etc. Chevalier de la Légion d'honneur. AVEC UN ATLAS Composé de 7Zi
figures
électro-physiologiques photographiées PARIS C
du dessin, avait un talent d'artiste. On en trouve la preuve dans des
figures
qu'il a dessinées à la plume, et qu'il a fait rep
e avec celle de tel ou tel autre, on fait apparaître à volonté sur la
figure
, et avec une vérité saisissante, l'image des pass
rne. M. le professeur Cruveilhier a eu l'obligeance de me montrer des
figures
dessinées d'après des préparations anatomiques qu
de cette foule de petits mouvements indépendants, qui écrivent sur la
figure
les impressions si nombreuses de l'âme en caractè
chaque province, aurait eu sa manière de peindre les passions sur la
figure
; peut-être aussi le caprice aurait-il fait varie
On comprend donc comment chaque passion est toujours dessinée sur la
figure
par les mômes contractions musculaires, sans (pie
aises passions. En admettant même qu'un homme bon pût naître avec une
figure
méchante, cette espèce de monstruosité serait tôt
n désirable; elle m'a permis de composer, d'après nature, un album de
figures
qui feront, pour ainsi dire, assister mes lecteur
es au sujet scientifique et artistique dont j'ai à traiter. La vue de
figures
photographiées, qui représentent, comme la nature
physiologiques qui ne sauraient trouver place dans l'explication des
figures
d'un album. Ces considérations d'ailleurs seront
on à la pratique des arts plastiques. J'ai donc composé un album de
figures
photographiées d'après nature, destinées à représ
canisme de la physionomie, et, dans l'explication des légendes de ces
figures
, j'ai résumé les principaux faits qui découlent d
l'art de la photographie. J'ai photographié moi-même la plupart des
figures
ou présidé à leur exécution (1), et, afin de ne l
avec les passions que ces lignes expressives représentent. Ainsi les
figures
qui peignent les passions sombres, concentriques
du clair-obscur; elles rappellent la manière de Rembrandt (voyez les
figures
18, 20, 60, 65). D'autres figures tirées en plein
la manière de Rembrandt (voyez les figures 18, 20, 60, 65). D'autres
figures
tirées en plein soleil, la pose devant être très
lairs-obscurs, mais à la manière de Ribera ( voyez, entre autres, les
figures
22, 40, 41, 42). On trouvera enfin quelques photo
nent l'étonnement, l'ébahissement, l'admiration, la gaieté (voyez les
figures
11, 31, 32, 33,56,57). Toutes les figures de l'
ion, la gaieté (voyez les figures 11, 31, 32, 33,56,57). Toutes les
figures
de l'Album sont assez grandes pour que l'on voie
mbre de cinquante (1). L'Album complet se compose de soixante-douze
figures
photographiées. Elles sont consacrées à l'étude e
, dans des légendes, les études électro-physiologiques auxquelles les
figures
de cet Album sont destinées. Mais la lecture de c
rappellent les principes démontrés par les faits représentés dans ces
figures
, principes qui forment la base de mes recherches
AITS DE SUJETS SOUMIS A DES EXPÉRIENCES ÉLECTRO-PHYSIOLOGIQUES.
Figures
1, 2, 3, à, 5, 6. LÉGENDE. Fig. 1. — Préparat
temps l'élec-trisation partielle des muscles de la face. S0 A cette
figure
triviale je n'ai pas préféré des traits nobles et
l'absence de beauté plastique, malgré les défauts de la forme, toute
figure
humaine peut devenir moralement belle, par la pei
n plus, ne voulant pas faire concourir le geste à l'expression de mes
figures
, j'ai donné à tous mes sujets la même attitude.
des rhéophores et des mains qui les tiennent, nuise à l'effet de mes
figures
, les expressions artificielles que j'ai photograp
à en représenter les résultats par la photographie. On voit, dans la
figure
A, sa physionomie au repos. J'ai aussi fait mou
ts électro-musculaires ; mais c'eût été multiplier sans nécessité les
figures
, dont je suis forcé de restreindre le nombre. Je
artielle obtenue par l'électrisation. Comme ce sujet est jeune, ces
figures
me serviront à montrer les différences qui existe
hysionomie est au repos, que ses traits sont beaux et réguliers. La
figure
photographiée placée en tête de ces recherches, c
est pas aussi facile que l'on pourrait le supposer, à la vue do cette
figure
. Elle exige la connaissance parfaite de la méthod
i que j'ai préféré pour ces expériences, est mieux représenté dans la
figure
2 bis placée au bas de la page 5. (2) L'électri
points d'immersion des nerfs moteurs de la face. — On les voit sur la
figure
2, où les filets nerveux moteurs des muscles de l
é coupés. — J'indiquerai ces points d'élection dans l'explication des
figures
qui représenteront les expériences électro-physio
oints d'élection à travers la peau. L'expérience représentée par la
figure
6 en est une preuve frappante. Le rhéophore placé
e la contraction isolée de ce muscle, ainsi qu'on l'observera dans la
figure
30; mais le courant, trop intense, ayant pénétré
ctrisation localisée. MUSCLE DE L'ATTENTION (frontal, A, fig. 1).
Figures
7, 8, 9, 10, 11. LÉGENDE. (Regarder alternati
DE. (Regarder alternativement et comparativement l'un des côtés des
figures
7, 9,10, 11, et en masquer le côté opposé.) Fig
du point d'immersion de son filet moteur (H, fig. 2), comme dans les
figures
?, 8, 9, 10, 11. Dans la figure 7, le muscle fro
moteur (H, fig. 2), comme dans les figures?, 8, 9, 10, 11. Dans la
figure
7, le muscle frontal droit a été excité modérémen
lonné de plis curvilignes, concentriques à la courbe du sourcil. La
figure
8 montre la contraction électrique, à un degré mo
he sont plus petites que celles des courbes précédentes. — Dans cette
figure
on remarque que les rides frontales sont moins no
e produite par l'un des pôles (le pôle positif) du courant. Dans la
figure
9, où le muscle frontal est représenté au maximum
frontales ne décrivent plus des courbes aussi régulières que dans les
figures
7 et 8 ; ils sont plus fortement tirés en haut du
r le muscle frontal. B. — Expression. Masquez le côté droit de la
figure
7 ou de la figure 9 avec un diaphragme de carton,
l. B. — Expression. Masquez le côté droit de la figure 7 ou de la
figure
9 avec un diaphragme de carton, de manière à ne l
bite est illuminée, la prunelle étincelle de lumière, surtout dans la
figure
9, où la contraction est à son maximum. Et puis
ent spécial du sourcil. Si maintenant vous comparez entre elles les
figures
7 et 9, vous voyez que tout en exprimant, au fond
sent que le sujet éprouve une émotion évidemment plus grande dans la
figure
9 que dans la figure 7. La première (fig. 9) le m
rouve une émotion évidemment plus grande dans la figure 9 que dans la
figure
7. La première (fig. 9) le montre prêtant une att
périeur, portion du muscle dit sphincter des paupières, B, fig. 1).
Figures
12, 13, 14, i5. LEGENDE. ( Regarder alternati
4, et en masquer le côté opposé.) Fig. 12. — Destinée, ainsi que la
figure
13, à l'étude du mécanisme et de l'expression du
. A. — Mécanisme. Au moment où l'expérience photographiée dans la
figure
12 a été faite, le sujet regardait un objet situé
de son esprit:l'attention. Masquez, en effet, le côté droit de cette
figure
, et du côté opposé vous reconnaîtrez, dans son re
stiques de ce mouvement expressif; signes qui ont été exposés page 2,
figures
7 et 8. Si ensuite vous découvrez le côté droit
elle et modérée du frontal. La ligne verticale que l'on voit sur la
figure
12, en dedans de la tête du sourcil droit, existe
ne contraction modérée de l'orbiculaire palpébral supérieur. Sur la
figure
13, l'orbiculaire palpébral supérieur a été mis e
a été mis en contraction de chaque côté plus énergiquement que sur la
figure
12. Le mouvement de corrugation était très pronon
pébraux supérieurs. Les différences que l'on observe entre ces deux
figures
dépendent uniquement des conditions individuelles
terne du sourcil : c'est ce que l'on observe sur le côté gauche de la
figure
1 , où j'ai fait contracter énergiquement l'orbic
eur. B. — Expression. Revenons à l'expérience représentée dans la
figure
12, à l'occasion de l'étude clu mécanisme des mou
it assez borné. Cependant, en regardant seulement le côté droit de la
figure
12, on lit dans son regard une pensée profonde qu
le d'en fournir la preuve, même en choisissant pour modèle une de ces
figures
dont les sourcils démesurément élevés trahissent
rais laissé en liberté l'orbiculaire palpébral. Que l'on compare la
figure
13 à la figure 12. Ces deux figures représentent
liberté l'orbiculaire palpébral. Que l'on compare la figure 13 à la
figure
12. Ces deux figures représentent le môme muscle
e palpébral. Que l'on compare la figure 13 à la figure 12. Ces deux
figures
représentent le môme muscle en contraction chez l
l'esprit. MUSCLE DE L'AGRESSION (pyramidal du nez, P, iig. 1).
Figures
17,18. LÉGENDE. Fig. 16. — Destinée à démontr
, fig. h) : expression de dureté. Fig. 17. — Destinée, ainsi que la
figure
18, à l'étude du mécanisme et de l'action express
N DE LA LÉGENDE. A. — Mécanisme. L'expérience représentée dans la
figure
16 met en lumière un fait anatomique, ignoré jusq
a contraction musculaire électrique. — Ce sillon n'existe pas dans la
figure
li, qui représente la physionomie au repos du mêm
nstitué par une intersection aponévrotique. Elle est indiquée dans la
figure
6. Lorsque la peau du front située au-dessus de
cle se dessiner d'une manière aussi prononcée que chez le sujet de la
figure
16. Ainsi, chez le vieillard représenté dans le
sujet de la figure 16. Ainsi, chez le vieillard représenté dans les
figures
17 et 18, la peau du front, qui est très mobile,
illonnée de plusieurs plis transversaux. On remarque enfin, sur les
figures
16,17 et 18, que la tête du sourcil est d'autant
et annoncer l'agression. On observe ce phénomène expressif dans la
figure
16. Les muscles pyramidaux y sont mis en effet én
action, son regard devient méchant ou menaçant. Le côté droit de la
figure
17 peut servir à l'analyse de l'influence express
ultanément. Si l'on cache alternativement chacun des côtés de cette
figure
, on est frappé du contraste qui existe entre leur
ouche est bonne (voy. la fig. 3), ce que du reste on constate dans la
figure
17, lorsque l'œil droit est caché: mais à l'insta
méchante (1). A gauche, au contraire, la physionomie est calme. La
figure
18, où les deux pyramidaux du même sujet sont mis
t qui s'est produit pendant cette expérience. On observe, sur cette
figure
18, que les commissures des lèvres sont très abai
me, cet abaissement est porté quelquefois très loin, comme dans cette
figure
18. Ce trait habituel qui se trouve en harmonie a
remière, sont attirées un peu en bas et en dedans. Si donc, sur cette
figure
, on veut connaître exactement l'expression normal
e ses commissures se sont trouvées plus abaissées que dans les autres
figures
. L'expression de cette figure 18 étant bien car
s plus abaissées que dans les autres figures. L'expression de cette
figure
18 étant bien caractérisée, j'en ai conservé la p
ion) n'exprime par lui-même que la tristesse; mais on voit, sur cette
figure
, que la chute des commissures des lèvres, associé
est venu compliquer cette expérience, on peut encore, sur cette même
figure
, analyser l'influence expressive du pyramidal, en
est l'œil du tigre. MUSCLE DE LA DOULEUR (sourgilieb, 0, fig. 1).
Figures
19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29. LÉG
DE. (Regarder alternativement et comparativement l'un des côtés des
figures
19, 21, 22, 21, 27 et 28 et masquer le côté oppos
et 28 et masquer le côté opposé.) Fig. 19. — Destinée, ainsi que la
figure
20, à l'étude des lignes expressives, fondamental
ctrique modérée du sourcilier, chez un vieillard (représenté dans les
figures
3, 6, 7, 8, 9, 12,13, là, 17 et 18). A droite,
nomie était au repos au moment de l'expé- 5 rience, comme dans la
figure
précédente ; mais la face a été éclairée de maniè
s transversales dans toute sa longueur, comme du côté gauche de cette
figure
21). A droite, contraction électrique modérée d
ourcilier à un degré modéré, chez un jeune sujet (représente dans les
figures
h, 15 et 16). Contraction volontaire, à un degr
l'étude de la contraction volontaire à un degré plus fort que dans la
figure
23, chez le même sujet vu de face, et dont l'œil
contraction volontaire du sourcilier à un degré plus fort que dans la
figure
23 ; regard en haut et en dehors, bouche entr'ouv
e : pas d'expression douloureuse. Fig. 2G. — Destinée, ainsi que la
figure
suivante, à l'étude des rides frontales médianes
ilier) chez une femme âgée de cinquante-deux ans, représentée dans la
figure
11, et dont la peau est line ou brûlée par l'air
attention, regard attentif. Fig. 27. — Même expérience que dans la
figure
précédente; mais, dans celle-ci, la contraction é
que j'ai dû consacrer à l'étude de ce muscle un plus grand nombre de
figures
que pour celle des muscles moteurs du sourcil.)
oit que le rhéophore est appliqué au niveau du premier point dans les
figures
19, 20, 21, 22, et au niveau du second dans les f
oint dans les figures 19, 20, 21, 22, et au niveau du second dans les
figures
26, 27, 28, 29. La figure 28 représente le prem
21, 22, et au niveau du second dans les figures 26, 27, 28, 29. La
figure
28 représente le premier degré de contraction du
adulte, ce mouvement est le même, mais un peu plus accentué. Sur la
figure
19, le sourcilier droit est mis énergiquement en
reliefs et ces méplats sont plus réguliers et mieux accentués dans la
figure
20, où le sourcilier est mis en contraction de
l avec son tiers moyen. Ces sillons sont au nombre de quatre sur la
figure
20 ; mais chez la femme qui est représentée dans
re sur la figure 20 ; mais chez la femme qui est représentée dans les
figures
26, 27, les lignes médianes du front sont plus no
té excité très fortement (voyez la fig. 27). On remarque aussi sur la
figure
26, où la contraction du sourcilier est moins éne
es verticales que l'on observe au-dessous de l'excitateur, dans les
figures
26 et 27, n'existeraient pas, si la localisation
al supérieur, qui se sont contractées et ont produit ces rides. Les
figures
23, 24 et 25 nous montrent que chez l'adulte, enc
ont pas interrompues par de petites brisures ou rides, comme dans les
figures
19 et 20.11 en existe deux sur la figure 23, où l
es ou rides, comme dans les figures 19 et 20.11 en existe deux sur la
figure
23, où le sourcil s'est modérément contracté; et
la figure 23, où le sourcil s'est modérément contracté; et clans les
figures
24 et 25 on en dislingue une troisième, mais très
s lignes médianes du front est gracieuse et plus prononcée que sur la
figure
20. Les reliefs cutanés placés entre ces lignes s
deux petites filles âgées de six à huit ans, et représentées dans les
figures
28 et 29, la contraction moyenne du sourcilier n'
aître chez la plus âgée un léger pli médian, que l'on verrait dans la
figure
29, si elle avait été photographiée de face. Da
figure 29, si elle avait été photographiée de face. Dans toutes les
figures
précédentes, la direction du sourcil a été d'aufa
forte. On remarque, en effet, que le sourcil est plus oblique dans la
figure
22 que dans les figures 19 et 20, dans la figure
effet, que le sourcil est plus oblique dans la figure 22 que dans les
figures
19 et 20, dans la figure 25 que dans les figures
plus oblique dans la figure 22 que dans les figures 19 et 20, dans la
figure
25 que dans les figures 23 et 25, dans la figure
gure 22 que dans les figures 19 et 20, dans la figure 25 que dans les
figures
23 et 25, dans la figure 27 que dans la figure 26
es 19 et 20, dans la figure 25 que dans les figures 23 et 25, dans la
figure
27 que dans la figure 26, enfin dans la figure 29
igure 25 que dans les figures 23 et 25, dans la figure 27 que dans la
figure
26, enfin dans la figure 29 que dans la figure 28
ures 23 et 25, dans la figure 27 que dans la figure 26, enfin dans la
figure
29 que dans la figure 28, et cela en raison du de
figure 27 que dans la figure 26, enfin dans la figure 29 que dans la
figure
28, et cela en raison du degré de contraction plu
ments propres à l'action du premier de ces muscles. On voit dans la
figure
21, les résultats de cette expérience. A gauche,
onne toujours vivement. Aussi ne peut-on regarder le côté droit de la
figure
28, où ce muscle est excité faiblement chez une p
éprouver. Pour bien sentir l'expression que j'ai développée sur cette
figure
, il faut avoir soin d'en masquer le côté gauche.
e, pendant le repos musculaire, à peu près comme du côté gauche de la
figure
10, où le sourcil droit est cependant plus élevé
e mal; pour lui la souffrance morale n'existe pas. L'expression de la
figure
29, qui peint un souvenir douloureux, une peine c
uloureux, une peine cle l'àme, touche beaucoup moins que celle cle la
figure
28. C'est que l'expression de la souffrance moral
naît encore un souvenir pénible, une pensée pleine d'amertume, sur la
figure
23. Cette expression est vraie, naturelle, chez c
t il implore le secours. Sa peine est bien plus vive encore dans la
figure
24, où l'on voit que sous l'influence de la contr
à une expression de douleur extrême et aiguë ; mais on remarque Les
figures
26 et 27, qui, ainsi que je l'ai exposé plus haut
. J'ai dit, je le rappelle, que ce jeune homme, représenlé dans les
figures
23 et 24, et dont le portrait est photographié, f
enlé dans les figures 23 et 24, et dont le portrait est photographié,
figure
k, s'est exercé à contracter individuellement les
ôté le frontal, et de l'autre le sourcilier, comme on le voit dans la
figure
24. — La figure 23 prouve qu'il peut tout aussi b
et de l'autre le sourcilier, comme on le voit dans la figure 24. — La
figure
23 prouve qu'il peut tout aussi bien faire mouvoi
nt les mouvements, les lignes et les reliefs que l'on observe dans la
figure
2/j. Après cette explication, on comprend pourquo
on comprend pourquoi et comment chacun des sourcils de cette dernière
figure
a exécuté un mouvement différent. Est-il besoin d
que pour bien juger l'influence douloureuse du sourcilier dans cette
figure
2/i, il est nécessaire de masquer l'œil droit?
l'œil droit? longue exposition à l'air et à l'insolation, ces deux
figures
, dis-je, nous montrent une autre nuance de la dou
ent. On peut en effet constater, en masquant le côté électrisé de ces
figures
, que la physionomie naturelle de cette femme expr
attiré l'attention de cette femme l'a péniblement affectée. Ces deux
figures
ne diffèrent entre elles que par le degré de doul
du regard et par la manière dont elles sont éclairées. Ainsi, dans la
figure
26, où l'excitation électrique du sourcilier est
itation électrique du sourcilier est beaucoup moins forte que dans la
figure
27, l'expression est proportionnellement moins do
i fait contracter les deux sourcils de l'homme âgé représenté dans la
figure
20, alors que sa physionomie était au repos compl
que celui-ci est plus éclairé. J'ai employé le clair obscur sur cette
figure
20, afin de mettre plus en lumière et en relief l
tion; elle était restée aussi calme, aussi indifférente que dans la
figure
3. On peut s'en assurer, du reste, en couvrant le
s'en assurer, du reste, en couvrant le front et les sourcils de cette
figure
. Mais à l'instant où j'ai provoqué la contraction
n a été plus forte. On constate ce fait en regardant l'ensemble de la
figure
20, où la contraction des sourciliers est assez é
effet l'expression d'une douleur profonde. On sent, à la vue de cette
figure
, que cet homme est très malheureux. Son cœur est-
sortie des expériences électro-physiologiques représentées dans les
figures
destinées à l'étude des autres muscles moteurs de
es sourcils. Il me reste à en compléter la démonstration à l'aide des
figures
suivantes, pour ce qui a trait au muscle de la do
u muscle de la douleur, le sourcilier. Si l'on cache le front de la
figure
20 jusqu'au-dessous du sourcil, on observe que l'
deux côtés de la face. Si ensuite on recouvre la moitié de cette même
figure
, il semble que tous les traits de l'autre moitié
ssous du sourcil, est plus facile encore à mettre en évidence dans la
figure
21, où le muscle de la douleur a été excité des d
dans la face, en même temps que dans le sourcil. Mais ici, sur cette
figure
photographiée d'après nature, le doute n'est pas
nt encore plus évidents, lorsque l'on recouvre le front de cette même
figure
, après l'avoir considérée quelque temps à découve
uscles moteurs de la face. La môme expérience, faite sur les autres
figures
où le muscle de la douleur a été excité partielle
traits de la face se contracter douloureusement, en apparence. Les
figures
22 et 25 prouvent qu'il est un degré de contracti
ce muscle, produit, par exemple, par une vive lumière. Le sujet de la
figure
22 a été photographié en plein soleil ; son œil n
; son œil n'en paraissait pas incommodé (voy. le côté droit de cette
figure
22). Si l'on en regarde le côté gauche, après avo
é, lorsque la contraction de ce muscle était forcée, comme dans cette
figure
, et qu'en même temps l'œil et le front étaient tr
ai voulu représenter cette contraction spasmodique naturelle, dans la
figure
25. J'avais dirigé le regard de mon sujet sur un
pêcher : c'est dans cet état que je l'ai photographié. Comparez cette
figure
aux figures 23 et 24, et vous verrez qu'elle n'ex
est dans cet état que je l'ai photographié. Comparez cette figure aux
figures
23 et 24, et vous verrez qu'elle n'exprime pas la
zygomatique et orbiculaire palpébral inférieur, I et E, fig. 1.)
Figures
30, 31, 32, 33, M, 35, 3(J. LÉGENDE. (Regarde
DE. (Regarder alternativement et comparativement l'un des côtés des
figures
30, 35 et 36, et en masquer le côté opposé.) Fi
6, et en masquer le côté opposé.) Fig. 30. — Destinée, ainsi que la
figure
31, à l'étude des lignes expressives fondamentale
ntraction du grand zygomatique chez un vieillard (représenté dans les
figures
3, 6, 7, 8, 9, 12, 13, U, 17, 18, 19, 20, 21 et 2
ig. 32. — Destinée à montrer, chez le même sujet, comparativement aux
figures
30 et 31, que le rire naturel vrai est constitué
omatique (voy. les fig. 30, 31, 33, 34, 35, 36).—Du côté gauche de la
figure
30, où les deux grands zygomatiques sont mis simu
xactement l'excitation dans ce muscle, comme dans le côté droit de la
figure
30. Cette localisation exacte est assez difficile
ce qui n'est pas rare. On en voit un exemple dans le côté droit de la
figure
35, où le courant a excité légèrement les palpé-b
èrement les palpé-braux, en même temps que le grand zygomatique. La
figure
30, où l'excitation électrique est parfaitement l
roduits par le grand zygomatique sont complètement représentés sur la
figure
31. Cette figure 31, où l'excitation pratiquée
d zygomatique sont complètement représentés sur la figure 31. Cette
figure
31, où l'excitation pratiquée des deux côtés à la
itation pratiquée des deux côtés à la fois est plus forte que dans la
figure
30, montre les rides rayonnantes de l'angle exter
nvexité de la courbe naso-labiale plus prononcée. Du côté droit des
figures
35 et 36, où le grand zygomatique est mis aussi
rand zygomatique est mis aussi fortement en contraction que dans la
figure
30, on voit que les lignes secondaires de l'angle
onditions que j'ai signalées. Chez le vieillard photographié dans les
figures
30 et 31, six on sept rides rayonnantes existent
ormation des lignes fondamentales et secondaires qui régnent dans les
figures
30, 31 et 33. En effet, du tiraillement de la com
est mis partiellement en action. Voyez le sujet représenté dans les
figures
30 et 31 : ses grands zygomatiques sont au maximu
as non plus la laideur de cette face; la même expérience faite sur la
figure
la plus belle vous blesserait tout autant et exci
rait tout autant et exciterait votre défiance. Si vous comparez ces
figures
30 et 31, dont le rire est faux et menteur, à la
comparez ces figures 30 et 31, dont le rire est faux et menteur, à la
figure
32 du même individu photographié au moment où j'a
ire est franc et communicatif. On remarque cependant, dans toutes ces
figures
, la même ligne courbe qui sépare les lèvres, la m
de la paupière inférieure que dépend la différence expressive de ces
figures
. En effet, cachez-en la partie supérieure jusqu'a
u'elles rient tout aussi bien les unes que les autres, et même que la
figure
31 exprime la gaieté la plus folle. Mais à l'inst
lle. Mais à l'instant où l'œil est découvert, vous constatez, dans la
figure
32, qu'il s'est mis en parfaite harmonie avec le
ompléter l'expression du plaisir et de la gaieté, tandis que dans les
figures
30 et 31, surtout dans la première, l'indifférenc
ce avec vérité, a besoin d'être étudié avec soin. On remarque dans la
figure
32, qu'il s'est formé, à h millimètres du bord li
i dû, en raison de leur importance, les rappeler ici à l'occasion des
figures
précédentes. L'orbiculaire palpébral inférieur
fig. 2) en excitant le grand zygomatique, comme du côté gauche de la
figure
31, où Ton voit que ce muscle est contracté légèr
up- 6* pléé, pour sa fonction expressive, par les palpébraux ; la
figure
35 et mieux la figure 36 en fournissent la preuve
sa fonction expressive, par les palpébraux ; la figure 35 et mieux la
figure
36 en fournissent la preuve. Dans la première (
ation électrique dans le grand zygomatique, comme du côté droit de la
figure
30, en déplaçant le rhéophore ou en diminuant l'i
le rire méprisant. Cette expression est mieux rendue encore dans la
figure
36, parce que la contraction des palpébraux produ
s forte. MUSCLE DE LA LASCIVETÉ (transverse du nez, q, lig. 1).
Figures
37, 38, 39, 40, 4 1, 42. LÉGENDE. Fig. 37. —
Fig. 37. — Portrait du vieillard vu de profil (représenté dans les
figures
3, 6, 7, 8, 9, 12, 13, U, 17,18, 19, 20, 21, 22,
U, 17,18, 19, 20, 21, 22, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36). Comparer cette
figure
aux figures 38 et 39. Fig. 38. — Destinée à l'é
9, 20, 21, 22, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36). Comparer cette figure aux
figures
38 et 39. Fig. 38. — Destinée à l'étude de la c
rocodent, à l'étude expressive du transverse du nez. Comparez cette
figure
aux figures Al et A2. Fig. Al. — Destinée à mon
l'étude expressive du transverse du nez. Comparez cette figure aux
figures
Al et A2. Fig. Al. — Destinée à montrer, chez l
es rhéophores au niveau du corps charnu de ce muscle, comme clans les
figures
38, 39, M et 42. La disposition anatomique de ce
sposition anatomique de ce muscle rend cette expérience facile. Les
figures
38 et M montrent l'ensemble des lignes expressive
iption précédente, il sulïit de comparer la forme du nez au repos des
figures
37 et 40, au nez mis en mouvement par le transver
37 et 40, au nez mis en mouvement par le transverse du nez, dans les
figures
38, 39, /¡1 et 42. La partie postérieure du nez
s reliefs qui en sont la cause, sont beaucoup plus prononcés dans les
figures
41 et 42 que dans les figures 38 et 39. B. — Im
, sont beaucoup plus prononcés dans les figures 41 et 42 que dans les
figures
38 et 39. B. — Impression. La figure 38 fait
gures 41 et 42 que dans les figures 38 et 39. B. — Impression. La
figure
38 fait voir que la contraction partielle du gran
ement, il agit de concert avec d'autres muscles. L'expression de la
figure
41, ol le transverse du nez a été mis en action p
tement et de mépris. L'homme qui est représenté dans cette dernière
figure
était un ouvrier intelligent, âgé de quarante-deu
e fallait réveiller fortement son attention, comme on le voit dans la
figure
liO (1). J'ai profité de cet affaissement des t
es du mécontentement se sont alors dessinés beaucoup mieux que sur la
figure
38; mais cette expression n'était pas encore l'im
cette expression électro-physiologique que j'ai photographiée dans la
figure
M. (1) Il a succombé an delirium tremens, dix j
ssive de ce dernier muscle. Les expériences photographiées dans les
figures
39 et 42 démontrent que la combinaison du transve
e de la lasciveté, de la lubricité. Le vieillard représenté dans la
figure
39 n'est rien moins que lascif; il est au contrai
peu développé. Malgré ces conditions défavorables, on voit dans la
figure
39 que, par l'excitation électrique de son transv
illard contrastent singulièrement avec son rire simple habituel. La
figure
42 nous montre la gaieté lubrique sous son aspect
avait une physionomie toute différente de celle que l'on voit dans la
figure
hO ; car ses traits annonçaient une gaieté habitu
appris que je ne m'étais pas trompé.—L'expérience représentée dans la
figure
42 prouve que le muscle de la lubricité était trè
e. MUSCLE DE LÀ TRISTESSE (triangulaire des lèvres, M, fig. 1).
Figures
43, 44, 45. LÉGENDE. Fig. Zl3. —Destinée à l'
vres (M, fîg. 1) se pratique en posant les rhéophores, comme dans les
figures
ha, kh, 45, au niveau de leur surface (2 centimèt
es lèvres tirent les commissures obliquement en bas et en dehors. Les
figures
hk et 45 montrent, en outre, qu'au maximum de con
peu moins ouverte. Ce dernier fait est mis plus en évidence par la
figure
A3, où l'on voit que, du côté de la face qui est
excité. On remarque enfin, au-dessous des commissures labiales de ces
figures
, des reliefs et des plis occasionnés par le refou
sse et d'abattement. On en voit un exemple sur la moitié gauche de la
figure
35. Chez la jeune femme que cette dernière figure
moitié gauche de la figure 35. Chez la jeune femme que cette dernière
figure
représente, les commissures de la bouche étaient
attue. Cette dernière expression se voit sur la moitié gauche de la
figure
35, et l'on constate qu'elle est due seulement a
laire des lèvres de ce côté., On peut comparer entre eux, sur cette
figure
35, les mouvements contraires, exécutés par les c
il est démontré par l'expérience représentée sur le côté droit de la
figure
36, qu'au plus haut degré de contraction, l'actio
c cette expression, l'a modifiée un peu; j'y reviendrai bientôt. La
figure
hh, où la contraction au maximum du triangulaire
ût qui soulève le cœur ou qui indique une grande aversion. D'autres
figures
exposées dans cet album démontrent, ainsi qu'on v
n de mépris. Cette expression est rendue sur la moitié gauche de la
figure
36. La contraction extrême (peut-être un peu exag
goût. La chute des commissures labiales, qui, chez le sujet dont la
figure
3 représente la physionomie au repos, n'est qu'un
mée par l'orbiculaire palpébral supérieur, sur la moitié droite de la
figure
12, et s'il était à son maximum, comme dans la fi
ié droite de la figure 12, et s'il était à son maximum, comme dans la
figure
A5, cet état de l'esprit prendrait un caractère d
tristesse et d'abattement. La contention d'esprit, exprimée dans la
figure
lo par la contraction assez forte de l'orbiculair
on assez forte de l'orbiculaire palpébral supérieur, devient, dans la
figure
une expression de pensée sombre par la même contr
n léger abaissement des commissures labiales. C'est surtout dans la
figure
18 que la chute considérable des commissures ajou
éjà méchant, ce dont on peut s'assurer en masquant la bouche de cette
figure
. Quoi qu'il en soit, l'association de cet abaisse
baissement des commissures labiales avec les pyramidaux donne à cette
figure
un air plus dur et plus menaçant. Le faible aba
faible abaissement des commissures labiales que l'on observe dans la
figure
20 donne au sujet un air de tristesse qui sied bi
es sourciliers. La même combinaison musculaire, représentée dans la
figure
/|5, exprime à la fois la douleur et l'abattement
ique et élévateur propre de la lèvre supérieure, F, II, fig. \ ).
Figures
46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53. LÉGENDE (Rega
E (Regarder alternativement et comparativement chacun des côtés des
figures
4fi, 47, 48, 49, 50 et M, et en masquer le côté
pleurer avec attendrissement, chez un vieillard (représente dans les
figures
3, 6, 7, 8, 12, 13, 1/j, 17,18, 19, 20, 21, 22, 3
de la lèvre inférieure ; même expression que sur le côté gauche de la
figure
51, mais plus prononcée. Fig. 53. — Destinée à
. A. — HccanisBiM*. Je ferai d'abord remarquer que sur toutes les
figures
consacrées à l'étude du petit zygomatique, le rhé
le filet moteur de ce muscle (voy. K, fig. 2). Du côté droit de la
figure
lil, le rhéophore est placé à la même hauteur, pl
on électrique dans le petit zygomatique : l'expérience photographiée,
figure
50, en est une preuve. Chez la femme que celte
hotographiée, figure 50, en est une preuve. Chez la femme que celte
figure
représente, il m'a été impossible de contracter l
ion partielle du petit zygomatique, chez la femme représentée dans la
figure
50. (1) Traité d'anatomie descriptive, 3e éditi
(1) Traité d'anatomie descriptive, 3e édition, t. II, p. 22'i. La
figure
A6 montre, du côté gauche, l'action individuelle
un peu rapprochée de la paupière supérieure. Sur le côté gauche des
figures
/|7 et /18, où le petit zygomatique est un peu mo
s et par la ligne naso-labiale est un peu moins prononcée que dans la
figure
/16. Chez ce vieillard, on voit sur la peau de la
res n'existent pas dans la jeunesse; on peut constater ce fait sur la
figure
50. Chez cette jeune femme, en effet, le petit zy
doivent pas être minces, comme chez le vieillard représenté dans les
figures
/16, 47, /18, A9. Chez lui, au contraire, elles o
it, se renversent en avant et se retroussent pendant le pleurer. La
figure
50 ne donne pas une idée parfaite de ce mouvement
n'avoir pu réussir à photographier exactement. Le côté droit de la
figure
47, où l'élévateur propre de la lèvre supérieure
lle du petit zygomatique. Dans les expériences représentées sur les
figures
51, 52 et 53, le rhéophore a été appliqué au nive
de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. Sur le côté droit de la
figure
51, l'éleclrisatiou est parfaitement localisée da
les plis cutanés qui se sont formés sur la partie gauche du nez des
figures
5*2 et 53, où le courant électrique, plus fort, a
ession. Les expériences électro-physiologiques représentées par les
figures
photographiées dont on a lu précédemment la légen
n isolée de ce muscle, telle que je l'ai obtenue du côté gauche de la
figure
46, trahit une émotion qui produit la sécrétion d
nt ses paupières. On sent cependant, à la vue du côté gauche de cette
figure
, que les larmes, qui semblent produites par une é
par une scène pathétique. On remarque que sur la moitié gauche des
figures
/16 et 47 la même expression d'attendrissement au
on d'attendrissement augmente graduellement : les larmes, qui dans la
figure
46 paraissent contenues, coulent de plus en plus
46 paraissent contenues, coulent de plus en plus abondamment dans la
figure
47. Ici le sujet pleure franchement. Ce n'est pas
s forte, j'ai déjà dit au contraire qu'elle était moindre que dans la
figure
46 ; c'est parce que la contraction du sphincter
ion de ce muscle et du sphincter des paupières. Du côté droit de la
figure
47, où l'élévateur propre de la lèvre supérieure
quoi ces lignes différaient entre elles. Enfin le côté gauche de la
figure
53 nous montre le plus disgracieux de tous les pl
ment avec le sphincter des paupières, comme dans le côté gauche de la
figure
53. Les figures 51 et 52 prouvent que partielle
ncter des paupières, comme dans le côté gauche de la figure 53. Les
figures
51 et 52 prouvent que partiellement, ou sans le c
mes. Il offre alors les traits du mécontentement. Le côté droit de la
figure
51, où ce muscle est mis partiellement en action,
t état désagréable d'un esprit hargneux se peint mieux encore dans la
figure
52, où l'action de l'élévateur commun de l'aile d
sant. Les différents degrés ou nuances du pleurer, exprimés par les
figures
/|6, h7 et 48, sont en général l'indice du chagri
48, sont en général l'indice du chagrin ou de l'affliction ; mais ces
figures
peignent également une expression d'attendrisseme
en venait à pleurer à chaudes larmes, comme dans le côté gauche de la
figure
53, après avoir passé par tous les degrés du pleu
r passé par tous les degrés du pleurer, que j'ai représentés dans les
figures
/16 et kl. Ces expressions du pleurer provoquen
compassion à la vue de l'affliction exprimée sur le côté gauche de la
figure
Zi9, parce qu'ici on sent que le sujet doit être
e Rome). — J'ai produit cette expression du pleurer douloureux sur la
figure
49, par la combinaison du petit zygomatique avec
PLÉMENTAIRES DE Ik SURPRISE (abaisselrs du maxillaire inférieur).
Figures
54, 55, 56, 57. LÉGENDE, Fig. 54. — Destinée
à ouvrir leur bouche plus ou moins largement. On remarque, dans les
figures
54 et 5G, qu'à l'instant où la bouche s'ouvre, le
x, et dont la corde commune passe par les commissures labiales. Ces
figures
54 et 56 montrent cet allongement des traits, et
'abaissement de la mâchoire intérieure. On voit aussi dans toutes ces
figures
qu'un relief transversal s'est développé sur la p
la peau située au-dessous de la mâchoire infé H. — Expression. La
figure
55, où la mâchoire inférieure est seulement abais
rime assurément aucune émotion de l'âme. Mais on sent, à la vue de la
figure
56, que le sujet qu'elle représente vient d'appre
même combinaison musculaire au maximum de contraction peint, dans la
figure
57, une émotion analogue, mais à son plus haut de
degré d'abaissement de la mâchoire inférieure. justes ([ne dans ces
figures
56 el 57, il faut qu'il y ait un rapport parfait
exprimer la surprise et l'étonnement de la môme manière que dans les
figures
photographiées que je venais de produire artifici
expression niaise et ridicule reproduite par la photographie, dans la
figure
56. La bouche était ouverte d'une manière exagéré
ment. MUSCLli DE LA FRAYEUR, DE L'EFFROI (PEAICIEU, Y, fig. 1).
Figures
58, 59, (il, (52, 03, Ci, G5. LÉGENDE. Fig, 5
ent volontaire de la mâchoire inférieure : effroi, vu de face dans la
figure
61, et de profil dans la figure 02. Fig. 63. —
férieure : effroi, vu de face dans la figure 61, et de profil dans la
figure
02. Fig. 63. — Destinée à montrer que l'express
chées, chez le même sujet. Même combinaison musculaire que dans les
figures
61 et 62, et de plus abaissement de la paupière s
e la mâchoire inférieure : effroi mêlé de douleur, torture. Dans la
figure
6/i, la contraction du peaucier est plus énergiqu
u'à droite ; en regardant successivement chacune des moitiés de cette
figure
, on voitl'augmen-tation graduelle de la douleur e
isme. La contraction partielle de l'un des peauciers, photographiée
figure
58, établit que ce muscle tire obliquement en deh
. Cependant il est démontré par les expériences représentées dans les
figures
59, 60, 61, 62, 64 et 65, que ce renversement de
orsque les deux peauciers sont simultanément excités. Ces dernières
figures
montrent également l'action oblique en bas et en
s des sterno-mastoïdiens. Il ressort de l'expérience photographiée,
figure
60, que les peauciers exercent une action très fa
de 2 centimètres environ. Pour les expressions représentées par les
figures
61, 62, 63, 65, j'ai du faire ouvrir plus ou moin
oduits par le simple abaissement de la mâchoire inférieure (voyez les
figures
54, 55, 56, 57), changèrent complètement, et offr
direction. C'est ce qui est parfaitement distinct sur la plupart des
figures
précédentes, et principalement sur la figure 63.
inct sur la plupart des figures précédentes, et principalement sur la
figure
63. 11. — Impression. La contraction partiell
ression. La contraction partielle du peaucier est inexpressive ; la
figure
58, où de chaque côté ce muscle est mis isolément
atrices de brûlure situées à la région cervicale ou thoracique. Les
figures
60, 61, 6"2, 63, 6/i et 65 prouvent cependant que
auraient se peindre sur le vi sage cle 1 ' h om me. On a vu que les
figures
56 et 57 expriment avec une grande vérité la surp
es muscles moteurs du sourcil. En voici la preuve expérimentale. La
figure
60 est l'image de la frayeur; c'est, on le voit,
on, son œil est devenu attentif, tel qu'il a été photographié dans la
figure
9. C'est alors que les peauciers ont été électris
vient le péril ou le danger dont il se croit menacé. A la vue de la
figure
60, on sent que cet homme éprouve le frisson de l
nt en danger; on sent plutôt qu'il le redoute. Mais en présence des
figures
61, 62, 63, le doute n'est plus possible : cet ho
ette expression d'effroi et d'horreur. On voit que, dans toutes ces
figures
qui peignent si fidèle-iiTent l'effroi, l'abaisse
choire inférieure est combiné avec les autres mouvements qui, dans la
figure
60, ont représenté la frayeur. Cette expression d
rs et des frontaux avec les abaisseurs du maxillaire inférieur. Les
figures
56 et 57 ont déjà démontré que la contraction com
l est opportun de le rappeler ici, afin que par la comparaison de ces
figures
avec les figures 60, 61, 62 et 63, on étudie mieu
le rappeler ici, afin que par la comparaison de ces figures avec les
figures
60, 61, 62 et 63, on étudie mieux les caractères
palpébrale et le regard hagard que l'on observe sur la plupart de ces
figures
ajoutent certainement à l'effet de leur expressio
est telle, que le globe oculaire paraît chassé hors de l'orbite. — La
figure
02 prouve cependant que l'écartement des paupière
taux et des abaisseurs de la mâchoire inférieure, dépeindre sur celte
figure
une expression de crainte mêlée d'horreur, l'effr
crainte mêlée d'horreur, l'effroi, avec autant de vérité (pie sur les
figures
61 et 62. Ce regard terrifié et cloué au sol mont
nt d'où vient le danger qui menace cet homme. Il est prouvé par les
figures
0/t et 05 que la contraction combinée des peaucie
ciliers, produit une expression d'effroi mêlé de douleur extrême. Les
figures
61, 62, 63, nous le montrent, par exemple, terrif
à laquelle il a été condamné ou qui va lui être appliquée; mais ici,
figures
G!\ et 65, à l'expression de cette terrible émoti
au point de vue DES MOUVEMENTS EXPRESSIFS DU SOURCIL ET DU FRONT.
Figures
G6, G7, 68, 69, 70, 71, 72, 73. LÉGENDE. Fie.
st modelée comme dans la nature, et comme elle devrait l'être dans la
figure
70. Fig. 72. —Tête du Laocoon de Bruxelles (app
TION DE LA LÉGENDE. Je prévois qu'au premier abord les légendes des
figures
66, 67, 70, 73, blesseront l'opinion générale. Le
blesseront l'opinion générale. Les corrections que l'on voit sur les
figures
68, 69, 71, et que j'ai eu la hardiesse de faire
des principes mis en lumière par les expériences représentées sur les
figures
consacrées à l'étude des muscles moteurs du sourc
ent exister ensemble sur le même front. Que l'on regarde toutes les
figures
destinées à l'étude électro-physiologique du fron
les considérations exposées dans les explications des légendes de ces
figures
, surtout ce qui a trait. h l'antagonisme de ces m
ressive donner au sourcil une direction oblique, comme dans ces mêmes
figures
66, 67, sans que les sillons cutanés fussent limi
nier, il se formât des méplats semblables à ceux qui existent sur les
figures
23, 2/i et 25. — On sait que ces dernières figure
i existent sur les figures 23, 2/i et 25. — On sait que ces dernières
figures
représentent un jeune homme contractant volontair
contraction énergique du muscle frontal, chez un adulte (voy. I, les
figures
consacrées à l'étude électro-physiologique de ce
rcilier se contracte très énergique-ment, chez un adulte (voy. V, les
figures
consacrées à l'étude du sourcilier). Ce que je
nt la contraction énergique, soit du frontal, soit du sourcilier. Les
figures
68 et 69 ont été photographiées d'après ces plâtr
l'on me pardonne ce mot, — présente un méplat analogue à celui de la
figure
25. J'examinerai bientôt l'influence modificatr
naturels, se continuer avec ceux de la partie médiane, comme dans la
figure
8, sous l'influence du muscle frontal, et tant d'
ans la figure 8, sous l'influence du muscle frontal, et tant d'autres
figures
où ce muscle a été mis en action. Mais alors, de
ient coexister avec le mouvement sinueux du sourcil. On voit sur la
figure
71 que j'ai essayé de faire concorder le modelé d
n soit, je suis convaincu que les lignes expressives modelées sur les
figures
68, 69, 71, sont telles qu'on les observe dans la
'ils sont dans les originaux et qu'on les voit photographiés dans les
figures
66, 67 et 70, sont physiologiquement impossibles
e peut mettre de la concordance entre le front et le sourcil de cette
figure
, sans en modifier profondément l'expression. Ai
sourcilier une courbe concentrique aux rides frontales, comme dans la
figure
68, la physionomie de Y Arrotino exprime l'attent
rcil et le front, en modelant celui-ci de la même manière que dans la
figure
69, son œil devient douloureux, ou paraît gêné pa
r tout autre chose que son action manuelle. Les uns ont \u dans cette
figure
un Cincinnatus, d'autres un Manlius Capitolinus,
lice de Marsyas. Devant le condamné, déjà lié à l'arbre, se trouve la
figure
, exactement semblable Y Arrotino, du Scythe qui f
Paris, 1852, p. I 50. de faire sur un plâtre de l'original dans la
figure
68, peint parfaitement la situation du sujet. M
la contraction du sourciller, telle qu'elle est photographiée dans la
figure
69, est peut-être plus juste. N'est-il pas possib
r la lumière et contracte spasmodiquement son sourcil, comme dans les
figures
22 et 25, où la contraction des sour-ciliers est
la fois si complexes de la physionomie du Laocoon. On voit dans la
figure
71, où j'ai essayé de rétablir les rapports natur
i est démontré par l'expérimentation électro-physiologique (voyez les
figures
consacrées à l'étude du muscle sourcilier), — aur
les muscles de la face........................ . . 1 Légende des
figures
1, 2, 2 bis, 3, 4, 5, 6.......... 4 Explication
II. Muscle de l'attention (frontal)............... 4 3 Légende des
figures
7, 8, 9, 10, 41............. 4 3 Explication de
rtion du muscle dit sphincter des paupières)....... 4 9 Légende des
figures
4 2,4 3, 1 4, 4 5 ............. 1 9 Explication
V. Muscle de l'agression (pyramidal du nez)......... 27 Légende des
figures
4 6, 17, 18............... 27 Explication de la
V. Muscle de la douleur (sourcilier)............. 35 Légende des
figures
19,20,21,22,23,24,25,26,27, 28,29. 35 Explicati
cle dit sphincter des paupières).................. 55 Légende des
figures
30, 31, 32, 33, 34, 35, 36 ....... 55 Explicati
Muscle de la lasciveté (transverse du nez)......... 65 Légende des
figures
37, 38, 39, 40, 41, 42......... 65 Explication
cle de la tristesse (triangulaire des lèvres)....... 73 Légende des
figures
43, 44, 45............... 73 Explication de la
e la lèvre supérieure et de l'aile du nez).......... 81 Légende des
figures
46, 47, 48, 49, 50, 54, 52, 53...... 81 Explica
seurs du maxillaire inférieur).................... 95 Légende des
figures
54, 55, 56, 57.............. 95 Explication de
et de l'effroi (peaucier)........................ 401 Légende des
figures
58, 59, 60, 6!, 62, 63, 64, 65...... 4 01 Expli
rrotino, le Laocoon, la Niobé)................... 409 Légende des
figures
66, 67, 68, 69, 70, 71, 72, 73..... 109 Explica
avec la partie scientifique de cet album. On a vu, en effet, dans les
figures
dont elle se compose, la démonstration expériment
de la grammaire et de l'orthographe de la physionomie humaine. Ces
figures
ont été photographiées d'après six sujets d'âge e
était belle. Néanmoins l'impression peu agréable que certaines de ces
figures
ont pu occasionner, en général, a du agir défavor
esthétique, m'ont dit, en la parcourant : Pourquoi donc cette vilaine
figure
, dans une question d'art? J'aurais certes désiré
e, dans une question d'art? J'aurais certes désiré ne montrer que des
figures
jeunes et belles; mais il me fallait avant tout e
bien se rappeler les motifs qui ont déterminé mon choix. (( A cette
figure
triviale, ai-je écrit, je n'ai pas préféré des tr
à la partie scientifique de l'album me force à limiter le nombre des
figures
consacrées à sa partie esthétique. Du reste, en p
tro-physiologiques sur l'expression do la physionomie, humaine. Les
figures
de la partie esthétique ont été photographiées pa
de l'expression ; pourvu que les lignes expressives de ces dernières
figures
fussent parfaitement au point et mises en relief,
en relief, le reste était secondaire. Il n'en peut être de même des
figures
esthétiques, dans lesquelles le geste et l'attitu
tronc et les membres doivent être photographiés avec autant (1) Ces
figures
, ai-je dit, ne peuvent être bien photographiées q
phiée de l'expérimentateur vient quelquefois nuire aux scènes que ces
figures
représentent. A ce sujet, un mot d'explication. I
le de me placer au point de l'appareil photographique. Dans une seule
figure
(fig. 75), je me suis trouvé parfaitement au poin
la PHYSIONOMIE HUMAINE O--------------------- PREMIÈRE SÉRIE
Figures
74, 75, 7G, 77, 78. Los figures de la partie es
---------------- PREMIÈRE SÉRIE Figures 74, 75, 7G, 77, 78. Los
figures
de la partie esthétique seront encore, à la premi
dans les légendes, de cacher telle ou telle partie de chacune de ces
figures
, pendant que l'on en regardera le côté opposé; al
ont été photographiées les expressions diverses représentées dans les
figures
75, 76, 77, 78. Fig. 75. — Vue dans son ensembl
t convenu que, dans toules ces légendes, je veux indiquer le côlé des
figures
, el non celui du lecteur. Prière dans l'extrême
CATION DE LA LÉGENDE. I. La personne qui est représentée clans la
figure
74, et que j'ai choisie pour modèle dans cette ét
sa physionomie n'est pas très expressive, cependant on verra dans les
figures
suivantes qu'elle s'est complètement transformée
es que l'on verra photographiées d'après cette jeune fille dans les
figures
suivantes, je donnerai l'explication des scènes d
t à d'autres scènes ou situations que pourrait inspirer la vue de ces
figures
. Dans la plupart de ces études, on remarquera s
s figures. Dans la plupart de ces études, on remarquera sur la môme
figure
deux expressions différentes destinées, chacune à
o-physiologique présente d'assez grandes difficultés. II. Dans la
figure
75, le mouvement expressif de la physionomie est
semblable à celui que l'on a vu photographié chez le vieillard de la
figure
/|0 (partie scientifique). Dans les deux cas, j'a
rcils, comme on l'observe à un âge avancé (voyez le côté gauche de la
figure
40), tandis qu'il était resté uni chez la jeune
u'il était resté uni chez la jeune tille (voyez le coté droit de la
figure
75). Au même instant, j'ai éleclrisé le muscle so
la douleur, le chapitre \ . partie scientifique). Si Ton regarde la
figure
de la jeune fille isolément, c'est-à-dire en reco
ntre plus de iermeté dans l'expression de sa douleur. Mais voyez la
figure
76, dans son ensemble : la scène grandit et chang
ncore desséché par l'exaltation des sentiments religieux. III. La
figure
76, vue dans son entier, représente la même scène
ent. Cache-t-on alors, à droite, son œil et son front, on voit que sa
figure
est illuminée par un saint transport, et que son
. Telles sont les pensées qui viennent à l'esprit, en regardant cette
figure
dans son ensemble. La tète de cette môme figure
en regardant cette figure dans son ensemble. La tète de cette môme
figure
76, vue isolément (recouvrir les parties situées
vé surabondamment et expérimentalement, dans un assez grand nombre de
figures
, que chacun des mouvements du sourcil, surtout ce
s mouvements du sourcil, surtout ceux du muscle sourcilier (voyez les
figures
19, 20, 21, 27, 28 et 29), modifient profondément
modifient profondément l'expression de tous les traits de la face; la
figure
76 est une démonstration nouvelle et encore plus
le modelé du sourcil, ainsi qu'on le voit sur le sourcil gauche de la
figure
76, c'est-à-dire de le rendre sinueux et oblique
us pur, le plus saint, une extase divine. Comparant entre elles les
figures
75 et 76, il est intéressant d'examiner comment j
s lèvres qui établit une différence entre les expressions de ces deux
figures
. — Dans la figure 75, en effet, la bouche, la lig
t une différence entre les expressions de ces deux figures. — Dans la
figure
75, en effet, la bouche, la ligne naso-labiale et
llité, de la résignation et un air de souffrance analogue à celui des
figures
20 et 21. L'abaissement léger des commissures lab
e entr'ou-verte, combinée avec la contraction du sourcilier, clans la
figure
76, donne un caractère de douleur aiguë à l'expre
ainsi dans cette attitude, il me semble l'entendre se lamenter. La
figure
76 prouve que rien ne saurait remplacer, pour l'e
e en augmentant la courbe du sourcil. (I) Les lignes médianes de la
figure
76 sont moins visibles que dans la figure 75, par
) Les lignes médianes de la figure 76 sont moins visibles que dans la
figure
75, parce que l'attitude renversée de la te Le eu
xtatique, analogue à celui qui est exprimé sur la moitié droite de la
figure
76. (Pour mieux reconnaître la justesse de cette
a, à Rome? En examinant séparément chacune des moitiés de cette belle
figure
, on remarque, en effet, une expression de profond
côté opposé. Encore une remarque critique qui m'est suggérée par la
figure
76. J'ai dit que l'expression douloureuse est inc
, l'action du muscle de la douleur, du sourcilicr (voyez toutes les
figures
consacrées à l'étude de ce muscle), et ce fait es
muscle), et ce fait est des plus évidents dans le sourcil gauche des
figures
75 et 76. « Niobé, ai-je écrit précédemment (page
édiane de son front?» La réponse à cette question est écrite dans les
figures
75 et 76, où l'on voit que ce relief du sourcilie
plus vraie, plus naturelle et plus sympathique (4). IV. Plusieurs
figures
de la partie scientifique de l'album ont été déjà
sous l'influence de l'excitation aux plaisirs de l'amour. Ce sont des
figures
d'hommes (voyez les fig. 39, /1,2, partie scienti
xpression est grossière et même cynique, ainsi qu'on l'observe sur la
figure
des satyres et des faunes. Ce muscle transverse
e plus angélique, et l'extase la plus sainte, que l'on admire dans la
figure
76, en expressions d'une lubricité provocante, pa
ction forte de ce muscle aux autres traits; j'ai ainsi transformé des
figures
de vierges en figures de bacchantes. Mais lorsq
le aux autres traits; j'ai ainsi transformé des figures de vierges en
figures
de bacchantes. Mais lorsque sa contraction est
e expression charmante de plaisir. L'expérience photographiée dans la
figure
77 en est un bel exemple. En effet, avec son œil
à Dieu. — On voit cette expression en couvrant le côté droit de cette
figure
77 jusqu'à la partie moyenne de l'espace intersou
e plaisir sensuel que l'on reconnaît en masquant le côté gauche de la
figure
77. Cet état de ravissement n'offre plus rien de
ance très légère. C'est ce que, du moins, j'ai voulu montrer dans les
figures
7(3 et 77, et principalement dans la dernière; c'
de l'amour humain, tel qu'il est représenté dans le côté gauche de la
figure
77, embellit la physionomie, autant l'extase lubr
extase lubrique l'enlaidit. Pour donner cette expression cynique à la
figure
77, il m'a suffi de faire contracter plus énergiq
que et la charmante expression d'amour humain, photographiée clans la
figure
77, il existe plusieurs degrés intermédiaires.
lusieurs degrés intermédiaires. V. J'ai voulu représenter dans la
figure
78 une petite comédie, une scène de coquetterie.
celle de la ligure 79. Voici les différences qui distinguent ces deux
figures
. 1° La première (fig. 36) avait légèrement cont
e signification expressive. 2° La contraction du triangulaire de la
figure
36 est très forte et peut paraître exagérée pour
llant jusqu'au dégoût. Mais alors l'expression est commune. — Dans la
figure
76, au contraire, où la contraction du triangulai
clats, a plus de gaieté moqueuse. li° Tout le monde remarque que la
figure
78 l'emporte sur la figure 36 par la beauté et la
ueuse. li° Tout le monde remarque que la figure 78 l'emporte sur la
figure
36 par la beauté et la distinction des traits.
re 36 par la beauté et la distinction des traits. 5° Enfin ces deux
figures
montrent l'influence considérable de l'attitude,
aigneux d'un côté, et ce rire moqueur de l'autre? A cette question la
figure
36 ne répond absolument rien ; mais il n'en est p
; mais il n'en est pas ainsi de la belle coquette représentée dans la
figure
78. Elle semble dire elle-même la petite scène qu
e l'indignée avec l'amoureux dont elle se rit. DEUXIÈ ÈME SÉRIE
Figures
79, 80, 81, 82, 83 et 84. Nota. — La même jeune
N DE LA LÉGENDE. 1. Voici la scène que j'ai voulu peindre dans la
figure
79. Une mère vient de perdre l'un de ses enfant
e joie maternelles que j'ai essayé d'exprimer, du côté gauche, sur la
figure
de la jeune femme photographiée dans la figure 79
du côté gauche, sur la figure de la jeune femme photographiée dans la
figure
79. Rien assurément ne serait plus facile à pei
l'œil gauche. Mais, dans la scène qui fait le sujet principal de la
figure
79, l'expression est complexe. En effet, le bon
et la douleur. — C'est ce qui est exprimé sur la moitié gauche de la
figure
79, quand l'œil droit en est masqué. Pour obten
es lignes expressives du bonheur. —Elle diffère essentiellement de la
figure
79, qui, on se le rappelle, représente une mère d
vrait offrir quelques rides J'ai produit expérimentalement, dans la
figure
30, partie scientifique, une expression aussi gri
. — Dans les deux nuances que je viens d'analyser, à l'occasion de la
figure
79 de l'album et du tableau du Poussin, n° Zl36,
es les expériences qui ont été faites sur ce muscle (voyez toutes les
figures
du chapitre X, partie scientifique). Or, chez la
s ne disparaissent pas entièrement; les signes s'en traduisent sur la
figure
de la mère par une expression d'abattement et de
ble est analogue à celle que j'ai produite expérimentalement dans les
figures
26 et 27, où le muscle sourcilier droit est élect
ilier droit est électrisé isolément (voy. l'étude expressive de cette
figure
, à la page 35, partie scientifique). — L'incorrec
es-» sion de compassion, expression des plus sympathiques (1). » La
figure
80 est destinée à peindre une scène analogue.— La
peindre une scène analogue.— La jeune femme photographiée dans cette
figure
est représentée visitant une famille pauvre; on r
courbe à convexité inférieure et la pommette se gonfler. — Toutes les
figures
de la partie scientifique de l'album, où le muscl
t de contraction électrique, ont mis ces faits en évidence (voyez les
figures
30, 31, 32, 33, 3Zi. 35, 36 et 37). On constate a
, 33, 3Zi. 35, 36 et 37). On constate aussi que, du côté gauche de la
figure
8(j, le rire naturel a agi de la même manière sur
a reproduire par la photographie. Le procédé que j'ai employé dans la
figure
80 est plus simple. J'ai appelé le sourire bienve
de mon modèle en agissant sur son moral (voyez la moitié gauche de la
figure
80), et puis j'ai excité modérément, du côté oppo
t, du côté opposé, le muscle du pleurer (voyez la moitié droite de la
figure
80), Alors le sillon naso-labial et la forme de l
dans le sourire. On peut s'en assurer en cachant les parties de cette
figure
situées immédiatement au-dessus de la lèvre infér
avec le sourire mêlé de douleur, représenté sur le côté gauche de la
figure
79. — Ce n'est pas non plus ce même sourire qu'Ho
ser des larmes, et que, bien plus, on pleure de bonheur. III. Les
figures
81, 82 et 83 sont destinées à reproduire des expé
des plus belles de Shakspeare, — j'ai essayé de représenter, dans la
figure
81, l'expression que doit avoir lad y Macbeth, qu
où lady Macbeth exprime cette dernière pensée que j'ai voulu, dans la
figure
81, peindre son expression. — On ne remarque pas
(2) Macbeth, drame en vers de F. Lacroix, acte II, scène i. Si la
figure
82 avait été primitivement destinée à représenter
isite du roi Duncan dont on lui avait annoncé l'arrivée pro chaine.
figure
81, dominée par la volonté de tuer le roi, n'a ri
) Au delà cle ce degré d'excitation, le pyramidal du nez a, dans la
figure
82, altéré la beauté de mon modèle, bien que ce m
fille a pu devenir plus terrible et plus enlaidie encore que dans la
figure
82, par la contraction au maximum de ce petit mus
et méchantes, de la haine, de la jalousie, des instincts cruels. La
figure
83, où le pyramidal du nez a été mis à son maximu
contraction, en est une preuve frappante. Qui reconnaîtra, dans cette
figure
, la jeune personne dont la physionomie s'est tran
gnard à la main, avec cet air féroce que j'ai photographié dans cette
figure
83. On voit que ses traits assombris sont singuli
er muscle est môme si faible, que pour le mettre en action, clans les
figures
75 et 76 (partie scientifique), j'ai dû employer
, il m'a suffi, pour produire les expériences photographiées dans les
figures
81, 82 et 83, de faire contracter son muscle pyra
e contracter son muscle pyramidal du nez. (On appréciera bien sur ces
figures
l'influence réciproque de la bouche et de l'oeil,
e du front. Ces faits ressortent des expériences représentées sur les
figures
81, 82 et 83, comme ils avaient été démontrés dan
ous l'influence du sourcilier, muscle de la douleur (voyez toutes les
figures
consacrées à l'étude de ce muscle), qui, antagoni
passion est aussi peu développé que chez le sujet représenté dans les
figures
h et 9. Ces nuances diverses de l'expression ag
et le glaive. » (Notice sur les tableaux du Louvre, F. Yillot ) La
figure
ëchevelée de la Vengeance, dont la main crispée v
me qui rend le regard sympathique, comme sur la moitié gauche de la
figure
80. ¦—J'y vois une prévoyance de la nature, qui n
(2) L"s passions de Vâme, 2e partie, art. 145. On a vu, dans les
figures
30 et 32 (partie scientifique), les signes différ
ion horizontale, située au-dessous de la paupière inférieure (voy. la
figure
30 qui représente le rire naturel), et pour la se
urel), et pour la seconde, par l'absence de cette dépression (voy. la
figure
31, où le muscle grand zygomatique est électrisé
ce qu'ils sont à leur maximum. Le rire faux de la moitié droite de la
figure
30 contraste en effet avec son regard impassible.
t. L'étude expérimentale de cette expression est représentée sur la
figure
48. — Lady Macbeth m'en a fourni le sujet. Appren
ueuse, cher seigneur! que j'ai voulu représenter lady Macbeth dans la
figure
8/1. On a vu, dans la figure 82, l'expression d
voulu représenter lady Macbeth dans la figure 8/1. On a vu, dans la
figure
82, l'expression de cruauté que je lui ai donnée,
la tristesse. — Lorsque j'ai fait l'expérience qui est le sujet de la
figure
84, mon modèle était de très mauvaise humeur; son
er au niveau de l'angle externe de l'œil, comme chez le vieillard des
figures
30, 32, parce que ces rides sont des lignes expre
'occasion de la contraction au maximum du grand zygomatique (voy. les
figures
30 et 32). — Si la partie du visage située au-des
rtie du visage située au-dessous du nez est couverte, le regard de la
figure
84 parait froid et sec; — mais dès que du côté ga
ne se joindre le doux regard que l'on voit sur la moitié gauche de la
figure
80, à l'instant on se sent attiré irrésistiblemen
dans le sourire démasque un rire faux. » TABLEAUX SYNOPTIQUES DES
FIGURES
DE L'ALBUM J'ai réuni dans neuf tableaux synopt
bleaux synoptiques, sous forme de petits médaillons, les têtes des 82
figures
qui composent la partie scientifique et la partie
de ces tètes sont répétées do manière à ne montrer qu'une moitié des
figures
sur lesquelles j'ai produit une expression différ
ètes. En voici l'utilité,: 1° J'ai indiqué, dans les légendes des
figures
, corn meut on doit cacher alternativement, pour e
rnativement, pour en faire l'étude comparative, les traits divers des
figures
qui ont une expression double. Les tableaux synop
t, en employant le procédé indiqué dans les légendes, chaque côté des
figures
dont l'expression est double, on reconnaît bien l
résoudre est plus facile. Prenons seulement pour exemple les quatre
figures
78 du tableau VIII. La première de ces figures ('
our exemple les quatre figures 78 du tableau VIII. La première de ces
figures
('78) montre l'expérience telle qu'elle a été fai
assortiment des objets colorés.) isolément en action. — Deux autres
figures
("'78 et ""78) laissent voir seulement Tune des m
des plus concluantes. Ainsi l'œil paraît froid et dédaigneux dans la
figure
""78, tandis qu'il est gai et moqueur dans la fig
daigneux dans la figure ""78, tandis qu'il est gai et moqueur dans la
figure
"'78. Cependant il n'existe, en réalité, aucune d
rsque l'on cache les parties situées au-dessous du nez, comme dans la
figure
"78. Cette modification apparente du regard rés
parativement sous les yeux les expériences représentées dans les deux
figures
"'78 et ""78, que lorsque foi] cache alternativem
et ""78, que lorsque foi] cache alternativement l'un des côtés de la
figure
'78, ainsi que je l'ai indiqué dans le texte de l
s le texte de l'album. Ces considérations, applicables à toutes les
figures
à double expression de la partie scientifique et
'est pas double, afin qu'en présentant ainsi l'ensemble de toutes les
figures
qui composent l'album, on puisse facilement les é
rs, pour faire partie des tableaux synoptiques, composés chacun de 46
figures
. Conséquemment, les lignes expressives sont moins
ux synoptiques ne présentent pas l'attitude et le geste, qui, sur les
figures
entières de la partie esthétique, viennent en aid
le. En somme, si les tableaux synoptiques ne sauraient suppléer les
figures
isolées de l'album, dont ils sont le complément,
cation de la légende.................. 141 I. Considérations sur la
figure
74, qui représente le portrait du mo- dèle ....
o- dèle ........................... 144 II. Considérations sur la
figure
75, qui représente la prière douloureuse, avec
istesse, du côté droit.............. 144 III. Considérations sur la
figure
76, qui représente la prière avec dou- leur ext
côté droit. . . . ,.................. 146 IV. Considérations sur la
figure
77, qui représente Vamour céleste, du côté gauc
rrestre, du côté droit de la face. , . 150 V. Considérations sur la
figure
78, qui représente une scène de coquet- terie,
ication de la légende................. 159 I. Considérations sur la
figure
79, qui représente la joie maternelle mêlée de
é de larmes), du côté droit........ 166 III. Considérations sur les
figures
81, 82, 83, qui représentent lady Macbeth (trag
la muqueuse du vagin {^Ballet, de thér., t, LXIII). Nous donnerons la
figure
d'un instrument fait par M. Luer, et qui agit aus
reil instru-mental pour la suture ressemble à celui de M. Jobert; les
figures
suffiront à faire comprendre les légères modifica
un très-grand nombre de fils très-rapprochés les uns des autres. Les
figures
que nous consacrons à l'exposition du procédé all
i-spliériques sur la surface plane desquels ces fils sont tordus. Les
figures
feront parfaite-ment connaître cette disposition.
. M, Simon a appliqué sa suture à deux rangées à cette fistule; les
figures
suffiront pour bien faire comprendre cette modifi
ire comprendre ces dispositions des su-tures, nous reproduirons trois
figures
qui accompagnent la description de M. Launay. Q
les inventions de ce genre, ils en trouveront la descrip-tion et les
figures
dans le livre de M. Huguier: de VHjstéro-métrie.
l coup avec des ciseaux droits la portion postérieure du col [voj. la
figure
10), Passant alors dans la cavité de l'utérus un
aucoup moins compliqué que le précédent; nous en donnons également la
figure
planche X. action de Técrasenienl linéaire sur
ation profonde; les battements du cœur étaient à peine sen-sibles, la
figure
pâle, la peau froide; des nausées, des vomis-seme
n, on peut faire, comme M. Kœberlé, une suture sèche au collodion. La
figure
i de la planche XII fait parfaite-ment comprendre
ES VÉSICO-VAGINALES ET VÉSICO-UTÉRO-VAGINALES (PROCÉDÉ JOBERT).
Figure
i. a. Fistule. b. Pinces de Museux abaissant
et la fistule, gg. Rubans étroits placés pour la suture. h. Anus,
Figure
ii. Fait voir la listule vésico-utérine d'après l
x abaissent très-fortement l'utérus pour rendre la fistule visible.
Figure
m. Préparation anatomique destinée à bien faire c
lèvre antérieure a été détruite par la maladie ou par l'a-vivement.
Figure
iv. Montre les rapports normaux de l'urèthre, du
tites lèvres, c. Clitoris. u. Urèthre. ii. Tracé de l'incision.
Figure
v. Abaissement du vagin après l'incision. Ces d
Figure v. Abaissement du vagin après l'incision. Ces deux dernières
figures
font comprendre le procédé employé par Jobert lor
; il n'y a donc pas lieu de la recommander dans la plupart des cas.
Figure
vi. Principaux instruments. L Spéculum univalve
FISTULES URINAIRES CHEZ LA FEMME PROCÉDÉ ALLEMAND (M. SIMON).
Figure
i. Position sacro-dorsale, dans laquelle le bassi
acro-dorsale, dans laquelle le bassin est plus élevé que le thorax.
Figure
ii. Montre comment se font la mise à jour et l'av
istule. Un bistouri droit et pointu est introduit, comme le montre la
figure
, et suit le trajet de la ligne ponctuée; il enlèv
on les déplace lorsque le bistouri arrive sur la lèvre postérieure.
Figure
m. Disposition des fils. La sonde est restée dans
t fins; ils sont bien plus rapprocbés que dans le procédé Jobert. Une
figure
de la planche suivante montrera l'introduc-tion d
gure de la planche suivante montrera l'introduc-tion des aiguilles.
Figure
iv. Aspect de la fistule après que les fils ont é
e rapprochement ; cette dernière doit être plus serrée que l'autre.
Figure
v. Est destinée à taire comprendre le procédé de
rs de la grandeur naturelle). FISTULES URINAIRES CHEZ LA FEMME.
Figure
i. opération de la fistule vésico-utéyo-vayiimtc
fourchette pour permettre de bien découvrir la r;uigée des sutures.
Figure
m. Opération de la fistule vésico-uténne \qi' le
v' dans l'épaisseur des parois antérieure et postérieure du vagin.
Figure
yi. Résultat immédiat de l'opération précédente.
FEMME (PROCÉDÉ DE M. MARION SIMS. — NOUVEL INSTRUMENT UNISSANT).
Figure
i. Deciibitiis latéral gauche, position des mains
SSANT). Figure i. Deciibitiis latéral gauche, position des mains.
Figure
ii. Spéculum de M. Sims. Les deux extrémités ont
éculum de M. Sims. Les deux extrémités ont une grosseur différente.
Figure
m. Trois instruments pour l'avivement de la fistu
ment qu'on implante le crochet aigu et qu'on fait agir les ciseaux.
Figure
iv. Bistouris coudés en deux sens opposés, servan
vivement; on peut les remplacer par un seul bistouri à lame mobile.
Figure
v. Montre les instruments en action. Le crochet a
-dessous de cette muqueuse détachée, on aperçoit la paroi vésicalc.
Figure
vi. Porte-aiguille en forme de pince à pansements
oit que le fil de soie passé dans le chas de l'aiguille est double.
Figure
yii. Trois instruments destinés à faciliter la su
s derrière elle, soit à relever les lèvres de la plaie ou les fils.
Figure
viii. Pince à mors plats et coudés, pour tordre l
, qu'on fait glisser de haut en bas pour maintenir la pince fermée.
Figure
ix. Coupe fictive montrant le trajet que chaque f
trajet que chaque fil doit parcourir et l'obliquité de l'avivement.
Figure
x. Passage des fils de soie. Un premier fil est p
gée du second fil la traverse, poussée par la pince porte-aiguille.
Figure
xi. Tous les fils ont été passé, puis noués sur u
ne dizaine de tours, après avoir tiré convenablement sur les fils. La
figure
xii bis est une coupe fictive qui démontre le rap
un côté ; puis la pince tire sur le bout et enlève toute la suture.
Figure
xiy. Sonde eu S allongée, taillée en bec de flûte
mors ont deux pointes qui se placent dans des trous correspondants.
Figure
xvi. L'instrument est placé ; les deux lèvres de
r l'ace olemeut des deux lèvres en arrière de la portion comprimée.
Figure
xyii. Montre le résultat; les lèvres se sont réun
édecine opératoire. PL. IV. FISTULES URINAIRES CHEZ LA FEMME.
Figure
i. Position de l'opérée dans le procédé de M. Boz
ME. Figure i. Position de l'opérée dans le procédé de M. Bozeman.
Figure
il Ciseaux à double courbure sur le plat et sur l
près des anneaux ditïëre pour le côté droit et pour le côté gauche.
Figure
m. Crochet mousse qui sert de point d'appui à Fai
t d'appui à Faiguille quand elle traverse les lèvres de la fistule.
Figure
iv. Porte-aiguille de M. Bozeman. La gaine est co
rmet de donner à la tige centrale toutes les courbures nécessaires.
Figure
y. Ajusteur de la suture ; c'est une espèce de bo
percé d'un trou à son centre et porté sur un long manche flexible.
Figure
vi. Représente la fistule F. L'étendue de l'avive
les points de sortie des fils sur la muqueuse vaginale saine SSSS.
Figure
vu. Coupe fictive qui montre Fobliquité de l'aviv
'ajusteur de la suture et à tirer graduellement sur ces extrémités.
Figure
viii. Lorsque cette traction est suffisante, les
me une anse presque circulaire bb, et l'ajusteur d touche la plaie.
Figure
ix. Les deux chefs de chaque suture bb sont passé
s fils jusqu'à ce qu'elle soit arrivée au contact de la fistule ce.
Figure
x. La plaque a a, pressée contre la fistule, la r
n par les deux chefs d'une suture bbb, et poussés contre la plaque.
Figure
xi. Les grains de plomb arrivés contre la plaque
és ; puis les fils sont plies et coupés au ras des grains de plomb.
Figure
xiii. Opération de la fistule vésico-utero-vagina
aux mettent la fistule bien à jour comme dans le procédé de Jobert.
Figure
xiv. Montre le résultat obtenu lorsque les fils o
t que c'est la lèvre antérieure du col qui ferme la fistule. Ces deux
figures
complètent les exemples des principales espèces d
éments à la Médecine opératoire. PL. V. RESTAURATION DU PÉRINÉE
Figure
i. Procédé de M. Baker Brown. A, main gauche de F
serrant ces chefs, le rapprochement aura lieu et on fera les nœuds.
Figure
ii. Procédé du professeur Jobert. AA, surfaces av
t Jobert les faisait descendre plus au dessous du niveau de l'anus.
Figure
m. Procédé de M. Demarquay, premier temps. A A, s
vous serrez tous ces fils, la plaie prend la forme d'un enton-noir.
Figure
iv. Procédé de M. Demarquay, deuxième temps. La s
s à rapprocher les deux parois latérales et superficielles avivées.
Figure
v. Troisième temps du même pt^océdé. Les parois r
on voit DD, les incisionssemilunaires recommandées par Dieffembach.
Figure
vi. Procédé de M. Deroubaix dit à double suture.
tés de forme du col utérin s'applique l'opé-ration qu'il préconise.
Figures
i et ii. Aspect le plus ordinaire des cols coniqu
ect le plus ordinaire des cols coniques, profil et face; nullipare.
Figure
m. Variété de col conique, avec flexion; l'insert
que la cavité cervicale ne communique pas librement avec le vagin.
Figures
iv et v. Deux cols qui présentent encore un rétré
insuffisance de la dilatation pour obtenir une guérison définitive.
Figure
vi. Montre Faction du métrotome du professeur Sim
té introduite au-delà de l'orifice interne du col, comme l'indique la
figure
ponctuée ; en ouvrant l'instrument et le tirant e
al et la gaîne de l'instrument est encore dans la cavité cervicale.
Figure
vu. Section faite par le métretome double du D''
mentne s'étendpas jusqu'à l'angle de réflexion du vagin sur le col.
Figure
viii. Procédé du D"" Barnes. Sou instrument est i
ire de ciseaux, on fera une section indiquée par la ligne ponctuée.
Figure
ix. Figure d'ensemble montrant d'après M. Marion
aux, on fera une section indiquée par la ligne ponctuée. Figure ix.
Figure
d'ensemble montrant d'après M. Marion Sims, les s
perfectionné par les fabricants français, MM. Mathieu et Charrière.
Figure
x. Opération de M. Sims dans le cas où il y a sim
une ouverture inférieure qui réponde à l'axe de la cavité utérine. La
figure
montre une coupe fictive pour faciliter l'intelli
emier temps. Le canal utérin se trouve ainsi redressé et raccourci.
Figures
xi et xii. Coupes de l'utérus au niveau de l'orif
et orifice et les vaisseaux volumineux qui se trouvent à ce niveau.
Figure
xiii. Métrotome de M. Simpson. Figure xiv. Le m
ui se trouvent à ce niveau. Figure xiii. Métrotome de M. Simpson.
Figure
xiv. Le même instrument modifié par les fabricant
Figure xiv. Le même instrument modifié par les fabricants français.
Figure
xv. Métrotome à double lame du D' Greenhalgh. On
étrotome à double lame du D' Greenhalgh. On a vu son action dans la
figure
vu. Figure xvi. Le même instrument très-simplifié
double lame du D' Greenhalgh. On a vu son action dans la figure vu.
Figure
xvi. Le même instrument très-simplifié par MM. Ma
thieu, Robert et Colin, et donnant les résultats indiqués dans la
figure
ix. Figure xvi bis. Hystérotome du D"" Aveling.
rt et Colin, et donnant les résultats indiqués dans la figure ix.
Figure
xvi bis. Hystérotome du D"" Aveling. La charnière
franchir le col, on est obligé de faire une dila-tation préalable.
Figure
xvii. Ciseaux servant à accomplir le premier temp
Ciseaux servant à accomplir le premier temps du procédé de M. Sims.
Figure
xviii. Bistouri à lame mobile en différents sens,
urnant on pousse un tenon dans un petit trou comme on le voit dans la
figure
xix. Figure xx. Tubes en laminaria digitata per
se un tenon dans un petit trou comme on le voit dans la figure xix.
Figure
xx. Tubes en laminaria digitata percés d'un trou
fil qui sert à les retirer. Il y en a de grosseurs inter-médiaires.
Figure
xxi. Pessaire intra-utérin du D'' Greenhalgh, gra
utérus. Pour pou-voir l'introduire il faut avoir dilaté cet organe.
Figure
xxii. Autre tente intra-utérine employée par le D
Pour introduire cet instrument on le place à l'ex-trémité du mandrin,
figure
xxii bis, ce pessaire ne sert aussi qu'après l'in
pessaire ne sert aussi qu'après l'incision ou la dilatation du col.
Figure
xxiii. Autre tige intra-utérine de MM. Robert et
t s'applique fermée à l'aide d'un tube qui l'engaîne comme on le voit
figure
xxiii bis. Figure xxiv. Dilatateur utérin de Pr
à l'aide d'un tube qui l'engaîne comme on le voit figure xxiii bis.
Figure
xxiv. Dilatateur utérin de Priestley, vu fermé.
xxiii bis. Figure xxiv. Dilatateur utérin de Priestley, vu fermé.
Figure
xxiv bis, il est vu ouvert; en tournant la vis qu
PL.VII. EXPLORATION, CAUTÉRISATION, REDRESSEMENT DE L'UTÉRUS
Figure
i. Cautère nummulaire pour l'utérus. Figures ii
RESSEMENT DE L'UTÉRUS Figure i. Cautère nummulaire pour l'utérus.
Figures
ii et m. Cautères en roseau, en acier fondu. Ces
le même volume une chaleur plus intense et qui dure plus longtemps.
Figure
iv. Cautère en champignon pour le col de l'utérus
du col, pendant que la partie plane cautérise le museau de tanche.
Figures
v et vi. Cautère en fuseau pouvant pénétrer dans
autère en fuseau pouvant pénétrer dans l'orifice infé-rieur du col.
Figure
vu. Cautère sphéroïdal. Figure vu'. Cautère éle
dans l'orifice infé-rieur du col. Figure vu. Cautère sphéroïdal.
Figure
vu'. Cautère électrique, u est l'ogive de platine
e, on le tient à pleine main et on place le pouce sur ce coulant b.
Figure
viii. Anse coupante électrique pour faire la sect
nt passée. L'anse peut se rétrécir à mesure que la section se fait.
Figure
ix. Cautère électrique en cuiller. Figures x,xi
que la section se fait. Figure ix. Cautère électrique en cuiller.
Figures
x,xi,xii. Cautères électriques olivaire cultellai
s ces cautè-res viii, ix, x, xi, xii, se montent sur le manche unique
figure
vu'. Figure xiii. Couteau électrique de M. de S
s viii, ix, x, xi, xii, se montent sur le manche unique figure vu'.
Figure
xiii. Couteau électrique de M. de Séré. a est une
ion avec les rhéo-phores disposés pour recevoir cette pièce carrée.
Figure
xiv. Cautère à gaz, inventé par M. Mathieu d'aprè
e robinet xiv'" et d'adapter le tube sur un bec d'éclairage au gaz.
Figure
xv. Porte - caustique terminé par deux cupules, d
ement à des inégalités, comme dans le porte-caustique de Lallemand.
Figure
xvi. Spéculum de Fergusson, en verre étamé recouv
e plus long en rapport avec la face du col, qui est la plus longue.
Figure
xvii. Spéculum de M. Cusco. Il a deux valves plus
t les lignes ponctuées, ce qui en fait un instrument très-portatif.
Figure
xviii. Spéculum à deux valves, à large développem
eloppement, utile pour plusieurs opérations laborieuses (Lisfranc).
Figure
xix. Réflecteur pour éclairer les organes que le
ecteur pour éclairer les organes que le spéculum met à découvert.
Figure
xx. Spéculum intra-utérin en ivoire, du professeu
istinct, peut se retirer après l'application de l'instrument. Dans la
figure
xx', on voit l'instrument muni de son embout c, e
este à tenir que le manche de la pièce princi-pale de l'instrument.
Figure
xxi. Spéculum intra-utérin en métal, de M. Brisse
truments peuvent être employés comme spéculum et comme dilatateurs.
Figure
xxii. Dilatateur à vis, ou en spirale d'Aussandon
ramolli, de plusieurs grosseurs qui se montent sur le même manche.
Figure
xxiii. Dilatateur à deux valves de Lemenant-Desch
onge à la corde, pour pouvoir l'introduire dans les cas ordinaires.
Figure
xxiv. Dilatateur à 3 branches, de Busch. Figure
s cas ordinaires. Figure xxiv. Dilatateur à 3 branches, de Busch.
Figure
xxv. Sonde utérine de Simpson ; la courbure est t
coche à la jonction de la partie courbe et de la partie rectiligne.
Figure
xxvi. Sonde utérine de Valleix. Courbure beaucoup
cette sonde qui peut se monter à vis sur les étuis de porte-pierre.
Figure
xxvii. Hystéromètre de M. Huguier. Le curseur a e
en mouvement par une tige qui sort du manche de l'instrument en b.
Figure
xxviii. Pessaire électrique intra-utérin de Simps
e est de cuivre, comme le bulbe; la moitié supé-rieure est de zinc.
Figure
xxix. Pessaire intra-utérin ne pénétrant pas jusq
et xxix, reçoit un mandrin qui sert à mettre le pessaire en place.
Figure
xxx. Redresseur utérin de Simpson, modifié, par V
INSTRUMENTS ET APPAREILS EMPLOYÉS DANS LES MALADIES DE L'UTÉRUS
Figure
i. Spéculum à quatre branches mobiles. Figure i
ALADIES DE L'UTÉRUS Figure i. Spéculum à quatre branches mobiles.
Figure
ii. Appareil pour l'injection de poudres médicame
ou dans l'utérus, a ampoule de caoutchouc, b réservoir, c ca-nule.
Figure
m. Appareil pour l'injection de vapeurs de chloro
njection de vapeurs de chloroforme dans le vagin ou dans le rectum.
Figure
iv. Irrigateur vaginal simple, a hémisphère en pl
ouc à double valvule, faisant fonction de pompe, c canule vaginale.
Figure
v. Irrigateur vaginal à double courant, muni d'un
'un obturateur de la vulve. L'eau sort par le tube inférieur. Aran.
Figure
vi. Irrigateur vaginal en forme de spéculum, dépl
. Maisonneuve. Ces deux irrigateurs sont représentés demi-grandeur.
Figure
vu. Scarificateur de Mayer pour le col de l'utéru
ndeur. Figure vu. Scarificateur de Mayer pour le col de l'utérus.
Figure
viii. Ventouse pour le col de Futérus. Au robinet
mmunication avec le corps de pompe à l'aide duquel on fait le vide.
Figure
ix. Ventouse sèche intra-utérine de Simpson. Fi
fait le vide. Figure ix. Ventouse sèche intra-utérine de Simpson.
Figure
x. Scarificateur pour le col. Figure xi. Pince
he intra-utérine de Simpson. Figure x. Scarificateur pour le col.
Figure
xi. Pince à pansements utérins du D'' Savage. A s
on adapte soit un cylindre de nitrate d'argent, soit une lancette.
Figure
xii. Lancette de grandeur naturelle qui se fixe à
Lancette de grandeur naturelle qui se fixe à la pince précé-dente.
Figure
xiii. Extrémité du porte-éponge de M. Sims. Fig
e précé-dente. Figure xiii. Extrémité du porte-éponge de M. Sims.
Figure
xiy. Dépresseur utérin vu de face, servant à atti
n avant. Sims. La courbe est assez forte comme on peut le voir par la
figure
xviii qui donne le profil de cet instrument. Fi
le voir par la figure xviii qui donne le profil de cet instrument.
Figure
xv. Valve feiiètrée, ou redresseur de M. Martin S
Figure xv. Valve feiiètrée, ou redresseur de M. Martin Saint-Ange.
Figure
xvi. Curette de Récamier pour la muqueuse utérine
t-Ange. Figure xvi. Curette de Récamier pour la muqueuse utérine.
Figure
xvit. Sonde utérine ou redresseur de M. Sims, pou
'autre extrémité est percée de très-petits trous à jets récurrents.
Figure
xx et xx. Les deux extrémités de la sonde à doubl
nes. Figuré xxi. Extrémité du porte-nitrate d'argent de Scanzoni.
Figure
xxii. Pessaire en caoutchouc que Ton introduit vi
houc que Ton introduit vide. On le voit distendu et sphérique dans la
figure
xxii bis, après que la main droite a chassé dans
re l'air contenu dans le réservoir, qu'on sépare alors du pessaire.
Figure
xxiii. Redresseur de Kiwisch, vu fermé. Il est éc
seur de Kiwisch, vu fermé. Il est écarté dans la fi-gure xxiii bis.
Figure
xxiv. Dilatateur de M. Sims après l'opération con
n contre le vagi-nisme ; il y a une dépression pour loger Furèthre.
Figure
xxv. Autre dilatateur dont la pression porte surt
ur la four-chette et sur le périnée ; les bords rentrent en dedans.
Figure
xxvi. Pessaire élytroïde de J. Cloquet. Figure
entrent en dedans. Figure xxvi. Pessaire élytroïde de J. Cloquet.
Figure
xxvii. Pessaire en pelle ou en raquette de M. Her
e xxvii. Pessaire en pelle ou en raquette de M. Hervez de Ché-goin.
Figure
xxviii. Pessaire de Meigs ; ressort de montre rec
ligne ponctuée indique la forme qu'on lui donne pour l'introduire.
Figure
xxix. Pessaire à air à cuvette oblique. Garriel.
saire à air à cuvette oblique. Garriel. Antéversion, ré-troversion.
Figure
xxx. Pessaire à air à renflement postérieur appli
ssaire à air à renflement postérieur applicable à la re-troflexion.
Figure
xxxi. Pessaire à dilatation continue de M. Pertus
ilatation continue de M. Pertusio, vu fermé, prêt à être introduit.
Figure
xxxii. Le même instrument ouvert. Figure xxxiii
, prêt à être introduit. Figure xxxii. Le même instrument ouvert.
Figure
xxxiii. Pessaire primitif de Hodge en argent doré
ersion. La barre transversale se place derrière le col de l'utérus.
Figure
xxxiv. Pessaire de Hodge en étain. L'extrémité du
; l'autre extrémité presse le col de la vessie contre la symphyse.
Figure
xxxv. Pessaire en caoutchouc à cuvette droite. Ga
caoutchouc à cuvette droite. Gariel. On l'in-suffle comme celui de la
figure
xxix. Figure xxxvi. Hystérophore de Detschypour
vette droite. Gariel. On l'in-suffle comme celui de la figure xxix.
Figure
xxxvi. Hystérophore de Detschypour le redressemen
e redressement des flexions de la matrice. La tige peut se courber.
Figure
xxxvii Pessaire de Zwanck modifié, vu ouvert. Il
re xxxvii Pessaire de Zwanck modifié, vu ouvert. Il est fermé dans la
figure
xxxvii/n's; Fextrémité inférieure de la tige tour
xxxvii/n's; Fextrémité inférieure de la tige tourne comme une vis.
Figure
xxxviii. Pessaire à air et à pétiole de Bourjeaur
est muni de sous-cuisses. Le tube du milieu sert à l'insufflation.
Figure
xxxix. Introduction du spéculum américain. Supp
X. CORPS FIBREUX ET POLYPES DE L UTÉRUS ÉCRASEMENT LINÉAIRE
Figure
i. Hystérométrie dans le cas de deux corps fibreu
re qu'un seul trajet et n'a aucune mobilité en avant et en arrière.
Figure
ii. Hystérométrie dans un cas de polype fibreux i
ation peut être faite cl les résultats très-précis qu'elle fournit.
Figure
m. Écraseur linéaire de MM. Chassaignac et Mathie
ne de M. Matliieu se sépare complètement de 1 instrument principal.
Figure
v. Écraseur droit de Charrière. La partie motrice
une autre extrémité plus appropriée à loperaiion qu'on veut faire. La
figure
vi est une de ces pièces de recUauge, elle donne
emplacée par des fils ou des cordes métalliques sui-vant le besoin.
Figure
vu. Autre écraseur à vis de Charrière; il est mùp
e va-el-vient alternatif comme dans l'instrument de M. Chassaignac.
Figure
viii repiésente les crémaillères de M. Chassaigna
les mortaises prêtes à recevoir les tenons de l'autre crémaillère.
Figure
ix montre l'articulation des chaînons, et la figu
re crémaillère. Figure ix montre l'articulation des chaînons, et la
figure
x est une coupe qui fait voir le mécanisme intéri
e coupe qui fait voir le mécanisme intérieur de cette articulation.
Figure
xi. Pince à polypes, à coulisse et à constriction
n. Figure xi. Pince à polypes, à coulisse et à constriction fixe.
Figure
xu. Pinces de Greenhalgh, à branches glissantes l
e branche sert à fixer où l'on veut l'articulation de ces branches.
Figure
xiii. Pince érigne Robert. Chaque branche se term
rganes et qui ne pique qu'après avoir été bien placée où l'on veut.
Figure
xiv. Érigne à quatre crochets, à dilatation et à
gne à quatre crochets, à dilatation et à bascule de M. Maisonneuve.
Figure
xv. Érignes simples à bascules, qu'on peut mainte
'on peut maintenir au degré d'écartement voulu, dans les deux sens.
Figure
xyi. Serre-nœud de Sotto de Gand, plus simple que
i. Serre-nœud de Sotto de Gand, plus simple que celui de Desault.
Figure
xvii. Porte-ligatures et serre-nœuds réunis dans
inférieure, et à tourner la vis terminale pour étreindre la tumeur.
Figure
xviii. Appareil de Niessen modifié par Gooch. a d
i se trouve soudé aux anneaux inférieurs, et qu'on ne voit pas sur la
figure
parce qu'il est situé en arrière. Figure xix. I
t qu'on ne voit pas sur la figure parce qu'il est situé en arrière.
Figure
xix. Instrum'nt. de Miksckik placé au bout de l'i
y voit est maintenu dans la paume de la main par les autres doigts.
Figure
xx. Ablation d'un polype fibreux par écrasement l
rps de l'instrument est incliné dans la direction de l'aine gauche.
Figure
xxi. La même opération, exécutée à l'aide d'un éc
oit que l'utérus et le polype n'ont pas été préalablement abaissés.
Figure
xxir. Ablation d'un polype fibreux intra-utérin,
entrer le porte-chaîne dans la gaîne et à exercer la cons-triction.
Figure
xxiii. Polype utéro-folliculaire en forme de batt
cée à l'extrémité opposée de l'instrument, le pédicule sera écrasé.
Figure
xxiv. Polype fibreux implarté sur la lèvre postér
xtemporanée. Le fil est passé dans un serre-nœud légèrement courbe.
Figure
xxv. Destruction d'un polype fibreux par des flèc
seur à l'aide de quelques ponc-tions faites avec un bistouri droit.
Figure
xxvi. Polype fibreux implanté sur le fond de l'ut
tractions sur ce fond, par l'écraseur emporte-pièce de M. Nélaton.
Figure
xxvii. Polype fibreux naissant sur le museau de t
ur le pédicule ; la lame sort de sa gaîne pour exciser ce pédicule.
Figure
xxviii. Ligature d'un polype par le procédé Favro
PUTATION DU COL DE L'UTÉRUS ALLONGEMENT HYPERTROPHIQUE. PROLAPSUS
Figure
i. Amputation du col par l'écraseur linéaire droi
dans quatre points opposés. La chaîne est placée à la base du col.
Figure
ii. Pinces de M. Luer, pour saisir le col sans le
permet à la partie saisie de s'y engager quand elle est comprimée.
Figure
m. Allongement hypertrophique de la portion inlra
ente; / corps fibreux développé dans la lèvre antérieure ; V vagin.
Figure
iv. Portion excisée du col hypertrophié. Une inci
sée du col hypertrophié. Une incision laisse voir le corps libreux.
Figure
v. Composition et rapports de la tumeur dans l'al
ponctuée montre sa limite en avant. X clitoris. Y urèthre. Z anus.
Figure
vi. Montre la cystocèle et la rectocèle un mois e
R rectocèle. H hémorrhoïdes flétries. X clitoris. Y méat urinaire.
Figure
vu. Aspect de la tumeur formée par le prolapsus d
lequel est introduit un stylet. U ulcération autour de cet orifice.
Figure
viii. Portion du col enlevée dans le cas précéden
ans la moitié supérieure on voit les princi-paux coups de bistouri.
Figure
ix. État des organes sept ans après l'opération,
ritoine, et, dans ce dernier, des brides allant du vagin au rectum.
Figure
x. Amputation du col par le procédé de M. Sims. Q
agin avec la-quelle on veut recouvrir la surface de section du col.
Figure
xi. Les fils d'argent ont été tordus, et le col e
ntièrement re-couvert, sauf au centre où doit rester une ouverture.
Figure
xii. Serre-line de M. Desgranges pour le pincemen
le pincement du vagin dans le traitement du prolapsus de l'utérus.
Figure
xiii. Serre-fine saisie par un porte-pince spécia
ie par un porte-pince spécial et prête à être portée dans le vagin.
Figure
xiv. Pince élytro-caustique de Desgranges pour co
e crémaillère permet de fixer la pince au degré d'écartement voulu.
Figure
xv. Pince à griffes et à coulisse pour saisir de
AMPUTATION DE L'UTÉRUS PAR LA GASTROTOMIE PROCÉDÉ DE M. KŒBERLÉ
Figure
i. Appareil de pansement immédiatement après l'ov
re-nœud est attaché à la corde métallique in-férieure. N nombril.
Figure
ii. Appareil de pansement après qu'on a retiré le
t d'ap-pliquer le collodion. Le reste de l'appareil est comme dans la
figure
précédente. Figure m. Autre appareil au troisiè
lodion. Le reste de l'appareil est comme dans la figure précédente.
Figure
m. Autre appareil au troisième jour. N nombril. A
e de fil de fer la base de l'ovaire adhérente au corps de l'utérus.
Figure
iv. Appareil au dixième jour de l'opération précé
ur le fixer au dehors. K kyste momifié par le perchlorure de fer.
Figure
v. Autre appareil. N nombril L'incision se prol
du constricteur empêchent qu'il ne soit entraîné par le pédicule.
Figure
vi. Aiguille munie d'un double fil de fer entorti
de élastique ; cet appareil sert à pratiquer les sutures profondes.
Figure
vu. Coupe fictive destinée à faire comprendre l'a
s de souris, et fait une boutonnière en portant le bistouri à plat.
Figure
ii. Ponction du kyste. Les mains d'un aide compri
auche et sa main droite enfonce le trocart près de ces deux doigts.
Figure
m. Pour faciliter l'extraction du kyste, dont les
e kyste pour aider son passage à travers la plaie. (De Krassowsky.)
Figure
iv. Dans le cas de kyste friable, la main droite
t que la main gauche la tire avec précaution à l'aide de la canule.
Figure
v montre la section du pédicule du kyste à l'aide
oupe en l'appuyant avec le cautère sur la crête saillante du clamp.
Figure
vi. Les doigts rompent les adhérences récentes et
Figure vi. Les doigts rompent les adhérences récentes et faibles.
Figure
vu. Clamp du D"" Péan, pour écraser et cautériser
; il est bon d'en avoir plusieurs de courbures variées. (Guéride.)
Figure
viii. Clamp à vis du même chirurgien, pour divise
r par écrase-ment linéaire et cautériser les adhérences. (Mathieu.)
Figure
ix. Ligateur automatique du D' Cintrât et de Guér
e le fil; il peut servir seul ou monté sur une pince comme dans notre
figure
. Vu seul, le ligateur se compose de deux pièces p
rs soi ; le fil glisse dans le ligateur et reste sur le point lié. La
figure
représente le ligateur monté sur sa pince, qui sa
passée autour de cette artère, on n'a plus qu'à tirer sur le coulant.
Figure
x. Pince à pression continue, servant à comprimer
au dehors, et qui permettent de retrouver la pince dans l'abdomen.
Figure
xi. Aiguille, présentant à une extrémité un fer d
ET CELUI DU VAGIN, L'ANTEVERSION. INSTRUMENTS POUR L'OVARIOTOMIE
Figure
i et Figure ii. Procédé de M. Baker Brown contre
VAGIN, L'ANTEVERSION. INSTRUMENTS POUR L'OVARIOTOMIE Figure i et
Figure
ii. Procédé de M. Baker Brown contre la Cijstocèl
de M. Baker Brown contre la Cijstocèle et la liectocèle vaginales. La
figure
i montre les surfaces dénudées en haut et en bas,
enchevillées faites près de la com-missure inférieure de la vulve. La
figure
ii montre l'opération terminée. Cette opération
queuse, se trouve au niveau du méat urinaire, comme on le voit sur la
figure
i. Quand cet avivement est complet on réunit les
surfaces dénudées, en y plaçant trois sutures entre-coupées, comme la
figure
le montre. Dans la seconde partie de l'opératio
vivement la forme d'un fer à cheval (voyez la moitié inférieure de la
figure
i); les bords supérieurs de ce fer à cheval étant
quelques légères modifications à la guérison de la chute de rutérus.
Figure
m et Figure iv. Épisioraphie par le procédé de Fr
gères modifications à la guérison de la chute de rutérus. Figure m et
Figure
iv. Épisioraphie par le procédé de Fricke. La fig
rus. Figure m et Figure iv. Épisioraphie par le procédé de Fricke. La
figure
m montre le siège et l'étendue de l'avivement sur
ontre le siège et l'étendue de l'avivement sur les grandes lèvres. La
figure
iv montre la réunion des surfaces avivées, à l'ai
de la suture simple, et le rétrécissement qui en résulte à la vulve.
Figure
vi. Procédé de M. Marion Sims pour la procidence
en forme de V, il en a fait une en forme de truelle, comme on le voit
figure
v, la pointe en bas, l'épaulement en haut du cul
mmet ayant remarqué qu'après l'opération faite par l'avive-ment en V,
figure
vi, il pouvait arriver que le col de l'utérus ven
ns-versal dans le point indiqué par les deux lignes ponctuées V de la
figure
VI. Plus tard il arriva même à croire que cette s
rmettre la formation d'abcès entre la vessie et la suture du vagin.
Figure
viii. Opération contre l'anteversion dans les cas
, dans sa portion qui est voisine du cul de sac antérieur du vagin.
Figure
ix. Procédé de Romain Gérardin contre la chute de
es et à repousser ensuite le tout dans le vagin (d'après Legendre).
Figures
x et suivantes. Instruments employés dans les opé
; nous ajouterons ici ceux qui nous paraissent les plus importants.
Figure
x. Trocart de Kœberlé ; c'est une modification de
pour accrocher le kyste et le maintenir appliqué contre la canule.
Figure
xi. Trocart à spirale, modèle Robert et Colin. La
La spirale sert à maintenir l'ouverture du kyste exactement fermée.
Figure
xii. Trocart de M. Nélaton. La tige est creuse, l
caoutchouc, il y a un tube de verre qui permet de voir le liquide.
Figure
xiii et Figure xiv. Appareil de M. Buys. La figur
y a un tube de verre qui permet de voir le liquide. Figure xiii et
Figure
xiv. Appareil de M. Buys. La figure xiii montre l
voir le liquide. Figure xiii et Figure xiv. Appareil de M. Buys. La
figure
xiii montre le trocart avec la couronne et le dis
trocart avec la couronne et le disque, tout prêt pour la ponction. La
figure
xiv montre la canule après la ponction ; on voit
de caoutchouc avec son tube et son robinet adaptée à cette canule.
Figure
xv. Trocart de Spencer Wells, modifié par Péan; c
l'ouverture ; un long tube en caoutchouc c donne issue au liquide.
Figure
xvi. Trocart pour la ponction vaginale des kystes
ure xvi. Trocart pour la ponction vaginale des kystes de l'o-vaire.
Figure
xvii. Trocart Demarquay avec lithotome; le poinço
l'ouverture si le liquide sort avec peine parla ponction vaginale.
Figure
xviii. Clamp à pression parallèle de Robert et Co
ale. Figure xviii. Clamp à pression parallèle de Robert et Colin.
Figure
xx. Clamp de Baker Brown pour la cautérisation du
la moitié gauche il y a une plaque en cuivre avec rebord saillant.
Figure
xxi. Clamp de Mathieu. La constriction s'opère da
re qui permet de donner très-peu de volume aux plus gros pédicules.
Figures
xxii, xxiii et xxiv. Pinces serres-plates et serr
MKNT A I.A MÉOECINE OPÉRATOIKE, PLANCHR 15 ÉTRANGLEMENTS INTERNES
Figure
i. Rétrécissement du jéjunum, constitué par une v
ture faite à l'intestin pour bien montrer la valvule DD. (Baillie.)
Figure
ii. Obstruction du côlon par une tumeur villeuse
étrécissement qu'elle détermine à son point d'insertion. (Birkett.)
Figure
m. Étranglement interne produit par le passage d'
in. C, l'anse étranglée. DD, l'ouverture du mésentère qui étrangle.
Figure
iv. Concrétion intestinale ayant causé une obstru
de sa partie supérieure il y avait des cristaux brillants. (Monro.)
Figure
v. Portion d'iléon DDD, étranglée par un divertic
est un cordon fibreux qui unit ce diverticule anormal au mésentère.
Figure
vi. Occlusion intestinale due à des rétrécissemen
a petite ouverture dans laquelle on a passé un stylet. (Gars-well.)
Figure
vu. Étranglements multiples produits par des brid
I et KK sont les deux portions d'intestin étranglées. (Pro-chaska.)
Figure
viii. Bride circulaire, présentant dans sa moitié
appendice épiploïque, et dans sa moitié antérieure, visible sur cette
figure
, les caractères d'une bride filiforme. Cet append
PL. XV. ÉTRANGLEMENTS INTERNES ENTÉROTOMIE SUTURE INTESTINALE
Figure
i. Occlusion produite par l'invagination simultan
L ; cette même gaîne se continue en M au-dessous de l'invagination.
Figure
ii. Occlusion intestinale produite par une invagi
ù commence la péné-tration est ici beaucoup plus prononcé que dans la
figure
précédente ; cela tient à ce qu'il s'agit de Fint
s'agit de Fintestin grêle, dont la capacité est moins considérable.
Figure
m. Exemple d'une hernie interne ; c'est une herni
cum. 4 Portion du côlon transverse déplacé. 5 Appendice iléo-cœcal.
Figure
iv. Hernie obturatrice. 1 Symphyse du pubis. 2 Mu
scle ob-turateur externe, et non par les bords du trou sous-pubien.
Figures
v, vi, vit et vtii. Suture de Gély pour les plaie
sortie du fil qui vient d'être porté au côté opposé, comme on le voit
figure
v. Ces points de suture sont répétés autant de fo
au dernier point, on croise momenta-nément les fils comme on le voit
figure
vi, et pour serrer convenable-ment chaque point,
ossement des séreuses que les fils disparaissent presque entièrement,
figure
vii. On complète alors le nœud commencé au dernie
dernier point de suture, et on coupe les chefs au ras de ce nœud. La
figure
viii donne bien l'idée des effets de cette suture
suture a été faite sur un intestin grêle déjà rétréci par la maladie.
Figures
ix et x. Eiitérotomie par le procédé de M. Nélato
deux points de suture faits à chaque extrémité. On voit ces sutures,
figure
ix, pra-tiquées comme le fait M. Nélaton, dans le
ans l'angle de la plaie, au lieu de la piquer deux fois comme dans la
figure
; de plus, en faisant un nœud dans le sens longitu
le traverse dans son milieu avec une aiguille courbe mu-nie d'un fil,
figure
ix ; cette aiguille passe d'abord de dehors en de
entre les points de suture ; on voit cette incision commencée dans la
figure
x. Supplément à la Médecine opératoire. PL. X
ATIONS SUR LA VESSIE EXPLORATION, INJECTIONS, TAILLE, LïTHOTRITIE
Figure
i. Endoscope de M. Désormeaux, à l'aide duquel on
illon de la sonde; à l'extrémité A se place l'œil de l'observateur.
Figure
ii. Sonde pour l'urèthre ; elle s'adapte à l'endo
ratiquer des opérations. Cette sonde est introduite avec un embout.
Figure
m. Sonde pour l'exploration endoscopique de la ve
et que la lumière projetée dans la sonde puisse éclairer la vessie.
Figure
iv. Uréthrotomes endoscopiques. Figure v. Porte
puisse éclairer la vessie. Figure iv. Uréthrotomes endoscopiques.
Figure
v. Porte-pierre pour cautériser avec le nitrate d
gure v. Porte-pierre pour cautériser avec le nitrate d'argent solide.
Figure
vi. Tire-fond pour extraire les boulettes de coto
d pour extraire les boulettes de coton tombées au fond de la sonde.
Figure
vu. Stylet qui est terminé par un manche coudé co
Figure vu. Stylet qui est terminé par un manche coudé comme dans la
figure
v ; il sert à reconnaître et à traverser le rétré
nt, et s'in-troduit dans la sonde comme les instruments précédents.
Figure
viii. Sonde, demi-grandeur, pour explorer le rect
-grandeur, pour explorer le rectum avec l'en-doscope. A B l'embout.
Figure
ix. Sonde à double courant pour injecter dans la
ant pour injecter dans la vessie des liquides pulvérisés (Foucher).
Figure
x. Extrémité d'une autre sonde servant au même us
er). Figure x. Extrémité d'une autre sonde servant au même usage.
Figure
xi. Sonde évacuatrice à double courant pour laver
uttière brisée par l'an-neau C. On injecte l'eau par le pavillon D.
Figure
xii. Dynamomètre vésical, pour déterminer la forc
t le mouvement se trouve inscrit sur le cadran C par une ai-guille.
Figure
xiii. Tenettes à pression (Nélaton et Mathieu) po
oduites isolément ; la vis et le volant enlevés et placés aisément.
Figure
xiv. Forceps brise-pierre pour diviser les pierre
enages qui n'est pas représentée dans ce dessin (modèle Charrière).
Figure
xv. Même instrument (modèle Mathieu), les cuiller
tion. C est la vis qui sert à ser-rer les deux branches du forceps.
Figure
xvi. Partie supérieure du brise-pierre du D" Thom
it pour engrener la vis de faire glisser avec le pouce le bouton B.
Figure
xvii. Coupe destinée à faire comprendre la taille
, suit un trajet rétrograde qui fait éviter le cul-de-sac du bulbe.
Figure
xviii. Montre la plaie faite à la vessie et à l'u
portion prostatique et une partie de la portion membraneuse. Ces deux
figures
sont d'après M. Servoin. Supplément à la Médeci
rice pour le ca-thétérisme par glissement de M. Maisonneuve. On voit,
figure
5 bis, au bas de la planche, l'autre extrémité de
ourbes à lame dans la convexité ou dans la concavité comme on le voit
Figure
22 et figure 23. 24. Scarificateur de Charrière
dans la convexité ou dans la concavité comme on le voit Figure 22 et
figure
23. 24. Scarificateur de Charrière k deux lames
très-grande force, bien qu'elle soit mince On la voit fermée dans la
figure
30, et ouverte dans la figure 30 bis., qui montre
le soit mince On la voit fermée dans la figure 30, et ouverte dans la
figure
30 bis., qui montre le méca-nisme à l'aide duquel
, LITHOTRITIE, TAILLE MÉDIANE ET LITHOTRITIE PÉRINÉALE. -«SS^ï-
FiGURE
i. Tailla prérectale, premier temps. — La main dr
exerce une légère traction en bas, pour bien tendre le périnée. — La
figure
est de demi-grandeur. Figure ii. Taille prérect
bas, pour bien tendre le périnée. — La figure est de demi-grandeur.
Figure
ii. Taille prérectale, deuxième temps. — Le sphin
ainsi convertie en incision de la portion membra-neuse de l'urèthre.
Figure
de demi-grandeur. Figure m. Procédé de M. Demarqu
ion de la portion membra-neuse de l'urèthre. Figure de demi-grandeur.
Figure
m. Procédé de M. Demarquay pour les calculs des r
marquay pour les calculs des régions pjro-fondes de Vurèthre. — Cette
figure
peut aussi servir à mieux faire com-prendre la ta
semblance, jusqu'à l'exécution du troisième temps de cette taille. La
figure
est de grandeur naturelle. A l'incision courbe tr
é une incision verticale médiane, ce qui donne à la plaie cuta-née la
figure
triangulaire, à bords latéraux formés de deux lig
et de pression que possèdent les parties mobiles de cet instrument.
Figure
v. Dilatateur de M. Dolbeau, vu fermé. — 11 se co
irculaire. On ne voit ici que Fextrémité vésicale de ce dilatateur.
Figure
vi. Extrémité vésicale d'un gros litlioclaste pou
ros litlioclaste pour la lithotritie périnéale, grandeur naturelle.
Figure
vu. Tenette à pression pour faire éclater les cal
par une vis b, et qui donnent aux mains une puissance très-grande.
Figure
viit. Irrigateur vésical d'Amussat fils, vu ouver
tige ; on place cet anneau sur ce manche près de son articulation.
Figure
ix. Extrémité externe des lithotriteurs, modèle R
renage de la vis avec Fécrou donne plus de légèreté à l'instrument.
Figure
x. Lithotriteur à levier de M. Guillon. En abaiss
ement de va-et-vient les détritus qui obstruent la branche-cuiller.
Figure
xi. Bec évacuateur à languette mobile, Mathieu. —
ement de la pierre, cette languette élastique rejette les détritus.
Figure
xii. Bec dit porte-à-faux, ouvert. Figure xiii.
e rejette les détritus. Figure xii. Bec dit porte-à-faux, ouvert.
Figure
xiii. Bec de cane de Civiale. Figure xiv. Bec à
ec dit porte-à-faux, ouvert. Figure xiii. Bec de cane de Civiale.
Figure
xiv. Bec à fenêtres multiples de Robert et Colin.
Civiale. Figure xiv. Bec à fenêtres multiples de Robert et Colin.
Figure
xv. Bec de Mercier. Saillie du talon du bec mâle
emboîtant dans une ouverture faite à l'angle de la branche femelle.
Figure
xvi. Bec d'Heurteloup, ouvert. Figure xvii. Per
ngle de la branche femelle. Figure xvi. Bec d'Heurteloup, ouvert.
Figure
xvii. Percuteur à détente de Leroy d'Etiolles. —
ion qu'il produit varie de 1 à 45 kilogr. ; elle peut être graduée.
Figure
xviii. Sonde évacuatrice de M. Mercier à double c
rture pour la sortie du liquide. Là commence le con-duit de retour.
Figure
xix. Extrémité vésicale du lithexer à héhce, de M
aisonneuve, servant à broyer et à évacuer les fragments de calculs.
Figure
xx, xx bis et xx ter. Écrou brisé tijpe, inventé
est donc la rotation de cette pièce qui ouvre ou qui ferme l'écrou.
Figure
xxi. Sonde de M. Mercier, en acier et à pignon, p
et à pignon, pour les calculs arrêtés dans la portion prostatique.
Figure
xxii et xxii bis. Lithotriteur uréthral de M. Mat
ONCTION DE LA VESSIE OPERATIONS SUR L'URÈTHRE ET SUR LE PRÉPUCE
Figure
i. Ponction sons pubienne de la vessie, d'après M
dans l'urèthre pour montrer le point où il s'ouvre dans la vessie.
Figure
ii. c, Petit calcul situé dans une loge uréthrale
t sur le cathéter, le contact du calcul et de la sonde aurait lieu.
Figure
m. Spécimen de calcul uréthro-vésical. La partie
la vessie. On voit une gouttière creusée par le passage de l'urine.
Figure
iv. Fistule uréthro-pénienne. Procédé par dédoubl
essus et au-dessous de la fistule ; elles en sont trop près sur cette
figure
. Le bistouri passé à travers ces incisions pour a
s placées et prêtes à recevoir les fils pour la suture entortillée.
Figure
v. Procédé de suture de M. Voillemier. — Une sond
ule ; on voit la position du bistouri pour exécuter ce décollement.
Figure
vi. Fistule uréthro-pénienne. —Uréthrorapliie. Su
par deux piqûres voisines ; ils pourraient sortir par le même trou.
Figure
vu. Fistule uréthro-pénienne. Lambeau postérieur.
s de suture. Au-dessous de ce lambeau il reste une surface dénudée.
Figures
viii, ix, x. Fistule située près du frein. Procéd
ix, x. Fistule située près du frein. Procédé de Dieffembach.— Dans la
figure
viii on voit la fistule et les doux incisions qui
it la fistule et les doux incisions qui limitent l'avivement. Dans la
figure
ix on voit les doux points de suture entro-coupée
deux surfaces avivées puissent se correspondre 'parfaitement. Dans la
figure
x ces deux surfaces sont maintenues en contact pa
s sont maintenues en contact par sept points de suture entortillée.
Figure
xi. Phimosis. Procédé de M. Panas. — a, pince don
onde pince est, comme on le voit, placée au-dessous de la première.
Figure
xii. Serre-fine employée pour réunir la peau à la
yée pour réunir la peau à la muqueuse, après la section du prépuce.
Figure
xiii. Opération du phimosis, par écrasement linéa
ii. Opération du phimosis, par écrasement linéaire; (Chassai-gnac.)
Figure
xiv. Épispadias. Autoplastie par redoublement. Né
e du lambeau abdominal, qui recouvre déjà la division de l'urèthre.
Figure
xv. Epispadias incomplet. — Sujet opéré sans succ
travers le gland et la verge, jusqu'à la rencontre du gor-geret a.
Figure
xvi. Dilatation congénitale de l'urètJire. — Cas
S sur L'ANUS, LE RECTUM, LE CORDON SPERMATIQUE ET LE PRÉPUCE.
Figure
i. Opération de la fistule à Fanus, par l'écrasem
e externe de la fistule, a Chaîne et son fil. b Gaîne de Fécraseur.
Figure
ii. Section d'un bourrelet hémorrhoïdal circulair
rs de l'aide, c Le cautère faisant la dernière pi-qûre. Duchaussoy.
Figure
iv. Traitement du varicocèle par une injection co
isant la ponction avec la canule-aiguille de la seringue de Pravaz.
Figure
v. Traitement du varicocèle par le procédé de Job
té placé derrière les veines. Ces vis servent à serrer la ligature.
Figure
vi. Serre-nœud de Ricord, à pression continue par
isposition des deux fils, pour la section des veines sper-matiques.
Figure
yii. Dilatateur à vis pour le phimosis. Figure
nes sper-matiques. Figure yii. Dilatateur à vis pour le phimosis.
Figure
viii. Dilatateur à rotation pour le phimosis. Bon
. Figure viii. Dilatateur à rotation pour le phimosis. Bonnafond.
Figure
ix. Pince à dents et à pression continue de Vidal
pression continue de Vidal de Cassis, pour l'opération du phimosis.
Figure
x. Autre pince à anneaux, à pression continue, po
pince à anneaux, à pression continue, pour Fopération du phimosis.
Figure
xi. Cautérisation circulaire de la base des hémor
main auquel les cuvettes sont fixées, c Main droite du chirurgien.
Figure
xii. Cautérisation des hémorrhoïdes par la capsul
igure xii. Cautérisation des hémorrhoïdes par la capsule de Jobert.
Figure
xiii. Enroulement des veines spermatiques. Vidal
Figure xiii. Enroulement des veines spermatiques. Vidal de Cassis.
Figure
xiv. Spéculum uni à ouverture supérieure. Barthél
sis. Figure xiv. Spéculum uni à ouverture supérieure. Barthélémy.
Figure
xv. Dilatateur du rectum. Nélaton. 11 est vu ouve
later Fanus. On le ferme et on Fouvre à l'aide de la vis terminale.
Figure
xvi. Suppositoire métallique de Trousseau avec ob
Figure xvi. Suppositoire métallique de Trousseau avec obturateur.
Figure
xvii. Dilatateur rectal de M. Beylard. Figure x
au avec obturateur. Figure xvii. Dilatateur rectal de M. Beylard.
Figure
xviii. Dilatateur rectal. H. Larrey. Figure xix
rectal de M. Beylard. Figure xviii. Dilatateur rectal. H. Larrey.
Figure
xix. Bougie rectale en ivoire flexible. Charrière
Larrey. Figure xix. Bougie rectale en ivoire flexible. Charrière.
Figure
xx. Un numéro des bougies en étain graduées de Ph
L'EXSTROPHIE DE LA VESSIE CURE RADICALE DE LA HERNIE INGUINALE.
Figures
i et ii. Opération de M. Ad. Richard. La figure i
HERNIE INGUINALE. Figures i et ii. Opération de M. Ad. Richard. La
figure
i montre le vice de conformation et le tracé du l
s de celle-ci, la plaie faite au scrotum pour y prendre le lambeau.
Figures
m, iv, v et yi donnent les détails de la quatrièm
et yi donnent les détails de la quatrième opération de M. Wood. Les
figures
m et iv représentent les lambeaux, pendant et im-
. La ligure v représente les lambeaux pendant le second temps. La
figure
yi montre l'aspect des parties après la guérison.
ieure du lam- beau inguinal superposé h. P. Gland du pénis. Les
figures
vu, viii, ix et x se rapportent à la huitième opé
vu, viii, ix et x se rapportent à la huitième opération de M. Wood.
Figure
vu. État des parties avant le premier temps de l'
ps de l'opération. Les lambeaux inguinaux et ombilical sont tracés.
Figure
viii. État des parties immédiatement après l'exéc
n du pre-mier temps. Les épingles et les sutures sont à leur place.
Figure
ix. État des parties après la guérison de la prem
s indiquent le tracé des lambeaux nécessaires pour ce second temps.
Figure
x. Les lambeaux sont à leur place, on voit les su
ce. CURE RADICALE DE LA HERNIE INGUINALE. (Procédé de M. WOOD.)
Figure
xi. Coupe schématique, faisant comprendre le traj
avers la paroi postérieure. C. Compresse et nœud prêt à être serré.
Figure
xii. Premier temps de l'opération. Ponction de la
de la peau. Une dissection sous-cutanée sépare la peau des fascia.
Figure
xiii. Coupe fictive pour faire comprendre le deux
'ouverture faite â la peau, et l'invagination des fascia et du sac.
Figure
xiy. Troisiètne temps. La peau a été divisée. L'a
guille traversant le faisceau supérieur du tendon du grand oblique.
Figure
xv. Le chef de la ligature a été laissé dans la p
tout en protégeant le cordon spermatique et les vaisseaux profonds.
Figure
xvi montre le passage du bout inférieur de la lig
S DU LARYNX, CAUTÉRISATION, LIGATURES, ARRACHEMENT, LARYNGOTOMIE.
Figure
i. Examen laryngosoopique. Position qu'on doit do
e dans la position naturelle, lorsqu'on est placé en face du sujet.
Figure
m. Image qui se produit dans le miroir. L'étude c
Image qui se produit dans le miroir. L'étude comparative de ces deux
figures
est indispensable pour se familiariser avec l'int
copiques. Les mêmes lettres indiquent les mêmes organes dans les deux
figures
, a, base de la langue ; b, face antérieure de l'é
tilage aryténoïde et le ligament ary-épiglottique. — D'après Tûrck.
Figure
iv. Pharyngoscope du docteur Moura. a, miroir; b,
ns réunis par la lentille; c, réflecteur; dd, porte-pliaryngoscope.
Figure
v. Pharyngoscope du docteur Krishaber. a, miroir
l'image de son larynx ; b, lentille plane-convexe ; c, réflecteur.
Figure
vi. Pharyngoscope de Semeledcr, supporté par des
, dernier perfectionnement du docteur Duplay et de Robert et Colin.
Figure
vu. Spéculum laryngien du docteur Labordette, à d
n parallèle, a, miroir ; b, manche pouvant servir d'abaisse-langue.
Figure
viii. Abaisse-langue injecteur de Gucrsant, â ouv
viii. Abaisse-langue injecteur de Gucrsant, â ouverture arti-culée.
Figure
ix. Spéculum laryngien, pour examiner le larynx p
grés; pavillon du spéculum, évasé, pour mieux recevoir la lumière. La
figure
représente une coupe de l'instrument, demi-gran-d
e représente une coupe de l'instrument, demi-gran-deur. Duchaussoy.
Figure
x. Pièce anatomique destinée à montrer les incisi
co-thyroïdienne, du cricoïde et des premiers anneaux de la trachée.
Figure
xi. Laryngotomie thyroïdienne, dans un cas de pol
s deux moitiés du cartilage thyroïde, à l'aide de crochets mousses.
Figure
xi bis. Montre l'aspect de la cavité du larynx ap
l'opéré, et seulement la corde vocale supérieure de son côté droit.
Figure
xi ter. Le polype détaché. Figure xii. Végélati
e supérieure de son côté droit. Figure xi ter. Le polype détaché.
Figure
xii. Végélations épithéliales du repli sus-glotti
s, à l'angle antérieur de la glotte, et sur la corde vocale droite.
Figure
xiii. a. Épitliélioma polypiforme du larynx, b. A
iélioma polypiforme du larynx, b. Autre tumeur épitliéliale. Moura.
Figure
xiv. Végétations nombreuses implantées sur rèpigl
ventriculaircs des deux côtés, cv, corde vocale gauche. Mackcnsie.
Figure
xv. Vôgélatious occupant le repli ary-épiglottiqu
iquc droit et ma.s-quaut le cartilage de Wrisberg droit. Mackensie.
Figure
xvi. (Edème de l'épiglottc et du repli ary-épiglo
gure xvi. (Edème de l'épiglottc et du repli ary-épiglottique droit.
Figure
xvii. Serre-nœud laryngien de Moura, pouvant être
re-nœud laryngien de Moura, pouvant être manœuvré d'une seule main.
Figure
xviii. Ligateur automatique courbe de Guéride ; e
ide ; et xviii hia, mandrin terminé par une lame roulée en spirale.
Figure
xix. Pince à torsion pour les polypes du larynx,
ion pour les polypes du larynx, vue ouverte et vue fermée. Mathieu.
Figure
xx. Pince pour l'arrachement des polypes laryngie
hieu. Figure xx. Pince pour l'arrachement des polypes laryngiens.
Figure
xxi. Extrémité d'un polypotomc laryngien, pour op
par les voies naturelles : la manœuvre est celle des amygdalotomes.
Figure
xxii. Pince de MM. Robert et Colin, pour saisir l
x brandies à ressoit et à pé-dales, pour l'arrachement des polypes.
Figure
xxiv. Pince porte-éponge, en argent, à trois bran
ies et à cou-lant, pour les cautérisations du larynx. Ihircli-Adam.
Figure
xxv. Tige de maillechort avec rainure spirale, da
irale, dans laquelle on fixe un fil de coton, imbibé de causticpie.
Figure
xxvi. Porte-caustique ne cautérisant ([ue par son
Figure xxvi. Porte-caustique ne cautérisant ([ue par son extrémité.
Figure
xxvii. Porte-caustique à gaîne et à cuvette, caut
Porte-caustique à gaîne et à cuvette, caut(''risant labîrale-ment.
Figure
xxviii. Scarificateur du larynx. Figure xxix. R
t(''risant labîrale-ment. Figure xxviii. Scarificateur du larynx.
Figure
xxix. Rhéophores laryngiens, s'écartant ou se rap
rochant à volonté, à l'aide d'une pédale qui fait partie du manche.
Figure
xxx. Anse pour le galvano-caustique du larynx. Vo
Figure xxx. Anse pour le galvano-caustique du larynx. Voltolini.
Figure
xxxi. Couteau galvanique pour 1( larynx. Voltolin
olini. Figure xxxi. Couteau galvanique pour 1( larynx. Voltolini.
Figure
xxxii. Épithélioma du larynx, d'un volume considé
tous les vaisseaux contre la peau, comme le conseillait Malgaigne.
Figure
ii. Pince dilatatrice olivaire, de Guersant. Figu
lait Malgaigne. Figure ii. Pince dilatatrice olivaire, de Guersant.
Figure
m. Pince dilatatrice à pression continue. Figure
ivaire, de Guersant. Figure m. Pince dilatatrice à pression continue.
Figure
iv. Dilatateur à ressort, de Maslieurat-Lagèmard.
on continue. Figure iv. Dilatateur à ressort, de Maslieurat-Lagèmard.
Figure
v. Ténaculum double, fixateur et dilatateur de La
rd. Figure v. Ténaculum double, fixateur et dilatateur de Langenbeck.
Figure
vi. Pince dilatatrice à trois branches, de Labord
ilatatrice à trois branches, de Laborde, vue ouverte et vue fermée.
Figure
vu. Trachéotome de M. Maisonneuve, avec le dilata
ve; dila-tateur qu'on écarte en appuyant le pouce sur la bascule c.
Figure
viii. Instrument de MM. Luër et Garin. Il fait la
uand on presse en d, sur les deux moitiés qui s'entrecroisent en c.
Figure
ix. Trachéotome dilatateur de M^ Marc Sée. Plus c
oyen du levier / ; on laisse rentrer la lame et on place la canule.
Figure
x. Trachéotomie par le procédé de M. Chassaignac.
le bord inférieur du cricoïde ; c, ténaculum à convexité cannelée.
Figure
xi. Procédé de M. Chassaignac. Ponction de la tra
, lame à extrémité mousse pour compléter l'ouverture de la trachée.
Figure
xii. Même procédé. Introduction du dilatateur, qu
dé. Introduction du dilatateur, qui suit la cannelure du ténaculum.
Figure
xiii. Pince à extraire les fausses membranes à tr
à travers la canule-Une seule branche est mobile. Robert et Colin.
Figure
xiv. Pince pour l'extraction directe des fausses
ses membranes, et pour dilater la trachée au-dessous de l'incision.
Figure
xv. Pinces de M. Valéry-Meunier; elles peuvent s'
nt s'introduire par la canule, pour extraire les fausses membranes.
Figure
xvi. Canule double, à grande plaque, pour bien pr
ble, à grande plaque, pour bien protéger la plaie. Modèle Guersant.
Figure
xvii. Canule double à courbure trachéale, vue de
double à courbure trachéale, vue de trois-quarts. Modèle Charrière.
Figure
xviii. Canule dilatatrice de M. Lémat. La crémail
at. La crémaillère permet d'écarter les deux moitiés parallèlement.
Figure
xix. Canule à soupape limitée, de M. Broca. Elle
canule, et à s'assurer du passage de l'air par le larynx, Mathieu.
Figure
xx. Canule dilatatrice de M. Demarquay. Elle a qu
a, pour dilater les rétrécissements de la trachée. Robert et Colin.
Figure
xxi. Canule double à points d'arrêt, de Follin. O
le voit en b, et l'on a ainsi dans la trachée deux points d'arrêt.
Figure
xxii. Canule à trois clapets, de M. Krishaber. El
raverse le larynx; il inspire alors par les deux orifices latéraux.
Figure
xxiii. Canule de Luër. La plaque b et le tube cd
ler. Cette canule est faite pour les rétrécissements de la trachée.
Figure
xxiv. Scarificateur du larynx, Mandl. Bedressé il
c, à l'aide d'un méca-nisme contenu dans le manche de l'instrument.
Figure
xxv. Porte-éponge pour retirer les crachats qui o
et pour instiller des liquides par l'ouverture faite à la trachée.
Figure
xxvi. Doigtier protecteur, de Loiseau, pour empêc
re depuis son extrémité lombaire jusqu'à la protubérance annulaire.
FIGURE
1». Celte figure représente la face antérieure
mité lombaire jusqu'à la protubérance annulaire. FIGURE 1». Celte
figure
représente la face antérieure de la moelle épiniè
D, saillie en olive de la région antérieure du renflement lombaire.
FIGURE
2e. Cette figure représente une vue postérieure
de la région antérieure du renflement lombaire. FIGURE 2e. Cette
figure
représente une vue postérieure de la moelle épini
eures des nerfs spinaux. M, faisceau latéral de la moelle épinière.
FIGURE
3e. Cette figure représente une vue latérale de
naux. M, faisceau latéral de la moelle épinière. FIGURE 3e. Cette
figure
représente une vue latérale de la moelle épinière
0, saillie en olive de la partie antérieure du renflement lombaire.
FIGURE
4e. Cette figure représente une vue postérieure
de la partie antérieure du renflement lombaire. FIGURE 4e. Cette
figure
représente une vue postérieure de la moelle épini
, renflement lombaire. Coupes de la moelle. — Dans l'intervalle des
figures
\ et 2, et dans celui des figures 2 et 3, sont al
la moelle. — Dans l'intervalle des figures \ et 2, et dans celui des
figures
2 et 3, sont alignées 17 coupes delà moelle épini
Vies éminences olivaires et au contact de la protubérance. Dans cette
figure
et dans celle des n° 2, 3, 4, 5, la lettre p indi
rps restiforme. 0, l'olive. P, la pyramide antérieure. A partir de la
figure
n° 7 jusqu'à celle n° 17 (inclusivement) r' indiq
la lu-mière du ventricule de la moelle. Cette planche contient six
figures
destinées à éclairer la structure du tronçon nerv
x qui unit la moelle épinière au cervelet et au cerveau. Trois de ces
figures
sont spécialement consacrées à faire comprendre c
ont lieu entre les deux moitiés symétriques de ce tronçon nerveux.
FIGURE
i™. Cette figure est destinée principalement à
deux moitiés symétriques de ce tronçon nerveux. FIGURE i™. Cette
figure
est destinée principalement à faire voir la conti
iforme. V, émi-nence olivaire. W, pyramide antérieure de la moelle.
FIGURE
2e. Cette figure est encore destinée à montrer
e olivaire. W, pyramide antérieure de la moelle. FIGURE 2e. Cette
figure
est encore destinée à montrer les prolongements d
verses les plus élevés de la protubérance. N, P, U, V, W, ut supra.
FIGURE
3e. Cette figure est destinée principalement à
vés de la protubérance. N, P, U, V, W, ut supra. FIGURE 3e. Cette
figure
est destinée principalement à montrer les prolong
. E, nerf au-ditif, e, fibres d'union de ce nerf avec le trijumeau.
FIGURE
4e. Cette figure représente l'écartement sur la
e, fibres d'union de ce nerf avec le trijumeau. FIGURE 4e. Cette
figure
représente l'écartement sur la ligne médiane en a
petits fais-ceaux s'entrecroisant de droite à gauche. Dans cette même
figure
où l'on a retranché le cervelet le moignon du péd
en CC les entrecroisements des deux moitiés de la moelle allongée.
FIGURE
5e. Cette figure représente à la face antérieur
isements des deux moitiés de la moelle allongée. FIGURE 5e. Cette
figure
représente à la face antérieure de la moelle allo
des entrecroisements vus par derrière dans toute leur étendue dans la
figure
précédente. P, V, Y, ut supra. W, pyramide anté
inière. B, faisceau antérieur. B' faisceau latéral de cette moelle.
FIGURE
6e. Cette figure représente, sur la moitié gauc
antérieur. B' faisceau latéral de cette moelle. FIGURE 6e. Cette
figure
représente, sur la moitié gauche de la moelle all
ur. 0, noyau cérébelleux. PL.2 PL. 3 Cette planche contient six
figures
destinées, comme toutes celles de la planche 2, à
veux intermédiaire à la moelle épinière et au cerveau. En général les
figures
de la planche 3 représentent les parties les plus
nt les parties les plus profondes de la moelle allongée. L'une de ces
figures
, la première , donne, en sus d'une dissection de
oyau , le cercle fibreux de l'ourlet qui appartient à l'hémisphère.
FIGURE
1re. BBB, grande région du cercle fibreux de l'
lement circulaire de cette pyramide au con-tact de la protubérance.
FIGURE
2e. Division sur la ligne médiane de la moelle
pe de faisceaux assez gros qui s'entrecroisaient dans cette région.
FIGURE
3e. Cette figure est destinée, avec la précéden
ez gros qui s'entrecroisaient dans cette région. FIGURE 3e. Cette
figure
est destinée, avec la précédente et avec les troi
e figure est destinée, avec la précédente et avec les trois dernières
figures
de la planche 2, à faire comprendre le mécanisme
R, pédoncule cérébelleux. Z, coupe du sommet de la pyramide droite.
FIGURE
A*. Dans la préparation qui a servi de modèle à
ite. FIGURE A*. Dans la préparation qui a servi de modèle à cette
figure
on a enlevé en arrière de la région fasciculée du
pointe du calamus. X, pyramides postérieures. Y, corps resti-forme.
FIGURE
5e. En même temps qu'elle montre en dehors la s
postérieur, dont les lettres YYSD marquent différentes régions, cette
figure
fait voir en A' des fibres du faisceau moyen déto
ance et for-mant un plan profond de cette région. NP V W, ut supra.
FIGURE
6e. On voit dans cette figure la combinaison da
de cette région. NP V W, ut supra. FIGURE 6e. On voit dans cette
figure
la combinaison dans l'épaisseur de la protubé-ran
s lettres D, Y, Y, V, W, P, ut supra. Cette planche contient quatre
figures
. Ces quatre figures sont destinées à faire connaî
, W, P, ut supra. Cette planche contient quatre figures. Ces quatre
figures
sont destinées à faire connaître la conformation
pédoncule cérébelleux , concourent dans les éminences ver-miformes.
FIGURE
Cette figure représente la face inférieure du c
elleux , concourent dans les éminences ver-miformes. FIGURE Cette
figure
représente la face inférieure du cervelet relevée
. P, protubérance an-nulaire. I, moelle allongée coupée en travers.
FIGURE
2e. Face supérieure du cervelet. I, I, I, I, gr
. B, tubercules quadrijumeaux. NN, tronçon pédonculaire du cerveau.
FIGURE
3e. Cette figure représente une vue antérieure
drijumeaux. NN, tronçon pédonculaire du cerveau. FIGURE 3e. Cette
figure
représente une vue antérieure de la protubérance
ttenant au nerf auditif. V, olive. W, pyramide. F, moelle épinière.
FIGURE
4e. Cervelet vu de profil. P, la protunérance
profil. P, la protunérance occupe la partie la plus élevée de cette
figure
. N, tronçon pédonculaire du cerveau. V Y,, moelle
au contact du pédoncule. PL 4 PL.5 Cette planche contient cinq
figures
destinées à faire comprendre la structure du cerv
t et quelques particularités relatives à la protubérance annulaire.
FIGURE
1". La figure 1re représente un cervelet renver
rticularités relatives à la protubérance annulaire. FIGURE 1". La
figure
1re représente un cervelet renversé. La protubéra
G, échancrure postérieure de la grande circonfé-rence du cervelet.
FIGURE
2. Dans cette figure le cervelet a été divisé v
ure de la grande circonfé-rence du cervelet. FIGURE 2. Dans cette
figure
le cervelet a été divisé verticalement sur la lig
re, Y, corps restiforme. I, faisceau latéral de la moelle épinière.
FIGURE
3. Le cervelet a été coupé sur la ligne médiane
IGURE 3. Le cervelet a été coupé sur la ligne médiane comme dans la
figure
2, puis renversé en dehors. Cette figure est dest
ligne médiane comme dans la figure 2, puis renversé en dehors. Cette
figure
est destinée à montrer le prolonge-ment dans une
cé-rébelleux et de l'aqueduc de Sylvius. D G, A, F F, E, ut supra.
FIGURE
4. Dans cette figure, toute la partie externe d
queduc de Sylvius. D G, A, F F, E, ut supra. FIGURE 4. Dans cette
figure
, toute la partie externe du pédoncule cérébelleux
erf dans les parties profondes du noyau cérébelleux. Y V, ut supra.
FIGURE
5. Dans cette figure on s'est borné à inciser l
ofondes du noyau cérébelleux. Y V, ut supra. FIGURE 5. Dans cette
figure
on s'est borné à inciser la petite membrane nerve
ter-lobaire du cerveau. PL. 6 PL. 7 Cette planche contient deux
figures
destinées à montrer la disposition d'un certain n
res et celle de quelques parties fibreuses intrinsèques du cerveau.
FIGURE
l'e. Cette figure montre les deux lignes circon
ques parties fibreuses intrinsèques du cerveau. FIGURE l'e. Cette
figure
montre les deux lignes circonvolutionnaires du se
de cette circonvolution légèrement écartés l'un de l'autre dans notre
figure
encadrent l'espace occupé par l'insula . voy. en
e corticale des circonvolutions enlevées. On voit encore dans cette
figure
la traverse surcilière Y K A. Cette traverse circ
la pe-tite circonvolution de deuxième ordre le triangle orbitaire.
FIGURE
2. Cette figure représente la face externe du n
volution de deuxième ordre le triangle orbitaire. FIGURE 2. Cette
figure
représente la face externe du noyau cérébral dont
a circonvolution de l'ourlet. D, coupe de la circonvolution XC' de la
figure
précédente. Cette planche contient deux figures
onvolution XC' de la figure précédente. Cette planche contient deux
figures
destinées l'une et l'autre à faire comprendre la
roupe quadrilatère. P, scissure postérieure au groupe quadrilatère.
FIGURE
2p. Face convexe d'un hémisphère cérébral du cô
ment médiocre des circonvolutions de la convexité du cerveau. Cette
figure
représente la face interne et la zone cérébello-t
troisième ordre unissant la circonvolution de l'ourlet à la grande
FIGURE
1". PL. 8 PL. 9 La ligure représentée sur c
des couches et des tractus optiques. On voit dans le centre de celte
figure
, en arrière sur la ligne médiane en C, le bourrel
utrement configurées que du côté droit. Cette planche contient deux
figures
destinées à montrer surtout les circonvolutions d
s à montrer surtout les circonvolutions de la convexité du cerveau.
FIGURE
]'-. Celte (igure représente un hémisphère céré
principales de circonvolutions de quatrième ordre, on voit dans cette
figure
en K K K une traverse pariétale antérieure située
er fragment G q q 0' de la grande circonvolution de deuxième ordre-
FIGURE
2e. Cette figure représente un hémisphère céréb
' de la grande circonvolution de deuxième ordre- FIGURE 2e. Cette
figure
représente un hémisphère cérébral vu par en haut.
se pariétale antérieure et de ces deux branches si flexueuses dans la
figure
1re. La traverse pariétale postérieure N est inco
xième ordre a a' D', et de la traverse occipitale G G G. Dans cette
figure
, A marque la scissure de Sylvius, H D la traverse
traverse surcilière. PL. 10 PL. 11 (Jette planche présente une
figure
de la face supérieure du cerveau. I) D I), frag
. O, indiquent la tra-verse occipitale. Cette planche contient deux
figures
dont le but principal est de faire voir la dispos
t de faire voir la disposition des ventricules latéraux du cerveau.
FIGURE
Ire Toute l'épaisseur de l'hémisphère a été tra
urfaces des sections prati-quées dans la substance de l'hémisphère.
FIGURE
2P. Cette figure a été faite d'après une prépar
s prati-quées dans la substance de l'hémisphère. FIGURE 2P. Cette
figure
a été faite d'après une préparation dans laquelle
ns laquelle, après avoir ouvert le ventricule en dehors comme dans la
figure
1re, on a enlevé l'in-sula, et avec elle toute la
ce de l'hémisphère. PL. 12 PL. 13 Cette planche contient quatre
figures
. FIGURE Cette figure a pour objet de faire co
isphère. PL. 12 PL. 13 Cette planche contient quatre figures.
FIGURE
Cette figure a pour objet de faire comprendre l
12 PL. 13 Cette planche contient quatre figures. FIGURE Cette
figure
a pour objet de faire comprendre les rapports du
x obliques des côtés de la protubérance venant du corps restiforme.
FIGURE
%*, Cette figure représente un hémisphère du ce
s de la protubérance venant du corps restiforme. FIGURE %*, Cette
figure
représente un hémisphère du cervelet dans lequel
s il produit des appendices qui pénètrent les lo-bules cérébelleux.
FIGURE
3e. Cette figure représente une coupe transvers
pendices qui pénètrent les lo-bules cérébelleux. FIGURE 3e. Cette
figure
représente une coupe transversale du tronçon pédo
externe Q du pédoncule cérébelleux. H, grande portion du trijumeau.
FIGURE
4e. Cette figure montre le noyau cérébelleux d'
ule cérébelleux. H, grande portion du trijumeau. FIGURE 4e. Cette
figure
montre le noyau cérébelleux d'un nouveau-né , ten
ongent aussi dans le noyau cérébelleux. Cette planche contient deux
figures
: la première destinée à montrer les rayonnements
seconde représente une coupe transversale de cerveau de nouveau-né.
FIGURE
\™. i, corps calleux coupé sur la ligne médiane
poral E. La lettre Y indique le crochet de la tubérosité temporale.
FIGURE
2e. Cette figure représente une coupe du crâne
Y indique le crochet de la tubérosité temporale. FIGURE 2e. Cette
figure
représente une coupe du crâne et du cerveau d'un
t ourlet avec l'arbre fibreux de l'hémisphère. PL. 14 PL. 15 La
figure
représentée sur cette planche montre à découvert
, pointe pos-térieure du noyau cérébral Cette planche présente deux
figures
destinées à faire comprendre les rapports du noya
faire comprendre les rapports du noyau cérébral avec l'hémisphère.
FIGURE
1re. Cette figure, dont nous n'expliquerons pas
s rapports du noyau cérébral avec l'hémisphère. FIGURE 1re. Cette
figure
, dont nous n'expliquerons pas les circonvolutions
la face interne de l'hémisphère. N N, ruban fibreux de l'ourlet.
FIGURE
$*t Dans cette figure. l'hémisphère du côté dro
misphère. N N, ruban fibreux de l'ourlet. FIGURE $*t Dans cette
figure
. l'hémisphère du côté droit est resté dans ses ra
vert. Pour les mêmes raisons qui ont été données à l'occasion de la
figure
précédente, l'explication des parties déjà connue
la figure précédente, l'explication des parties déjà connues de cette
figure
ne sera pas donnée ici. M, ligne médiane du cor
ortent à la face interne de l'hémisphère re-présenté en K K K dans la
figure
tre de la même planche. PL. 16 PL. 17 Cette
e de la même planche. PL. 16 PL. 17 Cette planche contient deux
figures
destinées à représenter les surfaces extérieures
destinées à représenter les surfaces extérieures du noyau cérébral.
FIGURE
**e. Cette figure montre toute l'étendue de la
ter les surfaces extérieures du noyau cérébral. FIGURE **e. Cette
figure
montre toute l'étendue de la face supérieure du n
bres prolongées de cette région tem-porale dans le cône postérieur.
FIGURE
2«. Cette figure représente une vue de face des
cette région tem-porale dans le cône postérieur. FIGURE 2«. Cette
figure
représente une vue de face des parties inférieure
trale dans les parties transversales infé-rieures du corps calleux.
FIGURE
1re. Coite figure a été exécutée d'après une pr
es transversales infé-rieures du corps calleux. FIGURE 1re. Coite
figure
a été exécutée d'après une préparation calculée p
médiane ; c'est la moitié gau-che de l'encéphale que représente notre
figure
. P', bulbe rachidien. P , protubérance. Le fais
ouche corticale dans laquelle plongent des radicules de l'olfactif.
FIGURE
2e. Cette figure montre toute l'étendue des par
s laquelle plongent des radicules de l'olfactif. FIGURE 2e. Cette
figure
montre toute l'étendue des parties externes du ve
des circonvolutions de la face interne du cerveau. Le modèle de cette
figure
a été fait sur le cerveau d'un nouveau-né. PL.
été fait sur le cerveau d'un nouveau-né. PL. 18 PL. 19 Les deux
figures
de cette planche ont été faites pour montrer, d'u
disposition des éléments fibreux qui appartiennent à l'hémisphère.
FIGURE
1". Dans cette figure, le noyau cérébral partie
s fibreux qui appartiennent à l'hémisphère. FIGURE 1". Dans cette
figure
, le noyau cérébral partiellement séparé de l'hémi
t en C le moignon de son arbre fibreux. Les autres lettres de cette
figure
désignent des parties précédemment expliquées.
tres de cette figure désignent des parties précédemment expliquées.
FIGURE
2e. Dans cette figure, l'hémisphère du côté dro
ignent des parties précédemment expliquées. FIGURE 2e. Dans cette
figure
, l'hémisphère du côté droit a été divisé au même
hémisphère du côté droit a été divisé au même ni-veau que celui de la
figure
1re. On a divisé avec lui la moitié correspon-dan
des parties antérieurement expliquées. Cette planche contient sept
figures
destinées à faire comprendre la structure de la p
omprendre la structure de la partie fondamentale du noyau cérébral.
FIGURE
\™. Cette figure montre la face inférieure de c
ure de la partie fondamentale du noyau cérébral. FIGURE \™. Cette
figure
montre la face inférieure de ce noyau. Du côté
ntrale des faces latérales du noyau. 1 Sur le côté droit de la même
figure
, l'on voit en A A' la commissure antérieure décou
tte commissure dans la tubérosité de la circonvolution de l'ourlet.
FIGURE
2e. Dans cette figure, le tronçon pédonculaire
ubérosité de la circonvolution de l'ourlet. FIGURE 2e. Dans cette
figure
, le tronçon pédonculaire et le quadrilatère perfo
égion de l'espace perforé, se portent dans la tubérosité temporale.
FIGURE
3e. On voit dans cette figure une partie des mê
rtent dans la tubérosité temporale. FIGURE 3e. On voit dans cette
figure
une partie des mêmes éléments que dans la précéde
la branche P' du faisceau postérieur. On voit, de plus que dans la
figure
précédente, en 0 le cotylédon ex-traventriculaire
édente, en 0 le cotylédon ex-traventriculaire de la couche optique.
FIGURE
4e. Dans cette figure comme dans les précédente
n ex-traventriculaire de la couche optique. FIGURE 4e. Dans cette
figure
comme dans les précédentes, N désigne la région f
ent le cer-cle fibreux de l'orifice ventriculaire étendu de V en B.
FIGURE
5e. A, commissure antérieure avec ses rayonneme
iane du corps calleux. I I, fragments du ruban fibreux de l'ourlet.
FIGURE
6e. S, fibres divergeant de la face externe con
de l'éventail de la région fasciculée à leur sortie du corps strié.
FIGURE
7e. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P
lette demi-circulaire. PL.20 PL. 21 Cette planche contient deux
figures
destinées à faire comprendre la structure de la h
ures destinées à faire comprendre la structure de la hase du crâne.
FIGURE
I'*. Base vue en dehors. A , quadrilatère cen
ostérieur ouvert dans l'intervalle de 1 I, condyles de l'occipital.
FIGURE
2e. Base du crâne à l'intérieur. I, quadrilat
française. PL. 22 PL. 23 Cette planche contient six têtes. La
figure
'lre et la figure r21' représentent deux tètes no
2 PL. 23 Cette planche contient six têtes. La figure 'lre et la
figure
r21' représentent deux tètes normandes défor-mées
et la figure r21' représentent deux tètes normandes défor-mées. La
figure
3e, une tète déformée d'indien de i'AmériqueJdu n
La figure 3e, une tète déformée d'indien de i'AmériqueJdu nord. La
figure
4e, le crâne d'un aborigène de Californie. La f
Jdu nord. La figure 4e, le crâne d'un aborigène de Californie. La
figure
5* montre une tète osseuse entière avec l'oreille
gure 5* montre une tète osseuse entière avec l'oreille externe. Cette
figure
est destinée à 'faire comprendre les rapports de
es rapports de forme de la tête avec celle de l'oreille externe. La
figure
6e représente un crâne de nègre.
sur les conseils de M. Charcot, faciliteront encore la lecture des
figures
. Nos planches sont rangées dans l'ordre suivant
Goll, ou cordon grèle. Z'. Centre ovale de Flechsig. PLANCHE I
FIGURE
1. MOELLE NORMALE. RÉGION cervicale supérieure.
antérieure. J. Commissure postérieure. IC. Racine postérieure.
Figure
2. MOELLE NORMALE. Cellules ganglionnaires de l
n tube nerveux. L Espace vacuolaire péri-cellulaire. PLANCHE II
Figure
3. MOELLE NORMALE. Renflement cervical. Coupe
sure postérieure. K. Racine postérieure. L. Faisceau antérieur.
Figure
4. MOELLE NORMALE. Canal central. Coupe prati
e antérieure. C. Plateau des cellules. F. Vaisseau. PLANCHE III
FIGURE
5. MOELLE NORMALE. Région dorsale. Coupe prat
Faisceau latéral. I. Sillon postérieur. J. Racine postérieure.
Figure
6. Portion du faisceau latéral de la coupe préc
mérienne contenant un vaisseau. F. Tissu névrotique. PLANCHE IV
Figure
7. MOELLE NORMALE. Région lombaire supérieure.
aisceau antérieur. I. Faisceau latéral. J. Faisceau postérieur.
Figure
8. MOELLE NORMALE. Corne postérieure. Coupe p
des tubes nerveux de la substance blanche coiiiiguë. PLANCHE V
Figure
9. MOELLE NORMALE. Renflement lombaire. Coupe
ure. J. Racine postérieure. Jt. Cellule de la corne antérieure.
Figure
10. MOELLE NORMALE. Cellules nerveuses de la co
nt vues à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). En comparant à la
figure
2, qui représente les cellules des cornes antérie
ion qu'ont été obtenues les préparations des diverses régions : les
figures
sont également faites à un grossissement identi
sont également faites à un grossissement identique. PLANCHE VI
Figure
1' . MOELLE D'AMPUTÉ. - Région cervicale. Cou
. Sillon antérieur. /. Racine postérieure. J. Faisceau latéral.
Figure
12. MOELLE D'AMPUTÉ. - CELLULES de la corne ant
r subi l'amputation du bras droit au tiers supérieur. PLANCHE VII
FIGURE
13. MYÉLITE AIGUË DIFFUSE. Région cEpvico-DORSA
a méthode de Pall. La diffusion de l'inflammation très nette sur la
figure
est indiquée sur le schéma par les parties tein
is- seau altéré. 0. Zone peu lésée du cordon la- téral droit.
Figure
14. MYÉLITE DIFFUSE. Zone moyennement enflammée
oit. Figure 14. MYÉLITE DIFFUSE. Zone moyennement enflammée. La
figure
représente un point du cordon latéral droit de la
e représente un point du cordon latéral droit de la préparation de la
figure
précédente, vue à un fort grossissement (ohj. 4
ie pathologique, 1.°r septembre 1889, n° 5, p. 6fHi. PLANCHE VIII
Figure
15. MYÉLITE DIFFUSE. Région dorsale inférieure.
ceau postérieur sclérosé. CI. Corne postérieure gauche altérée.
Figure
16. - MYÉLITE CAVITAIRE. Région cervicale infér
I. Faisceau postérieur. J. Commissure antérieure. PLANCHE IX
Figure
17. MYÉLITE CAVITAIRE. Région lombaire inférieu
hologique de la corne antérieure droite. ,Il. Faisceau latéral.
Figure
18. MYÉLITE CAVITAIRE. -- Région lombaire supér
Figure 18. MYÉLITE CAVITAIRE. -- Région lombaire supérieure. La
figure
représente une partie de la corne antérieure gauc
la corne antérieure gauche d'une préparation analogue à celle de la
figure
précédente, colorée par le picro-carmin et vue à
s..., salle Rayer, n° 1, service de M. le pl' Charcot). PLANCHE X
Figure
19. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale lomba
latéral gauche. M. Plaque de sclérose de la zone radiculaire.
Figure
20. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. La
diculaire. Figure 20. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. La
figure
représente un point delà région peu sclérosée, du
estion dans les leçons cliniques de M. le Pr Charcot PLANCHE XI
Figure
21. SCLÉROSE EN PLAQUES. RÉGION cervico-dorsale
slérosées des mêmes cordons. J. Cordons postérieurs sclérosés.
Figure
22. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale infér
tre sujet que celles qui ont fourni la planche X. , PLANCHE XII
FIGURE
23. . SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale inf
ceau postérieur. N. Zone sclérosée du faisceau latéral droit.
Figure
24. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. La
ral droit. Figure 24. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. La
figure
représente un point de la région très sclérosée d
ine. D. Tube intact ayant persisté. E. Vaisseau. PLANCHE XIII
FIGURE
25. SCLÉROSE EN PLAQUES. RÉGION dorsale supérie
- térieur gauche. P. Zone sclérosée du cordon latéral gauche.
FIGURE
26. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. Co
s antérieurs. N. Zone sclérosée du faisceau latéral gauche. Les
figures
23, 25 et 26 représentent des coupes de moelle em
moelle empruntées chacune à des sujets différents. PLANCHE XIV
FIGURE
27. LÉSION COMBINÉE. Région cervicale. Coupe
cordon postérieur. A'. Zone sclérosée des cordons postérieurs.
FIGURE
28. LESION COMBINÉE. Corne antérieure. La fig
postérieurs. FIGURE 28. LESION COMBINÉE. Corne antérieure. La
figure
représente à un plus fort grossissement (obj. 2,
E. Cellules ganglionnaires diversement alté- rées. PLANCHE XV .
Figure
29. LÉSION COMBINÉE. Région dorsale. Coupe pr
ure. 1. Cordon latéral. E-Z. Cordons postérieurs sclé- rosés.
FIGURE
30. LÉSION COMBINÉE. Cordons postérieurs. La
é- rosés. FIGURE 30. LÉSION COMBINÉE. Cordons postérieurs. La
figure
représente un point des cordons postérieurs sclér
du de l'autopsie de cette malade est encore inédit. PLANCHE XVI
Figure
31 . SCLÉROSE COMBINÉE. - RÉGION dorsale. Cou
N. Faisceau postérieur sclérosé. 0. Faisceau pyramidal sclérosé.
FIGURE
32. SCLÉROSE COMBINÉE. - Région lombaire. Cou
Zone de Westphal respectée. Les deux préparations qui ont donné les
figures
de cette planche proviennent du même sujet. PLA
igures de cette planche proviennent du même sujet. PLANCHE XVII -
FIGURE
33. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE D'ORIGI
ramidal direct dé- généré. K'. Faisceau symétrique in- demne.
FIGURE
34. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE D'ORIGI
dégénération consécutive du faisceau pyra- midal. PLANCHE XVIII
Figure
35. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE DOUBLE
t dé- généré. J. Faisceau pyramidal croisé droit peu affecté.
Figure
36. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE. - Régi
e 36. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE. - Région cervicale. La
figure
représente un point du faisceau pyramidal croisé
Tubes nerveux respectés. E-E. Vaisseaux sclérosés. PLANCHE XIX
FIGURE
37. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE DOUBLE
dal gauche dégénéré. J. Faisceau pyramidal droit peu atteint.
FIGURE
38. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE. Région
lobules hyalins. D. Vaisseaux. Les préparations qui ont donné les
figures
des planches XVIII et XIX proviennent d'un sujet
égénération très accusée du faisceau pyramidal gauche. PLANCHE XX
Figure
39. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE ASCENDANTE D'ORIGIN
n de Goll dégénéré. IC. Faisceau cérébelleux direct peu altéré.
FIGURE
40. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE D'ORIGI
IL Partie respectée du faisceau Il anléro-latéral. PLANCHE XXI
Figure
41. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE ASCENDANTE D'ORIGIN
ceau cérébelleux direct dégénéré. L. Faisceau de Goll dégénéré.
Figure
42. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE ASCENDANTE D'ORIGIN
DAIRE ASCENDANTE D'ORIGINE SPINALE. - Région dorsale supérieure. La
figure
représente un point du cordon de Goll dégénéré de
du siège de la compression, descendante au-dessous. PLANCHE XXII
FIGURE
43. PARALYSIE SPINALE SUBAIGUE DE L'ADULTE (POL
J. Faisceau postérieur. J-J. Faisceaux pyramidaux dé- générés.
Figure
44. PARALYSIE SPINALE SUBAIGUE DE L'ADULTE (POL
ALE SUBAIGUE DE L'ADULTE (POLIOMYÉLITE). Région cervico-dorsale. La
figure
représente l'un des foyers inflammatoires des cor
eu altérées. C. Vaisseau. D. Tissu fibrillaire. PLANCHE XXIII
Figure
45. PARALYSIE SPINALE SUBAIGUE DE L'ADULTE (POL
ux pyramidaux dégénérés. Les préparations qui nous ont fourni les
figures
43, 44, 45, proviennent de la malade Ham... qui
Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière (1890, no6 4, 5 et 6). -
FIGURE
mi. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE). Région
isceau antéro-latéral. J. Racines antérieures. PLANCHE XXIV - -
FIGURE
47. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE;. - Régio
G. Sillon antérieur. H. Cordon latéral. 1. Cordon postérieur.
FIGURE
48. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE). Corne a
GURE 48. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE). Corne antérieure. La
figure
montre à un fort grossissement un point de la lés
e granuleuse. ? 7. Vaisseaux. J. Tissu de sclérose. PLANCHE XXV
Figure
49. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE). Région
érieur. J. Faisceau latéral. K. Faisceau postérieur. Toutes nos
figures
de paralysie infantile sont la reproduction de pr
ion léguée par le professeur Damaschino au Musée de la Salpêlrière.
FIGURE
50. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. RÉGION lomb
K. Faisceau de Burdach. L. Zone postéro-externe de Westphal.
Figure
52. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région dors
au antéro-latéral. I. Cordon postérieur sclérosé. PLANCHE XXVII
FIGURE
53. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région lomb
antéro-externe de West- phal. K. Faisceau postérieur sclérosé.
Figure
54. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. - Corne pos
igure 54. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. - Corne postérieure. La
figure
représente un point des cordons postérieurs sclér
C-C. Tube nerveux sain. D. Corps granuleux. E. Vaisseaux. Les
figures
51-52-53 ont trait au tabès classique, avec lésio
yant présenté l'évolution régulière de la maladie. PLANCHE XXVIII
Figure
55. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région cerv
I. Faisceau latéral. J. Faisceau de Burdach. K. Cordon de Goll.
Figure
56. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Cordons pos
Épaississement de sa paroi. G. Vaisseau thrombose. PLANCHE XXIX
Figure
57. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région lomb
I. Faisceau de Burdach altéré. J. Zone de Lissaüer altérée. -(a
FIGURE
58. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. RÉGION cerv
e par la méthode de Weigert. La lésion, contrairement à celle de la
figure
précédente, a épargné la partie posté- rieure d
er. K. Zone postérieure de West- phal. L. Cordon de Goll. Les
figures
55, 57 et 58 représentent des préparations de tab
IGU131J 59. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. RÉGION cervicale. La
figure
représente à un grossissement plus fort (obj. 2,
à un grossissement plus fort (obj. 2, Vérick) la préparation de la
figure
précédente, pour montrer le détail des lésions.
moyenne de la zone radiculaire sclérosée. .1. Lésion vasculaire.
Figure
60. SCLÉROSE LATÉRALE, AMYOTROPHIQUE (MALADIE D
stérieur. J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés. PLANCHE XXXI
Figure
61. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE
I. Cordons postérieurs. J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés.
Figure
62. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE
TÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Faisceaux pyramidaux. La
figure
représente un point de la région sclérosée des fa
es nerveux détruits. D-D. Tubes nerveux indemnes. PLANCHE XXXII
Figure
63. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE
1. Cordon postérieur. J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés.
FIGURE
64. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE
E LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Corne antérieure. La
figure
montre un point de la région de la corne antérieu
de prolongements. D-D. Cellules très atrophiées. PLANCHE XXXIII
Figure
65. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE
1. Cordon postérieur. J-J. Faisceaux pyramidaux al- térés. '
Figure
66. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE
utopsie que nous en avons faite est encore inédite. PLANCHE XXXIV
Figure
67. MOELLE DE FOETUS DE CINQ MOIS. Région lomba
du fais- ceau antéro-latéral. 1. Région du faisceau pyramidal.
FIGURE
68. MOELLE DE FOETUS DE CINQ MOIS. Région cervi
stématiques dont nous avons présenté des exemples. PLANCHE XXXV
Figure
69. MALADIE DE FRIEDREICH. Région cervicale.
ordon postérieur altéré. M. Faisceau cérébelleux direct altéré.
Figure
70. MALADIE DE FRIEDREICH. Faisceau pyramidal.
u faisceau pyramidal faisant partie de la coupe représentée dans la
figure
précédente, vu à un fort grossissement (obj. 4, V
B. Tube nerveux altéré. C. Tube nerveux sain. PLANCHE XXXVI .
Figure
71. MALADIE DE FRIEDREICH. Région dorsale. Co
éré. 0. Faisceau de Goll altéré. P. Faisceau de Burdach altéré.
FIGURE
72. MALADIE DE FRIEDREICH. Vue à un fort gros
. - C-C-C. Tubes nerveux altérés. D. Vaisseau. PLANCHE XXXVII
FIGURE
73. MALADIE DE FRIEDREICH. Région lombaire. C
sceau cérébelleux direct altéré. L. Faisceau postérieur altéré.
Figure
74. MALADIE DE FRIEDREICH. Colonne de CLARKE.
altéré. Figure 74. MALADIE DE FRIEDREICH. Colonne de CLARKE. La
figure
représente la zone de la colonne de Clarke, dans
C. Leucocythe. D. Vaisseau. E. Tissu fibrillaire. Toutes les
figures
de maladie de Friedreich que nous reproduisons pr
dreich (Archives de neurologie, 1890, n° 57). , PLANCHE XXXVIII
FIGURE
75. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région lombaire
cavité. IL Substance du gliome. L. Faisceau pyramidal dégénéré.
FIGURE
76. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. - Région dorsale
e de Pall. Mêmes lésions, d'apparence un peu différente que dans la
figure
76. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure
stance du gliome. L. Faisceau pyramidal dégénéré. PLANCHE XXXIX
Figure
77. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale.
Pall. Les lésions semblables sont plus accusées encore que dans la
figure
76. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure
a cavité. K. Substance du glieme. L. Faisceau pyramidal altéré.
FIGURE
78. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Gliome. La pré
nerveux sain. T. Bourgeon gliomateux. F. Vaisseau. PLANCHE XL
FIGURE
79. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région CERVICO-D
geon gliomateux. 1. Substance du gliome. J. Paroi de la cavité.
FIGURE
80. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. - Paroi de la ca
on autopsie dont les résultats sont encore inédits. PLANCHE XLI
Figure
81. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale.
où l'on trouvera également leprotocole de l'examen nécroscopique.
Figure
82. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région cervicale
intéressante pour mériter d'être représentée ici. PLANCHE XLII
Figure
83. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale.
ration de la vessie. Péritonite. Mort. Autopsie. Syringomyélie. »
Figure
84. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région lombaire.
le ]omJnire. tltaxie locomotrice. Octobre 1880. » PLANCHE XLIII
Figure
85. SYRINGOMYÉLIE. - Région cervicale supérieur
ramidal croisé altéré. K. Faisceau pyramidal direct . altéré.
Figure
86. SYRINGOMYÉLIE. - Renflement cervical. Cou
gliome. J. Foyer cutané delà substance grise Les pièces dont les
figures
de cette planche représentent les préparations vi
si que l'examen néc ? opsi(lite sont encore inédits. PLANCHE XLIV
Figure
87. TUMEUR DE LA MOELLE ,FIBROME). - Région cer
e. F. Sillon postérieur. G. Pyramide antérieure. 71. 'fumeur.
Figure
88. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME). La prépara
seaux fibreux coupés transversalement. D. Vaisseau. PLANCHE XLV
Figure
89. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME). Région dorsa
Faisceau latéral droit. F. Faisceau latéral gauche. G. Tumeur.
FIGURE
90. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME). Région lomba
toute la hauteur du névraxe, tantôt à la périphérie, comme dans la
figure
85, tantôt au centre, comme dans les figures 87 e
riphérie, comme dans la figure 85, tantôt au centre, comme dans les
figures
87 et 88. Il s'agissait histologiquement d'un v
ux désordres qu'il nécessite, nous ne le pensons pas, et du reste, la
figure
qu'il a donnée lui-même d'un œil prétendu guéri,
e. La li-gature est décrite dès la plus haute antiquité; mais elle ne
figure
encore chez les Grecs et les Arabes que comme un
é de M. Roux de Saint-Maximin, le mal, comme il est représenté sur la
figure
, est cerné entre deux incisions, l'une semi-ellip
te bien assez sur une opération qui , bien qu'ayant été pratiquée, ne
figure
en réalité dans les livres d'enseignement que pou
es, il conseille, soit le bandage à champignon dont on trouve déjà la
figure
dans A. Paré (Œuvre compl., tom. 11, p. 798 , édi
bien exé-cutés d'écussons mobiles en tous les sens : l'écusson de la
figure
5 ne diffère du précédent que par sa forme qui es
es doubles pour deux hernies in-guinales ou deux hernies crurales. La
figure
3 de la planche 37 , représente im de ces brayers
l'abdomen, vient se boucler en avant sur la plaque de l'écusson. (La
figure
9 de la planche 3^ représente un de ces brayers.)
anche 4o , fig. 3) et la dévisse pour en écarter les deux moitiés. La
figure
4 montre ce qui se passe alors : les tiges intéri
en les chassant, ils s'éparpillent dans le sac comme le représente la
figure
. Cette modification de M. Belmas est ce qui const
les courbures telles qu'on les voit sur les planches 5 i et 52 ; les
figures
, et surtout la figure 2 de la planche 5i, peuvent
u'on les voit sur les planches 5 i et 52 ; les figures, et surtout la
figure
2 de la planche 5i, peuvent donc donner une idée
M. Malgaigne pense qu'elle varie entre i3 et 22 milli-mètres. Dans la
figure
2 de la planche f2 elle a 18 à 20 millimè-tres. L
ent à l'introduction du bec de la sonde dans le cathétérisme (Pl. 5a,
figure
i ). La membrane muqueuse des portions bulbeuse
teloup, les anciennes courbures, telles que celles qu'on voit sur les
figures
i, 2, 3, 4 et 8 de la planche 54 , sont de jour e
en jour moins usitées, on leur préfère les courbures plus courtes des
figures
6 et 7, mieux appropriées à l'angle que forme le
r qui est destiné à rechercher les calculs dans la vessie, et dont la
figure
est celle des percuteurs les plus nouveaux, a une
e sur le pénis et on les arrête par une rosette. On obtient ainsi une
figure
qui ressemble assez à celle d'une pyramide quadra
C'est en abaissant encore de a5 à 3o degrés, ce qui nous donne sur la
figure
6 un total de io4" que la sonde basculant sous le
agir une fraise. Il est inutile d'insister sur plus de détails quela
figure
60 (pl. 54) suffit pour faire comprendre. Litho
M. Elgerton, chirurgien écossais, inventa un nouvel appareil, dont la
figure
est représentée dans un ouvrage de M. Leroy, inti
er la pierre ; mais plus tard il y ajouta l'archet et le chevalet. La
figure
5 de la planche bi représente le litho-triteur co
om-modément lorsqu'on ajoute une rondelle à son extrémité externe. La
figure
ire de la planche 5o, représente ce mécanisme app
la clef avec la main droite pour faire avancer la branche mobile. La
figure
2 représente la même chose, seulement le calcul e
sie une sonde massive , exactement ronde , sans cannelure, « et d'une
figure
différente de celles des sondes dont se servent «
sion semi-lu-naire, dont la convexité regarde en arrière et à droite,
figure
un arc dont la corde, d'environ 7 lignes ( 16 mil
ssus les tenettes, afin d'extraire la pierre (Pl. 64, fig- 2 et 3. La
figure
3 représente l'intérieur de la vessie pendant l'a
partie membraneuse de l'urètre et la prostate à découvert; dans cette
figure
les incisions obliques an-térieures sont représen
le vagin. Franco, A. Paré , Scultet ont donné dans leurs ouvrages la
figure
d'un instrument semblable, et Garengeot en a décr
les) a imaginé à cet effet deux spéculums (fig. 3o et 3i pl. 76) ; la
figure
3o représente un spéculum bivalve avec une pla-qu
a ramener au centre du bassin à l'aide d'une vis de pression. Dans la
figure
31, le spéculum porte une branche à glis-sement d
brane par une griffe, et une lame poussée par le bouton l'excise. Les
figures
15 et 15 bis montrent une pince du même auteur, p
ongitudinales, l'ai-guille en tirebouchon dont M. Colombat a donné la
figure
dans son ouvrage, est tout ce qu'on peut imaginer
de nombreuses ramifications vasculaires qui présentent quelquefois la
figure
du tissu placentaire à deux mois de grossesse. Ce
ue qu'il est inutile de la discuter. Nous renvoyons pour ce sujet aux
figures
qu'en ont données MM. J. Muller et Dufresse Chass
ché d'indiquer avec précision cette première manière que du reste les
figures
achè-vent complètement de faire comprendre, parce
ion de la langue : nous avons décalqué la section représentée sur ses
figures
; il en résulte positivement que, dans le lambeau
érisme des conduits avec le trajet que parcourent les instrumens.
FIGURE
\. Sur un côté de la face, représentée de trois
acrymales et les rapports du canal nasal avec le sinus maxillaire. La
figure
1 bis répète le calque des voies lacrymales pour
oies lacrymales pour en faciliter le numérotage. Région oculaire.
Figures
1 et 1 bis. Section de la peau et du muscle orbic
. 18. Commencement du canal nasal, séparé du sac lacrymal, sur la
figure
, par l'anneau qui forme le tubercule lacrymal.
Elles sont interrompues au-devant de la section de l'os maxillaire.
FIGURES
2 ET 5. intérieur des fosses nasales et de la c
des fosses nasales et de la cavite pharyngienne. La tête, dans les
figures
2 et 3, est sciée verticalement sur le plan moyen
lan moyen, la cloison nasale étant enlevée. Objets communs aux deux
figures
. Plan de section des os. a, des os de la base d
en avant dans la cavité buccale. Applications chirurgicales. Les
figures
2 et 3 représentent des cathétérismes différens :
férens : 1° A. Cathétérisme nasal avec la sonde de Laforest. Sur la
figure
2, l'instrument disparaît sous le cornet inférieu
la figure 2, l'instrument disparaît sous le cornet inférieur ; sur la
figure
3, la paroi ostéo-muqueuse est enlevée de manière
e remplit. 2° B. Cathétérisme de la trompe d'Eustache. Sur les deux
figures
, la sonde de M. Deleau est offerte en position, i
est offerte en position, introduite dans la trompe d'Eustache. Sur la
figure
3, le corps du sphénoïde est enlevé pour montrer
maxillaire, avec un stylet introduit dans l'antre d'Hygmore. 4" D.
Figure
3. Cathétérisme salivaire. Un stylet introduit da
a dent grosse molaire en re-gard pour laisser voir cet orifice sur la
figure
. 5" E. Figure 3. Sonde de Bellocq. Introduite d
cob. Lith. par Jules Méa. TOME VIL PLANCHES 3 ET 4 PLANCHE 3.
FIGURE
i. Position figurée de la tête, dans les opérat
r offrir de face au chirurgien le côté sur lequel il opère. Sur cette
figure
, on a pré-senté en regard les instrumens qui ont
; (e), le cathéter des voies lacrymales par le procédé de Laforest.
FIGURES
2 ET 5. Cathétérisme du canal nasal par le proc
ES 2 ET 5. Cathétérisme du canal nasal par le procédé de Laforest ,
figure
2, avec la sonde de cet auteur; figure 3, avec le
l par le procédé de Laforest , figure 2, avec la sonde de cet auteur;
figure
3, avec le cathéter de M. Gensoul. Figure 2. El
c la sonde de cet auteur; figure 3, avec le cathéter de M. Gensoul.
Figure
2. Elle représente les trois temps de l'opération
ndique le parcours extérieur du manche de l'instrument, tandis que la
figure
, 2 bis montre le parcours intérieur de la sonde.
ndis que la figure, 2 bis montre le parcours intérieur de la sonde.
Figure
3. Cathétérisme de M. Gensoul. 1. Introduction
du cathéter montrant sa saillie dans le sac lacrymal. Comme dans la
figure
précédente, la position des doigts varie; une lig
ndique le parcours extérieur du manche de l'instrument, tandis que la
figure
3 bis montre le parcours intérieur du cathéter.
ur du cathéter. PLANCHE 4. OPÉRATIONS SUR LES VOIES LACRYMALES.
FIGURE
I. Injection par le point lacrymal inférieur av
, tandis que l'autre main, armée de la seringue, opère l'injection.
FIGURE
2. Cathétérisme par le conduit lacrymal supérie
au-dehors pour remonter en sens inverse le fil conducteur du séton.
FIGURE
5. Incision du sac lacrymal par deux procédés :
au sillon des ailes du nez pour une largeur moyenne de cet organe.
FIGURE
4. Introduction de la canule de Dupuytren. a.
n qui porte la sonde en suivant la cannelure dorsale du bistouri.
FIGURE
5. Perforation de la cloison du sinus maxillair
le. L'opération est celle de M. Laugier pratiquée avec son trocart.
FIGURE
6. Perforation des légumens de dedans en dehors
ATIVES DE LA BLÉPHAROPTOSE ET DE ^ECTROPION GRANDEUR NATURELLE.
FIGURE
1. Excision d'un fongus avec le bistouri et une é
E. FIGURE 1. Excision d'un fongus avec le bistouri et une érigne.
Figure
2. Excision de la conjonctive avec la pince et le
Figure 2. Excision de la conjonctive avec la pince et les ciseaux.
Figure
3. Excision d'un lambeau médian du cartilage tars
ilage tarse pour nu ectropion de la paupière inférieure ( Weller ).
Figures
4 et 5. Excision d'un lambeau triangulaire de la
mes maladies par le procédé d'Adams. — Fi-gure A. Section du lambeau.—
Figure
5. Réunion par une suture des bords de la paupièr
Figure 5. Réunion par une suture des bords de la paupière rétrécie.
Figure
6. Double ectropion. L'excision d'une portion de
est représenlée à la paupière supérieure (procédé de Dieffenbach ).
Figure
7. La même opération pratiquée à la paupière infé
atiquée à la paupière inférieure relevée par le fait de l'excision.
Figures
8, 9 et 10. Blépharoptose et ectropion.—Figure 8.
fait de l'excision. Figures 8, 9 et 10. Blépharoptose et ectropion.—
Figure
8. Élévation permanente de la paupière par des ba
des bandelettes agglutinatives. — Fi-gures 9 et 10(procédé de Hunt).
Figure
9. Lambeau elliptique enlevé aux dépens de la rég
résulte l'élévation forcée de la paupière et l'ouverture de l'œil.
Figures
11 et 12 (procédé ordinaire). — Figure 11. — Abla
re et l'ouverture de l'œil. Figures 11 et 12 (procédé ordinaire). —
Figure
11. — Ablation d'un lambeau elliptique de la paup
e 11. — Ablation d'un lambeau elliptique de la paupière supérieure. —
Figure
12. Rap-prochement par des sutures entraînant l'é
ATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES PAUPIÈRES. GRANDEUR NATURELLE.
Figures
1,2,3,4. Blépharoplaslique ( Grœfe, Dzondi ). F
NATURELLE. Figures 1,2,3,4. Blépharoplaslique ( Grœfe, Dzondi ).
Figures
1 et 2. Restauration de la paupière supérieure.—F
, Dzondi ). Figures 1 et 2. Restauration de la paupière supérieure.—
Figure
1. Pour corriger une cicatrice vicieuse de la pau
lélisme pour diminuer le plus que l'on peut la torsion du pédicule.
Figure
2. Pansement des deux plaies. Le lambeau de resta
la solution de continuité de la paupière, et fixé par des sutures.
Figures
3 et A. Restauration de la paupière inférieure. —
sutures. Figures 3 et A. Restauration de la paupière inférieure. —
Figure
3. (b) Plaie par enlèvement de la peau de la paup
fforme. ( c) Lambeau taillé aux dépens des tégumens de la pommette.
Figure
A. (d) Application du nouveau lambeau fixé par de
uivant la ligne nor-male dont ordinairement la trace est apparente.
Figure
6. Extirpation de la glande lacrymale. Une incisi
e des ciseaux courbes sur le plat coupent ses dernières adhérences.
Figures
7 et 8. Excision de végétations fongueuses de la
igures 7 et 8. Excision de végétations fongueuses de la conjonctive. —
Figure
7. Excision sur le bord palpébral supérieur avec
ision sur le bord palpébral supérieur avec la pince et les ciseaux. —
Figure
8. Excision sur la paupière inférieure avec la pi
e bistouri (voyez, pour des cas de cette nature, Demours, pl. 19 ).
Figures
9 et 10. Excision de kystes des paupières.—Figure
mours, pl. 19 ). Figures 9 et 10. Excision de kystes des paupières.—
Figure
9. Exci-sion à la paupière inférieure par la peau
à la paupière inférieure par la peau avec la pince et le bistouri. —
Figure
10. Excision à la paupière supérieure parla surfa
Excision à la paupière supérieure parla surface de la conjonctive.
Figure
11. Excision de l'encanthis pileux ( Demours, pl.
e. Figure 11. Excision de l'encanthis pileux ( Demours, pl. 64 ).
Figure
12. Excision d'excroissances vasculaires et charn
ATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES PAUPIÈRES. GRANDEUR NATURELLE.
Figure
1. (a) Orgeolet. Ponction avec une lancette, (b)
) Orgeolet. Ponction avec une lancette, (b) Excision du pinguéeula.
Figures
2 et 3. (Ectropion) Excision du cartilage tarse (
Figures 2 et 3. (Ectropion) Excision du cartilage tarse (Saunders),
Figure
2. L'élévatoire en écaille (c) étant glissé sous
n petit bistouri ou mieux avec des ciseaux courbes sur le plat (f).
Figure
3. Réunion de la plaie palpébrale par des sutures
at (f). Figure 3. Réunion de la plaie palpébrale par des sutures.
Figures
4 et 5. (Ectropion) Section du cartilage tarse (G
Figures 4 et 5. (Ectropion) Section du cartilage tarse (Guthrie).—
Figure
4. Les deux incisions latérales de l'épaisseur de
s et permettent à la paupière d'être relevée entre les deux sections.—
Figure
5. Pansement Vopération terminée. Après avoir pra
avec lesquels elle fait un ressaut, difforme sur le bord palpébral.
Figure
6. ( Dzondi, Champesme ) Arrachement des bulbes c
r la dissection de bas en haut d'un petit lambeau palpébral cutané.
Figure
7. Trichiasis, et Figure 8. Distichiasis (Demours
haut d'un petit lambeau palpébral cutané. Figure 7. Trichiasis, et
Figure
8. Distichiasis (Demours, pl. 20, fig. 1 ). L'une
et l'autre maladie ne se guérissent que par arrache-ment des cils.
Figures
9 et 10. Ptérygion (Cas analogues , Demours, pl.
as analogues , Demours, pl. A0,fig. 1 et 2; et Weller, p/. l,fig- 9).—
Figure
9. Ptérygion charnu.—Figure 10. Excision du ptéry
A0,fig. 1 et 2; et Weller, p/. l,fig- 9).—Figure 9. Ptérygion charnu.—
Figure
10. Excision du ptérygion avec la pince et le bis
ion avec la pince et le bistouri du sommet vers la base (Rognetta).
Figures
11 et 12. Pannus (Weller, pl. l,fig. 8 ). Figure
base (Rognetta). Figures 11 et 12. Pannus (Weller, pl. l,fig. 8 ).
Figure
11. Pannus très avancé. — Figurée 12. Excision du
IONS SUR LA CORNÉE, LE CRISTALLIN, ET L'IRIS. GRANDEUR NATURELLE.
Figure
]. Cataracte lenticulaire complète (Demours, pl.
Figure ]. Cataracte lenticulaire complète (Demours, pl. 22, fig. 3 ).
Figure
2. Cataracte capsulo-lenticulaire (Demours, pl. 3
. Figure 2. Cataracte capsulo-lenticulaire (Demours, pl. 38, fig. 3).
Figure
3. Cataracte centrale ( Demours, pl. 28, fig. 2 )
8, fig. 3). Figure 3. Cataracte centrale ( Demours, pl. 28, fig. 2 ).
Figure
4. Cataracte noire (Cas analogue, Weller, pl. ^,f
). Figure 4. Cataracte noire (Cas analogue, Weller, pl. ^,fig- 2 ).
Figure
5. Cataracte lenticulaire sur un homme âgé de 83
cte lenticulaire sur un homme âgé de 83 ans ( Wel-ler,;,/. %fig.A).
Figure
6. Cataracte capsulo-lenticulaire chez un homme d
sulo-lenticulaire chez un homme de G2 ans ( Weller, pl. 2, fig. 6).
Figure
7. Cataracte capsulo-lenticulaire chez un enfant
sulo-lenticulaire chez un enfant (Beer,dans Weller, pl. 2, fig. 7).
Figure
8. Cristallin opaque qui a spontanément rompu ses
t tombé presque en entier derrière l'iris (Demours,/?/. 22, fig.l).
Figure
9. Ponction de la chambre antérieure dans un cas
mbre antérieure dans un cas d'hydro-capsulite (Procédé de Wardrop).
Figure
10. Hypopion (Cas analogue, Demours, pl. 29). F
de Wardrop). Figure 10. Hypopion (Cas analogue, Demours, pl. 29).
Figure
11. Hypopion succédant à une iritis. Deux petits
la pupille déformée est presque oblitérée (Weller, pl. S, fig. 1).
Figure
12. Pupille ovale par le fait d'une iritis légère
iritis légère causée par une contusion (Demours, pl. 48, jfa/. 3 ).
Figures
13 et 14. Pupilles artificielles (Demours, pl. 43
Figures 13 et 14. Pupilles artificielles (Demours, pl. 43 et 44 ).
Figures
15 et 16. Pupilles artificielles (Blasius). Tom
OPÉRATIONS DE LA CATARACTE PAR EXTRACTION, GRANDEUR NATURELLE.
Figure
1. Kératomie inférieure (avec le couteau de Richt
appuyé par les deux derniers doigts sur la saillie de la pommette.
Figure
2. Même section de la cornée au moment où elle s'
. Figure 2. Même section de la cornée au moment où elle s'achève.
Figure
3. Incision de la capsule cristalline avec le kys
ristalline avec le kystitome tenu par la main droite du chirurgien.
Figure
4. Plan de la section médiane d'un œil de profil.
re 4. Plan de la section médiane d'un œil de profil. L'objet de cette
figure
est de montrer le trajet que décrit le cristallin
llante en bas,au-dessus de la section,par la saillie du cristallin.
Figure
5. Sortie du cristallin au dehors sous la pressio
de l'instrument. C'est le moment où la pression doit être enlevée.
Figure
G.- Extraction avec des pinces des débris de la c
des pinces des débris de la capsule cris-talline quand il y a lieu.
Figure
7. Kératomie supérieure ( avec le couteau de Rieh
est celui où la lame , en glissant, achève la section de la cornée.
Figure
8. Plan de la section médiane d'un œil de profil.
re 8. Plan de la section médiane d'un œil de profil. L'objet de cette
figure
est le même que dans la figure -4; on y voit égal
e d'un œil de profil. L'objet de cette figure est le même que dans la
figure
-4; on y voit également le déplacement que subit
s incli-naisons du cristallin et des segmens de l'iris inverses de la
figure
4 comme la situation de la plaie extérieure. Fi
inverses de la figure 4 comme la situation de la plaie extérieure.
Figure
9. Kératomie oblique pratiquée avec le couteau de
DE LA CATARACTE. EXTRACTION ET ABAISSEMENT. GRANDEUR NATURELLE.
FIGURES
I, 2, 3, 4.— Extraction. — Kératomie-Kystotritik
, 4.— Extraction. — Kératomie-Kystotritik ( Procédé de M. Furnari).
Figure
I. Kératome à double lance de M. Furnari (vu de f
e qu'elle est représentée (fig.2 bis), serait-elle plus convenable.
Figures
2 et 2 bis. Kystotriteur de M.Furnari.Wa de face(
p une pince (fiij. 4) dont les mors seraient ceux du kystotri-leur.
Figure
3. Section latérale de la cornée. L'instrument ét
uee au kystotriteur. operation de la cataracte par scleratonyxis.
Figure
5. Ponction. L'aiguille de Scarpa (g), tenue comm
ec les deux derniers doigts en dehors de la saillie de la pommette.
Figure
G. Division de la capsule cristalline. L'aiguille
ointe tournée vers le cristallin commence la division de sa capsule.—
Figure
G bis. L'aiguille incise successivement, à mesure
ligne e, f, où elle se trouve à la partie supérieure du cristallin.
Figure
7. Abaissement du cristallin (suivantla ligne g,
Figure 7. Abaissement du cristallin (suivantla ligne g, h, fig. 8).
Figure
8. Résumé du trajet de l'aiguille. La pointe, qui
le cristallin en bas, en dehors et en arrière sous le corps vitré.
Figure
9. Trajet de rabaissement du cristallin. Ligure
ce antérieure devient supérieure; et son bord inférieur, antérieur.
FIGURE
11. Trajet, sur la section verticale d'un œil de
PILLES ARTIFICIELLES. GRANDEUR NATURELLE. méthode par incision.
Figure
1 (procédé de Cheselden). Incision transversale d
en avant, ou de la chambre postérieure vers la chambre anté-rieure.
Figure
2 (procédé de Sharp et de W. Adams). Incision tra
n arrière, ou de la chambre antérieure vers la chambre postérieure.
Figure
3 (procédé de Janin ). Section verticale de l'iri
x fins introduits au travers d'une incision préalable de la cornée.
Figure
-4 (procédé de M. Maunoir). Double incision verti
(procédé de M. Maunoir). Double incision verticale de l'iris en V.
Figure
5 (procédé de M. Velpeau ou de Wenzel sans excisi
e avec un petit couteau à double tranchant. méthode par excision.
Figure
G (procédéde Wenzel). La double incision étant fa
ps, pratiquer la section du lambeau avec des pinces et des ciseaux.
Figure
7 (procédé de M. Guérin). Une double incision à l
ratiquer isolément avec des ciseaux l'excision des quatre lambeaux.
Figure
8 (procédé de Gibson). Excision, avec des ciseaux
). Excision, avec des ciseaux, du centre de l'iris imperforé. Dans la
figure
, au lieu de pratiquer l'excision sur l'iris faisa
e érigne qui l'engage entre les ciseaux. méthode par décollement.
Figure
9 (procédé de Scàrpa). Décollement de la partie i
partie interne et supérieure de l'iris avec l'aiguille à cataracte.
Figure
10 (procédé de Donegana). Décollement avec incisi
ollement avec incision par une aiguille tranchante appliquée, dans la
figure
, à l'arc externe et su-périeur de l'iris qui four
et su-périeur de l'iris qui fournit plus de jour que l'arc interne.
Figure
11 (figure empruntée de Blasius). Divers exemples
ur de l'iris qui fournit plus de jour que l'arc interne. Figure 11 (
figure
empruntée de Blasius). Divers exemples d'intro-du
lconque de l'iris en regard de la moitié transparente de la cornée.
Figure
12. Excision du lambeau décollé par l'érigne (fig
de la cornée. Figure 12. Excision du lambeau décollé par l'érigne (
figure
em-pruntée de Blasius). Figure 13 (procédé de L
ion du lambeau décollé par l'érigne (figure em-pruntée de Blasius).
Figure
13 (procédé de Langenbeck). Décollement de l'iris
qûre de la cornée où il se trouve pincé et contracte une adhérence.
Figure
14-. Extension de la pupille naturelle, dont un b
illé est engagé dans la plaie de la cornée (procédé de Langenbeck).
Figure
15. Exemple d'extraction du cristallin au travers
du cristallin au travers d'une ou-verture pupillaire artificielle.
Figure
16. Section de l'iris, en un seul temps, avec la
l'iris, en un seul temps, avec la pince à dard de M. Onsenort. Cette
figure
est donnée comme un exemple du mode d'action des
UR NATURELLE. cathétérisme de la trompe d'eUSTACHE. Instrumens.
Figure
1. Cathéter à double courbure de M. Fabrizj. Fi
Instrumens. Figure 1. Cathéter à double courbure de M. Fabrizj.
Figure
2. Cathéter dont nous avons calculé les courbures
umens de cathétérisme de la trompe, pour y entrer sans tâtonnemens.
Figure
3. Sonde de M. Itard pour les injections de la tr
ns. Figure 3. Sonde de M. Itard pour les injections de la trompe.
Figure
4. Sonde de M. Gairal. Des chiffres , inscrits su
bec de la sonde, pour son introduction dans l'orifice de la trompe.
Figure
5. Sonde de M. Deleau. La sonde creuse, flexible
siste en un fil métallique tordu et faisant pince par son ressort; la
figure
6 montre ce petit appareil en position. Le cath
ant être compris que par une vue sur le profil, ne peut fourniraucune
figure
de médecine opératoire assez significative; nous
ire, pl. 1 de ce volume, où cette manœuvre est clairement exprimée.
Figures
7 et 8. Ligature d'un polype du conduit auriculai
atéral au pavillon sert à attacher-les fils à l'autre extrémité. La
figure
7 indique la manœuvre d'une seconde opération de
ors et. continue à tirer sur la tumeur. Dans le moment choisi pour la
figure
, le chirurgien, tenant la seconde canule d'argen
cette anse en arrière de la première sur la racine du pédicule. La
figure
8 représente la même manœuvre, en profil, sur une
cède à une troisième application qui fait le sujet de la fi-gure 9.
Figure
9 (même vue de profil). Troisième ligature faite
e auri-culaire. perforation de la membrane du tympan. Instrumens.
Figure
10. Perforateur ou trépan de la membrane du tympa
as emporte-pièce. L'instrument qui suit est de beaucoup préférable.
Figures
11, 12 et 13. Trépan de la membrane du tympan de
gures 11, 12 et 13. Trépan de la membrane du tympan de M. Fa-brizj. —
Figure
11. Tige de l'instrument portée par un manche. Le
de la tige (c) est un fil spi-ral qui perce la membrane du tympan. —
Figure
12. Canule de l'in-strument. Elle est en argent,
st en acier et fait emporte-pièce par son bord libre qui est coupant.—
Figure
13. Trépan garni de sa canule. Le fil spiral tord
Le fil spiral tordu dépasse l'extrémité de la canule de deux tours.
Figure
14. Perforation de la membrane du tympan par le p
canule sur la tige. Ficure 15. Ablation de l'oreille cancéreuse.
Figure
10. Tumeur érectile du pavillon de l'oreille pour
OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'OREILLE. GRANDEUR NATURELLE.
FIGURES
1,2,3,4. Anatomie opératoire de l'oreille. Figu
EUR NATURELLE. FIGURES 1,2,3,4. Anatomie opératoire de l'oreille.
Figure
I. Os temporal scié verticalement suivant deux co
tre vertical des deux conduits ; la paroi antérieure étant enlevée.
Figure
2. Même aspect des voies auditives avec les parti
arties molles; les deux conduits auriculaires isolés, mais intacts.
Figure
3. Même section que dans la figure 1, la paroi an
riculaires isolés, mais intacts. Figure 3. Même section que dans la
figure
1, la paroi antérieure osseuse et fibro-cartilagi
la paroi antérieure osseuse et fibro-cartilagineuse étant enlevée.
Figure
4. Section horizontale des voies auditives vues p
eille. Il est coupé horizontale-ment, sur le plan de section, dans la
figure
4. D. Fig. 1,2,3,4. Conduit auriculaire externe
LYPES ET CORPS ÉTRANGERS. inst rumens qui servent a l'extraction.
Figure
5. Spéculum auris de M. Itard. Figure 6. Curett
qui servent a l'extraction. Figure 5. Spéculum auris de M. Itard.
Figure
6. Curette pour l'extraction des corps étrangers.
. Itard. Figure 6. Curette pour l'extraction des corps étrangers.
Figure
7. Pince de M. Fabrizipour le même objet. Ses bra
vant les sinuosités naturelles du conduit auditif (voy. fig. 3, 4).
Figure
8. Tenettes de Dupuytren pour l'arrachement des p
. Figure 8. Tenettes de Dupuytren pour l'arrachement des polypes.
Figure
9. Pinces à mors denticulé de M. Charrière pour l
gure 9. Pinces à mors denticulé de M. Charrière pour le même objet.
Figure
10. Ciseaux à résection, à branches courtes et co
résection, à branches courtes et coudées sur le plat. opérations.
Figure
11. Extraction d'un corps étranger dans le condui
e (b) introduite le long de la paroi inférieure du conduit auditif.
Figure
12. Arrachement d'un polype du conduit auriculair
C. TOME VIL PLANCHE 14. RHINOPLASTIQUE. ADULTE, DEMI-NATURE.
Figures
1, 2, 3. Restauration du nez en entier (méthode i
Figures 1, 2, 3. Restauration du nez en entier (méthode in-dienne).
Figure
1. Aspect du nez après ïablation des chairs dégén
illé sur le front et déjà contourné pour en opérer le renversement.
Figure
2. Application du lambeau, (c) Plaie frontale for
bas l'ouverture des narines est maintenue par des corps étrangers.
Figure
3. Résultat de l'opération après quinze ou vingt
u nez, après le retour du pédicule cutané à sa situation naturelle.
Figures
4, 5 et 6. Restauration de la moitié latérale dro
u appliqué sur la moitié refaite du nez. (1) Torsion du pédicule.
Figure
6. Aspect des parties après la section du pédicul
icule. Figure 6. Aspect des parties après la section du pédicule.
Figures
7 et 8. Rhinoplastique par la méthode italienne.
édicule. Figures 7 et 8. Rhinoplastique par la méthode italienne.
Figure
7. L'opération est représentée lorsque le premier
vira maintenir le bras en position dans l'ap-pareil de Tagliacozzi.
Figure
8. Appareil contentif appliqué. Tome 7. Pl.14
II. PLANCHE 15. POLYPES DES FOSSES NASALES. GRANDEUR NATURELLE.
FIGURES
1 et 2. TORSION ET ARRACHEMENT. Figure 1. Arrac
ES. GRANDEUR NATURELLE. FIGURES 1 et 2. TORSION ET ARRACHEMENT.
Figure
1. Arrachement par la narine. Le procédé figuré
bords de l'incision sont écartés par le passage du corps étranger.
Figure
2. Arrachement par la bouche (procédé de M. Manne
ntes manœuvres: soit l'arrachement, l'excision ou même la ligature.
FIGURES
3 et 4. LIGATURE. Cette opération ne pouvant êt
sur le profil, ce qui se passe dans l'intérieur des fosses nasales.
Figure
3. Introduction de la ligature (procédé de A. Dub
Figure 3. Introduction de la ligature (procédé de A. Dubois). La
figure
représente la surface externe d'une fosse nasale
ener la ligature dans la bouche pour recommencer toute la manœuvre.
Figure
4. Ligature par le procédé de M. Félix Hatin. L
manœuvre. Figure 4. Ligature par le procédé de M. Félix Hatin. La
figure
est la même que la précédente. Le moment choisi d
ÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES FOSSES NASALES. DEMI-NATURE.
FIGURES
1, 2 et 3. GÉNOPLASTIQUE. Figures 1 et 2. Procé
OSSES NASALES. DEMI-NATURE. FIGURES 1, 2 et 3. GÉNOPLASTIQUE.
Figures
1 et 2. Procédé de M. Lallemand. Ces figures so
et 3. GÉNOPLASTIQUE. Figures 1 et 2. Procédé de M. Lallemand. Ces
figures
sont faites en imitation d'une opération pratiqué
ar Le célèbre professeur de Montpellier et que lui-même a dessinée.
Figure
1. Section des lambeaux. a. Emplacement d'une d
t sur son pédicule (d) pour l'appliquer sur la surface de la plaie.
Figure
2. Aspect des parties après la réunion par des su
our commencer le rapprochement des bords de la peau. d. Pédicule.
Figure
3. Procédé de Celse. Ablation d'une tumeur canc
plus qu'à les appliquer sur la moitié inférieure et la commissure.
FIGURE
4. TAMPONNEMENT DES FOSSES NASALES. L'opération
la cloison conservée et le trajet des fils ponctués (voyez, pour les
figures
analogues, pl. 1 ,fig. 2 et 3; et pl. 15, fig. 3
bouche en avant l'ouverture de la narine. PERFORATION DES SINUS.
Figure
5. Perforation des sinus frontaux. Une incision
cupé à enlever la table de l'os avec une petite couronne de trépan.
Figures
6 et 7. Perforation du sinus maxillaire. Figure
ronne de trépan. Figures 6 et 7. Perforation du sinus maxillaire.
Figure
6. Perforation par les alvéoles. La seconde den
ole , qui cor-respond au point le plus déclive du sinus maxillaire.
Figure
7. Perforation par la paroi externe. L'angle la
. TOME VII. PLANCHE 17. CHEILOPLASTIQUE. ADULTE, DEMI-NATURE.
Figures
1 et 2. Ablation par un lambeau en V (procédé anc
E. Figures 1 et 2. Ablation par un lambeau en V (procédé ancien).
Figure
1. Cancer de la lèvre inférieure avec l'indicatio
e saignante qui se recouvre plus tard d'un tissu cutané accidentel.
Figures
3 et 4. Ablation par un lambeau quadrilatère (pro
3 et 4. Ablation par un lambeau quadrilatère (procédé de Chopart).
Figure
3. Cancer de la lèvre inférieure avec l'indicatio
cal, afin de constituer la lèvre inférieure de nouvelle for-mation.
Figure
4. Réunion du lambeau avec les chairs des deux cô
u avec les chairs des deux côtés à l'aide de la suture entortillée.
Figures
5 et 6. Ablation par un lambeau demi-elliptique (
un lambeau demi-elliptique (pro-cédé de M. Roux de Saint-Maxùnin).
Figure
5. La maladie est représentée circonscrite entre
la lèvre, mais avec une incurvation en bas qui la laisse pendante.
Figure
G. Le même procédé modifié. D'après M. Lisfranc,
ponctué in-dique la longueur du lambeau interne avant la résection.
Figure
7. Réunion, par des sutures, suivant la modificat
r des sutures, suivant la modification que nous venons de proposer.
Figures
8 et 9. Ablation entre deux lambeaux en équerre (
plus qu'à disséquer les lambeaux pour en faciliter l'affrontement.
Figure
8. Tracé des lignes d'incision. — De a en b. Inci
de la moitié saine de la lèvre inférieure, un lambeau horizontal 1.
Figure
9. Réunion de la plaie par des sutures après réun
dis-section et affrontement, les deux lambeaux verticaux e, f, de la
figure
8 venant se joindre suivant une ligne (m) qui pro
e ligne (m) qui prolonge la commissure; tandis que le lambeau 1 de la
figure
8 rejoint les deux lambeaux verti-caux suivant la
copiés sur des pièces en cire appartenant au cabinet de la Faculté.
FIGURES
1, 2, 3, 4, 5. Rec-de-lièvre double. Figure 1.
binet de la Faculté. FIGURES 1, 2, 3, 4, 5. Rec-de-lièvre double.
Figure
1. Etat du bec-de-lièvre avant l'opération. Au mi
-vironné d'un bourrelet gingival avec un tubercule cutané irrégulier.
Figure
2. Opération pratiquée. Le tubercule cutané (a) {
eaux, des bords de la division anormale (d), a terminé l'opération.
Figure
3. Le même cas représenté au profil pour montrer
niveau des deux bords labiaux, suivant que l'a imaginé M. Gensoul.
Figure
4. Réunion par une triple suture entortillée. F
M. Gensoul. Figure 4. Réunion par une triple suture entortillée.
Figure
5. Aspect des parties plusieurs mois après (a cic
5. Aspect des parties plusieurs mois après (a cicatrice effec-tuée.
FIGURES
6 et 7. Autre cas de bec-de-lièvre double sur un
térales donne une largeur considérable à toute l'extrémité du nez. La
figure
7 montre le même cas après l'opération et la guér
z. La figure 7 montre le même cas après l'opération et la guérison.
FIGURES
8,9, 10. Bec-de-lièvre simple chez un enfant. F
a guérison. FIGURES 8,9, 10. Bec-de-lièvre simple chez un enfant.
Figure
8. Aspect des parties vues perpendiculairement de
ibrement dans l'écartement des deux segmens de la lèvre supérieure.
Figure
9. Aspect du bec-dedièvre vu obliquement en-desso
e. Figube 10. Résultat de l'opération après la cicatrice obtenue.
FIGURE
11. Ciseaux droits, épais et à branches courtes,
ALES. DEMI-GRANDEUR. INSTRUMENS DES POLYPES DES FOSSES NASALES.
figure
l à 24. Figure I à 10. Pinces a polypes.-—Fig.
DEUR. INSTRUMENS DES POLYPES DES FOSSES NASALES. figure l à 24.
Figure
I à 10. Pinces a polypes.-—Fig. 1,2,3, 4. Pinces
nasales. Le nu-méro 10, en particulier, forme une double courbure.
Figure
11. Petite scie a résection de M. IL Larrey conve
s de la face et en particulier pour enlever une partie d'os malade.
Figure
12. Porte-caustique des fosses nasales. L'extrémi
re forme un cône de réception pour une éponge imbibée de caustique.
Figure
13. Instrument de M. Martin Saint-Ange pour arrêt
Toutefois le tampon-nement est bien plus sûr et bien plus efficace.
Figure
14 à 19. Serre-noeuds.— Fig. 14. Serre-nœud de De
utre serre-nœud à double canule de M. G. Pelletan. porte-ligatures,
figure
21 à 24. Figure 20. Porte-ligature de M. Félix
double canule de M. G. Pelletan. porte-ligatures, figure 21 à 24.
Figure
20. Porte-ligature de M. Félix Hatin. Une tige (a
. Fig. 20. Face convexe de l'instrument. Fig. 20 bis. Face concave.
Figure
21. Porte-ligature de M. Blandin. Les trois branc
artement assez considérable du fil porté à la base de la tumeur. — La
figure
21 bis représente le même instrument fermé. Fig
la tumeur. — La figure 21 bis représente le même instrument fermé.
Figure
22. Instrument semblable en caoutchouc. Il s'ouvr
i commande un curseur à trois an-neaux pour gouverner les branches.
Figure
23. Porte-ligature de M. Le Roy d'Étiolés. Dans u
ge (c). —Fig. 23 bis est le même instrument vu par sa face concave.
Figures
24 et 24 bis. Pince porte-fil de M. Le Roy d'Étio
y d'Étiolés. INSTRUMENS D'EXCISION DES AMYGDALES ET DE LA LUETTE.
Figure
25. Spéculum oris de M. Charrière. Il maintient f
nches (b, b) et se ferme de lui-même par une crémaillère à ressort.
Figure
26. Spéculum très simple de M. Saint-Yves formé d
entaires à angle soudées à un anneau dans lequel on passe le doigt.
Figure
27. Abaisseur de la langue de M. Colombat de l'Is
igt. Figure 27. Abaisseur de la langue de M. Colombat de l'Isère.
Figure
28 à 34. Airignes et pinces pour saisir les amygd
à coulisse.— Fig. 34. Pince à coulisse de M. Chaurnet de Bordeaux.
Figure
35 à 39. Diverses airignes à crochets courbes.
e Bordeaux. Figure 35 à 39. Diverses airignes à crochets courbes.
Figure
40 à 43. Bistouris d'excision qui ne coupent que
aut un pour chaque côté. Fig. 43. Bistouri chaperonné de M. Ricord.
Figure
44. Ciseaux à excision. Figures 45 et 46. Tonsi
Bistouri chaperonné de M. Ricord. Figure 44. Ciseaux à excision.
Figures
45 et 46. Tonsillitome de Fahnestock : modifié pa
trouvant en arrière, peut rencontrer trop tôt la paroi du pharynx.
Figure
47. Ancien sécateur inusité. Figure 48. Porte-l
trop tôt la paroi du pharynx. Figure 47. Ancien sécateur inusité.
Figure
48. Porte-ligature de M. Itard. Figure 49. Phar
. Ancien sécateur inusité. Figure 48. Porte-ligature de M. Itard.
Figure
49. Pharyngotome inusité. Tome 7. Pl. 19. d
I ONT RAPPORT A LA FISTULE SALIVAIRE. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE.
FIGURE
1. Anatomie opératoire. Sur une tête de profil
. Glande sous-maxillaire. d. Son canal excréteur, dit de Warthon.
FIGURE
2. Dilatation par lf. séton. (Procédé de Morand.)
sé de plusieurs brins de fil. Dans le premier temps représenté sur la
figure
, et qui a pour objet la dilatation du canal, l'ex
où elle est nouée avec l'autre extrémité. ouverture artificielle.
FIGURE
3. Ponction pour le trajet artificiel. ( Procédé
ule, et celle-ci retirée, en amenant ce fil, par la cavité buccale.
FIGURE
4. Ligature des deux extrémités du fil dans la
nal, il ne s'agit plus que de faire cicatriser l'orifice fistuleux.
FIGURE
5. Même procédé pratiqué avec deux aiguilles mise
nt chacune perce un trajet pour passer l'une des extrémités du fil.
FIGURE
6. Section horizontale de la joue qui montre en p
TOME VII PLANCHE 24. CANCER DE LA LANGEE. GRANDEUR NATURELLE.
Figure
1. Ablation d'une moitié de la langue (procédé de
, en arrière et en dedans, à l'angle de jonction des deux sections.
Figure
2. Ablation de la partie antérieure de la langue
on qui rétablit artificiellement un som-met à la langue raccourcie.
Figure
3. Réunion de l'opération précédente par deux poi
saire pour combattre la rétraction déterminée par les styloglosses.
Figures
4 et 5. Ligature de la langue. Figure 4. Passage
rminée par les styloglosses. Figures 4 et 5. Ligature de la langue.
Figure
4. Passage de l'aiguille. Suivant la propositio
era posée en arrière, l'aiguille ressortant également au point (k).
Figure
5. Ligatures en position serrées avec le serre-nœ
HIE. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. Disposition commune à toutes les
figures
. Dans toute opération de staphyloraphie, la bouch
staphyloraphie, la bouche, comme elle est représentée sur toutes les
figures
, doit être largement ouverte, sauf à maintenir pa
s la bouche aucun instrument qui gêne les manoeuvres du chirurgien.
FIGURES
1, 2, 3. PIQURE AVEC L'AIGUILLE. Figure 1. Proc
anoeuvres du chirurgien. FIGURES 1, 2, 3. PIQURE AVEC L'AIGUILLE.
Figure
1. Procédé de M. Roux (passage des aiguilles d'ar
ant, où elles pendent au dehors de la bouche. Au moment choisi sur la
figure
, la lèvre droite de la division étant saisie et f
en (cl). Cette manœuvre est la même pour toutes les autres piqûres.
Figure
2. Procédé de M. Bérard (passage des aiguilles d'
e du palais. Ce mode de passage est commun à toutes les liga-tures.
Figure
3. Procédé de M. de Pierris. Une extrémité du fil
e (voyez, pour le mécanisme de cet ingénieux instrument, pl. 19).
FIGURES
-4 et 5. SECTION DES BORDS DE LA DIVISION ANORMAL
19). FIGURES -4 et 5. SECTION DES BORDS DE LA DIVISION ANORMALE.
Figure
4. Procédé de M. Roux (section d'arrière en avant
té commencée au bord postérieur pharyngien par des ci-seaux coudés.
Figure
5. Procédé de M. Bérard (section d'avant en arriè
le pharynx, le dos de l'instrument glissant sous la voûte palatine.
FIGURES
6 et 7. LIGATURE. Figure 6. Ligature avec les d
rument glissant sous la voûte palatine. FIGURES 6 et 7. LIGATURE.
Figure
6. Ligature avec les doigts. L'opération est fi
anneaux dans l'écartement des doigts pour faciliter le second nœud.
Figure
7. Ligature faite avec l'instrument de M. Guyot.
INSTRUMENS DE LA STAPHYLORAPHIE. DEMI-GRANDEUR PORTE-AIGUILLES. —
FIGURES
1 à 22 Figure 1. Porte-aiguille de M. Roux. Le
STAPHYLORAPHIE. DEMI-GRANDEUR PORTE-AIGUILLES. — FIGURES 1 à 22
Figure
1. Porte-aiguille de M. Roux. Le curseur (a) que
s l'extrémité, le rapprochement des mors qui fixent l'aiguille (b).
Figure
2. Porte-aiguille de M. Grcefe. Figure 3. Porte
qui fixent l'aiguille (b). Figure 2. Porte-aiguille de M. Grcefe.
Figure
3. Porte - aiguille de M. Devillemur. La tige int
l'aiguille, qui, par conséquent, n'est pas suffi-samment contenue.
Figure
4. Autre porte-aiguille formant pinces. Figure
-samment contenue. Figure 4. Autre porte-aiguille formant pinces.
Figure
5. Porte-aiguille de M. Dieffenbach. Figure 6.
uille formant pinces. Figure 5. Porte-aiguille de M. Dieffenbach.
Figure
6. Porte-aiguille de M. Colombat. Figure 7. Pin
uille de M. Dieffenbach. Figure 6. Porte-aiguille de M. Colombat.
Figure
7. Pinces de M. Grcefe. Figure 8. Pinee de M. L
6. Porte-aiguille de M. Colombat. Figure 7. Pinces de M. Grcefe.
Figure
8. Pinee de M. Lisfranc. Figure 9. Porte-aiguil
Figure 7. Pinces de M. Grcefe. Figure 8. Pinee de M. Lisfranc.
Figure
9. Porte-aiguille de M. Dieffenbach. Figure 10.
Pinee de M. Lisfranc. Figure 9. Porte-aiguille de M. Dieffenbach.
Figure
10. Tenaculum palatin de M. Ilruby. Figure 11.
lle de M. Dieffenbach. Figure 10. Tenaculum palatin de M. Ilruby.
Figure
11. Aiguille de M. Donigès percée d'un chas qui p
igure 11. Aiguille de M. Donigès percée d'un chas qui porte le fil.
Figure
12. Aiguille de M. Schverdt composée de deux bran
le fil est fixé dans un trou formé par deux échancrures latérales.
Figure
13. Aiguille creuse de M. Guyot. Le fil introduit
rumens est très défectueux. Ceux qui suivent sont bien préférables.
Figure
14. Pince-aiguille de M. Beaumont. Figures 15 e
sont bien préférables. Figure 14. Pince-aiguille de M. Beaumont.
Figures
15 et 1G. Pince-aiguille de M. Sotteau. Cet instr
nœuvre, où les parties sont toujours traversées d'arrière en avant.
Figure
17. Pince porte-aiguille de M. Colombat, dont le
ince porte-aiguille de M. Colombat, dont le méca-nisme est le même.
Figure
18. Tige porte-aiguille de M. Bourgougnon. L'aigu
uille font que l'usage de cet instrument n'est ni sûr, ni com-mode.
Figure
19. Aiguille de M. Bourgougnon. Cet instrument, à
eu près semblable à celui de M. de Pierris, lui est très inférieur.
Figures
20 et 20 bis. Aiguille de M. de Pierris, imitée d
. Toute cette manœuvre, longue à décrire, est opérée en un instant.
Figures
21 et 22. Instrumens de M. Leroi d'Étiolles imité
r essayés, de se faire une idée nette d'instnunens aussi complexes.
Figures
23 et 24. Ciseaux de M. Roux pour l'avivement des
'avivement des bords de la solution de continuité. serre-noeuds. ¦—
figure
25-30. Serre-nœuds : fig. 25, de M. Grcefe. — F
URELLE. PLANCHE 23. OPÉRATIONS DIVERSES SUR LE VOILE DU PALAIS.
Figure
1. Staphyloplastique. Procédé de M. Dieffenbach.
a méthode de Celse, de chaque côté, à un centimètre plus en dehors.
Figure
2. Uranoplastique. Occlusion dune ouverture ano
la voûte palatine par deux lambeaux latéraux disséqués en dessous.
Figure
3. Excision d'une amygdale saisie avec l'érigne d
stouri droit boutonné garni de linge jusqu'auprès de son extrémité.
Figure
4. Excision d'une amygdale avec le tonsillitome d
et l'amygdale saisie par une petite fourchette mobile (M. Ricord).
Figure
5. Ligature de l'amygdale avec le serre-nœud de M
Figure 5. Ligature de l'amygdale avec le serre-nœud de M. Itard.
Figure
6. Excision de la luette : saisie avec la pince à
courbes. PLANCHE 24. CATHÉTÉRISME DE L'OESOPHAGE ET DU LARYNX.
Figure
1. Cathétérisme du larynx. La figure représente
DE L'OESOPHAGE ET DU LARYNX. Figure 1. Cathétérisme du larynx. La
figure
représente, au point de vue cadavérique, le cathé
d'une petite éponge (i) est engagé dans l'ouverture de la glotte.
Figure
1 bis. Sonde laryngienne de Chaussier. Figure 2
rture de la glotte. Figure 1 bis. Sonde laryngienne de Chaussier.
Figure
2. Cathétérisme de l'œsophage. La préparation e
étérisme de l'œsophage. La préparation est la même que pour l'autre
figure
jusqu'à l'os hyoïde. Le cathétérisme est figuré a
her contre la tige les corps étrangers aigus et d'un petit vo-lume.
Figure
2 bis. Sonde préhensive de Dupuytren. Figure 3.
d'un petit vo-lume. Figure 2 bis. Sonde préhensive de Dupuytren.
Figure
3. Cathétérisme avec la sonde œsophagienne flexib
devra plus former qu'une seule courbe de la narine dans l'œsophage.
Figure
4. Sonde préhensive œsophagienne employée par M.
iges préhensives (b, d) dans les sondes (a, c) où elles se meuvent.
Figure
4 bis. Extrémité de l'instrument fermée sur le co
, GRANDEUR NATURELLE. PLANCHE 25. LARYNGOTOMIE ET TRACHÉOTOMIE.
Figure
1. Cette figure représente deux opérations : en h
ELLE. PLANCHE 25. LARYNGOTOMIE ET TRACHÉOTOMIE. Figure 1. Cette
figure
représente deux opérations : en haut la laryngoto
es sterno-mastoïdiens par deux bandelettes agglutinatives en croix.
Figure
2. Trachéotomie pratiquée pour extraire un corps
c une pince à polype le corps étranger, qui est supposé un haricot.
Figure
3. Canule à demeure après la ponction de la trach
nneau. — C. Tro-cart de Bauchot avec sa canule. — D. Canule isolée.
Figure
4. Canule de M. Bretonneau vue en position sur un
26. BRONCHOPLASTIQIIE, GOITRE, OESOPHAGOTOMIE. Broncho-plastique.
Figures
1, 2, 3. Une fistule aérienne existant sur la m
rices horizontales qui se perdent dans les plis de flexion du cou, la
figure
1 représente un lambeau taillé horizontalement et
manière à recouvrir im-médiatement la fistule par son allongement. La
figure
2 montre le lambeau pris un peu obliquement de cô
ud, de manière à n'avoir qu'à glisser légèrement sur son pédicule, La
figure
3 montre le rapprochement decette dernière plaie
e le rapprochement decette dernière plaie par des points de suture.
Figure
4. Ablation par ligature d'un goitre cancéreux. M
-nœuds (a, d, e), et d'arrière en avant par les serre-nœuds (b, f).
Figure
5 à 8. OEsophagotomie. Figures 5 et 6. Sonde de
n avant par les serre-nœuds (b, f). Figure 5 à 8. OEsophagotomie.
Figures
5 et 6. Sonde de Vacca pour faciliter l'incision
pour faciliter l'incision de l'œso-phage. 6 est le mandrin à part.
Figures
7 et 8. Le malade placé en situation, le cou tend
a pour objet d'ex-traire un corps étranger fiché dans l'œsophage. La
figure
7 représente l'incision de l'œsophage sur le cath
27 ET 28. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 27. ABLATION DI SEIN.
Figure
1. La malade est couchée sur un plan incliné, le
masse cancéreuse (c), achève de la séparer avec le bistouri ( d ).
Figure
2. Surface de la plaie, à laquelle tient encore l
rtion de l'épaisseur des fibres du muscle grand pectoral en regard.
Figure
3. Réunion de la plaie. PLANCHE 28. OPÉRATION
ure 3. Réunion de la plaie. PLANCHE 28. OPÉRATION DE L'EMPYÈME.
Figure
1. L'opération est représentée pratiquée du côté
t de faire la ponction , le flot de liquide se fait jour au dehors.
Figure
2. Mode d'incision pratiqué en refoulant fortemen
directe , l'issue lente du liquide le long d'une mèche conductrice.
Figure
3. Procédé de M. Reybard. Ce mode opératoire est
SC ITE, ET DES ABCÈS DU FOIE. A ü U L T E, D E M I - N AT U R E
FIGURE
\ PONCTION de l ASCITE. La malade couchée sur
celui de la première branche abdominale de la circonflexe iliaque.
FIGURE
2. PONCTION de l'hYDROPÉRICARDE. Sur une même
e iliaque. FIGURE 2. PONCTION de l'hYDROPÉRICARDE. Sur une même
figure
on a représenté la ponction par deux procédés.
avec la pince la membrane qui fait saillie dans le trou du trépan.
Figure
3. Incision avec le bistouri dans une escarre for
ES DES PLAIES LONGITUDINALES DE L'INTESTIN GRÊLE. DEMI -NATURE.
Figure
1. Débridement d'une plaie abdominale pour facili
lisse sur l'ongle du doigt, prolonge en haut la section des chairs.
Figure
2. La suture du Pelletier vient d'être pratiquée
de la portion d'in-testin qui a fait hernie au travers de la plaie.
Figure
3. Entéroraphie, procédé de Ledran. Figure 4. D
u travers de la plaie. Figure 3. Entéroraphie, procédé de Ledran.
Figure
4. Débridement de l'epiploon, au travers duquel u
nse d'intestin fait hernie. Entéroraphie par le procédé de Béclard.
Figure
5. Entéroraphie. Procédé de M. Jobert. Figure 6
procédé de Béclard. Figure 5. Entéroraphie. Procédé de M. Jobert.
Figure
6. Entéroraphie. Procédé de M. Reybard. — a. Réun
ÉRORAPHIE. PLAIES DE L'INTESTIN EN TRAVERS. GRANDEUR NATURELLE.
FIGURES
I et 2. Procédé de M. Jobert. Figure 1. Aspect
VERS. GRANDEUR NATURELLE. FIGURES I et 2. Procédé de M. Jobert.
Figure
1. Aspect des deux bouts de l'intestin en contact
nvagination du bout supérieur de l'intestin dans le bout inférieur.
Figure
2. Aspect des parties après l'invagination. Il ne
tion. Il ne s'agit que de réunir les fils pour les fixer au dehors.
FIGURES
3 et 4. Procédé de M. Lembert. Figure 3. Aspect
pour les fixer au dehors. FIGURES 3 et 4. Procédé de M. Lembert.
Figure
3. Aspect des deux bouts de l'intestin au moment
r déterminer l'affron-tement des bords renversés des deux orifices.
Figure
-4. Affrontement des deux orifices et ligature de
fils sur les noeuds et de faire rentrer l'intestin dans l'abdomen.
FIGURES
5, 6, 7, 8. Procédé de M. Denans. Figure 5. Rap
ntestin dans l'abdomen. FIGURES 5, 6, 7, 8. Procédé de M. Denans.
Figure
5. Rapprochement des deux bouts de l'intestin. Le
iné à être ren-versé en dedans pour mettre les séreuses en contact.
Figure
6. Introduction de la grande virole interne dans
ord circulaire a été préa-lablement renversé sur sa virole externe.
Figure
7. Passage de l'un des fils à ligature après l'af
gature après l'affrontement des surfaces séreuses des deux oriGces.
Figure
8. Profil d'intestin sur lequel on a figuré le tr
EUR NATURELLE PLANCHE 32. CAS VARIÉS DÉTRANGLEMENS INTESTINAUX.
Figure
1. (Empruntée de Scarpa). Étranglement d'une anse
intestinales, tandis qu'une autre portion (e ) s'insinue derrière.
Figure
2. (Tirée de la collection de Dupuytren, et commu
r une bride du grand epiploon adhérente à leur tunique peritoneale.
Figure
3. Cas observé par M. Orfila et préparé par M. Mi
ex-trémité cœcale de l'iléon par une appendice graisseuse du cœcum.
Figure
4. Hernie crurale chez l'homme. Etranglement inte
es-sion et a laissé passer l'intestin sans former de sac herniaire.
Figure
5. Cas dessiné sous divers aspects en trois figur
e sac herniaire. Figure 5. Cas dessiné sous divers aspects en trois
figures
A, B, C. (Pièce communiquée par M. Amussat.) Rétr
descendant (g) est aminci dans ses parois, et fortement contracté.
Figure
6. (Pièce communiquée par M. Lisfranc.) Cas singu
par le chirurgien , et qui font le sujet d'une planche opératoire.
Figure
1. (Copiée sur un dessin de la collection de Dupu
stinal inférieur, ne donnant issue qu'à des mucosités intestinales.
Figure
2. (Collection de Dupuytren). Cas semblable au pr
— ( c ) Bout in-férieur. Son orifice est tourné vers les tégumens.
Figure
3. (Collection de Dupuytren). Anus contre nature
t inférieur. ( e ) Section de la paroi abdominale dermo-musculaire.
Figure
4. (Empruntée de Scarpa). Ce cas est donné par Sc
boucher, les matières reprennent gra-duellement leur cours naturel.
Figure
5. Autre cas copié de Scarpa, et que l'auteur don
ée de gan-grène eût donné lieu à la formation d'un anus accidentel.
Figure
6. (Tirée du cabinet de la Faculté). Fistule de l
éale de passage des viscères. HERNIES CHEZ L'HOMME. PLANCHE 34.
Figure
1. Deux hernies inguinales externes (entérocèles)
mé des vaisseaux épigastriques sous la tumeur, (d) Tumeur scrotale.
Figure
2. Esquisse de V anatomie chirurgicale du canal i
r dinaire pour contourner en bas et en dedans les viscères hernies.
Figure
3. Hernie inguinale externe congeniale (présumée
niale (présumée entéro-épiplocèle ) sur un enfant de dix-sept mois.
Figure
4. Double hernie inguinale externe (demi-nature).
tie de la masse intestinale. L'abdomen, presque vide, est affaissé.
Figure
5. Petit sac herniaire ombilical au travers de l'
extérieure du sac herniaire, (b) Coupe sur le profil. PLANCHE 35.
Figure
1. Deux hernies inguinales internes (entérocèles)
résumé des vaisseaux épigastriques. — (c). Vaisseaux tégumentaires.
Figure
2. Hernie crurale (présumée entéro-épiplocèle). H
la veine saphène interne ou de Vanneau crural externe acci-dentel.
Figure
3. Hernie périnéale saillante sous le bord inféri
DES HERNIES CHEZ LA FEMME DESSINÉES D'APRÈS MATURE SUR LE VIVANT.
Figure
1. Hernie inguinale externe (entérocèle sur une f
it la grande lèvre et repousse l'ouverture vulvaire en sens opposé.
Figure
2. Hernie crurale volumineuse ( entéro-épiplocèle
res sont exagérés, rend le diagnostic en quelque sorte trop facile.
Figure
3. Deux hernies crurales (entérocèles sur une fem
aisseaux iléo-fémoraux. — (d) Veines saphènes internes variqueuses.
Figure
4. Hernie sous-ombilicale (entéro-épiplocèle sur
e la hernie. L'extrême flacci-dité des tégumens permet, comme dans la
figure
2, d'apercevoir les saillies des circonvolutions
PLANCHE 37. RÉDUCTION DES HERNIES (taxis). - BANDAGES HERNIAIRES.
Figure
1. Réduction de la hernie inguinale externe (sur
inguinal les viscères, à mesure qu'une portion s'en trouve réduite.
Figure
2. Réduction de la hernie crurale (sur l'homme).
enu anneau crural interne au point de vue de la hernie. bandages.
Figure
3. Bandage inguinal double à trois pelotes mobile
es, se prête, sans cesser la pression, à toute espèce de mouvement.
Figure
4. Détails d'articulation de la pelote mobile vue
ails d'articulation de la pelote mobile vue par sa face extérieure.
Figure
5. Pelotes inguinales mobiles de M. Houën calculé
(a) Plaque d'acier isolée. ( b ) Plaque recouverte de sa garniture.
Figure
6. Bandage inguinal simple à pelote fixe. Figur
de sa garniture. Figure 6. Bandage inguinal simple à pelote fixe.
Figure
7. Bandage crural simple à pelote fixe. Figure
ple à pelote fixe. Figure 7. Bandage crural simple à pelote fixe.
Figure
8. Surface de la pelote crurale. Figure 9. Band
ral simple à pelote fixe. Figure 8. Surface de la pelote crurale.
Figure
9. Bandage ombilical. Tome 7 Pl.36. D'après
Les deux hernies ont été dessinées d'après nature sur le cadavre. )
FIGURES
I et 2. HERNIE INGUINALE EXTERNE DANS L'HOMME.
davre. ) FIGURES I et 2. HERNIE INGUINALE EXTERNE DANS L'HOMME.
Figure
1. La hernie est présentée disséquée. Le contour
ernies. g. Vaisseaux iléo-fémoraux. h. Vaisseaux épigastrique9.
Figure
2. Intérieur du sac herniaire dans son état de di
ices, m. Poche scrotale, g, h. Vaisseaux fémoraux et épigastriques.
FIGURES
3 et 4. HERNIE CRURALE DANS LA FEMME. Figure 3.
x et épigastriques. FIGURES 3 et 4. HERNIE CRURALE DANS LA FEMME.
Figure
3. La hernie est également présentée à découvert.
t et rejeté sur les côtés. e. Épiploon et intestin grêle hernies.
Figure
4. Intérieur du sac herniaire sans les viscères.
parence sous le feuillet postérieur du sac-herniaire. PLANCHE 39.
FIGURE
I (demi-nature). Deux hernies inguinales extern
e volume ordinaire, n'est formée que par une anse du gros intestin.
FIGURE
2. Dourle hernie omrilicale (grandeur naturelle
r cette opération, il est inutile d'intéresser les sacs herniaires.
FIGURE
3, Hernie périnéale (grandeur naturelle; emprun
même cadavre par M. Demeaux, qui l'a mis à notre disposition. La
figure
1 montre l'aspect extérieur des deux hernies revê
et B une hernie in-guinale interne d'un volume plus considérable. La
figure
2 présente les deux hernies A1, B1 isolées de cha
ntrer leur trajet avec les portions de viscères qu'ils renferment. La
figure
3 reproduit les deux hernies dans leurs rapports
vons dessiné, il y a quelques mois, sur le vivant (pl. 3G, fig. 1).
FIGURE
2. Hernie inguinale externe biloculaire sur un ho
Pépiploon, le sac supérieur (b) offre en plus une anse d'intestin.
FIGURE
3. Deux hernies entéro-épiplocèles sur un même su
en dehors et que l'on voit arriver au delà sur le plan de section.
FIGURE
4. Orifice péritonéal d'une hernie inguinale ex-t
es vaisseaux sperma-tiques, (f ) artère et veine iliaques externes.
FIGURE
5. Canal crural accidentel qui a donné passage à
ammation adhésive des parois du sac , les viscères étant réduits.
FIGURE
I. A. Procédé de M. Bonnet. Il consiste à renferm
l'ouverture réunie avec celle placée au-dessous par autoplastique.
FIGURES
2, 3,4, 5. Procédé de M. Belmas. 1, 2, 3. Aiguill
rt de crochet quand on le décompose. La lame ( e ) s'enlève à part.
Figure
2. Ponction au travers du sac herniaire, sur un p
gure 2. Ponction au travers du sac herniaire, sur un pli à la peau.
Figure
3. Second temps dans lequel l'opérateur saisit tr
ille sous les tégumens et le sac, avant de décomposer l'instrument.
Figure
4. Troisième temps pour lequel nous montrons l'in
e pour être absorbés après avoir produit une inflammation adhésive.
Figure
5. Pelote élastique de M. Belmas pour établir la
n avec le ressort sous l'angle nécessité parle volume de l'abdomen.
Figure
6. Procédé de M. Velpeau. Dans cette opération, l
au. PLANCHE 4L DEBRIDEMENT DE LA HERNIE ÉTRANGLÉE (herniotomy).
FIGURES
1 ET 2. HERNIE INGUINALE EXTERNE ÉTRANGLÉE. Fig
(herniotomy). FIGURES 1 ET 2. HERNIE INGUINALE EXTERNE ÉTRANGLÉE.
Figure
1. Ouverture du sac. La peau et les enveloppes de
te du bistouri porté en dédo-lant sur un pli soulevé avec la pince.
Figure
2. Débridement. Les viscères écartés et le doigt
lui-même ou par la paroi circulaire du canal ou par tous les deux.
FIGURES
3, 4, 5. HERNIE CRURALE ÉTRANGLÉE. Figure 3. Ou
ou par tous les deux. FIGURES 3, 4, 5. HERNIE CRURALE ÉTRANGLÉE.
Figure
3. Ouverture du sac. La tumeur étant mise à décou
icateur gauche (c) incise le sac herniaire (d) suivant sa longueur.
Figures
4 et 5. Débridement par divers procédés au pourto
idement par divers procédés au pourtour de l'anneau crural interne.
Figure
4. (e) Débridement guidé par le doigt indicateur
vrotique. — (g) Débridement de Sharp, oblique en haut et en dehors.
Figure
5. (h) Débridement de Sabatier, oblique en haut e
, gauche ou droit, dans la portion extra-péritonéale de l'intestin.
FIGURE
1. Plaie abdominale. Le malade est maintenu en po
s lequel on a passé deux fils pour l'attirer au milieu de la plaie.
FIGURE
2. Section cruciale de la portion extra-péritonéa
es bords de la plaie sont écartés par les doigts d'un aide de face.
FIGURE
3. Pansement de la plaie par sept points de sutur
tre pour la jonction de la plaie intestinale avec celle de la peau.
FIGURE
4. Aspect de l'anus artificiel après guérison (co
ture communiqué par M. Amussat ). PLANCHE 45. ANUS ARTIFICIELS.
FIGURES
I et 2. Anus goegal. Procédé de Pillore. Figure
NUS ARTIFICIELS. FIGURES I et 2. Anus goegal. Procédé de Pillore.
Figure
1. Section, avec la pince et le bistouri, de la p
au travers d'une plaie oblique pratiquée dans la paroi abdominale.
Figure
2. Réunion de la double plaie par six anses de su
cher l'épanchement des ma-tières fécales dans la cavité abdominale.
Figure
3. Anus artificiel iliaque (procédé de Littre). L
inférieur fixe l'intestin au dehors. GUERISON D'ANUS ACCIDENTELS.
FIGURE
4. Section de la cloison d'adossement des deux bo
e en creux, de manière que les membranes sont comprimées entre eux.
FIGURE
5. Compression pour amener la section, par une pi
à une perte de substance dont la forme est celle du canal lui-même.
FIGURE
5 bis. Pince-entérotome. Elle se compose de deux
à l'in-térieur, dès qu'il est parvenu dans la cavité de l'intestin.
FIGURE
0. Entérotome de Dupuytren. L'inconvénient de cet
aire pour rétablir le calibre et la continuité du canal intestinal.
FIGURE
7. Réunion, par la suture entortillée, des lèvres
E 44. FISTULES A L'ANUS ET TUMEURS HEMORROIDALES. DEMI-NATU RE.
FIGURE
1. Débridement de l'anus par la section en traver
embrane muqueuse et des fibres superficielles du sphincter cu-tané.
FIGURE
2. Opération de la fistule a l'anus par incision.
ouri droit dont la pointe est guidée par la canne-lure de la sonde.
FIGURE
3. Autre opération par incision. Ce cas est celui
bistouri droit dont la pointe glisse dans la cannelure de la sonde.
FIGURE
4. Pansement de l'incision avec une mèche introdu
4. Pansement de l'incision avec une mèche introduite dans la plaie.
FIGURE
5. Ligature de la fistule a l'anus. Le stylet aig
l ne s'a-git plus que de déposer le stylet et de faire la ligature.
FIGURE
6. Excision des tumeurs hemorroidales (procédé de
eaux courbes sur le plat (Dupuytren), comme on l'a re-présenté sur la
figure
. instrumens spéciaux de la fistule a l'anus.
6. OPÉRATIONS SUR LE RECTUM. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 45.
FIGURE
1. Ligature d'un polype du rectum. L'opération es
facilité pour porLer la ligature et l'étreindre avec le serre-nœud.
Figure
2. Excisions a la circonférence de l'anus (chute
ar la cicatrice d'un certain nombre de sections périphériques. Sur la
figure
trois de ces excisions sont pratiquées, on en opè
ième avec les ciseaux courbes sur un pli formé par la pince à plat.
Figure
3. Excision circulaire d'un bourrelet de membrane
aides, l'excision se pratique avec la pince et le bistouri convexe.
Figure
4. Excision de la partie inférieure du rectum (pr
le chirurgien excise circulairement l'intestin au-dessus du cancer.
Figures
5 et 6. Spéculums de l'anus et du vagin. La figur
ssus du cancer. Figures 5 et 6. Spéculums de l'anus et du vagin. La
figure
5 est le spéculum à claire-voie de M. Charrière,
introduire B, ou entr'ouvert pour écarter les parois du canal C. La
figure
6 est un autre spéculum très fort qui s'ouvre lar
fermé vu de face. —E. Coupe du spéculum vu de profil. PLANCHE 46.
FIGURE
1. Tamponnement du rectum. Pour faire comprendr
bas les parois de l'intestin contre celles de la cavité du bassin.
FIGURES
2 et 2 bis. Dilatation du rectum rétréci (procédé
peu la dilatation. La sonde donne issue aux humidités stercorales.
FIGURE
3. Imperforation du rectum. Sur un enfant naissan
'orifice de l'anus avec un petit spéculum Semblable à celui du nez.
FIGURES
4 et 5. Opération de l'anus artificiel pour absen
us artificiel pour absence congé-niale du rectum. L'opération de la
figure
4 est représentée comme l'a pratiquée M. Amussat.
par le rectum, que le chirurgien ouvre par une incision cruciale. La
figure
5 montre l'opération terminée: la plaie horizonta
EUR NATURELLE. PLANCHE 47. OPÉRATIONS CURATIVES DE L'HYDROCÈLE.
Figure
1. Hydrocèle du côté droit, dessiné d'après natur
à l'hô-pital du Gros - Caillou (voyez le même cas après l'opération,
figure
4). Figure 2. Opération d'hydrocèle par ponctio
du Gros - Caillou (voyez le même cas après l'opération, figure 4).
Figure
2. Opération d'hydrocèle par ponction (côté gauch
à un centimètre de la pointe pour l'empêcher de pénétrer trop loin.
Figure
3. Excision de la peau et de la tunique vaginale.
e en masse une portion des enveloppes, la peau et le kyste compris.
Figure
4. Procédé de M. Baudens. Ponction avec la canule
sée à demeure après l'évacuation du liquide , comme on le voit sur la
figure
, et fait ultérieurement l'office d'un corps étran
anger. La jigure \ est le cas tel qu'il existait avant l'opération.
Figure
5. Trocart à hydrocèle : (a) armé de sa canule; (
pour Phydrocèle. PLANCHE 48. OPÉRATIONS CURATIVES DU SARCOCÈLE.
FigUrE
1. Sarcocèle dessiné d'après nature à l'hôpital d
re se voit une ulcération qui forme l'orifice cutané d'une fistule.
Figure
2. Sarcocèle volumineux jugé de nature encéphaloï
de dessiné à l'hôpital de la Charité dans le service de M. Velpeau,
Figure
3. Opération de la castration pour un sarcocèle d
a tunique vaginale pour isoler l'organe avant la section du cordon.
Figure
4. Ligature en masse du cordon dénudé qui sera im
don dénudé qui sera immé-diatement suivie de la section au-dessous.
Figure
5. Procédé de M. Maunoir. Ligature des artères du
OCELE ET OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE PÉNIS. PLANCHE 49.
Figure
1. Opération du varicocèle (procédé de M. Bresche
es vari queuses, pour en déterminer l'oblitération par compression.
Figures
2 et 3. Epispadias dessiné d'après nature (cas co
on; de cet angle à l'orifice du gland, le canal de l'urètre manque.
Figures
4 et 5. Opérations curatives de Vhypospadias, pou
ur le cas où le canal existe en avant jusqu'à la couronne du gland. —
Figure
4. Une incision transversale étant faite pour déb
ns le canal a formé, sous la peau, la portion de trajet qui manque. —
Figure
5. Dans un autre temps opératoire, les bords de l
, la cicatrice devant se faire sur une sonde passée dans l'urètre.
Figures
6 et 7. Epispadias congenial chez un jeune enfant
r M. H. Larrey, qui se proposait d'y remédier par une autoplastie.—La
figure
6 montre les parties dans leur position normale.
n normale. Un appendice cutané est le seul vestige du gland. — Sur la
figure
7 le gland est renversé entre deux doigts pour mo
est renversé entre deux doigts pour montrer la gouttière urétrale.
Figure
8. Amputation de la verge cancéreuse. PLANCHE 5
trale. Figure 8. Amputation de la verge cancéreuse. PLANCHE 50.
Figure
1. Procédé ordinaire. Section du prépuce sur une
ection du prépuce sur une sonde cannelée près du frein de la verge.
Figure
2. Procédé de M. Malapert. Deux sections latérale
Procédé de M. Malapert. Deux sections latérales et une postérieure.
Figure
3. Procédé de M. Lisfrane. Excision d'un lambeau
Procédé de M. Lisfrane. Excision d'un lambeau dorsal semi-lunaire.
Figure
4. Procédé de M. Lisfrane. Circoncision. L'extrém
ne pince à anneaux , le bistouri en fait la section d'un seul coup.
Figure
5. Pansement de M. Baudens, avec une simple bande
bandelette trouée pour empêcher le prépuce de revenir sur le gland.
Figure
6. Mode de réunion de M. Hawkins, qui affronte la
e la peau et la muqueuse par cinq points de Suture. PARAPHIMOSIS,
Figure
7. Procédé de réduction de M. Coster. Figure 8. P
uture. PARAPHIMOSIS, Figure 7. Procédé de réduction de M. Coster.
Figure
8. Procédé de réduction de M. Desruelles. Figur
tion de M. Coster. Figure 8. Procédé de réduction de M. Desruelles.
Figure
9. Debridement du paraphimosis par la section du
e que par l'épaisseur des sacs testiculaires. PLANCHE 52. Dans la
figure
1 les organes génito-urinaires sont vus de face,
e; le pénis, maintenu soulevé, est écarté en dehors pour démasquer la
figure
. La figure 2 n'est que la répétition du canal d
maintenu soulevé, est écarté en dehors pour démasquer la figure. La
figure
2 n'est que la répétition du canal de l'urètre de
1 représenté ouvert dans sa longueur sur son diamètre ver-tical. La
figure
3 montre le même canal ouvert en dessus; c'est-à-
ute sa longueur, est représenté à l'intérieur, à demi-canal, dans les
figures
2 et 3, pl. 52. Tome 7. Pl.51. N.H. Jacob d
e et le col de la vessie se dilatent graduellement en infundibulum.
Figure
2. Rétrécissement de l'urètre dans trois points :
essie était malade et renfermait dans son épaisseur un vaste abcès.
Figure
3. Portion de canal de l'urètre accidentelle. Une
re le canal est un peu rétréci par le développement de la prostate.
Figure
4. Rétrécissement de la portion prostatique par h
urètre existe une fosse oblonguë anormale. MALADIES DE LA PROSTATE.
Figure
5. Destruction de la prostate dont le lieu est tr
r une cloison. Un pertuis qui la tra-verse donne passage à l'urine.
Figure
6. Oblitération de l'urètre par le développement
. Une portion en avait été déjà mâchée par l'action des instrumens.
Figure
7. Développement du lobe moyen de la prostate qui
ar l'orifice de son col et forme un obstacle au passage de l'urine.
Figure
8. Oblitération du col de la vessie par le dévelo
risme forcé, une fausse route dans laquelle est un bout dè sonde.
Figure
9. Cas semblable avec deux fausses routes en Y à
lable avec deux fausses routes en Y à la base du lobe pathologique.
Figure
10. Autre cas semblable avec indication de cinq f
le avec indication de cinq fausses routes. MALADIES DE LA VESSIE.
Figure
11. Fongus de la vessie avec deux calculs dont l'
11. Fongus de la vessie avec deux calculs dont l'un est enchatonné.
Figure
12. Vessie à colonnes formant des cavités dans l'
ge bande et fait saillie dans la vessie par sa petite extré-mité. Les
figures
12a et 12b montrent le calcul par ses deux faces.
mité. Les figures 12a et 12b montrent le calcul par ses deux faces.
Figure
13. Tumeur osseuse saillante dans l'intérieur de
01 PAR LE CANAL DE L'URETRE. DEMI -GRAN DE UR. r GATHÉTÉK1SME,
Figures
1, 2, 3, 4, 5, 6,7,8, 9. Sondes d'argent, variées
pour déterminer, sur chaque sujet, la longueur de l'urètre (n° 9).
Figure
10. Cathéter pour rechercher les calculs dans la
onde courbe ordinaire , est la plus favorable pour le cathélérisme.
Figure
3. Sonde de femme ; 3 b représente l'en-bouttle l
le courant, de M. J. Cloquel, commun à celte sonde et à celle n° 3.
Figure
il. Sondes droites de M. Amussat, dont l'une se t
droites de M. Amussat, dont l'une se termine par un pavillon évasé.
Figure
12. Tube acoustique de MM. Leroy-d'Étiolles et Mo
la sonde dans la vessie, sur un calcul, une co-lonne vésicale, etc.
Figure
13. Sonde conique de Boyer, pour le cathétérisme
c. Figure 13. Sonde conique de Boyer, pour le cathétérisme forcé.
Figure
. 14 Sonde à double courant, pour les irrigations
udinale, sépare les deux cou-rans. 2° RÉTBÉCISSEMENS DE L'URÈTRE.
Figures
15, 27 a 28 bis. Explorateurs. — 15. Sonde explor
et, du même auteur, pour recon-naître le siège d'un rétrécissement.
Figures
16 à 23. Dilatateurs.—16. Sondes, de Ducamp, à vé
retrait de la branche femelle sur l'autre, parait bien préférable.
Figures
23, 24. Dépresseurs de la prostate hypertrophiée,
ant chaîne articulée, se courbe ou se redresse par une vis d'appel.
Figures
29 à35. Cautérisvteurs. —29,30. De Ducamp. 29. A
ique, pour ne le dégager que sur le point et au moment de l'action.
Figures
36 a 48. Scarificateurs. La construction et le mé
états ouvert et fermé. Il opère très bien. 3" L1THOTR1TIE URÈTRALE.
Figures
49 a 64. 49 (a). Sonde à broyer les petits grav
Etiolles. 4° LIGATURE DE LA PROSTATE (lobe médian, pathologique).
Figures
65 et 66. Porte-ligatures de M. Leroy-d'Étiolles.
. (GRANDEUR NATURELLE.) Nous devons à l'obligeance de M. Marx ces
figures
copiées sur les dessins originaux, et dont les mo
modèles appartenaient à la collection des aquarelles de Dupuytren.
FIGURES
i, 2, 3, 4- Vessie hypertrophiée renfermant plusi
4- Vessie hypertrophiée renfermant plusieurs calculs enchatonnés.
Figure
i . La vessie est ouverte par sa face antérieure
as-fond s'élève une tumeur renfermant plusieurs calculs dont un gros (
figure
4)» recouvert par les tissus, et plusieurs petits
ieurs petits (a, a) qui font saillie dans l'intérieur de la vessie.
Figure
i. Face postérieure de la vessie. Vers son bas-fo
rs son bas-fond se voit une ouverture donnant issue à un gros calcul (
figure
4) qui était recouvert par le tissu même de la ve
se trouvait en rapport avec la cloison rectale sur la face externe.
Figure
3. Intérieur du kyste renfermant le calcul, dessi
Figure 3. Intérieur du kyste renfermant le calcul, dessiné lui-même (
figure
4). FIGURES 5 et 6. Pénis et vessie d'un homme
térieur du kyste renfermant le calcul, dessiné lui-même (figure 4).
FIGURES
5 et 6. Pénis et vessie d'un homme adulte, vus pa
s différens de volume et de configuration , qui sont dessinés à part,
figure
6. Tome 7. Pl.55. D'après nature par N.H. J
PRATIQUENT DANS LE CANAL DE L'URÈTRE. PLANCHE 56. GATHETERISME.
FIGURES
i, 2, 3. Cathétérisme ordinaire avec la sonde cou
hétérisme ordinaire avec la sonde courbe en argent (Pl. 54, n° 9 ).
Figure
i . (Premier temps. Sonde horizontale.) Introduct
a à déterminer la profondeur à laquelle doit pénétrer l'instrument.
Figure
2. [Deuxième temps. Sonde 'verticale.) La main ga
it être arrivé sur le bord antérieur de la prostate (Voyez fig. 4)-
Figure
3. (Troisième temps. Sonde horizontale à revers).
r la pression de l'in-dicateur qui la fait pénétrer dans la vessie.
FIGURES
4 5 5, 6. Théorie du cathétérisme. Dans ces trois
a vessie. FIGURES 4 5 5, 6. Théorie du cathétérisme. Dans ces trois
figures
dessinées en grandeur réelle, d'après nature, les
se relève et l'inférieur s'abaisse devant la sonde droite (fig. 6).
Figure
4- Deuxième temps de l'introduction de la sonde c
re 4- Deuxième temps de l'introduction de la sonde courbe (fig. 2).
Figures
5 et 6. Ici, pour faire comprendre l'angle suivan
cadavériques, au profil, sur le plan de section verticale, excepté la
figure
2 qui est vue d'en haut. Figure i . Dilatation
an de section verticale, excepté la figure 2 qui est vue d'en haut.
Figure
i . Dilatation brusque ou forcée avec la grosse s
forcée avec la grosse sonde conique d'étain (Procédé de M. Mayor).
Figure
2. Dilatation forcée avec le dilatateur anglais.
is. Elle s'opère mé-caniquement par l'écartement de trois branches.
Figure
3. Dilatation graciée avec l'algalie ou la sonde
. Dilatation graciée avec l'algalie ou la sonde en ivoire flexible.
Figure
4- Empreinte en cire d'un rétrécissement prise av
inte en cire d'un rétrécissement prise avec l'instrument de Ducamp.
Figure
5. Cautérisation par le procédé et avec le porte-
Cautérisation par le procédé et avec le porte-caustique de Ducamp.
Figure
6. Cautérisation avec le porte-caustique de M. La
Figure 6. Cautérisation avec le porte-caustique de M. Lallemand.
Figure
7. Scarification avec le scarificateur de M. Lero
ure 7. Scarification avec le scarificateur de M. Leroy-d'E-tiolles.
Figure
8. Scarification avec le scarificateur de M. Rico
lles. Figure 8. Scarification avec le scarificateur de M. Ricord.
Figure
9. Scarification de la prostate avec l'instrument
SUR L'URÈTRE, LA PROSTATE ET LA VESSIE. PLANCHE 57. PROSTATE.
Figure
i. Dépression du lobe médian, pathologique, delà
, delà prostate avec le dépresseur articulé de M. Leroy-d'Etiolles.
Figure
2. Dilatation par écartement des lobes supérieur
sie, et produit ainsi un obstacle invincible au passage de l'urine.
Figure
3. Ligature du lobe pathologique de la prostate (
aux, font agir l'instrument pour étreindre le lobe prostatique (d).
Figure
4- Ponction sus-hypogastriquc de la -vessie avec
4- Ponction sus-hypogastriquc de la -vessie avec le troeart courbe.
Figure
5. Ponction de la-vessie par le rectum, avec le m
e (a) glisse sur l'indicateur gauche (b), introduit dans le rectum.
Figures
6, 7, 8. Ponction de la-vessie par 1 urètre avec
8. Ponction de la-vessie par 1 urètre avec la sonde à dard, en trois
figures
indiquant des trajets différens. Chaque figure mo
onde à dard, en trois figures indiquant des trajets différens. Chaque
figure
montre en dessin réel son trajet propre, les deux
e en dessin réel son trajet propre, les deux autres étant ponctués.
Figure
6. Ponction par le trajet normal (a), au travers
e. — b. Trajet ponctué au-dessus. — c. Trajet ponctué au-dessous.
Figure
7. Ponction au-dessus de la prostate (b), déprimé
lon de la sonde en bas. — a. Trajet normal. — c. Trajet au-dessous.
Figure
8. Ponction au-dessous de la prostate (c) soulevé
nde dont le pavillon est beaucoup plus élevé que dans les deux autres
figures
. — b. Trajet ponctué au-dessus. — a. Trajet nor
ponctué au-dessus. — a. Trajet normal. PLANCHE 57 BIS. URÈTRE.
Figures
1 et 2. Extraction de calculs de l'urètre. Dans l
URÈTRE. Figures 1 et 2. Extraction de calculs de l'urètre. Dans la
figure
1 le calcul est broyé par la pince lithotriteur d
é par la pince lithotriteur de MM. Dubowisky et Leroy-d'E-tiolles. La
figure
2 montre un calcul, dans la portion membraneuse,
alcul, dans la portion membraneuse, amené par la curette articulée.
Figures
3 et 4- Extraction à l'aide d'une incision, prati
La pince (d), tenue par le chirurgien, extrait le premier fragment. —
Figure
\. Calcul dans sa position, dessiné sur le plan d
alcul dans sa position, dessiné sur le plan de section des parties.
Figure
5. Calcul dessiné d'après nature. Figure 6. Exc
de section des parties. Figure 5. Calcul dessiné d'après nature.
Figure
6. Excision des côtés d'une poche uretrale calcúl
re. Figure 6. Excision des côtés d'une poche uretrale calcúlense.
Figure
7. Opération, par incision, du rétrécissement de
s. ADULTE, DEMI -"N ATURE. disposition générale commune aux trois
figures
. L'opération est représentée cadavérique pour l
ales, et entre ces vaisseaux, au-dessus de la vessie. PLANCHE 58.
Figure
i . Opération de la lithotritie par la méthode et
ite, il fait agir l'archet (d) sur la poulie qui commande le forci.
Figure
2. Recherche du calcul avec la sonde articulée de
vre opératoire est commune à toutes les opérations de litho-tritie.
Figure
3. Calcul qui a subi plusieurs perforations. PL
Figure 3. Calcul qui a subi plusieurs perforations. PLANCHE 59.
Figure
i . Opération de la lithotritie avec le brisepier
écraser le calcul saisi entre son mors et celui de la branche fixe.
Figure
2. Action de charger le calcul entre les mors du
branche femelle fenêtrée (Voyez Pl. 60, fig. 1 et Pl. 61, fig. 3o).
Figure
3. Action de ramasser soit les petits calculs soi
ercuteur à double cuillère (Pl. 61, fig. 29) destiné à les écraser.
Figures
4 à 12. Divers calculs, demi-grandeur, que leur v
llection de M. Leroy-d'Etiolles qui a bien voulu nous les confier).
Figure
4- Calcul d'acide urique à surface granuleuse.
s confier). Figure 4- Calcul d'acide urique à surface granuleuse.
Figure
5. Calcul pyriforme de phosphate triple calcaire
Ce calcul qui a été scié est dessiné sur sa tranche et sa cassure.
Figure
6. Calcul d'oxalate de chaux et phosphate triple
phosphate triple représenté sur son plan de section et sa cassure.
Figure
y. Moitié d'un calcul dessinée sur son plan de se
he extérieure de phosphate cal-caire s'est agglomérée en huit mois.
Figure
8. Petit calcul moriforme d'oxalate de chaux. F
e avait un noyau central entouré par un mucus concret (fig. g bis).
Figure
10. Calcul d'urate d'ammoniaque. Figure 11. Pet
cus concret (fig. g bis). Figure 10. Calcul d'urate d'ammoniaque.
Figure
11. Petit calcul d'acide urique. Figures 12 et
cul d'urate d'ammoniaque. Figure 11. Petit calcul d'acide urique.
Figures
12 et 12 bis. Calcul mêlé de silice avec le fragm
e dureté, avait été brisé par le percuteur denticulé. PLANCHE 60.
Figure
i. Opération de la lithotritie avec le percuteur
que le calcul n'échappe. Cette main est fixée comme il est vu sur la
figure
par les deux d'un aide (b, ç) pour résister au ch
c. La main droite de l'opérateur (d) tient le marteau pour frapper.
Figure
2. Autre manière du même chirurgien pour fixer le
soit pas arrêté par les cuisses. Les mors sont les mêmes que dans la
figure
28. — 30 bis. Ces mors vus de face. 31. Le même
opérations de la lithotomie. PLANCHE 62. TAILLE LATÉRALISÉE.
Figure
1. (Demi-nalure). Incision, extérieure. Un aide t
r pour y plonger la pointe du bistouri, tenu de la main droite (d).
Figure
2. (Demi-nature.) Section de la prostate avec le
2. (Demi-nature.) Section de la prostate avec le lithotome simple.
Figure
3. (Grandeur naturelle.) Section de la prostate.
figuré dans le moment où, le retirant ouvert, il incise la vessie.
Figure
4. (Grandeur naturelle.) La même section de. la p
ut en bas et de dedans en dehors. PLANCHE 65. TAILLES DIVERSES.
Figure
1. (Demi-nature.) Extraction du calcul avec les t
xent le calcul et en facilitent la sortie. TAILLE QUADRILATÉRALE.
Figure
2. (Grandeur naturelle.) L'opération est représen
avec le bistouri boulonné (M. Vi-dal de Cassis). TAILLE MÉDIANE.
Figure
3. (Grandeur naturelle.) Celle figure représente,
de Cassis). TAILLE MÉDIANE. Figure 3. (Grandeur naturelle.) Celle
figure
représente, sur le profil des parties disséquées
uytren terminait la taille médiane. Le dessin est le même que dans la
figure
3 de la planche 62, excepté que le sphincter el l
ostate et le col de la vessie. PLANCHE 64. TAILLE BILATÉRALE.
Figure
1. (Demi-nature.) incision extérieure. Un aide ti
quel va inciser l'instrument tranchant, tenu de la main droite (d).
Figure
2. (Grandeur naturelle.) Section de la prostate a
rostate. — a. Main droite du chirurgien qui fait agir le lithotome.
Figure
3. (Grandeur naturelle.) Celte figure représente
n qui fait agir le lithotome. Figure 3. (Grandeur naturelle.) Celte
figure
représente la vessie par son plan postérieur, dan
face opposée , la délinéation du pubis et de la prostate. Le but delà
figure
étant de montrer, d'un seul coup, le lieu, l'éten
LE RECTO-VÉSICALE (Procédé de MM. Vacca-Berlinghieri et L. Sanson).
Figure
i . (Demi-nature.) Incision extérieure. Le cathét
s la cannelure du cathéter, le bistouri tenu de la main droite (c).
Figure
2. (Grandeur naturelle.) Vue perpendiculaire de l
ec lequel le chirurgien, de la main droite (e), termine l'incision.
Figure
3. (Grandeur naturelle.) Incision de lu prostate
canal en redescendant le pénis pour suivre la section du bistouri.
Figure
4- (Grandeur naturelle.) Vue perpendiculaire de l
clans le canal. PLANCHE 66. TAILLE HYPOGASTRIQUE (Demi-nature).
Figure
1. L'incision sus-pubienne de la ligne blanche ét
de la vessie le calcul avec la curette tenue de la main droite (c).
Figure
2. La curette (c) qui empêche le calcul de retomb
b), est occupé à extraire le calcul avec la tenette à mors courbes.
Figure
3. Ponction de la vessie, vue sur le profil des p
ponction. — F. Bistouri tenu verticalement pour opérer la ponction.
Figure
4- Incision (Fune poche calcúleme pour l'extracti
se, dans la cannelure de la soude, la paroi de revêtement du kyste.
Figure
5. Ponction de la vessie avec la sonde h dard. Le
Figure 5. Ponction de la vessie avec la sonde h dard. Le but de cette
figure
est de montrer combien les conditions sont restre
d fourvoyé dans la cavité abdominale ne ressort même pas au dehors.
Figure
6. Incision de la paroi abdominale, avec les inst
s de M. Leroy d'Etiolles. PLANCHE 67. LTTHOTOMIE CHEZ LA FEMME.
FIGURES
1 ET 2. TAILLE URÉTHRALE. Figure i . A. Main d'
67. LTTHOTOMIE CHEZ LA FEMME. FIGURES 1 ET 2. TAILLE URÉTHRALE.
Figure
i . A. Main d'un aide qui relève le pénil, par la
erticale sous-pubienne, pratiquée par la main droite du chirurgien.
Figure
2. Extraction du calcul avec les tenettes. FIGU
du chirurgien. Figure 2. Extraction du calcul avec les tenettes.
FIGURE
3. TAILLE VESTIBULAIRE. a, b. Doigts des deux m
par Edmond Pochet. TOME VIL PLANCHES 69, 70 ET 71. PLANCHE 09.
FIGURE
i. Suture du périnée (Méthode de Ce/se). Après
vant le procédé de M. Dieffenbach, emprunté de la méthode de Celse.
FIGURES
2 A 4- FISTULES RECTO-VÉSICALES. Figures 2 et 2
de la méthode de Celse. FIGURES 2 A 4- FISTULES RECTO-VÉSICALES.
Figures
2 et 2 bis. Fistule sous-périnéale (Procédé de M.
é au-dessous du bord de la fourchette dont le tégument a été avivé.
Figure
2. a. Angle gauche du lambeau déjà fixé avec la p
rémité du même fil pour compléter l'anse qui doit former la suture.
Figure
2 bis. Réunion du lambeau vaginal avec la peau pa
semblables réunissent les bords latéraux du lambeau dans le vagin.
Figure
3. Suture d'une fistule longitudinale. Un spécu
une seule aiguille ou deux aiguilles aux extrémités d'un même fil.
Figure
4- Anaplastie (Procédé de M. Velpeau). Pour la
stule. PLANCHE 70. FISTULES VÉSICO-VAGINALES (Grandeur nature).
Figure
i. Suture d'une fistule transversale ( Procédé de
ur l'autre branche bifurquée qui contient les lèvres de la fistule.
Figure
3 et 4- Anaplastie par le procédé de M. Leroy-d'E
extrémité antérieure de la face postérieure du vagin (fig. 3). Sur la
figure
4 qui représente une vue cadavérique au profil, l
enche-villée qui fixent le lambeau contre la paroi vagino-vésicale.
Figure
5. Elytroplastie (Procédé de M. Jobert.) Un lambe
PLANCHE 71. POLYPES DU VAGIN ET DE L'UTÉRUS (Grandeur nature).
Figure
i. Arrachement d'un polype (Procédé de Dupuytren)
e la pince qui doit briser son pédicule par torsion et arrachement.
Figure
2. Ligature d'un polype de l'utérus. Le polype
fil dans le serre-nœud (d) qui doit étrangler le polype à sa base.
Figure
3. Excision d'un polype de l'utérus à l'orifice d
ciseaux courbes sur le plat (c) pratiquent la section du pédicule.
Figure
4- Excision d'un polype dans l'utérus. Les grande
HES 7 2 ET 7 3. maladies de l'uterus. PLANCHE 7% (DEMI-NATURE).
FIGURES
i et i. Chute et renversement de l'utérus et du v
(Cas extrait de la pratique de M. Amussat et où la malade a guéri).
Figure
i . Surface muqueuse du vagin et de l'utérus renv
ment formé par le col et a confondu en une seule les trois cavités.
Figure
i. Pessaire appliqué par M. Amussat pour mainteni
iqué par M. Amussat pour maintenir réduite la poche utéro-vaginale.
Figure
3. Pessaire en position et fixé à une ceinture ab
en position et fixé à une ceinture abdominale par quatre courroies.
Figures
4 a 12. Diverses sortes de pessaire. Figures 4
ar quatre courroies. Figures 4 a 12. Diverses sortes de pessaire.
Figures
4 d 5. Pessaires vaginaux. 4- Elytroïde. 5. En bo
trice en caoutchouc, (c) Tube central, (d) Bourrelet en caoutchouc.
Figures
i3 et 14. Dilatateurs du vagin pour déterminer l'
pour déterminer l'adhérence de ses parois enflammées (même auteur).
Figure
i5. Suppositoire à double courant (même auteur).
auteur). Figure i5. Suppositoire à double courant (même auteur).
FIGURE
i5. Ablation d'un kyste de l'ovaire (Procédé de M
, la section avec le bistouri convexe. PLANCHE 73 (demi-nature).
FIGURES
i ET 2. PONCTION DE L'UTÉRUS. Comme cette opéra
e sur le profil des parties disséquées. Indication commune aux deux
figures
, a. Section de la paroi abdominale. B, C. Pla
tal. F. Vagin. Il est complet et sa direction est ascendante sur la
figure
2 01 l'utérus est renversé en arrière. Sa paroi l
'utérus est renversé en arrière. Sa paroi latérale est enlevée sur la
figure
pour laisser voir, dans sa cavité, le doigt indic
eur du chirurgien qu dirige la pointe du trocart. G. Rectum. Sur la
figure
2 sa paroi latérale est enlevée pour démasque le
icateur du chirurgien qui guide le trocart. H. Utérus. Sur les deux
figures
l'organe est distendu par le liquide qu remplit s
organe est distendu par le liquide qu remplit sa cavité. Mais dans la
figure
1 sa situation est directe, tandis qu dans la fig
té. Mais dans la figure 1 sa situation est directe, tandis qu dans la
figure
2 il y a rétroversion. Figure 1. Ponction de iu
uation est directe, tandis qu dans la figure 2 il y a rétroversion.
Figure
1. Ponction de iutérus par le -vagin. (a) . Mai
n de la cavité du col cpie doit cheminer la pointe de l'instrument.
Figure
2. Ponction de V utérus par le rectum. (a). Mai
de l'utérus, renversé sur le rectum, qu'est pratiquée la ponction.
FIGURES
3, 4 ET 5. INCISION DU COL UTÉRIN. L'objet de c
avité de l'utérus. Trois pro-cédés sont représentés sur la planche.
Figure
3. Dilatation circulaire par une série de petites
ncisions en étoile pratiquées avec un long bistouri droit boutonné.
Figure
4- Incision de dehors en dedans avec un bistouri
garni de linge jusqu'auprès de sa pointe (procédé de M. Dupuytren).
Figure
5. Incision de dedans en dehors avec le bistouri
e, à long manche, introduit dans la cavité de l'utérus par son col.
Figure
6. Extraction de la tumeur avec des érignes ou de
CHES 7 4 ET 7 5. opérations sur l'utérus cancéreux. PLANCHE 74.
FIGURE
i. EXCISION CIRCULAIRE DU COL DE L'UTÉRUS. Les
ec les longs ciseaux courbes (e) au-delà des limites de la maladie.
FIGURE
a. EXCISION EN CONE DU COL DE L'UTÉRUS. Un spéc
deux tran-chans. C'est ce dernier qui est représenté en action sur la
figure
(b). FIGURE 3. LIGATURE DE L'UTÉRUS RENVERSÉ.
s. C'est ce dernier qui est représenté en action sur la figure (b).
FIGURE
3. LIGATURE DE L'UTÉRUS RENVERSÉ. La ligature c
ps prépara-toire de l'excision, si cette méthode est préférée. Sur la
figure
, l'utérus et le vagin étant renversés au dehors d
oitié gauche dont les chefs (c, d ) sont encore pen-dans au dehors.
FIGURE
4. EXTIRPATION DE L'UTÉRUS RENVERSÉ. Dans cette
c le vagin. PLANCHE 75. EXTIRPATION DE L'UTÉRUS DANS SA POSITION.
FIGURE
i. MÉTHODE VAGINALE. Grandeur nature (Procédé de
agin l'utérus qui sera renversé en bas et en avant pour l'extraire.
FIGURE
2. MÉTHODE VAGINALE. Grandeur nature (Procédé de
e ou de Deschamps (d) la ligature du ligament large du côté gauche.
FIGURE
3. MÉTHODE HYPOGASTRIQUE. Demi-nature (Procédé de
ANCHE 7 7. OPÉRATION CÉSARIENNE. SYMPHYSÉOTOMIE. DEMI-NATURE.
FIGURE
i. OPÉRATION CÉSARIENNE MÉDIANE. L'incision, po
E. FIGURE i. OPÉRATION CÉSARIENNE MÉDIANE. L'incision, pour cette
figure
, occupe la ligne blanche, du dessous de l'ombilic
chirurgien qui a été saisir la tête du fœtus et l'amène au dehors.
FIGURE
2. OPÉRATION CÉSARIENNE LATÉRALE. ascendantes d
laquelle la tête s'est engagée dans le détroit supérieur du bassin.
FIGURE
3. SYMPHYSEOTOMIE. La section des chairs, pour
ssin. FIGURE 3. SYMPHYSEOTOMIE. La section des chairs, pour cette
figure
, est latérale du côté droit et cor-respond au cas
es opérations du strabisme. ANATOMIE OPÉRATOIRE, fig. 1, 2, 3, 4.
Figure
1. Muscles de l'œil dépourvus de leurs enveloppes
; (d) petit oblique; (e) épanouissement du tendon du grand oblique.
Figure
2. Appareil musculaire des deux yeux vu par le pl
nt enlevé. Les muscles sont indiqués par les mêmes signes que dans la
figure
1; des deux côtés, le droit supérieur est coupé p
leuse, enveloppe de la sclérotique, décrite par M. Bonnet, de Lyon.
figures
3 et 4. Enveloppes de glissement des muscles de l
es de glissement des muscles de l'œil et du globe ocu-luire. Ces deux
figures
sont imitées, plutôt que précisément copiées, de
hes sur ce point spécial, la théorie générale que nous avons posée.
Figure
3. Aspect de l'œil, au profil, comme sur la figur
ous avons posée. Figure 3. Aspect de l'œil, au profil, comme sur la
figure
1 : les muscles étant représentés avec leurs enve
e et l'autre face du cartilage tarse de la paupière supérieure (i).
Figure
4. Fascia sclérotical antérieur ou sous-conjoncti
ofond adhère par de nombreux filamens lamellaires à la sclérotique.
FIGURES
5,8,5,8,9, 10, 11. DIVERS TYPES DE STRABISME. F
clérotique. FIGURES 5,8,5,8,9, 10, 11. DIVERS TYPES DE STRABISME.
Figures
5, 6. Strabisme simple, convergent en bas. Premie
ergent en bas. Premier malade opéré par M. Baudens en novembre 1840.—
Figure
5. Èlat du regard avant l'opéra-tion. — Figure 6.
ens en novembre 1840.— Figure 5. Èlat du regard avant l'opéra-tion. —
Figure
6. Etat actuel du malade, dessiné le il novembre
on. — Figure 6. Etat actuel du malade, dessiné le il novembre 184t.
Figure
7. Double strabisme convergent dessiné d'après M.
ure 7. Double strabisme convergent dessiné d'après M. Z. non opéré.
Figure
8. Strabisme convergent supérieur, dessin communi
. Strabisme convergent supérieur, dessin communiqué par M. Amussat.
Figure
9. Strabisme simple divergent, dessiné d'après Ma
Figure 9. Strabisme simple divergent, dessiné d'après Madame D....
Figure
10. Strabisme double divergent, fixe, sur une nég
r M. Amussat. Le même fait a été rencontré une fois par M. Baudens.
Figure
11. Strabisme horrible communiqué par M. Baudens.
ué par M. Baudens. ANATOMIE PATHOLOGIQUE DU STRABISME OPÉRATOIRE.
Figures
12 et 13. Figure 12. OEil strabique non opéré, où
ANATOMIE PATHOLOGIQUE DU STRABISME OPÉRATOIRE. Figures 12 et 13.
Figure
12. OEil strabique non opéré, où le droit interne
court et concave dans le même sens, concourt aussi à la rétraction.
Figure
13. Dissection, à l'autopsie, d'un œil strabique
second est l'exacte répétition de celui de MM. Hewet et Babinglon.
Figures
14, 15 et 16. Expériences de M. Amussat sur le ch
4, 15 et 16. Expériences de M. Amussat sur le cheval elle mouton. Les
figures
ont été copiées sur les dessins originaux qui nou
dessins originaux qui nous ont été obli-geamment prèles par l'auteur.
Figure
14. (a) Cicatrice fibro-celluleuse du muscle droi
atrice fibro-celluleuse du muscle droit externe coupé sur le clieval.
Figure
15. (b) Cicatrice, après une section incomplète,
igure 15. (b) Cicatrice, après une section incomplète, sur un mouton.
Figure
16. (c) Cicatrice, après une section complète, su
e vivisection donnent le même résultat que l'opération sur l'homme.
Figures
17 et 18. THÉORIE DU STRABISME ET DE LA DIPLOPIE.
'homme. Figures 17 et 18. THÉORIE DU STRABISME ET DE LA DIPLOPIE.
Figure
17. Théorie du strabisme, citée par M. Dufresse-C
Dufresse-Chassaigne, Traité du Strabisme et du Bégaiement, page 14.
Figure
18. Théorie de la diplopie, donnée par M. J. Mull
E YTT. PLANCHES B, C, O, E. OPÉRATIONS DU STRABISME. PLANCHE B.
FIGURE
1. Procédé de m. Dieffenbach {deuxième temps).
usse passé sous le muscle et opère la section avec des ciseaux (f).
FIGURES
2, 3. Procédé de M. C. Phillips. Figure 2. Prem
on avec des ciseaux (f). FIGURES 2, 3. Procédé de M. C. Phillips.
Figure
2. Premier temps : application des deux erignes.
. Phillips. Figure 2. Premier temps : application des deux erignes.
Figure
3. Second temps : passage du crochet mousse sous
t mousse sous le muscle pour en opérer la section avec des ciseaux.
FIGURES
4, 6, 6, 7. Procédé de M. Velpeau. Figure 4. St
tion avec des ciseaux. FIGURES 4, 6, 6, 7. Procédé de M. Velpeau.
Figure
4. Strabisme convergent : les paupières étant éca
sme convergent : les paupières étant écartées avec le blépha-rcctome (
figure
6), et le pli transversal de la conjonctive et du
main droite (c), opère d'un seul coup la section avec des ciseaux. —
Figure
5. Strabisme divergent opéré de la même manière.
igure 5. Strabisme divergent opéré de la même manière. PLANCHE C.
FIGURES
1,2, 3, 4, 5. Procédé de M. Baudens. Figure 1.
anière. PLANCHE C. FIGURES 1,2, 3, 4, 5. Procédé de M. Baudens.
Figure
1. L'élévateur de Pellier est tenu par la main ga
myotome courbe, la con-jonctive, son fascia et le muscle lui-même.
Figure
2. Excision du petit lambeau fibro-muqueux après
Excision du petit lambeau fibro-muqueux après la section du tendon.
Figure
3. Crochet abaisseur de la paupière inférieure de
Figure 3. Crochet abaisseur de la paupière inférieure de M. Baudens.
Figure
4. Erigne double. Figure S. Crochet mousse myot
r de la paupière inférieure de M. Baudens. Figure 4. Erigne double.
Figure
S. Crochet mousse myotome : à l'autre extrémité e
et mousse myotome : à l'autre extrémité est une pince porle-éponge.
FIGURE
6. Procédé de M. Lucas. Section de la conjonctive
e M. Lucas. Section de la conjonctive et du fascia avec le myotome.
FIGURE
7. Procédé de M. Liston, (aa) Doigts d'un aide qu
t qui sert h gouverner l'œil. — (d) Ciseaux qui opèrent la section.
FIGURES
8, 9. Procédé de M. Sichei.. Figure S. Section
eaux qui opèrent la section. FIGURES 8, 9. Procédé de M. Sichei..
Figure
S. Section de la conjonctive et du fascia avec l'
Section de la conjonctive et du fascia avec l'érigne et les ciseaux —
Figure
9. Section du muscle avec les ciseaux sur le croc
Figure 9. Section du muscle avec les ciseaux sur le crochet mousse.
Figure
10. Rétracteur des paupières de M. Charrière. P
Figure 10. Rétracteur des paupières de M. Charrière. PLANCHE D.
FIGURES
1 et 2. Procédé de M. Amussat. (a, b) Mains d'u
us de la main droite qui incise perpendiculairement le pli soulevé.
Figure
2. (d) Crochet double à écartement qui va saisir,
sortir par la plaie où la section s'en opère avec les ciseaux (e).
FIGURE
3. Section du droit supérieur. FIGURES 4 el 6.
opère avec les ciseaux (e). FIGURE 3. Section du droit supérieur.
FIGURES
4 el 6. Section du petit oblique, Procédé de M. B
. FIGURES 4 el 6. Section du petit oblique, Procédé de M. Bonnet.
Figure
4. La inain gauche s'appuyant sur le front; de la
peau le muscle repoussé avec le myotome, pour en faire la section.
Figure
5. Vue anatomique de la section du petit oblique,
ère inférieure est dissé-quée pour monlrer les parties à découvert.
Figure
6. Section du petit oblique par le procédé de M.
t coupé, près de son inser-tion maxillaire, avec le myotome courbe.
Figure
7. Section avec des ciseaux sur le crochet mousse
ion avec des ciseaux sur le crochet mousse, dit procédé or-dinaire.
Figure
8. Section du grand oblique, Procédé de M. Gairal
inaire. Figure 8. Section du grand oblique, Procédé de M. Gairal.
FIGURE
9 et 10. Auloplaslie de l'angle interne de l'œil
nsécutive à la section de plusieurs muscles. Procédé de M. Baudens.
Figure
g. Excision d'un petit lambeau cutané au pourtour
d'un petit lambeau cutané au pourtour de l'angle in-terne de l'œil. —
Figure
10. Affrontement, par deux points de suture, des
ombante. PLANCHE E. MÉTHODE SOUS-CONJONCTIVALE DE M. J. GUERIN.
Figures
l, 2, 3, 4. Premier procédé par ponction de la co
ionner la conjonctive et le fascia avec la petite spatule tranchante (
figure
8). Figure 2. Introduction du myotome coudé (fi
jonctive et le fascia avec la petite spatule tranchante (figure 8).
Figure
2. Introduction du myotome coudé (figure 9). Fi
ule tranchante (figure 8). Figure 2. Introduction du myotome coudé (
figure
9). Figure 3. Vue analomique de la section avec
e (figure 8). Figure 2. Introduction du myotome coudé (figure 9).
Figure
3. Vue analomique de la section avec le myotome c
9). Figure 3. Vue analomique de la section avec le myotome coudé.
Figures
4 et 5. Deuxième procédé, par section avec des ci
n avec des ciseaux, plus simple, mais moins parfait que le premier.
Figure
4. Section avec des ciseaux, de la conjonctive (a
ont l'une (b) est tenue par l'opérateur et l'autre (c) par un aide.
Figure
5. Section du muscle avec les ciseaux entre les d
obilité de l'œil du cote opéré , avec strabisme inverse consécutif.
Figure
6. La conjonctive et le fascia étant disséqués, p
du nez par une petite bandelette de diachyhin», comme il esl indiqué {
Figure
T.. Tome 7. Pl.B. Tome 7. Pl.C. D'après
opérations du bégaiement. (GRANDEU 11 N ATURELLE.) PLANCHE F.
FIGURES
I et 2, AnATOMIE OPÉRATOIRE DE LA LANGUE. La fi
PLANCHE F. FIGURES I et 2, AnATOMIE OPÉRATOIRE DE LA LANGUE. La
figure
i montre la langue disséquée sur son profil, la m
son profil, la mâchoire infé-rieure étant sciée sur le plan moyen. La
figure
2 représente la face infé-rieure de l'organe dans
la cavité de la bouche : les signes ont la même valeur dans les deux
figures
. Figure i . L'objet de cette figure est de mont
de la bouche : les signes ont la même valeur dans les deux figures.
Figure
i . L'objet de cette figure est de montrer sur le
t la même valeur dans les deux figures. Figure i . L'objet de cette
figure
est de montrer sur le profil toutes les parties i
qué les traits sur le dessin même de ce chirurgien. On voit sur notre
figure
que les vaisseaux et nerfs linguaux sont coupés e
i la langue était abaissée comme dans le procédé opératoire original (
figure
3), il est évident que la même longueur d'in-cisi
isseaux inférieurs de la langue. De b en b, section de M. Phillips (
figure
6), étendue non pas à toute la musculature de la
n couper d'important. d. Section de M. Velpeau, prolongée sur cette
figure
au plus loin que se permette l'auteur, c'est-à-di
ement; en liant, se réuniraient en bas comme il est représenté sur la
figure
. De l'examen anatomique comparatif de ces diver
t que les tendons des génio-glosses, sont complètement inoffensifs.
FIGURE
3. Procédé de m. dieffenbach : la bouche étant la
de bas en haut avec le bistouri à fistule tenu de la main droite e.
FIGURES
4 et 5. Cicatrices de la langue après l'opération
ES 4 et 5. Cicatrices de la langue après l'opération, copiées sur les
figures
de M. Dieffenbach. FIGURE 6. Procédé de m. phil
angue après l'opération, copiées sur les figures de M. Dieffenbach.
FIGURE
6. Procédé de m. phillips : la langue étant soule
tique la section du génio-glosse de la profon-deur vers la surface.
FIGURE
7. Procédé de m. velpeau : la langue est soulevée
de la langue et divise au-dessous avec des ciseaux c. PLANCHE G.
FIGURES
1 et 2. Procédé de m. baudens : la figure i montr
ciseaux c. PLANCHE G. FIGURES 1 et 2. Procédé de m. baudens : la
figure
i montre le point de vue opératoire, et la figure
de m. baudens : la figure i montre le point de vue opératoire, et la
figure
2 une vue anatomique sur le profil. Dans l'une et
ction d'un seid coup avec les ciseaux coudés représentés fi-gure 3.
FIGURE
4- Procédé de m. lucas, de Londres : les commissu
eur avec une pince c et en pratique l'excision avec le bis-touri d.
FIGURES
î et 6. Procédé de m. bonnet, de Lyon : la figure
le bis-touri d. FIGURES î et 6. Procédé de m. bonnet, de Lyon : la
figure
f montre le point de vue opératoire et la figure
bonnet, de Lyon : la figure f montre le point de vue opératoire et la
figure
6* une vue anatomique sur le profil. Dans la figu
opératoire et la figure 6* une vue anatomique sur le profil. Dans la
figure
5, une piqûre avant été faite à la peau le té-not
Dans la figure 5, une piqûre avant été faite à la peau le té-notome (
figure
7) introduit au travers, entre les muscles génio-
e l'instru-ment au travers de la membrane muqueuse. L'aspect seul des
figures
montre suffisamment la simplicité et la sûreté de
icité et la sûreté des procédés de MM. Bau-dens et Bonnet, de Lyon.
FIGURES
8, 9, io, 11 et 12. Procédé de m. amussat.—Figure
Bonnet, de Lyon. FIGURES 8, 9, io, 11 et 12. Procédé de m. amussat.—
Figure
8 : section avec des ciseaux b du bord antérieur
es génio-glosses, le filet de la langue étant saisi avec une pince a.—
Figure
9 : décolle-ment de la cicatrice comme l'opère M.
ateur gauche a, rie la main droite b, armée du petit bistouri mousse (
figure
10), il dé-colle la cicatrice pour obtenir la for
ane mu-queuse qui empêche à l'avenir la réunion des parties divisées.—
Figure
i i : aspect de la fausse membrane organisée , co
seulement qu'elle s'y applique plus particulièrement. PLANCHE H.
FIGURES
t et 2. Méthode générale de ténotomie sous-cutané
S t et 2. Méthode générale de ténotomie sous-cutanée de M. J. Guérin.
Figure
1. Ponction avec la lancette de l'auteur. Un pli
opéra-teur (b) ; de sa main droile ce dernier perfore les tégumens. —
Figure
2. Sec-lion avec le ténolome. La lame de l'instru
ous les tégumens, le doigt indicateur gauche dirigeant la pression.
FIGURES
3, 4, 5. Section du tendon d'Achille dans le pied
FIGURES 3, 4, 5. Section du tendon d'Achille dans le pied équin. —
Figure
3. Pied équin simple représenté posant sur le sol
équin simple représenté posant sur le sol dans la station verticale.—
Figure
A. Premier temps de la section du tendon d'Achill
organe le même mouvement complet lorsque le tendon aura été divisé. —
Figure
5. Dissection de la partie sur le cadavre après l
deux bouts du tendon divisé avec le ténotome encore dans la plaie.
FIGURE
6. Section de l'adducteur du gros orteil en cas d
c sa main droile (c) la section sous-cutanée. Comme on le voit sur la
figure
, l'instrument est introduit du côté externe ; le
ïde, avant la réunion en arrière du court fléchisseur. PLANCHE I.
FIGURES
1 et 2. Pied équin avec rétraction du long extens
rêt à le ramener dans la flexion dès que le tendon aura été divisé.
FIGURES
3, 4, 5. Pied varus. La figure 3 est un varus sim
dès que le tendon aura été divisé. FIGURES 3, 4, 5. Pied varus. La
figure
3 est un varus simple chez un très jeune enfant.
varus. La figure 3 est un varus simple chez un très jeune enfant. La
figure
4 un varus composé avec rétraction des fléchisseu
posé avec rétraction des fléchisseurs, principalement du gros orteil.
Figure
s. Section du long fléchisseur propre du gros ort
ong fléchisseur propre du gros orteil pour le cas de rétraction de la
figure
4. Les orteils étant éten-dus par les mains d'un
gienne. La ponction a été pratiquée du bord interne vers l'externe.
FIGURES
6, 7 et 8. Pied équin composé. La figure 6 représ
d interne vers l'externe. FIGURES 6, 7 et 8. Pied équin composé. La
figure
6 représente le pied difforme avant le traitement
pied difforme avant le traitement, vu de profil dans la station ; la
figure
7 la sec-tion de l'aponévrose plantaire et du cou
ls, l'une des opérations qu'il a fallu faire chez cette malade, et la
figure
8, le résultat après la guérison. Nous avons dess
Elisa G..., l'un des plus beaux faits de la pratique de M. J. Guérin.
Figure
7. a b, mains d'un aide qui pratique l'extension
e armée du ténotome et occupée à pratiquer la section. PLANCHE J.
FIGURE
t. Cas de varus équin avec rétraction des fléchis
jambiers antérieur et postérieur, et celle du tendon d'Achille (c).
FIGURE
2. Cas de varus compliqué. La saillie du jambier
à ces deux cas que s'adressent entre autres les opérations suivantes.
Figures
3, 4, 5. FIGURE 3. Section sus-tendineuse du ja
s'adressent entre autres les opérations suivantes. Figures 3, 4, 5.
FIGURE
3. Section sus-tendineuse du jambier antérieur. U
atique la section sur le scaphoïde auprès de l'insertion du tendon.
FIGURE
4. Section sous-tendineuse du tendon du jambier p
tourné en haut, incise le tendon de la profondeur vers la surface.
FIGURE
5. Section sus-tendineuse des tendons du jambier
s orteils. L'opération est faite sur le cas de difformité représentée
figure
1. (a, b), mains d'un aide qui fixe le pied. La m
en arrière, blesser les vaisseaux tibiaux postérieurs. PLANCHE R.
FIGURE
t. pied valgus un peu équin sur un jeune homme. O
ie (aj des tendons des péroniers latéraux et du péronier antérieur.
FIGURE
2. Tiers nature. Valgus compliqué avec rétraction
pérations (ligures 3 et 4) représentées sur le pied-bot (ligure ij.
FIGURE
3. Section sus-tendineuse des tendons des deux pé
ant est tourné en bas, il divise d'une seule lois les deux tendons.
FIGURE
4. Section sus-tendineuse du tendon du péronier a
pressent sur le tendon que divise la main droile armée du lénotome.
FIGURE
ô. Pied talus. Le caractère particulier de cette
un certain point, dans le cas particulier représenté par la ligure.
FIGURE
6. Section sus-tendineuse du tendon de iexlenseur
mens de tenotome de m. i. guérin. (GRANDEUR RÉELLE). PLANCHE L.
FIGURES
i, 2, 3. Tenotomes de grandeurs différentes : Ils
-mité d'une longue tige arrondie qui remplit le trajet sous-cutané.
FIGURES
4 et 5. Lancettes à ponction en forme de petites
antes de grandeurs différentes. RÉTRACTION DES MUSCLES DU JARRET.
FIGURE
6. (a) Face externe du membre montrant la rétract
andée par le fessier supérieur, (b) Rétraction du tendon du biceps.
FIGURE
y. Le même membre, vu par sa face interne, (b), m
edressement des orteils qui résulte du tiraillement des extenseurs.
FIGURE
8. Section sus-tendineuse du tendon de l'aponévro
ur, armée du ténotome, pratique la section du tendon aponévrotique.
FIGURE
g. Section des tendons demi tendineux et demi mem
pérations représentent les procédés de l'auteur posés par lui-même.
FIGURES
i, 2, 3. Divers cas de torticolis congenial. On r
URES i, 2, 3. Divers cas de torticolis congenial. On remarque sur ces
figures
l'arrêt de développement de la moitié de la face
de développement de la moitié de la face du côté de la rétraction.
FIGURE
4- Ponction pour les divers procédés sous-cutanés
cutanée avec sa main droite (e) armée du petit bistouri ( fig. 8 ).
FIGURE
!. Section sus-tendineuse isolée du faisceau ster
s-tendineuse isolée du faisceau sternal avec le inyotome ( fig. 9).
Figure
6. Premier temps. Le doigt médius de la main gauc
strument, la seconde lame vient se loger à plat derrière le muscle.
Figure
7. Deuxième temps. La lame étant en position, par
lame l'opère en parcourant de nouveau la plaie de dedans en dehors.
FIGURE
8. Bistouri concave pour la section du faisceau s
. FIGURE 8. Bistouri concave pour la section du faisceau sternal.
FIGURES
9 et 10. Myotomes à une et à deux lames. FIGURE
aisceau sternal. FIGURES 9 et 10. Myotomes à une et à deux lames.
FIGURES
6 et 7. Section complète du sterno-mastoidien ave
ion complète du sterno-mastoidien avec l myotome à double tranchant (
figure
10). FIGURES 11, 12, i3. Petits tenotomes pour
u sterno-mastoidien avec l myotome à double tranchant ( figure 10).
FIGURES
11, 12, i3. Petits tenotomes pour pratiquer les s
ons à ce chirurgien ces faits que nous avons copiés d'après nature.
FIGURES
1 et 2. Valgus chez de très jeunes enfans guéris
core cartilagineux, et que tous les tissus sont encore extensibles.
FIGURES
3, 4 et 5. Dissection de divers pieds-bots congén
Dissection de divers pieds-bots congéniaux sur des en-fans naissans.
Figure
3, pied équin. Figure 4, pied valgus. Figure 5, p
pieds-bots congéniaux sur des en-fans naissans. Figure 3, pied équin.
Figure
4, pied valgus. Figure 5, pied ta-lus. Ces figure
ur des en-fans naissans. Figure 3, pied équin. Figure 4, pied valgus.
Figure
5, pied ta-lus. Ces figures sont copiées d'après
gure 3, pied équin. Figure 4, pied valgus. Figure 5, pied ta-lus. Ces
figures
sont copiées d'après les dessins originaux de M.
igures sont copiées d'après les dessins originaux de M. J. Bouvier.
FIGURE
6. Valgus compliqué chez un adulte. Les cas de ce
leur état normal, comme on en pourra juger par les dessins suivans.
FIGURES
7, 8,9,10. Squelette adulte de pied-bot valgus co
te de pied-bot valgus compliqué, absolu-ment analogue au précédent.
Figure
7. Pied vu dans la station verticale, le bord ext
ed vu dans la station verticale, la face plantaire tournée en haut.
Figure
9. Face plantaire montrant la double incurvation
a subie suivant ses deux diamètres anléro-postérieur et transverse.
Figure
10. Le même organe vu par sa face externe anormal
onnés dans tout l'appareil ligamenteux, comme on peut le voir sur les
figures
, sans qu'il soit nécessaire d'entrer à cet égard
er à cet égard dans des explications qui nous mèneraient trop loin.
FIGURE
lt. Dissection du membre après la section de l'ap
seurs superficiels ( Copié sur un dessin ori-ginal de M. Bouvier. )
FIGURE
12. Section du tendon du cubital antérieur. La ma
et de sa main droite (c), armée du ténolome, il en fait la section.
FIGURE
13. Section des tendons du fléchisseur superficie
cas de rétraction des tendons fléchisseurs, comme l'indique la main (
figure
12) copiée d'après nature, les doigts étant fléch
uper l'un des tendons que fixe l'indi-cateur de sa main gauclie(c).
FIGURE
14. Rétraction du tendon du biceps brachial sur u
al sur une femme âgée ( Copiée sur dessin original de M. Bouvier ).
FIGURE
15. Section du tendon du biceps. La piqûre est fa
ressement, se trouve généralement la plus haute et la plus musclée.
FIGURE
i. Incurvation dorsale avec dépression de l'épaul
e avec dépression de l'épaule gauche et saillie de l'épaule droite.
FIGURE
2. La même jeune fille quatre ans plus tard. La f
t par l'effet du traitement et par le bé-néfice de l'accroissement.
FIGURES
3 et 4- Le même sujet avant et après le traitemen
incurvation sa-cro-lombaire, mais qui ne s'aperçoit que sur le nu.
FIGURES
5 et 6. I^es deux torses d'un même sujet, avant e
tisfaisant, seulement l'épaule du côté malade est un peu exhaussée.
FIGURES
7 et 8. Deux torses d'un même sujet pour une incu
carts droits (fig. 4) et courbes (fig. 5). PONCTION DE L'EMPYÈME.
FIGURE
i. (a) Main gauche d'un aide qui fixe l'extrémité
armée du trocart courbe et occupée à perforer l'espace intercostal.
FIGURE
2. Disposition de l'instrument dont la tige est r
peau et la seringue vissée sur la canule pour pratiquer la succion.
FIGURE
3. Même disposition du trocart droit, garni de la
ne opération nouvelle qu'il n'ait essayé de faire comprendre, par des
figures
, et le mécanisme de l'opération, et les in-strume
n médecine opératoire,comme en anatomie, s'il existe si peu de bonnes
figures
, la faute t en est an défaut d'harmonie entre
manière que qui ne les connaîtrait pas à l'avance ne saurait, par la
figure
, en deviner l'emploi. Tel autre ne présente que l
dre à faire, et que l'on n'apprend bien qu'en faisant soi-même, toute
figure
de médecine opératoire doit être combinée au poin
circonstances suivantes comme déduction des rapports indiqués par la
figure
: i° La position clinique du malade ; 2° Cell
avis, les nombreuses conditions auxquelles doit satisfaire une bonne
figure
de médecine opératoire. Au premier aperçu un pare
e cette nature. Toutefois, la disposition générale étant connue, la
figure
ne peut exprimer qu'un seul temps d'une opération
nous permettra de varier sans inconvéniens, suivant les exigences des
figures
, le temps choisi pour chaque opération en particu
taracte, la staphyloraphie, etc., nous en indiquerons, par de petites
figures
isolées, les principales circonstances. Quant aux
ispastique. Pâte arsenicale. Trois sortes de mélanges dans lesquels
figure
l'oxide d'arsenic ont joui d'une grande célébrité
MÉCANIQUE. 4° Garrot. Cet instrument, que nous avons décrit avec la
figure
qui le représente (Pl. 20), agit par le lacs circ
carpo-phalangiennes, ou avec une pelote à manche 1 La planche 18 ne
figure
qu'un compresseur simple, confectionné par M. Cha
se pratique sous la lèvre supérieure, pour éviter une cicatrice à la
figure
, le chirurgien relève fortement, avec le pouce et
r espace inter-osseux, dénuder et lier l'artère. Cette opération, qui
figure
dans les livres, est inusitée dans la pratique; o
la Faculté, dans un tibia et un os des iles dont nous avons donné les
figures
(pl. 49, %• 2 et 3). Au point de vue opératoire
vacula), soit dans la continuité avec un scalpel et une scie. Scultet
figure
l'amputation du pouce avec la grande tenaille ; V
s sur le banc; les chairs coupées d'un seul coup, il scie les os. Les
figures
de Scultet nous montrent les chairs et l'os coupé
lus bas. L'incision de la peau et des muscles, opérée en trois temps,
figure
un ovale dont une extrémité repose sur la partie
e ceux de l'opérateur et le pouce à plat, comme il est montré dans la
figure
. Ces dispositions prises, pratiquer sur la face d
ite relever en haut le paquet vasculaire, comme il est montré dans la
figure
. En un second temps la peau est coupée circulairc
IRURGICALE. DIVISION TOPOGRAPHIQUE DU CORPS HUMAIN PAR RÉGIONS.
Figure
i. Plan antérieur.—Figure 2. Plan postérieur. — F
OGRAPHIQUE DU CORPS HUMAIN PAR RÉGIONS. Figure i. Plan antérieur.—
Figure
2. Plan postérieur. — Figure 3. Plan latéral. Les
PAR RÉGIONS. Figure i. Plan antérieur.—Figure 2. Plan postérieur. —
Figure
3. Plan latéral. Les signes sont les mêmes pour l
r. — Figure 3. Plan latéral. Les signes sont les mêmes pour les trois
figures
. Nous avons apporté quelques modifications à la
ULTE, GRANDEUR NATURELLE. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES.
FIGURE
1. COUCHE PROFONDE DE LA PARTIE LATERALE DU COU
x temporaux. 19. Artère sous-clavière. 20. Veine sous-clavière.
FIGURE
2. RAPPORT DES TRONCS VASCULAIRES ET NERVEUX AV
NE. La tête est sciée verticalement sur le diamètre transversal. La
figure
montre les aponévroses profondes sur le plan post
DU PÉRINÉE. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. DISPOSITION GÉNÉRALE DES
FIGURES
. Figure i. Plan superficiel à deux couches : cô
. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. DISPOSITION GÉNÉRALE DES FIGURES.
Figure
i. Plan superficiel à deux couches : côté droit,
aponévrose sous-cutanée; côté gauche, plan musculaire superficiel.
Figure
i. Même disposition des parties au contour. Au ce
spongieuse de Furèthre. Les signes ont la même valeur dans les deux
figures
. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. FIGU
ur dans les deux figures. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES.
FIGURES
\ ET % Parties accessoires. Côté droit : a. F
et des sphincters. 9. Tronc du nerf honteux interne. On suit sur la
figure
ses divi- sions aux divers plans du périnée.
n suit sur la figure ses divi- sions aux divers plans du périnée.
FIGURE
2. De G en H, Espace quadrilatère borné en arri
U RASSIIV. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. DISPOSITION GÉNÉRALE DE LA
FIGURE
. La section transversale du tronc est opérée su
aison de l'uretère et du canal déférent. L'objet principal de cette
figure
est de montrer les rapports des parties profondes
FÉMORALE POSTÉRIEURE. ADUT-iTE, DEMI-NATURE. LES DEUX COTÉS DE LA
FIGURE
MONTRENT DES COUCHES DIFFÉRENTES. INDICATION DE
ques et des nerfs. AISSELLE, le bras étant élevé en arriere. La
figure
développe l'aisselle proprement dite, et les part
x collatéraux externes ne sont pas visibles dans la disposition de la
figure
. Tome 6 Pl.6. Dessiné d'après nature par N.
dante de l'anneau ; elle est coupée à moitié de sa largeur dans cette
figure
, pour dégager la loge du sterno-pubien. 5. Pili
CULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DU MEMBRE THORACIQUE.
Figure
i. — Plan antérieur. Figure i. —- Plan postérieur
SSEAUX ET NERFS DU MEMBRE THORACIQUE. Figure i. — Plan antérieur.
Figure
i. —- Plan postérieur. ADULTE, DEMI-NATURE. I
r. ADULTE, DEMI-NATURE. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES.
FIGURE
1. A. Muscle deltoïde dans sa gaîne, avec ses v
édente par : 18. Nerf radial. 19. Vaisseaux radiaux. Main. La
figure
montre la couche superficielle de la main, l'apon
pienne, et les branches collatérales, le long des bords des doigts.
FIGURE
2. F. Loge du deltoïde, avec les vaisseaux et n
x et nerfs circonflexes. Bras. G. Loge du triceps ; le fond de la
figure
est formé par le brachial an- térieur et le cor
itales du nerf radial. 28. Branches digitales du nerf cubital. La
figure
montre en outre les veines dorsales de la main et
ANSVERSALES DU COU, ET DU MEMBRE THORACIQUE, A DIVERSES HAUTEURS.
Figure
1. Plan de la partie moyenne cervicale. — Figure
DIVERSES HAUTEURS. Figure 1. Plan de la partie moyenne cervicale. —
Figure
2. Section du bras, a un pouce au-dessus de l'att
2. Section du bras, a un pouce au-dessus de l'attache du deltoïde. —-
Figure
3. Section de l'avant-bras dans sa partie supérie
3. Section de l'avant-bras dans sa partie supérieure la plus large. —
Figure
4. Section de l'avant-bras sur le carré pronateur
large. — Figure 4. Section de l'avant-bras sur le carré pronateur. —
Figure
5. Plan radio-cubital de l'articulationtarsienne.
onateur. — Figure 5. Plan radio-cubital de l'articulationtarsienne. —
Figure
6. Section de la main, au milieu de sa portion mé
portion métacarpienne. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. Sur toutes les
figures
, les aponévroses et les feuillets musculaires sér
uscles est plus profonde. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES.
FIGURE
\. A. Quatrième vertèbre cervicale. B. Cartil
r. 16. Long du cou. 17. 17. Aponévrose cervicale superficielle.
FIGURE
2. A. Corps de l'humérus. B. Loge du biceps.
Aponévrose brachiale. 4. Veine basilique. 5. Veine céphalique.
FIGURE
5. A. Corps du radius. R. Corps du cubitus. L
. 21. Veine radiale antérieure. 22. Veine cubitale postérieure.
FIGURE
4. A. Corps du radius. B. Corps du cubitus ,
ment interosseux se voient les vaisseaux antérieurs et postérieurs.
FIGURE
5. A. Surface articulaire radiale. B. Surface
ial. 17. Nerf cubital. 19, 19, 19. Ligament annulaire du carpe.
FIGURE
6. A, A. Section des quatre os métacarpiens. L
VAISSEAUX ET NERFS DE LA JAMBE ET DU PIED. ADULTE, DEMI-NATURE.
Figure
i. — Plan antérieur. Figure 2. — Plan postérieur
AMBE ET DU PIED. ADULTE, DEMI-NATURE. Figure i. — Plan antérieur.
Figure
2. — Plan postérieur de la jambe et dorsal du pie
térieur. Figure 2. — Plan postérieur de la jambe et dorsal du pied.
Figure
3. — Surface plantaire profonde. INDICATION DES
rface plantaire profonde. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES.
FIGURE
1. A. Loge musculaire du jambier antérieur, et
mé- tatarsiennes. 7. Portion pédieuse du nerf tibial antérieur.
FIGURE
2. Les muscles superficiels de la cuisse sont e
le du soléaire, les deux feuillets musculaires étant enlevés sur la
figure
. 14. Vaisseaux péroniers vus à découvert au fon
t, l'aponévrose étant enlevée. 2° En dehors: 16. Muscles péroniers.
FIGURE
3. R. Loge du court fléchisseur commun. Le tend
E SECTIONS TRANSVERSALES DU MEMBRE ABDOMINAL A DIVERSES HAUTEURS.
Figure
i. — Plan de section horizontale de la cuisse, au
Plan de section horizontale de la cuisse, au-dessous du fascia-lata.
Figure
i. — Plan de section horizontale de la partie moy
re i. — Plan de section horizontale de la partie moyenne de la jambe.
Figure
3. — Plan de section transversale du pied, dans l
on transversale du pied, dans les articulations tarso-métatarsiennes.
Figure
4- — Plan de section du pied , au milieu des os m
des os métatarsiens. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. Dans toutes les
figures
, les enveloppes fibreuses et séreuses des muscles
ulaire est plus profonde. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES.
FIGURE
1. A. Corps du fémur. 1. Loge du droit antéri
sciatique. 18. Petit nerf sciatique. 19. Veine saphène interne.
FIGURE
2. A. Corps du tibia. B. Corps du péroné. Les
léaire, artère, veines et nerf. G. Vaisseaux propres des jumeaux.
FIGURE
3. A, B, C, D. Surfaces articulaires métatarsie
s plantaires internes. c. Vaisseaux et nerfs plantaires externes.
FIGURE
4. A, B, C, D, E. Section des cinq os métatarsi
T DES CAUTÉRISATIONS. DEMI-GRANDEUR. INDICATION DES INSTRUMENS.
FIGURES
\ A 10. BISTOURIS. Le bislouri se compose d'un
r divers moyens de fixer la lame avec le manche, comme la plupart des
figures
en offrent des exemples. Les bistouris pour les i
t, convexe et boutonné, dont l'usage répond à diverses indications.
Figure
l. Bistouri droit. La lame en est effilée; le tal
manche puisse s'élever un peu au-dessus de la partie où l'on opère.
Figure
2. Bistouri convexe. La lame est de même longueur
jusque-là presque droit, rejoint le dns par une courbe elliptique.
Figure
3. Bistouri droit boulonné. Il diffère des deux p
s par un ressort qui les maintient fixement quand ils sont ouverts.
Figure
4. Bistouri droit, modifié par M. Charrière. L'in
talon est fixé par un petit onglet (a), jouant sur un ressort (b).
Figure
5. Bistouri anglais, qui ne diffère des nôtres qu
ent du talon et le raccourcissement de la lame à tranchant convexe.
Figure
6. Bistouri à fistules, imaginé par M. Charrière.
remarquables que par le mode de fixation de la lame sur le manche.
Figure
7. Bistouri de M. Larrey. Cet instrument se disli
u'il puisse s'ouvrir étant fermé, ou se fermer quand il est ouvert.
Figure
8. Bistouri de M Récamier. Cet instrument est le
du talon, empêchent que le bislouri ne puisse s'ouvrir étant fermé.
Figure
9. Mode de fixité, imaginé par M. Charrière, et q
un petit curseur (a), qui s'arrête sur un onglet par une goupille.
Figure
10. Bislouri importé d'Allemagne. Les deux jumell
el la lame est maintenue dans son articulation par deux goupilles.
FIGURES
11 A '21. INSTRUMENS DES PANSEMENS. Figure 11,1
n par deux goupilles. FIGURES 11 A '21. INSTRUMENS DES PANSEMENS.
Figure
11,12, 13. Ciseaux. Les ciseaux du chirurgien son
que les branches forment un léger écarlement, comme dans \afig. 15.
Figure
16. Porte-mêche. Figure 17. Stylet cannelé. F
n léger écarlement, comme dans \afig. 15. Figure 16. Porte-mêche.
Figure
17. Stylet cannelé. Figure 18. Sonde cannelée.
s \afig. 15. Figure 16. Porte-mêche. Figure 17. Stylet cannelé.
Figure
18. Sonde cannelée. Cet instrumenta des usages as
de la langue dans la seclion du filet chez les enfants nouveau-nés.
Figure
19. Stylet aiguillé. Figures 20 et 21. Les deux
u filet chez les enfants nouveau-nés. Figure 19. Stylet aiguillé.
Figures
20 et 21. Les deux formes usuelles des pinces dit
deur réelle, le mode de réception des dents, la pince étant fermée.
FIGURES
22 A 32. CAUTÈRES MÉTALLIQUES. Les cautères mét
xtrémité dans un manche de rechange, où elle est fixée par une vis.
Figure
22. Cautère nummulaire. La lige trop longue pour
(b) ; (c) est le plan du disque qui a donné son nom à l'instrument.
Figure
23. Cautère hastileou haslaire, destiné à la caut
cur-rente. (d) Épaisseur de la petite hache, vue par son tranchant.
Figure
24. Cautère en roseau. Le même instrument reçoit
au. Le même instrument reçoit de nombreuses applications non coudé.
figure
25. Cautère conique- Figure 26. Cautère olivair
de nombreuses applications non coudé. figure 25. Cautère conique-
Figure
26. Cautère olivaire. Figure 27. Cautère annula
coudé. figure 25. Cautère conique- Figure 26. Cautère olivaire.
Figure
27. Cautère annulaire, destiné à la cautérisation
renflée, ordinairement en cuivre ; (g) plan du disque cautérisant.
Figure
28. Cautère employé pour la cautérisation des fis
istules recto-vaginalcs (h) Face inférieure du renflement terminal.
Figure
29. Cautère utérin. ( i) Plan du disque terminal.
nt terminal. Figure 29. Cautère utérin. ( i) Plan du disque terminal.
Figure
30. Cautère clavcllaire, imaginé par M. Charrière
ère, et propre à la cautérisation des plaies d'animaux hydrophobes.
Figure
31. Petit cautère clavcllaire, destiné aux cautér
clavcllaire, destiné aux cautérisations gengivales ou dentaires.
Figure
32. Canule à manche, ordinairement en bois, desti
uet, Paris. COMPRESSION DES ARTÈRES. ADULTE, DEMI-NATURE. Cette
figure
représente divers modes de compression : à la tèt
nous offrons remplit complètement cet objet sur la nature. La grande
figure
le représente en position sur le sujet vivant ; l
la théorie et les détails. DÉTAILS DU COMPRESSEUR DE LA CAROTIDE ,
FIGURES
1, 2 ET 3. Sur la fig. 2, l'instrument est repr
uet, Paris. COMPRESSION DES ARTÈRES. ADULTE, DEMI-NATURE. Cette
figure
représente la compression de deux artères : à la
'un ou de l'autre côté. DÉTAILS DU COMPRESSEUR DE LA SOUS-CLAVIERE,
FIGURES
1 ET 2, L'instrument se compose de quatre parti
eurs le plus généralement usités. COMPRESSION DE L'ARTÈRE HUMÉRALE,
FIGURES
I, 2 ET 3. Figure 1. Compression de l'artère nu
ment usités. COMPRESSION DE L'ARTÈRE HUMÉRALE, FIGURES I, 2 ET 3.
Figure
1. Compression de l'artère numérale, à sa partie
, pour les détails de l'instrument, la description commune fig. 4.)
Figure
2. Compression de T artère numérale, ci sa partie
vée par une compresse en double interposée entre elle et la plaque.
Figure
3. (A) Compression cle la partie inférieure de l'
re revenir en arrière. COMPRESSION DES ARTÈRES RADIALE ET CUBITALE,
FIGURE
5. (B) Compression de l'artère radiale, au tier
t appliqué pour la compression de l'artère fémorale à son origine).
Figure
5. Compresseur de J. L. Petit, légèrement modifié
al avantage de cet instrument est d'être rendu beaucoup plus léger.
Figure
6. Petite pelotte de M. Charrière, imaginée pour
COMPRESSION DES ARTÈRES DU MEMBRE ABDOMINAL. ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURE
1. COMPRESSION DE L'ARTÈRE FÉMORALE. La cuisse
ÈRE FÉMORALE. La cuisse est placée demi-fléchie sur un oreiller. La
figure
représente la compression de l'artère en deux poi
émur par le compresseur de Dupuytren , dont le dessin est représenté,
figure
2. Cet instrument se compose d'un demi-cercle d'a
(H) de la pelotte mobile (I) qui sert à la compression de l'artère.
FIGURE
Z. COMPRESSION DES ARTÈRES PÉDIEUSE ET TIBIALE PO
INSTRUMENS DEMI - DIMENSION. PLANCHE 22. OPERATIONS SIMPLES.
Figures
1,2,3,4. Application d'un séton à la nuque. Fig
on de M. Boyer, garnie d'une mèche. Fig. 4. Autre aiguille à séton.
Figures
5,6,7,8. Moxas et instrumens de leur application.
mode, il est néanmoins peu usité. Fig. 8. Chalumeau de M. Larrey.
Figure
9. Perforation du lobule de l'oreille avec un pet
Figure 9. Perforation du lobule de l'oreille avec un petit trocart.
Figure
10. Aiguilles à acupuncture. Figures 11 et 12.
reille avec un petit trocart. Figure 10. Aiguilles à acupuncture.
Figures
11 et 12. Sutures. (a ) Suture à points passés.
hevillée. ( e ) Suture à surjet. PLANCHE 23. OPÉRATIONS DIVERSES.
Figure
1. Section du muscle sterno-mastoïdien, pratiquée
pération est représentée dans le moment où va s'achever la section.
Figure
2. Section du tendon dAchille (procédé de M. Stro
. Figure 2. Section du tendon dAchille (procédé de M. Stromeyer).
Figure
3. Section de l'aponévrose palmaire dans le cas d
nsement pour la formation d'une nouvelle cicatrice sans rétraction.
Figure
4. Même opération (procédé de M. Goyrand). Figu
ans rétraction. Figure 4. Même opération (procédé de M. Goyrand).
Figure
5. Même opération (procédé de Sir Astley Çooper).
oyrand). Figure 5. Même opération (procédé de Sir Astley Çooper).
Figure
6. Section du nerf frontal qui doit être suivie d
tandis que celui de la main gauche de l'opérateur élève le sourcil.
Figure
7. Section du nerf sous-orbitaire par l'incision
rbitaire par l'incision en dedans au fond du sillon labio-gingival.
Figure
8. Arrachement de l'ongle du gros orteil rentré d
ongle du gros orteil rentré dans les chairs (procédé de Dupuytren).
Figure
9. Ablation des chairs qui recouvrent Tongle du g
EXTRACTION DES DENTS. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. PLANCHE 24.
Figure
1. Extraction de la première dent grosse molaire
véolaire gauche de la mâchoire inférieure avec la clef deGarengeot.
Figure
2. Extraction de la seconde dent grosse molaire d
alvéolaire droit de la mâchoire inférieure avec le même instrument.
Figure
3. Extraction de la seconde petite molaire du bor
la mâchoire supérieure avec la clef à panneton garni (n°6, pl. 26).
Figure
4. Extraction de la seconde dent grosse molaire d
oit de la mâchoire supérieure avec la clef tournante (n°8, pl. 26).
Figure
5. Extraction de la première incisive gauche de l
première incisive gauche de la mâchoire inférieure avec le tirtoir.
Figure
6. La même opération pratiquée sur la première in
a première incisive droite du maxillaire supérieur. PLANCHE 25.
Figures
1 et 2. Extraction des dents de sagesse de la mâc
e. — Fig. 1, bord alvéolaire droit; fig. 2, bord alvéolaire gauche.
Figures
3 et 4. Extraction des dents de sagesse de la mâc
revêtue des parties molles, est insuffisant pour loger le panneton.
Figure
5. (a) Extraction d'une canine hors de rang, et s
es trous le fil qui tire sur la dent pour la rappeler dans sa rangée.
Figure
6. (a) Extraction d'une canine saillante en dedan
e molaire oblique, dont on peut obtenir le redressement comme dans la
figure
précédente. PLANCHE 26. Figure 1. (a) Extract
enir le redressement comme dans la figure précédente. PLANCHE 26.
Figure
1. (a) Extraction, avec le davier, dune racine va
e ébranlée devant ensuite être saisie avec la pince droite (n° 13).
Figure
2. (a) Luxation, avec l'élévatoire pyramidal (n°
MÈTRES INSTRUMENS DE DEMI-DIMENSIONS. INDICATION DES INSTRUMENS
FIGURE
1. Ventouse simple, représentée en action sur la
l en ignition, de manière à isoler la peau du contact de la flamme.
FIGURES
2 et 3. Cloches à ventouse, en verre, vues par le
une cloche ovale, propre à s'adapter dans certains espaces étroits.
FIGURE
4. Ventouse à pompe. Cet instrument, le plus util
ttraction des tégumens (d) en saillie dans fintérieur de la cloche.
FIGURE
5. Ventouse à pompe, en action pour opérer un all
essiné en fonction , le lait jaillit dans l'intérieur de la cloche.
FIGURE
6. Scarificateur à ressort. Cet instrument représ
oue dentée commandant la rotation des treuils porte-lancettes. Sur la
figure
l'instrument est demi-armé, pour montrer la saill
e, par le jeu d'une détente, en pressant sur le bouton latéral (4).
FIGURE
7. Scarificateur à main de M. Pasquier. Cet instr
s parallèles dans la fig. (h), où l'instrument est représenté armé.
FIGURES
8 et 9. Bdellomètres. Le bdellomètre est à la foi
pe et un scarificateur agissant dans l'intérieur d'une même cloche.
Figure
8. Bdellomètre de M. Sarlandière. Il est représen
dans l'intérieur de la cloche. Cette pompe (d) est interrompue sur la
figure
, (e) est un ajutage central, renfermant une boîte
e l'instrument en disposition de procédera une nouvelle aspiration.
Figure
9. Bdellomètre de plus petite dimension, renferma
un corps de pompe destiné à faire le vide. DÉTAILS DE L'APPAREIL.
FIGURES
\ ET 2. 1. Cylindre en cristal, dans lequel se
nication du cylindre avec le vestibule aérien qui précède la pompe.
FIGURE
3. PROFIL DE L'AJUTAGE DU MEMBRE ABDOMINAL. Il
jutage et du cercle métallique formant l'orifice libre du cylindre.
FIGURE
4. VUE PERSPECTIVE DE LA POMPE ET DE SES ANNEXE
rifice 2 du récipient, la pompe esta volonté aspirante ou foulante.
FIGURE
5. PLAN DE LXTRÉMITÉ INFÉRIEURE DE LA POMPE ET
AIGNEES DU BRAS ET DU PIED. ADULTE, DEMI-NATURE. SAIGNÉE DU BRAS,
FIGURES
I, l ET 3. Figure 1. Elle représente le membre
PIED. ADULTE, DEMI-NATURE. SAIGNÉE DU BRAS, FIGURES I, l ET 3.
Figure
1. Elle représente le membre thoracique droit, di
ts d'élection où la piqûre de l'instrument est le plus inoflensive.
Figures
2 et 3. Anatomie chirurgicale du pli du coude au
atomie chirurgicale du pli du coude au point de vue de la saignée. La
figure
2 montre, avec les veines superficielles mises à
onévrotiques qui peuvent être lésées en traversant leur direction. La
figure
3 montre le plan sous-aponévrotique, les veines s
remier plan au-devant des parties profondes. indication commune aux
figures
2 et 3. Io Veines superficielles (1, 2,3, 4 et
erales satellites; (12) Nerf médian. SAIGNÉE DE LA SAPHÈNE INTERNE,
FIGURES
4 ET 15. Figure 4. Le pied droit du malade, app
(12) Nerf médian. SAIGNÉE DE LA SAPHÈNE INTERNE, FIGURES 4 ET 15.
Figure
4. Le pied droit du malade, appuyé sur le genou d
n droite (c) tiennent en position la lancette qui fait la ponction.
Figure
5. Anatomie chirurgicale de la région malléolaire
et dont l'épanouissement principal contourne en dedans la malléole.
Figure
6. Diverses formes de lancettes usitées pour la s
OBJET D'OBTENIR L'OBLITÉRATION DES VEINES VARIQUEUSES, FIG. \ ET 2.
Figure
1. (a) Compression des veines principales au-dess
anson, égale- ment figurée sur une branche de la saphène interne.
Figure
2. (b) Ligature. 4. Procédé de Béclard de ligat
rocédé de Wise par une ligature temporaire, avec un nœud coulant.
Figure
2. (c) Suture. 6. Procédé de Fricke par un peti
on passé au travers de la veine, avec l'intermédiaire de la peau.
Figure
2. (d) Incision. 7. 7, 7. Procédé par une série
du procédé ordinaire, où l'on ne fait qu'une seule longue incision.
Figure
I. (e) Procédé par incision des pelotons variqueu
ATURE POUR OBTENIR L'OBLITÉRATION DES ARTÈRES COUPÉES EN TRAVERS.
Figure
3. Action de saisir une artère au milieu des chai
courir successivement d'une artère à l'autre sans perdre de temps.
Figure
4. Ligature d'une artère sur un corps étranger.
de temps. Figure 4. Ligature d'une artère sur un corps étranger.
Figure
5. Refoulement d'une artère avec la pince à bague
seau étant préalablement saisi et maintenu avec la pince ordinaire.
Figure
6. Torsion simple de l'artère, maintenue entre le
ion simple de l'artère, maintenue entre les doigts de l'autre main.
Figure
7. Mâchure exercée surl'artèreavecla pince à bagu
du vaisseau avec la pince plate, suivant le procédé de M. Ainussat.
Figure
8. Torsion simple des petites artères. Figure 1
édé de M. Ainussat. Figure 8. Torsion simple des petites artères.
Figure
1). Séton formé par une lanière d'un tissu animal
au travers d'une artère, suivant le procédé de M. Horatio Jameson.
Figure
10. Enlacement des extrémités de l'artère dans de
AIYJÉVRISMES DE L'ARTÈRE AXILLAIRE. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE.
FIGURE
\. CHAPELET DE TUMEURS ANÉVRISMALES, SUR LE tra
hial, écarté par une érigne. 1. Tendon humerai du grand pectoral.
FIGURE
2. ANÉVRISME DE L'ARTÈRE AXILLAIRE, (Cas obse
GIQUE CHIRURGICALE. DIVERS CAS DANÉVRISMES. GRANDEUR NATURELLE.
FIGURE
4. ANÉVRISME POPLITÉ. (Cas observé par Desault.
t droit interne), qui revêtent l'extrémité supérieure de la tumeur.
FIGURE
2. ANÉVRISME POPLITÉ. COPIÉ D'APRÈS SCARPA (sul
la tumeur). L. Extrémité inférieure du fémur. M. Tibia. N. Péroné.
FIGURES
5 ET 4 ( DEMI-nature). ANÉVRISME POPLITÉ. guéri
l. de la Soc. de la Fac. de Méd., t. III. p. 97 ( Musée Dupuytren.)
Figure
3. Plan postérieur de l'articulation fémoro-tibia
puytren.) Figure 3. Plan postérieur de l'articulation fémoro-tibiale.
Figure
4. Plan antérieur de la même articulation. Ce cas
ranches artérielles sont indiquées par un chiffre commun sur les deux
figures
. 1. Ancienne tumeur anévrismale convertie en un
stérieure. 17. Artère péronière. 18. Artère tibiale antérieure.
FIGURE
5. ANÉVRISME DE L'ARTÈRE CAROTIDE PRIMITIVE GAU
T DE LA LIGATURE DES TRONCS ARTÉRIELS PRINCIPAUX. DEMI-NATU RE.
FIGURES
1 , 2, 3, 4. résultat de la ligature de l'artèr
ne. Le cas qui se trouve ici représenté appartient à Dupuytren. Les
figures
ont été copiées d'après les dessins originaux pro
u représente le tronc de l'iliaque primitive; et l'iléo lombaire, qui
figure
pour deux petites branches. En bas la circulation
anastomosée avec l'ischiatique par une autre branche ( o, fig. 4 ).
FIGURES
5 et 6. résultat de la ligature de l'artère hum
ment revêtue parles fibres de ce muscle, qu'elle a éraillées. Dans la
figure
5, le biceps est soulevé par des érignes pour mon
par l'interposition de la tumeur jusqu'au degré où on la voit sur les
figures
, la veine formant sur la tumeur, avec interpositi
ux petits croissans dans lesquels sont reçuesles extrémités du (il.La
figure
(a )représente l'instrument ouvert; la figure (b)
es extrémités du (il.La figure (a )représente l'instrument ouvert; la
figure
(b) le montre, au contraire, en action. L'artère
éceptes dans l'ordre incliqué par les ligures. TEMPS OPÉRATOIRES.
FIGURE
\. Incision de la peau par le bistouri tenu en
fascia superfîcialis. b. Bistouri incisant, en première position.
FIGURE
2. Incision de l'aponévrose sous-cutanée sur la
e cannelée, sur laquelle glisse le bistouri. c. Plaie opératoire.
FIGURE
3. Ecartement des muscles. Déprimant, de la m
e cannelée, déchirant le tissu cellulaire séreux inter-muscu-laire.
FIGURE
4. Incision de la gaine des vaisseaux. a. Pin
de cannelée, pour agrandir l'ouverture faite à la gaine vasculaire.
FIGURE
5. Dénudation de l'artère sur le bord du vaisse
u doit se trouver dénudé, en dessous, de la moitié de son diamètre.
FIGURE
6. Dénudation de l'artère sur le bord du vaisse
é, ou l'aiguille de Deschamps, suffisent dans presque tous les cas.
FIGURE
7. Introduction du stylet aigidllé porte-jîL
etirer l'aiguille, qui laisse l'autre extrémité sur le bord opposé.
FIGURE
8. Soulèvement de l'artère dans L'anse du fd.
re du vaisseau, que l'artère seule est comprise dans l'anse du fil.
FIGURE
9. Temps spécial de la ligature proprement dite
proprement dite, ou action de serrer le fil par un double nœud. La
figure
indique l'action uniforme des deux mains sur chaq
lui de droite faisant le service des instrumens et du pansement. La
figure
i, qui n'est qu'auxiliaire, représente les détail
, DEMI-NATURE. DISPOSITION GÉNÉRALE. Cette planche comprend trois
figures
Figure 1. La jambe droite, demi-fléchie, est co
URE. DISPOSITION GÉNÉRALE. Cette planche comprend trois figures
Figure
1. La jambe droite, demi-fléchie, est couchée sur
hauteurs différentes. Chacune des plaies a pour auxiliaire une petite
figure
au trait, pour en permettre le numérotage. Figu
liaire une petite figure au trait, pour en permettre le numérotage.
Figure
2. Elle répète la fig. 1, en donnant l'anatomie c
1, en donnant l'anatomie chirurgicale des deux plaies supérieures.
Figure
3. Ligature de l'artère péronière au milieu de la
lle de Deschamps ou le stylet aiguillé, est glissé sous l'artère.
FIGURE
1. LIGATURES DE LA TIBIALE POSTÉRIEURE. 1° (A)
en transparence sous l'aponévrose. LIGATURE DE L'ARTÈRE PÉRONIÈRE,
FIGURE
3. 1. Section de la peau. — 2. Section de l'apo
-NATURE. DISPOSITION GÉNÉRALE. Cette planche représente, sur deux
figures
, la ligature de l'artère poplitée par deux procéd
est passé sous l'artère soulevée du fond de la plaie. OPÉRATIONS.
FIGURE
4. LIGATURE DE LA POPLITÉE. (Procédé ordinaire)
passée sous l'extrémité inférieure de l'artère, entre les jumeaux.
FIGURE
2. LIGATURE DE L'ARTÈRE POPLITÉE ;B et B2). (Proc
x opérations, représentées sur le même membre, a pour auxiliaire deux
figures
: 2 et 4 reproduisent le trait des plaies opérato
gle de l'index guidant le bec de l'instrument. DÉTAILS DE LA PLAIE,
FIGURE
2. 1. Section de la peau. — 2. Section du fasci
la sonde cannelée en premier plan de la plaie. DÉTAILS anatomiques,
figure
3. Les chiffres 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 indiquent l
elle est amenée, n'offrant plus de difficulté. DÉTAILS DE LA PLAIE,
FIGURE
4. 1. Section de la peau. — 2. Section du fasci
ion de la gaîne des vaisseaux fémoro-poplités. DÉTAILS ANATOMIQUES,
FIGURE
5. Les chiffres 1, 2, 3, 4, 5 indiquent les mêm
haut et en face de l'opérateur. Cette planche comprend deux grandes
figures
: Figure 1. Elle représente cinq opérations: 1°
ace de l'opérateur. Cette planche comprend deux grandes figures :
Figure
1. Elle représente cinq opérations: 1° (A) Artère
irurgicale des plaies opératoires (A, B, C, D, E) de la fis. 1. Cette
figure
est commune à cette planche et à celle qui suit (
diale est ponctué, dans les intervalles, sur la fig. 2. Les petites
figures
(A2, B\ C2, D2) ne sont que le trait des plaies o
a surface. LIGATURE DE L'ARTÈRE HUMÉRALEj, au pli du coude. (A)
Figure
2 et A2. — 1. Sectionne la peau. —2. Section de l
RE DE L'ARTÈRE CUBITALE. 1° Portion supérieure antibrachiale. (B)
Figures
1, 2, et B2. — (a) Doigt indicateur d'un aide qui
cubitale, entre ses deux veines (8, 8). 2° Portion carpienne. (C)
Figures
1, 2, et C2. — 1. Section de la peau. —2. Section
(6, 6). — 7. Nerf cubital. 3° Branches terminales palmaires. (D)
Figures
1, 2, etD2. —Trois fils à ligatures sont placés,
GATURE DE L'ARTÈRE RADIALE. Portion inférieure anTibrachiale. (E)
Figures
1, 2, et E2. — 1. Section de la peau. —2. Section
supérieure antibrachiale. (Voyez , pour P opération , pl. 41 ) (F)
Figure
2 ; et planche 41, Fig. 1 ; et F2. — 1. Section d
ère à son passage sur la première côte. Cette planche comprend deux
figures
principales : Figure 1. Elle représente quatre
première côte. Cette planche comprend deux figures principales :
Figure
1. Elle représente quatre opérations de ligature
eu du bras : à cette plaie se joint, pour l'anatomie chirurgicale, la
figure
(G2). 2° (F) Artère radiale, à la partie supérieu
tibrachiale; (H) à la naissance de l'arcade palmaire superficielle.
Figure
2. Ligature de l'artère radiale sur la face dorsa
ure de l'artère radiale sur la face dorsale de la main. Les petites
figures
(G2, F2, C2) reproduisent le trait des plaies opé
en retour par son anastomose avec l'arcade profonde de la radiale.
FIGURE
2. LIGATURE DE LA RADIALE, portion dorsale. 1
LAVIÈRE ET CAROTIDE. ADULTE, DEMI-NATURE. DISPOSITION GENERALE.
Figure
1. Elle représente la ligature de l'artère axillo
s l'artère. (Voyez, pour les détails anatomi-ques, pl. 43, fig. 2).
Figure
2. Elle représente deux ligatures, celles de la c
'opérateur, de manière à éclairer le fond des plaies. OPÉRATIONS.
FIGURE
1. (A et A2) LIGATURE DE L'ARTÈRE HUMÉRALE, a
C et C2) LIGATURE DE L'ARTÈRE CAROTIDE. Procédé de M. Sédillot.
FIGURE
2. (Bet B'2) LIGATURE DE L'ARTÈRE SOUS-CLAVIÈRE
CLAVIÈRE ET AXILLAIRE. ADULTE, DEMI-NATURE. DISPOSITION GÉNÉRALE.
Figure
1. Elle représente deux ligatures, celles des art
à droite de l'opérateur, de manière à éclairer le fond des plaies.
Figure
2. Détails anatomiques des régions sus et sous-cl
e 2. Détails anatomiques des régions sus et sous-claviculaires. Cette
figure
explicative est commune aux deux planches 42 et 4
te figure explicative est commune aux deux planches 42 et 45, et à la
figure
1 de cette planche-ci 43. OPERATIONS. FIGURE
es 42 et 45, et à la figure 1 de cette planche-ci 43. OPERATIONS.
FIGURE
1. (A et A*) LIGATURES DE L'ARTÈRE SOUS CLAVIÈR
. Artère axillaire, engagée dans l'anse de l'aiguille de Deschamps.
FIGURE
2. DÉTAILS ANATOMIQUES Communs aux différentes
ton relevé et incliné du côté opposé au chirurgien. OPÉRATIONS.
FIGURE
\. A et A2. LIGATURE DE L'ARTÈRE CAROTIDE EXTER
e. 5. Artère temporale sous laquelle est passé un fil à ligature.
FIGURE
2. LIGATURE DE L'ARTÈRE LINGUALE. 1. Section de
LAVIÈRE ET AXILLAIRE ADULTE, DEMI-NATURE. DISPOSITION GÉNÉRALE.
Figure
1. Elle représente la ligature de l'artère caroti
paule abaissée, le menton relevé, la face inclinée en sens inverse.
Figure
2. Elle représente deux ligatures : celles de la
s régions sus et sous-claviculaires, pl. 43, fig. 2). OPÉRATIONS.
FIGURE
\. LIGATURE DE L'ARTÈRE CAROTIDE PRIMITIVE, (A
s, le muscle sterno-mastoïdien. (Voyez, pour le numérotage, la petite
figure
au trait (A2 ). 1. Section de la peau.— 2. Sect
ciale. — 4. Artère faciale, sous laquelle est passée la ligature.
FIGURE
2. LIGATURE DE L'ARTÈRE SOUS-CLAVIÈRE (C et C2)
n haut et à droite, pour éclairer le fond des plaies. OPÉRATIONS.
FIGURE
\ (A ET A'). (Procédé de M. Vcdentine Mott).
Chacune de ces trois artères est embrassée par un fil à ligature.
FIGURE
2 (B ET R2). (Procédé de M. KingJ. Le chirurg
-NATURE. DISPOSITION GÉNÉRALE. Cette planche représente, sur deux
figures
, la ligature de l'artère fémorale à sa naissance,
ère iliacpie externe. La position du malade est la même pour les deux
figures
. Il est couché sur le dos, un peu incliné du côté
côté de l'opérateur, et la cuisse légèrement fléchie. OPERATIONS.
FIGURE
\. LIGATURE DE L'ARTÈRE FÉMORALE, (A et A2).
orale, sur l'aiguille anglaise modifiée d'après celle de Deschamps.
FIGURE
2. LIGATURE DE L'ARTÈRE ILIAQUE EXTERNE, (B et
pour éclairer le fond de la plaie. La plaie ombrée (A) delà grande
figure
est reproduite au trait (A1), pour faciliter le n
DULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 49. SOLUTIONS DE CONTINUITÉ DES OS.
figure
\. Extraction d'une balle engagée dans la crête
sentée au moment où on enlève le corps étranger avec le tire-balle.
figure
2. (Pièce dessinée au Muséum de la Faculté.)
e cas réel nous a servi de modèle pour l'opération supposée fig. 1.
figure
3. ( Pièce du Muséum de la Faculté. ) Extrémi
e extraction facile, en raison de la position sous-cutanée de l'os.
figure
4. ( D'après une pièce du Muséum de la Faculté.
ce et le bistouri les nombreuses esquilles fichées dans les chairs.
figure
5. ( Pièce du Muséum de la Faculté.) Fausse a
eriori dune sorte de cal artificiel, comme dans les cas d'ankylose.
figure
6. Opération du séton pratiquée au travers du t
uytren (pl. 55, fg. 18). L'opération étant achevée, représente sur la
figure
la mèche à séton, formée d'un épais ruban de soie
laie de part en part. PLANCHE 50. DIVERSES OPÉRATIONS SUR LES OS.
figure
1. (Pièce copiée au Muséum de la Faculté.) Ab
séparée seulement, de la précédente par le trait de scie vertical.
figure
2. Ablation d'une exostose éburnée du tiers sup
xostose éburnée du tiers supérieur de l'humérus , d'après une pièce (
figure
3) copiée au Muséum de la Faculté. Un lambeau tri
rement à la base de la tumeur, est employée à en opérer la section.
figure
4. FORMATION D'UNE ARTICULATION FÉMOlîALE ARTIF
té en dedans, a été pratiquée avec la scie à chaîne de M. Jeffrey. La
figure
représente l'opération au moment où elle vient d'
. EXTRACTIONS DE SÉQUESTRES. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 31.
Figures
1 et 1 bis. Enlèvement d'une portion nécrosée de
igures 1 et 1 bis. Enlèvement d'une portion nécrosée de Vos frontal.—
Figure
1. L'opération est représentée lorsqu'ayant mis à
toire pour pouvoir le saisir et l'amener au-dehors avec des pinces. —
Figure
1 bis. Pièce nécrosée dessinée au Muséum de la Fa
essinée au Muséum de la Faculté, qui sert de type pour l'opération.
Figure
2. Extraction d'un séquestre de la clavicule. L'o
du séquestre. (Voyez, pour un cas de cette nature, pl. 54, fig. 9.)
Figure
3. Séquestre de l'humérus. L'opération est figuré
i de M. Charrière , séparé de la scie à molette. (Pl. 55, fig. 17.)
Figure
4. Séquestre de la partie moyenne du radius. Une
s. Une ouverture suffisante étant pratiquée, le chirurgien, sur cette
figure
, opère la section du séquestre, que l'on suppose,
coup par la cisaille de M. Lyston. ( Pl. o5,fig. 19.) PLANCHE 52.
Figure
L Séquestre du fémur. La plaie étant pratiquée à
t moins à craindre. (Voyez, pour un cas analogue, pl. 54 , fig. 7.)
Figure
2. A. Séquestre du tibia. (Voyez pl. 54, fig. 8.)
INSTRUMENS DU TREPAN. DEMI - GRANDEUR, 4o INSTRUMENS DU TREPAN.
Figure
1. Arbre de trépan garni de tous ses accessoires.
ée par un tenon dans une mortaise et, maintenue par un ressort (d).
Figures
2 et 3. Couronnes de rechange de divers diamètres
( f ) est le sommet de la pyramide vissée à la base de la couronne.
Figures
2 et 3 bis. Plan de la couronne avec sa pyramide.
uronne. Figures 2 et 3 bis. Plan de la couronne avec sa pyramide.
Figure
4. Pyramide. Figure 5. Clef dans laquelle est r
3 bis. Plan de la couronne avec sa pyramide. Figure 4. Pyramide.
Figure
5. Clef dans laquelle est reçue la pyramide quadr
lle est reçue la pyramide quadrangulaire et qui sert à la dévisser.
Figures
6 et 7. Trépans perforatifs, triangulaire (6), et
7. Trépans perforatifs, triangulaire (6), et en vilebrequin ( 7 ).
Figure
8. Tire-fonds. Figures 9 et 10. Rugines. Figu
triangulaire (6), et en vilebrequin ( 7 ). Figure 8. Tire-fonds.
Figures
9 et 10. Rugines. Figures 9 bis et 10 bis. Plan
ebrequin ( 7 ). Figure 8. Tire-fonds. Figures 9 et 10. Rugines.
Figures
9 bis et 10 bis. Plan des lames des rugines. Fi
10. Rugines. Figures 9 bis et 10 bis. Plan des lames des rugines.
Figures
11 et 12. Couteaux lenticulaires; simple (11) et
gures 11 et 12. Couteaux lenticulaires; simple (11) et double (12).
Figure
13. Brosse qui sert à nettoyer les couronnes de t
osse qui sert à nettoyer les couronnes de trépan de la sciure d'os.
Figures
14 et 15. Élévatoires destinés à soulever ou déta
inés à soulever ou détacher les pièces d'os sciées par la couronne.
Figure
16. Élévatoire-rugine. Figure I 7. Tréphine (ou
pièces d'os sciées par la couronne. Figure 16. Élévatoire-rugine.
Figure
I 7. Tréphine (ou trépan anglais). Cet instrument
uelle doit agir la couronne. r OPÉRATION DE TREPANATION AU CRANE.
Figure
A. Le malade, dans l'état de coma, est couché , l
mère mise à nu par l'enlèvement des quatre premiers disques osseux.
Figure
B. Elle représente deux autres temps opératoires.
mise à découvert, en régularisant les bords de la section de l'os.
Figure
C. Section de la dure-mère avec le bistouri droit
APRÈS DES PIÈCES DU MUSÉE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE. DEMI-NATURE.
FIGURES
4 ET 2. ANKYLOSE COMPLÈTE DE L'ARTICULATION COX
FIGURES 4 ET 2. ANKYLOSE COMPLÈTE DE L'ARTICULATION COXOFEMORALE.
Figure
1. Face antérieure de l'articulation coxo-fémoral
ORALE. Figure 1. Face antérieure de l'articulation coxo-fémorale.
Figure
2. Plan de section de la même articulation. Il té
Philadelphie a pratiqué avec succès une articulation artificielle.
FIGURES
3 ET 4. ARTICULATIONS CONTRE NATURE, (fractures
3 ET 4. ARTICULATIONS CONTRE NATURE, (fractures non-consolidées).
Figure
3. Fausse articulation au tiers inférieur du fému
dées). Figure 3. Fausse articulation au tiers inférieur du fémur.
Figure
4. Fausse articulation au tiers inférieur du tibi
de ceux où un chirurgien prudent s'abstiendrait de toute opération.
FIGURES
5, 6, 7, 8, 9, 40. NÉCROSES. Figures 5 et 6.
ndrait de toute opération. FIGURES 5, 6, 7, 8, 9, 40. NÉCROSES.
Figures
5 et 6. Nécroses de l'humérus. Dans \a\fig. 6, où
e seule pièce, entièrement libre dans la cavité intérieure de l'os.
Figure
7. Nécrose de l'extrémité inférieure du fémur. L'
tion qui montre la texture aréolaire de l'os de nouvelle formation.
Figure
8. Nécrose de toute la diaphjse du tibia. Le séqu
ravers de l'os de nouvelle formation (b, b), encore très incomplet.
Figure
9. Nécrose de la clavicule, (a) Séquestre; (b) no
Figure 9. Nécrose de la clavicule, (a) Séquestre; (b) nouvel os.
FIGURES
44, 42, 43. CARIES. Figure 10. Carie de l'extré
vicule, (a) Séquestre; (b) nouvel os. FIGURES 44, 42, 43. CARIES.
Figure
10. Carie de l'extrémité cubitale de l'humérus.
3. CARIES. Figure 10. Carie de l'extrémité cubitale de l'humérus.
Figure
11. Carie de l'extrémité numérale des os de l'ava
Figure 11. Carie de l'extrémité numérale des os de l'avant bras.
Figure
12. Carie commençante de la tête du fémur. Ce cas
e. (Voy. pour la texture normale t. IV. pag. 144-146 et pl. 51-54.)
Figure
13. Carie de la partie supérieure de la diaphyse
Figure 13. Carie de la partie supérieure de la diaphyse du tibia.
Figure
14. Végétations de l'extrémité supérieure du fému
de l'intérieur de la tumeur dans les parties molles environnantes.
FIGURE
45. SPINA-VENTOSA DE L'EXTRÉMITÉ FÉMORALE DU TIBI
PÉRATIONS DIVERSES QUI SE PRATIQUENT SUR LES OS. DEMI-GRANDEUR.
FIGURES
4, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8. COUTEAUX A AMPUTATIONS.
GRANDEUR. FIGURES 4, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8. COUTEAUX A AMPUTATIONS.
Figure
1. Grand couteau de M. Lisfranc pour l'amputation
de M. Lisfranc pour l'amputation dans l'articulation coxo-fémorale.
Figure
2. Grand couteau droit pour l'amputation de la cu
le. Figure 2. Grand couteau droit pour l'amputation de la cuisse.
Figure
3. Grand couteau inter-osseux pour l'amputation d
Figure 3. Grand couteau inter-osseux pour l'amputation de la jambe.
Figure
4. Couteau droit pour l'amputation du bras. Fig
n de la jambe. Figure 4. Couteau droit pour l'amputation du bras.
Figure
5. Petit couteau inter-osseux pour l'amputation d
our l'amputation de l'avant-bras et pour diverses désarticulations.
Figure
6. Petit couteau droit pour les désarticulations
cet instrument, dont l'usage n'est pas encore introduit en France.
Figure
7. Scalpel, ou seulement bistouri droit, pour tra
acer le passage no In cpip an travprc ripe rdinîrc tt rln mVinctn
FIGURES
9, 4 0, 44, 42, 4 3, 4 4, 4 5, 4 6, 4 7. DIVERSES
t les cas, dans les opérations variées qui sepraliquent sur les os.
Figure
8. Grande scie à amputation de nouveau modèle. La
lonté l'action de la scie devant soi ou de l'un et de l'autre côté.
Figure
9. Petite scie de même modèle que la précédente,
précédente, généralement destinée aux amputations de l'avant-bras.
Figures
10 et 11. Petites scies droites en couteau. Fig
l'avant-bras. Figures 10 et 11. Petites scies droites en couteau.
Figures
12 et 13. Scies en crête de coq. Ces quatre der
r au travers d'un espace étroit des portions d'os de peu de-tendue.
Figure
14. Scie a chaîne de M. Jeffrey. Très ingénieux e
ou l'on raccroche ensuite la poignée pour faire agir l'instrument.
figure
15. Ostéotome ou Scie à résection de M. Heine. Ce
fond ou un croissant , sert à fixer l'instrument sur l'os où il agit.
Figures
16 et 17. Scie à molette et à trépan de MM. Charr
anivelle, (e) est une plaque centrale appliquée sur la lame (a) de la
figure
16 et maintenu par deux vis latérales ; (c, figur
la lame (a) de la figure 16 et maintenu par deux vis latérales ; (c,
figure
16), est la manivelle commune; (f) une roue à eng
le mouvement à une autre roue semblable placée sur l'autre face de la
figure
16, qui commande l'arbre du trépan (g); (b) est l
dessiner la scie de M. Martin, qui répond à des usages semblables.
Figures
18 et 18 bis. Perforateur de Dupuytren. Il se com
lame den-ticulée (c), rentrante dans le manche (d), interrompu sur la
figure
par manque d'espace. Figure 20. Cisailles de M.
e dans le manche (d), interrompu sur la figure par manque d'espace.
Figure
20. Cisailles de M. Lyston, destinées à pratiquer
e petite portion d'os, ou celle d'une phalange ou d'un métacarpien.
Figures
21 et 22. Tenailles incisives. Figure 23. Maill
lange ou d'un métacarpien. Figures 21 et 22. Tenailles incisives.
Figure
23. Maillet de plomb pour frapper sur le ciseau d
e plomb pour frapper sur le ciseau dans les sections d'os partielles.
Figures
24 et 25. Ciseaux ou gouges, plat et concave. Fig
RSES RÉSECTIONS DES OS DU MEMBRE THORACIQUE. ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURE
\. Extinction de la première phalange du médius
n est donnée comme un exemple de l'enlèvement isolé d'une phalange.
FIGURE
2. Extraction du premier os du métacarpe. L'opé
(e) ont été seulement détachés de l'os sans solution de continuité.
FIGURE
3. Résection de l'extrémité carpienne du cubitu
refoulant les vaisseaux cubitaux préservés de l'action de la scie.
FIGURE
4. Résection de l'extrémité carpienne du radius
s qu'à couper avec le bistouri (e) un dernier fragment de ligament.
FIGURE
5. Extirpation du radius en totalité. Une incis
SECTION DE L'ARTICULATION HUMÉRO-CURITALE. ( Procédé de Moreau. )
FIGURE
\. RÉSECTION PARTIELLE DE 1,'eXTRÉMITÉ INFÉRIEU
rieure de l'humérus dont on pratique la résection. H. Bistouri.
FIGURE
2. RÉSECTION COMPLÈTE DE L'ARTICULATION HUMÉRO-
ON HUMÉRO-CURITALE. La disposition générale est la même que dans la
figure
précédente. L'opération est également supposée au
Bistouri qui achève la section des dernières adhérences fibreuses.
FIGURE
5. Réunion des bords de la plaie après la résec
CTION DE L'ARTICULATION SCAPULO-HUMÉRALE. ( Procédé de M. Syme. )
Figure
1. Le malade étant supposé contenu en position as
ection du corps de l'humérus à la hauteur de son col chirurgical.
Figure
2. Réunion de la plaie par plusieurs points de su
numérale. MÊME RÉSECTION (côté gauche). ( Procédé de l'auteur. )
Figure
3. Résection de la tête humérale. Le malade étant
rurgical de l'humérus. M, section du deltoïde. N , tête humérale.
Figure
4. Aspect de la plaie après la, résection. Cette
e humérale. Figure 4. Aspect de la plaie après la, résection. Cette
figure
a pour but de montrer l'intérieur de la cavité, o
T, section du tendon du sous-scapulaire. — U, section de l'humérus.
Figure
5. Réunion de la plaie par plusieurs points de su
en; ce n'est donc que pour mémoire que nous l'avons fait figurer ici.
Figure
1. A. Résection isolée de l'extrémité tarsienne d
r-osseux. ( s ). Premier os métatarsien que l'on extrait de la plaie.
Figures
2 et 3. Résection de l'extrémité tarsienne du pér
'extrémité tarsienne du péroné. L'opération est représentée : dans la
figure
2, au moment où l'on pratique la section de l'os,
oniennedu tibia. (g) . Bistouri qui achève la section des ligamens.
Figure
l\. RÉSECTION EN MASSE DE L'ARTICULATION TIBIO-
enlève qu'une portion restreinte des extrémités articulaires. Dans la
figure
, l'opération est supposée au moment de sa termina
urfaces, ou seulement l'extrémité carpienne des os de l'avant-bras.
Figure
1. Résection de l'articulation radio-carpienne. L
cie à chaîne occupée à pratiquer la résection de os de Favant-bras.
Figure
2. Vue de l'opération après Pextraction au traver
, faciles à réunir, et dont l'aspect est celui des plaies d'un séton.
Figure
2 bis. Fragmens des os enlevés. Us se composent d
'ARTICULATION TIBIO-TARSIENNE (côté gauche). {Procédé de l'auteur.)
Figure
4. Résection de l'extrémité tibio-péronienne. L
e. Sur le tibia rampe la veine saphène interne (I), écartée en avant.
Figure
G. Réunion. Comme pour l'opération radio-carpienn
ANCHES 61 ET 62. RÉSECTIONS. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 61.
FIGURE
\. A. RÉSECTION DU CORPS DU PÉRONÉ Pratiquée
U CALCANÉUM. L'extraction du cuboïde a été pratiquée par Moreau. La
figure
ici a pour objet de montrer les ressources dont o
eurs et les nerfs superficiels. Le cuboïde étant déjà enlevé sur la
figure
, voici les parties qui composent la plaie : (c)
on de toutes les surfaces articulaires au pourtour de l'excavation.
FIGURE
2. RÉSECTION DE LA PARTIE POSTÉRIEURE DU CALCAN
rait perpendiculaire réunit les deux premiers en un sommet tronqué.
FIGURE
3. EXTIRPATION DU SCAPHOÏDE ET RÉSECTION DU GRA
même instrument de la surface scaphoïdienne du grand cunéiforme.
FIGURE
4. RÉSECTION DE LA TÊTE DU PÉRONÉ. ( Procédé
RÉSECTION DE L'ARTICULATION FÉMORO-TIRIALE. ( Procédé de Moreau. )
Figure
1. Résection terminée. Figure 2. Sections de l'ex
FÉMORO-TIRIALE. ( Procédé de Moreau. ) Figure 1. Résection terminée.
Figure
2. Sections de l'extrémité du tibia. Figure 3. Ré
re 1. Résection terminée. Figure 2. Sections de l'extrémité du tibia.
Figure
3. Réunion de la plaie. Figure 1. Le membre abd
2. Sections de l'extrémité du tibia. Figure 3. Réunion de la plaie.
Figure
1. Le membre abdominal gauche étant couché sur sa
un bistouri (1) achève de couper la dernière attache ligamenteuse.
Figure
2. Cette figure a pour objet de montrer le mode d
achève de couper la dernière attache ligamenteuse. Figure 2. Cette
figure
a pour objet de montrer le mode de section des ex
ie sur sa face postérieure d'une compresse qui garantit les chairs.
FIGURE
3. Réunion de la plaie par quelques points de sut
d'après nature par N.H. Jacob. RÉSECTIONS. ADÜLTE, DEMI-NATURE.
FIGURE
4. RÉSECTION DES COTES. L'opération est suppo
iné vers l'opérateur, dans le moment de l'opération représenté sur la
figure
, la section des deux côtes étant déjà opérée en d
. 9,10. Fils à ligature des artères thoraciques et intercostales.
FIGURE
2. RÉSECTION DE LA MOITIÉ SUPÉRIEURE DE L'OMOPL
oitié supérieure de l'omoplate par sa situation superficielle. Sur la
figure
, l'opération est supposée au moment où elle vient
s à ligature des artères scapulaires supérieure et posté- rieure.
FIGURE
3. RÉSECTION DE LA MOITIÉ EXTERNE DE LA CLAVICU
le que vient dernièrement de la pratiquer avec succès M. Velpeau. Les
figures
i, 2 et 3 reproduisent cette opération. FIGURE
cès M. Velpeau. Les figures i, 2 et 3 reproduisent cette opération.
FIGURE
\. EXTRACTION DE L'OS MAXILLAIRE. Cne incision
d'avant en arrière, pour l'amener au-dehors. Détails compris sur la
figure
. Figures 1 et 2. f. Section de l'arcade zygomat
arrière, pour l'amener au-dehors. Détails compris sur la figure.
Figures
1 et 2. f. Section de l'arcade zygomatique. g.
istouri tenu de sa main gauche, et qui opère la section des chairs.
FIGURE
2. SURFACE DE LA PLAIE APRÈS L'ABLATION DE L'OS
ÈS L'ABLATION DE L'OS. Détails supplémentaires gui ne sont pas sur la
figure
1. Deneno. Étendue de la lèvre supérieure relev
tion de l'attache zygomatique du masseter. v. Surface de la langue.
FIGURE
3. RÉUNION DE LA PLAIE APRÈS L'OPÉRATION PRÉCÉD
n linéaire que maintiennent plusieurs points de suture entortillée.
FIGURE
4. RÉUNION DE LA PLAIE , indiquant la trace des
cob. RÉSECTIONS DE LA MÂCHOIRE INFÉRIEURE. ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURE
i. RÉSECTION DE LA PORTION MOYENNE DE LA MACHOI
va pratiquer la section des génio-glosses, génio et mylo-hyoïdiens.
FIGURE
2. RÉSECTION DE LA BRANCHE GAUCHE DE LA MACHOIR
RÉSECTION DE LA BRANCHE GAUCHE DE LA MACHOIRE INFÉRIEURE. Cette
figure
montre l'ablation de la moitié du corps de la mâc
t glisser la scie à chaîne, occupée, dans le moment représenté sur la
figure
, à pratiquer la section transversale de la mâchoi
sur la figure, à pratiquer la section transversale de la mâchoire.
FIGURE
3. RÉSECTION DE LA MACHOIRE EN TOTALITÉ. Cett
yenne (k) pour faciliter la désarticulation de chaque branche. Sur la
figure
, la moitié gauche de l'os a déjà été enlevée, et
roncs temporo-maxillaires. Enfin, au dernier moment représenté sur la
figure
, l'apophyse coronoïde étant isolée, le chirurgien
tte direction, il ressort un fait général suffisamment exprimé par la
figure
1. Ce fait, dont nous donnerons les études micros
vers tissus, et qui forme leur adhérence ou leur cicatrice commune.
Figure
1. MOIGNON DE JAMBE AMPUTÉE. Nous devons ce cas
les vaisseaux et les nerfs. INDICATION DES PARTIES COMPRISES SUR LA
FIGURE
. A. Extrémité inférieure de la cuisse, renferma
entre les branches voisines. 10. Nerf sciatique poplité externe.
Figure
2. MOIGNON DU PIED. ( Amputation de Chopart. )
s tégumens, mis en perspective. Des traits blancs, qui passent sur la
figure
, tracent les courbes que décriraient le dos du pi
la face inférieure de l'astragale. Du côté opposé, non visible sur la
figure
, les deux tendons péroniers (M) se fixent sur les
alcanéo-astragalienne sont intactes et libres dans leurs mouvemens.
Figures
3, 4,5, 6, 7, 8, 9, 10. Extrémités d'os des membr
ossifications irrégulières dans les attaches fibreuses des muscles.
Figures
il à 17. EXAMEN MICROSCOPIQUE DES INSTRUMENS TR
IQUE DES INSTRUMENS TRANCHANS. (Grossissement de cent diamètres.)
Figures
11, 12, 13, 14. Détails de tranchant d'un bistour
ils de tranchant d'un bistouri. Pour comprendre l'intelligence de ces
figures
, il faut se représenter les divers détails comme
aurait, du talon à la pointe, 22 pieds de long et 3 pieds de large.
Figure
11. Pointe du bistouri. On y voit : en haut, le b
la lame et l'arête latérale du dos, usée pour rejoindre la pointe.
Figure
12. Biseau du tranchant, montrant ses arêtes obli
ant, montrant ses arêtes obliques et ses denti-cules sur le profil.
Figure
13. Epaisseur du tranchant, vue perpendiculaireme
rangée de denticules du sommet entre celles des courbes latérales.
Figure
14. Coupe des biseaux , par exception, à un gross
sée de denticules disposées par rangées irrégulièrement parallèles.
Figure
15. Pointe d'une bonne lancette. Elle forme un an
es des biseaux des tranchans y sont plus fines que sur le bistouri.
Figure
16. Profil du biseau dorsal d'une lame d'excellen
pinion que ces instrumens divisent plutôt en pressant qu'en sciant.
Figure
17. Coupe d'un tranchant de ciseaux, montrant l'a
PLANCHE 67. AMPUTATIONS DES PHALANGES. 1° Dans la continuité.
Figure
1. A, Amputation de la seconde phalange de l'indi
, Amputation à un lambeau palmaire. L'opération étant terminée sur la
figure
, il ne reste plus qu'à faire le pansement. 2° D
il ne reste plus qu'à faire le pansement. 2° Dans la contiguïté.
Figure
2. C, Amputation de l'articulation inter-phalangi
inter-phalangienne du pouce. L'opération est représentée terminée.
Figure
2 bis. D, Réunion du moignon de l'opération précé
e opération de même genre, supposée pratiquée sur le doigt annulaire.
Figure
3. G, Amputation dans la seconde articulation int
i a franchi l'articulation , fait la section du petit lambeau dorsal.
Figure
3 bis. Moignon de la même opération vu de face.
sal. ( Procédé de M. Lisfranc.) L'opération est représentée terminée.
Figure
4. I, ^Amputation inter-phalangienne à un seul la
doigt. PLANCHE 68. AMPUTATIONS DES DOIGTS (DANS LA CONTIGUÏTÉ.)
FIGURE
\. A, Amputation ovalaire. (Procédé de M. Scout
r l'articulation du petit doigt. C, Réunion du moignon précédent.
FIGURE
2. amputations a lamheaux dans les articulation
le tranchant est tourné en dehors pour détacher le lambeau interne.
FIGURE
3. amputation des quatre derniers doigts dans l
rticulations, est employé à achever la section du lambeau palmaire.
FIGURE
4. Amputation circulaire des quatre derniers do
e du moignon, lorsqu'il ne reste plus qu'à en pratiquer la réunion.
FIGURE
5. Amputation dans la continuité du troisième o
nu MVTIXC A RPl? AMPUTATIONS DU MÉTACARPE. ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURES
I, 2 ET 5. AMPUTATION CIRCULAIRE DANS LA CONTIN
AIRE DANS LA CONTINUITÉ DES QUATRE OS MÉTACARPIENS. (Membre droit.)
Figure
1. Section des chairs sur la face palmaire. a,
ui opère la section des chairs et des tendons sur la face palmaire.
Figure
2. Section en masse des quatre os métacarpiens pa
t qui opère d'un seul coup la section des quatre os métacarpiens.
Figure
3. Réunion par première intention de l'opération
t être oblitérées par torsion , sans qu'il soit besoin de les lier.
FIGURE
4. AMPUTATION DANS LA CONTIGUÏTÉ DES ARTICULATI
r, Benard et Cie. AMPUTATIONS SUR LA MAIN. ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURE
\ FIGURE 5, AMPUTATION OVALAIRE DANS L ARTICU
t Cie. AMPUTATIONS SUR LA MAIN. ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURE \
FIGURE
5, AMPUTATION OVALAIRE DANS L ARTICULATION CARP
n droite, et qui achève de couper les ligamens de l'articulation.
FIGURE
2. AMPUTATION CARPO-METACARPIENNE DU PETIT DOIG
main droite, et qui entre dans l'articulation par son côté interne.
FIGURE
4. AMPUTATION DU POUCE A UN LAMBEAU. Le bisto
QUE. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 71. AMPUTATIONS DU POIGNET.
FIGURES
A ET 2. amputation circulaire dans la contiguït
on circulaire dans la contiguïté de l'articulation radio-carpienne.
Figure
1. Le moment de l'opération est représenté lorsqu
u malade. c, Main droite du chirurgien qui opère avec le couteau.
Figure
2. Elle représente la surface du moignon après la
f) des deux mains; la main (g) d'un autre aide soutient le moignon.
FIGURE
3. amputation a un lambeau palmaire. (Procédé d
a main droite du chirurgien, achève la section du lambeau palmaire.
FIGURE
4. Réunion par première intention de l'amputati
e. FIGURE 4. Réunion par première intention de l'amputation de la
figure
3. FIGURE 5. amputation a deux lambeaux dans
4. Réunion par première intention de l'amputation de la figure 3.
FIGURE
5. amputation a deux lambeaux dans l'articulati
tion du lambeau dorsal. PLANCHE 72. AMPUTATIONS DE LAVANT-BRAS.
FIGURES
I , 2 ET 3. amputation girculaire de l'avant-br
ET 3. amputation girculaire de l'avant-bras. (Membre gauche.) La
figure
1 représente le premier temps de l'opération ; le
droite fait la dissection dans le tissu cellulaire sous-cutané. La
figure
2 représente l'opération terminée au moment oit l
ure, rassemblés en faisceau vers la partie inférieure de la plaie. La
figure
3 représente le moignon après la réunion de la pl
re sont rassemblés à leur sortie par l'angle inférieur de la plaie.
FIGURE
4. amputation de l'avant-bras a un lambeau. (Me
GURE 4. amputation de l'avant-bras a un lambeau. (Membre droit.) La
figure
représente la surface du moignon, l'opération ter
a plaie. h, Section des os et des muscles de la face postérieure.
FIGURE
5. amputation circulaire dans la contiguïté de
IONS SUR LE MEMBRE THORACIQUE. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 75.
FIGURE
\. amputation a lambeaux dans l'articulation hu
ne s'agit plus que de détacher l'olécrâne. Le procédé suivi sur cette
figure
est celui de Dupuytren, où l'olécrâne est scié, a
du chirurgien, et qui opère la section de la tête de l'olécrâne.
FIGURES
2, 3 ET 4. amputation du bras dans sa continuit
tion du bras dans sa continuité. (Partie moyenne du bras gauche.)
Figure
2. Section des chairs. d, Main d'un aide qui fa
roite du chirurgien, qui achève la section des chairs en arrière.
Figure
3. Surface du moignon de l'opération précédente,
biceps, du brachial antérieur et de la portion interne du triceps.
Figure
A. Réunion par première intention du moignon de l
e sont rassemblés dans l'angle inférieur de la plaie. PLANCHE 74.
FIGURES
A, 2 ET 3. amputation a lambeaux du bras droit
lambeaux du bras droit dans sa continuité. ( Procédé de Klein. )
Figure
1. Section du lambeau antérieur. a, Main d'un a
n droite du chirur- gien , occupé à tailler le lambeau antérieur.
Figure
2. Section du lambeau postérieur de la même opéra
son tranchant en bas pour achever de détacher le fragment postérieur.
Figure
3. Surface du moignon de l'amputation précédente,
ente, au moment où l'on praticpie la ligature de l'artère humérale.
FIGURE
4. amputation a lambeaux de la partie supérieur
MI-NATURE. PLANCHE 75. Procédé de Dupuytren. ( Membre gauche. )
FIGURE
I. Le malade, assis en attitude convenable, la
e gauche. ) FIGURE I. Le malade, assis en attitude convenable, la
figure
représente le premier temps de l'opération où l'o
au déjà introduit, et dont la pointe vient faire issue au-dehors.
FIGURE
2. Le couteau, après avoir taillé le lambeau ex
te armée du couteau, et qui achève la section du lambeau interne.
FIGURE
3. Réunion de la plaie après l'opération. PLA
MPUTATION CIRCULAIRE. Procédé d'J/rurson modifié. (Membre droit.)
FIGURE
\. La section circulaire de la peau étant faite
ction circulaire de la peau étant faite dans un premier temps , cette
figure
représente le moment où le couteau achève la sect
, Couteau tenu de sa main droite, terminant la section des chairs.
FIGURE
2. Elle représente le troisième temps, dont l'o
ote de compression de l'artère contenue par un aide , comme dans la
figure
1. f, Main gauche du chirurgien qui maintient le
ion des attaches musculaires à l'extrémité scapulaire de l'humérus.
FIGURE
5. Réunion après la désarticulation. La plaie,
TATIONS DANS L'ARTICULATION SCAPULOHlMÉRALE. ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURE
4, PONCTION AVEC LE COUTEAU A DOUBLE TRANCHANT.
s l'artère sous- clavière à son passage sur la première côte. Cette
figure
donne l'exemple d'un mode de compression différen
couteau qui vient de terminer la ponction au travers des chairs.
FIGURE
± SECTION DU LAMBEAU ANTÉRIEUR ET INTERNE, Après
e armée du couteau , qui opère la section du lam- beau antérieur.
FIGURE
Ss SURFACE DE LA PLAIE APRÈS L'OPÉRATION. Au fo
ALAIRES DANS L'ARTICULATION SCAPULOHUMÉRALE. ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURES
\ ET 2. PROCÉDÉ DE M. LARREY. Figure 1. Section
ALE. ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURES \ ET 2. PROCÉDÉ DE M. LARREY.
Figure
1. Section des chairs. Une première incision vert
mérale de sa capsule et de ses tendons. Dans le moment indiqué par la
figure
, le couteau, qui est rentré dans les deux angles,
es, est occupé à tailler les chairs en bas et en dedans. De a en b,
figures
1 et 2. Étendue de l'incision verticale. De b en
, figures 1 et 2. Étendue de l'incision verticale. De b en c et en d,
figures
1 et 2. Étendue des deux incisions latérales. e
chairs en continuant à la terminaison des deux incisions latérales.
Figure
2. Réunion de l'opération précédente, formant une
on ; les fils à ligature sortent par l'angle inférieur de la plaie.
FIGURES
5 ET 4. PROCÉDÉ DE M. GUTHRIE. Figure 3. Sect
e inférieur de la plaie. FIGURES 5 ET 4. PROCÉDÉ DE M. GUTHRIE.
Figure
3. Section des chairs. L'opération est représenté
e, les deux incisions obliques , antérieure et postérieure. Sur cette
figure
, les incisions latérales ont été précédées par un
ite armée du bistouri convexe , et qui opère la seconde incision.
Figure
4. Plaie de l'opération précédente, à. Cavité.'gl
ure par Léveillé. AMPUTATIONS DES ORTEILS. ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURES
\ ? 2 ET 3. A. AMPUTATION OVALAIRE DU GROS ORTE
IGURES \ ? 2 ET 3. A. AMPUTATION OVALAIRE DU GROS ORTEIL. Dans la
figure
1, l'opération est représentée lorsqu'après la se
dans l'articulation pour achever de détacher la première phalange. La
figure
2 montre à découvert la plaie en ovale, l'opérati
e 2 montre à découvert la plaie en ovale, l'opération terminée, et la
figure
3 la plaie linéaire telle qu'elle se montre après
pération. B. AMPUTATION A DEUX LAMBEAUX DU TROISIÈME ORTEIL. La
figure
2 montre le trajet de la première incision; la fi
ORTEIL. La figure 2 montre le trajet de la première incision; la
figure
1, la plaie entrouverte, l'opération étant termin
la figure 1, la plaie entrouverte, l'opération étant terminée; et la
figure
3 , la plaie linéaire telle qu'elle existe par l'
ement de ses bords en rapprochant le second et le quatrième orteil.
FIGURE
4. AMPUTATION CIRCULAIRE DES CINQ ORTEILS. L'op
section des ligamens et des tendons fléchisseurs et lom-bricaux.
FIGURE
5. Réunion de la plaie après l'opération précéd
ux. FIGURE 5. Réunion de la plaie après l'opération précédente.
FIGURES
5 ET 6. AMPUTATION A LAMBEAUX DANS L'ARTICULATI
TION A LAMBEAUX DANS L'ARTICULATION MÉTATARSIENNE DES CINQ ORTEILS.
Figure
5. L'opération est représentée au moment de sa te
u chirurgien armée du couteau, et qui achève la section du lambeau.
Figure
G. Réunion de l'opération précédente. Tome 6
, Benard et Cie. AMPUTATIONS DU MÉTATARSE. ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURES
\ ET 2. AMPUTATION DANS LA CONTINUITÉ DES CINQ
S \ ET 2. AMPUTATION DANS LA CONTINUITÉ DES CINQ OS MÉTATARSIENS.
Figure
1. Section des chairs. Après avoir taillé avec le
tiquer avec le bistouri ( f) la section des muscles inter-osseux.
Figure
2. Surface du moignon de l'opération précédente a
s artères. g, Petit lambeau dorsal. h, Vaste lambeau plantaire.
FIGURES
3, 4 ET 5. AMPUTATION DANS LA CONTIGUÏTÉ DES AR
TARSO-MÉTATARSIENNES. (Procédé de M. Lis franc.) ( Pied gauche. )
Figure
3. Ouverture des articulations. La section courbe
charnu plantaire. Nous avons négligé dans cette planche de donner la
figure
de ce lambeau, semblable, pour la forme, à celui
du chirurgien armée du couteau qui commence la section du lambeau.
Figure
5. Réunion par première intention de l'opération
ture par Rogat. AMPUTATIONS SUR LE PIED. ADULTE, DEMI - NATURE.
FIGURES
\ ET 2. AMPUTATION DANS LA CONTIGUÏTÉ DE L'ARTI
MÉDIO-TARSIENNE. (Opération de Chopart modifiée.) (Membre droit.)
Figure
1. Désarticulation. Le pied maintenu en situation
mée du couteau droit, qui pé- nètre en plein dans l'articulation.
Figure
2. Section du lambeau plantaire. g, Main d'un a
'amputation tarso-métatarsienne figurée dans la planche précédente.
FIGURE
3. AMPUTATION OVALAIRE DANS LA CONTINUITÉ DU PR
e cultellaire tenue de la main droite qui opère la section de l'os.
FIGURE
4. AMPUTATION ISOLÉE DANS LA CONTIGUÏTÉ DE L'AR
UR E. AMPUTATION CIRCULAIRE AU LIEU D'ÉLECTION. (MEMBRE DROIT.)
FIGURE
\. SECTION DES CHAIRS. La section de la peau
e du chirurgien armée du couteau qui opère le section des chairs.
FIGURE
2. SECTION DES OS. Les chairs ayant été coupées
le tour du couteau en huit de chiffre, comme il sera détaillé dans la
figure
5, les chairs étant relevées et soutenues par la
e la main gauche du chirurgien , et qui achève la section du tibia.
FIGURE
3. SURFACE DU MOIGNON APRÈS L'OPÉRATION. 1, Mai
érieure (o), tibiale postérieure (p), péronière (q) et jumelle (r).
FIGURE
4 RÉUNION DE LA PLAIE. Les fils à ligature sont r
LA PLAIE. Les fils à ligature sont rassemblés à son angle déclive.
FIGURE
5. Trajet en huit de chiffre du couteau pour la
ur des os, avec entre-croisement dans l'espace interosseux. Dans la
figure
, la pointe de l'instrument étant figurée aux dive
. Becquet, Paris. AMPUTATIONS DE LA JAMBE. ADULTE DEMI -NATURE.
FIGURES
4, 2 ET 5. AMPUTATION DE LA JAMBE A DEUX LAMBEAUX
Procédé de Vermale modifié.) ( Membre gauche. — Lieu d'élection. )
Figure
1. Section des lambeaux. Le lambeau externe et an
côté interne du tibia pour tailler le lambeau interne et postérieur.
Figure
2. Surface du moignon après l'opération. f, Lam
eure et péronière. m, n, Mains d'un aide qui supportent le moignon.
Figure
3. Réunion de la plaie de la même opération. Une
ligne de réunion. Par l'angle déclive sortent les fils à ligature.
FIGURES
4 ET 5. xVMPUTATION A UN LAMBEAU. (Au-dessous du
lieu d'élection.) (Partie inférieure de la jambe. — Membre droit.)
FIGURE
4. Section du lambeau. o, Main gauche du chirur
la main droite du chirurgien , et qui opère la section du lambeau.
Figure
5. Surface de la plaie de l'opération précédente.
Jacob. AMPUTATIONS DU PIED ET DE LA JAMBE. ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURES
1, 2, 3, 4. Amputation dans l'articulation tibio-
tation dans l'articulation tibio-tarsienne (procédé de M. Baudens).
Figure
1. Surface de la plaie après 1 opération. Le lamb
ntre le plan de section du tibia, du péroné et du tendon d'Achille.
Figure
2. Surface du moignon tégumentaire copiée d'après
copiée d'après nature après la cicatrisation entièrement effectuée.
Figures
3 et 4. Extrémité du moignon vue par sa face anté
4) avec le coussin, l'allonge en liège et la chaussure appropriée.
FIGURES
5 et 6. Désarticulation astr agalo-scaphoïdienne
thode de Chopart) avec un lambeau interne (procédé de M. Sédillot).
Figure
5. L'opération est représentée terminée; le vaste
es muscles plantaires internes est montré soulevé entre les doigts.
Figure
6. Plaie linéaire qui résulte de l'application du
sulte de l'application du lambeau fixé par quatre points de suture.
FIGURES
7, 8, 9. Amputation sus-malléolaire de la jambe (
, 9. Amputation sus-malléolaire de la jambe (procédé de M. Lenoir).
Figure
7. Surface de la plaie l'opération terminée. Elle
s côtés, n'ont qu'à être rapprochés pour former une plaie linéaire.
Figures
8 et 9. Résultat de l'opération. La figure 8 mont
mer une plaie linéaire. Figures 8 et 9. Résultat de l'opération. La
figure
8 montre la réunion linéaire delà plaie, dont l'i
, dont l'incision prétibiale est réunie par deux points de suture. La
figure
9 montre la cicatrice définitive copiée d'après n
. La figure 9 montre la cicatrice définitive copiée d'après nature.
FIGURES
10 et 11. Amputation de la jambe a lambeau extern
la jambe a lambeau externe et postérieur (procédé de M. Sédillot).
Figure
10. Surface de la plaie l'opération effectuée. El
aux dépens de la face externe et en partie de la face postérieure.
Figure
11. Réunion linéaire de la plaie, le lambeau rete
linéaire de la plaie, le lambeau retenu par cinq points de suture.
FIGURES
12 et 13. Jambe artificielle de M. Miles pour fac
èrent, par l'élasticité d'un ressort, la flexion et l'extension. La
figure
12 est le membre artificiel modifié par M. Charri
La figure 12 est le membre artificiel modifié par M. Charrière. La
figure
13 offre le même appareil modifié par M. Martin.
CULATION FÉMOROTIBIALE. (PROCÉDÉ DE HOIN.) ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURE
A. SECTION CUTANÉE. La jambe étant en demi-fl
. FIGURE A. SECTION CUTANÉE. La jambe étant en demi-flexion, la
figure
représente le premier temps opératoire, où le chi
mée du couteau dont la lame pénètre en plein dans l'articulation.
FIGURE
2. SECTION DU LAMBEAU CHARNU POSTER ïEUR. Après
orale. e. Extrémité articulaire tibiale. f. Lambeau postérieur.
FIGURE
3. SURFACE DU MOIGNON. g. Main gauche du chirur
ambeau musculo-cutané taillé aux dépens du soléaire et des jumeaux.
FIGURE
4. Réunion de la plaie par des bandelettes aggl
CIRCULAIRE DE LA CUISSE A SA PARTIE INFÉRIEURE. (MEMBRE DB OIT.)
figure
\. La peau, ayant été coupée par une incision o
comprime l'artère fémorale sur le pubis. La compression, dans cette
figure
, est supposée exercée par une pelotte à manche.
u chirurgien, armée du couteau, qui achève la section des chairs.
figure
2. SURFACE DU MOIGNON. La section des chairs
aire externe. p. La perforante saisie par une pince pour la lier.
figure
5. AMPUTATION A DEUX LAMBEAUX. ( Procédé de M. La
LA CUISSE A DEUX LAMREAUX (interne et externe). (MEMBRE DROIT. )
FIGURE
\. SECTION DU LAMBEAU. L'opération est représ
nchant s'incline vers la face interne pour détacher net le lambeau.
figure
2. SURFACE DU MOIGNON, L'OPÉRATION TERMINÉE.
. Artère perforante saisie par une pince pour en faire la ligature.
figure
5. RÉUNION OBLIQUE DU MOIGNON par des bandelett
S L'ARTICULATION COXOFEMORALE. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 87.
FIGURES
\ ET 2. PROCÉDÉ DE LALOUETTE. (A un lambeau int
ET 2. PROCÉDÉ DE LALOUETTE. (A un lambeau interne et antérieur.)
Figure
1. L'incision demi-circulaire sus-trochantérienne
couteau en dedans et en avant de l'os, dans le moment indiqué sur la
figure
, la lame s'incline en dedans et en bas pour achev
u chirurgien, armée du couteau, qui achève de tailler le lambeau.
Figure
2. Réunion de la plaie précédente, le lambeau mai
tères fémorales superficielle et profonde, fessière et ischiatique.
FIGURE
3. PROCÉDÉ DE M. LARREY. (Amputation ovalaire,
re. PLANCHE 88. PROCÉDÉ DE M. CORNUAU. ( Amputation ovalaire. )
FIGURE
4. section du lambeau ovalaire. Une première
igne, l'un antérieur de (a) en (b), l'autre postérieur de (a) en (c) (
figures
1 et 2), le chirurgien, à travers l'écartement de
ngle cutané de chaque embranchement. Dans le moment représenté sur la
figure
, la lame, qui a déjà taillé la plus grande partie
à angle des chairs sur le fémur, k. Section des muscles adducteurs.
FIGURE
2. plaie ovalaire de l'opération précédente.
opération précédente. a , b, c, g, k. Mêmes indications que dans la
figure
précédente. 1. Section de l'extrémité supérieure
rioles, d'un moindre volume, peuvent en général n'être que tordues.
FIGURE
3. réunion de l'opération précédente. Deux po
X LAMBEAUX DANS L'ARTICULATION COXOFEMORALE. ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURE
\. PROCÉDÉ DE BÉCLARD. Section des chairs. Ap
ieur se trouve par cela même déjà taillé. Au moment représenté sur la
figure
, le couteau s'incline en bas pour détacher de lâ
gien, armée du couteau, occupée à détacher le lambeau postérieur.
FIGURE
2. PROCÉDÉ DE M. LISFRANC {modifié). Pour obvie
le cours du sang. Au dernier temps de l'opération, représenté sur la
figure
, les lambeaux étant écartés, le chirurgien , aprè
MPUTATIONS DANS L'ARTICULATION COXOFEMORALE. ADULTE, DEMI-NATURE.
FIGURE
\. PROCÉDÉ DE DELPECH, A UN LAMREAU INTERNE. (M
e et eirconflexe externe (k), et celui de l'obturatrice liée ( 1 ).
FIGURE
2. AMPUTATION CIRCULAIRE. PROCÉDÉ D'ARERNETHY.
grand nombre de fois par l'auteur sur des militaires qui ont guéri.
Figure
1. Amputation dans l'articulation huméro- cubital
partie la surface articulaire numérale et la section de l'olécrane.
Figure
2. Amputation mixte métatarsienne a deux lambeaux
lle fait suite le plan de section des quatre derniers métatarsiens.
Figure
3. Amputation médio-tarsienne a deux lambeaux. La
du scaphoïde et par la section moyenne du cuboïde sur le même plan.
Figure
A. Amputation sus-malléolaire de la jambe par la
utané ovalaire enveloppant le plan de section des chairs et des os.
Figure
5. Amputation de la jambe à son quart supérieur p
eux lambeaux, l'un externe antérieur et l'autre interne postérieur.
Figure
6. Amputation ovalaire dans l'articulation fémoro
Figure 6. Amputation ovalaire dans l'articulation fémoro-tibiale.
Figure
7. Amputation de la cuisse par la méthode mixte.
, et au-dessus section circulaire des muscles à deux plans. Sur cette
figure
des pinces fermées, laissées pendantes , oblitère
ur chaque pince pour lier ou tordre chaque vaisseau en particulier.
Figures
8 et 9. Ampmtation à deux lambeaux dans l'articul
t 9. Ampmtation à deux lambeaux dans l'articulation coxo-fémorale. La
figure
8 représente l'opération terminée; le vaste lambe
RÉGÉ . MÉDECIN DE L'HOPITAL SAINT-ANTOINE TEXTE ACCOMPAGNÉ DE 204
FIGURES
SCHÉMATIQUES PARIS G. MASSON, ÉDITEUR LIBRA
nt sa racine moyenne. 1. Sur l'hémisphère droit, (côté gauche do la
figure
) la circonvolution de l'hippo- En arrière du ro
qui appartient à la partie postérieure de l'espace perforé (première
figure
). Plus profondément (deuxième et troisième figure
e perforé (première figure). Plus profondément (deuxième et troisième
figures
), cette substance n'existe plus. Elle est donc to
plus. Elle est donc toute superficielle; au-dessus d'elle (troisième
figure
), on voit la commissure antérieure (CA), qui sera
che, traversée par les vaisseaux lenticulo-striés (schéma 4, première
figure
). Si l'on gratte superficiellement l'espace perfo
sposition a été bien mise en évidence par Trolard (schéma 4, deuxième
figure
). Ce premier grattage superficiel permet de const
une certaine épaisseur. Un grattage plus profond (schéma 4, troisième
figure
) montre enfin que la pyramide de Sœmmering est tr
gulier, rubanné comme celui qui est indiqué sur le schéma 4 (première
figure
). Souvent elle s'étale et éparpille ses fibres su
naît la direction générale des fibres dissociées qui la composent. La
figure
1 de la planche 40 montre un espace perforé où la
es : elle est située tout à fait en arrière de celui-ci, comme sur la
figure
2 de la planche 40. Dans ce cas, la pyramide de S
peu près Schéma 9. — Seuil ou limen de l'liémis))lière droit. Cette
figure
représente le détail de la partie ménagée en blan
ercule du fascia dentata (voy. Schéma 12). Comparer ce schéma avec la
figure
1 de la planche V; tous les détails de la descrip
thalamus ; C V, carrefour^ventriculaire. Comparer ce schéma avec la
figure
2 de la planche VIII. La plupart dos détails de l
e, pour une répartition équivalente des plis à la surface du 1. Les
figures
reproduites dans les Bulletins de la Société d'an
re même des circonvolutions supplémentaires qui n'existent pas sur la
figure
schématique. On conçoit les inconvénients qui rés
circonscrites de l'écorce doivent toujours être représentées sur une
figure
reproduisant exactement les profils de l'hémisphè
psies, le siège et l'étendue des lésions. Ici, en d'autres termes, la
figure
schématique est insuffisante, puisqu'elle n'indiq
hère adulte qu'on peut considérer comme à peu près schématique. Cette
figure
servira de point de repère pour rappeler l'état n
e point de repère pour rappeler l'état normal lorsqu'on examinera les
figures
suivantes, relatives à des types anormaux. Sché
e complication évidente de la région frontale antérieure. Sur cette
figure
schématique (29) on notera encore une disposition
on doit se borner à la considérer telle qu'elle est reproduite sur la
figure
. 11 est exceptionnel que la troisième frontale (F
tés et que se forment les plis de passage. Cela n'est plus ime simple
figure
: c'est la réalité même. Les plis de passage émer
d'aborder directement les parties profondes représentées sur chaque
figure
. Au contraire, les repères de la région occipital
renseignements très insuffisants sur les parties sous-jacentes. Les
figures
des planches XXXIV, XXXV, XXXVI, XXXVII et XXXVII
tion horizontal d'un hémi-le genou de la capsule. sphère gauche. - La
figure
représente le segment info-•' - rieur de l'hemisp
uivre. LE CERVEAU EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I Les deux
figures
de cette planche représentent la face externe d'u
aux de l'écorce y sont reproduits dans leurs dimensions naturelles.
Figure
1. HÉMISPHÈRE GAUCHE S'. La scissure de Sylvi
de différencier la troisième temporale de la troisième occipitale.
Figure
2. HÉMISPHÈRE DROIT Les analogies de cet hémi
e du pôle frontal, sans être interrompu, comme sur l'hémisphère de la
figure
1 par le pli d'anastomose moyen de la première fr
e (/"^j ne s'étend pas en avant aussi loin que sur l'hémisphère de la
figure
précédente. En compensation de la double origine
sphère qu'on peut étudier comme appartenant au cerveau schématique.
Figure
1. L'hémisphère droit a été séparé de son congé
tale {sP). Il n'en est pas de môme sur l'hémisphère représenté sur la
figure
2 de la même planche. Le gyrus antérieur du lob
au-dessous du cap (CQ) et qu'on ne voit avec netteté, comme sur cette
figure
, qu'en soulevant légèrement le cap du lobe carré.
'atteint pas le pôle occipital (PO). Elle ne l'atteint jamais et elle
figure
à tort parmi les circonvolutions occipitales du c
fis {0\ 0^) dans l'étude do la face interne du cerveau schématique.
Figure
2. Ici l'hémisphère cérébral droit a été séparé
ère*. Les dift'érences que cet hémisphère présente avec celui de la
figure
1 sont, pour la plupart, subordonnées au mode de
); mais elle est beaucoup plus rapprochée du corps calleux que sur la
figure
précédente. Elle décrit une courbe à convexité an
te l'étendue du gyrus métopique postérieur (GMP). Parmi ces incisures
figure
l'incisure du lobule paracentral (io). sP. La s
. Mais, comme cette scissure ne communique pas en avant, comme sur la
figure
précédente, avec la scissure limbique (L), on con
uera, par compensation, l'absence des incisures^ qui occupent (sur la
figure
1) le gyrus antérieur et le gyrus postérieur du l
inférieure. PLANCHE 111 FACE EXTERNE OU CONVEXE DE L'HÉMISPHÈRE
Figure
1. face externe d'uN hémisphère droit (Cervea
ans le bichromate d'ammoniaque et dépourvu de ses membranes.) Cette
figure
est destinée à montrer une disposition très commu
reproduire exactement la véritable forme de cette région, dont aucune
figure
schématique faite à l'avance ne peut donner une i
aucune figure schématique faite à l'avance ne peut donner une idée.
Figure
2. face externe d'uN hémisphère droit Cette f
er une idée. Figure 2. face externe d'uN hémisphère droit Cette
figure
est empruntée à l'Atlas de Foville. On peut se re
UD. 3 PLANCHE IV FACE EXTERNE DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL Les deux
figures
de cette planche représentent les deux hémisphère
les deux hémisphères ont entre eux une ressemblance exceptionnelle.
Figure
1. nÉMispnÈRE DRorr Le développement du lobe
de Gratiolet. Cette disposition est absolument identique à celle des
figures
1 et 2 de la planche II. Figure 2. hémisphère
t absolument identique à celle des figures 1 et 2 de la planche II.
Figure
2. hémisphère gauche Ici encore le lobe front
la continuité de la scissure occipitale externe qu'on observe sur la
figure
1 de cette planche. C'est pour la môme raison que
(T'). PLANCHE V FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL Les trois
figures
de cette planclie représentent la face interne de
suffit dej comparer l'écorce de ces trois hémisphères avec celle des
figures
de la planche 2, pour se rendre compte que les mê
si l'on s'en tient à la nomenclature très rudimentaire des schémas.
Figure
1. face interne d'uN hémisphère gauche ' La f
terne d'uN hémisphère gauche ' La face interne du cerveau que cette
figure
représente est celle qui se rapproche le plus du
iner laquelle des deux est la bifurcation pos-1 térieure normale. '
Figure
2. j face interne d'uN hémisphère droit La di
riétale (sP) préseide une profondeur considérable et de nondjreuses
Figure
3. face interne d'uN hémisphère gauche Les pa
orce, sur la face interne de cet hémisphère, résultent, comme sur les
figures
précédentes, de la disposition toute spéciale de
en apparence tout à fait anormales, et quelquefois monstrueuses. Les
figures
de la planche suivante seront une nouvelle preuve
ères cérébraux représentés sur cette planche sont destinés, comme les
figures
de la planche précédente, à montrer les différenc
d'ammoniaque, n'a subi de dilatation ou de rétraction appréciables.
Figure
1. face interne d'un hémisphère gauche Trois
e compensation du développement exagéré du lobule paracentral (Pa).
Figure
2. FACE INTERNE d'uN IlÉMISPnÈRE DROIT Ici en
). C. La circonvolution limbique nait, comme sur l'hémisphère de la
figure
précédente, au-dessous du genou du corps calleux
la longueur du cuneus, parallèlement à la scissure calcarine (A').
Figure
3. FACE INTERNE d'uN HÉMISPnÈRE GAUCUE Nous a
'il présente. PLANCHE VII FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈRE Ces deux
figures
représentent la face interne des hémisphères dont
l (0^), et les ramifications multiples du sillon (si) de ce lobule.
Figure
1. nÉMISPKÈRE DROIT L. La scissure limbique c
irconvolutions temporales externes que nous avons déjà signalé. (Voy.
figure
1 de la planche 4). Figure 2. hémisphère gauc
ernes que nous avons déjà signalé. (Voy. figure 1 de la planche 4).
Figure
2. hémisphère gauche C. La circonvolution lim
sous-pariétale. PLANCHE VIII FACE INTERNE D'UN HÉMISPHÈRE DROIT
Figure
1. Cet hémisphère a été dessiné d'après une piè
ssage temporo-hmbique (tcT) et qu'on voit avec plus de netteté sur la
figure
2 (LMA). Le mode de préparation anatomiquc est
de mieux comprendre la préparation de l'hémisphère représenté sur la
figure
suivante (fig. 2). Après 24 heures de séjour da
terne. C'est uniquement à l'étude de ces parties qu'est destinée la
figure
1 de la planche VIII. GQA, GQP. Le gyrus antéri
une profonde scissure qui entame le bord supérieur de l'hémisphère,
Figure
2. face interne du même hémisphère après ablati
rès ablation de la masse protubérantielle Si l'on se reporte à la
figure
1 de cette planche, il sera facile de se rendre c
rendre compte du mode de préparation de l'hémisphère reproduit sur la
figure
2. Le cerveau étant appliqué sur sa face convex
t resserrée par ses membranes. La disposition représentée sur cette
figure
ne répond cependant pas à tous les cas sans excep
est faite avec soin, on a sous les yeux les parties que représente la
figure
2 de la planche VIII. Tf. Le tubercule du fasci
urs anastomoses, soit au point de vue de leur présence même. Les deux
figures
de cette planche représentent des hémisphères cér
urir à une reproduction fidèle de chaque hémisphère en particulier.
Figure
1. FACE INFÉRIEURE d'uN IIÉMISPUÈRE GAUCUE Ce
tement au pôle sphénoïdal. T. La deuxième circonvolution temporale,
figure
le bord externe apparent de la face inférieure de
prolongement réfléchi de la première circonvolution frontale (F').
Figure
2. face inférieure d'un cerveau* Ce qui précè
constater leur grande diflerence avec le lobe temporal de la première
figure
. Cette dilïe-rence tient au nombre, à la forme et
re. 2" Le lobule orbitaire de l'hémisphère droit (côté gauche de la
figure
) n'est pas occupé en son milieu par le sillon en
O). 5" Le lobule orbitaire de l'hémisphère gauche (côté droit de la
figure
) présente une disposition générale absolument inv
le couteau par les points de repère indiqués pour chacune d'elles.
Figure
1. COUPE HORIZONTALE PASSANT PAR LA BASE DU TUB
e, entre les circonvolutions occipitales internes et le lobe carré.
Figure
2. COUPE HORIZONTALE PASSANT PAR LE MILIEU DE L
circonvolution de l'hippocampe (Hip) jusqu'au gyrus lingual (0'').
Figure
3. COUPE HORIZONTALE PASSANT IMMÉDIATEMENT AU-D
faces de section dont l'aspect rappelle assez exactement celui, de la
figure
3 de la planche X. Toutefois, en raison des nombr
, tandis que le faisceau occipital vertical, visible seulement sur la
figure
2 (FOV), n'appartient qu'à la troisième temporale
blanche antérieure et la commissure blanche postérieure. Toutes les
figures
de la planche XI à la planche XXXIII inclusivemen
interne est à droite, la face externe est à gauche. Sur toutes les
figures
on peut, pour la simplification de l'étude, consi
dans une très faible longueur. Tel est le cas qui se présente pour la
figure
1 (pl. XI), où l'ensemble des faisceaux postérieu
langées les fibres des faisceaux FOm, FLI, FS, reconnaissables sur la
figure
6 de la même planche (ces faisceaux seront étudié
on le verra prochainement. Cela explique aussi pourquoi les premières
figures
, beaucoup plus petites que les suivantes, sont re
ont le point de départ obhgé de tout ce qui va suivre. PLANCHE XI
Figure
1. COUPE VERTICO-TRANSVERSALE PASSANT A DEUX CE
an de section présente toujours de grandes analogies avec celui de la
figure
1. Écorce. La configuration de l'écorce répon
qui n'est probablement que l'insertion d'un faisceau d'association.
Figure
2. COUPE VERTICO-TRANSVERSALE PASSANT PAR LE MI
n arrière la paroi supérieure de la cavité ventriculaire, puis s'in
Figure
3. COUPE VERTICO-TRANSVERSALE PASSANT A DEUX CE
ales. Quant au faisceau pariéto-frontal (FPF), déjà entrevu sur les
figures
précédentes, il n'est plus représenté ici que par
obule pariétal supérieur (P^) lui fournissent également des fibres.
Figure
4. COUPE VERTICO-TRANSVERSALE PASSANT A UN DEMI
E DU SOMMET DU CUNEUS L'ensemble de la coupe est le môme que sur la
figure
précédente. Voici seulement quelques difl'érences
faisceau pariéto-frontal n'est plus si nettement visible que dans la
figure
précédente. Cela résulte de ce qu'il prend une di
en avant et de dedans en dehors (voir sur les coupes horizontales).
Figure
5. COUPE VEPiriCQ-TRANSyERSA.LE PASSANT PAR, LE
en dedans. En raison de cette obliquité, il est plus paie que dans la
figure
pré céclciitc. Il emprunte des fibres nouvelles
eau occipital vertical (FOV) s'accuse de plus en plus. PLANCHE XM
Figure
7. COUPE VERTICALE PASSANT PAR LE SOMMET DU CUN
pelé le Cap (CQ). Le cap du lobe carré forme, comme on le voit sur la
figure
, un véritable opercule, en partie couché sur le c
explication de cette disposition nouvelle sera fournie à propos de la
figure
suivante. Mais déjà on peut remarquer que ces tro
stérieures, formant la couche supérieure (FLi) du faisceau longitu-
Figure
8. COUPE VERTICO-TRANSVERSALE PASSANT PAR LA PA
ent rien de bien diflerent de ceux qui ont été passés en revue sur la
figure
précédente. Cavité ventriculaire. 1^ De forme
grand nombre d'entre elles se jettent (comme on peut le voir sur les
figures
8 et 9) dans la partie supérieure du gyrus lingua
rmine dans une région plus antérieure, celle de la corne d'Ammon. Les
figures
suivantes le démontrent. Le faisceau inférieur
nstatera tonjours (jue ce dernier affecte la forme représentée sur la
figure
8, la maj(Hire partie de ses fibres appartenant a
s net au fur et à mesure qu'on examine des coupes plus antérieiuTs.
Figures
9, 10, 11 et 12. COUPES VERTICO-TRANSVERSALES P
similaires de l'écorce que le couteau a divisées, depuis la première
figure
(15) jusqu'à la dernière (18). Mais il n'en est p
tions s'accomplissent dans la direction et le volume des faisceaux.
Figure
13. COUPE VERTICALE PRATIQUÉE A UN DEMI-CENTIMÈ
t souvent du premier sillon temporal {t^). D'ailleurs on voit, sur la
figure
15, que la substance grise qui enveloppe cette in
forme, comme on peut le voir, se modifie notablement, sur toutes les
figures
de cette planche, au fur et à mesure que les coup
nce blanche. FS. Le faisceau sensitif est moins compact que sur les
figures
précédentes, mais il est plus large. Cette largeu
(FL2); une foncée, inférieure, compacte (FLs). Si l'on compare cette
figure
avec la figure 7 de la planche précédente, on rec
cée, inférieure, compacte (FLs). Si l'on compare cette figure avec la
figure
7 de la planche précédente, on reconnaît que la d
t le faisceau diffus du fornix. Sa situation n'est qu'indiquée sur la
figure
. Il est dirigé obliquement en bas et en dehors. N
(FOm) ; et cette séparation est réelle. On la voit s'accuser dans les
figures
suivantes (14 et 15), lorsque les fibres moyennes
t dans la forme et la direction de ce faisceau se manifestera sur les
figures
suivantes. FOm. Le faisceau moyen du forceps, f
nt de coloration de ce faisceau au-dessus du ventricule montre sur la
figure
15 que les fibres les plus internes, les plus fon
s sont parallèles au plan de section, se distingue facilement sur les
figures
suivantes (14, 15, 16), où sa coloration démontre
f se dirige de la troisième temporale au lobule pariétal inférieur.
Figure
14. COUPE VERTICO-TRANSVERSALE PASSANT A UN DEM
ons étudié encore que dans une région supérieure, et seulement sur la
figure
précédente. FLI. Le faisceau longitudinal infér
spéciale. Il s'écarte de la paroi interne du ventricule, et, sur les
figures
suivantes, on le verra s'en écarter encore davant
le mélange des fibres n'est qu'apparent, ainsi que le démontrent les
figures
suivantes (17 et 18). FOs. Le faisceau supérieu
isparu en grande partie. Il n'existe plus sur les coupes suivantes.
Figure
15. COUPE PASSANT A UN DEMI-MILLIMETRE EN AVANT
t les mêmes rapports. Sa partie externe est moins arrêtée que dans la
figure
précédente. Cela tient à ce qu'il est entre-crois
eau n'est pas différent du premier ; c'est le môme et il porte sur la
figure
la même notation. On remarquera en outre que la p
tre. Il est facile de se rendre compte de cette disposition sur cette
figure
(15). FOm. Le faisceau moyen du forceps se conf
périeur et du lobe pariétal inférieur dans la pariétale ascendante.
Figure
16. COUPE PASSANT A UN DEMI-MILLIMÈTRE DE LA PR
enne (FL2). Quant à la couche supérieure (FLi), encore visible sur la
figure
14, elle a ici complètement disparu. FDF. Le fa
. FDF. Le faisceau diffus du fornix s'isole mieux encore que sur la
figure
15, surtout à sa partie moyenne. Limité en dedans
C). Cin. Le cingulum n'a plus la coloration qu'il présentait sur la
figure
précédente. 11 se porte directement en haut ; pui
sur lequel se dessinent des stries en spirales, plus visibles sur les
figures
17 et 18. Cette partie blanche n'est cependant au
ibres supérieures avec celles qui tapissent l'écorcc du lobe carré.
Figure
17. COUPE VERTICO-TRANSVERSALE PASSANT A UN DEM
upérieure du lobule pariétal supérieur (P1) se rejoignent et, dans la
figure
suivante (18) elles se confondent presque complèt
nvolution limbique où elle porte communément le nom de tœnia lecla.
Figure
18. COUPE VERTICO-TRANSVERSALE PASSANT PAR LA P
é dirigée en dedans. Cette disposition se retrouvera sur toutes les
figures
suivantes avec une netteté encore plus grande.
P1). Cavité ventriculaire. La disposition, déjà constatée sur la
figure
précédente, des deux angles supérieurs de la cavi
avant de se jeter dans le corps calleux. On a pu voir, sur toutes les
figures
de cette planche, que le faisceau moyen du forcep
ortion blanche profonde. La tache blanche allongée qui occupe, sur la
figure
18, sa partie centrale, correspond à la portion b
Les détails dans lesquels nous sommes entré à propos de chacune des
figures
des trois premières planches, n'ont eu pour but q
nt connus, il nous paraît superflu de les suivre isolément sur chaque
figure
nouvelle. Nous les examinerons dans leur ensemble
le. Nous les examinerons dans leur ensemble sur chaque planche de six
figures
. D'ailleurs la région intéressée par les prochain
Pl. XVIII). Il en résulte que les changements sont insensibles d'une
figure
à l'autre, surtout en ce qui concerne l'écorce; e
e qui concerne l'écorce; et la description de l'écorce de la première
figure
servira pour les figures de toutes les planches s
et la description de l'écorce de la première figure servira pour les
figures
de toutes les planches suivantes. PLANCHE XIV
rps calleux à la partie inférieure du splenium (sC). En examinant les
figures
suivantes, on se rendra compte facilement de la c
fonde dans la masse des fibres blanches. CAM. Corne d'Ammon. Sur la
figure
25, on voit apparaître trois taches grises au mil
ée sur le schéma 55 permet de comprendre l'aspect de la coupe sur les
figures
25 et 24. Les trois taches grises de la circonv
plus postérieures sont même les seules qui soient représentées sur la
figure
23. Elles consistent en un faisceau triangulaire
en bas et en avant, au-dessous delà substance grise godronnée. Sur la
figure
24, ce faisceau s'aplatit, et on le verra, plus l
ttement isolé des trois est le cingulum (Cin). 11 est visible sur les
figures
19, 20, 21, et cesse momentanément de Fêtre jusqu
la bandelette cendrée (Fci), n'est pas très visible sur les dernières
figures
. Il est sur ces figures, en effet (fig. 22, 23),
ci), n'est pas très visible sur les dernières figures. Il est sur ces
figures
, en effet (fig. 22, 23), plus complètement parall
irement à la direction de ses fibres, mais très obliquement. Sur la
figure
19, au-dessous du corps calleux, on le voit s'all
bres désormais dirigées de haut en bas et d'arrière en avant. Sur les
figures
25 et 24 on voit, du fait de cette récurrence, ap
Écorce. Les eoupes se succédant à intervalles très rapprochés, les
figures
de cette planche ne présentent que peu de modific
ale et se rapproche des fibres supérieures du corps calleux. Sur la
figure
25, le grand sillon occipito-temporal (o£4) s'éla
grand sillon occipito-temporal (o£4) s'élargit, et l'on voit, sur les
figures
suivantes, apparaître au fond de l'intervalle cré
ubstance grise du sillon (o£4) avec le plancher du ventricule. Sur la
figure
29, lorsque le pli de communication est passé de
a forme générale du sillon sont identiques à ce qu'ils étaient sur la
figure
25, c'est-à-dire avant le passage. ce. Le corps
paraître (CAM) sur l'avant-dernière coupe (fig. 23) présente, sur les
figures
de la planche 15, une structure plus complexe. Ma
e la substance blanche superficielle du corps calleux. Sur toutes les
figures
qui vont suivre, la corne d'Ammon ne sera plus dé
s (sC) se rapproche de la substance grise de la corne d'Ammon. Sur la
figure
50, ces deux portions de substance grise se sont
plus que la bandelette cendrée de la circonvolution limbique. Sur la
figure
29, la coupe intéresse un point très voisin de la
che reste à la périphérie d'une petite masse de substance grise. La
figure
schématique ci-jointe explique la raison d'être d
du fornix et le cingulum (Cm). Cin. Le cingulum, sur les premières
figures
, n'a pas une coloration tranchée : il est en effe
entue, il se porte horizontalement au-dessus du corps calleux. Sur la
figure
30 il a pris l'aspect d'un croissant à concavité
au-dessus et en dedans du faisceau inférieur du forceps (FOi). Sur la
figure
26 on voit la dégradation insensible de sa teinte
e l'extrémité inférieure du tapetum. Ce sont, comme on le voit sur la
figure
30, les fibres les plus externes qui s'inclinent
ieure de la corne occipitale. CO. Faisceau du centre ovale. Sur les
figures
29 et 30 apparaît un faisceau suffisamment isolé
orme de la coupe et les rapports profonds des circonvolutions sur ces
figures
sont les mêmes que sur la planche précédente. On
a forme quadrilatérale, mais avec de profondes modifications. Sur la!
figure
36 c'est un croissant à convexité supéro-externe.
mentales doivent toujours être décrites l'une après l'autre. Sur la
figure
51, la substance grise sous-jacente et accolée au
orne d'Ammon rappelle ici exactement ce que nous avons déjà vu sur la
figure
29, c'est-à-dire une masse grise homogène au mili
et la circonvolution limbique sont une seule et même chose. Sur les
figures
51 et 52 la substance blanche de la corne d'Ammon
out où ces deux parties grises se développent et s'enroulent. Sur les
figures
32, 33, 54, elle semble séparer le fasciola cinér
aré du tubercule (Tf) par la lame blanche (LMA). Au contraire, sur la
figure
52, le fascia dentata (Fd) ne se continue plus av
se replie sur elle-même et s'incurve. Fd. Fascia dentata. — Sur les
figures
33, 34 et suivantes, le fascia dentata s'isole et
sinus du corps calleux (sC) à la face inférieure du splenium. Sur les
figures
31 et 52, ce sillon est réduit à une toute petite
f, dont les deux couches sont déjà recon-naissables sur les premières
figures
de cette planche, se divise d'une façon évidente
se divise d'une façon évidente en deux plans sur les trois dernières
figures
. Ces deux plans, adossés dans toute leur hauteur,
itudinal inférieur change d'aspect; il est réduit à une couche sur la
figure
51 (FLI) ; il en a trois sur les coupes 55 et 36.
irement à leur axe, elle ont la teinte foncée qu'on distingue sur les
figures
54, 55, 56 de la planche XVI; partout où elles
l aux rapports des faisceaux du centre ovale avec l'écorce. Sur les
figures
57 et 42, on distingue au-dessous du corps calleu
antérieure du bulbe de la corne postérieure. Substance grise. Les
figures
de cette planche sont destinées à montrer les cha
l n'en reste bientôt qu'une lamelle qui disparaît complètement sur la
figure
suivante (fig. 58). A sa place, on voit s'étendre
inerea n'existe plus sous le corps calleux. Il en est de même sur les
figures
41 et 42, et il en sera ainsi jusqu'à l'extrémité
la face supérieure de la circonvolution de l'hippocampe (Hip). Sur la
figure
58 on distingue encore quelques taches grises cor
es replis gris de la corne d'Ammon. La fimbria (FI), sur toutes les
figures
de cette planche, apparaît comme un ruban homogèn
leux. La direction des fibres de la fimbria, reconnaissable sur les
figures
39, 40, etc., permet de constater qu'elles ne se
e nom de triangle sous-calleux (TSC). Fci. Fasciola cinérea. Sur la
figure
42 se détache, au-dessous du corps calleux, un pe
he qui revêt la partie la plus antérieure du fasciola cinérea. Sur la
figure
suivante, cette coupe sera encore plus réduite; p
la direction oblique en bas et en dehors commence à se montrer sur la
figure
42. Nous verrons ultérieurement le trajet de ces
ubstance blanche. ce. Le corps calleux augmente d'épaisseur sur les
figures
37 et 38, puis diminue. La forme du splenium perm
ticales la différence de teinte soit le fait de cette incurvation. La
figure
ci-contre explique ce que nous Projection horiz
entre le tapetum (TAP) et le faisceau diffus du fornix (FDF). Sur les
figures
41, 42, on reconnaît d'ailleurs que ses fibres, à
entata est la partie la plus profonde de la corne d'Ammon. Toutes les
figures
de la planche XVIII démontrent, comme les précéde
c externe est le cingulum, avons-nous dit ; on le voit sur toutes les
figures
des planches précédentes et encore sur la figure
voit sur toutes les figures des planches précédentes et encore sur la
figure
44 de la planche XV11I, accompagner la substance
la substance corticale sur le bord libre de ces dernières parties. La
figure
schématique ci-dessus permet de comprendre immédi
C"). Elle est le prolongement le plus inférieure du splenium. Sur les
figures
47, 48, l'alveus présente encore quelques encoche
orps calleux ; il suffit pour s'en assurer, de jeter les yeux sur les
figures
44 et 45 : la partie supérieure du tapetum se con
endre jusqu'à l'angle supéro-externe du ventricule1. On verra sur les
figures
suivantes (54, 55, etc.) qu'il a en effet.l'étend
du fornix. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur, sur la première
figure
de la planche VIII, présente les quatre couches s
antérieure que les fibres du faiseau sensitif sont plus internes. La
figure
schématique précédente (80) représente l'ensemble
en avant jusqu'à l'uncus du lobe sphénoïdal (voir plus loin). Sur les
figures
46, 47, 48, la partie interne du faisceau inférie
es fibres sont donc sectionnées dans le plan même de la coupe. Sur la
figure
48 on remarquera toutefois un faisceau compact, t
rtion importante dans l'écorce de la circonvolution pariétale. Sur la
figure
46, au niveau du pédicule de la première circonvo
me temps le sillon interpariétal (p) diminue de profondeur. Sur les
figures
50, 52 et suiv. la scissure de Rolando (R) est se
he optique (Th, fig. 54) deviennent bien plus larges. Sur la dernière
figure
, on voit même se produire tout d'un coup une modi
es quadrijumeaux et de la couche optique. Or, si l'on se reporte à la
figure
49 (môme planche), Face externe de l'hémisphère
um (LST). fig. 53). Il est évident que cette nouvelle strie, sur la
figure
50 par exemple, correspond à la section du stratu
AP, fig. 52) et le faisceau diffus du fornix (FDF). Sur la première
figure
de cette planche (fig. 49), on voit apparaître, v
ntéressent des portions plus antérieures du noyau caudé (NC). Sur les
figures
52, 55 on distingue encore, à sa partie inférieur
tion foncée qui correspond à sa direction aiitéro-postérieurc; sur la
figure
54, il est devenu presque tout à fait clair, par
e la coupe vertico-transver-sale 54. On se rend compte, d'après cette
figure
toute schématique, du changement de coloration du
rtion inféro-antérieure de la fimbria (fig. 57, FI). Sur toutes les
figures
qui vont suivre, on reconnaîtra, pour la portion
VS, corne sphénoïdale de ce ventricule. Schéma 87. çons sur les
figures
57, 58, 59. Finalement il reste divisé en deux tr
on. TAP. Le tapetum se réduit encore progressivement sur toutes les
figures
de cette planche. Il n'est plus guère reconnaissa
d. FS. Le faisceau sensitif parait ici se dissocier. Sur toutes les
figures
de cette planche il est beaucoup moins compact qu
de Varole (PV). Le pont de Varole n'est pas représenté sur toutes les
figures
de la planche. Cavité ventriculaire. Le ventr
trajet des faisceaux de la calotte (voy. plus loin Laq). GI. Sur la
figure
62, la coupe' a entamé la substance grise du corp
a couche optique, le système de la couronne rayonnante du pulvinar.
Figure
schématique représentant les deux couches optique
dedans avec le taenia (Tse, fig. 66). G. La glande pinéale, sur les
figures
61 à 66, diminue progressivement de calibre. Les
sceau triangulaire de l'isthme. Les fibres verticales (PV) de la même
figure
représentent les arcs d'anastomose transversale q
pédoncule cérébelleux supérieur est sectionné encore (sur toutes les
figures
de cette planche), au niveau de son entrecroiseme
en dehors et dans des plans verticaux; de telle sorte que si l'on se
figure
le profil de ce système, toutes les fibres coupée
aut maintenant, pour expliquer leur disposition topographique sur les
figures
61, 62, 63 et suivantes, exposer leur trajet dans
sur un plan antérieur à celui du corps genouillé interne, ce dont la
figure
ne peut rendre compte. Les faisceaux obliques s
Mais cette portion du ganglion de l'habénule n'est pas visible sur la
figure
, elle correspond au pédoncule de la glande pinéal
oisement des pédoncules cérébelleux supérieurs (Pcs), on voit (sur la
figure
schématique 97) qu'elles s'enfoncent sous ces péd
queus (Laq, fig. 61, 62, 63, etc.). On peut se rendre compte, sur les
figures
62 et 63, que la différence de coloration de ces
e l'isthme, de nouvelles couches, plus profondes, les remplacent (RR)
figure
63, venues de la région supérieure du pont de Var
acilement reconnaissables sur les profils du cerveau de la planche 5,
figures
2, 3 (Lm). Elles sont' tangentes à la partie la p
BSO. La bandelette sous-optique (fig. 61) présente, sur les premières
figures
de cette planche, l'aspect d'un faisceau compact.
I, fig. 68, 70). ce. Le corps calleux (fig. 62, 65), sur toutes les
figures
de cette planche, présente sur la ligne médiane u
nt à sa direction postéro-antérieure (fig. 69), présente, sur les six
figures
de la planche XXII, des différences d'épaisseur t
partie la plus postérieure. Ce ganglion sera étudié à l'occasion des
figures
de la planche XXIII. Substance blanche. FV. L
rvé à ces seules fibres commissurales. On voit, en particulier sur la
figure
67 (CP), un trousseau bien isolé de fibres blanch
du tegmentum (TEG), en dedans du faisceau de la commissure (FCP). Les
figures
classiques sur lesquelles on a schématisé la dire
eu de courir d'avant en arrière au-dessous de lui, comme l'indique la
figure
B du schéma 105. Les coupes suivantes démontreron
(P), et à la substance grise de la frontale ascendante (F). Sur la
figure
67, on voit un faisceau très compact, très foncé,
r deux sections du stratum lacu-nosum. On peut même constater, sur la
figure
77, que la substance grise de la cireoiivoliiti
aisceau longitudinal postérieur n'est indiqué (pl. XXÏÏl) que sur les
figures
73 et 78, où il se confond insensiblement et sans
ie dans la capsule interne, ainsi que nous le verrons plus loin. La
figure
ci-contre représente d'une façon toute schématiqu
au milieu du pédoncule cérébral (schéma 118). C'est à partir de la
figure
83 que le noyau rouge de Stilling commence à appa
est vraisemblable aussi, comme on peut s'en rendre compte d'après la
figure
83, que le pédoncule cérébelleux supérieur abando
énule (GH). HAP. Pédoncule transversal de la glande pinéale. Sur la
figure
83 (pl. XXIV), IIAP représente le [pédoncule tran
tail sont sensiblement parallèles au plan de section, et déjà, sur la
figure
90, on les voit former un faisceau très isolé, qu
faisceau tegmento-thalamiquc (CAO) (fig. 96, pl. XXVI). Ce dernier ne
figure
pas encore sur la planche que nous étudions actue
r le corps genouillé externe en dehors, en bas et en arrière. Sur les
figures
86, 88, le signe FP indique la place exacte de la
ésente, snr cette pLanche, un aspect comparable à celui des dernières
figures
de la planche précé-derde. On voit toutefois se r
, constituée par la lamina convoluta (LC) et l'uncus ou crochet (Une,
figures
92, 93, 94, 95). De ce rapprochement résulte la d
de plus en plus neltement arrêté à sa partie externe, sur toutes les
figures
de cette planche jusqu'à la coupe 95. Cela tient
a quil y occupe toujours une région plus profonde que ce dernier. Les
figures
suivantes (voy. pl. XXVin, fig. 105, 106, 107, 10
façon plus évidente; et l'on a pu déjà le reconnaître sur toutes les
figures
de la planche XXll. Les fibres du faisceau arqu
x de la calotte qui enveloppent le noyau rouge. On voit, sur ces deux
figures
, qu'elle se confond en dehors avec le discus lent
e dans leur angle de divergence : c'est le faisceau tegmento-thala-
Figure
schématique représentant de profil, le croisement
est-à-dire plus en avant, elle se placera à sa partie externe. Sur la
figure
101 on voit une partie du faisceau foncé (BSO) s'
vateur regarde le cerveau par sa face supérieure; la projection de la
figure
est donc horizontale. Le noyau caudé (Ncc) s'avan
où nous l'avons vu apparaître, nous renverrons encore le lecteur à la
figure
schématique (153), où nous avons représenté la ra
ême, en dedans, au-dessus de la bandelette sous-optique (BSO). Sur la
figure
100, ses fibres sont transversales (voy. la ligne
région, on reconnaît l'aspect très caractéristique représenté sur ces
figures
: la teinte foncée du faisceau sensitif externe s
corne d'Ammon (CAM, fig. 104) ne diffère de ce qu'elle était sur les
figures
précédentes que par ses rapports avec le sillon d
l). G1P. Le ganglion interpédonculaire est une masse ganglionnaire (
figure
105) située dans la substance grise de l'espace p
rcule). Le fascicuîus retrolïex, lui non plus (FRF, XXVÏÏ, ÎÔÎ), ne
figure
plus ici. On peut admettre toutefois qu'il est co
la lame médullaire externe de la couche optique (LML). comporte une
figure
destinée à une démonstration. En réalité les fais
xterne du noyau lenticulaire (MLE), fig. 106). C'est seulement sur la
figure
107 qu'on trouve de nouveau un faisceau compact (
du thalamus (Thl) et le faisceau sensitif externe (FSe). Puis, sur la
figure
108, la capsule inférieure redevient encore confu
de la deuxième circonvolution frontale, se présente ici comme sur les
figures
précédentes; nous ferons seulement remarquer qu'i
ix (fig. 105) présente les mêmes variations de couleur sur toutes les
figures
de la planche XXVIII. Sur les coupes 104, 105, il
e Varale; PP, pied du pédoncule, sectionné à gauche (côté droit de la
figure
) ; GE, corps genouillé externe, à l'extrémité de
thalamus, où elle s'épuise. Ce sont là ses fibres terminales. Sur la
figure
110 on voit aussi ses fibres d'origine, placées i
fig. 109), puis, bientôt, franchement isolé et indépendant de toute
Figure
schématique représentant une coupe vertico-transv
nt (cette dernière portion de son trajet n'est pas représentée sur la
figure
). Au-dessous de lui s'étalent, sectionnées tran
coupées obliquement. Le noyau de l'anse lenticulaire (GAP), sur cette
figure
, n'atteint plus en dedans la substance grise de l
n sur laquelle les opinions ont beaucoup varié. Qu'on se reporte à la
figure
119 de cette planche, et l'on constatera que la c
ous étudions, procédant d'arrière en avant, il nous faut remonter aux
figures
129 et 128 pour mieux suivre le trajet du pied du
es quatre premières coupes de cette planche. Mais déjà à partir de la
figure
136, où l'on voit la substance grise du cap se fu
e par le rostrum, sont les deux insula et les deux avant-murs. Sur la
figure
155 on voit le rostrum s'enfoncer obliquement en
isceau qui va former la capsule externe est donc plus foncé. — Sur la
figure
135 ses fibres tendent à devenir plus transversal
re 135 ses fibres tendent à devenir plus transversales. Enfin, sur la
figure
138, on ne distingue plus sa véritable direction,
riable. On peut voir sur les coupes de la planche XTXTlT, depuis la
figure
153 jusqu'à la figure 138, s'effectuer une diminu
sur les coupes de la planche XTXTlT, depuis la figure 153 jusqu'à la
figure
138, s'effectuer une diminution progressive de la
et toujours à peu près le même; on s'en rendra compte en comparant la
figure
2 de la planche X avec la figure 5 de la planche
n s'en rendra compte en comparant la figure 2 de la planche X avec la
figure
5 de la planche XXXY, et avec les figures 1 et 2
re 2 de la planche X avec la figure 5 de la planche XXXY, et avec les
figures
1 et 2 de la planche XXXVJII. Si la totalité du p
EGION DE LA CALOTTE ET LA BASE DES NOYAUX GRIS CENTRAUX La première
figure
représente le plan de section du segment inférieu
e section du segment inférieur de l'hémisphère droit; les deux autres
figures
(2 et 3) représentent le plan de section du segme
même de sa convexité supérieure, n'est visible que sur la coupe de la
figure
1. II est situé en arrière et en dehors de l'aque
ouillé interne, sectionné au voisinage de sa partie inférieure sur la
figure
1, reçoit (fig. 2) le tractus opticus zonàlis (TR
1, reçoit (fig. 2) le tractus opticus zonàlis (TRO) et s'isole sur la
figure
5, où il est limité en arrière par lestratum zona
a substance grise de la base du cerveau. NC. Le noyau caudé, sur la
figure
1, est presque confondu avec le putamen (PUT). Ce
l'anse du noyau caudé (ANC). La portion du putamen qu'on voit, sur la
figure
1, à égale distance de la tête (NC) et de la queu
ce grise. NR. Le noyau rouge de la calotte n'est visible que sur la
figure
4- Les coupes 5 et 6 passent au-dessus de ce noya
aversé les fibres blanches horizontales de son stratum zonale. Sur la
figure
5 il n'existe plus; on ne voit que la proéminence
coupées ici perpendiculairement à leur axe. Mais on peut voir, sur la
figure
5, que ces fibres obliques ou horizontales en arr
r les fibres du stratum zonale du ganglion de l'habénule, qui, sur la
figure
9, sont représentées par une petite strie claire,
ue leur teinte se confond avec celle des noyaux. Au contraire, sur la
figure
9 elles sont horizontales. Nous avons déjà décrit
faisceaux. Ces faisceaux sont plus facilement reconnaissables sur la
figure
5 de la planche XXXVIll. Thl. La racine inférie
AR LA RÉGION SUPÉRIEURE DE LA MASSE OPTO-STRIÉE. Les deux premières
figures
(10 et 11) représentent le plan de section du seg
ent le plan de section du segment supérieur de l'hémisphère droit; la
figure
12 représente le plan de section du segment infér
oisinage du taenia. FSe. Le faisceau sensitif externe, foncé sur la
figure
11, n'est composé que de fibres obliques en bas e
isceau arqué dont la partie antérieure seulement est verticale sur la
figure
10, se montre dans tout son développement sur les
icale sur la figure 10, se montre dans tout son développement sur les
figures
11 et 12. Ici on remarquera que la coupe passe au
sitions tout à fait individuelles. On remarquera que les coupes des
figures
1 et 2, malgré la dissemblance de leur profil, on
teau a divisé le gyrus rectus (GR) dans toute sa longueur. Les deux
figures
représentent le segment inférieur de l'hémisphère
s deux figures représentent le segment inférieur de l'hémisphère : la
figure
1 représente l'hémisphère gauche ; la figure 2 re
eur de l'hémisphère : la figure 1 représente l'hémisphère gauche ; la
figure
2 représente l'hémisphère droit. Sur ce dernier,
ue sur le premier elle est réduite à un petit orifice triangulaire.
Figure
1. COUPE HORIZONTALE PASSANT PAR LES DEUX COMMI
ntales en série. Il est vrai que la disposition qu'on remarque sur la
figure
1 est exceptionnellement remarquable. Cela tient,
alleuse, ne présente pas nécessairement les plis qu'on observe sur la
figure
1 de la planche XXXVHL On peut déjà, sur la ligur
plis sont beaucoup moins accusés. Il suffit entin de se reporter à la
figure
2 de la planche XXXIV pour constater, sur une cou
a face interne par les fibres profondes du corps calleux (ce). Sur la
figure
2, la même face interne n'est séparée du corps ca
sidérer également comme existant à l'état virtuel, sur la coupe de la
figure
1, la lacune ventriculaire qui sépare le noyau ca
commune, complètement distinct du faisceau pariétal vertical (FPV).
Figure
2. COUPE HORIZONTALE PASSANT PAR LES DEUX COMMI
en efîèt, est sectionné au-dessus du gyrus rectus; sur la coupe de la
figure
1, le corps calleux était resté au-dessus du plan
aisceau d'Arnold (AR), est conforme à ce qui a été dit au sujet de la
figure
1., LML. La lame médullaire latérale du thalamu
venons de signaler un aspect absolument identique sur la coupe de la
figure
1. FS. Le faisceau sensitif s'élargit à son ext
niveau plus élevé, il s'épuise dans la cinquième ou gyrus lingual.
Figure
3. COUPE HORIZONTALE DE L'ilÉMISPnÈRE DROIT PAS
ISPnÈRE DROIT PASSANT PAR LA PARTIE MOYENNE DU SEPTUM LUCIDUM Cette
figure
est destinée à faire voir : 1" La subdivision d
E XL COUPES HORIZONTALES PAS.SANT PAR LA BASE DU CERVEAU Les cinq
figures
de cette planche sont destinées à faire voir les
on basilaire. du noyau amygdalien et de l'espace perforé antérieur.
Figure
1. La moitié antérieure de l'hémisphère droit e
e lobule, confond ses fibres blanches avec celles de cette capsule.
Figure
2. Le tiers antérieur de l'in^misphère gauche,
section horizontale passant à un niveau un peu plus élevé que sur la
figure
précédente. Tout le lohe frontal a été respecté.
mpe par la capsule blanche que nous avons signalée sur la coupe de la
figure
1. Seulement, comme la coupe actuelle est plus él
ien : ce sont les fibres de la racine inférieure du thalamus (Thl).
Figure
3. Ici la coupe n'intéresse que le lobe sphénoï
e lobe sphénoïdal; elle passe au-dessous de la bandelette optique. La
figure
représente le segment inférieur de l'hémisphère d
ci la section oblique du diverticule sous le subiculum (Dsu). Cette
figure
est destinée à montrer les rapports médiats de la
dessous de la fente de Bichat sont d'ailleurs mis en évidence sur les
figures
de la planche XLI. Figure 4. Les trois premiè
sont d'ailleurs mis en évidence sur les figures de la planche XLI.
Figure
4. Les trois premières figures représentaient l
sur les figures de la planche XLI. Figure 4. Les trois premières
figures
représentaient les coupes horizontales de la régi
ncus, au-dessus, au milieu et au-dessous de la bandelette optique. La
figure
4 fait voir sous un nouvel aspect la disposition
e en avant est la substance réticulaire d'Arnold. En arrière, cette
figure
montre les rapports de la racine inférieure du th
le faisceau de Tùrck-Meynert (FM) et la commissure antérieure (CA).
Figure
5. Cette dernière coupe horizontale passe par l
). PLANCHE XLI COUPES HORIZONTALES DU LOBE SPHENOÏDAL Les douze
figures
de cette planche représentent la série des coupes
inférieur de l'hémisphère qui a été reproduit ici. Les deux premières
figures
seules le font voir dans son ensemble. Les dix au
l des parties grises et blanches dont on trouve déjà un aperçu sur la
figure
3 de la planche XL. On y verra les rapporls de la
ndue antéro-postérieure ; c'est ce qu'on observe, par exemple sur les
figures
5, 6, 7 et 8 de la planche XLI. PLANCHE XLII j
CONVERGENTES DU CERVEAU DANS LE PLAN VERTICO-TRANSVERSAL Les quatre
figures
de cette planche sont exclusivement destinées à m
s antérieure, traverse la région antérieure du lobe paracentral. La
figure
1 de la planche XLII fait voir la continuité du f
c'est-à-dire du faisceau inférieur du forceps (FOi). La coupe de la
figure
2 divise le cerveau en avant du lieu où se confon
scription des coupes verticales. On retrouve sur l'hémisphère gauche (
figure
2) la lamina convoluta (LC) faisant suite à l'éco
e terminer dans le fascia dentata (Fd). La coupe représentée sur la
figure
3 passe par le milieu du corps genouillé externe
ANATOMIE PATHOLOGIQUE DU CORPS HUMAIN, ou DESCRIPTIONS , AVEC
FIGURES
LITHOGRAPHIEES ET COLORIEES, des DIVERSES ALT
e dont l'imagination avait fait tous les frais, ont été trahis par la
figure
même qu'ils invoquaient, critique muette, mais ir
ême; l'initier en peu de temps et sans fatigue pour l'esprit, par des
figures
frappantes de vérité, aux notions les plus import
des dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, une foule de
figures
représentant des cas pathologiques remarquables.
gagni, les médecins français n'ont pas attaché assez d'importance aux
figures
, cela tient peut-être à la difficulté de l'exécut
e n'est qu'après avoir acquis la conviction que des descriptions sans
figures
, quelque exactes quelles soient, ne laissent dans
rapprochement des faits particuliers, lorsqu'un assez grand nombre de
figures
aura été publié sur chaque matière. Aussi bien fe
e, si perfectionnée de nos jours, sera généralement employée dans nos
figures
, parce qu'elle rend tout aussi bien, je dirais pr
s autres laissent le moins possible à désirer, car il faut que chaque
figure
s'explique d'elle-même, et qu'avec un peu de conn
utérines, uwpFialocystis racemosay etc. (*) planche i. Fig. i. La
figure
i représente la masse expulsée vue du côté non vé
), surmontent une vésicule plus considérable. Le groupe des petites
figures
i', 2', 3', 4, 5', 6, 7', représente des vésicule
xiste qu'un seul. Fig. 3. Si l'on écarte les vésicules représentées
figure
1, on arrive bientôt à une membrane transparente;
et se terminent par des granulations. C'est cette disposition que la
figure
3 est destinée à indiquer. Les figures 4? 45 4
'est cette disposition que la figure 3 est destinée à indiquer. Les
figures
4? 45 4 sont des grappes de vésicules extrêmement
utres par un nombre considérable de filamens d'aspect vasculaire. Ces
figures
, qui sont frappantes de vérité , représentent : l
laire. Ces figures, qui sont frappantes de vérité , représentent : la
figure
4 ? des masses de grappes enveloppées dans des ca
4 ? des masses de grappes enveloppées dans des caillots de sang ; la
figure
4 des grappes naissant du chorion, et la figure 4
caillots de sang ; la figure 4 des grappes naissant du chorion, et la
figure
4 ? une très-belle grappe isolée des parties envi
ésicules faisaient saillie à sa surface. Réflexions. — La série des
figures
qui viennent d'être expliquées prouve manifesteme
uvée, autant qu'on peut prouver en anatomie, par le rapprochement des
figures
3, 4 ? 4'? 4" PL 1î ng- 2 ? PL 11 ? CRU nous perm
s l'avait encore donnée, mais moins complète peut-être (**), dans une
figure
que j'ai également reproduite (pl. n , fig. 4 )•
ans une figure que j'ai également reproduite (pl. n , fig. 4 )• Cette
figure
représente un œuf humain rendu par l'avorte-ment.
rdiaque. Ils avaient été coupés de la manière qui est indiquée sur la
figure
, en sorte que*je n'ai pas pu le vérifier. 2°. L
artère vertébrale AV et l'artère sous-clavière ASC. Fig. 2 et 3. La
figure
1, qui représente les objets en place, permet enc
t formées aux dépens des ganglions cervicaux du grand sympathique. La
figure
2 va faire cesser toute espèce de doute a cet éga
glion cervical supérieur accessoire, est seule restée en position. La
figure
3 est destinée à la montrer renversée en haut et
c la sixième, la septième et même la huitième paires cervicales. La
figure
4 représente le ganglion cervical supérieur IG di
térines; il présente plutôt la disposition aréolaire indiquée dans la
figure
. J'ai vainement cherché dans son épaisseur quelqu
en rencontre presque aucun au milieu de la substance tuberculeuse. La
figure
2 donne une idée aussi exacte que possible et des
dépens de la partie inférieure du rein. Le bassinet B et l'uretère U,
figure
3 , étaient parcourus à leur surface externe par
evait donc être complètement étranger à la sécrétion de l'urine. La
figure
4 représente une tranche mince du tissu morbide.
morcellement, cette dif-fluence me paraissent très-bien rendus par la
figure
. L'altération était au reste bornée à la substanc
du rein en un tissu spongieux pénétré d'un liquide lie de vin. Les
figures
3 et 4 de la même planche représentent le rein ga
marquables que nous a présentées l'autopsie cadavérique. Fig. 6. La
figure
6 représente le périnée et les parties génitales
ar le pertuis O et parcourir toute la longueur du canal. Fig. 7. La
figure
7 montre une coupe du bassin de l'enfant ; on voi
ne communication entre les voies urinaires et le rectum. Fig. 8. La
figure
8 donne une idée parfaite du canal accidentel et
n droit, dont on n'a laissé qu'une partie, de même que sur les autres
figures
, est renversé. On voit une première artère AA naî
hes du même côté; tous aboutissent à une espèce de confluent C. Les
figures
5, 5', 5" représentent les cavités du cœur ouvert
Cette ouverture est mise dans tout son jour O, fig. S". Dans ces deux
figures
, on voit aussi l'artère pulmonaire AP au moment o
eaux ne formaient point un iie livraison. 1 réseau comme on se le
figure
communément, mais quils parcouraient un [assez lo
tonéale, et se rendre en définitive aux ganglions mésentériques. La
figure
5 représente grossis les vaisseaux de la figure 3
s mésentériques. La figure 5 représente grossis les vaisseaux de la
figure
3. On y remarque le vaisseau lacté sous-muqueux V
des papilles ppp, lesquelles sont de grosseur naturelle. Les petites
figures
i, 2, 3 sont destinées à montrer considérablement
es converger pour former un vaisseau valvulaire. Le groupe de petites
figures
4? 5? 6, 7., 8, g, 10, n, 12, i3, représente quel
chylifères se terminer en cul de sac à la membrane intestinale. Les
figures
contenues dans les planches ci-jointes prouvent p
ctum ouvert dans la vessie (*). (planche ii, iie livraison.) La
figure
i représente un foetus à terme, mais peu développ
jetés en avant, très-bien conformés ; scrotum vide de testicule. La
figure
i représente le squelette des deux extrémités inf
mettaient aux fémurs de se porter entièrement au-dessus d'elles. La
figure
3 représente ce même bassin vu par la face postér
re compte dm mnrle de formation de l'ouverture postérieure O indiquée
figure
2. Si en effet vous imprimez à un bassin ordinair
e, au niveau de l'ouverture postérieure O, par un raphé fibreux. La
figure
4 représente le squelette de la main droite de ce
s du carpe. Le radius et le cubitus étaient parfai-tement"sains. La
figure
5 représente une coupe du bassin contenant encore
nt confondu; UU les uretères, P la portion prostatique du canal. La
figure
6 représente le rectum R s'ouvrant à la partie po
moyenne étaient plus développées que le rein et l'artère rénale. La
figure
7 représente l'extrémité supérieure d'un enfant q
ure de la luette vésicale. Dans ce cas, comme dans celui représenté
figure
4 la main était renversée sur le côté radial de l
et des os dans le pied- bot. (planche iii, ii€ livraison.) Les
figures
que contient la planche 3 sont destinées à représ
ties molles et dures de la jambe et du pied d'un adulte pied-bot. Les
figures
i, 2, 5 sont de demi - grandeur ; les ligures 3,4
e. Les veines avaient subi la même progression de décroissement. La
figure
1 représente la jambe dépouillée de la peau et de
avait suivHe sort de ce dernier muscle. On voit d'ailleurs sur cette
figure
, comme sur la précédente, que le plan du pied-bot
représente, de grandeur naturelle, l'astragale et le calcanéum de la
figure
précédente. On voit la poulie astragalienne PA^
, venu au monde dans la même position que le fœtus décrit planche 11,
figure
1. On voit l'astragale A, déformé, allongé, s'art
ig. 3; 2 astragale d'un enfant de six à sept ans, représenté en place
figure
2; 3 astragale d'un individu de dix-huit à vingt
eur sur la tête de l'astragale, qui, dans les trois dernières petites
figures
, est partagée en deux parties bien distinctes don
l'astragale peut être considéré comme atrophié. La série de petites
figures
1, 2', 3, 4', 5' représente les scaphoïdes appart
ne ligne anguleuse indique seulement la trace du point d'union. Les
figures
6', 6" montrent le deuxième et le troisième métat
PIEDS-BOTS ET SUR LES AUTRES DÉPLACEMENS CONGÉNIAUX. La série de
figures
contenues dans les planches n, m, iv (ne livraiso
ots et autres déplacemens congéniaux. Si l'on jette les yeux sur la
figure
i, planche n (n° livraison), on sera convaincu, b
i par les agens extérieurs, où sera donc la cause comprimante (*)? La
figure
i le dit : cette cause est dans le fœtus, qui dev
cubitale: or c'est précisément cette disposition que nous présente la
figure
7, dans laquelle il y a absence du pouce, absence
us devons attribuer le vice de conformation si remarquable du bassin,
figure
2,3, planche n, dans lequel les deux pubis se tou
fois au moyen d'une facette articulaire parfaitement conformée (voyez
figure
4 et 7, planche 111 ). Tout cela est évidemment
ion la plus prononcée : mais il suffit de jeter un coup-d'œil sur les
figures
de la planche iv, et surtout sur la série de scap
e. Je signale sous le rapport de son peu de volume le scaphoïde de la
figure
2, planche iv. Ce que je viens de dire du scaph
a direction naturelle, donne la mesure précise de la déviation. Cette
figure
, dans laquelle le pied est rendu à sa véritable d
E LA RATE. MALADIES DE LA RATE. Splénite, pus concret combiné. (
figures
i et 2, planche v, if livraison.) N...., âgée d
n. Jetais tenté de rapprocher ce cas de celui qui fait le sujet de la
figure
3; mais ici la région de la rate, palpée, comprim
semblable à la couleur extérieure. La différence qui apparaît sur les
figures
tient à l'action de F air. Les couches adjacentes
lité d'un organe. Ramollissement en pulpe de la rate. (planche v,
figure
3, iie livraison.) De toutes les lésions de la
it extérieurs. Ramollissement chronique de la rate. (PLANCHE Ire,
FIGURE
4, Iï" LIVRAISON.) Fig. 4- La ligure 4 représen
on foncé; étendu sur du papier, il donnait la couleur indiquée sur la
figure
, et cette couleur n'est autre chose qu'une nuance
du même côté : pneumonie circonscrite. (planche i, iiie livraison,
figure
1 et 3.) Mademoiselle Boran, couturière, âgée d
-considérable de Vorifice aortique (*). (planche i, 111° livraison,
figure
i.) Une femme de la Salpêtrière, âgée de soixan
scharre ou bourbillon E qui s'était échappée par l'ouverture indiquée
figure
1. Ce foyer, examiné sous l'eau, m'a permis de vo
euse MTE était érodée au niveau de la bifurcation de la trachée. La
figure
3 est surtout destinée à représenter le nerf pneu
, lesquelles n'ont pas été représentées ici pour ne pas compliquer la
figure
. Un bourrelet ou anneau incomplet et formant deux
artère sans dilatation préalable (*). (planche iv, iiie livraison,
figure
2 et 3.) Un individu meurt subitement en vomiss
e ouvert OE (fig. 3) présente une très-large perforation POE. La même
figure
offre plusieurs perforations commençantes de la b
alocystes vides, ramassées sur elles-mêmes et colorées en jaune. La
figure
3 représente une de ces acéphalocystes intacte ;
mais à tort, comme des germes ou œufs d'acéphalocystes. On trouve,
figure
2, de nombreuses et singulières variétés de forme
ppement, les partisans de la vitalité de ces globes organiques. Les
figures
5 et 6 représentent des fragmens de Facéphalocyst
he correspondante du canal hépatique était au contraire dilatée. La
figure
4 représente un fragment du foie, destiné à en fa
ig. 4) donnent une idée exacte du volume et de la forme du noyau : la
figure
4 représente en outre les fila-mens celluleux ext
paisseur des lamelles ou folioles dont elles sont comme hérissées. La
figure
i , qui offre une coupe de l'estomac au niveau de
éphaloïde, laquelle était logée dans de petites cellules représentées
figure
i", grossies à l'aide d'une forte lentille. Tou
courbure de Vestomac et de la portion voisine du foie. (PLANCHE I,
FIGURE
1.) Un vieillard de quatre-vingt-trois ans est
e vin et de vert sale. Cette couleur a été parfaitement rendue sur la
figure
1, IGP, IGP; elle ne paraîtra forcée qu'à ceux qu
até, est prodigieusement aminci. On voit bien mieux encore que sur la
figure
1 les perforations déjà faites PP et les perforat
lissement gélatiniforme RG, RG, RG qui a été si bien rendu dans cette
figure
. L'intestin grêle avait été légèrement affecté
rne. La facette latérale externe FE a pu seule être montrée sur cette
figure
. Des franges rouges environnent la surface articu
plâtreuse le pénétrait en IVe LIVRAISON. 1 très-grande partie. La
figure
4, qui présente une coupe de l'astragale, montre
t beaucoup plus encroûtées que les articulations intermédiaires. La
figure
6 représente la face dorsale du gros orteil droit
acée, que j'appellerai matière goutteuse, remplissait les vides. La
figure
représente la face plantaire du même orteil. CP
laquelle était déformée et ankylosée dans une extension forcée. Les
figures
7 et 8 représentent : la première, la face dorsal
les principales variétés connues d'utérus bifides et biloculaires.
Figure
i. Utérus bifide dans son corps, cloisonné dans s
bifide dans son corps, cloisonné dans son col; vagin double. — Cette
figure
représente un utérus soumis à la Société anatomiq
a division paraît plus considérable encore que dans le cas représenté
figure
i, conduit à celui de M. Cassan (fig. 3), où l'on
Utérus bifide dans son corps, col et vagin dans l'état normal. — Ces
figures
offrent un utérus bifide dans son corps, dont les
us de l'orifice inférieur du vagin, tandis que dans le cas représenté
figure
1, de même que dans celui de Boehmer, la cloison
ns chez le même sujet, mais bien que le volume de l'utérus représenté
figure
4 surpasse celui d'un utérus ordinaire, bien que
n'ont point été indiquées par Eisenmann dont nous avons reproduit la
figure
. Fig. 6. Utérus biloculaire, — Cette figure rep
nous avons reproduit la figure. Fig. 6. Utérus biloculaire, — Cette
figure
représente un utérus biloculaire d'une espèce tou
reur de ceux qui ont admis une double matrice. Du reste la série de
figures
représentées planche v établit pour ainsi dire le
le passage entre les utérus normaux et les utérus bifides. Dans la
figure
5, l'utérus est seulement cloisonné dans son corp
, tome V, page 35g. (**) Tabulœ anatomicœ. Argent. , 1752, planche I,
figure
1. (***) Observé par M. Martin, membre de la So
) Philosophie anatomique. Paris, 1818-1 8a3 , 2 vol. in-8°. Dans la
figure
4, il n'y a qu'un utérus; mais une dépression à l
qui se prolonge le long du vagin établissent la bifidité. Dans les
figures
i et 2', il y a bifidité de l'utérus dans son cor
et le vagin sont simples à l'intérieur comme à l'extérieur. Dans la
figure
1, il y a bifidité dans le corps seulement ; mais
ossement des deux moitiés du col utérin et du vagin. Enfin, dans la
figure
3, la bifidité occupe le corps et le col. Quelq
rément par un orifice distinct dans Un vagin unique. Nous avons vu (
figure
1 et 7!) que la moitié d'utérus vide n'avait en a
n frère, ou mort plus ou moins long-temps avant l'accouchement. Les
figures
1 et -2', en nous montrant la division gauche rem
donc paru de la plus haute importance de présenter dans une série de
figures
et de descriptions les différentes espèces d'alté
ur du corps des vertèbres. -— Compression de la moelle. — Mort. Les
figures
i et 2 représentent un testicule enlevé, à la Mai
L'une de ces adhérences filamenteuses AF a été représentée sur cette
figure
. La figure 2 représente une coupe de ce testicu
adhérences filamenteuses AF a été représentée sur cette figure. La
figure
2 représente une coupe de ce testicule, qui est c
issu de l'utérus dans l'état de vacuité, qu'un testicule ( représenté
figure
3) extirpé par M. Marjolin à l'hôpital Beaujon, e
s Vintérieur de la veine-cave ascendante: Le testicule représenté
figure
4 a été extirpé à la Maison royale de Santé, par
suite des grandes opérations chirurgicales. Dans le cas représenté
figure
4, le malade succomba au bout d'un mois et demi e
la crois pas incapable de résolution. Tel est le sarcocèle représenté
figure
5. Le testicule avait augmenté de volume et de
tendue proportionnelle au décollement. Je regarde le cas représenté
figure
i comme devant être placé à côté d'une lésion déc
ient de chaque côté, mais beaucoup plus loin à gauche qu'à droite. La
figure
2 représente de la manière la plus exacte l'aspec
ut au moment où on s'y attendait le moins, Ouverture du cadavre. La
figure
3 représente le larynx vu par sa face postérieure
e déformé; mais point d'ovaire, et, à sa place, l'énorme tumeur. La
figure
1 donne une idée exacte de l'aspect de la surface
happe de divers points ouverts, tout est ici frappant de vérité. La
figure
1 représente de grandeur naturelle une partie de
elques poches celluleuses semblables à celle représentée au bas de la
figure
2. Là se voient des filamens nerveux, ronds, dens
rien de particulier à sa surface convexe ; mais sa base, représentée
figure
i, nous montre i° une perforation P, oblongue, de
nt une opposition aussi marquée, comme on peut s'en assurer sur cette
figure
, où les circonvolutions ont été fidèlement copiée
erveau ouvert, nous avons vu, dans l'intérieur du ventricule latéral (
figure
2), une bandelette de substance médullaire LM qui
ptique et le corps strié droit et gauche se trouve très-bien indiquée
figure
3 et 4« Le corps strié gauche CSG est beaucoup pl
au centre de l'hémisphère du même côté. (PLANCHE VI, Ve LIVRAISON,
FIGURES
I ET i'. ) Martin, athlétique, cinquante - deux
TQ, le cervelet C sont dans l'état le plus parfait d'intégrité. La
figure
2' représente le foyer sanguin FA largement ouver
e, les nombreux vaisseaux déchirés sont très-bien représentés sur les
figures
1 et 1'. Le hasard a voulu qu'à côté d'un foyer r
t de même couleur. Cette couleur a été rendue avec beaucoup de vérité
figure
1. Le foyer apoplectique FA occupait toute l'épai
artie semble encore imbibée de sang, comme dans le foyer récent de la
figure
ï : la différence est tellement tranchée, que je
fort bien pu se développer dans cet espace de temps. Au reste, sur la
figure
1' comme sur la figure ï, on voit des houppes vas
per dans cet espace de temps. Au reste, sur la figure 1' comme sur la
figure
ï, on voit des houppes vas-culaires, débris des v
imaient la portion du cerveau remplacée par le foyer de sang. La même
figure
i' représente quelques ramifications artérielles
l'autre étaient les symptômes dominans dans le fait suivant, dont les
figures
1 et 1' donnent une idée aussi exacte que possibl
de la couche optique et de la partie voisine du centre médullaire. La
figure
i et i' représente exactement le désordre qui éta
e sorte d'énucléation. La couleur a été parfaitement rendue sur cette
figure
. C'est une couleur jaune-orangé mélangée de jaune
anguin n'avait pas le tiers ou le quart du volume du foyer représenté
figure
2 et i\ et cependant l'hémiplégie du mouvement ét
e de l'hémisphère et s'enfonçait jusqu'au fond des anfractuosités. La
figure
i donne une idée aussi exacte que possible de cet
Sur ce sujet, j'ai voulu m'assurer de l'état des circonvolutions. La
figure
i représente l'aspect du cerveau dépouillé de ses
nne chronique, ont présenté trait pour trait l'altération représentée
figure
i. Observation Fe. — Méningite sous-arachnoïdie
protubérance annulaire et même le long de la pie-mère antérieure. La
figure
2 représente parfaitement cette altération. Tou
du cerveau ; la voûte à trois piliers était réduite en bouillie. La
figure
3 représente la moitié seulement du cerveau ; l'a
dans toute son étendue. LM représente la coupe de ce lobe moyen. La
figure
4 représente les méninges détachées et étalées. O
maient les tégument? la dure-mère et l'arachnoïde : on voit sur nette
figure
les plis et brides que présentait la surface inte
nt le siège est dans le tissu cellulaire séreux sous-arachnoïdien. La
figure
1 représente la face postérieure, la figure 2 la
eux sous-arachnoïdien. La figure 1 représente la face postérieure, la
figure
2 la face antérieure de la moelle. Ge pus floconn
rance annulaire P et des pédoncules antérieurs PA, PA, et en arrière,
figure
2 , autour de la circonférence du cervelet. Nous
iété anatomique par MM. Dehanne et Guyot, membres Je cette Société.
FIGURES
3 ET t\ (*). Les figures 3 et 4 représentent la
anne et Guyot, membres Je cette Société. FIGURES 3 ET t\ (*). Les
figures
3 et 4 représentent la région lombaire et la part
substance cartilagineuse remplissait l'intervalle. La comparaison des
figures
3 et 4 nie paraît établir que le développement de
présentent le type de la transformation enkystée de ces organes. La
figure
ire (*) représente la surface extérieure d'un rei
e, était trouble, noirâtre, boueuse, jaunâtre dans quelques-uns. La
figure
2 représente une coupe du même rein : on voit la
sformation que la granuleuse, en raison de sa disposition radiée. Les
figures
1' et 2" ont pour but de montrer les radiations d
r but de montrer les radiations de cette substance tubuleuse. Dans la
figure
2', les cônes sont étalés et forment un plan. On
lières, petits kystes qui contiennent de la sérosité limpide. Dans la
figure
2", les radiations commencent à disparaître ; on
es espèces de brides rameuses ; ce sont des vaisseaux oblitérés. La
figure
3 (**) représente le rein d'un enfant âgé de troi
tinuité, soit accidentelles, soit produites par l'art. Une série de
figures
représentant les cicatrices des plaies soit accid
de l'amputation dans l'articulation scapulo-humérale. Planche v. La
figure
ï (*) représente le moignon de l'épaule d'un indi
procédé opératoire que M. Larrey a adopté pour cette amputation. La
figure
i représente les parties disséquées. C la clavicu
ort à l'Hôtel-Dieu d'une phthisie pulmonaire. vie livraison. 1 La
figure
3 est destinée à représenter la cavité glénoïde q
su fibreux, et qui est devenue plane et même légèrement convexe. La
figure
4 représente le ganglion nerveux GN divisé en deu
e premier. La malade s'est promptement et parfaitement rétablie. La
figure
ï représente la surface utérine du placenta et le
iège de cette altération ne serait pas dans les follicules. 4°. Les
figures
1, 2, 3 delà plancheII, 4e fascicule de Baillie (
1812), représentent diverses formes d'entérite folliculeuse aiguë. La
figure
3 est surtout très-belle. Les plaques agminées so
celui du coloris, rend très-bien la forme des plaques elliptiques. La
figure
première représente les plaques agminées de Peyer
pénicellée très-considérable qui a été parfaitement rendue sur cette
figure
. Vues contre le jour, les parois de l'intestin so
i l'attention sur la plus supérieure des plaques pustuleuses de cette
figure
, qu'on voit proéminer au centre d'une plaque gauf
mité inférieure de la plaque pustuleuse la plus considérable de cette
figure
PP, et,on rencontre sur divers points de petites
es jaunâtres qui précèdent en général l'érosion de ces plaques. Cette
figure
prouve en outre que l'entérite pustuleuse n'envah
aine d'escarres. Les plus supérieures n'ont pas été rendues sur cette
figure
. A la fin de l'iléon, au voisinage et aux dépens
autres organes, poumon, cœur, cerveau, sont parfaitement sains. La
figure
i' représente la perforation vue par la surface e
ties voisines. Hernie ombilicale congéniale. (fig. 2 et 2'. ) Les
figures
2 et 2' appartiennent à un fœtus mort-né de sept
DE LA PEAU. (Planche vi, vne livraison.) Productions cornées. Les
figures
i et i' représentent la main et l'avant-bras gauc
M. Bérard aîné. Èlle faisait partie de la collection de Béclard. La
figure
i représente la main et l'avant-bras vus du côté
é de la face palmaire, le radius R et le pouce P étant en avant. La
figure
i' représentela main et l'avant-bras vus du côté
e diamètre et qui est formée par plusieurs couches superposées. Les
figures
2 et 2' représentent l'ongle du gros orteil consi
rsale sont en rapport avec cette disposition lamelleuse. Cette même
figure
2' montre l'intervalle qui sépare l'ongle de la f
d'elles que s'était développé le calcul que nous avons trouvé. » La
figure
1 représente la tumeur d'apparence fibreuse, sphé
aire sous-arachnoïdien. Fig. 2. J'ai trouvé la tumeur représentée
figure
2 sur une femme destinée à mes dissections. Une t
a précédente. C'était une tumeur carcinomateuse a l'état naissant. La
figure
2' représente la coupe verticale de la tumeur pri
it; l'aspect que présentait son tissu a été parfaitement rendu sur la
figure
3'. D'innombrables granulations d'une régularité
d'elles que s'était développé le calcul que nous avons trouvé. » La
figure
1 représente la tumeur d'apparence fibreuse, sphé
aire sous-arachnoïdien. Fig. 2. J'ai trouvé la tumeur représentée
figure
2 sur une femme destinée à mes dissections. Une t
a précédente. C'était une tumeur carcinomateuse à l'état naissant. La
figure
1' représente la coupe verticale de la tumeur pri
ns la substance cérébrale déprimée et comme détruite à son niveau. La
figure
5 représente la face profonde de cette tumeur qui
t vasculaire, comme d'ailleurs toutes les tumeurs careinomateuses. La
figure
4 donne une idée de la coupe de cette même tumeur
-être de la rapidité de l'oblitération des sinus (***). (*) Dans la
figure
de Hooper, les deux sinus latéraux sont représent
squ'à ce jour enveloppées d'une obscurité impénétrable. PLANCHE IV,
FIGURES
1 ET 3 (**). Petite fille de quatre ans, ayant
tiers du volume que conserve l'hémisphère droit (fig. i et 2 ). Les
figures
i et 2 représentent tous les détails de cette atr
us les détails de cette atrophie étudiée à l'extérieur du cerveau. La
figure
1 montre le vide qui existait entre le cerveau et
des parois du crâne de l'autre, est aussi parfaitement indiquée : la
figure
2 représente la base de la masse encéphalique : l
er en balance avec l'atrophie de l'hémisphère gauche du cerveau. La
figure
3 représente le plancher des ventricules latéraux
sérosité. Les rubans olfactifs étaient sains. On voit sur cette même
figure
i l'imperfection de la partie postérieure de l'hé
ouvertures antérieures OA, O'A', sont parfaitement indiqués sur cette
figure
. L'intérieur du cerveau n'offrait d'ailleurs ri
, extirpation. Voici quel était l'état du testicule. Celui représenté
figure
i a été divisé par une coupe verticale en deux pa
urs infiltré de matière tuberculeuse, mais beaucoup moins que dans la
figure
1, et on reconnaît encore dans un grand nombre de
ticule, ne sont pas des raisons suffisantes pour l'extirpation. Les
figures
3 et 3' représentent un testicule extirpé à la Ma
testicule extirpé à la Maison royale de Santé par M. Paul Dubois. La
figure
3 donne exactement la forme régulière et sphéroïd
vaisseaux nombreux serpentent au-dessous de la tunique albuginée. La
figure
3' est une coupe de ce même testicule. Une tumeur
t tuberculeux ; testicule parfaitement sain ' (fig. 4 et 4')- Les
figures
4 et 4 représentent un testicule extirpé par M. l
à m'adresser les pièces pathologiques qu'il a occasion d'observer. La
figure
4 montre le testicule doublé de volume ; la tuniq
pididyme. Cette tumeur adhérait intimement aux parties voisines. La
figure
4 représente le testicule et l'épididyme incisés
sur laquelle je nJai pu recueillir aucune espèce de renseignement. La
figure
1 représente le coude, l'avant-bras et la main vu
impossible; la flexion peut être portée beaucoup plus loin que sur la
figure
; les extrémités inférieures du radius et du cubit
isse avoir pour résultat une luxation avec extension de la main. La
figure
2 représente l'avant-bras et la partie voisine de
e de la main disséqués et vus de profil du coté radial, comme dans la
figure
1. Tous les muscles du bras sont atrophiés, mais
ain de s'incliner fortement sur le bord radial de l'avant-bras. Les
figures
4 et 5 représentent, la première, les os de l'ava
ême articulation du poignet vue du côté du bord radial. Dans les deux
figures
, S est le scaphoïde, P le pisiforme, P' le pyrami
t déformées. Luxation du radius en arrière sur l'humérus (*). Les
figures
4? 5 et 6 (planche 3) représentent une luxation e
ation coxo-fémorale, est fort rare pour les autres articulations. Les
figures
i, 2, 3, fourniront un exemple de ce mode de term
exemple de ce mode de terminaison pour l'articulation du coude. La
figure
1 représente l'articulation du coude vue du roté
mité inférieure de l'humérus et la capacité de la coque osseuse. La
figure
1 représente l'articulation vue du côté cubital.
ation qu'est transmis plus spécialement le poids de tout le corps. La
figure
2 en est un exemple. Les surfaces articulaires so
e cartilage. La rotule est d'ailleurs considérablement déformée. La
figure
i\ qui représente la même extrémité du fémur, vue
ion ou d'irritation chronique. Des corps étrangers articulaires. La
figure
i représente une articulation du coude (**) qui e
ont déformées : la synoviale est épaissie, mais sans rougeur. Cette
figure
offre aussi, indépendamment des corps étrangers,
au-dessous de la rotule (qui a été renversée de bas en haut sur cette
figure
) : il est recouvert par la synoviale et maintenu
r est pris de dévoiement, de soif ardente; s'il maigrit, si sa petite
figure
se décompose à vue d'œil, si l'appétit diminue et
planche 2 représente le ramollissement gélatiniforme de l'estomac. La
figure
1 montre l'estomac vu par sa face externe. La par
itié antérieure du cylindre œsophagien, sont parfaitement sains. La
figure
2 représente l'estomac ouvert par sa paroi postér
membrane séreuse. Cependant il n'est pas rare de voir, comme dans la
figure
3 (pl. 3), ces granulations affecter une disposit
es membres (service de M. Jadioux, médecin de l'hôpital Cochin). La
figure
2 représente la surface externe de l'estomac. Son
e d'une matière gélatiniforme, un peu moins transparente que dans les
figures
précédentes. Le grand et le petit épiploons GE, P
, mais bien les caractères d'un tissu fibreux extrêmement dense. La
figure
i (pl. 6) représente un ulcère de l'estomac occup
té pendant plusieurs années des symptômes de gastrite chronique. La
figure
4 (pl. 6) nous fournit un exemple de cicatrice én
alheureux que nous n'ayons aucun renseignement sur cet individu. La
figure
i (pl. 5) représente l'estomac d'un savant dont v
par M. Lenoir, membre de la Société Anatomique. xie livraison. 4 La
figure
i représente les veines ouvertes; leurs parois on
lobe supérieur en est complètement exempt. La coupe du même poumon,
figure
3, montre que tous les abcès AAA ne sont pas supe
purulente qui infiltrait le tissu spongieux de l'os. (PLANCHE III,
FIGURES
I ET 2.) Le poumon représenté planche m apparti
ls de ces pneumonies lobulaires ont été parfaitement rendus sur cette
figure
., La figure 2 représente la coupe de ce même po
monies lobulaires ont été parfaitement rendus sur cette figure., La
figure
2 représente la coupe de ce même poumon. On y voi
également perforée en plusieurs points PP, PP, PP. La plèvre divisée,
figure
2, on arrive dans une vaste caverne gangreneuse F
) Tumeur fibreuse coïncidant avec la grossesse. EXPLICATION DE LA
FIGURE
. Cette figure représente l'utérus d'une femme m
use coïncidant avec la grossesse. EXPLICATION DE LA FIGURE. Cette
figure
représente l'utérus d'une femme morte de péritoni
écrivons ses caractères anatomiques, si exactement reproduits dans la
figure
i de la Planche i. Le foie (fig. 1) est réduit
on successive. C est ce qu'on voit très bien dans les coupes du foie,
figures
2, Pl. 1 et 3. 11 n'est pas rare de voir ces tume
le foie de cet individu qui est représente' PI 2 , xne livraison. La
figure
1 represente la face convexe. La figure 2 représe
nte' PI 2 , xne livraison. La figure 1 represente la face convexe. La
figure
2 représente une coupe. C'est la varie'te' dure o
rtient à un sujet sur lequel je n'ai pu avoir aucun renseignement. La
figure
1 représente la face convexe de ce foie, dont le
varie'te' molle ou encéphaloïde dans toute sa pureté'. Sur la coupe (
figure
2), on voit l'image fidèle de la texture e'minemm
olestérine ont pour noyau des concrétions de bile épaissie. III. La
figure
1, Pl. 4 ? offre un exemple remarquable de concré
le liquide se frayant un passage entre les calculs et les parois. La
figure
représentée Pl. 5, fournira un exemple bien remar
on adhésive, deviendraient des kystes biliaires. Le foie représente
figure
2, Planche 5 , appartenait à un enfant de cinq à
el'estomac avec commencement de cancer aréolaire gela tin if orme, (
figure
I.) La fig. i appartient à un individu qui avai
eaux. Les deux tiers de la circonférence du pylore sont envahis. La
figure
2' représente le même estomac ouvert au niveau de
oradique, j'ai cru faire une chose utile en publiant sur ce sujet des
figures
, où le talent accoutumé de M. Chazal brille de to
arfaitement les rapports de toutes les parties représentées sur cette
figure
. La partie latérale droite de la face postérieu
e portent de bas en haut, ce sont ceux qui sont représentés sur cette
figure
; les autres se dirigent du côté des ganglions sac
par démonstration directe, ne m'a jamais paru considérable. Sur la
figure
1, l'utérus est vu par sa face postérieure : pour
ur préparer les vaisseaux lymphatiques qui sont en évidence sur cette
figure
, le péritoine et une couche superficielle très-mi
les, de véritables foyers sanguins dans l'épaisseur du col. La même
figure
1 représente les trompes et les ovaires, dans un
r une fausse membrane mince, PM, PM, qui est en partie enlevée sur la
figure
. Leur coupe fig. 2, présente une disposition aréo
n conçoit que cette rupture puisse être une cause de péritonite. La
figure
4 représente un état de l'ovaire dans lequel le v
enté appartenait à une femme qui a succombé au typhus puerpéral. La
figure
1 montre cet utérus vu à l'extérieur et par sa fa
les mêmes proportions que les côtés correspondants de l'utérus. La
figure
2 représente le même utérus ouvert par sa face an
les plus divergentes, j'ai pensé qu'il serait utile de fixer par des
figures
exactes le tableau fugitif des altérations princi
gitif des altérations principales observées chez les cholériques. Les
figures
ont amené un texte qui se composera d'un certain
rapport de la couleur, la muqueuse était quelquefois pâle (voyez même
figure
), d'autres fois rosée, uniformément injectée; che
des liquides, rend quelquefois nécessaire une demi-dessiccation : la
figure
2 , planche III, a été faite d'après un intestin
coupé (1) Voyez Livraison sur l'Entérite folliculeuse. (2) Cette
figure
a été faite sur la même pièce que celle qu'on voi
se majorité des cas, elle est dirigée vers les boissons froides. Leur
figure
mourante se ranime à la vue d'un liquide, et sur-
DU PANCRÉAS CHEZ LE FOETUS, (Pl. II, XVe livr.). EXPLICATION DES
FIGURES
. Fig. 1. Poumons d'un enfant nouveau-né, mort 2
fants nouveau-nés.) (Planche III, XVe livraison.) EXPLICATION DES
FIGURES
. Les figures 1, 2, 3, représentent trois cas d'
és.) (Planche III, XVe livraison.) EXPLICATION DES FIGURES. Les
figures
1, 2, 3, représentent trois cas d'inflammation ps
ens. xve livraison 1 Inflammation folliculeuse de Vestomac. Les
figures
4,5,6*, représentent l'estomac d'enfants nouveau-
pliées, dont plusieurs (fîg. 4) se sont déjà réunies. Dans cette même
figure
les bords des ulcérations sont d'un rouge foncé.
le est appliquée une membrane extrêmement ténue, M G, soulevée sur la
figure
avec le manche du scalpel : c'est une couche gris
sa onzième année.) (Planche V, XVe livraison.) (i) EXPLICATION DES
FIGURES
. Fig. 1. Le cerveau vu par sa face inférieure e
U, l'utérus. Les ovaires et les trompes qui ont été conservées sur la
figure
, permettent de saisir les rapports de toutes ces
trou sous-pubien. Une espèce d'étranglement très bien indiqué sur la
figure
, marque le point de réunion des deux portions de
de d'altération qui fait le sujet de cette planche. EXPLICATION DES
FIGURES
. Les fig. 1 et i' représentent le placenta d'un
re placenta qui m'a été donnée par M. Deneux.On y voit, comme dans la
figure
précédente, la succession des changements que pré
LADIES DU COEUR ( PLANCHE II, XVIe LIVRAISON.) Péricardite. Les
figures
i et 2 représentent deux cas de péricardite hémor
la forme de pulpe, par le frottement le plus léger. EXPLICATION DES
FIGURES
. Les figures 1 et 1' représentent une portion d
pe, par le frottement le plus léger. EXPLICATION DES FIGURES. Les
figures
1 et 1' représentent une portion de foie apparten
e un globule mercuriel occupait le centre de chaque petit foyer. La
figure
2 représente le foie d'un blessé de juin 1832 , d
MOELLE ÉPINIÈRE Spina bifida (XVIe livr., pl. IV.) EXPLICATION DES
FIGURES
. Les fig* 1, 2 et 3 représentent des tumeurs lo
ne. Je l'ai constamment observé; il est parfaitement indiqué dans une
figure
publiée sur le même sujet par M. J. Cloquet (i).
n kyste hydatique. C'est cette sixième espèce qui fait le sujet de la
figure
représentée pl. 1, 17e liv. (1) Idiotie, Demi-f
du crâne, et de la convexité des lobes antérieurs. EXPLICATION DES
FIGURES
. Les lobes antérieurs sont transformés en des k
foyers et le malade marcha à une guérison rapide. EXPLICATION DE LA
FIGURE
lre. G P,grand pectoral d'un individu, dans les
n se décèlent par la couleur ocrée des parois de quelques-unes de ces
figures
F A , F'A'. MALADIES DES MUSCLES ( XVIIe livr
mun des doigts. C'est cet abcès bien circonscrit qui a été représenté
figures
5 et 3'. Les abcès observés à la jambe avaient
a présence du pus dans les vaisseaux lymphatiques ? EXPLICATION ues
FIGURES
2, 3, 5'et 4. La fig. 2 représente le muscle so
CROSSE DE L AORTE. (XVIIe LIVRAISON, PLANCHE 4) Anévrysme. Les
figures
i et 2 représentent le cœur et l'aorte d'un indiv
(MASSES TUBERCULEUSES). ( XVIIIe livr., pl. IL ) EXPLICATION DES
FIGURES
. La fig. 1 représente la face supérieure du cer
des enfants , suppléera aux détails qui me manquent sur le sujet des
figures
5 et 3'. Céphalalgie occipitale. Paralysie du m
ES. Kystes pileux. (XVIIP livr., Pl. III, IV, V.) EXPLICATION DES
FIGURES
. Planche III. La fig. 1 représente un kyste pil
ue la possibilité des deux grossesses postérieures. EXPLICATION DES
FIGURES
. Les figures 1 et 2 représentent le fœtus momif
té des deux grossesses postérieures. EXPLICATION DES FIGURES. Les
figures
1 et 2 représentent le fœtus momifié sous deux as
tentuni , i582. (a) Acta Academiae Josephinae , tome i , p. 201, avec
figures
. partie le kyste s'était formé; et, s'il y avai
IPLOON. (ACÉPHALOCYSTES , pl. I et IL XIXe livr.) EXPLICATION DES
FIGURES
» Planche ire. La fîg. 1 (1/2 grandeur) représen
ANCER AVEC MELANOSE (XIXe livr., pl. III et IV. ) EXPLICATION DES
FIGURES
. Pl. III. Fig. 1. Main amputée par M. Blandin.
vostérieur. Brièveté et invagination de Vœsophage. EXPLICATION DES
FIGURES
. Pl. V. Fig. 1. Elle représente un fœtus fémi
enaient au reste du foie que par un pédicule grêle. On voit sur cette
figure
, d'une manière très nette, la portion du diaphrag
stéo-sarcôme, ôiexostose désignent quelques-unes de ces formes. Les
figures
de la planche i sont destinées à représenter une
és précédemment, en sont des exemples remarquables. EXPLICATION DES
FIGURES
. Les fig. i, i et 4 appartiennent au même sujet
s points, on voyait deux masses placées à côté l'une de l'autre. La
figure
4 représente une coupe du fémur gauche; on voit q
ite, dans l'épaisseur de la tête de cet os. Elle a été enlevée sur la
figure
pour montrer la cavité dans laquelle elle était c
u squelette ont été examinés, et n'ont offert aucune altération. La
figure
3, xxe livraison, représente la coupe d'un fémur
MALADIES DU COEUR. ( XXe LIVRAISON, PLANCHE 1. ) explication des
figures
. La fig. i représente le péricarde plein de san
moitié opposée du cerveau. Ramollissement lie-de-vin du cerveau. (
figure
1. ) La figure 1 représente le plus haut degré
u cerveau. Ramollissement lie-de-vin du cerveau. ( figure 1. ) La
figure
1 représente le plus haut degré du ramollissement
pas pu retrouver l'observation relative au sujet qui a servi à cette
figure
, j'y suppléerai par l'observation suivante. Cette
ment contracté. Le pincement du bras ne détermine aucun mouvement; la
figure
n'exprime aucune douleur, mais la malade retire e
e la perforation de l'estomac. Les observations qui suivent, et les
figures
annexées qui représentent aussi fidèlement que po
aurait pu détacher, avait prévenu toute hémorrhagie nouvelle. Sur la
figure
, l'artère splénique AO, est représentée ouverte d
Fig. 2 et 3. — Exemples de lordose paralytique. —Pages 355, 356. La
figure
2 représente la nommée Clémence G..., âgée de dix
ans l'attitude de la flexion latérale physiologique. — Page 362. La
figure
h fait voir cette courbure artificielle du côté d
it voir cette courbure artificielle du côté des corps vertébraux ; la
figure
5 la montre du côté des apophyses épineuses. L'in
lesquelles ils sont placés. La courbure antéro-postérieure, dont la
figure
ne peut donner une idée, est encore plus prononcé
lieu plus tard à une courbure secondaire. Ce rachis et celui de la
figure
6 peuvent être considérés comme deux types, prése
her. — Page 363. Fig. h. — Flexion latérale semblable à celle de la
figure
1, mais moins générale et moins étendue. — Page 3
dans le même sens que la moitié supérieure de la colonne dorsale. La
figure
fait bien voir la situation du rachis dans la cav
ons des vertèbres et de leurs ligaments sont analogues à celles de la
figure
1. Le sternum, bombé en avant,rest un peu obliq
peu oblique dans une direction opposée à celle qu'il affecte dans la
figure
1. La base du thorax est très rapprochée de la cr
née sur le sacrum. Fig. 3 et 4. — Difformité analogue a celle de la
figure
2, mais appartenant à un sujet plus jeune, égalem
forment le milieu. Le sternum est recourbé et bombé en avant. La
figure
4 montre la conformation de la partie postérieure
brequin lombaire. On sera frappé de cette identité en comparant cette
figure
à la figure 5, qui n'en diffère que par la situat
aire. On sera frappé de cette identité en comparant cette figure à la
figure
5, qui n'en diffère que par la situation plus éle
encore en partie situées du côté gauche, ainsi qu'on le voit dans la
figure
pour la courbure lombaire seulement, l'autre étan
rbure principale. Celle-ci est d'ailleurs très analogue à celle de la
figure
1 ; seulement elle descend plus bas et comprend l
urbure supérieure, cachée par le sternum, est semblable à celle de la
figure
1. Le rétrécissement extraordinaire de la base
La région lombaire est déplacée à droite et inclinée comme dans la
figure
1 ; mais sa courbure est plus prononcée ; elle a
eulement, la colonne lombaire est plus inclinée du côté droit dans la
figure
4. Dans l'une et l'autre pièce, la déviation gé
tres de la ligne médiane. Cette courbure, prise isolément, a, dans la
figure
3, 81 millimètres de flèche en avant et 40 millim
millimètres de flèche en avant et 40 millimètres en arrière; dans la
figure
4, la flèche est de 67 millimètres en avant et de
stes en avant, se voient à peine en arrière. La région lombaire de la
figure
3 présente même une singularité remarquable sous
paroi antérieure du thorax permet de voir distinctement, sur les deux
figures
, la disposition nouvelle des côtes à droite et à
ulement en arrière. L'obliquité des lombes est pareille à celle de la
figure
4- Ce qu'il y a de particulier dans cette pièce
mètres dans le second. La courbure supérieure présente, comme dans la
figure
2, une particularité assez rare : sa flèche est d
etc. Le côté droit a beaucoup moins souffert, comme on le voit sur la
figure
. Le cœur et les poumons, desséchés comme dans l
re. Le cœur et les poumons, desséchés comme dans le squelette de la
figure
1, s'écartent peu de l'état normal à leur partie
touche la base du thorax ; si le bassin est horizontal, comme dans la
figure
, le haut du tronc penche à droite, et si la parti
é droit. ' La déformation des membres est plus générale que dans la
figure
1. Elle s'étend aux clavicules, aux humérus, aux
x apophyses articulaires. L'apophyse épineuse est déviée à gauche; la
figure
indiquerait plutôt le contraire : c'est une inexa
de telle sorte que si on lui donne une position droite, comme dans la
figure
, le corps vertébral penche à gauche. Fig. 16. —
a partie postérieure des dixième et onzième. Si l'on l'approche les
figures
de ces vingt-quatre côtes des figures précédentes
zième. Si l'on l'approche les figures de ces vingt-quatre côtes des
figures
précédentes de torses déformés analogues à celui
econd plan. Le poumon gauche et le cœur sont disposés comme dans la
figure
1. Le poumon droit était fort réduit en épaisseur
cinq ans; viscères thoraciqucs et abdominaux. —'Pages 414 à 421. La
figure
1 représente le premier plan; la figure 2, le sec
naux. —'Pages 414 à 421. La figure 1 représente le premier plan; la
figure
2, le second plan. Le poumon gauche, fig. 1, es
splanchniques. Courbure dorsale droite plus marquée que celle de la
figure
1, quoique beaucoup moins forte que la lombaire o
rès comme l'aorte. L'œsophage, très éloigné de la courbure dorsale,
figure
assez bien la corde de cette courbe. Fig. h. —
h. — Courbure lombo-dorsale gauche principale, analogue à celle de la
figure
2, mais plus prononcée, chez une femme de soixant
pour laisser voir le plan profond, est d'un volume médiocre et d'une
figure
irrégulière. Rate et rein gauche réduits pour s
un peu plus élevé que le gauche. Veine azygos située comme dans la
figure
3. L'aorte, accolée dans le thorax à la courbure
l'aorte pectorale vis-à-vis la plus forte courbure de cette artère et
figure
assez bien la corde de l'incurvation supérieure d
Cette déviation est l'opposé des précédentes; c'est le pendant, de la
figure
4, planche XV ; c'est la même courbure retournée.
e ou du bassin, ne révélait une ancienne lésion du tissu osseux. La
figure
1 montre quel était l'aspect de la région dorsale
ammes. Le redressement du rachis donna au tronc l'aspect représenté
figure
2. Les apophyses épineuses les plus déviées n'éta
33. Il existait alors une courbure lombo-dorsale gauche principale,
figure
3, de h centimètres de flèche, produisant une gib
grammes au dynanomètre. La déviation fut amenée à l'état représenté
figure
li. En septembre 1834, la courbure principale n'a
ue dans un état de chlorose qui l'avait un peu amaigrie. Déviation,
figure
1. Il s'agissait d'une courbure dorsale principal
ul côté de la ligne médiane. On observait, comme on le voit dans la
figure
, tous ics traits caractéristiques de cette périod
mêmes principes que dans les cas précédents ; il dura quinze mois. La
figure
2 montre l'état de la malade au dixième mois, dat
rsets orthopédiques sans avantage marqué. La conformation du tronc,
figure
3, était presque la même que celle qui est représ
neuf mois restants. Le résultat définitif du traitement, représenté
figure
û, est encore presque semblable à celui de l'obse
. Le dessin, sous ce rapport, est un peu moins fidèle que celui de la
figure
2. Les deux faits que je viens de rapporter som
ATNATOMIE PATHOLOGIQUE DU CORPS HUMAIN, DESCRIPTIONS, AVEC
FIGURES
LITHOGRAPHIÉES ET COLORIÉES, DIVERSES ALTÉRATIO
position à la Salpêtrière pour publier sur le même sujet une série de
figures
relatives à l'anatomie pathologique des principal
et comme induré; sa disposition fasciculée, à peine appréciable. La
figure
1 représente la fracture du col du fémur vue anté
une espèce d'apophyse en forme de pointe, qu'on voit très bien sur la
figure
3, et qui est reçue dans une cavité incomplète, f
le fémur a décrit un mouvement de quart de rotation sur son axe. La
figure
2 représente la fracture vue par derrière. On voi
ns doute à concourir au rétablissement de la continuité de l'os. La
figure
3 représente les fragmens écartés les uns des aut
fémur pour aller se fixer sur le petit trochanter. explication des
figures
Les figures de la planche 6 représentent une lu
ler se fixer sur le petit trochanter. explication des figures Les
figures
de la planche 6 représentent une luxation du fému
sciarique, avec la crête iliaque, avec la tubérosité de l'ischion. La
figure
3 représente l'os coxal vu par devant : la gracil
uxations du fémur en particulier. Celaposé, voici l'explication des
figures
de la pl. i, xxixe livraison. La fig. i représe
ssion de la moelle immédiatement au-dessous du bulbe raehidien. lia
figure
1 représente la saillie que forme l'atlas au-deva
de l'apophyse épineuse de l'axis en arrière. XXVe LIVRAISON. J La
figure
4 représente en ET le coup de hache qui résulte d
dien étaient convertis en une substance grise. La coupe représentée
figure
5 donne une idée exacte de l'étendue du déplaceme
eure du pourtour du tissu occipital et par l'apophyse odontoide. La
figure
3 donne une idée exacte de l'étroitesse extérieur
mens postérieurs soulevés de l'articulation occipito-axoidienne. La
figure
i représente la face postérieure de l'apophyse od
articulaires. — Déplacemens consécutifs des doigts. EXPLICATION DES
FIGURES
. Les mains représentées planche i , xxxive livr
les mains ; car les deux mains avaient été également envahies. Les
figures
i et a représentent la main gauche avant la disse
n avant sur les métacarpiens : ils étaient mobiles en tous sens. La
figure
3 montre la main droite du même sujet disséquée e
sur la deuxième se voit dans le deuxième et le troisième doigts. La
figure
4 représente l'état des os d'une main appartenant
de ces articulations, il n'existe vestige de cartilage. Les petites
figures
groupées autour de la figure 4 représentent celle
ste vestige de cartilage. Les petites figures groupées autour de la
figure
4 représentent celles des phalanges qui offrent l
et même aux troisièmes phalanges, ainsi qu'on le voit sur les autres
figures
. Considérations générales- L'usure si considé
que la maladie ne soit tout-à-fait circonscrite. » Explication des
figures
. Fig. i. La fig. i représente le profil de la t
perpendiculaire de l'ethmoïde fût complètement dégénérée. La petite
figure
3 montre une tranche mince de la tumeur; la matiè
es réflexions sur la nature présumée de la lésion. EXPLICATION" DES
FIGURES
. PLANCHE IV. L'humérus droit, qui fait le sujet
la traversent. C'est le tendon d'insertion du deltoïde qui est sur la
figure
accroché à l'aide d'une érigne. Du reste, la surf
aurait fini par se pénétrer ou s'infilter de phosphate calcaire. La
figure
2 montre un fragment de la tumeur desséchée: c'es
indre, en même temps qu'elle lui a donné une très grande légèreté. La
figure
2 représente une tranche de cette tumeur séparée
ues, déposées au milieu d'une gangue cartilagineuse et fibreuse. La
figure
2 représente , en outre, des portions membraneuse
ostérieure par un trait de scie vertical, transversalement dirigé. La
figure
représente la coupe. Les deux tumeurs sont supp
observation et les tumeurs variqueuses qui ont fait le sujet d'autres
figures
et d'autres descriptions. Dans celles-ci, il y av
ation. — lésion des mains et des pieds ( absence des parties ). Les
figures
i , 2, 2', 3, 3', /i( demi-grandeur), représenten
estans se recourbent l'un vers l'autre à la manière d'une pince. La
figure
2' représente la dissection de la région palmaire
es nerfs de la région dorsale. Ces anastomoses forment une anse. La
figure
3' représente la dissection de la face dorsale du
parfaitement les muscles court fléchisseur et abducteur oblique. La
figure
5 représente le squelette du pied droit d'un indi
u àsctî fœtus au pied de griffon, dont le bon Paré nous a conservé la
figure
. La monopodie ou sirénie présente plusieurs deg
us le nom de symèles y uromèles et sirenomèles. La planche 5 et une
figure
de la planche 6 présentent des exemples de ce vic
anes génitaux; mais tous les critiques s'accordent à considérer cette
figure
comme faite, non d'après nature, mais d'après l'i
gination de cet auteur. Il importe de remarquer qu'un grand nombre de
figures
de monstruosités sont entachés de ce vice, et qu'
qu'ont les sages-femmes de le lier avant d'en faire la section. La
figure
i, demi-grandeur, montre le fœtus vu de face. On
e aplati d'avant en arrière, et finit par une extrémité pointue. La
figure
2, demi-grandeur, montre le fœtus vu du côté gauc
r support un os. Cette petite saillie m'a paru sans importance. Les
figures
4, 5 et 6, grandeur naturelle, représentent le sq
t les pubis, également confondus, répond à l'arcade du pubis. La même
figure
représente: i° le fémur unique, que nous verrons
loïdes et des deux tubérosités de l'ischion. On voit encore sur cette
figure
la disposition des deux pubis qui se terminent en
deux pubis qui se terminent en avant par une pointe. On voit sur la
figure
5, comme sur la figure 4 , que le bassin est très
nent en avant par une pointe. On voit sur la figure 5, comme sur la
figure
4 , que le bassin est très large et comme étalé.
endantes du pubis. Le pubis est réduit à un corps très grêle. La même
figure
5 représente le fémur écarté de la cavité cotyloï
e son ligament rond. Un seul ligament rond LR a été représenté sur la
figure
. L'extrémité inférieure du fémur, qui offre de
ticulation du genou, répondaient à la face postérieure du tronc. La
figure
6 représente le fémur, vu du côté externe: son ex
ques et spinaux étaient dans l'état le plus parfait d'intégrité. La
figure
3 représente un cyclope (trois cinquièmes de gran
etites dimensions, bien qu'il soit venu à terme. Fig. i et i'. La
figure
i, planche vi, qui est de demi-grandeur, montre q
leur longueur ; les deux faces plantaires sont également libres. La
figure
i', qui représente les pieds de grandeur naturell
s mains dont les doigts seraient très courts. Fig, 2,2' et 2". La
figure
2 représente la moitié inférieure du fœtus, vu pa
cutanée, l'autre muqueuse, réunies par du tissu cellulaire. Sur la
figure
2 , comme sur la figure 1, on voit que les deux m
se, réunies par du tissu cellulaire. Sur la figure 2 , comme sur la
figure
1, on voit que les deux membres inférieurs sont c
commun, que les pieds réunis forment un angle droit avec la jambe. La
figure
2', grandeur naturelle, donne une idée parfaite d
mbe et de la forme des deux pieds, vus par leur face dorsale. Dans la
figure
2' comme dans la figure 2, les pieds et les ortei
eux pieds, vus par leur face dorsale. Dans la figure 2' comme dans la
figure
2, les pieds et les orteils ont été écartés les u
les orteils ont été écartés les uns des autres et comme étalés. Les
figures
3,4, S, représentent, de grandeur naturelle, les
offraient des dispositions anormales. Je ferai remarquer que, sur les
figures
3 et 4, le peintre a mieux rendu que sur les figu
uer que, sur les figures 3 et 4, le peintre a mieux rendu que sur les
figures
1 et 2 une inclinaison latérale des membres infér
braneux DM, DM , apparaissent derrière les droits internes, sur cette
figure
qui représente le fœtus vu par la face antérieure
rteils. Les fléchisseurs propres des gros orteils manquent. La même
figure
3 représente les pieds vus par la face plantaire
quelques faisceaux charnus impossibles à débrouiller. Fig. 4- La
figure
4-,qui représente les deux membres inférieurs, vu
es. Les muscles pédieux P sont parfaitement conservés. Fig. 5. La
figure
5 représente le membre inférieur, vu par sa face
eur et extenseur appartiennent à la région externe de la jambe. Les
figures
6, 7, 8, représentent le squelette du bassin et d
us les autres os du tarse sont parfaitement distincts. Fig. 8. La
figure
8 représente le bassin vu latéralement. Cette fig
. Fig. 8. La figure 8 représente le bassin vu latéralement. Cette
figure
a surtout pour objet de montrer le tarse obturate
eL C (planche v, xxxixe livraison.) Fig. i. Parotide suppurée. La
figure
i représente une glande parotide en suppuration,
te, muqueux. C'est cette viscosité, qu'on a cherché à indiquer sur la
figure
par une pince, à l'aide de laquelle le pus est al
le canal de Sténon en particulier, en étaient remplis, comme dans la
figure
i : chaque grain glanduleux était converti en un
et si remarquable, que j'ai cru devoir la faire représenter ici. La
figure
2 montre l'atrophie complète du muscle crico-aryt
t il ne reste qu'un petit nombre de fibres rouges entrecroisées. La
figure
2' représente le larynx , vu de côté , après l'ab
s thyro-aryténoïdien TA et crico-aryténoïdien latéral CAL. Cette même
figure
présente le contraste fort remarquable du dévelop
'. Hydrophthalmie partielle avec amincissement de la sclérotique. Les
figures
3 et 3! représentent un cas de bosselure avec ami
ncer niélanique des parties contenues dans la cavité orbitaire. Les
figures
4, 4' et 4" représentent un cancer mélanique de l
t 4" représentent un cancer mélanique de l'œil, qui a été extirpé. La
figure
4 représente la masse cancéreuse vue de côté. Le
ée; une couche de tissu fibreux d'inégale épaisseur l'enveloppe. La
figure
4' représente le globe de l'œil, vu de face. La c
cissement et végétations polypeuses de l'œsophage, Fig. i et I . La
figure
1 représente un œsophage considérablement rétréci
un œsophage considérablement rétréci à son extrémité inférieure. La
figure
i'représente le même œsophage ouvert. Des végétat
ies du duodénum. Ulcère chronique simple. Perforation spontanée. La
figure
2 représente l'extrémité pylorique de l'estomac E
intestins présente les traces de la péritonite la plus intense. La
figure
2' montre l'estomac et le duodénum ouverts. P est
nd nombre. L'anneau pylorique est remarquable par son épaisseur. La
figure
2" montre une coupe du duodénum, au niveau et au
paru prédisposée aux ulcérations chroniques. Dans le cas représenté
figure
i et i\ l'ulcère était cicatrisé depuis long-temp
s d'ébène ou ardoisées foncées que celles qu'on remarque sur ces deux
figures
. Les taches et cicatrices de toutes ces parties a
lles on n'a peut-être pas assez fixé son attention, seront l'objet de
figures
et de descriptions particulières. Ainsi, chez u
es ulcères chroniques de l'estomac, qui ont fait l'objet de plusieurs
figures
et d'une description détaillée. Le fait suivant q
qu'à l'estomac. Fig. 2. — Végétations polypeuses de l'estomac. La
figure
2 représente un estomac de la face interne duquel
que la Faculté de Médecine a fait faire dans le temps, une très belle
figure
représentant un polype gastrique cylindroïde né a
son. ) Hémorrhagies. — Erosions ou ulcérations hémorrhagiquës. La
figure
i représente l'estomac d'une vieille femme de la
ang ne fait que suinter, sa coagulation doit être immédiate. Sur la
figure
i, on voit encore trois érosions hémorrhagiquës q
rencontrer assez souvent, et qui n'ont aucun caractère morbide. La
figure
2 représente une autre forme d'érosions hémorrhag
lus considérables. Je n'ai aucun -renseignement sur le sujet de cette
figure
; c'est donc comme fait d'anatomie pathologique q
ment des lésions qui ont autant d'analogie entre elles que celles des
figures
i et 2. Je ne pense pas que ce soit par les fol
r ainsi dire, rencontrés dans leurs déterminations. explication oes
figures
. planche i Estomac. La surface interne de l'est
érieur par des espèces de bosselures, ainsi qu'on peut le voir sur la
figure
, dans la partie de la surface externe de l'estoma
des occupent le pourtour de cette large ouverture fistu-leuse. Sur la
figure
, on voit la 3e portion du duodénum se porter de
qui lui servaient probablement de moyens de suspension. (i) Sur la
figure
, le tronc a été redressé. Une commission nommée
hute du rectum, ou invagination du rectum au dedans de lui-même. La
figure
i représente une chute de rectum HR observée chez
ui me paraît fondamental dans ce cas, j'ai fait le sacrifice de cette
figure
, que je trouverai tôt ou tard occasion de remplac
e postérieure de l'intestin était nécessaire pour montrer sur la même
figure
les deux ouvertures que présente l'extrémité infé
compliquée de péritonite avec une hernie étranglée. Explication des
figures
. Le cas de hernie ombilicale représenté planche
contracté aucune adhérence avec la paroi abdominale antérieure. La
figure
2, planche vi, représente l'ouverture par laquell
oon et par l'appendice vermiculaire. Hernie inguinale double.. La
figure
i (demi-grandeur) représente les bourses d'un suj
ale gauche paraissait exclusivement formée par l'intestin grêle. La
figure
2 (demi-grandeur) explique pourquoi les bourses p
XXIe LIVRAISON.) Hernies ombilicales congénialcs, explication des
figures
. La figure i représente une hernie ombilicale o
.) Hernies ombilicales congénialcs, explication des figures. La
figure
i représente une hernie ombilicale ou plutôt une
et que l'enfant a recouvré une santé parfaite. Fig. 2 et 2'. Les
figures
2 et 2' représentent une éventration ombilicale c
u point de lui permettre à peine d'admettre une plume de corbeau. Les
figures
1 et 2 représentent le rétrécissement R et l'infu
face postérieure des parois abdominales qui a été représentée sur la
figure
. Le cerveau était dans l'état le plus parfait d
e. Voici l'histoire abrégée du malade qui m'a fourni le sujet de la
figure
i , planche i. (i) Chenot, 25 ans, charron, d'u
s du sang qui circule et qui stagne dans cet ordre de vaisseaux. La
figure
2, planche 11, représente une fin d'intestin grêl
licules isolés, disséminés sur une surface plus ou moins grande. La
figure
3, planche 11, est la fin de l'intestin grêle d'u
à leur centre. Planche III. — Entérites pseudo-membraneuses. Les
figures
1 et 2, planche 3, représentent deux cas d'inflam
ouverte d'une couche pseudo-mernbraneuse morcelée, blanchâtre dans la
figure
2, qui représente le rectum et la partie voisine
ente le rectum et la partie voisine de l'S iliaque; vert sale dans la
figure
1, qui représente la fin de l'intestin grêle et l
nterie. Planche IV. — Choléra, hémorrhagies intestinales, etc. La
figure
i représente la fin de l'intestin grêle d'un indi
istante et qu'elle n'offrit en aucune façon l'odeur gangreneuse. La
figure
2 représente la fin de l'intestin grêle d'un jeun
es fluxions hémorrhagiques, des apoplexies. Il en est de même de la
figure
4, qni représente un échantillon d'une altération
ses membranes, et surtout dans le tissu cellulaire sous-muqueux. La
figure
3 est une portion d'intestin grêle qui appartient
MALADIES DU RECTUM. (Planche m, xxve livraison.) Explication des
figures
1 et i', n et i'. Les figures i et i' représent
m, xxve livraison.) Explication des figures 1 et i', n et i'. Les
figures
i et i' représentent une pièce pathologique qui m
a nécessité de l'excision des végétations anales. Explication de la
figure
3. La fig. 3 représente le rectum d'une femme d
aite dans des cas où il n'existait pas vestige de dégénération. Les
figures
i et i vont fournir un exemple remarquable des dé
nières, i° directement, 20 sous une espèce de pont que soulève sur la
figure
une soie de sanglier. L'épaisseur des parois de
clapier anfractueux, qui communique avec les parties génitales. La
figure
1' donne une idée parfaitement exacte de la commu
'histoire de cette singulière production organique. EXPLICATION nES
FIGURES
. La rate représentée fig. i a été rencontrée su
us ou moins considérable d'acéphalocystes plus petites. Le n° 2 de la
figure
1' montre parfaitement cette disposition. On rema
pas plus que sur celle du cancer des autres organes. Fig. ii. La
figure
i représente une tranche du foie, sur laquelle se
son.) LÉSIONS DE CANALISATION. — CALCULS BILIAIRES. EXPLICATION DES
FIGURES
. La fig. i représente la partie inférieure de l
t organe un sillon très prononcé. La douzième côte est marquée sur la
figure
par une ligne ponctuée. Toute la partie du foie q
ossette de la vésicule TF avait subi la transformation fibreuse. La
figure
i représente la même vésicule vue du côté de la f
alcul biliaire anguleux CB, sur lequel elle se moule exactement. La
figure
3 représente la vésicule du fiel ouverte et vide
cystique CC y était très resserré, sans toutefois être oblitéré. La
figure
4 est destinée à faire opposition avec les figure
être oblitéré. La figure 4 est destinée à faire opposition avec les
figures
précédentes, en montrant une vésicule biliaire ex
contient un calcul ovoïde CB, à surface blanchâtre, granuleuse. La
figure
5 représente la coupe du gros calcul : son brilla
Réflexions._i ° De V influence des corsets sur la forme du foie. — La
figure
i montre un des effets des corsets sur le foie.
MALADIES DU FOIE. aboi: s. ( PLANCHE 1 . XLe LIVRAISON.) Les
figures
i et i', PI. i, XL* livraison, représentent le fo
pus orangé ; à côté de ces abcès était du pus compacte infiltré. La
figure
2 présente un abcès considérable enkysté F P, sit
qu'une idée fort imparfaite par la dimension du foyer GAH représenté
figure
1 , et l'acuité de l'état inflammatoire, explique
grande facilité, au milieu du tissu du foie jaune et ramolli. Sur la
figure
, le bord antérieur du lobe droit LD rend exacteme
TRACHÉE ET DU CORPS THYROÏDE. (PLANCHE IV, XXXVe LIVRAISON.) La
figure
i représente le corps thyroïde CT, vu par devant.
é du reste de la circulation la portion de veine remplie de pus. La
figure
i' représente la trachée ouverte par sa partie po
es pseudo-membraneuses , qui attestent une inflammation récente. La
figure
i" représente une coupe du corps thyroïde. Cette
présente ce corps dans la maladie connue sous le nom de goitre. La
figure
2 représente une laryngo-trachéite pseudo-membran
probable que, dans ce cas, il y a eu maladie de l'articulation. Les
figures
i' et i établissent l'existence d'une trachéite p
OCYSTE. ( XXXVIe LIVRAISON, PLANCHE II.) L'altération représentée
figure
i appartenait à une femme de la Maternité, morte
uance noire que présentait l'altération du poumon que je décris. La
figure
2 représente une portion de poumon recouverte de
rture de la poitrine, et m'envoyer la pièce que j'ai fait représenter
figure
3. On voit que le poumon gauche est creusé par un
ons, qui vues à une forte loupe, représentent l'aspect indiqué par la
figure
3'. P est l'ouverture étroite par laquelle les
assage de l'air, et par le spasme de toutes les voies aériennes. La
figure
3' est remarquable en ce qu'elle nous montre d'un
membrane de nouvelle formation. Voici maintenant l'explication des
figures
. La fig. i représente la portion de poumon dépl
mon est recouverte d'une pseudo-membrane PSI, infiltrée de sang. La
figure
2 représente la coupe du lobe supérieur et du lob
fréquemment des tumeurs cérébrales sans phénomènes appréciables. La
figure
3 représente une vaste caverne cicatrisée CP, CP
rès indirecte sur la fin des malades affectées de cancer utérin. La
figure
de la planche 4, peut servir de type pour la phlé
utérin, comme d'ailleurs pour toutes les phlébites. explication des
figures
. Chez une femme affectée de cancer utérin, qui
HAGIQUE. (PLANCHE V, XXXVe LIVRAISON.) Fig. i et i\ Varices. La
figure
i représente la veine saphène interne. La branche
à ce vaisseau un aspect noueux, comme dans la veine collatérale de la
figure
i. Je ferai remarquer que les varices de la sap
toujours remplies de sang coagulé. Dans le cas représenté planche 5 ,
figure
i, le sang était récemment coagulé: il y avait ph
e manifeste. Fig. 2 et 2'. Phlébite capillaire hémorrhagique. Les
figures
2 et 2' représentent les veines iliaques externes
ent que toutes ces veines sont remplies de caillots obturateurs. La
figure
i' représente ouvertes la veine iliaque primitive
utes les parties peuvent être reconnues et disséquées. On voit sur la
figure
les trois muscles jambier antérieur, extenseur co
us long-temps, la momification de la jambe aurait été complète. Les
figures
2 et 3 représentent les artères du membre inférie
pulmonaire. Cette artère pulmonaire AP a été renversée en bas sur la
figure
. Les deux artères coronaires, droite ACD, et gauc
s sygmoïdes avec les valvules mi-trales VM, VM, a été indiquée sur la
figure
, continuité très importante sous le rapport des m
éparpillés sur elle, et en partie transformés en tissu fibreux. La
figure
1, planche 11, représente la tumeur en place, dan
ique CT, également refoulé au-devant de la tumeur, est intact. lies
figures
i des planches n et iïi représentent le mode de c
la dilatation considérable qu'elle a subie et qui est indiquée sur la
figure
i, planche u, par le plissement et l'affaissement
est essentiellement constituée par un tissu fibreux accidentel. La
figure
2, planche n, représente la colonne vertébrale us
s côtes ont participé à la même érosion , à la même destruction. La
figure
i, planche m, représente la tumeur ouverte de cha
ig. 2 et 2'. — Anévrysme latéral de l'artère carotide primitive. La
figure
2 représente le tronc brachio-céphalique TBC et l
écissement par froncement de l'aorte sans altération des parois. es
figures
3 et 3' présentent un très beau cas de rétrécisse
ig. 3, est circulaire, fort régulier,sans altération des parois. La
figure
3' donne une idée exacte du calibre du vaisseau,
r le feuillet séreux viscéral du feuillet séreux péricardique. Sur la
figure
ire, les fibres charnues du cœur sont mises à nu,
sur l'épaisseur, mais encore sur la densité du tissu musculaire. La
figure
2 représente les orifices aortique et auriculo-ve
mer la couche la plus interne. Cette couche se voit très bien dans la
figure
, et sur la moitié vide et sur la moitié pleine de
i s'étend en diminuant jusqu'au-devant de l'artère pulmonaire. . La
figure
i présente deux perforations P et P' au niveau de
sous-séreuses se voient dans l'intervalle des deux perforations. La
figure
i' représente le ventricule gauche ouvert pour un
agilité ou frangibilité de tissu au voisinage de la perforation. La
figure
2 représente une péricardite pseudo-membraneuse,
it à un sujet sur lequel je n'ai pu obtenir aucun renseignement. La
figure
2 représente l'orifice OAP de l'artère pulmonaire
r expliquer leur production : leur perforation doit être facile. La
figure
2 représente le mode le plus commun de rétrécisse
logique : c'est ce fait qui est le sujet de la planche i et de la ire
figure
de la planche 3, xxi\e livraison. Georges Cutte
casion d'observer. Malheureusement le cœur qui fait le sujet de cette
figure
m'a été remis sans renseignement. Au niveau des v
, une disposition fort remarquable qui me reste à décrire, et dont la
figure
3 est la représentation fidèle. J'avais reconnu
es différences encore inaperçues ou négligées de siège, de volume, de
figure
, de nature, de rapidité ou de lenteur de développ
ieure, et permet d'apprécier l'aplatissement qu'elle avait subi. La
figure
2'' représente la moelle vue par la face antérieu
consiste donc exclusivement dans une compression de cet organe. La
figure
2'" représente une coupe antéro-postérieure de la
inférieure de la moelle et au centre de la queue de cheval, dans les
figures
i , i' et i", pl. i. Dans le cas de tumeurs sou
ue de cheval TA est bien moins apparente en avant qu'en arrière. La
figure
1" représente une coupe verticale antéro-postérie
es vaisseaux longs et flexueux, qui n'ofit pas été représentés sur la
figure
. En examinant avec beaucoup d'attention la gaîne
nne lieu aux considérations que j'ai déjà présentées à l'occasion des
figures
2, 2', 2", même planche. Il est difficile d'établ
tées fig. i et i et 2, je me contenterai d'une simple explication des
figures
. Plus heureux pour les cas représentés fig. 3 et
donner sur eux les détails les plus circonstanciés. explication oes
figures
. La figure 1 et 1' représente la partie supérie
les détails les plus circonstanciés. explication oes figures. La
figure
1 et 1' représente la partie supérieure de la moe
de cette colonne, laquelle n'offrait aucune espèce d'altération. La
figure
2 représente l'arc vertébral séparé du corps des
e entre deux apophyses épineuses et aux dépens de ces apophyses. La
figure
3 représente la moelle épinière contenue dans sa
t, avait éprouvé un amincissement extrême avec coloration brune. La
figure
4 représente la moelle épinière incisée au niveau
gion. La coupe fig. 1'', qui a été faite à la hauteur indiquée sur la
figure
i par une ligne ponctuée, montre que cette dégéné
a-fois dans ce cas arrêt de développement et atrophie. Fig. 2. La
figure
2 représente la moelle rétrécie et comme étranglé
ssous du point comprimé , ou bien en ait déterminé l'absorption. La
figure
4 est encore un exemple de compression de la moel
issu qui semble entièrement dépourvu de suc cancéreux. Fig. 4. La
figure
4 représente une moelle épinière, qui a été soumi
antérieure droite atrophiée. » Sous ce rapport, je dois rectifier la
figure
qui, terminée en mon absence, se rapproche beauco
AIRE ET DU BULBE RACHIDIEN. (PLANCHE III, XXXVe LIVRAISON.) Les
figures
de la planche 3 , xxxve livraison, représentent d
ce de renseignemens sur les symptômes observés au lit du malade. La
figure
3' représente la coupe de cette protubérance et d
LIVRAISON.) Tumeurs cancéreuses et tuberculeuses. EXPLICATION DES
FIGURES
. La figure i représente une tumeur cancéreuse d
Tumeurs cancéreuses et tuberculeuses. EXPLICATION DES FIGURES. La
figure
i représente une tumeur cancéreuse développée aux
fs épileptiformes, plus ou moins promp-tement suivis de la mort. La
figure
2 représente l'hémisphère gauche d'un jeune solda
ons qui se rattachent à l'étude des ramollissemens. explication des
figures
. La fîg. ire représente la face externe de l'hé
urront en général mettre l'observateur sur la voie. EXPLICATION DES
FIGURES
1 ET 3. La figure 2 représente une coupe de l'h
tre l'observateur sur la voie. EXPLICATION DES FIGURES 1 ET 3. La
figure
2 représente une coupe de l'hémisphère droit du c
lammation avec l'apoplexie capillaire ou l'apoplexie avec foyer. La
figure
ire, planche iv, xxe livraison, qui représente le
inus longitudinal supérieur et des veines cérébrales adjacentes. La
figure
i,planche i, xxxvie livraison,nous offre un exemp
exemple analogue, avec cette diffé. rence que, dans le cas représenté
figure
ire, xxe livraison, il n'existe que du ramollisse
n cérébrale qui en est la conséquence nécessaire. EXPLICATION DE LA
FIGURE
1 DE LA PLANCHE I. Les fig. 2 et 2' représenten
me du crâne et destruction plus ou moins complète du cerveau. Les
figures
i, 1' et 2, 2 fournissent deux exemples de microc
e voient des granulations disséminées sur une membrane brunâtre. La
figure
1' représente toute la masse encéphalique extrait
se encéphalique fait défaut et est remplacée par de la sérosité. La
figure
2 représente la base du crâne ; cette base est au
trou occipital, dans la fosse qu'occupe d'ordinaire le cervelet. La
figure
2' représente les tubercules CC et le bulbe rachi
entièrement, la partie extra-crânienne de ces nerfs était intacte. La
figure
1 représente le nerf optique disséqué dans toute
e 1 représente le nerf optique disséqué dans toute sa longueur, et la
figure
2 l'origine des nerfs qui viennent du bulbe rachi
avait offert, pendant sa vie, aucun symptôme du côté du cerveau. La
figure
3 représente la face interne de l'hémisphère droi
sus du corps calleux, et qui proémine sur cette surface interne. La
figure
3' représente la circonvolution et la petite cavi
et la petite cavité C, dans laquelle était enchatonné ce kyste. La
figure
3" représente le kyste enlevé, et enfin la figure
onné ce kyste. La figure 3" représente le kyste enlevé, et enfin la
figure
3"' représente le cysticerque observé après l'ouv
ure de la poche caudale. Les points blancs, figurés tout autour de la
figure
3"' étaient contenus dans le liquide de la poche,
et j'ai cru devoir les faire représenter. Le cysticerque offre sur la
figure
3"', deux parties bien distinctes, l'une inférieu
ur thérapeutique est encore à faire (i). Fig. 4- Spina bifida. La
figure
4 représente un spina bifida, observé chez un enf
quelques-unes des circonvolutions de la convexité. Cervelet (voyez
figure
2, planche v, xxxvne livraison). L'hémisphère dro
s foyers sanguins cérébelleux et des cicatrices qui les suivent. La
figure
i appartient à une femme hémiplégique, qui entra
Productions cornees. (Planche m, xxivc livraison) Explication des
figures
. Les deux productions cornées représentées fig.
r les plaies, qui furent cicatrisées au bout de quelques jours. Les
figures
1 et 2 représentent la surface externe de ces cor
position de la corne de François Trouillu ont été conservées dans une
figure
par Aldrovandi et Guill. Fabrice. (2) Hist. de
n demi-pouce de longueur et un pouce de largeur et d'épaissetir. « La
figure
de cette corne, dit Cabrol, « était inégale, gros
uräir^atard. et Ñ (PLANCHE II, XXXVe LIVRAISON".) EXPLICATION DES
FIGURES
. La figure i représente les détails de la disse
t Ñ (PLANCHE II, XXXVe LIVRAISON".) EXPLICATION DES FIGURES. La
figure
i représente les détails de la dissection d'une c
ce de la disposition bilobée de la prostate. Sur l'une et sur l'autre
figure
, on voit que les uretères V sont dilatés. — Voici
hes ou cellules qu'elles interceptent, on voit parfaitement sur cette
figure
la disposition lobuleuse de la prostate, les lobu
xxxe livraison.) » .. Fig. i et i'. Maladies de la prostate. Les
figures
I et F représentent une de ces lésions si fréquen
à trouver un cas de cancer, de véritable cancer de la prostate. La
figure
F représente: i° la coupe de la prostate CP, 20 l
ie présentait les ecchymoses sous-muqueuses et muqueuses représentées
figure
2. Cette maladie hémorrhagique se rattache à une
de calculs prostatiques que dans le cas représenté lig. 3. Sur cette
figure
, la vessie a été divisée verticalement par sa par
s petits calculs prostatiques sont tous taillés à facettes. La petite
figure
C représente un de ces calculs vu à la loupe. Ils
pensé que ce pus provenait des veines prostatiques enflammées. Sur la
figure
, on voit la veine iliaque primitive gauche VIP et
peu fine puisse s'engager dans l'un ou l'autre de ces orifices. La
figure
1' représente la face postérieure de la même vess
vessies ordinaires pour pouvoir être facilement observé. Sur la même
figure
se voit une coupe transversale de la prostate C P
on, à cause de l'obstacle qu'il apporte â l'émission de l'urine. La
figure
2, planche 1, fournit un exemple d'hypertrophie d
de vessie avec développement vésiculeux de la membrane muqueuse. La
figure
2' représente la même vessie, vue par sa face pos
ôté d'une portion de muqueuse vésicale dégénérée. planche ii. Les
figures
1 et 1' représentent un cas de dégénération tuber
dégénération occupe tout le pourtour de l'orifice de la vessie. Les
figures
2 et 2' représentent la prostate et la vessie d'u
vessie d'un vieillard, âgé de 81 ans, mort de cancer de l'esto-mac.La
figure
2' représente la vessie ouverte par sa face antér
que grain glanduleux semble transformé en un kyste indépendant. Les
figures
3, 3', 3" représentent un vice de conformation fo
ïàãàåà Ñ. * (PLANCHES III ET IV, XXXVIe LIVRAISON.) EXPLICATION DES
FIGURES
DE LA PLANCHE III. La fig. i représente un calc
aunâtre, sa surface parcourue par une multitude de vaisseaux. Cette
figure
établit qu'un des effets de la présence des calcu
onnaissais pas la maladie de Bright, lorsque j'ai fait dessiner cette
figure
; et, sans rattacher cette altération à sa véritab
à des considérations importantes sur le même sujet. EXPLICATION DES
FIGURES
DE LA PLANCHE IV, XXXVIe LIVRAISON- T7 ' I' Ht
t une masse amorphe non cristallisée, occupant la circonférence. La
figure
i" présente la coupe de la masse, et la figure i'
la circonférence. La figure i" présente la coupe de la masse, et la
figure
i'" la coupe du noyau. Voici d'ailleurs un résu
mais, avant de commencer, j'ai à donner quelques explications sur les
figures
i et 3. Les fig. s et 3 représentent deux reins
ux qu'on ne le croit généralement. La femme qui a fourni le sujet des
figures
i et 3, planche iv, xxxvi6 livraison, était dans
ervur£tncird. et C"? (planche v, xxxvie livraison.) EXPLICATION DES
FIGURES
. Fig. i . — Phlébite rénale. La figure i, pla
vraison.) EXPLICATION DES FIGURES. Fig. i . — Phlébite rénale. La
figure
i, planche v, xxxvr6 livraison , représente une p
que du microscope, Paris, «839, in-8, page 117. FlG. 2 et 2'. Les
figures
a et a' représentent des loupes graisseuses dével
t le siège d'un développement adipeux. Fig. 3. Le rein représenté
figure
3 m'a paru remarquable par le développement de la
reux est la forme la plus commune du cancer des os. explication des
figures
. Cancer fungiforme de la mamelle. Le cancer r
.de/3enarj. Cancer. (PLANCHE I, XXVIe LIVRAISON.) EXPLICATION DES
FIGURES
. La mamelle représentée pl. i, a été amputée pa
ules creusés de cellules remplies de suc d'apparence synoviale. Les
figures
2 et 3 sont destinées à représenter les aspects d
i bb— ( Planche ii , xxxie livraison. ) double cancer mammaire.
Figure
i. Demi-grandeur naturelle. Aspect des deux gland
rcules cutanés. Les ligures 2,3,4? sont de grandeur naturelle. La
figure
2 représente la moitié droite du thorax. Une coup
les épaississemens tuberculeux observés à sa face superficielle. La
figure
3 est une coupe du sternum, lequel a acquis une g
égénérescence cancéreuse; à peine quelques débris osseux DB, DB. La
figure
4 représente une coupe de la mamelle gauche. Son
je me propose de publier successivement sur cette lésion une série de
figures
dans lesquelles je ferai connaître les principale
ie ne point participer à la lésion dans presque toute son étendue. La
figure
3 nous a montré un type du cancer pultacé et aréo
tré un type du cancer pultacé et aréolaire. Je prie de comparer cette
figure
à la coupe des os du crâne cancéreux représentée
quelques réflexions qui trouveront leur place après l'explication des
figures
. Explication des figures de la planche 1. L'u
uveront leur place après l'explication des figures. Explication des
figures
de la planche 1. L'utérus et annexes représenté
n. Le toucher me permit de constater la présence d'un polype, que les
figures
1, 2 et 3 sont destinées à représenter sous ses d
1, 2 et 3 sont destinées à représenter sous ses divers aspects. La
figure
1 nous montre le vagin ouvert par sa paroi postér
points, en OU A, une adhérence telle qu'il n'a pu la surmonter. La
figure
a représente le polype PA vu par devant : la valv
p près représenter la totalité des fibres utérines. Explication des
figures
de la planche n. Figure i. — Cancerpultacé. — R
ité des fibres utérines. Explication des figures de la planche n.
Figure
i. — Cancerpultacé. — Représente une coupe vertic
vessie hypertrophiée a pu être séparée du vagin par la dissection.
Figure
2.— Gangrène de l utérus. — Représente la coupe v
ulées de sang. Le reste de l'utérus est volumineux et hypertrophié.
Figure
3. — Apoplexie ou hémorrhagie spontanée avec déch
peut coexister avec un col dur et décoloré. L'altération, représentée
figure
3, s'observe souvent sur des femmes qui n'ont épr
cancer, on étudie avec soin une coupe des parties altérées, on voit (
figure
i) qu'elles offrent une disposition aréolaire, et
ens (genre des invaginations). (Planche iv, xxvie livraison.) Les
figures
de la planche iv, xxvie livraison, ont pour but d
ésentée sous d'autres aspects dans la planche v, xvie livraison. La
figure
i représente une section médiane antéro-postérieu
it pour y arriver de diviser la paroi postérieure du vagin. La même
figure
permet de voir la continuité de l'utérus, d'une p
stance anatomique soit étrangère à l'objet qui nous occupe, que cette
figure
donne une idée très exacte du mode de continuité
tubercule , C, qui constitue l'extrémité terminale du clitoris. La
figure
2 , qui représente, vue de profil, une coupe vert
e présente avec la planche 6 de la xxine livraison. explication des
figures
. Les fig. i et 2 représentent deux cas différen
tiques correspondans ne présentaient aucune espèce d'altération. La
figure
i m'a présenté un exemple remarquable de dilatati
ter quelque jour sur le mécanisme de sa production. explication des
figures
. Sur le cadavre d'une vieille femme de la Salpé
ont je ne puis présenter que le point principal, le déplacement. La
figure
i montre la portion d'utérus déplacée : c'est sou
s état, pour déterminer ses rapports avec les parties déplacées. La
figure
2 montre la hernie, vue par l'intérieur du bassin
ucun déplacement. Je ferai remarquer l'orifice du museau de tanche,
figure
3, l'étroitesse et la disposition circulaire de c
au premier abord ; c'est un tissu très dense, jaunâtre f jaspé. La
figure
1, qui représente une coupe du rein, donne une id
surrénale CS, fig. 1, qui était remarquable par son développement. La
figure
2, CCS donne une idée exacte de la coupe de cette
L'UTÉRUS ET DE SES ANNEXES. (PLANCHE ni, XXXlx'e LIVRAISON.) Les
figures
i, i', i" et i"' représentent un utérus extirpé p
le culbuter en avant. Un corps fibreux, dont la coupe est représentée
figure
i'" , occupait la face antérieure de l'utérus; ce
membrane muqueuse et des couches les plus internes de cet organe. La
figure
i' rend parfaitement la disposition de la cavité
te cavité. Du reste, le volume de l'utérus n'était pas augmenté. La
figure
i représente la face postérieure de l'utérus, sur
et du col qui est primitivement envahie, comme dans le cas représenté
figure
x , pl. ni. Voici le résumé de quelques faits qui
e ne constituaient qu'une seule et même cavité. Fig. 2 et 2'. Les
figures
2 et 2' représentent un museau de tanche, extirpé
rut fort remarquable et douteux, quant à la nature de la lésion. La
figure
2 représente la surface extérieure du museau de t
moulant sur elles comme à travers une filière, du mucus épaissi. La
figure
2' représente ce museau de tanche divisé : la cou
suc que la végétation enlevée par M. Michon. Fig. 3 et 3'. Les
figures
3 et 3' représentent les organes génitaux d'une j
AVITE ABDOMINALE. (XXXVIe LIVRAISON , PLANCHE VI. ) EXPLICATION DES
FIGURES
. La pièce représentée planche vi, figures i, a,
CHE VI. ) EXPLICATION DES FIGURES. La pièce représentée planche vi,
figures
i, a, 3, 4 5, xxxvie livraison, a été trouvée dan
athologique peut se suffire ici pour l'interprétation des faits. La
figure
i représente un foetus en miniature F, appendu à
ctum. L'utérus était beaucoup plus volumineux que de coutume. I^a
figure
2 représente le fœtus vu de côté, l'utérus vertic
rs interne de cette même poche était rempli par du sang altéré. Les
figures
3, 4 et 5 représentent le fœtus en miniature vu s
ature vu sous différentes faces; elles complètent sou? ce rapport les
figures
i et 2. La détermination de toutes les pièces de
es etl'avant-bras gauche, étaient dans leurs rapports naturels. Les
figures
i et 2 représentent le fœtus en position, c'est-à
'est-à-dire dans ses rapports avec l'utérus et avec l'ovaire. Dans la
figure
i, le fœtus est vu de face, ou plutôt de trois qu
igure i, le fœtus est vu de face, ou plutôt de trois quarts ; dans la
figure
2, il est vu de côté. Je ferai remarquer que dans
la figure 2, il est vu de côté. Je ferai remarquer que dans ces deux
figures
, le fœtus est sans aucune préparation, et qu'il e
ion de la peau et des muscles. Cette pellicule a été enlevée dans les
figures
3, 4 et 5. Pour l'intelligence générale des figur
enlevée dans les figures 3, 4 et 5. Pour l'intelligence générale des
figures
, il est bon de dire que sur ce squelette la tête
d'ailleurs aplatie et vide comme dans le microcéphale. Ainsi dans la
figure
i, mais surtout dans la figure 2, on voit en avan
me dans le microcéphale. Ainsi dans la figure i, mais surtout dans la
figure
2, on voit en avant le thorax; en haut, les membr
pellicule noirâtre, débris de l'œil et des paupières desséchées. La
figure
3 représente le fœtus vu par le côté droit, et pa
ar le côté droit, et par conséquent du côté opposé à celui représenté
figure
2. La tête est complètement cachée dans cette fig
celui représenté figure 2. La tête est complètement cachée dans cette
figure
, ce qui prouve que la tête n'était pas renversée
rsée directement en arrière, mais bien en arrière et à gauche. Sur la
figure
3^on dislingue parfaitement les côtes, l'omoplate
partie de l'avant-bras gauche ABG, qui déborde en bas le fémur. La
figure
4 représente le squelette disposé de telle manièr
, la jambe gauche; PD, le pied droit ; ABG, l'avant-bras gauche. La
figure
5 représente le côté gauche du squelette vu dans
la clavicule droite ; CG, clavicule gauche; HG, humérus gauche. Les
figures
6 et 6' appartiennent à un autre sujet. La figure
érus gauche. Les figures 6 et 6' appartiennent à un autre sujet. La
figure
6 représente l'ovaire gauche OG, tel que je le re
rique d'une aussi petite dimension. Réflexions. Le fœtus représenté
figures
i, 2, 3, 4, 5, appartient bien évidemment à une g
ium duplicia per anatomen indagata, Lipsiœ, 1829-1836, 2 vol. in-4° ?
figures
. XXVe LIVRAISON. - I truosités doubles ses id
fig. 2) et l'auricule inférieure gauche OT. On voit encore sur cette
figure
l'artère aorte A du côté droit, l'artère aorte A'
-près égaux en volume et semblables pour la forme. Cœur. — Les deux
figures
2 et 3 représentent le cœur ouvert. La figure 2
. Cœur. — Les deux figures 2 et 3 représentent le cœur ouvert. La
figure
2 représente le cœur ouvert par son bord concave
avait que deux : cette dernière artère est cachée par l'aorte dans la
figure
. Une cloison incomplète établit la ligne de démar
uniquait par une large ouverture avec la cavité des oreillettes. La
figure
3 représente le cœur ouvert le long du bord conve
e l'artère pulmonaire qui n'en présente que deux. On peut voir sur la
figure
la différence du calibre des deux vaisseaux. Le v
demi-transparence, son aspect gélatiniforme rappellent exactement les
figures
des planches ni et iv, xe livraison. La figure
lent exactement les figures des planches ni et iv, xe livraison. La
figure
2, qui représente une coupe de l'estomac grossie
ue de ses livres. lTe liv., Avant-Propos, p. iij.— Beproduction d'une
figure
d'hydatides placentaires, empruntée à Albinus, lr
de squirrhe. 12e liv., pl. n, ni, p- 8. STARK. Mention d'une de ses
figures
représentant un cas d'entérite folliculeuse granu
asymétriqueinent 17 fois. Sa direction correspondait à celle de la
Figure
1........................................... 1 fo
— 4 / 6 supra-dolichocéphales : crête sus-mastoïdienne comme sur la
figure
] 5 — 6 (6 — 2 8 dolichocéphales , 0 \ 2 so
, 0 \ 2 sous-dolichocéphales : crête sus-mastoïdienne comme sur la
figure
1 4 — i (6 — 2 / 2 — 5 3 — 4 / 12 supra-m
— 4 / 12 supra-mésalicéphales : crête sus-mastoïdienne comme sur la
figure
l 4 — 2 I 5-7 l \ 6 — 6 . J ( 2 - 2 18 mé
_ , j 4 mesaticephalcs moyens : crête sus-mastoïdienne comme sur la
figure
5 — 4 f ( 6 — 2 s 5 — 3 ^ 2 sous-mésalicéph
5 — 3 ^ 2 sous-mésalicéphales : crête sus-mastoïdienne comme sur la
figure
] / 2 - 2 , , A . 3 — 2 6 supra-brachycépha
e tableau indique, tout d'abord, que la direction oblique à 45° de la
figure
1 est exceptionnelle, puisqu'elle n'a été observé
62,5 pour cent pour les dolichocéphales. La disposition oblique de la
figure
4 est remarquablement fréquente chez les dolichoc
iations aux trois types reproduits à la planche III : Premier type,
figure
temporaux à sillons très profonds. Deuxième typ
: l'os de Piet en dehors, le pétrosal en arrière et en dedans. Sur la
figure
i de la planche IV, on aperçoit la ligne de soudu
lon Macewen et Weber-Liel, la veine de l'aqueduc du limaçon. Sur la
figure
3 de la planche I, on aperçoit une gouttière qui
rne, à une zone quadrilatérale dont les limites sont indiquées sur la
figure
de la page 3o. Le trou déchiré et la fosse jugu
I Les quatre faces de l'os temporal. Ftgure i. — Face externe.
Figure
2. — Face inférieure. Figure 3. — Face postérie
emporal. Ftgure i. — Face externe. Figure 2. — Face inférieure.
Figure
3. — Face postérieure. Figure f\. — Face supéri
rne. Figure 2. — Face inférieure. Figure 3. — Face postérieure.
Figure
f\. — Face supérieure. Série de six temporaux v
ce externe. L'apophyse mastoïde est allongée et un peu large sur la
figure
i ; allongée et globuleuse sur la figure 2 ; très
ongée et un peu large sur la figure i ; allongée et globuleuse sur la
figure
2 ; très courte et aplatie sur la figure 3 ; cour
llongée et globuleuse sur la figure 2 ; très courte et aplatie sur la
figure
3 ; courte et large sur la figure 4 ; courte, lar
e 2 ; très courte et aplatie sur la figure 3 ; courte et large sur la
figure
4 ; courte, large et aplatie sur la ligure 6 ; el
aplatie sur la ligure 6 ; elle montre les proportions normales sur la
figure
5. La direction de la ligne temporale ou crête
variable. Presque horizontale, dans son trajet sus-méatique, sur les
figures
3, 5 et 6, elle se relève sur les figures 2 et [\
rajet sus-méatique, sur les figures 3, 5 et 6, elle se relève sur les
figures
2 et [\, et devient oblique à 45° sur la figure i
le se relève sur les figures 2 et [\, et devient oblique à 45° sur la
figure
i. La ligne pointillée indique le plancher de l
voit très rapprochée du pôle supérieur du méat auditif externe sur la
figure
4; éloignée d'environ 8 millimètres sur les figur
tif externe sur la figure 4; éloignée d'environ 8 millimètres sur les
figures
i et 6 ; par rapport à la crête sus-mastoïdienne,
apport à la crête sus-mastoïdienne, elle est située, soit au-dessous (
figures
i et 4), soit au-dessus (figures 2, 3 et 6); ces
e, elle est située, soit au-dessous (figures i et 4), soit au-dessus (
figures
2, 3 et 6); ces deux lignes coïncident sur la fig
soit au-dessus (figures 2, 3 et 6); ces deux lignes coïncident sur la
figure
5. PHOTOTYPIE PEUSER BUENOS AIRES IMP. CONI
différait de celle du sillon gauche. Les types se combinaient ainsi :
Figures
l\ et 2 : 11 fois; — 4 et 3 : 5 — — 5 et 3 :
oc de Jansen. FHOTOTYPIE PEUSER BUENOS AIRES IMP. CONI FRÈRES
Figure
i. — Vue d'ensemble de la cavité tympanique, pris
, est traversée par la scissure pétro-tympanique ou pétro-bulleuse.
Figure
2. — On aperçoit la face externe de la membrane t
s de l'enclume, et pouvoir montrer l'articulation incudo-malléaire.
Figure
i. — Temporal scié dans le plan sagittal, avec un
y a observé des fistules qui aboutissaient à la loge cérébelleuse.
Figure
2. — Elle reproduit la face interne de la membran
dans le plan frontal passant par l'axe du conduit auditif externe.
Figures
i et 2. — Les deux segments d'un même temporal :
f externe. Figures i et 2. — Les deux segments d'un même temporal :
figure
1, segment antérieur; figure 2, segment postérieu
— Les deux segments d'un même temporal : figure 1, segment antérieur;
figure
2, segment postérieur. La scie a ouvert le cond
aditus, on remarque la saillie du canal demi-circulaire horizontal.
Figure
3. — Les deux segments d'un temporal d'un enfant
l'aditus, comme chez l'adulte, le second coude du canal de Fallope.
Figure
4- — Segment postérieur d'un temporal dont le seg
t de plus nombreuses cellules limitrophes que celle du temporal de la
figure
2. Le tegmen tympani présente un aspect aréolai
dans le plan frontal passant par l'axe du conduit auditif externe.
Figures
i et 2. — Les deux segments de la coupe : figure
auditif externe. Figures i et 2. — Les deux segments de la coupe :
figure
1, segment postérieur ; ligure 2, segment antérie
ompacte et lisse, détache nettement sa ligne sur ce fond spongieux.
Figure
3. — C'est un agrandissement de la figure 1. Il e
ne sur ce fond spongieux. Figure 3. — C'est un agrandissement de la
figure
1. Il est destiné à bien montrer la zone postéro-
S AIRES IMP. CONI FRÈRES Temporaux sciés dans le plan sagittal.
Figure
i. — Sur ce temporal, vu par sa face postérieure,
ie que nous avons nommée balle digastrique. Cette coupe bâille sur la
figure
2. Figure 2. — Segment interne à droite, segmen
avons nommée balle digastrique. Cette coupe bâille sur la figure 2.
Figure
2. — Segment interne à droite, segment externe à
ée est en connexion avec les cellules du groupe sinuso-digastrique.
Figure
3. — Le trait de scie ouvre la bulle digastrique
ne à droite. On remarque le canal carotidien et la fosse jugulaire.
Figure
4. — L'apophyse mastoïde, de structure pneumatiqu
t variables l'étendue et la disposition de la zone de l'antrotomie.
Figure
i . — Le trait de scie passe sous le seuil de l'a
llimètres ; distance minima sinus-corticale externe, 5 millimètres.
Figure
2. — Le trait de scie passe par l'épine et à trav
limètres ; distance minima sinus-corticale externe, 10 millimètres.
Figure
3. — Le trait de scie passe par l'épine, au-dessu
limètres ; distance minima sinus-corticale externe, 10 millimètres.
Figure
4- — Le trait de scie passe par l'épine, à traver
llimètres ; distance minima sinus-corticale externe, 8 millimètres.
Figure
5. — Le trait de scie passe par l'épine, au-desso
llimètres ; distance minima sinus-corticale externe, 6 millimètres.
Figure
6. — Le trait de scie passe par l'épine, sous le
llimètres ; distance minima sinus-corticale externe, 5 millimètres.
Figure
i. — Temporal d'un enfant de 10 ans, scié à trave
t parallèle à la paroi postérieure du conduit. La coupe bâille sur la
figure
2. Figure 2. — La scie ouvre la caisse du tympa
à la paroi postérieure du conduit. La coupe bâille sur la figure 2.
Figure
2. — La scie ouvre la caisse du tympan, Yaditus a
, compacte et lisse, tranche sur le tissu spongieux de la pyramide.
Figure
3. — Temporal d'adulte, scié suivant le plan sagi
nt le plan sagittal, à la base de la pyramide. La coupe bâille sur la
figure
[\. Figure !\- — Le trait de scie ouvre le cond
gittal, à la base de la pyramide. La coupe bâille sur la figure [\.
Figure
!\- — Le trait de scie ouvre le conduit auditif e
ET ENCÉPHALE, FHOTOTYPIE PEUSER BUENOS AIRES IMP. CONI FRÈRES
Figure
i. — Temporal scié transversalement. Le trait de
la portion mastoïdienne, la bulle digastrique qui a été effondrée.
Figure
2. — Ls scie ouvre l'antre mastoïdien, le canal d
les cellules les plus antérieures du groupe si nu so-di gastrique.
Figure
3. — On voit le carrefour des canaux demi-circula
eure du canal sagittal avec la branche supérieure du canal frontal.
Figure
t\- — Le canal demi-circulaire sagittal est ouver
ux supérieur. PHOTOTYPIE PEUSER BUENOS AIRES IMP. CONI FRÈRES
Figure
i. — Temporal dont la cavité tympanique, l'aditus
e cas particulier, en rapport avec l'étendue des lésions osseuses. La
figure
i reproduit seulement le point essentiel de l'act
l'acte opératoire, avec les dimensions minima qu'il doit présenter.
Figure
2. — Sur ce temporal, on a pratiqué l'antrotomie
intervention qui convient dans les rétentions mastoïdiennes aiguës.
Figure
3. — Segment postérieur du temporal de la figure
toïdiennes aiguës. Figure 3. — Segment postérieur du temporal de la
figure
1, scié transversalement suivant l'axe du conduit
cervelet, constitue, en partie, la face externe du bloc de Jansen.
Figure
5. — Le même temporal que sur la figure 3. On a e
externe du bloc de Jansen. Figure 5. — Le même temporal que sur la
figure
3. On a effondré la zone sinusale de la cavité an
n dedans, qui indique le bord interne ou médial du sillon sigmoïde.
Figure
!\. — Le même temporal de la figure 5, vu par sa
e ou médial du sillon sigmoïde. Figure !\. — Le même temporal de la
figure
5, vu par sa face postérieure. Il montre la brèch
ition de la première planche , j'ai emprunté, à différens auteurs, la
figure
du système nerveux de plusieurs invertébrés qui a
qui avaient fait la matière spéciale de leurs recherches. Chacune des
figures
de cette planche n'a pas ses dimensions naturelle
Cordon nerveux de l'abdomen. Chenille du papillon nu chou. ( Cette
figure
, ainsi que les deux suivantes, sont faites •d'apr
aux de castor, les seuls que j'aie pu examiner, ils manquent dans les
figures
1 et 2. Agouti. Sur le cerveau de cet animal on
Les mêmes lettres servant à désigner les mêmes objets dans toutes les
figures
, je ne reproduirai plus l'explication que j'en d
al, la quatrième est située trop latéralement pour être vue sur cette
figure
. En arrière du cerveau, le cervelet sur le côté d
irconvolutions supplémentaires dont on voit comme un rudiment dans la
figure
suivante, au point marqué + . . 2. Encéphale du
ns nombreuses. J'ai vu plusieurs encéphales de lion, j'ai vu aussi la
figure
de l'encéphale du même animal publié par M. Tiede
en connue de M. Serres, on croirait qu'il n'a fait que reproduire une
figure
extraite de l'ouvrage de l'anatomiste de Heidelbe
traite de l'ouvrage de l'anatomiste de Heidelberg, en donnant à cette
figure
d'encéphale de chat, le nom d'encéphale de lion.
inférieure: les mêmes lettres expriment les mêmes objets que pour les
figures
des planches précédentes. Fig. 3. La scissure d
cées au-dessus de la scissure de Sylvius ; il faut les étudier sur la
figure
3. En arrière du cerveau, on voit le cervelet qui
et ne s'avançant pas jusqu'au cerveau. Les chiffres , . comme dans la
figure
précédente. Fig. 4- Encéphale de mouton coupé d
du cheval. Les mêmes lettres indiquent les mêmes parties que dans la
figure
précédente. Le cerveau du cheval est plus arrondi
eule. Les circonvolutions I et II ne se voient qu'en partie sur cette
figure
, elles s'unissent entre elles, comme les circonvo
il s'agit. Les autres lettres indiquent les mêmes objets que dans les
figures
précédentes. La simplicité du cerveau de chevreui
VII, fig. a) est encore ici très évidente. Daim. On voit sur cette
figure
, mieux que chez le chevreuil, les quatre circonvo
re située près de la scissure médiane. Les lettres P. A. de la même
figure
, sont placées l'une en avant, l'autre en arrière
rière de la scissure de Sylvius, et dont on voit le complément sur la
figure
3 et sur la figure 4- p. c. Pédoncule cérébral
e de Sylvius, et dont on voit le complément sur la figure 3 et sur la
figure
4- p. c. Pédoncule cérébral p. v. Pont de Var
conde circonvolutions postérieures, dont on voit le complément sur la
figure
4* SINGE PAPIÓN. S, S, S. L'une des circonvol
t de la circonvolution interne (fig. 5). Sur le lobe droit de la même
figure
se trouve indiquée en S. S. la scissure de Sylviu
e la scissure de Sylvius, et au-dessus du cervelet. On voit sur cette
figure
le complément des circonvolutions qui sont recouv
ment des circonvolutions qui sont recouvertes par le cervelet, sur la
figure
i. PPP. Les trois circonvolutions postérieures.
oisième, confondue à son origine avec la seconde, se voit bien sur la
figure
3. La simplicité des circonvolutions de cet enf
. Seconde et troisième circonvolutions postérieures. Comparez cette
figure
à celles qui représentent la face interne du lobe
r l'explication des lettres, à celle qu'on a donnée des détails de la
Figure
\ (2). (1) L'encéphale, dont il s'agit ici, app
, il est évidemment affaissé sur sa base. Leuret n'a laissé sur cette
figure
aucune note particulière. A. A. A. Les trois ci
nvolutions postérieures. Fig. 2. Enfant blanc L'explication de la
figure
\ convient à celle-ci. N.B. L'âge précis de ce
érieures du lobe occi-pito sphénoïdal, est très-remarquable sur cette
figure
. iig. 2. Face latérale interne de l'hémisphère
Fig. 4. Face postérieure d'une portion de la moelle du Papion. Cette
figure
est destinée à faire mieux comprendre la véritabl
ait du même ouvrage.) Les lettres ont la même signification dans la
figure
5. Le pli supérieur de passage manque; le deuxi
cavité ancyroïde et de l'étage inférieur du ventricule latéral, cette
figure
permet d'apprécier l'énorme étendue de la corne o
de la branche descendante du corps calleux. ce., ) S Comme dans la
figure
précédente. ce, ) d. Pilier droit de la voûte
ux. e. \ F Ces lettres ont la même signification . i que dans les
figures
précédentes. i. ! m. Nerf optique. m' Racin
t dans îes interstices des racines du corps calleux. Fi g. 5. Cette
figure
représente le même hémisphère après l'ablation du
au plan formé par les fibres directes du pédoncule. Fig. \ . Cette
figure
représente la préparation déjà dessinée PL XXVI,
de l'hémisphère. * Cette lettre a été par erreur remplacée dans la
figure
par la lettre q. hh\ Fibres qui se portent dire
des fibres du corps calleux avec les fibres directes. Fig. 5. Cette
figure
représente la face inférieure du cerveau d'un Pap
éral en relation avec les fibres du pont de Varole. Fig. 4. Cette
figure
est destinée à montrer la succession des différen
main d'environ dix-sept semaines, vu par sa face postérieure. Cette
figure
est destinée à faire mieux comprendre les proposi
nférieure après l'ablation de la protubérance et du bulbe. Toutes ces
figures
font voir que, dès cette époque, le cervelet, mal
du même cervelet. Les lettres ont la même signification que dans la
figure
précédente. Fig. 49. Face postérieure du cervel
s n'étaient pas encore réunies sur le plan médian du cerveau. Cette
figure
fait bien apercevoir les courbures successives du
s strié. -H + + Plis de la paroi grise du ventricule latéral. Les
figures
suivantes représentent quelques points de la stru
n le lobe triangulaire. N. OL. Nerf ou lobe olfactif. Fig. 9. Cette
figure
montre l'expansion des fibres de l'ourlet. Cf. Pl
. 2. Étage moyen. 3. Étage supérieur (1). (1) L'ensemble de ces
figures
montre qu'à la naissance le système des plis céré
erons deux formes. Dans la première, pseudo-hippocratique, le doigt
figure
une baguette de tambour ou.un battant de cloche
sucre. La percussion du crâne n'est pas douloureuse. En repos la
figure
est atonique, sans expression, mais les excitatio
y trouvera aussi les indicalions géné- rales pour les légendes des
figures
. xxvii si 62 LONG z trouve le travail de Sc
té réellement détruit ou simplement déplacé ; ainsi, l'examen de la
figure
B ne permet pas de conclure à la suppression de
distance par des produits toxiques. Ainsi, en suivant la série des
figures
1 à 5, qui représentent plusieurs étages de la
es ans les de ux moitiés de la moelle est à peine visible ; (1) Les
figures
qui accompagnent ce texte ont été faites en relev
uées par des points noirs plus ou moins nom- breux. Dans toutes les
figures
, les cornes antérieures de la moelle ou l'étage a
t l'isthme de l'encéphale jusqu'à la couche opti- que. La série des
figures
7-22 nous dispensera d'une description analyti-
ment progressif la tête de la corne postérieure, si bien que sur la
figure
10 (segment Ci) cette dégénérescence ascendante
n trouve cette disposition anatomique dessinée par Schaffer dans la
figure
8 de son mémoire, par Hoche (PI. IX, fig. 1), And
i fonne, et le corps restiforme (fig. 13). Nous signalons sur les
figures
10, 11, 12, de petits fascicules qui, dans la p
très nettement dessinée avec ses trois bandes transversales sur une
figure
du mémoire de Hoche (PI. IX, fig. 5), mais pour l
ées descendantes de la formation réticu- lée pédonculaire (voir les
figures
15 et 16 du travail que nous avons pu- blié en
r Anatomie des Menschen, von Bardeleben, t. IV, 1899. LÉGENDE DES
FIGURES
Aq, aqueduc de Sylvius. 13 Qa, bras du tubercul
AUL RICHER PAR R HENRY MEIGE Au petit Palais des Champs-Elysées
figure
depuis peu un groupe en marbre représentant tro
rs des temps, s'est successivement appropriés (PI. XXX et XXXI). La
figure
du milieu synthétise la plastique féminine dans l
les autres types représentent des variations en sens différents. La
figure
de gauche nous montre la femme à l'époque de la R
étique, si chère à leurs devanciers. M. Paul Richer a su, dans sa
figure
de gauche, retenir les caractéristiques du type
MME VARIE 123 C'est colle que M. Paul Richer a matérialisée dans la
figure
de droite de son groupe où la femme moderne est
mités, en commençant toujours par la partie distale, ensuite sur la
figure
, sur le cou et enfin sur la poitrine, le dos et l
lques centimètres la première. Chez les malades corres- pondant aux
figures
8 et 9, j'ai tracé la ligne ponctuée qui marque l
n sépare les régions sensibles de celles qui sont aneslhésiées. Les
figures
7 et 8 sont deux exemplaires courants de ce type.
C'est une forme de distribution typique d'anesthésie lépreuse de la
figure
qui garde relation avec celle qu'elle a dans les
clans la sj'l'ingomyélie, a, comme on peut le voir en comparant les
figures
que j'expose avec des types syringomyéliques, des
qu'il est, je crois, superflu de décrire. Cette anesthésie de la
figure
est généralement accompagnée de l'insuf- fisanc
ligne terminale est sinueuse et irrégulière comme le démontrent les
figures
2, 3 et 4. En outre, dans la lèpre, l'anes- Fig
reparait dans un point, dans une plaque plus pu moins arrondie. La
figure
6 représente les pieds de la malade corresponda
e. La figure 6 représente les pieds de la malade correspondant à la
figure
8 ; la peau est complètement anesthésique (ce q
ace externe ou concavité de la conque de l'oreille de l'homme de la
figure
9 se présente, comme on le voit, circonscrite par
a qu'un certain degré d'hypoeslhésie tactile. Le jeune homme de la
figure
5 en est un exemple. La peau de ses membres inf
syringomyélie, on la rencontre dans des cas tels que ce- lui de la
figure
12, et elle forme une condition symplomatique de
pas le nier en présence de cas tels que ceux re- présentés dans les
figures
13 et 14 dans lesquels les articulations se trou-
nerfs vestibulaires ou les centres correspondants. L'homme dans la
figure
15, auquel appartiennent les pieds mutilés représ
gure 15, auquel appartiennent les pieds mutilés représentés par les
figures
13 et li, qui n'a pas d'anesthésie plantaire, n'o
nsi que la marche avec les yeux fermés. A ce sujet je donne dans la
figure
1G l'image d'un lépreux chez qui le signe de Ro
ue le malade veut toucher des ré- gions délicates comme celles delà
figure
, il exécute l'acte avec l'extrémité et en même
Sur ce point, ci-joint quelques photographies démonstratives. La
figure
17 appartient à une femme atteinte de paralysie f
paires crâniennes, suivie d'atrophie rapide des mêmes paires. La
figure
18 appartient il la même femme étant en marche. L
rvé plusieurs fois et comme je prétends le démontrer au moyen de la
figure
19. Outre qu'on y voit le manque de limitation pr
est due à l'insuffisance pupillaire. Le garçon présenté dans les
figures
20 et 21 a, par l'ettel d'une infec- tion aiguë
omme il le démontre par l'acte de rire dans lequel les traits de la
figure
sont portés vers ce côté. Mais dans la figure 2
quel les traits de la figure sont portés vers ce côté. Mais dans la
figure
2) il laisse voir la paralysie des deux faciaux s
ans le cas antérieur.. En revanche, la femme dont il s'agit dans la
figure
10, avec paralysie double de la VII" paire, n'a
aralytique ou dégénéralive est le type jambier paralytique dont les
figures
22 et 23 cons- tituent un exemplaire (différent
u type non paralytique dont je parlerai plus bas). Le pied pendant,
figure
22, et la marche en steppage, figuie23, sont le
er que, tant par l'inspection directe du malade que par celle de la
figure
22, on n'observe pas le creux ou la gouttière cor
vés par le facial inférieur droit de la femme qui cor- respond à la
figure
10, dans lesquels la réaction électrique présente
ée, sont également atteints d'atrophie para- lytique. L'homme de la
figure
11 a une parésie des lèvres. Plusieurs fois j'a
Le manque d'association des mouvements des yeux de l'homme de la
figure
1 est dû à des processus musculairesauxquels pren
et inférieurs jusqu'à une période tardive de l'évolution du mal. La
figure
211 appartient à un type jambier atrophique non p
bier se contracte par le courant d'in- duction comme le démontre la
figure
23, dans laquelle là pointe du pied se voit en
iffus à cause de son mouvement rythmique. Les mains de la femme des
figures
4 et i', avec atrophie musculaire, peuvent se f
e celle du fléchisseur profond mettant en flexion les dernières. La
figure
2G démontre l'atrophie du voile du palais; à caus
- tions intermédiaires qui ne le sont pas. Cela est démontré par la
figure
27 appartenant à un syringomyélique chez lequel
amériquement, comme à ce point de vue nous l'enseigne l'homme de la
figure
28 qui appartient à un autre cas de syringomyél
ritique. Les muscles de la région postérieure de l'avant-bras de la
figure
29 sont atrophiés par l'effet de la tuméfaction i
hez lesquels l'a troph ie est paraly- tique comme dans le cas de la
figure
30, dont l'état des mains a été pro- duit par n
euses, tendineuses et a la sclérodactylie comme on le voit dans les
figures
2, 2', 3t et dans le pouce de la main corresponda
es figures 2, 2', 3t et dans le pouce de la main correspondant à la
figure
32. Et en quatrième lieu, elles se développent sa
, elles se développent sans aucun de ces motifs. Tels sont ceux des
figures
33 et 34. L'attitude des deux derniers doigts d
eux des figures 33 et 34. L'attitude des deux derniers doigts de la
figure
33 et celle des trois derniers de la main corresp
figure 33 et celle des trois derniers de la main correspondant à la
figure
34, sont régies par la contracture du fléchisseur
; l'attitude des trois derniers doigts de la main gauche de la même
figure
34 dépend de la contracture du fléchisseur prof
té·cles doigts avec résorption osseuse. Voir ce sujet les mains des
figures
2 et 31. Dans certains cas, quand les muscles c
liques lépreuses, il existe une supraréflectivité rotulienne (1). La
figure
35 qui démontre la suprréf1eclivité rotulienne
eclivité rotulienne appartient à la même femme représentée dans les
figures
6 et 8. Mais en même temps qu'on trouve en abon
réllexes ont le type normal et il en est ainsi. pour le lépreux des
figures
1, 1', 22 et 23. Le réflexe tendineux de flexio
les muscles de la région anté- rieure dans la jambe du malade de la
figure
22 dont les secousses par les fermetures et les
a peau saine ou sur la peau lésionnée ; c'est ce que démontrent les
figures
36 et 37. Avec cette neurolépride, la lépride m
accompagnent la forme nerveuse. On voit l'atrophie cutanée dans les
figures
38 et 39. Et spécialement dans la figure 39, la v
atrophie cutanée dans les figures 38 et 39. Et spécialement dans la
figure
39, la variété appelée glossy skin. La peau d
gure 39, la variété appelée glossy skin. La peau des doigts de la
figure
3 est un type de dépigmentation. Je me contente
le font du côté de la flexion comme je l'ai indiqué plus haut. Les
figures
2, 31 et 32 en sont des exemples. Je suis d'acc
r- ture ulcéreuse irrégulière et profonde, comme on le voit dans la
figure
40. On perçoit, au moyen du stylet, la phalange
u la seconde au métacarpien, ce qui augmente les difformités. Les
figures
1, 31 et 32 démontrent l'absence de quelques phal
nt l'absence de quelques phalanges due à la maladie de Morvan. La
figure
182 du Traité des maladies nerveuses d'Oppenheim
nt de septicémie comme cela est arrivé pour celui que représente la
figure
40. Puisque nous reconnaissons que.dans bien de
recouvre d'une croûte sèche et ronde comme on peut le voir dans la
figure
41. Alors si la lésion sur le nerf a été seulem
grand sciatique comme par exemple le jeune homme représenté dans la
figure
43, dont l'image nous fait voir l'ouverture d'e
érique paru dans la Revue neurologique du 30 décembre 1910. Dans la
figure
12, je démontre l.i régénération presque totale d
ez les individus sains. Les articulations du carpe de la main de la
figure
29 sont des types d'inflammation articulaire sp
uérir cette forme de griffe d'oiseau de proie que l'on voit dans la
figure
29. Dans la plupart des étals ci)ioniques d'ins
qui corres- SFML'T061AT(ILOGIG : LU SYSTÈME NERVEUX 171 pond à la
figure
44, se trouvent décalcifiées par suite d'un panar
un degré plus ou moins élevé. Le squelette de la main droite de la
figure
45 montre la raréfaction, spécialement prononcée
acarpiens. La photographie des mains de ce malade se trouve dans la
figure
46, qui en laisse voir claire- ment à droite la
raréfaction osseuse à un degré parfois assez prononcé. L'enfant des
figures
47 et 48 a subi, il y a cinq ans, un accident de
d'aplasie hémilalérale comme on l'observe bien clairement dans les
figures
indiquées; le squelette qui présente une grande
différence de volume entre les deux côtés, comme on le voit dans la
figure
49, présente de la décalcification. La destruct
son extrémité articulaire ; on peut le voir dans le gros orteil des
figures
50 et 51 qui appartiennent à un homme lépreux età
use respectivement. On la retrouve dans le même doigt du pied de la
figure
52 qui appartient au jeune homme déjà cité dans l
ied de la figure 52 qui appartient au jeune homme déjà cité dans la
figure
43, atteint de névrite dégénérative produite pa
QU13R grand sciatique, et dans le même doigt du pied exposé dans la
figure
53 qui se rapporte à une femme tabétique. - L
de sucre qui se dissout dans un liquide. On le voit ainsi dans les
figures
50, 51 et 52. Par destruction périphérique de
comme cela se voit sur le bord inlernede la première phalange de la
figure
53 déjà citée. Par résorption segmentaire trans
te de la deuxième phalange des deuxième et troi- sième doigts de la
figure
54 et les premier, deuxième et troisième métatar-
et les premier, deuxième et troisième métatar- siens du pied de la
figure
Ils. Ces images sont assez semblables à celle p
oduite par l'effet de la gan- grène de Ha) naud, comme le montre la
figure
55, dans la deuxième pha- lange du petit doigt,
crochet. Voir à ce sujet le reste du premier métacar- pien dans la
figure
56 et celui de la première phalange du deuxième d
re 56 et celui de la première phalange du deuxième doigt de la même
figure
. Ces différentes formes se mêlent, se combinant
comme on peut l'obser- ver dans la première phalange du pouce de la
figure
57, dans la deuxième du petit doigt des figures
lange du pouce de la figure 57, dans la deuxième du petit doigt des
figures
54 et 56, et dans les deuxièmes phalanges des g
es 54 et 56, et dans les deuxièmes phalanges des gros orteils de la
figure
58 dont il ne reste que des vestiges. La figure
gros orteils de la figure 58 dont il ne reste que des vestiges. La
figure
59 dont les pieds représentés appartiennent à un
teil droit. L. J'ai déjà indiqué que le squelette des pieds de la
figure
53 qui appar- tient à une femme tabétique, est
e phalanges du gros orteil vers le côté de son articulation dans la
figure
52, présentent les mêmes caractères de résorpti
rp- tion, d'une même forme et d'une même évolution. La main de la
figure
60 est un exemplaire typique de macrochirie d'o-
quement à une seule espèce ou variété. Dans l'image exposée dans la
figure
61, qui appartient à un lépreux, il y a hypertr
lle soit légèrement plus pronon- cée d'un côté que de l'autre. La
figure
11 représente la face d'un lépreux qui a de l'hyp
and nombre de cas il n'en est que six dont la description détaillée
figure
dans le travail que nous analysons actuellement.
Etal actuel. Le malade est un homme maigre, de petite taille. La
figure
a très peu d'expression ; seulement, quand il y a
IFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 277 son entourage qui l'amuse, la
figure
se fige dans une grimace prolongée. Quand il es
immobile. De temps en temps la tète est baissée involontairement. La
figure
, quoique sans expression, est le siège de contr
et ils atteignent leur maxi- mum quand on lui pose une question. La
figure
est en proie à des grimaces, il ouvre la bouche
concentrée soit sur le coude, soit sur l'épaule. L'expression de la
figure
de notre première photo nous démontre la peine qu
que temps dans cette position. Voyez la différence d'expression des
figures
de nos deux photos . (PI. XLVIII). Après avoir
ontinuelle, défigurant la face. En voulant déplisser passivement-la
figure
, on se heurte à une résistance très appréciable.
de poing à l'in- firmier sur l'épaule et il rit. Puis il jette à la
figure
des personnes qui l'entou- rent tous les objets
rrangement des plis cérébraux, et j'ose espérer que, par le nombre de
figures
originales et observées avec le plus grand soin q
l'anatomiste les néglige, et le peintre les dessine au ha sard. Les
figures
dooiiées dans les plus beaux ouvrages, barbouillé
rès appréciables. Quelques plis sont bien décrits par Yicq-d'Azyr. La
figure
que Sœmmering a donnée des plis internes de l'hém
. Malgré cette complication, on peut déterminer leur position et leur
figure
. Parmi les sillons qui séparent les processus e
Il était déjà connu de Vicq-d'Azyr. Rolando lui donne, à cause de sa
figure
, le nom de processo cristato, circonvolution crêt
trop imparfaitement distinguées. Nous citerons, en particulier, la
figure
1 de la planche V. Cette figure serait fort bonne
. Nous citerons, en particulier, la figure 1 de la planche V. Cette
figure
serait fort bonne, si les circonvolutions voisine
très-certainement bien copiées, mais le modèle était mal choisi. La
figure
2 de la même planche offre un exemple plus normal
anatomiste donne, d'ailleurs, du cerveau de l'Homme et du Papión des
figures
fort remarquables. M. Leuret décrit ainsi les c
érieur. Quant au lobe postérieur, il n'en dit absolument rien, et ses
figures
ne portent même, en cet endroit, aucune caractéri
même en ce qui touche aux circonvolutions des Primates. La première
figure
qu'on ait eue du cerveau du Troglodyte Chimpanzé
eue du cerveau du Troglodyte Chimpanzé est celle de Tyson (1). Cette
figure
ne peut rien nous apprendre sur le sujet qui nous
. Gall et Spurzheim ont donné du cerveau de l'Orang et du Patas des
figures
qu'on dirait imaginées, tant elles sont inexactes
le cerveau de l'Orang-Outang par la face dorsale et par la base. Ces
figures
sont bien supérieures à celles de Gall ; mais ell
profil externe; les plis cérébraux ne sont nullement indiqués sur ses
figures
. M. Wrolick nous a donné le profil interne du c
ck nous a donné le profil interne du cerveau d'un Orang-Outang; cette
figure
est une des meilleures que je connaisse. Sur le
nnaisse. Sur les circonvolutions du Chimpanzé on peut consulter les
figures
de Tiedemann qui sont fort imparfaites, et cepend
lui de Tiedemann. On consultera, avec beaucoup plus d'avantage, les
figures
qu'ont données MM. Valider Kolk et W. VVrolik; le
rveau est-elle rendue, dans leurs planches, d'une manière (1) Cette
figure
est reproduite dans la planche VI de l'atlas ; el
t, n a rien de commun avec une critique. M. Sandifort a publié deux
figures
du cerveau de VHylobâtes syndactylus ; ces ligure
du cerveau de l'Orang-Outang. Toutefois il y a, dans le détail de ces
figures
, des choses très-obscures. Sur le cerveau des a
s-obscures. Sur le cerveau des autres Primates, nous citerons Les
figures
de Tiedemann sur le Pithecus sabœus, le Nemestrin
excellents dessins de M. Leuret sur le cerveau du Papión ; Enfin une
figure
assez bonne de Tiedemann sur le cerveau du Saï Ca
oyau cérébral. Leur description demande absolument le secours d'une
figure
. § vm. PLIS CÉRÉBRAUX DE LA FACE EXTERNE. D
rce qu'ils sont souvent très-obliques, comme on peut le voir dans les
figures
que je donne du cerveau des Cynocéphales. Un tr
à ces plis le nom de plis de passage. § IX. DES PLIS DE PASSAGE.
FIGURE
2. 11 y a deux plis de passage profonds et cach
duisent les mesures approximatives. § XL PLIS DE LA FACE INTERNE.
FIGURE
3. Parmi les sillons qui séparent ces plis, nou
ns ces derniers temps, M. Arnold ont donné sur ce point d'excellentes
figures
. Dans le Callitriche, la scissure des hippocamp
e ne peut qu'indiquer. J'invoque donc à chaque instant le secours des
figures
. Un cerveau naturel ou un moule bien fait seraien
éum d'histoire naturelle. J'ai colorié en couleurs diverses, dans mes
figures
, les différentes régions cérébrales. Je n'avais d
approuver, et me donna en même temps le conseil de colorier aussi les
figures
qui accompagnent ce mémoire. La facilité avec laq
Ces indications caractérisant immédiatement les éléments de chaque
figure
, je n'aurai besoin que rarement de recourir aux i
longtemps pour moi le sujet d'une grande inquiétude. En effet, aucune
figure
ne peut remplacer complètement, dans des études d
el. M. Sandifort a publié, il est vrai, il y a quelques années, une
figure
du cerveau d'un Gibbon syndactyle; mais j'avais d
actyle; mais j'avais de graves soupçons relatifs à son exactitude. La
figure
que M. Sandifort a donnée dans le même travail d'
é par M. Diard. J'ai le regret plus grand de ne pouvoir donner qu'une
figure
incomplète pour deux motifs : V parce que l'état
incts ; l'étage moyen surtout est L'examen des deux cerveaux que je
figure
montre à quel point ils varient dans les divers i
x de la face interne. Ces plis étaient bien connus par une fort belle
figure
qu'en a donnée M, Wrolick dans son anatomie du
TROGLODYTE CHIMPANZÉ. Je ne connais du cerveau du Chimpanzé aucune
figure
parfaite. Celle qu'en a donnée Tyson ne mérite pa
donnée Tyson ne mérite pas d'être rappelée (voy. pl. VI, fig. 4). La
figure
de Tiedemann est également très-défectueuse et ne
ties ne sont pas semblables, mais elles sont toutes homologues. Une
figure
coloriée d'un cerveau humain vu de profil fera to
dans VOrang. Toutefois, si je compare les faits que j'ai observés aux
figures
qu'ont données Tiedemann en premier lieu, et aprè
z , à ce sujet, dans Vllluslralion, 1853, page 121, un article et des
figures
publiées par M. Henri de Saussure. Fiécipi'oque
dicules caricatures de l'Homme, bien inférieures, à tous égards, à la
figure
que Lecat a donnée du Chimpanzé ( Traité du mouve
in. Ils présentent, comme on l'a vu, des caractères exceptionnels. La
figure
du cerveau ne l'est pas moins, comme on peut s'en
st pas moins, comme on peut s'en (îonvaincre par la considération des
figures
de l'atlas. Vu par sa face supérieure, il est ass
caractère a été mieux saisi que les autres, par M. Tiedemann, dans la
figure
qu'il a donnée du S. capucina. La face externe
donc indiquer une dégradation véritable. J'ai déjà dit que, par sa
figure
générale, le cerveau des Sajous ressemble singuli
. Je n'ai pas été plus heureux à l'égard des autres Singes. Enfin les
figures
du cerveau du fœtus humain qui ont été publiées j
évidente également dans le Saïmiri et le Callithrix moloch; mais les
figures
de l'atlas, copiées d'après des cerveaux conservé
ES ; SURMONT; TERRILLON ; TUFFIER; WEIL. TOME CINQUIÈME Avec 45
figures
intercalées dans le texte et 48 1 1 PARIS . A
LPETRIERE. de plusieurs pièces se pliant les uns sur les autres. La
figure
2 présente cette disposition : on voit les pièc
oite est tirée en bas avec force (Pl. IV). L'ouverture de la bouche
figure
pour me servir d'une expression de M. Charcot -
de leurs on- dulations se marque par des rides qui vieillissent la
figure
. On voit se pro- duire sous les yeux l'aspect d
s la maladie de Thomsen et sur les muscles dans l'état normal. La
figure
o représente le résultat d'excitations avec des i
normales sans aucune apparition de spasme myotonique. Sur la même
figure
la ligne supérieure, B, représente le tracé recue
scles dans la maladie de Thomsen et celle des muscles normaux. La
figure
suivante (fig. 6) représente en A et A' le tracé
ondes, retour complet et immédiat du muscle à l'état de repos. La
figure
suivante (fig. 7) représente en A, 1' le tracé d'
me muscle, dans les mêmes conditions, chez un individu normal. La
figure
8 représente les mômes réactions, obtenues dans d
amp; a ` tic 2 S ,« 1 I .2 " « 3 511 M " 1.3 I 1- ïa La
figure
7 représente le tracé pris il l' avant-bras sur l
succèdent aux secondes excitations, se trouve inscrite à gauche de la
figure
en a', b', c'. De plus il été supprime,' droite d
he de la figure en a', b', c'. De plus il été supprime,' droite de la
figure
, un espace tracé correspondant à une durée de 5
ivantes la distance de la bobine était, comme il est indiqué sur la
figure
de 9 centimètres, 8 cm. 1/2, 8 centimètres et 7 c
mme sur beaucoup d'antres (1). - Les deux premières lignes de celle
figure
ont été inscrites dans les mêmes conditions que
elle figure ont été inscrites dans les mêmes conditions que pour la
figure
précédente et mollirent les mêmes phénomè- nes
inter- valle de quelques secondes seulement. Comme les tracés de la
figure
1-1 ceux-ci nous montrent la longue durée de la
analogues il ceux que nous avons déjà étudiés sur les tracés de la
figure
13. Mais ce qui se voit mieux sur les Iracés de
t consécutif de la courbe muscu- laire soient moins accusés sur les
figures
13 et 14 que sur la figure 15 on les y retrouve
scu- laire soient moins accusés sur les figures 13 et 14 que sur la
figure
15 on les y retrouve cependant, et ils nous mon
nt encore des plus nets sur les deux premières lignes, A et B de la
figure
1(i qui repré- sentent d'ailleurs comme la ligu
ptions plus rares on constate le même phénomène, comme le montre la
figure
16. Pour la ligne C le nombre des interruptions
ons inutile de les reproduire ici. Les trois lignes, D, E, F, de la
figure
16 ont surtout pour but de montrer, outre le ph
avons constatées dans certains cas (notamment sur les tracés de la
figure
15 et sur les deux premières lignes de la figur
r les tracés de la figure 15 et sur les deux premières lignes de la
figure
16, etc.), au moment où cesse l'excitation, que n
e se re- produire. Il est facile de le constater sur les tracés des
figures
13, 14, 15, dans lesquels chaque ligne d'inscri
rs mieux connaître les détails de ce phénomène. Le premier tracé,
figure
-1(i, met bien en évidence certaines des condi-
ques, un homme et une femme sont en proie aux convulsions. Ces deux
figures
offrent de nombreux points de ressemblance avec
ue nous offre l'anthropologie dans l'état actuel de la science, une
figure
. Il va sans dire qu'elle a trait àl'homme europ
r l'autre d'une demi tète, d'où il suit que la hauteur totale de la
figure
n'est que de 7 fois 1/2, et que le milieu de la f
totale de la figure n'est que de 7 fois 1/2, et que le milieu de la
figure
cor- respond juste au milieu de la partie commu
. La déformation du tronc est en rapport avec ces incurvations. Les
figures
ci-jointes mollirent, mieux qu'aucune descripti
rs de cette variété décrite par Duchenne de Boulogne, et dont Heine
figure
un exemple dans son ouvrage (fig. 28, planche XII
uvements ondulatoires augmentent, comme le montre le tracé suivant,
figure
18. Ce tracé a été pris aussitôt après le précé
qu'il regagne définitivement sa ligne de repos. Le tracé suivant,
figure
19, montre ces mouvements ondulatoires à un hau
lement ces mouvements ondula- toires très développés, lignes D etE,
figure
19. Les mouvements ondulatoires s'accompagnent
tremblement est facile à reconnaître sur les tracés A, B, C, de la
figure
20. Le premier tracé, A, a été pris avec une ex
avons étudiés plus haut (section AetB) en est parfois troublée; la
figure
21 en représente des exemples. Nous avons vu,
urtout modifiée par la production des mouvements on- dulatoires. La
figure
21 montre bien ce qui se produit dans ces conditi
e du côté droit. Ils ont été pris le môme jour que le tracé C de la
figure
21. (Voy. section B, décontractions lentes) et im
courant plus fort. Ils montrent à la première excitation (ligne D,
figure
21), prolongée pendant 39 secondes, l'apparitio
ues secondes seulement. En comparant cette ligne à la ligne C de la
figure
16 on se rendra compte de la différence qui exi
lontaires, et ne cesse entièrement que pendant le som- meil. ' La
figure
a encore conservé son expression, et n'a pas l'as
n myotonique). (Suite el fin '). La première planche de ces tracés,
figure
22, se divise en 2 parties. La première ? à 5°,
des muscles normaux avec des courants d'une intensité élevée (Voy.
figure
30, 3° et 4°). La seconde partie de la figure 2
ntensité élevée (Voy. figure 30, 3° et 4°). La seconde partie de la
figure
26, de 6° à 8°, représente des secousses pro- d
s tracés précédents et avec les suivants nous reproduisons, dans la
figure
27, l'inscription de réactions galvani- ques de
rmal, des contractions toniques et durables. Ainsi la ligne 3 de la
figure
27 repré- sente des secousses produites par le
les normaux devien- nent tétaniques. Enfin dans la De ligne de la
figure
27, nous avons reproduit les tracés 232 NOUVELL
des muscles normaux et il est inutile d'y insister davantage. La
figure
suivante, figure 28, représente des secousses de
aux et il est inutile d'y insister davantage. La figure suivante,
figure
28, représente des secousses de fermeture et d'
sitôt, d'abord brusquement, puis plus lentement. Les tracés de la
figure
29 font suite aux précédents et ont été pris sur
secousses produites sur des muscles normaux. Sur les tracés de la
figure
suivante, figure 30, nous voyons qu'au début v
ites sur des muscles normaux. Sur les tracés de la figure suivante,
figure
30, nous voyons qu'au début v 16 Fic. 28. - U
ite contraction secondaire comme sur plusieurs tracés analogues des
figures
précédentes. Les secousses de fermeture du pôle
festement plus toniques que celles du pôle négatif; mais, sur cette
figure
, elles l'emportent en étendue sur celle du pôle
luence de la ré- pétition fréquente des secousses. Les tracés de la
figure
31 ont été pris dans ce but. Nous voyons qu'au
ure que les excitations se répètent. Dans la seconde partie de la
figure
, ligne 5, nous voyons pour le pôle négatif des
étition des excitations. Mais il est d'autres particularités que la
figure
31 nous permet encore de constater. Les lignes
ntervalles assez espacés, pendant un temps prolongé. Les tracés des
figures
32 et 33 ont été pris dans cette intention. La fi
s tracés des figures 32 et 33 ont été pris dans cette intention. La
figure
32 représente des secousses de fermeture et d'o
pour le même nombre d'éléments, de 17 à 20 milliampères. (Sur cette
figure
nous avons supprimé les lignes 4, 5, 6 et 7, id
constaté déjà sur les tracés précédents pour le pôle positif. La
figure
33 représente l'inscription de secousses produite
de l'intensité du courant pour le même nombre d'éléments. Sur cette
figure
nous voyons qu'au dé- but de l'expérience les s
ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 239 que nous avons vus dans les précédentes
figures
. Ici il l'ouverture du courant il n'y a pas de
ns par le pôle négatif. (Nous ferons re- marquer que les tracés des
figures
32 et 33 ont été pris sur le muscle droit t ant
qu'ils se dirigeaient du pôle négatif vers le pôle positif. Sur la
figure
34 nous avons inscrit quelques-uns de ces mouveme
r auteur de la Terre. Les détails sont moins approfondis dans les
figures
de Tobie et de l'Ange, mais il ne faut pas oubl
les bornes situées sur les parties latérales ainsi que l'indique la
figure
36. La mise en marche, les fils posés, se détermi
n des proportions du corps humain dont nous avons déjà reproduit la
figure
dans les plan- ches XX, XXI, XXII, no 3, 1892.
long. « La plus grande largeur des épaules est le quart de toute la
figure
, et la plus grande largeur des hanches est le c
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. supérieurs ne sauraient convenir à une
figure
de sept têtes et demie, et sont alors manifeste
es ou sept tôles et demie. Il suffit de jeter un coup d'oeil sur la
figure
qu'en donne l'auteur pour constater combien il s'
bras étendus en croix, la grande envergure égalant la taille (voy. la
figure
, pag. 78). Il est bien entendu que toutes les
cèdent, se subdivise ainsi qu'il suit (Fig. 39) : Le milieu de la
figure
est situé plus bas que dans le canon de sept tête
lus grande largeur des épaules égale deux tè- tes ou un quart de la
figure
. La plus grande largeur des hanches est de une
contra- dictions qui se traduisent par le manque de concordance des
figures
de dé- tail avec les figures d'ensemble. C'est
isent par le manque de concordance des figures de dé- tail avec les
figures
d'ensemble. C'est ainsi que, sur les figures cons
s de dé- tail avec les figures d'ensemble. C'est ainsi que, sur les
figures
consacrées séparément au torse et aux membres i
n de huit tètes reproduit les proportions du membre supérieur de la
figure
d'ensemble de J. Cousin, le môme membre supérieur
membre supérieur présen- tant des proportions bien moindres sur les
figures
consacrées aux membres séparés. Par contre, c'e
ieur est conforme à celui de notre canon, pendant qu'il esl, sur la
figure
d'en- semble, bien plus long. Quant aux subdi
devrait être reportée au menton, comme elle l'est d'ailleurs sur la
figure
d'ensemble. Mais, sur cette dernière, si les subd
représente un ovoïde, c'est-à-dire un ovale comparable à celui que
figure
un oeuf, ayant un gros bout et un petit bout, m
nt que dans la proportion de 2 à 3. Il en résulte que l'enfant a la
figure
d'un ovale plus court que celui de l'adulte, et
de 4 il 5 ans. J. Cousin a donné, dans son livre des proportions, une
figure
d'un enfant de cet âge que nous reproduisons ic
gale à la taille. Il nous faut néanmoins faire observer, à Fig. 41.
Figure
de Jean Cousin. CANON DES PROPORTIONS DU CORPS
assez grand nombre. Celte période de l'enfance qui va de 3 à 10 ans
figure
à peu près pour un quart des cas dans la statisti
mmobilité paisible et sans expression de la moitié inférieure de la
figure
. Ce facies contradic- toire s'observe assez fré
39, 40. Ventouseuse (La) de Quiryng Brekelenkam, 24. TABLE DES
FIGURES
Athétose double (Ecriture dans l' -), 4. Cano
É D'UNE LETTRE-PRÉFACE de M. le professeur J.-M. CHARCOT AVEC 105
FIGURES
INTERCALÉES DANS LE TEXTE, ET 9 GRAVURES A L'EAU
'aux soins élémentaires de propreté. On la voit les cheveux épars, la
figure
défaite, demeurer absorbée dans des réflexions sa
lle ne voit pas d'animaux. An g..., qui est aveugle, voit aussi des
figures
d'hommes, les uns effrayants qui menacent, les au
qui suivent le cours des impressions de chaque jour. Il suffit qu'une
figure
l'ait désagréablement impressionnée, pour que, la
ras et ses jambes commencent à se contracturer. Une fois au lit, sa
figure
impassible ouvre les yeux démesurément, et im-mob
demi-flexion, la main reposant sur l'abdomen, comme il est représenté
figure
6. Marc... a le bras droit fléchi, le poignet f
énements passés revient avec tant de vivacité à sa mémoire qu'elle se
figure
voir les personnes et les lieux qui en ont été le
s la région stomacale, puis la vue se voile, bouffées de chaleur à la
figure
, sifflements d'oreille surtout à droite, battemen
urs aux mêmes places chez une même malade. La simple inspection des
figures
9 et 10 permet de constater, d'après les faits qu
us en plus \ Elles sont très nettement indiquées sur les tracés de la
figure
34 par les grandes oscillations qui précè-dent l'
i s'étendent à tout le corps revêtent le plus souvent la forme que la
figure
12 essaye de représenter. Ce phénomène qui se pro
souvent très intense. Le nez se plisse diffé-remment. Enfin toute la
figure
est grimaçante. Cette distorsion de la physionomi
lèvent, le coude se fléchit ensuite, ramenant la main au niveau de la
figure
, et le membre tout en-tier reprend sa position pr
ques des membres inférieurs. mains passent successivement devant la
figure
. Le poignet est fléchi, et les trois premiers doi
tion, les poings fléchis et tordus, passent alternativement devant la
figure
. Les jambes s'élè-vent, le tronc se contourne. La
s. By sir Charles Bell. — London, 1872.) jeter un coup d'œil sur la
figure
38 pour en saisir les principaux caractères diffé
gure 38 pour en saisir les principaux caractères différentiels. Cette
figure
est le décalque minutieux d'un dessin du célèbre
r un ressort, elle se jette sur le ventre dans l'attitude représentée
figure
46 qui est la troisième attitude illogique, ou co
53. — Lutte. furie contre elle-même. Elle cherche à se déchirer la
figure
, à s'ar-racher les cheveux; elle pousse des cris
-pable et ressemble à une véritable furie (fig. 60); elle crache à la
figure
du personnage imaginaire. Fig. 60. — Attitude p
. Le récit en est décoloré; nous essayerons d'y suppléer par quelques
figures
. Les grands mouvements de la deuxième période,
de la deuxième période, dont il a été question page 86 et représentés
figure
51 viennent de cesser; les 1 Le développement d
ns une sorte d'attitude contemplative comme celle qui est représentée
figure
69. Sa physionomie est impassible, son regard imm
on esprit : « Thérèse!... tu viens me placer tes mains froides sur la
figure
... Je te reconnais bien... Je te vois assez souve
t lui causent la plus grande frayeur. Mais bientôt elle se cache la
figure
de ses mains, et se répand en pleurs abondants (f
. Mais ce n'est pas ma faute si c'est son amant... » Elle se cache la
figure
dans ses mains, pleure... puis sa tristesse devie
donc toutes ces vipères. » Elle se roule sur son lit en se cachant la
figure
de ses mains. — Au bout de quelques instants elle
la tête; bavarde; on court après elle, elle tente de s'égratïgner la
figure
; frappe ses mains l'une contre l'autre, parce qu'
Puis elle se prend de rage contre elle-même, cherche à se déchirer la
figure
. « Arrête-moi donc ces bêtes-là. J'ai mal au dos
ère le dos, reposant sur le ventre, dans l'attitude que représente la
figure
46, qui a été dessinée d'après elle, lors d'une a
puis tout d'un coup elle se jette sur le ventre dans l'attitude de la
figure
46, qui est un arc de cercle renversé. — Cris e
à. Si j'étais gentille comme elle, je ne voudrais pas d'une semblable
figure
. Après tout, c'est peut-être son habit vert avec
es. Je ne sais pas pourquoi, mais les soldats ne sont jamais beaux de
figure
. C'est probablement parce qu'ils n'ont pas de bar
titudes illogiques se succèdent au nombre de trois, représentées déjà
figures
44, 45 et 46 ; mouvements de roulis. c). Elle e
gite, en proie à une vive terreur. Elle fait des gestes de menace, sa
figure
devient terrible, elle s'écrie : «Ah .'boucher, c
sieurs sauts; altitude illogique analogue à celle qui est représentée
figure
45, et que nous désignerions volontiers sous le n
e. — Puis elle se place brusquement dans une attitude que rappelle la
figure
45. Le tronc est courbé en avant, les jambes éten
as s'élèvent et font le moulinet en passant alternativement devant la
figure
avant de s'étendre en pronation le long du corps.
débat vigou-reusement en répétant : « Non, non... L'expression de la
figure
est terrible. 10 h. 24 m. 15 s. Math... retombe
atéral. Tout d'un coup elle se retourne : « Oh! là » elle se cache la
figure
: « un rat!... oh ! les rats ! » Elle est ramassé
ont déjà enchaîné son père. Elle les apostrophe, lutte contre eux; sa
figure
exprime tantôt l'effroi, tantôt la colère. Le t
sur le bassin et tout le membre retombe en cadence sur le talon. — La
figure
est grimaçante toujours adroite; les muscles du m
oussé des éclats de rire. Dans toutes les autres séries d'attaques la
figure
de la malade revêt le masque de la tristesse. On
e, est animée de petits mouvements rapides, brusques, saccadés, et la
figure
devient grima-çante. Ces oscillations d'abord brè
bras formant des arcs de cercle, les poignets fléchis ou étendus ; la
figure
est légèrement grimaçante. Il n'y a pas de grands
aisse échapper une légère écume, la langue est sortie, et toute cette
figure
grimace en même temps que tout le corps se contou
re, les jambes rapprochées de l'abdomen, les deux mains se cachant la
figure
. Est-ce la colère qui l'emporte, elle s'élance
ps, agitation, délire. Quelques gouttes d'eau fraîche, lancées sur la
figure
, ne firent que l'irriter, sans accélérer la fin d
qui rend le visage hideux ; d'autres fois aussi le col se gonfle, la
figure
est livide ; la respiration haute et labo-rieuse,
nt encore plus accusés; comme le gonflement du cou, la lividité de la
figure
, l'écume à la bouche, et le visage qui devient hi
avagance extrême, commandant tour à tour l'exercice militaire, et les
figures
de la danse; tantôt avec une voix douce, tantôt a
« elle était d'une extravagance extrême, com-mandant tour à tour les
figures
de la danse et l'exercice mili-taire, etc. )) E
son accès, elle reproduisait la scène dont elle avait été témoin ; sa
figure
prenait ensuite l'expression des extatiques, elle
tentant de cuillerées d'eau. Malgré la prolongation de ce jeûne, sa
figure
et sa c institution ne nous ont pas paru sensible
ccès terminé. La jeune malade n'accusait ni douleur, ni fati-gue ; sa
figure
, très changée dans l'accès, reprenait instantaném
67... tomba dans une extase qui était une imitation remarquable de la
figure
séraphique de sainte Thérèse. M. Cerise et moi no
membres se raidissent et s'agitent plus forte-ment du côté gauche, la
figure
se convulsé et devient livide, l'écume paraît à l
« Maman, ah! maman, réponds-moi. » Les bras sont projetés au loin, la
figure
est rouge, mais non convulsée, la tète non déviée
ix, de noyée, de pendue, et enfin de cadavre étendu sur une table; sa
figure
exprimait la terreur. Ce matin elle se souvient d
,alors arrivent les contractions cloniques; la malade s'êgra-tigne la
figure
, se tire les cheveux; projection obscénique du ba
e nerveux, re-produit dans l'article hystéro-épilepsie la plupart des
figures
qui se trouvent dans les Leçons de M. Charcot con
s violentes, gonflement extraordinaire delà poitrine, du col et de la
figure
, qui devient d'un rouge violet, ou reste très pâl
général, de raidissement quel-quefois tétanique de tout le corps, la
figure
est vultueuse, injectée... le cou est tuméfié, le
durée, les mouvements convulsifs ont perdu de leur énergie, et où la
figure
ne présente plus qu'une turgescence modérée, on v
ppelle partout du secours. Cette peur exagérée lui est causée par des
figures
atroces qui se montrent pendant l'accès, lui font
e remarquable, que ses attaques sont d'abord précédées de frisson, sa
figure
est inondée d'une sueur froide et glacée, elle ép
et suiv. jialion est encore rendue plus facile par l'examen d'inie
figure
que l'auteur a jomte à sa description. Sur ce des
e. — Les contorsions sont ici dans leur plus large développement. Les
figures
représentées (Fig. 91, 92,93, 94 et 95) en donnen
lencee (Trayante*. La mialade cherche à se mordre et à se déchirer la
figure
ou la poitrine, elle s'arrache les cheveux, se fr
ttait la tète en bas, les pieds en l'air et appuyée contre le mur. La
figure
était alors rouge, gonflée, anxieuse. La respirat
trée, cette jeune fille se présente à nous dans l'état suivant : La
figure
est altérée, le regard inquiet, tous les membres
qu'il me chantait. » Tout d'un •^oup elle tourne la fêle à gauche, sa
figure
prend une expression horrible «le dégoût et de co
ace : « Sale bête! Pignouf!... Est-il permis?... » Elle se cache la
figure
avec les mains, croise les bras, menace de la têt
'es tou-« jours figuré que j'en avais un, rue des Saints-Pères. Tu te
figures
que j'en ai six à quinze ans... Les paroles s'en
Et quand elle t'a dit cela, tu ne lui as pas jeté une bouteille à la
figure
? Tu m'en contes des mensonges... Tu es un lâche..
t bien; on s'accordait seulement à lui recon-naître une expression de
figure
déplaisante de faune. Au mois de juillet 187...
ements désordonnés, de l'agi-tation, des paroles ininlelligibles, une
figure
grimaçante, un peu d'écume sur les lèvres. A la
lle-même que tout se passe dans son ventre. Pendant ces attaques, les
figures
des assistants se transforment; elle voit des fan
les traits se mettaient en harmonie avec le sentiment ainsi mimé. La
figure
devient radieuse, si l'on rapproche les doigts de
paraissent 1. On a pris soin de placer un écran entre sa main et sa
figure
, bien que ses yeux soient fermés. semblables, e
ir en se tournant de côté et d'autre dans son lit et en se cachant la
figure
dans ses oreillers. Ses rêves sont de deux sortes
et abolition des sens. Les paupières sont habituellement fermées, la
figure
n'est pas décomposée; le décubitus est le plus so
dre un cri particulier qui rappelle le gloussement de la poule, et sa
figure
restant calme, une salive abondante et écumeuse e
ral, dit M. Briquet, après les prodromes, une vive rougeur monte à la
figure
, une sorte de raideur tétanique par-court tout le
fut toujours comme une cire molle qui prend successivement toutes les
figures
que l'on veut et s'en tiendra éter-nellement à la
profond sommeil. Dans le décubitus dorsal, la bouche entr'ouverte, la
figure
calme et presque souriante, la respiration tranqu
le plus habituel des points hystérogènes comme on peut le voir sur la
figure
9, et d'autre part, nous savons que les points hy
d'elle et la pris par les bras, et soudain, ses yeux se fermèrent, sa
figure
redevint calme et reprit l'immobilité qu'elle ava
rticulière et les yeux fermés, tandis que, lorsqu'on l'inter-roge, sa
figure
est impassible, quelle que soit la conversation q
nuit précédente. Sa poitrine est haletante, sa démarche saccadée, sa
figure
rouge, ses yeux hagards aux pu-pilles fixes et ex
d'arriver, lui fait deux ou trois passes descendantes au-devant de la
figure
et le long du corps, son hallucination disparaît
in de délire somnam-bulique. Un contentement extrême est peint sur la
figure
de la malade; ses yeux sont ouverts, mais elle pa
à rassembler ses idées ; une expression d'étonnement se peint sur sa
figure
. Ces accès se répètent plusieurs fois de suite à
de l'accès. Souvent elle donnait des signes de terreur ou de joie, sa
figure
exprimait la souffrance ou la gaieté, elle riait
un léger raidissement du corps et un moment de coloration rouge à la
figure
. L'observation suivante due à M. Lasègue, et ra
se frotter les yeux, comme quelqu'un qui se réveille, et aussitôt sa
figure
a repris un air de dépit de ce qu'on venait de l'
lles. Les représentations d'animaux étaient seules ou associées à des
figures
d'hommes, d'un aspect désagréable, souvent vêtus
d sur le sol comme pour écraser des insectes, passe la main devant sa
figure
et souffle pour repousser des fils, des poils, de
u'elle commença à se montrer; la mer était comme pavée d'innombrables
figures
, tournées vers le ciel, pleurant, désolées, furie
et je recommandai à la bonne de ne pas le prendre aussi jaune que sa
figure
, qui me paraissait couleur orange. Je passai su
même instant, le rat se gonfle et devient aussi énorme que le rat qui
figure
dans la féerie des sept châteaux du diable. Je le
bras et la jambe du côté gauche demeurent tranquilles, (Fig. 101). La
figure
102 donne une idée générale des deux temps. Ce
. » Autant en faisait-il à Hensberg, en le duché de Clèves, sous la
figure
de chat^.... » On voit que les formes d'animaux
, aux-quelles aussi il se présentait en forme de chat noir et sous la
figure
d'Else Kamense, ou sous celle de sa mère, ou bien
emblance d'Urbain Grandier, qui changeant de propos aussi bien que de
figure
lui parla d'amourettes, la sollicita par des care
esque à tous moments à cette pauvre fdle en de terribles et affreuses
figures
, comme quoi en cet état il se tenait toute la nui
-tées ou autres lieux, et souvent il lui montrait des spectres ou des
figures
d'hommes ou de femmes qui dansaient nus avec une
m'a commandé de l'engloutir... Une nuit après, le diable, en la même
figure
, vint à elle hurlant, volant et disant: «Voici l'
quels furieux roulements, tantôt en boule, tantôt en d'épouvantables
figures
! Quelles fréquentes et rudes convulsions en de si
nt des bêtes qui ne sont autres que des diables qui lui courent sur a
figure
et la piquent. » Une autre, la femme B... (Nico
eil,s'épuise en efforts superflus pour empêcher sasœurdese frapper;la
figure
de la malade devient vultueuse, ses yeux setourne
manes à enfler leurs discours d'un flux d'expressions, d'une foule de
figures
, d'images, qui ne lais-saient pas de produire une
! » Et après avoir sangloté dans ses mains, elle montra de nouveau sa
figure
charmante, pâle comme la mort : « Ohî quand serai
es forces de ses poumons. A la fin, elle s'enroua horriblement, et sa
figure
devint si tendue et si rouge, que nous nous atten
de batadle ». La scène suivante avait lieu à Ballyclare : « Qu'on se
figure
une grande prairie couverte d'un immense concours
adieuses. Une expression ravissante d'amour céleste se peint sur leur
figure
naturellement calme, et d'ordinaire y répand une
de la mort, s'affaisse dans un complet épuisement :' c'est une autre
figure
, pendante, abattue sur la poitrine, et que l'on p
elle est comme si elle n'avait jamais eu d'extase. L'expression de sa
figure
devient tout autre; on dirait, un enfant naïf qui
motion des scènes qui viennent de se passer est encore visible sur la
figure
des assistants, ou quand on approche d'elle avec
s le linge dans lequel elle les dérobe, l'attitude est recueillie, la
figure
est calme et sereine, tout à coup les yeux s'arrê
et les yeux sont portés en haut et un peu â droite. L'expression delà
figure
de lajeune fille est celle d'une attention pro-fo
lèvres s'agitent, elle est comme haletante* le regard s'anime ; cette
figure
, commune avant l'extase, se transfigure et s'illu
s de toute condi-tion, et parmi lesquels on ne surprend pas une seule
figure
qui n'exprime une émo-tion respectueuse, et vous
, elle se trouve plongée dans une qrande et vive lumière; bientôt des
figures
se dessinent sous ses yeux; les différentes scène
t l'état organique et fonctionnel varie peu : la peau est fraîche, la
figure
a sa coloration ordinaire; la respiration est rég
ature, ni céphalalgie, ni malaise quelconque. Le corps est dispos, la
figure
sereine, le regard limpide et calme, l'intelligen
MBRYOGÉNIE HISTOGENÈSE ET HISTOLOGIE ANATOMIE DU CERVEAU Avec 401
figures
dans le texte dont 45 en couleurs PARIS RLiEh
de nitrate d'argent il 75 p. 100, lire : à 0, riz p. 100. Page 114,
figure
56, au lieu de : P, lire : STh. Page 182, ligne
ne 32, au lieu de : Pansini, lire : Pisani. Page 46H, légende de la
figure
253, au lieu de : Lignes 811 des lig. 2 ? i et 28
par des arborisations libres dans la nce ponctuée de Leydig. Cette
figure
montre très nettement le trajet qu'affectent les
y a pratiqué des coupes dans tel ou tel sens, et nous renvoyons aux
figures
qui représentent, grandeur naturelle, ces mêmes
mple remarquable dans la planche XI de son Atlas (1786). Dans cette
figure
, la capsule interne, son genou, son segment ant
oculaire secondaire. (Ces schémas ont été construits à l'aide do
figures
empruntées à l'Atlas d'embryologie de Mathias D
dans la plupart de ces cel- lules, le noyau présente les élégantes
figures
karyokinétiques, caractéris- tiques de la divis
s variétés, ainsi qu'il est facile de s'en assurer en examinant les
figures
(fig. 150, 155, 160, 161, -163). Le bord inféri
émisphère droit. (D'après la photographie d'une pièce fraîche.) Les
figures
164, 16 et 166 appartiennent au même encéphale.
sphère gauche. (D'après la a photographie d'une pièce fraîche.) Les
figures
165 et 154 se rapportent au même hémisphère..
complètement la scissure calcarine, comme dans les fig. 175, 176. Ces
figures
reproduisent les deux hémisphères d'un même cer
étu- diées, et que l'on a cherché il décrire ou il reporter sur une
figure
la topographie, exacte d'une lésion corticale,
DES ANFRACTUOSITÉS ET CIRCONVOLUTIONS CEREBRALES EMPLOYÉE BANS NOS
FIGURES
Scissure de Sylvius S. Sa branche antérieure
AU . i-\ ? lt)] ? COUPES MACROSCOPIQUES SÉRIÉES Dans la série des
figures
suivantes, reproduisant grandeur naturelle des
le repérage de chaque série de coupes est encore indiqué par ' des
figures
spéciales, sur lesquelles chaque ligne de coupes
t en bas et cor- respondant aux lignes de repère indiquées dans les
figures
217 et 218. Coupe n° 35 (fig. 219), passant à 3
ps calleux (sec) et en formant le toenia tecta (tec). Comme dans la
figure
précédente, ce dernier est coiffé par la surfac
imèlrcs au-dessous du Lord supérieur de l'hémisphère. Lignes b8 des
figures
21 et 218. (Grandeur. : nature lie.) AU, avan
mètres au- dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 01 des
figures
217 et 218. (Gran- deur naturelle.) AM, avant
imètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 03 des
figures
217 et 2)8- z (Grandeur naturelle.) , AM, ava
imètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes Ça des
figures
217 et 218. (Grandeur naturelle.) AM, avant-m
limètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Ligne 68 des
figures
217 et 218. (Grandeur naturelle.) ' Al, anse
occipital, et correspondant aux lignes de repère indiquées dans les
figures
233 .et 236. h'tc. 235.- Face interne d'un hémi
ndeur naturelle.) Les numéros des lignes correspondent à ceux de la
figure
précédente. 436 ANATO ? l1lE DES CENTRES NERVEU
ètres en arrière du pôle frontal et correspondant aux lignes 30 des
figures
235 et 236. Coupe n° 33 (fig. 238), passant à 3
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 33 des
figures
235 et 236. Coupe n° 37 (fig. 239), passant à 4
res en arrière de la précé dente et correspondant aux lignes 37 des
figures
235 et 236. Coupe n° 40 (fig. 240), passant à 3
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 40 des
figures
235 et 236. Coupe n° 43 (fig. 41), passant à 3
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 43 des
figures
235 et 236. Coupe n° 46 (fig. 242), passant à 3
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 46 des
figures
235 et 236. Ces six coupes appartiennent au lob
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 60 des
figures
235 et 236. Coupe n° 63 (fig. 2fi), passant à 3
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 63 des
figures
235 et 236. Coupe n° 66 (fig. zig), passant à 3
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 66 des
figures
z et 236. Ces quatre coupes intéressent les cir
s en arrière de la précé-- dente et correspondant aux lignes 69 des
figures
235 et 236. Coupe n" 71 (tin. 248), passant à 2
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 71 des
figures
235 et 236. La coupe n° 69 passe par le noyau a
de lê1-ptill. : è.t.1.C : 1Ue" ' et correspondant aux lignes 75 des
figures
235 et 236. Coupe n° 78 (fig. 250), passant il
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 78 des
figures
235 et 236. Coupe n° 80 (fig. 2;5'1), passant a
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 78 des
figures
235 et 236. 458 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
res en arrière de la précé- dente et correspondant au lignes 83 des
figures
235 et 236. Coupe n° 86 (fig. 253), passant à 3
tres en arrière de la précédente et correspondant aux lignes 86 des
figures
235 et 236. Coupe n° 88 (fig. 254), passant à 2
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 88 des
figures
235 et 236. Coupe n° 89 (fig. 255), passant à 1
ètre en arrière de la précédente et correspondant aux lignes 89 des
figures
z35 et 336. Ces coupes intéressent le lobule pa
de l'habénula (Gh). En dehors de la calotte, nous trouvons dans les
figures
252 et 253 le pied du pédoncule cérr·Go'rcl (P),
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 92 des
figures
235 et 236. Coupe n° 93 (fig. 257), passant à 1
re en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 93 des
figures
235 et 236. Coupe n° 95 (fig. 258), passant à 2
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 95 des
figures
235 et 23G. Coupe n° 97 (fig. 259), passant à 2
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 97 des
figures
235 et 236. Coupe n° 99 (fig. 260), passant à 2
es en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 99 des
figures
235 et 236. Ces coupes extrêmement rapprochées
s en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 105 des
figures
235 et 236. Coupe n° 107 (fig. 262), passant à
s en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 107 des
figures
235 et 23tri. 4-78 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
s en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 116 des
figures
235 et 236. Coupe n° 122 (fig. 264), passant à
s en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 122 des
figures
235 et 236. Coupe n° 133 (fig. 265), passant à
s en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 133 des
figures
235 et 236. Coupe n° 137 (fig. 266), passant à
es en arrrière de la précédente et correspondant aux lignes 137 des
figures
235 et 236. Ces coupes intéressent le lobe occi
la face externe de l'hé- misphère et correspondant aux lignes de la
figure
267. Coupe n° 5 (fig. 268), passant à S millimè
la face interne de l'hémisphère et correspondant à la ligne 5 de la
figure
267. Cette coupe, parallèle à la face interne d
ssement, elle devrait être plus régulièrement convexe comme dans la
figure
207. Mais cette déformation artificielle présente
res en 1 dehors de la face interne de l'hémisphère. Li ? ne 5 de la
figure
2G i. (Grandeur naturelle.) B, fente cérébrale
es en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 7 de la
figure
267. Cette coupe passe par le trigone olfactif
imètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 7 de la
figure
2G7. (Grandeur naturelle.) Al, anse du noyau
res en dehors de la précédente et correspondant à la ligne 10 de la
figure
267. Cette coupe passe par la circonvolution de
mètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 10 de la
figure
2G7. (Grandeur na- turelle.) a, z, ilots de l
s en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 15 de la
figure
267. Cette coupe passe au niveau de la paroi ex
ètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 1;i de la
figure
2cl. (Grandeur na- tourelle.) Alv, alvéus. Ce
mètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 17 de la
figure
267. (Grandeur na- turelle.) , B, fente céréb
s en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 21 de la
figure
267. Cette coupe passe en dehors du segment int
ètres er/ dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 21 de la
figure
267. (Grandeur naturelle.) . Alv, alvéus. AU,
mètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 27 de la
figure
267. (Grandeur na- turelle.) . AM,'avant-mur.
s en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 27 de la
figure
207. Cette coupe passe par le troisième segment
a face interne de l'hémisphère et correspondant à la ligne 33 de la
figure
267. Cette coupe passe au niveau du ventricule
imètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 33 delà
figure
267. (Grandeur naturelle.) . , AU, avant-mur.
mètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 37 de la
figure
267. (Grandeur naturelle.) 1 ? F3, deuxième e
la face externe de la corne sphénoïdale (Vsph), qui apparaît sur la
figure
, sous la forme d'une dépression irrégulière, re
mètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 43 de la
figure
207. (Grandeur naturelle.) F2, F3, deuxième e
es microscopiques, au nombre de 46, dont nous donnons plus loin les
figures
, comprennent quatre séries de coupes à direction
G. 279. Coupe vertico-transversale n° I, passant par la ligne I de la
figure
278. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Dé
amètres. Cette coupe passe en arrière de la coupe macroscopique de la
figure
237. Ce, fibres calleuses. - Cing, cingulum. -
280. Coupe verlico-transversale, n° II, passant par la ligne II de la
figure
278. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Dé
te coupe correspond assez exactement à la coupe macroscopique de la
figure
239. Ce, corps calleux. - Cing, Cing', cingulum
- Coupe vertico-transversale, n° III, passant par la ligne III de la
figure
278. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Dé
ètres. Cette coupe passe en arrière de la coupe macroscopique de la
figure
243. AU, avant-mur. - AM', avant-mur dissocié p
dant à peu près à la coupe vertico-transversale macroscopique de la
figure
244 Cette coupe passe par la partie moyenne de
282. Coupe vertico-lransversale, no IV, passant par la ligne IV de la
figure
278. Méthode de \'1'ei7crt. Agrandissement 3/2.
s. Cette coupe correspond à peu près a la coupe macroscopique de la
figure
244. , AM, avant-mur. 4M', avant-mur dissocié p
Coupe vei-Lico-1 i-illisvel-saie, no V, passant par la ligne V de la
figure
218. .Méthode de Weigert. Agnlllùissememenl : 3
te coupe correspond assez exactement à la coupe macroscopique de la
figure
2\'5, . Al, anse du noyau lenticulaire. - AJI,
Coupe vertico-transversate, no VIII, passant par la ligne VIII, de la
figure
2 ? 8. Méthode de Wcigert. Agrandissement 3/2.
te coupe correspond assez exactement à la coupe macroscopique de la
figure
23-I. Aie, alvéus. AM, avant-mur. CA, corne d'A
s. Cette coupe correspond à peu près à la coupe macroscopique de la
figure
2b 3. Alv,alvétis. Aq, aqueduc de Sylvius. CA,
. 288. - Coupe vertico-transversale, n°X, passant par la ligneY de la
figure
278. Mé- thode de Weigert. Agrandissement 3/2.
mètres. Cette coupe passe en arrière de la coupe macroscopique de la
figure
238. CA,-cornc d'Ammon. Cc, corps calleux. - Cg
mètres. Cette coupe passe en avant -de la coupe macroscopique de la
figure
263. - 1'li, faisceau longitudinal inférieur. F
. - Coupe vertico-transversale, n°XII, passant par ]a ligne XII de la
figure
278. Méthode de Weigert. Agrandissement de 3/2.
s. Cette coupe correspond à peu près à la coupe macroscopique de la
figure
265. - C, cunéus. Fli, faisceau longitudinal in
eu obliques en haut et en dedans. Leur repérage est indiqué par les
figures
z01 et 294. Coupe A (fig. 292) passant par la l
s postérieurs de l'hémisphère droit et passant par la ligne A de la
figure
291. Méthode de Wei- COUPES MICROSCOPIQUES DU C
ers postérieurs de l'hémisphère droit et passant par la ligne de la
figure
291. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturelle
rs antérieurs de l'hémisphère droit et passant par la ligne C de la
figure
'294. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturell
rs antérieurs de l'hémisphère droit et passant par la ligne D de la
figure
294. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturelle
la calotte (RC). ' Coupe E (lig. 297) passant par la ligne E de la
figure
94. Cette coupe passe par le seuil de l'insula
rs antérieurs de l'hémisphère droit et passant par la ligne E de la
figure
294. Méthode de Pal. 3/2 grandeur naturelle. Dé
croscopique F, du lobe temporal droit, passant par la ligne F de la
figure
294. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturelle.
ette coupe passe à la même hauteur que la coupe macroscopique de la
figure
219. '' Cc, corps calleux. - Cing, cingulum. -
Coupe horizontale microscopique, n° 2, passant par la ligne 2 de la
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle.
- Coupe horizontale microscopique, n° 3, passant par la ligne 3 de la
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle
ette coupe passe à la même hauteur que la coupe macroscopique de la
figure
220. Arc, faisceau arqué. Cc, corps calleux. -
faissé dans la cavité ventriculaire comme le montre par exemple, la
figure
381 : la coupe actuelle (n° 3, fig. 302) sectio
ule latéral (VI). Coupe n° 4 (fig. 303), passant par la ligne de la
figure
299. Cette coupe passe parla partie moyenne du
Coupe horizontale microscopique, n° 4, passant par la ligne 4 de la
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle.
asse ¡\ peu près a la même hauteur que la coupe macroscopique de la
figure
221. Arc, faisceau arqué. - Ce, corps calleux.
ig. 281 à 286). Coupe n° 5 (fig. 304), passant par la ligne 5 de la
figure
299. Cette coupe passe par les sillons marginau
- Coupe horizontale microscopique n° 5, passant par la ligne 5 de la
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle
12 diamètres. Cette coupe correspond à la [coupe macroscopique de la
figure
222. AM, avant-mur. - Ce, corps calleux. - Ce,
orce cérébrale. Coupe n° 6 (fig. 305), passant par la ligne 6 de la
figure
299. Cette coupe passe par la partie postérieur
5. Coupe horizontale microscopique n° 6, passant par la ligne 6 de la
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle
iamètres. Cette coupe passe au-dessus de la coupe macroscopique de la
figure
223. AM, avant-mur. - Cc, corps calleux. - Ce,
du trigone (Tg). Coupe n° 7 (lig. 306) passant par la ligne 7 de la
figure
299. Cette coupe intéresse les deuxième et troi
Coupe horizontale microscopique n° 7, passant par la ligne 7 de- la
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle.
te coupe correspond assez exactement à la coupe macroscopique de la
figure
224. Alv, alvéus. AM, avant-mur. CA, corne d'Am
ieur a disparu. Coupe n° 8 (fig. 307), passant par la ligne 8 de la
figure
299. Cette coupe passe par le trou de Monro (Tl
07. Coupe horizontale microscopique" n.passant par la ligne 8 de la
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur n lle. Déta
. Cette coupe passe u u au-dessus de la coupe macro- scopique de la
figure
225. ' \ ... Alv, alvéus. AM, avant-mur.. - CA,
Coupe horizontale microscopique n° .9, passant par la ligne 9 de la
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle.
Cette coupe correspond à peu près à la coupe macro- scopique de la
figure
2 ? 7. , , . Alv, alvéus. AU, avant-mur. Ail ,
externe (Ce). Coupe n° 10 (ng. 309), passant par la ligne 10 de la
figure
299. Cette coupe passe par la région sous-thala
upe horizontale microscopique, n° 10, passant par la ligne 10 de la
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle.
coupe passe légèrement au-dessous de la coupe ma- croscopique de la
figure
228. - .. Alv, alvéus. AM, avant-mur. BrQa, bra
cornée (le). Coupe n° 11 (li ;. 310), passant par la ligne Il de la
figure
299. Cette coupe intéresse la région sous-thala
oupe horizontale microscopique n° 11, passant par la ligne 11 de la
figure
29tu. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle.
ètres. Cette coupe passe au-dessous de la coupe macroscopique de la
figure
228. Al, anse du noyau lenticulaire. Alv, alvéu
upe horizontale microscopique n° 12, passant par la ligne 12 -de la
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle.
mètres. Cette coupe passe au-dessus de la coupe macroscopique de la
figure
229. 1 Al, anse du noyau lenticulaire. Alv, alv
upe horizontale microscopique, n° 13, passant par la ligne 13 de la
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle.
coupe correspond assez exactement à la coupe macro- scopiqué de la
figure
231. · Al, anse du noyau lenticulaire. - Ala, a
eure (cop;. . Coupe n° 14 (fig. 313), passant par la ligne 14 de la
figure
299. Cette coupe passe par la substance innomin
upe horizontale microscopique n° 14, passant'.par la ligne 14 de la
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle.
tte coupe passe un peu au-dessous de la coupe macro- scopique de la
figure
232. . Al, anse du noyau lenticulaire. AM, avan
pe horizontale microscopique n° 15, passant par la ligne 15 de la -
figure
299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle.
ES NERVEUX. Coupe n° 1 x (fig. 316), passant par la ligne 1 x de la
figure
315. Cette coupe sectionne la partie inférieure
ces fibres. FiG. 316. Coupe n° 1 x, passant par la ligne 1 x de la
figure
315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Dé
rieure (coa). Inc, 317. Coupe n° 2 x, passant par la ligne 2x de la
figure
315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Dé
(fig. 319). Fil;. 318. Coupe n° 3 x, passant par la ligne 3 x de la
figure
3ta. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Dé
RVEAU. 639 FIG. 319. Coupe n° 4 x, passant par la ligne 4 x de la
figure
315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Dé
circularis. Coupe n° 5 x (fig. 320), passant par la ligne 5 x de la
figure
315. ¡ : Il ! . 3°30. Coupe n° 5 x, passant par
CERVEAU. 043 Coupe n° 6 x (fig. 321) passant par la ligne 6 x de la
figure
313. Cette coupe passe par la partie supérieure
ert (CM) est FiG. 321. Coupe n° 6 x, passant par la ligne 6 x de la
figure
315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Dé
ntale (oF,). Coupe n° 7 x (fig. 322) passant par la ligne 7 x de la
figure
315. Cette coupe passe par la bandelette optiqu
nculaire de Fit;. 322. Coupe n° 7 x, passant par la ligne 7 x de la
figure
315. Méthode de Pal. ` ? /I grandeur naturelle.
inalus (Fu). Coupe n° 8 x (fig. 323) passant par la ligne 8 x de la
figure
315. Cette coupe intéresse le chiasma des nerfs
fibres de la Fig. 323. Coupe n° 8 x, passant par la ligne 8 x de la
figure
z. Méthode de l'al. 2/1 Grandeur naturelle. Dét
Voy. t. II). Coupe n° 9 x (fig. 324), passant par la ligne 9x de la
figure
315. Cette coupe passe par le chiasma des nerfs
rise sépare Cc. 324. - Coupe n° 9 x, passant par la ligne 9 x de la
figure
315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Dé
mentaire. Coupe n° 10 x (fig. 325), passant par la ligne 10 x de la
figure
315. Cette coupe passe par le pédoncule cérébra
formée par Fie. 325. Coupe n° 10 x, passant par la ligne 10 x de la
figure
315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Dé
S NERVEUX. Coupe n° 11 x (fig. 326), passant par la ligne dix de la
figure
315. Cette coupe passe par la partie inférieure
ar un 42 FiG. 326. Coupe n° 11 x, passant par la ligne 11 x de la
figure
3t5. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Dé
exemples. Coupe n° 12 x (fig. 327), passant par la ligne 12 x de la
figure
31b. La partie antérieure de cette coupe passe
ocus niger Fic. 327. Coupe n° 12 x, passant par la ligne 12 x de la
figure
313. Méthode de Pal. 3/1 grandeur naturelle. Dé
meau. Coupe n° 13 x (fig. 328), correspondant à la ligne 13 x de la
figure
3-1 S. Cette coupe passe, en arrière, par le tu
te que les FlG. 328. Coupe n" 13 x, passant par la ligne 13 x de la
figure
315. Méthode de Pal. 3/1 grandeur naturelle. Dé
rveaux convenablement durcis dans l'alcool, et on obtient ainsi les
figures
bien connues de l'atlas de Foville. Le tronc du
pitale sont le siège d'un ramollissement ancien, si, comme dans les
figures
392 et 393, il s'agit d'une plaque jaune ancien
ence du tronc et du bourrelet du corps calleux, représentée dans la
figure
400. (D'après une photographie faite après durcis
(fig. 1 et 2 de la Planche 1, fiq. 3 3 et 4 de la Planche riz. La
figure
1, représentant une coupe du cerveau humain au
- vantes : A. Au niveau de sa convexité (extrémité gauche de la
figure
2), la circonvolution de l'hippocampe pré- sent
nsidérable que celle que lui attribuent divers auteurs (voyez les
figures
de Meynert), c'est-à-dire qu'il va en s'amincis-
ncé décrivant des ondulations plus ou moins nombreuses. (Voy. les
figures
des PL. II et III.) Cette couche est caractéris
té latérale du ventricule. » Cette descrip- tion est accompagnée de
figures
que nous avions vai- nement cherché à comprendr
ches, cette remarque suffisamment explicative : « Pour rendre les
figures
plus claires, on a supprimé le corps bor- dant
dronné. » Que le lecteur veuille bien, par la pensée, supprimer des
figures
de nos PL. I, Il et III, le corps godronné, et
es dimensions réduites de l'encéphale nous ont permis de donner une
figure
qui s'étend en haut jusqu'au corps calleux (C p
ronnée. III. Corne d'Ammon chez divers mammifères. 1° Mouton. Les
figures
5 et 6 représentent une corne d'Ammon chez le m
ésentent une corne d'Ammon chez le mouton.- Pour ce qui est de la
figure
5, il est inutile d'en donner ici une descrip-
ons données pour l'homme et les singes : l'ins- pection seule de la
figure
, pour les détails de laquelle ont été employées
on des deux circonvolutions et du sillon qui les sépare. Quant à la
figure
6, pour la rendre intelligible et en faire comp
regarderont réciproquement : c'est ce que montre la comparaison des
figures
5 et 6, puisque la figure 6 semble n'être autre
: c'est ce que montre la comparaison des figures 5 et 6, puisque la
figure
6 semble n'être autre chose que la figure 5 ren
igures 5 et 6, puisque la figure 6 semble n'être autre chose que la
figure
5 renversée; nous reconnaissons donc en C B (1î
calleux. D'autre part, on aperçoit dans la partie supérieure de la
figure
6, au- dessus du corps calleux, une circonvolut
e qui existe chez l'homme, et ne présente rien de particulier. La
figure
7 (PL. III) représente une coupe horizon- tale
odronnée et le sillon qui la sépare du reste de l'écorce. Sur cette
figure
7, vu l'étroitesse de la cavité ventriculaire,
corps bordant; mais il est facile, en comparant par exemple avec la
figure
11, de comprendre qu'une mince lamelle, partie
bien ici le nom de circonvolution de l'hippocampe (comparez avec la
figure
de la PL. Il). De sorte que ce cerveau du rat,
dessous du corps calleux, telles qu'elles sont représentées dans la
figure
9. Ici le corps calleux est occupé sur toute sa
ippocampes chez le lapin, il est à peine besoin de désigner, sur la
figure
9, le corps bordant en CB et la cavité du ventr
ig 11) remar- quable par ses dimensions exiguës (remarquer que la
figure
Il est faite à un grossissement de 16 fois, et la
r que la figure Il est faite à un grossissement de 16 fois, et la
figure
10 à un grossissement de 7 fois seulement) et à
séparée du reste de l'écorce par un profond sillon. On voit sur \a
figure
10 que l'aire de la formation ammonique est, su
tie qui représente un hippocampe. Si, en effet, par exemple dans la
figure
10, nous supposons effacé le sillon qui sépare
rivés. Cette étude se bornera à une explication raisonnée des six
figures
de la PL. IV, représentant toutes des coupes ho
avoir été, dans ces conditions, suffisamment démons- trative. La
figure
12 représente la coupe d'un encéphale de mouton
vont se former les plexus cho- roïdes. C'est ce qu'on voit dans la
figure
13 (mouton, long. 21 millimètres) : ici la paro
parties saillantes, deux cir- convolutions. En effet, déjà dans la
figure
14 (embryon de lapin long de 17 millimètres), o
t qui prélude pour ainsi dire à cette formation. (Le reste de cette
figure
reproduit à peu près les détails de la figure 1
n. (Le reste de cette figure reproduit à peu près les détails de la
figure
13, et montre que nous pouvons emprunter les él
t aux embryons de mouton et aux em- bryons de lapins). Mais dans la
figure
15 le sillon en LA CORNE D'AMMON. 31 question
trouve chez les rongeurs à l'état adulte. C'est ce que montre les
figures
16 et 17. Sur la figure 16 (lapin presque à ter
à l'état adulte. C'est ce que montre les figures 16 et 17. Sur la
figure
16 (lapin presque à terme) la circonvolution go
lle (a) dans laquelle va appa- raître le stratum granulosum. Sur la
figure
17 (lapin à terme) ce stratum est apparu (en b)
tum est apparu (en b), et il nous paraît inutile de donner de cette
figure
toute autre descrip- tion et explication, mais
ation, mais simplement de prier le lec- teur de la comparer avec la
figure
8 de la PL. III. 32 ANATOMIE. L'embryologie v
emporo-occipitale). Grossis. 3 fois. Fig. 2. La corne d'Ammon de la
figure
précédente grossie 10 fois. II, saillie intra-v
d'un singe cynocé- phale (Grossiss. 12 fois). Lettres comme pour la
figure
2. Fig. 4. Idem chez un singe cébien (Grossiss.
h, bandelette du trigone. Fig. 5. Coupe de la moitié inférieure, et
figure
6 coupe de la moi- tié supérieure (sous-calleus
onvolutions de la corne d'Ammon. Fig. 16. Lapin presque à terme, et
Figure
17, lapin à terme. Lettres comme dans les figur
resque à terme, et Figure 17, lapin à terme. Lettres comme dans les
figures
de la Planche 111. (Comparez notamment avec la
mme dans les figures de la Planche 111. (Comparez notamment avec la
Figure
8;. DE LA STRUCTURE DU NERF AUDITIF; Par le D
propre, qu'il serait peut-être bonde modifier. L'antonomase est une
figure
de rhétorique qui consiste à ne pas appliquer à
établissements d'aliénés' à Gand, t par z % GUISL,1,N.-e Avec ' 54
figures
intercalées dans le texte, un plan général et le
ly of localised cérébral lésions. Broch. in-8" de 43 pages, avec il
figures
dans le texte, juillet 1881. 182, ritlli avenue
ès les premières expériences que nous venons de rapporter. Les deux
figures
3 et le de la Planche XII (t. II) ont été prise
niers. C'est ainsi qu'Honorine prétendait avoir un masque sur la
figure
, ou bien sa tête s'était transformée en une tête
istesse ou l'hébétude. Dans certains cas, on pourrait croire que la
figure
du malade est recouverte d'un masque. Dans pl
s, en ceci, ont copié les Grecs, qui représentaient les Démons « en
figures
de Satyres paillards, moytié boucs & moytié
VARIA. 267 & arrangent le dais ou chapelle es quelz se voient
figures
& ymaiges demoniacques femblables à celles
es forcieres, tenant en main vne paix en laquelle est engrauée la
figure
du Démon ; à son coflé fenefire se tient le premi
ges noir par celuy qui faift l'office. Finablement Satan prenant la
figure
d'un bouc se con- fomme en feu, & se reduia
de Bicêtre, pendant l'année IS80. Un vol. in-8' de 128 pages avec 3
figures
dans le texte. En vente au bureau des Archives
de la pensée chez l'homme et les animaux. Deux vol. in-8" avec 184
figures
dans le texte. Cartonnage anglais. Prix : 12 fr
nerveuse. Un vol. in-8° de 220 pages, avec 4 planches et plusieurs
figures
intercalées dans le texte. Paris, 1882, librair
copy. Un gros vol. in-8° de 414 pages avec 16 planches chromo et 28
figures
dans te texte. 1882, Londres, J. et A. Churchil
l'étude de l'élongalion des nerfs. Un vol. grand in-8^, avec quinze
figures
dont quatre hors texte. Pnx : 4 fr. 1882, Paris
mblé en rapport avec la dis- tance à laquelle se trouve l'objet qui
figure
dans l'hal lueination. 1 Ch. Féré. Société de
- tions colorées de cet eeil ; et, si on lui suggère l'idée d'une
figure
géométrique colorée en rouge , par exemple, cet
L'HYSTÉRO-àPlLEPSIE. 307 de la forme générale de l'appareil par la
figure
24, que par une longue description. La pelote
mensions approximatives, mais pour limiter les champs relatifs, ces
figures
sont par trop propices. Le mieux eût été de pre
pie croisée et hémianopsie). Un vo- lume in-8" de 240 pages .née 49
figures
dans le texte. Anx bureaux des 3rchicesder\'eur
n singe cynocé- pltale (Grossiss. 12 fois). - Lettres comme pour la
figure
2. Fig. 4. Idem chez un singe cébien (Grossis ?
ndelette du tiigone. 7 ? y. 5. Coupe de la moitié iiiféiteiii,e, et
figure
6 coupe (le la moi- lit, supérieure (sous-calle
olutions de la corne d'Aimnon. Fig. 16. - Lapin presque à terme, et
figure
17, lapin a terme. Lettres comme dans les figur
resque à terme, et figure 17, lapin a terme. Lettres comme dans les
figures
de la Plaxuic 111. (Comparez notamment avec la
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE TOME XVII I Avec de nombreuses
figures
intercalées dans le texte et LXVI planches hors t
? Rédaction HENRY MEIGE- TOME DIX-SEPTIÈME Avec de nombreuses
figures
intercalées dans le texte et LXVI planches hors t
de fibres endogènes groupées le long de la commissure ; l'ensemble
figure
la coupe verticale d'un champignon à pied bulbe
petit crochet dirigé vers la zone d'entrée des racines. A gauche la
figure
est symétrique. 12e Dorsale. La figure est enco
e des racines. A gauche la figure est symétrique. 12e Dorsale. La
figure
est encore plus nette, les jambages se sontallon-
orsale. Diffère de la 1° en ce que les 1. er et 2e jambages de l'M (
figure
de droite) deviennent flous et tendent à disparaî
visibles. 91 Dorsale. Il ne reste plus que la partie externe de la
figure
précédente, qui prend à ce niveau la forme d'un
de la zone cornu-commissurale. Je reproduis ici (fig. 4 à 11), les
figures
d'un mémoire antérieur (1), ayant trait un cas de
, à la région sacrée celle d'un triangle le plus sou- Fia. 4. Cette
figure
et les suivantes représentent les coupes d'une mo
re les régions dorsale et lombaire (durée un an). Comparer avec les
figures
de la planche l, où le faisceau médian, qui est
naissance en effet, ainsi que l'a montré Flechsig le premier. à des
figures
qui se superposent exactement à celles que révè
doct., Saint-Péterbourg, 1898. Fin. 12. Reproduction réduite de la
figure
48 de la thèse de Guize.Foetus de 9 mois, Ire l
élinisation est moins avancée). Fie. 13. Reproduction réduite de la
figure
49 de la thèse de Guize.Foetus de 9 mois, IV* l
ancées dans leur développement. FiG. 14. Reproduction réduite de la
figure
51 de la thèse de Guizé. Foetus de 9 mois, 1110
que celles qui sont représentées au centre du centre ovale dans la
figure
précédente. 40 NAGEOTTE dans le triangle en q
e dans le champ ovale. » Je reproduis ici (fig. 12, 13 et 44.), des
figures
empruntées à la thèse de Guizé. 11 suffit de co
s figures empruntées à la thèse de Guizé. 11 suffit de comparer ces
figures
à celles des planches V et VI pour être convain
érique sont endogènes, ainsi que le montre la comparaison entre les
figures
de la planche V et celles de la planche VI. Sui
ES CORDONS POSTÉRIEURS 43 saines. Ce fait peut être vérifié sur les
figures
1 et 2 de la pl. VII. J'ai indiqué plus haut à
ées. Pour mieux mettre en lumière cette disposition, j'en donne une
figure
demi-schématique, dessinée à la chambre claire su
coupe colorée au carmin (fi.151. On pourrait se demander si cette
figure
ne résulte pas de quelque com- plication ; mais
le trajet inférieur et supérieur de la bandelette montre que cette
figure
parfaitement symétrique est bien celle de la ba
mon observation II et l'on retrouve cette même conformation dans la
figure
2 d'un mémoire de Joffroy et Gombault, re- prés
re la région dorsale et la région lombaire ; en second lieu, que la
figure
en question est un peu plus compliquéeet forme en
répondant à ces deux derniers types, pour les mettre en regard des
figures
de la pl. VI ; on peut voir par ces photographies
pyramidale et occupe un territoire nettement triangulaire dans les
figures
6 et 7. scléroses combinées 'fABÉ'IIQUES 63 p
ert). La sclérose latérale est pyramidale ou pseudo-pyramidale. Les
figures
8 et 9 montrent l'existence d'une lésion du fai
e musculaire ; chez les quatre l'hypotonie était généralisée. Les
figures
qui sont des reproductions photographiques des em
er et de reproduire ici un tableau célèbre de Goya où l'on voit une
figure
qui pré- sente la déformation caractéristique,
es spinaux, le sujet, par des efforts, arrivant à se redresser. Les
figures
ci-jointes (PI. XIII) mon- trent une vieille fe
coupe a été dessinée à l'envers, de sorte que le côté gauche de la
figure
doit être reporté à droite et inversement.) 118
tion des manuscrits. Avant cette époque, ils n'étaient ornés que de
figures
très pauvres, et principalement de grandes lett
t aisé d'y reconnaître des progrès extra- ordinaires : le style des
figures
est noble, le dessin assuré, les têtes rondes,
dée. Elle est représentée deux fois : à droite, elle est debout, la
figure
hideuse et grimaçante, nue jusqu'à la ceinture
lement, à genoux, en prières dans une grotte. Les qualités de cette
figure
sont faibles, et c'est bien ce qui contribue à
ent de la part de l'artiste, une tendance à sortir du convenu. La
figure
B de la planche représente la guérison d'un possé
juger de l'aisance du dessin, de l'élégance des silhouettes, dans la
figure
du saint qui exorcise de sa main droite et dans
sa main droite et dans le groupe -des assistants ' émerveillés. La
figure
du possédé dénote de très sérieuses qualités. C'e
e Gênes. , Comparons maintenant cette miniature du Mont-Cassin, aux
figures
semblables des oeuvres byzantines de la même ép
ncore représentée dans le livre de P. Richer par toute une série de
figures
dépossédés, qui provien- nent du manuscrit Hort
on vraiment remarquable dont avec des traits différents, ces quatre
figures
traduisentla violence de l'agitation démoniaque
irement attachées derrière le dos, les cheveux hérissés, de petites
figures
noires s'échappant de la bouche. Parmi les no
ie, qui s'appuie sur une sorte de béquille très cu- rieuse : toutes
figures
absolument hors de pair pour l'époque. Ces ivoire
s qualités ne se retrouve- ront que deux siècles plus tard dans une
figure
de jeune démoniaque de Nicolas Pisano (bas-reli
a un aspect tout à fait singulier dû, outre sa petite stature, à sa
figure
arrondie, à ses mamelles développées et tombant
pect du double menton. Le système pileux est assez développé sur la
figure
; les cheveux sont suffi- samment abondants, ch
nt en mouvement, casse des car- reaux, refuse de manger, jette à la
figure
de la soeur le gobelet de cidre que celle-ci lu
i- vants : 2e et 3e lombaires, Il,, dorsal. (1) Cette observation
figure
déjà dans notre mémoire de 1902. . 218 THOMAS E
ellules il existe quelques boules colorées en (1) Cette observation
figure
également dans notre mémoire de 1902. , 220 THO
quents, le dernier est plus rare. Nous reproduisons ci-contre une
figure
empruntée à notre précédent mémoire et qui mont
s, colorées par les méthodes ordinaires. Comme on le voit sur les
figures
, l'hématomyélie, étendue du 11° au VIne segment
lésions médullaires se prolongent beaucoup plus qu'au-dessous. Les
figures
a, b, c, d, e, f montrent la topographie et la
ux de la moelle. La moelle est non seulement aplatie, comme dans la
figure
d, mais trilobée. Un gros caillot rond occupe l
médian antérieur. En plus des hémorrhagies analogues à celle de la
figure
d, on voit une infiltration sanguine envahir les
ne tendance à l'achromatose, et dans le Va segment apparaissent des
figures
de neuronophagie au début. En même temps que la
nt tous les degrés de la dégénérescence et l'on voit apparaître des
figures
de neuronophagie, témoins de la réaction des élém
des jupes plissées et bouffantes 254 HENRY MEIGE sur les hanches,
figures
austères enserrées d'épais bandeaux de cheveux
anse : trois pas en avant, un pas en arrière ; un peu comme dans la
figure
« en avant deux » du vieux quadrille français.
aire de ceux qui veulent quand même avancer. Une épaisse embolie de
figures
effarées, congestionnées, se propage péni- blem
une fleur assez mal faite. L'aspect général de ceux-ci rappelle la
figure
précédente qui est assez vague. A ce moment la
ieurement la malade oublie ces finesses pour ne plus tracer que des
figures
noires maladroites qui se suivent et qui ne res
M. Obreen, qui la fit faire à mon intention, en juillet 1895. La
figure
reproduite par Charcot et Paul Richer ne portait
ornés de feuilles, ceux-là courent comme des effarés, s'inondent la
figure
et les mains d'eau froide ; ceux- là se vautren
euse de leurs parois, et cependant, en aucun point, on ne trouve de
figure
pouvant faire supposer au niveau des fibres muscu
se colorant en rose par le carmin et qui sont fort analo- gues aux
figures
données par les auteurs (Krôsing, Durante) comme
ure gauche, puis envahit rapidement le côté droit, en sorte qu'elle
figure
bientôt une fente allongée suivant le diamètre
.. 3e Dorsale (Grossiss. : 110 D) Coloration au picro-carmin. Cette
figure
correspond à la partie de la lésion qui, sur le s
e être reliés par une bandelette fibreuse qui traverse la moelle et
figure
l'arc dont la pie-mère serait la corde. En résu
tom- NOUS. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XVII, PL LV. Ces
figures
montrent des détails de la coupe représentée figu
II, PL LV. Ces figures montrent des détails de la coupe représentée
figure
7. (a) Région centrale rétro-épendymaire. Fente
de Poch... Grossiss. faible. Coloration à la fuchsine acide. Cette
figure
d'ensemble est reproduite dans ses différentes pa
B. - Fag... Région cervicale inférieure. La cavité centrale de la
figure
précédente a complètement disparu, il subsiste ce
épais, sinueux, d'aspect papil- liforme. Schlesinger (1) notamment
figure
ces particularités, plusieurs fois d'ailleurs m
mer l'origine de la cavité ». Cette interprétation s'appuie sur une
figure
regardée à tort par l'auteur comme une formation
tour de la cavité syringomyélique d'une membrane bordante, gaufrée,
figure
dans les descriptions classiques (fig. 11). Sa
ouci de cacher ou le soin d'isoler. as En regardant de plus près sa
figure
on distingue aisément un empâte- ment de la jou
au niveau de la joue et de la tempe. A la partie inférieure de la
figure
on remarque une tache à contours irréguliers, p
ra- phie ; quel est le topique qui laisse sur la peau de semblables
figures
? N'est-il pas plus simple d'admettre, au moins
es sur les cuisses, tronc penché en avant : vu de profil, son corps
figure
un Z. Il tient constam- ment une main près de s
ès net,mais très naturel, avec l'aptitude intensément émotive de la
figure
féminine : elle détermine le plus beau des cont
, encadré de volutes et de motifs où s'entrelacent des diablotins à
figure
de singes, mêlés à des figures ailées d'oiseaux
ifs où s'entrelacent des diablotins à figure de singes, mêlés à des
figures
ailées d'oiseaux à tête humaine, de syrènes à t
isserie. Nous y reviendrons plus loin. Le tableau central a comme
figure
de milieu le Christ, vivement éclairé et auréol
et dans quelques affections spasmodiques du système pyramidal (9
figures
), 67, ArERT. Myxoedème fruste, croissance tar-
. Cornu. Un cas de tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique (7
figures
), 106. CRouzoN. Anatomie pathologique des sclé-
umeaux antérieurs et postérieurs chez les vertébrés supérieurs (6
figures
), 100. DiDE et LEBORGNE. Nouveau cas d'achon-
es), 337. Genévrier. Troubles vaso-moteurs chez une hystérique (3
figures
), 459. Genévrier. Sur deux tableaux de l'expo-
(20 fig.), 409. LAIG\EL-LAVASTINB. Hématomyélie trau- matique (9
figures
), 240. LAiGNEL-LAVASTINE. La syphilis dans l'Ar
ve d'analyse psy- chologique des travaux manuels des alié- nés (5
figures
), 311. Trepsat. Un cas de démence précoce cat
et dans quelques affections spasmodiques du système pyramidal (9
figures
), 67. Voisin ROGL'A et SA11TOY. Contribution à
sée. Il se pourrait que ces portraits aient été cédés ou échangés. La
figure
que nous publions est probablement celle de Barte
ngrès de l'Institut international de Sociologie, n'oubliera jamais sa
figure
, sa voix et sa franchise, toute trois prenantes a
e, sa voix et sa franchise, toute trois prenantes au plus haut degré.
Figure
étrange et particulièrement pâle, on aurait dit c
ractère, est constituée par un quadrilatère fixé sous le menton. Isis
figure
ainsi, par ces divers attributs, la nature mâle e
neure faisaient figurer sur leurs monnaies ou sur leurs médailles des
figures
de Cybèle, ainsi que des représentations de femme
xplorèrent l'Ile de Chypre de fond en comble et, au prix Kig. 6". —
Figure
volive trouvée dans l'Ile de Chypre, a Amrit. Des
phrodite barbue d'Amathonte. II n'en est plus de môme avec d'autres
figures
qui ont été découvertes depuis par un archéologue
a été assez heureux pour trouver, dans la nécropole d'Ama-ihonte, une
figure
qui peut être considérée comme une des représenta
existence des poils de la région pubienne (Fig. 68). Les nombreuses
figures
votives et les divinités découvertes par M. de Ce
t bien là de l'Aphrodite barbue d'Ama-thonte. Pour M. Dcell, d'autres
figures
barbues doivent également être rangées dans la ca
naie d'Halicarnasse. rapportant à l'existence de cette divinité. La
figure
barbue qu'on voit sur une des faces de la monnaie
présente un type archaïque. L'artiste s'est appliqué à donner à cette
figure
une laideur repoussante. La tête ronde est surmon
ronnée de la terreur et de la fuite. Ce masque horrible de la Gorgone
figure
souvent sur les diverses pièces des armures des g
s qu'on rendait ainsi plus hideuses. « En donnant de la barbe à des
figures
féminines, ces artistes grecs ne songaientqu'à pr
de ces Gorgones du type européen (Fig. 73.). Ce qui caractérise cette
figure
, c'est la netteté avec laquelle la barbe est dess
ment à lui enlaidir la physionomie. 11 n'est parvenu qu'à doter cette
figure
d'une expression virile. Nous donnons également
ervé dans le musée Casuccini. Ce vase est décoré d'un grand nombre de
figures
au nombre desquelles se trouve une Gorgone très r
e peut exprimer : (I) Note de l'auteur: son air est inspiré, sa
figure
est resplendissante d'une joie intérieure. Elle s
Les démons femelles. — Proverbes populaires sur les femmes à barbe. —
Figures
gnostiques. — Les éons androgynes. Pendant plus
Mais ce qui doit surtout retenir notre attention, c'est que ces deux
figures
, absolument identiques par les détails de leur co
'il n'y ait pas de doute sur son intention, il l'a accouplée avec une
figure
capable de (1) Lorsque les Romains abandonnaien
semblable. » • # Xous avons eu sops les yeux un certain nombre de
figures
anciennes dans lesquelles les artistes ont associ
n 'le femme. Dans le buste dont nous donnons cï-joint le dessin, la
figure
barbue s'accorde mal avec le sein de femme que le
ein de femme que le statuaire a eu soin de découvrir. Tout dans cette
figure
indique que l'artiste a voulu mettre en évidence
de la foi catholique que les démons ne Fig\ 78. — Un demoo femelle.
Figure
du Moyen-Age. peuvent souffrir le moindre grain
re du Temple, par les représentants de l'orthodoxie religieuse. Les
figures
que nous publions sont extraites du livre de M. d
M. Mignard n'eut pas de peine à établir la parfaite similitude de la
figure
du coffret d'Essarois avec les documents gnostiqu
résenter dans une attitude quelque peu indécente. Tout dans cette
figure
semble avoir pour but de froisser à la fois l'or-
ous laisserons à d'autres le soin d'interpréter les symboles dont ces
figures
sont entourées. Nous nous bornerons à faire remar
es. (31. Gerliard). quelques-uns de ceux qui encadrent la troisième
figure
(fig. 82) ne sont pas sans analogie avec les symb
douleur lorsque la flamme d'un cierge venait lécher ses doigts. Sa
figure
prenait l'expression d'un bonheur indicible et un
tion de 1 expression habituelle de la face et de l'attitude du corps,
figure
illuminée d'un rayon de bonheur indicible, membre
iques pendant leurs crises changent de physionomie à ce point que les
figures
les plus insignifiantes, sous l'influence de l'ex
t de sa grossesse, fait la rencontre imprévue d'une mendiante dont la
figure
est colorée d'une tâche vineuse. Effrayée de ce s
nts authentiques qui proviennent du procès des Templiers Fig. Si. —
Figure
de Baphomet. (de Hammcr). Fig. 85. — Figure de
Templiers Fig. Si. — Figure de Baphomet. (de Hammcr). Fig. 85. —
Figure
de Baphomet. (de Hammen. révèlent non seulement
outes relations sexuelles avec les femmes, on leur montrait certaines
figures
d'un caractère absolument anormal. Ainsi le frère
duit, pour l'adoration de l'idole, dans une salle où était peinte une
figure
de Baphomet [ubi erat depicta figura Baphometi).
pirer des doutes sur son existence. Mais la découverte successives de
figures
réalisant la description qui avait été donnée F
de figures réalisant la description qui avait été donnée Fîg. 86. —
Figure
de Baphomet. (de Uammerf. Fig. 87. — Figure do
été donnée Fîg. 86. — Figure de Baphomet. (de Uammerf. Fig. 87. —
Figure
do Baphomet. (de ¡I i ¦¦ : de cette divinité
sur les lieux mêmes à de patientes investigations, a dé- Fig. SS. —
Figure
de Bapliomei iM. Migaardl. montré que l'endroit
ces lieux avec les Templiers de Voulaine. M. Mignard a reproduit les
figures
du coffret d'Essarois dans un important mémoire ;
étaient tirées d'un de ces coffrets symboliques, remarquables par les
figures
idolâ-triques dont ils étaient ornés. A ce sujet,
nservés. Dans te volet de gauche, le second compartiment contient une
figure
de sainte Wilgeforte. Elle est crucifiée, velue d
endroit de son livre que Bernadette pleurait parce qu'elle voyait la
figure
de la Vierge attristée au sujet des pauvres péche
e œuvre la représentation de Jésus. II est à noter que, comme dans la
figure
90, la sainte est attachée et non pas clouée sur
ue dans l'image précédente, elle porte une barbe en collier. Ces deux
figures
sont des figurations classiques de sainte Wilgefo
uivons l'ordre chronologique, nous présenterons ensuite une gracieuse
figure
de la Sainte, peinte par Lutolff, en 1673. Un gra
forte. A Riuxent, à Wissant, à Camiers, à Etaples, à Wattetot, elle
figure
avec de la barbe et est l'objet d'une vénération
format in-18 Jésus. Les volumes illustrés comprenant de nombreuses
figures
documentaires sont publiés dans le format in-8°.
s. Dans ses attaques elle se frappait continuellement les seins et la
figure
avec ses poings et développait dans ses mouvement
: a Elle se leva comme une flèche, s'élança vers moi et me montra une
figure
diabolique que je n'oublierai jamais. Elle poussa
te épuisée sur une chaise et sur son visage nous vîmes apparaître une
figure
d'ange pleine de pitié et de résignation, » L'é
de Daremberg et Saglio.) M. le professeur Léon Heuzey, publier la
figure
de deux divinités tuté-Iaires, dont l'une représe
e. Toinette, pour se moquer de lui, lui en applique un dernier sur la
figure
: — Et celui-ci, dit-elle, pour vous garder du
pièces un système tendant à démontrer qu'un traitement consistant en
figures
faites sur le dos du pied avait aggravé son état.
ui fîmes ligotter les bras et les jambes. L'enfant nous crachait à la
figure
et continuait à vociférer. Nous priâmes, le bénîm
les prêtres, dont le menton est rasé tous les matins (fig. 107). La
figure
barbue et la laideur de Mme Pilou n'était pas moi
ogie et de psychologie comme une des plus nobles, une des plus belles
figures
médicales de noire temps. (Applaudissements prolo
le nom des rues et s'égarera môme en se dirigeant vers la station. Sa
figure
est peu connue des Xancéens, mais son nom est cél
très accentuée, qui inspirent de la confiance, font de ce prêtre une
figure
qui ne se confond pas avec le vulgaire. Dernièrem
pe au vol les mouches et les insectes qui cherchent à se poser sur la
figure
de son propriétaire, et à troubler son sommeil.
3 ans, guéris par l'hypnotisme, par Paul Joire, p. 311. TABLE DES
FIGURES
Hatshopsitou, reine de la iS* dynastie thébai
aie de Magnésie du Sipyle 38 Statue trouvée dans l'île de Chypre 39
Figure
votive trouvée dans l'Ile de Chypre............
.................. 77 Eon gnostique........................... 78
Figure
de Baphomet.................. 100 Figure de Bap
..................... 78 Figure de Baphomet.................. 100
Figure
de Baphomet.................. 100 Figure de Bap
et.................. 100 Figure de Baphomet.................. 100
Figure
de Baphomet.................. 101 Figure de Bap
et.................. 100 Figure de Baphomet.................. 101
Figure
de Baphomet.................. 101 Figure de Bap
et.................. 101 Figure de Baphomet.................. 101
Figure
de Baphomet.................. 102 Sainte Wilgef
s du département de la Seine,deParis, du canton de Villejuif, etc ?
figures
géométriques, etc. L'incapacité et surtout la m
x moins répugnants, et, d'autre part, on leur apprend à se laver la
figure
et les mains, à se peigner, se brosser, cirer l
En 1871, sa soeur lui fit par imprudence de fortes brûlures à la
figure
et aux mains. Il fut alors ramené à Bicêtre, d'où
lexion et d'extension du tronc et des membres inférieurs. Repos. La
figure
de l'enfant devient souriante. ' - Dans une a
du des communi- cations et ne parait pas davantage confirmé par les
figures
de l'atlas de Benedickt. L'observation précéd
lumes in-16. - le' vo- lume : Anntomie et Physiologie, 180 pages, 8
figures
. Prix : 2 fr. - 2° vo- lume : Pansements, 316 p
un procédé particulier. Un volume in-4° de 40 pages de texte avec 7
figures
intercalées et 17 planches en photographie repr
a mé- thode du professeur P. Beu·r. - Un volume de tOi pages avec 3
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Il (1874), épuisé,- Tome III (1875), vol. in 4 de 800 pages avec 50
figures
prix : 16 fr. Tome IV (187G), vol. iu-4 de 960
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE . TOME XIX 'Avec de nombreuses
figures
intercalées dans le texte et 84 planches hors tex
t en arrière ; cet aplatissement, qui se constate nettement sur les
figures
de la planche VII, est parfois considérable et
est des deux côtés surtout prononcé en bas et en arrière (voir les
figures
de la pl. IX). Un examen plus attentif montre q
tude de cette colonne vertébrale. La région cervicale manque sur la
figure
, mais ne formait aussi qu'un seul bloc comme su
urait comme un enfant, et disait à chaque instant, en se cachant la
figure
dans ses mains et regardant sournoisement à tra
proéminence de l'occiput, le maxillaire inférieur petit et pointu. La
figure
a une expression infantile. La voix est peu son
quez aussi comme le pouls s'accélère, comme le teint bleuâtre de la
figure
et des membranes mu- queuses se montre seulemen
le crâne dans l'acroméga- lie. Le menton, la bouche, la langue, la
figure
entière sont plutôt petits que grands, le nez s
diographique. ACROMÉGALIE PARTIELLE AVEC INFANTILISME 85 Toute la
figure
a quelque chose d un enfant, l'apparence, tous se
maladie, décrite par Pierre Marie (1), dans laquelle le crâne et la
figure
restent intacts, connue dans la littérature sou
upe des acromégalies, lors même que toute altération clinique de la
figure
et du crâne manquent. Mais nous distinguons dan
n outre il serait, possible que les change- ments du crâne et de la
figure
ne se montrassent qu'après. Erb a vu augmen- te
quer déjà l'apparence enfantine que notre malade pré- sente dans sa
figure
et dans tous ses faits et gestes. Si je vous mont
ous présente un tableau morbide très extraordinaire. Le crâne et la
figure
normaux, l'absence de tout ce qui rappelle une ma
el représente le couronnement de la Vierge, entourée d'une foule de
figures
, sur un fond richement doré, qui porte l'empreint
ré, qui porte l'empreinte du style byzantin ; ce n'est que dans les
figures
inférieures qu'on voit une tendance vers le réa
n voit une tendance vers le réalisme. La plus intéressante est la
figure
de Philippe ; en voit que ce qu'il lit fait imp
priment bien l'étonnement. Une tranquillité profonde caractérise la
figure
de Mathieu, il ne voit pas le document, dont le
t encore adolescent, ce que prouve non seulement l'expression de sa
figure
, mais aussi ses longs cheveux ondulés, retombant
hauve de ses deux prédécesseurs. En voulant exprimer le réalisme de
figures
en question, l'artiste a muni les apôtres de lu
on origine dans les tentatives de l'artiste qui voulut prêter à ses
figures
une expression spéciale des yeux. Les effets de
sur les statues de femmes, également éclairée, fait paraître toute la
figure
douce et tranquille. Simultanément, aussi en
uel le sculpteur tâchait de prêter une expression plus animée à ses
figures
. Après une époque de transition, qui ne dura qu
t les joues. En ce qui concerne le jeu mimique plus expressif de la
figure
, les artistes de cette époque le représentent d
une manière moins accentuée et c'est pourquoi ils ne créent que des
figures
d'une tranquillité idéale et d'une expression sou
e par une représentation plus réaliste du sujet, l'expression de la
figure
peint des sentiments humains, ce que prouve le
ails du globe oculaire possède sa valeur, car elle prête à toute la
figure
une impression individuelle, qui est comme une
ant que l'ar tiste peut obtenir une expression plus accentuée de la
figure
par un tra- vail minutieux de la partie antérie
lus sur les monuments de David à Florence et de Moïse, à Rome. La
figure
de David adolescent est sculptée en un immense bl
e qui s'obstine à sa volonté. Il serait difficile de s'imaginer ces
figures
avec des globes^oculaires po- lis ; à mon avis,
ner ces figures avec des globes^oculaires po- lis ; à mon avis, ces
figures
sont la meilleure preuve que la reproduction (1
II ; Fig. 4; Planche XXIX, 4, 5, 6, et Planche XXXII, 17, 18). La
figure
4 représente une coupe frontale prise au niveau d
à la face latérale retentissent sur le cingulum. (fig. 2 et 7). La
figure
2 représente une coupe frontale au niveau du carr
convolutions non lésées. de la face interne de l'hémisphère. ' La
figure
7 a trait à une lésion de la troisième circonvolu
ématisation classique peut même être complètement renversée (1). La
figure
1 de la planche XXXIV représente côte à côte troi
t dans la racine postérieure et aussi dans la racine antérieure. La
figure
2 (Pl. XXXV), demi-schéma- tique, représente sa
point les cylindraxes sont entièrement normaux, comme le montre la
figure
4 de la planche XXXVI, et ce fait est extrêmeme
s dans le tabes incipiens peut être très simple, comme le montre la
figure
6 de la planche XXXVI ; la fibre se di- rige ob
ensable pour l'ap- parition de la régénération collatérale. Dans la
figure
3 j'ai représenté Fia. 3. Schéma de la régénéra
ion. Mais rien ne prouve que les phases sont aussi tranchées que le
figure
mon schéma ; il est beaucoup plus vraisem- blab
rieur ; a, b, c, niveaux des coupes représentées, Pl. XXXIV, fig. 1 (
figure
demi-sché- matique). Fig. 2. Même cas, même g
. Il n'est pas rare de rencontrer des formes multinucléaires et des
figures
de karyokinèse. Dans la gitterzelle en dégénéresc
voit une substance bleu pâle, dif- fuse, sur laquelle se détache en
figures
plus ou moins -régulières une autre matière bea
ent à quelques mailles un aspect moniliforme. Çà et là, certaines
figures
tout à fait pâles, à peine visibles avec un petit
à se grouper autour de deux points symétriques ; il en résulte une
figure
dont la coloration et la forme rappellent l'asp
ifficile à interpréter, présente certaines analogies avec celui des
figures
karyokinétiques que rappellent la disparition de
uble lésion centrale, si volumineuse que, comme le dé- montrent les
figures
, elle avait détruit plus du tiers de l'hémisphère
. 1. Coupe oblique ; maximum d'extension du sarcome. 250 WEBER La
figure
1 (coupe presque horizontale) correspond à l'exte
ahi par la voie vasculaire. Cela semble démontré entr'autres par la
figure
3, où un embolus cancéreux est en train de se dév
e sarcolemmatique, colorée en violet clair par l'hématoxyline (Voir
figure
). En de certains points, où toute la fibre n'es
t celle de Lloyd. Cette seconde (1), sur la nature de laquelle la
figure
annexée à l'étude du professeur Brissaud (2), n
îtres néerlandais sont fort bien représentés. Parmi eux, Gérard Dow
figure
avec un tableau intitulé Le Chirurgien. M. Léop
trace que des gaines vides. Nous nous sommes alors demandé, si les
figures
de dégénérescence que nous avions vues au 250e
e coupée, sans essayer encore d'en donner une interprétation. Les
figures
3 et 4 de la planche XLIX donnent une idée assez
anche XLIX donnent une idée assez exacte de ces dégénérescences. La
figure
3 représente une dissociation d'un filet cutané d
lques- unes même très fines, en voie de dégénérescence avancée. Les
figures
4 et 5 de la planche XLIX représentent les diss
la 3e racine thoracique, la plus basse des racines sectionnées. La
figure
7 (planche XLVIII) représente une coupe trans-
sente le ganglion au voisi- nage du pôle médullaire. A droite de la
figure
, on aperçoit la racine antérieure nor- male. Le
Détail à plus fort grossissement de la coupe de ganglion représentée
figure
1. On voit sur cette figure l'intégrité des cel
ent de la coupe de ganglion représentée figure 1. On voit sur cette
figure
l'intégrité des cellules ganglionnaires, de leur
bj. 7, ocul. 2). Fic. 4. Détail de la coupe de ganglion représentée
figure
2, pour servir de compa- raison avec la figure
ganglion représentée figure 2, pour servir de compa- raison avec la
figure
précédente. Tous les éléments, cellules et fibres
normale), région ganglionnaire ré- pondait à peu près à celle de la
figure
1 (même technique, même grossissement). FiG. 7.
compte de l'identité d'aspect des ganglions symétriques d'après les
figures
1 et 2 de la planche XLV III (coupes longitudin
sacrés gauche et droit du chat IV survie 382 jours), ou d'après les
figures
5 et 6 de la même planche (coupes transversales
d'autre part dans le gangliou à peu près jusqu'à son milieu. Sur la
figure
3 (planche 1LVI11),ou distingue bien ces gaines a
euses dissociations dont piusieurs sont repro- duites planche L. La
figure
1 montre un des filets qui ne contenaient aucune
ets qui ne contenaient aucune fibre intacte. Les filets représentés
figures
2 à 6, renferment, par contre, cha- cun 2 à 3 f
ous ne sommes pas en situation de dire pendant combien de temps ces
figures
de dégénéres- cence peuvent persister dans les
on observe dans les nerfs cutanés correspondant à ces racines, des
figures
de dégénérescence wal- lérienne, figures plus n
pondant à ces racines, des figures de dégénérescence wal- lérienne,
figures
plus nombreuses que celles constatées au bout de
- Survie 212 jours. - Intégrité des cellules des ganglions spinaux;
figures
de dégénérescence wallériennedans lesrameaux cu
sez nombreuses fibres dégénérées, au moins dans certains filets. La
figure
5 (planche LXIX) représente la dissociation d'u
; les gaines de myéline tranchent sur ce fond en noir intense. La
figure
1 de la planche XLVIII, montre une portion de la
- nale du ler ganglion sacré gauche. On distingue à la droite de la
figure
, les fibres noires, régulières et serrées de la
mêlées de fibres dégénérées que l'on distingue plus aisément sur la
figure
3 de la même plan- SECTION EXPÉRIMENTALE DES RA
ganglions sacrés du côté gauche. Il a été impossible de trouver des
figures
de dégénérescence au niveau du pôle périphériqu
ganglionnaires, comme il est aisé de le cons- tater en comparant la
figure
1 avec la figure 2, laquelle représente une coupe
omme il est aisé de le cons- tater en comparant la figure 1 avec la
figure
2, laquelle représente une coupe longitudinale
es. Enfin les nerfs cutanés, examinés avec soin, n'ont présenté des
figures
de dégénérescence ni du côté gauche ni du côté
filets cutanés, correspon- dant aux racines sectionnées, absence de
figures
de dégénérescence, mais nombreuses gaînes vides
x, ou de filets cutanés, du côté droit, ne nous ont mon- tré aucune
figure
de dégénérescence. Par contre, ils renfermaient d
4 premières racines sacrées postérieures gauches. SU1'vie 14 jours.
Figures
de dégénérescence wallérienne avancée en nombre
iations. Les racines du côté gauche ont été de même dissociées. Les
figures
1 à 6 de la planche L représentent un certain n
en conte- nir jusqu'à 4 ou même 5, parmi lesquelles, comme dans la
figure
2, on peut même voir exceptionnellement des fib
eaucoup plus nombreuses. Ces dissociations sont figurées planche L,
figures
7, 8 et 9. A ce point de vue, elles sont tout à
te de sclérose en plaques uni- quement parce que dans son étiologie
figure
la syphilis. SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPI11LIS 3
plus pro- fondément atteinte par la sclérose comme il résulte de la
figure
. Avec tout cela il ne faut pas oublier que les
I, fig. 1 et 2) rendent compte de cet en- semble de caractères ; la
figure
3, en opposition, montre la main normale du vie
de l'Homme en mouve- ment ; en 1902, l'Introduction à l'étude de la
figure
humaine. En même temps, vous modelez la série d
elle chez un jeune chien sacrifié 17 jours après l'opération. Cette
figure
montre les détails concernant les rapports de la
s du réseau vasculaire on voit des cellules migratrices. En bas de la
figure
, il y a une masse constituée par ces cellules e
produite par la fracture de la première vertèbre lom- baire). Cette
figure
nous montre la relation étroite qui existe entre
scence des cylindraxes en partie disparus. Fia. 12. Même cas que la
figure
précédente. Portion d'un faisceau de fibres de
il existe de place en place, autour de certaines cellules, quelques
figures
de neuronophagie. Par contre, la colonne de Cla
calme autant qu'on en peut juger .Au-dessus de lui, vole une petite
figure
ailée de démon. La crise est terminée, le malad
gros et plus nombreux ; il n'est pas facile, en présence de telles
figures
, de différencier le tissu conjonctif des gaînes
ion très marquée de l'axe gris (Pl. LXXVI, fig. 2, le N° 2 de cette
figure
correspond à la compression osseuse : le N° 1 m
à notre difficulté, c'est de ne trouver dans le texte qu'une seule
figure
consacrée à l'hémisphère de ce cas... le schéma
UES, SURMONT, TARGOWLA, TUFFIER, WEIL, etc, TOME DIXIÈME Avec 151
figures
intercalées dans le texte et 52 planches - ?
attribue l'introduction du hanchement dans la représentation de la
figure
humaine, cette forme spéciale de la station est
t défiler devant les yeux du lecteur émer- veillé les plus étranges
figures
de la tératologie humaine ou animale. Il à sans
rquable conservée au Musée de Gocttin- gen : Ainsi que le montre la
figure
2, dessinée d'après une planche de Forster, il
s. L'enfant pesait 2250 grammes et paraissait en excellente santé :
figure
éveillée, corpulence satisfaisante, chairs ferm
sous leurs tabliers et leurs paniers au bras. Et toutes ont la même
figure
apitoyée, la même moue à la vue d'nne blessure
bier célibataire pour le seconder dans ses manipulations. C'est une
figure
chère à D. Teniers qui nous le montre dans tout
ointu, l'autre en forme de curette, pour les (1) Le même personnage
figure
à la même fenêtre dans plusieurs oeuvres de D. Te
t des personnages, la pré- cision des accessoires, la sincérité des
figures
et des moindres détails d'ha- billement sont de
que jamais son effet. Remarquons en passant combien il ressemble de
figure
et d'attitude au Pédicure de Teniers le Vieux.
l'année 1835, époque probable de son acquisition. Actuellement, il
figure
dans la Galerie Na- tionale de l'Académie de Bu
oisées et se penche en avant. C'est un homme âgé, rasé de frais, la
figure
creusée de rides, simplement, mais proprement vêt
W. Burges, Musées de Hollande, t.II, p. 267). Ce ta- bleau, qui ne
figure
plus dans le Catal. IIaverhorn van Rijsewijk de 1
s bien celle tuméfaction au niveau de la tète des métacarpiens. Les
figures
de la planche 111 ]tous montrent celle particul
e la peau ; enfin dans quelques cas, si on dirige le regard vers la
figure
du malade on rencontre cette expression si spéc
é, les deux mains se rejoignent en anse sous le creux du jarret. La
figure
exprime l'attention, sinon l'anxiété ; peut-être
éclaire le dos du patient. Il importe davantage que nous voyons sa
figure
où ses impressions doivent se refléter. Brouwer
e de Frans liais se fait sentir dans la manière dont est traitée la
figure
du patient L'éclairage hardi de son masque expres
chures à la plume qui font tout l'effet qu'on en peut attendre. Des
figures
courtes, ramassées, leurs grimaces, le caractère
ement maintenue au-dessus de la cheville par une vieille femme à la
figure
apitoyée. A droite est l'opérateur, assis sur u
A MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 163 cellules présentant de semblables
figures
nucléaires sont relativement très nombreuses, s
de la syringomyélie. Thèse de Paris, 1890. Dans la thèse de l3non.
figure
également (p. 130) une observation inédite de P.
r lui et aujourd'hui adopté unanimement dans toutes les langues, ne
figure
encore dans aucun de nos dictionnaires, dans aucu
à l'infantilisme myxoedémateux. Vous remar- querez que le nanisme
figure
dans cette description parmi les principaux a
2. - Infantilisme m3yoedémateux, t8 ans (même sujet que celui de la
figure
précédente). Faciès lunaire, bouffissure, lèvre
première vue, si l'on compare notre photographie Pl. XXVII avec la
figure
empruntée au Traité d'anatomie de Morel (Fig. 1),
aisons de la branche auriculaire et des branches temporales dans la
figure
de Morel ; mais cette objection, bien légère, tom
he foncée, de couleur violacée, plane, occupant le côté droit de la
figure
, et débordant à gauche, sur toute sa longueur, la
analogies avec ce qu'on désigne sous le nom de pointe de Darwin. La
figure
V du mémoire de Spil- ler montre un écartement
présente St-Onuphre (1), vieillard d'une maigreur ascétique dont la
figure
, la poitrine et le cou sont creusés d'effrayants
orphologiques de ces atfec- tions, lorsqu'il dessina cette curieuse
figure
. » Il n'y a rien il ajouter à cette analyse con
un fou de cour coiffé du bonnet tradi- tionnel garni de grelots. La
figure
de ce personnage ressemble assez il celle de no
gement aboutit à une fibre musculaire. - Un coup d'oeil jeté sur la
figure
ci-jointe vous fera immédiatement com- prendre
par les racines spinales situées au-dessous de la section. Cette
figure
vous donne une idée d'ensem- ble de la voie mot
s des cellu- les et dans les prolongements protoplasmiques diverses
figures
de la dis- position desquelles il résulte que l
moins, et sa disposition dans les différentes cellules présente des
figures
très variées. Région cervicale. On s'aperçoit,
leur intention toujours bien arrêtée de mourir, il leur cachait la
figure
, sur leur demande, avec un mouchoir et terminai
ar une besogne difficile à ses yeux affaiblis. - Décor tout simple,
figures
naïves, scène hien vulgaire, mais dont Gérard D
st même curieux de voir ce petit côté fin juxtaposé à une moitié de
figure
plus robuste. Il en est de même pour le thorax
èrement au-dessus de la moyenne (1 m. 70), âgé de 30 ans. Ces trois
figures
ont été, bien entendu, réduites de la même quanti
Lèpre. Mais on ne peut ici que le conjecturer. Un dernier infirme
figure
au premier plan, assis dans une large calebasse
e Sixtine, à côté de Botticelli. Ghirlandajo, Signorelli, Perugino,
figure
Cosimo RossELLI, le gagnant du prix promis par
uatre ans à peine après sa mort. Il n'est peut-être pas en effet de
figure
plus justement sympathique ni mieux faite pour
nte du pied. Bien plus, un seul orteil, le gros, est visible sur la
figure
; les autres ont disparu. . Cette fois, la Lè
lle sous l'épaule droite, tendant une sébille de la main gauche. Sa
figure
est très amaigrie ainsi que le haut de la poi-
uverte d'un linge ou d'un emplâtre. Derrière lui, on distingue la
figure
d'un homme barbu à la chevelure hirsute, le fro
ux signes caractéristiques. On cons- tate, en effet, sur le cou, la
figure
, la main et une partie du dos qu'une déchirure
OEuv7es de Miséricorde, contient sur les volets un grand nombre de
figures
d'infirmes et d'estropiés. Sur le volet de gauc
chevalet. La jambe droite est amputée au niveau de la cheville. La
figure
est maladive, mais sans lésions spéciales. Sur
n bien imitée, mais qui n'est pas caractéristique de la Lèpre. La
figure
du mendiant est fort laide : nez déformé, lèvres
l'Académie des Beaux-Arts de Venise, Lazare est représenté sous la
figure
d'un infirme, la tête bandée, un linge autour d
ezz : 10 Nouvel interrupteur d mercure pour bobine d'induction (1
figure
) ; 2o Radiographie de la main d'un sexdigitaire
ale des doigts mé- dius et index de la main gauche, par CE9TA. (2
figures
, 1 planche), 399. Infantilisme myxoedémateux, p
la rage humaine (note sur les), par J. Sabrazès et C. CABALES (25
figures
et 1 planche), 155. Main « succulente », par Ma
figures et 1 planche), 155. Main « succulente », par Marinesco (5
figures
et 3 planches), 84, 202. Malformations des main
ymétrie du corps chez une épileptique, par Raymond et P. JANET (5
figures
, 3 planches), 369. Mélanodermie récurrente chez
terprétation des lésions de la moelle épinière, par Léopold Lévi (1
figure
et 1 planche), 113. , Polynévrite dans ses ra
n vraie de la moelle, par GILLES DE la TOURETTE et A. CHIPAULT (3
figures
), 145. ' TABLE DES AUTEURS ACHARD (F.) et L
ésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rage humaine (25
figures
et 1 planche phototypique). 155. CESTAN. Hype
hie congénitale des doigts médius et index de la main gau- che (2
figures
, 1 planche), 399. Chipault (A.). L'apophysalgie
TE. Traitement de l'ataxie par l'élongation vraie de la moelle (3
figures
), 145. ETILNNE (G.).Des nsevi dans leurs rappor
lt. Traitement de l'ataxie par l'élongation vraie de la moelle (3
figures
), 145. Grasset. Tic du colporteur (spasme poly-
n pinces de homard et asy- métrie du corps chez un épileptique (5
figures
, 3 planches), 369. LkuNois (P. E.). Les emmurés
nte de Paget. Interprétation des lé- sions de la moelle épinière (1
figure
et 1 planche), 113. Lévi Léopold et Cn. Achar
gen : 1° Nouvel interrupteur à mercure pour bobines d'induction (1
figure
) ; 2° Radiographie de la main d'un sexdi- git
pparence rhumatoïde, 882. MARINESCO. De la main « succulente » (5
figures
et 3 planches), 84, 202, MnssnftY (E. DE) etE.
5 photogravures), 294... ' - MEME (HENRY). La Lèpre dans l'Art (9
figures
, 2 planches), 418. TABLE DES AUTEURS 473 MEME
(Ecoles flamande et hollandaise). Les Pédicures au XVIIe siècle (6
figures
et 6 planches), 45, 127. MEUNIER (HENRI). Amé
type et considérations pathogéniques au sujet d'un cas nouveau (15
figures
et 1 planche), 15. RAYMOND (F.). Hémisection
atique, de la moelle (Syndrome de Brown-Sé- quard) (un cas d') (6
figures
et 1 planche en couleur), 1, 166, 305. RAYMON
s en pinces de homard et asymétrie du corps chez une épileptique (5
figures
, 3 planches), 369. Richer (PAUL). Rapports de
ésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rage humaine (25
figures
et 1 planche), 155. SOUIiHANOCF. Sur l'histol
RMONT; TARGOWLA; TERRILLON ; TUFFIER; WEIL. TOME NEUVIÈME Avec 44
figures
intercalées dans le texte et 49 planches PARIS
le trait seul, comme sur les vases peints, indique les contours des
figures
. Plus lard une teinte plaie vient remplir le de
t presque impossi- ble de retrouver le trait du dessin. Le sol, les
figures
, les arbres, les loin- tains, sont indiqués par
es. Est-ce un jeune éphèbe ? ... Est-ce une jeune fille ? ... Ni la
figure
ni le corps ne permettent de se prononcer. Un F
dithops ÉNÉE BLESSÉ 43 les vertus des plantes et l'art de guérir,
figure
grave et noble d'homme instruit et modeste, rés
errum. Le peintre nous montre lapis il ce moment de l'opération. La
figure
est grave et réfléchie, comme l'a esquissée Vir
es de larges hachures, ainsi que les lumières. Ce procédé donne aux
figures
une expression de dureté souvent disgra- cieuse
type le plus parfait et nos différentes coupes nous ont fourni des
figures
qui ne diffèrent en rien de celles représentées p
nt nettement sur le fond rosé du reste de la préparation, forme des
figures
élégantes et d'un coloris frappant. Examinée de
ns les nodules embryonnaires de la syphilis médullaire et Sottas en
figure
un bel exemple dans un nodule périvasculaire de l
t impossible d'aborder ce problème délicat sans avoir recours à une
figure
: dans le schéma que nous figurons ci-contre (Fig
t aux troubles moteurs (M) et sensitifs (S) du corps. Pour toute la
figure
, on a repré- senté la paralysie motrice par la
exagérément en arrière formant un arc de cercle caractéristique. La
figure
est peu mouvementée, la bou- che est close. Cep
; on peut y voir une ébauche de l'arc de cercle hystérique, mais la
figure
, d'ailleurs mutilée, ne donne qu'une idée impar
t An- toine de Padoue sur un homme possédé du démon (Fig. 19). La
figure
du possédé a quelques analogies avec celles des a
ns grimaçants qui paraissent se rapporter à des types d'aliénés. La
figure
de la femme est particulièrement bien traitée et
es possédés de Rubens dont on connaît la surprenante exactitude. La
figure
, en particulier, offre de grandes analogies avec
présente deux cavités séparées par une crête mousse et la phalange
figure
une tro- chiée; l'articulation a donc absolumen
, dans le beau tableau de Mantegna,-dans les nains de Velasquez, la
figure
de Barbota et de Don Antonio l'Anglais, le nain
e une fiole. Ses pieds reposent sur un dragon à longue queue.. La
figure
est particulièrement bien traitée : front saillan
clant sa palette, richement vêtu et tournant vers le spectateur sa
figure
ronde et rieuse, encadrée de longs cheveux bouc
ion i(ichiliq ? te des membres inférieurs est manifeste. Mais, la
figure
est surtout bien traitée. Elle évoque le souvenir
ute quelque peu agrandi les dimensions pour donner plus de vie à la
figure
, sont encore cerclés de paupières lourdes, à ci
de la cage thoracique surplombe l'abdomen rétracté. - L'ensemble
figure
, très exactement, la cyphose, l'en- sellure et
extrême des muscles, et d'une laxité anor- male des ligaments. La
figure
1 (Pl. XXVIII) et la figure 2 (Pl. XXX) démontren
e laxité anor- male des ligaments. La figure 1 (Pl. XXVIII) et la
figure
2 (Pl. XXX) démontrent, l'hyper- extension du g
s poplitées et des ligaments postérieurs de l'articulation. Dans la
figure
1, cette attitude se produit spontanément; dans
. Dans la figure 1, cette attitude se produit spontanément; dans la
figure
2, elle est produite passivement par l'expé- ri
ssivement par l'expé- rimentateur et n'en est que plus accusée. Les
figures
1 bis (Pl. XXIX) et 2 bis (l'l. XXX) montrent q
alysies. ix 13 190 NOUVELLE ICONOGRAPU1E DE LA SALPÊTRIÈRE 1 La
figure
3 (Pl. XXXIII) montre un tabétique exécutant spon
re maintenue sans un effort qui devient rapidement douloureux. La
figure
4 (Pl. XXX) met en évidence l'extrême mobilité de
muscles et ligaments vertébraux, et de la masse sacro-lombaire. La
figure
5 (Pl. XXXII) montre une main de femme, la face p
e tous les ligaments des articulations du poignet et de la main. La
figure
6 (PL XXXII) nous montre les pieds d'une tabétiqu
e sujet peut le maintenir longtemps sans ressentir aucune gène. Les
figures
7 et 8 sont deux exemples de ces faits. Voici,
l'étal de repos, clans la même attitude. Considérons, du reste, la
figure
G, ou toute autre représentation des membres d'
r, je signalerai particulièrement deux malades dont l'obser- vation
figure
dans mon mémoire de la Revue de médecine avec une
ont séparées aussi distinctement des circonvolutions temporales. La
figure
nous fait voir très évidemment une inclinaison du
icace de la main de l'auteur : g A. S. A. S. le Comte de Clennont »
figure
au-dessus du titre, en première page. Je n'ai p
e ses accès, très timide et s'effa- rouchant à la vue de toutes les
figures
nouvelles, elle était renommée dans le pays pou
1748 et on tira à la fois deux pierres toujours de la même substance,
figure
et couleur que les autres. Le lendemain 6 sep
ines observations. L'étal général resta excellent. Geneviève avait la
figure
'naturelle, « avec un certain degré d'embonpoin
ces et huit lignes, haute d'un pouce et cinq lignes. Une autre de
figure
rhomboïdale, longue de deux pouces et sept lignes
entières de la coupe sont complètement envahies par la végétation (
figures
), mais celle-ci ne dépasse pas la substance bla
les cordons latéraux. A une différence de hauteur de 1 cm. 1/2, les
figures
montrent une étendue toute différente et une tout
e leur épaississement par la prolifération du tissu conjonctif, les
figures
que nous en donnons permettent de se rendre compt
li- fération de l'endothélium, une fois cependant nous avons eu une
figure
très nette représentant une sorte de bourgeon f
e, cette paroi peut acquérir des dimen- sions colossales, témoin la
figure
VIII, qui représente un de ces vaisseaux. Nous
ellules qui les entourent les pénètrent. On peut voir comme dans la
figure
X les tractus déliés qui séparent les fascicules
e, tandis que de l'autre retient la tête de son client. Sa grosse
figure
, son nez volumineux, ses pommettes saillantes, se
a tète ce dernier ne fasse dévier l'instrument ou ne se blesse à la
figure
. Mais il n'opère pas sans douleur. L'attitude d
ier, et qui regarde l'opérateur avec une curiosité mêlée d'émotion.
Figure
de paysanne, gre- lottante et cassée, familière
suffisant. La lumière arrive presque de face et se concentre sur la
figure
grimaçante de l'opéré. Tout le reste est perdu
cal peut donner lieu à des troubles intellectuels, en tête desquels
figure
l'amnésie. Cette manifestation a été constatée
roubles intellectuels peuvent se manifester, et parmi eux l'amnésie
figure
en première ligne.De même qu'il y a une amaurose
pas pouvoir mieux me résumer qu'en disant : dans les cas de (1) Ces
figures
ont été empruntées au travail de M. P. Muller.
des plus caractérisées, mais nulle part on ne trouve d'aussi jolies
figures
de gommes miliaires que dans le foie. La moelle
7 et 8. - Lésions des vaisseani. 10. Une des racines isolées de la
figure
9. Montrant l'envahissement de cette lacine qui
ire, cette courbe l'est moins au pouce : la face dorsale de l'ongle
figure
assez bien, mais très atténuées, deux vagues sépa
paysan nommé Puccio d'Aniello, qui triompha d'eux et qui avait une
figure
de charge : nez long, visage noirci par le sole
ts- pharmaceutiques. L'intérêt se concentre de prime abord sur la
figure
de l'opéré, traitée avec une vigueur et une vér
cueillis sur la mimique des passions. Bien naturelle aussi est la
figure
du chirurgien, à demi cachée par l'om- bre de s
rophiques des ongles dans l'hys- térie, XLVIII et TLIX. TABLE DES
FIGURES
Bossu de l'art égyptien (mal de Pott), 20, 21
es commissures longitudinales. On peut exprimer ces faits à l'aide de
figures
schématiques très-simples. Fig. 1. La figure
s faits à l'aide de figures schématiques très-simples. Fig. 1. La
figure
première représente la composition du segment ner
deux moelles, la coupe simultanée de leurs axes gris donne lieu à une
figure
symétrique que Lieutaud compare avec raison à deu
èbre anatomiste ait rendu à la science du système nerveux. elle. Sa
figure
se rapproche de celle d'une pyramide à quatre pan
de cet animal et celui du chevrotain. Les détails anatomiques de ces
figures
sont absolument imaginaires, et ne se rapportent
é dépassés depuis, et l'on ne peut rien imaginer de plus beau que les
figures
publiées par plusieurs anatomistes modernes, au m
tions quand elles existent. On peut consulter, à ce sujet, les belles
figures
publiées par M. Arnold (2). 3° De la région des
ourquoi nous parlerons ici, mais sommairement, de structure. Qu'on se
figure
deux gros cordons fascicules diver géant et s'é
mples, sont cependant difficiles à exprimer, et même à rendre par des
figures
. Je prie donc le lecteur de s'attacher beaucoup p
niasse médiane dilatée en avant, très-rétrécie en arrière et dont la
figure
rappelle grossièrement celle des poissons du genr
verbale. Mais cette description deviendra claire avec le secours des
figures
. Du vermis du cervelet latéral. Le vermis du
elui de l'enfant nouveau-né. J'aurais désiré multiplier davantage les
figures
, mais l'espace m'a manqué. Le cervelet, dans l'
cette union circonscrit l'extrémité de la scissure des hippocampes et
figure
assez bien un crochet. On donne à ce pli, à cause
bulbe. Nous avons vu de fort belles préparations, de non moins belles
figures
, mais, selon notre conviction la plus intime, ces
oins belles figures, mais, selon notre conviction la plus intime, ces
figures
et ces préparations n'expriment que des résultats
coupes transversales du bulbe la tranche du corps de l'olive donne la
figure
d'un S très-irrégulier et flanqué de deux petits
que, pour la faire comprendre, je compte beaucoup sur le secours des
figures
; peut-être y trouvera-t-on encore beaucoup d'obsc
elet, qu'elle donne lieu sur chacune des sur-; faces de section à une
figure
arborescente qu'on a depuis longtemps désignée so
ramuscules, ces ramuscules des feuilles. Si compliquée que soit cette
figure
, la lame grise en suit tous les contours, qu'elle
indres détails. Il est impossible d'imaginer un dessin plus joli. Les
figures
qu'oflrent des sections obliques, pratiquées sur
insi la description de ces prétendues glandes '. « Elles sont d'une
figure
ovale, laquelle, toutefois, est tant soit peu apl
gré la ferme intention où j'étais de ne donner dans mon atlas que des
figures
originales, je n'ai pu résister (1) Arch, fur d
résumer en priant le lecteur de lire ce résumé en ayant toujours les
figures
sous les yeux. Encore éprouvera-t-il, je le crain
he, et celui de gauche à droite, d'où résulte un entre-croisement qui
figure
, au-dessus delà valvule, une commissure transvers
et usus, cap. xxn.) Je pourrais en dire autant de Vieussens, dont les
figures
sur ce point sont absolument inintelligibles. (Ne
a été parfaitement représenté par Tiedemann, à qui j'emprunte ici une
figure
dont l'explication nous dispensera de quelque des
est d'autant plus nécessaire que Meckel, qui a donné une assez bonne
figure
de l'axe nerveux d'un Embryon âgé de 7 à 8 semain
lis. Ce détail est absolument faux. J'insiste d'autant plus sur cette
figure
, qu'elle a été reproduite par R. Wagner, et plus
se encéphalique. Ces réflexions m'ont paru nécessaires, car certaines
figures
de Tiédemann, et en particulier les figures 1 et
écessaires, car certaines figures de Tiédemann, et en particulier les
figures
1 et 4 de la planche II de la traduction français
s. Tiedemann a représenté un cerveau de cet âge. Malheureusement la
figure
qu'il donne est en plusieurs points fort incomplè
demann a eu le bonheur d'observer un degré de cette période. Mais les
figures
qu'il en a données sont si incomplètes et si infi
oque. La commissure antérieure est à peu près indiquée sur une de ces
figures
. Une autre représente le cervelet avec quelques p
nce primitive. Tout cela est fort difficile à exprimer, sinon par des
figures
, parce que toutes ces choses poussent à la fois.
la naissance. Chez une idiote microcéphale au dernier degré, dont je
figure
dans mon atlas le moule encéphalique, le cerveau
a fin du sixième mois, serait fastidieuse et ne suppléerait pas à des
figures
bien faites. Aussi me bornerai-je à représenter f
caractères propres à l'homme. Dans le microcéphale, dont je donne la
figure
dans mon atlas, la scissure parallèle existait à
-pariétal est dans cette ligure de 13G mm. Je ne puis douter queeelte
figure
»e soit exacte, mais ce sont là des proportions e
. (2) Van Deen. Loc. cit. Pages 112 à 120. en passant et par deux
figures
qu'il a publiées sans les expliquer, il donne à p
le doigt d'une âme plus heureuse, et de-« mande une goutte de rosée.
Figure
, direz-vous, d'un « pauvre triomphant et d'un ric
si la chose n'est point « réelle? Admettons-cependant que ce soit une
figure
; elle « témoignera de la vérité. Car si l'âme n'a
peut résulter d'une combinaison matérielle. « De même, dit-il, que la
figure
est le genre de toutes les « espèces de figures,
e même, dit-il, que la figure est le genre de toutes les « espèces de
figures
, de même l'idée de figure est le genre de « toute
re est le genre de toutes les « espèces de figures, de même l'idée de
figure
est le genre de « toutes les idées des différente
figure est le genre de « toutes les idées des différentes espèces de
figures
, l'idée de « mouvement est aussi le genre des i
des idées de toutes les espèces d'ani-« maux. Les idées générales de
figure
, mouvement, couleur, « son, animal, sont des puis
penser et à concevoir les idées les plus abstraites sous le voile de
figures
sensibles, nous oblige presque à chaque instant d
folle d'Icare, s'élançant vers le soleil qui fond ses ailes de cire,
figure
assez bien l'hypothèse. C'est, en effet, une mauv
tenant, rendons la liberté à notre aveugle, et interrogeons-le sur la
figure
du corps qu'il a touché. Que fera-t-il ? Le procé
organe du toucher à tous les points d'une surface, on se ferait de la
figure
des corps une idée plus nette. Buffon l'a cru, il
trace de ces mouve merits; or la trace de tout mouvement, c'est une
figure
ou une forme, Eldoç.. Cette forme, il la voit en
es, qu'un seul doigt ne pourrait aisément circonscrire. Car, pour les
figures
comprises dans des plans, on les déter mine plu
que nos doigts cependant, ne peut nous donner une idée précise de la
figure
d'aucune de nos dents? La sensibilité est là au m
une preuve que ce n'est pas par la peau seule que nous apprécions la
figure
des corps? L'observation de la nature nous insp
e, où le sens du contact ne pourrait distinguer aucune inégalité, une
figure
circonscrite par une série de points plus chauds
où plusieurs lignes se croisent, l'œil peut distinguer à volonté des
figures
diverses. Ainsi l'esprit, par les sens, fait des
t par Jourdan, !. V, p. 219. Paris 1839. fance, ce sont surtout des
figures
d'animaux, tels que des bœufs ou des chevaux. Dan
es bœufs ou des chevaux. Dans l'âge mûr, ce sont des fantômes dont la
figure
et le caractère varient suivant les croyances des
ve ainsi, l'œil regardant dans les ténèbres aperçoit une multitude de
figures
incessamment mouvantes, petites, scintillantes, o
ulant en spirales, d'ouates obscures ou irisées, et dans cet océan de
figures
en nombre infini, où tout change avec une décevan
s unes sont fixes et durables ; les autres sont changeantes comme ces
figures
que la fantaisie découpe dans des amas de nuages
a forme sardonique du délire. Souvent les malades voient grimacer les
figures
des personnes qu'ils aiment le plus. Ils repousse
On sait qu'ils sont souvent déterminés par l'ivresse. Toutefois les
figures
que les songes présentent n'ont pas toujours ces
ront plus tard de la manière la plus précise. Le songe enveloppe de
figures
et d'ambages la signification des choses qu'il an
tourne ses regards vers la « porte, et voit un spectre horrible d'une
figure
étrange et « effrayante, qui s'approche et se tie
ux croisées de son cabinet, non point, comme l'a écrit M. Michéa, une
figure
distincte et connue, mais une forme pâle et blanc
spectre au coin de la « chambre où était une porte, et ce spectre de
figure
humaine « était, dit-il, habillé en ermite avec u
c une longue barbe et deux « cornes sur la tête, ayant d'ailleurs une
figure
horrible et une « contenance effroyable. Cet obje
ulement, une roue dentée, (1) Cf. Beaumont's Treatise, p. 91. une
figure
hideuse occupait le centre de la roue(l). Cullen,
ont se procura un jour la vision de son âme. Il vit une lumière ayant
figure
humaine, d'une homogénéité parfaite, composée de
che fatale se consume. C'est dans le même but que l'on consacrait des
figures
de cire. Cette superstition est de toute antiquit
chez tous les peuples d'Europe pendant le moyen âge : on perçait ces
figures
de coups d'épingles, on les faisoit chauffer et f
pays chrétiens, pour attacher plus d'horreur à la consécration de ces
figures
, on les baptisait; ce sortilège affreux fut souve
u'elle applique à son épigastre, qu'elle en apprécie la couleur et la
figure
, j'y verrai plus volontiers un miracle, que lé ré
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE TOME XVI Avec 20
figures
intercalées dans le texte et LXXII planches hors
38 FÉLIX LE JARS de l'ongle. Sa forme générale est cylindroïde : il
figure
une sorte de gros boudin gras, très droit, d'ai
sons de la série des événements cérébraux, nous arrive- rions à une
figure
dans le genre de celle-ci : ce qui signifie que
L'essentiel pour lui était de mettre en bel éclairage une élégante
figure
, d'agréables couleurs, et d'étaler sur l'appui d'
landais : un chien, auquel un autre fait les politesses d'usage, la
figure
du vieillard qui se chauffe les mains, celle d'un
s au musée de l'Ermitage à Saint-Pé- tersbourg (PI. XIII). Les deux
figures
d'homme sont d'une authenticité certaine, par c
broise de Gênes. Les mem- bres inférieurs, meilleurs que ceux de la
figure
de Gênes, semblent di- rectement inspirés de ce
Saint-Ignace du musée de Vienne. Nous connais- sions déjà une bonne
figure
de possédé de Jordaens, dans le Saint- Martin d
c'est surtout par la fougue et la violence des convulsions que cette
figure
rappelle celle de l'hystérique en crise. Le des
s semblables qui nous a laissées l'école fla- mande (1). Les deux
figures
d'homme, réjouies et grimaçantes,sont tout à fait
r ont pu diagnostiquer la représentation d'hémispasmes faciaux : la
figure
de Myrina (1), et le masque de terre cuite de l
est la convulsion en haut et à gauche des globes oculaires, dans la
figure
de droite. Mais d'autre part, cette même figure r
oculaires, dans la figure de droite. Mais d'autre part, cette même
figure
ressemble éton- namment au fumeur de Brouwer, e
à croquer des grimaces amusantes et pittoresques. (1) P. Richer,
figure
43. (2) P. Richer, ligure 102. Le Gérant : P.
pe le moignon de l'épaule gauche sur une étendue représentée sur la
figure
schématique ci-jointe. On constate également un
système nerveux (Traité de Pathologie générale de Bouchard, tome V,
figures
34 et 37). Le malade est mort en 1900, gâteux,
Halbran et Infeld (1). On s'en convaincra aisément en comparant nos
figures
et celles de nos confrères viennois. N'ayant
u, à peau très pigmentée, d'intelli- gence très peu développée ; la
figure
est large, le prognathisme très marqué. A la pa
eld, colore parfaitement les noyaux des cellules jeunes ; certaines
figures
vasculaires ont été bien mises en relief par une
u côté des oreilles ; la tête est inclinée légèrement à gauche ; la
figure
est inexpressive. Rien à noter du côté de la se
POROT au niveau des mollets, la face antéro-externe des cuisses (V.
figure
topogr.). Pas de dissociation syringomyélique e
it dans les coupes précédentes. Si l'on rapproche ces différentes
figures
et si on les réunit par la pensée, de façon à c
n sont agités de secousses convulsives toniques puis cloniques ; la
figure
grimace, les yeux, injectés de sang, demeurent fi
Nulle part nous n'avons pu relever une disposition qui rappelle les
figures
de la division karyokinétique. Au milieu des él
e les bras et les jambes. Ce tremblement est si considérable, et la
figure
de ce malade avec son aspect gêné a un caractèr
iagnostic. En effet, le tremblement est rapide ; le graphique de la
figure
1 nous montre 8 oscillations par seconde, le tr
embres sont très sou- ples, le malade ne se sent pas raidi et si la
figure
a un aspect un peu spécial, c'est à cause de la
mois. 4 frères et soeurs sont bien portants, de taille élancée, de
figure
normale. Ils ont tous marché un peu tard. Sa mè
z lentement; étant jeune, elle était, paraît-il, petite, lourde, de
figure
bouf- fie. Actuellement, c'est une femme de tai
uregard(2), mais sans indication d'origine. Beauregard reproduit la
figure
donnée par Dolbeau. Dans la mesure où les rense
1/2 centimètre au plus, dont le dernier (qui ne se voit pas dans la
figure
) est celui qui atteint les premières papillx va
6° Vie de 19 prostituée à Venise. Histoire populaire en vers et en
figures
(A'V7= siècle). r- Publié par le Dr LE Pileur,
, 144, 182, 205, 238 et 270 ; cf. p. 270 et 271, les deux dernières
figures
avec leur légende. 5° L'Espaigtzol affligé dit
z une démente alcoolique et hérédo-alcoolique. (Denv et Le Play.)
Figure
extraite du Traite de Pathologie mentale (Dom, éd
et dans quelques cas on voit de grosses gouttes qui coulent sur sa
figure
, la respiration est anxieuse, le coeur palpite, l
ment et immédiatement change d'attitude, il respire librement et sa
figure
exprime le soulagement et le calme. Vous voyez
Marie Rousse, notre barde en ques- tion, avait environ 60 ans, une
figure
anguleuse, une démarche quelque peu masculine,
des festins, déguisés en taureaux, chiens, béliers, etc., selon les
figures
que l'on sup- posait formées par ces diverses c
s aux mystères de Belenus, Taranus et Mithra, dansant sous diverses
figures
d'animaux, et obligés, eux aussi, devant les pers
2, 1896. Voy. aussi PAUL Richer, Arl et médecine, p. 33 et 34, les
figures
22 et 23, d'après d'anciennes miniatures. (2) V
personnel religieux de Ste-Dymphne. On remarquera l'inscription qui
figure
sur son vêtement : MCVBN. EVCABN. Nous n'avons
ques dans l'Arl, page 22). L'autre est de HANS HOLBEIN LE Vieux. Il
figure
à la partie supérieure du volet gauche du tript
mblance, d'un Nouveau Testament illustré. Il en est de même de la
figure
1 qui représente également la guérison d'un pos
rtent de nom- breuses ramifications arborescentes. L'ensemble de la
figure
rappelle Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrièr
hy et Bethe les ont décrites. - EXPLICATION DES PLANCHES. Sauf la
figure
A que nous devons à l'obligeance de M. Aubert, le
se rapproche davantage de l'extrémité du névrome côté gauche de la
figure
). FiG. D. Coupe transversale du bout central im
amyéliniques se présentant comme un petit polygone grisâtre sur la
figure
. A droite, plus petits faisceaux possédant moin
oiqu'ils fassent, comme ceux-ci, partie d'un névrome terminal. La
figure
J de la planche LXIV représente un de ces faiscea
segments cylindro-coniques. L'amas de grains noirs, à droite de la
figure
, représente des globules rouges. Le rouge deven
es cylindraxes noirs des rouges. Le cylindraxe le plus marqué de la
figure
, était noir dans sa plus grande étendue, mais d
re. Ce que l'on pourrait prendre pour un étranglement,au milieu de la
figure
, représente deux fibres un peu obliques section
nt parfois un aspect annelé. Dans la fibre occupant le centre de la
figure
, le cylindraxe, parti de l'étranglement an- nul
laire, s'arrête brusquement à une certaine distance. Dans ces trois
figures
concernant le bout périphérique, les espaces inte
che LXIV. Fis. I. Coupe transversale d'un des faisceaux nerveux de la
figure
D à un très fort grossissement. Le tissu conjon
ux observations II, III, IV, XI, XII, XIII de Jeandelize z1) et aux
figures
5, 7 et 9 du mémoire de Flourens (2). La--loc
s in extenso Dans l'un, il s'agit d'une débile dont la photographie
figure
dans ce mémoire ; un autre appartient à une fem
sérieux quesou- riant. Saint Joseph, un peu à l'écart, a une bonne
figure
ronde de paysan réjoui ; il porte dans une corb
ar le spectacle lamentable offert par l'aïeul, porte la main sur sa
figure
, tout en ayant bien soin d'écarter les doigts,
ndications suivantes relevées au cours d'uue série de voyages. La
figure
ci-contre est la reproduction d'un des comparti
spice de la Potterie, à Bruges, parmi d'autres malades et infirmes,
figure
une possédée, les bras écartés, un nuage de fum
ahaye et Lecrosnier, édit., 1881, 1 vol. in-4° de 116 pages, avec 6
figures
. - . (4) Paris, Lecrosnier et Babé, édit., 1889
Babé, édit., 1889, 1 vol. gr. in-4° de 162 pages, avec nom- breuses
figures
. DE LA NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
bitraire, et c'est par là qu'on peut s'assu- rer, en présence d'une
figure
anomale, si c'est la maladresse qui a égaré le
rançais, en se contentant seu- lement d'ajouter un nombre infime de
figures
nouvelles, d'ailleurs d'un intérêt secondaire ?
Revue. 1 et 15 juillet, 1er août 1897). Introduction à l'étude delà
figure
humaine (1902, Paris, Gaultier etMagnier). Sur
xtrêmement précieux pour l'histoire de la médecine. De nombreuses
figures
concernant les accouchements et l'allaitement se
COURBARIEN, RAOULT, SOLLIER INTERNES DU SERVICE Volume IX avec 25
figures
dans le texte. PARIS Aux Bureaux du PROGRÈS M
vanniers, 6 ; tailleurs, 20). Les leçons de toilette (lavage de la
figure
, desmains, propreté de la chevelure, etc.), les
. rcg, n. VIII ÉDUCATION de la main. Exercices des échelles. La
figure
2 représente l'enfant en position ; la figure 3
ices des échelles. La figure 2 représente l'enfant en position ; la
figure
3, l'enfant marchant en avant;-la figure 4, l'e
l'enfant en position ; la figure 3, l'enfant marchant en avant;-la
figure
4, l'enfant marchant en arrière ? les figures 5
archant en avant;-la figure 4, l'enfant marchant en arrière ? les
figures
5 et 6, l'enfant déployant le corps en avant et
sur la pointe des pieds, et, en arrière, appuyé sur les talons; la
figure
7, l'enfant assis ; la figure 8 représente l'en
en arrière, appuyé sur les talons; la figure 7, l'enfant assis ; la
figure
8 représente l'enfant tenant une échelle de la
c'est-à-dire le bras gauche allongé et la jambe gauche fléchie ; la
figure
'.) fait voir l'enfant monté aux échelles et dé
plan- ches représentant les différents solides et les différentes
figures
planes correspondant, comme dimensions, aux Fig
temps. Les enfants sont exercés à placer les objets en bois sur les
figures
qui leur cor- respondent. Ils arrivent de la so
eprésentés des points, des nombres, des couleurs, des lignes et des
figures
géométriques. (1) Voir Compte rendu de pour 188
ntés des poteaux et des fils télégraphiques, etc. 4m Un tableau des
figures
géométriques et de leurs appli- cations. C'est
des solides géométriques et de leurs applica- tions. En face de la
figure
d'une pyramide quadrangulaire est dessiné un cl
boratoire de la clinique de M. Charcot. De plus, nous don- nons une
figure
représentant la malade Pih... de Croisilles don
roisilles dont nous avons rapporté l'observation plus haut. Cette
figure
19 est faite d'après une photographie due à un ar
r notre ami le D'' Guil- laumin 1. Si l'on veut bien comparer ces
figures
à celles que nous avons insérées dans notre anc
ale de Belgique (1888), M. le D'' G. CousoT a publié un cas 1 Ces
figures
ne sont point parfaites. En pareil cas, il faut b
abituée à juger des enfants nouveau-nés. Vers l'âge de six mois, la
figure
de l'enfant commença à manquer d'expression, la
dans leurs appellations ! 1 Elisa X... présente un air bestial, sa
figure
est repoussante; la peau est pâle, mate, bouffi
es points ainsi obtenus sur les dif- férents rayons, on obtient une
figure
qui est la projec- tion exacte du crâne ou de l
pronostic, sinon pour le traitement. Le graphique représenté sur la
figure
20 est celui d'un malade dont voici, en quelque
ervation résumée du malade dont le graphique est représenté dans la
figure
21, est la suivante : Plous..., 41 ans, épileps
on des accès de 18 à 20 ans. Rien à l'autopsie de l'encéphale. La
figure
22 représente le graphique du nommé Doud... Epi
nouvel état do mal et mort à 15 ans; pas de lésions en foyer. La
figure
23, enfin, est le graphique du malade dont voic
dans sa seconde moitié. Son insertion sur la frontale as- cendante
figure
un crochet, F2. La deuxième circonvolution ÉPIL
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE TOME XIV Avec 6 1
figures
intercalées dans le texte et LXXIV planches hors
e (1), et la Revue ortho- pédique en divers endroits (2). : sur les
figures
reproduites dans ces ouvra- ges, le phénomène e
eunes neveux, tous enfants du même père et de la même mère, tous de
figure
aimable et d'une bonne constitution, qu'il prit
ne peu- vent être autre chose que les pourceaux de l'Evangile. La
figure
(Pi. V, B) qui reproduit la mosaïque voisine, nou
des cordes pour le faire passer par le toit. Dans la mosaïque de la
figure
suivante (Pl. V, C) nous voyons le paralytique
atement à la domina- tion grecque. On peut se rendre compte par les
figures
( f'l. VI) que ces ivoires sont dignes de compt
ontaine. Mais le niveau artistique est nota- blement inférieur. Les
figures
sont trop petites dans le cadre, mal dis- posée
asin, étaient capables d'un tel travail, et d'ailleurs les noms des
figures
de saints, presque tous grecs,lèvent tout doute
uest, nous trouvons représentés, successive- ment placés devant une
figure
de Christ qui les bénit : Un hydropique, qui av
et les mains ouvertes. L'expression est celle du ravissement. Cette
figure
est tout à fait semblable à celle de la porte e
s étudié jusqu'à présent que par ses productions provinciales. La
figure
J nous montre la guérison du lépreux. Il est ici
ugeâtres. Il n'y a pas de contractures ni de mutilations. Dans la
figure
K, nous reconnaissons notre femme hydropique. Le
is sur son lit, ses membres ne présentent rien de particulier (voir
figure
L). Dans les deux cas, le malade est, comme tou
gle se lave à une fontaine, et le paralytique emporte son lit. La
figure
M représente un personnage renversé, et s'appuyan
es au XIe siè- cle. D'ailleurs les mouvements deviennent raides, la
figure
humaine est souvent exécutée maladroitement, le
a preuve en voyant s'envoler au-dessus de sa tête deux diablotins à
figures
de singes qui semblent fort vexés d'avoir été obl
ers semblables. Dans ce même tableau de la cathédrale de Malines,
figure
un personnage que l'on retrouve sur la tapisser
ui : « Il avait la taille carrée, les membres forts et compacts, la
figure
comme celle d'un homme qui fait un effort. » Et
onné au linge avec lequel une femme de Jérusalem essuya, dit-on, la
figure
du Christ durant le trajet du palais de Caïphe au
ne une voiture recouverte d'une bâche, sous laquelle on aperçoit la
figure
d'un malade ; un autre pèlerin est assis, les j
dos ou à plat ventre des malades de toutes sortes. L'un d'eux a la
figure
déformée et comme couverte de pustules ; devant
atéraux c'est à gauche qu'on trouve le maximum de lésions (comparez
figures
6 et 7), et la colonne de Clarke manque également
é des vaisseaux extra-médullaires. Ceux qui sont représentés sur la
figure
16 et sur la figure 19 (rangée supérieure) mont
tra-médullaires. Ceux qui sont représentés sur la figure 16 et sur la
figure
19 (rangée supérieure) montrent l'aspect normal
état d'intégrité complète. Ces lésions, ainsi qu'on le voit sur les
figures
16, 18 et 19, consistent en un- épaississement
partielle ou complète de leur cavité. Ces divers types de lé sions (
figures
17 et 20) se retrouvent dans tous les segments su
ce, dans une situation se rapprochant de celle re- présentée sur la
figure
1, planche XV.) On constate que le squelette du
le voir sur les radiographies (Pl. XVI et PI. XVII, Nos 2 et 4). La
figure
4, Pl. II, représente la radiographie du coude, p
cupée par le sujet sur la photographie voisine - PI.XVII, N° 1). La
figure
3, Pl. XVII, représente la radiographie du poigne
te les plus grandes ressemblances avec le nôtre. En considérant les
figures
publiées par cet auteur (PI. II, figures 10, A,
nôtre. En considérant les figures publiées par cet auteur (PI. II,
figures
10, A, B, et C, de l'ouvrage cité) et repré- se
ils ont été copiés sur une mosaïque antique. Dans la mosaïque de la
figure
B, PL XXI, nous voyons une femme para- lytique,
comme dans les minia- tures du Mont-Athos. On peut constater sur la
figure
ci-jointe qu'il n'y a aucune espèce de déformat
déjà été attirée, même avant les remarques de Charles Bell, sur la
figure
du jeune possédé de Grotta Ferrata. Il existe a
ington, à Londres, une aquarelle de W. Dyce, qui est la copie de la
figure
isolée du jeune possédé avec tous ses détails c
Des exemples de ce genre se retrouvent à Corfou, à Salonique. Cette
figure
de possédé à St-Basile de Moscou, me semble con
nterne du lobe frontal gauche tdist.t'ndue el refoulée à droite. La
figure
1 donne une idée exacte du siège, du volume, de l
iques, et de de la tumeur s'appréciera aisément sur les différentes
figures
de la Planche IL ÉTUDE CLINIQUE. Tout a déjà
ue intense étouffant les fibres nerveuses, ainsi que le démontre la
figure
de la planche IL L'aspect de cette sclérose névro
ent une grande place dans cette tumeur. Il est repré- senté par des
figures
variées. Tantôt ce sont de véritables canaux qui
sont accolées, tassées les unes contre les autres et dessinent des
figures
assez variables. Si certaines d'entre elles forme
, il est curieux de noter qu'on ne trouve qu'exceptionnellement une
figure
rappelant un de ces globes, et le contraste nous
e masse cellulaire dense à ordination tourbillonnante générale, des
figures
globulaires, à structure concentrique, tout à fai
lésions que nous allons décrire peut s'apprécier à l'inspection des
figures
de la planche XXV où sont représentés les aspects
inucléaire est ordinairement atteinte en dernier. Il en résulte des
figures
différentes, liées au déplacement plus ou moins a
y en a ordinairement plusieurs pour une même cellule, et il est des
figures
très curieuses où la cellule n'apparaît plus qu
s et chaque fois que nous l'avons vue après une crise elle avait la
figure
tuméfiée et ecchymosée. La crise se développe alo
ouvelle crise qu'un mois après sa sortie. Elle revint alors avec la
figure
meurtrie comme la première fois et un nou- veau
l'esprit, elle est tourmentée par la pensée de cette dette. Elle se
figure
également qu'elle a pris DÉLIRE PAR INTROSPECTI
pen- dant elle a dans l'idée qu'elle lui a pris 500 francs. Elle se
figure
qu'elle a pris aussi de l'argent à une autre pe
es états de conscience (qu'il nous soit permis d'employer ici cette
figure
littéraire qui évoque pourtant un état mental s
d. 1877, IX, p. 485 : sacral T1'Îcltose bei Ilellenen (mémoire avec
figures
). - id. 1880, XII : ein Fall von Trichosis sacro-
s antérieurs d'hypertrichose lombaire. Deux cas nouveaux. Plusieurs
figures
. 10. Conrad Brunner. Virchow's Archiv sur patho
t, au sujet de la perfection du dessin et de l'observation dans les
figures
des démoniaques qui figurent à plusieurs repris
ans sa vingt-septième année, s'attaquer pour la première fois à une
figure
de démoniaque ; il est surtout intéressant de le
la preuve scientifique. Par l'étude, au point de vue médical, de la
figure
du possédé, entièrement différente de la même fig
médical, de la figure du possédé, entièrement différente de la même
figure
dans la Transfiguration de Raphaël, nous pouvon
ontrac- ture de la partie supérieure du corps. Et cependant cette
figure
a été très étudiée : Charcot et P. Richer rap-
e même avec la main en trident ainsi que le montre la collection de
figures
mise à notre disposition. par M. Marie et dont
tres. L'exagération de ces dimensions est des plus visibles sur les
figures
ci-jointes qui représentent les contours des crân
fants nous ont paru à peu près indemnes. Leur mère, bien qu'elle ne
figure
pas dans le groupe, présente également cer- tai
il s'était fendu la tête sur des rochers et il rentrait chez lui la
figure
en sang, sa mère était très effrayée, lui point
d. (N° 818) Un nain du type herculéen, peut-être un achondroplasique,
figure
près d'une colonne avec un singe sur l'épaule d
7 ? . H Cervelet normal , coupe faite a la même hauteur que dans la
figure
G. G Cervelet de Handeb. Le nombre des circonvo
uche nous ont permis de constater le parallélisme très exact entre la
figure
radiographique et l'état objectif de l'os. Aux
sieurs peintures de l'Ecole Hollandaise où l'attirail de la saignée
figure
parmi les accessoires. Il suffira de les rappel
u de la région cubitale, peuvent être interprétées dans ce sens. La
figure
attentive et réfléchie du vieux docteur, le regar
orax est élancé, maigre. Les bras sont très allongés et débiles. La
figure
peu intelligente. Les yeux font saillie. Les lèvr
r sur la photo- graphie reproduite dans la planche LXXI, et sur les
figures
ci-jointes (fig. 1 et 2), l'extrémité supérieur
dans, à la rencontre d'une lamelle sem- blable venue du tibia. La
figure
3 en dit du reste plus que toutes les descripti
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE TOME XIII Avec 83
figures
intercalées dans le texte et 87 planches hors tex
devient plus mince ;i gauche par suite de la compression (voir les
figures
). - Le noyau de la substance réticulée de la pr
s et désagrégées. Il n'y a pas trace de l'amygdale gauche (voir les
figures
). Par contre, les parties latérale et ventrale
es environs de ce noyau des dégénérations qui sont marquées (sur la
figure
3 a p. 71) par trois flèches. On voit nettement à
sait à la hauteur de la commissure cérébrale postérieure. Dans la
figure
9 du mémoire de Edinger on constate une différenc
LAIRE centre du nodule longitudinalement coupé. La diversité de ces
figures
prouve que les fibres nerveuses ont dans leur t
rment pas des libres nerveuses; , n'importe, c'est toujours la môme
figure
histologique,la présence de la gaine lamelleuse
rome diffus des couches profondes du derme. Ne sont-ce pas là des
figures
de fibromatose bien différentes déjà neu- rofib
II'0\L1'l'O>r SYMÉTRIQUE 47 no-lipomatose, nous avons groupé les
figures
non pas d'après leur origine ou leur ordre chro
3, p. 45. J. M..., âgé de 51 ans. Pannicule adipeux bien développé.
Figure
pâle. Au milieu de la nuque se trouve une lar
nuque. Le résultat obtenu est très satisfaisant comme le montre une
figure
jointe au travail de Mac Cormac. Oints. VIII
ans. Il n'existe pas d'autres tumeurs que celles indiquées dans la
figure
L. Il est dit que ces tumeurs étaient de consis
e est celle qui se rapporte il la ligure 0. Nous reproduisons cette
figure
il cause de la disposition intéressante de la t
vue. Il est assez fort et assez gros (taille 1·° 62, poids 6S kg). Sa
figure
est pleine, un peu bouffie même, jamais pâle, q
préter. Cet accessoire est une addition de Carolus Allaerdt ; il ne
figure
ni sur la gravure de P. Bruegel, ni sur la pein
re Jehan Kake- laer offre une lointaine ressemblance avec celui qui
figure
sur l'affiche de la vrou Hexe. On lit en effet
eur qui fait brusquement détendre le bras du turbulent Arent sur la
figure
de l'assistant Siewert. Ici le ré- flexe est gl
ouces et huit lignes, haute d'un pouce et cinq lignes. Une autre de
figure
rhomboïdale, longue de deux pouces et sept lignes
ion lente, cadencée, le pouls normal, les membres en résolution, la
figure
calme et naturelle. Je l'appelle énergiquement
face convexe, tumeur affecte les rapports indiqués nettement par la
figure
1.11 repose sur la région de la base du 3e vent
et de la maladie de Friedreich. Il cite un dessin de P. Richer qui
figure
dans le musée de la clinique des maladies nerve
de de M. François SIREDEY dont nous avons reproduit la tête à part (
figure
publiée dans la Noucelle Iconographie de.la Sal
cause le chirurgien qui l'opère ; derrière le fauteuil apparaît une
figure
grimaçante. A gauche, un autre,patient est tomb
chute, et continue à lui inciser le front. A droite, un client à la
figure
épouvantée se trouve entre deux .opérateurs qui p
tableau, pense qu'en raison de certaines incorrections de travail (
figure
d'expression uniforme, mains inhabiles, plis des
e et le co- piste n'a pas été adroit, l'oeil est grand ouvert et la
figure
plate et sans re- lief, prend une expression de
à la main sa burette d'huile, il avait glissé et était tombé sur la
figure
. Le tube s'est en- foncé fortement dans la face
ixé dans le crâne. Cependant par suite de la forme de la pointe (v.
figure
1) l'extrémité inférieure était un peu mobile.
oforme.Le trajet était entièrement en dehors de la cavité buccale (v.
figures
2 et 3). Après l'extraction du tube les mouveme
pré- sumer de ce côté un rapprochement du thorax vers le bassin. La
figure
n'a malheureusement pas pu reproduire cette dis
rcot et Bouchard, tome VII à l'article Tabes de M. Brissaud. Elle
figure
aussi dans le travail de M. IIallion, paru dans l
ier. Nous ne pouvons reproduire ici que l'image de son cadavre. Les
figures
ci-jointes sont donc imparfaites : l'application
. Fig. 9.-Obs. X (Abadie). par les épaules ainsi que le montre la
figure
, la déviation vertébrale se corrige, les courbu
laires, surmontée d'une affiche armoriée et hizarrement décorée. La
figure
ci-contre est extraite d'un livre de Hartmann Sch
serait pas déplacé dans un tableau de Corporation, avec sa joyeuse
figure
ronde, sa barbiche, son vaste feutre noir, sa fra
réalité (1). A. gauche de la composition, un homme vu de profil, la
figure
dans l'ombre, se penche pour regarder avec un l
», des « déchaussoirs » et des « poussoirs » tels que les décrit et
figure
A. Paré. On voit même sur cette table un trép
nte rapidité, son emploi n'est pas à recom- mander pour l'étude des
figures
karyokinétiques. La teneur en sublimé est trop fa
et la description de nos coupes sont accompagnées de nom-. breuses
figures
. Les grossissements très variés auxquels nous a
teints, le trauma a porté à 2 centimètres en arrière de celui de la
figure
précédente. Fie. XVIf. Le trauma a transmis ses
es vibrations dues au choc s'explique et se comprend mieux avec les
figures
de la PI. L. Nous y avons reproduit la directio
ace sont ceux que l'on constate fréquemment en clinique. Sur chaque
figure
, on voit que l'ébranlement se propageant dans l
vement par la voie orbitaire et si l'on considère quelques-unes des
figures
que nous ont données nos expé- riences, nous ve
s la deuxième circonvolution temporo-occipitale(fig. 1). La seconde
figure
(fig. 2) repro- duit l'expérience à peu près se
ngle interne, il la coupe nous trouvâmes l'aspect reproduit dans la
figure
III (Pl. LI). La tige pénètre par la pointe du
tre dans la réalité un trajet de 5 à 7 millimètres de largeur. La
figure
4 représente le résultat d'une expériences où nou
a centimètres, de dedans en dehors et de bas en haut légèrement. La
figure
représente la face externe de ce cerveau, les c
n haut et- de dedans en «Micas d'une longueur de 15 centimètres. La
figure
représente 1"Itémiph,u gauche ainsi traumatisé
du trait noir etperpen- diculaire à la première. Cela nous donne la
figure
VI tel' (PI. LII). Les noyaux gris centraux son
d'être lésé. Voilà qui corres- pond bien aux faits cliniques. La
figure
VII, PI. LUI, représente une coupe d'un cerveau d
s du cuneus. Cette expérience, ainsi que celles reproduites par les
figures
VIII, PI. LI (cerveau droit) et IX, PI. LUI (cerv
s faites sur les cerveaux pendant leur formolage, et ajoutons-y les
figures
XII et XIII, PI. LUI, qui correspondent à nos d
dent pas aux faits cliniques, cependant, on pourra constater sur la
figure
10 qui représente une coupe dans le sens sagitt
ule latéral est respecté (cerveau droit). La coupe dessinée dans la
figure
11 appartient aussi à un cerveau droit. Elle es
ain oedématiée, tassée, aux doigts épais et courts que montre notre
figure
vingt centimètres seulement au lieu de 2, soit
des altérations énormes, que l'on peut facilement constater sur la
figure
, moins marquées sur l'in- dex, et au maximum au
soit cinq centi- mètres. Son poids s'est élevé de 1200 grammes. La
figure
a perdu son carac- tère de crétinisation. Il se
Voir les Pl. LX, G. et les PI. LXL II, I, K, L. Comparez aussi la
figure
initiale (H) de profil avec la figure terminale
I, I, K, L. Comparez aussi la figure initiale (H) de profil avec la
figure
terminale (L) et voyez combien la physionomie e
'appui d'une fenêtre où tous ses ustensiles sont déposés. C'est une
figure
bien connue, que l'on retrouve dans la plupart de
ue a pu servir; mais il voir repa- raître si fréquemment cette même
figure
dans les peintures consacrées par Teniers aux é
uvent avoir été inspi- rés par des difformités pathologiques. Les
figures
1, 2 et 3, remarquables par l'exa- gération inu
ons dé- crits par Charcot et Paul Richer. Il en est de même de la
figure
tri, remarquable en outre par le strabisme dive
ions électriques et l'absence de DR dans le domaine des nerfs de la
figure
. A part ces deux groupes de paralysies la malad
e ici de différents crochets très menus, des fils et de différentes
figures
, tout cela se trouve pour la plupart auprès des v
ystèmes comme aussi dans les régions décrites plus haut, quoique la
figure
de la dégénérescence dans le faisceau pyramidal l
ença à se le- ver, se produisit un tiraillement du côté droit de la
figure
et cela persista pen- dant deux années H y a ci
ais il y a une bémianopsie homonyme ainsi qu'on peut le voir par la
figure
ci-dessous. Cette enfant est très bonne écolièr
un peu la jambe droite. Les champs visuels sont reproduits dans la
figure
ci-après. La ligne pointillée figure la limite
isuels sont reproduits dans la figure ci-après. La ligne pointillée
figure
la limite pour le rouge. Pour les autres couleurs
des. cellules, mais je n'ai pas encore eu la chance de trouver des
figures
de kariokinèse. Lorsque la myélite a duré un ce
ressem- blant à celui qu'on observe dans la rage. Même cas que la
figure
précédente. 576 MARINESCO Pachromatose la plu
canal rachidien. L'animal est mort six jours après. A droite de la
figure
on voit un foyer dans la substance grise interm
de la substance blanche antérieure. i'io. 18 B. Le même cas que la
figure
précédente ; l'inflammation est limitée ici à l
ive parfois qu'il est complètement déplacé, comme on le voit sur la
figure
. Je pense que dans ce dernier cas, ainsi FiG. 2
TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 591 du reste qu'il ressort de cette
figure
même, le cylindre-axe fait défaut, grâce au pro
dépendance de phé- nomènes de dégénérescence. C'est ainsi que la
figure
28, qui représente la coupe transversale d'une
ntéressante et savante introduction de M. Ma- thias Duval (5). La
figure
et le spécimen d'écriture que nous reproduisons P
crivait déjà en miroir en 1473, comme le prouve une inscription qui
figure
en tête d'un dessin déposé au musée des Offices.
que renversées, qui servent à indiquer les parties diverses de ses
figures
et de ses dessins sont à l'envers' comme celles
onstances extérieures, de l'effet de l'éducation, du souvenir de la
figure
des caractères tracés par la main droite, du co
Gallichon (2), Léonard esquissait rapidement de la main gauche les
figures
qui l'avaient beaucoup frappé et de la main droit
arfaite. A l'examen, femme de petite taille, de corpulence forte, à
figure
pleine, ronde sans rides, la lèvre naturelle, l
re occasion, le Dentiste de DIETRICIJ (peintre allemand, 1712-1774)
figure
dans la galerie de Schwerin (3) (Pl. LXXXIII). Di
Weimar, se trouve un Dentiste de CORNELIsz BEGA (1620- 1644). La
figure
1 représente encore un arracheur de dents, opéran
e, une dent de lait probablement. Le contraste est parfait entre sa
figure
encore angoissée, son regard méfiant, son geste
Dcrcxmc et A. Thomas (avec 3 pl. pho- tocollogr. en couleur et 2
figures
), 330. Chromatolyse après la résection du nerf
ONT; TARGOWLA; TERRILLON ; TUFFIER; WEIL. TOME SEPTIÈME Avec 98
figures
intercalées dans le texte et 48 planches. PARIS
omparaison entre notre malade (fig. 1) et ceux que représentent les
figures
2, 3, 4, se rapportant à d'autres sujets attein
IV qui reproduit un squelette d'ostéite déformante de Paget dont la
figure
a été donnée par l'Illuslratl'd médical News du 2
e du visage ou des attitudes. Et plus le geste est violenl, plus la
figure
est grimaçante, mieux l'artiste croit avoir donné
trouvaient assurément peu séduits par les attitudes forcées et les
figures
grimaçantes. Leurs artistes, épris de la beauté
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIÈRE. * Ceux-ci n'étaient que des
figures
humaines invisibles, se promenant par le monde,
Art antique est presque exclusivement consacré à la reproduction de
figures
mythologiques chères au goût national. Il y a mêm
lique (1). Dionysos, couronné de lierre, regarde vers la droite. Sa
figure
est calme et ne manque pas de majesté. Il conte
, l'analogie ne peut manquer de ressortir entre l'attitude de cette
figure
antique et celles de certaines grandes hystériq
pler. On peut donc, selon toute vraisemblance, interpréter cette
figure
comme représentant un ictus hystérique chez une
e la face qui caractérisent la perte de connaissance hystérique. La
figure
de la ménade antique est trop détériorée par le
chrétiennes de l'Amérique du Nord pour reconnaître dans ces belles
figures
la part qui doit être attribuée aux manifestati
un vase peint de la collection Jazz Ruvo, j'ai rencontré une autre
figure
de ménade qui me semble aussi justiciable de la c
dite. (1) Voici, dans l'ensemble, la description de ce vase : Les
figures
sont rouges sur fond rouge, avec quelques touches
s feuilles de lierre. Enfin sur la face opposée du vase, sont trois
figures
; un jeune homme nu, avec un thyrse, une coupe
car, dans le groupe en question, l'hermaphrodite ailé n'est pas la
figure
qui réclame une interprétation pathologique. Mi
té importante qui attire toute l'attention des archéologues. « La
figure
qui réclame tout notre intérêt est celle de la Ba
ateur regarde le cerveau par sa face supérieure ; la projection de la
figure
est donc horizontale. Le noyau caudé (NCC) s'av
soin à 63 ans, très nerveuse, impressionnable, avait un tic dans la
figure
. Père mort à 33 ans d'une congestion cérébrale
ora considérablement par un traitement non spécifique. La syphilis ne
figure
pas dans les antécédents du sujet. (2) Ilsowr
'une portant sur « l'anatomie de la teste humaine illustrée par les
figures
de ses parties », l'autre ayant trait « à la méth
i les rares parties vraies, ni les nombreuses inexactitudes, ni les
figures
« extraictes du livre d'Andre Vesale ». Notons
altéré superficiellement », avec des cautères « qui seront de telle
figure
que sera la figure de l'ulcère et os corrompu ».
ement », avec des cautères « qui seront de telle figure que sera la
figure
de l'ulcère et os corrompu ». « Pour que la vertu
présence du patient l'ayant receue, la ba- tent et la rendent de la
figure
de la plaie et l'appliquent dessus et disent qu
e inusitée de. ce numéro, le nombre des mémoires, des planches et des
figures
, et les soins apportés à sa rédaction témoignen
ette dépression contribue a accentuer l'expression de fatigue de la
figure
. Les paupières s'affrontent complètement dans la
ins de la bouche. Ces deux particularités contribuent à donner à la
figure
une expression de moue et de tristesse (Voy. Gn
pendant les stigmates du rachitisme sont bien plus accentués sur la
figure
d'un autre infirme situé à gauche de la com- po
n volumineux ouvrage sur la Physionomie (1), Lavater donne quelques
figures
qui rappellent de fort loin seulement l'aspect de
des caricatures de Hogarth que reproduit Lavater. Les quatre-vingt
figures
que l'artiste s'est amusé à accumuler sur une s
e générale progressive (1). Il vous suffit de jeter les yeux sur la
figure
an- nexée à cet opuscule et que j'ai fait repro
tiré l'attention. Les traités d'anatomie n'en par- lent pas ; les
figures
qui y représentent la moelle et les racines méd
connexions, soit il est vrai dans le canal osseux, mais sans que
Figure
Ce Le rapport des nerfs rachidiens et des apoph
sujet qui nous intéresse ; nous devons donc renoncer à utiliser ces
figures
, et pour une Figure ( ! : ). « Schéma représent
sse ; nous devons donc renoncer à utiliser ces figures, et pour une
Figure
( ! : ). « Schéma représentant le rapport qui exi
s plusieurs ra- chis d'adulte ». Il condense ses résultats en une
figure
que nous reproduisons pour la première fois (
grapbique j.lu professeur Til- taux où elle est accompagnée d'une
figure
nouvelle (fig. GS). 2° Ünecourtenole basée sur
iste de ses men- surations dans chacun de ces cas et de plus deux
figures
, l'une reproduisant l'une de ses dissections (f
t prises « sur les ra- chis ainsi préparés et soutenus verticale-
FIGURE
67-. -Variations du rapport de niveau entre l'ori
e, la rabattait en dehors et par ablation attentive de l'arachnoïde
Figure
68.- Reproduction en grandeur naturelle d'une par
lle et la portion intra-durale des racines : nous avons ainsi trois
figures
superposées et qui faites avec des encres de coul
ut donc, et c'est ce que nous avons fait, les re- présenter sur une
figure
schématique par un seul fais- ceau. C'est là
it important, concorde également d'une façon satisfaisante avec les
figures
et.les ta- bleaux de .Tadelot, de Nûhn et de Re
ute une telle formule ne prétend pas à l'exactitude mathématique.
Figure
10. Schéma analogue. Femme adulte, 1 m. 63 (au qu
il travers le rachis, et guider une inter- vention chirurgicale.
Figure
71. Schéma analogue. Fillette de 14 ans, 1 m. 40
Figure 71. Schéma analogue. Fillette de 14 ans, 1 m. 40 (au quart).
Figure
72. Schéma analogue. Garçon 12 ans, 1 m. 28 (au q
). Figure 72. Schéma analogue. Garçon 12 ans, 1 m. 28 (au quart).
Figure
ï3. - Schéma analogue. Fillette 5 ans, 1 m. 10 (a
Figure ï3. - Schéma analogue. Fillette 5 ans, 1 m. 10 (au quart).
Figure
74. Schéma analogue. Nouveau-né, sexe féminin, 80
ch. f. Ne¡'venheilk., Leipzig. 1493. Charcot J. M. Progrès médical.
Figures
(obs. de Dutil). 1893. &essler. e. /i'o)')'
u- matique. La déviation de l'avant-bras en dehors sur ces deux
figures
, n'est pas due à la flexion du coude, mais à
ent mis à nu et nécrosé une partie du métatarse, et dont une de nos
figure
représente le moignon. Ajoutons en terminant ce
racine médullaire postérieure. Nous avons dû. pour la clarté de la
figure
, représenter la section de la moelle en sens in
XLIV. Syringomyélie (déformation des mains), XXXVI. TABLE DES
FIGURES
Ambroise Paré (portrait), 35. Amyotrophie, (f
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE TOME XXI Avec de nombreuses
figures
intercalées dans le texte et 72 planches hors tex
action : .' HENRY MEIGE TOME VINGT-ET-UNIÈME Avec de nombreuses
figures
intercalées dans le texte et 72 planches hors tex
pied du pédoncule cérébral et dans l'isthme de l'en- céphale. La
figure
3 représente la coupe du pédoncule cérébral droit
ion de la partie supérieure de la zone corticale psycho-motrice. La
figure
4 représente une coupe passant par la partie infé
cile à réaliser pour la monoplégie crurale. On voit en effet sur la
figure
2 qu'une lésion de la région du lobule paracen-
u membre, stigmate radiographique d'athérome. La description et les
figures
annexées à celle-ci nous dispenseront de discut
es, la disposition à se couvrir d'ornements. Dans les six premières
figures
de cette note se trouvent six portraits de mani
général ou autre, selon les moments. Le maniaque reproduit dans les
figures
4 et 5, porte, lui aussi, une écharpe en bandou
s les hommes doivent être égaux. Le même malade se retrouve dans la
figure
15, pourvu d'un .petit t sac de toile, rempli d
mme un télé- gramme important à expédier aussitôt. La 14e et la 16e
figures
sont celles d'un type fréquent de paranoïde mil
fférentiel. Mais n'est pas constant : la démente reproduite dans la
figure
11, avec son aspect grave, ses cheveux tombant su
et le besoin de se mouvoir. Qu'on regarde, par exemple, la seconde
figure
: on y lit une gravité artificieuse et mal assuré
ehors, malgré le symbolisme. Voilà, au con- traire, le dément de la
figure
1ft dans une attitude étudiée avec un soin pati
ui-ci. Tel est, dans les exemples que j'ai cités, le ma- lade de la
figure
1. Du reste, j'ai choisi,autant qu'il m'a été pos
'ornements, essentiellement égale. Les malades représentés dans les
figures
2, 3. 4. et 5 en sont des exemples. Le maniaque
s les figures 2, 3. 4. et 5 en sont des exemples. Le maniaque de la
figure
5 a continué à porter ce béret et ces fleurs pe
. D'un autre côté, en revenant à notre sujet, j'ai vu le dément des
figures
14 et 16 changer les pièces et la disposition de
r les pièces et la disposition de son habillement, et le dément des
figures
13 et 15, changer complètement ses propres or-
fférent, comme cela arrivait à quelques époques chez les sujets des
figures
2, 3, 7, 9, 10. En af- firmant que par la persi
ntins ou ataviques. Le bonnet de soldat, en papier, des malades des
figures
2 et 6, est fort en usage chez les enfants qui
âgés, ont l'habitude de se préparer '(fig. 16-17). La malade de la
figure
11 porte sur la tête le petit mouchoir qu'elle
le second excite le rire. Ce contraste apparaît clairement dans les
figures
2, 4 et 20, relatives aux maniaques, si on les
é : cela est mani- feste dans le petit mouchoir que la malade de la
figure
11 porte sur la tête; comme il l'est également,
aits 14. et 16 ; dans une poupée, celle qui se trouve en haut de la
figure
18, dans la petite bourse supérieure de la figu
uve en haut de la figure 18, dans la petite bourse supérieure de la
figure
19. Mais si une trêve se manifeste dans l'agitati
ité démentielle, et donne des produits semblables au vêtement de la
figure
7, oeuvre d'une maniaque, ornée de bouffettes de
c une grande patience ; et dans la petite bourse infé- rieure de la
figure
19, qui ne peut se distinguer, quant au caractère
de la régularité que l'on rencontre fréquemment dans la démence. La
figure
17 est caractéristique à ce su- jet : une poupé
iaque seul a pu inventer l'ornementation du vêtement indiqué sur la
figure
10. Ce caractère du fatras arrive à être beauco
t montrer une ornementation sobre et ordonnée, comme le prouvent la
figure
8 où l'on voit un simple morceau de papier disp
simple morceau de papier disposé de manière à orner la tête, et les
figures
9 et 10. Et cela, pour des raisons variées : pour
aussitôt d'une manière un peu étrange (ainsi qu'on le voit dans les
figures
1, 8 et 10) ; et qu'un malade déjà arrivé à un
ativement bien conser- vée, comme elle l'était dans la malade de la
figure
1 f, Au contraire, je n'ai trouvé les signes sy
ns le paranoïde au délire napoléonien qui est repré- senté dans une
figure
de Tanzi (1) : et la paranoïa peut être considéré
ives curieuses, à ces recherches audacieuses qui font que les 3.000
figures
qui garnissent l'ossature de l'immense vaisseau
oulent au contraire toujours intéressantes et vivantes. Les grandes
figures
du por- tait, avec leur sourire énigmatique, pr
obes oculaires. Il citait également, à la base d'un contrefort, une
figure
d'homme en proie aux affres d'une rage de dents.
le pèlerinage de-Reims, j'ai rencontré encore un certain nombre de
figures
intéressantes au point de vue médico-artistique
uable par l'éx- pression de tristesse de la partie inf3rieure de la
figure
. Les paupières su- périeures sont abaissées sur
significa- tion de la scène n'en reste pas moins évidente, car une
figure
ailée de dé- mon s'envole au-dessus de la jeune
s frises d'un art si parfait, n'a pas voulu placer au milieu de ces
figures
gracieuses une forme tourmentée de convulsions
si pour le représenter le moment qui suit le départ du démon. Les
figures
de possédées sont d'ailleurs très rares dans l'éc
CRANE DANS LA DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIEIvTIvNE. (ffttltl,n'nnl1 ).
Figures
tirées de la Disrtnisilio n'M/ow;'M-/)/to/otfa...
io n'M/ow;'M-/)/to/otfa..... de G. Prochaska (1812) (dans l'une des
figures
est aussi représentée la fissure des arcs vertébr
gle peut être encore plus aigu qu'il ne l'est dans le crâne dont la
figure
1 ci-jointe représente la section médiane. Dans
'à la synchondrose sphéno-occipitale. Dans le cas que représente la
figure
(cf. aussi la radio- graphie de la pl. XVII) et
s l'article de Voisin,de Lépinay et Infroit et aussi du crâne de la
figure
1 de la planche XVII ci-jointe. SOCIÉTÉ DE NEUR
léreux engainant les racines sacrées droites (60 D). Ê Détail de la
figure
A (gr. : 1 io D) grosses fibres ondulées enserran
la- téral ainsi qu'il résulte d'une façon très démonstrative de la
figure
7. La com- missure blanche contient très peu de
éaction positive vis-à-vis de la méthode, ainsi qu'il ressort de la
figure
15. En outre ces cylindraxes ont tous une minceur
reuse, le roi des 164 B. PAILHAS gitanes de P... M. X... alors se
figure
immédiatement qu'il' pourrait, lui, X..., avoir
camarade et ami d'enfance de M. X... Quant au nom de Hencelin (qui
figure
sur le croquis), M. X.. croyait avoir entendu sa
aise qualité du reste -, et il ébauche sur la page 13 de l'album la
figure
que l'on peut y voir. Il s'est efforcé de rendre
essin comme pour l'exactitude chirurgicale. Le seul examen de ces
figures
montre combien les dessins attribués au Primati
fficile.D'une manière générale, dans les mouvements comman- dés, la
figure
demeure inerte ; c'est ainsi que les grimaces ne
ut la sé- parer sans arracher des lambeaux de substance grise.Notre
figure
I montre la face convexe de l'hémisphère gauche
cellulaire. Homogénéisation du noyau avec atrophie. Comparer cette
figure
à la figure F. LES RÉFLEXES CONTROLATÉRAUX .
Homogénéisation du noyau avec atrophie. Comparer cette figure à la
figure
F. LES RÉFLEXES CONTROLATÉRAUX . LE REFLEXE P
on lui fut alors substituée. Mais si l'on regarde attentivement les
figures
reproduites ici, on voit que le sujet représent
(1) Winckelmann, tYlonumenli antichi inediti, Rome, 1767, une de ces
figures
est reproduite dans un croquis du livre de R. M
normale ; les cheveux châtains sont longs, abondants, soyeux. La
figure
présente une légère asymétrie due à une déviation
nt indo- lents à la pression digitale. ' La peau est sur toute la
figure
très pâle et avec un fond grisâtre terreux ; pa
onne le même résultat ; les dimensions de l'organe sont normales,sa
figure
linéaire n'est pas altérée ; à la palpation pas d
océphalique ; le crâne facial est peu développé et les traits de la
figure
sont très menus, mais bien dessinés et pré- coc
la main, est un jeune enfant vêtu d'une robe de drap d'or. Ces deux
figures
nous paraissent représenter Louise de Savoie, v
lettres capitales : MASONNERIE ET CHARPENTE. « Toutes les autres
figures
qui ornent le volume sont de même enlumi- nées.
28 418 ' APERT ET MORISETTI naire et au pyramidal fusionnés ; une
figure
de l'article de Bouvier repro- duisant une pièc
s vitaux, mais aussi par un aspect caractéristi- que vieillot de la
figure
qui contraste avec les proportions du corps. Les
causé parcelle perte inopinée, en ravivant quelques souvenirs d'une
figure
regrettée, infiniment respectable. * . .. L
LEUBA. Tome II. 1881 Avec 13 planches noires et en couleur et 26
figures
dans le texte. PARIS BUREAUX DU PROGRÈS MÉDIC
feuillets caudé et lenticulaire de la couronne rayonnante. Dans les
figures
dont ils se servent pour expliquer les connexio
xion complète de l'index et du médius, ainsi qu'on le voit sur la
figure
(Fiq. 11). Les deux derniers doigts (annulaire e
oaz trimesta·ielle : lr décenaba·e 4880. En tète de l'ordre du jour
figure
une communication du Dr. SAVAGE sur la nomencla
ière- ment passées sous silence ; d'autre part, la folie puerpérale
figure
parmi les maladies des organes de la génération
'étendue variable qui recouvre la tunique interne de ce vaisseau et
figure
assez exactement l'effet que produirait un pinc
et pratique des maladies mentales. Vol. in-8" de 546 pages; avec 54
figures
intercalées dans le texte, un plan général et l
el pratique des maladies mentales. Vol. in-8" de 692 pages, avec 27
figures
intercalées dans le texte et 10 planches co- lu
le repli mésentériforme qui les contient, comme on le voit dans les
figures
et 2 (PL. I du t. III), qui n'ont rien de schém
oi d'un courant trop intense et qui pé- nètre trop profondément. La
figure
6 de l'ouvrage de Duchenne représente un exempl
la contraction isolée de ce muscle, ainsi qu'on l'observera dans la
figure
30 ; mais, le cou- rant trop intense, ayant pén
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ment. C'est ce qu'on peut constater sur la
Figure
1 de la Planche X, où l'excitation du muscle or
lument conforme à la description de Duchenne. L'excitation sur la
Figure
4 de la Planche IX et la Figure de la Plan- che
on de Duchenne. L'excitation sur la Figure 4 de la Planche IX et la
Figure
de la Plan- che X est portée près de la queue d
isoler assez bien l'action de ce' muscle, ainsi que le montre les
Figures
l'et'3 de la Planche XI ? 1' ' Le petit ZYGOMAT
nez participe à l'excitation. C'est ce qu'on peut remarquer sur la
Figure
3, Plan- ciie XI. Le mouvement' de la lèvre sup
e du,nez du -même côté [est* un peu-relevée. ' En comparant cette
figure
à la suivante, (qui représente i l'action isolée
rties de la physionomie un mouvement. bien caractéristique, que. la
Figure
4 t de la Planche XI et la Figure de la Planche
nt. bien caractéristique, que. la Figure 4 t de la Planche XI et la
Figure
de la Planche XII mettent parfaitement en lumiè
de ce muscle est très facilement obtenue chez notre malade. Dans la
Figure
4 de la Planche XI, la , ' Fig. 3. t, î 1 19
est susceptible de" grandes variations, suivant les individus. /La
Figure
4 de la PLnNCnE'X montre, d'une façon fort, net
demeurant' unique, se rap- proche de la ligne médiane, comme sur la
Figure
de la Planche X, le mouvement de dilatation est
ce mouvement des narines s'est ' inscrit assez nettement sur'notre
figure
pour en méri- ter la reproduction» ici, et la p
ttre 'en 'lumière ressortira' d'autant mieux qu'on la comparera aux
figures
voisines' (1 et, 2 de la même planche),' sur le
n bas de,la, commissure des lèvres, comme,il,,est indiqué sur notre
Figure
3 de la Planche XIL"Si l'excitation, est faite
lade hypnotisée, l'action simultanée de ces deux mus- clés et les
Figures
1 et 2 de, la PLANCIIEXIII sont pleine- ment -
clusion des yeux, dont le regard n'anime point la physionomie de la
Figure
1, l'expression de frayeur y est assez' bien re
re 1, l'expression de frayeur y est assez' bien représentée. Sur la
Figure
2, nous avons essayé de compléter l'expression
facile à répéter sur la face 'et les résultats que repré- sente la
Figure
4 de la Planche XIII en' sont vraiment» saisiss
ergie des deux côtés. Mais, il suffit; ainsi que le', représente la
Figure
4 de la Planche XIII, de soulever la paupière g
du nez ou des lèvres et du menton. -Dans l'expérience représentée
Figure
2, PLANCIIE IY, l'excitation porte sur le -tron
pendant l'état i cataleptiquemou j après le réveil : 1 " 1 - La
Figure
26 représente l'inscription de'ce phéno- ÉTUD
ouchant sur l'avant-bras droit le point d'élection indiqué sur la
figure
15, 7, l'index seul s'élève et demeure immobilisé
ans l'extension par la pression sur le point, moteur désigné sur la
figure
15, 6. L'aimant est appliqué près de la main ga
de la cé- cité des mots apparaît dans toute sa netteté. Qu'on se
figure
une personne qui exprime assez bien ses idées,
lui manquait, mais la possibilité d'approprier le signe tonal à la
figure
DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MOTS. 225 5
, est d'une importance ca- pitale pour le médecin légiste. Qu'on se
figure
un aphasique atteint de cécité des mots complèt
100); d'où une proportion totale de 17-48. L'épilepsie des parents
figure
pour 39 (12,70 p. 100) chez les hommes, , et po
ndres, Lippincott et G10,, novembre 1880), in-40, de 258 pages avec
figures
et 5 planches noires. ''r\..< ,, , , , 1 ...
à l'excitation, un léger degré de contraction. Fig. 2. Dans crtte
figure
, à la contraction des deux muscles orbicu- lair
BA. Tome I. 1880-1881 Avec 20 planches noires et en couleur et 22
figures
dans le texte. PARIS BUREAUX DU PROGRÈS MÉDIC
pénètre pas dans les pyramides. - Les autres lettres comme pour la
figure
précédente. Fig. 3. Coupe du bulbe à la partie
érieure de l'entrecroisement sensitif. - Les lettres comme pour les
figures
précédentes. TECHNIQUE DE LA MOELLE. 9 Ainsi
structure. Il suffit pour s'en convaincre de jeter les yeux sur la
figure
, représentant un faisceau du nerf sciatique ch
e. Toutefois, il est facile de voir dès maintenant, en examinant la
figure
1, quecontrairelllent. à ce qui se passe dans l
ur une grande longueur permet de s'assurer , ainsi que le montre la
figure
2, que la même lésion circons- crite peut s'êtr
s aspects que nous allons successive- ment décrire. Tout d'abord (
figure
3) la gaine de myéline granu- leuse cesse d'êtr
part du temps manifeste, et coloré en rose par le carmin. Ailleurs {
figure
4), la gaine de myéline tend de plus en plus à
re à ce niveau, mais le plus souvent il les contourne comme dans la
figure
5, et est simplement rejeté sur l'un des côtés
ellement représentée par le tractus A, moins volumineux que dans la
figure
précédente, accompagné par des noyaux nombreux
se peuvent disparaître presque complètement, ainsi que le montre la
figure
7. II est donc nécessaire de chercher à nous re
encore dans le même sens; *, s'il pouvait rester quelque doute, la
figure
10 serait bien de nature à les dissiper. Cette
que doute, la figure 10 serait bien de nature à les dissiper. Cette
figure
montre en effet une fibre altérée, brisée par l
r son trajet, elle nous semble directement établie par l'examen des
figures
6 et 7. 2° Phase de restauration. En regard de
qui est du premier point, le mode d'évolu- tion de la névrite, les
figures
10 et Il nous ont paru très démonstratives. Dan
les figures 10 et Il nous ont paru très démonstratives. Dans l'une (
figure
10), un tube large, T, donne naissance à une po
u plus loin en C. Ainsi donc, tandis que, dans l'exemple précédent (
figure
10), la destruction de la myéline a été totale
on pour la formation d'une gaine nouvelle, on peut admettre qu'ici (
figure
11), la dégénéra- tion a été incomplète et a re
e gaine avant d'en atteindre les parties profondes. Il s'agit de la
figure
12 montrant que la gaine de myé- line, détruite
tués sous la gaine de Schwann, noyaux qui peuvent être comme en a, (
figure
15), entourés de gout- telettes de myéline. En
des gout- telettes qui] en interrompent la régularité. Ailleurs (
figure
14), la modification est plus profonde, la gaine
ne analogue à celui que nous avons signalé plus haut à propos de la
figure
12 mais ici la modification que présente la por
onscrite, se fait sur l'une des extrémités du segment, ainsi que la
figure
15 le montre de la façon la plus nette. En pren
sait la partie moyenne de chacun des segments représentés dans la
figure
; en tenant compte de la présence en C, D et G,
rent cer- tains faits analogues à celui qui est reproduit dans la
figure
15, segment B. Ici, l'extrémité mince b pourvue
examine les diverses régions de ce segment. C'est ainsi que dans la
figure
12 le cylindre d'axe est déjà complètement dénu
rémités la lésion est manifestement plus ancienne qu'à l'autre. Les
figures
3, 10, Il, montrent le fait de la façon la plus
erminé. Comme exemple, nous citerons la fibre représentée dans la
figure
15 : au delà de l'étranglement annulaire D, cette
cause spinale, nous pouvons renvoyer tout d'abord le lecteur aux
figures
d'un mémoire publié en 1875 dans les Archives d
'agissait ici d'un cas d'atrophie musculaire protopathique. Dans la
figure
3, planche XXVIII, qui représente un tube nerve
nt le cylindre d'axe et avait fait croire à sa disparition. Dans la
figure
5, planche XXVII, qui représente un faisceau de
par trois portions minces disposées sur le même mode que dans la
figure
15, c'est-à-dire augmentant de longueur dans un
15, c'est-à-dire augmentant de longueur dans un sens déterminé. La
figure
17 qui n'est que la partie mince B vue à un trè
n des figu- res 18 et 19. NÉVRITE SEGMENTAIRE PERI-AXILE. 35 La
figure
18 nous montre une succession de segments plus
roissement se fait sur chacun d'eux d'une façon fort inégale., La
figure
19 se rapproche davantage des modifica- tions m
(A' suivre.) \ EXPLICATION DES PLANCHES* PLAXCUE 1. Toutes les
figures
contenues dans cette planche, et celles de la P
ontenues dans cette planche, et celles de la Planche II, jusqu'à la
figure
15 inclusivement, ont trait à l'état des nerfs
s graisseuses situés sous la gaine de Schwann. C, D, comme dans les
figures
précédentes. Fig. 8 et 9. Elles ont trait à la
t entourés en et B de gouttelettes de myéline. C, D, comme dans les
figures
précédentes. Fig. 9. Deuxième étape de la Phase
s dans la continuité de la fibre.' ' ' Fig.' 17. Le point B de la
figure
précédente, examiné à un très fort grossissemen
s autour de son lit, il entend la fusillade; des individus avec des
figures
grimaçantes l'injurient et le menacent de coups
te, un sentiment de constriction à l'estomac. Par moments , il se
figure
qu'il va commettre un crime, qu'il finira sur l'é
ls me tortillent ; il aperçoit des gendarmes, des croque-morts, des
figures
bla- fardes ; des rats s'échappent de son assie
rd, elle a de véritables accès de délire alcoolique : elle voit des
figures
grimaçantes, des hommes descendant par les fenê
corticaux. Nous renverrons le lecteur au mémoire original pour les
figures
intéressantes dressées par l'auteur américain :
. Robin est aussi une thèse volumineuse, elle est même illustrée de
figures
et d'une planche, mais il y a une différence se
es et publiées par E. Brissaud ; un vol. in-8" de 258 pages avec 43
figures
intercalées dans le texte, prix 6 fr., - pour n
r la mé- thode du professeur P. BERT. - Un vol. de 101 pages avec 3
figures
. Prix 3 fr. - Pour nos abonnés 2 fr. BOURNEVI
le commence, et l'in- terrompant lorsqu'elle cesse. Aussi, dans les
figures
suivantes, n'avons-nous donné que les tracés ob
e·la cuisse.^ JfI'Jb ? )q'IQ iih 61é111h ou ,rrr On peut, sur cette
figure
, constater^que les contrac-, tions sont inverse
muscles extenseurs, M E. r. i 9'" On remarquera l'analogie de cette
figure
et de celle qui représente le tremblement de l'
s ont paru à 2 ans est demi; convulsions pendant plus de 12 heures;
figure
décomposée; à la suite, paralysie de la jambe d
rmerie pour ses plaies du cuir chevelu ; il est doux, obéissant, de
figure
intelligente ; toutefois, un examen attentif mo
in de cet exposé. Disons seulement que le nom de oesthésiogcne, qui
figure
en tête de ces pages, est le nom général propos
lus rationnelles. Toutefois le plomb, bien qu'usité en médecine, ne
figure
pas', que nous sachions, dans la 'pharmacopée m
ature axillaire. - B, température du bain. La deuxième partie de la
figure
représentera température de l'eau du bain. Les
n peu repris sa raison; elle ne délire plus que par intervalles, sa
figure
reste anxieuse et contractée; les plis naso-labia
le, et en tous cas trop long, de rendre compte, sans le secours des
figures
, d'une observation des oscillations de l'achrom
r sché- matiquement les phénomènes aesthésiogéniques au moyen des
figures
usitées en physique pour les faits de polarité ou
remière édition et il y a ajouté un grand nombre d'observations, de
figures
et de planches. Ce traité est donc absolument a
dérablement augmentée, un. fort volume in-8° de 1096 pages, avec 35
figures
dans le texte et lOiplanchès-dont^ en chromolit
arties, adjaçentesjiu cejveau. JDans^la.par- tie inférieure,} decla
figure
,31on démêle jjla^substance^grisjT'de S'insula,c
at, d'après ,.Bodin,Boguet, Jean · Wier, etc. Elle est illustrée de
figures
tien rieuses empruntées au Compendium malefical
arait/sis, a clinical lecture, vol. ici-8- cartonné de 66 pages, 10
figures
et 1 planche. Lon- don, Z J. et A. Clmrchill, N
sie ou grande lzys- térie, I fort vol. ici-8- de 731 pages avec 105
figures
dans le texte et 9 gravures 31'eau-forte. Prix
S PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE Toutes les
figures
contenues dans cette planche, et celles de la P
ontenues dans cette planche, et celles de la Planche II, jusqu'à la
figure
15 inclusivement, ont trait à l'état des nerfs
est intercalé le segment dégénéré. Fig. 1. Mène lésion que dans la
figure
précédente arrivée à une période un peu plus av
s graisseuses situés sous la gaine de Schwann. C, D, comme dans les
figures
précédentes. Fig. 8 et 9. Elles ont trait à la
entourés en A et B de gouttelettes de myéline. C, D, comme dans les
figures
précédentes. Fig. 9. Deuxième étape de la phase
rcalées dans la continuité de la fibre. Fiv. 17. Le point B de la
figure
précédente, examiné à un très fort grossissemen
SOUQUES; SURMONT; TERRILLON ; TUFFIER; WEIL. TOME SIXIÈME Avec 58
figures
intercalées dans le texte et 48 planches. PARIS
e enfant bien conformée au physique et qui jouit d'une bonne santé.
Figure
un peu hébétée ; mais clic comprend tout ce qu'on
mbryonnaires sont en voie de nécrose. (Voir Planches XIII, XIV, XV,
figure
4, C). Cette nécrose avons-nous dit, est toujou
au milieu d'un amas de fines granulations d'un jaune bru- nâtre. La
figure
indiquée plus haut reproduit fidèlement un foyer
sauf dans une région peu étendue sous la pie- mère il droite de la
figure
. En vp, une veine dont les parois sont épaissies
rophie) tels qu'on les voit dans les petits territoires B, B' de la
figure
1 (coloration au carmin, grossissement 130 diam
, l'âme séparée du corps est représentée sous la forme d'une petite
figure
nue. Ici, comme sur les célèbres fresques d'Orc
ur les célèbres fresques d'Orcagna au Campo Santo de Pise la petite
figure
nue sort de la bouche du mourant. M. A. L. Sard
dans le service de M. Leloir, son observation, prise par M. Baude,
figure
sous cette rubrique dans les Annales de dermato
s cheveux et sa barbe sont noirs. Le nez tranche sur le reste de la
figure
par son aspect cyanose, de couleur violet foncé.
ements passagers du muscle dont je m'occupe ce que dé- montrent les
figures
9 et 10, pl. XXX. Pl. XXX. Fig 9. Jeune homme d
du sourcil gauche), dilatation des pupilles. En sorte que pour la
figure
10, nonobstant la faiblesse du muscle orbi- tai
avec plus ou moins d'intensité, les yeux sont en- foncés (voyez les
figures
7 et S). L'affaiblissement du muscle élévateur
le second indice de la démence. Cet indice n'est pas visible sur la
figure
n° 4, mais il l'est distinctement sur les figur
pas visible sur la figure n° 4, mais il l'est distinctement sur les
figures
nOS 5, G et 7 ; pour ce qui est de la fi- gure
fait que la parésie n'est pas la même dans les deux yeux (voyez la
figure
6). La combinaison des parésies des deux muscle
bitaire inférieur) pro- duit le tableau typique d'un regard éteint (
figures
et 7), c'est là un indice caractéristique de la
e, en sorte que, dans le langage vulgaire lorsque l'on dit « que la
figure
s'allonge et tombe », cette manière de s'exprim
quel degré d'intensité. Il est aisé par exemple de voir (2) sur la
figure
5, que la lèvre supé- rieure, en s'abaissant, e
y a aucune contraction dans ce muscle. On peut le voir aussi sur la
figure
7, mais avec moins d'in- tensité. On peut app
ure de la bouche s'allonge. Cette transformation est visible sur la
figure
5 et aussi très distinctement' chez le personna
su- mer que les symptômes sont plus compliqués. Et en effet, sur la
figure
n° 11 même, nous voyons que, s'il y a contracti
ù il n'y a pas abaissement de la paupière, comme par exemple sur la
figure
n° 12 : pl. XXX. PI. XXX. M. Makaroff, âgé de 3
épreuves absolument analogues il celle qui est représentée dans la
figure
n° 13 ; j'ai cependant avancé cette opinion, qu
que peuvent se rencontrer chez le même sujet; nous le voyons sur la
figure
11 où par suite de l'affaiblissement du système
il est oedémateux et privé de son caractère mi- mique déterminé. La
figure
4 et en partie la figure 5 nous fournissent des
é de son caractère mi- mique déterminé. La figure 4 et en partie la
figure
5 nous fournissent des exemples de ces transfor
our devenir replète, rude tout comme chez les aliénés chroniques ; (
figure
4). D'autres causes, d'ailleurs, contri- DES IN
s 4 et 5 nous présente à cet effet un intérêt sérieux. Le malade (
figure
4), professeur dans un collège, homme fort intell
uscles de la face sont relativement plus faibles. Le malade de la
figure
5 est apathique, il ne s'irrite pas même quand
ans contredit une des plus universellementrépandues. La mystérieuse
figure
du Marcheur Eternel a toujours séduit le peuple
toujours la même histoire; c'est, à très peu près, toujours la môme
figure
. Chaque année, on oint se présentera la clinique
i en a fait de vastes illustrations, ne paraît pas avoir compris la
figure
du Juif-Errant avec la même sincérité que les i
re feuilles et se trouve à la bibliothèque de Munich » (fig. 2). La
figure
du Juif dans cette vignette très simple présente
u- diés et le sentiment douloureux hien rendu. Nul doute ici que la
figure
ait été dessinée d'après nature et que l'artist
ompartiments reproduisant les principaux épisodes de la légende. La
figure
du Juif est traitée avec beau- coup de sincérit
ques, un homme et une femme sont en proie aux convulsions. Ces deux
figures
offrent de nom- breux points de ressemblance av
elle Iconographie m'a demandé de faire revivre un instant la grande
figure
de son directeur, de noire vénéré maître le pro
Le 16 au matin, il était mort. Avec lui disparaît la plus grande
figure
médicale de la seconde moitié 250 NOUVELLE ICON
douleurs erratiques d'une mimique des mains très mouvementée et sa
figure
prend une expression lamentable de désespoir.
côté externe de l'avant-bras gauche, aux endroits indi- qués sur la
figure
, apparaissent les phénomènes morbides suivants :
du Juif-Errant est peut-être le trait le plus caractéristique de sa
figure
. Les imagiers primitifs l'ont rendue avec une gra
échapper songe à une ville dont le nom a frappé ses oreilles. Il se
figure
y rencontrer des monuments superbes. Le désir de
près la méthode de M. Vigouroux produisent de bons résultats. Et la
figure
radieuse des malades qui suivent ce régime, attes
; il existe sous la forme qu'il avait prise aux siècles passés. Sa
figure
, son costume, ses manières conservent les mêmes
rappelant nos feuilles d'ob- servations médicales actuelles, et des
figures
schématiques pour représen- ter objectivement l
eureusement fait sortir d'un injuste oubli cette belle et généreuse
figure
. A celui dont la maxime était : « Prêtez sans r
ques consécutifs à une bles- sure du nerf médian, VIII. TABLE DES
FIGURES
Champ visuel dans : lèpre nerveuse, 6. contra
lésions, naguère si obscures, si douteuses, de l'organe vocal. Les
figures
ci-jointes représentent les larynx de deux malade
e le constater en écartant les deux lobes de la masse totale (voir la
figure
iv).—Chacune de ces deux tumeurs est implantée su
de de l'urètre. L'auteur établit successivement : i° que la sciatique
figure
au nombre des manifestations du rhumatisme blenno
son diagnostic éclairé par l'iconographie photographique. Les cinq
figures
photographiques qui forment la planche IX, représ
rents. Voici d'abord l'observation des malades représentés dans les
figures
i, 2, 3,4: Le jeune Louis Hottmann, âgé de neuf
e sur l'état de son fils aîné âgé de quatorze ans, représenté dans la
figure
2, elle nous déclare qu'il n'offre rien de partic
orte, comme son père, dont elle a la ressemblance physionomique. La
figure
5 représente également une atrophie musculaire gr
e l'S iliaque avec le rectum. C'est ce que l'on peut bien voir sur la
figure
pl. X. Toute la partie inférieure de la muqueus
mmun accord, en France et à l'étranger, molluscum éléphantiasique. La
figure
suivante, empruntée à l'excellent traité du diagn
nche qui accompagne cette description; la main dans sa cupule conique
figure
assez bien une des grosses papilles caliciformes
uence sur la fréquence de cet accident, on voit que la profession qui
figure
pour le chiffre le plus élevé (9) est celle d'ouv
et achève de donner à la main l'aspect tout particulier qu'indique la
figure
. Interrogé, le malade a déclaré s'être aperçu p
ri queuses des capillaires de la peau des pommettes de vieillards à
figure
congestionnée. La peau n'est plus mobile sur le
sauvegardés qu'en les confiant (i) 2 volumes in-8° avec nombreuses
figures
, chez A. Delahaye. à la plume de M. Armand Desp
énoïdien. Ces tirés peuvent servir de point de repère pour les autres
figures
laryngoscopiques. On voit dans cette figure, au
repère pour les autres figures laryngoscopiques. On voit dans cette
figure
, au-dessous du bourrelet de l'épiglotte, au point
et aux malades de s'asseoir à l'abri du soleil. La toile inférieure
figure
un plafond horizontal, fendu au centre, dans tout
la douleur produite par une scarification ou une cautérisation. — La
figure
ci-jointe représente un appareil très simple et t
s du des Hôpitaux PLANCHE XXXII VICE DE CONFORMATION DU RASSIN (
figure
l.J des Hopitaux PLANCHE XXXIII VICE DE CONFO
l.J des Hopitaux PLANCHE XXXIII VICE DE CONFORMATION DU RASSIN (
figure
2.) rachis non rachitiques n'ont aucune influen
ombaire avec la base du sacrum, et donne par conséquent au bassin une
figure
plus ou moins semblable à celle que le professeur
e profil (planche XXXV), tandis qu'elle semble à peine marquée sur la
figure
vue de face (pl. XXXVI). Cette dernière offre seu
ppé de la grande ressemblance qu'ils offrent l'un avec l'autre. Notre
figure
n'est pas non plus sans analogie avec celles que
malade accuse une légère céphalalgie; il n'y a pas de surdité, et la
figure
exprime plutôt l'affaissement que l'hébétude. L
et commencent ^ se couvrir de fuliginosités. La langue est sèche; la
figure
est plus altérée. La malade n'a pas dormi : la ve
langue, toujours sèche, et les dents encroûtées de fuliginosités. La
figure
est abattue. Il n'y a pas eu d'agitation la nuit.
ville, E. Bourgeois et G. Bouteillier. Vol. in-8 de 866 pages,avec 62
figures
intercalées dans le texte. Paris, 1869, chez Ad.
MONT; TARGOWLA; TERRILLON; TUFFIER; WEIL. TOME HUITIÈME , Avec 94
figures
intercalées dans le texte et 60 planches PARIS
s tard il remarque dans la plupart de ses accès l'exis- tence d'une
figure
lumineuse occupant bipartie obscure du champ visu
e figure lumineuse occupant bipartie obscure du champ visuel. Cette
figure
lumineuse en forme de demi-cercle dentelé, animé
ilité douloureuse augmente du bord cubital au bord radial. Sur la
figure
, la sensibilité douloureuse augmente le long d'un
inva- riable et pathognomonique de la maladie, se voit aussi sur la
figure
A. Je ferai remarquer également l'épaississemen
resté, malgré ses 17 ans, un enfant : il en a le corps, il en a la
figure
, il en a aussi le caractère et les goûts. C'est u
a moyenne. Il est peu musclé, et se tient mal (Pl. XI et XII). La
figure
est sans expression : le regard craintif et inqui
DE LA SALPÊTRIÈRE . .. A première vue, vous pouvez lire sur la
figure
de cette femme les traces des violentes souffra
refois l'occasion d'adresser à Charcot un malade dont l'observation
figure
dans les leçons du mardi (1888-1889). C'était u
nal des lombes et du sacrum, à travers les trous de conjugaison. La
figure
(fig. 8) que je vous mets sous les yeux vous donn
donne une repré- sentation nette de cette disposition. Cette autre
figure
(fig. 9) queje place également sous vos yeux, e
à l'esprit. Vous voyez, en jetant un coup d'oeil sur notre deuxième
figure
(fig. 9), que la moelle se termine inférieureme
ne innervée par le petit sciatique,- ainsi que vous le montrent les
figures
schématiques placées sous vos yeux (V. fig. B).
le muscle biceps est complètement relâché. La comparaison des deux
figures
3 et S de la planche XVII, est fort instructive
e de la VIe paire qui a été observée à la clinique de Genève et qui
figure
dans sa collection de photo- graphies. Ces fo
e, se tient le Roi, sur lequel l'attention est attirée dès l'abord.
Figure
noble, à traits réguliers, barbe blanche entière
gne contre lequel un chien aboie en montrant ses crocs. Cette belle
figure
royale est traitée avec grandeur et hardiesse. On
drée de che- veux bruns bouclés,, se détache hardiment à côté d'une
figure
de vieillard à barbe et à cheveux blancs qui oc
ux, deux valets affairés apportent des victuailles. Ces der- nières
figures
sont asse : f3ncgligées. Le fond de la toile re
ni avec l'esprit du chapitre. La « robe nuptiale » n'est ici qu'une
figure
, et le peintre l'a bien compris, car si l'on vo
utres représenta- tions de possédés. On doit encore rapprocher la
figure
du Convive indigne d'une peinture signée du nom
t l'habitus extérieur des individus de sexe douteux. Mais le mot ne
figure
même pas dans les Dictionnaires de médecine elle
Ici, il n'en est rien et la morphologie reste neutre, infantile. La
figure
aussi est restée enfantine, avec un aspect vieill
aillante, système pileux envahissant tout le corps, parfois même la
figure
, voix l'orle et goûts masculins. Selon les cas,
cès, peu musclé ; nulle part on ne voit les reliefs musculaires. La
figure
ronde est imberbe et la peau du corps est glabre.
la présence du patient l'ayant receûe, la battent et la rendent de
figure
de la playe, et l'appliquent dessus, et disent
tant des animaux fantastiques, des arbres grimaçants, des pierres à
figures
humaines qui sont tout à fait dans le goût de Bos
obscure. L'agencement des personnages, le dessin et le coloris des
figures
gro- tesques, enfin la disposition circulaire d
2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE de l'originalité dans les
figures
d'hommes ou de vieillards, une grande douceur d
us verrons bientôt qu'on peut en donner d'autres explications. La
figure
du patient qui supporte cette extirpation doulour
ui l'immo- bilise dans ses deux mains. C'est une femme âgée, à la
figure
compatissante, qui connaît sa consi- gne et tie
a tête. Le doute n'est, pas possible, surtout si l'on considère les
figures
et les costumes féminins tels que Van Hemessen a
arqua- bles de cette peinture, les belles tôles des deux femmes, la
figure
si inté- ressante du chirurgien, et. enfin, au
'Abondance est représenté un personnage polymastique (no 1236). Cette
figure
allégo- rique est sans intérêt médical. LES O
ent, l'opéré le repousse avec rage, crispant ses gros doigts sur la
figure
du malheureux et lui enfonçant brutalement son po
ux ra- coleur, un homme sur le dos duquel est juché un gros moine à
figure
contrite, portant au front la marque indéniable
atanesque, et occupant toute la moitié droite de la gravure. Chaque
figure
a son expression ; l'un est émerveillé, et l'av
e au premier abord de grandes analogies dans l'exé- cution des deux
figures
. Mais on s'aperçoit bientôt que dans la Possédée
onnel crocodile pendu au plafond. Le médecin est un homme âgé, à la
figure
sévère, coiffé d'un haut bonnet, proprement vêt
d'autre part à la brièveté de la maladie. Néanmoins on voit sur la
figure
5 une légère dégénérescence irrégulière dans l'
'est pas absolument claire, disparaît bientôt au-dessous. Enfin les
figures
1 et 2 montrent dans les faisceaux de Burdach u
la pluie et j'ai pris le train à 2 h. 54 pour X... ce malin. Ne te
figure
pas que j'ai agi ainsi pour ne pas rentrer en F
par la bouche. Il y a de l'hyperhyclrose surtout au tronc et } à la
figure
. ' Les chevilles et les pieds sont fortement oe
sont nouvelles, par exemple celle que nous reproduisons dans notre
figure
3 ; d'autres, parmi Its planches du pre- mier o
ez analogue ; une partie de ce frontis- pice, reproduite dans notre
figure
5, représente l'auteur dirigeant une « anatomie »
nt donc sa description a ceux qu'il emploie d'ordinaire et dont nos
figures
donnent une exacte idée : trépans en forme de c
Zona généralisé à la moitié du corps, XXII et XXVII. TABLE DES
FIGURES
Algésimètre de Moczutkowski, 2. Déviation de
ES ET PUBLIÉES pah BOURNEVILLE et E. BRISSAUD TOME IV avec 89
figures
dans le texte PARIS BUREAUX DU PROGRES MEDICA
ntation d'un cerveau de singe, vu latéra-lement (Fig. 2), d'après une
figure
empruntée à l'ouvrage de M. Gromier. 11 s'agit du
plus simples. L'énumération que je vais en faire, en me servant d'une
figure
, faite d'après une planche empruntée au bel ouvra
cture est très bien indiquée sur une planche de Efenle (2) et sur une
figure
du mémoire de M. Duret (3). (1) R. Arndt. —Slud
re. A cet effet, il est nécessaire de reporter votre attention sur la
figure
5 qui représente une coupe de la troisième circon
ance médullaire (1). Si maintenant vous jetez un coup d'oeil sur la
figure
qui re-présente les cinq couches de l'écorce gris
organe complexe. Je vous prie à ce propos de reporter vos yeux sur la
figure
7, qui vous remettra en mé-moire nos études antér
es vaisseaux. Elles se pigt 9, — Distribution de Vartère sylvienne (
Figure
demi-schématique.) — S, tronc de l'artère sylvien
rconvolution; trois ou quatre à la surface libre; les au- (1) Cette
figure
est empruntée au travail de M. Duret inséré dans
e la cérébrale antérieure : 2° la ligne (.—.—.), du côté gauche de la
figure
, limite la distribution de l'ar-tère sylvienne, —
ère pariétale sphénoïdale ; 3° La ligue (.—.—.—.), du côtédroit de la
figure
, limite la dis-tribution de la cérébrale postérie
a figure, limite la dis-tribution de la cérébrale postérieure. (Cette
figure
et les figures 16 et 17 soni empruntées au travai
te la dis-tribution de la cérébrale postérieure. (Cette figure et les
figures
16 et 17 soni empruntées au travail de M. Duret,
. — S Th, S ch 1 et Z, les quatre couches de la substance innominée. [
Figure
d'après M. Meynert.) A ces faisceaux qui, du pi
). Les artères lenticulo-striées ne sont pas représentées ici. (Cette
figure
est faite d'après une planche de M. Duret.) b)
une compression s'exerçant sur la capsule interne. Fig. 24. — Cette
figure
montre le siège, le mode de formation et d'extens
oyaux gris sont le plus souvent refoulés dans leur Eig. 25. — Cette
figure
montre le siège, le mode de formation et d'extens
ale viendront se surajouter à ceux de l'hémiplé-gie motrice. Les deux
figures
24 et 25 vous permettront faci-lement de reconnaî
enticulo-optique de la cap-sule, déterminant l'hémianesthésie. (Cette
figure
est empruntée, ainsi que la précédente, au mé-moi
qui mettent en relation les points divers d'un même hémisphère. La
figure
ci-contre (Fig. 30), empruntée h M. Meynert (toc,
les détails anatomiques assez complexes, relatifs à ce point, sur la
figure
suivante que j'emprunte au travail de M. Meynert
oloration d'un blanc mat, un Peu teintée de jaune. Fig. 33. — Cette
figure
est empruntée à l'ouvrage de M. Meynert (Stricker
enticulo-optique de la cap-sule, déterminant l'hémiancsthésie. (Celte
figure
est empruntée, ainsi que la précédente, au mé-moi
ns les plus voisines des circonvolutions fron-tales et pariétales. La
figure
que je fais passer sous vos yeux vous montre un b
ore bien imparfaite. Pour vous en convain-cre, jetez les yeux sur les
figures
que je vous ai déjà présen-tées et rappelez-vous
les des processus cerebelli ad testes. Ces processus (1) Dans cette
figure
et surtout dans la précédente, on peut remarquer
reconstitués des faisceaux pyra-midaux (Voy. la légende relative à la
figure
précédente). Ainsi, vous le voyez, tandis que d
relever surtout dans les importantes recherches de M. Parrot. Cette
figure
que M. Parrot a mise très obligeamment à ma dispo
s postérieures (1). (1) Nous reproduisons ici, par comparaison, les
figures
demi-schématiques publiées dans les leçons de M.
embryon humain âgé d'un mois et demi. — a, b,c, etc., comme dans la
figure
précédente. — l, Cordon latéral. Fig. 68. — Cou
d'un embryon humain âgé de deux mois. — a,b, c, etc., comme dans les
figures
précédentes. — l, Faisceau latéral. — 7n, Dévelop
ux pyramidaux existe à un titre quelconque, la contracture permanente
figure
parmi les symptômes habituels. 1° Prenons le ca
traction exagérée des gastrocnémiens. Son corps se penche en avant et
figure
un plan incliné, de telle sorte qu'il est à chaqu
et une fois seulement (cas de la femme Pic... (2), la contracture ne
figure
pas au nombre des symptômes consignés dans l'obse
a-midal) ; il suffit, pour s'en convaincre, de jeter les yeux sur les
figures
très exactes, d'ailleurs, que M. Leyden a jointes
nne avec l'atrophie du maxillaire, un aspect des plus étranges à la
figure
de la petite patiente. Elle ne souffre plus de
ation particulière est très marquée chez le sujet représenté sur la
figure
28. Quelquefois le coccyx, tout à fait superfic
marquées que l'on peut arriver à accepter cette interprétation. Ces
figures
légen- daires peuvent s'expliquer plus simpleme
ux est peu développé en général comme dans le cas représenté sur la
figure
29 ; mais lorsque lés poils atteignent une long
; après avoir mangé il se sent tout gonflé, le sang lui monte il la
figure
et'Il est tout somnolent. Il est faible, facile-
cette diminution FIG. 31. Curciuosc de la colonne vertébrale. Cotte
figure
montre l'ellacell1nt de la concavité lombairo n
diminution de hauteur fit. 32, - L : ai ci') ose vertébrale. Celte
figure
montre, outre la déformation lombaire, le rapproc
é, les deux mains se rejoignent en anse sous le creux du jarret. La
figure
exprime l'attention, sinon l'anxiété; peut-être
de voyageur pédestre. Le barbier - car c'est bien un barbier, les
figures
du dernier plan de droite représentant un employé
Marey, permettent de se rendre compte de ces modifications. Sur la
figure
37, le mode respiratoire a été inscrit pendant qu
emières minutes, représen- tées par les deux lignes inférieures (la
figure
représente 32 secondes de chacune de ces minute
es secousses de toux apparaissent entre les bâil- lements. Sur la
figure
38, les secousses de toux sont encore bien plus m
1888). 1'ow (T) et bâillements (B). -. Mêmes conditions que pour la
figure
37. 102 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE
normale. Les deux tracés suivants en fournissent la preuve. * La
figure
40 représente la respiration de la malade inscrit
fré- quents et plus amples bien que encore assez irréguliers. La
figure
41 présente les mêmes caractères, avec celle diff
oires normaux, comme on peut s'en assurer en jetant les yeux sur la
figure
42. Celle-ci représente la respiration d'une autr
r terre, mais reste dans la position où elle se trouve, se cache la
figure
avec ses mains et pousse des cris aigus. En même
analgésie, du moins une diminution no- table de la sensibilité à la
figure
et dans toute la moitié droite du corps. De plu
s épaules. Or, on peut voir sur nos tracés, particulièrement sur la
figure
40, que l'inspiration dans le bâillement hystér
service de M. le professeur Charcot. Cet appareil, que produit la
figure
44, ressemble, au premier abord, il l'appareil
'atrophie cérébrale de l'enfance. Cet infirme est un adolescent. Sa
figure
est imberbe, mais sa taille est bien au moins é
nquait à notre collection et qui mérite de prendre place à côté des
figures
de Victore Carpacio, de Raphaël, de Déoda Delmo
Ïactuellement un malade qui présente, comme on peut le voir sur les
figures
2 et 3 de la planche XXVI, les signes de Stclhvag
vre alors au moins 4 millimètres de sclérotique. La comparaison des
figures
1 et montre que les rides frontales ne sont pas
énéral entre l'énergie et la vitesse des mouvements volontaires. La
figure
45 donne la représentation graphique de la pressi
égie droite incomplète avec contracture légère et hémichorée. Cette
figure
montre que, malgré sa bonne volonté, le sujet e
façon constante', chez les épileptiques à la suite des accès2. La
figure
45 montre encore que la courbe du côté hémiplégiq
ral. En outre, le plateau est plus trémulant qu'à l'état normal. La
figure
49 reproduit la courbe d'un épileptillue avec l
! sa courbe s'exagèrent après le paroxysme comme on le voit .sur la
figure
50. 'Il est il remarquer que ces troubles de la
inférieur droit légèrement fléchi, dans l'attitude indiquée par la
figure
. La station assise est douloureuse, et le malad
stater com- ment le peintre flamand, du moins en ce qui concerne la
figure
du jeune possédé, s'éloigna résolument du table
ine, et, à la place d'un personnage de convention, sut dessiner une
figure
prise sur le vif et toute palpitante de réalité'.
et la localisation parfaite des lésions. - La planche XLII et la
figure
741 nous dispenseront d'entrer dans de longs dé
dans ce môme musée un moulage dont nous donnons le dessin dans la
figure
76 et sur lequel le nôtre semble calqué, si, fais
e supé- rieure de la face; néanmoins dans le fait de Wachsmuth1, la
figure
était lisse, sans rides et immobile, la paupièr
iguration (la) du Sacro monte di Va- rallo, 37, 38, 39. TABLE DES
FIGURES
Amas graisseux de la partie supérieure et ext
es fioles qu'elle allait laver, quand une infirmière s'aperçut que sa
figure
changeait et qu'elle semblait pleurer. Elle couru
eu lieu jusqu'alors —de tomber dans la rue et de se blesser à la
figure
ou à la tête; jamais de morsure delà langue; deux
eux malades : la description que nous allons donner, éclairée par les
figures
2 et 3, donnera une idée très-exacte des caractèr
n plaintif: « Oh! la la !... Oh! mon cou!... Oh! ma tète !... » et sa
figure
grimace, accuse la souffrance. D'autres fois, P
ec elle, nous voyons survenir une crise d'un genre particulier : La
figure
grimace affreusement, reprend son expression ordi
ière fois. Léger érythème de chaque côté du sillon interfessier. La
figure
est souvent grimaçante. La tète est à peu près co
Juin. Etat de la malade. — P... est maigre, ne pèse que 51 kilogr. La
figure
est vieille ; les rides sont nombreuses. La peau
urgatif). La vue est trouble parfois ; V... s'imaginait, hier, que la
figure
d'une de ses compagnes ressemblait à un monstre ;
nverse quelquefois tout lecontenu du verre le long de son cou, sur sa
figure
. La langue se croche, se retourne. La parole est
de a toujours le temps de se coucher. Quelquefois, cependant, elle se
figure
que l'attaque va s'arrêter, que les phénomènes qu
onc s'incurve, décrivant une courbure à convexité latérale gauche. La
figure
devient d'un rouge vermillon très-vif et se couvr
ce : « Sale bête! Pignouf ! .. Est-il permis?... » Elle te cache la
figure
avec les mains, croise les bras, menace de la têt
Tu t'es toujours figuré que j'en avais un rue des Saints-Pères. Tu te
figures
que j'en ai six à quinze ans .. Les paroles s'en
pas le dire à Antonio; il garderait le secret pour lui. » Repos. —
Figure
souriante, moqueuse. Vous êtes drôles, tous les
le... Repos ; allonge la langue, grince des dents, est en colère ; la
figure
se congestionne ; L. .. montre le poing ; puis la
ui fiche des coups de pied.. . Oh ! oh ! des coups de poing » Repos ;
figure
souriante : « l'as plus toi que les autres... Je
Et quand elle t'a dit cela, tu ne lui as pas jeté une bouteille à la
figure
? Tu m'en contes des mensonges .. Tu es un lâche.
bête. . . Je n'ai jamais vu un garçon bouché comme ça. .. » Repos ;
figure
souriante, moqueuse. « Finis donc tes sornettes
e bras et la jambe du côte gauche demeurent tranquilles. {Fig. 6). La
figure
7 donne une idée générale des deux temps (1). A
au moment même du réveil, mais aussitôt que la malade (l) Ces trois
figures
, ainsi que les figures 4 et 8, sont dues à M. P.
l, mais aussitôt que la malade (l) Ces trois figures, ainsi que les
figures
4 et 8, sont dues à M. P. Richer, interne du serv
hes. (Expression de colère , agitation).. . Pourquoi je me cachais la
figure
au cours ?. . C'est à cause de vous. .. J'en aver
ovarienne. Bientôt, X... incline la tête, croise les bras, cache sa
figure
avec ses cheveux et ses mains, parle bas, fait av
ucinations de l'ouïe),se relève, s'asseoit sur son oreiller, cache sa
figure
dans les mains, pleure, parle bas... et se réveil
Iconographie. 12 ** un autre, celui de Geneviève, dont l'histoire
figure
dans le premier volume de Y Iconographie. En oc
vue. « Le Démon, dit-elle, m'apparut pour y la première fois sous la
figure
d'un chat de la Mai-» son, qui mit deux de ses pâ
e à des hallucinations de la vue : Jésus-Christ lui apparut « sous la
figure
ou de crucifié, ou û'Ecce Homo, ou portant sa cro
LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHIQUE TOME PREMIER Avec 89
figures
intercalées dans le texte et 50 planches PARIS
ontinu qu'il laisse sur le sol présente des irrégularités dont la
figure
7 rend parfaitement compte. Mais, regardons mar
s doubles em- preintes qu'il est donné de voir en deux points de la
figure
8; le trem- blement s'accentuant alors avec la
rique, ainsi qu'on peut le voir du reste par comparaison, sur cette
figure
9, que nous emprun- tons à notre thèse. A la
lution figurée de la marche dans l'hémiplégie ordinaire sur celle
figure
10 que nous empruntons encore au tra- vail préc
ques indélébiles ainsi que le montre la photographie (Pl. 4). Cette
figure
prouve également qu'il ne s'agissait là que de
marquée, ainsi qu'il est facilc de s'en convaincre en regardant la
figure
24, comparée à la figure 28, repré- sentant l'e
facilc de s'en convaincre en regardant la figure 24, comparée à la
figure
28, repré- sentant l'empreinte d'un pied, norma
ace sont mani- festement tremblés, ainsi qu'on en peut juger par la
figure
25. Ons. V. - Pascaline Gr... âgée de vingt'ans
nom. Qu'on compare maintenant les tracés et particuliè- rement la
figure
24 représentant l'empreinte du pied d'Aub... av
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. | suite des accès, comme on le voit dans la
figure
29 qui reproduit le tracé respiratoire pris une
s un accès chez le sujet dont le tracé normal est représenté par la
figure
33. On voit sur cette figure 33 que, à la suite
le tracé normal est représenté par la figure 33. On voit sur cette
figure
33 que, à la suite de l'accès, l'inspiration pr
piratoire et le spasme du long supinateur gauche, * On voit sur la'
figure
34, qui représente cette expérience, qu'aux sec
mbre et les douleurs à la pression il existe une zone d'anesthésie (
figure
34), comprenant en bas la partie supérieure du gr
est hors de la bouche et pend droite. Nous connaissons bien peu de
figures
grotesques dans lesquelles la langue est tirée
é. On peut en trouver cependant un spécimen dans un groupe de trois
figures
empruntées à l'une des stalles sculptées de l'é
formation analogue des traits, moins la saillie de la langue. Cette
figure
provient de la collection Campana; elle se trou
alle Charles X (pièce non nu- mérotée). Tout le côté gauche de la
figure
est contracté, l'oeil est fermé, la narine fort
trigone. 1 w On pourra se rendre compte de ces dispositions sur la
figure
49, empruntée au traité d'anatomie de Iluguenin
ame blanche qui double les circonvolutions. La cavité ventriculaire
figure
par conséquent-une vaste poche qui ne présente
on trouve une augmentation de l'impulsion, comme on le voit sur les
figures
53, 54, 55. ' 1. Il s'agit du malade atteint d'
r deux femmes. Pas la moindre recherche dans l'arrangement de cette
figure
; les bras reposent inertes, ramenés sur le deva
uables. La tête est droite, la la face impassible contraste avec la
figure
toute pleine de compassion du moine qui s'appro
plus incertaines. Je crois inutile d'indiquer leur topographie. Les
figures
70 et 71 sont suffisamment explicatives. Si, à
re le naturalisme et la convention, il n'a réussi qu'à-composer une
figure
contradictoire au point de vue spécial de la cr
le rachitisme. Or il nous semble précisément que Raphaël, dans les
figures
de ses deux infirmes, a cherché à reproduire les
r incrédule qui soulève le pan de son vêtement mais il garde sur sa
figure
les marques de la maladie qui 172 NOUVELLE ICON
qui la termine ferait supposer beaucoup plus accentuées. Dans la
figure
de l'infirme qui occupe l'angle droit de la compo
circonscrites, inégales, et présentent des formes diverses dont les
figures
70 et 71 peuvent rendre compte. Dans les interv
e de Florence, attribuée à Taddeo Gaddi ou àAndrea de Florence, une
figure
d'aveugle assez bien réussie, toute rigide, la
rapide, ses mains augmenter de volume; il la même époque aussi; sa
figure
a éprouvé des modifications que nous signaleron
pustules de rupia. Sur la droite, deux femmes à genoux portent à la
figure
, au cou et aux mains, les mêmes altérations. A
troubles dans les fractures de colonne vertébrale), 45. TABLE DES
FIGURES
Calleux (corps) (absence de dans l'imbécil- l
UBLIÉES par BOURNEVILLE, SEVESTRE ET BRISSAUD TOME VI avec 38
figures
dans le texte et 7 planches PARIS AUX BUREAUX
x côtés juxtaposés, mais dont les angles sont arron-dis. Au centre de
figure
de chacun de ces espaces, on voit un orifice arro
07 et 318 du Traité d'histologie de Kolliker, édition fran-çaise (Ces
figures
sont relatives au foie du lapin), et les figures
tion fran-çaise (Ces figures sont relatives au foie du lapin), et les
figures
4 et 5 du Mé-moire de Hering. (Schultze's Archiv)
occupées par les vaisseaux sanguins. — B, B, capillaires biliaires. (
Figure
demi-schématique.) TROISIÈME LEÇON De la cell
310); si elle est très mince, autour de chacun des petits carrés que
figure
la cellule hépatique, dans l'intervalle et à égal
à contenir une ou deux couches cellulaires, vous voyez, comme sur la
figure
5 du mémoire de Hering, chaque orifice vasculaire
hépatiques atro-phiées ; — a, canaux biliaires interlobulaires. Cette
figure
est empruntée au Manuel Wanatomie pathologique de
l serait beaucoup Fig. il. — Canaux biliaires dessinés en a dans la
figure
précédente. — Les canaux a, remplis de cellules d
ersale de l'un des canaux biliaires. Grossissement de 350 diam. Cette
figure
est empruntée au Manuel d'anatomie pathologique d
haut degré de bien connaître. (1) Virchow's Arclriv, 1869, Bd. 39,
figure
relative à la grenouille. (2) Voyez la figure d
rclriv, 1869, Bd. 39, figure relative à la grenouille. (2) Voyez la
figure
du Manuel de Slricker, p. 445. Il esl incontest
laissent entre elles, au niveau de leur sommet, un petit pertuis qui
figure
la coupe transversale d'un canal sans paroi propr
space formé par ce tissu. V, Coupe d'une bran-che de la veine porte. (
Figure
empruntée à MM. Corail et Ranvier). Il est rare
tale comparée permet peut-être de comprendre pour-quoi l'acide urique
figure
dans la composition de certains calculs biliaires
e foie et dans la bile. En tête se placent le cuivre qui, à la vérité
figure
d'habitude, à l'état physiologique dans la bile,
acide urique, sous forme d'urate de soude, s'accumule dans le sang et
figure
, comme élément essentiel, dans toute les producti
le chiffre est relativement si élevé dans les analyses de la bile, ne
figure
dans les cholélithes de l'homme que pour une quot
foncée est principalement marquée dans leur partie centrale. (Voir la
figure
de l'Atlas de Frerichs). Quand on pratique des se
indrique, tantôt ampul-laire, qui se trouve bien représentée dans les
figures
45 (p. 145) et 39 (p. 121) de l'ouvrage de Frer
un faible grossissement. A ce propos, je vous ferai remarquer que la
figure
40, insérée par Frerichs à la page 120 de son liv
en conséquence de l'oblitération du canal cholédoque; enfin, elle ne
figure
pas les vaisseaux artériels et veineux, satellite
-même, soit à la veine porte près du foie. Chaque veine de ce système
figure
en raccourci une petite veine porte. Èn effet, el
vier etCornil ont représenté très fidè-lement ces dispositions sur la
figure
100 de leur Manuel (p. 193;. Il est facile de s'a
T les9 vtfsseaux^^ stuck) ; mais des coupes prati- représentent des
figures
étoilées. quées plug ^ yerg ]e milieu de la cou
tissu embryonnaire de nouvelle for-mation, et par les glomérulcs, g. (
Figure
demi-schématique, d'après les préparations de M.
e-rai ici que les formes subaiguë et chronique primitive. L'une des
figures
du R. Bright vous offre un type parfait de l'alté
girait Y albuminurie. Celle-ci en effet, quelle que soit son origine,
figure
parmi les cir-constances qui président au dévelop
où il n'y a pas, cependant, suppuration prolongée; ainsi la syphilis
figure
aux premier plan dans certaines statistiques ; on
re pas pour nous, quant à présent, d'intérêt pratique, parce qu'il ne
figure
pas dans la pathologie de l'homme. L'intérêt qui
iques de la néphrite albumineuse aiguë ou chronique. La plupart des
figures
qui accompagnent ces leçons ont été dessinées par
Chrîmolith PLANCHE II. Fig. 1. — Cirrhose vulgaire (Annulaire), —
Figure
schématique repré-sentant une granulation dans la
trales des lobules. Fig. 2. Cirrhose biliaire. (Cirrhose en îlots),
Figure
schématique des-tinée à montrer le mode de dévelo
édoque par un calcul. (Chambré claire, même grossissement que pour la
figure
précédente.) AA, Ilots scléreux développés au n
de Ilanot, p. 35). (Chambre claire, même grossissement que pour les
figures
précédentes). A,A,A, Ilots scléreux développés au
rhose granuleuse.) — (Chambre claire, même grossissement que pour les
figures
précédentes;. A, Granulation de premier ordre. B,
ses granulations). — (Chambre claire, même grossissement que pour les
figures
précédentes). A,A,A, Granulations de premier ordr
. — Aspect extérieur du rein contracté. — Dimensions normales. (Cette
figure
a été gravée d'après un dessin fait, d'après natu
des dessins fût aussi complète que possible. Je n'ai emprunté aucune
figure
de cerveau de mammifères aux auteurs qui m'ont pr
, i83a, t. Ier, p. 119. (3) Manuel d'acilnologie. Paris, i834, avec
figures
,In-8. p. 65. I. 1 eu plus de succès; il en a
(1) On the nervous system. London, i837,Inr4j p. 7- (2) Y ay. cette
figure
reproduite d'après l'original, pl. ir». (3) Out
nt dans l'huître, est surtout destiné au mouvement. Poli a donné la
figure
du système nerveux d'un certain nombre d'acéphale
pl. ire. Tous les nerfs de l'escargot ne sont pas reproduits dans la
figure
, parce que cette figuré n'est pas grossie et que
viennent les différens nerfs. Je n'ai pu apercevoir d'œil quoique la
figure
de Phipps paraisse en indiquer un, ni aucun organ
s des tentacules digitales, les nerfs des tenta- (i) V. pl. ire, la
figure
publiée par M. Owen , et que j'ai reproduite. c
le seul qui soit impair est située au-dessus de (i) "V. pi, tre, la
figure
du système nerveux du ponple, reproduite d'après
s Cuvier et M. Martin-St.-Ange. (a) Voy. Pl. ire où se trouvent les
figures
représentant le système nerveux de l'anatife, du
le ganglion céphalique, ni les doubles racines des nerfs spiraux. La
figure
que je publie sur le même sujet montre toutes ces
anatomico-phy-siologicœ duce, Rigœ et Dorpati, 1837, in-4),adonné la
figure
du système nerveux de la Néréide pub. Il y a beau
ème nerveux de la Néréide pub. Il y a beaucoup d'analogie entre cette
figure
et celle que j'ai fait exécuter pour le ver de te
compose d'un double cordon nerveux, et M. Joseph Swan qui a publié la
figure
du Système nerveux du même Annelide, n'a pas même
828, t. xrv,p. 77. (2) V. la pl. i|C où se trouvent reproduites les
figures
publiées par 3MM.-4»doiiin et Milne Edwards, ô*u
nce peut-elle être soumise \ des (0 r.pl. ire. (u) /'".pl. ire, U
figure
du bourdon reproduite d'après Trevirantts, Ûïolo-
apparence lenticulaire, ainsi qu'on peut s'en assurer en regardant la
figure
publiée par Ratzeburg et que j'ai reproduite (1);
dien chez les animaux dépourvus de rachis. Jetez un coup-d'œil sur la
figure
(pl. lre) qui représente la partie supérieure du
frapper ses yeux sans les blesser et sans les diviser cruellement. La
figure
des corpuscules qui composent la voix du coq est
régularité plus ou moins grande, dépend uniquement du nombre et de la
figure
, et nullement de l'intelligence de ces petites bê
naître, chez la plupart des poissons : en jetant un coup-d'œil sur la
figure
de l'encéphale du squale-renard (pl. 11), on y re
ublié par M. Swan. M. Martin Saint-Ange a aussi publié une excellente
figure
de l'encéphale delà raie, mais il n'a pas indiqué
brochet. Nous ne possédons malheureusement qu'une assez mauvaise
figure
du xiphias gladius, ou xiphias espadon, c'est cel
magnifique ouvrage sur l'anatomie de la tortue d'Europe, a donné des
figures
très exactes du sys*-tème nerveux de cet animal;
me nerveux de cet animal; l'ouvrage déjà cité de M. Swan contient des
figures
représentant le système nerveux de la tortue vert
ux de la tortue verte ; le savant professeur Mayer de Bonn a donné la
figure
du système nerveux encéphalique du meno--poma et
te cause que les lobes optiques sont plus ou moins en saillie sur les
figures
de la planche x x. des nerfs qui se distribuent
nt exécuter les planches de son Anatomie comparée, que pas une de ses
figures
n'est exacte et la description qu'il donne des ci
depuis 1829, n'on pas su tirer parti de la découverte de Rolando. Les
figures
du cerveau de l'homme, publiées dans le grand ouv
it nombre, sembleraient avoir été faites exprès pour la doctrine. Les
figures
h et 5, planche xxxm, qui représentent dans la pe
rie basée sur des observations de cette nature. Mais encore, dans les
figures
de cerveaux de mammifères que M. Vimont a fait re
ans celui qui fait le sujet de la planche lxxxiii de son atlas. Cette
figure
est entièrement dissemblable des cerveaux humains
pour me servir d'une expression employée par M. Vimont à l'égard des
figures
de têle et de cerveaux publiées par Spurzheim, el
mont", contient une multitud d'erreurs extrêmement graves. Toutes les
figures
servant à l'application soi imaginaires. Il est c
omiste un peu distingué ne peut réellement pas jeter le* yeux sur ces
figures
, sans éprouver un sentiment pénible, tant elles s
t une partie seulement, celle qui forme le lobe d'hippocampe, dans la
figure
2, et dont la (i) Op. cil, presque totalité s
ure 2, et dont la (i) Op. cil, presque totalité se trouve dans la
figure
3, au-dessus du corps calleux c. c. A (fig. 3) co
respond à la même lettre placée sur la quatrième circonvolution de la
figure
2, et indique l'union de la quatrième circonvolut
ifères, celle des renards, quant aux circonvolutions cérébrales. La
figure
1 (pl. iv), représentant la face supérieure du ce
, dont la fig. 3 montre la partie interne et postérieure P, et que la
figure
2 fait voir de côté seulement. Cette circonvoluti
partie antérieure du cerveau jusqu'au lobe d'hippocampe (l. h., môme
figure
). Les trois autres sillons (si., si., si., fig. l
ix, (i) Gall, planche xxxv de son allas, avait déjà crayonné cette
figure
, mais sans en tirer aucune induction. fig. 1 et
bercule pi-siforme ou corps mamillaire (c. m. mêmes planches et mêmes
figures
) ; en avant et en bas , la paroi du troisième ven
ai dit que le lobe cérébral de l'éléphant des Indes, dont je donne la
figure
, était trop déformé pour avoir conservé ses dimen
la Mismic, il y a un chien qui parle. C'est un chien de paysan, d'une
figure
des plus communes et de grandeur médiocre. Un jeu
emblable aux chats comme on en pourra juger en jetant les yeux sur la
figure
qu'en a publiée M. Richard Owen (2). Le naturel d
Fuidolphi, se trouve exprimée d'une manière très nette dans les deux
figures
de Pongo que vient de publier M. Owen. L'une de c
les deux figures de Pongo que vient de publier M. Owen. L'une de ces
figures
représente la tôle d'un jeune Pongo; l'autre cell
t. v, p. 186. (2) ld.. id., p. 187. (3) Y. pl. 11 de l'atlas, la
figure
du cerveau du castor. (4) Ibid., pl. x. plus
nces qui séparent les auteurs. Sano avait fait observer déjà que la
figure
du 6e segment cervical de Parhon et de Goldstein
ettes peuvent se constater dans les autres segments. Ainsi, dans la
figure
39 de De Neef, les groupes A, C, D, corresponde
nanoff en 1891. C. - L'aîné des frères Meulen... vu de dos. Cette
figure
montre très nette- ment la déformation « en tai
ion. M. Pierre Marie rapproche ce cas de celui du jeune Worm... qui
figure
dans le mémoire publié avec Charcot sur l'amyot
int, la malade peut siffler, le rire se fait avec l'expres- sion de
figure
normale ; les orbiculaires des paupières donnent
festé les propriétés myopathiques au' degré le plus prononcé : à la
figure
, les muscles du front ; aux membres supérieurs,
se retrouvent dans les images de démoniaques; le petit dia- ble qui
figure
auprès d'elle est caractéristique. Une autre fr
yen du corps de la 2° vertèbre lombaire, ainsi que le représente la
figure
placée devant vous(fig. 1). Le reste du canal rac
e de la cuisse; ses limites exactes se trouvent représentées sur la
figure
schématique (fig. 3) placée devant vous. J'ajoute
t innervés par des branches du plexus sacré, ainsi que le montre la
figure
placée devant vous (fig. 4. ' Chez notre mala
s lombaire. Aussi 90 RAYMOND bien, l'anesthésie des testicules ne
figure
pas dans la symptomatologie des affections de l
les plexus sacré et sacro-coccy- gien. Ainsi que vous le montre la
figure
, ces racines tirent leur origine de la portion
compte rendu de leur communication. Nous connaissons cependant des
figures
un peu analogues. Dans certaines coupes de tiss
e l'entrée de l'enfant à l'hôpital. La mère n'a pas remarqué que la
figure
ou les mains de sa fillette se soient oedématié
oppement physique, l'augmentation de la taille a été nulle; mais la
figure
, manifestement désinfiltrée, désempâtée, a pris d
uscles grand rond et grand dorsal qui paraissent hyper- trophiés.La
figure
photographique ci-jointe en donnera une idée mieu
subi de traitement mécano-thérapeutique ; les progrès sont nuls. La
figure
présente la placidité souvent observée par suit
hésie, hypothermie et guérison très lente des plaies des jam- bes).
Figure
angélique, front olympien, et dépressions aux tem
fert de coliques satur- nines avant la naissance de l'enfant. Les
figures
A et B présentent un cas vraiment difficile à dém
ur intéresse l'un de nos sens, selon sa situation dans l'espace, il
figure
dans telle partie du champ sensoriel, c'est-à-dir
-dire vers la convexité occipitale gauche ; le champ auditif droit se
figure
diamétralement sur la région temporale gauche,
ence. Cela ne prouve nullement que les attitudes dont la succession
figure
le mouvement ont cessé de faire image au niveau d
même figuration topographique divers centres psychiques, comme une
figure
géométrique relie divers points. Une image psychi
ments. L'aspect de nos coupes présente beaucoup d'analogie avec les
figures
de Ziegler se rapportant au gliome, mais les él
ents dissociés ne présentent pas les ramifications fibrillaires que
figure
cet auteur, on est donc forcé d'admettre qu'il
e mécanisme est admise par Ahlfeld (1), et dans son atlas plusieurs
figures
peuvent se rapporter à des cas de ce genre. . C
et dans quelques cas on voit de grosses gouttes qui coulent sur sa
figure
, la respiration est anxieuse, le coeur palpite, l
ment et immédiatement change d'attitude, il respire librement et sa
figure
exprime le soulagement et le calme. Vous voye
epos. On voitla différence qui existe entre les deux courbes. Dans la
figure
3, ce même dispositif, tracé pris quinze jours
en rendre compte par un grand nombre d'explorations portant sur la
figure
, sur les bras, les avant-bras, la poitrine et l
n ne ren- contre même pas ces poils follets que l'on observe sur la
figure
de certaines femmes. Les cheveux sont nombreux,
Les méninges sont épaissies, notamment à la partie supérieure de la
figure
. L'atrophie radiculaire augmente brusquement, e
lement appar- tenu à une cellule ganglionnaire atrophiée. De telles
figures
sont relativement trop fréquentes, sur les prép
ite et périnévrite intense. Les racines antérieures, en haut sur la
figure
, sont saines. 13. - Mêmes racines à leur sortie
x conjonctifs, la distinction peut être difficile, et en tous cas les
figures
qui rappellent plutôt la coupe d'un cylindraxe
régiment ces idées de persécution ne font que se développer. Il se
figure
qu'on le regarde de travers, qu'on fait des allus
a scoliose, deux manifestations de la déséquilibration du tonus. La
figure
et l'em- preinte du pied sont caractéristiques.
é de contester la réalité de cette lésion, et de sup- poser que les
figures
dont nous parlons résultent d'une section dirigée
d'écarter cette cause d'er- rieur.- L'hypothèse qu'il s'agit là de
figures
d'involution normale propres à la cellule gangl
hisme complique singulièrement, on le conçoit, l'interprétation des
figures
anatomo-pathologiques. Nous avons fait trop peu
e ergogram- mes. Chaque colonne verticale représente une série. Les
figures
se lisent de gauche à droite. ACTION PHYSIOLO
ns la chambre d'un malade. Au premier plan, à droite, se détache la
figure
traditionnelle du médecin - la tête à longs che
. Derrière le médecin un homme âgé, à cheveux et à barbe blancs, la
figure
contractée par la douleur, semble réclamer l'at
ile nous voyons étendu dans un lit somptueux un malade qui cache sa
figure
dans ses mains. Le drap ramené sur les cuisses
sans discontinuité, depuis la fesse jusqu'au pied, de chaque côté (
figures
1 et 2). Les troubles de la mixtion sont restés
appelez-vous que cet homme est un alcoolique avéré. Or l'alcoolisme
figure
au nombre des causes les plus fréquentes des né
o. - Caillot organisé ancien. (La fente que l'on voit à droite de la
figure
entre les tuniques vasculaires et le caillot or
endrait en partie du cervelet, en par- tie du noyau de Deiters. Nos
figures
reproduisent, en particulier, très exac- tement
ue des cellu- (1) Nous renvoyons à l'observation primitive pour les
figures
et la suite de l'examen histologique. T. XV.
e à gauche ; les plis du front se font également des deux côtés. La
figure
est sans expression, la malade est d'ailleurs peu
P.-E. Laullois et Pierre Roy.) , Le géant Charles à 21 ans (Wâ6).
Figures
cWr,titcs des BlIlldl1lS de la Société de Paris,
546 LAUNOIS ET ROY selles et la face sont absolument glabres. La
figure
imberbe présente un aspect juvénile tout à fait
ans les autres parties, on note une prolifération intense, avec des
figures
cellulaires désordonnées et un tissu conjonctif é
. Tout en faisant très large la part des erreurs du dessin de celte
figure
, on ne peut cependant s'empêcher d'y retrouver
la Pinacothèque de Munich un Saint Cristophe, réplique de celui qui
figure
sur un des volets de la Descente de Croix, à An
respondant chez le chien, le chat et le lapin est indiqué par I,
figures
5, 6, 7. Au-dessous du centre de la jambe, et e
iter son attention, l'observateur fit un léger sifflement contre sa
figure
, il jeta un regard de colère, mais se souvenant
lait alarmé, regardait en avant, et quoiqu'il vint tout près de nos
figures
, ne semblait rien voir. On essaya à droite et à
tion, on ne pouvait plus le déter- miner. » Comme le montrent les
figures
, on enleva d'autres portions de l'hémisphère, m
oi ici de citer les résultats. L'état du cerveau est donné dans les
figures
24 a et 24 b. une représente la face inférieure
te la face inférieure, et comme les auteurs disent eux- mêmes « ces
figures
sont d'un grand intérêt, puisqu'elles montrent
lement par éducation que l'animal peut de nouveau réemmagasiner des
figures
visuelles, nouvelles dans la partie du centre n
boratoire à la Faculté, avec 1 10 planches ren- fermant plus de 300
figures
dessinées par l'auteur. In-folio, Paris, 1890.
t des notes, par le D' Ch. Féré. Volume in-8° de 260 pages, avec 25
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dans le texte. Prix : 5 fr. Pour nos abonnés . 4
modique, les pseudo-contractures. Volume in-8° de 216 pages, avec 8
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(Volume X de la collection.) Volume in-8° de LVI-188 pages, avec 22
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, avee 13 planches en chromo-lithographie et phototypie, et 3< !
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;' P¡ ! 1lsiologischen Psychologie in 14 1'01'- leslt11gen, avec 21
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dans le texte. Prix : 5 fr. ; Jena, 1891. G. Fi
ement délimitée, représentée par des hachures .transversales sur la
figure
que vous avez sous les yeux, et qui correspond,
mpte des trois foyers qu'elle occupait; ils sont représentés sur la
figure
par trois plaques de stries verticales (fig. 12
e rend compte de cette différence en jetant un coup d'oeil sur la
figure
que je vous ai montrée, figure dessinée d'après n
ence en jetant un coup d'oeil sur la figure que je vous ai montrée,
figure
dessinée d'après nature (fig. 12), et représent
es extrêmes de paralysies partielles et de paralysies généralisées,
figure
un type intermédiaire de paralysies limitées à
ématheuse, vésiculeuse, ulcéreuse, suivant les cas. L'herpès zoster
figure
au nombre de ces dystrophies. Lorsque le nerf m
sseaux. Sous ce rapport, l'autopsie si remarquablement complète qui
figure
dans la thèse de Me Déjerine Klumpke parait abs
d'Ammon ou dans une région avoisinante. FERRÉ. - c La dysosmie qui
figure
dans l'aura de quelques épileptiques, les hallu
orce embrasse une plus gande étendue que B et comprend, d'après ses
figures
, la totalité de la moitié postérieure dé la troi-
e la pie-mère au niveau du seg- ment moyen de la moelle. Nombreuses
figures
à l'appui. XIII. Nouvelles CONTRIBUTIONS A la p
res au pneumogastrique. Le mé- moire est complété par de nombreuses
figures
. P. Keraval. XVII. CONTRIBUTION A la méthode DE
le quadrijumeau antérieur et le corps genouillé externe (nombreuses
figures
à l'appui). P. K. XXXII. Etudes REL\TIVES a l'a
rtrophie musculaire; par H. PREISZ. (Archiv f. Psychiat., XX, 2.)
Figures
dessinées d'après des microphotographies de prépa
t des notes, par le D' Ch. Féré. Volume in-8° de 260 pages, avec 25
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ns l'histoire et dans le présent. Volume in 8° de 99 pages, avec 20
figures
.- Pans, 1890. G. Masson. Régnier (L.-R.). - Hyp
cil dans les cas de spasme palpébral. Ptosis palpébral. Dans la
figure
27 (ptosis spasmodique), le sourcil gauche est pl
urcil gauche est plus abaissé que celui du côté 1101111.11. Dans la
figure
28 (ptosis paralytique), le souicil guuclie est p
produites : le verre bleu amenait une expression de sévérité sur la
figure
. Le verre vert provoque une expression de frayeur
Tabac. Il se lève de son lit, le regard fixe, mais se recouche. Sa
figure
exprime la frayeur. Puis il pleure, tire sa langu
nation effrayante. Il cherche quel- qu'un, incline la tête. Puis sa
figure
manifeste le contentement, il semble embrasser
chaude placé sur la cuisse droite. Il fait le geste de se laver la
figure
et le corps, puis se peigner, se fustiger le co
fré- quent et il a quelques battements de coeur. Verre orange. Sa
figure
exprime la pitié et se jette hors de son lit, e
t une partie différente de celle d'où était partie l'excitation. La
figure
40, At, représente l'état de l'hémisphère droit d
ors l'animal est mort d'une opération sur l'hémisphère gauche. - La
figure
422 représente le cerveau d'un animal chez lequ
résultat perceptible, et quinze jours après l'ani- mal fut tué. La
figure
43 représente le cerveau d'un singe chez lequel
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. de dégoût, » En regardant- cependant les
figures
qui accompa- gnent leur mémoire on peut n'en tr
ois après l'opération. . On détruisit l'écorce comme le montre la
figure
(fig. 36) de l'hé- misphère gauche sur une éten
du larynx. Donc une extirpation i Ph. Trans. Bd. XX. 1888. 1 Voir
figure
: fig. 20, op. cit. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALE
II des oeuvres complètes. Un beau volume in-8° de 615 pages avec 19
figures
dans le texte et quatre planches en chromoli- t
GIE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX, OU CERVEAU PROPREMENT DIT TEXTE ET
FIGURES
PAR E. BRISSAUD agrégé, médecin de l'hopita
nnaître l'aspect des coupes de chaque série, et nous espérons que nos
figures
seront suffisamment instructives à cet égard. S
à dessiner les plus importantes. Ce n'est que par la comparaison des
figures
, de millimètre en millimètre et même à de moindre
lus insensible. VI Nous avons dessiné avec le plus grand soin les
figures
qui composent cet atlas, et nous pouvons répondre
rapport, les meilleures photographies seront toujours inférieures aux
figures
de Cruveilhier, de Sappey, de Paulet, de Poirier,
ne les consulte plus guère. Par contre, on a généralisé l'emploi des
figures
schématiques; mais ces figures, outre qu'elles so
r contre, on a généralisé l'emploi des figures schématiques; mais ces
figures
, outre qu'elles sont souvent très imparfaites, ma
la plupart des étudiants, après avoir consciencieusement pâli sur les
figures
schématiques du bulbe rachidien, sont tout désemp
être lu que pour être consulté. A ces commentaires sont annexées des
figures
schématiques, dont le nombre seul prouve que la s
semble pas un procédé de démonstration superflu. Les lettres, sur les
figures
des planches et sur les figures du texte sont par
ration superflu. Les lettres, sur les figures des planches et sur les
figures
du texte sont partout les mêmes, et se rapportent
, à tout instant, retrouvée facilement sur les planches. Toutes les
figures
de l'atlas, sans exception, reproduisent des prép
de du cerveau de l'homme dans Vétat adulte ». On remarquera que les
figures
des coupes ne reproduisent pas nécessairement des
tomber, c'est-à-dire d'obtenir une surface de section conforme à nos
figures
. Encore s'en faut-il de beaucoup que le résultat
ligé pour obtenir une très fidèle reproduction en taille-douce de nos
figures
. M. Fillon, contremaître de la même maison, s'est
otre service, M. Louis Janin, ont consenti à décalquer la plupart des
figures
schématiques qui accompagnent le texte : besogne
souffrances, l'interne de garde, appelé, lui a projeté de l'eau à la
figure
: aussitôt, ont éclaté des attaques arrêtées par
e. —Mêmes caractères. c) Période de délire. — Immobile sur le dos ;
figure
calme, congestionnée, chaude ; pupilles normales.
ique à petits mouvements. Alors, W... se tourne sur le côté droit; la
figure
est souriante, les paupières sont closes; les bra
Pour la réveiller, il faut souffler vivement et plusieurs fois sur la
figure
. On la rendort — plus vite que tout à l'heure —
ue lui. » D... est un peu excitée, comme au début de l'ivresse ; la
figure
est colorée, la parole est vive, haute, souvent i
la veille et au sommeil, elle voit des choses sans signification, des
figures
bizarres, de toutes couleurs, des têtes difformes
ure, des fantômes « ignobles » qui mettent leurs mains glacées sur sa
figure
; elle croit que des hommes se cachent sous son l
es à minuit : elle a rêvé qu'elle se noyait ; elle a vu de « vilaines
figures
», des mouches, des punaises, des étincelles, des
les membres et même dans la tête. J'ai des bouffées de chaleur et ma
figure
devient toute rouge. Ça me travaille dur. » Elle
qu'on pourrait la faire au moyen de l'électrisation localisée. Nos
Figures
7 et # montrent, l'une : l'exploration du nerf cu
plement d'entr'ouvrir les paupières comme cela est représenté dans la
Figure
9. Immédiatement le sujet présente les phénomènes
oir l'aimer et le posséder comme je voudrais; alors je me couvrais la
figure
de mes mains, et c'est à ce moment où je ressenta
, un battement de cœur me prenait, une sueur froide me passait sur la
figure
; j'aurais voulu pouvoir me soulever, mais je ne p
urvient une douleur vive « dans le genre de celle de l'ovaire » et la
figure
grimace. Aura. — Elle part de l'ovaire droit. L
e éternue. j) X... est réveillée (on lui souffle brusquement ^ur la
figure
), endormie et mise en catalepsie. Son attention e
latérale, etc. M. Charcot réveille la malade en lui soufflant à la
figure
; la contracture persiste. Pour la faire cesser,
mais n'a été propre qu'à 3 ans. A 8 ans, elle a eu des croûtes sur la
figure
qui ont laissé des cicatrices, surtout au menton.
ntent, la mer; elle est heureuse. — Ou bien, elle divague, a peur, sa
figure
exprime l'épouvante : N... voit des singes, des s
sur son sein gauche, comme si elle souffrait et la main droite sur sa
figure
.) Oh ! toutes ces voitures... » Elle sourit ; rep
ous l'influence des hallucinations, qu'elles croyaient voir encore la
figure
des assistants telles qu'on la leur avait suggéré
ues, en ceci, ont copié les Grecs, qui représentaient les Démons « en
figures
de Satyres paillards, moytié boucs moytié hommes
rges noir par celuy qui fait l'office. Finablement Satan prenant la
figure
d'un bouc se con-fomme en feu, se réduit en cendr
r à la main, le membre supérieur étant étendu. Les deux premières
figures
représentent les courbes dynamogra- phiques d'u
in droite (fig. 6) est moins élevée et un-peu hésitante= 48 kil. La
figure
7 montre la stabilité des mains du sujet, l'ava
e l'inférieure qui correspond à la main gauche la plus forte. Les
figures
8 et 9 reproduisent les tracés dynamographiques d
e delà main gauche = 28 kil., est plus brusque et plus élevée. . La
figure
10 reproduit le tremblement des deux mains une de
on voit que les oscillations sont beaucoup plus étendues que sur la
figure
7 qui représente le tremblement z l'état normal
droite, la plus faible, sont les plus étendues. On voit sur la même
figure
10 la courbe thoracique qui est aussi saccadée,
muscles des membres supérieurs et en particulier sur le biceps. La
figure
11 a donne un tracé de ce genre à l'état normal,
ceps. La figure 11 a donne un tracé de ce genre à l'état normal, la
figure
12 donne deux tracés du même muscle chez le mêm
eur attention est fortement fixée par une excitation quelconque. La
figure
13 donne la courbe myographique d'un hémichoréi
ointe et le septum sont très augmentés de volume comme le montre la
figure
20. Le maxillaire inférieur, surtout au niveau
n. Sur le tracé obtenu sur la malade pendant 15 minutes (et dont la
figure
5 reproduit les fractions des 11 dernières minu
tracé pris dans les mêmes conditions sur le sujet sain (et dont la
figure
2G reproduit une fraction des premières minutes
obtenu sur un sujet sain dans les mêmes conditions que le tracé de la
figure
23. 76 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
ondes, indice de fatigué et d'effort. On en voit un exemple dans la
figure
28, tracé pris pendant la deuxième minute, '
xième minute, ' '. 'Rien de tout cehin'existe chez notre malade. La
figure
29 nous montre sa respiration à l'état normal :
plus ou moins prolongée. Nous \ , , en donnons un exemple dans la
figure
31. Malgré cela, cette expiration, " plus ou mo
obtenu sur un sujet sain dans les mêmes conditions que le tracé de la
figure
: ! 5, mai' pendant les 7 premières minutes.
rès, isolés et brusques ; ou rapprochés, ou prolongés comme dans la
figure
3 ? ; mais dans aucun cas il n'y a ensuite de chu
malade, qui auparavant avait été plutôt mince (had been of a slight
figure
) et possédait une bonne voix, constata d'abord
le droit. 1. Cette dernière disposition n'est pas indiquée sur les
figures
: 3$et et 39. 110 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
- Le malade pousse un cri et tombe à terre. Les yeux se ferment, la
figure
devient rouge, les dents claquent, la langue est
dant la nuit. A son réveil, le malade commence à déraisonner, il se
figure
issu d'une famille princière d'Allemagne. Il éc
l se croit appelé à régé- nérer la France. A certains moments il se
figure
èlre « le général Boulan- ger » devant bientôt
fébricitant. Il se soulève avec peine, la tête retombe en avant, la
figure
exprime la souffrance et l'épuisement, la bouch
ffaissée pleine de vérité. Nous citerons seulement pour mémoire les
figures
de malades de Pesello (Francesco) dit il Pesell
out et pendant la marche. Il suffit de jeter un coup d'oeil sur ces
figures
pour se rendre compte que si, par l'inclinaison
pour tirer au dehors la langue contracturée. Or, en exami- nant la
figure
56, on verra que la ligne d'anesthésie se termine
de mauvais instincts. Intelligence affaiblie depuis 1878. Le malade
figure
à propos de ces accès procursifs dans le travai
malade à cette époque. - Poids : 53 kilogr. 500. Côté gauche de la
figure
plus petit. - Iris gauche plus coloré. Physionomi
rées de rougeur, semblables aux plaques ortiées, pouvant former des
figures
variées à volonté, sous l'influence des excitat
et de prédire le retom il l'état normal. ' Si l'on considère les
figures
79 et 80, on note en effet, dès le début de l'é
teignant et dépassant même le taux normal le jour du réveil. Sur la
figure
B on note les oscillations que suivent d'ordina
phie musculaire, il, oedème, 4`3. Ventouseuse, (la) 23. TABLE DES
FIGURES
Acromégalie (configuration extérieure et anat
e clairement et d'une manière trèsexacte, si nous ne nous aidions des
figures
et des planches. Bien que les unes et les autres
it un gros animal noir avec des cornes, et ressemblant à un bœuf : sa
figure
, dans ce cas, exprime l'effroi. Elle entend des v
» Et, en un clin d'oeil, elle détache ses cheveux et les jette sur sa
figure
pour la protéger. — Puis, elle voit des serpents:
ompare à des fils qui se raccourciraient; enfin, il lui semble que sa
figure
est froide, glacée. 6 mai. Attaque (Yhystéro-ép
re... On m'a mis en cellule. Elles m'ont placé un torchon sale sur la
figure
. .. J'avais le cou serré... J'étouffe... Mon Dieu
. ! Oh! L... ! Les geôlières ! elles m'ont mis un torchon sale sur la
figure
... On ne te donnera pas ta sortie pour aller chez
les yeux ! s'ouvrent largement, le re-| gard exprime l'étonnement; la
figure
grimace; la tète s'incline; G... s'asseoit et dit
de quelques minutes, G... va se placer dans un coin de sa cellule, la
figure
dirigée vers le mur. Durant toute la journée se
un quart, elle se recouche, ramasse sa couverture, son édredon sur sa
figure
et rit. Bientôt elle se dégage, son visage est so
on ou de respect lorsqu'elle est bien portante; elle leur crache à la
figure
, les envoie promener avec des expressions énergiq
Pour qu'il s'évapore plus lentement, elle le respire en se cachant la
figure
sous son drap. Hier, sa dose habituelle étant épu
comme cela a lieu sous l'influence du nitrite d'amyle ; elle voit les
figures
des malheureuses femmes des Incurables, atteintes
tiences ou une sensation de rétraction. Dès qu'elle s'endort, elle se
figure
qu'elle tombe dans des précipices ; elle se révei
ille la langue, contorsionne la bouche. Elle prétend qu'elle voit des
figures
affreuses qui la forcent à imiter leurs grimaces.
e par terre, auprès d'un lit, dans une espèce d'état cataleptique. La
figure
est immobile; M... a le bras gauche accolé au tro
ite; secoue de temps en temps la tête ; les paupières sont closes; la
figure
est grimaçante. Quelquefois, M... écarte un peu l
le demeure immobile, les yeux dirigés en haut et pleins de larmes, la
figure
extatique, les mains jointes ; puis, elle se bala
Se soulève brusquement : « Allons-y ! » retombe, se tortille. Repos :
figure
contente : « Tu ne veux plus ?... tu es un méchan
8°,4. 13 sept. — Poids : 42 kilog. On voit que M... a engraissé. Sa
figure
paraît bouffie. 23 sept.— M... a passé la nuit
FËnË Dessinateur : LEUt3A. Tome X. - 1885. Avec 3 planches et 9
figures
dans le texte.' PARIS BUREAUX DU PROGRÈS MÉDI
reste de corpuscules graisseux, résidu des ampoules de myéline. La
figure
7, Planche 1, représente un sem- blable résidu
sain. Cette inégalité des cordons postérieurs est évidente dans les
figure
2, 5 et 6 de la Planche I. Le cordon postérieur
au côté non opéré. Cette différence est de 11 mil- limètres sur la
figure
6, mais elle est surtout pronon- cée dans la fi
limètres sur la figure 6, mais elle est surtout pronon- cée dans la
figure
5, dont le cordon postérieur gauche excède de 4
diffuse rétrécissant le cordon postérieur, comme le dé- montre la
figure
. Il PL. I. ' Il va sans dire que les altération
L'inégalité des cordons pos- térieurs est moins marquée que dans la
figure
précédente. Envahisse- ment du tissu conjonctif
Envahissement de ce dernier par le tissu conjonctif comme dans les
figures
2 et 5. Le cordon postérieur droit mesure Ohm, 09
lles et formant une sorte de plexus. Ce travail est accompagné de
figures
très claires quoique non schématiques, et const
des hallucinations; elle vit des chats dans sa chambre, de grandes
figures
qui défilaient, etc. Elle eut même des idées de
lée par un os. Elle est en effet prise d'accès d'étouffements et sa
figure
exprime une très vive terreur dès qu'on met dan
n- gulièrement l'intelligence du texte et la recherche. De bonnes
figures
rehaussent l'éclat de la description. P. K. IND
ymptoms, diagnosis and treatnaent. Volume in-8° de 394 pages avec 9
figures
. London, 1885. Longmans et C. FOVILLE. La légis
reste' se com- prend) ; 4) Il faut deviner le chiffre, le mot, la
figure
dont il a été convenu; 5) Il faut deviner un
périence consistant à deviner un mot, une rangée de chiffres, une
figure
convenus et aussi bien dans des conditions qui
eviner un nombre, SUR LA TENSION DES MUSCLES. 153 3 un mot ou une
figure
convenus, l'acte de volonté pré- paré d'avance
d'avance peut être reconnu avec encore plus de clarté. Deviner une
figure
convenue est un' problème analogue à celui de d
ent naître les contours ou les signes écrits répondant au mot, à la
figure
ou au chiffre choisis, et son bras droit doit ê
e conseillerais de proposer au suggesteur de choisir l'une des deux
figures
+ ou et, ayant appris à dessiner celles-ci, de p
es+ ou et, ayant appris à dessiner celles-ci, de passer il d'autres
figures
régulières, comme par exemple : au cercle, au c
ndiquée pour deviner les chiffres. J'ai essayé aussi de deviner une
figure
voulue; pour arriver à ce but, j'ai dessiné plu
er une figure voulue; pour arriver à ce but, j'ai dessiné plusieurs
figures
plus ou moins dis- semblables, mais de la même
délire hallucinatoire très actif, puis l'obsession des noms et des
figures
. Le terrain est chez lui bien pré- paré, et la
t une jeune fille âgée de dix-neuf ans. D'une santé délicate, d'une
figure
pâle, elle est manifeste- ment anémique. 'Elle
des muscles préalablement contractés. Le tracé reproduit dans la
figure
2 a été obtenu en plaçant dans la main de M. M.
e .les secondes. Il suffit de jeter un simple coup d'oeil sur cette
figure
pour constater l'accélération progressive des c
ge d'un courant faradique assez intense à interruptions rapides. La
figure
3 montre les formes de la contrac- tion électri
dé- terminent les situations les plus bizarres. Dans la face, la
figure
a perdu sa mobilité. Les expressions pas- sionn
son action. Si M. M... se met à rire, les muscles contractés de sa
figure
exprimeront malgré lui le rire pendant un temps
rimaçante. Cet hiver, nous avons pu voir, par un froid très vif, la
figure
de M. M... com- plètement décomposée, sillonnée
le vouloir lui offrir. De chaque côté du piédestal sont placées des
figures
allégoriques représentant l'une la Science, l'a
de notre chère cité. 1 - «Au nomdeParis, hommageetsalutà la grande
figure
de Pinel ! » Discours de M. POUBELLE, préfet de
, on a complété ce monument élevé à la gloire d'un médecin par deux
figures
allégoriques : la Science el la Bienfaisance. Q
M. le professeur CuencoT. Volume in-8° de 677 et xxi pages, avec 68
figures
. Prix : 14 fr. Paris, 1885. Librairie A. Delaha
stérie ou htlstéro-épi- lepsie. Volume in-8° de 975 pages, avec 196
figures
. Prix, papier teinté : 25 fr. Papier Japon : 50
engelures,' quelques croûtes dans les cheveux, sur les mains, à la
figure
et sur le corps, et souvent des adénites cervic
sile de Maréville le 14- septembre 1868. Tête assez bien conformée,
figure
assez intelligente; idiotie con- lucamEs, t. X.
ête lui fait toujours mal. (On continue l'application des aimants.)
Figure
meilleure, délire toujours identique mais moins
'enfin elle n'entendra plus. Au réveil, expression très calme de la
figure
, plus d'excita- tion, plus d'hallucinations.
limente à la sonde; il est agité, arrache son pansement, crache àla
figure
de ceux qui l'entourent et fait des prières. De
un jeune homme qui, au moment en question, voit lui apparaître une
figure
qu'il fixe. On constate en même temps que de la
historique du magnétisme animal. Volume in-f8 de 381 pages, avec 21
figures
. Prix : 40 lr. Paris, Librairie J.-B. Baillière
Envahissement de ce dernier par le tissu conjonctif comme dans les
figures
i et 5. Le cordon postérieur droit mesure 0 ? 09;
UINON Dessinateur : LEUBA Tome XX. 1890. Avec une planche et 36
figures
dans le texte PARIS BUREAUX DU PIi0GItÈS MÉDI
ous, rattaché à l'hystérie. L'un des malades dont l'observa- tion
figure
dans ce mémoire, a déjà fait l'objet d'une comm
, au tronc et à l'abdomen. Toutefois, comme on peut le voir sur les
figures
1 et 2, elle n'est pas générale; les plaques se
ual oj' the diseases of nervous system., t. I, p. 220, il-. 20. Les
figures
jointes à cette observation repro- duisent très
ie de la macula, à l'aide dnquel on construit, par la pensée, une
figure
, une forme, devenant bien vite hallucination, de
ccagé; deux infirmiers blessés par les éclats d'assiette avaient la
figure
en sang et Jol... proférait des menaces de mort
lie apparente quoique peu intense des globes oculaires donnant à la
figure
un aspect terrifié, et la fréquence du pouls qu
888 et 1888-1889. Deux volumes petit in-4°, illustrés de nombreuses
figures
. Aux bureaux du Progrès médical et E. Lecrosnie
inemment profitables à l'instruction du lecteur. Un grand nombre de
figures
éclairent encore davantage les points mis en lu
étail ce mémoire sans le traduire in extenso en en reproduisant les
figures
. P. Keraval. XVII. Vertige cardio-vasculaire ou
intéressant. Il est à regretter que l'au- teur n'ait pas joint des
figures
pour aider à la compréhension plus nette des di
t des notes, par le Dr Ch. Féré. Volume in-8° de 260 pages, avec 25
figures
dans le texte. - Prix : 5 fr. - Pour nos abonnés
modique, les pseudo-contractures. Volume in-8° de 216 pages, avec 8
figures
dans le texte, 1 planche lithographique et 3 phot
(Volume X de la collection.) Volume in-8° de LVI-188 pages, avec 22
figures
. - Prix : 5 fr. Pour nos abonnés : 4 fr. - Bureau
lude de la syringomyélie. Volume in-8° raisin de 220 pages, avec 12
figures
et une planche hors texte. - Prix : 5 fr. Pour
ues, hystérie, paralysie agitante). Volume m-8° de 169 pages avec 5
figures
. - Prix : 4 fr. - Pour nos abonnés 2 fr. 75 3
ET (E.). De la chorée chronique. Volume in-8° de 262 pages, avec 10
figures
dans le texte. Prix : 5 fr. Pour nos abonnés.. 4
es des organes génitaux de la femme. - Brochure de 60 pages avec 11
figures
. Prix : 2 fr. Pour nos abon- nés 1 fr. 60 RAU
umineux jaunes, qui, petit à petit se réunissent et constituent une
figure
ayant l'aspect suivant : la périphérie est form
rtes et jaunes, l'espace délimité par cette ligne est sombre. Cette
figure
, petite au début, s'agrandit de plus en plus et
se qu'elle décrit de la façon suivante : elle aperçoit à gauche une
figure
qu'elle compare, quant à la forme, à une étoile
l correspond exacte- ment à toutes les descriptions et à toutes les
figures
de scotome que l'on a publiées jusqu'à présent.
ilatateurs ou vaso-constricteurs. explication DE la planche Ces
figures
qui se rapportent à l'observation I de ce ce mémo
elativement fréquentes ; il faut cependant noter que la plupart des
figures
des ouvrages"1 repré- sentant ces racines moyen
xe des abscisses, comme le démontre la courbe représentée dans la
figure
ci-dessus. Cette courbe fut obtenue par la méth
e la maladie actuelle de sa femme à des esprits pbsesseurs. Il se
figure
, qu'elle a été, dans une existence antérieure, un
ids normal du cerveau chez un animal de même taille. Ce chien a une
figure
sans expression. Abandonné à lui-même il rôdait
ologie, 18ï7-1890.) Fig. 37 (d'après la figurc 2 : , d'Exncr.) La
figure
présente des cercles de même ordre, les uns plus
on met la perte ou le trouble des fonctions. Un coup d'oeil sur la
figure
37, emoruntée à M. Exiler d'après l'examen d'un
intenant ces expériences ont un intérêt historique, je reproduis la
figure
38 et la des- cription, mots pour mots, des fai
dans un ordre défini et régulier dans la capsule interne. Sur la
figure
39, obligeamment prêtée par le Dr Beevor, sont
s conclusions de la commission sont adoptées. Parmi ces conclusions
figure
la suivante : Prescrire l'étude d'un projet déf
a sortie; j'avais à peine pu prononcer un mot qu'il me lança à la
figure
un violent coup de poing; sa main était armée d'u
t des notes, par le D' Ch. Féré. Volume in-8° de 2G0 pages, avec 25
figures
dans le texte. - Prix : 5 fr. Pour nus abonnés .
modique, les pseudo-contractures. Volume in-8° de 216 pages, avec 8
figures
dans le texte, 1 planche lithographique et 3 phot
(Volume X de la collection.) Volume in-8° de LVI-188 pages, avec 22
figures
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lude de la syringomyélie. Volume in-8° raisin de 220 pages, avec 12
figures
et une planche hors texte. Prix : 5 fr. - Pour
pages, avec 13 planches en chromo-lithographie et phototypie, et 36
figures
dans le texte. Prix : 15 fr. Pour nos abonnés : 1
UET (E ? De la chorée chronique. Volume in-8° de 262 pages, avec 10
figures
dans le texte. Prix : 5 fr. - Pour nos abonnés..
Zomer, 76, 269. Zichen, 87, 254. EXPLICATION DE LA PLANCHE. Ces
figures
qui se rapportent à l'observation 1 du mémoire du
FILS et G. GUINON Dessinateur : LEUBA Tome XXIII. 1892. Avec 19
figures
dans le texte. PARIS BURGAUX DU PIWGI1ÈS MÉDI
ous avons cherché à mettre en lumière, en appuyant d'exemples et de
figures
tout ce que nous décrivions. Artères des NERF
pneumogastrique. 6 ANATOMIE. démie des sciences l'an dernier. La
figure
I en dira plus, à elle seule, qu'une longue des
de la constance et de la multiplicité desaffluents artériels. La
figure
3 re- présente le médian sur tout son trajet,
artériels est encore plus frappante. N'avons-nous pas vu, sur la
figure
1, que tous ils sont récurrents, qu'après s'être
e anastomose, et se bi- furquent, pour plonger dans le nerf. La
figure
6 représente très exacte- ment ces dispositio
, et nulle description n'en saurait donner de meilleure idée que la
figure
7, dessinée d'après nature. Le nerf est représe
ve encore cette disposition, très nette et très typique, sur la
figure
o qui montre une des branches du mus- culo-cuta
n et quelques exemples. Qu'on veuille bien jeter les yeux. sur la
figure
11, qui représente le nerf, l'artère, et l'une
qu'on pourrait qualifier de veines névro-musculaires, et dont la
figure
12 représente le type général. Sans insister lo
d une assez grande partie des veinules émanées du nerf voisin. La
figure
13 mon- tre ainsi le médian, au bras, émettan
appareils névro-musculaires, analogues à celui qui est représenté
figure
2 : le sang, qui se précipite, chassé par le musc
n qui, à deux reprises différentes, chercha à jeter du vitriol à la
figure
d'un notaire, qu'il accusait, sans aucune raiso
a plupart des phénomènes hystériques Ce premier volume, illustré de
figures
dues à M. Paul Richer, forme un ensemble bien c
e tente, lui passa un cordon rouge autour du cou et lui maquilla la
figure
au point de le rendre méconnaissable. Puis, il
e ou non à l'alcoolisme du père ou à l'hérédité arthritique, elle
figure
d'une façon indéniable dans sept des faits cli-
divers états psychopathiques dans lesquels la tendance à l'homicide
figure
comme élément. C'est dans le Délire de perséc
riétés et à combattre les ennuis. » En s'en allant elle se cache la
figure
pour traverser la cour. Ne voyant personne, ell
ogie et dia- ,qnostic). Volume in-12 cartonné de 531 pages, avec 88
figures
. - Prix : 5 fr. Paris, 1892. Librairie G. Masso
Baoult, Semlas, et Sollier. Un fort volume de Lx-240 pages avec 16
figures
et 10 plan- ches. Prix : G fr. ; pour nos abonn
interpelle ; elle porte prestement les mains sur les habits, sur la
figure
, et dit : Cela ressemble à mon frère, cela à tel
ent compte subjectivement, ils se plaignent qu'une partie de leur
figure
a disparu et déclarent éprouver à ce propos une i
e, incomplètement à la jambe, absolument au hras, au thorax et à la
figure
, elle a une dimi- nution très marquée du goût e
qui échappent à la seconde. Ces phénomènes tels que T ou M dans la
figure
2, restent ce qu'ils sont, des sensations subco
a fureur était tombée, il était encore très ému, très tremblant, la
figure
couverte de sueur, mais il parlait sans divaguer
ger à prendre soin de sa personne, à se laver, il s'est emporté, sa
figure
est devenue mauvaise, mais l'in- cident n'a pas
isissait à la poitrine et cela m'a donné peur de mourir. Voyez ma
figure
comme elle est; voyez comme cela me travaille.
ne diminue pour faire croire que c'est des crachats. Voyez comme ma
figure
est changée. Je souffre du corps et du moral. »
entier. La lecture en est d'ailleurs agréable et commode, grâce aux
figures
parfaites qui l'accompagnent. La scissure de sy
ies nerveuses; par le D'' Paul BLOCQ et J. ONANOFF,. 1 vol. avec 88
figures
. Chez G. Masson, 1892. Cet ouvrage comble une
a marche qui est rendue plus vivante par l'adjonction de nombreuses
figures
représentant les différents types en vue. Du re
présentant les différents types en vue. Du reste un grand nombre de
figures
illustrent cet ouvrage et facili- tent ainsi la
préhension des procédés employés pour l'examen des malades, car ces
figures
qui sont toutes originales ne se bor- nent pas
squels il sera jugé de nouveau, et, détail curieux, parmi les volés
figure
un des membres du jury qui l'acquittèrent aux A
ARIOT et Colin, Seconde édition, 1 vol. in-4° de 502 pages avec 101
figures
. - Prix : 20 fr. - Paris, 1892. - Aux bureaux du
B. CIIARCOT et MEIGE. Tome 111. Un beau volume de 468 pages avec 47
figures
et 3 planches. Prix : 12 fr. Aux bureaux du Pro
X, RAOULT, SÉGLAS et SOLLIER, 9 fort volume de Lx-240 pages avec 16
figures
et 10 planches. Prix : 6 fr.; pour nos abonnés,
), 2° édition, revue et corrigée. 1 volume in-8° de 464 pages, avec
figures
dans le texte. Prix : 8 fr.; pour nos abonnés :
rme amyotrophique de cette maladie. Volume in-8° de 208 pages, avec
figures
. Prix : 5 fr. Paris, 1892 ? J.-B. Baillière et
um des centres nerveux. Brochure in-12 oblong de 21 pages, avec zig
figures
. Prix de l'album : 1 fr. 50. Prix des photograp
Secrétaire de la Rédaction : HENRY NlEIGE TOME DOUZIÈME Avec 67
figures
intercalées dans le texte et 86 planches' hors te
ion des muscles du tronc et du cou s'exécutaient sans vigueur. La
figure
se maintenait dans une immobilité complète ; la b
mal, tandis que chez la première nous avons trouvé ce qui suit : la
figure
et le corps étaient parfaitement bien constitués,
éclaire guère sur la nature du mal. L'ensemble en est séduisant. La
figure
de la malade est expressive. Le médecin a du dé
lies et publiées par Henry MEME. 1 vol. in-8" de 560 pages avec 165
figures
. Paris, 1899, Masson et Cie, éditeurs. RII 6 6
que de la sclérodermie, dans le cas dont vous avez sous les yeux la
figure
, permet de préciser le lieu exact de la lésion
autant moins que (1) Musée de l'hôpital Saint-Louis, no 1962. Cette
figure
et les suivantes sont des photographies de pièc
ricjues. En voici un exemple qui vous convaincra (Fig. 17). Cette
figure
représente le bras gauche d'une femme âgée de 40
de reproches. Elle est même assez grossièrement traitée (1). Les
figures
sont d'une expression uniforme, les mains inhabil
femme, Charilas, qui porte sur la tête le pélican symbolique et qui
figure
sur la gravure, mais non sur le tableau). Si l'
avait exécuté son mouvement normal. On remarque, en effet, dans la
figure
192 que du côté sain le bord spinal du scapulum o
es tares névropathiques ne soit pas aussi prépondérante qu'on se le
figure
souvent. L'un de nous a observé antérieurement un
Le nerf péronier présente quelques altérations comme le montre la
figure
1 ; les fibres nerveuses altérées sont en petit n
t a augmenté progressivement et régulièrement tout en respectant la
figure
. . Il y a ;; ails la malade pesait 555 kilogs.
vivant aujourd'hui. A cette époque appa- rurent des boutons sur la
figure
, sur le corps, dans le cuir chevelu, bou- tons
our la même raison, un accessoire de toilette, et se promena sur la
figure
des élégantes, prenant, suivant sa place, telle
ère (t817), « tableau admirable : il se compose simplement de trois
figures
, la malade, la mère et le médecin ». 2° Médecin
n de Van Iloogslraten n'a pas la douce bonhomie ni la compatissante
figure
de son pendant du musée Van der IIoop. Mais rie
mouche, bien en vue, tranche par sa noirceur sur le blanc mal de la
figure
, stigmate certain de la maladie. Et voici un no
es reflets des vitraux lumineux. Rien de plus expressif que cette
figure
de jeune savant, aux traits mâles et énergiques
ccroissement encore translucides). même temps rachitique. Voyez les
figures
10 et Il 1 , et comment le rachi- tisme s'est c
investigation, citons quelques exemples : La femme représentée à la
figure
2 est atteinte de myxoedëme franc. Voyez la bou
yroïdie bénigne. Nous voulons parler du foie et des intestins. La
figure
4 montre une femme atteinte de cachexie strumipri
nent entre eux. Ils s'installent si insidieusement que le malade se
figure
n'avoir jamais été autrement qu'il n'est, que cel
e, elle se portait mieux, dit-elle, étant enceinte qu'autrement. La
figure
est pâle, légèrement bouffie, les sourcils sont d
aise, dose d'entretien suf- fisante chez une femme de cet âge. La
figure
25 représente le radio- gramme du membre ectrom
stoire détaillée. Puéril, infantile lorsqu'il vint me consulter, la
figure
est devenue plus sé- rieuse, plus réfléchie et
n ne TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 329 se le
figure
en général ; chez eux on voit apparaître et dispa
le professeur Raymond ces troubles sensitifs. Nous avons établi des
figures
schémati- ques en planches lithographiques où l
cales dans les productions des artistes des Pays-Bas. Au docteur,
figure
nouvelle dans la maison, la place d'honneur est t
e maladie de son pied gauche. En effet, ce pied, comme le montre la
figure
(Pl. LIX, A), se porte légère- (1) Névroses et
e musculaire myélopathique au point de vue clinique, je renvoie aux
figures
reproduisant ces lésions, Revue de médecine, 1899
de soulever les bras jusqu'à l'horizontale (PI. LXIV, B et C). Les
figures
II et III montrent ce qu'il peut faire, ce Nouv
lité dans le tableau de leur affection ; un coup d'oeil jeté sur les
figures
sché- matiques fait apprécier les caractères co
hui ambiguë, l'exécution vaut qu'on la re- marque. L'expression des
figures
, le fini des accessoires, fioles, livres, parch
hollandaise. * .. s Le nom de Gérard Ter BORCII (1608-1681) ne
figure
que très rarement parmi ceux des peintres holla
corps, expriment un malaise anxieux qui commande la pitié. La bonne
figure
du médecin à barbiche grise, l'af- fectueuse so
gard, la discrétion de son costume et de ses gestes en font une des
figures
les plus sympathiques de toute la Fa- culté née
le pli courbe. Les coupes seront examinées d'arrière en avant; les
figures
représen- tent la face postérieure de chaque co
sont données sur les schémas que je dois ainsi que les deux autres
figures
à l'obligeance de mon ami M. Gruzelle. FiG. 2
ne forme en V ou en L renversé () ; la partie verticale (1) Sur ces
figures
le pointillé indique, suivant son intensité, le f
chémas que donne M. Déjerine pour les libres d'association dans les
figures
376 et 377 de son traité et en y superposant t
s les deux tiers inférieurs au moins de celle-ci sont coupées. La
figure
10 donne les limites de la lésion reportées sur u
est détruite dans un point limité de la première tempo- rale. Cette
figure
n'est qu'approximative. Une coupe reproduisant ré
nt la pièce. Il est facile de se rendre compte de ces faits sur les
figures
établies par M. Gruzelle. Au point de vue clini
'est pour aire ça (fait le geste de se savonner vi- goureusement la
figure
). Petixpqs dire (elle prend son châle et fait min
'y arrêter. La phlegmatia alba iNDOLENS, chronique et familiale, ne
figure
pas dans les nosographies. Tout au plus pourr
CONOGRAPHIE DE LA . SALPÊTRIÈRE TOME XXIII Avec de nombreuses
figures
intercalées dans le texte et 83 planches hors tex
PAUL R1CHER HENRY MEIGE TOME VINGT-TROISIÈME Avec de nombreuses
figures
intercalées dans le texte et 83 planches hors tex
au du visage est pâle et légèrement teintée en ivoire. L'aspect de sa
figure
présente un contraste étrange ; l'état complète
tous les signes de l'infantilisme classique. Sa voix, son teint, sa
figure
étaient celles d'un adolescent. Je le priais de
à Saqqarah et faisant partie du musée Boulaq : « L'expression de la
figure
est lourde et niaise, dit Maspero. La poitrine
Clialdée ; il a été importé de la Phéni- cie.Sur les tombeaux où il
figure
, il est gros, jambes courtes, nez épaté)). Dans
dantnous parvînmes à faire toutes les mensurations nécessaires et la
figure
du nain chinois nous parait toutefois être typi
t le pied). Aujourd'hui la malade est sans connaissance, ronfle, sa
figure
est cyanosée. Incontinence d'urine. Le mem- bre
immobilisé dans une même expression féroce. Le relief osseux de sa
figure
est très accusé et angulaire. Le cou est plutôt
me qu'elle entend l'attouchement fait avec un petit blaireau sur sa
figure
. Les sensations de froid et de chaud sont éga-
dans son visage n'apparaît pas la moindre lueur d'intelligence. Sa
figure
est épanouie, elle sourit constamment et son so
nserve encore une lueur d'intelligence dans le regard. Le bas de sa
figure
toutefois porte l'empreinte de son idiotie qui co
che est une véritable bouche de poisson. Le sourire est ligé sur sa
figure
; c'est un sourire à la fois bête et un peu moq
nt pas de troubles. Eschare sacrée ; les mem- bres inférieurs et la
figure
sont oedématiés, le sein gauche enflé, puis les m
e,des deux côtés de la ligne médiane, une respiration prolongée. La
figure
est enflée, cya- nosée. Hier on a remarqué une
s doigts de la main gauche. La respiration - 24, le pouls = 130. La
figure
est enflée et couverte de sueur. Il ne persiste a
rieure du thorax envahissant le bas du cou et le corps thyroïde. La
figure
est enflée. La tête reste immobile, raide. Memb
des représentations, provoquant toujours les rires du public par sa
figure
drôle, ses réparties et ses plaisanteries. A 28
orme à peu près rectangulaire, mais si on consi- dère la tête et la
figure
dans leur ensemble et que l'on vise une ligne ima
élargissent considérablement le menton de la femme en conférant à sa
figure
la forme rectangulaire déjà mentionnée. L'épais
gissement des os de' face et de la base du crâne qu'elle donne à la
figure
l'apparence d'un mufle de lion (leontiasis). En
trées. Ce n'est qu'au niveau des segments dorsaux supérieurs que la
figure
de la substance grise devient normale. Les cellul
oite. Du côté gauche comprimé par la tumeur en avant et de côté, la
figure
de la corne antérieure est presque normale avec
dant, on voit déjà dans la région du pôle inférieur de la tumeur la
figure
bien distincte dessinée par la substance grise et
interne de la moelle presque normale : la substance grise dessine la
figure
habituelle et il n'y a que de faibles traces de
. FiG. 27. Dégénérescence des voies pyramidales latérales. (Cette
figure
est dessinée de manière que la moitié gauche corr
ostérieur. La configuration extérieure de la moelle est normale. La
figure
de la substance grise et des cordons de la blan
que (fig. E), la joie (fig. D) et on constate des expressions de la
figure
bien accentuées sans que le pouls ait changé de f
us complètement chez le malade opéré par Horsley. Si on compare les
figures
qui illustrent les attitudes de la main de son
ures qui illustrent les attitudes de la main de son malade avec les
figures
que j'ai données autrefois (1) en décrivant les
e en ce qui se rapporté à l'observation 5 du même mémoire, dont les
figures
17, 18, 19 et 20 indiquent une disposition en b
détails ne permet pas d'affirmer la réalité du fait. Kirmisson (1)
figure
encore un cas de brachzdactyliede l'auriculaire d
nce compacte. La coupe, déformée du reste, permet de reconnaître la
figure
des cornes antérieures et des cordons antéro-la
une fente étroite qui s'étend jusqu'aux cordons posté- rieurs. Une
figure
analogue se voit au-dessus de cette coupe et dans
arties plus petites, réunies ensemble comme une mosaïque. Outre ces
figures
, le pigment dessine encore des fuseaux allongés
ance blanche et grise, avec des hémorragies multiples au lieu de la
figure
habituelle. Il faut supposer que cette lésion fut
du bord . supérieur de l'hémisphère. Indications communes à cette
figure
et aux suivantes : - F3,g.fl'ont. terlius ; Ia,in
i con- cerne le développement des poils ; le petit mulâtre avait la
figure
com- plètement glabre (à 25 ans) et les deux Ma
orrespondant à Page réel), à un développement normal des poils à la
figure
et sur tout le corps, et à une complète ossific
le pied droit ; cette dernière circons- tance est évidente sur les
figures
8 et 10. 6'J'ai constaté aussi, que l'intervall
lus court qu'entre tous les autres ; cela se voit, du reste, sur la
figure
12, où la découpure entre le deuxième et le trois
; cette suppo- sition se présente d'elle-même, si nous comparons la
figure
12 avec la ligure contiguë (11), où entre les m
ule fois d'observer chez mes ma- lades le cas contraire, tel que la
figure
1 le représente. 700 SELETSKI La même chose
et parfois un seul. Cela se constate d'une manière frappante sur la
figure
20 ; on le remarque moins sur la figure G; sur le
ne manière frappante sur la figure 20 ; on le remarque moins sur la
figure
G; sur lesdites planches, deux premiers doigts
qu'au premier orteil d'un seul pied ; ainsi, par l' exemple, sur la
figure
7, c'est le gros orteil du pied droit, sur la fig
exemple, sur la figure 7, c'est le gros orteil du pied droit, sur la
figure
1 1, c'est celui du pied gauche, mais dans ces
pieds, parfois sur un seul. Cette anomalie est bien visible sur les
figures
1 et 16 ; on la remarque aux deux pieds ; sur la
le sur les figures 1 et 16 ; on la remarque aux deux pieds ; sur la
figure
9 le qua- trième doigt du pied gauche est dans
qua- trième doigt du pied gauche est dans la même position ; sur la
figure
14, c'est aussi le quatrième doigt ; sur la fig
outefois l'anomalie est plus apparente sur le pied gauche) ; sur la
figure
17, ce sont aussi les deux quatrièmes orteils. En
er et au deuxième doigt des deux pieds; c'est ce qui a lieu sur les
figures
4 et 13 ; parfois on remarque le même phénomène s
orteils. 11° Position en hallux valgus des autres orteils : sur les
figures
13 et 18, on voit que les seconds orteils du pi
uvent dans cette position ; et si l'on compare ces planches avec la
figure
20, on remarquera a la différence : quant au gr
malades, dont les photographies des pieds sont représentées sur les
figures
13 et 19, sont considérablement plus grands de
s à leurs pieds ; ce phénomène sera bien saisi, si l'on compare les
figures
1, 2, 13, 16 avec les figures 12 ou 15. Les p
sera bien saisi, si l'on compare les figures 1, 2, 13, 16 avec les
figures
12 ou 15. Les premier, dixième et treizième cas
cations ». Ce sont précisément quelques détails anatomiques de deux
figures
sym- bolisant la Mort qui ont attiré notre atte
te. Nous y voyons un sarcophage, surmonté du blason du défunt et de
figures
allégoriques, flanqué de deux squelettes, entre
e lui, n’eut pas à ne récolter que l'ingratitude. Et Deleuze, cette
figure
vénérable, cette personnification du savoir modes
onstance me semble indiquer que l’artiste a modernisé son dessin. Ses
figures
, vues de profil, offrent les yeux comme ils doive
, l’artiste égyptien plaçait toujours l’œil vu de face, même dans les
figures
en profil. (l)Planche69. 'foutes ces erreurs
gréables. Toutes recherches touchant la vérité ont leur utilité. La
figure
que nous avons donnée au numéro 106 du journal et
scriptions que nous en donnent les antiquaires les plus instruits, la
figure
couchée a le visage découvert et animé. C’est une
le titre : Antiquité Étrusque que la gravure aurait du paraître. La
figure
de Y Univers pittoresque à laquelle notre critiqu
ur un lit de repos, dont les pieds et la tête ou le chevet offrent la
figure
d’un lion. Sous le lit on voit quatre cnnopes ran
iseau, et enfin dans l’un des coins du tableau on aperçoit une grande
figure
d’A-nubis. Ce tableau dans lequel on a vu un embl
trom- pons cependant, et l’on ne doit point se méprendre sur celte
figure
; c’est de la vraie science dont nous voulons parl
e sa liberté, est véritablement le roi de la nature, mais les êtres à
figure
humaine qui se laissent dominer par les instincts
corporelle que par comparaison avec le corps mortel; elle conserve la
figure
de l’homme, afin qu'on la reconnaisse. » Saint Ir
rent : en eux se trouvait quelque chose d'odieux et de terrible; leur
figure
n’avait rien que de tortueux. Il me semblait voir
nu, drapé à la romaine, dont le regard sévère s'attachait sur lui. La
figure
de cet homme s’éclairait d’une lumière particuliè
stion des narcotiques les provoque avec facilité. (2) ecîoî, forme,
figure
, apparence; llu, forme, idée .-mot créé par Plato
s étaient surexcités ; il ne put dormir. A mi-nuit, il vit une longue
figure
blanche se promener dans sa chambre et s'approche
res sur la table. La somnambule éprouve des tremblements saccadés; sa
figure
s’im-pressionne profondément. — Est-ce que vous v
. (-) Précis historique, p. 211. n) Guide de Thiéry (1784). « Une
figure
intéressante, soutenue par les avantages rir la j
ir un instant le lecteur d’un monument qui s’y rattache. L’examen des
figures
qu’offre ce monument, des mots qui sont inscrits
ce concave ou plate postérieure est sculptée légèrement eu relief une
figure
hideuse qui représente évidemment le diable. C’es
ignes, un serpent enlacé. Les quatre lettres D, S, L, F, encadrent la
figure
diabolique. A la circonférence du miroir on lit,
e la partie droite du miroir, et elle a fait également disparaître la
figure
qui devait y être représentée. Ce miroir se rec
recouvert d'une toile la partie concave, celle où sont sculptées les
figures
et les inscriptions ; cette toile était collée au
éparée, il faisait apparaître sur la surface de ce liquide magique la
figure
du démon qu’il évoquait. 11 pratiquait la même op
on brûlait de l’encens, alors on voyait apparaître dans le miroir la
figure
de la personne malade, et l’on reconnaissait si e
leurs, on y voit toutes choses comme aux autres. Certains rendent les
figures
renversées les pieds contre mont, et d’une seule
s miroirs ardents et devant et derrière, et aucuns qui montreront les
figures
non en dedans. » Les miroirs magiques donnaient l
el (3) nous dit notamment qu’il a vu paraître dans un miroir diverses
figures
qui exécutaient sur-le-champ tout ce qu’il leur c
stants pouvaient comprendre leur pantomime. On obtenait la vue de ces
figures
par certaines formules diaboliques dans lesquelle
ieux et des esprits (I). Un l'ail digne de remarque, c’est qu’une des
figures
que l’enfant voit d’ordinaire apparaître en premi
. Une autre recette d’Agrippa pour faire apparaître des démons et des
figures
extraordinaires consiste à faire une fumigation d
eut calculer les épaisseurs à donner au miroir ou plutôt celles de la
figure
en relief du revers de manière à produire de l’au
ésistance inégale qu’elle offre en raison de l’épaisseur variable des
figures
postérieures, donne l’effet cherché. Ainsi le m
us audirct quid in sacris cons-lituere atque observare deberet. Notre
figure
de diable représentée dans la planche, se dessina
us particulièrement ce nom à l’acte par lequel on piquait au ccçur la
figure
en cire de celui que l’on voulait faire périr (1)
très facilitée d'après les épreuves cinématographiques. Dans les
figures
que nous publions ci-joint (hémiplégie organique
es les différentes attitudes du corps dans la démarche de flanc. La
figure
1 et la Planche XVI reproduit la marche vers le
, s'est placé dans un plan antérieur par rapport à l'autre (4). Les
figures
S à 8 représentent l'abduction du membre normal.
ormal. La progression vers le côté paralytique est représentée à la
figure
2 et Fie. 1. Empreintes des pas dans la démarch
pas donner une grande longueur du film cinématographique, mais. les
figures
I et V donnent l'impression de la succession de
r exac- tement la rapidité des mouvements qui obtiennent le maximum
figure
A, dans laquelle nous avons noté un mouvement p
ont faits dans une période de moins d'un cinquième de seconde. La
figure
V montre un mouvement de latéralisation droite, a
ITANTE 129 oblique, sont épaissies et forment dans leur ensemble la
figure
d'un enton- noir, d'une poire ou d'un cornet. P
mier, Composé de fibres un peu fortes, - 1 Fig. 9. Même coupe que
figure
5. Fio. 40. Section longitudinale de la substan
ons traité les coupes par la méthode Eisath- Alzhei mer. Dans les
figures
12, 13, 14 et 15 sont reproduits quelques-uns de
ules rondes. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 139 la
figure
29, excepté les fibres rigides, comme substance p
ques sous le nom de formations slelliformes. Nos recherches et nos
figures
peuvent laisser croire que le tissu névro- gliq
corne antérieure et sa granulation apparaît très clairement dans la
figure
20. FIO, 19. Premier cas de paralysie agitante.
lzheim er. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 141 . La
figure
2 représente les coupes colorées au bleu de tolui
tissu sous-cutané de la région prérotulienne se sont endurcis. La
figure
n'a été atteinte que depuis quelques mois et enco
eurs ? En terminant, nous attirerons l'attention du lecteur sur les
figures
qui accompagnent celte courte note (Pl. XLVIII)
i, quand la sage-femme est venue. Trois jours après fièvre de lait,
figure
comme cela et puis ça y est. Ça me coûte cher m
rage attira son attention sur l'existence, dans le côté droit de la
figure
, de mouvements intermittents, analogues à de lége
cialement au point de vue des mouvements convulsifs que présente sa
figure
. Ces secousses musculaires siègent dans la moit
un frémissement très appréciable des régions marquées 4 et 5 sur la
figure
. Dans l'occlusion des paupières, forte et persist
e M. Burnier, celle de MM. Souques et Chauvet, ainsi que les belles
figures
qui ornent leurs mémoires, nous montrent en effet
lie de la base du crâne, ni de la constitution de ses parois. Voyez
figures
3 et 4 (PI. LIX). G...,né le 23 août 1901, a au
sont, d'après cet auteur, pathognomoniques de l'oxycéphalie. Voyez
figures
PI. LIX, 1, 2 et LX. Voilà donc deux idiots por
x clairs, tantôt placés l'un à côté de l'autre comme au centre delà
figure
, tantôt séparés. Par places leur protoplasma es
ontinus de gliaspongium fortement modifiés. Nous voyons cela sur la
figure
3 prise à la périphérie. L'espace clair du côté
figure 3 prise à la périphérie. L'espace clair du côté gauche de la
figure
se rapporte à la pie-mère; il est la continuati
s séparés par des espaces lymphatiques en fentes. Nous avons sur la
figure
trois îlots de gliaspongium (le supérieur, moye
s mêmes cellules épithélioïdes dont nous avons parlé à propos de la
figure
2 (de la memhrane réticulaire plus bas). Nous a
re-mère dans la pro- fondeur du tissu. La partie supérieure de la
figure
6 appartient aux méninges, la partie inférieure
ait sur son trajet et à cause décela il s'y forme des mailles. La
figure
6 servait de démonstration évidente de ce que le
.s. w. Neurologisches Centralblatt, 1911, n° IL On peut voir sur la
figure
7 (PI. 1,Xlll) l'aspect que présente le tableau
illaires dans les espaces intervasculaires se fait voir sur la même
figure
7. On peut voir que ces réseaux inlervasculaires
réseaux intervasculaires attirent la membrane terminale). Sur la
figure
8 on voit les espaces périvasculaires des gros va
s présentent pour la plupart une direction spirale. Sur la dernière
figure
on peut voir à la membrana terminalis des coupes
hérie de la substance céré- brale, aux endroits représentés sur les
figures
, le commencement de for- mation d'une forme aty
siques. 9° Si nous comparons le portrait de notre sujet à certaines
figures
de (lysosiose cléidn-crcîcaiemce de la collecti
centi- mètres 1/2 à 3 (comparer la fig. 1 de la PI. LXVII, avec les
figures
suivantes de la même planche). L'élargissemen
quées chez les pagétiques que chez les sujets normaux (Comparer les
figures
2 et 3 avec la figure 1 de la Planche LXXII). C
es que chez les sujets normaux (Comparer les figures 2 et 3 avec la
figure
1 de la Planche LXXII). C'est tout à fait ce qu
ns un mémoire sur les « Déformations plastiques du crâne » dont les
figures
représentent à n'en pas douter un crâne de pagé-
DE DES PLANCHES Pt. LXVI. - Face interne de 5 crânes pagétiques via
figure
1 est un crâne normal pour servir de terme de c
ralement. 1,1,. LXVIII. Fio. 1 et 2. Cas n° 1 (personnel). Sur la
figure
1, on voit l'énorme 'augmentation transversale de
Coupes sagittales médianes. - Fio. 1 et 2. - Les crânes normaux des
figures
1 et 2 ne diffèrent que par la disposition plus o
atrophié. (1) Les sésamoides ont été artificiellement placés sur la
figure
à la face dorsale du pied, dans le but de les m
s de défor- formations ou atrophies musculaires. L'expression de la
figure
présente un cer- tain degré d'inertie, les sill
EAU MÉTALLOTHÉRAPIE ET HYPNOTISME ÉLECTROTHÉRAPIE TOME IX avec 34
figures
dans le texte et 13 planches PARIS AUX BUREAU
observe à sa surface aucune apparence d'injection vasculaire. (PL IV,
figure
7, A. B.) Les muscles du bras ont paru présenter
ale. (Archives de physiologie, etc. 1868, n° 2, p. 308). — Cette note
figure
à la page 73. mal ; de telle sorte qu'on rencon
ire. Si nous réveillons notre cataleptique (en lui soufflant sur la
figure
ou en lui comprimant la région ovarienne), nous l
rce sur l'aspect de la physionomie ; je lui rapproche les mains de la
figure
comme on fait lorsque l'on rit, et aussitôt, la f
on du rire ; si je donne aux bras une attitude tragique, aussitôt, la
figure
devient tragique à son tour. Nous pouvons maint
s paupières du côté gauche, et je la réveille en lui soufflant sur la
figure
. Elle a gardé ses contractures du côté gauche et
emploi d'un courant trop intense et qui pénètre trop profondément. La
figure
6 de l'ouvrage de Duchenne représente un exemple
e la contraction isolée de ce muscle, ainsi qu'on l'observera dans la
figure
30 ; mais, le courant trop intense, ayant pénétré
absolument conforme à la description de Duchenne. L'excitation sur la
Figure
4 de la Planche V et la Figure 1 de la Planche VI
ption de Duchenne. L'excitation sur la Figure 4 de la Planche V et la
Figure
1 de la Planche VI est portée près de la queue du
le d'isoler assez bien l'action de ce muscle, ainsi que le montre les
figures
1 et 2 de la Planche VI. Le petit zygomatique p
du nez participe à l'excitation. C'est ce qu'on peut remarquer sur la
figure
3, Planche VIT. Le mouvement de la lèvre supérieu
que l'aile du nez du même côté est un peu relevée. En comparant cette
figure
à la suivante, qui représente l'action isolée du
s parties de la physionomie un mouvement bien caractéristique, que la
figure
4 de la Planche XI et la figure 1 de la Planche V
ouvement bien caractéristique, que la figure 4 de la Planche XI et la
figure
1 de la Planche VIII mettent parfaitement en lumi
e de ce muscle est très facilement obtenue chez notre malade. Dans la
figure
4 de la Planche VII, la contraction du muscle sui
uscle suit l'excitation du rameau nerveux qui lui est destiné. Dansla
figure
i de la Planche XII, l'excitation est portée sur
que ce mouvement des narines s'est inscrit assez nettement sur notre
figure
pour en mériter la reproduction ici, et la partic
à mettre en lumière ressortira d'autant mieux qu'on la comparera aux
figures
voisines (1 et 2 de la môme planche), sur lesquel
et en bas de la commissure des lèvres, comme il est indiqué sur notre
Figure
3 de la Planche VIII. Si l'excitation est faite p
tre malade hypnotisée, l'action simultanée de ces deux muscles et les
Figures
1 et 2 de la Planche IX sont pleinement confirmat
occlusion des yeux, dont le regard n'anime point la physionomie de la
Figure
1, l'expression de frayeur y est assez bien repré
igure 1, l'expression de frayeur y est assez bien représentée. Sur la
Figure
2, nous avons essayé de compléter l'expression de
st facile, à répéter sur la face et les résultats que représente la
Figure
4 de la Planche IX en sont vraiment saisissants.
e énergie des deux côtés. Mais, il suffit, ainsi que le représente la
Figure
4 de la Planche IX, de soulever la paupière gauch
eil, du nez ou des lèvres et du menton. Dans l'expérience représentée
Figure
2 (Planche V), l'excitation porte sur le tronc ne
ure qui persiste pendant l'état cataleptique ou après le réveil. La
figure
26 représente l'inscription de ce phénomène par l
En touchant sur l'avant-bras droit le point d'élection indiqué sur la
figure
15, 9, l'index seul s'élève et demeure immobilisé
dans l'extension par la pression sur le point moteur désigné sur. la
figure
15, 6. L'aimant est appliqué près de la main gauc
près les premières expériences que nous venons de rapporter. Les deux
figures
3 et \ de la Planche VIII ont été prises d'après
été prises lors des premières expériences tentées sur ce sujet. La
Figure
1 de la Planche X représente la malade en état ca
à l'excitation, un léger degré de contraction. Fig. 2. — Dans cette
figure
, à la contraction des deux muscles orbiculaires p
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T.OM'E X;X Avec de nombreuses
figures
intercalées dans le texte et 89 planches hors tex
: .- PAUL RICHER HENRY MEIGE TOME VINGTIÈME Avec de nombreuses
figures
intercalées dans le texte et 89 planches hors tex
alable au génie du statuaire qui s'est plu à condenser en une seule
figure
tous les éléments de la beauté. C'est une synth
x mètres (nous ne possédons pas le chiffre exact). Il présentait la
figure
glabre, un prognathisme manifeste du maxillaire i
ie avec la base du col..... Le bord antérieur, très épais, offre la
figure
d'un petit rectan- xx 7 98 HENRY MEIGE gle.
atomie du vivant. Cet ouvrage monumental, illustré de plus de 300
figures
, et d'une centaine de planches dessinées par l'
nds de connaître les rapports normaux des différentes parties de la
figure
humaine vivante. Quotidiennement', le chirurgie
t pour faciliter cette tâche. Aussi est-il accompagné de nombreuses
figures
dans lesquelles domine la préoc- cupation const
, Éditeurs. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA. SALPÊTRIÈRE. T. XX, PL. XX.
Figure
extraite DE L' " Abrégé d Anatomie ACCOMMODÉ AU
bat (1668). NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XX, PL. XXI.
Figure
extraite DE L' "Abrégé d' Anatomie ACCOMMODÉ AU
at (1668). NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XX, PL. XXII.
Figure
extraite DE L' "AIIHÍ.GÉ d'Anatomie ACCOMMODÉ A
j ? ... ? , NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE, T XX, PL. XXIII
Figure
extraite de L' "Abrégé d'Anatomie .ACCOMMODÉ AU
NATOMIQUE 113 titude » en ostéologie et en myologie. Ces vénérables
figures
ont été, pa- raît-il, exécutées d'après celles
dit s'être réveillée il y a 1 an 1/2 «paralysée d'une moitié de la
figure
». Depuis cette époque, elle voit double et sa p
ourmentée,qui,en détruisant la symétrie entre lesdeux moitiés de la
figure
, rendit sa tentative infructueuse. En effet, en r
que. Le lecteur aura donc à tenir compte de cette asymétrie sur les
figures
ci-jointes. Nous avons nous-mêmes, pour établir l
es du côté droit passant exactement au même niveau. Description des
figures
. - Sur la coupe représentée (fig. 1) passant par
tée par la lésion et une atrophie nette du champ de Wernicke. Les
figures
suivantes (fig. 2 et 3) montrent que la lésion oc
. Le petit foyer du corps genouillé interne, qui sur la coupe de la
figure
2 est encore 100 R0SS1 ET ROUSSY nettement in
ut il fait postéro-inférieure du pulvinar. Comme sur les coupes des
figures
2 et 3, la bandelette optique est complètement
réfaction de fibres avec sclérose très légère. La coupe représentée
figure
5, nous montre que le foyer détruit les mêmes f
ffleurer à ce niveau la partie tout inférieure du corps de Luys. La
figure
suivante (fig. 6 représente une coupe du pédoncul
le locus niger en totalité et sectionner, comme sur la coupe de la
figure
précédente, les fibres de la portion antérieure d
u la partie adjacente de ce noyau. A partir de la coupe représentée
figure
6, sur toute la série des coupes du pédoncule e
toute la série des coupes du pédoncule et jusqu'à celle représentée
figure
8, le foyer primitif qui intéresse le ruban de
point de convergence à la face interne du pédoncule. Sur les trois
figures
suivantes (fig. 7, 8 et 9), on voit que le foyer
te de la substance réticulée de la calotte Sur la coupe représentée
figures
8 et 9, les fibres les plus externes du pédoncule
on réticulée blanche à gauche. Ici en effet, ainsi que le montre la
figure
11, on voit que les fibres trans- versales de l
croisé du côté gauche. A remarquer en outre, ainsi que le montre les
figures
, que le faisceau pyramidal direct gauche n'est
ap- portons dans ce travail l'étude anatomo-clinique. LÉGENDE DES
FIGURES
DES PLANCHES XXXVII A XXXIX BrQa. Bras du tuber
e abondance qu'à l'état normal, des leucocytes, et çà et 1 quelques
figures
de « neuronophagie » ; les cylindraxes sont gonfl
ue et attribue la même origine aux altérations vas- culaires. Les
figures
4, 5, 6, 7 et 8 en in diquent la localisation, ma
que tout n'est pas sénile dans un processus frappé de sénilité. La
figure
1 représente une circonvolution respectée et re
tes, tout le monde est d'accord sur ce point. Au-dessous de cette
figure
(Pl. LX, fig. 1)nous avons placé un fragment de
ec tendance lacunaire est le fait de la sé- nilité. Dans cette même
figure
on passe, sans transition ou à peu près, du tis
s la couche moléculaire. C'est dans celle-ci que l'ont surprise les
figures
1 et 2 de la planche LXI. Dans la figure 1 tout
que l'ont surprise les figures 1 et 2 de la planche LXI. Dans la
figure
1 toute la couche moléculaire, y compris la zone
ie, on la dirait plutôt mamelonnée. Le fait est retenir. Dans cette
figure
1 la couche moléculaire est uniformément sclére
n vaisseau, des plaques de sclérose; celle qui est dessinée dans la
figure
1 de la planche LXII se substitue la couche des g
du noyau dentelé. Ce n'est cependant en aucun de ces points que la
figure
2 de la planche LXII a été prise. Bien mieux, e
est seul à ressembler à ce qui est le propre de la sénilité. Cette
figure
2 de la planche LXII doit donc mettre en garde
essus de formation lacunaire par nécrose des plaques scléreuses. La
figure
1 reproduit une des nom- breuses formations lac
se réalisent dans la couche moléculaire au fond des sillons ; et la
figure
2 fait bien voir une formation identi- que situ
fritement et de la fonte d'une plaque comme celle que représente la
figure
1 de la planche LXII : nous n'insisterons pas sur
f the Limbs Body-Wall and Back. p. 1-37 ; With 9 plates and 27 text
figures
(The american jour- nal of anatomy, vol. I, 190
de l'aqua- relliste, lorsqu'il peignait ses délicates et précieuses
figures
de Merveil- leuses et d'Incroyables, tantôt ave
r la position des yeux dans l'agonie,comme on peut le voir dans ses
figures
d'Ecce Homo (PI.LXXXIX). Non moins caractéristi
Le malade est un nomme d'une taille au-dessus de la moyenne^ à la
figure
pàle, mais d'une constitution en apparence assez
é est abolie dans le membre supérieur gauche, comme l'indiquent les
figures
t et 2, sauf à la paume de la main et à la part
ns cette situation sans pousser le moindre cri, les yeux fermés, la
figure
sans aucune expression particulière, ni pâle ni
la phase épileptiforme, il est pris de délire, crie, gesticule, se
figure
qu'il est en présence des Chi- nois, et il est
pas complète, avons-nous dit, mais si l'on jette les yeux sur les
figures
3 et 4, on voit qu'au membre supérieur, seul me
oit qu'au membre supérieur, seul membre paralysé au moment où cette
figure
a été dessinée, l'abolition de la sensibilité e
la femme comme cause d'aliénation mentale. La vieillesse (qui ne
figure
dans le questionnaire que depuis 1878) fournit
le du système nerveux. - \'oliiiiiein-1 ? o de 496 pages, avec 2 13
figures
dans le telte. - Prix : 10 fr. Aux bureaux du P
sées à l'école d'anthropo- logie. Volume in-8' de b76 pages, avec 7
figures
. Prix : 10 fr. Pans, 1885. - A. Delahaye etE. L
e, par IIEGntBE\U (3- édition). Volume in-so de 1,190 pages, avec73
figures
et 16 planches. Prix : 28 fr. Paris, 1895. - A.
a Faculté de médecine de Paris. Volume tn-8" de 400 pages, avec 114
figures
et 2 planches. Prix : 9 fr. Paris, 1885. - A. D
introduction par D. NOL EN. Un volume in-8^ de 57t pages, avec 123
figures
. Pans, 1885. - Librairie Félix Alcan. Le réda
e les dernières côtes forment, au niveau des hypo- Ji1g. 8. - Celle
figure
représente trois cas d'idiotie : le premier (à
bilité est conservée et même exagérée à la face palmaire. (Voir les
figures
11 et 12.) Lorsqu on tord l'épaule, le malade n
ture, à la douleur est abolie, dans les limites indi- quées sur les
figures
13 et 14. Le sens musculaire est aboli. Les réf
ment par cessation de fonction ou dégénérescence véritable (Rumpf).
Figures
à l'ap- pui. Il ! . Contribution à lit pathol
hie portant uniformément sur toutes les parties du vermis (voir les
figures
); parallèlement la base osseuse du crâne est le
raduellement étendue en haut jusqu'à la partie inférieure du bulbe (
figure
à l'appui). P. K. XLVIII. Sur une FORME TOUTE p
leritic and othe/' origin. Volume in-80 cartonné de 147 pages, avec
figures
. - London, 1886. J. et A. Churchill. HG WARD H.
progressive nuzsculnr at>'Oph ? Brochure in-8° de 43 pages, avec
figures
. Lonilon, 1886. - H.-K. Lewis. La Possession de
à i'liôpital Saint- Sauveur. Un volume Ill-S' de 213 pages avec li
figures
. Prix : 5 fr. Pour nos abonnés, 3 fil. 50. Tr
pratique de la lèpre. Un \olume in-4^ raisin de 360 piges, avec 48
figures
, 7 tableaux dans le texte et 22 planches en chr
ulsto- nian lectures. Un volume in-8- cartonné de 99 pages, avec 15
figures
. - London, t8.s6. J. et A. Churchill. Setrztc
ln the poîts oblongata transition. Brochure in-8" de 14 pages, avec
figures
Extrait du louwnal of ne,'vous and mental dtsca
primant 29' CLINIQUE NERVEUSE. très nettement ; traits réguliers,
figure
agréable, pas de goitre; elle ne présente aucun
s. En 1871, sa soeur lui fit par imprudence de fortes brûlures à la
figure
et aux mains. Il fut alors ramené à Bicêtre, d'
avant, on note, au contraire, un développement plus Fi ? 17.- Cette
figure
représente trois cas d'idiotie : le premier (à à
issure olfactive est profonde. La scissure orbitaire assez profonde
figure
deux accolés par l'un de leurs bords et posséda
ant. Elles avaient tous les caractères qui sont représentés dans la
figure
7 (p. 144). Enfin, comme dans un certain nombre
uand on lui met un chat entre les mains, il le caresse et prend une
figure
riante et pousse quelques cris de joie; il est
ais quand on lui parle gaîment, une lueur 'de plaisir traverse sa
figure
. Autrement sa physionomie est sans mouvements, du
iller, se boutonner, lacer ou nouer, ni se déshabiller, se laver la
figure
ou les mains. - Il était très sensible au froid;
ancement; bave légère. Etat du malade (1882), d'après M. Ball. - La
figure
est sans expression, bouffie, terreuse ; le fro
des sous-maxillaires ainsi qu'il ressort de son travail même et des
figures
qui y sont annexées. MM. Albertoni et Tizzoni3,
t l'attrait de l'exposition, sans compter la présence de nombreuses
figures
explicatives et schémas inédits ou empruntés so
Secrétaire de la Rédaction : HENRY MEIGE ' TOME ONZIÈME Avec 100
figures
intercalées dans le texte et 60 planches hors tex
ut au contraire, il semble y prendre un malin plaisir et sa vieille
figure
s'anime d'un rire qui ne semble guère compatissan
inférieurs, ilsuffira au lecteur de jeter un coup d'oeil sur les
figures
1 : 3 et 14 pour être complètement édifié. Fi
s de la descente d'un escalier, ce que représentent les dessins des
figures
15 et 16 qui valent mieux qu'une longue descrip
t le lecteur qui vou- dra comparer les ligures 'il et 12 avec les
figures
15 et 16 saisira de suite les analogies et les
ans le pas anérieui le membre portant seul est en ex- tension. La
figure
que nous donnons ici représente la fin du double
nt où va commencer le pas postérieur. Il suffit dé le comparer à la
figure
3 pour saisir les différences qui existent avec l
b ? Sclérose des zones de Lissauer, triangle de sclérose comme sur la
figure
précédente, un peu plus postérieure. Mêmes zone
Goll, des bandelettes externes. Mêmes régions conservées que sur la
figure
précédente. MASSON & Cie, Editeurs. CONSE
Plusieurs de ces plaques élémentaires en se confondant forment des
figures
de contours différents, qui rappellent le psori
? Et cependant notre infantile a dépassé sa dix-neuvième année ! Sa
figure
pouponne, avec ses grosses joues et son petit nez
mbryon de virilité qu'aucune pilosité n'ombrage. D'ailleurs, sur la
figure
, ainsi que sur le corps, nulle trace de duvet ne
s jusqu'aux grosses cellules poly- morphes contenant des nombreuses
figures
kariokinéliques. Au milieu de la tumeur, là où
4. ou 5 ans d'àge, d'autant que sur son corps, non plus que sur sa
figure
, on n'entrevoit pas l'ombre d'un duvet. C'est bie
uré de rides, que l'on dirait sculpté dans un marron, et cependant,
figure
étrangement expressive, où se reflète, sous le
i- rurgien fait ce qu'il peut pour y remédier. Comme toujours, la
figure
de l'opéré exprime une cruelle souffrance. 11 n
u'un intérêt accessoire. Nous retrouvons là cependant celte vieille
figure
de sorcière qui jette un regard oblique ? OU\',
murs sont d'une nudité voulue qui fait ressortir plus vivement les
figures
expressives des person- nages. On distingue cep
nférieure aux scènes du même genre que Brouwer nous a laissées. Les
figures
sont épaisses et inexpres- sives, les attitudes
les lit. On en voit un, ouvert sur une table, où sont imprimées des
figures
d'instruments de chirurgie ; un autre, sur un b
sûr, il ne s'agit pas d'une extraction de « pierre de tète ». Si la
figure
de la vieille exprime la douleur, celle du barbie
ERS le Jeune (1634). (Collection du Dr Liétard, de Plombières) . (
Figure
extraite du " Janus " 1898). MASSON ET C10, Édi
, se tient une vieille femme, la tète couverte d'un mouchoir blanc,
figure
manifestement imitée de Teniers ou de Brouwer.
os remerciements à M. Doin qui nous a obli- geamment communiqué les
figures
de cette leçon.] (X. D. L. IL) xi 1J 214 F. R
d'un embonpoint presque excessif pour son âge, elle portait sur la
figure
l'empreinte des souffrances physiques qu'elle ava
mpression géné- rale, phénomènes de compression locale. La céphalée
figure
en tête des premiers. Elle a été d'une violence
ne fortune de faire connaitre des à présent à ses lecteurs avec les
figures
qui l'illus- trent, est un des plus intéressant
dyslrophiques de l' hé1'édo-syphillS, un vol. de 370 pages, avec 20
figures
et 3 planclies, en publication chez Itueff et Cie
dès la première année de sa (1) Le relevé des autres cas recueillis
figure
dans notre thèse Stigmates dystrophiques de l'h
7 avec une asymétrie faciale des plus marquées. Le côté droit de sa
figure
est tellement volumineux, par rapport au côté opp
l l'aide de lames de plomb, on obtient le tracé repro- duit dans la
figure
ci-dessous : En examinant le cuir chevelu, on v
ineuses que les gauches. » L'examen histologique des parties molles
figure
dans l'observation de Kiwull : des lambeaux fur
sont également intacts. Le malade prétend que le côté gauche de sa
figure
sue plus facilement que le droit. , La sensib
servation d'après ce que rapportent Sonham et Pincus et d'après les
figures
qu'en donne le premier de ces auteurs. (1) Re
carter cette idée, de considérer la parfaite exécu- tion des autres
figures
dans le même tableau. Une telle déformation est
Gilles de la Tourette a fait revivre pour nos lecteurs cette grande
figure
de Charcot, dont Paul Richer a gravé à l'eau fo
e mouvoir, sous l'impulsion de sa seule volonté, le membre qu'il se
figure
paralysé. Mais qu'une personne qu'il croit apte
e n'avait pas encore envahi les « muscles des autres régions. » Les
figures
2, 5, 11, 12 et 13 de la « Phy- « siologie des
lèvre inférieure et la partie supérieure du cou. Cette moitié de la
figure
descend, pendante et immobile, toujours sans expr
trouver ci la face des angiomes aussi considérables, défor- mant la
figure
au même point que chez notre malade et lui donnan
ratoires et surtout cette dyspnée paroxystique et extraordinaire qui
figure
entre les plus saillants ? Ce qui frappe d'abor
froide simplicité. Il apparaissait un peu connue une de ces grandes
figures
de la Renais- sance. également éprises du Vrai
. - ' " ' ? Chai'colcédailvolontiei's roquer ", en quelques une
figure
qui l'avait se souvient du portrait 111 pClld
nombre de ses fa\niliè\ : 5\lIil'rl(iclI compagnon de jeu- liesse.
figure
falote de Vieux naturaliste, papillonnant autour
nateur : LEUBA. Tome VII. - 1884. Avec 3 planches en couleur et H
figures
dans le texte. PARIS BUREAUX DU PROGRÈS MÉDIC
pareil locomoteur, 1SS, p. 88. 3 A. Decliaml,re. - Caractères des
figures
d'Alerandre le Grand et de Xénon le Stoïcien éc
ssociée à la sclérose disséminée au même titre que l'hystérie qui
figure
assez souvent ,dans ses antécédents; les LA FAM
e de la moelle. I. Topographie des lésions.- Un examen attentif des
figures
représentées sur les Planches I et II et qui re
. Ce qui frappe tout d'abord, au premier coup d'oeil jeté sur ces
figures
, c'est l'existence de lésions scléreuses dans tou
i représentent, au moins en partie, les faisceaux de Goll. Sur la
figure
5, qui correspond à l'extrémité inférieure de la
nt, immédiatement en dedans des cordons sclérosés de Burdach. Les
figures
6, 7, 8 et 9 représentent des coupes pratiquées à
'avons fait pour celles des cordons postérieurs. La disposition des
figures
sur les planches exige que nous procédions de l
iphérie de l'or- gane, au voisinage immédiat de la pie-mère. Sur la
figure
13 (PL. III), on peut s'assurer qu'àce niveau,
ylindraxe au centre, tandis qu'en b, au moins sur les limites de la
figure
(partie périphérique des cordons latéraux), ces
ent de ces vaisseaux est particulièrement bien appré- ciable sur la
figure
9 (PL. II). On voit d'autre part que la paroi d
ède de la pie- mère, comme on peut le constater nettement sur les
figures
2 et 3 (Pr.. I); elle s'avance vers le centre de
une sclérose diffuse. On s'en assurera en comparant à l'une de nos
figures
, à la figure 7 (PL. II) par exemple, celle d'un
ffuse. On s'en assurera en comparant à l'une de nos figures, à la
figure
7 (PL. II) par exemple, celle d'une coupe de mo
en examinant attentivement la topographie de cette sclérose sur les
figures
du mémoire de M. Prévost, on constate qu'elle n
sse de beaucoup les limites, comme on peut le voir sur les belles
figures
reproduites à la fin du travail de West- phal.
e. On jugera aisément de cette différence en jetant les yeux sur la
figure
16 (PL. III). En A est représentée la coupe d'u
yeux sur nos diverses coupes de moelle, particulière- ment sur la
figure
10 (PL. II), du nombre très grand des artériole
tout roide. Presque aussitôt, il s'est relevé; on lui a lotionné la
figure
avec de l'eau froide, et il a recommencé à trav
d'effort, pas de nausées, d'anxiété; souventmême, au contraire, la
figure
du malade exprime la béatitude; la colora- tion
c'est une paralysie faciale, localisée à la moitié inférieure de la
figure
, et plus prononcée à droite qu'à gauche. L'orhi
t comme situation, ainsi qu'on peut s'en assurer par l'examen de la
figure
1 (coupe frontale de Pitres). '' .' J ,f, . ,1.
rticularités suivantes : le champ visuel, comme on peut voir sur la
figure
ci-jointe (Fig. 6 et 7), est rétréci des deux c
cisément très fréquents, mais leur exis- tence est indéniable. Sept
figures
chromolitograpbiées illustrent la description.
aliéniste international, projet pu- blié dans les Annales de 1868,
figure
un tableau des causes de la folie et qui serait
oque, à ses véritables causes, milieux cosmiques au nombre desquels
figure
nécessairement l'influence professionnelle. Les
al, parfois même en plein milieu des tissus. On a sous les yeux une
figure
semblable à celle qui caractérise les foyers le
a moelle, des nerfs périphériques, les névroses. Un grand nombre de
figures
et des planches facilitent l'intelligence du te
publiée sous la direction du docteur John Asrmunsr et illustrée de
figures
intercalées dans le texte. Ouvrage précédé d'un
grands volumes in 8° de 800 pages chacun à deux colonnes avec 2,000
figures
. Chaque volume se composera de 5 fascicules de 16
IQUET. De la lithotritie rapide. Brochure in-8° de 79 pages avec 28
figures
intercalées dans le texte. Paris, librairie A. De
f weah ankles and inverled feel. Brochure in-8" de 12 pages avec 16
figures
dans le texte. New-York, Crawford, Printer 49,
system of surgical me- chantes. Brochure in-go de 14 pages avec 15
figures
dans le texte, Phila- delphia, Collins, Printer
exemple de Delpech, j'ai évité d'établir une liaison forcée entre les
figures
et le corps de l'ouvrage, de sorte que l'Atlas, t
constamment la colonne dans les flexuosilés qu'elle décrit. Sur cette
figure
, l'artère principale du corps offre une convexité
t un angle dont l'apophyse saillante est le sommet. 3° La gibbosité
figure
une courbe régulière, courte, d'un rayon variable
forme représente, en quelque sorte, un angle géométrique ; la colonne
figure
deux droites inclinées l'une à l'autre, le sommet
arfois d'atloïdo-occipitales ; elles sont rares. Sur cette pièce, qui
figure
au musée Du-pnytren sous le n° 613, nous voyons u
nt, la partie médiane se fronce ensuite, se plisse longitudinalement,
figure
un canal dans lequel circule la synovie. Plus tar
s est la plus facile, contrairement à l'opinion de Dupuytren. On se
figure
trop généralement que les sujets affectés de luxa
dilie également à la longue. Ainsi, ce calcanéum d'adulte n'a plus sa
figure
normale; sa grosse tubéiosilé s'est déprimée dans
s graphiques; je me bornerai à mettre sous vos yeux quelques-unes des
figures
de M. Broca et à vous retracer en peu de mots les
mbaires ne sont point déviées. Vous voyez le contraire sur ces autres
figures
qui représentent des déviations de la région lomb
e les fémurs sont en même temps courbés en dehors, les membres ont la
figure
de deux S. Si tout le membre abdominal est dévié
vertébraux, sur cette moitié de rachis scié longitudinalement. Cette
figure
de MM. Weber montre l'exactitude de leurs asserti
h a rapporté un bel exemple de cette courbure, dont je fais passer la
figure
sous vos yeux (1). Si les douleurs persistent, la
(ti). Mais il est aisé de voir, par la description du torse et par la
figure
qui l'accompagne, que c'était un cas de scoliose
auts de conformation du squelette. L'influence de la lordose sur la
figure
du thorax , sur sa cavité, sur les viscères thora
aire, l'ensellure portée à un haut degré (1). Même aspect sur cette
figure
, qui représente une jeune fille que j'ai soignée
s d'inclinaison primitive du bassin. Mettons à côté de ce moule cette
figure
d'un jeune garçon parfaitement musclé, dont la lo
es; on les dirait calquées sur le même modèle. Jetez les yeux sur ces
figures
de M. Bouteiller, qui a publié une observation de
tres circonstances. Vous en observerez tous les détails sur plusieurs
figures
représentées couchées dans nos musées et nos jard
ou et les lombes que ces deux courbes opposées se produisent. Sur ces
figures
faites d'après nature, de même que sur ce dessin
aire, quand la courbure en S accompagne le hancher. F. Une dernière
figure
, parmi celles que vous avez sous les yeux, réunit
nnent bossues parce que leur épine n'est pas droite, mais en arc ou m
figure
de S..., (que l'épine) se contourne de côté et d'
e S..., (que l'épine) se contourne de côté et d'autre, et se ployé en
figure
de la lettre S, qui fait qu'elles (les filles) de
yeux dans une colonne entière, est accompagné d'autres changements de
figure
qu'on n'aperçoit distinctement que sur les vertèb
férence des faces supérieure et inférieure offre par là, en avant, la
figure
d'une parabole dont le sommet répond à cette sail
l. 3, fig. 2; pl. 6, fig. \. 15. ramène vers la ligne médiane. La
figure
du rachis, ainsi fortement courbé dans son milieu
forme des voussoirs ou des pierres qui composent une voûte, tantôt la
figure
d'un véritable coin interposé entre des pièces pl
rez que ce sont autant d'erreurs d'observation, comme le montrent les
figures
mêmes de l'auteur. Je ne m'en suis pas d'ailleurs
igures mêmes de l'auteur. Je ne m'en suis pas d'ailleurs rapporté aux
figures
. Toutes ces pièces, hormis une seule, sont de la
e dessine ici au point de donner lieu , dans un sens, à la saillie de
figure
diverse, connue sous le nom de gibbosité ou bosse
Müller's Archiv., 1834, III. rent de la face qui a donné lieu à la
figure
longue, au nez et au menton du Pulcineilo. Mais j
des vertèbres qui le forment par leur superposition sont eux-mêmes de
figure
irrégulière. La paroi antérieure de ce canal, qui
t aussi diminué latéralement par la même cause, comme l'indiquent ces
figures
où la pointe du cœur se montre très-rapprochée de
la courbure vertébrale. C'est ce que l'on voit sur la plupart de ces
figures
(8). La veine azygos, représentée sur quelques-un
pre en cherchant à redresser une courbure. Par exception, voici les
figures
de deux pièces où l'œsophage se recourbait comme
nt et la réduction du lobe gauche, dans ce dessin, donnent au foie la
figure
d'un tricorne. Sur cet autre, au contraire, il fo
un rebord saillant, oblique, qui donne à la gibbosité antérieure une
figure
triangulaire. De même que chez les autres sujet
UINON Dessinateur : LEUBA Deuxième série, tome I. 1896. Avec 30
figures
dans le texte et 2 planches. PARIS BUREAUX DU
ssi nous bornons-nous à citer le som- maire de son observation. Les
figures
1, 2, 3 et 4 ne laissent aucun doute sur la réa
al au-dessous de ce chiffre, c'est ce que montre le petit tracé qui
figure
à droite de la Planche I. - Le poids, relevé to
uis le 18 juillet, le poids a continué de baisser (22 kg. 300). Les
figures
5 et 6 comparées aux figures 2, 3 et 4 permette
continué de baisser (22 kg. 300). Les figures 5 et 6 comparées aux
figures
2, 3 et 4 permettent d'apprécier les changement
ns notre service, le 7 juin 1890. L'ol>sercation de celte malade
figure
dans la communication que nous avons faite le 1
t dans notre Compte rendu de Bicêtre pour l'année 1889 (p. 57). Les
figures
7, 8, 9 et 10 donnent une idée de sa situation
mbre. Le pouls n'a pas dépassé quatre-vingt-seize pulsations. - Les
figures
Il et 12, comparées aux figures 8 et 9, donnent
uatre-vingt-seize pulsations. - Les figures Il et 12, comparées aux
figures
8 et 9, donnent une idée assez exacte de l'amél
xuosités et qu'il se contourne de façon à offrir sur les coupes des
figures
tout à fait singulières. ' On sait que, sur l
encore sous un aspect plus sinueux et plus irrégulier. (Voyez les
figures
ci-jointes.) Les colorations par les réactifs h
lan, ce qui se conçoit facilement, et ce qui permet de conclure aux
figures
que l'on aurait en faisant des coupes suivant l
bords des croissants, des virgules, des spirales, etc., LCG6\DE DES
figures
. Toutes les figures de la page ci-après repré-
, des virgules, des spirales, etc., LCG6\DE DES figures. Toutes les
figures
de la page ci-après repré- sentent des tubes ne
s en volutes, en S italiques, en vir- gules, etc., ou comme dans la
figure
7, le cylindraxe en voie de désin- tégration mo
t être rejeté à la périphérie du manchon de myéline; on a alors une
figure
faisant croire à la coloration foncée d'un demi
on observe le gonflement et le contournement du cylindraxe avec les
figures
qui viennent d'être mentionnées; dans le second
x de la moelle dont il a établi les lésions dans cette maladie, des
figures
semblables à celles que nous venons de décrire
Dans un remarquable mémoire 2 cet auteur a donné de ces lésions des
figures
très nettes, observées sur des coupes transvers
que l'autorité judiciaire fût obligée de le faire. Rien de cela ne
figure
dans la loi en préparation sur le régime des al
S (P.). Tremblement hystérique. Brochure in-8° de 10 pages, avec 24
figures
. - Paris, 1891. - Librairie 0. Dom. MonEL (J.).
mouvements horizon/aux des yeux. Brochure m-8" de 11 pages, avec 3
figure
. - Paris, 1895. - Librairie Stainheil. Schaff
s et publiées par H. Meige. Volume n)-8<' de VII-835 pages, avec
figures
. " Toulouse (I : rl.) - Les causes de la folie.
ons que ces hallucinations consistaient en la vision d'ombres, de
figures
, d'animaux, par exemple des marmottes qui dan-
s globes ocu- laires. Le malade voit des lettres, des chiffres, des
figures
humaines, des scènes dans la rue, etc. Les vi
es fibres dégénérées et dans la commissure antérieure. 1 Voyez la
figure
15. DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNÉVR
que sur les préparations colorées par le carmin, on voit 1 Voyez la
figure
16. 1'iy. la. Région lombaire. Préparation,
ubérance (préparations traitées par la méthode de Marchi). Voyez la
figure
17. En examinant les coupes transver- sales au
aragraphe à des planches qui ne comprennent pas moins de vingt-cinq
figures
; ces planches éclairassent admi- rablement la l
composants de la partie constitutive colorable seront, suivant les
figures
qu'iis affectent : des granulations, des filame
, jouent et travaillent avec les enfants. Lavage des mains et de la
figure
avant chaque repas. On 1 Même pratique à Bicêtr
ork Médical Journal, 9 mars 1895.) L'auteur rappelle que l'ataxie
figure
dans la symptomatologie d'un grand nombre de ma
veaux d'idiots : Craniolomie. Bro- chure in-8° de 47 pages, avec 18
figures
. Prix : 1 fr. 50. - Pour nos abonnés : 1 franc.
DEBIERRE et DOUMER, L'Album des Centres nerveux se compose de 48
figures
schématiques, avec légendes explicatives; il rend
téréoscopique des Centres nerveux des mêmes auteurs, chacune de ses
figures
correspondant à une des préparations représentées
(année 1891-1895), 1° série. - Volume in-8° de 653 pages, avec 103
figures
et 2 planches hors texte. Prix : 16 francs. ' L
ouloureux. Anesthésie remontante jusqu'à la huitième vertèbre ' Ces
figures
ont été mises à notre disposition par le D' I. Cr
Dr J. ! \IICKLE. L'auteur constate tout d'abord que les schémas et
figures
donnés comme représentant le type normal des ci
mot dendrites est tiré de la minéralogie où il sert à désigner des
figures
qui représentent des végétaux par le fait de l'ag
ressé le bassin et la partie la plus inférieure du thorax comme les
figures
26, 27 et 29 permettent de le vérifier. D'apr
ansverse exécutée à travers le milieu de l'entre-croisement (v. les
figures
) démontre que : ce sont les trousseaux postérieur
he à droite, des lignes sinueuses dont l'une, au milieu des autres,
figure
grossièrement un profil de tête d'homme. Elle-
e, presque tous accompagnés ou suivis d'une explication écrite. Ces
figures
et messages sont en rapport avec ses méditation
et une barre intérieure (fiq.2) qui forment très imparfaitement une
figure
humaine. Les yeux toujours fermés, mais après a
r regardé elle écrit mécanique- ment : « Dessin rare en sa netteté,
figure
de Dieu antique païen, xvo siècle avant J.-C. »
« épaves d'ossements de troglodytes trouvées dans Céphée ». La même
figure
en c nous montre une élucubration plus compliqu
e qui le découvrira descendra « de Leveyrier ». Plus enchevêtrée la
figure
5 nous est expliquée Fig. 3 b. Dessin médianimi
de l'Ereb », et une annotation ajoute : « A manche du fouet ». La
figure
6 nous ramène parmi les divinités en a c'est «, B
bénir leur union » . Un moment après avoir terminé le dessin de la
figure
8, Cam... écrit de nouveau les yeux ouverts : «
es) et que là où la pression diminue la paroi s'épaissit. < La
figure
8 et les PL. 1 et II donnent un exemple frappant
loi sus-énoncée, l'os frontal s'est épaissi ainsi que l'indique la
figure
8, où l'on voit la coupe de cet os. Dans la m
ression intra-crânienne », et nous en donnions des exemples. - La
figure
13 et les planches III et IV reproduisent un cas
ées à une hyperesthésie. Ces explications s'appliquent à toutes les
figures
. " DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 103 Enfin, Mes
tre part une représentation mentale très nette de Deus : « Je me le
figure
, raconte-t-elle, comme un être « grand'et noble
Central- glatit, 1\in, 1903). L'auteur montre, avec de nombreuses
figures
à l'appui, qu'il y a des cas de paralysie génér
e place toujours à contre- jour, cache le plus souvent le bas de sa
figure
dans sa main. Le plus souvent possible aussi el
neurologie actuelle, M. Brissaud a voulu faire revivre en Béarn une
figure
béarnaise. Bordeu fut un pré- curseur. Les préc
oit de simples fautes d'impression, de reproduction défectueuse des
figures
, soit de ce que les auteurs de ces recherches d
oteur, qui s'adaptent à de nouvelles fonctions. On n'observe pas de
figures
de cariocinèse. Séance du jeudi 4 août. Le je
PHIE. I. L'Année psychologique, t. X, 1 vol. in-8° de 680 pages, 48
figures
, Paris, Masson, 1904. Le tome X de l'Année ps
de la psychologie ; revues conte- nant l'indication détaillée, avec
figures
, de tout ce qui a paru de nouveau en 1904. L'hi
ée psychologique : 100 année, 1904. 1 vol iii-8- de 680 pages, avec
figures
dans le texte. Prix : 15 francs. Masson, éditeur,
nisalion' réhabilitée, 1 volume - in-18 jésus de 310 pages, avec 12
figures
intercalées dans le texte. Prix : 4 francs. 0.
ions des deux branches de l'auditif. Voici le résumé des résultats (
figures
). I. Dégénérescences intl'acél-éb1'Ules. 1. Cel
fente canaliculée qui témoigne d'un arrêt de développement foetal (
figure
à l'appui). P. KERAVAL.. Lit. Influence de l'
nsécutifs qui permettent de constituer la localisation des lésions (
figure
d'orientation cor- respondante). M. Lévi procèd
lles inlra-cellu- lilires, les cylindraxes et les réseaux de Golgi (
figures
). Les fibrilles intra-rellulaires ressemblent é
r leur concavité. Ces raies sont d'ailleurs ondulées et non planes (
figures
). Chez l'homme les raies ont généralement l'asp
herches expérimentales de ce mémoire qu'ac- compagnent d'édifiantes
figures
. I. Le bord des pupilles est susceptible de pré
e. On voit l'état du malade avant et après le traitement,'sur les
figures
1 et 2 de la planche XI, qui sont photographiées
-Clerc). La leucocytose en clinique, vol. in-8° de 182 pages avec 4
figures
hors texte, librairie Joanin et Ci*, 24, rue de
issait libre, en effet, elle levait la main comme pour frapper à la
figure
. Elle accom- pagnait alors ce mouvement d'un so
sensitives. celles de la sensibilité cutanée. (Déjerine, E. Long).
Figures
à l'appui. P. KERAVAL. LXXIII. Existe-t-il un
tomique et histo- logique très minutieusement analysée et discutée.
Figures
. Cette observation, conclut l'auteur, permettra
vice des enfants de Bicêtre (1880-1903), de nombreux documents avec
figures
et planches sur l'ana- tomie pathologique des i
ux de fer contre lesquels se pressaient de- malheureux déments à la
figure
hâve, les poings serrés, se répandant en impréc
se congestionne, le cou et les oreilles sont d'un rouge pourpre, la
figure
boursouflée, les yeux légèrement injectés, les
lpêtrière, 1878, t. II; mémoire de 90 pages avee 10 plan- ches et 2
figures
) ; Dans sa thèse intitulée : De l'épilepsie dans
mien. Sa face arrêtée dans sa croissance était dirigée en avant; sa
figure
grossière et ricanante semblait sortir d'entre se
rrer présentait tantôt à l'une, tantôt à l'autre des portières, une
figure
tout humble, toute douce, tout aimable, une fig
portières, une figure tout humble, toute douce, tout aimable, une
figure
qu'il avait toujours tenue en réserve pour le jou
ed. VARIA, 521 La foule se soulève de tous côtes pour voir; mille
figures
, mille nez sont à l'air. La curiosité et l'atte
NON Dessinateur : LEUBA Tome XIX. - 1890. Avec 4 planches et 42
figures
dans le texte t'ANIS B U 1\ EAU DU P;f06;/OE
ntaire gauche; c'est de s'incliner à gauche, comme l'indi- que la
figure
10. En réalité, l'inclinaison qui résulte- rait
u centre de gravité, comme l'indique le croquis schématique de la
figure
suivante. Cette attitude est assez compa- rable
re eu des secousses. Le 9 mars, il n'a pas eu de secousses, mais la
figure
était encore un peu égarée. Le 10, il aurait eu
u du segment inférieur de la moelle dorsale (l'orateur présente des
figures
et des prépa- rations). Ces anomalies se rattac
de son sommeil la belle endormie. Les uns lui jettent de l'eau à la
figure
, d'autres lui agitent les bras, plusieurs la pi
'y fit, le sommeil persista. Enfin, le médecin-passa la main sur la
figure
de la jeune fille et cria d'une voix forte : «
, les pseudo-contractures. Un beau volume in-8 de 216 pages, avec 8
figures
dans le texte, une planche chromolithogra- phiq
rds, goutte et rhumatisme. Un beau volume in-8 de 525 pages avec 19
figures
dans le texte et 4 planches en .chromolithograp
rançais par A. de Wat- teville. Brochure in-8", de 22 pages, avec 4
figures
, 1889. - Dand Scott. Charcot (J.-\1.)et Richer
t les malades dans fart. Volume in-r° de 162 pages, avec nombreuses
figures
intercalées dans le texte. - Prix : 20 fr. - Pa
or of the Brain : Removal; dents. Brochure in-8 de 43 pages, avec 8
figures
. Boston, 1889. - Médical and surgical reports.
es, hystérie, paralysie agitante). Volume in-8 de 169 pages, avec 5
figures
. -- Prix : 4 fr. - Pour nos abonnés : 2 fr. 75.
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T (E.). - De la chorée chronique. Volume in-8° de 262 pages avec 10
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le D' DAfioftET(H.) 9* fascicule. - Volume in-8 de 287 pages, avec
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sentant naguère, à un congrès de médecins aliénistes allemands, des
figures
des différentes circonvolutions cérébrales, ins
(E.). Des méningites microbiennes. Volume in-8 de 159 pages, avec 8
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ationale de 1889 à Paris. - Volume in-8 de : ,80-X : \x\', avec 293
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t les malades dans l'art Volume in-4° de 162 pages, avec nombreuses
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es, hystérir, paralysie agitante). Volume in-8 de 169 pages, avec 5
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; Prix : fi-. Pour nos abonnés : 2 fr. 75. Burea
ET (E.). De la chorée chronique. Volume in-8° de 262 pages, avec 10
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dans le texte. Prix : 5 fr. Pour nos abonnés, 4 f
ui lui ont été attri- buées et dont on peut se rendre compte sur la
figure
(jig. 38) qui représente une lésion de dégénére
érieure de la région cervicale, chez le nou- ' Parmi les nombreuses
figures
que j'ai examinées, je n'en ai trouvé qu'une se
longue, le pronostic fatal, le traitement inconnu. Une centaine de
figures
et des planches illus- trent la partie document
et des notes par le Dr Ch. Féré. Volume in-8° de 260 pages, avec 25
figures
dans le texte. Prix : 5 fr. Pour nos abonnés, 4 f
ique, les pseudo-contractures. Volume iu-8° de 216 pages, avec huit
figures
dans le texte, une planche chromo-lithographique
, hystérie, paralysie agitante).) Volume zn-8° de 169 pages, avec 5
figures
, - Prix : 4 fr. Pour nos abonnés, 2 fr. 75. G
T (E.). - De la chorée chronique. Volume in-8" de 262 pages avec 10
figures
dans le texte. Prix : 5 fr. Pour nos abonnés, 4 f
organes génitaux de la femme. Bro- chure in-8° de 60 pages, avec 11
figures
. Prix : 2 fr. Pour nos abonnés, 1 fr. 60. SEV
relatifs ci l'état de mal épileptique, L'observation détaillée qui
figure
en tête de nos Reclzer- elles nous dispense d'e
alors sans difficulté un verre de lait. Son pouls était à 150; sa
figure
plus vermeille. Peu après, il perdit encore la co
r. ne contenaient nas de. sucre. - En revenant à elle, G... voit la
figure
des personnes / J-/n/^* qui l'entourent colorée
Elle l'accuse de lui donner des visions affreuses : ? /elle voit des
figures
hideuses, un homme se cache sous son r iy s lit
e tortillée, bouche contor- sionnée. M... prétend qu'elle voit des'
figures
affreuses qui la forcent à faire des grimaces.
incelles ; ou encore elles voient des animaux tout noirs, ayant des
figures
hideuses, des cercles de différentes couleurs,
ie postérieure de la tète (1); puis, elle essaie de se déchirer la'
figure
, le cou, la poi- trine. Ces différents phénomèn
er .. pousse des cris, voit des voleurs, essaie de se déchirer la .
figure
, les bras, les jambes, où elle a des « fourmich
tète, bavarde : on court après elle, elle tente de s'égratigner la
figure
; frotte ses mains l'une contre l'autre, parce q
nnelle est absolument conforme à la précédente. (Voir Planche II,
Figure
1). Des complications qui succèdent aux attaque
où je posais les doigts, raconte-t-elle, ça faisait des trous. » Sa
figure
était bouffie et elle avait des douleurs au niv
engage à placer l'index sur son nez, elle le porte brusquement à la
figure
dont il atteint un point quelconque. Alors, en s'
es douleurs en cein- ture ( ? ), elle est obligée de s'asseoir ; sa
figure
prend une co- loration d'un rouge pourpre. Sa n
. On lui présenta une tasse de lait qu'elle but d'un seul trait. La
figure
avait repris progressive- ment sa physionomie h
NEVILLE. ' ' 13 PLANCHE I. Atrophie cérébrale. (Page 1 à 14).
Figure
I. - Base de l'encéphale. A, lobe cérébelleux g
rontal déformé. » E, base du bulbe olfactif. F, Nerfs optiques.
Figure
II. Colepe verticale transversale faite an niveau
ticale amincie. Les sillons normaux font en grande partie défaut.
Figure
III. - Coupe verticale transversale faite dans un
sain en un point symétrique à celui de la toupe représentée dans la
figure
il. A, couche optique. B, noyau intra-ventric
ANATOMIE DU CERVEAU (suite) ANATOMIE DU RHOMBENCÉPHALE Avec 465
figures
dans le texte dont 180 en couleurs PARIS .1.
aux durcis dans les bichromates alcalins, telles que les séries des
figures
23J à 25 (T. leu, p. u39-'iG7), et les coupes h
connexions avec les segments correspondants de la capsule interne (
Figure
schématique). Cil(a), segment antérieur; CR(i),
oit (Fig. 27, 29, 30 et coupe sagittale Fig. 281). 1 ic. z ? 7. -
Figure
schématique destinée à montrer la constitution
iète en avant sur le globus pallidus, mais respecte le thalamus. La
figure
37 passe par l'émergence de la IIIe paire et le
ergence de la IIIe paire et le tubercule quadrijumeau antérieur; la
figure
38 est voisine du sillon pédonculo-protubéranti
des régions non dégénérées du pied du pédoncule cérébral et dans la
figure
40 l'hémiatrophie en masse de la calotte pédonc
éto- occipito-temporales dans les régions légèrement teintées de la
figure
5G qui ne mesuraient guère plus d'un demi-centi
un degré excessif dans le cas Rivaud (Fig. G2 et 63; voy. aussi les
figures
1 il, 147 à 1 ? p. 153 et suiv. se rapporlant à
re des circonvolutions de la face externe de l'hémisphère cérébral;
figure
pouvant servir à la topographie vasculaire des fo
de Meynert (Fi1). (Compa- rez en particulier la moitié gauche de la
figure
68 à la moitié droite des figures 68 et 69.) -
n particulier la moitié gauche de la figure 68 à la moitié droite des
figures
68 et 69.) - Méthode de Weigert. 2/1 grandeur n
itent le pied du pédoncule cérébral en dedans correspondent dans la
figure
73 aux fibres radicu- laires de la IIIe paire,
la figure 73 aux fibres radicu- laires de la IIIe paire, et dans la
figure
74 aux fibres protubérantielles qui comblent le
partie supérieure de l'hémisphère pas- sant par la ligne A, A de la
figure
111, et intéressant le segment antérieur ou len-
s radiations strio-Ihalamiques les unes des autres. (Comparer cette
figure
avec la Fig. 78 du cas Pradel.) Méthode de Weiger
épendymaire très épaisse, qui se réfléchit sur la face Fie. 201. -
Figure
schématique du cas Longery. La cavité ventriculai
vertico-transversales est légèrement oblique, la moitié gauche de la
figure
intéresse un plan plus postérieur que la moitié
éveloppées et agénésiées de cet hydrocéphale, on obtient alors la
figure
201. Le cerveau antérieur de cet hy- drocépha
ans la région où la capsule interne se continue avec le FiG. 218. -
Figure
schématique du cas Richard. La cavité ventriculai
u manteau céré- bral passant en avant de la ligne de repère 4 de la
figure
213, dans la région de la cavité ventriculaire
observations de cette affection (Barlow, 177 ; Bouchaud, 1895); la
figure
238 a trait à un nouveau cas de paralysie 1·seudo
ces des deux côtés. La partie anlérieure (teintée en gris) de cette
figure
appartient à une coupe vertico-transversale, les
udé (CNC). - Coupe sagittale correspondant à peu près au plan de la
figure
311. Al, anse lenticulaire. - Aol, la partie de
sceau temporo-thalamidue d'Arnold. (Compa- rez cette coupe avec les
Figures
29 à 32 et avec le schéma, Fig. 27). Méthode de
i du côté sain. [Comparez en particulier le noyau caudé droit de la
figure
143 avec le noyau caudé du côté sain (Fig. 144) d
que dans les lésions remontant a la première enfance. (Comparez la
Figure
1Mi à la Figure 144 (côté sain) et les deux couch
sions remontant a la première enfance. (Comparez la Figure 1Mi à la
Figure
144 (côté sain) et les deux couches optiques de l
re 1Mi à la Figure 144 (côté sain) et les deux couches optiques de la
Figure
1 Í : 7 entre elles.) Le noyau caudé et le pu
n- fance (cas Rivaud, p. 151, Fig. 142 à 162). La comparaison des
figures
293 et 294 appartenant au cas Rivaud est très dém
postérieur de la capsule interne. (Cas Rivaud, p. z1, détail de la
figure
145, p. in.) Méthode de Weigert-Pal. 10/1 grandeu
cule, malgré la dégéné- rescence de l'anse lenti- culaire de la
figure
297. Intégrité du faisceau de Turck, de la pa
1) (Fig. 30G). La partie interne de ce champ contient encore sur la
figure
30G les dernières vestiges du foyer thalamique en
e l'anse lenticulaire. Les fibres dégénérées qui se trouvent sur la
Figure
309 dans le faisceau interne du pied du pédoncu
-externe du centre médian de Luys, que nous avons désignées sur nos
figures
sous le nom de région du ruban de Reil médian, et
t se continue avec la calotte pédonculaire. Elle ne comprend sur la
Figure
44, p. 61, que la partie du pédoncule cérébral
nom de commissure de Gudden un faisceau qui, à en juger d'après les
figures
, n'est autre chose que la commissure de Meynert.
aphie d'une pièce durcie dans le formol.) Même cervelet que celui des
figures
33]" 340, 342. Bl, bourgeon terminal. - com,
phère gauche le sillon marginal antérieur. Il suffit de comparer la
figure
339 à la figure 338 pour se rendre compte des g
sillon marginal antérieur. Il suffit de comparer la figure 339 à la
figure
338 pour se rendre compte des grandes variétés
de très grandes varia- tions individuelles. Sur le cervelet de la
figure
339, le premier lobule (V,dc, 1.) comprend une pa
a pho- tographie d'une pièce durcie dans le formol.) Autre face des
figures
338, 334, 342. 131, 'bourgeon terminal. - em, é
s- jacente. - 1'4, le diverticule angulaire du 4* ventricule. Cette
figure
rend très bien compte de la différence de profo
de vie de ... lobes latéraux d1 constituent dans leur ensemble la
figure
décrite par les anciens analo- cervelet. lattlrat
longueur et d'importance variables et dont l'ensemble constitue la
figure
si caractéristique de l'arbre de vie du lobe mé
trémité antérieure reçoit l'importante branche de la pyramide. La
figure
si caractéristique de l'arbre de vie du vermis (c
al supérieur une véritable région de transi- tion, dans laquelle la
figure
de la substance blanche centrale rappelle par c
plissée en zigzags et en festons, et repliée de telle sorte qu'elle
figure
une bourse, un sac ou une sphère creuse forteme
haut et en avant, convenablement orientées, telles que celle de la
figure
363, on arrive de même à suivre dans toute sa l
383), qui font suite aux fibres aberrantes protubé- rantielles des
figures
381 et 382 et réintègrent la N oie pyramidale au-
nné à gauche de la ligne mé- diane, n'esl pas représenté dans cette
figure
409. Comme on peu s'en rendre compte par le sch
, etde l'exiguïté remarquable delasubstance blanche, qui affecte la
figure
si caractéristique de l'arbre de vie du lobe médi
itive descendante du nerf glosso-pharyngien (IXd). Cervelet. - La
figure
si caractéristique de l'arbre de vie du vermis de
égions bien distinctes : Dans la région du vermis, elle présente la
figure
caractéristique de l'arbre de vie médian ; Da
e ont changé d'aspect; ce ne sont plus, comme sur la coupe H 12 de la
figure
précédente (Fig. 442), de grêles fascicules fai
trième ventricule qui, sur la coupe H 12 (Fig. 442), présentait une
figure
triangulaire et possédait des plexus choroïdes, s
uivant les régions, et dont quelques types sont représentés sur les
Figures
45 l, 452 et 453. La coupe H21 (Fig. 451) montr
tée, correspondant au bord externe de la corne latérale (Col) de la
figure
H20 (Fig. 4.0). La coupe H22 (Fig. 452) passe e
à son grand axe) d'une lamelle cérébelleuse. (Méthode de Golgi.) -
Figure
demi-schématique d'après Cajal (1893). .4, co
.N Dessinateur : LBUBA Tome XXIV. - 1892. Avec une planche et 6
figures
dans le texte. PARIS f3UItGAUX DU PROGRÈS MÉD
lui pose ou qu'elle se pose à elle-même. Pourquoi est-ce que je me
figure
une chose pareille, quand la pauvre femme se dé
Avec des électrodes de charbon revêtues de peau de chamois on voit (
figures
, expériences) que toute électrode, dès qu'elle
clinique interne, clinique d'accouchements, clinique chirurgicale,
figure
une qua- trième clinique indépendante, sous le
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. Philadelphie, 1892. Printed by G.-H. Buchanan
1EZ (Fn.). - Un mot sur Laènnec. Brochure in-8° de 28 pages, avec 6
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. Lille, 1892. L. Quarré. 160 BULLETIN BIBLIOGRA
sociated with paralysie agitans. Brochure in-8° de 31 pages, avec 3
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. - New-York, 1891. - Journal of Ne,'vous and Me
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s troubles de la mémoire. Volume in-12 relié, de 262 pages, avec 35
figures
. - Prix, 3 fr. 50. Paris, 1892. Librairie J. Ru
que de ses fiançailles, ses craintes redou- blent, parce qu'elle se
figure
qu'une prière mal faite porterait malheur à son
lexe à la treizième ligne. Le montant d'une acquisition dans lequel
figure
le chiffre treize suffit à faire immédiatement
l tordait la bouche à droite. Parfois il est tombé se blessant à la
figure
, d'autres fois encore il a uriné involontaireme
ussi la seule lésion correspondante révélée par l'autopsie. » Une
figure
très démonstrative accompagne ce récit. Ce cas es
étérotopie (congénitales de la substance grise. Voir description et
figures
) ; 2° les lésions myélitiques, de cause in» con
A lire en entier. Car la description tout entière fait, avec les
figures
, l'intérêt de l'observation. P. K. XVI. Contrib
cé dans les conditions de la vie ordi- naire, tandis qu'à Dun je me
figure
difficilement ce que seront, au point de vue de
esque aussi agile que là droite. (Ce travail est accompagné de deux
figures
. Sur la figure 2, prise deux mois après l'opéra
e que là droite. (Ce travail est accompagné de deux figures. Sur la
figure
2, prise deux mois après l'opération, on remarq
magnifique ouvrage, que facilite encore la pré- sence de nombreuses
figures
, est rendue agréable par un style aisé en même
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figures
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figure
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. Lille. 1892. L. Quarré. GIJERAIOPnEZ et DUVAII
OBERTHUR, PAUL-BONCOUR, PHILIPPE ET FOULARD. Volume XXIII Avec 38
figures
dans le texte et 9 planches. PARIS AUX BUREAU
toi- lette qui consistent -CI apprendre aux enfants à se laver la
figure
et les mains, il s'habiller, se déshabiller, `
ichi tant au point de vue de la bibliothèque qu'au point do vue des
figures
pour projections. L'administration a acheté aue
ls s'essuient, et peut-être par les linges qui servent à laver leur
figure
chaque matin, en dépit des recommandations qui
s distractions données aux garçons de Bicêtre et dont l'énumération
figure
dans le Compte-rendu de la section des garçons
er, il cherche à mordre, et s'il ne peut y réussir, il se griffe la
figure
et se cogne violemment la tête sur le sol. Et c
lements qui pourraient faire croire qu'elle est battue. La tête, la
figure
, les mains, portent souvent des ecchymoses cons
3ï° le matin, 37°, 3 le soir. 16 juin. On constate ce matin que la
figure
est bouffie ; les pieds et les mains sont légèr
e. Elle s'habille et se déshabille, mais très lentement, se lave la
figure
, se sert du couvert, essaie d^ coudre, mais ne
arres : de sucer le nez d'une de ses compagnes, de les griffer à la
figure
. Affectueuse néanmoins, s'attache vite. Trait
embre. Stationnaire en lecture et en écriture; con- naît le nom des
figures
géométriques, les usages du mètre et du litre.
écrire tous les mots formés de syllabes simples. Dessine toutes les
figures
géométriques. Fait des reprises. - Caractère do
ndu de 1889, afin de le rapprocher du mémoire sur le même sujet qui
figure
dans 1 : 0 volume. (3) Nous prenons la tempér
au-dessous de ce chiffre (2). C'est ce que montre le petittracé qui
figure
à droite de la Planche VIII (que l'on trouvera à
s le 18 juillet, le poids a continué de baisser (22 kg. 300). Les
figures
11 et 12 comparées aux/taures 8 9 et 10 permetten
beaux types d'idiotie myxoedéma- teuse que nous avons observé. Les
figures
12, 13 et 14, jointes à celles que nous avons d
00, p. 22. Toutes ces observations ont été illustrées de nombreuses
figures
et de planches. - '1;)0 La scoliose myxoedémate
urait duré deux heures. Les mem- bres étaient roides, retournés, la
figure
était de côté. Il ne pou- vait plus se tenir su
été qu'à partir du mois d'août 1893. L'enfant est devenu propre, la
figure
a offert un commencement d'expression, l'attent
bre 1901). - Pas d'adipose, pas d'éma- ciation, air de bonne santé.
Figure
colorée. Physionomie assez intelligente et calm
avait lu les Cordes fantastiques illustrés d'Hoffmann et voyait les
figures
étranges du livre. État actuel (9 mars 1901).
s' semaines ; tisanes amères ; lotions froides, vinaigrées sur la
figure
, au coucher. - A partir de ce jour, reprendre les
mencer. Cet enfant est sujet à des poussées de démangeaisons à la
figure
, tantôt aux lèvres et à leur pourtour, tantôt aux
riginale, a pour but de donner une idée d'ensemble sur le cerveau. La
figure
4 est destinée à montrer les rapports des circonv
les rapports des circonvolutions cérébrales avec les os du crâne; la
figure
2 est surtout affectée aux rapports des ventricul
rapports des ventricules cérébraux entre eux. L'une et l'autre de ces
figures
sont en partie schématiques, toutefois nous les a
mas aux faits et non pas à des idées théoriques préconçues. Pour la
figure
1 nous nous sommes inspirés en plus des données d
circonvolutions ascendantes se trouvaient nettement séparées. Dans la
figure
2 de notre planche nous avons représenté la parti
: cervelet. Arrière-cerveau : bulbe. La partie en pointillé de la
figure
2 représente les ventricules latéraux ; afin de n
sente les ventricules latéraux ; afin de ne pas surcharger trop notre
figure
, nous avons inscrit la corne inférieure du ventri
outé à cette planche l'innervation spéciale de la main; dans les deux
figures
qui constituent l'original, nous avons figuré à l
n dorsale de la main, que nous avons fait figurer dans le corps de la
figure
, représente celle qui est généralement décrite qu
l m. accompagne le commencement de l'oesophage. On oublié sur cette
figure
les lettres du grand sympathique qui se termine c
spinal de la tortue. On voit à droite le plexus cho- roïde. , Ces
figures
de la tortue sont dessinées d'après Bojanus. PL
oit en position deux vertèbres de la colonne dor- sale au bas de la
figure
n. s., g. s., nerfs et ganglions du grand sympath
e est ouverte sur la ligne médiane. Les autres signes comme dans la
figure
précédente. Fit. 3. Moelle allongée, protubéran
es cérébraux et tubercules quadri- jumeaux de l'homme. ( Cette même
figure
, copiée dans l'atlas de M. Serres, pi. ! 5, fi
la signification ordinaire; et les lettres italiques celle des deux
figures
précédentes. Fig. ! i. Mêmes organes chez le ve
t croisées par les fibres blanches du quatrième ventricule, dans la
figure
5 ? ·. g. réseaux de matière grise.-e. s. étage s
papier vélin, fig. avant la lettre. 72 fr. Le même, grand raisin,
figures
tirées sur papier de Chine avec les eaux fortes
ins de Desenne. Prix, broché : Papier satiné 18 fr. Papier vélin,
figure
avant la lettre 5u fr. Papier grand raisin, épr
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIERE TOME XVIII Avec de nombreuses
figures
intercalées dans le texte et 1,XXIX planches hors
s d intensité. W c. 3. - IVe racine lombaire. De même que pour la
figure
2, similitude de lésions avec celles du cas précé
s cutanés transversaux à la surface des spinaux du côté relâché. {
Figures
empruntées ri la collection de pbologi apbies ins
hanges. Trans.path. Soc. Londres, 1886, pp. 3S7 et 447. , (1) Les
figures
A et E représentent le même vieillard ; de même p
éformation thoracique analogue à la dépression en cuvette. Voir les
figures
1, 2 et 3 in Osteitis defnrmans, par Frederick A.
s un travail de MM. Ramadier et Sérieux sur le thorax en entonnoir,
figure
une planche repré- sentant le thorax d'un vieil
documents étaient ignorés de hialgaigne. - Les lettres ornées, les
figures
et les planches ici reproduites sont extraites
uer à NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE . T. XVIII, PL, XIV,
FIGURE
DU PIRASSOIPI, ESPÈCE DE LICORNE D'ARABIE Extra
e, » NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XVIII. PL. XV. LA
FIGURE
DU POISSON NOMMÉ VLËTIF, ESPÈCE DE LICORNE DE MER
nt accoucher de monstres tués par les médecins Vous l'en- Fig. 3. «
Figure
d'un vert jette par vomissement. » Fig. 4. Fi
ale (chambre claire même coloration, môme grossissement que pour la
figure
précédente). C Coupe sagittale de l'hémisphère
st bien faite pour produire des troubles intellectuels graves. La
figure
2 illustre ce que nous avançons ; les endroits où
acuoles sont loin d'occuper toute la coupe. Nous avons rendu sur la
figure
6 la zone de leur densité maxima ; on voit que c'
ules cylindriques,dont les unes, volumineuses (granuleuses sur la
figure
) sont éosinophiles, et les autres sidérophiles)
les cylindriques dont les plus volumineu- ses (granuleuses sur la
figure
) sont éosinophiles. UN cas d'acromégalie 181
les passerons rapidement en revue. Liebreicli le premier décrit et
figure
dans l'édition de 1863 de son Atlas un cas de c
ui fait tout de suite se souvenir de la « main succulente» (Voir la
figure
). Le dos est tuméfié; on ne voit plus les tendons
té de ces muscles est la seule cause de l'écriture présentée par la
figure
6 dont la forme ressemble à la crampe spasmodiq
ure se constate également pendant l'extension du pouce (fig. 7). La
figure
8 montre nettement la flexion exagérée du pouce
idale croisée droite. 2. Obs. IV. Moelle dorsale. Mêmes lésions que
figure
1. 3. Obs. IV. - Moelle lombaire. Sclérose plus
. Double dégénérescence mais prédominante à gauche (à droite sur la
figure
) des faisceaux pyramidaux. 3. Obs. IX. Moelle d
ographies de la main, combien celle-ci a d'analogie avec celles des
figures
des pages 513 et 515 de l'ouvrage déjà cité de
sante observation de Londe et ·feige" et comparer en particulier la
figure
47 de ce travail avec nos photographies, Londe et
doigts de la main ; Meige (54) et Hallopeau (54), à la moitié de la
figure
. Dans l'hémiplégique de Mabille aussi le trophoe-
l peut s'établir aux paupières (Deschamps) (52), à une moitié de la
figure
[Her- toghe (63), Meige (54)], dans les régions
dèmes aigus de la peau, et plus tard un trophoedème permanent de la
figure
: hémifacies succulenta ». A présent, avec ce b
pas néces- saire pour le trophoedème. Les variétés localisées à la
figure
, aux paupiè- res, au sein sont des trophoedémes
le comme la lésion, et proportionnellement plus accentuée (voir les
figures
de dos où on la constate nettement sur la limite
its par MM. Pierre Marie et Sainton pour s'apercevoir que. dans les
figures
de beaucoup de cas où elle n'a pas été signalée
niennes persistent. Notre quatrième cas, le bébé représenté dans la
figure
, est un exemple très netà l'appui de cette thès
0. 5. |(jrane il de is. lieoUroy-a¡nl-lIUa¡re. Mêmes lettres que la
figure
*. PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANEN
mêmes, ainsi qu'on en pourra juger par l'examen comparatif des deux
figures
de Geoffroy-Saint-Hilaire et du crâne que j'ai
re arbitrairement FiG. 6. Crâne sans hémicrânie (correspondant à la
figure
2). F. Frontal. P. Pariétal. T. Temporal. 0. oc
estent muets sur ce point, se contentant de les représenter sur les
figures
; d'autres, enfin, ont même laissé de côté tout
tefois. Le réseau englobe également de nombreux globules rouges. La
figure
12 est la reproduction fidèle de la préparation r
ne prolifération conjonctive intense que l'on peut discerner sur la
figure
; néanmoins ces cellules existent encore et mon
nce, intelligence médiocre. A 16 ans tremblement des mains et de la
figure
; diminution de l'intelligence. Raideur du fron
de la face occupant le côté gauche (V. PL. XLVIII, B, C, D, E). La
figure
ne reste que rarement au repos complet. A tout
mitées soit au menton, soit à l'oeil, soit à une autre partie de la
figure
, se généralisent ensuite à tout son côté gauche,
e occlusion de l'oeil, et provoquent une déformation spéciale de la
figure
qui, déjà à première vue, donne l'impression d'un
nt, puis tétanisant. On peut dire que ces mouvements anormaux de la
figure
se composent de convulsions cloniques suivies d
et que nous lui recommandions de se lever, il se retourne alors, la
figure
vers le -sol, et il se met dans la position d'un
plu à dépeindre ces êtres imaginaires.Repré- sentez-vous une grosse
figure
, ronde, haute en couleurs, corps petit et reple
ts et de vociférations infernales; elles cherchaient à cracher à la
figure
de l'évêque, à lui arracher son anneau pastoral
dieu Horus sont des achondroplasiques, tandis que le dieu Bès, à la
figure
bouffie, est plus probablement myxoedémateux. Aux
te pour devenir des espaces de Havers. Dans la portion droite de la
figure
quelques travées osseuses se forment par transfor
- téristique des mains, la main en trident de Pierre-Marie (Voir la
figure
), l'ensellure lombaire et enfin une réduction d
s'en con- vaincre facilement en consultant les observations et les
figures
que Lau- nois et Roy (30) nous donnent dans l'a
plication. C'est ainsi que chez l'un des malades de Pierre Marie la
figure
était glabre et on pouvait discuter si le malad
sie avec le myxoedème. Il est pourtant vrai que l'état glabre de la
figure
chez un homme doit nous faire penser à l'insuffis
or- respondant à une coupe passant par la ligne de répère S 2 de la
figure
407, on ne trouve rien de particulier, sauf la
la partie olivaire supérieure du bulbe et correspondant à C 6 de la
figure
431 (V. Dejerine), on voit que le corps restifo
ques des visions oniriques. Les personnages perdent même parfois la
figure
humaine ; prenant plusieurs pieds et plusieurs
NOIR Dessinateur : LEUBA Deuxième série, tome XI. 1901. Avec t3
figures
dans le texte et 3 planches. )'AH ! S BUHKAUX
oscies, la cécité psychique en particulier. In-4 de 221 pages, avec
figures
. PAULET (G.). De 1'liénii-mimie faciale d'origine
1'liénii-mimie faciale d'origine optique. In-4° de 110 pages, avec
figures
. Rigollet (A.). Contribution à l'étude de l'hém
e générale, folie de la ménopause, etc.) ; entre ces deux extrêmes,
figure
c) le groupe de dégénérescence (paraphrénies, o
arche ordinairement subaiguë des processus, il se forme souvent des
figures
très caractéristiques. Les altérations de l'ané
thyroïde. Publiée par le D=R. vlartin. -ln-8 de 300 pages, avec 1US
figures
. Prix : 9 fr. Paris 1900. Librairie 0. Doin. 0
.). Aicle-ménzaire de neurologie. Volume in-18 de 27 pages, avec 21
figures
. Prix : 3 fr. Paris, 1900. Librairie J.-L. Bail
fer a bien trouvé, quoique « très rarement », une atrophie et une
figure
anormale du noyau. L'aspect de la distribution de
e laisse pourtant pas de différer de beaucoup, comme il ressort des
figures
de Schaffer. Point d'augmentation anormale de p
; mais pour être analysé, ce travail exigerait la, reproduction des
figures
de Flechsig que M. Ireland a reproduites et aux
e transverse, tabes dorsal, myélite par compression, névrite. Les
figures
de répartition des troubles de chaque espèce de s
..., et lui en porta plusieurs coups violents sur la tète et sur la
figure
lui mettant le visage en sang. Aux cris de M.
iii, medulla, and spinal corcl. Brochure in-8" de 25 pages, avec 14
figures
. London, 1900. Macmiitan and C°. P.1C'fET. - De
seront toujours des pourcentages. Sur 784 cas ordinaires l'hérédité
figure
pour 30 p. 100. L'alcoolisme (hérédité 328 REVU
. L'alcoolisme (hérédité 328 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. exclue)
figure
pour. 11 p. 100. Les chiffres recueillis confirme
raumatisme ne joue qu'un rôle étiologique insignifiant. L'épilepsie
figure
pour 7,7 p. 100 dans le total des cas, et l'héréd
ilepsie figure pour 7,7 p. 100 dans le total des cas, et l'hérédité
figure
dans l'étiologie de l'épilepsie pour 21,5 p. 100.
que débute dans le plus grand nombre des cas. La paralysie générale
figure
dans l'ensemble pour 9 p. 100 environ, et dans
thologique des asiles de l'Etat de Miehigan, exposé avec exemple et
figure
à l'appui. SmoN. XVI. Le sytème colonial pour l
les centres nerveux. Ce qui frappe quand on regarde les nombreuses
figures
de ce travail c'est la res- semblance presque i
ace du professeur J. Teissicr. In-16 cartonné de 550 pages, avec 65
figures
. Prix : 7 fr. 5U. Paris, 1901. Librairie J.-B.
zu eirter « Différentielle) ! psychologie ». In-18 z pages, avec 3
figures
. Prix : 6 fr. Leipzig, 190U. Verlag J.-A.- Bartli
ênilisalion des hémisphères cérébraux. z in-8° de 72 pages, avec 20
figures
. Paris, 1900. Librairie G. Steiuheil. ' z Nou
ir des con- tractions des muscles de l'avant-bras, du bras et de la
figure
, en excitant la portion de cerveau mise à nu. O
rès l'opération, on trouva le bras gauche et la moitié gauche de la
figure
paralysés. Pendant les six premiers jours suivant
Sc ! t'Hce, avril 1898.) Ce travail intéressant est accompagné de
figures
qui en facilitent l'intelligence et d'un tablea
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. surtout en l'absence des
figures
qui les accompagnent. Le titre du travail d'ail
ue ; par L. W. BLOUBIENAU. (06o. : r<pMC/M('t(, III, 1898.) Deux
figures
. L'état de l'excitabilité électrique et de l'exci
ow. (Obozrénié psichatrii, III, 1898.) Expériences sur des chiens :
figures
. L'excitation de l'extrémité interne de la circ
a'< ! , III, 1898.) Observation : autopsie, étude microscopique,
figures
. La com- paraison de cette observation avec les
observation et aux considéra- tions auxquelles elle donne lieu, les
figures
qui l'accompagnent et qui sont nécessaires à la
de cette anes- thésie, et l'intelligence du texte est aidée par des
figures
. Quelque- fois l'anesthésie arrive à n'occuper
ocq (J.). Un cas de polynévrite urémique. In-8° de 10 pages, avec 6
figures
. Bruxelles, 1901. Journal de neurologie. Crocq
iques de la rage sont-elles spécifiques ? In-8° de 30 pages, avec 5
figures
. Bruxelles, 1900. Lnpumerie Sevoreyns. CRocQ
s complication, sans trace de raccour- cissement et de boiterie. La
figure
ci-contre donne, du reste, une reproduction de
conditions que je le vis. Son aspect était plutôt sympathique. La
figure
gentille, avec le crâne brachicéphajique, occip
agités convulsivement, inclus les membres paralysés, de même que la
figure
. La paralysie faciale n'existe pas. L'avant-bra
es intellectuelles se rencontrent peu parmi les femmes. La syphilis
figure
comme cause étiologique exclusivement pour le s
pelseitiger Fftc : 6['s<tt7tt ? : ;ot ? In-S° de 8 pages, avec 2
figures
. Berlin, 1900.-Deielsches Jleclicinische Illoch
ropulhie hype,li-ol)hi(iiite pueumigue. 111-8- de 27 pages, avec 12
figures
. Pans, 1901. Institut interna- Voual de bibliog
son remarquable Traité d'anatomie humaine, a représenté une série de
figures
originales concernant la circulation veineuse de
ès exacte, toute l'étendue de la région paracentrale. (Voir pl. I les
figures
schématiques et dessinées d'après nature, se rapp
ont produites : le verre bleu amène une expression de sévérité sur la
figure
. Le verre vert provoque une expression de frayeur
Tabac. — Il se lève de son lit, le regard fixe, mais se recouche. Sa
figure
exprime la frayeur. Puis il pleure, tire la langu
lucination effrayante. Il cherche quelqu'un, incline la tête. Puis sa
figure
manifeste le contentement, il semble embrasser qu
au chaude placé sur la cuisse droite. Il fait le geste de se laver la
figure
et le corps, (1) Mots russes qui signifient « p
au-de-vie mange souvent du pain frotté d'oignon. Verre orange. — Sa
figure
exprime la pitié et il se jette hors de son lit,
'est les cloches. Cela me rappelle ma pauvre mère. » (Elle pleure, la
figure
dans les mains.) Chez cette malade, il est abso
cette musique, qu'elle est belle..... ..... (Puis elle tombe et se
figure
être dans un puits. On la relève, mais elle boi
fendre avec ses mains contre ces bêtes imaginaires qui lui piquent la
figure
. «Quelles bêtes est-ce donc? C'est pas naturel...
riste!..... Ça me rappelle ma pauvre mère. » Alors elle se cache la
figure
dans ses mains et pleure. Nous l'asseyons devan
u'on avait jeté devant lui avec intention, et qui prend à ses yeux la
figure
de la bête poursuivie. Il la tient alors dans ses
l semble parler à quelqu'un) T'es toujours garçon perruquier?... Moi,
figure
-toi que je suis à la Salpêtrière, parce qu'on a d
mps, il regarde par terre, comme s'il voyait réellement la trappe qui
figure
, si nous avons bonne mémoire, dans le premier act
tané, v. plus haut). « Ça déteint... ne te f... pas les doigts sur la
figure
... Alors tu badigeonnes comme ça toute la journée
elle sent bon!... Ah! malheur! passe-lui donc un doigt mouillé sur la
figure
, sur son magasin à plâtre... Faut-il qu'elle pue
sur un bouchon... T'en as déjà beaucoup... » Si on lui souffle sur la
figure
: a Sacré courant d'air!... Gare à ceux qui ont de
porte ouverte, dans le fond... » Si on lui pose un corps chaud sur la
figure
du côté non anesthésique il regarde en l'air, sec
t met le feu à son pardessus. » En lui mettant de l'eau froide sur la
figure
il se figure qu'il est dehors par la pluie, redre
à son pardessus. » En lui mettant de l'eau froide sur la figure il se
figure
qu'il est dehors par la pluie, redresse le col 4e
côtés, lui parler dans les oreilles, promener les doigts autour de sa
figure
et jusque sur ses conjonctives, en arrivant de cô
bulisme hystérique. Fig. 2. — Suite de la chanson commencée dans la
Figure
1. Le feuillet sur lequel le malade écrivait la p
ar le malade sur un feuillet blanc et relatives à la chanson des deux
figures
précédentes, après qu'on lui eut soustrait les fe
hez un soldat allemand de MM. André et Knoblauch, reproduite avec les
figures
dans la Nouv. Icon, de la Salpêtrière, 1889. par
re ses souvenirs, ses années de jeunesse, etc. On peut dire cela sans
figure
des somnambules hystériques. A proprement parler,
l'état II de tous les faits de l'état I, oublie cependant certaines
figures
. Elle continue à savoir marcher, lire, écrire, ch
la réveiller comme précédemment. Dans cet état la malade est gaie, sa
figure
est souriante, elle cause volontiers ; elle essay
i n'ont pu être figurés sur ce schéma. X. Phase de transition. La
figure
ci-contre (Fig. 6) peut servir à schématiser la v
s des bras et un arc de cercle. Comme chez la précédente malade, la
figure
ci-contre (Fig. 9) peut servir à schématiser la v
On suivra aisément cette première partie de notre description sur les
figures
que nous avons dessinées, et qui représentent les
iosité qui nous porte à regarder de près l'étrange expression de sa
figure
(PI. 1). Les yeux à Ileur de tête, la conformat
la région ethmoïdo- sphénoïdale vient s'arrêter brusquement sur la
figure
d'une ensellure caractéristique fournie par la
s lui l'urine et les matières fécales. Il gémit continuellement, sa
figure
exprime la souffrance. Les vomissements sont moin
générale en tlexion, tête fléchie, ballante, comme trop lourde ; la
figure
, avec ses yeux grand ouverts, exprime l'ahuriss
n homme déjà âgé, chauve, les cheveux et la barbe gri- sonnants. Sa
figure
est calme et ne révèle aucune inquiétude relative
ouvrait la blessure. Le barbier parait moins âgé que son blessé, sa
figure
est osseuse, les traits accentués, le nez forte
e face mais tournant la tête à gauche pour épier l'expression de la
figure
du patient. Cette femme coiffée d'une capeline
manuscrit laissé par Descartes les indications se rapportant à des
figures
n'étaient accompagnées d'aucun dessin (6). Aussi
à notre disposition le volume de Clerselier pour en reproduire les
figures
. (2) Description du corps humain et de toutes s
n médecine, sur le Traité de l'Homme de René Descartes ; et sur les
figures
par luy inventées. Deuxième édition, Clerselier,
Lumière. Deuxième édition, Clerselier, pp. 405-511. (6) Une seule
figure
reproduite ci-joint (flg. 1) est de Descartes lui
tomiste de Louvain : de Guts- choven, qui tous deux dessinèrent des
figures
parmi lesquelles Clerselier choisit celles qui
, el leplus souvent d'ailleurs à de Gutschoven. C'est ainsi que les
figures
de l'édition de Clerselier, - figures dont nous
Gutschoven. C'est ainsi que les figures de l'édition de Clerselier, -
figures
dont nous reproduisons les principales en raiso
e la faim et la soif et aux états affectifs. « Et notez que par ces
figures
je n'entens pas seulement icy les choses qui re
sition antérieure des fibres, « en sorte qu'ils y tracent aussi des
figures
, qui se rapportent à celles des objets ; non pa
emps ou qu'elle est plus de fois réitérée. Ce qui est cause que ces
figures
ne s'effacent pas non plus si aisément, mais qu
oisième, réalisée par l'union de l'âme et du corps. De même que les
figures
ne peuvent être conçues que dans l'étendue, et le
401. DESCARTES ET LA PSYCHOPHYSIOLOGIE DE LA GLANDE PINÉALE 191 1
figures
, j'espère que l'on ne pourra manquer de la compre
lus grande parlie n'a jamais esté mise en lumière, que de plusieurs
Figures
en taille douce par Thomas l3artholin. (5) Cité
ité s'opérait au bout de quelques minutes, comme on le voit dans la
figure
5. Plus rarement une cellule très lu mineuse au
stologiques apparaissent avec plus de netteté encore. ' Les trois
figures
PI. XXXIX représentent les étapes principales de
relation avec l'intensité des altérations périphériques ; ainsi la
figure
i montre la ire racine dorsale, la dégénérescence
accentuent en approchant de la région lombaire inférieure et sur la
figure
12, où la tumeur a complètement disparu et où l
ment de la moitié gauche de la moelle. Le schéma que représente la
figure
15 donne une idée exacte de la répartition des
eux mala- des n'était d'ailleurs cliniquement tabétique. (1) Voir
figure
. 31W P. MARIE El' F01X Revenons maintenant à
de la sensibilité (à la douleur, au chaud et au froid) comme sur la
figure
1. Fit. 1. Troubles de la sensibilité (d'après
s fécales. Les troubles de la sensibilité au toucher comme sur la
figure
3. 1t. Au côté gauche du cou, derrière le muscl
4). CARIE DES VERTÈBRES 397 tion), comme il a été indiqué sur les
figures
. Si donc on se base sur ces symptômes on peut d
n° I. Téphromalacie antérieure unilatérale (Pal-cochenille). Cette
figure
constitue un agrandissement de la figure n° 1 (le
le (Pal-cochenille). Cette figure constitue un agrandissement de la
figure
n° 1 (le dessin a été retourné par erreur). Ell
détails, hémiatrophie, sillon anlérieur, se voient ici comme sur la
figure
3. 432 P. MARIE ET FOIX flexe cubital. Quant
titielle, coloration : Marchi-sllfranine, mêmes lettres que dans la
figure
précédente. Lésion dimidiée du médian, à droite t
et crémastérien existent. La sensibilité est normale au tact, à la
figure
, la chaleur. La notion de position, le sens sté
la base du crâne au ciseau; c'est ce bloc qui est reproduit sur la
figure
ci-jointe. L'observa tion noteen détailles rapp
égion postéro-latérale du thorax un peu au-dessous du dernier. La
figure
de la malade est arrondie, bouffie, les fentes pa
ravie, à Primétice, près Znojmo, par Procop Divis. (L. Haskavtc.)
Figure
extraite de l'article : Prokop Divis Vylicèni jeh
NOIR Dessinateur : LEUBA Deuxième série, tome VII. 1899. A\ect6
figures
dans le texte et 5 planches. ' pAms IIUIIKAI1
ude de la malade dénote la tristesse, l'abattement et l'anxiété, la
figure
contractée. le front ridé. Tout dans sa mine ex
ées, le réflexe lumineux et accommo- dateur se fait normalement, La
figure
est congestionnée. Il n'existe pas de troubles
ersée en arrière, il ne change pas cette position. Les traits de la
figure
sont altérés, le regard est éteint, les mouvement
sale par les aliments et la salive; dans une immobilité absolue; la
figure
contractée, douloureuse; prête à pleurer; le re
février, nous observons un changement notable. L'expres- sion de la
figure
est plus variée, plus expressive; quand la malade
ude du malade est très tranquille, con- venable; le regard fixe; la
figure
triste, déprimée; les extrémités Archives, 2° s
le sommeil reste bon, sans cauche- mars. Pas d'étourdissements. Se
figure
que sa soeur lui en veut. Pleure quelquefois av
; au bout de cinq mi- nutes, il pleure en croisant les bras sur la
figure
, se lève, fatigué, se traînant et va s'asseoir
rvice de 1880 à 1896 complète heureusement ce volume illustré de 20
figures
et de 20 planches hors texte. L'une des obser
: ce ? )') visivi cerebrati. - Brochnre 111-4" de 93 pages, avec 28
figures
. Napoh, 1898. z C. A. Tocco. CoNTO (M.). Dos
L). Chirurgie de l'utérus. - Volume in-8° de xn-467 pages, avec 378
figures
. Prix : 10 francs. Paris, 1898. Institut de bib
ïE\. Sur (Lettre ouverte ti M. Tutf·ier.) Bro- chure iu-8°, avec 12
figures
. Paris, 1898. Imprimerie de la Cour d'appel.
I : Physio- loyie des Mushelsinnes. Volume in-8" de 323 pages, avec
figures
. Prix : 10 francs. Leipzig, 1898. Librairie Joh
obsédantes et leur traitement. Volume in-8° de x-558 pages, avec 97
figures
.- Prix : 14 francs. Paris, librairie F. Alcan.
ubliées par M. le Dr Ricklin. Un beau volume de 760 pages, avec 130
figures
dans le texte et6 planches en couleur. Prix : 18
nt Tracts in //te Spinal Corol. Brochure in-8° de 35 pages, avec 12
figures
. London, 1898. J. Baie sons et Danielsson. b Sc
ychological Labora- tory. Volume in-8<> de 105 pages, avec 32
figures
. New Haven, 1898. Yale University. 0 96 AVI
t)e ? <-M);d augenarzle. Volume in-S" de vxm-30(i pages, avec 63
figures
. Wiesbaden, 1898. Verlaj Hergmann. Zccaev (Th.)
en- tement ce que nous lui demandons de faire. Le regard fixe; la
figure
pâle exprime la douleur, la souffrance, la dépres
ccès épileptiformes complets, qui débutent par la moitié droite. La
figure
est cyanosée, les conjonctives sont con- gestio
u malade est très tranquille, il reste retiré, le regard triste, la
figure
contractée, attitude et regard caractéristiques
iscères sont sains. Etat psychique. Attitude convenable, humble, la
figure
con- tractée exprime la tristesse, le regard di
ent à l'écart, ne fraie et ne parle pas avec les autres malades. Sa
figure
dénote la souffrance, son regard est fixe, elle
de est retirée d'habitude, elle ne parle pas aux autres malades. Sa
figure
exprime la souffrance. Elle se considère comme
; elle est incapable de nous dire quelque chose. L'expression de la
figure
est bien caractéristique d'une mélan- colique e
fectée, qu'elle va mourir, qu'elle est perdue. L'expression de sa
figure
nous montre le découragement et même le désespo
res sont sains. Etat psychique. L'attitude du malade est humble, sa
figure
exprime une profonde dépression ; elle trahit u
a pendant cinq ans, le patient tomba dans un état de dépression, sa
figure
exprime la tristesse et l'abattement. Le regard
l'utilité de ce double certificat a paru si contes- table qu'il ne
figure
plus dans le projet de révision de la loi sur l
traitements actuels du tabès. Volume in-8° de 216 passes, avec 13;)
figures
. - Prix : 6 francs. Paris, 1898. Librairie J.-B
tion du labora- toire pathologique, communs tous les médecins (avec
figure
) ; la relation détaillée de six cas d'épilepsie
a dégénéra- tives des formes psychoneurotiques; le délire religieux
figure
dans leur classification dans l'un et l'autre g
elui d'entre ces malades dont les troubles mentaux ont persisté. Il
figure
au rapport de 1891 sur l'asile de La Rochegando
laire transformant les lobes occipitaux en kystes bilatéraux (trois
figures
photographi- ques). L'étiologie congénilale de
aits grossiers, on trouve des physionomies fines et délicates ; des
figures
débonnaires se mêlent à des types rébarbatifs;
par moments, elle semble inquiète, tressaille au moindre bruit, se
figure
qu'on frappe à sa porte. Mais tout cela n'était
u point de vue suggestif de la forme, rappellerait trop le cercle, la
figure
à composition triste, à effets fermés, et d'inact
ement leur-tenue par une ceinture à cartouches sans laquelle on ne se
figure
par bien un costume de chasse. Plaçons l'un à c
le, on s'est borné à l'employer à la lecture des points et à quelques
figures
géométriques. Par ailleurs, héritiers de ce senti
s objets restent attachés dans la mémoire à des schéma de forme et de
figure
d'autant plus complets et précis que le sens musc
a tète soit avec un mouchoir, soit avec le drap qu'elle attire sur sa
figure
avec ses deux mains. Ces mouvements d'appel ou
par M. le Pr Ubeyd-Oullah (de Constantinople). Le mot a Islam » qui
figure
dans le titre de cette communi- . cation signifie
bre sont des têtes isolées, d'autres sujets furent entiers. Certaines
figures
offrent à leur partie postérieure une surface de
e fois j'ai entendu dire à ceux qui les voyaient : « Je connais cette
figure
, c't-st un tel », en citant un nom connu. Mais
n s'étonne que les Grecs l'aient reproduit. Les quatre idiots des
figures
5, 6, 7, 8, ont un air de famille : figure slupid
Les quatre idiots des figures 5, 6, 7, 8, ont un air de famille :
figure
slupide, rire bestial, larges oreilles complèteme
pièces trouvées dans la Basse-Egypte et de l'époque alexandrine. Le
figure
9 nous montre un idiot adénoïdien ; les joues et
ion est terne et vague, le crâne en toit n'abrite aucune pensée. La
figure
10 présente un autre type plus maigre et sec. Le
autre type plus maigre et sec. Le nez est aussi écrasé a la base, la
figure
renversée en arrière, les yeux agrandis, tout ron
e ancienne représentant un dégénére (Collection Gaudin). toires. La
figure
profondément obtuse de ces deux personnages ferai
ptique en période d'attaque. Passons à l'espèce microcéphale. Les six
figures
juvéniles groupées Fig. 15, 16, 17, 18. 19.20.
uverte comme on l'observe si fréquemment chez les jeunes idiots. La
figure
20 représente un microcéphale traité d'autre mani
; c'est ce qu'on observe dans la microcéphalie typique. Une telle
figure
est à rapprocher du dessin bien connu des anthrop
des types de dégénéres et de déments (Collection Gaudin). Sur les
figures
24, 25, 26 et 27, le crâne est amoindri et en mêm
ant des types de dégénérés et de déments (Collection Gaudin). Les
figures
28, 29, 30, 31 ont, elles aussi, le front fuyant,
ndin). trons-en quelques-unes que l'on opposera aux précédentes. La
figure
representée au n° 33 est un type de scapkocéphali
saillie compensatrice du front a été aussi exactement observée. La
figure
34 est des plus originales. La déformation crânie
physionomie triste et renfrognée est fort intéressante. Ces deux
figures
33 et 34 ne sont pas des idiots, mais des types à
auteurs grecs ont su créer des grotesques avec ces déformés. Telle la
figure
36 au crâne bossué, au front droit, aux maxillair
ète qui plaçait le terme de la vie à 70 ans. On l'employait comme une
figure
et non comme l'exposé d'un fait. La suggestion
oir bien entrer dans notre Comité de patronage, où il fera très belle
figure
, à côté des hommes qui nous honorent de leur symp
istes. Si le mot responsable n'est pas prononcé dans l'article 64, il
figure
dans le titre du chapitre deuxième du code pénal,
adgnatum gentiliumque in eo peeunia que ejus potestas esto. b {*). Il
figure
dans la Table V et a été invoqué par Cicéron (2).
ef de famille avait peur d'être désagréable aux invités, parce que sa
figure
était couverte des taches de alû>piès$. Il a c
vaincre (La), p. 161. Wetterstrand (Otto), p. 33, 94. TABLE DES
FIGURES
Brûlure suggérée, p. 181, 182. Dieu Bès (Le), p
Le Dr BRICON CONSERVATEUR DU MUSÉE Volume VII avec 3 pions, 25
figures
et 5 planche PARIS AUX BUREAUX DU PROGRÈS M
pour ainsi dire au premier étage, se divise, comme le fait voir la
figure
1, en deux moitiés absolu- ment distinctes et s
Les différentes parties de ce pavillon sont éclairées au gaz. - La
figure
3 repré- sente la coupe du bâtiment suivant la
erno-cléido-mastoïdiens et les clavicules. (Voir fiy. 3). Fig. 3. -
Figure
montrant la trachée, la langue, l'absence de corp
anquent, la deuxième et la dernière sont cariées. Fig. 4. - Cette
figure
représente trois cas d'idiotie : le premier (à
pt ans, intelligente, s'exprimant très nettement; traits réguliers,
figure
agréable, pas de goitre; elle ne présente aucun
. En 981 I, sa soeur lui fit par imprudence de fortes brûlures à la
figure
et aux mains. Il fut alors ramené à Bicêtre, d'
ent en avant des dents définitives correspondantes. Fig, 7. - Cette
figure
représente trois cas d'idiotie : le premier (à
issure olfactive est profonde. La scissure orbitaire assez profonde
figure
deux Il accolés par l'un de leurs bords et poss
ant. Elles avaient tous les caractères qui sont représentés dans la
figure
3 (p. 10). Enfin, comme dans un certain nombre
uand on lui met un chat entre les mains, il le caresse et prend une
figure
riante et pousse quelques cris de joie; il est
iller, se boutonner, lacer ou nouer, ni se déshabiller, se laver la
figure
ou les mains. Il était très sensible au froid; le
cement; bave légère. Etat du malade (1882), d'après 111. Ball. - La
figure
est sans expression, bouffie, terreuse ; le fro
es sous-maxillaires, ainsi qu'il ressort de son travail même et des
figures
qui y sont annexées. MM. Albertoni et Tizzoni',
ascensionnelle dont les caractères sont bien mis en évidence par la
figure
17. Signalons l'élévation thermique après la mo
ns d'abord la substance blanche très vascularisée et présentant les
figures
connues sous le nom d'éléments araignées. La co
s autres enfants (il n'a jamais ri); « mais, dit- elle, il avait la
figure
tellement malade par le fait de la gourme, qu'o
gé- nérale transverse qui s'entre-croisent, dessinant de petites
figures
quadrangulaires plus ou moins irrégulières. Rap-
sont formées par le prépuce, que l'on parvient à refouler (I) Cette
figure
et les suivantes ont été dessinées par M. Isch-
i a eu un état de mal épileptique dans son type le plus parfait. La
figure
23, qui repré- sente la marche de la températur
à la période convulsive et auquel elle a succombé en 30 heures. La
figure
24, inédite, nous montre une seule ascension do
, KÀTZ, NOIR (J.), PAUL-BONCOUR ET FOULARD. " Volume XX Avec 76
figures
dans le texte et XIII planches. - y i 4 -s o
te (Fig. 22) qui consistent à apprendre aux enfants à se laver la
figure
et les mains, à s'habiller, etc ; - 3° les leçons
utres. 2° Surfaces. Nous employons des tableaux dans lesquels les
figures
en bois sont disposées dans des creux de même f
is sont disposées dans des creux de même forme. La face interne des
figures
est peinte de différentes couleurs ainsi que le
t E 1 1 1 1 1 1 1 1 Solides ET couleurs. xxxiii
figures
seulement, carré et cercle; le second, quatre :
carré, rectangle - cercle, ellipse (Fig. 38) ; le troi- sième, six
figures
, triangle, carré, etc. (Fig. 39), le der- nier,
sons au second tableau que quand l'enfant sait bien reconnaître les
figures
du premier. Nous avons recours aussi à des figu
reconnaître les figures du premier. Nous avons recours aussi à des
figures
en bois que l'enfant place sur des images corre
grandes dimensions (Fig. 41) que nous faisons mettre en regard de
figures
imprimées. 4° Couleurs. - Même procédé : un tab
t de couleurs variées, on peut avec eux constituer toutes sortes de
figures
, telles Fig. 40. Fig. 47. XLIV DESSIN ET éc
tures récréatives. Il s'est notablement enrichi au point de vue des
figures
pour projections mais peu au point de vue de la
isch; 40 connaissent toutes les danses de caractère et toutes les
figures
du quadrille. Enseignement professionnel . A me
que nous avons noté le minimum d'accidents, et si les lavages de la
figure
et des mains, l'attention du malade a éviter le
graphie du zona et l'innervation cutanée. Il suffit de regarder les
figures
pour se rendre compte immédia- tement de la dis
e très intelligent. A cette époque (rentrée des classes) Gabriel se
figure
qu'il ne peut suivre la classe où on l'a placé
est congestionnée, les yeux convulsés en strabisme conver- gent. La
figure
; n'est pas grimaçante; la respiration est pénib
te vivement les avant-bras en avant et les croise violemment sur sa
figure
. Il fait en même temps plusieurs 8 tours sur lu
Bicêtre. Ils sont au nom- bre de dix. Celui que nous allons donner
figure
sur ce tableau. SOMMAIRE. - Père, eczémateux,
quelquefois. Quand on la couche elle a peur, il faut lui couvrir la
figure
. Elle n'a pas eu de grands accès, autres que ce
ions elle avait peur de tomber et disait que son lit descendait. Sa
figure
est très éveillée, intelligente, la parole faci
e de la dipthérie. - La sixième, une fille', assez intelligente, iL
figure
éveillée, n'a pas eu d'autres manifestations ne
ER. INTERNES ET ANCIENS INTERNES DU SERVICE. Volume XVI Avec 31
figures
dans le texte et 8 planches. PARIS AUX BUREAU
ns de toilette qui consistent à apprendre aux enfants à se laver la
figure
et les mains et à s'ha- biller ; - 3°les exerci
que tous les arbustes, toutes les plantes portent une étiquette où
figure
leur nom. Ces jardins sont des- Fig. 5. - Table
ter les leçons nous avons fait fabriquer deux tableaux roulants. La
figure
4 permet de se rendre compte de la manière dont
e leurs Ilescins, lcal : w : 11 plus considérables qu'on ne se le
figure
. Il importe donc de dresser pour chacune de ces
t asthmatique à 88 ans. - Mère morte d'un « chancre rongeant » à la
figure
. - Une nièce muette et un peu idiote. - Un frèr
de 40 secondes. 1894. Juillet. - Puberté. Léger duvet sur toute la
figure
, principalement sur la lèvre supérieure. Aissel
eur. État actuel cl février 1893). - L'enfant est pâle, mais a la
figure
pleine et est assez fort. - La physionomie est tr
s les volumes précédents du Compte-rendu de Bicêtre et de celui qui
figure
dans le présent volume (p. 60). (1) Voir l3nn
prendre quand on l'ap- pelle, regarde un instant puis cache vite sa
figure
avec les mains. Elle ne sait ni s'habiller ou s
lus. Malgré la surveillance, et quoiqu'on lui attache les mains, sa
figure
et son nez surtout, sont écorchés. L'appétit n'
ntusionnant fortement la cuisse gauche. Il a eu très peur, avait la
figure
toute décomposée mais n'a pas perdu connaissanc
ongue de 3 centimètres, au niveau de la bosse frontale gauche. - La
figure
, allongée et étroite, n'a aucune expression. Ar
i nous bornerons-nous à citer le sommaire de son observation. Les
figures
1, 2, 3 et 4 ne laissent aucun doute sur la réali
ral au-dessous de ce chiffre c'est ce que montre le petit tracé qui
figure
à droite de la Planche V111. -Le poids, relevé
,(dans notre service) le 7 juin 1890. L'observation de cette malade
figure
dans la communica- tion que nous avons faite le
la fin de septembre. Le pouls n'a pas dépassé 96 pulsations. Les
figures
27 et 28, comparées aux. fgures 24 et 25, don-
ts et les lèvres, à la faire mousser et à s'en barbouiller toute la
figure
. Durant ce mois, l'enfant à été très excitée, l
gique et sociologique : I. Les femmes a barbe dans l'art 'avec quatre
figures
), par M, le D' Beril-lon, profesieur à l'Ecole de
VI. — ARCHÉOLOGIE MÉDICALE. — La mort de Molière, p. 31 {avec une
figure
). La BEVOE DE L'HYPNOTISME est l'organe officie
s : c'est dire que nous aurons le plus souvent possible recours à des
figures
, des planches et des illustrations De toutes le
ments illustrés relatifs aux femmes à barbe est vraisemblablement une
figure
très curieuse de ce livre singulier, écrit par Je
monstruosités, et un certain nombre de catastrophes. Plusieurs de ces
figures
portent des monogrammes de graveurs. On y trouve
de mes suggestions, je la prévins que l'expression de tristesse de sa
figure
allait disparaître sous l'influence d'un sentimen
ans l'année 1903 ; maintes analyses sont accompagnées de tables et de
figures
, et elles sont exécutées de manière à épargner le
dont nous donnons la reproduction {Fig. 10). Le père, debout, a la
figure
et les mains velues, auprès de lui se trouve une
ogique et sociologique : I. Les femmes à. barbe dans l'art 'avec cinq
figures
), (suite), par M. le D' Berillon, professeur a l'
tienelles : Revue de tHypnotisme, I- année, a- 10. Avril l$sî [avec s
figures
). (3) Agée de 22 ans. vingt-quatre heures,
, survenant brusquement, pendant lesquelles la malade se déchirait la
figure
et la poitrine avec ses ongles ; plusieurs person
ogique et sociologique : I. Los femmes a. barbe dans l'art [avec huit
figures
), {suite\, par M. le D' Bbrillon. professeur à l'
ormaux. A cette occasion, M. Duhous-set publia dans VIllustration une
figure
de Julla Pastrana qui diffère quelque peu de la p
douces (meizo-soprano). Les parties les plus velues étaient, après la
figure
, le dessus des épaules et des hanches, la poitrin
uis longtemps, s'est mariée et a quitté la maison paternelle. Puis sa
figure
manifeste une sorte de stupéfaction doulouieusc û
de sa santé, lient pour chimériques les racontars qu'on lui fait, se
figure
qu'on veut se moquer d'elle, réagit avec force, r
ue et sociologique : I. Les femmes à. barbe contemporaines (avec cinq
figures
), (suite), par M. le D' Bérii-lon . i ¦ A l'Ecole
que et sociologique : I. Les femmes a barbe contemporaines {avec cinq
figures
], {suite), par M.le D* BÉrillon, professeur à l'E
ique et sociologique : I. Les femmes à barbe contemporaines 'arec six
figures
), \suitet. par M. le Dr BERiLLON.professeur il l'
r, ils sentent que la mort va les saisir, certains se cachent même la
figure
tout en avançant, mais une force plus puissante q
e l'armée. Examinons les masques japonais, ils sont en exagération la
figure
d'un Samouraï en colère, mais à voir ces yeux vif
édicale M. le D' Fiessinger, professeur. Objet du cours : Les grandes
figures
médicales. Les mardis à cinq heures et demie, &am
nerveuse extériorisée et enregistrée par le sthénomètre, [a*cc une
figure
), par M. le Dr PaulJoiRE, Président de la Société
es femmes A barbe : Etude psychologique et socio- logique (avec six
figures
) (suite), par M. le D' BErillon, professeur &
e une entrée en matière : (Le conférencier va au tableau et trace les
figures
de Trèfle, de Pique, de Cœur et de Carreau, en
symboles? 1" Le Pape, la Papesse, l'Empereur et VImpératrice. Ces
figures
ne sont-elles pas imaginées pour se moquer du mon
La barbe forme un collier assez épais qui enveloppe tout le bas de la
figure
et qui est plus épais sous le menton. Une moustac
tale, la ligne médiane de la main vis-à-vis de la ligne médiane de la
figure
, la main débordant légèrement sur le front, le co
général, les causes et les origines de la folie. En tête de son livre
figure
le portrait d'une femme à barbe. Mais l'auteur, à
. Les femmes à barbe : Etude psychologique et sociologique [avec cinq
figures
) (suite), par M. le LV BRrillon. professeur à l'E
. VII. — TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES, p. 380. VIII. — TABLE DES
FIGURES
, p. 382. IX. — TABLE DES AUTEURS ET COLLABORATE
ant la narcose éthyl-méthylique, par Wiazemsky, p. 305. TABLE DES
FIGURES
Fig, 1. Femme à barbe (Chronique de Nuremberg,
pas l'intention de parler ici de Bouddha, que je considère comme une
figure
trop remarquable pour vouloir l'étudier à travers
le, je » lui parle, je corne à ses oreilles, il ne sourcille pas ; sa
figure
(1) Revue philosophique, janvier 1885. (2) Be
plusieurs fois : « Vous entendez de nouveau ». tout d'un coup » sa
figure
exprime un profond étonnement; il m'entend et me
sse au contraire la tête et respire fortement deux ou trois fois. Les
figures
1 et 6 représentent Benoist dans la léthargie qui
léthargie qui précède l'état de rapport et dans celle qui la suit; la
figure
2 le montre au moment où il entre dans l'état de
écrits ailleurs (2), se produisent avec une très grande intensité. La
figure
3 montre l'extase avec vision religieuse obtenue
religieuse obtenue par la pression surte milieu du front (3). Dans la
figure
4, Benoist est représenté au moment où il éprouve
il répond que la sainte Vierge lui fait des reproches. Enfin, dans la
figure
5, la vision a complètement changé dénature sous
vivement la main du magnétiseur quand celui-ci la lui place devant la
figure
, comme un écran entre les yeux et l'apparition.
iture hystérique, par Alfred Binet. — Va vol. in-in de 31o pages avec
figures
dans le texte. Octave Doin, édit., 1888. — Prix :
ecin en chef de l'Institut hydrothérapique. — In-8° de 900 pages avec
figures
, avec une préface de M. Peter. — J.-B. Baillière.
ramenèrent. F... entra à l'hôpital de Rochefort le 21 juillet 1808.
Figure
calme, constitution 1res vigoureuse, taille au-de
-rale soutenue devant la Faculté de Lisbonne. In-8° de 266 pages avec
figures
. Lisbonne, 1888 (en portugais°. Semai, médecin
notisée puisse, durant le sommeil provoqué, se rappeler des noms, des
figures
, mille incidents de sa vie dont, à l'état de veil
actère, précèdé d'une préface de M, le Dr Paul Hélot. In-8°, avec 146
figures
dans le texte. 3t5 pages. F. Alcan, 1888 (5 fr.).
ications hygiéniques et médicales. Grand in-8° de 824, pages avec 136
figures
. J.-B. Baillière. 1884 (10 fr.). James Sully. —
ù on le transporte entre les repas, sa barbe et ses cheveux longs, sa
figure
amaigrie et attristée, et il semble, tant on est
cartes quelconques et je les dispose sur une table selon une certaine
figure
à laquelle, sans dire pourquoi, j'attribue une im
réhensible, me promettant d'ailleurs de l'expliquer l-Ius tard. Cette
figure
correspond, comme le montre le dessin ci-joint.
. Cette figure correspond, comme le montre le dessin ci-joint. à la
figure
humaine (i carte pour le front, 2 pour les yeux,
me genre et je le prie de toucher, à mon insu, l'une des cartes de la
figure
. Afin de le convaincre que je ne vois pas ce qu'i
aient, elles ne sentaient absolument rien sur aucune des cartes de la
figure
, ni la sensation annoncée, ni une autre sensation
de 3 pas, de l'œil gauche, les doigts de ma main et les traits de ma
figure
; également Hrc les gros caractères a la distance
e malade distingue clairement a la distance de 3 pas les traits de ma
figure
et les doigts que je lui montre; il lit également
e consulter, en décembre 1887. elle avait les yeux rixes, hagards, la
figure
congestionnée, souvent très excitée. Pas de sucre
hambre à coucher ? lo" De* passes faites sur la main, le bras, la
figure
, le corps.sont-elles ressenties ? 11* Le sens d
ble au premier venu de tracer dans le même instant avec ses mains des
figures
différentes telles qu'un cercle et un triangle ré
n naturaliste distingué, qui avait cette rare faculté de dessiner ses
figures
sur le tableau avec les deux mains dans Iemême in
les deux mains dans Iemême instant apparemment ; quelques-unes de ces
figures
représentaient des animaux ayant des articles pai
en dessiner, comme des centaines de personnes le lui ont vu faire, la
figure
d'un animal, la partie antérieure d'une main et l
. BRICON INTERNE DU SERVICE DOCTEUR EN MÉDECINE Volume ni avec 15
figures
PARIS \ AUX BUREAUX DU PROGRÈS MÉDICAL
refois (2), et, d'autre part, à apprendre aux enfants à se laver la
figure
et les mains, à se peigner, etc., a fonctionné
les plus vulgaires sur des planches de 95 centimètres sur 75 : ces
figures
, auxquelles ne se surajoutent aucun enjolivemen
ts de dents, pas de vomisse- ments, pas de constipation. Parfois la
figure
devient très rouge avec des raies blanches comm
38°, 8. 1" mai. T. R. 38°, 6. - Soir : T. R. 38°. 2 mai. Hier, la
figure
de l'enfant est restée très rouge pendant toute
par une somnolence continuelle. Ce matin, l'enfant est endormi :
figure
pâle; pas de secousses cloniques dans les membr
araît devenir trop forte, l'enfant pousse un cri léger et isolé. La
figure
est agitée de mouvements continuels, surtout ma
vre convulsivement; les mouvements intéressent les deux côtés de la
figure
. Pas de roulement t des globes de l'oeil; par m
une lègère secousse qui se passe dans l'articulation du coude; la
figure
revêt alors une expression de vive souf- IDIOTI
ces mouvements convulsifs sont aussi fréquents dans ce pied qu'à la
figure
et au membre supérieur gauche, c'est-à- dire à
oite. Durant l'examen, l'enfant se met à pousser de petits cris; la
figure
exprime la souffrance et rougit ; mais, pendant
de 3 à 4 minutes, Fr... semble se réveiller, passe ses mains sur sa
figure
et revient à lui. Il demande à boire, s'étonne
ion devient calme, les yeux se ferment, puis le malade se frotte la
figure
avec les deux mains sans dire un mot. Il saisit
J.-B. CHARCOT et J. NOIR Deuxième série, tome XIV. 1902. Avec 36
figures
dans le texte. PARIS 13UIlL'AUX DU PROGRÈS MÉ
st rejetée en arrière, elle est tombée sur sa voisine de droite. La
figure
s'est congestionnée, les paupières ont battu vi
e la paralysie générale - typique. 11 donne trois observations avec
figures
des coupes. Les deux premières concernent la dé
l'aspect cubique, cylindrique, voir même l'aspect épithélial et il
figure
une coupe bien analogue aux nôtres. Il existe
pas de fièvre, durant des heures pour cesser subitement. Enfant à
figure
pâle, présentant un dédoublement physiologique du
ANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX 115 intelligence est ouverte et sa
figure
expressive avec un peu d'étran- geté déterminée
rieux que je connais; j'ordonnai les compresses d'eau froide sur la
figure
et je sortis en disant très haut qu'elle allait
version partielle du champ de la vision colorée (ici se placent des
figures
explicatives) : les divers champs ne furent dél
grande élévation de vues dans lequel il fait revivre les grandes
figures
qui ont contribué à la fondation de la Société mé
; par le professeur Gras- SET. (Vol. in-16 carré de 100 pages avec
figures
. J.-B. Baillière et fils. Collection des Actual
Der myaslhenisclie. Symplomen conzple.x . In-8 de 26 pages, avec 17
figures
. Extrait Deul.sclzes Archiv, sur Iflinisclze 3led
alimentation insuffisante. Du le, février au 10, même situation. La
figure
27 montre que la température est restée normale
témoignage de sympathie, en particulier à M. le recteur Boirac qui
figure
ici à double titre : comme chef de la vieille e
ologique, oganes génitaux cl mamelles. In-18" de 823 pages avec 109
figures
. Prix : G francs. CUYER (Ed.). La mimique. In-1
ix : G francs. CUYER (Ed.). La mimique. In-180 de 36G pages avec Ta
figures
. Prix : 1 francs. Doin, édit. - Dé.ierine (J.
r. Neurasthénie M ? : hystérie bel Kindern. In-8 de 32 pages aver 2
figures
. Prix : 1 franc. Berlin, 1902, Karger édit. SEG
la systé- matisation de ces nerfs. Grand in-8" de 152 pages avec 12
figures
et 2 planches hors texte. J.-B. Baillière et (i
lzazzclbuch friu nerven-und augenarzle. In-8° de 324 pages, avec 49
figures
. Wiesbaden 1901, Bergmann Vertag. Le rédacteu
nétrés dépoussière et tenant mal sur des cheveux en désordre. Leurs
figures
avaient une expres- sion harassée et inquiète c
non complètement abolies, du moins consi- dérablement diminuées; la
figure
illuminée d'un rayon de bonheur indicible, la t
es sensations les plus vives et les plus douces se reflètent sur la
figure
et parfois dans des attitudes passionnelles : les
des recettes = 742,084 fr, Les dépenses = 677,198, dans lesquelles
figure
l'annuité de 26.000 fr., répon- dant à un empru
et névroglique proliféré. (Ce mémoire paraîtra in exlenso avec les
figures
.) Les lésions histologiques de l'écorce dans le
nt au voisinage des vaisseaux. Ce sont eux presque toujours, et les
figures
, de même que les descriptions publiées, ne perm
malins des centres nerveux. - Certains auteurs, s'appuyant sur les
figures
cellulaires de ces tumeurs, dont quelques-unes
l'hypnotisme expérimental et théapeutique. In-8° de 320 pages avec
figures
. Prix : 10 francs. Comptes rendus publiés par M
ction lombaire et cavité sous aracltnoïdienne. Petit in-8°, avec 13
figures
(Encyclopédie scientifique des Aide-Mémoire). P
e autour d'elle, se croit regardée de travers par tout le monde. se
figure
que toutes ses compagnes tiennent des propos malv
elles elle était en proie à chaque instant, elle reste déprimée, se
figure
que toutes ses compagnes, que toutes les personne
Obozrénié psiâttat1'ii, V, 1900). Deux observations accompagnées de
figures
témoignent d'une paralysie totale du facial des
ANTONOWSKY (06ozrénié psychiatrie, V, 1900), Sept observations avec
figures
. Conclusions. 1° Il existe des anomalies du sil
met/. Journal, 9 novembre 1901.) Une observation avec nécropsie (2
figures
). L\-1. Localisations motrices du cortex cérébr
uditif. M. Il. XLIX. La sensibilité à l'aimant, avec tableaux et 32
figures
; par Cli. MUE. (Revue de médecine, 1902.) Ex
, stomacal, etc., comparés à l'état normal de ces mêmes tissus (8
figures
). A. M. XXXIX. Le substratum physique de la mél
mélancolie; par J. Turner. (Brit. med. Journ., octobre 1901.) 12
figures
, montrant des altérations de cellules nerveuses à
cliniques sur la grande hystérie, 2e édition, 1885. p. 245. sur la
figure
ou en la rappelant à elle d'une voix impérieuse,
on maître, avec beaucoup de goût et de délicatesse ; j'aperçus sur sa
figure
une émotion dont je ne pus définir la cause ; à l
mme normal est la passion qui ressemble, beaucoup plus qu'on ne se le
figure
généralement, à la suggestion et a l'impulsion et
e à un tel point, qu'elle sentait même les grains de poussière sur sa
figure
et ses mains. Fait assez curieux, le sens de la t
ne règle, alors que tous (1) Un vol. in-12 de 300 pages, orné de 50
figures
intercalées dans le texte. Bi-éliothèque scientif
e peuvent fournir que des indices, et qu'il faut les compléter par la
figure
morale du criminel qui nous dévoile son anomalie
(l) Les habituels des prisons de Paris, in-8 de 500 pages nombreuses
figures
, chez Steinhell. exigent la difusion d'un ensei
ersonne, fort jolie, étendue sur le lit, a demie vêtue, se cachant la
figure
dans son mouchoir. gémissant et sanglotant. D'apr
és des prisons de aris,(l) (1) Un gros volume in-8° avec nombreuses
figures
sur planches, cher Steinheil à Paris et chez Stor
te, perte de connaissance incomplète et fugitive, parole embarrassée,
figure
déviée légèrement, bras gauche inerte, Jambe gauc
r l'une de ces caries (marquées par moi sur le verso), je traçais une
figure
quelconque : au bout de très peu de temps elle ap
au bout de très peu de temps elle apercevait ou croyait apercevoir la
figure
imaginaire, et lorsque je lui remettais le paqu
oints et des signes particuliers qui réveil-laient dans son esprit la
figure
imaginaire suggérée. Je suis parvenu aussi à lu
- J'étais très surpris de ce mécompte et M. Vulpian avait déjà sur la
figure
un sourire presque bienveillant et peut être étai
plus, défense d'avoir la moiniie inclination à la masturbation. Les
figures
masculines des songes nocturnes furent peu à peu
s masculines des songes nocturnes furent peu à peu remplacées par des
figures
de femmes, et déjà, après quelques séances, le ma
de psychologie criminelle, in- 8° de 600 avec nombreuses planches et
figures
. Chez Steinheil à Paris, et chez Storck à Lyon.
a aujourd'hui seize ans. C'est un garçon au front un peu étroit, à la
figure
imberbe, douce et presque angélique, à la peau bl
onque, les heures lui paraissent des siècles, j'ai vu des hommes à la
figure
énergique pleurer et demander à genou un compagno
-sept ans, il en paraît quinze au plus. C'est un garçon imberbe, a la
figure
douce et agréable, mis avec des veux lascifs et s
s et des blasphèmes, se tordantdans son immobilité, et présentant une
figure
pleine d'une terreur et d'un désespoir indescript
amené à ses parents qui lui dirent des injures et lui crachèrent a la
figure
. A la fin on l'écorcha vivant et sa chair cuite a
état d'extase. Ses yeux excavés expriment une profonde tristesse ; sa
figure
est maigre au dernier degré, pâle, avec des trait
à nous tromper. Aussitôt elle ouvre les yeux, place sa main devant sa
figure
et S'en va en pleurant. Donc, les scènes de som
e d'empois qu'on laisse sécher, après l'avoir soigneusement étalé. La
figure
parait ainsi comme plâtrée. Puis la danseuse s'ar
e ? » Elle pâlit, devient confuse, se met à pleurer en se couvrant la
figure
: « Dites moi ce que vous avez fait hier? » — « J
eneris la reproduction, en reliefs saillants et cimités des emblèmes,
figures
, et mots qu'il a plu â l'expérimentateur de trace
sur les bras, sur les cuisses, le simulacre d'un mot, d'un nom. d'une
figure
, en promenant légèrement l'instrument sur tous le
eris, la reproduction, en reliefs saillants et teintés, des emblèmes,
figures
ou mots qu'il a plu à l'expérimentateur de tracer
n-8° FéRé.— Les epilepsies et let épileptiques : G. in-8° planches,
figures
: 636 p.20 fr. Alcan, 1890. Falter. — Las aliéné
somnambulisme. 11 y aurait donc, comme M. Janet le représente par une
figure
schématique très claire, deux ou trois personnali
esta impuissante a détruire la conception délirante. Une folle qui se
figure
être une autre personne, a réalisé la suggestion
f révéleteur (un), 105.. Vue (hallucination collective de la), 124.
FIGURES
CONTENUES DANS LE VOLUME Asphyxie locale des ex
IN'1'EItXES et ANCIENS INTERNES DU SERVICE. Volume XI. Avec 16
figures
dans le- texte et 10 planches. PARIS AUX BURE
es sur les sièges d'aisances ; les leçons de toilette (lavage de la
figure
, des mains, entretien de la chevelure, cirage d
z88 ? la relation d'une épidémie de rougeole, etc., p. 105, avec la
figure
représentant la marche de la tempé- rature chez
jusqu'à ce jour un certain bégaiement. - Rougeole, croûtes dans la
figure
(6 ans), glandes au cou non suppurées, engelures
Le soir on le trouve étendu sur son lit, les traits fatigués, la
figure
couverte de sueur. 11 accuse une vive douleur dan
d'un microcéphale (t) Voir notre premier mémoire, avec planches et
figures
, sur la microcé- phalie (en collaboration avec
lle et avait des crises convulsives avec renversement de la tête,
figure
hideuse, grands mouvements des membres, etc. Nous
eût bu le sien, et comme on s'est interposé il a jeté le lait à la
figure
de l'enfant. Alors a eu lieu une rixe entre les
lui adresse à la visite, ses yeux se remplissent de larmes, mais sa
figure
continue d'exprimer la colère. Puis il se décide
les étoffes, la plupart des animaux les chiffres, les nombres, les
figures
géométriques. Il trace de lettres en gros carac
our et je ne ferai rien, rien du tout. Bn padantainsi Jan. avait la
figure
animée, les dents ser- rées, la respiration sif
urgiessent tout à coup, sans raison, et le plus souvent sans que sa
figure
exprime la colère. 20 juillet. Puberté et organ
ations analogues. Quelques-unes sont accompagnées de planches ou de
figures
. (B.) Considérations générales. 205 tion de l
ds de 25 k. 454. La cir- conférence thoracique était de 70 cent. La
figure
était large, ramassée et présentait un développ
la coqueluche. Peu après, la mère remarqua « un élargissement de la
figure
et des mains et une augmentation de poids ». L'
ères pendant lesquelles il pousse des cris épouvantables, griffe la
figure
de ceux qui le contrarient. On assure qu'il fai
PLANCHES. 230 Explication des planches. Planche. I. Les quatre
figures
de cette planche représentent l'enfant d'Ars ?
Microcéphalie : observation de Jan... (OBSERVATION II, p. 134). La
figure
1 le montre en gâteux. 244 Explication DES plan
s. Planche IX. Microcéphalie : observation de Jan... (p. 134). La
figure
2 représente Jan. dans une de ses périodes de f
IR Dessinateur : LEUB.1 Deuxième série, tome VIII. 1899. Avec 6
figures
dans le texte. PARIS BU H EAUX DU PIiO(IiCS 1
ue des manifestations d'atavisme. Les arabesques compli- quées, les
figures
allégoriques, les gestes et les attitudes cabal
of the New- York Juvénile Asylum. Volume in-8» de 86 pages, avec 12
figures
,- New-York, 1899. Wynkoof llallenbeck Crawlord
lexes of Ihe Lotuer extrcmilies. Brochure in-4° de 30 pages, avec 7
figures
. 1'litladell)iiia, 1899. Chez l'auteur. XOGUHS
icine. Tome Il, relié en 2 volumes formant ensemble 608 pages, avec
figures
et planches hors texte.- New- York, 1898. Davis ,
t voir un homme sans lui prêter la pensée de songer à elle. Elle se
figure
qu'elle va être l'objet de propositions déshonn
lle pense sans cesse et qu'elle redoute de voir survenir. Elle se
figure
que son mari, à qui elle n'a pourtant jamais osé
et châtiment, qui croit que tout le monde lit son meurtre sur sa
figure
et le lui reproche; le héros de Dostoïewsky est d
marades de classe : il est au moins aussi développé qu'eux, mais sa
figure
est déjà un peu asymé- trique, la fente palpébr
MOND et le Dr l'. Janet. 2° série, grand in-80 de 500 pages, avec 9
figures
dans le texte. Paris, F. Alcan, 1898. ZD Cett
CIITLIIEW. Ein neues Algesimeter. Brochure in-S° de 5 pages, avec 5
figures
. Leipzig, 1899. Librairie Veit and C°. 130un...
collection. - Un fort volume in-8° de t.xwvu-` ? 3'r pages, avec 13
figures
dans le texte et 13 planches hors teste.- Prix :
rtie en ville, elle rentre à 2 heures de l'après-midi taciturne, la
figure
renfrognée. Sans rien dire, elle va se coucher di
. Van Gehuchten maintient l'exactitude, attestée d'ailleurs par les
figures
qui accompagnent son travail. De même, la dégén
ervelet (avec présenta- tion des préparations microscopiques et des
figures
). Les expériences ont été faites sur les chiens
Due casi d'idioia mixedematosa. Brochure in-8° de 10 pages, avec 4
figures
. - Firenze, 1899. Chez l'auteur. THOMSON (J.) e
llre spinal corral. Vo- lume in-8°, cartonné, de 127 pages, avec 10
figures
et 4 planches hors texte. Manchester, 1899. Lib
e avec ptosis double et parésie de tous les mouvements oculaires.
Figure
en masque, parésie de la langue et du voile du pa
la collection.- Un fort volume in-S° de i.x.\xvu-234 pages, avec 13
figures
dans le texte et 13 planches hors textes Prix : 7
ure monte (39°.0 hier soir, 40°2 ce matin) ; la peau est chaude, la
figure
colorée et couverte de sueurs. Même état des ré
la zooptie est plus caractéristique cette fois, la malade voit des
figures
dans des lunes, elle a des visions de chiens, d
très intelligent. A cette époque (rentrée des classes) Gabriel se
figure
qu'il ne peut suivre la classe où on l'a placé au
c Unique) ; par le De Long. (Thèse de Paris, 1899, 280 pages, î5
figures
. Steinheil, éditeur.) Travail du plus haut inté
des racines postérieures avec la structure des cordons postérieurs.
Figures
. On sait que les lésions des racines, tant de l
scence descendante des fais- ceaux latéropyramidaux. Au microscope (
figures
) on constate, au même niveau, la déchéance des
ssi actives : on veut l'empoisonner, on lui envoie du fluide sur la
figure
et des mouches noires devant les yeux. 14 jan
curés qui dansent dans la cour et sur son lit. On lui envoie à la
figure
des poignées de poudre blanche, on l'injurie. L
e de la substance blanche et de l'écorce de la troisième temporale (
figure
). Au microscope on constate une destruction hém
érieure des première et deuxième tem- porales n'est point atteinte (
figure
). 11 y a donc eu une cécité verbale (aphasie se
ntl'albl., XVIII, 1899.) I. Paralysie périphérique de l'hypoglosse.
Figure
. On cons- tate une paralysie atrophique isolée
é du côté sain contracté. » II. Paralysie isolée du nerf axillaire.
Figure
. Etiologie par- ticulière. Un jeune soldat de v
née; par CUasTVEa. (Neurolog. Cet : <ra<6<., XVIII, 1899.)
Figure
. Observation probable de myélite infectieuse à ma
te aurait été préservée. « La religieuse s'apercevant de la bizarre
figure
que nous faisions, nous dit alors, qu'il aurait
de la scoliose des adolescents. Volume in-18 de 261 pages, avec 07
figures
. Prix : 4 francs. Paris, 1889. Librairie Vigot
ersuchung und l3egulaclrlun ? - Volume m-S° le : ,SI pages, avec 20
figures
. Prix : 20 francs. Berlin, 1899. Librairie Fisc
octrines. 2 volumes in-11 reliés formant ensemble 1.863 pages, avec
figures
. Paris, 1899. Librairie Carré et Naud. Le réd
ARCOT et G. GUINON Dessinateur : LEUBA Tome XXVI. 1893. Avec 38
figures
dans le texte. PARIS il U LI EAU X DU U P 110
iété médico-psychologique : MESSIEURS, C'est une helle et noble
figure
qui vient de disparaître. A l'âge auquel était
Description détaillée, mais purement technique, et accompagnée de
figures
, d'une installation d'appareils de chauffage, d'é
01"'1. Dauriac, Ferrier, Noir. Vol. in-8° de cxx-368 pages, avec 37
figures
dans le texte et 15 plan- ches hors texte. Prix
énérescence des faisceaux pyramidaux. 110 PATHOLOGIE NERVEUSE. La
figure
4 représente une coupe de la moelle à la hauteur
in; mais n'existe nulle part d'endartérite ni de thrombose. . , Les
figures
7 et 8 donnent une excellente idée de la forme et
onjonctif. En lisant cette description, et surtout en regardant les
figures
qui la rendent compréhensible, le lecteur sera
it, en effet, la totalité des cordons grêle et cunéiforme. Sur la
figure
\.1 on voit que le cordon grêle a déjà presque di
la périphérie et du noyau. Enfin, ainsi qu'on peut le voir sur les
figures
précédentes, le faisceau cérébelleux direct est
M. Dauriac, Ferrier et Noir. Volume in-8° de cxn-368 pages, avec 37
figures
dans ,le texte et 15 planches. Prix 7 fr. Pour no
és, les imbéciles et les idiots. Volume in-8° de 17t pages, avec 24
figures
. - Prix : 4 fr. - Pour nos abonnés : 2 fr. 75.
malades doivent être divisés en deux catégories : dans la première
figure
un dégénéré avec excitation maniaque, un maniaq
éducation de l'idiot). Volume in-12 cartonné de 295 pages, avec 17
figures
. Paris, 1893. Librairie F. Alcan. 'Le rédacteur
La tumeur vue sur une coupe pratiquée suivant la ligne . aa' de la
figure
13 ; compression des deux lobes frontaux. UN CA
vent déformés ou multiples. Une m'a pas été possible de déceler des
figures
de karyokinèse; il est vrai que je ne me suis p
n des neuroblastes tels que ceux qui sont représentés en 2, 2', 2",
figure
16 : ce serait une multiplication endogène à un s
te; on peut en voir les phases en 9, 10, il* 12, 15, Hi', 15 ? H¡ ?
figure
16. D'ailleurs les éléments qui portent de sembla
este au même endroit une dégénérescence qui est bien visible sur la
figure
21. Ce sont les fibres du cingulum qui ont dégé
he moyenne que dans la réalité. Fig. 23. - Même coupe que dans la
figure
précédente, mais le des- sin est pris dans la p
du cerveau vue sur une coupe pratiquée suivant 'la ligne B B' de la
figure
25. (Loc. cil.) Fig. 27. Tumeur du cerveau vue
ur du cerveau vue sur une coupe pratiquée suivant la ligne C CI des
figures
25 et 26. (Loc. cil.) UN CAS DE GL : OOE nl;Uli
eu. Les statistiques d'asile montrent que l'hérédité collatérale ne
figure
que dans un nombre assez restreint des obser- v
jours la même histoire; c'est à très, peu près, toujours .« la même
figure
. Chaque année, on voit se présenter à la clinique
i; il existe sous la forme qu'il avait prise aux siècles passés. Sa
figure
, son costume, ses manières conservent les mêmes
atéral lapyertrophy of the face. Brochure in-8, de 13 pages, avec 4
figures
. Philadelphia, 1893. Tlae Médical News. PIARA
comme on peut s'en rendre compte en jetant un coup d'oeil sur la
figure
371 (protub. normale), que nous avons placée en r
gure 371 (protub. normale), que nous avons placée en regard ' Cette
figure
a été remplacée par un simple pointillé ajouté àl
hé où il s'atténue peu à peu. Ces détails sont bien visibles sur la
figure
35 où on aperçoit en 2-2' les pédoncules cérébe
uis son origine apparente jusqu'à son noyau ventriculaire dont la
figure
38 montre l'intégrité absolue. Nous aurons à reve
un peu maigre, mais régulièrement constitué et assez robuste. La
figure
est osseuse, les arcades zygomatiques saillantes.
C'était une jeune fille très intelligente que j'avais devant moi :
figure
expressive, tête bien conformée, fraîcheur du t
sé rencoitréiit'dâüsFcet endroit et dans lesquelles on trouve, des
figures
karyokinésiques, doivent étrèéonsidééescôriünë`
côté du reste que les phénomènes sont de beaucoup plus marqués. Des
figures
illustrent cette intéressante leçon. P. S. XI
ion de Georges GuiNON). Tome Il. Volume in-8° de 482 pages, avec 20
figures
. Prix : 12,fr. - r Pour nos abonnés, 8 fr. · "
rurgie opératoire, Traitements Un volume m-8" de 403 pages, avec 66
figures
et 2 planches hors texte. Prix : 15 fr. Paris,- 1
ec une préface du D' Dejérine. Volume in-8° , de 355 pages, avec 90
figures
. Paris, 1893. Librairie F. Alcan. " . Le réda
tion du rouge et du vert. Il y une hyperesthésie pour le bleu. La
figure
représente l'état des deux champs visuels projeté
nt trop larges pour les tissus sous-ja- cents. L'expression de la
figure
est celle du dégoût. La circonférence crânienne
nt des groupes composés d'un nombre plus on moins grand d'éléments (
figure
). Ces groupes sont tellement nombreux et confluen
aroi inféro- interne du ventricule occipital sont conservés. Sur la
figure
suivante et plus rapprochée du pôle, c'est la r
che est plus grand que le droit. 152 VvEBEK La planche XXII et la
figure
1 montrent ce qui est resté plus ou moins intact
fisant. Peut-être trouverons-nous d'autres attributs ? La femme qui
figure
la Gorre est assise sous un dais en forme de te
e troisième soldat du troisième rang (fig. 2). Au deuxième rang les
figures
sont couvertes d'emplâtres losangiques ; l'un d
n fac-similé de l'estampe de Blois beaucoup mieux détaillée que les
figures
de Triumphe (1), Re- (1) Les dessins reproduils
le voir sur notre fac-similé (fig. 4), quelques traits parais- sent
figure
)'soit des emplâtres sur un nez effondré, soit des
a face,les bras, la poitrine, les jam- bes.Il est regrettableque la
figure
de l'enfant porté avec sa mère sur un âne soit
est bien fâcheux que cette planche qui montre un si grand nombre de
figures
n'existe pas à Blois ; le fini de l'estampe et
ur mieux soulager les rognons », dit aussi Rabelais. La plupart des
figures
on[ une expression douloureuse : « ils tordent la
tance donnée à la goutte dont le nom revient continuellement et qui
figure
en bon rang dans le cortège. Nous rencontrons d
'onc ne receut si très mortelle injure - Nature humaine en sa belle
figure
. (1) Toute l'histoire de la blennorragie est à
ans la substance blanche du lobe temporal (PI. XXVII, VI). Enfin la
figure
VII montre de nouveaux foyers dans la substance
et de la sensibilité, sauf Fig. t. Obs. 1.- Position de la tumeur (
figure
schématique). NOUVELLE Iconographie de la SALYL
syllabes et idées. On lui dicte l'instruction sur l'alcoolisme qui
figure
sur les feuilles d'ordon- nance ; il écrit : «
ous poserons seront basées sur l'étude des quatre cas. Toutes les
figures
qui suivent sont des photographies de nos pièces
précieuse figurine qui perpétuera le souvenir d'une des plus belles
figures
médicales contempo- raines, prématurément dispa
ropres examens de glandes pinéales, mais même en nous reportant aux
figures
de Dimitrova ; ces figures sont très exactes,mais
inéales, mais même en nous reportant aux figures de Dimitrova ; ces
figures
sont très exactes,mais c'est leur explication q
lules. Ces cellules sont en effet des cellules névrogliques. Sur la
figure
7 et la figure 19 du travail de Dimitrova on vo
ules sont en effet des cellules névrogliques. Sur la figure 7 et la
figure
19 du travail de Dimitrova on voit de ces cellule
trouve aussi certaines différences, ainsi Legen- dre (2) décrit et
figure
des cellules nerveuses contenant trois corps énig
er un grand nombre de sphérules et granules fuchsinophiles. Dans la
figure
(f) nous représentons une cellule ganglionnaire
- dromes et sans douleur elle s'est réveillée un matin avec = la la
figure
de travers ». La jambe et le bras du même côté
e de coutume au magasin central de la Salpêtrière. 1 Cependant la
figure
demeurait déviée sans autre modification de la si
LA SALPJ3 : 1RIÈRE. T. XXIV, PL. LU. Main droite. Main fauche.
Figure
2. Main gauche. Main droite. 1 : CTISO-POT.I'
s de Dijon. 1908. 394 PARHON ET URECHIA dans la salle, avec une
figure
hébétée et le regard vague. Il ne parle à personn
aucoup d'insistance. Si on continue à l'interroger, il se fâche, sa
figure
se congestionne et il donne des réponses plus o
récemment peuvent égale- ment être invoquées ici. EXPLICATION DES
FIGURES
Pl. LXI. Malade de la première observation vue
gèrement déchaussées, enfin le front est pigmenté. L'ensemble de la
figure
est inerte, le regard est sans expression, la par
ronc et la tète sont normalement conformés. Comme on le voit sur la
figure
(PI. LXXH,fig.5), les bras montrent leurs propo
sans quitter un moment le contact entre son doigt et la peau de la
figure
. En effet de cette manière, le malade a parfait
s'il veut faire ce mouvement, il va très vite et alors il heurte sa
figure
dans différents points. Ce fait s'ob- servait n
les mêmes résul- tats, que les appareils décrits plus haut. La
figure
6 présente le fauteuil d'extension que nous d
inée, ce qui nous- permet de graduer l'altitude et la traction. Les
figures
10 et 11 ren- dent mieux compte de l'ensemble d
au point de vue clinique qu'au point de vue anatomo-pathologique (5
figures
la sclérose s'étendant à toute l'étendue du fai
tion d'un cas de diabète sucré combiné à la maladie de Basedow. Une
figure
accompagne le texte. L'auteur développe une hyp
ébriles, d'un cas d'oedème de la joue gauche. Avec ces trophoedèmes
figure
une série de photographies montrant l'amélioratie
eau de Goll; elle n'est nette qu'au niveau de la moelle'cervicale. (
Figures
). Or cette physionomie laisse supposer l'ascens
ente prolifération des libres musculaires lisses de forme arrondie (
figure
). On constate la même anomalie, mais beaucoup m
diamètre, qui correspond à la troisième circonvolution primitive (
figure
), détermine le travail sécrétoire suivant dans l'
ariantes dans les détails de cette description d'ensemble (voir les
figures
). L'écorce du cerveau présente un développement
ces ont été soumises à la méthode de Nissl modifiée par Téliatnik. (
Figures
.) - Les cellules des lapins dont la moelle n'a
téré, a, à la suite d'une discussion, déchargé sort fusil dans la
figure
de sa mère, âgée de soixante-quinze an. Puis il s
ongrès international dé médecine. Grand in-8° c1e580 pages, avec 18
figures
. Roche (IL). Lutte contre les maladies et contr
ouffrance. Je m'enferme dans ma chambre, je fuis toute société; les
figures
humaines me font horreur, je rêve d'aller habit
cette âme surnagent avec un éclat vigoureux, se concentrent en une
figure
: la cristallisation commence. Le ma- lade se r
OGRAPHIQUE. l3wuem. - L'aphasie motrice, in-8° de 126 pages avec 14
figures
. Paris 1901. (Extrait de la Parole.) - BOXNIE
la Parole.) - BOXNIER (P.). L'Audition, in-18 de 27G pages avec 50
figures
. Prix : 4 francs. Paris 1901, O. Doin, éditeur.
l'hélix. Le cartilage existe. Une minutieuse description appuyée de
figures
donne l'image de ces oreilles anor- males, adhé
de fer), très favorable à la photographie. Le mémoire renferme des
figures
relatives à des hémiplégiques, à des malades at
eloir. Traité pratique et théorique de la lèpre, avec de nombreuses
figures
et 22 belles planches. Aux bureaux du Progrès méd
aver (A.). L'année psychologique (7c année), in-8° de SJ pages avec
figures
. Paris 1901, Schleicher Irères, éditeurs. Prix :
WSKY. AIielitis mut sehnervenen tzilndunq, in-8 de 92 pages avec 50
figures
dont 9 en couleurs. Berlm 1901. Librairie Karge
use (Ed.) et Marchand (L.). Le Cerveau, in-18» de ici pages avec 51
figures
. Prix : 2 fr. 30 'mçs (J.). L'hypnotisme et les
de 1 m60 1. Réflexions. Notre cas rappelle de très près celui qui
figure
à la page 129 sous le n° 37 des gravures du livre
pendant deux ou trois jours, une légère tension du côté droit de la
figure
, celui qui autrefois fut paralysé, et présentant
t considérable : elle donne une configuration particulière au bras (
figure
). Et cependant les mou- vements de l'articulati
imitée à certains territoires nerveux, souvent symétrique (voir les
figures
). L'anesthésie existe par plaques : elle suit par
t à gauche, et surtout des première et seconde tem- porale gauches (
figures
). A l'atrophie du lobe temporal gauche se ratta
yélite antérieure de l'adulte terminée, qui a achevé son évolution (
Figures
). Il n'y manque plus que l'autopsie. P. KERAVAL
eux des viscères et des membres, t. 11., ni-8° de 504 pages avec 44
figures
. Lyon 1902, Storck et C'c. Paris 1902, 0. Doin.
e et simplifiée de « l'appareil à pont n, in-8° de 50 pages avec 4G
figures
. Publication de l'Odontologie. Wiliielm Itesmvc
vous prémunir contre une cause d'erreur, dans l'interprétation des
figures
schémati- ques qui servent à la représentation
u côté opposé. Ces détails ressortent d'une façon très nette sur la
figure
schématique placée devant vous (fig. 25). ' J
e nouveau une hémianopsie bitemporale. Un coup d'oeil jeté sur la
figure
placée devant vos yeux (fg. 29) vous fera bien
e ses idées, ceux-ci lui répondent. Elle se cause à elle-même et se
figure
que tous ceux qui passent à côté d'elle ou qui
Séjour, Izard, Laurens, Paul-Boncour, Philippe et Oberthur. Avec 19
figures
dans le texte et XI planches, t. XXI, 1901. Aux
oncevoir comment il peut être le véhicule de la pensée. L’auteur se
figure
avoir démontré par le somnambulisme l’immortalité
dans le champ de l’astrologie. On y apprend notamment à construire la
figure
des cieux pour un moment donné. La cinquième pa
ie n’était le plus souvent que ceile de l’alchimie. Le calcul de la
figure
des cieux ou des maisons des planètes est le poin
al de toute l’astrologie. Il y a plusieurs procédés pour ériger cette
figure
. Le •plus simple est de se servir des tables calc
cé l’assemblée..., et autres qui. pour le plus grand nombre, sont une
figure
qu’ils emploient sans y faire attention, mais qui
s de sa juridiction. Au nombre et à la tête de ces derniers journaux,
figure
i’Univers. L’Univers, dans un article du 19 mar
ambe les piqu intes espiègleries d'un chat joueur et invisible, et la
figure
pâle du patient attestait une cer- taine émot
rer en lui-même comme pour rassembler toute sa puissance nerveuse, sa
figure
se contracta légèrement, et enfin, après moins d’
nt. J’examinai la plaie ; tout ôtait pour le mieux ; je nettoyai la
figure
de l'opérée. J’enlevai mes outils, les serviettes
ière échevelée ; sa danse devint furieuse, précipitée, haletante , sa
figure
tortionnante , ses cris féroces. « Alors le vie
ette, un des illuminés, n II avait (dit-il) un œil intelligent et une
figure
sympathique qui nous firent lui demander s’il sav
estomac, on me déchire les boyaux, disait-elle, je me sens mourir. Sa
figure
était livide et décomposée ; elle vomissait les b
ait pas. L’empereur était monté à cheval, le maréchal le suivit. Sa
figure
était si triste et si pâle que, frappé de cette c
'une philosophie. Ainsi le triangle, par exemple, est un pantacle qui
figure
l'unité trinitaire de la Divinité. La Vierge écra
sur la table. La somnambule éprouve de3 tremblements saccadés ; sa
figure
s’impressionne profondément. — Est-ce que vous
endormie préalablement, retomba dans le mutisme; mais, cette fois, sa
figure
devint jubilante; de petits rires entrecoupés s’é
oncernant le donneur. Lorsque je le réveillai, notre ami, de qui la
figure
avait manifestement pâli, ressentit de légers fri
ntourent, vous approchent et se profilent dans vos orbites. De douces
figures
gracieuses qui viennent tendrement vous sou- su
rveilleux avait, en nais-« sant, une barbe blanche, et portait sur sa
figure
une majesté cxlraordi-« naire. Ses manières n’ava
facultés si extraordinaires de l’illustre médium. Parmi ces prodiges
figure
la guérison presque instantanée d’un enfant sourd
est M. Viennet, membre de l’Académie française ; au rang des seconds
figure
M. Paul d’Ivoy, rédacteur de la chronique du Cour
, le premier pour cxécutier un effrayant moulinet à deux pouces de la
figure
de son maître , l’autre pour remplir officieuseme
où il voit juste de ceux où , ne voyant que de vains fantômes, il se
figure
que ses perceptions sont exactes et croit posséde
ts, fut étonné de voir qu’on se bornait à lui faire des passes sur la
figure
. Dès la première séance, le malade s’endormit; et
iemelink a déjà réuni un grand nombre de souscripteurs parmi lesquels
figure
pour deux exemplaires sa majesté la reine des Pay
ntes relations dont le f recueil est toujours consulté avec fruit, et
figure
avec honneur dans les annales de la science nouve
eureusement, le jeune homme était souffrant, et portait encore sur la
figure
une éruption critique survenue à la suite d’un ac
avers les plus épaisses ténèbres, et vint me frapper en plein dans la
figure
, exprimant passivité de son rôle. Il se t
ites, des cœurs simples et naïvement dévoués à une idée. , Qu’on se
figure
une salle de concert' au deuxième étage d’une mai
rincipale d’une grande cité des Etats-Unis. A la place de l’orchestre
figure
une sorte de petite baraque en planches, de forme
ait une caresse par un tapottement léger du bout du porte-voix sur ma
figure
. J’empoigne l’instrument, mais mie force supérieu
me d’environ vingt-cinq ans, d’une constitution frêle et maladive. Sa
figure
a une expression grave et intelligente mêlée de d
ein s’est parfaitement gonllé , son visage s’est vivement coloré , sa
figure
a pris une grande animation : ses yeux s’agrandir
LEUDA. Tome IV. - 4882 Avec 5 planches noires ou en couleur et 20
figures
dans le texte. PARIS BUREAUX DU PROGRÈS MÉDIC
ni la nature cons- tantes, a cru révéler une vérité nouvelle. Elle
figure
, dès 1859, dans notre mémoire sur la pseudomono
e dans la lypémanie. » Justine Z..., âgée de vingt-quatre ans, a la
figure
pâle et les pupilles très dilatées. Son regard,
upules et des craintes, imaginaires. Un matin , nous la trouvons la
figure
épanouie. « Je suis contente, moi, je suis guér
, âgé d'environ quarante-cinq ans. Fascinée par son regard, elle se
figure
être, de sa part, l'objet d'une attention peu s
Fère, de renvoyer le lecteur à la bibliographie assez détaillée qui
figure
en tête de cet article. I. ° ESSAI DE DÉTERMI
lement, à gauche un maximum de 18° en trois minutes; on voit sur la
figure
les deux lignes toujours séparées par un interv
ntraire en être la source et les répandre tout autour de lui; il se
figure
qu'il porte malheur aux personnes qui l'approch
avant et fai- sait saillie sous la peau comme on le voit dans la
figure
5. L'extrémité inférieure de cet os est saine
tement disparu. On peut du reste se rendre compte en considérant la
figure
o de la position vicieuse des sur- faces articu
erai. -Sels de pilocarpine). Un volume 111-8° de 263 pages, avec 23
figures
dans le texte. En vente aux Bureaux des dr- chi
uls, que son coeur ne bat plus, que sa tête est vide, qu'il n'a pas
figure
humaine. Il attend la fin du monde, qui est pro
sens mys- tique aux formes des objets extérieurs, il croit voir des
figures
d'animaux dans les formes des arbres, etc. 18
ait de sa bonne, qu'elle prend pour un homme déguisé. Mm0 G... se
figure
qu'elle doit être transformée en une bête immon
RSION DU SENS GÉNITAL. 313 gularités, c'est ainsi qu'il s'essuye la
figure
avec une peau de lapin. A plusieurs reprises et
tôt plus riches, tantôt plus pauvres en cioÿux, corime l'indique la
figure
6..Cette différence tenâit'simpleméné'â;'dés'éî&g
j Pour mieux faire comprendre ces modifications.j'ai ajouté deux
figures
(8 et 9) représentant le dessin exact de deux cou
ales des colonnes grises antérieures faites sur un' même plan. La
figure
8 représente une portion de la colonne grise anté
ésente une portion de la colonne grise antérieure du côté droit, la
figure
9 une portion de celle du côté gauche. En compa
ent en même temps la transformation des ganglions nerveux. Sur la
figure
8 nous voyous les ganglions du côté sain avec leu
multipolaires radiés et leurs noyaux ronds pour la plupart. Sur la
figure
9 les ganglions sont transformés en fuseaux bipo-
,j ? j ,p ,j ` 336 REVUE CRITIQUE. PLANCHE V Les cinq premières
figures
représentent des coupes successives (de haut en
érie une zone qui est fournie par d'autres vaisseaux. » (Voy. les
Figures
schématiques VIII et A'F7.) C'est aussi ce territ
ves. EXPLICATION DES PLANCHES. 415 PLANCHE V Les cinq premières
figures
représentent des coupes successives (de haut en
ue, internes et interne provisoire de la Clinique. TOME I Avec 47
figures
et 3 planches. PARIS aux bureaux du PROGRÈS
mme il existe une symétrie Fly. i. _ ScléroJermie dactylique. Cette
figure
montre les déformations des doigts et la destruct
urs le tact a été parfait. Fig. 2. — Sclerodermie dactylique. Cette
figure
montre surtout la déformation de l'ongle du médiu
ements intentionnels (grandes oscillations de la partie moyenne de la
figure
). cile à apercevoir, mais qui cependant peut êt
tremblement de la tête chez le nommé M... Dans la moitié gauche de la
figure
, le malade est debout sur place ; dans la moitié
migraines classiques; ensuite parce qu'elle relève un élément qui ne
figure
pas dans les autres dénominations, à savoir l'élé
fet l'œdème bleu, ou une lésion fort analogue, en apparence du moins,
figure
parmi les troubles trophiques de la syringomyélie
caractères1, sur un Fig. 39. Fig. 40. Ptosis palpebral. Dans la
figure
39 {ptosis spasmodique), le sourcil gauche est pl
le sourcil gauche est plus abaissé que celui du côté normal. Dans la
figure
40 (ptosis paralytique), le sourcil gauche est pl
traumatisme que nous avons relevé à l'origine de la maladie présente,
figure-t
-il parmi les facteurs étiologiques de la syringom
ondant au territoire cutané d'un nerf. Examinez, par exemple, une des
figures
de l'atlas de Flower, et vous reconnaîtrez que ce
sorte, sous forme de foyers, ainsi que vous pouvez le voir sur cette
figure
que j'ai fait placer sous vos yeux (Charcot et Go
Grèce, Paris, 1890, et j'y trouvais ces mots assez significatifs : «
figure
de pierre inachevée, fruste » et ailleurs : « mar
Ma-rey, permettent de se rendre compte de ces modifications. Sur la
figure
53, le mode respiratoire a été inscrit pendant qu
x premières minutes, représentées par les deux lignes inférieures (la
figure
représente 32 secondes de chacune de ces minutes)
es (une demi-grandeur naturelle). T = toux; B = bâillements. Sur la
figure
54, les secousses de toux sont encore bien plus m
ût 1888). Toux (T) et bâillements (B). — Mêmes conditions que pour la
figure
53. Il existe des stigmates permanents de l'hys
action de minutes de 32. secondes (une demi-grandeur naturelle). La
figure
56 représente la respiration de la malade inscrit
plus fréquents et plus amples bien que encore assez irréguliers. La
figure
57 présente les mêmes caractères, avec cette diff
atoires normaux, comme on peut s'en assurer en jetant les yeux sur la
figure
58. Celle-ci représente la respiration d'une autr
par terre, mais reste dans la position où elle se trouve, se cache la
figure
avec ses mains et pousse des cris aigus. En même
s épaules. Or, on peut voir sur nos tracés, particulièrement sur la
figure
56, que l'inspiration dans le bâillement hystériq
T MALADIES DES VIEILLARDS GOUTTE ET RHUMATISME TOME VII avec 19
figures
dans le texte et 4 planches PARIS AUX BUREAUX
vation pure, parmi les-quels se détache, en première ligne, la grande
figure
d'Hip-pocrate. Messieurs, quels ont été les fru
, soit un peu plus tard; ce dernier cas est le plus fréquent (voir la
figure
10) (1). Sous ce rapport, il n'existe aucune diff
melle supérieure de l'endocarde. d. — Le dépôt fibrineux. (1/10.)
Figure
empruntée à Rindfleisch. Lehrb, der pathol. Gewel
s. Thèses de Paris, 1862. sous le nom de néphrite rhumatismale. Les
figures
2, 5, 6 et 7 de la planche V de l'Atlas du Traité
s {'Osteología Pompeiana, du pro-fesseur Delle-Chiaje, de Naples. Les
figures
qui sont jointes au texte ne peuvent laisser aucu
prises, n'a jamais renfermé d'acide urique en excès. 3. La scrofule
figure
très souvent parmi les antécédents des sujets att
entrale (c'est ainsi que nous désignerons l'état qui nous occupe), ne
figure
en général dans l'histoire des maladies, qu'à tit
ren-contre la nodosité des jointures chez 34 malades ; un seul homme
figure
dans son relevé. Il étaitun moyen assez simple de
lution progressive de ces masses opaques contenues dans les tubes. La
figure
4 représente un temps de la dissolution. Une po
fères. Une partie du contenu de ces tubes se dissolvant, on obtint la
figure
4, dans laquelle une portion de tube, devenue tra
it s'en convaincre en consultant les descriptions et en examinant les
figures
qu'a données M. le docteur delle Chiaje (de Naple
es déterminés qu'on rencontre dans le rhumatisme noueux (comparez les
figures
2, 3, 4, et la planche II, à la figure 25 du Trai
umatisme noueux (comparez les figures 2, 3, 4, et la planche II, à la
figure
25 du Traité de Garrod) (p. 77-81). Gharcot. CE
ociété de biologie, 3e séi\, t. II, 1861, p. 47. (p. 88). —Ce travail
figure
dans ce volume (p. 419 à 425). Noyaux d'urate d
leur existence ne pouvait pas être reconnue. Fro. 3, 4, 5, 6. — Ces
figures
sont relatives à l'anatomie des nodosités d'He-be
gures sont relatives à l'anatomie des nodosités d'He-berden. On voit,
figure
3, la seconde articulation phalangienne déformée,
Les saillies pisiformes décrites par Heberden sont bien accusées.—La
figure
4 montre les extrémités osseuses mises à nu par l
argies dans tous les sens, par suite de la formation d'ostéophytes. —
Figure
5, la même prépa-ration vue de côté. — Comparez l
éophytes. — Figure 5, la même prépa-ration vue de côté. — Comparez la
figure
4 à la figure 6 qui représente l'état normal. ^
gure 5, la même prépa-ration vue de côté. — Comparez la figure 4 à la
figure
6 qui représente l'état normal. ^-^TTTc^rv^T-x
généralisé. Les caractères du premier type sont bien accusés dans la
figure
2. — La figure 1 donne une bonne idée des déforma
s caractères du premier type sont bien accusés dans la figure 2. — La
figure
1 donne une bonne idée des déformations du second
sc, qui sont représentés à un grossis-sement de 150 diamètres dans la
figure
3. Fig. 2. — Tube urinifère contourné de la sub
ate de soude D, formant le dépôt visible à l'œil nu re-présenté en A,
figure
1. (Coupe de la substance tubuleusc grossie 150 f
(Coupe de la substance tubuleusc grossie 150 fois.) Fig. 4. — Cette
figure
est relative à une période de la dissolution de c
re en 1863, et dont la main gauche est représentée dans la planche I,
figure
2. Fig 6. — Oreille gauche du nommé I. M..., an
: J.-B. CHARCOT ., J. NOIR Deuxième série, tome XV. 1903. Avec 11
figures
clans le texte. PARIS BUREAUX DU PROGRÈS MÉDI
voir que c'est surtout, ainsi que l'on peut le cons- tater sur nos
figures
2 et 3, vers le bord externe de la papille que
est pas de même, et, ainsi que l'on peut s'en rendre compte sur la
figure
2, les fibres y sont diminuées en 14 ANATOMIE P
s'est constitué un véritable coude bien apparent sur notre seconde
figure
. Si nous considérons maintenant les fibres opti
son entrée dans le globe de l'oeil, telle qu'elle est représentée,
figure
2, nous voyons que les couches de cellules névrog
liques iulra-fascicularres, représentées dans toute 1 étendue de la
figure
par un nombre correspondant de points ; elles son
ineux, le plus souvent arrondi, mesurant de 4 à 8 de dia- mètre. La
figure
6 montre bien l'envahissement de la couche des
le ce qui s'explique par leur provenance, si en effet on examine la
figure
7, on voit très nettement leurs traînées partir
rpendiculairement par rapport à la direction du nerf optique. Cette
figure
qui représente une coupe longitudinale pas- san
breux prolon- gements grêles et raides, de longueur variable. Les
figures
8 et 9 montrent à quel point le nombre de ces élé
t très marqué ainsi que l'on peut s'en rendre compte à l'examen des
figures
(t fig. 8 et 9). Ce qui précède est également v
rai, quel que soit le point du nerf optique que l'on considère. Les
figures
8 et 9 représentant du reste ce nerf en quelque
normale que les faisceaux centraux. Dans la partie inférieure de la
figure
9 qui représente une coupe transversale du nerf
Signalement : taille élevée, portant toute la barbe, taches sur la
figure
, vêtements en mauvais état, facultés intellectu
Etat actuel de la chirurgie nerveuse. Z In-8° de 800 pages avec 230
figures
. Paris 1902. Rueff éditeur. Prix : 25 francs. A
nastique de chambre sans appareil. 1 vol in-12 de 106 pages avec 32
figures
. Librairie A. Maioine, 23-25, rue de l'Ecole de
ctuel de la chirurgie nerveuse. T. Ier. In-8» de 800 pages avec 230
figures
. Paris 1902. Hueff éditeur. Prix : 25 francs. D
copie juste les mots qu'il a bien déchiffrés. La copie de diverses
figures
géométriques ne lui réussit pas toujours et la
raient. F. B. XI. La gymnastique de chambre sans appareils, avec 32
figures
explicatives, par le Dr de Frumerie (Paris 1902
t que de s'entendre, comme dit le proverbe, et grâce aux nombreuses
figures
qui accompagnent le texte, l'entente n'est ni l
actuel de la chirurgie nerveuse. T. I". In-8° de 800 pages avec 230
figures
. Paris 1902. Rueff éditeur. Prix : 25 francs. D
. La douleur siège profondément ; c'est « comme un creusement de la
figure
». La durée de ces phénomènes douloureux est de
Le malade a du tic vrai, il fait la grimace et porte la main à sa
figure
pour comprimer la région, mais on observe en outr
nt, douleurs que la malade essaie de maîtriser en maintenant sur sa
figure
une immobilité absolue des traits. ' Les doul
A ce moment le malade redoutait la pression la plus minime sur la
figure
qui provoquait à coup sûr une crise. Chose remarq
produisant, soit à la suite de frottements ou d'attouchements de la
figure
, soit à la suite de courants d'air, de changeme
s son cerveau où il y aurait une plaie que chaque mouvement de la
figure
, le rire, le bâillement, l'action de mordre viend
au point de vue anatomo-pathologique, et accompagnée de nombreuses
figures
. Il s'agit d'une femme atteinte de démence séni
t, dans quelques cas, on voit de grosses gouttes qui coulent sur sa
figure
, la, respiration est anxieuse, le coeur palpite
et immédiatement changement d'attitude, il respire librement et sa
figure
exprime le soulagement et le calme. Lorsqu'il e
de la malade, a été accompagnée encore par la démonstration d'une
figure
moulée de la joue et de la mâchoire inférieure et
es principales auxquelles l'auteur fait de nombreux emprunts et aux
figures
desquels il ajoute un grand nombre de dessins r
ar il en résulte une cer- taine aridité, qu'un plus grand nombre de
figures
aurait peut-être atténuée. L'interprétation ori
MALADIES DES POUMONS ET DU SYSTÈME VASCULAIRE TOME V KVHa 51
FIGURES
DANS LE TKXÏE ET 2 PLANCHES PARIS AUX BUREAUX
te des processus mor-bides. I. J'ai fait placer sous vos yeux une
figure
schématique fort instructive, que j'ai empruntée
vous voulez bien me permettre une com-paraison, je vous dirai que la
figure
, obtenue par une section longitudinale passant pa
es infundi- bules. Cette disposition est très reconnaissable sur Ja
figure
9, empruntée au mémoire de M. Schultze. Cette fig
naissable sur Ja figure 9, empruntée au mémoire de M. Schultze. Cette
figure
montre l'orifice d'un infundibulum latéral, c'est
hode compa-rative. J'ai fait placer sous vos yeux quelques-unes des
figures
an-nexées à un travail célèbre dans l'espèce, cel
vous le voyez, a dessiné des lignes noires dont la réunion forme des
figures
polygonales (b). Ces lignes se voient aussi bien
tissu embryonnaire de nouvelle formation, et par les glomérules, (/.(
Figure
demi-schâmatique, d'après les pré-parations de M.
è-tres. — Comparez le diamètre de ces tubes atrophiés avec ceux de la
figure
332 dessinée au même grossisse-ment (Cornil et Ra
tif em-bryonnaire. Substance corticale (Fig. 25). — Comparons cette
figure
à la Fig. 26, qui représente les parties homologu
res, aux vaisseaux qui sont le long de la colonne vertébrale (voir la
figure
du Mé-moire de Dybkowsky). Ces lymphatiques sont
obtiendra, si la coupe intéresse les trois conduits al-véolaires, une
figure
qui représentera, en quelque sorte, leur moule in
trent où sont les follicules. Ces cellules constituent le centre de
figure
de chaque folli-cule ; les cellules épithélioïdes
. On comprend, d'après cette disposition, comment les 1 Planche VI,
figures
26 et 21. Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumon
s points, lésions de la pneumonie péri-tuberculeuse indiquées dans la
figure
39. II, bronche. rences de noyaux de pneumonie
es les directions intermédiaires aux deux précédentes, on dessine une
figure
ovale dont le grand axe est dirigé obliquement de
aux ca-ractères chimiques, et dont nous reproduisons ici les formes. [
Figure
41.) Obs. — Nécroscopie d'un sujet leucémique.
grossissement d'environ 450 diamètres. On voit, du reste, dans cette
figure
, le rapport de leurs dimensions avec celles des g
rencontrer dans le sang. Nous avons consulté un assez grand nombre de
figures
pu-bliées par divers auteurs, et relatives aux cr
cristaux que nous avons observés. Un seul cristal au milieu d'une des
figures
de Funke (Atlas der physiolog. Chemie, t. IX, fig
un cas de catarrhe sec, avec emphysème, par un sujet de vingt ans. La
figure
42 représente une partie d'une de ces concré-tion
rine coagulée et disposée par couches concentriques. On peut voir des
figures
représentant des exemples de ce genre dans VAtlas
e: pouls filiforme, difficile à compter; respiration très fré-quente,
figure
froide, bleuâtre ; expression de grande anxiété;
ndre que de faibles ondulations ; au lieu d'une pâleur synco-pale, la
figure
présentait, au contraire, une coloration et un as
'a duré que quelques instants, une minute environ. Dans ce moment, la
figure
, loin de pâlir, était d'une coloration plus foncé
allemands. Elle nous paraît aussi la plus satisfaisante de toutes.
Figure
51. — Cette figure schématique, empruntée à Rokit
us paraît aussi la plus satisfaisante de toutes. Figure 51. — Cette
figure
schématique, empruntée à Rokitansky, montre le mo
es de charbon. Les cellules qui entrent dans la com-position de cette
figure
représentent des cellules épithéliales con-tenant
ma eu . ? \ \ ? 1 Tome XIV. - 1887. \ s}^ " Avec 4 planches et 17
figures
dans letezté : ' PARIS BU \1 EAU DU PHOQUES M
te sur toutes les branches de la septième paire du côté droit de la
figure
; douleurs assez 6' PATHOLOGIE NERVEUSE. vive
rprendre les manifestations violentes de son émo- tion mais dont la
figure
se contracte et qui est sans cesse trahi par qu
njoin sont projetées sur des fourneaux et l'acteur vient exposer sa
figure
à ces vapeurs qu'il aspire avidement. Il y a du
"le mu- sicien évente le fourneau de façon à lui envoyer dans la
figure
tous les produits de combustion. Souvent on jet
eil. Il est facile de s'en convaincre en examinant attentivement la
figure
de chaque danseur pendant les exercices; l'on v
aurait été rapporté, d'après un autre auteur, par Bootius et qui ne
figure
pas dans l'ouvrage de ce mé- decin que nous avo
actères de la monoplégie hystéro-trau- matique. On peut voir sur la
figure
1 un schéma représen- tant l'étendue de l'anest
s que l'on observe dans le cas de M. Adamkiewicz en comparant cette
figure
à la figure 2, qui est la reproduction du schém
erve dans le cas de M. Adamkiewicz en comparant cette figure à la
figure
2, qui est la reproduction du schéma de M. Adam-
ef considérable, l'empreinte des corps que l'on y a appliqués ou la
figure
du dessin que l'ou trace à sa surface avec un c
s l'AI't; par J.-M. Charcot (de l'Institut), et P. Richer ; avec 67
figures
intercalées dans le texte. Paris, Delahaye et L
lic. Sienne. 130 BIBLIOGRAPHIE. nature. Nous retrouvons dans la
figure
du possédé tout un ensemble de caractères et de
ge symbolique, se transforme par l'étude détaillée de la nature, la
figure
du démoniaque dépouille les signes de la conven
ie eleklricilat in der medicin. Volume iii-8- de 462 pages, avec 60
figures
et une planche lithographique. Berlin, 1887, Hi
doit appe- ler l'attention : c'est que la population agricole ne
figure
que dans une proportion infime. Par contre, je
'allonge la face tournée sur le terrain. Alors il devient raide, la
figure
grimace, elle est pourpre. -Lorsque l'accès est
ci comment on décrit le premier : Etant debout, on s'aperçut que sa
figure
grimaçait, qu'il était pâle, qu'il allait tombe
e préface du professeur Clarcot.- Volume in-8" de 571 pages avec 83
figures
. Prix : 12 fr. Paris, 1887, 0. Doin. BITOT PÈRE
lume de la collection). in-8- de xlviii-258 pages, avec 3 plans, 25
figures
et 5 planches glyptographiques. Prix : 6 fr. ;
ulsions; - 7° fille, celle qui nous renseigne; brune, intelligente,
figure
régulière et agréable, non mariée ; bien portan
douleur vive dans le flanc droit. Face pâle, sueurs froides sur la
figure
et le corps, cou gonflé, pouls faible, lent, ré-
e traduit toujours par des éclats de voix. Quand il veut parler, sa
figure
se contracte, se tord plus ou moins sur le cou;
TE. -Tome III, 2° fascicule. - Un volume in-8 de 380 pages, avec 61
figures
dans le texte. Prix : 9 fr. ; pour nos abonnés,
VÉ (G.). Précis d'anthropologie. Volume in-8° de 655 pages, avec 20
figures
. - Prix : 10 fr. Paris, 1886.- Librairie A. Del
La psychologie physiologique. Un volume in-8" de 452 pages, avec 40
figures
. Traduit de l'italien par M. MOUTON. - Prix : 7
lCOT Dessinateur : LEUBA Deuxième série, tome IV. 1897. Avec 27
figures
dans le texte. * PARIS BUUEAUX DU 'PItOGIiÈS
la séance en faisant revivre pendant quelques instants la grande
figure
de Calmeil, dont il prononce un magnifique éloge.
, Tome 1VII de la collection, 1 fort volume de c-25t pages, avec 41
figures
dans le texte et 9 planches. Prix : 6 francs. P
.). Chirurgie des centres nerveux. - 111-81 (le 300 pages, avec 2j,
figures
. Paris, 1897. Lzbrairie J.-li. Baillière. Guesd
et publiées par le D' E. Ricklin. In-8° de vuz-î7G pages, avec 111
figures
et 3 planches hors texte. Prix : 18 francs. Par
l'hystérie. 2 volumes grand in-8- formant ensemble 866 pages, avec
figures
. Prix : 20 francs. Paris, 1897. Librairie F. Al
faciles à comprendre et en même temps amusants. Je dois dire que sa
figure
exprimait l'intelligence, comme celle de la plu
llme X... ne peut plus quitter le lit. L'amaigrissementapparait, la
figure
est émaciée, les membres sont flasques, le poul
hysionomie de la malade change-t-elle aussitôt, la joie anime cette
figure
tout à l'heure inerte et sans expression. Nous
Allg. Zeitzcher. f. psychiatrie, t. LII, f. 1er, p. 134-166, avec 4
figures
.) Depuis les travaux de Hitzig et de Fritsch, l
mique, clinique, physiologique, vol. in-8° de x-356 pages, avec 107
figures
. Paris, 1897, librairie G. Steinheil. L\reu\,
Comme il sera facile de s'en rendre compte par l'étude des trois
figures
ci-jointes, toute racine postérieure passe, par
mme le disait déjà 1%i ? 1. Fig, 2. Fi g. 3. Fig. 1, 2,3. Ces
figures
représentent le trajet intra-médullaire ascen-
et de chaque racine; nous l'avons, d'ailleurs, schéma- tisé sur les
figures
ci-jointes, pour bien montrer son étendue, à ch
ent tuutes les fibres courtes, d'ailleurs Fig. 4, 5, 0, 7, 8. - Ces
figures
demi-schématiques représentent les champs radic
dons situées à la base de la corne 1%u. 10 (cône terminal). - Cette
figure
est destinée à montrer la forme et les dimensio
IONS MÉDULLAIRES DU TABES DORSALIS. '193 7''<'y. 11, 12, 13. Ces
figures
sont destinées à montrer la topographie des lés
et des. cornes postérieures ont été soigneusement repérées sur ces
figures
et les suivantes ; chacune d'elles a été indiquée
TIONS MEDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 195 l'i ? 1 e, 1, lG, 1 i. Ces
figures
sont destinées a montrer la prise des faisceaux
de la maladie). Les lettres ont la même signification que dans les
figures
précédentes. Fig. 14 (point d'cntrée (le I.l ci
du philanthrope. Mais ce côté si intéressant et si important de la
figure
de notre compatriote vient d'être mis en lumièr
s son lit : contractures passagères des mains, contracture dorsale,
figure
grimaçante, écume à la bouche. Jamais d'urine e
voir le jour, ses yeux sont presque toujours clos, elle se cache la
figure
dans ses draps. Ces crises se répètent tous les
e les noms des objets qui lui sont présentés; il dessine toutes les
figures
possibles, mais il est incapable d'écrire d'apr
ale Biindel der Leilens- triinge. Brochure in-8° de 3 pages, avec 2
figures
. Leipzig, 1877. Librairie E. Mendel. BECHTERE
g derselben un 1er ciMa ? t(/er. Brochure in-8° de 9 pages, avec 11
figures
. Saint-Pétersbourg, 1897. Chez l'auteur. BECH
s dans la moelle louzbo-srrcrée. Brochure in-8° de 11 pages, avec 7
figures
. Extrait du Journal de Neurologie. Bruxelles, 1
The new psychology. Volume in-12, relié, de xxm-500 pages, avec 121
figures
. London, 1897. W. Scott. Le rédacteur-gérant :
longements, il faut faire usage de l'hématoxyline. diluée. Sur la
figure
cet aspect est des plus nets : les fibrilles du p
degrés, avec le même côté correspondant toutefois aux centres de la
figure
et des membres ; encore ne sommes-nous pas tous
' M. le Dr Bourneville. - Au procès-verbal de la dernière séance
figure
la communication, par l'Administration, à la Comm
TOULOUSE (Ed.). La mélancolie. Volume in-l8 de viii-124 pages, avec
figures
et tracés dans le texte. - Prix : 4 francs. Win
âillements qui d'abord, alternèrent avec les quintes de toux (Voiries
figures
1, 2, 3, 4), et ensuite régnèrent seuls, se répét
ndue sur le tronc en avant et en arrière, comme il est indiqué sur la
figure
n° 6 (A. B.) ; Fig. 6. — État de la sensibilité
in d'expulser des gaz; qu'alors, comme il dit, le sang lui monte à la
figure
et qu'il devient comme engourdi, somnolent et vou
profession de couvreur. Il est élancé, fluet, comme vous voyez, d'une
figure
plutôt agréable et d'allure quelque peu féminine.
ne révélation inattendue, fort intéressante. Le bégaiement en effet
figure
dans la famille neuropathologique et y occupe un
l'avait jusqu'ici supposé. Sans doute le rhumatisme articulaire aigu
figure
souvent dans l'arbre généalogique des choréiques
aigu figure souvent dans l'arbre généalogique des choréiques comme il
figure
dans leurs antécédents héréditaires ; mais les ma
ion est pénible. « Le sang,» pendant et peu après le repas,monte à la
figure
. On ressent de la fatigue, du malaise un besoin i
nt été atteints de paralysie infantile. Le cas auquel est relative la
figure
5 empruntée au 2e volume de nos Leçons sur les ma
vent, pour la calmer, on était obligé de lui projeter de l'eau sur la
figure
ou de lui faire prendre du sirop d'éther. Ces cri
ses goûts sont plutôt relevés. Il est grand, assez bien taillé, d'une
figure
agréable, mais pâle et d'apparence délicate, un p
n'est pas très rare, à en juger du moins par cette circonstance qu'il
figure
, bien qu'à des degrés divers, dans les quatre obs
sse pas quelques minutes: on peut d'ailleurs, en lui soufflant sur la
figure
ou en la rappelant à elle d'une voix impérieuse,
locomotrice,maladie ancienne par excellence, sans aucun doute,et qui
figure
cependant en neuropathologie parmi les acquisitio
il se sent tout gonflé, il a des éructations, le sang lui monte à la
figure
et il est tout somnolent. Il est faible, facileme
r ne se sont aperçues de rien. Elles ont dit seulement que j'avais la
figure
« pâle et tirée ». En rentrant, je me suis senti
échapper, songe à une ville dont le nom a frappé ses oreilles ; il se
figure
y rencontrer des monuments superbes. Le désir de
Au beau milieu du tronc, un peu au-dessus du sternum, se présente une
figure
de femme, décemment couverte qu'il dit être la nu
détails, je dois vous prévenir que l'histoire clinique de notre homme
figure
déjà dans la science deux fois, comme s'il s'agis
Si cela est, dans les cas que nous considérons ici et parmi lesquels
figure
notre malade, la myélite aiguë de l'enfance, et l
e rapproche, on voit, à la suite de quelques prodromes parmi lesquels
figure
la sensation dans l'œil droit d'un cercle lumineu
lle a un frère sujet à de grands emportements. La chorée chronique ne
figure
pas, comme vous voyez, dans les accidents hérédit
stement ce qui se sera produit, je pense, chez notre homme ; l'abasie
figure
chez lui, je le suppose, comme le résultat d'une
jusqu'à un certain point, du moins. Veuillez jeter les yeux sur cette
figure
schématique qui représente en quelque sorte, Yépi
out, sur toute l'étendue du 1. L'intensité de l'anesthésie dans ces
figures
.et dans celles qui suivent est en raison directe
rmique de la peau chez nos malades, se compose ainsi que le montre la
figure
ci-jointe, d'un thermomèt'e à ré^eivoir plat, don
la sensibilité. Voici ce que cette étude a fait reconnaître (voir les
figures
). 1° Les sensa- Pisr, 116 Fig. 117 Sensibil
acé du dos de la main qui,d'après les remarques de MM. Remak et Rotb,
figure
à titre d'accident fréquent parmi les troubles tr
. NOIZETlE, 8, EUE CAMI'AGKE-PEEMIÈRE, PAKIS. TABLE DES TABLEAUX,
FIGURES
ET FAC-SIMILE CONTENUS DANS CE VOLUME A. — TA
apeur de la foudre........................ 543 TABLE DES TABLEAUX
FIGURES
ET FAC-SIMILE CONTENUS DANS CE VOLUME A. Tablea
, CORNET, LENOIR, JULES NOIR ET P. SOLLIER. Volume XIV. Avec 89
figures
dans le texte et un plan. PARIS AUX BUREAUX D
sous le nom de balançoire tremplin. Nous en donnons cette année la
figure
. Comme on le voit, les jambes allongées vont fr
longtemps et si nous y revenons aujourd'hui c'est à l'occasion des
figures
que nous avons cru devoir placer sous les yeux
esse ! Accouchement à 7 mois. Enfant très-petite 1) L'obs. complète
figure
dans le Compte-rendu -de 1892, p; 173... : - :
eurs mem- bres. On les rend propres, on leur enseigne se laver la
figure
et les mains, il boulonner, lacer, nouer, agrafer
s de quelques-uns d'entre eux (2). - (1) Jardin des surfaces, des
figures
géométriques, jardin des fleurs, jardin potager
en les exercices de la petite gymnas- tique. Distingue et nomme les
figures
géométriques. Compte jusqu'à 100. Commence à sy
ne sait pas s'habiller, caractère irritable, violent, crache à la
figure
de ses camarades, est turbulent, grossier, voleur
ît tous les objets qui l'entourent ; il distingue les couleurs, les
figures
géométriques. La parole est un peu plus dévelop
oux; puis devenu propre, en pantalon et marchant. Voici la note qui
figure
dans les comp- tes rendus du Congrès : cc fl
plus confuses et ses conversations de plus' en plus diffuses il se
figure
guéri et veut partir chez lui. Les yeux sont ha
yptor- chidie complète. Région anale normale. La sensibilité à la
figure
peu vive se manifeste sur tout le corps ; la sens
ons d'en reproduire ici le sommaire, quelques men- surations et les
figures
qui l'illustraient. OBS. IX. IDIOTIE CONSÉCUTIV
calleux. - L 0, lobe occipital. (/1 loyer hémorrhagique. , Cette
figure
et la précédente sont de demi-grandeur naturelle
om de scaphocéphalie. Les observa- tions suivantes, accompagnées de
figures
, donnent une idée très exacte de cette forme d'
observa vers deux ans « que parfois ses yeux se tournaient, que sa
figure
était pâle et ses lèvres décolorées, en même te
'insisterons pas sur la physionomie : un simple regard jeté sur les
figures
publiées au cours de ce travail en dira plus lo
: tous trois ont le front très large et le crâne très développé. La
figure
suivante représente la mère et la même soeur, â
is. Calcul volumineux trouvé dans la vessie qui fait le sujet d'une
figure
. A. M. IL Un cas de torticolis mental; par E. N
x scientifiques faits dans le service termine le volume, orné de 13
figures
et de XIII planches. P. KERAYAL. IV. Studies
Notes sur l'enseignement du laboratoire. Une planche coloriée et 14
figures
dans le texte. VARIA. ï5 V. Du mariage des ép
e de la Salpêtrière, 1897-1898). Volume in-8° de O10 pages, avec bG
figures
dans le texte et 2 planches en chromolülroraplt
, si l'on attachait l'extrémité d'une poulie à son pied (voyez-
figure
ci-jointe) et si l'on fixait à l'autre bout de
e dépose à l'intérieur de la cellule et montre les types d'Apâthy f
figures
). On voit dans le prolongement nerveux de tout
I, 1899). Observation d'une femme de quarante-six ans. Nécropsie.
Figures
. - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 157 droite,
ième série) ; par le professeur RAYMOND. In-8° de 606 pages avec 59
figures
et 2 planches en couleurs. (Libr. 0. Doin, 1900
d'association, même chez l'homme, malgré l'opinion de Flechsig. Les
figures
nombreuses et très nettes sont très démonstrati
cation aucune, un individu lui porta un coup de couteau en pleine
figure
. Le coup fut si violent que la lame traversa la j
à son mari, pendant qu'il dormait, plusieurs coups de poing sur la
figure
, . et ce dernier, pour avoir la paix, dut aller
lard. Tome XX de la collection. In-8° de cwxw·- ? 92 pages, avec 76
figures
dans le texte et 13 planches hors texte. Prix : 8
quence et la suite, mais que je me garderai de déflorer puisqu'elle
figure
à notre ordre du jour, et pour la solution de l
r associa- TION. Messieurs, la question des centres d'association
figure
au nombre de celles qui feront l'objet d'un rap
dited by F.-W. motte Volume in-8° rie xn-552 pages, avec nombreuses
figures
et 10 planches hors texte. - Prix : 18 fr. 75.
et de l'hémiplégie hystérique. Brochure in-8° de 40 pages, avec 12
figures
. Paris, 1900. - Extrait de la Gazette des hôpit
. - De l'asynergie cérébelleuse. Brochure in-8° de 10 pages, avec 8
figures
. Paris, 1900. Extrait de la Revue neurolo- giqu
lard. Tome XX de la collection. In-8» de CLXXXIV-292 pages, avec 76
figures
dans le texte et XIII planches hors texte. Prix
VSKY. Rachitisme en Roussie, - Brochure in-8- de 47 pages, avec 111
figures
, - Saint-Pétersbourg, 1900. Imprimerie de la Soci
deux parties reliées formant ensemble v-662 pages, avec planches et
figures
. Philadelphia, 1900. Davis Cy. Il s'agit là d'u
nel, dans son Traité de l'Aliénation mentale décrit aussi, avec des
figures
, deux cas de microcéphalie, et Gall et Spurzheim
a parole à M. le D'' Serbski, pour donner lecture de ce rapport qui
figure
en tête de notre numéro, M. Ritti, secrétaire g
s deux tombèrent à la renverse, les traits affreusement crispés, la
figure
décomposée, la gorge douloureusement contractée
lard. Tome XX de la collection. In-8° de c.xaxw-19 ? pages, avec 76
figures
dans le texte et XIII planches hors texte. Prix
ion spéciale de Ltourneville. Volume in-8° de iv-678 pages, avec 53
figures
. Prix : 8 francs. Pour nos abonnés : 6 francs.
Psychologie in l5 Vor- lesungen. Volume m-8° de 268 pages, avec 27
figures
. Iena, 1900. - Librairie G. Fischer. Le rédac
ologie Centrufbl., XVI11, 1899.) Disparition plus ou moins notable (
figures
) des appendices pyriformes, gemmules, épines, d
uologisclze Cent1'alúl., XVIII, 1899.) Appareil dont les nombreuses
figures
font comprendre le mé- canisme. Une aiguille so
ES (2° édition revue et augmentée). In-8° de xvm-610 pages, avec 51
figures
. Prix : la francs. - Paris, 1900. Société d'éditi
tateurs ii différents potentiels. Brochure in-io de C pages, avec 4
figures
. Paris, 1900. - Extrait des Comptes rendus de l
o/)'o/ ! 6[ lipo Aran Duc/ie/ute. Brochure in-8° de 8 pages, avec 2
figures
. - Montevideo, 1900. Impri- merie de Turenne, V
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