ipalement où nous recevons des visiteurs, nous.réunissons les petites
filles
de la Fondation Vallée et nous les faisons chante
t, tous ces exercices devraient être exécutés dans tous les lycées de
filles
et garçons et dans les écolesprimaires. La dépens
ctieuses. — Une épidémie de vari-celle, ayant porté sur 11 enfants (6
filles
et 5 garçons) (1)A l'entrée «le tous les enfant
ce simultanée à ces réu-nions des enfants des deux sexes, les petites
filles
de la Fondation Vallée ont participé en 1904, à t
ygiène sexuelle, principalement pour les petites gâteuses et pour les
filles
pubères. Les enfants pren-nent leurs douches à la
de pieds ..................... 2.509 Service dentaire. — Toutes les
filles
sont exami-nées au point de vue de leur dentition
oivent environ ..................... 300 200 Garçons......... 550
Filles
........... 350 Ensemble............ VÏ00 Sour
.............................. 1.594 1.5G8 Garçons ........ 2.123
Filles
........... t .046 Ensemble............. 4.069
éelle, à deux ans, elle entrera à la Fondation Vallée (le service des
filles
). 3° Une infirmière du service amène un petit g
st arrivé. Le garçon aura à choisir entre les différents ateliers, la
fille
entre l'ouvroir et la buanderie, sans cesser d'al
cembre 1904, autorisant les instituteurs et institutrices, garçons et
filles
de service de la Section des enfants malades de B
C ô t e s - d u - N o rd 1° St-Brieuc 6 1 7 Une école pour les
filles
peut recevoir les malades dociles. 2° Bég ard
gnement dans la Seine, est donné, depuis bientôt un an, à nos enfants
filles
et garçons, et les résultats en sont très satis-f
ont très satis-faisants. Il y avait relativement peu à faire chez les
filles
, Madame Champy qui les dirige, les ayant toujours
âtiment est divisé en deux parties égales, d'un coté sont placées les
filles
, de l'autre les garçons. La surveillance a été co
la note suivante sur le fonctionnement de son asile-école. Garçons.
Filles
. Total. Existants au 1er janvier 1903..........
que je vous ai adressées le 11 mars 1903, le nombre des admissions de
filles
s'est sensiblement accru. Mais la qualité de ces
e aux jeunes garçons les moins dépourvus ; et, en ce qui concerne les
filles
, une surveillante qui s'efforce de les occuper an
trière........... A la Fondation Vallée____ 440 garçons 250 — 145
filles
235 — Total...... 1.070 La population du dépa
ment pas pour leurs malheu- Idiots . Épileptiques 12 garçons. 6
filles
. 5 garçons. 2 filles. reux enfants, l'hospitali
alheu- Idiots . Épileptiques 12 garçons. 6 filles. 5 garçons. 2
filles
. reux enfants, l'hospitalisation, le traitement
ajoutons les 15 cas nouveaux, relevés sur les 146 entrées de 1904 (41
filles
et 105 garçons) nous voyons : 1° Que ces 143 fa
lmie purulente. Père excès de valsions. 1 g. détraqué. boisson. 1
fille
morte on ne sait de 1 g. très faible de constitu-
re. grossesses. décédés. vivants. Bru............. Polisseur » 11 1
Fille
morte à 14 mois de 1 Garçon et 1 Fille bien père
............. Polisseur » 11 1 Fille morte à 14 mois de 1 Garçon et 1
Fille
bien père alcoolique sur métaux. la coqueluche.
père alcoolique sur métaux. la coqueluche. portants. invétéré. I
Fille
morte à 18 mois de N. m., Epilepsie, la rougeole.
té, trois mois ('!). Chali............ Tourneur » 1 » l Garçon et 5
Filles
bien » sur cuivre. portants. N. m., Epilepsie
olisseuse. 5 1 garçon mort de méningite. 1 Garçon bien portant. » 2
Fille
un peu nerveuse. N. m., Epileptique. Baut......
elassier. Matelassière. 11 3 enfants morts de convul- 1 Garçon et une
Fille
très Père et Mère sions. nerveux. alcooliques.
et Mère sions. nerveux. alcooliques. 3 fausses couches. 2 autres
Filles
bien portan- tes. JV. m., Débilité mentale, E
able. Itzik............ » Chiffons. H 2 garçons morts de scarlati-2
Filles
et 2 Garçons bien » no à 10 et 22 mois. portant
llité. » en bâtiments. d'entérite. Harp............ Fondeur » 1 I
Fille
morte à 2 ans de 1 Fille bien portante. » en ca
d'entérite. Harp............ Fondeur » 1 I Fille morte à 2 ans de 1
Fille
bien portante. » en caractères. iougeole. N. m.
e tincts, onanisme. générale. Pai............. » Plumassière. 3 1
Fille
très nerveuse. » 1 Garçon bien portant. N. m.,
Epilepsie. Eich............ Mouleur » 3 1 garçon mort de méningi- 1
Fille
bien portante. Père alcoolique. en cuivre. ^ te
e. grossesses. décédés. vivants. I Noe............. » Gaînière. 4 I
Fille
morte à 4 mois, tuber- 1 Garçon bien portant. »
s, tuber- 1 Garçon bien portant. » culcuse. N. m., Imbécillité. I
Fille
morte à 3 mois, on ne sait de quoi. Fria.......
......... » Photographie. 2 » N. m., Idiotie. Père un peu (Ether) 1
fille
, 2 ans 1/2, bien por- alcoolique. ._ ____tante. _
ue N. m., idiot. Bidoi ........... Plombier. » 5 Hausse couche. 1
fille
bien portante. » Igarçon mort du croup. JV. m.,
4 i fausse couche à 4 mois. 1 garçon bien portant. » sur cuivre. I
fille
morte de méningite. N. m., idiotie mongolienne.
« N. m., imbécile. » en bâtiments. Roug........... Peintre » 5 1
fille
morte du choléra. 1 fille bien portante. Père alc
bâtiments. Roug........... Peintre » 5 1 fille morte du choléra. 1
fille
bien portante. Père alcoolique en bâtiments. 1
en bâtiments. Lherm.......... Tabac. Tabac. 10 2fausses couches. 1
fille
bien portante. » I g. mort-né. N. m., imbécile,
... 3 Total............... ÏÏ3 Maladies. Hommes et Garçons.
Filles
. Hystérie et hystéro-épilepsie---- Epilepsie
e de l'an dernier, nous ajouterons les 146 entrées de cette année (41
filles
et 105 garçons), soit un total de 3.133. Tablea
n total de 3.133. Tableau statistique sur l'alcoolisme. Garçons
Filles
. Totaux, Les pères de... Les mères de... Le
04, 59 hémiplé-giques : 43 sur 443, garçons; 16 hémiplégiques sur 230
filles
. Dans 31 cas l'hémiplégie s'est compliquée d'ép
., et en y ajoutant les cas de diplégie. Tableau des hémiplégiques (
Filles
et garçons). il Baill Bel (Charles) Béni
guinité. — Inégalité d'âge d'un an (Père plus âgé). 10 enfants : 1°
Fille
morte d'entérite à 33 jours ; — 2° gar-çon né à 6
4° notre malade ; — 5° garçon mort d'entérite sans convulsions ; — 6°
fille
(17 ans en 1905), normale ; — 7° fille morte à 7
térite sans convulsions ; — 6° fille (17 ans en 1905), normale ; — 7°
fille
morte à 7 mois d'entérite ainsi que deux autres f
normale ; — 7° fille morte à 7 mois d'entérite ainsi que deux autres
filles
, l'une à 65 jours, et l'autre à trois semaines; —
convulsions. — Un frère, 42 ans, non marié officiellement ; il a deux
filles
; la plus jeune a eu des convulsions étant petite
mois, sans convulsions;— 2° garçon mort de coqueluche à 21 mois; — 3°
fille
, 24 ans, bien portante, intelligente; — 4° gar-ço
ions; — 5° garçon, 19 ans, pas de maladie nerveuse, intelligent; — 6°
fille
, 15 ans, bien portante; — 7° fille, notre malade,
aladie nerveuse, intelligent; — 6° fille, 15 ans, bien portante; — 7°
fille
, notre malade, 14 ans; — 8° garçon, 12 ans, pas d
e, 14 ans; — 8° garçon, 12 ans, pas de convulsions, intelligent; — 9°
fille
, 9 ans, — 10° fille, 7 ans, 11° fille, 5 ans, bie
on, 12 ans, pas de convulsions, intelligent; — 9° fille, 9 ans, — 10°
fille
, 7 ans, 11° fille, 5 ans, bien portantes. — Pas d
convulsions, intelligent; — 9° fille, 9 ans, — 10° fille, 7 ans, 11°
fille
, 5 ans, bien portantes. — Pas de fausses-couches.
rant de leur profession et non à des ce hommes de peine » ou à des ce
filles
d'office ». Sommaire. — Père : Coxnlgie a 8 ans
consanguinité. — Le père est plus âgé de 4 ans. 7 enfants : 1° Une
fille
de 20 ans ; pas de convulsions, à 14 ans premiers
n portant; 3° un garçon mort en nourrice à 11 mois du muguet ; 4° une
fille
morte au cours d'un mal de Pott; 5° notre malade;
4° une fille morte au cours d'un mal de Pott; 5° notre malade; G0 une
fille
de 14 ans en bonne santé, pas nerveuse; 7° une fa
res, Mme Plat, cultivatrice au hameau de Piémont, avait mis sa petite
fille
, Cécile, âgée de 6 mois, dans sa voiture. La mère
Plat alla voir si son enfant dormait toujours. Elle trouva la petite
fille
couchée sur le ventre, la figure enfouie dans son
règne de Thoutmosis III. Hincks (7) montra que Hatshopsitou était la
fille
de Thoutmosis Ier; la femme de (1) Pline ; Hist
uxelles, en 1522; elle mourut à Ortonna (Italie), en 1586. Elle était
fille
naturelle de l'empereur Charles-Quint et de Jeann
ereur Charles-Quint et de Jeanne Van der Gheenst, qui était elle-même
fille
d'un ouvrier tapissier d'Audenarde. Charles-Quint
fille d'un ouvrier tapissier d'Audenarde. Charles-Quint fit élever sa
fille
dans la famille de Douvrin, puis elle séjourna à
Revue, se trouve au château de Lœvenburg, près Cassel. Elle était la
fille
d'un paysan, et était arrivée à l'âge de quatre-v
oisonnement du père par l'alcool que nous rattachons la névrose de la
fille
. Et comme si, pour ce résultat, l'influence pat
put allaiter ni même donner à l'enfant les premiers soins. La petite
fille
toute souffreteuse fut portée à Bartrès, village
ésentations figurées que les Gorgones. D'après Hésiode, les Gorgones,
filles
de Phorkys et de Keto étaient trois sœurs. Elles
auvages hérissées de crins. Selon Héraclide, les Gorgones étaient des
filles
d'une remarquable beauté, mais hideuses par le tr
: celle-ci, durant la nuit suivante, a pénétré dans la chambre de sa
fille
, s'est approchée sans bruit du lit, et n'entendan
saire et commence à le réciter. » Dès que l'Apparition a lieu Iajeune
fille
est absorbée : « elle n'a plus le sentiment dece
contre. Cette hallucination la poursuit durant toute sa grossesse. La
fille
qu'elle mit au monde naquit avec cette difformité
enfant. Le musée anatomique de Milan possède le corps d'une petite
fille
morte à l'âge de trois mois. La peau de celte enf
. enfant raconta au professeur Billy, qu'avant la naissance de sa
fille
, il lui arriva un jour de regarder très attentive
s elle alarma la mère. A l'époque normale, elle accoucha d'une petite
fille
qui avait une cicatrice rouge absolument semblabl
t située au même endroit. Le troisième enfant d'une femme était une
fille
présentant les anomalies suivantes : Toute la pea
rise d'un grand tremblement dans la crainte du retour de son mari. La
fille
dont elle accoucha souffrit d'un tremblement géné
empoisonnée par sa passion de commettre des attentats sur des petites
filles
. Il avait été souvent poursuivi en justice pour c
tentation, et d'après ce qu'il m'a dit, il peut parler à des petites
filles
et même les embrasser sans la moindre pensée sens
exuelle- à ce qu'étant enfant de 6 ans il fut corrompu par une petite
fille
du même âge. Déjà à cet âge, il était capable de
tible à commettre des attentats criminels sur ses propres petites
filles
. Ce malade se montra malheureusement peu accessib
oire, le passage dans lequel Briquet décrit l'état mental des petites
filles
hystériques : « A de très rares exceptions près,
and (1) raconte dans ses Dialogues qu'une grande dame romaine, Gcela,
fille
de Symmaque nommé consul de Home en 585, étant en
t une des plus curieuses de celles que nous a léguées le moyen-âge.
Fille
d'un roi de Portugal, sainte Wilgeforte avait fai
tait complète. La tête porte une couronne, comme il convient à la
fille
d'un roi. Sa robe est parée d'un ourlet qui garni
à barbe puisse occuper une place honorable dans la liste des saintes
filles
, vierges et martyres. En réalité, il serait enc
parloit jamais qu'à genoux et tète nue ». Il avait un fils et deux
filles
. Le fils habitait Bruxelles ¦¦ ne conversant qu'a
ette ville-là,... s'occupant à l'étude de la prière. » (*) Des deux
filles
, la plus jeune après avoir été quelque temps aux
ites et les prières de la bienheureuse Wilgeforte, vierge et martyre,
fille
de roi ; et de même que vous avez exaucé ses priè
scendait de Nicolas Potier II, vivant en 1499 et 1501, lequel eut une
fille
et trois garçons '.Nicolas, mort le 11 novembre 1
morte le 20 avril 1567. auprès de ses frères, eut cinq garçons et dix
filles
parmi lesquels : Nicolas, Denys, Guillaume, Anne
aillet II, vivant en 1436, mort après 1477, eut trois garçons et neuf
filles
, parmi lesquels : René, mort sans alliance, enter
lin de Falvy-sur-Somme à l'église de Si-Quentin. Il épousa Raintrude,
fille
de Guillaume d'Eu [*), et en eut quatre garçons :
terré à l'entrée du chapitre de l'abbaye de Longpont. Il épousa Alix,
fille
de Robert de (1) Voir D- Binet-SanGLÉ : L'ascen
de Orespin-en-Cbaye en 1190, et mourut en avril 1210. Il en eut trois
filles
, dont Comtesse, qui, en 1190, consentit avec sa m
243, et fut enterré au prieuré de Mesnel. Il épousa Isabeau de Laval,
fille
de Guy de Laval V et d'Havoise de Craon. feCmi Ha
cendait de Renaud de Nevers I, qui épousa, par traité de 1015, Adèle,
fille
de Robert de France II dit le Pieux (2), laquelle
de Terre-Sainte, où il mourut vers 1098. Il eut quatre garçons et une
fille
, dont Geoffroy, mort jeune etsans alliance, Rober
Craon fonda l'abbaye de la Roe près Craon en 1096, et eût d'Ennoguen.
fille
de Robert de Vitré, fondateur du prieuré de Saint
ateur du prieuré de Sainte-Croix de cette ville, trois garçons et une
fille
, dont Robert, qui partit pour la Terre-Sainte à l
rçon, Hugues. Hugues eut de sa deuxième femme quatre garçons et une
fille
, dont Foulques, mort sans parenté et enterré dans
py le monastère de Saint-Arnoul en 1008. Il eut quatre garçons et une
fille
, dont Dreux, mort au cours d'un voyage en Terre-S
Roger de Beaumont et Adeline de Meullent eurent trois garçons et une
fille
, dont Albrede, religieuse au monastère de Saint-L
s, enterré dans l'église de St-Zenon de Vérone, eut un garçon et cinq
filles
, dont Adelheid, enterrée dans l'abbaye de Saint-A
II. Celui-ci, vivant en 923, mort en 943, eut cinq garçons et deux
filles
, parmi lesquels : Herbert III, mort fort âgé le 2
bert de Vermandois I, mort fort âgé en 988, eut quatre garçons et une
fille
parmi lesquels : Eudo, mort sans postérité, Luidu
Herbert de Vermandois V, vivant en 1059 et 1076, eut un garçon et une
fille
: Eudo dit l'Insensé, qui fut deshérité vers 1077
ugues de France et Adèle de Vermandois eurent trois garçons et quatre
filles
, parmi lesquels : Simon, élu évéque de Noyon et d
de Beaurnont II et Elisabeth de France eurent quatre garçons et sept
filles
, dont Vaferan de Beaumont. Celui-ci, vivant en
d'une autre religieuse de Port-Royal, et en eut six garçons et trois
filles
, parmi lesquels : Robert III, vivant en 1163 et 1
urice de Craon II et Isabeau de Beaumont eurent trois garçons et deux
filles
, dont lMaurice III, mort sans postérité avant 122
rd de Montmorency VI et Isabeau de Laval curent trois garçons et deux
filles
, dont Alix, vivante en 1260, morte fort âgée et s
donnés, se croisa en 1269, et mourut devant Tunis en 1270. De Jeanne,
fille
d'Erard de Brienne et de Philippe de Champagne \*
e Brienne et de Philippe de Champagne \*}, il eut six garçons et deux
filles
, dont Robert de Montmorency, religieux puis sous-
n côté du chœur dans l'autre. Entre temps la sœur de la possédée, une
fille
pieuse et simple d'esprit, vit sur les dalles du
est la femme d'un patron d'hôtel meublé. Elle a donné naissance à une
fille
, aujourd'hui âgée de treize ans, dont la santé et
gne de stérilité. Trois de ses enfants survivent : deux fils et une
fille
. Elle les a élevés avec beaucoup de soin, se mont
X en Afrique, et mourut sans hoirs. GuîHaume, mort en 1253, eut une
fille
et deux garçons, dont Hubert. .Au6er* de Longue
our des religieux de l'ordre de Citcaux. Il eut six garçons et deux
filles
, parmi lesquels : Amaury, vivant en 1236 et 1295,
rl de Longueval et Anne de AfeuJfenf-Gournay eurent un garçon et deux
filles
, dont Jeanne de Longueval. i MaBtamof]. Erard de
. Erard de Montmorency-Beauseault et Jeanne de Longueval eurent trois
filles
, dont Agnès de Montmorency-Beauseault. fi* Ph
cy-le-Xeuf, où ils avaient fondé une chapelle en 1372. Ils eurent une
fille
et deux garçons, dont Roôerf. Celui-ci, vivant
arles d'Aunoy. Charles, mort avant 1427, épousa en 1403 Jacqueline,
fille
de Philibert de Paitlart et de Jeanne de Dormans.
de terre pour être tenues par personnes ecclésiastiques. 11 eut trois
filles
et quatre garçons, dont Jean et Guillaume. Jean
ré dans le cheeur de l'église des Chartreux, eut cinq garçons et deux
filles
, dont : Jean, chanoine de Paris, de Chartres et
u'il avait fondée en la cathédrale de Xoyon. Il eut un garçon et deux
filles
, dont Jacques II, mort sans alliance en 1333, et
eu de Rouvroi I et Marguerite de Saint-Simon eurent un garçon et deux
filles
, dont Marie, religieuse de Poissy, puis abbesse d
aucher de Rouvroi et Marie de Sarrebruche curent trois garçons et une
fille
, parmi lesquels Arthur, chanoine de la Sainte-Cha
même après la mort de son mari et où elle fut enterrée. Il en eut une
fille
et deux garçons, Mathieu V, mort en 1305, marié e
du prieuré de Sainte-Honorine de Conflans, eut trois garçons et deux
filles
, dont Jean, élu évéque d'Orléans en 1350, mort le
femme Elizabeth, qui fut enterré près de lui, il eut un garçon et une
fille
, Renaud, évéque de Paris, qui donna à son chapitr
e de Dezise, et mourut en 1015 éiBMtfoïi* ou 1028- Il épousa Maihilde
fille
de Otle-Guillaume de Bourgogne. Ottc-Guillaume
ptembre 1027, et fut enterré dans cette abbaye. Il épousa Ermentru.de
fille
de Renaud de Reims et de Roucy ('}, et en eut tro
de Renaud de Reims et de Roucy ('}, et en eut trois garçons et trois
filles
, dont Guy J. qui autorisa de son seing la donatio
e ville de Saint-Nicolas. De leur union naquirent trois enfants : une
fille
encore vivante, (1J Voyez Revue de rHypnotisme,
s femmes delà société de Mlle de Scudéri. Née en 1580, morte en 1668,
fille
d'un procureur au Châtelet, elle épousa en 1595,
al, chez les mères de familles, peu de temps après le moment où leurs
filles
ont été mariées. L'apparition de quelques poils
fils, et mourut le 1er novembre 1077. Il en eut deux garçons et deux
filles
dont Bouchard III, qui confirma la fondation de l
rs l'an 993 « ('], et y fut enterré. Yves dAlençon-Bellesme eut une
fille
et trois garçons, dont : Aves-gaud, évoque du Man
'Alençon-Chateaudun. Celui-ci, vivant en 1101, eut un garçon et une
fille
, Geoffroy I, vivant en 1136, qui se fit religieux
e et celui de sa femme, et mourut en 1202. Il eut deux garçons et une
fille
; Jean, mort avant son père en 1193, Jean III, tré
i l'abbaye de la Virginité au diocèse du Mans en 1220, et en eut deux
filles
et trois garçons, dont Pierre de Vendôme. Celui
fit quelques biens à l'abbaye de la Virginité, où il mit deux de ses
filles
, accompagna Louis IX au premier voyage d'outre-me
e Bouchard, son fils, avec l'abbé de Vendôme en i 246- Il en eut deux
filles
et trois garçons : N et N, religieuses à la Virgi
prés aux religieux du prieuré de Villepreux, et eut un garçon et deux
filles
dont : Zsaèeau, religieuse à Poissy, morte le 14
smenil et Atgfanrine de Vendôme-Chartres eurent trois garçons et deux
filles
, dont : Jean, vivant en 1384, mort peu après, 141
oncle avait donnés à cette abbaye, et mourut vers 1414. Il eut trois
filles
et un garçon CnaWes. Charles, mort en 1461, é
, épousa, par contrat du 11 mai 1447, Jeanne Ra.ta.ul, morte en 1491,
fille
de Bertrand Rataud et de Marguerite Rouault. Ih
isaïeul à'Alau III. Celui-ci, vivant en 1323, eut un garçon et quatre
filles
, dont : Alau IV, qui fit des rentes à l'abbaye
t Miles. Celui-ci, vivant en 1398 et 1418 eut trois garçons et deux
filles
, parmi lesquels : Louis, qui plaidait en 1430 et
me de Charles de Montmorency-d'Auvraismesnil. Ceux-ci eurent quatre
filles
, dont : Jeanne, religieuse à Longchamp, morte ava
atherine de Montmorency-d'Auvraismesnil eurent quatre garçons et sept
filles
, parmi lesquels : Marie, mariée deux fois et mort
ier Nicolas Potier III et Isabeau Baillet eurent cinq garçons et deux
filles
parmi lesquels : René, Augustin, Bernard et Magde
sfait au devoir pascal, et l'on fit une réparation publique pour deux
filles
qui étaient devenues grosses. L'évêque de Beauv
sième fils de Théodore Choartde Buzanval, Henri, eut un garçon et une
fille
Gabrielle Choart de Buzanval, qui était pensionna
Buzanval, qui était pensionnaire à Port-Royal en 1661. Deux autres
filles
du même, portant le même nom, y étaient également
e campagne, il faillit y revenir. Un vieux paysan le consulta pour sa
fille
qui présentait des attaques convulsives ; Liébeau
te. Il s'éteignit en 1904, entre les bras de Mme Liébeault et de sa
fille
Le dernier portrait du D' Liébeault, à l'âge de
s frères ; son père est alcoolique. C'est une enfant du peuple, jolie
fille
, au corps bien conformé, aux lignes harmonieuses,
r un père qui leur demanderait s'il peut en toute sécuri té donner sa
fille
à un homme qui va la souiller au premier contact,
s désobéiraient à la loi et répondraient : « Non, ne donnez pas votre
fille
à cet homme ». Le professeur Brouardel lui-même
. De sa première femme, Ermentrude d'Orléans, il eut 4 garçons et 3
filles
, parmi lesquels : Ludwïg II, dit lè Bègue, mort à
s cette Edward l'Ancien, roi des Anglo-Saxons, eut 3 garçons et 7
filles
, dont Edward ?, qui noya un de ses frères, Ethelr
, Saint-Germain-des-Prés et Saint-Martin de Tours, eut 4 garçons et 2
filles
, parmi lesquels: Otto, mort jeune, marié et sans
plus pitoyable encore que la première. Elle comprenait 4 garçons et 1
fille
. De la fille nous ne savons rien. Quant aux garço
e encore que la première. Elle comprenait 4 garçons et 1 fille. De la
fille
nous ne savons rien. Quant aux garçons, les deux
e de Toulouse I". qui se fit bénédictin. Celui-ci eut 1 garçon et 2
filles
, dont Constance de Toulouse, femme de Robert le P
de Toulouse, femme de Robert le Pieux. Cette Constance de Toulouse,
fille
d'un bénédictin, était une visionnaire à laquelle
assista à son supplice. Elle eut de Robert le Pieux 4 garçons et i
fille
, dont : Henri Ier, qui était tout dévoué aux évêq
n. Jules-François de Rohan, frère d'une abbesse, eut 4 garçons et l
fille
, dont : Armand de Rohan, successivement chanoine
hystérique de la main, dont je vous ai déjà présenté plusieurs cas.
Fille
d'un père éthylique et d'une mère nerveuse, cette
mère nerveuse, cette femme épouse, à 26 ans, un veuf qui a une petite
fille
. Celle-ci se met à torturer sa belle-mère ; elle
l'abbaye de Fontenelle. Il eut de sa première femme un garçon et urie
fille
: Guillaume, vivant en 1066, qui commença en 1108
Simon de Montfort I" et Agnès d'Evreux eurent quatre garçons et une
fille
, parmi lesquels : Simon, vivant en 1101, mort san
e descendait de Guillaume de Garlande l", qui eut cinq garçons et une
fille
, parmi lesquels : Gilbert, qui alla en Terre-Sain
ts Miles I" et Guy posèrent sur l'autel. Il eut trois garçons et cinq
filles
, parmi lesquels : Guillaume, mort sans enfants; M
u prieuré de Gournay qu'il avait fondé. Il eut deux garçons et quatre
filles
dont : Hugues, qui signa une charte en faveur du
t vers 1143. Amaury de Montfort III et Agnès de Garlande eurent une
fille
et deux garçons : Amaury IV, mort sans alliance e
tres, et fit des donations à l'abbaye de Grand-Champ. Il en eut trois
filles
et trois garçons : Amaury V, vivant en 1200, mon
rency I. Bouchard de Montmorency I, vivant en 955, épousa Hildegarde,
fille
de Thibaut de Champagne et de Lcutgarde de Verman
es de l'église de Notre-Dame de Chartres. Il eut trois garçons et une
fille
, parmi lesquels : Thibault I, qui souscrivit plus
ons en 1076. Il vivait encore en 1098. Il eut trois garçons et quatre
filles
, parmi lesquels : Jean I, vivant en 1131, qui con
»/. Hervé de Montmorency et Agnès d'Eu eurent quatre garçons et une
fille
, dont Albéric, ecclésiastique, et Bouchard IV.
châsses de St Denis et de ses compagnons. Il eut deux garçons et deux
filles
, dont : Geoffroy, qui autorisa de son seing une c
e son frère Geoffroy. Il eut de sa deuxième femme deux garçons et une
fille
, Agnès femme de Bouchard de Montmorency IV. 1 B
rd de Montmorency IV et Agnès de Beaumont eurent deux garçons et deux
filles
, dont Thibaut, qui se croisa pour le voyage de Te
droit de la dime d'Eaubonnc qui leur avait été engagé, accorda (1)
Fille
naturelle de Henri Ier roi d'Angleterre, Ills do
eille, ce symptôme disparut. Après ce court traitement, la petite
fille
put très bien coudre, écrire, etc., sans fatigue.
aui descendait doRaynier de Haynaut IL Celui-ci. mort en 917, eut une
fille
et trois garçons dont : Lamoerf, fait avoué (aj d
Raynier V. Celui-ci, vivant en 976, mort vers 1013, épousa Hadwige,
fille
de Hugo dit Capetus (Hugues Capei) et d'Adelheid
it Capetus (Hugues Capei) et d'Adelheid de Guyenne (2). et en eut une
fille
et deux garçons : Richard, évéque de Liège en 103
ronne de Lambeck à Mons pour lés soustraire à ses ennemis. De Mahaud,
fille
d'Herman d'Ardenne lequel se fit religieux en J0*
à l'abbaye de Ste-Vanne de Verdun, où il mourut peu après, il eut une
fille
, Richitde. Richilde de Haynaut eut avec son pre
e Lambert de Haynaut II {voir ci-dessus), qui eut deux garçons et une
fille
, dont : Henry I, tué en 1028, et enterré dans l'é
de Gemblours et de Nivelle, vivant en 1072, eut trois garçons et une
fille
: Henry III, avoué de Brabant, qui fonda en 1086
audouin de Haynaut II et Ide de Louvain, curent cinq garçons et trois
filles
, parmi lesquels : .Simon, chanoine de Liège, Rich
. Celui-ci, vivant en 1114, mort en 1133, eut deux garçons et trois
filles
, dont Baudouin IV. Baudouin de Haynaut IV, viva
t en communauté. . I:ini3. ibjuii. it Viiir. 928, qui do N,
fille
de ftaynier de Haynaut II, vivante en 924, eut fî
ège, et mourut sans enfants, et Albert L Albert de Namur I eut quatre
filles
et un garçon, Albert II. Celui-ci rétablit, du co
s droits, privilèges et possessions de l'abbaye de Lobbe. Il eut deux
filles
et quatre garçons, dont Frédéric, prévôt de l'égl
: Henri, Conrad, Rodolphe et Adalbéron, morts sans postérité, et une
fille
, Ermenson, vivante en 1101, qui confirma à l'abba
Godefroy de A'amuretErmensondeLuxemfcoiirgeurentdeuxgnrçons et trois
filles
dont : Albert, vivant en 1121, mort avant son per
tard de Montmorency V et Laurence de Haynaut eurent un garçon et deux
filles
dont: Mathieu II, qui donna en 1226 une charte en
me somme à l'abbaye de Saint-Antoine-des-Champs pour la pension de sa
fille
Perronelle qui s'y était faite religieuse, et mou
de Montfort III et Alix de Montmorenci eurent quatre garçons et sept
filles
, parmi lesquels, Robert, mort sans alliance après
), abbé dcCluny, morte le 29 avril 1109, il eut quatre garçons et une
fille
, dont : Hugues, mort sans allianceen 1057, et Hcn
Henri de Bourgogne, vivanlcn 1059, mort en 10GG, épousaSi/i>i//e,
fille
dellenaud de Bourgogne Jet a'AdeUûi de Normandie
rgogne Jet a'AdeUûi de Normandie ('), ci eu eut cinq garçons et trois
filles
, parmi lesquels : Hugues qui fut promis à l'ordre
religieuse à l'abbaye de Fontevrault, et en eut deux garçons et deux
filles
dont : Henry, religieux de Citeaux, mort le 9 mar
e son père. Il épousa Mahaud de Turennc. t. Mahaud de Turenne était
fille
de Boson de Turenne I. Celui-ci, mort en 1091,
n de Turenne I. Celui-ci, mort en 1091, eut quatre garçons et trois
filles
, parmi lesquels : Raymond/, qui partit pour la Te
ues de Bourgogne II et Mahaud de Turenne eurent six garçons et quatre
filles
, parmi lesquels : Hugues dit le Roux, vivant en 1
1162, enterré dans l'abbaye ii Tmiif. de Citeaux, épousa Marie,
fille
de Thibaut de Champagne IV ('), et en eut un garç
ie, fille de Thibaut de Champagne IV ('), et en eut un garçon et deux
filles
dont : Alix, vivante en 1169, morte après 1201, q
a en Terre-Sainte, où il fut tué en 1102. Il eut deux garçons et deux
filles
dont : Guillaume IV, qui donna, le J4 juin I (47,
ndée. Guigues de Viennois IV et Marguerite de Bourgogne eurent deux
filles
et un garçon, Guigues V. Guigues de Viennois V*
moines blancs de l'abbaye de Châlons, et mourut en 1162, laissant une
fille
Beatrix. Beatrix de Viennois fut présente en 11
urgogne. . Hugues de Bourgogne III et Beatrix de Viennois eurent deux
filles
et un fils, .4ndré. .André de Bourgogne offrit
St-Jean de Jérusalem. L'autre, Bertran de Forcalquiei* III, eut une
fille
et trois fils, dont Guillaume de Forcatquier VI.
vilèges pour l'abbaye de Lure en 1191, et mourut en 1208. Il eut pour
fille
unique Garcende de Forcatquier, femme de Raynier
Sabran. . Raynier de. Sabran et Garcende de Forcatquier eurent deux
filles
, dont Beatrix, femme d'André de Bourgogne. . An
mauri de Montfort VI et Beatrix de Bourgogne eurent un fils et quatre
filles
, dont : Jean, qui donna à l'abbaye de Port-Royal
te annuelle à prendre sur ses revenus de Gometh. Il eut au moins deux
filles
et deux fils : Pétro-nille et Ar, religieuses à P
e Mortbois, et mourut en Terre-Sainte vers 1250. Il eut au moins deux
filles
et un fils : Alix et .Agnès, religieuses en cette
ptiste fut décapité en l'an 32, sur la demande de la danseuse Salomé,
fille
d'Hérodiade, saint Jean-Baptiste avait été jeté e
rts de parenté les plus étroits, c'est-à-dire pères ou mères, fils ou
filles
, frères ou sœurs, neveux ou nièces les uns des au
-même la possibilité de donner le jour à la fois à un garçon et à une
fille
— « Eh bien, lui-je, quand cela serait, quel mal
ont 20 étaient du même sexe (dans 12 cas les deux enfants étaient des
filles
, et dans 8 cas les deux enfants étaient des garço
ant : Une femme, enceinte pour la troisième fois, donne le jour à une
fille
qui présentait les particularités suivantes : Tou
t son mari, appréhendant toujours l'arrivée de ce dernier. Sa seconde
fille
, venue au monde plus tard, présentait le même tre
ercice et, même pendant son sommeil, il pousse le berceau du pied. La
fille
, qui naquit ensuite, manifesta l'habitude suivant
de pas à observer chez lui l'habitude décrite ci-dessus. Une de leurs
filles
hérita de la même habitude avec cette variante :
sur le dos, croisant la jambe droite sur la jambe gauche ; une de ses
filles
avait la même habitude depuis sa naissance. Sans
ent de Lazare, mais encore du fils de la veuve de Nain et aussi de la
fille
de Jahire ? Je dis * réveil * et non pas « résurr
Marc V, 39, et vous y trouverez cette parole de Jésus, à propos de la
fille
de Jahire : « Elle n'est pas morte, elle n'est qu
e complète, entouré des soins affectueux de Madame Liébeault et de sa
fille
. 18» Année. — ?* 9 Mars 1904. Nous n'entr
de celui-ci, Laurence de Hay- naut, y font beaucoup de bien. Leur
fille
Alix donne au même monastère dix livres parisis d
forêt et divers autres droits à l'abbaye de Port-Royal des Champs. Sa
fille
Eléonore y fait aussi du bien. Son petit-fils, Je
à la même abbaye vingt livres parisis de rente annuelle. Deux de ses
filles
, Pétronille et N, s'y font religieuses, en consid
maison. Leur autre frère. Guy II, y ajoute une grange; et deux de ses
filles
s'y font religieuses. Eudes de Bourgogne I fond
n à un cas particulier : J'augure beaucoup pour l'avenir d'une petite
fille
que j'observe et qui ne se met en colère que pour
e miracle se produisît en l'année 1862, à Lyon, dans l'asile déjeunes
filles
de Saint-Jean. Adélaïde Joly, âgée de neuf ans, q
ie pulmonaire. Je suis porté à croire que la guérison de cette pauvre
fille
peut s'effectuer seulement avec l'aide de l'hypno
cteur Duval. Mais pendant qu’à Reims on déclare morte la pauvre jeuno
fille
, on proclame à Paris sa guérison obtenue dans le
que à laquelle j’étais si nouvellement initié. J'expérimentai sur une
fille
de la Dresse, atteinte de crises nerveuses que, d
re ans, résultat d’une frayeur. 3° Paralysie «lu bras droit sur une
fille
de vingt-huit ans, durant depuis quatorze ans ; d
se tien-ncnl les émirs, regardes comme les descendants de Fa-îiinah,
fille
de Mahomet, et qui, eu priant, soufflant et touch
r de Louis XVI, a été reçu plusieurs fois chez M. de Brienne, dont la
fille
Irène a ressenti pour lui un amour qu’elle n’a pa
atin. Le vice-amiral est rentré chez lui pour prendre du repos, et sa
fille
est restée devant ses fenêtres sur une terrasse o
le comte de Brienne, et au moment où il vient faire ses adieujj à sa
fille
, il aperçoit le comte Henri qui la reconduit dans
crétaire d’Etat au ministère de la marine, est au moment de marier sa
fille
avec le comte Annibal, le mauvais sujet expert do
tes et les regrets de Henri. « M. de Brienne, bien convaincu que sa
fille
est déshonorée, en a fait dans une lettre l’aveu
un seul instant en suspicion la bonne foi de l’intéressante et simple
fille
, et celle deM. Laurent, son magnétiseur. Aussi je
ut tout le faix à porter. Et cette darne, étant accouchée d’une autre
fille
, voulut la nourrir elle-même pour n’avoir rien à
tendre et en augmenter les bienfaits. Baron du Potkt. VARIÉTÉS.
Filles
électriques. — Le 3 septembre dernier, le Constit
rusquement sous le nez un flacon plein de poivre de Cayenne. La jenne
fille
ressentit aussitôt de violentes convulsions, et,
ernière, M. de W. vit s’éteindre entre ses bras sa douce et charmante
fille
, qui avait à peine dix-sept ans, et qui était tou
es ils n’y pensaient plus. Ce fut aux fêtes de Pâques 1846 que leur
fille
commença à ressentir les atteintes du mal qui all
n soir de la ville, trouva (c’est la véritable expression) une petite
fille
de dix ans qui se mourait de faim et de froid; il
merveille, attire dans notre commune un grand nombre de curieux. Une
fille
âgée d une trentaine d’années, atteinte depuis lo
aisible (ce que M. Ma-gendie trouverait immoral; si c’était une jeuue
fille
, jugez!). Nous avons encore moins l'embarras du c
ale. 40 — typhoïde. 180, 227 — intermittente. 46 — hectique. 46
Filles
électriques. 209, 256 Gastio^nléritc. 40 Gastralg
que j’avais formés; j’ai eu des sujets merveilleux, entre autres une
fille
V... dont la lucidité a été remarquable; mais peu
ails qui suivent : Son bisaïeul avait quatre enfants, savoir: Une
fille
, nommée Victoire; Trois fils, dont un fut curé
in Christophe, son aïeul; Que Victoire s’étant mariée, avait eu une
fille
dont Antoine fit sa compagne, laquelle l’accompag
-ci épousa un nommé Slrohmayer, et en eut plusieurs enfants, dont une
fille
qui épousa Fetscher, actuellement bourrelier à Me
dont un fils, père de celui qu’on vient de trouver si h point, et une
fille
qui vit encore et habite Bellcville. Sa veuve, ay
Une descente de matrice et le charbon à la main gauche.) 2. Jeanne,
fille
Claverie, première née, de Pau, rue Gassies.
orbus ; elle n’a fait usage que de l'eau magnétisée.) h. Catherine,
fille
Capdevielle, de Bizanos. Suppression des règles
(Maladie de langueur, fièvre lente, affection nerveuse.) 7. Marie,
fille
Binoî, enfant, de Pau. (Migraine et palpitation
iblesse.) TOME V.—A'0 53.—10 SEPTEMBRE 1847. 5 10. Izabeau Bazemne,
fille
, de Bizanos. (Hydropisie générale et diarrhée f
ouleurs de matrice et de rate, insomnie, sans appétit.) 25. JeauDc,
fille
Domëcq, de Pau. (Inflammation de poitrine, poin
palpitation de cœur, migraine et mal d'oreilles, etc.) 20. Thérèse,
fille
Roc, de Poey. (Suppression de règles, fièvre le
graine, inflammation de poitrine et déchirement de cœur.) 27. Anne,
fille
Andiko, de Pau. (.Suppression de règles, migrai
, rue du Pied. (Suite de couches et luit répandu.) (1). 32. Anne,
fille
Ladorde, de Lescar. (Migraine et palpitation de
37. Epouse Ramon, de Bizanos. (Affection nerveuse.) 38. Marie,
fille
Laborde, de Pau, rue Servies. (Suppression des
ation permanente, maladie des nerfs très-compliquée.) hl. Claudine,
fille
Labat, de Laseazères. (Suppression des règles,
use. Jouany, de Pau. (Maladie des nerfs compliquée.) 'in. Louise,
fille
Bena, sergeut au U* de ligne, (fn champignon au
migraine, mal d'yeux, d’oreilles el des nerfs, vents.) 50. Thérèse,
fille
Taboan, de Pau. (Palpitation de cœur permanente
ille Taboan, de Pau. (Palpitation de cœur permanente.) 00. Marie,
fille
Cazarré, de Mcillou. (Dvssenlcrie.) (31. Jean
tion nerveuse, llueurs blanches, insomnie; sans appétit.) 07. Anne,
fille
Paulette, de Bizanos. (Suppression des règles,
ulette, de Bizanos. (Suppression des règles, etc.) 08. Catherine,
fille
Pieulet, d’Arète. (line vieille plaie au bras d
trice très-compliquée, affection nerveuse, etc.) 103) 71. Jeanne,
fille
Monleru, de Pau. (Maladie d'yeux.) 72. Pierrç
..., do Vic-Bigorre. {Migraine et maladie d'yeux.) 70. Joséphine,
fille
Labat, de Vic-Bigorre. (Migraine permanente et
igorre. (Migraine permanente et palpitation de cœur.) 77. Jeanne,
fille
Fitter, de Vic-Bigorre. (Mal de gorge très-viol
par Jf. Charonceuil, procureur i la Cour des comptes. 1. Jeannette,
fille
feu Rf.y, de Pau. (Maladie d’yeux.) 2. Marie,
deLAtiDET, de Pau, rue Gassies. (Douleurs rhumatismales.) 7. Marie,
fille
Sartiiou, h. de Pau. (Pâles couleurs, suppressi
s et jambes.) tosie v. — j\° 55. — 10 or.TonnE 18!|7. 7 9. Marie,
fille
Bergeron, de Meillou. (Fièvres; avec de l'eau n
Gassies. (Diari liée arrêtée par l'eau magnétisée.) 15. Clairine,
fille
Laudet, de Pau, rue Gassies. (Une vieille croût
ieille croûte au nez, guérie avec l'eau magnétisée seulement.) 11).
Fille
Micoclas, h. de Pau. (Des convulsions tr. s-for
averie, de Pau, rue Gassies. (Maladie d'yeux.) 18. Jeanne Hkngas,
fille
, de Jurançon. (Ma adie d’yeux.) 19. Pierre Pa
de poitrine très-forte, insomnie sans appétit.) 21. Pauline Carles,
fille
, de Pau. (Fièvre lente, maladie de langueur, et
oos. (Fièvre lente, maladie de langueur, elc.) 25. Jeanne Hkmïas,
fille
, de Jurançon. (Maladie d'yeux.) 20. Suzanne P
cœur tendant à un anévrisme et maladie d'yeux.) 32. Marie Legrand,
fille
, deuxième née, d'Orlhez. (Coliques très-fortes
Cazadx fils, d’Ousse. (Maladie d’yeux très-compliquée.) 35. Anne,
fille
Rey, de Bizanos. (Fièvres.) 36. Bergitte, fil
uée.) 35. Anne, fille Rey, de Bizanos. (Fièvres.) 36. Bergitte,
fille
Dadansens, de Pau. (Maladie d’yeux.) 37. Jean
ladie de langueur, forte palpitation de cœur.) 43. Jeannette Puyet,
fille
, de Casletbou. (Epileptique.) 44. Isaac Minvi
(Fièvre continue, insomnie, sans appétit ) 71. Thérèse M'-ntauban,
fille
, de Pau. (Palpitation de cœur permanente.) 72
nerveuses, surdité, migraine et mal d’orcdlcs.) 77. Pauline Taton,
fille
, de Pau. (Ilydropisic générale, toux continuell
fuie, palpitation de cœur, insomnie, sans appétit, etc. 78. Marie,
fille
Pierre Bocrcq, deuxième née, de Ju- rançon. (
(Inflammation au ventre, insomnie, sans appétit.) 81. Célesline,
fille
Pierre Pkrissou, de Jurançon. (Maladie d’yeux e
rand-Louis Voiitier fils, de Pau. (F.èvres.) 86. Marie Bordenave,
fille
, de Gélos. (Glandes au cou.) 87. Jeanne Jourr
rrb, épouse Pierre Piqcepeb, de Pau. (Maladie d’yeux.) 88. Marie,
fille
Cuardies, dit Frances, d'Arbus. (Convulsions ne
lsions nerveuses très-violentes.) 89. Jeanne Balade, dite Cazenavë,
fille
, de Buros. (Fortes palpitations de cœur.) 90.
uros. (Fortes palpitations de cœur.) 90. Marie-Amélie-Alphonsine,
fille
Pwxtier , de Pau. (Fièvre# continue».) 91. Pier
itte, de Pau. (Panaris guéri dans deux séances.) 9fi. Magdeleine,
fille
Méricam, de Pau. (Epileptique.) 97. Bernard C
Le polype est lombO eu cinquante-six jours, lOÍ. Marie Buessolles,
fille
, première née, de Tarbes. (Kpileptique; elle to
inue, malaise général, insomnie, sans appétit.) 107. JeanneSassous,
fille
, première née, de Pau. (Fièvre continue.) 108
ous, fille, première née, de Pau. (Fièvre continue.) 108. Marthe,
fille
Séguinotte, li. de Pau. (Des croûtes dans le ne
le nez et sous le nez depuis longtemps.) 109. Marguerite Fourcade,
fille
, de Pau. (Suppression des règles, maladie de la
èvre lente, hydropique, insomnie, sans appétit.) 112. Marie Bouzom,
fille
, de Pau. (Hydropisie générale et compliquée.)
Palais. (Panaris au pouce de la main droite.) 121. Marie Pillard,
fille
, deuxième née, de Bilhère. (Fièvre continue. L’
magnétisée a suffi pour la guérir.) 122. Jeanne-Jeantin Minvielle,
fille
, première née, de Bilhère. (Maladie de langue
ur. L'eau magnétisée a sufli pour la guérir.) 123. Amélie Goyhknne,
fille
, quatrième née, de Pau. (Fièvre continue.) 12
Pau. (Fièvre continue, insomnie, migraine.) 127. Marie Labarrère,
fille
, de Pau. (Fluction très-forte. Guérie dans une
zenavh fils, de Pau. (Maladie d'yeux.) 129. Marie Croux-Bouville,
fille
, deuxième née, li. de Pau. (Maladie des paupi
e née, li. de Pau. (Maladie des paupières ) 130. Anne Cazekave,
fille
, première née, de Pan. (Maladie d'yeux.) 131.
es fréquentes, insomnie, sans appétit.) 132. Claudine Saint-Pierre,
fille
, de Plaisance. (Maladie du foie, migraine et pa
n (Gers). (Fièvre lente et maladie de lauguour ) 135. Marie Ori»,
fille
, de Mont-de-Marsan. (Migraine permanente, palpi
is IuquetTiIs, de Saiul-Faust. (Hydrophie.) 138. Marie Singassan,
fille
, d’Abnos. (Maladie de langueur et suppre-sion d
ement et coqueluche. L'eau magnétisée a sufû.) Ml. Anne Bernadotte,
fille
, de Pau. (Maladie d'yeux.) 112. Jean Loustale
aura fils, d’Artiguéiouve. (Fièvres, migraines ) 115. Marguerite,
fille
Berdoulet, de Mazères. (Fièvres, migraines.)
de Poey. (Ficvre. L'eau magnétisée a suffi.) 118. Marie Larbussk
fille
, dit Pierrot, de Poey. (Fièvre. L'eau magnétisé
’eau magnétisée lui fit rendre te dépôt en deux jours.) 150. Marie,
fille
LaCrouts, première née, de Pau. (Pâles couleurs
u premier verre d’eau magnétisée la perte a cesse.) 153. Catherine,
fille
Boisson, de Thieste (Gers). (Goitre ou bronchoc
sson, de Thieste (Gers). (Goitre ou bronchocèle.) 151. Catherine,
fille
Sol’birou, de l’an. (Maladie d'yeux, îles paupi
Monrepos, de Gélos. (Maladie de langueur.) 159. I'ascoline Forgues,
fille
, de Pau. (Ilydropisie générale.) 160. Jeanne
es, fille, de Pau. (Ilydropisie générale.) 160. Jeanne Menjoulet,
fille
, troisième née, de Louz. (E-quinancie. Elle a é
ls, premier né, d’Assat. . (Convulsions nerveuses.) 167. Pauline,
fille
Callet, de Pau. (Maladie d'yeux.) 1 G8. Marie
s. (Maladie des femmes, suppression des règles.) 170. Jeanne Mür,
fille
, deuxième née, de Pau.. (L'nc croûte sons le ne
(L'nc croûte sons le nez et maladie de nerfs.) (71. Suzanne Sbrgés,
fille
, de Pau. (Indammalion de poitrine et du vcnlre,
eube. (Cinq vieux ulcères à la cuisse droite.) 17C. Marie Recueu,
fille
, dernière née, Bos d’Arros. (Migraine permanent
de cœur, insomnie, sans appétit, malaise général.) 177. Marie Goua,
fille
, troisième née, de Gan, h Pau. (Flueurs blanche
-frcqucntes cl maladie de langueur ) 179. Suzanue-Clémenee Lefèvre,
fille
, de Pau. (Ilydropisie, les cuisses et les jambe
n Larroudk, h. de Gau. (Epileptique.) 182. Magdelaine Tailleurrt,
fille
, de Pau. (Fièvres. Guéri« avec de l'eau magnétisé
malade dans un accablement général.) 184. Catherine-Jeannc Laborde,
fille
, de Pau. (Maladie d’yeux.) 185. Marie, épouse
(Fièvre cont nue. L'eau magnétisée a suffi.) 188. Jeanne Lartigue
fille
, d’Ydron. (Fièvre continue. L’eau magnétisée a
fait revenir le lait dans six jours.) 191. Jeanne d’ARJUiiD-CASSou,
fille
, de Lous. (Perte continue depuis plusieurs jour
(Mauvaise circulation, affection des nerfs ) 193. Jeanne Bensibf.t,
fille
, troisième née, de Jurançon. (Ayant les cuisses
ainsi la scène. « M Braid endormit simultanément les deux jeunes «
filles
en leur faisant regarder son lancetier, à petite
de prononciation était suffisam- . ment étonnante de la part d’une
fille
aussi pauvrement « instruite. « M. Braid présen
rapporte une audience de la Cour d'assises du Calvados concernant une
fille
Rogue, citée dans le Manuel de M. Teste (3® éditi
balle aux Champs-Elysées, ne plus effaroucher les rondes des petites
filles
aux Tuileries, ne plus embrasser tous les malins
ait la mère, » l’époux accompagnant par sage et louable prudence sa »
fille
, sa femme dans le cabinel du dentiste, du notaire
radicalement guérie île sa tumeur cancéreuse. En résumé, la jeu ne
fille
n’a eu, comme elle l’avait dit, que pendant trois
non plus une personne éclairée et d’une éducation brillante, mais une
fille
de campagne, d’une instruction bornée et jouissan
oit sans doute amener. Je retire le miroir el on relève celle forle
fille
qui, comme hébétée, ne peut répondre de suite aux
ée à un peintre nommé Haensel. Lu ¡-môme a épousé, il y a dix ans, la
fille
d’un sénateur do Francfort. Ces deux familles n’e
: Il y a dans setle chambre un fluide de plus que tantôt. Une pauvre
fille
que j’ai soumise à de nombreuses expériences, m’a
rcices de gymnasti- que séparés par les garçons il Bicêtre, par les
filles
à Vallée, et des exercices de danse communs aux
à Vallée, et des exercices de danse communs aux gar- çons et aux
filles
il la Fondation Vallée, à l'occasion de la visi
e à la Fondation Vallée d'un nombre as- sez considérable de petites
filles
gâteuses (47), contrai- rement aussi au Règleme
à l'administration. Nous nous bornerons à rappeler qu'a toutes les
filles
qui ne marchent pas, on Fij. 6. Enseignement.
lacer (fin. 11), nous avons imaginé un petit appareil qui sert aux
filles
à s'exercer à agrafer (Fig. 12) et nous avons o
t de M. llus- son, économe, l'achat d'un mannequin sur lequel les
filles
s'exercent à l'habillement. A tous les procédés
fesseur Lannelongue pratiquait sa première opération sur une petite
fille
de 4 ans et faisait connaitre les premiers résu
ois et le plus âgé avait 12 ans et demi..T'ai opéré 13 garçons, 1-2
filles
. (I) Fuller. Presse méct.'6el ! te, 1878, p. 31
Voici maintenant trois crânes appartenant à des enfants idiots (1
fille
et 2 garçons) qui ont été soumis à la crâniec-
consanguinité. - Inégalité d'âge de trois ans. Trois enfants : 1°
fille
, 27 ans, a eu des convulsions à l'âge d'un an :
iée, et a un petit garçon de 19 mois, qui n'a eu aucune maladie; 2°
fille
, 23 ans, en bonne santé, est mariée et a une pe
ladie; 2° fille, 23 ans, en bonne santé, est mariée et a une petite
fille
bien portante. Notre malade. Au moment de la co
intelligent. Une autre soeur, 19 ans, tuberculeuse, nerveuse, a une
fille
bien portante, intelligente. Dans le reste de l
é- ningite, à 4 ans, convulsions très légères à la dentition ; 3°
Fille
morte à 7 ans de méningite; - 4° Fille morte à 17
légères à la dentition ; 3° Fille morte à 7 ans de méningite; - 4°
Fille
morte à 17 mois de fièvre typhoïde ; à partir d
us les 10 jours (cri initial, chute, écume, convulsions, coma) ; 5°
Fille
, 5 ans, bien portante, intelligente, petites co
en portante, intelligente, petites convulsions à la dentition; - 6°
Fille
, morte à 3 ans 1/2 de fièvre typhoïde, intellig
° Fille, morte à 3 ans 1/2 de fièvre typhoïde, intelligente ; ;- 7°
Fille
, 13 mois, paraît intel- ligente, bien portante,
de consanguinité. Inégalité d'âge de 8 ans. Quatre enfants : 1° Une
fille
bien portante; 2° Notre malade; - 3° et 4° Un g
e fille bien portante; 2° Notre malade; - 3° et 4° Un garçon et une
fille
en bonne santé. Notre malade. Rien à la concept
Neuf enfants dont quatre bien portants, l'un mort en naissant, une
fille
morte de cholérine à 13 mois, une autre morte d
rès-vive au 4' mois de la grossesse causée par la mort de sa petite
fille
due à la rougeole. Elle en a ressenti un violen
onsanguinité. - Inégalité d'âge de 3 ans. Quatre enfants : 1° et 2°
filles
de 9 ans 9` ? et de 8 ans, in- telligentes, bie
? et de 8 ans, in- telligentes, bien portantes; 3° notre malade; 4°
fille
, 4 ans 1/2, bien portante, intelligente ; pas d
différence entre le père et la mère du malade. Sept enfants : 1°
Fille
, 24 ans, chanteuse dans un concert, intelligent
4 ans, chanteuse dans un concert, intelligente et bien portante; 2°
fille
morte à 11 ans d'une péritonite; elle était ass
7 ans, employé d'impri- merie, est d'une intelligence médiocre ; 5°
fille
morte à 7 mois de diarrhée ; -6° notre malade ;
iocre ; 5° fille morte à 7 mois de diarrhée ; -6° notre malade ; 7°
fille
, 5 ans, intelligente et bien portante. BOURNE
anière a été fortement impression- née à la suite de la perte de sa
fille
, âgée de 11 ans, morte au moment où elle l'embr
porteur, aurait une bonne conduite et n'aurait jamais été malade. -
Fille
, 17 ans, couturière, grande, intelligente, bonn
e maternelle, morte à 38 ans, probablement tuberculeuse, a eu une
fille
morte tuberculeuse. - Cinq frères, dont deux mort
consanguinité. Inégalité d'âge de 3 ans et demi. Trois enfants : t
fille
, morte il 5 ans d'une maladie aiguë, intelligen
nts, ont des enfants robustes, assez méchants pour la plupart. La
fille
d'une des soeurs est rachitique, scoliotique. Rie
savoyard, mère normande. Inégalité d'âge : 8 ans. 4 enfants : 1°
fille
, née avant terme et morte à 6 jours, sans avoir
e avant terme et morte à 6 jours, sans avoir eu de convulsions ; 2°
fille
, 18 ans, a eu des convulsions, à 2 ans, qui ont
uvoir toutefois prononcer certains mots (1); 3° Noire- malade; - 4°
fille
de 11 ans, intelligente, docile, n'a jamais- eu
ans accidents nerveux; une seule d'entre elles a des enfants : deux
filles
(du même amant) dont une est morte de la rougeo
mois '/3 de convul- sions; conformé normalement, tête normale; - 2°
fille
, 13 ans, bien portante, intelligente, pas de co
nvulsions, tête normale; instruite (a son certificat d'études) ; 3°
fille
, morte à 5 ans de bronchite, pas de convulsions
, bien portant, fait de nombreux excès de boissons. Il a une petite
fille
de deux ans et demi en bonne santé. - Une soeK
vec la vie. Le groupe qui comprend Alix..., Sor... et la pe- tite
fille
de la Salpêtrière dont l'observation a été publ
ons pas rencontrée dans l'hydrocéphalie simple. Quant à la petite
fille
de la Salpêtrière, le manque des lobes céré- be
s de con- sanguinité. Différence d'âge d'un an. Onze enfants : I°
fille
morte à 5 mois de convulsions ; 2° fille mariée
un an. Onze enfants : I° fille morte à 5 mois de convulsions ; 2°
fille
mariée, bien portante ainsi que ses enfants ; 3°
garçon, né à 7 mois, en février 1871, mort à l'âge de 2 jours ; 4°
fille
de 19 ans, intelligente, en bonne santé; pas de
ont tous plu- sieurs enfants bien portants et bien développés; une
fille
du frère aîné a cependant parfois des crises de
onstruire les barricades ; s'étant échappé, il se réfu- gia chez sa
fille
, se croyant poursuivi, ce qui était faux ; un j
x, parais- sant intelligent et normal ; pas de convulsions ; 2" Une
fille
, 10 ans, intelligente et bien portante, n'a jam
portante, n'a jamais eu de convul- sions ; 3e .Votre malade. 4° Une
fille
, morte à 2 ans, d'an- gine couenneuse, était in
ge, elle avait eu quelques légères convulsions internes. - 5° Une
fille
, chétive, morte à 14 mois, on ne sait de quoi. El
au 7° mois ; - garçon, 20 ans, forgeron, toujours bien portant ; 3°
fille
, 10 ans, bien portante, intelligente ; 4° fille
s bien portant ; 3° fille, 10 ans, bien portante, intelligente ; 4°
fille
, 14 ans, bien portante ; 5° fille, morte à 8 mo
ien portante, intelligente ; 4° fille, 14 ans, bien portante ; 5°
fille
, morte à 8 mois de la rougeole : - G° notre malad
rçon, 8 ans, bien portant ; - 8° garçon, (i fins, bien portant ; 9°
fille
, 5 ans, bien portante ; 10" garçon, né à 7 mois
rac- téristique des hydrocéphales est la vanité. Chez les petites
filles
, la vanité se traduit par le bavardage sur un t
nt au balan- 332 Hydrocéphalie CHRONIQUE. cement. Chez une petite
fille
(Lucie), un de nous (1), a observé le phénomène
oeur, 27 ans, est bien portante, intelli- gente ; elle a une petite
fille
qui a 29 mois, paraît forte et intelligente. Au
uelles elle se croit supérieure. Assez affectueuse pour les petites
filles
elle l'est peu pour les plus grandes, et parle
Delens, à Lariboisière, met sur le compte de la tuberculose; 2° une
fille
, décédée a;, 18 ans, d'une pneumonie. Cette enf
du carreau ; pas de convulsions, tête normale; 5° notre malade; Une
fille
, âgée de 11 mois, que nous avons pu examiner à
ublication de cette observation. La fig. 62 représente cette petite
fille
à l'âge de 11 mois; sa tête est bien celle d'un
lle antérieure ne se serait fermée qu'à -16 mois (Fig. 69, 70) ; 2°
fille
, morte à 29 mois, d'accidents méningitiques, ap
avait la tête grosse, le front surtout était fort déve- loppé ; -3°
fille
de 7 ans, intelligente, n'ayant jamaiseu d'ac-
res qu'une forte émo- tion à 2mois, causée par une chute que fit sa
fille
aînée et qui fut du reste sans conséquences. L'
e école et petite école pour les garçons, fondation Vallée pour les
filles
), a D<1J1 ? e. - C'est ainsi que dès le mati
L porter de petits fardeaux (linge, sable, etc.). Gymnastique des
filles
. Les filles de la Fondation Vallée suivent des
e petits fardeaux (linge, sable, etc.). Gymnastique des filles. Les
filles
de la Fondation Vallée suivent des cours réguli
ommu- nes à tous les enfants valides et partagées par les petites
filles
de la Fondation Vallée : le" janvier, distributio
tte et de la fanfare des enfants, jeux pour les garçons et pour les
filles
, retraite aux flambeaux ; les enfants de la Soc
ement a reçu dans le courant de l'année 31 enfants (30 garçons et 1
fille
) atteints de la rougeole ; il y a eu trois décè
rougeole ; il y a eu trois décès ; 3 cas cl'éoispèle (2 garçons 1
fille
) ; - 1 cas de coqueluche (fille) ; 1 cas de ch'p/
ès ; 3 cas cl'éoispèle (2 garçons 1 fille) ; - 1 cas de coqueluche (
fille
) ; 1 cas de ch'p/t- thérie (enfant d'une survei
de certaines craintes administratives, a faire venir les petites
filles
do Vallée il toutes les l'êtes données au gymna
Carême ; à faire ces mêmes jours un bal commun aux garçons et aux
filles
. Il va de soi que nous donnons au personnel des
- naître nos idées sur l'organisation d'un asile pour les petites
filles
idiotes et épileptiques, nous lui avons répondu
t il celle qui vient d'être édifiée Il Salpêtrière pour les petites
filles
idiotes. « Il résulte du rapport de M. l'archit
t nous permettant de reti- rer de l'asile de Villejuif, les petites
filles
qui y sont placées, 1.\ Fondation Vallée : disc
antes : 1° Y a-t-il lieu de construire un asile pour les jeu- nes
filles
idiotes et arriérées, sur les terrains de la Fo
ion. 1° . Y a-t-il lieu cle construire un asile pour les jeu- nes
filles
idiotes, arriérées, sur les terrains cle la Fon
anière à ce qu'elle puisse servir à des cours culinaires pour les
filles
. La salle de l'épluchage devra être grande, car
toir n'a que 20 lits; mais comme le futur asile est destiné à des
filles
et que celles-ci devront concourir d'une façon
e. Discussion; ïxXxi-y M. le D1' Bourneville. Le nombre desjeunes
filles
trai- tées il l'asile de Villejuif est de 56. S
nécessité qui s'impose' de dégager l'asile de Villejuif des petites
filles
qui l'encombrent,' je me suis rallié à la const
ly) et le quartier spécial de l'hospice de la Salpêtrière, pour les
filles
. Discussion. cvit Département dont elle augme
nte, soeur de celle-ci, qui se suicida par chagrin d'amour. Mère,
fille
d'un alcoolique, mort à la .suite d'un accident
signalons un jeune garçon de 13 ans, méchant et violent, une petite
fille
de 8 ans, gourmande et ayant, d'après les dires d
se; notre petit malade, l'avant-dernier des enfants et une dernière
fille
, faible et mal portante. Antécédents personnels
t ce qu'elle désirait. Les parents ont demandé le placement de leur
fille
parce qu'elle est très en retard à tous les poi
ire. Deux tantes maternelles en bonne santé ; l'une d'elles a une
fille
également robuste. - Sept frères ou saurs : l'ain
consan- guinité. - Inégalité d'âge de 10 ans. 4 enfants : 1° une
fille
morte de la variole à 20 jours, sans convulsion
n de 7 ans, intelligent, bien portant, pas de convulsions; - 40 une
fille
de 4 ans en parfaite santé. Notre malade. - R
pulmonaires ; - 3° garçon, mort à deux ans de fièvre typhoïde; - 4o
fille
, morte à deux ans de convulsions prolongées ; l
ée et les phénomènes de la maladie font penser à la méningite; - 5o
fille
, morte à deux ans d'angine diphtérique; - 6° ga
diphtérique; - 6° garçon, mort à deux ans avec convulsions; - 7°
fille
, morte du croup à 18 mois; - 80 garçon, mort à 13
u croup à 18 mois; - 80 garçon, mort à 13 mois de convulsions; - 9°
fille
, 4 ans, bien portante, intel- ligente, pas de c
e, 4 ans, bien portante, intel- ligente, pas de convulsions ; - 100
fille
, 10 ans et demi, bien portante, pas de convulsi
coolisme chronique. Marié une première fois assez jeune, il eut une
fille
de son premier mariage, morte aux Enfants Malad
toute sa vie. Il a eu conti- > nuellement des convulsions; - 2"
fille
, G ans 1/2, intelligente, douce, assez nerveuse
de. Rappelons que le père de l'enfant a eu d'un premier mariage une
fille
, morte à 3 ans à l'hôpital des Enfants Mala- de
a mère eut peur deux fois au sujet d'accidents survenus à sa petite
fille
. Lipothymies fréquentes pendant toute la durée
d'employé des ponts et chaussées, qu'il connut la mère de l'enfant,
fille
de paysans dont il eut quatre enfants. Pendant
- Le mari à trois ans de plus que sa femme. Cinq enfants : 1° une
fille
, 11 ans, jamais de convulsions, habituellement
nt bien portante, coléreuse, nerveuse et irritable, ntelligente; 2°
fille
, 10 ans, n'a pas eu de convulsions, a Antécéden
pied ; n'est pas nerveuse, caractère aima- ble, intelligente; - 3°
fille
, 8 ans; au cours de sa dentition, elle eut troi
is très bien por- tante, travaille en classe; -4° notre malade; -5°
fille
, 13 mois, parait vigoureusement constituée pour
ponses et montre une certaine tendance à l'exagé- ration. La petite
fille
qu'elle a amenée avec elle parait peu intellige
. Inégalité d'âge de 4 ans (père plus âgé). Deux enfants : 1° une
fille
venue il 6 mois et qui n'a vécu que quelques se
s de consanguinité. - Inégalité d'âge de 3 ans. 14 enfants : 10 Une
fille
, morte un quart d'heure après la nais- sance ;
art d'heure après la nais- sance ; - 2° fausse couche de 3 mois; 3°
fille
, 21 ans, domes- tietfie, pas de convulsions de
vage et n'apprend guère en classe, n'a pas eu de convulsions ; - 8°
fille
, 13 ans et 9° garçon, 12 ans, pas de convulsion
on, mort du carreau à 3 ans, pas de con- vulsions, intelligent; 11°
fille
, 6 ans, saine, intelligente, pas de convulsions
, saine, intelligente, pas de convulsions ; - 12° notre malade; 13°
fille
, morte à 2 ans d'une bronchite, sans avoir eu d
d'une bronchite, sans avoir eu de convulsions, intelligente ; - 14°
fille
, 5 mois, se développe bien. Ces deux dernières n'
e n'aurait succédé à cette affection, il apprend . à l'école ; - 2°
fille
, 7 ans, convulsions au moment de la den- tition
e. Notre maillde.- Lors la conception la mère venait de sevrer sa
fille
et était très fatiguée. Rien de particulier duran
t;'s ; L'ainé est mort à G semaines ; pas de renseignements. La 2°,
fille
, est morte à 21 ans de la poitrine; Antécédents
mois cle plus que sa femme . Trois enfants : 10 notre malade; - 2°
fille
, 13 ans, n'a jamais eu de convulsions, est fort
pourtant qu'elle n'a marché qu'à 15 mois et parlé qu'à 20 mois; -3^
fille
, morte à quatre mois de convulsions qui auraien
ant est mort au bout de 3 semaines). Des deux enfants vivants, deux
filles
, l'une a 2 ans, et ne parle qu'a peine, mais el
on mentale, pas de bègues, Toutefois, une cousine germaine a eu une
fille
qui est morte à 21 ans de méningite. - Un frère
jamais eu de cri es de nerfs elle a des dartres ainsi que sa petite
fille
. - Le 7 ? (Xho.is Charles) est entré à Bicêtre
s sont nés de ce mariage : 1° garçon mort de la diarrhée verte : 2"
fille
. 6 ans, bien partante et très intel- ligente; 3
. 6 ans, bien partante et très intel- ligente; 30 notre m dalle; 4°
fille
, morte en naissant. Notre H1 : llade. -An momen
t une atrophie totale des papilles. Aux Enfants-Malades, une petite
fille
voisine du lit de Marie B. aurait dit à la mère
voisine du lit de Marie B. aurait dit à la mère de celle-ci que sa
fille
avait des convulsions. Dans le service où elle
d'un an. 7 7 enfants : 6 sont vivants à l'heure actuelle : -10 une
fille
Fig. 13. 260 Antécédents héréditaires. (vin
un caractère gai et vif, parfois emporté, elle est mariée et a eu 2
filles
: une de ces dernières est morte en ayant des c
joui d'une bonne santé, est bien portante et intelligente ; 2° une
fille
(vingt-six ans), .ayant eu il onze mois, une seul
e fois, des crises convulsives il l'époque de la dentition. Cette
fille
, saine de corps et d'esprit, bien qu'un peu excit
re ans), sobre et intelligent, n'a jamais eu de convulsions; 4° une
fille
morte à onze mois de méningite avec de nombreus
° un garçon de dix- neuf ans, sobre, sans accidents nerveux; 6° une
fille
, sans accidents nerveux, bien que nourrie penda
guc. Sa première opération a été faite le 9 mai 1890 sur une petite
fille
de 'i ans. Si l'on en croit M. le D'' Lane, l'o
mois et le plus âgé avait lv ? ans 1/2. J'ai opéré 13 garçons et 12
filles
. « Parlerai-je maintenant des résultats définit
(il faut noter que sa mère était morte de la poitrine) laissant une
fille
bien portante. Un autre frère, 58 ans, pas nerv
çon, 23 ans, pas de convulsions, n'a jamais été malade, sobre; - 2-
fille
, 15 ans, pas de chorée, pas de convulsions, etc
ion de l'intestin et du péritoine. 2 novembre. - Le père dit que sa
fille
ne vomissait pas à la maison ; il ne croit pas
alement où nous recevons des visiteurs, nous réunissons les petites
filles
de la Fondation Val- lée avec les garçons de Bi
de (lu5la (Hongrie) ; M. le Dr Rankin, de Glasgow ; MUes Sikorski,
filles
du P. Siltorslti, de Kicff; I ? 5ancllery', de
à Cené- ve, qui y passéuncscmainc cnjuin 1901; Molles Sikors- ky,
filles
du professeur de laieff, qui sont restées dans
e simultanée à ces réunions des enfants des deux sexes, les petites
filles
de la Fondation Vallée ont participé en 1903, i
iène sexuelle, principalement pour les petites gâteuses et pour les
filles
pubères. Les enfants pren- nent leurs douches à
n attendant qu'il applique lui-même le mot nouveau. Avec une petite
fille
, les poupées sont d'un grand secours. - Avec te
s, idiote épilepti- ques (en ce momment exactement 52 garçons et 49
filles
). ? 2° Où pourrait-on recruter ces instituteurs
doit l'emporter sur l'institutrice. A elle seraient confiées les
filles
et les petiis garçons valides de 2 à 10 ou 12 ans
sui- vant le nombre d'enfants. Les petits -garçons et les petites
filles
, valides ou non, se- raient confiés, a une sous
ais la direction de la petite école. Elle aurait les garçons et les
filles
(de 2 il 12 ans), les filles de 12 iL 18 ans.
école. Elle aurait les garçons et les filles (de 2 il 12 ans), les
filles
de 12 iL 18 ans. Elle serait aidée par une sous
sous-surveillante-institutrice, deux infirmières (Grande-école des
Filles
), l'infirmier serait commun aux deux. 3° Pour
y a aucun inconvénient à mettre les petits garçons avec les petites
filles
, c'est la une pratique qui existe dans les asil
ées par les Médecins en chef, à apporter aux quartiers des enfants,
filles
et garçons, de Fitz-James. M. l'Architecte dépa
ant d'ailleurs les fonctions d'institutrice pour les deux sections (
filles
et garçons), serait chargée de donner aux enfan
nt aussi fonctions d'institutrices, affectées deux à la section des
filles
et les deux autres à celle des garçons. A la
harronnage et de maréchallerie de Fitz-.Tames. . A la section des
filles
: Outre les deux infim11ères-insliLll' trices d
mps l'augmentation d'une unité dans le personnel des gardiennes des
filles
(voir sa lettro du 31 août insérée au procès-ve
plémentaire de l'exercice courant. 1\Ime Champy, surveillante des
filles
, est tout indiquée pour remplirle poste de surv
nts de Fil ? James. Ces quartiers sont occupés par 52 garçons et 49
filles
. En vue de cette création MM. les Médecins en c
suadés des nombreux avantages qu'il y aurait à confier les enfants (
filles
et garçons) : \ des femmes, ils deman- dent que
ns d'institutrices; elles seraient affectées, deux à la section des
filles
et deux à la section des garçons. 3° Les enfant
s et d'instruments pour la gym- nastique élémentaire. Go Pour les
filles
, en plus de l'instruction primaire et des leçon
s n'est pas moins utile pour les élèves des lycées de garçons et de
filles
. 130UItNE'ILLN, Bicêtre, 1903, ? III. Hospi
pour les garçons, la Salpêtrière et la Fon- dation Vallée pour les
filles
. La lettre suivante que nous reproduisons, non
rveux; migraineux. - Mère morte 3 semaines après la naissance de sa
fille
. - Soeur, 38 ans bien portante. - Frère 35 ans,
ments sur la consanguinité. Cinq enfants : 1" notre malade ; 2° une
fille
, morte à huit jours chez une sage-femme (manque
té. Inégalité d'âge cle ans ipère plus âgé). Six enfants : 1" une
fille
de Iii ans, u'a jamais pu obtenir son certifica
mais pu obtenir son certificat d'étude, travaille avec sa mère ; 2°
fille
morte à 15 jours d'une entérite ; 3° lille mort
3 ans d'une rou- gcole. elle devenait bossue ; 4° notre malade : 5"
fille
morte a 8 mois d athrepsie ; ilo fille mort-née
ossue ; 4° notre malade : 5" fille morte a 8 mois d athrepsie ; ilo
fille
mort-née. Aucun de ces en- fants n'a eu de conv
ort à dix mois des suites d'une rougeole, a eu des convulsions ; 2°
fille
, 7 ans, bien portante elintelligen- te ; pas de
e malade ; 4° garçon, 4 ans, pas de convulsions, enfant normal ; 5n
fille
morte à 14 mois de bronchite capillaire. Notr
e. Mère morte à 40 ans d'un cancer de l'utérus ; coléreuse comme sa
fille
. Pas de consanguinité. Différence d'âge de 15 a
iage, sont nés trois enfants, dont notre malade. Les deux premiers,
filles
, sont mortes tuberculeuses, l'une à 23 ans, l'a
nvulsions; l'autre 61 ans qui a un bégaiement très marqué. Il a une
fille
qui est normale, n'a pas eu de convul- sions et
Quatre e22faztsdont trois vivants; pas de fausses couches : 10 Une
fille
, 20 ans, bien portante, intelligente ; pas de c
ortante, intelligente ; pas de convulsions, pas névropathe ; 2" Une
fille
, 17 ans 1/2, en bonne santé, intelligente, pas
ans 1/2, en bonne santé, intelligente, pas de convulsions. Ces deux
filles
sont plus grandes que leur mère -et ont une tai
ternel, oncle et tante, excès de boisson. - Une tante et une de ses
filles
, convulsions; strabiques. Mère, convulsions r
soeur a eu des convul- sions dans l'enfance et louche. De ses deux
filles
, l'une a eu des convulsions et est strabique. D
t une fausse couche il quatre mois et demi à la suite de chute : 1°
fille
, grande, a eu des convul- sions, 23 ans, mariée
sions, 23 ans, mariée, bien portante, a un garçon nor- mal et une
fille
qui a eu des accidents convulsifs.; - 2° Notre
e fille qui a eu des accidents convulsifs.; - 2° Notre malade; - 3°
Fille
morte de méningite avec con- vulsions en 17 jou
e les conjoints. Six enfants : 1° garçon 13 ans, bien portant; 2°
fille
morte il 21 mois de rougeole; 3° fille née aveu
çon 13 ans, bien portant; 2° fille morte il 21 mois de rougeole; 3°
fille
née aveugle, morte à six mois au cours de convu
is au cours de convulsions; 4° garçon de 6 ans 1 notre malade; 6°
fille
de 7 ans 1[2 bien portante. Notre malade.- Rien
mple arrêt de développement. D'ailleurs le nombre de nos malades,
filles
et garçons, atteints de rachitisme, est 13S Nan
meaux : un garçon, actuellement âgé de 13 ans, bien portant, et une
fille
« qui est morte en venant au monde. » Tous les
uches. Aucun des enfants n'a eu de convulsions ni de chorée. 1° une
fille
, actuelle- ment âgée de 31 ans, toujours très b
trois enfants; - `Z un garçon 29 ans, bien portant, de môme que sa
fille
; - 3° un garçon, mort il 2 ans, de bronchite)
bien portant; - 6° un garçon, âgé de 18 ans, rien iL noter ; 7° une
fille
, morte en naissant ; 8° une fille, âgée de 13 a
18 ans, rien iL noter ; 7° une fille, morte en naissant ; 8° une
fille
, âgée de 13 ans 1/2, bien portante; - 90 la malad
oir encore enceinte : « J'étais vieille déjà, j'avais 42 ans et une
fille
mariée, aussi j'étais vivement contrariée. J'ai p
r, nous ajouterons les 141 entrées de cette année (84 garçons et 57
filles
), soit un total de 2.987, Tableau statistique s
n'ont pas eu de con- vulsions ; leurs enfants, six garçons et deux
filles
, sont en bonne santé et n'ont pas eu de convuls
uivant son gendre, d'un cancer « dans le côté gauche » sui- vant sa
fille
; on ne croit pas qu'il fut buveur. Sa mère, âgée
pas de.convulsions, bien portant,, sert les maçons; 3 le malade; 4°
fille
, neuf ans, pas de convulsions. Le malade. - Rie
outons les 13 cas nouveaux, relevés sur les 141 entrées de 1903 (57
filles
et 84 garçons) nous voyons : 1° Que ces 128 fam
Matelassières 3 Polisseur sur métaux 1 Tableau des hémiplégiques (
Filles
et garçons). XIII. Inégalité de poids des hém
Inéga- lité d'âge de 5 ans, (père plus âgé). Quatre enfants : Une
fille
morte en nourrice à la campagne avec de la diar
la campagne avec de la diarrhée verte, et des convulsions. - 2° Une
fille
morte à 11 ans de méningite tnbercuteuse; - 3°
nerveux manifestes. Le père a trois soeurs, l'ainée mariée a eu une
fille
qui dans son enfance aurait été atteinte « d'un
e grave dans la tête » et que le médecin aurait « condamné ». Cette
fille
a 17 ans et est bien portante. - La seconde soe
et doit être continuellement sur- veillée. A 18 ang, elle a eu une
fille
, âgée à l'heure actuelle de 7 ans, qui parait b
à tous les enfants valides, distractions partagées par les petites
filles
de la Fondation Vallée : 1 ? janvier, distribut
ent des services, au point de vue des leçons de choses, aux petites
filles
de cet établissement. t ' ' ' III. Statis
dut revenir à ma famille, en la personne de ma soeur et de ses deux
filles
, que je rends, pour ce cas, légataires au même
a laisserai, à l'usage absolument personnel de ma soeur et de ses
filles
. « Toutefois, si le futur ayant droit, pressé p
ci- pation, se faire dans les locaux de la ferme, ma soeur et ses
filles
n'auraient point à s'y opposer. « Lors de la pr
nouvel établissement; mais faculté sera laissée à ma soeur et à ses
filles
d"Gn distraire les quelques objets à leur con-
mes principales légataires mes deux nièces Blanche et Zélie Dispan,
filles
de ma soeur Virginie. « Je lègue à Blanche, fem
remettre, le jour de leur mariage, à chacune de mes petites-nièces,
filles
de mon neveu Vallée (F'réctnic), une somme de d
ma soeur soit instituée principale héritière au même titre que ses
filles
. « L'examen de mes papiers devant lui prendre u
ués aux écoles de l'établissement spécial à organiser, « Des deux
filles
de mon neveu Vallée (Fl'èdé1'ic), l'aînée, 1.IV
du Val-de- Grâce, n° 6, est spécialement réservé à mes nièces, ses
filles
, sous réserve des objets artistiques et des liv
s, d'après les dispositions testamentaires que pourraient faire ses
filles
il cet effet, mais il l'exclusion de tous colla
emière le quartier de l'asile de Villejuif où quatre-vingts petites
filles
idiotes occupent la place d'adultes » . III.
l'asile Saint-Anne; une salle de couture, pour exercer les petites
filles
au travail; - un vestiaire, qui, comme la lingeri
nfants; - trois autres logements pour une sous-surveillante et deux
filles
de service, qui seront chargées de la lingerie
cées à proximité des dor- toirs, et à raison d'une pour dix petites
filles
: « Une écurie et un hangar; une petite salle p
convient d'avoir, dans une institution où il n'y a que des petites
filles
, le moins d'hommes possible. La fondation Val
sol, l'installation pro- jetée dans ce local d'un service déjeunes
filles
idiotes néces- sitera de notables dépenses. L
de nuit (l'° classe). ORGANISATION ? LX*Mi pju" le réfectoire : 1
fille
d'office aidée d'ailleurs par. les. infirmières
e quartier de l'asile de Villejuif qu'on a dû consacrer aux petites
filles
idiotes. L'insuffisance des lits pour cette cat
irmières de jour, une infirmière de nuit; - pour le réfectoire, une
fille
d'office; - 4° pour les bains, une baigneuse ;
décidé avec M. Pinon, directeur de Bicêtre, de placer les petites
filles
malades dans les chambres annexées à l'infirme-
i un grand nombre d'objets nécessaires à l'installation des petites
filles
arriérées. Veuillez agréer, Monsieur le Préfet,
consanguinité. Inégalité d'âge des parents (15 ans). 5 enfants : 10
fille
de 22 ans bien portante, intelligente, pas d'ac
cho- rée de Sydenham.] Pas de consanguinité. 5 enfants : 1» Une
fille
de 9 ans 1/2, scrofuleuse, aurait eu quel- ques
ait eu quel- ques convulsions légères durant une rougeole; 2° une
fille
de 8 ans, hin portante, intelligente; - ; 3° notr
e 8 ans, hin portante, intelligente; - ; 3° notre mala- de ; 4° une
fille
de 4 ans 1/2, qui a eu des CO ? IUIIlSiO7lS inte
onvulsions générali- sées ; l'intelligence serait normale; -5,, Une
fille
d'un an : bien portante. Notre malade. La con
Pendant la grossesse la mère a eu des ennuis dus à la maladie de sa
fille
ainée ; elle était faible, souffrante, etc. Pas d
vces de boisson. Le 3° est bien portant; il a eu 3 enfants dont une
fille
morte à 17 ans de tuberculose pulmonaire. - Deu
ette de 5 an bien portante, intel- ligente, pas de convulsions; une
fille
morte à 7 mois de méningite. w Antécédents pe
de ceux-ci est mort à 5 mois de convulsions internes, l'autre, une
fille
de 16 ans, est intelligente; elle a eu une tume
fants et une fausse couche grossesse môlaire ; - Notre malade ; Une
fille
de 7- ans anémique ; pas de convul- sions ; Un
e). Inégalité d'âge de 2 ans. Le père a eu de sa première femme une
fille
de 15 ans qui a étésujetteà des convulsions de
de 14 ans un peu délicat mais intelligent et de bonne conduite; une
fille
de 10 ans et demi bien portante et intelligente
Notre malade; - 3° Un gar- çon mort d'athrepsie à 10 mois : 4° Une
fille
morte athrepsi- que à 8 mois. Notre malade. L
re, morte on ne sait de quoi. Deux frères bien portants, l'un àdeux
filles
jouissant d'une bonne santé, n'ayant jamais eu
hernie étranglée ( ? ) avec hydrocèle : pas de convulsions; 3e Une
fille
, âgée de 2 ans, bien conformée, n'a pas eu de c
e, âgée de 2 ans, bien conformée, n'a pas eu de convulsions; 4e Une
fille
morte en venant au monde proba- blement à la su
es migraines, a deux enfants bien portants; 2° notre malade, 3° une
fille
23 ans, mariée avec le frère de père de sa mère
de sa mère, migraineuse et rhumatisante, n'a pas d'enfant ; 4° une
fille
, 20 ans. ma- lade depuis trois ans (hydarthrosc
s trois ans (hydarthrosc du genou, mal de Pott pro- bable) ; 5° une
fille
, 13 ans 1/2, délicate, souffre de maux de tête;
5° une fille, 13 ans 1/2, délicate, souffre de maux de tête; 6° une
fille
morte à 3 ans 1/2 d'une méningite tuberculeuse
à 3 ans 1/2 d'une méningite tuberculeuse avec convulsions; - 7° une
fille
morte à 13 mois, en nourrice, de cholérine. A
es antécédents.] , . Pas de consanguinité. ' 3 enfants : 1° une
fille
morte en nourrice à quelques mois ;- 2° un fils
lsions à l'époque de la dentition, bien portant, marié : il a. deux
filles
de 11 et 12 ans qui n'ont jamais eu de convulsi
proportionnée. Pas d'autres cas de gémellarité dans la famille, 3°
Fille
, seize ans, bien por- tante, intelligente, tête
ns ; 3° garçon mort à dix-huit mois à la suite d'une coqueluche; 4°
fille
morte à deux mois d'une «gourme ren- trée» ; pa
auver : mais n'a jamais découché. Il ne court pas après les petites
filles
et ne se masturbe pas. Il tou- che à tout, et j
ires dans la famille.] Pas de consanguinité. Douze enfants : 1" une
fille
morte à neuf mois, de convul- sions ; 2° une fi
enfants : 1" une fille morte à neuf mois, de convul- sions ; 2° une
fille
morte du croup à trois mois et demi ( ? ) ; 30,
3 laborieuses; 6° un garçon, vingt-huit ans, bien portant; 7° une
fille
, vingt-cinq ans, intelligente ainsi que ses enfan
elligente ainsi que ses enfants; 8° un garçon, bien portant; 9° une
fille
, dix-neuf ans, intelligente; 10° une fille, dix
on, bien portant; 9° une fille, dix-neuf ans, intelligente; 10° une
fille
, dix-sept ans; 11° une fille, douze ans et demi;
e, dix-neuf ans, intelligente; 10° une fille, dix-sept ans; 11° une
fille
, douze ans et demi; 12° notre malade. Notre m
rce qu'il se louchait et cherchait ¿'¡ lever le ? jupes des petites
filles
. Poids : 44 kilog.; taille : : 1111 18. Sa tê
avait eu 21 enfants.] Pas de consanguinité. Deux enfants : 1° une
fille
, âgée de 22 ans, d'une bonne santé, mais très-imp
rs la gorge. Mme L.... était alors absente de Paris ; elle revit sa
fille
en septembre. A ce moment, les crises étaient pré
euses Pos- » sédées, au nombre d'onze ou douze, comprises trois »
filles
Séculières aussi possédées, dans le chœur de »
f pour exciter la dévotion; et que » d'ailleurs le mal de ces pauvres
Filles
étoit si étrange, » après avoir été si long, que
ciser ? « A quoi lui aiant été répondu par ledit sieur Evêque » Ces
Filles
. Il continua et dit : Quelles filles ? à quoi il
ndu par ledit sieur Evêque » Ces Filles. Il continua et dit : Quelles
filles
? à quoi il » fut répondu : Ces filles Possédées.
. Il continua et dit : Quelles filles ? à quoi il » fut répondu : Ces
filles
Possédées. Tellement, dit-il, » Monseigneur que j
rité de l'Eglise exaltée, et lui » confondu, pourvu toutefois que ces
Filles
ne le tou-» chassent point de leurs mains, ce qu'
° la jeune fille qui nous renseigne; elle est bien portante; — t° une
fille
âgée de 19 ans, bossue, souffreteuse, très-impres
ant améliorée, elle fut placée à l'infirmerie générale, en qualité de
fille
de service. Un jour, elle s'empare d'un flacon de
la Charité, à la Maternité, à Beaujon, soit comme malade, soit comme
fille
de service. De ce dernier hôpital, elle est expéd
, Geneviève revient, enceinte, à la Salpétrière ; elle accouche d'une
fille
, le 27 février. Son accouchement n'a offert rien
son renvoi. L'armistice signé,elle quitte Paris pour aller voir sa
fille
qui hahitait chez des paysans aux environs d'Aval
utée avec la religieuse. Elle alla habiter à Nogent chez une amie. Sa
fille
étant souffrante,ainsi qu'elle-même, elle vint au
où elle passa la nuit. Le lendemain, on la mena à l'Hôtel-Dieu où sa
fille
mourut de convulsions : elle était âgée de six se
on l'en croit, Camille, elle parle de son second amant, le père de sa
fille
, de sa fille elle-même, etc. : « Pauvre Geneviè
, Camille, elle parle de son second amant, le père de sa fille, de sa
fille
elle-même, etc. : « Pauvre Geneviève !.. . Ton
. : « Pauvre Geneviève !.. . Ton existence est bien triste.. oh! ma
fille
!... Ton père je ne l'ai jamais aimé... Oh! le tr
guérirais... Oh! Marie, mère de Dieu, ayez pitié de moi !... Oh ! ma
fille
.. tout mon bonheur... Tu es pour moi un triste so
eur... Tu es pour moi un triste souvenir, mais je t'aime... Sans toi,
fille
chérie, je me serais donné Planche XIX. PÉRIO
rai pas comme ma mère, je ne t'abandonnerai pas... Je pense à toi, ma
fille
. .. Pourquoi chercherai-je à me détruire?... Dieu
oite tout en discourant : « Pauvre petite créature ! (Allusion à sa
fille
.)... Tu ne sais pas quelle destinée t'attend?...
activité pour gagner de l'argent afin d'entretenir convenablement sa
fille
, Elle passe pour une ouvrière très-habile. (2)
compagnes, nommée Catherine, sur laquelle elle s'est précipitée. Une
fille
de service étant intervenue, G... lui a égratigné
varienne : Détente générale, délire: G... appelle l'amant, père de sa
fille
, regarde sans se rendre (l) Allusion à des paro
périodes ordinaires. Compression ; G... appelle son amant, père de sa
fille
, L... : « Oh ! L... ! Oh! L... ! Les geôlières !
si elle sortait de la Salpétrière. n'est pas moi qui ai tort... La
fille
disait : Si c'était à X... on te traînerait par l
nourrice me battait. Je pleurais... Elle m'embrassait... Je suis une
fille
maudite... Ma mère m'a abandonnée... » Elle divag
on à une scène qui a eu lieu avec une malade, Goul...; elle plaint sa
fille
, craint que, ayant vu à sa dernière visite une ma
illi, à laquelle le père Elizée, capucin, exorciste habituel de cette
fille
, « prenait la peau du bras et la perçait d'outre
tre en outre avec une épingle, sans qu'il en sortit du sang ou que la
fille
en fit paraître aucun sentiment (2). » V hypere
de cause. Ensuite Grandier chagrina le procureur du roi qui avait une
fille
qu'il avait vue « trop familièrement ». Ses enn
déposèrent une plainte l'accusant «d'avoir débauché des femmes et des
filles
; d'être impie et profane; de ne dire jamais son b
isonnable et revenait à la maison, son père aurait à choisir entre sa
fille
et sa femme, M... errait à l'a venture, ne sach
déterminant des étouffe-ments. Le lendemain, M... se plaça comme «
fille
de semaine» chez une blanchisseuse où elle resta
s ; ce que nous pouvons assurer, c'est que les dires du père et de la
fille
, interrogés séparément, concordent sur les points
. Personne ne saura ce que j'ai en dedans (bis}. » Elle regarde les
filles
de service et dit : « Puisqu'on a tout retiré, to
aiant désiré de voir paroître tous les Diables qui possédoient cette
Fille
, l'Exorciste les fit venir au visage les uns aprè
tout le monde... à quarante ans et quelques années!... quand on a une
fille
de vingt et un ans... » Presque toutes ces paro
i toujours. Je n'ai jamais aimé personne!... Laf... est le père de ma
fille
, etc. » Le délire continue sur sa fille. Ensuite
!... Laf... est le père de ma fille, etc. » Le délire continue sur sa
fille
. Ensuite elle se couche: « Nous allons dormir, Ca
iers.) » Elle ne prend pour Camille, et m'entretient longuement de sa
fille
. « Je t'ai fait bisquer ce matin!... Qu'est-ce qu
ur, c'est un chien enragé... (10 h. 11)... Attends donc, c'est pas ma
fille
. (Elle s'adresse aune des infirmières qui l'assis
une des infirmières qui l'assistent; elle a l'habitude d'appeler « ma
fille
» la surveillante du service.) Tu as bien travail
On m'a rentrée dans l'auberge, je me suis trouvée mal...Es-tu là, ma
fille
? (Elle s'adresse à la surveillante ; cette questi
ns depuis qu'il était malade, et s'était mis à jouer comme une petite
fille
. » Il était facile, d'après la forme des convul
es. Elle a cependant, d'après le rapport des dames surveillantes, des
filles
de service et de toutes les malades voisines, des
er qu'imparfaitement chez elle, on dut l'envoyer à l'asile. C'est une
fille
robuste, de taille moyenne. A son entrée, elle ét
constriction douloureuse de l'estomac, l'autre de nausées. Une petite
fille
signalait une vive douleur précordiale accompagné
sant dans le village, je fus prié par une jeune dame de visiter cetie
fille
miraculeuse. Il était près de quatre heures du so
ait se soucier peu du miracle, car elle avait besoin du travail de sa
fille
, l'aînée de sept enfants, me pria do m'en occuper
fait peu d'Iionneur à sou imagination. Et, en effet, éveillée, cette
fille
ne me parut que simple, douce, timide, assez born
nes terrifiantes de nature démonopathique. A la suite delà mort de sa
fille
en 1871 elle eut, pendant plus d'un an, des visio
plus d'un an, des visions, la nuit, qui lui représentaient sa pauvre
fille
. Vers 1873, gastralgie. Vomissements opiniâtres
rla première lettre de son nom de baptême. (c Toi qui aimes tant la
fille
! (Allusion à son père) » L... fait des signes de
tours... Quand papa l'a souffleté parce qu'il l'avait trouvé avec une
fille
... Je ne coucherai pas ici ce soir... Sois tranqu
at de nouveau; repos). « Je t'en supplie, renvoie cet homme qui a une
fille
de vingt-deux ans! Comment tu n'en es pas jaloux!
nfant assisté. Est employée de-puis quatre ans à la Salpêtrière comme
fille
de service. Elle a été sujette à des attaques d'h
de dix-sept ans. Elle n'en a pas eu depuis plus de deux ans. Cette
fille
jouit d'un embonpoint marqué; elle est comme bouf
e incroyable qu'ont les hystériques à simuler. « Un trait commun les (
filles
hystériques) caractérise, dit Tardieu, c'est la s
e, de l'extase et de l'hystérie. Virginie-Thérèse, vingt-trois ans,
fille
naturelle, née à Chartres. Tempé-rament lymphatiq
t prise d'un violent accès hystérique la première fois qu'elle vit sa
fille
en cet état. Outre ces accidents communs aux cata
e et surprenante; qui fut regardée comme une cata-lepsie..... Cette
fille
est très délicate, assez agréable de visage, mais
ériode d'excitation, pendant laquelle la malade s'entretenait avec sa
fille
aînée, faisant à la fois les demandes et les répo
En juin 1850, maladie du grand-père qui meurt le 9 juillet. Sa petite
fille
l'aimait passionnément. Du 1'='' au 25 juillet,
à la catalepsie dans une même at-taque. Observation, concernant une
fille
cataleptique et somnambule en même temps, par Sau
jour entier ou du matin au soir, était rempli par la maladie que les
filles
de la maison appelaient Vaccident vif, donnant le
lla, se leva sur son séant et se disposa à la scène suivante, que les
filles
de ce quartier avaient déjà observée plusieurs fo
leptique. Dans moins d'un quart d'heure que la catalepsie dura, celle
fille
revint comme d'un profond sommeil, et, connaissan
il, avec leurs fusils, ils veulent le tuer parce qu'il leur a pris la
fille
. Il ré- 1. Brierre de Boismont, des Hallucinati
s prodromes qui annoncent les crises, demandait le compresseur qu'une
fille
de service lui appliquait; elle le gardait pendan
ssion des Ursulines d'Aix, cell||i!les Ursulii^s.tleLoudun, celle des
filles
de Sainte-Elisa-beth à Louviers. Enfin sans nous
uisinière, sous les traits delà mère et du frère de cette malheureuse
fille
^. » Au couvent de Nazareth à Cologne nous retro
e persistait à nier. La religieuse soupçonnée d'avoir ensorcelé les
filles
de Sainte-Brigitte fut enfermée dans les prisons
nt l'un des adjuvants les plus utiles du traitement. POSSESSION DES
FILLES
DE SAINTE-URSULE A AIX, 1609-1611 Vers la fin d
la proie des esprits déchus. Deux d'entre elles, Madeleine de Mandol,
fille
du sieur de la Pallud, gentilhomme provençal, et
s chantres et musiciens de Saint-Sauveur étant venus pour soulager la
fille
, et chantant un motet en musique, le diable se to
ments ont toujours continué à dîner et à souper de plus fort; dont la
fille
criait si haut qu'on entendait la voix de bien lo
liquer les os et bouleversant toutes les entrailles, au rapport de la
fille
: aussi entendait-on le bruit du mouvement.....
iées. Il indique avec pré-cision la place occupée par les démons. Ces
filles
, en effet, ressentaient en différents points du c
bord que c'était l'ombre de leur défunt confesseur qui lui dit : « Ma
fille
, n'ayez point peur, je suis votre défunt père qui
nt père qui vient vous visiter. Hélas, mon père, lui dit cette pauvre
fille
, que venez vous faire ici ? En quel état étes-vou
et demeura quel-que temps pleurant au pied de son lit. Enfin la dite
fille
épouvantée et le dit spectre lui commençant à dir
e pouvant plus supporter la présence du dit spectre, elle appelle une
fille
pensionnaire qui était en un autre lit proche du
contagion s'étendit et la plupart des religieuses, ainsi que quelques
filles
séculières également tourmentées par les esprits
lui demander pourquoi l'effet ne s'en était point ensuivi, à quoi la
fille
ne répondit que par un torrent de paroles impures
la tirer de la misère où elle se trouvait. Le démon qui possède cette
fille
est extrêmement rusé, dit alors l'exorciste, et l
lle avait envie de blasphémer. » L'on a fait après venir une petite
fille
religieuse qui s'est éclatée de rire en entrant d
ère à faire pa-» raître sa plus haute rage, secouant diverses fois la
fille
en avant et en arriére, » et la faisant battre co
ois-tu pas que je viens de le dire? Qu'alors il se retira et » que la
fille
revint à soi, et dit à Monsieur qu'elle se ressou
ubla; que son exorciste ayant commandé à ce démon d'approcher de la »
fille
, elle tomba dans une convulsion générale de tout
ons î commit quelque irrévérence contre cet adorable mystère : que la
fille
fut incon-» tinent jetée sur le carreau, où le di
jambes, qu'il y avait sept pieds de longueur d'un pied à l'autre, la
fille
n'en ayant que quatre en hau-teur : qu'après cela
s, p. 226. les membres : que l'agitation cessa peu après, et que la
fille
revint entièrement à elle, n'ayant le pouls pas p
re en outre avec une épingle, sans qu'il en sortit du sang, ou que la
fille
en fît paraître aucun sentiment : que Sabulon par
nt la sainte Messe... un crucifix se montra à elle, qui lui dit : «Ma
fille
, mon épouse, ma bien-aimée,je viens à vous pour v
e forme du crucifix lui dit, avec des paroles amoureuses : « Ma chère
fille
, mon épouse,donne-moi ton cœur, etc.. » Alors ell
ue Dieu lui avait fait la grâce de combattre toute la nuit. » Cette
fille
prit ensuite la résolution de faire une neuvaine
ser le tentateur impudique, en proférant ces douces flatteries : « Ma
fille
, mon épouse, je viens pour vous défendre, etc.. »
te tille aperçut un fantôme d'une beauté admirable qui lui dit : i Ma
fille
, n'aie point peur, je suis Marie, mère de miséric
ura jusqu'à une heure. Mais en même temps, ô providence divine, cette
fille
tomba dans des horreurs d'esprit, fureur et plusi
r plusieurs fois inobédiente et attachée à son sens, et voyant que la
fille
demeurait ferme, elle s'en alla comme par dépit,
a tout étonné, et ne savait que me dire sinon qu'il me réphqua : « Ma
fille
,vous savez qui je suis et qui sont mes parents; j
uanteur intolérable,et ce monstre rugissant comme un lion criait à la
fille
: Ça, ça, tu es à moi, l'ange du Seigneur t'a aba
ivantes (cité par Calmeil, loc. cit.). «..... Il y a environ quinze
filles
religieuses clans le couveot de Louviers, dit un
me que, dans la confrontation que l'on a faite d'elles avec une autre
fille
, qui a demeuré depuis plu-sieurs mois avec elles,
oignirent à leur examen extérieur, celui de l'intérieur de toutes ces
filles
, en les confessant durant tout le temps qu'ils fu
eur en fit Mgr l'évêque d'Évieux. Le second fait est : que ces quinze
filles
témoi-gnent maintenant, dans le temps de leur com
avec une audace et impudence incroyables. » ..... Parmi ces quinze
filles
, il y en a trois des plus célèbres, que l'on exor
se renversait sur le dos, la tête en bas, sans toutefois découvrir la
fille
, puis retournant la tête s'approchait de ladite g
tre assez à quelle épreuve était soumise l'imagination de ces pauvres
filles
. 2. Ne pourrait-on voir là l'action de l'attouc
Accaron, mais alors pleinement libre de son démon, Dagon cria à cette
fille
: « Si tu me tiens davantage et situ ne me laisse
situ ne me laisses, diantre, j'appellerai Accaron...» Et comme... la
fille
ne voulut pas quitter cette action de charité, Da
rs résistances et don-nant d'horriljles tourments et contorsions à la
fille
, jurant et protestant que jamais il n'obéirait...
elles ne dé-truisent pas le sujet... Et cependant nous voyons que ces
filles
sont saines, bien que depuis quatre ans elles aie
rement les démons, après leurs contorsions et agitations, mettent ces
filles
ainsi tourmentées en arc de cercle, ce qu'ils pra
tations. Il résiste fortement, il blasphème, il essaye, de retirer la
fille
, il la veut jeter par dessus un banc, lui plie la
dedans du chœur et la descend contrele plancher sans le toucher. Une
fille
vient pour lui sou-tenir la tête, la possédée est
son démon, appelé Asmodée, vint inopinément en rage, se saisit de la
fille
, et la laissant appuyée seulement sur le talon du
s, et en cet état le démon vomit force blasphèmes par la bouche de la
fille
» Un autre auteur dépeint ainsi les convulsions
efois jusqu'à trente ou quarante fois de suite devant et derrière, la
fille
demeurant à genoux et les bras croisés sur l'esto
naires, qu'elles ont été jugées passer non-seulement le pouvoir d'une
fille
, mais encore les forces de la nature : que la sœu
et autres savants députés par le roi sur la prétendue possession des
filles
d'Auxonne.) Près d'un siècle plus tard dans la
d'un siècle plus tard dans la paroisse de Landes, près de Rayeux, des
filles
pos-sédées présentaient de semblables agitations
de cercle. 11 est dit dans la relation des faits qui concernent les
filles
de Bayeux : « Elles aboient Le Gauffre rapporte
es du père Bernard et de saint François i\ s'est humilié, a laissé la
fille
, qui a communié paisiblement, a entendu la messe,
dans la plus grande rébellion qu'on puisse imaginer, pour empêcher la
fille
de communier, et, pen-dant tout ce temps-lâ, il f
lle de communier, et, pen-dant tout ce temps-lâ, il fit souffrir à la
fille
d'étranges contorsions, la jeta par terre plusieu
e de la raison et des sens. » {Le pour et contre de la possession des
filles
de la paroisse de Landes, diocèse de Barjeux. m.d
est passé, etc. loc, cit. p. 7, afin que sachant l'intérieur de ces
filles
et leur innocence lorsqu'elles seront dé-livrées
ère Esprit commandèrent à ce démon de la part de Dieu de laisser â la
fille
l'ouïe hbre... et qu'ehe leur en donnât un signe
dit : «... Puis n'a plus dit mot (en parlant du diable Putifar) et la
fille
est de-meurée comme en extase, la tête panchée to
st terminé par une attitude extatique. «.. Après l'exorcisme fait, la
fille
est tombée en extase, les mains élevées en haut;
es mains élevées en haut; et' l'on dit le Magnificat, durant quoi, la
fille
est revenue comme d'un profond sommeil . » 1. B
s 1857, des accidents d'apparences extraordinaires, chez deux petites
filles
très pieuses et intelligentes, marquent le début
r, c'était le 14 mars 1857, elle vit retirer de la rivière une petite
fille
qui avait failli se noyer. (Quelques heures après
eux autres fdlcs auraient la même maladie dans trois semaines. » Ma
fille
dit à son tour que le père de Perronne l'aurait a
le plus fort contingent. Dans les maisons oii il y avait plusieurs
filles
ou femmes, il était rare, si l'une devenait malad
existe que dans son imagination déjà malade et dont elle a peur. La
fille
B... (Jeanne), seize ans, entend une voix qui par
hamplanaz (un prétendu sorcier) lui a donné le mal, et qui dit : « La
fille
ne mangera pas, ne priera pas... » Et elle ne peu
Un autre homme, qui venait de chauffer son four,feignit d'y jeter sa
fille
; laguérison fut instantanée et radicale. Le sie
iUet, jour du départ, il arriva un événement..... Tout d'un coup ma
fille
devint d'une pâleur mortelle, une sueur froide lu
foncée que son visage; mais aussitôt que ce vomissement eut cessé, ma
fille
reprit un peu ses esprits et sa force. » Dans l
rapporte elle-même : « .....Vers le milieu de décembre 1731, dit la
fille
Fourcroy ^, je voulus me faire conduire au tomb
amé la faveur de passer la nuit auprès de la veuve Thévenet, ces deux
filles
passèrent toute la soirée à parler, à sauter, à p
sont en convulsion que dans leur état ordinaire. On voit jusqu'à des
filles
extrêmement timides, dont le fond n'est qu'ignora
tes ces réflexions, est-il possible de ne se point alarmer pour des
filles
chrétiennes, qui se familiarisent à des coups de
pliés, que des hommes, souvent jeunes (car il ne paraît point que les
filles
convulsion-naires les appréhendent), donnent sur
uelle idée de mollesse n'apcrçoit-on point dans celte situation d'une
fille
qui donne son corps à remuersous les yeux et entr
'is des pénitentes. C'était un spectable horrible de voir ces pauvres
filles
, à peine au matin de la vie, frappées de terreur,
s le comique le disputait à l'horrible. Les plaintes d'une très jolie
fille
agenouillée devant nous dans l'attitude de la 3Ia
100 appartenant au sexe féminin; et la plupart d'entre elles sont des
filles
de fabrique soumises aune mauvaise hygiène. Dans
rtiennent au sexe féminin. On trouve parmi elles un certain nombre de
filles
de fabrique, dont la nourriture se compose ericlu
t par les rues et les routes, le bonhomme les lui amenait, disant : «
Fille
, je t'amène et je t'apporte gain. » Elle les rece
de cacher sous la couverture ses mains stigmatisées, comme une petite
fille
qui a taché ses manchettes avec de l'encre et qui
ortés en haut et un peu â droite. L'expression delà figure de lajeune
fille
est celle d'une attention pro-fonde, qui l'absorl
gne, 1550-1560.................................. 023 Possession des
filles
de Saint-Ursule à Aix, 1009-1511.................
: au vainqueur ap- partiendra le trône de Latinus et la main de sa
fille
Lavinia. Tout est préparé pour cette lutte déci
le il appartenait était composée de 4 enfants. « Le plus vieux, une
fille
de 18 ans a de bonnes dents, mais des restes d'
e, présente une hémiplégie incomplète ; malformation des dents. Une
fille
de 12 ans a des malformations dentaires et de l
n geste hiératique, et tient dans sa main gauche celle d'une petite
fille
à longs cheveux. Un diablotin sort de sa bouche.
fresque a été restaurée en 1881 par MM. Jacquier frères. La petite
fille
possédée est sans intérêt médical (signalé par
t de péritonite subaiguë à 12 ans ; 5° fausse couche de 6 mois ; 6°
fille
vivante âgée de 9 ans, très nerveuse, santé déb
dessus. (3) BAnnE. Paralysie des membres supérieurs chez une petite
fille
atteinte de sypliilis héréditaire. Bulletin de
e actuellement âgé de 23 ans 1/2, étant né en~octobre 1872 ; 4° une
fille
de 20 ans bien portante ; 5° un garçon de 14 an
ts qu'a eus sa mère, 4 seulement sont vivants, deux garçons et deux
filles
. Un des frères de la malade aurait perdu plusieur
rds, dindons, pigeons, picorent le grain que leur a jeté une petite
fille
en robe jaune, occupée pour le mo- ment à faire
ant la décou- verte de Moise, un nain fait partie de la suite de la
fille
de Pharaon.' Dans ses tableaux du musée de Madr
ulu se charger de la préparation des phototypes. LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOSMES D'après JEAN-FRANÇOIS-CLÉMEN
nommé Jacques Martin, qui, de sa femme Junille Chai- gnet, eut cinq
filles
. L'une d'elles, Geneviève, alors âgée de trente
ds, la tète en bas. Quand on la retournait, elle était guérie. La
fille
du tireur de pierres de St-Géosmes, d'humeur tran
d'un bel exemplaire du livre publié par Morand sur La maladie de la
Fille
de St-Géosmes, petit volume in-12, relié en vea
dans le village, se montrait plein de compassion pour cette pauvre
fille
si cruellement maltraitée par le sort. Bientôt
'en émut dans le pays. En vérité, n'était-il pas étrange de voir la
fille
d'un tireur de pierres incar- ner en elle une t
nos docteurs ! Ils sont toujours prêts à traiter - LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOSMES 225 . d'imposture les maux qu'
e à quelque diabolique machination. - « Ne fallait-il pas que cette
fille
eût le diable au corps pour entretenir celle mi
, lorsqu'il vient à s'installer dans le corps d'un mortel. Bref, la
fille
du tireur de pierres de St-Géosmes sentait un peu
aibles, qu'il fallut abandonner ce projet. , Or, la maladie de la
Fille
de St-Géosmes mettait en révolution tout le dio
pensa que « la médecine jouissait en cette affaire LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOSMES 227 de la prérogative qui lui
issance dans son corps,». C'était franchement accuser de duperie la
fille
du tireur de pierres de St-Géosmes. Les admirat
calculeuses, il était tout désigné pour éclaircir le mystère de la
Fille
de St-Géosmes qui mettait en rumeur les habitan
e rare prudence et un bon sens digne des plus grands éloges. · La
Fille
de St-Géosmes, d'un abord difficile, très méfiant
Il épousa, le 2 : ; juin 1170, Louise- Adéfaïde-Justine de Marine,
fille
d'un agent de change. Il mourut à Paris, le 13 ao
t de change. Il mourut à Paris, le 13 août 1784. LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOSMES 229 diplomate, commença par co
nes notables de la ville qui avaient suivi de près la maladie de la
Fille
de St-Géosmes. - Tranquillement, il se mit à ét
n trouve dans le sol des alentours. « J'ajoute que la maladie de la
Fille
de St-Géosmes n'a aucun rapport avec les affect
i valoir ultérieurement, j'affirme que les pierres ren- dues par la
Fille
de St-Géosmes n'ont pas pris naissance dans son c
s les commérages. Les médecins surtout se trouvaient satisfaits. La
Fille
de St-Géosmes ne se donnerait plus la fantaisie d
utôt salutaire sur sa maladie. (1) « II est très possible que cette
fille
ait contracté successivement et par gradation l
r par l'opération, ainsi que l'on a déjà vu dans tous les temps des
filles
hystériques imaginer différents stratagèmes pour
ration, ou des aumônes ». (Extrait du Jugement.) LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOSMES 231 Elle cessa, dès ce jour, d
celle de sa visite à Geneviève, Morand publia sur la maladie de la
Fille
de St-Géosmes un premier opuscule inti tulé : Ecl
opuscule inti tulé : Eclaircis- sement abrégé sur la maladie d'une
Fille
de St-Géosmes (Paris, 1754, in-4°). Puis, comme
CUEIL pour SERVIR d'éclaircissement détaillé sur la maladie de la
Fille
d'un tireur de Pierres du Village de St-Géosmes
agneraient t à être répandus aujourd'hui encore. L'histoire de la
Fille
de St-Géosmes reçut un accueil des plus flatteurs
Roi de Pologne, Censeur Royal des Livres », raconte l'histoire de la
Fille
de St-Géosmes. Cette curieuse observation mér
vrose ont revêtu les formes les plus variées. I Geneviève Martin,
fille
de Junille Chaignet et de Jacques Martin, laboure
autres symptômes qui paraissaient épileptiques. . LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOSMES 233 Ces nouveaux accidents qui
ient leurs Cours naturel, surtout si ce rêve était LA MALADIE DE LA
FILLE
DE. SAINT-GÉOSMES 235 accompagné de quelque eff
'a plus voulu être opérée par ce chirurgien, et le LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAiNT-GÉOSMES 237 soir qu'il se trouva une s
e a én3 animée de tous les temps, en faisant observer de près cette
fille
pour \ constater son état, mais les douleurs do
laitage froid ou chaud; on a remarqué qu'il passe LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOSMES 239 ' mieux lorsqu'il est froi
à plusieurs reprises, jusqu'à dix heures du soir. LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAIVT-GÉ0311ES 241 1 Je la trouvai alors dan
entreprit ensuite une étude comparative des pierres rendues par la
Fille
de St-Géosmes et des calculs des reins et de la v
ion, d'une logique limpide et documentée, il accu- LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOS)IES 243 mule les arguments scient
né- ment les calculs vésicaux; elle a pu devenir excessive chez une
fille
qui, progressivement, introduisit dans ce canal
ffec- tion calculeuse des reins ou de la vessie. LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOSI)IES 245 C'est alors que Morand f
alors que Morand formule son diagnostic sur l'étrange maladie de la
Fille
de St-Géosmes. On reste surpris de la netteté e
ut ce que l'on peut déduire, dit-il, des symptômes observés dans la
Fille
de St-Géosmes, ne porte pas exclusion d'un état d
re des accidents hystériques qui constituent toute la maladie de la
Fille
de St-Géosmes est en effet trop évidente pour qu'
'il n'en faut pour affirmer la nature du mal dont était atteinte la
Fille
de St-Géosmes. ' Sur les troubles sensitifs et
ant une année, les vomissements de sang cessèrent. LA MALADIE DE LA
FILLE
DE S\r : "<T-GÉOSIF.S 247 Us reparurent, con
ligieuse entretenue par les prêtres qui fréquentaient assidûment la
Fille
de St-Géosmes, joua certainement un rôle dans l
II, p. 399 et suiv. (3) Loc. cit., p. 406. / . LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOSMES 249 A cet égard, Geneviève res
casion d'observer des malades présentant les mêmes symptômes que la
Fille
de St-Géosmes. Les douleurs vésicales de Genevi
pas voir signaler l'hématurie chez une malade aussi féconde que la
Fille
de St-Géosmes en troubles vaso-moteurs hystéri-
are il est vrai que l'oedème unilatéral ou localisé. Le cas de la
Fille
de St-Géosmes vient s'ajouter à ces exemples. Che
e, Loc. cit., p. 407. ' (2) Loc. cit., p. 397. ` LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOSMES 251 lombaire. Il est vrai que
Enfin, pour terminer, il nous reste à parler de l'état mental de la
Fille
de St-Géosmes. Les stigmates psychiques de l'
r ». Il nous paraît impossible de juger plus sainement le cas de la
Fille
de St-Géosmes et de faire plus large la part de
mollissement général des os. Paris, 1 î;i2, in-12. LA MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOSnILS . 253 naturelle, etc. (1). Ma
aate2cx (2). - . A ne considérer que l'histoire de la maladie de la
Fille
de St-Géosmes,' il nous semble qu'un respectueu
de mesquins intérêts. OBSERVATIONS COMPARATIVES. L'histoire de la
Fille
de St-Géosmes n'est pas unique en son genre. Mo
ts se rapprochent plus directement du cas de Geneviève Martin. La
Fille
de Crémone est celle qui paraît avoir le plus de
Crémone est celle qui paraît avoir le plus de ressemblance avec la
Fille
do St-Géosmes, pour les différents états par lesq
rendre des corps étrangers ; parmi ceux que vomissait réellement la
fille
de Crémone, et qu'elle jettait par l'anus il y a
veront de la satisfaction à lire l'histoire de la maladie (1). La
Fille
de Crémone, on le voit, surpassa'Geneviève Martin
ndissÍmum D. D. Lilla. Episcoparunz Cremonx, etc. LA. MALADIE DE LA
FILLE
DE SAINT-GÉOSMES 255 tant qu'on lui accorda les
enseignementsqu'on puisse tirerde la lec- ture de la Maladie de la
Fille
de St-Géosmes. Enfin, il est de toute justice q
te particularité, en ce qui con- cerné la paralysie, chez la petite
fille
que je vous ai présentée. Si j'ajoute que les p
cation de la méthode de Roentgen, 1. MEIGE (Henry). Maladie de la
fille
de Saint- Geosmes, 223. Mette (Henry). Les na
es samedis où nous avons des visiteurs, nous réunissons les petites
filles
de la Fondation Vallée avec les garçons de Bicê
été organisée, répète- rons-nous encore, elle devait être pour les
filles
ce qu'est' la colonie de Vaucluse pour les garç
ygiène sexuelle, et pour les petites gâteuses et pour les petites
filles
pubères. Les enfants prennent leurs douches il
psychologique. Il y a des divisions spéciales pour les garçons et les
filles
, pour les riches et les pauvres. Les enfants en
de 4 à 12 ans. Il y est annexé des classes externes pour garçons et
filles
de G il IG ans. Ou apprend un métier aux garçons,
les de G il IG ans. Ou apprend un métier aux garçons, le ménage aux
filles
. Les enfants indigents peuvent y être maintenus p
ation de la main, et surtout sur le travail manuel pour les petites
filles
. xc Traitement ET éducation des idiots. Le mé
s avec 4.183 classes, dont 2.029 pour les garçons, 2.041 pour les
filles
et 113 classes mixtes. Chaque classe comprend e
écoles de garçons, les dames sont en majorité dans les écoles de
filles
. Les icliots complets vont dans les grands étab
ons) ; 453 lits à Bicêtre (G.) ; 200 lits il la Fondation Vallée (
Filles
); 165 lils il la Salpêtrière (F.), soit, au tot
ondation Vallée et le quartier spécial de la Salpé- trière pour les
filles
. Les vacances sont rares dans ces services et l
asile-école pour les garçons, l'agrandisscment de la section des
filles
de la Salpêtrière ou de la Fondation Vallée. En c
certain nombre de lits. Nous n'avons rien à dire sur le passage des
filles
de 18 ans de la Fondation Vallée il l'asile de
ux grand-oncles paternels : l'aîné a 75 ans, bien portant, a deux
filles
mariées, sans enfants, en bonne santé; l'autre es
ants bien portants ; pas de convulsions. Le qua- trième enfant, une
fille
, est devenue epileptique après une vive frayeur
de 30 ans et demi, sans accidents nerveux, a eu deux enfants : une
fille
morte du croup, pas de convulsions, l'autre, ga
° Une fausse couche à deux mois, sans cause connue; - 2° Hene; 3°
fille
, 15 ans, en bonne santé, intelligente, pas de con
e santé, intelligente, pas de convul- sions ; - 40 André ; - 5° une
fille
de 12 ans, forte, intelli- gente, pas de convul
e la bouche, buvait beaucoup ; il a essayé de se pendre. Une de ses
filles
a eu 13 ou 14 enfants qui sont presque tous mor
ou 14 enfants qui sont presque tous morts de méningite ; une autre
fille
est morte de tuber- close pulmonaire à 35 ans.
le morte à 76 ans d'une fluxion de poitrine laissant un fils et une
fille
, le fils a fait de nombreux abus de boisson, s'
ait de nombreux abus de boisson, s'en va d'une maladie de coeur. Sa
fille
, bien portante, est religieuse à Toulouse ; « e
aralysie, est restée plusieurs jours malade. Elle a eu deux petites
filles
mortes de méningite et un petit fils bossu et a
t jamais eu d'accidents nerveux, mais était rhumatisant. Il a une
fille
, bien portante mais de petite taille. Elle a eu 4
is de petite taille. Elle a eu 4 enfants : trois bien portants, une
fille
est morte de méningite. Les cinq tantes ont une
, un 2me fils bossu, coxalgique est mort de méningite, deux petites
filles
sont mortes de méningite également. Un frère mo
une fausse couche de six semaines avec pertes abondantes; 5° une
fille
de 8 ans qui n'a jamais eu de convulsions ; très
tte enfant, car à chaque instant les parents viennent réclamer leur
fille
pour l'avoir quelques jours auprès d'eux. Octob
té. Le père avait sept ans de plus que la mère. Neuf enfants : 1°
fille
, 18 ans, scrofuleuse, actuellement en bonne san
ctuellement en bonne santé, pas de convulsions; 2° notre malade; 3°
fille
, 14 ans, jamais de convulsions, bien portante,
sions, pisse encore au lit, va à l'école où il n'ap- prend rien; 70
fille
, morte accidentellement à 11 mois en tom- bant
cidentellement à 11 mois en tom- bant dans un seau plein d'eau ; 80
fille
, 5 ans, n'a jamais rien eu; 9° fausse couche au
ait eu deux enfants, un garçon, mort de convulsions à 15 jours, une
fille
, bien portante, âgée de 23 ans, qui aurait eu d
ris , mère de Châtellerault). Deuxen/àfifs : Io le malade, 2° une
fille
de 15 mois (mars 1901) bien venue, pas de convu
s recherches ont porté sur 1.713 (le nos obser- vations (garçons et
filles
) ; 46 cas de consanguinité ont été relevés, soi
sait des excès de boissons relativement modérés quand il a conçu sa
fille
. Ses excès ont augmenté quand il est venu de la c
84 £ IDIOTIE 1111CROCEPHALIQUE. de deux ans. Deux enfants : 1° Une
fille
morte à six mois d'une méningite. 2° Notre ma
u cours de l'allaite- ment et ultérieurement. 2.072garçons et 482
filles
, idiots, épileptiques, imbé- ciles ou hystériqu
ort à 28 ans d'une chute d'arbre, l'autre est âgé de 30 ans, a deux
filles
intelligentes, n'ayant jamais eu de convulsions
p intelligent pour son âge. » Le deuxième frère, âgé de 4 ans, deux
filles
, intelligentes, n'ayant jamais eu de convulsion
mère a 2 ans 1/2 de plus que le père. Deux Enfants : 1° garçon ou
fille
mort à 4 mois de la. cho- lérine ; 2° notre mal
n compare son crâne à celui d'un garçon normal de 10 ans et d'une
fille
normale du même âge, que nous pla- çons sous vo
lie. 183 allons vous montrer huit microcéphales, 7 garçons et une
fille
, en commençant par deux des malades de 1889. (O
07 de 10 à 15 ans; De 16 à 20 ans il faut diviser par 1,08 pour les
filles
et 1,15 pour les garçons. Quand on a évalué a
rants pour leur traitement. Observation '. Folie communiquée par la
fille
à sa mère. 1. - Agent actif. Dégénérescence men
de pour des phénomènes délirants nés sous l'influence de ceux de la
fille
. Dans ses antécédents personnels on relève une
vidus font partie d'une véritable asso- ciation de souteneurs et de
filles
publiques qui les persécutent, mais elle ne dit
le service de notre maître M. Magnan. La mère qui avait suivi sa
fille
dans son évolution délirante, était entrée dans
et idées de persécution. Agent passif d'un délire communiqué par sa
fille
. Mme G..., cuisinière est âgée de soixante-quin
ément de l'année 1899, époque à laquelle elle vient habiter avec sa
fille
qui travaille chez elle. Elle fait de loin en loi
ncore quel- ques extra, mais reste la plupart du temps auprès de sa
fille
dont elie fait le ménage. Elle a toujours été
s habitudes alcooliques. Elle vivait donc depuis un an déjà avec sa
fille
lorsque cette dernière commença en janvier 1900
nce à avoir les mêmes préoccupations. Elle se demande d'abord si sa
fille
n'a pas raison, s'il n'y a pas effectivement de
es suit partout. t. Ils pénétrent chez elle quand elle sort avec sa
fille
, défont les lits. salissent leur eau etc. » Com
, elle conclut qu'elles ont affaire à une bande de souteneurs et de
filles
publiques qui s'entendent pour les faire arrête
frapper au plafond; » c'est l'homme en question qui dit derrière sa
fille
: « j'ai tout ce qu'il faut pour la servir, elle
et actif. Elle les a entendu aussi se vanter d'avoir couché avec sa
fille
après l'avoir endormie avec du chloro- forme, e
des hallucinations, elle ne combat plus les idées délirantes de sa
fille
; l'une et l'autre se communiquent leurs persécu
re se communiquent leurs persécutions, mais tandis que celles de la
fille
s'incorporent au délire delà mère, la fille res
tandis que celles de la fille s'incorporent au délire delà mère, la
fille
reste indifférente à celles de sa mère. C'est a
produit le même effet que la résistance de la mère au délire de la
fille
pendant les premiers mois. En effet, c'est à part
écembre, l'état morbide ne fait qu'augmenter, jusqu'au moment où la
fille
porte plainte au commissaire de police. La mère
ambes depuis dix mois, du tremble- nent des doigts. Séparée de sa
fille
dès le premier jour, elle présente après la pre
ui parle de ses idées de persécution, elle met toujours en avant sa
fille
dont elle raconte toutes les misères. Ses halluci
s le service. A cette époque on lui fait voir intentionnellement sa
fille
avec laquelle elle reste une matinée presque en
ix qui sortait du plafond lui dire : c on va couper les mains de ta
fille
, etc. » Les hallucinations delà vue restent au
de persécution. A la fin de janvier après une deuxième visite à sa
fille
, elle présente une nouvelle crise halluci- cina
l'asile de Maison- Blanche le 16 février 1901 en même temps que sa
fille
. Le certificat de transfert porte : Léger affai
séjour fut Maison-Blanche 111 ? G..., a toujours été séparée de sa
fille
qu'elle ne voyait que de temps à autre pendant
les, qu'on lui garde son argent. On lui a pris son petit-fils et sa
fille
; C'est la police. » Elle conserve ses premières
e conserve ses premières idées de persécution. Elle met toujours sa
fille
eu avant dans le récit de son délire. Séjour
lonie. Pendant les premiers jours, elle demande des nouvelles de sa
fille
qu'on martyrise, et qui est peut-être morte là-
e décembre 1901, elle est tout à fait acclimatée, parle moins de sa
fille
. Il faut l'interroger à ce sujet, elle n'en parle
isonnement débiles. A cette époque, elle reçoit des nouvelles de sa
fille
et apprenant qu'elle a peur, toujours peur, ell
ut le monde a ses peines sur la terre, que chacun a sa voix, que sa
fille
se mette à aller bien et tout le monde sera tra
né de nouvelles. Elle conclut : « ici on est bien tranquille, si ma
fille
était là, on travail- lerait toutes les deux da
volait la soie du magasin où elle était employée; plusieurs fois sa
fille
, qui con- naissait son habitude, reportait la s
ant l'intention de se jeter sur les rails au passage d'un train. Sa
fille
, qui comprit son dessein, courut après elle et ar
ce, pleure par intervalles. M.Louise F... a deux enfants dont une
fille
de ^quatorze ans, nerveuse, souffre de douleurs
lumer un incendie. La malade avait surtout la crainte de blesser sa
fille
ou une personne 'Cette malade. selon les rensei
lui, et quand elle s'éloignait, elle se retournait, demandant à sa
fille
qui l'accompagnait s'il ne lui était rien arriv
o2trnal. P. Keraval. XIII. Deux cas de nystagmus chez la mère et la
fille
: par M. Jac- QUE.1U. (Société des Sciences méd
cas typique de porencéphalie traumatique constaté chez une jeune
fille
de vingt ans. A l'âge de dix-huit mois, la malade
ne, II. 204. 5 Vies, II. Il 11 s'agit des Annonciades célestes ou
Filles
bleues, institution fondée à Gênes en 1601 par
vait commis en signant le formulaire. Suggestibilité. C'était une
fille
simple et ignorante « n'ayant jamais été curieu
ÉS CLINIQUES DE L\ NÉVR-11,GIIP FACIALE. 341 La malade a une petite
fille
âgée actuellement de cinq ans et n'a jamais eu
ur ! il n'y a plus de morale, plus rien... Je n'aime plus ma petite
fille
comme autrefois. Elle n'apas bon coeur. Elle a
ant a remarqué un affaiblissement visible de l'intelligence chez sa
fille
; avant la fillette n'était pas gâteuse, à prése
e La Lama, ancien député et sénateur, accusé de séquestration de sa
fille
, âgée de quatorze ans. Celle-ci est la nièce de
ues, déjà condamnée pour exci- tation de mineures à la débauche. La
fille
de M. de La Lama a déclaré au juge qu'on l'obli
er l'état ecclésiastique. Gentien Thomas Il mit encore trois de ses
filles
pensionnaires à l'abbaye de Port-Itoval, et, à
ente de 100 écus. Sa femme \laynlene Beuselin; née en 1606, était «
fille
d'une mère qui lui di'-oit qu'on ne jeûnoit plu
En 1648 (quarante-deux ans), à l'occa- sion de la profession de sa
fille
Alagdelène, elle donna 1000 francs de toile à l
uselin eurent neuf enfants, cinq fils, dont deux jumeaux, et quatre
filles
. L'aîné des fils, Gentien Thomas III du Fossé,
ncle de la mariée. Augustin Thomas eut de sa femme un garçon et une
fille
, qui furent élevés dans la piété. - La fille,
mme un garçon et une fille, qui furent élevés dans la piété. - La
fille
, Catherine-Angélique Thomas du Fossé, fut tenue s
urs Dieu de l'affermir dans cette sainte résolution 6. » Des quatre
filles
de Gentien Thomas II, l'aînée seule se maria. L
était très charitable. Etat général de Magdeleine Thomas du Fossé.
Fille
d'un dévot et d'une dévote ; ayant cinq frères,
octobre 1696. Intelligence et caractère. - C'était une « fort bonne
fille
, fort humble et pleine de charité2 ». Mais, bie
rt grande tristesses ». Elle finit par rétracter, et fut exilée aux
Filles
de Sainte-Marie de Saint-Denis. Lorsqu'elle y rec
se et toute chrétienne dont l'on avoit accou- tumé d'y recevoir les
filles
à la profession religieuse. Jamais les vues hum
les vues humaines n'entroient en considération pour recevoir une
fille
. Ni la naissance, ni les grands biens, ni le créd
.. Quand donc on croyoit découvrir des marques de vocation dans une
fille
, la maison se tenoit heureuse de pouvoir l'adme
véritable esprit de désintéressement et de pauvreté, les parens des
filles
qui veulent s'y engager, n'en sont que plus oblig
. Elle refusa de signer celui de 1665, et fut exilée au couvent des
filles
de Sainte-Marie de Saint-Denis, dont les novice
s Tournelles Hérédité. Marguerite-Angélique Giroust des Tournelles,
fille
de «.parens très chrétiens 1 », avait deux frèr
gnie qu'il commandoit étant entrée pour se loger dans une abbaïe de
filles
, d'où toutes les religieuses avoient été con- t
n, parce qu'elle n'avoit point de parens dans le païs. Cette pauvre
fille
n'ayant pas eu le tems de délibérer où elle pou
ération. Grand'mère : présentations anormales. Deuxième génération.
Fille
: avortements, hydramnios, etc. Troisième génér
Si l'on conçoit, en effet, qu'un père dégénéré puisse engendrer une
fille
douée d'un bassin vicieux, on ne saurait admett
Incapacité d'orientation topographique absolue. Habitant chez sa
fille
depuis six mois, le malade est incapable de se di
était transmise de la mère au fils et plus rarement du père à la
fille
. Les rapporteurs pensent que les personnes, souff
alade (persécuté hypocondriaque), ancien instituteur et du côté des
filles
la religieuse surveillante de la section. Le no
spect de la section des garçons est plus satisfaisant que celui des
filles
. La première est aux mains d'un ménage dont la
nt eu plusieurs enfants qui étaient morts en bas âge. Sa mère était
fille
unique, elle est morte à trente-huit ans d'une
aient tout aussi indifférents au point de vue sexuel que les jeunes
filles
; et elle ne distinguait pas plus les adultes en r
einte. La grossesse évolua normalement, elle accoucha à terme d'une
fille
bien confor- mée qu'elle ne voulut pas allaiter
l'angoisse des rapports sexuels. Elle se voua à l'éducation de sa
fille
, et les soins quelle en prit l'aidèrent à résis
eut dire que sa moralité s'affirme dans le motif de ses aveux. Sa
fille
qui avait été convulsive dans sa première enfance
and'mère y voit une cause, et elle tient à ce qu'on n'accuse pas sa
fille
d'une négligence d'éducation : c'est d'elle que t
ciale avec présentation d'une malade. Dr L. AIinor. Il s'agit d'une
fille
de trente ans. chez laquelle commença à s'augme
rladoitl(41-d. Nous avons signalé le vol com- mis dans l'école des
filles
de Livry, canton de Caumont, où un cambrioleur
sayé d'enlever le produit déposé au fond de la cour par les petites
filles
fréquentant l'école. Ce singulier voleur est au
ours quelque chose. (Le Bonhomme normand, 20-26 mars 1903V Pauvre
fille
. Une fille Désirée Dubosq, 24 ans, journalière à
e chose. (Le Bonhomme normand, 20-26 mars 1903V Pauvre fille. Une
fille
Désirée Dubosq, 24 ans, journalière à Pont-l'Ev
arets du quartier, si bien que le pauvre petit est mort de faim. La
fille
Dubosq a été pour- suivie et condamnée à un moi
mois de la même peine pour homicide par imprudence. Mais, comme la
fille
Dubosq a été déjà enfermée dans une maison d'al
par Guil- main, 296. Nystaguus. Deux cas de chez la mère et la
fille
, par Jacqueau, 183. Obsessions. Note sur l'év
aréme (1 20 enfants) suivis d'exercices de danse en commun avec les
filles
à la Fondation Vallée ; deux matinées données p
l'année 1894. Des bidets sont installés pour nettoyer les petites
filles
gâteuses et, à l'occasion pour les jeunes fille
e : , Améliorations diverses. ' ' , n . Distractions. Les petites
filles
de la fondation Vallée ont participé en 189 't,
a Mi-Carême. De môme aussi que les années précé- dentes les petites
filles
valides de la Fondation ont assisté à toutes le
ondation Vallée un mano- pan qui permet do faire danser les petites
filles
chaque dimanche après la visite de leurs parent
es six mois depuis 1879, chez les garçons de Bicêtre, et chez les
filles
de la fondation Vallée depuis 1890, n'ont jamais
vous aurait informé que j'aurais rapporté que vous aviez visité nos
filles
en tête à tête. J'oppose le démenti le plus for
, parait-il, attribué à M. Robin contre M. Bourneville au sujet des
filles
. Je déclare que personnellement je n'ai rien ap
nous recommandons à nos internes de ne jamais examiner les petites
filles
sans que la surveillante, une infirmière et mêm
es sexuelles, qui amène également de la leucorrhée chez les petites
filles
, en a parfois été la cause première. Ces mauvai
anée, en y ajoutant même l'inspection de la vulve, chez les petites
filles
, ' souvent atteintes de leucorrhée, et celle de
l'un à Bicêtre pour les garçons, l'autre à la Salpêtrière pour les
filles
, et, dans ce dernier, M. le docteur Jules Voisi
les jours, dans tous les hôpitaux, on se livre, sur les femmes, les
filles
, à des examens autrement sérieux que ceux dont
aît nécessiter une prompte modi- fication : c'est celui des petites
filles
gâteuses. Ce dortoir est trop exigu; la literie
u (1). Je n'ai jamais eu de difficultés que pour quelques petites
filles
qui avaient vagabondé et étaient déflorées. Je
onsanguinité. Inégalité d'âge de quatre ans. [Cinq enfants : 1° Une
fille
morte à 3 semaines des convulsions ; 2° notre m
jambes tordues et n'a jamais marché ; les bras sont inertes (1); 5°
fille
âgée de 21 mois qui commence à peine à parler (
uels il a tordu les pattes. Il recherchait la compagnie des petites
filles
et se livrait sur elles à des attouchements obs
ts de Vaucluse, voté l'amorce d'un asile-école pour les peti- tes
filles
. Mais, aujourd'hui, les hommes qui compo- sent
, que le reste du corps, aussi bien chez les garçons que chez les
filles
, en raison des érythèmes qui peuvent se produir
se produire dans l'aine chez les deux sexes, à la vul- ve chez les
filles
, sous le prépuce chez les garçons. Ces examens
, Tante paternelle, arriérée : qui a eu un garçon arriéré et une
fille
idiote et paralysée. Mère, migraineuse ; dispa-
que le père de l'enfant et a eu 4 enfants parmi lesquels était une
fille
idiote et paralysée. Celte fille est morte d'ac
4 enfants parmi lesquels était une fille idiote et paralysée. Celte
fille
est morte d'accident à 10 ans : « elle est tomb
n portants. Tante paternelle morte à 00 ans ? Cette tante a eu deux
filles
: l'une d'elles s'est suicidée en apprenant que
ne fausse coucha do 3 mois survenue à la suite d'un effort ; 2° Une
fille
morte à 10 jours de diarrhée Infantile. 3° No
paternels. Un frère est mort d'uneiluxion de poitrine, laissant une
fille
en bonne santé, ainsi que ses enfants. Un autre
ans, un troisième vers GO ans d'une fluxion de . poitrine ; une des
filles
de ce dernier est morte à 25 ans de la poitrine
fluxion de poitrine; un 4 ? d'une tumeur de cou. Celui-ci a eu deux
filles
, mortes de la poitrine. Trois Innlex paternelle
te d'une pneumonie, l'autre de plilli ixic. Ce dernier a laissé une
fille
qui serait malade de la poitrine ; et aurait pe
sé une fille qui serait malade de la poitrine ; et aurait perdu une
fille
d'une méningite à l'âge de (S mois. l'as de lau
Brives, mère d'Orléans). Inégalité d'âge de ans. îi enfants : 1"
Fille
, 31 ans, en bonne sauté, sans convulsions de l'
ipalement où nous recevons des visiteurs, nous réunissons les petites
filles
de la Fondation Vallée et nous les faisons chante
t, tous ces exercices devraient être exécutés dans tous les lycées de
filles
et garçons et dans les écoles primaires. La dépen
. — Une épidémie de varicelle ayant porté sur 24 cas (17 garçons et 7
filles
) a débuté le 24 juin et s'est terminée le 27 déce
janvier 1905, il restait dans le service 11 teigneux (7 garçons et 4
filles
). A la fin de l'année il ne restait plus un seul
e simultanée à ces réu-nions des enfants des deux sexes., les petites
filles
clo la Fondation Vallée ont participé en 1905, à
ygiène sexuelle, principalement pour les petites gâteuses et pour les
filles
pubères. Les enfants pren-nent leurs douches à la
.... Bains de pieds 36.226 2.893 Service dentaire. — Toutes les
filles
sont exami-nées au point de vue de leur dentition
e do l'an dernier, nous ajouterons les 138 entrées de cette année (46
filles
et .92 garçons), soit un total do 3.271. Tablea
s ajoutons les 7 cas nouveaux, relevés sur les 138 entrées de 1905(46
filles
et 92 garçons) nous voyons : 1° Que ces 150 fam
thalmie purulente. Père excès de misions. 1 g. détraqué. boisson,
fille
morte on ne sait de 1 g. très faible de constitu-
OSSESSES. DÉCÉDÉS. VIVANTS. ~ I Bru............. Polisseur » 11 1
Fille
morte à H mois de 1 Garçon et 1 Fille bien Père a
u............. Polisseur » 11 1 Fille morte à H mois de 1 Garçon et 1
Fille
bien Père alcoolique sur métaux. ]a coqueluche.
ère alcoolique sur métaux. ]a coqueluche. portants. invétéré. : 1
Fille
morte,,à.J8 mois de N. m-;-,-Epilepsie. la roug
té, trois mois (?). Chali,........... Tourneur » 7 „ .[ Garçon et 5
Filles
bien » sur cuivre. portants. N. m., Epilepsie
olisseuse. 5 1 garçon mort de méningite. 1 Gnrçon bien portant. » 2
Filles
un peu nerveuses. „ N. m., Epileptique. Baut.
elassier. Matelassière. 11 3 enfants morts de convul- 1 Garçon et une
Fille
très Père et Mère sions. nerveux. alcooliques.
et Mère sions. nerveux. alcooliques. 3 fausses couches. 2 autres
Filles
bien portan- tes. AT. m., Débilité mentale, E
able. Itzik............ » Chiffons. 11 2garçons morts de scarlati-2
Filles
et 2 Garçons bien » ne à 10 et 22 mois. portant
illité. » en bâtiments. d'entérite. Harp............ Fondeur » 1 (
Fille
morte à 2 ans de! Fille bien portante. » en car
. d'entérite. Harp............ Fondeur » 1 (Fille morte à 2 ans de!
Fille
bien portante. » en caractères. rougeole. AT. m
eptique. Prév............ Chiffons. 4 1 garçon décédé à 8 mois de 1
fille
. 16 ans, chétive. Père alcoolique, méningite. 1
tincts, onanisme. générale. Eai.....?........ » Plumassière. 3 1
Fille
très nerveuse. » 1 Garçon bien portant. N. m.,
Epilepsie. Eich............ Mouleur » 3 ' ëarÇOn mort de méningi- 1
Fille
bien portante. Père alcoolique. en cuivre. ^ te
ÈRE. GROSSESSES. DÉCÉDÉS. VIVANTS. Noe............. » Gaînière. 4 1
Fille
morte à 4 mois, tuber-1 Garçon bien portant. «
is, tuber-1 Garçon bien portant. « ouleuse. N. m., Imbécillité. 1
Fille
morte à 3 mois, on ne sait de quoi. Fria.......
........ » Photographie. 2 » Ar. m., Idiotie. Père un peu (Ether) i
fille
, 2 ans 1/2, bien por- alcoolique. ________ _ _ ta
N. m., imbécillité. » sur cuivre Lanf............ Polisseur » 2 1
fille
morte à 6 mois du N. m., idiotie. Père alcoolique
Ar. m., idiot. Bidoi........... Plombier. » 5 1 fausse cou che. 1
fille
bien portante. » 1 garçon mort du croup. N. m.,
4 1 fausse couche à 4 mois. 1 garçon bien portant. » sur cuivre. 1
fille
morte de méningite. N. m.. idiotie mongolienne.
« N. m., imbécile. » en bâtiments. Roug........... Peintre » 5 1
fille
morte du choléra. 1 fille bien portante. Père alc
bâtiments. Roug........... Peintre » 5 1 fille morte du choléra. 1
fille
bien portante. Père alcoolique en bâtiments. 1
en bâtiments. Lhcrm.......... Tabac. Tabac. 10 '2fausses couches. 1
fille
bien portante. » I g. mort-né. iV. m., imbécile
05, 54 hémiplé-giques .: 40 sur 438 garçons; 14 hémiplégiques sur 230
filles
. Dans 31 cas l'hémiplégie s'est compliquée d'ép
s diverses dont étaient atteints ces malades. Hommes Maladies. et
Filles
. Garçons. Hystérie et hystéro-épilepsie---- »
garçons, organisé dans le voisinage la Fondation Vallée où il y a 235
filles
, établissements, consacrés aux enfants indigents
Colonie de Vaucluse....... 250 A la Salpêtriêre................ 145
filles
A la Fondation Vallée.......... 235 Total....
puberté dans les deux sexes, et le fonctionnement des règles chez les
filles
. c. Instinct de sociabilité: le fait de se trou
nce, méat; testicules (volu-me); — poils. Taches sur la chemise. — 2°
Filles
. Grandes lèvres, clitoris, capuchon, petites lèvr
ar-çons; — la Salpêtrière (145) et la Fondation Vallée (240) pour les
filles
. Depuis plus d'un siècle, les médecins se sont
nt, de vérifier l'exactitude (]). Tous les malades sortis, garçons et
filles
, qui auraient pu nous fournir un très fort contin
age, repassage du linge, couture, tapisserie, broderie, elc, pour les
filles
. Ou nous a demandé ce que nous entendions par l
puisse étudier la conformation du cal intérieur. Elle provient d'une
fille
de 27 ans, morte à la Salpêtrière, pendant que j'
lissement a coïncidé avec le développement d'un abcès cervical. Une
fille
de cinq ans, encore dans nos salles, offre un cas
ée sur le traitement par évacuation des abcès par congestion. Cette
fille
a un abcès par congestion ilio-fémoral depuis tro
nous en fournit un bel exemple; elle a été recueillie sur une petite
fille
de sept à huit ans. En faisant l'histoire de cett
j'ai eu recours. Le malade est en voie d'amélioration. IIIe cas. —
Fille
de cinq ans. Lors de son entrée, sa maladie était
e déambulation ; il en est caractéristique. 1er cas. — Celte petite
fille
est affectée d'une double luxation coxo-fémorale
le étendu sur les iliums. Nous avons certainement affaire, chez cette
fille
, à une pseudo-syndesmose. Si la tête se trouvait
liaque gauche n'est que légèrement abaissée; avec un peu d'art, celte
fille
ne boiterait pas. 5e cas. — Voici un cas except
, douze sujets affectés de luxation, parmi lesquels se trouvaient dix
filles
et deux garçons; c'est qu'en effet la pseudarthro
rale. Un négociant du quai Voltaire m'a consulté dernièrement pour sa
fille
, encore enfant, chez laquelle j'ai constaté une l
uand le malade fixe attentivement un objet. IIe cas. — Cette petite
fille
, âgée de deux ans, est couchée au n° 23 de notre
ambierantérieur, privé de toute action. IIIe et IVe cas. — Ces deux
filles
de la salle Sainte-Geneviève sont des cas analogu
llantes dénotaient cette légère anomalie. Voici sept enfants, trois
filles
et quatre garçons, offrant des exemples de pieds
dehors. IIe cas. — Un effet analogue s'est produit chez une petite
fille
que vous avez sous les yeux, par la seule influen
e toucher le sol dans toute sa longueur; il en est de même chez cette
fille
. Aucun des enfants que je vous présente n'accuse
ts caractères que je viens de vous exposer. Ier cas. — Cette petite
fille
porte un pied bot congénial ; sa mère nous dit qu
es. La peau du talon est fine et douce. IVe cas. — Voici une petite
fille
qui vous offre le pied bot clas- sique, presque
ucoup moins prononcé. IIP cas. — Le troisième malade est une petite
fille
de trois ans, dont le système nerveux est resté p
une dame qui trouvait quelque chose d'insolite dans la démarche de sa
fille
. Notre diagnostic fut négatif; plus tard, nous tr
t vous deux enfants de nos salles. Ier cas. — L'un est cette petite
fille
de six ans et demi qui arrive de la campagne. Ell
ie aiguë intercurrente. C'est ce qui vient de se passer sur la petite
fille
opérée dans la séance précédente. Chez cette enfa
séance, l'incision cutanée a été un peu plus large que chez la petite
fille
; il y est entré de l'air, donnant la sensation d'
a même rencontré élargi dans certains sens, comme sur ce bassin de la
fille
Moselle, où le diamètre bi-scia-tique mesure trei
me ne peut être délivrée qu'à l'aide d'opérations toujours graves. La
fille
Moselle, dont vous voyez le bassin, avait subi l'
postérieur du détroit supérieur n'a que quarante-sept millimètres. La
fille
Bourée, morte à cinquante-neuf ans à la Salpêtriè
; les rotules sont placées en dehors. VIe cas. — Chez cette petite
fille
, âgée de quatre ans, la déformation porte surtout
à la période de guérison. IIe cas. — Je vous présente cette petite
fille
comme un type de rachitisme. La mère a eu six aut
, venu à terme, a vécu jusqu'à trois ans; il était noué. Cette petite
fille
, venue au monde en bon état, était maigre, débile
s montrer un certain nombre de malades. Ier cas. — Voici une petite
fille
âgée de six ans, qui n'a jamais marché. Sa tête a
ie est encore dans la période de ramollissement. IIIe cas. — Petite
fille
âgée d'un an. Fontanelle très-grande; il n'y a qu
stéotomie peut trouver une application convenable. Ve cas. — Petite
fille
âgée de deux ans. Chez elle, la fontanelle offre
sur le crâne et les membres inférieurs. VIe cas. — Voici une petite
fille
âgée de trois ans et quatre mois, qui paraît fort
ue, peuvent avoir le même résultat. La constitution moins robuste des
filles
les expose plus que les garçons à subir l'effet d
nce bizarre que vous remarquez. VIP cas. — Enfin, chez cette petite
fille
, vous voyez un exemple de lordose symptomatique d
cal lorsque le bassin est très-oblique, comme sur ces deux plâtres de
filles
bien conformées que j'ai fait mouler autrefois da
filles qui portent des enfants, comme on le voit sur ce plâtre d'une
fille
de seize ans qui avait conservé cette attitude à
paralysie incomplète des sacro-spinaux. IIe cas. — Voici une petite
fille
âgée de treize ans qui vous présente une inclinai
sus par Vésale (£), Fallope (5), et d'autres, établit enfin que « les
filles
deviennent bossues parce que leur épine n'est pas
d'autre, et se ployé en figure de la lettre S, qui fait qu'elles (les
filles
) demeurent tortues et bossues (6). » Il ne fall
n; pas de déviation appréciable des apophyses épineuses. XIe cas. —
Fille
, treize ans. Voussure latérale dorsale droite sou
disparaît lorsque l'enfant vient à se courber en avant. XIIe cas. —
Fille
, treize ans. Ophthalmie et perte d'un œil. Légère
tout à fait droite quand le tronc se fléchit en avant. XIIIe cas. —
Fille
, douze ans et demi. Ophthalmie déterminant la fle
te à droite. Très-légère voussure dorsale du même côté. XIVe cas. —
Fille
, huit ans. Légère voussure dorsale droite, soulev
l'épaule ; série des apophyses sensiblement rectiligne. XVe cas. —
Fille
, onze ans. Légère déviation à gauche des apophyse
déviation à gauche des apophyses dorsales inférieures. XVIe cas. —
Fille
, dix ans. Voussure légère dorsale gauche, souleva
se manifeste chez tous; les garçons y échappent plus souvent que les
filles
. Comme toutes les autres transmissions héréditair
caractérisé de scoliose au premier degré. Voici cependant une petite
fille
de trois ans et demi qui me paraît atteinte d'une
l'épine, qui sont cachées sous eux et qui les soulèvent. IIe cas. —
Fille
de cinq ans et demi. Scoliose au deuxième degré,
re dorsale à gauche; petite dépression du flanc gauche. IIIe cas. —
Fille
d'un an. Petite courbure à convexité gauche ; le
é droit du dos est aplati. Deuxième période commençante. IVe cas. —
Fille
de trois ans et demi. Courbure rachitique à gauch
les en elles-mêmes sont d'un volume parfaitement égal. VIIIe cas. —
Fille
de dix-neuf ans. Troisième degré. Scoliose due à
est un des caractères du troisième degré de la scoliose. IXe cas. —
Fille
de treize ans. Scoliose au troisième degré. Mêmes
et se traduit par une saillie cervico-scapulaire gauche. Xe cas. —
Fille
de neuf ans et demi. Rachitisme dans l'enfance. C
e degré commençante. Courbure dorsale droite principale. XIe cas. —
Fille
de seize ans. Scoliose rachitique parvenue au tro
on. La courbure, dorsale gauche, a commencé à deux ans. XIIe cas. —
Fille
de douze ans et demi. Courbure inférieure gauche
ure clorso-lombaire principale à sa troisième période. XIII0 cas. —
Fille
de deux ans et demi. Courbure à gauche comme dans
nce de la scoliose. Rien n'est plus commun que la chlorose chez les
filles
atteintes (1) Des divinités génératrices, par J
ier quelques-uns des faits que je viens de vous exposer. Ier cas. —
Fille
de treize ans et demi. Elle a les poignets tuiné-
Il a eu le rachitisme et ses jambes sont un peu torses. IVe cas. —
Fille
de onze ans. Scoliose sigmoïde oblique, penchée à
eut-être autant de son état général que de sa difformité. Ve cas. —
Fille
de quinze ans. Scoliose au troisième degré datant
e les courbures dorsales gauches et droites. IXe cas. — Cette autre
fille
, âgée de neuf ans, porte également une courbure d
l faut que les parents en soient avertis, les enfants, et surtout les
filles
, prédisposés par une cause quelconque à la courbu
ne, à la pression trop forte et trop continue du flanc gauche chez la
fille
d'un savant célèbre. Les courbures multiples et
ande plus large, percée d'une ouverture à la hauteur du sein chez les
filles
. On n'applique cette bande que lorsque les sujets
e pour une princesse du sang; on ferait mieux, dans le nôtre, pour la
fille
du peuple. (1) Voy. pl. 20, fig. 3 et 4. FIN.
vons pu observer, en ville, ces différents phénomènes chez une petite
fille
de 3 ou 4 ans, dont malheureusement nous avons ég
° garçon mort à 6 semaines, on ne sait de quoi ; 3° notre malade ; 4°
fille
morte à 10 ans (hôpital Sainte-Eugénie), elle ava
la danse de Saint-Guy ; 5° enfant mort-né (grossesse de 6 mois) ; 6°
fille
, âgée de 16 ans; santé excellente; 7° garçon mort
Saint-Antoine (?); 8° garçon mort à 5 mois, du feu Saint-Antoine ; 9°
fille
âgée de 2 ans et demi, bien portante. Sauf Margue
mari prétendit que cela tenait à une maladie qu'elle avait eu « étant
fille
»; de là des reproches, une scène vive, etc. —A 6
ssuré que, jusqu'à l'âge de î4 ans, époque de la seconde entrée de sa
fille
à la Sal pêtrière., les convulsions étaient p
obre. — Hier soir, elle a encore essayé de battre ses compagnes et la
fille
de service. Les règles ont fini cette nuit. Du
ivante nous montrera que l'hystérie grave peut se développer chez une
fille
longtemps avant la fonction menstruelle. Sommai
garçon, vivant, bien portant ; 3° un garçon mort du croup ; 4°-6° une
fille
et deux garçons morts dans les 15 premiers mois,
» La mère de L... ne sait à quelle cause rattacher la maladie de sa
fille
. Nous verrons plus loin les motifs de ce silence.
londe, grande et forte pour son âge, et offre tout l'aspect d'une
fille
pubère. Elle est active, intelligente, affectueus
n voyou. • Repos ; les bras sont croisés. « Toi qui aimes tant ta
fille
! (Allusion à son père). L... fait des signes de
tours... Quand papa l'a souffleté parce qu'il l'avait trouvé avec une
fille
... Je ne coucherai pas ici ce soir... Sois tranqu
t de nouveau ; repos). • Je t'en supplie, renvoie cet homme qui a une
fille
de 22 ans ! Comment tu n'en est pas jaloux !... T
pète encore une fois. Et quels sont les sujets pour me renier pour sa
fille
? Que je suis une fille du monde!... Je ne veux p
quels sont les sujets pour me renier pour sa fille ? Que je suis une
fille
du monde!... Je ne veux pas me mêler de tes affai
nom... (Elle parle alors de son frère qui s amusait avec les petites
filles
au coin des bornes)... Après un repos de quelqu
les, ny autres choses » pour cela. » Après que long-temps plusieurs
filles
eurent prié » la possédée de s'auancer sur le mur
dans l'occasion présente on se seroit » contenté dédire à ces bonnes
Filles
, que le Marquis » de Brézé prenoit le pas devant
ore cent terribles violences, » et autant d'efforts impossibles à des
filles
en tous gen-» res, et si grands : qu'il a tousiou
orcisme que le Père Es- » prit luy faisoit, lit empoigner à cette
fille
la grosse » corde, dont elle étoit ceinte, qui n'
peine de conceuoir tant de postures et de sou-» plesses en de simples
filles
, et que malgré eux ils » aperceuront quelques mar
ent les Démons » après leurs contorsions, et agitations mettent ces »
filles
ainsi tourmentées en vn arc parfait? Ce qu'ils »
jambes, qu'il y avoit sept piés de longueur d'un » pié à l'autre, la
Fille
n'en aiant que quatre de hau-» teur, qu'après cel
ent tous les membres ; que l'agitation cessa peu » après, et que la
Fille
revint entièrement à elle, » n'aïant le poux pa
icide. B..., À.., est venue à la Sal-pètrière, le 2 mai 1878, comme
fille
de service. Prise, quelques jours plus tard, d'at
it misérable; le matin, en partant pour son travail, elle laissait sa
fille
à la maison, lui confiant un autre enfant plus je
n mort, étant soldat, les autres vivants. — L'aîné a un garçon et une
fille
, sujets à des crises nerveuses, qu'on qualifie de
e, sujets à des crises nerveuses, qu'on qualifie de suffocations ; la
fille
se débattrait beaucoup; le second frère a 3 enfan
tait sujette à des attaques, on lui conseilla d'entrer, en qualité de
fille
de service, à la Salpètrière. Etat actuel (juin
t remplacés par du délire : « Gaston!.. Je suis moins bien... Vilaine
fille
... J'aime bien M. X... Vous êtes toujours ensembl
imposé pendant six ans ses impures caresses à la même personne ; une
fille
âgée de 18 ans, qui fut brûlée à Gerdène, se pros
couronne d'épines à la main, la lui posa sur la tête en disant : « Ma
fille
, reçois cette couronne en signe de celle qui » te
vingt ans qui sont aptes à le recevoir. MmJ Matrat cite l'Ecole des
filles
idiotes iL Thorsangj XLVIII ASSISTANCE DES ENFA
t la transforma- tion et l'agrandissement de la section des petites
filles
de la Salpêtrière, elle hâtait l'achèvement de
ns jusqu'à 2 ans 1/2 ; deux jumelles (1) mortes à 15 jours, et deux
filles
dont l'une est morte de convulsions à 9 mois, e
Inégalité d'âge de 9 ans. Trois enfants : 1° notre malade ; 2° une
fille
âgée de 7 ans, chétive, convulsions dans la pre
I. Le D1' Suckling a montré à la Midland médical Society une petite
fille
âgée de 4 ans, atteinte de cré- tinismo sporadi
ncet, 1889, Tome I, p. 895. idiotie myxoedémateuse. 57 une petite
fille
de 14 ans que nous avons montrée aux membres de
côtés. - 4 frères, bien portants ainsi que leurs enfants, sauf une
fille
qui a une paralysie d'un bras consécutive à des
, à 50 ans ; leurs enfants jouissent d'une bonne santé, excepté une
fille
d'une quarantaine d'années « qui tombe dans des
ans, a eu, à deux reprises, des convulsions attribuées aux vers; 5°
fille
, intel- ligente, grande, forte, pas do convulsi
garçon, 4 ans, bien portant, intelligent, pas do convulsions; - 3°
fille
, 3 ans, en bonne santé, sans ac- cidents convul
t sujette à la constipation. Sa mère a fait déjà la remarque que sa
fille
ressemble à son petit garçon et qu'elle se prés
ne, intelligente, d'une physionomie toute différente de celle de sa
fille
.- Léger prognathisme de la mâchoire supérieure.
rt; mère de Sedan. Inégalité d'âge de 11 ans. Quatre enfants : 10
Fille
, dix ans, intelligente, nerveuse; jamais de con
Fille, dix ans, intelligente, nerveuse; jamais de convulsions; - 2°
Fille
morte de méningite à 2 ans; - 3° Fille morte à
jamais de convulsions; - 2° Fille morte de méningite à 2 ans; - 3°
Fille
morte à 3 ans d'une fluxion de poitrine; pas de
volume des organes rap- pellent ce qu'on constate chez les petites
filles
, de la naissance à deux ans. 2° Cerveau. - L'
; nombreux excès de boisson, mais surtout après la naissance de sa
fille
. - Mère, morte de phthisje galopante à cinquant
ions, intelligent ; géologue. Marié, pas d'enfants; très rangé; -2°
Fille
, vingt-cinq ans, pas de convulsions ; à dix-hui
isséminé dans la chambre. Il n'avait pas bu, il ne boit jamais ; 5"
Fille
, morte d'une angine couenneuse( ? ), 111 STÎ :
STÎ : ftO-PILEPIC. C. 151 à quatre mois. Pas de convulsions ; - 6°
Fille
, vingt ans ; pas de convulsions, pas d'attaques
sions, pas d'attaques de nerfs ni de migraines; intelligente; - il'
Fille
, morte il vingt et un mois, aux Enfants assistés
il vingt et un mois, aux Enfants assistés ; z 8° Notre malade ; 9°
Fille
, douze ans ; pas de convulsions, intel- liâenle
ans et demi ; pas de convulsions, bien portant, intelligent; - 12°
Fille
,morte d'une variole noire en 1880, à un an. Not
vants n'aurait pas eu de manifestations nerveuses. La plus âgée des
filles
semble avoir eu des crises hystériques. Un garç
andit une grande fumée. Sa patronne l'a remerciée de crainte que sa
fille
, âgée de cinq ans, n'en eût peur 1. - Le 9 août
colère. Elle s'est mariée le 12 février 1889 et est accouchée d'une
fille
vers le milieu du mois de décembre. Elle n'a pa
ulement, bien portantes ainsi que leurs enfants (un garçon et trois
filles
).] Mère, morte en 1877, à quarante-quatre ans,
'était marié et avait eu un enfant mort à deux ou trois mois ; 2°
Fille
morte à dix ans, après quinze jours de maladie co
dans l'eau. Elle était grande et bien constituée pour son âge; 3°
Fille
, - celle qui nous renseigne - âgée de trente-sept
... avec sa pipe et sa canne. CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 175 0, 4°
Fille
morte à cinq ans, au bout de quinze jours, d'un r
... 113 m. Une famille d'/n/sfërtques (jeunes garçons et jeu- nes
filles
), par BOURNEVILLE et P. SOLLIER.... il,, 1\'. N
es samedis où nous avons des visiteurs, nous réunissons les petites
filles
de la Fondation Vallée avec les garçons de Bicê
ue année, sur notre demande, à autoriser nos enfants et les petites
filles
de la Salpêtrière à visiter le Jar- din d'Accli
e ces chiffres étaient tombés il 7 pour les garçons et 5 pour les
filles
. - Nous ne parvenons point, malgré nos soins, à
t à dessein que nous le rappelons encore, elle devait être pour les
filles
ce qu'est la colonie de Vaucluse pour les garço
e simultanée à ces réunions des enfants des deux sexes, les petites
filles
de la Fondation Vallée ont participé en 1901, i
'hygiène sexuelle, et pour les petites gâteuses et pour les petites
filles
pubè- res. Les enfants prennent leurs douches à
population est limitée et qu'il est possible, quand il s'agit de
filles
, de les confier à des femmes. Boukneville. Bicê
'hygiène, laissez le maitre nous dire combien un arriéré, garçon ou
fille
, porte entrave à tout travail sco- laire ; comm
cor- donnier, rempailleur, fabricant de brosse et de balais. Les
filles
seront plus spécialement exercées aux tra- vaux
r garçons arriérés, fonde en ce moment des classes spéciales pour
filles
dans plusieurs établissements d'instruction prima
u nombre de neuf. Elles contiennent 150 enfants (90 garçons et 60
filles
? Trois classes ont été établies en 1900, trois e
quatorze ans, rhumatisante. Grands parents inconnus. Une saur et sa
fille
bien portantes. Un frère mort de tuberculose.]
s. (Père plus âgé). Dix enfants : 4° garçon, dix-neuf ans, sain; 2"
fille
morte en venant au monde, à terme ; la mort a é
olérine ; 7° notre malade ; 8° garçon, dix ans, rien à signaler; 9°
fille
, sept ans, otite suppurée; 10° fille morte à de
, dix ans, rien à signaler; 9° fille, sept ans, otite suppurée; 10°
fille
morte à deux mois et demi de méningite. EPILE
nts qui n'ont pas eu de con- vulsions. - Une soew', mariée, aeu une
fille
, laquelle elle-même a une enfant : ni les uns,
ra de nombreuses descriptions de la puberté chez les garçons et les
filles
dans nos Comptes rendus du service des enfants
, fait appeler le père et le met en ici demeure de faire visiter sa
fille
par le docteur D. ; l'examen médi- cal constate
-il eu d'autres imprudences, peut-être le père n'a pas eu devant sa
fille
, soit dans sa toilette, soit dans ses rapports
s ne possédant qu'une seule chambre, ne se gêne pas assez devant sa
fille
; ensuite parce que l'enfant voit ou apprend dan
à fait comparable comme aspect, siège et marche, à celui ' de sa
fille
, consécutivement à une violente colère,) ]JUi'}JU
; - 3° et 4° deux jumeaux, 19 mois, bien portants (un garçon et une
fille
); pas de convulsions; ils ont marché, le garçon
fille); pas de convulsions; ils ont marché, le garçon à 14 mois, la
fille
à 16 mois; ils commencent il par- ler. Leur méd
mencent il par- ler. Leur médecin, le Dr Peulcvé, aurait dit que la
fille
était de 3 semaines en retard ; elle n'avait pa
convulsions. Le frère cadet, âge' de 59 ans, est marié, il a quatre
filles
et un garçon ; l'ainée des filles est mariée, e
de 59 ans, est marié, il a quatre filles et un garçon ; l'ainée des
filles
est mariée, elle a deux enfants très bien portant
is eu de convul-' sions. La 3c soeur, âgée de ilS ans, mariée, a il
filles
et un garçon ; une des filles est mariée, a une
soeur, âgée de ilS ans, mariée, a il filles et un garçon ; une des
filles
est mariée, a une fille 1 1 e bien portante, pa
mariée, a il filles et un garçon ; une des filles est mariée, a une
fille
1 1 e bien portante, pas de convulsions. Dans l
morte en 18 ! )(i iL 99 ans. ' Trois frères : L'ainé, SO ans, a une
fille
de 4U ans, bien- portante, habitant la Suisse,
trois autres sont très bien portants : l'un est âgé de 29 ans, une
fille
âgée de 28 ans est mariée, a deux enfants n'off
e troisième est âgé de 2G ans. Des six enfants du deuxième lit : 1°
fille
, qui nous fournit ces renseignements; elle est
, n'a pas de migraines, etc. ; 2° garçon, la ans, bien portant ; 3"
fille
de 17 ans, en bonne santé, strabisme convergent
, leur tenait des propos bizarres. Elle criait qu'elle était grande
fille
, qu'elle avait ses règles, ce qui était faux. E
les. Elles ont été suspen- dues pendant la grossesse de sa première
fille
, compliquée d'attaques de nerfs consécutives à
Inégalité d'âge de 2 ans (mère plus âgée). Deux enfants : 1° une
fille
, 23 ans, très intelligente, ainsi que son enfan
cessant complètement pendant quelques heures. « Pour ma première
fille
, ce n'était pas la même chose, je les sentais tou
huit cas dans notre service (août 1901) : quatre garçons et quatre
filles
. « La totalité des cas que nous avons observés
l'une d'elles, veuve d'un médecin, et de bonne santé, en a eu deux
filles
. La première aurait présenté des signes d'aliéna-
s arriérés, ou idiots valides de 7 il 16 ans) et de la Salpêtrière (
filles
de tout âge). Toutefois, les enfants idiots âgé
e masculin. Malheureusement il n'en sera pas ainsi pour les petites
filles
idiotes, faute de places à la Salpêtrière. Ic
sur sa famille. - Les accouchements ont été naturels. - Une petite
fille
morte à cinq ans ne différait en rien des enfants
a note a été publiée. Ils ont donné naissance à trois enfants, deux
filles
et un garçon, tous plus ou moins faibles d'espr
s; elle n'a jamais fait d'excès de boisson. (Sa mère raconte que sa
fille
, à partir de quatorze ans, s'est livrée aux homme
atorze ans, s'est livrée aux hommes et à la débauche, tandis que la
fille
accuse sa mère de l'avoir prosti- tuée à l'âge
à vingt-sept ans de la variole, six mois avant la -naissance de sa
fille
qui est une enfant naturelle. - Mère, bien port
nos malades), et n'avoir pas connu d'autre homme que le père de sa
fille
: cette dernière l'accuse au contraire d'avoir
: 4° un garçon, Des... (OBs. V);-2° fausse couche de sept mois ; 3°
fille
morte à sept mois de convulsions ; 4° Horni...
usse couche de trois mois ; 7° Horn... Stéphane (Ons. VU); - 8° une
fille
âgée de douze ans en 1884, bien portante, d'un
u des convulsions à cinq ou six mois, à plusieurs reprises'; 9° une
fille
, neuf ans en 18Si, bien portante, un peu chétive,
; une autre, imbé- cile, a eu autrefois des convulsions. Une seule
fille
est bien por- tante et intelligente, mais on pe
ré. Leurs deux mères portaient le même nom. Onze enfants : 1° une
fille
morte à un an sans avoir eu de con- vulsions ;
ntelligente. A sa naissance, elle était comme enflée. 2° et 3° deux
filles
, l'une de vingt et un ans, l'autre de dix-neuf,
rles-Georges), idiot, est encore actuellement à Maréviile; - 6° une
fille
morte à huit mois de la variole, quoi- qu'elle
e eût, dit-on, été vaccinée et que le vaccin eût bien pris ; 7° une
fille
(Henriette), idiote, morte à la Salpêtrière à dix
li- gent, a eu quelques convulsions internes, il louche; - 9° une
fille
, huit ans, bien portante, pas de convulsions ni d
é marié trois fois et a eu de sa pre- mière femme cinq enfants : 1°
Fille
, 28 ans, bien portante ; elle a une fille de 10
e femme cinq enfants : 1° Fille, 28 ans, bien portante ; elle a une
fille
de 10 ans en bonne s : l ! 1té; - 2" Fille morte
en portante ; elle a une fille de 10 ans en bonne s : l ! 1té; - 2"
Fille
morte sans enfants, à 25 ans, d'une angine ; -
il huit mois de la dysenterie. Il a.eu de sa seconde femme : 11°
Fille
, -'2 ans, bien portante; nerveuse ; colère ; pa
e du malade, lui a donné trois enfants : 1° Notre malade ; - 20 Une
fille
, âgée de 13 ans, bien portante; céphalalgies, p
ajoute-t-elle, il est rentré ivre, il m'a mise à la porte, avec ma
fille
, en chemise et nous avons été forcées de nous r
ien nettes et fort intenses. Il est bon de dire à ce propos que cette
fille
est une simple. Enfant assistée élevée à la Salpê
onds, dans la mesure de ses moyens. Il n'est donc pas étonnant qu'une
fille
simple, sans culture, ne présente qu'un nombre re
e réactions simples. Nous verrons au contraire notre troisième sujet,
fille
plus cultivée, plus intelligente, nous donner des
s dans le ciel... Oh! maman, dis, tu m'aimes bien?... Aie pitié de ta
fille
, maman. » (Extase.) Verre vert de vitre. — « J'
s. » Ether. — « Oh ! oui, les nerfs, les nerfs... Regarde la pauvre
fille
là-bas... Viens à son secours, viens vite. Regard
stantes, résultat qui n'est d'ailleurs pas toujours obtenu.) « Pauvre
fille
, elle s'endort, regarde-là... C'est pourvoir les
et, que nous avions déjà signalée dans les cas plus haut cités. Cette
fille
, transformée en chatte, se promenait à quatre pat
n d'eux a des enfants également bien portants, toutefois l'une de ses
filles
, âgée de 28 ans, boite depuis l'âge de 10 ans ; e
est morte de la poitrine). La malade est la 3e de 5 enfants, toutes
filles
; l'aînée a 24 ans, la plus jeune, 13 ans. La sec
dans le ciel... Oh ! maman, dis, tu m'aimes bien ?... Aie pitié de ta
fille
, maman. » Avec un verre vert de vitre, elle se
ils existent) : « Oh! oui, les nerfs, les nerfs!... Regarde la pauvre
fille
là-bas... Va à son secours... Va vite. Pauvre fil
Regarde la pauvre fille là-bas... Va à son secours... Va vite. Pauvre
fille
! je la plains de tout mon cœur... Je n'en ai plu
résolution des contractures hystériques) : « Elle s'endort... Pauvre
fille
! Regarde-là... C'est pour voir les contractures,
re fréquemment dans l'hystérie des enfants, petits garçons et petites
filles
, chez qui elle revêt le plus souvent la forme dél
qui elle vient de faire quelque confidence de ne point révéler à « la
fille
bête » que « l'autre » les leur a faites, car cel
nt de sa vie antérieure. Dans l'autre, il est question d'une petite
fille
de douze (1) Bourru et Burot. — Op. cit., p. 14
ompagnes récemment arrivées à l'hospice, et en particulier une petite
fille
atteinte de chorée paralytique, que l'on avait co
urs auparavant, avait eu lieu, à C..., la distribution des prix de sa
fille
. Or, cette distribution de prix, ce voyage à R...
.., Madame ? R. — Non, Monsieur, je n'y ai jamais été. D. — Votre
fille
a-t-elle eu des prix cette année ? R. — Je ne s
mes rentrés à C... que le lende main par le train de midi. D. Votre
fille
a-t-elle eu des prix cette année-ci ? R. Oui. E
ui suit : TABLEAU è père Epilepsie et delirium tremens. _!_
Fille
de 9 ans. Quatre enfants. Diabètel Morts à'épil
AU III COTE PATERNEL Oncle. Diabétique. Père. Aliène. Fils.
Fille
. Broncho-pneumonie, Arriérée. mort. COTE MATE
er suivi de mort.) Mère. Nerveuse. Fils. Epilepsie typique.
Fille
. Morte de diabète à 16 ans. TABLEAU V MÈRE
Fille. Morte de diabète à 16 ans. TABLEAU V MÈRE Diabète.
Fille
. Bystér\e. TABLEAU VI X. . . 70 ans. Epilep
élancolie. (Plusieurs accès.) I I I " \ I Fils. Fils. Fils. Fils.
Fille
. Diabète. Goutte Gravelle urique. Goutte. Diabè
Goutte Gravelle urique. Goutte. Diabète | nodosités d'Heber- Une
fille
suicidée. den. TABLEAU VIII père (Famille isr
ils. Rien. Petit-fils. Paraplégie. Arrière-petit-fils. Diabète.
Fille
. Rien (?) Petit-fils. Paralysie gêné' raie.
. TABLEAU IX père (Famille israélite). Diabète et goutte. I
Fille
. A liénation mentale. I Petite-fille. Asthm
amille israélite). Hy pochondr laque. H-i-!-i-1 Fils. Fils. Fils.
Fille
. Goutteux. Diabétique. Colique hépatique, Arthr
ue, Arthritique. TABLEAU XIII Mmo F... (Famille israélite) a eu 4
filles
. Morte diabétique. i Gravelle. Tics. Arriérée
ivers membres d'une famille dont on peut résumer ainsi le pedigree.
Fille
. Tabes. TABLEAU XX PÈRE Diabète (mort dan
e trouve une de ses sœurs qui a eu la danse de Saint-Guy, et dont une
fille
a également eu la chorée de Sydenham. Un oncle
st mort à un âge avancé. La deuxième génération se compose de trois
filles
et d'un fils. Parmi ces quatre membres, trois son
ces quatre membres, trois sont ataxiques, et le troisième, la seconde
fille
, est diabétique. Actuellement âgée de soixante-
érale. Sa descendance est particulièrement intéressante à étudier. Sa
fille
aînée, névropathe simple, boit, aucun phénomène m
fille aînée, névropathe simple, boit, aucun phénomène morbide, a une
fille
unique de dix-neuf ans, hystérique et astasique-a
asique depuis un an (diagnostic porté par le D1' Grasset). La seconde
fille
, actuellement bien portante, a eu à l'âge de dix-
peut deviner encore l'ataxie : un seul a les doigts en massue et une
fille
de dix-neuf ans est hystérique avec astasie-abasi
edreich.) A... ataxique, mort à un âge avancé. A eu 4 enfants. 1°
Fille
aînée. A taxiquc. Morte à 56 ans de pneumonie.
nie. Mariée à un goutteux actuellement âgé de 72 ans. 3 enfants. 2°
Fille
. 62 ans. Diabétique. 2 filles. 3° Fille. 60 a
llement âgé de 72 ans. 3 enfants. 2° Fille. 62 ans. Diabétique. 2
filles
. 3° Fille. 60 ans. Ataxique. 8 enfants. 4°
e 72 ans. 3 enfants. 2° Fille. 62 ans. Diabétique. 2 filles. 3°
Fille
. 60 ans. Ataxique. 8 enfants. 4° Fils. 58 ans
stituée. 1 enfant. 3° Fils. 43 ans. Célibataire. Ataxique. 1°
Fille
aînée. Santé bonne. 1 fille. 2° Fille. Choree
. 43 ans. Célibataire. Ataxique. 1° Fille aînée. Santé bonne. 1
fille
. 2° Fille. Choree avec troubles intellectuels.
Célibataire. Ataxique. 1° Fille aînée. Santé bonne. 1 fille. 2°
Fille
. Choree avec troubles intellectuels. 3 enfants
. Choree avec troubles intellectuels. 3 enfants morts en bas âge. 1
fille
. Ataxique. 28 ans. 4 enfants bien portants. 1 f
8 ans. 4 enfants bien portants. 1 fils mort tuberculeux à 15 ans. 2
filles
et 2 garçons tous bien portants. 6 morts en bas
vants. Pas de particularité nerveuse. Fils de 5 ans bien portant.
Fille
. 19 ans. Hystérie a vec astasie - abasie. Dans
athésique. _I_ Fils aîné, âgé de 42 ans, 2° Fils, âgé de 39 ans, 3°
Fille
, âgée de 35ans. ne possédant aucun d'excellente s
TABLEAU XXVIII mere Nerveuse. pere Diabétique depuis 4 ans.
Fille
de 17 ans. Epileptique. (Accès procursifs depui
rère. Tabétique. Frère. Migraineux. Sa femme. Diabétique.
Fille
. Hystérique Fils. Tabétique. TABLEAU XXXV
r de l'aura, mais la mère affirme qu'avant de perdre connaissance, sa
fille
devient subitement très angoissée, étouffant et p
des asiles, des couvents, des écoles et ont affecté non seulement des
filles
mais encore des garçons. Briquet cite plusieurs
t du nombre. — L'enseignement du nombre et de l'arithmétique chez les
filles
est la tâche la plus ardue et la plus difficile e
n mesure de constater les malfor-mations congénitales, rares chez les
filles
, assez fré-quentes chez les garçons, les lésions
s qui avaient suivi le cours de dessin l'année précéden-te. Cesjeunes
filles
ont acquis une grande habileté de main et une jus
jouter ici, que, par un sentiment très natu-rel du reste, nos grandes
filles
s'occupent des plus petites avec soin; elles ont
leur chaussures le jeudi et le samedi. Quelques-unes de nos grandes
filles
sont chargées spécialement de veiller sur les pet
au ménage et nous n'hésitons pas à dire qu'une dizaine de nos grandes
filles
, qui sont à la Fondation Vallée depuis plusieurs
ygiène sexuelle, principalement pour les petites gâteuses et pour les
filles
pubères. Les bains de pieds autrefois donnés à Bi
couture. — La mère qui nous écrit est satisfaite de la conduite de sa
fille
. Lere... (Jeanne), 17 ans. — Entrée en 1900, at
e un air très distingué et le père est con-tent de la conduite de sa "
fille
. S;i sœur qui habite Paris est venue nous donner
rmi les entrants. Tableau statistique sur l'alcoolisme. Garçons
Filles
. Totaux, Les pères de... | Les mères de...
istique sur l'alcoolisme pendant l'année 1906, à la Fondation Vallée (
Filles
). Les pères do 13 enfants faisaient des excès d
ajoutons les 7 cas nouveaux, relevés sur les 138 entrées de 1905 (46
filles
et 92 garçons) et les 4 cas de 1906, à la Fondati
906, à la Fondation Vallée seule, relovés sur les 47 entrées de 1906 (
filles
et garçons), nous voyons : 1° Que ces 150 famil
FANTS DÉCÉDÉS VIVANTS OBSERVATIONS 1 fausse couche, 4 m. ¦I
fille
morte de méningite à 9 mois 1 fille morte de co
NS 1 fausse couche, 4 m. ¦I fille morte de méningite à 9 mois 1
fille
morte de convulsions à 7 mois N. m. Imbécilité
te de convulsions à 7 mois N. m. Imbécilité mo-rale, instabilité. 1
fille
bien portante. N. m. Imbécilité, instabilité. 1
b. portant. 1 g., 10 a., b. portant. 1 g., 6 a. 1/2, b. port. 1
fille
, n. m., Idiotie profonde. 1 fille, bien portant
t. 1 g., 6 a. 1/2, b. port. 1 fille, n. m., Idiotie profonde. 1
fille
, bien portante. 1 garçon bien portant. If., 21
a., b. portante. 1 g., 18 a., b. portant. 1 g., 15 a., b. portant. ¦1
fille
, notre malade, Idiotie profonde, gâtisme, impul
eu de la paraplégie , et le médecin aurait dé-claré à la mère que sa
fille
était atteinte de paralysie infantile. — L'enfant
e de 26 ans, est éga-lement en bonne santé, mais anémique, elle a une
fille
qui se porte bien; les unes et les autres n'ont p
ue sur l'alcoolisme pen- dant l'année 1906, à la Fondation Val-lée (
filles
), par le même.............. lviii III. Statisti
t pas d'accidents nerveux ; cinq soeurs bien portantes, l'une a une
fille
jouissant d'une bonne santé, les autres n'ont p
uinité (Cousins germains). Deux enfants : 1° 0 Iotre ? lade, 2" une
fille
, morte a 3 ans de broncho-pneumonie copjié- cut
'un chaud et froid à 28 ans après 18 mois de maladie (phthisie); 2°
fille
morte à 32 ans, trois se- maines après un accou
° fille morte à 32 ans, trois se- maines après un accouchement ; 3°
fille
de 18 mois morte du choléra en 1849 ; 4° et 5 2
t ; 3° fille de 18 mois morte du choléra en 1849 ; 4° et 5 2 autres
filles
bien portantes ; aucun de ses enfants ou petits
nourrice de convulsions au moment de la dentition à 14 mois. - 2°
Fille
morte des suites d'une chute. - 3° Garçon mort à
e. - 3° Garçon mort à 10 mois en nourrice, on ne sait de quoi. - 4°
Fille
, 20 ans, bien portante, intelligente, a eu une
tère changeant, a eu quelques convulsions ; est intelli- gent. - 6°
Fille
, 17 ans, intelligente, d'une bonne conduite, a
nvulsions (1). - 8° Une fausse couche. - 9° Notre malade. - 10° Une
fille
, 6 ans, intelligente, bien portante, a eu des c
6 ans, intelligente, bien portante, a eu des convulsions. - 11° Une
fille
morte en deux jours, à 18 mois, du croup. Notre
ien portants ; elle n'était pas nerveuse ; la troisième soeur et sa
fille
ont une bonne santé. Pas d'aliénés, pas d'épilep-
[La mère du malade était veuve, et avait de son premier mari une
fille
qui a maintenant 18 ans ; celle-ci se porte bien,
uinité. (Les pa- rents sont cousins germains.) Trois enfants : 1°
Fille
, morte à un an; elle aurait eu peur d'un orage
Pas de consanguinité (père de Sedan, mère de Paris). 4 enfants : 1°
Fille
morte à 5 ans d'une fièvre cérébrale : intellig
avait eu des convulsions; - 2°Garçon mort en 1870 étant soldat; 3°
Fille
bien por- tante, a trois enfants en bonne santé
inité (père d'Alsace, mère des environs de Blois). 3 enfants : 1°
Fille
actuellement à Blois, bien portante, n'offrant
it à peine 2 ans : 3 enfants du second lit : 1° Garçon, 14 ans ; 2°
Fille
, ans ; 3° Fille. 7 ans ; tous trois bien portan
: 3 enfants du second lit : 1° Garçon, 14 ans ; 2° Fille, ans ; 3°
Fille
. 7 ans ; tous trois bien portants, sans attaque
quelle il raconte des discussions qu'il a eues au- trefois avec une
fille
; ceci dure environ de 6 à 7 minutes. Période t
e malade les conditions qui favorisent si souvent chez les jeunes
filles
l'éclosion de l'hystérie : alcoolisme du père, ab
un exorcisme que le Père Esprit lui faisait, fit empoigner à cette
fille
la grosse corde dont elle était ceinte, qui n'e
e soeur, morte de la poitrine, avait eu 12 ou 13 enfants dont une
fille
qui. après avoir été mordue par un chien, tombait
iques, ni idiots, etc.] Pas de consangui- nité. Dix enfants : une
fille
de 28 ans, qui a eu 5 enfants dont 4 sont morts
ont morts en venant au monde ; « c'était clans la tête »; une autre
fille
est morte de convulsions, à 6 se- maines ; les
ivait son rapport, le service comptait 53 enfants (27 garçons et 26
filles
); au mois d'octobre dernier, on a compté jusqu'
dir la section actuelle et de créer une section nouvelle pour les
filles
, qui ont le droit, de la part du Conseil, à la mê
ns, ;liaréville, Prémontré, Quatre-Marcs, aint-t111tan ; - pour les
filles
: la Salpêtrière, et, pour les deux sexes : Evr
l'asile de Fains. Eh bien ! l'an dernier, nous y avons vu 5 petites
filles
et 5 petits garçons, non pas isolés dans un qua
r les deux sexes (nous avons vu sept ou huit garçons et autant de
filles
à l'asile de Chàlons-sur-Marne, au mois de septem
Les garçons se livrent soit sur leurs soeurs, soit sur les petites
filles
du voisinage, à des pratiques déplorables. Les
tites filles du voisinage, à des pratiques déplorables. Les petites
filles
de celte catégorie attirent les garçons, perver
ade épileptique présentant une aura procursive. Observation XI. -
Fille
âgée de dix-sept ans. - Mère et tante maternell
ourses inconscientes. Dans un autre cas, il s'agissait d'une petite
fille
amenée à ma clinique de l'hôpital Bellevue pend
famille.] Pas da consanguinité. Deux enfants du second mariage : 1°
Fille
, morte à vingt- deux ans de la poitrine ; 2° no
chez un marchand de vin et sur les boulevards extérieurs avec deux
filles
publiques avec les- quelles ils ont eu des rapp
des hernies( ? )»- il avait les bourses grosses comme le poing ; 2°
fille
., vingt-quatre ans, bien portante, a eu une fil
mme le poing ; 2° fille., vingt-quatre ans, bien portante, a eu une
fille
morte de coque- luche ; - 3° notre malade;. 4°
( ? ). 5° fausse couche à quatre mois, attribuée à un effort; - 6°
fille
intelligente, morte à dix-huit mois d'un a chau
roid ( ? ) » 7° garçon, intelligent, mort à trois ans du croup ; 8°
fille
, morte à vingt-six jours, du croup ( ? ); - 9°
; 11° garçon intelligent, mort à trois ans de la coqueluche ; - 120
fille
morte à dix mois, on ne sait de quoi; - 13e fau
rme dont le sexe n'aurait pas été déterminé ; puis sept mois après,
fille
, née à terme, forte ; celle-ci a quatre ans, es
té. Cinq enfants, quatre fausses couches (à 6, 4, et 3 mois) : 1°
fille
, modiste, bien portante, intelligente, pas de con
nt terme, mort en nourrice à l'âge d'un mois ; 3° notre malade ; 4"
fille
, onze ans, im- pressionnable, tumeur fibreuse d
famille.] - Pas de consanguinité. Neuf enfants. - De son mari, une
fille
. - De son amant les six premiers enfants sont m
garçon, mort à quatre mois, en nourrice, on ne sait de quoi ; - 3°
fille
, mort-née ; - 4° notre malade; - 5° fille, morte
on ne sait de quoi ; - 3° fille, mort-née ; - 4° notre malade; - 5°
fille
, morte à cinq mois, de la variole; 6° et 7° deu
malade; - 5° fille, morte à cinq mois, de la variole; 6° et 7° deux
filles
, huit ans et neuf ans, bien portantes, pas de c
re. - Deux frères : l'un est maître d'école, bien portant, et a une
fille
en bonne santé; un fils est mort de la petite v
s, on ne sait de quoi. - Deux soeurs bien portantes : l'une a trois
filles
, l'autre a trois filles et un garçon, également
Deux soeurs bien portantes : l'une a trois filles, l'autre a trois
filles
et un garçon, également en bonne santé. Dans la
vingt mois malade (phthisie); pas de chorée ni de convulsions; - 70
fille
, celle qui nous renseigne; brune, intelligente,
autre serait mort des suites d'une maladie vénérienne. - Une soeur,
fille
publique, alcoolique, est morte de la poitrine;
coq ». Intelligence médiocre : « il n'a pas trop de débouchés»;-30
fille
bien conformée, morte à deux mois «d'une espèce
ours on ne sait de quoi, était né à terme; pas de convulsions; - 6°
fille
morte à quatre ans et demi de méningite, avec con
ans et demi de méningite, avec convulsions, en quatorze jours; - 70
fille
, morte du croup à trois ans. Notre malade. Au m
iplégique. Un frère en bonne santé porte un petit goitre ; il a une
fille
do 6 ans, bien con- formée, mais en retard pour
atable, près de Chambéry). - Deux enfants : 1° Notre malade, 2° une
fille
morte à deux ans 1/2 du croup, elle était intel
s à la fin de la grossesse. La mère attribue les difformités que sa
fille
présente aux mains et à un pied, à l'impression
deux en- fants. - Une soeur en bonne santé, de même que ses deux
filles
. Du second lit, il a un frère bien portant et une
ille. - Pas de consan. guinité. 4 enfants : 1° notre malade; - 2°
fille
morte en nour- rice, iL six semaines, d'athrops
n nour- rice, iL six semaines, d'athropsie, sans convulsions ; 3°
fille
morte iL 9 jours, de diarrhée avec vomissements,
te iL 9 jours, de diarrhée avec vomissements, sans convulsions; -4°
fille
morte à 4 ans, d'une méningite consécutive à la
de rapports sexuels. Il ne semblait pas faire attention aux petites
filles
. A partir de l'époque où il a quitté l'école il
es samedis où nous avons des visiteurs, nous réunissons les petites
filles
de la Fondation Vallée avec les garçons de Hice
année, sur notre demande, il. autoriser nos enfants et les petites
filles
de la Salpêtnère à visiter le Jar- din d'Acclim
scendus it 12 pour les garçons et étaient restés les mêmes pour les
filles
. Maladies intercurrentes. 11 enfants ont été
e simultanée à ces réunions des enfants des deux sexes, les petites
filles
de la Fondation Vallée ont participé en 1902, i
iène sexuelle, principalement pour les petites gâteuses et pour les
filles
pubères. Les enfants pren- nent leurs douches i
'est remarié avec la soeur de sa première femme. trois enfants : 1°
fille
, G ans, pas de convulsions, bonne santé ; 2° ga
eu de convulsions, l'autre se porte bien. - Deux soe¡¡.rs : une a 3
filles
et 1 garçon en bonne santé, elle-même est asthm
anté, elle-même est asthmatique, très calme ; l'autre, calme, a une
fille
bien portante, mais nerveuse, sans convulsions-
; le père avait deux ans de plus que la mère. Douze enfants : 1°
fille
de 21 ans, pas de convulsions ; 2° garçon, 20 a
ns, pas de convulsions ; 2° garçon, 20 ans, pas de convulsions , 3°
fille
, morte à dix mois de lluxion de poitrine. ; 4°
; 4° Noire malade; - 5" gar- çon de 14 ans ; 6- garçon, 13 ans ; 7o
fille
, 12 ans ; 8° fille, 11 ans, ; 9- fille, 10 ans
5" gar- çon de 14 ans ; 6- garçon, 13 ans ; 7o fille, 12 ans ; 8°
fille
, 11 ans, ; 9- fille, 10 ans ; 10° fille, 9 ans :
ans ; 6- garçon, 13 ans ; 7o fille, 12 ans ; 8° fille, 11 ans, ; 9-
fille
, 10 ans ; 10° fille, 9 ans : 110 fille, 8 ans;
ans ; 7o fille, 12 ans ; 8° fille, 11 ans, ; 9- fille, 10 ans ; 10°
fille
, 9 ans : 110 fille, 8 ans; 12° fille, morte il
s ; 8° fille, 11 ans, ; 9- fille, 10 ans ; 10° fille, 9 ans : 110
fille
, 8 ans; 12° fille, morte il 3 ans de rougeole, co
ans, ; 9- fille, 10 ans ; 10° fille, 9 ans : 110 fille, 8 ans; 12°
fille
, morte il 3 ans de rougeole, compliquée de bron
rieurs, nous ajouterons les 156 entrées de 1901 (108 garçons et 48
filles
) et les 136 entrées de 1902 (89 gar- çons et 47
arçons et 48 filles) et les 136 entrées de 1902 (89 gar- çons et 47
filles
), soit un total de 2.846. Le tableau suivant ré
ulement, bien portantes ainsi que leurs enfants (un garçon et trois
filles
).] Mère, morte en 1877, à quarante-quatre ans,
s'était marié et avait eu un enfant mort à deux ou trois mois; 2°
Fille
morte à dix ans, après quinze jours de maladie co
garçon mort à vingt-quatre ans, de tuberculose pulmonaire ; 3° une
fille
, sujet de l'observation. Antécédents personnels
e paternelle, la mère de V..., très ner- veuse, très bavarde, et sa
fille
« se disputaient comme deux gamines ». Sommeil
nfants, un garçon marié. Peur : Epilepsie. 163. sans enfants, une
fille
également mariée a eu 6 enfants, tous bien port
convulsions internes ; lia ? arçO ? 3 ans, pas de convulsions ; 5°
fille
, un an, née à terme avec une imperforation de l
rère, âgé cle 27 ans (1). sa soew', ses deux oncles pa- temiels, la
fille
de l'un deux, 1 i ans, la fille et le garçon de
w', ses deux oncles pa- temiels, la fille de l'un deux, 1 i ans, la
fille
et le garçon de l'autre, soit onze personnes de
es 28 cas nouveaux, relevés sur les 292 entrées de 1901 et 1902 (95
filles
et 197 garçons) nous voyons : 1° Que ces 115
nitaux. Elle lui demanda si elle avait l'habitude de se loucher, sa
fille
lui aurait répon- du : oui. Depuis cette époque
était comme d'anciens soldats. A côté de moi se trouvait une petite
fille
qu'on appelle Julie mais il me semble qu'elle s
203 a des migraines, ainsi qu'une demi-tante paternelle dont une
fille
, qui vit encore (26 ans), est idiote, ni gâteus
ant à noter dans le reste de la famille paternelle]. : IÉtrE, 26 ans,
fille
de boutique dans une pâtisserie, mariée à 20 an
ux grand-oncles paternels : l'aine à 75 ans, bien portant, a deux
filles
mariées, sans enfants, en bonne santé ; l'autre e
ants bien portants ; pas de convulsions. Le qua- trième enfant, une
fille
, est devenue épileptique après une vive frayeur
de 30 ans et demi, sans accidents nerveux, a eu deux enfants : une
fille
morte du croup, pas de convulsions, l'autre, ga
° Une fausse cou- che à deux.mois, sans cause connue ; 2° René ; 3°
fille
, - la ans, en bonne santé, intelligente, pas de
n bonne santé, intelligente, pas de convulsions ; /1° André; 5° une
fille
de 12 ans, forte, intelligente, pas de convulsi
s à tous les enfants valides, distractions partagées parles petites
filles
de la Fondation Vallée : 1 ur jan vier, distrib
ent des services, au point de vue des leçons de choses, aux petites
filles
de cet établissement. » A ces raisons qui n'ont
ccepté, sans observation, l'envoi d'idiotes gâteuses et de jeunes
filles
épileptiques. , Nous n'avons pu, à la Fondation
rés ou idiots vali- des de sept à seize ans), et de la Salpêtrière (
filles
de tout âge). Plus tard, en 1886, sur le rappor
tude de ses dires par le Directeur. Sa réclamation était fondée. Sa
fille
a été maintenue. J'appelle l'attention de la Co
ellement que 15 places de garçons à Bicêtre et 27 places de petites
filles
à la Fondation Vallée. De sorte, ', que sous pe
n aliéné placé par l'Assis- tance publique ; enfin, que les petites
filles
admises à la Fonda- tion Vallée l'ont été toute
bien portant, pas de convulsions, intelligent, a été soldat ; 2°
fille
, mariée, vingt-cinq ans, bien portante, intellige
bien portant, pas de convulsions, intel- ligent, bonne conduite; 4°
fille
, vingt-deux ans, bien portante, intelligente, p
ingt-deux ans, bien portante, intelligente, pas de convulsions ; 5°
fille
, dix-neuf ans, brune, à l'air effronté, a été a
; elle travaille dans le commerce; pas d'amant, assure- t-on ; - 6°
fille
, dix-huit ans, pas de convulsions, bien portante,
as de kleptomanie, pas d'onanisme, pas de rapports avec les petites
filles
, paresseux ; 9° fille, treize, ans, pas de conv
d'onanisme, pas de rapports avec les petites filles, paresseux ; 9°
fille
, treize, ans, pas de convulsions, bien portante
use, intelligente, est presque toujours la première à l'école ; 10°
fille
, douze ans bien portante, intelligente, travail
bien portante, intelligente, travailleuse, pas de convulsions ; 11°
fille
morte à vingt-six mois de fièvre cérébrale ayant
tc., dans la famille. [Pas de con- sanguinité.] Deux enfants : 1°
fille
, vingt et un ans, petite, bien conformée ; inte
tellement fermez qu'impossible fut de les desclore. Enfin Gertrade,
fille
aisnée de Clath, aagée d'onze ans, s'appro- cha
une scieur morte de la poirine, avait eu 12 ou 13 enfants dont une
fille
qui, après avoir été mordue par un chien, tomba
e consanguinité. Inégalité d'âge de 12 ans. Dix enfants, dont une
fille
de 20 ans qui a eu 5 enfants (4 sont morts en v
sont morts en venant au monde; « c'était dans la tête. » Une autre
fille
est morte de convulsions à 6 semaines; les autres
ans passés au Tonkin. Pas nerveux. Marié depuis quatre ans : a une
fille
en bonne santé; pas de convulsions. Une soeur,
rte. Mariée depuis trois ans, elle a deux enfants, un garçon et une
fille
, bien portants tous, n'ayant pas eu de convulsi
grand-père et cousins paternels alcooliques. - C021S21Ze paternelle
fille
publique, - Autre cousine idiote. Mère migraine
. De là elle se rendit au Dépôt de la Préfecture de police, d'où sa
fille
fut envoyée le même jour au bureau d'admission
ama à M. le Préfet de la Seine, qui y consentit, le transfert de sa
fille
à l'asile de Villejuif situé à côté de son domi
ndubitable, croyons-nous. L'an dernier nous avons reçu une petite
fille
, Deva... Louise, âgée de 10 ans, qui, jusqu'à 2
rs. « L'on conduit souvent dans les hospices, a écrit Esquirol, des
filles
âgées de 18 à 20 ans qui, devenues pubères, cou
et très nerveux; 2° Un garçon mort à Il jours de convulsions 3° Une
fille
de 8 ans extrêmement nerveuse : « il n'y a pas
3 ans d'une méningite, avait eu des convulsions à 15 mois. - 4 Une
fille
de 12 ans, intelligente. 122 IDIOTIE; ÉPILEPSIE
ecteur général, l'ex- périence avait prononcé ; que, en Angleterre,
filles
et garçons étaient réunis et confiés, sauf les
la subvention de 6,000,000. Si vous voulez bien admettre que les
filles
idiotes et épilep- tiques de la Salpêtrière son
vec une pareille somme on pourrait créer un hospice com- plet, pour
filles
et garçons, à la campagne et rendre ainsi aux d
e de la paroisse à laquelle ils appartiennent. 2G0 enfants sur 310 (
filles
et garçons) fréquentent la classe ou les atelie
de Bicêtre ne figure pas dans cette longue énumération ; « que les
filles
idiotes ou épileptiques delaSalpètrièresontauss
onstruction de services destinés aux enfants incurables (garçons et
filles
) est évalué à 3.500.000 francs, » et qu' « on s
ne ne disposant pas de places suffisantes à la Salpêtrière pour les
filles
idiotes, épilep- tiques, etc., à Bicêtre et à l
pas d'aliénés, etc.]. - Pas de con- sanguinité. Cinq enfants : 1°
fille
morte à trois ans de convulsions en trois jours
ions en trois jours; elle était bien conformée et intelligente; -2°
fille
mariée ; elle est souffrante d'une affection vé
ente que les autres; n'a pas d'en- fants ; - 3" notre malade ; - 4°
fille
, dix-neuf ans, très intelli- gente, très nerveu
s et demi, où la mère a eu des chagrins à la suite de la mort de sa
fille
âgée de trois ans. Accouchement à terme, nature
'une méningite; 3° garçon, onze ans, intelligent, bien portant : 4°
fille
, dix ans, intelligente, bien portante; ;j0 notr
° fille, dix ans, intelligente, bien portante; ;j0 notre malade; 6°
fille
, six ans et demi. bien portante, va à l'école;
malade; 6° fille, six ans et demi. bien portante, va à l'école; '7°
fille
, morte à dix-huit mois d'une méningite après tr
olent. - Grand-oncle paternel suicidé (délire de persécution) ; une
fille
de ce dernier hystérique. - Autre grand-oncle m
« halluciné, mystique », très violent; il bat- tait sa femme et ses
filles
. » - Un de ses frères (grand-oncle du malade) s
s ? est mort aliéné à Montdevergnes (il a deux fils chétifs, et une
fille
qui n'auraient pas d'affections nerveuses); - d
à avoir de nouveaux rapports dans lesquels a été procréée : 40 une
fille
, âgée de 9 ans; elle est intelligente, gentille
enfants : 5- garçon, sept ans, bien portant, pas de convulsions; 6°
fille
, six mois, est bien venante, pas de convulsions
t raconte encore qu'il embrassait les organes génitaux d'une petite
fille
de son âge (la fille d'un ma- réchal ferrant) ;
l embrassait les organes génitaux d'une petite fille de son âge (la
fille
d'un ma- réchal ferrant) ; ceci lui serait arri
dit-on, parce que son fils a « mal tourné» : il buvait, courait les
filles
, ne travaillait point (pas de condamnations); i
ette à des douleurs d'estomac sans accidents nerveux. Elle a deux
filles
: l'une d'elles a eu des convulsions, mais elle e
tc. - Pas de consan- guinité. Trois enfants : 4° notre malade; 2o
fille
morte à sept ans d'une méningite; elle était tr
morte à sept ans d'une méningite; elle était très intelligente; 3°
fille
, quinze ans, bien portante, intelligente; pas d
, 14 ans, intelligent, bon ouvrier, n'a pas eu de convulsions; 2°
fille
, morte à neuf jours « d'une esquinancie dans la
t à quatre mois et demi de cholérine (vomissements et diarrhée); 5°
fille
, 19 mois, bien portante, n'a pas eu de convulsi
uelle maladie. Une autre soeur est morte en couches, laissant une
fille
âgée aujourd'hui de 59 ans, bien portante, mais
s de consanguinité (père breton, mère marseillaise). 3 enfants : 1°
Fille
morte à 14 mois, de convulsions; 2° notre malad
emps, il eut successivement des rap- ports sexuels avec six petites
filles
de la même famille, dont l'aînée avait 13 ans e
patron, et celui qu'il gagnait, il achetait des bagues pour deux
filles
de 14 et 17 ans, ses bonnes amies, qu'il fréquen-
argent, des sous, des bon- bons n, ou encore : « Je ne pense qu'aux
filles
, je n'ai que ça dans la tête, je veux les.... I
vril, trois enfants de Bicêtre (Berthel ? Rata., Belhag..) et trois
filles
de la Fondation Vallée (Maigr..., Barb ? Grango
ctuellement. En maintes circonstances, nous avons réuni les petites
filles
de la Fondation Val- lée avec les garçons de Bi
e règlement primitif assi- milait la Fondation Vallée, destinée aux
filles
, à la colonie de Vaucluse, affectée aux garçons
e à l'hy- giène sexuelle et pour les petites gâteuses et pour les
filles
pubères. Les enfants ont pris généralement leur
ssements sur une population scolaire de 3.575 garçons et de 3.207
filles
. Elle met en relief l'utilité de la création des
la Fondation Vallée, envoie d'agran- dissement, a été affectée aux
filles
idiotes et la sec- tion de Bicêtre a été constr
0 notre malade ; 2" un garçon, 7 ans, fort et intelligent ; -3° une
fille
, 5 ans, bien portante et intelli- gente. La mèr
Mère, morte de tuberculose pulmonaire. - Grand' tante ma- ternelle,
fille
entretenue, morte à 25 ans. - Une autre grand'
- une autre a 5 enfants, tous en bonne santé. Une tante, 25 ans, a
fille
entretenue ; - Une autre tante, de 40 ans, « un
ligent ; en apprentissage chez son père; 3° notre malade; - 4° une
fille
, i i ans, bien portante, bonne écolière ; - 5° fi
érence d'âge de 10 ans. Six enfants et une fausse couche : 1° Une
fille
morte à 4 mois d'athrepsie ; 2° une fille, 10 a
ne fausse couche : 1° Une fille morte à 4 mois d'athrepsie ; 2° une
fille
, 10 ans, intelligente ; -3o une fille morte à 1
à 4 mois d'athrepsie ; 2° une fille, 10 ans, intelligente ; -3o une
fille
morte à 18 mois d'une « fluxion de poitrine » ;
ois et demi, mort en nourrice - à 6 mois d'affection inconnue; - 2°
fille
bien constituée, née à 8 mois et (lui est morte
stituée, née à 8 mois et (lui est morte de diphtérie à 3 mois; - 30
fille
née à 8 mois, morte à un mois en nourrice on ne
mois en nourrice on ne sait de quoi; - 4o -et 5", deux jumeaux, une
fille
morte en nourrice il 6 mois et demi avec de l'i
de circulaire du cordon. -- Le garçon, cependant plus gros que la
fille
, ne pesait que 2 kilogrammes. Nourri au sein par
oeur, 3 ans, en bonne santé ; pas de troubles nerveux, ainsi que sa
fille
, âgée de 9 ans.- Dans le reste de la famille, n
méningite ; le survivant est d'une constitution délicate; il a une
fille
de 11 ans. affectée de coxalgie. - Deux soeurs
sa; femmes7" notre ma ! a le ; - Ho une fausse couc/)e ; U" une-
fille
, qui s'est tuée en tombant d'une fenêtre ; elle s
die nerveuse. - Mère, à laquelle ressem- blait beaucoup, dit-on, sa
fille
, serait aussi morte poitrinaire. Elle n'aurait
nt. Cet oncle est très sobre mais très avare. Il a un garçon et une
fille
qui se porteraient bien et n'auraient pas d'acc
lloux. Il ne pouvait fréquenter les autres enfants, seule la petite
fille
de la concierge où il habitait jouait avec lui,
uinité. - La mère a 4 ans de plus que son mari. Six enfants : '10
Fille
morte des suites d'une chute il 5 ans, n'avait
te il 5 ans, n'avait pas eu de convulsions ; - 2° notre malade ; 3"
fille
morte à 3 ans de convulsions ; - 4° fille de 8
; - 2° notre malade ; 3" fille morte à 3 ans de convulsions ; - 4°
fille
de 8 ans, intelligente, bien portante ; pas de
a croissance des malades traités avec celle de 8 garçons et de 10
filles
, imbéciles ou épileptiques, se rapprochant plus
1" et 2° jumeaux (gar- çon qui mourut à trois mois faute de soins,
fille
morte à quinze jours ; était restée longtemps a
is ou sept mois et demi) ; 3" et 4" deux fausses couches ; - 5° une
fille
qui a dix-sept ans, pas de convulsions, très in
qui a dix-sept ans, pas de convulsions, très intelligente ; 6° une
fille
qui a quinze ans, boiteuse à 1a suite d'une chu
i et la dévotion, voire mémo de les convertir au point de faire de la
fille
la plus folle une excellente sœur de charité, et
es accès épileptiques causés par la suppression menstruelle, chez une
fille
âgée d’environ dix-sept ans, et qui s’est présent
e simple question ; Comment donc vous réveiller ? Ces deux charmantes
filles
me tirèrent d’embarras. C’était mon début, et c
ILLÉGAL DE LA MÉDECINE. — ESCROQUERIE A L’AIDE DU SOMNAMBULISME. La
fille
Caroline Rosner, dite la Comtesse, est une simple
car c’csl précisément au sujet des opérations magiques auxquelles la
fille
Rosner s'est livrée en leur faveur quelle compara
trouve peu à peu la mémoire, et déclare ce qui suit : J’ai connu la
fille
Caroline Rosner, paice qu’elle venait quelquefois
il y a si longtemps que je ne me rappelle pas. M. le président. La
fille
Rosner se faisait-elle payer par vous? Le témoi
ait tout. M. le président. N’est-il pas à votre connaissance que la
fille
Rosner prétendait avoir la faculté de procurer de
duit. M. LE président. Comment avez-vous été mis en rapport avec la
fille
Rosner? Marinier. C’est le sieur Bridaut qui m’
s. M. le président. Que s’est-il passé lors de votre visite chez la
fille
Rosner ? Marinier. Elle s’est mise dans un faut
du. Comme le précédent témoin, il explique le but de sa visite à la
fille
Rosnor, que Bridant lui avait fait connaître; pui
ails que son camarade sur les pratiques religieuses prescrites par la
fille
Rosner, sur le pèlerinage au Calvaire, sans oubli
usions de M. l’avocat de • la République, le tribunal condamne la
fille
Rosner à six mois de prison , 5o fr. d’amende sur
tre somnambule; Jean-Raptiste Capet, commis, rue Saint-Jacques, 252 ;
fille
Élisa Dufay, couturière, avoir aidés dans cet e
nfouis dans la terre. » Me Hemerdinger, avocat, se présente pour la
fille
Torcy et le sieur Bellot. Me Lachaud pour le si
er à M. le président que la prévenue qui s’est trouvée indisposée, la
fille
Dufay, est dans l’impossibilité de se représenter
est bien trouvé; ayant ensuite été la consulter sur ses deux petites
filles
, abandonnées des médecins, la femme Desaillous, s
Pe-tit-Albert. La femme Batard se faisait endormir par sa bonne, la
fille
Neuville, âgée de dix-sept ans; cette dernière es
en qu’elle dormait. Le sieur Jules Isaac reconnaît avoir assisté la
fille
Roulot. Il prend le litre de médecin ; mais il en
ient la prévention, sauf à l’égard des sieurs Isaac, Maiicot et de la
fille
Neuville; il l’abandonne également à l’égard de l
s prévenus, a renvoyé de la plainte les sieurs Isaac et Marient el la
fille
Neuville; il a également renvoyé la femme Batard,
vé une fois d’ajourner des personnes riches pour traiter cette pauvre
fille
. 20° m. médard, de Nogent. Je rendais l’humeur
gné et m'a fait des visites particulières. Mm° llose a aussi guéri ma
fille
d’une sur !ité et de maux de tête. — H y a longte
s personnes riches, M"" Rose n’était nullement obligée de traiter une
fille
pauvre. On aura donc beau faire, on ne pourra lui
édecine : erreur. J'endors M. Cuny, qui est mon gendre, l’époux de ma
fille
, mon fils, car je l'aime comme mon fils : il est
utes les qualités ! c’est pour cela que je lui ai donné la main de ma
fille
; il a sauvé la vie à ma femme... M. le préside
ein de désintéressement; aussi j’en ai fait mon gendre, l’époux de ma
fille
; je l’aime comme mon fils; et je ne lui donne rie
par le magnétisme direct, sans auxiliaire d’aucune espèce, ma petite
fille
, âgée de quatre ans et demi, atteinte depuis pl
que ce soit de la vie matérielle. Le père et la mère regardaient leur
fille
, pauvre enfant! que la maigreur semblait sc hât
mère, pas la moindre surprise : je me demandais si c’était bien leur
fille
. « Monsieur, médit tout à coup la lucide, de de
aveenous. — Nous sommes seuls. — Bien.» Alors, entre le père et la
fille
, s’établit un dialogue où je ne compris rien, sin
t la fille, s’établit un dialogue où je ne compris rien, sinon que la
fille
semblait commander et le père obéir; aux gestes é
met à frotter un meuble, cessant de parler au milieu d’une phrase. Sa
fille
venait d’ouvrir les yeux : « Je le laisse, mc d
ir. La mère reprit l’aiguille qu’elle avait quittée au moment où sa
fille
entrait en crise,et mes deux petits chanteurs qui
influencée. La mère rentre tout à coup dans l'état normal quand sa
fille
s’éveille, et continue le travail commencé au déb
ccoucherait d’un garçon, tandis qu’elle venait de mettre au monde une
fille
. « Le conscrit s’empressa d’aller prévenir la g
hec, en me défendant de recevoir aucun malade chez moi, parce que des
filles
, que je soignais tous les jours, commettaient des
t rendues ici pour solliciter un traitement auprès de moi. Une de ces
filles
avait un goitre; mesuré d’une oreille à l’autre,
e femme, suppression, elc. Ayant été prévenu par des malades fine ces
filles
menaient une conduite reprochable, je leur défend
ncore, en somnambulisme, bien entendu, « qu’elle était enceinte d’uue
fille
qu’elle ne porterait que huit mois,» (El cette no
du. Le médecin arriva cependant assez tôt pour recevoir l’enfant, une
fille
, venue un peu avant l’heure prédite (c’était un p
qui demeurait à l’autre bout du village, et à qui il avait refusé sa
fille
en mariage, l’en empêchait en frappant toute la n
struites dans la science biologique, aperçurent hier une des fragiles
filles
d’Ève étendue sur la banquette vis-à-vis l’église
erre de mois, mais parce que ces dénominations, que rien ne justifie,
filles
mêmes de l’erreur, sont une des sources les plus
un médecin, demeurant à la campagne, qui me proposa de magnétiser ma
fille
. Je la conduisais tous les jours chez lui, à plus
ourrions citer !.... El ici encore le" mères peuvent magnétiser leurs
filles
: les mains quelque temps appliquées sur les aine
... mit cclte circonstance à profit, noua d’intimes relations avec la
fille
R...., et quelque temps après il arrivait à Paris
. « Le magnétiseur n’était autre que l’ancien étudiant. D.... et la
fille
R.... réussissaient à rendre produc- livc la co
isme, l’artiste, pour satisfaire au vœu de sa parente, s’adressa à la
fille
R____ A la suite de plusieurs consultations pour
ultat de ses investigations fut l’arrestation du nommé D.... et de la
fille
R...., dite dame de II...., qui ont été mis à la
rsonne au milieu de toi qui fasse pas-« ser par le feu son fils ou sa
fille
, ni de devin qui se « mêle de deviner, ni de pron
oue pour vous sauver! » Depuis six ans, vous le savez, cette pauvre
fille
, paralysée des bras, des cuisses, des jambes et d
on départ, et vers les cinq heures el demie, posé sur les pieds de sa
fille
, pour les tenir chauds, une espèce d’oreiller, un
in, 3g, déjà condamné pour exercice illégal de la médecine (i); 2° la
fille
Dufay, dite Mme Otom, comme complice du sieurLolm
u le savoir qu’en la remettant en état de sommeil. M. le président.
Fille
Dufay, qu’est-ce que c’est? La prévenue. Je ne
amné le sieur Lolmède à un mois de prison et 1,000 fr. d’amende. La
fille
Dufay, qui n’était prévenue que de complicité sur
ot possède, à ce qu’il parait, le don de découvrir les truffes. Cette
fille
, qui exerçait la profession de cardeuse de matela
samedis où nous avons des visiteurs, nous avons réuni les petites
filles
de la Fondation Vallée avec les garçons de Bicê
St-IIilaire. Tous les enfants valides de la section, les petites
filles
de la Fondation Vallée et leurs parents assiste
es choeurs la première partie avec les garçons; toutes ces jeunes
filles
ont une étendue de voix assez remarquable, prin-
te aux chants de l'orphéon, composé des garçons de Bicêtre et des
filles
de la Fondation Vallée, et qui se termine par la
mort peu après. Les médecins au- raient dit qu'il était fou; 2° une
fille
débauchée, qui a fini dans une maison de prosti
re soeur, pourvoi, celle-ci est en outre coureuse; ? 0 une dernière
fille
qui est comme imbé- cile, domestique; « elle ra
s ne parlait pas et semblait avoir un « fond de chagrin ». - 2° Une
fille
, sujette aux bronchites, morte de méningite à 5
bronchites, morte de méningite à 5 ans ; - 3° notre malade ; 4° une
fille
de 7 mois qui tousse déjà. Notre malade. - Gr
x dans la famille.] - Pas de consanguinité. Quatre enfants : 1° une
fille
morte de coqueluche à 3 mois ; - 2° une fille,
atre enfants : 1° une fille morte de coqueluche à 3 mois ; - 2° une
fille
, morte également de coqueluche à 3 mois; 3° Not
e, morte également de coqueluche à 3 mois; 3° Notre malade ; 4° une
fille
de 6 ans, bien conformée, peureuse. Notre mal
antécédent nerveux.] Pas de consanguinité. Deux enfants : 1° Une
fille
, morte à 22 mois à la suite de convulsions inte
ans, à la suite d'un chagrin de famille, occasionné par une de ses
filles
qui faisait des excès de boisson ; il mourut d'
égalité d'âge de 10 ans. Deux enfants et une fausse couche : 1° une
fille
, morte à l'âge de 6 mois, du carreau ; pas de c
on. (1) Depuis que ces renseignements ont été donnés, il est né une
fille
, âgée de 4 mois et demi et qui est bien venante
deux autres du croup à G ans et il 20 mois, sans convulsions ; une
fille
, de 14 ans, est intelligente pas de convulsions
s. On ne sait s'ils ont eu des convulsions. La mère de l'enfant est
fille
unique.] Consanguinité : le père et la mère s
e mal faci- lement et est sujette aux migraines ; elle a une petite
fille
de 18 mois, très belle et bien portante, qui ma
Elle parle, mais ne prononce bien que les mots « maman » et « ma
fille
». Elle chantonne des airs vagues où l'on peut
de consanguinité. - Inégalité d'âge de 7 ans. Deux enfants : 1° Une
fille
de 4 ans, bien portante, intelli- gente, sans c
d'un cancer de l'utérus. Une sceur, a0 ans, très violente, a eu une
fille
morte folle a2't ans; un autre du ses fils « a
ue, en bonne santé ; '20 garçon, 18 ans, très fort, non nerveux; 3°
fille
, 14 ans, pas nerveuse ; 4" garçon mort à 9 ans,
pas nerveuse ; 4" garçon mort à 9 ans, de la fièvre typhoïde; 5°
fille
morte à 2 mois, de la fièvre typhoïde; - 6° not
: 1° garçon, 10 ans 1/2' intelligent, pas de convul- sions (2) ; 2°
fille
morte à 14 mois après avoir eu des con- (1) Mor
otie complète ; antécédents. 165 vulsions pendant huit jours ; - 3°
fille
, sept ans, intelligente, pas de convulsions (1)
ns, intelligente, pas de convulsions (1) ; - f° notre malade ; - 5°
fille
, née en z1889, postérieurement aux premiers ren
au concert des frères Lionnet, il s'est amusé à piquer les petites
filles
placées devant lui avec des épingles. (1·'ig. -
s samedis où nous avons des visiteurs, nous avons réuni les petites
filles
de la Fondation Vallée avec les garçons de Bicê
Saint-llilaire. Tous les enfants valides de la section, les petites
filles
(1) Légation du .Iapon : OI fr.), Commission de
aque année, sur notre demande, autoriser nos enfants et les petites
filles
de la Salpêtrière à visiter ce bel établissemen
uand la Fondation Vallée a été organisée, elle devait être pour les
filles
ce qu'est la colonie de Vauclusc pour les garço
'hygiène sexuelle, et pour les petites gâteuses et pour les petites
filles
pubères. Les enfants prennent leurs douches à l
enfants est l'extrême limite qui ne doit jamais être dépassée. Les
filles
et les garçons reçoivent l'enseignement en comm
L'expérience a prouvé, en effet, que la réunion des garçons et des
filles
avait une bonne influence pour leur éducation d
a été modifiée le 8 juin 1891. Les classes sont mixtes ; garçons et
filles
y reçoivent l'instruction en commun. Le § du
classes spéciales, avec un total de 175 enfants, 84 garçons et 91
filles
. Le règlement organique de ces classes a été ad
ctrice des écoles primaires, une école spéciale comptant 22 petites
filles
de 7 il 1-1 ans a été créée par le Département
nt créés pour les écoles du haut de la ville, et pour les écoles de
filles
. Il est question de la création d'une école ana
pôt de 7.870 jeunes gens des deux sexes (dont 7. 110 garçons et 730
filles
). Seize à vingt ans ! Des enfants ! » Cette s
Inégalité d'âge d'un an (père plus âgé). Quatre enfants : 1° Une
fille
morte à 3 ans et demi, sans convulsions. Elle a
uels ses parents attribuent sa mort; était très intelligente ; - 2°
fille
17 ans, bien portante, vive, intelligente, n'a
igente, n'a jamais eu de con- vulsions, ni d'accidents nerveux ; 3°
fille
de 15 ans, actuel- lement en bonne santé, a été
d'âge de 5 ans Six enfants : 1° notre malade né de l'amant ; 2° une
fille
âgée de 4 ans, née du mari qui a reconnu notre
isiter leurs enfants, elle leur adresse des grossiè- retés : « leur
fille
va crever, ne guérira jamais. » Elle leur fait
consanguinité. - Inégalité d'âge de seize ans. Six enfants : 1° une
fille
de vingt-deux ans, bien portante, un peu nerveu
nne santé, très tra- vailleur, candidat à l'Ecole centrale ; 4° une
fille
, dix-huit ans, bien portante ; 5° notre malade
. XII. - Enfant normale. : \Ia ? IBlall<5he), ans, enfant normale,
fille
d'un infirmier habitant un des pavillons de ta'
ne lui eut point refusé les rapports. Il cherche aussi il avoir sa
fille
dans son lit; sa femme l'a surpris les mains su
né à la 4° section de l'asile de Bicêtre,; - 2" notre malade ; - 3°
fille
imbécile, jumelle avec le malade. Notre malad
; 2° garçon mort à 13 mois d'une broncho-pneumonie rubeolique; ? )"
fille
, 18 ans, intelligente, santé très délicate, pro
calme, pas nerveuse. Orpheline à neuf ans, elle n'a pu laisser à sa
fille
aucun renseignement sur sa famille.] Pas de c
sions qui ont duré trois jours ; elles étaient nées à 8 mois ; - 3°
fille
morte à. 9 mois en 24 heures de la cholérine ;
cholérine en nourrice ; pas de convulsions ; 6° notre malade ; - 7°
fille
, 16 ans, pas de convulsions, intelligente, douce
convulsions assez fortes, est mort à 6 mois de la cholérine : - 10°
fille
morte à 6 mois, convulsions chaque semaine ; sa
nfiée à une nourrice bien portante et sobre. Le père affirme que sa
fille
, à six mois', était plus forte, paraissait mieux
t bouffie, les lèvre9 surtout, son teint est blafard. Du reste, cette
fille
est parfaitement réglée depuis l’âge de quatorze
tprès lf jgijièfe, el aty# ékj exp^fé magnétiquement. 2° Une petite
fille
de six ans, domiciliée à Bordeaux. ' Une très-f
naturel de ton dncle. « Mattéd a épousé Jü8nSj qui lül H donné une
fille
. Juâha est dbüée de la ëeétfnde vue, ou, si vous
d'Alger, ignorant là nouvelle fortune de socl mari, et laissant sa
fille
à Daniel le pêcheur. Voilà le prologue. « Quinz
C’est Daniel le pêcheur qui a trouvé cette croix ; Daniel a élevé la
fille
de Juana comme sa propre fille et lui a donné le
trouvé cette croix ; Daniel a élevé la fille de Juana comme sa propre
fille
et lui a donné le nom de Rachel. Il sauve la vie
i revenue d’Alger, après quinze années d’esclavage; elle reconnaît sa
fille
dans Rachel et Mattéo, dans Raoul de Messine ; le
gnétisée. Sa mère Seule y vint, me rendit compte de la position de sa
fille
, en m’offrant de l'apporter sur ses épaules, car
par un agent de police, il fut prouvé que, toute jeune qu’était cette
fille
par son âge, elle ne l’était plus pour le vice; b
de pareilles -circonstances ; tant de mauvaises gens et de coupables
filles
peuvent abuser de la trop grande crédulité et con
e; car la femme qui m'accusait, prétendait que j’avais magné* tisé sa
fille
malgré elle) ; leur présence pendant l’opération,
eté invincible, on transporta d'abôrd lés deux plus jeunes fils et la
fille
à l’hôpital de Saint-Claude. Puis enfin, la famil
de l’impératrice, qui, ne se doutant pas de la fortune future de leür
fille
, ne s'étaîent pas encore mis en peine de la bénéd
onsistait : M. Pierre Nau, demeurant à Paris, rue Richer, avait une
fille
douée de la propriété de percevoir sa pensée. Voi
d-Hippolyte François, jardinier à Outreau. Ce témoin avait une petite
fille
malade, condamnée par les médecins ; il entend va
et le prie de visiter son enfant. Riéder vient; il examine la petite
fille
, fait au-dessus d’elle des gestes exlriiordinaire
une autre fois. » La femme Desrouard est venue la consulter pour sa
fille
; on l’a mise en rapport avec la somnambule, qui a
; il a voulu magnétiser en ma présence le maître do la maison cl sa
fille
, mais il n’a pu y parvenir. Après avoir attendu p
on, neuf milles de Bristol, une jeune personne du nom d’Anne Gro-mer,
fille
d’un maître maçon, qui depuis bientôt treize ans
sous l’empire d’un terrible cauchemar. Elle avait rêvé que sa petite
fille
, âgée seulement de quinze jours, venait de mourir
u pour commencer mes expériences, je priai cette dame démagnétiser sa
fille
. Celle-ci étant endormie, je dis à Mme Huet de pl
. Ce fut dans cette position que Mme Huet commença à questionner sa
fille
, selon mes désirs; et voici textuellement le dial
je fis signe de retirer la sienne, sans cesser de questionner. « Ma
fille
, vois-tu encore mon fluide ? — Non, c’en est un
ec Mmc Huet et une autre personne, au moment où celle-là endormait sa
fille
; à ma prière, nous tentâmes une seconde expérienc
nérales du magnétisme , l’hérédité du somnambulisme. Mm' Vaillant est
fille
d’une somnambule de M. dePuységur; elle est douée
ységur; elle est douée des mêmes facultés que sa mère, et possède une
fille
qui annonce des dispositions identiques. Elle est
sieur Dubuisson, et ayant demeuré avec elle. La dame Guédon avait une
fille
du nom de Jeanne, qui est âgée, non pas de vingt-
moyne contre la sibylle, si clic n’avait été occupée delà santé de sa
fille
, malade des suites de la visite du sieur Lemoyne.
isin de Mme Guédon recueillir des renseignements sur cette dame et sa
fille
; pourtant elle ne larda pas à reconnaître combien
lle? — Rue de Seine. — Ah ! la sibylle; j’ai été la consulter avec ma
fille
, il y a deux mois, pour des palpitations de cœur
de Paris Audience du 19 août. MAGNÉTISME. — ATTENTAT SUB UNE JEUNE
FILLE
AGÊE DE MOINS DE QUINZE ANS. Si le magnétisme a
Plainchamp , cultivateurs à Nanterre, envoyaient tous les jours leur
fille
, Madeleine Plainchamp, âgée de onze ans et demie,
u tout, elle était d’un monsieur. J’étais lort en colère; je dis h ma
fille
: « Mm* Mongruel ne dormait pas, assurément. M.
— Oui, des poses, des extases. Ce jour-là, un portrait commencé de ma
fille
était dans une chambre voisine; on lui demanda si
de celte affaire, qui m’a fait un mal affreux, qui a rendu malade ma
fille
, qui n’est pas encore entièrement guérie; enfin,
ntièrement guérie; enfin, voici les faits : nous entendons sonner, ma
fille
va ouvrir; M. et M"'« Lemoyne entrent tout boulev
jusqu’à moi, j’entrai dans la chambre où ceci se passait, je pris ma
fille
par le bras et la renvoyai pour m’expliquer avec
e m’informai après son départ, et j’appris que ses soupçons contre ma
fille
étaient revenus, et depuis ce temps elle ne cesse
gruel, quelle profession exerciez-vous avant de vous associer avec la
fille
Lefèvre? — R. J’étais libraire. D. Avant cela,
rovince ? — Oui. D. A quelle époque remontent vos relations avec la
fille
Lefèvre? — Six ou sept ans. D. Aviez-vous cessé
femme Barotte : Mmc Mongruel n’a-t-elle pas soigné gratuitement votre
fille
, dont elle avait jugé exactement la position et p
rouve une de ses soeurs qui a eu la danse de Saint-Guy, et dont une
fille
a également eu la chorée de Sydenham. Un oncl
, desj couvents, des écoles et ont affecté non seulement des >
filles
mais encore des garçons.. Briquet cite plusieurs;
stances. Cette fois, c'était un père de famille qui avait enlevé sa
fille
, âgée de dix-sept ans. Cet homme était très con
es malades à l'église. Il causa amicalement avec elle, fit venir sa
fille
qu'il voulait, disait-il, accompagner à la mess
qui stationnait à un coin de la rue, il y fit brusquement entrer sa
fille
. La voiture partit aussitôt, et la jeune fille
etrouve aujourd'hui, à 4 heures, 138 faits divers. le corps de la
fille
de M. Tourdes, doyen honoraire de la Faculté de
M. Tourdes, doyen honoraire de la Faculté de médecine de Nancy. La
fille
de M. Tourdes, qui était âgée de vingt-cinq ans
trouble d'ordre névropathique. Elle a eu quatorze garçons et quatre
filles
. Sur ces dix-huit en- fants, quinze sont morts
t mort à un âge avancé.. La deuxième génération se compose de trois
filles
et d'un fils. Parmi ces quatre membres, trois s
es quatre membres, trois sont ataxiques et le troisième, la seconde
fille
, est diabétique. Actuellement âgée de soixante-
e. Sa descendance est particulière- ment intéressante à étudier. Sa
fille
ainée, névropathe simple, boit, aucun phénomène
ille ainée, névropathe simple, boit, aucun phénomène morbide, a une
fille
unique de dix-neuf ans, hystérique et astasique
tique depuis un an (diagnostic porté par le Dr Grasset). La seconde
fille
, actuellement bien portante, a eu à l'àge de di
t devi- ner encore l'ataxie : un seul a les doigts en massue et une
fille
de dix-neuf ans est hystérique avec astasie-aba
est mort à trente-cinq ans de phtisie pulmonaire. Elle a perdu deux
filles
l'une à huit mois, l'autre à deux mois. Il lui
son mariage, mais elle n'en sait rien. Elle suppose que ses deux
filles
ne sont pas mortes; cependant elle les a crues mo
ces aliénés se sont calmés peu de temps après leur internement ; la
fille
aînée reste seule agitée ; mais les convictions
njugal reste seul et en abuse. Il attire dans l'atelier les petites
filles
des envi- rons, une à une, et polissonne. Qui s
avait aussi abusé, au sens adulte du mot, d'une dizaine de petites
filles
du quartier. 11 réunissait même quelques vaurie
on des ins- tincts, qui avait des rapports sexuels avec six petites
filles
de la même famille, dont l'ainée avait treize a
, en tant que besoin, le directeur de l'asile Sainte. Anne, où leur
fille
se trouve en ce moment enfermée, aux fins d'obt
dans quelles circonstances M ? Dourches mère avait fait interner sa
fille
? R. Je les ignorais. Je ne savais qu'une chose
a-t-elle parlé des démarches qu'elle avait faites pour reprendre sa
fille
? R. Oui, et comme on la lui avait refusée, ell
t Mm0 Dourches, la mère de Louise. M. LE PRÉSIDENT ? En 1890, votre
fille
s'est éprise d'un chanteur de café-concert, nom
lle à Puteaux, sollicité au mois de novembre l'internement de votre
fille
à l'Asile clinique. Est-ce exact ? . R. Oui,
ce du quar- tier du Père-Lachaise. Elle raconta au magistrat que sa
fille
tenait depuis quelque temps des propos tout à f
fille. * Mm° Dourches déclare qu'à la suite de l'internement de sa
fille
et de son transfèrement de Sainte-Anne à Villej
serait fini. J'attendis. Au bout d'un an on ne m'avait pas rendu ma
fille
, malgré plusieurs demandes. Un jour, j'ai appri
ésident. Ce n'est pas la préoccupation absolue de la santé de votre
fille
qui vous a guidée. Vous vouliez surtout rame- n
s affirme que du jour de l'enlèvement au jour où on lui a repris sa
fille
, Louise n'a donné aucun signe de dérange- ment
aine au moins, accrochées après Louise; je leur ai dit : « C'est ma
fille
! Donnez-moi ma fille. s de la leur ai arrachée
ées après Louise; je leur ai dit : « C'est ma fille ! Donnez-moi ma
fille
. s de la leur ai arrachée. Le témoin se plaint
vier dernier, lorsque l'administration a remis la main sur la jeune
fille
. Le matin, à cinq heures et demie, on a frappé
ers le mois de septembre 1891, M ? Dourches mère, prétendant que sa
fille
était guérie, sollicita de l'administra- lion l
rocédant à son enlèvement. Si on n'avait pas surexcité cette pauvre
fille
, il est probable qu'elle serait aujourd'hui gué
e. Je n'ai, dit-il, jamais rien remarqué dans l'état meutal de ma
fille
. A ma connaissance elle n'a commis aucune sottise
tations qui s'étaient produites dans l'état mental de cette jeune
fille
, chaque fois qu'un événement nouveau l'avait pr
le dans cette bizarre occu- - pation, et lorsqu'on retrouve chez la
fille
du malade la même préoccupation morbide, on peu
tion morbide, on peut dire que cette dernière est bien et dûment la
fille
pathologique du père. Et à ce propos je rappell
nger la peau n'est pas provoquée seulement par la vue d'une jeune
fille
, la vue des lames tranchantes et brillantes comme
vous ne sentez absolument rien sur tout le côté gauche. » La pauvre
fille
fut interloquée et très honteuse ; à mon avis, el
e aurait été recueillie d'après les rensei- gnements fournis par la
fille
de service, immédiatement après l'attaque, quin
hez des sujets d'âge mur, elle existe au contraire chez de robustes
filles
de dix-huit à vingt-cinq ans. Nous croyons donc
'on lui parlait. r Je marche si bêtement, dit-elle, que les petites
filles
riaient de moi. J'aurais dû verser des larmes d
les débuts de l'installation de la fondation Val- lée, affectée aux
filles
éducables. Nous avons, entre temps, insisté sur
aux sont donnés, sauf deux ou trois hommes, à des femmes, veuves ou
filles
de fonctionnaires civils ou militaires. Nous rele
. —Cest depuis la magnétisation de milady, me dit M"” Th..., que ma
fille
est agitée. » Est-il besoin de recourir à une t
ien ostensible de la réalité de mon action mentale sur l’esprit de sa
fille
, j’emmène hors de la présence de celle-ci M“e Thi
e poids de ce qu’on nomme le cauchemar, nous rêvions que notre petite
fille
était tombée dans l’eau et qu’on nous empêchait d
rté dans le numéro !)* de ce journal, p. 53, lequel fait a trait à la
fille
du garde forestier de madame la baronne de Rothsc
cependant il a fallu à Jésus un cri et une secousse pour réveiller la
fille
de Jaïre, c’est à force de frémissement et de lar
nte donc chez moi, l’un de ces soirs, en société de sa femme et de sa
fille
: moi, j’accueille de mon mieux ces hôtes inconnu
ort a été sentie comme un malheur public. Elle avait confié ses trois
filles
aux soins d’une gouvernante écossaise, miss II.,
épousera elle-même le prince S., père de celle-ci. > La mère et la
fille
n’attachèrent, comme on le pense bien, aucune imp
uvaient cinq ou six personnes ; une seule de ces personnes, la petite
fille
Messager, âgée de huit ans , en est atteinte ; ma
tte heure, plus de six cents personnes ont été touchées par la petite
fille
Messager dont les parents, eux, se chargent de to
s’il se présentait pour nuire à la liberté du commerce. « La petite
fille
a reçu ses instructions : ses simagrées, en face
eligieusement la saleté, qui a servi à panser les plaies de la petite
fille
. «Dans tous ces esprits bornés, la puissance mi
chaumière déserle et abandonnée. C’était au temps de la moisson. Une
fille
de dix-neuf ans, revenant des champs, allait rent
urtout quand il s’y joiut des liens d'étroite parenté : la mère et la
fille
, par exemple). (1) Outre l’empire dos dispositi
ans cette oraison adressée par lui à Dieu pour le salut éternel de sa
fille
, de sa fille encore vivante cependant, là, devant
ison adressée par lui à Dieu pour le salut éternel de sa fille, de sa
fille
encore vivante cependant, là, devant lui, près de
Il lui demanda, la voix étouffée par les sanglots, de lui laisser sa
fille
adorée, sa bonne petite Nanny, sa dernière joie,
e lorsque M. Ramsay lui dit d’une voix suppliante : — Zeb, sauve ma
fille
! et ces masses d’argenterie étalées sur toutes l
pierreries que tu vois briller aux braset aux oreilles de mes autres
filles
. Oui, jete les donnerai! Nadir-Zcb sourit encor
livres sterling, 100,000 livres : prends tout ce que j’ai et sauve ma
fille
! — Je ne puis rien, dit enfin à demi-voix Zeb
et l’objet en cause était la vie de la sœur de sa femme, la vie de la
fille
de son beau-père ! Ajoutez que sa femme d’un côté
, dit Nadir-Zeb, je ne suis pas sûr, bien loin de là, de sauver votre
fille
Nanny, mais je suis sûr qu’il n’y a que moi dans
re chose. — Que veux-tu ? lui dit William Ramsay. — Je veux votre
fille
Nanny. — Te donner ma fille ! — Oui, votre fi
i dit William Ramsay. — Je veux votre fille Nanny. — Te donner ma
fille
! — Oui, votre fille : songez que je vous deman
— Je veux votre fille Nanny. — Te donner ma fille ! — Oui, votre
fille
: songez que je vous demande une chose qui n’est
la strangulation arriva bientôt au plus haut période d’intensité : la
fille
de Ramsay poussa un cri lamentable, le dernier d’
rait à l’autre bout du village, et à qui il avait refusé de donner sa
fille
en mariage, l'en empêchait en frappant toute la n
doses amis, M. le capitaine de vaisseau B..., qui m’amenait sa petite
fille
, belle jeune personne de 17 à 18 ans, sourde comp
sément. lois, dans une autre occasion analogue, auprès d’une pauvre
fille
hystérique depuis longues années, j’ai réussi, da
e poids de ce qu’on nomme le cauchemar, nous rêvions que notre petite
fille
était tombée clans l'eau et qu’on nous empêchait
ez de manière à ne pas s’y tromper : « Nous rêvions que no,tre petite
fille
était tombée dans l’eau et qu’on nous empêchait d
historique. P. 14. Le traitement suivi d’excellents résultats d’une
fille
de 18 ans, Mademoiselle Paradis, affectée depuis
ifé. (I) Le médium é!ait M110 Léuntmç Bégjn, la plu3 jeune des deux
filles
du docteur Émilc Bégm. encore ne fut-ce qu’au b
es. Quand le chef de Bachtan 0 Ol apporter ses présents , ¡1 mit sa
fille
au premier rang pour implorer n Sa Majesté et sol
: « Mon bon Seigneur r je reviens pour t’implorer * en faveur de la
fille
du prince de Bachtan. » ■ st. Puis il lit condu
ta vertu divine, j’enverrai « ensuite ce dieu pour qu’il guérisse la
fille
du prince de Bachtan. « 24. Par sa faveur la pl
de médecin, de médium et de magnétiste spiritua-liste, si j’avais une
fille
, un fils, ce ne serait point à la légère que j’en
oyait (à Mesmer) les « certificats qui lui avaient été remis, et qu’
fille
retirerait la u commission qu’ Elle avait donné à
ans le savoir, 113. 202, 374. Mariages rêvés se réalisant. Jeunes
filles
voyant en songe l'inconnu qu’elles doivent épouse
lulaire dégénère, et se détruit en laissant en liberté des cellules
filles
. La lésion parait avoir débuté dans le foyer du s
Vers 1'tlge de cinq ans, se trouvant à Autun, il remarque la petite
fille
d'une voisine, qui produit sur son cerveau une gr
us tard, nouvelle impression identique, à la vue d'une toute petite
fille
, qui était chez les soeurs avec lui; il se rapp
je fis des propositions. Elle me laissa entendre qu'elle était une
fille
publique. Je voulais me retirer, mais elle m'a
'étant jamais livré 1 cette pratique. 164 CLINIQUE MENTALE. 1 des
filles
ou même de leur parler de cela. Si d'autres jeune
n'oublie pas ce sentiment. Si j'ai accepté ce que m'a offert cette
fille
, c'est bien une preuve que j'étais malade. » -
ne preuve que j'étais malade. » - La deuxième fois, c'est une autre
fille
publique qui l'aborde et qui réussit encore à l
es entende plus désormais. Il ne s'était pas moins indigné quand la
fille
publique l'aborda et lui lit ses proposi- tions
ditaires 111. GnéôDiscaÉ râppôrte ·d'abord `1 histoire d'une femme,
fille
naturelle, qui accusait' de nombreuses obsessions
a présence : de la fontanelle,antérieure après la, naissance de sa.
fille
. La mère pense que quelqLieclio-e,a. tlfaire ma
e,assoupie,oulendormië ? yF,Io;i 9b ? bty, ? i a Lorsque^ la jeune,
fille
., eut, atteint rage de quinze mois, elle,se brû
1 l'en- touraient. Le père, qui est évidemment très'attachera à sa
fille
,- est bien sûr, qu'elle, ne erecouuaissait-pas.
biscuit.U,6 youq le ,93r-9'tàtnooi ? Le 18 janvier, j'appris que la
fille
se tenait' bien etfquèl quelque^ , amélioration
'l'HYS1QUE5 CARACTÉRISTIQUES ? par le Dr CAStUSCT : I ? '' jrifp CI
fille
- 1 >,, ll ? fl , i . sLe criminel, est : il
e,' un'couteau'de cuisine, 'va trouver, à la tombée de la nuit/ une
fille
soumise,' âgée dé vingt et un ans, et avec laqu
55 - A l'époque de la prétendue possession, plus de quatre-vingts
filles
y avaient été reçues, après avoir fourni respecti
hevan'nel,(capucin.1 qui -tous' lui, conseillèrent.de ramener cette
fille
dans la piété'par la voie' des "sacrements, et
restre qui lui fut substitué, fort surpris des pensées que cette
fille
1, lui, communiquait, t et .-particulièrement de-
' ? ' ^i ' Jf ' .« Dès le. premier exorcisme qu'ils firent,' cette
fille
ou les démons qui l'agitaient dirent qu'il fall
is envoyé audit sieur Devenet. Néanmoins, sur cet avis donné par la
fille
ou par le diable, ces deux ecclésiastiques sont
ues sont mandés au couvent.' On les fait venir en présence de cette
fille
qui leur fait un compliment ou 362 HISTOIRE ET
.1 iUL ooiiO-i .i3u» ·7ltfOtJ rV ? t 7 ua 'i ) i qui occupaient ces
filles
. *\ ., , .... , ·v.ra .,...· c...v.l ? u., 1 ?
é ? C'estticicquecse placentdes incidentst dont fut l'hérôine cette
fille
. de Fauverney Rappelée Claudine Bourgeot ? don
ent. peq 31s-3aom 33 an zip alqiisq ub i-tsq ni .'b ï47rni ..Cette.
fille
avait. été malade et sa mère;l'avait obligée àvga
a le père de cette jeune personne à la confronter publiquement a la
fille
Bour- geot ? Malgré la conviction unanime dé to
restrès lui fournissoient nourriture et portoient a la mère et a la
fille
une pinte et'demie de vin . I ··T F.i r·7j,r· ?
hez Claudine Bourgeot un signe, même1 douteux, de possession, cette
fille
fut nean- ' .. 1. . me outeux, - .r , .1. , 1 t
onnerons du reste le. récit, de sa' conduite scandaleuse avec cette
fille
qui, a la suite clés éxor- n ..) .. *-<' - n
magiciens. Mais ce n'était pas assez d'éta- blir qu'il y avait des
filles
possédées dans la maison, il fallait en découvr
ns,' l'autre 'il yà septiaîis;â ? péu près'en même' temps que leurs
filles
. Les mères ont continué à délirer de la même fa
. Les mères ont continué à délirer de la même façon, tandis que les
filles
, après un court délire' de' quelques mois,' son
es antécédents' héréditaires : elles délirent depuis longtemps; lés`
filles
;`déineàtës'pi'écés,,ont'à'süppôrtéren plus 'l'h
deux enfants ; un o* fils, militaire;mortdetla'petitemérole, et une
fille
qui fait l'obje tl de cette observàtion ? ioiJD
ites ^une^autre ' fois, elle accuse(un de ses cousins,d'avoirtué sa
fille
, et^de l'avoir i jetée dans un puits. La crise.
e l'eau de cuivre dans ses alimuents, ses boissons. Con- cernant sa
fille
, le délireiest survenu brusquement, un* matin, al
sse et de' crainte.'d'un malheur, est obligée d'éloigner la jeune 9
fille
de' la1 maison." Quand on-l'interroge à ce sujet
ÉRALES FORME ; DE TABES AU DÉBUT. 409 son animosité vis-à-vis de sa
fille
a disparu ;'les qualités affectives sont éteint
se contenta de commander'aux diables qu'il suppo- sait posséder ces
filles
, de jurer sur le Saint-Sacrement que ce qu'ils
3D ? ii-ii ? ? tt ? ? .,1·JJtVl4 · J v·a· mêmes exorcismes sur.ces
filles
, les anciens, exorcistes , ne s estants jamais
;) ? ( 1 que celles qui sont prescriptes par, le rituel romain, les
filles
.i, -Hi. ju" .lct; i.u ijti- --1 -u--1- " 'îv-.
es accompagne et les infirmitez 7 m,esmgu*ili"éuvet causera à ces
filles
par des ruptures ? et comme aussi pour mieux reco
-i," *>r-, ? trrt'. , ,r ? ,. f. > -> ? de faire* seoir la
fille
dans une chaise a bras qu'ils souhaita 91, 193'
TOIRE ET CRITIQUE. 1 'I5 Jt '<.<- k. tèrent si haute que la
fille
ne peut pas toucher la terre des piedz, d'où el
1 l'on- se sei vit Pd'unë-âààz-1 tas.s avec' résolution de lier. la
fille
si Lbesoin't est'oit ? 6uil'arreste à' la main
"«'Cela'réussit comme'on'1'avoit'préméditée l'on fit asseoir ces
filles
pendant rexorcisme'èt on lé-s'r'étiiit âisémênt'd
d'Epictète et qu'il prononça d'un ton fermée lent et arti- culé. La
fille
commença lors à' hurler; et s'agitter autant que
heure outroissquard d'heure, tantost plus et tantost moins, que ces
filles
s'estoient agittées avec la violence cy, dessus
le - , dict,R. 1 ? Il P. recommença les; adjurations, ^en latin la^
fille
recommençaLSes4agittas tions., Il, mit. la main
mouvements dont nous ayons parlé desquelz après quelque temps la
fille
revint, sans qu'on eut faict commandement au dé
parler, mais après quelques agitattions sans autres cérémonies, la
fille
revint à soy et l'on fut d'advis de finir cet e
tinua la suitte des même interrogats, et. corne t coin- mené, la
fille
se,prit, à hurler- plus haut, et tourner la tes
' M. le vicaire général s'approche d'elle et ' luy parle come à une
fille
, luy remonstre que ses postures ne ' Manuscrit
très saint Sacrement de l'autel. Ils le mettent sur la teste de la
fille
, estant encore dans le fort 'de ses agittations
Recédât diabolus, lors le démon si rebelle jusques alors obéit, la
fille
revint à soy et se levant de la chaise s'en va
rqua durant l'exorcisme que MI le vicaire géné- ral appliqua sur la
fille
un reliquaire soit de vrayes reliques, soit de
ort à 2 mois, un autre à 9 mois. 11 a encore un fils de 16 ans et une
fille
de 19 ans. Quant à lui, il a eu une jeunesse dé
nfluence suggestive. Il s'agit d'une dame, âgée de trente-huit ans,
fille
de nerveux et d'alcooliques, devenue éthylique el
ant d'autres ; il laissait une femme et deux enfants : un fils et une
fille
. Il soutint jusqu'à la fin son actif intérêt pour
t de mes intentions, et qui avait assisté, muet, à la gué-rison de sa
fille
. Les larmes coulaient le long de ses joues et il
sensibilité, etc., etc. Le hasard m'ayant fait découvrir que cette
fille
était facilement hypnotisable, je résolus d'en pr
nsonge, la simulation, la perversion des sentiments; chez les petites
filles
, la coquetterie est également une des manifestati
e fait se produit. En ligne descendante, Madame X... a deux petites
filles
très nerveuses de 9 et 8 ans. Les deux enfants so
n à cet état, lorsqu'il y a environ 2 mois, la plus jeune des petites
filles
fit simplement cette réflexion : Maman, tu es rou
ait rougir ; cette enfant va croire que cet homme est mon amant et ma
fille
va être scandalisée sur mon compte. Rentrée chez
, avec les femmes B..., avoua son crime. M. Brouardel constata que la
fille
B... pouvait être mise en somnambulisme; mais, de
vous-même, Mme Rémy. On pique son fard facilement, sans être « une
fille
pour cela. Oh ! des douleurs névralgiques. Mais n
ion en acceptant des théories physiologiques qui, pour n'être pas vos
filles
, n'en sont pas moins établies à jamais au firmame
que). 12* Bérillox. — Habitudes vicieuses associées chez une petite
fille
. Onanisme et onychophagie traités avec succès par
guérie puisqu'elle vit encore aujourd'hui, avec la tète bonne, dit sa
fille
, et capable de la soigner elle-même. Quant à elle
teur ajoute : « Il est donc fort probable qu'elle recon-« naissait ma
fille
et son amie, dans les personnages que je lui « dé
naît, dans les voleurs qu'on lui ordonne de tuer, qui? précisément la
fille
de son maître, pour laquelle elle a depuis longte
? Si elle sait, si elle voit que Delbceuf lui ordonne de tirer sur sa
fille
, et non sur des voleurs, pourquoi ne •fait-elle p
nuits consécutives, une femme entend une voix qui lui dit : « Tue ta
fille
! » l'idée persiste pendant la veille et la malhe
ire, Arçh. de méd., I, 1876, 554. rêve qu'elle tue son mari et sa
fille
: une fois éveillée, elle s'a! tache les mains po
e ne plus manger, en punition d'une faute qu'a commise la malheureuse
fille
; une dipso-mane guérie depuis un an se remet à bo
devant le directeur et un étranger, et découvre sa nudité. Or, cette
fille
était de mœurs très honnêtes, très « prude même,
e un sieur Lévy, dentiste-ambulant, qu'elle accusait d'avoir violé sa
fille
et de l'avoir rendue enceinte. Toutefois, la pl
voir été présente pendant tout lo temps qu'avait duré la visite de sa
fille
et ne s'être nullement doutée des actes coupables
. Selon nous, l'expert eût pu, et même dû, après s'être assuré que la
fille
B... était susceptible d'Ôtrc mise en somnambulis
informant la Société que celte jeune femme a mis au monde une petite
fille
dans la nuit du 13 au 14 février 1898, c'est-à-di
. La mère de notre malade, interrogée à cette époque sur l'état de sa
fille
, se montre enchantée et fait cette réponse qu
e sentiment religieux était en recrudescence; et plus que jamais, les
filles
et les cadets de famille emplissaient les monxstè
urs. Acarie introduisait les Ursulines. qui, vouées à l'éducation des
filles
, ne tardaient pas à posséder en France plus de tr
uis cet accident qui lui enlevait quclque-uns de ses espoirs déjeunes
filles
. A quinze ans (février 1640) elle rimait le son
vembre 1640, elle dédiait celte épigramme à sainte Cécile : • Noble
fille
du ciel, quand ton cœur généreux, Après avoir fra
d'hystérie dont elle no nous a pas parlé lorsqu'elle nous a amené sa
fille
. Le grand-père maternel était épilcptique : il es
uieillerie et Des Champs des Landes, qui eut plus tard un fils et une
fille
à Port-Royal. Lo médecin peut prendre une autor
ans cette abbaye, où elle avait fait déjà des retraites. Elle eut six
filles
, dont l'abbesso Angélique Arnauld, six petites fi
s. Elle eut six filles, dont l'abbesso Angélique Arnauld, six petites
filles
, trois fils et plusieurs petit-fils en religion.
a Presse Médicale, 1897, n° 61, p. 41.— Une femme de trente-sept ans,
fille
d'une mère hystérique, a perdu il y environ trois
rdinaires, et qui étoit dès son enfance dans une réputation où peu de
filles
parviennent, fut tellement touchée des discours d
, l'une de cinquante-sept ans, l'autre de cinquante-cinq ans, étaient
filles
d'Arnauld l'avocat, et sœurs d'Antoine Arnauld,
s. Arnauld l'avocat, ayant beaucoup d'enfants, avait décidé que ses
filles
Jacqueline et Jeanne entreraient en religion le p
nt ce qu'elle disoit 2 ». Nous la voyons recevoir gratuitement trente
filles
pauvres au monastère de Maubuisson et se les atta
d'Estrées, précédemment abbessc de ce couvent, la voulut chasser, ces
filles
la défendirent contre des gentilshommes l'épée nu
us on est de dévotes, plus la dévolion augmente. « Ce grand nombre de
filles
, dit la mère Angélique de Saint-Jean, qui accrut
, vu l'im- possibilité de parler où était la malade, fournis par la
fille
de celle-ci, avec une intelligence et une préci
difier. Les antécédents héréditaires n'ont pu être recherchés, la
fille
de la malade ne connaissant ni ses grands parents
ept enfants, la plupart sont morts en bas âge, un seul survit, la
fille
dont nous avons parlé plus haut. Elle a eu deux
sort dans la cour pour se promener. Deux ou trois minutes après, sa
fille
l'entend frapper à la fenêtre, elle sort aussit
21 connaissance, mais elle revint à elle dès qu'on la releva; la
fille
affirme qu'elle n'était paralysée d'aucun membre
t la moindre paralysie des membres. Pendant le séjour à Tenon, la
fille
dit avoir remarqué que la langue allait de pis
r marcher. Le 30 mai 1883, elle quitte l'hôpital et revient chez sa
fille
; elle parlait encore, mais très fortement du n
al, dans ces Jahresbericht über die gesammte Medidn (1876). « Une
fille
, âgée de huit ans, n'ayant dans sa famille d'autr
mes en train d'obtenir la guérison dans un tel cas, chez une petite
fille
âgée de huit ans et nommée L. M. La malade, qui
é se trouve en jeu d'une façon remarquable dans un cas. La mère, la
fille
et la petite-fille onteu des ecchymoses sous- c
rée. -Je connais également une demoiselle d'une vingtaine d'années,
fille
d'un excité maniaque à idées ambitieuses, qui d
je voudrais raconter en- core l'histoire d'une enfant de sept ans,
fille
d'un délirant mélanco- lique à idées hypocondri
ournal' un fait divers dans lequel il était'ques- tion d'une petite
fille
qui, après avoir glissé dans la rué de Pro- ven
i revient à l'esprit ; il cherche à se rappeler le nom de la petite
fille
. Ce nom ne venant pas, il s'efforce de ne plus y
e, et c'est ainsi qu'il est amené à ne plus oser embrasser ses deux
filles
, par crainte d'avoir à se souvenir soit des par
. Pour mettre fin à son anxiété, à ses lamentations, sa femme et sa
fille
venaient à son secours et prononçaient des mots
ts sur sa famille. - Les accouchements ont été naturels. Une petite
fille
morte à cinq ans ne dilférait en rien des enfants
J' 1 Li-ois dyspeptique. Il est marié et : 'père de trois petites
filles
dont l'aînée a aujourd'hui' douze' ans. 'Ces fill
,d commerce de son père ; ? ? ? 3° Le troisième enfant était une
fille
morte de plitisie pulm'o- t\âirë' ! I'j'J Il 1
f the Academy of mecl. in Ireland, t. II, 1884.) Il s'aitd'unejeune
fille
de dix-neuf ans,sur laquelle on nerelève aucun
t, ellesne cherchaient, comme « des bacchantes, qu'à déchirer leurs
filles
de service ou il se « déchirer entre elles. » ,
t à des intervalles rapprochés, c'est qu'il existe un garçon, une
fille
, à développement physique ou intel- lectuel inc
grande vérité, mais son tort a été de croire que ces garçons ou ces
filles
à développement physique ou intellectuel incomp
immoralité révol- tante, était kleptomane ; un cousin germain a une
fille
qui a eu des accidents épileptiformes à la conv
s excès avaient été anté- rieurs ou postérieurs à la naissance desa
fille
. La ques- tion d'hérédité reste donc douteuse.
s; elle n'a jamais fait d'excès de boisson. (Sa mère raconte que sa
fille
, à partir de quatorze ans, s'est livrée aux homme
torze ans, s'est livrée aux hommes et il la débauche, tandis que la
fille
accuse sa mère de l'avoir prosti- tuée à l'âge
t à vingt-sept ans de la variole, six mois avant la naissance de sa
fille
qui est une enfant naturelle. - Mère, bien port
nos malades), et n'avoir pas connu d'autre homme que le père de sa
fille
: cette dernière l'accuse au contraire d'avoir
un garçon, Des... (Ons. V); -°2° fausse couche de sept mois ; - 3°
fille
morte à sept mois de convulsions ; - 4° Horni..
fausse couche de trois mois 7° Horn..., Stéphane (Oss. VU); 8° une
fille
âgée de douze ans en 188f, bien portante, d'un
s convulsions à cinq ou six mois, à plusieurs reprises ' ; - 9° une
fille
, neuf ans en 1881, bien portante, un peu chétive,
; une autre, imbé- cile, a eu autrefois des convulsions. Une seule
fille
est bien por- tante et intelligente, mais on pe
ré. Leurs deux mères portaient le même nom. Onze enfants : 1° une
fille
morte à un an sans avoir eu de con- vulsions ;
elligente. A sa naissance, elle était comme enflée. - 2° et 3° deux
filles
, l'une de vingt-un ans, l'autre de dix-neuf, bi
rles-Georges), idiot, est encore actuellement à Maréville; - 6° une
fille
morte à huit mois de la variole, quoi- qu'elle
eût, dit-on, été vaccinée et que le vaccin eût bien pris ; - 7° une
fille
(Henriette), idiote, morte à la Salpêtrière à dix
i- gent, a eu quelques convulsions internes, il ¡louche; - 9° une
fille
, huit ans, bien portante, pas de convulsions ni d
peut se montrer à tout âge. Seegen l'a rencontrée chez une jeune
fille
de douze ans. Elle nous semble toutefois plus fré
is, le troisième et le quatrième sont morts-nés : le cinquième, une
fille
, vit jusqu'à vingt ans, elle était sourde, avai
eur, et se sent irrésistiblement poussé à désirer salir des petites
filles
. Durée des accès : huit à quatorze jours. Cons-
BERKHAN. (Arch. f. Psych., XV, 2 '.) Vingt-sept enfants, garçons ou
filles
, ont été confiés à des professeurs d'articulati
sept heures, il était satisfait et sa femme pouvait se coucher. La
fille
de ce discoureur nocturne, femme d'un de nos co
r d'assises de la Sarthe, le 7 septembre dernier. Il s'agit d' «une
fille
idiote qui s'était laissé séduire » et qui en d
par imprudence, devant le tri- bunal correctionnel de la Flèche. La
fille
, « qui est fort peu in- telligente », fut acqui
des asiles spéciaux les enfants et les adultes idiots, surtout les
filles
, et de créer dans ce but des asiles inter-dépar
mmes'sont'morts ; 'dé'la'1 dernière ? il'a eu notre maladefet deux1
filles
bien'portalites. l'as d'hérédité vésanique dans
rmet pas de rapporter, furent des preuves « que l'on a tenu que ces
filles
estoient possédées pour entretenir quelque mauv
avoir reçu la lettre. Il dit qu'il préféroit la délivrance de cette
fille
à tous les faux bruits qu'on faisoit courir de lu
.1* BARBE BUVÉE. 33 et d'empescher son fils de sortir avec cette
fille
ou bien de faire arrester par les prestres, le
strats à Dôle pour ordonner audit Nouvelet de se séparer de la dite
fille
, ce qu'il ne voulut faire. » « Il est vray que
s pour lesquelles le dit Nouvelet s'excuse de n'avoir quictté cette
fille
sont que comme elle apprit le voyage de son pèr
gistrats de la ville d'Auxonne donnèrent ordre de faire'arrêter la'
fille
Bourgeot , et sa mère. La mère fust. constituée
lle Bourgeot , et sa mère. La mère fust. constituée prisonnière, sa
fille
se sauva et fuyant t6mba, pasmée sur le pavé. L
demain les magistrats obligèrent la'mère.de la ditte Bourgeot et sa
fille
de sortir, qu'ils les firent conduire à à Fauve
a .le dit Nouvelet son papa et que le dit Nouvelet luy appella ma
fille
. *<'»% '' r ? t ,' « Au mois de novembre de
s étour- dissements. Un dimanche soir, il descend à la cave avec sa
fille
aînée ; il était occupé à tirer du vin, quand t
quement, déboutonne son pantalon, sort sa verge et s'avance vers sa
fille
en lui disant : « Prends-la, prends-la. » L'enfan
oujours été bon époux et bon père, jusqu'à l'attentat commis sur sa
fille
. Il boit cependant de temps en temps. Les rappo
que, pour un moment, et n'a pas craint d'attenter à la pudeur de sa
fille
. Pour expliquer sa conduite insolite, X... prét
port avec la frayeur. M. JORFROY. Pendant l'attaque il a parlé à sa
fille
; on ne peut donc considérer le mutisme comme pa
ième lit), sur laquelle on n'a pas de renseignements. Enfants : Une
fille
de neuf ans, bien por- tante. Pas de fausse cou
ssi plusieurs opinions dans l'esprit touchant ces exorcistes et ces
filles
. D. Je te conjure de parler sincèrement et de n
é plusieurs choses à leur déposition, par exemple : il a mis qu'une
fille
avait été déflorée par les sorciers, cela est f
e la ruse d'un esprit qui veut sauver son honneur et celui de ses
filles
aux dépens du Commissaire et de ceux qui ont tra-
s, si la collusion ne paraît pas tout entière en faisant causer une
fille
sur des sujets de cette nature, et tant plus le
tres sçavans, députés par le roy, sur la pré- tendue possession des
filles
d'Auxonne », dont les conclusions furent en con
que ledit Seigneur Evesque nous a rapporté. i. Que toutes lesdites
filles
qui sont au nombre de dix-huit, tant séculières
ont esté trouvez par effet, mais encores dans les corps des autres
filles
, auxquelles elles n'avoient pas parlé, qui les
demie heure plus ou moins, tant que les espèces estant avallées, la
fille
demeuroit tran- quille en un moment, et sans mé
eur ayant faict comman- dement au démon de suspendre les sens de la
fille
, en sorte qu'elle ne sentit aucune douleur, et
doigts, sans qu'il y parust ny de douleur, ny de sang, sans que la
fille
parust ny malade, ny assoupie, mais parlant et
la main, qui fut brûlé au mesme temps. 8. Que les démons, dont les
filles
se disoient possédées, pressés de sortir par la
st monstrée du doict par mon dit Seigneur - BARBE BUVÉE. 121 I la
fille
fut délivrée, et la vitre cassée par effect, que
res qu'elles ont esté iugées passer, non seulement le pouvoir d'une
fille
, mais encore les forces de la nature ; que la s
yt paru n'y meurtrissure, n'y contusion, n'y marque. Que toutes ces
filles
sont de différente condition, il y en a de sécu
ein de fourbe et de frippon- nerieput conserver le secret parmy des
filles
en si grand nombre, de condition etd'interest s
lé advantageusement de l'in- nocence, et de la régularité, tant des
filles
que des ecclésias- tiques, qui ont travaillé de
sidéré, nous estimons que toutes ces actions extraordinaires en des
filles
, excèdent les forces de la nature humaine, et n
, janvier 1894, n° 1723.) C'est un cas de myxoedème chez une petite
fille
de seize ans et demi; six photographies nous mo
interrogats latins précisément, quoy que ce ne soit qu'à une simple
fille
, qui à peine scay lire. Elle se releva par aprè
ive à toutes, je le remarquay principalement, a une assez puissante
fille
, qui sortit de l'exorcisme sans sueur ni rougeu
ste qui luy foisoit peine (c'étoit des Reliques de saint Ignace) la
fille
demeura toujours dans tout l'exorcisme présente
après plusieurs commandemens, l'eau descen- dit en l'estomac, et la
fille
demeura libre. » « Je vis dans un autre exorcis
eu ses badineries et railleries, elle dit qu'elle n'estoit qu'une
fille
et qu'elle n'estoit pas possédée, l'exorcisme luy
ue pour réparer l'injure faite à Dieu par ses insolances, et à la
fille
par son mensonge, qu'il eust à souffrir la piqûre
la laisser entièrement libre, ce qu'estant exécuté, on demanda à la
fille
si elle ne sentoit point de douleur, elle dit q
it aux assistans que si quelqu'un vouloit toucher le poulx de cette
fille
, qu'on le trouveroit réglé, nonobstant cette po
tait d'une bonne moyenne. Les garçons étaient plus atteints que les
filles
(non seulement les membres inférieurs, mais les
pour en faire l'autopsie. On découvrit alors que le corps de cette
fille
avait étéouvert antérieurement, ce qui empêcha
des chirurgiens commis, par le maire d'Auxonne, portait bien que la
fille
Moroge était morte d'un abcès à l'estomac et qu
coucher depuis quelques mois. Il résulta de l'information que cette
fille
s'étant rendue un jour chez un épicier nommé Te
la salle en disant s'opposer formellement à cette autopsie, que la
fille
Moroge n'était point morte, mais seulement asso
ques. L'exorcisme dura assez long- temps, mais après, la mère de la
fille
Moroge insista pour que l'autopsie fût terminée
yeux sur moy pour estre un des juges de la prétendue possession des
filles
d'Auxonne : j'ai vu qu'il estoit de mon debvoir
rieuse et très fidèle observation de tout ce qui s'est passé en ces
filles
pendant les exorcismes, je puis assurer Votre G
valles de démence a ; Gabrielle de nlalo qui était à l'époque c une
fille
aagée de quinze ans, pensionnaire depuis huit ans
on compare son crâne à celui d'un garçon normal de dix ans et d'une
fille
normale du même âge que nous plaçons sous vos y
lèlement à la hauteur de la cellule épendymaire : les deux cellules
filles
sont dans ce cas juxtaposées et augmentent de l
culaire à la hauteur de la cellule épendymaire : les deux cellules
filles
sont alors superposées et l'épaisseur de névraxe
qui semblent au malade condamnables. Voici par exemple une jeune
fille
qui, pendant qu'elle soigne son père, se met à pe
-huit ans est un malheu- reux journalier marié et père d'une petite
fille
. ' Aucune tare névropathique, ni chez ses ascen
adie de Little. Le second, , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 77 une
fille
, née à terme, bien conformée, intelligente, ne pe
ricoteuse à Belval, village de l'Hôlel-aux-Moines, aperçurent celle
fille
tombée dans sa maison. Ils s'empressèrent auprè
xpertises médico-légales. « Esquirol rapporte le fait suivant : Une
fille
accouche pen- dant la nuit, et le lendemain le
fant est trouvé dans les latrines mutilé de coups de ciseaux. Cette
fille
avoue son crime et n'en témoigne aucun regret.
récemment, le D'' Blé, de la Roche- sur-Yon, et moi, d'examiner une
fille
qui, accouchée clandes- tinement, avait fait di
ALE. dénoncée par la rumeur publique. L'attitude bizarre de cette
fille
pendant l'instruction éveilla l'attention du juge
istence. Au moral, Marie C..., est unanimement considérée comme une
fille
d'une intelligence ordi- naire, laborieuse, mai
ce ordi- naire, laborieuse, mais de moeurs peu recommandables. « Ma
fille
, dit lui-même le père, est une bonne travailleu
fet, le 13 décembre, le gardien chef de la prison signale que cette
fille
depuis son arres- tation « parait avoir des ins
à guérir. Ainsi il est constant qu'au mois de juillet dernier la
fille
Marie C... a subi un traumatisme du crâne qui s
n'est pas imputable à l'hys- térie ; elle doit naître chez bien des
filles
de santé régulière en pareil cas et cette idée
e, et notie devoir était de le signaler, que la détermination de la
fille
C... ait été influencée par la grave maladie su
t aboutir devant le jury( qu'à un acquittement pur et simple, et la
fille
C... fut mise en liberté. Les développements
attendant qu'il applique lui-même le mot nou- veau. Avec une petite
fille
, les poupées sont d'un grand secours. Avec tel
qui a toujours présenté une exlrême émotivité. C'est d'ailleurs la
fille
d'un alcoolique et la petite-fille d'une femme qu
aisait comme un oiseau qui saute d'une branche. J'appelle ma petite
fille
qui les brûle dans la cheminée après m'avoir dit
et je le mets sous mon oreiller. Quand je raconte cela à ma petite
fille
, elle me répond : « Ça doit être un papier qui
SCENCE MENTALE. 209 Antécédents héréditaires inconnus. - Une de ses
filles
est entrée en religion ; la seconde fille est u
s inconnus. - Une de ses filles est entrée en religion ; la seconde
fille
est un peu bizarre et émotive. La malade a touj
depuis des années. Mais en dehors de « ces petites manies », dit sa
fille
, jusqu'à l'âge de soixante-dix-huit ans, on n'ava
bitemeut, le 14 juillet 1893, étant inoccupée dans sa chambre où sa
fille
lui tenait compagnie, elle lui dit à brûle-pourpo
elle lui dit à brûle-pourpoint (c'est l'expression employée par sa
fille
dans le récit qu'elle nous a fait) : « Tiens, i
les ; un tel et un tel sont morts. » Malgré les protestations de sa
fille
, elle croit dès cel instant qu'il y a des somna
écoute avec une telle attention que rien ne peut l'en distraire. Sa
fille
reste des heures entières à la surveiller, cher
s supposés. Ces interlocuteurs sont d'abord deux somnambules, et la
fille
de l'une d'elles, auxquels s'adjoignent un cert
Catherine fait chorus avec sa soeur. Il n'y a que la petite Marie,
fille
de Félicité, qui a le courage de dire : « Pourquo
; vers 11 heures, elle vient subitement se mettre dans le lit de sa
fille
parce qu'elle a peur. A 3 heures du matin, elle
e s'irrite parce qu'on refuse de la laisser partir à Meaux, chez sa
fille
qui est religieuse, auprès de laquelle elle veu
conte elle-même, d'une façon un peu confuse, cette histoire dont sa
fille
nous a donné les détails précédents. Elle se tr
héréditaires nous sont inconnus. Il faut cependant remarquer que sa
fille
ne paraît pas indemne au point de vue mental. -
au 13ozzlaomznelVozvzzand du 22 août. Attentats à la pudeur sur des
filles
. - Louis Delahayes, soixante- trois ans, charro
dents personnels. - Fièvre typhoïde à dix-huit ans. Le malade a une
fille
unique bien portante; sa femme, morte de la poi
Il montre : 1° des photographies figurant les trois malades (deux
filles
et un garçon) de semaine en semaine pendant les d
il n'a étudié que trois cas concernant un garçon de trente ans, une
fille
de vingt ans, et une autre de quatorze ans, et
té très prononcés chez le malade de trente ans, moyennement chez la
fille
de vingt ans, et un peu moins chez la plus jeun
teau du duc d'Eperon et où sont détenues en ce moment 133 jeunes
filles
ayant moins de vingt ans, et envoyées là par déci
s, profitant de l'absence de son mari, a habillé de blanc ses trois
filles
, âgées de sept, cinq et trois ans, puis, après av
Mayenne, étant sortie sans bruit du lit où elle se couchait avec sa
fille
, ses enfants se mirent à sa recherche dès qu'il
tout employé. Déjà cinq ans auparavant le père, la mère et une des
filles
. avaient dû être interdits. Devenus dangereux pou
nspiratrice de toutes les requêtes et - dénonciations. ' ' j ` La
fille
alliée, âgée de'.trente-cinq ans, reproduit d'une
e délire s'est évanoui dès qu'il a été éloigné de sa femme. Chez la
fille
c'est à proprement parler la folie communiquée
comme symptôme se mon- trant au cours d'une paranoïa chronique (la
fille
). Apparition d'idées de grandeur. Terminaison p
femme G... qui crée le délire, le systématise jusqu'au jour où la
fille
prend la direction. Le mari subit les idées délir
donne, une fois séparé de sa femme (folie imposée des Français). La
fille
, une héréditaire, collabore active- ment au dél
pour assister par la fenêtre à leur coucher. Ayant appris que la
fille
des locataires de l'appartement situé au-dessous
: 1° et 2° jumeaux (garçon qui mourut à trois mois faute de soins,
fille
morte à quinze jours; était restée longtemps au
t mois ou sept mois et demi); 3° et 4° deux fausses couches; 5° une
fille
qui a dix- sept ans, pas de convulsions, très i
qui a dix- sept ans, pas de convulsions, très intelligente; G° une
fille
qui a quinze an, boiteuse à la suite d'une chut
cène de l'accident. On connaît bien également les obser- vations de
filles
hystériques qui,à lasuite d'un viol, voient au co
parties. En maintes circonstances, nous avons réuni les peti- tes
filles
de la Fondation Vallée avec les garçons do Hicé-
toutes les formes chez les enfants des services spéciaux, chez les
filles
aussi bien que chez les garçons. Rien n'est inc
tre prudeut, car il peut être inefficace, sinon meurtrier, chez lés
filles
faibles, délicates, énervées, anémiées. Le commer
aque année, sur notre demande, autoriser nos enfants et les petites
filles
de la Salpêtrière, il visiter ce bel établissem
t a fini le i septembre. Elle a porté sur 13 enfants : 9 garçons, 3
filles
et une infirmière. Deux garçons ont succombé :
e était descendu il G pour les garçons et était monté à 12 pour les
filles
. - 7 enfants sont sortis guéris dans le courant
rque la Fondation Vallée a été organisée, elle devait être pour les
filles
ce qu'est la Colonie de Vaucluse pour les garço
l'hygiène sexuelle et pour les petites gâteuses et pour les petites
filles
pubères. Les enfants ont pris généralement leur
ssements sur une population scolaire de 3.575 garçons et de 3.207
filles
. Elle met en relief l'utilité de la création des
urveillance judicieuse, des adolescents faibles d'esprit. Quant aux
filles
, une surveillance hicn- veillante est naturelle
(1). Dans la séance du 9 mai, nous vous avons présenté une petite
fille
de 3 ans, atteinte d'idiotie 2112yxcl- Nous vou
e fois. A l'appui, nous pouvons invoquer le cas d'un enfant - une
fille
également. - Bor ? moins âgée de 5 mois, , qui
x excès de boisson, puis s'emportait voulant battre sa femme et ses
filles
. Ces crises ont duré jus- qu'au mariage. D'abor
de traces de dermatoses. ni de syphilis. - [Père, mort à 35 ans, sa
fille
ne peut donner aucun renseignement sur lui. - M
sur lui. - Mère, bien portante, a eu, peu après la naissance de sa
fille
, une fièvre typhoïde grave avec délire violent, e
cours d'une joute. - Mère, 74 ans, en bonne santé. Un frère a deux
filles
: l'une, forte et intel. ligente, aurait eu, au
de 3 ans (mère plus âgée). Six enfants d'un premier lit : 1° une
fille
un peu nerveuse dont un des enfants a eu des co
u des convulsions internes. Cinq enfants d'un second lit : 1° une
fille
, 18 ans t ? médit. crement intelligente et qui
nte et qui a eu beaucoup de convulsions; - 2° notre malade ; 3° une
fille
, 15 ans (/2, nerveuse, peureuse, sujette à des
ans, d'une congestion pulmonaire consécutive à la variole ; - 3°
fille
, âgée de 3 ou z ans environ, toujours en bonne sa
72 ans, cordonnier, a eu la syphilis, mais après la naissance de sa
fille
; excès de boisson et de tabac. Carac- tère vif
s. La barbe fait totalement défaut chez Jules D... ; ni lui, ni les
filles
n'ont de poils sous les ais- selles, au pénil,
'ont de poils sous les ais- selles, au pénil, etc. Chez deux de nos
filles
(vingt ans et quatorze ans neuf mois) les règle
lim. ; soit un accroissement de 95 millim. Selon Quetelet, chez les
filles
, la taille est de 854 millim. à 3 ans - âge de
- Inégalité d'âge de 10 ans (père plus âgé). Trois enfants : Une
fille
de 13 ans, et une autre de Il ans; toutes deux
soeur, en bonne santé, a deux enfants : l'un bien portant, l'autre,
fille
, âgée aujourd'hui de 30 ans, a eu des crises ne
eux qui survivent sont intelligents et bien portants. (3 garçons, 2
filles
; l'une de celles-ci a une fille de 19 ans, qui
s et bien portants. (3 garçons, 2 filles ; l'une de celles-ci a une
fille
de 19 ans, qui n'a pas eu de convulsions). An
es samedis où nous avons des visiteurs, nous réunissons les petites
filles
de la Fondation Vallée avec les garçons de Bicê
ets divers. - Tous les enfants valides de la section, les petites
filles
de la Fondation Vallée et leurs parents assistent
aque année, sur notre demande, autoriser nos enfants et les petites
filles
de la Salpêtrière à visiter ce bel établissemen
a visité le musée de Versailles. Quatre-vingts enfants (garçons et
filles
) ont assisté à une séance de cinématographie da
descendus à 9 pour les garçons et avaient été portés à 11 pour les
filles
. Malgré tous les soins que nous apportons à sur
uand la Fondation Vallée a été organisée, elle devait être pour les
filles
ce qu'est la colonie de Vau- cluse pour les gar
- brement des divers locaux de cet établissement où les peti- tes
filles
idiotes sont en quelque sorte parquées, a émis le
ent est encombré, mais encore une cinquantaine environ de petites
filles
sont inscrites sur le registre des expectantes.
nt que je viens de vous signaler et admettre une partie des petites
filles
qui attendent leur placement à la Fondation. L'
ondation Vallée et le quartier spécial de la Sal- pêtrière pour les
filles
. Les vacances sont rares dans ces services et l
l asile-école pour les garçons, l'agrandissement cle la section des
filles
de la Salpêtrière ou de la Fon- dation Vallée.
ts à l'asile Clinique. Nous n'avons rien il dire sur le passage des
filles
de 18 ans de la Fondation Vallée a l'asile de V
s la famille. Ses trois soeurs, âgées de 28, 20 et 18 ans, « jolies
filles
» nous dit-on, ont une excel- lente santé. No
e tuberculeuse ; 4° garçon, mort à 21 mois, de mé- 7zizzgite ; - 5°
fille
, bien portante, 31 ans, pas de convulsions; deu
d'un « chaud et' froid » ; il avait eu plusieurs abcès au cou; - 8°
fille
, de 24 ans, soignée pour de la chlorose. Pas
ans ; le père et la mère sont du même pays. Deux enfants : 1° une
fille
âgée de dix sept ans, intelligente, bien-portan
ouise, 13 ans, pas de convul- sions, laborieuse, intelligente; - 8"
fille
née il 7 mois, morte il. 3 jours sans convulsio
te; - 8" fille née il 7 mois, morte il. 3 jours sans convulsions 90
fille
, 8 ans, pas de convulsions (ju'¡letI89Î J, (2)
de consanguinité. - Inégalité d'âge de 2 ans. Deux enfants : in une
fille
, pas de convulsions, intelligente; 2° notre mal
t de la poitrine. - «Ma mère a eu avant moi et d'un autre amant une
fille
, ma demi-soeur, qui est sujette à des idées noi
ique, il est marié, a quatre enfants bien portants ; il a perdu une
fille
poitrinaire à 20 ans. Une tante paternelle, san
samr, mariée n'a jamais présenté d'accidents nerveux ; elle a deux
filles
, l'ainée, âgée de six ans, aurait eu des conuut-
alilé d'âge de 3 ans en faveur du mari. Quatre enfants : L'ainée,
fille
, 16 ans 1/'2, n'a jamais eu de convulsions, mai
; elle est très obéissante, s'occupe avec dévouement des petites
filles
gâteuses et en prend soin comme une véritable inf
signaler parmi les cousins et les cousines. Cinq enfants : 1° Une
fille
de 16 ans, bien portante, n'ayant pas eu de con
arçon mort à 17 mois, d'une maladie lente; sans convul- sions; - b°
fille
, G ans, bien portante, intelligente, n'a jamais
jours. Sa femme est accouchée, au commence- ment de janvier, d'une
fille
. Elle l'a mis au monde au huitième mois de sa g
17 février. Sa femme vient d'accoucher le 16 février, d'une petite
fille
; ses deux autres enfants sont mala- des ; lui-m
ns raconte que, avant le mariage, il avait eu des rapports avec une
fille
publique, suivis d'acci- dents vénériens; mais
ule observation; la voici : Le 23 juillet 1889, MM L.... m'amena sa
fille
, Agée de onze ans. Cet enfant présentait, sur la
a marque sur la Ggure d'autruî. Ce ne fut qu'après la naissance de sa
fille
, trouvant qu'on tardait bien à la lui montrer, ca
ue certain qu'elle avait dû se suggestionner ce signe à l'égard de sa
fille
, il est vrai sans avoir conscience, lors de la re
e crois, une attention spéciale : La nommée P.... âgée de onze ans,
fille
d'une mère excessivement nerveuse, souffrant d'un
outre, les statues du pape Urbain VIII. du duc de Bracciano et de sa
fille
; et pour prouver qu'il ne s'aidait, pendant son t
re n'a jamais été malade. Elle a quatre enfants, deux garçons et deux
filles
, n'a eu antérieurement aucune maladie. Aucun rétr
ints sensibles au côté gauche de la poitrine. Mandelstamen plongea la
fille
dans le sommeil hypnotique et lui suggéra de pren
s elle alarma la mère. A l'époque normale, elle accoucha d'une petite
fille
qui avait une cicatrice rouge absolument semblabl
nt : « Le musée anato-mique de Milan possède un spécimen d'une petite
fille
morte à l'âge de trois mois. La peau de cette enf
odnik Lekartki, 1863, p. 81. nellement) qu'avant la naissance de sa
fille
, il lui arriva un jour de regarder très attentive
Cymadocée. Le père ne fut pour rien dans le choix des prénoms de sa
fille
. Il les subit ou, mieux, il les accepta, car, à v
dées où elle vit. C'est à elle que revient le choix des prénoms'de sa
fille
. Les parents de cette femme étaient, eux aussi,
ant des huit et des dix heures. M. Mesnet a eu à sa disposition une
fille
hémianesthésique et il a noté que l'autographisme
de poivre chez la Clauda (soupçonnée de sorcellerie), par une sienno
fille
nommée Andrée, âgée d'environ sept ans, après qu'
n, Arbin. Caselin el divers autres noms, et tourmentoyent fort ladite
fille
la faisant debastre... • (A suivre.) CHRONIQU
divertissant des métamorphoses névropalhiques provoquées sur quelque
fille
soumise... à la suggestion. D'autres, d'un cara
atigue et un anéantissement complet. Le 16 janvier 1S9I, une petite
fille
de dix ans, très impressionnable, no cessait de m
le-ci, si les démons nommaient celui qui les avait mis an corps de sa
fille
« au mesme instant iceox démons dirent à la dépos
maléfices semblables. Elle avait rencontré au village de Sionnet une
fille
d'environ quinze ans et lui avait donné les démon
ure. € Il y a environ un an que-ladite Perneite ayant rencontré une
fille
de la déposante luy dit qu'elle s'approchât d'ell
jambe pour savoir si elle l'avoil aussi haute qu'elle, ce que ladite
fille
ayant permis, ei l'ayant la Pernette mesurée avec
« Par Dieu, tu l'as aussy haute que moy », quinze jours apprès sadite
fille
tomba extrêmement malade, mesmemenl ses jambes et
que autre lesdits enflures et ampoulles (troubles trophiques) sadite
fille
se plaignait qu'il y avoit quelque chose qui luy
e-femme de Céligny. soupçonnée d'avoir mis les diables au corps d'une
fille
de Genève, en lui soufflant dans l'oreille. Les i
qu'en brief ou la brusleroit ». Un autre témoin ajoute * que ladite
fille
estoil si grandement tourmentée desdits démons qu
a pas mon snjet de tirer le second coup. J'ai réussi à suggérer à une
fille
honnête et très pudibonde que je connaissais depu
, de Méru (Oise). M»* S..., âgée de trente ans, anémique, nerveuse,
fille
d'un alcoolique, a eu deux enfants et une fausse
les mêmes conditions d'anestbésie. Une petite, ou plutôt une grosse
fille
de neuf livres était au monde et faisait entendre
e ne s'effraierait cependant pas de cet état si, depuis la veille, sa
fille
ne s'était mise à vomir des matières fécales, et
eulement, 20 avril, la mère de la malade me fait prier de revenir: sa
fille
n'a toujours pas été à la selle, elle ne se trouv
la maison d'Anlhoine Mestral, charpentier, ladite déposante y vit une
fille
assr-z aagée et nommée Marie, ci-devant t (1) V
, entre autre sieur David Scanavin, lequel ayant veu et visité sadile
fille
l'auroit interrogée si elle ne croyoit point qu'e
ite de Cry (c'était l'oau magnétisée de l'époque), et laquelle ladite
fille
ayant beu par son ordre le matin. Sur le soir ell
e ledit sieur Scanavin l'ayant interrogée comme sus est dit, et cette
fille
l'ayant ouy, respondit que la Maurice Durai luy a
t elle languit l'espace de trois ans et devint touto seiche et sadito
fille
aveugle, et finalement moururent; de quoy, luy qu
rchives cantonales. Le 15 septembre 1609 on interrogea Pernette et sa
fille
Jehanne, au sujet des pratiques d'exorcisme et de
lloit de la souppe, mais qu'elle en prist. /. Combien il y a que sa
fille
a les esprits ? R. Trois ans, et qu'elle les a ou
labourer », etc. /. Qui les luy a mis î R. La Cracagnoda, comme sa
fille
acheptoil vers elle du biscuit, elle dist : * Tie
de Dieu ? R. Qu'elle est marrie d'avoir mal fait, mais que voyant sa
fille
estre soulagée elle l'a fait, et que le diable ar
que le diable arracboit les herbes quand elle en mettoit au col de sa
fille
(c'est-à-dire que celle-ci arrachait ce qu'on lut
u dans ses crises hystériques). /. Si elle fait pas prier Dieu à sa
fille
? R. Qu'ouy et qu'avant qu'elle luy fist ce que d
euses; on l'appelle coprotafie). Le même jour, interrogatoire de la
fille
. Du 15 septembre 1609. — Responses de Jeanne, f
rogatoire de la fille. Du 15 septembre 1609. — Responses de Jeanne,
fille
de Pierre, aagèe de treize à quatorse ans. I. Q
qu'il perla à elle vers Noël et la remontrant, et parla seulement des
filles
de la maison. Si elle prie Dieu tous les jours
orps des gardiens de la paix « pour avoir eu des relations avec une
fille
qu'il était chargé de conduire au poste ». Avan
s et vénériens.] Pas de consanguinité. Treize grossesses : 1° une
fille
morte de convulsions a 4 mois; bien conformée;
formée; 2° garçon, âgé de 13 ans, intelli- gent et bien portant; 3°
fille
morte à 1 mois, de diarrhée, sans convulsions ;
ue, probable- ment d'une maladie bleue « il devenait violet » ; 13°
fille
, âgée de 5 mois; bien portante; élevée au sein,
faiblesse n, l'autre à six semaines, de convul- sions internes; 3°
fille
morte à 9 mois, de diarrhée cholé- riforme ; 4°
on mort à 11 mois, de diarrhée; 6° garçon âgé de 3 ans et demi ; 7°
fille
, de 17 mois, ces deux derniers bien portants.
gré, tous les caractères de cette maladie chez la femme ou lajeune
fille
(1). Dans le cours de la même année,l'en- fant,
, issus du frère et de la soeur. Cinq enfants : 1° Notre malade; 2°
fille
, morte d'une méningite à 9 mois ; - 3° garçon,
n ne trouve d'ailleurs aucun antécédent morbide chez lui. Il a deux
filles
de son mariage, âgées l'une de 22 ans et l'autr
jeune : 4° gar- çon, convulsions dans l'enfance, vivant, 25 ans; 5°
fille
, morte du croup, avait eu des convulsions; 6° f
ant, 25 ans; 5° fille, morte du croup, avait eu des convulsions; 6°
fille
, 23 ans, bien portante, a eu des convulsions; 8
ns; 6° fille, 23 ans, bien portante, a eu des convulsions; 8° et 9°
filles
mortes jeunes, avaient eu des convulsions; 10°
e-mère. Accouchement facile. A la naissance, le menton de la petite
fille
tremblait ; beau- coup de convulsions dès les p
fissure congénitale de la voûte palatine et du voile du palais ; 4°
fille
mort- née. Notre malade. Grossesse accidentée
sse couche : 1° fausse couche à 4 mois, à la suite d'un effort ; 2°
fille
morte à deux mois, sans convulsions; 3° notre m
; 2° fille morte à deux mois, sans convulsions; 3° notre malade; 4°
fille
intelligente, bien conformée. Notre malade. G
ar- çon, mort à 7 ans de « fièvre muqueuse » avec convulsions; 3°
fille
, 11 ans, assez intelligente; - 4° notre malade.
garçon mort do convulsions à l'âge de 4 mois; 2° notre malade : 3"
fille
, morte en nourrice a 8 mois, d'une affection qu
ants : 1° un garçon de 12 ans, bien portant, in- telligent ; 2° une
fille
morte à onze mois d'une méningite, après avoir
e heures et une paralysie du côté gauche ; 3° notre malade ; 4° une
fille
âgée de quatreans et demi, bien portante, intel
le âgée de quatreans et demi, bien portante, intelligente; 5° une
fille
de seize mois, en bonne santé. Notre malade. -
té. Six enfants : 1° garçon, mort à 5 ou 6 jours en nourrice ; 2°
fille
, 12 ans, intelligente, pas de convulsions ; 3° no
l'incontinence d'urine, dans le jeune âge. Il est père d'une petite
fille
., âgée de 2 ans, qui, elle aussi, a eu des conv
nt et de finesse pour peindre la maladie qui s'attaquait aux jolies
filles
de Hollande. 58 HENRY MEIGE Mais, entre tous,
re Jan Steen, s'attaquait volontiers aux jolies Hollandaises. Les
filles
des Pays-Bas y furent-elles prédisposées par quel
urd'hui. Je l'emprunte à mon collègue M. Thibierge. Il s'agit d'une
fille
de 21 ans, atteinte de sclérodermie pigmentée e
anormale et n'est pas adipeuse, et elle- même donne naissance à une
fille
qui n'est ni difforme ni obèse. Il est à remarq
e 22 ans, très robuste, mais qu'elle a eu ensuite six grossesses, 4
filles
et deux garçons, tous six morts entre 18 et 20
teints. La grossesse suivit son cours et la malade mit au monde une
fille
qui ne présenta rien d'anormal jusqu'à t'age de 1
6 mois, avec un autre mégissier très bien portant, veuf, ayant deux
filles
de 16 et 19 ans, tressailles. A diverses repris
supportées, et le 10 avril 1896, la malade accouchait à terme d'une
fille
très bien cons- tituée à tous égards que je vis
vint, comme je l'ai dit, plusieurs fois, avec son mari ou avec les
filles
de son mari qui tous trois étaient absolument sai
es deux pieds, et comme je lui demandais des nouvelles de sa petite
fille
, elle me disait que, exactement comme ses autre
'amour : « La meilleure médeçaine que l'an pourrait bailler à votre
fille
, ce serait, selon moi, un biau et bon mari, pou
ue tous ces médecins n'y feront rian que de l'ian claire, que votre
fille
a besoin d'antre chose que de ribarbe et de séné,
de séné, et qu'un mari est un emplâtre qui gârit tous les maux des
filles
(2) ». Tel était aussi, à n'en pas douter, l'av
rience, Jan Steen commença par expérimenter sur lui-même. La propre
fille
de son maître, la jolie Margarethe van Goyen, l
permis d'é- tablir les caractéristiques de l'épidémie amoureuse des
filles
de Hollande. Et,sans parler de la plaisante sat
254 HENRY MEIGE à dissimuler leurs railleuses moqueries. Une bonne
fille
à la face réjouie éclate franchement de rire. U
s une famille ou mère et enfants étaient atteints de nyctalopie. La
fille
aînée est une naine rachitique à ménorrhagies. La
res et de douleurs dans le dos. Elle a eu six enfants. L'aînée, une
fille
, est sujette il des ménorrhagies. Deux jeunes g
-père d'un abcès du foie. Elle-même a légué une-lare hépatique à sa
fille
. Cette petite, âgée de 1-1 ans, a déjà eu deux
raitement. DE L'IlYPO'l'IlYHOïDOE BÉNIGNE CHRONIQUE z La petite
fille
représentée (Pl. XLIV, 12) est âgée de 7 ans.Le v
. La patiente a rajeuni de vingt ans. Elle a l'air d'être sa propre
fille
. Elle se rétablit si bien qu'en décembre 1897 e
int plus fréquemment les pluripares. Elle n'est point rare chez les
filles
. Nous nous réservons de revenir dans un autre t
orze enfants dont dix sont en vie. Sur ces dix enfants, il y a neuf
filles
. L'aînée a été longtemps malade et perd beaucoup
quatrième fera le sujet de l'observation suivante ; la cin- quième
fille
s'est mal développée, contrefaite, pâle et oppres
algie et ménorrhagies hypothyrouliennes. Constipation. Mlle A...,
fille
de la femme dont nous venons de tracer l'histoire
ssus de cette femme sont bien portants. Il n'en est pas de même des
filles
. L'aînée a eu le rhumatisme articulaire à l'âge d
teux : Zij is waterachtig gebleven van het flei,eci,i71. La seconde
fille
n'a pas eu d'enfants et est fort ané- Fig. 24.
s caractéris- tiques. Mme E... vient d'abord me consulter pour sa
fille
. Cette enfant est atteinte d'hypothyroïdie ou d
Cette dame, voyant les bons effets du traitement thyroïdien chez sa
fille
, se décida, le 23 juin 1898, à me consulter pou
a douleur est surtout intense le matin, au saut du lit. Cette jeune
fille
est invinciblement constipée. Elle n'a jamais eu
a eu des règles profuses. Elle n'a eu que trois enfants : d'abord une
fille
, âgée aujourd'hui de 23 ans. Cette fille est su
rois enfants : d'abord une fille, âgée aujourd'hui de 23 ans. Cette
fille
est sujette à des saignements de nez fré- quent
elle ressemble étrangement. Par son négligé, elle rappelle la jolie
fille
de la collection Steengracht, si peu soucieuse de
larme. Ce regard humide est d'une expression lamentable. La pauvre
fille
se croit sûrement condamnée ; elle se prépare à
s'est mariée il 35 ans, son mari est mort à 67 ans. Elle a eu deux
filles
; l'une est bien portante, l'autre est morte il
rine ; la mère est morte à 40 ans, un an après avoir accouché de sa
fille
, Elle a cinq frères et deux soeurs, tous bien p
semble faite pour contracter le joli mal qui s'abattait alors sur les
filles
de Hollande. , XII Pour clôturer ce relevé
jambes en tous points com- parable à celle que présentent ses deux
filles
. Même oedème, blanc, dur et indolore, ayant déb
jambes, qui sont effectivement l'image exacte de celles de ses deux
filles
, ne lui cau- sent qu'une gêne insignifiante et
i, la même difformité des jambes, et des jambes seulement, comme sa
fille
, et l'un de ses fils. Et toujours, c'est le mêm
oedème des deux jambes. 4e génération : A. Les enfants de Lydia, 2e
fille
de Joseph W. 3 fils avec oedème d'un pied. 3
s de Lydia, 2e fille de Joseph W. 3 fils avec oedème d'un pied. 3
filles
indemnes. B. Les enfants de Sarah, 3e fille de
oedème d'un pied. 3 filles indemnes. B. Les enfants de Sarah, 3e
fille
de Joseph W. 5 'morts en bas âge. 2 indemnes,
. 3 indemnes. 1 oedème de la jambe. E. Les enfants de Sally, 7e
fille
de Joseph W. 2 indemnes. 1 oedème du pied.
ph W. 2 indemnes. 1 oedème du pied. F. Les enfants de Julia, ge
fille
de Joseph W. 3 indemnes. 1 oedème des deux ja
rler des monstruosités, il est de notoriété courante que de mère en
fille
, de père en fils, les anomalies osseuses, cutan
e qu'une soubrette de la mai- son, - c'est du moins quelque aimable
fille
, rieuse et de libre allure, qui s'entend aux es
res déjà refroidies quelque étincelle du temps jadis. Et la jolie
fille
, tout en se gaussant de ces efforts surannés, ne
reprenant mon service après les vacances, je passe devant une grosse
fille
épaisse, assez obtuse d'intelligence, domestique,
suggestion.) Les élèves me disent, en parlant de la première : Cette
fille
est bonne somnambule comme la voisine. Alors,
personne. Il demandait une réparation du soi-disant assassinat de sa
fille
, morte à Panama, réparation d'argent qui le mettr
exprime un grand mécontentement en apprenant que ce n'était point une
fille
comme elle le désirait. Quelques tranchées surv
1 Apprenant qu'elle est accouchée, elle demande si son enfant est une
fille
? Elle ignore absolument le sexe qu'elle savait un
nt vivant à un mort, et vice versa..., substitution d'un garçon à une
fille
, et réciproquement, etc. DÉROULEMENT SPONTANÉ O
Z..., qui tient la maison de commerce où il est employé, et sa propre
fille
, âgée seulement de huit ans. En dehors de ces per
il n'entend, ne voit et ne sent que moi, Mme Z... et sa propre petite
fille
. Il est, de plus, incapable, toujours dans le s
à conclure que les gar-çons sont conçus le soir avant minuit, et les
filles
le matin. Comme contre-épreuve à ces faits, il a
endant, le 20 février, après quatre séances, sa mère m'annonce que sa
fille
ne s'est touchée que deux fois depuis une semaine
ns pu guérir : 1° Une perversion grave du caractère chez une petite
fille
de douze ans. (Cette observation a été prise en
cturne et diurne de l'urine e; des matières fécales chez deux petites
filles
de six et de neuf ans. (Chez l'une d'elles, l'eff
prétexte à un roman. Charles de Givray. marié depuis deux ans à la
fille
d'un industriel mon dix fois millionnaire, est tr
e de la future Mme de Givray, il était parvenu à se faire aimer de la
fille
de son patron. Néanmoins les dix millions lui ava
dite de son employé et ayant vécu juste assez de temps pour marier sa
fille
a M. de Givray. Quelques mois après sa rencontr
rs fort peu, qu'elle ne justifie pas du tout? Berthe Mauclair est une
fille
honnête et travailleuse, et je ne vois pas quelle
ique de Paul Dubois, qui ne nous permet plus d'être aussi absolu. Une
fille
entre le soir très fatiguée. Elle se couche, s'en
s jambes. Ce fait, observé dans des conditions scientifiques chez une
fille
primipare, ne laisse pas de doute dans l'esprit.
is, la même chose se passe pour une femme qui couchait avec sa petite
fille
. C'est celle-ci qui est la première à constater l
ille, soit seule, soit avec les enfants qu'elle gardait (deux petites
filles
de quatre et deux ans). De midi 15 à 1 heure, déj
tout à fait hébétée et ne pouvait coudre. Cependant, une des petites
filles
était sur une chaise à côté de Mme B... Après avo
orturent; elle se sent poussée à l'onanisme et elle a peur d'être une
fille
de mauvaise vie et d'être le déshonneur de sa fam
gnement sur son caractère et son tempérament. Suivant les dires de sa
fille
, il jouissait d'une très bonne santé et n'aurait
nt qui vient à l'appui de cette identification. J'avais accompagné ma
fille
à une soirée dansante. Peu tenté de rester sur pi
lit, je m'aperçus — un peu tard — que j'avais oublié de remettre à ma
fille
la clef de la maison. Il me vint une idée. Une de
n'entendis ni la voiture, ni le coup de sonnette, ni la rentrée de ma
fille
. Le matin, je demande à la servante à quelle he
de ma fille. Le matin, je demande à la servante à quelle heure "ma
fille
est rentrée : « C'est singulier, n'est-ce pas, me
e conseil de celui-ci qu'elle a, un jour, jugé à propos d'éloigner sa
fille
Jeanne de la maison, en dépit de l'affection qu'e
our lui conter le cas de Jeanne. Le pasteur persuade à la mère que la
fille
a commis un péché mortel, qu'on ne peut plus la g
lle, et finit par décréter l'éloignement de « la brebis galeuse ». La
fille
chassée se réfugia à Paris, laissant l'enfant à l
ps. Enfin, les premiers jours d'octobre. Jeanne accouche d'une petite
fille
qu'elle garde chez elle sans la nourrir au sein)
t taciturne, triste, préoccupée, n'ayant de pensée que pour sa petite
fille
. On peut dire qu'à partir de ce moment-là, elle c
llucination : — « Je crus reconnaître, dit-elle, la voix de ma petite
fille
et je « me suis levée pour aller vers elle; je n'
s du matin, tu descendras au bas de l'escalier, « tu verras ta petite
fille
, portée par son père, passer devant la loge du «
par son attitude bizarre, lui adressa quelques mots. — « J'attends ma
fille
, répondit la malade ; il devait passer. « à neuf
ême, en poussant des cris, se jetant sur elle et réclamant partout sa
fille
. Comme il lui fut répondu qu'on ne l'avait jamais
'épi-lepsie. celle du père notamment, y prédispose singulièrement les
filles
. L'aliénation mentale de l'un des ascendants est
ès de la moitié sont des veuves, tandis que les femmes mariées et les
filles
se partagent à peu près également l'autre moitié
alement l'autre moitié du nombre total des sorcières. Beaucoup de ces
filles
sont de vieilles femmes de soixante à quatre-ving
enève. Pendant les premières années du dix-septième siècle, Perrette,
fille
de Pierre Pacout, avait été bannie, comme tant d'
fait preuve de bon sens et de courage, aussi bien dans l'examen de la
fille
possédée des démons que dans celui de la malheure
reprenant mon service après les vacances, je passe devant une grosse
fille
épaisse, assez obtuse d'intelligence, domestique,
suggestion.) Les élèves me disent, en parlant de la première : Cette
fille
est bonne somnambule comme la voisine. Alors,
personne. Il demandait une réparation du soi-disant assassinat de sa
fille
, morte à Panama, réparation d'argent qui le mettr
exprime un grand mécontentement en apprenant que ce n'était point une
fille
comme elle le désirait. Quelques tranchées surv
1 Apprenant qu'elle est accouchée, elle demande si son enfant est une
fille
? Elle ignore absolument le sexe qu'elle savait un
nt vivant à un mort, et vice versa..., substitution d'un garçon à une
fille
, et réciproquement, etc. DÉROULEMENT SPONTANÉ O
Z..., qui tient la maison de commerce où il est employé, et sa propre
fille
, âgée seulement de huit ans. En dehors de ces per
il n'entend, ne voit et ne sent que moi, Mme Z... et sa propre petite
fille
. Il est, de plus, incapable, toujours dans le s
à conclure que les gar-çons sont conçus le soir avant minuit, et les
filles
le matin. Comme contre-épreuve à ces faits, il a
endant, le 20 février, après quatre séances, sa mère m'annonce que sa
fille
ne s'est touchée que deux fois depuis une semaine
ns pu guérir : 1° Une perversion grave du caractère chez une petite
fille
de douze ans. (Cette observation a été prise en
cturne et diurne de l'urine e; des matières fécales chez deux petites
filles
de six et de neuf ans. (Chez l'une d'elles, l'eff
prétexte à un roman. Charles de Givray. marié depuis deux ans à la
fille
d'un industriel mon dix fois millionnaire, est tr
e de la future Mme de Givray, il était parvenu à se faire aimer de la
fille
de son patron. Néanmoins les dix millions lui ava
dite de son employé et ayant vécu juste assez de temps pour marier sa
fille
a M. de Givray. Quelques mois après sa rencontr
rs fort peu, qu'elle ne justifie pas du tout? Berthe Mauclair est une
fille
honnête et travailleuse, et je ne vois pas quelle
ique de Paul Dubois, qui ne nous permet plus d'être aussi absolu. Une
fille
entre le soir très fatiguée. Elle se couche, s'en
s jambes. Ce fait, observé dans des conditions scientifiques chez une
fille
primipare, ne laisse pas de doute dans l'esprit.
is, la même chose se passe pour une femme qui couchait avec sa petite
fille
. C'est celle-ci qui est la première à constater l
ille, soit seule, soit avec les enfants qu'elle gardait (deux petites
filles
de quatre et deux ans). De midi 15 à 1 heure, déj
tout à fait hébétée et ne pouvait coudre. Cependant, une des petites
filles
était sur une chaise à côté de Mme B... Après avo
orturent; elle se sent poussée à l'onanisme et elle a peur d'être une
fille
de mauvaise vie et d'être le déshonneur de sa fam
gnement sur son caractère et son tempérament. Suivant les dires de sa
fille
, il jouissait d'une très bonne santé et n'aurait
nt qui vient à l'appui de cette identification. J'avais accompagné ma
fille
à une soirée dansante. Peu tenté de rester sur pi
lit, je m'aperçus — un peu tard — que j'avais oublié de remettre à ma
fille
la clef de la maison. Il me vint une idée. Une de
n'entendis ni la voiture, ni le coup de sonnette, ni la rentrée de ma
fille
. Le matin, je demande à la servante à quelle he
de ma fille. Le matin, je demande à la servante à quelle heure "ma
fille
est rentrée : « C'est singulier, n'est-ce pas, me
e conseil de celui-ci qu'elle a, un jour, jugé à propos d'éloigner sa
fille
Jeanne de la maison, en dépit de l'affection qu'e
our lui conter le cas de Jeanne. Le pasteur persuade à la mère que la
fille
a commis un péché mortel, qu'on ne peut plus la g
lle, et finit par décréter l'éloignement de « la brebis galeuse ». La
fille
chassée se réfugia à Paris, laissant l'enfant à l
ps. Enfin, les premiers jours d'octobre. Jeanne accouche d'une petite
fille
qu'elle garde chez elle sans la nourrir au sein)
t taciturne, triste, préoccupée, n'ayant de pensée que pour sa petite
fille
. On peut dire qu'à partir de ce moment-là, elle c
llucination : — « Je crus reconnaître, dit-elle, la voix de ma petite
fille
et je « me suis levée pour aller vers elle; je n'
s du matin, tu descendras au bas de l'escalier, « tu verras ta petite
fille
, portée par son père, passer devant la loge du «
par son attitude bizarre, lui adressa quelques mots. — « J'attends ma
fille
, répondit la malade ; il devait passer. « à neuf
ême, en poussant des cris, se jetant sur elle et réclamant partout sa
fille
. Comme il lui fut répondu qu'on ne l'avait jamais
'épi-lepsie. celle du père notamment, y prédispose singulièrement les
filles
. L'aliénation mentale de l'un des ascendants est
ès de la moitié sont des veuves, tandis que les femmes mariées et les
filles
se partagent à peu près également l'autre moitié
alement l'autre moitié du nombre total des sorcières. Beaucoup de ces
filles
sont de vieilles femmes de soixante à quatre-ving
enève. Pendant les premières années du dix-septième siècle, Perrette,
fille
de Pierre Pacout, avait été bannie, comme tant d'
fait preuve de bon sens et de courage, aussi bien dans l'examen de la
fille
possédée des démons que dans celui de la malheure
mois. Paralysie générale se rattachant à des excès de toute sorte (
fille
publique). Cachexie syphilitique. Agitation noc
ecours pour éteindre les incendies qu'elle avait elle-même allumés.
Fille
de paysans à esprit très borné, elle avait dans l
ez combien peu de résultats elle donne sous ce rapport. Castrez les
filles
aliénées, comme le propose un médecin américain
s que chez l'homme adulte, se montre beaucoup plus chez les petites
filles
. Elle débute entre six et huitans,et n'est pas
ent compliqué. Cn. F. VI. Des attentats à la pudeur sur les petites
filles
, par P. BERNARD. (Thèse de Lyon, 4886) Cette
amènent nécessairement à rechercher les rap- ports sexuels avec des
filles
impubères, c'est-à-dire un coït périnéal sûreme
'eût pas été sans intérêt de rechercher si la plu- part des petites
filles
qui deviennent les victimes de ces dégéné- rés
ns qui pouvaient être à même de bien connaître le cas de la jeune
fille
et d'en parler sciemment, pour savoir depuis comb
ir. Justement effrayés, les parents s'abstinrent de tourmenter leur
fille
, cédant sur- tout à ses larmes (elle avait cout
actions et de relever ses moindres paroles. La mère cependant et sa
fille
(elles com- prenaient facilement ce qui se fais
de la reconduire à sa maison, la mère fut arrachée à la garde de sa
fille
. Elle fut aussitôt examinée par des gens spécia
ait été remplie par le travail. 1 ' Sur ces entrefaites, quand la
fille
se vit séparée de sa mère, 128 VARIA. elle de
e fut rendue à la liberté, et, se retrouvant constam- ment, avec sa
fille
, elle ramena en elle par sa présence la gaieté
ent été adjointes, continuèrent leur surveillance sur la mère et la
fille
avec la plus grande. rigueur, pour assurer la s
leur chambre. Enfin, deux semaines après la réunion de la mère à la
fille
, comme cette dernière restait continuellement d
r les plus ardentes prières, qu'il daigne les' délivrer eux et leur
fille
de cet épouvantable malheur. z .. / . " <<
au avec empressement. Elle nous introduisit sur-le-champ près de sa
fille
. Nous la retrouvâmes toujours sur son lit... ,
s prétexte qu'un père dirige mal l'instruction de son fils ou de sa
fille
, vous, Etat, vous pourrez intervenir dans le fo
ant plus de dix ans il mène une vie irrégulièré, dépensant avec des
filles
de joie sans souci du lendemain; il aurait fina
oeurants, mais instructifs en nous prouvant que la superstition est
fille
de l'igno- rance. Enfin vient le manuscrit ém
xercices. Un premier groupe était formé par quatre garçons et trois
filles
de sept à treize ans affectés de balbutiement;
te-sept bégayeurs de sept à quatorze ans (trente-cinq garçons, deux
filles
) furent répartis en trois groupes de dix, seize
répartis en trois groupes de dix, seize, onze élèves; dix, dont une
fille
subissaient renseignement spécial pour la seconde
e D G.-W. SoufRKsd'ËastAvon (New-York) rapporte le cas d'une petite
fille
de quinze mois, pour laquelle il fut appelé en to
famille.] Pas de consanguinité. Deux enfants du second mariage : 10
Fille
morte à 22 ans de la poitrine ; 2" notre malade
chez un marchand de vin et sur les boulevards extérieurs avec deux
filles
publiques avec les- quelles ils ont eu des rapp
es hernies( ? )» ; il avait les bourses grosses comme le poing ; 2°
fille
, vingt-quatre ans, bien portante, a eu une fill
omme le poing ; 2° fille, vingt-quatre ans, bien portante, a eu une
fille
morte de coque- luche ; 3" notre malade ; 4" ga
( ? ). 5° fausse couche à quatre mois, attribuée à un effort; 6°
fille
intelligente, morte à dix-huit mois d'un «chaud e
roid ( ? ) » 7° garçon, intelligent, mort à trois ans du croup ; 8°
fille
, morte à vingt-six jours, du croup ( ? ); - 9°
ns; 11" garçon intelligent, mort à trois ans de la coqueluche ; 12°
fille
morte à dix mois, on ne sait de quoi; 13° fauss
rme dont le sexe n'aurait pas été déterminé ; puis sept mois après,
fille
, née à terme, forte ; celle-ci a quatre ans, es
ts comme un homme ivre. ' On lui demande s'il veut aller voir des
filles
, s'il désirerait coucher avec une femme. Il fai
a main à l'infirmier et lui dit : « C'est vous le garçon », et à la
fille
de salle : Je vous remercie d'avoirsoin de moi
e greffe un accès délirant à évolution rapide. Garçon inscrit comme
fille
à l'Etat civil, conserve des vêtements de femme j
e l'Etat civil comme appartenant au sexe féminin. Considéré comme
fille
on lui met des vêtements féminins et on l'envoie
fille on lui met des vêtements féminins et on l'envoie l'école des
filles
. A sept ans, ses petites camarades ayant remarqué
e de quatre enfants et ses parents avaient eu avant elle, une autre
fille
décédée peu de temps après sa naissance et qui
même conformation. Bien qu'elle ait toujours porté des vêtements de
fille
elle a toute l'apparence d'un garçon. Lorsqu'on
on comprend parfaitement, place un de ses membres, son fils ou sa
fille
, dans une maison, confie ce malade à un tiers : a
njections iodées. L'affection datait de quatre mois chez une petite
fille
de dix mois, lorsqu'il retira deux onces et dem
nt dérangées depuis deux ans, a tué d'un coup de pistolet sa propre
fille
. Celle-ci était très estimée dans la localité,
uses, par Michel, I 16 ; - Attentats à la pudeur chez les petites
filles
, par Ber- iiard, 119; - Bibliothèque an- thro
Clausette, Poiret, Piuel, Anne Lée, Marie Volet, Marie Bucaille, les
filles
Léaupartie çt leur servante, Bleton, Jeanne Royer
Labrousse, Elisabeth Buclion, AlexandrineLanois, madame Iloutlle, les
filles
du charpentier Giroux de Mons, Alina d’Elder, Mar
’Australie, entrer dans le harem du sultan ; car, ajoute-t-il, l’âme,
fille
de Dieu, n’a qu’à vouloir pour, semblable à son p
nèur-re-pousseur, rue Volta, n° 7. Il me fit prévenir, dis-je, que sa
fille
était à l’extrémité et que je n’aurais peut-être
de la Société du Mesmérisme de Paris. Je, soussigné, déclare que ma
fille
a été, selon ma conviction, sauvée par le magnéti
euf ans, d’un tem-, pérament nerveux, mais d’une excellente santé, la
fille
d’un respectable fermier de Butterauts, dans le c
ouva sa maison en flammes ; il s’y élança et sauva la vie à sa petite
fille
, âgée de dix mois, qui avait été oubliée dans une
trop peu de choses pour une personne à laquelle je dois la vie de ma
fille
. Je voudrais trouver quelque chose de plus expres
qui, comme moi, n’auront pu recevoir aucun bien de la médecine. Ma
fille
Claire, âgée de vingt-trois ans, fut prise, le 22
ie de parcourir une période effrayante. Le 15 mars, je présentai ma
fille
à un somnambule, qui déclara que la médecine étai
pouvant mettre à profit ses conseils, je m’en retournai auprès de ma
fille
, et la maladie continua avec plus d’intensité. Le
et la maladie continua avec plus d’intensité. Le 21 du même mois, ma
fille
était à toute extrémité ; je fus prier madame Ved
iser. Elle se rendit immédiatement à la ville. Après avoir examiné ma
fille
, elle déclara qu'elle ne la magnétiserait qu’aprè
étiez venue pour magnétiser devant ces messieurs, n’abandonnez pas ma
fille
à présent que notre médecin s’est déclaré contre
elle prit sa montre et fit constater l’heure. Trois minutes après, ma
fille
était guérie ! Elle mangea immédiatement une soup
piration gênée. Le lendemain matin, après ce sommeil réparateur, ma
fille
s’achemina vers le château de sa magnétiseuse, à
core un peu, et le mardi soir 24, c’est-à-dire quatre jours après, ma
fille
était totalement guérie. Je dois ajouter qu’en
e même rêve. Cette dame revint me trouver et me pria de magnétiser sa
fille
de nouveau, afin de savoir si, dans son sommeil m
t sir Robert Peel et la femme de chambre de deux dames, la mère et la
fille
; cette dernière avait voulu retarder son départ
reflet de nos pensées. « L’autre soir, madame H..., son mari, leur
fille
et moi, étions h une table, seuls dans le salon.
nture de couleur. — Surtout au moment de mystère, il ne crie pas : «—
Filles
de la terre, dépouillez ces vêtements profanes, e
chez moi, par suite de l’affliction où était plongée ma famille ; nia
fille
unique était alitée, malade de consomption , et i
Nous n’avons que de petites réunions de famille dans la chambre où ma
fille
est couchée. Souvent nous recevons la visite de q
ndre à ceux qui demandent à quoi sert le spiritualisme. Depuis que ma
fille
est malade, les esprits ont montré pour elle les
un samedi soir, les amis et les voisins qui étaient venus visiter ma
fille
, s’étant retirés vers dix heures, je dis à ma fem
cercle. Il n’y avait personne dans la maison que moi, ma femme et ma
fille
qui paraissait prête à rendre le dernier soupir.
ivante et assise auprès de moi. Ma femme n'avait jamais chanté, et ma
fille
qui, autrefois, avait été une bonne chanteuse, ét
ment la voix de ma sœur Anne qui m’accompagna, mais aussi celle de ma
fille
, bien que celle-ci nous parût près d’expirer ; el
uite si quel qu’un des esprits qui nous visitaient, pouvait guérir ma
fille
. La réponse fut : Nous ferons tout ce qui sera en
e. La réponse fut : Nous ferons tout ce qui sera en notre pouvoir. Ma
fille
me dit alors : « Mon père, iLy a un homme qui me
lle vue magnifique! La chambre était pleine de messagers célestes; ma
fille
alla beaucoup mieux, et le jour suivant, elle fut
et d'aller, sans être aidée, s’asseoir sur le sofa. «Mafemme et ma
fille
sont médiums voyants ; elles voient entrer les es
ut autour de la chambre ; elle s’est souvent transportée auprès de ma
fille
malade, et se place de manière que celle-ci puiss
nte, car j’cuslc bonheur de découvrir une excellente somnambule en la
fille
de notre jardinier, âgée pour lors de quatorze à
e l’irriter, et lui montrai un domeslique qui passait. Aussitôt cette
fille
, naturellement très-tranquille, s’élance et frapp
nde, elle ne vit rien. Plusieurs personnes s’approchèrent de la jenne
fille
, et, lui voyant les yeux ouverts, crurent que c’é
on court le risque de troubler un instant sa vie. Mais la vérité est
fille
du ciel, elle n’est pas comme le vice ou le menso
andât des vers, et presque toujours on en obtint. J’ai une petite
fille
qui avait alors dix ans. Jullie lui adressa un so
: « Tu es sous la puissance d’un mauvais esprit. Voilà, ma « chère
fille
, tout ce que ton père te dira aujourd’hui. « Si
mois s’écoulèrent. Au terme d«sa grossesse, Mm«du B... accoucha d'une
fille
très-bien conformée, sauf que le visage élait imp
C’était un masque affreux. Madame du B..., au désespoir que sa petite
fille
fût ainsi défigurée, entreprit une neuvaine et fi
de voir chez M. Bot..., ton collègue d’Angleterre et ami, une de scs
filles
qui était malade. Un instant après, je te dis qu’
38, lorsque le docteur Pigeaire, de Montpellier, vint à Paris avec sa
fille
, jeune somnambule qui avait le don de lire sans l
Gauthier, rue des Lions-Saint-Paul, n° 11, pour donner des soins à sa
fille
, jeune femme d’environ vingt-quatre ans. Cette fe
trouvions seulement cinq personnes: le général 1)..., Madame et leur
fille
, unique maintenant. Je faisais donc la cinquième
ecourir à la médecine; que le magnétisme n’avait fait que du mal à sa
fille
, et que ses époques étant arrêtées, cela n’était
mme loyal qu’elle avait connu pendant six mois au chevet du lit de sa
fille
; je n’étais plus que le militaire cherchant à s’a
et de nature à satisfaire les plus exigeants. a. s. MORIN. JEUNE
FILLE
ÉLECTRIQUE. Fait renversant. — Avis à MM. les A
tre pensée : créer un asile spécial pour les garçons et un pour les
filles
; en confier la haute direction non à un adminis
, pas de convulsions, a des migraines; - 20 notre malade ; - 3° une
fille
de dix ans, grosse, ne grandissant pas, peu int
ue tuberculeuse), n'a pas eu de convulsions; 20 notre ma- lade ; 30
fille
, bien développée, dix-sept ans, intelligente, s'e
n'estpas possible de savoir le nom. -Il ya eu cinq enfants ; quatre
filles
et un garçon. Ils sont tous vivants. Tous sont
Ils sont tous vivants. Tous sont forts et bien constitués, sauf la
fille
cadette, âgée de quinze ans, qui est un peu dél
f la fille cadette, âgée de quinze ans, qui est un peu délicate. La
fille
ainée, âgée de vingt-deux ans, qui a été nourri
nfant est un garçon, âgé de treize ans, et les deux autres sont des
filles
, âgées de huit et cinq ans. Rien à noter du côt
inte d'elle, sa mère fut effrayée par un taureau. A sept ans, celte
fille
ces-.a de 1 Médical Presse and Circulai; H mai
formé, né à terme, mort à six mois, en nourrice, de convulsions; 2°
fille
, née à terme, bien conformée, intelligente, mor
bien conformée, intelligente, morte à trois ans de convulsions; 3°
fille
mort-née à terme (présentation des pieds), bien
lle mort-née à terme (présentation des pieds), bien conformée; 4°
fille
, morte à treize ans d'un abcès du foie ; elle éta
ent lourds et épais; la face ronde et sans expression. Cette petite
fille
ne pouvait parler, mais elle émettait desbruits i
ogique. , CACHEXIE PACHYDERMIQUE OPÉRATOIRE. 87 10 Baillargert. -
Fille
de vingt-quatre ans; extirpation pro- bable de
882; en mars 1883, cachexie crétinoïde. 2 1 Rocher. - En faut P...,
fille
de quinze ans, goitre kystique, extirpation tot
ssissement de la peau du visage et des mains. 26'' Baumjdrtner 1.
Fille
de seize ans, extirpation totale d'un goitre de
s intel- lectuelles et physiques. 28o .Baum<y<ï ? '<Kef.
Fille
de vingt-trois ans ; extirpation totale d'un go
a succombé depuis à une hémorrhagie pulmonaire. 29° Baumgàrtner.
Fille
de vingt-deux ans ; extirpation totale d'un goi
- Relaté par Grundler (p. 422). 92 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. 32° Bruns.
Fille
de vingt-six ans, opérée depuis quatre ans, pré
mes de la cachexie pachydermique. 31o Pietrikowski-Gussenbauer. -
Fille
, âgée de dix-sept ans, goitre colloïde kystique
ut de la cachexie pachydermique. 38° Pietrzikowski-Gussenbauer. -
Fille
, âgée de dix ans, goitre vasculaire; extirpatio
ter des symptômes de cachexie pachydermique. 39° Baumgàrtner 5. -
Fille
de vingt-cinq ans; goitre circu- laire ; extirp
la protubérance, hydropisie du 4e ventricule. Cas. VIII (Ibid.). -
Fille
, 6 ans. Amaigrissement et change- ment de carac
tuation misérable, élevant péniblement ses deux enfants : la petite
fille
, retournée aujourd'hui dans- le pays de sa mère
pital Beaujon, sans enfants ; l'autre est bien portant ainsi que sa
fille
. Pas d'aliénés, pas d'idiots ni d'arriérés, ni
s]. - Pas de consanguinité. Deux enfants : 1° notre malade ; 2° une
fille
morte à 9 mois, de convulsions internes,à la su
e]. Pas de consanguinité. Deux enfants ; ¡il notre malade; 2° une
fille
, âgée de dix 156 ANTÉCÉDENTS PERSONNELS. mois
garçon mort en nourrice de cholérine; pas de convulsions ; 3° une
fille
de 21 mois, bien portante, sans convulsions. No
ces infortunés qui sont là devant nous on aperçoit une jeune et forte
fille
épileptique ; ses accès sont affreux, inouïs. Com
ce fut en vain que la méde- cine prodigua ses soins ù celle pauvre
fille
; ce qui n'était que maux de nerjs devint une véri
ner ceux qui avaient jeté le sort, conduisirent au presbytère lajeune
fille
, très-peu touchée de son état. Le curé du lieu, e
geait .souvent en sons semblables à ceux d’un vieux piano que cette
fille
entendait ordinairement dans la maison où elle de
dans son sommeil; il Ili semblait alors qu’elle instruisait une autre
fille
plus jeune qu’elle. Elle discourait souvent ave
ion extraordinaire, qui parait avoir continué dix ou douze ans, cette
fille
avait, dans l’état de veille, un air emprunté et
• souffrances que votre somnambule a déclarées en « présence de ma
fille
. Les médecins que je consultais « disaient à mes
es de votre voisiB, ânes qui vous revêtez de lapeau du lion; vieilles
filles
qui demandez au fard et aux pommades un peu de ce
Quel malheur pour la jeune Cottin de s’en retourner vivante ! Autre
fille
électrique. — A l’appui des singuliers phénomènes
ujours effrayé. « En 1831, j’avais pour bonne d’enfant une jeune «m
fille
de quatorze ans et une cuisinière plus âgée. Un •
ant, fut témoin de ces fait», « et alors la frayeur s’empara des deux
filles
, qui la « communiquèrent à ma femme. Lorsque la j
s deux filles, qui la « communiquèrent à ma femme. Lorsque la jeune «
fille
passait dans la salle à manger, les chaises étaie
série de fâits où Prudence est bien plus extraordinaire encore. Cette
fille
si simple, d’une intelligence bornée, d’un esprit
vons. Le drame, toujours le drame. C’est bien assez pour cette pauvre
fille
de quatre ou cinq longues attaques de catalepsie
e. — Nous avons ici, depuis quelques jours, un rival de cette fameuse
fille
électrique, si longtemps un objet de doutes, môme
choses extraordinaires et à savoir l’avenir. La Scry avait une petite
fille
chez elle, de huit ou neuf ans, qui y était méc e
bre. Dès que M. le duc d’Orléans fut instruit, . ¡1 dit à la petite
fille
de regarder, dans le verre, qui ¿tait «hez M"" do
suite il me conta que, encouragé par l’exactitude de ce que la petioe
fille
avait vu de la chambre de M"“’ de Nancré, it avai
e pourrait voir dans te verre. Il le demanda tout de sniteà la petite
fille
, qui n’avait jamais ouï parler de Versailles, ni
nt; il invita rassemblée â se montrer généreuse, Une charmante petite
fille
recueillit les dons de chacun. C’est ainsi que ce
frayer, dit la mère, qui se campe bra-« vement devant lui. Je suis la
fille
de ces montagnes, « et j’ai dix courages d’homme
. Aveugle somnambule. —On parle beaucoup en ce moment de M,e Durel,
fille
d'un ministre protestant des environs de Cambrai,
212 Enfant à seconde Tue. 99 Epilepsie. 32 Electrique (la petite
fille
). 79, 85, 113 125, 287, 298 Enfance de Mesmer. 34
ssassin de deux enfants, Henriette Cornier coupe la téte d’une petite
fille
. Pendant l’instruction du procès d llenriette, un
t d’Henrictte, une veuve, dans une exaltation religieuse, étrangle sa
fille
unique pendant qu’elle dormait. Un mois après le
lecture du procès d’IIenriette, ressent une violente envie de tuer sa
fille
. A la même époque, une mère de cinq enfants confi
i eût mal aux nerfs (1). » . Une épidémie de suicide poussait les
filles
de l’île de Milet à se pendre. Les magistrats ord
ents. D’autres témoins déposent de faits analogues, et celle pauvre
fille
, regardée comme sainle inspirée par les uns, comm
ite de cette situation inattendue qu’il avait été obligé de placer sa
fille
dans une maison de commerce; que cependant celle-
entendu, de l’accom- _ pagner des ornements les plus merveilleux; sa
fille
n’était ni plus ni moins qu’enc/icmice ou ensorce
avait envoyé chercher le médecin qui connaissait le tempérament de sa
fille
. Je vis clairement qu’il ne se souciait pas que j
sans aucune autre espèce d’intérêt que celui de la science, à voir sa
fille
conjointement avec le médecin de son choix, ou to
r qui les feux d’hymen et les feux d’amour ne peuvent plus s’allumer,
fille
qui se traîne à l’autel par obéissance pour ses p
lumer, fille qui se traîne à l’autel par obéissance pour ses parents,
fille
qu’on y voit courir malgré les siens, femmes de t
pain. Quelque temps après, un second vint aussi demander du pain; la
fille
lui en ayant refusé; il s’en alla en la menaçant.
, les couverts et la soupière s’agitèrent et furent jetés à terre; la
fille
allant pour mettre un chaudron sur le feu, l’anse
’anse lui resta dans la main, les oreilles s’étant rompues. La même
fille
allant dans la maison, et se trouvant sur la plac
t brisées; ses meubles craquaient et éprouvaient des oscillations. La
fille
fut très-mal ; elle passa même pour avoir succomb
Ces phénomène sont intermittents, ils cessent et reparaissent. « La
fille
avait-t-elle des prédispositions à cette affectio
les fois qu'elles sont en opposition avec les idées, traditionnelles
filles
antiques du prestige et de la foi. Les peuples
sensations douloureuses, enfant gâtée par ses parents dont elle était
fille
unique, peu confiante, ne se laissa pas aller à c
aque et mélancolique ; la seconde, veuve de son cousin germain, a une
fille
de 10 ans, atteinte de choréc rhythmée, limitée a
périnée, vient au monde après dix-huit heures de travail : c'est une
fille
, forte et bien constituée. Suites de couches no
s : aussi celle beauté ne pourra charmer que des âmes vulgaires : une
fille
énamourée ou une bourgeoise perverse; un observat
) Reporter le mépris public qui s'attache â certains êtres innocen:s (
fille
séduite, enfant naturel, etc.) sur des individus
l au... pied ou ailleurs ; sa fcn.me y a mal aussi, et son fils ci sa
fille
; et son gendre, et son neveu, et son jardinier, e
nt un séjour d'un mois qu'il fit à l'hôpital pour cause de fièvre, sa
fille
mourut, et cette mort devint le point de départ d
conceptions délirantes. Il s'imagina qu'on avait habilement grisé sa
fille
, puis qu'on l'avait conduite habillée en homme, c
ment, il n'eut plus qu'un but, obtenir la punition du meurtrier de sa
fille
et la réparation du dommage que lui avait causé s
mesuré et pesé près de 15.000 garçons des écoles secondaires et 5.000
filles
d'écoles privées ; tous ces enfants appartenaient
du nord de l'Italie. Les jeunes suédoises dépassent toutes les autres
filles
par leur taille et leur poids. Au point de vue
e dans les dernières années de cette période. Le mode d'éducation des
filles
explique aisément ces tristes résultats. Le temps
ntes n'avaient pas eu le même sort. 2° Le sorcier empoisonneur : La
fille
d'un sorcier de profession voyant sa santé fortem
et vous révéler ce qui est bien et bon... Vous allez aimer une blonde
fille
; simple affaire de suggestion. Hâtez-vous, il en
acceptous sa proposition. Il nous adresse trois enfants : une petite
fille
de six ans et un petit garçon de huit ans. attein
ts tous deux d'incontinence nocturne et diurne d'urine, et une petite
fille
de dix ans, atteinte d'in continence nocturne. Au
t obtenue et notre confrère se déclarait convaincu. Chez une petite
fille
de 12 ans. atteinte d'incontinence diume de l'uri
Cat..., âgée de vingt et un ans, a fait trois tentatives de suicide.
Fille
d'un ivrogne invétéré qu'on a dû enfermer à plusi
s le choréop. tismt (1), qui produit le mal de mer et les nausées. la
fille
Caffo sortait de table : ce n es; que le surlende
ltat. 1 Je me vois toujours obligé d'avoir recours choréoplisme. La
fille
Caffo n'a été apte à recevoir une suggestion un p
nt divers confrères nous avons à plusieurs reprises suggestionné à la
fille
Caffo d'avoir des contractions utérines répétées
élivrance faite pendant la catalepsie a été complètement indolore, la
fille
Caffo n'a pas eu plus conscience de l'un que de l
ccouché, faites moi voir mon enfant. » Le lendemain j'ai donné à la
fille
Caffo une suggestion d'avoir dans la journée troi
Us suites de couches ont été très heureuses et le cinquième jour la
fille
Caffo reprenait doucement ses occupations domesti
attendre l'heure fixée par la nature. Cette fois-là dans le cas de la
fille
R. X. l'occasion se présentait trop belle, et les
rquoi ne pervertirait-on pas, pour l'avenir et par le même; moyen, la
fille
la plus vertueuse? L'endormcur peut plus encore,
??, Toriao la*. ' MDi Roc***. ,-Sii» >»>(ju., 1?7. une petite
fille
..., un matelot..., un généra)...» Par le fait seu
émoire, que devrait parler, penser et agir une religieuse, une petite
fille
, un matelot ou un general ne se contente pas, ain
r la premièie fois, en 1858. Elle avait alors quinze ans. C'était une
fille
assez robuste, intelligente, laborieuse, peu affe
utres haut-sensitifs : le sieur Wiebach. la dame Sophie Fritzcheu, sa
fille
Élise, la demoiselle Scheibe, le sieur Durieu, le
es mois plus tard, spontanément, l'un des auteurs de l'assassinat, la
fille
Bompard. venait se livrer à la justice ; puis Eyr
Eyraud, sorle d'aventurier à bout de ressources, s'était servi d'une
fille
galante, sa maltresse, pour attirer Gouffé dans u
tant d'espoir. Qu'on en juge plutôt : t Vous avez tous demandé à la
fille
Bompard, s'écriait l'honorable défensour (2), com
p redouté la dernière période de l'accouchement. L'enfant, une petite
fille
, pesait 3,300 grammes, un peu plus que la moyenne
ture à l'expulsion. Il était onze heures, quand elle accoucha d'une
fille
pesant 8 livres 1/4, sans qu'on cùl besoin de fac
que • ; il est mort d'une maladie qui s'est accompagnée de délire. La
fille
d'un autre oncle est morte d'une « maladie nerveu
it du mal, devenait méfiante, redoutait de se trouver seule. Comme sa
fille
, elle avait des hémorrhoïdes ; comme sa tille ell
attaques. La nuit, rêve» terrifiants. Céphalalgie habitaelle. Deux
filles
sont très mobiles et très impressionnables. L'aîn
survient un épisode que nous avons vu se produire chez la mère et la
fille
de la malade. M™ G... se sent poussée à boire de
audrait ranger tout cela », mais elle n'en reste pas moins inerte. Sa
fille
habite près de chez elle, et cependant elle ne va
uite d'un accident de chemin de fer; pendant ce temps, avait eu une
fille
qui, dès l'âge de cinq ans, était épileptique.
fants : deux fils qui se tuent au même âge, de la même manière; une
fille
qui, à trente-quatre ans, se détruit aussi en s
THOLOGIE GÉNÉRALE. Observation XXII. - mye P... Paralysie agitante.
Fille
aliénée (atteinte avant sa mère). Observation
Père alcoolique. - Mère épileptique. - Oncle ma- ternel aliéné. Sa
fille
a des vertiges épileptiques. 1 Tliébeault. Etud
t être héréditaires; Pié- dagnel en a vu un chez la mère et chez la
fille
, et Blache en a observé un chez trois enfants d
tion 111'I(. - M. de L..., ataxique. Un oncle maternel original. La
fille
d'une tante maternelle était épi- leptique, et
général. Observation XLVII. Mmo B.... ataxique depuis quatre ans.
Fille
de vingt ans épileptique depuis deux ans. Obser
c de la face. Observation LXVIII. - Mme B... Sclérose en plaques.
Fille
aliénée. Observation LXIX. - M"° C..., vingt-ci
isme. Observation LXXII. V... Sclérose latérale amyotrophique . -
Fille
épileptique. Cousin germain épileptique. Il n'e
er est-il un peu spécial, en ce sens qu'il s'agissait d'une jeune
fille
de vingt ans, dont le corps était insuffisamment
ses dans la famille]. -Pas de consanguinité. Six enfants : Il une
fille
, morte à douze ans de fièvre typhoïde : elle ét
était intelligente et n'avait pas eu d'accidents nerveux; - 2° une
fille
, mort-née par strangulation (circulaires du cordo
ille, mort-née par strangulation (circulaires du cordon) ; - 3° une
fille
, morte de convulsions à treize mois; 4° une fille
ordon) ; - 3° une fille, morte de convulsions à treize mois; 4° une
fille
, morte de convulsions à un mois; 5° une fille,
à treize mois; 4° une fille, morte de convulsions à un mois; 5° une
fille
, âgée de quinze ans, qui paraît assez intellige
- ment le parquet. - Dans le Procès-verbal fait pour délivrer une
fille
possédée du malin esprit il Louviers (1301), qu
re.] Pas de consanguinité. 104 REVUE CRITIQUE. Six enfants : deux
filles
mortes de bronchite, l'une à sept mois et demi,
ize jours, sans convulsions, d'un « épanchement au cerveau. » - Une
fille
de trois ans et demi, bien portante, intelli- g
ré, G. Ballet et Paul Moreau (de Tours). Rosa G..., dix-sept ans,
fille
naturelle, aurait présenté vers rage de douze à
s médical, 14, rue des Cannes, Procès-verbal fait pour délivrer une
fille
possédée par le malin esprit, à Louviers (1591)
des anomalies de for- mation. M. Ollivier rapporte l'exemple d'une
fille
hémimèle, dont le père était épileptique et le
ude sur certaines modifications dans la sécrétion urinaire consécu-
fille
it l'ltérnol'rltagie cérébrale. (Gazette hebdoi ?
uccessivement (lE cas) ou à peu près en même temps (2° cas) chez la
fille
et la mère. Il tend dans l'espèce à croire à la
die d'un symptôme. CH. F. IV. MÉNINGITE TUBERCULEUSE CHEZ UNE JEUNE
FILLE
DE DIX-NEUF ANS; ) par M. LraNDIEa. (France méd
iction de sa mère placée chez moi pour un délire de persécution; la
fille
s'y oppo- sant, il y eut procès. La fille perdi
délire de persécution; la fille s'y oppo- sant, il y eut procès. La
fille
perdit en première instance, mais gagna en appe
le de se conduire, et qui d'ailleurs ne savait où aller coucher, sa
fille
ne voulant pas la reprendre et son fils voyagea
mais aussi par ses accointances, par sa parenté, par- sa filiation.
Fille
, mère ou soeur, l'ataxie est proche parente des
une gou- ve1'nante : transmission ci un garçon de six ans et ci une
fille
de trois ans. Renvoi de la gouvernante : guéris
e hystérique et ruminante. Les enfants, un garçon de six ans, une
fille
de trois ans, apprirent d'elle en peu de temps à
catégorie (trois cent dix-neuf garçons; trois cent soixante-quinze
filles
), il'Àrl'a trouvé l'absence de ce réflexe que c
dans l'espèce son collaborateur. Un grand nombre de malades (toutes
filles
) ont été examinées pendant plusieurs mois consécu
396 INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. IX. Procès-verbal fait pour délivrer une
fille
possédée par lemalin esprit à Louviers, publié
s son no du 10 février, le fait suivant : « Samedi soir, une petite
fille
d'Ecardenville-sur- Eure, nommée Marie C. B ? â
urnée d'inquiétude On pense, dit la Vallée d'Eure, que cette petite
fille
n'aurait pas la tête bien équilibrée pour être
par Luciani, 126. Possédée (hrocns-verbal fait pour délivrer une
fille
par le malin esprit il Louvicrs), 396. Psychi
y. p. II. — PSYCHOLOGIE RÉTROSPECTIVE.—Observation concernant une
Fille
cataleptique et somnambule en même temps (1737 à
te famille se composait de cinq personnes : le père, un fils et trois
filles
. Elle fut exhibée et étudiée sous des désignation
ns leur neutralité. Les portraits du père, du fils et de'deux des
filles
nous ont été transmis par Atdrovandus ['}, dont l
ns plus haut deux gravures sur hois dont l'une représente en pied, la
fille
âgée de douze ans (Fig. 7), et l'autre la fille â
eprésente en pied, la fille âgée de douze ans (Fig. 7), et l'autre la
fille
âgée de huit ans (Fig. 8). Le troisième portrai
, a la figure et les mains velues, auprès de lui se trouve une de ses
filles
. Elle est velue, de même que le petit garçon, qui
e, réalisée. PSYCHOLOGIE RÉTROSPECTIVE Observation concernant une
Fille
cataleptique et somnambule en même temps (1737 à
n constater la vérité, et en donner un détail circonstancié. M. V.,
fille
âgée de '20 ans, étoit en service dans une maison
quelques différences que nous détaillerons dans la suite. Quand cette
fille
se fut rendue à l'h6pital, où elle demeura une an
s purgatifs les plus forts ne la vidotent que peu et fort tard. Cette
fille
étolt dégoûtée et fort triste de ce que cette inc
'on peut i:gcr si elles ont quelque douleur ou autre sensation, cette
fille
qui n'avoit aucun mouvement, ne donnoit non plus
jour entier ou du matin au soir, étoit rempli par la maladie que les
filles
de la maison appelloicnt l'accident vif, donnant
la, se leva sur son séant, et se disposa à la scène suivante, que les
filles
de ce quartier avoient déjà observée plusieurs fo
sure qu'elle débitoit tous ses propos. En premier lieu, comme cette
fille
avoit les yeux ouverts, je crus que la feinte, s'
rsonne cachée poussa tout à coup un grand cri vers l'oreille de celte
fille
, et fit du bruit avec une pierre portée contre le
it du bruit avec une pierre portée contre le chevet de son lit; cette
fille
en tout autre temps auroit tremblé de frayeur, ma
ique. Dans moins d'un quart d'heure que la catalepsie eut duré, celte
fille
revint comme d'un profond sommeil, et connoissant
ui traversoit la Seine à la nage durant son attaque. Au reste cette
fille
s'est aujourd'hui aguerrie contre ce mal, et ne s
lement transformée. Le mariage est rompu et on enferme la malheureuse
fille
comme folle dans un grenier. Pendant un mois son
nt. En 1880, Cari Bock ramena d'une exploration au Laos, une petite
fille
barbue et velue, âgée de six ans, à laquelle on a
ont constaté les préoccupations que causent aux familles ces petites
filles
qui.eu naisaant, sont velues jusqu'au bout du nez
tait couvert d'un poil soyeux et doux qui sur certaines Fig. 31. La
fille
de SchweMaoog. barbue « velue, ifiee de M an».
ssion régulière, étaient au complet à l'âge de trois ans. La dernière
fille
, âgée de deux ans et demi, était robuste et bien
gouvernement de l'Inde anglaise. Ce voyageur retrouva cette dernière
fille
de Shwc-Maong, âgée par conséquent d'une trentain
ments à une distance minime dans l'espoir que le besoin obligerait sa
fille
A s'en approcher; or, cette enfant souffrait la f
ement les bruits fœtaux. J. B. accoucha, le 26 décembre 1851, d'une
fille
normalement constituée. Elle nourrit elle-même so
-sept ans et demi et donna naissance à deux enfants, un garçon et une
fille
; ils sont respectivement âgés l'un de quatre ans
euse qui lui descendait presque jusqu'à la ceinture. Mme Taylor était
fille
de petits bourgeois et avait manifesté de bonne h
ileux destiné à jouer un rôlo plus important dans l'existence de leur
fille
. (t) BiRiLLOX : Les phobies neurasthéniques env
ur parti possible. Ils se mirent en quête d'un Barnum et bientôt leur
fille
fut engagée dans un cirque. Elle gagna à ses exhi
éjà sa barbe complète. Elle eût deux enfants, un flls et une Olle. La
fille
ne présente non de particulier au point de vue de
moiselles d'honneur étalent le garçon obèse et l'homme caoutchouc, la
fille
flûte et la femme poisson.» L'exhibition d'une
ables. Dès l'âge de deux ans, la chevelure et la barbe de la petite
fille
avaient un développement si considérable que les
ment Irruption dans sa chambre, en poussant de grands cris. La petite
fille
de deux ans, qui dormait à côté de sa mère, éprou
autes imaginaires, clic se forçait à manger des insectes; deux de ses
filles
sont des abouliques. Sa mère a eu des crises prob
e barbo à son menton, méritent d'être relatées. Elle se prétendait la
fille
naturelle et par conséquent l'héritière d'un rich
la joue du même côté. Quelques mois après, elle donna naissance à une
fille
chez laquelle le ncevus qui s'étend sur l'oreille
. 58 — .Vj. _i pUeimchei une Jeuno femme igée de 2i ann- Glle était
fille
unique. Malgré la difformité de ses traits, elle
let et régression de la personnalité, je décidai la mère à ramener sa
fille
éveillée. En entrant dans sa chambre, Marie-Louis
lue, p. 103. Fig. 20. Shwe-Maong et sa famille, p. 104. Fig. 21. La
fille
de Schwa-Maong. barbue et velue, igée de 30 ans (
ien on pense, en nombre plutôt restreint On y aperçoit quelquesjolies
filles
venues pour montrer leurs dents au bénéfice -de s
e la porte. Tous les assistants se précipitent vers ce point. « Une
fille
d'Eve — une vraie cette fois ! — vient d'entrer.
vidus de-même sexe ? Et pourquoi ne pas avouer que la jalousie, cette
fille
malheureuse de l'amour, naît aussi de ces abomina
lle est plus exceptionnelle, jalousie sans émission ! Sans doute la «
fille
aux yeux d'or » a-telle obtenu d'un amant trompé,
logue en l'expliquant ainsi : Jusqu'à quinze ans environ, les petites
filles
ont plus de zèle, souvent plus de facilité que le
qui préoccupe le plus les familles : Comment orienter nos fils et nos
filles
en dehors des sentiers battus ? Quelles sont par
e émotive. Telle aussi cette brave paysanne qui vient à Paris voir sa
fille
, séparée de son mari ; elle rencontre son gen
affaisse : l'émotion l'a tué. D'après Feuchtersleben, Mmo de Guerchy,
fille
du comte de Fresque, mourut, en 1672, pour avoir
amentait, parce qu'elle supposait qu'il avait succombé. Une jenne
fille
voyage en chemin de fer un jour où se produit une
ennent a, la mère au moment où elle arrive à la gare pour attendre sa
fille
. Celle-ci survient peu après, saine et sauve. L'é
peut supporter l'organisme de la pauvre mère ; après avoir pressé sa
fille
dans ses bras, elle a une attaque d'apoplexie et
ssibles, qu'elles sont inoffensives. En voici un exemple : Une petite
fille
, voyant sa mère entourer sa sœur, qui souffrait d
ise. C'est Vadolescence qu'il faut surveiller et protéger, garçons et
filles
: que dire de celles-ci qui doivent créer la géné
tation semblable, à propos des écoles primaires Supérieures de jennes
filles
de Paris, les directrices de ces établissements s
x développent parfois des mauvais sentiments. Par exemple, une petite
fille
, au retour de la classe, s'écrie : « Je suis bien
plaisir ! . Je crois pouvoir affirmer d'autre part que chez nous les
filles
trichent moins que les garçons. A ce propos, un j
. • J'ai peu de répulsion, écrit-il. pour les fades et longues jennes
filles
aux maigres poitrines ; mais les grosses femmes,
et S. Csnpo. V. également : Emile Laurent, L'amour morbide. (2) La
fille
manquée. lourds et pourrissants courbent une
d'un jeune paysan voluptueux qu'il avait excité à la volupté maintes
filles
chastes, et atteint facilement son but en passant
e entendu par le tribunal, car il était persuadé que dans ce crime la
fille
Bompard n'avait obéi à son amant Eyraud que comme
ialité en faveur des experte qu'elle avait désignés. Aussi lorsque la
fille
Bompard sortit de prison, le premier désir du pro
s de vivre en donnant .un spectacle immoral aux siens et surtout à sa
fille
. Enfin sa maladie a coûté beaucoup d'argent et si
67. Mais rappelons un fait plus moderne. Il y avait, en 1699. une
fille
dont le métier consistait à être tour a tour muet
travant pas comme le mari débauché, le séducteur, l'amant des petites
filles
, le monsieur sérieux, le miche ou le souteneur ;
chent pas leur mépris. Ces conversations impressionnent vivement leur
fille
; l'idée s'installe en elle qu'il serait affreux
très exercé. ' Us n'auraient pas même eu l'idée de demander à leurs
filles
si elles savaient qu'il y avait une différence au
kaïa, un général très célèbre a vu mourir, coup sur coup, deux de ses
filles
. Son fils aîné est frappé d'un mal terrible et qu
02. qu'exhalait cet argent, il déclara, comme l'auteur du vol, la
fille
du maître de maison, ce qui se confirma par la su
fondatrice de la secte. Dorothée Boiler, naquit en 1811 ; c'était une
fille
de petit paysan. Elle reçut l'instruction de l'éc
tion, il ne voit que les faits. Il concrétise tout. Ainsi, une petite
fille
de sept ans a entendu parler d'une personne expér
ait d'un homme du monde, qui pour redorer son blason, avait épousé la
fille
d'un riche banquier israëiite. Le ménage ne tarda
té en chœur dans le vaste hall gothique de l'école. Au lycée de jeune
filles
de Versailles, la mise en train des études se fai
ns appel a la collaboration des élèves et des parents. Par exemple.la
fille
d'un consul de la République Argentine nous appor
ersuasion, et surtout par l'attrait du plaisir. Un jour, une petite
fille
se rendait nu lycée avec moi. Je lui dis : Es-tu
k l'hospice de la Salpétrière une Ecole de réforme pour ses pupilles
filles
délinquantes. A l'Age de 13 ans. les pupilles d
Salpétrière. Depuis 1891 jusqu'au l'1* janvier 1909. j'ai reçu 474
filles
, soit une moyenne de 26,3 par an. De ces filles.
r 1909. j'ai reçu 474 filles, soit une moyenne de 26,3 par an. De ces
filles
. 77. sorties améliorées, y ont été à nouveau renv
a proportion de la délinquance, qui ne concerne, il est vrai, que les
filles
, est faible. Les enfants qui m'ont été envoyées
nfants abandonnées k 13 ans et au-dessus de 13 ans. adolescentes. Les
filles
, en effet, ont en moyenne à 13 ans leurs première
les vicieuses simples et débiles, ni réunir dans le même atelier des
filles
de 19 ans et des enfants de 13, 14 ans. Ces secti
hez une gou- vemante : transmission à un garçon de six ans et à une
fille
de trois ans. - Renvoi de la gouvernante : guér
e. (2Mb< ? méd., t. LU, p. 117.) Observation XXVI. Anne Ferry,
fille
d'un tisserand, eut à l'âge de quinze mois la c
guinité. 46 DU MÉRYCISME. Deux enfants : 1° notre malade ; 2° une
fille
, bien conformée, morte à treize jours, en nourr
s.] Pas de consanguinité. Deux enfants : -1° notre malade; 2° une
fille
, bien constituée, morte à cinq semaines d'une d
du père ni de la mère.] Pas de consanguinité. Six enfants : deux
filles
mortes de bronchite, l'une à sept mois et demi,
reize jours, sans convulsions, d'un « épanchement au cerveau ». Une
fille
de trois ans et demi, bien portante, intelli- g
es dans la famille]. - Pas de cjnsanguinité. Six enfants : 1° une
fille
, morte à douze ans de fièvre typhoïde : elle ét
le était intelligente et n'avait pas eu d'accidents nerveux; 2° une
fille
, mort-née par strangulation (circulaires du cordo
e fille, mort-née par strangulation (circulaires du cordon); 3° une
fille
, morte de convulsions à treize mois; - 4° une fil
cordon); 3° une fille, morte de convulsions à treize mois; - 4° une
fille
, morte de convulsions à un mois; - 5" une fille
eize mois; - 4° une fille, morte de convulsions à un mois; - 5" une
fille
, âgée de quinze ans, qui parait assez intellige
uyamment le parquet. = Dans le Procès-verbal fait pour délivrer une
fille
possédée du malin esprit à Louviers (la9t), qui
s : 1° garçon, quatorze ans, intel- ligent, pas de convulsions;- 2°
fille
, morte à neuf ans d'accidents pulmonaires ayant
jours; convulsions jusqu'à quatre ans, était très intelligente ; 3°
fille
, morte en nourrice à deux mois, on ne sait de q
jusqu'à trois ans; 6° fausse couche à six mois, sans motifs ; - 7°
fille
, morte à deux ans et demi de méningite, avait d
éjà eu des convulsions; - 8° fausse couche : 9° notre malade; - 10°
fille
, de sept mois, pas de convulsions. Notre malade
es, on signale un garçon mort de convulsions à 2 ans ainsi que deux
filles
jumelles, et enfin, une fille morte à 13 ans, à
e convulsions à 2 ans ainsi que deux filles jumelles, et enfin, une
fille
morte à 13 ans, à l'hôpital Sainte-Eugénie, d'u
arriéré.] Consanguinité (cousins germains). Cinq enfants : 1° une
fille
, âgée de 15 ans, d'une taille exiguë pour son âge
garçon, 7 ans, bien portant, intelligent, sans convulsions; 5° une
fille
bien con- formée, morte à 15 jours d'une bronch
eu de distinguer : 1° I.a suggestion de père ou de mère à fils ou à
fille
. — Comme exemple de suggestion religieuse paterno
e, je citerai les cas suivants : Marie Desmoulins suggestionnant sa
fille
; Anne de Boulogne suggestionnant son fils ; C
liale, je citerai les cas suivants : Les Hallay suggestionnant leur
fille
; Les Briquet suggestionnant leur fille ; Les
s Hallay suggestionnant leur fille; Les Briquet suggestionnant leur
fille
; Les de Luynes suggestionnant leurs deux fille
suggestionnant leur fille ; Les de Luynes suggestionnant leurs deux
filles
; Les du Fossé suggestionnant leurs trois fils e
filles; Les du Fossé suggestionnant leurs trois fils et leurs deux
filles
; Les Arnauld l’avocat suggestionnant leurs tro
; Les Arnauld l’avocat suggestionnant leurs trois fils et leurs six
filles
. 2° La suggestion de fils ou de fille à père ou
eurs trois fils et leurs six filles. 2° La suggestion de fils ou de
fille
à père ou à mère. — Comme exemple de suggestion r
fois par semaine, puis une fois seulement. Elle est redevenue lajeune
fille
studieuse et rangée qu’elle était avant d’avoir f
neur ou un simple attorney, un congrcssman ou un avocat de marque, la
fille
d’un millionnaire ou une doctoresse en vue ; dès
conception chrétienne et gnos-tique du * logos », la u bath-kol *, «
fille
do la voix b du Talmud, sc rattachent également,
s où un père, un frère sont accusés d'avoir eu des rapports avec leur
fille
ou leur sœur. Je vous ai dit que fréquemment, d
, rentrant ivre à son domicile et trouvant dans le logement exigu une
fille
, s’inquiétait fort peu de savoir si c’était la si
sa vie était en danger. Devant ce pronostic grave, le fiancé de cette
fille
crut bon de faire remarquer que trois mois aupara
Commentaires du professeur Brouardel, p. 129. jours plus tard, la
fille
accoucha d'un fœtus de trois mois et mourut. »
ès vite dans ma conscience, je pensais que cette jeune fille était la
fille
d’un vérificateur des poids et mesures, et je dis
rent en outre l’avis de Devergie qui leur répondit: Je crois qu’une
fille
de dix-huit ans peut, en thèse générale, avoir ét
... se présenta à sa consultation, pour faire soigner les dents de sa
fille
, âgée de vingt ans. Ce singulier dentiste dit à l
ue je fus commis. Le point principal était de rechercher si lajeunè
fille
avait été consentante aux manœuvres de Lévv, ains
priail la mère de s’asseoir près de la cheminée et faisait placer la
fille
sur le fauteuil, dont ii avait au préalable rabat
lille jadis était l’objet de cette sollicitude étrange, qu'elle a, sa
fille
n’étant plus avec elle, reporté sur son fils. C
évite cc désagrément, mais votre diagnostic est fait ; ce fils, cette
fille
a une phobie, c’est un dégénéré ; il a une tare h
ille, du docteur Paul Farez (avec une double réplique de Mme Sorgues,
fille
de Durand de Gros, et de M. Bérillon); enfin du p
s vitrines. Nous entrons dans une salle. Quelques lits. Sur l’un, une
fille
de quinze à seize ans commence à se rouler. Elle
chaque enfant une autre enfant, moins âgée qu'elle, et qui devient sa
fille
. Celle-là doit prendre soin de celle-ci, la tenir
i ces pauvres «très une émulation touchante à qui tiendra le mieux sa
fille
, l’instinct du dévouement maternel, inaltérable m
e ce front trop gros, sur des sourcils circonflexes. Elle aussi a une
fille
. Elle comprend quand on prononce le nom de sa fil
Elle aussi a une fille. Elle comprend quand on prononce le nom de sa
fille
. Elle va la chercher, sans hésiter, au milieu des
de la névrose, aux neurasthéniques de toutes catégories, aux pauvres
filles
qui ont en elles les tares ataviques de l’alcooli
es regrets unanimes de tous les membres de la Société et adresse à la
fille
de notre président d’honneur, l’expression de nos
econdes d'un cancer du sein ; voici dans quelles circonstances. Cette
fille
apprend que sa maîtresse vient de succomber à la
il faisait des économies, achetait !a ferme de Mme Grove, épousait sa
fille
et devenait riche à son tour. Malgré cela, Bc
ini par constituer une synthèse mentale très marquée, que l’hystérie,
fille
de l’idée, doit guérir par l’idée, que la neurast
stérie, fille de l’idée, doit guérir par l’idée, que la neurasthénie,
fille
de la fatigue, doit guérir par la médication toni
lade épileptique présentant une aura procursive. Observation XIV.
Fille
âgée de dix-sept ans. Mère et tante maternelle
lepsie et aussi contre la chorée. A la fin de l'année 1851, lajeune
fille
n'avait encore éprouvé aucune amélioration. L'é
cursifs fréquents et quotidiens. - Traitements divers. Une petite
fille
de trois ans et demi, à la suite d'une vive fra
ourses inconscientes. Dans un autre cas, il s'agissait d'une petite
fille
amenée à ma clinique de l'hôpital Bellevue pend
plète du bras droit. Soignée sans succès. Etat actuel (avril 1886).
Fille
bien constituée, intelligente. Etat psychique n
uait alternativement. A tous les autres points de vue l'enfant, une
fille
, était bien développée. Elle était inerte, ne c
erait tous les soins possibles à l'un de ses fils ou à l'une de ses
filles
aliénés, après même s'être entouré des médecins l
malheur qui l'a frappé, l'alié- nation mentale de son fils ou de sa
fille
, serait déclaré coupable d'un délit correctionn
l'article ! (A suivre.) VARIA COURTE NARRATION SUR -UNE JEUNE
FILLE
QUI VÉCUT SANS BOIRE NI MANGER Par GÉRARD BUCOL
ent plus remplir leurs fonctions. Le père inquiet sur le sort de sa
fille
, et dans l'espoir de trou- ver guérison à sa ma
pour étudier plus particulièrement le cas. Il fit venir la jeune
fille
et la fit enfermer dans la citadelle, où il la ga
ndit à Spire. Plein de confiance sur le cas présenté par la jeune
fille
, et, poussé par la curiosité, il la fit venir ver
aient d'une façon indé- cise entre le bleu et le vert, et, pour une
fille
de campagne, elle possédait un visage distingué
, et par suite du sommeil long et tranquille, dont jouit la jeune
fille
, le coeur ne pourrait-il pas, pendant ce sommeil,
tent d'invraisemblable ce que j'ai vu durant le jeûne de la jeune
fille
, le seul mal que je leur souhaite, c'est qu'ils n
cice. Tout d'abord, sa mère n'y prit pas garde, et crut même que sa
fille
saisissait ce prétexte pour se dispenser d'étud
seulement alors que Mm0 V... attira mon attention sur l'état de sa
fille
et me pria de l'examiner au point de vue de cet
ée et presque abolie dans le membre supérieur droit. Etat actuel.
Fille
robuste, nullement nerveuse, n'ayant jamais fai
rtain poids, écrire, etc. Il est évident que le cas de cettejeune
fille
est presque iden- tique, à la circonscription p
té. Cinq enfants, quatre fausses couches (à 6, 4, et 3 mois) : 1°
fille
, modiste, bien portante, intelligente, pas de con
nt terme, mort en nourrice à l'âge d'un mois ; 3° notre malade ; 4°
fille
, onze ans, im- pressionnable, tumeur fibreuse d
. (Juliette-Charlotte), née le 4 août 1872, est nièce d'une idiote,
fille
d'un individu ne jouissant pas de toutes ses facu
sang maure. « Je suis le petit-fils de don Juan d'Autriche et d'une
fille
maure de sang pur de Mahomet, qu'il a faite pri
, on aura le nom de ma grand'mère don Juan. Mon nom est celui de la
fille
de Mahomet, l'unique de sang pur, Cheillire de
dire en maure : chef, et Mahomet ne l'a pas donné à la légère à sa
fille
. « 20 juin.- Mohammed eut une seule fille légit
donné à la légère à sa fille. « 20 juin.- Mohammed eut une seule
fille
légitime, ma grand' mère, dont je porte le nom.
u'il faisait contrôler le poids de son pain, il faisait cadeau à sa
fille
d'une poupée de 75 à 112 fr. 50 en même temps q
s larmes et soupirant profondément surtout quand on lui parle de sa
fille
. La mention de sa femme et d'un autre enfant le
ITÉ. 387 Î frères : l'un est maître d'école, bien portant, et a une
fille
eh bonne santé; un fils est mort de la petite v
ans, on ne sait de quoi. Deux soeurs bien portantes; l'une a trois
filles
, l'autre a trois filles et un garçon, également
. Deux soeurs bien portantes; l'une a trois filles, l'autre a trois
filles
et un garçon, également en bonne santé. Dans la
vingt mois malade (phthisie); pas de chorée ni de convulsions; - 7°
fille
, celle qui nous renseigne; brune, intelligente,
l'autre serait mort des suites d'une maladie vénérienne. Une soeur,
fille
publique, alcoolique, est morte de la poitrine;
EUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 397 I débouchés»; - 3()
fille
bien conformée, morte à deux mois «d'une espèce
jours on ne sait de quoi, était né à terme; pas de convulsions; 6°
fille
morte à quatre ans et demi de méningite, avec con
e ans et demi de méningite, avec convulsions, en quatorze jours; 7°
fille
, morte du croup à trois ans. Notre malade. Au m
cé à la mort de la mère : on ne sait ce qu'il est devenu; — enfin une
fille
, qui est dans un orphelinat, serait, paraît-il, s
le quitta cette dame pour entrer à l'hôpital Temporaire en qualité de
fille
de service. 1 Le plus souvent elle avait des at
le service spécial des épileptiques, elle vint à la Salpêtrière comme
fille
de service. Elle en remplit les fonctions durant
imetière... Un enfant sous une pierre... » Elle voit des scènes de la
Fille
maudite : « Ah ! on l'a frappée, cette femme ! »
uinité. 6 enfants : 1° garçon mort à 7 mois, on ne sait de quoi; 2°
fille
, âgée de 22 ans, bien portante;— 3° notre malade;
quoi; 2° fille, âgée de 22 ans, bien portante;— 3° notre malade; — 4°
fille
morte du croup à 17 ans, — 5° fille, 13 ans et de
portante;— 3° notre malade; — 4° fille morte du croup à 17 ans, — 5°
fille
, 13 ans et demi; chétive ; — 6° fille âgée de 10
e morte du croup à 17 ans, — 5° fille, 13 ans et demi; chétive ; — 6°
fille
âgée de 10 ans, bien portante, a eu beaucoup de c
'on lui imposait ; celui-ci vint aux informations, et donna tort à sa
fille
; quelques jours après, ayant touché 25 francs qui
malade étaient exacts et nous avons obtenu les notes suivantes : « La
fille
P..., A...-M...-J..., âgée de 21 ans, plumassière
çoise Haguart, qui parut en 1587 devant les tribunaux, avait livré sa
fille
Jeanne au démon lorsqu'elle n'avait encore que se
sept ans. Elle avait avoué son crime au juge, et la déclaration de la
fille
se trouvait d'accord avec celle de la mère. La pr
ait toute noire; elle se touchait en compagnie de deux autres petites
filles
. Pour les punir, les sœurs leur attachaient les m
entrée à la Salpètrière (service de M. Charcot;. le 2 mai 1878, comme
fille
de service. Son observation a été publiée dans le
ontracture. 1879. 22 janvier.— B... était toujours considérée comme
fille
de service. Hier, en apprenant que son admission
, un garçon de 20 ans, est bien portant, un peu nerveux; l'autre, une
fille
, âgée de 12 ans, est délicate; pas de convulsions
elle avait fait la connaissance à la Salpêtrière, elle se serait mise
fille
dë brasserie; sifs, nous avons essayé en vain d
es vrays Diables incorporez qui regnoient il n'y a pas longtemps. Les
filles
et femmes tiennent chacune leurs Démons par la ma
: le fils n'efpargne pas la mere, n'y le frère la fœur, ny le pere la
fille
: les inceftes y sont communs : car auffi les Per
ble comme la boîte crânienne. On sait d'ailleurs que les vésicules
filles
étroitement serrées dans un kyste adventif se f
des crochets. Quelques- uns de ces kystes contiennent des vésicules
filles
; d'autres ont subi la dégé- nérescence stéatom
Seigneur. Ils cherchèrent donc dans toutes les terres d'Israël une
fille
qui fût jeune et belle ; et ayant trouvé Abisag
t ayant trouvé Abisag de Sunam, ils l'amenèrent au roi. C'était une
fille
d'une grande beauté; elle dormait auprès du roi e
es habits dont on le couvrait, on s'avisa de lui chercher une jeune
fille
qui le gouvernât, et qui couchât avec lui. U soul
. Un de ses compartiments représente la guérison par S. Zeno, de la
fille
de l'empereur possédée du démon (voir Pl. VI, H
rossesses : 1 le sujet de cette observation, âgé de 24 ans ; 2° une
fille
, âgée de 21 ans ; 3o une fille âgée de 19 ans (un
observation, âgé de 24 ans ; 2° une fille, âgée de 21 ans ; 3o une
fille
âgée de 19 ans (un peu ner- veuse ; a souffert
HENRY MEIGE. Il était une fois un roi de Carie, lequel avait une
fille
qu'il adorait. Celle-ci étant montée un jour su
uérir tous les maux. « Qu'il vienne ! dit le père, et s'il sauve ma
fille
, je lui don- nerai la récompense qu'il me deman
ade put être renvoyé chez lui. Depuis, au dire de sa femme et de sa
fille
, les crises n'auraient pas reparu. - Pas d'autr
ons que nous avons pu (1) J. Voisin, L'idiotie, Paris, Alcan, 1893.
Fille
idiote ayant au niveau du sacrum une touffe de
onischer Ostilis des llletatarsallcnoclzen und lumbaler Trichome. '
Fille
âgée de 9 ans 1/2. Dès la naissance, hypertrichos
ochensclt¡." 1884, nov., p. 756. Spina bifida, scoliose... chez une
fille
âgée de 16 ans qui présentait implantés sur la
re, p. 276. Ueber sogenannte cartgenilaler Huftgelenluxa- . tion.
Fille
âgée de 9 ans présentant une remarquable hypertri
dlungen del, Berliner med. Gesellschaft, XXII, 1, p. 78,2, p. 55.
Fille
âgée de cinq ans. Hypertrichose localisée représe
da lllmbo-sacralis. 19. J. Voisin. L'idiotie. Paris. Alcan, 1895.
Fille
idiote ayant au niveau du sacrum une touffe de po
er spina bifida occulta mit locales, Hypertrichose. . Cinq cas.
Fille
âgée de 7 ans. Fissure vertébrale siégeant vers l
384. Ueber Spina bifida occulta miel hypel'I¡'ichonis lumbalis. 1°
Fille
âgée de 13 ans. Hypertrichose lombaire. Spina bif
e 13 ans. Hypertrichose lombaire. Spina bifida latent. Scoliose. 2°
Fille
âgée de 29 ans, hypertrichose avec poils de 0,15
3. Ein Fall von spina bifida occulta mil Hyperlrichosis lumbalis.
Fille
âgée de 13 ans. Hypertrichose lombaire représen
Salpêtrière un nouvel exemple d'achondroplasie, celui d'une petite
fille
de 9 ans 1/2, que nous avons pu étudier plusieurs
, ni accident, ni fièvre. Elle a remarqué que, dès la naissance, sa
fille
ne ressemblait pas aux autres enfants et avait de
malement ; non seulement nous retrouvons ce détail sur notre petite
fille
, mais nous constatons un fait analogue au nivea
durée de pose et le même développateur, l'épaule et le coude d'une
fille
normale et de notre achondroplasique. La radiogra
par des glandes fraîches de mouton pendant huit mois ; notre petite
fille
n'a grandi que de 3 centimètres et la radiographi
rapporté l'histoire d'une famille où le trisaïeul, le père et deux
filles
auraient été tous quatre achondroplases. - L'
s la microdactylie. Rieder (1) a rapporté le cas d'un père et de sa
fille
; chez le premier, il y avait seulement formati
ion rudimentaire d'une seule phalange ou d'un métacarpien ; chez la
fille
, la malformation était étendue à toutes les ex-
teinte de la même maladie. 5 enfants : 3 atteints, deux fils et une
fille
, un autre fils a le caractère em- porté (25 ans
e fille, un autre fils a le caractère em- porté (25 ans), une autre
fille
de 37 ans, a des maux d'estomac, de la migraine ;
h. Note prise par 11. P. Marie, le 31 mai 1897. François H... a une
fille
de 18 ans, née 11 jours avant terme, mais ne pr
on caractère. Il s'attriste un peu de son état ; il dit que sans sa
fille
il se serait tué. Note prise par il]. Villcelet
mme du côté maternel étaient exceptionnellement nerveux. Elle était
fille
unique et ne parait avoir rien présenté de partic
t sou- vent deux fois par mois), elle se maria à 18 ans et eut deux
filles
actuellement âgées de 26 et 23 ans, bien portan
raité de Chirurgie, 2° édition, t. V, cite deux cas chez des jeunes
filles
ayant guéri sans opération. UNE OBSERVATION DE
des deux derniers doigts de la main chez une pianiste, nerveuse et
fille
de mère nerveuse, avec douleurs dans la région
rvation I. Elvire L. de A..., âgée de 28 ans, mariée, sans enfants,
fille
unique de pa- rents sains, le père étautbeaucou
ème enfant d'une famille qui en compte six - trois garçons et trois
filles
- tous très vigoureux, n'ayant jamais été attei
alement avec le nôtre les plus grandes analogies. Il s'agit d'une
fille
de 22 ans qui aurait eu une fièvre de quelques jo
ne couche à terme. L'enfant qu'elle a nourri 6 mois, est une petite
fille
en bonne santé. Dans le courant de l'an dernier
un aspect de vieillard contrastant singulièrement, lorsque la jeune
fille
'était habillée, avec la gracilité de ses formes
se. Il m'apprit, chose cruelle, qu'il avait perdu deux ans avant sa
fille
ainée du même mal, il voulait sauver celle-ci ; i
c'était bien une véritable sup- plication poignante, de soigner sa
fille
chez lui. J'ai essayé; toutes les res- sources
e cailloux d'origine stomacale est à rapprocher de l'histoire de la
fille
de St-Géosmes racontée par Morand. Nous avons déj
avons déjà eu l'occasion d'en faire une analyse critique (9). La
fille
de St-Géosmes rendait surtout des pierres par l'u
ytie Roelen était peut-être du même acabit que Geneviève Martin, la
fille
du tireur de pierres de St-Géosmes. Les ancie
Le journal des sçavans publia en 1682, des éclaircissemens sur une
fille
qui donnait lieu à beaucoup de contes dans Paris,
chenilles, de limasses, et d'autres sortes d'insectes. » Une pauvre
fille
de Charenton, âgée de dix-neuf ans, était attaqué
quand elle les jettait, que quand elle les avait avallés. » Cette
fille
de Charenton fut, à n'en pas douter, une vulgaire
tion des « pierres de ventre » sans blesser les bienséances. « La
fille
de Crémone est celle qui parait avoir le plus de
e Crémone est celle qui parait avoir le plus de ressemblent avec la
fille
deSt-Géosmes, pour les différents étals par lesqu
rendre des corps étrangers ; parmi ceux que vomissait réellement la
fille
de Crémone, et qu'elle jettait par l'anus, il y
maladie. Vingt jours ou un mois avant son entrée à l'hôpital, cette
fille
était, à ce qu'il paraît, tout à fait bien porlan
ec une rapidité effrayante, les forces se perdant peu à peu la pauvre
fille
devint inutile pour le travail et ses patrons l
ts : son père est mort subi- tement, sa mère est nerveuse. Il a une
fille
en bonne santé. xut 10 150 GIBERT Personnel
ularités plus intéressantes. En voici quelques exemples. Une petite
fille
de 7 ans 1/2 reçut un coup de revolver tiré par m
e observation due à M. le professeur Berger. Observation 'I. X La
fille
R. fut amenée dans mon service, sans connaissance
onnue. A encore quatre frères et soeurs en bonne santé. Possède une
fille
bien portante. A eu la dysenterie à l'âge de 23
en 48 heures, il n'avait antérieurement jamais été malade. Mère,
fille
unique, sans tare nerveuse, issue d'un père dans
grossesses gé- mellaires ; chaque fois naissaient un garçon et une
fille
qui tous ont vécu et se sont parfaitement dével
ois mois. A seize ans, accouchement gémellaire d'un garçon et d'une
fille
bien portants avec suites de couches excellentes.
jours dans de bonnes conditions avec naissance d'un garçon et d'une
fille
. Veuve à vingt-huit ans : mari mort subitement,
nous noterons en terminant la longue série, chez la mère et chez la
fille
, de grossesses gémellaires se terminant chacune p
laires se terminant chacune par la nais- sance d'un garçon et d'une
fille
. FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX (clinique DE
à trente-deux ans. Un an après son mariage, sa femme accouche d'une
fille
qui a dix-huit ans aujourd'hui et qui est en parf
ment ce que fait remarquer le pro- fesseur Berger à propos de cette
fille
à laquelle son amant avait tiré un coup de revo
de quoi se satisfaire, Sa menue poudre a le secret de plaire Les
filles
le trouvent aussi bien agréable et doux Comme s
épondre : « Je sais, que je suis du goût d'aujour- d'hui. Pour être
fille
du bel air, il faut prendre du tabac comme une ci
'en prendrait-il pas La mère porte une tabatière, pour- quoi pas la
fille
? Aujourd'hui, c'est la mode parmi la jeunesse,
e temps, . « De prendre du tabac, ce n'est qu'une bagatelle, Vous
filles
prenez aussi, c'est la mode nouvelle Prenez-le
bon goût, vous êtes bien avisées. » C'est la mode ! Donc, femmes et
filles
prenez la précieuse poudre. El- les sont légion
s hommes Et c'est aussi mon grand désir. . Si bien aux femmes que
filles
elle plaît fort, Je meure si je ne suis de leur
cement de cette affection. - Etat de la malade au 14 juin 1900. -
Fille
bien développée, robuste, ne montrant* point 'd
e de la part des autres nerfs crâniens, ni des nerfs spinaux. Cette
fille
n'a jamais eu de maladie antérieure. Elle ne so
. De quelle 476 IIUDOVERNIG maladie peut donc être atteinte cette
fille
? Où peut-on localiser le pro- cessus produisan
eu depuis un garçon qui a 10 ans, intelligent, mais nerveux et une
fille
qui a 7 ans (1889), et est très nerveuse : elle a
suivante en octobre 1895, elle est venue consulter pour sa petite e
fille
âgée lors de 13 ans et déjà réglée depuis un an e
a passé dit-elle ses paralysies du côté gauche. Le fait est que la
fille
décrit tous les anciens troubles nocturnes et m
a ressemblance symptomatique du côté gauche chez la mère et chez la
fille
coïncide avec une particularité morphologique aus
itale d'une ressemblance frappante (PI. LXXIII, C, la mère et D, la
fille
). Nous avons revu cette malade à différentes re
fonner plus ou moins mal quelques caractères en miroir, à la petite
fille
dont nous avons rapporté l'observation, ou à Léo-
instinctivement cette façon d'écrire, sont des gauchers. La petite
fille
dont nous avons rapporté l'observation en est l
de l'écriture de la main gauche un premier groupe de 60 garçons ou
filles
: filles et 3 garçons écrivirent en miroir; tous
iture de la main gauche un premier groupe de 60 garçons ou filles :
filles
et 3 garçons écrivirent en miroir; tous étaient g
610 GILBERT BALLET 3 écrivaient en écriture renversée. Une petite
fille
de 8 ans 1 ? devenue impotente par suite d'une
siologique reste en général pénible et labo- rieuse. Notre petite
fille
a passé par ces étapes successives : gauchère, el
e tendance instinctive. A ce propos revenons au cas de notre petite
fille
; rappelons-nous qu'elle a appris à décrire de
représentation graphique d'un mouvement : si bien que notre petite
fille
n'a fait très vraisemblablement d'abord que cop
nalogues à celle de sa fillette. Elle a eu une première enfant (une
fille
également) actuellement âgée de 9 ans, qui est
ercevait de rien à gauche. Un an et demi après, elle eut une petite
fille
, assez petite et chétive,morte l'an passé de br
gêne pas et elle ne vient se montrer que sur les sollicitations de sa
fille
. Elle s'est toujours bien portée et attribue so
tion des douleurs, qui même plusieurs fois ne se font pas sentir. «
Fille
de sept ans, affection du bras droit par suite d’
rofondément influencé. {La suite au prochain numéro.) VARIÉTÉS.
Fille
électrique. — Le même M. lloger, dont M. Charpign
par suite des prétendus miracles d’une jeune fille électrique. Cette
fille
, âgée de quatorze ans, domestique de ferme, d’une
es influences morbides, sans influer favorablement sur lui. Une seule
fille
pouvait servir pendant un an lorsque ses fonction
es ridicules qui ont été écrites sur la transplantation de (1) l.es
Filles
du Palais-Royal. Des Sunamites. (2) Bacon, Sylv
ute de La Rochelle, je me suis rendu chez le sieur Chaigneau, dont la
fille
, nommée Anne, âgée de dix-neuf ans, est malade de
uelle manque. L’amaigrissement n’est pas très-notable. En somme, la
fille
Chaigneau, valétudinaire depuis seize mois, est d
la science, peut donner lieu à quelques réflexions. Et d’abord cette
fille
est-elle bien atteinte de catalepsie? Cette malad
té, sans une harmonie complète d’action entre ces trois organes. La
fille
Chaigneau ne voit rien, n’entend rien, no sont
longue course, par un soleil bien ardent, pour magnétiser une pauvre
fille
qui a été abandonnée après trois mois d’inutiles
une jambe, qui est d’un mince volume comparée à l’autre, et la pauvre
fille
ne marche qu’à l’aide d’une béquille. Durant les
Le D1 L*** prit aussi une consultation du même somnambule, pour sa
fille
, qui était grièvement malade, et la santé fut pro
de qui vécut, mais qui fut inférieur au nôtre. « La religion, cette
fille
du ciel qui trouva tant d’interprètes, et qui ne
ne profonde affliction domestique. Tout récemment, il avait perdu une
fille
chérie ; et les dispositions de son esprit accabl
e, vit la famille des Durafour, riches cultivateurs : trois fils, une
fille
, le père et la mère la composent. Dès le commenc
erte à cette violence. Un autre jour, un jeune homme s’approcha de la
fille
, et lui fit quelques caresses : elle sourit, prit
membres de la famille. On conduisit les deux plus jeunes fils, et la
fille
, à l’hôpital de Saint-Clpude. La jeune fille, à q
ponse : Je vois , de chaque côté de ma tête, feues vos deux petites
filles
, qui composent ce que je récite; près d’elles est
descendre en ligne directe de saint Martin. Suivant Pline (2), une
fille
vierge faisait cesser l’é— pjlepsie, en touchant
dans certains cantons 011 croit que le septième garçon ou la septième
fille
, et leurs descendants jusqu’au quatrième degré, r
orale sur le peuple. Le pape Alexandre VII guérit des écroucllcs la
fille
du tribun Quirinus. Hugues , abbé de Cluny, dit D
es les fièvres intermittentes. Ce fut après avoir rendu la santé à la
fille
de l’empereur, qu’elle fut envoyée au supplice.
temps la cour à une jolie paysanne, il l’a abandonnée pour épouser la
fille
d’un riche fermier. La première maîtresse a dit,
ouchement, dans lequel elle faillit perdre la vie en la donnant à une
fille
chérie, elle reçut les visites du généreux résurr
utorisés à déclarer que M. Boulay n’a jamais été magnétise. Mais sa
fille
, somnambuliséc effectivement par M. Lefebure, a i
s, pâtissière, demeurant à Rouen, rue St.-Vivien, dépose : J’ai une
fille
qui a, depuis trois ans, une maladie de ventre. C
t peut-être à un résultat satisfaisant par le magnétisme. Un jour, ma
fille
, que je n’avais pu accompagner, se présenta seule
si découvrir quelle était sa maladie. La somnam- bulc déclara à nia
fille
qu’elle était enceinte, ce dont elle se défendit.
e était enceinte, ce dont elle se défendit. Quoique la guérison de ma
fille
n’avançât pas, j’avais toujours foi dans l’abbé J
ne nouvelle fois d’endormir la somnambule. Cette fois j’étais avec ma
fille
, mais on me fit passer dans un appartement voisin
appartement voisin pendant l’opération. La somnambule dit encore à ma
fille
qu’elle était enceinte, car j’entendis ma fille s
mbule dit encore à ma fille qu’elle était enceinte, car j’entendis ma
fille
se récrier, affirmant que si elle était enceinte,
s. D. Qu’avez-vous à dire en ce qui concerne la dame Pennetot et sa
fille
? — R. La dame Pennetot est venue me trouver parc
et sa fille ? — R. La dame Pennetot est venue me trouver parce que sa
fille
était abandonnée des médecins. Je lui ai dit, d’a
s frappants. Dans la maison de santé de Harlem, tous les jeunes gens,
filles
et garçons, avaient été pris de convulsions. Boer
difficile d'admettre qu'une mère permette jamais de l'employer sur sa
fille
(1). Hystérie monosymptomatique. Assez souven
par leur nudité; tandis qu'il éprouvait plutôt de l'aversion pour les
filles
. Il s'est livré â la masturbation et aux attouche
ontracture du sphincter de Bennct. C'est la dysménorrhée des vieilles
filles
et des jeunes veuves qui vivent dans une continen
, je sarai guérie. Jésus, s'étant retourné et la voyant, lui dit : Ma
fille
. avez confiance, votre foi vous a sauvée, et à l'
vices de MM. les Dr Falret, Jules Voisin, Séglas, l'école des petites
filles
idiotes et épileptiques dirigée par Mme Nicole/ l
qu'il est des eaux miraculeuses qui guérissent les paralysies. Cette
fille
part, transfigurée par la foi. elle se plonge dan
es exercices d'auto-suggestion. 33 juillet 1889. je rêve que j'ai une
fille
de 15 ans, travaillant à côté de moi ; je la surv
d'avoir des idées, et cependart je rêvais, puisque je me croyais une
fille
de 15 ans que je n'ai jamais eue. Ce soir là, j
moindre syllabe, Peut-être dirait-on qu'elle est hystérique, cette
fille
, mais elle ne m'a point lait du tout l'impression
son mari. Et le fils devient ivrogne et voleur comme son père, et la
fille
se fait prostituée comme sa mère. Je n'ai que l
ve de vol avec effraction. Si le fils devient voleur, ai-je dit. la
fille
se prostitue. La prostitution étant si souvent la
aîner toute la journée dans la rue et c vadrouiller » (1) le soir. La
fille
se débauche et tourne mal. Tant pis ! Elle n'en s
a subi deux condamnations pour ivresse et batteries. Jeanne est une
fille
de petite taille, aux formes graciles, mais éléga
he, mais pas sérieusement, et, réflexion faite, elle se dit que si sa
fille
a mal tourné, il vaut mieux essayer de tirer part
u. Sa mère est une femme sans pudeur qui vit de la prostitution de sa
fille
. D'une taille au-dessous de la moyenne. Sarah e
a complè-tement de travailler pour vivre de prostitution. C'est une
fille
d'humeur douce, subissant l'homme plutôt qu'elle
s fréquents, ce sont les mauvais exemples de la mère qui ont perdu la
fille
. Celle-ci a assisté aux fornications de celle-là
ntrée avec sa mère, qui a accepté la situation et en vit. C'est une
fille
d'une taille très au-dessous de la moyenne, avec
.Il se mît alors à boire le poison algérien, l'absinte, À courir les
filles
, a fréquenter les mauvais lieux. Sa déplorable co
un autre Rajah, Alors il ordonna d'allumer un grand feu, et dit à ses
filles
« Je désire mourir ; que ceux qui veulent en fair
ompromises dans cette affaire. Les contradictions successives de la
fille
Gabrielle Bompard, ses crises de larmes et de rir
iculièrement Gabrielle Bompard. M. Charcot voit simplement dans cette
fille
un être pervers et détraqué, qui a très bien pu p
sante en ce qu'elle donnerait la clef de la conduite étrange de cette
fille
et qu'elle permettrait d'établir facilement quell
s eu de maîtresse et ce n'est que rarement qu'il a pris au hasard une
fille
rencontrée dans la rue et de chez laquelle il sor
inins. Il reconnut avoir coupé ces soixante nattes a autant de jeunes
fille
». Il nous raconta, du reste, avec une entière fra
choses que l'on devrait celer), la mère-raconta au colporteur que sa
fille
était bien malheureuse : malgré son air de santé,
revue le 25 octobre et qui m'a confirmé en tous points le récit de sa
fille
) ne parait pas avoir, à ce moment envisagé la pos
moins niais, demandant une solution judiciaire à l'accusation de leur
fille
. Le pauvre colporteur était poursuivi, arrêté. So
le n'a plus aucune manifestation nerveuse. C'est une bonne et honnête
fille
. Conversez avec elle, interrogez là ! Vous ne tro
r sa montre. » — « Et puis ?» « On m'a emmenée à la police! La pauvre
fille
est suffoquée de honte. » J'efface le souvenir, e
cl collèges étaient des écoles de malpropreté nationale, c'est là que
filles
et garçons prennent ces habitudes anti-hysiénique
la fameuse affaire Castellan, ce mendiant vagabond qui hypnotise une
fille
et lui ordonne de le suivre, quelque répugnance q
entation et moins de fatigue Au contraire, il y a excédant relatif de
filles
quand il y a prospérité publique, et cet excédant
sement proportionnel A la cherté des vivres. Enfin, il il y a plus de
filles
chez les personnes aisées; il y a prédominance de
eaucoup plus jeune. Le père dans la force de l'âge engendrera plus de
filles
; épuisé, plutôt des garçons. Les premiers-nés so
ir un garçon. Les femmes primipares très jeunes tendent a avoir des
filles
: simplement jeunes ou âgées, elles auront plutôt
ns. Les mères de bonne santé, d'un robuste aDpetit, auront plutôt des
filles
; au contraire, les mères épuisées par un accouch
IQUE DÉFORMANT T AVEC ATHOPUIE MUSCULAIRE CONSIDÉRABLE CHEZ UNE
FILLE
DE DIX-SEPT ANS, AYANT DÉBUTÉ DANS L'ENFANCE VE
L. YI RHUMATISME ARTICULAIRE CHRONIQUE GENERALISE CHEZ UNE PETITE
FILLE
AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE CONSIDERABLE RHUMATI
t être indemnes de toute tare nerveuse hé- réditaire ou acquise, la
fille
du malade, actuellement âgée de six ans, est at-
retrouve chez lui l'hérédité homologue dé Morel - mère hystérique,
fille
hystérique on note aussi, dans les antécédents
ger et, au cours d'une des visites ordinaires que T... faisait à sa
fille
, elle l'assaillit aidée de son fils, garçon vig
tié mort sur la place. Mais l'histoire ne finit pas là, et comme sa
fille
est enceinte elle porte une plainte au parquet ac
assises : là il raconte simplement les faits ; il est l'amant de la
fille
G... depuis longtemps au su et au vu de 1. Revu
ré- clamait un argent dû ont voulu se venger et voilà tout. Et la
fille
que devenait-elle là-dedans ? Elle ne se souvenai
n chez les hystériques'. Consulté une première fois pour une petite
fille
atteinte d'anorexie hystérique, il conseille l'
s observations de la Clinique rendra mieux notre pensée. Une grosse
fille
de la campagne présentant aussi peu que possibl
émies d'hystérie dans les collèges, dans les pensionnats de petites
filles
, mais aussi combien n'est-il pas facile d'en tr
ce qui ne guérira pas c'est leur perversion d'esprit ; ces petites
filles
qui toutes jeunes étaient déjà exhibi- tionnist
75 Réglée à quatorze ans, elle l'était assez irrégulièrement étant
fille
. Mais depuis qu'elle s'est mariée, à l'âge de d
t bien jusqu'aujourd'hui. Neuf mois après son mariage elle a eu une
fille
, qui est actuellement âgée de dix-neuf ans et d
a malade nous dit qu'elle était autrefois un peu plus grande que sa
fille
et aujourd'hui elle est notable- ment plus peti
tude d'observer chez les personnes normales. Il y a chez cettejeune
fille
une exagération de l'àcC'I)hysioI6gique tellè qu'
ervé par Fraentzel et considéré comme acromégalique ajoutait que la
fille
de cet homme, âgée de onze ans seulement, est déj
l, nous ne pouvons tirer de conclusions du diagnostic porté chez sa
fille
l'affec- tion étant la même chez tous les deux.
jet. Presque juste neuf mois après son mariage, elle eut une petite
fille
, née à terme, dans un accouchement très laborieux
ison de la main d'acromégalique (situé ,i droite) avec tannin d'une
fille
de même â¿e PROTOTYPE NI : CATII A. LONDE PHO
Chiche ET LONCUET. Mua. cl"acromé £ a11glle (à droite) Main d'.me
fille
de même âge ayant de grosses mains (à gauche) U
'un pied d'acromégalique (situé à gauche) avec le pied d'une grosse
fille
de même âge. LECROSNIER ET Baei 1111Tr : tlp'
ed d'une acromégalique (situé à drotte) Plante du pied d'une giosse
fille
de même âge (.situé il gauche) LrCROSNI1 : .R 1
de la malade est morte de la poitrine à vingt-sept ans; une petite
fille
de cette soeur est morte quelque temps avant sa
32. Rhumatisme articulaire chronique généra- lisé chez une petite
fille
, avec atrophie con- sidérable, 6. Sclérose en
rouvé, j'en ai conservé les faits suivants. i Une veuve et ses deux
filles
habitaient ensemble une maison située au Paloce,
ntendre. M. Senger ouvrit subitement la porte et ne vit personne ; sa
fille
était presque morte de frayeur. Le 16 et le 20,
maille retombait. M. Senger observe ici que la force magnétique de sa
fille
est variable. Cette attraction a lieu indistincte
tard par un scandale, comme dans le cas de la femme Schmitz et de la
fille
Froment. Cela confirme de plus en plus la sagesse
vous, Monseigneur, je regarde comme très-malheureux, surtout pour la
fille
Froment); il nous est résulté, dis-je, pour la sc
et de cette lettre. Vous me signalez dans la vôtre, Monseigneur, la
fille
Froment et la femme Schmitz ; mais Votre Grandeur
e incrédulité outrée, prenant sérieusement la parole, me dit : » Ma
fille
a depuis son enfance des venues aux pieds et aux
tôt après la dernière séance; il était environ dix heures du soir; ma
fille
se coucha vers onze heures, et presque aussitôt n
n. •Te 11e suis pas surpris d’apprendre que la dame Srliinitz et la
fille
Froment s’accusent mutuellement de supercherie. E
sant d’une santé robuste, était domestique chez un de mes amis; cette
fille
était très-sensible à l’action magnétique, et tom
ations, elle était toute surprise de pouvoir la chanter. Cette même
fille
, étant en somnambulisme, voyait ou plutôt recevai
ennent à l’appui de la vertu magnétique dirigée à cet effet. 1° Une
fille
d’uue vingtaine d’années, domestique chez mon pèr
quelques jours après que rien n’était venu depuis ce moment. 2° La
fille
d’un directeur de fabrique, avec lequel je suis l
s. Un jour ce monsieur vint me prier d’essayer du magnétisme sur sa
fille
; mes occupations ne me donnant pas le loisir de
t satisfait. M11* Bis'son, dont je vais vous parler, est une pauvre
fille
d’une trentaine d’années; à la suite d’une commot
on voyage à Paris m’ont empêché de lui consacrer. C’est une honnête
fille
, pieuse et résignée, qui mérite à tous égards l’i
re seul, et dans les conditions où je me trouve, en face d’une pauvre
fille
qui m’a remis sa sauté entre les mains : je crain
etés au cachot dans la maison de force. Plus tard, cependant, la même
fille
qui les avait accusés, poussée par le remords, se
e lamentant sur l'état déplorable dans lequel la potion avait jeté sa
fille
, qu’elle croyait sur le point d’expirer. Cette pa
ntrai M“* Aubert en deuil et tout en pleurs. Elle venait de perdre sa
fille
d’une maladie de poitrine. Des dévotes, abusant
, escalier H, vint me chercher à quatre heures du matin, pour voir sa
fille
, enceinte de six mois, qui était en proie à des a
leurs et craignait que j’arrivasse trop tard pour porter secours à sa
fille
, qu’il croyait être sur le point d’expirer. A m
. Mes communications ont été directes avec ma défunte femme, mes deux
filles
, mon père, ma mère, mes deux frères et ma sœur ;
ver son « corset, mais non le serrer (retenez bien cet avis, jeunes «
filles
qui tenez à votre fraîcheur et à votre santé), et
oir constaté que c'était bien là sa pensée, s’adressa à l’autre jeune
fille
de la chaîne, âgée de dix-huit uns, la priant de
egard vitreux,, ces cheveux épars, ces bras tendus... Figurez-vous la
fille
de Zaïre, écartant son linceul et obéissant à la
aven (Connecticut) a, pour la première fois, donné le spectacle d’une
fille
clairvoyante, invoquée comme principal témoin dan
nu sous l'injluenct. de l’eau froide. — Précision. M"° J.... A....,
fille
de la campagne, âgée de vingt-un ans, petite tail
isin. « M"" Chevalier était dans sa cuisine avec ses deux fds et sa
fille
, tous grands et fortement constitués. Elle vit la
en qui se sauvait, et qui n’a point eu de mal ; mais en même temps sa
fille
asphyxiée tombait à ses pieds. Cette mère courage
qui demeure à près d’une lieue de là; puis elle ouvre la bouche de sa
fille
, y applique la sienne et aspire de toutes ses for
t au moment où l’on désespérait du succès des moyens employés, que la
fille
parut respirer. Des larmes de joie et d’espoir co
à tes yeux s’est montré, Bon vieillard, qui grondait, en souriant, sa
fille
; J'ai pu penser encor qu’au miroir enchanté Tu vo
émoin des regrets qu’exprimait une jardinière de cette ville, dont la
fille
, âgée de onze ans et demi, avait disparu. Elle lu
omnambule endormie, on lui mit entre les mains un bonnet de la petite
fille
, et aussitôt elle déclara la voir. « Mais cette e
malin que toi ! Ce n’était rien encore. Les membres de cette pauvre
fille
se disloquaient de telle sorte tpi’on eût pu croi
ession ; j’ai sous les yeux une religieuse de Loudun, une des saintes
filles
qui firent brûler Urbain Grandier, et puisque le
lqu'un alors lui parla du magnétisme, et surtout de là lucidité de ma
fille
: je fus donc demandé. En arrivant auprès de ce
étiser, l’assurant que, puisque la médecine avait été impuissante, ma
fille
, sans aucun doute, lui prescrirait le magnétisme
ait parlé en dormant. La mère de la malade nous avait appris que sa
fille
parlait souvent eu dormant. Depuis quelque temp
fant en deux jours du croup. Obsession, triste idée persistante de sa
fille
oppressée par le poids de la terre qui la recouvr
estion. Elle se dit tout ensorcelée et ne pense plus constamment à sa
fille
. Peut dormir. L'hallucination de la pensée s'effa
ucation, quelques perturbations défavorables. Je traitai une petite
fille
de dix ans, à laquelle j'appris un peu de françai
bon père. Sa femme Catherine, qui ne se doule de rien, l'adore, cl sa
fille
Annette est la plus belle du pays. Mathis ne croi
Mathis n'hésite pas : il met la gendarmerie de son coté. 11 donne sa
fille
, qui est riche, au maréchal-des-logis Christian,
a toutes les époques. L'anecdote si connue des jeunes femmes et des
filles
de Milet remonte à la plus haute antiquité. Plusi
ment, des soldats entreraient dans le couvent et fouetteraient chaque
fille
qui aurait miaulé. C'en fut assez pour frapper ce
esque successivement, presque tous les jeunes gens de la maison, tant
filles
que garçons. On employa bien des moyens pour arrê
fants : un garçon de dix-sept ans, Angélina âgée de quatorze ans, une
fille
âgée de dix ans et un bébé de six mois, ces deux
irons de Bassou, à deux lieues de Joigny, Rocher enjoignit à ses deux
filles
d'escalader le mur d'un jardin pour aller y cueil
gênant, et aidé de sa femme qui s'opposait à ce qu'il tuât sa seconde
fille
, il attacha Angélina à un arbre dans un petit boi
t d'abord mon attention, c'est son attitude qui n'est pas celle d'une
fille
de saltimbanques et son costume qui est celui d'u
nde pourquoi elle a un tablier bleu, une robe et des sabots comme les
filles
des environs, elle me répond aussitôt qu'avant de
à M. le Procureur que je croyais me trouver en présence d'une petite
fille
vicieuse et menteuse comme la plupart des hystéri
ins de notre examen qu'Angélina doit rentrer dans la catégorie de ces
filles
menteuses, dissimulées et perverses qui mentent a
directeur des enfants assistés de la Seine, qui avait placé la petite
fille
disparue en service chez ce cultiva-valeur, arriv
est venue dénoncer? Nous trouvons-nous, au contraire, en face d'une
fille
consciente, éprouvant le besoin impérieux de se r
ypnotique se continua les jours suivants. Peu de temps après, celte
fille
fut prise d'un torticolis aigu qui la faisait sou
gard est atone. L'état mental en tel que les parents croient que leur
fille
est devenue idiote. « Je lui prends alors les m
R... est tombée, est très gonflé; de plus, la mère s'aperçoit que sa
fille
est toute penchée sur le côté. On la conduisit
e scoliose. Mais, devant les dénégations de la mère assurant que sa
fille
n'avait jamais rien eu de semblable, un procède à
par M. Capitan, l'agoraphobie est aussi très ancienne chez la vieille
fille
propriétaire du chien; et l'animal présente une p
A la fin du mois, les parents se décidèrent à conduire leur petite
fille
près du professeur Charcot, qui conseilla de la p
bien portants, et ne m'ont signalé aucun antécédent héréditaire. Leur
fille
aînée jouit d'une bonne santé et a été réglée à q
tation. Bourdin (2) en cite le singulier exemple suivant : une petite
fille
adoptée dans une famille entend lire dans les jou
r intérêt. Les exemples en sont nombreux. Bourdin (1) cite une petite
fille
qui. sur les conseils de sa mère, disait qu'elle
asser parmi les inconscients. Brouardel cite bien le cas d'une petite
fille
qui prétendait avoir été « touchée ». On lui dema
elle emploie des expressions qui étonnent dans la bouche d'une petite
fille
de dix ans. Comme je l'ai fait observer au début,
été d'Hypnologie une observation de chorée chronique chez une jeune
fille
de treize aus, laquelle chorée avait été traitée
'est, en effet, frappée par la marche de la maladie de sa mère que la
fille
l'a imitée 4 sa façon. Elle s'est autosuggestionn
e commençait à se remuer, lorsque Lasègue, chargé d'examiner la jeuue
fille
, découvrit tout simplement qu'elle était vierge.
naire, continue ainsi : « A qui fera-ton croire, demande-t-il, qu'une
fille
qui, sans émotion, tire sur sa mère un coup de pi
e l'assassinat récent de M. l'abbé de Broglie, Mlle Amelot, était une
fille
adonnée à la dévotion, qui n'avait jamais manifes
. Quant aux goûts dépravés, ils peuvent s'expliquer de même, et cette
fille
qui mangea de la chair humaine put fort bien le f
isite qu'elle me fit le lendemain, sa mère m'apprend avec joie que sa
fille
n'a plus eu de douleurs ni d'attaques. Dans la
écieux. Est-il nécessaire de conter par le menu l'histoire de Nicole,
fille
d'un boucher de Vervins, visionnaire et possédée
ère de Nicole sur ses goûts, ses habitudes, la manière de vivre de sa
fille
et « sur ce qui est du propre des femmes », s'app
le sens chromatique est plus vile complètement développé que chez les
filles
. Celles-ci semblent plus tôt connaître le bleu et
e qui est mal et qu'elle ne le veut pas, qu'elle veut-être une petite
fille
docile, obéissante, laborieuse, raisonnable, qu'e
veut tenir compte qu'au moment de l'apparition du mal comitial, cette
fille
n'avait pas moins de dix à douze accès par jour ;
la Paix, raconte qu'il est souteneur et, dernièrement enfin, une
fille
galante ayant été assassinée rue Saint-Lazare, il
'observer un cas de ce genre, il y a trois ans, dans un orphelinat de
filles
à Budapest. Plusieurs élèves se mirent à tousser
réquence relative de la folie parmi les fermiers, leurs femmes, leurs
filles
et leurs fils. On a attribué cette fréquence à le
ut aussi stupéfiante. II s'agit d'une demoiselle Dehasse, de Liège,
fille
aînée d'un ancien instituteur devenu secrétaire d
s par dire au père — je n'avais pas encore vu le sujet—de conduire sa
fille
chez M. le Dr Henrijean, alors assistantdc M. le
r l'élément douleur. Observation : le père a tout fait pour guérir sa
fille
. U...., pharmacien, lui a donné ceci, lui a donné
tion. De guerre lasse, je finis par lui dire : Soit, venez avec votre
fille
ce soir vers 6 h. 1/2. — Il devait être à son éco
un langage décourageant. Je fais toutefois raconter son histoire à la
fille
, qui restait debout. Quand elle en vient à me dir
quartier éloigné de chez moi. Dernièrement j'ai rencontré le père. Sa
fille
n'avait pas eu même un semblant de rechute. Ce
aît-il, habituellement bien portant, est mère de cinq enfants : trois
filles
et deux garçons. Une fille et un fils ne présente
portant, est mère de cinq enfants : trois filles et deux garçons. Une
fille
et un fils ne présentent aucune anomalie. Une aut
arçons. Une fille et un fils ne présentent aucune anomalie. Une autre
fille
, née en 1873, a marché à cinq ans, elle a par
on état mental tend rapidement vers la démence finale. La troisième
fille
, née en décembre 1874, était toujours faible et m
mes donc ici en présence d'un cas de contagion familiale. La deuxième
fille
seule était épileptique vraie. La troisième s'est
ièrement, la léthargique de Thenelles (?) a excité l'attention. Cette
fille
de vingt-cinq ans, à la suite d'une violente émot
soulever le bandeau pendant qu'elle opérerait ; on entendait alors sa
fille
entrer, et elle touchait chaque verrue de la part
bles à la localisation et à la chaleur avant la puberté qu'après. Les
filles
sont plus sensibles à la localisation avant la pu
nsibles à la localisation et à la chaleur que les enfants blancs. Les
filles
de couleur sont moins sensibles à la localisation
sensibles à la localisation, mais plus sensibles à la chaleur que les
filles
blanches. Les garçons de couleur sont plus sensib
couleur sont plus sensibles à la localisation et à la chaleur que les
filles
de couleur. Enfin, sauf dans un cas unique, le
e a été toute surprise quand je lui dis qu'elle était accouchée d'une
fille
. « Ah ! dit-elle, cette petite, je ne l'aurai pas
le de vingt ans, née dans l'arrondissement de Sarlat (Dordogne).Cette
fille
, parfaitement conformée d'ailleurs, jouit de tous
alles rapprochés avec plusieurs femmes ; si parmi elles se trouve une
fille
de maison de tolérance, c'est presque toujours ce
e; la maîtresse ou la simple connaissance (coït non rétribué); 3° les
filles
rencontrées dans les bals publics; 40 les filles
on rétribué); 3° les filles rencontrées dans les bals publics; 40 les
filles
rencontrées sur la voie publique (coït rétribué);
; 40 les filles rencontrées sur la voie publique (coït rétribué); les
filles
de maisons de tolérance. Si l'on étudie pour ch
atégories, on voit que la blennorrhagie, relativement rare du fait de
fille
de maison de tolérance (un cinquième des cas), es
existe à peu près pour les chancres mous ou syphilitiques. Quant aux
filles
qui fréquentent les bals publics, aux prostituées
itées annuellement, on trouva 1 femme sur 3, tandis que sur les 3,85o
filles
publiques enregistrées, on ne trouva dans la même
e sur 7. Mais il y a de plus cette différence considérable, que toute
fille
enregistrée trouvée malade est envoyée à Saint-La
sation de la prostitution réglementée. Au 20 août 1867, le nombre des
filles
isolées était de 2,5q5, celui des filles de maiso
20 août 1867, le nombre des filles isolées était de 2,5q5, celui des
filles
de maison de i,3o6. réparties dans 165 maisons de
st plus que de 212 de i85t à 1855, et de 165 en -1867. Le chiffre des
filles
suit une décroissance analogue : de 1,976 en 1857
taires. M. Le Fort croit indispensable et possible d'interdire aux
filles
inscrites d'aller sur la voie publique (avec l'au
aison de tolérance s'ils n'avaient été exposés aux sollicitations des
filles
qui promènent sur les trottoirs de la capitale le
urs, le seul but est d'empêcher l'inscription, afin de permettre à la
fille
de continuer librement à se livrer à la prostitut
responsable, ou en restreindrait les droits lorsqu'il s'agirait d'une
fille
se livrant notoirement à la prostitution et arrêt
e-femme (de Saint-Paul) m'a présenté, il y a quatre jours, une petite
fille
, née tout récemment, à terme et pleine de vie. Ce
ai à M. Regazzoni de nous amener son meilleur sujet; mais, dès que la
fille
vit mon faible électro-moteur, elle s’enfuit dans
ts d’une machine qui lui était étrangère. « Je fis magnétiser cette
fille
dans un coin reculé de la chambre, et alors M. Re
je l’approchai de la main droite étendue de la somnambule i et cette
fille
, qui s’attendait bien à des piqûres ou à des brûl
lorsque je lui avais montré l’animal innocent. Je fis magnétiser la
fille
de nouveau, et rendre encore complètement insensi
s quelques larmes rouler dans les yeux. Le spectacle affreux de cette
fille
accoutumée aux douleurs, qui 9e donnait toute la
t qui jouit d’une sensibilité exquise. Aussitôt que je galvanisai, la
fille
poussa un cri affreux, comme un lapin dont on tou
moi. « Je dois ajouter que, peu de jours avant ces expériences, une
fille
me fut présentée par un des élèves deM. Regazzoni
criant : Oli ! non. » Le magnétiseur me fit remarquer que, chez cette
fille
, la rigidité musculaire était plus prononcée que
où les somnambules doivent tomber comme mortes. Avant la séance, les
filles
prennent certaines gouttes destinées à augmenter
un certain mouvement. L’exercice le plus difficile était, pour cette
fille
, de s’accoutumer aux différentes odeurs de l’ammo
ait désintéressée. « Le fait dont parle le Dr SchiiT, relatif à une
fille
qui lui fut présentée par un de nies élèves, m’es
ai eu à mon service, à Francfort, outre mes deux somnambules , qu’une
fille
que j’ai gardée vingt-quatre heures. Après l’avoi
ne autre, Clémence Duval, appartient à la haute bourgeoisie; c’est la
fille
d’un colonel qui commandait en Algérie et qui a d
es. La consultante se récria et déclara qu’elle aimerait mieux rester
fille
que de faire un tel mariage. Mais une année ne s’
et moi, se décida instantanément à partir en chaise de poste avec sa
fille
, et se fit descendre rue de Grenelle-Saint-Honoré
donc, dans une lettre, une mèche de ses cheveux, et une de ceux de sa
fille
. Quelques heures après, j’étais en présence de
une autre, que je retrouve dans une lettre du 30 décembre 1841. Ma
fille
suivait alors les cours de M. Lévi, rue de Lille,
tendre de plus exact que cette vue à distance, aussi écrivais-je à ma
fille
: « Autrefois, les papas et mamans avaient leur
cette aura s’élevait. J’ai soigné et guéri il y a vingt-deux ans une
fille
jeune alors, qui demeure à l’Arrière, commune du
l’étude des vérités déjà découvertes ou à découvrir : « La vérité,
fille
de la sagesse éternelle, demande du feu sacré dan
riffe avec une simple serviette ? « — J’ai toujours pensé que cette
fille
avait été initiée par ses maîtres aux œuvres caba
donnée de la médecine ordinaire, me prièrent d’essayer de sauver leur
fille
. J’y consentis malgré son état déplorable, et j’e
e qui n’est point fondé sur les lois morales. La religion même, cette
fille
du ciel, ne peut impunément fausser son principe,
aspect des secours qu’ii toute heure, La sainte Eglise accorde à sa
fille
majeure (2). 11 est bien démontré que Mesmer c'
s’occupe do magnétisme. (2) La France a été quelquefois appelée la
fille
aînée de 1‘Eglise, par extension du titre qu’on d
partis alors pour Moulins, où j’avais un frère pharmacien, et dont la
fille
se mariait la semaine d’ensuite. Mon frère, encha
déranger de nouveau de son sommeil et de faire descendre cette pauvre
fille
dont je ne voulais pas fatiguer la bonne volont
cas de curcs importantes dont je fus témoin par la lucidité de cette
fille
. Ainsi donc, voici, messieurs, pour mon compte pe
mplète. « Heureusement, répétait-elle, que ma tante qui avait eu sa
fille
guérie de la même manière, connaissait cet état,
édiction pa- Le prince do la synagogue vient le prier de toucher sa
fille
pour la ressusciter. IX, 2 t. « Eloignez-vous,
urimim, qttipsa milus de Sganarelle ne me fait comprendre pourquoi la
fille
de M. Géronte est muette..... « Alors ce sont d
à coup : « Vous devez.... vouloir vivre..,, pour l’avenir de vos deux
filles
, s’écrie Luisa, se tournant vers le consultant; e
oulut montrer qu’après l’expérience qu’il désirait. La plus jeune des
filles
du docteur, M"* L..., se place à la table. Une ma
se d’amener l’accusée en face de son accusateur. On asseoit la grosse
fille
devant le guéridon , et la voilà (crayon en main)
sur les heures du repos, ont veillé si longtemps avec sollicitude la
fille
malade d’un de leurs frères. H. C0RD1ER, docteu
s sens. « lin habitant de la ville d’Ohio, M. Jackson, a une petite
fille
nommée Chébé, qui possède la merveilleuse faculté
ouvelle mariée reçut, par la poste, la lettre suivante : « Ma bonne
fille
, je vais changer ta robe de noce en robe « de deu
mait souvent à s'agenouiller. Vendredi soir, se trouvant seul avec sa
fille
, il lui anuon(;a tout à coup (ju un secret presse
s mon cercueil. » (. Elonnôe dc cctic bi us((uc rocommandalioii, la
fille
Jardin, ne sachiiiit trop si son père parlait sfr
avait déposés dans son prie-Dieu. n A cette étrange coïncidence, la
fille
Jardin, uo peu effrayée, mais doutant toujours qu
e sac en deux parties ; il s’eii échappa luic main desséchée I K La
fille
Jardin se souvenant alors de ce que son père lui
ts classiques avaient échoué. 1. Monomanie el haliucinutions. Une
fille
de vingt-six ans, et malade depuis quatre ans par
ses, la mâchoire et la clavicule de l'épaule gauche. Cette malheuse
fille
a été transportée à l’hospice où, mal* gré les so
ine. Je ne lardai pas à entreprendre de nouvelles cures. Une petite
fille
âgée de neuf ans fui prise, dans le mois d’août d
uité tressaille dans une promesse, H se réalisera-t-elle '! Garçon ou
fille
? prince ou berger ? n Et l’excellencc, ma^Kétis.
bules, lesquels étaient le plus souvent des adolescents ou des Jeanes
filles
naturellement débiles, j'invitais l’un des incréd
nome, avait assez de bon sens pour se laisser abuser par la vne d’une
fille
électrique. Sans avoir besoin cependant d’exami
œuvre, ni d’un seul homme, ni d'an jour, sachons-le bien ; elle est
fille
de la patience, elle se perfectionne à la sueur d
vénement extraordinaire qui vient de se passer dans son district. Une
fille
de paysan du village Stchétinova, nommée Marthe K
artie civile. Baron do POTET, profriilaiTt-giranl. GUÉRISON DE LA
FILLE
DE JAIRE. (BSftfi dt'JuUo Schnorr. — Itlpiig.)
jeta à ses pieds, et lui dit toute ta vérité. Et Jésus lui dit : Ma
fille
, ta foi t'a sauvée ; va-t’en en paix et sois guér
pariait encore, des gens du chef delà synagogue vinrent lui dire : Ta
fille
est morte, ne donne pas davantage de peine au Maî
Pourquoi faites-vous ce bruit et pourquoi pleorez-vous? Ctitte petite
fille
n’est pas morte, mais elle dort. àO. Et ils se
prise par la main, i! lui dit ; Talitha cuini, c’eat-à-dirè : Petite
fille
, lève-toi, je te le dis. 42. Incontinent la pet
è : Petite fille, lève-toi, je te le dis. 42. Incontinent la petite
fille
se leva et se mit à marcher, car elle était âgée
ortement que personne ne le sût, et il dit qu'on donnât à manger à la
fille
. (Sfanglle Kkin S. Harc. Cbep. v.) ^ POLÉMIQU
ady, quoi qu’elle ait tenté, soit parvenue à tirer des réponses de ma
fille
. Les règles à peine prononcées le mois précéden
— C'est depuis la magnélisaliou tic milady, me dit M"« l'il., que nia
fille
est agilùe. — Quand lady a-t-clle inagnélisé ?
ien ostensible de la-réalité de mon action mentale sur l’esprit de sa
fille
, j'emmène, hors de la présence de celle-ci, M'“*
, le mois dernier, dans l’espace de moins de quinze jours, une petite
fille
de trois ans, atteinte de conjonclivo~kératile su
gré mes avis et mes reproches, à nourrir elle-même une chétive petite
fille
de trois mois, qui s’étiolait d’une manière désol
ées dans leur organisme, qui ont paru à la surface tlu rIom, sont les
filles
les unes des autres, et que celte filiation a dit
lout ce qu’ils ne coiri^rennent pas. Superstition et incrédulité sont
filles
de la môme mère : l’ignorance. Savez-vous ce qu
rnaturel qui avait élu domicile chez lui : bien triste voisinage ! La
fille
de la maison, jeune personne de dix-huit ans, qui
r le trou de la serrure et n’est pas peu surpris de voir que c’est sa
fille
qui se promène une chandelle k la main. Dès lors
us que la vôtre serait capable de deviner si j’aurai un garçon ou une
fille
? — J’ai toüt lieu de le supposer, madame. — En ce
— Pourriez-vous me dire si elle accouchera d’un petit garçon ou d’une
fille
? — Vous voulez vous moquer de moi ; je ne suis p
qu’eile est gentille! exclama la somnambule. —-C’est donc une petite
fille
que vous voyez?—Oui, monsieur. — Comment est-el
e n’est pas cela que je vous demande. Oii apercevez-vous ladite peüte
fille
? Dans quelle position est-elle ? — Je la vois dan
lez me dire dans quelle position se trouve en ce moment ladite petite
fille
, que nous baptiserons sur-le-champ, si la maman v
t de le nommer Paul ou Louise, suivant que ce serait un garçon ou une
fille
, répondit Hiailanie B... d'une voix émui;au plu
bule.—Qui voyez-vous? — La petite Louise. — Ce n’est pas de la petite
fille
qu’il s’agit, mais de sa maman. Dites-moi donc où
te séance, c’est-à-dire k 15/mn, madame U.... mit au monde une petite
fille
qui avait des cheveux bruns, des yeux noirs et un
Léthargie. Vieille femme endormie pendant dix jours, 302. — Jeune
fille
restée dans la neige, durant un mois retrouvée vi
uatorze ans, rhumatisante. Grands parents inconnus. Une soeur et sa
fille
bien portantes. Un frère mort de tuberculose.]
s. (Père plus âgé). Dix enfants : 1° garçon, dix-neuf ans, sain; 2°
fille
morte en venant au monde, à terme ; la mort a é
eur; 5°`garçon, fièvre typhoïde à sept ans et demi, intelligent; 60
fille
morte à six semaines de cholérine ; 7° notre ma
olérine ; 7° notre malade ; 8° garçon, dix ans, rien à signaler; 9°
fille
, sept ans, otite suppurée; 10° fille morte à de
, dix ans, rien à signaler; 9° fille, sept ans, otite suppurée; 10°
fille
morte à deux mois et demi de méningite. r ÉPI
ants qui n'ont pas eu de con- vulsions. Une soetM-, mariée, aeu une
fille
, laquelle elle-même a une enfant : ni les uns,
i chez l'un, ni chez l'autre. Deux enfants. 1° Notre malade; 2° une
fille
morte à huit ans et demi de péritonite tubercul
ra de nombreuses descriptions de la puberté chez les garçons et les
filles
dans nos Comptes rendus du service des enfants
lières manières quand il est ivre. Il ne peut rencontrer une petite
fille
sans se livrer devant elle à des actes coupable
Bérenger. » , , " Attentat à la pudeur. Ces jours-ci, deux petites
filles
d'Etur- queraye revenaient de l'école de Bresto
estch, de la berge dans l'Elbe. Un garçon de huit ans et une petite
fille
ont été ses vic- times, il y a quinze jours. ,
est un garçon de quatre ans bien portant. Le sixième est une petite
fille
de deux ans bien portante; le septième est le s
tent de quatre à douze mois. La maladie est plus fréquente chez les
filles
et l'hérédité ' Raymond et Cestan. Soc. de Neur
e est la seule de la famille à présenter cette infirmité. C'est une
fille
de taille moyenne qui n'offre rien de particuli
e de fer). Ne présente pas de nystagmus. 3° Le sujet. 4° Une petite
fille
de cinq ans. Tous ces enfants sont intelligents ;
ont frappés de Nystagmus Essentiel congénital : le père, la mère, 1
fille
, 4 garçons ; l'un d'emre eux a eu un fils maint
mre eux a eu un fils maintenant mort dont les yeux tremblaient.; la
fille
a 3 enfants dont l'aînée tremble des yeux depuis
esprit romanesque ; avec cet ascen- dant bizarre qu'ont les petites
filles
nerveuses sur les petits garçons, à l'âge de hu
THÉRÈSE phonse de Cépèda, son père, pour assister au convoi de sa
fille
, et dans un autre couvent on dit pour elle la mes
laver du linge à Saint-Paul-sur-Risle. Elle était accompagnée de sa
fille
, âgée de onze ans, et de son fils, un bébé de d
maison. La mère remarquait que les facultés intellectuelles de sa
fille
s'affaiblissaient visiblement. Etat présent. La
u et fait l'impression d'être démente. Observation II. Malade Y...,
fille
de vingt ans, paysanne, s'adressa dans la salle
(syphilitiques ? ) aux jambes. La malade avait la réputation d'une
fille
d'esprit jus- qu'au début de sa maladie. En été
et dans le genre de vie, moral et alimentaire. Notre malade est une
fille
de la campagne, venue comme infirmière à l'asil
ait son pénis à la main et se découvrait même devant sa femme et sa
fille
». On rencontre enfin chez les idiots et les ma
nt à 11m veuve Postel. Cette chaumière était habitée par une pauvre
fille
, Séraphine Renard, âgée de cinquante-cinq ans, co
n quelques instants, a VARIA. 285 5 été complètement embrasée. La
fille
Renard n'a pas reparu ; on craint qu'elle n'ait
t ou dix mille francs, lui permettaient de vivre désormais avec ses
filles
sans inquiélude. Mais si sa direction, en mat
nettement les railleries que leur valent leur tournure de vieilles
filles
. En même temps, par découragement, elles soigne
mènes aigus et confusion mentale, s'accuse d'avoir violé une petite
fille
, tandis qu'il n'avait fait que se livrer à quel
nt chargés. Le grand-père maternel, alcoolique, est mort aliéné. Sa
fille
, mère des deux malades, était épileptique depuis
t mort aliéné. Son influence s'est fait sentir immédiatement sur sa
fille
, et médiatement sur la majorité de ses petits-e
éfie, fait appeler le père et le met en demeure de faire visiter sa
fille
par le docteur D. ; l'examen médi- cal constate
-il eu d'autres imprudences, peut-être le père n'a pas eu devant sa
fille
, soit dans sa toilette, soit dans ses rapports
s ne possédant qu'une seule chambre, ne se gêne pas assez devant sa
fille
; ensuite parce que l'enfant voit ou apprend dan
x pour la société de laisser, surtout dans les classes pauvres, les
filles
idiotes vivre dans leur famille en butte aux at
fuge en Allemagne : son père était ministre luthérien et sa mère la
fille
d'un ministre. Il naquit le 13 octobre 1844 à R
nte rien au coeur ni aux poumons ; le pouls est normal et régulier.
Fille
d'intelligence moyenne, sa mémoire est restée sat
lle se mit affecter les manières, le ton et le langage d'une petite
fille
, demanda des poupées et se comporta, pendant plus
ans une autre langue que celle connue et entendue par les femmes et
filles
de son temps ? .... Ainsi, la Faculté proteste
tion aiguë qui évolua en 18 jours. Ses deux enfants, un fils et une
fille
, se portent très bien. La fille ressemble beaucou
s. Ses deux enfants, un fils et une fille, se portent très bien. La
fille
ressemble beaucoup à sa mère. La ménopause es
stitués : 1° garçon bien portant, actuellement âgé de 13 ans ; 2°
fille
morte de diarrhée infantile à 10 mois ; 3° notr
notre malade-; 4° garçon mort de diarrhée infantile à 4 mois ; 5°
fille
bien portante, actuellement âgée de 4 ans. Anté
serve deux autres cas de cyanose. En 1890, Nagel examine une petite
fille
de 9 ans avec stase pulmonaire congénitale comp
vait une tête énorme. Ses jambes étaient très arquées. » Une petite
fille
enfin du malade nous donne les détails suivants :
édecine, 3 mars 1903) cite un cas d'hérédité directe, la mère et la
fille
se trouvant très nettement atteintes toutes deu
à gauche. Les fragments externes sont plus appréciables que chez la
fille
. Il ne semble pas qu'il y ait de cordon fibr eu
les épreuves radiographiques de la ceinture scapulaire de la petite
fille
(obs : II) et du petit garçon (obs. III) (V. PI .
erne il est absolument invisible. L'image claviculaire de la petite
fille
est plus nette : à droite et à gauche on aperçoit
u père et du fils, la deuxième famille (E) com- prend la mère et la
fille
. Avant eux toutefois on retrouve des observatio
famille. Les cas de MM. Pinard et Varnier concernent le père et la
fille
; nous donnons ci- contre (fig. 1, 2, 3) une ph
s conclure à l'hydrocéphalie comme le fait a eu lieu pour la petite
fille
de P. Marie et Sainton chez laquelle on avait pré
înée, à 7 ans chez le second enfant ; enfin chez la dernière petite
fille
il y a encore une absence de synostose énorme à
s parents (P. Marie et Sainton) ; c'est ainsi que chez notre petite
fille
la dysostose est fruste de même que dans l'observ
sentent pas de dysostose cléido-crânienne; les 3 soeurs de la petite
fille
,dé- crite par Rappeler, avaient des pieds-bots
as consanguins. Ils ont en 5 enfants ; pas de fausses conches. 1°
Fille
, bien portante, mariée et ayant des enfants sains
s. 1° Fille, bien portante, mariée et ayant des enfants sains. 2°
Fille
, notre deuxième malade. 3° Fille, elle a été pr
e et ayant des enfants sains. 2° Fille, notre deuxième malade. 3°
Fille
, elle a été prise à l'âge de 7 ans de mouvements
s troubles mentaux : Elle croit que les gens disent qu'elle est une
fille
, qu'elle est poitrinaire. Elle se néglige et sa
; mais c'est une série anormale et la plus grande fréquence chez la
fille
est certaine. Les antécédents personnels nous r
en la déviation fut-elle alors immédiate comme elle le fut chez une
fille
dont de Paoli nous a raconté l'histoire : comme
ais eu la moindre fièvre dans toute l'évolution de la maladie. La
fille
étant toute nue debout devant nous, vue de dos, u
ement qui ne donnait aucun résultat, la grand'mère amena sa petite-
fille
à notre consultation, six mois après le début des
endant tout cet examen la mauvaise volonté était évidente, de cette
fille
qui geignait, qui se lamentait sur l'impossibilit
vieille femme les a touchées et ensorcelées et que d'autres petites
filles
du pays tombe- ront malades à leur tour. Cette
t nov. 1S65. 472 MARGAIN tous les symptômes qu'avait présentés sa
fille
. Le diable avait dorénavant ses lettres d'intro
aysans, plus avisés, obtinrent quelques succès, l'un en menaçant sa
fille
de lui couper le cou, l'autre en faisant le ges
au cas de possession. Deux amoureux, un étranger à la commune et la
fille
R... se trouvaient fort gênés de la présence de
, demande-t-on à l'un de ces démons, pourquoi ne veux-tu pas que la
fille
mange ? « - Parce que, répond-il, la fille ne d
ne veux-tu pas que la fille mange ? « - Parce que, répond-il, la
fille
ne doit pas manger de ton s... pain, de de ton
e ton s... pain, de de ton s... fromage; donne-lui du bon café à la
fille
, du bon pain de bou- langer, de la bonne viande
h rapporte l'histoire d'une famille où le bisaïeul, le père et deux
filles
auraient été achon- droplasiques, et dans les d
cu- lin d'après Kassowitz qui, sur un relevé de 29 cas, a trouvé 25
filles
et 4 gar- çons. Pour des raisons qui nous éch
hez Rousset. 19. VARIOT : - Etude radiographique du squelette d'une
fille
de 13 ans, atteinte d'une variété spéciale d'ac
nies par groupes de six à dix et renfermant par places des capsules
filles
. A sa partie profonde, elle se présente avec de
présence de ces exostoses qu'il ne marchait qu'avec peine. MmeL...,
fille
unique de Mme X., présentant elle-même deux volum
esque toutes symétriques. De ces quatre enfants, le dernier est une
fille
qui a eu onze enfants, dont quatre vivants port
PPEMENT 639 Observation IV (Pl. LXXII). S... Esthérine d'Antoine,
fille
du précédent, 10 ans. Des précédents du côté pa
mais été malade ; son aspect très florissant est celui d'une petite
fille
très saine et robuste; tous ses organes internes
extraordinaire de la tumeur embarrasse un peu le marcher de la petite
fille
, qui paraît un peu boiteuse. - La 17", au bord
Mme F... a eu sept enfants, tous du même père, dont l'aînée était une
fille
normalement conformée, morte à trois mois de mé
conformée, morte à trois mois de méningite. Le second enfantest une
fille
, actuellement âgée de 21 ans, que nous n'avons pu
parole qui paraissent ressortir au bégaiement. Le troisième enfant,
fille
de 20 ans, a les yeux normalement conformés. Le
GIE EXTERNE BILATÉRALE CONGÉNITALE ET HÉRÉDITAIRE 663 enfin est une
fille
de 11 ans que nous avons vue et qui ne présente r
qui évolue sans incidents, suivie d'un accouchement à terme, d'une
fille
qui fait le sujet de l'observation IV. La malade
té, qui à peu près nuls chez la grand' mère, se développent chez la
fille
et s'ac- centuent encore chez la petite-fille.
fois à la clinique de la rue Saiul-André-des-Arls. Les quatre petites
filles
sont dès la première séance plongera, sans la moi
au bout de fort peu île temps, demandent au père de reprendre sa
fille
. Malgré le boa vouloir qu'ils apportaient, ces br
Les parents s ;ip|hsuutissaicnt surtout sur leur vif chagrin qu'une
fille
si jeune eut déjà subî'ile si cruels outrages à l
ue, apparence extérieure) (1) Indiquer s'il s'agit de garçons on de
filles
s'ilss habitent la ville ou la cam-pagne, s'ils r
s chez M. Von Winiwartcr, Voici sa première parole : » Ah ! drôle «te
fille
celle à laquelle vous vous intéresses. ! elle s'e
n lrttisième. jeune garçon, est idiot cl le dernier enfant esl cellis
fille
qui fait le sujet de noire observation. D'un ca
voir lu cette œuvre. Habitudes -vicieuses associées chez une petite
fille
. — Onanisme et onychophagie, traités avec succès
e porta sur la personne qu'il aimait le mieux au monde, sur sa petite
fille
. Il avait pour ainsi dire tenu un poignard su
me il en a tant, M. X... s'est vu armé d'un couteau prêt à frapper sa
fille
. Cette image est restée et maintenant il a quelqu
re un traitement : 2° être éloigné pendant quelques mois de sa petite
fille
. I.e malade accepte, n'inquiétant moins de lui-mê
si un crime eut été commis : M. X... a cédé à l'obsession et a lue sa
fille
. Il est bien certain que cet acte étant accompli
enant son retour est transporté île rage, l'idée obsédante de tuer sa
fille
lui sort de la tète : c'est son beau-frère qui de
ent une localité voisine de Méru, très inquiets sur le compte de leur
fille
unique à laquelle son médecin avait dit qu'il n'y
pporter quelque remède. Il était question pour eux de la mort de leur
fille
et pour le mari, du divorce. Me souvenant que j
en ai pa» do pn-uve. q|u il y cm |¦ ¦ ' «-tr«-dan» 1 entourage de MtM
fille
, de» indices plu» ou motn» vague» qui qui la mire
en septembre IS74. Mme Robert, sur mon invitation, alla présenter sa
fille
aux quatre médecins qui lui avaient montré le plu
mère de Chambige. Mme Ducamper, lui avait confié deux de ses petites
filles
. Si Mme G... avait, comme son mari d'ailleurs, té
demie. Après la visite de Chambige, Mme G... fit déjeuner ses petites
filles
et partagea très gaiement leur repas. Puis, elle
ir hésité entre la rougr et la blanche ponte sur la rouge, une petite
fille
qui. priée de chanter se décide à chanter, font d
mité un autre joueur qui avait de la chance, même au cas où la petite
fille
a été décidée par l'exemple d'une voisine. Il y a
rmi un certain nombre d'autres. En «lisant je veux chanter, la petite
fille
n'a fait que constater une situation sans la crée
enne. — On trouve dans Voltaire l'histoire d'une dame. qui. voyant sa
fille
chérie presque agonisante, s'écria : « Mon Dieu !
réponse, font éclater de rire les spectateurs, la mère éplorée cl la
fille
mourante; et. dès ce moment, cette dernière march
auteur n-t-il pu s'imaginer sérieusement qu'eu suggérant à une pauvre
fille
crédule, impressionnable, de porter un faux nom.
halalgie, diarrhée, etc.. qu'il avait provoqués. Laisser une pauvre
fille
peureuse et candidate à l'hystérie, attendre pend
tre sœur. » Elle regarde et déclare qu'elle voit même sa sœur avec sa
fille
sur le balcon de la maison. Enfin je lui dis : «
ut votre temps, elle ne dira absolument rien. » La bonne, une bravo
fille
de campagne, tout en ne comprenant rien à ce qui
nquête sur les), 22. Habitudes vicieuses associées, chez une petite
fille
. Onanisme et ony-chophagie traités avec succès pa
. Sa mère, qui n'est point morte et jouit d'une rémission, reprend sa
fille
auprès d'elle en février 1898, puis l'envoie, d'a
rmène, et s'alimente insuffisamment. La malade meurt en septembre. Sa
fille
en éprouve une désolation profonde, mais ne peut
ses poules, il s'aperçut que la compagnie qu'il avait donnée à sa
fille
n'avait point menée à bonne fin l'éducation de ce
ature. Sur les 64 sujets traités je trouve 7 hystériques à crises : 4
filles
et 3 garçons. Chose à noter, sur les insuccès,
ne autre, le père et les deux fils; dans une troisième, le père et la
fille
. DEUXIÈME CONGRÈS INTERNATIONAL DE L'HYPNOTISME
atesse de ses sentiments et de ses goûts et la distinguait des autres
filles
de son rang. Elle était domestique. Quand elle
s tribulations de toutes sortes. J'avais constaté, quand elle était
fille
, combien il m'était facilede l'hypnotiser. Il me
la Heaume, maitre des comptes. « Au mois de mars 1723, il guérit la
fille
du S. Dupuis, marchand de vins dans la rue St-Xic
ES DU FARGIS hérédité. — Henriette-Marie d'Angennes du Fargis était
fille
de Charles d'Angennes du Fargis et de Magdelène d
oréri consacré à la famille de Lannoi. De ce mariage naquirent deux
filles
: 1° Françoise-Marguerite de Siili, une dévote,
e parole de la Mère Angélique, qu'elle m'a dite plusieurs fois : « Ma
fille
, tout ce qui n'est pas éternel ne me fait point p
e, n'ayant plus qu'elle d'enfant, voulut la reprendre. Mais la pauvre
fille
, « ayant consulté M du Vergier de Hauranne, abbé
âgée de 12 ans, brune et vive, est, au point de vue de l'hérédité, la
fille
d'une alcoolique, aux mœurs assez dissolues, comm
hement [Luc, XXII, 51). Jésus a ressuscité trois morts : Lazare, la
fille
de Jaire et le fils de la veuve de Nain. Au .\v
pes étaient sorties de Syrie et avaient emmené prisonnière une petite
fille
du pays d'Israël, et elle servait la femme de Naa
it M. le D'Hubert, quoique l'aventure date a de loin, entrer, avec sa
fille
dans mon cabinet, un vieux médecin de ¦ village,
ctuellement éteint. . Il me contalabo-» rieusement, en résumé, que sa
fille
était sortie depuis un an de pen-« sion et se dis
pas en avoir. Je priai le père de me laisser un moment seul avec a sa
fille
, pour la mettre plus à l'aise, et je me mis à la
s poids ! « Je tins au père, à peu près le discours suivant : votre
fille
est naïve. « comme on ne l'est plus guère aujourd
u'ils se mettent à table, ce père est inquiet, anxieux; il regarde sa
fille
avec commisération, il surveille son faciès, épie
e lendemain » (*). Ce fut le commencement de la guérison. La « pauvre
fille
inquiette au dernier point d'une telle résolution
stupéfaction de la mère qui, en pleurant, était venue voir ce que sa
fille
avait, le ventre est redevenu normal, souple. L'e
rison précédente montre assez quelle était la suggestibilité de cette
fille
, v Elle « fut mise à Port-Royal à l'âge de neuf a
s par a les rues et par les places afin d'exhorter à la pénitence les
filles
de a mauvaise vie et il entrait même dans le bord
ompta « tellement cette chair rebelle que la présence des plus belles
filles
« n'alarmoit plus sa conscience. Il poussa môme s
ié assez profonde s'il est exact de répéter avec Gresset : Désir de
fille
est un feu qui dévoré. Désir de nonne est cent fo
eux observations : Une dame de 40 ans a eu d'un premier mariage une
fille
aujourd'hui âgée de 18 ans. Remariée il y a 7 ans
e scène pénible. Observation VIII. — M"0 X..., dix-sept ans, grosse
fille
robuste et de bonne santé, prend le lit, atteinte
n portant ; la mère a des antécédents tuberculeux. Elle a perdu une
fille
de tuberculose pulmonaire ; quatre autres enfan
nfant vint à terme, et, dans les années suivantes, la mère eut deux
filles
et un garçon, qui sont au- jourd'hui très bien
une folie douce, avait la monomanie des fleurs, jouait à la petite
fille
, etc. Elle s'est rétablie peu à peu. L'enfant q
ionnable, elle a fait une fausse couche et a un autre garçon et une
fille
plus jeunes que nous voyons et qui sont bien po
nné à l'institutrice de s'écrier, plusieurs fois par jour devant sa
fille
: «Ah mon Dieu ! » ou « Maman » L'institu- tric
i. Ni frère, ni soeur. De ce mariage sont nés sept enfants : 1° une
fille
morte à trente-deux ans, poitrinaire, non nerve
ne fille morte à trente-deux ans, poitrinaire, non nerveuse; 2° une
fille
qui se porte bien, nerveuse, mais sans attaques
Havre; 5° un fils, mort à deux ans( ? ) ; 6° notre malade ; 7° une
fille
, mort-née. D... a été élevé en nourrice, où i
'une méningite; 31 garçon, onze ans, intelligent, bien portant : 4°
fille
, dix ans, intelligente, bien portante; H" notre
4° fille, dix ans, intelligente, bien portante; H" notre malade; 6°
fille
, six ans et demi, bien portante, va à l'école;
malade; 6° fille, six ans et demi, bien portante, va à l'école; 7°
fille
, morte à dix-huit mois d'une méningite après tr
« halluciné, mystique », très violent; il bat- tait sa femme et ses
filles
. » Un de ses frères (grand-oncle du malade) s'e
s ? est mort aliéné à Montdevergnes (il a deux fils chétifs, et une
fille
qui n'auraient pas d'affections nerveuses); deu
à avoir de nouveaux rapports dans lesquels a été procréée : 4° une
fille
, âgée de 9 ans; elle est intelligente, gentille
enfants : 5" garçon, sept ans, bien portant, pas de convulsions; 6°
fille
, six mois, est bien venante, pas de convulsions
t raconte encore qu'il embrassait les organes génitaux d'une petite
fille
de son âge (la fille d'un ma- réchal ferrant);
l embrassait les organes génitaux d'une petite fille de son âge (la
fille
d'un ma- réchal ferrant); ceci lui serait armé
IV, 3.) L'observation principale de ce mémoire concerne une jeune
fille
de vingt-trois ans, syphilitique, atteinte de pht
tout parti- culier. Tel est, par exemple le malade qui donne à une
fille
pu- blique des indications sur la manière de le
aires habite Paris; femme d'intérieur, elle a toujours vécu avec sa
fille
qu'elle maria convenablement en pro- sociétés s
nir aucune explication; elle n'a aucun chagrin d'être séparée de sa
fille
, aucun des suites du mariage, mais elle a conscie
ique de ce qui s'est passé en cinq mois. Cette femme vivait pour sa
fille
et par sa lille; c'é- lait sa tille qui élait l
s actes quotidiens, de ses ha- 280 SOCIÉTÉS savantes. bitudes; la
fille
disparue, tout change et la mère est incapable
s and Correction » ont soulevé une question de quelque intérêt. Uue
fille
idiote d'une des institutions de Bandall's Isla
dit-on, parce que son fils a «mal tourné» : il buvait, courait les
filles
, ne travaillait point (pas de condamnations); i
ette à des douleurs d'estomac sans accidents nerveux. Elle a deux
filles
: l'une d'elles a eu des convulsions, mais elle e
etc. Pas de consan- guinité. Trois enfants : 4° notre malade; 2o
fille
morte à sept ans d'une méningite; elle était tr
morte à sept ans d'une méningite; elle était très intelligente ; 3°
fille
, quinze ans, bien portante, intelligente; pas d
possible. On se heurte d'emblée à une fable légendaire, celle de la
fille
d'un roi d'triande qui, vers l'an 600, y vint a
sous un aspect toujours semblable. . Observation II (Résumée) '.
Fille
de six ans, dès l'âge de onze mois, avait déjà
'étonnait souvent de la largeur anormale de la pupille droite de sa
fille
; et affirmait que toujours, dès que la chute de
raissaient aussitôt. Observation III, de von Hasner 1 (résumée).-
Fille
de dix- sept ans qui, depuis l'âge de treize an
odifiées le huitième jour. Observation IV, de R. Saundby (résumée).
Fille
de dix-neuf ans, ordinairement d'une bonne sant
tion de deux autres cas de cette affection : l'un de Suell chez une
fille
de huit ans qui avait eu sa première attaque à
sa première attaque à l'âge de dix-huit mois. L'autre de E. Clark,
fille
de douze ans, sujette à des migraines toutes les
(nombreux actes de violence sur sa femme et ses enfants; une de ses
filles
a dû, pour cette cause, fuir la maison paternel
té pour les plai- sirs de l'amour. Sa femme l'appelait « coureur de
filles
». Pen- dant toute sa vie, il a été débauché, d
é, délaissant le foyer con- jugal, pour vivre entouré des premières
filles
venues. La grand'- mère du grand-père maternel
des organes féminins. Il ne détestait pas de jouer avec les petites
filles
, mais jamais il n'a tenté de pratiquer des atto
'a l'ait que s'accentuer. Vers l'âge de seize ans, il regardait les
filles
avec un certain dégoût, tandis qu'il se sentait
us ne relevons ici que les points saillants et caractéristiques :
Fille
de 'vingt-un ans (lors de son entrée le 18 novemb
is deux ans. A son entrée à l'asile, on se trouve en présence d'une
fille
petite, mal constituée, mal nourrie, ayant les
illeur, et le traitement plus fructueux, Il s'agit de garçons ou de
filles
en lutte avec la morale et la loi, coupables sur-
oup ; 2° soeur morte à dix-huit ans d'athrepsie ; 3°, mort-né ; 4°,
fille
ainée, vit, se porte bien ; 5° fille non nerveu
'athrepsie ; 3°, mort-né ; 4°, fille ainée, vit, se porte bien ; 5°
fille
non nerveuse, mariée, a un enfant bien portant
stérieure delà couche optique droite. Observation 29. (Huguenin).
Fille
de huit ans. Pendant t'au- tomne.de 1878, coque
yée dans un accès d'aliénation mentale; cette dernière laissa trois
filles
, l'aînée desquelles s'est également noyée (il est
revenant de temps en temps déci- dèrent les parents à envoyer leur
fille
à Bordeaux, où, après un court séjour, les symp
ralysie géné- rale atteint chez la femme, presque exclusivement les
filles
pu- bliques, Gedicken fournit, d'après Jasperse
onorrhée, ce qui surcharge le rapport. Aujour- d'hui même, chez une
fille
publique de ce genre, on a trouvé à l'autopsie
evues analytiques. SOCIÉTÉS SAVANTES. 287 de médecine que sur 100
filles
publiques, il n'avait observé aucune paralysie
experts pour exa- miner l'état mental d'Annette G..., dire si cette
fille
n'avait pas obéi à une suggestion pendant une p
police correctionnelle, à l'effet de constater l'état mental de la
fille
G...'(Annette), appelant d'un jugement du tribu
-femme rendait plus apte qu'une autre à observer attenti- vement sa
fille
, la date précise de l'explosion des accidents ner
examinés. · Réflexions. Nous sommes donc en présence d'une jeune
fille
atteinte d'épilepsie essentielle depuis l'âge de
âgé in- déterminé. Mère morte de chagrin de la perte de sa petite
fille
. Pas de dia- thèse nerveuse, ni rhumatismale da
ssés une demoiselle d'âge un peu mur, d'autres diraient une vieille
fille
. Un monsieur, à quielle a fait donner un billet d
out sommeil. «L'hilarité des assistants coupe la parole à la pauvre
fille
, qui jure ses grands dieux qu'elle dit la vérit
sot, ma parente, habitante de Saint-Malo, est venue nous voir avec sa
fille
Ernes-tine, âgée de seize ans. Le lendemain de le
eux lits à un mètre de distance, dans l’un desquels couchent mes deux
filles
Ernestine et Zoé. Nous savions que ma sœur Mari
t reconnu en elle , exercée seulement à quelques procédés manuels, la
fille
des mages, des initiés, des illuminés, des voyant
-léger, qui se chargea de l'éducation de l'orphelin. I,a pauvre mère,
fille
d'un vieux gentilhomme, n'aurait eu la consolatio
nt dans sa chambre à coucher. M"» Ogicr redescend, et comme sa petite
fille
, qui l'accompagnait, était très-fatiguée, elle en
ne apparition, avertissements et conseils. Cette jeune femme était la
fille
d'un capitaine de naviro marchand, du port de Che
Pour opérer la vôtre, il vous faut l’emploi de votre parole, — cette
fille
du verbe-principe ! — aidant votre pensée, cette
aiteurs de l’humanité souffrante. ’ En mai 1852, j’avais une petite
fille
, âgée de deux ans et quatre mois, qui se trouva a
ule lacrimale dont elle était également porteuse depuis longtemps. Sa
fille
, épouse B...... était affectée d’un ozène depuis
ussi, avait été douloureusement éprouvée par la mort prématurée d’une
fille
, charmante jeune femme, mariée depuis trois ans à
ne fille, charmante jeune femme, mariée depuis trois ans à peine. Une
fille
restait à la famille de C***, dont le chef était
***, dont le chef était conservateur des forêts dans cette lie. Cette
fille
mariée sur le continent français à M. de F***, qu
mère en riant aux larmes de l’embarras, en effet fort risible, de sa
fille
cherchant à rassembler ses souvenirs. — Voyons 49
ts, qui lui ont dit dans le commencement, quand elle était très-jeune
fille
, que ces crises ne lui manqueraient jamais dans l
blees constituante et législative, sa dame et leurs deux jeunes et,,*
filles
, de 21 et 23 ans; leurs frères n’avIS Les table
forme de plaisanterie, leur promettant d’assisler au mariage de leur
fille
aînée, ma bonne sœur d’affection, malgré les A00
bande noire et m’annonçant, hélas ! la mort des deux jeunes et belles
filles
que j’avais quittées pleines de santé depuis quel
’éphémères et sans aucune importance. Depuis un mois environ, cette
fille
souffrait excessivement d’un violent mal de tète,
ouffrait depuis 35 ans. (En 3 mois.) Un cas de consomption chez une
fille
de 20 ans. (En 4 mois.) Un cas d’entorse, qui n
tant ainsi prolongée, M. Blunt se manifesta par l’intermédiaire de ma
fille
, et s’exprima ainsi : — Juge, dites-lui que je
rnier, M. le docteur Leger étant venu chez lui pour soigner sa petite
fille
, on endormit M™' Ogier, qui, après avoir pris la
nt le prononcé de leur nom commandent l’apparition. J'évoquerai votre
fille
, je noterai l’heure et le jour et vous dirai bien
y pus même encore observer un phénomène assez étonnant sur une petite
fille
. Le cas est moins commun que le premier. a Cett
l’intéressaient. On avait accusé, il y a environ six ans, une pauvre
fille
d’avoir volé une chemise: la somnambule, sans que
la mère. — Moi, monsieur, je ne tiens qu'à la santé, à la vie de ma
fille
!» Alors M. G... s’avançant vers la fenêtre s’ap
siècle , une des plus célèbres extatiques de ce temps, Nicole Aubry,
fille
d un boucher de cette ville. Dès l’àge de puberté
e jamais n’avoit été n vue ni lue du semblable. Entre les aultres, la
fille
Robert « Buttard , eagée de onze à douze ans, fut
it malin. Item une autre religieuse , de l'eaige de u vingt-deux ans,
fille
du sieur de Villers, estoit semblable-« ment pers
esnoy-le-Couite l’espace de six à sept « ans, où plusieurs notables
filles
furent piteusement vexées « et menées en divers p
e l’engageai à monter à sa chambre et à se reposer, recommandant à sa
fille
de veiller à ce qu’elle ne fût pas dérangée. «
it, une grande signification ; elle rêvait un avenir glorieux pour sa
fille
chérie qu’elle éleva avec soin. Jeanne était au
lui des docteurs. Tous conclurent que Dieu pouvait bien confier à des
filles
les desseins qui ordinairement ne sont exécutés q
ût perdu sa dernière ressource, crut devoir profiter du courage d’une
fille
qui paraissait avoir l'enthousiasme d’une inspiré
é que sur les remparts d’Orléans. Ainsi mourut, à dix-neuf ans, cette
fille
sublime que nul n’égala dans les fastes de l’huma
cheveux hérissés et la langue hors de la bouche; qu’il débauchait les
filles
en abusant de la confession, et qu'il ensorcelait
antômes que de leur opposer une «communauté de saintes et religieuses
filles
qui, passant « les journées en jeûnes et en prièr
il y a quelques jours, un ma- gnétiseur de Lyon ayant endormi sa
fille
, sujet très-lucide, lui demanda ce qu'eLe voyait.
le magnétiseur qui, à la perspective de la fortune découverte par sa
fille
, voyait tous les trésors des Mille et une Nuits e
lisme. On y raconte qu’une mère ayant consulté sur la santé de sa
fille
, qui était gravement malade, le somnambule Alexis
qu’Alexis lui annonça en outre qu'elle serait longtemps séparée de sa
fille
. Cette prédiction se réalisa. L’enfant fut enlevé
ions d’une autre somnambule que la mère dut le bonheurde retrouver sa
fille
, et cet événement se réalisa au jour précis fixé
ans les environs de Bouthéon (Loire), un magnétiseur ayant endormi sa
fille
, sujet très-lucide, celle-ci vit un trésor enfoui
uple, affligée par de grands revers de fortune, a perdu récemment une
fille
de dix-neuf ans. Trois jours après cette mort,
ion, etc., Signé : Jacobs. Je, soussigné, déclare que ma petite
fille
Eugénie, âgée de sept ans, a été traitée par M. B
ême des grandes choses de la vie ; rien ne s’y fait qu'avec ensemble.
Fille
du ciel, l’harmonie en a conservé la clef. C’est
abillé en prêtre. Le bouc s’étant enquis de l’italien qui étoit cette
fille
, et lui ayant répondu qu'il l'a-voit amenée pour
nt un seul ! On en est resté au sacramentel : et voilà pourquoi votre
fille
est muette ! de Molière. Le tout ad minorent medi
vrai). — Voyez ce qu’il y a dans le petit lit au second. — Ma petite
fille
(c'était également vrai). — Vous pouvez évoquer l
réponse affirmative ; de la môme manière, je demandai si ma femme, ma
fille
, ma sœur, ma grand’-mère étaient présentes, à tou
sura par la voie de l’alphabet qu’elle était très-heureuse, que notre
fille
était avec elle et qu’elles étaient souvent avec
us aider... Madame X... étant revenue à son état normal, j’ai prié ma
fille
Rose de me donner quelques marques de sa présence
ble, mais il n’y en eut que deux qui furent noués. Je demandai à ma
fille
Rose si elle voulait m’écrire un mot, elle répond
e. Du présent rapport nous posons les conclusions suivantes : i° La
fille
Marguerite A... est enceinte : 2° Sa grossesse
« Mon cher confrère, « Voici ma réponse : « Je crois qu'unejeune
fille
de 18 ans, peut, en thèse géné-« raie, avoir été
s néanmoins pour les mettre à l’abri de la justice. Une malheureuse
fille
déjà mère était accouchée clandes- tinemeot,
stice eut l ien pu découvrir,'et déjà l'on y pensait plus quand une
fille
du même village rêve la nuit qu’elle voyait l’acc
reaux , car ils sont eux-mêmes doublement à plaindre, leur fils, leur
fille
, leur femme, sont comme eux victimes d’un art men
ions snrnaturelles. Voici sa version : « Dans la nuit du 8 août, la
fille
..., estropiée depuis nombre d’années, prétendit q
’adresser la parole à la Vierge et qu’elle lui répondrait. Suivant la
fille
..., dans la nuit du 1A au \ 5 août, à deux heures
Tripple quitta Del phi peur retourner à Lafayette, et le 9, ma petite
fille
, âgée de quatre ans, s’ôtant couchée la veille da
resque sans relâche. Je commençai à perdre tout espoir de sauver ma
fille
; mais ma femme persista avec tant d’opiniâtreté à
membres subirent une détente. Je marchais dans la chambre, croyant ma
fille
morte; le3 personnes qui entouraient le berceau d
un, dit en lui donnant la main pour se mettre en rapport, une vieille
fille
qui se sent rougir rien qu’à l’idée qu’on pourra
crépit, impuissant malgré la force matérielle dont il dispose. Lucie,
fille
d'un riche Syracusain, a secrètement répudié la r
aient allés à. Grosswardein, conduire, dans un pensionnat, leurs deux
filles
, âgées de quatorze ans. Pendant la nuit qui suivi
es de quatorze ans. Pendant la nuit qui suivit leur départ, une autre
fille
de l’un d'eux, âgée de dix ans, et qui était rest
res sur les confins d’un bois. C’étaient les deux pères avec les deux
filles
et le cocher qui les avait conduits ; les cadavre
s. Je cours chez elle, sa mère me reçoit les larmes aux yeux : — « Ma
fille
est daas un état désespéré, les convulsions n’ont
r aller à Strasbourg en qualité de soeur institutrice des petites
filles
. Persévérant dans ses habitudes, elle n'avait p
empérament sanguin, est père de deux garçons bien portants et d'une
fille
mariée depuis huit ans et sans enfants; ses par
jours, se sentant plus solide revient chez lui avec sa mère et sa
fille
et essaye de s'occuper de la classe; mais les i
a perdu ses réflexes tendineux, etc. Le deuxième enfant était une
fille
qui est morte à dix ans d'une affection fébrile.
qui a trente-trois ans et est bien portant. Le cinquième est une
fille
qui à vingt-neuf ans, et qui a commencé à dix-hui
eluche. Il s'agit de trois observations de Ferber concer- nant deux
filles
et un garçon en proie à la mauvaise humeur, à l
à la mauvaise humeur, à la crainte, à la sitophobie. Mort d'une des
filles
. Le garçon, entaché d'hérédité, guérit au bout
izeans; -à de l'agi- tation avec mélancolie confuse chez une petite
fille
de huit ans ; à de la manie confuse avec violen
aux Er les asiles. Le 26 juin dernier, dit le Droit, Marie Coût...,
fille
de salle à la Salpêtrière, était char- gée de f
nduite en prison ; elle croit entendre la voix de son mari et de sa
fille
qui sont en prison à cause d'elle ; elle se lam
natale n'existe plus, Paris n'existe plus, rien n'existe plus, sa
fille
est un diable déguisé. 11-e, iM... ne se laisse a
malheurs ; elle attribue à sa bonne un pouvoir surna- turel : cette
fille
, au moyen de procédés magiques et de malé- fice
NIQUE MENTALE. répétait pendant des heures entières : « Pourquoi ma
fille
a-t-elle donc épousé X... ? » Placée à Vanves a
de l'instinct sexuel, des observations qu'il a faites auprès d'une
fille
de trente-cinq ans, dont il donne l'histoire dé
d'un homme de trente-cinq ans et l'observation peu concluante d'une
fille
de seize ans qui, ayant eu trois accès maniaque
mme pour l'homme ; ce sont des sentiments per- vers innés. Les deux
filles
aimaient également, dès leurs premières années,
n garçon, elles auraient voulu être homme. Les regards de certaines
filles
les impression- naient vivement; elles leur fai
s tard, il est poussé à regarder les fesses des femmes, des petites
filles
et aitssi'l'aiiiis d un garçon habillé, le garç
e obsession devenait plus pressante dès qu'il s'agissait de petites
filles
. Dans les foules il se frottait contre les fess
r, il l'entendait commander de garnir de clous les souliers de sa
fille
, il voyait le cordonnier poser les clous et remet
t de trêve que deux fois : à l'époque où il était amoureux déjeunes
filles
qu'il voulait épouser. Quoique éper- dument amo
de perversion ]le; 1 gIl it ? Dans le premier- cas, il s'agit d'une
fille
de vingt- ]ici] mct'p .est hysléro-épileptique,
e de sujets du même âge ou d'âges différents. Chez un garçon et une
fille
d'un an, ayant des diamètres presque égaux, les
ant pas dans l'aisselle. La santé générale est excel- lente. - 2°
Fille
de quinze ans, mère épileptique, un oncle aliéné;
ou idiots, disséminés dans les ser- vices : neuf garçons et quatre
filles
actuellement. Aucune instruc- tion ne leur est
tion récemment produite par Berger à la Société de chirurgie. Une
fille
publique reçoit un coup de revolver à la tête;
ans le crâne. Après quel- ques symptômes passagers d'hémiplégie, la
fille
guérit, et, pendant quatre ans, elle jouit d'un
int toujours, elles ne constituent point une inflammation actuelle.
Filles
de l'inflammation, si j'ose m'exprimer ainsi, e
Modène, où il ait été tenu compte de l'état du cerveau'. Chez une
fille
de quatorze mois, aveugle-née et man- quant des
orceps), mort à deux jours après avoir eu quelques convulsions-; 2°
fille
morte à trois ans de convulsions; - 3° notre ma
l- sions, intelligent; - 6° garçon mort à l'âge de huit jours; 7°
fille
bien portante, intelligente, âgée de six ans et d
la caserne qu'il avait essayé d'avoir des rapports avec une petite
fille
de six ans ; il n'a jamais essayé d'en avoir avec
livra à l'onanisme, et essaya d'avoir des rapports avec des petites
filles
, puis il excita les autres enfants à se livrer
e à quatre ans ; pas d'autres maladies, pas de syphilis. Marié, une
fille
de seize ans bien portante. En 1873, début de
énéfice appréciable de la suspen- sion, sauf dans le cas d'unejeune
fille
de treize ans, soignée par M. Blocq. Dans le ca
nlrcll3lalt. f. 7Ve/'M ? e'«f/e, on trouve l'histoire d'une jeune
fille
de vingt-deux ans, qui, à la suite d'une chute su
te maladie le plus lourd tribut. Parmi les femmes célibataires, les
filles
publiques ne figurent qu'avec le coefficient de
ue soit le temps pendant lequel elles aient été entretenues, que la
fille
publique. Etiologie. - Les facteurs pathogénéti
de R..., où elle est entrée le 19 novembre 1880. Cette malheureuse
fille
passe ses journées au milieu des autres malades
er. Je ne puis que regretter que la situation digne d'intérêt de la
fille
L... n'ait été signalée ni par la supérieure de
s pratique et le plus prompt de faire cesser cette situation. Cette
fille
restant parfois huit jours sans prendre de nour
ut à l'heure, il est dit : « La cellule occupée actuellement par la
fille
L... (c'est celle qui est restée huit années à
surtout dans lés classes élevées et en particulier parmi les jeunes
filles
. Les certificats d'aliéné : , en Amérique. M. W
r; nombreux excès de boisson, mais surtout après la naissance de sa
fille
. - Mère, morte de phthisie galopante à ciuquant
sions, intelligent ; géologue. Marié, pas d'enfants; très rangé; 2°
Fille
, vingt-cinq ans, pas de convulsions; à dix-huit
séminé dans la chambre. Il n'avait pas bu, il ne boit jamais ; - 5°
Fille
, morte d'une angine couenneuse( ? ), à quatre m
'une angine couenneuse( ? ), à quatre mois. Pas de convulsions ; 6°
Fille
, vingt ans ; pas de convulsions, pas d'attaques
ons, pas d'attaques de nerfs ni de migraines ; intelligente; - - 10
Fille
, morte à vingt et un mois, aux Enfants assistés ;
à vingt et un mois, aux Enfants assistés ; - 8° Moire malade; - 9°
Fille
, douze ans ; pas de convulsions, intel- ligenle
ans et demi ; pas de convulsions, bien portant, intelligent; - '12°
Fille
, morte d'une variolenoireon 1880, à un an. Notr
aternel de la malade; sa mère était épileptique. Notre malade était
fille
unique du premier mariage de sa mère. Dans son
te, quoique sa mère raconta que jusqu'à à l'âge de quatorze ans, sa
fille
se réveillait souvent en sursaut, criait et cau
le maladie, le croup, qu'il avait contractée au chevet de sa petite
fille
, qu'il a eu du moins le bonheur de sauver. Plus
orps de différentes personnes, notamment sur ses sœurs, belles-sœurs,
filles
, femme, etc., Ses tatouages ont été exécutés alor
tatouait de préférence sur les bras, le dos, les cuisses. Une de ses
filles
actuellement âgée de 42 ans, porte depuis l'âge d
il parait avoir des hallucinations nocturnes organiques et dit que sa
fille
a des rapports avec lui toutes les fois qu'elle v
ts. Un marinier porte sur la partie postérieure du bras un buste de
fille
publique (dessin tatoué au régiment) : il est act
porte une épidémie psychique dans la classe supérieure d'une école de
filles
, à Biberach. 13 jeunes fillesde 11 à 13 ans furen
leur plus tendre enfance, il les a fait pleurer ouxire à son gré. Ma
fille
Ella a fait les choses les plus étonnantes. Elle
ce sujet : o L'honneur au point de vue juridique. » M"c Labriola est
fille
d'un professeur de l'Université italienne, connue
rouva délicieux, et plein de joie il le fît goûter à sa femme et à sa
fille
qui, l'entendant et transportées elles-mêmes,-tro
ormir est sur le côté droit. Enfin, on sera tête nue, les cheveux des
filles
retenus dans un filet. Une définition, de l'amo
kaïa, un général très célèbre a vu mourir, coup sur coup, deux de ses
filles
. Son fils aîné est frappé d'un mal terrible et qu
ourquoi ne pervertirait-on pas pour l'avenir et par le même moyen, la
fille
la plus vertueuse ? L'endormeur peut, plus encore
te M. Liégeois, qu'il n'y ait là que comédie et simulation, et qu'une
fille
s'amuse, pour tromper la galerie, à tirer sur sa
Je rétorque tout de suite l'argument : A qui fera-t-on croire qu'une
fille
qui, sans émotion, tire sur sa mère un coup de pi
e pensent de transformer un sujet en automate assassin. J..., cette
fille
dont j'ai déjà parlé, est l'exellente somnambule
de la portée de l'expérience, il faut encore savoir que J... est une
fille
courageuse et résolue. Elle est restée plusieurs
vrier 1888, sans communiquer mon dessein à personne, si ce n'est à ma
fille
et encore au moment même de l'expérience, je déch
ait six heures du soir. Une demoiselle, elle-même hypnotisable, et ma
fille
sont à table découpant des articles de journaux q
j'évoquais. Il est donc fortement probable qu'elle reconnaissait ma
fille
et son amie dans les personnages que je lui désig
igure dans le livre de Zola sous le pseudonyme d'Elsie Rouquet. Cette
fille
était allée à Lourdes défigurée horriblement par
par atrophie des nerfs optiques, instantanément guéri à Lourdes; une
fille
guérie d'un cancer inopérable ; une autre d'une c
une fille de 9 à 10 ans, qui se croyait transformée en chienne. Cette
fille
ne différait du lycanthrope espagnol que par le g
nuits consécutives, ayant entendu une voix qui lui criait : « Tue ta
fille
», finit, après beaucoup de résistance de sa part
euse » à Holywel, j'écrivis à la mère demandant qu'elle me ramenât sa
fille
à ma consultation pour être examinée. Elle revint
e 7 février et voici ce que la mère me raconta : En novembre 1894, sa
fille
était au lit, incapable de marcher, ni même de se
de son habitude de boire de l'eau-de-vie. Mme D..., âgée de 34 ans,
fille
de parents sains, n'a eu aucune maladie grave. 11
ces crises singulières, il faut d'abord remonter à leur début. Maria,
fille
et petite-fille d'alcooliques, était dès son enfa
son mariage deux enfants, nés a terme, tous deux : le premier, une
fille
, mourut à trois mois ; le second, un garçon, bi
ers cas : une femme alors âgée de 46 ans, une mère et ses 3 petites
filles
. Depuis lors, un fils dysostosique et deux fils n
1848,spahi (2) a publié les résultats de l'examen post-mortem d'une
fille
de ans 1/2 qui présentait des anomalies semblab
urneraient à l'état em- bryonnaire,donnant naissance à des cellules
filles
plus ou moins capables de s'adapter à de nouvel
de famille n'était pas M ? qu'elle n'était autre chose que la propre
fille
de Z ? vieux camarade et ami d'enfance de M. X.
point. Enfants de Hannah Wherrell (née Tucker). Hannah Wherrell,
fille
de William Tucker senior eut plusieurs en- fant
; elles furent semblables à celles que nous avons décrites chez sa
fille
Alice. Le 10 novembre 1904, vers 11 heures du mat
it à boire, et mourut en 1901, laissant cinq enfants dont l'un, une
fille
, a déjà les « jambes enflées ». Les en- fants s
cernant. Ellen est normale. Les enfants de Mary Wherrell. Mary,
fille
d'Hannah Wherrell, eut deux enfants, tous deux li
es du mal aux jambes. Les enfants de Hunsley Wherrell. Hunsley,
fille
de Hannah Wherrell, eut 6 enfants. De ceux-ci,
sujet à des attaques d'épilepsie. Les enfants de Bessie. Bessie,
fille
de Thomas Wherrell, eut 5 enfants. Ils sont tous
membres de la famille qui ont été attaqués. Les enfants d'Ellen,
fille
de Hunsley Wherrell. Ellen a deux enfants, deux
a été quelquefois l'enfance, tantôt la jeunesse du garçon ou de la
fille
avant la puberté, parfois l'oedème n'a fait son
lles indiquent. Effets de la grossesse sur l'affection. Plusieurs
filles
de la famille se sont mariées alors que l'oerlème
ccupés des particu- larités delà transmission familiale : IIunsley,
fille
d'une personne atteinte de l'infirmité de la fa
lle-même pas affectée, mais elle a transmis l'affection à sa propre
fille
Ellen. On pourra peut-être plus tard, et la cho
. Mère morte à 37 ans après 8 jours de maladie. , Trois enfants :
fille
de 19 ans bien portante ; garçon de 9 ans bien po
Conditions générales. Marguerite Ser... a l'apparence d'une petite
fille
f de 10 à 12 ans au plus. La taille est de 133
ité infantile. Si on ne savait pas son âge, on la dirait une petite
fille
de 8 ans, très intelligente. Examen objectif so
à l'âge de 12 ans, de cardiopathie ; trois sont encore vivants : la
fille
aînée présente les caractères de l'acromégalie,
e de 14 ans, née à Galluzzo. Antécédents héréditaires et familiaux.
Fille
du précédent. Rien de parti- culier quant aux a
ents d'acromégalie, dans mon cas enfin il s'agit d'un père et de sa
fille
, acromégaliques tous deux. On connaît déjà des
t ses enfants, Lucrèce se donnant volontairement la mort et Phylls,
fille
de Lycurgue et femme de Démophon, qui se pend à
Le deuxième enfant est Pierre, notre malade. Le troisième est une
fille
âgée de 27 ans, qui ne présente aucune anomalie
trois enfants normaux, et en bonne santé. Le dernier enfant est une
fille
de 21 ans. Particularité remarquable, chez elle
ique général. Le second cas est relatif à cette curieuse dégénérée,
fille
de para- lytique général, dont la photographie
la radiographie qui représente le squelette de la main d'une jeune
fille
normale de 16 ans (Ida), soeur de nos deux infant
e ; si nous ne savions pas leur âge nous les jugerions deux petites
filles
normales à la veille de l'éclosion sexuelle.
lement 60 ans. Ses parents ont eu H enfants, dont 8 (4 garçons et 4
filles
) sont encore vivants et bien portants ; 3 ont s
parents. Le père et la mère sont devenus tabétiques en six ans. La
fille
syphi- lisée à deux ans et demi ne commença son
ns ; on me répond : « des brûlures de l'été passé ». Ni la mère ni la
fille
ne me parlent des complications qu'elles consid
urent répétés plusieurs lois pendant les divers séjours de la jeune
fille
1 l'hôpital. L'examen du système nerveux et du sy
rvation il reste à expliquer la cause de la mort rapide de la jeune
fille
. Puisque l'autopsie nous fait défaut, nous ne pou
l'hypothèse de simulation, il m'accordera au moins que cette jeune
fille
avait l'instinct de la dissimulation remarquablem
ut allait si bien qu'elle put faire 10 CLINIQUE MENTALE. venir sa
fille
auprès d'elle, Cam..., privée d'une direction suf
le prit par erreur l'âme d'une étoile morte, « nommée depuis Siloë,
fille
de la beauté et de l'amour ou de ' Sollier. Du
ire ou dont elle attend le secours. Une des premières visites de sa
fille
l'a laissée très énervée; le nom de cette enfan
e introduction : « C'est à travers ton contrôle que je te parle, ma
fille
» et un peu plus tard, après une assez longue p
folie en partie double évoluant simultanément chez la mère et la
fille
. Il s'agit d'un délire polymorphe avec prédominan
IÉTÉS SAVANTES. 1 69 mystiques et de persécution, développé chez la
fille
puis adopté par la mère. Le cas est intéressa
a) Relativement à la différence intellectuelle des deux sujets, la
fille
, organe actif, est inférieure à la mère, organe p
t instructives; la mère n'en conseillera certes pas la lecture à sa
fille
, je le reconnais et je ne la lui conseillerai p
insi jusqu'à trente-trois ans. Il fit alors la connais- sance d'une
fille
chez laquelle il eut pour la première fois, le
e le veux pas. » Tantôt il s'imaginait qu'il avait violé une petite
fille
et que la police venait pour le questionner, et
teurs ; un grand nombre des 60 épi- leptiques de notre service sont
filles
ou petites-filles d'épi- leptiques (j'ai connu
également publié un cas de rire forcé qu'il avait observé chez une
fille
de quinze ans. Cet auteur analysant ' Cité par
ralbl, XXII, 1903.) Etude de 302 encéphales, 161 de garçons, 141 de
filles
, dont 228 ont été soumis à des pesées partielle
oumis à des pesées partielles (121 pour les garçons, )0' ? pour les
filles
) les enfants sont morts aux âges de une semaine
e est, quelque soit l'âge, plus élevé chez les garçons que chez les
filles
, cette différence, relati- vement faible au déb
garçons par 1350 à 1400 grammes et plus à cinq ans; il est chez les
filles
de 1280 grammes et plus à trois ans et dépasse
individus. II. Le cervelet, quel que soit l'âge, pèse moins chez la
fille
que chez le garçon. Au cours du développement,
moyen du cerveau des garçons l'emporte en tout temps sur celui des
filles
. Cette différence est chez les enfants âgés (et
mes au plus pour les garçons,'et de 840 grammes au maximum pour les
filles
. Il atteint un peu plus lentement son premier t
' n'est devenue pour les garçons supérieure a 303 grammes, pour les
filles
supérieure à 280 grammes, qu'à l'âge de neuf à
nfance par l'intelligence inconsciente (inconsciolls mind). Or, les
filles
vivent plus cons- tamment en contact avec leurs
soixante-dix-huit ans. Cette femme 444 VARIA. avait avec elle sa
fille
âgée de quarante ans. La Cille était idiote et ne
allaient bientôt plus lui permettre de subve- nir aux besoins de sa
fille
et aux siens et elle était décidée à se suicide
leur mieux, elles lui fai- saient comprendre ce que deviendrait sa
fille
si elle mettait son funeste projet à exécution.
es premières constatations il résulte que la femme Pollet a noyé sa
fille
en se noyant elle môme. Le drame a dû être terr
ent à des intervalles rapprochés, c'est qu'il existe un garçon, une
fille
à dévelop- pement intellectuel ou physique inco
t encore être dans le grenier. » . Cette jeune bonne de quinze ans,
fille
de parents fort honora- bles, n'avait aucun mot
drames les plus connus le Canard sauvage, met en scène une jeune
fille
de quatorze ans qui, poussée d'abord par son évol
n'ont pas eu de con- vulsions ; leurs enfants, six garçons et deux
filles
, sont en bonne santé et n'ont pas eu de convuls
ivant son gendre, d'un cancer « dans le côté gauche » suri- vant sa
fille
; on ne croit pas qu'il fut buveur. Sa mère, âgée
pas de convulsions, bien portant, sert les maçons; 3° le malade; 4°
fille
, neuf ans, pas de convulsions. Le malade. - Rie
· ! R,\Y1'AD. Un cas de maladie de- suivi de mort chez une jeune
fille
hystérique et tuberculeuse, par Coulotijou, 2.3
errurerie, vannerie, menuiserie, etc., selon que l'on s'adressera aux
filles
ou aux garçons, sera régulier et surveillé, car l
arait se réduire toute son activité. Quand son mari meurt, ses deux
filles
se partagent son bien, comme si elle n'existait p
ividus s'imaginent devoir se guérir d'une blennorragie en violant une
fille
vierge. Ailleurs, les pratiques rappellent cell
létée par une statistique analogue des enfants anormaux des écoles de
filles
qui, on peut le prévoir d'avance, donnera à peu p
ment venu. Le nombre des anormaux psychiques des écoles, garçons et
filles
, s'élevant à Bordeaux à un chiffre global de 800
xes est adopté, soit divisées en 4 classes de garçons et 4 classes de
filles
, si les sexes restent séparés. Les enfants sera
e : une véritable anormales psychiques dans les écoles primaires de
filles
; ils ont, en outre, tondé deux classes d'anomaux
Nam-Hoich, le chef do la garde-robe. Dans un registre inférieur, la
fille
de la reine présente le même aspect ; elle ne se
t ans chez les jeunes gens. Leur apparition est plus précoce chez les
filles
et elles s'atténuent plus rapidement. Ces disposi
6, une jeune dame de Charlevillc amenait à ma consultation une petite
fille
de deux ans et . demi qui, depuis plusieurs mois,
le en arriva progressivement à céder à tous les caprices de sa petite
fille
. La guérison survenue, l'enfant avait conservé l'
et 4 ne. pas s'émouvoir des cris de son enfant, j'installais lapetite
fille
dans un fauteuil à côté de moi et je lui affirmai
depuis quelques mois, l'occasion d'observer et de traiter une petite
fille
de sept ans, douée d'une physionomie charmante, e
peuvent pleurer à volonté. J'en ai vu un exemple à Liège : une petite
fille
me fut donnée comme guide par le concierge pour v
sonnement de malice, disait un philosophe ancien. Le cas de la petite
fille
signalé par le Dr Félix Regnault vient confirmer
e 25 août 1905, une dame vient me demander si je pourrais soulager sa
fille
, âgée de 17 ans, qui est atteinte d'une curieuse
joute cependant cette remarque : « L'hypnose ne pourra soulager votre
fille
que si elle a le muscle sphincter de l'anus ; sin
sinon, elle sera inefficace. * Le lendemain la mère me présente sa
fille
; elle est de taille moyenne, la peau et les muqu
parents, qui habitent HofT, reçoivent le télégramme suivant : - Votre
fille
, Marie Kehvitz, est morte », signé : « Muller ».
t de partir pour Nuremberg. Là, ils sont tout étonnés de trouver leur
fille
,non-seulement vivante, mais très bien portante.
ellement, les parents Keilwitz écrivirent au journal de Hoff que leur
fille
, dont le décès avait été annoncé, se trouvait bel
lui plaisait devait tomber en sa possession. Il n'épargna même pas la
fille
du Mupbti, qu'il fit enlever et renvoyer ensuite
eveux blancs à la même place que chez le père. Des neuf enfants de sa
fille
aînée, les cinq premiers ont des troubles trophiq
uit on m'appelle chez Mlle S.... En chemin, le père me raconte que sa
fille
se lamente d'une façon inquiétante ; elle va, dit
illée à minuit et a tout de suite commencé à pleurer. Il s'agit d'une
fille
unique, âgée de 18 ans, très bien développée, trè
técédents alcooliques ou syphilitiques. Elle est mariée, mère d'une
fille
bien portante. Pas de fausse couche. Le commenc
e début du purpura de la malade. D'après les ren- seignements de sa
fille
, il n'existait pas avant son entrée à Villejuif.
ite ou d'idiotisme acquis. L'hémiplégie dont a été atteinte lajeune
fille
de M. Sollier doit faire écarter le diagnostic de
peler, je n'ai jamais eu de désir plus violent que celui d'être une
fille
, et je souhaitais toujours un miracle qui puiss
nt amener une femme de soixante-quinze ans à se comporter comme une
fille
publique de vingt ans, c'est là un phénomène te
aEa.'(Bret. med. journ., février 1896.) L'auteur, traita une petite
fille
de six ans qui se trouvait dans un état avancé
à la région lombaire. L'expert n'avait pas retourné le cadavre. Une
fille
mère, étant allée chercher son enfant en nourri
nt à terme. Combien est épineux en particulier l'examen des petites
filles
se disant victimes d'attentats à la pudeur ! Et
fils aîné bien portant, père de cinq enfants bien portants; 2° une
fille
bien portante ressemblant physiquement à sa mèr
s son mariage. Celle-ci lui a cependant donné deux enfants : 1° une
fille
, actuellement mariée et mère de famille; 2° un
us en avons pour preuve d'abord l'observation directe, sa prétendue
fille
ne lui ressemblant nullement. Nous avons obtenu
mique de celui qu'elle épousait. J... a l'illusion de croire que sa
fille
est née de ses oeuvres, mais il a toujours dout
d'une hystérique. Les témoignages des hystériques et des petites
filles
perverses dpvraient-ils être admis en justice ? L
t, et les méde- cins qui tendent à faire de l'inverti un coureur de
filles
qui ne sont plus à corrompre et qui ne se repro
. La mère est morte d'accidents puerpéraux en accou- chant de cette
fille
; elle était vigoureuse et bien portante, n'avait
ive de pédérastie. Ce garçon montre une antipathie marquée pour les
filles
; mais on n'a pu en tirer aucune confidence. Le
parus. Sa mère est d'autant plus inquiète de ces accès qu'une autre
fille
s'est suicidée. En dehors de ces paroxysmes qui
ouvait morte dans un puits abandonné. La mère ne connaissait à sa
fille
morte pas plus qu'à sa fille vivante aucune ano
abandonné. La mère ne connaissait à sa fille morte pas plus qu'à sa
fille
vivante aucune anomalie somatique et en particu
puie sur certaines particularités qu'elle avait remarquées chez sa
fille
et qu'elle avait éprouvées elle-même. , Elle a
seur d'anomalies sexuelles, elle jouait volontiers avec les petites
filles
, se livrait à des ouvrages et des amusements de f
les petites filles, se livrait à des ouvrages et des amusements de
fille
, n'éprou- vait aucune gêne ni aucune répulsion
mes conditions qu'autrefois. Elle voit dans le suicide d'une de ses
filles
la preuve de l'hérédité directe de son anomalie
s observations : l'inversion est tout au plus vraisemblable chez la
fille
suicidée ; quant à l'idiot il ne peut servir de
t pas douteux c'est que cette mère invertie a donné naissance à une
fille
qui a succombé aux convulsions, à une autre név
ouve mal facilement et est sujette aux migraines, elle a une petite
fille
de dix-huit mois, très belle et bien portante,
Elle parle, mais ne prononce bien que les mots a maman » et « ma
fille
». Elle chantonne des airs vagues où l'on peut sa
e ou en avant et à gauche, tombe souvent, toujours à gauche. III.
Fille
de sept ans, idiote, microcéphalie, dystocie de l
oolisme aigu aussi intenses et aussi nets. Il s'agit d'une petite
fille
de cinq ans, bien portante, n'ayant REVUE DE PA
e viol ? 2° Avez- 334 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. vous connu des
filles
atteintes de folie choréique et en même temps m
quer leur malaise mental elles découvrent peu à peu qu'elles sont
filles
de sorciers, sorcières elles-mêmes (délire rétrog
eine Coudai avait déjeuné tranquillement avec son mari et sa petite
fille
âgée de trois ans. Quand son mari fut parti pou
ucheux, le chargea de deux cartouches et tira à bout portant sur sa
fille
, qui tomba la tête fracassée. Elle essaya ensuite
pas de convulsions, a des migraines; - : 1° notre malade; - 3° une
fille
de dix ans, grosse, ne grandissant pas, peu int
s rubans rouges. Morel enfin rapporte l'histoire d'un père et de sa
fille
qui ne pouvaient toucher a un chien ni à un cha
nue tuberculeuse, n'a pas eu de convulsions ; 3° notre ma- lude; 3°
fille
, bien développée, dix-sep tans, intelligente, s'e
est pas possible de savoir le nom. - Il y a eu cinq enfants; quatre
filles
et un garçon. Ils sont tous vivants. Tous sont
Ils sont tous vivants. Tous sont forts et bien constitués, sauf la
fille
cadette, âgée de quinze ans, qui est un peu dél
f la fille cadette, âgée de quinze ans, qui est un peu délicate. La
fille
ainée, âgée de vingt-deux ans, qui a été nourri
nfant est un garçon, âgé de treize ans, et les deux autres sont des
filles
, âgées de huit et cinq "ans. Rien à noter du cô
inte d'elle, sa mère fut effrayée par un laureau. A sept ans, celle
fille
cessa de ' Médical Presse and Circulai', 14 nia
formé, né à terme, mort à six mois, en nourrice, de convulsions; 2°
fille
, née à terme, bien conformée, intelligente, mor
bien conformée, intelligente, morte à trois ans de convulsions; 3°
fille
mort-née à terme (présentation des pieds), bien
e mort-née à terme (présentation des pieds), bien conformée; - 40
fille
, morte à treize ans d'un abcès du foie; elle étai
ent lourds et épais; la face ronde et sans expression. Cette petite
fille
ne pouvait parler, mais elle émettait desbruits i
eur rôle physiologique. 360 CLINIQUE NERVEUSE. 1° Baillarger 1. -
Fille
de vingt-quatre ans; extirpation pro- bable de
1882; en mars 1883, cachexie crétinoïde. 21° Kocher. -Enfant P...,
fille
de quinze ans, goitre kystique, extirpation tot
sissement de la peau du visage et des mains. 26° Baumgartner 1. -
Fille
de seize ans, extirpation totale d'un goitre de
nt des facultés intel- lectuelles et physiques. ? 8° Baumgartner. -
Fille
de vingt-trois ans ; extirpation totale d'un go
a succombé depuis à une hémorrhagie pulmonaire. 29° Baumgartner.
Fille
de vingt-deux ans ; extirpation totale d'un goi
r (p. 422). IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 365 32° Bruns. -
Fille
de vingt-six ans, opérée depuis quatre ans, pré
s de la cachexie pachydermique. 3' ? ° Pictrzikowski-Gussenbauer.
Fille
, âgée de dix-sept ans, goitre colloïde kystique
ut de la cachexie pachydermique. 38° Piclrxikowski-Gussenbauer. -
Fille
, âgée de dix ans, goitre vasculaire; extirpatio
ter des symptômes de cachexie pachydermique. 39° Baumgartner 5. -
Fille
de vingt-cinq ans; goitre circu- laire ; extirp
ante de service, et lui dit que B... est montée dans le dortoir des
filles
de service, et que très probablement elle n'y é
e de se voir camisolée et dit qu'elle serait bien mieux à aider les
filles
du service à mettre en ordre le dortoir. B... n
les instances auprès d'elle, B... se révolte, se plai- gnant que la
fille
nous ait fait sur elle de mauvais rapports; ell
, et son épilepsie a laissé également sa marque chez cette pauvre
fille
. Les dispositions maladives du père et des grands
ge le 16 octobre 1879, était parti de chez lui suivi d'abord par sa
fille
, puis avait couru dans la rue, échappant à tout
'est sous l'influence du délire de persécution qu'il a frappé cette
fille
, et il s'empresse, dès son arrivée, de mettre e
r du linge au milieu de la chambre; qu'une autre fois, il saisit sa
fille
à la gorge, très surpris bientôt après en appre
truction du linge par le feu et la tentative de strangulation de la
fille
. La mélancolie de B..., née directement de la v
tes. - Pas de consanguinité. Deux enfants : 1° notre malade; 2° une
fille
âgée de sept ans, intelligente, jouissant d'une
orts en nourrice ; on ne sait s'ils ont eu des convulsions ; 4° une
fille
de 10 ans, et 5° un garçon de 7 ans, bien porta
iverses reprises de vol, de violences, de tentatives d'incendie, la
fille
J. C. présente les déformations palatines spé-
s menstruelles, elle est plus indocile, plus excitable; elle est la
fille
d'un alcoolique qui s'est suicidé et compte des
s élèves dans les établissements d'instruction, aussi bien pour les
filles
que pour les garçons, M. Ilack Tucke conclut en
omnium mulierum vir, et Octave commettant l'inceste avec sa propre
fille
Julie, M. P. Moreau cite Tibère, Caligula, Claude
de la duchesse de Berri, et, dit-on, de l'ab- besse de Chelles, ses
filles
? On courait, comme au bal, à ses orgies libidi
obstacle à ses emportements licencieux, ne s'était point mariée. La
fille
du Régent, reine d'Espagne, s'était constitué u
M. P. Moreau nous montre la nymphomanie sévissant chez des petites
filles
au- dessous de sept ans, chez les nubiles adole
a vu un enfant de trois ans, non seulement se jeter sur des petites
filles
, mais sur des femmes, et les sommer, avec audac
ère de notre malade; 2" un garçon actuellement bien portant; 3° une
fille
morte àLariboisière d'une fièvre typhoïde; 4° u
° une fille morte àLariboisière d'une fièvre typhoïde; 4° une autre
fille
épileptique, morte du choléra à la Salpêtrière
lle épileptique, morte du choléra à la Salpêtrière en,1849 ;, cette
fille
était de plus 1 id¡'ate et était entrée à l'hos-
ques dans la famille.] - Pas de' consanguinité. Huit enfants : deux
filles
et umgarçon sont morts du croup ; un garçon est
âstichè'"spi : iallàhIT{¡;'hg'bei klien, kindrn ? deI Etb.1' Petite
fille
âgée de dix ans boiteuse depuis , qu'elle a com-
s lequel elle évolue, les premiers sujets auxquels elle s'attaque (
fille
de 26 ans, hystérique de- puis huit ans) rappel
nt : « 31. le Président. - Et cela vous a suffi pour décider que la
fille
Covarel devait être enfermée de nouveau ? Le té
ère en bon état. La troisième observation se rapporte à une jeune
fille
, morte dans sa treizième année, et dont le déve-
1 publia une autre observation détaillée de porencéphalie, chez une
fille
de 17 ans, qui avait succombé à une phtisie pul
celles qui touchent, sur un seul côté du cerveau. Le sujet est une
fille
de 24 ans, X... : son père était un ivrogne ; s
it jamais eu d'accidents spécifiques; c'est du reste une très forte
fille
, bien musclée, sans trace de scrofules, n'ayant
ait exposée par sa profession. Nous ajouterons qu'une autre jeune
fille
du même atelier était, vers la même époque, att
lle. ] Pas de consanguinité. Trois enfants : 1 ° Nicolas ; 2o une
fille
, âgée de 6 ans et demi ; elle est assez intelli
st assez intelligente ; elle a eu de petites convul- sions ; 3° une
fille
, âgée de 3 mois et demi, paraissant intel- lige
° un garçon âgé de 2 ans, intelligent ; pas de convulsions ; 3° une
fille
de 4 mois, bien venante. Durant la grossesse,
ation IV. - Gliôme de la protubérance et du cervelet. - Edmar P...,
fille
de huit ans. Six semaines avant l'entrée à l'hô
extase qui ne s'obser- verait guère, d'après M. Beard, que chez des
filles
neurosthé- niques ; 9° des paralysies partielle
RRE. Le sujet de l'intéressante observation de M. Cullerre, jeune
fille
de 22 ans, présentait, outre les phénomènes ordin
cette infirmité. Il en eut deux enfants, un fils sourd-muet et une
fille
entendant et parlant. 'Celle-ci se marie avec u
le-ci se marie avec un homme bien constitué et donne le jour à deux
filles
sourdes et muettes et à un fils qui entend et p
, je signalerai les enseignements qu'on en peut tirer. Cette grosse
fille
, âgée de 34 ans, est une de nos plus anciennes pe
relativement à la signification de ce mot : cela veut dire que cette
fille
est atteinte de deux maladies, dont les accès s
n révéler, quant à présent, de notre opinion au père non plus qu'à la
fille
, dans la crainte de perdre leur confiance ; nous
n, du reste, avait l'air efféminé, était entouré de joujoux de petite
fille
. Je prescrivis les toniques, l'isolement pour le
s, du moins, ne se montre certainement pas aussi rebelle que chez les
filles
. Je prescrirai : 1° l'isolement, pour soustrair
ans, et est atteint de la môme affection qu'elle. Entre le père et la
fille
, vous le voyez, la ressemblance est frappante. Ch
sont atrophiés; jamais on n'a constaté chez lui, non plus que chez sa
fille
, la moindre trace d'hypertrophie des muscles. Il
la moitié droite, seul point où la contraction s'opère. Comme chez sa
fille
, nous constatons une intégrité complète des muscl
déjà présentée comme atteinte de chorée vulgaire. Chez cette jeune
fille
, la maladie est en décroissance, et les intervall
ar M. Gilles de la Toukette. 2. Procès-verbal fait pour délivre une
fille
possédée par le malin esprit à Louviers (1591).Bu
t des sciences occultes, livres qu'elle n'hésitait pas à confier à sa
fille
. Quant à M. X..., que le spiritisme avait laissé
e vous le rappeler, se compose de trois enfants : deux garçons et une
fille
. C'est chez celte dernière, âgée de treize ans et
dinairement nous voyons eela à venir es monastères, principalement de
filles
(comme estans les commodes organes des tromperies
sirer, sous de nombreux rapports. Voici maintenant Julie, la petite
fille
, l'aînée des trois: il me semble qu'elle a grandi
t des suites d'une chute dans le feu survenue dans un accès. Les deux
filles
de cet oncle étaient également épileptiques. Rig.
ts, dont quatre sont morts en bas âge. Des cinq qui vivent encore,une
fille
de 15 ans a des crises de nerfs; une autre,âgée d
es d'hystéro-épilepsie que M. Marie a constatées ici même ; une autre
fille
est faible d'intelligence ; enfin deux garçons ne
ins; grand oncle et cousines germaines de la mère épileptiques ; deux
filles
, dont l'une est hystérique, l'autre hystéroépilep
vers les femmes. Il lui est arrivé souvent de courir soudain voir une
fille
pour venir ensuite reprendre son travail. Il est
ès souvent d'aller au bal et de passer la nuit au cabaret ou avec des
filles
. Ces excès se renouvelaient de temps à autre, plu
ique. 2e cas. (Communiqué par M. le professeur Lannelongue). Petite
fille
ce 13 ans. Père atteint de paralysie infantile; m
à une opération du tendon d'Achille pour un pied bot chez une petite
fille
de 6 ans, sans anesthésie. L'enfant était, avant
s. Certes, la mère ne conseillera pas la lecture de ce mémoire à sa
fille
et je ne la lui conseillerai pas davan- tage à
rt de la poitrine. « Ma mère a eu avant moi et d'un autre amant une
fille
, ma demi-soeur, qui est sujette-à des idées noi
e dix et douze ans ; sur ce même nombre il y avait 29 garçons et 14
filles
(pour les autres le sexe n'était pas indiqué) et
qué) et sur 13 cas observés par l'auteur on comptait 8 garcons et 5
filles
. Toutes les formes de psychoses peuvent se renc
se compose du directeur, 5 asiles d'aliénés. de sa femme et de sa
fille
ces deux dernières vaquant aux soins du ménage
garer l'attention déjà si difficile à fixer chez les imbéciles. Les
filles
apprennent à coudre, à tricoter, à broder; les
nfant sur- venue dès son plus bas âge ; en conséquence, la petite
fille
ne pouvait faire que quelques pas sans béquil
r par lui-même que sa force lui revient. Je fis s'exercer la petite
fille
deux fois par jour avec ce poids de 50 grammes
t de mul. Léonie L... était, à son arrivée à Villejuif en 1889, une
fille
de treize ans tiès brune, d'aspect enfantin et
ue, il est ma- rié, a quatre enfants bien portants ; il a perdu une
fille
poitrinaire à vingt ans. Une tante paternelle,
'âge de trois ans en faveur du mari. Quatre enfants : 1° L'ainée,
fille
, seize ans et demi, n'a jamais eu de convulsion
ts ; elle est très obéissante, s'occupe avec dévouement des petites
filles
gâ- teuses et en prend soin comme une véritable
yen, alors que j'étais professeur à Kasan, j'eusse sauvé une petite
fille
de cinq à six ans qui s'adonnait à l'onanisme p
ublié l'histoire d'une famille composée de trois garçons et de deux
filles
entrés le même jour à l'asile avec un délire re
.. est épileptique, 1 Pour toutes les fêtes du Congrès, les femmes,
filles
et soeurs de JIN. les membres du Congrès seront
tées. Un Comité de dames est organisé pour la réception des femmes,
filles
et soeurs de les mem- lues du Congrès. Ce Comit
en personne vint leur ouvrir. Mise au courant du récit fait par sa
fille
, elle déclara que celle-ci était folle et qu'el
est ivre, lafemme Marie a la boisson brutale et martyrise sa petite
fille
de sept ans, au point que plainte a été portée
2° Parmi les psychoses qui viennent atteindre les garçons et les
filles
à l'époque pubère, il y en a une particulière, l'
la puberté chez des sujets de quinze à dix-huit ans (53 garçons, 57
filles
), qui peuvent se classer au point de vue de l'é
s additions complémentaires. Les cas analogues à celui d'une petite
fille
que nous avons récemment ob- servée sont de nat
du ménage. Mais elle accou- cha, il y a cinq semaines, d'une petite
fille
qu'elle fut obligée de soigner et de nourrlr, c
ier du Val-de-Grâce, qu'il avait voulu manger de caresses sa petite
fille
. Le magistrat a fait diriger l'alcoolique sur l'i
est encore un enfant, de neuf ans celui-là, d'lngoulème, fils d'une
fille
qui habite rue de Périgueux, qui comparait sous l
groupes sadistiques et souvent aussi fétichistiques des piqueurs de
filles
, des coupeur-, de robes, des frotteurs, des exhib
ette affirmation est trop absolue. (B.). 2 Le quartier consacré aux
filles
idiotes à Villejuif n'existe plus depuis deux a
n mari, maçon, était à son travail, elle faisait absorber sa petite
fille
, âgée de six mois, la moitié du contenu d'une f
voulu se charger provisoirement des cinq enfants dont l'aînée, une
fille
, est âgée de sept ans. (Le Temps du 22 octobre
de la machine à coudre ! » Diettrich ne bougea pas, sa femme et sa
fille
se mirent à pleurer ; le brigadier et ses amis
ses amis l'ont vu à la fenêtre. Tous les jours, Mmo Diettrich et sa
fille
portent le Archives, 2 série, t. X. 31 Í 530
ait l'air d'un ouvrier se servant de la machine, à tel point que sa
fille
, en plaisantant, lui mit un instant les lunette
lus intime ; en effet,un fils de Jean Marlinetto épousa en 1881 une
fille
de Joseph Chiodo. Or ces deux jeunes gens, qui ét
ants et bien portants. Aucun de ses fils ne mourut en bas âge ; une
fille
seule est morte à la suite d'un accouchement, et
souffert de troubles nerveux plus ou moins analogues à ceux de ses
filles
. Sa femme devint enceinte pour la première fois
en des difficultés. Il parait probable, toutefois, que cette petite
fille
n'a jamais eu qu'une intelligence rudimentaire.
st aigri et ce qui domine dans le tableau psychique de cette pauvre
fille
, c'est l'instinct dans toute sa puissance anima
est bon, son intelligence est éteinte. La vie psychique de cette
fille
de 21 ans est réduite à l'évaluation de son ins
al et le réflexe pharyngien sont normaux. L'attitude de la petite
fille
est un peu relâchée ; son dos est légèrement voût
elle s'était montrée intelligente absolument comme une autre petite
fille
du même âge. Actuellement, au contraire, Elisab
dineuses sont à peine en train de commencer. Les pieds de la petite
fille
sont ballants, l'atrophie des muscles intrinsèque
es la maladie débuta dans la pre- mière enfance. Les parents de ces
filles
étaientcousins. Le tableau morbide était consti
te dans le jeune âge; un fils est âgé actuelle- ment de 33 ans, une
fille
de 32 ans ; tous deux sont bien portants. A l'â
ruste. Imbécillité. Louise Cli., âgée de quinze ans, est une grosse
fille
de taille moyenne. Elle est depuis trois ans ho
l, et ses propres parents, étaient très petits. La grand'mère était
fille
d'alcooliques. Les deux grands-parents, marchands
, toutes sont méchantes et insociables. De leurs enfants une petite
fille
est « très bizarre ». La mère qui a donné ces r
nté et depuis lors elle n'eut aucune maladie méritant mention. La
fille
a aujourd'hui 12 ans environ, elle est haute de 8
sa mère et n'eut jamais aucune maladie. Il n'y a aucun doute que la
fille
aussi ne soit un cas typique d'achondropla- sie
oplasiques, comme nous le démontrent les photographies, est née une
fille
qui main- tenant a 12 ans, est haute de 80 cent
portrait de sa mère. Ici il n'y a pas de doute qu'il s'agisse d'une
fille
achondroplasique ; au moment de l'ac- couchemen
pparurent quatre mois après l'infection. La seconde se réfère à une
fille
de 22 ans, chez laquelle, en même temps qu'une
e à huit, la gourme. La famille qui a depuis longtemps abandonné sa
fille
n'a donné aucun renseignement sur le début de l
it de petites exostoses des métarcapieus- Meyer (I) a noté chez une
fille
de quatorze ans un raccourcissement de l'index
l'époque de la conception ni ultérieurement. Le premier-né fut une
fille
de nom Amalia,parfaitement symétrique, qui à l'
haut de Om. 950 et qui était bien développé ; le second était t une
fille
qui naquit le 1er novembre 1876 et qui, à 15 mois
Deux années plus tard notre couple eut un nouvel enfant : une petite
fille
qui, à ce qu'on nous dit, était encore plus pet
ois ; à la seconde grossesse elle accoucha normalement d'une petite
fille
saine, qui a actuel- lement 2 ans, qui est le p
bas. , . ..Observation IV. Alessandriua Gazzano, âgée de 22 mois,
fille
de notre troisième sujet. Nous parlerons très b
ement qui semble être en train de se manifester chez elle. Elle est
fille
du nain qui a été l'objet de l'observation précéd
fois : raccourcissement du même métatarsien chez la mère et chez la
fille
, bien qu'à un pied différent (obs. IV) ; anoma-
leurs que les ascendants aient été sains et beaux. Nos enfants sont
filles
et petites-filles de tarés : elles sont, comme à
nos observations se taisent, de syphilitiques. Ch... est une grande
fille
née de parents et de grands-parents très petits
ieds, il s'agissait tantôt du quatrième métatarsien (obs. 4 mère et
fille
, Ilirtz) ; tantôt du qua- trième et du cinquièm
y a moins de cellules, elles sont chétives parce qu'intoxiquées ou
filles
de cellules intoxiquées. La tuberculose n'est s
syn- drome microsomie ; notre quatrième cas, concernant une petite
fille
de 22 mois nous retiendra beaucoup moins, car l
al (microsomie essentielle ou primordiale) qui a engendré une autre
fille
naine aussi, dès sa naissance. En second lieu n
, tout jugement nous semble prématuré en vue de son très jeune âge.
Fille
d'un spécimen classique de microso- 682 ETTORE
est tout dans le fait que la petite Alexandrine est certainement la
fille
d'un microsome classique qui, à son tour, descend
taire est probable ; ainsi, il a observé une famille où la mère, la
fille
et le petit-fils n'avaient qu'un seul doigt aux
emblante, m'arracha des mains. Ils avaient encore avec eux une petite
fille
de seize à dix-sept ans ; c'était une brune, fort
urquoi. Règle générale dans ces pays, à l'âge de trois ans, la petite
fille
subit une opération qui lui supprime les grandes
ferments. Il eut deux autres fils qui moururent de la peste et une
fille
atteinte de la lèpre (?) et qui en guérit par mir
RDES (1) Marguerite Mouche, atteinte du mal de Pott, est une petite
fille
de cinq ans. Elle claudique encore mais son état
e cause de fièvre, parce que s'il en était ainsi, si la chaleur était
fille
de la putridité, la fièvre ne devrait pas commenc
. « O ma mère, dit-il, je t'en conjure, ne lance point contre moi ces
filles
aux yeux sanglants. Les voilà, les voilà qui s'él
étaient là des choses extraordinaires qui n'étaient pas « propres aux
filles
de Sainte Marie, qui ne voulaient rien d'extraord
, mais en vain : « Jésus rendit mes efforts inutiles : Combattons, ma
fille
, me disait-il, « nous verrons qui des deux rempor
des créatures et me détruire dans leur « estime: « Ne crains rien, ma
fille
, j'y mettrai bon ordre, répond Jésus-« Christ. »
it le faire que tous les huit jours. En moins d'une demi-heure, cette
fille
passa de cet étrange état à une santé parfaite ;
aconte dans certains ouvrages du commerce secret des incubes avec des
filles
, des hommes, des chérubins avec des dévotes, des
anguir. C'est ainsi que Jésus dira à Marie Alacoque « combattons ma
fille
, nous verrons qui des deux remportera la victoire
'est ce que nous appellerions volontiers de la psychologie de vieille
fille
, et la science en est déjà trop encombrée. Tout
présente. Il y a quelques années, par exemple, on m'amena une petite
fille
de cinq ans qui avait été renversée par un énorme
uggestion ainsi faite me donna d'excellents résultats chez une petite
fille
et un petit garçon atteints d'incontinence d'urin
nfin par le cas d'une enfant de 11 ans, onychophage depuis l'enfance,
fille
d'un père alcoolique et d'une mère nerveuse et qu
rts de parenté les plus étroits, c'est-à-dire pères ou mères, fils ou
filles
, frères ou sœurs, oncles ou tantes, neveux ou niè
de Seine (3) ». De son mari, Jean Jouvenel, elle eut 9 garçons et 7
filles
parmi lesquels : Jean Jouvenel (23 nov. 1388-14
hel Jouvenel des Ursins et Yolande de Montberon eurent 6 garçons et 4
filles
, parmi lesquels : Eustache Jouvenel des Ursins,
an Jouvenel des Ursins, vivant en 1498. Celui-ci eut 7 garçons et 6
filles
, parmi lesquels : Jean Jouvenel des Ursins, doy
u cinquième étage et se tue ; le soir même une voisine perd sa petite
fille
; elle entend les deux malheureuses mères sanglote
e absolument les idées émises par M. Farez. Il s'agit d'une vieille
fille
qui est atteinte depuis la mort de sa mère, surve
tent d'un cerveau actif et vigoureux. * L'école publique où souvent
filles
et garçons sont mélangés dans les classes leur of
: sa mémoire en effet a fortement baissé depuis quelques années. Sa
fille
nous apprend que c'est à la suite de sa dernière
s l'avons dit, ren- seigne mal sur le début de son affection, et sa
fille
nous a été utile pour le pré- ciser ; elle a ou
prend plus qu'une seule tasse de café). Il est marié, et a uue petite
fille
de 10 ans, qui, dit-il, a un léger tremblement
ge et Feindel (97) ont rapporté l'intéressante histoire d'une jeune
fille
chez laquelle on constatait à la fois un torticol
pas publié, dans ce recueil, en 1896 (2), l'étrange aventure de la
fille
d'un tireur de pierres de St-Geosmes, qui fit acc
térieux » de l'hystérie, les supercheries et les débordements de la
fille
de St-Geosmes peuvent encore « en im- poser ».
rs la connaissance de la vérité. z(1) Henry Meige, La maladie de la
fille
de St-Geosmes d'après J. François Clément Moran
oujours régulièrement dans la suite. Mariée à z4 ans, M... eut deux
filles
qui sont bien portantes. A 42 ans, M... fut att
désire la mort ; elle prétend qu'elle va rui- ner sa famille ; ses
filles
vont tomber malades parce qu'elles se sont tuées
ables, mais la parésie n'a pas disparu. Observation III. J. J...,
fille
, 9 ans et demi, du département (laen) de Kronob
e inférieur droit. Pas d'autres symptômes. Observation IV. G. L...,
fille
, 2 ans, de Oestra Noebbeloef. La maladie a comm
bservations sans symptômes de méningite. Observation V. E. A. E...,
fille
, âgée de 7 ans et demi, de Bondkyrko- foersamli
ondkyrko- foersamling, entre à la clinique le 24 mars 1908. Cette
fille
est tombée malade soudainement le 10 mars avec ma
eaucoup améliorée, mais n'a pas disparu. Observation VI. - G. K...,
fille
, àgée de 2 ans et demi, de Tuna, entre à la cli
i, de Tuna, entre à la clinique le 22 août 1908. Le 13 août cette
fille
s'est trouvée abattue et avait des vomissements.
s à gauche. L'amélioration faisait des progrès rapides, et quand la
fille
quitte la clinique, le 26 septembre, elle march
es inférieurs sont égaux des deux côtés. Observation VIL S. 0...,
fille
, 4 ans, du département de Kronoberg. En avril 1
membre inférieur gauche. Le 19 juillet de la même année, j'ai vu la
fille
et j'ai constaté une parésie combinée d'atrophi
grand nombre de mouvements du membre. Observation VIII. E. N...,
fille
, 18 ans, du département de Kronoberg. Le 24 jui
fille, 18 ans, du département de Kronoberg. Le 24 juillet 1905, la
fille
a eu mal à la tète et est restée au lit un jour.D
une parésie du membre inférieur droit. Le 5 juin 1906, j'ai vu la
fille
et j'ai trouvé une parésie de quelques mouve- m
i que quelques personnes en sont mortes. Observation IX. A. P...,
fille
, 2 ans et demi, de Oestra Noebbeloef. Elle a eu
ervations avec symptômes de méningite. Observation X. - A. V. A...,
fille
, âgée de 7 ans, de Jaerlaasa, entre à la cliniq
lètement disparu. Depuis le 17 mars les parents n'ont pu asseoir la
fille
dans le lit, parce que tout essai de le faire a p
Observations sans symptômes de méningite. Observation XIV. L. E...,
fille
, âgée de 5 ans, d'Upsala, entre à la clinique l
l'on presse sur la colonne verté- brale. Observation XV. A. J...,
fille
, 8 ans, du département de Kronoberg. La maladie
e inférieur droit, combinée d'atrophie. Observation XVIII. L. K...,
fille
, âgée de 2 ans et demi, de Tuna (jumelle de la
VIII. L. K..., fille, âgée de 2 ans et demi, de Tuna (jumelle de la
fille
de l'observation VI), entre à la clinique le 22 a
érieurs n'est que très peu développée. Observation XIX. E. A. J...,
fille
, âgée de 16 ans, de Staby, entre à la clinique
des symptômes semblables et est mort le 23 août. La maladie de la
fille
a aussi commencé le même jour (le 20) avec mal de
ômes de méningite. Observation XXII. M. M..., âgée de 2 ans 4 mois,
fille
de Gladsax. Quand l'enfant avait 7 mois, elle e
a eu presque en même temps cinq autres cas analogues. Cependant la
fille
a quatre frères et soeurs plus âgés qui n'ont p
maladies infectieuses le 18 novembre. Observation XXIX. 0. A...,
fille
, âgée de 13 ans, entre à la clinique le 12 avri
observé que pendant ces crises la par- tie antérieure du cou de sa
fille
devenait plus volumineuse. En dehors de ces pér
aussi grand et aussi fort que lui-même. Le second enfant est une
fille
, de taille moyenne, qui est du côté de la mère
et de laquelle Otto n'a depuis longtemps aucune nouvelle. L'autre
fille
est, parait-il, grande et bien portante. Antécé
ntant des symptômes d'acromégalie sans gigantisme, chez cette jeune
fille
la maladie a débuté vers l'âge de tu ans, mais ma
. Sa mère est saine, petite et maigre. Ils ont eu 7 enfants, dont 2
filles
et 5 gar- çons ; tous les frères du malade se p
n un cas antérieur de von Eiselsberg et l'observation de la jeune -
fille
qui a fait le sujet d'une communication et qui aé
é elles aussi à une simple suggestion. Observation II. - 0. B...,
fille
de treize ans. Père vivant, nor- mal ; mère cin
ivie d'un heureux résultat. 27 juin 1895.- La mère m'annonce que sa
fille
est parfaitement guérie et qu'elle est devenue
RAPEUTIQUE. Ce cas est fort différent du précédent. Il s'agit d'une
fille
à antécédents héréditaires graves, devenue inco
e satisfaire immédiatement. Mère normale. Huit enfants : une grande
fille
de seize ans ayant été atteinte d'incontinence
spontanément après l'établissement de la menstruation; une seconde
fille
qui a eu de temps en temps quelques mictions in
s involontaires; deux garçons atteints d'incontinence complète; une
fille
qui a eu des convulsions. Les autres enfants, e
ériode hypnogogique qui suit le coucher. Observation VI. L. V...,
fille
de treize ans. Aucun renseigne- ment sur sa fam
ENCE D'URINE PAR SUGGESTION. 17 Observation VII. F. M..., sept ans,
fille
unique. Père tuber- leux, mère normale, intelli
ar l'intermédiaire d'un rêve mictionnel. Observation IX. - V. X...,
fille
de treize ans. La mère, qui me l'amène, n'habit
ure où on la réveille pour la faire lever, on la trouve mouillée.
Fille
d'aspect assez florissant, réglée depuis un an, s
n'eût pas manqué de me ramener la malade. Observation X. T. U...,
fille
de treize ans. Père normal; mère lymphatique; t
'exonération entre le lever et le coucher. Observation XII. M. B...
fille
de quatorze ans. Père d'une intelligence peu dé
- vation survenue vers la dixième année. Observation XV. R. S.. ,
fille
de quinze ans. Sa famille n'est pas exempte de
uinze ans. Sa famille n'est pas exempte de tares nerveuses. Forte
fille
rousse, très fraîche, d'aspect florissant, d'une
continence hystérique. B. Améliorations. Observation XXI. Bée...,
fille
de douze ans. Père normal; mère nerveuse; ils o
jeune âge, une hystérique à stigmates. Observation XXII. M. C....
fille
de treize ans. Mère morte de tuberculose, père
lleur cavalier du régiment, il a donné des leçons d'équitation à la
fille
d'un général », allégation que nous prîmes (à t
phtalmique avec troubles paralytiques et convulsifs. Chez la petite
fille
, les incidents ont présenté d'emblée le caractère
elle compte 21 sujets, dont 4 de la Charente-Inférieure; celle des
filles
en a 16, dont une du département précédent, elle
petit domestique de ferme, sachant fort bien conduire les boeufs.
Filles
.-Sur cinq enfants gâteuses, quatre ont été rendue
s et 827 femmes. Dans ce nombre figurent 16 enfants (8 garçons et 8
filles
). Lorsque nous avons visité l'asile en 1886, il
aliénés EN liberté. - On annonce que lady Mary Bligh, la troisième
fille
du comte de Darnley, vient de se noyer dans un
ans, ouvrier paveur; la femme, âgée de vingt-trois, et leur petite
fille
, qui vient d'avoir deux ans. Vers dix heures et q
son ataxie motrice. M. B..., âgée de trente et un ans, modiste et
fille
galante, céliba- taire, entrée à la Salpêtrière
reize à quinze ans chez les garçons et de douze à quatorze chez les
filles
. Plus tard, cette non différenciation est patho
royale. En effet, sollicité dès le 12 novembre 1791 au sujet d'une
fille
épileptique, le Directoire répond qu'il lui est
t le danger. En janvier 1 193, le Directoire refuse de secourir une
fille
attaquée de la vue et presque en démence parce
e, au bas du Crocq, à Armentières, a tenté d'assassiner une jeune
fille
de dix-huit ans, nommée Marie Vaudenabeele, serva
s je ne doute pas que, dans les grandes lignes, ce qui est vrai des
filles
, ne le soit également des garçons. Les enfant
iable, dans la dépense qu'ils nécessitent, entre les garçons et les
filles
. Au moins au- tant que celles-ci, ceux-là sont
dresse. Elle lui raconta successivement qu'elle demeu- rait chez sa
fille
, Lucie Carreau, 57, rue Boursault, mariée à un
- Amélioration. - En avril 1893, en effet, elle a perdu sa pe- tite
fille
. Cet événement n'a été l'occasion d'aucune manife
ne prend presque aucune nourriture, tant l'a- norexie est complète.
fille
le contracte en outre l'habitude de se larder l
tion de cause à effet, pour qu'elle communiquât son impression à sa
fille
, et, par un phénomène d'autosugges- tion, le se
ge, -etc.), et pour la Société (couture, lavage, repassage pour les
filles
, ateliers divers pour les garçons), instruction,
e de I-Iohensal. Cette mégère avait tué à coups de sabot une petite
fille
de deux ans, Marie Noeak qui avait été confiée
eiller l'évolution de la vie sexuelle chez les garçons et lesjeunes
filles
et de les diriger dans ce sens. Notre ob- serva
es primaires supérieures et les collèges communaux de garçons et de
filles
. Les écoles spéciales recevraient, outre les ex
direction deux sections différentes, l'une de garçons, l'autre de
filles
. Art. 4. La subvention accordée par l'Etat pour
ent volontaire. M, Félix IEGNAULT.- J'ai vu à l'étranger une petite
fille
que ses parents, concierges d'un musée, avaient
u Cher, après avoir dans un accès de folie subite, égorgé sa petite
fille
, était interné depuis plusieurs années à l'asil
1901, rupture avec un protecteur et mécontentement au sujet de ses
filles
; 1903, persécutions.) Brus- ques et intermitte
t ans, un amant précieux l'abandonne ; des dis- putes avec ses deux
filles
viennent lui porter un dernier coup elle vieill
tion. En 1902, elle n'était pasdénuée de ressources; trois vieilles
filles
, dont l'association ne manquait sans doute pas de
urant le même temps, Marie Forel logeait encore chez ses vieil- les
filles
; mais elle s'aperçoit qu'un Monsieur, elle devin
ent comme la personne la plus dépravée de l'univers, exci- tent ses
filles
à l'injurier et probablement abusent d'elles. C
gler, elle n'y va pas. A la même date, elle met à la porte ses deux
filles
, qu'elle a z continué de recevoir jusqu'à maint
i : « J'ai dû renvoyer mes deux 1 SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX 331
filles
; le monde comprendra ma souffrance. » Peut-être
e de 72) ; alors que entre soeurs elle est de 28 % et entre mère et
fille
29 %. (Ma- randon de Montyel : Des conditions d
niquement à cause de sa liaison avec moi. Je lui ai dit : ma pauvre
fille
comme je suis contrariée ! En bonne per- sonne,
e poisson ; le Comte de Cambert et les hôteliers lui ont enlevé ses
filles
. Elle est sans ressources. une amie à elle a vu
de mes enfants, toutes mes intuitions se sont réalisées (ainsi les
filles
ont mal tourné, etc, Le célèbre avocat Me D. ne m
us écrire, je travaillerai. Je ferai n'importe quoi ; je me mettrai
fille
de salle, j'en ai assez de la mi- sère, il est
avocat à la cour de Paris, conseiller général de l'Ain, a épousé la
fille
de M. Joseph Reinach député des Casses- Alpes.
, bien portant, intelligent ; n'a jamais eu de convulsions ; 2° une
fille
morte à 1-1 mois, aux Enfants-malades, d'une ma
u de la paraplégie; et le médecin aurait dé- claré à la mère que sa
fille
était atteinte de paralysie infantile. - L'enfa
olut de se suicider, et d'ava- ler un flacon de teinture d'iode. La
fille
de salle lui arracha le flacon juste à temps. D
e, dans les convul- siotts. Parmi les cinq qui vivent se trouve une
fille
, soeur de la malade, qui a eu des crises convul
; la seconde fois, quelques mois plus tard, parce qu'il avait vu sa
fille
unique encore toute petite, sur le point de tom
n nettes et fort intenses. II est bon de dire à ce propos que cette
fille
est une simple. Enfant-assistée élevée à la Sal
ds, dans la mesure de ses moyens. Il n'est donc pas étonnant qu'une
fille
simple, sans culture, ne présente qu'un nombre re
réactions simples. Nous verrons au contraire notre troisième sujet,
fille
plus cultivée, plus intelligente, nous donner des
de dix jours. Un seul mort au bout de 48 heures; c'était une petite
fille
âgée de deux ans et demi qui a succombé en 48 h
t le plusâgé avait douze ans et demi ; j'ai opéré '18 garçons et'12
filles
. Parlerais-je maintenant des résultats définiti
que progressive (Scelig- midler1). Anna Schmidt, vingt-trois ans,
fille
d'un artisan de Nudcrsthof, près Wit- tenberg,
r le/septième enfant d'un même père, sans que la naissance'd'aucune
fille
fût venue se placer- entre 'eux- ; mais, comme
isonnable; elle sort tous les dimanches de l'asile et vient voir sa
fille
. Nous l'avons interrogée sur sa santé, sur le déb
s l'avons interrogée sur sa santé, sur le début de la maladie de sa
fille
, et sa mémoire et ses réponses sont parfaitement
vu ni connu dans leur famille d'affection analogue à celle de leur
fille
, et, dans ces antécédents, on ne peut relever q
la regardait, racontent ses parents, en disant : quelle jolie petite
fille
! » Un artiste qui habitait dans leur maison di
rant menaçant de battre son père, concierge de la maison, la petite
fille
a eu très peur et n'a cessé de pousser des cris d
r- tante, elle a eu sept enfants, dont trois sont morts jeunes (une
fille
morte onze ans de méningite, un garçon de sept
e), et quatre sont vivants. Parmi ces quatre enfants, trois (deux
filles
et un garçon) sont bien portants, travaillent l
et est accourue nous annoncer cette heureuse nouvelle. Notre pauvre
fille
s'était vue en songe en présence de M. Charcot, q
: un oncle paternel qui était épileptique et une cousine germaine,
fille
de cet oncle, qui est épileptique et aliénée (ell
amendée, puisqu'il paraîtrait que, àl'àe de seize mois, lorsque sa
fille
a com- mencé il marcher, la contracture n'exist
la contracture n'existait pas et que, dans la première enfance, sa
fille
marchait, jouait, se servait de ses mains, comme
la date n'a pu être précisée, la mère a remarqué que la main de sa
fille
devenait « vilaine ». Et depuis (rois mois, aff
t en a rapporté un exemple, il la Société médicale, chez une petite
fille
de quatre ans; d'autre part, MM. Ballet et Cres
Cas. LXXV (résumée) (Roth, in eod. loc.). - B..., trente-quatre ans,
fille
du clergé. Après avoir rapporté cette observa
° fils, verrier, trente-six ans, atteint de bronchite chronique; 2°
fille
, née avant terme, morte à un mois; 3° notre mal
ue; 2° fille, née avant terme, morte à un mois; 3° notre malade; 4°
fille
morte de convulsions à dix-sept mois; 5° fils m
onvulsions à dix-sept mois; 5° fils mort phthisique à vingt ans; Go
fille
morte à quatre mois de méningite; 7° fille âgée
thisique à vingt ans; Go fille morte à quatre mois de méningite; 7°
fille
âgée de vingt-quatre ans bien portante, mariée
I'.sculape, enveloppé d’un brillant nuage, m'apparut « avec ses deux
filles
et me promit la santé. Mon sommeil « fut profond
'avenir et pénétraient au fond des pensées les plus secrètes (1). Les
filles
convvisionnaires de Saint-Mé-dard, d’abord au nom
rait dos communications ;i\ec le monde invisible; que les fils et les
filles
des Hébreux prophétiseraient, que les vieillards
ntemplation a été souvent accordé è de petits enfants et à de petites
filles
de quatre à cinq ans, à des gens grossiers et à d
essence, do sa présence et de sa puissance. » (Falconi, Lettre à une
fille
spirit.) sensitives de l’àme, savoir: la rie pi
quelle époque avez vous été consultée sur le fail relatif à la petite
fille
de Fontainebleau? M”' Roger. Je ne me rappelle
Cluseau, rue des Lions-Saint-l’aul, n° 11, pour donner des soins à sa
fille
, âgée de huit ans et demi, et douée d’un tempéram
ne sortirais pas de chez eux sans avoir enlevé le mal de tête à leur
fille
, ce qui parut les surprendre beaucoup. Je fondais
condamné à mort pour crime d'assassinat commis sur la personne de sa
fille
Jenny. Le 23 mars 1852, Elger, contrairement à
elle enveloppe soigneusement dans un papier des cheveux de sa petite
fille
et se rend chez la somnambule. Après une demi-heu
urs ! On parlera de la religion menacée ! Comme si toutes les vérités
filles
du Ciel ne marchaient pas ensemble, sans se heurt
ne impuissante, ou l’engagea à recourir au magnétisme. Cette pauvre
fille
ne réclama pas en vain les secours de M. Houlet,
étisation, fit apparaître les règles pour la première fois chez cette
fille
âgée de vingt-cinq ans. Un fait que nous fit co
lques mois. Ces témoins affirmèrent aussi que l’intelligence de cette
fille
, qui pouvait à peine compter jusqu’à dix, s’est d
s revue depuis le commencement d’avril. Malheureusement, cette pauvre
fille
est obligée de se faire magnétiser en cachette de
ant, et néanmoins la lucide avait de suite désigné avec assurance une
fille
), que l’enfant, dis-je, par crainte ou par suite
était, suivant vos observations sur l’hérédité, aussi sensible que sa
fille
, qui était très-accessible à l’action magnétique.
Le3 parents, réunis à l’entour de son lit, la croyaient morte. Cette
fille
, âgée de vingt-deux ans, d’une constitution très-
r. J’étais accompagné de M. le curé du pays. Je pris la main de cette
fille
sans que personne se doutât de ce que je faisais
sée en visites, ce même Indien a guéri en quelques minutes une petite
fille
qu’on lui a apportée mourante et qu’on croyait pe
geste imparfaitement aperçu est toujours répété par cette infortunée
fille
. Enfin le militaire se retira, comprenant que son
ère crise. Rentrée dans sa vie première, j’eus occasion de voir cette
fille
plusieurs fois. Elle éprouvait un besoin impérieu
a élé présenté par M. Tallmadge comme son ami. Aussitôt la main de la
fille
de M. Laurie a été mise en mouvement et a écrit l
u’elle en ait conscience; c’est ce qui aurait lieu notamment chez les
filles
électriques dont le passage dans un appartement m
u comme un individu excentrique, et qu’il avait écrit des poésies. La
fille
d’une dame du Delà-ware parla alors d’un poëme do
vez pas de mère, vous avez à peine « connu la vôtre, et vous avez une
fille
. Vous êtes la seule « fille de votre famille, et
peine « connu la vôtre, et vous avez une fille. Vous êtes la seule «
fille
de votre famille, et vous n’aurez pas d’autre enf
eurs aux czars, et qui sait le « sort que le ciel réserve à ma pauvre
fille
! » « Elle s'est heureusement trompée ; son ins
eura avec moi toute la.soirée. Malgré le bonheur dont jouissait cette
fille
chérie, elle avait les plus tristes pressentiment
res fois ils mettent, en le magnétisant, un homme en rapport avec une
fille
en état de somnambulisme. Alors celle-ci exécute
de l’ambassade d’Espagne; ils ne s’étaient jamais vus. A peine cette
fille
, assez laide du reste, lui euUelle touché la main
esprit : Je te commande, • au nom de Jésus-Christ, de sortir de cette
fille
, et il en « sortit au même instant. « — Vous co
'ai prie de venir céans pour consulter avec vous sur la maladie de ma
fille
. (Parait Ilomœopathos.) Allopathos. — Qui, lu
cinq ans, l'autre de trois. » La prévenue criait : « Où est ma petite
fille
? me l’a-t-on prise ? je l’aurai jetée par la fen
u 5.) Esther Griggs, prévenue d’avoir jeté par la fenêtre sa petite
fille
, âgée de dix-liuit mois, comparaît de nouveau dev
émigration, épousait, à Carpentras, sa ' ille natale, Mlle de Cohorn,
fille
unique du baron de Cohorn, ancien brigadier des a
ives : « Il est vraiment extraordinaire qu’en unissant aujourd’hui ma
fille
avec le fils aîné de l’ami que je ne cesserai de
en continuant la plaisanterie, marie-toi bientôt et tâche d’avoir une
fille
que tu donneras à mon fils aîné. » « L’union qu
gaire ne prête presque jamais attention. Voici quelques exemples : la
fille
de Polycrate, selon Hérodote (lib. 3), rêve qu’el
. Mon ignorance était un effet bien touchant de la bonté de Dieu. » «
Fille
de Dieu, lui dit sainte Marguerite (p. 332) aie c
peuvent produire dans diverses régions du corps, cite l’exemple d'une
fille
de dix-sept ans, que son père voulait exhiber com
« Je demandai un jour à la patiente où se trouvait actuellement ma
fille
; elle a’hésita pas à me répondre qu’elle était à
peu, et me dit ensuite: qu’effectivement elle s’était trompée, que ma
fille
n’était pas à la station du chemin de fer, mais q
t.... « Je demandai un autre jour à la somnambule ce que faisait ma
fille
; ne le sachant pas moi-même, j’étaiscurieux.de l'
oi, je constatai qu’à l’heure à laquelle j interrogeais la malade, ma
fille
prenait une leçon de piano. Cette expérience boul
t son esprit, ce qui fut cause qu’il s’en va de bon matin trouver une
fille
nécromancienne, luy descouvre son intention et le
ion et le désir qu’il avoit de sçavoir ce que faisoit sa femme. Cette
fille
luy fait voir dans un miroiter sa chambre, et luy
estoit sa femme, il répond qu’oüy, et qu’il reconnoit ce moine. Cette
fille
assure avec serment que c’est Testât auquel estoi
ni mal. n M. Adolphe Marix, négociant, rue Saint-Côme. « Ma petite
fille
était gravement malade et j’avais recouru sans ré
lairvoyance de AI1"' I). sur la personne d’une enfant bien chère, une
fille
de 15 ans... — Nous abrégeons cet article de M.
r le point de mourir, était fort affligée de laisser sur la terre une
fille
pour laquelle elle avait beaucoup d'affection. Vo
fille pour laquelle elle avait beaucoup d'affection. Voyant que cette
fille
était douloureusement affectée de la position de
rison, attendu qu’elle doit savoir comment se passe cette comédie. La
fille
pleure , hésite, avoue enfin que c’est elle qui,
ouilh sont les magnétiseurs ; Elisa Sureville, sœur du premier et une
fille
Soucaze, leur servante, étaient les sujets doués
en ces termes (1) : « Dieu de bonté, nous ne sommes que de pauvres
filles
(t) Citaient des Polonaises, et elles priaient en
avec le secours de la carafe, pût voir ce que faisait en ce moment sa
fille
aînée qui était dans une maison de campagne dista
e. En rentrant, X... dit tout à coup à sa femme : e Va me chercher ma
fille
, car je suis sûr de mourir cette nuit, je l'ai rê
ts qui nous ont été rapportés : a La veuve X... habite aves sa petite
fille
, perdue d'une jambe, une petite mansarde. Tous le
, recours au magnétisme. Lundi dernier donc, la femme X... couvrit sa
fille
de passes magnétiques qu’elle continua longtemps
pectable, et craignant Dieu, âgée de vingt-quatre ans, accoucha d’une
fille
qu’elle garda et soigna avec une attention' toute
rmir aussi dur, elle qui auparavant entendait les moindres cris de sa
fille
. Elle s'avance donc près du lit, et lui dit : « M
ormes et cassants. Organes sexuels. La vulve est celle d'une petite
fille
de trois ou quatre ans. La muqueuse est bleuâtr
n portante; elle a eu neuf enfants : deux garçons vigoureux et sept
filles
. Parmi celles-ci, l'une est morte jeune, succom
s : 10 Garçon né à 8 mois, mort à 4(i jours; pas de convulsions. 2°
Fille
née à 7 mois, morte au bout d'une heure; pas de
lle née à 7 mois, morte au bout d'une heure; pas de convulsions. 3°
Fille
née à terme, morte en naissant. 4° Fille, morte
re; pas de convulsions. 3° Fille née à terme, morte en naissant. 4°
Fille
, morte à 28 mois, d'accidents cérébraux comateu
en portant, intelligence ordinaire; violent; pas de convulsions. 6°
Fille
morte à 1S ans, cette année, de la fièvre typho
orceps), mort à deux jours après avoir eu quelques convulsions ; 2°
fille
morte à trois ans de convulsions; 3° notre mala
vul- sions, intelligent; 6° garçon mort à l'âge de huit jours; 7°
fille
bien portante, intelligente, âgée de six ans et d
la caserne qu'il avait essayé d'avoir des rapports avec une petite
fille
de six ans; il n'a jamais essayé d'en avoir avec
s i 6 IMBÉCILLITÉ LÉGÈRE ET INSTABILITÉ MENTALE. avec des petites
filles
, puis il excita les autres enfants à se livrer
ns à la malade endormie qu'un télégramme nous apprend la mort de sa
fille
. A ce moment elle frissonne, claque des dents,
d d'une amie, la peur de la mort de sa nièce, l'ennui de trouver sa
fille
malade, la vue de cette enfant qu'elle croit mo
s émotions devient manifeste pendant l'hyp- nose. La crainte que sa
fille
est morte détermine au bout de quelques minutes
malade a eu trois enfants ;*il ne lui reste plus aujourd'hui qu'une
fille
, âgée de vingt-sept ans, intelli- gente et rang
s boucheries, et elle consacre ce qu'elle gagne à l'éducation de sa
fille
. Cette belle tenue de son caractère et de sa co
e. Du nombre de ses persécu- teurs, la malade n'excepte même pas sa
fille
« qu'on paye pour l'injurier ». Ses récrimina
ustine D..., femme Ch..., est âgée de cinquante-trois ans. Elle est
fille
d'une mère qui s'est toujours montrée intelligent
ils d'une famille qui devait se compléter par la naissance de trois
filles
. Son père attachait la plus grande importance à
it, depuis vingt ans, d'après sa femme, les mains blanches comme sa
fille
, par intermittences. S'agit-il d'hérédité de ma
S enfants; par SUTHERLAND. (Brain, part. 1, 1894, p. 27.) 1 cas :
Fille
de deux ans; anémie, fracture de l'humérus et du
, mort. A l'autopsie, hémorrhagie cérébrale et méningée. 2e cas :
fille
de quatorze mois, rachitisme, oedème des paupière
) Observation bien nette de maladie de Friedreich chez une petite
fille
de quatorze ans; sa famille est remarquablement i
été enfermé pendant deux mois pour avoir à demi étranglé une petite
fille
de six ans. Il y a moins d'un an enfin, le je
reau dans leur tâche inhumaine et sinistre ? B. Autre fait. Une
fille
Christol, idiote, ayant enfermé sa mère l'a laiss
éfaction. La mort remonte à vingt-cinq jours. Quand on interroge la
fille
, elle rit et répond que sa mère est au village.
e Louis de Bourbon.» lire : «Grand-père Louis de Bourbon, épouse la
fille
d'un fou; arrière- grand-père, Robert de Clermo
coexistence de ces phénomènes chez deux soeurs, chez un père et sa
fille
. 13. - 6° Il est certaine forme d'érythromélalg
du plaisir à contempler les pantalons et surtout les sou- liers des
filles
qu'il rencontrait dans la rue. Marié à diverses
es que de travail manuel; 69 étaient incapables de travail; sur 158
filles
, 100 étaient capables d'instruction et de trava
e qui se JETTE dans un puits. Ce matin, vers 10 heures, une vieille
fille
, la nommée Adèle G..., âgée de soixante-sept ans,
intéressante au point de vue étiologique : Mlle Jeanne A... est la
fille
d'un père arthritique et d'une mère nerveuse, q
e, dans la règle puisque c'est de six à dix ans et surtout chez les
filles
qu'on rencontre la chorée. Au point du vue de l
u ont la crainte deiagrossesse ; mais, dans tous ces cas, femmes et
filles
choisissent des amies masculines (comme aspect
ndignation. (Petit Troyen, 28 mars.) . Suicide d'adolescents. Une
fille
Dufour, âgée de vingt ans, demeurantrue du Pont
lé et, pendant deux heures, il a essayé de la rappeler cette pauvre
fille
à la vie, mais tout a été inutile. Cette jeune
ingt ans (fausse couche). L'année sui- vante, elle met au monde une
fille
qui a du strabisme et qui est hystérique. Eta
e des êtres qui réclament quelque chose de plus que les soins d'une
fille
de service et d'un 0 varia. 497 cuisinier ;
teurs : « Ne sentez- vous pas la mort ? » Une nuit elle entend sa
fille
descendre à la cave (il n'en était rien d'aille
a calment en lui affirmant qu'elle fait erreur et en lui amenant sa
fille
. Le soir elle entend sa belle-soeur se lever et
deur de chloroforme partout; le docteur s'en sert pour abuser de sa
fille
. Elle entend une masse énorme s'appliquer au plaf
l'asile de Newengaarden (à Bergen) : La première est celle d'une
fille
, avec fortes tares héréditaires. Depuis l'enfan
VARA. (Presse médicale, Sa décembre 1891.) Observation d'une jeuue
fille
de vingt et un ans, atteinte d'une forme fruste
n toutes les per- sonnes qu'elle connaissait, même les amies de ses
filles
qu'elle accusait aussi de pactiser avec ses pir
ait donner aucun renseignement, lui avaient appris qu'elle était la
fille
d'un roi, etc. C'est avec ce délire absolumen
aux machinations que les jaloux dirigeaient contre elle, contre sa
fille
aînée, etc. Il semblait, en juin 1894, que les
des idées de grandeur, se dit victime de son mari, prétend être la
fille
de Victor-Emmanuel... » Le 28 décembre, 111 ?
sentiments affec- tifs sont tels qu'ils souhaitent la mort de leur
fille
et redou- tentsa guérison. Le certificat du pre
nster, près de Bruges, habitaient la veuve D... et ses enfants, une
fille
âgée de dix-huit ans et un fils âgé de vingt ans,
ade dans son lit, fut réveillée par des cris terribles. Elle vit sa
fille
se tordre au milieu des flammes d'une lampe à pét
de tenter de se tuer, Botereau avait menacé de mort sa femme et sa
fille
. (Le Soleil, 19 juillet.) 1 HO BULLETIN bibli
eulement le délire toxique déjà connu ; il cite l'observation d'une
fille
d'alcoolique qui subit trois opérations gynécolog
on caractère timide, son goût pour les poupées, les jeux de petites
filles
en général, l'ont tenu à l'écart des petits gar
uilibré qui commit un acte délictueux, poussé à la vengeance par sa
fille
morte de misère entre ses bras, en lui désignan
itaux de Paris. « Je suis heureux de compter parmi nos convives la'
fille
de mon prédécesseur, seul reste de cette noble
ans, guéri en cinq mois. M.Paul SOLDER. - Il s'agit d'une vieille
fille
de quarante-trois ans, sans'grande hérédité, d'
ie de Liltlc. M. Poix (du Mans) rapporte l'observation d'une petite
fille
âgée de deux ans et demi, née de parents ne pré
arquet de Bar-le- Duc l'avait informé de l'arrivée des deux petites
filles
et lui enjoi- gnait de les garder à la disposit
- ques. Ses antécédents héréditaires sont inconnus. La troisième,
fille
d'une mère aliénée, a été opérée, il y a huit moi
s prêtres, P.-L. Courier rappelle ce que fit le curé de Pezay à une
fille
épileptique. « Ce curé, dit-il, a soixante-huit
ont pas empêché, dernièrement encore, de prendre dans les boues une
fille
mendiante et tombant du haut mal. Il en fit sa
touffée par le crédit des oints; car le père se plaignit, voyant sa
fille
grosse; mais l'Eglise intervint. Celui qui ne p
7. Aucun renseignement sur ses antécédents hérédi- taires. Elle est
fille
de cousins germains ; son père et sa mère sont
é dans le Bulletin de la Société anatomique l'histoire d'une petite
fille
de cinq ans, opérée d'un spina bifida 'lombo-sa
cool et mérite d'être rapporté avec détails. Il s'agit d'une petite
fille
de cinq ans amenée à l'hospice dans un état com
ue la maladie cancéreuse avait été déclarée incurable. « Puisque sa
fille
n'étoit pas sûre de guérir par cette opération,
restent longtemps méconnaissables. Qu'il soit garçon ou qu'il soit
fille
, organes génitaux mis à part, c'est toujours, à
e. Un homme naît de ce corps indécis. 1 Inversement, si c'est une
fille
, le bassin s'aggrandit, la peau reste fine et g
aux sont normalement constitués; mais sont restés ceux d'une petite
fille
; les grandes lèvres ne font qu'une très faible s
al était resté enfantin. Elle s'amusait encore aux jeux des petites
filles
, travaillant avec légèreté, raisonnant comme un e
corporation de St-Luc (comme élève de Henri van Cleet le vieux). Sa
fille
, Catherine van He- messen, mania aussi le pince
vie, en 1563, P. Bruegel vint se fixer à Bruxelles où il épousa la
fille
de son premier maître, Marie Coecke, beaucoup plu
Rubens. Jean I Bruegel de Velours a eu deux fils peintres, et trois
filles
qui ont épousé trois peintres dont David Tenier
re de l'épidémie de tétanie qui sévit à Gentilly clans une école de
filles
et donna naissance aux rapports d'Ilillairet, de
est encore vivante et a 60 ans. Elle est blonde et grasse comme sa
fille
. Elle a par moment des étouffements qui la font
a souvent des accès de toux sèche. Il est marié sans enfant. Une
fille
qui est la malade actuelle. Les 3 autres sont m
NOGRAPHIE DE LA SALI'ÊTRlÈIIE Elle accouche normalement terme d'une
fille
qui a actuellement 1,1 ails et est bien portant
x précédentes. Enfin, la malade accoucha normalement à terme, d'une
fille
qui a actuellement 9 ans et est bien portante. El
'ailleurs en augmentant. Elle accouche à terme normalement, d'une
fille
qui ne, fut pas allaitée au sein et mourut à 6
'à l'accouchement qui se fait normalement à terme. L'enfant est une
fille
âgée de 5 ans aujourd'hui, très nerveuse, elle a
Pavillon d'accouchement où elle met au monde, dans la journée, une
fille
bien conformée du poids de 2 k. 650. L'accouche
l plusieurs de ses oeuvres, et le maria, en 1637, à sa pupille,, la
fille
de Bruegel de Velours. Dès lors, la fortune de
connaître et d'un mérite secondaire. Teniers le Jeune eut aussi une
fille
, qui épousa Jean Erasme Quellin, connu par ses
assidûment à la Haye l'atelier de Jan van Goyen, dont il épousa la
fille
Grietje van Goyen en 4Gh9, l'ayant, parait-il, as
t,autourdet'est.rade;unpet.itgarçonpasseas.sissurutianc;))ne petite
fille
s'arrête le nez en l'air : un riche bourgeois, au
de a éprouvé une grande frayeur. Ou lui a annoncé subitement que sa
fille
venait de mourir. Il n'en était rien. Celle-ci, v
▲