t 1905, il y eut une poussée aiguë, avec élévation thermique, râles fins , nombreux bacilles dans les crachats. L'expecto

s lombaires, sans exostoses, le bourrelet osseux coxo- fémoral. Fin . 2. Région lombo-iliaque droite (vue pos- térie

2" Côté paternel. Grand'mère : Déséquilibrée. Devint folle vers la fin de sa vie, elle avait des hallucinations visuel

vail. Reprenons donc l'histoire du malade. Il a été guéri vers la fin du mois de janvier (1892), mais il ne s'est pas c

ut de trois mois, le malade» sortant guéri le 12 juin. Jusqu'à la fin du mois de mai il a été assez bien, mais à cette

tte phase mélancolique se prolongea encore plus de trois mois, à la fin desquels le malade récupéra son état normal qui

que, qui obligea à l'in- terner au Felhal, où il resta 5 mois, à la fin desquels il fut transféré au mani- come de Ciem

encore d'avoir eu des douleurs entre sa 4° et 7° année : depuis la fin de l'année passée elles ont aug- menté, souvent

g, d'une convexité légère caractérisait l'oeil de la femme. Vers la fin du xvime siècle, Zinn, ! 'anatomiste célèbre, dit

Berger de Munich (1) qui cite ces mots de Pierre de Nolhac : A la fin du volume sont trois pages, très serrées toujours

me pileux très rudimentaire, seins peu développés. Les cheveux sont fins et secs. Les règles sont survenues à 14 ans ; e

iques et comme d'un autre côté des semblables granulations les unes fines , d'autres plus grandes se voient dans les nerfs

us de deux années de fibromes cutanés multiples disséminés. Vers la fin de novembre 1889, cette chienne a été abandonnée

polymorphe, de l'excitation et des hallu- cinations auditives. A la fin de juin il a eu sur les membres inférieurs une

CONSIDÉRATIONS SUR LES FIBRES D'ASSOCIATON DU CERVEAU. (suite et fin ) PAR LASALLE-ARCHAMBAULT (Albany, New-York)

trajet ne se constatent facilement que sur des coupes relativement fines (40- 60 fi- environ). Revenons à la répartiti

t en grande partie rempla- cées par des paquets de fibres à myéline fines très serrées ; ces paquets, dans les dissociati

é- thode de Cajal, montrent qu'il existe un nombre énorme de fibres fines amyé- liniques dans les racines postérieures, l

re à cette lé- sion, qui épargne complètement certaines fibres très fines groupées, en faisceaux riches en noyaux allongé

à cette qualité ; ou hien si 'ce sont les 222 11) NAGEOTTE fibres fines contenues à l'état normal dans la racine postérie

ion de Lissauer, qui admettait la résis- tance prolongée des fibres fines dans le tabes et qui mettait sur son compte la

ogènes, mais la remarque de Lissauer sur la conservation des fibres fines dans les racines tabétiques garde sa valeur.

es régénérations apparaissent sous la forme de fibres extrê- mement fines pour la plupart, qui remplacent les fibres radicu

urs boules terminales, partent souvent du corps de la cellule. Très fines dès l'origine, les fibres qui naissent de la cell

sible de distinguer avec certitude les fibres régénérées des fibres fines épargnées, lorsqu'elles sont isolées. Le trajet

t son parcours il arrive souvent qu'elle change de volume; née très fine , elle acquiert progressivement un calibre plus

ig. 11, b et PI. XXXVIII, /). Parfois deux ou plusieurs fibres très fines cheminent de concert en s'entrelaçant d'une faç

rcation. Dans la troisième forme de divi- vision les branches, très fines , naissant comme des collatérales à angle presqu

égénérées est en effet assez variable ; la plupart sont extrêmement fines et se colorent en noir foncé ; mais, certaines of

jaune ou en rouge. Une particularité des fibres régénérées les plus fines est la présence de boules arrondies ou ovoïdes

de la mas- sue sont variables ; parfois elle garde son calibre très fin jusqu'au contact de la massue arrondie ou ovoïd

rachidiens, sauf l'absence de capsule, et qui terminent des fibres fines ou moyennes du réticulum nerveux des cornes ant

ment détruit remplace sa portion manquante par un pinceau de fibres fines qui naissent à l'extrémité de la portion conservé

hez-une, \ espèce de grenouille américaine. Ce sont des fibres très fines , terminées par des boules, qui naissent soit du

ellulaire et terminé par une boule sous-capsulaire ; une fibre très fine , terminée par une boule plus pe- tite naît- d'u

lindraxe est entouré par un plexus lâche de trois fibres néoformées fines , venues d'ailleurs, munies de petits renfle- me

fibre régénérée de gros calibre, entourée d'un plexus serré de fibres fines . g) fibre ramifiée dont une branche, terminée p

enues très visibles, grâce à leur réfringence plus accentuée et aux fines granulations qui les recouvrent ; le noyau, clair

t les li- mites imprécises sont à certains endroits marquées par un fin piqueté. Ce proto- plasma est formé par une mas

écrotiques les plus particuliers de la cellule. Ici et là, une très fine granulation ou une sorte de renflement donnent à

é tirant sur le vert, constituée par des granulations extrê- mement fines , agglomérées, la masse nucléaire donne l'impressi

alenti. Pas de vomissements. La parole redevint plus facile vers la fin de la vie. Les mouvements des bras et des jambe

out et traversé assez fréquemment par des pin- ceaux de fibres très fines , rappelant ceux qu'a décrits Chaslin chez des épi

ertain que chez B... l'état psychique fut beaucoup meilleur vers la fin de la vie et l'on ne saurait nier une relation

cellules cancéreuses ou du sang. Bientôt il ne subsiste plus qu'une fine bandelette de substance blanche et le néoplasme é

les mains sont prises à des degrés variables, alors que jusqu'à la fin elles restent intactes dans la polymyosite. L

eu près égal, de ce côté, comme du côté sain, des fibres grosses et fines à myéline. Les fibres en dégénérescence appartien

3 racines sectionnées, quelques fibres dégénérées, de calibre plus fin que celles que nous voyons planche XLIX. Ces fi

ote des altérations prononcées du côté des rameaux cutanés les plus fins , altérations qui diminuent considérablement dans

fibres en état de dégénérescence avancée. C'étaient des fibres très fines . Chez le chat IX, les nerfs cutanés de la face

la face postérieure du genou contenaient également quelques libres fines dégénérées. Les autres nerfs examinés (cuisse,

ons des nerfs de la plante, uue seule contenait 2 groupes de fibres fines dégénérées (un de ces groupes de 3, et l'autre de

de la queue, un des filets examinés contenait également deux fibres fines dégénérées. Chez le chat XII, enfin (section de

taux correspondants présentaient de même au 18e jour, quelques fibres fines dégénérées. - Les nerfs symétriques examinés

lleurs, semblent appartenir exclusivement à la catégorie des fibres fines . SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTERIEURES

s, un nombre relativement. considérable de fibres à myéline, fibres fines , quelques- unes même très fines, en voie de dég

dérable de fibres à myéline, fibres fines, quelques- unes même très fines , en voie de dégénérescence avancée. Les figures 4

on un sixième de la périphérie du tronc nerveux, zone où les fibres fines myéline apparaissent très raré- fiées. est aisé

ants. Le cordon sympathique droit (côté sain) contenait 2880 fibres fines et 382 grosses fibres.. . Le cordon gauche (c

osses fibres.. . Le cordon gauche (côté opéré) contient 2202 fibres fines et 3 i 3 grosses fibres. Le déficit des fibre

2202 fibres fines et 3 i 3 grosses fibres. Le déficit des fibres fines (678 unités) est donc évident. Nous n'oserions

iques (chat I), nous avons pu retrouver quelques fibres dégénérées, fines de calibre, infiniment plus rares que sur les d

partie supérieure de la coupe, une zone en croissant où les fibres fines à myéline sont considérablement raréfiées. En mêm

donc résulter de tous ces examens, que la dégénérescence des fibres fines du sympathique, évidente à la 3e semaine, est à p

sses fibres intactes, un nombre relativement considérable de fibres fines normales; cette constatation vient confirmer un

et de Trouchkowsky, au sujet de l'existence dans les rami de fibres fines à myéline issues des ganglions sympathiques et se

s avancés par Bumm. Chez quatre animaux, Kleist a étudié l'histologie fine des cellules ganglionnaires depuis le 58 jour j

ès l'opéra- tion. Au 5e jour, il a constaté un état de chromatolyse fine ou en amas dans un grand nombre de cellules du

en, et à colorer au Nissl. Contrai- (1) Van GEIIUCIITEN, L'anatomie fine de la cellule nerveuse. La Cellule, 1897. (2) M

106 jours, l'examen des racines montrait de très nombreuses libres fines qui n'existaient pas (ou très rares) au 9e jour,

e fibres tout à fait intactes, nous avons retrouvé les mêmes fibres fines dégénérées (fig. 7, 8 et 9, planche L). Au 24

upes, nous montraient aussi au 11° " mois un grand nombre de fibres fines serrées, et d'aspect tout à fait normal. On ne

térieures, extradurale). Présence de nombreuses fibres à myéline de fin calibre, en voie de dégénérescence wallérienne (f

on du même cordon à plus fort grossissement. Dégénérescence de très fines fibres à myéline (obj. 8, ocul. 1). . Fio. 3 et

é dans leur trajet extradural). On distingue de nom- breuses fibres fines et quelques fibres grosses à myéline, ces dernièr

cines postérieures du même côté, intra-dura- le). Nombreuses fibres fines en dégénérescence wallérienne {même technique, mê

IEURES 315 moins nombreux. Il existait de plus quelques filets très fins à' peine teintés (fibres régénérées ? ). Nous a

les dissocia- tions de ce bout médullaire, des fibres saines, très fines , conservées intactes au milieu des masses myéli

servateurs. Ajoutons enfin que la dissociation doit être faite très fine et avec beaucoup de douceur, car ces fibres cas

ontrait au contraire entièrement composé d'un ensemble de fibres très fines , très nombreuses, serrées presque parallèles, q

s régénérées du bout médullaire nous paraissent succéder aux fibres fines , que nous avons vues dans le bout ganglionnaire a

nes vides dans chaque filet, de quelques fibres a myéline indemnes, fines , moyennes et même de fort calibre (fig. 2) qui

e (observ. IX, chat adulte, sacrifié après 91 jours). Quelques fibres fines dégén'él ées au milieu des fibres normales (mêm

intradural). Le filet représenté renferme de très nombreuses fibres fines à myéline, vraisemblablement régénérées au mili

rs). Dégénérescence rétrograde des grosses gaines à myéline. Fibres fines intactes ; quelques boules de myéline, ves- tig

es boules qui les constituent concordent avec le petit nombre et le fin calibre de ces fibres centrifuges. Nous ne sommes

uoi ces lésions qui portaient exclusivement au début sur les fibres fines , atteignent au 7e mois aussi un certain nombre

n, et portant presqu'exclusivement sur les rameaux cutanés les plus fins . Il est probable même que cette névrite peut ap

st et Koster, restaient normaux en nombre et en dimensions. Vers la fin de la première année, le processus de névrite pér

frangées, irrégulières, fragmentées même, se voient d'autres fibres fines , tout à fait normales d'aspect, et qui semblent ê

comme peu intenses et sans vigueur. Les cylindraxes régénérés, très fins , ne s'entourent jamais de gaîne de myéline, et

ostérieu- res, la dégénérescence porte exclusivement sur les fibres fines centrifu- ges des racines postérieures. Il semb

les nerfs qui composent le plexus cardiaque, la diminution des fibres fines à myéline est beaucoup plus accusée que dans le

rifuge. Ces fibres sont relativement peu nombreuses, presque toutes fines de calibre, quelques-unes cependant moyennes ou m

es au bout de 2 à 3 semai- nes, et portant à la fois sur les fibres fines et sur les grosses fibres. Il existe aussi des

accusé sa dégénérescence ; il contient cependant encore des fibres fines assez nombreuses et d'aspect tout à fait normal.

UX ET HEITZ de cette même racine présente de très nombreuses fibres fines régénérées. Les cellules ganglionnaires ont gar

le du cordon sympathique gau- che descendant ; fibres de gros et de fin calibre en dégénérescence wallé- rienne dans le

à myéline grosses, fortement colorées, mélangées à des libres plus fines et plus pâles les unes et les autres dans la mê

re de fibres dégénérées, quelques- unes de gros calibre, la plupart fines . En général, les dégénérescences sont moins abo

echerches minutieuses nous ont montré des fibres dégénérées, rares, fines en presque tota- lité, n'étant plus représentée

e-quadrille) 382 fibres à myé- line de gros calibre et 2.880 fibres fines . Le cordon gauche montrait une zone en trapèze

numération a donné, de ce côté, 313 grosses fibres et 2.202 fibres fines (soit un déficit de 69 grosses fibres et 678 fibr

02 fibres fines (soit un déficit de 69 grosses fibres et 678 fibres fines ). Les ganglions semilunaires ne présentaient pa

égé- nérées, presque toutes de grosses fibres, alors que les fibres fines se voyaient au contraire intactes et nombreuses

rses, au milieu d'un nombre très considérable de fibres extrêmement fines , colorées en brun par la myéline, libres légèreme

ITZ (fig. 10, planche L). Ces libres étaient comparables aux fibres fines , indemnes en apparence de toute dégénérescence,

ques el des ganglions semi-lunaires, zone de raréfaction des fibres fines dans la corde sympathique droite au-dessus des ra

sur une coupe transversale 358 fibres de gros calibre et 3.161 plus fines à myéline. Le splanchnique gauche, symétriqueme

uche, symétriquement, comprenait 441 grosses fibres et 3.302 fibres fines . Il n'existait sur les coupes de ces deux nerfs a

cédé. Le cordon droit comprenait 337 fibres grosses et 4.155 fibres fines . Les fibres fines étaient légèrement raréfiées da

oit comprenait 337 fibres grosses et 4.155 fibres fines. Les fibres fines étaient légèrement raréfiées dans une très petite

stait pas d'ap- parence semblable et cependant le nombre des fibres fines était légèrement moindre (4.071, avec 441 gross

e majorité des fibres intactes, quelques fibres beaucoup plus rares, fines en majorité, et en état de dégénérescence très

. Certains filets ne comprennent que deux ou trois fibres à myéline fines , au milieu des gaines vides. D'autres peuvent en

ns leur trajet intradural. - Survie de 14 jours. Présence de fibres fines intactes dans le bout médullaire des racines sec-

le bout médullaire des racines sec- tionnées ; présence des fibres fines dégénérées dans le nerf efférent du ganglion. -

pôle périphérique du gan- glion spinal, un certain nombre de fibres fines en dégénérescence. Un filet des racines antérie

i- ques postérieures gauches. -Survie 18 jours. - Nombreuses fibres fines dégénérées dans le sympathique thoracique gauch

t exa- minés minutieusement, renferment un certain nombre de fibres fines et aussi quelques grosses fibres dégénérées.

épète, plus ou moins volontairement, en s'autosuggestionnant ; à la fin l'associa- tion se systématise et se change en

éri de sa complication pleuro-pulmonaire. Il quitte le service à la fin du mois de novembre. Un mois et demi après il y

eux assez épais. , Après avoir enlevé la pellicule conjonctive très fine qui recouvre la tache, on se trouve en présence

d'ovarine ; cette période dura du mois de septembre 1904 jusqu'à la fin du mois de juin 1905, de sorte qu'elle occupa aus

Charles H... ; c'est une diminution manifeste des testicules vers la fin du traitement ovarien. Dans mon premier travail

éline, de nombreux leucocytes contenant des granulations grosses et fines de myéline, et des globules de sang. Dans les deu

Stroebe a constaté au bout de deux semaines, la formation de fibres fines à myéline provenant des cordons latéraux et antér

il ne se produit pas des fibres puissantes, longues, mais des fibres fines qui s'épuisent facilement par des divisions suc

roche de la région moyenne de la cicatrice. En dehors de ces fibres fines , on en rencontre d'autres plus épaisses se ramifi

sance à un véritable plexus. Nous avons trouvé un faisceau de fibres fines égaré dans ces ponts cellulaires bien loin des

des travées plus minces, et plus profondément,un autre réseau très fin . A l'extrémité supérieure du bout inférieur nou

isceaux qu'elles forment. De plus, on remarque que certaines fibres fines ou de calibre moyen présentent des renflements

e nouvelle formation. Le cône est bordé par des faisceaux de fibres fines et épaisses, présentant parfois des épaississemen

trajet : Dans le goulot de l'entonnoir on voit seulement des fibres fines , flexueuses ou enroulées, en c, c' on voit deux

qui à leur tour peuvent se diviser. Il y a ensuite des fibres plus fines , moniliformes, se ramifiant souvent et dont les

sues. On voit en outre que la racine est constituée, par des fibres fines sans myéline, réunies pour la plupart du temps

les fibres qui donnent des ramifications secondaires de plus en plus fines et qui présentent des petits boutons à centre c

es on voit très bien l'enlacement des fibres nerveuses épaisses au- Fin . 7. - Détails de structure relatifs à la constitu

amyéliniques traversant des bandes protoplasmiques. Ces^fibres sont fines , bien colorées', traversant par deux, trois, ou

posent de segments assez épais, réunis par des parties beaucoup plus fines . Ce n'est pas là à proprement parler des épaiss

actérisent la ré- générescence. C'est ainsi qu'on y voit des libres fines disposées en faisceaux et présentant les caract

s long. En dehors de ces fibres épaisses on en trouve d'autres plus fines , très longues, sinueuses avec des épaississements

branches dedivision sont souvent inégales.A l'extrémité des fibres fines , on voit parfois une espèce d'arborisation, ou

ues terminales. Il se détache de certaines fibres des ramifications fines qui aboutissent par une espèce de bou- ton anal

entiellement constituées au niveau de la compression par des fibres fines flanquées de distance en distance de noyaux obl

e de noyaux oblongs ou fusiformes, riches en chromatine. Ces fibres fines n'ont pas une di- rection parallèle, mais elles

re, où les racines sont comprimées, on constate un cordon de fibres fines qui s'entremêlent de toutes fio. aU. - faisceau

veuses jeunes entre les cellules de cet épithélium. Les fibres sont fines et ne paraissent pas suivre un trajet régulier et

ehors de ces fibres d'un certain calibre ; on en voit d'autres plus fines avec des épaississements et se divisant parfois e

ches flexueuses très longues. Il y'a ensuite des fibres encore plus fines que les précédentes et à peine visibles. Enfin on

e proviennent de ces rendements des cylindraxes altérés. Les fibres fines avec des ramifications, des anneaux et des épai

la vie, et peut évoluer assez rapidement pour amener la mort avant la fin de la première année. Les examens histologiques

ent soudées. Les autres parties du cortex ne présentent que de très fines lésions consis- tant en la pigmentation de quel

Les cheveux, assez longs, tombent jusqu'au milieu du dos. Ils sont fins , déliés, sans aucune sécheresse. Les poils du p

. 5) olympien. Les fontanelles se sont soudées tardivement. Vers la fin de la première an- née des veines se dessinaien

lles tapisseries d'Arras, tissées selon toute vraisemblance vers la fin du xv° siècle, et dont l'une peut tout spécialeme

r le long supinateur quelques fibres contiennent un grand nombre de fines gouttelettes de graisse colorées en noir par l'ac

t très- bien portant. La malade sortit de l'hospice de Bicêtre à la fin de l'année 1891 et se retira dans sa famille. N

yaux du sarcolemme; mais l'atro- phie peut rester simple jusqu'à la fin , la fibre très atrophiée conservant encore sa s

peu de propagation et de systématisation. Au contraire les Fia. 3 Fin . 4 hémiasynergie DROITE 545 dégénérescences s

r une coupe (fig. 6), passant au-dessous de la précédente, on voit la fin de l'épanchement sanguin, lamelliforme, dans le

ralysie générale pellagreuse, dont les accidents cachectiques de la fin sont de tous points analogues à ceux de la paraly

longitu- dinal inférieur et le faisceau optique central (suite et fin ) (6 pl.. G sch., 7 flg.), 1031118. 598 TABLE

isceau longitudinal inférieur el faisceau optique central (tuile et fin ) (6 pl., 6 sch., 7 lig.), par L.1S\LLE-1RCII111

rmaux; quel- ques très rares tubes de gros calibres, quelques tubes fins , à peine plus nombreux, des fibres où la myélin

ernières racines sacrées. La 1=e sacrée contient un peu plus de tubes fins conservés; ceux-ci sont encore plus nombreux da

4e et 5e lombaires, avec conservation d'un certain nombre de fibres fines dans ces 2 dernières paires. Dans la moelle nou

dégénérées ou en voie de dégénérescence et par des fibres verticales fines , saines, uniformément réparties sur toute l'éte

oloration très pré- cise et très sûre des fibres à myéline les plus fines (substance grise) ; 3° la coloration des racine

, sont détruits, mais les zones de Lissauer et le réseau des fibres fines de la corne postérieure sont intactes. Il en sera

arce que la IL,, lombaire contient déjà un certain nombre de fibres fines intactes, le bord de la corne postérieure commenc

inte la zone d'entrée de la racine postérieure.Les fibres endogènes fines deviennent moins nombreuses dans la branche ver

e postérieure reparaissent. Les zones de Lissauer et le réticu- lum fin de la corne postérieure ne changent pas d'aspect

ez grand nombre de fibres grosses, éparses ; par contre, les fibres fines deviennent plus rares. . 10e Dorsale. On assist

cret de grosses fibres conservées. On aperçoit également des fibres fines , mais en moins grand nombre que dans les régions

arrière jusqu'à la pointe; 3° les zones de Lissauer et le réticulum fin de la corne postérieure. Tous ces systèmes de fib

il existait une dégénérescence des zones de Lissauer et des fibres fines de la corne postérieure ; dans mon observation,

zones de Lissauer sont absolument intactes, de même.que les fibres fines de la substance grise. Le fait que dans un cas,

t cette opinion est fondée précisément sur l'intégrité du réticulum fin de la corne postérieure ; cette intégrité ne se

es en deux catégories absolument distinctes : 4° fibres en- dogènes fines , 2° fibres endogènes grosses. Cette distinction n

r ces deux espèces de fibres dans une moelle normale, où les fibres fines se montrent avec la même abondance que dans l'o

onné une atteinte portée sur elles et principalement sur les fibres fines . 4° FIBRES ENDOGÈNES FINES. '- Avant d'entrer d

ne contiennent plus qu'un nombre excessivement restreint de fibres fines , peut-être pas 10 par racine, et que les trois ra

lors qu'au niveau de la troi- sième sacrée, par exemple, les fibres fines des cordons postérieurs sont si nombreuses qu'i

ion, elle ne résiste pas mieux à l'examen ; en effet, si les fibres fines , et en particulier celles de la zone de Lissauer,

sont bien des fibres endogènes légiti- mes. Les fibres endogènes fines ont un diamètre qui, pour la plupart, est infér

observés, je décrirai à part ces trois aspects de fibres endogènes fines . a) Fibres endogènes fines horizontales. Ces fi

ces trois aspects de fibres endogènes fines. a) Fibres endogènes fines horizontales. Ces fibres forment de petits fasc

ban de Reil. Les fasci- Fie. 1. Obs. I. Fibres endogènes grosses et fines des cordons postérieurs au ni- veau de la II8 s

rtions de la zone de Lissauer par des fascicules obliques de fibres fines endogènes. 32 NAGEOTTE cules moyens et postér

ale il en contient encore, mais beaucoup moins. b) Fibres endogènes fines , verticales, éparses. Ces fibres forment un sem

cordon de Goll (fig. 3). c) Zones de Lissauer ou fibres endogènes fines verticales conglomérées. - Les zones- de Lissau

ute vraisemblance constituées nni- quement par des fibres endogènes fines , et c'est ci tort qu'elles sont comptées actuel

'elle est dans une moelle normale. Fio. 2. Obs. I. Fibres endogènes fines horizontales et verticales disséminées à la rég

fibres radiculaires dégénérées. Fief. 3. Obs. I. Fibres endogènes fines horizontales et verticales dans les cor- dons d

d'une continuité entre les fibres des zones de Lissauer les fibres fines des racines postérieures serait la suivante : les

ée. En 1886, Lissauer (1) décrivit très minutieusement la structure fine de la corne postérieure et donna de la petite r

oncerne l'origine des libres ; il crut voir des faisceaux de fibres fines passer direc- tement des racines dans ce territ

territoire médullaire, et c'est pourquoi il ad- mit que les fibres fines de sa zone marginale n'étaient autre chose que la

r des sortes de ponts formés par des fas- cicules aplatis de fibres fines obliques qui se glissent entre les fascicules r

la peine à trouver dans les racines un nombre suffi- sant de fibres fines conservées pour s'expliquer à lui-même la conserv

nes postérieurs portée à son maximum à la région sacrée, les fibres fines de la portion externe comme de la portion inter

ru être en rapport avec la lésion du réticulum formé par les fibres fines de la 36 NAGEOTTE . corne postérieure. Les ca

es de Lissauer sont le plus altérées, sont aussi ceux où les fibres fines à myéline sont le plus raré- fiées dans la corn

que les zones de Lissauer sont constituées par des fibres endogènes fines verticales, qui sont conden- sées en ce point,

elieà une dégénérescence éga- lement tertiaire du réseau des fibres fines de la corne postérieure. 2° Fibres ENDOGÈNES GR

a méthode du développement, thèse de doct., Saint-Péterbourg, 1898. Fin . 12. Reproduction réduite de la figure 48 de la t

ons au chromate d'argent nous apprennent, c'est que ces fibres sont fines et que, au lieu de former dans les cordons post

un réseau de fibres à myéline qui sont les unes grosses, les autres fines . Les fibres grosses for- ment des fascicules qu

a corne à moitié ou aux deux tiers, de dedans en dehors. Les fihres fines forment un réseau très serré partout, sauf dans l

nterne de la corne s'échappent vers la substance blanche les fibres fines que j'ai décrites plus haut sous le nom de fibres

s fines que j'ai décrites plus haut sous le nom de fibres endogènes fines horizontales des cordons postérieurs. Du côté de

lles forment se perdent bientôt dans le réseau des fibres à myéline fines . De l'observation I du présent mémoire, il résu

t pu prévoir, la totalité ou au moins l'immense majorité des fibres fines sont de nature endogène, puisque le réseau fin

ajorité des fibres fines sont de nature endogène, puisque le réseau fin ne présente pas de différences appréciables entre

et 2 de la pl. VII. J'ai indiqué plus haut à quel moment ce réseau fin se prend dans le tabes par suite d'une dégénére

Lissauer, triangle médian sacré, zone marginale de Westphal, réseau fin de la corne postérieure). Un simple coup d'oe

deux classes : les fibres endogènes grosses et les fibres endogènes fines . B. Les fibres endogènes grosses forment : 1° u

Flechsig, qui est un faisceau radiculaire. D. Les fibres endogènes fines sont les unes horizontales, les autres vertical

E. Les zones de Lissauer sont constituées par des fibres endogènes fines verticales qui sont condensées à cette région. El

les dégénèrent tardivement dans le tabes. F. Le réseau des fibres fines de la corne postérieure est de nature endogène.

Intégrité de la zone de Lissauer et du réseau des fibres à myéline fines dans la corne postérieure. Dans le cordon postéri

al. Intégrité relative de la zone de Lissauer et des fibres endogènes fines verti- cales disséminées malgré une sclérose ta

planche, la 44e, portant en légende « lilaz delgado 1 (Elles filent fin ! ) Ah ! oui, elles filent fin, et la trame qu'el

ende « lilaz delgado 1 (Elles filent fin ! ) Ah ! oui, elles filent fin , et la trame qu'elles ourdissent, le diable lui-

gnent de crampes au mollet.L'amaigrissement du mem- bre s'accuse. Fin mars le malade commence à se courber en avant et

ade, pas de changement de l'attitude : douleurs un peu diminuées. Fin août. - Le malade revient pour une deuxième cure

nt couché sur la table de massage inclinée, eau à 38° à 40°. A la fin de la cure le malade pouvait exécuter un certain

ntre sur la table de massage inclinée. Gymnastique médicale. A la fin de la cure, grande amélioration. Les épaules sont

ivement considérable on voit de ces appendices sur les parties plus fines des dendrites et sur leurs ramifications ; au con

collatéraux sur des dendrites se trouvent souvent des ramifications fines tantôt longues, tantôt courtes ; en poursuivant c

les dendrites de certaines cellules sont sur leurs parties les plus fines , parsemées d'épaississements et des gonflements v

on peut voir que leurs contours sont lisses et unis ; les dendrites fines terminales sont un peu plus raboteuses et plus

et des gonflements particuliers, qui occupent toujours les parties fines termi- nales, et surtout celles qui passent de

i que sur les épaississements et les gonflements. Les ramifications fines terminales de ces dentrites portent toute une sér

ique et les den- drites, qui en partent en assez grand nombre, sont fines et presque tou- jours courtes. Ces dendrites on

s appendices se voient en plus grande quantité sur les parties plus fines des dendrites; rarement ils couvrent le corps c

es deux autres fléchies. Ces doigts sont atro- phiés et la peau est fine et luisante. Pendant un mois la situation de la

se fait avec un effort d'autant plus marqué qu'elle approche de la fin . A ce moment elle s'accompagne d'un soulèvement

à type spécial : dyspnée expiratoire, avec effort très marqué à la fin de l'expiration, s'ac- compagnant d'un soulèvem

es jambes le sont davantage Tout le corps est enveloppé' d'une peau fine , glabre, doublée d'une cou- che adipeuse d'une

ONTRIBUTION A L'ÉTUDE DU TROPBOEDÈME 191 jambe est plus grosse à la fin de la journée. La force musculaire : est conservé

(lignes blanches entourées d'un nuage congestif), principalement la fin des deux mots : NCE et OCE situés dans la moiti

t la recherche des alétrations cellulaires - 'd'examiner des coupes fines et cette condi- tion est bien mieux réalisée pa

es, surchargées de pigment et contiennent même un semis abondant de fines granulations noires, sans doute des gouttelette

ingue très nettement des leucocytes dont le protoplasma est chargé de fines gouttelettes noires : ces éléments ne diffèrent

ux conjonctifs allongés appartenant la gaine de Schwann et quelques fines gouttelettes de graisse colorées en noir par l'ac

ette. Dans tous ces ganglions les vaisseaux sont peu malades. , 1 Fin . 4. Obs. V. Let....Tabes datant : delquatorzejans

ettement distinguer un semis de gouttelettes de myéline extrêmement fines et intensivement colorées en noir par l'acide o

permet de l'affirmer l'examen histologique. En ce qui concerne les fines altérations cellulaires, la méthode que nous av

en masse intensivement et on ne peut distinguer le nucléole et les fines granulations qui l'occupent à l'état normal'; c'e

llule à l'autre et la méthode que nous avons suivie n'est pas assez fine pour nous permettre d'insister davantage sur ces

toujours, d'après lui,le même aspect ; il distingue un pigment très fin , poussiéreux, clair ; un autre plus grossier et t

ement colorées, quelques-unes sont creusées de vacuoles extrêmement fines occupant tout le corps de la cellule qui ne sau

ales et dont on voit parfois tous les intermédiaires entre les plus fins et les grosses houles de graisse. En ce qui c

ent l'opération, l'atrophie cellulaire apparaît ; elle débute vers la fin du premier mois et s'accentue les mois suivants

avons employées ne sont pas suffisantes pour dé- celer les lésions fines des cellules nerveuses, mais elles le sont pour b

dégénérescence sur le trajet et à l'intérieur desquelles on voit un fin piqueté de boules noires. TRAVAIL DU LABORATOIR

ette gymnastique, les plus valides sont cramoisis, en nage. Vers la fin de la procession un grand nombre ne peuvent plus

t celles-ci sont survenues : Le malade a commencé à marcher vers la fin de la première année. A l'âge de 18 mois il tom

bonnes. Secousses nystagmiformes. Acuité auditive diminuée. Vers la fin de la vie, contractions tendineuses dans les ja

ent une raréfaction des fibres très forte. C'est surtout les fibres fines qui paraissent faire défaut. Substance blanche

ice elle manifestait un état d'exaltation extrême ; elle parlait sans fin , ses discours étaient sans suite, rythmés en ve

ade est calme, apath ique, elle travaille, elle lit et relit z sans fin le même livre, tantôt elle tombe dans un état d'e

LA PKOCESSION DANSANTE D'ECHTERNACH PAR HENRY MEIGE (Suite et fin ). Il existe quelques souvenirs iconographiques

e reli- gieux. Rappelons-brièvement les principaux. C'est vers la fin du XIV. siècle, après les ravages causés par la p

ions; d'autres, plus nombreux, offrent au contraire des fibres plus fines et séparées les unes des autres par des tractus

issent exclusivement composés de fibres normales, d'autres défibres fines ; ces derniers n'ont pas une grosse adipose inter

s au contraire sont constitués par des fibres énormes et des fibres fines , et dans ceux-là, l'adipose interstitielle est tr

ononcé dans le deltoïde et le grand pectoral ; elle est composée de fines granulations graisseuses situées dans les différe

s fibres et affecte indifféremment les fibres grosses et les fibres fines , et même parfois les faisceaux neuro-musculaires.

t, de UN CAS DE MYOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS 347 temps en temps, de fines fibres musculaires et séparées par des lits de ti

ement fibreux, peu dense cependant, assez riche en noyaux, formé de fins tractus enserrant la fibre musculaire. Dans d'a

perpendiculaires, on aperçoit, noyées dans des placards fibreux de fines fibres striées en contact intime avec des éléme

seuse qu'une lésion contingente. Ce sont la, question d'histologie fine très controversées et qu'il n'est pas possible

peu de distance de la surface. La véritable lésion syphilitique des fins vaisseux est unique- ment la sclérose périvascu

zones suivant son épaisseur et le picro-car- min y montre alors une fine bandelette interne fortement teintée et une zone

fente ou d'une cavité allongée transversalement et limitée par une fine bordure de fibres conjonc- tives et élastiques.

paroi ; ils constituent ces pelotons vasculo-nerveux engaînés d'une fine bordure conjonctive et énu- cléés en quelque so

avant en une dilatation triangulaire. Cette fente est bordée d'une fine membrane conjonctive. L'épendyme est normal. La

ion d'une syringomyélie. Cette cavité est bordée et limitée par une fine membrane conjonctive dont la continuité avec la

n difficile à donner en rai- Fig. 9. - Pér... Cavité bordée par une fine membrane conjonctive en conlinuité avec un vais

ble plus accusé de l'écriture que présentent ces mêmes malades à la fin d'une lellre TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PARO

ropor- tions apparentes de l'amnésie réelle. J'ai réservé pour la fin une variété très particulière des troubles psy-

nant au malade un modèle à copier, vous pouvez voir (fig. 1) que la fin des lignes est située plus bas que le commencem

t, les majuscules sont grandes ; il y a une ébauche de paraphe à la fin de cer- tains mots; comme si la plume avait eu

aniaque avec idées de gran- deur dont le sujet était alors atteint ( fin . 6) ; l'écriture est rapide, les let- tres sont

e empreinte indi- viduelle par chaque sujet qu'elle atteint. A la fin de cet exposé, pour bien montrer par un seul exem

ur- tour de la zone radiculaire antérieure. A gauche, quelques très fines cellules dans le groupe antéro-interne, pas ail

fig. 3). Fig. 2. 462 GENÉVRIER Pendant que nous assistions à la fin de l'évolution de cette plaque de sphacèle, une

e. Elle fut offerte à l'église de Lurcy par la famille Thuret, à la fin du second Empire seulement. C'est une oeuvre d'ar

édecine et de chirurgie a partir du xve siècle. ; Une gravure de la fin du xvie siècle (2), au musée germanique de Nu-

ges de la comédie italienne qui furent introduits en France vers la fin du xvie siècle, Arlequin devint rapidement l'un

: on assure que, depuis le commencement du xvle siè- cle jusqu'à la fin du xvm% furent jouées plus de mille Arlequinades

our du pore ; elles sont fusiformes et très petites, et émettent un fin prolongement qui se ramifie dans le mésoderme.

t bâtonnet, et donnent naissance, à leur extrémité pro- fonde, à un fin prolongement qui se divise en un certain nombre d

es sensorielles de l'ectoderme, émettent par leur face profonde, de fines fibrilles qui entrent dans la constitution d'un p

mune pour 1er de petits ganglions, reliés les uns aux autres par de fines commis- s, constituées par les fibrilles nerveu

phérique. Chaque nerf contient des libres de gros calibre et des de fin calibre. Les libres de gros calibre ou fibres ner

nerveux princi- audouuc de nombreuses ramifications. Les fibres de fin calibre (fibres nerveuses sensitives) prennent

tué du côté ventral de al, et dont les ganglions sont réunis par de fines commissures verti- t transversales de fibres ne

ubérantielle ou pédonculaire. em- ployer la coupe do Meynert. Fin . G. - Coupes que nous pratiquons à Bicêtre sur un

e de Pal l'emporte sur celle de Weigert pour la coloration des très fines fibres à myéline, mais nous paraît être un peu

uemment la solution durcissante Employer de grandes quantités. A la fin du durcissement, le titre de la solution peut ê

d'autant mieux, que les pièces y sont soumises plus longtemps. A la fin de la réaction, les pièces présentent à peu prè

seules qui jusqu'ici, soient applicables à l'étude de la structure fine du système nerveux central, et les découvertes

R. y Cajal reproche au pro- cédé de Greppin de ne pas respecter les fines ramifications nerveuses. 7. EXA3/EN microscopiq

se trouvent, au début, de chaque côté de la fente vertico-médiane ( fin . 16). Les deux rétines sont donc à celle époque,

térieure primitive jusqu'à la vésicule oculaire secondaire. Vers la fin de la qua- trième semaine, la gouttière est trè

rs (fig. 19 et 21), se porte peu à peu en avant et se place vers la fin du deuxième mois au-dessous du lobe olfac- tif.

e son feuillet pigmentaire. Les deux axes optiques, forment vers la fin du deuxième mois de la vie intra-utérine, un an

la troisième vésicule encéphalique dont elles déforment la cavité ( fin . 20). Vésicules auditives.] 3. Fig. 19, 20, 2

aroi supérieure du cerveau intermédiaire (fig. 17 et 18). Vers la fin de la quatrième semaine, un repli mésodermique mé

ertex (Sheitelhocker de 1-lis), : représente un angle droit vers la fin de la troisième semaine de la vie. embryonnaire

gu, et mesure 0° vers la moitié de la cinquième semaine et 30° à la fin du deuxième mois. L'angle antérieur du vertex,

aire. Les angles de toutes ces courbures, sont très accusés vers la fin du deuxième mois de la vie embryonnaire; ils s'

antérieures et laté- rales sont déjà nettement accentuées. Vers la fin du deuxième mois, la corne postérieure subit un

restiforme apparaît il la partie externe de la lame alaire, vers la fin du deuxième mois; un sillon profond, le sillon re

es hémisphères cé- rébelleux, on voit cependant apparaître dès la fin du deuxième mois et le commencement du troisièm

ou ventriculaire, concave au début, présente de chaque côté, dès la fin de la cinquième semaine, deux saillies longitudin

la paroi interne du cerveau intermédiaire, devient verticale vers la fin du troisième mois de la vie embryonnaire. Etend

la saillie delà pièce intermédiaire (fib. ! 1.) , . Déjà avant la fin du deuxième mois de la vie intra-utérine, les deu

ur constitue la fosse sylvienne. Très légèrement déprimée vers . la fin de la quatrième semaine de la vie embryonnaire, l

d'après nature). - Fie. 45 et 46. Face 'externe droite et gauche. - fin . 47. Encéphale vu par la face infé- rieure. - F

RVEUX. 109 se place au-dessous du lobe olfactif postérieur vers. la fin du deuxième mois (fig. 51); à mesure que le péd

puis en bas, au-dessous du niveau de la fosse sylvienne. Vers la fin du deuxième mois de la vie intra-utérine, le corp

u niveau de la surface suturale opto-striée (fig. 49, S). Mais dès la fin du deuxième mois, et surtout pendant le troisiè

Sss), lorsqu'on la compare à la suture primaire qui s'effectue dès la fin du Ftc. 'il. - Ventricule latéral d'un foetus h

le cérébral atteignent le bord supérieur de la protubérance vers la fin du quatrième mois de la vie intra-utérine, puis

itifs. Les hémisphères cérébraux s'accroissent rapidement : vers la fin du troisième mois, ils recouvrent les couches o

ie du cervelet vers le sixième mois, et dépassent le cervelet vers la fin ' du septième mois de la vie intra-utérine. L

chet, dont l'apparition est relativement tardive (lig. 67). Vers la fin du troisième mois de la vie intra-utérine, appara

, dans la région pariétale par un petit sillon qui apparaît vers la fin de la vie intra-utérine, le sillon sous-pariéta

lution frontale interne, en constitue la plus grande étendue. Vers la fin de la vie intra-utérine, apparaissent dans la p

trian- gulaire, à l'origine de la scissure de Sylvius. Vers la fin du neuviè- me ou au commence- ment du dixième

- tuent dans le huitième mois et sont nettement développés à la fin du huitième et au neuvième mois. Dans le lo

neuvième mois. Dans le lobe frontal apparaît d'abord, vers la fin du sixième mois, le sillon frontal inférieur,

les sillons et cir- convolutions sont nettement indiquées. Vers la fin du neuvième mois et au dixième mois, apparaisse

llule, (voile marginal de His), la sub- stance fibrillaire forme un fin reticulum, dans les mailles duquel on trouve la

la couronne épithéliale qui tapisse le canal de l'épendyme. Vers la fin de la cinquième semaine chez l'embryon humain L

s de transition entre les cellules bi et unipolaires. - d, libre de fin calibre venant de la racine antérieure et s'arbor

re venant de la racine antérieure et s'arborisant en e. - f, fibre de fin calibre venant de la périphérie par le rameau a

HISTOGENÈSE DU SYSTÈME : \'EHVEUX.15 : > d'après His après la fin du deuxième mois de la vie intra-utérine, d'a-

du deuxième mois de la vie intra-utérine, d'a- près Vignal vers la fin du troisième mois; chez l'embryon de la bre- bi

unique, tandis que le pôle opposé est couvert d'un grand nombre de fines fibrilles; elles ressemblent alors à un pinceau e

s intermédiaires entre des ramuscules très courts semblables à un fin du- vet, et des rameaux longs, droits, lisses

stance grise, les prolongements primordiaux sont recouverts de très fins ramuscules; dans la substance blanche ils devienn

ation d'argent, sont revê- tus, ainsi que le corps cellulaire, d'un fin et abondant duvet qui donne à la cellule un asp

très abondant, et sont munies d'un bouquet de fibres excessivement fines et très nombreuses. Les cellules névrogliques s

r prolongement cylindre-axile apparaît de très bonne heure avant la fin du premier mois (His). Leurs prolongements prot

libre légèrement renflée. Leur prolongement central représente une fine fibre nerveuse, qui se réunit aux fibres voisin

omme variqueux, aspect qu'elles conservent jusque dans leurs plus fines divi- sions. Dans certaines cellules (cellu

e, immédiatement après son origine, un certain nombre de petites et fines branches collatérales, les col- latérales de Go

rébro-spinal (fig. 109). La division du cylindre-axe et sa richesse Fin . 107. - Cellule nerveuse à cylindre-axe court de

rains de la rétine. Les grains du cervelet donnent naissance à un fin cylin- dre-axe, ils donnent en ou- tre naissa

chez les mammifères, une arbo- risation péri-cellulaire extrêmement fine , qui se continue avec une fibre nerveuse dont l

Vignal l'ont démontré, et se présentent sous forme de faisceaux de fines fibrilles, noyées au sein d'une matière homogèn

une base d'insertion conique (fig. 114). De très bonne heure, à la fin du premier mois chez l'embryon hu- main (llis),

anastomose5 § 2. STADE ]OETAL - APPARITION DE LA MYÉLINE- Vers la fin du quatrième mois de la vie intra-utérine, la myé

ules plus ou moins La myélino appa- raît dans les nerfs vers la fin du 4- mois de la vie intra-uté- rinc. La my

t, dit Vignal, qu'à mesure que la vie embryon- naire approche de sa fin , le protoplasma de la fibre nerveuse devient de

- pés d'un manchon névroglique, qui les suit jusque dans leurs plus fines ramifications, manchon névroglique qui se conti

ène et fluide contenant quelques granulations, et, d'autre part, de fins filaments serrés, disposés en couches concentriqu

tube en T. - n, noyau du premier segment de la branche cellulaire fin T. ë. premier étranglement de la branche cellul

employant la méthode de Golgi, une arborisation péricellulaire très fine , qui se continue avec une fibre nerveuse amyélini

naire et sont toutes parallèles à son axe. Par leur structure, fine . les cellules sym- pathiques ressem - hlent d

ses amyé- liniques, longitudinales, qui émettent sur leur trajet de fines collatérales ; ces dernières s'enfoncent dans l

cel- lules sympathiques. G, cellules avec des expansions courtes et fines . - F, autrc cellule avce dps expansions cpaissc

un plexus enche- vêtré à mailles très serrées. Les fibres les plus fines se terminent par des extrémités libres garnies

r. Étude des nerfs il myéline au moyen Il de l'acide osmique. Fin . 128. - Tube nerveux et cylindres-axe du nerf s

s en contact direct les unes avec les autres. Lorqu'elles sont très fines , c'est-à-dire constituées par une seule fibrille

à signalé les gaines minces et simples entourant les nerfs les plus fins . La gaine de Henle et la membrane de Schwann ci

s à direction tangentielle, lesquelles fournissent à leur - tour de fins rameaux variqueux, sinueux, d'aspect moniliforme,

ition de l'épithélium olfactif avec l'épi- thélium respiratoire, de fines fibres nerveuses, ramifiées, variqueuses, d'asp

n réseau à mailles arrondies ou polygonales, dont se détachent de fines fibres nerveuses, qui sont en contact direct av

- axe se divise et se subdi- vise, et donne naissance à de très fines fibres vari- queuses plus ou moins ramifiées

plexus des vais- seaux sanguins), dont se détachent des fibres très fines , qui se terminent très probablement par des tac

e sillon frontal. - fui, troisième sillon frontal ou incisure en H. - fin , sillon fronto-marginal. -Gsm, Gyrus supra-marg

frontal ou incisure en H. Fa. circonvolution frontale ascendante. - fin , sillon fronto-marginal. - Gsm, gyrus supra-margi

e chez les an- tltruyoïulec. 260 ANATQMIE..DES CENTRES NERVEUX. Fin . 160 et 161. Pli courbe et variétés d'insertion d

t en avant le pli de pas- sage pariéto-timbique postérieur (7tplp) ( fin . 182). L'isthme du lobe limbique (L [i]), connu

rième sillon frontal. - Fe, faisceau externe du pédoncule cérébral. - Fin ,. faisceau interne du pédoncule cérébral. Fus,

.. f3 7. Sillon olfactif ..... , f,. 8. Sillon fronto-marginal... fin 9. Sillon orbitaire externe... soe 10. Sillon

s coupes verticales et horizontales établissent que ces deux lobes, Fin . 188. - Coupe sagittale inter-hémisphérique. Seui

res. L'origine cellulaire et la terminaison de ce faisceau formé de fines fibres nerveuses sont encore inconnues. Il n'es

nférieure, le noyau d'origine du nerf pa- thétique (4e paire) (NI\" fin . 189) et dans la région pédonculaire supé- rieu

nium). EM, ergot de Morand. Fi, première circonvolution frontale. - Fin , forceps major. - L,, première circonvolution lim

Ces fibres constituent le faisceau olfactif de la corne d'Ammon qui Fin . 20 : i· Coupe vertico-transversale de la corne d

ure grise ou molle, qui traverse la cavité du troisième ventricule ( fin . 19). L'extrémité posCérie2cre est volumineuse,

r, zone réticulée ou grillagée. 404 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fin . 32u. Coupe hofizonfate de l'hémisphère droit, Do

VA), se présente sous l'aspect d'un faisceau de fibres compactes et fines . Ces deux faisceaux sont séparés l'un de l'autre

mmering (Ln), qui occupe la place du corps de Luys de la coupe pré- Fin . 231. - Coupe horizontale de l'hémisphère droit,

ase du cerveau antérieur, immédiatement en avant et en dehors de la Fin . 232. - Coupe horizontale de l'hémisphère droit,

ieure, effilée, du lobe limbique (L,) au niveau de sa jonction avec Fin . 244. - Coupe vertico-transversale de l'hémisphèr

noyau caudé est encore sectionné en deux endroits (NC, NC') sur la Fin . 259. - Coupe vertico-transversale de l'hémisphèr

. - Fc, fasciola cinerea. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fin , forceps major. Fus, lobule fusiforme. - II, hipp

elle.) EM, ergot de Morand. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fin , forceps major. Fus, lobule fusiforme. - ip, si

ingual (Lg), que nous avons vu naître sur les coupes nos 99 et 105 ( fin ..260, 261), par le pli l'étl'o-li1llbi- que s

s. - EM, ergot de Dlorand. -Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fin , forceps major.-Fus lobule fusiforme. -il), sillo

u noyau caudé (NC), apparait ,49G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fin ;. 270. Coupe sagittale de l'hémisphère droit, n°

is en faisceaux distincts; elles s'entre-croisent en effet avec les fines fibres fortement colorées par l'hématoxyline, qui

moins obliques. Elle est limitée en dedans par une couche de fibres fines , il direction verticale, la lame médullaire exter

t, on trouve dans le noyau externe un feutrage extrêmement dense de fines fibres, dans lequel dominent toutefois des fibres

verte qu'en dedans. Le corps de Luys reçoit un très grand nombre de fines libres, serrées les unes contre les autres, qui p

er. Dans le sillon opto-strié on trouve la coupe transversale de très fines fibres qui se colorent faiblement par l'hématox

oyenne du noyau interne (Ni). Le noyau externe présente toujours le fin feutrage de libres il direction ver- ticale, qu

a couche optique Ne). En dehors, le noyau rouge est entouré par les fines fibres émanées du centre médian de Luys et qui

ayonnante (CR) se comportent comme sur la coupe précédente n° VIII ( fin . 286). Le faisceau occipito-frontal (OF) est fo

trouve, le long de toute la hauteur de ce carrefour, une couche de fines fibres peu colorées par l'hématoxyline et qui a

de la couche du tapetum se trouve une couche de fibres pâles, très fines , quiappartiennentauxradiations thalamiques(RTh).

ion et se présentent sur cette coupe horizontale sous l'aspect d'un fin pointillé de libres. Les couches sagittales du

longitudinal inférieur (Fli) : il est probable que toutes les fibres fines , peu colo- rées, que l'on constate à un fort gr

lenticulaire (Al). Ces fibres 572 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX Fin . 296. - Coupe horizontale microscopique D, compre

thode de Weigert. Ces 13 coupes qui ne sont pas équidistantes (voy. fin . de repérage 299) - on[ été choisies de façon à

CR). On peut suivre les radiations calleuses presque jusqu'aux con- fins du pied de la couronne rayonnante, au delà elles

en- nent aux fibres tangentielles (ft) de cette écorce atrophiée. Fin . 301. - Coupe horizontale microscopique, n° 2, pa

lobe frontal et du lobe occipilo-pariélal. .. Sur cette coupe n° 4 ( fin . 303) la capsule interne (Cia, Cip) se confond en

t à leur longueur, qui se présentent par conséquent sous forme d'un fin pointillé, et qui se groupent en fascicules ent

optique par la lame cornée (lc), qui renferme un certain nombre de fines fibres faiblement colorées par l'hématoxyline e

) qui, vues en section transversale, se présentent sous l'aspect d'un fin pointillé. L'aspect change encore dans le seg

st), et dans la lame cornée (le) on rencontre un faisceau de libres fines , mal colorées par la méthode de Weigert, peu la

hors par les radiations thalamiques (RTh), et formée par des fibres fines , claires, peu colorées par l'hématoxyline et sect

de la région sous-optique, lig. 308,309)- p. Des fibres verticales, fines , fortement colorées par l'hématoxyline et dispo-

ure de la, couche optique est formé, comme sur la coupe précédente ( fin . 305), par des fibres appartenant aux radiation

TOMIE DES CENTRES NERVEUX. part un faisceau conique et compacte, de fines fibres à direction horizontale ou légèrement ob

irement à leur axe, ont un aspect caractéristique ; elles sont très fines et se colorent faiblement par le Weigert ou le Pa

ace de section transversale d'un faisceau ovalaire, formé de libres fines et serrées et que nous retrouverons sur les cou

re, pour former le faisceau lenticulaire de Forel (FI), faisceau de fines fibres obliques en avant et en dedans, fortemen

s'engage la commissure antérieure (coa), remarquable par ses libres fines et serrées, sectionnées toutes horizontalement.

(Cgi) et externe (Cgi), en avant, avec un petit faisceau de fibres fines , le pédonculeinjëro-inlc1'Ile de la coztclteopzli

cule quadri-- jumeau antérieur (BrQa); la couche moyenne, formée de fines fibres fortement colorées, qui se dirigent obli

s nette- ment, au moins deux ordres de fibres : les unes, fibres de fin calibre, groupées surtout au voisinage de la ca

a première circonvolution limbique, se trouve un faisceau de fibres fines , peu serrées, qui appartient il la surface extéri

utres semblent se continuer avec le faisceau longitudinal postérieur ( Fin ). En dehors de l'allse du noyau lenticulaire, l

du faisceau de Vicq d'Azyr, on trouve un faisceau de fibres lâches, fines , il direction transversale, parallèles pour la

de Reil médian (Rm) dans lequel il se perd. Sur cette coupe n° 15 ( fin . 31 t), le corps de Luys a disparu. Le locus nige

ment apparent sur la coupe suivante n° 2 x (fig. 317), - cnvoic ses fines libres t''[G. 313. Face. interne d'un hémisphèr

n arrière, il donne naissance en dedans à un certain nombre de fibres fines , qui se portent vers la ligne médiane dans la s

Te); la bandelette optique (II), au contraire, est formée de fibres fines , extrêmement serrées, fortement colorées par l'hé

cke est formé par plusieurs ordres de libres : les unes extrêmement fines se dirigent d'avant en arrière, en décrivant un

proviennent presque toutes du slratum intermedium de Meynert (SIri) ( fin . 193 et 297). Le pied du pédoncule cérébral est

rijumeau antérieur, on trouve un petit croissant (Vc) formé par de, fines fibres vues en section transversale et qui entour

et en dedans, il donne naissance à un assez grand nombre de libres fines et fortement colorées, qui entrent en connexion a

es ou le plexus externe de Cajal. Ce sont pour la plupart de très fines fibres à myéline, sauf dans la région rolandiqu

s pyramidales.-(2° couche de Meynert, stralo- superiorede Golgi) ( fin . 329 et 339, B). Cette couche, à peu près aus

e, le cylindre-axe, émet dans la partie supérieure de son trajet de fines collatérales (col fig. 338) au nombre de six à

n fournissant à une certaine distance de son origine quatre ou cinq fines collatérales, qui se divisent une ou deux fois. S

il se bifurque en deux branches inégales, dont l'interne est la plus fine , et concourt à former le corps calleux. Pendant

monte en ligne droite dans la zone moléculaire, où il se divise en fins rameaux, à direction horizontale, qui constituent

urvues d'un riche chevelu de rameaux soit courts et semblables à un fin duvet, soit longs, lisses et ordinairement indivi

es grandes ou géantes, on en trouve en effet d'autres beaucoup plus fines . Ces faisceaux radiés naissent de préférence de

mbreuses dans le lobe occipital ces fibres y son ! particulièrement fines . Le lobe temporal et l'insula possèdent de même

amidales contient, ainsi que Tuczek et Exner l'ont montré, les plus fines fibres à myéline de l'écorce cérébrale et const

ssent en nombre avec l'âge. Elles se disposent en fibres parallèles fines , plus ou moins longues, qui occupent d'abord la

feutrage très dense et très riche en fibres médullaires, courtes et fines . Elle correspond à la couche des cellules pyramid

eur situation nettement intra-corticale. Cette couche est formée de fines fibres parallèles entre elles et de quelques fibr

ubstance médullaire présente une teinte grenat ou violacée. Vers la fin de la vie intra-utérine, apparaissent dans la sub

aine de myéline, ainsi que Flechsig et Parrot l'ont montré. Vers la fin du neuvième mois de la vie intra-utérine, la my

contre dans le lobe frontal ou à la face inférieure du cerveau; les fines fibres font au contraire défaut. Les couches de

corticales de Meynert sont au contraire bien développées, quoique de fin calibre (Kaes). Les fibres radiées de l'insul

ssent en effet, deviennent variqueuses et émettent à angle droit de fines collatérales. Ces dernières se divisent en T, e

blastes de la rétine (Cajal) et dont le cylindre-axe, excessivement fin , se détache de l'arborisation terminale de la den

ariqueuse et très riche en collatérales ascendantes. - d, fibrilles fines antéro-postcricures de la couchc moléculaire. S

e le diverticule du subiculum de la corne sphénoïdale se compose de fines fibres entou- rées d'une mince couche de myélin

1, sillon fimbrio-godronné. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - fin , fibres moussues de Cajal. fl, fibres tangentie

de celui de la bran- che épaisse, concourt à for- mer les fibres fines de l'al- véus, et entre très probable- ment d

très étendues, après avoir émis, à angle droit ou à angle aigu, de fines collatérales qui s'arborisent dans le stratum r

lles peuvent présenter cinq ou six prolongements épais, couverts de fines aspérités. Dans l'alvéus et dans l'écorce grise,

rcs nervcuscs de l'alvéus. 1 Ce sont des libres de gros et de fin ua- libre. Collatérales cylin- drC'-axilcs.

du subiculum (fig. 359). Les fibres de l'alvéus sont de gros et de fin calibre. Les fibres de gros calibre sont située

eprésentent les cylindres-axes des cellules pyramidales. Les fibres fines , nombreuses sur- tout dans la région hippocampi

u corps calleux (Cajal). Les collatérales de l'alvéus sont rares et fines ; elles se détachent à angle droit des fibres d

n godronnée qui vont concourir à former le stratum lacunosum on des fines collatérales de la région hippocampique qui for

nes collatérales de la région hippocampique qui forment les filtres fines de l'alvéus, sont en général recouvertes d'une

s sont certaines; il est par contre douteux, d'après Cajal, que les fines ramifications du cylindre-axe des cellules de G

tiffer il faut ajouter d'après Cajal : .. 3. Les collatérales des fines fibres de l'alvéus, particulièrement nom- breus

Le feutrage du stratum oriens, enfin, est surtout constitué par les fines collatérales, qui se détachent du cylindre-axe de

régions de l'écorce cérébrale. Le cylindre-axe de ces cellules est fin et dépourvu de gaine de myéline; il traverse la

sue. convolution godronnée, lui abandonne en général quatre à cinq fines colla- térales Ilexueuses et variqueuses, pourv

à angle droit, affectent un trajet horizontal et se transforment en Fin . 363. Coupe de la circonvolution godronnée dans l

axe d'un grain égaré. h, bifurcation du cylindre-axe des grains. i, fin rameau collatéral inférieur d'une de ces expans

, finement granu- leuses, se terminent après un court trajet par de fines ramifications dans des îlots cellulaires plus p

de la région, avec un nombre con- sidérable de fibres nerveuses de fin ou de gros calibre. Les fibres de fin calibre a

idérable de fibres nerveuses de fin ou de gros calibre. Les fibres de fin calibre appartiennent aux ramifications termina

zone moléculaire, très réduite en général au niveau des îlots. Leur fin cylindre-axe traverse la couche des cellules po

blanche. Les cellules des îlots olfactifs sont enlacées d'une très fine arborisation nerveuse et variqueuse. Cette arbo

e soit leur origine, les libres calleuses possèdent un cylindre-axe fin , variqueux (Cajal), entouré d'une épaisse gaine

autre, les Jîbl;0t £ YrH £ 0ém" tent, ainsi que Cajal la montré, de fines collatérales, qui setDrnrtlre11t par des arbori

s cellules polymorphes. Les libres de projection sont de gros et de fin calibre; elles émettent dans leur trajet intrac

la capsule interne. Quelques fibres abandon- nent au corps strié de fines collatérales, qui se terminent par une riche ar

Du faisceau principal on voit se détacher un grand nombre de fibres fines et peu colorées, qui se portent en avant et en

s en fascicules compactes et séparés les uns des autres : 1° par de fines fibres peu colorées qui appar- tiennent vraisem

cal de Wernicke (voy. fib. 388, Ov) une très mince couche de fibres fines , peu colorées par l'hématoxyline (fig. 388, Fli),

r un plan plus élevé. La commissure antérieure est formée de libres fines , se colorant faible- ment par l'hématoxyline et

d'association, aussi son étude se trouve- 1-elle tout indiquée a la fin de ce chapitre. Elle n'est toutefois pas dépourvu

n me den primdren Opticuscentren. Mûnchen. med. Wochenschr. 1892. FIN DU TOME PREMIER TABLE DES MATIÈRES DU TOME PR

ui se sont développés sérieusement en 1889. Ils se composaient à la fin de l'année de 47 exécu- tants. Le 15 avril, u

'avions plus que 25 enfants teigneux en voie d'améloration, il la fin de 1889. Influenza. L'épidémie de grippe a débu

malade meurt, toutes ses photographies sont déposées au Musée. A la fin de l'année, les obser- vation des malades décéd

ou atteints d'excitation maniaque. Nous avons également inséré a la fin du Compte rendu de 1888 deux figures qui représ

ateur du musée ana- tomo-pathologique que nous avions commencé à la fin de 1879 et qui, grâce à son précieux concours,

4 on en a noté seulement trente-quatre. 1885. Du 1 ? février à la fin de mars, Car.... a pris du bro- mure de potassi

tion de 100 grammes puis un abaissement de 300 gram- mes, et à la fin du traitement, une augmentation de 300 grammes.

mêmes doses. Les accès ont beaucoup diminué du commencement à la fin du traitement, si l'on en juge par l'aperçu suiva

t la suspension du bromure de camphre, à seule 3 0 THÉRAPEUTIQUE. fin de voir si l'amélioration persisterait, et si ell

6 durant 3 jours, puis 7 jusqu'au 31 mars. On continue jusqu'à la fin de juillet en avril les mêmes séries de doses p

eut pas de doute nous avons suspendu de nouveau le médicament à la fin de juillet. A partir de septembre et d'octobre

octobre les vertiges deviennent de plus en plus nombreux jusqu'à la fin de l'année. PICROTOXINE., 3 3 III. Picrotox

le, fonctions digestives, respiratoire, etc.,normales. Puberté. - Fines moustaches commençant à ombrer la lèvre supérie

t les mains se sont épaissis. Avant la chute, les che- veux étaient fins , ils sont devenus ensuite gros et durs comme de

u de la face est d'une blancheur cireuse. Elle est blanche et assez fine . Au niveau du dos, il y a une desquamation furf

duisent sans cesse, malgré les soins de propreté. Les sourcils sont fins et moyennement fournis. Le reste du corps est g

exie et vomissements ; à partir de la quatrième semaine, jusqu'à la fin du 6e mois, elle a été sujette à des envies de

sont présentés au début de la première grossesse (OBSERV. VI). A la fin du troisième mois, perte abondante pendant troi

l'hôpital, « Suzanne a repris de la figure et du corps. ); Vers la fin du mois de mai, elle a eu, pour la première foi

le entraîne le corps. 25 octobre. - Suzanne a eu une bronchite à la fin du mois d'août. Elle a guéri en 15 jours. Il y

n- (1) Le père a le nez aquilin et les cheveux très bruns et très fins ; la mère a le nez allongé et un peu relevé à la

a le nez allongé et un peu relevé à la pointe, les cheveux bruns et fins . Fig. 14. - Cab..., à 6 ans et 10 mois. 92

seuses, non pas distendues comme celles du foie, mais infiltrées de fines gouttes de graisse, et elles se colorent d'une

sente par le procédé d'xner (acide os- mique et ammoniaque) de très fines fibres à myéline, sans étranglements annulaires

sur une coupe exposée aux vapeurs d'acide osmique. On voit aussi de fines gouttelettes graisseuses exister dans la substa

ue, et, par places des foyers dans lesquels le centre se parsème de fines vacuoles. L'infiltration de toute la substance

oit. La pre- mière couche est très réduite, composée d'un réticulum fin où les noyaux de cellules sont rares. Entre cet

uniforme composée d'un tissu névroglique plus serré, à trame plus fine , qu'au-dessus, les noyaux cellulaires petits et f

grandes cellules, ne présente que des séries de cellules petites, à fins noyaux sphériques, noyés sans ordre apparent da

ères, cloi- sonnées par des travées conjonctives épaisses et par de fines tra- bécules, le long desquelles sont dispersée

cielle, mince et homogène, formée de faisceaux parallèles de fibres fines , avec de petits noyaux sphériques très peu abon

grossissement et qui sont composés uniquement par un réseau très fin d'une dentelle de fibrilles grêle, avec des cellu

ière couche, couche névroglique de Meynert, est très mince, avec de fins capillaires rameux assez nombreux et, de plus,

ble de rechercher les lé- sions des fibres conductrices. Les fibres fines à myéline delà couche superficielle des circonv

illet en ren- trant de l'école pour déjeuner, elle a été prise à la fin du repas de « tournoiements de tête » qui aurai

dit a Ah ! », se laisse aller, s'affaisse, perd connaissance. A la fin , nausées. Puis elle s'endort. Les règles ont re

à travers un verre violet on a à gauche 33, et à droite 34. - A la fin de la séance la main droite seule donne 29. Ell

cause. Elles durent au maximum vingt, au minimum dix minutes. A la fin des attaques, elle reste le regard fixe et sans v

tractures. 1889. Décembre. - Depuis le mois d'août 1887, jusqu'à la fin de l'année, il lui est arrivé deux ou trois foi

eu de janvier 1890, elle est tombée malade, est entrée à Tenon à la fin de ce mois pour une pleurésie avec tuberculose

elle accompagne les exercices de gymnastique et fait défiler il la fin de ces exercices les enfants aux sons d'une mar

er 1903, le nombre des vues pour projec- tions était de 1890, il la fin de l'année ce chiffre attei- gnait 199 ? (148on

ig. 13, 1 ! i, l.) De chaque côté se trouve une poche horizontale Fin . ¡5. Visites DU SERVICE. LXI dans laquelle on

. - Elles étaient au nombre de 84 au 1 ? janvier 1903 et de 78 à la fin de l'année. Leurs installations de jour sont da

d; construit même de petites phrases, en disant princi- palement la fin des mots; ainsi, par exemple, le matin lorsqu'e

la mastication et à la déglutition. Sur 236 enfants présentes à la fin de l'année, GO savent se servir do la cuiller,

IY VISITES, CONGÉS. enfants, a été le même depuis 1890 jusqu'à la fin de novembre 1902. Pour des raisons qu'on n'a pa

la teigne au pavillon d'isolement de la section de Bicêtre. A la fin de l'année, il ne restait plus que 4 fillettes en

c). " . ;; che-va-le (cheval). ? L'e muet ne se prononçant pas a la fin des mots, nous pla-' .èôns, pour simplifier, da

onaniste, avec idées et gestes de rapports sexuels. De 1893 à la fin de 159, Delc ? n'a grandi que d'un centi - mètr

r. 50 la 1re semaine, 0 gr. 75 lu seconde, 1 gr. ensuite jusqu'à la fin de ce premier traite- ment (18 mars). A ce mome

modification du poids et de la taille : La radiographie, faite à la fin de juillet, montre que les cartilages sont tout i

e d'une double luxation congénitale de la hanche (Fig. 17 et 19). Fin . 19. - inlairoi mativit de 1'uiiibiit et de 1 hym

tement. - 1er juin au 30 août, 0 gr. 25 ; 0 gr. 50 ; 0 gr. 75. A la fin , Poids : 27 kil. 4 ; Taille : 1 m. 28; soit 1 k

. 7 ; Taille : 1 m. 38, soit 3 kil. 4 et 89 mm. en moins. Puberté : Fin duvet aux extrémités delà lèvre supérieure; rie

91, 103 accès d'épilepsie etl accès en 1892. Depuis lors jusqu'à la fin de 1903, il n'a pas eu d'accès. 1899. - Poids 3

avril jusqu'au 31 mai. Poids : 10 kg. j taille : 1 m.47, soit à la fin de ce troisième traitement un gain de dix-huit

au 31 mars : Glande. En janvier : Poids : 28 k. ; Taille : 1 m. 24. Fin mars : Taille : 1 m. 28, d'où gain de quatre ce

esticules du volume d'un oeuf de pigeon. Bras, avant-bras, cuisses, fin duvet.Jambes, poils courts. Aisselles : poils b

antilisme par le peu de développement du système pileux (moustaches fines , rien sous les aisselles), mais le pénil est bi

res, formant de cha- que côté un petit bouquet, plus long à gauche. Fin duvet à la partie inférieure du pénil. La grand

i 1898) : 0 gr. 25 jus- qu'au 31 juillet 1896 ; 0 gr. 50 jusqu'à la fin de juin 1897 : 1 gr. 25 du 1<l'au 13 juillet

, la taille s'est accrue de 17 cent. Système pileux et génital. ? Fin duvet à la face, poils courts et peu abondants

nfant. Naïveté, crainte et méfiance. 1901. Juin. - Puberté. Duvet fin ombrant légèrement la lèvre supérieure. Le rest

acique. Tronc glabre, sauf à la région lombaire où il y a des poils fins . Poils assez abondants sur les cuisses et les j

as de mé- frorrhagies. Tout était normal jusque huit jours avant la fin 5R De quelques formes de nanisme. de la gross

uberté. Moustaches naissantes formant une bande d'un centimètre. -- Fin duvet au menton et à la lèvre inférieure. Duvet

30 novembre, 1 gr., Poids : 40 k. 100 ; taille 1 m. 47 ; soit à la fin de ce troisième traitement un gain de six centi

. - Ier juin. - Le malade n'a pas eu de glande thy- roïde depuis la fin de 1902. Poids : 48 k. 600 ; Taille : 1 m. 545

une différence en moins de 12 cent. 1/2. l)04. - Juin. - Puberté. - Fin duvet commençant à om- brer la lèvre supérieure

à la lèvre inférieure ni sur les joues. Aisselles et tronc glabres. Fin duvet entre les deux épaules, rien sur les fess

bre,on porte la dose à 1 gr. 25. Suspension du traitement depuis la fin du mois d'octobre jusqu'au mois de janvier 1901

S 86 De quelques FORMES DE nanisme. <j noncées à droite. Poils fins en dedans, au-dessus et au-des- sous du mamelon

fins en dedans, au-dessus et au-des- sous du mamelon droit ; poils fins tout autour du mamelon gauche. Poils fins s'éte

du mamelon droit ; poils fins tout autour du mamelon gauche. Poils fins s'étendant d'un mamelon à l'autre. Fin duvet su

ur du mamelon gauche. Poils fins s'étendant d'un mamelon à l'autre. Fin duvet sur toute la face postérieure du thorax.

face postérieure du thorax. Les bras sont glabres. Bande de poils fins de l'épigastre au nombril, rien sur les côtés d

deux jours jusqu'au 28 décembre, puis 1 gramme tous les jours. A la fin , 42 kg. 300 ; Taille : l m. 39.') soit en moins

anté et d'une constitution médiocres. Le visage est pâle, la peau fine , le tissu cellulaire sous-cutané est peu développ

s que d'un kilo-. Cette diminu- tion n'a été que transitoire et, en fin de traitement, le poids avait un peu augmenté.

1899. Système pileux et organes génitaux. -A part quelques poils fins sur les deux faces du thorax, le corps est glabre

sang fluide dans les sinus de la dure-mère. Vasculnrisalion asse : fine de la pie-mère sur toute la surface des hémisph

nerveuse sous-jacente, en envoyant des prolongements conjonctifs fins , qui, sous forme de pinceaux, viennent se mettr

n. 175 linc est inégale, partout très mince, fibres excessivement fines . Mais les phénomènes dysgénétiques ne sont pas

il) Aux Indications bibliographiques que nous avons données, à la fin de nos précédents travaux, nous ajouterons la sui

0 janvier ; Ogr. 50 du il au 20 Bourneville, Bicêtre. t'-)03. 1 fin . 47, - Harb..., à .1 ans lit (mai 1902.) 178

t de vingt centimètres 4. Quant au poids. il est de 18 kilogr. 500 ( fin mai) dépassant d'un kilogr. 250 le poids moyen

ation. L'attention et l'intelligence sont complètement nulles. De Fin 53. 192 De quelques formes de nanisme. même,

sidérable de l'ob- servation que nous allons rapporter et dont à la fin nous relèverons les particularités cliniques et

Ces petites crises sont fréquentes (25 de l'entrée de l'enfant à la fin du mois d'août). Souvent, ces accidents ne s'ac

c frappe- ment du talon sur ie sol ; le bras ne tremblait pas. A la fin de la crise qui durait environ deux minutes, il

peu de bave filante. Ni miction, ni défécation involontaires. A la fin de l'accès, l'enfant parfois « rigolait », sou-

rement dans la littérature médicale. Lespre- miers cas datent de la fin du XVIIIe siècle (2). Nous avons donc pensé qu'

10 P. LADAME ET C. MONAKOW inférieur de Meynert, Hinterstrangende [ fin des cordons postérieurs] de Wer- nicke) est si

uche. La pupille gauche était plus étroite que la droite. Vers la fin de sa vie le malade souffrit de troubles de la dé

ubles proprement bulbaires, ils n'apparaissent que tout à fait à la fin , peu de temps avant la mort, lorsque le malade dé

compte de ces faits que l'on peut compren- dre la distribution des fines lésions anatomiques de la protubérance et du bu

la parole n'avait pas les caractères de la dysarthrie. Ce fut à la fin de la vie seulement qu'appa- rurent des trouble

durs dont le volume ne dépasse pas celui d'une lentille. " Les très fins minuscules immédiatement sous-dermiques présenten

odules dans le tissu conjonctif lâche qui engaine le nerf serpente un fin rameau vasculaire. Chaque nodule examiné isol

de graisse ; au sein de ce tissu sont d'assez nombreux noyaux, des fins vaisseaux et quelques faisceaux nerveux. Les nerf

sous-muqueuse intestinale, «au niveau d'une large ulcération de la fin de l'iléon, de petits fibromes développés sur l

ec le tissu cellulo-adipeux environnant. A leur niveau, la peau est fine et normale et a conservé toute sa mobilité. Il

e renouveler la provision de l'arracheur quand celle-ci touche à sa fin . Il sait habilement profiler du moment où l'att

omme ni femme qui n'aient une pierre dans leur corps. Retenons la fin de cette légende. Elle donne à supposer que la pi

in. Et la légende nous apprend que cet habile homme, qui connaît le fin du fin, est à la fois grand lithoscope et grand c

la légende nous apprend que cet habile homme, qui connaît le fin du fin , est à la fois grand lithoscope et grand coprosco

i piqué et poussé pour parvenir à faire sortir cette pierre qu'à la fin je me suis décidé à employer cet instrument rugue

rie des Goitreux dans l'Art (2). C'est une gravure sur cuivre de la fin du 1VIII siècle, oeuvre de DENOU (-17h. î-18`5).

e substance grenue semi-liquide laquelle parait emprisonnée dans un fin réticulum. De l'examen du cerveau fait par le p

Il est vrai qu'elle est abrutie, qu'elle l'était sur- tout vers la fin de la maladie. Mais on dort ou l'on est éveillé a

- die. Ces malades dormiraient ainsi dès le commencement jusqu'à la fin de leur maladie.Je n'ai pas encore retrouvé ces

enne gauche produite spontanément et qui persiste encore. Vers la fin de 1882, sans douleurs vertébrales, préalables, i

marque quelques petites bosselures, des aspérités irrégulières, de fines canne- lures verticales sculptées dans la subst

Leur surface extérieure est parsemée de trous, de dé- pressions, de fines trabécules, sculptées dans la substance osseuse q

es surfaces osseuses rugueuses, garnies d'aspérités ou tapissées de fines cannelures. Partout, les trous de con- jugaison

es amaurotiques dont la cécité marque du même coup le dé- but et la fin des accidents nerveux. Observation I. Racarié

pas douloureux. Le malade continue à prendre des pilules jusqu'à la fin juin, époque où on lui fait 12 injections de pept

commence à se tenir debout, le 6 juin, elle marche seule, mais à la fin de juillet 1895, elle stoppe encore légèrement;

mes des joues et du cou de pied gauche ; exostoses crâniennes. A la fin de l'année les désordres sensitifs attei- gnent

eau et du tissu sous-jacent ainsi qu'une, périostite du crâne. A la fin de l'année 18J0, l'anesthésie avait remonté jusqu

s fléchisseurs. Peu à peu les lésions cessèrent de progresser. A la fin de 1891, le malade peut mouvoir bras et jambes

mbe malade étant oscillante, le tronc reste droit et il n'y a qu'à la fin de ce pas qu'il s'incline de-nouveau en avant.

ence à se pencher en avant, mouvement qui arrive à son maximum à la fin du pas antérieur. Nous avons remarqué, lorsque la

s. En tête de la galerie des Arracheurs de dents nous placerons une fine gravure de Lucas de 1,EYI)E (li9li-1533) tirée

au et dans celui du Dr de Molènes : dans le premier, c'est une tête fine , narquoise, ainsi que celle du comparse qui, appu

ouvé, l'an dernier, au musée d'Aix, en Provence, une petite peinture, fine et soignée, qui reproduit exactement cette grav

ntes suivant le point de vue abordé, les autres seront placées à la fin de notre texte pour qu'on puisse les consulter

uhoux (on en trouvera le texte avec un certain nombre d'autres à la fin de notre travail). En 1863 paraît une observati

charger de la paille à l'aide d'une fourche américaine à dents très fines et très pointues. Il se précipita si malheureus

L'ADÉNO-LIPOMATOSE SYMÉTRIQUE A PRÉDOMINANCE CERVICALE. (Suite et fin ) PAR P. E. LAUNOIS, et R. BENSAUDE, Profess

ont un peu plus tendues, à grains plus serrés pour ainsi dire, plus fines ; on en voit .quatre lobes principaux, symétriq

'un journal. Le fond de l'oeil est normal. Oreilles. - L'ouïe est fine . Ni bourdonnements ni vertiges ; exceptionnel-

'avoir jamais remarqué pareil phénomène. M. P..... est mort vers la fin de l'année 1890. Son autopsie n'a pas été faite

dicale, 1898. . xiii * 20 302 CHARLES LADAME Nissl, touchant la fine structure analomique de la cellule nerveuse et se

sumé succinct des connaissances que nous possédons sur l'anato- mie fine des éléments nerveux fera l'objet de la seconde p

Nissl dans la technique histo- logique, nos notions sur l'anatomie fine des cellules nerveuses étaient très élémentaire

t les savants qui l'ont suivi découvrirent de nombreux détails delà fine structure des éléments nerveux et analysèrent u

hode de Nissl n'a pas seulement le mérite de nous dévoiler les plus fins détails histologiques des éléments nerveux, elle

iffusé dans le protoplasma cellulaire. DEUXIEME PARTIE ANATOMIE FINE DE LA CELLULE NERVEUSE. On divise actuellement

2e édition, 1897, p. 169 et suiv. et p. 3` ? -2S : i. L'anatomie fine de la cellule nerveuse. Rapport de ilfoscuu. La C

système nerveux de l'homme, 21 édition, Louvain, 1897 ; L'anatomie fine de la cellule nerveuse. Tirage à part du Rapport

1897, p. 320. (10) Marinesco, Nouvelles recherches sur la structure fine de la cellule nerveuse. Presse médicale, juin 1

encore sa composition chimique. Elle se présente sous forme de très fines granulations qui se fixent sur les trabécules a

scou, p. 332 312 CHARLES LADAME et se présentent sous la forme de fins bâtonnets de longueur variable. L'axone est tou

rme. Le protoplasma de quelques cellules, cependant, est parsemé de fines granulations qui lui donnent une apparence chagri

, mais non uniforme. Il est par- semé de granulations plus ou moins fines . Les hlocs qui ont été refoulés à la périphérie

nt dispersés sans ordre dans tout le protoplasma qui est semé d'une fine poussière de gra- nulations. Souvent on rencont

a migration du noyau; le protoplasma est fréquemment rempli de très fines granulations, qui se présentent comme une légère

cependant leur protoplasma est semé de granu- lations plus ou moins fines qui sont généralement plus volumineuses que celle

ps cellulaire nettement délimité et visible (PI. XLVI, e) ; un très fin liseré discontinu borde parfois la périphérie cel

malade parle entre les dents comme s'il serrait les mâchoires ; la fin du mot et des phrases est prononcée avec plus de

de quinine), le salé et le sucré, mais il dit que son goût est moins fin qu'autrefois. A l'examen laryngoscopique le Dr

ervicale et à la région lombaire, il existe beaucoup plus de libres fines que normalement, avec diminution des grosses fi

des cellules ni de dégénérescence des cordons. Le nombre des fibres fines dans les racines n'est. pas augmenté si ce n'es

evue neurologique, 1899, n° 22. 370 J. DEJERINE ET A. THOMAS A la fin de ce travail, nous croyons pouvoir poser les con

ette optique, le tubercule mamillaire et le pédoncule cérébral. " Fin . \-1 Gs. Coupe horizontale de la face inférieure

avail, on pourra constater en lisant les observations groupées à la fin de cette thèse, qu'ils sont suffisam- ment nomb

tre malade, l'accroissement exagéré de la taille s'est fait vers la fin de la pé- riode de croissance, c'est-à-dire dan

'ai pu avoir aucun renseignement sur les événements ultérieurs à la fin de l'année 1898 et je me décide à donner telle

ts imprimés à l'articulation du coude s'accompagnent de craquements fins extrêmement nombreux comme si l'on frottait deu

res supérieures retombent en sacs sur les orbites. La chevelure est fine , rare et l'artifice de la frisure peutà peine en

es, pulmonaires en sont la conséquence. Le malade trouve souvent sa fin dans l'une d'elles. Ce mode de terminaison n'est

m dès qu'on éprouve la plus légère indisposition. En France, dès la fin du XVIe siècle, et pendant tout le XVIIe siècle,

seconde des inconvénients qui en résultent. Un appendice placé à la fin du livre explique les termes techniques ou les

e secret et je trouvai le « coup de bois » c'est-à-dire un tabac plus fin que le tabac d'Espagne. Les enfants imitent l

le larynx, le poumon sont touchés à leur tour. Les tabacs les plus fins * sont les plus pernicieux; le tabac d'Espagne e

reconnus par leurs fa- milles, et des querelles, des disputes sans fin s'élèvent de toutes parts. Les médecins sont co

de fausse couche, ses accouchements ont toujours été réguliers. En- fin dans la famille aucune maladie nerveuse, ni tuber

appendices collatéraux, et par place on peut observer des dentrites fines parsemées en abondance d'appendices collatéraux.

ententdans leur symptomatologie de nombreux caractères communs. En- fin ils peuvent se manifester sur le même sujet. Le p

. LES OSTLO-ARTHI30PA'rHILS VERTÉBRALES DANS LE TABES (Suite et fin ) Par JEAN ABADIE . Interne (médaille d'or) de

n ce point, est garni de bosselures, d'aspérités irrégu- lières, de fines cannelures sculptées en colonnes. Les dernières d

ABADIE complications pulmonaires ou cardiaques qui peuvent hâter la fin du malade. Enfin, malgré tout,leur existence co

blocs chromatiques, rares épars dans un protoplasma saupoudré d'une fine poussière avec un noyau ex- centrique. D'autr

e noyau n'est jamais central. Le protoplasma est semé çà et là de fines granulations et la périphérie cel- lulaire est

chromatique, qui est répandue dans le corps cellulaire en une très fine poussière au sein de laquelle on voit déjà, çà

é encore.et son protoplasma, teinté de bleu clair, est tout semé de fines granulations et de blocs néoformés en nom- bre

ôt au contact les unes des autres, n'étant plus séparées que par de fines travées protoplasmiques. Ce dernier est refoulé

che d'une minceur extrême (Pl. LXXVII, n). Le processus touche à sa fin , cette membrane ténue de plus en plus disten- d

restes de la cellule nerveuse ainsi éclatée se désagrègent en de très fines particules qui disparaissent finalement avec le

upes. DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE PAR RENÉ MARTIAL, (Suite et fin ) . Observation XVI. Fouliiioux. - Hémiplégie

pour la face sont en général les suivants : le contact d'une bosse fine contre la moitié gauche de la face, y compris le

insipide ; elle est identique à celle qu'on observe dans la rage. Fin . 12. - Nodule péri-cellulaire ressem- blant à c

s collec- tions privées ou publiques. M. Gabriel Séailles (1), à la fin de son inté- ressante étude sur Léonard, a pris

633 A 18 ans, elle eut une bronchite simple, sans hémoptysie, à la fin de la- quelle sa jambe droite devint subitement

arce qu'elle eut une grossesse pénible avec vomissements jusqu'à la fin . En même temps la jambe droite augmenta netteme

s, ;i la partie inférieure et externe de la cuisse droite. 1 A la fin de cette même année, elle vint nous faire voir sa

t encore sans gêne, exécuter divers exercices de gymnastique ; à la fin du mois d'août, il commence à se plaindre de fa

. 640 UAUSUALTER un corset plâtré qui fut laissé 2 mois ; vers la fin d'octobre, la marche devint difficile ; l'enfan

difficile ; l'enfant trébuchait et traînait le pied en marchant. A la fin de 1896, il cessa de pouvoir marcher. Vers le p

CHROMATOLYSE APRÈS LA RÉSECTION DU NERF PNEUMOGASTRIQUE (Suite et fin ). PAR CHARLES LADAME. CINQUIÈME PARTIE IN

yse. xm 43 ICONOGRAPHIE - DES ARRACHEURS DE DENTS (Suite et fin ) PAR HENRY MEIGE Teniers, van Ostade, Brouw

rgicales : « La première ouvre les dents joinctes et fort serrées à fin que le ma- lade ne meure de faim. « La deuxie

la bouche. « Le Dentiste, un jeune homme à longs cheveux bouclés, à fine mous- tache, un béret sur la tête, se tient dev

lief par l'histoire de l'épidémie de diphthérie qui a commencé à la fin de décembre 1881 et s'est déve- loppée en 1832.

vice pour 1880, p. XXV. (2) Avant les travaux, c'est-à-dire vers la fin de janvier 1881, trente enfants ont eu des opth

école comptait 16 enfants ; le 31 décembre, il y en avait 62. A la fin de l'année, 52 prenaient part aux exercices de

La dure-mère est adhérente; la pie- mère offre une vascularisation fine , prononcée surtout au niveau des lobes frontaux

bruns, pupilles égales, pas de strabisme; - bouche moyenne, lèvres fines ; oreilles bien ourlées, lobules bien détachés

liras lui faisaient l'effet d'être de plomb; il se plaignait en- fin d'un affaiblissement de la mémoire. - Les accès o

rate et foie normaux. Respiration : quelques râles sous-crépitants fins aux deux bases des poumons en arrière, sonorité

pleurs et des rires. La seconde s'est manifestée le 8 février, à la fin d'un repas, et a débuté par un étourdissement.

icipe à la crise nerveuse, en ce qu'il devient doulou- reux vers la fin de l'aura. 2° Rachialgie au niveau de l'apo- ph

ris plusieurs fois d'un tremblement de la mâchoire inférieure. A la fin du repas, il annonce un malaise mal défini au n

81, recommencéesen avril et continuées sans interruption jusqu'à la fin de cette année. A dater du mois d'août 1880,

e est levée et mange assez bien. T IL 38°. Depuis 1871 jusqu'à la fin de 1880, les accès et les ver- tiges se sont pr

lade demande à manger. On perçoit encore des râles sous-crépitants, fins , disséminés des deux côtés de la poi- trine. T.

elativement moindre en "' " ROUGEOLES SIMPLES.. 105 1880. Vers la fin de cette même année, on a institué le traitemen

isséminés dans toute la poitrine, de nombreux râles sous-crépitants fins . T. Ho 3J°,G. - Soir : T. R. 40°. Fig. 8. r

T. R. 39°,8. Soir : T. R. 40°;G. 14 janvier. Râles sous-crépitants fins au sommet du pou- mon gauche : en ce même point

2. 25 janvier. Souffle tubaire à la base du poumon gauche : râles fins ; expiration soufflante à droite. T. R. 39°,6.

e. Le souffle a disparu; il existe encore des râles sous-crépitants fins à la base du poumon gauche : à droite, gros râl

pira- tion bronchique ; on perçoit des râles sous-crépitants très fins et superficiels, simulant des frottements pleurau

vrier. Môme état de la poitrine ; les râles sous-crépi- tants, très fins , prennent un timbre métallique prononcé des deu

er. T. 1. 33°;G. - Soir : T. R. 38°,G. ' 31 janvier. Quelques râles fins disséminés dans la poi- trine ; respiration lég

à gauche; des deux côtés, on entend des râles sous-crépitants à la fin de l'expiration. Le malade reste dans la somnol

sourcils blonds ; peau recouverte, surtout dans le dos, d'un duvet fin ; au niveau de la rotule gauche, cicatrice de 3

mère de notre malade, est mort j'ou, à l'asile do Vaucluse vers la fin de 1878]. Pas do consanguinité. Un seul enfan

aru. On per- çoit dans toute la poitrine des râles sous-crépitants, fins , très nombreux. T. R. 39°. Soir : T. R. 39°,2.

d des râles ronflants dans les deux tiers supérieurs et des râles fins à la base. Toux sèche, quinteuse. T. R. 39°. (Bou

éfugie sur le sein de sa mère, lui passe les bras autour du cou. La fin de la crise s'annonce par de la rougeur de la f

fle a diminué ; il existe encore de nombreux râles sous-crépitants, fins et disséminés. T. R. 40°. Mort dans la nuit.

ale. Sur le tronc, l'abdomen, les cuis- ses, il prend la forme d'un fin piqueté rouge. Il fait défaut sur les bras et l

ru ; l'en- fant mange bien. 31 janvier. On perçoit quelques râles fins dans la poi- trine avec rudesse de la respirati

s, mais les sillons peu profonds. La pie- PURPURA. 155 mère, très fine , s'enlève difficilement surtout vers le bord su

ouges, lisses, sur le visage ; d'autre part, exanthème pointillé, fin , écarlatc, sur le tronc. Les phénomènes thora-

ains, peu abondants; sourcils peu épais ; cils longs et noirs. Peau fine , recouverte d'un duvet assez fourni sur les épa

oi. Mais nous voyons aussi que cette in- fluence inhibitoire a pris fin , le plus souvent, en même temps que s'établissa

e, furent exposés par M. Charcot dans ses conférences cliniques de la fin de l'année 1878 C'est ainsi qu'ont été réunis l

épars, la figure défaite, demeurer absorbée dans des réflexions sans fin ; ou bien son regard perdu fixe un point dans l'es

descendait à 30°,6 C. ; le pouls baissait de 72 à 65 ou 66. Après la fin de l'attaque hystéro-épileptique, la température

indiquaient toujours infailliblement l'approche de l'attaque. Vers la fin de l'attaque, si l'on touchait les mains ou les d

relâchement relatif. Enfin, on peut remarquer une petite dentelure fine et assez irré-gulière de toute la ligne qui corre

est marquée sur nos tracés par une suite de dentelures, d'abord très fines , qui succède à la ligne droite du tétanisme. Peu

tracés (fig. 15) où l'on remarque : 1° D'abord un petit tremblement fin de toute la ligne, qui n'existe qu'au commencemen

nnu.» (The anatomy and philosopha of expression as connected with the fine arts. By sir Charles Bell. — London, 1872.) jet

llucination de la musique militaire marque toujours l'ap-proche de la fin de l'attaque. Bientôt elle voit des rats, elle a

, plus d'une fois, durer à elle seule plus d'une demi-heure. .Vers la fin , elle est interrompue par des visions d'animaux q

des).,„» Le calme se fait peu à peu. Cet instant de calme marque la fin de cette attaque, qui a duré treize mi-nutes, imm

son récit, ne'sont troublés. Mais aussitôt que l'attaque touche à sa fin , à peine le premier indice de connaissance a-t-il

es phases se dévelop-pent comme d'habitude, mais dans le délire de la fin on reconnaît la préoccupation de son esprit : « T

lieu dans la troisième période. Mais le plus souvent ce délire de la fin puise son sujet dans les im-pressions journalière

ériode de l'attaque de Gl... Nous les avons décrites tout au long. La fin de la troisième période est toujours marquée par

e n'aime pas l'Angleterre. Enfin j'essayerai... Dans quelmois? A la fin d'avril? Tant pis si je ne peux pas.....Non, je s

rends pas qu'après cela tu dises que je ne t'aime pas ; c'est pour la fin d'avril!... Ah! (Piire bruyant.) Ah! du punch! Ah

à coquilles *. Ce qui semble caractériser ces hallucinations de la fin , c'est la fréquence et la persistance des visions

ire. Mais elle présente ce fait singulier de voir se re-produire à la fin de ses attaques toujours les mêmes actes et les m

s agitée, mais l'attaque paraît bien terminée. Ces phénomènes de la fin des attaques de Ler... dont nous faisons une clas

lade, complètement revenue à elle, des cris déchirants. Gen... à la fin de ses attaques voit souvent ses quatre membres c

« émission d'une sorte de mucus vaginal, si fréquemment observée à la fin des attaques d'hystérie, que des auteurs ont cons

ïde d'une nouvelle attaque. La quatrième période ne se montre qu'à la fin de la série. 2° Les attaques sont séparées par

ence-ment les attaques se montrent violentes et précipitées ; vers la fin de la série, au contraire, elles se prolongent et

quelques exemples de la façon dont se modifient les attaques vers la fin de la série. 14 mars. — Gl... I. 1° Période é

lucination. — Elle appelle Ernest, en-voie des baisers, etc.; vers la fin , elle voit des rats, se livre contre eux à une lu

énomènes de la 4e période. Cette modification des attaques présage la fin de la série. 26° attaque. — lrc période, consis

ont moins vives. Dans cette série d'attaques nous avons vu, vers la fin , les grands mouvements disparaître, et les attitu

ons la malade. Mais il est facile de prévoir que la série touche à sa fin , ce qu'indiquent suffisamment et le retour moment

le se débat de nouveau. 10 h. 40 m. Les paupières sont animées d'un fin clignotement, les yeux se convulsent en haut, cac

omme une barre de fer, et la respiration devient stertorcuse. Vers la fin des séries, cette phase sterloreuse avec contract

f-férence de milieu intellectuel, la reconstituent rapidement. A la fin du premier mois, elle est améliorée sous tous les

ur. Les crises se sont éloignées, elles sont moins intenses. A la fin du deuxième mois, elle marche appuyée sur le bras

douleurs cardiaques très violentes; visions d'animaux, délire vers la fin des crises; somnambulisme. Les crises débutaient

la malade elle-même. On put alors faire une friction générale qui mit fin à cet état. Cette fois la malade était en proie à

nde cautérisation pratiquée trois semaines après la première, mettait fin à cet état de souffrances et d'angoisses dans leq

vité et en se rapprochant de plus en plus des grandes crises. Vers la fin de janvier 1879, la grande attaque est complète :

elle pleure même, mais rarement. Les larmes presque toujours mettent fin à cet état. Est-elle dans l'imminence d'une gra

e d'effroi. Après une série d'attaques, lorsque l'accès touche à sa fin , j'en suis averti par un symptôme qui ne s'est dé

t sur ses lèvres, et les mouches ne lui inspirent plus de crainte. La fin de ces attaques est marquée par un senti-ment de

he, lancées sur la figure, ne firent que l'irriter, sans accélérer la fin de l'accès : il dura trois heures. Des accès de

ment, ou la voix, ne se faisoit plus entendre. On décidoit aussi la fin des accès en comprimant avec les doigts les ar-tè

nt sous son scalpel. Ilestmoins rare de voir la malade entrer, sur la fin de Vaccès, dans un état voisin de V extase et du

t plusieurs jours, jusqu'à ce qu'un accès d'épilepsie vienne y mettre fin ... 17 avril. — La chorée a disparu peu à peu et

et cependant elles tiennent des propos sensés, font des observations fines et judicieuses, mais bientôt déraisonnent, voient

degré d'intensité. Il y a par moment une rémission qui semble être la fin de' la crise, et pendant la-quelle la malade pres

des yeux, une propulsion rythmique du bassin, et qu'on constate à la fin de l'accès une sécrétion abondante de mucus vagin

ces rêves, tantôt mimés seulement, tantôt parlés, qu'on observe à la fin de l'accès convulsifde la forme vulgaire, pour ar

mélange de raideurs tétaniques et de convulsions cloniques; puis à la fin coma ou sanglots et pleurs, et enfin brisement de

ce de l'élément douloureux, comme les contractures généralisées de la fin , ou quelques hallucinations horribles de la trois

atncndent peu à peu et funsscnt par disparaître complèteuieul vers la fin de la uième année. Son aversion pour les prêtre

la conserve durant dix, quinze, vingt minnles et môme davantage. A la fin , aussi, on ob-sérveles mêmes contractions de la f

une pleurésie du côté gauche. Traitée et guérie, elle essuya, vers la fin du même mois, une rechute qui exigea de nouveaux

es jours et disparurent pendant l'emplui des antispasmodiques. A la fin de juillet commencèrent les extases. Je décrirai

. 30 m., et n'offre plus que 5G pulsations, puis il se relève et à la fin de la crise il est à 70, » De temps en temps la

ts désespéraient de ses jours. L'intelligence revenait cependant à la fin du paroxysme, elle délirant cependant encore un p

sans cependant qu'elle eût été traversée par aucun accident. Vers la fin , alors que mademoiselle X.... paraissait complète

nvier, avait été annoncé à la malade comme un jour de délivrance, mit fin à cet état mi-sérable, et, comme la première fois

lé-thargie artificielle, qui s'est prolongée longtemps et a amené la fin de la crise. L'examen des muscles par félectric

lignes. Aussitôt elle lit à l'endroit indiqué et n,e s'arrête qu'à la fin de la page. Pendant la lecture, l'état cataleptiq

voquer, le sommeil hystérique qui chez ceHe jeune fille mettait ainsi fin aux attaques convulsives, n'avait rien de simulé.

t sa main à son front, c'étaient les signaux du commencement et de la fin de chaque accès. » Quand elle fut hors de l'acc

elle demeura toujours dans la position qu'on lui imprimait. » A la fin de ses accès, elle semblait écrire avec son doigt

; on a même été obligé de la sonder. On observait quelquefois, à la fin de son accès un télanos. Après huit mois de sup

ieu d'un incendie, ou bien elle se voyait entourée d'ennemis. Vers la fin de l'attaque survenaient du hoquet et de légères

ent à s'entremêler. Il semble y avoir un peu d'amélioration vers la fin de décembre, mais la malade est de plus en plus p

t, 9 h. 30 minutes. —Début de l'accès, mousse aux lèvres. 10 heures. — Fin des convulsions, projections rhythmées du bassin.

différence et dans une inertie désespérantes. Le soir une attaque met fin à cet état, et au réveil il ne reste aucun souven

oite, la face ne grimace pas. Il y a des secousses dans les bras à la fin de chaque expiration, qui est bruyante et qui amè

qui sépare ces deux voyages, dont l'un marque le début et l'autre la fin delà somniation, est tout à fait inappréciable. E

ion. La plasticité de l'idéation est à son comble chez elle. » A la fin de IST^, cette jeune fille, q;ii habitait un pays

ie, dans lesquelles on distinguait trois temps; le commencement et la fin étaient des catalepsies parfaites, telles que nou

promettait de longs tourments, et qui ne me quitta, en effet, qu'à la fin de ma maladie. Jusqu'alors, le visage de l'homme

t-on voir dans cet état qu'une oscillation qui se prolonge et dont la fin n'a pas été ob-servée; 3° enfin, la malade se ret

rouge persiste. 10"= oscillation. — Retour définitif des couleurs. Fin de l'expérience.—A 67 m. 45 s. retour du jaune. A

ntend mieux (divers cas d'atrophie des nerfs optique et auditif) à la fin de chaque séance. Enfin et c'est la conclusion

ent beaucoup des prodromes de la grande attaque d'hystérie. Vers la fin de l'épidémie, du temps de Schenck, des malades n

. POSSESSION DES FILLES DE SAINTE-URSULE A AIX, 1609-1611 Vers la fin de l'année 1609, les religieuses de Sainte-Ursule

donnèrent au commencement la torture environ demi-heure et autant âla fin du dîner; et au milieu la tourmentèrent toujours

hthah des Trônes au bras droit; le troisième est un diable nommé sans fin , autrement Grandier des Dominations, qui a sa rés

retirer, et de laisser la prieure libre, il obéit, et qu'on mit ainsi fin à l'exorcisme. ^ » Nous venons de voir le P. Su

veurs de Dieu. Ces questions furent encore beaucoup étendues, et à la fin Isaacarum parut enragé, faisant des hurlements ef

enterait avec plus de violence, lui disant qu'elle serait à eux, à la fin , et qu'elle ne pourrait résister à tout ce qu'ils

a bien vingt hosties, et toutes me paraissaient à moitié noires. A la fin , je produis des actes de confiance et d'amour de

après la crise, et des visions d'animaux (serpents) en marquaient la fin . « Elles restaient immobiles, dit le père de Ma

re sœur (l'aînée), Julienne âgée de quinze ans, devint malade vers la fin du même mois de mai. « Unjour, dit le père, éta

est aucunement question de convulsions. 2" époque. — Jusque vers la fin d'août 1731, les miracles des guérisons 1. Le p

urde et muette. » 1. Carré de Montgeron, lac. cil., t. I. Vers la fin de mai, l'ouïe et la vue lui furent rendues; « ma

va des mouvements convulsifs. Le 4 octobre, craignant elle-même une fin prochaine, elle supplia le chanoine Mariette, son

issent et res-tent dans un état de torpeur et d'immobilité jusqu'à la fin de l'accès ^. » Dans les revivais qui eurent li

s là, d'appeler le Seigneur de toutes les forces de ses poumons. A la fin , elle s'enroua horriblement, et sa figure devint

vulsifs des pauvres maniaques n'en devenaient que plus violents. A la fin , les choses en vin-rent à un tel degré de grossiè

dans le ciel et aux enfers, des anges, etc. ; ds prédisaient aussi la fin du monde et le jugement dernier, ou le jour de le

condamnés et le repas des élus à la table de Dieu; ils prédisaient la fin du monde, et ainsi de suite. Le docteur Sonden

.... Pl. VIll - — ........................................... ^'^ FIN 1)1-; LA TAIÎLi^ 1 K S PLANCHES ERRATA l'âge

it ensuite une paralysie des membres, des muscles du cou et vers la fin de la vie une paralysie] du facial gauche. La m

rs pas la moindre irri- tation méningée. La mort subite qui a mis fin à l'histoire de notre malade, et qui esten rapp

nsemencer (répété trois fois). Quelle saison sommes-nous ? C'est la fin de l'année, faut ensemencer... etc. Mon pied es

d'art et remplie de tous les agréments que peut y mettre un esprit fin et délicat. Le livre de J. H. Cohausen composé

ienne ou du XVII, siècle flamand pour trouver une observation aussi fine et aussi pénétrante. k c) Miniatures des manu

oeuvres doivent être rattachées à l'art byzantin. En effet, vers la fin du Xe siècle, le fils d'Otton I, le futur Otton

de Gnesen (Pologne prussienne). Le dôme de Gnesen a été fondé à la fin du XIe siècle, sous l'invocation de S. Adalbert

qui recueillit ainsi l'image de Jésus-Christ. C'est seulement à la fin du 1VI siècle que mourut une religieuse milanai

és en masse par le carmin (méthode de Fo- rel) et débités en coupes fines après inclusion dans la paraffine. L'étude de c

es troubles de la sensibilité accompagnant les troubles moteurs. A la fin de la première année amélioration passagère sou

end une forme de cylindre aplati d'avant en arrière, ar- rondi à la fin et suspendu au-dessus de la région cervicale de l

joint au plancher du 4e ventricule, contient également un réseau de fines fibres myéliniques. La moelle épinière n'est pa

trijumeau et séparée de la périphérie de la moelle allongée par de fines fibres myéliniques, qu'on voit partir du faisce

(Phot. 14) de la moelle épinière), après sa fusion s'aplatit et il la fin prend l'aspect de ligne droite (Phot. 17). Ai

e. LES DÉMONIAQUES ET LES MALADES DANS L ART BYZANTIN [Suite et fin ). PAR JEAN HEITZ, Interne des hôpitaux. I

a restaura- tion de Michel Paléologue en 1261, restauration qui mit fin à l'empire franc, il y eut-une lentative de ren

ntionnel, et sans valeur clinique. En Italie,au contraire, dès la fin de ce même XIIIe siècle, Nicolas Pisano savait

caractéristiques. Cette aquarelle a sans doute été exécutée vers la fin du XVIII- siècle, le peintre étant mort en 1804.

t ce- pendant les moindres détails lui semblent familiers. Sur la fin d'avril éclatent, à quatre ou cinq reprises irrég

ous un amas de neuronophages. (Obj. immers 1/12; oc. 4, Zeiss.) Fin . 9. - Cellule nerveuse de l'écorce dont le prot

brale adjacente à la tumeur, la présence d'une membrane d'enveloppe fine , nettement visible, permettait de voir qu'on étai

oplasma. Dans ce dernier, les corps chromatopliiles ont l'aspect de fine poussière et sont TUMEUR CÉRÉBRALE 197 beauco

méthode de Van Gieson on ne voit qu'un ensemble de fila- ments très fins entrelacés, laissant certains endroits des espace

tophiies sont tous très diminués de volume. Ils sont réduits en une fine poussière qui se teinte encore énergiquement et c

les 8 jours, puis tous les 3 ou 4 jours pendant la grossesse : à la fin de celle-ci elle resta cependant 40 jours sans en

mployé : Il' 10". Température de la salle : au début : Il- 5 ; à la fin : Ho 5. A droite : 29° 8. Temps employé : 11' 1

employé : 11' 10".Température de la salle : au début : 15° 5 ; à la fin : 16° 5. Ici le thermomètre donne des résultats

mployé : 12' 40". Température de la salle : au début : 15° 5 ; à la fin : 15° 5. A droite : 300 6. Temps employé : 12'

s employé : 12'. Température de la salle : au début : 15° 5 ; il la fin : 15° 5. A droite : 37° 2. Temps employé : 12.

Temps employé : 12. Température de la salle : au début : 16° ; à la fin : 16°. § 4. Températures prises à la région tho

3. Temps employé : 10. Température de salle : au début : 21° ; à la fin : 21°. A droite : 32°. Temps employé : 10-. Tem

emps employé : 10-. Température de la salle : au début : 21° ; à la fin : 21°. 2e Série d'observations (28 déc. 1900).

Temps employé : 10'. Température de la salle : au début : 14°; à la fin : 1411. A droite : 29°. Temps employé : 10'. Te

emps employé : 10'. Température de la salle : au début : 14°; it la fin : Ho. | 2. Températures prises à quatre travers

emps employé : 10'. Température de la salle : au début : 14» ; à la fin : 14°. , Adroite : 31°4.Temps employé : 10'. Te

emps employé : 10'. Température de la salle : au début : 14° ; à la fin : 14°. 3. Température prise à la région thoraci

emps employé : 10'. Température de la salle : au début : 1 ? ; à la fin : 44°. Au-dessous de la tache : 31°9. Temps emp

emps employé : 10'. Température de la salle : au début : 14o ; à la fin : 14°. Epaisseur de la peau., - La peau et le t

ue analyse et surtout la manière de diriger l'introspection à seule fin de pren- dre connaissance de la nature qualitat

surtout c'est une conscience bien nette du point de départ et de la fin . Dans un délire par introspection mentale morbi

LR SPINA BIFIDA. HYDROPISIE DU QUATRIÈME VENTRICULE. (Suite et fin ). DEDIE A LA MEMOIRE DU PROFESSEUR SERGE KORSAI

l. Les cordons latéraux sont couverts sur le bord d'une couche très fine de fibres myéliniques, qui diminue en épais- se

rizontales des cordons postérieurs commencent à disparaître et à la fin nous avons la moelle épinière complètement priv

x moitiés de la moelle allongée devient de plus en plus large, à la fin disparait, les fissu- res disparaissent aussi,

mbo-sacrée une zone de 15 centimètres de diamètre couverte de poils fins , longs de dix centimètres. Spina bifida latent

ément de 8 minutes et le travail n'a commencé qu'une heure après la fin de l'excitation. Exp. XX. - Excitation de 8 min

et pathogénique) PAR ERNEST DUPRÉ - et ALBERT DEVAUX (Suite et fin ). ÉTUDE PATHOGENIQUE. Il est évident qu'un mé

n tel point qu'il ne peut `sortir sans être accompagné. 5 Vers la fin de la même année de nouveaux symptômes sont obser

direction parallèle à la surface, une autre moyenne est composée de fines fibrilles denses, enfin la dernière, plus épais

ses, enfin la dernière, plus épaisse, contient un feutrage serré de fines fibrilles, infiltré de nombreuses cellules rond

s les couches superficielles de l'écorce grise, le réseau de libres fines est abondant, les fibres tangentielles sont peut-

puis titubation, secousses nystagmiformes, signe de Romberg. Aia fin , probablement, contractures ; forte flexion des d

taxie, sclérose en plaques, maladie de Friedreich ; entré à Laënnec fin 1888, il avait 38 ans. Examen (novembre 1888).

es fibres de gros calibre est extrêmement diminué et que les fibres fines prédominent en nombre. On trouve aussi beaucoup

marqué leur hauteur. On constate ici aussi la prédominance des fibres fines . En résumé, notre examen montre les lésions sui

s dans la moelle. Dans les racines antérieures le nombre des fibres fines prédominait. Dans les raci- nes postérieures et

e de la moelle était normale. Dans les racines le nombre des fibres fines était plus grand que celui des larges. Dans le

s néanmoins présentent t xiv 27 390 VASCUIDE ET VURPAS quelques fines granulations à leur intérieur. Le noyau est plus

le ruban de Reil médian à la partie supé- rieure duquel des fibres fines et grêles semblent s'entrecroiser. Ce faisceau es

t en arrière du sillon anté- rieur (Fig. 3). , Une zone de fibres fines forme la bordure antérieure et antéro-interne de

contours flous et indécis ; les granula- tions sont réduites à une fine poussière qui infiltre le corps cellulaire et le

pidement pour revêtir bientôt le type épileploïde avec miction à la fin de la crise. Les membres inférieurs étaient raide

r du névraxe la substance grise est sillonnée par des ramifications fines et délicates de fibril- les richement arborisée

nifestations hystériques de la mamelle signalées incidemment dès la fin du XVIIe siècle par Willis, puis par IIof1'mann,

umon gauche présente à la base une plaque de matité, avec des râles fins , sans souffle. Mais en découvrant la malade, no

liques, rachitiques, etc., des clichés oü appa- raissaient les plus fins détails de structure de ces os pathologiques enve

uissement de tissu scléreux qui remplace le stroma normalement très fin de cette substance médullaire. Cette gangue épais

occupés par une masse jaunâtre, ambrée, formée de granulations très fines et très serrées. D'autres sont très petites, ou

ux cordons voi- sins. Cette zone, on le sait, formée de fibres très fines provenant des racines postérieures, est une des

li fessier, sans se montrer nulle part ailleurs. Il fut suivi d'une fine desquamation (2). La pustulation fut très discr

la cavité buccale, des dents, des oreilles. Chevelure abondante et fine , châtain-clair. Ongles tous bien conformés. Vac

ntaire des scytes du IVe siècle. LA SAIGNÉE EN IMAGES (Suite et fin ) ' PAR HENRY MEIGE A côté des oeuvres d'art

les barbiers ce jour-là faisaient couler des tonneaux de sang. Bien fin qui pourrait trouver les lois de ces préférences

qu'il ait les doigts longs et grêles et que la peau soit blanche et fine , parce que le tact en est plus délicat ; il ne

èque. Mais ici, Rubens est demeuré fidèle à l'histoire, car vers la fin de son supplice, le philosophe la pria de se reti

bure dorso- lombaire ; il en résulte que les épaules sont au même Fin . 3 Fit. 4. 4 DES SCOLIOSES DANS LES NEVRALGIE

tendue depuis l'échancrure jusqu'au creux poplité. Au début et à la fin de cette affection qui fut très in- tense et qu

ion du bassin en avant. C'est alors que le patient se fit admettre ( fin avril 1888) à l'hô- pital Tenon, salle Gérando.

igmates hystériques est toujours restée in- fructueuse. . Vers la fin de son séjour à l'hôpital, le malade présenta d

notre obser- vation, les hydarthroses n'étaient survenues qu'à la fin ; leur durée n'avait été que de quelques heures ;

t un amas, vaguement circonscrit, de cellules transparentes avec de fines granulations et un ou plusieurs noyaux ayant la

anum, Vulpian, Cohn et Feltz, qui par l'injection de poudres très fines sont parvenus à oblitérer un certain nombre d'a

e l'accident. Cet homme avait conservé sa con- naissance jusqu'à la fin . Autopsie. L'autopsie, qu'on n'a permis de fair

au 10 août; conservation des fa- cultés intellectuelles jusqu'à la fin . La durée totale de. l'accident a été de quinze

étaient gonflées plus grandes et tout le tissu montrait cet aspect fin , vésiculeux que j'ai décrit dans la myélite réc

moments cette embolie, par la dis- solution de l'embole en de très fines bullettes visibles seulement à la loupe, ou mêm

gazeuse de l'artère centrale de la rétine. C'est à la présence de fines bullettes de gaz dans les petits vaisseaux de l

illet en ren- trant de l'école pour déjeuner, elle a été prise à la fin du repas de « tournoiements de tête » qui aurai

dé à travers un verre violet on a à gauche 33, et à droite 34. A la fin de la séance la main droite seule donne 29 Elle

cause. Elles durent au maximum vingt, au minimum dix minutes. A la fin des attaques, elle reste le regard fixe et sans v

tractures. 1889. Décembre. - Depuis le mois d'août 1887, jusqu'à la fin de l'année, il lui est arrivé deux ou trois foi

e blanche après avoir fourni une plus ou moins grande quan- tité de fins rameaux latéraux (exemple : les grandes pyramides

air au rouge sombre et réci- proquement. Le processus commence à la fin des cheveux, et s'achève assez rapidement en de

M. DE Gavardie. Parfaitement, monsieur le président. J'attendrai la fin de la discussion. M. Casimir Fournier. Voulez-v

attentat à la liberté de la jeune femme. L'affaire a été jugée à la fin de la semaine dernière. Le ministère public a r

noire, qui fait appa- raître, avec un si puissant relief, les plus fines ramifi- cations nerveuses. Or, un examen minuti

servent leur individualité propre ; 2° les autres ce subdivisent eu fins ramuscules et perdent toute individualité propr

défaut ou est rudimentaire, et parce qu'avec la coloration noire la fine et délicate structure des élé- ments nerveux ap

Forel comprend de moins en moins pourquoi la con- tinuité des plus fines ramifications des éléments ner- veux entre elle

ntral, où elle se ter- mine, dans le réseau nerveux de l'écorce, en fines ramifications arborescentes. Ce qui distinguera

erveux, ou ils perdent leur individualité, et donnent naissance aux fines ramifications arborescentes du réseau fibrillai

ion dans ce réseau; 3° par la trans- mission des stimulus jusqu'aux fins ramuscules laté- raux des tubes nerveux moteurs

octrines physiologiques traditionnelles les résultats de l'anatomie fine du système nerveux '. Dans les corps striés com

les faits de l'observation anatomo-cli- nique. Cionini a noté, à la fin de son travail, que l'épais- seur de l'écorce é

ÉMATEUSE. 219 1890, elle est tombée malade, est entrée à Tenon à la fin de ce mois pour une pleurésie avec tuberculose

tour des levres, à la partie inférieure des bourses. Elle est assez fine et douce au toucher sur la partie posté- rieure

euse et donne au toucher la sensation de l'ichthyose; elle offre de fines squames blanchâtres notamment au niveau de l'en

icament et les symptômes reparaissent. La ma- lade quitte l'hôpital fin janvier, néglige de se soigner, et revient en m

re d'une tumeur du sein, la diminution des troubles mentaux vers la fin de la maladie (diminution si marquée que le jou

obligatoire et les étudiants doivent passer un examen spécial à la fin de cette année ; ils sont toujours inter- faits

its divers. 299 rogés sur l'aliénation mentale, mais seulement à la fin de la 4° année. LES frais DE pension DES alié

ement de 18,000 francs. A cette réclamation, il fut répondu par une fin de non-recevoir absolue. Le préfet du Nord op

ales sont indemnes, tandis qu'il existe une diminution des fibres fines non commissurales, plus prononcée dans la partie

ui côtoient les cornes postérieures. (Zone de Westphal.) Les fibres fines de la substance spongieuse sont en grande parti

olonne de Clarke offre une disparition presque totale des fibrilles fines qui constituent le réseau élégant qui existe, à

gion dorsale supérieure sont visible- ment atrophiées. Les fibres fines ont disparu pour la plupart et les cellules ner-

érieures sont atrophiées et dans les colonnes de Clarke, les fibres fines et les cellules sont altérées. La pie-mère est

dantes dans la moelle qu'à l'état normal, et que les fibres très fines y sont en nombre exagéré. Nous peu-' sons même

s prolongements, et ont disparu en plusieurs endroits. Les fibres fines de la même zone sont également atteintes, et on

e Clarke, dont non seulement les cellules, mais encore les fibres fines ont disparu (PL. 1, fig. 3). On peut ajouter qu'i

oyau et sans prolongement b, tissu conjonctif remplaçant les fibres fines ; e, noyaux fortement co- lorés ; d, libres fin

laçant les fibres fines ; e, noyaux fortement co- lorés ; d, libres fines restantes ; e, fihres saines entourant la zone.

gique; 4° il était d'un tempérament sanguin, ambitieux, inquiet, et fin ; 5° il avait mené exactement le genre de vie qu

vertébrés on constate la présence de fibrilles isolées extrêmement fines qui occupent l'intérieur des mailles du réseau en

intérieur du noyau est occupé par un stroma consistant et un stroma fin . Le stroma consistant se compose de fibres cons

Le nucléole est homogène ou composé de granulations plus ou moins fines ; il contient le plus souvent quelques vacuoles pl

s étroit, à travers lequel se rendent, d'une cellule à l'autre, des fins filaments affectant une direction oblique ou tr

: c'est l'hiatus à travers lequel circulent des filaments courts et fins qui s'infléchissent après leur pénétration dans l

les protoplas- miques composés de granulations et de fibrilles très fines et très courtes qui reçoivent les filaments des

i de multiples divisions cylindraxiles, en fibrilles excessive ment fines ; ces fibrilles semblent chez la grenouillese term

rf auditif, sont des fibrilles qui se terminent dans un réseau très fin immédiatement sous-jacent aux prolongements cen

se sont atténuées au cours des expériences pour reparaître vers la fin . En d'autres termes, l'énergie, plus rapide au

oyau et sans prolongement b, tissu conjonctif remplaçant les fibres fines ; c, noyaux fortement co- lorés ; d, fibres fin

laçant les fibres fines ; c, noyaux fortement co- lorés ; d, fibres fines restantes ; e, fibres saines entourant la zone.

e a donc 11 mois au moment où nous la voyous pour la première fois ( fin nov. 1893). C'est une enfant assez grande pour

nt dont les dé- tails me furent communiqués par le Dr Belugou. A la fin du voyage, soit sous l'influence de la fatigue

ure thermale, en quelques jours il put de nou- veau marcher et à la fin de son séjour il y avait une grande amélioration

nement un rôle important. Mais n'importe quelle piqûre avec la plus fine aiguille détruit ou irrite les appareils nerveu

voisinage des sutures osseuses la sensibilité douloureuse est plus fine . Le centre de la sensibilité douloureuse la plus

e. Mort par asthénie 7 semaines après le début de l'affec- tion. La fin ne peut être attribuée qu'à la maladie de peau, à

ailleurs atrophiés. Les bras sont potelés ; les attaches du poignet fines , et les mains petites. L'aspect général est cel

-bras sont arrondis, le poignet mince, la main petite et les doigts fins . Corps et membres sont franchement féminins. An

RE 1894 Messieurs, 1 La conclusion à laquelle j'étais arrivé à la fin de ma dernière leçon était celle-ci : l'affecti

s « hystéries locales » si bien étudiées par Brodie. Wilis(2), à la fin du dix-septième siècle, paraît avoir le premier n

r (2) et qui est, lui aussi, digne de toute notre attention. A la fin du siècle dernier, P. Pomme (3) consacre au sein

rogrès, qui éclatèrent enfin de la manière la plus affreuse vers la fin de l'année 1719. » Un témoin oculaire, Anne Gir

rapide, elle n'existe plus bien avant que le membre ait atteint la fin de sa course. C'est encore la un exemple de cet

de même on peut constater, lorsque le membre est en bas, près de la fin de r sa course, un relâchement des abaisseurs (

e netteté parfaite, la moelle et trois paires radiculaires que l'on Fin . 19. - Tracé de l'incision. NÉVRALGIE DE LA VII

t, dans le canal durai, trois bouquets flottants de filets nerveux, Fin . 20. Position du membre déter- minée par l'élec

E EXPLICATIVE DES SCHÉMAS DE TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ £ Fig. 34 Fin . 35 l"ig. ;36 Fig. 37 Fig. 38 Fig. 39 \

ig. 38 Fig. 39 \ Fiv. '<1.) Fig. 41 Fig. 2 . Fig. 43 - Fin . 44 Fie. 45 DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CHRONIQUE

gauchedn corps. (1) Travaux du 2° congrès des médecins russes. N Fin . 47 DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CUBONIQUE AVEC L'ANE

iles ; la température est restée stationnaire autour de 37°. t1 la; fin de son séjour seulement, du 6au,10 février, alors

u pulmonaire. La muqueuse bronchique jusqu'aux bronchioles les plus fines est fortament hyperémiéc. Le poumon droit est p

issaient déjà facile- (1) Ce nerf a été examiné par le Dr Tilger. Fin . 49 UN NOUVEAU TYPE D'HÉMIPLÉGIE ALTERNE 185

ires, sur le devant et sur le derrière de la poitrine. Jusque-là ( fin mars 1892), il n'avait jamais porté de préservate

est le nom d'une ville de la province d'Anvers, où est né, vers la fin du XV. siècle, un controversiste, Jacques van Ilo

s'rouge .à ornements noirs et blancs, ;avec une serviette 'blanche, fine fiole et une sorte de panier : Ses avant-bras s

droits très forte car il existe des régions où l'os l'orme une très fine dentelle à mailles très larges. « Il ne sembl

eigert) on constate que dans cette région pâle le nombre des fibres fines comparativement aux fibres grosses est plus gra

qui avoisine le sillon postérieur un très grand nom- bre de fibres fines , résultat, pensons-nous, d'un processus d'atrophi

tait que les plus petites plaques étaient couvertes de petits poils fins sur toute leur étendue, on n'en apercevait que qu

ovalaire, et elle ne fait que commencer à se couvrir de petits poils fins et peu colorés. Mais la croissance a été très l

Mais la croissance a été très lente, et ce n'est guère que vers la fin de juin que les poils ont repris leur densité, le

Inversement, si c'est une fille, le bassin s'aggrandit, la peau reste fine et glabre sur le visage et sur le corps, à l'ex

di, ventre un peu gros, membres potelés enveloppés de graisse, peau fine et rosée ; visage, pubis, aisselles, vierges de t

es saillantes et charnues. Nez peu déve- loppé. Visage glabre. Peau fine et de couleur claire. Cheveux fins, sourcils et

déve- loppé. Visage glabre. Peau fine et de couleur claire. Cheveux fins , sourcils et cils peu fournis. Torse allongé,

humaines, mettant l'esprit et la verve au service de leur talent. Fins observateurs, joyeux vivants, critiques spirituel

de la vie réelle, mordantes satires contre les charlatans éhontés, fines critiques des malades trop crédules, ces oeuvre

ans sa peinture, il est un des plus forts coloristes de son époque. Fin observateur, humoriste plein d'entrain, philosoph

u'il paya fort cher. La plupart sont aujourd'hui à Vienne. Sur la fin de sa vie, en 1563, P. Bruegel vint se fixer à Br

e la date 'de 1569, année où l'ar- tiste vivait à Bruxelles et à la fin de laquelle il mourut. Une procession du même g

ournée est bonne, car il en arrive encore, et l'on n'en voit par la fin . Par la porte entre précipitamment, saluant ave

s entières à rire ou à pleu- rer sans motif, puis étouffements à la fin de ces crises qui duraient 2 à 3 jours. La mala

sparut. Il y eut un intervalle de 10 jours sans crise et jusqu'à la fin de cette deuxiè- me grossesse, il survint tous

E). LES OPÉRATIONS SUR LA TÊTE PAR R HENRY MEIGE. . (Suite et fin .) CI) \ Pierre Bruegel le Vieux ou le Drôle

petll1n, qttttttdo, etc., en hollandais, coma, der, etc., et : '1 la fin un nom propre : Jan Kernakel. Tout cela est parfa

xistence assez désordonnée, et, se trouvant sans ressources vers la fin de sa vie, il dut être secouru par les magistra

s céphalal- gies tenaces. Le chirurgien d'1. Botll, qui paraît un fin matois, avait sans doute ajouté à l'une de ses

l méprise les compositions sévères, si sa verve éclate surtout a la fin des repas copieux, s'il faut, pour que son pincea

e anesthésie complète. Ces troubles sensitifs persistent jusqu'à la fin ; une dernière exploration faite l'avant-veille

te l'é- tendue de la lésion des débris myéliniques sous forme'd'une fine pous- sière, ramassée en petits groupes du volu

t après elles un endolorissement vague de tout le membre. Vers la fin de cette période la malade s'est aperçue que ses

'a que 62 ans et on lui donnerait bien da- vantage. 1 La peau est fine et le pannicule adipeux a presque entièrement dis

st animé de petites vibrations. On voit sa surface parcourue par de fines ondulations qui sont évidemment dues aux contra

Ut Lauro merito condecoretur opus » et la date MDXXXV. Enfin, à la fin de l'ouvrage au recto du folio CXI, « Venetijs pe

longueur, donner égale- ment le curieux dialogue qui se trouve à la fin des « Isagogæ » ; « Plutoni et IIarpagi - disse

t <f non fétide et au besoin parfumé ». « Ce que j'aime le mieux Fin . iS, 19,SO,Sf,S,S3,Sr,8a. Les instruments de la t

instruments de la trépanation, d'après Bérenger de Carpi (suite et fin ) p) scie, q) ciseau, r) lenticulaire.. 384 NOUV

l'hôpital de Mustapha d'Alger, d'où il fut rapatrié en France. A la fin de mars, il arrivait à Aix et se dirigeant par

eux en-dessous. » « Petit à petit, je réduisais la portion, à seule fin d'y habituer le corps sans trop souffrir, puis

. Je disais que non sur le front, mais que si sur les joues à seule fin de le tromper plus facilement. Je lui disais qu

arricade la porte et je me pends solide- ment sans secousse à seule fin de ne pas me disloquer. G... se mit à crier au

t soin de laisser tout un côté comme soi-disant insensible, à seule fin de ne pas éveiller ses soupçons. « Sur ces entr

de se dévêtir nu comme un ver, mais cela les jours chauds, à seule fin qu'il n'ait pas trop à en souffrir, d'obéir aux

u'il n'ait pas trop à en souffrir, d'obéir aux surveillants à seule fin de ne pas se faire camisoler, ce qui l'aurait f

rant les pouces dans la paume 'le la main et me raidissant il seule fin de faire croire à une contraction nerveuse, jet

ontrariant par moments et finissant par leur donner raison, à seule fin de ne pas éveiller leurs soupçons, qui auraient

la main, enfin une légère écume se voyait sur ses lèvres. Je mis fin brusquement à cette scène, en disant à Oing... de

longtemps à des recherches sérieuses et son expertise touchant à sa fin . Au surplus, cette évasion n'était pas de natur

e sont considérablement épais- sis et présentent sur leurs bords de fines rayures blanchâtres. Le bulbe et la moelle sont

par les psychiatres contemporains, qui rendrait les cerveaux de la fin du xixe siècle, incapables de fournir de l'exal

n la comprend et qu'on l'applique aujourd'hui, ne satisfait pas aux fins d'une répression aussi équitable qu'efficace et n

uleurs en cou- ronne. Puis elles disparaissent peu à peu. Depuis la fin d'août, le malade ne souffre plus : il lui semb

n que le sens, dit commun ne soit pas toujours le meilleur, le plus fin , le plus relevé. De sorte qu'il aboutit au bout

endant des heures pour copier péniblement une page d'écriture. A la fin Alfred B... ne pouvait plus donner que sa signa

, impatient et irritable, très exigeant et capricieux. Il faisait Fin . 3 106 1 PATHOLOGIE NERVEUSE. des scènes de v

oque donna souvent lieu à des scènes pénibles entre les époux. A la fin , de guerre lasse, elle cessa complètement son p

(voir planche 1). On sait que le sulcus ]tolllndi apparaît vers la fin du cinquième ou au début du sixième mois de la

atif de cette maladie. [L'explication des Plancues sera donnée à la fin du numéro de juin.] ' CLINIQUE MENTALE Cond

tir. Malades en somme observés pendant 3 ou 4 ans, voués jusqu'à la fin de leurs jours à un établissement d'alié- nés.

ganglions spinaux (cellules obscures, cellules claires, cellules à fines granulations, cellules à grosses granula- tions

s : 1° La multiplication considérable des fibres nerveuses les plus fines dans les parties scléreuses des cordons de la moe

n'en trouve point. En un mot, le grand nombre des fibres nerveuses fines plaide en faveur de leur nature ; ce sont des élé

cylindraxes néoformés. On ne peut dire si lè nombre des cylindraxes fins pro- gresse avec le développement de la scléros

ne; plus tard elles paraissent com- posées de fibrilles extrêmement fines . La masse homogène de ces travées épandues se c

sent, en certains endroits, la coupe des fibres nerveuses à myéline fines . Le contour de la gaine de myéline n'est pas li

e la colo- ration des cellules. Jamais néanmoins la coloration du fin réseau des fibres blanches de la substance gris

Mais pourquoi la calcification n'a-t-elle atteint que les vaisseaux fins , il est pos- sible qu'ils aient été originairem

Tout cela est réglé comme il faut. On obtient ainsi un contact très fin . Cet instrument n'a pas encore suffisamment ser

ie est si abondante qu'il faut tamponner et remettre à plus tard la fin de l'opération. Trois jours après, en enlevant

personnalité; le couronne- ment de la synthèse du moi se fait à la fin de la progression et Zoé le traduit par celte e

ienne, et respecter la masse encéphalique. Le malade est opéré à la fin de juin 1898 par notre collègue et ami VIGNARD.

quinze minutes ; une autre le 28, de douze minutes. - Opération ( fin juin 1988). De juillet à novembre, pas d'accès,

t le sauvage, le mauvais esprit tourne la tête, il a honte. » En- fin après une heure d'encouragements, notre possédé d

i l'épaisseur des tissus cutanés et osseux du crâne ; plus ils sont fins , plus il y a de possibilité, sans doute, à l'air

ma nerveux a lieu probablement sous une lorme plus délicate et plus fine . Si nous admettons que les appendices collatéra

hez l'homme et chez les vertébrés. 1894, Paris. Cent (Carlo). Sulle fine alterazioni istologiche del cerveletto consecut

soc. medico- Chil'll1'gica di Pavia, 1895.) CENI (Carlo). Sur les fines altérations histologiques de la moelle épinière

ologie, t. XXVI, fasci- cule 1, 1896, p. 97.) CENi (Carlo). Sulle fine alterazioni della corteccia cerebrale consecuti

rologique (russe), 1895, t. 111.) TittELLI (Vitige). Sur l'anatomie fine pathologique des élé- ments nerveux dans l'empo

ciété de Biologie. Paris, 1891, p. 6G. VJNCE1\ZI (Livio). Sur les fines altérations morphologiques des cellules nerveus

pour obéir à l'appel des démons, etc. La période délirante prend fin avec le retour des règles qui a eu lieu le 30 a

peu apaisée et le malade a repris toute sa lucidité. Il sort guéri fin février 1803. Dans ses crises panophobiques, ce

plus rares, et appa- raît de l'anémie cérébrale déjà manifeste à la fin du premier stade de l'augmentation de la pressi

tate de plomb ; il précipite des aiguilles cristallines blanches et fines . On filtre et on redissout dans l'eau ; on a un

eines de petits grains noirs, très réguliè- rement agglomérés, très fins , toujours égaux entre eux dans les mêmes élémen

rnes antérieures et la substance blanche de la moelle du lapin, les fines cellules-araignées de la substance blanche céré

nsitions entre les anastomoses larges et entre les anastomoses très fines ne provenant que d'une neurofibrille (Apâthy).

s'unisse au noyau rouge. Le faisceau moyen, composé de fibres très fines , ou ruban de Reil de Goll, en décrivant un arc

obus pallidus. Les fibres, dans la capsule interne, deviennent plus fines et plus délicates. Le centre ovale de la région

nt les leçons de Baillarger; sa vocation se dessine ainsi et dès la fin de 1866, il est chargé par l'administration ici

une vibrante émotion et de la plus affec- tueuse cordialité. A la fin de 1879, il est appelé à remplacer Prosper Lucas

is cette collaboration scientifique et médicale qui dura jusqu'à la fin de '1879, où M. Bouchereau fut appelé à remplac

tre que nous pleurons aujourd'hui. Il succombe à la tâche, avant la fin de son sillon, en plein combat pour le soulagem

nt, si ce n'est le traitement spécifique. Par suite de cela, à la fin de la période plus aiguë de la syphilis qui don

NERVEUSE. qui, après plusieurs traitements mercuriels, et après la fin des manifestations primitives et secondaires ch

rend est donc doublement brisé : par les artères vertébro-spinales fines qui vien- nent des larges artères vertébrales p

ans, qui, à la suite de liba- tions trop renouvelées, fut pris à la fin de la journée d'un délire furieux au cours duqu

réflexes rotuliens (surtout du côté gauche) et du tendon d'Achille. Fin octobre 1898, le malade s'étant coupé le pouce

OCIÉTÉS SAVANTES. M. W. Mouravieff. Les altérations de la structure fine de la fibre nerveuse après section. Les expérie

ali.Un cas d'abcès traumatique du lobe temporo-sphénoïdal (Suite et fin ); M. H. Bejarano. Du traitement de la névralgie

ne vive émotion au sein de la population. Le nommé Jaume Rozé a mis fin à ses jours en se précipitant d'une fenêtre du

e filles, à Breil, atteinte d'aliénation mentale, a tenté de mettre fin à ses jours. Elle a été conduite à l'asile d'al

à presque uniformément répartie; toutefois on y distingue encore de fines granulations et la teinte bleue, très mar- quée

contre les autres. Autour des vaisseaux et des capillaires les plus fins , nous les voyons formant un véritable manchon au

des sourcilières sont peu saillantes, ombrées de sourcils courts et fins . Les paupières fines, souples, légèrement bouff

t peu saillantes, ombrées de sourcils courts et fins. Les paupières fines , souples, légèrement bouffies, sont bordées de

trou occipital n'a rien de particulier. Nombreuses atlhérences très fines des lobes temporaux à la partie antérieure des fo

morte dans ce dernier état. L'observation a duré du 9 juin 1889 à fin avril 1893. On trouve un kyste hémorragique dans

ires. T. de 99° à 101° F. Mort au début de la convalescence vers la fin de la deuxième semaine. Ponction lom- baire à l

pation du nerf récurrent. - M. HUET. Chez un enfant atteint vers la fin de la première année, d'une paralysie spinale i

t, ceux qui l'approchaient par hasard ne pouvaient soupçon- ner une fin prochaine. Fin lettré et possesseur d'une riche b

pprochaient par hasard ne pouvaient soupçon- ner une fin prochaine. Fin lettré et possesseur d'une riche biblio- thèque

u côté droit). Les sens participent à l'anesthésie : Y ouïe est moins fine à droite qu'à gauche ; — Vodorat et le goût sont

d'ordinaire suivies de délire : toutefois nous devons dire que, à la fin de quelques-unes de ses crises, Th. revoyait son

» sédoient, disoient avoir faits avec ledit Granclierpour » plusieurs fins , mais l'un particulièrement rendu par » Léviatan,

uoi le Diable répondit par la bouche » de la Possédée, Ah ! que tu és fin , tu sais bien que » c'est une des premières condi

ation du nitrite d'a-mi/le, employé un futre jour, à sur le champ mis fin à l'attaque. levée, n'accusant que de la fatigu

la camisole. Marche des deux maladies. — Du mois de septembre à la fin de décembre 1873, Madeleine a eu 18 accès et 22 a

ain matin, j'essayai de nouveau, mais en vain, de la persuasion. A la fin de la visite, je me moquai d'elle, en déclarant q

aintes reprises, on constate que \ compression de l'ovaire gauche met fin aux attaques isolées. En déprimant la paroi abdo

particularités les plus intéressantes, observées du mois de mai à la fin d'août ont été résumées dans notre note sur l'emp

leurait. Elle s'imaginait qu'il- y avait une grande tempête et que la fin du monde approchait. — Ce matin elle se plaint qu

e, elle la conserve durant 10, 15, 20 minutes et même davantage. A la fin , aussi, on observe les mêmes contractions de la f

étaient écoulées sans que nous ayons eu la véritable corvée de mettre fin à ses attaques, quand M. Charcot nous communiqua

re et demie. Lorsque nous l'observons, à quatre heures, elle est à la fin de la période de délire. Elle se lamente, parle d

compare, dans le service, aux cris des bètes féroces ; ou bien, à la fin de cette période, la physionomie est lubrique. Ma

un jour et un autre le lendemain.. Quand j'étais avec mon amant, à la fin ça ne me faisait plus rien... Embrasser un homme

surviennent d'ordinaire durant l'écoulement sanguin, et surtout à la fin . Ainsi, en août et septembre 1875, les règles par

r l'attention sur le délire hystérique. Survenant, en général, à la fin des attaques, le délire chez Geneviève, de même q

uits épouvantables produits par une violente tempête qui annonçait la fin du monde; d'ordinaire, elle entend des voix qui l

Parfois M... se relève et dit : «. Oh ! mon Dieu 1 Oh! là là ! » A la fin , elle dit. « Papa ! papa ! » mots qui, suivant la

it. « Papa ! papa ! » mots qui, suivant la surveillante, annoncent la fin de la série. En effet, la malade se réveille et,

ements, elle s'écrie avec satisfaction: « Çà y est! » La bouche, à la fin , laisse échapper en abondance une salive mousseus

ensibilité est obtuse. 11 mars. — Attaques : ni-trite d'amyle. A la fin de l'inhalation, Celina fait des grimaces hideuse

rouges. Ces accidents n'ont pas eu de suite. 1877. 9 février.—A. la fin de l'année (1876), les attaques,qui avaient repri

21 mars.—Attaques de 8 h. a 10 heures et demie. Nous l'observons à la fin d'une inhala-lion d'éther (230 gr.) : Physionomie

le et qu'elles sont rentrées à l'hospice vers 4 h. du matin. — A la fin de septembre et dans les premiers jours d'octobre

une romance à haute voix. Un autre jour, nous l'avons observée à la fin d'une inha-lation de 125 grammes d'é-ther. Elle n

trite d'amyle.Ce médicament, sauf une fois (page 126), a toujours mis fin à la série d'attaques. 22 nov.— Contractures pa

pemenls le 1er et le 12 ; — Attaques les 13, 16, 18, 26 et 29. A la fin de novembre, on note : une hyper es tliésie de l'

UII011- cée avec éclwlalie. Ainsi que nous le faisions prévoir à la fin de l'année 1898, cet enfant passe enfin à la le

f). Voici la statistique de ces certificats, depuis 1883 jusqu'à la fin de 1899. Il) Nous avons demandé aussi à envoyer

nts qui participaient à l'ensei- gnement du chant était de 365 à la fin de 1898 et de 320 à la fin de l'année 1899. G

ei- gnement du chant était de 365 à la fin de 1898 et de 320 à la fin de l'année 1899. Gymnastique. - Il ne s'agit pl

11S1, le nombre des vues pour pro- jections était de 12.')'), à la fin de l'année, ce chiffre était porté à 1595, soit

i, trois jours après son entrée en était atteint. L'épidémie a pris fin en mai, un seul décès à signaler, celui de l'en

r 1899, il restait dans le service 17 teigneux, 10 teigneuses; à la fin de l'année ces chiffres étaient descendus à 9 p

es. Elles étaient au nombre de 70 au 1er janvier 1899 et de 63 à la fin de l'année. - Elles sont installées dans le bât

e la cuiller, de la fourchette, etc. Sur 199 enfants présentes à la fin de l'année, 35 savent se servir de la cuiller,

y aura dans chaque classe des enfants qui y resteront jusqu'à la fin de leur scolarité. De là, la nécessité d'établir

n de l'école peut être représentée par le schéma suivant : ? A la fin mai de cette année, ces classes étaient occupées

le rapport de Y âge des élèves la situation était la suivante il la fin du mois de mars dernier : CLIVI Assistance ET é

août. 1899. Nov. Aucune cicatrice ou macule de la face. De mars à fin août, 55 accès en 1897, 48 en 1898 (éosinate) e

trace d'accidents a disparu et ils ne reparaissent plus jusqu'à la fin du traitement. Tableau des accès et des vertige

'éosinate. ' 12 août. - L'état local reste stalionnn.ire jusqu'à la fin du mois où l'on cesse le traitement. - . Tabl

. 65 rouges, il y a, répandues sans ordre, une série de vésicules fines et claires. Cette plaque commence exactement sur

labiale gauche se relève un peu; le visage est rond ; la peau est fine . Le cou est moyen, circonférence médiane, 32 c.

enne quatre minutes. La rigidité est beaucoup moins accentuée. A la fin du mois de mars le malade est capable de faire

use d'une sorte de contracture du tendon correspondant. La peau est fine , un peu halée ; quelques taches de rousseur au

, nævus brun à la partie supérieure de la fesse gauche. Puberté : fin duvet de' la nuque à la région lombaire, sur la

e des bras et des avant-bras, sur les cuisses et les mollets; poils fins et courts sous les aisselles; poils bruns, long

tridents suivis d'attaque, séparées par de courtes rémissions. A la fin de la dernière IL, se met iL pleurer. Il ne se

ts du traitement nous demandent à le reprendre à titre d'essai à la fin de Novembre. Hystérie mâle de l'enfance. 103

aucun traumatisme, aucune émotion, la mère a tra- vaillé jusqu'à la fin . - Accouchement à terme, sans aucune interventi

ment des mains est toujours constaté, surtout à droite. Il est très fin : l'écriture le met bien en relief. Les progrès

oint de vue de l'épilepsie : pas d'accès depuis t8S(i. Puberté. - Fin duvet, commençant à dessiner la mous- tache. Le

es est augmente jusqu'à'S par jour. Le traitement, suivi jusqu'à la fin du mois de mars, ne donne aucun résultat et n'e

prendre plaisir iL la lecture des drames ou des poésies. Puberté : Fines moustaches brunes; collier de poils noirs encad

s fenêtres, les balustrades, sau- tait sur le calorifère, etc. A la fin de ces crises d'agitation, qui, dit-on, duraien

demie. (6 juillet 1888). Le 9 juillet, nouvelle crise, une heure. - Fin juillet, 3 crises en trois jours, durant d'une

s'est engagé le 3 février dans un régiment d'Afrique et, jusqu'à la fin de mars, il n'aurait encouru aucune punition.

des sourcilières sont peu saillantes, ombrées de sourcils courts et fins . Les paupières fines, souples, légèrement boull

t peu saillantes, ombrées de sourcils courts et fins. Les paupières fines , souples, légèrement boullies, sont bordées de

. - En mars 1899, délire religieux, durée 10 jours. - jHaucmattons. Fin mars : nouvel accès de délire, rémission au bou

rée quelques jours. - Guérison qui se maintient jitq- qu'à ce jour ( fin mai 1900). - Développement de la puberté. Gasse

ontrés pen- dant le séjour de l'enfant aux Andelys ; ils ont débuté fin février 1899 et ont duré six jours. Elle croyai

(5 cm. sur .c.). A la face postérieure du thorax, on constate un fin duvet entre les omoplates. Les seins sont plats,

n de rayon, mamelon, 05 ? Les fesses sont glabres. - Poils noirs, fins , très abondants sur tout le pénil dans une hauteu

ssesse. Il affirme que sa femme le savait épileptique, Puberté. - Fines moustaches, poils peu abondants au menton et au

rine et abdomen glabres. - Quelques poils seulement, très petits et fins sur la ligue; blanche, entre l'ombilic et le sr

les joues (cicatrices de variole). Thorax absolument glabre. Poils fins sur les aisselles. Le pénil est couvert de poil

de ce jour, ils ont été menés très activement par M. Gallois età la fin du mois de septembre les ateliers étaient termi

le le sujet, mort d'un squirrhe du pylore, ruminait moins bien à la fin de la vie. En dehors de la suspension du méryci

mi-verre d'eau chaude. La cure lut prolongée trois mois, jusqu'à la fin d'octobre. On arriva ainsi à enlever aux ali- m

la constipation augmen- ter chez lui la rumination. A ce moment ( fin novembre) je lui proposai, me basant sur une ob

s aliments. La bouillie alimentaire, d'abord, épaisse, devient à la fin liquide et amère. Le soir, il ne rumine pas. La

alle entre deux gorgées; cependant, lorsque la rumination tire à sa fin , les intervalles augmentent. Quand le malade peut

alant glouton- nement la nourriture presque sans la mâcher. Vers la fin de la rumination, ils consistent plutôt en une

le nombre des régurgitations di- minue des deux tiers. - Mais à la fin de juillet le retour plus fré- quent des vertig

ue normaux : après quelque temps, ils commencent à s'altérer ; à la fin de l'opé- DU MÉRYCISME. 41 1 ration ils n'off

'il n'y ait des pommes de terre avec elle, et garde le pain pour la fin du repas. 11 est excessivement vJ1'ace; le plus

mps que la viande. Il ne boit pas du tout pendant le repas, ni à la fin et même lorsqu'on le fait boire, il dé- tourne

té. Cela est très facile il constater, du moins au début, car, à la fin de la rumination, BOURNEVILLE, 1883. 4 50 DU

lle appréciable. Au contraire, à mesure que la rumination tire à sa fin , les gorgées s'espacent de plus en plus et les

ominaux, déjà faibles au début, sont encore moins appréciables à la fin de la rumination et passent souvent même inaper

l'ordre de retour des aliments et leur état au commencement et à la fin de la rumina- tion. Cet acte s'accomplissait to

à mesure qu'elle s'a- vance, cet intervalle augmente, et peut, à la fin , atteindre trente mi- nutes et plus. A ce momen

880 jusqu'au 31 décembre 1883 et sa taille de 13 centimètres. Poids fin décembre, 25 kil. ? 00; taille, 1 mètre 20. L

nsidère l'état des aliments qui remontent au commen- cement et à la fin de la rumination. Dans le premier cas, en effet

re tra- vail étant déjà composé, nous n'avons pu les placer qu'a la fin . ' Rossier. - Loc. cit. 11 s'agit du fils du ma

e même pour la phalangine et la phalangette. La peau est blanche, fine , pigmentée de taches de rousseur au visage et a

que quelques particularités peu importantes : l'ouïe serait plus fine du côté droit tandis que l'olfaction semble plus

cé pendant environ une minute; quelques vagues abdominales après la fin de la première période ; enfin, des mou- vement

à la période épileptoide avec prédominance du téta- nisme et prend fin , sans stertor, par des soupirs et par quelques

t ainsi conçue : «Buch... commence à lire couramment et à écrire en fin ; il connaît exactement la table de multiplicati

sortie, l'enfant a exercé la profession de chaudronnier jusqu'à la fin d'août. Il a été pris d'une attaque en juillet

Son sommeil est tranquille. Deux ou trois fois par mois, depuis la fin de 1882, il a des douleurs de tête, prédominant

B... n'a pas eu de nouvelles attaques. Renvoyé de son atelier à la fin de mars, parce qu'il n'y avait pas d'ouvrage, apr

l en arrière et à droite. Respiration rude, mêlée de quelques râles fins au voisi- nage de l'aisselle droite. T. R. 39°,

eux; le colon parait distendu; diarrhée jaunâtre, glaireuse. - A la fin de l'examen, le malade prononce quelques mots.

ux peu fréquente. Râles dans les grosses bronches et quelques râles fins au moment de la toux à la région moyenne et pos

sait un peu amincie et les cheveux qui la recouvraient étaient plus fins et moins abondants que sur le reste de la tête.

E. Il n'est pas sans intérêt de faire remarquer que ce serait, en fin de compte. admettre des Délires émotifs, très étr

qui lui ordonne de le faire. Par ces inspirations il prophétise la fin du monde, au nom de Dieu qui lui en a, dit-il,

et les jansénistes de Saint-Médard s'accordaient tous à annoncer la fin du monde et la venue du prophète Elie sur la te

les matins à partir du début de la période dépressive et jusqu'à sa fin , c'est-à-dire pendant treize jours. Chaque mati

l'acide aug- mente mais irrégulièrement; il arrive enfin, avant la fin de la, période dépressive, à remonter au chiffr

mittent, mort au sixième jour sans perte de connaissance jusqu'à la fin . A. M. XII. Influence DES affections aiguës s

fais- ceaux musculaires parurent atteints d'une dégénérescence très fine , pointillée. En résumé la lésion dominante da

ties du corps organisé de la cellule, plus ou moins farcies de plus fines granulations basopliiles; il a raison. Un très

colorant d'une façon plus intense que ce dernier; c'est le lit des fines granulations, de grosseurs variables, affectant

la décolo- ration de la substance fondamentale elle-même, mais, les fines granulations apparaissent sous une masse colora

ue le reste du protoplasma cellulaire toujours la même couleur. Les fines granu- lations préfèrent la coloration des noya

, on \erra par exemple le nucléole de la cellule rouge-ponceau, les fines granulations et le noyau surtout violets. Les

yaux, or ces dessins sont des modifications morphologiques des plus fines granulations composan'. les fils chromatiques,

certaines cellules, les granulations sont devenues de plus en plus fines , ou elles se sont notablement éclaircies (cellule

r à l'asile et y donne les résultats les plus satisfaisants. A la fin de 1894, la population était de 453 aliénés (16 h

, ainsi que sur le Catalogue d'ouvrages au rabais, qui figure ci la fin de ce numéro et du numéro actuel. Le rédacteu

érique que les travaux des grandes Ecoles contemporaines d'anatomie fine ont ouvert une ère nouvelle pour la psychologie

es, que Golgi fit connaître au monde dans son grand, ouvrage, Sulla fines anatomia degli O1'gani centrait delsisteiiîa ne

- ration noire, qui fait saillir, avec un si grand relief, les plus fines et les plus délicates arborisations nerveuses.

nservent leur individualité propre; 2° les autres se subdivisent en fins ramuscules à une petite distance de leur origin

défaut ou est rudimentaire, et parce qu'avec la coloration noire la fine et délicate structure des éléments nerveux appara

. 11 comprenait de moins en moins pourquoi la conti- nuité des plus fines ramifications nerveuses serait un postulat phy-

. 4 î9. HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES 113 3 se termine en fines ramifications arborescentes. Ce qui distingue l

n encore ils perdent leur individua- lité, et donnent naissance aux fines arborisations du réseau fibril- laire de l'écor

n dans ce réseau ; 3° par la transmission des excitations jusqu'aux fins ramuscules latéraux des tubes nerveux centrifug

les du cerveau. Aujourd'hui encore, Golgi ne trouve dans l'anatomie fine des centres z C. Golgi. La rele nervosa diffusa

es de Purkinje dans la couche moléculaire, entrelacés avec les plus fins ramuscules des cylindraxes qui proviennent des

e n° 2. Prix PROPOSÉS POUR l'année 1898. Les concours seront clos fin février 1898. Pria; Baillarger, 2,000 francs (b

ologie. Prix proposés POUR l'année 1899. Les concours seront clos fin février 1899. Prix de l'Académie, 1,000 francs

: 6 fr. Paris, 1895. Librairie F. Alcan. Voir en Supplément à la fin des deux derniers nu- méros le Catalogue de LIV

e à celle de la pos- session. Un jeune homme cité par Esquirol à la fin du cha- pitre sur la démonomanie s'imagine être

pas de morsure de la langue, pas d'évacuations involontaires. A la fin , stertor, et retour assez rapide de la connaiss

ofondément qu'on ne penserait; si elle doit être grosse, le trocart fin devra être préféré. Chez les enfants émaciés, i

juristes et psychiatres. La Société fondée à Dresde comptait, à la fin de 1895, 12 juristes, 7 aliénistes, 4 méde- cin

rochure in-8° de 16 pages. Prix : 0 fr. 50. Voir en Supplément à la fin des numéros 12 et 13 le Catalogue'de LIVRES AU

importance. Les éter- nuements qui viennent de se produire, mettent fin à la crise et les sensations anormales dans la

atrophiées manifes- tement. Le protoplasma cellulaire est rempli de fines granu- lations, très régulières, non teintées p

qui forment la commissure posté- rieure de la moelle et les fibres fines de la commissure antérieure. Dans le cervelet,

nt jusqu'à la couche inférieure des petites pyramides, à cylindraxe fin , tantôt oblique, tantôt horizontal, et demeuran

es ou de nature analogue, peu ramifiés, émettant sur leur trajet de fines collatérales qui se perdent dans les fibrilles

intervalles desquelles semblent être contenues étroitement les plus fines fibrilles nerveuses dépour- vues de myéline. »

, pendant son trajet dans la substance grise, le cylindraxe émet de fines collatérales, d'une longueur extraordinaire, term

is la zone moléculaire; elle fait souvent défaut. Le cylindraxe est fin et des- cendant ; il fournit trois ou quatre co

et conduit le courant dans le même sens. La branche centrale, plus fine , est un véritable prolongement nerveux, à coura

'étend vers le cylindraxe et les prolongements protoplasmiques. Les fins pro- longements dendritriques etla terminaison

0 REVUE CRITIQUE. velet, les fibres de ce tissu sont seulement plus fines et leurs mailles plus serrées dans le cerveau.

cylindraxes, peut-être le liquide ambiant dans lequel baignent les fins ramuscules de ces prolongements suffirait-il à

e la clinique psychiatrique de Moscou. Nos connaissances de la plus fine structure du système ner- veux se sont récemmen

ces, qui sont en rapport direct ou indirect avec l'étude de la plus fine structure du système nerveux, devrait aussi arr

un réseau d'arborisations, composé de fibres nerveuses extrêmement fines et àl'endroitoù le cylindraxe atteint les prolo

élicates et inexplicables. Sous ce point de vue, c'est la structure fine du cerveau, surtout de sa couche corticale, qui

eignent sa couche supérieure et y forment une quantité de dendrites fins , qui se ramifient et se terminent librement. Da

dans des conditions favorables, produire de nouveaux bourgeons très fins . Les ramilles terminales du panache protoplasmi

ubs- tance protoplasmique mobile et des fibres cylindraxiles très fines ; ce mécanisme peut être considéré comme organe s

le rapport intérieur qui existe entre les procès psy- chiques et la fine structure du système nerveux. Mais, dans tous l

ns un service de médecine interne ou d'ophtalmologie. Lorsque, à la fin de la maladie, la démence s'ins- talle, la préd

vaisseaux ne sont pas aussi généralisées et aussi étendues aux plus fines ramifications que dans la dégénération artérioscl

a observé celte analgésie postépileptique que peu de temps avant la fin de son travail, ce qui fait qu'il n'a pu présen

avec réaction de dégénérescence. SOCIÉTÉS SAVANTES. 411 1 Vers la fin de la vie, au bout d'un mois, atrophie musculaire

seur Bail ' émet une opinion analogue : « Presque toujours, vers la fin de la maladie, on voit survenir un amaigrisseme

, des eschares se développent sur plusieurs points, annonçant une fin prochine » (p. 873). D'après Régis 2, . « les m

énérale, et non d'un accident quelconque, ayant conservé jusqu'à la fin la liberté de leurs mouvements et n'ayant jamai

e convient sur ce sujet, je suis très convaincu que si l'on mettait fin au système d'encombrement à outrance de nos asi

mortels, et enfin par ce fait que les malades conservent jusqu'à la fin le pouvoir de marcher sans appui. La seconde va

rmet de découvrir le gland. Les bras et les jambes sont couverts de fins poils follets. Il n'y a ni strabisme, ni nyst

s 1892, on enlève un petit fibro- sarcome de l'oreille droite. A la fin du mois de juillet 1892, dou- leurs très fortes

à la face interne des hanches; réflexes rotuliens all'aiblis. A la fin du mois d'août phénomènes paraplégiques corresp

nsidérable de noyaux. L'axe des fibres se partage en fibrilles très fines , qui sont des prolongements des cylindres-axes;

permettent de suivre les fibrilles jusqu'à la couche moyenne, où le fin fascicule de fibrilles se ter- mine librement.

s, et, de plus, nous avons donné une reproduc- tion des plans. A la fin de 1883, trois ateliers seule- ment fonctionnai

qui chargea notre ami, le Dr H. Thulié, de l'examiner. z Vers la fin du mois de novembre 1879, quelques semaines apr

ne somme de 18,741,000 francs est nécessaire pour les mener à bonne fin . Une subvention de 6,000,000 de francs a été vo

uit au Conseil muni- cipal, bien que le voeu eût été renouvelé à la fin de l'année 1877, lorsque, en février 1878, la 3

igismond Lacroix. (2) Ces améliorations devront contribuer à mettre fin à la si- tuation regrettable dans laquelle sont

r le voeu relatif aux enfants de Bicêtre et do la Salpêtrière, à la fin de décembre 1878 (3), et le 25 janvier 1879(4).

pour les enfants de Bicêtre comme de première urgence, puisque à la fin de 1879, il adoptait un projet de construction.

ourra y pourvoir facilement à l'aide des reliquats disponibles à la fin de l'exercice 1883. Votre Commission vous deman

les formalités, afin que les travaux puissent être com- mencés à la fin du mois d'août, et 2° d'inviter M. le Directeur

eu- (1) L'Administration nous adonné le maitre de menuiserie à la fin de septembre 1882 ; il a eu d'abord : six élèves

éclarations, M. Gallois donna l'ordre de reprendre les travaux à la fin de décembre. Grâce à un hiver très doux, ils pu

r qu'on fût assuré de mener la première série des travaux à bonne fin sans avoir besoin de nouveaux crédits. Nous appuy

vaux. Les atermoiements de l'Assistance publique durent pren- dre fin après la visite faite à Bicêtre, le 3 juillet 188

eil gauche, de ne plus y voir de cet oeil par moment; un jour, à la fin d'un accès, il lui disait que son oeil était su

rs deux faibles ver- tiges et le traitement fut continué,jusqu'à la fin de janvier 1863. Du 19 novembre 1804, au commen

il vit sa face convul- sée ; durée : deux à trois secondes. Vers la fin de janvier 1880, Mul... eut des accès, d'abord

: 22. - Traitement : 7 grammes de bromure de potas- sium jusqu'à la fin du mois. 38 DU CURARE DANS l'épilepsie. 39

veau, nous fon- dant sur l'hémiplégie droite transitoire notée à la fin de l'année 1884. Observation XVI. - Père alco

l. - Début d'une série d'accès cette nuit (12 accès); ce matin à la fin d'un accès la période de stertor étant passée, on

é à Sainl-Lizier, quelques jours avant l'investissement de Paris ( fin août), il y est resté jusqu'au 29 décembre 1871,

culaire ; entre les parois, on remarque, intérieurement, quelques fins tractus. Au niveau de la coupe, le kyste mesure 4

de 80 â 84 pulsations. La température i. 2. Mon... -j- Eruption, ff Fin de l ? " 1 1\T Il éruption iiii Fin de la secon

i. 2. Mon... -j- Eruption, ff Fin de l ? " 1 1\T Il éruption iiii Fin de la seconde éruption. Fig. 3. - Gir... + Erup

ion iiii Fin de la seconde éruption. Fig. 3. - Gir... + Eruption, Fin de l'éruption. 106 ROSÉOLE IDIOPATHIQUE. est

'elle se fait parfois en offrant des oscillations assez étendues ( fin . 6). Nous avons encore noté chez plusieurs de n

sommes étonnés qu'on ait pu 1'in 4. - 'Vois, Ci. 4- Eruption, -'ri' Fin do l'éruption, 108 ROSÉOLE IDIOPATHIQUE. conf

es hémisphères est hyper- émiée ; on constate de môme une hyperémie fine plus prononcée, presque ecchymotique,aubord sup

l'éruption elle a monté à 39°,6 pour atteindre son maximum vers la fin du premier jour de l'éruption 144 HYPERTROPHIE

a température dans la rougcole. Fig. 11. x, début de 1 éruption. y, fin de l'éruption. rein EN fer : 1 cheval. 145 no

e laisser faire. S... se débattit, et l'abbé ne put arriver à ses fins ( ? ). -C'est également à celle époque qu'on se s

z abondants. Sour- cils moyennement fournis. Cils assez longs. Très fin duvet à la lèvre supérieure. Rien aux aisselles

mier veilleur àl'Infirmerie. Sa conduite avait été bonne jusqu'à la fin de juillet. Depuis lors, il a été moins obéissa

el- ques excès de boisson. D'après les dires de notre malade à la fin de sa vie, il s'enfermait chez lui, croyant qu'on

un an, puis comme tireur de feuilles pendant quelques mois. Vers la fin de janvier 1879, il alla en compagnie de quelqu

'y revien- drons pas. Depuis cette époque, avril 1883, jusqu'à la fin de 1884, sa conduite, sans être absolument bonne,

ées autrefois par l'un de nos maîtres, le professeur Axenfeld, à la fin de sa mémo- rable conférence sur Jean Wier et l

en- dre aux enfants à boutonner (Fig. 9 et 10), à nouer, à lacer ( fin . 11), nous avons imaginé un petit appareil qui

d'une à 2 heures, suivant leur état intellectuel. 31 enfants, en fin d'année, travaillaient à l'atelier de couture rég

riques creuses ; la couverture en tuiles mécaniques, etc . » A la fin de son rapport, l'architecte, M. Roger, écrit c

? aomm. 1 11, »sortis. 1', porus. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 35 Fin . 1 S. - Ons., IX. Ilénilspliirvc cérébral i'p.l1c

ule occipital. P, porus. sr, sillon de Rolando. 26 IDIOTIE. Fin . 15 Ons. IX. Hémisphère cérébral droit; face exte

. 1', parus, sr, sillon de Rolando TRAITEMENT CHIRURGICAL. 37 Fin . 16. - Ol1s. Six. - Hémisphère cérébral droit : f

le du lobe gauche. - Tuberculisalion pulmonaire, ganglion- etc. Fin . Ii. - Ons. X. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 39 f

ure.» v Fi : ). 20. - Ons. XI. traitement CHtRUR&ICAL. 43 Fin . 21. - Ons. SI. - Hémisphère cérébral gauchc ; fa

s internes à 3 semaines, se reproduisant quotidiennement jusqu'à la fin du troisième mois; occlu- sion des paupières ;

ambda. La suture lambdoïde est très contournée, ses dentelures sont fines et irrégulières. A droite, iL 4 centimètres '/a

effet, la soudure osseuse s'est effectuée sous la forme de suture à fines dentelures, analogues à celles de la suture qu'

billement et sait conduire la machine à coudre. Il est sorti à la fin de décembre 1892 (Fig. 39, 40, 41 et 42). La ph

e iL écrire en gros. 1885 : Il syllabe mieux, commence il écrire en fin et iL faire de petites additions. Apprenti tail

encore de temps en temps. Pas de maux d'yeux, pas d'adénites. A la fin du moins de mars 1892, il est entré à l'hôpital

arrière.-Ces râles existent, maismoins nombreux à droite; ils sont fins , quelque peu humides éclatent aux deux temps de

urs. Les crises sont revenues tous les jours du cinquième mois à la fin du huitième. - Accouchement normal, sans chloro

aient plus for- tes à gauche, dans l'autre à droite. Une fois, a la fin d'une crise, il râlait ; ou croyait qu'il allai

il lui arrive d'avoir une évacuation des urines et des selles à la fin des crises.-Celles-ci sont diurnes et surtout n

diminué, le carac- tère de l'enfant est plus irritable. Puberté : fin duvet il la racine de la verge, le reste du corps

ssance prolongée, reve- nant quotidiennement du cinquième mois à la fin du huitième, qui paraissent avoir retenti sur l

190 Hydrocéphalie ; état DE MAL. tique, même à écrire, mais à la fin de 1887 ses connaissances avaient sensiblement

? 10' Hydrocéphalie : cerveau. droite. Des adhérences nombreuses et fines existent au ni- veau des lobes frontal et parié

te substance fait défaut au niveau de la scissure de Sylvius et une fine toile méningée ferme simplement, à ce niveau, l

e de deux centimètres carrés environ, recouvert seulement par une fine membrane. L'examen de la face interne de cet hémi

rnis mais bien implantés. La lèvre supérieure est ombragée de poils fins et clairsemés. Les ais- selles sont garnies de

s n'étaient pas complète- ment fermées, Quinze jours environ après ( fin février), la grand'mère de l'enfant s'étant abs

bords osseux qui empiètent sur la suture en formant de longues et fines aiguilles très rapprochées sur la coronale et la

amment développés. Hydrocéphalie. 237 Puberté. - Quelques poils fins et noirs à la lèvre supérieure et à la lèvre in

e cinq os wormiens à droite et six à gauche. (Fig. 45, 47 et 49). Fin . 50. - Squelette de la face d'un enfant normal de

Toutes les sutures sont fermées; la fronto-pariétale présente de fines dentelures. Toutes sont minces, transparentes à

on. 279 (1882, page 13). Nous nous bornerons donc à donner ici la fin de son histoire et le résultat de l'autopsie.

il s'écoule un liquide hydrocéphalique abondant qui, collecté iL la fin de l'autopsie, pèse environ 300 grammes. La pie

ps en temps malgré les injections boriquées. 1888. Juin. - Puberté. Fin duvet commençant à ombrer Etat intellectuel. 30

e. Aisselles glabres, mais léger engorge- ment ganglionnaire. Duvet fin avec quelques poils très courts à la racine de

G° notre malade ; 7° garçon, 8 ans, bien portant ; - 8° garçon, (i fins , bien portant ; 9° fille, 5 ans, bien portante

amais l'enfant n'aurait eu de con- vulsions. Début de la parole à 2 fins . Première dent il .'< mois. Dentition complè

61). Poumons. - Sonorité un peu exagérée, râles sons crépi- tants fins dans toute l'étendue des poumons sauf au sommet

ois et méchant dans ses colères. » 1891. - Puberté. (Juillet). Très fin duvet sur la lèvre supé- rieure. Poils courts e

re. Poils courts et très peu abondants aux aisselles. Tronc glabre. Fin duvet à la partie antérieure des cuisses et au-de

sont normalement contractiles ; très légère exophtalmie. L'ouïe est fine , l'odorat et le goût sont normaux, mais l'enfan

llants, la forme générale de la tète est ronde. Le nez droit, assez fin , est déprimé à sa base; les narines regardent e

ants qui parti- cipaient à renseignement du chant était de 220 à la fin de 1899 et de 2 à la fin de 1900. Crijmnasliq

à renseignement du chant était de 220 à la fin de 1899 et de 2 à la fin de 1900. Crijmnaslique. Il ne s'agit plus ici d

er 1900, le nombre des vues pour projec- tions était de 1595, il la fin de l'année ce chiffre était porté -Il 1639. Les

ment atteintes : 111 ? SAncen ? Gerd ? et Legr... L'épidémie a pris fin le 30 novembre. Une épidémie de rougeole a égal

le a porté sur 31. cas'dont 4 suivis. de décès. L'épidémie a pris fin le 15 août. '. Une épidémie de varicelle a eu é

40 cas s'est déclarée dans le service en septembre ; elle a pris fin le 30 décembre sans aucun cas mortel. Aucune pa

a période d'incubation de la variole quand il âst entré, (Voir à la fin du volume).- - . - -- - - - - ? -- -. LII Popul

00, il restait dans le service 9 teigneux et 11 1 teigneuses; il la fin de l'année le chiffre était le même pour les ga

uses. Elles étaient au nombre de 70 au 1 janvier 1900 et de 85 à la fin de l'année (1). - Elles sont installées dans le

llées dans le sous-sol il) Ce chiffre de 85, plus considérable à la fin de l'année qu'au commence- ment, est dû au nomb

mastication et à la dé- glutition. Sur 213 enfants présentes à la fin de l'année, 45 sa- vent se servir de la cuiller

ant. 5. - Passage des classes spéciales l'école communale. A la fin de chaque semestre, un rapport est adressé par

ices dans les premières semaines d'après la nature des sujets. A la fin des quatre premières semaines scolaires, dans u

ier ; les crayons et le papier leur sont donnés et repris (11 il la fin de chaque séance. l3rnTn.wr. IV. Remarques su

es ne convient pas il un maitre, l'autorité scolaire lui permet, la fin du semes- tre, de retourner à renseignement des

vré ». Si l'on n'y trouvait pas des incon- vénients au point de vue fin ncier, et si la distance de Paris à la Colonie

se réunissent sur la ligne médiane par une petite bande de poils fins . Les paupières supérieures et inférieures paraiss

u'à la base du crâne, descend en bas jusqu'à la première vertèbre Fin . 7. Corps étranger de l'oesophage. 55 dorsale

Face ovale, arcades sourcilières aplaties, ombrées de sourcils très fins . Paupières normales, yeux mobiles, iris gris, p

alisé à la partie moyenne du poumon sur la ligne axil- laire. Râles fins , pas de dyspnée, pouls peu rapide. 9 mars. Amél

esophage. 2 heures 30- 114- 3 heures 26- 14. 4 heures 1=^ 140 fin . 8. l'uids après décès : il k. &00. Corps

hâtons ssr une ardoise et nomme quelques lettres. - Enfin' il la fin de l'année 1900, il parle de façon il peu près

uoi que ce soit d'anormal dans les parois ou clans la profondeur. Fin . 12. 104 Pachyméningite chronique. Les membre

des hémisphères, se présente sous un aspect blanchâtre ça et là de fines vascularisations. A la base des deux hémisphère

mais attentivement examinées, elles possèdent beaucoup de fibrilles fines , avec un protoplasma sans granulations chro- ma

relative des fibres myéliniques tangen- tielles. Les altérations fines des éléments nerveux consistent sur- tout en un

ium cylindrique ou cubique. Partout se voient des cellules rondes à fins prolongements, mais peu de grandes cellules- ar

entriques, la tunique moyenne n'étant plus repré- sentée que par un fin réticulum fibrillaire. X. Résumé histologique

ent résistant, les travées conjonctives montrant des fibrilles plus fines qui circonscrivent de grands espaces libres. Le

ient surtout des groupes d'artérioles et de veinules, réunis par de fines fibrilles, dans le réseau desquelles on observe

périphérie de ces nodules, la névroglie devient d'une texture très fine et délicate, pour bientôt se nécroser en divers

cellules le plus souvent petites, à noyau arrondi et pourvues de fins prolongements. On trouve moins de grandes cellule

la Fondation Vallée à 100 enfants au maxi- mum. La population il la fin de l'année 1892 atteignait le chiffre proportio

ont entraîné la réfection du parquet du gymnase, ont commencé à la fin de septembre. Ils auraient dû être faits au moi

Nous n'avions plus entendu parler de cette affaire, lors- qu'à la fin du mois d'avril, l'Administration nous a envoyé,

lèvres sont tremblantes. Ces crises durent 15, 20, 30 minutes. A la fin , le visage est très pale l'enfant cherche se fa

pal- per. Cuir chevelu sain. Cheveux châtain clair, assez longs, fins , régulièrement implantés; tempes recouvertes par

Thorax peu développé. Région interscapulaire couverte d'un duvet fin et assez abondant. Pas de lésions ni de cour- b

ctique. A l'auscultation, quelques râles sonores et sous-crépitants fins disséminés. L'enfant mange assez bien. Sommeil

lalév·resup3rieure. nlenton et joues glabres. Duvet peu abondant et fin au niveau du sternum. Une tren- taine de poils

langage, accès de colère, etc. IV. L'athétose a été constatée à la fin du premier mois qui a suivi la fin de la maladi

L'athétose a été constatée à la fin du premier mois qui a suivi la fin de la maladie, aussitôt que la paralysie s'amen

la poudre de quinquina. L'enfant mange bien, 1892. Mars. Depuis la fin de décembre, V... a dépéri très lentement. 22

ceux de la lèvre supérieure. -.Toues très amaigries, couvertes d'un fin duvet. Apophyses zygomatiques et pommettes sail

ux se déviaient, devenaient blancs, puis l'enfant se raidissait. La fin de la crise était annoncée par une pâleur de la

ne. Durée : une minute. Sommeil consécutif : 10 minutes. T. R. à la fin de l'accès : 3gaz,9; - un quart d'heure après :

internes à 3 semailles, se reproduisant quotidiennement jusqu'à la fin du troisième mois ; occlu- sion des paupières;

fut crâniectomisé le 22 juin 189 0(1). Il sortit de l'hôpital à la fin de février 1891. Sa mère prétend ne pas avoir c

en effet, la soudure osseuse s'est effectuée sous forme de suture à fines dentelures, analogues à celles de la suture qu'

nts survenus à l'âge de trois semaines, qui ont persisté jusqu'à la fin du troisième mois, ont laissé après eux un stra

i inoffensive que cer- tains le prétendent. L'enfant est sorti à la fin de février 1891. Pendant son séjour à l'hôpital

rale, pharynx rouge et sec, toux rauque. Râles sous-crépitants très fins des deux côtés, surtout à droite.^ Ni coryza, n

gie. Du côté gauche, submatité en arrière et en bas. Quelques râles fins aux deux temps de la respiration. Il n'a pas re

T. H. 3tl°, 7. Respiration et toux pénible; dyspnée. Râles humides, fins , dans les deux poumons, surtout aux bases. Subm

n'est pas vascu- larisée : iiiais on note une vascularisation très fine sur les lobes temporaux, pariétaux et occipitau

nt accusées. Visage rond, joues pleines, face symétrique. Paupières fines et bleuâ- tres, recouvrant complètement, en se

et rond, bien conformé. - Oreilles bien implantées et bien ourlées, fines , presque complètement transparentes, sillonnées

ment en se desséchant. La suture coronale offre des dentelures très fines et devient presque rectiligne au niveau de la l

gne médiane. La suture sagittale présente aussi des dentelures très fines qui, à partir du sinci- put, deviennent plus co

. La grossesse a été mau- vaise : vomissements du commencement à la fin ; chute en bas d'un escalier, à laquelle la mère

conférence de la verge 48 millimètres ; - longueur, 35 millimètres. Fin duvet au pénil, au périnée et à l'anus. Etat

us incom- plets et subintrants. Dans l'intervalle des accès, à la fin , le malade ne reprenait pas connaissance et resta

ée par la suture pariéto-occipitale. Cheveux blonds peu épais, très fins , 202 Description DU malade. régulièrement imp

le pas gêné dans sa respiration. Il n'y a que quelques petits râles fins à l'inspiration et à l'expiration du coté tan-

rondi. Les arcades sourcilières sont bien dessinées. Les paupières, fines et bleuâtres, recouvrent complètement le globe

nfant est tout-à-fait glabre. On trouve à peine quelques poils très fins et très rares sur les avant-bras et les jambes.

un peu de matité en arrière des deux côtés et aux bases. Quel- ques fines crépitations disséminées çà et la dans les deux p

t hier au soir de 3S,7 7 atteint ce matin 39,5. - Râles nombreux et fins dans la poi- trine. Le pouls est extrêmement ra

rchette très saillante. Il y a au pourtour de l'anus quelques poils fins , courts, châtain toncé. 2 avril. - On reprend l

ellement, sous le rapport de la puberté, il est bien développé : un fin duvet recouvre sa lèvre supérieure, quel- ques

chirurgien distingué qui l'a ima- ginée, exécutée et menée à bonne fin . Il ne s'agit point ici, en effet, d'une tentat

nt en se dessé- chant. La suture coronale offre des dentelures très fines et devient presque rectiligne au niveau de la l

gne médiane. La suture sagittale présente aussi des dentelures très fines qui, à partir du sinciput, deviennent plus cons

s internes à 3 semaines, se reproduisant quotidiennement jusqu'à la fin du troisième mois; occla- sion des paupières ;

bda. La suture lambrloïcle est très contournée, ses dentelures sont fines et irrégulières. A droite, à 4 centimètres 1/2

effet la soudurc osseuse s'est effectuée sous la forme de suture à fines dentelures, analogues à celles de la suture qu'

ats auraient été plus considérables s'il n'avait été transféré à la fin de 1881l à Clermont où il est resté un an pour

r l'enfant à l'entrée (septembre 1882). Fig. 2. Son écriture à la fin de 1887. Fig. 3. - Reproduit plusieurs addition

C'est dans ces conditions qu'il s'est décidé à venir à Paris, vers la fin de l'année 189o, pour se faire admettre en trai

cette nature peuvent contribuer à faire la lumière sur la structure fine et la physiologie de la moelle, et notamment sur

, 1800. - Beit1'oege f. d. Zeryliederungskunst, Bd. 1, 268, Taf. 1, Fin . 2, Leipzig. ' X, 1803. Account of a living chi

res nous en ont laissé plus d'un témoignage. D'ailleurs, mêmeà la fin du XVIIIe siècle, on pouvait, dit-on, lire, au Pa

nalité. Celui-ci, léger, délicat, effleurant son panneau de touches fines et fer- mes, d'un coloris doux et recherché, ca

ont des prétextes suffisants à des oeuvres d'art, d'une observation fine et consciencieuse, d'un réalisme spon- tané et

le grattage des cors et des durillons, deux petits instruments très fins , l'un pointu, l'autre en forme de curette, pour l

e malade. L'homme attend son tour de barbe : sa visite était à deux fins . Deux autres clients tournent le dos, l'un, au

icure de Teniers, au musée de Buda-Pest : même visage, mêmes lèvres fines , même nez pointu, mêmes vêtements, même coiffur

ement at- ténué et disparut même fréquemment par intervalle. A la fin du mois, M... quitta l'hôpital n'ayant pas eu d'a

mplètement le relief des tendons dé l'extenseur commun. La peau est fine , mollasse. La température de la main très basse

'explication des troubles moteurs de la syringomyélie. L'histologie fine du système nerveux, entre les mains de Cajal, Len

LAMANDE ET HOLLANDAISE) LES PÉDICURES AU XVIIe SIÈCLE . (Suite et fin ) par HENRY MEIGE V ADRIAEN BROUWER Pein

ence aux Barbiers établis au village dans des officines à plusieurs fins . Ils avaient sur eux l'avantage d'employer une

qu'au début de toute séance la traction doit être progressive, à la fin de l'opération on ne produira pas, en lâchant bru

les méthodes mises en usage étaient insuffisantes pour montrer les fins détails de structure. A la lu- mière des procéd

chromatique, à la périphérie du corps cellulaire, transformée en un fin ré- seau d'aspect particulier; plus rarement la

ULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 157 Sur des coupes fines colorées par la thionine en solution aqueuse con-

nt et les filaments du spongioplasma se disposent en un réseau très fin et pâle qui se con- tinue avec la trame fibrill

de granulations centrales, les unes assez grosses, les autres très fines . La cavité nucléaire est traversée par un réseau

d'entrecroisement, on remarque quelques grains chromati- ques très fins . Les nucléoles, qui représentent la plus grande p

600 D. par M. Rivière, prépara- teur du laboratoire. ' Fio. 2. Fin . 3. A. - Cellule nerveuse dépourvue de prolonge

{1- est ou non munie de son noyau. Le protoplasma est parsemé d'une fine poussière chromatique, raréfiée par places et d

E MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES PAR G. MARINESCO (suite et fin ) 1 Les efforts communs des physiologistes et

iés conser- vent une énergie relative et d'autre part, l'histologie fine m'a montré que les cellules situées loin du foy

première moitié de la deuxième minute, et enfin neuf kilos pendant fin de cette deuxième minute qu'il ne peut même pas

èvres saillantes et charnues,nez peu développé, visage glabre, peau fine et de couleur claire, cheveux fins, sourcils et c

u développé, visage glabre, peau fine et de couleur claire, cheveux fins , sourcils et cils peu fournis. « Torse allong

re un peu gros, les membres potelés, enveloppés de graisse, la peau fine et rosée, le visage, le pubis, les aisselles vi

celui des adultes, c'est précisément le fait que, survenant avant la fin de la croissance, il interrompt les progrès du

génital ; peau glabre sur le thorax, sur le visage ; cheveux longs, fins et soyeux ; forme particulière de l'oeil, des p

. La plupart de ces ta- ches sont recouvertes de poils noirs, assez fins , soyeux, tranchant nette- ment sur la peau glab

TRAUMATIQUE DE LA MOELLE (SYNDROME DE BROWN-SEQUARD) (Suite et fin .) (i) PAR F.RAYMOND Professeur de clinique

re postérieure; après avoir franchi (1) IIA)10,N y Dual, L'anatomie fine de la moelle épinière in : Atlas der ptholo-iscli

l, qui, sur ce dessin, sont représentées par des lignes noires plus fines . Sur le dessin placé devant vous, je n'ai fait

1895, le malade rentra chez lui, reprit ses occupations quand, à la fin d'avril 189G, les douleurs re- vinrent au nivea

fois, le avril, le 11 octobre et le 3 décembre. Il y avait eu à la fin de l'année une légère recrudescence qui s'accen

e la TOURETTE, Professeur agrégé, médecin des hôpitaux. (Suite et fin 2- GROUPE. - Arthrites ET amyotrophie DES membr

otable accroissement de nos con- naissances concernant la structure fine de la cellule nerveuse l'état nor- mal ou patho

1 u. 2 Ilelt. (5) Marinesco, Nouvelles recherches sur la structure fine de la cellule nerveuse et sur les lésions produ

e les altérations de la fonction et les modifications de la structure fine des cellules nerveuses. Dans notre casde poly

à l'apparition à l'in- térieur du corps cellulaire d'un réseau très fin et peu distinct; entre les - mailles de ce rése

des parasites, mais comme la cause même de leur germination. A la fin du XVIe siècle, Ambroise Paré, réunissant dans un

bin et Thevenot, J. Thevenot, successeur, Salnt-Dizier (Hte-Marne). Fin . 5. 100 Année N° 6 NOVEMBRE-DÉCEMBRE 1897 CLI

ies : joue, lèvre, menton. C'est même curieux de voir ce petit côté fin juxtaposé à une moitié de figure plus robuste. Il

s par leur volume, que chez les Chinois elles sont particulièrement fines . Tête.- Diamètre antéro-postérieur : 20 centimè

s frappante que chez les Chinois, celles-ci sont particulièrement t fines » ; enfin cette cyphose monstrueuse, qui, dotant

ig. 1). Fig. 3. Main d'un homme de très grande taille (1m93). Fin . 4. Main d'un homme de taille moyenne (lm70).

bercule delà moelle chez un enfant de quelques mois donna lieu à la fin de la vie à un épanchement dans'le genou droit.

lonté et s'exagère considérablement (Pl. XLVI, 3). Lorsque, à la fin du mois d'avril, le malade vient consulter M. Bri

elles furent continuées par son élève Masaccio, et achevées vers la fin du 1V siècle par FILIPPiNo Lippi. Les fresques

musée du Prado, à Ma- drid. Dépossédée de tous' ses biens, sur la fin de sa vie, la reine de Hongrie prit l'habit du

S AUMONES DE SAINTE ELISABETH DE HONGRIE \'ic'¡¡o Ecole de Cologne ( fin du XVe siècle). Musée de Cologne ? MASSON .\

Maître DE la Glorification DE la Vierge ` Vieille Ecole de Cologne ( fin du XVe, commencement du XVie siècle). Au musée

ées sur la face. U - - - CONRAD Witz. ' ' . -(Ecole d'Alsace. - Fin du XVe siècle). Dans une église, près de Sierre

aminer cette peinture, celle-ci doit être attribuée à Corlsan Wrrz ( fin du xye siècle). Cette oeuvre d'art est parfaite

.42.. LA CHARITE DE SAINT MARTIN Tableau attribué à Conrad "'Ill ( fin du XV" siècle) Musée de Baie. MASSON nu CiC,

coloriée, de la lèpre telle qu'elle existait, en Allemagne, vers la fin du XIIIe siècle et peut-être à Augsbourg..... «

s siècles plus tard ? ... ? )) » Maître inconnu (Ecole allemande, fin du XV° siècle). Nous empruntons encore aux Diff

Keller a fait remarquer aussi que le tableau ayant été peint vers la fin du XVe siècle, Grunewald avait pu prendre pour

nts qui participaient Ù l'ensei- gnement du chant était de 274 à la fin de 1895 et de 385 à la fin de l'année 1896. E

ei- gnement du chant était de 274 à la fin de 1895 et de 385 à la fin de l'année 1896. Escrime. Cet exercice s'est fa

gue, M. Joly, qui s'en est acquitté consciencieusement jusqu'à la fin de l'année. Danse. - Les exercices de danse se

1 cr janvier le nombre des vues pour projection était de 483, il la fin de l'année ce chiffre était porté à ti : 3.` ?

ons que les chefs des ateliers des enfants, c'est-à-dire payés à la fin du mois et logés au dehors et que néanmoins, il

L'épidémie de rougeole a débuté le 29 novembre, per- sistait à la fin de décembre et a continué en 1897 jusqu'au 20 m

1896, il restait clans le pavillon 7 teigneuses et 9 teigneux; à la fin de l'an- née ce chiffre était descendu il G pou

. Elles étaient au nom- bre de 50 au l ? janvier 1896 et de 56 à la fin de l'an- née. Elles sont installées dans le bât

a cuiller, de la four- chette, etc. Sur 162 enfants présentes ;\ la fin de l'an- née, 2 savent se servir de la cuiller,

prochain. 2° De mettre M. le D' Auguste Voisin à la retraite à la fin de l'année dans laquelle il aura atteint sa 70'

urnée chez un cordonnier du dehors. 1895. Janvier. - Puberté. Poils fins à la lèvre supérieure et au menton. Quelques po

vre supérieure et au menton. Quelques poils dans l'aisselle gauche. Fin duvet sur les État intellectuel ET moral.' 17

sions qui ont débuté le troisième jour de la vie. III. C'est à la fin delà première semaine qu'on aurait constaté la

s joues sont légèrement rosées. Cheveux châtains, assez foncés, fins et soyeux. Le cuir chevelu ne semble pas épais;

sourcilières sont déprimées, les sourcils figu- rés par des poils fins , abon- dants dans les deux tiers externes. -

sage rond..1l'cades sourcilières peu accentuées, recou- vertes d'un fin duvet châtain, fentes palpébrales régulières. P

pas cle morsure de la langue, pas d'évacuations involontaires. A la fin , sterlor, et retour assez rapide cle la connais

n'y a plus de croûtes du cuir chevelu. Les cheveux repoussent plus fins et moins foncés. - Emmenée en congé de 24 heure

bilée, La parole et la marche sont restées ce qu'elles étaient à la fin de juillet. Le poids de l'en- fant est de 10 k.

2 avril. Elle a gagné successivement 7, 8, 9 et enfin 10 notes à la fin de l'année 189G. La voix quoique assez faible,

absence de glande thyroïde, nanisme, etc. - Etat de la malade à la fin de décembre 189 ? Premier traitement par la méd

cilières, on trouve une dépression très accusée ; les sourcils sont fins , abondants dans leur moitié interne, beaucoup m

que chez Bor... Au cours du second traitement du 2 octobre, à la fin il) Actuellement 12"2 janvier 1801) elle est pr

rie), était âgée de 14 ans quand elle a été mise en traitement à la fin de mai 1895. Sa taille, qui n'avait pas changé

st abaissé de 12 kg. 500 il 10 kg. 500 et est remonté à 11 kg. 300 ( fin juillet). Médication THYROIDIENNE. 197 La tai

de 32 kg., est descendu it 29 kg., puis est remonté à 37 kg. 900 ( fin juillet). La taille qui était h lm 27 s'est élevé

(Tablettes de glande thyroïde, une pendant 25 jours ; 2 jusqu'à la fin ). H3 jours ; 9 gr. 30 en tabloids Welcome and 1

- tement du 1 CI' juillet au 15 août. Tablettes de Flourens et du fin . 38. Médication thyroïdienne, ' 203 30 septem

anvier 1878. Traitement 1 tablette pendant 25 jours et 2 jusqu'à la fin , en tout 143 jours ot 9 gr, 30 de glande on tab

eille gauche, cicatrice se terminant en infundi- bnlum. La peau est fine , sensible aux contusions. Les oreilles sont bie

ils décident, un peu prématurément peut-être, de le reprendre ;\ la fin du mois. -Nous avons ou l'occasion de revoir Ca

ement à des pointes de feu. Petites adénites cervicales. Peau assez fine , généralement pigmentée. 1887. 18 janvier ? R

tg. 40 Imbécillité ET paraplégie spasmodique. 239 Puberté. - Très fin duvet sur les joues. La moustache, composée de

ès fin duvet sur les joues. La moustache, composée de poils blonds, fins , se dessine bien. Poils assez longs sur le bord

d'une sécrétion sudorale assez abondante. Tronc glabre. Duvet très fin sur les membres /ip. 41 1 240 Imbécillité et

les ; incapacité de s'aider en quoi que cc soit, gâtisme, etc. A la fin de cette période, la marche commence à devenir

Depuis son entrée dans le service, iL 10 ans et demi, jusqu'à la fin de 1896 (21 ans), il se produit une cer- taine

en 188>. Il reste un an en Afrique. 4 CLINIQUE NERVEUSE. A la fin de 1883, on l'envoie au Tonkin. Au' bout de six

ns ces attaques le malade exécute parfois un arc de cercle, qu'à la fin de l'attaque il pousse des sanglots, et qu'enfi

On peut certes discuter encore sur la physiologie pathologique plus fine du symptôme, se demander si ce n'est pas (comme

ment dans la démence consécutive, et persista en plateau jusqu'à la fin , sans autres conséquences d'ailleurs. Le bain f

: membrane nettement formée, et dont l'aspect donne à penser qu'une fine membrane s'est constituée et qu'il est survenu

n'a pas dépassé la période de coagula- tion. A la base, la membrane fine se détache facilement de la dure-mère. R. 11. C

bres conjonctives de nouvelle formation procèdent des prolongements fins et moyens qui partout sortent du corps même de

nouveau la ouate du nez et la courbe s'abaisse immédiatement. A la fin , la courbe se relève, devientirrégulière. 5 a e

ns grêles du côté opposé. Donc le lobe pariétal, au moyen de fibres fines médianes et laté- rales du ruban de Reil, se ra

sur le bras et la jambe correspondants. Guérison com- plète vers la fin d'août. Or, sur seize cas de tétanos céphalique

s sous la surveillance de l'un des membres du jury. - Art. 10. A la fin de chaque séance, il peut être donné connaissan

E L'ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES PARALYSIES HYSTÉRIQUES'; (suite et fin ). , Par le Dr BABLNSKI, Chef de clinique des

M. Monod le vit et d'où il l'amena dans son service à Ivry vers la fin de 1883. M. Berbez, interne à Ivry à ce moment,

ènes se reproduit et il en est ainsi plusieurs fois de suite ; à la fin de l'attaque sur- viennent des hématémèses et d

e n'aurait jamais complètement disparu depuis cette époque. Vers la fin de 1885, le malade entre de nou- veau à la Char

ésogastre. Ces douleurs s'étendirent aux jambes et au pénis. A la fin du mois d'août 1881, Morozoff commença d'éprouver

r. Il a une constitution ordinaire, le teint un peu pâle. Vers la fin d'une excursion de quelques jours, faite en batea

ncéphale; les hémis- phères, infiltrés de sérosité sont parsemés de fines hémorrha- 212 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. g

Weigert. Disposition particulière d'une partie des fibres nerveuses fines contenues dans les racines postérieures. Ces li

sceaux ainsi produits, composés exclusivement de fibres extrêmement fines , après être sortis de la pie-mère, se détour- n

e cas de tabes dorsal ont décelé l'atteinte constante de ces fibres fines sous forme d'une petite plaque intermédiaire au

s noyaux du sarcolemme; la stria- tion transversale paraissait plus fine et souvent un peu moins nette. Il. IL 222 REV

nsversal et sur la longueur du tronc (névrite) jusque dans les plus fins ramuscules intramusculaires (réaction dégénérat

ès que l'épi- lepsie convulsive est constituée et, tout à fait à la fin , l'épilep- togénie volontaire disparait elle-mê

des douleurs dans la ré- gion du coeur et dans le bras gauche. A la fin de juillet 1884, revenu de l'exercice, il se se

face se congestionne; la connaissance ne disparaissait que vers la fin de l'accès et reve- nait dans les intervalles.

lles, on observait l'opisthotonus. Les attaques durèrent jusqu'à la fin de décembre, par séries entières quotidiennes,

urs, les contractures diminuèrent d'abord dans le genou droit; à la fin d'un mois, il marchait avec des béquilles. Assi

us les malades et se change parfois chez le même patient. Vers la fin du trouble, on voit le sujet en proie à des hal

la physionomie un air vieillot, contrastant encore avec l'apparence fine et cireuse de la peau qui est absolument glabre

t extrêmement atrophié. Sur toute l'étendue du tronc, la peau est fine , d'un blanc mat, assez résistante sous le doigt

myxoedème n'aient pas attiré l'attention de M. Ball. M. Bail à la fin de sa seconde communication à la Société d'anth

u recourbés en griffe, organes génitaux, bien développés avec poils fins et foncés à la base du pénis; quelques poils ra

nlevés à la pince sont souvent couverts de granulations graisseuses fines . M. Grundler croit que l'extirpation de la glan

erte de forces, mains lourdes, peu agiles, surtout pour les travaux fins . La voix se perd tout à coup. En février 4881,

, goitre pa1'enhyma- teux ; extirpation totale le 17 décembre 1880. Fin mars 1881, cachexie pachydermique, faiblesse de

880. - Rapport médical du 22 fé- vrier 1883; bonne santé jusqu'à la fin de 1881. Alors oedème pal- pébral et des jambes

ait été suivi quatre mois après d'aucun acculent. 2 Hans Schmidt. - Fin Fait von Cachexia slrumipriva. (Berlirzer Idi-

resque constamment sur le suicide et les moyens de le mener à bonne fin . Le jeudi 26 août 1886, à une heure de l'après-

ervées dans des éponges asepti- ques chaudes et être replacées à la fin de l'opération entre la peau et la dure-mère, a

rès avoir arrêté tout suintement par des pressions avec des éponges fines , le lambeau doit être rabattu et attaché au moy

rellement dans l'histoire clinique, cependant je récapitulerai à la fin les points qui méritent une attention spéciale.

s sa sortie de l'hôpital, il resta sept semaines sans attaque; à la fin de cette période, elle revinrent, et pendant tr

tte paralysie sensitive et motrice avait disparu graduellement à la fin des deux mois suivants. Jusqu'à présent, le mal

travers la suture sagittale d'un animal nouveau-né un petit couteau fin et l'on va sur la base du crâne sectionner le c

s permettent de découvrir d'autres anomalies, surtout les lésions fines . Parmi les liquides de durcissement, c'est l'alco

IV. SECTION DE GYNÉCOLOGIE. M. H.-W. FaEUND (de Strasbourg). Des fines altérations des appa- reils nerveux qui occupen

la langue alle- mande, il était à même de mener celte lâche abonne fin . Sa tra- duction tout en restant aussi conforme

elle place de médecin aliéniste qui sera mise au concours soit à la fin de décembre, soit au com- mencement de l'année.

généraux seront admises à l'école pour une période d'une année à la fin de laquelle après avoir passé un examen suffisa

nt une instruction pendant deux ans. Après un examen suffisant à la fin de cette époque, elles recevront un certificat

vingt à trente ans. La durée de l'instruction est de deux ans à la fin desquelles des certificats sont accordés sur la p

la couche interne. Celle-ci con- ticnt des libres plus pâles, plus fines , groupées en fascicules très lâches , etla diff

agittale externe du segment postérieur de la couronne rayonnante. - Fin , forceps major du corps calleux. Fin', faisceau i

s de l'ergot de Morand. - Fli, faisceau longitudinal infé- rieur. - Fin , forceps major du corps calleux. - fie, fibres pr

- Th, thalamus. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 21 Fin . 44. - Coupe hori- zontale de l'hémi- sphère

axe sur les coupes horizontales et se présentent sous l'aspect d'un fin pointillé. Les fibres du contingent sous-lentic

coupes horizontales obliques, parallèles à la bandelette optique, ( fin . 12, 31, 32, cas Courrière et Bras, Fig, 93, p. 1

pli cuneo-limbique (,,cl) et le forceps postérieur du corps calleux ( Fin ) . Plaque jaune du lobule lingual (Lg) et du pl

s le fond du foyer, la striai ion des couches sagittales (Fig. 96). Fin . 98. - Cas Jouan. Coupe horizontale un peu obliqu

e. Coupes passant par la région sous-optique de la capsule interne ( fin .109), les parties supérieure (Fig.110) et infé-

horizon- tales passant par les régions thalamiques supérieure ( fin .130) et moyenne (Fig. 131). La plaque jaune (

BRALE. 159 la partie supérieure et postérieure du noyau rouge (\R) ( fin . 1 r8 et 149) du locus niger luc. 151 et 155. -

eur de la capsule interne complètement dégénéré est traversé par de fins fascicules appartenant aux radiations strio-Llala

e interne et s'enchevêtrent dans la région sous-optique et le fais- Fin . 172. - Cas Racle. Cinq coupes du pied du pédoncu

commissure de Meynert (CM, Fig. 202 et 203). Tous ces faisceaux son Fin . 209. - Cas Longery. Coupe passant, par les tuber

t à^la partie postérieure et ventrale du noyau externe du thalamus ( fin .205) elle est subdivisée en noyaux aplatis, de

enne du lobe temporal. Elle est, en réalité, beaucoup moins grande ( fin .215) et n'intéresse que l'insula, une partie de l

te la convexité de l'hémisphère, une mince couche presque continue de fines fibres, faiblement colorées par l'hématoxyline,

homologue d'un forceps postérieur très allongé. Nous n'avons pas eu Fin . 228. - Cas Richard. Le segment postérieur de la

permis de recueillir des données très précieuses sur la localisation fine des divers membres et segments de membre. Sig

e FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 227 la question des fines localisations corticales est infiniment plus avan

des mouvements du membre inférieur est toutefois loin d'être aussi fine et distincte que celle du membre supérieur, et dè

la localisation des mouvements très différenciée est infiniment plus fine que Leur excitation. Mouvement primaire. Mo

che. Chez l'orang, Horsley et Beevor ont poussé encore plus loin la fine localisation des mouvements de la face, en part

du jeune orang font déjà prévoir chez lui une différenciation très fine des mouvements des lèvres, de la bouche et de l

t. Ce sont la des particularités sur lesquelles l'un IIONir n. 16 Fin . 24 : j. Les centres sensitivo-moteurs de la face

. - fe, faisceau croisé ou nasal; fol, faisceau direct ou temporal; fin , faisceau maculaire du nerf optique. - Fin, for

isceau direct ou temporal; fin, faisceau maculaire du nerf optique. - Fin , forceps postérieur ou major du corps calleux.

du tænia thalami (Fig. 253 et 234). Une autre partie des radiations Fin . 251. - Les radiations olfactives profondes et le

ns les bichromates alcalins (Fig. 268,269, T. ICI'). Sur les coupes fines , on voit toutes ces libres extraammoniques se g

on est arrondie et ovalairc et présente une face postérieure libre ( fin . 9-5-1, 82), recouverte par l'épendyme du trois

ise, s'enchevêtrent les uns avec les autres et sont entourés par de fines fibres arquées qui croisent FiG. 264. Coupe hor

itue un faisceau fermé. Dans son trajet sous le noyau lenticulaire ( fin . 269), la commissure antérieure est mince, apla

-transversales qui appartiennent au corps calleux sont intactes ; les fines fibres sagittales qui appartiennent, ainsi que

tingue dans le tapetum deux couches, l'une mince interne, formée de fines fibres à direction sagittale qui empiètent en ded

s, fortement colorés par la laque hématoxylinique. Pilier antérieur fin u trigone, sa constitu- tion, ses rapports en

tue chez l'homme un faisceau volumineux, compact et serré, formé de fines fibres parallèles. A son origine dans la régi

artiennent à un corps cellu- laire plus gros. Leur cylindre-axe est fin et se décompose après un court trajet, souvent

; dans quelques cas rares, ils émettent au niveau de leur coude une fine collatérale ou une mince branche de bifurcation

-médullaires, etc.). Ces fibres abandonnent au corps strié quelques fines collatérales qui sont recouvertes d'une mince g

me, pas de fibres cortico-striées directes; il ne reçoit que les fines collatérales que lui abandonnent les fibres de

de de la méthode de Marchi, a observé la dégénérescence de quelques fines fibres du corps strié après ablation du lobe fr

onculaire s'accompagne d'une dégéné- rescence très évidente et très fine de la substance grise antérieure de la protubéran

ONS INFIIACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 31. 3° Une dégénérescence très fine , mais très manifeste du globus pallidus (premier

if; mais on trouve en outre, disséminé dans le corps strié, un très fin granité de dégénérescence que l'on peut suivre

1- Ramollissement sous-cortical dcs cir- convolutions rolandi- fines ayant sectionné le segment moyen do la couron

ture. Ses connexions corticales. sance à de nombreuses branches fines et peu ramifiées. Entre ces deux formes cellula

par sa partie postéro-externe (Fig. 310) et y pénètre sous forme de fins fascicules rigides, légèrement divergents, bien d

tance fondamentale très riche en fibres à myéline qui, disposées en fins fascicules, s'entre-croisent dans tous les sens

ndicu- lairemcnl à l'axe de leurs fibres et réunis entre eux par de fines fibres à myéline à direction verticale et sagit

externe et le pulvinar. Le champ de Wernicke est sur- tout formé de fines fibres verticales, fortement colorées par l'héma-

nchâssent dans une véritable capsule et l'entourent d'une couche de fines fibres qui se colorent intensivement par l'héma-

tent confinés au voisinage du corps cellulaire. Le cylindre-axe est fin , décrit plusieurs méandres, émet quelques colla

atérales dans l'épaisseur du noyau interne, puis se continue en une fine fibre amyélinique du faisceau rétroflexe de Mey

cellules sont entourées d'un feutrage très dense, constitué par de fines fibres granuleuses et ramifiées, fournies en gran

e. Le faisceau rétroflexe comprend deux sortes de libres. Les unes, fines et dépourvues de manchon de myéline, se coloren

de Forel, l'aspect d'un faisceau sclérosé. Chez l'homme, les fibres fines sont beaucoup moins nombreuses, les grosses fib

s diverses, pré- sentent également une terminaison différente. Les( fines fibres amyéli- niques se terminent très certain

et l'entourent d'une sorte de fer à cheval. Elles sonl toutes très fines , dépourvues de myéline, ainsi que Gudden l'a sign

au rétroflexe sont, ou bien de petites cellules étoilées, pourvues de fines dendrites, el dont le cylindre-axe se comporte

centrale du troisième ventricule. La zona incerta est sillonnée de fines fibres entre-croisées dans tous les sens, et se

a méthode de Weigert une couleur foncée qu'il doit à sa richesse en fines fibres à myéline. Sur les coupes vertico-transv

qui le sillonnent [dans tous les sens. Ces fibres sont toutes très fines et de calibre uniforme, elles sont toutes pourvue

terminaison de ces fibres dans le corps de Luys. Le feutrage des fines fibres à myéline est plongé au sein d'une sub-

rt-Pal révèle dans la substance grise cenlrale de nombreuses fibres fines , de moyen et de gros calibre, dont beaucoup app

. Elles se détachent du bord interne du corps de Luys sous forme de fines fibres parallèles, ne se réunissent pas en fais

. - fc, faisceau croisé ou nasal; fcl, faisceau direct ou temporal; fin , faisceau maculaire du nerf optique. - Fin, for

isceau direct ou temporal; fin, faisceau maculaire du nerf optique. - Fin , forceps postérieur ou major du corps calleux.

ont excessivement nombreuses (de 400 à 500 000 : Salzer, Krause) et fines , mesurent les moyennes 2 IL de diamètre, les pl

périphérie du nerf optique et a sa partie centrale, les mailles du fin réticulum de soutènement névroglique sont souvent

t de la bandelette optique. Il se dis- socie en avant du chiasma en fins fascicules (Kellermann, Delbruck, IIen- schen,

u sphincter irien. D'après Gudden, elles comprendraient, toutes les fines fibres du nerf optique, prendraient leur origine

2). La crête antérieure, se porte en avant et en haut, fait saillie Fin . 332. - Face inférieure du cervelet recouvert de

t en bas et en dedans pour se continuer avec le corps restiforme. Fin . 334. - Face antérieure et hile du cervelet après

inférieur ou digastrique; k0 l'amygdale; 5° le flocculus. Vers la fin du quatrième et dans le cours des cinquième et si

rchi (Fig. 383). Au-dessous de l'olive bulbaire (coupes H 16, H 17, fin . 370 et 400, p. 567), le faisceau pyramidal se

Tantôt les fibres pyramidales homolatérales se réduisent à quelques fines fibres isolées, appréciables seulement dans les c

ntre-croisement supérieur à celui des pyramides. L'examen de coupes fines montra bientôt à Stilling, Deiters, Clarke, Luys,

restiforme el son indépendance complète d'avec le ruban (le Reil. fin . 403. - Les noyaux de Goll et de Burdach et l'ent

par leur aspect; dans le noyau de Goll, la sub- slance grise et les fines fibres qui le sillonnent sont uniformément dissém

ach sous CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 573 forme de fins fascicules, fortement colorés par la laque hémato

arrière et envoie dans la substance grise centrale de l'aqueduc une fine saillie angulaire. Au-dessous de la IVe paire (

si denses, qu'elles permettent à peine d'apercevoir la.section des fines fibres transversales de l'entre-croisement du cor

ure et volumineuse, le ruban de Reil zuédiazt(llm), formé de fibres fines réunies en faisceaux compacts, au milieu desquell

Reil médian (Rm), et qui se trouve sil- lonné par de nombreuses et fines fibres arquées qui tirent leur origine de la for-

postérieurs de la moelle. - Fcc, faisceau central de la calotte. - fin , fibres arciformes in- terréticulées du bulbe.

- réticulée de la formation réticulée blanche (SRa) sont en général fines et minces, s'entre-croisent à angle aigu au niv

nt un aspect spécial, ils contiennent un riche et dense feutrage de fines fibres à myéline qui se con- centrent sur certa

- nées perpendiculairement à leur axe. 11 contient de nombreuses et fines fibres qui se portent en avant, et forment à la

use proprement dite, et une partie profonde parcourue par un dense et fin feutrage de fibres à myéline, la substance spon

granuleuse (Cajal, Retzius). Ces fibres longitudinales, extrêmement fines et généra- lement variqueuses, sont très nombre

rébelleuses, les libres parallèles se présentent sous l'aspect d'un fin pointillé, qui occupe toute la hauteur de la co

oe d 0 ET zon S ,P. CM fi' ci rc 3 U¡l11- Fin . r : i8. - Cellule du type II de Golgi de la couc

he névroglique sous- pi e-mérienno. ramifiés et un cylindre-axe fin , dont le trajet et le mode de terminaison sont

ire parallèles au grand axe de la lamelle. Ces fibres excessivement fines sont surtout abondantes au voisinage des cellul

nales se présentent sur les coupes transversales sous l'aspect d'un fin pointillé, qui entoure le corps et les branches p

au grand axe de la lamelle, elles se présentent sous l'aspect d'un fin poin- tillé très abondant, situé au-dessous des

ue ces cel- lules sont vues par leur surface. Le cylindre-axe est fin , se détache du corps cellulaire et ne peut géné

un véritable talent pour obtenir des détails aussi minutieux et aussi fins . — En appliquant le premier la glyptographie à un

, recouvre les parties saillantes. Constituée par du tissu cellulaire fin et peu serré, contenant un grand nombre de vaisse

a névroglie, contenant des cellules étoilées, munies de prolongements fins . Son épaisseur est de 0,25 f¿. La deuxième couc

q systèmes de fibres unissantes est facile à constater par des coupes fines successives sur des cerveaux frais, ou sur des ce

issent dans les différents centres qu'elle renferme ; quelques stries fines atteignent jusqu'à la paroi du troisième ventricu

xtracrânienne; il est cependant possible de démontrer, par des coupes fines successives, que le plan morphologique n'est pas

e de cellules multipolaires de 30 à 60 p de longueur, à prolongements fins et ramifiés, qui donne naissance aux fibres radic

contenant un gros noyau sphérique nucléole, pourvues de prolongements fins et ramifiés. La petite racine du trijumeau ou n

ltipolaires, de 20 de diamètre, pourvues de prolongements extrêmement fins et délicats, et quelques grosses cellules multi-p

on profonde ou sensitive de ces pyramides. Les fibres nerveuses, plus fines dans ce faisceau, se juxtaposent longitudinalemen

de la cellule, de 30 p. à 70 p, de diamètre. d. Prolongements très fins partant du pourtour de la base du corps de la c

cu-laire en filaments blancs dont l'extrémité devient de plus en plus fine . Ce faisceau reçoit le contingent des fibres efîé

rnes du nerf olfactif et celles du tœnia semi-circularis forment de fines traînées blanches dans sa substance. Le lobe sphe

par des filaments blancs de fibres cortico-thalamiques. 9. — Réseau fin linéaire formé par les fibres cortico-thalamiques

rticalement dans le noyau lenticulaire et s'épanouissent en filaments fins et très déliés dans la substance grise des trois

ase, tournée en avant, donne nais-sance à trois prolongements blancs, fins , dirigés, en avant, latéralement, en bas, appelés

ar sa région externe, et par son bord interne un petit fascicule très fin , issu de la commissure blanche postérieure. Cet

nce grise de la couche optique sous l'aspect de fibrilles extrêmement fines . La région postérieure de la couche optique (13)

e chacun des noyaux jaunes ; le segment interne est subdivisé par une fine arcade peu apparente, de sorte que le noyau lenti

uissent en longs filaments ondulés, par une extrémité de plus en plus fine . La section des bandelettes optiques montre la

externe et Y arcade interne, d'où partent des filaments ondulés, très fins , qui vont s'atténuer dans les cellules nerveuses

ieures envoyant dans la substance grise du corps strié des fascicules fins isolés. 4. — Fibres arciformes occipito-frontal

oncules cérébelleux moyens. Elles sont coupées par des fibrilles très fines , qui s'entre-croisent sur la ligne médiane, appar

tance grise de la couche optique, sous forme de petits filaments très fins , qui vont s'épanouir dans les divers centres de c

éduite à une couehe extrêmement mince, traversée par des tractus très fins de fibres olfactives radiculaires externes. La co

! Blanche!... Viens vite!... Mon Dieu, Blanche, viens vite ! » A la fin de la série, W... se plaint de douleurs à la tête

oforme. L'écoulement menstruel finit le 23; pas d'attaques jusqu'à la fin du mois. 19 mars. — Attaques le 16 : éther et c

21 juillet. — Rien le 19 et le 20. Apparition des règles; attaques. Fin des règles, le 22 ; sept attaques. Rien le 23 et

e. — Nous trouvons W... avec le compresseur. Elle demande qu'on mette fin à ses attaques, afin qu'elle puisse se rendre à l

ire est discret. Le plus souvent, on est obligé d'avoir recours, à la fin , au chloroforme : c'est ce qu'on a fait un grand

longtemps que dure la compression ; si on la suspend, ce n'est pas la fin de l'attaque qu'on observe, c'est une nouvelle

as d'attaque. La compression ovarienne réussit très aisément à mettre fin aux crises convul-sives. — Nous n'avons pas décou

che. — L'ouïe est très obtuse (otite ancienne) ; — Yodo-rat est moins fin ; — il en est de même du goût. A gauche, les mu

hase, se précipite, et la bouche laisse sortir un peu d'écume. A la fin des attaques, Adeline voit son ancien amant, l'em

quantité de ce médicament que d'éther ou de chloroforme, pour mettre fin à Y état de mal hystéro-épi-leptique. 26 mai. —

ernier médicament a été employé deux ou trois fois chez elle ; il met fin aux attaques qui ne reparaissent pas dans la jour

un exemple très frappant; aussi, croyons-nous bon de rapporter ici la fin de son observation. OBSERVATION VIII Sommaire

Nous n'insisterons pas sur les particularités intéressantes de cette fin de l'observation si instructive de Marc... que ta

juillet. — Sommeil pendant 12 heures, sans attaques au début ni à la fin : le réveil s'est opéré sans phénomènes particuli

— Phénomènes cataleptiques. — Contracture. — Signes qui annoncent la fin des attaques de sommeil : mouvements cloniques, d

ralgiques. Il est assez commun aussi d'observer des vomissements à la fin des séries d'attaques. 1875. — 6 avril. —H... a

es inextinguibles, de plus en plus rapprochés, annoncent chez H... la fin de l'attaque de sommeil. Dans ce cas aussi, il se

Observation XI. Différents moyens peuvent être employés pour mettre fin aux attaques de sommeil. Telles sont la pression

ier le douziefme Décembre, mil quatre cens cinquante trois, lequel en fin fe repentit con-feffa auoir plufieurs fois efté t

mes bras ni ma tête. Cela durait à peu près 4 à o minutes. Puis, à la fin , j'éprouvais un bien aise que je n'ose pas vous e

s consécutifs aux inhalations denitrite d'amyle. — X. . . L.. ., à la fin de novembre 1877, c'est-à-dire à une époque où el

est complète, la face est immobile. On note quelques mouvements très fins des cils. Le bruit subit et fort, déterminé par

e parle : « 11 vient m'embrasser... Nous coucherons ensemble avant la fin de l'année... » Elle donne des baisers... « Je m'

it été admise à remplacer provisoirement une infirmière: c'était à la fin de décembre 1878. (Voir le t. II, p. 166.) Nous a

ût. — S... travaille à la couture, elle est bonne ouvrière. Depuis la fin de juin, la sensibilité est revenue et l'on éprou

consultation2. Attaques et règles. — En 1879 , du mois de mars à la fin de décembre, on a compté 907 grandes attaques et

mortes en leurs maisons par l'espace de deux ou trois heures, ont en fin confefle que pour lors ils efloient en efprit au

ent ordinairement de nuicl. Satan conuoque les Sorciers de nuicl, à fin qu'ils ne foyent descouuerts, car pour mefhieraif

autre nom : ce qu'il 1%. If). fait, comme il eft vrayfemblable, à fin que le Sorcier de là con-coyne vne opinion que fo

sition précoce. - A la base, on ne voit que des arborisations assez fines . Les artères ne sont pas athéromaleuses. L'en

aces évidentes des ganglions normaux très-reconnaissables à gauche ( fin . 3, A, B, D); loulou plus peut-on soupçonner qu

se le 11. Quatre pilules au lieu de cinq. Depuis ce jour jusqu'à la fin de juin elle a encore vomi à plusieurs reprises

j'ai eu environ 60 . grammes de charbon que j'ai ré- duit en poudre fine . (1) Gazette des Tribunaux, 10 et 11 sept. 1874

nd l'attaque sera termi- née, que les vapeurs nitreuses auront pris fin , les cen- dres seront reprises et épuisées par

ixième de leur volume ; ici encore, on usera du bain-marie. Vers la fin de la concen- tration, on voit apparaître dans

te différence que j'ai ajouté un peu d'acide sulfurique pur vers la fin de l'évaporation de l'alcool au bain-marie. Le

était sans doute un alcool de grains ou de pommes de terre. Vers la fin de la première évapora- tion, j'ai pu discerner

0 gr. 10, tous les cinq jours environ, et nous sommes arrivés à la fin de s3ptembre à 1 gr. 80 chez trois malades, 1 g

ne certaine rougeur. T. R. 38°,4. Au début de l'accès, P. 132; à la fin , P. 92. S.... n'écume pas, mais elle urine asse

ilules de 0 gr. 09...... 31 octobre : 11 pilules de 0 gr. 12..... - Fin décembre : 12 pilules de 0 gr. 15..... Fin août

lules de 0 gr. 12..... - Fin décembre : 12 pilules de 0 gr. 15..... Fin août 1875 : 12 pilules de 0 gr. 20. - Nous avon

par jour) Août : 12 pilules de 0 gr. 20 (2 gr. 40 par jour). - A la fin d'août 1875, Brul ... avait ingéré 500 grammes

de dilatation que l'on observe sur les ca- pillaires sanguins, les fines ramifications artérielles de la membrane interd

es abondantes. Deux de nos malades, Geneviève L... et Hert..., à la fin de l'inhalation, lorsque l'attaque doit être dé

, le pouls est à 150. Troi- sième inhalation de dix gouttes qui met fin à l'attaque. Le nouls est à 96. Nous avons no

ot). Le nitrite d'amyle, administré deux fois à cette malade, a mis fin chaque fois aux attaques. Les phénomènes produi

nvulsions cessent tout-à-fait et la malade, / selon la coutume à la fin de ses crises, dit : « Çà y est ! Elle / regard

ue, il a fallu près d'une cuillerée à café de nitrite d'amyle. A la fin de l'inhalation, M... vomit un peu de bile. Que

e moindre que la première fois suffit pour terminer l'attaque. A la fin de l'inhalation, la iiialadeà vomi de la bile e

e inhalation de nitrite- d'amyle : 12 gouttes suffisent pour mettre fin à l'attaque. Nausées. 12 mai. Attaque : nitri

plus de cinq mi- nutes la face conserve sa pâleur violacée. - A la fin de la der- nière inhalation, nous avons remarqu

il devient jaune d'or. , NITRITE D'AMYLE. H1 ments, indiquent la fin de l'attaque. C'est ainsi qu'il est possible d'

malades de ce groupe. IiYSTÉRO-ÉPILPSIE. 149' qui survient à la fin des attaques. Chez elle, de même que chez la pl

. Une attaque éclata le 15 août; puis une autre, très-forte, à la fin de septembre. On se décida, le '1 el' octobre, à

rines se prolongeant quelquefois une ou deux semaines. Jus- qu'à la fin de 1868, le flux menstruel, très-régulier, était

st accompagnée de convulsions et môme de mouvements du bassin. A la fin de l'attaque, écume -et ron- flement, puis somm

naît pas les couleurs.- L'odorat est revenu; toutefois il est moins fin dans la narine gauche par rapport à la droite.

on, mais la malade s'éveille plusieurs fois chaque nuit; jusqu'à la fin de l'année 1875, Etch... dit qu'elle rêvait bea

due, ou d'un côté ou de l'autre. L'attaque convulsive touchant à sa fin , le malade, tantôt reprenait connaissance et reve

de plus. L'instrument dont il se sert est une sorte de stylet très fin maintenu entre le pouce et l'index, la lige passa

emblable moment est fort court et ne se montre que tout à fait à la fin de la période de double appui (Fig. 3). Le tors

rement fléchi, il ne se redresse et encore pas complètement qu'à la fin du pas antérieur. Sa flexion augmente au moment

e temps que dure sa translation dans l'espace. Il s'étend tout à la fin avant de revenir à l'appui. Il résulte de ce

est en ex- tension. La figure que nous donnons ici représente la fin du double appui, au moment où va commencer le p

ension ne survient que sur la jambe portante seulement et tout à la fin du pas antérieur. Le membre oscillant arrive fléc

e, mais plus soutenue et pro- longée, pour cesser complètement à la fin , avant que le pied quitte le sol. Nous trouvo

haleine, que le temps seul peut nous permettre de conduire à bonne fin . CONSERVATION DES RÉFLEXES PATELLAIRES DANS L

ffisante ; le réflexe réap- paraît. (1) Rnuox Y Canal, Aiiatoinie fine de la moelle épinière (Atlas der patliol. IIisl.

est vrai ; mais leurs reliefs demeurent « enveloppés » par une peau fine , sum- samment rembourrée de graisse. S'il n'est

perd de plus en plus de son épaisseur et finalement il se résout en fines ramifications entre les faisceaux musculaires dev

et au centre de la tumeur, un aspect spongieux avec des pores très fins ; là dans l'ancien périmysium interne, la tumeu

interne, la tumeur est uniquement formée par du tissu con- jonctif fin , muni de grosses cellules et de nombreux vaisseau

ébuté. Ces bandes offraient une coloration générale rouge, due à un fin lacis vasculaire, avec un semis de petites tach

es ; elle ne signale pourtant aucun,accident de la grossesse. Vers la fin de la grossesse qui s'est terminée par la naiss

postérieure, etc. De tout cela, nous pouvons retenir que les fibres fines qu'on observait 1 dans les nerfs mixtes, doiven

une même pro- venance et d'une même nature devaient être les fibres fines trouvées dans les nerfs musculaires. Il en vi

e et de l'autre deux et même plus. Les cordons de Turk étaient plus fins que chez l'en- fant normal. Dans la moelle al

r un espace très petit, ou bien présente l'aspect de filaments très fins s'étendant en différentes directions; ces filamen

t puis pendant une heure dans la paraffine, dans lexylol à 36°, en- fin on les mettait dans de la paraffine pure à lui.00

de chromatine apparaissent dans toute la cellule. Cela a lieu il la fin de la vie intra-utérine, approximati- vement au

des cellules sans chromatine l'une près de l'autre. Pourtant vers la fin de Fio. 9, 10 et 11. Cellules de la corne antér

l accident il garde fière mine et nobles manières. Gracieux profil, fine moustache, longs cheveux bouclés, mains délicat

pérer sur le front au moyen d'un court bistouri ou d'une pince très fine . On ne distingue pas très bien l'instrument et

de la suture métopique, qui, normalement, ne disparait que vers la fin de la dixième année (1). (1) Transactions of lh

sol). Elle se compose également de toute une série de lacunes très fines et de tractus vermiformes pénétrant dans l'intéri

s ioduré. Pas de renseignements sur la mère. -- Enfant né vers la fin de 1871. Dès la naissance il présentait « une gro

des plaques muqueuses, etc. Elle n'a subi un traitement que vers la fin de sa grossesse (septième mois environ). Accouc

loelle ? ', 1878, nO' 20-2. Léopoldine Beck, 7 ans, a présenté à la fin de sa première année une diffi- culté dans les

eps s'est aussi pris tout dernièrement, il se trouve peut-être à la fin de la période dite inflam- matoire ; il représe

toses osseuses (Fig. 5 et 6). A 6 ans, scarlatine. A 12 ans, à la fin de juillet 1882, apparition d'une ankylose du gen

que, après la période de marches et de manoeuvres qui marquèrent la fin de son service militaire, Duf... commença à éprou

ce qui implique la chute en avant du corps soudé Il cuisse (D). La fin du pas s'accomplit avec des mouvements normaux

st vrai). Duf... peut mettre son pied droit sur une chaise, mais la fin de ce mouve- ment est difficile et provoque des

te de l'ankylose) porte sa cuisse gauche en arrière ; il exécute la fin du mouvement en fléchissant la jambe droite, et e

ut abondant sous la muqueuse génienne, est constitué par des fibres fines , pauvres en cel- lules et traversé par des artè

. Chez le malade de Schieck(1883) l'affection aurait apparu vers la fin de la 2e année. Dans le cas de Montgomery (18

de 9 ans venue au monde sans malformation. » Ce n'est que vers la fin de la seconde année que, sans cause connue, la

ntgomery) ou sans cause connue (Schieck). Le point de départ est la fin de la 2° année (Schieck) ou t'age de 10 ans 35G

corce cérébrale devient alors si mince qu'elle se transforme en une fine membrane, qui se soude avec la pie-mère el pren

vitécrânienne. Cellqiiides'él;iitacetimiilé sous 1,1 illeiill)i-a lie fine , attenante immédiatement à la dure-mère. Sur la

âniennes antérieure et médiane sont recouvertes d'une membrane très fine , il travers laquelle transparaissent les os sou

que toute l'écorce cérébrale s'est transformée en une membrane très fine , l'en- semble ayant l'aspect d'une vésicule rem

eau, on trouva deux couches, desquelles par- tait une membrane très fine ; on peut distinguer dans cette dernière deux lo

L (N. Soloctio(P) A et B. - Cas I. Base du crâne recouverte d'une fine membrane transparente (reste du cerveau). Dans la

rale qui dans d'autres en- droits s'est transformé en membrane très fine . Ainsi,ce cas permet de comprendre nettement co

prend pas 372 NICOLAS SOLOVTZOFF la forme d'une vésicule à parois fines , tapissant les os du crâne. Elle est au contrai

de laquelle sont atta- chés des nerfs offrant l'aspect de filaments fins ; à la partie supérieure on voit des ganglions i

réduits à une membrane. Nous allons maintenant étudier la structure fine du système nerveux central chez nos monstres. C

alie interne, l'écorce cérébrale s'est transformée en membrane très fine , revêtant la surface interne du crâne (PI. XI, A,

réussit parfaitement, toutes les libres myéliniques, même les plus fines , se sont colorées très vivement en noir. Cette

istait pas et la base du crâne était recouverte d'une membrane très fine se prolongeant vers la moelle épinière. A l'exa

téraux, ils étaient, il la périphérie, enveloppés d'une couche très fine des fibres myéliniques. Plus haut, dans la région

unissant à un réseau bien plus grossier ; c'est seu- lement vers la fin de la vie embr onnaire, aux environs du 7e mois,

ouvant aucune amélioration entre à l'hôpital Cochin. Etat actuel ( fin août 18J8). Il s'agit d'un homme de 45 ans, très

taches pigmentaires sur le tronc et les membres inférieurs. Vers la fin d'octobre, elle a commencé à se plaindre d'un « m

du reste. Nous ordonnons quelques ventouses scarifiées qui mettent fin sur le champ à la dyspnée. A la suite de cett

ire, la substance même de ce délire, sont faits par une chaîne sans fin d'hallucina- tions en apparence fort vives ; la

ncidents delà vie réelle. Il est manifeste que ce délire qui sur sa fin se fait extrêmement mélancoli- que et se résout

ient amendés quand se sont produites la plupart des crises et, à la fin , avaient presque disparu. Tout à coup se déclar

pleuro-pulmonaire. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE (Suite et fin ) A. WEIL et J. NISSIM Médecin en chef à l'hôp

vait pour toutes les choses de l'art. Il ne se montra pas seulement fin connais- seur, critique candit et avisé; il man

e. La- borieux et réfléchi, il ne pouvait manquer de mener il bonne fin des études scientifiques. D'autre part, il avai

nt mnscraum, en leurs loques frangées, sont arrivés d'Irlande il la fin d'une lettre Croquis extrait d'une lclliv de Ch

tiste hollandais : sa franchise. Son réalisme, sa bonne humeur, sa fine raillerie, sa verve foute rabelaisienne, et com

eproduire les I rails,, mais toujours en y ajoutant une note de fine critique, en niellant mn év illencc Ilnclync si

elle-ci n'a pas persisté, elle a, au contraire, bientôt disparu. A la fin de 1889, il est atteint de l'influenza, qui pro

t graduellement d'étendue, à me- sure que le muscle se détend. A la fin de l'exploration, qui a duré en tout 45 seconde

° et 4°), répétées après un intervalle de repos de 4 secondes. A la fin de chaque excitation le muscle reprend aussitôt l

ousses réapparaissent et augmentent progressivement d'étendue. A la fin de l'exploration, qui a duré 42 secon- des, le

cours des explorations suivantes. Une vingtaine de secondes après la fin de la première excitation, on renouvelle l'expé

STÈME NERVEUX PAR LA MÉTHODE DU DOCTEUR MOTSCHOUTKOVSKY (Suite et fin 1). Cette circonstance montrait que l'hyperhémi

xe du plan et de son côté gauche. Une manivelle avec une vis sans fin (z) est fixée à la planchette. Le mou- vement d

naison déterminé, on arrête le mouvement de rotation de la vis sans fin , cet angle une fois obtenu. Comme les saillies

en cuir faiblement lacées. En imprimant un mouvement à la vis sans fin , (1) La distance de la planche du sol est trop

le degré de l'hyperhémie n'est pas le môme au commencement et à la fin de la séance; sous l'inlluence d'une distension

des muscles et dès ce moment la guérison marcha à grands pas. A la fin de la quatrième semaine, elle parvint à mettre

ge pendant une vingtaine de minutes dans son attitude normale; à la fin de la huitième semaine elle n'avait que de temp

ats qui permettent de qualifier sa névrose de grande hystérie. A la fin du mois d'août, les convulsions générales cessère

ut traitement, elles cédèrent facilement à la suggestion. Vers la fin de cette attaque, des taches congestives petites

m .. a . NOUVEAUX DOCUMENTS SATIRIQUES DE MESMER .. (Suite et fin ). Les planches VI, VII, VIII ont trait à l'int

nnée et à grandes secousses des choréiques, non plus le tremblement fin et haché de la paralysie agitante. Lorsque D... e

esque complet du muscle, comme dans l'état normal. Ici encore, à la fin de chaque excitation, retour rapide et complet du

int rapidement son maximum el disparaît ensuite graduellement. A la fin de celte première excitation, qui n'a été prolo

myotonique, qui disparaît totalement après 3 on 4 secon- des. A la fin de l'excitation, qui a duré 13 secondes, le muscl

tracé reproduit au-dessus B, appartenant à un muscle normal). A la fin de l'excitation, prolongée pendant 40 secondes,

M 0 G n 0 M M a c c/] n t, m Ut O S Fin . 12. -Boul... (Maladie de Thomsen), 25 sept. 1888

ci n M o d m c ti M G M n f m en c Fin . 13. -Boul... (Maladie de Thomsen), 2G sept. 1888

c', le retour complet et brusque 111 mu.cle : i l'ulat Ile repos la fin de la première ex- citation et il la fin de^ ex

le : i l'ulat Ile repos la fin de la première ex- citation et il la fin de^ excitations produites pendant la nlinule sniv

excitations, et d'autre part ce qui se passe immédiatement après la fin de la courte excita- tion. Nous constatons en e

a façon que nous avons déjà indiquée. Ces contractions du muscle la fin de l'excitation ne se produisent ici que lorsque

dater de 1870 : troubles de la marche, douleurs fulgurantes. « A la fin de 1882, sans douleurs vertébrales préalables,

'). Pendant la seconde excitation (2), renouvelée secondes après la fin de la première, le muscle se comporte comme un

lle le muscle continue à se comporter comme un muscle normal ; à la fin de cha- que excitation il se décontracte immédi

ate une ébauche du spasme myo- tonique, qui disparaît bientôt; à la fin de l'excitation gonflement et relâ- chement alt

ique, sa disparition graduelle, puis, après que l'excitation a pris fin , la persistance de la contraction du muscle ave

le ai t atteint sa ligne de repos, en w, plus d'une minute après la fin de l'excitation. -La ligne suivante E montre co

les caractériser en deux mots : le choréique chronique devient à la fin un dément, l'athétosi- que double est né un imb

itaux. DES DEVIATIONS VERTÉBRALES NLVROPATHI(IIII : S - (Suite et fin 4). D'autres particularités, moins constantes,

ANS LA MALADIE DE THOMSEN. ` (De la Réaction myotonique). (Suite el fin '). La première planche de ces tracés, figure 2

courant de longue durée, nous no- tions l'intensité seulement à la fin de l'expérience, alors que la résistance avaient

stent également pour toute cette pre- mière ligne, bien que vers la fin elles diminuent d'étendue, mais elles sont cons

rience; il s'abaisse ensuite graduellement pour se rapprocher, à la fin , de la ligne de repos du muscle. Ceci indique que

pendant 24 heures au repos de toute excitation électrique. Tout en Fin . 31. Boul... (Maladie de Tliomsen), 13 août 1888.

BRAPUtE DE LA HALPËTIUÈRE. semblent à peu de chose près, jusqu'à la fin de l'expérience. A l'ouverture du courant il se

s, se rapprochaient de plus en plus des secousses normales, et à la fin de l'excitation le muscle se décontractait comme

résout, il fait place au tétanos électro-physiologique normal. A la fin de l'excita- tion, suffisamment prolongée pour

e épo- que, elle a toujours essayé d'obtenir ce résultat et à cette fin elle mangeait très peu et prenait tout ce qu'el

a main, la peau est d'as- pect normal ; aux doigts, elle est lisse, fine et rosée. Aux membres inférieurs, la peau de la

DES MALADIES NERVEUSES. SERVICE DE M. LE PROF'' CHARCOT') (Suite et fin '). Maladies infectieuses. Massalongo leur attr

ont fermées. La pie-mère n'est pas congestionnée. Vascularisation fine par place avec taches laiteuses le long du bord s

s, par livraisons de 6 à 7 feuilles grand in-8, et forme ainsi à la fin de chaque année deux forts volumes d'environ 680

i guérit assez rapidement, quand on eût cédé à ses volontés. A la fin de l'année 1891, vers la fin du mois de décembre,

and on eût cédé à ses volontés. A la fin de l'année 1891, vers la fin du mois de décembre, se place un inci- dent qui

ES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 351 Etat actuel. A la fin du mois de février 1892, Adolphe T... est toujour

ans laquelle vous k trouverez des joies inconnues et des délices sans fin . » « Pour entretenir les jeunes sœurs dans ces

lle pensait voir des choses admirables et entendre des harmonies sans fin . Il lui promettait de la faire sommeiller entre l

Le Rédacteur en chef du Journal du Magnétiima, Z. PlÉBART. (La fin au prochain numéro.) CLINIQUE. PH YTOMAGNÉT

L HISTOIRE. — AFFAIRE CURIEUSE DES POSSÉDÉDS DE LOUVIERS. (Suite et fin .). Il n’en fallait pas tant pour être Référé à

les attirer par ses charmes, à son affection démesurée et à mauvaise fin ; d’avoir conspiré, avec ses sorciers et magicien

sur la table, cette table fut ébranlée» déplacée et inclinée... A la fin , l’harmonica se fit entendre, la sonnette sonna,

aissance au moment où les opérateurs font la chaîne, pour mourir à la fin de la séance, sauf à revivre et. à remourir à. ch

re n’est pas suffisamment établi; en conséquence, il l’a renvoyée des fins de la plainte et a condamné le mari aux dépens.

directe e» immédiate des esprits, et il enjdonne les fac-similé à la fin de son livre. Ces journaux sont : le Courrier de

édictions : elle annonça qu’elle en ferait une sur sa maladie vers la fin du mois. En effet, le 27 décembre, quand je l’eus

les remèdes que je me prescrirai. « Depuis cette époque jusqu’à la fin de l’année, je ne vois pas que je doive être tour

ter leurs souffrances en leur faisant croire qu’elles n’auront pas de fin . Cette explicatiou est loin d’étre satisfaisante,

ou morale que doivent posséder les magnétiseurs. « C’était vers la fin du mois de novembre 1851, je magnétisai pour la p

ier, place du Marché à Nîmes, entra pour acheter quelque chose et mit fin à cette conversation, que j’avais écoutée, mais à

u’aux doux yeux rayonnant à l'égal dos gemmes brillant sur les tissus fins de la chrysalide soyeuse sont captivés et se plis

loignée et peut-être existe-t-il déjà. Celui-là sera fameux et mettra fin au dix-huitième siècle qui dure toujours ; car le

trois mois, recouvrir la partie qui a été malade d'un linge en toile fine , et par-dessus une guêtre en peau de chien, et bo

ptembre 1857, page /|02 et suiv.). Dans la Putric du 18 avril, à la fin d’un article iutitulé : Causeries, on lit l’artic

iyurc) avec Dieu et les êtres surhumains des rapports naturels, comme fin de la créature intelligente, mais rapports rompus

uméro les discours prononcés et quelques pièces importantes lues à la fin du banquet; puis, les décisions du jury; et nous

ce témoignage qu’ouvrier laborieux je n’ai quitté le travail qu’à la fin de ma journée. Gloire donc aux hommes qui nous

otif qno l'on défendait »uj prilrei 1« prioccupilion cle> a/fnim, » fin qu’iU cou»1.rvfssmi I» puis [pax, «nbMontif de pa

a/fnim, »fin qu’iU cou»1.rvfssmi I» puis [pax, «nbMontif de paeio, je fins un accord), /r gage de «nlrn la placidité tic* ¿l

nous baignerons en masse dans les dignes sympathies de l'esprit sans fin , nos affections sincères n y recouvreraient-elles

a réfléchir aux hommes de son temps. .Ils n’ont pas compris que cette fin de l’être humain, cette décadence de la partie ma

er, nous ajournons la publication des parties essentielles. Vers la fin du banquet, la soirée étant avancée, M. le baron

ep-tions. Si un fou a la vue plus perçante que la mienne, l’ouïe plus fine , je ne dédaignerai pas de recourir au témoignage

n ange rebelle. Mais il,pense que l’esprit malin peut prendre à cette fin un corps fantastique et lui donner quelle forme e

s trois mois, par exemple, ces journaux regorgent de discussions sans fin sur la fièvre puerpérale : or, il en résulie que

ant des esprits haut placés dans les sphères et dont je parlerai à la fin de cette lettre). Nous devions passer devant ma m

m’obliges à manquer à ma parole.— Non. II me retint ainsi jusqu’à la fin de la séance, quand il nousditbon-soir, et je fus

it sur la table, quatre verres de bière et deux verres d’eau. Vers la fin du souper, les verres venaient d’être remplis

ement au magnétisme, mais enfin elle y marche, elle arrivera avant la fin des temps. Nous donnons un article sur les scie

et n’ayant rapporté aax apôtres qu’elles eurent que des labeurs sans fin , une vie tourmentée qui ne doit être appréciée qu

e le cours. Tout se prépare en nous dès notre commencement pour notre fin dernière, tout se prépare aussi pour la vie d’aut

plus grande durée de la vie , ou faut-il prendre avecphilosophie les fins prématurées, les regarder comme un bien? Notre se

«Schaeffer, de Ratisbonne, consénior du ministère, qui vivait vers la fin du siècle dernier, s’occupant d’essais sur l’élec

, que votre nom ne soit plus cité désormais, et je saurai bien mettre fin à vos miracles et à tout ce concours de peuple. E

n qui menait au saint, les processions recommencèrent.. Pour y mettre fin , le provincial l’envoja à Sarragosse, à Bar-celon

« Votili (piè» le l.uicoiLourg) PROGRÈS DU MAGNÉTISME (Suite et fin .) Paragraphe II. Cause générale et causes par

n ou le mal moral dépend de l’usage qu’on fait de ces facultés, de la fin qu’on s’y propose, ou des moyens que l’on emploie

car c’est votre faute. Emparez-vous du magnétisme, et vous aurez mis fin aux fraudes et aux abus, et ce qui n'est guère au

ras de qui a voulu l'adopter. Il est temps de s’entendre et de mettre fin à cette inconcevable désunion. Il est tempsquela

on reprochée aux prévenus n’est nullement établie, les a renvoyés des fins de la plainte, sans dépens. Nous félicitons M'

moins favorable, ne soni point inquiétés. Nous demandons qu’on mette fin à cette situation précaire, qu’on définisse nette

tion et aux yeux de tout l’u-«nivers... Fort bien! nous touchons à la fin du dix-hui-« tième siècle, et il est très-probabl

était haletante et précipitée; l’ensemble des symptômes annonçait une fin prochaine : c’était l’agonie luttant contre la mo

ntrée dans l’ordre. Je questionnai sur la manière dont on avait mis fin auJ tintamarre ; est-ce par l’exorcisme, par les

la mousse, avec la boue adhérant aux racines. Je mis le tout dans une fine mousseline, je l'humectai d’eau froide, je plaçai

é lui-même la manière de le magnétiser, la difficulté a disparu. A la fin de chaque séance, on lui demande comment on doit

i qui s’est donné la mort au château de Mée, avait eu, lui aussi, une fin tragique. Avis aux Abonné*. Nous prévenons de

Pierre Gatti. Fondateur de ¡‘Institut homœopatbique dc Gènes. (La fin au numéro prochain.) DE LA SPÉCIALITÉ DE CERT

t cinq minutes son passe-partout dans mes mains. Naguère encore, à la fin du mois de septembre dernier (1858), j’étais rete

sons le magnétisme I » crie M. Mabru au commencement, au milieu, à la fin , bref, à toutes les pages de son livre; comme Cat

divaguer et que ses révélations ne sont qu’un chaos. On apprend à la fin que ce Sempronius est un chrétien renégat qui, co

éra (ainsi doit finir tout traître au dernier acte); Valérius mctlant fin à ses irrésolutions, se fait ermite : la vertu es

i exploitent la crédulité des ignorants emploient des enfants à leurs fins . Violentées par leurs parents, qui eux-mêmes obéi

;ï lui, etde même qu’un ancien philosophe, il pourrait s'écrier à la fin d’un beau discours : « Dieux immortels, soyez-moi

CLINIQUE MAGNÉTIQUE. SCIATIQUE GUÉRIE PAR LE MAGNÉTISME. Suite et fin (1). Mademoiselle Kurz étant douée d’une excess

x dans l’âge mûr et dans sa vieillesse et pour redouter ce mois où sa fin lui était annoncée. A peine écoulé, il comptait ê

feront leur curie'? — C'est possible, mais attendons, Attendons la fin de l'annéeI Car le bon Dieu n’a pas voulu Que tou

nt de toutes les directions, avec les noms des esprits agissant. A la fin de la séance, le docteur donnera la clef au moyen

llée. Examen et réfutation de ces doux écrits, par M. Lamothe, 309. Fin (la) des mystères, par Emile Bertrand.— Livre int

du chant était de 5u0 au commencement de l'année et de 25 ? il la fin de l'année. Voici, résumées par M. Suttcr, quel

di, elle accompagne les exercices de gymmasliquo et fait défiler la fin de ces exercices les- enfants aux sons d'une ma

ier 1902, le nombre des unes pour projec- tions était de 1766, à la fin de l'année ce chiffre attei- gnait 1890 (81 ont

1902, il restait dans le service 17 teigneux et 5 teigneuses ; à la fin cle l'année, ces chiffres étaient descendus it