports avec la
folie
, par Rivers, , 232. Psychopatiiiques. Formes
ancotte, 461. ! lESPOXSOEILITÉ criminelle dans ses rapports avec la
folie
, par Mauds- ley, 312. - légale et ivresse, par
légale et ivresse, par Crothers, 318. RESTRAIXT mécanique dans la
folie
, par Clark Bell, 317. Rêves chez les hystériq
linquant simulateur. (contribution A l'étude DE la simulation DE la
folie
) ; Par le D' Samuel GAIINIER, Médecin en chef
. La simulation, dit Ambroise Tardieu (Elude médico-légale sur la
folie
, `3° édit. Baillière, 1880, p. 242), tient une pl
), tient une place considérable dans l'histoire médico-légale de la
folie
, non que les exemples en soient de fait très fr
é de la simulation et établir dans des conclusions positives que la
folie
qu'il a constatée est bien réelle. Ces paroles
poser le problème d'une simulation possible inten- tionnelle de la
folie
et régler sa méthode d'examen en consé- quence.
pter les présomptions du dossier comme démontrant d'ores et déjà la
folie
, qu'on évitera de faire fausse route, car si su
ns rares qu'il ne l'a donné à enten- dre. Soit qu'il se soit agi de
folie
prétextée ou alléguée, soit de folie véritablem
dre. Soit qu'il se soit agi de folie prétextée ou alléguée, soit de
folie
véritablement simulée, j'en ai, pour mon compte,
ts et j'en ai connu un qui connais- sait à fond les symptômes de la
folie
impulsive et les décri- vait avec une précision
x ans au moins, a réussi à en sortir par décision d'un tribunal. La
folie
simulée L'ODYSSÉE D'UN DÉLINQUANT SIMULATEUR. 3
t été successivement la grande hystérie avec idées de suicide et la
folie
des persécutions avec délire des grandeurs, alo
à faire dou- ter, chez l'inculpé, de la réalité d'un état actuel de
folie
, cependant le dossier de cet individu nous appo
très bien. Donc, au moment de son arrestation, les présomptions de
folie
chez Cing .. ne paraissaient uniquement résulte
liénés près d'Aix (Bouches-du-Rhône) qui me conseilla de simuler la
folie
et qu'au bout de six mois je serais dehors. «
qui l'aurait fait souffrir, etc., etc. « En un mot, j'observais les
folies
des sujels qui étaient mes com- pagnons et souv
ité dans ses allures n'étaient point par elles-mêmes des preuves de
folie
. l'odyssée D'UN DÉLINQUANT simulateur. 19 La
trouver diminuée dans une certaine mesure. Dans l'hypothèse d'une
folie
actuelle chez l'inculpé, je n'é- tais démenti n
xpertise faite autrefois sur son état mental, en avançant que cette
folie
ne pouvait qu'appartenir au groupe de celles qu
ntégrité de ses facultés syllo- gistiques. Or, comme d'une part, la
folie
impulsive ne ren- trait en aucune façon dans le
sensorielles, ni les interpréta- tions délirantes spéciales à cette
folie
, il s'ensuivait que si Cing... était fou, il ne
ng... était fou, il ne pouvait l'être qu'en le supposant atteint de
folie
morale. Le seul problème d'une folie morale se
u'en le supposant atteint de folie morale. Le seul problème d'une
folie
morale se posait nécessaire- ment dans l'espèce
'elles étaient insuffisantes pour étayer l'existence chez lui d'une
folie
morale et par suite à entraîner la conviction d
antage le cas de Cing..., qui ne manifesta subitement des signes de
folie
qu'à vingt-quatre ans, sans avoir présenté dans
égale (Annales 111édicu -Psychologiques, j juillet- août '18as), la
folie
morale a des actes nuisibles ou criminels « qui
des criminels. » Sans aller ainsi jus- qu'à la négation même de la
folie
morale, je me crus auto- risé valablement à aff
tion possible de Cing... et croit peut-être encore aujourd'hui à la
folie
de cet individu, dont la tentative de suicide l
ïe. On savait de plus que Cing... était entré de plain-pied dans la
folie
, en enten- dant la voix de ses persécuteurs et
nait à l'appui de sa désé- quilibration mentale, c'est-à-dire de sa
folie
? A cela je répon- drais que le seul intérêt qu
'autant plus relever cette erreur de diagnostic d'aliénation que la
folie
étant admise dans son passé, je devais, pour dé
pour déclarer plus fard Cing... responsable, démontrer que cette
folie
était guérie, ce qui était impossible en présence
se montrer en public avec le costume de la maison, la livrée de la
folie
. Il y aura, dit une circulaire ministérielle, d
ientôt de plus complets. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1. Génie et
folie
; par le De A. Regnard. Dans un important trava
ussi attachant par le fond que par la forme, l'auteur montre que la
folie
n'est qu'une exception chez les hommes de génie
nze grands hommes aliénés dont l'histoire est analysée, toujours la
folie
a fait tort au génie : seuls les fanatiques relig
énorme exception. Qu'on ne dise plus, désormais, qu'il confine à la
folie
; au plus bas de l'échelle sont les imbéciles,
dio- crités. (Annales médico-psychologiques, juin 1899.) E. B. IL
Folie
et homicide; par le Dl' ALLSON. La question des
olie et homicide; par le Dl' ALLSON. La question des rapports de la
folie
avec le crime et surtout avec crimes de violenc
téressante étude faite par l'auteur il ressort que les dan- gers de
folie
homicide seraient de beaucoup diminués si les dis
e ? ica2z Journal of ¡nsanil ? avril 1899.) E. 13. 111. Deux cas de
folie
syphilitique ; par le professeur BERKLEY. Dans
ue dans l'écorce. Le second cas rapporté par l'auteur est un cas de
folie
aiguë dé- veloppée pendant la période florissan
(The American Journal of iiisaiiity, avril 1899.) E. B. IV. De la
folie
post-opératoire; par M. le professeur Duplay. (
M. Duplay résume en ces termes ses idées sur la pathogénie de la
folie
post-opératoire. 11 est, jusqu'ici, très difficil
GIE MENTALE. 45 cause agit spécialement dans le développement de la
folie
post- opératoire. Il semble que, malgré quelque
olie post- opératoire. Il semble que, malgré quelques exceptions de
folie
post- opératoire sans hérédité, sans tare appré
qu'une opération est incapable, par elle seule, de déter- miner la
folie
et que celle-ci ne survient que chez des prédispo
action très secondaire, voire même douteuse. L'auteur admet que la
folie
post-opératoire peut revêtir toutes les formes
l'acte opératoire a eu une réelle influence sur la production de la
folie
et si on a eu vraiment affaire à des psychoses po
considère la guérison comme la terminaison la plus fréquente de la
folie
post-opératoire. Il rapporte l'observation d'un
E MENTALE. aiguë se trouve comprise dans les formes maniaques de la
folie
périodique. La question d'étiologie devient imp
les maladies du corps peuvent être une cause de maladie mentale, de
folie
chez un individu prédisposé, présentant un défa
corresponde à la réalité et c'est alors le véritable terrain de la
folie
. Si les cas extrêmes sont faciles à apprécier i
'auto-suggestion joue dans l'étiologie et la .symptomatologie de la
folie
, un rôle beaucoup plus important qu'on ne le su
gion, se trou- vant sur le sentier étroit qui sépare la santé de la
folie
, qui com- mettent sous l'influence d'une cause
ée dans certains cas, tels que ceux d'épilepsie non compli- quée de
folie
, selon l'expression consacrée, ne saurait justifi
e ténacité désespérante, comme les autres obsessions, telles que la
folie
du doute, le délire du toucher, etc.; il résiste,
t Régis s'expriment ainsi : « La paraly- sie générale n'est pas une
folie
et ne doit pas être classée, comme on le fait g
t pas être classée, comme on le fait généralement à tort, parmi les
folies
. Cette maladie n'est pas une folie, non seuleme
généralement à tort, parmi les folies. Cette maladie n'est pas une
folie
, non seulement parce que ses symptômes sont tou
tant qu'espèce morbide, elle ne fait pas partie de la famille des
folies
, parce qu'elle ne naît point comme elles de la fo
a famille des folies, parce qu'elle ne naît point comme elles de la
folie
et n'engendre point la folie, ainsi que l'avait
u'elle ne naît point comme elles de la folie et n'engendre point la
folie
, ainsi que l'avait déjà pensé M. Dou- trebente
paralysie générale, ce n'est point l'héré- dité vésanique ou de la
folie
, mais l'hérédité cérébrale ou, 122 , CLINIQUE M
aralysie générale de leur père ou de leur mère, ce n'est point à la
folie
, mais aux affections cérébrales et aux affectio
: i, 22. Les maladies les moins fréquentes sont les névroses et la
folie
qui n'y figurent que pour le chiffre 13. Sur
ec '7C, ensuite les maladies cérébrales avec 40, les névroses et la
folie
avec 35, les maladies de l'appareil digestil'av
rable de vieillards mourant de ces maladies et les névroses avec la
folie
se trou- vant placées assez loin de l'échelle.
ala- dies rangées sous la rubrique nervosisme, névroses, suicide,
folie
, sur z1497 individus appartenant aux familles nor
RÉSIDENCE de M. J. Voisin. L'alitement dans les formes aiguës'de la
folie
. M. Christian déclare, à propos de la lecture d
ici il n'existe guère de travaux sur ce sujet si l'on en excepte la
folie
gémellaire et le suicide héréditaire. Cependant
suicide héréditaire. Cependant un certain nombre d'observations de
folie
similaire chez frères et soeurs ont déjà été recu
hoses systéma- tisées, il y a lieu de faire une distinction avec la
folie
à deux, mais une psychose systématisée familial
en commun. Les cas de démence précoce, prématurée ou présénile, la
folie
pério- dique paraissent se présenter assez fréq
le mot de More), « semblent résumer en une seule'entité morbide la
folie
de plu- sieurs membres d'une même famille ».
tte idée avait été déjà exposée par M. Régis dans un travail sur la
folie
à deux. M. TouLOUSE pense que la contagion psyc
, depuis la sociétés savantes. 175 simple hypochondrie jusqu'à la
folie
délirante. Quelquefois même, la phtisie se term
l'hôpital de la Pitié. (Le Temps du lb décembre 1899.) Une scène de
folie
. M. Truy, secrétaire adjoint du commissa- riat
n de bureau nommé Omer Lesnes, qui venait d'être pris d'un accès de
folie
furieuse et menaçait de mort ses voisins. M. Tr
é envoyé à l'infirmerie du Dépôt. (Le Temps du 23 décembre 1899.)
Folie
criminelle. Le commissaire de police de Clichy a
'accomplissement de son crime. (Le Temps du 25 décembre 1899.) La
folie
d'une mère. Le quartier Necker a été mis en émoi
va- spécialement les plus graves; et riétés possibles y compris la
folie
dans les cas d'idiotie légère ou morale. nulle,
rêves des épileptiques présente une réelle importance. XXVI. Sur la
folie
puerpérale; par C. 1\L\CDONALD. (Médical Record,
on, d'Edim- bourg. A. M. XXVII. Opérations gynécologiques dans la
folie
; par 111ANTON (de Détroit). (Médical News, 11 m
oses ainsi traitées furent quatre mélanco- lies, deux manies, trois
folies
périodiques et des monomanies et paranoïa diver
n désigné longtemps cette forme d'aliénation mentale sous le nom de
folie
partielle ; cependant il est dangereux de laisser
e-Clay. 246 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXXIV. La marche vers la
folie
; par SmTx Bai;En. (The New York Journal, 14 aoû
rnal, 14 août 989'7.) Les éléments de la marche progressive vers la
folie
se rencon- trent surtout dans l'atavisme, dans
e de l'aliénation mentale. 1;. M. C. XXXV. La nouvelle loi sur la
folie
et sur l'internement des aliénés; par S.-B. Lyo
ur la limite scientifique entre l'état sain de l'intelligence et la
folie
; par Edward C. l3uncE. (The New York Médical Jou
e 1898.) Les conclusions de l'auteur sont les suivantes : « 10 La
folie
est le symptôme de tout processus pathologique
eau; par conséquent la ligne de démarcation entre l'état sain et la
folie
se trouve au point précis où l'état pathologiqu
le sens de centres psy- chiques. » . « 2° Les dénominations de «
folie
» et de « fous » doivent être appliquées à tout
ment à dissiper les pires malentendus qui existent au sujet de la
folie
et des fous. Il ne faut négliger aucune occasion
systématique. Quand il demeurera acquis une lois pour toutes que la
folie
est le symptôme d'une véritable lésion du cerve
e Heine qu' « il n'y a qu'un philosophe qui puisse diagnostiquer la
folie
». La possibilité pour la période prodromique d
ix ans la réor- ganisation de tout notre système d'assistance de la
folie
, nous sommes reconnaissants au D1' Marie d'avoi
grand plaisir à examiner avec lui les problèmes d'assistance de la
folie
. Je ne saurais donc trop recommander la lecture
yperplasie conjonctive, d'hyperhémie, comme dans le délire aigu, la
folie
épileptique alcoo- lique, la période congestive
onvient de noter l'abaissement considérable observé dans les cas de
folie
pellagreuse, de démence paralytique et de démence
de destruction et de dégénération, ainsi que l'augmentation dans la
folie
épileptique et alcoolique et le délire aigu.
a à l'ana- tomie pathologique d'affections inconnues, telles que la
folie
systématisée. P. KERAVAL. LVII. Étude critiqu
mière année de leur séjour à l'asile - la seconde. On sait que la
folie
devient rapidement incurable et qu'au bout de t
ité de ces derniers établissement à ceux de province, où les cas de
folie
aiguë et récente, plus graves que ceux de l'ali
influence des grandes catastrophes sociales sur la production de la
folie
. Pendant cette période de deuil, Bouchereau fit
uences diverses ; d'autres n'étaient pas condamnées fatalement à la
folie
, mais des malheurs successifs, des épreuves mul
ables de déterminer chez un individu prédisposé l'explosion de la
folie
, on doit accorder une place importante aux phéno-
rigine gastro-intestinale surtout dans les formes dépressives de la
folie
. ' Dictionnaire encyclopédique des sciences méd
s auto-intoxications sur le développement des diverses formes de la
folie
. On connaît d'ailleurs les heureux effets des l
euse; trois de nos malades étaient dans le stade mélancolique d'une
folie
à double forme. - La présence du phénomène de
ons délirantes permettent d'affirmer l'existence du délire et de la
folie
. Le délire de la jalousie est aigu ou chronique
'esprit : il faut noter d'ailleurs que le passage de la raison à la
folie
, chez ces malades, est commun, et que l'on perd
etc. R. de 1)[USCRAVr-CL.Y. XLVI. Les points de similitude entre la
folie
épileptique et la folie alcoolique; par R.-H. N
. XLVI. Les points de similitude entre la folie épileptique et la
folie
alcoolique; par R.-H. NOOTT. (T7ee Journal of Men
ental Science, juillet 1898.) Les analogies qui existent entre la
folie
alcoolique et la folie épileptique ont été déjà
t 1898.) Les analogies qui existent entre la folie alcoolique et la
folie
épileptique ont été déjà signalées. Le présent
de manie alcoolique et d'autre part la période paroxystique de la
folie
épileptique, celle qui est en rapport immédiat av
umons ici. Bn se reportant aux travaux de Hughlings Jackson sur les
folies
épileptiques, on peut se demander si la manie a
insiste en terminant sur la grande importance de ces deux formes de
folie
au point de vue médico- légal. R. DE IUSGR.1VE
nes post-convulsifs, tels que l'automatisme, le délire, et même les
folies
épileptiques, sont provoqués ou précipités par
laissent finalement des traces permanentes ; il y a là moins de la
folie
qu'une déchéance mentale progressive due au car
nsoriels et psychiques que l'on rencontre dans les autres formes de
folie
trouvent ici leur équivalent ou leur compensati
des aliénés. Projet de synthèse de toutes les classifications de la
folie
. M. TOULOUSE propose d'appeler psychies les éta
formes différentes suivant qu'il y a des variations périodi- ques (
folie
circulaire) ou qu'il n'en existe pas. Suivant q
n entendu, qu'une action psychique. Le traitement psychique de la
folie
délirante. M. STADEL3fANN (de Wurtzbourg) décri
ie délirante. M. STADEL3fANN (de Wurtzbourg) décrit, sous le nom de
folie
SOCIÉTÉS SAVANTES. 451 délirante, l'état psyc
es animaux, leurs conséquences, familiales ainsi que le crime et la
folie
dans la série animale, questions neuves et du p
n de ceux qui les soignent. R. M. C. LES ALIÉNÉS EN LIBERTÉ. La
folie
de la persécution. Un individu correctement vêtu
e Rozé ne jouissant pas de la plénitude de ses facultés mentales.
Folie
furieuse d'un employé de ministère. Un employé da
ie spéciale du Dépôt. (Le Temps du 10 février 1900.) Drames de la
folie
. A Klaxon, dans le Lot, un sabotier nommé Bapti
arante-quatre ans, qui, depuis quelque temps, donnait des signes de
folie
, s'est tout à coup rué sur sa famille composée
nt de tuer son enfant, âgé de trois mois, à la suite d'une crise de
folie
furieuse. Elle a bourré la bouche du petit bébé d
d'un coup de couteau au coeur. La malheureuse, prise d'un accès de
folie
, riait près du cadavre. (Le Temps du 17 mars 19
Dijon, dit le Radical, 8 mars, vient de se dérouler -un drame de la
folie
qui aurait pu avoir les conséquences les plus g
imes, ignorait le genre de sa maladie. (Petit Var, 4 février.) La
folie
. Une femme de cinquante ans, Mme Brunswick, dem
ure, elle se l'était faite elle-même dans un des fréquents accès de
folie
auxquels elle était sujette. (Le Figaro, 21 janvi
voyant mettre la camisole de force. (Le Temps, 13 février 1900.)
FOLIE
RELIGIEUSE. L'Allgemein HanJelsbla rapporte un
ler à Appeltern, en Hollande, doit bien être attribué à un accès de
folie
religieuse. A la suite d'un examen médical, le
qu'il est tout-puissant ». Toutes les personnes atteintes de cette
folie
religieuses sont enfermées dans leurs maisons, ga
n partie que de la suggestion. (Voir Leuret, Traitement moral de la
folie
.) FAITS DIVERS. Asiles d'aliénés. - Nominatio
Extrait du Jahrbucher sur Psy- chiall'ie. Regnard (A.). Génie et
folie
; réfutation d'un pai,adoxe. - Volume in-8° de 1
men des urines chez les -, par Klein, 23H. La nouvelle loi sur la
folie
et l'internement des -, par Lyon, 246. Etudes
anière de prendre soin des -, par Lord, 129. Similitudes entre la
folie
l'- et la folie alcoolique, par Nos. 431. 1.
e soin des -, par Lord, 129. Similitudes entre la folie l'- et la
folie
alcoolique, par Nos. 431. 1. EitGO(,It.1111E.
ructure des cellules nerveuses des-,par Hermann, I 49. Génie et
folie
, par Regnard, 42. Gigantisme et acromégalIe, pa
tral double et triple de la moelle, par Senator, 320. Homicide.
Folie
et -, par Allson, 13. Hypnose. Procédé pour o
i. 308. Intelligence. Limite entre l'état sain de l' - et de la
folie
, par Hunge, 246. Intoxication. Réactions indi
tions. Dans les états dits maniaques dépressifs d'après Iiroepelin (
folie
circu- laire continue, maniaques intermittents
n de l'accès quand elles se répètent à intervalles rapprochés. 1°
Folie
circulaire continue. - OBs. 26. Mme C..... Philom
'épilepsie larvée. Observation I. X. 37 ans, entre à l'asile pour «
folie
alcoo- lique », manie alcoolique héréditaire «.
ne tout autre influence. C'est ainsi que les phases maniaques de la
folie
intermittente peuvent être mises sur le compte
r ses médecins, alors qu'il rentre sans efforts dans le cadre de la
folie
intermittente. Observation Il. X. 37 ans, entre
noté que cette angine se rencontre dans les familles en- tachées de
folie
ou d'épilepsie. Survenant chez un sujet atteint
t internées dans des asiles alors qu'elbs présentent simplement une
folie
passagère consécutive ou asso- ciée à une malad
oigts. R.M. C. V - Sur l'emploi expérimental des antisérums dans la
folie
aiguë; par Lewis C. BrtucE (The Journal of Ment
llus-coli. En faisant ces essais on a obéi à l'idée que beaucoup de
folies
aiguës avaient une origine bactérienne. Il faut
ntal Science, juillet 1905.) L'auteur relate sommairement un cas de
folie
avec stupeur et un ras d'érotomanie épileptique
subjective d'une hallucination sensorielle. 6° Dans tous les cas de
folie
où une sédation est nécessaire et où le malade re
rnement. Les experts ayant déclaré que l'inculpée était atteinte de
folie
homicide et qu'elle était déjà en cetétat de dé
e analyse utile. R. M. C. V.- Les rapports de l'hystérie et de la
folie
; par F. W. EDRIDGE GREEN. (The Journal of Menta
1904.) Ce travail se résume ainsi : non seulement il n'y a entre la
folie
et l'hystérie aucune ligne de séparation nette,
coup de cas qui seront qualifiés d'hystérie par tel médecin et de
folie
par tel autre : l'auteur pense que dans beaucoup
autre : l'auteur pense que dans beaucoup de cas d'hys- térie et de
folie
, la cause est exactement la même,et cette opinion
ticulièrement aux cas qui débutent par l'hystérie pour finir par la
folie
. Il est remarquable que beaucoup de sujets hyst
rrS<1RAVE Ct.AV. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 65 VI. Un cas de
folie
aiguë hallucinatoire d'origine trauma- tique ;
paranoïa « est utile si on en restreint l'appli- cation aux cas de
folie
chronique avec délusions dans lesquels ces délu
e produire, beaucoup de ces cas ne sont que la phase initiale d'une
folie
chronique avec délusions, présen- tant une rémi
de délire ou de confu- sion mentale. 5° Sauf cette exception, la
folie
confusionnelle aiguë et les états délirants aig
» doit être appliquée aux états consécutifs à des formes aiguës de
folie
dans lesquels les délusions persistantes ne son
al Science, juillet 1905.) A. Lecture V. - Sur la la répartition de
folie
. L'auteur montre 1° que la folie est largement
ture V. - Sur la la répartition de folie. L'auteur montre 1° que la
folie
est largement répandue parmi les races humaines e
on généti- que. B. Lecture VI. Les causes et le traitement de. la
folie
. L'au- teur examine successivement les causes q
eur examine successivement les causes qui sont réputées produire la
folie
de novo et celles qui ne font que précipiter les
folie de novo et celles qui ne font que précipiter les attaques de
folie
individuelle. Il présente quelques considérations
des asiles, et espère que le moment approche où le traitement de la
folie
aigue sera nettement séparé du traitement des c
e les pneumoniques ou les typhiques. R. DE Musgrave Clay. XX.- La
folie
de l'adolescence ; protestation contre l'emploi d
dénomination de « démence précoce » pour lui subs- tituer celle de
folie
de l'adolescence, et de diviser les malades dont
parition demeurant toutefois très variable. R. M. C. XXIV. -- Les
folies
de déchéance; par Georges A. RORIE, (The Journa
f mental Science, juillet 1905.) L'auteur a observé quelques cas de
folie
due à la déchéance de l'âge (il n'est pas néces
es dans une prison régionale. R. M. C. XXVI. Les statistiques de la
folie
: un schéma universel ; par C. C. EASTERBROOK.
nalyse. , R. M. C. XXVII Une classification de la littérature de la
folie
avec index relatif d'après le système décimal d
avril 1905.) - L'auteur propose d'appliquer à la littérature de la
folie
le sys- tème décimal du savant bibliothécaire d
R. M. C. XXVIII-La variation dans ses rapports avec l'origine de la
folie
etdes névrosesqui lui sont alliées; par John MA
êmes (janvier, février ; juillet, août). La diversité des genres de
folies
correspondant à ces admissions ne permet pas de
uze ans, vient d'être prise subitement et collectivement d'accès de
folie
furieuse. Les malheureux on cassé tous les meub
jeteur de sorts », est soupçonné de n'être pas étranger à ce cas de
folie
extraordinaire; on parle de certains faits dont
si- non impossible parfois, du moins toujours plus tardif. Or la
folie
, on ne saurait trop le répéter, n'a chance d'être
rnellement par le médecin signataire et constituant la preuve de la
folie
, ainsi que les motifs d'où résulte la nécessité
aits observés par le médecin lui-même et qui seront la preuve de la
folie
? Le médecin constate bien des symptômes plus o
symptômes plus ou moins probants, car il n'y a pas de preuves de la
folie
, mais il n'est généralement pas témoin des fait
cement sera différé, au grand préjudice du ma- lade, et lorsque la'
folie
sera devenue patente, indiscuta- ble, elle aura
nt les aliénés au début, les individus sur les « fron- tières de la
folie
», à responsabilité discutable, qui sont le plu
ences ; Pnr le D·Maurice DLCOS1'1 ? Suite (1). Les fugues de la
folie
intermittente (folie circulaire, folie maniaque
urice DLCOS1'1 ? Suite (1). Les fugues de la folie intermittente (
folie
circulaire, folie maniaque- dépressive, etc.) n
uite (1). Les fugues de la folie intermittente (folie circulaire,
folie
maniaque- dépressive, etc.) n'existent, à ma con-
s maniaques de la psychose. L'observationII se rapporte à un cas de
folie
maniaque non délirante. La fugue ales caractère
fu- LES FUGUES DANS LES PSYCHOSES ET LES DEMENCES. 129 gues.- La
folie
morale donne fréquemment lieu à des fugue*. \.
ients. Très grande similitude aveu les fugues comitiales. l ? II.
Folie
intermittente (maniaque dépressive, circu- lair
motivées par le malade lui-même dès que l'accès est terminé. III.
Folie
morale. Fugues fréquemment répétées, cons- cien
la maladie de Duchenne. L. 1VuL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXX.
Folie
communiquée (folie à deux, folie simultanée) su
nne. L. 1VuL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXX. Folie communiquée (
folie
à deux, folie simultanée) survenue chez une mèr
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXX. Folie communiquée (folie à deux,
folie
simultanée) survenue chez une mère et sa fille;
se. R. DE Musgrave CLAY. XXXIV.-Sur les rapports des salaires.de la
folie
etdu crime dans le sud du Pays de Galles; par R
u loisir s'accompagnent d'un accrois- sement de l'ivrognerie, de la
folie
et du crime. R. DE IUS(3RAVR CL.1Y. XXXV.-Le
itulé « Sammy and Insamly n 11L Mercier a posé en principe que la
folie
était fonction de deux variables : l'hérédité et
mémoire sur les rapports des salaires ouvriers avec le crime et la
folie
, M. Slewart a cité la proposition de 1\I. Mercier
porte à une demande d'indemnité. R. M. C. XXXI IX. - Note ssur la
folie
de l'adolescence dans le Comté de Dorset ; par
il des intervalles irréguliers. )1. ]{AMEL. Pli 1.- Les sortes de
folies
; parCh.iIERCIE it.(The Journal of Men- tal Scie
les- quels il y avait association du goitre exophtalmique et de la
folie
; il n'ignore pas que ce chiffre est trop faibl
de ces malades lui a suggéré les réflexions suivantes : 1° dans la
folie
avec goitre exophtalmique les symptômes sont da
er en deux groupes : les délires à base de troubles cynesthésiques (
folie
hypochondriaque) et les délires à base de troub
; les déséquilibtés, tous ceux qu'on a mis sur les frontières de la
folie
sont des demi-fous. Mais que d'objections nous
ique, théra- peutique et légal, toutes les questions relatives à la
folie
, aux névroses convulsives, et aux défectuosités
a loi décide ce qui devra être, fait ! 1pan il y a pré- somption de
folie
. Actuellement, en pareil cas,' le magis- trat i
liques ! C'est une contradiction que j'avoue ne pas comprendre : la
folie
alcoolique est peut-être la plus curable de tou
ne sont du. reste pas des aliénés. Que n'a-t-on pris exemple de la
folie
alcoolique pour légiférer, puisque'ce genre de
exemple de la folie alcoolique pour légiférer, puisque'ce genre de
folie
est le plus connu ! Le buveur guéri ne rechuter
Ministère de la ('lierre. Parmi les admissions, signalons 14 cas de
folies
alcoo- liques, au lieu de 0-en 1904 et les viei
HYGIÈNE PUBLIQUE Du rôle de l'alcoolisme dans la production de la
folie
Paris, le 25 février 1907. Le président du Co
le dénombrement. C) Enfin le troisième groupe comprendra les cas de
folies
de toute espèce (manie, folie intermittente,par
oisième groupe comprendra les cas de folies de toute espèce (manie,
folie
intermittente,paralysie générale, délires systé
es déments précoces. Il existe chez eux toutes les variétés de la «
folie
des négations » depuis l'entêtement simple, pué
rvés journellement par le signataire et constituant la preuve de la
folie
, ainsi que les motifs d'où résulte la nécessité d
(.a suivie.) REVUE DE MEDECINE LEGALE IV. - Alcoolisme, crime et
folie
; par nI. MI. Bevan LEws. (The Journal of menta
ts concernant la distribution géographique de l'alcoolisme et de la
folie
et d'examiner sommai- rement l'action physiolog
nies du système nerveux, l'alcoolisme.la paralysie gé- nérale et la
folie
de l'adolescence, ou si l'on préfère, la démence
l'écorce, et l'on en peut dire autant des premières périodes de la
folie
alcoolique; bien plus, une sembla- ble diminuti
t en donnant les proportions les plus faibles de paupé- risme et de
folie
. On voit donc ici la dissociation de l'alcoolis
e folie. On voit donc ici la dissociation de l'alcoolisme d'avec la
folie
. Le maximum d'intempérance ne coincide pas avec
lie. Le maximum d'intempérance ne coincide pas avec le maximum de
folie
, tandis qu'il coïncide,comme on le sait, avec le
nvulsive ; b) sa tendance à la limitation (comme dans les formes de
folie
dites systématisées) ; c) sa périodicité rythmiqu
térie, les psy- choses convulsives (formes morales et impulsives de
folie
) et quel- ques états délirants systématisés son
rs très complexes : l'instabilité, qui probablement about tira à la
folie
, à l'épilepsie, ou au crime, à l'ivrognerie, à la
cené, qui fut ensuite livré au\ agents. On attri- bue ce crime à la
folie
: l'assassin avait été interné il y a peu de te
3 ans, et une fillette de 7 ans, lorsque pris d'un accès soudain de
folie
, il s'arma d'un couteau à greffer et, se jetanl
e. Il résulte de son enquête que Perthuis a agi dans un moment de
folie
. Le meurtrier va être conduit à tantes et interné
n° 3, 19oO.) De tout temps on a voulu établir des rapports entre la
folie
et le génie. Il est certain que nombre de poète
ion ou d'une absence fonctionnelle parathy- roïdienne. J. S. LVI.
Folie
et indieanurie (indoxylurie) ; note critique; par
ancienne et rebelle chez les aliénés. R. M. C. LVII. - Alcool et
folie
: effets de l'alcool sur le corps et l'esprit,
.) Au sens conventionnel ou empirique.nous devons admettre que la
folie
est plus qu'une condition ou un état d'esprit et
dérons pas d'ordinaire comme indicateurs de ce que nous appelons la
folie
. Mais il est nécessaire,dans l'étude de la foli
e nous appelons la folie. Mais il est nécessaire,dans l'étude de la
folie
, de considérer séparé- ment la série des phénom
nt chercher les causes psy- chiques des phénomènes psychiques de la
folie
, nous ne devrions pas parler des causes psychiq
e la folie, nous ne devrions pas parler des causes psychiques de la
folie
, pas plus que du trai- tement moral ou mental d
ues de la folie, pas plus que du trai- tement moral ou mental de la
folie
qui n'est qu'une partie d'un traitement physiqu
e coïncidence nécessaire. Les phénomènes physiques essentiels de la
folie
se rencontrent REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 423
tés normales sont accompagnées d'états de cons- cience qui, dans la
folie
, sont ou absents, ou troublés, ou anormaux. L'é
nt ou absents, ou troublés, ou anormaux. L'étude systématique de la
folie
doit par conséquent comprendre : 1° les phénomè
s états conscients ; 2° les phéno- mènes physiques essentiels de la
folie
. Ceux-ci nous ne pouvons les étudier qu'en tena
sur l'évolution de la mémoire. Puis il fait remarquer que, dans la
folie
progressive, les totaux des états de conscience p
uvelle de la doctrine déjà ancienne de Sankey qui enseignait que la
folie
ne comporte qu'un seul et unique pro- cessus do
enciées que par des phénomènes nullement essentiels, que toutes les
folies
débutent par la mélancolie et tendent à se succ
conception que propose l'auteur de la marche et du processus de la
folie
correspond exactement à la théorie de Sankey, et
t aussi à ce que nous pouvons prévoir, à priori, étant admis que la
folie
est un processus réductif de la mentalité agiss
sidérer ici comme démontré : 1° que les phénomènes psychiques de la
folie
se manifestent dans le même ordre que ceux du s
délire, de l'intoxication ou de l'a- nesthésie ; 3° que lorsque la
folie
guérit, l'ordre des phénomènes psychiques est c
eloppement de l'individu ou de la race; 4° que la survenue, dans la
folie
, de délusions, d'hallucinations et d'obsessions
ssolution. Il est donc nécessaire, pour étudier systématiquement la
folie
, d'étudier séparément la série psychique et la
aura à étudier ce qui a été défini comme les signes physiques de la
folie
. En procédant ainsi, on verra que la folie est
s signes physiques de la folie. En procédant ainsi, on verra que la
folie
est un processus parallèle de dissolution psych
ion basée sur les causes des phéno- mènes physiques. On traitera la
folie
non plus par des paroles vi- des de sens « sur
int pendant des attaques Jacksoniennes. , Dans beaucoup de cas de
folie
aiguë à forme confusionnelle, on 428 REVUE DE P
ébut précoce et présentant à leur période initiale des symptômes de
folie
aiguë. Plusieurs de ces cas paraissent répondre
du colon. Elle apparaît beaucoup'moins facilement dans les cas de
folie
congénitale et chez les sujets dont la maladie me
appropriés qu'il conviendrait de fournir aux différentes formes de
folie
; par John MiLsoMRnoDEs (The Journal of mental S
plus sombre chez les Juifs. En tous cas, ils sont prédisposés à la
folie
et à la paralysie générale. Il semble que l'on pu
ns exception dans tous les cas de manie avec ou sans confusion de
folie
circulaire, de folie manio-dépressive, de kataton
ous les cas de manie avec ou sans confusion de folie circulaire, de
folie
manio-dépressive, de katatonie, d'hébé- phrénie
ilepsie avec excitation. Elle ne s'est pas produite dans les cas de
folie
ayant une autre cause que l'infection bacté- ri
ienne, par exemple dans la mélancolie d'origine métabolique dans la
folie
avec délire systématisé, dans la folie par épuise
'origine métabolique dans la folie avec délire systématisé, dans la
folie
par épuisement, par anémie cérébrale, etc. Il a
teint de manie aiguë comme réactif du sérum d'un malade atteint de
folie
circulaire, la réaction agglutinative ne se produ
ribution à l'étude des troubles de l'association vi- suelle dans la
folie
; par Sydney J. Cote. (7'he Journal of Mental S
ge qu'on interne dans des maisons de sonlé les enfants qui font des
folies
. Ma fortune,mon influence person- nelle, l'infl
'infortuné praticien est très sérieux. (L'Aurore du 5 juin.) ' La
Folie
. Un ouvrier graveur en pierres fines, Johannès
érés simples et 3.4 10 instables. On peut dire, avec Esquirol, « la
folie
est en germe chez les enfants, il faut donc les
- 1)'où la nécessité d'hospitaliser les innocents. Les drames DE la
folie
. - Un fabricant de meubles, très honorablement
spé- cialiste.llier matin, à9 heures.au cours d'une crise subite de
folie
aiguë, M. Blondel s'arma d'un revolver de fort
brochures révolutionnaires (L'Aurore du 28 avril.) UN drame DE la
folie
. Upsal (Suède). - llier, dans un accès de folie
.) UN drame DE la folie. Upsal (Suède). - llier, dans un accès de
folie
mystique, un malade en traitement à l'hôpital a
elmas, p. 155. Affections mentales. Voir Vé- ronal. Alcool et
folie
. Effets de l'- sur le corps et l'esprit, tels q
'- par Sulliyan, p. 72. Du rôle de 1'- dans la production de la
folie
(circulaire du Ministre de l'Intérieur), p. 266
olie (circulaire du Ministre de l'Intérieur), p. 266. -, crime et
folie
; par Bevan Le\\ is, p. 310. Industrie et - ; p
axe, p. 57. Antisérums. Sur l'cmploi expé- rimental des - dans la
folie
aigué ; par Bruce, p. 56. Aphasie sensorielle
apie et de radiographie, p. 418. Crime. Voir Paralysie. -- Voir
Folie
. Crise d'épilepsie. Simulation de la ; par Ch
n cas de précoce ; par Henry M. Eustache, p. fi5. précoce. Voir
Folie
. - précoce ; par Johnstonc, 1). 74. Formes mé-
e maladie de ; par C ! '0u ? On el Nathan, p. 4-10. DEWEY. Voir
Folie
. Diabète. Voir .tC/'(lméy'¡[ie. Discours. Voi
res. 533 Fièvre hystérique chez l'enfant ; par Comby, p. 138.
Folie
. Voir 11 nlisérums. Voir Hystérie. Un cas de --
propriés qu'il conviendrait de fournir aux différentes formes de
folie
; par Atilson Rhodes, p. -131. -, Voir Troubles
et Le- jonne, p. 48G. - Hystérie. Les rapports de l'- et de la
folie
; par Green, p. 6 4. - infantile avec hallucina
n. Incontinence d'urinc. Voir Olé- dicaments. Indicanurie. Voir
Folie
. IIQD01YL. Voir Dépression mé- lancolique. La
ralgies. Voir Traitement. Névrites. Voir Névroses. Névroses. Voir
Folie
. Des et des névrites du pncumogas- trique che
n- tribution à l'étude des - (le l'association visuelle dans la
folie
; par Sydney J. Cole, p. 495. Les principales f
subies par le tissu cortical. Il y a évidemment d'autres états, les
folies
aiguës par exemple, où il est à peu près certai
s, 1 suppuration chronique des reins avec cachexie amyloïde dans la
folie
sénile, 1 ramollissement du cerveau disséminé p
ur anglais. Dr A. Marie. VII. Sur le traitement chirurgical de la
folie
avec délusions, basé sur son étude physiologiqu
enu pour elle de prendre en main quel- ques-uns des problèmes de la
folie
. Si, en dernier recours, on en vient à une inte
olie. M. Jules Voisin. Le plus souvent, l'aboulie se complique de
folie
du doute. ou même à la fois de folie du doute et
ent, l'aboulie se complique de folie du doute. ou même à la fois de
folie
du doute et de délire du toucher. Toutefois cer
MAGNAN rapporte plusieurs observations d'aboulie essen- tielle sans
folie
du doute et sans délire du toucher. BIBLIOGRAPH
habituelle (alcoolisme, hystérie, neurasthénie, sénilité psychique,
folies
chroniques, etc.). La description du délire de
es mentales. R. DE Musgrave-Clay. III. Note sur la pathogénie de la
folie
diabétique; par W.-R DAw- son. (The Journal of
orticales, est, selon toute probabilités, la principale cause de la
folie
particulière "au diabète; cette cause est d'ail
ysie générale fournit autant de cas que toutes les autres formes de
folies
réunies. Les troubles moteurs de l'iris se cons
e, il s'agit d'un homme de soixante-neuf ans atteint depuis 1869 de
folie
circulaire. Le 22 août 1898 il est en état d'ag
aux véri- tables changements de personnalité qui sont propres à la
folie
. Lorsque l'élément histrionique revêt la forme
certain nombre de stigmates physiques. G. DENY. XVI. Etude sur la
folie
circulaire et sur les formes circulaires des ps
à la clinique psychiatrique de Moscou les auteurs concluent que la
folie
circulaire se rencontrerait dans 1,94 p. 100 de
aut dans 12,99 p. 100. Ces chiffres prouvent que l'hérédité dans la
folie
circulaire se rencontre aussi souvent que dans
la mélancolie (82 p. 100). Au point de vue de l'âge où débute la
folie
circulaire les auteurs ont noté que dans presqu
s un seul chez qui la maladie ait débuté après 42 ans. Les accès de
folie
cir- culaire sont bien plus rapprochés que ceux
ière manifestation et 26 fois seulement avec accès d'excitation. La
folie
circulaire débuterait donc dans la grande major
inaison favorable qui ont été publiées à tort comme des exemples de
folie
circulaire terminée par la guérison, ou encore
à considérer comme normaux, à savoir des formes plus légères de la
folie
circulaire et surtout des espèces innombrables
es de la folie circulaire et surtout des espèces innombrables de la
folie
neurasthénique, des phobies, perversions sexuel
(Annales médico-psychologiques, février 1902). E. Blin. XXIX. La
folie
au point de vue juridique en Allemagne ; par le
V. xxi, i'l° 1, juin 1903). L'auteur fait une distinction entre les
folies
à substratum orga- nique et celles qui en sont
sse en revue tous les textes juridiques allemands qui concernent la
folie
. 1 Ce sont, pour le Code civil depuis le 1°1 ja
imilation permanente ou transitoire de l'in- terdit ou interné pour
folie
; au mineur de sept ans. § 106. La responsabilit
la paralysie générale représente à peu près 8.75 p. 100 des cas de
folie
; 2° elle arrive surtout entre trente et cinquan
aractères morbides qu'elle peut au contraire présenter. Smon. XL.
Folie
maniaque dépressive avec autopsies ; par Stewart
i- vité mentale. SIMON. 1,X1. Les signes auxquels se reconnaît la
folie
et les problèmes de la psychiatrie; par E. STAN
juillet 1902, p. 1 à 16). - Revue des principales définitions de la
folie
. La folie est essen- tiellement une maladie men
02, p. 1 à 16). - Revue des principales définitions de la folie. La
folie
est essen- tiellement une maladie mentale. L'ex
GIQUE - Séance du 30 novembre 1903. - Présidence de-M. G. Ballet.
Folie
à double forme avec syndrome paralytique chez un
mentale très chargée qui eut au cours de sa vie plusieurs accès de
folie
à double forme pour finir dans la démence, avec
ques de la paralysie générale. M. Vallon croit que le diagnostic de
folie
à double forme doit être réservé et il lui préf
nant par la dé- mence. Pour lui, les débiles ne peuvent faire de la
folie
à double forme. M. TOULOUSE a relevé des obse
lysie générale - SOCIÉTÉS SAVANTES. 163 débutait par des accès de
folie
intermittente. Loin d'exclure la paralysie géné
générale débute parfois par des symptômes pouvant faire penser à la
folie
intermittente qu'ils simulent. D'autres fois la
simulent. D'autres fois la paralysie générale vient compliquer une
folie
intermittente vraie. Un cas de psychose-polynév
cependant, s'il est vrai que la blessée était une prédisposée à la
folie
, il est aussi fort probable que tout autre gout
Callari, avaient des antécédents tuber- culeux. Ce qu'on appelle la
folie
tuberculeuse est représenté par des troubles me
famille, épilepsie convul- sive, épilepsie larvée, certains cas de
folie
transitoire, de folie impulsive, etc..... On n'
ul- sive, épilepsie larvée, certains cas de folie transitoire, de
folie
impulsive, etc..... On n'ignore pas, du reste, qu
on. P. K1OEAVAL. VI. Une paille dans la législation anglaise sur la
folie
; par Ernest Wiiite. (The Journal of Mental Sci
- li. de MUSGPAVE-CLAY. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 24& VII. La
folie
chez les imbéciles ; par E.-F. 'l'fiEDGOLD. (The
F. 'l'fiEDGOLD. (The Journal of mental Science. Janvier 1903.) La
folie
ne s'observe que rarement dans les états les plus
r l'absence du contrôle de l'activité émotionnelle. Tous les cas de
folie
que l'auteur a constaté chez les imbéciles se con
'autre de ces deux types. Il pense d'autre part que t'age auquel la
folie
apparaît d'ordinaire chez les imbéciles conduit
aît d'ordinaire chez les imbéciles conduit souvent au diagnostic de
folie
de l'adolescence. Si l'on considère maintenant
scence. Si l'on considère maintenant les caractères cliniques de la
folie
chez ces malades, on constate qu'ils sont très
iron, la première attaque ne gué- rit pas et le malade aboutit à la
folie
chronique. La folie émotion- nelle est loin d'ê
taque ne gué- rit pas et le malade aboutit à la folie chronique. La
folie
émotion- nelle est loin d'être aussi fréquente
que. La folie émotion- nelle est loin d'être aussi fréquente que la
folie
de l'idéation ; elle ne représente guère que 10
pour traiter convena- blement dans les hôpitaux généraux les cas de
folie
au début, et les cas de folie légère ou transit
dans les hôpitaux généraux les cas de folie au début, et les cas de
folie
légère ou transitoire ? La réponse est évidemment
très important, on montrerait par là aux classes inférieures que la
folie
n'est une maladie ni honteuse ni répu- gnante,
xcellent que le public soit renseigné sur la véritable nature de la
folie
. 5° Cette organisation nouvelle ne serait-elle pa
ue le système nouveau contribuerait à diminuer le nombre des cas de
folie
. 15° Pourquoi les salles d'aliénés dans les '28
le peuple, comme malheureusement partout d'ail- leurs, considère la
folie
comme un mal diabolique, ne pouvant être guéri
e purement clinique la variété délirante. ' L'auteur pense que la
folie
brightique, pas plus que l'urémie déli- rante n
nt l'état général était resté bon, on aurait pu le rapprocher de la
folie
brightique. Dans les deux cas, ces délires ont
er. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XLV. Symptômes hystériques de la
folie
simple ; par F. Nissl.. - Critiques de ce mémoi
s à cette psychose même. Voici par exemple une malade atteinte de
folie
circulaire ; dès son premier accès, elle présen
servées sont symptomatiques de l'hys- térie. Reste à savoir si la
folie
circulaire est une complication ou une émanatio
stérie. Pour en décider il faut étudier le méca- nisme des accès de
folie
, l'influence sur eux de l'état mental, des acci
ause appréciable qui les déchaîne, c'est une hystérie compliquée de
folie
circulaire et non une psy- chose hystérique.
que, les troubles somatiques passagers et les formes diverses d'une
folie
spécifique. Ces derniers épisodes sont en rappo
érie qui, chez les malades de la clinique d'Heidelberg affectées de
folie
simple, intervenait, pour la période - antérieu
résultat. · Il. DE 11USi : R.I'L-CLAY. Lllt.Note sur trois cas de
folie
d'origine toxique; par Emc M. Thom- son. (The J
uppuration causée par un calcul rénal. R. DE Musgrave-Clay. LIV. La
folie
du haschich; par John \VAnNOCE. (The Journal of
étu- dier les effets du haschich : il décrit les diverses formes de
folie
auxquelles le haschich peut conduire, puis il l
l'alcool, et constate que les idées de suicide, si communes dans la
folie
alcoolique, sont rares dans celles du haschich;
la démarche. Les malades, chez lesquels le haschich a déterminé la
folie
, ont une tendance particulière à commettre des
stituent se rencontrent dans un nombre assez considérable de cas de
folie
alcoolique chronique. L'auteur, après un résumé
usgrave-Clay. Lïll. Un cas de cysticerque du cerveau ayant causé la
folie
; par Lui. Sm : LAIR-(3LACK. (The Journal of Men
ons mystico-fétichistes, selon la loi d'A. Comte. Il n'y a pas de
folie
spirite distincte, mais le spiritisme est sus-
és progressifs. - '. , Les premiers forment la transition entre les
folies
proprement dites et les automatismes symptomati
re que l'halo lucination ordinaire plus ou moins caractérisée. La
folie
quelle qu'elle s'oit, n'est-elle pas toujours car
LOGIE PATHOLOGIQUES. L11. Sur quelques lésions viscérales dans la
folie
; par R. WILSO ? et D. Chalmers `VATS01. (The Jo
trachée. Autres constatations pathologiques : syphilis généralisée,
folie
avec démence très accusée. Un des points les pl
ctée. R. M. C. L\YV. Contribution statistique à la pathologie de la
folie
; par T. DUNCAN GREENLEES. (rA6youn ! a< of M
t le facteur de beaucoup le plus important dans la pathogénie de la
folie
. J'irai plus loin et je dirai que la plus grand
. J'irai plus loin et je dirai que la plus grande partie des cas de
folie
ne sont pas du tout, primitivement, des affecti
ttributs physiologiques les plus im- portants au point de vue de la
folie
: sa fonction mentale est assu- rément celle qu
nsidérable, paraissent bien suffire à déterminer beaucoup de cas de
folie
, sans l'intervention des toxines, qui ne seraie
pas une manière de voir plus scientifique, dans beaucoup de cas de
folie
, d'admettre que le fait primordial est une faib
monde naturellement doit admettre l'origine toxémique de certaines
folies
(folie puerpérale, alcoolique, syphilitique, et
aturellement doit admettre l'origine toxémique de certaines folies (
folie
puerpérale, alcoolique, syphilitique, etc.). Ma
re M. Clouston et lui viennent surtout de ce qu'ils envi- sagent la
folie
à deux points de vue très différents, M. Clouston
éduit à ceci : M. Clouston n'admet pas qu'il y ait autant de cas de
folie
associés à la toxémie que le pensent plusieurs de
ce que l'on désigne sous le nom de prédisposition héréditaire à'la
folie
comprend au moins trois états très différents :
n'a tout au plus, qu'une influence très secondaire. Considérer la
folie
comme une simple maladie du cerveau, c'est consid
osé à reconnaître toujours à la toxémie un rôle étiologique dans la
folie
, et à écarter tous les autres facteurs. M. YE
YELLOWLEES est convaincu que l'esprit réagit sur le corps et que la
folie
peut avoir et a souvent une origine purement men-
l'importance de la prédisposition héréditaire dans la genèse de la
folie
. Mais en somme le noeud de la question se trouv
se passent-elles inversement ? » Il est d'avis que la plu- part des
folies
sont d'origine toxique et il entre à ce sujet dan
édico-psy. chologiques, aoüt L903). , B. B. .. LXXXIV. Suicide et
folie
; par le D1' Vallon. Longue et intéressante étud
ico-psychologiques, août t f 903). ' E. B. LXXXV. Sur deux cas de
folie
du doute avec délire du toucher ; par Cn. Azéma
l'un des malades prédo- mine le délire du toucher, chez l'autre la
folie
du doute. Ces deux cas contribuent à confirmer
quent alors une teinte particulière. 5° La phase mélancolique de la
folie
circulaire a peut-être une loute autre origine
TIQUE. 415 X. De l'appoint que peuvent apporter au traitement de la
folie
les pratiques hydriatiques; par Emmet-C. Dent (
plus rare en effet que l'internement d'un aliéné dès le début de sa
folie
: d'une part la loi entoure de formalités, protec
usieurs accès à peu près identi- ques portera-t-on le diagnostic de
folie
intermittente ? Non, sans doute, puisque le pre
emphysémateuse à l'àge de soixante ans. Une soeur a eu un accès de
folie
de la durée d'un mois pendant lequel elle a jeté
un rôle important dans l'étiologie des maladies nerveuses et de la
folie
; mais on le sait surtout d'une manière général
surmenage mental est un facteur déterminant de la production de la
folie
. R. de MUSGHAVE-CLAY. LXXVIII. Quelques carac
R. DE MUSGW1VE-CLaY. LXXIX. Un cas de tumeur cérébrale compliqué de
folie
confusion- nelle d'origine alcoolique : par H.-
contrent dans la moitié de cas, le délire une fois sur douze, et la
folie
très rarement. On dit aussi que les tumeurs qui e
symptômes psy- chiques très marqués, et qu'une forme spéciale de «
folie
raison- nante » était associée aux néoplasmes d
s tous, il est indispensable de modifier ce que nous savons sur les
folies
aiguës : c'est un enseignement à iefaire. Il fa
ns un asile, sans méconnaître la valeur de ce traitement dans les
folies
chroniques et dans les cas de manie ou de mélanco
et dans les cas de manie ou de mélancolie à forme homicide. « Les
folies
aiguës de caractère hybride, c'est-à-dire celles
, cela surtout, si l'hystérie est un des éléments constitutifs delà
folie
. « Le devoir du médecin est de vaincre la terre
1. G. C. XX. Quelques remarques sur le traitement chirurgical de la
folie
; par DAMER llanmsov. (7'/t6./o : <r; ! tt&l
l'existence des formes transitoires entre la démence précoce et la
folie
ma- niaco-dépressive. A. 13ERNGTG11V, M. MOLTCH
ort nombreux. Quelle est la proportion des aliénés qui doivent leur
folie
à une tare héréditaire bien nette ? L'un des se
ire bien nette ? L'un des sexes est-il plus exposé que l'autre à la
folie
héréditaire ? L'un des parents est-il plus prop
? L'un des parents est-il plus propre que l'autre à transmettre la
folie
à ses descendants ? Les différentes formes de f
transmettre la folie à ses descendants ? Les différentes formes de
folie
diffèrent-elles les - unes des autres dans leur
des, on en 'a trouvé 965 chez les parents desquels on constatait la
folie
, l'épi- lepsie en un degré très marqué d'excent
uteur a pu éta- blir avec exactitude par lequel des deux parents la
folie
avait été transmise, il en a trouvé 306 pour l'
dité collatérale et réversive) on trouve sur 350 malades 185 cas de
folie
du père, et 165 de folie de la mère. Le père ou
sive) on trouve sur 350 malades 185 cas de folie du père, et 165 de
folie
de la mère. Le père ou la mère ont-ils une plus
père ou la mère ont-ils une plus grande tendance à trans- mettre la
folie
à ceux de leurs enfants qui appartiennent à leur
tre l'influence plus grande de la mere dans la transmission de la
folie
aux filles. Si l'on recherche si les diverses f
la folie aux filles. Si l'on recherche si les diverses formes de
folie
diffèrent entre elles au point de vue du degré
toutefois que, bien que l'enfant puisse présenter la même forme de
folie
que son ascendant, il n'y a là aucune loi de re
100). Sur ces 30 cas, il y avait 13 hommes et 17 femmes. > La
folie
associée à l'épilepsie fournit un groupe de cas b
d'imbécillité (dont il vient d'être question), le nombre des cas de
folie
épileptique relevés par l'auteur est de 120, do
: quelques auteurs voudraient la rayer entièrement du groupe des
folies
héréditaires; d'autres l'assimilent à cet égard a
sie géné- rale est moins héréditaire que plusieurs autres formes de
folie
, mais que l'hérédité constitue néanmoins l'un d
gie de la paralysie générale. , . Il reste à considérer le bloc des
folies
ordinaires, comprenant toutes les formes autres
445 cas étudiés, des excès alcooliques bien nets, non associés à la
folie
, chez l'un ou l'autie des ascendants directs on
'ici au point de vue de l'héré- dité, directe ou collatérale, de la
folie
et des états connexes. C'est une loi connue que
les asiles de voir que dans une famille manifestement imprégnée de
folie
, il y a plusieurs individus qui demeurent indem
usieurs individus qui demeurent indemnes, et en revanche de voir la
folie
apparaître dans des familles sans aucune tare psy
ont aliénés peu, ou même aucun des enfants ne devrait échapper à la
folie
, il n'en est pas ainsi cependant, et bien que,
à elle sans doute que beaucoup d'enfants doivent d'échapper à la
folie
de leurs ascendants. Il est manifeste d'ailleurs
ent l'aliéniste. Et c'est ainsi que l'on voit apparaître des cas de
folie
dans des familles rigoureusement pures de toute
là recherche des moyens de combattre une tendance héréditaire à la
folie
, l'esprit passe tout naturellement à une questi
cents. Les rapports de la neurasthénie puis de la syphilis, avec la
folie
ont fait l'objet des exposés spéciaux à MM. Cl.
par Mill, 135. CYSTICERQUE, Un cas de du cer- veau ayant causé la
folie
, par Sinclatr-I3lack, 337. Un cas de du cerve
Hystérie. Voir Hypnotisme. Voir Epilepsie. - Voir Alaxie. - \'ou
Folie
. - Para et post-pl1cllmolli, que, par Callavard
Jaguanhe. 3'r5. ' Psychose polynévritique. Voir Cer- veau. Voir
Folie
. Voir Pou ? ! , 17eÔ table DES matières. névr
iles d'aliénés - d'une pauvre fille, 350. d'une fillette, 351. et
folie
, par Viallon, il2. Deux - à l'asile d'aliénés d
t, 396. -. cérébrale, 1 ? Stase papillaire. Un cas com- pltqué de
folie
contusionne) d'on- ¡{trie alcoolique, par Uidwo
'elle avait à répéter. C'est donc une logorrhée symptomatique de la
folie
systématique (paranoia). P. KERAVAL. Il. UN c
l'urine de malades atteints de manie, de stupeur, de lypémanie, de
folie
des persécutions et de démence sénile. Degré
able à celle de l'urine normale, tandis que la stupeur simple et la
folie
des per- sécutions ont un degré de toxicité rel
s. Dans un premier groupe (certains cas de manie, stupeur simple,
folie
des persécutions). la symptomatologie est semblab
n voit que peu importe la cause physique qui a donné naissance à la
folie
: puerpéralité, puberté, maladies infectieuses;
oms diffé- rents qu'il y a de causes susceptibles de les produire :
folie
puer- pérale, folie pubérale, etc. (Annales méd
il y a de causes susceptibles de les produire : folie puer- pérale,
folie
pubérale, etc. (Annales médico-psychologiques, 18
ire. P. K. XXVII. Des formes aiguës delà démence (Amentia) ET DE la
folie
SYSTÉ- ) ! .\TIQUE (Paranoïa) ; par WL. SERBSKI
; par WL. SERBSKI. (Allg. Zeitsch. f. Pyschiat., XLVIII, 4.) Les
folies
aiguës se présentent sous deux formes. ' 1° Dés
tre y a-t-il plusieurs démences aiguës avec chacune son microbe. -2
Folie
systématique aiguë. Se distingue de la folie sy
hacune son microbe. -2 Folie systématique aiguë. Se distingue de la
folie
systématiqu e chronique par l'installa- tion ai
andis qu'elles' s'ins- tallent lentement et progressivement dans la
folie
systématique chronique. Les idées délirantesson
; par N. OSTERMAYER. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLVIII, 4.) 1°
Folie
guérie par un traitement gynécologique. Femme de
meurent intactes dans la démence sénile, l'alcoolisme chronique, la
folie
systématique chronique. P. KERaVAL. XII. UN C
e 1892. PRÉSIDENCE DE M. TH. RoussEL. Les vices du caractère et les
folies
qui s'y rattachent. Leurs rapports avec les asi
s rapports avec les asiles spéciaux. M. Charpentier, sous le nom de
folies
du caractère, décrit les fous raisonnants, les
que la colère et 118 SOCIÉTÉS SAVANTES. trouve dans ces sortes de
folies
12 signes communs qu'on peut ainsi résumer :
1° L'association fréquente chez un même sujet des trois formes de
folie
avec prépondérance d'une seule; -2° la subordinat
ûr, quelques malades peuvent citer la date précise du début de leur
folie
. Chez les femmes elle coïncide souvent avec la
decine mentale d'autre maladie que la dégé- nérescence. D'ailleurs,
folie
des dégénérés est un terme que, pour ma part, j
st défendu, dans la der- nière séance, d'admettre l'existence de la
folie
des dégénérés. M. Catzaras rappelle que MM. Mag
nce mentale. Il y a en conséquence lieu, selon lui, de maintenir la
folie
des dégénérés dans la nomencla- ture des psycho
e la multipli- cité et de la variabilité des hallucinations. Dansla
folie
systématique aiguë, on constate une organisatio
n- visage l'opération pleinement réussie. BIBLIOGRAPHIE. I. Des
folies
diathésiques ; par MM. MABILLE et LALLEMANT. Da
u à leurs auteurs le prix Falret 1890, à l'académie de médecine, la
folie
est étudiée dans ses rapports avec les diathèse
nombreux tableaux rap- portant des analyses d'urine dans des cas de
folies
liées à l'arthri- tisme, à la goutte, aux accid
u diabète. Le travail est divisé en quatre grands chapitres : 1° la
folie
rhu- matismale ; 2° la folie dans ses rapports
isé en quatre grands chapitres : 1° la folie rhu- matismale ; 2° la
folie
dans ses rapports avec les maladies de la peau,
avec les maladies de la peau, l'artério-sclérose, l'obésité ; 3° la
folie
par rapport à la goutte et au diabète; 4° le ca
le cancer, la scrofule, la tuberculose dans leurs rapports avec la
folie
. A propos de la folie rhumatismale et de la gou
la tuberculose dans leurs rapports avec la folie. A propos de la
folie
rhumatismale et de la goutte, les auteurs exami
ité, l'intermittence et la rémittence sont la caracté- ristique des
folies
rhumatismales. La mélancolie serait la forme pr
motrice et vaso-motrice, serait une névrose complexe dont certaines
folies
seraient les manifestations; l'hyperthermie, les
muniqué à la société médico-psychologique sur les rapports entre la
folie
et les hémor- roïdes, ce dont nous les remercio
re, toute la séméiologie des maladies mentales, les chapitres de la
Folie
systématisée, de la Paralysie générale, des Fol
chapitres de la Folie systématisée, de la Paralysie générale, des
Folies
toxiques. Bien que remanié, le chapitre de la Mél
blématiques. Le chapitre des Phré- nasthénies où l'auteur étudie la
folie
héréditaire est également très bien exposé. Sig
itaire est également très bien exposé. Signalons encore l'étude des
folies
associées aux ma- ladies générales, maladies in
s folies associées aux ma- ladies générales, maladies infectieuses,
folie
des diathèses rajeuni par l'application à l'étu
fessées par M. Bouchard et ses élèves. En revanche, le chapitre des
Folies
sympathiques, associées aux maladies locales de
e, nommée Rose Larantagaret, veuve Filial, avait, dans un moment de
folie
, essayé de se suicider en se portant plu- sieur
et.) Le drame du boulevard GARIBALDI. Un drame épouvantable de la
folie
s'est passé hier à Grenelle. Vers trois heures du
te-deux ans, demeurant 15, boulevard Garibaldi, prise d'un accès de
folie
subite, s'armait d'un tisonnier et se ruant sur
des malades aliénés, et partant d'un traitement dès le début de la
folie
. GEORGES GUINO : 1 et ,¡. -B. CIIARCOT. BULLETI
83-188L) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. -) 1,; 1) toxicité. Dans la
folie
pellagreuse, la toxicité fut tantôt diminuée, t
d'autres où elle était fortement diminuée. Dans l'imbécillité et la
folie
morale, diminution de la toxicité. Dans les éta
Phédon; sur la supériorité innée (il certains points de vue), de la
folie
sur la raison. (Ame1'ieanjolll'lwl of insmzit, 18
raison. (Ame1'ieanjolll'lwl of insmzit, 1892.) E. BLIN. XXVI. DE la
folie
en Amérique et DES soins donnés aux aliénés; pa
dimi- nue, puis, quand elle dure depuis longtemps, il augmente. La
folie
circulaire décèle des augmentations ou des dimi
mars 18921. - Présidence de M. ZINN, aîné. M. P. NOEcKE. - Crime et
folie
chez la femme. - Après avoir exa- miné cette qu
dmis- sion dans l'asile les psychopathies les plus variées, mais la
folie
systématique tenait le premier rang. La folie'
mention de condamnations antérieures. Quoi qu'il en soit,c'est la
folie
systématique qui grève ces cerveaux- là (79 p.
la folie systématique qui grève ces cerveaux- là (79 p. 100) et la
folie
systématique avec hallucinations; l'auteur y fa
es criminelles aliénées. Quel rapport y a-t-il entre le crime et la
folie
! Ces deux acci- dents germent sur un terrain p
tout seul, il ne s'effectue que par une occasion; eh bien ! mais la
folie
aussi, bien que la cause déterminante soit diffic
ent le même ensemble de causes morbigènes qui vise le candidat à la
folie
: il peut donc débuter par la prison où il trou
malade ou non. M. LEPPMANN. Oui, parmi les criminels, prédomine la
folie
systé- matique et la dégénérescence mentale. Ma
meur. Voici un fait des plus instructifs. Chez un malade atteint de
folie
circulaire, M. Cramer a constaté que la pression
à Paris avec sa famille. Il était atteint d'aliénation mentale. Sa
folie
cependant n'avait jus- qu'alors présenté rien d
D'ABOULIE AVEC OBSESSIONS 1NTERROGATIVES ET TROUBLE DES MOUVEMENTS (
FOLIE
DU DOUTE AVEC DÉLIRE DU TOUCHER) ; par MM. Raym
oire de l'affection dénommée par le plus grand nombre des auteurs :
folie
du doute avec délire du toucher. Cette appellat
t les impulsions. En résumé, les altérations réunies sous le nom de
folie
du doute et de délire dzc.touclcer ou crainte d
ntale primitive; par le Dr CHASLIN. Il est un groupe particulier de
folies
aiguës parfaitement distinct des autres formes
n français, bien que ce soit en France où ce mode particulier de la
folie
ait été tout d'abord délimité avant d'être admis
e serait une psychose constituant une forme intermédiaire entre les
folies
purement fonctionnelles comme la manie, la Bit)
Bit) REVUE DE rATHOLOGlE MENTALE. mélancolie, la paranoïa et les
folies
à base anatomique comme le» intoxications et la
nnales médico- psychologiques, déc. 1892.) E. B. XXXVI. Un cas DE
folie
sans DÉLIRE; par le Dr Marandon DE MONTYEL. L
lie sans DÉLIRE; par le Dr Marandon DE MONTYEL. L'existence de la
folie
sans délire est aujourd'hui démontrée, mais de
aves, dans te'tétanos. Elle est une complication si fréquente de la
folie
, que Cavalier et Gérard affirment n'avoir jamai
VERNMENT ACT » de 1888; SON action probable SUR LE TRAITEMENT DE LA
FOLIE
EN ANGLETERRE; par J.-A. CAMPBELL. (The Journal
s cas de ce genre sont assez nombreux. R. M.-C. XLV. Guérison DE la
folie
chez UNE femme, après l'ablation DE Le barbe; p
ories de malfaiteurs sont analysés avec sagacité. R. M.-C. ALVIN.
Folie
et divorce ; par A. WooD-RENTON. (Th/ ? Journal o
s les asiles, il y a de nombreux malades (les dégénérés atteints de
folie
morale et les faibles d'esprit par exemple) qui n
l'influence DE la désinfection intestinale , sur QUELQUES formes DE
folie
aiguë; par John MACPHERSON. (The Journal of Men
dies mentales, 1883; 2e édition en 1890; La morphinomanie, 1888; La
Folie
protéique, 1887; - La claustro- phobie (Annales
e. 25 mars 1881) ; Impulsions intellectuelles (Ibid.); - Phtisie et
folie
(Ibid., 25 juin 1881); - Torpeur cérébrale (Ibid.
glais) et Ibid., 1882); Le crétin des Batignolles (Ibid., 1883); La
folie
du doute (Ibid., 1882); - La dipsomanie (Ibid.,
82); L'aliéné devant la Société (Ibid., 1881); Les frontières de la
folie
(Ibid., 1883) ; Les familles des aliénés (Ibid.
folie (Ibid., 1883) ; Les familles des aliénés (Ibid., 1883); - La
folie
gémellaire (Ibid., 1884); La folie à deux (Ibid
des aliénés (Ibid., 1883); - La folie gémellaire (Ibid., 1884); La
folie
à deux (Ibid., 1884); - Epilepsie avec conscien
eux (Ibid., 1884); - Epilepsie avec conscience (Ibid., 1884) ; - La
folie
consécutive au choléra (Ibid., 1885); La respon
nan Les leçons cliniques sur l'épilepsie, sur la dipsomanie, sur la
folie
des héréditaires dégénérés, sur le délire chron
a folie des héréditaires dégénérés, sur le délire chronique, sur la
folie
in- termiltente, contenues dans cette seconde é
1892.) E. B. IV. La contrainte corporelle dans le traitement DE la
folie
; . par le Dr W. 1'oncesTEn. Les aliénistes,
général les praticiens, ne s'entendent pas sur le traitement de la
folie
. Dans un article du REVUE DE thérapeutique. 453
oi des moyens de contrainte. Il y a des cas, rares cependant, où la
folie
ne peul ètre réprimée que par la coercition, c'
urtout motrice, dans l'insomnie, dans la période d'exaltation de la
folie
circulaire, dans la paralysie générale, l'hyosc
otablement. J. SÉGLAS. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE LXI. UN cas DE
folie
DU doute avec délire DU toucher ; par MASS.\UT.
La malade qui fait l'objet de cette observation était atteinte de
folie
du doute; elle se demandait cent fois par jour si
Observation détaillée, suivie d'autopsie. R. M.-C. LXIX. Un cas DE
folie
homicide ET suicide; par Frank ASIIB1 1;LKINS.
renferme des vues très ingénieuses. R. M.-C. LXXII. Insolation ET
folie
; par Théo. B. IIYSLOP. (The Journal of Mental S
PATHOLOGIE MENTALE. 461 LXXVII. Hystérie mâle D'ORIGINE TOXIQUE ET
FOLIE
DES actes; parR. Brugia. (Il Manicomio, fasc. 2
e mal, et la malade est arrivée jusqu'à l'extrême frontière de la
folie
. Elle avait d'ailleurs été autrefois morphinomane
n'aurait pas réussi à se guérir chez elle. R. M. C. LXXXI. GÉNIE ET
folie
; par Arthur i·1.1CD0\.1LD. (The Journal of Ment
e analyse, montrât-elle « une étroite relation entre le génie et la
folie
, ou même le crime, « de changer le génie lui-mê
paroi antérieure du ventricule gauche. R. M.-C. LXXXVI. LES cas DE
folie
dans la pratique médicale ordinaire; par A.-II.
ment, ni aux agents médicamenteux usités dans le traitement de la
folie
; il signale notamment certains cas où le trouble
d'entre elles dominent et éclipsent toutes les autres. Certaines
folies
ne sont autre chose que l'état de rêve prolongé
ire. Il ne faut pas conclure que partout où il y a illusion, il y a
folie
; 468 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. mais partou
a folie; 468 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. mais partout où il y a
folie
, il y a illusion. Le génie est une rup- ture pa
jour- nal of insanity, 18J2.) . E. B. LXXXIX. LES ORIGINES de la
folie
; par le Dl' TUCKE. Les conclusions de l'auteur
race, le grand nombre des déchéances mentales, communément appelées
folie
, sont dues à la rapide et récente évo- lution d
icanjoumal of insanity, 1892.) E. B. XC. Les maladies rénales et la
folie
; par le Dr Georges Tulle. L'opinion générale de
des reins sont rarement un facteur important dans l'étiologie de la
folie
. C'est ainsi que Griesinger, Buchnill et Tuke d
inger, Buchnill et Tuke disent que le mal de .Bright peut amener la
folie
mais qu'ils ne l'ont jamais observée. Il est ce
les suivantes : 10 La néphrite chronique est une cause fréquente de
folie
. 2° La mélancolie persistante peut donner de l'
eur rappelle que, dans sa précédente communication sur la paranoïa (
folie
systéma- tique), il a démontré que conformément
heit originelle. Mais les observations de Sander représentent où la
folie
systématique (Verrùcktheit) ordinaire ou l'héléph
u'un groupe, et il le dit expressément un petit groupe, celui de la
folie
systématique primitive (premier Ver1'ucktheit),
pathologique des rapports du moi. Il n'y a selon moi d'exemple de
folie
systématique chronique (chroniscke paranoïa) ou
hubert. Communication casuistique. Il s'agit d'une obser- vation de
folie
alternante chez une femme de quarante ans; d'abor
côté de la sensibilité morale, ne constitue pas le fond même de la
folie
systématique (paranoïa). Dans le cas particulie
iIli électrique transportable, par Laquer, 278. Bibliographie des
folies
diathésiques, par habille et Lallemant, 140;
ulletin bibliographique, 159, 415. Caractère, les vices du et les
folies
qui s'y rattachent, par Char- pentier, 117. C
ents snr le -, par Kroepelin, 279; lésions du crâne et du dans la
folie
, par Roller, 473. Choléra, influence du sur les
Westphahe, 173, Contrainte corporelle dans le trai- tement de la
folie
, par Worcester, 452. Corps calleux, dégénéres
terne du -, par Blumenau, 106. Foi qui guérit, par Charcot, 72.
Folie
, en Famélique, par Godding, `35;- diathésique,
68 : -avec troubles trophiques,par Szcypiors- l,i,383. Génie et
folie
, par Macdonald. 162. Génital (sens), inversion
lella, 390. hrLUENzA et névrose, par Savage, 461. Insolation et
folie
, par Hyslop, r : 9. Ivrognerie, bichlorure d'or
ances, et non une ligne de démarcation nette, entre la raison et la
folie
. Quoi qu'il en soit, il est bon de connaitre le
Dans ce 'même ordre d'idées, mais sous une autre forme, on note la
folie
du pourquoi, non pas du pourquoi utile, rai- so
i une fenêtre « a six carreaux, par exemple. » On trouve aussi la
folie
du doute, avec délire du toucher. « Les malades
énés de Bonneval en janvier 1888, atteint d'épilepsie avec accès de
folie
fréquents à la suite des attaques. On n'a que
AS DE TETANOS CHEZ UN EPILEPTIQUE. 5U suite d'une attaque, accès de
folie
avec hallucinations et violence. On doit isoler
ler réellement, mais enfin il se complaît à compter. En outre de sa
folie
postépileptique caractérisée par des hallucinat
HH, 4, 5.) Pour étudier le rapport qui existe entre la chorée et la
folie
, l'auteur analyse trois observation personnelle
Etude du rapport de quelques-unes des modalités fondamentales de la
folie
les unes avec les autres. I. Mélancolie et foli
damentales de la folie les unes avec les autres. I. Mélancolie et
folie
systématique. A côté des cas types, il existe u
lancolie et folie systématique. A côté des cas types, il existe une
folie
systématique mélancolique qui se distingue très
avec les divers tableaux psychopathiques et en particulier avec la
folie
systématique. - A côté des formes stationnaires
avec la folie systématique. - A côté des formes stationnaires de la
folie
systématique, il en existe des formes progressi
estent un excès de sentiments religieux, n'ont pas de tendance à la
folie
systématique originelle. Il n'en est pas de mêm
ample moisson. A ce propos, l'auteur n'attribuerait à l'expression
folie
morale que la valeur terminologique de mots propr
ocessus morbides com- plexes tels que paralysie générale, hystérie,
folie
circulaire, quelques manies, quelques folies sy
sie générale, hystérie, folie circulaire, quelques manies, quelques
folies
systématiques (perversité symptomatique d'un ce
s athéromes, soit de'l'alcoolisme. Sur quatre individus atteints de
folie
systématique chronique, deux présentaient l'atrop
se des cellules nerveuses et des vaisseaux, d'oedème cérébral ou de
folie
systématique avec lésion cardiaque; on pourrait
em- ment dans la paralysie générale que dans toute autre forme de
folie
, c'est que c'est surtout dans la paralysie généra
sous la dure-mère sont de beaucoup plus fréquentes dans les cas de
folie
chronique, on peut néanmoins les rencontrer dan
anmoins les rencontrer dans un nombre relativement faible de cas de
folie
~aiguë, et cela surtout, sinon uniquement, Arch
rches les conclusions suivantes : 1° Dans les différentes formes de
folie
, l'influence du système nerveux sur le coeur et
ractère normal. 2° Dans la manie aiguë et dans les autres formes de
folie
qui s'accompagnent d'excilation mentale, les ce
arties postérieures de la substance grise centrale. H. M. C. III.
Folie
du doute; par P. J. KoWALEWaKY. (The Journal of
sessions soustraites au contrôle de la volonté, peut dégénérer en «
folie
du doute ». 5° Que la folie du doute peut se ma
rôle de la volonté, peut dégénérer en « folie du doute ». 5° Que la
folie
du doute peut se manifester à l'état pur, ou être
nt devenues plus diri- geables, pourra-t-on guérircertains accès de
folie
par l'inoculation de ces fièvres. Tout ce que l
ce que l'on peut dire actuellement, c'est que dans certains cas de
folie
, une fièvre typhoïde intermittente peut couper
es deux premiers cas peuvent se i encontrer dans d'autres formes de
folie
; le troisième parait être spécial aux im- Lécil
malade est actuellement en état de démence. L'auteur pense que la
folie
de l'oncle du malade a bien pu agir comme cause
prédisposante, mais qu'il faut chercher la cause effec- tive de la
folie
dans l'action prolongée du plomb, qui, circulant
ion d'une épilepsie corticale, devenue actuelle- ment chronique. La
folie
chez ce malade a d'ailleurs invariable- ment re
genre à la dé- mence ou à la mélancolie. H. M. C. VIII. UN cas de
folie
DE l'adolescence ; par John KEA Y. (The Journal
l Science, avril 1888.) L'auteur a considéré ce cas comme un cas de
folie
de l'adoles- cence, bien qu'il diffère par plus
ien qu'il diffère par plusieurs points essentiel- de cette forme de
folie
. Les troubles mentaux qui précèdent ou accom- p
ents pyohémiques bientôt suivis de mort. R. M. C. IX. DEUX cas DE
FOLIE
SYPHILITIQUE après alcoolisme avec SYMPTOMES DE
s une médication spécifique. lt. M. C. X. Deux cas du guérison de
folie
chronique : par Lloyd FRANCHIS. (The Journal of
té le point de départ de la convalescence. R. M, C. XI. Un cas DE
folie
morale Colin ; par M. CA112PELL. (The Journal o
r. L'auteur a rangé ce cas, à l'exemple des classiques, dans la «
folie
morale », mais il n'y avait chez ce malade aucune
tre plus exact dit-il, de désigner son état mental sous le nom de «
folie
affective. » R. M. C. XII. ACTION des affecti
e 1,0 plus forte chez la femme que chez l'homme. P. IL XVI. De la
folie
gémellaire; par IL EUPHHAT. (AU. Zeitschl'. f.
à côte, atteintes l'une à trente- huit ans, l'autre a quarante, de
folie
systématique hallucinatoire avec idées délirant
rale. Inactivité du traitement spécifique. P. K. XVIII. UN cas DE
FOLIE
circulaire avec lésions anatomiques, par A.-l3.
de concours pour le prix Aubanel, de la ques- tion suivante : De la
folie
chez les vieillards. .Des rapports de l'alcooli
liniques 1. M. SNELL (d'Hildesheim). Des idées présomptueuses de la
folie
sys- témtttiqlle chronique (Paranoïa) 2. M. B
glions de la base, la pro- tubérance. M. BOLLER (de Brake). De la
folie
héréditaire. A l'asile de Brake près Lemgo, sur
que cette grave question de l'hérédité ; l'atavisme est patent. Les
folies
hérédi- taires sont cependant plus ou moins gra
graves sans qu'on sache pourquoi. Les formes varient également ; la
folie
induite témoigne néanmoins de la transmission d
es héréditaires, il va de soi qu'il n'y a plus de symp- tômes de la
folie
héréditaire. Il en est pourtant encore pour l'h
iel. Cette déchéance préalable est même indispen- sable pour que la
folie
alcoolique se manifeste. Les causes morales n'o
IIOLIS plutôt de chercher les causes et les agents mécaniques de la
folie
. Meynert a fait faire à- la question de l'héréd
, des contractures hystériques, voire môme des idées fixes et de la
folie
impulsive. Sur ce terrain, l'auteur est évidemm
re classiques. Citons tout particulière- ment ses recherches sur la
folie
paralytique et les diverses formes de la paruly
ons encore dans le premier volume ses études si remarquables sur la
folie
raisonnante, la folie circulaire, et enfin la fol
mier volume ses études si remarquables sur la folie raisonnante, la
folie
circulaire, et enfin la folie ci deux en collab
rquables sur la folie raisonnante, la folie circulaire, et enfin la
folie
ci deux en collaboration avec Lasègue. Dans l
temps de guerre, 28 p. 100 des individus devenus aliénés doivent la
folie
aux fatigues excessives; du reste, tous les age
ssédées. C'est au médecin à en mon- trer l'iniquité. Drames de la
FOLIE
. - Epinal, 10 juin. -Hier, dans la nuit, un hab
la nuit, un habitant de Housseras, le nommé Joseph Thomas, pris de
folie
, pénétrait dans une maison de la Passée-du-Rena
e la cabale. P. K. XX. Contributions casuistiques A l'étude de la
FOLIE
impulsive; par J. Fritsch (Jahrb. f. Psychiat.,
LIE impulsive; par J. Fritsch (Jahrb. f. Psychiat., VU, 1, 2.) La
folie
impulsive n'est pas une folie des actes dans le s
h (Jahrb. f. Psychiat., VU, 1, 2.) La folie impulsive n'est pas une
folie
des actes dans le sens des anciennes monomanies
IE MENTALE. XXIV. Importance DE la MIMIQUE POUR LE diagnostic DE la
FOLIE
; par SiKonsKy, (Neurol. Centralbl., 1887). Re
dans la mélancolie stupide-la manie - la démence secon- daire, - la
folie
systématique secondaire,-les états dégénératifs.
THOLOGIE MENTALE. 255 XXVII. DES allures DU POIDS DU corps dans LES
folies
périodiques; par W. STARK (Allg. Zeitsch. f. Ps
s l'immense majorité des cas, la tuberculose a été consécutive à la
folie
. Le mé- lancolique et le stupide subissent en e
sévérité exagérée. P. K. XXXV. DE L'ÉPfLEPSIEjACKSONNIENNE ET DE la
folie
; par E. MINDEL. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., X
ui, doit être considérée comme appartenant aux cas dans lesquels la
folie
n'est qu'un accident absolument indépendant du
r une bonne image d'ensemble. A fortiori quand, ainsi que dans la
folie
systématique, le délire intervient et crée des pe
anormales), des hallucinations. Il est fréquent, excepté dans la
folie
systématique et la démence avec humeur gaie, de v
DE M. BALL. M. GAUIt.IND (de Rouen) rapporte un cas de Guérison de
folie
à la suite d'une opération de cataracte. M. Ség
MM. J. SÉGLAS et P. SoLLIER rapportent une observation intitulée :
Folie
puerpérale. Amnésie; Astusie et Abasie; Idées dél
me manifestation pathologique. - M. DUBUISSON lit un mémoire sur la
Folie
traumatique. - L'am- nésie accompagne presque t
ns d'indemnité, d'établir les rapports entre le trau- matisme et la
folie
. M. Dubuisson pense que le traumatisme peut pro
de la parole et des sens. M. BAYOL (de Rouen) lit un travail sur la
folie
dans les prisons, d'où il résulte qu'il existe
ie et mala- dies nerveuses de Berlin. M. ROLLER (de Brake) sur la
folie
héréditaire. Ce mémoire a été lu dans la derniè
', son processus univoque frappe beaucoup d'organes, tandis que la
folie
se localise sur un seul; les aulres phénomènes
tance de recueillir des chiffres exacts relatifs à l'hérédité de la
folie
; la proportion oscille entre 4 et 90 p. 100. Il
généralisé dans les idées avec hallucinations sen- sorielles ; une
folie
systématique chronique est imminente. M. Schuch
avons eu une petite épidémie d'in- fluenza. Celle-ci transforma une
folie
circulaire légère en mélan- colie grave. Elle a
rlottembourg). De la thérapeutique locale dans ses rapports avec la
folie
. Observation d'un malade ayant été éner- giquem
es laryngologistes; finalement, on s'aperçut qu'il était atteint de
folie
systématique avec prédominance d'hallucinations
ntes : 10 à côté de la paralysie générale par congestion propre des
folies
congestives se termi- nant par paralysie généra
éorie explique le mécanisme de la curabilité et de la mort dans les
folies
toxi- ques ; de l'incurabilité et des cas curab
susceptible de se rencontrer dans les multiples expressions de la
folie
, capable de se restreindre ou de s'étendre, par c
os abonnés 2 fr. 75 304 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE- Garnier (P.) La
folie
à Paris. Etude statistique, clinique médico- z
ermina- tion de troubles chromatiques faibles. CLINIQUE MENTALE
FOLIE
PUERPÉRALE; AMNÉSIE; ASTASIE ET ABASIE. IDÉES D
au Congrès de médecine mentale de Rouen (séance du 6 août 1890).
FOLIE
PUERPÉRALE ; AMNESIE, ETC. 38ï I Antécédents pe
car elle disait dans son délire que sa tête allait éclater, qu'elle
FOLIE
PUERPÉRALE AMNÉSIE, ETC. 389 allait devenir fol
lacer. Examen DE la malade. - Femme de petite taille, d'un embon-
folie
puerpérale; amnésie, ETC. 391 point moyen, brun
ace et elle s'assied en prenant une attitude béate et satisfaite.
FOLIE
PUERPÉRALE '. AMNÉSIE, ETC. 393 Nous noterons c
mps elle est entrée, ni le jour, ni le mois, ni l'année, et ne juge
FOLIE
PUERPÉRALE ; AMNÉSIE, ETC. 395 même de la saiso
mystique de ses idées délirantes. C'est en somme un cas atténué de
folie
communi- quée. Etant donné le tempérament parti
ns lesquels viennent rentrer les modifications de la marche et de
FOLIE
puerpérale; AMNÉSIE, ETC. 397 la station debout
uchement. Mais, 1 J. Sully. Les illusions du sens et de l'esprit.
folie
puerpérale; amnésie, etc. 401 dans tous ces cas
d'hui rentrer dans le domaine de la conscience pour que la malade
folie
puerpérale; amnésie, ETC. 03 puisse marcher à n
r BIAUTE. Des faits relatés dans ce travail, il ressort : 1° que la
folie
simple peut survenir dans la vieillesse et qu'u
encore du groupement par périodes quinquen- nales. ~ P. K. XLVII.
Folie
DE l'enfance ; par KELP. (Allg. Zeitsch. f. Psych
lure rappelle surtout, dit M. Nasse, les brusques transitions de la
folie
circulaire mais on ne saurait ici se tromper, p
qui engendrent des idées délirantes et consécutive- ment un type de
folie
systématique. P. K. XLIX. De l'atténuation DE l
ique, affection organique du coeur. Pas d'autopsie. Observation Il.
Folie
épileptique chez un enfant. Il s'agit d'un garç
onte à 1863. M. Neisser exalte notamment le groupe des pamnoéses ou
folies
intellectuelles sys- tématiques, bien supérieur
es des per- sécutions. Le second se compose de : manie, mélancolie,
folie
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 44'1 systématiqu
sé par le para- graphe 2 du Code pénal autrichien. P. K. LX1V. La
folie
induite; par J. Jjerger. (Allg. Zeitsch. f. Psy
u'elle ne soit reconnue, de la façon la plus évidente', atteinte de
folie
furieuse. Il n'y a pas longtemps, une jeune femme
Il n'y a pas longtemps, une jeune femme, qui avait le même genre de
folie
que le meurtrier du Dr Loyd, fut déclarée folle
75 ; - la nouvelle législation des -, par Giraud, 275. Amnésie et
folie
puerpérale, par Séglas et Sollier, 273, 386.
atomie pathologique, de la paralysie -, par Krauss. 251. Doute,
folie
du - par Kowalewsky, 102. Dyslexie, cas de-pa
et l'excré- tion d'acide urique,par Haig,255; - Jacksonntenne, et
folie
, par : lfende1,258;-trépanation tardive dans un
k, 263. Fièvre typhoïde chez les aliénés, par Percy Smith, 102.
Folie
, de l'adolescence, par Keay, 103; - syphilitiqu
Babinski, 305. Mimique, importance de la pour le diagnostic de la
folie
, par Si- Lorsiiy, 2af. Moelle '1¡I'IJi,HE, an
2, par Misslawski, 432. Saturnisme, chronique avec épilepsie en
folie
, par Ruxton, 101. SCIATIQLE, complication spéci
l'âge du malade (lez ans) ; on n'est guère habitué à obser- ver la
folie
aiguë à cet âge. Il est difficile d'autre part de
aiguë à cet âge. Il est difficile d'autre part de voir là un cas de
folie
de la puberté, car le malade ne présentait aucun
il faut donc admettre qu'on se trouve bien en présence d'un cas de
folie
aiguë chez un très jeune sujet '. IL 111. C.
surer par le taux de la mortalité des enfants nés dans ' Les cas de
folie
chez les enfants ne sont pas rares ainsi qu'on pe
ensemencements bacté- riologiques négatifs. F. 1301SSIER. IX. La
folie
chez les enfants; par (LETCfIER 13E.ACU. (The Jou
ent de ce siècle que les auteurs ont accordé quelque attention à la
folie
des enfants. Les causes qui la déterminent sont
sis, la manie homicide, la mélancolie, la manie, la choréomanie, la
folie
morale, l'hystérie. Kelp a même rapporté un cas
omanie, la folie morale, l'hystérie. Kelp a même rapporté un cas de
folie
circulaire chez un garçon de treize ans. Le sui
nfants de Bicêtre de nombreux exemples des différentes formes de la
folie
chez les enfants et les adolescents. Il y a là
et obsédante touchant l'état de l'organisme, sorte d'ébauche d'une
folie
hypochondriaque. Enfin, on voit aussi se dévelo
des plus bizarres, capable d'entrainer le sujet à toutes sortes de
folies
, de ridicules et de préjudices. L'élément fon
que l'on y suit demeure inapplicable à un grand nombre de cas de
folie
. D'autre part tous les cas admis n appartiennent
ne pourrait répon- dre que s'il était possible de déterminer si la
folie
est plus fré- quente chez les indigènes de Ghee
ue ; mais l'opinion des habitants et celle du Dr Peeters est que la
folie
n'est pas plus commune à Gheel qu'ailleurs. Col
que de lumières, déclara que « rien n'était plus contagieux que la
folie
» et que tant qu'il serait en place, pas un ali
vieux. Après avoir déclaré que Dupl... a été « repris d'un accès de
folie
», le jour- naliste ajoute peine inutile que Du
vaincu d'hérésie, et Morin, qui n'était qu'un malheureux atteint de
folie
, fut condamné à être brûlé vif. « Le 14 du mois
e syphilitique avec signe d'Argyll-Robertson. RECUEIL DE FAITS.
Folie
de l'adolescence ; Par BOURNEVILLE et BELLIN.
E FAITS. Folie de l'adolescence ; Par BOURNEVILLE et BELLIN. La
folie
de l'enfance et de l'adolescence, malgré quelques
neuf ans : délire, léger ' Filibiliu. Contribution iz l'étude de la
folie
de l'enfance. FOLIE DE L'ADOLESCENCE. 113 aff
er ' Filibiliu. Contribution iz l'étude de la folie de l'enfance.
FOLIE
DE L'ADOLESCENCE. 113 affaiblissement de la mém
moire. - Premiers troubles intellectuels, hallucinations visuelles,
folie
mystique qui font renvoyer l'enfant de l'orphel
mission au bout de quelques jouis. En avril 1899, nouvel accès de
folie
sans délire religieux, durée quelques jours. -
te « asthmatique ». Un oncle paternel, cardiaque, sobre, est mort
FOLIE
DE L'ADOLESCENCE. 1'15 subitement. Un autre onc
ant présente un visage rosé, elle n'est ni grasse ni maigre, parait
FOLIE
DE L'ADOLESCENCE 117 -1 en bonne santé physique
es de l'en dissuader, elle se fâche, devient mé- chante, rageuse.
FOLIE
DE L'ADOLESCENCE. 119 Le soir, l'enfant est d'u
travaille bien tant en classe qu'au repassage ou à l'ouvroir.. -.
FOLIE
DE L'ADOLESCENCE. 121 1 juillet. - G... semble
la scrofule et le lymphatisme, le rachitisme et l'ostéomalacie, la
folie
et le crime sont toutes formes morbides qui peu
e cas réels de maladie mentale familiale. Il fait exception pour la
folie
suicide et pour le délire religieux. Celui-ci é
ANTES. 163 atteint après son frère, de pronostiquer la marche de la
folie
chez lui par l'observation de ce qu'on a consta
ommunication que lorsque dans une famille un membre était frappé de
folie
, si un congénère venait à 164 SOCIÉTÉS SAVANTES
tre les aliénés et les asiles d'aliénés, d'étudier les causes de la
folie
et les combattre, de hâter le traitement des mala
e). On the Archives, 2' série, t. X. 12 178 varia. evolution of
folie
du doute [De l'évolution de la folie du doute), p
. 12 178 varia. evolution of folie du doute [De l'évolution de la
folie
du doute), par le or Hugues (de Saint-Louis (Et
ue), par le professeur Meschede (de Koenigsberg (Allemagne). Sur la
folie
systématique. par le Dr Séglas, médecin de Bicê
itement (repos au lit) dans le traite- ment des formes aiguës de la
folie
et des modifications qu'il pour- rait entraîner
leurs par tous les médecins un peu au courant de l'his- toire de la
folie
. Ici le médecin n'a pas hésité â faire son devo
ait juré de tuer, vint raconter il t84 VARIA. M. Rousselot que la
folie
de cet homme était simulée et qu'il était le co
. Chaque fois qu'il était sur le point d'être arrêté il simulait la
folie
. A la suite de ces révélations, on mit le préte
r s'évader, ni où il est. (Le Temps, 6 mars 1900.) Dans un accès de
folie
, une femme Villain, âgée de cinquante- quatre a
troces souffrances. (Le Bonhomme Normand, 23 au 29 mars 1900.) La
folie
de l'assassinat. - Un gardien du Palais de justic
188 hier que le dîner était servi, M. Duplais, repris d'un accès de
folie
furieuse, s'arma d'un fusil de chasse et fit fe
sous un train, à Bordeaux, et a été décapité. On dit que c'est la
folie
qui l'a conduit à se donner la mort. (L'Indicateu
ents l'avaient frustrée de ses droits. La malheureuse joignait à la
folie
des grandeurs celle de la persécution qui, en f
ndeurs celle de la persécution qui, en fin de compte, a tourné à la
folie
furieuse. - Cette maison est à moi, déclara-t-e
dire qu'elle opérait littéralement une saisie- brandon. Cet acte de
folie
n'a pas eu, . heureusement, d'autre conséquence
eph Dallet, domestique à Cambremer, s'est suicidé dans un moment de
folie
. (Le Bonhomme Normand, 8 au 14 juin 1900.) - ·
n mentale. Ce malheureux était pris hier après-midi d'un accès de
folie
furieuse et se frappait sur la tête à coups de ma
enaçait ses voisins. On dut le ligoter pour l'emmener. Cet accès de
folie
furieuse est attribuée à l'alcoolisme. Le mêm
ante-trois ans, ouvrier carrier à May-sur-Orne, a, dans un accès de
folie
, frappé à coups de pelle, sur la tète, le sieur
sa vie en danger. Cette femme semble avoir agi sous l'empire de la
folie
. Elle a déjà été internée au Bon-Sauveur. Folle
à la 1 re classe exceptionnelle. FAITS DIVERS. 191 Religion ET
folie
. L'extrait suivant est bon il rappeler. Il s'agit
er. Il s'agit d'une réponse de Leuret à Heinroth qui considérait la
folie
, non pas comme une maladie du corps, « mais com
n coeur, l'image de Dieu. c'est méconnaître les innombrables cas de
folies
engendrées par la vie ascétique et par la super
que, c'est ignorer l'influence qu'exercent, sur la production de la
folie
, les blessures à la tête, l'ingestion de certai
'inflammation des méninges, etc., etc. Se refuser à admettre que la
folie
soit trans- missible, par voie de génération, c
ce que l'on voit tous les jours. » (LEURET, Traitement moral de la
folie
, p. 147.) Suicides d'adolescents. - Bouquetot.
lors être considéré comme une manifestation d'une certaine forme de
folie
. Les malades sont, dans ce cas, comme ces jeune
s suivantes : 1" Il ressort de cette étude que l'appréciation de la
folie
échappe manifestement à la compétence des magis
les ne sont pas de sa compétence, et employer le terme générique de
folie
ou aliénation mentale. Après avoir passé en rev
tale. Après avoir passé en revue les expressions dominantes de la
folie
, pour faire connaître les principales influences
n malade ayant été considéré par tel spécialiste comme atteint de
folie
systématisée chronique et déclaré irresponsable,
e dans la jeunesse), voleur précoce. En pri-on, il a été atteint de
folie
systématisée subaiguë (idées de persécutions et
éanmoins l'accusé est excusable. P. KERAVAL. V. Servitude pénale et
folie
, par A.-R. Douglas. (The Journal of Mental scie
nglaises d'être comme on l'a prétendu des agents provocateurs de la
folie
. R. M. C. VI. Notes sur un cas propre à ouvri
illet 1896 ; il était âgé de cinquante ans, avec des antécédents de
folie
dans sa famille et pouvait être considéré comme u
les premiers admettaient que certaines formes et certains degrés de
folie
entraînaient seuls l'irresponsabilité, tandis que
responsabilité, tandis que les seconds repoussaient presque tous la
folie
partielle telle que la concevaient les légistes
son suivant l'au- teur, que toutes les formes et tous les degrés de
folie
impliquaient l'irresponsabilité. A cette époque
suicide de Jean-Baptiste était dû, en effet, à l'alcoolisme et à la
folie
. (La Petite Gironde, 25 août.) Pour une illumin
, un vigoureux effort se dessine pour assurer le traitement de la
folie
et la réalisation pratique des divers modes d'ass
stigmates si caractéristiques de la dégénérescence. Il en est de la
folie
comme des autres affections. Est-ce qu'un psorias
sur un cerveau en état de moindre résistance, peut faire éclore la
folie
; sans cela, on ne s'expliquerait pas pourquoi pa
eux, de syphiliti- ques, etc., un si petit nombre est touché par la
folie
. Du reste, en lisant les observations de psycho
ttirer l'attention sur les troubles somatiques dont s'accompagne la
folie
, troubles autrefois, sans doute, un peu trop né
mps l'asile, considéré comme le seul instrument de traitement de la
folie
, recueillait pêle-mêle tous les aliénés ; peu à
i\I1. larro, J. Voisin, Ziehen et Cullerre ; 2° L'alitement dans la
folie
. Rapporteurs : MM. Neisser, Korsakoff et More)
alent dans la puberté, sont à part l'hébéphrénie les suivantes : la
folie
circulaire, la manie, la mélancolie, la paranoï
paranoïa hallucinatoire aiguë (amentia de quelques auteurs) et les
folies
hystérique et épileptique ; 4° Les modification
de l'auto- intoxication dans la genèse d'un grand nombre de cas de
folie
de la puberté. M. MA131LLI, (Le Rochelle) a o
s psy- choses diverses, sans qu'on puisse affirmer qu'il existe une
folie
de la puberté à physionomie clinique spéciale.
les antécédents héréditaires et persounels du sujet. Au terme de :
folie
pubérale, l'orateur préfère celui de « folie de
u sujet. Au terme de : folie pubérale, l'orateur préfère celui de «
folie
de l'adolescence ». (C'est sous ce titre que nous
chez 2 à la suite du troi- sième. Dans 4 cas, l'accès a dégénéré en
folie
systématisée secon- daire avec affaiblissement
en folie systématisée secon- daire avec affaiblissement mental ; 3°
Folies
périodiques, 20 cas. Toutes les formes y sont r
groupe le plus favorable au point de vue du pro- nostic éloigné; 5°
Folies
avec conscience (obsessions et impulsions) 9 ca
gné; 5° Folies avec conscience (obsessions et impulsions) 9 cas. La
folie
avec conscience dure en général la vie entière;
édents tendent à établir que : si le pro- nostic de l'accès dans la
folie
de la puberté, est favorable dans l'énorme prop
e est voué pour l'avenir aux récidives, à la démence pré- coce, aux
folies
périodiques, aux retours agressifs de la folie de
ence pré- coce, aux folies périodiques, aux retours agressifs de la
folie
des obsessions. Le sort le moins triste qui pui
et de M. HuGuEs (de Saint-Louis, Etats-Unis). Sur l'évolution de la
folie
du doute. Sur la nature de l'hystérie. M. OsK
néré avec deux accès vésaniques antérieurs. Entre les deux accès de
folie
, son malade contracta la syphilis. (.1 suivre.)
nagère. Hier après midi, Lerentier fut pris d'une violente crise de
folie
au cours de laquelle il traita sa femme de mang
Anne, et que la terrible fin de sa femme devrit être attribuée à la
folie
. M. Brunet, commissaire de police, a ouvert une
3° question générale : De l'ulile- lement dans le traitement de la
folie
ou clictolhércclfie. L'auteur du premier rappor
es femmes. Ils les ont divisées en deux groupes : 1° celles dont la
folie
était ancienne ; sur celles-ci ils ont plus par
étudié les effets symptomatiques de l'alitement; 2° celles dont la
folie
était récente ; sur ces dernières ils ont surto
que l'on regarde comme susceptibles de guérison (manie, lypémanie,
folie
post- infectieuse, folie psycho-sensorielle, la
usceptibles de guérison (manie, lypémanie, folie post- infectieuse,
folie
psycho-sensorielle, la folie des persécutions e
e, lypémanie, folie post- infectieuse, folie psycho-sensorielle, la
folie
des persécutions exceptée, folie alcoolique).
euse, folie psycho-sensorielle, la folie des persécutions exceptée,
folie
alcoolique). Sur ces 55 malades : la guérison d
t Ardin-Delleil, prenant leurs malades atteints des mômes genres de
folie
que les alitées, ont établi pour les années 189
ffet, de 43,6 p. 100. D'où les conclusions suivantes : ' a) Dans la
folie
ancienne, l'alitement, comparé au lever, n'a au
sur le délire, ni sur l'agita- tion ou la dépression ; b) dans les
folies
récentes, envisagées au point de vue de la cura
ar KRA EPELIN. (Psychiati-ic, Barth, Leipzig, 1899.) Sous le nom de
folie
de la période d'involution sénile, l'auteur gro
e l'involution psychique par l'apparition de formes spéciales de la
folie
. Malgré certains traits communs avec les psycho
e peuvent être considérées comme des phases d'autres formes de la
folie
. En outre des troubles de la vie affective, le ta
font point partie de la mélancolie. Ils appartiennent, ou bien à la
folie
ma- niaque-dépressive, ou à la démence précoce
ou à la démence précoce : quelques cas doivent être attribués à la
folie
des dégénérés et peut-être aussi à l'hystérie.
i à l'hystérie. D'autre part, il ne faut pas oublier que parfois la
folie
maniaque- dépressive n'apparaitqu'àlapériode d'
aduit son humeur anxieuse ou excitable, la période dépressive de la
folie
circulaire est caractérisée avant tout par l'in-
e.) Une femme Ballay, demeurant à Vinay (Isère), dans un accès de
folie
, a profité du sommeil de son mari pour lui ouvrir
de quarante-quatre ans, demeurant 25, rue Bichat, atteinte de la
folie
de la persécution, s'est suicidée hier à son domi
yé à l'infirmerie spéciale du Dépôt. (Le Matin, 20 septembre.) La
folie
des grandeurs chez un cocher de corbillard. Les j
Les jour- naux de Paris racontaient, ces jours-ci, l'étrange cas de
folie
de ce cocher des pompes funèbres, nommé Françoi
le reste : le malheureux est devenu complètement toqué, et hier, sa
folie
, très douce jusqu'ici, s'est changée en furieuse
é une grande quantité d'alcool, s'est précipitée, dans un moment de
folie
furieuse, sur son petit-fils qui jouait avec d'
esseur Ed. Hilzig a fait paraitre une importante monographie sur la
folie
des persécutés- persécuteurs, sur la place qu'i
s questions médico-légales qu'elle soulève2. M. Hitzig considère la
folie
des quérulants comme une forme du délire systém
'accepte pas ces états d'obsession-impulsion comme appartenant à la
folie
, la défense aurait à plaider en prou- vant que
e Leuret, empruntées à son beau livre : Le traitement moral de la
folie
. On verra avec quelle bonne volonté le Conseil
ion de l'efficacité qu'elles peuvent avoir dans le traitement de la
folie
, et j'adresserai à ceux qui ont fait ces tentat
mais trop rarement mis en pratique. (LEURET, Traitement moral de la
folie
, p. 169 à 181.) * ... Quand j'ai provoqué des i
ne légale peut avoir à s'oc- cuper. VU ! . EI\OTOI.\"'1E, Dans la
folie
de l'amour chaste (Esquirol), ce n'est pas la s
s rapports avec les perversions sexuelles; par SUTIIERLAND. De la
folie
systématisée; par M. le Dr SEGL.1S. De la sugge
vant d'une génération à l'autre, et qu'on rencontrait souvent la
folie
morale dans la descendance des aliénés. L'exactit
u annihilée par celle du générateur bien portant. L'expression de
folie
morale désigne une grande perversion morale, ca
nérescence intellectuelle, que personne ne regarde, pas plus que la
folie
, comme un retour atavique. Ils ne sont d'ailleu
eut servir à établir une classification des diffé- rentes formes de
folie
. SECTION DE PSYCHIATRIE. 491 l nous l'avons o
rales chez les dégénérés s'explique facilement par les causes de la
folie
, qui consistent ordinairement dans une excitati
re qui, comme nous l'avons dit, est progressive. Pour empêcher la
folie
et le crime, qui sont bien de la même z famille
rencontrait dans 68 p. 100 des cas comme facteur étiologique et la
folie
dans 38 p. 100 des cas. 5m/" la physionomie el
, au cours de recher- ches faites sur les causes héréditaires de la
folie
; ont été amenés à étudier, parmi les effets de
e por- tés à un haut degré, sans toutefois constituer une véritable
folie
; l'hérédité nerveuse; l'hérédité diathésique; l
lus de la pléni- tude de ses facultés, avait été pris d'un accès de
folie
furieuse et s'était enfui de chez lui, après av
spéciale du Dépôt. (La France du 26 oc- tobre 1900.) Drame^de la
folie
. Mme Mélanie Gayltout, âgée de trente et un ans
Azelma Auvray a été prise d'une crise d'hystérie qui a dégénéré en
folie
furieuse et qui a motivé son transfert à l'hôpi
us et blépharophimosis. Ici sorte de mal- formation. P. K. VU. LA
FOLIE
dans ses rapports avec la loi ; par le Di\ORTON i
élâit`i·esponsable ou irresponsable de ses actes. Dans quel cas de
folie
le malade est-il irresponsable ? Personne ne me
cas suivants : 1° lafolieavec illusions et hall ucinatiolis; 2° la
folie
avec débilité mentale ; 3° la folie impulsive.
ions et hall ucinatiolis; 2° la folie avec débilité mentale ; 3° la
folie
impulsive. Dans le premier cas, l'auteur tient
ury. .,AmcWceM.)OM;')Ko/'M ! S6[y, 1893.) E. 1)'. VIII. UN cas DE
FOLIE
POST-CHOLÉRIQUE A forme DE confusion mentale -
t 1893.) ? R) .,r ? t43^vpu . ;t> ? M ? i 1 ab a fil B. IX. La
folie
A DEUX,'< ses . diverses formes cliniques; t
-'ii' ,Au point de, vue clinique on peut considérer trois formes de
folie
à deux : 'Ti.ip ,9 i° La folie imposée, celle
on peut considérer trois formes de folie à deux : 'Ti.ip ,9 i° La
folie
imposée, celle qui répond' au type Lasègue-Falret
e 7 ? toinciit suffisantes pour provoquer le développement , de, la
folie
? (OBSILIy,t$111w31 1r't ? 1-yf3a ry jyno qiw\. t
/dans cette,forme, jusqu'à l'alié- nation confirmée ? comme dans la
folie
simultanée, la séparation Jieïnet,pasfin,;audél
e .-), ;r,nt ,.nJ,i<5c·Y .J.t ? nl., . z n La folieimpgsée et la
folie
, communiquée ne se distinguent que par, l'inten
ormes intermédiaires. Dans le développement de toutes les formes de
folie
à deux, ou retrouve'trois conditions communes :
nière condition explique ce fait, que la plupart des cas publiés de
folie
à deux,appartiennent-au délire de persécution, ca
ait, dans l'intervalle, examiné.troisdes,.sinculpésc,et conclu à la
folie
.' ' Mais la Cour n'autorisa pas les experts à d
; > .'I"" ' im it ? )' ' VII1 ? CONTRIBUTION A L'ÉTIOLOGIE DE la
folie
puerpérale; .. t. 1,, . ^^ 1. par le D ID.1NOF.
. (Anaales niéclico-psychol ? 1893.) E. B. XIX. Statistiques' de la
folie
dans NEW-SOUTH-WALES (AUSTRALIE), considérées p
st naturel- lement calme, peu passionné, d'où la décroissance de la
folie
. La proportion des femmes aliénées est plus for
inois. ' ,« ? " Si l'on considère l'âge des aliénés, on voit que la
folie
se'déve- loppe peu jusqu'à vingt ans (3 p. 100)
Au sujet des hyperesthésiques, l'auteur rappelle le chapitre de la
Folie
Jalousie de Trélat, et le livre de Dorez; il cite
. XXII. Influence des- maladies' accidentelles sur'la marche DE H
folie
; par le Dr CAUGER. (IL baziconzio, fasc. 1-2, 489
essé ta théorie qu un criminel ne pouvait être excusé pour cause de
folie
, si ce n'est lorsque, cette, folie le faisait r
ouvait être excusé pour cause de folie, si ce n'est lorsque, cette,
folie
le faisait ressembler à une bête. Les progrès d
lI `Nâ'ùgliteii° : ils'établirent que'c'est l'action qui prouve la
folie
. , Non', une action folle en'apparence peut êtr
f : a , ·H ) ? ' ''Aspect légal de la question È"a'I"o-i définit ta
folie
« une manière de se conduire ? et non'* une mal
re considéré comme responsable. ' '^Aspect Il c'st faux de juger la
folie
d'après la conduite,3 comme fait là·loi. ' , '
omme, on ne peut pas établir a priori de moyens de recon- naître la
folie
et par suite la responsabilité. Il est absurde, i
RELA'PIONS ANTfiR01'OLOGICO ? D10LOGIQUES ? entre le ' crime ET LA
folie
chez la* ILmlf : ;5pâr'l ? Nci;E : (dlleg : tZeit
a vie mentale d'un sujet, il faut, même quand on ne constate pas de
folie
menstruelle, faire bénéficier l'accusée, en ce
tFw a'[u' ml ae> ? 't.ui.qff ? si 'xq frinc fit 9r ? IX. L : 1
FOLIE
INVOQUÉE DEVANT LES TrtIBUN.1UX ? pa.u GeOiH ? S4
les' tribunaux ? sur -l'usage1 ou l'abus que font les avocats de la
folie
invoquée comme excuse 1 OU-3 comme'cause'de'non
s, le bon sens dans le tan- gage, ne sont pas incompatibles avec la
folie
. La loi française est conçue de, façon à prévoi
La loi française est conçue de, façon à prévoir tous les cas,de .
folie
. Article 64 'du Code péizal ;· il y a pas crime o
ty,A893.) , Il iiti{l g tE. LB. i-.JeXII. Guérisons heureuses DE la
folie
; par le D ? P.-M.1,WisE. " ? D'après'Tuhe'et le'D
la marche du « crime à deux » sont les mêmes que celles'du'type'de
folie
" à- deux décrit par' Lasègue"et Falret'et auqu
questrer* dans^un 'asile, sans son assentiment, un' citoyen dont la
folie
n'est pas démon- trée. » Il n'y avait qu'un moy
Ce discours résume les progrès accomplis dans le traitement de la
folie
(construction d'hôpitaux, progrès de la thérapeut
r leur pathogénie. Deuxième question. Le traitement rationnel de la
folie
basée sur les indications étiologiques. 76 VA
t - c'io Pathologie mentale ? des- rapports de l'hystérie et de la
folie
.' Rapporteur ? f.'Gilbert'B.&LLET,' Prof 1e
s du mardi seront consacrées à l'étude pratique du diagnostic de la
folie
. Les leçons porteront plus particulièrement, ce
es suites de. , couches (63 p. 100). C'est d'ailleurs le type de la
folie
aiguë des jeunes REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1
ancolie y est plus rare de beaucoup; la manie, plus rare encore; la
folie
épileptique,' exceptionnelle. Rareté de la folie
us rare encore; la folie épileptique,' exceptionnelle. Rareté de la
folie
.parah tique et de la folie circulaire' consécu
leptique,' exceptionnelle. Rareté de la folie .parah tique et de la
folie
circulaire' consécutives à la puerpéralité. Plu
colie de- la ménopause, ou la paralysie générale, souvent aussi' la
folie
systématique hallucinatoire. , ? .. i >« ? .
s d'inflûenza; 9° y a-t-il une psychose spéciale à l'influenza, une
folie
grippale ne se mon- trant pas après d'autres ma
i ? 1 c. Psychose pseudo-mrluenzique, la grippe ayant provoqué la
folie
chez 'des individus'fortement prédisposés, de,mêm
uïe ont persisté. Comme on le voit, il ne s'agit pas là d'un cas de
folie
sympathique essentielle, car les lésions somati
angoisse neurasthénique dans SES rapports avec les obsessions ET la
folie
du doute (D'ORIGINE primordiale; par KAAN. (Jah
des individus atteints d'an- goisse neurasthénique, ainsi que de la
folie
du doute primitive. Théorie de l'hyperexcitabil
ttaques apoplectiques laissant après elles des paralysies, accès de
folie
périodique. Les mois inconstants d'octobre et de
hypochondriaque. P. K. XLVII. CONTRIBUTION A la connaissance DE la
folie
systématique périodique; par KAuscH. (Archiv. f
inique assez rare, dont voici un nouvel exemple. Conclusion : 1° La
folie
systématique périodique survient, comme les aut
tions et les idées délirantes ne sont pas aussi impérieuses dans la
folie
systématique périodique que dans la folie systé
aussi impérieuses dans la folie systématique périodique que dans la
folie
systématique ordinaire; 3° les phéno- mènes mor
Six observations personnelles (4 h., 2 f.) comprenant : manie (4);
folie
alcoolique avec mélancolie (1); folie neurasthé-
2 f.) comprenant : manie (4); folie alcoolique avec mélancolie (1);
folie
neurasthé- sique (1). , La maladie de Basedow
resta seize mois chez le De F.... « pour une attaque de nerfs avec
folie
», selon sa propre expression; de là il fut tra
hommes, ils sont souvent cités, c'est qu'ils doivent avoir existé (
folie
de doute sur laquelle nous reviendrons). » Il p
épisodiques qu'il présente manifeste- ment, et en particulier de la
folie
du doute, qui n'est, comme l'a établi M. Magnan
de la sienne qui. justifient bien l'expression souvent employée, de
folie
avec conscience, pour désigner la folie de ces
ession souvent employée, de folie avec conscience, pour désigner la
folie
de ces héréditaires. Qui'plus est'.il se doute
rtrier et une étude séméiologique suc- cincte de l'homicide dans la
folie
. t y Ul ,. Partant de ce principe, que la tenda
insistant. sur la façon dont il réagissait sous l'in- fluence de la
folie
. , Mais on -ne. pouvait invoquer aucune des cau
intrântes; démence progressive ; arrêt de développement physique;
folie
épileptique; épilepsie corticale; disparition'du
ement au'point de vue spécial dela«foiie'myxoedémateuse»ÏLes cas de
folie
propre- ment "dite] au^cours'dù^myxoedèmé"' son
i '' » `' IL; Des;progrès- réalisés ;DANS'.LE ? TRAITE31ENT. DE- la
folie
; , par `L'I : THLISSEMENT d'écoles pour- le pe
ue dé quelque valeur,' il résulte des recherches de l'auteur que la
folie
* est relativement peu commune en Grèce : cela s'e
raison'de croire que la population en général ait de tendance à la
folie
; 5° cette augmentation du nombre1 des ,aliénés
ème classes se forme actuelle- ment. 37ela 3M ? 1 ! UH Les cas de
folie
aiguë et curables, les malades infirmes sont tous
jour seront les suivantes : 1° Des rapports de l'hystérie et de la
folie
; 2° Des névrites pé ? -iphé- riques ; 3° De l'
t très variables. "j1^1 <*" .itn -».x 'it>> > ' » a) .'
Folie
? L'hallucination de la vue'në s'observe pas dans
es aiguës,' elle est'rare ou même manque complè- tement dans' les t
folies
-'clioniqu'e's'.3 Lasèg'ae prétendait que l'hal
Iw97 fi3J'nnt : f';^3 i , Voir pour cette, théorie, Calineil, De la
Folie
, t.l,p : '112;tJe regrette ] de ne pouvoir, en
lt;i't > f »» ,. ,,t /»< i XLIX., Irocbles trophiques dans la
folie
;, par, le FRANK Hoyt. *' "...J fW -lilt ! . Z)
L slla3 ril lune , ? 9'if.qiaihq eal xado amaup-i'il z .-.«oc ? L.
Folie
puerpérale ;-par tWii"i%,i tfBVB'f ! 9ts'I3nnsn
ncl anol ab 9~"pjs«w~~ 1 ,zso asb ihll « F- i;tn : u Sur 140 cas de
folie
,puerpérale. observés, par l'auteur, 30 se sont
`le premier, et le second, mois,de l'accouchement, constituant' les
folies
de'l'accou- - chement,,et,46,ont-apparudeug moi
,et,46,ont-apparudeug mois après l'accouchement,1 cons- tituant les
folies
de`la latation.S911J qbiqB-1 2é·JJ ""(fab n. 4'
ue ? hauteurpa ? eneontré 14 tentatives de suicide., Les. cas r de,
folie
, de. ,1a grossesse ont,trait, ,)[ t ? < . .'
ant c ? mm.e Slen- <, lqijz),6qo 'p4 p^h ? Jb lq ? i-" 61 cas de
folies
de 1 accouchement, ,.40, P. ,100ndestmalades on
utes sont,,plus nombreuses dans lafolie déràccouchemèntjque dans la
folie
, de ^lactation; et sont caractériséès·pâiléürs,
on maniaque, est d'un pronostic défavorable, sauf dans les cas de ?
folie
, de t .1 accouchement. ,j« 9)'< ? barn nf'jB
)'< ? barn nf'jB'03 ? ) é à"ii"ton- kid8^ub.I ? Le pronostic de,la
folie
puerpérale est,,du,reste. différent suivant ..q
è,,de , l'accouchement ou. de'la. lactation : ainsi .sur,30,,cas de
folie
de la grossesse, il 'éût ,i3 `îiérisôns, soit r
400rêt 1" assaâes à l'état chronique,s ? tt 4p. 100 ? sur, 64, cas
folie
de I,àci6t, r t-t *ït -2' ')'.1 ? t i 1JJÏ ' '
sran avait e]e Lï se f. c noa ia g^vlc-^a ' Enfin, sur 20 cas..de,
folie
de la .lactation, .46 guérirent, .soit, 50 p. 1
ent, .soit, 50 p. 100 : ( la, durée avait été de 5 mois et demi. La
folie
puerpérale est beaucoup plus fréquente chez les
puerpérale est beaucoup plus fréquente chez les primipares, sauf la
folie
de la lactation, spéciale,auxj'nuitipares.q «mo
ale,auxj'nuitipares.q «mol . 1 Dans ;3 p. 100 des cas, l'attaque de
folie
puerpérale n'avait été t précédée d'aucun'e'att
ue de folie puerpérale n'avait été t précédée d'aucun'e'attaque de'
folie
antérieure 9b SB9 1)4 t -Ili ? l .Au point de v
ncé, dans les délires systématisés et les diffé- tentes variétés de
folies
lucides;) ? »- - 7 a'3k . Les ! maladies mental
? »> LV. Des troubles dans ? le mécanisme de l'idéation dans la
folie
.^ systématique; par,TH.ZlEfIEN. (A ? 'e/t ! 'U
. ii . in.. .Mémoire très étendu avec-observations'nombreuses. La
folie
systématique'tout'd'abord'produit des'troubles de
ou t dissociative, , forme, qu'il y a lieu ? de distinguer,, de, la
folie
systématique Simple.et de la folie systé- - REV
a lieu ? de distinguer,, de, la folie systématique Simple.et de la
folie
systé- - REVUE DE. : rATHOLOG)E ! ENTALE.M 291'
-icpn >Ir·rmt -. Toutefois, nous ne prétendons pas assigner à la
folie
systématique dissociative un rang à part, l'éle
psychopa- thie bien délimitée, car, enlre chacune des formes de la
folie
systé- matique il y a de nombreuses espèces int
e la-maladie.- 11 y a duireste- desf formes mixtes surtout entre la
folie
systématique hallucinatoire etila folie systéma
mes mixtes surtout entre la folie systématique hallucinatoire etila
folie
systématique incohérente. Mais.il importe de s'
issent soit à l'état intermittent, soit à-l'état domi- nant dans la
folie
s stéiiiatique ? tiiii, 131 1 , , ^ttl ? On y-t
guë que l'on; peut qualifier-d'lallucinaloire ? Innun mot, entre la
folie
systématique d'unes part, i. et, la mélancolie, l
quelques hallucinations isolées ! (20,accès),, d'un, syndrome^ de,
folie
, systéma- tique7hallucinatoire,avec .volubilité
., à sa quatrième attaque un ensemble qui devra être caractérisé de
folie
systématique incohérente avec ou sans volubilit
de là paranoïa. "' ? ' 'G1. Deny. / ILXIII., DFLACONTAGION de la
folie
; par le Dr. de Ba : CK..(DM. 6 f « « ? i , . So
nvi,< ,, '' Pour élucider la 'question' de' là' contagion" de la
folie
et des troubles psychiques' qui s'en râpprbchen
symptômes psycho-pathbiogiques. z 7" 'II-, montre d'abord à Se1' la
folie
ci deux comprend trois ordres'de laits distinct
, . r . ? ['rt'r. r.%i| a.l il,. ? . 1 1 ' ' , - 1191 r ,f K 1° La
folie
imposée, .dans laquelle^ un aliène impose seshéon
Il ., * sr, f Ii-t ? .1- 'O'I ' .1 'VJ I ,- . ? ,Olt ? ? . 2e La
folie
simultanée, , dans laquelle deux individus, héréd
ient prédisposés ? c6ntractenten même temps le même' délire ; 3° La
folie
communiquée ^dans laquelle un aliéné communique
a un au ii-ri. 11 n'y a contagion de troubles morbides que dans la
folie
com- ,111LIlliquée etlafolie.imposée : .Cetteco
par deux ou' plusieurs^individus (suicide à deux ou à trois),`ou'de
folie
épidémique à caractère" mystique ou reli- gieux
mples en' Russie.-1- Ces 29() REVUEIPM PATHOLOGIE MENTALE. cas de
folie
.exceptionnelle ou,épidémique, exigent également,
? .- 1., I- 1 ' t Paysanne de soixante-six ans, atteinte d abord de
folie
puerpérale, à laquelle a s'ueeédé''un'e'lypémàn
icitpéict ? s'écouler'énlre`1'accès fébrile et' l'apparition de 1(t,
folie
Il y 3, a" ici une" question d'apprécia- tion1;
1.6lipffib à jyniv nh s-ibomq fil .93* 9°'Existe-t-il une' forme de
folie
provoquée par linfluenza, qucne s'observe pas a
minelje diraient,peut-.être,,les élèves, de M. Magnan, ou bien leur
folie
surgit-elle réellement chez des indi-; vidus no
;" ! 9n : .j['. iux aoq96 b Juolss 12n iri Qkf 'r9nv : J3 f · jVII.
Folies
morale, ? et < simulation ;t rapport i médico-
·acT s uô Ja9mom un 'l '" -t IL, 3f'\o'J 4 ;,Cliristian. Epilepsie,
folie
épileplique. lliasson, 1890, p. 67.IV ? ,' llay
! eljol ! J`1 AtiA;tl lu '14 -En voici les conclusions : 1. 777- La
folie
est une maladie.du cerveau y et du système. ner
rme» avec plus de dégénération psychique (épilepsie, phrénasthénie,
folie
morale,' délinquant-né, paranoïa). Dans la cent
nt exercé d'influence sur la psy-' chopalhie ; 2° Cas classique de,
folie
à deux, chez deux, soeurs présentant du délire
ion ; 4° Deux observations de parole -^intérieure] double*, dans la
folie
systématique ; la yoix. grave affirme ou rectif
éfavorable, la menstruation cesse. Chez cinq ma- lades atteintes de
folie
circulaire, on a constaté, pendant six épi- sod
iques. Puis vient la manie avec le chinre de 19; l'épilepsie,9 ? la
folie
systématique' (5'cas) ? = l''cas de syphilis cé
e, page 10 du rapport (Francfort, 1 89f), le pasteur Hafner, sur la
folie
et le crime, dit que « le cri ? ' ' VARIA. 477
oisse neurasthénique, dans ses rapports avec les obsessions et la
folie
du doute, par Kaan, lil. Antipyrmomanie, par Ca
-, par Richard- son, 373. ,r, m > mi 1 %,- , Chanvre. indien,
folie
-par.,abus du - , pae lreland, 383. ? t . , , -
les, 226. V" " ,'lu", : ' - Crime, relations ' entre le' et la ,,
folie
chez la femme, par Neeclie, 56; = il deux, 60 :
Expression chez les aliénés, parTur- . ner, 298. ,çtu ? n ? - ,
Folie
," ]a 'clan*s 'ses rapports avec la loi, par Nor
et, 145. ,a rr, Idéation des troubles du mécanisme de l ? dans la
folie
systématisée parZiehen, 290 ? til <; ? Idi
iuzzetti, 194. - Processus morbides psychiques et moteurs dans la
folie
simple, par ' Roller, 394 Protubérance, contr
jsangui- 1 naire del'instinct-, par Coutagne, r289; sur un cas de
folie
avee per- '"version -, par Sullivan, 303. SÉT
urasthénie, l'hypocon- drie, le nervosisme sous diverses formes, la
folie
, le suicide, la paralysie générale, la déséquil
corrections psychopathiques, mais elles abou- tissent rarement à la
folie
confirmée. Il nous faut mentionner maintenant u
. Une petite case doit leur être réservée aussi dans le cadre de la
folie
morale, quel- ques-uns des jeunes incontinents
DES maladies mentales ; par le Dr Irwin NEFF. Certaines formes de
folie
, en particulier celles qui dépendent d'agents t
l'électricité peut aussi donner de bons résultats, surtout dans les
folies
primitives. Dans certains cas l'électricité peu
Séance du 30 mai 1896. Présidence DE M. Charpentier. Influen : a et
folie
. M. Laroussinie communique une observation tend
ation tendant à prouver que l'intluenza peut déterminer un accès de
folie
. MM. Vallon et Christian font des réserves sur
résidence DE M. Charpentier. Note sur le rôle de la mémoire dans la
folie
du doute. M. SOLLOER. - On ne comprend pas bien
re. Cependant le défaut de mé- moire peut expliquer certains cas de
folie
du doute, tels'que Archives, 21 série, t. IL 5
ale, la dégénérescence mentale, et devient à peu près nulle dans la
folie
alcoolique. Ils Combattent souvent à la fois l'
e L. Battaille et C ? Darin (IL). Rapports de l'alcoolisme et de la
folie
. Prophylaxie et traitement des alcooliques. Vol
io di Psichialria. Roubinovitcii (J.). Des variétés cliniques de la
folie
en France et en Allemagne, avec une préface par
r et la jalousie, deux des plus puissants fadeurs écologiques de la
folie
; il devait suc- comber. Roberto devint aliéné
homicide et suicide, mais qui nierait que ce ne soit là de la vraie
folie
? S'il eût été un véritable criminel, on trouvera
le suicide est le fait d'un cerveau dérangé. Une autre preuve de la
folie
de Hohel'lo; c'est son altitude après la scène,
sang-froid, son insensibilité physique aussi milite en faveur de la
folie
. Qu'on n'in- voque pas la préméditation, ce ser
prison, 118 ô REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. fut atteint d'un accès de
folie
aigué. Il fallut l'envoyer au manicome de Ferra
, et V... redevint tel ou à peu près qu'il était avant son accès de
folie
. C'est à ce moment alors qu'il est redevenu cal
énéré hystérique et il a le caractère des hystériques. - L'accès de
folie
dont il été atteint est, on l'a vu par ladescripl
nombre de femmes ayant commis un infanticide sous l'influence de la
folie
puerpérale et a été étonné de voir considérer c
des actes extrêmes. Cette forme, qui constitue ce qu'on a appelé la
folie
morale, la folie des actes, se rencontre chez l
s. Cette forme, qui constitue ce qu'on a appelé la folie morale, la
folie
des actes, se rencontre chez les dégénérés, che
III. Contributions A l'étiologie ET A la pathologie générales DE la
folie
; par le 01' Aies HRDLICA. I. Relations étiologi
Aies HRDLICA. I. Relations étiologiques entre la tuberculose et la
folie
. Les statistiques de l'auteur montrent qu'il ex
60 p. 100 des aliénées. La tuberculose joue donc, par rapport à la
folie
, un rôle étiologique dont il faut tenir compte.
ologique dont il faut tenir compte. IL Troubles de l'odorat dans la
folie
. Les troubles de l'olfaction ont peu attiré l'a
s les cas les plus récents et les plus légers d'aliénation. Dans la
folie
de nature épileptique, l'anosmie fut trouvée co
ouvée complète dans 57 à 72 p. 100 des cas. III. Réflexes dans la
folie
. - L'auteur a examiné les réflexes rotuliens et
(American journal of insanity, janvier 1896.) E. B. IX. UN cas DE
folie
morale; par le D'' Gorton. Histoire clinique in
par le D'' Gorton. Histoire clinique intéressante d'un cas type de
folie
morale. A propos de ce cas, l'auteur remarque q
orale. A propos de ce cas, l'auteur remarque que l'appellation de «
folie
morale » est impropre, en ce sens que le mot a
ale, perver- sions qui ne font pas toujours partie intégrante de la
folie
morale. La folie morale étant une des affection
s qui ne font pas toujours partie intégrante de la folie morale. La
folie
morale étant une des affections mentales qui mett
al of insanily, octobre 1895.) ' E. B. XI. Troubles moteurs dans la
folie
; par le D1' Richardson. L'auteur attire l'atten
ention sur les connexions intimes qui existent généralement dans la
folie
entre les fonctions motrices et les acti- vités
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1 33 la perversion du a moi », dans la
folie
, est l'indice d'une perturba- tion générale de
nity, octobre 1895.) E. B. XII. Relations DE l'alcoolisme ET DE la
folie
; par le Dr BANNISTEn. Les conclusions de l'aute
ions de l'auteur sur le rôle de l'alcool dans la produc- tion de la
folie
sont les suivantes : 1° les excès d'alcool produi
e la folie sont les suivantes : 1° les excès d'alcool produisent la
folie
; 2° ces excès sont la cause directe d'au moins 10
r les effets de l'usage modéré de l'alcool dans la production de la
folie
. Il n'y a, cependant, aucune raison de croire q
ce quartier spécial d'observation réserve aux détenus soupçonnés de
folie
n'a pas d'autre résultat que d'aug- menter le n
la paranoïa (amentia, confusion aiguë, délire hallucinaloire aigu,
folie
aiguë, etc.) et dans les psychoses alcooliques,
t historique du développement de l'éta- blissement. M. Koppen. La
folie
des quérulanls au point de vue nosologique et m
i, par suite d'une confusion due au mot de « querulantenwahnsinn » (
folie
des réclamations), s'ima- gine que le diagnosti
s cas de délire des persécuteurs dans la paranoïa, d'autres dans la
folie
des dégénérés, dans l'imbécillité, d'autres enc
s, dans l'imbécillité, d'autres encore dans l'alcoolisme ou dans la
folie
traumatique. Mais en raison des classifications
iverses des maladies mentales on pourra toujours employer le mot de
folie
des quérulants comme dénomination d'ensemble po
peut tenir lieu de preuve démonstrative devant les tribunaux. La
folie
des quérulants est susceptible de rémissions; peu
caractérisée par la manie des réclamations. Il n'y a pas plus de «
folie
des quérulants » qu'il n'y a une kleptomanie, u
teur. Il n'y a pas lieu non plus d'aban- donner la conception de la
folie
des quérulants parce que cette conception n'a p
ution ou de grandeur, passent presque inaperçues. Le délire dans la
folie
des persécuteurs ne se traduit pas qualitativem
maniaque on observe une guérison ou une amélioration notable de la
folie
des récla- mations. M Mescuede pense qu'il co
, signalé par la rapporteur et admis par différents auteurs, que la
folie
des persécuteurs peut se rencontrer dans différ
nté et à une intelligence solide. - M. 111TZIG n'admet pas que la
folie
des persécuteurs ne soit pas une forme clinique
illeurs, ne peut suffire à lui seul au diagnostic. Y a-t-il pour la
folie
des persécuteurs, comme pour les autres dénomin
dies mentales. C'est aller trop loin que de dire qu'il n'y a pas de
folie
des réclamations, car cette expression est appuyé
sse » ne peut au point de vue médico-légal constituer une preuve de
folie
. L'absence de toute considération de fortune, d
ons pathologiques qu'elles provoquent qu'il faut con- sidérer. La
folie
des persécuteurs, qu'il s'agisse de la forme clin
'allumer des incendies sous peine de mourir d'uné mort affreuse. Sa
folie
se déclara pour la première fois chez M. Dreyffus
s'est porté deux coups de rasoir à la gorge. On pense à un acte de
folie
. (Intransigeant du 17 juillet.) BULLETIN BIBL
pures, de confusion mentale primitive, de manie, .de mélancolie, de
folies
soit typhoïdiques ou soit grippales sont engend
La malade, qui fait le sujet de cette observation, est atteinte de
folie
hystérique. Elle jouit d'une très bonne santé e
es journaux au sujet de AIII° Couesdon, j'ai pensé que mon cas de
folie
était similaire à celui de cette voyante et qu'il
des mesures à appliquer dans la plupart des cas au traitement de la
folie
. Son efficacité est d'autant plus grande qu'il
rand nombre de délin- quants irresponsables se rencontrant dans les
folies
du caractère : folie morale, manie raisonnante,
quants irresponsables se rencontrant dans les folies du caractère :
folie
morale, manie raisonnante, aliénés persécuteurs o
iants en droit. - M. DOUTREBENTE. Rapport entre la guérison de la
folie
et la durée de la maladie avant l'admission. -
d'exaspération et de violence et l'exacerbation n des symptômes de
folie
. Au lieu d'admettre, comme M. Marandon de Monty
et internement doit se faire aussi près que possible du début de la
folie
, car, pour elle, comme pour toutes les autres mal
n. Ce dépôt comme la plupart des violons, est fait pour aggraver la
folie
et pour propager les maladies contagieuses. Aus
les vicieux, ceux qui ont un pied dans le crime et un pied dans la
folie
, ces sujets dont les magistrats, pas plus que M
quants considérés comme types intermédiaires entre la raison et la
folie
, propose que : 1° la loi de 1838 soit conservée d
à exagérer l'influence de quelques-unes des causes reconnues de la
folie
, il est raisonnable de supposer une progres- si
inistratives et négligeaient forcément la thé- rapeutique. Mais, la
folie
étant une maladie souvent curable, la commissio
et la valeur de la con- trainte mécanique dans le traitement de la
folie
. 39. Emploie-t-on comme substituts de ces moyen
hroniques du système ner- veux central, et particulièrement dans la
folie
, des changements REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
par le souvenir des savants qui ont étudié et fixé les types de la
folie
, et qui restent encore aujourd'hui des modèles.
e développement des vues originales de l'auteur sur la nature de la
folie
, comme maladie ou anomalie de la personnalité h
ont poussé à se donner la mort; on croit que c'est dans un accès de
folie
subite qu'il a pris cette fatale résolution ; i
Durée de l'internement des malades restant Durée alléguée de la
folie
antérieurement en traitement il la fin il l'adm
hysiques. (Amc- Tican journal ofinsanily. Avril 1896.) E. B. XIX.
Folie
épileptique; par le Dl' G. ]\a;UN.\N. Toutes le
quement, cinq variétés d'aliénation mentale dues à l'épilepsie : la
folie
préépileptique, l'équivalent psychique de l'att
: la folie préépileptique, l'équivalent psychique de l'attaque, la
folie
postépileptique, la folie intermédiaire à deux
, l'équivalent psychique de l'attaque, la folie postépileptique, la
folie
intermédiaire à deux attaques et la démence épi
folie intermédiaire à deux attaques et la démence épileptique. La
folie
épileptique produit environ 4,5 p. 100 des cas de
eptique. La folie épileptique produit environ 4,5 p. 100 des cas de
folie
et il est probable que seul l'équivalent psychi
rsion. (Anzerican journal of insanity. Avril 1896.) E. B. XXI. La
folie
PARALYTIQUE. - Conférence donnée à la réunion s
LOGIE MENTALE. 1 XXVIII. Diagnostic, pronostic ET prophylaxie DE la
folie
; par FIEL- ding BLAnDFonD. (BI'itish médical Jo
le retard à l'internement, etc. Passant à l'étude des causes de la
folie
il étudie, particulièrement l'hérédité, ses deg
ent méconnus dans les écoles en tant que dégénérés, en puissance de
folie
latente doivent être l'ob- jet d'une instructio
out. Plus tard, on voit souvent chez ces sujets survenir l'accès de
folie
sous des influences occasionnelles minimes : gr
tinguer parmi les aliénés : a) ceux qui offrent un état congénital (
folie
morale, épilepsie, imbécillité), déterminant, c
un degré de dégénérescence plus profond et plus dangereux que la
folie
. De cette étude, une nécessité s'impose : la créa
avorables DE la CRAnIECT011lE dans UN cas de DÉBILITÉ MENTALE ET DE
FOLIE
MORALE; par A. S ? 1NUOCK. (A'e ! f)'0/0. Cenir
elllst and neu/'ologist, avril 189G.) E. 13. IX. Traitement DE la
folie
EN dehors DES établissements publics; par le Dr
e, etc. G. D. BIBLIOGRAPHIE. V. Rapports de l'alcoolisme et de la
folie
. Prophylaxie et traite- ment des alcooliques, p
n lui, par le fou lui-même, lesquelles inversement nour- rissent sa
folie
, c'est-à-dire le parasite fluidique. 4° Philoso
ns f. Méthode in l'sychial., Berlin, 1874, 38-2. 2 Calmeil. De la
Folie
, t. I, p. 37-82. 424 CLINIQUE, MENTALE. aux d
as seulement infinis dans le temps mais aussi dans ' Calmeil. De la
Folie
, t. I. 2 La zoophilie et la foi aux métempsycho
s son cerveau comme son 1 Carré de Montgeron, t. il. Calmeil, De la
Folie
, 2' vol., p. 354. 430 CLINIQUE MENTALE. moi,
. Démonomanie des sorciers, 1. I, en. il. 5 -M. Ritti. Traité de la
folie
il double forme, 1883, obs. XVII,XIX, XXX, XXXI
sus- ceptible de fournir un logement pour les individus attaqués de
folie
et quelles sont les réparations ou construction
110ntl'ichard dont le père ne veut pas prononcer le terrible mot de
folie
ou aliénation et parle de maladie incurable; c'es
us salami peut-être signifi- catif, écrit un jour, un tel accusé de
folie
. Quant aux motifs qui déterminaient le placemen
e de gens ignorent ou font semblant d'ignorer que la guérison de la
folie
peut s'obte- nir en faisant traiter les malades
mèrent le voeu : « que les individus atteints d'un premier accès de
folie
ou de fureur fussent, en cas d'indigence, admis
st pas, disaient-ils, dans les premiers moments de l'invasion de la
folie
que l'on s'occupe de faire interdire l'individu
la folie que l'on s'occupe de faire interdire l'individu atteint de
folie
; il faut même pour y par- venir, qu'on ait eu l
r le traitement qui leur con- vient, on peut craindre que l'état de
folie
ne se perpétue par le défaut de soins ; il para
9 Il n'y sera admis que des individus du département, atteints de
folie
ou d'épilepsie à un degré susceptible de produire
portion est encore plus forte dans les formes dégénéra- tives de la
folie
, si bien que la proportion des déformations de la
était un aliéné hérédi- taire, qu'il présentait des syndromes de la
folie
héréditaire, entre autres l'impulsion au suicid
en observation à l'hôpital et réformé ensuite. C 11U5ET. VII. La
FOLIE
DI.NS ses rapports avec la responsabilité crimine
LE. L'auteur, consulté par la famille, estima que l'allégation de
folie
eu égard à la jeune femme, ne serait pas acceptée
ce genre, les familles accepter très volontiers le qualificatif de
folie
pour des actes qu'ils se refusent à dénoncer à
invertis. (American journal of iusanily. Avril 1896 , I, 13. IX.
Folie
ET responsabilité criminelle ; par II. MAUDSLEY.
la résoudre, la question de savoir quels sont les rapports entre la
folie
et l'état de dégénérescence de la voûte palatine.
gitation se communiquant de maladeen malade, loin de s'amender leur
folie
s'aggrave. « Dans le dortoir des agitées, situé
q aux mains. Elles sont graves. Debrll, qui a déjà été enfermé pour
folie
alcoo- lique, était renvoyé depuis deux jours e
t trouvé pendu dans sa maison. On attribue ce suicide à un accès de
folie
alcoolique. {Petit Parisien, 2 septembre 1896.)
aceutiques, par Yvon, 108. Atrocité d'une -, 153. Alcoolisme - et
folie
par Bannister, 133; par Darin, 396, - Lutte c
i2. Troubles L'antri- ques dans l' -, par Féré, 120. Epileptique.
Folie
, par Kicrnan, 382. Ewrsmonmsnccondamnépar Vo
24 . Expertise médico-légale, par Verga et Mari Francesco, Ilà.
Folie
. Etiologie et pathologie gé- nérale de la -, pa
Mélancolie. Traitement de la-, par Iteyuer, 3D i. Mémoire dans la
folie
du doute, par Sollier, 65. Mentales. Traiteme
Réflexes. Leçons sur les -, par lIufihes, 4601 1181'0SABILI ilL
Folie
et -, par 57à. - (les pervertis sexuels, par
sur un terrain préparé. Que l'on parcourre les observa- tions de
folie
puerpérale rapportées par Esquirol, Weill, Helf
ordre; c'est à bon droit que l'on dit que la colère est une courte
folie
et les sujets bien équilibrés ne se laissent gu
décrit l'amour effréné comme une maladie Trélat. - Des causes de la
folie
. (Aitit. méd. psych., 3" série, t. Il, 1856, p.
ainte d'engendrer des enfants mélancoliques ; Erasme fait dire à sa
Folie
: « Je ne suis point le fruit d'un ennuyeux dev
origine. Si tous les aliénistes s'entendent à reconnaître que la
folie
en général est héréditaire, ils ne s'accordent
ement se transmettre en nature; au premier rang, il faut citer la
folie
suicide. Esquirol et Falret ont cité des exempl
asiauve. - Soc. méd. psych., 31 mai 1875. ' Legrand du Sanlle. - La
folie
héréditaire, 1873, p. 9. LA FAMILLE NÉVROPATHIQ
a que des rapports de parenté peu marqués avec les autres formes de
folies
, nous verrons qu'elle est un lien à différentes
la famille des vésanies, qu'elle ne naît point, comme elles, de la
folie
, et qu'elle n'engendre point la folie; elle naî
aît point, comme elles, de la folie, et qu'elle n'engendre point la
folie
; elle naît des ma- ladies pébrales et engendre
Il y a deux névroses qui ont de fréquents points de contact avec la
folie
: ce sont l'hystérie et l'épilepsie. On les ren
tion, et, en particulier, celles qu'on a désignées sous les noms de
folie
instinc- tive, de folie morale, etc., offrent u
celles qu'on a désignées sous les noms de folie instinc- tive, de
folie
morale, etc., offrent une analogie qui ne pouva
vicieux et des criminels. La parenté du vice et du crime avec la
folie
peut s'appuyer sur des faits nombreux'. 1. L'hé
vent se soumettre aux règles de la société, sont souvent voués à la
folie
; et on peut dire que la plus grande partie des
s de Bruce Thompson 10; et il est bien certain que les causes de la
folie
dite pénitentiaire sont inhérentes au prisonnie
he jozerzz. of mental science, 1870.) "Sauze. /iec/terc/iMSM;' la
folie
pénitentiaire. (Ann. med. psych., 3' série, t.
857, p. 28.- Hurel. -Quelques obs. pour servir à l'his- toirc de la
folie
pénitentiaire. (Ann. méd. psrlcla., 1875, 48 séri
p. 161,374.) LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 15 Le vice, le crime et la
folie
ne sont séparés que par les préjugés sociaux ;
ste une zone neutre : sur un des bords, on n'observe qu'un peu de
folie
et beaucoup de perversité; à la limite opposée,
de perversité; à la limite opposée, la perversité est moindre et la
folie
domine. » Ce n'est pas avec une déclaration aus
rne point cet homme du mal, bien loin de 1 Maudsley. Le crime et la
folie
. Paris, te éd., 1880, p. 3 ! . e Michéa, - Cara
sujet atteint d'insanité morale, un alienus a se ? Le crime et la
folie
se tiennent indissolublement, on ne peut pas le
er pour ainsi dire ex- périmentalement la parenté du crime et de la
folie
. MM. Laborde', Lunier et 11W ndy ont cité parmi
e a joué dans les mêmes circons- tances. Du reste, dans le cas de
folie
collective ou épidémique, il ne faut pas se lai
te du vice et du crime avec les névroses, et en particulier avec la
folie
et l'épi- lepsie et avec les malformations phys
bide caractérisé. La parenté de l'extrême vertu, du vice et de la
folie
est surtout bien montrée par ce qu'on a appelé
e 1, sont le plus souvent des candidats à l'imbécillité ou à ' la
folie
. C'est sans aucune preuve qu'on a avancé que l'
tout au plus qu'une action suspensive. Mais, nous dira-t-on, si la
folie
, le vice, le génie et l'imbécillité sont des ét
tre grande famille morbide. M. Moreau (de Tours) reconnaît que la
folie
a des rapports avec les convulsions, l'hystérie
m'gel', intitulé : « Recherches statistiques sur l'hé- rédité de la
folie
». 1847, 1). 10. Gintrac. Mémoire sur l'influenc
d'a a cité un fait où la maladie de Parkinson coïncidait avec une
folie
circulaire; celte observation nous confirme dans
ngl'ess; loc. cit., p. 607. . lúid., p. 658. " Maudsley. Crime et
folie
, trac] . 1'1 ? ]1. 41 PM/Ao/oy/ec/'exp) ? trad.
nse depuis quatre ans. Observation XXI. - 111"° A..., dix-sept ans.
Folie
du doute. Soeur choréique. Quant à la maladie
elle est souvent en rapport par l'hérédité avec l'épi- lepsie, la
folie
, l'hystérie, etc. (OBS. VIII, XIX.) Observation
, en particulier. Elles sont aussi les alliées consauguincs de la
folie
. Brodie rapporte un cas dans lequel des douleur
ralgiques de la colonne vertébrale alter- naient avec une véritable
folie
. Burrows a vu un ecclé- siastique très éloquent
mingand). M. Ritti l'a observée dans la période de dépression de la
folie
à double forme=. On n'a guère de notions sur l'
on trouve un cancer d'estomac; on ne dit point qu'il s'agit d'une
folie
cancéreuse, mais que le sujet est à la fois can
. M. D... Paralysie spinale de l'adulte. - Mère, plusieurs accès de
folie
puerpérale. M. Grasset ' admet une parenté entr
ogues aux vésanies primitives; ce ne sont que des coïncidences : la
folie
est associée à la sclérose disséminée au même t
sclérose et ! plaques dissémi- nées; prix Falret ( 1 ,000 fr.), Des
folies
diuthésiques. Société d'anthropologie DE Paris.
ups dans leurs rapports avec les névroses et principalement avec la
folie
. (AmI. méd. psych., 4e série, 1866, t. VIII, p. 2
se qui se traduit par des manifestations convulsives ou délirantes (
folie
rhumatismale de Bur- rows, Griesinger, Mesnet),
es formes du rhumatisme cérébral, la céphalée, le délire aigu, la
folie
enfin se trouvent à peu près exactement repro-
sé au moment où apparaissait un accès de goutte ré- gulière. La
folie
goutteuse a été signalée par Whytt, qui rapport
s de manie arthritique. Lorry', Lynch, Garrod rapportent des cas de
folie
s'étant ma- nifestés à la suite d'un accès de g
mentale (Dagonct) 4. Berthier admettait que toutes les formes de la
folie
peuvent se montrer chez les goutteux 5, et Rayn
générale s'accompagne de malaise général, de peur de la mort, de la
folie
, de l'empoi- sonnement, une nosophobie universe
ctions, London, 1871. I . 3 Tardteu. - Etude médico-légale sur la
folie
, 2e édit., 1880, p. 39. 4 Andrew Clark. - Repor
ns, interdictions, etc. ' Cela tient, d'après l'auteur, à ce que la
folie
est très rare en Chine et ne se rencontre guère
ccusateurs et persécu- teurs et revêtent plusieurs des traits de la
folie
raison- nante ; d'autres, dont le délire est pl
st surpris, en compulsant les nombreux travaux sur les causes de la
folie
, de voir combien peu 344 SOCIÉTÉS SAVANTES. l
blié dans les Annales de 1868, figure un tableau des causes de la
folie
et qui serait parfait sans une omission : seule,
fique elle-même en aliénation mentale. Sans remonter au temps où la
folie
, considérée comme le résultat d'une intervention
giène et de l'art de guérir. D'ailleurs, si héréditaire que soit la
folie
, et toutes les folies ne sont pas héréditaires, c
guérir. D'ailleurs, si héréditaire que soit la folie, et toutes les
folies
ne sont pas héréditaires, cette héré- dité ne p
démontrant l'influence de la profession sur le développement de la
folie
sont peu nombreuses, ce n'est pas que les cas e
c'est le moins discutable) les professions qui peuvent produire la
folie
par les matières toxiques avec lesquelles l'exerc
leur action fréquemment sur le cerveau. Ce groupe comprend donc les
folies
toxiques professionnelles, ou sous un autre ter
tre terme, les professions 3 tG SOCIÉTÉS SAVANTES. produisant des
folies
toxiques. Ce sont celles où l'individu est ex-
lis démontrent d'une façon péremptoire la production possible de la
folie
par l'action de ces produits manipulés et dégagés
ar l'oxyde de carbone et en a décrit les symp- tômes sous le nom de
folie
des cuisiniers. M. Leudet (Arch. méd ? déc. 188
fession qui exige cet élément physique. Ce groupe comprend donc les
folies
par causes physiques dans le sens propre du mot,
st vrai, ces influences physiques comme causes occasionnelles de la
folie
, mais au peu de détails qu'ils donnent, il est fa
accordent aucune importance. Ainsi Georget (Dict. en 30 vol., art.
Folie
) nous dit : «Après la retraite de Russie, l'asi
e ; mais qu'elle réserve propos de la même influence sur les autres
folies
! Ellis rapporte une observation (Obs. 40) où l'a
ci, l'action de la profession est très indirecte ; entre elle et la
folie
se trouvent des maladies intermédiaires qui mas
r l'influence des maladies de ces appareils sur la production de la
folie
; cette influence est aujourd'hui connue et admi
connue et admise grâce aux travaux de 111LVosiu et Loiseau, sur les
folies
réflexes ou sympathiques, grâce aux recherches
s et leur origine car- diaque, grâce aux observations nombreuses de
folies
liées à des maladies de l'oreille ou consécutiv
ivement développées, il faut être bien pénétré de cette idée que la
folie
, maladie du cerveau, mal- gré ses allures diffé
bien conduits de Berthier, Legrand du Saulle, Bail etLuys, sur les
folies
générales goutteuses, rhumatismales, anémiques,
diabétiques, grâce aux recherches de Morel sur l'impaludisme et les
folies
qui s'y rattachent, grâce aux travaux de MM. Ch
rattachent, grâce aux travaux de MM. Christian et Charcot sur les
folies
consécutives aux maladies aiguës et à la fièvre t
influence nuisible sur le cerveau, pour développer les différentes
folies
que nous avons mentionnés; mais bien souvent ce
auxquelles certaines professions exposent plus particulièrement, la
folie
traumatique déjà étudiée par Eleis, mieux connu
iers, montrent encore un mécanisme pro- fessionnel producteur de la
folie
. Delasiauve a insisté sur cette influence comme
ssi aux dangers cérébraux de la profession ; d'un autre côté, si la
folie
a été constatée chez des travailleurs, fonc- ti
e à tenir quand on est consulté par un sujet qui se croit menacé de
folie
, parce qu'il est issu de parents aliénés, quest
le ne prévient' pas l'autorité qu'un de ses membres a été frappé de
folie
, son silence la rendra passible des peines appli-
cile et presqu'impossible d'obliger une famille à venir déclarer la
folie
dont est atteinte un de ses mem- bres. Cependan
ande illusion sur l'état mental de leur malade, ignorent souvent la
folie
dont certains sont frappés; d'autres, plus écla
ont surtout destinés, ne considère pas encore l'idiotie comme de la
folie
. Les jeunes épileptiques désignés dans le group
t six observés par M. Westphal lui-même, six se sont accompagnés de
folie
, c'est-à- dire 19 p. 100., c'est il peu près la
tifs (sept mois au plus). Sur soixante-six cas de manie, lypémanie,
folie
systématique, y compris des désordres aigus ave
é par une hypérémie modérée du fond de l'oeil, ressortissait à la
folie
systématique chronique. Les psychoses simples n'a
eaux sanguins. M. Sakaki (du Japon). Cerveau d'un aliéné atteint de
folie
systé- matique chronique. A l'instigation de 11
examen microscopique l'écorce des hémisphères d'un homme atteint de
folie
systématique hallucinatoire, après l'avoir traité
tes les mesures concernant les aliénés. Ce principe est juste. La
folie
entraîne presque toujours, pour celui qui en est
vol aux étalages, les exhibitionnistes, la mélancolie perplexe, la
folie
adeux, le vertige mental, des vertiges, le mal
constitue avec l'affaiblissement musculaire la se- conde forme dite
folie
paralytique. M. Sauton se rattache à cette mani
alies congénitales des organes génitaux dans le développement de la
folie
chez l'homme ; par RAFFEGEAU. Thèse de Paris, 1
cal en date du 29 juin, attestant que cette femme était atteinte de
folie
et qu'il était nécessaire, pour la sécurité publi
Brochure in-so de 24 pages. Ritti (Ant.). - Traité clinique de la
folie
à double forme. (Folie cir- culaire, délire à f
pages. Ritti (Ant.). - Traité clinique de la folie à double forme. (
Folie
cir- culaire, délire à formes alternes). Un vol
de 1'), par Charpentier, 343. Aliéné (cerveau d'un - attemt de
folie
systématique), 380. Aliénés (projet de 101), 14
es, 1890. Pans. Doin, Place de l'Odéon, 8. 1 fr. W. Ireland. — La
Folie
de Mohamed Toghtat.aultao dai Indes : Traduit de
duel, in-8°,: 32 pages. F. Alcan-, Paris. 1890. Dr P. Garnier. — La
Folie
à Paris : in 8°, 425 pages, Paris J. B. Baillière
pulsions inconscientes. Quelle que soit d'ailleurs la forme de leur
folie
, elle ne s'écarte pas de l'aspect ordinaire, et n
disait : » Il est clair que toutes les passions sont du domaine de la
folie
, car le fou se distingue du sage en ce qu'il se l
itions scientifiques, 4, rue Anitoine Dubois. (2) Erasme. Eloge de la
folie
. Traductin Lejeal p. 52 Paris. (3) Stendhal. De
Parmi ces dégénérés, plusieurs peuvent vivre longtemps côtoyant la
folie
, sans cependant y entrer de plein pied: mais la p
ie ne voient dans cet état qu'une des nombreuses manifestations de la
folie
héréditaire. Il est en effet admis d'une façon gé
de nouveau réclamer nos soins. (A suivre.) REVUE CRITIQUE LA
FOLIE
A PARIS (1) Etude statistique, clinique et médico
ul Garnier vient de publier un travail important sur les causes de la
folie
, l'accroissement successif et les formes diverses
aient suggérées par l'augmentation des cas de maladies cérébrales, de
folie
héréditaire, de délire alcoolique, questions impo
rance un mouvement analogue d'accroissement s'est manifesté. Or, la
folie
alcoolique et la paralysie générale apportent au
que chose d'utile. N'oublions pas que. trop souvent, le crime et la
folie
marchent ensemble : ici la sécurité publique reve
intellectuelle et morale. Nous reconnaissons que le nombre des cas de
folie
et de crétinisme tend à décroître dans ces milieu
onduire à des constatations aussi satisfaisantes. A Paris surtout, la
folie
suit un mouvement ascensionnel inquiétant. Il est
qu'engendre l'ardeur de la lutte pour l'existence. En parlant de la
folie
à Paris, l'auteur ne prétend pas décrire une form
teur, prenant pour point de départ cette affirmation : Le crime et la
folie
marchent souvent ensemble, donne la relation de q
n. Une étude approfondie du caractère du malade est de rigueur. Les
folies
intermittentes m. Magnan (de Paris). — Mon trav
n travail a pour but de réunir, dans une même espèce pathologique, la
folie
intermittente, les cas de folie périodique, de fo
dans une même espèce pathologique, la folie intermittente, les cas de
folie
périodique, de folie à double forme, de folie cir
pathologique, la folie intermittente, les cas de folie périodique, de
folie
à double forme, de folie circulaire, de folie alt
termittente, les cas de folie périodique, de folie à double forme, de
folie
circulaire, de folie alterne, que rapprochent cli
de folie périodique, de folie à double forme, de folie circulaire, de
folie
alterne, que rapprochent cliniquement des caractè
ui se produisent avec le progrès de la maladie. Ainsi envisagée, la
folie
intermittente, tout en étant très compréhensive,
ts qui appartiennent à d'autres espèces pathologiques, notamment à la
folie
héréditaire. Tous ces caractères généraux sont dé
nt dans les accès, qu'ils soient simples, cycliques ou combinés. La
folie
intermittente est donc une espèce pathologique se
ux communs qui les réunissent et les distinguent de toutes les autres
folies
. En conservant la denomination de folu intermit
s avoir passé en revue l'invasion. la marche, le déclin de l'accès de
folie
intermittente et indiqué les signes qui. dès les
ypnotique, par le docteur Stemho (de Wilna). — (Voir plus haut). La
Folie
du doute et le délire du toucher par le docteur L
ce qu'on observe dans les paralysies générales d'une autre origine.
Folie
puerpérale ; idées délirantes communiquées ; trai
manie, cinq cas de morphi-nomanie, onze cas d obsessions agoraphobie,
folie
du doute, obsessions affectives, obsessions génit
s d'entrée de ces malades il est constaté que lune était atteinte «de
folie
instinctive avec désordres impulsifs, i l'autre,
ir sans risquer de nuire à la santé générale de nos malades. Sur la
folie
dans les prisons M. Bailleul (de Rouen) — Il ex
Revue de l'Hypnotisme à leur généreuse idée. Dr. Edg. Bérillon LA
FOLIE
DU DOUTE ET LE DELIRE DU TOUCHER Par M. le Doct
ut degré tous les médecins, ce titre, un peu vieilli et démodé, de la
folie
du doute et du délire du toucher. Les recherche
nes, voici quelques indica-tions des chapitres où il faut chercher la
folie
du doute dans les ouvrages les plus connus. Schül
la folie du doute dans les ouvrages les plus connus. Schüle fait une
folie
héréditaire simple, dans le groupe des psychoses
des psychoses er dégénératives et Magnait un Syndrom épisodique de la
folie
héréditaire des dégénérés : Krafft-Ebing qui a no
intensité morbides sont reconnues comme telles par te m. traite de la
folie
du doute dans un chapitre spécial des psychode dé
rie et de l'hypocondrie. Kraepelin ne la mentionne qu'il propos de la
folie
neurasthénique. Savage en traite dans le chapitre
es héréditaires, mais ne constituent pas un signe patho-gnomonique de
folie
, puisqu'on les rencontre également chez lus perso
u'on les rencontre également chez lus personnes saines d'esprit. La
folie
du doute est ainsi, chez les auteurs contemporain
sente ce caractère singulier qu'elle pourrait aussi bien être appelée
folie
du doute, en raison de l'incertitude dans laquell
ècle. Pinel a distingué la manie sans délire, en Maley. de Genève, la
folie
raisonnante. Mais ni l'un ni l'autre de ces auteu
s le titre de « Monomanie raisonnante - qui renferme aussi les cas de
folie
morale observés par Prichard. Esquirol met déjà e
en relief dans cette observation, les deux symptômes essentiels de la
folie
du doute, la lutte constante du malade contre ses
ntales, tome II, p. 63 et suivantes, 1838. (3)Symptomatologie de la
folie
. Annales médico-psychologiques, 1851, p. 92.
fait une première tentative de différencier les pseudo-monomanies des
folies
systématisées, en se basant sur la: conscience qu
il donne pour appuyer sa distinction se rapportent exclusivement a la
folie
systématisée par excellence. délire des persécuti
54 p.118 et 276. 8 Peisse ibid p. 283 9 Des pseudo-monnomanies ou
folies
partielles diffuses, Ibid T.V 1869 p. 217 Cit
2) en rapporte plusieurs qu'il classe sous diverses rubriques de - sa
folie
lucide ». Balilarger (3) en cite d'autres sous le
ite un exemple caractéristique, avec le délire des persécutions et la
folie
systématisée.Il décrit de main de maître la genès
exemples qu'il en donne. On trouve pour la première fois le nom de
folie
dit doute dans la fameuse discussion sur la manie
te se rapporte surtout aux objets métalliques. C'est à cette forme de
folie
que mon père a donne le nom de folie du doute...
alliques. C'est à cette forme de folie que mon père a donne le nom de
folie
du doute... » Constatons que la maladie appelée
s médico-légales sur la monomanie. Annales med.psych. 1854p 236 2La
folie
lucide 1861 Entre autres, les observaions II, XXV
Morel fait une grande part à l'hérédité, non seulement. dit :.. de la
folie
proprement dite, mais de celle qui provient des n
ystérie et l'hypochondrie. Cependant Morel. le créateur du groupe des
folies
héréditaires a séparé de ce groupe son délire émo
es mêmes malades peu vent présenter successivement les troubles de la
folie
du doute et ceux du délire- du toucher; On a voul
i qu'il a trop vite généralisé, et que sa tentative de former avec la
folie
du doute unie au délire du toucher une affection
nettement, une fois de plus. la complète indépendance clinique de la
folie
du doute et du délire du toucher. La monographi
de ces deux malades pour être certain qu'ils n'appartiennent pas a la
folie
du doute. L'un est un persécuté, l'autre un mania
rivons maintenant à un travail qui fait époque dans l'histoire 1 La
folie
du doute ( avec délire du toucher) Paris 1875 2
du toucher) Paris 1875 2 Gazette hebdomadaire N. 42 1877 et article
Folie
du doute dans le Dictionnaire encyclopédique. 3
tœrung. A llgetensia Zeituhift fur Psychizytie, 1872 p. 300 de la
folie
du doute. Je veux parler du mémoire de Westphal,(
de l'obsession, Westphal montre que la Grubelsucht de Griesinger, ou
folie
du doute de Falret en est une variété : Les princ
s qui restent purement théoriques, parmi lesquelles il faut ranger la
folie
du doute sous forme de questions: 2° celles qui p
n une vrai macédoine de formes cliniques, voudrait qu'on en sortit la
folie
du doute (das Gùbeln • and das Fragen.) dont les
as qui a passé directement au delire hypocondriaque, c'es-à-dire à la
folie
systématisée, tandis que Westphal affirmait que l
entatives qui parfois ont été suivies de mort. Wille conclut que la
folie
du doute, et les obsessions en général sous toute
éral sous toutes les varietés quelles revêtent, forment le groupe des
folies
avec conscience qui appartienent ii la famille co
ies avec conscience qui appartienent ii la famille considérable de la
folie
héréditaire, avec la manie raisonnante, la folie
e considérable de la folie héréditaire, avec la manie raisonnante, la
folie
morale, les psychoses circulaires et périodiques,
nnante, la folie morale, les psychoses circulaires et périodiques, la
folie
systématisée ou paranoia primaire. Il considère l
iodiques, la folie systématisée ou paranoia primaire. Il considère la
folie
du doute et ses congénères comme une sorte d'état
es. Selon Wille les obsédés sont prêts en tous temps à verser dans la
folie
. Jusqu'ici nous avons vu la plupart des auteurs
deviennent, pour ce savant distingué, les Syndromes épisjdiques de la
folie
des héréditaires dégénérés. Ce sont là, dit Magna
comme une variété clinique, méritant une descrip, cription à part, la
folie
du doute. — Nous sommes absolument du même avis
emanderons que l'on sépare, en deux variétés cliniques distinctes, la
folie
du doute et le délire du toucher, qui s'associent
ieu et la religion. Jamais d'hallucinations d'aucune sorte, jamais de
folie
: de doute proprement dite, il ne craint jamais d'
lée qu'il appartient au groupe des scrupuleux et qu'il est atteint de
folie
du doute avec délire du toucher Terreurs nocturne
ent comme paralysé, perdu. présente, dit-il, deux signes physiques de
folie
raisonnante" (il a lu l'his-toire de Sandon par L
es cas typiques de la forme congénitale du délire du toucher et de la
folie
du doute. Cette forme de trouble menu!, qui tient
yens seront particulièrement utiles, dans certains cas accidentels de
folie
du doute et du délire du toucher qui se manifeste
e, le bromure, l'hydrothérapie de faire de l'hystérie, de faire de la
folie
? Ni M. le Dr Liébeault de Nancy, ni MM. Dumontpa
soupçonner d'innocence un homme qui n'aura jamais montré de signes de
folie
, qui cura garde toutes les apparences de la raiso
tiques, s'est accru de 55,000 à 111,000. Comme cause principale de la
folie
, l'on mentionne U boisson; l'on se plaint surtout
rogrès médical. En attendant la publication de mon travail sur la «
folie
du doute et le délire du touchet », qui montrera
nan ne parait disposé à l'accorder, comme variétés cliniques, dans la
folie
des dégénérés héréditaires. Les observations que
e borne â les mentionner parmi les autres syndromes épisodiques de la
folie
héréditaire. Permettez-moi d'ajouter que ma pen
Boulevard Saint-Germain, Paris. 1890. Dr J. Christian. — Epilepsie,
Folie
épileptique, in-8, 160 pages, G. Masson, éditeur,
, lo bromure, l'hydrothérapie, de faire de l'hystérie, de faire de la
folie
? « La suggestion guérit souvent, soulage lorsqu
u langage et de la mémoire des mots dans les affections cérébrales. —
Folie
raisonnante ou folie morale. — Folie circulaire e
moire des mots dans les affections cérébrales. — Folie raisonnante ou
folie
morale. — Folie circulaire et folie à formes alte
ans les affections cérébrales. — Folie raisonnante ou folie morale. —
Folie
circulaire et folie à formes alternes. — Folie à
érébrales. — Folie raisonnante ou folie morale. — Folie circulaire et
folie
à formes alternes. — Folie à deux ou folie commun
nte ou folie morale. — Folie circulaire et folie à formes alternes. —
Folie
à deux ou folie communiquée (en collaboration ave
ale. — Folie circulaire et folie à formes alternes. — Folie à deux ou
folie
communiquée (en collaboration avec La«ègae). Ce
os jours. Très petit au dix-huitième siècle encore, limité aux cas de
folie
à grand orchestre, il s'esl accru par une série d
ite nettement les différenles causes d'irresponsabilité. D'abord la
folie
, parce qu'elle nous désassimile el parce qu'elle
à notre milieu el parce qu'elle nous fait étranger à nous-mème. Toute
folie
est une extravagance qui nous isole, et elle nous
prix Aubanel, de 2,500 francs, destiné au meilleur mémoire sur : » La
folie
chez les vieillards -, n'a pas été décerné. Sur l
êtent dans d'autres cas une intensité si grande: 1 arithmomanie et la
folie
du doute; de même, l'incapacité d'agir, signalée
es entités morbides, des monomanies instinctives, loin d'admettre une
folie
erotique, nous sommes le plus souvent amenés à ne
es consécutives à des), traitées par l'hypnotisme, par Bugney, 180.
Folie
à Paris : étude statistique, clinique et médico-l
tude statistique, clinique et médico-légale, par Paul Garnie r, 52.
Folie
dans les prisons (sur la), 126. Folie du doute
ale, par Paul Garnie r, 52. Folie dans les prisons (sur la), 126.
Folie
du doute el le délire du toucher (la), par Ladame
u toucher (la), par Ladame. 129. Polies intermittentes (les), 86.
Folie
puerpérale, idées délirantes communiquées, 90.
monstration péremptoire 3. MÉDECINE LÉGALE. ATAXIE LOCOMOTRICE ET
FOLIE
SIMULÉES. rapport MçDICO-LÉGAL; Par MM. PAUL
10f/isles de Bordeaux au mois d'août dernier. ATAXIE LOCOMOTRICE ET
FOLIE
SIMULÉES. 29 De sa famille nous ne savons rien
La nté- decine scientifique, février 1894. ATAXIE LOCOMOTRICE ET
FOLIE
SIMULÉES. 31, il a commis le vol elles lui écha
nmerican journal of insanit, janvier 1895.) E. B. SUR deux cas DE
folie
avec goitre, traités par l'extrait THYa01- DIEN
ard des dégénérés qui sont la véritable pépinière du crime et de la
folie
. En organisant des établissements spéciaux pour
. 68 ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XIV. Traitement CBIUUIIGICAL DE la
folie
; par Macpherson. (Edinburg IlospilalBcpo1'ts, L
appelle les tentatives d'exploration chirurgicale proposées pour la
folie
chronique proprement dite sans lésions ni local
e l\lUSGIUVE CLAY. XVIII. Deux opérations SUIVIES DE succès dans la
folie
trauma- tique, avec commentaires ; par George W
Cale. (The New-York Médical Journal, 12 octobre 1895.) Les cas de
folie
consécutive à un traumatisme de la tête ne sont
alite jouent d'ordinaire un rôle important dans la production de la
folie
trau- matique, et les deux lésions accompagnent
en- tale, mais il fait du cerveau un locus minoris 1'esistentiæ. La
folie
, en ce cas, peut être provoquée par toute cause
rmes très diverses. L'auteur a observé, et il rapporte, deux cas de
folie
traumatique dans lesquels une intervention chir
II-835 pages, avec figures. " Toulouse (I : rl.) - Les causes de la
folie
. (Prophylaxie et a,si>lance.)- Volume in-8°
ns on retrouve cette pigmentation. \ SUR L'ACCROISSEMENT DF; la
folie
EN IRLANDE; par Thomas DRAPES. (The Journal of
t d'ailleurs à la réalité de l'accroisse- ment du nombre des cas de
folie
en Irlande. - R. M. C. REVUE D'ÉLECTRICITÉ MÉDI
orains. On a souvent dit que la frontière qui sépare le crime de la
folie
est étroite et mal précisée; rien ne le prouve
e les dis- tinctions que l'on a établies entre la criminalité et la
folie
dite « folie morale ». L'auteur estime toutefoi
nctions que l'on a établies entre la criminalité et la folie dite «
folie
morale ». L'auteur estime toutefois qu'il n'est p
outefois qu'il n'est pas ordinai- rement difficile de distinguer la
folie
de la criminalité pourvu que l'on soit en posse
l faut distinguer avec soin de ce que l'on a désigné sous le nom de
folie
morale. Cette insensibilité est caractérisée par
uper. R. DE Musgrave CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. I. Sur la
FOLIE
morale ET ses rapports avec la criminologie; par
nne). (The Journal of mental Science, octobre 1894.) Les termes «
folie
morale » et a obsession » ont donné lieu à de f
leur de ces anomalies est relative, nullement absolue. Le terme «
folie
morale » a été appliqué à ces cas de défectuo-
une faiblesse d'esprit congénitale ne suffisent pas à démontrer la
folie
chez un sujet atteint de perversité morale. Tous
ais elle ne s'exerce guère que d'une façon un peu incohérente. La
folie
avec hallucinations permet, suivant les observati
R. DE MUSGRAVE CLAY. IIL LA musique Er la faculté musicale dans la
folie
; par Richard LEGGE. (The Journal of mental scie
nférieurs à des sujets sains dénués de culture musicale. Dans les
folies
acquises, les formes supérieures de la faculté
de la déglutition. R. de 111USGR.1VECLA1·. IX. Notes sur un cas DE
folie
ataxique; par J. Vincent 13L.1CHFOIiD." (The Jo
ques-uns DES POINTS DE vue LES PLUS nouveaux DE LI pathologie DE la
folie
: démonstration pratique A l'aide DE PRÉ- PARAT
considérer les obsessions et les impulsions comme appartenant à la
folie
dégénérative ou à la folie héréditaire. Il ne tro
et les impulsions comme appartenant à la folie dégénérative ou à la
folie
héréditaire. Il ne trouve pas de point de conta
réquemment accompagnés de troubles de la nutrition : aussi, dans la
folie
aiguë, la nutrition doit-elle être surveillée e
.) E. B. XXIX. Désordres gynécologiques D\NS LEURS rapports avec la
folie
; par le Dl' Clara BARRUS. L'auteur insiste su
ante en présentaient. Or, si le cerveau est toujours le siège de la
folie
, il n'est pas tou- jours le siège de la cause,
l'amen- tia, avec le délire de collapsus, la paralysie générale, la
folie
pério- dique, la folie hébéphrénique, les délir
lire de collapsus, la paralysie générale, la folie pério- dique, la
folie
hébéphrénique, les délires épileptiques, le délir
ires; il fait remarquer que le mot démence du code ne veut pas dire
folie
, ni aliénation mentale, ni fureur, ni imbécilli
ables ordinairement : les aliénés aux séquestrations multiples, les
folies
du caractère (folie morale, manie raisonnante,
les aliénés aux séquestrations multiples, les folies du caractère (
folie
morale, manie raisonnante, aliénés persécuteurs
quels le diagnostic et la thérapeutique des formes si variées de la
folie
sont choses impossibles ? Dans des conditions a
J'avais été conduit dans cet établissement à la suite d'un accès de
folie
furieuse. Or, continua l'homme en s'animant et en
ion futile avec ses parents, elle a été reprise d'un subit accès de
folie
furieuse, et a tenté d'élrangler son père et sa
l s'agit de signer la sortie des aliénés. LES aliénés en liberté.
Folie
furieuse : Un homme, jeune encore, sanglé dans un
cieuses contractées aux colonies, est sujet à de fréquents accès de
folie
furieuse. Le malheureux a été écroué à l'infirm
nseignements que nous envoie notre correspondant sur le drame de la
folie
dont la petite commune de Jaulges a été le théâ
iques, dans l'Encyclopédie de médecine légale de Maschka (1882); la
Folie
morale (1879), la Paralysie générale progressiv
fibres nerveuses; 2° clinique- ment, à la paralysie générale, à la
folie
alcoolique, à l'idiotie épileptique, à la folie
ysie générale, à la folie alcoolique, à l'idiotie épileptique, à la
folie
sénile, à la manie aiguë (puerpérale), à la man
e sénile, à la manie aiguë (puerpérale), à la manie chronique, à la
folie
avec hallucination de fouie, à la démence secon
elui-ci... en se'dévelop- pant isolément devient l'instrument de la
folie
. » Nous résumons ici l'observation publiée par
X..., vingt-trois an ? entre à l'asile pour son troisième accès de
folie
; le premier remonte à quatre ans et a duré trois
si fréquents dans la paralysie générale, ne sont pas rares dans la
folie
sénile. La quantité du liquide que l'on rencontre
s, est, comme l'a montré Bevan Lewis, presque caractéristique de la
folie
sénile. Des cellules étoilées plus petites se r
mitifs ou secon- daires ? faut-il voir en eux un des facteurs de la
folie
? L'auteur est d'avis que, dans un certain cas
INFLUENCE DES facteurs réflexes ET toxiques SUR LA PRODUCTION DE LA
FOLIE
Er DE l'ÉPILEPSIE; par SALUT-JOLIS BULLEN. (The
l'influence des stimulations réflexes et des agents toxiques sur la
folie
et l'épilepsie. L'auteur étudie d'abord les rap
ue peuvent donner lieu à des auto- intoxications génératrices de la
folie
. Les recherches dirigées dans ce sens ont été f
tés que présentent le diagnostic, le pronostic, le traitement de la
folie
. Une mesure utile serait de fixer à deux années
ntité d'aliénés, placés dans les prisons, montre que l'excuse de la
folie
, au lieu de constituer un abus, est trop rareme
est aussi nécessaire dans les affaires de la jus- tice civile où la
folie
joue un rôle, que dans celles qui relèvent de l
rs précoces dès l'âge de dix-huit mois. P. K. X. PARAGRAPHE 51 ET
FOLIE
partielle; par RIEGER. (Centralblatt f. 11'erve
q rapports de spécialistes ont été faits sur son compte. Est-ce une
folie
partielle ? Ses actes sont-ils la conséquence de
rt qu'elles sont le produit non d'un mensonge conscient, mais d'une
folie
systématique maladive. Or s'il est reconnu qu'e
aliénés. 303 un même asile le mari et la femme tous deux frappés de
folie
. Le choix de l'emplacement est très difficile s
. J. Noir. VI. Epilepsie traumatique et trépanation. - Epilepsie et
folie
épi- leptique dues à un traumatisme crânien et
Paris, 1895.) Il s'agit d'une femme de vingt-trois ans, atteinte de
folie
inter- mittente avec tentatives de suicide et i
adie du roi Othon est arrivée à sa der- nière période. Les accès de
folie
furieuse ont fait place à l'écrase- ment d'une
ements de pétrole et y a mis le feu. Son mari, également atteint de
folie
, au lieu d'éteindre les flammes, voulut se brûl
auer examina le pri- sonnier, mais il ne trouva pas de symptômes de
folie
. Enfin, après une seconde expertise, il fut ren
ifier l'irresponsabilité du meurtrier : l'hérédité, l'épilepsie, la
folie
alcoolique et la paranoïa. Il montre qu'on ne tro
e est aussi nécessaire dans les affaires de la justice civile où la
folie
joue un rôle que dans celles qui relèvent de la j
ute probabilité, elles ont une commune origine. R. M.-C. XXIX. La
folie
DE la PERSÉCUTION ; par René SEMELAIGNE. (Tlee
Voisin, Christian, Pot- tier, l'auteur conclut qu'il n'y a pas une
folie
de la persécution, mais qu'il y en a plusieurs,
ils présentent généralement les signes phy- siques et mentaux de la
folie
morale, et des stigmates physiques et psychique
ar un travail collectif. R. M.-C. XXXIV. SUR l'augmentation DE la
FOLIE
en IRLANDE ; par D. [JACK TUEE. (The journal of
riple intervention dans le mécanisme des lésions. R. M.-C. XXXVI.
Folie
ou NON-FOLIE : REVUE sommaire DES opinions médica
u NON-FOLIE : REVUE sommaire DES opinions médicale ET LÉGALE SUR LA
FOLIE
ET DE QUELQUES DIFFICULTÉS PRATIQUES. (The Jour
e des connaissances physiologiques. La solu- tion de la question de
folie
ou non-folie se trouve donc actuelle- ment entr
soit à la mélancolie, 8 cas; épilepsie, 4 cas; démence organique,
folie
avec hallucinations et manie chronique, de chaque
our la convexité, et de 44,4 livres pour la concavité. 2° Dans la
folie
sénile, la résistance des côtes à la fracture est
e maladie est la paralysie générale des aliénés. R. M.-C. XLI. La
FOLIE
CHEZ LES INDIGÈNES DE L'AFRIQUE DU SUD; par E. DU
actères ethnolo- giques propres. Au point de vue des formes de la
folie
, on constate une prédo- minance remarquable de
ait remarquer en terminant les avantages que présente l'élude de la
folie
chez les peuples primitifs ; le cerveau indigène
l'autopsie dans LES ASILES, LEURS RAPPORTS AVEC L'ALCOOLISME ET LA
FOLIE
; par Hubert Bond. L'auteur a fait 15r autopsi
llicitude vraiment éclairée à l'égard des aliénés. A. M. XLVI. La
folie
chez les Malais; par Gilmore Elles de SINGAPOORE.
t confusion mentale. Les deux formes peuvent alterner comme dans la
folie
circulaire. A. M. Archives, 2e série, t. I. 23
nv. 1890.) E. B. 358 REVUE DE PATHOLOGIE. MENTALE. DIIUX cas DE
folie
hystérique d'origine infectieuse; par le Dr Tat
n de la conscience. ' Chez la deuxième malade, au lieu de voir la
folie
hystérique succéder cliniquement à une infectio
veux. (Annales médi';o-psyclwlogi'1ues, déc. 1895.) E. B. LVI. La
folie
chez LES nègres; par le D'' BABCOCK. Sous le no
es sont incon- nues chez les tribus sauvages africaines. De même la
folie
était rare chez les esclaves des Etats américai
les esclaves des Etats américains du Sud. Depuis l'émancipation, la
folie
est devenue de plus en plus com- mune chez le n
venue de plus en plus com- mune chez le nègre ; alors qu'en 1860 la
folie
était cinq fois moins fréquente chez le nègre q
toires. Et même dans l'Etat de Virginie, l'accroissement des cas de
folie
dans la race noire a été, depuis vingt-cinq ans
mplète, suffisent à expliquer cet accrois- sement énorme des cas de
folie
. Un fait intéressant dans l'étude de la folie c
ent énorme des cas de folie. Un fait intéressant dans l'étude de la
folie
chez la race nègre, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
sique qu'au point de vue intellectuel. Près de la moitié des cas de
folie
sont constatés chez des immi- grants que leur n
accroissement du nombre des criminels; fréquence plus grande de la
folie
; diminution du chiffre de la natalité et augmen
ires toxiques, la manie et la mélancolie, la confusion mentale, les
folies
périodiques et les états de faiblesse intellectue
ditation ohsessive. (Rapp. : D SellaL, à llons, Belgique.) 2. De la
folie
méconnue. Conséquences pénales; nécessité d'une
ie. J. S. 484 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. LXVII. VIEILLESSE ET
FOLIE
, par le Dr VERGA. (Il manicomio, fasc. 1, 1895.
l manicomio, fasc. 1, 1895.) Aucun Age ne produit par lui-même la
folie
. Le dépouillement de nombreux cas dits de folie
uit par lui-même la folie. Le dépouillement de nombreux cas dits de
folie
sénile montre souvent l'interven- tion d'autres
x intellectuelle- ment. Beaucoup des vieillards qui versent dans la
folie
peuvent guérir et beaucoup d'aliénés guérissent
nerveux et des dégénérés, certaines idées fixes et délirantes de la
folie
systématique. Il y a des formes bénignes de cet
. Les mesures prophylactiques ayant pour but de diminuer les cas de
folie
ne sauraient agir d'une façon plus efficace qu'
nces de beaucoup d'écrivains médicaux à débaptiser des syndromes de
folie
, à isoler souvent de simples symptômes pour en
M. Sautenôise étudie les hypothèses faites sur la pathogénie de la
folie
; il fait reposer cette élude sur trois ordres
s dans 20,2 cas p. 100. Un quart des suicides environ sont dus à la
folie
. La pendaison est le mode de suicide le plus empl
lly Norman, 301. Atavisme dans le suicide, 87. Ataxie locale et
folie
simulées, par P. Garnier et Vallon, 28. L'- s
x, 169. In- fluence des facteurs réflexes sur la production de la
folie
et de l ? par Bullen, 224. Circulation du san
rvertis, par Garnier, 405. FLOCCULUS. Sur le -, par Bruce, 401.
Folie
. Ataxie locomotrice et - simulée, par P. Garnie
1. Aug- mentation de la - en Irlande par Hack Tuke, 316. - ou non
folie
, 311. - chez les indigènes de l'Afrique du Su
ique et son traitement par les sucs glandu- laires, par Owen, 60.
Folie
avec - traitée par l'extrait thyroïdien, par
the, 134. Gynécologiques. Désordres - dans leurs rapports avec la
folie
, par Barrus,lt6. Hallucinations psychomotrice
- mâle et neurasthénie, par Grasset, 493. Hystérique. Deux cas de
folie
- d'origine infectieuse, par Taty, 358. HYS1'
rébrales, par Ireland, 128. Musique et faculté musicale dans la
folie
, par Legre, 131. Myélite aigué dans la substanc
. Rénales. Affections -, leurs rap- ports avec l'alcoolisme et la
folie
, par Bond, 352. Respiration. Influence de l'é
myxoedémateuse traitée par l'in- - estioli -, par Bourneville, 1.
Folie
avec goitre traitée par l'ex- trait -, par Mac
fluence des - du dia- pason, par de Bechterew, 384. Vieillesse et
folie
, par Verga, 484. TABLE DES AUTEURS ET DES COLLA
renvoyée à la prochaine séance. De l'involution présénile dans la
folie
maniaque dépressive. L'involution présénile, di
rapportés à la paralysie générale à double forme sont des cas ' de
folie
intermittente dans lesquels la période normale a
ment et sous des garanties spéciales. LES aliénés EN LIBERTÉ. La
folie
.- Cette nuit, une femme àgéc se présentait au pos
une perversion profonde de la sensibilité affective, une véritable
folie
morale. Elle s'ingénie à jeter l'inquiétude au
se et vindicative : une véritable psychose se développe, sorte de
folie
morale où dominent alternativement les idées de
ue amené par l'angoisse, que l'impulsion se déclanche Le terme de
folie
avec conscience, employé pour désigner l'état m
compréhension qui a abouti à une étude attenti- ve des causes de la
folie
et des moyens d'y remédier. De là 112 CONGRÈS D
les magistrats d'interroger les médecins sur les sujets suspects de
folie
: « De bonne foi, il n'est aucun homme d'un jug
s médecins admettent plus facilement que d'autres l'existence de la
folie
; cela fient non à une ma- nière différente d'en
urs compris les états intermé- diaires entre la santé mentale et la
folie
. 1\.Ballet concède de la part de l'expert la co
on d'intégrité mentale celle de responsabilité, à la déclaration de
folie
celle d'irres- ponsabilité. C'est précisément
il apparaîtra que le sujet se rapproche plus de la raison que de la
folie
. Il incombe, en particulier, au médecin de mont
e de ne voir dans les états dits intermédiaires à la raison et à la
folie
qu'une simple circonstance atténuante assimilable
es situations pathologiques observées dans toutes les variétés de
folie
en général», est-il légitime de définir par ces c
psychoses périodiques qu'on peut désigner sous le ferme global de «
folie
périodique ». La périodicité et l'alternance de
'avoir isolé, en 185 1, de la manie et de la mélancolie simples, la
folie
à double forme et la folie circulaire, variétés
la manie et de la mélancolie simples, la folie à double forme et la
folie
circulaire, variétés de la même entité morbide. C
mptômes essentiels et le pronostic. En 1890, Magnan rattache à la
folie
intermittente les cas de manie et de mélancolie
i n'appartenaient pas aux diverses psychopathies organi- ques, à la
folie
des dégénérés, à la mélancolie et à la manie id
tents que chez les dégénérés. Il fixe la conception française de la
folie
périodique dans laquelle n'entrent point la man
tes qui demeurent l'une et l'autre des entités au même titre que la
folie
intermittente. KRAEPELI.N,en 1899, rattache tou
ermittente. KRAEPELI.N,en 1899, rattache tous les cas de manie à la
folie
CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTE
NEUROLOGISTES. 133 périodique, pour laquelle il propose le terme de
folie
maniaque dépressive ; et il y fait entrer encor
ver dans les travaux de Kraepelin sa plus complète expression. La
folie
périodique des auteurs français et la folie mania
complète expression. La folie périodique des auteurs français et la
folie
maniaque de Kraepelin se distinguent par certai
i- tent de faire pour chacune d'elles une définition spéciale. La
folie
périodique se définit par son étiologie,sa sympto
disposé. Les symptômes de l'accès de manie ou de mélancolie de la
folie
périodique ne sont pas absolument ceux des accès
gués s'associent selon divers modes qui permettent de dé- crire la
folie
à double forme; la folie circulaire, la folie alt
ivers modes qui permettent de dé- crire la folie à double forme; la
folie
circulaire, la folie alterne. Entre les accès,
ttent de dé- crire la folie à double forme; la folie circulaire, la
folie
alterne. Entre les accès, les auteurs français
e le malade n'est pas interné : ce sont « les degrés atténués de la
folie
périodique observés dans le monde» dont J. Falr
ription. Le diagnostic de l'accès de manie et de mélancolie de la
folie
périodique doit être fait avec l'accès de manie e
eptiques, des paralytiques généraux. La conception de Kraepelin (la
folie
maniaque-dépressive) a été élevée sur le trépie
s symptômes de ma- nie ou de mélancolie, des « états mixtes ». La
folie
maniaque-dépressive peut donc se définir « une
emble gagner chaque jour du terrain ; elle permet de se faire de la
folie
périodique une idée très séduisante. Au point
la dépression avec fuite des idées ; l'in- hibition maniaque. La
folie
maniaque-dépressive est héréditaire dans 80, 90 %
qui lui avaient permis de décrire cette psychose, comme des cas de
folie
maniaque-dépressive développés au moment de l'i
oppés au moment de l'involution. La plus récente conception de la
folie
maniaque dépressive semble donc être celle d'une
: artériosclérose et traumatismes notamment. La pathogénie de la
folie
périodique et de la folie maniaque- dépressive
aumatismes notamment. La pathogénie de la folie périodique et de la
folie
maniaque- dépressive est encore problématique.
,ACQUI ? vT ont essayé de définir anatomi- quement quelques cas de
folie
périodique par « la prolifération névroglique d
tal ». Au point de vue thérapeutique,les différentes formes de la
folie
périodique ou de la folie maniaque-dépressive rel
hérapeutique,les différentes formes de la folie périodique ou de la
folie
maniaque-dépressive relèvent jusqu'ici du seul
tte affirmation sur une statistique où, sur 181 malades atteints de
folie
maniaque. 26 pour 100 seulement ont récidivé et
istes, à savoir si désormais nous devons substituer l'expression de«
folie
maniaque-dé- pressive à celle de"folies pétiodi
s substituer l'expression de«folie maniaque-dé- pressive à celle de"
folies
pétiodiquesn.Ehbien : je n'hésite pas à déclare
ue nous devrions absolument bannir du langage scientifique le mot «
folie
» et cela avec d'autant plus de raison que ce te
e mot « folie» et cela avec d'autant plus de raison que ce terme de
folie
ne saurait en aucune fa- çon s'appliquer à la g
mélangent et s'enchevrêtent, au lieu de se suc- céder comme dans la
folie
à double forme ou dans la psychose circulaire ;
ervation clinique. On ne peut faire qu'un seul reproche au nom de «
folie
maniaque dépres- sive », celui de ne pas être é
es plus affectés de périodicité régulière soient ceux qui, comme la
folie
menstruelle, empruntent et surbordonnent la pér
me, par contre, qu'il ne faut pas faire rentrer dans le cadre des
folies
périodiques les accès maniaques ou mélancoliques
étalité, excès alcooliques, etc. Si l'on peut conserver le terme de
folie
périodique pour in- diquer des unités vésanique
eux d'une affection organique du cerveau, d'ailleurs étrangère à la
folie
intermit- tente. Sur les psychoses d'origine
séquence des idées déli- rantes,et qu'on a souvent signalés dans la
folie
cardiaque. Chez notre troisième malade, les tro
leur délire. Nous ne pensons pas qu'il soit possible de décrire une
folie
cardiaque ayant ses symptômes propres. Les phén
raciques et ab- dominaux. La paralysie générale progressive et la
folie
alcoolique en Grèce. M. YANNiris (d'Athènes) pr
e un résumé d'une étude statistique sur la paralysie générale et la
folie
alcoolique en Grèce. De ce travail résultent le
des cas de nature syphilitique ; Les conclusions sur l'étude de la
folie
alcoolique sont : 1° La folie alcoolique est tr
; Les conclusions sur l'étude de la folie alcoolique sont : 1° La
folie
alcoolique est très rare en Grèce, 4,11 % ; elle
mes seulement, sur un total de 2.000 alié- nés ; 2° La rareté de la
folie
alcoolique en Grèce doit être attri- buée à la
tre attri- buée à la bonne qualité des boissons alcooliques ; 3° La
folie
alcoolique est très rarement rencontrée chez la
rarement rencontrée chez la femme en Grèce ; 4° La proportion de la
folie
alcoolique chez la popu- lation hellénique de l
dication de leurs auteurs seraient intéressantes à connaître. La
folie
DU croque-mort Léon (tuit, porteur aux pompes f
à table, dans sun logement, rue bouvet, il fut pris d'une crise de
folie
furieuse et, se précipitant sur sa femme, se di
au en théorie, mais en pratique ? . L. Waiil. VARIA Drame DE la
folie
. Il y a quelques semaines. Crouv, près de Soiss
que son cerveau se dé- rangea à nouveau et qu'une nouvelle crise de
folie
la reprit. Elle conçut le projet de tuer ses pe
danse de Saint-Guy du Moyen-âge. [Petit Parisien, lu août;) . la
FOLIE
EN ANGLETERRE Le livre bleu que l'on vient de p
téressants renseignements sur les progrès incessants que fait la
folie
en Grande-Bretagne. ' Au 1er janvier 1907, ily
une plainte au parquet de Béziers. M. IL, aurait alors simulé la
folie
, et le docteur P... aurait persuadé la mère de
passe cinq ou six trains à l'heure. (3lessi- dor, 3 juillet). La
folie
d'un CANOKMER. - Pris d'un accès de folie subite
si- dor, 3 juillet). La folie d'un CANOKMER. - Pris d'un accès de
folie
subite provoquée, croit-on, par l'abus de l'alc
UI ? allll)l'e, un jour- raller, le nommé Bâcle, pris subitement de
folie
, a tué sa mai- d'esse dans des circonstances ho
certain Désabres, originaire du Cher, après avoir dans un accès de
folie
subite, égorgé sa petite fille, était interné dep
i 9 au samedi 21 décembre 1907 inclusivement. 'lEaaISLS drame de la
FOLIE
. -Depuis plusieurs semaines, le sculpteur Van B
divers que nous avons pu- blié page 249 sous le titre : Drame de la
folie
, il a été dit que la nommée Juliette Tirfoin av
e Tirfoin n'avait jamais été internée à Prémontré avant son acte de
folie
. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE BEN;-] ! \nDE. La N
-ses hallucinations apparaissent à son amie MUle Granet comme de la
folie
pure et simple : mais cette folie elle-même éta
on amie MUle Granet comme de la folie pure et simple : mais cette
folie
elle-même était l'oeuvre des persécutés. « Song
chro- niques hallucinatoires, démence précoce, confusion mentale,
folie
périodique, paralysie générale, etc. Nous ne reti
née à leur mobile. « En résumé, concluent les auteurs (2) dans la
folie
des persécutés-persécuteurs, on a affaire à une
des sujets à tare névropathique, con- duire aux formes graves de la
folie
des adolescents. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXXI. D
la dépression mélancolique de Lange,qui n'est qu'une variété de la
folie
circulaire ? sur les tumeurs cérébrales ? sur l
bien le sujet n'est pas sûr d'un fait qui s'est réellement produit (
folie
du doute); ou bien, au contraire, il est certain
ns men- tales, quand éclatèrent les épidémies dedémonolàtrie et les
folies
. religieuses. Du Vllle au XV. siècle, les carac
s folies. religieuses. Du Vllle au XV. siècle, les caractères de la
folie
re- ligieuse furent : la dépression dans la sor
er comme étant une possession ; (de nos jours, cette opinion que la
folie
a son origine dans le pêché, est encore représe
conduisait les malades à des crimes réels. Dans une autre forme de
folie
religieuse, l'hystéro-démo- nopathie, on notait
ment du démon de la lubricité ! La théomanie lui une autre forme de
folie
religieuse, où l'on observait des atta- ques co
nvier 1906, 1010 (H. 417 : F : 593). - Entrées, 219, dont 25 cas de
folie
toxique et 11 cas d'imbé- cillité et d'idiotie.
a macabre lune de miel. (La Liberté du 1er novembre). Drame de la
FOLIE
. - Un drame causé par la folie vient de se déro
erté du 1er novembre). Drame de la FOLIE. - Un drame causé par la
folie
vient de se déroulera Varennes-sur-Allier. Depu
consa- crées à la sémiologie générale, aux « formes cliniques de la
folie
» et à l'étude médico-légale des états mentaux
confusion aiguë hallucinatoire, démence aiguë ou stupidité curable,
folie
sénile et présénile, psychoses toxiques, folie
u stupidité curable, folie sénile et présénile, psychoses toxiques,
folie
épileptique, hypochondrie, névroses et psychose
té qu'après de longues hésitations la conception de Krapelin sur la
folie
mani-dépressive, « forme pri- mitive, qualitati
de ce · GRUNDZUGE DER PSYCHIATRIE. 439 qu'on appela plus tard la
folie
intermittente. Il est vrai, si l'on veut, qu'il
e. Pour affirmer, en effet, que « tous les travestissements de la
folie
mani-dépressive manifestent un même processus fon
llucinatoire, et de paranoia périodique pour des cas relevant de la
folie
maniaque dépressive. » Puisque, aujourd'hui, il n
tion du « noyau de la personnalité ». ' Deux formes connexes : la
folie
quérulante et la.paranoia hypo- chondriaque, fo
tte forme des états dépressifs de la psychose mani-dépressive. La
folie
par obsession, « la plus fréquente des psychoses
es par des auteurs français sous les titres de « paranoia abortive,
folie
du doute, folie avec conscience, folies à idées
rs français sous les titres de « paranoia abortive, folie du doute,
folie
avec conscience, folies à idées imposées, pseud
tres de « paranoia abortive, folie du doute, folie avec conscience,
folies
à idées imposées, pseudomonomanie, im- pulsions
obsessions des états différenciés par Krse- pelin sous le nom de «
folie
impulsive ». Cette distinction est légiti- me ;
is aux impulsions, aux phobies et aux idées fixes comme synonyme de
folie
d'obsession (Zwangsirresein) ». Suit une intére
onstitutionnelles, de l'insuffisance appétitive », des plus graves (
folie
morale) aux plus légères, que puissent offrir c
issements pour le traite- ment des maladies nerveuses et des cas de
folie
à la période du dé- but où l'internement n'est
Le certificat d'interne- ment estune -frontière arbitraire entre la
folie
et la santé men- tale ; c'est donc avant qu'il
Pour employer une formule moins paradoxale qu'elle n'en a l'air, la
folie
commence avant que la personne soit folle et c'
ildevrait toujours en être ainsi, la ligne de démarcation contre la
folie
et la neurologie étant pratiquement nulle). Il
es plus affectés de périodicité régulière soient ceux qui, comme la
folie
menstruelle,empruntent et subordonnent la pé- r
jetties à l'automatisme. 1 Si on peut conserver le terme usuel de «
folie
périodique » pour indiquer des unités vésanique
us exact. . Au syndrome d'intermittence se rattacheraient, outre la
folie
menstruelle, certaines psychoses maniaques et m
ar sa manie (furor), disait Modestinus. Lorsque la question de la
folie
était posée, on prescrivait au juge de punir l'
unir l'accusé en cas de simulation, et de le faire inter- ner si la
folie
était réelle. Le texte latin est formel. Il indiq
il Londres, 7, Greal llal- borough Streel. l3m.r-S.asuLt : . - La
folie
de Jésus. 1 vol. in-So de 295 pages. Ma- loine,
ralysie générale. Voir Trou- bles. La générale progressiv e el la
folie
alcoolique en Grèce, par Yanniris, p. 157. La m
Lasègue, un critérium qui, aujourd'hui, paraît moins certain. Les
folies
systématisées religieuses, dépressives ou expan-
ou au contraire d'inspiration divine directe (Marie, Mysticisme et
folie
, Arc/¡. Neurol., 1899, nos'4.0, 43). La pathogé
he. L'auteur y examine les rapports de la faiblesse mentale avec la
folie
morale, le damier de créer une législation de c
de créer une législation de classe, par une conception fausse de la
folie
morale, la question de la surveillance de l'Eta
question de la surveillance de l'Etat sur les choses relatives à la
folie
. Dans la seconde, l'auteur revenant plus spécia
seconde, l'auteur revenant plus spécialement sur Id question de la
folie
morale déclare espérer que le mot et la chose d
le mot et la chose disparaîtront de la science. Ce qu'on appelle la
folie
morale n'est, suivant lui, qn'une dépravation,
tions, ne représente pas une forme de 4 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE.
folie
: c'est une modification de l'état physiologique,
ychologique. Les hommes de science trouvent difficile d'admettre la
folie
partielle parce qu'ils ne paraissent pas se ren
l résume lui-même dans les conclusions suivantes : 1° 11 existe une
folie
partielle, et la forme et le degré du trouble m
sans rap- port avec la sphère limitée de conduite dans laquelle sa
folie
évo- lue, une punition est légitime; 3° Le mo
mécanisme des sentiments. Le terme de plus en plus discrédité de «
folie
» est réduit à sa juste valeur et distingué de ce
les chapitres « manie et mélancolie » sont suivis d'une étude des
folies
maniaques et mélancoliques; ce qui facilite l'étu
Objection tirée de la prédisposition du sujet : en admettant que la
folie
puisse se développer sous l'influence d'une malad
infectieux sur le système nerveux ? C'est ce qui se passe pour les
folies
toxiques (alcoolisme, saturnisme), pourquoi n'e
la phtisie rallume une hystérie éteinte, Crocq signale deux cas de
folie
hystérique alliée à la tuberculose et on voit s
res particu- fièrement dépressives (manie de suspicion) ; c'est une
folie
de type hystérique avec tendance à la stupeur ;
e Naugeat, près Limoges. Les aliénés en liberté. Les drames de la
folie
. Une demoiselle Angèle Chemin, âgée de trente-t
e privé du Bon-Sauveur, qui reçoit aussi des aliénés de la Seine.
Folie
patriotique. Le commissaire de police du quartier
le suicide d'un jeune homme qui poussait le patriotisme jusqu'à la
folie
: le malheureux s'était coupé la gorge avec un
er, trente-sept ans, ouvrière gantière, a étranglé dans un accès de
folie
sa fille Berthe, dix ans; elle a ensuite essayé
ions étiologiques entre les affections pelviennes de la femme et la
folie
, opinion qui se trouve corroborée par nos chiff
ive à établir sur des bases solides la doctrine in- fectieuse de la
folie
on est astreint de rester dans l'ignorance des
croit pa, mais cela est rare. Ce genre de voix se rencontre dans la
folie
systématisée, dans la folie périodique, chez le
. Ce genre de voix se rencontre dans la folie systématisée, dans la
folie
périodique, chez les hystériques, les paralytiq
e sur leur inter- prétation : - A. 1° La malade était atteinte de
folie
puerpérale, forme de maladie mentale qui n'est
uer- péral, et rares aussi (surtout la chorée) consécutivement à la
folie
. - 3° L'épilepsie s'est présentée sous la forme
ue ou microbien du sang. La grande fréquence de ces névroses et des
folies
pendant la période de développement de la vie,
supérieurs. R. de âlUSGIIIVE-CLkY. VII. Les signes physiques de la
folie
; par F. GRAHAM Caooxsuaw. (The Journal of Menta
ience, janvier 1900.) L'auteur pense que les signes physiques de la
folie
sont à l'heure actuelle trop négligés : on étud
un vice protoplasmique général et non des signes proprement dits de
folie
. . REVUE-.DE pathologie : mentale. ' 135 Il e
ent pas à une classification rigoureuse, les signes physiques de la
folie
. 1 ICI .considère d'abord les nerfs crâniens et
r trajet du noyauta l'écorce : nid. Perversions de l'odorat dans la
folie
avec délusions, indiquant un trouble de fonctio
dans la démence. 2° Perversions de la vue dans les mêmes formes de
folie
, rayant la 'même signification que plus haut, m
mais relevant des circonvolutions marginales. Hémianopsie dans les
folies
post-hémiplégiques et dans les folies associées
ginales. Hémianopsie dans les folies post-hémiplégiques et dans les
folies
associées à de.grosses lésions unilatérales, in
elques objections et critiques. R. de MUSGRAVE-CLAY. I. Un cas de
folie
syphilitique; par R. D. HOTCRKIS, (The Journal
on maniaque. La question du rôle étiologique de la syphilis dans la
folie
est obscure et controversée : ce rôle d'ailleur
en que la syphilis ait joué un rôle prépondérant sinon exclusif. La
folie
n'a pas eu ici le caractère des folies post-opéra
épondérant sinon exclusif. La folie n'a pas eu ici le caractère des
folies
post-opéra- toires ; et d'ailleurs l'opération,
faveur de l'étiologie syphilitique. On a décrit plusieurs formes de
folie
syphilitique ; celle-ci corres- pondrait, mais
; celle-ci corres- pondrait, mais non à tous égards cependant, à la
folie
avec délu- sions que l'on rencontre à la périod
ons périodiques d'excitation mentale motrice qui caracté- risent la
folie
épileptique, la faculté du langage reste diminuée
es corporelles considérées comme cause et . comme complication delà
folie
; par G.-J. CONFOIID. (The Journal of Mental Sc
? Comte poursuivit l'annulation devant les tribunaux pour cause de
folie
: on se basa en partie sur un orgueil qui, après
ement, toutes qualités aussi contraires que possible à l'idée de la
folie
». v. Le tribunal en 1870 refusa d'admettre l'a
ssion du Dr Dumas, après son attaque de manie de 1 826, ilcôtoya la
folie
; et si par son système d'hygiène et par son ré
mbien devrait être restreint et combien est mauvais l'emploi du mot
folie
que trop souvent la pathologie arrache à son se
raît-il, était alcoolique. (Le Progrès de l'Lzcre, 7 mai.) > .
Folie
subite d'un médecin. - Coups de couteau. Huit vic
ur Nebrman, propriétaire de l'établissement, fut pris d'un accès de
folie
furieuse et, s'armant d'un long couteau, .il se
sonne ne conteste. Avons-nous eu raison ou tort ? Attendons. La
folie
d'un hégicide. Le meurtrier du roi Humbert. Bre
te zone neutre, où évo- luent une foule de candidats éventuels à la
folie
, et dont les limites indistinctes pour le publi
est devenue le point de départ de la méthode de traitement de la
folie
par des infections provoquées, préconisées ces de
trophiques de l'hérédo-syphilis. Rareté relative, chez eux, de la
folie
proprement dite, des vésanies. Ces caractères d
temps ils accentuent la différence nosologique qui la sépare de la
folie
proprement dite. 4. Nouvelles recherches sur l'
e homme du village de Colombières-sur-Orb, pris d'un accès subit de
folie
furieuse, tira plusieurs coups de revolver sur
ent était alcoolique. (Journal, 23 mars 1901.) Terrible drame de la
folie
. Un père qui tue son enfant et se suicide. - Le
enfants. (Le Bonhomme Normand du 19 au 25 avril 1901.) Frappé de
folie
. Un ancien conseiller-municipal du quartier de
de l'internement, dès que l'on a constaté ies premiers signes de la
folie
. - La femme Reynier, habitant Pau (Basses-Pyrén
femme Reynier, habitant Pau (Basses-Pyrénées), a, dans un accès de
folie
, tué son fils et ses deux filles, et elle s'est e
ur Cahuzac, âgé de trente-trois ans, journalier, pris subitement de
folie
furieuse, s'est armé d'une hache et s'est pré-
(Bonhomme normand, 31 mai 1901.) - Sous ce titre : « Drame de la
folie
», l'Echo de Paris du 8 juin, publie une dépêch
8 juin, publie une dépêche de Langres ainsi conçue : Un drame de la
folie
vient de se produire à Saulles. Le nommé Royer
aces fortes. Je n'insisterai pas sur cet aspect éliologique de la
folie
. En 1899, j'ai cru devoir le mettre en lumière
devoir le mettre en lumière à propos d'une étude d'ensemble sur la
folie
dans le département du Tarn. Peut-être ne trouv
- tive chez les obsédés. On retrouve ces troubles moteurs dans la
folie
du doute, type des obsessions dites intellectuell
ns du doute, par exemple, que M. Arnaud continue d'appeler à tort «
folie
du doute », qll'oJ)serve-t-on ? On observe ceci
veines, a bientôt suc- combé. Ce suicide est attribué à un accès de
folie
. (Le Bonhomme Normand, du 10 mai 1901.) ' Rue
de son mari, la dame Gilet, vingt- huit ans, relieuse, atteinte de
folie
, s'est asphyxiée avec son enfant de huit ans. (
lire de la persécution : (Le Temps, du 20 juin 1901.) Drame de la
folie
. Un effroyable drame s'est passé l'avant- derni
366 VARIA. de coliques violentes auxquelles a succédé une accès de
folie
furieuse. Il est allé surprendre dans leurs lit
e vins et épicier, 10o, rue. Grange-aux- Belles, pris d'un accès de
folie
alcoolique, a tiré un coup de revolver sur sa f
e à plusieurs reprises dans un asile d'aliénés, a, dans un accès de
folie
, tué son jeune enfant, âgé de deux ans. Profitant
si alterner avec les névroses, disparaissant par exemple quand la
folie
se manifeste, ce qui expliquerait sa rareté chez
sidérable de la sensibilité que l'on ren- contre si souvent dans la
folie
avancée constitue pour les aliénés une cause d'
ur les aliénés une cause d'immunité. En ce qui touche les formes de
folie
où se rencontre la glycosurie, le ur Bond l'a c
llules motrices. 1. de Musgrave-Clay. XXII. Épilepsie associée à la
folie
; par Ernest-W. \VIIITC. (The Jour- nal of Ment
r 1900). Le but de ce travail est d'examiner les diverses formes de
folie
que l'épilepsie peut compliquer : l'auteur les
adolescence, ménopause, et vieil- lesse. Dans l'enfance, lorsque la
folie
et l'épilepsie coexistent, c'est qu'elles ont o
ou convul- sives. L'auteur toutefois n'a vu que très peu de cas de
folie
primi- tive de la puberté : presque tous étaien
horée. Pendant l'adolescence, il est très commun de ren- contrer la
folie
associée à l'épilepsie, celle-ci ayant probableme
es chez lesquels l'épilepsie chronique a finalement déterminé une
folie
qui aboutit à la démence. L'apparition des crises
rises à s'imbriquer, et l'épuise- ment général qui leur succède. La
folie
de la ménopause se com- plique rarement d'épile
guéri. R. de Musgrave-Clay. XXV. L'hystérie et ses rapports avec la
folie
; par Geoffrey Hun- gerfohd. (The Journal of Me
ment aux formes maniaques légères, aux périodes de dépression de la
folie
circulaire, à certaines formes de folies sensor
ériodes de dépression de la folie circulaire, à certaines formes de
folies
sensorielles et surtout à la confusion mentale
s les établissements publics ou privés destinés au traitement de la
folie
, de nombreuses indications relatives à l'Associat
nnue et dans certains cas le délire aigu n'est, à la lettre, qu'une
folie
urémique sur aiguë. Cette opinion, que M. Carri
a pu jouer un certain rôle dans la produc- tion du premier accès de
folie
observé neuf ans plus tôt chez cet héréditaire.
r de cassation, M. Prestat, 1 A. Cullerre. Quelques observations de
folie
briyhlique. (Congrès des aliénistes et neurolog
liénistes et neurologisles, La Roclrelle, 1893.) Note sur un cas de
folie
urémique consécutif Ii un 1'étl'écisserJlenttl'{l
, qui le premier a décrit des cas semblables dans sa leçon sur la «
folie
», sans toutefois leur donner le nom de stéréot
BUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYPIES. 477 Î Dagonet ? dans l'article «
Folie
» de Costard2, elles sont net- tement dénommées
' Dagonet. Traité des Mal. mentales. Paris, 1894. - ° Cotard. Art.
Folie
. Dict. encyclopédique des sciences médicales de
ur vocabulaire au mot « non » qu'ils répètent à tout propos. ' La
folie
d'opposition si fréquente chez les négateurs et q
rencontrer au cours de certaines obsessions, en particulier dans la
folie
du doute (bien que le CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE
. M. Séglas nous a communiqué le fait d'une malade, atteinte z de
folie
du doute se manifestant à propos des moindres act
3° dans quelle mesure elles permettent de conclure au genre de la
folie
et jusqu'à quel point elles suffisent à expliquer
it un homme de cin- quante-six ans, héréditairement prédisposé à la
folie
, ayant déjà eu des « attaques » sur la nature d
interrompus et de courants faradiques. L. D. X. Thérapeutique de la
folie
; par IIARRINGTON SAINSBURY- (1'lae Journal of M
ets et les muscles. G. UENY. 1 XII. Traitement des cas récents de
folie
; par C.-I. l3una. (The amerieun Journal of 111s
de praticien qui ait le droit de dire : « Je ne con- nais rien à la
folie
», ni qui puisse se borner à dire : « Ce malade
vec de l'eau pure et l'on donne à boire au patient. Heureusement la
folie
est relativement peu fréquente. Car après que l
en. Revue des résultats obtenus dans le trai- tement de 4032 cas de
folie
; par William MABON et Warren L. BABMCK. (Americ
n comme un aide utile à la thé- rapeutique de certaines variétés de
folie
? L'article donne en outre un tableau résumant
octobre 1899, p. 307 à 316.) - Pratiquement la prophylaxie de la
folie
peut être assurée par les principes suivants :
ir de l'indi- vidu ; 3° Ne pas penser faciliter la prévention de la
folie
en limitant les recherches aux phénomènes de la
de l'opinion publique éclairée; 5° Une grande proportion des cas de
folie
ont leur source dans des condi- tions qui, just
uper d'abord et avant, de répandre la connaissance des causes de la
folie
parmi le commun peuple, afin qu'il devienne capab
Joffroy. M. B. Séance du 24 juin 1901. Présidence DE M. Jorrccor.
Folie
2nyxcedénzateuse et traitement thyroïdien des psy
eur termine son mémoire par une étude d'ensemble de tous les cas de
folie
non myxoedémateuse dans lesquels, pour des rais
orozdine et Lioubimow, 121. Attaque d'- suivie de chorée dans une
folie
perpuérale aiguë, par Easterbrook, 133. Relatio
faut-il placer dans les -, par A. Marie pela. Vigoul'oUX. 4\6.
Folie
. Signes physiques de la - par Crookshand, 131.
tiologie et guérison de l ? par Walter, 530. ses rapports avec la
folie
, par IIunerford, 414. Hystérique. Immobilité de
re et traitement de la aiguë, par Marmesco, 533. Myxoedémateuse
Folie
-,traitement thyroïdien, par Legrain, 539. Ne
, 516. Puerpérale. Attaque d'épilepsie sui- vie de chorée dans la
folie
-, par Easterbrook, 133. Pupilles. Immobilité
ès d'asthme violent d'origine hypo , par Ley, 40. Extrait dans la
folie
, par Ba- brocq, 535. Tic et paralysie, par Ba
ndis que la sensibilité générale et spéciale est atteinte dans la
folie
aiguë des jeunes femmes (désordre dans les idées
ladie de Basedow, agoraphobie), pendant le stade mélancolique de la
folie
circulaire, dans les cas de conceptions irrésis
idées délirantes correspon- dantes, de la mélancolie transformée en
folie
systématique), avec l'involution ou régression
nome. Dans le délire sensoriel des maladies aiguës (surtout dans la
folie
systématique aiguë), les pseudo- hallucina- tio
tuels. Quant aux hallucinations de l'ouïe si caractéristiques de la
folies
ysté- matique chronique (exemple, le délire des
la parole, non point pour développer aujourd'hui la question de la
folie
héré- ditaire si nettement posée par M. Falret
lement pour examiner avec vous un cas de dégénérescence mentale, de
folie
héréditaire dans lequel nous verrons quelques s
sodiques sont, à mon avis, de véritables stigmates psychiques de la
folie
héréditaire au même titre que le bec-de-lièvre,
es désignés par M. Magnan sous le nom de stigmates psychiques de la
folie
héré- ditaire sont simplement une des nombreuse
art, je vois dans cette histoire une des nombreuses modalités de la
folie
héréditaire. M. BRIAnD. A propos des stigmates
bjets et non de petits. Communication annoncée de M. Mendel, sur la
folie
pl'æépilep- tique. Il en existe selon lui, troi
t d'épilepsie et de troubles psychiques entraînant le diagnostic de
folie
postépilep- tique. On ne voit pas, d'après les
On ne voit pas, d'après les assertions de sa femme, qu'il y ait eu
folie
praeépileptique. De plus, il ne faut pas oublier
l du placement doit contenir : 1° la mention de faits prouvant la
folie
et constatée par le médecin lui-même, 2° la menti
amentale qui domine le nouvel ouvrage du D°\faud- sley c'est que la
folie
constitue un phénomène social et que, pour en c
qu'elle affecte avec l'orga- nisme social. Cette conception de la
folie
a pour résultat d'en reculer singu- lièrement l
s plus élevées de la connaissance hu- maine. L'auteur de « Crime et
Folie
» est trop connu pour que nous ayons besoin de d
ar Maudsley : il étudie d'abord l'Etiologie et la Prophylaxie de la
folie
, ensuite sa Symptomatologie qui comprend deux p
ensuite sa Symptomatologie qui comprend deux parties : celle de la
folie
proprement dite, et celle d'un certain nombre d
qui suivent sont consacrés à l'Etiologie et à la; Prophylaxie de la
folie
; ainsi que nous l'avons déjà fait entre- voir,
sse ensuite à l'examen des causes directes ou patholo- giques de la
folie
: les arrêts ou les vices de développement des
té- rie, ,la chorée, etc. Quant aux prétendues causes morales de la
folie
sans nier leur influence, l'auteur anglais pens
e for life. » Après avoir ainsi montré la place que doit occuper la
folie
dans l'organisme social, Maudsley aborde l'étud
es sont relatifs à l'anatomie patholo- gique et au traitement de la
folie
. On sait combien il est fréquent de ne pas trou
édicaments qui ont rendu quelques services dans le traitement de la
folie
: les bromures, la digitale, la jusquiame, l'hy
, des morts accidentelles déterminées par les excès de boisson, des
folies
et des suicides de cause alcoo- lique. Une somm
séquili- brés), et constituent un des syndromes épisodiques de la
folie
héréditaire. 158 pathologie mentale. Pour que
nous le verrons, un terrain de choix. Ce syndrome de même que la
folie
du doute, l'inversion du sens gé- nital, les an
s gé- nital, les anomalies sexuelles, la terreur des épingles, la
folie
des antivivisectionnistes, la dipsomanie, etc.,
Tous ces états si nombreux, si variés, confondus sous les titres de
folie
avec conscience, folie raison- nante, manie san
eux, si variés, confondus sous les titres de folie avec conscience,
folie
raison- nante, manie sans délire, pseudo-monoma
pseudo-monomanie, etc., ne sont que les stigmates psychiques de la
folie
héréditaire. Aussi, ces syndromes épisodiques p
n très courte rapportée par M. Moreau, lors de la discussion sur la
folie
rai- sonnante devant la Société médico-psycholo
un autre ordre. Ce que le père transmet à l'enfant, ce n'est pas sa
folie
; c'est le vice de constitution qui se manifeste
ications de son état mental. Il a, en effet, de véritables accès de
folie
hystérique, avec hallucinations de la vue, déli
opathique, pas davantage de la forme spécifique incons- tante de la
folie
, mais de la combinaison des symptômes psy- chiq
tention pour vol grave. Or, elle présente tous les caractères de la
folie
épileptique. On constate chez elle pendant son
bles, 6 morts. Voir l'OBSERVATION 1 (lypémanie de la ménopause). La
folie
systé- matique primitive a été représentée par
malgré les hallucinations, au bout de dix-huit mois de maladie). La
folie
épileptique a été obser- vée chez 92 individus
tante. T , f .... - . , .. '- n o¡Tola., .Ihll t'I"1 ? itte4.- La
folie
périodique a eu pour terrain treize hommes et .tr
li, 1 - e. - . 1 51l il, il. lemmes (citons 1 Observation V), et la
folie
c ! ? 'eM/a : ? 'e, : quatre . " .1# 1 ? o.. p
La seconde, observation est.cette d'un héréditaire,' 'dont ? là' !
folie
resta à l'état latent tant qué'l;épilépsié dôni
l a obtenu les meilleurs effets '. M. STARK.'Une malade atteinte de
folie
systématique hallucina- toire qui depuis des an
gisent dans les alternatives de périodes de calme, de raison et de
folie
. Détenir dans un asile d'a- , liénés n'importe
rphes qui se produisent en ce qui a trait au divorce pour cause de,
folie
; 3° 'en supposant que l'on admette' le. d,iv9 ! '
. r 'itti'ft ? ) I >.i f ? t.. ? 14f. MENDELCommunique un cas, de
folie
hystérique qui ressemble àlaelui de, l'observat
nique mentale était abordée, puis la médecine légale appliquée à la
folie
et aux névroses, et enfin l'organisation administ
faire. « Lorsque, dans Paris, un individu était pris d'un^accès de
folie
, on le dirigeait d'abord sur l'Hôlel-Dieu. Quel
ntifique, Pinel critiqua surtout la phléhotomie obligatoire dans la
folie
; et, indiquant le remède à côté du mal, il réclam
filant aux malades, servaient aussi la science. L'observation de la
folie
, rendue plus facile, per- mettait de mieux la c
'auteur, traçant les règles à suivre dans le traitement moral de la
folie
, raconte avec une éloquente simplicité les réfo
désespoir et la crainte; il a fait plus encore : il a prouvé que la
folie
, cette maladie répu- tée incurable, pouvait êtr
le des aliénés; la seconde : Relations entre la cri- minalité et la
folie
. Les séances du matin seront consacrées à la di
lonté, ou, ainsi que je l'ai exposé dans ce Recueil, à propos de la
folie
avec conscience, une perversion de la sensation
l, car il importe, au plus haut degré, que la médecine légale de la
folie
ne verse dans aucune exa- gération et soit l'ap
ue les déviations, les perversions intel- lectuelles ne sont pas la
folie
et que ce serait créer un danger social que d'e
l a commis comme facteur des actes indélicats, la cause est non une
folie
morale, mais la passion de boire. Son affaiblis
toujours chez eux la symptomatologie et l'évolution spéciale de la
folie
impulsive. IV. Ceux qui ont agi sous l'influe
chez eux la symptomatologie ainsi que l'évo- lution spéciale de la
folie
impulsive et que, d'un autre côté, une impulsio
ibles si l'on veut bien se rendre compte de ce qu'est, en somme, la
folie
hystérique, et des modifica- tions que l'état h
ucina- toires intenses qui constituent presque tout le fond de la
folie
hystérique, sur lesquels on peut agir par les mêm
s. Quant ;i prendre cette méthode d'emblée dans le traitement d'une
folie
hystérique, telle n'est pas encore notre idée,
ns en foyer de lésions diffuses des troubles de nutrition dans la
folie
systématique aiguë, la paralysie générale, la mén
ibataire, entré à l'asile en octobre 1880, pour un premier accès de
folie
: il a été soldat dans l'armée des Indes, a eu
mprunt, avait fait plusieurs dupes. P. K. XXV. Du PRONOSTIC DE LA
FOLIE
CHEZ LES ALIÉNÉS QUI REFUSENT DE manger; par He
ue le refus de manger se manifeste au cours d'un premier accès de
folie
. 3 a. Défavorable, si le refus est observé au sec
ladies mentales. Des signes physiques intellectuels et moraux de la
folie
hé1'édi- tai1'c. - M. FALIl.ln. Il me semble qu
c. - M. FALIl.ln. Il me semble que question des signes spéciaux des
folies
héréditaires pourrait faire revivre les anciennes
prime aucun cachet à l'aliéné; d'autres, comme Morel, admettent des
folies
héréditaires, c'est-à- dire avec des stigmates
les uns deviennent idiots et imbéciles, les autres tendent vers la
folie
raisonnante et le délire des actes. Ceux-ci s'e
la forme raisonnante, les formes intermittentes et périodiques, la
folie
circulaire, la folie avec conscience, la folie
, les formes intermittentes et périodiques, la folie circulaire, la
folie
avec conscience, la folie du doute, etc. Il y a
s et périodiques, la folie circulaire, la folie avec conscience, la
folie
du doute, etc. Il y a encore lieu de dis- tingu
Il y a encore lieu de dis- tinguer des variétés dans le groupe des
folies
héréditaires et c'est cette analyse qui contrib
et a exposé avec sa netteté habituelle l'état de la question sur la
folie
héréditaire. Il a indiqué les diverses opinions
taire. Enfin', pour beaucoup de médecins, aujourd'hui il existe une
folie
héréditaire indépendante des autres formes ment
autres formes mentales. Il va sans dire que les malades atteints de
folie
dite héréditaire, expression assurément impropre,
fet, exerce son action, rayonne sur toutes les manifestations de la
folie
, sur toutes les formes vésaniques; qui dit psyc
l'influence de l'hérédité s'exerce à des degrés différents dans la
folie
héréditaire, la folie intermittente, le délire ch
dité s'exerce à des degrés différents dans la folie héréditaire, la
folie
intermittente, le délire chronique. Les hérédit
s exemples. M. Falret a passé en revue les caractères propres de la
folie
héréditaire. Il a rappelé d'abord les stigmates
pente intellectuelle; les autres, les raisonnants, marchent vers la
folie
des actes et conservent toute leur lucidité. C'
tian 2 et plus récemment le Dr Kraepelin se sont occupés des cas de
folie
simple comme conséquence des mala- 1 Thore. - A
- Ann, médico-psychol., 1850,1e série, 7e année. i Christian. De la
folie
consécutive aux maladies aiguës, (arch. gén. de
se des centres médullaires ou cérébraux. Ce qui prédomine dans la
folie
des héréditaires, c'est la déshar- monie et le
de la paraldéhyde. Mémoire imprimé à part '. M. Freusberg. Sur la
folie
des vagabonds. Les aliénés vagabonds' tendent,
retrouve pas dans des cas rares de mélancolie, plus rares encore de
folie
systématique, infinitésimaux de paralysie génér
mprimé à part'. M. ROLLER. Sur, les troubles de la motilité dans la
folie
simple. Publié à part ! . Séance du 4 9 juin
, poursuivant la démonstration de cette théorie d'après laquelle la
folie
ne serait que le résultat de la déshar- monie e
s de soi-disant démence avec aliénation, les formes vulgaires de la
folie
, et qu'il élargissait ainsi son champ d'oh- IND
des boissons alcooliques dans l'aug- mentation du nombre des cas de
folies
et de suicides, 1872; Divers articles dans le N
veau Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratique (.Jaccoud) ;
Folie
(Législation) ; -Crc2nc(défor·maliorzs arti- fi
, des morts accidentelles déterminées par les excès de boisson, des
folies
et des suicides de cause alcoolique. Une somme
cours pour ce prix spécial ne sera clos que le 34 décembre 41886.
Folie
DE l'enfance. « Le petit Eurda, âgé de huit ans,
s à sa mère qui lui faisait attendre son déjeuner. Puis, pris d'une
folie
furieuse, s'est précipité sur elle et l'a tuée
l'a tuée à coups de couteau. » (Lanterne, 20 septembre.) Les cas de
folie
de l'enfance se pré- sentent assez souvent. Tou
ous les ans, à Bicêtre et à la Salpêtrière, on voit des exemples de
folie
générale ou partielle, de folie impul- sive, qu
alpêtrière, on voit des exemples de folie générale ou partielle, de
folie
impul- sive, quelquefois même l'aliénation cons
r, 13R, 295. Aliénés qui refusent' de manger, (du pronostic de la
folie
chez les), pat Sutherland), 420. Aliénés, 100
t sur), 238. Esprit (pathologie de 1'), par 111au- dsey, 132.
Folie
praoépileptiyue, 121. Folies héréditaires, 111,
logie de 1'), par 111au- dsey, 132. Folie praoépileptiyue, 121.
Folies
héréditaires, 111, 215, 48, 432. Ganglions in
irt, 108. Tubercules quadrijumeaux, par Spitzka, 89. Vagabonds (
folies
des), 449. Vague (affection du nerf- dans le
ncolie était déjà usité par Ilippocrate pour désigner une espèce de
folie
caractérisée par un délire . triste. Ce mot a é
x qui siègent dans l'abdomen, sont sus- ceptibles de déterminer une
folie
sympathique ; le cas est surtout manifeste pour
e particulière de malades. Ce sont des aliénés anciens, atteints de
folie
morale, et qui ne sont pas internés par ce fait q
1898.) E. BLIN. IL L'hérédité comme facteur dans l'étiologie de la
folie
; par le Dr Putnam STEARNS. Dans ses travaux
de dérangement cérébral. Hier ma- lin, pris d'une soudaine crise de
folie
furieuse, le malheureux descendit dans la rue,
e des lésions spinales dans la pa- ralysie générale. M. MAURtN : La
folie
alcooliquelà Marseille. M. CUGUILLi;RE : Les lé
l aurait pu être soigné, aurait peut-être guéri ce malheureux de sa
folie
de suicide. Un pou meurtrier. Un ouvrier nommé
gé son der- nier enfant, mais qu'elle a fait cela dans un moment de
folie
et après avoir rêvé la nuit une tête d'enfant.
, et si elle a été amenée dans un hospice d'aliénés, c'est pour les
folies
qu'elle a commises étant enfant. Elle nie absol
enquêtes qui lui paraîtront convenables, s'il est convaincu de la
folie
de l'individu et de la nécessité de l'interner, i
sans danger pour le malade et pour la société, et l'on sait que la
folie
n'attend pas. Maintien. Enfin, voilà l'aliéné i
de l'écorce et du liquide cérébro-spinal dans quarante-sept cas de
folie
; par le Dr Tomlinson. En 1896, le D1' Babcoc
ses études microscopiques sur les modifications de l'écorce dans la
folie
aiguë, en relation avec les conditions patholog
igu, 1 cas de stupeur aiguë, 4 cas de paralysie générale, si cas de
folie
séuile et 31 cas de démence terminale. Dans un
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ' Dans deux des cas de
folie
sénile, le liquide cérébro-spinal était stérile
C'est ainsi que chacun des processus « sensations viscérales », «
folie
», c émotions », « instinct», « personnalité », «l
rescriptions l'arrivée d'êtres fatalement destinés au délit ou à la
folie
en empêchant les indi- vidus tarés de transmett
lytique général ait plus de chance que tout autre de verser dans la
folie
. Il est bien entendu que j'excepte les. enfants
ferme le drapeau de la médecine mentale. SOCIÉTÉS SAVANTES. 1G9
Folie
sympathique. Laparatomie. Guérison des troubles
ubles intellectuels. M. Febvré donne lecture d'une observation de
folie
sympathique recueillie par lui et par M. Picqué
c la cicatrisation complète de la plaie abdominale. « Le terme de
folie
sympathique ou de délire sympathique a été, ajo
éningite sont fréquentes chez leurs descendants. Les névroses et la
folie
. sont, d'après nos recherches, remarquablement
, se rencontrent souvent chez leurs descendants. Les névroses et la
folie
sont d'après nos recherches, remarqua- blement
istiqae clinique. A. t' N\.11'ROU. VI. Les formes atténuées de la
folie
périodique ; par le Dr Hoche. Entre les forme
folie périodique ; par le Dr Hoche. Entre les formes graves de la
folie
périodique et les oscillations physiologiques d
transition qui constituent des formes plus ou'moins atténuées de la
folie
périodique. Les individus atteints de ces forme
ie périodique. Les individus atteints de ces formes atténuées de la
folie
pério- dique ne sont pour ainsi dire jamais tra
scent, est particulièrement suspecte d'être la première phase d'une
folie
cir- culaire. En général, une agitation mania
intense se guérissant rapidement chez un jeune homme n'est pas une
folie
circulaire, mais peut être suivie d'autres cris
De la mélancolie au début; par le Dr J. Ponton. La curabilité de la
folie
dépend en grande partie de son dia- gnostic et
affections qui constituent trois grands groupes, les psychoses, les
folies
toxiques et les folies organiques. C'est ainsi
ent trois grands groupes, les psychoses, les folies toxiques et les
folies
organiques. C'est ainsi que l'agitation, avec s
la manie, du délire hal- lucinatoire aigu, de la mélancolie, de la
folie
intermittente, de la dégénérescence mentale, de
The alienist and neuro- logist, juillet 1898.) E. B. XVIII. De la
folie
à son début; par Crochley CLAPHANS. (Quarlcrlz
APHANS. (Quarlcrlz médical journal, juillet 1898.) Le début de la
folie
est la période où cette maladie est le plus cur
de où cette maladie est le plus curable. Souvent par préjugé que la
folie
est honteuse, on la cache avec soin sans l'avou
massage abdominale avec ou sans électricité. Il a aussi des cas de
folie
se développant chez des adolescents (folie mora
é. Il a aussi des cas de folie se développant chez des adolescents (
folie
morale) qui peuvent être améliorés par l'isolem
ent à la campagne l'exercice physique et un régime alimentaire. Les
folies
puerpé- rales survenant avant ou après l'accouc
es folies puerpé- rales survenant avant ou après l'accouchement, la
folie
de la lac- tation d'un pronostic variable bénéf
n médecin expérimenté. D'une manière générale on peut dire que la
folie
au début pourrait être traitée d'une façon avan
avantageuse sans que les malades soient frappés du « stigmate de la
folie
» qu'apporte le certificat. C'est dans cet espr
C'est dans cet esprit qu'on a demandé qu'une clause concernant la
folie
au début fut annexée à la loi sur les aliénés. Gr
liénation ou dont 224 4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'état de
folie
ne serait pas encore confirmé, pourraient être so
ssaires et les magistrats. Un certificat médical affirmerait que la
folie
n'est pas confirmée et qu'un isolement de six moi
r signale une proposition de loi et un assez grand nombre de cas de
folie
maintenus en famille, en observation spéciale et
servation spéciale et en traitement avant déclaration définitive de
folie
et mise en surveil- lance officielle. Il estime
et mise en surveil- lance officielle. Il estime que bien des cas de
folie
pris tout au début pourraient être avec fruit t
ernement et la flétrissure fâcheuse de la déclaration officielle de
folie
, cause de chocs mo- raux profonds pour les fami
buveurs, des épileptiques, des dé- ments et 25 p. 100 d'aliénés par
folie
acquise. La proportion géné- rale des aliénés d
. ? 40 ARCHIVES DE NEUROLOGIE . CLINIQUE MENTALE. MYSTICISME ET
FOLIE
1 ; ! Par le D' A. MARIE, Médecin en chef de
l'entité morbide que les anciens auteurs décrivaient sous le nom de
folie
religieuse. Elle a vécu comme les monomanies qu
Vil. 17 2S8 CLINIQUE mentale. par Calmeil dans un traité de la
folie
considérée sous le point de vue pathologique, p
des sciences anthropologiques, article Religion. mysticisme ET
FOLIE
. 239 parfois pour les néophytes des missions co
autre part, les psychoses ordinaires non progressives ainsi que les
folies
toxiques, organiques, névropathiques, etc., pou
es.) ' Cotard. drch. de Neurol., 41 et ! 2, 1882. mysticisme ET
folie
. 261 En ce qui concerne les formes de délires s
et Tanzi7 dans leur tableau de sept formes de paranoïa, rangent la
folie
religieuse en troi- sième lieu après les formes
Tanzi. Rev. sperim, di Frenalria, 1884, 1885, 1886. mysticisme ET
FOLIE
. 263 le reverrons dans la suite de notre étude,
More). Traité des maladies mentales, p. 703, 1860. MYSTICISME ET
FOLIE
. 265 à des êtres fictifs, ses [impressions imag
des cliniques sur les maladies mentales, P., 1889. 4 Calmeil. De la
folie
, p. 81. MYSTICISME ET FOLIE. 267 Parmi les
entales, P., 1889. 4 Calmeil. De la folie, p. 81. MYSTICISME ET
FOLIE
. 267 Parmi les états congénitaux, l'idiotie et
cupations religieuses sont ' Cotard, p. 421, 425. MYSTICISME ET
FOLIE
. 269 fréquentes ; le souci du salut, la crainte
ucoup de déments, non moins affaiblis que les para- MYSTICISME ET
FOLIE
. 271 lytiques, sont loin d'atteindre le même de
r ces manifestations intellectuelles. D'après M. Magnan', dans la
folie
épileptique le délire est souvent de nature mys
, 82 et 88. ' Dupain. Loc. cit. Observation 52. MYSTICISME ET
FOLIE
. ' 273 Loudun (Légué et Gilles de la Tourette)
oprement dite. Mais, si le rôle considérable de l'hystérie dans ces
folies
communiquées, est maintenant un fait acquis et
ce moindre. Il est de notion élémentaire, en effet, dans les cas de
folie
communiquée, que l'on peut distinguer deux sort
pre- mier, le démon. Ce sorcier est le délirant principal dont la
folie
entraîne celle des prédisposés voisins, en partic
actif pour mériter le nom de délire reli- gieux. MYSTICISME ET
FOLIE
. 210 Le plus souvent, leurs pratiques de dévoti
amille, restés depuis indemnes étaient l'élément passif, dans cette
folie
communiquée; notre malade représentait le chron
plupart de nos délirants mystiques systématiques. MYSTICISME ET
FOLIE
277 L'existence de ces types de transition à an
, à propos de la discussion sur les rapports de l'hystérie et de la
folie
. Voici le passage, que nous demandons la permis
'essentiel est de discerner quand, tristes ou non, Geoi ? et. De la
folie
, p. 238. Paris, 1820. 294 PATHOLOGIE MENTALE.
umzustândo » ne se base que sur un rapport de ressemblance entre la
folie
et le rêve et que ces termes sont vagues, l'aut
l2ce et, par suite, la confusion mentale, n'est pas la vésaitie, la
folie
commune. Des caractères très importants et très
s un délire auto-toxique cesse d'être lui- même, pour devenir de la
folie
. J'observe en ce moment un fait de ce genre, ce
rôle capital dans cette association, au délire auto-toxique, de la
folie
. Diagnostic. Lorsque le diagnostic entre une ps
ar la mort, par la guérison; par la chronicité et le passage à la
folie
. La guérison est cependant la plus fréquente des
es états aigus d'épui- sement, à la suite de Collapsdelirium, de la
Folie
asthénique, de la Démence aiguë. Le tableau cli
re de cette affection un cadre plus large ; il fait rentrer dans la
folie
hallucinatoire, la manie halluci- natoire de Me
hasique de Meynert et de Schlaugenhausen, le premier groupe de la
folie
aiguë partielle de Kretz, les délires d'épuisemen
tielle de Kretz, les délires d'épuisement de Voigt, certains cas de
folie
systématique de Buch. Fritscli. Jahrbiicher sur
est pas un état maniaque franc, ni ce qu'on a décrit sous le nom de
folie
hystérique ; ce n'est pas non plus un délire al
service de l'Admission, pour les formes aiguës et subaiguës de la
folie
, calmer l'éréthisme du système nerveux par des mo
utéro-ovariennes sont susceptibles d'intervenir comme cause dans la
folie
et, dans un certain nombre de cas leur guérison
s d'aliénation mentale, notamment à la manie, à la mélancolie, à la
folie
à double forme, aux névroses et aux intoxicatio
n de la personnalité. · 3° Délires systématisés secondaires à 1(t
folie
à double forme. Les délires systématisés affect
isés affectionnent particuhèrementles formes inter- mittentes de la
folie
. Cela est vrai aussi pour la folie à double for
es formes inter- mittentes de la folie. Cela est vrai aussi pour la
folie
à double forme. On y a observé des délires de n
l faut simplement traiter les aliénés comme des gens ordinaires, la
folie
n'étant pas une contre-indication. M. ltoosr
la pathogénie, la physiologie patho- logique, la description de la
folie
épileptique, communication sur le traitement no
e de Moscou d'émettre un avis sur la nécessité tl'ii2ti-o- duire la
folie
parmi les causes légales du divorce, celle-ci a f
les autres. Après avoir émis un avis favorable à l'admission de la
folie
comme cause légale du divorce, le rapporteur co
0-1898 qui contiennent des exemples' de la plupart des formes de la
folie
de l'enfant et de l'adolescent. 426 BIBLIOGRA
a été dans la nuit de samedi à dimanche le théâtre d'un drame delà
folie
. Un habitant de cette localité, le nommé liloch
ilochon, qui avait été, il y a un an, interné à la suite d'actes de
folie
, de nature à faire craindre pour son entourage,
as diffèrent de la mélancolie pour se rapprocher au contraire de la
folie
systématique. Voici d'ailleurs un exemple ent
mais se rapproche au contraire, par bien des côtés du délire de la
folie
systématique (paranoïa) primitive. Parmi les ca
e considérer comme se rattachant plutôt à une forme particulière de
folie
systématique primi- tive qu'à la mélancolie.
es nous permettent de retrouver ici les traits fonda- mentaux de la
folie
systématique primitive. Seule, la formule d'aut
leur genèse qui permet de rapporter un délire à la mélancolie ou la
folie
systématique. C'est ainsi que, dans le cas ac
ue. Il se manifeste au contraire comme un symptôme relevant de la
folie
systématique primitive à laquelle il donne seule-
Et nous fûmes ainsi amené à porter par élimination le diagnostic de
folie
systématique avec délire, de teinte particulièr
te une série de vols. Il présentait les caractères les plus nets de
folie
morale avec antécédents personnels et hérédi- t
niste n'est à l'abri d'une erreur, surtout pour ces cas spéciaux de
folie
morale. Il faut dire, toutefois, que ces erreur
aussi par un phénomène physico-chimique indiscutable. Spiritisme et
folie
. MM. Marie et Vigouroux. A toutes les époques l
et aux préoccupations du moment. Le spiritisme devait fournir à la
folie
son contingent de systèmes délirants explicatfis
sont pas moindres dans toutes les formes aiguës ou sub-aiguës de la
folie
et nous pensons en termi- nant les résumer de l
ement de ses semblables atteints par le plus terrible des maux : la
folie
. Cette excursion médicale, très intéressante, a
. Faciale. Einihypcitroplne , par Sabrazès et Cahannes, 3 ? fi.
Folie
. Rapport préliininairesiir l'exa- incil bactéri
te de goitre exopttthaimique, par Gau- tier, 362. Mysticisme et
folie
, par A. Marie, 257. Narcolepsie. Note sur la ép
tions d'oi-i gitie blennorrhayque, Boinet, 50 i. Spiritisme, et
folie
, par Marie et Vigoureux, 488. Spt.fAL.Lenerfe
s pas étonnés que certains auteurs aient rangé la catatonie dans la
folie
de la puberté (Maudsley1). D'ailleurs la plupar
catalepsie se rattachent d'une manière plus intime à l'histoire des
folies
épidémiques, à celle du délire religieux surtou
ticulier qui se manifeste surtout par l'appari- tion d'idées fixes (
folie
du doute, folie du pourquoi, arithmo- manie, et
manifeste surtout par l'appari- tion d'idées fixes (folie du doute,
folie
du pourquoi, arithmo- manie, etc.). Tous les ph
cette hérédité dans quatre générations successives. R. M. C. VII.
Folie
morale ou émotionnelle; par D. HACK TUItE. (The
de trouble mental que l'on désigne habituellement sous le nom de
Folie
morale, bien que les sentiments moraux puissent y
de toute maladie. 2° Il existe plusieurs variétés de cette forme de
folie
; mais on peut dire d'une façon générale que le
3° On ne peut poser aucune règle absolue propre à différencier la
folie
morale de le perversité morale ; on ne peut se pr
s au contrôle de celui qui les commettait. Il n'est aucune forme de
folie
où il SOCIÉTÉS SAVANTES. 81 soit aussi indisp
tion et ses maladies antérieures. R. M. C. VIII. Coup D'OEIL sur la
FOLIE
EN ESPAGNE; par F.-A. JELLY. (Tlce Jourlznl of
ait dans ce travail des données médicales ou administratives sur la
folie
en Espagne, n'y trouverait que le récit d'une v
lissements d'aliénés ! 11 y a des personnes qui n'ont qu'un coin de
folie
, un seul, et qui précisément à cause de cela on
cette ttiste maladie que le vulgaire appelle, d'un nom général, la
folie
, et sur la nécessité de l'internement comme tra
-révoquer en doute la compétence des médecins quand il s'agit de la
folie
, d'une ma- Arciiives, t. XV. 8 114 SÉNAT. l
fier, ni d'articles du code à appliquer. Il s'agit simplement d'une
folie
à constater, d'un malade à interner. En l'espèce
es de début, sur la paralysie générale d'origine syphilitique et la
folie
congestive paralytique, sur ses rémissions et e
longue durée de chaque période tient à la longue évolution de toute
folie
quelle qu'elle soit. D'ailleurs, il en est de m
et orgueilleux. Il est de règle en médecine mentale [que toutes les
folies
mentales coin SOCIÉTÉS SAVANTES. 283 mencent
actes impulsifs. L'hypnotisme peut provoquer une exacerbation de la
folie
systématique hallucinatoire aiguë, par exmple u
ut s'attendre à cette parfaite égalité d'équilibration : exemples :
folie
systématique aiguë ou folie stupide (récupérati
te égalité d'équilibration : exemples : folie systématique aiguë ou
folie
stupide (récupération de la mémoire impossible)
andis qu'une séquestra- tion prolongée s'oppose à leur guérison. C.
Folie
systématique. Chronique ou aiguë, acquise ou co
rsécutés purement cérébraux. Mais il y a des exceptions à faire. La
folie
systématique du masturbateur a cependant été co
i caractéristiques auxquelles ces aliénés se livrent. Alais dans la
folie
systématique aiguë il faut en user, à la périod
pour un grand nombre, et les fous systématiques chroniques. E. La
folie
morale, incurable comme on sait, mérite cependant
catégories de AI. Schuele. M. MESCHEDE cite une série d'exemples de
folie
systématique partielle incurable concernant des
laisse au magistrat la décision suprême de l'existence ou non de la
folie
, même contre l'avis de l'aliéniste, et de l'éla
dividus déjà immatriculés se puisse per- pétuer malgré l'absence de
folie
. Mais, avant que le diagnostic définitif d'un m
.%DT et ZINN, ces deux derniers secrétaires. M. MENDEL. Un cas de
folie
gémellaire. A propos d'un cas em- prunté au tra
au travail de M. Euphrat, l'orateur communique unie observation de
folie
induite qu'il a vue dans ces derniers temps. Ve
lut, s'agite, et, de temps à autre, devient ma- niaque. Diagnostic.
Folie
systématique hallucinatoire aiguë. Huit jours a
antes de la jeune fille. Discussion : - M. WErtDT parle d'un cas de
folie
gémellaire sur- venu chez deux soeurs ayant tou
Hanovre le 2 mai 1887. SOCIÉTÉS SAVANTES. 303 qu'un exemple de
folie
gémellaire, dans lequel le père et la mère étai
ous deux furent affectés à un an et demi ou deux ans de distance de
folie
systématique halluci- natoire. M. HASSE trait
ES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA.
FOLIE
COMMUNIQUÉE'; - Parle Dr LEGRAIN, ancien intern
e la Colonie de Vaucluse. On a beaucoup parlé de la contagion de la
folie
, et, en dehors du monde scientifique, il n'est
doléances d'un mari, soutenant qu'il n'a jamais cons; taté trace de
folie
chez sa femme, justifiant le délire de celle-ci
ravaux qui nous sug- gèrent quelques critiques. Jusqu'à présent, la
folie
communiquée n'est considérée que comme une va-
une va- riété de délire à deux, à côté de laquelle on place : la
folie
imposée de Lasègue et Falret', la folie simulta-
é de laquelle on place : la folie imposée de Lasègue et Falret', la
folie
simulta- née de Régis 2, la folie transformée d
imposée de Lasègue et Falret', la folie simulta- née de Régis 2, la
folie
transformée de Kiernan, la folie induite de Leh
folie simulta- née de Régis 2, la folie transformée de Kiernan, la
folie
induite de Lehmann3. Nous pensons qu'il est vra
de un véritable luxe d'épithètes. Conser- ' Lasègue et Falret. - La
Folie
à Deux. (A),ch. gén. de méd., 1877.) 1 Régis. L
Falret. - La Folie à Deux. (A),ch. gén. de méd., 1877.) 1 Régis. La
Folie
à Deux, th., 1880. 9 Lehmann. - Folie induite.
de méd., 1877.) 1 Régis. La Folie à Deux, th., 1880. 9 Lehmann. -
Folie
induite. (dreh. fiir Psychiatrie, t. XIV.) DE L
9 Lehmann. - Folie induite. (dreh. fiir Psychiatrie, t. XIV.) DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE. 323 vons, si l'on veut, le terme g
LA FOLIE COMMUNIQUÉE. 323 vons, si l'on veut, le terme générique de
folie
à deux, et réduisons à deux le nombre de ses va
aboration qu'émane tout le système délirant. C'est là, la véritable
folie
à deux, celle à laquelle conviendrait pleinemen
elle à laquelle conviendrait pleinement, croyons- nous, le terme de
folie
simultanée, employé par Régis, pour désigner un
s inséparables d'un grand événement : dans ce groupe se rangent les
folies
épidemiques, la folie des convulsionnai) 'es ,
événement : dans ce groupe se rangent les folies épidemiques, la
folie
des convulsionnai) 'es , en un mot, les folies qu
olies épidemiques, la folie des convulsionnai) 'es , en un mot, les
folies
qui frappent du même coup un grand nombre d'ind
ses idées aux autres. Ces deux groupes méritent bien l'étiquette de
folie
communiquée, et la clinique les différencie tot
ons indiquée. De ces quelques lignes, il ressort que les termes :
folie
communiquée, folie simultanée de Régis, folie t
ces quelques lignes, il ressort que les termes : folie communiquée,
folie
simultanée de Régis, folie transformée, folie i
sort que les termes : folie communiquée, folie simultanée de Régis,
folie
transformée, folie induite, sont synonymes, ave
folie communiquée, folie simultanée de Régis, folie transformée,
folie
induite, sont synonymes, avec une 324 PATHOLOGI
onymes, avec une 324 PATHOLOGIE MENTALE. nuance toutefois pour la
folie
transformée, dans la- quelle les malades passif
t où ils subissent l'influence d'autres malades. Ce sont les cas de
folie
communiquée qu'il - n'est pas rare d'observer d
ette nuance près, il est bien évident qu'il s'agit ici encore d'une
folie
communiquée. Nous croyons donc qu'il serait b
ons donc qu'il serait bon de substituer à tous ces termes, celui de
folie
communiquée, em- ployé par Marandon de Monthiel
onthiell et préférable à cause de son sens plus général, à celui de
folie
impo- sée. La folie, en effet, n'est véritablem
à cause de son sens plus général, à celui de folie impo- sée. La
folie
, en effet, n'est véritablement imposée que dans
la contagion ne saurait se concevoir, il y 1 Marandon de Monthiel.
Folie
à Deux. (Ann. médico-psychol. Jan- vier 1881.)
thiel. Folie à Deux. (Ann. médico-psychol. Jan- vier 1881.) DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE. 925 avait un véritable entraînemen
que les grands événements produisent des faits semblables. DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE. 327 7 Au moment des élections, on
désignons, non pas ces sui- ' Schpolianski. - Des Analogie entre la
Folie
à deux et le Suicide à deux. Th. 1885. 1 338
ecouru par sa femme, a pu raconter l'his- toire au médecin. DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE. 329 11 y a eu dans ce cas une véri
oque; l'un n'est pas la vic- time passive de l'autre, comme dans la
folie
induite, tous deux sont également actifs. L'ent
gère ne supposent-ils pas une in- telligence débile ? Donc, dans la
folie
communiquée, l'un des délires est l'oeuvre d'un
elui qui servira plus tard de modèle. Puis, celui-ci, s'est DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE. 331 propagé en atteignant les faib
dées véritablement étranges, frappées indubitablement au coin de la
folie
, même pour les esprits les plus indulgents, qu'
ons relatives à l'hypnotisme, au, spiritisme, etc., sont en DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE. 333 faveur, et sont malheureusemen
ins exacte. A ce point de vue, il faut établir une distinc- DE LA
FOLIE
COMMUNIQUEE. 335 tion. Des deux malades, l'un e
ouchements réitérés de la part de son propre père. « Ma mère, DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE. 337 dit-elle, m'avait dit de faire
nous; c'est qu'on voulait m'empêcher de constater que ma mère DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE. 339 avait beaucoup changé. Je suis
r pris à tâche à elle seule, de démontrer l'inanité des soupçons de
folie
dont ou l'accuse en compagnie de son aînée, en
on, et ce sont surtout les illusions et les interprétations DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE.. 341, délirantes qui forment le co
, mais la ressemblance est néanmoins toujours imparfaite. Dans la
folie
communiquée, les conceptions déli- rantes ne so
ns presque s'en apercevoir, se consommer deux suicides qui la DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE. 343 laissent sans soutien. Elle a
lades complices du même crime. Il s'agissait en réalité d'un cas de
folie
communiquée. L'une des quatre personnes, intell
vue qui nous occupe, elle nous inspire les réflexions sui- DE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE. 345 vantes : On se demande comment
ctif que pour le délirant passif. Le traitement à adopter pour la
folie
communiquée découle de l'exposé précédent. Il f
Juillet z.) Dans le premier cas, c'est chez une malade atteinte de
folie
chronique avec accès récurrents que cet effet a
dues à des lésions céphaliques et à d'autres dommages, par de la
folie
systématique chronique semblable au délire de per
remière comprend ceux qui ont un trouble dans leurs idées, c'est la
folie
intellectuelle. Ceux-là, tous ceux qui ont reçu u
rats, peuvent la constater du premier coup d'oeil. Mais il y a la «
folie
affective », la folie des sentiments, et c'est
ater du premier coup d'oeil. Mais il y a la « folie affective », la
folie
des sentiments, et c'est la plus dangereuse de
Bertillon, et surtout de Gambetta'. 1. Marcel BAUDoutx. XVII. L't
folie
chez les enfants; par le Dl Paul Moreau (de Tours
ve, car l'auteur ne s'est pas borné à nous parler des formes que la
folie
affecte chez les enfants, mais aussi de tous les
tc., etc. La première partie de l'ouvrage traitant des causes do la
folie
dans l'enfance a reçu de grands développements.
ands développements. Par contre, l'étude des modifi- cations que la
folie
subit quand elle survient chez l'enfant tient u
les Mahometans. Ce n'est que récemment BIBLIOGRAPHIE. 1183 que la
folie
héréditaire a été isolée et que l'alcool en a été
aitement du mal de Bright. l3arlliomeuf : C'on- sidérations sur les
folies
intermittentes. Mcnat'd : Contribution « l'étud
es chez les diabétiques. De Gorski : Quelques considérations sur la
folie
puerpérale et sur sa nature. Albournac : De l'inf
athéromateux, par Copin, 481. Circonvolution de Broca, par 182. -
Folie
chez les enfants, par Moreau, 483. par Morico
Epileptiques (violences commises par les), par Echeverria, 276.
Folie
morale, par Tnke, 80; en Espagne, par Jelly, 81
sieurs des autres syndromes; ils font, en réalité, cor- tège à la
folie
héréditaire et n'en sont que des syn- dromes ép
d'une décharge de la région psycho-motrice 1. *. 1 Magnan. - Cas de
folie
héréditaire : syndromes épisodiques intéres- sa
sivement diverses régions de l'axe cérébro-spizaal. Coexis tence de
folie
héréditaire, de délire alcoolique et de délire ép
, cette déséquilibrée présente les premières manifestations de la
folie
du doute. Très gâtée par ses parents, on lui la
ombreux syndromes (kleptomanie, kleptophobie, crainte du toucher,
folie
du doute, aberrations sexuelles) avait égalemen
lser les paroles ordurières. Un malade de M. Maudsley, qui, avec la
folie
du doute présentait de l'arithmomanie et de la
H... dont nous allons ré- sumer l'obervation est une dégénérée avec
folie
mo- rale et accès mélancoliques. Son intempéran
n de ce groupe, nous trouvons réunis, le délire hypochondriaque, la
folie
du doute et l'onomatomanie. 1 Observation X
générescence mentale. Scrupules. Préoccupa- tions hypochondriaques.
Folie
du doute. Interrogations mentales fréquentes. O
on absolument identique ; nous ne pouvons insister sur ces détails (
folie
puerpérale, amnésie, astasie et abasie). (Archive
degré bien caractérisé de démence. Il faut aussi noter des accès de
folie
épileptique, inconscients et passagers, qui sur-
manie n'étant, ainsi qu'on le sait, qu'un syndrome épisodique de la
folie
des dégénérés. Deux fois l'accès dipsomaniaque
l'intensité des perceptions réelles. J. Séglas. II. Observation DE
FOLIE
A deux ; par M. J. ? ¡OL.\.X. (The Journal of m
entres optiques. KERAVAL. V, DES relations DES obsessions avec la
FOLIE
systématique (para- noïa) ; par A. IIZERCRLIN.
es obsessions se transforment-elles en conceptions délirantes ou en
folie
systéma- tique ? Existe-t-il, dans la folie sys
ptions délirantes ou en folie systéma- tique ? Existe-t-il, dans la
folie
systématique, un stade prodro- mique caractéris
i dans lequel les obsessions constituent le symptôme fon- damental (
folie
par obsession). On y rencontre une vésanie connue
mes ; ce sont les conceptions délirantes volantes, de Mayser, de la
folie
systématique (Wahnsinn) aiguë. Quant aux obsess
vraies elles sont absolument rares au début de la paranoïa et de la
folie
systématique hypocondriaque. Quand on constate
gence en danger. P. KERAVAL. VII. Contribution A la théorie DE LI
FOLIE
gémellaire; par N. Os- TERMAYER. (Archiv. f. Ps
f. Psychiat., XXIII, 1.) - , Etudiant les quatorze observations de
folie
chez les jumeaux qui existent dans la science,
les jumeaux qui existent dans la science, l'auteur dit que la vraie
folie
gémellaire est caractérisée par l'apparition, s
ou semblable, qui évolue d'une façon autonome. Sinon, il faut dire
folie
induite, folie à deux chez des jumeaux. La genè
qui évolue d'une façon autonome. Sinon, il faut dire folie induite,
folie
à deux chez des jumeaux. La genèse autochtone d
induite, folie à deux chez des jumeaux. La genèse autochtone de la
folie
chez les jumeaux s'explique par l'hérédité ; en
eu importe encore une fois la simultanéité. Suit une observation de
folie
induite chez des jumeaux ayant revêtu la forme
mence aiguë (celle le plus fréquemment prise pour la catatonie) -la
folie
systématique ou paranoïa aiguë (ou plutôt délir
ancolie avec stupeur et dans les psychoses chroniques telles que la
folie
systématique (avec affaiblissement intellectuel
(avec affaiblissement intellectuel) la paralysie générale quelques
folies
périodiques quelques vésanies hystériques la dé
c douteux. Quant aux quelques paralysies générales, hystéropathies,
folies
systéma- tiques chroniques, attribuées à l'infl
li. Une seule fois, on a interdit une dame haut placée, affectée de
folie
morale, sous la rubrique « pour cause de maladi
soi, du sort de son pupille. Je me souviens d'une femme atteinte de
folie
systématique qui, renvoyée de l'asile à titre d
t ils mena- ceront le but que nous poursuivons, le traitement de la
folie
, ils aggraveront le préjugé qui ne voit dans le
porte avant tout d'éliminer des asiles l'alcoolisme chronique et la
folie
morale. La conduite et la perversité de ce genre
u traitement des malades ne conviennent pas aux aliénés atteints de
folie
morale et d'alcoolisme chronique. Mon expérience
une section toujours en mesure de recevoir des malades affectés de
folie
transitoire qui nécessite la séquestration dans
hoses telles que' l'hystérie, l'hypo- chondrie, la neurasthénie, la
folie
obsédante - l'alcoolisme - le morphinisme le co
grande confiance en lui. En plusieurs cas de mélancolie simple, de
folie
alcoolique et hystérique, de folie du doute, de
urs cas de mélancolie simple, de folie alcoolique et hystérique, de
folie
du doute, de morphinisme; dans l'inversion du s
dans la dipso- manie, et l'inversion du sens génital; ajoutons-y la
folie
du doute. Il est indiqué d'agir par la suggesti
mettre fin à ses jours. (Petit Troyen, 27 juin.) LESDRAMES'DR la
folie
. Les journaux politiques du 25 juin annoncent q
d, a tué, ce matin, sa femme à coups de couteau, dans un accès de
folie
furieuse. Il s'agit d'un alcoolique qui, guéri
es ennemis imaginaires et à diverses reprises il avait manifesté sa
folie
par des violences dan- gereuses. Or, la nuit
raison, infirmité cérébrale, congénitale ou acquise, épilep- tique,
folie
à la puberté, etc., il y a nécessité de les faire
ay. A. Hirs- chevald. PROrIER (E.). Etudes sur la contagion de la
folie
. Volume in-8° de 93 pages. - Genève, 1892. H. S
ste mais il lui est impossible, dit-elle, d'agir différemment. La
folie
du doute nettement dessinée à quatorze ans est
et il a parfois manifesté une vive colère et même des menaces.. La
folie
du doute se développe dès l'âge de douze ans ch
, parmi les nombreuses observations réunies dans son mémoire sur la
folie
du doute avec délire du toucher, signale des ma
l'enfance, scrupuleuse, méticuleuse. Crainte du mot compromettant.
Folie
du doute, influence active des causes mo- rales
OLOGIE MENTALE. Plus tard, elle a des manifestations singulières de
folie
du doute. Elle se demande si, faisant sa toilet
Ce cas est intéressant par l'hérédité similaire du même syndrome la
folie
du doute chez la mère et la fille; il est remar
ue le dimanche seulement. Observation XXII. Dégénérescence mentale;
folie
du doute; im- pulsions ; hurlements subits ; ri
ais se marier, de se faire religieuse. Un peu plus tard apparaît la
folie
du doute ; elle défait et recom- mence plusieur
s angoissantes du mot; crainte du mot compromettant, Arithmomancie.
Folie
du doute. Pyrophobie. M. G..., rentier, âgé de
opératoire, il subsiste toujours le risque de l'épilepsie ou de la
folie
survenant à une époque plus ou moins éloignée et
, c'est-à-dire par l'étude de i'étiologie et de la pathologie de la
folie
, que nous arriverons à la connaissance des corr
me universelle. Les négateurs présentent encore fré- quemment de la
folie
d'opposition, manifestation extérieure de leur
sont connus, la tare héréditaire de ceux-ci est lourde; 7° dans les
folies
séniles, de forme dépressive, on note assez sou
s intellectuels. Nous avons déjà signalé leur manifestation dans la
folie
sénile et démentielle; 10° le délire hypochondr
étant parfaitement sains, ce sera sur les ascendants, soupçonnés de
folie
, que des questions seront potées. C'est la même
ller au-devant du péril dans l'espoir, peut-être chimérique, que la
folie
deviendra plus rare et la détérioration de l'es
aliéniste devrait être autorisé à signaler aux autorités les cas de
folie
dangereuse dont il peut avoir connaissance dans
escence ». C'est une forme intermédiaire entre les psychoses et les
folies
à lésions accentuées et profondes; elle revêt s
on mentale existe dans bien des cas, tels par exemple que certaines
folies
puerpérales; mais pour ceux qu'a en vue M. Chas
édicament puisse avoir de l'action sur les périodes maniaques de la
folie
circulaire. M. MABILLE ne l'a expérimenté que c
alon des Sociétés savantes, on pourra s'occuper d'un curieux cas de
folie
. Le 10 mai dernier, un sieur L..., qui avait ét
: M. X..., terrassier à la compagnie de l'Ouest, pris subitement de
folie
sur la voie, par suite d'insolation, s'est enfui
la ligne sur le quai Michelet, à Levallois, a été également pris de
folie
furieuse et s'est jeté dans la Seine. Enfin, M.
T la lune. Un pauvre diable de marchand des quatre saisons, pris de
folie
, tirait son pantalon hier, au beau milieu du pa
de cervelle se voyait au plafond. (la Vallée de l'Eure, 4 févr.)
Folie
alcoolique. Un homme grièvement blessé se présent
le se sent rassurée et soulagée. D'autres syndromes épisodiques, la
folie
du doute, l'arithmoma- nie, les craintes du tou
t de ces impul- sions. ' Observation XXV. Dégénérescence mentale.
Folie
du doute. Ono- matomanie : mots préservateurs.
Observation XXVIII. Dégénérescence mentale. Crainte de la foudre.
Folie
du doute. Arithmoman'e Onomatomanie. M. M..., d
is elle consent a donner la main au médecin aliéniste, parce que la
folie
, dit-elle, n'est pas contagieuse; elle n'ose to
lade, âgée de seize ans, éprouve déjà les premières atteintes de la
folie
du doute que lui transmet sa mère. La malade, d
er la rose parce que je commençais à être inquiet de cette sorte de
folie
persistante. On peut faire aux hystériques bien
« Vous décrivez là les symptômes de l'aboulie, une des formes de la
folie
du doute, et les sujets dont vous rapportez les
énéral si mal com- prise, celle des rapports entre l'hystérie et la
folie
du doute. Je me contente de vous livrer mon opi
éorie plus juste de la criminalité. R. M. C. III. Observations DE
FOLIE
incendiaire, avec commentaires; par - b John Ba
L'auteur a rassemblé dans ce mémoire plusieurs cas intéressants de
folie
incendiaire, et l'étude de ces cas le conduit à r
ire, et l'étude de ces cas le conduit à repousser l'existence de la
folie
spéciale jadis décrite sous le nom de pyro- man
s de contagion mentale dans son entourage, dont les observations de
folie
communiquée offrent de beaux exemples. Au poi
sensibilité morale; dans cette catégorie rentrent naturellement les
folies
morales que caractérisent la perversion des senti
nt les individus atteints de dégénérescence psychique, se trouve la
folie
du doute, affection qui se- rencontre spécialem
s, lorsqu'ils deviennent aliénés, les diverses manifestations de la
folie
Archives, t. XXIV. 31 482 REVUE DE MÉDECINE L
délire rentrent les obsessions et les impulsions dangereuses. La
folie
impulsive est certainement le type le plus remarq
folie impulsive est certainement le type le plus remarquable de la
folie
morale : les déterminations les plus imprévues, r
ar une force irrésistible. Les conceptions multiples, le mélange de
folie
morale et intel- lectuelle forment également un
de circonstances particulières. Dans la classe des dégénérés avec
folie
morale peuvent encore se placer ces jeunes gens
e délire présente une manière d'être anormale : ainsi on observe la
folie
du doute, le dédoublement de la personnalité, l'a
ale proprement dite. , On y voit M... entrer sur le terrain de la
folie
onze ans avant son arrestation, par une période
d'études morales en dehors de ses rapports avec la pénalité. ' 6°
Folie
et responsabilité peuvent coexister. ¡ 7° Un in
leurs - idées délirantes : par conséquent l'irresponsabilité et la
folie
ne se rencontrent pas toujours sur le même terr
aux fins de déterminer si, au moment du fait, il était en état de
folie
, ou s'il a été contraint par une force morbide à
tion thérapeutique dans les diverses espèces d'aliénation mentale :
folie
simple, folie para- lytique, démence sénile et
ique dans les diverses espèces d'aliénation mentale : folie simple,
folie
para- lytique, démence sénile et athéromateuse,
folie simple, folie para- lytique, démence sénile et athéromateuse,
folie
épileptique et folie alcoolique, le méthylal ay
a- lytique, démence sénile et athéromateuse, folie épileptique et
folie
alcoolique, le méthylal ayant tonjours été admini
u et dans les mêmes'condi- tions l'efficacité des deux hypnotiques.
Folie
simple : dans 1G cas, la moitié est franchement
érimenter que dans trois cas, et a eu un succès pour deux insuccès.
Folie
épileptique : pas de résultat précis. Folie alc
s pour deux insuccès. Folie épileptique : pas de résultat précis.
Folie
alcoolique : dans deux cas d'insommie persistante
at., t. XLVII, p. 5.) Six observations de manie chronique, démence,
folie
systéma- tique, montrant qu'en enlevant à l'un
ade guéri, a continué à écrire. Obs. IV (erreur de numérotation).
Folie
systématique chronique REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
Wernicke. Amélioration radicale. Obs. III (erreur de numérotage).
Folie
systématique, aiguë, pri- mitive. Hallucination
fectée à la mémoire sensorielle des mots. Amélioration. Obs. V. -
Folie
systématique chronique. Hallucinations de l'ouïe,
ion des hallucinations. Obs. VI. - Tare héréditaire très chargée.
Folie
systématique, hallu- cinations de l'ouie. Malad
eut rien prouver ou plutôt militerait de préférence en faveur de la
folie
puisque le vice est souvent fac- teur étiologiq
109; toxicité urinaire chez les - , par J. Voisin et Péron, 178.
Folie
, drames dé la -, 151. FOLIE, à deux, par Nolau,
es - , par J. Voisin et Péron, 178. Folie, drames dé la -, 151.
FOLIE
, à deux, par Nolau, 68. Folie gémellaire, par O
178. Folie, drames dé la -, 151. FOLIE, à deux, par Nolau, 68.
Folie
gémellaire, par Ostermayer, 75. Folie systéma
E, à deux, par Nolau, 68. Folie gémellaire, par Ostermayer, 75.
Folie
systématique et obsession, par Mercklin, 69.
ille, 316. Impulsion pathologique, parFritsch, 99. Incendiaire (
folie
), par Baker, 478. Influenza, psychoses consécut
Kébold, 285, Nymphomanie ET Clitoridectomie, 158. Obsessions et
folie
systématique, par Mercklin, 67. ON0lfA'rOivIA
risque de se tromper en considérant l'hystérie comme une espèce de
folie
qu'en cherchant à grouper les phénomènes au-» t
ésoudre. Ce sont ces malades fort nombreux sur les frontières de la
folie
, qui présentent, des symptômes en apparence très
s ayant entre eux d'incontestables rapports, le délire du doute, la
folie
dite consciente ou raisonnante, les obses- sion
orces naturelles, le même sentiment que l'homme primitif. Dans la
folie
, ce sont les qualités les plus récemment acquises
et. (Montpellier, 1893.) L'auteur distingue, sans les définir, la
folie
syphilitique de l'alié- nation mentale syphilit
ccorder à ce dernier terme une compréhension plus vaste qu'au terme
folie
. L'aliénation mentale syphilitique a pour crité
hilis; c'est en vertu de ces critériums que l'auteur n'admet pas la
folie
simple de nature syphilitique, m la paralysie g
hilis cérébrale peut au début revêtir le masque symptomatique de la
folie
simple, mais bientôt au délire s'ajou- tent des
délire s'ajou- tent des troubles révelant la nature organique de la
folie
; de même aussi la syphilis cérébrale peut revêt
de la démence ou à des troubles paralytiques, d'où quatre formes :
folie
simple, folie démentielle, folie démentielle av
ou à des troubles paralytiques, d'où quatre formes : folie simple,
folie
démentielle, folie démentielle avec paralysie loc
paralytiques, d'où quatre formes : folie simple, folie démentielle,
folie
démentielle avec paralysie localisée, folie dém
ple, folie démentielle, folie démentielle avec paralysie localisée,
folie
démentielle avec paralysie généralisée. Le dé
ucault sur le même sujet, 1842; Considérations théorie- ques sur la
folie
, 1813 ; - Aldin. sur l'angine laryngée cedémaleus
m tremens, 485; - Lettres sur le suicide ; Des pseudo-monomanies ou
folies
partielles diffuses, 1859; Rapport du Comité ad
e, 1856, p. 239 ; - Délire consécutif à l'épilepsie, 1854, p. 56; -
Folie
au Bengale, 1857, p. 585; Sur les sectateurs de
mission, voulant revenir au traitement purement thérapeutique de la
folie
, qui donnerait, à son avis, une augmentation de
ficile à réfuter : Si, dit-il, le traitement pharmaceu- tique de la
folie
doit donner de si beaux résultats, comment se f
sur les per- sonnes, mais aussi sur les animaux. LES drames DE la
folie
. Pris d'un subit accès de folie, Désiré Leclerc
i sur les animaux. LES drames DE la folie. Pris d'un subit accès de
folie
, Désiré Leclerc, âgé de trente-neuf ans, peintr
; 11 ? . r 'l' : Iorq, .r- '0 .1 Observation d'un malade atteint de
folie
pellagreuse. et chez ,~ lequel on trouva à l'au
à ? sensibiiilé ! Aussi l'auteur s'élait-il borné au 'diagnostic de
folie
pellagreuse grave''avec paraplégie* déter- miné
dant'trois. générations deux^ états' morbides, 'para- myoclonus et-
folie
? ayant'de plus revêtubcértaines particularités''
nce avec l'atrémie de-Neftel qui, pour ce dernier auteur, est de la
folie
hypochondriaque 1. L'akinésie serait à peu près
1 8 J'l : ¡ : J Observation. Femme de quarante-huit ans atteinte de
folie
systématique chronique, pas d'hérédité; hypocho
persécution vagues ou coordonnées, à un délire chronique pur, à une
folie
systématique alcoolique', à,un délire alcooliqu
parole indistincte rappelant la. parole des petits enfants, dans la
folie
systématique hypochondriaque, . le désordre ave
ordre avec confusion dans les idées, la manie, la, mélancolie de la
folie
circulaire, l'hystérie, le délire chronique systé
e règle, parmi'' les aliénistes, dé regarder la majorité des cas de
folie
datant de deux- ans comme incurables. Les halluci
alité, dans ce pays et' en. Europe, qu'il me semble que ce soit une
folie
de continuer à défendre la craniecto- mie linéa
S. 163 aussi chez des individus n'ayant cependant qu'une attaque de
folie
passagère. P. K. XV. Contribution A LA THÉORI
fé sur une dé- mence paralytique. M. LIEBfANN. De quelques cas de
folie
consécutive au traumatisme. L'auteur passe en r
tive au traumatisme. L'auteur passe en revue les diverses formes de
folie
consécutives au traumatisme et insiste sur les
TYEL. Depuis bientôt deux ans la duboisine est préconisée dans la
folie
soit comme hypnotique, soit comme sédatif. Elle a
e les plus grandes réserves sur son emploi dans le traitement de la
folie
, surtout sur son emploi prolongé ainsi que l'ex
stitue pas une contre-indication à l'emploi de l'exalgine. Dans ;la
folie
épilep- tique, elle est toujours restée sans ef
J. Séglas. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 237 V. Sur LE traitement DE la
folie
par L'HYPNOTISME; par M. Percy SUITE etA.-T. MY
oxiques, par exemple l'éclampsie, il y aurait assez souvent dans la
folie
toxicité inverse de l'urine et du sang; dans la
, sont confirmés par les récentes recherches nosologiques sur les
folies
des maladies infectieuses aiguës, des maladies vi
d'une auto-intoxication. Ce sont même, à vrai dire, les véritables
folies
par auto-intoxication. On peut dire que, dans l
ion. On peut dire que, dans les cas où l'intoxication est aiguë, la
folie
se manifeste habituellement sous la forme d'un
aigu, toxique, semblable au délire alcoolique (c'est le cas pour la
folie
urémique); lorsque l'intoxication est lente et
Les psychoses diathésiques, bien que rentrant dans la question des
folies
par auto-intoxication etpar infection, n'ont pas
c'est là un argument puissant en faveur de l'origine toxique des
folies
étudiées, donne souvent ici d'excellents résultat
es faits sont néanmoins assez nombreux pour établir que, dans les
folies
infectieuses ou auto-toxiques, c'est au traitemen
orales. Après avoir entendu lecture d'une série d'observa- tions de
folie
brightique rentrant dans le cadre tracé par les r
ûr que dans le récit des faits qu'il demande à un aliéné atteint de
folie
partielle, ce dernier ne mêle aucune illusion, au
f, et quand preuve ne peut être faite, il y a lieu de soupçonner de
folie
l'auteur de l'aveu et le sou- mettre à une expe
e expertise. Enfin les psychopathes pseudo-lucides appartenant à la
folie
héréditaire présentent généralement au point de
e faire interner; c'est là un cas particulier de simu- lation de la
folie
par des aliénés. M. J. Voisin demande que l'acc
sur le cas possible de faux témoignages se corroborant par suite de
folie
communiquée, plusieurs malades affirmant la mêm
ique qu'il les détache des obsessions à forme paroxystique et de la
folie
du doute; c'est surtout à cause de la symptomat
. Arrêté"pour tentative d'homicide sur cette dernière, il simule la
folie
d'une façon grotesque ; mais, sa simulation déj
art des admissions; et l'on peut estimer qu'en éliminant les cas de
folie
simple déjà arrivés à la période de démence, on
ence, on renvoie guéris la moitié des autres. Parmi les causes de
folie
, la plus puissante est l'hérédité. J'ai, depuis
fillette de quinze ans atteinte à l'époque de la menstruation d'une
folie
cir- culaire qui cède après avoir duré six mois
rès avoir duré six mois. Un garçon de quinze ans et demi affecté de
folie
morale. Une folie périodique mens- truelle chez
mois. Un garçon de quinze ans et demi affecté de folie morale. Une
folie
périodique mens- truelle chez deux fillettes de
corpuscules et de l'hémoglobine n'est que peu modifiée. - Dans la
folie
paralytique classique, le pouvoir isotonique est
SÉGLAS. » REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 323 - 1 XXIV. Un cas(de
folie
associée A' LA chorée A'UN AGE avancé; par 1M.
est en réalité créée par elles. R. DE Musgrave-Clay. XXVI. DE la
folie
amnésique ; par Tn. TILING. (Allg. Zeitsch. f.
ue ; par Tn. TILING. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLVIII, 6.) La
folie
amnésique est de règle dans la névrite alcoolique
exceptionnellement dans d'autres névrites. Voici une observation de
folie
amnésique avec névrite, à la suite de la fièvre
e amnésique avec névrite, à la suite de la fièvre typhoïde. Mais la
folie
amnésique n'est en rien spéci- fique des névrit
chose polynévritique toxémique) ne s'applique pas à tous les cas de
folie
amnésique. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 3
e (type Bouchard, Korsakow). P. K. XXIX. Contribution A l'étude DES
folies
toxiques; par C. KNOERR. (Allg. Zeitsch. f. Psy
us ou subaigus., une véritable psychopathie organisée; 2° C'est une
folie
systématique aiguë ou folie systématique aborti
le psychopathie organisée; 2° C'est une folie systématique aiguë ou
folie
systématique abortive de Sander, caractérisée p
s hallucinations élémentaires. Ces mêmes accidents, si graves de la
folie
systématique chronique non alcoolique, ont ici
de pseudo-réminiscences de Kroepelin. -P. K.s f ()iI - " XXXf. La
folie
en Norvège (1891); par William HABGOOD. ' (The
rithmétique ET DES atteintes QU'ELLE SUBIT dans l'imbécillité et la
FOLIE
; par William W. IIIELAND. (Tlte Journal of Ment
? R. M.-C. XXXVI. DE l'influence du milieu SUR la PRODUCTION DE la
folie
; par Geo.-H. Savage. (Tlae journal of Mental Sc
il veut tout d'abord protester contre l'idée très répandue que la
folie
est presque toujours le résultat de l'hérédité né
ltat de l'hérédité névropathique, il veut montrer ensuite que si la
folie
est souvent sous la dépen- dance du milieu ambi
hérédité névro- pathique se traduit par des résultats autres que la
folie
, par exemple l'idiotie, ou encore certaines for
ide de certaines con- ditions ambiantes ? Au fond la question de la
folie
est une ques- tion sociale autant que médicale.
nnie de l'organisme, il faut admettre la tyrannie,des milieux, : la
folie
dépend en grande partie desf rap- ports* des ma
entale, la médecine resterait singulièrement désarmée en face de,la
folie
' R. 11.-C XXXVII. Manie ET mélancolie; par Joh
e est un aveu d'ignorance. R. DE iiIUSGRAVE-CL.1Y. XL1. UN cas DE
FOLIE
avec STUPEUR CONSÉCUTIVE A l'hypnotisme provoqu
dégénéré; vésanie chronique caractéristique. P. K. XLVI. CRIME ET
FOLIE
chez la FEMME; par P. NOECKE (AU. Zeitsck. f. P
l. » . R. M. C. L. La manie COMPREND-ELLE deux formes distinctes DE
FOLIE
, ET DOIT-ELLE être subdivisée ? par 6oRGE-,Nl.
, pourquoi ne pas interdire à un fou actuel ou virtuel de donner la
folie
par la procréation ? La mesure proposée est eff
i demeure par là rebelle à toute analyse. R. M. C. LVI. Un cas DE
folie
avec DILUSIONS; par le Dr KEAY. (The journal of
e dans une autre. R. M. C. LIX. LE CANCER DANS SES RAPPORTS AVEC LA
FOLIE
; par HERBERT SNOW. (The Journal of Mental Scien
états hypérémiques. Etant donnée la marche de ces formes aiguës de
folie
, on ne s'attendrait guère à y observer l'atroph
isseaux est de même très également réparti entre ces deux formes de
folie
chronique. L'auteur remarque en terminant que l
circonvolutions régulières que dans n'importe quelle autre forme de
folie
. On ne peut guère déduire des faits dont il s'a
ue des psychoses postlyphoïdiques » ; ; Sur les formes aiguës de la
folie
» ; « Sur l'assis- tance familiale des aliénés
isions de cette dernière en délire de persécution, type Lasègue, la
folie
processive, folie reli- gieuse, érotique ; e) f
rnière en délire de persécution, type Lasègue, la folie processive,
folie
reli- gieuse, érotique ; e) formes mixtes : vés
opathiques originelles : instabilité générale, paranoïa originaire,
folie
à deux, délires des dégénérés, manie raisonnant
originaire, folie à deux, délires des dégénérés, manie raisonnante,
folie
morale, inversions du sens génital, folie impul
nérés, manie raisonnante, folie morale, inversions du sens génital,
folie
impulsive, autres syndromes non encore suffisam
our rapporter ici toutes les idées de l'auteur sur la paranoïa, les
folies
intermittentes, les psychoses liées à la maladi
ment frappée, lui venaient aux lèvres, de là la forme bizarre de sa
folie
. La contratnte même qu'elle s'était imposée ava
manifestait. Les mêmes faits peuvent se présenter, non plus dans la
folie
furieuse, mais dans la mélancolie. Les fous qui
6 heures au moins. P. K. XV. L'OVARIOTOMIE DANS LE TRAITEMENT DE LA
FOLIE
J par le Dr Thomas G. MORTO-I. L'ovariotomie
l'équilibre mental n'a pas généralement réussi. Quelquefois même la
folie
est résultée de cette opération chez des femmes
à délire des néga- tions, ceux surtout qui ont déjà eu des accès de
folie
pendant les- quels on n'a pas exigé leur mainti
urité publique, mais surtout une loi d'assistance. Les drames DE la
folie
. La rue du Marché, à Lille, a été mise en émoi
J l'\Tf,I'ln¡ BULLETIN bibliographique. 513 proie à des accès de
folie
. Par prudence sa femme avait enfermé tous les c
femme Desmarets épluchait de la salade. Pris d'un soudain accès de
folie
, Desmarets se précipita sur elle, lui arracha l
a nomination des, médecins aux Etats-Unis,' 174. Amnésique, de la
folie
-, par Cri. 1'iUn, 324.. 1 q t AIYLÙ';E, quel
culté ? et des atteintes qu'elle subit dans'l'im- hécillité et la
folie
, pal ? \r.1 Ire- land, 328. iieul,asllicilie ?
par lliceli ? 425. Cancer, le' ''dans' ses' rapports ' avec' la'
folie
,' par'H.' Snow; 395. Catalepsie, 93. 1 ? - r.I
un cas d'idiotie ? pari ,v l''rancotte, 153. ,ry ,n n , Crime, et
folie
chez la' femme, par IIINcrcl : e,.390; le ? de
lules, par Poetz, 87. Fièvre hvstériqup, par A. Sarbo, 88. 1
Folie
, les drames de la 91, 512; de quelques cas de c
echerches sur 1 ? par 0. Ile- hohl, 133 ; sur le traitement de la
folie
par l ? par Percy Smith et A.-E. Myers, 237; su
Benedikt, 478. Manie, la comprend-elle deux formes distinctes de
folie
, etc. ? par G.-111. Robertson, 391; - pé- rio
r Iladden, 236. Milieu, de l'influence du sur la production de la
folie
, par Sa- vage, 329. Miracles, les de Lourdes,
e, traitement ] des z '.par C.-E. Séuid;nlli9., ,. ,, N ivL. E la
folie
en par 111Lb ? Ood, NoKvn.E,la folie en,-pcr ll
id;nlli9., ,. ,, N ivL. E la folie en par 111Lb ? Ood, NoKvn.E,la
folie
en,-pcr llabgood, i 32(i- "h 1'S mIw ·11 1 'l V
.. .IJ l, . 0,VARioTOMiE,.de 1; dans le, traite- (lP1el,t ,de la,
folie
, par Morton, 177 : t .t 011 '' ` r ·1W tm · n.·
ereux, en raison d'impulsions subites, dans les phases aigués de la
folie
ou dans la démence, tous ne peuvent pas deve- n
. L'asexualisation envisagée comme prophylactique du crime et de la
folie
. (Chicago Médical recorder, août 1900.) Il ne s
ion du bien et du mal. Le juge s'est fondé sur la distinction d'une
folie
partielle et d'une folie totale, la seconde ent
juge s'est fondé sur la distinction d'une folie partielle et d'une
folie
totale, la seconde entraînant seule l'irrespons
eux. D'ailleurs la loi protège; il ne suffit pas d'un certificat de
folie
, il faut exposer les faits sur lesquels repose
spécial. SIMON. VII. Preuve juridique et preuve scientifique de la
folie
dans les affaires criminelles; par Carlos-F. MA
p. 21 à 30.) Le droit de plaider l'irresponsabilité en alléguant la
folie
est 78 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. reconnu. Méd
e est 78 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. reconnu. Médicalement parlant,
folie
et irresponsabilité sont syno- nymes. Mais il n
responsabilité n'est pas déterminée seulement par l'existence de la
folie
, mais par son degré. Des juges ont dit : un homme
un progrès dans ce sens. « Un homme est responsable à moins que sa
folie
le prive de la conscience de son acte, ou de la
choisir entre le bien et le mal. » L'opinion médicale est que la
folie
est toujours une question de fait que la scienc
rançais : « Il n'y a pas crime ou délit, si l'accusé est en état de
folie
au moment de l'acte...» Et de même en Allemagne.
aranoiaques ou des monomanes. Beaucoup de victimes de ces formes de
folie
ont parfaitement la notion du bien et du mal. L
). Simon. IX. Quelques hésitations légales et médicales touchant la
folie
; par J.-T. LEARCY. (American Journal of Insani
le est-il fou ou non ? et en psychiatrie où nous décrivons aussi la
folie
comme si elle était une maladie définie. Le ter
inie. Le terme défectuosité est plus général. Où donc commence la
folie
? Médecins et magistrats ont, sur ce point des
Elles sont seule- ment une marque de défectuosité mentale ; mais de
folie
? - z - seulement si elles sont dangereuses. Sm
lle est très difficile à modifier, ainsi qu'il en est de toutes les
folies
périodiques. M. BÉRILLON. M. Bloch considère ce
ome. G. Carrier. ' CORRESPONDANCE. La GUERRE au TRANSVAAL et la
FOLIE
. Mon cher Dr Bourneville, Sous le titre de La
cher Dr Bourneville, Sous le titre de La Guerre au Transvaal et la
Folie
dans le numéro des Archives de Neurologie d'oct
IVERS. 95 P.-S. - Au regard de cette question de la guerre et de la
folie
, je suis sûr que non seulement mes confrères, l
avons de l'influence des grands cataclysmes sur la production de la
folie
. Tant mieux pour nos voisins s'ils y échappent.
opulation générale d'âge correspondant; 2° Les cas daus lesquels la
folie
est due seu- lement à l'altération des reins so
ment de ces établissements. Asile d'aliénés DE Privas : Drame de la
folie
. Un drame affreux s'est déroulé pendant la nuit
vons rencontré la dermo- graphie ni dans la folié à double forme ou
folie
circulaire ni dans la folie systématique; tous
phie ni dans la folié à double forme ou folie circulaire ni dans la
folie
systématique; tous nos dermographiques étaient
ze fois plus fréquente chez ces derniers. Je le comprends pour la
folie
systématique, forme essentiellement chronique dan
tionnelle. L'état normal est de beaucoup le plus fréquent dans la
folie
systématique et l'emporte sur l'état anormal de 4
tes les vésanies, ce dernier est supérieur de 20,4 p. '100. Dans la
folie
à double forme nous trouvons égalité de norma-
car nous n'avons noté cette anomalie ni dans la manie ni dans la
folie
systématique ; nous l'avons trouvé un peu dans
lte que le minimum des altérations en moins est dans la manie et la
folie
systématique et le maximum à peu de chose près
our chronique, type Ghel et Altscherbitz fermes. ' A. Marie. VII.
Folie
puerpérale; par W. Ilmscu- (A'eM)-t'o;7; Médical
cal Record. 6 janvier 1900 ) L'auteur nie l'entité clinique de la
folie
puerpérale. Les diverses psychoses coïncidant a
hement peut en certains cas être un des facteurs étiologiques de la
folie
, son importance n'est pas prou- vée ; on ne doi
vée ; on ne doit donc pas provoquer l'avortement préventif de la
folie
puerpérale. - Aendant le travail, les troubles
ons des experts et le jugement porté : non cou- pable pour cause de
folie
. Le second article comprend une descrip- tion t
ge de moralité. SI\ION XVI. Faits communs à la neurasthénie et à la
folie
: leur base commune et leur commun traitement;
ports de l'hystérie, de l'hypocondrie et de la neurasthénie avec la
folie
. Il rappelle l'opinion de Griesinger que le premi
lie. Il rappelle l'opinion de Griesinger que le premier stade de la
folie
est souvent un stade mélancolique. Puis après ces
a durée de réparation des lésions, etc. Or, hystérie, neurasthénie,
folie
, ne font que traduire ces désordres au dehors e
es syphilitiques. 1 SillON. 222 12 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
Folie
transitoire consécutive à des phénomènes douloure
C'est l'histoire d'un de ces sujets qui sont sur la limite de la
folie
, où le moindre heurt suffit à les faire verser :
mple). Les tristesses et les ennuis de la vie sont des causes de la
folie
ainsi que l'hérédité et tout autant. Et de même
ts secs et inutiles ; mais des idées sur les problèmes vitaux de la
folie
. Pénétrons dans la vie de nos malades et racont
à, transfu- ser sa sève à celle de nos malades. SillON. XXII. Les
folies
puerpérales; pai- (Anzericata journal of Insttm
ntraire qui ne se portent bien que pen- dant leur grossesse. ' La
folie
arrive le plus souvent chez les primipares, et co
craintes, jalousie, soupçons, etc. Dans la forme la plus simple de
folie
puer- pérale, il y a ordinairement, outre les t
lement de l'hérédité de la malade : celles qui ont de l'hérédité de
folie
seulement ont des chances de guérir, celles qui
SnlO : '\. XXIII. De l'infection des plaies comme facteur causal de
folie
; par A.-1'. Iloi3Bs. (American Journal of Insm1
ctées, les effets généraux de l'infection, Hobbs passe en revue les
folies
consécutives à l'infection : folie érysipélateu
ction, Hobbs passe en revue les folies consécutives à l'infection :
folie
érysipélateuse, et surtout folies septiques du
olies consécutives à l'infection : folie érysipélateuse, et surtout
folies
septiques du puerpérisme : Folie puerpérale, av
olie érysipélateuse, et surtout folies septiques du puerpérisme :
Folie
puerpérale, avec peu ou même sans lésion locale,
le, avec peu ou même sans lésion locale, par infec- tion septique ;
folie
puerpérale avec grosse lésion locale, du fait d
uerpérale avec grosse lésion locale, du fait d'infection septique ;
folie
post-puerpérale, causée par une maladie pelvien
acquise, avec considérations sur quelques mesures préventives de
folie
et dégénérescence; par Richard Dewey. (American J
si être appliqué ici. Et peut-être surtout vis- à-vis des proches :
folie
à deux des auteurs français; contagion de toute
telle qu'elle s'exerce et qu'on pourrait accuser d'entre- tenir la
folie
, ses efforts doivent être noyés dans les efforts
, p. 611-628.) Hughes remarque d'abord qu'illusion, hallucinations,
folie
, n'ont pas été sans influence sur la destinée d
d'ailleurs pas troublée; c'est de l'hallucination mais non de la
folie
. Pas de tare psychopathique dans la famille. Pu
oûts dépravés guéris, etc.. Certaines cures sont certaines. Mais la
folie
est de croire qu'elles sont l'oeuvre d'un pouvo
utiles pour leur corps spiri- tualisé. C'est un pas de plus dans la
folie
. Mais l'erreur ne peut se maintenir. La durée é
professeur à coups de couteau. C'est un dégénéré à la limite de la
folie
, un instinctif, adonné passionnément a l'onanisme
correspondent pas à l'activité mentale suffisamment vive ; - 3° la
folie
périodique s'ac- compagne souvent de phénomènes
t que celle-ci soit évidente. Qu'on lise avec soin l'observation de
folie
à double forme terminée par une méningo-encépha
méningo-encéphalite, et qu'on la compare aux deux observa- tions de
folie
périodique mélancolique simple, dont l'une abouti
réaction des pupilles ont presque disparu; - 5° dans le cours delà
folie
hystérique, il y a parfois des périodes, plus o
, très rarement, la paralysie générale, à son début, ressemble à la
folie
systématisée aiguë ou subaiguë. Ainsi en est-il
ouvoir de se maîtriser vis-à-vis des autres, lâchant seu- lement sa
folie
dans ses livres, dans sa haine du christianisme e
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 239 pas sans transition de la santé à la
folie
, mais qu'on peut au con- traire trouver sans ce
compression ont pu évoluer presque normalement. Les drames DE la
folie
. Hier matin, il onze heures, dans un accès de f
es drames DE la folie. Hier matin, il onze heures, dans un accès de
folie
, une blanchisseuse, 1m. Joséphine Ilaguarée, âgée
tions de la syphilis sur les troubles orga- niques du cerveau et la
folie
. Cet article comprend deux chapitres. Chapitre
' La veuve Lamotte, habitant Étampes (Seine-et-Oise), atteinte de
folie
, est allée chez sa fille, la dame Lérot, et lui a
quante-huit ans, cultivateur, commune d'Eperrais (Orne), atteint de
folie
, s'est sui- cidé en s'ouvrant le ventre avec un
abrot, cinquante ans, de la Beaume (Ardè- che), a, dans un accès de
folie
, pendu à l'espagnolette de la fenêtre son enfan
utre du grenier de sa maison. (Progrès de l'Eure, 25 février.) La
folie
du marabout. Yacoub Alohamed, le principal accusé
es acquis de rapidité et de facilité, etc. C'est sourtout dans la
Folie
du doute, type des obsessions dites intellectue
aboulie avec obsessions in lerrogalives et trouble des mouvements. (
Folie
du doute avec délire du toucher). Annal, méd. p
ble ranger le délire de grossesse dans les formes dépressives de la
folie
. On voit souvent des femmes être prises de cett
n féconde nous a été livrée. Sur les causes et la prophylaxie de la
folie
. M. Arnaud donne une analyse d'un travail de M.
esseur Funaioli (de Sienne), sur les causes et la prophylaxie de la
folie
. La législation sur les aliénés au Brésil. M.
a psychose aiguë à base d'intel')Jl'étati(Jl1s se rencontre dans la
folie
des dégénérés, dans la mélancolie présé- nile,
ans la folie des dégénérés, dans la mélancolie présé- nile, dans la
folie
périodique, les délires toxiques, la démence pr
on des délires de persécution, délire de perséculion de la séndiié,
folie
des persécutés-persécuteurs. Leur apparition est
ux mois à découvrir la résidence en France, de sa fille atteinte de
folie
. La colonie ne possède point encore d'asile d'ali
ientiércs . d'Armcntieres. Différents auteurs ont décrit des cas de
folie
survenant t chez des jumeaux, et insisté sur la
ru en 1900 ', a réuni les cas de confusion mentale avec excitation,
folie
circulaire, délire de persécution avec dépressi
xcitation, folie circulaire, délire de persécution avec dépression,
folie
hallucinatoire, paraly- siegénérale, observés c
es, mêmes réactions, même évolution. Il ne saurait être question de
folie
induite dans ce cas par la simple raison qu'il
t aucun rapport entre eux. Il s'agit bien, pour nous, d'un cas de
folie
gémellaire apportant une contribution très origin
ent ' nullité de tout engagement pris par une personne en état de
folie
) qui règle les contestations possibles. Toutes le
- tiques avec santé morale intacte; 2" attaques épileptiques avec
folie
; 3° folie dite épileptique sans attaques caractér
avec santé morale intacte; 2" attaques épileptiques avec folie; 3°
folie
dite épileptique sans attaques caractéristiques.
ifestent après leur cessation ont généralement les caractères de la
folie
chronique. R. DE IUSGRAVE-CL.1Y. XXI. Châtiment
de santé, âgé de- vingt-neuf ans, Louis Pillet, était atteint de la
folie
de la persé- cution. Cet après-midi, trompant l
de la haute société de Londres était atteint d'un genre bizarre de
folie
religieuse. Il voyait des divinités en toutes s
te à cette époque tous les symptômes psychiques et somatiques de la
folie
paralytique à la période d'état. Six mois après
armi plusieurs membres de la famille ; pour 15, il s'agissait de la
folie
y compris imbécilité et idiotie (sans épilepsie).
nt les débats judiciaires ou qui auront été acquittés pour cause de
folie
; 2° Les détenus qui, pendant la durée de leur
leur emprisonnement, présenteront des symptômes caractéristiques de
folie
; 3°. Les aliénés qui, placés dans un asile, y
ment l'étudiant en médecine est presque entiè- rement étranger à la
folie
; et cependant un médecin de pratique asiles d'a
; le diagnostic rapide et le prompt traitement effectif d'un cas de
folie
dépendent de l'avis du médecin ordinaire de la
es efforts individuels très importants pour la connais- sance de la
folie
et l'étude générale de l'intelligence. Que ne pou
aient un état mental habituellement entaché de tares, les accès de
folie
imposant l'internement, ne seraient pas aussi f
nchée entre la manie simple d'une part et la manie périodique et la
folie
circulaire d'autre part. On n'observe rien d'an
ASC1UALISA7l0\ envisagée comme prophylacliquo du cmme et de la
folie
, 76. Asile de Pau, un asile public sub- venan
0. Kohns- - tau,nn, 152. ltLecnslc. \'011' Psycholo ! Jl'aphie.
Folie
. Voir 1e.,tiialisalioit. Preuve juiidique et sc
logie, 431. Nerfs de l'orbite, par Ferrou, 425. Neurashiéme. Voir
Folie
. Voir Acide urique. Névralgie parestbésique.
ostic de l'incurabilité en DE L'ALIÉNATION MENTALE. 23 matière de
folie
. La discussion qui va s'ouvrir au Sénat lui don
à l'aliéniste. Dans tout ce que je dirai, je n'aurai en vue que les
folies
simples, les seules qui soient réellement en ca
s qui soient réellement en cause. En règle générale, il n'y a point
folie
sans prédis- position vésanique. Cette maladie
de longue main par une vie d'excès, de fati- gues ou de misère. Les
folies
toxiques elles-mêmes ne font pas exception à la
s facultés pronos- tiquées à jamais détruites. Si, dans ces cas, la
folie
offre des rémissions, la marche éclairera, je l
me que cette règle n'est pas absolue et qu'il se produit, dans la
folie
, des guérisons tardives, tout comme dans les au-
guère admissible qu'un cerveau, ravagé durant tant d'années par la
folie
, ait supporté sans faiblir ces assauts violents
blement sa place dans le monde ? Il en est de ces ressuscités de la
folie
, ainsi que les appelle M. Luys, comme de ces ty
ns ces conditions, l'aliéné, guéri après dix, douzeet quinze ans de
folie
l'est bien, alors même qu'il n'aurait plus ni l
ouvera sans doute des partisans convaincus du divorce en matière de
folie
; mais tant que la question d'incurabilité rest
ttacher au caractère même du malade et ne constituent aucunement la
folie
. Avec une direction bienveillante et éclairée,
noté la coïncidence relativement fréquente de l'éclampsie et de la
folie
puerpérales , la folie succédant ordinairement
tivement fréquente de l'éclampsie et de la folie puerpérales , la
folie
succédant ordinairement à l'éclampsie 3. Il n'est
ement à l'éclampsie 3. Il n'est pas sans intérêt de rappeler que la
folie
puerpérale est une des manifestations les plus
lade. Doit-on faire de cette sorte de maladie une nouvelle forme de
folie
religieuse se développant dans la mélancolie an
d'épilepsie ne s'était montré. G. D. III. Idiotie ET imbécillité ;
FOLIE
chez UN enfant, folie morale; par 11. MAGNAN. {
t montré. G. D. III. Idiotie ET imbécillité ; FOLIE chez UN enfant,
folie
morale; par 11. MAGNAN. {Journal de médecine et
z un enfant de quatre ans, hérédi- taire ; 3° un exemple curieux de
folie
morale : il s'agit d'un individu qui était obsé
TALE. 95 XL CON TR1RU l'IOV V LV CVsUIslTQUE DE LV I-'DLIE INDUITE (
folie
a deux) : par h. Lruo.\vv. (ncla. f. Psyc7v.,Xl
ar h. Lruo.\vv. (ncla. f. Psyc7v.,XlV, 1.) Les cinq observations de
folie
communiquée prises à l'asile de Sarreguemines m
tation de plusieurs de ces éléments, un peu avant l'explosion de la
folie
communiquée, affaiblit considérablement l'opini
sement psychique primitif (contribution casuistique a l'étude de la
folie
impulsive) ; par J. H RITSCII. (.lvhrbiccle, f.
aide desquels M. Régis a essayé de noter la durée des accès dans la
folie
à double forme. M. REY lit une note sur le poid
e Napolitain, répandue dans la Vénétie, montrant la fréquence de la
folie
alcoolique dans les haute et basse Italie, de l
quence de la folie alcoolique dans les haute et basse Italie, de la
folie
hystérique et puerpérale en Vénétie, de la folie
asse Italie, de la folie hystérique et puerpérale en Vénétie, de la
folie
alcoolique en Toscane. Charpentier. IV. Etude
e. Sa thèse (2ï juillet 1867) sur les Symptômes intellectuels de la
folie
fut une de celles qui eurent l'honneur d'être s
haque époque, on se demande presque si l'on ne voyait pas autant de
folies
que de malades, et il en est résulté que la plu
E DE L\ PROSPÉRITÉ ET DE L'ADVERSITE CONSIDÉRÉES comme causes ce la
folie
; par Cttru.w. (Journal of mental Science, juill
rairement à l'opinion que nous venons de rappeler, les cas aigus de
folie
diminuent à mesure que la prospérité augmente; il
à la prospérité agricole se lie une diminution du nombre des cas de
folie
, et qu'avec cette diminution coïncide aussi un
rément, dit-il, au point de vue psycholo- gique, tout crime est une
folie
... Le critérium grossier dont se contente la lo
ut le monde. Si tous les crimes étaient regardés comme des actes de
folie
, on adopterait à l'égard du crime une méthode p
à atteindre. Il faut faire pour le crime ce que l'on fait pour la
folie
: mettre le criminel dans l'impossibilité de comm
s faits observés, il conclut à la simulation. L'avocat plaida -la
folie
; l'accusé s'appliqua, très habilement à en don
i . est-ce qui sera tenu de déclarer all autorité,, compétente, lai
folie
-j ? 117.1r.1 ? mu -il m i-.ii, mu, 'L'a In- 'i
, Et/vous, dites oui, j ubjecLerai que ce, ne sont nullement jlçs,
folies
, véritables, mais J1..(.% 1 iJn n IIJJ 1r .(J .
sque dans les stades terminaux de leur maladie (fous systématiques;
folie
circulaire). Mais, en général, l'exagérai ion des
la d-spliiéiiici 1,à : j typhoïde, au rhumatisme, à la malaria, la
folie
épileptiquccti épileptoïde, et l'aliénatiou mrn
s de symptômes' qu'on a; nonmans raison, établi un groupe dit de la
folie
morale(perversités morales) et un autre groupe
nalomique etplly- siologlrlue. Il en faut tirer que bien des cas de
folies
qui sévissent sur la jeunesse, empruntent leur
font foi la plupart des conceptions irrésistibles ( mal du toucher,
folie
du doute, etc.). ? Quoi qu'il'en soit, l'impossib
1 (1 ? '(11101tl secondaire'' Le mot grec ttkok- Joi«, synonyme dé
folie
systématique', a sur cette expression t'avan- t
écri- vit un genre spécial de cette forme primilhe, sous le nom de,
folie
systématique «originaire)'. En 18-i(i, \1'esLpl
mier, exposa avec netteté ce qu'il faut entendre par la locution de
folie
ssté- malique. il en étudia le développement et
e pût émaner de la mélancolie. lioclt rejeta également 1 idée de la
folie
systématique secondaire. Pour llcndel, la 1),ti
rvations relatives au sexe féminin, dans lesquelles il s'agit d'une
folie
systématique s'étant developpeeaia suite de syn
la Société l'encéphale d'un homme de cinquante-deux ans atteint de
folie
systématique hallu- cinatoire, dans lequel il a
transféré à l'asile, en août 1881. On porte alors le diagnostic de
folie
systématique hallucinatoire. 11 en sort non gué
M. JISTIIOWITZ n'a jamais vu une mélancolie vraie se transformer en
folie
systématique, mais il a vu des fous systématiques
e. M. \\'sTrm reconnaît qu'à l'inverse de ce qui se passe dans la
folie
systématique, les mélancoliques s'accusenl eux-mê
de l'existence, de la mélancolie et l'époque d'apparition de de la
folie
systématique, ultérieure, on pourrait croire que
nt ressortir sont passibles de ? 1'ultjetiou ? uivaute : lorsque la
folie
systématique a semblé pre ! .dret.onotigina dan
ment constitué le point de départ des conceptions ultérieures de la
folie
systématique. M. insiste sur l'allernance dans
ne saurait servir de base à une division entre la mélancolie et la
folie
systématique. Ce n'est pas, réplique M. la tene
il invoque. L'intervalle qui s'est écoulé entre la mélancolie et la
folie
systématique n'a jamais été chez ses malades un
ennes; du moins il en était ainsi en 1880. BIBLIOGRAPHIE V. De la
folie
ci double forme, circulaire, alterne ; par le Dr
, bien détaillées, mais dont la lecture ne donne pas une idée de la
folie
alterne aussi nette que celle de l'ouvrage enti
us particuliers de l'auteur sont les suivants : dans cette forme de
folie
, le désordre des actes et des sentiments est pl
ine peut produire des paralysies, des convulsions, de l'amnésie, la
folie
, la perte de connaissance, l'aphasie, l'anesthé
empérature; par E. R113EROLLES. (Thèse de Paris, 1854.).l . ? De la
folie
à la ménopause ; par Guimbail. (Thèse de Paris, 1
ans, ayant, sans cause héréditaire ounévropathique présenté delà
folie
systématique chronique1, de concertavecunehémiatr
ion simultanée d'un traumatisme du crâne. R. 111. U. XXXIX. De la
folie
CHEZ LES jumeaux. (Journal of mental Science, j
nait fou, taudis que l'autre devenait épileptique. Il a vu aussi la
folie
survenir chez deux ju- meaux ; mais presque tou
» d'une nature ou d'une autre sera toujours nécessaire, tant que la
folie
existera telle qu'elle existe actuelle- ment ;
, exerçant une action plus pro- fonde, il va jusqu'à constituer une
folie
à part dont les symptômes bruyants, prenant le
mie. De cette indissolubilité physiologique, résulte ce fait que la
folie
est toujours le symptôme d'un état , organique
es conducteurs nerveux malades; pour un même individu considéré, la
folie
est une, chaque modalité par laquelle elle se m
uelle M. Arndt base sa classification, produit de cette idée que la
folie
, une, se manifeste à tel ou tel âge de l'indivi
r; elle contraint à distinguer dans la vésanie typique complète les
folies
ci double forme, circulaire, etc. ; dans la vés
forme, circulaire, etc. ; dans la vésanie typique incomplète, la
folie
périodique ;le même cadre peut être reporté dans
nts psychiques, des troubles de l'âme secondaires, par exemple : la
folie
circulaire, la folie systématique secondaire et
roubles de l'âme secondaires, par exemple : la folie circulaire, la
folie
systématique secondaire et la démence. Ces affaib
soit de prime abord égale à la dénutrition secondaire; tels sont la
folie
syité- BIBLIOGRAPHIE. 393 mntiquc primitive
'observation des malades. P. KeRAvAL. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE De la
folie
consécutive à l'insolation; par Dony. Thèse de Pa
0. Fève de Calabar (action de la sur les organes digestif, 344.
Folie
induite, par Lelimatin, 95. Folie (du rôle de l
ur les organes digestif, 344. Folie induite, par Lelimatin, 95.
Folie
(du rôle de la prospérité et de l'adversité con
de l'adversité considérées comme causes de la), par Chapman, 200.
Folie
simulée, par Robertson, 217. Folie systématique
uses de la), par Chapman, 200. Folie simulée, par Robertson, 217.
Folie
systématique, 252. Folie a double forme, par Mo
00. Folie simulée, par Robertson, 217. Folie systématique, 252.
Folie
a double forme, par Mordret (An. Charpentier),
atière de médecine légale criminelle, 93. Jumping, 68. Jumeaux (
folie
chez les), 351. TABLE DES MATIERES. 399 Lan
Philadelphie, févr. 1886). P. C. II. Contribution A L'ÉTUDE DE la
folie
épileptique; par F. FICHER. (ArcA.y. Psych., aV
prouvant que, quoi qu'en ait dit Samt, il existe chez la femme une
folie
purement épileptique sans aucun mélange d'hysté
ans un cas particulier, mais chez tous les épileptiques. Quant a la
folie
épileptique sans troubles de la connaissance, san
abstinence ; par F.TUCZEK (Arch. f. Psych., XV, 3)'. Observation I.
Folie
systématique chez une demoiselle de trente-deux
qu'enfin aucun phénomène menaçant ne se montre. Observation Il. -
Folie
systématique chez une femme de trente- huit ans
ents typhiques bénins. La température rectale fut classique dans la
folie
primitive et dans la folie systématique, monta
empérature rectale fut classique dans la folie primitive et dans la
folie
systématique, monta rapidement dans la démence
ncés en âge alors même qu'ils ne s'exercentplus. P. K. X. UN cas DE
FOLIE
ayant DURÉ SEPT ANS : traitement par L'ÉLEC- TR
1884.) Les conclusions de ce mémoire sont les suivantes : « fol,a
folie
de l'alcoolisme chronique est très souvent caract
ans les idées « fausses se rencontre également dans divers types de
folie
et ne « peut par conséquent servir de base pour
peu de chose, pour les faire disparaître. 1> R. M. C. UN cas DE
folie
circulaire; par HERBERT PACKFR. (The Journal of
ixante et un ans qui présentait tous les symptômes classiques de la
folie
circulaire : alternatives répé- tées d'excitati
t un ans, est un exemple de cette association de la chorée et de la
folie
qu'il n'est pas très rare de renconlrer dans le
ques sur LES résultats DE l'enquête collective sur LES causes DE la
folie
; par Herbert C. Major. (The Journal of Mental S
résultats; ils ont trait à la proportion des différentes causes de
folie
dans les deux sexes. Chagrins de famille (y com
ne une planche intéressante. R. M. C. XX VIII. Note sur un cas DE
folie
impulsive; par Richard UREESE. (The Journal of
ar M. Greene ne s'écarte guère du type des actes homicides dus à la
folie
impulsive. Il s'agit d'un jeune homme de dix-ne
ssant au jury, déclara que, pour ac- quitter l'accusé pour cause de
folie
, il ne suffisait pas que sa folie fût démontrée
c- quitter l'accusé pour cause de folie, il ne suffisait pas que sa
folie
fût démontrée, mais qu'il fallait encore avoir
, mais qu'il fallait encore avoir la certitude que, par suite de sa
folie
, il était incapable de savoir que l'action qu'il
mmettait était mauvaise. Ainsi, dit M. Greene, « le fait seul de la
folie
ne suffirait pas pour plaider la folie », et il s
Greene, « le fait seul de la folie ne suffirait pas pour plaider la
folie
», et il s'étonne avec raison que le juge crimi
cas, l'état de gravidité exerce une influence défavorable sur la
folie
, sans que la grossesse aggrave absolument toujour
e reste, voir le mémoire. P. K. XXXIV. Contribution A l'étude DE la
folie
transitoire; par DE KR.LFPT-Ei31.G. (Jtf/M'6MC/
tadion. P. K. XXXVI. DES troubles DE la motilité volontaire dans IA
folie
0 simple; par C.-F.-W. ROLLEB. (Allg. Zeisschr.
u sujet, des entités vésa- niques complexes » et, plus loin, : « la
folie
est un processus déter- miné par des états path
rme d'idée fixe, même dans les cas de conceptions irrésistibles, de
folies
systématiques, de délires partiels; certes, alo
ou du centre sous-cor- tical lui-même). P. K. XXXVIII. Un cas DE
folie
aiguë MORTELLE avec CONVULSIONS localisées; par
ations multiples, léger affaiblissement intellec- tuel, ou celle de
folie
périodique; mais, en même temps, l'auteur fait
diffèrent : 4 familles ; 3° psychoses pério- diques 2 familles ; 4°
folie
systématique ou types à peu près purs de vésani
au détail des symptômes (espèces morbides); un ascendant atteint de
folie
systématique ne transmettra jamais une manie, n
ciproquement un maniaque ou un mélanco- lique ne transmettra pas la
folie
systématique, mais la manie et la mé- I uicolie
laquelle a été conçu le descendant par rapport à l'explosion de la
folie
chez son générateur ; c'est le terrain qui se t
'ascendant a été atteint de psychoses complexes atypiques, ou d'une
folie
systématique quelconques. Il en est de même pou
l'analyse spectrale. c P. K. XLVII. Identité DE l'épilepsie avec la
folie
morale ET avec la CRI- FINALITé congénitale ; p
ettrol. Cenlmlbl. 1885.) On constate dans l'épilepsie comme dans la
folie
morale une augmentation dans le poids du corps,
ubstratum primordial de la criminalité congéuiale identique avec la
folie
morale. Le sens moral, qui apparaît le dernier
ncolie stupide ont guéri sous l'influence de l'électricité. Dans la
folie
systématique, on n'a obtenu tout au plus qu'un ef
e pendant trente heures. Sur deux cent quatre-vingt-dix-huit cas de
folie
systéma- tique, quatre malades étaient allectés
trois labétiques, deux épilep- tiques, un syphilis de la base, une
folie
systématique, soit une proportion de 0,6 p. 100
ne forme mixte de psychonévrose (hystérie, épilepsie, neurasthénie,
folie
), sans que l'assimilation soit permise. z Dans
e inconnus). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE LI. LE crime ET la
FOLIE
; par le Dr P. DUKoFF. (Le lVestnz'k (le Message
Après un aperçu historique sur les relations entre le crime et la
folie
et l'analyse d'un certain nombre d'observations p
sions suivantes : I. Le crime a beaucoup de ressemblance avec la
folie
, mais il ne lui est nullement identique; les po
lepsies sur 30). P. K. LV. Sur les signes DE dégénérescence dans la
folie
; par FROEN- KEL (Allg. Zeitschr. f. Psych., XLI
our envoie une note pour contribuer à l'étude des gué- risons de la
folie
par l'hypnotisme. Des signes physiques, intelle
r l'hypnotisme. Des signes physiques, intellectuels et moraux de la
folie
héréditaire (suite de la discussion). M. CHRI
e M. Sémelaigne. Des signes physiques intellectuels et moraux de la
folie
héréditaire (suite de la discusion). M. Magna
pliquer avec M. Falret qui me reproche de trop étendre le cadre des
folies
héréditaires et d'y faire entrer des êlres anom
ête sur ces gens classés dans ce qu'on appelle les frontières de la
folie
en com- mençant par les idiots, pour continuer
ur satisfaire tout le monde, appelons, si vous le voulez cet état :
folie
des héréditaires dégénérés. M. Cotard me reproc
et à moi, d'avoir réuni sous la même étiquette plusieurs formes de
folies
disparates. Qu'il se rassure, nous n'avons jamais
us n'avons jamais eu l'in- tention de mettre tant de choses dans la
folie
de* héréditaires. N'y entre pas qui veut ! Je m
mmunication qu'il avait annoncée sur l'épilepsie jacksonienne et la
folie
. M. KNECHT. Des phénomènes catatoniques dans la
e syphilis ou mal de Bright, aucun antécé- dent d'alcoolisme, ni de
folie
ou de crétinisme dans la famille. Une soeur de
te question du drainage. Je crois que maintenant je serai accusé de
folie
si je pose ce principe que, en général, les cav
M. SEMELAIGNE. Des signes physiques, intellectuels et moraux de la
folie
hérédi- taire (suite). - 111. rnr.aeT. On ne pe
car alors on serait fort embarrassé dans la clas- sification de la
folie
. Je bais bien que M. Magnan admet plusieurs cat
ucinations; ils se font surtout remarquer par des excentricités. La
folie
des actes, la périodicité et la remittence des
ce n'est pas une raison pour ne pas attribuer une place à part à la
folie
avec conscience, la folie émotive, la folie du
ur ne pas attribuer une place à part à la folie avec conscience, la
folie
émotive, la folie du doute, le délire du toucher,
r une place à part à la folie avec conscience, la folie émotive, la
folie
du doute, le délire du toucher, etc., tou- jour
Esquirol, n'admettent l'hérédité que comme cause déterminante de la
folie
; l'autre qui comprend ceux accordant à tous les h
oteur dans les psychoses simples'. Observations de malades. Dans la
folie
simple, il peut se produire un stade initial ai
rienter au plus haut point le discernement; exemples : maint cas de
folie
systématique primitive dans lesquels le système
trouve tout à fait isolé et Shakespeare, le peintre génial de la
folie
dans les familles royales,' n'eût pas pu trouver
- trôle de l'intelligence et de la volonté. Pendant des années la
folie
inconsciente a respecté les actes non contrôlés d
apporté tout au long l'histoire de la dormeuse de la Salpétriére.
Folie
RELIGIEUSE. On écrit de Vals-les-Bains : Un étran
uis quelques années avait le cerveau dérangé et était atteint de la
folie
de la persécution, s'imaginait conjurer les mau
es ont eu beaucoup de peine à s'emparer de lui. Cette victime de la
folie
religieuse a été internée à l'asile de Privas.
vue de l'influence des idées religieuses, sur la pro- duction de la
folie
. SUR LA. statistique des maladies NERVEUSES ET
, par le professeur LEFEBVIIE. Relations entre la criminalité et la
folie
, par le 1) SemaI. - Mémoires divers. Volume in-6a
calleux (fonctions du), 211. Cràne (fracture du), 65. Crime et
folie
, 240. Criminalité congénitale (identité de l'
lie, 240. Criminalité congénitale (identité de l'épilepsie, de la
folie
mo- raleavecla), par Lombroso,90. Dégénéresce
la folie mo- raleavecla), par Lombroso,90. Dégénérescence dans la
folie
, 244. Délire systématique hallucina- toire,
o- ses, par Mueller, 90. Egypte (note sur 1'), 86. Électricité (
folie
guérie par 1'), 68; -(chez les aliénés), 400.
3; - (congestive), 244; (traités par le borax), 244. Épileptique (
folie
), par Fischer, 61; (automatisme), 241. Ergoti
myéline des organes centraux (procédé de coloration des), 105.
Folie
(guérie par l'électricité), par Robertsou, 68;
lobe tempo- ral gauche sans aphasie chez un), 124. Gémellaire (
folie
), 73, 78. Génital (inversion du sens), 83. Ge
e latérale gauche 234. Hémichorée, .59 : - Iposlhémi- plégique et
folie
), 73. Hérédité directe des maladies mentales,
e sevrage des), 99. Motilité volontaire (troubles de la - dans la
folie
simple), par lioller, 83. Myélite subaigue de
de I'écorce. 3 Magnan Rapports de la paralysie générale el de la
folie
, mémoire couronné par l'Acad. de médecine; prix
chambre. ° Fèvre. - Des altérations du syst. nerveux cutané dans la
folie
(Ann. médico-psych., 1876). . Loc. cit. 8 R
phie musculaire avec atteinte des muscles de la face, compliquée de
folie
circulaire entée sur un délire systématisé chro
DE MÉDECINE LÉGALE. I. La responsabilité dans ses rapports avec la
folie
. (Criminel responsabilité as related to insunil
rrésistible à commettre un acte que sa conscience réprouve ? 2 La
folie
morale est difficile à préciser. C'est un état me
iotie morale). Il existe des individus qui sous l'influence de leur
folie
morale commettent des délits ou des crimes. C
nts d'asphyxie ne sont plus à redouter. Simulation préventive de la
folie
. M. Vallon ht un rapport médico-légal concernan
er des créanciers impatients. Ces actes allégués comme preuves de
folie
consistaient en ceci : X..., sous des noms d'em
cidents psychiques qui les fai- saient considérer comme atteints de
folie
alcoolique ou de folie saturnine et les trouble
les fai- saient considérer comme atteints de folie alcoolique ou de
folie
saturnine et les troubles somatiques qui leur o
pas nécessairement précédée de troubles intellectuols'manifestes de
folie
alcoolique délirante et hallu- cinatoire ? J'y
souvent c'est la tare héréditaire qui donne la note, la forme de la
folie
alcoolique : exubérante chez cer- tains cérébra
cès ; c'est ainsi que l'on peut assez facilement différen- cier les
folies
alcooliques suivant qu'elles ont pour causes les
s d'accord sur le rôle de l'intempé- rance dans la production de la
folie
, les uns trouvant l'alcoolisme comme cause dans
les uns trouvant l'alcoolisme comme cause dans SOp. 100 des cas de
folie
, d'autres dans 40 p. 100 seulement ou moins enc
- tance à la consanguinité comme facteur dans la production de la
folie
, et que, dans les cas considérés, d'autres facteu
enist and neurologist, avril 1897.) E. 13LIN. III. HÉRÉDITÉ DE LA
FOLIE
; FOLIE ET MARIAGES CONSANGUINS, ETC.; par le D1
nd neurologist, avril 1897.) E. 13LIN. III. HÉRÉDITÉ DE LA FOLIE;
FOLIE
ET MARIAGES CONSANGUINS, ETC.; par le D1' S1'E.
e d'idées de richesse et de grandeur, ou l'élément domi- nant de la
folie
, ou une souche importante de conceptions déli-
gué avec soin ces idées de richesse et du grandeur appartenant à la
folie
commune, de celles présentées au cours de la pa
s délirants chez un sujet fortement prédisposé, il se rencontre des
folies
véritablement syphilitiques. La syphilis agit alo
e, février 1897.) E. 13LiN. VIII. Analgésie du nerf cubital dans la
folie
; par le D1' Arrigo GI woNE. Depuis que Hierna
ai que la démence sénile non compliquée cons- titue une forme de la
folie
bien distincte, il n'est pas moins vrai que dan
chiques de la vieillesse : 1° simples psychoses, dans lesquelles la
folie
n'est pas accompagnée d'airai- blissement intel
l; 2° les psychoses séniles avec démence simple, dans lesquelles la
folie
est associée à des conditions d'affai- blisseme
3' les psychoses séniles avec démence cérébrale, dans lesquelles la
folie
est associée non à un simple affaiblissement ment
A côté des autres psychoses de la vieillesse, les phénomènes de la
folie
sénile proprement dite offrent un intérêt particu
qu'eux, quelque importante que soit la chose. Les résultats de la
folie
sénile dans les familles n'ont pas échappé à l'
et le « Roi Lear » nous donne une intéres- sante description de la
folie
dans la période sénile, description dont l'aute
secondaires DE la chirurgie gynécologique dans LE traitement DE la
folie
; par James RUSSEL. (Rrit. aned. OUT7t., 25 sept
nsidère pas les affections pelviennes comme une cause directe de la
folie
: elles font partie des conditions étiologi- qu
chirurgiens. 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Les observations de
folies
guéries par des opérations chirurgi- cales sont
n état de stupeur tendant à la démence. A. V. XIX. Gynécologie et
folie
; par ToBns. (B ? 't< med. journ., 25 septem
affections de l'ovaire ou des annexes don- nèrent 6 guérisons de la
folie
soit 60 p. 100. La laparotomie, la périnéorrhap
ation étiologique des affections PI·.L\IIsNNIs3 des femmes sur leur
folie
; par Georges-11. Roué, M. D. (Brit. mcd. jou ? ,1
ailleurs une ligne de démar- cation très nette entre le Latah et la
folie
. R. DE XXII. Une maladie mentale (autre que l
étudie aussi l'hérédité de la débi- lité mentale, et conclut que la
folie
est héréditaire chez 90 p. 100 des aliénés. R.
n'existe aucune preuve que la race anglaise soit plus exposée à la
folie
qu'elle ne l'était autrefois. 2° Il existe des
ale atteint son maximum d'accroissement : pour les autres formes de
folie
, l'accroissement commence à partir de qua- rant
ent rien, c'est incompréhensible. P. KERAVAL. XXVIII. Hystérie ET
folie
IIYS1ÉRIQLE; par E. SOKOLOWSKI. (Centralbl. f.
: le mutacisme, la convulsion hystérique, l'hypnose hystérique, la
folie
hystérique ; 4° Des symptômes inventés; le mala
nérale. A. L' ENATRUU. XXXIV. Nouvelle addition au chapitre DE la
FOLIE
morale; par P. Noecke. (Neurolog. Centralbl., X
avons guère que le cas de Marie Schnei- der dans lequel il y ait eu
folie
morale avec intégrité presque com- plète de l'i
faits sont plutôt des exemples de débilité ou d'imbécillité. Puis,
folie
morale pure n'implique pas for- cément criminal
au milieu de l'écorce, et à y découvrir les lésions palpables de la
folie
morale, de la criminalité ? En attendant, comme
un médicament de grande valeur surtout dans les cas de stupeur, de
folie
puerpérale et climatérique tendant à la chronic
glande thyroïde. Pour lui, négliger ce remède dans certains cas de
folie
, c'est ne pas faire profiter son malade de tout
près, à leur égard : ils se rencontrent dans plusieurs variétés de
folie
, et surtout dans les cerveaux séniles. Les cas
encontrés le plus souvent étaient des cas de paralysie générale, de
folie
alcoolique, et diverses formes de mélancolie et
le cas d'une de ses malades, petite, chétive, qui dans un accès de
folie
hysté- BIBLIOGRAPHIE 239 u rique tordit un ba
et le climat sont les deux grands facteurs d'aliénation mentale. La
folie
alcoolique, la manie et la lypémanie sont, de t
approuvant la gestion du trésorier. Simulation préuertlive de la
folie
. M. Séglas. 11 s'agit d'un individu M..., qui s
se. M. Vallon voudrait savoir si l'inculpé invoquait sa prétendue
folie
comme pouvant entraîner son irresponsabilité. M
normale que l'autre, mais ce n'était pas sa seule manifestation de
folie
'. Quant à l'hérédité de l'inversion sexuelle,
t, pour le moiti,, un important facteur dans plusieurs formes de la
folie
, et, sans qu'on puisse affirmer positivement la
ladie, si bien qu'on a attribué à ces mouvements le qualificatif de
folie
des muscles. Cinq cas cliniques, avec tracés, cit
s irrégulières de force nerveuse (impulsi- vité, chorée, épilepsie,
folie
intermittente, etc.), variétés observa- bles da
ériences antérieures aux impressions présentes, manque de jugement,
folie
morale, perversion des instincts. Il y a donc tra
s, déc. 97.) E. B. XXXHL Considérations 31ÉDICO-LI.G : 1LES sur LES
folies
éroto-choréi- QUES; par le Dr HERSMAN. Une en
rologistes, les questions suivantes : 1° Connaissez-vous des cas de
folie
choréique ayant donné lieu à des accusations de v
334 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. vous connu des filles atteintes de
folie
choréique et en même temps masturbatrices et ny
x qui s'occupent des maladies mentales, ce sont les relations de la
folie
avec l'organisme entier, avec les autres maladi
ity, avril 1897). E. B. XXXVIII. CINQ cas d'hystérectomie dans la
folie
; par le D' Aven- port. (American journal of ins
exagèrent l'importance des désordres pelviens comme facteurs de la
folie
et fondent des espérances trop grandes sur le t
s conditions pathologiques des organes pelviens peuvent aggraver la
folie
, servir de causes occasionnelles, mais ne peuve
bre on comptait 716 idiots ou imbéciles, et 373 aliénés atteints de
folie
systématisée progressive. Viennent ensuite, par
suivant : 1° les psychoses affectives (manie et mélancolie) ; 2° la
folie
pério- dique; 3° le délire généralisé, affectio
4° la paranoïa; 5° les démences ; 6° la paralysie générale ; 7° les
folies
névrosiques (folie neurasthénique, hystérique,
es démences ; 6° la paralysie générale ; 7° les folies névrosiques (
folie
neurasthénique, hystérique, épileptique, etc.),
iques (folie neurasthénique, hystérique, épileptique, etc.), 8° les
folies
toxiques; 9° la folie morale; 10° les parapsycl
ique, hystérique, épileptique, etc.), 8° les folies toxiques; 9° la
folie
morale; 10° les parapsyclzies ou folies dégénérat
° les folies toxiques; 9° la folie morale; 10° les parapsyclzies ou
folies
dégénératives (insta- bilité mentale, phobies,
x problèmes sociologiques, par exemple les questions relatives à la
folie
, à l'éducation des enfants, aux besoins des cla
liénés, suscep- tible de se présenter dans la plupart des formes de
folie
, particuliè- rement dans la dégénérescence ment
dits civilisés : autrefois, procès iniques, tortures; aujourd'hui,
folies
, haines, crimes. Affaire du Moulin-Grand. Affai
dant la croyance à la damnation. Parlant des causes morales de la
folie
, M. Luys écrit les lignes suivantes, qui s'appl
l'hypochondrie, la noso- ' Leuret. Fragments psychologiques sur la
folie
. . ' Dagonet. Observations, p. 238. (Traité des
religieuse qu'on retrouvera plus loin croit qu'elle est cause de la
folie
de toutes ses compagnes d'asile. Une démonopath
98. Librairie G. Masson. FIhEL5'rEIN (L.). Zwei Faelle sogenannter (
folie
par transformation ; folie en commun). - Brochu
hEL5'rEIN (L.). Zwei Faelle sogenannter (folie par transformation ;
folie
en commun). - Brochure in-8" de 19 pages. Leipzig
umain. Il est persuadé, d'après ce qu'il a lui-même observé, que la
folie
démoniaque, tout en présentant à peu près les m
ue, en un mot présentaient les caractères delà démo- nomanie, de la
folie
religieuse. M. Il. Dagonet 1, après avoir établ
alololie ou discours sur Ieg esprits, 15S7. Cité par Calmeil. De la
folie
, p. 293. 1. III, ch, w, à propos des Déutonolâtre
tout. ' Jehan Boulcese, in-t". Paris, 1478. Cité par Calmeil. De la
folie
, p. 264-265, 1. III, ch. ii. = 111UYCVI. Remi
. Codin. Démonomanie des sor- ciers ; ni-4», p. 161. Calmeil. De la
folie
, hv. lit, ch. ir, p. 257. " S. Goulard. Histoir
s de Flandre. Paris, 1623. Deux volumes iu-8. ' Calmeil. - De lct
folie
, l. IV., ch. u, p. u3É. 4 La Démonomanie de Loi
hondrie, le délire des persécutions, l'érolomanie,le mysticisme, la
folie
du doute, l'autoculpabilité, la mégalomanie, la p
xcitation maniaque, de la manie incohérente, de la lypémanie, de la
folie
circulaire, puerpérale, alcoolique, épilep- tiq
s longue et très intéressante de deux jeunes filles atteintes de la
folie
des persécutions à deux. Elles présentaient toute
lles avaient été placées en observation les déclara atteintes de la
folie
de persécution à deux; mais son opinion fut comba
e la paralysie vésicale dans le paludisme aigu. Marher (Albert). La
folie
post-opéra- toire. Marson (Camille-Auguste). Co
précoces et la mise en observation médicale transitoire des cas de
folie
douteux avant la déclaration définitive de foli
sitoire des cas de folie douteux avant la déclaration définitive de
folie
et d'internement. A. M. IX. A propos de l'organ
éroulé hier soir dans le quartier des Batignolles. Dans un accès de
folie
une cuisinière nommée Radegonde Perdriau, née S
re une fois de plus la nécessité de l'interne- ment aussitôt que la
folie
est bien constatée. Quelle était la nature des
gravité. On suppose généralement que Thi... a agi dans un accès de
folie
, car depuis quelque temps il donnait des signes
onod, POULET, Page et BUISSsItD, ont été déclarés admissibles. La
FOLIE
d'un enfant. Un garçonnet d'une dizaine d'années,
car une dépression du cerveau s'était produite. Or, avant-hier, la
folie
douce du petit malheureux se changea soudain en
vant-hier, la folie douce du petit malheureux se changea soudain en
folie
furieuse. Armé d'une paire de ciseaux de tapiss
Grasset, 405. Chirurgie gynécologique dans le traitement de la
folie
, par liussel, 143, par Tobbs, 1 li. CuoRKE. T
otisme et -, par Bell, 76. Cubital. Analgésie du nerf - dans la
folie
, par Gionnone, liO, 330. Débilité mentale et tr
, 315. Méthode de - des cel- lules nerveuses, par Harissa, 408.
Folie
. Etat (lui ciiculus nutritif dans la - circulai
de la théorie - , par M. Brarowell. 326. - IhSTLKEciOMiE dans la
folie
, par Davenport, 336. Hystérie. Genèse et natu
ort, 336. Hystérie. Genèse et nature de l'- par Sullier, 93. - ot
folie
liysté- mque, par Sokolowshi, 150. Hystérique
s. Relations étiologiques des affections chez les femmes sur leur
folie
, par Robe, 144. Persécutés mélancoliques , par
ts de la loi du 1)7 mai- 1885, par liérard 259. Responsabilité et
folie
, par Patter- son, 76. - des unbéciles et ds f
eclioiis viscé- rales, par Heall, 311 Simulation préventive de la
folie
, par Vallon, 82 ; par Séglas, 270. Société mé
ofanes ont consacré cette expression qui, pour eux, est synonyme de
folie
, ou peu s'en faut. Serrons-en de près les aspec
n'atteignent pas leur but. C'est pour- quoi LEU nET pensait que la
folie
n'est qu'une erreur et que, comme telle, elle d
nées de l'expé- rience. De là des déterminations erronées, de là la
folie
intellectuelle, le délire. Une foule de pensées
idées prévalentes, ou peu intenses. Ils sont sur les confins de la
folie
. Ce n'est pas à dire que des individus non dégé
nocturne discret. (A suivre.) PATHOLOGIE MENTALE. MYSTICISME ET
FOLIE
' ; Par le D'A. MARIE, Médecin en chef de la
jouent le même rôle que nos loups garons, et l'on peut observer des
folies
avec disso- ciation de la personnalité et vérit
suma-tsuki). V. A11P., s. 7, t. XV, p. r21. U Taret. MYSTICISME ET
FOLIE
. 35 La période naturaliste prend fin, l'homme a
s tourments et les hallucinations qui les obsèdent. (Cotlard. De la
folie
, p. 213,) 36 PATHOLOGIE MENTALE. celles qu'il
possession par les bons anges. 4 Des symptômes intellectuels de la
folie
, P. Dclahayr, 1867. Calmeil. De la folie (théor
ptômes intellectuels de la folie, P. Dclahayr, 1867. Calmeil. De la
folie
(théories), t. 11, p. 115. MYSTICISME ET FOLIE.
67. Calmeil. De la folie (théories), t. 11, p. 115. MYSTICISME ET
FOLIE
. 37, Ce qui au xviio siècle, aurait fait brûler
de disso- ' Marcé. Médecine menlule, p. 100 et 101. MYSTICISME ET
FOLIE
. 39 ciation de la personnalité dont l'Amérique
nt plus d'intensité qu'elles 1 II. et I., 188, 287. MYSTICISME ET
FOLIE
. l11 ne peuvent se répandre sur les autres terr
et il aurait poursuivi le cours 4 Calmeil, p. 81. - MYSTICISME ET
FOLIE
. 43 de ses homicides, si on ne fut promptement
ssique de ce genre de réac- 1 Les régicides, p. 32. MYSTICISME ET
FOLIE
. 4 S lion souvent renouvelée depuis, est le cas
utilations, la castration surtout sont également fré- MYSTICISME ET
FOLIE
. 47 quentes (cette dernière peut s'opérer en ma
ez les aliénées, agitée autrefois par Loiseau et Azam, à propos des
folies
sympathi- ques, a été de nouveau soulevée le 31
laissait supposer qu'il s'agissait du traitement systématique de la
folie
par la chirurgie. En Belgique, le Dr Cuylitz a
a consacré sa thèse à la question du traite- ment chirurgical de la
folie
sympathique. M. le professeur Joffroy, dans une
effet l'intention de revenir sur les théories émises à propos de la
folie
sympathique. Le terme de folie sympathique est
r les théories émises à propos de la folie sympathique. Le terme de
folie
sympathique est d'ailleurs un terme générique v
nues au moment où Loiseau et Azam pu- bliaient leurs travaux sur la
folie
sympathique. ' L'importance des causes physique
élément le plus redoutable du délire, surtout dans les formes de la
folie
dont les préoccupations hypochondriaques donnent
urgicale, a été complète. Ces faits, favorables à la doctrine de la
folie
sympa- thique, auraient été plus nombreux et ut
cas, les autres intoxica- tions qui jouent dans la pathogénie de la
folie
un rôle prédominant. SOCIÉTÉS SAVANTES. 65 Le
Cette remarque a son importance, au moment où les travaux sur les
folies
post-opératoires tendent à faire rejeter les inte
s Bouches- du-Rhône et quelques considéralions sur les formes de la
folie
. L'alcoolisme a fait des progrès dans les centr
ement de ses semblables atteints par le plus terrible des maux : la
folie
. Pour compléter ce qui précède, voici quelques
onnet, âgé de vingt-six ans, demeurant 28, rue Broca, atteint de la
folie
de la persécution, se présentait, hier matin, à
le clinique puis- qu'il u'y avait pas de doute sur la réalité de la
folie
, au lieu de le trimballer à l'infirmerie du dép
de ces malades semble intacte; ainsi s'explique le nom ancien de
folie
partielle usité en pareil cas. En réalité le sens
sens de son idée et à com- mettre des actes marqués au sceau de la
folie
et qui vont rapide- ment amener son internement
faible), de troubles intellectuels secondaires et de simulation.
Folie
morale chez une héréditaire dégénérée. Observat
acte passionnel politique, mais un épiphénomène pathologique d'une
folie
dont les éléments constitutifs délirants, greffés
ituelles de l'inculpé, c'est-à-dire la politique, ont donné à cette
folie
sa caractéristique personnelle. En consé- quenc
nes cataleptoïdes quelquefois extatiques. Enfin dans le cours d'une
folie
chronique, l'urémie intercurrente se manifeste
rajeunir cette vieille question des rapports de la phtisie et de la
folie
. Il s'est attaché surtout à étudier les psy- ch
ires, les dégénérés. Aussi, n'existe-t-il pas une forme spéciale de
folie
des tuberculeux. Chacun délire avec son idiosyn
ouston peut donner une idée. On sait que Bail, dans son étude de la
folie
tuberculeuse, en décrit trois formes qui répond
deux affections suivent une marche parallèle ; 2U La phtisie et la
folie
obéissent à la loi d'alternance et se remplacen
ssent à la loi d'alternance et se remplacent mutuellement ; 3° La
folie
remplace la phtisie dans les familles de tubercul
le moins du monde justifiée. Il n'existeentre la tuberculose et la
folie
frappant une même famille que le lien très généra
cerveau. Une ancienne danseuse, Marguerite l'ouroy, a été prise de
folie
, place Clichy. Au commissariat, elle enleva d'un
r rafraîchir les idées. (Bonhomme Normand du 20 juillet 1899.) La
folie
. Pris d'un subit accès de folie, un nommé Fortet,
e Normand du 20 juillet 1899.) La folie. Pris d'un subit accès de
folie
, un nommé Fortet, âgé de quarante ans, plongeur
maladies mentales, notamment dans l'exci- tation maniaque pure, la
folie
à double forme, la paralysie géné- rale au débu
alysie géné- rale au début, l'imbécillité et en particulier dans la
folie
systéma- tisée progressive. Qu'il soit idiopath
ersement inter- prêtée, est plutôt faite d'éréthisme nerveux que de
folie
et que les grands créateurs sont souvent, non d
comme troubles psychiques post-opéra- toires ; les autres sont des
folies
communes, des vésanies, dues à la prédispositio
xibte point un type spécial de psychose que l'on pourrait étiqueter
folie
post-opératoire. Les troubles psychiques post-o
issants, ne permet pas de prédire avec certitude l'éclo- sion de la
folie
post-opératoire. A plus forte raison ne per- me
aire : Ligature de l'artère axillaire chez un sujet prédisposé à la
folie
par une hérédité alcoolique et vésanique et par
C... se rend compte, depuis quelque temps, qu'il a été atteint de
folie
. 11 n'a eu tout d'ahord que vaguement conscience
n était pas moins dans des conditions favorables à l'éclosion de la
folie
. En effet, il était fils d'un alcoolique, et da
ite par un accroissement de la prédisposition déjà existante à la
folie
; mais elle s'est limitée à cela, et on ne saurai
aisseau, que se sont manifestés chez C... les premiers symptômes de
folie
. Ceux-ci ont apparu en même temps que les signe
qu'à dater du jour où l'état physique s'est amélioré. De .plus, la
folie
a revêtu chez notre malade, la forme que certai
que l'infection a été la cause occasionnelle et déterminante de la
folie
, il ne s'ensuit pas qu'on doive la considérer com
. Ces derniers éléments, dont l'influence sur la production de la
folie
en général est bien connue, avaient préparé le te
par elle, a-t-il contribué, dans une certaine mesure, à produire la
folie
chez notre malade ? Mais aucun fait ne nous per
rusque traumatisme, un rôle pré- pondérant dans la pathogénie de la
folie
post-opératoire... Dans la pathogénie de la pro
inante de la maladie, et celle-ci ayant revêtu le type habituel des
folies
toxiques, les troubles psychiques constatés che
éritable angoisse, un très petit nombre seulement sont atteintes de
folie
. Dans notre observation, nous n'avons relevé l'
tude la part qui revient à chacune d'elles dans la production de la
folie
post- opératoire. Les mêmes éléments ne paraiss
pendance la fonction psychique. Si les diverses formes que revêt la
folie
post-opératoire étaient toujours déterminées pa
re avec M. Régis, que la confusion mentale est le type habituel des
folies
toxiques ; et notre cas en est un exemple bien
un rôle actif et même décisif dans la production d'autres formes de
folie
. De même que l'intoxication éthylique ne donne
ême que l'intoxication éthylique ne donne pas toujours lieu il la
folie
alcoolique, mais contribue parfois à engendrer de
n'y a pas un type spécial de psychose, que l'on pourrait étiqueter
folie
post-opératoire ». Chez cer- tains prédisposés,
uissants ne per- met pas de prédire avec certitude l'éclosion de la
folie
post- opératoire. A plus forte raison ne permet
luence éliologique de ces malformations dans la genèse de certaines
folies
. Il s'agit, il est vrai, dans ces cas, de folie
enèse de certaines folies. Il s'agit, il est vrai, dans ces cas, de
folies
acquises, qui se développent après la puberté,
ut admettre qu'il faut néanmoins une certaine prédisposi- tion à la
folie
, et c'est ce que fait observer Raffegeau, qui c
malies congéniales des organes génitaux dans le développement de la
folie
chez l'homme (Thèse de Paris, 1884) ; 4° Bourne
1899 une étude d'Hamilton sur les applications au traitement de la
folie
des extraits des glandes thyroïdes et surrénale
re dans les maladies mentales au point de vue des rapports entre la
folie
et le dia- bète ; par f3er.LCSmu. Institut psyc
très nettement la première opinion ; pour lui dans tous les cas de
folie
menstruelle il s'agit d'un cerveau excitable dè
transformation en une vésanie continue vulgaire ou peut-être en une
folie
périodique vraie. Elle est sus- ceptible de réc
l'ican journal of izzsunlly, avril 1899.) E. Dux. XX. Syphilis et
folie
; par le Dl' Collotti. Dans une étude intéressan
étude intéressante, l'auteur passe en revue les diverses formes de
folie
qui peuvent tirer leur origine de l'infection syp
E. B. 330 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXI. L'imbécillité et la
folie
de l'imbécillité devant la loi (Rapport médico-
ive de substituer au jury ordi- naire, dans les cas criminels où la
folie
est invoquée par la défense une commission comp
graves des phobies confinant elles-mêmes aux idées délirantes de la
folie
. La folie est toujours à craindre comme une termi
phobies confinant elles-mêmes aux idées délirantes de la folie. La
folie
est toujours à craindre comme une terminaison p
t fausse. Très méchante, la femme Joachim, qui était atteinte de la
folie
de la persécution, rendait la vie très dure à s
ions psycho-motrices sont fréquentes chez les dégénérés atteints de
folie
mystique. Ce fait a été observé plusieurs fois.
es, 21 série, t. VIII. 27 418 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. coces de la
folie
, que celle-ci soit le fait d'un effort fonctionne
ques considéi citions sur la menstruation dans ses rapports avec la
folie
; elle fut présentée et soutenue le 29 août 1866
ce des idées inexactes généralement accep- tées sur la nature de la
folie
et son traitement. Longtemps en effet, l'attent
alors, il y a au moins quelque satisfaction consolante donnée à la
folie
que la science abandonne. » Toutefois, la campa
ir dans le travail, une véritable panacée, un remède héroïque de la
folie
; et l'aliéné aigu, non suscep- tible d'être sou
ntales, et aussi certaines conceptions erronées sur la nature de la
folie
, aient longtemps fait écarter l'idée d'aliter l
n. Thérapeutique générale des mala- dies mentales. Traitement de la
folie
intermittente, P. Chashn. Traitement du délire
ne femme de cinquante-deux ans, atteinte depuis plusieurs années de
folie
systématisée, originaire de la méno- pause, pro
tour le malheureux mari. (Le Temps du 19 octobre 1899.) Drame de la
folie
. Hier soir, veis dix heures, les gens qui passa
arie Boudon a été envoyée au Dépôt. (Le Temps du 9 octobre 1899.)
Folie
.- A onze heures du matin, hier, M. Foulègue, gard
hartier, trente-deux ans, de Pommartin (Aube), sujet à des accès de
folie
, a tué sa voisine, la femme Fèvre, soixante-deu
nécessité de procéder à l'hospi- talisation des aliénés dès que la
folie
est constatée : c'est l'intérêt de la société c
h. 1/2. - ai. Magnan : Exercices cliniques sur le diagnostic de la
folie
, le vendredi à 9 1/2. Asile de Villejuif (Tramw
899. Imprimerie 1)elord- Boehm. - GUE.RIN et Aimé (H.). Un cas de
folie
intermittente avec élude de quelques éléments e
Les contrac- tures et la portion spinale du -, par Grasset, 50.
Folie
. Mysticisme et -, par Ma- ne, 31. Syphilis et -
dans les maladies mentales au point de vue ries rapports entre la
folie
et le dia- bète, par Btllisari, 32... Goitre
s et les -, 349. Assistance des -, 524. Í. Imbécillité. L'- et la
folie
de 1' - devant la loi, par Ilughes. 330. ]%[P
ion au traitement de la - , par de f3ecbterew, 420. 1lsrrcrsuc et
folie
, par Marie, 31. )1Y\OEDblE spontané infantile,
énie, par Cestan, 342. Sapiiilis et tabes, par Touche, 52. - et
folie
, par Collotti,328. SmvcowÉLte, par CarslaAv, 81
l'accident, la folie- éclate, est-il légitime de rattacher cette
folie
au traumatisme, de la considérer comme un effet
u problème; puis cette circonstance, qu'il est très rare de voir la
folie
succé- der directement aux accidents traumatiqu
es causes morales sur les causes physiques dans la génération de la
folie
. Cela est si vrai que Moreau (de Tours), étudia
, mai 1881, p. 3591.) Et, quelques lignes plus loin, à propos de la
folie
épileptique qui succède à certaines lésions crâ
illes, universellement adoptées, l'étude des causes physiques de la
folie
ait été longtemps négligée et réléguée à l'arri
il ne se remet qu'après plusieurs semaines, et en restant sourd. La
folie
survient progressivement (manie avec hallucinatio
inations). Il est évident qu'il y a deux hypothèses à faire : 1° la
folie
est due aux lésions traumatiques du cerveau, qu
8 PATHOLOGIE MENTALE. dès la première enfance, prédisposent à la
folie
et en sont quelquefois la cause excitante. Ces
). Il n'en reste pas moins établi que, pendant fort longtemps, la
folie
de cause traumatique n'a guère attiré l'attenti
dit-il, ont une influence considérable sur le développement de la
folie
, soit qu'il y ait simplement commotion du cer-
'il a examinés, Schlager a trouvé 49 cas (42 hommes, 7 femmes) de
folie
traumatique. Dans 19 cas, la maladie mentale éc
Schlager semble disposé à admettre que le traumatisme imprime à la
folie
un certain cachet, qui se manifeste par une gra
comme je viens de le dire, Schlager a la ten- dance de faire de la
folie
consécutive au traumatisme une forme particuliè
de la folie consécutive au traumatisme une forme particulière, une
folie
traumatique, avec ses caractères spéciaux, cett
ps sur la tête et de l'insolation, puis à l'existence d'un genre de
folie
qu'il appelle la folie traumatique, et dont il
insolation, puis à l'existence d'un genre de folie qu'il appelle la
folie
traumatique, et dont il cherche à établir la sy
en 1868). Cet auteur distingue trois cas : 1° Ceux dans lesquels la
folie
est la conséquence directe, unique, et immédiat
ecte, unique, et immédiate du traumatisme; 2° ceux dans lesquels la
folie
ne survient qu'après une période prodromique pl
fin dans lesquels le traumatisme ne crée qu'une prédisposition à la
folie
, celle-ci n'écla- tant que plus tard, sous l'in
bon escient. Bien souvent les traumatismes auxquels on attribue la
folie
(chûtes de cheval, etc.), bien loin d'être la c
DU CRANE. 'I1 Les auteurs les plus récents admettent tous que la
folie
peut être l'une des suites éloignées d'un trauma-
oir été guéri d'une blessure profonde de l'orbite (Calmeil, de la
Folie
, I, p. 363). Les choses ne vont généralement pa
il ne suffit pas de cette conviction pour établir le diagnostic de
folie
due au traumatisme du crâne : il faut recherche
rdé à M. Thivet, interne à Charenton. Son travail a pour titre : La
Folie
chez les Vieillards. M. RITH, secrétaire généra
lire chronique lui semblent faciliter une confusion regrettable. La
folie
des dégénérés est mal définie. Enfin, comment p
l'étranger ? Comme programme, il propose trois grands groupes : les
folies
, les démences et les arrêts de développement. 1
se mélanger, pendant des mois entiers, simulant à s'y méprendre une
folie
à double forme. La deuxième observation est-cel
erio, Toussini, rapporteur); 2° Diagnostic de la simu- lation de la
folie
(commission : Gonzalès, Anâlucvi, Venturi, rap-
ne commission qu'elle a chargée de rechercher dans quelle mesure la
folie
peut être due à des causes sexuelles. Les buveu
re partie de ces enfants n'arrive pas à l'âge adulte, à l'âge de la
folie
. Cependant l'enfant dont parle Fabrice de llild
e voir à la suite du trauma- tisme survenir l'épilepsie d'abord, la
folie
plus tard. Calmeil enciteuuexempleremarquable(l
a tête, et n'ayant laissé aucune trace. 198 PATHOLOGIE MENTALE.
folie
est nettement déclarée : c'est le temps écoulé
établir que le traumatisme ne saurait, en gé- néral, imprimer à la
folie
aucun caractère spécial, - qu'il n'intervient q
e ou l'autre des maladies mentales : manie, délire de persécutions,
folie
circulaire, ou dé- mence, épilepsie, paralysie
spécial, c'est quand il a été la cause directe, immé- diate, de la
folie
. Un officier reçoit des coups de sabre à la têt
tique. S'il n'existe pas un ensemble de symptômes propres à la
folie
due au traumatisme, il est clair que lé dia- gn
mental déjà bien prononcé et qui doit être rattaché au début de la
folie
paralytique ? » (Ann. mêd. psy- chat., ils6\),
es auteurs sont d'accord sur ce point, est toujours grave. Quand la
folie
survient il la suite d'un traumatisme du crâne,
pareil individu, espérer d'empê- cher l'explosion ultérieure de la
folie
? Nous retom- bons ici dans les recommandations
nd l'affection céré- brale a terminé son évolution et a abouti à la
folie
, quelle qu'en soit d'ailleurs la forme symptoma
es suivantes : on lui demande si une affection cérébrale chronique (
folie
, démence, para- lysie générale, etc.), qui est
s pathologiques de l'appareil génital. R. M. C. IL Guérison DE la
folie
consécutivement A l'ablation DE la barbe chez u
, le trouble mental avait plutôt la forme du délire que celle de la
folie
véritable. Toutefois, il n'y avait pas de fièvr
progressé d'une façon presque parallèle. R. M. C. VII. UN cas DE
folie
mentale ou DE défectuosité morale congénitale,
de ces malheureux doivent à la séquestration seule la genèse de la
folie
, et encore faut-il en défalquer trois qui, igno
S : 1° manie (délire aigu) ; 2° mélancolie ; 3° fo- lie périodique (
folie
à double forme, etc.) ; 4° folie systématisée pro
élancolie ; 3° fo- lie périodique (folie à double forme, etc.) ; 4°
folie
systématisée pro- gressive ; 5° démence vésaniq
que et sénile ; sociétés savantes. 275 7° paralysie générale ; 8°
Folies
névrosiques (hystérie, épilepsie, hypocondrie ;
rale ; 8° Folies névrosiques (hystérie, épilepsie, hypocondrie ; 9°
folies
toxiques; 10° folie morale et impulsive; 11° id
osiques (hystérie, épilepsie, hypocondrie ; 9° folies toxiques; 10°
folie
morale et impulsive; 11° idiotie, etc. Dans la
e part et BRIAND d'autre part proposent de subs- tituer au terme de
folie
morale, l'un celui de folie héréditaire, l'autr
t proposent de subs- tituer au terme de folie morale, l'un celui de
folie
héréditaire, l'autre celui de folie des dégénér
de folie morale, l'un celui de folie héréditaire, l'autre celui de
folie
des dégénérés, que M. HALL repousse énergi- que
de la per- sonnalité. M. SETMAL (de Mons) communique au sujet des
FOLIES
PÉNITEN- TIARES, un travail qui repose sur les
ellulaire a pu à la rigueur jouer le rôle d'agent provocateur de la
folie
, mais peut-être pas tant que la condamnation elle
E. M. GARNIER lit un travail sur la PROGRESSION corrélative DE la
FOLIE
ALCOOLIQUE ET DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ( voir plu
érale de la préfecture de police il appert que le nombre des cas de
folie
alcoolique a plus que doublé depuis quinze ans.
ssions avec conscience ne doivent pas être bornées au domaine de la
folie
des dégénérés, du moins dans le sens beaucoup t
ùt 1889. Trois questions étaient posées : 1° alcool, criminalité et
folie
; influence du nombre des cabarets sur l'alcool
oissons saines à donner aux popu- lations. Alcool, criminalité ET
FOLIE
. M. YVERNÈS, chef de la statis- tique au minist
itants de 249 à 207 et à 180. Même progression décroissante pour la
folie
. D'après des statistiques empruntées aux Compag
sujet et relate des cas de mélancolie surtout, d'agoraphobie, de
folie
du doute, qu'il a guéris par suggestion. M. BÉR
que l'on a signalé les connexions qui existent entre le crime et la
folie
, que l'une et l'autre ne peuvent que gagner à m
istante (proportion, 5 p. 100), fut atteint de troubles psychiques (
folie
systématique hallucinatoire aiguë) ; à ce moment
uatre malades qu'on peut con- « sidérer comme aliénés, quoique leur
folie
soit tranquille et que « les médecins n'aient p
uit jours sans prendre de nourriture et étant prise en ce moment de
folie
presque furieuse, je ne puis que vous proposer, M
e avoué que souvent ces malheureux, pris pendant la nuit d'accès de
folie
furieuse, étaient retrouvés le lendemain absolu
leurs utilité, au point de vue des chances de guérison, à ce que la
folie
puisse être traitée immédiatement ? VARIA. 313
On dira que la personne qui a passé par l'asile, si elle n'a qu'une
folie
momentanée, ou si même elle n'est pas aliénée,
croissent avec l'oedème, l'anurie, l'albuminurie. 2° Ce- lui de la
folie
artél'io-sclél'euse. I,'artério-sclérose générali
euf hystériques, huit maniaques, quatre paralysies générales, trois
folies
systématiques, une hébéphrénie. Dans la plupart
as dans lesquels le crime ou délit se rattache aux frontières de la
folie
. Or les textes ac- tuels n'en parlent pas. Les
craignent qu'on ne spécule sur les candidats et les candidates à la
folie
, enfin les raisonneurs qui arguent de l'impossi
l'inversion du sens génital. Ran- geons-y encore la dipsomanie, la
folie
périodique. Il est évident que l'appréciation d
vident que l'appréciation d'un aliéniste est de rigueur. Quant à la
folie
bystématique, à l'imbécillité, à la folie moral
st de rigueur. Quant à la folie bystématique, à l'imbécillité, à la
folie
morale, l'individu le moins prévenu peut s'en a
i l'observation d'un cas qui a exactement suivi l'évo- lution d'une
folie
circulaire : on y retrouve l'asthénie torpide de
emples de ces dégénérescen- ces graisseuses insidieuses qui dans la
folie
chronique tuent le ma- lade avant de s'être man
Albuminurie chez les aliénés, par Hoeppen, 448. Alcool (crime,
folie
et), par Yvernès, 286 ; - (et opium), aux Indes
-en Allemagne, en Bel- gique. 469. Alcoolique (progression de la
folie
et de la paralysie générale), par Ramier, Bal
e, 174. Fibrome de la dure mère et épilepsie, par Lacroix, 437.
Folie
(guérison delà) - consécutive à l'ablation de l
de maladies men- tales), par Furkestein, li6. - Simulation de la
folie
, par Feritsch, 272. Société médico-psychologi
tané. (il suivre.) PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES CLINIQUES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE'; Par le D' E. MARANDON DE MONT
ni le délire du doute, deux cas d'hypochondrie morale, et parmi les
folies
impulsives deux cas d'impulsions au suicide for
. 1 Voir Archives de Neurologie, t. IV, p. 188. RECHERCHES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE. fl I Pas d'antécédents hérédit
joui d'une bonne santé psychique, même quand elle RECHERCHES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE. 43 était battue et abandonnée,
être restée quelques semaines à rage de vingt-six RECHERCHES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE. 45 ans, torturée par le remord
simples épisodes de la maladie, et je ne connais pas un seul cas de
folie
paralytique qui ait évolué sous l'oeil du sens
imagination sommeille, leur jugement est pareil, RECHERCHES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE. ! 17 et ils ne s'en doutent pa
mentanée. Ces considérations ne sont pas non plus étrangères à la
folie
épileptique. L'inconscience n'est-elle pas, en
de l'avis unanime, la caractéristique de cette aliénation ? Mais la
folie
épileptique revêt toujours chez le même individ
es qui avaient passé inaperçus. En résumé, nous dirons que la vraie
folie
épileptique, celle qui se caractérise par la pe
ui se caractérise par la perturbation des facul- tés, tout comme la
folie
paralytique, est essentiellement inconsciente;
conscience peut être un élément surajouté à toutes les variétés de
folie
admises de nos jours. Je l'aurais, en effet, re
dique, la manie rai- sonnante, la lypémanie aiguë, la stupidité, la
folie
circulaire, la lypémanie anxieuse, le délire de
rême degré de la sagesse pour l'antiquité païenne RECHERCHES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE. 49 9 comme pour l'antiquité ch
ent illusion sur les autres. Ainsi, après avoir divisé les cas de
folie
avec conscience en deux classes, suivant que la
ons faire remarquer que chez un très grand nombre d'aliénés dont la
folie
a été de longue durée, on n'a trouvé aucune lés
rteils, mais point d'anesthésie. Admission à l'hôpital en novembre.
Folie
systé- matique chronique typique. Amaigrissemen
entrant dans le;domaine de l'aliénation mentale par la porte de la
folie
inorale et présentant non pas telle ou telle mo
u- cinations terrifiantes et le médecin traitant, pensant déjà à la
folie
puerpérale, fait appeler en consultation un con
aire, on trouve partout la perversité et l'on rencontre bien peu la
folie
. Que Z... ait été malade il y a un an, le fait
on qu'elle présentait. M. Christian. Savez-vous si, dans l'accès de
folie
traversé par le malade, celui-ci avait eu des i
tômes de l'état de santé intellectuelle el de son diagnostic avec la
folie
. Il recherche les signes auxquels on peut recon
rder l'exeat quand il s'agit des formes de dépression chronique, de
folie
systématique à tendances paisibles ou des démen
mmis quelque méfait, car alors il sera jugé, acquitté pour cause de
folie
et enfermé, aux frais de l'Étal, comme criminel.
ns l'établissement, ont commis un meurtre pendant l'évolution de la
folie
. Voici un exemple emprunté à l'asile d'Osnahrüc
trois parties distinctes. Rien dans leur altitude ne trahissait la
folie
, le calme le plus profond et une attention sout
leur construction' deux cents aliénés, pour laplupart atteints de,
folie
systématique, au point de vue, spécial des, mal
la méningite spinale. P. K. VII. Cio\TRI13U'l'IO\ A l'étude de, la
folie
, qui se produit Pilon- ,,f dant l'enfance ; par
<;' Il ? 5'i'T 1 . IIV-. 'I" '» ! ( il .T ,, n,. Il ? »ll ,, |.
folie
systématique : délire des persécutions avec, hall
es organes, chez des sujets prédispo- sés, mais qu'en aucun cas, la
folie
ne procède sympathiquement, paraction réflexe,
la; puerperaHteou.se developpât-oiie pendant la convatescence d'une
folie
puerpérale ? n]entrave.1ni,ne retarde 'la guéri
'épilepsie'j'sous quelque'"modalite qu'elle voirot sous l'aspect'de
folie
'épileptique ? d'autres entitéspsScllopâthiques
' 0, t. --Il - 1 .1 n, vu ' · rt ? , i t t -, ni 1 i . X1X. SUB L1
folie
systématique; par Jung. (11lig. Zeitsch. f.'Psyrh
la psychiatrie toute·'entière pivote^ de nos jours, 'autour dé' la'
folie
systématique. Cette'forme 'de psychose aurait p
ofiti-e,"Ià' soh'sens; la transfor- mation des manifestations de la
folie
. C'est à la dégénérescence 'soinâtidlié'étps3cl
nce qui 'gagne dej6urenjour,"qu'il faut. attribuer les formes de la
folie
systématique empruntant ? su (161)Lit, . Il le
du système moteur (idiotie, stupeur aiguë, manie), par parli.pris (
folie
morale), par angoisse et, sensations irrésistib
ésistibles (lypémanie),par motif psychique et conception délirante (
folie
systématique, para- lysie générale). Quelles qu
ter- viendra par le traitement génital qui convient. Le gâtisme des
folies
systématiques procède pu de la réflexion (délir
.°tr"t, . Ii ? 1 "q lienation par isolement est la mélancolie ou la
folie
systématique Î aiguë; les hallucinationsde 1 ou
cin, quand il est consulté par un ' · sujet qui se 'croit menacé de
folie
parce qu'il est' issu de parents aliénés ! M. L
nous demande notre' avis sur les chances qu'il a de verser dans la
folie
, tout'le'monde comprend que, si l'on répond au
e sont soumises. Il est bien vrai, ai-je l'habitude de dire, que la
folie
est une maladie hé- réditaire, mais elle ne l'e
meut, absolument; elle est héréditaire en ce sens que, si un cas de
folie
éclate dans une famille, on finit, en remontant
e pas non plus d'ajouter cette autre considération : Il y a pour la
folie
deux sortes d'hérédité, l'hérédité paternelle e
donnerjun bon résultat] en-rassurant un''individu prédispose la'
folie
, qui vient nous, faire part de ses craintes,' nou
ccessoirement. L. M. CIIRISTIAIN. Il faut se comporter vis-à-vis la
folie
comme pour les autres maladies héréditaires. On
ont observés concurremment avec la mé- lancolie, l'hypochondrie, la
folie
systématique laissées dans l'ombre. De même l'e
que le criminel aliéné est, avant tout, un coupable chez lequel la
folie
intervient à titre de complication et se surajo
el aliéné devenu intraitable, de par sa perversion que surexcite la
folie
, impose l'obligation de constructions agencées
lité. 11 insiste aussi sur ce fait, que ce sont les symptômes de la
folie
morale qui ont dominé la scène, tandis que la f
ui traite des ma- nifestations intellectuelles de l'hystérie, de la
folie
hystérique, de la clinique médico-légale de cet
us paraissent pas encore bien démontrées. ' Le chapitre v, sur la
folie
hystérique, avec ses hallucinations des sens. s
vec ce genre d'aliénation. Notons encore une relation sommaire des]
folies
hystériques épidémiques. Le chapitre 410 O BIBL
degrés d'hystérie : hystérie légère, hystérie grave, hystérie avec
folie
; au point de vue de la responsabilité légale, t
'autopsie n'est pas rapportée. Charpentier. Traité clinique de la
folie
à double forme (folie circulaire, délire ci for
pportée. Charpentier. Traité clinique de la folie à double forme (
folie
circulaire, délire ci formes alternes) ; par A.
'Académie de médecine. Prix Falret 1880). 0. Doin, édit. 1883. La
folie
ci double (Baillai--or), folie circulaire (Falrc[
alret 1880). 0. Doin, édit. 1883. La folie ci double (Baillai--or),
folie
circulaire (Falrc[), folie ti double 2)hase (Bi
1883. La folie ci double (Baillai--or), folie circulaire (Falrc[),
folie
ti double 2)hase (Billod), folie à formes alter
i--or), folie circulaire (Falrc[), folie ti double 2)hase (Billod),
folie
à formes alternes (Délaye), délire « formes alt
de d'évolution carac- térise une forme d'aliénation périodique, une
folie
périodique ci formes alternes, qui doit être sé
ne folie périodique ci formes alternes, qui doit être séparée de la
folie
à double forme. Quel que soit son mode d'évolut
espacés. Quant à sa marche, elle se présente sous deux formes : Io
folie
ci double forme à type périodique (folie à doub
ente sous deux formes : Io folie ci double forme à type périodique (
folie
à double forme de Marcé), caractérisée soit par
s séries séparées les unes des autres par un intervalle lucide ; 2°
folie
ci double forme ci type continu (folie circulai
ar un intervalle lucide ; 2° folie ci double forme ci type continu (
folie
circulaire de larcé), sans rémission. . Le di
la forme circulaire (Espiau de la llac'stre, Fabre, etc.) et que la
folie
à double forme peut comme la paralysie générale
la maladie se ter- mine en se transformant sous une autre forme de
folie
, mélancolie ou manie. Quand la mort arrive, c'e
abilité, M. Magnan, distingue les troubles intellectuels passagers (
folie
momentanée) ou durables (folie éhilcptique). La f
es troubles intellectuels passagers (folie momentanée) ou durables (
folie
éhilcptique). La folie momentanée précède ou su
ls passagers (folie momentanée) ou durables (folie éhilcptique). La
folie
momentanée précède ou suit la crise, quelquefoi
ou suit la crise, quelquefois même la remplace (ëptpsfe larvée); la
folie
épileptique ne diffère de la précédente que par
nstaté trois fois ces parasites; il n'en a trouvé dans aucune autre
folie
, excepté dans la folie puerpérale, de nature infe
arasites; il n'en a trouvé dans aucune autre folie, excepté dans la
folie
puerpérale, de nature infectieuse par excellenc
dans l'établisse- ment et la gestion des asiles, ce préjugé que la
folie
chronique est incurable et, par conséquent, doi
ux troubles de nutrition une certaine part dans la production de la
folie
; sans aller trop loin dans cette voie, la Société
érébro-spinale a frigora, l'épilepsie par malformation du crâne, la
folie
à deux, la tétanie, les troubles visuels de l'a
l'État à l'éarV les), par Jolly, 3G9. Evasion des aliénés, 398.
Folie
avec conscience (recherches snrla), par Alaraud
c conscience (recherches snrla), par Alaraudon de Slontvel, 40.
Folie
chez les enfants, par illoeller, 365. Folie à
de Slontvel, 40. Folie chez les enfants, par illoeller, 365.
Folie
à double forme, par Ritti, 4 ! 2. Folie systéma
ts, par illoeller, 365. Folie à double forme, par Ritti, 4 ! 2.
Folie
systématique, par Juna, 374. Goitre exophthalmi
ectuelle (des symptômes de l'état de et de son diagnostic avec la
folie
), 116. Z> Sclérose en plaques fruste (un cas
1 ' 1 t pli 1 J f f 11 I ° l3roussais ? - De l'irritation et de la
folie
, t. 11, p. 15. Pans, 1839. ? 1 t, "nJ.o "'01 \ t
G : t - ,1 .1 '\/1 8 Ach. Foville, fils ? Etude cliai 9 . tte de la
folie
avec, prédominance du , délire 'des grandeurs,
l' "+ 1 -, i 1 . v o, '1 t) ..r- ? r,.J RECHERCHES CLINIQUES SUR LA
FOLIE
AVEC CONSCIENCE'; rw r;1 t il- -- ? t .. 1 t, -
'oMme crise de .' .fI' ",....' t l "" ... /. Il . 1 Ytl h..llIlt1
folie
morale avec conscience. .S'aH/e MAvsMea/ ? 'a<
te d'argent. Il' se .sentit devenir incapable. ? RECHERCHES SUR LA.
FOLIE
AVEC . CONSCIENCE. 39 t non seulement de contin
e incapable de travailler et demanda de rester au quar- '1 tier. La
folie
progressaisous 1'oeiP conscient du malade. Quand
ll,e.,l,- Claayraas; con- ,- 'a ? e<M.C ! n<yKte ? e accès de
folie
circulaire aveç,f,°nscÜmce" ., Idées, detsuicid
`7 O ? Tff ryf '<) 4w --I i M"1 ? « -.[(irn <)-îqti«T ? ...,
folie
a double forme permettra, grâce aux, renseigne-;
tère excitable. En. septembre, 1878, elle eut un, premier, accès de
folie
religieuse. La seconde,crise a débuté par une a
énée 'depuis'0 environ* tfbisr- ans ? Le 1 fpèï-é',o fattêiIitIi.le
folie
morale,) mène,;uneJ.ielextravaganteJ.et,déco,usl)
ières au ciel, tout ellez iielleif était un mélange de raison et de
folie
, une lutte énergique contre la-maladie : J'ai'p
nq enfants,)dont un mort-né et trois morts-avec RECHERCHES SURI LAI
FOLIE
AVEC CONSCIENCE. 55 des convulsions dans la pre
q 4 ? t)'H'f ? I ? cüÍl £ CiênÉèCfOesi,) ;e"J' D un autre cote, la.
folie
avec conscience est peu /fc.| P1 o ? )it) tnt i
? montré; ·chiffres en' mains,'qû'en dehors, dej l'alcoolisme la
folie
)'avec 'conscience est)\pluJ fréqu'entelchez,ll !
\ évitêr[toute rcônfüsiôn;edé comprendre, sous' la- désignation' de
folie
avec conscience réfléchie, Ies-maladiès qui 'mé
IIl-.lL'étàf'de conscience 'se renèoll ifè"'dans ? Ie ¡'cbill1 des
folies
paralytiques quelquefois, des lypémaniës aiguës
verses variétés de 'manies,t¡là1 Iypémanie aiguë, la stupiditéV'la1
folie
circulaire' lâ1Jy.pémanie : anxieus ! '1, la pa
ujours' inconsciente'-dan's'la'plus grande- partie¡de ,sa durée. La
folie
épileptique' est également inconsciente; toutef
maladie autonome, c'est un symptôme partiel de mélancolie, ou de
folie
systématique. Elle se montre bien des fois dans l
Enfin, la mélancolie dite hypochondriaque ne se trans- forme pas en
folie
systématique, la folie systématique hypochon- d
te hypochondriaque ne se trans- forme pas en folie systématique, la
folie
systématique hypochon- driaque n'aboutit pas à
es mêmes éléments nosographiques se retrou- vent dans l'a manie, la
folie
circulaire, la folie systématique, les affaibli
ographiques se retrou- vent dans l'a manie, la folie circulaire, la
folie
systématique, les affaiblissements psychiques q
-ci "wuwi^u ii i"i a ,"t"c hl. POIIL communique son, travail sur la
folie
impulsive }., La cpn- ? f"-f 1 i -,u , - . i.i-,
insula. , ' ` ' ' . - Séance dû 12 décembre )88 Discussion sur la
folie
impltlsive. - Pour éviter que l'un ne se perde
z actes du sujet en question,, demande à M. Pohl si, pour lui, la
folie
impulsive est une maladie autonome,' ou si elle n
ceux qui s'occupent sé- rieusement de l'anatomie pathologique de la
folie
sont, encore aujourd'hui, dans l'impuissance d'
e chapitre suivant. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. La
FOLIE
DOIT-ELLE ÊTRE considérée comme une cause DE di
au sujet de l'opportunité d'un amendement tendant à comprendre la
folie
parmi les causes de cette mesure légale, MM. les
la morale. Cette discussion a placé la question du divorce et de la
folie
sur un terrain à la fois médical, juridique et
, une question de droit et une question de morale sociale. A.- La
folie
, dans certaines conditions, dit M. Luys, doit êtr
pendant de longues années », M. Luys déclare à l'Académie que la «
folie
» est incurable après quatre ans chez les homme
sion qu'il apporte dans un sujet d'une appréciation si difficile. «
Folie
» est un terme vague qui serait plutôt le langa
a statistique, sur le pronostic de la paralysie générale ou de la
folie
circulaire; mais, en allant plus loin, il nous se
académique. C. Une loi enfin, autorisant le divorce pour cause de
folie
, démoraliserait l'institution du mariage : ce ser
vice, elle ne doit jamais le sanctionner. Or, une loi admettant la
folie
, c'est-à-dire la maladie, comme cause de divorc
tifs ; telles ces exaltations maniaques, ces manies chroniques, ces
folies
périodiques et circu- laires avec agitation qui
comme le délire dans la pathologie mentale : souvent aussi, dans la
folie
, elle n'est que passagère. Après avoir appuyé l
rmes abortives et aboutit à l'extase, à la catalepsie (mélancolies,
folie
systématique sexuelle, hypno- tisme) ; - une st
tement organique (suite des maladies fébriles graves, puerpéralité,
folie
épileptique, paroxysmes mania- ques, folie suic
es graves, puerpéralité, folie épileptique, paroxysmes mania- ques,
folie
suicide, délire aigu); une stupeur cataleptique o
folie suicide, délire aigu); une stupeur cataleptique ou tétanoïde (
folies
systématiques sexuelles , manie avec agitation
une stupeur intercurrente relevant des formes cala- toniques de la
folie
systématique. La genèse résulte toujours de vas
lrlùn's()mbloJ là- plupart 'de1 ces malades jFosor-l¡" tissent à la
folie
chronique ou secondaire oLsont.'uanMpabdes ? ha
parole sur les rapports qui existent-' entre la . mélancolie et la
folie
systématique. r tJuu.ul 11 1 il) j9 f,¡")f ,f, 'J
i aurait eu.' comme stade p¡ : 6dro- mique la lypérnauie, suivie de
folie
systématique, pour se terminer par, la démence.
dre lypémanique avaient cOI ! 1pli : teJnllt cessé lors du stade de
folie
systématique;, la sép ! lratin,étaittÍi ! n- ch
Binswanger fait sà communication annoncée sur l'a simulation de la
folie
. Elle est basée sur la série des criminels dont'
gommes de l'encéphale; par FRANÇOIS. Thèse de Paris, 1883. De la
folie
à double forme ; par le D MORDRE. Thèse de Paris,
ens eftant di- minuee elle se refueilla, & nous conta plufieurs
folies
: afauoir qu'elle auoit paffé la mer & les
bateurs en eurent mangé, ils entrerent premièrement en vne longue
folie
: puis eftans esblouis & laCfez de tourner, i
ps, la mémoire s'affaiblit graduellement. Un peu après l'accès de
folie
qui caractérisa le début de la ma- ladie, C...,
la conscience de la maladie revient encore au discernement dans la
folie
systématique hallucinatoire. Il en est autremen
s la folie systématique hallucinatoire. Il en est autrement pour la
folie
impulsive. D'ailleurs, le sentiment de la malad
xistence de la conscience qui nous occupe ici; aussi, le groupe des
folies
avec conscience doit-il simplement signifier qu
ue l'on constate des sensations anormales, dans la mélancolie et la
folie
systématique. Elles sont alors le plus souvent ém
qui permette d'attribuer tel genre à la mélancolie, tel autre à la
folie
systématique. La même propriété du tact en dive
de ce que la sensibilité à la douleur est plus grande (mélancolie,
folie
systématique, épilepsie) ; les troubles trophique
ity moral; par A. IlOLLOENDER; , (Jahrbùch. f. Psych., IV, 1.) La
folie
morale procède de la mégalomanie bien que, chez l
la discussion psychologique de M. tioDoender. P. K. XXII. SUR LA
folie
impulsive ; par E. POHL. (Jahrbuch. f. Psych., V,
) Les études et observations de Pohl l'entraînent à considérer la
folie
impulsive comme une neuro-psychose dégénérative,
u pervers contre lui-même ou ses semblables. P. K. XXIII. UN cas de
folie
circulaire; par SCHOEFER. (Neurol. Cent7,itlbl.,
enfin, il présentait un tricrotisme parfait. En ce qui concerne la
folie
périodique (4 faits), chaque période n'est pas
d'une psychose préalable. Il com- plique, dans le premier cas, une
folie
exaltée hallucinatoire; une hystéromanie, dans
s d'hallucinations, qui engendrent des con- ceptions délirantes. La
folie
systématique occupe à cet égard le premier rang
s de fièvre in- termittente peuvent être remplacés par des accès de
folie
apyré- tique ; il n'en a pu trouver d'observati
la bibliographie. M. IisTZ. - Remarques pour servir à l'étude de la
folie
aiguë partielle. L'auteur a, dans ces derniers
logique dont la forme se rap- proche des modalités chroniques de la
folie
systématique pri- mitive. M. Krelz n'attribue
mois. Le pronostic en est favorable. Discussion. M. MOLLO a vu la
folie
systématique chronique se dé- velopper de la mê
ment à l'insuffisante apprc- SOCIÉTÉS SAVANTES. V3 I dation de la
folie
partielle primitive par la nomenclature qui ser
athogénie et accidents nerveux du), par Dreyfous, 436. Divorce et
folie
, 261. Drap mouillé dans les psychoses, 152.
Ergotisine, 111. Exposition phréniâtrique de Vo- ghera, 302.
Folie
et divorce, 261. Folie aiguë partielle, 429.
osition phréniâtrique de Vo- ghera, 302. Folie et divorce, 261.
Folie
aiguë partielle, 429. Folie périodique (tempéra
ghera, 302. Folie et divorce, 261. Folie aiguë partielle, 429.
Folie
périodique (température dans la), 272; - (impul
érature dans la), 272; - (impulsive), 407; - (circulaire), 407.
Folie
(simulation de la), 278. Folie avec conscience
sive), 407; - (circulaire), 407. Folie (simulation de la), 278.
Folie
avec conscience (recherches sur la), par 111ara
Tabétique (pied), par Charcot et Féré, 305. Température dans la
folie
périodi- que, 272. Trijumeau (anesthésie du),
tait paralysée depuis trois ans. Un oncle paternel a eu un accès de
folie
furieuse. Antécédents personnels. La malade a t
mémoire. L'état mental actuel n'est que la conséquence d'une longue
folie
à forme rémittente, accompagnée d'accès d'excit
reusbers. (4 ? 'cA. f. Psych., XVII, 3.) Les phénomènes qui dans la
folie
se produisent sur le sys- tème locomoteur sont
e de Kahlbaum, d'abord parce qu'ils ne se produisent point dans les
folies
chroniques, en second lieu parce qu'ils représe
u'ils représentent des perturbations paroxystiques passagères des
folies
aiguës ou des stades initiaux des folies aiguës;
roxystiques passagères des folies aiguës ou des stades initiaux des
folies
aiguës; enfin, parce qu'ils fréquentent indisti
servations à l'appui. On les rencontre plutôt, il est vrai, dans la
folie
systématique et dans le désordre des idées hall
e, accès de delirium tremens. Un de ces derniers se termina par une
folie
systé- matique hallucinatoire (idées de persécu
ôt ; un état de mal se déclare. On constate finalement des accès de
folie
postépilep- tique alternant avec des accès épil
implement honteux. On trouve aussi que des cas aigus accidentels de
folie
, au lieu d'être l'objet d"une séquestration lég
Nymphomanie; Lypémanic ; Manie; Hypochondrie; Idiotie; Imbécillité;
Folie
; Folie instinctive; Folie des actes; Délire; Dé-
anie; Lypémanic ; Manie; Hypochondrie; Idiotie; Imbécillité; Folie;
Folie
instinctive; Folie des actes; Délire; Dé- mense
anie; Hypochondrie; Idiotie; Imbécillité; Folie; Folie instinctive;
Folie
des actes; Délire; Dé- mense; Dyhsomatie; Convu
L'intelligence a diminué progressivement depuis deux ans. Pas de
folie
avant les accès; parfois il avait la manie de s'e
à dix-huit mois, accès à six ans. Phénomènes cataleptiques. Aura. -
Folie
et courses consécutives. - Pyromanie et kleptom
la langue. Après les accès, sommeil d'une demi-heure. Quel- quefois
folie
consécutive : il criait, gesticulait, courait dan
les cas dans lesquels l'ensemble symptomatique reste invariable (
folies
partielles) et ceux dans lesquels les symptômes s
lesquels les symptômes sont changeants, et la marche non cyclique (
folies
généralisées sympathique, fébrile, traumatique)
revient sur cette question et parmi les formes que peut affecter la
folie
hystérique il décrit le Wahnsinn catatonique. Cet
par M. Martinenq*. Le diagnostic porté le 17 mai 1878 avait été : «
Folie
hystérique maniaque avec agita- tion et violenc
u début de l'affection mentale des symptômes analogues à ceux de la
folie
du doute. Les mêmes idées se trouvent encore ex
grande utilité en raison de l'extrême fréquence des rechutes de la
folie
et en particulier des formes de folie les plus
fréquence des rechutes de la folie et en particulier des formes de
folie
les plus dangereuses d'une mesure qui serait po
nter à plus de huit jours; les symptômes observés et les preuves de
folie
constatées personnellement par le signataire; l
ne dépendance de la colonie, où sont placés les épilep- tiques avec
folie
douce ou périodique, tandis que les cas les plus
la plupart aux hôpitaux principalement destinés aux cas récents de
folie
, et où un grand nombre de cas in- curables ne d
re, l'hystérie, l'ataxie locomotrice, la paralysie générale et la
folie
: Observation XVI. D... (Adrienne), âgée de qua
421 Il Arndtr rejette l'existence comme forme essentielle, de la
folie
de tension (Spannungs-Irresein). Westphal2 adme
ancolie et qu'elle se produit quelquefois dans la « Verrùcktheit » (
folie
systématisée) avec le délire des grandeurs le m
ie. Mais pour lui Fink, la catatonie est d'un pro- nostic bénin, la
folie
de la puberté est très grave. Une discus- sion
conteste l'interprétation de Hecker. Mendel rejette, à la fois, la
folie
catatonique et celle de la puberté.; Sander rep
1 Krafft Ebnig. Lehrb, 2' éd. t. II. 422 REVUE CRITIQUE. de la
folie
circulaire. Tamburini ' au cinquième congrès de l
tées dans nos classifications, il incline à la considérer comme une
folie
circulaire avec phénomènes catatoniques. Telles
s par les partisans même de celle-ci. Enfin dans son livre sur la
folie
à double forme, M. Ritti 2/' signale la présenc
anc, de Germont, 1883, p. 4 ï8.) * Ritti. - Traité clinique de la
folie
à double forme, 1883, Obs. XI, XII, XIII. LA
on les rencontre par exemple dans les périodes de dépression de la
folie
circulaire (ilitli) et dans les différentes for
dite, les désordres moteurs eux-mêmes, qui sont plus spéciaux à la
folie
et que Morselli 3 divise en états d'excitabi- 1
lus diffé- rents. En sorte que nous pouvons dire avec Arndt" que la
folie
de tension (spannungs-irresein) n'est pas une m
ncoliques, si bien même qu'on a pu donner à la mélancolie le nom de
folie
d'opposition (Guis- lain 5), Le mutisme aussi s
f. Psych., XLII, 4.) Observation très intéressante. Tabes suivi de
folie
systématique hallucinatoire; douze ans plus tar
nérale.- Anato- mie pathologique. Lésions tabétiques; lésions de la
folie
systéma- tique (Ieptoméningite chronique, atrop
de désordre dans les idées greffés sur un terrain de démence ou de
folie
systématique, il a trouvé, en ce qui regarde la
, des formes de manie et de délire qu'on a pu ranger sous le nom de
folie
cardiaque. Par contre, l'origine de certaines a
en épilepsie ni en aucune autre névrose. P. K. XVIII. Epilepsie ET
folie
systématique; par P. VÉJAS, (Arch. f. Psychiat,
sychiat, XVII, 1.) .) Quatre observations d'épilepsie compliquée de
folie
systéma- tique. Dans les deux premières, les ac
concerne une femme de vingt-deux ans : tare héréditaire, épilepsie,
folie
postépileptique caractéristique; finalement mél
pochondriaques ; relation pathogénétique entre l'épilepsie et la
folie
plus ou moins systématique. P. K. XIX. Contribu
e qu'exercent LES aliénés SUR LEUR entourage. (Uontugion psychique.
Folie
à deux. Folie induite ou commu- niquée) ; par G
LES aliénés SUR LEUR entourage. (Uontugion psychique. Folie à deux.
Folie
induite ou commu- niquée) ; par GRAF. (tilla. Z
GRAF. (tilla. Zeitsch. f. Psych., XLIII, 3.) La transmission de la
folie
peut n'être qu'apparente; c'est REVUE DE PATHOL
bles chez dix para- lytiques généraux, chex dix malades atteints de
folie
circulaire, huit atteints de paranoia, dix luna
de ces faits, je dois rappeler que l'hérédité rayonne sur toute la
folie
, qu'elle n'est pas l'apanage exclusif de la fol
onne sur toute la folie, qu'elle n'est pas l'apanage exclusif de la
folie
des héréditaires ou dégénérés, que ceux-ci dont
moins, ainsi que cela a été démontré lors de la discus- sion sur la
folie
héréditaire peuvent, dis-je, devoir leur tare cér
itaire peuvent, dis-je, devoir leur tare céré- brale non point à la
folie
des ascendants, mais à un état passager l' des
é n'est pas, ce qui du reste est fort heureux, voué fatalement à la
folie
. La clinique, sous ce rapport, fournit même des
er dans le groupe des héréditaires dégénérés. Ce qui caractérise la
folie
des héréditaires ou dégénérés, c'est surtout l'
me semble, de ce qu'il disait ici même l'an dernier à propos des
folies
héréditaires. Car pour lui aujourd'hui, l'action
s dit d'ailleurs que la malade.de l'U11SLIt\'1TIOY 111 ait eu de la
folie
du duute; et M. Magnan, s'il eût lu exactement
pas que de m'étonner, car l'an dernier dans les discussions sur la
folie
héréditaire, M. Magnan admettait, sans réserves
des idées et des actes qui est la conséquence de l'hypochondrie,
folie
hypochondriaque, délire de persécution, p. 703. T
sion. Examinant ensuite le remarquable mémoire de Foville' sur la
folie
avec prédominance d'idées de grandeurs, nous trou
alomanie, qui réunit des sujets ' A Foville. - Etude clinique de la
folie
avec prédominance d'idées de grandeur. Paris, 1
quelles il les aura constatées. Mais il arrivera fréquemment que la
folie
, dès son début affectera ce caractère aigu qui
ire du Gouvernement. Je n'y fais aucune objection. M. Delsol. Si la
folie
est aiguë, il n'y a pas plus de marche que de p
Imprimerie centrale du Midi. CULLEIIIIE (A.). Les Frontières de la
folie
. - Volume in-18 de 360 pages. Prix : 3 fr. 50.
ges. - Stuttgard, 1888. Verlag von F. Enke. Moreau (de Tours). - La
folie
chez les enfants. Volume in-tS de 411 pages. Pr
sie procursive, par Bourne- ville et llricon, 75, 227, 37\J;- (et
folie
systématique), par Véjas, 413. Epileptiques (
remarquable de - cE- rébrale), par Goldstoin, 112. Tabès suivi de
folie
systématique, par Sommer, 439. Tétanos trauma
des discussions terminologiques en matière de psychiatrie. Dans la
folie
systé- matique aiguë hallucinatoire, des auteur
orbide nouvelle sous le nom de confusion psychique. P. K. II. DE L1
folie
systématique originelle (type S.1\DRn) j par CL
prétend voir de l'affaiblissement des facultés. P. K. 111. DE la
FOLIE
alternant avec l'asthme Par Co- nolly Norman. (
chro- revue DE Pathologie mentale. 113 nique disparaît lorsque la
folie
s'établit, et reparait dès que le trouble menta
ns la troisième, un asthme habituel disparait pour faire place à la
folie
, qui disparait à son tour dès que les crises d'
ronique cesse chez un imbécile, lorsque éclate une attaque aiguë de
folie
, pour reparaitre quand celle-ci est passée. Dan
onique s'atténue et finit par disparaitre au sur et à mesure que la
folie
s'établit. L. Dans deux de ces cas la folie s
ur et à mesure que la folie s'établit. L. Dans deux de ces cas la
folie
se présentait sous la forme de la mélancolie ai
coeur est très sou- vent hypertrophié. 9° Dans beaucoup de cas de
folie
, la circulation générale est paresseuse et les
phénomènes psychiques auxquels elles donnent lieu soient ceux de la
folie
véritable. 12° Non seulement les affections car
les affections cardiaques modifient le type et les délusions de la
folie
, mais il existe encore certains cas d'a- liénat
que la lésion cardiaque joue le rôle d'une cause prédisposante à la
folie
. Le mémoire se termine par quelques considérati
' Campbell Clark amène la discussion sur les ? -ela- tions entre la
folie
et les fonctions sexuelles et de reproduction. Le
la lactation, l'onanisme. Les questions suivantes sont discutées :
folie
de la masturbation, influence de celle-ci sur l'i
sie puerpérale et aliénation mentale, symptômes prémonitoires de la
folie
puerpérale. Dans le même ordre d'idées, le D''
ubles mentaux associés aux engagements matrimoniaux : mélan- colie,
folie
érotique ou religieuse, se manifestant chez des i
éveloppement de l'encé- phale. La masturbation ne peut engendrer la
folie
que chez un dégénéré.. Pour le D1' Wiglesworth
e qui est la cause de la première; il mentionne l'association de la
folie
puer- pérale à la septicémie. Le Dr A. Apelin n
ésultats entre les mains delà plupart des médecins, dans ces cas de
folie
d'origine sexuelle. A propos de la construction
visuel explique la combinaison des hallucinations combinées dans la
folie
. Le Dr Ire- land rappelle qu'on peut au moyen d
y Tuke et Yellowlecs. Le D1' Oscar T. WOJDS lit un travail sur la
folie
à deux dans la même famille, dont il cite quatr
plus ample informé, ni de la simula- tion, ni de l'existence de la
folie
. Le rapport doitse baser sur une observation su
ui guérit dès le début de la fièvre typhoïde. 1 stupide, suite de
folie
systématique hallucinatoire aiguë, a la période
délire de jalousie. Depuis longtemps on est habitué à spécifier la
folie
systématique d'après la direction principale de
nclusions : .' - 10 Le délire de jalousie primitif est une forme de
folie
systéma- tique fondamentale, propre aux buveurs
Strasbourg). De la chorée et de l'aliénation men- tale. Six cas de
folie
simple (tous d'agitation maniaque) avec chorée,
a de condamnés à des peines correctionnelles, que l'épilepsie ou la
folie
se manifes- tera à un moment rapproché de l'exp
On en arrive alors à chercher à en exonérer certains criminels. Les
folies
à grand appareil bénéficient à l'origine de ces i
érieurement, grâce à Pinel, Trélat, Legrand du Saulle, on étend aux
folies
avec conscience. De là en vient-on à rechercher
le crime n'est pas en somme une mala- die. Or, entre le crime et la
folie
il est difficile de marquer une limite, car il
M. Féré, non pas identité mais parenté étroite entre le crime et la
folie
. L'auteur trouve une explication suffisante de
du lobule paracentral qu'il a observée chez une femme; atteinte de
folie
à double forme. C'est à celte lésion .qu'étaient
mme signe diagnostic différentiel de la paralysie générale, dans la
folie
à double forme et je dois avouerque jel'ai vue
re ligne, la mélancolie à forme stupide rarement la manie jamais la
folie
systématique. Dans le cas où, à la suite de l'a
s le nom de crâne pro- gène (progenoeum) en relation intime avec la
folie
, mais seu- lement chez les Allemands, une forme
alysie générale (Arndt), qu'il existe une paralysie générale et une
folie
paralytique comme le veut Baitlarger (Jehn). II
'agraphie amnésique correspondante. ' M. NEISIER (de Leubus). De la
folie
systématique originelle [type Sknder). Ce n'est
ation mentale comme cause de divorce. Une femme mariée, atteinte de
folie
systématique, suite de la ménopause, a été inte
ation délirante). Immédiatement l'arrêt de divorce fut prononcé. La
folie
systématique est donc en ma- tière juridique le
e (épiphé- nomènes ou équivalents), on n'a jusqu'ici décrit dans la
folie
pé- riodique que la manie et la mélancolie de c
ire périodique 1. Nous nous per- mettrons d'introduire la paranoïa (
folie
systématique) périodique. A l'appui, trois obse
te plus ample. observation, plus ample comparaison entre les autres
folies
et la folie systématique de cet ordre. Discus
observation, plus ample comparaison entre les autres folies et la
folie
systématique de cet ordre. Discussion : 111. Vi
: 111. Vio;r.I. M. Westphal, quand en 1876 il a établi son type de
folie
systématique, a fait connaître les évolutions int
connaître la stupeur et la catatonie périodi- ques. Mais les cas de
folie
systématique périodique, je les rangerais, tant
Quant à la transmutation des aspects des formes psychopathiques, la
folie
étant la maladie d'un système nerveux fatigué,
tions de l'économie du sujet. M. THOMSEN. Oui, il existe des cas de
folie
systématique périodi- que se distinguant de la
a paranoia qui aujourd'hui embrasse des formes aiguës, alors que la
folie
systématique typique avait pour caractère fonda
logique. Quoi qu'il en soit, combien de fois M. Mendel a-t-il vu sa
folie
systématique périodique se transformer en folie
Mendel a-t-il vu sa folie systématique périodique se transformer en
folie
systématique-type, indéniable. Nous préférerion
tématique-type, indéniable. Nous préférerions le terme générique de
folie
périodique ou sim- plement de délire périodique
el malade continue ses occupations pen- dant qu'il délire et que sa
folie
systématique est véritablement périodique. M.
prendre des me- sures, des précautions, contre ces aliénes dont la
folie
est si manifestement dangereuse. Quel système c
pas responsable à raison de son état mental. Il a eu un accès de
folie
et c'est dans cet accès passager qu'il a commis l
tat habituel d'aliénation, peut cependant être sujet à des accès de
folie
qui, en se renouvelant, peuvent présenter les m
proché. Mais l'accusé se défend en soutenant qu'il était atteint de
folie
au mo- ment où le crime a été commis, et que ce
prévenu traduit en police cor- rectionnelle et également atteint de
folie
. Ce sera peut-être un assassin ou un incendiair
endiaire acquitté et mis en liberté; il pourra, sous l'empire de la
folie
qui l'obsède, exercer son ressentiment contre u
ans le cours même des débats. Si l'accusé est réellement atteint de
folie
, les symptômes de cette maladie mentale se seront
s conclusions formelles tendant à l'irresponsabilité à raison de la
folie
? L'avo- cat d'assises, dont l'habileté constit
and mérite, se gardera bien de se conclure ». Au lieu d'invoquer la
folie
d'une manière formelle, il déploiera toutes les
éclai- rée qu'elle est par les débats, elle le croit atteint d'une
folie
qui compromet la sécurité publique. Cette dis
e précoce. 11 considère les syndromes épisodiques des héréditaires (
folie
du doute, agora- phobie, etc.), comme des stigm
ifférentiel de la paralysie générale avec les diverses formes de la
folie
. Prix Beluomme. 1,000 francs. Question : De Vêl
diots et les imbéciles . Du cocaïnisme ; Contribution à l'élude des
folies
toxiques. M. SAURY. Parmi les troubles fonction
ique occuperait donc une place très impar- faite dans le groupe des
folies
par intoxication. Dans leur ensemble, les effet
médecin de Saint-Yon, car il se refuse à admettre la création de la
folie
héréditaire. M. Paul Garnier remarque que c'est
st à peu près constituée par la théorie du professeur Arndt, sur la
folie
en général. Nous avons dans ce recueil même con
l'oxyde de carbone, par Raffegeau, 484. Faits divers, 17f, 334.
Folie
systématique originelle, par Neisser, 212, 309.
rd parce que la tumeur semble avoir été la cause déterminante de la
folie
, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 47 ensuite par
ur suprême qui convoquera un jury à l'effet de juger la question de
folie
. Cette possibilité d'appel n'est pas sans prése
de Voga et d'autres littérateurs s'y sont vivement intéressés à la
folie
et au sort lamentable des aliénés de leur temps
t plus tard les pensionnaires de Jofré, étaient convaincus que la
folie
était oeuvre du diable. Il fut si tenace qu'il eu
juin 1410, il ouvrit son asile 1 A la page 238 de son Traité de la
folie
, Pinel fait aussi un grand éloge de l'asile de
avait été rédigé et qualifia d'ignorance médicale le diagnostic de
folie
qui avait été formulé. Un peu plus tard, le mal
absolu- ment semblable. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1. Sur L\
folie
POST-OPLR.\TOWE; par J. Christian Simpson (The
abord l'observation d'une femme elle laquelle on a vu apparaître la
folie
trois semaines après une laparotomie; à l'occas
il a rassemblé et étudié ses observations. Sur vingt-six causes de
folie
post-opératoire, après avoir exclu les cas d'op
ne ainsi que ceux dans lesquels on pouvait invoquer d'autres cas de
folie
que l'opéra- tion elle-même, et il donne dans l
es jugements. R. DE Musghave-Clay. III. SUR l'accroissement DE la
folie
ET LE système DES PENSION- NAIRES extérieurs; p
.) On se préoccupe beaucoup en ce moment de l'accroissement de la
folie
; l'auteur incline à penser que cet accroissement
pas nécessairement à un relèvement parallèle du nombre des cas de
folie
, et ce qui confirme encore cette manière de voir,
ns l'augmentation qui se produirait inévitablement si réellement la
folie
augmentait de fréquence. L'auteur conclut que l'e
ffusion des maladies mentales, ni accroissement de la tendance à la
folie
, ni commencement de dégénérescence des races ci
ay. IV. La signification DE la DOCTRINE DE Weismann EN M 1TILItE DE
folie
; par Georges R. WILSON. (The Journal of Mental
érations de physiologie spéciale rela- tives au développement de la
folie
. En laissant de côté le facteur représenté par
, au point de vue biologique, diviser les facteurs organiques de la
folie
en trois classes : 1° arrêt de développement ;
arrêt de développement que nous savons être l'un des facteurs de la
folie
n'est pas, en ce qui touche les cellules, d'ord
t comme il est légitime de l'induire pour diverses autres formes de
folie
, à une insuffisance des connexions cellulaires et
toire des cellules nerveuses. R. DE MUSGRAVE CLAY. VII. UN cas DE
FOLIE
diabétique; GUÉRISON immédiate DÈS la DISPA- RI
ntales. Ce fait vient confirmer la probabilité de l'existence d'une
folie
diabétique à type distinct, caractérisée' par d
idées de soupçon et de persécution. R. DE MUSGRAVE CLAY. VIII. La
FOLIE
dans LES PRISONS locales D'ANGLETERRE (1894-1895)
s temps accusé l'emprisonnement de favoriser le développement de la
folie
, et l'on a fourni des chiffres qui seraient en
s complètement éli- minés.. R. de i\IUSGlt.IVE-CL9Y. X. Un cas DE
FOLIE
DEUx; par..... (Occidental Médical Time, , nove
s connue très nerveuse, viulente, facilement irritable. Ce cas de
folie
à deux rentre, dit l'auteur, dans la forme appelé
re, dit l'auteur, dans la forme appelée par les auteurs français, «
folie
communiquée ». Ici c'est l'élément le moins rés
uences funestes; leurs descendants présentent de l'idiotie ou de la
folie
plus souvent que de l'épilepsie. Puis l'auteu
e sa guérison, de sa tendance destructive, de ses relations avec la
folie
et l'idiotie, afin de comprendre que la pro- te
lus souvent dans la paranoïa chronique, il serait plus rare dans la
folie
dégénérative, la démence sénile, la folie alcooli
serait plus rare dans la folie dégénérative, la démence sénile, la
folie
alcoolique. 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
se des idées délirantes est celle qu'on rencontre surtout t dans la
folie
raisonnante. Il faut s'attacher à montrer au trib
n dehors de sa pratique médicale et des recensements officiels de
folie
et ainsi à l'abri de tout soupçon de partialité.
te, comme on l'observe dans la catatonie, et dans certains types de
folie
et de mélancolie avec stupeur, peuvent tirer un
Y. VIII. L'asile DU CAIRE : LES observations DU Dr WARNOCII SUR la
folie
du nAscfuscH/par T.-S. CLOUSTON. (The Journal o
cours de cette visite, quelques renseignements intéressants sur la
folie
du haschisch. Il semble, d'après ces données, q
(il est souvent associé à l'usage de l'alcool), sinon unique, de la
folie
; mais il doute fort que l'on puisse actuellemen
puisse actuellement établir l'existence d'une forme particulière de
folie
due au chanvre indien, et pouvant sur ses seuls
temps qu'il affaiblit l'intelligence, et peut quelquefois causer la
folie
; il pervertit l'esprit, est une cause de pauvre
e pauvreté ; mais ne pousse pas au crime. - Au point de vue de la
folie
, la commission pense encore que les cas où le has
on aurait évité tous les accidents énumérés par M. Charles. B. La
FOLIE
D'UNE évangéliste. Le Petit Parisien raconte un
IE D'UNE évangéliste. Le Petit Parisien raconte un cas singulier de
folie
mystique qui s'est produit jeudi au quartier de
et même ignorera peut-être les choses les plus élémen- taires de la
folie
, puisque son recrutement n'étant pas réglé par
es Conseils généraux de la province en matière d'assistance de la
folie
. Plus ou moins ils regrettent presque tous l'arge
de, plus précieux même que la vie, mieux vaut encore la mort que la
folie
incurable. Or, sans conteste, l'organisation mé
tivement le problème, à la fois si redoutable et si complexe, de la
folie
- et le résoudra-t-on jamais ? - ils édifièrent
'en convaincre, ces observations si com- plètes, si suggestives, de
folie
à double forme, de délire de persé- cution avec
double forme, de délire de persé- cution avec idées de grandeur, de
folie
du doute avec délire du toucher, même d'inversi
ppression de ce traitement préalable. « Ce traitement moral de la
folie
, dont il fut l'initiateur, l'apôtre convaincu e
du malade ne suffisent à établir un diagnostic légitime (certaines
folies
congestives et pseudo- paralysies); il faut alo
d'avoir un simple excès d'ivresse est pris d'un véritable accès de
folie
. Il devient impulsif. Plus tard sobre, il se co
oir appli- quer le système de l'Open-door à toutes les formes de la
folie
. Cer- tains malades peuvent seuls en bénéficier
recherchées avec soin chez ceux que l'on soupçonne de simuler la
folie
, et aussi chez tous les simulateurs ou coupables
as à des troubles mentaux de nature spéciale, quelquefois même à la
folie
confirmée; ainsi que le caractère sensiblement
onfondent avec les psychoses : 332 sociétés savantes. mélancolie,
folie
du doute, phobies. Traitement. La suggestion op
que. Archives, 2e série, t. IV. 22 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. De la
folie
paludique. lli\I. REV (d'Aix) et BOTNET (de Mar
ssance à de la vésanie. Nous n'avons pas non plus constaté, dans la
folie
paludique, que le retour des accès de fièvre am
ésent, il n'a pas été admis que le paludisme pouvait occasionner la
folie
et l'on ne considérait pas les vésa- nies qui s
nt de signaler M. Rey. La symp- tomatotogie est celle de toutes les
folies
infectieuses, à tel point qu'on croirait d'abor
il voit beaucoup de paludiques, et jamais il n'a observé un cas de
folie
primitive, reconnaissant nettement pour cause l
VARIA. L'OPEN-DOOR ou LES aliénés EN LIBERTÉ. Sous ce titre La
Folie
, le Petit Parisien du 5 septembre relate les fa
qui sont les moins accessibles au traitement, comme l'épilepsie, la
folie
, la chorée, les névralgies) de n'avoir recours
e quelconque (sensation d'abolition de la vie, d'évanouissement, de
folie
imminente, d'accident inévitable, etc.), et acc
pour ce motif qu'elle a été tout d'abord rangée et décrite dans les
folies
dites avec conscience. Les idées qui constitu
tte, et nous avons trouvé, parmi les principales, l'obsession de la
folie
, de la gale, de la syphilis, du cancer, de l'at
des plus délicates à résoudre. Lorsqu'il s'agit, en effet, d'une
folie
confirmée, l'hésitation n'est pas permise, parc
d'une folie confirmée, l'hésitation n'est pas permise, parce que la
folie
est incompatible avec la libre déter- mination.
elle a été brusquement prise, sans cause appréciable, d'un accès de
folie
aiguë. Son mari peint la brusquerie de l'invasi
ériodes, notre malade a été prise, il est vrai, d'un accès subit de
folie
; mais il ne s'agit là vraisemblablement que d'un
la littérature médi- cale '. Dans ces 43 cas, toutes les formes de
folie
, manie, mélancolie, paranoia, folie du doute, p
es 43 cas, toutes les formes de folie, manie, mélancolie, paranoia,
folie
du doute, paralysie générale, sont représentées
pable de créer un état psychique spécial qui peut se transformer en
folie
, se présentant sous la forme de mélancolie. Cel
bies et les habitudes qu'elles-enlrainenl). 3° Analyse d'un cas de
folie
systématisée chronique., - Il s'agit d'une pers
des fragments de souvenirs d'enfance chassés, mais récidivants. La
folie
systéma- tisée est, par conséquent, aussi une p
iotie et l'imbécillité, la manie, l'alcoolisme, la mélancolie et la
folie
systématisée, la paralysie générale et la démen
620. 540 / varia. à l'Asile clinique (Sainle-Anne)-pour accès de
folie
. Les époux Duchesne avaient un garçon âgé de se
. Fatigue. Sur la - mentale et sa réparation, par Rivers, 139. -
FOLIE
post-opératoire, par Simpson, 133. Accroissemen
ux pro- duits par l'intoxication- , par Inglis, 225. Haschisch.
Folie
du -, par Clous- ton, 166. Hémianopsie. De l'
, non seulement chez les délinquants, mais dans l'épilep- sic et la
folie
morale. Il croit qu'on pourrait expliquer la lo
Lombroso a aussi étudié le rap- port de l'épilepsie larvée avec li
folie
morale : ces auteurs estiment que très souvent,
orale : ces auteurs estiment que très souvent, les explosions de la
folie
morale ne sont en réalité que des manifestation
ification exacte des mots aliénés criminels. M. Marandon dit que la
folie
porte à leur apogée les dis- positions criminel
M. Christian croit aujourd'hui, comme il le croyait en 1881, que la
folie
peut avoir pour résultat de changer complètemen
remise à MM. Mabille et Lallemand co-auteurs d'un travail' sur la
Folie
des vieillards. Un seul manuscrit avait été dépos
l, la débilité intellectuelle ; elles présen- tent les signes de la
folie
morale, l'instinctivité et les anomalies du car
e seul fait où cet argument aurait quelque poids, prenons un cas de
folie
circulaire dans lequel, sur un seul et même ind
qui ont eu lieu à la séance précédente sur les formes aiguës de la
folie
; elle tend à démontrer que dans la multiplicité d
le même individu. A cette occasion, l'auteur étudie la question de
folie
paralytique et de démence paralytique dans la p
uveur criminel (ivrogne ou alcoolique) peut être un prédisposé à la
folie
, que conséquemment il pouvait ne pas jouir de l
ants d'un paysan des environs de Païenne ont été pris subitement de
folie
religieuse et sont partis de leur habitation au
con- ditions, une psychopathie récente (délire des persécutions et
folie
systématique aiguë dépressive). P. Keraval. I
d'établir si, l'épisode actuel doit être étiqueté sous les noms de
folie
morale, hypomanie, folie systématique primitive
actuel doit être étiqueté sous les noms de folie morale, hypomanie,
folie
systématique primitive. IX. Deux rapports 3fÉD1
us à dose élevée, on observe une aggravation de symptômes : dans la
folie
hystérique avec morphinomanie, aucun résultat ni
genèse de la méningo-encéphalite. La progression corrélative de la
folie
alcoolique et de la folie paraly- tique ne peut
phalite. La progression corrélative de la folie alcoolique et de la
folie
paraly- tique ne peut pas non plus amener cette
plus le genre de malades qui communiquent le plus fréquemment la
folie
. La question de la durée de la séquestration est
es qui peuvent délirer, tandis que d'autres restent étrangères à la
folie
. On récompense un fou qui fait une action d'écl
s qui eussent été mieux placés dans un établisse- ment pénitencier.
Folie
, vice et passion peuvent conduire aux mêmes act
non il n'y a plus de responsabilité. M. RouBY lit un mémoire sur la
folie
de Ravaillac : « Ravaillac était aliéné, attein
257 Séance du 7 août 1891 (soir). M. Joffroy. Fièvre typhoïde et
folie
. Le travail porte sur quatre observations : p
niques qui surviennent sont des accidents héréditaires, c'est de la
folie
en germe, la fièvre typhoïde fait apparaître un
compagner des troubles hallucinatoires. Mais il y a loin de là à la
folie
sensorielle. Quelle que soit l'intensité de ses
rapprocheraient davantage, ce qui pourrait faire supposer que la
folie
sensorielle est sous la dépendance de troubles de
euras- thénie s'accompagnant, cette fois, d'obsessions conscientes (
folie
du doute, peur des espaces, des voitures, etc.)
n militaire très distingué. Il se défend d'avoir prononcé le mot de
folie
scarlatineuse, mais malgré que le raisonnement
n progressive. Ces cas sont assez rares, mais ils démontrent que la
folie
systématique peut, contrairement à ce que pensait
mémoire. , M. K.\HL8,\U ? De la psychopalhie connue, sous le nom de
folie
sys- tématique (Paranoïa), avec remarques relat
sie, quand il existe encore une activité psy- chique considérable '(
folie
systématique, paralysie générale, hys- térie),
ons indispensables. M. SCHUBERT, Contribution à la pathogénie de la
folie
circulaire. Mémoire publié dans la Neurolog. Ce
nza des psychoses paralytiques et hystériques, ainsi que des cas de
folie
systématique. Mais celle-ci préexistait à la gr
tachait aucune importance à l'accès maniaque de son mari atteint de
folie
circulaire, mais qui appréciait comme il convenai
croit que cette pathogénie expliquerait les hallucinations dans la
folie
. Paul BLOCQ. IX. Contribution a l'étude de la p
, envoyé à l'infirmerie du Dépôt. (L'Eclair.) .. LES drames de la
folie
. Buda-Pesth. - Un crime épouvan- table a causé
'un comptable, nommée Kuhm, a assassiné sa fille dans un accès de
folie
religieuse. Cette femme a coupé la gorge de sa fi
. André C... est en proie depuis quelque temps déjà, à des accès de
folie
. Dans ces moments, il bat sa femme comme plàtre
à se rendre maître du forcené. Mmo C..., interrogée surlesactes de
folie
commis déjà par son mari, en raconta long, et c
rnaux politiques combat- tront les préjugés du public concernant la
folie
et les asiles et insisteront sur les avantages
ence, sont données par lui comme les trois types fondamentaux de la
folie
(I, p. 306); mais encore dans son Traité des ma
rapports des idées de grandeur avec les idées de persécution. Art.
Folie
, du Diction, de Dechambre. 332 CLINIQUE MENTALE
ns un lycée de province, quand il a commencé à donner des signes de
folie
. Sa maladie mentale a suivi la marche classique :
. Un jour il vint dire à sa mère qu'il avait vu son père entrer aux
Folies
dramatiques avec une fruitière, avec laquelle d
iffres pour admettre un rapport de causalité entre le mariage et la
folie
paralytique. ' G. D. Il. Syphilis ET paralysie
i. de la Soc. de méd. ment. de Belgique, 1890.) III. Surmenage ET
folie
paralytique; par le Dr CU1'LITS. La conclusion
est que la nature de cette maladie et celle des autres formes de la
folie
sont essentiellement distinctes. Celles-ci en e
eloppe- ment de la paralysie générale. E. B. VIII. Observation DE
folie
ÉROTIQUE avec autopsie; par le Dr HOSPITAL. {An
ctes reprochés à S... ne revêtent par eux- mêmes aucun caractère de
folie
et son interrogatoire ne révèle au premier abor
a tétanie consécutive aux extirpations de goitres. P. K. XII. DE la
FOLIE
systématique {VerrùcUtheil) ' , mélancolique; p
s conducteurs nerveux. P. K. XV. CONTRIBUTION A la pathogénie DE la
FOLIE
circulaire; par W. SCHUBERT. {Neurol. Centralbl
XXI. CONTRIBUTION A la pathologie générale ET A la pathogénie DE la
folie
; par A. FAUSER. (.Ilg. Zeitsch.f. Psych., XLVIL,1
E. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLVII, 1.) Il existe réellement des
folies
périodiques menstruelles; les interruptions de
. S'il s'agit de la suicidomanie chronique, ce sont la sénilité, la
folie
(principalement la lypémauie et la dip- somanie
na- tion mentale ? . En aucun cas, elle n'a suffi à déterminer la
folie
; elle a donné un coup de fouet à d'autres facte
Magnan. Alors, il peut être considéré comme un des stigmates de la
folie
des dégénérés héréditaires. Comment cette manif
écillité, idiotie, démence, états mélan- coliques, états maniaques (
folie
circulaire, hystérie), folie puerpé- rale, foli
tats mélan- coliques, états maniaques (folie circulaire, hystérie),
folie
puerpé- rale, folies toxiques, folies partielle
, états maniaques (folie circulaire, hystérie), folie puerpé- rale,
folies
toxiques, folies partielles, épilepsie, folie imp
(folie circulaire, hystérie), folie puerpé- rale, folies toxiques,
folies
partielles, épilepsie, folie impulsive. Il est
folie puerpé- rale, folies toxiques, folies partielles, épilepsie,
folie
impulsive. Il est bien difficile de se prononce
. La seconde partie de cet ouvrage est consacrée aux causes de la
folie
où toutes les banalités que le sujet comporte son
re des actes de violence. Aussi, l'idée fausse dominante est que la
folie
est de fait incurable et qu'elle n'est à l'état
ance des -, par Lacour, 2'r0, 450. Faits divers, 159, 293, 450.
Folie
, influence de la menstruation sur la -, par Sch
e plus profond, ni par des états hybrides dont la grande classe des
folies
morales présente de nombreux exemples; la manie
ogiques dis- tinctes, indépendantes, à pathogénie différente : la
folie
épileptique, la folie simple (délire de persécuti
, indépendantes, à pathogénie différente : la folie épileptique, la
folie
simple (délire de persécution ou autre), la fol
e épileptique, la folie simple (délire de persécution ou autre), la
folie
alcoolique. Ce n'est point là une hypothèse, c'
ire alcooli- que, mais il ne sait absolument rien de son accès de
folie
épileptique. J'ai eu maintes fois déjà l'occa-
; puis par des halluci- nations pénibles et du délire. Ces accès de
folie
alcoolique durent parfois trois ou quatre jours
ère, il est pris d'un accès de fureur aveugle, très différent de la
folie
alcoolique de la veille ; il crie, vocifère, déch
nir que du délire alcoolique. Autour de ces trois observations de
folie
épileptique avec délire de persécution, délire
rine. Toutefois les libations continuant, il est pris d'un accès de
folie
alcoolique : il voit autour de lui des objets m
uses, et d'épilepsie se traduisant par des vertiges et des accès de
folie
. L'hérédité chez cette femme offre un de ces ex
ressortir la nature très différente des deux troubles psychiques :
folie
épileptique et délire de persécution. Cet indiv
alcooliques, après avoir éprouvé il y a quelques jours un accès de
folie
épilep- tique. Samère, profondément névropath
gréables. 5 66 CLINIQUE MENTALE. Les trois états pathologiques,
folie
épileptique, mé- lancolie impulsive et alcoolis
du père ; elle se traduit chez notre malade par des vertiges et une
folie
qui deux fois a été suivie d'actes inconscients
orrespond au peu que nous sachions sur les lésions somatiques de la
folie
. On remarquera aussi que, dans les affections m
lques essais de M. Voisin, à propos des phénomènes congestifs de la
folie
et de leurs rapports avec la température extéri
uration ayant été provoquée par un pur traumatisme. (Ibid). Ibid,
folie
transitoire à la suite d'une violente émotion mo-
n dehors des asiles. Lorsqu'on s'enquiert des diverses causes de la
folie
dans les asiles de malades aisés, on trouve alo
onsidérations SUR LE traitement DES formes aiguës et CURABLES DE LA
FOLIE
DANS LES ASILES, ET SUR l'aDJONCTMX D'UN HOPITA
siste, en terminant, sur l'importance du trai- tement des formes de
folie
curables : il demande qu'on emploie sans relâch
té. La cruauté parfois se mêlait à ces horreurs. N'est-ce pas de la
folie
? L'étude des causes a été l'objet d'un soin pa
re, le diable l'inspirant sans doute. Un second groupe renferme les
folies
variées, liées à la fonction génito-sexuelle. C
mentales connues, échappent à cette loi d'isolement, par exemple la
folie
névro- pathique, l'érotomanie, la nymphomanie,
propos la question de l'influence de la race sur la fréquence de la
folie
, et n'est pas loin de la résoudre en faveur des r
s ou moillf, éloignés, équivalent à un accès et le rem- plaçant; 2°
folie
post-épileptique, immédiatement consécutive aux
édiatement consécutive aux accès ou à un état mental équivalent; 3°
folie
préépilep- tique précédant l'accès convulsif ou
tique précédant l'accès convulsif ou l'état mental équivalent ;' 4°
folie
épileptique n'existant que dans l'intervalle des
é,, ni sur, les. caractères qui différencient cet état mental de la
folie
spéciale aux intervalles des accès; d'ailleurs, l
e biologie, 1880.) 1 1 XXVI. L'Épilepsie dans ses. rapports avec la
folie
; par M. J.-L. CLEVELAND, de Cincinnati. (The Ci
et générale en trois jours au plus. C. T. VI. La curabilité DE la
FOLIE
ET LES cas DE GUÉRISON dans LES maladies mental
un mémoire très étendu, examine la question de la curabilité de la
folie
et admet, après avoir étudié les cau- ses d'err
s ne l'étaient il y a 30 ou 40 ans. « Les formes chroniques de la
folie
, dit M. Earle, sont de plus en plus fréquentes, e
e Worcester pour 1844, que' 25 malades, à leur première atteinte de
folie
, avaient quitté l'établissement REVUE DE THÉRAP
es hommes les plus optimistes, relativement à la cura- bilité de la
folie
, le docteur Thurnam, admet, en se basant sur un
TON 13R0`VNE. De t influence- de l'alcool sur la production de la
folie
. M. G.-N. Bacon reconnaît que, d'après l'opinio
s l'opinion la plus généralement adoptée, un grand nombre de cas de
folie
ou d'actes criminels sont attribués à l'intempé
cas où l'ivrognerie est bien la cause réelle et princi- pale de la
folie
. Aussi pense-t-il que le chiffre de 14 pour cent,
nt du courant d'idées propres au délirium tremens. Les cas aigus de
folie
alcoolique guérissent quelquefois, mais alors s
rétendre que dans la moitié des cas l'alcoolisme est la cause de la
folie
, mais le chiffre de 14 à 15 pour cent donné dan
as l'opinion de lord Shaftesburg, qui attribue 50 p. 100 des cas de
folie
à l'alcoo- lisme, et croit que la paralysie gén
été convaincu d'avoir délivré un certificat consta- tant l'état de
folie
d'une malade qu'il n'avait jamais vue, et a avoué
incessantes. C'est alors que les muscles du tronc participent à la
folie
musculaire et que le corps va de çà, de là, soit
rapprocher de celle décrite par M. Legrand du Saulle sous le nom de
folie
du doute avec délire du toucher, puisque les ma
ire, peut rentrer jusqu'à preuve du contraire dans la catégorie des
folies
avec conscience ». H. D'O. XXXVIII. UNE LEÇON
firmé par une des quatre observations citées. H. D'O. XXXIX. Sur la
folie
choréique; par E. Toselli. (Archivio itahano pe
E MENTALE. XLIII. Archives CLINIQUES.- 1 Observation de AI. Régis :
folie
circulaire continue, sans période de rémission
ues, présentant tous les symptômes intellectuels et physiques de la
folie
paralytique. 3° Observation de M. A. Foville :
fait surgir en lui l'affection pathologique du cerveau. Du coup, la
folie
morale, jadis contestée, envahit tout le champ
inspirations et juger en conséquence, tout cela ne constitue pas la
folie
? Ce ne sont pas les passions elles-mêmes, ni l
s elles-mêmes, ni leurs inspirations insensées qui caractérisent la
folie
, mais un effet particulier de ces passions : c'
par ses passions se trouve dans l'état psychique qui caractérise la
folie
, c'est-à-dire est fou. Et comme nous avons tous
s qui nous aveuglent plus ou moins, nous sommes tous atteints d'une
folie
instinctive, absolument sem- blable à celle des
irol, présentée comme exemple de 490 REVUE DE pathologie mentale.
folie
simple, se terminant après dix ans par la démence
n premier expert ait conclu à la responsabilité d'un malade dont la
folie
était de longue date, de notoriété publique.
son incartade, à l'asile de Saint-Robert, il s'avisa de feindre la
folie
, comme il avait déjà au régiment simulé des exc
c un plein succès, à des mélancoliques, à des femmes atteintes de
folie
puerpérale et à quelques aliénés agités. Il insis
de 17,3 à 17,9 0/0 ; leur fréquence spéciale comporterait pour les
folies
de grossesse 3,1 ; pour celles des suites de co
mipares atteintes, 15 0/0 avaient plus de 30 années ; en général la
folie
puerpérale, celle notam- ment qui se montre che
nte surtout la grossesse, tandis que la manie appartient plutôt aux
folies
des couches, la proportion des deux entités mor
nctions physiques (6 observations). L'auteur n'a vu que deux cas de
folie
circulaire survenue six semaines après l'accouc
de conception ayant guéri une psychose antérieure. D'ailleurs si la
folie
n'influe ni sur la marche, ni sur la terminaiso
ATHOLOGIE MENTALE. 607 L. Rapports DES affections UTÉRINES ET DE la
FOLIE
; par ALEX. J.-C. SKENE. (Arch. of Mediccize, Ne
i se pro- duisent à de brefs intervalles; faut-il les séparer de la
folie
épileptique, faut-il en faire une forme à part
isé à les ranger parmi les composés binaires, voire ternaires de la
folie
(Esquirol, Siemens) ? Les deux observations com
s se rapprochant des faits de Samt. La seconde mériterait le nom de
folie
entée sur de la faiblesse mentale qui, à raison
questions de thérapeutique que soulève le redoutable problème de la
folie
. Nous apprécierons ! ensuite dans quelle mesure
ractères histologiques et morphologiques ; - 20 Le rapport entre la
folie
et la goutte, les maladies rénales, le goitre exo
tre exophthalmique et les autres maladies du cerveau. Clinique : 1°
Folie
à double forme ; 2° L'influence des maladies in
olie à double forme ; 2° L'influence des maladies incidentes sur la
folie
; 3° Folies causées par des agents toxiques. Th
forme ; 2° L'influence des maladies incidentes sur la folie ; 3°
Folies
causées par des agents toxiques. Thérapeutique :
ns civiles des aliénés : 1° Mariage, validité des testaments; 2° La
folie
et l'aphasie. Relations criminelles des aliénés
rium tremens, 33'v ;-(lu(lucn- ce de 1'), sur la production du la
folie
, 33b. .llcuolisme (traitcment le l') et du dé-
s il l'), par Spitzka, 320. Epilepsie (rapports de l') et de la
folie
, par Cle\eland, 326. Epilepsie (rapports de l')
313. Fénioro-cutané (anomalie du nerf), par W. Gruher, 4 ? 9.
Folie
(guérison (le la), par Pliny Earle, 330, 331.
her, 4 ? 9. Folie (guérison (le la), par Pliny Earle, 330, 331.
Folie
choréique, par Toselli, 4S3. Folie hystérique,
, par Pliny Earle, 330, 331. Folie choréique, par Toselli, 4S3.
Folie
hystérique, par Cullcrre, r8S. Folie transitoir
choréique, par Toselli, 4S3. Folie hystérique, par Cullcrre, r8S.
Folie
transitoire, parRitti, 150. Fracture du Rachis
vec gué- rison par Bareggi, 476. Métallothérapie dans un cas de
folie
hystérique, par Cullerre, 488. Métalloscopie,
érison du ), par Mac- kay, 332. Thérapeutique. Traitement de la
folie
, par Burman, 154 ; de la paralysie dans le prem
s, 155; la tonga con- tre les névralgies, 329; cura- bilité de la
folie
, par PlinyEarle, 330, 33 t ; - guérison du téta
du trijumeau, 493. Travail intellectuel (excès de), cau- sant la
folie
, par Racl, Tuke. 151. 1. Trijumeau (propriétés
, par Davy, 469. Utérus (rapports des maladies de l'), et de la
folie
, par Skene, 607. Vaginisme (sur le), par V. de
ntrer au total deux groupes d'interpré- tations. Pour les uns, la
folie
dépend uniquement de l'affection goitreuse ; il
. Une tante maternelle étaitaliénée et (ut internée pendant 10 ans (
folie
circulaire). j'i)t'Cf'e ? Dans son enfance, la
le-Temple, a été reconnu après un long examen médical, atteint de
folie
épileptique et interné à. l'asile d'aliénés de Cl
le et des di- verses fonctions de l'organisme) : manie, mélancolie,
folie
à double forme, confusion mentale. B. Les psych
s de l'oreille sur l'éclosion des hallucinations auditives et de la
folie
. Ces affections auriculaires sont des lésions b
alité n'ont jamais été notées chez ces persécutés. , Les états de
folie
ah u2cre Icesa ne reconnaissent pas tou- jours
rnpathes et d'aliénés. Une de ses gl'alld'tantes fut atteinte de
folie
périodique. Une tante, soeur de la mère du malade
nous ne se souvient de ce père, qui, interrogé sur les débuts de la
folie
de sa femme, répond que celle-ci a changé de cara
siste il croire que, même en éliminant les parents prédisposés a la
folie
, les aliénés délirants qui martyrisent leurs en
ccès d'alcoolisme, a tué sa mère à coups de huche. Dans un accès de
folie
alcoolique, Jean Debec, 20 ans, demeurant à Sai
stème réagit cliniquement soit par une psychose aiguë, soit par une
folie
motrice, soit quelquefois par ces syndromes ass
nous nous bornons à cette simple in- dication. RECUEIL DE FAITS
Folie
et choc moral ; Par le. Il° Madeleine PELLETIER
gens du monde, l'influence des émotions dans le déterminisme de la
folie
ne fait pas de doute. Cou- ramment, on signale
hez eux est que les vicissitudes de l'existence ne sont, quant à la
folie
, que des causes occasionnelles, des réactifs ré
r l'es- prit vigoureux, jamais elle ne parviendrait il le faire
FOLIE
ET CHOC MORAL. 189 sombrer. Inversement, si on
dance duquel on rencontre l'alcoolisme, la syphilis, l'hystérie, la
folie
; si, de plus, l'enfance et la jeunesse de l'in
ce sont alors les gens du monde qui ont raison, et par rapport à la
folie
, les émotions cessent d'être des contingences p
r mon domestique, bulletin qui sera reconnu au dépouillement du
FOLIE
ET CHOC MORAL. 191 scrutin ; du plus, vous fere
rs des psychopathies dues à la morphine ouàl'alcool (morphinomanie,
folies
etpseudo-paralysies générales des alcooliques)
rant Grandu-Ruc- dc-la- République. Le malheureux est atteint de la
folie
de la persécution. (Le Journal, tu février 190G
int de la folie de la persécution. (Le Journal, tu février 190G.)
Folie
homicide. 1'uttloll.- Un second-maître vétéran re
ant l'espace de deux heures ; après aloit se reposer une heure.
FOLIES
traumatiques ET accidents DU travail. 305 Après
rance par J. Miche- lel. V. pages 43, 44, 45.) CLINIQUE MENTALE
Folies
traumatiques et accidents du travail ; Par le D
, notamment Schlager Skae K. Ebing, ont fait une place à part à une
folie
spéciale en rapport avec le traumatisme dont il
us sur la question, repousse cependant l'étiquette nosographique de
folie
traumatique, mais il ajoute : « Il est une séri
spécial C'est « quand il a été la cause directe et immédiate de la
folie
», et il en cite des exem- ples typiques. Nou
udié des espèces par- ticulièrement délicates. Sur le terrain de la
folie
associée au traumatisme, la difficulté n'est pa
us ou moins anciens, une affection cérébrale déterminée quelconque (
folie
, dé- mence, paralysie générale) peut être surve
an, deux ans, dix ans après, et si elle peut légitimement ètre
FOLIES
TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 307 attri
tion de la plaie, qui fut le siège d'un érysipèle dont les consé-
FOLIES
TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 309 quenc
ient. Le choc traumatique a produit une érection réflexe qui le
FOLIES
TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 311 pouss
r éclairer la question de l'influence de tels trauma- tismes sur la
folie
, il faudrait des statistiques de trauma- tisés
D1' Berger (1893). Sorti en apparence guéri, partit en Amérique.
FOLIES
TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. '313 d'où
fs pourrait-on dire, au point de vue de la réalité du rapport de la
folie
avec le trauma, il convient de dire qu'il est d
il demeure. Inconscience de sa situation. Embarras marqué de la
FOLIES
TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 315 parol
, sy- philis par exemple, soit intervenu avant ou après letrau-
FOLIES
TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 317 matis
cembre 1903, p. -.9-50). Mais lorsqu'au lieu du décès sur- vient la
folie
, l'examen somatique sur le vivant joint aux car
sières, air comprimé, ankylostomiase et affections contagieuses.)
FOLIES
TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 310 tiens
estion de responsabilité accident par rapport à l'étio- logie de la
folie
, il se peut que, depuis, le malade ait bu. De p
montrent nettement. On peut ainsi dire que c'est là le groupe des
folies
déve- loppées consécutivement au traumatisme qu
et ses effets psychi- ques. On le voit, la question de savoir si la
folie
qui suit les traumatismes craniens se traduit p
rès différemment suivant les auteurs. Le plus important groupe de
folies
traumatiques com- prend cependant incontestable
l. XXI. Mai 1906 Nu 125 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE
Folies
traumatiques et accidents du travail ; Par le D
écution. Y a-t-il lieu de consi- dérer cette psychonévrose et cette
folie
systématique comme des complications prochaines
mme pour les psychoses d'origine non trau- matique. Et, bien que la
folie
traumatique ne soit pas très rare, on doit reco
tourage est porté à exagérer l'influence du trauma com- me cause de
folie
. Néanmoins, des arrêts nombreux ont tranché la
et Paris). Cette thèse générale peut s'appliquer aux hypothèses
FOLIES
TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 357 spéci
n distinctes à poser : A. Le blessé était-il ou non un taré ? B. La
folie
est-elle la conséquence de son accident ou de s
it au lit, divaguait. Cauche- mars. Voyait des voleurs la nuit.
FOLIES
TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 359 C. ll
ériode d'observation, n'avait présenté aucun signe bien net de la
folie
. L'opportunité d'un spécialiste psychologue s'i
la folie. L'opportunité d'un spécialiste psychologue s'impose
FOLIES
TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS' DU TRAVAIL. 3G1 donc
e la loi sur les accidents du travail» (Thèse de Paris, 1901).]
FOLIES
TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 363 Il im
nces de la blessure au point de vue organique et psychique ? P La
folie
par traumatisme accidentel peut réaliser les tr
vent du fait de la revendication de la victime, parce que l'état de
folie
l'empêche par définition de les faire valoir le
droits et aussi des relations de causes à effets possibles entre la
folie
et le trouble accidentel, ne manqueront, pas, d
ement, éd. 3. p. 93. (4) ! IIAX Simon. - Crimes et délits dans la
folie
, 220. 378 REVUE CRITIQUE. fois des accès qu
de ses élèves, un bambin de sept ans, avait de é- ritables accès de
folie
. Sans raison, l'enfant rouait de coups ses peti
omme personnes saintes. Dans . (1) MICHELET. - Histoi,.e de France,
Folie
de Charles VI. 428 varia. certains cantons
r, trente-cinq ans, venant de Lyon acheter un cheval, fut frappé de
folie
en présence d'un officier de chasseurs qu'il ren-
ête révèle les faits suivants : de temps en temps il a des accès de
folie
; il se lève la nuit en criant et cherche à se sa
oubles délirants, ce qui nous ramènerait à la vieille théorie de la
folie
hépatique de Ga- lien ( : .d. : t; y.oÀ7]). E
ale expansive au début de la période d'excitation ma- niaque, de la
folie
à double forme. Exceptionnellement, les para- l
ole, lui.16. Accidents psychiques. V. Oreille. - du travail. Voir
Folie
. Accouchement. Peut-on provoquer l'- par la s
Rossi. Charles V. Emploi du temps de - , 30 t. Choc moral. Voir
Folie
. Cholestéatome du cerveau, par lionssy, 151.
ues de la - - chez l'enfant, par Giraudet, 74. - Voir Hystérie.
Folie
et choc moral, par Pelle- tier, 188. - traumati
es malades à celle du bromure, du chloral et des bains prolongés.
Folie
périodique. Uss. X\'111. lllle L., ',Il ans, prés
se de ce qui a lieu dans la famille, chez les gens mariés : d'où la
folie
il deux. Il existe également peu de délirants s
incapable d'en inventer autant. C'est un cas à placer à côté de la
folie
imposée. P. Keraval. y, Sur le diagnostic diffé
l à ses souvenirs conscients le malade présente les symptômes de la
folie
du doute, du délire du tou- ,- cher, de la miso
nent, naissance à bien des psychoses spontanées : ainsi il est des
folies
llllbémles, qui, élanl donné l'aspect des malades
diverses : arll'rio ? c1l'rose cérébrale, mélancolie, neurasthénie,
folie
obsé- dante, hystérie, paralysie générale, etc.
(le : , aliénés de Rennes. LES ALIÉNÉS EN LIBERTÉ. Drame de la
folie
. - 31"° Poiret, âgée du quarante-cinq lll1, cui
mobilier. Elle est grièvement bridée. (Journal du 3 tI{,¡;.). La
folie
d'un père. Lu Progrès de Lyon raconte qu'un nom-
Si, contrairement aux préjugés régnant encore, on considérai ! la
folie
comme une maladie arcliuaire, rltvanL être soigné
s dépressives, à base neurasthéni- que ; 2° Aliénés gémisseurs ; 3°
Folie
polymorphe des dégénérés. 1° Psychoses dépres
mois d'octobre, le malade est tombé dans une sorte de stupeur avec
folie
d'opposition. Il a cessé de se masturber. Débra
téréotypés sont luu des symptômes essen- tiels el constants. - 3"
Folie
polymorphe des dégénérés. C'est dans cette caté
ar des tendances mystico-reli- gieuses aboutissant finalement il la
folie
confirmée. ( : cl- le-ci présente les modalités
qui. malgré la clémence terminale, rentre de toute évidence dans la
folie
polymorphe des tlé5éné- rés. Otis. Vil. Héréd
rt pendant la guerre de 1870. Père aliéné. Les premier* signes de
folie
se sont manifestés il l'âge de 20 ans, au momen
ues mais des simples xésanies. Elle est fréquente dans le cours des
folies
sys- tématisées où elle engendre tant et de si
embre 1897, et esl sortie légère- ment améliorée d'un accès aigu de
folie
sénile, avec idées de persécution eL d'empoison
las travaux de Lasègue. on ne croyait pas encore que l'étude de la
folie
put cons- tiluer une branche différenciée de la
veuses telles que névropathies et psycho- pallies à la limite de la
folie
, héréditaires dégénérés, hystérie traumatique.
MalLzew t0&u. : n.)t<', 1903, n° l.)- 2° Développement de la
folie
et aperçu sur celte affection dans la Russie an
t ? Sénncc rlo 1 ton·mhre lD0'r. - PaLStnr : NCt : de l : DRUNET.
Folie
à double forme arec syndrome paralytique. MM. D
lade suivi pendant 17 ans. Il s'agiL d'un syphilitique al- tcinL de
folie
à double forme et présentant le syndrome paralyti
a paralysie générale. M. Vallon ne croit pas que le diagnostic de
folie
circulatoire soiL justifié, parce que les circu
n débile de caractère instable, vaga- bond et voleur, qui simula la
folie
pour se faire inlel'l1l'l' ('1. argua ensuite d
ou corroborent le diagnostic. Drames de l'alcoolisme. Atteint de
folie
alcoolique, Paulin Behalle, mécanicien, a bless
ogues à celle qu'à décrites plus haut il. ]e lJr I)l'0maf'{1 ; 9 de
folie
alcoolique, autant de cas de paralysie générale
b) syndromes épisodiques des dégénérés, impul- sions, phobies ; c)
folies
du caractère, manie raisonnante, folie morale,
impul- sions, phobies ; c) folies du caractère, manie raisonnante,
folie
morale, misère psychologique, vicieux, buveurs,
a libération et à son renvoi dans sa famille, soit enfin, en cas de
folie
tranquille, ne réclamant plus de traitement spé
, l'iti, plus élevées qu'en ]902 (138). ce sont les malades dont la
folie
remonte deux ans et au-dessus qui fournissent,
une fois pour fontes,et avec tous les auteurs, que, pour faire delà
folie
, il faut y être prédisposé, 'cherche, par-delà
ité et delà génitalilé, etc.). ! . Il résulte de tout ceci que la
folie
puerpérale ne nous appa- railplus comme une ent
dienne, ovarienne. Pierre Boy. VARIA LES ALIÉNÉS EN LIBERTÉ. La
folie
d'une mire. Boulevard de Belleville, à quelques p
(Thèse, Strasbourg, 1806) ; Emploi du bromure de potassium dans la
folie
épileptique. Cas de cys- ticerque du cerceau. N
ctère et vivait confinée dans une dévo- tion qui frisait de près la
folie
; elle possédait en outre une na- ture impressi
périeur à celui des filles. 11 y a; là, matière pour une école. La
folie
alcoolique a été constatée- chez 4 ! malades au l
er ici l'importance du traitement préventif de la prophylaxie de la
folie
, dont l'action s'exerce hors de l'asile, je me
407 des incurables. Nous constatons, en outre, avec regret, que la
folie
alcoolique et la paralysis générale tendent à a
l'influence directe de leur état mental (délire, hal- lucinations,
folie
morale, affaiblissement intellectuel, excitatio
nérale (25) qui on ! fourni le plus large tribut à la mortalité les
folies
simples v ien- nent ensuite (2 ? ), puis les id
9 (303 Il. et ! 12(; F.) Les entrées ont été de 320, dont 38 cas de
folies
toxiques, 1 1 d'imbécillité et idiotie. Les jou
sur le tableau de l'âge des admissions. « On voit donc comment la
folie
devient rapidement incurable et quelle importan
d'aliénés chro- niques inoffensifs. La statistique démontre que la
folie
guérit en vénérai dans la première année du tra
ntales, sur la classification, l'étude des formes principales de la
folie
, sur la loi de 1838, le règlement de 1857, sur
née 117 (56 il. et Gl F.), parmi lesquels l'J malades at- teints de
folie
alcoolique. Placements volontaires, ! 1} ; d'offi
30 juin 1838). « Parmi les 194 admissions en 1905 citons 13 cas de
folie
alcoo- lique, 10 cas d'idiotie ou imbécillité.
septembre. « Nous constatons, comme les années précédentes, que la
folie
se montre le plus fréquemment de vingt à cinqua
médecine et par l'Institut : Des vertiges avec délire (1883) ; - La
folie
Ii Paris : étude statistique, clini- que et méd
publications dans les périodiques rappelons encore : Hypnotisme et
folie
(1886) ; - Délire chronique, psychose systémati
mnambuli- que devant les tribunaux (1887) ; - La simulation de la
folie
et la loi sur la °élégatioa((1SSS); -Aphasie et
ation de la folie et la loi sur la °élégatioa((1SSS); -Aphasie et
folie
(1889) ; -Le suicide à deux (1891) ; ;- La mo-
891) ; ;- La mo- nomanie homicide (1891); - Ataxie locomotrice et
folie
simulée (1896) ; - Le sad¿fétichisme (1900) ; -
pologie criminelle : Dégénérescence mentale et simu-, lation de la
folie
(1889); La progression corrélative de la folie
imu-, lation de la folie (1889); La progression corrélative de la
folie
alcoolique, et de la paralysie générale(\889);
ul Garnier, je puis dire que, par l'ensemble de ses travaux sur les
folies
urbaines, l'alcoolisme, la crimina- lité, les p
menta- les, sur les signes physiques, intellectuels et moraux des
folies
héréditaires; sur d'autres points encore de la mé
portantes contributions à la connaissance des divcrscs formes de la
folie
. Est-il né- cessaire de rappeler ici son savant
double délire chez le même sujet; son mémoire sur l'a- phasie et la
folie
? Mais c'est surtout dans le champ delà médecin
lui,'si ins- tructif et qui fut très goûté, sur la simulation de la
folie
et la loi sur la relégation ; son livre, si sug
our assister à cette grande réunion scien- tifique. L'étude de la
folie
ne saurait se cantonner dans l'exclu- sif exame
ant que pour le grand sens pratique qui s'y révèle. Son livre, la
Folie
à Paris, restera. Il nous montre, à l'aide de s
la disposition du Parquet. Drame de l'alcoolisme. Dans une crise de
folie
alcoolique, Pierre Mounes,'20ans, demeurant à B
ones perceptives et des zones associatives, par Bian- chi, 137.
Folie
. Drame de la , 79. La d'un père, 79. à double
'intervention chirurgicaie, par Bonhoelfer, 70. paralytique. Voir
Folie
. solaire avec néoplasie médullaire et état de
e, celle qui entraîne l'homme maigre lui. ressemble tout à fait à une
folie
, aussi bien dans son origine que dans son dévelop
place, etc. (1).» Pas plus que la suggestion, que l'idée fixe ou la
folie
impulsive, la passion n'est une erreur; car une e
mme faisait Moreau (de Tours) pour savoir par nous-mêmes ce qu'est la
folie
: qui donc peut se vanter de n'avoir jamais été f
vré en spectacle à la foule, tourné en ridicule, halluciné jusqu'à la
folie
furieuse, mis aux abois par les suggestions grote
, et figurait même comme caractère essentiel dans la définition de la
folie
. Esquirol, mon père, M. Baillarger, se sont expri
ience de l'état de maladie comme symptôme de certaines variétés de la
folie
. Dans Esquirol lui-même, on trouve ce fait signal
er lui-même a publié une observation sous le titre caractéristique de
folie
avec conscience, et, depuis cette époque, tous le
ncontrer dans un certain nombre de cas d'aliénation mentale (2). La
folie
avec conscience a donc acquis maintenant droit de
e délire émotif, de ce que d'autres auteurs ont étudié sous le nom de
folie
avec conscience, de folie du doute, de délire du
d'autres auteurs ont étudié sous le nom de folie avec conscience, de
folie
du doute, de délire du toucher ou de folie instin
folie avec conscience, de folie du doute, de délire du toucher ou de
folie
instinctive oit impulsive, et elles étaient connu
de forme spéciale de maladie mentale, sous le nom d'obsessions ou de
folie
avec conscience ? doivent-ils être répartis, comm
élèves, sous le nom générique, beaucoup trop vaste et trop étendu, de
folie
héréditaire? Telle est la question que nous devon
sie psychique, sans pouvoir encore être considéré comme une preuve de
folie
. Certains individus, en effet, ont des terreurs o
adie mentale et rentre dans la série des faits de délire émotif ou de
folie
avec conscience. Nous voulons parler de tous le
x et non comme l'expression d'une véritable maladie mentale, ou d'une
folie
avec conscience. Mais il n'en est plus de même da
ics, et qui ont été décrits sous les noms variés de délire émotif, de
folie
avec conscience, de folie du doute, de délire du
s sous les noms variés de délire émotif, de folie avec conscience, de
folie
du doute, de délire du toucher, et enfin sous les
terrain de la gynécologie, nous entrerions alors avec les névroses ou
folies
menstruelles dans le domaine de l'aliénation ment
terdisant les séances publiques de magnétisme et d'hypnotisme. — La
folie
en irlande — Au 1er janvier 1889,il y avait 15,68
que possible, en recherchant avec soin toute trace d'hystérie (est-ce
folie
d'affirmer le diagnostic d'une sclérose en plaque
après une crise convulsive qui eut lieu la nuit suivante, l'accès de
folie
, qui avait duré trois jours, prit fin. Elle se ré
préoccupations absurdes ne sont que l'une des manifestations de leur
folie
. Un de ces cas de persécution par l'hypnotisme vi
rouver entraîné dans le même délire. C'est un de ces faits curieux de
folie
à deux, qui sont loin d'être rares. Plus hardi,
tres nerveux. 6° L'épilepsie procursive se complique fréquemment de
folie
morale. Dans la plupart des cas, la première ch
s où les pauvres ont amassé jour à jour le talent sans le dépenser en
folies
. Ce n'est pas sans quelque raison que les Chinois
sives ont consolidé la guérison et ont fait cesser les douleurs. LA
FOLIE
DE MOHAMMED TOGHLAK sultan des indes Elude mé
plaisirs sensuels, sans aucune retenue, on ne sera pas surpris que la
folie
ait apparu dans toutes les grandes familles régna
ans beaucoup de maisons royales. Mais il n'est pas de dynasties ou la
folie
et l'imbécilité soient plus fréquentes que chez l
eutennat colonel dans l'armée de Madras.London; 1829, PP.410,411 LA
FOLIE
DE MOHAMMED TOCIU.AK teur des hommes de lettres
olu, nous laisse douter s'il n'a • pas été affecté, plus ou moins, de
folie
. Toute sa vie se passa à pour- [¦) Hitiotre l'c
re général du peuple de cette grande cité. IV Ses réformes et ses
folies
. Mohammed Toghlak avait entendu parler du papie
dans la salle d'audience, et où on lui reprochait ses crimes et ses
folies
. Faute de découvrir les auteurs de ces libellés,
I élevé à cet endroit, reste comme un monument de sa vanité et de sa
folie
». V Ses folies guerrières. En l'année 1337
oit, reste comme un monument de sa vanité et de sa folie ». V Ses
folies
guerrières. En l'année 1337. il conçut l'idée d
ommes tentés de nous demanderai c'étaient eux qui étaient atteints de
folie
ou le tyran contre lequel aucune épée ou aucune l
dien. Ball accepte la définition de Falret. qui décrit cette forme de
folie
comme une excitation générale de toutes les facul
le sommeil agité, les veilles, l'imagination dépravée, le délire, la
folie
. La sécheresse, la rigidité, que contractent les
dres de l'âme, la mélancolic, la stupeur, la manie, la catalepsie, la
folie
, là perte des sens, la paralysie, et autres accid
us approfondies permettent aujourd'hui de les rattacher au groupe des
folies
héréditaires. Notre malade X... est un type des
ture, de le réserver pour des sujets » compromis par l'hystérie, la
folie
, l'état vicieux ou dégénéré. » Nous sommes avec
n instinctive aveugle et sans rai son, vers l'acte suggéré. C'est une
folie
impulsive, passagère, que la suggestion a faite.
nstrueux sous l'influence d'une impulsion créée par l'épilepsie ou la
folie
. La suggestion ne peut-elle réaliser le même phén
pallier. Suicide chez le vieillard. Dans une thèse récente sur la
folie
chez les vieillards, M. le Dr Thivet montre que l
dangereuse que de considérer le suicide comme un symptôme constant de
folie
. Et. en effet, bien des testaments portant l'empr
assassin. Beaucoup de personnes n'ont vu dans ce drame qu'un acte de
folie
amoureuse. On sait combien la passion peut égarer
ait croire qu'elle l'aimait de bonne foi ; il ne savait pas que cette
folie
amoureuse suggestive n'existait qu'à la faveur d'
e mentale : la mélancolie périodique, la dipsomanie intermittente, la
folie
passagère, toutes les maladies mentales à répétit
le avant d'avoir subi une sorte de jugement devant un jury spécial.
Folie
meurtrière Le Soleil donne le récit suiv.-nt d'
e se passer a Spizza-Suttomoret.cn Dalmatic. Un cordonnier atteint de
folie
, profitant de l'absence des soldats qui étaient p
votre bourse. Telle était, à cet époque d'illusions, de rêve et de
folie
, la partredou-table que l'imagination faisait à S
ncment, et l'assassinat retentissant de M. »... n'eût pas eu lieu.
Folie
du doute simulant la crampe des écrivains M. Sé
de palpitations, de chaleur à la tête. Ce malade est atteint de la
folie
du doute ; il n'a pas de crampe des écrivains : l
ne constitue le sujet le moins propre a être hypnotise et que dans la
folie
proprement dite la suggestion n'agit point puisqu
Il a obtenu des guérisons ou a su améliorer des cas de dipsomanie. de
folie
morale, de manie mélancolique avec hallucinations
ue. d'habitudes vicieuses, de théleptomanie chez le dégénéré, même de
folie
luétiquc. La revue de l'hypnotisme a inséré vingt
nq observations produites dans notre Compte-rendu se rapportent a des
folies
avec conscience. Nous avons même cru d'abord que
stive ne se trouverait plus indiquée au delà de la limite séparant la
folie
de la névrose. Nous crûmes la suggestion impuis
uver en voiture, en wagon de chemin de fer ,1a peur du suicide, de la
folie
, la syphiliphobic etc./ ont été guéris ou beaucou
43. Familles (du traitement des aliénés dans les), par Féré, 334.
Folie
de Mohammed Toghlak sultan des Indes (la), trad
e Mohammed Toghlak sultan des Indes (la), traduit par Bérillon 207.
Folie
du doute simulant la crampe des écrivains, 249.
Bérillon 207. Folie du doute simulant la crampe des écrivains, 249.
Folie
meurtrière, 318. Formes inférieures de l'activité
100. Méthode dans les sciences médicales, 351, Mohammed Toghlak (la
folie
de), 205. Morphine (de l'abus de la,, 126. Myélit
siologiques, aussi est-il peu d'endroits où l'on ait moins parlé de
folie
urémi- que que dans les asiles. » Il est, en ef
du Sud-Ouest, 1889). Archives de neurologie. T. XVIII, p. 418. 2
Folie
Brightique. Société médicale des hôpitaux, 1885.
personnels, ont des points généraux de ressemblance. A propos de la
folie
urémique, MM. Régis et Chevalier Lavaure 1 écri
urs qui les ont décrites ont été frap- pés de leur analogie avec la
folie
alcoolique et ont insisté sur cette analogie. »
ntaire ' -Moreau de Tours, De l'identité de l'état de rêve et de la
folie
(An- nales : ëico-/)c/t0<oues, 1853). DÉLI
halie interne consécutive à l'encéphalite chionique diffuse et à la
folie
systématisée chro- nique, anatomiquement, à l'a
e. Mais le délire mystique des dégénérés diffère complètement de la
folie
religieuse systématisée; ce délire au contraire
nfection. V. Contribution à l'étude clinique et médico-légale de la
folie
systé- matisée progressive; par le De LETOURNEU
essive; par le De LETOURNEUX. Après avoir défini, d'après Régis, la
folie
systématisée qui est faits DIVERS. 9[ une fol
d'après Régis, la folie systématisée qui est faits DIVERS. 9[ une
folie
chronique essentielle, caractérisée par des hallu
Le hère aine de cet enfant, amoureux de la chanteuse, faisait des
folies
pour elle et dépensait sans compter pour satisfai
les mentaux non justiciables de la séquestration, à la limite de la
folie
. P. KERAVAL. XIII. Le traitement des enfants at
ier, celui dont on s'occupe le plus, comprend les psychoses vraies (
folie
, idiotie, criminalité) ; le second comprend ce qu
icale, aptitude au calcul mental), puis il aborde la question de la
folie
chez les enfants, et il arrive aux anomalies ment
communs chez les paralytiques généraux que dans d'autres formes de
folie
, la folie sénile, par exemple. Les crimes contre
hez les paralytiques généraux que dans d'autres formes de folie, la
folie
sénile, par exemple. Les crimes contre la proprié
venues aliénées pendant qu'elles subissaient leur peine. Le type de
folie
le plus fréquemment observé est la manie avec d
de vue médico-légal. On a dit que dans un tiers au moins des cas de
folie
puerpérale, les tendances au suicide ou à l'hom
ivisés en trois groupes qui ont cha- cun leurs caractères~propres :
folie
de la grossesse, folie puerpé- rale et folie de
qui ont cha- cun leurs caractères~propres : folie de la grossesse,
folie
puerpé- rale et folie de l'allaitement. La foli
s caractères~propres : folie de la grossesse, folie puerpé- rale et
folie
de l'allaitement. La folie de la grossesse est la
e de la grossesse, folie puerpé- rale et folie de l'allaitement. La
folie
de la grossesse est la forme la plus rare, la f
allaitement. La folie de la grossesse est la forme la plus rare, la
folie
puerpérale la forme la plus commune. L'étude de
oadmoor montre que l'infanticide est beaucoup plus fréquent dans la
folie
de l'allaitement que dans la folie puerpérale.
beaucoup plus fréquent dans la folie de l'allaitement que dans la
folie
puerpérale. Ce fait surprendra moins si l'on se s
érale. Ce fait surprendra moins si l'on se souvient que le terme de
folie
puerpérale est ordinairement appliqué, à tort a
chiffres relevés à Broadmoor pour l'infanticide sont les suivants :
folie
de la grossesse 5 p. 100; folie puerpérale 33 p
r l'infanticide sont les suivants : folie de la grossesse 5 p. 100;
folie
puerpérale 33 p. 100; folie de l'allaitement 60
vants : folie de la grossesse 5 p. 100; folie puerpérale 33 p. 100;
folie
de l'allaitement 60 p. 100. Nous sommes très lo
colie. On a dit que l'âge de la malade avait une in- fluence sur la
folie
de la gestation, qui serait plus commune entre
istiques de Broadmoor ne confir- ment pas cette manière de voir.-La
folie
puerpérale est un trouble mental qui survient d
MÉDECINE LÉGALE. 159 les cas de Broadmoor, l'auteur a rapporté à la
folie
puerpérale les infanticides commis dans un déla
s commis dans un délai de deux mois après l'accouche- ment, et à la
folie
de la lactation les crimes commis à une date pl
usieurs semaines avant d'en provoquer l'exécution. A propos de la
folie
puerpérale, il convient d'étudier le meurtre de
rouver des atténuations dont la plus commune consiste à invoquer la
folie
passagère; très passagère en effet, puisque sur
court : c'est un taux de guérison exceptionnellement élevé dans la
folie
homicide. La plupart des infanticides commis pl
ent liées à l'obsession homicide. Le nombre des femmes atteintes de
folie
de l'allaitement à Broadmoor est de 115 : leur
tement à Broadmoor est de 115 : leur âge est plus élevé que pour la
folie
puerpérale. Dans les cas d'homicide se rattacha
cas le meurtre de l'enfant avait été commis sous l'influence de la
folie
de la méno- pause. Ces cas ressemblent à ceux q
cine légale. Médicalement ils représentent les cas les plus purs de
folie
soudaine et complète; au point de vue médico-lé
ns termes, tels que : arrêt de dévelop- pement, aliénation mentale,
folie
. Une telle façon de procéder convient bien à un
ui de la démence précoce. dans laquelle se renferme actuellement la
folie
catatonique. L'hon- neur de cette bataille revi
ellation, qui était considérée autrefois comme synonyme de celle de
folie
de la pu- i)e)'<e, est devenue ensuite, par
)e)'<e, est devenue ensuite, par extension, synonyme de celle de
folie
de l'adolescence, et que maintenant on l'applique
e l'ordre mental placé sur les limites qui séparent la raison de la
folie
, relevant autant du méde- cin que du criminalis
confrère lui dit alors qu'un pareil manque de mémoire indiquait une
folie
nettement caractérisée et qu'il allait l'envoye
. comme un grand enfant qui se fâche facilement ; « mais de là à la
folie
complète, il y a loin. En raison de son arresta-
et nous le verrions simuler l'imbécillité ou quelque autre genre de
folie
comme il a tenté de le faire en 1894 lorsqu'il
orme particulière de dégéné- rescence mentale que l'on appelle : La
Folie
Morale. La caractéris- tique de cette aflection
société à laquelle ils appartiennent. Cet aveuglement moral, cette
folie
des sentiments altruistes, suivant l'expression
ler les conclusions suivantes : Conclusions. 1°D...est atteint de
folie
morale ; 2° Il est irresponsable des actes qui
obsédantes et des processus psychiques voisins dans la genèse de la
folie
, trouvera, dans les faits scientifiquement obse
ur parler, etc., à cette illusion. Aperçus et démonstrations sur la
folie
maniaque dépressive. M. le Professeur Thomsen (
seur Thomsen (Bonn). Aperçus sur l'étendue du tableau clinique delà
folie
maniaque dépressive. Formes prolon- gées. (Démo
ériodique et une mélancolie périodique juvénile indépendantes de la
folie
maniaque et dépressive ? (Démonstration). Exist
lie maniaque et dépressive ? (Démonstration). Existe-t-il une vraie
folie
à double forme qui n'appartienne à la folie man
. Existe-t-il une vraie folie à double forme qui n'appartienne à la
folie
maniaque dépressive ? (Démons- tration). La fol
'appartienne à la folie maniaque dépressive ? (Démons- tration). La
folie
maniaque dépressive est-elle guérissable ? (Dé-
st-il possible de mettre un diagnostic différentiel précis entre la
folie
maniaque et dépressive et la démence précoce da
de llembrandt. La lectute de la Bible ne permet pas de poser sur la
folie
de Saiil, d'autre diagnostic que celui de folie
pas de poser sur la folie de Saiil, d'autre diagnostic que celui de
folie
périodique. On peut en juger : 11. Or, l'esprit
lui de Lucas van Leyden, du musée d'Anvers, parexemplp, il peint la
folie
, dans la facture large de l'apogée de son génie
. P. Keraval. 4t6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. V. Quelques cas de
folie
pellagreuse, par John WARNOCK. (TAc ./f)M;'M<
D1' Sandwith. Depuis 189 les malades entrés à l'asile du Caire pour
folie
pellagreuse sont au nombre de 141 (93 hommes et 4
mélancolie forme un contraste frappant avec la forme usuelle de la
folie
chez les Arabes, qui est presque toujours la fo
n recherche les stigmates. Enfin il faut signaler une forme rare de
folie
pellagreuse, dont la description serait inverse d
u nocturne. Le soli- loque diurne est surtout le fait des formes de
folie
chronique qui ne s'accompagnent pas d'insomnie.
ent du logement des aliénés, de l'accroissement et des causes de la
folie
, des sanato- riums privés, de l'internement des
ment antéro-latéral de la moelle cervicale, par Bechterew, 432.
Folie
. Contribution à l'étude cli- nique et métilco-l
été par leurs auteurs : Dr Stoenesco (de Bucarest), Simulation de la.
folie
; — Dr Louis Bonnet (de Bordeaux) Etude critique
large — si elle n'implique pas nécessairement l'idée de psychose, de
folie
, pas plus qu'elle n'implique celle de criminalité
a plupart des cas, être considérée comme contenant en puissance et la
folie
et la criminalité, et ces deux modalités morbides
rection du médecin. (N. D. L. R.) psychose se développe, sorte de
folie
morale où dominent alternativement les idées de d
nous consulte souvent. Il s'agit toujours d'une chienne qui a été en
folie
deux mois auparavant et qui présente une partie d
Il dure ordinairement toute la vie. Mais il est une autre forme de
folie
amoureuse plus violente, plus terrible, plusboule
e l'amour malheureux. La première fois, l'amour déçu a provoqué une
folie
qui a duré cinq ans. Pendant cinq ans j'ai cru qu
our se monter, et qui, n'étant pas satisfaites, laissaient une petite
folie
de quatre à cinq jours. Ces petites passionnett
passionnettes d'amour n'ont d'intéressant que de montrer le degré de
folie
minuscule qui est proportionnée à la cause qui l'
rail. Il ne tarda pas à justifier d'une façon complételes soupçons de
folie
qui avaient pesé sur lui. Ne voulant pas se résig
n pour ne pas tuer, ne pas voler, ne pas mentir. Tuer. — Tuer est une
folie
. Avec l'éducation qui m'a appris à ne pas tuer,
était regardée comme une cause d'irresponsabilité. Le premier cas de
folie
, dont parle l'Histoire Sainte, est celui de David
x durent, dans l'intérêt de la justice, chercher une définition de la
folie
. Pour l'obtenir, ils l'établirent, non sur la nat
désintéressée des savants fondateurs de l'Ecole de psychologie. La,
folie
dans les dynasties orientales, par le Dr Bérill
t atteints de délire, ce sont les Grecs qui payent les frais de leurs
folies
. La Fontaine, avec un grand bonheur d'expressio
sseoir les successeurs de ce magistrat. Tant il est vrai que dans les
folies
les plus confirmées, on pourrait parfois trouver
répondre aux questions du juge. — L'excuse n'est admise qu'en cas de
folie
évidente. — La loi des XII tables protège la pers
très accentué et se traduit par un délire évident. C'est ce genre de
folie
que Cicéron définit ainsi : « Furoremesseratî sun
roremesseratî sunt, menais ad omnia cœcitatem. » (3). Il s'agit de la
folie
dangereuse, de celle qui nécessite d'urgence l'in
se consensum rnanifestum est. » (B). Cependant Cicéron admet que la
folie
se manifeste sous des formes différentes. II ment
déjà assez puni par sa manie (furor) (e). Lorsque la question de la
folie
était posée, le juge avait le devoir de punir l'a
n cas de simulation et celui de le mettre hors d'état de nuire, si la
folie
était furieuse, le texte latin est formel. Il ind
lui épargneras la peine des parricides, car il est assez puni par sa
folie
même ; mais il faudra l'enfermer, et même Venchtt
u'autant que l'acte punissable avait été accompli pendant un accès de
folie
furieuse. L'accusé était puni pour le crime accom
Ce que dit Javolenus de l'épilepsie, s'appliquait nécessairement à la
folie
. Les jurisconsultes romains, s'ils n'admettaien
s n'admettaient d'excuses que pour le crime commis pendant l'accès de
folie
, n'allaient cependant pas jusqu'à il ' t Dilige
cause de résiliation de vente. ¦ • * Dans l'appréciation de la
folie
, le juge ne disposait pas d'un pouvoir discrétion
ouvoir de discernement parait complètement aboli. La question de la
folie
criminelle avait été complètement résolue par les
Au prétoire, le juge pour conclure chez un accusé à l'existence de la
folie
, prenait ses décisions sans recourir à la collabo
.— In-8*, 416 p.—Nourry, Paris 1907, 6 francs. Dr Binet-Sanglé : La
folie
de Jésus, son hérédité, sa constitution, sa phy
s traités de physiologie ne sont guère explicites. (A suivre.) La
folie
dans les dynasties orientales, par le D' Bérill
assassiné par la même foule qui, peu auparavant, applaudissait à ses
folies
. Peu après sa mort une secte de Syrie a fait du
n ne simule bien que ce qu'on a, Ibrahim était dégénéré. C'est à la
folie
des dégénérés héréditaires qu'il faut rapporter l
légitime de rattacher lestroubles mentaux présentés par Ibrahim à la
folie
des dégénérés héréditaires. La responsabilité d
r le bien et le mal, le bon et le mauvais, l'utile et le nuisible. La
folie
est, d'après la loi musulmane, l'absence de la fa
méthode de jurisprudence musulmane, qu'un des juristes disait que la
folie
, pour rendre l'homme irresponsable de ses crimes,
; c'est dans sa bouche que Dieu met ses paroles. Il en résulte que la
folie
n'était pas considérée, chez les Hébreux, comme u
ent des gestes désordonnés, et donnaient, en un mot, l'illusion de la
folie
. De plus, les prophètes juifs étaienttrès souve
est certes pas d'eux que nous est venue la lumière. (à suivre) La
folie
dans les dynasties orientales. par le Dr BÉRiLL
absolu, nouslaisse douters'il n'a pas été affecté, plus ou moins, de
folie
. Toute sa vie se passa à poursuivre des projets v
salle d'audience, dans lesquelles on lui reprochait ses crimes et ses
folies
. Ne pouvant se venger directement sur les auteurs
euse et la satisfaction interne que ressentent les aliénés atteint de
folie
héréditùre, lorsqu'ils viennent de céder à une de
ut élevé à cet endroit, reste comme un monument de sa vanité et de sa
folie
. » En l'année Î337, il conçut l'idée d'envahir
de la forme d'aliénation mentale désignée actuellement sous le nom de
folie
héréditaire. Un simple citoyen, doué du caractè
d'amnésie aiguë consécutive au choc ou suite d'une maladie grave ; de
folie
morale, etc. Sous le chef de folie morale ressort
ou suite d'une maladie grave ; de folie morale, etc. Sous le chef de
folie
morale ressortent l'envie et la jalousie morbides
la dépression morale ; 3. Les dipsomanes vrais, ressortant de la
folie
circulaire. Ce genre de malade est aliéné avant q
re actuelle, la définition de l'hystérie reste encore à trouver. La
folie
dans les dynasties orientales, par le 0' Bérill
e, que chez les Kalifes arabes et les sultans ottomans. A l'article
Folie
du Dictionnaire philosophique, Voltaire fait plai
être promptement délivrés. En effet, ces alternatives de raison et de
folie
qui se manifestent d'une façon périodique dans l'
é, par Legrain, p. 242, par Raffegeau, p. 282, par Jourdan, p. 283.
Folie
dans les dynasties orientales (La), par Bérillon,
e sera nuisible. Le crime d'une folle. - Un drame occasionné par la
folie
s'est déroulé hier matin, 14, boulevard de la C
ut à coup interrompt la communication en disant « défendu, c'est la
folie
! » de sa voix psychomotrice. Au mois de février,
doctrine. En général ce genre de délire entraîne autour de lui la
folie
multiple. Cam... a persuadé son mari, qui homme
onnaît que leur attitude était absurde. Il y a là comme un cas de «
folie
à deux» dont elle était l'élément actif et M. S
ents personnels et surtout héréditaires. Appréciation des causes de
folie
de toute nature (chagrins, fatigues, préoccupa-
tions, excès), survenues entre le traumatisme et l'apparition de la
folie
. ' 3° Parmi les cas où il peut y avoir lieu à e
accidents survenus chez l'employeur, coïncidant avec une rechute de
folie
. Les crimes et délits commis pendant l'automati
, et dans la pratique, ce problème se pose quelquefois. Un cas de
folie
ci deux avec infériorité relative de l'organe act
e actif. MM. Daovnnn et LEvAssoRT communiquent une observation de
folie
en partie double évoluant simultanément chez la m
comme classiques, et sur lesquels ils s'ap- puient pour faire de la
folie
à deux une folie communiquée : a) Relativement
et sur lesquels ils s'ap- puient pour faire de la folie à deux une
folie
communiquée : a) Relativement à la différence i
re une intensité très marquée. En réalité, il ne s'agit pas d'une
folie
communiquée par un actif à un passif, mais bien
s d'une folie communiquée par un actif à un passif, mais bien d'une
folie
simultanée avec orientation par un organe et co
e maladie autonome et tendent à la faire rentrer dans le groupe des
folies
dégénératives ou héréditaires, parce qu'elle n'
de l'anatomie patholo- gique, de distinguer la démence précoce des
folies
dites dégénéra- tives et de les rattacher avec
nt les trois grands groupes d'états démentiels consécutifs : 1° aux
folies
généralisées (manie, mélancolie, etc.) ; 2° aux
(délire d'emblée, délire polymorphe, paranoïa aigus, etc.); 3° aux
folies
systématisées chroniques. Tous les auteurs sont
e simples états syndromiques pouvant tou- jours être rattachés à la
folie
maniaque dépressive, à la paralysie générale, a
tachés à la folie maniaque dépressive, à la paralysie générale, aux
folies
toxiques, à la demence précoce, à la confu- sio
endant la jeunesse ou l'âge adulte, étaient tous justiciables de la
folie
maniaque dépressive ou de la démence précoce, q
récoce, quand ils n'étaient pas liés à la paralysie générale ou aux
folies
toxi-infectieuses. La manie et la mélancolie perd
oraire ou permanent, des facultés : leur fréquence, en dehors de la
folie
systématisée, chez les imbéciles, les débiles e
t perdu leur àutonomie; telles sont les démences con- sécutives aux
folies
simples, la démence maniaque, la démence mélanc
vé, car on peut et on doit admettre que les deux cas coexistent, la
folie
d'une part, les tendances cri- minelles de l'au
diagnostic à temps; les autres, après jugement et incarcération, la
folie
étant reconnue après coup ; b) une deuxième cat
individus sains au moment de la con- , damnation, mais atteints de
folie
plus tard, alors que les précé- dents étaient d
pports avec les phénomènes psychiques. (Fragment d'une élude sur la
folie
). Paris, 1879, 64 p. ; un mémoire récom- pensé
64 p. ; un mémoire récom- pensé par l'Académie de Médecine : De la
folie
à double forme. Circulaire alterne. Paris, 1883
, probablement sous l'influence d'une obsession; une soeur a eu une
folie
puerpérale dont elle a guéri; un frère est asse
oute sa vie. Comme il me parut très tourmenté par l'obsession de la
folie
de sa mère, je commençai par lui mettre sous le
récoce. On le note, encore comme prélude du stade d'agitation de la
folie
circulaire et, alors, il est produit non pas pa
lheureux aliéné se gardaient bien de le contredire, et, ce genre de
folie
ne paraissant nullement dangereux, ilsy attacha
harbiu et Tchita pour faire face aux cas, toujours crois- sants, de
folie
qui surgissent actuellement dans l'armée russe en
ds. Cela se voit dans la démence précoce, la paralysie générale, la
folie
circulaire ou périodique. Exemples à l'appui :
Mais cette affection semble assez résistante. P. Keraval. XIII. La
folie
hallucinatoire qui se développe à l'occasion d'un
cas. Les processus démentiels jouent le même rôle qu'en Europe. La
folie
maniaque-dépressive est plus rare, l'épilep- si
aque-dépressive est plus rare, l'épilep- sie est fréquente. Dans la
folie
maniaque-dépressive les accès de dépression son
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXII. Aperçus et démonstrations sur la
folie
maniaque-dépressive; par M. Tiiohsen (de Bonn).
ologie, 1904, n° 2.) D'après l'auteur il convient de ranger dans la
folie
maniaque- dépressive tous les cas de psychose f
mais il relate un cas de mélancolie périodique pure et deux cas de
folie
à double forme non circu- laire, à accès unique
n circu- laire, à accès unique, c'est-à-dire n'appartenant pas à la
folie
maniaque dépressive. M. Thomsen signale encor
ale encore deux cas de guérison ou d'amélio- ration considérable de
folie
maniaque-dépressive, puis il aborde la question
impossible n'est dans les cas où il s'agit des formes mixtes de la
folie
maniaque-dépressive. . G. D. XXIII. Troubles
atonie, l'auteur hésite à admettre ce diagnostic, l'existence de la
folie
catatonique ne lui paraissant pas encore snffis
atonie survient... mais il existe un grand nombre d'observations de
folie
hystérique ou d'hébéphrénie qui ont évolué comm
ie, hypémanie, confusion mentale et leurs variétés) ou héréditaire (
folie
intermittente, périodique, circulaire, à double
'ajouter les obsessions, les impulsions, la manie raisonnante et la
folie
morale. G. D. XXVIII. Considérations sur l'ampl
r la nécessité d'un examen prolongé des coupables qui plai- dent la
folie
pendant une période d'observation suffisante à l'
s doivent désormais faire partie de la thérapeutique générale de la
folie
, de par l'indication et sous la responsabilité
élioration rapide. LES aliénés EN liberté. Terrible drame DE la
folie
. A coups de faux. Trois vic- times. -D'après un
n ce qui concerne l'odorat ni l'ouïe. Jamais d'hallucinations ni de
folie
. Les senti- ments affectifs sont développés : l
tc. SIUOiJ. , . 1 - CVIII. Contribution à l'étude du sang dans la
folie
maniaque dégressive; par Yessie-Weston Fisiier
ifications pathognomoniques du sang dans les phases maniaques de la
folie
maniaque dépressive ? r b) l'anémie n'est pas u
3, p. 593-599). Les questions passées en revue sont les suivantes :
Folie
pella- - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 505 gre
THOLOGIE MENTALE. 505 greuse (Warpocke). La syphilis comme cause de
folie
(Mott : pas de syphilis, pas de paralysie génér
énés. La question des statis- tiques. etc., etc. - SI\10N. XXXIX.
Folie
puerpérale ; par Robert Jones (The American Jour-
troubles mentaux, et forme de l'aliéna- tion selon celle-ci. Pas de
folie
spéciale pour la grossesse ou la lactation, dit
ails intéressants. - 3° Idées de suicide, infanticides au cours des
folies
puerpérales. Age. Fréquence des antécédents hér
l'alcoolisme dans 46,5 p. 100 des cas ; 2° Alcoolisme, épilepsie et
folie
combinés paraissent responsables de 38,5 p. 100 d
M. Christian fait remarquer que personne ne défend plus guère la
folie
vésanique. M. AItNAUD. -Je viens chicaner M. To
du neurone, pat Muenzer, 396. Fièvre hystérique Voir Hystérie.
Folie
. Un cas de à deux avec infériorité relative de
ourl- quand, 496. Ostéopathies. Voir Arllaropallaies OuiE. Voir
Folie
. Paires crâniennes. Des terminai- sons et con
Lannois et Lesieur, 481. Contri- bution il l'étude du - dans la
folie
maniaque dégressive, par Ficher, 489. Sciatiq
ns les milieux éclairés, cette opinion facile mais absurde que « la
folie
est incurable », etque l'internement est « une
existence de la névralgie. (Union méd., 1851.) (2) LoISCAU. - Les
folies
sympathiques. (Thèse de Paris, 185G). (3) Raphé
lancolique. (Thèse de Lyon, 1889.) (4) Ciiahrin. Maladie du foie et
folie
. (Société de Biologie, 30 juillet 1892.) (5)
L.- De l'insuffisance hépatique dans les maladies men- tales. De la
folie
hépatique.(A ¡'cl1. gén. de médecine, août 1892).
rio-scléreuse, de psychoses épilepti- ques, defolicdegenerative, de
folie
circulaire, de mélancolie, d'a- 1>Itasiecuns
mélancolie, d'a- 1>Itasiecunsécutive à un ictus apoplectique, de
folie
choréique, de (le (léiiience précoce, on n'obti
s'agissait, par exemple, de distinguer entre la démence précoce, la
folie
circulaire, la mélancolie, la folie dégéné- mti
er entre la démence précoce, la folie circulaire, la mélancolie, la
folie
dégéné- mtiye, l'opilehcic, l'ItysL(·riu (14cas
e, l'opilehcic, l'ItysL(·riu (14cas, 161onctiunsf. Ou bien entre la
folie
alcoolique, la démence précoce, l'épilepsie (I ca
ues, sur 14 ; chez huit alcooliques chroni- ques sur 30 ; dans sept
folies
périodiques sur 18. Ce phénomène tient aux trou
'asile au ICI' janvier 1,)'10 femmes. Admis sions 216, dont 8, pour
folie
alcoolique, 21 pour idiotie et imbécil- lité. L
dition. P. Keraval. , Les aliénés en liberté Sanglant drame de la
folie
. Monlélimar. Un nommé Callus, qui, depuis quelq
lu les débarrasser de la vie. Lousaert a été interné deux fois pour
folie
. (Le Journal, 7 juillet 1905.) Un prisonnier
à Perpignan. Dans l'après-midi d'hier, il fut atteint d'un accès de
folie
furieuse et se précipita fête baissée contre les
é décrite par les différents auteurs sous des noms très variables :
folie
hypochondriaque (Morel), neuro-psychose hypocho
YSTÉRIQUE. 185 Les convictions délirantes hypocondriaques dans la
folie
de la persécution. D1' LEROY (Eugène-Bernard).
ctions hypocon- driaques véritables sont assez peu communes dans la
folie
chronique de la persécution (type LASkG(irt-FAL
les rabiques éclaire d'un jour nouveau la genèse de la plupart des
folies
hallucina- toires. M. DruE (de Rennes). Je su
iques. ' 5 La fréquence des syncopes observées par Wurth dans les
folies
chroniques en général (23 fois sur 102 malades),
individuelles et symptoma- tiques dominent aussi dans les formes de
folie
survenant chez les jeunes gens. Toujours est-il
t symptomatique devra être l'hydrothérapie quand elle s'adresse aux
folies
lucides, aux syndromes de dégénérescence ou éta
j'ai été consulté dans cette période prodro- mique où s'organise la
folie
. Leur avantage n'est pas moins grand dans ces s
- nérale et risquent d'en épuiser les sources. 4° Dans les cas de
folie
caractérisés par une asthénie réelle etprofonde
réelle etprofonde tels certains délires toxi-infectieux, comme la
folie
puerpérale, la confusion mentale, certains états
ation de le rejeter on d'en différer l'emploi. G" Il est des cas de
folie
aiguë, d'essence plutôt sthénique, - tels, les
s h la sudation (emmaillotements, bains russes ou turcs). 10" Les
folies
d'origine organique, comme la paralysie général
se- condes suivies d'une douche générale en jet. Dans les cas de
folie
de l'adolescence,principalement dans la dépressio
er, celle méthode n'a pas donné de résultats. Elle ne guérit pas la
folie
. Sans cela elle s'imposerait à tous les aliénis
omme ils se poursuivent parallèlement dans la hiérarchie animale.
Folies
intermittentes et épilepsie. DI' F. DRVAY (de L
s et épilepsie. DI' F. DRVAY (de Lyon). - Les accès périodiques des
folies
intermittentes, de même que les troubles mentau
e constatation ad- mise, on peut se demander si dans le cours d'une
folie
cycli- que, il n'est pas possible de faire appa
iaque ou de dépression mélancolique. Chez deux' malades atteints de
folie
intermittente avec agi- tation maniaque, il a é
entre l'âme et le corps. Il en résulte : la maladie, la mort ou la
folie
. Ce désaccord suspend les fonc- tions de la par
rée ». Les aliénés EN liberté. Un double paricide.-Un drame de la
folie
s'est produit avant- hier soie (17 août) vers c
gny-sur-Orge. L'état de Mme Di- jon paraît désespéré. Drame de la
folie
. - Vendredi dernier un cultivateur de Bé- tlien
rel, aveugle depuis cinq ans, ressentit les pre- miers symptômes de
folie
. Très excitable, il rendait la v ie intolé- rab
po- lice de sûreté d'Alger. On attribuerait le crime à un accès de
folie
subite. Smail ben Amar était, en effet, atteint
monomanie de la persécution. (Petit Parisien, 17 juillet 1905.) La
folie
n'a donc pas été subite; l'accès de violence ét
estation morbide bien évidente, risquent d'être prises pour de la
folie
ordinaire, de la vésanie, notamment pour un accès
par cela même qu'il ouvre la scène morbide, peut faire croire à une
folie
commençante et amener l'interne- ment. Nous avo
d possible. Il ne faut pas s'occuper spécialement de telle ou telle
folie
: ' les folies varient suivant les régions où e
ne faut pas s'occuper spécialement de telle ou telle folie : ' les
folies
varient suivant les régions où elles se produisen
ons pu avoir de renseigne- ments sur les causes déterminantes de la
folie
, dit M. Sizaret,soit par ignorance ou mauvais v
ilepsie, G d'hystérie, 26 de paralysie générale, 3 d'idiotie, 15 de
folie
alcoolique (t4 Il. et 1 F.), 45de débilité mental
11 F.). - Quel- ques citations : « La statistique démontre que la
folie
guérit en général dans la première année du tra
différentes reprises, a donné le signe de Gmelin. Observation IX.
Folie
il double forme ; mélancolie stnhirfe actuellem
a sept ans. étant jeune lille, elle a eu une première at- teinte de
folie
à la suite d'une peur (coups de pistolet tirés da
applicable seulement aux '( remissions ou à la convalescence de la
folie
. - Malgré les applaudissements que lui ont valu
mme un syndrome relevant tantôt do la démence précoce, tantôt de la
folie
maniaque dépressive ou d'autres formes psychopa
il avail l'unique regret d'avoir eu trop tard l'idée de simuler la
folie
. La fatigue suggérée. )1. A'crcnollk. La fati
; par FlR1 {Revue de médecine, mars 1 ! I04.) La simulation de la
folie
et de- névroses n'existe guère que chez les pré
venable de regarder l'enfant. LES ALIÉNÉS EN LIBERTÉ. Drame de la
folie
. -, Une femme nommée N'ivel, âgée de ,illgt- hu
de ,illgt- huit ans. demeurant à 'J'l'l'gueux, a, dans un accès de
folie
, nové dans un lavoir son enfant, âge de trois s
ifiques appréciés : {'Hygiène de l'Esprit, Crimes et délits dans la
folie
, le ^[onde des J ? ces. etc., parus pendant sa
s de Faius. In-8" de 24 liages. MAiimel 1'tot,t.e'r. Spiritisme et,
folie
. In-S° de 20 pages. Extrait du Journ. de psycho
e je l'ad- 4SS' SOCIÉTÉS SAVANTES. mets moi-même, l'existence des
folies
par infection, .le suis, en i effet, assez port
, la paralysie générale, la démence sénile, la démence précoce, la'
folie
maniaque dépressive, la mélancolie affective, l
de son lil pour voir comment il allait, Poels,'pris d'un accès de
folie
subite, le saisit à la gorge et chercha à l'étran
ix agents de police pour qu'on ptiL l'enfermer dans un cabanon. '
Folie
meurtrière. A,llivccaltes, un fou qui était rev
par Dé- ierine,Leenhardtctforéro, P. 13 . - Voir Olis(', - Voir
Folie
. et 801(ellelie, p. 255. Nouvelles recherches
on des - - du système nerveux central, par Kat- sowslw, 11 : 1.
Folie
de la persécution. Voir Uypochoiuliiugues. inte
u de l'odorat, par Le- P. 184. Les convictions délirantes dans la
folie
do la persécution, par Leroy, p. 185. ' HYP
berculose sacrée, par Rossi, p. 81. Rage. La . : ..... e5t une
folie
in- fectieuse, parPierret, p.20G. Ramon. Nouv
et peu à peu devint démente. Pendant près de deux ans elle eut une
folie
douce, avait la monomanie des fleurs, jouait à
l'on avait assisté, soit à de la lypémauie (deux cas), soit à de la
folie
systématique (trois cas). Neuf morts : altération
s à l'asile qu'incurables; que le mariage paraît préserver et de la
folie
et du crime; que, si le criminel doit être cons
l'hérédité du crime n'est pas très fréquente, que l'hérédité de la
folie
chez les criminels est moindre que chez les ali
nguinité est en rapport avec la manie puer- pérale, l'épilepsie, la
folie
chronique. On ne constate guère de caractère pa
quement l'observation des aliénés atteints de manie, lypétiianie ou
folie
à double forme. Ces tracés permettent aussi J'e
s tableaux, qui indiquent à grands traits les diverses phases de la
folie
chez un même individu pourront rendre quelques
re quelques services au clinicien, surtont en ce qui concerne les
folies
intermittentes. 88 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Fovi
hes de cette nature; peut-être pouira- t-on un jour établir pour la
folie
des graphiques d'une méthode assez simple pour
ciques. Discussion : M. FUI : 11 ? TNER. Pourlui, il s'agit d'une
folie
systématique hysté- rique dans laquelle la sond
les symptômes gastriques, et le refus d'aliments émana, non de la
folie
systématique, mais de la dyspnée, car, en dépit d
dent en deux obser- vations de refus de nourriture de longue durée (
folie
s3stéma- tique). L'auteur réussit à enregistrer
riodes d'intégrité), notamment dans la manie périodique ou dans la
folie
circulaire; elles disparaissent au stade de parfa
z les paralytiques généraux ainsi que dans le stade dépressif de la
folie
circulaire. M. IlESSE, raconte l'histoire d'un
la prostitution dans ses rapports avec l'alcoolisme, le crime et la
folie
(Conférence faite à Lyon), par le D' P. Lvdvme.
es plus com- munes et les plus funestes, le suicide, le crime et la
folie
. Si l'ivrognerie et la prostitution sont des vi
tissage des aberrations qui ne les conduiront que trop souvent à la
folie
, c ir bien que l'on n'ait pas encore déterminé
la prostitution favo- rise sans s'en douter le développement de la
folie
. Malheureusement, comme conclusion de sa thèse,
eront plus particulièrement, cette année, sur les rapports entre la
folie
des héréditaires, les folies intermittentes et
cette année, sur les rapports entre la folie des héréditaires, les
folies
intermittentes et le délire chronique. Sociét
eau. « Cette affection, écrit Beard, est aussi héré- ditaire que la
folie
ou l'épilepsie... Dans la famille sur laquelle
deux affections. 1° « Cette affection est aussi héréditaire que la
folie
ou l'épilepsie, nous dit l'auteur américain : d
sych., XV 1). L'auteur a examiné, à la lumière d'une observation de
folie
épileptique, très minutieusement prise, les ass
rme de la psychose. De cette élude, M. llartmaun tire que : 1" La
folie
traumatique n'est pas une formenosologique hpécih
oubles mentaux ont été souvent signalés. Le délire mélancolique, la
folie
soupçonneuse des phti- siques, la démence par a
çonneuse des phti- siques, la démence par athéromasie cérébrale, la
folie
diabétique et goutteuse, les folies diathésique
ce par athéromasie cérébrale, la folie diabétique et goutteuse, les
folies
diathésiques, l'encéphalopathie saturnine et sy
rmes dégénérées, héréditaires, raisonnantes, morales, lucides de la
folie
; en tous cas, ils obsèdent le médecin par leurs
s mélancoliques, hypocondriaques, anxieuses, ou panophohiqnes de la
folie
; il = peuvent consister dans l'état d'affaiblis
es mo- DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 363 difications que la
folie
imprime à l'élimination de l'acide phos- phoriq
at de nos recherches. Constatation des modifications qu'imprime [la
folie
dans l'élimination de l'acide phosphorique. P
d'établir une moyenne d'élimination qui permette de savoir si la
folie
modifie ou non le rendement de cette substance.
recherches. Celles-ci ont porté sur les deux formes principales de
folie
, la manie et la lypémanie. Nous avons étudié, e
préciation aux témoignages des hommes qui ont fait de l'étude de la
folie
l'objet des travaux de toute leur vie. » Inisde
l de guerre, et Sédillot établit l'irres- ponsabilité pour cause de
folie
. Malgré cela et pour l'exemple, Bosquet fut con
la discussion sur les signes physiques intellectuels et moraux des
folies
hérédi- taires, cette question générale découle
s pourrait indiquer des faits et peut-être des signes nouveaux de
folie
héréditaire. En procédant ainsi par l'analyse,
ue. Signalons toutefois les cas de Jules Falret. (Recherches sur la
folie
paralytique et les diverses paralysies géné- )'
emande (P. K.). SOCIÉTÉS SAVANTES. 415 chronique (démence pure ou
folie
systématique). Les déments, on n'hésite pas à l
ntes ou hallucinations dangereuses pour la sécurité publique, de la
folie
morale, des épileptiques quelconques, du moins
n certain jour les travaux publiés dans ces dernières années sur la
folie
cir- culaire, la manie périodique, la folie mor
dernières années sur la folie cir- culaire, la manie périodique, la
folie
morale cyclique, le cyclo- thyma. On sait actue
e, on avait affaire à une aliénée dont l'interdiction eut lieu pour
folie
circulaire en des circonstances qui ne se répét
un spécialiste distingué déclare qu'elle est sur les confins de la
folie
, mais qu'il n'y a pas lieu de la priver de sa l
ychose dégénérative, comme le veut de Kralft-Ebing, ni une forme de
folie
systématique, comme le pense Schuele. Discussio
appareils (barres parallèles, trapèze, etc.) Dans la chorée, cette
folie
musculaire, le choix des procédés gymnastiques
tion purulente, avec abcès de la rate, etc. Cn. F. XII. Raison et
Folie
; par Auguste Tebaldi, professeur de psychiatrie
gne, en Italie. Puis, entrant dans le coeur de son sujet (Raison et
Folie
), il se livre à d'ingénieux aperçus sur l'idéat
ations artistiques et poétiques, imaginatives et affectives sans la
folie
. Signalons aussi les pages consacrées au délire
es suivants : Quelques observations pour servir ci l'histoire de la
folie
pénitentiaire, in Ann. inéd.-I)sych. ne' de mar
1885. Chez l'auteur, 3, rue du Dôme. MAUDSf.EY (H.). Le crime et la
folie
. (Bibliothèque scientifique infer- nationale.)
Prostitution (dans ses rapports avec l'alcolisme, le crime et la
folie
), par La(lanie, 134. Psychoses (consécutives
0. Pupille chez les vieillards, par lllm- bius, 252. liaison et
folie
. par Tebaldi, 441. Réflexes rotuliens et trépid
lla. Ni bave, ni écume, ni évacuations : durée cinq minutes. Pas de
folie
pré-ou post-épileptique. Sa mère n'aurait pas c
2C juillet 1898), elle aurait eu après ses crises des atta- ques de
folie
. Elle mangeait de l'herbe, se roulait par terre,
ier étage comme si elle voulait se jeter dans la rue. Les crises de
folie
duraient deux ou trois heures. Pas d'onanisme.
ie que le ramollisse- ment chez l'adulte ou le vieillard. VI. -
Folie
de l'adolescence. Excitation maniaque avec idée
deur qu'apportait l'enfant au travail. A 12 ans première attaque de
folie
: excitation pendant deux jours suivie de torpe
coïncidant avec l'époque menstruelle qui, cette fois, manque 112
Folie
DE l'adolescence. encore. Placement a l'Asile c
e en congé rie 8 jours, elle ne revient pas. - Troisième attaque de
folie
a la fin de décembre 1899 : guérison en mai 190
inité. - Différence d'âge, de dix-huit mois (mère plus âgée). 114
Folie
DE l'adolescence. Le père a eu dix enfants : qu
G, avant la puberté, notre malade aurait eu une première allaque de
folie
: elle allait chez les voisins, chez les amis,
férée à la fondation Vallée. Température rectale il l'entrée. 116
Folie
de l'adolescence. pressionnabililé de l'enfant.
bien plus agitée qu'elle ne l'avait été à sa première attaque de
folie
, et qu'à son arrivée il la Fondation : la nuit el
non, jamais ! Je leur crèverai la peau ? mes cousins.. allez 118
Folie
de l'adolescence. donc leur dire quelque chose,
lus de ce qu'elle disait ni de ce qu'elle faisait en ses moments de
folie
. Elle demande à. être renvoyée dans sa famille.
n de son congé, ce qu'ils n'ont pas fait. 120 Nouvelle attaque DE
folie
. 1900. 8 janvier. - L'enfant est ramenée dans u
DE folie. 1900. 8 janvier. - L'enfant est ramenée dans un état de
folie
aussi prononcé que celui qu'elle avait présenté l
rents, elle a semblé rester Bourneville, Bicêtre, 1901. - . 9 122
FOLIE
DE l'adolescence. complètement indifférente à l
oilette des enfants, elle est de plus en plus vive dans tout ce 124
FOLIE
DE l'adolescence. qu'elle fait. Elle n'aime pas
près la mort z,3 3 - il' ! d'heure après .................. 29°'2
Folie
DE l'adolescence. 127 158 * Autopsie. ' au
aurait dû presque réapprendre à parler. 111. La première attaque de
folie
est survenue, avant la puberté, Ù 15 ans; elle
une semaine. Pendant trois semaines, mutisme presque complet. 130
Folie
DE l'adolescence. A cette rémission, d'ailleurs
et qu'on ignore absolument la cause de ses différentes attaques de
folie
. Quatrième attaque de folie au commencement de
la cause de ses différentes attaques de folie. Quatrième attaque de
folie
au commencement de janvier 1900. Du 8 janvier a
: .1\1 argue- rite a recouvré la raison . Les quatre attaques cle
folie
, sauf l'intensité, ont offert les mêmes caractè
37°,G. V. Pendant le temps qui s'est écoulé entre la guérison 132
FOLIE
de l'adolescence. de sa quatrième attaque de fo
a guérison 132 FOLIE de l'adolescence. de sa quatrième attaque de
folie
jusqu'au début de sa tuberculose intestinale, l
février il mai, c'est-à-dire pendant toute la durée du 4° accès de
folie
. A partir de là jusqu'au mois Puberté. -133 d
diminué de volume, suivant en cela l'amaigrissement général : 134
FOLIE
DE l'adolescence. 1901, sans que rien ne l'expl
ations que nous avons faites soit seul, soit avec nos élèves sur la
folie
des enfants. z Instabilité mentale avec pervers
du goût (en collaboration avec Courbarien). Ibid., 1885, p. 54; 5°
Folie
de l'adoles- cence ; instabilité mentale; idées
illité morale (en collaboration avec J. Boyer). Ibid., p. 84; - '14
Folie
de l'adolescence (en collaboration avec Belin).
es motifs les plus futiles ; brise son mobi- lier et commet « mille
folies
». Entre ses périodes d'ivresse il semble « int
; 1895, p. 52 ; 1890, p. 42-56. - Bourneville, Bicêtre, 1901. 12
Folie
de l'adolescence. (Addition à l'obs. de Marguer
pas une salope,... je venge déjà mon honneur; » discours qu'elle
Folie
DE l'adolescence^ '174 débite assise sur son li
dans ces périodes de calme, la malade n'est pas complètement 172
FOLIE
DE l'adolescence. bien : elle répond difficilem
Thèse de Paris. da84. FÉLIIJILIU. Contribution ,fiv l'étude de la
folie
de l'en- fance. Thèse de Paris. 1887. Il11e
hémisphères ; par BOURNEVILLE et More l. 1'l Hypothermie. 1G7 X.
Folie
de l'adolescence 170 Appendice. XI. De l'empl
que les accès hystériques et autres, des conceptions délirantes de la
folie
, l'hypocondrie, etc., tous états qu'on se suggère
rniers rêves, avec juste raison, aux conceptions qui naissent dans la
folie
maniaque où l'incohérence «les idées est portée â
ractère tvpûpie et commun â toutes les obsessions el impulsions de la
folie
héréditaire «les dégénères que M. Magnan ,. ttési
l'ataxie locomotrice, les perturbations médullaires. l'aphasie, la
folie
, l'hystérie. etc. Ce sont, ou le sait, les admi
le, que lorsqu'on peut se faire un lit, et qu'on le possède ce serait
folie
de ne pas s'y coucher et de s'étendre à còlè sur
893. p. 13 ù 27.) BRUGIA — Hysterie masculine d'origine toxique, et
folie
les acte-.. (Il Manico Moderno. VII. fasc. 2 et 3
nés avec les apparences de raison; 4° Les criminels aliénés dont la
folie
n'est pas douteuse. Aujourd'hui je m'occuperai
dée obsédante, un svmptôme de manie homicide, une manifestation de la
folie
. Chez ce malade, ce qui constitue la folie est
une manifestation de la folie. Chez ce malade, ce qui constitue la
folie
est de tenir le couteau suspendu au-dessus d'une
e plus tard lorsque le malade subit sa peine que l'on voit évoluer la
folie
, on comprend seulement alors que l'arrêt de la ju
s il est bien avéré que le crime commis l'a été sous rintluenec de la
folie
, on devrait pouvoir réviser le procès et rendre a
ux qui l'entendent après coup, ne peuvent croire que c'est un acte de
folie
qu'il a commis, tandis que les témoins de la scèn
ont vu ne soit l'effet, non d'un accès de colère, mais d'un accès de
folie
. Dans une de ces crises, il poursuit son père ave
raison à toutes les questions, ne montrant aucun symptôme apparent de
folie
, ¡1 aurait été condamné à une peine des plus grav
ait si souvent chez, lui et qui faisaient dire par sa mère : voilà la
folie
qui vient. Le malade, sachant les causes de s
moins 4 pour cent, parviennent dans un état d'esprit, tel que dans la
folie
plivsiologique ou ils sont plongés, ils agissent
a immoral, le plus chaste, impudique » (1), ainsi que. dans l'étal de
folie
, des personnes très douces auparavant deviennent
és, ni qu'ils soient sur le point de le devenir, ni qu'ils portent la
folie
autour d'eux comme une arme cachée. — Le chiffre
es du mardi seront consacrées îi l'étude pratique du diagnostic de la
folie
. Les leçons auront pour objet, cette année,« les
News, 8 avril 1893, p. 391). Léon Cimuel. — lie la simulation de la
folie
eue: les aliénés. in-4° do 81 pages, thèse de P
ts et arriérés (Progrès médical, 21 juin 1893). Arnaud (K.-L.). — I.a
folie
à deux, ses diverses formes cliniques (Ann. médie
I, 2). Simelaioxe (R.). — La cause du « Libre «lel Commando j, cas de
folie
à cinq (Ann. médico-psych., t. XVIII, 7' série.
ymptômes marquaient le commencement de l'état maladif qu'on appelle :
folie
hystérique. Par suite de cette nouvelle forme mor
aurose de l'u-il droit â forme hystérique : 5° non réapparition d'une
folie
de même nature datant de plus de deux mois et dem
n lui disant : « Ton mari, ton vrai mari, c'est moi ! » et toutes les
folies
que la passion peut inspirer, puis il la tue et t
êmes, on serait porté à les considérer comme des manifestations de la
folie
avec conscience. La qualification d'aliénés ne me
ncomplète. Maïs, d'une part, la science progresse, le domaine de la
folie
s'élargit de plus en plus rt tel y trouve aujourd
r quis dans le récit des faits qu'il demande il un aliéné atteint île
folie
partielle, ce dernier ne mêle aucune illusion, au
te de ce qu'ils observent ; mais il faut bien connaître leur genre de
folie
|sour y ajouter foi. pour être sur qu'ils ne mêle
rive sou-vent quelles se produisent dam la période d'incubation de la
folie
, alors qus l'on peut à peine se douter de l'exist
s congestifs, certains raison-nants et quelques dégénérés atteints de
folie
morale s'accusent de crimes qu'ils n'ont pas comm
moins avec nos idées rationnelles, hormis les cas d'imbécillité ou do
folie
. Il v a d'ail- ¦ ïjTh. Riboi. op. rit,, p. I7S-
. Jiiurn. nf tlte Med. sciene.. »epl.). MARANDON DE MONTVEL (E.). —
Folie
multiple partiellement communiquée avec dissimula
ombinée des deux codélirauls (France mèd.. 37). REGIS (E.).— Cas de
folie
consécutive à une Ot aro-salpîngcctomic (Juurn. d
aro-salpîngcctomic (Juurn. de mrd. de Bordeaux. 37). ROBE.(H.) . —
Folie
pendant ht lactation Juurn. of (lie amer. med. as
sen" |uc le» alleluiles leur donueut aujourd'hui, part'culier dans la
folie
à deui. el nou le »cu. adopte par le» démoniaque)
rrite mon poulmon et mon gosier. » (MonTAigne.) contagion de la
folie
. Lasi-guc a admirablement décrit !.. folie it deu
igne.) contagion de la folie. Lasi-guc a admirablement décrit !..
folie
it deux. il a fait voir comment deux individus vi
rtir de ce moment, les deux délires suivront une marche parallèle. La
folie
à trois, à cinq, ;i plusieurs est plus rare, mais
ais elle existe (l). Féré rapporte même (2) île curieux exemples de
folie
communiquée chez des chiens de races dégénérées a
p. 220) admet une sorte d'infection psychique, sous trois modes : 1°
folie
communiquée (un sujet B se laisse suggérer par un
n autre îles idees délirantes, qui ferment dans sou cerveau troublé);
folie
imposée (un sujet B ne se laisse suggérer îles id
lus tard elle poursuit une évolution indépendante et personnelle : ia
folie
simultanée (les psychoses contractées isolément e
s manqueront malheureusement pas. Notons enfin que. de même que les
folies
individuelles empruntent leurs formes aux moments
ain l'application des indications générales que lui avait fournies la
folie
. Un des problèmes qu'il a essayé de résoudre a ét
escence héréditaire, et chez lesquelles on trouve des stigmates de la
folie
héréditaire dont elle est un des syndromes épisod
le brave garçon n'y tint plus : il courut d'une traite au poste de la
Folie
-Méricourt et se constitua prisonnier. On reche
FkR. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. Contribution A L'ÉTUDE DE la
folie
A deux; par M. MA- RANDON DE 1VIONTHIEL. (Ann.
eux au moins d'entre elles, la différence qui sépare deux genres de
folie
à deux : celui où l'aliénation éclate en même t
n même temps chez deux malades sous l'influence de causes communes (
folie
simultanée) et celui où la folie se produit che
us l'influence de causes communes (folie simultanée) et celui où la
folie
se produit chez le second malade sous l'influence
folie se produit chez le second malade sous l'influence du premier (
folie
communiquée). Quant aux deux autres, très intér
ntéressantes d'ailleurs, elles sont, pour l'auteur, des exemples de
folie
imposée. Il nous parait impossible d'admettre ce
posée. Il nous parait impossible d'admettre ce troi- sième genre de
folie
à deux où il n'y aurait qu'un seul aliéné, ' RE
la maladie. Mais s'il n'y a qu'un aliéné, peut-on encore parler de
folie
à deux ? N'est-ce pas là une contradiction dans l
cience, n° de janvier 1881, p. 563.) Le plus habituellement dans la
folie
à deux, la personne qui arrive à partager les i
s. Les cas suivants sont intéressants, d'abord parce que les cas de
folie
communiquée sont assez rares pour mériter toujo
ée. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Telle est dans ce cas la
folie
génératrice ; la folie engendrée chez une femme
PATHOLOGIE MENTALE. Telle est dans ce cas la folie génératrice ; la
folie
engendrée chez une femme de trente-six ans, mar
tique sur les mensonges des hystériques. On a beaucoup écrit sur la
folie
hysté- rique sans qu'il soit possible de déterm
ossible de déterminer ce qu'on entend par là, d'abord, à cause delà
folie
qu'il est difficile de définir, et aussi de l'h
aconter et le rendre vraisemblable. Cet état peut être comparé à la
folie
à deux, où l'on voit l'organe actif inventer le
l'autre des deux ten- dances prédomine, la femme se rapproche de la
folie
ou de la raison. Le romancier, qui écrit, ne fa
ient pas à la stérilité, fatalement toute la race serait vouée à la
folie
. La stérilité est donc une porte de sortie qu'i
ie reste ouverte et la nation échappe ainsi à l'envahissement de la
folie
. Il ajoute que si les crétins persistent dans c
iénation sont entière- ment passées sous silence ; d'autre part, la
folie
puerpérale figure parmi les maladies des organe
l'uniformité de classification et d'enregistrement des causes de la
folie
dans les comptes rendus des Asiles. » La discussi
ne fausse route, c'est une chute vertigineuse dans les abîmes de la
folie
, chute pleine d'angoisses pour celui qui tombe,
la fièvre typhoïde, l'encéphalite, le délirium tremens fébrile, la
folie
puerpérale, l'état de mal épileptique achève de
ette époque. Hérédité. Cette affection est aussi héréditaire que la
folie
ou l'épilepsie, bien qu'il n'y ait aucune relat
t moral se trouve spécialement indiqué à une certaine période de la
folie
circulaire, alors que le malade est dans un éta
avec Z1'afiection,,étûdiée,par,LégTând,du,,Sulë ' sous, le 1 nom de
folie
- ,du doute avec délire, du toucher, ^mais qui
la,' kleptomanie, etc. Ce n est pas non plus une forme complète de
folie
, car les (fin ? 011. nr\ L i : n iitoi'i ttft -
n r < ( ? h ,. - i' 3(mBLi.vqiiiqs. '< ifnniiA VIII : Cas DE
folie
systématique 'aiguë primitive' WESPHAL ) ; at p
l'hyperthernie, de 'l'agitation -musculaire avec incoordina- tion (
folie
musculaire) et. des 1 crises (de convulsions toni
. c'est en,ce sens au on pu.dire,que le génie, est voisin de, la i
folie
; mais. la, différence reste, capitale, puisque,
parents ou amis, ettenfinde la prophylaxie ou de la, guérison de la
folie
. La nomination dans chaque^État ''d'inspecteurs
ez les monomaniaques et principalement chez les femmes atteintes de
folie
sexuelle, parce qu'elles cherchent, à l'aide de
' chez les sujets prédisposés, déter- minera une forme spéciale de'
folie
, folie cardiaque, tantôt dépres- sive, tantôt d
les sujets prédisposés, déter- minera une forme spéciale de' folie,
folie
cardiaque, tantôt dépres- sive, tantôt délirant
t dépres- sive, tantôt délirante et pouvant mener au suicide : 1 La
folie
cardia- que subit l'influence delamaladiecausal
uments puisés aux sources les plus sûres. Les chapitres consacrés aux
folies
erotiques du sabbat et de la messe noire, contien
e devient une série d'hallucinations ou, comme Wundt l'exprime, « une
folie
normale temporaire . Sans doute c'est cette absen
by, d'Alger Première partie. — Les miracles devant la Science. — La
folie
hystè~ rique de Marie Alacoque. — Je comparerais
tisme n'était pas autre chose qu'une suggestion capable de mener à la
folie
les meilleurs cerveaux, ainsi que le prouvent de
ance sérieuse, la guérison est obtenue dans la majorité des cas. La
folie
dans l'art dramatique. Les tragiques grecs (1);
lucidité d'esprit (1)• Euripide, pour sa part, a peint deux fois la
folie
du fils d'Agamemnon : dans son Oreste et dans son
d'être une sorte de mystère religieux pour devenir une maladie. La
folie
d'Oreste est la conséquence et la suite immédiate
enard, véritable incube, y est tenu par un acteur. au moyen de la
folie
. Il n'y a pas à se tromper sur la pensée d'Euripi
et regardait Cain. Voyons maintenant quel est le caractère de cette
folie
. Au début de la pièce, Oreste dort, veillé par
notre méthode actuelle et tant vantée de l'alitement dans la cure des
folies
aiguës, à laquelle elle pourrait servir d'épigrap
rrait servir d'épigraphe, est, elle aussi, renouvelée des Grecs. La
folie
d'Oreste n'est donc pas, comme a pu l'écrire je n
compositeur allemand nous voyons Oreste en proie à ses furies, cette
folie
nous est contée et non montrée. Le récit n'en est
l gémissait, agitait des bras tremblants et dans les transports d'une
folie
terrifiante criait, comme un chasseur : « Pylade,
pectant pour la forme l'idée courante de l'origine surnaturelle de la
folie
, il connaissait l'importante action de l'hérédité
ette influence purement conventionnelle des puissances divines sur la
folie
, je n'hésite pas à déclarer que nulle part il n'e
n mortel plus malheureux que lui. » Cette description de l'accès de
folie
d'Hercule est non seulement une belle page dramat
sommairement esquissée dans ses plus larges traits, l'histoire de la
folie
dans l'art dramatique grec. Au moment où nous
insi que l'a montré Semelaigne, des notions déjà intéressantes sur la
folie
, n'isolent pas, dans une description bien nette,
de savoir en user. . PSYCHOLOGIE HIÉROLOGIQUE Marie Alacoque, sa
folie
hystérique, par M. le Dr Roudy, d'Alger (Suite)
ts d'extase, les attaques petites et grandes de convulsions, enfin la
folie
hystérique avec ses hallucinations de l'ouïe, de
uleur n'a pas reparu. PSYCHOLOGIE HIÉROLOGIQUE Marie Alacoque, sa
folie
hystérique, par M. le Dr ROUBY, d'Alger (Suite)
is arrivons à ce que nous pourrions nommer un comble, le comble de la
folie
. On sait que presque toujours les hystériques,
i comprend. Ils diront avec moi, que Marie Alacoque était atteinte de
folie
hystérique sans qu'aucun doute puisse naître à ce
anition fait d'ordre général, est capable de produire le délire et la
folie
. La dyspepsie engendre des troubles psychique
, le vertige, les hallucinations, les idées fixes, le délire aigu, la
folie
. D'après M. Pron, la théorie de l'auto-intoxica
xcitations anormales. PSYCHOLOGIE HIÉROLOGIQUE Marie Alacoque, sa
folie
hystérique, par M. le Dr Rouby, d'Alger (fin) (
partie (2). — Les prédécesseurs de Marie Alacoque: sœur Clément. — La
folie
hystérique se produit le plus souvent, comme nous
le.. Notons que la confusion d'idées qui se produit dans les cas de
folie
simple n'existe pas toujours dans le cas de folie
uit dans les cas de folie simple n'existe pas toujours dans le cas de
folie
hystérique ; une certaine dose de raisonnement pe
e l'aliénation mentale. Et de même que sœur Clément est atteinte de
folie
hystérique, de même quelques années plus tard Mar
les Voisin.—Chez les héréditaires, chez les individus atteints de
folie
morale, en particulier, les symptômes se succèden
le pour être absolument exacte. DISCUSSIONS & POLÉMIQUES La
folie
hystérique de Marie Alacoque : M. le Dr Rouby et
urce, à tarir les névroses. DISCUSSIONS & POLÉMIQUES _ La
folie
hystérique de Marie Alacoque (1) Réponse du Dr
pas la Bienheureuse qui avait souligné elle-même les symptômes de sa
folie
. Voyons d'autres reproches que nous fait M. l'A
passage, vous avez dit, « elle n'a pu le faire que dans un moment de
folie
». Ayons pour la pauvre créature une pitié rétros
ière après la Supérieure, et pourtant erre réellement atteinte de
folie
hystérique. Chez Sainte Thérèse aussi, ses écrits
barbarie des peuples inférieurs, mais précisément dans une période de
folie
hystérique pendant laquelle ses hallucinations jo
lacoque (Marie), par Rouby, p. 112,150, 180, 215, 373. Alacoque (La
folie
hystérique de Marie), par Hamon, p. 339. Alcool
phénomènes de l'hypnotisme (L'|, par Wijnaendts Francken, p. 201..
Folie
dans l'art dramatique. Les tragiques grecs (La),
ous avons observés appartenaient aux différents types cliniques de la
folie
; sans entrer dans l'étude raisonnée de leurs tro
mentaux décrits par Magnan sous le nom de syndromes épisodiques de la
folie
héréditaire. Les neurasthéniques ne sont pas de
des conséquences si souvent fâcheuses pour elles de l'évolution de la
folie
. Falret a souvent développé cette nécessité de
s'étendait longuement sur les caractères propres à chaque variété do
folie
pour rendre indiscutable cette vérité. Falret d
et a développé ses idées sur la non-existence de la monomanie, sur la
folie
circulaire et sur l'importance des recherches ana
ompte des troubles des facultés intellectuelles et affectives dans la
folie
. C'est le souvenir de ces importants travaux et
. 11 a consacre une bonne partie de ses leçons à la description de la
folie
à double forme ; il présentait fréquemment à ses
t fréquemment à ses auditeurs une malade atteinte de cette variété de
folie
qui, transférée dans mon service, y a encore vécu
Irlande. L'alcool joue un rôle important dans ce développement de la
folie
. Mais l'abus du thé et surtout la manière dont le
e année. — n° 3. Septembre 1894 LES RAPPORTS DE L'HYSTÉRIE ET DE LA
FOLIE
(1) Par M. Gilbert Ballet, professeur agrégé à
Paris. « L'hystérie, a dit Esquirol, dégénère et passe souvent à la
folie
et dans beaucoup de cas elle n'en est que le prem
» Les idées depuis lors se sont notablement modifiées et l'étiquette
folie
hystérique, qui fut naguère courante, n'est plus
les asiles. Avec Foville, nous comprendrons, sous la dénomination de
folie
, l'état de toutes les personnes qui ne jouissent
t se juxtaposer à l'hystérie. 11 n'est pas une seule des formes de la
folie
qui ne puisse s'y associer : l'épilepsie avec ses
le pensons pas cependant. L'étude des rapports de l'hystérie avec la
folie
manquerait de base et perdrait à la fois son inté
tes propagandistes par le fait sont généralement des fous affectés de
folie
morale et il faut les traiter comme tels. 2° Le
veaux malades, qu'on peut espérer faire disparaître les dangers de la
folie
anarchiste. Pour M. le Dr Macario, de Nice, l'a
d a aussi recherché l'effet produit sur les facultés musicales par la
folie
et l'idiotie. Il trouve que les idiots peuvent av
ors de quelques cas rares, tels que ceux dont je viens de parler, les
folies
partielles du même genre que j'ai observées ont é
ertie de la volonté, sans qu'il s'y mêle d'autres signes marquants de
folie
; mais le plus souvent l'aboulie accompagne l'alié
masquer les autres symptômes, dans la stupidité, l'enfance sénïle, la
folie
circulaire, etc. J'ai trouvé l'aboulie, dans ce
ées, presque entièrement pure et débarrassée de tout autre alliage de
folie
, chez une femme très impressionnable qui, à la su
ue des manières d'être diversifiées. Le sommeil, qu'on peut appeler :
folie
physiologique, est avec la veille, au point de vu
dhas de Ceylan, il danse jusqu'à ce qu'il soit pris de vertiges ou de
folie
. Les Néo-Calédoniens sont très hystériques. Pen
omnie. L'hypnotisme ne me semble pas applicable au traitement de la
folie
, malgré mes tentatives réitérées. Dans les affe
s les plus communes jusqu'aux lésions les plus caractéristiques de la
folie
. Académie de médecine. — Aux termes de son test
ique du miracle Supercherie? Hallucinations ou extases hystériques?
Folie
? Nous ne nous attarderons pas à discuter les visi
soupçonner d'innocence un homme qui n'aura jamais montré de signe de
folie
, qui aura gardé toutes les apparences de la raiso
oi avec mon acquisition. Mais, en chemin, le regret me saisit. Quelle
folie
je venais de faire! Où accrocher ce sujet religie
, à les entendre, que l'humanité fût devenue croyante par pur acte de
folie
, alors que la religion a, chez tous les peuples,
émontrer la similitude qui existait : entre la formation de l'état de
folie
de Blanco, qui, par l'affirmation qu'il s'en étai
i adressait et se laissait conduire par ses proches. Cette sorte de
folie
, où l'intelligence et la volonté avaient en grand
l'intelligence et la volonté avaient en grande partie fait naufrage,
folie
que je rencontrai pour la première fois, a été si
jeune fille que j'avais déjà traitée, et de la cause de la singulière
folie
qu'elle avait présentée ensuite. Et ce qui me don
s plus épouvantables et que l'on n'exécute que dans certains états de
folie
. Quant à ne parler que du sommeil ordinaire, il
tions de la), par Ireland, 124. Figuier (Louis), nécrologie, 100.
Folie
(les rapports de l'hystérie et de la), par Ballet
ologie des centres nerveux (Mathias. Duval), 240. Hystérie et de la
folie
(les rapports de 1'), par Ballet. 65. Hystéro-t
s discussions qui viennent de se succéder dans nos séances, sur les
folies
héréditaires d'abord sur le délire chronique ensu
ouper d'une façon rationnelle les différentes formes décrites de la
folie
.More ! avait déjà fait'cet essai. S'il n'a pas
és qui n'ont rien négligé pour les faire triompher. Suivant eux, la
folie
des persécutions ne serait en aucun cas une aff
nter à plus de huit jours; les symptômes observés et les preuves de
folie
constatés personnelle- ment par le signataire,
ter à plus de huit jours ; les symptômes observés et les preuves de
folie
constatées personnellement par le signataire, a
e, que la paralysie générale n'est pas héréditaire à la façon de la
folie
proprement dite, que son hérédité est une héréd
la grand'mère; 11 malades avaient un frère ou une soeur atteints de
folie
, et, parmi ces 11, il en était 2 dont le frère
la langue. Ses accès étaient plutôt diurnes que nocturnes. - Pas de
folie
, ni de kleptomanie, ni de pyromanie; il aimait à
rait qu'il va devenir paralysé. Pas de morsure de la langue. Pas de
folie
consécutive. Le caractère a toujours été violen
une grande richesse d'expressions et de coloris. P. K. III. DE LA
FOLIE
DES persécutés PERSÉCUTEURS (PROCESSIFS, chicanie
eint surtout les recrues et guérit promptement. On rencontre peu de
folies
cu- rables chez les sous-officiers; prédominanc
es sous-officiers; prédominance de la paralysie géné- rale et de la
folie
systématique. Les officiers sont encore plus af-
quante pour cent de paralytiques généraux ; trente-six pour cent de
folies
systématiques (religieuses ou hypochondriaques)
nn, Guttstadt et Moeli, ces deux derniers secrétaires. M. IDELER.
Folie
épileptique. Accusation de banqueroute fraudu-
'idiotie, dans la démence secon- daire, dans la mélancolie, dans la
folie
systématique. Les idiots ne parlent pas, parce
nflamment. Ceci peut avoir lieu pendant le stade mélancolique de la
folie
circulaire. Une malade observée par l'auteur ét
a attiré l'attention du congrès principalement sur les mots vagues «
folie
et « démence » par lesquels la loi désigne tout
erons de reproduire textuelle- ment : 1° mélancolie ; 2° manie; -3°
folie
primitive : a) aiguë, SOCIETES SAVANTES. 301
ns du cerveau, c) sénile ; 5° paralysie générale progressive ; - 6°
folie
hystérique ; - 7° folie épilep- tique ; - folie
; 5° paralysie générale progressive ; - 6° folie hystérique ; - 7°
folie
épilep- tique ; - folie périodique ou circulair
progressive ; - 6° folie hystérique ; - 7° folie épilep- tique ; -
folie
périodique ou circulaire; - 9° délire aigu des
gnes d'une réelle valeur pour caractériser cer- taines formes de la
folie
telles que la mélancolie avec stupeur; la manie
: le vertige, les hallucinations, l'insomnie, les cauche- mars, la
folie
, sont parmi ceux-ci les plus habituels. L'influen
ment où elle fut instituée, eut pour résultat immédiat de rendre la
folie
plus calme, les crises moins dangereuses et moi
blié un mémoire plein de recherches et d'idées sur l'homicide et la
folie
, et en 1858 il fut nommé médecin consultant de
minels à Auburu. En 1868, dans un mémoire sur les rela- tions de la
folie
avec la médecine, il soutint que l'aliénation est
arriva presque à créer une science et une littérature relative à la
folie
, et à inscrire son nom en caractères doubles dans
n journal o/' insanity, et publia une série de mémoires en 1871, La
folie
dé- ' The Boulon méd. Journal, 17 mars 1887, p.
ARIA. 317 î pend d'une maladie physique ; en 1873, Pathologie de la
folie
; en 1874, Vue générale de la folie et Pensées s
ique ; en 1873, Pathologie de la folie; en 1874, Vue générale de la
folie
et Pensées sur les causes de la folie. Cette mê
; en 1874, Vue générale de la folie et Pensées sur les causes de la
folie
. Cette même année il fut nommé professeur de ps
us. Dernièrement, dans un grand asile, un malade était atteint de
folie
furieuse. Vous savez qu'en pareil cas, les malade
e par intervalles, ce sont des éclairs dans le long égarement de la
folie
; les périodes de rémission se rapprochent alors
er le moyen de fixer leur attention sur des objets étrangers à leur
folie
, de communiquer à leur esprit des idées nouvell
mérique surtout, de nombreux cas de suicide et des cas fréquents de
folie
. 11 n'est pas jusqu'aux représentations théâtra
e indifférent pour les souffrances des aliénés parce qu'il croit la
folie
incurable. On ne brûle plus les fous comme aux
rs ou privés. La surveil- lance de nuit de 29 épileptiques et de 24
folies
suicides est encore confiée aux camarades des m
Faisceau pyramidal (anatomie com- parée du), par Spitzka, 417.
Folie
épileptlqùe, par hUer, 285. Gliomatose médullai
méningite spinale, par Morse, 113. Persécutés persécuteurs (de la
folie
des), par Fritsch, 271. Plexus choroïdes (tum
u'on peut décrire comme une maladie spéciale idiopathique. C'est la c
folie
du doute avec délire du toucher » de Lcgrand du S
te sur ce sujet au Congrès de Berlin, a eu raison de dire que dans la
folie
du doute, le doute a passé des malades aux savant
délire du toucher peut exister sans être associé au doute, et que la
folie
du doute existe sans délire du toucher. J'ai cons
une idée obsédante. Dans ces quatre cas, sans exception aucune, la
folie
du doute s'est évoluée après le délire du toucher
obsessions, le délire du toucher occupe une place spéciale, et que la
folie
du doute qui, dans d'autres cas, peut être idiopa
t plus aussi bonne qu'auparavant. Il n'y a pas le moindre symptôme de
folie
du doute, ni de véritable méfiance de soi-même, n
tés savantes do Paris ot des départements. — Les hallucination» et la
folie
de Cenfant. — M. Moreau (de Tours) appelle l'atte
ensuite une note sur « quelques considérations médico-légales sur la
folie
chez les enfants Après avoir passé en revue les t
es contre sa thèse. Depuis plusieurs années déjà, il avait signalé la
folie
du malheureux Lombroso, le créateur de l'anthropo
n tour, humble victime de cette funeste question, je suis frappé de
folie
et d'épilepsie, d'après le diagnostic de l'illust
nier numéro de la Renie de l'Hypnotisme (p. 40}. Moi-même, quoique la
folie
et l'épilepsie oblitèrent chaque jour davantage m
aient au repos psychique. Dans la manie, dans la monomanie, dans la
folie
hallucinatoire, ni dans quelques cas de véritable
anie, dans la folie hallucinatoire, ni dans quelques cas de véritable
folie
, je n'ai réussi à provoquer aucun changement appr
, p. 11.) ?ichon (G.). — Etudes de psychologie et d'hygiène sociale :
folies
passionnelles; étude» philosophiques H sociales
pparence d'une accession. « L'alcoolisme ne peut être assimulé à la
folie
, déclare péremptoire-« ment M. le conseiller Proa
ussi n'hésite-t-elle pas à déclarer que l'alcoolisme est une forme de
folie
, aussi nette, aussi définie que celle qualifiée d
es du mercredi sont consacrées à l'étude pratique du diagnostic de la
folie
. Les leçons auront pour objet, cette année, la fo
diagnostic de la folie. Les leçons auront pour objet, cette année, la
folie
des héréditaires dégénérés (délires et syndromes
or-phinomanie ne doit pas entrer dans la catégorie des psychoses, des
folies
. Les auteurs qui se sont occupés dernièrement de
s ses maisons d'aliénés des malades qui ne sont nullement atteints de
folie
, de l'aveu même des partisans de la séquestration
ictement logiques avec eux-mêmes : ¦ la morphinomanio n'est pas une
folie
, donc, n'assimilons pas ces malades aux aliénés,
minées, et, dans un dernier chapitre, on trouvera le traitement de la
folie
. Tout en attachant une grande importance au tra
oute espèce de médication el que la malade arrivait aux confins de la
folie
, ce fut alors seulement, c esl-à-dire un an envir
ls-nés. Y a-t-il un type criminel anatomique ? 2° Du suicide et de la
folie
chez les délinquants ; 3° De l'influence de la si
s ; 3° De l'influence de la simulation sur la genèse d'accès réels de
folie
; 4° Des influences physiques de la délinquance; 5
amedi 11 janvier I*'-;. — Présidence de M. DiKtmmjJt». (SuiU.) La
folie
hystérique et la suggestion hypnotique. Par M.
dent me demande à brûle-pourpoint de vous décrire en quelques mots la
folie
hystérique. La chose est bien osée; cependant, je
cependant, je vais tacher de vous en donner un résumé succinct. La
folie
hystérique peut survenir de deux façons : elle pe
assecomme une jeltatura. Dans le deuxième cas. où l'évolulk.n de la
folie
hystérique est progressive, on peut dire que c'es
nt des actes dangereux et même l'homicide. La forme délirante de la
folie
hystérique, et non hallucinatoire, offre toutes l
nne, et se montrent méchantes à un point qu'on ne peut imaginer. La
folie
hystérique a les relations les plus intimes avec
ue de ces malades leurs habitudes souvent invétérées d'onanisme. La
folie
hystérique, dont on n'a pu arrêter la marche, con
nimal. La thérapeutique peut heureusement arrêter l'évolution de la
folie
hystérique dans les premiers temps. L'isolement,
nt cette intervention divine dans les manifestations délirantes. « La
folie
, dit-il, est un état de souffrance de l'organisme
résultat. La maladie empirait; il commençait i donner des signes de
folie
avec délire de persécution; il croyait voir trois
siers, au point de vue spécial qui non* occupe. Dans cette forme de
folie
systématisée, que l'on nomme depuis Lasègue le de
cle du Médical Standard. — La goutte a une qualruple relation avec la
folie
: elle peut la produire, la modifier, la guérir o
opposition évidente aux anciennes habitudes de Pitt indiquent bien la
folie
; surtout, il laissa libres ses collègues du minis
l conserva toute son éloquence au point qu'on ne se doutait pas de sa
folie
. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Delbœuf J.j. — /.'
nie traitée par l'hypnotisme, 14. Enfants (les hallucinations et la
folie
chez les), 30. Enfants (faux témoignages suggér
la mère sur le), 52. Fœtus (impressions maternelles sur le). 196.
Folie
histérique et la suggesuon hypnotique (la), par A
qu'elle satisfait sans relâche. Elle veut, dit-elle, boire jusqu'à la
folie
. Elle ne dort plus, elle a des illusions et des h
la belladone et aussi parce que le délire violent fut pris pour de la
folie
. Nous connaissons un pharmacien qui observa, il
ther; enfin, le délire des grandeurs, qui est la forme actuelle de la
folie
humaine. A quelle influence faut-il attribuer l
la forme. La sorcière du moyen âge existe encore aujourd'hui, mais sa
folie
est différente, car les circonstances ont changé.
rs, font naitre les délires mélancoliques ont produit au moyen âge la
folie
des sorcières. Ce sont des hallucinées qui tout
u s-préfectures. Le Dr Regnard a étudié tout au long cette horrible
folie
du moyen âge qui fit un si grand nombre de victim
l'humanité se présente sous une forme bien caractéristique : c'est la
folie
des grandeurs, l'amour immodéré du succès et de l
tricité, la police et les jésuites. Voilà la forme actuelle de la
folie
; ajoutez à cela le régime social sous lequel nou
e les rapporter. Après avoir fait en quelque sorte l'histoire de la
folie
humaine dans les temps modernes, l'auteur se dema
maine dans les temps modernes, l'auteur se demande quelle forme cette
folie
prendra demain. Selon lui, le délire épidémique d
e épidémique du vingtième siècle pourra être le délire du carnage, la
folie
du sang et de la destruction. Cette conclusion
rrivé si souvent aux seizième et dix-septième siècles. De plus, cette
folie
on l'a étudiée, on commence à la connaître. Par c
spasmodiques la plupart des névralgies, le somnambulisme et certaines
folies
liées a une ischémie ou a l'anémie cérébrale sans
une suggestion et celui de certains fous permet de dire qu'il y a des
folies
qui ne sont qu'une forme de somnambulisme yeux ou
contracture rhumatismale, de manifestations hystériques diverses, de
folie
, etc.), terminent cette importante communication
faible soudain frappées d'aliénation mentale, de délire ambitieux, de
folie
des persécutions... Nous croyons savoir que nos a
d'ébranler le système nerveux de ces impressionnables candidats à la
folie
, et consomme vivement la perte complète de leur s
raine.) — Un fort volume in-8°: F. Alcan, éditeur, 1887.— 10 fr. La
folie
érotique, par M. le professeur B. Boll. (Petite B
etite fille. On peut dire qu'à partir de ce moment-là, elle côtoie la
folie
; qu'une cause occasionnelle intervienne et elle y
certitude absolue, et si nous croyons possible d'éliminer l'accès de
folie
puerpérale, c'est parce que nous trouvons ici une
elon moins élevé. Les statistiques démontrant la transformation de la
folie
des parents en hystérie chez les enfants sont en
souvenir des misères dont une maladie nerveuse qualifiée alcoolisme,
folie
, épilepsie, hystérie) ait pu accabler les générat
plutôt les caractères des formes nerveuses pures, hystériques, de la
folie
que ceux, des formes paralytiques, toxiques, mono
ine ; J.-B. Baillière. In-12, 1888 (3 fr. 5o.) Les frontières de la
folie
, par le docteur A. Cullerre. membre correspondant
la lût exact, et il n'en est pas ainsi, la guérison de cette forme de
folie
ne serait-elle pas un grand progrès dans le trait
résistantes aux moyens thérapeutiques connus. J'ai traité : 1° Une
folie
lypémaniaque avec hallucinations et idées de suic
de deux mois, et au bout de quinze jours j'avais un succès ; 2° Une
folie
lypémaniaque avec agitation, impulsions violentes
nfance et qui, triste réalité, sont opérées chaque jour encore par la
folie
; on y verra donc des changements de personnalité,
devant les médecins et les étudiants étonnés. » BIBLIOGRAPHIE La
Folie
érotique, par B. Ball, professeur a la Faculté de
. le professeur Ball a entrepris, dans ses cliniques, de parler de la
folie
érotique, ce n'est point assurément pour complair
cile de fixer nettement la ligne de démarcation entre la raison et la
folie
. « Parmi les instincts réguliers et normaux don
er d'affaires scandaleuses, dans lesquelles la part du crime et de la
folie
est presque impossible a déterminer. Et c'est ici
nt de vue didactique, M. Ball adopte la classification suivante de la
folie
erotique : 1° Erotomanie ou folie de l'amour ch
la classification suivante de la folie erotique : 1° Erotomanie ou
folie
de l'amour chaste; 2° Excitation sexuelle compr
diées successivement les différentes questions qui se rattachent à la
folie
erotique. Ce livre est écrit avec la verve et la
la notion de sa personnalité, qui lui donnerait les apparences de la
folie
, le jetterait dans le délire, l'extase ou l'extra
émoignages, par Bernheim, 4. Femme accouchée sans le savoir, 217.
Folie
érotique (la), 351. Force neurique (la), par Ba
qu'elle satisfait sans relâche. Elle veut, dit-elle, boire jusqu'à la
folie
. Elle ne dort plus, elle a des illusions et des h
la belladone et aussi parce que le délire violent fut pris pour de la
folie
. Nous connaissons un pharmacien qui observa, il
ther; enfin, le délire des grandeurs, qui est la forme actuelle de la
folie
humaine. A quelle influence faut-il attribuer l
la forme. La sorcière du moyen âge existe encore aujourd'hui, mais sa
folie
est différente, car les circonstances ont changé.
rs, font naitre les délires mélancoliques ont produit au moyen âge la
folie
des sorcières. Ce sont des hallucinées qui tout
u s-préfectures. Le Dr Regnard a étudié tout au long cette horrible
folie
du moyen âge qui fit un si grand nombre de victim
l'humanité se présente sous une forme bien caractéristique : c'est la
folie
des grandeurs, l'amour immodéré du succès et de l
tricité, la police et les jésuites. Voilà la forme actuelle de la
folie
; ajoutez à cela le régime social sous lequel nou
e les rapporter. Après avoir fait en quelque sorte l'histoire de la
folie
humaine dans les temps modernes, l'auteur se dema
maine dans les temps modernes, l'auteur se demande quelle forme cette
folie
prendra demain. Selon lui, le délire épidémique d
e épidémique du vingtième siècle pourra être le délire du carnage, la
folie
du sang et de la destruction. Cette conclusion
rrivé si souvent aux seizième et dix-septième siècles. De plus, cette
folie
on l'a étudiée, on commence à la connaître. Par c
spasmodiques la plupart des névralgies, le somnambulisme et certaines
folies
liées a une ischémie ou a l'anémie cérébrale sans
une suggestion et celui de certains fous permet de dire qu'il y a des
folies
qui ne sont qu'une forme de somnambulisme yeux ou
contracture rhumatismale, de manifestations hystériques diverses, de
folie
, etc.), terminent cette importante communication
faible soudain frappées d'aliénation mentale, de délire ambitieux, de
folie
des persécutions... Nous croyons savoir que nos a
d'ébranler le système nerveux de ces impressionnables candidats à la
folie
, et consomme vivement la perte complète de leur s
raine.) — Un fort volume in-8°: F. Alcan, éditeur, 1887.— 10 fr. La
folie
érotique, par M. le professeur B. Boll. (Petite B
etite fille. On peut dire qu'à partir de ce moment-là, elle côtoie la
folie
; qu'une cause occasionnelle intervienne et elle y
certitude absolue, et si nous croyons possible d'éliminer l'accès de
folie
puerpérale, c'est parce que nous trouvons ici une
elon moins élevé. Les statistiques démontrant la transformation de la
folie
des parents en hystérie chez les enfants sont en
souvenir des misères dont une maladie nerveuse qualifiée alcoolisme,
folie
, épilepsie, hystérie) ait pu accabler les générat
plutôt les caractères des formes nerveuses pures, hystériques, de la
folie
que ceux, des formes paralytiques, toxiques, mono
ine ; J.-B. Baillière. In-12, 1888 (3 fr. 5o.) Les frontières de la
folie
, par le docteur A. Cullerre. membre correspondant
la lût exact, et il n'en est pas ainsi, la guérison de cette forme de
folie
ne serait-elle pas un grand progrès dans le trait
résistantes aux moyens thérapeutiques connus. J'ai traité : 1° Une
folie
lypémaniaque avec hallucinations et idées de suic
de deux mois, et au bout de quinze jours j'avais un succès ; 2° Une
folie
lypémaniaque avec agitation, impulsions violentes
nfance et qui, triste réalité, sont opérées chaque jour encore par la
folie
; on y verra donc des changements de personnalité,
devant les médecins et les étudiants étonnés. » BIBLIOGRAPHIE La
Folie
érotique, par B. Ball, professeur a la Faculté de
. le professeur Ball a entrepris, dans ses cliniques, de parler de la
folie
érotique, ce n'est point assurément pour complair
cile de fixer nettement la ligne de démarcation entre la raison et la
folie
. « Parmi les instincts réguliers et normaux don
er d'affaires scandaleuses, dans lesquelles la part du crime et de la
folie
est presque impossible a déterminer. Et c'est ici
nt de vue didactique, M. Ball adopte la classification suivante de la
folie
erotique : 1° Erotomanie ou folie de l'amour ch
la classification suivante de la folie erotique : 1° Erotomanie ou
folie
de l'amour chaste; 2° Excitation sexuelle compr
diées successivement les différentes questions qui se rattachent à la
folie
erotique. Ce livre est écrit avec la verve et la
la notion de sa personnalité, qui lui donnerait les apparences de la
folie
, le jetterait dans le délire, l'extase ou l'extra
émoignages, par Bernheim, 4. Femme accouchée sans le savoir, 217.
Folie
érotique (la), 351. Force neurique (la), par Ba
e. M. Delbceuf n'ignore pas, d'ailleurs, que l'alcoolisme engendre la
folie
criminelle, et que ses funestes progrès sont marq
e d'un côté que de l'autre ; il y a eu de part et d'autre un accès de
folie
impulsive, artificiellement provoquée dans un cas
s, et qu'il ne peut être considéré comme aliéné. » Hamlet simule la
folie
; il l'avoue et le déclare d'avance; « dès lors,
d'enfants dégénérés, dépopulation, criminalité, suicides, mortalité,
folie
), et des mesures prises dans divers pays pour ent
usque-là, avais eu une insurmontable aversion pour le tabac ! Cette
folie
du goût me dura trois jours, pendant lesquels je
, et elle disparut subitement et sans laisser le moindre résidu. La
folie
ou vice dipsomaniaque dont est atteinte la jeune
aison de ces élans passionnels, de ces caprices déconcertants, de ces
folies
sublimes qui mettent en déroute la froide analyse
t par la poste dans le courant du mois de février. Le sommeil et la
folie
. « Le monde est à ceux qui se lèvent de bonne h
entale. Voici ses arguments. Il signale la fréquence relative de la
folie
parmi les fermiers, leurs femmes, leurs filles et
de à ceux qui aiment à faire « la grasse matinée ». Cette cause de la
folie
parait beaucoup plus facile à combattre que l'alc
u les autres facteurs ordinaires de l'aliénation. La diminution de la
folie
par le séjour au lit le matin est une lâche que c
dépeindre devait fatalement les provoquer. « Aimant la musique à la
folie
, adorant chanter, et, quand je chantais, vibrant
ôle cérébral, suspension qui peut devenir très longue et aboutir à la
folie
, à des contractures, des paralysies ; c'est du re
ire à faire éclater une crise d'hystérie, d'épilepsie, de manie ou de
folie
, une période plus ou moins longue de défaut ou d'
uelques-uns des troublants problèmes que soulève la psychothérapie?
Folie
hystérique traitée avec succès par la suggestion
usiours de ses leçons seront consacrées à l'étude psychologique do la
folie
de Hamfef. Sorbonne. — M. Charles Henry, maître
h. de Paris, 1890. (?) Ballet : « Les rapports de l'hystérie et de la
folie
o [Comptes rendus du Congrès des Aliènistes et Se
0, F. Alcan, édit. (3) Pitres : Les rapports de l'hystérie et de la
folie
[discussion]. {Comptes rendus du Congrès des Aliè
st le premier cas de ce genre que j'ai observé. La simulation de la
folie
, surtout du délire des persécutions, est fréquent
e l'hypnotisme peut devenir, dans certains cas, un moyen de guérir la
folie
et un agent moralisateur. Mais les applications p
ntervention de ce procédé, n'auraient jamais recouvré leur liberté.
Folie
lypémaniaque avec hallucinations et idées de pers
it une réputation sérieuse et appartenait à cette école qui étudie la
folie
" dans ses rapports avec la pathologie générale. M
te bien. En résumé, cette malade, atteinte depuis plusieurs mois de
folie
lypémaniaque caractérisée par des hallucinations
et à écrire. Enfin, étant devenue enceinte depuis la guérison de sa
folie
, elle a accouché pendant l'hypnose sans avoir la
s'étend à tous les êtres supérieurs. Dans un travail intitulé : La
folie
communiquée de l'homme aux animaux, le Dr Féré in
analogues à celles que l'on observe dans les différentes formes dc la
folie
chez les humains. Les traumatismes encéphaliques
ique et de Gynécologie, -1886, ?. III, p. 455. (4) Pibrquin : De la
folie
des animaux, Paris, 1838, 1. 1. p. 478. se co
suite, ni disparaître ni* s'atténuer. Pierquin, dans son livre sur la
Folie
oes animaux, au chapitre consacré à la démence ac
e d'), par Boirac, 178. Fakirs indiens(la mort apparente des),62.
Folie
hystérique traitée avec succès par la suggestion
avec succès par la suggestion hypnotique, par Auguste Voisin, 308.
Folie
lypémaniaque traitée avec succès par la suggestio
stance grise de la région bulbaire, par J. Luys, 200. Sommeil et ta
folie
(le), 219. Sommeil tiers de notre vie, par E. J
e parle peu, et à plusieurs, reprises le délire s'est rapproché de la
folie
systématisée. C'est principalement pour combatt
hypnotisme. Donato avait suscité à Bordeaux une véritable épidémie de
folie
hypnotique. Les souteneurs endormaient des filles
at anormal de l'activité cérébrale^ bien qu'elle ne soit pas toute la
folie
, elle n'en constitue pas moins un des symptômes l
moins un des symptômes les plus tenaces tt les plus redoutables de la
folie
. Chez l'homme sain, l'homme instruit surtout, ell
le plus restreint. Assez fréquente chez l'adulte, la simulation de la
folie
est. en effet, fort rare chez l'enfant. 11 faut p
prononcé dans la dernière séance, c'est quelque chose d'analogue a la
folie
impulsive. L'individu, mû par une force extérieur
. de la somnolence, du coma léthargique, de l'hébétude et enfin de la
folie
et de la démence, ù la suite de manœuvres d'hypno
. Pitres, Donato avait suscité, à Bordeaux, une véritable épidémie de
folie
hypnotique, et M. Pitres, dans la /cerne de fHypn
de collègues et d'éléves. — Il a commencé une série de leçons sur la
folie
de la persé-cution, sujet qui emprunte une actual
e leçon); les persécutés ambitieux; les persécutés persecuteurs; la
folie
à deux ou folie communiquée; les idées de persé
persécutés ambitieux; les persécutés persecuteurs; la folie à deux ou
folie
communiquée; les idées de persécution : alcooli
demeurer ceux qui en sont afdigcs sur la limite de la raison et de la
folie
, tantôt les fait entrer dans l'une des catégories
'ai fait l'épreuve trop longtemps ! • Trélat. dans son Traité de la
Folie
lucide, déclare nettement que la t jalousie porté
éclare nettement que la t jalousie portée à l'excès esc une véritable
folie
. ¦ Nous voulons bien admettre qu'à certains point
rme d'aliénation mentale est atteint le sujet, s'il y a véritablement
folie
. Rappelons, en passant, que notre jalousie morb
aliénés, il semble qu'uni ligne mathématique * sépare la raison de la
folie
; vérité en deçà, erreur au delà, d'un côté >
aison de la folie ; vérité en deçà, erreur au delà, d'un côté > la
folie
, de l'autre lebon sens. » Mais, comme le fait obs
tracer qu'arbitrairement la limite précise qui sépare la raison de la
folie
, la maladie de la santé, le froid du chaud. Cela
contraire du chaud, que la maladie ne soit différeniede la santé, la
folie
de la raison. Xatura non facit sattus .* C'est un
de la Jolie. Celte région, située à la limite de la raison et de la
folie
, et que le vulgaire habituellement croit déserte,
ses applications à la pédiatrie. (i) Cullerre, Les Frontières de la
folie
. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Un Congrès d h
UE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRÈ>^-~£èfvice .le M. le D- v. VOISIN
FOLIE
LYPÉMANIAQUE AVEC IDÉES DE SUICIDE DATANT DE 8 AN
es ; le résultat est encourageant et très démonstratif : Schatf....
folie
morale, instincts vicieux, accès de manie aigué.
migraines. — La guerison se maintient depuis 1887. Lec..., 17 ans,
folie
mélancolique, hallucinations.— La guerison se mai
lucinations.— La guerison se maintient depuis i885. Dau..., î5 ans.
folie
mélancolique, hallucinations, idées et tentatives
inations. — La guerison se maintient depuis 1886. Mme G.... 25 ans,
folie
lypémaniaque, refus de manger. — La guéri-son se
instincts. — Amélioration très grande depuis 1887. Gen..., a5 ans,
folie
hystérique, délire éronque. — Amélioration très g
), par Delbœuf, 202. Femmes et l'étude de la médecine (les), 124.
Folie
lypémaniaque, guérison par la suggestion, par A.
ngent toutes les phobies sans exception dans !e cadre élastique de la
folie
héréditaire des dégénérés : ils en font, tantôt u
variété d'obsession irrésistible, tantôt un délire émotif, tantôt une
folie
raisonnante ; et, pour la majorité d'entre eux, t
oute phobie n'est guère que le premier stade d'une monomanie future :
folie
du doute ou du scrupule, délire des contacts ou d
effet, la phobie n'est d'abord « qu'une des nombreuses variétés de la
folie
du doute. » 11 la rapproche des phénomènes normau
générale (£878); Le cerveau et ses fonctions ((878); Traitement de la
folie
(1894); etc. Il avait, en outre, dirigé deux revu
nterrogeons donc la troisième cause inculpée comme génératrice de
folie
. La détention en elle-même mérite d'être prise en
sonnement individuel ou seulement collectif provoqueront peut-être la
folie
, nous ne le contestons pas, mais aussi ce que nou
e l'on nous accorde l'Inspection mediente, de tous les inculpés et la
folie
pénitentiaire aura vécu. Quand donc, magistratu
stème musculaire ? L'insomnie est l'un des premiers symptômes de la
folie
; chez les aliénés chroniques, elle peut persister
montrer l'existence d'un des symptômes les plus extraordinaires de la
folie
, connu sous le nom d'automatisme cérébral. La sur
ré le plus grave elles se confondent avec les psychoses : mélancolie,
folie
du doute, phobies. — Traitement. La 1. Congres
ps froids ou chauds, des courants électriques, est fréquente dans les
folies
toxiques, la manie, les délires systématisés. Cet
a été trouvé tantôt exagéré, tantôt diminué, tantôt supprimé dans la
folie
toxique, la mélancolie avec refus de la nourritur
r lésions cérébrales en foyers), dans la démence paralytique, dans la
folie
systématisée, et chez les maniaques, on a alterna
généraux, les épileptiques, elles sont monnaie courante du tabes, des
folies
toxiques, de l'hystérie, et aboutissent, en vertu
maurose. L'achromatopsie, ou la dyschroma-topsie, le daltonisme de la
folie
alcoolique et de l'hystérie, que nous avons déjà
dans les Archives de Médecine une étude tout à fait originale sur la
folie
rhumatismale. En 18G0, parut, dans les Archives d
lus épouvantables, et que l'on n'exécute que dans certains « états de
folie
(1). » V Le moment est venu maintenant d'insi
a thérapeutique suggestive trouve son indication dans certains cas de
folie
. Les observations, il est vrai, ne sont pas légio
la maladie de l'hypnotisme. On peut même dire que c'est une véritablo
folie
, car on ne rencontre plus par les rues qu'hypnoti
hommes et femmes, enfants et vieillards. La cause immédiate de cette
folie
d'un genre nouveau est un jeune médecin de l'endr
6. (3) Même pendant l'excitation maniaque et pendant le cours de la
folie
lypéma-niaque des plus intenses. (A. Voisin, Cong
a reproché à M. Aug. Voisin de n'avoir guéri par l'hypnotisme que des
folies
hystériques : on ne manquera pas de rééditer le m
ainsi que l'a déjà répondu M. Aug. Voisin, quand bien même les seules
folies
d'origine hystérique seraient justiciables de l'h
st en effet fréquente chez ces malades, qui tournent fréquemment à la
folie
mystique. Bcrnlu'im, il est vrai, a vu qu'ils son
ent en effet, condamnations sur condamnations jusqu'à, ce qu'enfin la
folie
, arrivée à ses dernières périodes, saute aux yeux
dire et cette profession de l'ancien propriétaire de la pendule et sa
folie
cl le genre même de son suicide? Y avail-il une c
us entretenait de ces grands er.fanls ballottes entre la raison et la
folie
, de ces toqués, qu'il nous décrivait avec une si
leuse est-elle susceptible de produire? Quels sont lea rapports de la
folie
et de la tuberculose? L'infection bacillaïre.peut
, certaines psychoses qui sont sur la frontière de la raison et de la
folie
? Quelle est la pathogenic de ces affections menta
: il est certainement inconscient. Un jour, dans un de ces moments de
folie
, Il se jeta sur sa belle-fille, une enfant de 13
s considère les psychoses d'origine tuberculeuse comme une sorte de «
folie
sympathique ». En précisant à ce point de vue les
sagère de la phtisie et des troubles mentaux à la foi?-, et enfin une
folie
furieuse avec recrudescence do la bacillosc. De
ante de ce qu'il appelle « Phtisical Insanity* ·>, c'est-à-dire la
folie
chez les phtisiques. Benj. Bail, dans une leçon
olie chez les phtisiques. Benj. Bail, dans une leçon consacrée à la
folie
des tuberculeux, et plus tnrb 8'Raé notent la fré
la sœur Sainte-Augus'.ino, ;!3.;omma cette dernière dans un accès de
folie
subite et aiguë. ' Que devons-nous penser aussi
tous les troubles psychiques, depuis la simple hypocondrie jusqu'à la
folie
furieuse, peuvent être précédés ou accompagnés d'
brièvement deux points cliniques assez curieux : 1° comment évolue la
folie
chez les tuberculeux; 2° quelles sont les formes
récriminations. Si l'existence se prolonge, le malheureux est pris de
folie
religieuse, ou tombe dans le mutisme, dans une po
e où généralement les lésions sont déjà profondes. D'après Bail, la
folie
des tuberculeux évolue de trois façons différente
es suivent une inarche parallèle ; i° chez d'autres, la phtisie et la
folie
onéisstutà une loi d'alternance et se remplacent
loi d'alternance et se remplacent mutuellement; 3° enfin, souvent la
folie
rem-placo la tuberculose : dans une famille de ph
verra un sujet n'échapper au bacille de Koch que pour succomber à la
folie
et vice versa. Quand les phénomènes psychiques
formes multiples de psychoses, depuis la simple mélancolie jusqu'à la
folie
délirante. Quelquefois, même, la phtisie se termi
obées./page> page n="332"> Traitement psychique d'un cas de
folie
délirante(iiwaiipsirresemy Par m. le dr Henri S
r, le met dans sa poche et croit qu'il va trouver du repos. — ß C'est
folie
d'emporter cet objet », pense-t-il, et il le jett
s pathologiques susceptibles d'amener la non-responsabilité, tels que
folie
, démence, imbécillité, idiotie, inconscience, sur
, p. 320. Faux témoignages suggérés, par Paul Joire, p. 126, 196.
Folie
délirante (Traitement psychique d'un cas de), p
othérapie, par Brugelmann, p. 136. Traitement psychique d'un cas do
folie
délirante, par Henri Stadelmann, p. 330. Trauma
lcool. On observe cela assez souvent chez des malades atteints de. la
folie
circulaire, en état maniaque. Quelquefois l'abus
,... et, le soir même, il allait danser au Moulin-Rouge ! Un cas de
folie
morale (1) Par M. le professeur Raymond Voici
bien connus en médecine mentale ; ils ont été décrits sous le nom de
folie
morale et il existe sur cette question des travau
is, de l'acte consenti par un hypnotisé, car l'hypnose est un état de
folie
momentanée. Malheureusement la théorie des actes
gréable; ils me parlait du succès de leurs « inclinations et de leurs
folies
et, qui pis est, j'y prenais plaisir, ce « qui fu
ins de Thérèse qui attri-huèrent ces phénomènes au démon et même à la
folie
, à la mélancolie, comme nous le dit sainte Thérès
rouve 1 cas d'hystéro-épilepsie, 1 cas de psychose émotive, I' cas de
folie
morale et 1 cas d'excitation maniaque légère avec
é publiquement en ridicule, fasciné brutalement, halluciné jusqu'à la
folie
furieuse, mis aux abois par les suggestions grote
nstructive chez les obsédés. On retrouve ces troubles moteurs dans la
folie
du doute, type des obsessions dites intellectuell
t je possède l'observation minutieuse. X..., sans aucun antécédent de
folie
héréditaire, a subi à l'âge adulte l'opération de
idées hypocondriaques qu'il ne peut pas chasser; il se voit menacé de
folie
et cette obsession, qui constitue un véritable tr
et de jeûner si rudement qu'il en faille mourir. C'est une espèce de
folie
de se traiter si cruellement pour mourir jeune. T
l de la malade et celui d'une dipsomane est exact. C'est une forme de
folie
héréditaire essentiellement intermittente et paro
ysique qui, en se refusant d'étudier les fous, expliquait toujours la
folie
par les influences diaboliques. Mais quand, moyen
scientifiques, on commença à s'occuper directement des fous et de la
folie
, c'est-à-dire quand le positivisme scientifique c
être appliqué aux sciences médicales, les médecins trouvèrent que la
folie
était une maladie organique. Alors les chaînes to
iatrie (cette science merveilleuse qui étudie toutes les gammes de la
folie
et des maladies nerveuses), l'école classique, di
ègues de la province et de l'étranger. La guerre du Transvaal et la
folie
en Angleterre. On remarque, en Angleterre, que
rium osera-t-il affirmer que ces causes sont seulement la démence, la
folie
morale, la minorité, la force irrésistible, etc.
es manies, mais des idées fixes et des obsessions; il versera dans la
folie
morale. Si, au contraire, on l'éduquc bien, si on
dées de persécution; tout le monde lui veut du mal. Elle a fait de la
folie
hystérique. Cette jeune femme est entrée dans n
rd que jamais. A cet égard le passé répond pour l'avenir. » C'estdonc
folie
de faire la révolution avant d'être en état de l'
tien hypnotique chez un jeune homme de 17 ans, par Moiroud, p. 155.
Folie
en Angleterre (La guerre au Trans- vaal et la),
ralysie au XVIIIe siècle (Un), p. 127. La guerre du Transvaal et la
folie
, p. 351. Janet (M. le Professeur Pierre), p.
provenance de l'écriture. Tardieu, dans une Étude médico-légale de la
folie
, traite le même sujet, mais moins profondément. D
appliquées. 15 décembre 1891.) Marandon de Mostheyel. — . In cas do
folie
sans délire Annales médico-psychologiques. mal-Ju
du criminel. Peut-être arrivera-t-on a trouver la raison d'être de la
folie
et du crime, avec toutes les Importantes solution
'épouvante me tiendrait loin d'ici. Mathis. — On ne peut croire aux
folies
des songeurs; ils trompent le monde pour Bagner d
our en faire leur demeure. C'est ici que la superstition confine à la
folie
; la crédulité excessive des esprits faibles enge
on d'une vive émotion, le cerveau se détraque et donne naissance à la
folie
. « C'est celle force, essentiellement physiolog
ose? — subissait un ascendant normal, l'ascendant de la raison sur la
folie
, et toute mon intervention reposait en définitive
8 et 10. REVUE DEL'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL,ET THÉRAPEUTIQUE LA
FOLIE
COMMUNIQUÉE DE L'HOMME AUX ANIMAUX (1) Par M. D
es et les maladies intellectuelles qui s'observent chez l'homme. La
folie
se montre dans certaines espèces avec la même hér
ontrée dans trois générations, et où dans deux générations on a vu la
folie
puerpérale se manifester deux jours après la déli
st moins contrariée chez eux par de mauvaises lois. La rareté de la
folie
chez les animaux rend compte de La pénurie des do
se. Vom Irrescyn der Thiere (ibid., p. 170). — Pienquin. Traité de la
folie
des animaux, 2 vol. in-8, 1839. — Lindsay. Madnes
paraissent pas avoir beaucoup fixé l'attention : à la contagion de la
folie
de l'homme aux animaux. Depuis le mémoire de La
ire de Lasègue et Jules Falret, on décrit chez l'homme sous le nom de
folie
communiquée, un délire identique chez deux ou plu
ez l'une des deux, remarquable en général par sa débilité mentale. La
folie
(1) Menus, Ueber paralytischen Blodsim bei Hund
ue suivant la nature de son propre mal. Plus souvent qu'une véritable
folie
, on voit se communiquer des anomalies émotionnell
rir par la séparation. On retrouve là les caractères principaux de la
folie
communiquée dans laquelle un individu atteint d'u
Italia termale. 1er février 1893 et suivants.) Massaut. — « Un cas de
folie
du doute avec délire du toucti't ». (Bulletin de
appants et les plus nets du traitement psychothérapique ? Un cas de
folie
passagère par imitation inconsciente. Par MM. B
Pujade. maire d'Amelie-les-Bains (Pyrénées-Orientales), sur un cas de
folie
passagère par imitation inconsciente ou auto-sugg
gique, par Pierre Janet, 83. Amour lesbien (l'), 224 Animaux | la
folie
communiquée de l'homme aux|, par Féré, 257. App
plade de), 91. Faux témoignage suggéré devant la Justice (un), 128.
Folie
communiquée de l'homme aux animaux (la), par Fé
28. Folie communiquée de l'homme aux animaux (la), par Féré, 257.
Folie
passagère par imitation inconsciente, 377. Gall
9. (3) Moraux, Encyclopédie franc. d'Opht , IV, 1905. NOTE SUR LA
FOLIE
HASCHICHIQUE (A PROPOS DE QUELQUES ARABES ALIÉN
moeurs indigènes modernes des centres européanisés. (1) Tableau des
folies
haschichiques et opiomaniaques placées en 1905 à
E Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. PL XLVII ARABES ALIENES.
FOLIE
HrISCHICHIQUE (Auguste Marie de Villejuif) .
Masson et Ci-, Éditeurs rhototy[no Bertrand, Pans. . NOTE SUR LA
FOLIE
HASCRIICHIQUE 253 Quoi qu'il en soit, le haschi
fréquentes et les plus sérieuses. Ayant eu l'occasion d'observer la
folie
haschichique au Caire, je donne ici quelques ph
sexe féminin avaient fait usage du haschich,et il est notoire que la
folie
est trois fois plus commune chez les hommes qui
d à démontrer grandement l'importance du haschich comme cause de la
folie
chez les Egyptiens hommes. En Europe, l'aliéna-
l'asile que les cas les plus graves. C'est ainsi que sur 208 cas de
folie
de toutes sortes admis à l'hôpital d'Alexandrie
un degré plus avant l'état subjectif de rêve devient un NOTE SUR L\
FOLIE
HASCllICHIQUE 235 5 véritable délire onirique p
Fig. VI). Le haschich agit sur la genèse de la criminalité et de la
folie
non moins que l'alcool chez nous; si le suicide
religion mahométane y pousse moins et que dans les autres formes de
folie
il est également rare chez l'Arabe. Au demeuran
lcool est, dans d'autres pays, une cause si fertile de crimes et de
folie
que sa substitution au haschich en Egypte empirer
ssif des drogues dérivées du chanvre est-il plus commun NOTE SUR LA
FOLIE
11ASC ! IlCIIJQUE 257 en Egypte qu'aux Indes ?
é mentale; il tend à affaiblir l'esprit; il peut même conduire à la
folie
. Il a été démontré que l'action des drogues dériv
typica seu mania simplex) accompagnée parfois d'accès prolongés de
folie
furieuse. Un de ces aliénés se rétablit au bout
odique, 3 de psychose , 1 alcoolique, 2 de démence secondaire, 1 de
folie
raisonnante et i de psy- chose épileptique. Don
'autre amentia Meynerti. A Singapour nous en reçûmes un, atteint de
folie
raisonnante. Le lendemain de notre débarquement
s les formes de psychose. C'est une dépression fortement accusée.
FOLIES
PELLAGREUSES DES ARABES, PAR Auguste MARIE
REUSES DES ARABES, PAR Auguste MARIE Médecin de Villejuif. La
folie
pellagreuse devenue presque inconnue en France, s
. PI. IIÂ FOI IE PELL\GIOEUE CHEZ LES ARABES. (,l«jnste Mario).
FOLIES
PELLAGREUSES DES ARABES 355 comme parcheminé ,
ait place parfois à de la sitiomanie à une phase ultérieure, car la
folie
pellagreuse affecte fréquemment la forme chroni
t donc fréquentes, et les états chroniques aussi ; les 356 MARIE. -
FOLIES
PELLAGREUSES DES ARABES complications d'ailleur
res typiques joints aux stigmates physiques. Un certain nombre de
folies
paralytiques coïncident avec la pellagre et con
de dysostose cléido-crânienne, 227. Marie (Auguste). Note sur la
folie
haschi- chique (1 pl.), 252. Marie (Auguste).
. Note sur la folie haschi- chique (1 pl.), 252. Marie (Auguste).
Folies
pellagreuses des Arabes, 353. Meige (Henry).
phie os- seuse héréditaire (5 pi ), par Halipré et Hébert, 437.
Folie
/i6['.t ? te/M<y ! <e, par Auguste Marie, 2
nfantile. Au- tops,e (4 jil.) par Italo ROSSI, 122. Pellnyreuses {
folies
chez les Arabes) (1 pl.), par Auguste Marie, 35
osteogéniques héréditaires (Ha LIPHÉ et Hébert), LXXIX à LXXXIII.
Folie
haaehichique chez les Arabes (Au- GUSTE MAR,E),
'arrêt, on observé toutes les gradations. Quand il y a aboulie avec
folie
du doute, le processus est autre. Ici, le courant
morbide qui peut se montrer dans un certain nombre de névroses ou de
folies
, mais c'est aussi, et dans toutes ses formes, une
qui les fait tomber du côté où ils penchaient2. » 1 Le crime et la
folie
, p. 152. 2 Rev. scientifique, 1893, 2e sem„ p.
tails circonstanciés qu'elle retrace de tous les actes du crime et de
folie
. Le spectacle du fait a une grande force sympathi
ire comme le commencement de la sagesse est ici le commencement de la
folie
, toute part étant faite à la prédisposition. »
complètement les colonnes du Morning Herald aux récits de crime et de
folie
. Je n'ose espérer que ce journal ait persisté lon
a bien aussi quelque valeur, dit : « La période prodromique de la
folie
a déjà le caractère d'un trouble « pathologique.
ette crainte ne manquent pas d'ajouter qu'il est facile de feindre la
folie
, et que le médecin sera la dupe des inculpés.— A
lpés.— A cela nous répondrons que, mieux que personne, connaissant la
folie
et ses manifestations, le médecin pourra déjouer
vation sociale est immédiatement intéressée au diagnostic exact de la
folie
; en effet, un aliéné que l'on condamne effectue
n sens et même la perspicacité ne suffisent pas pour diagnostiquer la
folie
. III. — Pour avoir rejeté cette notion, la magi
r Gilberle, est, à proprement dire, une consciencieuse observation de
folie
mystique. On sait combien est intense, chez cer
« de l'état mental des maniaques pendant les attaques périodiques de
folie
. » La leçon fut interrompue à plusieurs reprise
stoire : « Un employé de chemins dé fer fut pris de convulsions et de
folie
furieuse, et n'est pas encore guéri. » Tous ces
iénation mentale, délivré par un médecin. Or, rien ne démontre que la
folie
soit plus fréquente chez les morphi-niques que ch
orbides dû même genre. En tous cas, il n'y a nullement Identité entre
folie
et morphi-nomanie. m. Bérillon. — La question q
cause immédiate d'illusions et d'hallucinations de l'ouie et même de
folie
systématisée qui, dans ce cas, n'est que l'interp
des états de dépression psychique : mélancolie, idées de persécution,
folie
mystique ou religieuse, avec quelques formes mixt
n, folie mystique ou religieuse, avec quelques formes mixtes comme la
folie
circulaire et la folie erotique, et de rares cas
ligieuse, avec quelques formes mixtes comme la folie circulaire et la
folie
erotique, et de rares cas d'états d'excitation, m
e, que lorsqu'on peut se faire un lit. et qu'on le possède, ce serait
folie
de ne pas s'y coucher et de s'étendre a côté sur
uffrir quelque douleur même qui est son plaisir. « Quelle miséiable
folie
! S'il n'e6t pas douloureusement ému. si le spec-
le deviennent de l'alcool : ......... « La douleur se changeant en
folie
Finit par enivrer comme un vin de l'enfer. »
r aux pratiques du spiritisme, et n'a pas tardé à être atteinte de la
folie
spirite. Elle était absolument convaincue de so
de pardon au lecteur. Voici ce que j'écrivais dans le tome II de la
Folie
de Jésus : « La question du libre arbitre est à
is. Félix Alcan. éditeur). Prix : 25 francs. Majret et Salager : La
folie
hystérique. Coulet, Montpellier. in-S 252 pages.
223 pages iDaragon, Paris. 1910) : Prix : 5 fr. Dp Bixet-SaxglE : La
folie
de Jésus. Tome II. 9. In-12. 515 pages. Paris.
Psychologie de l'Alcoolisme et Dr José Corréa Dias (de Lisbonne) : La
folie
est-elle contagieuse ? Les communications inscr
Ce sont donc de véritables arriérés. Quant aux sujets atteints de «
folie
morale » leur attention volontaire ne parait s'ex
e que pour concevoir le mal. Tandis que l'instabilité mentale et la
folie
morale sont manifestement sous la dépendance de l
e des foules. Ainsi seulement pourra t ou concevoir certains vents de
folie
qui ont soufflé sur des villes ou des nations
ental des assistants. Ds est bien entendu que nous ne taxons pas de
folie
ceux qui souffrent dans l'intérêt de leurs sembla
ucinations hypnagogiques. 6. — Les psychopathies toxi-infectieuses (
folie
puerpérale, psychoses post-grippaales, folies pos
thies toxi-infectieuses (folie puerpérale, psychoses post-grippaales,
folies
post-opératoires, délires oniriques, etc. 7. —
udéens, de l'inanition, névrose obsidionale, névrose révolutionnaire,
folie
communiquée par imitation, etc.) Il n'est pas d
urent beaucoup de névropathes qui, sans franchir les frontières de la
folie
, offrent les signes non équivoques d'un grand dér
bliées (2). Deux des observations les plus remarquables de ces cas de
folie
survenue après des pratiques de spiritisme ont ét
s deux pseudo-psychoses n'évoluent pas sur le terrain de la véritable
folie
— et vous mentionner les signes graphologiques qu
va une fois et l'on y retourne une deuxième : la passion est née, la
folie
vous gagne, c'est la « roller-skatingonianie ».
out le monde y court... Ici. Messieurs, vous avez discouru sur la «
folie
de la vitesse » ; vous vous arrêterez un peu sur
de malades sont des dégénérés ; ils présentent la peur du contact, la
folie
du doute et des phobies diverses, à des périodes
ma)na(/ue; qu'il en est d'autres, en très petit nombre, atteints de
folie
, se présentant sous les mêmes formes que chez l
tériques, les enfants atteints de perversion des instincts ou de
folie
morale. La présence de ces pauvres êtres dans l
des coups ; pas de stertor, pas de miction in- volontaire ; pas de
folie
. L'intelligence et la mémoire n'au- 30 de l'épi
la langue. Ses accès étaient plutôt diurnes que nocturnes. - Pas de
folie
, ni de kleptomanie, ni de pyromanic ; il aimait à
t qu'il va devenir paralysé. Pas de morsure de la langue. -- Pas de
folie
consécutive. - Le caractère a toujours été viol
L'intelligence a diminué progressivement depuis deux ans. Pas de
folie
avant les accès; parfois il avait la manie de s'e
x-huit mois, accès à six ans. - Phénomènes cataleptiques. - Aura. -
Folie
et courses consécutives. - Pyromanie et kleptom
la langue. Après les accès, sommeil d'une demi-heure. Quel- quefois
folie
consécutive : il criait, gesticulait, courait dan
a fois l'anthro- pologiste, le médecin et le dentiste. Fig. 27.
FOLIE
DE l'adolescence. 237 IX. Folie de l'adolesce
ecin et le dentiste. Fig. 27. FOLIE DE l'adolescence. 237 IX.
Folie
de l'adolescence. - Instabilité mentale. - Idée
Par BOURNEVILLE et SOLLIER. Parmi les cas déjà assez nombreux de
folie
de l'en- fance que nous avons observés, le suiv
coquet de sa tenue, et ses minuties lui attiraient 240 début DE la
folie
. ' les moqueries de ses camarades. Au bout de 1
- pagne, plutôt que de rester ici, mal nourri, mal vêtu et embêté
FOLIE
DE L'ADOLESCENCE. 253 par tous ces gens là. Qua
. — Le nombre des aliènes en Belgiqne. p. 160. — Le repos au Ut et la
folie
, p. 160. L-i REVUK DB L'HYPNOTISME eat l'organo
verie chronique est très fréquente dans la période d'incubation de la
folie
. lahvé continua de se manifester à Schilo. C'ét
. D'autre part, un des premiers spécialistes pour le traitement de la
folie
, le D' S. Palcott (de New-York), déclare que les
que les réveils trop matinaux sont la cause la plus prolifique do la
folie
, o Le sauvage, paresseux et libre, dit-il, se lèv
désirable. Les mentalités bizarres ou dévoyées sont, tout comme la
folie
, de source absolument anatomique ; elles sont le
rvation et faisons un rapprochement. Vous savez que maintes formes de
folie
sont curables. Le fait en est prouvé au pointde m
niquement basée sur l'expérience d'une longue pratique médicale. La
folie
se montre certainement plus fréquente dans les fa
rme de la dégénérescence héréditaire. De là à prononcer le mot de
folie
evitable, II n'y a qu'un pas. Franchissons-le et
'y a qu'un pas. Franchissons-le et affirmons que la prophylaxie de la
folie
est réelle, tout comme existe la prophylaxie de l
rement les formes, esquissées ou atténuées, du délire du doute, de la
folie
consciente ou raisonnante, des impulsions, sinon
est sur le point de franchir le fossé qui sépare cette dernière de la
folie
véritable. Sa constitution cérébrale est défectue
Le D'Mac Dowall pense que dans ce cas, la cause occasionnelle de la
folie
pouvait être attribuée aux taquineries et aux moq
du soir, voilà deux heures que nous sommes là, allons-nous-en, cette
folie
pourrait nous gagner. Vous représentez-vous cet
Obs. I. — Femme de 83 ans (Gg. 50}, atteinte, à l'âge de 43 ans, de
folie
puerpérale, à forme chronique. Elle est très irri
ement sous le nez. Osa. III.— Femme de 64 ans (Ûg. 51), atteinte de
folie
héréditaire depuis l'âge de 39 ans. Elle éprouvai
de destruction. Elle a eu son père, un frère et une sœur atteints de
folie
et sa mère, quoique saine d'esprit, avait aussi u
l étudiait, au point de vue général, les causes et les origines de la
folie
. En tête de son livre figure le portrait d'une fe
itions elle se rapprocherait par son état mental des individusdont la
folie
consiste surtout en ce qu'ils sont incapables de
is; malheureuse en ménage; très émaciée; obsédée par la crainte de la
folie
; angoisses perpétuelles ; pleurs sans motifs, mê
ils disent l’inverse de ce qui est. Jusqu’ici on nous avait taxés de
folie
, mais cet artifice est usé, et dans le numéro d
ercher des guides. Ah! j'admire sa sagesse autant que je plains votre
folie
; ses instincts généreux valent mieux que votre sc
t une parfaite ressemblance avec les fous ; et à bien dire, c'est une
folie
passagère, aiguë, au lieu d’être chronique. Un sa
dificateurs souvent très-puissants de l’organe intellectuel; et si la
folie
est le résultat plus ou moins prompt de leur acti
dée de ce composé sublime et bizarre qu’il est plus commode d’appeler
folie
que d'a-nalyseretde comprendre.—Non, cette femme
ns qui présentent cette situation passagère comme un état habituel de
folie
; mais que diroient-ils si, lorsqu’un de leurs mal
s déjà dit que les magnétisés mouraient dans l’année, et mille autres
folies
que l'homme étranger à la science accueille souve
son l'homme se glorifie ; Sans loi cette raison n'est, liélas : que
folie
. Par ton feu créateur, si l’on n'est inspiré.
te en parcourant le champ de l'érudition. Il commence par décrire les
folies
des oracles, depuis celui de Delphes jusqu’à celu
ois règnes de la nature. Le lecteur est ainsi transporté du monde des
folies
et des rêves dans celui des réalités où la scienc
mais tu n’as pas voidu qu il dominât tes lois, et, l’ayant tenté, sa
folie
près de la sagesse est devenue manifeste. Quoi !
’un homme d’église timoré, suffisent souvent pour amener une sorte de
folie
. Quelquefois aussi par imitation, nous tombons da
des croyan-ccs d’abord calmes et tranquilles, et amené de véritables
folies
. Les annales de la médecine et de la jurisprudenc
Nul n'oserait l'assurer, car la distance qui sépare le génie de la
folie
ne peut pas toujours être reconnue. Grand Dieu! c
ais maçonnique, je fus décrété par ce lâche tribunal comme atteint de
folie
, et forcé de me retirer à la campagne, à une lieu
C’est un service qu’il faut rendre aux hommes que de leur montrer les
folies
passées, et de déterminer la source d’où se sont
et toute la société fut initiée à sa vie pri-« vée : son enfance, ses
folies
de jeunesse, et même « récentes, avec un vol comm
tunité. « M. Maitland dit qu’il est plus que jamais convaincu de la
folie
des expériences en public. Il magnétisa il y a pe
fin d’août. « Dans ses crises convulsives, elle avait des accès de
folie
qui se calmaient par quelques passes magnétiques.
us académique de la laisser sur le compte de l’hallucination et de la
folie
. Que ces malheureux finissent par perdre la raiso
Trois accès d'épilepsJe. — Le 3, agitation. — Dans la nuit du 3 au 4,
folie
: P... se levait, s'habillait, allait d'un lit à
lit à un autre, bavardait. — Le 5, apparition des règles. — Le 6, la
folie
persiste; l'écoulement menstruel est peu abondant
Le 3, trois accès. — Le 4, deux accès. — Le 5 et le 6, rien. — Le 7,
folie
furieuse sans accès; P... voulait étrangler une d
quement et sort très-longuement ; puis, elle est prise d'une sorte de
folie
, rentrant et sortant plusieurs fois de suite et a
tant plusieurs fois de suite et avec une grande vitesse. Enfin, cette
folie
finit, la mâchoire et la langue reviennent à leur
nts rapides de flexion et d'extension. En un mot, il y a une sorte de
folie
de la jambe, semblable à celle que nous avons déc
jambe droite. — Hallucinations de la vue et de l'ouïe. — Hoquet. —
Folie
. —Hypnotisme. — Agitât.on. — Tentative de suicide
t tombée en catalepsie, et que, au réveil, elle a offert une sorte de
folie
caractérisée par un délire maniaque, qui a persis
re maniaque, qui a persisté cinq ou six jours. Il s'agissait là d'une
folie
à part et non pas d'uue attaque de délire semblab
stéro-épileptique, 100, 101, etc. Extases, 74, 193, 220, 222. F
Folie
hystérique, 80 (V. Délire). g Grossesse imagi
il a dit : « Sortez-moi, je vais être malade. » Il n'a pas eu de
folie
ni avant ni après, ni d'hallucinations ou de ca
s petits néoplasmes des reins, lésions qui sont constantes. XV.
Folie
de l'adolescence ; PAR JlOUIU\'EVILI,E et ItI :
Folie de l'adolescence ; PAR JlOUIU\'EVILI,E et ItI : LLI\. La
folie
de l'enfance et de l'adolescence, malgré quelqu
re mort de méningite. (1) Filibiliu. - Contribution à l'étude de la
folie
de l'enfance. 196 Antécédents héréditaires...
x'B. -1're- miers troubles intellectuels, hallucinations visuelles,
folie
mystique qui font renvoyer l'enfant de l'orphel
rémission au bout de quelques jours. En avril 1899, nouvel accès de
folie
sans délire religieux, durée quelques jours. -
eu dans son enfance beaucoup de convulsions à la suite desquelles
Folie
DE l'adolescence. 107 elle serait restée sourde
s est petit. L'hymen, circulaire, n'est pas déchiré, mais son 206
Folie
de l'adolescence. orifice admet la pulpe du pet
gèrement la langue quelquefois. Il n'urine jamais sous lui. l'as de
folie
consécutive, pas d'actes désordonnés, pas de vi
e 8 mars, dans l'atelier où il travaille, il a eu un accès suivi de
folie
. Après la crise, comme il voulait jeter ses out
re incompréhensible mais c'est la première fois qu'il a un accès de
folie
aussi grave. Par périodes, il est impuissant De
Thèse de P.aris. 1884. FÉLIBILIU. - Contribution à l'étude de la
folie
de l'en- fance. Thèse de. Paris. 1887. Mme
lus haut. On peut tirer beaucoup de déductions de l'influence de la
folie
sur la manifestation artistique, de considérati
célèbre sentence machiavélique, ils seraient certainement taxés de
folie
. Mais, quand l'individu se pare outre mesure po
dowiens. , Dans les 42 cas réunis par Hirschl, toutes les formes de
folie
sont repré- sentées (manie, mélancolie, paranoi
s formes de folie sont repré- sentées (manie, mélancolie, paranoia,
folie
du doute, paralysie générale). Sainton les rang
ées obsé- dantes (arithmomanie coprolalie), de l'agoraphobie, de la
folie
du doute (Boëteau). Une malade de Thomas, tim
et Antonini, Zaplachta, Parhon et Marbé, admet- tent une véritable
folie
basedowienne. Le professeur Joffroy met les psy
ans certains cas, une intensité telle qu'elles créent une véritable
folie
, se présentant le plus souvent sous la forme de
s de persécution. » Le professeur Raymond et Sérieux considèrent la
folie
des basedowiens comme une association morbide.
., 1903, p. 282. Boetger. Un cas de maladie de Basedow compliqué de
folie
. Allgemeine Zeitschrift fiir Psychiatrie und sp
157. CLAISSE. Soc. méd. des hôp., 20 janvier 1889, p. 77. Clarke.
Folie
el goîlre exophtalmique. American journ. of insan
20 janvier 1896. Jensen. Un cas de maladie de Basedow compliqué de
folie
. Allgemeine Zeitschrift fiir Psychiatrie, 1877.
ine Zeitschrift fiir Psychiatrie, 1877. JOFFROY. - Rapports de la
folie
et du goitre exophtalmique. Soc. méd. psyclzol.,
t 1907. LORAND. Presse méd., 1904. Mac CLANGHY. - Sur deux cas de
folie
avec goitre traités par l'extrait thyroïdien. A
neurol. et de psychol., exp., n- 8, p. 551, 1906. PILCZ (A.). - La
folie
myxoedémateuse et la thérapeutique thyroïdienne d
de thérap. et de pharmacol., 1898, no' 1-2. Maladie de Basedow et
folie
chez une jeune pille de 19 ans. Bull, méd.,31 mai
ieux ou domestiques ont toujours eu le don de multiplier les cas de
folie
et d'hystérie. En 1904, dans l'étude sur la pat
latantes productions de la né- vrosé ; plus loin encore, jusqu'à la
folie
dans ses symptômes purement psychiques, et de c
ui ronge le malade et parfois le conduit au suicide et souvent à la
folie
et l'idée inoffensive que l'on chasse à volonté
distinguent donc que dans leurs cas extrêmes, comme la raison et la
folie
du reste. Quoi qu'il en soit, s'il est utile à
e leur inter- mittence dans la déséquilibration psy- chique et la
folie
( pl.), 162. Pierre Weil et Klippel. Les réflex
ous, et que plusieurs, trop d’entre eux, sans être encore arrivés àla
folie
caractérisée, ont, dans de certaines limites, vu
ue do charlatanisme, de l’illuaiinisine, de la démonomanie, delà pure
folie
enfin, dont on ne délivrera la terre qu’en rallum
es yeux bavards, mobiles, agités, sont le signe de l’ivresse ou de la
folie
. Ces yeux ne transmettent plus aux nerfs optiques
’existent point, que la matière seiih' existe , et (fue ce serait une
folie
dc prôner une science qui s’occupe de choses auss
nie. Ceux-ci ont de longs nez, ceux-là sont camards, mais tous ont la
folie
de se croire superbes et font sans cesse la roue.
sfaire une saignée, ce seia le moyen dc ne pas tomber dans une sainte
folie
; car, vous le savez, selon nos sages, Socrate ét
notre imagination à travers les aberrations les plus honteuses de la
folie
; un verre d'alcool renverse la raison de son trd
en dehors des lois constatées de la physique. La maladie devient même
folie
, à leurs yeux, lorsqu’au déplacement de l’action
oup d'extatiques, il n’y a rien de commun entre les divagations de la
folie
et les visinns de quelques-uns; que ces visions p
dit-il, des relations qui nous éclaii oiil. « Bf:lisü ! (lùlii'c !
folie
! s’ùci'leront les robustes de la vulgarité nioii
uait môme autour du billard avec une espèce de frénésie. Cet accès de
folie
durait une heure ; ensuite on le couvrait bien po
nce des facultés intellectuelles, conséquence de la vieillesse, de la
folie
ou de quelque autre trduble cérébral accidentel,
uer les mollets sans qu’ils éprouvent de douleurs. De nombreux cas de
folie
viennent de préoccupations d’esprit qui ont déran
aut combien le genre humain est misérable, de combien de crimeg et de
folies
nous sommes capables. \ quel nombre de punition
C Cependant le vulgaire stupiile el épais ne pense pas ; rempli de sa
folie
, il chante au milieu des plus affreux travaux ; i
pourrait différer un instant de se donner la mort? L’espérance et la
folie
(1) sont les deux remèdes pharmaceutiques que la
elle ne sait rien nous dire, elle nie, comme toujoui's, et traite de
folie
ce qui est dù à des agents occultes. Il est remar
iritualistes d'un baut diapason. Si vous n'cn faites que des fous, la
folie
alors ne doit plus être uue recluse d'hôpltai ; c
aiblesse et leur néant ; ne me mêlant à la foule que pour en voir les
folies
, et n’assistant à ses fêtes et à ses orgies que p
libre dans la conduite dans le genre de vie, qui sans constituer la
folie
proprement dite, dénote les dispositions maladi
s d'une démarcation possible entre le domaine de la raison et de la
folie
, forment la substance des premières leçons. L'a
perphrénie, exaltation passagère du moral; BIBLIOGRAPHIE. 113 3 V
Folie
. Paraphrénie, anomalies de la volonté impulsive;
querait, du reste, pour Guislain, le début de la plupart des cas de
folie
. Une impres- sion douloureuse retentissant sur
fondamental pathogénique des troubles psychiques. On entre dans la
folie
bien plutôt par une lésion du sentiment, de la
es observations parlent d'antécédents nerveux, tels qu'apoplexie ou
folie
. Comme antécédents person- nels, on ne peut guè
dire, nous étonne de la part 1 Tardieu. Étude médico-légale sur la
folie
, Paris, 1880. Morel. Éludes cliniques.- ÉTAT
les vomissements, en quantité considérable ; il 1 Duponchel. De la
folie
hystérique. Thèse de Paris, 1874. « Leçons sur
à la suite des symptômes typiques de l'intoxication, est prise de
folie
systématique religieuse accompagnée d'impulsions
Dl RAMAER. (Bull. de la Soc. de Méd. mentale de Belgique, 1 S80.)
Folie
morale se transformant graduellement en folie rai
de Belgique, 1 S80.) Folie morale se transformant graduellement en
folie
raison- nante, puis en folie caractérisée par l
orale se transformant graduellement en folie raison- nante, puis en
folie
caractérisée par l'idée fausse d'être la victime
sée par l'idée fausse d'être la victime d'autrui, pour aboutir à la
folie
persécutive. Le méfait a été commis sous l'infl
r Emm. 13c thèse de Paiis, 1881. 1. Considérations cliniques sur la
folie
épileptique et particulièrement sur l'aura; par
es que les physiologistes appellent désordres moraux, hallucinations,
folie
, quand ils veulent bien en reconnaître l’existenc
e toqué, s'écrie à l'unisson Le personnel de la maison. Quand cette
folie
agrippe son homme, Il faut qu’on le lie ou bien
reur; à côté des plus pures jouissances de l’esprit se rencontrent la
folie
et la mort. Les produits du spiritualisme impri
e tristes caractères, des fous, car chez nous le génie est la suprême
folie
(1). Mais l’homme intelligent reconnaîtra le cach
efforts de toute la Faculté coalisée! Allons donc, rêveries, utopies,
folies
! Cela ne mérite pas même l'exa- nien des hom
e toutes les règles et de tous les privilèges. Voilà pour le coup une
folie
des mieux caractéi'isée. La raison a beau s’extén
vé un asile assez vaste pour contenir tous les adeptes atteints de la
folie
mesmérienne, ce qui nous permet de respirer à l’a
à l’aise encore un certain temps. En attendant, mes chers frères en
folie
, trinquons joyeu-sementàcelui dont nous suivons l
montré parmi eux les bienfaiteurs du genre humain, accusés d’abord de
folie
, puis, un siècle plus tard, glorifiés, déifiés. Q
orps social. 11 y perdra son temps et ses drogues. Nous avons tous la
folie
de faire un peu de bien, sans nous inquiéter si l
er si le moyen est approuvé par la raison : nous n’échangerons pas la
folie
qui sauve contre la raison qui désespère. M. Mo
sion de la réalité; lui accorder une confiance sans bornes, ce serait
folie
. Mais, d’un autre côté, à moins de donner un déme
en tout point aux opinions de Bodin. Non, ce serait aujourd’hui de la
folie
; mais il faut trier et ne pas condamner en bloc,
usion des recherches du moderne savant se résume en une accusation de
folie
, intentée à celui que l’antiquité vénéra comme le
dit volontiers : « Approchez-vous, que je voua montre à chacun votre
folie
, » .........Hune prQpriùs me Dum doceo insani
rreront seulement, les ombres des trépassés, gens stupides jusqu’à la
folie
, qui prirent pour se guérir de leur maladie tout
cer dans la rivière, et l’id:e,plus bizarre encore, de tirer de cette
folie
un présage pour le succès dc mes vœux dans la car
pu venir à bout de rien voir ni entendre, et se déprit enfin de cette
folie
. » 11 resta fidèle aux sorciers. Finissons avec l
nière générale du nombre et de la complication des plis, mais c'est
folie
de vouloir mettre quelque précision dans de par
été poussées parfois si loin, qu'elles seraient inexplicables, si la
folie
humaine n'était là pour tout expliquer. Toutes le
l'homme, quant à l'intelligence, à la perfection de ses mains. Quelle
folie
! Ce n'est pas la main qui voit ou qui touche, c'e
ue mieux que tous les raisonnements possibles certaines erreurs de la
folie
. L'homme attentif à une idée ne verra dans les ob
st malheureusement qu'ils ont dévoré des animaux et même des enfants.
Folie
terrible qui depuis Lycaon a dû frapper d'une cra
, c'est I'excitation. « Toute forme, tout accident du délire ou de la
folie
propre-« ment dite, idées fixes, hallucinations,
atures ardentes de s'élancer dans l'espace du haut des cimes élevées.
Folie
admirable ! symbole merveilleux de cette liberté
tôt rectifiée. Mais qu'un accident pareil arrive à un homme auquel la
folie
, le sommeil, une excitation quelconque ôtent la l
raison empêche le jugement de s'égarer ; dans l'état de sommeil ou de
folie
, la raison perdant son empire, les jugements immé
jour, assis au milieu de sa famille, Glenadel confessait son affreuse
folie
. Approche, dit-il à son frère, n'hésite point. Je
. M. Pariset m'a souvent raconté l'histoire d'un pauvre aliéné que sa
folie
avait conduit à Bicêtre. Ce malheureux maltraitai
tre lui-même de bonne foi, et lui adressait les plus tendres excuses.
Folie
bizarre ! dira-t-on, et cependant ce n'est là que
cherchaient la vérité par des voies insensées ne sont arrivés qu'à la
folie
. Mais comment l'illusion a-t-elle été possible? C
rend qu'on s'imaginait guérir de son temps les aliénés affectés de la
folie
homicide, en leur donnant à boire, soit de l'eau,
n-être plus grand, d'une chaleur qui s'irradie. » (Lelut, Obs. sur la
folie
sensoriale, à la suite de son ouvrage : Le Démon
cle tout ce qui échappe à une explication actuelle. Il n'est point de
folies
, point de convulsions, point d'apparitions prodig
rmentation maladive dans l'esprit? Et dès lors, l'incohérence dans la
folie
ne résulterait-elle pas de certaines altérations
vaient être guéries par la magnétisation, y compris « la goutte et la
folie
. « Je viens maintenant me fixer parmi vous pour
par M. Magendie, t. I, p. 12t. (3) De la Phrénol. du Magn. et de la
Folie
, t. II, p. 289. (i) Compendium de Méd. pral. (A
complément de la connaissance religieuse, et aboutit quelquefois à la
folie
, ou à ce que les hommes appellent folie. « Tel es
, et aboutit quelquefois à la folie, ou à ce que les hommes appellent
folie
. « Tel est aujourd’hui le christianisme dans cell
la même famille soht fràp^éés si^uHâ‘n6mént de la thème fblie ? Cette
folie
aùra-t-elle ün terme maintenant? Il est permis d’
our indiqué, la somnambule présenta en effet tous les symptômes de la
folie
; elle ne reconnaissait ni parents, ni amis; elle
montrait le phénomène de l’insensibilité. Le troisième jour , cette
folie
avait disparu , et je la mis en somnambulisme.
allait encore changer de génie, et présenter les mêmes phénomènes de
folie
. Le nouveau guide qui devait la conduire était bo
) Pbilosoph., p. 562. •V l'e la Pbrénologie du inngn^tieme et de la
Folie
. Le somnambulisme, d'après le Dr Charpignon (i)
z, braves gens! poursuivez votre chemin; vous êtes pris d’un genre de
folie
qui affecte ordinairement les faux savants et les
réelle, et n’abandonnons pas la chair pour son image. Pour rêver des
folies
, l’homme n a pas besoin du mesmérisme, qui doit l
isme est ou n’est pas. Croyez-vous au magnétisme? dit l’un. C’est une
folie
, répond l’autre; c’est une merveille au contraire
nt dans la vio normale, avec du délire et toutes les apparences de la
folie
; on était obligé de les magnétiser de nouveau, de
nts dans l'inter- valle de leurs accès, mais sujets à des crises de
folie
tran- sitoire et menacés de clémence. C'est ave
un autre ordre. Ce que le père transmet à l'enfant, ce n'est pas sa
folie
; c'est le vice de constitution qui se manifeste
de foie de mo- rue, qui en rendait la dissolution plus rapide. 54
FOLIE
DE L'ENFANCE. III. Hallucinations de la vue,
rière et à Bicêtre, de recueillir des observations rela- tives à la
folie
chez les enfants. En attendant que nous puissio
s de la troisième depuis une vingtaine d'années. - Pas d'aliénés,
folie
Nu l'enfance. 55 d'épileptiques, ni paralytique
e boire son café parce qu' « on y avait mis de la terre glaise. »
FOLIE
DE L'ENFANCE. 57 Il y a huit jours (28 novembre
garde, monsieur l'astronome, vous allez tomber dans un puits. Mais la
folie
de tous, c’est qu’ils ont chacun un système pour
de seize ans qui était sujette, depuis quelque temps, à des accès de
folie
. Elle se plaignait, depuis le commencement de sa
à des accès de folie. Elle se plaignait, depuis le commencement de sa
folie
, de douleurs dans la région du cœur, entre les si
arres, se présentaient chaque jour dans nos expériences, et c’eût été
folie
que d’y voir le reflet de notre pensée du moment.
je voulus faire finir ses exercices de clown. Madame O... riait aux
folies
qu’elle voyait, qu’elle entendait, et qu’il ne lu
on physiologique, ils sont bien loin de me convaincre de 'a prétendue
folie
de l'immortel philosophe d'Athènes. Autrefois j’a
la persuasion, mieux renseignée, de sa loyale erreur. L'extase et la
folie
sont deux choses bien différentes. Socrate était
haleur ne me rendaient plus doux. Que ne dirais-je pas de l'étrange
folie
D'un peuple d'esprits forts (pii croit à la magie
u dogme sacré de l’immortalité de l’âme, tout cela n’est que Xétrange
folie
d'un peuple d’esprits forts qui croit à lu magie.
on vous, ne seraient que des dupes, des esprits atteints de l’étrange
folie
de croire à la magie et à des visions cornues?
emps, il conduit l’imagination humaine à la bouffonnerie ; ce que ses
folies
ont de lugubre ne les arrache pas à cette nécessi
es folies ont de lugubre ne les arrache pas à cette nécessité pour la
folie
d’unir l’épouvante au grotesque. (. Ceux qui s’
, ce sont des fous, et le spiritualisme n’est lui-même qu’une immense
folie
épidémique et contagieuse. — Très-bien. Mais alor
, l'on s’étonnera qu’à (pielques années de distance 011 ait traité de
folie
, de charlatanisme, de sorcellerie, de mensonge, l
bilité morale du cordonuier : «En présence, des nombreux indices de
folie
que nous «avons remarqués dans cet homme, nous so
étestable théoricien. Selon lui, une foule de maladies, telles que la
folie
, l’épilepsie, la catalepsie, la danse de Saint-Gu
yons une sorte de recrudescence de la démonomanie ; c’est un genre de
folie
qui, pour peu qu’il se propage, exigera aussi un
mérique, a eu des accès épileptiques souvent répétés et une fois même
folie
passagère. Des accès qu'il a eu en Amérique, il
en tombant il se blesse. Très souvent il a des attaques courtes de
folie
. Depuis 8 jours, tous les jours et même, une fo
e : LE médecin CUARISSANT Phantasie Purgeant aussi par drogues LA
folie
. Et en légende : Approchez, vous qu'avez la t
bien d'un psychothérapeute. Il soigne à la fois la Phantasie et la
Folie
; et, naturellement, il guérit l'une et l'autre.
la même gravure nous montre le médecin « pur- geant par drogues la
folie
». Ce vénérable confrère en haut bonnet, une fr
'- Le médecin guarissant p7aaatassie Purgeant aussy p. drogues la
folie
. , - De cette curieuse peinture, le Dr Bonnet m
ur assurer son diagnostic ; impossible de se tromper, c'est bien de
folie
qu'il s'agit : ne voit-on pas dans l'urinal un
grec des temps héroïques qui passait pour avoir guéri Hercule de sa
folie
en lui administrant l'ellé- bore. Son nom fut d
nticyre pour les débarrasser de l'crs- trum, du taon, cause de leur
folie
. L'essaim de ces insectes, qui s'évade avec les
és qu'aucun rat n'est plus en sûreté. « As-tu un grain de trop ? Ta
folie
sera aiguë ou à double forme. Y a-t-il, au cont
Pluie et vent y pénétre- ront, tous deux extrêmement nuisibles; la
folie
fera de toi un pauvre idiot, objet de la risée
est-à-dire si tu ne veux pas reconnaître qui tu es et quel genre de
folie
habite en toi, et si, bouffi d'orgueil, tu t'imag
radicalement, grains de blé ou de sable, semences ordinaires de la
folie
, et tous les insectes vé- sanogènes, les taons,
Christianisme; beaucoup de saints eurent la réputation de guérir la
folie
. J'ai raconté l'histoire et les cures merveil-
se perpétuent les croyances populaires concernant les causes de la
folie
. Des locutions remontant aux âges les plus loin
s les natures, il boit de la gaité, il fume de l’oubli et mange de la
folie
, sous la forme du vin, du tabac et du hachisch. —
onte au ciel et vous remet sur terre sans transition, — comme dans la
folie
on a dea moments lucides. — Un troisième accès, l
t se remuer la nuit dans mon vieux buffet. Mais voilà bien assez de
folies
. Pour raconter tout entière une hallucination de
gers. L’expérimenté en fait lui-même la remarque et dit : « Voilà une
folie
bien singulière. • Comme MM. A. K... et B..., il
ns un temps ou dans un autre. Que ce soit une preuve de sagesse ou de
folie
, de connaissance 011 d’ignorance, de varier de ce
el le mieux portant des symptômes de la lièvre, de l’épilopsie, de la
folie
? Esprits stationnaires, intelligences indolentes,
ure d’un fou (je suis, « comme lui, dans l’opinion que la plupart des
folies
ne sont « que des crises imparfaites de maladies)
de maladies), il ne le guérira « qu’en lui occasionnant des accès de
folie
. Les vaporeux au-« roni des accès de vapeurs; les
5 septembre, ajouta-t-elle, je serai folle pendant « huit jours ; ma
folie
ne m’agitera pas. Je ne serai « pas méchante, je
e poivre au lieu de sucre. En effet, elle eut, au jour indiqué, une
folie
qui dura le temps annoncé; dans cet intervalle el
u magnétiseur venait augmenter le trouble du magnétisé, et bientôt la
folie
la plus prononcée apparaissait avec ses cris, ses
ux « rieurs: Rions ensemble, si vous le voulez, démon appa-# rence de
folie
; mais après que nous aurons ri, attendons, « avan
la guérison de deux enfants atteints de manie, ce qui montre que la
folie
proprement dite, dans sa forme la plus accusée,
u lit). Les crises se terminent généralement par des pleurs. Pas de
folie
; les nuits sont calmes ; l'intelligence ne par
. BOURNEVILLE et TEINTURIER. G. V. Townley ou du diagnostic de la
folie
au point de vue légal. Paris, 1865. In-8 de 16 pa
BOURNEVILLE et TEINTURIER. G. V. Townley' ou du diagnostic de la
folie
au point de vue légal. Paris, 1865. In-8 de 16 pa
60 pages. 1 fr. 50.- Pour nos abonnés.... 1 fr. CORNILLON (J.). La
folie
des grandeurs. In-8 de 60 pages. 2 fr. 50. Pour
énique, thérapeutique et légal, toutes les questions relatives à la
folie
, aux névroses convulsives et aux défec- tuosité
ore bien que je croie l’acte commis sous l’inspiration d’une sorte de
folie
. M. Lewis. — Alors, vous savez qu’en pareil cas
cessible ou plus étranger à la réalité extérieure; c’est un fou d une
folie
passagère, que la volonté de l’homme, qui tient s
intérieur constituent, au milieu de la turbulence ordinaire et de la
folie
habituelle de la vie, les intervalles lucides. Ce
pour n’avoir pas le bon sens et quelquefois le vulgaire les accuse de
folie
. « Le caractère de, cet état est aussi la suspe
omber clans le chaos primordial où le bien et le mal, la raison et la
folie
, la force et l’inertie fermentaient sourdement da
e tnqué! s'écrie à l'unisson Le personnel de la maison, Quand cette
folie
agrippe son homme, 11 faut qu'on le lie ou bien
n cœur s« serra, et un frisson parcourut tous mes membres. — Quelle
folie
! me dis-je. Le château est inhabité, ma famille l
t encore. Nous connaissons des hommes dont la crédulité va jusqu’à la
folie
, ils n’ont pour sujet de leurs démonstrations que
caractère, de leur vie. Nos lecteurs ne partagent pas sans doute la
folie
de ces jugements, aussi, tout incomplète qu'elle
ait-elle le résultat du magnétisme? Je n’en sais rien. Etait-ce de la
folie
? Je le veux bien. Mais c’était quelque chose qui
mais remarqué en lui ni goût pour le merveilleux ni dispositions à la
folie
, aux songes, aux illusions, comme il arrive souve
it la magie noire, l’art de se procurer et de procurer aux autres une
folie
artificielle (p. 75), ce qui exclut la réalité de
ge par imitation, et que l’oubli où sont tombées toutes ces horribles
folies
a été pour l'humanité un progrès dû à la philosop
nts pour des enchanteurs (p. 302) ; que les persécutions rendaient la
folie
contagieuse, que la rumeur publique accusait des
rieurement des mes essais infructueux : Science, me dis-je, ou plutôt
folie
, tu es donc un mensonge ! « Les polkas continua
uanti. « L'auteur de l’article (M. N. Urbain) , racontant un cas de
folie
produit par empoisonnement, àlaMarette, près d’Ai
dienne prolonge la vie, mais dispose à cet état de demi-sommeil et de
folie
dont on se sert avec avantage dans les pratiques
ts du physique et du moral, t. II, g !*• (Í) Du Magnétisme et de la
Folie
, p. 199. (3) Méd. légale par Hotfbauer, trad. p
qu'il a fait périr à petit feu ses enfants, i’t frappé son gendre de
folie
, sans approcher d’eux de plus le dix lieues. ('
incus qui, n’ayant pas l'habitude de ces sortes de phénomènes, ont la
folie
de vouloir se mettre en spectacle. Il a donc pu a
ctorieuses, et qu’on se souvienne qu’en nos temps surtout, souvent la
folie
de la veille a été la croyance du lendemain. Utop
un développement très-actif, mais désordonné; alors elle produit des
folies
et des crimes : telle a été la seconde moitié du
ligieux qui domine notre temps. « M. de Saint-Chéron ne voit qu’une
folie
dans les tables tournantes et dans la production
dernièrement que ces expériences ont donné lieu à de nombreux cas de
folie
, etc. Je ne suis pas en mesure de le contester, m
i balance la force morale et domine la raison, approche l’homme de la
folie
. Mais comme il est impossible de chasser le souve
inion contraire, rien de mieux, etcc n’est pas moi qui l’accuserai de
folie
pour cela : je respecte toutes les opinions, môme
: — Où allez-vous? dit-on ; vous suivez le chemin qui conduit à la
folie
. Évitez de tomber dans cet égarement d’esprit don
ous sortez du magnétisme , et donnez tête baissée dans cette nouvelle
folie
américaine : vous faites tourner des tables ! Si
tirer de ce principe, serait, monsieur, que la maladie en général, la
folie
et la manie en particulier, qui sont par excellen
ès lors, monsieur le baron, puisque la maladie en général, puisque la
folie
et la manie en particulier , jouissent de la fune
responsable des conséquences d’un pareil état, des conséquences d’une
folie
. « Monsieur le baron, l’épreuve que je propose
e propager chez nous, attendu que lui, médecin, vient de constater la
folie
chez trois individus dont la faible raison n’a pu
! Déjà nos savants ont tâté le terrain de ce côté : ils ont crié à la
folie
... les tables font des fous... Voyez-vous ces sag
d'Alfort. Sous le titre modeste de Fragments psychologiques sur la
folie
, un livre important par l'érudition qui s'y révèl
ile. « Thomas Willis, le même, par parenthèse, qui a écrit sur « la
folie
, disait que les esprits animaux sont dans une agi
ntôt l'important ouvrage qui a pour titre : Du traitement moral de la
folie
, et qui contribua sans doute à le faire nommer mé
Paris, 4 832, in-8 de 90 pages. 46. Fragments psychologiques sur la
folie
. Paris, 1834, in-8 de 426 pages. 17. Observatio
e et de méd. lég. 4 836, t. XVI, p. 404 et suiv.). 21. Suspicion de
folie
chez une femme reconnue coupable d'avoir, penda
t. XX, p. 346 et suiv.). 23. Mémoire sur le traitement moral de la
folie
, lu à l'Académie de médecine le 21 août 1838 (M
rognerie et la méchanceté con- sidérées dans leurs rapports avec la
folie
(Annales d'hygiène et de méd. lég. 4 840, t. XXIV
ég. 4 840, t. XXIV, p. 402 et suiv.). 30. Du traitement moral de la
folie
. Paris, 4 840, in-8 de 462 pages. 31. Mémoire s
pages. 31. Mémoire sur la révulsion morale dans le traitement de la
folie
, lu à l'Académie de médecine, le 2 février 4 84
lég. 1844 , t. XXV, p. 5). 33. Rapport sur un cas de simulation de
folie
, par Ollivier d'Angers et Leuret (Annales d'hyg
. 220). 38. Des indications à suivre dans le traitement moral de la
folie
. Paris, 4846, in-8 de 414 pages. ANATOMIE COM
t d'idées, et toujours dans un ordre arbitraire ». (1) L'étude delà
folie
(2) m'avait conduit à une conclusion tout-à-fait
sot, Paris, i835, tome i, p. 55. (a) Fragment psychologiques sur la
Folie
, Paris, i834, in-8. naires sur l'esprit des peu
l'éléphant devient agresseur : c'est quand il est pris d'une sorte de
folie
déterminée, peut-être, par la non-satisfaction de
ement de la race, de sa dégénérescence, et de l'accroissement de la
folie
. Malheureusement, il est fort à craindre que l'
s très nombreux. - Pas d'automatisme, pas de pro- czcrsiozz, pas de
folie
, pas de traumatisme dans les crises. Guérison d
ume. Consanguinité. 189 190 Consanguinité ; strabiques, . XX.
Folie
de l'adolescence ; guérison ; Par BOURNEVILLE E
tions que nous avons faites soit seul, soit avec nos élèves, sur la
folie
des enfants. 1° Instabilité mentale arec perver
u goût (en collaboration avec Courbarien). 7btd., 1885, p. 54; - 5°
Folie
de l'adoles- cence; instabilité mentale; idées
écillité morale (en collaboration avec J. Boyer). Ibid., p. 84; 44°
Folie
de l'adolescence (en collaboration avec Belih).
(en collaboration avec Belih). Compte-rendu de 1899, p. 194; - 15°
Folie
de l'adolescence (en collaboration avec Ambard)
une moitié du corps ? Ont-elles été suivies de coma, de fièvre, de
folie
, etc. - Y a-t-il eu des accidents consécutifs ? Q
ile. Thèse de Paris. 1884. Félibiliu. Contribulionà l'étude de la
folie
de l'enfance. Thèse de Paris. t887. Mme SOL
nfants idiots, ainsi que des enfants ou des adolescentes atteintes de
folie
, d'imbécillité morale, avec toutes les perversion
Nous avons eu des enfants alcooliques, c'est-à-dire dont la maladie :
folie
, imbécillité, folie morale, etc., était duc à des
fants alcooliques, c'est-à-dire dont la maladie : folie, imbécillité,
folie
morale, etc., était duc à des excès do boisson ;
enfants dont la maladie : idiotie, imbécillité, perversions morales,
folie
, épilepsie, peut être attribuée à l'alcoolisme de
le. Thèse de Paris. 1884. Félibiliu.— Contributionh l'étude de la
folie
de l'enfance. Thèse de Paris. 1886. Bricon (P
s désordonnés qui constituent leurs attaques.» (Traité pratique de la
folie
névropathique, par le docteur J. Moreau, Paris, 1
entale. L'hystéro-épilepsie n'est pas plus une hystérie compliquée de
folie
qu'une hystérie compliquée d'épilepsie. Ce n'est
t pas à dire que l'hystérie ne puisse exister avec diverses formes de
folie
, cle même qu'elle peut se rencontrer chez un indi
celles qui appartiennent à l'hystérie, de celles qui dépendent de la
folie
qui 'souvent complique cette névrose. Il ajoute q
ontairement la manière dont les auteurs dramatiques ont représenté la
folie
sur le théâtre, en donnant comme la règle ce qui
us allons nous occuper maintenant. Griesinger décrit sous le nom de
folie
hystérique aiguë les accès délirants dont nous pa
tains cas ces attaques sont très légères, quelquefois même l'accès de
folie
semble remplacer l'attaque con-vulsive, qui manqu
est atteint d'une aiTection fort exceptionnelle, c'est une vé-ritable
folie
ou plutôt un délire hystérique. Il a été pris d'a
ils, un long rêve qu'elle avait eu. J. Moreau, dans son livre de la
Folie
névropathique, rapporte f observation d'une hysté
ilà sur ses gardes, comme ces fous que certains mots mettent sur leur
folie
. Enfin, si l'on venait, armé d'une plume trempée
déterminer la forme des principaux accidents. Quoi d'éton- 1. De la
folie
considérée au point de vue ^pathologique, philoso
entre Vhystérie et les affections convulsions épidémiques liées à la
folie
religieuse, comme la possession, les manifestatio
res avoir des élourdissements, ou bien tomber dans un état complet de
folie
accompagnée d'insomnie opiniâtre, ou bien verser
etc. par S. Goulard, t. I, Paris, 1600 (cité par L.-F. Calmeil, De la
Folie
, Paris, 1845, t. I, p. 268). 2. Calmeil, loc. c
a soupe à vide,par la même raison; en faisant mille autres véritables
folies
dignes des petites maisons; tantôt en se faisant
cette fatigue sur le visage de ces gardiens charitables... Faire des
folies
, commettre des indé-cences hors le temps même de
er et tomber en poussant des cris aigus et des hurlements. Toutes les
folies
ont une teinte de ressemblance. Celles-ci se nomm
vaisseau. « Je veux m'attacher à Jésus! s'écriait-elle parmi d'autres
folies
; je veux me cramponner à lui et ne jamais le lâch
eusement le plus rare des sym-ptômes que nous avons à signaler est la
folie
. » Et il en cite quelques exemples . Le nombre re
e Mari- nesco (Sem. médic, 15 février 1896), où il s'agissait d'une
folie
à dou- ble forme dans laquelle la période d'exc
es d'art représentant des aliénés. Cependant, les figurations de la
folie
sont nombreuses. Par leur mimique outrée, par l
-ci ne soitpas vivement impressionné par de tels désor- dres. Et la
folie
n'est-elle pas aussi créatrice de drames, dont la
l'imagina- tion ? ... On conçoit donc que la représentation de la
folie
ait inspiré les écri- vains, notamment les dram
et les idiots de Velasquez. D'autres fois, plus souvent même, la
folie
suscite une oeuvre d'art en raison des événemen
ableaux inspirés par les grands drames historiques engendrés par la
folie
, comme la Folie du Tasse à Bissaccia par Bernar
par les grands drames historiques engendrés par la folie, comme la
Folie
du Tasse à Bissaccia par Bernardo Celentano, Le
eanne la Folle par Vallès, lllaureta, F. Pradilla, W. Geets ; -, La
Folie
de van der Goes par Wanter, Ivan le Terrible par
rtraits d'aliénés plus ou moins exacts, ni de compositions ayant la
folie
pour thème, mais bien de productions artistique
ral. Dans les oeuvres d'art que nous avons envisagées jusqu'ici, la
folie
était leprétexte, mais l'exécutant pos- sédait
t ses compositions artistiques sont un des modes d'expression de sa
folie
. Presque tous les asiles renferment quelques-un
a reproduit dans son livre un tableau de A. Wiertz, représentant la
Folie
. Non moins intéressante serait l'élude de l'oeu
compositions inspi- rées par des événements dramatiques auxquels la
folie
s'est trouvée mêlée, qu'il s'agisse enfin de pr
le cerveau de fonc- tionner follement et l'on ne connaîtrait pas la
folie
. C'est donc bien l'ignorance des ressorts qui l
motif pour lequel les fous en général ne s'aperçoivent pas de leur
folie
. Les conditions de l'hypothèse ne sont jamais r
s certai- nes formes de dysgraphie qui peuvent être dues soit à une
folie
dudoute (Séglas) (128), soit une inhibition psy
pfe. St-Petersb. med. Woch., 1881, n" 2. 128. Séglas. - Un cas de
folie
du doute simulant la crampe des écrivains. Soc. m
L>GROS), V à VI II. Eclrumélle (MARIOELOFF). LXXII et LXXIII.
Folie
(Stullilia). La fuiie ou l'âme damnée (Meige),
in Quarterly Journal, 1856, p. 276.) On sait enfin qu'il existe une
folie
rhumatismale, étudiée par Burrows, Griesinger et
pour la goutte, d'après Garrod; mais dans cette dernière ma-ladie, la
folie
est rare, du moins en France ; M. Baillarger, don
éphalopathie rhumatismale et les accidents cérébraux de la goutte. La
folie
rhumatismale, décrite parBurows, Mesnet, Griesing
le de la température a été ob-servé (Wolff) assez fréquemment dans la
folie
subaiguë ou chronique, avec symptômes de dépressi
inical lectures on paralysis, etc. London, 1856, p. 293). (p. 585).
Folie
goutteuse. — Plusieurs exemples de folie goutteus
, 1856, p. 293). (p. 585). Folie goutteuse. — Plusieurs exemples de
folie
goutteuse ont été rapportés par le docteur Lynch,
es les formes du rhumatisme cérébral, la céphalée, le délire aigu, la
folie
eniin, se trouvent à peu près exactement reprodui
re jaune, 23. Foie dans la goutte, 97; — dans le rhumatisme, 229.
Folie
goutteuse, 101, 549. Frisson chez les vieillards,
— arc senile, 99; — céphalalgie, délire aigu, apoplexie, convulsions,
folie
,100,463;— aphasie, 10; — cérébrale, 10; — affecti
morrha- pique, 206; unité du —, 206; encé-phalopathie du —, 228 ; —
folie
dans le —, 228; — subaigu ou capsulaire, 203, 204
ve, 219; — fièvre intermittente symptomatique, 219;—encéphalo-pathie,
folie
, migraine, chorée, pa-ralvsie agitante, trembleme
hmée dansses sons. Le sommeil peut être vertigineux ou lucide. La
folie
est un état permanent de somnambulisme vertigineu
entraînent l’adhésion de l’intelligence, sont des accès passagers de
folie
. Toute làtigue de l'esprit provoque le sommeil;
de bien dîner. Les abîmes attirent; l’ivresse appelle l’ivresse; la
folie
a d invincibles attraits pour la folie. Lorsqu’un
’ivresse appelle l’ivresse; la folie a d invincibles attraits pour la
folie
. Lorsqu’un homme suc- combe au sommeil, il a en
ne sommes pas matérialistes, car nous ne saurions nous associer à la
folie
de ceux qui limitent le monde à la portée de leur
nement ; la fée des inventions, le sentiment du beau, la poésie). Les
folies
de son caprice, les erreurs de sa rêverie, les co
ante, presque évanouie, dans ceux de son père, dont la joie fut de la
folie
. Le soleil tombait derrière les grandes forêts
det eonnniuancei peu communes, est-il surprenant qu’on l’ait taxé de
folie
? Il avait prédit qu'il mourrait à 75 ans. D'où
On peut, en en prenant des doses diverses, se mettre dans un état de
folie
temporaire, et provoquer les hallucinations les p
extérieure de cet état psychologique, qui ressemble fort à une petite
folie
, est une tendance notoire à la combativité. Que l
r le chemin qui les mènera, sans qu'ils s'en doutent, non pas vers la
folie
, pas même vers l'ivrognerie crapuleuse, mais aux
t dans sa chute. « Cet acte de désespoir est attribué à un accès de
folie
. » Le dramatique événement qui vient de se pass
sac une foule de choses hétéroclites. En la circonstance, hystérie et
folie
, hallucina-bilité, obsession, hypnotisme et sugge
Dr Legrain, professeur. Objet du cours : Les formes curables'de la
folie
. Les mardis à cinq heures et demie, à partir du
le de Ville-Evrard, dont les travaux sur la dégénérescence et sur les
folies
toxiques font autorité, suffît pour vous indiquer
Toung, autour de Canton et dans l'île de Haï-Nan. On attribue cette
folie
contagieuse à la sécheresse qui règne en ces régi
escence mentale. Or, la dégénérescence mentale comprend aussi bien la
folie
que la criminalité. Ce sont les deux branches d'u
certain nombre de fous et de criminels. L'alcoolisme engendre donc la
folie
et la criminalité. La tuberculose pulmonaire
oir du moindre compérage? Que le magnétisme existe, et qu’il y aurait
folie
à le nier, car les prêtres d’isis le connaissaien
agnétisme. Nos somnambules les plus intuitifs fixent le siège de la
folie
à la partie antérieure de l’encéphale. Cette affe
notoire, écrit le P. Ventura à M. de Mirville, (|iie tous les cas de
folie
développés dernièrement au milieu de ces pratique
los la série des discours et des tostes : Guerre an Magnétisme!!!
FOLIE
POT-POURRI. Air : Immuable ascendant du destin
ntrain et la verve la plus comique, les couplets de cette spirituelle
folie
ont provoqué le fou rire de l’assemblée et ont va
ividus auxquels on peut inoculer toutes les extravagances, toutes les
folies
, toutes les maladies, rien qu’en étendant la main
eversé présente bientôt les phénomènes étranges de l’épilepsie, de la
folie
, du délire, de l’empoisonnement même si l’on alla
r le magnétisme. — Hélas ! comme les incrédules, elle avait ri (le ma
folie
;— cependant, pressée par moi, elle se rendit. J
x, des entorses, des cas de paralysie, d’épilepsie, d’hypocondrie, de
folie
, etc. On a admis les malades indistinctement, e
endant longtemps pour cette infortunée une congestion cérébrale ou la
folie
. Les personnes qui en furent témoins virent là qu
’a-t-on pas jadis brûlé pour ce crime plusieurs prêtres innocents? La
folie
est souvent due à une sorte d'ensorcellement, car
rd’hui l’accable- ront demain de leurs reproches ; on l'accusera de
folie
, à peine même trouvera-t-il un refuge dans sa con
et Barbarie, ode par M. le Dr Lé-ger. 321 ; — Guerre au magnétisme ,
folie
pot-pourri, par M. Baïhant, 327 Prix académique
brant « les lèvres de pourpre-faites pour la musique des chants et la
folie
des baisers » dissimule mal l'horreur d'un vice t
uis trois jours, une trépidation infernale nous entoure d'un nuage de
folie
, nous éloigne de la terre, du ciel et des nôtres,
la prédisposition névropathique. (1) Rapport de l'hystérie et de la
folie
(Congrès de Clermont-Ferrand 1896). Mais il e
icide existe en dehors de la névrose, on la trouve, comme celle de la
folie
hystérique, dans le terrain, dans la prédispositi
ésente tolérait de faux miracles : guérison e de surdités feintes, de
folies
slmnlées, de doigts volontairement recourbés, de
été de provoquer chez l'homme, au même degré que chez les chevaux, la
folie
amoureuse-On le faisait entrer dans la compositio
ont scrupuleuses et phobiques ; elles évolueront probablement vers la
folie
du doute on la folie du toucher. J'ai connu une j
hobiques ; elles évolueront probablement vers la folie du doute on la
folie
du toucher. J'ai connu une jeune fille qui n'osai
de chutes de corps qui se tordent dans des spasmes hystériformes. La
folie
esta son comble. Rien ne pourrait arrêter la bacc
avantages de la suggestion dans la perversion des sens, même dans la
folie
, on comprendra tout le parti que l'on peut tirer
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